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1 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
e tel, que Je l'analyse de ces faits on pût aisément remonter à une idée synthétique de leur ensemble. Je compte que leur
s l'effet du canon lui est propre et dépend de sa charge. Telle est l' idée qu'il faut se faire des propriétés et des réactio
t parallèles à sa base, de même dans une seule vertèbre se retrouve l' idée du tronc tout entier ; en un mot, une vertèbre es
lent avoir donné beaucoup de force ; et en effet, si l'on accepte les idées de ces deux derniers physiologistes sur la force
s les expériences physiologiques et dans les maladies, « détruisait l' idée .que les phénomènes excitomoteurs sont « limités
férents segments entre eux, dans un animal annelé, ne détruit point l' idée d'une vie propre dans chacun de ces segments. M.
ie de la région caudale qui porte des os en V, on pourra se faire une idée très-exacte et très-simple de la disposition élém
erveux, et les résultats que j'ai obtenus concordent si bien avec les idées générales de Geoffroy sur le squelette, que je ne
que de génie, n'eût approuvé la modification que j'apporte ici à son idée première sur le système nerveux. missures, l'un
tion graduelle des faisceaux postérieurs de la région caudale donne l' idée d'un épuisement successif. Mais à mesure qu'ils
rvalles où s'engage la substance de l'axe gris, de manière à donner l' idée d'une sorte de decussation entre les deux substan
ent porte sur toutes les parties de la cellule. On peut en donner une idée par quelques mesures prises avec la plus grande e
raux. Leurs extrémités s'appellent cornes. La corne qui est (1) L' idée de cet enroulement est en germe dans les écrits d
la face postérieure du bulbe. Pour ne point scinder des images dont l' idée ne peut se graver dans l'esprit qu'à la condition
'élargissant légèrement à partir de la protubérance, et l'on aura une idée générale des pédoncules. L'intervalle médian qui
; aussi est-ce surtout alors qu'il faut l'étudier pour s'en faire une idée précise. En y regardant d'un peu près on est bi
uche du noyau d'enroulement. Ceci posé, nous pouvons nous faire une idée assez complète de la face inférieure du noyau cér
anatomistes lui attribuaient des fonctions toutes mécaniques : cette idée est depuis longtemps abandonnée. M. de Blainville
e formée par la courbure des corps restiformes, de manière à donner l' idée de deux cornes latérales du quatrième ventricule.
n'y étaient pas fort difficiles. Cette disposition leur avait donné l' idée d'une plume. De là ce nom fameux de calamus scrip
ns anatomistes, considérant la disposition de ces parties, eurent une idée singulière. Si l'on admet avec eux que le ventric
pituitaire. Cette grande dilatation, d'où naît un tube, a réveillé l' idée d'un entonnoir, de là le nom à'infundibulum donné
eure a des relations compliquées dont nous ne saurions donner ici une idée suffisante; nous y reviendrons en conséquence apr
au-dessus de cet ensemble une voûte transversale, et nous aurons une idée du corps calleux. On peut concevoir de deux maniè
ncéphale et de la moelle épinière. On a longtemps protesté contre l' idée des philosophes qui comprennent sous une même for
noyau de l'encéphale, il est impossible de n'être pas frappé de cette idée , que le noyau est dans le crâne ce que la moelle
rieux de voir comment on justifie les contradictions qu'on oppose aux idées les plus simples. Vertèbre, disait-on, Vient de v
velet, et forme en ce lieu des lobules accessoires. Pour se faire une idée juste de ces choses, il ne faut point commencer p
en que leur a donné M. Cruveilher. Il est difficile de se faire une idée bien nette de ces choses d'après une description
ur. Ce voile transversal, adhérent à une saillie médiane, a rappelé l' idée du voile du palais. Dès lors cette saillie médian
lis. Ce n'est point d'après un cerveau adulte qu'on peut se faire l' idée la plus claire de la constitution des hémisphères
normales. On a fait grand bruit, depuis quelques années, de certaines idées d'après lesquelles l'infériorité de certaines rac
ue les choses ne nous sont connues que par leurs propriétés, et que l' idée qui nous les représente est un composé des idées
propriétés, et que l'idée qui nous les représente est un composé des idées simples qu'éveillent en nous ces propriétés éléme
que une connaissance vraiment complète et scientifique, que lorsque l' idée générale qui le représente comprend autant d'idée
ique, que lorsque l'idée générale qui le représente comprend autant d' idées clairement définies qu'il y a en cet objet de pro
s primitifs. L'analyse le conduit ainsi à décomposer les faits et les idées , et il cherche le simple pour mieux connaître le
re le composé; car les faits composés comprenant des faits simples, l' idée des faits composés pour être adéquate doit compre
ée des faits composés pour être adéquate doit comprendre à son tour l' idée de ces faits simples. Ne serait-ce pas le lieu d'
principe. D'ailleurs, il attribue cette erreur à l'influence que les idées de M. de Blainville ont eue sur mon esprit. Je ne
es autres mammifères, un très-grand volume. Pour se faire une bonne idée de leur origine dans l'homme et dans les singes,
singulière dont des coupes longitudinales du bulbe peuvent donner une idée exacte. Elle est flanquée de deux noyaux accessoi
un système d'observations suffisant, eut dû en conséquence inspirer l' idée que les corps restiformes, je veux dire cette par
lobes du cervelet latéral, sont beaucoup moins élégantes et donnent l' idée d'un gros noyau blanc à la périphérie duquel sont
i un amas de petites glandes où étaient sécrétés les esprits animaux. Idée ingénieuse pour l'époque où écrivait Malpighi, et
ute son étendue. Cette préparation peut, en conséquence, donner une idée complète du mode d'enroulement du ventricule in
i figuré cette disposition d'après le cerveau du Papion. Je donne une idée de la première d'après un fœtus humain arrivé à l
é interne autour de l'axe pédonculaire ; elle donne en même temps une idée excellente de l'ensemble du ventricule cérébral e
niers temps, M. Foville a eu la gloire de mettre hors de doute cetf,e idée de Willis, dans une préparation hardie, ou, énucl
t le résultat d'un système incomplet d'observations. Partant de cette idée , je n'ai poinl désespéré de trouver le rapport qu
tions déterminées, mais des tendances générales; il n'y a point alors idée claire et volonté intelligente; il y a sentiment
il y a sentiment et instinct. Telle est la source d'un grand nombre d' idées chez les fous ou chez les gens endormis ; nous en
termédiaires, pourraient bien réveiller des sentiments plutôt que des idées précises. Si, comme les expériences de M. Flouren
ates, quand les mouvements de la main qui dissèque fournissent 'aux idées qu'éveille l'organe de la vue un complément néces
ure des lobes olfactifs. Il faut à peu près renoncer à se faire une idée complète de la structure des lobes olfactifs dans
dans la dissection d'organes aussi réduits. On ne peut s'en faire une idée positive que d'après les animaux chez lesquels ce
se en un certain nom-« bre de vertèbres crâniennes, a dû conduire à l' idée d'établir « un parallèle entre les nerfs crâniens
inverse des méthodes anciennes, c'est-à-dire d'arrière en avant. Ces idées sont à coup sûr heureuses, et je n'hésite point à
ières, on s'est, comme on le voit, beaucoup éloigné des anciens, et l' idée d'une division en paires distinctes a été complèt
sont, ce que M. de Blainville appelait des phanéros et des bulbos. L' idée était bonne, mais les expressions sont cacophoniq
donner complètement l'opinion de M. de Blainville qui, dominé par les idées de Gall, appelait les ganglions encéphaliques sur
s faits, comme on peut le voir, sont bien éloignés de confirmer cette idée de Buffon, « que le cerveau au lieu d'être le siè
ervation dont on dispose ne nous ont point suffi. Gall, modifiant l' idée de Buffon, posait en principe que la substance gr
est une efflorescence ou une production de la moelle épinière ; cette idée , avons-nous dit, est de Bartholin, et ce grand ho
tre a quelque chose de mécanique et de grossier, qui convient mal à l' idée qu'on doit se faire du mouvement vital dans les ê
'ont aucune conformité avec la nature, et rien n'y saurait donner une idée des détails qui donnent à l'histoire du développe
rale du mouvement vital, dans une organisation sans force originelle. Idée que justifie sans doute cette exiguïté du corps q
nception idéale du Type des vertébrés et chercher, indépendamment des idées particulières de classe, d'ordre, de famille, de
èrement cher aux philosophes. Mais si pour résumer la nature dans une idée simple, l'homme doit s'attacher surtout aux analo
t même parmi eux, des Primates. Si nous partions, par exemple, de l' idée que le cervelet du Lion ne diffère d'avec celui d
elet humain donne à peu de chose près l'aspect d'un cervelet de Lion. Idée qui n'est pas un seul instant soutenable. Mais,
ne grandeur et une complication dont l'homme ne saurait donner aucune idée . Ces propositions sont d'autant plus vraies qu'on
ion des détails intimes, des proportions telles, qu'elles éloignent l' idée de toute assimilation réelle. A toutes les époque
nous le droit qu'a l'intelligence de s'élever de degrés en degrés à l' idée des Types en zoologie? Disons-le sans hésiter, sa
ses (1). 11 faut prendre ces formules pour ce qu'elles sont, pour des idées abstraites. Avec ces réserves, les études philoso
une indication générale de ces faits, je vais essayer d'en donner une idée plus précise. A. Dure-mère céphalique. Qu'on
mement à ses parois, surtout le long des sutures, et l'on se fera une idée assez juste de la disposition de sa lame périosti
pariétaux, est surtout intéressante, en tant qu'elle peut donner une idée fort exacte du développement des régions cérébral
égard. D'ailleurs, si l'étude de la forme du crâne peut donner une idée générale de la forme du cerveau, l'étude de sa ta
semble que M. Tiedemann a pris un fort mauvais parti quand il a eu l' idée de mesurer la capacité du crâne dans différentes
atira jusqu'à l'anéantir. Piéciproquement, à une certaine époque, les idées de Gall ayant réagi sur l'art, le moindre rimaill
ter cet illustre auteur, alors même que je n'accepte point toutes ses idées , parce que partout, et même dans ses erreurs, il
probable. Je puis d'ailleurs énoncer des faits qui détruisent cette idée . On n'accusera pas, je suppose, les singes de man
mouvement de réflexion deviennent plus actifs, page 120. Parmi les idées qui semblent propres à Van Deen, il faut rappeler
. Il y a déjà longtemps que les physiologistes ont été frappés de l' idée de l'importance du cervelet. Willis, se fondant s
e se manifester (1). M. Flourens admet celle manière de voir. De là l' idée si habilement présentée par lui de forces opposée
omate; mais toutes les sensations, toutes les perceptions, toutes les idées sont alors anéanties. L'animal n'a plus alors ni
t toutes à la fois à mesure qu'on détruit la masse des hémisphères. L' idée que l'âme réside dans un atome n'est donc point f
Mais les systématiques n'en tiennent aucun compte, et il n'est pas d' idée bizarre qui n'ait ses défenseurs. M. Magendie mit
nfin, nous nous efforcerons d'échapper à l'empire des préjugés et des idées préconçues en demeurant, autant que possible, fid
pense par certaines parties intérieures, non-seulement il n'a aucune idée du rapport qui existe entre sa pensée et ces orga
orps, en ont fait une propriété du corps; d'autres, considérant que l' idée de l'être n'est que dans la pensée, n'ont pu comp
tre n'est que dans la pensée, n'ont pu comprendre que ce qui seul a l' idée de son être, ne fût pas l'être par excellence. Ce
e. Un célèbre naturaliste, M. Jean Mùller, a accepté plusieurs de ces idées dans sa physiologie. « L'âme, dit-il, est divisib
par le sang, quant à la lumière, elle se répand dans les nerfs. Cette idée que les nerfs sont lumineux au corps a été reprod
a contraction musculaire. On reconnaît évidemment ici l'influence des idées cartésiennes. Ainsi répandue, infuse dans toute
lins, une substance matérielle. U ne resterait plus qu'à se faire une idée bien claire des atomes, et cela n'est pas chose f
due ; mais, comme Leibnitz nous l'a prouvé, l'on ne peut se faire une idée bien claire de pareils atomes, en tant que matièr
la figure est le genre de toutes les « espèces de figures, de même l' idée de figure est le genre de « toutes les idées des
ces de figures, de même l'idée de figure est le genre de « toutes les idées des différentes espèces de figures, l'idée de «
le genre de « toutes les idées des différentes espèces de figures, l' idée de « mouvement est aussi le genre des idées de
es espèces de figures, l'idée de « mouvement est aussi le genre des idées de toutes les espèces « de mouvement ; l'idée de
est aussi le genre des idées de toutes les espèces « de mouvement ; l' idée de couleur est le genre des idées de « toutes les
outes les espèces « de mouvement ; l'idée de couleur est le genre des idées de « toutes les espèces de couleur; l'idée de son
couleur est le genre des idées de « toutes les espèces de couleur; l' idée de son est le genre do « toutes les idées des dif
es les espèces de couleur; l'idée de son est le genre do « toutes les idées des diflérenles espèces de son, et l'idée d'un «
t le genre do « toutes les idées des diflérenles espèces de son, et l' idée d'un « animal est le genre des idées de toutes le
diflérenles espèces de son, et l'idée d'un « animal est le genre des idées de toutes les espèces d'ani-« maux. Les idées gén
animal est le genre des idées de toutes les espèces d'ani-« maux. Les idées générales de figure, mouvement, couleur, « son, a
fusa perarlus Mens agitai molem, et magno se corpore niiscet. Cette idée se mêle à une foule de dogmes et de systèmes et n
» La tendance naturelle que nous avons à penser et à concevoir les idées les plus abstraites sous le voile de figures sens
ystème nouveau. Suivant lui, l'âme de l'homme et des animaux, c'est l' idée que Dieu a de leurs corps, idée d'organismes plus
me de l'homme et des animaux, c'est l'idée que Dieu a de leurs corps, idée d'organismes plus ou moins parfaits. Cela ressemb
ou moins parfaits. Cela ressemble fort aux entéléchies d'Aristote. L' idée que Dieu a du corps de l'homme est évidemment la
ême où le corps périt en Dieu, considéré comme substance étendue, son idée meurt en même temps en lui, en tant qu'il est sub
du même rang que l'homme; et peut-être qu'en poussant à l'extrême les idées de Malcbranche, on arriverait de proche en proche
partie du corps a son âme ou son entéléchie, en tant que Dieu en a l' idée distincte. Ce système est bien lié et d'une hardi
n acte de Dieu, pensant un certain corps, je suis Dieu puisque j'ai l' idée de moi-même. Mais si je suis Dieu, comment se fai
d inconvénient d'une pareille philosophie, n'est-il pas de détruire l' idée nette que nous avons de nous-mêmes ? Le système
érents. En tant qu'elles éveillent naturellement dans l'âme certaines idées du monde extérieur, ce sont des sensations ; mais
ées du monde extérieur, ce sont des sensations ; mais en tant que ces idées représentent seulement le corps qui lui est uni,
ute impression perçue, sensation ou sentiment, produit dans l'âme une idée qui lui est corrélative et qui en est comme l'ima
notre devoir d'indiquer au moins ce que dans le développement de ses idées elle doit à chacun d'eux. Ces raisons m'obligeron
s le nom de sensations aux impressions qui nous donnent seulement une idée de notre propre corps ou de ses états intérieurs.
sens du froid et de la chaleur peut entrer en jeu indépendamment de l' idée d'aucune cause extérieure. L'impression très-vive
très-vive de chaleur qu'on éprouve dans un doigt enflammé n'éveille l' idée d'aucun contact; enfin, quand nous contractons un
ous sentons fort bien que nous le contractons indépendamment de toute idée étrangère à notre corps. Ainsi le sens de la doul
st le sens du contact. En effet, son action entraîne impérieusement l' idée de quelque chose d'extérieur et d'étranger à la f
du contact. Quelques expériences très-simples en pourront donner une idée . Un instrument indispensable pour ces expérienc
cutive est pour beaucoup dans le système de sensations d'où résulte l' idée de pression. Il est une autre modification de l
nt sur elle-même. De cette sensation, quand elle est forte, résulte l' idée de viscosité, et, quand elle l'est infiniment peu
e viscosité, et, quand elle l'est infiniment peu, celle d'humidité. L' idée opposée de sécheresse résulte d'un défaut absolu
ication d'une foule de modifications du toucher, d'où résultent des idées distinctes de corps très-petits. Parmi ces dispos
le contact excite une foule de petites sensations distinctes donne l' idée d'un corps rugueux ; mais celte idée n'est complè
es sensations distinctes donne l'idée d'un corps rugueux ; mais celte idée n'est complète que lorsque la peau, glissant sur
ivement. Ce déplacement, quand l'organe tactile est immobile, donne l' idée d'un corps en mouvement. 11 s'y joint habituellem
i-même le sens du contact. Ce qui en résulte essentiellement, c'est l' idée d'extériorité. Placé sur la limite du moi, il l
et c'est par une erreur incompréhensible qu'on a pu lui attribuer les idées que les aveugles-nés se font de la forme des corp
s, c'est-à-dire, après une sensation, une autre sensation pareille. L' idée de cercle ou de circonférence ne sera nulle part.
que sous le doigt qui le touche. Le frottement qui en résulte donne l' idée d'un mouvement. Mais quelle est la forme d'un cor
ession uniforme d'impressions semblables réveille aussi bien en lui l' idée d'une ligne droite que celle d'une ligne courbe,
n, soit avec le corps tout entier des cercles autour d'elle, et par l' idée qu'il a des mouvements qu'il a exécutés et voulus
ous les points d'une surface, on se ferait de la figure des corps une idée plus nette. Buffon l'a cru, il est vrai, mais l'e
lui-même ; et ce qui prouve peut-être par-dessus tout l'existence des idées innées (1), c'est un aveugle se dirigeant, c'est
lair, précis, intelligible de toutes les altitudes de ce corps dont l' idée lui est toujours présente. Et comme ces attitudes
me ces attitudes changent, elle a le souvenir de ces changements et l' idée de leurs relations successives. Ainsi nous ne con
s muscles, où il fait supposer l'existence de nerfs particuliers. L' idée de la forme suppose l'idée de l'étendue en généra
ser l'existence de nerfs particuliers. L'idée de la forme suppose l' idée de l'étendue en général; mais elle suppose encore
me suppose l'idée de l'étendue en général; mais elle suppose encore l' idée de la mesure de l'étendue. On peut dire qu'en cec
« parce que la main est divisée en plusieurs parties toutes (1) Une idée innée n'est point une idée que l'esprit a toujour
isée en plusieurs parties toutes (1) Une idée innée n'est point une idée que l'esprit a toujours eue présente, c'est une i
n'est point une idée que l'esprit a toujours eue présente, c'est une idée qui résulte de l'activité propre de l'esprit, et
lui vient point du dehors. D'ailleurs, en un certain sens, toutes les idées sont innées, car il n'y a point d'idées hors de l
n un certain sens, toutes les idées sont innées, car il n'y a point d' idées hors de l'âme, « mobiles, toutes flexibles, tou
ssantes à la volonté, qu'elle est le seul organe qui « nous donne des idées distinctes de la forme des corps. Le a toucher n'
e sentiment exact et précis « qui est nécessaire pour nous donner une idée de la forme « des corps. Si la main avait un plus
ment amenant une succession de contacts. Mais évidemment partout où l' idée de la forme suppose l'idée du nombre, c'est l'esp
de contacts. Mais évidemment partout où l'idée de la forme suppose l' idée du nombre, c'est l'esprit qui la conclut, si je p
ter mine plus aisément avec un seul doigt qu'avec plusieurs. Si l' idée de Buffon élait juste, les doigts de la main la p
avec une précision merveilleuse. M. de Blainville, grand partisan des idées de Buffon, qu'il aimait par une sorte de parenté
bien plus sensible que nos doigts cependant, ne peut nous donner une idée précise de la figure d'aucune de nos dents? La se
a fois articulés à l'intérieur et sensibles à la surface, enferment l' idée de la perfection typique la plus élevée. Le jug
est rien autre chose qu'une certaine manière de résistance. De là des idées de dureté ou de mollesse, de pesanteur ou de légè
e là des idées de dureté ou de mollesse, de pesanteur ou de légèreté, idées auxquelles participent d'ailleurs les surfaces cu
vants. Parmi ces impressions, dont aucune n'éveille par elle-même l' idée d'un corps externe, nous distinguerons : 1° Les
ns. Ce ne sont pas là à proprement parler des sensations, parce que l' idée qui en résulte a trait à une certaine partie modi
ature peuvent s'éveiller dans une partie vivante, indépendamment de l' idée d'aucun corps extérieur; voici encore un nouvel e
-difficile à définir, mais chacun l'a assez ressenti, pour en avoir l' idée . Si les comparaisons nous étaient permises, je di
êtent les effets. Mais n'est-ce pas perdre son temps que se faire une idée des choses par comparaison? Il vaut mieux dire da
bjet aucune relation nécessaire, comme en un mot elles nous donnent l' idée , non des choses elles-mêmes, mais de certaines qu
sens ne sont par eux-mêmes ni une source primitive, ni une officine d' idées ; cependant l'esprit n'en descend pas moins dans l
n'en descend pas moins dans leur sphère; en tant qu'il est artisan d' idées , il pourra s'en faire à propos d'odeurs ou de sav
deurs ou de saveurs, mais plus il sera actif dans la formation de ces idées , plus le travail d'induction et de déduction sera
te, réduit aux renseignements qu'il en tire, l'esprit n'aurait aucune idée des choses; il ne saurait ni la forme, ni l'éte
synthèses confuses ; c'est l'esprit qui, de leurs éléments, fait des idées claires, en les distinguant, en exerçant sur elle
ins, dont la volonté n'est pas maîtresse. Quelquefois, il est vrai, l' idée vive d'une chose rend sa saveur présente, comme c
ont d'une autre nature. Il dépend toujours de l'esprit d'en avoir une idée présente, indépendamment de toute excitation ac
in nerf, elles le sont sous une forme spéciale et éveillent en nous l' idée de bruit ou de son. Les sons qu'on entend à l'occ
nsuit-il qu'il en résulte directement pour l'esprit un grand nombre d' idées ? Sont-elles les sources principales où puise l'in
on n'a pas remarqué que directement ces sensations fournissent peu d' idées , et qu'elles sont moins intéressantes par elles-m
homme ne peut avoir ni de la forme, ni du mouvement des corps aucune idée possible. Quel rapport naturel l'esprit le plus h
rit le plus hardi pourrait-il admettre entre un son quelconque et des idées de forme, d'étendue, de surface, de solidité, de
stance? Tout au plus l'âme pourrait-elle avoir par l'oreille quelques idées de succession, de nombre et de temps; mais ces id
oreille quelques idées de succession, de nombre et de temps; mais ces idées peuvent venir à l'esprit par toutes les voies de
ien en propre, sinon la faculté de percevoir des sons. D'ailleurs ces idées de succession, de nombre et de temps, n'enferment
s sons, de manière à en faire les signes par excellence de toutes ses idées . Ainsi l'homme qui écoute un autre homme fait lui
ses idées. Ainsi l'homme qui écoute un autre homme fait lui-même ses idées à l'occasion des sons qu'il entend, mais en génér
ême ses idées à l'occasion des sons qu'il entend, mais en général ces idées n'ont avec les sons qu'un rapport purement artifi
t le monopole des signes auquel l'esprit attache en quelque sorte ses idées . Toutes les sensations sont propres à cela ; mais
es paroles, par les sentiments que cette musique éveille, ouvre à ses idées une large voie dans l'âme des hommes qui l'écoute
ort, qu'il fait, hélas ! passer jusqu'au mensonge, et sans lequel les idées les plus justes ont peu de prise sur les esprits.
mieux que l'homme, mais tout cela n'est rien sans l'intelligence. Nos idées prouvent plus la force de l'esprit que la valeur
de, aucun sens ne donne davantage. A l'occasion de la vue l'âme a des idées de l'espace, de la forme, du mouvement et du temp
mais plusieurs, aucun autre sens n'est plus propre à nous donner une idée complète des choses et de leurs relations, soit e
ec notre corps. Ce n'est pas dire, à coup sûr, qu'elle nous donne des idées toutes faites ; mais ces idées seront toutes prép
re, à coup sûr, qu'elle nous donne des idées toutes faites ; mais ces idées seront toutes préparées, si je puis ainsi dire, e
. J'ai dit que par la vue nous avions, plus que partout autre sens, l' idée de l'extériorité des objets; est-ce là un effet i
uvons avoir par le sens de la vue, » dit notre grand Buffon, « aucune idée des distances. Sans le toucher, s tous les objets
n'est pas prouvée. On peut admettre que ce jeune homme n'avait aucune idée des distances. Mais dire que tous les objets, ind
evons aisément, comme loin de nous, les choses d'où nous viennent des idées d'une autre nature. Il est bien certain d'ailleur
affection de la rétine, organe dont nous n'avons naturellement aucune idée , et dont la plupart des hommes ignorent l'existen
gnorent l'existence, car il est fort à remarquer que nous n'avons une idée claire d'aucun de nos organes, sinon en tant que
rcer sur eux ou par eux. C'est par le toucher seul que nous avons une idée de notre œil (2). Un aveugle-né sent aussi bien s
llant la sensibilité de la conjonctive, sont la cause principale de l' idée que nous avons de notre œil en tant qu'organe viv
e certaine représentation du monde. Quand nous voyons, nous avons une idée des choses extérieures, nous n'avons point l'idée
ons, nous avons une idée des choses extérieures, nous n'avons point l' idée de notre œil modifié. C'est là une sensation par
r saisir. Ces mouvements, qui ne peuvent d'ailleurs lui donner aucune idée distincte des formes, sont indéterminés et indéci
it élevé le toucher à son usage, il est bien clair que l'enfant a une idée certaine de l'unité de l'objet qu'il considère, c
Comment se fait-il que de ces deux images, il ne résulte qu'une seule idée ? Gall, et après lui M. de Blainville tranchaien
l objet soit vu double, une expérience très-simple en peut donner une idée . Imaginons un prisme à quatre pans rectangulair
au, on ne perçoit qu'une seule image, sinon il y en a deux (t). Une idée à peu près semblable a conduit le célèbre M. Mill
our un seul objet. Mais de ces deux images il ne résulte qu'une seule idée , parce qu'elles se superposent. Ce fait de la s
rvient pas, il ne résulte de toutes ces impressions dans l'œil qu'une idée confuse. Cette synthèse de la sensation ne peut d
sur une surface plane, et l'on peut dire avec quelque raison que nos idées sont des tableaux du monde. Ainsi l'avcugle-né de
rend à la longue instinctifs, que nos sensations éveillent enfin des idées adéquates et parfaites. Ces jugements sont fondés
timent d'un mouvement, et ce sentiment a pour corrélatif nécessaire l' idée d'espace et d'étendue. Il y a en effet une sorte
regard qui plonge dans l'étendue, l'âme emporte, pour ainsi dire, une idée du corps avec elle, et s'inspire de la volupté su
e chose vue. L'œil est donc le sens privilégié de l'esprit créateur d' idées , en tant que seul, au milieu des autres sens, il
s lequel les impressions se succèdent n'est pas indifférent quant à l' idée que nous nous faisons de chacune d'elles. Ce n'
le même. Ce rôle immense de l'esprit dans la formation de toutes ses idées , que dis-je? dans l'élaboration de ses sensations
ments possibles certaines erreurs de la folie. L'homme attentif à une idée ne verra dans les objets extérieurs que les trait
pectacle douloureux; mais on a plus égard, dans ce cas, à ses propres idées qu'aux objets pris en eux-mêmes. Le plaisir et
en qu'ayant pour cause des sentiments intérieurs, elles supposent une idée plus ou moins distincte de certains objets consid
incte de certains objets considérés comme fins ou comme causes. Cette idée de causalité, lorsqu'elle est nettement définie,
it pour cause certaines influences du monde extérieur et de celui des idées sur le système nerveux, et plus particulièrement
ore cette mémoire qui, en l'absence de tout objet actuel, reproduit l' idée des impressions passées, au point de les rendre p
ection perpétuelle qui lie pour ainsi dire l'avenir au passé? Avoir l' idée simultanée des choses présentes est à coup sûr un
anée des choses présentes est à coup sûr une merveille ; mais avoir l' idée simultanée de choses successives, revenir sur ses
faculté admirable, nos observations successives, nos expériences, nos idées , nos plaisirs et nos douleurs, se lient les uns a
s en une chaîne qui assure, au milieu du renouvellement perpétuel des idées et des choses, l'unité de la Vie et du Moi. Nou
vant un certain ordre, les traces des sensations, des volontés et des idées passées, c'est compter, en quelque sorte, les ann
ets d'un livre. Ainsi la mémoire complète ne réveille pas seulement l' idée de faits pris au hasard, mais de séries de faits.
eulement l'idée de faits pris au hasard, mais de séries de faits. Une idée qui ne se rattache à aucun ordre, qui surgit isol
eux impressions qui ont affecté simultanément l'âme, l'une rappelle l' idée de l'autre à laquelle le hasard l'a associée. E
six mois dans le service de MM. Pariset et Mitivié,une folle dont les idées étaient livrées à une telle incohérence que, parl
oles. Ainsi la mémoire, infidèle clans le cas où les mots étaient des idées , devenait claire et précise quand les mots étaien
des chansons. On pourrait expliquer de la même manière comment des idées exprimées en vers, en vers rimes surtout, entrent
ntrent dans la mémoire plus facilement que la prose : plus en effet l' idée sera accompagnée d'accessoires sensibles disposés
viennent-ils à coïncider dans la sensation une ou plusieurs fois, l' idée de l'un ramènera nécessairement l'idée de l'autre
ation une ou plusieurs fois, l'idée de l'un ramènera nécessairement l' idée de l'autre. M. Baillarger a raconté à ce sujet de
naissance à ce singulier système ana-tomique, qui attache toutes nos idées à quelque fibre de notre cerveau. On sait que Cha
que affaiblissement général et gradué de cette faculté. En effet, les idées des choses sont plus ou moins proche des idées qu
faculté. En effet, les idées des choses sont plus ou moins proche des idées que nous avons de nous-même, et il semble naturel
s facilement qu'elles nous sont moins prochaines. C'est ainsi que des idées générales ne disparaîtront qu'après les idées par
es. C'est ainsi que des idées générales ne disparaîtront qu'après les idées particulières et contingentes ; admettons par exe
ère fois, nous en avons, par son aspect et ses qualités, une certaine idée distincte avant de savoir son nom ; c'est en un m
tion fortuite d'un signe et d'une chose, c'est une coïncidence dont l' idée est plus ou moins habituelle, et nous avons vu, a
'affaiblissement de la mémoire sera une sorte de dissociation entre l' idée des choses en elles-mêmes et celle des noms arbit
n certain nombre de qualités qui nous affectent, on peut dire que les idées des qualités sont génératrices des idées que nous
ectent, on peut dire que les idées des qualités sont génératrices des idées que nous avons des choses considérées comme subst
té la substance emporte l'accident, dans l'ordre de l'acquisition des idées l'accident emporte le fond. Ainsi l'idée générale
'ordre de l'acquisition des idées l'accident emporte le fond. Ainsi l' idée générale de l'être, unie à l'idée particulière d'
l'accident emporte le fond. Ainsi l'idée générale de l'être, unie à l' idée particulière d'un certain nombre de propriétés, s
se perdre le premier dans ce travail de dislocation intérieure où les idées se séparent plus ou moins difficilement les unes
lieu, et tout disparaît avec eux parce qu'on ne saurait avoir aucune idée d'une chose indépendamment de ses qualités. Nou
e hypothèse de Bonnet, et à cette localisation tant préconisée de nos idées dans des organes, que dis-je? dans des points mat
ite des réactions multiples qui lient dans un seul système toutes nos idées et toutes nos impressions, les mouvements des idé
ystème toutes nos idées et toutes nos impressions, les mouvements des idées et des impressions sonores, la vue simple de cert
ins de l'âge d'or, il retrouve dans son imagination les plus fraîches idées de la jeunesse; mais les impressions nouvelles gl
iment de continuité, cette absorption du temps dans la pensée, d'où l' idée de personnalité résulte (1)? Et cela peut-il s'ex
inaperçues, peuvent, en raison de ces associations, ramener certaines idées dans l'esprit; et comme la chaîne de ces rapports
chaîne de ces rapports n'a point été définie, on s'étonne d'avoir ces idées , ou même on les croit nouvelles. C'est là, à prop
tude. Mais en tant qu'il est perçu par l'esprit et se traduit par des idées corrélatives, il reçoit le nom de mémoire. On n
s de l'oubli. Qui n'a pas souvent, désiré effacer de son souvenir ces idées toujours présentes, ces fantômes qui traitent l'â
damental d'une sensation, c'est la propriété qu'elle a d'éveiller une idée nécessaire, celle d'extériorité. Or, ce que la se
le-né n'imagine point des couleurs ; un sourd de naissance n'a aucune idée des sons ; c'est en cela seulement que consiste l
i, c'est qu'ils avaient, en l'absence même de toute cause présente, l' idée de ce maître absent. Le dernier éléphant d'Afriqu
ndre aux couvercles des coffres et de les soulever. Il avait donc une idée de cet aliment dont aucune sensation actuelle ne
ans les animaux éveillés, l'imagination ne crée, pour ainsi dire, une idée qu'à la sollicitation d'un instinct. Toute idée e
pour ainsi dire, une idée qu'à la sollicitation d'un instinct. Toute idée est donc chez eux essentiellement liée à une volo
xprime une tendance plus ou moins violente vers le monde extérieur. L' idée ici n'est plus l'élément de la méditation, mais d
elle de diriger à son gré son attention sur ses sensations ou sur ses idées . Seul il sait, quand sa pensée l'exige, faire pré
n infiniment petit dans cet espace, dont cependant son âme comprend l' idée . Cette contradiction n'est-elle pas frappante? et
'imagination résultent de grands effets; la puissance de modifier ses idées , de les transformer, que dis-je? de les combiner
e dis-je? de les combiner en mille manières, pour en faire surgir des idées nouvelles, en est la conséquence. Maître par son
n évident que dans les aveugles. Les gens clairvoyants mêlent à cette idée beaucoup d'éléments qui sont du domaine de la vue
aintenant de l'imagination de l'homme éveillé, il s'agira surtout des idées visuelles et auditives. Si par hasard des observa
à cette chose. Ainsi le bruit d'une fanfare éveille naturellement l' idée d'une troupe à cheval. La vue de la mer donne l'i
naturellement l'idée d'une troupe à cheval. La vue de la mer donne l' idée d'un vaisseau. Le bruit du tocsin éveille irrésis
'un vaisseau. Le bruit du tocsin éveille irrésistiblement, à Paris, l' idée d'une émeute et, en province, celle d'un incendie
e de multiplier ces exemples qui sont vulgaires. On peut donner à ces idées , qui se développent sous la dépendance du princip
se développent sous la dépendance du principe d'association, le nom d' idées consécutives. 7° Lorsque des sensations sont ha
'ensuive dans l'imagination. Lorsque la pensée rapporte cette série d' idées à la il m cause qui l'a pour la première fois
le présent avec le passé, tandis que la réminiscence semble créer des idées nouvelles. 8° Les idées imaginaires peuvent êtr
tandis que la réminiscence semble créer des idées nouvelles. 8° Les idées imaginaires peuvent être considérées comme des se
tions très-faibles seront d'autant plus aisément perçues sous forme d' idées , qu'elles auront antérieurement été éprouvées dan
parler, une sensation, peuvent dans certaines conditions éveiller des idées adéquates ou corrélatives, lors même que ces impr
des sensations très-faibles peuvent n'être comprises que sous forme d' idées . CHAPITRE V. DU SOMMEIL. § 1. Définition du
, et l'homme ne se connaît que par la pensée. Si donc il a jamais une idée claire et précise de sa propre existence, si jama
pour compléter la définition du sommeil il faut faire intervenir l' idée d'un engourdissement général des sens et des appa
il diffère cependant du sommeil primitif. Celui-ci était absolu, sans idées et sans rêves, mais quant après la naissance, le
Aussi l'incohérence est-elle un des caractères les plus frappants des idées du sommeil. Comme les mouvements du corps et la
aise qui se généralisant de plus en plus éveillera dans la pensée des idées corrélatives. 11 est cependant certains cas où de
e la chaleur ou du froid sur certaines parties, pourront éveiller des idées adéquates pendant le sommeil; mais l'âme toute oc
e, même pendant la veille, nous ne connaissons les choses que par les idées que les sensations nous en donnent. Ainsi l'homme
dées que les sensations nous en donnent. Ainsi l'homme se meut dans l' idée qu'il a du monde. Or si l'idée représente exactem
donnent. Ainsi l'homme se meut dans l'idée qu'il a du monde. Or si l' idée représente exactement le monde et coïncide avec l
x impressions du dehors, hormis celles qui sont en rapport avec leurs idées , leurs pensées et leurs sentiments. C'est ainsi q
eux qui sont en effet sous les sens, qu'autant qu'ils ont rapport aux idées dont elle est occupée.. » Hist, de la Soc. des se
chambre. Dans cet état, j'éprouvais un besoin dont je n'avais pas une idée claire; mais le sommeil était plus fort que le be
perd absolument le souvenir de toutes les sensations et de toutes les idées qu'il a eues dans l'état du somnambulisme, tellem
bule observée par Darwin suivait pendant ses accès un certain ordre d' idées et un autre ordre pendant la veille (2). Une jeun
airement ses actes et ses pensées, de manière à n'en conserver aucune idée actuelle. Cette remarque est essentielle, et nous
laissant certaines impressions agir sur elle au point d'éveiller des idées inadéquates et des volontés impuissantes. Cette p
de superstitions et de croyances populaires. § 4. Des songes. Les idées amenées pendant le sommeil normal au degré des se
egré des sensations réelles portent le nom de rêves ou de songes. Ces idées sur lesquelles l'activité de l'âme s'exerce penda
is comme au réveil notre mémoire ne se rappelle qu'imparfaitement les idées qui ont occupé l'âme pendant le sommeil , quelque
um, lib. VII, cap. x, § 13). Tertullien a exprimé éloquemment la même idée : « Infantes qui non putant somniare, cum omnia a
eurs qui n'ont pas bien arrêté leur plan, qui se laissent entraîner d' idées en idées bien loin de leur sujet, et perdent à la
n'ont pas bien arrêté leur plan, qui se laissent entraîner d'idées en idées bien loin de leur sujet, et perdent à la fin la t
n idées bien loin de leur sujet, et perdent à la fin la trace de leur idée première. La même chose arrive habituellement dan
ion utile en écarte un moment. Ce but devient alors le régulateur des idées . Si ce régulateur manque, les idées s'engendrent
t devient alors le régulateur des idées. Si ce régulateur manque, les idées s'engendrent et s'enchaînent au gré d'association
plus distinct. Songeant à la fois à ma tête et à ce cerveau, ces deux idées durent s'associer, d'où s'ensuivit naturellement
peuvent demeurer dans l'esprit sous forme de réminiscences ou même d' idées fixes. On trouve dans l'histoire, dit Boerhaave,
ut-on rêver d'une chose qu'on n'a jamais vue, dont jamais on n'a eu l' idée ? Boerhaave semble l'affirmer. Personne, dit-il en
ui est nouveau en ceci, ce ne sont point les éléments du rêve ou de l' idée , mais leur combinaison. Cette combinaison se fait
ns l'esprit, sous l'influence de causes le plus souvent obscures, des idées en apparence hétérogènes, et qui s'associent cepe
rêves rien n'est absolument nouveau. Mais tout ce qui peut résulter d' idées anciennes, associées en mille combinaisons divers
e suivante : Nous avons à l'égard de toutes choses, non-seulement l' idée de leur ensemble, mais encore des idées détachées
toutes choses, non-seulement l'idée de leur ensemble, mais encore des idées détachées, si je puis ainsi dire, des idées parti
ensemble, mais encore des idées détachées, si je puis ainsi dire, des idées particulières de toutes leurs parties ; et de mêm
olément représentées par les songes. Or, admettons un instant que ces idées partielles sont entassées confusément dans l'espr
euses; les unes, n'aboutissant à rien d'harmonique et de conforme à l' idée générale que nous avons d'un animal, seraient ini
lémens antérieurs. Aucun d'eux évidemment n'éveillait en lui-même une idée distincte ; mais l'idée s'étant subitement revêtu
d'eux évidemment n'éveillait en lui-même une idée distincte ; mais l' idée s'étant subitement revêtue de formes intelligible
ations (2). Mais si le rêveur en s'éveillant complètement garde cette idée présente, le rêve se change en une hallucination
d'une préoccupation vive et profondément sentie, il devient comme une idée fixe autour de laquelle les images accessoires s'
t à la fois des songes qui lui apparaissent comme des réalités et des idées distinctes de ces réalités imaginaires. En effet,
rait à penser qu'il y a dans certains songes ou plutôt dans certaines idées de nos songes un élément sensoriel, pour me servi
inations psycho-sensorielles de M. Baillarger. Tout en partageant les idées de ce savant auteur, nous croyons qu'il faut rése
n ne peut s'empêcher de remarquer ici l'analogie qui existe enire cps idées et celles qui ont inspiré certains écrivains mode
ir établi que les songes peuvent être le point de départ de certaines idées , de certains mouvements de l'homme éveillé, « qu'
andables de l'antiquité, et si elle est véritable, l'enchaînement des idées et leur liaison avec la réalité sont telles qu'el
ère des songes. Garcilasso de la Vega. Hist, des Incas. (3) La mémo idée est exprimée dans Homère. Odyss. XIX, v. 662. e
rel peut, dans certains cas, en sollicitant l'imagination à certaines idées , déterminer des songes utiles enfermant des avert
on prend garde, en effet, à la prodigieuse facilité avec laquelle les idées , libres de la chaîne des impressions extérieures,
gie.) s'y attendait le moins le mouvement incessant et spontané des idées la rappelant encore une fois, elle se présente to
ster ici sur ces fantômes des songes créés par le remords. Lorsqu'une idée par sa vivacité s'exalte, elle arrive au point de
en connu qu'en raison de la loi d'association, l'instinct éveille des idées « et sitis fontes salientes nemusque im-pendens v
ent comme consecutions ou plutôt comme éléments complémentaires d'une idée visible. Un homme a faim, il ima« gine qu'il mang
, aussitôt il sent le goût particulier à une viande ainsi préparée. L' idée de viande a précédé celle de saveur. Les rêves
ment, les rêves sont surtout des images, c'est-à-dire des formes, des idées . C'est la vue intérieure qui est la mère des song
Qui pourrait même dire que les aveugles nés n'ont pas à leur insu l' idée de lumière? Peut-être ce sujet n'a-t-il point été
toujours, elles se développent à l'occasion d'une sensation ou d'une idée sous l'influence du principe d'association. 11 en
toujours pour cause une préoccupation par suite de laquelle certaines idées acquièrent une vivacité exceptionnelle. Dans cert
e une voix sonore et distincte. La troisième catégorie comprend ces idées qui s'imposent à l'âme en l'absence de toute sens
entendu d'un autre homme? Nos souvenirs sont-ils autre chose que des idées ? Telles sont les hallucinations psychiques des mo
moins toutefois que l'attention ne soit par moments détournée par des idées automatiquement éveillées, mais dominantes. Dan
plus saintes méditations la voix des sirènes ! il y a une cause à ces idées dans les stimulations organiques (l). En vain la
imaginons voir. Ainsi, par suite de l'association des mouvements des idées avec ceux du corps, le fantôme sera naturellement
endant la veille ou lorsque le corps est sain et vigoureux (1). Cette idée de divination native peut fort bien s'accorder av
le lieu des corps, » si « c'est dans sa sagesse qu'ils trouvent leurs idées (3), » si Dieu préside à l'esprit des hommes sans
préoccupée par le développement simultané de deux ordres différents d' idées , en sorte que, par moments, elle pensait être dou
te que, par moments, elle pensait être double. Dans ces deux cas, l' idée de duplicité est une pure illusion, puisqu'une du
e pour objet. Voici maintenant un cas bien constaté, et dans lequel l' idée que nous avons de notre corps se trouvait subdivi
l l'idée que nous avons de notre corps se trouvait subdivisée en deux idées représentant deux corps différents. Mon cher et
Le sommeil est donc l'empire de l'oubli; mais l'extase est celui de l' idée fixe. C'est le mal des jeunes amoureux, des solda
e. C'est le mal des jeunes amoureux, des soldats qu'appelle de loin l' idée de la patrie absente, des mystiques qui s'abîment
'influence des états et des mouvements du corps sur la génération des idées . (1) Wierus. Curatio eorum qui Lamiarum malefic
Il est donc permis de croire qu'il n'est pas dans l'esprit une seule idée qui n'ait comme cause ou comme condition nécessai
l'encéphale est le siège de ces impressions si vives, d'où résulte l' idée de sensation? Quelle autre partie est l'organe de
ne manière, que nous appelons sentir. Mais si, l'impression passée, l' idée de cet objet nous revient à l'esprit, nous le per
énomène des couleurs complémentaires. Ce fait semble démontrer qu'une idée vive peut ébranler tout un système de fibres nerv
ru, 1846, t. XII. quement le centre ovale, celui-ci réagissant, les idées pourront acquérir, dans ce cas, le caractère et l
st le plus souvent halluciné que par rapport à un très-petit nombre d' idées . Il s'agit quelquefois d'un seul mot. Mais qui n'
s d'un seul mot. Mais qui n'a pas, même dans l'état normal, certaines idées plus présentes? Ne sait-on pas que dans la foule
certaines idées plus présentes? Ne sait-on pas que dans la foule des idées qui assiègent l'esprit dans un moment donné, tout
ent donné, toutes n'atteignent pas au même degré d'intensité; or, les idées les plus vives, celles qui excitent avec le plus
que ce malade parle moins facilement que les autres. Ainsi, plus l' idée est nette et précise, plus l'hallucination est pr
ensées dans une tête échauffée, ne résulterait-il pas un tourbillon d' idées ? Idées contradictoires souvent, car l'idée d'affi
dans une tête échauffée, ne résulterait-il pas un tourbillon d'idées? Idées contradictoires souvent, car l'idée d'affirmation
it-il pas un tourbillon d'idées? Idées contradictoires souvent, car l' idée d'affirmation est corrélative à celle de négation
s'agit point ici de ces foules imaginaires, le mécanisme habituel des idées dans un homme préoccupé en donnant aisément la cl
monde, ni par l'esprit, ces modifications pourraient-elles éveiller l' idée de formes intelligibles ? On a cité, il est vrai,
n une hallucination véritable. Ainsi nous persistons à croire que les idées sont le point de départ de toutes les hallucinati
ute forme, tout accident du délire ou de la folie propre-« ment dite, idées fixes, hallucinations, irrésistibilité des « impr
'était-ce pas dire clairement : congestionne, excite ton cerveau? Des idées vives peuvent avoir dans ce cas des effets analog
iper comme cause à la production des hallucinations, des rêves et des idées fixes, en entretenant une excitation sympathique
nos sensations et nos sentiments éveillent par voie d'association des idées si vives parfois, qu'il suffirait d'un sommeil lé
ées si vives parfois, qu'il suffirait d'un sommeil léger pour que ces idées fussent des songes. On peut ainsi, en faisant d'u
timent très-précis d'un mouvement en avant, pendant la durée duquel l' idée de la vie, se concentrant dans la poitrine et dan
s eaux à une sorte de sommeil plein de langueur, peuvent se faire une idée obscure de cette volupté que rêve l'âme dans ce v
té la cause déterminante. Un grand nombre d'illusions relatives à l' idée que l'être vi vant se fait de lui-même, reconna
tent la liberté du raisonnement, l'impression n'étant pas discutée, l' idée ne sera plus qu'un écho de la sensation. Le genre
paille ou de verre. Telle est évidemment la mécanique de ces fausses idées . Poursuivons cette analyse, et commençons toujo
es enchaîne tous les mouvements. Or, du sentiment de fragilité naît l' idée de fragilité; et cette idée, se liant naturelleme
nts. Or, du sentiment de fragilité naît l'idée de fragilité; et cette idée , se liant naturellement à celle de certaines chos
re fait de coton. S'il a précédemment vu du fulmi-coton, une certaine idée d'explosion pourra naître à côté de la première,
tact de la moindre étincelle. Pendant l'état de veille normale, les idées s'engendrent bien suivant la loi d'association au
deraient-elles éternellement dans l'esprit de l'homme si la foule des idées n'y était disciplinée par le pouvoir supérieur de
me temps la plus parfaite ; et en effet les fous, livrés au caprice d' idées nées d'accouplements monstrueux, n'ont rien perdu
dent. De la griffe on passe aisément, comme Arnaud de Villeneuve, à l' idée d'un chat noir, et de la dent, à celle d'un serpe
ions délirantes naissent de quelque association défectueuse entre des idées disparates. Le phénomène si connu du Cauchemar
, supposons que cette phrase soit pensée par un homme qui dort, cette idée abstraite de poids sera aussitôt unie, en raison
de poids sera aussitôt unie, en raison des habitudes de l'esprit, à l' idée de telle ou telle chose pesante : pour l'un, ce s
r cette blancheur sur les eaux devait réveiller assez naturellement l' idée de cygne. Voici d'autres exemples dans lesquels
llement l'idée de cygne. Voici d'autres exemples dans lesquels deux idées , rapprochées par hasard, s'étaient associées et p
ent peu attentif; eh bien ! au moment où mon ami vint me rejoindre, l' idée que cette odeur de corne venait du pied du cheval
un sentiment général dont le caractère envahit jusqu'à la sphère des idées . J'ai eu plusieurs lois l'occasion de me convainc
ngoisse, né à l'occasion d'une douleur physique, éveillait chez lui l' idée d'une contrainte morale. On ne saurait trop ins
résentes, à certains rêves, crée en vertu de la loi d'association les idées les plus folles, les instincts les plus bizarres,
part d'un grand nombre •'ndé»- Sis; s et d'impulsions délirantes. Ces idées , lor qu'elles 37 jsc poussent'pas immédiateme
je vous aime de toute mon âme. Cependant, depuis quelques jours, une idée incessante me pousse à vous tuer. Empêchez que, v
enir au pays et tuer sa mère., Arrivé au terme de son engagement, l' idée était forte autant que le premier jour. Il crut d
duirai bien, comme au régiment. On me croira guéri do « mes affreuses idées ; par moments peut-être, je feindrai de « l'être,
un motif extérieur, s'adresse au premier objet venu parmi ceux dont l' idée est la plus familière au malade. La maladie cessa
de temps semblent parcourus avec une rapidité toujours croissante. L' idée d'un mouvement uniforme n'exprime en aucune façon
passé de la jeunesse et l'avenir de la mort. (J) Suivant Buffon, l' idée du temps n'est point dans les rêves. (IJist. nal.
de ce phénomène est celle-ci. Imaginer un mouvement, c'est le voir en idée ; or, l'imagination n'agit point indépendamment de
mouvement lui imprime des oscillations d'autant plus étendues, que l' idée est plus vive et la volonté plus énergique. On
tous les éléments du mouvement du pendule z l'attention de l'œil et l' idée d'un mouvement possible. Or, on ne peut avoir évi
'idée d'un mouvement possible. Or, on ne peut avoir évidemment aucune idée actuelle de mouvement sans avoir en même temps l'
idemment aucune idée actuelle de mouvement sans avoir en même temps l' idée corrélative d'une certaine direction ; aussi, qua
e, il imagine en même temps un but ou un point de départ, sans quoi l' idée du mouvement serait nulle. Admettons qi'Je l'ince
n aura pas moins, en vertu de l'asso dation de nos mouvements à nos idées , une tendance vague, mais irrésistible au mouveme
ble, et par conséquent, l'incertitude cessant, tous ayant à la fois l' idée d'un môme mouvement, concourront également à le p
ne peuvent ni le vouloir ni l'imaginer; ils le nient, c'est donc une idée d'immobilité qui domine dans leur esprit; or cett
'est donc une idée d'immobilité qui domine dans leur esprit; or cette idée agit à leur insu et détruit par une opposition do
ment du corps. Quand l'esprit est absorbé dans la contemplation d'une idée , les yeux sont symboliquement attentifs. Imagine-
perçut dans son gilet un bouquet de violettes à moitié idesséchécs; l' idée lui vint que l'odeur des violettes avait causé to
'après un repas pris avec appétit, quelque mauvais plaisant inspire l' idée de quelque aliment révoltant, tel que peuvent l'ê
tué à un lapin, ou des crapauds servis en place de grenouilles; cette idée suffira pour jeter le trouble dans la digestion d
haque instant sous toutes les formes possibles. À une époque où des idées d'association mal entendue fermentaient chez les
de trop pleurer les fait couler en plus grande abondance? Ainsi, l' idée d'une cause de démangeaison éveille des démangeai
e d'une cause de démangeaison éveille des démangeaisons véritables. L' idée vive d'une douleur la fait réellement éprouver. A
i, un peu de douleur se faisant ressentir dans le lieu contus, il a l' idée d'une blessure grave, et soudain il sent couler s
à peine meurtrie, n'avait pas même été entamée. Ajouterai-je que l' idée du froid fait frissonner? que la vue d'un citron
nt de la salive, il fixait toutes les forces de son imagination sur l' idée de quelque fruit acide. Malebranche n'a posé aucu
dans un étranger, nous dominent, et ce phénomène vient de ce que les idées règlent nos mouvements, et les idées pénètrent pa
ce phénomène vient de ce que les idées règlent nos mouvements, et les idées pénètrent par les oreilles et par les yeux. Je ne
s expressions agissantes engendrent dans ceux qui les considèrent des idées corrélatives. Ainsi certaines physionomies inspir
, et elles s'abaissent en effet, parce que de ces actions résulte une idée intime de sommeil, d'où le sommeil résulte en rai
sommeil résulte en raison de la relation naturelle qui enchaîne à nos idées nos mouvements les plus secrets. Remarquez d'aill
es indices d'action, des signes réels de volonté, et, de l'autre, une idée préconçue, une prédisposition par la foi. D'ail
iens, les Mesmérites sont à peu de chose près vaincus et terrassés. L' idée d'un fluide universel, empruntée de Démocrite et
des plus célèbres, et peut-être celui de tous qui choque le plus les idées communes (1). Entendre ! voir! flairer et goûter
in, si je n'avais retiré le vase(l). Je n'hésite point à le dire, l' idée d'une transposition réelle des sens est absurde,
celle de son magnétiseur, et reproduisait comme un miroir toutes ses idées . Plus loin, suivant lui, la puissance du magnétis
il touchée que je fus de nouveau taxé d'incrédulité. Je rectifiai ses idées sur ce point; je n'avais, en l'interrogeant, aucu
de l'imagination. Le moindre désir, la moindre intention, la moindre idée émeut le corps, et lui fait ébaucher des mouvemen
sophes, tous les physiologistes sont d'accord. Mais on n'a point eu l' idée de (1) Mesmer et le magnétisme animal. Paris, 1
es préférées de certaines castes, attitudes déterminées par certaines idées , n'auraient point pour conséquence d'exciter ces
par certaines idées, n'auraient point pour conséquence d'exciter ces idées elles-mêmes, et de les fortifier. Cette questio
e question a d'autant plus d'intérêt aux yeux du philosophe, que si l' idée est le principe de la modification extérieure che
fication pourra se répéter chez d'autres individus, en vertu non de l' idée elle-même mais du principe d'imitation. Dans ce c
e mais du principe d'imitation. Dans ce cas, elle pourrait précéder l' idée et, pour ainsi dire, la préparer. C'est à ce po
ral qui leur est corrélatif, et par conséquent, sans amener certaines idées analogues. Je rendrai ma pensée plus claire par
e si l'on peut serrer les poings et se roidir indépendamment de toute idée antérieure, sans avoir en même temps une tendance
et générale à résister. En d'autres termes, s'il ne peut y avoir d' idées sans actions extérieures, pourra-t-il y avoir une
conséquent, sans une certaine disposition nécessaire à concevoir des idées corrélatives? Je serai bref. Je citerai des fai
une attitude involontaire. — Réciproquement, une attitude imitée sans idée préconçue, comme le font souvent les petits enfan
'éducation esthétique. Ce n'est point ici ie lieu de développer ces idées , qu'il me suffira d'indiquer. Mais on remarquera
uire ; et en effet, si une simple attitude d'un organe influe sur les idées de l'esprit, que serait-ce de l'existence de l'or
que fort bien aux instincts, et nous pourrions dire qu'ils sont les idées que l'âme a du corps. De ces idées toujours prése
s pourrions dire qu'ils sont les idées que l'âme a du corps. De ces idées toujours présentes et de la corrélation que tous
s soit permis d'espérer que M. Chevreul donnera un jour au public ses idées sur un sujet auquel je sais qu'il a appliqué ce g
ifficile de se faire, indépendamment de cette faculté supérieure, une idée de l'intelligence; aussi, les Hébreux distinguaie
n'entendons point; ce seraient pour nous des peuples étrangers. Cette idée est fort ancienne, comme en témoignent la fable d
; sur ce point, le grand Leibnitz a combattu avec beaucoup de force l' idée cartésienne, et Charles Bonnet est entré si avant
t par elle-même indestructible; mais s'ensuit-il qu'ils aient quelque idée du juste et de l'injuste. Je n'oserais l'affirmer
s faits ne prouvent pas que les bêtes aient, à proprement parler, des idées morales, mais du moins ont-elles des affections;
Mais s'ils sont bons et aimants, il ne s'ensuit pas qu'ils aient des idées abstraites de la bonté et de l'amour. L'idée qu
pas qu'ils aient des idées abstraites de la bonté et de l'amour. L' idée que les bêtes n'ont point d'intelligence n'est pa
doué de raison et d'intelligence. » Ces passages prouvent assez que l' idée de refuser aux bêtes une âme raisonnable est anci
t., in-4. — L'âme, dit Charles Bonnet, a si essentiellement plusieurs idées présentes à la fois, que c'est du sentiment des r
t sans que l'esprit en ait conscience, sans même qu'il ait la moindre idée des organes par lesquels toutes ces merveilles s'
ille, de monter sur « une chaise placée près de cette porte. On eut l' idée d'éloi-« gner cette chaise. L'orang-outang fut en
se pour l'ouverture de ses mâchoires; elle en était furieuse. J'eus l' idée de lui présenter la coche où la main s'engage, à
municable par voie d'imitation? 11 n'est pas facile de s'en faire une idée bien claire. Chose remarquable! cette science, qu
n seul fait? Rien ne prouve mieux qu'il n'y a chez les animaux aucune idée générale des choses, mais seulement des idées exc
chez les animaux aucune idée générale des choses, mais seulement des idées exclusives et concrètes; à tel point que ce qui n
les uns ayant jugé le sujet trop difficile, les autres n'ayant aucune idée de son importance. Un objet frappe les sens, il
demi soulevée et repoussée par la lèvre inférieure. Pour se faire une idée claire des mouvements analogues dans les animau
lance parfois et jappe; l'homme fait de même à son insu. Conçoit-il l' idée d'une chose visible ? ses yeux regardent; a-t-il
Conçoit-il l'idée d'une chose visible ? ses yeux regardent; a-t-il l' idée de sons agréables? il écoute; est-il occupé d'idé
egardent; a-t-il l'idée de sons agréables? il écoute; est-il occupé d' idées matérielles et de désirs plus grossiers? il flair
déglutit; imagine-t-il des caresses? son corps tout entier ondule à l' idée seule de ces chatouillements voluptueux. La cra
sens métaphorique (1). Un sentiment s'éveille-t-il à l'occasion d'une idée abstraite et complètement étrangère au domaine de
re au domaine des sens? ce sentiment sera exprimé, et par rapport à l' idée qui l'a déterminé, le geste expressif sera une mé
i se livre à des raisonnements compliqués semble écouter sa pensée. L' idée nous affecte-t-elle de manière à éveiller en nous
'amour, le corps le poursuit, les mains le caressent et l'attirent. L' idée est-elle un motif d'aversion? les yeux se détourn
n, le corps tout entier se défend et recule, alors qu'il s'agit d'une idée , d'une proposition purement rationnelle et abstra
il faut consulter surtout sur ce point l'admirable ouvrage de Engel ( Idées sur le geste et sur l'action théâtrale, traduit d
se crispent parfois, et cette volonté de l'esprit s'exerçant sur des idées pures, s'exprime par des contractions métaphoriqu
par des contractions métaphoriques des muscles. La conception de ces idées est-elle difficile? leur marche est-elle embarras
coudes, on tord ses mains comme pour briser des liens invisibles. L' idée qu'on se fait de soi-même ou d'autrui s'exprime p
laisir de volupté. L'intelligence s'éveille-t-elle à la lumière d'une idée ? Il surgit des signes d'excitation expansive dans
ation se développent. Telles sont les expressions du plaisir dont une idée intelligible est l'élément essentiel ; mais ce pl
ne extension du langage des animaux. 2. L'homme exprime souvent ses idées en en désignant l'objet. Les animaux ne sont pas
e Quinqueranus ne doutait pas que les bêtes ne pussent exprimer leurs idées , si elles avaient un langage articulé. On a trè
s'empare de la scie, la pousse, la ramène, mais sans but, sans aucune idée d'un résultat. Il s'inquiète des mouvements de la
ésulte pas un langage, c'est-à-dire une communication et un échange d' idées . On peut donc admettre dans les bêtes une faculté
n but instinctif ardemment désiré. Souvent alors il s'établit entre l' idée de cet acte et la satisfaction de l'instinct une
fère d'avec les bêtes que du plus au moins. L'animal a sans doute des idées , on n'en saurait douter puisqu'il rêve. Mais son
e. Mais son langage exprime seulement les sentiments qu'éveillent ces idées ; en un mot, il n'est que sensible. L'homme est s
te, par certaines modifications de sa voix. L'animal n'a jamais que l' idée de ses sentiments actuels; l'homme seul peut avoi
amais que l'idée de ses sentiments actuels; l'homme seul peut avoir l' idée d'une idée. Or qu'est-ce que l'idée distincte d
'idée de ses sentiments actuels; l'homme seul peut avoir l'idée d'une idée . Or qu'est-ce que l'idée distincte d'une chose?
uels; l'homme seul peut avoir l'idée d'une idée. Or qu'est-ce que l' idée distincte d'une chose? Cette question est fort cl
chose comprendra la représentation de tous ies faits distincts dont l' idée de cette chose comprend l'idée. Ainsi, la faculté
ion de tous ies faits distincts dont l'idée de cette chose comprend l' idée . Ainsi, la faculté de peindre implique celle de d
du domaine de l'ouïe. Cela est naturel, parce qu'il s'établit entre l' idée d'une chose quelconque et les bruits par lesquell
nom primitif. Ce nom est aisément compris même par les bêtes ; mais l' idée de ce nom est si bien liée pour elles à l'idée de
par les bêtes ; mais l'idée de ce nom est si bien liée pour elles à l' idée de la chose elle-même, qu'il en est inséparable,
exprime, mais surtout en tant qu'il sait exprimer et représenter les idées qu'il a des choses. Il participe à cet égard de l
e le peut ni par les sons, ni par les gestes. D'autre part, certaines idées ne représentent ni une chose ni une qualité, mais
certains modes très-généraux , certaines conditions d'existence. Ces idées , il est vrai, ne sont pas absolument étrangères a
s des prévisions, des craintes et des espérances. Mais ce sont là des idées concrètes qui ne s'élèvent jamais au degré d'abst
'élèvent jamais au degré d'abstractions véritables. L'animal a bien l' idée de son repos, de son mouvement, de l'arrivée futu
mouvement, de l'arrivée future du maître qu'il attend; mais s'il a l' idée d'une chose à venir, l'idée abstraite \ avenir lu
ure du maître qu'il attend; mais s'il a l'idée d'une chose à venir, l' idée abstraite \ avenir lui échappe. Or, ces abstracti
adéquates, ont cependant un nom dans le langage humain. De même, les idées de causes n'affectent point les sens. Ce sont là
e sont là des conceptions pures de l'esprit. Or, comment exprimer des idées qu'on ne peut peindre et qui sont au-dessus des s
st Tropique, l'autre Algébrique. Ainsi, dans le langage symbolique, l' idée de force peut être représentée par les attributs
e, l'idée de force peut être représentée par les attributs du lion; l' idée d'élévation par ceux d'un aigle; la bassesse par
is plus prompte et plus sûre. Tout fait, associé par l'habitude à une idée lui devenant corrélatif, peut être pris pour elle
cette association acquise. Ainsi, par une convention arbitraire, une idée quelconque peut être représentée par un signe que
st artificiel, créé, convenu, voulu. Quand t j'attache un mot à cette idée , c'est que je le veux. Je puis « le changer pour
ur un autre. Si |e sais vingt langues, j'ai vingt « mots pour la même idée . Dans ma langue même, j'ai le « mot parlé et le m
monnaies sont des langues, t car elles nous représentent des suites d' idées convenues. » C'est donc ici le triomphe de l'espr
ns sauvages sont si abrutis qu'ils ne paraissent pas avoir la moindre idée oe Dieu; et, quant à l'idée de justice, ne pourra
qu'ils ne paraissent pas avoir la moindre idée oe Dieu; et, quant à l' idée de justice, ne pourra-t-on pas, en voyant certa
ence de l'esclavage des sens, est la condition première de toutes les idées morales. L'idée de nombre elle-même n'existe que
ge des sens, est la condition première de toutes les idées morales. L' idée de nombre elle-même n'existe que par elle. Tout n
mbre elle-même n'existe que par elle. Tout nombre comprend en effet l' idée abstraite dHmité et peut être représenté par M 4-
M étant le signe d'une collection définie d'unités. Or, une pareille idée ne peut venir des sens, l'expérience démontrant q
ombre n'est ni dans les sens, ni dans l'imagination, par conséquent l' idée qu'on en a, suppose un langage formel. Ce que nou
ents distincts, telle que nous la concevons ici, ne détruit en rien l' idée de l'unité absolue du cerveau, en tant qu'organe
s'établissent si facilement dans l'esprit entre les sensations et les idées les plus disparates, et sur lesquelles est en gra
logique du cerveau est encore si grossière et si peu avancée, que ces idées pourront, aux yeux de certaines personnes, passer
formes, tel autre celle des sons; l'un retient les mots, un autre les idées ; à cet égard, les différences sont innombrables.
le secret de la vie; peut-être faut-il se faire de ces molécules une idée semblable à celle que Leibnitz avait de ses monad
2 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éciser le sens et la valeur actuels du symptùme connu sous le nom d' idée fixe, peut-être un peu oublié de nos jours, en
ne pénétration complexe quelque peu étrange. En ce qui concerne l' idée fixe, nous ne pouvons nous empê- cher de faire
comme en France et en tout autre pays, on se préoc- cupe moins des idées fixes jusqu'au jour où M. Wernicke reprend le p
ixes jusqu'au jour où M. Wernicke reprend le problème sous le nom d' idée prévalente (iibel'We1'- thige), en '18022. Cett
fait original, et expose dogmati- quement sa façon de penser sur l' idée fixe ou prévalente. Ses manières de voir ne son
pements ultérieurs, à tout un faisceau de problèmes soulevés par l' idée fixe, nous a engagé, à approfondir, autant que
1, 1896. ' 7 Société psychiatrique de 13erlitz, 15 décembre 189t. L' idée prévalente et ses rapports avec le délire des p
' Centralblalt für Nel'venheilkllncZ" t. XIX. N. F., vu, 1896. Les idées prévalentes. L'IDÉE fixe. 3 des caractérist
'venheilkllncZ" t. XIX. N. F., vu, 1896. Les idées prévalentes. L' IDÉE fixe. 3 des caractéristiques, nous en avons, le
ints fondamentaux de la question. Généralités. Le mécanisme des idées délirantes et, par suite, du délire, n'est poin
en médecins ce qui, normalement se passe dans le fonctionnement des idées et des sentiments, dans les facultés mentales.
tions relatives à notre sujet. Quelle est la définition crue de l' idée fixe ? L'idée fixe est une idée qui apparaît da
ves à notre sujet. Quelle est la définition crue de l'idée fixe ? L' idée fixe est une idée qui apparaît dans le cerveau
Quelle est la définition crue de l'idée fixe ? L'idée fixe est une idée qui apparaît dans le cerveau et n'en sort plus. L
basant sur l'observation des faits. Avant tout, un homme qui a une idée fixe n'est point par cela même un fou ; sinon,
se livrer efficace- ment à l'étude des régions inconnues, il a une idée fixe. Quand ' L'Idée fixe et son rôle en pathol
ment à l'étude des régions inconnues, il a une idée fixe. Quand ' L' Idée fixe et son rôle en pathologie mentale. Ville, 18
ant fixe à son avenir le but de telle ou telle profession, il a une idée fixe. Les idées prévalentes de pudeur, d'honneur,
avenir le but de telle ou telle profession, il a une idée fixe. Les idées prévalentes de pudeur, d'honneur, de probité, e
tes de pudeur, d'honneur, de probité, etc. CWEHNICKE) sont autant d' idées fixes. La crainte d'un insuccès, de la malveill
soi ou à l'égard de ses semblables, qui représentent une série d' idées fixes. Le désir de parvenir, l'image mentale de
rs à l'esprit d'une façon soutenue et, par conséquent, entraîne des idées fixes de grandeur et de persécution sociales. S
grandeur et de persécution sociales. Seulement ce sont toutes des idées fixes physiologiques, normales, qui deviennent le
me, s'il y a lieu, ou non, ultérieurement. 11 fonde alors sur ces idées sa règle de conduite. Ce qui domine surtout dans
rs sur ces idées sa règle de conduite. Ce qui domine surtout dans l' idée fixe physiologique, c'est qu'elle ne s'impose p
leur pays ou de tenter quelque projet utile. Prenons maintenant les idées prévalentes inculquées par l'idée fixe. 5 l'é
utile. Prenons maintenant les idées prévalentes inculquées par l' idée fixe. 5 l'éducation, qui servent de norme à la
me la base de l'ordre et du relè- vement de l'humanité. Quant aux idées d'appréhension, de mauvaise humeur, de dépressi
pré- cié, d'être entouré d'envieux, de gens pernicieux, quant aux idées d'espérance, d'élévation, de protection, de passi
turel, inévitable, s'intercale entre les réflexions suscitées par l' idée fixe de grandeur ou de persécution physiologiqu
iologique, et incite précisément au contrôle de la réalité de cette idée . C'est le jugement qui modère les imputations t
ne de conduite logique mais erronée et exagérée en rapport avec les idées en question. L'état de l'humeur correspondant
vec les idées en question. L'état de l'humeur correspondant à ces idées , qu'il les pro- voque ou qu'il soit provoqué pa
lles, n'est, en ces conditions, que momentané malgré la fixité de l' idée . Il n'est, en tout cas, que conditionnel, en ve
de souligner pour le moment c'est que la vie normale a pour base l' idée fixe physiologique. Il y a donc deux espèces d'
e a pour base l'idée fixe physiologique. Il y a donc deux espèces d' idées fixes. Une idée fixe physiologique et une idée
dée fixe physiologique. Il y a donc deux espèces d'idées fixes. Une idée fixe physiologique et une idée fixe pathologiqu
nc deux espèces d'idées fixes. Une idée fixe physiologique et une idée fixe pathologique. , . ' Division des idées fix
e physiologique et une idée fixe pathologique. , . ' Division des idées fixes. . Quelques idées, dit Laurent, qui, loin
dée fixe pathologique. , . ' Division des idées fixes. . Quelques idées , dit Laurent, qui, loin de fuir comme les autre
. Quelques idées, dit Laurent, qui, loin de fuir comme les autres idées , aussi rapidement qu'elles, surgissent, fixent l'
tion et deviennent elles-mêmes, la source d'autres associa- tions d' idées , présentent déjà un élément de fixité. Si l'une
endant.en entraver le cours, mais s'impose réellement à l'esprit. IDÉES fixes PHYSIOLOGIQUES. - Il en est toutefois de l'
à l'esprit. IDÉES fixes PHYSIOLOGIQUES. - Il en est toutefois de l' idée fixe, comme des obsessions. Il existe des idées
n est toutefois de l'idée fixe, comme des obsessions. Il existe des idées fixes normales, comme il existe des obsessions
n parce qu'elles n'ont rien de commun avec ce qui préoccupe. Mais l' idée fixe physiologique diffère de l'idée obsédante
avec ce qui préoccupe. Mais l'idée fixe physiologique diffère de l' idée obsédante physiologique en ce qu'elle n'apparaî
boutissant régulier, naturel, de toute une série d'associa- tions d' idées combinées et convergeant vers le même but, la c
, l'étudié, la raisonne, se l'assimile. 1 - Peut-on attribuer à l' idée fixe physiologique l'épithète de prévalente, sy
e physiologique l'épithète de prévalente, synonyme, pour Wernicke d' idée fixe ? Si l'on entend par là que l'idée formule
, synonyme, pour Wernicke d'idée fixe ? Si l'on entend par là que l' idée formule un but qui guide tous les actes, un pro
forces de la volonté et de l'intelligence, on la peut conserver. L' idée fixe ou préva- lente normale a en effet pour ca
contact. Toujours, quelle que soit l'empreinte personnelle dont l' idée fixe est modelée, quel que soit le mode d'activit
drée adaptation ou essai d'adaptation normale à la réalisation de l' idée . Idée directrice (Leitmotiv), raisonnée et cons
ptation ou essai d'adaptation normale à la réalisation de l'idée. Idée directrice (Leitmotiv), raisonnée et consécutive,
e. Idée directrice (Leitmotiv), raisonnée et consécutive, abou- L' IDÉE FIXE. 1 tissant naturel et logique de l'ensembl
ique de l'ensemble des phénomènes qui concourent à former le Moi, l' idée fixe vise un but; l'individu, pour l'atteindre,
roportion et l'illusion du but demeurent physiologiques parce que l' idée n'est ni délirante ni absurde en soi. Qui eût d
rs ou, pré- cisément, des fous, ainsi qu'on va le voir à propos des idées fixes pathologiques. Quiconque, en tout cas, té
es. Quiconque, en tout cas, témoigne de l'orientation logique d'une idée possible par un organisme psychique normal et f
normal et fonctionnant régulièrement, est sous l'in- fluence d'une idée fixe physiologique. Idées fixes pathologiques o
ulièrement, est sous l'in- fluence d'une idée fixe physiologique. Idées fixes pathologiques ou délirantes. Il est des tra
élirantes. Il est des tran- sitions, parfois insensibles, entre les idées saines et les idées délirantes, c'est entendu ;
s tran- sitions, parfois insensibles, entre les idées saines et les idées délirantes, c'est entendu ; mille exemples ont
nt présidé un sens critique défectueux ; le mobile en était formé d' idées fixes normales et pathologiques, trahissant déj
ter ses trouvailles. N'est-ce point la déviation pathologique d'une idée fixe déjà entachée . de morbidité ? Il est de
entachée . de morbidité ? Il est des cas où la différence entre l' idée saine et l'idée délirante est plus difficile à
morbidité ? Il est des cas où la différence entre l'idée saine et l' idée délirante est plus difficile à apprécier parce
tte aux obsessions d'une héritière, etc ? ... Heureusement qu'une idée fixe délirante, fut-elle seule, est, ainsi que
aujourd'hui regardées comme des anomalies déjà graves. A fortiori l' idée délirante. Il est démontré qu'à l'idée fixe. 9
déjà graves. A fortiori l'idée délirante. Il est démontré qu'à l' idée fixe. 9 la hase, il existe une profonde perturb
espèce défendent, fréquemment, d'une façon fort ingénieuse, leur idée délirante, indiquent que le mécanisme même de la
e l'exercice antérieur et de l'habitude, aboutissent, appliqués à l' idée fixe, à des erreurs systéma- tiques. Les prémis
és à l'idée fixe, à des erreurs systéma- tiques. Les prémisses de l' idée fixe, l'idée fixe quant à sa teneur (inhaltlicl
ixe, à des erreurs systéma- tiques. Les prémisses de l'idée fixe, l' idée fixe quant à sa teneur (inhaltliclt), n'ont pas
dmet pas le principe de la vérification ? 'ë6f- lable qu'il a il ne idée fixe pathologique. En d'autres cas, il tire des
thologique. En d'autres cas, il tire des conséquences fausses d'une idée prévalente exacte, par application du mécanisme
cet élément conséquentiel qui est la dévia- tion pathologique d'une idée prévalente physiologique, et se substitue à cel
ubstitue à celle-ci ; c'est cet élément conséquentiel qui devient l' idée fixe pathologique. Plus tard, l'affaiblissement
ation pathologique du mécanisme logique, mais bien plus tard. . L' idée fixe ou son dérivé immédiat prend donc le caractè
sible par rapport à celui qui l'émet. ' ' - , : t 1 Mécanisme des idées fixes. ... w - - On nous enseigne d'ordinaire q
- On nous enseigne d'ordinaire que normalement nous acquérons des idées justes, soit en tirant des jugements et conclus
des perceptions sensorielles de toute nature. De là à dire que l' idée délirante pouvait émaner de l'intelligence ou des
e trouble cérébral ; Y hallucination n'est pas la cause propre de l' idée fixe. Nous avons précédemment touché un mot du
ation est considéré comme le produit d'une sorte de rayonnement des idées en tous sens. Ce poly-idéisme physiologique, pa
nscience n'est point saisie, n'est point meublée, si l'on veut, des idées qui doivent, en défini- tive, en constituer la
conceptions ; pour tous les individus, en effet, l'association des idées , aurait, dès le début de la vie mentale, suivi
'ordre et la succession naturels que leur a donnés la nature. Les idées d'eau, de glace, de vapeur d'eau s'associent dans
ence du froid et du chaud ; la sensation cutanée du froid éveille l' idée que l'eau se congèle ; l'association d'idée con
anée du froid éveille l'idée que l'eau se congèle ; l'association d' idée conjointe du thermomètre fait intervenir une pe
des per- sonnes qui nous entourent, correspond encore un ordre l' idée fixe. Il 1 préétabli qui, lui, vient de l'imita
ée au cordeau. Penser ou répondre à une question, c'est trouver une idée initiale qui mette en mouvement l'ensemble des
associés qui, jadis, avaient présidé à la mise en train des autres idées , et qui vous font trouver l'idée finale. Qu'e
idé à la mise en train des autres idées, et qui vous font trouver l' idée finale. Qu'est-ce qui peut troubler cette régul
ites qui troublent évidemment l'acti- vité de la pensée, il est des idées dont le texte s'allie à un sentiment de plaisir
ent de plaisir ; d'autres, à un sentiment de déplaisir. Une suite d' idées dont le texte a eu pour l'individu un avan- tag
ologiques corres- pondantes, la reproduction et le rappel des mêmes idées . Ces conditions sont particulièrement claires q
onditions sont particulièrement claires quand il s'agit de séries d' idées qui peuvent, pour l'homme, devenir des motifs d
n préformée que chacune lui a causée, à leur valeur. Quand donc une idée se présente à notre esprit comme supérieure aux
s des motifs directeurs de leurs actes. Mais il y a encore loin des idées prévalentes phy- siologiques aux idées prévalen
Mais il y a encore loin des idées prévalentes phy- siologiques aux idées prévalentes pathologiques, car dans le premier
les éléments précédemment exposés du sens critique subsistent. L' idée prévalente pathologique au contraire n'est pas du
utres, sujets sains, nous le dissipons par un examen attentif des idées vraies opposées aux idées antagonistes, par un ra
s le dissipons par un examen attentif des idées vraies opposées aux idées antagonistes, par un raison nement à l'appui du
ti- ment de vide dans le champ de la conscience ; une agitation L' IDÉE FIXE. 13 intérieure arrive, s'accroît, se dével
ique s'en mêle et, avec elle, une explication évolue, se déroule, l' idée fixe devient de plus en plus forte, par suite de
emble satisfaisante. A côté de cela, il est des cas dans lesquels l' idée fixe paraît en contradiction trop vive avec les
ls l'idée fixe paraît en contradiction trop vive avec les anciennes idées , le malade éprouve alors une sorte de besoin de
alors une sorte de besoin de vérification de la réalité - de cette idée nouvelle ; bientôt cependant, malgré lui, l'idée
réalité - de cette idée nouvelle ; bientôt cependant, malgré lui, l' idée s'enracine, la critique et la réflexion affaibl
antes au travail de la vérification. Finalement, les associations d' idées ne rayonnent plus dans les sens d'abord multipl
sur un unique but. Des jugements faux, de fausses combinaisons d' idées sont fabriqués et aboutissent fatalement à des co
t aboutissent fatalement à des con- clusions erronées. Nature des idées fixes. - L'idée fixe pathologique reflète, en c
ement à des con- clusions erronées. Nature des idées fixes. - L' idée fixe pathologique reflète, en certains cas, l'éta
et des intérêts habituels du patient par le trouble qui conduit à l' idée fixe fausse ou pathologique, le malade manifeste
s d'une tout autre direction, voire dia- métralement opposés. à ses idées ordinaires. C'est le pendant des faits dans les
à ses idées ordinaires. C'est le pendant des faits dans lesquels l' idée fixe constitue l'hypertrophie du caractère norm
ut dans l'espèce la théorie de 'WERNICIOE, sur le rap- port entre l' idée et l'affectivité. Nous avons vu que, pour lui,
'idée et l'affectivité. Nous avons vu que, pour lui, il n'y a pas d' idée normale qui n'entraîne une appréciation sentime
ible. Et, 14 CLINIQUE MENTALE. en tout cas, il est certain qu'à l' idée fausse pathologique se rattachent toujours des
ent toujours des sentiments de plaisir ou de peine exa- gérés ; les idées délirantes, concernant la personnalité physi- q
fférence ou contrebalancement des sentiments qui accom- pagnent les idées ; l'affectivité est, en revanche, plus par- tic
fectivité est, en revanche, plus par- ticulièrement excitée par une idée fixe normale; elle est exa- gérée unilatéraleme
une idée fixe normale; elle est exa- gérée unilatéralement par une idée fixe pathologique, et c'est cette évaluation se
e . des sensations éprouvées colore défavorablement la nature des idées exprimées. Caractère des idées fixes. L'idée
lore défavorablement la nature des idées exprimées. Caractère des idées fixes. L'idée fixe normale repose donc sur tout
ent la nature des idées exprimées. Caractère des idées fixes. L' idée fixe normale repose donc sur tout un ensemble d
éléments actuels de celles-ci ou de leurs perfectionne- ments. L' idée fixe pathologique ne se rattache jamais qu'à quel
et tutti quanti. L'absence de base, la futilité, la déraison de l' idée fixe pathologique sont frappantes. La conscienc
xe pathologique sont frappantes. La conscience du sujet l'admet l' idée FIXE. 45 malgré cela, ce qui prouve que le sens
e du jugement, elle est tenace, en dépit de son absurdité même. L' idée fixe pathologique n'est pas consécutive et travai
'idée fixe pathologique n'est pas consécutive et travaillée comme l' idée fixe normale ; elle émerge presque toujours ex
une lacune, un trouble dans le fonctionnement de l'enchaînement des idées au point de vue mécanique et syllo- gistique qu
ocie au ré- seau de l'idéation dont elle fait désormais partie. Une idée fausse ordinaire, au contraire, disparaît compl
allemand ajoute que « tout événement peut du reste conduire à une idée prévalente, et qu'en ce cas, l'événement en ques-
'a rien à voir avec l'espèce du trouble émotif)). Inver- sement des idées prévalentes normales peuvent déterminer une att
LINIQUE MENTALE. Étude clinique. A. Physiologie pathologique. - L' idée fixe pathologique est un symptôme de perturbati
temps; à un moment donné, il est plus spécialement accaparé par une idée ou par un courant d'idées prévalent. Le poly-id
l est plus spécialement accaparé par une idée ou par un courant d' idées prévalent. Le poly-idéisme physiologique, puis, l
valent. Le poly-idéisme physiologique, puis, l'or- donnancement des idées , dont nous avons parlé, finalement, la sélectio
nt nous avons parlé, finalement, la sélection d'une ou de plusieurs idées , dépendent très pro- bablement de lois en rappo
e la volonté, de la raison, des adaptations du Moi. On sait que l' idée qui surgit du poly-idéisme physiologi- que, ou
que, ou de la disjonction de l'ordre préétabli dans la série des idées , qui devient en un mot l'idée prévalente physiolo
l'ordre préétabli dans la série des idées, qui devient en un mot l' idée prévalente physiolo- gique, est immédiatement s
sances intérieures du cerveau, et un juge- ment est rendu sur cette idée . Si elle est reconnue fausse ou impraticable, l
ue fausse ou impraticable, le Moi la rejette sur le champ. Mais l' idée fixe pathologique, produit de la disjonction la
it que la conscience altérée ne reconnaît plus la fausseté de cette idée et lui permet de sub- l'idée FIXE. 17 sister
reconnaît plus la fausseté de cette idée et lui permet de sub- l' idée FIXE. 17 sister en dépit de son absurdité, c'es
ur permet plus de conclure de ce rapprochement à la faus- seté de l' idée , à son incompatibilité avec leur personnalité .
es; ils vous disent que, tout inadmissible que puisse paraître leur idée , elle est l'expres- sion de la vérité, ils vous
rex- citée déjà par la notion confuse du trouble qui le frappe. L' idée fixe pathologique est donc une conception déliran
ante par modification du débit et de l'association ordinaires des idées , du poly-idéisme physiologique normal, absurde ou
à fait nécessaire d'établir, s'il y a, dans un cas clinique donné, idée prévalente anormale, ou idée prévalente restant
s'il y a, dans un cas clinique donné, idée prévalente anormale, ou idée prévalente restant encore dans les limites de l
- . ment devenus il la suite d'une réelle injustice. Et comment l' idée prévalente s'étant installée domine-t-elle la q
une facilité contrastant avec l'absurdité ou l'irréalisation de l' idée . Tantôt elle est demeurée à la suite de l'antagon
demeurée à la suite de l'antagonisme qui normalement existe entre l' idée en question et.les con- ceptions opposées charg
on confirmée de l'ordre préétabli du mécanisme de l'association des idées qui la meublent (WlmNICIOE). C. Diagnostic di
la meublent (WlmNICIOE). C. Diagnostic différentiel. Distinguons l' idée fixe pa- thologique de l'idée délirante passagè
iagnostic différentiel. Distinguons l'idée fixe pa- thologique de l' idée délirante passagère, de l'erreur physiolo- giqu
nte passagère, de l'erreur physiolo- gique, de l'obsession. z10 L' idée fixe pathologique se distingue de Vidée délirante
e distingue de Vidée délirante passagère de la façon suivante : L' idée fixe pathologique finit par fausser les conceptio
ore normales, ou par les annihiler. Elle amène des asso- ciations d' idées , des sentiments, des désirs, comme toute idée s
des asso- ciations d'idées, des sentiments, des désirs, comme toute idée saine, qui influencent l'ancienne personnalité,
nt un soulagement psychique, en satisfaisant le raisonne- ment. l' idée fixe. 19 La conception délirante passagère se f
la conscience, elle peut, avec le temps, prendre l'importance de l' idée fixe, c'est-à dire s'assimiler et devenir systé
attendre à la présence permanente dans la conscience du malade de l' idée fixe génératrice du délire, pas plus qu'une con
délire que s'il reconnaît le caractère choquant, bizarre, de son idée ; or, c'est précisément l'inconscience de cette ab
cette absurdité, la perle du sens critique, qui donne naissance à l' idée fixe. « 2° L'idée fixe pathologique se distingu
a perle du sens critique, qui donne naissance à l'idée fixe. « 2° L' idée fixe pathologique se distingue de l'c1'l'ew' phy-
ue de l'c1'l'ew' phy- siologique par les caractères que voici : L' idée fausse normale résulte, soit d'un trouble dans le
normale résulte, soit d'un trouble dans le débit des associations d' idées , soit d'une déviation de raison- nements combin
rectifiée. Il y a cependant une différence entre celui qui émet une idée erronée et un fou. Il existe des cas, toutefois
l existe des cas, toutefois, où cela n'apparaît point. Si certaines idées délirantes sont en effet absurdes et cho- quant
quantes, il est aussi des erreurs extravagantes. Par contre, que d' idées délirantes possibles, dont la nature délirante
truction ; il n'y aurait pas une contradiction aussi grossière. L' idée fixe de l'aliéné est le symbole, de ses intérêts,
eptions, de ses sentiments; l'affectivité devient pré- dominante. L' idée erronée de l'homme normal n'a pas ce caractère
e cependant à déloger l'erreur, ce qui est impossible dans le cas d' idées fixes morbides. C'est comme cela parce que c'es
pond ou pense l'aliéné. 3° Quels sont les signes différentiels de l' idée fixe et de Y obsession ? « Il y a, dit Laurent,
coliques qui se plaignent de ne pouvoir se débarrasser de certaines idées importunes et pénibles dont ils sai- sissent pa
ls sai- sissent parfaitement le caractère insensé et absurde. Ces idées se mêlent à leurs idées conscientes, logiques et
tement le caractère insensé et absurde. Ces idées se mêlent à leurs idées conscientes, logiques et associées, troublent l
actes que, d'après leur nature, le malade trouve ridicules. » · l' idée fixe. 21 Tels sont en effet les caractères de l
tre subitement et involontairement, en interrom- pant la marche des idées du malade; faire irruption dans la conscience ;
n. Elle ne s'insinue pas dans l'idéation, comme si elle était une idée vraie, sans que le patient en ail conscience. Non
malheureux. La fixité de l'obsession est incontestable ; c'est une idée fixe, mais une idée fixe, consciente, visible,
té de l'obsession est incontestable ; c'est une idée fixe, mais une idée fixe, consciente, visible, nettement perçue pou
t avec la direction uniforme donnée au débit et à l'association des idées , mais généralement, elle prend la forme d'accès
é en pleine réflexion par le retour incessant d'une ou de plusieurs idées semblant entraver les autres, s'implantant avec
r la sensation indifférente, produite par l'idéation nor- male. L' idée obsédante a lieu quelquefois par la voie de l'ass
dée obsédante a lieu quelquefois par la voie de l'asso- ciation des idées , à la suite d'une perception sensorielle, d'un
par envahissement brusque, aperçu, du champ de la conscience. Les idées obsédantes sont : les unes non-émotives, les au
git des premières, le moi se trouve obligé de se concentrer sur une idée bizarre, tout à fait en désaccord avec le reste
es (Schuele) ; ce sera : une épithète injurieuse, un blasphème, une idée stupide, une impulsion à commettre un acle comp
compromettant. C'est ce que l'on observe chez les héréditaires. L' idée obsédante émotive procède d'un état nerveux anté-
out à coup qu'ils se souviennent d'un événement effrayant, et cette idée émotive va persister, maintenue par leur dispos
e pas toute sa valeur, mais est obligé de ruminer constamment cette idée jusqu'à ce qu'elle s'incorpore à lui. L'idée
er constamment cette idée jusqu'à ce qu'elle s'incorpore à lui. L' idée obsédante tend parfois à un acte épouvantable ; e
ur les différences frap- pantes qui existent enlre l'obsession et l' idée fixe ? Le sujet en est très varié, la forme, mu
ène qui s'impose. Cette préoccupation démontre que celte nouvelle idée qui entre, comme un coin, dans le champ de l'idéa
n, troublant le cours normal des états de conscience, lui esl , l' idée fixe. , 23 étrangère et pénible ; ce qui est le
gère et pénible ; ce qui est le contraire de ce qui se passe pour l' idée fixe avec laquelle, inconsciemment, le ma- lade
lade lutte en pro- testant contre le sujet de ces problèmes, de ces idées qui l'assiègent et qu'il déclare absurdes, plus
ique du patient dans le but de s'en affranchir,-torture morale de l' idée de son impuissance, retentissement phy- sique d
s,-absence 24 CLINIQUE mentale. de lutte et de rébellion contre l' idée nettement conçue, qui, loin de paraître étrangè
aison première (Leitmotiv) de tous ses actes, voilà les signes de l' idée fixe. - Le mode d'origine psychique de l'idée
ilà les signes de l'idée fixe. - Le mode d'origine psychique de l' idée fixe est clair; on peut remonter à sa genèse co
ut remonter à sa genèse conforme à la marche de l'asso- ciation des idées et suivre l'enchaînement des idées déli- rantes
la marche de l'asso- ciation des idées et suivre l'enchaînement des idées déli- rantes. L'obsession surgit confusément da
omine l'ob- session, tandis que l'élément intellectuel dominerait l' idée fixe bien que, à en juger par la conduite des m
réellement prise dans les deux espèces mor- bides. Seulement dans l' idée fixe, l'affectivité impressionne le malade dans
alade dans le sens d'une réaction agie en rapport avec le sens de l' idée ; il se soumet à celte idée et veut agir comme l
action agie en rapport avec le sens de l'idée; il se soumet à celte idée et veut agir comme le lui commande sa pensée do
e malade dans le sens d'une réaction contre le texte justement de l' idée qui lui est soumise, et dont il critique la val
r grâce à l'intégrité de son jugement conservé. D. Evolution DE l' idée FIXE. - Quelle influence l'idée fixe cxerce-t-e
ugement conservé. D. Evolution DE l'idée FIXE. - Quelle influence l' idée fixe cxerce-t-elle sur les autres domaines de l
les autres domaines de l'intelligence ? a) Sphère psychomotrice. L' idée fixe pathologique est considérée par le malade
ce. L'idée fixe pathologique est considérée par le malade comme une idée réelle. Il est na- turel qu'il y conforme ses a
eur et de son tempérament primordial ? S'y substitue-t-il, de par l' idée fixe, un tempérament et un carac- tère qui n'ét
ui s'adonnent plus ou moins à la mise en acte des conséquences de l' idée fixe. b) Sphère psychique. La conception des id
conséquences de l'idée fixe. b) Sphère psychique. La conception des idées fixes porte toujours sur l'ensemble des manière
ffermir, parachever, asseoir, travailler ses conceptions fausses. L' idée fixe laissait encore quelque répit àl'idéation
leau pathologique qui, par suite de son immobilité, mérite le nom d' idée fixe, et qui, en raison de sa séparation, de sa
rs qui, sous diverses formes, pro- duisent, de compte à demi avec l' idée fixe, une construction délirante solidement cha
le délire sans pouvoir dépasser le champ des hypothèses quant à l' idée prévalente qui en a constitué la pierre de base
ossi- bilité de la guérison d'une psychose qui s'en tiendrait à l' idée prévalente ; il l'aurait obtenue en provoquant de
tre hantés par des symptômes d'aliénation mentale isolés, comme les idées prévalentes, ou peu intenses. Ils sont sur les
une preuve de dégénérescence. » Pour L.-A. Hotu, c'est quand les idées prédominantes n'ont pas le caractère d'idées sy
Hotu, c'est quand les idées prédominantes n'ont pas le caractère d' idées systématisées vraies, c'est quand, malgré l'aut
e qui nous parait topique avec le plus d'impartialité possible. l' idée fixe. 27 E. Documents cliniques. Les preuves de
puisse les trouver. Il faut pour cela avoir la chance d'observer l' idée fixe à sa première période. Une fois, en effet,
démontrer l'enchaînement, la subordina- iion. Nous avons observé l' idée fixe ou recueillie des obser- vations péremptoi
observé l'idée fixe ou recueillie des obser- vations péremptoires d' idée fixe dans les états suivants : l° Idée fixe gre
er- vations péremptoires d'idée fixe dans les états suivants : l° Idée fixe greffée sur la débilité et l'épuisement phy-
de la sommation, de la stupeur, des obsessions, des impulsions, des idées fixes, et aussi du délire. Ces troubles, transi
e- menl du cerveau qui en a permis le développement. Si c'est une idée fixe, elle sera mobile, et s'évanouira assez ra
mobile, et s'évanouira assez rapidement. On pourra enregistrer une idée fixe hypochon- driaque quelquefois nettement dé
' et reproduit par Lau- RENT dans sa thèse (p. 8). Observation I. Idée {ire dans la neurasthénie. Guérison. M. H....,
it étrange. Le 15, le malade est tranquille, mais toujours avec son idée fixe. Il motive sa prétendue promotion par le f
l'histoire de sa nomination est exacte. Il commence à rectifier ses idées . L'après-midi, il annonce, plein de joie, que s
ctifier ses idées. L'après-midi, il annonce, plein de joie, que son idée fixe s'est éloignée. Dans la nuit du 12, il avait
ies; il affirme formellement ne s'être jamais alcoolisé. Il est ' L' IDÉE FIXE. 29" visiblement épuisé, a beaucoup de mal
ÉE FIXE. 29" visiblement épuisé, a beaucoup de mal à rassembler ses idées et à les exprimer. Grâce- à de bons soins et à
dère comme un exemple de dégénérescence acquise. Observation IL - Idée fixe chez un homme affaibli matériellement. Rev
usqu'à un certain point les rela- tions qui peuvent exister entre l' idée fixe, les groupes d'idées fixes, les idées fixe
es rela- tions qui peuvent exister entre l'idée fixe, les groupes d' idées fixes, les idées fixes obsédantes. Elle semble
i peuvent exister entre l'idée fixe, les groupes d'idées fixes, les idées fixes obsédantes. Elle semble un lien entre la
contenu de la con- science, de l'ordre préétabli des associations d' idées .' L'idée fixe peut en effet se rencontrer dans
la con- science, de l'ordre préétabli des associations d'idées.' L' idée fixe peut en effet se rencontrer dans certaines
ft (il Psychiatrie, LI, 1.) 30 CLINIQUE MENTALE. Observation III. Idée fixe dans la migraine ophtalmique. (Personnelle
uit de l'excitation intellectuelle caractérisée par une profusion d' idées , d'ailleurs bien ordonnées, qui, pour cette raiso
raison, ne rappellent en rien l'excitation maniaque. Chacune de ces idées , normales du reste, s'accompagne de l'afflux ob
ntent rien, et, croyant s'affranchir, ils ne font que restaurer des idées abandonnées. L'analyse de cet état mental se ra
s ou bienveillants, dieux ou diables. Or en somme, l'évolution de l' idée diabolique, ditCh. ltichet, depuis le xviie siè
euse. < 1 11 est à remarquer, dit d'autre part Bail (599), que l' idée de la perdition sans autre complication et sans
inverse, ce qui est arrivé à plus d'un mystique, il en résulte une idée fixe qui conduit presque infailliblement à l'al
ds d'une mauvaise communion et des scrupules de conscience sont les idées qui prédominent au milieu du délire religieux '
iberté intérieure=. C'est inversement la condition pathologique des idées déli- rantes de possession démoniaque ou théoma
effacent toute trace dans la conscience. Vienne une perturbation, l' idée délirante peut acquérir alors l'éner- gie suffi
Meynert continuant sa comparaison rapproche le dévelop- pement de l' idée délirante de la prédominance de certains muscle
'une longue détention, toujours propre à exalter l'imagina- tion, l' idée d'avoir échappé à la mort, malgré l'arrêt qu'il
es semblaient rassurer, lorsqu'on vit tout à coup se reproduire ses idées sanguinaires comme un objet de culte et une vei
avons pu observer, au cours d'une bouffée déliranle polymorphe avec idée d'inspiration divine d'emblée et d'obsession dé
rrivent, par une initiation plus ou moins longue, à transformer des idées de parti en idées véritablement déli- rantes. -
nitiation plus ou moins longue, à transformer des idées de parti en idées véritablement déli- rantes. -- C'est pourquoi
en effet de l'obsession homicide fréquente chez ces mystiques est l' idée d'un martyre glorieux consé- cutif, consistant
porté par Marc'. Mathieu Lorat, cordonnier à Venise, dominé par des idées mystiques, se coupa les parties génitales et le
yroïdine augmentent (myxoedème infantile, myxoedème de l'adulte). L' idée d'une mal- formation congénitale expliquerait,
ir une cause de danger ou de trouble. Depuis quelques années, les idées humanitaires qui se font jour tendent à substit
ue est d'ailleurs un terme générique vague, qui évoque simplement l' idée du retentissement à distance d'organes éloignés
ons prise, avec le consentement des familles, et en dehors de toute idée préconçue sur les rapports qui peuvent exister en
venir angoissante et de masquer, par sa prédominance, les anciennes idées délirantes. D'où la nécessité de dissocier les
et à l'asile-école des idiots de Bicètre. La réa- lisation de cette idée aiderait aussi à la fondation des classes spéci
roun ; après de longues recherches restées infruc- tueuses on eut l' idée de vider un immense bassin servant à ali- mente
cadavre gisait au fond du réservoir, presque méconnaissable ; toute idée d'accident devait être écartée, car ce bassin q
obile qui l'avait fait agir, elle a répondu cyniquement : C'est une idée comme cela ! La jeune criminelle issue d'un pèr
II. Août 1899. N° 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. L' IDÉE FIXE ' ; ; Par le 1K P. KRRAVAL. ' Iéderin ,d
RRAVAL. ' Iéderin ,directeur de l'asile d'Armentlèl'(" (Nord), 2° Idée fixe dans la mélancolie. Les idées fixes sont en
l'asile d'Armentlèl'(" (Nord), 2° Idée fixe dans la mélancolie. Les idées fixes sont en général favorisées ici par ce fai
ceptions délirantes, et il existe une sorte de systématisation. Les idées fixes sont en outre, en tout cas, douloureuses
à des obsessions. En effet, le trouble et l'arrêt dans le débit des idées sont favorables au développement des obsessions
it des idées sont favorables au développement des obsessions et des idées fixes. C'est dans ces espèces-là que l'affectiv
inte, puisque la mélancolie même en est la maladie. Observation IV. Idée fixe dans la mélrl11colie hypochondriaque : .'
n persiste et tend vers la guérison. Observation V. Mélancolie avec idées de suicide. (SELLE, loco cildo.) Homme de qua
teint d'une maladie sexuelle incurable. Il tient absolument à cette idée p ? ,évctle7zte, et s'agile quand on lui dit que
ez lui. En dehors de ce thème, il est laborieux, gai, paisible. 3 Idée fixe chez les dégénérés. Ou bien elle débute br
e systématisé des dégénérés. , Observation YI (LEGIl.HN), Dégénéié. Idée fixe ambitieuse d'apparition brusque. Durée cou
e quelque ressem- blance avec le Prince Impérial, et il lui vient l' idée de se faire passer pour ce dernier. Il s'accout
e se faire passer pour ce dernier. Il s'accoutume peu à peu à cette idée et se l'assimile si bien que, persuadé que Napo
- a Je viens vous apprendre l'heureuse nouvelle que votre fils l' idée fixe. 83 existe; pour mieux vous rassurer, il v
ant les médecins. Dans la suite, chaque fois qu'on lui parle de son idée ambi- tieuse, on semble lui être particulièreme
use, on semble lui être particulièrement désagréable; il soutient l' idée FIXE. 85 qu'il n'y a rien de vrai et qu'il n'a
malade est rendu à la liberté. Observation VII (LEGnAin). Débile. Idée fixe à forme mystique. Délire religieux. Evolut
, grande faiblesse de caractère. Un cousin germain faible d'esprit, idées mystiques. Dans les assemblées, il se levait et
s jours, il éprouva des étourdissements, des lourdeurs de tête; les idées s'embrouillaient : il allait et venait automati
la propagande pour l'Armée du Salut, récoltant des abonnements l' idée fixe. 87 -1 pour le journal : En Avant ! se fai
dans le même état. Observation VIII (Krafft-Ei>11ng). Dégénérée. Idée fixe « forme érotiquc. Evolution chronique. L
crut qu'elle aussi ne lui était pas indifférente. Obsédée par cette idée fixe, elle se rapprocha de lui, lui envoya sa p
sacrifices pous amener réconciliation ». Elle revient, envoie un l' idée fixe. 89 oeillet avec ces mots : « Que le noble
élirantes et d'illusions. .. Observation IX (Laurent). Dégénérée. Idée fixe constituant seule tout le délire pour abou
ère fois, en 1894. A cette époque, elle déclare être en proie à une idée fixe, existant chez elle depuis quelques semaines
nes après son mariage, qui avait eu lieu en 1813. Le sujet de cette idée était qu'elle devait être fatalement entraînée
sée d'appartenir à un autre qu'à son mari. Elle ne raisonne pas son idée fixe, ou, du moins, elle ne réussit pas à se conv
tourments, et tant qu'elle put elle dissimula l'existence de cette idée fixe. Le jour où elle en parla, ce fut avec bea
tive et on put être renseigné sur l'origine et l'évolution de cette idée morbide. 'fout entière à ses pensées du moment, e
ord simplement troublée, elle n'y pensa guère, mais plus tard cette idée lui revint et elle se mit à réfléchir à son suj
il cas dans l'esprit troublé d'une jeune femme toute naïve. Cette idée flottait de temps en temps devant elle, idée qu'e
mme toute naïve. Cette idée flottait de temps en temps devant elle, idée qu'elle précisait mal alors et qui était à peu
-il se faire qu'il y ait des femmes qui osent tromper leur mari ? L' idée disparaissait ensuite pendant des mois pour reven
débarrasser de l'insolent s'il se présentait. Arrivée à ce point, l' idée fixe en question devint un facteur important da
891 où leur présence est constatée, ils n'ont fait que grandir. l' idée fixe. 91 A côté de cette idée fixe principale,
atée, ils n'ont fait que grandir. l'idée fixe. 91 A côté de cette idée fixe principale, est venue progressivement, et
re qu'elle, et parait avoir été en proie pendant toute sa vie à des idées fixes ; il mettait, en tout cas, de l'entête- m
siste certainement à une évolution dans son délire. Il semble que l' idée fixe perde un peu de sa puissance, et qu'à côté d
u de sa puissance, et qu'à côté d'elle viennent se greffer d'autres idées délirantes, comme, par exemple, le souci de se
ce qu'il gagne en étendue; et il ne faudrait pas être surpris que l' idée fixe vint un jour à disparaître au milieu d'un
'idée fixe vint un jour à disparaître au milieu d'un chaos d'autres idées délirantes, et qu'un délire, d'abord très coord
éder. 92 CLINIQUE MENTALE. Observation X (Personnelle). Dégénéré. Idée fixe ci forme omGi- tieuse aboutissant au délir
rs 1895 que le délire fit sa pre- mière apparition sous forme d'une idée fixe de grandeur. Cette idée se développa de la
e- mière apparition sous forme d'une idée fixe de grandeur. Cette idée se développa de la manière suivante : . Depuis
tité de son nom avec celui que portaient les comtes de Champagne. L' idée lui vint peu à peu qu'il était le descendant d'
ir cherché sa généalogie qu'on lui avait dissimulée, disait-il, son idée fixe se précisa, et depuis lors il s'intitule :
, 0 « J'ai eu l'honneur de m'adresser à vous, pour m'aider à me l' idée fixe. 93 l'aire sortir d'ici, et vous ai même d
ble se développer de plus en plus par extension progressive de l' idée mère; mais il ne perd rien de sa physionomie pre-
pparu, mais elles restent rares. Leur sujet correspond à celui de l' idée fixe première, et elles n'ont modifié en aucune
n a soup- çonné l'existence de l'aliénation mentale. Il n'y a pas d' idées déli- rantes ; il n'y a pas d'idées spéciales d
énation mentale. Il n'y a pas d'idées déli- rantes ; il n'y a pas d' idées spéciales de persécution. Toute une série fixe
ation (SELLE, loco cilalo). Délire de chicane tournant autour d'une idée fixe. Paysanne ; soixante ans. Depuis une émoti
Paysanne ; soixante ans. Depuis une émotion morale (son fils, par l' idée fixe. 95 un acte infâme, a laissé passer son bi
trait un peu irritable. Une soeur de la malade est épileptique. Ses idées de persécution consistent à se plaindre que les
profondément affectée et déprimée. Il s'est, chez elle, développé l' idée I)i-éraleî2le qu'un M. de N... l'aime et veut l
nt que ses parents et les médecins soient cachés sous le toit. 4" Idée fixe dans le délire chronique. Elle naît par voie
lité le sens critique manque et c'est ce qui a entraîné l'erreur. L' idée fixe en cette espèce morbide forme souvent un é
et c'est alors qu'il n'est pas rare de bien saisir à l'origine une idée fixe qui est le phénomène pathologique initial.
fixe qui est le phénomène pathologique initial. C'est surtout à l' idée fixe du délirant chronique que se rap- 96. CLIN
nt est toujours, forcément, une série de conclusions vicieuses. L' idée fixe, déraisonnable, insensée, subite, est le plu
système déli- rant, plus ou moins coordonné, en engendrant d'autres idées délirantes, qui se multiplient, s'agrègent, se
idées délirantes, qui se multiplient, s'agrègent, se combinent. L' idée fixe de persécution notamment, d'abord posée par
des interprétations déli- rantes ou des hallucinations de l'ouïe, l' idée s'affermit, devient L de moins en moins variabl
e, toujours à l'origine un délire. circonscrit, roulant sur la même idée ou sur une même série d'idées pour le même indi
lire. circonscrit, roulant sur la même idée ou sur une même série d' idées pour le même individu. Puis, l'or- ganisation d
transforme. A l'appui un beau type. Observation XIV (personnelle). Idée fixe installée dès le jeune âge sans trouble se
matin, on le trouvait mort dans un remblai près de la station. l' idée fixe. 97 Cette mort l'affecta beaucoup ; dès ce
ort l'affecta beaucoup ; dès ce moment il conçut des soupçons, et l' idée entra dans sa tête qu'un jour il aurait la preuve
il pouvait bien être le fils d'un personnage historique, et voilà l' idée fixe définitivement installée et notre malade p
ations délirantes. Telle est la base initiale de son délire : une idée fixe, installée dès l'enfance dans son cerveau
sorte. Le délire s'étend, sous l'influence des hallucinations, les idées de grandeur vont venir s'ajouter aux idées de p
des hallucinations, les idées de grandeur vont venir s'ajouter aux idées de persécution. Revenu en France pour se faire
uissances y ont le même intérêt que la France, car je ne resterai l' idée fixe. \)\1 Français que si le sort m'y oblige ;
fait remarquer que le début de l'affection a été constitué par une idée prévalente ayant entraîné une ap- préciation dé
stationnaire ou plutôt il est devenu nul à l'asile. L'origine de l' idée prévalente doit, selon lui, être cher- chée dan
- tante d'un homme qui connaissait sa conduite, et il en a, par l' idée fixe. 101 1 association d'idées, faussement int
ait sa conduite, et il en a, par l'idée fixe. 101 1 association d' idées , faussement interprété la portée. Toutes ses id
association d'idées, faussement interprété la portée. Toutes ses idées ont alors constamment convergé sur le texte domi-
idées ont alors constamment convergé sur le texte domi- nant de son idée fixe, fausse non point quant à l'acte qu'il a c
évropathe. Comme lui, il se dénonce. Observation XVI (personnelle). Idée fixe développée sans trouble sensoriel aboutiss
D... Il se dit qu'on lui cachait quelque chose et, dès ce moment l' idée germa que le grand-père était peut-être le fils d
le fils de quelque personnage illustre et riche. Obsédé par cette idée fixe, il se mit sans tarder à la recherche de l
terner (avril 189j). Son et(il actuel est le suivant : Bien que l' idée fixe primitive existe encore à la base du délire.
Bien que l'idée fixe primitive existe encore à la base du délire. l' idée fixe. 103 celui-ci b'est considérablement étend
re. l'idée fixe. 103 celui-ci b'est considérablement étendu ; les idées de grandeur et de persécution se sont accrues e
des de son quartier pour sa mère; lui-même doute de son sexe. Les idées de persécution coexistent chez lui avec la mégalo
ortais un autre nom, je veux le savoir; si, comme je l'ai eu dans l' idée , il est possible que l'on donne une forme d'hom
ourquoi, depuis que je suis ici, l'on m'a flanqué dans la tête, des idées que j'étais l'Etre suprême. « Il faut nécessa
suprême. « Il faut nécessairement que les gens qui inculquent ces idées -là aux autres soient fous ou canailles. « Com
ER- NICKE auquel elle est empruntée la regarde comme un exemple d' idée prévalente sexuelle aboutissant à la systéma- l
e, toutes sortes de rencontres accidentelles la confirment dans son idée . Elle en est fort émue; elle passe des heures d
présent plus souvent, et parlent bien fréquemment (c'est surpre- l' idée fixe. 105 nant ! ) du jeune homme; les bonnes a
ue ce sont pures suppositions de sa part, suppositions tenant à une idée préconçue maladive, à une illusion. Elle ne le
slau, la pluralité des cas analo- gues doivent être rapportés à des idées prévaleules, fixes, quelconques. Si le fonds pa
n'y avait pas de terrain psychopa- thique sur lequel pût fleurir l' idée prévalente. Il faut accuser l'époque critique,
n mode d'existence peu confortable ; telles ont été les causes de l' idée prédomi- nante sexuelle. Nous terminerons par d
joué bientôt un rôle indéniable. Observation XVJII (Personnelle). Idée fixe développée avec des troubles hallucinatoir
les est idiote. L'origine de son délire doit être cherchée dans une idée fixe qui s'est développée de la manière suivant
es particularités qui éveil- lèrent son attention et sa jalousie. L' idée germa dans son esprit que sa femme avait des re
présent comme significatifs. Dès lors, il employa tous les moyens l' idée fixe. 107 pour lui faire avouer sa faute. Il ex
me de l'avoir interceptée. On l'interna en 1893. Actuellement : Son idée fixe avec ses caractères érotique et jaloux se
caractères érotique et jaloux se retrouve dans son délire, mais les idées de persécution dominent la scène. Sa femme le h
ion avec son cortège d'hal- lucinations multiples qui a succédé à l' idée fixe première. La période de transformation de
nnalité n'est encore qu'ébauchée, et ne se traduit que par quelques idées d'or- gueil, perdues au milieu des idées de per
e traduit que par quelques idées d'or- gueil, perdues au milieu des idées de persécution. Observation XIX (Personnelle).
au milieu des idées de persécution. Observation XIX (Personnelle). Idée fixe par interprétations . délirantes. Hallucin
ur tout antécédent : une fièvre typhoïde à l'âge de huit ans. 0 l' idée fixe. )OH Le malade a puisé dans des chagrins d
de sa fortune. - Il commence dès lors à agir dans le sens de son idée et à com- mettre des actes marqués au sceau de
ux occupe le second plan et est encore bien effacé; il se borne à l' idée qu'on l'a voulu déposséder d'une somme de 100.0
itution d'enfant dont il parle; ses argu- ments sont faibles. 1)0 Idée fixe dans l'hystérie. L'idée fixe dans l'hystérie
e; ses argu- ments sont faibles. 1)0 Idée fixe dans l'hystérie. L' idée fixe dans l'hystérie se confond avec l'étude de
l'hystérie. L'idée fixe dans l'hystérie se confond avec l'étude des idées conscientes et subcons- cientes circonscrites.
es recherches expérimentales, relatives « non pas uniquement 11 des idées obsédantes d'ordre intellectuel, mais à des éta
riables du milieu environnant ». Tel est ce. que M. JANET appelle l' idée fixe dans un sens fort large. C'est également c
u'on trouvera dans les travaux de G. Ballet - 2 et SOUQUES'. 3. L' idée fixe s'y traduit le plus souvent par un symptôme
rapport avec son objet. Elle peut donner naissance, en passant de l' idée fixe pri- mitive consciente à l'état d'idée fix
ssance, en passant de l'idée fixe pri- mitive consciente à l'état d' idée fixe subconsciente, àdessymp- 1 Xévroses et idé
sciente à l'état d'idée fixe subconsciente, àdessymp- 1 Xévroses et idées fixes, t. I, Paris, 1898. , Aúasiespal' oúsessi
roses et idées fixes, t. I, Paris, 1898. , Aúasiespal' oúsessionsel idées (i,1'e ? (Semail/e mérlicale, janvier 1898.) 3
is phénomènes se présentent chez le même sujet il propos de la même idée fixe (P. JANET). 1 Peut-être ces recherches écl
aladie et non d'un accident ; il n'y avait donc pas à s'arrêter à l' idée d'une fracture ou d'un décollement épiphysaire.
es sent venir : son caractère se modifie, il est plein de mauvaises idées , dit-il, et surtout de l'idée du suicide, il s'
e modifie, il est plein de mauvaises idées, dit-il, et surtout de l' idée du suicide, il s'énerve ; il a des tremblements
ntre dans l'ordre, D... redevient calme, il n'a plus de mau- vaises idées . Il vit ainsi jusqu'à l'âge de vingt ans. A cette
ne les sent plus venir, c'est-à-dire qu'il n'a plus, auparavant, d' idées mauvaises (tentatives de suicide, d'homicide), ni
(de Poitiers). (Presse médicale, 21 janvier 1899.) L'auteur a eu l' idée de traiter par l'ovarine une malade chez qui le
généralement les aliénés à formes chroniques ne rêvent pas de leurs idées morbides. (Annales znédico-psgeleolo71qzzcs, févr
z, est un dégénéré syndromique qu'envahit par accès paroxystiques l' idée obsédante d'exposer les organes génitaux aux re
actère délictueux de l'acte, il résiste d'abord, lutte contre cette idée qui, en raison même de la résistance, devient p
ulle conscience se livrent à l'étalage génital. Chez notre malade l' idée obsédante est continue, permanente, c'est une s
herche aucune sensation tandis que les autres sont des trotteurs. L' idée de s'exhiber ne s'accom- pagne pas comme chez l
débris d'allumettes, et qu'il vivait dans une anxiété profonde à l' idée qn'il aurait pu mettre le feu. Après quinze jours
n cas de délire de persécution avec hallucina- tions religieuses et idées de possession. Action thérapeutique de la sugge
énomènes intellectuels tels que : attention, mémoire, association d' idées , raisonnement, imagination, travail cérébral co
on. Les émotions agréables provoquées volontairement (évocation d' idées gaies) donnent lieu à un phénomène de vaso-dilata
aso-dilatation. Les émotions désagréables provoquées volontairement( idées tristes), phénomène de vaso-constriction, parfo
n excellent complément du traitement. (A suivre.) IV. Névroses et idées fixes; par le professeur F. RAYMOND et le Dr l'
portée. II s'agit ici des maladies produites par les émotions, des idées obsédantes et de leur traitement. Que l'on song
ile détail et de toute digression accessoire ; chaque mot porte son idée , il y est dit tout ce qui doit être connu et ri
ellement au moment de la puberté, puis les aboulies primitive^ avec idées fixes; les aboulies secondaires psychiquenzent
'un trouble mental préalable qui leur a préparé la voie, tels que : idées fixes, état émotionnel persistant ; enfin les abo
les voit se compliquer de troubles somatiques. En effet, entre les idées fixes claires et manifestes, uniquement psy- ch
re tous les degrés. On voit par les travaux de M. Janet combien ces idées fixes subconscientes, si difficiles à dépister
onclusions, tandis que de l'ensemble se dégage, entre bien d'autres idées générales, celle de l'émotion venant comme un d
es accidents ou venant par sa violence ou sa répétition, enfoncer l' idée fixe comme un corps étranger dans un terrain re
omie et dont la description bien connue de Clouston peut donner une idée . On sait que Bail, dans son étude de la folie t
Vimoutiers (Orne), qui était, depuis quelque temps, obsédé par des idées de persécution, s'est tué en se tirant un coup
LIOGRAPHIQUE. 175 d'eau, probablement destiné à leur rafraîchir les idées . (Bonhomme Normand du 20 juillet 1899.) La fo
lutions centrales dites motrices sont lésées' (voir plus loin). L' idée d'ailleurs n'est pas neuve de faire jouer un rôle
nant de la rue frappe mon' oreille, excite mon attention, éveille l' idée d'aller voir ; puis l'image du mouvement à exéc
a face externe du noyau ventriculaire et venant ainsi à l'appui des idées de Broadbent. Deux cas qui sont venus à notre o
loquacité, sensation de goût et d'odeur désagréables, incohérence d' idées . A partir du 13 décembre, confusion mentale com
decine avec ses nouvelles méthodes curatives. Dans un autre ordre d' idées , il consacre des chapitres à la sociologie, à l
au théâtre, à la religion, etc., etc. Et par- tout il impose cette idée que les savants et la science ont tout envahi e
lecteur non prévenu une connaissance insuffisante d'un fait ou une idée fausse à son sujet. Pour prendre BIBLIOGRAPHIE.
e ordre Archives, 2' série, t. VIII. 1tj 242 BIBLIOGRAPHIE. ' d' idées je me demande s'il faut regarder comme une conquê
re plus longuement son style si varié et si agréable, de goûter des idées neuves et des jugements originaux. Il n'y a pas
gues des malades. Parfois, à cet état, se joint un vrai délire avec idées hypochondriaques et de persécution, d'où tendan
nte mais irrésistible jusqu'à la psychose complète en passant par l' idée fixe délirante intermé- diaire. En dehors de ce
ie morbide, idiopathiques pour ainsi dire, l'on peut rencontrer des idées délirantes de jalousie à titre de symptômes ou
roxysme de la maladie, et dans celle-ci l'obsession consciente et l' idée fixe du délire circonscrit des persécutés- pers
la volonté d'action ; le sujet essaie vainement de transformer une idée en acte, » sa volonté n'est plus suffisante pou
e mal de Pott. 1 Iscovescu (Maurice). Contribution ci l'étude des idées de jalou- sie dans le délire alcoolique. Jais
d'être fait entre les auteurs sur cette question. Les divergences d' idées portent non seulement sur l'étiologie et la sym
le prédominer dans l'état mental du malade : c'est la confusion des idées . C... parle presque continuelle- ment ; ses pro
de lui. Toute l'attention dont il est capable, est absorbée par ses idées délirantes et ses hallucinations, encore que le
'état du malade ne s'est pas sensiblement modifié. La confusion des idées persiste avec des alternatives irrégulières d'e
as l'existence de conceptions délirantes systématisées. Si quelques idées dé persécu- tion se manifestent, à un moment do
est complètement guérie à la fin du mois. Juillet. La confusion des idées persiste avec la même netteté. RELATION D'UN CA
nnables. Décembre. A la fin du mois de décembre, la confusion des idées a à peu près disparu, mais il existe encore une c
mpression confuse. Il est à noter, cepen- dant, que le souvenir des idées délirantes et des hallucinations se rapportant
nte et graduelle. Le malade s'en rend bien compte actuellement. Ses idées se sont éclaircies peu à peu; en même temps, sa
récise, la notion du monde extérieur. Il n'a eu tout d'abord qu'une idée extrêmement confuse des particularités de la cr
iophobie, insomnies, violences envers son entourage; prédominance d' idées mystiques ;- besoin de marcher, de parler; hall
f optique de l'observation Il bien que particulière, n'exclut pas l' idée d'une maladie de Frie- dreich ; c'est une malad
t. VIII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mais il repousse l' idée d'une lésion cérébrale, encore plus celle d'une
4898). L'obsession, ou conception irrésistible deWestphal. est une idée qui s'impose à l'individu, en pleine conscience
ne conscience, son intelligence demeurant d'ailleurs intacte; cette idée n'a rien à faire avec la sensibilité affective.
on qui se trouve en quelque sorte poussée par un ou deux courants d' idées directeurs, par un ou deux éléments qui chez l'
LE. 327 7 des contrastes psychiques normaux. La prédominance de ces idées directrices refoule les autres : c'est ce que M
point de départ de la maladie est une association pathologique des idées . Les éléments associés peuvent, en l'espèce, êt
euvent, en l'espèce, être parfaitement vrais; ce qui fait qu'il y a idée délirante, c'est l'intervention d'idées, qui, d
vrais; ce qui fait qu'il y a idée délirante, c'est l'intervention d' idées , qui, d'après les lois physiologiques de l'asso
d'idées, qui, d'après les lois physiologiques de l'association des idées , ne de- vraient pas coopérer. C'est d'autant pl
ut conduire aux formes graves des phobies confinant elles-mêmes aux idées délirantes de la folie. La folie est toujours à
éat ou bien un air ahuri et mélancolique. Elles avaient parfois des idées de persécution, mais jamais d'idées de grandeur,
ique. Elles avaient parfois des idées de persécution, mais jamais d' idées de grandeur, de richesse et leur démence n'offr
nce des hémorragies variées sans cause locale apparente, P... eut l' idée de rechercher les symptômes de Basedow, et effe
e avait aussi remarqué que certains ma- lades disent entendre « des idées , des voix secrètes, inférieures, sans langage p
alcooliques ingérées. Les hallucinations de l'ouïe lui suggèrent l' idée du suicide : « Tue-toi, jette-toi à l'eau », en
e. 11 croyait voir des hommes, des as- sassins-derrière la porte. Idées de persécution. - Dans la rue, les passants faisa
des- sous », « sa soeur voulait l'empoisonner ». Il avait aussi des idées de jalousie morbide, sa maîtresse le trompait a
lque temps après, avec hallucinations auditives et psycho-motrices. Idées de persé- cutiorz. Idées mystiques. 'l'..., e
llucinations auditives et psycho-motrices. Idées de persé- cutiorz. Idées mystiques. 'l'..., employé de commerce, trente-
iel, de la confiance qu'il avait en Dieu, et priait fort souvent. Idées de persécution. - Il a eu en outre pendant le cou
persécution. - Il a eu en outre pendant le cours de son délire, des idées de persécution. Il croyait que ceux qui l'entou-
ade de M. Val- 384 CLINIQUE MENTALE. Ion ', notre malade a eu des idées mystiques. Lui, qui n'était pas pieux auparavan
cence mentale et hérédité : frère aliéné. - Alcoolisme chronique. - Idées de jalousie et de persécution . - Défina alcool
, B... avait des troubles psychiques, de la jalousie mor- bide, des idées de persécution, plus tard les hallucinations de
vue et les hallucinations psycho-motrices verbales apparaissent. Idées de jalousie. Lui, si ^indifférent de l'honneur de
st une « chimère », mais c'est plus fort que lui, il y revient. Les idées de jalousie ont ouvert la porte aux idées de pe
ue lui, il y revient. Les idées de jalousie ont ouvert la porte aux idées de persécution. Idées de persécution. Depuis un
s idées de jalousie ont ouvert la porte aux idées de persécution. Idées de persécution. Depuis un mois il lui semblait qu
concluait-il. » A la suite d'une scène de jalousie, poussé par ses idées de per- sécution, il frappa sa femme à la tête
, mais il reste en un coin, isolé des autres malades. Il a quelques idées vagues d'hypocondrie : il ne guérira jamais, il n
elles entraînent un dédoublement de la personnalité, et surtout l' idée de possession qui en est la conséquence. Chez nos
ces verbales n'ont pas eu plus de retentissement sur l'ensemble des idées délirantes, que les autres troubles hallucinato
chez lui, sinon déchéance, au moins un peu d'obnubilation dans les idées . La nature de ses fautes d'orthographe, de ses
suivit successi- vement à Dijon et à Marseille. S'inspirant de ses idées en méde- cine mentale, il écrivit sa thèse de d
ntée et soutenue le 29 août 1866. Dauby s'applique à y développer l' idée émise dans la phrase suivante de Renaudin, qu'i
vec les mêmes caractères que le premier, mais avec prédomi- nance d' idées de persécution, et recrudescence des hallucinatio
d'agitation, avec réaction très violente, incohérence bruyante des idées . Hyperthermie. Après cet accès qui a duré de do
r à la parole. Elle est simplement apha- sique, ne manifeste aucune idée délirante, s'intéresse à tout ce qui l'entoure
tes sans réactions motrices violentes, par un véri- table chaos des idées avec insomnie, anorexie, hyperther- mie et trou
relégués dans les asiles loin de leurs familles et de leurs pays. L' idée du traitement individuel reconnu nécessaire, du
x en France, il faut l'attribuer en grande partie à l'influence des idées inexactes généralement accep- tées sur la natur
des femmes aliénées qui s'excitent les unes les autres : c'est une idée dominante. En rappelant au travail les aliénés,
ieurs années auparavant à l'asile de Wakefield en Angleterre. Les idées de Pinel se répandirent rapidement en Allemagne :
-il, entretient la santé, favorise le sommeil, il amène l'oubli des idées délirantes. (Organisation des établissements de
erronées sur la nature de la folie, aient longtemps fait écarter l' idée d'aliter les aliénés, comme on le fait des indi
oeuvre poursuivie dans leur propre pays. C'est à l'étranger que les idées émises par eux se développèrent et aboutirent à
pes parcourues par la méthode de l'alitement. Comme on le voit, l' idée de soigner par le lit les sujets atteints de ps
e dans la science par Charles Bel, en 1833, n'exprimait alors que l' idée vague de sentiment de l'action du muscle, et no
ère des sensations tactiles. C'est Schiff qui émit le premier cette idée reprise plus tard par Vulpian. Trousseau étudiant
ussions nom- breuses., on a donné des noms plus en rapport avec les idées nou- velles. L'expression de « sensations kines
celle qui exprime le mieux la pensée moderne puisqu'elle renferme l' idée de multiplicité d'ori- gine et celle de phénomè
'à l'occasion des mouvements actifs =. Cherchewski a repris la même idée et pour lui la sensation du mouvement actif est
peut concilier les deux théories. « Dans la pratique, dit-il, cette idée de mouvement se trouve être consciente au momen
ation ou notion de résistance que Beaunis, partisan con- vaincu des idées de Wundt déclarait être simplement due à la con
d'association. Nous pouvons maintenant résumer en quelques mots les idées de Claparède. Il n'y a en somme pour lui que de
elles qu'invoque Claparède n'a pas sa raison d'être. En effet cette idée de désaccord implique l'idée de la perception n
a pas sa raison d'être. En effet cette idée de désaccord implique l' idée de la perception nette d'un empêchement au mou-
toire (hallucinations visuelles, auditives, kinesthétiques), où les idées de grandeur les plus absurdes se joignent aux c
nouvel appoint alcoolique, se manifeste un délire mélancolique avec idées de persécution, délire accompagné denombreuses
lle, ces troubles sensoriels devenant très actifs déterminent des idées de suicide et de violentes impulsions. Cette comp
le«due à l'héré- dité du malade dont le père présenta également des idées mélancoliques. « Ces troubles psychiques access
Dégé- nérescence mentale héréditaire. Syphilis. Accès maniaque avec idées incohérentes de grandeur et délire hallucinatoi
'influence d'excès alcooliques. Rémission. Délire mélancolique avec idées de persécution. Tentative de suicide. Hallucinati
ile des aliénés d'Evreux où il était entré pour démence sénile avec idées de grandeur et idées de persécution; il avait d
eux où il était entré pour démence sénile avec idées de grandeur et idées de persécution; il avait des hallucinations de
Gaillon : « Paralysie générale progressive, embarras de la parole. idées de grandeur et de richesse, excitation généralisé
vient de lire. Achoppement syllabique très net. Attention faible, idées mobiles et contradictoires. Se rend compte du t
es. Se rend compte du temps et du lieu et ne présente plus aucune idée délirante de grandeur. Légère inégalité pupilla
avait été in- terrompue par un délire franchement mélancolique avec idées de culpabilité et idées de persécution. Eugène
par un délire franchement mélancolique avec idées de culpabilité et idées de persécution. Eugène X... nous revient sombre
elle pas sa dernière 476 RECUEIL DE FAITS. crise d'agitation. Les idées de persécution sont aussi actives : on veut l'e
ucher. Il a de temps à autre des accès de violente agitation où les idées de per- sécution deviennent très actives sous l
s. Vers la fin de l'année 1898, le malade, qui conserve les mêmes idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe, acc
êmes idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe, accuse des idées hypochondriuqzees : sa gorge est obstruée, son
L'examen de la région anale, et de la colonne vertébrale élimine l' idée d'une tumeur. Une névrite ne saurait se compren
culaires. La pie-mère participe peu au processus, ce qui élimine l' idée d'une méningite suppurée, tuberculeuse, syphiliti
ement des psychoses par l'alitement, j'ai l'ait observer que si ces idées nouvelles venaient à se propager il fau- drait
ion particulière de l'ouvrage, mais il faut aussi être informé de l' idée directrice qui a inspiré ces lignes d'un intérê
froun : après de longues recherches restées infructueuses, on eut l' idée de vider un immense bassin servant à alimenter
cadavre gisait au fond du réservoir, presque méconnaissable. Toute idée d'accident devait être écartée, car ce bassin, qu
ile qui l'avait fait agir, elle a répondu cyniquement : « C'est une idée VARIA. 525 comme cela ! » La jeune criminelle
le et lJoypr, 391. - chez un chat et un serin, par lliier, 489. Idée . L' - fixe, par Kéraval, 1-81, et névrose, par
er, 486. - du rémoro-cutané externe, par \Varda, 498. Névroses et idées fixes, par Ray- mond et Janet, 168. Etiologie d
3 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
teurs attachaient leur attention principalement à la résurrection des idées spiritua-listes et religieuses, qui leur semblait
de Marseille, qui doit être considéré comme la source où j'ai puisé l' idée première de ce travail. C'est donc la triple as
. Par tatouages allégoriques nous entendons ceux qui représentent une idée ; nous avons dans cette catégorie des personnages
A un autre point de vue on peut examiner l'image tatouée d'après l' idée qui a présidé au tatouage. Dans cet ordre d'idée
ge tatouée d'après l'idée qui a présidé au tatouage. Dans cet ordre d' idée on peut distinguer : 1° Les images dont le suje
otre sujet, nous dirons que nos 16 malades présentaient: 2 fois des idées de force. 2 — — de grandeur. 2 — — de mystiqu
s des observations qui nous ont permis d'arriver à nos conclusions. Idées de force Un marin s'est fait tatouera l'âge de
âgé de 50 ans est actuellement atteint de paralysie générale avec des idées de force et de satisfaction ; il se croit plus da
régiment. Il est actuellement atteint de paralysie générale et a des idées de force, de grandeur, mêlées à des idées érotiqu
paralysie générale et a des idées de force, de grandeur, mêlées à des idées érotiques. Idées de grandeur Un serrurier de 51
et a des idées de force, de grandeur, mêlées à des idées érotiques. Idées de grandeur Un serrurier de 51 ans porte au bras
un dégénéré atteint d'alcoolisme chronique qui a par intervalles des idées de grandeur; dans une de ses périodes d'excitatio
ous a dit qu'il était prince et que Ville-Evrard était son château. Idées mystiques et érotiques Un homme âgé de 55 ans h
es et érotiques Un homme âgé de 55 ans hémiplégique persécuté a des idées mystiques et érotiques intenses. Il ne porte que
croix). Ce malade est un dégénéré atteint depuis 15 ans seulement des idées de persécution qui ont motivé son internement. Au
i ont motivé son internement. Au dire de sa famille il n'a présenté d' idées mystiques et érotiques bien nettes que dans ces d
r raconter ces faits avec une certaine ostentation. Ce malade a des idées érotiques très accusées, il parait avoir des hall
est actuellement Agé de 44 ans et atteint de paralysie générale avec idées érotiques. Un déménageur de 32 ans a des idées
alysie générale avec idées érotiques. Un déménageur de 32 ans a des idées mystiques et érotiques ; il est marié avec sa sœu
e sur la poitrine un cœur percé d'une flèche et un Christ crucifié. Idées homicides Un chanteur de 34 ans porte sur le br
rtant dans un bain de siège et un cœur percé d'un couteau de boucher. Idées homicides, tentative de meurtre ; pas d'idées éro
'un couteau de boucher. Idées homicides, tentative de meurtre ; pas d' idées érotiques. Idées de suicide Un cordonnier de
her. Idées homicides, tentative de meurtre ; pas d'idées érotiques. Idées de suicide Un cordonnier de 36 ans a le sein dr
as de morphine. M. Hitzig (Leipzig). — Je suis disposé à accepter l' idée de l'emploi de la suggestion hypnotique, car le t
une peur angoissante, survenant à la vue d'un objet insignifiant, à l' idée d'accomplir un acte banal ? Le malade se rend par
ucoup de phobiques, il n'est même pas besoin d'une cause réelle ; une idée , un souvenir, suffit pour ramener la crise. Nou
qui lui avait causé une vive émo- tion, elle reste préoccupée de l' idée qu'elle doit être atteinte d'une maladie nerveuse
oquence et d'autorité, mais qui, dans le confessionnal, tremblait à l' idée d'assumer la responsabilité d'un conseil donné à
manifestent un véritable désespoir, une anxiété déjà très pénible à l' idée de comparaître devant les jurys d'examen. Chez
l ou tel acte déterminé. Il n'est d'ailleurs jamais venu à personne l' idée de demander l'internement de ces malades dans un
ettrait plus à l'anesthésie pratiquée de cette façon. J'eus alors l' idée de l'hypnotiser. Une séance de 10 minutes suffit
gestive. C'est dans ses leçons cliniques que Falret a développé ses idées sur la non-existence de la monomanie, sur la foli
salle du cours, il les interrogeait, il les amenait à raconter leurs idées délirantes, il en tirait des considérations prati
constate des cas de guérison par suggestions et se fait ainsi à cette idée , on lui suggère de dormir. Puis, pendant le somme
mmeil hypnotique, on lui palpe le ventre de façon à éveiller en lui l' idée que quelque chose se passe dans son abdomen. On m
nts qui se sont occupés de la question. Afin de pouvoir exposer vos idées , en connaissance de cause, je vous prie de bien v
lie et dans beaucoup de cas elle n'en est que le premier degré. » Les idées depuis lors se sont notablement modifiées et l'ét
s seulement que se manifeste l'excitation sexuelle sous l'influence d' idées fixes plus ou moins transitoires. Quant à la tend
emps et les moments ; elles se développeraient, en conséquence, d'une idée lixeet, comme l'a observé Krafft-Ebing, elles dép
mettent d'envisager ce délire comme un rêve passager subordonné à une idée fixe, c'est-à-dire au souvenir subconscient d'un
nement qui a naguère plus ou moins impressionné le malade. Quelques idées fixes peuvent provoquer l'éclosion de certaines i
ade. Quelques idées fixes peuvent provoquer l'éclosion de certaines idées fausses ou délirantes qui pénètrent dans le champ
s conceptions délirantes qui, chez les hystériques, se rattachent aux idées fixes subconscientes. C'est là, à coup sûr, l'un
exactement appréciées, deviennent le point de départ d'associations d' idées qui constituent un véritable rêve. Si nous jeto
troubles mentaux que nous avons passés en revue, délire de l'attaque, idées fixes pénétrant dans le champ de la conscience, s
bstituent complètement aux premiers, mais, au cours de l'attaque, les idées tournent dans un cercle étroit et s'organisent en
étroitement soit aux conceptions délirantes de l'attaque, soit à des idées fixes ou à des rêves ; quelquefois la mélancolie
envisagés comme manifestations ou équivalents des attaques ; 5° Les idées fixes et les idées subconscientes; leur rôle dans
ifestations ou équivalents des attaques ; 5° Les idées fixes et les idées subconscientes; leur rôle dans la pathogénie de c
ctères cliniques, formes diverses. Relations avec les attaques et les idées subconscientes; 7° La mélancolie, lorsqu'elle s
2 suit exactement la direction de l'ouvrage connu de Moll. Malgré des idées générales justes et beaucoup de remarques ingénie
nsomnie, les douleurs de tête habituelles, la dyspepsie nerveuse, les idées fixes, l'hystérie (surtout les accès hystéro—épil
que l'on appelle conscience isolée d'une série plus ou moins grande d' idées ayant une relation : actes des catalepsiques, sug
lité. 7° Activité d'une cellule corticale éprouvant une sensation d' idée isolée, ce que l'on appelle une conscience isolée
Inactivité de cellules corticales isolées, ressentant l'activité des idées , avec activité normale simultanée (inconscience p
marche délirante des pensées est constamment dominée par une certaine idée ou un certain genre d'idées. Dans le deuxième g
s est constamment dominée par une certaine idée ou un certain genre d' idées . Dans le deuxième groupe de cas, l'état de déli
s les rudiments existants de la mémoire, mais aussi par de nombreuses idées , des traits et des particularités de caractère de
d'une façon approchée, le degré de suggestibilité que Ton suggère les idées relatives à la guérison, avec une rédaction appro
o-suggestion. Les personnes qui se livrent à cette expérience, avec l' idée préconçue de danger, se procurent parfois par leu
ualité sur lesquels on doit agir. Ils se produisent également par l' idée préconçue des expérimentateurs, lorsque, par exem
d raconte que tous les symptômes de l'hystérie ne proviennent pas des idées et ne sont pas, en général, de cause psychique.
par la critique et la volonté, chez les hystériques, à la suite d"une idée propre ou inspirée se développe, d'une façon auto
es, auditives, des passions, des impulsions à l'action, qui forment l' idée . La précision ainsi obtenue et l'état complet de
qui forment l'idée. La précision ainsi obtenue et l'état complet de l' idée , amènent à de véritables actes et à la croyance à
, amènent à de véritables actes et à la croyance à l'objectivité de l' idée . Les conditions pour cela sont : affaiblissement
ail instructif sur\e somnanbulisme hystérique, Guinon20 développe des idées analogues à celle de Lowenfeld, sur le dédoubleme
cet état a lecaractère du monoxdèisme;\\ semeutdans un cercle borné d' idées et ne peut être influencé que par des voies détou
au temps de calcul de nombres simples et àcelui de l'association des idées se montrent notablement plus grandes que chez les
s le temps du calcul de nombres simples et celui de l'association des idées ont été plus courts dans Vhypnose qu'à l'état de
Le temps du calcul de nombres simples et celui de l'association, des idées (déduction faite du temps de simple réaction aux
démonstrateur de clinique médicale à l'Université de Michîgan, a eu l' idée de faire expérimentalement cette étude physiologi
es qu'il considère comme un fruit du pessimisme et qu'il rattache aux idées mystiques du moyen âge. Il a formulé les trois
me faire comprendre, j'y sépare ce qui est inséparable en fait : les idées , d'un côté, l'attention et la volonté, de l'autre
dans la mémoire sous la forme d'idées-images ; puis il revivifie ces idées , en dégage d'autres plus abstraites, — idées pure
; puis il revivifie ces idées, en dégage d'autres plus abstraites, — idées pures, — les remue, les compare et, avec l'aide d
nsations, soit pour fixer dans la mémoire leurs produits qui sont les idées , soit pour raisonner à l'aide de celles-ci et met
on aperçoit clairement au sommet de l'être humain, je ne dirai pas l' idée , mais la pensée tenant le gouvernail et étant la
ail et étant la promotrice, non seulement de ses sensations et de ses idées , mais aussi de ses jugements, de ses décisions et
ce active à la réception des sensations au cerveau, à la création des idées et à leur enmagasinement dans la mémoire ; elle s
. La volonté, déjà en germe dans la formation des sensations et dos idées , est, en se superposant à l'attention réfléchie,
nfin, sans s'en expliquer le mécanisme, son attention accumulée sur l' idée fixe de reposer dont le besoin s'offre à lui. Par
l'idée fixe de reposer dont le besoin s'offre à lui. Par suite, cette idée fixe devenant acte, toute activité du cerveau et
'opérateur favorise l'accumulation de l'attention de ses sujets sur l' idée fixe de dormir,en leur suggérant, s'ils y consent
ur l'idée fixe de dormir,en leur suggérant, s'ils y consentent, cette idée avec persistance; et pour triompher chez quelques
être, à la suite du besoin qui s'en impose, que la conséquence d'une idée de dormir, qui a dû succéder à ce besoin chez le
re replié sur lui-même entièrement, en accumulant son attention sur l' idée unique de dormir, ainsi que le fait du reste le d
ou quoi que ce soit, le dormeur du sommeil provoqué s'endort dans une idée qui accompagne celle de dormir : l'idée de son hy
il provoqué s'endort dans une idée qui accompagne celle de dormir : l' idée de son hypnotiseur qu'il n'a cessé de sentir et d
e en harmonie par l'effet du retentissement sur tout l'organisme de l' idée , prise par eux en s'endormant, de prendre du repo
elqu'un, comme dans le sommeil provoqué, ils aient reçu de celui-ci l' idée de la disparition de ce même sentiment pénible, q
autres, — que longtemps on avait cru isolés, — les sensations et les Idées se forment toujours dans leur esprit, mais comme
u'ils puissent manifester par un signe quelconque, que leur esprit en idée fixe d'un coté, continue de l'autre, avec subcons
lle. C'est que, par suite de l'immobilisation de leur attention sur l' idée de dormir, il no reste plus assez d'attention ni
Si la concentration de la volonté et de l'attention réfléchie sur l' idée continue de dormir détermine les sommeils ordir n
nue de dormir détermine les sommeils ordir naires et provoqués, cette idée devenant fixe et attirant sur elle-même une grand
ité de faire effort et de vouloir, ne peuvent se débarrasser de cette idée , et alors cette idée maintient et fait durer ces
t de vouloir, ne peuvent se débarrasser de cette idée, et alors cette idée maintient et fait durer ces états. S'il n'y avait
sprit des dormeurs, d'une part, une accumulation d'attention, sur une idée continue et persistante de dormir, laquelle conse
e tous les points du corps, accumulée et immobilisée au cerveau sur l' idée fixe de dormir, idée qui devient acte et est le p
corps, accumulée et immobilisée au cerveau sur l'idée fixe de dormir, idée qui devient acte et est le pivot du sommeil; l'au
de l'accumulation de l'attention qui s'est faite au pôle opposé sur l' idée fixe de dormir; que non seulement, par cette idée
u pôle opposé sur l'idée fixe de dormir; que non seulement, par cette idée fixe, le sommeil se prolonge, faute de la part de
chez les dormeurs ordinaires, les effets grandement pondérateurs de l' idée de reposer dans laquelle ils se sont mis en entra
ns la distribution des forces, l'harmonie rompue par la réaction de l' idée de reposer sur tous les tissus, — est le phénomèn
, leur attention afflue et se concentre dans le cerveau au siège de l' idée qui fixe cet état, et cela pour un certain temps
point du cerveau où elle s'était accumulée, elle retourne, grâce à l' idée prise de s'éveiller, à la périphérie vers les fon
de sensibilité et, intérieurement, au siège du remuement mémoriel des idées qu'elle avait surtout, entre toutes, auparavant a
ncore ce qui se passait autour d'eux. Ses résultats ce rapportent aux idées fixes, aux névralgies, à l'insomnie, à la dyspeps
déterminantes du délire des grandeurs. On peut à volonté inspirer des idées délirantes à la plupart des paralytiques ayant du
ntels, ainsi que par des remarques moqueuses de leurs compagnons. Les idées de grandeur suggérées ne sont conservées ou dével
ginés et rêvés ne sont plus distingués des faits réels. Les groupes d' idées agréables au malade peuvent du rêve passer dans l
des processus psychiques, qui est désigné sous le nom de « Centre des idées . » La séparation d'une partie de notre conscience
e conscience à l'état de veille et la dissolution des complexus des idées donnent la pos-sibilitê d'une explication des per
état hypnotique, se produit dans le cas spécial la transformation des idées suggérées en mouvements et en actes. A ces troi
es cataleptiques sont produits par la limitation de la conscience à l' idée de la position des membres. Par conséquent, le
ue, qui dépend, d'ailleurs, de la dissolution du complexus normal des idées , dans laquelle nous voyons le signe caractéristiq
par le plomb, illusion des sens, hémiplégie du côté gauche, hystérie, idées mélancoliques, accès de tremblement de cause psyc
ysie du côté droit, strabisme de l'oeil gauche, faiblesse musculaire, idées fixes, vomissements incoercibles, etc. Comme no
automalismes centraux, qui de leur côté sont influencés par certaines idées de temps, qui le plus souvent restent latentes. D
s'expliquer par un adage de philosophie admis de tous, à savoir : a L' idée est un principe de mouve- ment. » Tous les fait
nsi que des suggestions ou auto-suggestions directes ou indirectes. L' idée est génératrice du mouvement et de la sensation.
atrice du mouvement et de la sensation. II suffit donc de provoquer l' idée chez le sujet, et !e phénomène que l'on se propos
suite de l'association communément répandue dans les esprits entre l' idée de sommeil et l'idée de fatigue des yeux. La fixa
on communément répandue dans les esprits entre l'idée de sommeil et l' idée de fatigue des yeux. La fixation du regard provoq
eux. La fixation du regard provoque la fatigue; la fatigue provoque l' idée du sommeil et l'idée du sommeil provoque le somme
egard provoque la fatigue; la fatigue provoque l'idée du sommeil et l' idée du sommeil provoque le sommeil. Partant de ce p
ypnose ne peut réussir que_ chez les sujets qui se laissent imposer l' idée du sommeil. La difficulté que nous éprouvons jour
u, on réussit le plus souvent à les débarrasser complètement de leurs idées délirantes ; aussi ne puis-je m'empécher de décla
tre confrère allemand pour déplorer la mort d'un praticien dévoué aux idées scientifiques qui nous sont connues. OUVRAGES R
ratif », în-12, 430 pages. — Chamuel, Paris, 1894. Dr Boirac. — a L' idée du phénomène », in-8°, 346 pages. — F. Alcan. 189
s qui, à l'état de veille, pour peu que l'on dirige leur esprit sur l' idée de dormir, entrent dans le sommeil provoqué presq
es individus qui surtout s'endorment par imitation et chez lesquels l' idée du sommeil, c'est déjà le sommeil, si cette idée
n et chez lesquels l'idée du sommeil, c'est déjà le sommeil, si cette idée s'empare d'eux dans un de ces moments d'indiffére
e pour percevoir les impressions, les transformer en sensations et en idées , examiner les motifs de leurs actions et à peine,
nœud de l'aiguillette, ou comme celle de nourrir dans leur esprit, l' idée d'une souffrance, d'une guérison, etc., ces croya
it, l'idée d'une souffrance, d'une guérison, etc., ces croyances, ces idées finissent par entrer en maîtresse dans leur cerve
é de la veillé, et le courant nouveau et absurde qui avait abouti à l' idée fixe qui les dominait. Il est un mode d'état pa
'une part, une minime partie de l'attention est immobilisée sur une idée , tandis que, de l'autre, la plus grande partie en
ntale des dormeurs. Car, on en fait journellement l'expérience, par l' idée que l'on inculque dans l'esprit des fascinés, on
ur l'impuissance des fascinés à réagir en quoi que ce soil contre les idées qu'on leur impose, se sont servis, pour amuser le
revêtus de l'élément émotif, élément formant atmosphère autour d'une idée qui en est le noyau; mais grâce à ce revêtement,
n, ce rayonnement qui, par contre-coup, vient entourer et renforcer l' idée ainsi qu'une auréole, enveloppe et fait ressortir
nnu l'efficacité virtuelle et sa grande supériorité sur ce que peut l' idée à elle seule, en expérimentant sur deux excellent
s. On le voit, dans ces deux cas, sous l'influence plus complète de l' idée suggérée, mais revêtue en surplus de l'élément ém
nde ; phénomènes variant par leurs signes et leur intensité selon les idées qui sont à leur origine. Dans le nombre dé ces au
Ces manifestations de divers états passionnels de l'esprit humain en idée fixe, que je viens de signaler, continuent la cha
rmation. Dans le sommeil, on retrouve des signes de chacune d'elles : idées fixes, au pôle passif; et au pôle actif, par cont
des passions dont je parle, perd du coup son pouvoir pour calmer les idées qui sont à leur base, ou leur imprimer une autre
logues au sommeil, cette disposition de s'affirmer ou de recevoir des idées fixes, émotives ou non, ou ayant peu ou beaucoup
ns ses mouvements pensants, comme elle le faisait auparavant ; si les idées qui s'élaborent alors au cerveau ne demeurent plu
res pensées cérébrales et les fonctions des organes ; si surtout, ces idées restent toujours comme solitairement entourées de
meil, il en est peu, en ce qu'ils sont, qui soient déterminés par une idée fixe non accompagnée de l'élément émotionnel. On
llement sur une même partie de leur corps, sans pouvoir en éloigner l' idée de leur esprit (1). Et quelques-uns demeurent des
nts, de l'aboulie, des phobies, etc., toutes choses en rapport avec l' idée fixe et unique de leurs causes. Je viens de cit
onté sur les impressions des sens converties en sensations, puis en idées simples et composées ; on constate ensuite que la
n et de la volonté en mouvement par l'élaboration et le remuement des idées : comparaison, raisonnement, etc. De même, dans c
au cerveau une accumulation de forces nerveuses sur une ou plusieurs idées fixes, d'où, par suite de cette dérivation, il ar
sommeil, soit ses dérivés, et cela par la présentation à l'esprit des idées qui sont à la base de ces états et les forment; o
propres, la formation des impressions des sens et des sensations, des idées , des jugements et des actes volontaires. Or, si c
la veille, tous trois se produisant par un appel d'attention sur des idées en formation ou formées, ne sont autres choses qu
ux après l'interposition d'un prisme : expérience du Dr Féré); 5° les idées , les sentiments, les instincts d'une personne lai
aliser avec toutes les apparences de la réalité : que, par exemple, l' idée du son peut produire un son ; l'idée de la chaleu
la réalité : que, par exemple, l'idée du son peut produire un son ; l' idée de la chaleur, la chaleur elle-même, etc. Cette s
'homme, et le fait que, dans l'état mondidêique chez un hypnotisé — l' idée perdant ses associations psychiques, retrouve ses
, par la répétition des paroles entendues, — il suppose que lorsque l' idée , à cause de l'insensibilité passagère du corps, q
trouver alors ses associations cosmiques ou physiques. Dans ce cas, l' idée du bruit provoquera dans l'air environnant le méd
s jours à Lourdes. Nous voulons aujourd'hui donner de ces faits une idée plus générale et embrasser le rôle de l'hypnotism
ait vivement préoccupé des questions d'occultisme et avait publié ses idées dans un livre intitulé : le Lendemain de la Mort.
et opérer au moment physiologique, pour faire entrer et accepter une idée . Il faut, dès le début du traitement, inculquer a
pas moins fort curieux. Ayant bien constaté cette particularité, l' idée me vint de faire quelques expériences sur les rêv
ine, le désir de restera la hauteur de la position conquise, et cette idée peu morale : que ce n'est point de la tromperie q
ts incoercibles; d) aphonie, paralysies et anesthésies psychiques; e) idées fixes (on les combat difficilement; ; f) crises c
'un demi-siècle, M. Raymond s'est attaché principalement à donner une idée aussi fidèle que possible médicale, et, comme pré
la clinique de la Salpétrière et qui répandent, de par le monde, les idées , les doctrines, la méthode du plus célèbre des ne
contemporaine doit ses méthodes les plus fructueuses, n'a jamais eu l' idée de gaspiller sa puissante activité dans des conco
t de d'Arsonval. Aucun de ces hommes de grande valeur n'a jamais eu l' idée d'affronter les péripéties des concours. L'ense
e doit donc faire place à un autre système qui soit plus conforme aux idées modernes et aux besoins de ceux qui veulent recev
ulgence vraiment excessive s'il les trouvait en rapport avec la haute idée qu'il doit avoir de notre enseignement médical.
ce parce qu'il est indépendant des causes secondes, mais conforme à l' idée supérieure d'ordre et de finalité. Le miracle ent
et de la force, il y a un principe qui l'éclairé et la complète, une idée souveraine qui domine tout : l'idée d'ordre et de
qui l'éclairé et la complète, une idée souveraine qui domine tout : l' idée d'ordre et de finalité, sans laquelle le monde n'
l'éminent géologue. . La science, vraiment positive, oppose donc l' idée d'ordre et de finalité à l'idée de fatalité absol
nce, vraiment positive, oppose donc l'idée d'ordre et de finalité à l' idée de fatalité absolue et de mécanisme universel. El
stion mentale, comme seul remède. Après quelque hésitation, due à l' idée erronée, gravée dans l'imagination de la grande m
tion réelle à résister à toute offre de la part d'une autre personne, idée suggérée la veille, je sortis une boite do cigare
le nôtre, sans contredit, peut revendiquer cette gloire. A peine une idée jaillit-elle du cerveau d'un savant que des vulga
mauvaises après son réveil, les exécutera alors sous l'influence de l' idée fixe imposée; le plus sage deviendra immoral, le
pour le compte d'autrui comme pour le sien, entraîné qu'il sera par l' idée irrésistible et fixe qu'on lui aura imposée ! Qua
va jusqu'à assimiler les hypnotisés à des malheureux obsédés par une idée fixe. Au contraire, l'école opposée, qui voit en
re punir. » L'homme, réveillé, cherche visiblement à rassembler ses idées , il se frotte le front, il pense. Moi : « Qu'est-
faire ? — Rien; j'ai fait ma commission. — Vous avez volé ! — Quelle idée ! — Qu'avez-vous dans votre poche?— Rien. (Remarq
ier ne contient pas de l'arsenic; que M. Liégeois ne peut pas avoir l' idée de lui faire empoisonner sa tante, sa tante qui e
son sang. On lui demande si ce n'est pas moi qui lui aurait suggéré l' idée du meurtre qu'elle vient d'accomplir. Elle affirm
tient le verre qu'on lui présente. Avec une candeur qui éloigne toute idée de simulation, M"" C... répond : « C'est de l'ars
sur ces lieux de contact des prolongements des cellules nerveuses, l' idée qu'un poison peut porter son action non sur la ce
s histologiques des phénomènes tels que la mémoire, l'association des idées , l'imagination, et de même comprendre histologiqu
ces. On conçoit qu'ainsi l'imagination, la mémoire, l'association des idées deviennent plus actives sous l'influence de diver
s expériences de mérotomie chez les infusoires (Morat, op. cit.). Les idées que nous émettons aujourd'hui sont une extension
es habitudes populaires. Dans beaucoup de pays, les mères éveillent l' idée du sommeil dans l'esprit de leurs enfants et leur
ns l'esprit de leurs enfants et leur imposent la réalisation de cette idée en invoquant l'intervention d'êtres fantastiques
aute ses plus longues dictées quand elle était à son côté, elle eut l' idée d'aller se placer derrière un paravent. « Aussitô
iation de la Presse médicale française, a eu, le premier en France, l' idée de fonder une Bibliothèque circulante de Médecine
ernheim, ou tous les deux — ayant hypnotisé un ouvrier, lui inspira l' idée de dérober deux statuettes en plâtre garnissant u
e on peut aviver la cupidité, la haine, la sensualité. Mais, dans mon idée du moins, il ne les fera pas naître; et, dans tou
conseil, car je savais que le milieu auquel je m'adressais, quoique d' idées élevées et au courant de beaucoup de choses, étai
ociale de la religion. Tous ceux qui se sont appliqués à détruire l' idée religieuse, se sont bornés à montrer l'absurdité
ogie, une pathologie distincts. S'il n'est pas le premier qui eut l' idée des localisations cérébrales, ce fut lui qui en d
osées des grandes villes, hystérique ou érotomane, elle était imbue d' idées religieuses puisées dans son enfance à Bartrès, b
s ces travaux ne sont pas la loi. Le texte sorti de la discussion des idées et promulgué fait seul la loi; c'est lui que le j
ans les œuvres subséquentes du même auteur, un penseur indépendant, à idées hardies, insoumis à l'autorité des maîtres de la
ait raconté que cet homme, nommé Manuel Blanco, sous l'influence de l' idée qui lui vint d'être ensorcelé, s'étant cru changé
ù il agissait suggestivement sur ses sujets d'expérimentations. Mêmes idées et mêmes actes absurdes chez Blanco et chez eux,
aux loups-garous, n'avait pu se défendre, son entourage aidant, de l' idée qu'on lui avait jeté un maléfice et qu'il était
le mécanisme. C'est qu'au lieu de se développer sous l'influence de l' idée suggérée par une personne sur une autre, comme ce
t de ce genre, ne voit-on pas des hommes qui, à force de caresser des idées , des actions qu'ils admirent, se les rendent peu
evenus lapins, rats et autres bêtes inoffensives. Obsédés chacun de l' idée particulière qui leur était imposée par l'élec-tr
rt-il sur son sujet un pouvoir absolu ; incapable alors de remuer des idées , de prendre des déterminations, de les exécuter d
ncentration de l'attention sur cette cheville ouvrière du sommeil : l' idée fixe de reposer. Si, en principe, les phénomènes
n l'autre, en réalité ils se pénètrent réciproquement, à mesure que l' idée , dans laquelle on s'est concentré pour dormir et
écute sans remords comme Gabrielle Bompart et la Feynarou ; ainsi des idées fixes que l'on garde consciemment, sans pouvoir s
s aliments non triturés, même un pépin de raisin; ainsi, mille autres idées suggestives que l'on a reçues ou que l'on s'est f
ychothérapique. Mais, ayant noté chez lui une certaine inquiétude à l' idée d'être hypnotisé, je lui proposai de le traiter p
ement. Craignant que l'impression mentale fût insuffisante, j'eus l' idée de renforcer la suggestion par un procédé mécaniq
bre de porter votre main à votre bouche. — Eh bien! chaque fois que l' idée vous viendra de vous ronger les ongles, vous pens
s.Et cependant il a conscience de son état puisqu'il sait, et quand l' idée vient, il a conscience de ne posséder aucun moyen
enait de se passer et il fixe l'image en répétant : Chaque fois que l' idée vous viendra de vous ronger les ongles, vous pens
l'acte, et vous ne l'accomplirez pas. En effet, quand après cela l' idée vient, c'est un mouvement commencé qui suit la vo
n'était pas soumis au pouvoir dynamique de ses réflexes; car alors l' idée première, l'état conscient primitif — il savait q
e serait pas rongé les ongles. Mais, dans son mouvement centrifuge, l' idée première subissait un nouvel arrêt qui constituai
traire, qu'on se hâte de l'enterrer et qu'on n'en parle plus. » Les idées émises l'an dernier à Lyon, par le Congrès de l'E
igneux de cette méthode — le P. Casscts ne laisse pas de se faire une idée assez nette des origines réelles de cette maladie
s la main pour examiner le pouls, qui était très rapide, et soudain l' idée me vint de lui faire exécuter quelque acte. Il s'
tion matérielle autre que celle de l'air environnant, une pensée, une idée . Remarquons d'abord que, au moins dans l'immens
nt, par eux-mêmes, impuissants à faire effort pour sentir, remuer des idées et agir, ils sont de toute nécessité impuissants
Tandis que, chez ces derniers, l'attention se porte, d'un côté, sur l' idée de reposer l'organisme; de l'autre, ce qu'il en r
yant leur activité amoindrie, sentent encore et même enregistrent des idées , mais n'ont plus déjà qu'exceptionnellement assez
oient affirmés ou se soient laissé affirmer, avant d'être endormis, l' idée fixe de ne pas accepter d'ordres qui leur soient
ême que je suis mieux informé, il me reste encore la conviction que l' idée générale de voler suggérée par le Dr X..., sugges
ixer pendant quelques secondes un coupe-papier, et en lui suggérant l' idée de dormir. La première fois je n'obtins que l'occ
cas, le réve arrivant au milieu d'un sommeil profond alors qu'aucune idée contraire ne vient s'opposer à celle émise par le
us... la thèse. « La thèse de doctorat est un vestige des anciennes idées médicales. Époque où notre profession n'était pas
e, ce sera meilleur, mais vous aurez employé votre temps à habiller l' idée d'un autre. « Si vous avez quelque argent, avec
d'instruments de chirurgie. « Quant aux rares étudiants qui ont une idée nouvelle, qui font des recherches originales, il
ntres cérébro-moteurs ; 7° Suggestion. — Transfert. — Rapports de l' idée et de son expression extérieure. — Suggestion men
a semaine dernière est mort à Genève un savant célèbre, un amoureux d' idées générales autant que de recherches minutieuses, K
grands philosophes de ce temps. Son esprit était ouvert à toutes les idées générales, et son œuvre scientifique fut considér
E EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 9e année. — n° 12. Juin 1895. LES IDÉES FIXES DE FORME HYSTÉRIQUE (1) Par le Dr Pierre
our comprendre les accidents des hystériques. Je dois vous parler des idées fixes, qui jouent dans la pathogé-nie de ces acci
quand on veut diriger le traitement de ces malades. Cette étude des idées lixes dans l'hystérie a commencé, comme vous le s
'un trouble psychologique. » Ce sont des paralysies qui dépendent des idées « dependent of idea. » Charcot insista sur l'ém
s élèves hésitent à généraliser cette conception relative au rôle des idées dans l'hystérie et emploient bien rarement, à pro
facile à expliquer. Depuis longtemps, on connaissait le phénomène des idées fixes, décrit déjà par Esquirol sous le nom de mo
par les aliénistes, et l'on ne trouvait pas chez elles les véritables idées fixes telles qu'on les connaissait. Cette remarqu
ais ne doit pas, à notre avis, être exagérée. Il faut chercher si les idées fixes ne se dissimulent pas chez nos malades en p
un peu particulière, il faut chercher en un mot s'il n'existe pas des idées fixes de forme hystérique. Pour y parvenir, je
e. Pour y parvenir, je résumerai brièvement certains caractères des idées fixes les plus connues pour montrer que les hysté
absolument comparables et pour constater enfin quelle modification l' idée fixe présente chez nos malades. 1 Pour consta
ation l'idée fixe présente chez nos malades. 1 Pour constater les idées fixes sous leur forme la plus simple, je vous rap
se avec ce médecin et passe ses nuits à se confesser à son mari : une idée fixe de remords a remplacé presque complètement l
son mari : une idée fixe de remords a remplacé presque complètement l' idée amoureuse. D'ailleurs, ces idées, même la dernièr
rds a remplacé presque complètement l'idée amoureuse. D'ailleurs, ces idées , même la dernière, diminuent sensiblement depuis
arée de son mari. Je n'insiste pas sur tous les caractères de cette idée fixe, ce qui n'est pas l'objet de mon étude actue
ulier, se développèrent complètement dans la conscience de Mme A... L' idée fixe était ici bien analogue à une suggestion, el
t le développement complet, automatique, de tous les éléments d'une idée en dehors de la volonté du malade (1). Mme A..,,
prit tout particulier qui, à mon avis, a permis le développement de l' idée fixe. Cet état, qui se caractérisait surtout par
fin, d'autres symptômes peuvent être considérés comme postérieurs à l' idée fixe, comme la conséquence de cette idée ; ce son
idérés comme postérieurs à l'idée fixe, comme la conséquence de cette idée ; ce sont, en premier lieu, des actes, des parole
e surajoutent aux premiers. Si nous faisions une étude complète des idées fixes, il faudrait étudier séparément ces trois g
tinguer soigneusement ce qui est un stigmate primitif, ce qui est une idée fixe accidentelle, et ce qui est une conséquence
açon dont il se présente, être simplement un stigmate, constituer une idée fixe ou dépendre d'un trouble d'attention consécu
uer une idée fixe ou dépendre d'un trouble d'attention consécutif à l' idée fixe (3). Ces distinctions ne sont pas, à mon avi
mon avis, sans importance. Il faudrait aussi étudier le phénomène des idées fixes en lui-même et constater les variétés qu'il
en lui-même et constater les variétés qu'il représente, suivant que l' idée est complète et se développe jusqu'à l'hallucinat
ète et se réduit le plus souvent à l'obsession verbale, suivant que l' idée est primitive ou qu'elle est secondaire et dérive
primitive ou qu'elle est secondaire et dérive de la première, comme l' idée (1) Pierre Janet. — « Accidents mentaux des hys
tinctions dans plusieurs articles : « Etude sur un cas d'aboulie et d' idées rixes ». Revue philosophique, 1891, I, 280 ; « Am
ntinuo n Revue générale des sciences, 1893, p. 176 ; « Histoire d'une idée fixe » Revue philosophique, février 1891, p. 12!.
elle-même, peuvent être la conséquence indirecte de l'existence d'une idée fixe. Mais, je ne crois pas qu'il en soit toujour
nécessairement ainsi. de remords dans le cas présent dérivait de l' idée amoureuse, suivant que l'idée est acceptée par le
mords dans le cas présent dérivait de l'idée amoureuse, suivant que l' idée est acceptée par le sujet qui croit à la réalité
e malade, les trois groupes de symptômes, les stigmates antérieurs, l' idée fixe et les accidents consécutifs, sont tous les
que les malades de ce genre ont la conscience et le souvenir de leur idée fixe. II Les hystériques peuvent présenter qu
r idée fixe. II Les hystériques peuvent présenter quelquefois des idées fixes à peu près analogues aux précédentes, des i
quelquefois des idées fixes à peu près analogues aux précédentes, des idée fixes qui sont même très complètes, mais le plus
s sommes disposés à expliquer, suivant la théorie de Charcot, par des idées fixes, nous voyons que les phénomènes ne sont plu
s combien elle est suggestible, combien elle a eu de tics bizarres, d' idées fixes absurdes : je suis donc disposé à croire qu
te malade, si on l'interroge dans ce sens, affirme qu'elle n'a aucune idée obsédante et qu'elle n'a jamais réve à un vertige
un vertige ; elle ne sait même ce que nous voulons dire en parlant d' idées de ce genre, et elle est persuadée qu'elle a une
n est disposé à rattacher ces sommeils à des émotions et à chercher l' idée , le fait psychologique, qui les provoque. Mais, c
se passe pendant ces sommeils, elle affirme n'avoir au début aucune idée en tête et même avoir à peu près oublié ses ancie
thiques de la miction, à des incontinences psychiques dépendant d'une idée , d'un rêve. Mais nous nous heurtons toujours à la
é. En un mot, cette femme avait évidemment des impulsions et même des idées fixes, mais ne pouvait les décrire, car elle n'en
nts mentaux des hystériques », p. 163. les malades obsédées par des idées fixes. Des trois groupes de symptômes que nous av
de symptômes que nous avons constatés, les stigmates préalables, les idées fixes conscientes pour le sujet et conservées dan
e sujet et conservées dans le souvenir, les accidents consécutifs à l' idée fixe, nous n'en pouvons observer que deux, le pre
etc. Mais le phénomène intermédiaire, cause supposée des accidents, l' idée obsédante et impulsive, le rêve émotif, où est-il
de semblable et qu'elles ne se souviennent pas d'avoir eu en tête des idées de ce genre. On comprend donc que beaucoup d'au
hésité à expliquer avec Charcot les accidents des hystériques par des idées fixes, car il est incontestable que, bien souvent
par des idées fixes, car il est incontestable que, bien souvent, ces idées ne se manifestent pas chez elles d'une façon clai
es autres aliénées. III Faut-il conclure de ces remarques que les idées fixes n'existent pas chez ces malades et chercher
uivant, en est bien la preuve. Eh bien, les hystériques ont aussi des idées dont elles n'ont pas conscience et de véritables
ont aussi des idées dont elles n'ont pas conscience et de véritables idées fixes qui restent subconscientes. Pour constate
es crises de sommeil, disons plutôt qu'elle a des attaques de réve, d' idées obsédantes avec hallucinations toujours les mêmes
e, au moins par son évolution. Ne peut-on pas dire qu'il s'agit d'une idée fixe, développée par une suggestion due au specta
iens qui lui ont donné de l'éther, etc., elle se souvient surtout des idées qui l'obsédaient, elle décrit son besoin impérieu
le'marchand de vins ivrogne, et qu'elle cherchait à l'imiter. Voici l' idée fixe qui s'exprime et qui s'explique complètement
pas tout à fait une malade ayant subconsciemment une seule et unique idée fixe bien nette. Cet exemple nous montre seulemen
ents que je vous avais présentés étaient donc bien déterminés par des idées , malgré l'assurance des malades à nier toute idée
déterminés par des idées, malgré l'assurance des malades à nier toute idée obsédante. Seulement ces pensées, qui dans certai
sieurs, cette forme particulière que prennent, dans certains cas, les idées fixes, ne me semble pas une simple curiosité clin
cation des maladies mentales. Au lieu de réunir en un seul groupe ces idées fixes, ces monomanies qui forment ainsi un amas u
vers, on peut mettre à part, comme un groupe assez bien délimité, les idées fixes de forme hystérique. Sans doute, il restera
e nous semble intéressante pour la théorie, pour l'interprétation des idées fixes. Cette dissociation de l'esprit, que l'on c
on de l'esprit, que l'on constate dans l'hystérie, cet isolement de l' idée fixe en dehors du contrôle des autres phénomènes
ment et son pouvoir. Je ne serais pas surpris si, pour comprendre les idées fixes en général, on était obligé de commencer pa
idées fixes en général, on était obligé de commencer par l'étude des idées fixes subconscientes. 3° Enfin, la considératio
fixes subconscientes. 3° Enfin, la considération de cette forme des idées fixes n'est pas indifférente au point de vue thér
s malades que je vous ai présentées sont des malades guéries dont les idées fixes ne sont plus qu'un souvenir. Les vertiges
guérisons ont été obtenues, c'est qu'il a été possible d'agir sur ces idées fixes, de les dissocier. Autant ces accidents son
araître quand on a bien saisi leur mécanisme. Aussi cette étude des idées fixes de forme hystérique s'est-elle assez rapide
ées comme la continuation des travaux de Charcot sur les maladies par idée , par imagination, et qu'elles ont contribué à exp
religieuses, 152. Hystérie à Madagascar (l'), par Cullerre. 317. Idées fixes de forme hystérique (les), par Janet, 353
4 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comme origine aux deux syndromes vaso-moteurs des émotions devenues idées fixes subconscientes et de modifier les symptôm
e mal asphyxique, survenue et la suite d'une émotion transformée en idée fixe subconsciente chez une malade atteinte ant
mps, son irritation devenait plus vive. A cette époque elle eut l' idée du suicide. Son 'projet reçut un commencement d
ce qu'elle fit immédiatement, et ce qui éveilla dans son esprit une idée joyeuse, que les phénomènes disparurent. La mal
isine. Chaque fois que nous eûmes à détourner son attention par une idée joyeuse, c'est toujours une idée religieuse qui
détourner son attention par une idée joyeuse, c'est toujours une idée religieuse qui survient avec le rire : < Ah !
en modifier le début. Après avoir été quelque temps rebelle à cette idée , elle accepta que son affection avait commencé à
lle se représenta la pierre qu'elle nous décrivit d'ailleurs. Cette idée , elle l'a gardée à l'état de veille. L'examen d
tourner à Chaumes auprès de son mari, à cause de ses enfants. Cette idée nous n'aurions pu la supprimer de l'esprit de not
use de ses enfants. Cependant, nous l'avions peu à peu habituée à l' idée qu'il ne lui était pas désagréable de revenir à
l'hypnose d'une amnésie con- 1 iiiue qui était en rapport avec tfne idée fixe subconsciente ayant eu pour point de dépar
- motions, a présenté d'abord des phénomènes de neurasthénie avec idée de suicide, puis des crises convulsives hystériqu
a conséquence habituelle. Puis peu à peu, elle se transforme en une idée fixe plus ou moins consciente ou sub- conscient
rme en une idée fixe plus ou moins consciente ou sub- consciente, l' idée de calomnie, qui est la cause des crises sponta
n apparence, qui deviennent subintrantes. Les crises, entretenant l' idée fixe de la malade, et son idée fixe rappelant s
intrantes. Les crises, entretenant l'idée fixe de la malade, et son idée fixe rappelant ses crises, il s'établit un cerc
t de mal est l'expression symptomatiqne. C'est en modifiant cette idée fixe, dont la réalité apparaît pendant l'hypnos
transformation dans le genre et la durée des crises. Mais sur cette idée principale sont venues se greffer d'autres idée
s. Mais sur cette idée principale sont venues se greffer d'autres idées fixes subconscientes secondaires. Les conversatio
e d'aggravation du mal. La nature psychique apparaît encore quand l' idée fixe, a été supprimée, par interdiction, du cha
et, on peut répéter ce que Pierre Janet dit dans son histoire d'une idée fixe'. 1 Revue philosoplz., févr. 1894. DÉLIR
nfections secondaires, de même la maladie n'est pas terminée avec l' idée fixe primitive. La réceptivité qui sub- siste d
ant ces deux dernières années. Depuis quelques mois cependant à ces idées de persécution paraissent s'ajouter ou pour mie
rsécution paraissent s'ajouter ou pour mieux dire se substituer des idées de grandeur. Son altitude se modifie; elle ne c
s gestes de ses proches prête à les interpréter dans le sens de ses idées maladives. Un jour, son mari lui apporte, pour
faits passés, que la malade in- terprète ainsi dans le sens de ses idées actuelles de grandeur. A Joinville on a crié au
épublique vous regarde. » Augustine n'a pas abandonné pour cela ses idées de vengeance; dès qu'elle sera proclamée, elle fe
oints de contact tels que la prédominance des hallucinations et des idées délirantes, elle s'en distingue par la rapidité e
nce et l'obscurité du jugement qui s'opposent à l'échafau- dage des idées délirantes organisées, enfin par la rapidité de
ve à forme amoe- nomaniaque, serait au contraire constituée par des idées déli- rantes, plus ou moins logiquement enchaîn
'il n'y a pas de délire systématique aigu, que l'incoordination des idées délirantes de per- sécutions et de grandeurs et
néral hallucinatoire incohérent, dans lequel on trouve en germe des idées de persécutions, mais la dissociation des faculté
nstruit un délire à l'aide de fondations qui sont des fictions. Les idées délirantes et les hallucinations sensorielles r
t les actes des malades. Mais les symptômes principaux sont : les idées délirantes, qui sont des créations de toutes pièc
rellement à ces conceptions l'appoint des sensations spéciales. Ces idées s'implantent, grâce à des lacunes concomitantes
ons sensorielles s'y reflé- tant tantôt pour donner naissance à des idées délirantes en rapport avec elles, tantôt pour e
t pour engendrer de simples tableaux kaléidoscopiques producteurs d' idées passagères comme eux : de même que dans le déli
élire des persécutés persécu- teurs. Tout se réduit à la notion des idées délirantes de persécution ou autres, plus ou mo
de Kroepelin a pour éléments des troubles in- tellectuels machinés ( idées délirantes et hallucinations senso- rielles) en
nent la scène, et ce sont elles qui engendrent, secondairement, des idées délirantes, et des anomalies de l'hu- meur : le
ivité de la sensibilité morale, la mobilité et l'incoordination des idées délirantes, et la rapidité relative de sa termina
core un délire dépressif (depressiver Wahnsinn) caractérisé par des idées d'autoculpabilité et des hallucinations sensoriel
troubles de la sensibilité affective, la plus grande abondance des idées , et la moindre accentuation de l'affaiblissemen
ui-ci, un délire expansif (expansiver Wahnsinn) caractérisé par des idées de grandeur et l'exaltation de l'humeur, et se
jectifs les plus variés. Le symptôme le plus marquant, c'est une idée délirante fichée dans le psukê, ou un système d'i
ant, c'est une idée délirante fichée dans le psukê, ou un système d' idées délirantes de même ordre. Tantôt les idées déli
e psukê, ou un système d'idées délirantes de même ordre. Tantôt les idées délirantes sont le produit des hallucinations s
ont les divers genres de délires mélancoliques avec hallucinations, idées de persécutions, désordre dans des idées, désig
iques avec hallucinations, idées de persécutions, désordre dans des idées , désignés sous le nom de 'Wahnsinn; c'est enfin l
ant, écrit-il, qu'un individu résiste à ses hallucinations et à ses idées délirantes, en conservant la netteté de son juge-
ur symptômes cardinaux la démence accompagnée d'hallucinations et d' idées délirantes systématisées (systematisirte Halluc
e que l'on prétend être un type, et auquel on attribue le mélange d' idées de grandeurs et de persécutions, on a même pron
on pour des con- sidérations d'ordre pathogénique. Partant de cette idée qu'à la base des attaques d'épilepsie se trouve
ils ne seraient pas un objet de répulsion pour l'entourage. Cette idée a, du reste, été déjà mise en pratique, mais par
alades de sa clinique; les deux premiers constituent des exemples d' idées présomptueuses ou d'exa. 52 ) SOCIÉTÉS SAVANTES
ns processives qu'on a soupçonné l'aliénation mentale. Il n'a pas d' idées délirantes, ni en particulier d'idées de persécut
énation mentale. Il n'a pas d'idées délirantes, ni en particulier d' idées de persécutions, mais il présente dans toute sa
mique de M. Hebold (obs. I) était exacte. M. SELLE. Quelques cas d' idées présomptueuses ou d'exagération. Dans la Deutsc
térisés par un délire tout à fait circonscrit tournant autour d'une idée fixe suivant le sens des vieux auteurs. Voici,
aissé passer son bien en des mains étrangères), est tourmentée de l' idée fixé ou exagérée, que la vente est irrégulière,
ire de chicane et tout un groupe de folies partielles proviennent d' idées présomptueuses ou exagérées, la conscience deme
tion ne puisse, sans que la conscience fût troublée, développer une idée présomptueuse ou exagérée, mais 54 SOCIÉTÉS SAV
e valeur, ainsi que cela se voit dans un cerveau déjà affaibli, les idées présomptueuses ou exagérées se donnent libre ca
A l'établissement il travaille assidûment mais sans abandon- ner l' idée de la légitimité de ses réclamations; il ajoute q
teint d'une maladie sexuelle incurable. Il tient absolument à cette idée [exagérée ; il s'agite, lorsqu'on lui dit que l
profon- dément affectée et déprimée. Il s'est développé chez elle l' idée présomptueuse qu'un M. de N... l'aime et veut l
e sa vie à la solution d'un problème scienti- fique obéissent à des idées exagérées et présomptueuses. Chez son malade il
ymptômes élémentaires : ainsi est-il tout habituel de constater des idées d'exagération dans la mélancolie ; c'est presqu
ci. Par contre, dans la manie, il y a une certaine dépréciation des idées . Sous cette appellation de dépréciation des idées
dépréciation des idées. Sous cette appellation de dépréciation des idées (Un- terwe·t7vigheüder Ideen), je comprends une
terwe·t7vigheüder Ideen), je comprends une sorte de nivellement des idées ; ainsi les attributs du caractère qui sont l'apan
panage de l'édu- cation et que l'on pourrait désigner sous le nom d' idées présomp- tueuses exagérées (De6ern)6 ? '</e)
ujours l'homme désintéressé par excellence. Toutefois, ramené à des idées plus pratiques, il prit ses inscriptions à l'écol
es mais avec intégrité des facultés intellectuelles. A. M. VII. Des idées et sentiments relatifs à la sphère sexuelle chez
ces généraux et de la direction notamment. D'ailleurs, mal- gré les idées qui avaient cours jusqu'alors, on avait de moins
ui avaient cours jusqu'alors, on avait de moins en moins appliqué l' idée de la séparation en question ; bien des éta- bl
longuement avec les malades; il ne tentera point de modifier les idées délirantes des aliénés, il n'aura de commerce ave
fférent. Reconnaissons toutefois que le mot Hôpital explique plus l' idée de soins de guérison. Puisque que les asiles so
on est louable. Nous avons toujours essayé de faire prévaloir cette idée que les asiles devant être des Maisons de trait
on absolument dénuée de fonde- ment. Mais cela devient chez lui une idée fixe. Il devient processif, accuse tout et tous
e). On ne constate d'ano- malies chez le défendeur, que lorsque les idées délirantes, relatives à sa femme, se mettent de
vité intellectuelle d'un malade hanté par des hallucinations et des idées de persécution ou des idées délirantes absorban
ade hanté par des hallucinations et des idées de persécution ou des idées délirantes absorbantes quelconques qui tendent
ation, de coordination des images corticales, de l'enchaînement des idées . Il en résulte un désordre, un pèle-môle, une c
par un enchaînement de fables déli- rantes aboutit à la fixité de l' idée . Toutefois il n'est pas rare, dans la paranoïa,
ies ; les conceptions sont profondément amoindries. On constate les idées délirantes et les hallucina- tions sensorielles
sion mentale (verzuorrene .Ce/M'e) ou délires diffus, il existe des idées délirantes systé- matisées et constantes (ssten
). Ces textes donnent une grande clarté aux mots et aux choses. L' idée de la folie systématique aiguë y est exprimée san
ne conception contradictoire ne naît dans son cerveau. Les quelques idées normales qui peuvent lui rester n'entrent point
re (délire des grandeurs et délire des persé- cutions). Quand les idées commencent à galoper, on assiste à la créa- tio
au milieu du verbiage confus apparaissent certains mots, certaines idées opiniâtres qui permettent de démêler des idées
ains mots, certaines idées opiniâtres qui permettent de démêler des idées délirantes constantes qu'on arrive à rattacher
rait donc une folie systématique aiguë, simple ou halluci- natoire ( idées de suspicion on de persécutions en germe non enco
ns sous l'une des rubriques proposées, en prenant pour guides : les idées de persécutions ou de grandeurs, les idées déli
renant pour guides : les idées de persécutions ou de grandeurs, les idées délirantes baroques quelconques, l'émotion du m
ques quelconques, l'émotion du malade impressionné ou non par ses idées délirantes, la forme et les allures des hallucina
), avaient parlé de l'incohérence par défaut d'association dans les idées ; de même, Ziehen, fouillant le sujet, analyse l
nt des conceptions. « Quand les hallucina- tions cumulatives ou les idées délirantes portent en elles des nuances sentime
s sentimentales très vives, positives ou négatives, la décharge des idées représentatives est surtout accélérée, rare- me
ment ralentie. M. Ziehen examine ensuite la rapide succes- sion des idées qui, sous la forme de galop, se produit d'emblée
anie fu- rieuse grave. C'est cette espèce de galop intercurrent des idées qui, de même que chez les maniaques, peut about
hérence secondaire. Le ralentissement primitif de l'association des idées se présen- terait aussi, comme symptôme intercu
ans la paranoïa, c'est l'incohérence primitive de l'association des idées ; on la désigne sous les noms de déso- rientatio
me principale de para- noïa, la paranoïa simple avec prédominance d' idées délirantes primitives. Mais cet auteur fait aus
modalités de paranoïa on note les mêmes symptômes DE LA PARANOÏA. idées délirantes hallucinations incohérence avec dsatS-
es, kaléidoscopiques, enfin une perturbation dans l'association des idées , très considérable à la période d'acmé delà mal
arla finesse d'exécution des détails de l'édifice constitué par les idées délirantes et la grande lucidité des malades, tan
la grande lucidité des malades, tandis que dans la verwirrtheit les idées délirantes, polychromes, n'ont du délire que la
moteurs ne s'est pas fait sentir malgré la remarque de Janet que l' idée subconsciente trop faible pour apparaître au mi-
iente trop faible pour apparaître au mi- lieu des sensations et des idées de la veille se développe plus facilement à la
le mé- canisme de l'hystérie par l'existence d'une émotion ou de l' idée fixe subconsciente. 1 Revue de l'hypnotisme,
e Raynaud, on peut deviner l'influence d'une émotion transformée en idée fixe subcons- ciente, mais l'analyse psychologi
et plus durables. Si, comme chez Garn...r, sous l'influence d'une idée fixe, les paroxysmes peuvent devenir subintrant
r quelques cas analogues publiés récemment par Bechterew, il émet l' idée qu'à côté de la forme classique de la pachyméni
bligé de passer par l'intermédiaire d'un phénomène psychique, d'une idée sugges- tive. Cette conception ne détruit en ri
es symptômes de la rage, même du satyriasis. Au lieu d'admettre une idée d'irritation dont l'existence ne peu}, être éta-
s autres mala- dies nerveuses et qu'elle existe sans nécessiter une idée d'auto-sug- gestion et pour montrer le rôlepath
avec M. Le Filliâtre. Il s'agit d'un dégénéré héréditaire atteint d' idées de persécution avec hallucinations ver- bales,
l est donc bon d'adopter un terme d'en- semble qui puisse fixer les idées . Voici en conséquence ce que nous proposerions
de la folie systématique pure ou dégénérative, ou inversement des idées de persécution ou de grandeur qui se montrent che
ns quelle catégorie rentrait le fait observé. Dans un autre ordre d' idées , mentionnons : Leçon d'ouverture d'un cours pub
dans les Congrès et au Conseil supérieur de l'assistance publique l' idée de la création d'asiles spéciaux pour les alién
et réalisé, contestent l'utilité de cette'réforme et n'ont pas une idée des résultats heureux qu'on peut obtenir en s'occ
avoue qu'il n'a jamais aimé sa femme : « Nous n'étions pas de même idée tous les deux, » nous dit-il; mais, quand on ve
ire. 013SERV,TION'. .E'n/</t)'o ? Ka/te sous la dépendance d'une idée fixe chez une malade hystérique atteinte antéri
e sa famille ou d'un grand personnage, soit en évoquant seulement l' idée de la mort, immédiatement l'image du cadavre de
u'elle ressentait *de nouveau. Puis à cette sensation succéda une idée , celle de la mort, qui revenait souvent à l'esp
ent à l'esprit de la malade, et affectait parfois les allures d'une idée fixe. En dehors de toute conversation, sans rai-
xe. En dehors de toute conversation, sans rai- son apparente, cette idée harcelait la malade. Quand elle se réveillait d
idée harcelait la malade. Quand elle se réveillait dans la nuit, l' idée qu'elle allait mourir sous peu venait la surpre
au bord de son lit, et restait des heures entières absorbée par son idée sinistre, plongée dans un anéantissement dont ell
on- dément. Un jour, allant faire son marché, elle est prise de l' idée qu'elle va mourir dans quelques instants et ren
propos, par un fait qui attiraient son attention, elle oubliait son idée de la mort. Elle reprenait sa manière d'être ha
abituelle. Elle était vive, enjouée, turbulente. Depuis deux ans, l' idée et la peur de la mort sont allées en s'atténuan
rs 11 heures du matin, la malade était dans son lit, en proie à son idée , ayant peur de mourir, quand elle ressentit les
s que la malade ne dormait pas et avait constamment dans l'esprit l' idée de la mort, les douleurs existaient soit contin
tion pénible de l'enfance persiste pour se transformer peu à peu en idée fixe; qui, à la suite delà mort de sa mère cont
ALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 175 La cause efficiente est l' idée fixe qui a eu pour point de départ l'émotion. L
sion et l'émotion qui l'accompagna. Puis l'émotion se transforme en idée fixe, l'idée de la mort. Elle perd sa mère et f
on qui l'accompagna. Puis l'émotion se transforme en idée fixe, l' idée de la mort. Elle perd sa mère et fait sous cette
t dans une chambre à côté de la morte, qu'étant au lit en proie à l' idée de la mort elle ressent pour la première fois d
rémités et l'érythromélalgie. Par la transformation de l'émotion en idée fixe subcons- ciente qu'on y rencontre, elles c
our les paralysies et les contractures, il faut l'intervention de l' idée fixe, de la pensée du malade. Ils appuient dire
en est de même que pour une malade chez qui on fait disparaître une idée fixe datant de plusieurs années et qui par suit
t qui par suite de sa suggestibilité peut contracter de nou- velles idées fixes passagères. Il en est de même que chez un
ffection de Raynaud. L'état de mal asphyxique en rapport avec une idée fixe sub- 1 Nous-même avons observé un cas d'ér
t produits artificiel- lement sous l'influence de l'émotion ou de l' idée fixe. Ils ont donc comme cause un réflexe dont
une façon très nette le réflexe à point de départ central (émotion, idée fixe) qui cause la symptomatologie. ' Il sera
des phénomènes vaso- moteurs de l'hystérie on trouve l'émotion ou l' idée fixe sub- Quelquefois le point de départ de l'e
point de vue de la pratique car la suppression par l'hypnose de ces idées fixes peut produire la guérison. - On peut ré
n morale, et de présenter par la transformation de cette émotion en idée fixe subconsciente une série d'accès subintrant
ment hystérique. Elle est en rapport avec une vive émotion ou une idée fixe subconsciente. On y retrouve souvent le rh
ntale, sans lésions, ayant pour élé- ment symptomatique principal l' idée délirante en passe de se systématiser, et que c
t DE LA PARANOÏA. 189 de jour en jour nos besoins d'appliquer des idées générales. C'est pourquoi Magnan, reprenant et
ersécutions. M. Dagonet pense que celui- ci peut aussi évoluer sans idées de grandeur et ne se termine pas nécessairement
très peu de persécutés qui n'aient eu, pendant leur existence, des idées de grandeur, et n'a jamais vu de délire systéma
tions en reprenant les trois possibilités de Falret. 1° Ou bien les idées de grandeurs arrivent chez les persécutés par d
uction logique ; 2° ou bien elles sont spontanées et provoquent des idées de persécution ou servent à les coordonner; 3°
a même observation nous serait suggérée par la classifica- tion des idées morbides de persécution de Charpentier en idées
lassifica- tion des idées morbides de persécution de Charpentier en idées de persécution pouvant aller jusqu'au délire d'
uvant aller jusqu'au délire d'origine trauma- tique ou chirurgicale idées de persécution pendant et après les maladies ai
es de persécution pendant et après les maladies aiguës persécutés à idées délirantes empruntées aux délires idées déliran
aladies aiguës persécutés à idées délirantes empruntées aux délires idées délirantes de persécution simulant celles de l'
ychique, elle est essentiellement caractérisée par la confusion des idées , par suite de l'affaiblissement et de l'incoordin
blissement et de l'incoordination du processus de l'association des idées , de la perception, de l'aperception personnelle
Tuke) ; on leur attribue ce caractère commun de se traduire par des idées délirantes et des hallucinations sensorielles,
, de la paranoïa, et quelquefois de l'amentia ; on enregistre des idées délirantes de grandeur et de persécution, un état
s citons M. Korsakow), il existe une tendance à une asso- ciation d' idées incorrectes; il en résulte des assemblages sem-
résulte des assemblages sem- 200 CLINIQUE MENTALE. blables à des idées fausses (superstitions, préjugés). Aussi inter-
plus ou moins accentué, et, pour le moins, à l'état épisodique, des idées obsédantes, ou telles et telles anomalies des p
ntôt à une mélancolie anxieuse, typique et s'accompagna de'diverses idées délirantes; c'étaient, en premier lieu, des idé
pagna de'diverses idées délirantes; c'étaient, en premier lieu, des idées de ruine avec des idées de culpabilité aux- 208
délirantes; c'étaient, en premier lieu, des idées de ruine avec des idées de culpabilité aux- 208 REVUE DE PATHOLOGIE MEN
x- 208 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. quelles vinrent s'ajouter des idées de non-existence, portant d'abord sur les objet
e quelques mois, sous l'influence des injections de mor- phine, les idées délirantes de négation s'effacèrent et peu à peu
le du palais dans cette dernière affection. P. SOLLIER. VIII. LES idées FIXE.; par Hack Tuke. (Brain, part. II, 1894, p.
eur passe en revue et donne des observations des différents types d' idées fixes. Dans la seconde, il se demande quelles s
demande quelles sont les conditions cérébrales qui accompagnent les idées fixes. 11 y a psychologiquement une désu- nion
ychologiquement une désu- nion des plus hauts centres, et entre les idées saines et les idées fixes il n'y a souvent qu'u
désu- nion des plus hauts centres, et entre les idées saines et les idées fixes il n'y a souvent qu'une différence de deg
Quant aux modifications physiques il est probable que dans le cas d' idées fixes sans folie, il n'y a aucune lésion, et qu
d'une dissolution plus marquée devient incapable de distinguer les idées vraies des fausses. IX. DE l'absence DU chevauc
tte excitation cérébrale intense, avec loquacité, désordre dans les idées et dans les actes, agitation incessante, insomn
ce propos, l'auteur indique de façon fort complète quelles sont ses idées , relativement à l'édification, à la disposition g
un état de stupeur panophobique avec confusion hallucinatoire des idées et symptômes de méningo-encéphalite comme on en a
des maladies infectieuses aiguës : rien n'y manquait, pas même les idées absurdes de satisfaction et de richesse. 214
ées; que l'on cause en eux ou avec eux ; qu'on leur soustrait leurs idées ; que l'on correspond avec eux par des tuyaux, p
Conclusions : ioll y a folie induite quand un aliéné implante ses idées délirantes sur les personnes de son entourage j
hallucinations de l'odorat et du goût, se relient en général à des idées d'empoisonnement; 2° Les hallucinations de la v
tuer. Sous l'influence de ce dédouble- ment de la personnalité, les idées de persécution prennent une teinte spéciale, my
rennent une teinte spéciale, mystique, finissent par s'éloigner des idées de per- sécution habituelles et,'en tenant comp
ation, au milieu social, se rapprochent au contraire beau- coup des idées de possession, d'observation fréquente autrefois;
ervation fréquente autrefois; mais les malades, plus au courant des idées du jour, invoquent le spiritisme, la suggestion
urs pensées semblable à un fait de possession. 8° En outre de ces idées de possession, ces malades présentent des idées
8° En outre de ces idées de possession, ces malades présentent des idées hypocondriaques, lesquelles, de même que les idée
s présentent des idées hypocondriaques, lesquelles, de même que les idées de possession, peuvent aboutir à des idées de n
quelles, de même que les idées de possession, peuvent aboutir à des idées de négation systématisées. D'autres fois, au li
systématisées. D'autres fois, au lieu d'aboutir à la négation, les idées de posses- sion prennent une teinte mégalomania
omaniaque. 9° Enfin l'on peut aussi rencontrer chez ces malades des idées de persécution sous la forme ordinaire. Le di
ment d'une autre personnalité; 6. avec la mélancolie délirante avec idées de pos- session ; ici, c'est l'évolution de la
es ennemis. Il s'agit d'un malade présen- tant depuis longtemps des idées de persécution, des idées de gran- deur et des
malade présen- tant depuis longtemps des idées de persécution, des idées de gran- deur et des troubles très accusés de l
dicale. Les diagnostics étaient les suivants : folie intermittente, idées de persécution, mélancolie, folie morale. M.
a psychose en question fait explosion. Soudain le désordre dans les idées (Verwirrtheit) apparaît avec des hallu- cinatio
trente ans, un état d'agitation incessante avec désordre dans les idées , d'ailleurs profuses et pressées, tel qu'elle est
enter sous deux formes différentes. La première forme ressemble aux idées délirantes comparées aux rêvasseries qui suiven
période d'agitation avec propos incohérents, confusion complète des idées qui rapproche cette première forme de la seconde.
a seconde forme, en effet, se traduit par une absolue confusion des idées , avec désordre des actes, gesticulation ; les mal
34 SOCIÉTÉS SAVANTES. dans ses mouvements, il manifeste parfois des idées de grandeur, enfin on peut enregistrer des symp
tions. Ce terme très général ne doit s'appliquer qu'à un ensemble d' idées délirantes de négation, aussi bien dans la méla
ie que dans les autres formes d'aliénation mentale. Suivant que ces idées délirantes seront ou non systématisées, on aura
ées, on aura le délire des négations ou au contraire simplement des idées de négation. M. Séglas étudie dans la première
tre encore plus ou moins systématisé. Enfin il passe en revue les idées de négation que l'on peut ren- contrer au cours
ontrer dans d'autres affections mentales que la mélancolie. * Les idées de négation, d'une façon générale, sont la manife
M. PuTEAUx. Il nous est difficile de ne pas protester contre cette idée que les asiles d'aliénés ne sont pas des établiss
animité des voix adoptée par la Com- mission. , Quelle singulière idée a-t on eue aussi d'attribuer au minis- tère du
minaisons du nerf vague avec phénomènes réflexes, ne repousse pas l' idée d'une intoxication. Il ressort donc de ceci que
s de mettre'am'plement en scène' et;que, dans'l'espèce, ce sont les idées de persécutions et' de grandeurs qui les 'ont s
ystématisation1 plus ou moins nette, plus ou moins compacte, de ces idées délirantes, et la persis- tance de' cette systé
t eh vérité le délire des persécutions de Lasè-ue, avec ou sans les idées de -grandeurs -systématisées que M. Ma- gnan lu
à l'épithète aiguë. En effet ces expressions là portent, en elles l' idée .d'un élément'délirant empreint d'un caractère d
'un délire systématique aigu par les expressions de mélancolie avec idées de persécutions ou autres conceptions plus ou m
de mieux.' Ce qui est indéniable, c'est qu'on y trouve en germe les idées délirantes de grandeur et de persécution parven
); de la confusion mentale (Verwirrtheit). Ces symptômes sont : les idées délirantes, les hallucinations sen- sorielles,
et que toute la question se borne à un dosage des trois symptômes : idées délirantes, confusion (incohérence) et hallucin
roduite par des symptômes amal- gamés (hallucinations sensorielles, idées délirantes, incohé- rence) ; 2° un état des sen
sse de,,psychoses fonctionnelles);. dans son délire 0, existent des idées délirantes ou des fragments d'idées délirantes
dans son délire 0, existent des idées délirantes ou des fragments d' idées délirantes , de persécutionset,de grandeurs,, c
pa'aazoïalice. ? r -vu S'agit-il' d'une.;modalité;aiguë (mélange, d' idées , délirantes, : , d'hallucinations,- de désordre i
plus certains d'ailleurs quand'nous parlons de'mélan- ' `colie avec idées de persécution, alors que quelques mois plus '
lie systématique chronique progressive dont les caractères sont : l' idée déli- rante ou création spontanée d'idées fauss
nt les caractères sont : l'idée déli- rante ou création spontanée d' idées fausses, la transfor- mation de la personnalité
me des conceptions délirantes et des hallucinations sen- sorielles ( idée de la folie systématique originelle ou originaire
e type de Wahnsinn hallucinatoire primitif à cause de l'existence d' idées systématiques diffuses (Scholz), ou, suivant le
e quelconque peuvent survenir du désordre"avec incohérence'dans les idées (VerzLor- 2,eiihei*l) ». Jolly dit d'autre part
ou paranoïa claronica qui est la^tendance de l'esprit à ériger les idées , délirantes, en système. ,v . , .j - 3. ,Wahnsi
3.' 'Verwirrtheit on' paranoïa suraiguës désordre complet dans les idées , avec lambeaux d'idées délirantes' et' hallucina-
paranoïa suraiguës désordre complet dans les idées, avec lambeaux d' idées délirantes' et' hallucina- si tiens pressées.,
nce ; modifica- tion de l'humeur; confusion ou incohérence dans les idées ), et que, dans la Paranoïa, de même que dans le
la sénilité, les accidents traumatiques. Dans le premier cas, les idées de grandeurs ou de persécu- tions à tendances s
oses n'est pas toujours aussi nette qu'on semble le dire. Entre les idées délirantes réellement dues à l'hystérie et à l'
éellement dues à l'hystérie et à l'épilepsie, et l'adjonction à ces idées délirantes d'un système mieux coordonné imputab
cédemment exposée. - On pourrait en dire autant de l'histoire des idées de gran- deurs et de persécutions de l'alcoolis
r11| - ? Pourquoi ne peut-on dire qu'elle est une mélancolie avec idées de persécutions ou une manie avec idées de grande
lle est une mélancolie avec idées de persécutions ou une manie avec idées de grandeurs ? Cramer ne nie pas qu'iln'y ait d
ie du senti- ment, l'état de gaîté avec exaltation cadrant avec les idées de grandeurs, celui de mécontentement étant en
s de grandeurs, celui de mécontentement étant en rapport avec les idées de persécutions, mais il ajoute que, cette anomal
ibilité morale ou affective) est secondaire, con- > sécutive aux idées délirantes. C'est là ce qui distingue ces faits'
. * ... I rt . t ? quentes., ' ' < T.' Gaité ou dépression en 1 Idées , d'indignité ' 1 i * " i" rapport avec la perve
oloi, mes , précis peignant, les . > v gismes mobiles, bi'-ar2 idées de persécutions. , ,, rés, sans liaison. , ; ,
dè'Ia'suridéa'- pée des-idéespet impul- dives qui, sont plu ? tion ( idées galopantes) sions en rapport avec les tôt la ré
sions en rapport avec les tôt la résonance de. avec impulsions mo- idées délirantes et les liai- la parole intérieure, tri
e mobile. Quand la subagitation Tous ces symptômes rétrocède, les idées de per- (trilogie de la manie) sécutiotis et de
se. crainte. Telle est la distinction classique entre les délires à idées de persécutions et de grandeurs et la manie et
LEGRIND du SAULLE. Le délire des persécutions, 1873. Garnier. Des idées de grandeurs dans le délire des persécutions, T
à l'asile du Michigan pour léger affaiblissement intellectuel avec idées mélancoliques, et chez laquelle, au cours de so
ent de la corne antérieure correspondante. L'auteur se rattache à l' idée d'une lésion vasculaire syphilitique ayant port
riodes de la démence paralytique a conduit l'auteur à se ranger aux idées de Meynert, de Folsom et de Spityka, à savoir q
garement : il existe un affaissement de l'association naturelle des idées . L'inco- hérence du langage est due à la dispar
t due à la disparition du lien logique qui réunit naturellement les idées à exprimer. ' La dépression des malades peut al
les manifestations' de' l'esprit. Et quelles que puissent être les idées de chacun touchant la nature de l'esprit et ses
pprochés de l'exis ? tence antérieure d'une otite moyenne, impose l' idée presque certaine d'un abcès du cerveau, occupan
chambre), perte de la mémoire, confusion mentale, désordre dans les idées , em- barras de la parole et troubles de l'écrit
onnaître un texte saisissable; quelques allusions, l'accumulation d' idées et tournures qui se rapprochent les unes des au
ns favorites qui ne corres- pondent pas à l'expression de certaines idées précises, mais arrivent à s'enlremûler,dans ;le
s ne vous expriment ou n'ont pas ' l'intention de vous exprimer des idées précises et solides; ce n'est ' qu'un cliquetis
sur et à me- sure qu'elles arrivent. Il est impossible de trouver d' idées délirantes revêtant une forme saisissable. Ils
nd point à la confuston mentale vraie, au désordre des actes et des idées . Elle tient en partie à un relâchement des rése
qui normalement unissent intimement le texte de la conception, de l' idée , et les rouages d'expression des idées par la par
texte de la conception, de l'idée, et les rouages d'expression des idées par la parole. Il y a un mélange de fautes gram
aiguë du jeune âge se traduisant au début par de la dépression, des idées vagues de persécution, et plus tard par des idé
a dépression, des idées vagues de persécution, et plus tard par des idées de grandeur incohérentes, absurdes, avec agitatio
eur incohérentes, absurdes, avec agitation. Peu de temps après, les idées délirantes rétrocèdent[et c'est alors qu'ap- pa
(ICalilbaum), démence précoce, etc. M. AsCHIFFENBunG. La volée des idées (Ideenflucht). Communé- ment en usage, cette ex
xpression indique que le mécanisme corres- pondant à l'émission des idées , à leur fabrication et à leur circula- tion, es
ndividus normaux et que vous leur fassiez noter cent associations d' idées successives telles qu'elles se présentent chez
assez souvent les transitions qui ménagent le passage d'un cercle d' idées à un autre, mais le plus générale- ment le thèm
Bien des bonds de l'idéole- nèse ont pour cause des associations d' idées indirectes et parapha- siques ; celles-ci n'ont
e premier cas, nous sommes capables de supprimer les associations d' idées sans rapport avec le sujet que nous traitons. S
attention. i . Tous les malades qui sont le terrain de la volée des idées tendent à répéter les mêmes idées; ils associen
i sont le terrain de la volée des idées tendent à répéter les mêmes idées ; ils associent les mots entre eux, souvent par
. Kroepelin a constaté qu'à l'égard de ces derniers, -la volée des, idées , artificielle, est associée à une diminution du t
l, à un ralentissement du' temps nécessaire pour les associations d' idées , tandis qu'en même temps il y a excito-motri- c
nie en combinaison variable avec les premiers ; telles la volée des idées , 'l'expansion, l'impulsion. ? L détruire, des v
éra aux jeunes gens, qui se trouvaient sur la scène avec Guyetat, l' idée qu'ils étaient en présence d'un incendie. -Tous-
rnier par la Revue philosophique '. . C'est avant tout une malade à idées fixes ; ce n'est pas là un diagnostic, si' vous
nté. Pendant vingt années de suite, elle i a été tourmentée par une idée fixe à la fois obsédante et impulsive, celle du
e fixe à la fois obsédante et impulsive, celle du choléra, et cette idée l'avait mise dans un'tel'état de délire que l'o
n venait pour l'enfermer dans le service» de M. Falret. Quand cette idée du choléra a été effacée de son esprit par des
- guement insisté, j'.ai vu surgir dans son esprit d'innombrables idées fixes nouvelles en rapport avec la précédente et
ort avec elle. Il semblait vrai- ment que cet esprit affaibli par l' idée fixe primitive ne fût plus capable de résister
les plus légères qui provo- quaient continuellement l'apparition d' idées fixes secondaires. Toutes ces idées fixes, l'id
continuellement l'apparition d'idées fixes secondaires. Toutes ces idées fixes, l'idée primitive comme les, .idées secon
t l'apparition d'idées fixes secondaires. Toutes ces idées fixes, l' idée primitive comme les, .idées secondaires, avaien
s travaux. Elles me sem- blent pouvoir être désignées sous le nom d' idées fixes de 1 Pierre Janet. - Histoire d'une idée
gnées sous le nom d'idées fixes de 1 Pierre Janet. - Histoire d'une idée fixe. (Revue philosophique, février 1894, p. 12
121.) UN CAS D'HÉMIANOPSIE HYSTÉRIQUE. 341 forme hystérique. Les idées fixes constituent dans la pathologie mentale un
superficielles qui tiennent compte du contenu psycholo- gique de l' idée maladive, plus que de sa constitution et de ses
idée maladive, plus que de sa constitution et de ses lois. Une même idée chez le même malade peut passer par ces trois f
la formation, pour déterminer le pronostic et la thérapeutique des idées fixes il faudra, je crois, préciser davan- tage
iser davan- tage. Sans chercher à classer pour le moment toutes les idées fixes,'je cherche' mettre à part un groupe asse
es,'je cherche' mettre à part un groupe assez net. Certaines de ces idées fixes non seulement se présentent chez' des hys
, dans leur naturelles caractères des phénomènes hystériques. Ces idées sont peu ou même point du tout connues par le mal
ui m'ont conduit à désigner ce groupe de phénomènes sous le nom « d' idées fixes de forme hystérique ». Les idées fixes de
phénomènes sous le nom « d'idées fixes de forme hystérique ». Les idées fixes de la malade que je vous décris se présen-
prolongé, cette prédisposition aux phénomènes subconscients et aux idées fixes diminua et, depuis deux ans, on peut dire
istait ainsi et gênait la vision, et le'phénomène se rattachait aux" idées .fixes ? Aujourd'hui le même faii-se-repoduit ? pe
cette anesthésie était en effet plus considérable au moment où les idées fixes étaient plus nombreuses et plus'puissante
Depuis longtemps la malade se plaint ' Pierre Janet. Histoire d'une idée fixe. (Revue philosophique, février 1894, p. 14
` t Ill1 ? w llur y t 1W U)Asi ,W Lo · ,i · " /de ! association des idées ;, au moment : ourla^sensation* tactile ïïk /»,&
intervenir ' un inécariisme' psychôlügiqûë'et donner un rôle à ces idées fixes qui constitùenti'commeje'vous l'ai dit, l
e cas dans lesquels la forme'du champ visuel ait été déterminée les idées des malades; mais c'est peut-être que l'attenti
unfàit {Il fréquent chez les hystériques qui,ont des associations d' idées zip ' extrêmement tenaces^et puissantes quoiqu'
emblable que suivant la direc- tion de leur attention,, suivant les idées qui modifient leurs perceptions conscientes, le
ous sommes posée ? olü,'lé-chalrip visuel peut être modifié - par l' idée et une^émianopsie1 peut être réalisée' par idée f
tre modifié - par l'idée et une^émianopsie1 peut être réalisée' par idée fixe. '13-Màisreiilest ? iltbien"ai'n ? i ? 'Qi
. '13-Màisreiilest ? iltbien"ai'n ? i ? 'Qiïelle est la singulière' idée fixe nque plus' ôïï'mbins consciemment' cette p
arque depuis long- temps, quand Justine est plus tourmentée par ses idées fixes. Y ." ? ' "<> " t" " " (rT 0.) 5"rr
.1, n .'r,m ? Jf.)'it ! f ! ('')(t mn a,.R Hwv`m qui effaçaient les idées fixes, a la suite de sommeils un(peu pro- longé
e; >fqm troublait, peu -la, vision, normale, serait devenue ,une idée , fixe au moment de l'affaiblissement causé . t5
a pas toujours en même temps .une, prédisposition aussi forte, aux, idées , fixes. En un 41W ., ti9l lllf,1) ,.(',11 .>
Jllf». 'lW, J- ? . ment réunies,, ont. prépare cette maladeia cette idée , fixe peu -llil'.illi.'ll ii-i 'i f ? V ? nu...
,' l'oeil gauche. Elle .est, à mon^vis^la^conséquençe logique ^de l' idée , précédente. Si l'oeil gauche ne voit.que le 'c
'......' ;' . z blement niaise qui est un des grands caractères des idées fixes. ajip'ixjf' j : | llttrr' ! ., '"folio jm
on ensemble, l'anesthésie hysté- rique n'est pas le résultat d'une, idée fixe, elle est la manifestation de la, percepti
précises et singulières, sont bien le fait de la suggestion et de l' idée fixe. Depuis que l'on examine 358 CLINIQUE NERV
ici peu observé, la détermination d'une forme du champ visuel par l' idée fixe. Si cette explication très simple des fait
té)pathologique, intéressante. Justine continue à être une malade à idées fixes et "ces"' idées fixes conservent -la* for
essante. Justine continue à être une malade à idées fixes et "ces"' idées fixes conservent -la* forme', hystérique.' Tous;
bm'p^é'l3t.iitousjles'lacci.dents^ raissaient quand on traitait les idées ^fixes. Il ést prôbable j" . t'te' 1 a jiu "(nu
par,;diverses causes d'ordre, moral, l'attention, l'association des idées ,, la suggestion. Cette'mobilité'a'permis~'d'obt
u'éprouvent plusieurs malades' au' moment où l'on trioniphwde leurs idées fixes. Au. moment où la vue,agnait,en éteplue, el
ularité intéressante de son origine influenzique. Sans s'arrêtera l' idée d'une hystérie ou d'un alcoolisme, peu admissib
eu d'aphasie, ni de difficulté dans le langage, ce sont plutôt les idées que les mots qui semblent lui manquer. Il rai-
générescence) portant surtout sur un trouble de l'associa- tion des idées . Exemple : les premières sensations sexuelles vou
mpagnant de la sensation de plaisir. Donc la première association d' idées qui se rattache à l'onanisme est plutôt un conc
lutôt un concept de douleur, elle ne fait place à une association d' idées agréables que par suite de la terminaison del'a
acile de comprendre que si, à lajouissance matérielle, on allie des idées bizarres quel- conques (bonnet de nuit, tablier
, tablier, masochisme, sadisme) par suite d'un vice d'association d' idées on prend ainsi des habitudes vicieuses. La perv
icieuses. La perversion résulte donc bien d'un vice d'association d' idées . P. KERAVAL. . XXXIII. Un cas DE psychose avec
n. Mais il · parle d'erreurs persistantes qui ne seraient point des idées déli- rantes ; ainsi qu'il ressort cependant de
ficative que je vais lire. D'après cette lettre, Feldmann avait des idées délirantes permanentes fixes. En consé- quence,
il n'était pas libre de prendre une détermination volontaire,' les idées délirantes se succédaient en bataillons serrés. A
écholalie et koprolalie de Gilles de la Tourelle ? M. PELMAN. Les idées obsédantes ont dans les psychoses vraies un rôl
du 30 juillet 1894. ' Pour se sentir les coudes, et échanger leurs idées , les aliénistes et neurologues du nord-est de l
tait caractérisée par un délire tranquille, taciturne, triste, avec idées incohérentes, sans force et sans énergie : « Da
r la persistance de l'activité intellectuelle malgré l'embarras des idées ; pour lui la stupidité devait être rat- biblio
t c une torpeur intellectuelle, une absence plus ou moins absolue d' idées , une dis- position enfin dans laquelle les fonc
dans un dernier chapitre de classification se trouve un résumé des idées des différents auteurs qui se sont occupés de cet
hôpitaux ordinaires. La réforme doit être radicale et reposer sur l' idée fondamentale que l'aliéné est une personne atte
ma- lade et statuer sur les mesures à prendre. D'après ces mêmes idées , l'hôpital pour les aliénés devrait être organi
es habitants, un cachet de maison bourgeoise, éloignant ainsi toute idée de séquestration. Et tout d'abord Ventrée et
ifs chaque fois que l'on supprime le poison. Dans le même ordre d' idées interviennent encore toutes les maladies généra
et toujours que des microbes. Il est de règle du reste, lorsque des idées nou- velles et vraies sont mises au jour, que l
ous ? Chez les uns, l'ivresse est triste, et le malade présente des idées fixes qu'il ressasse tou- jours. D'autres sont
iques généraux, desquels ils se rapprochent beau- coup. Ils ont des idées de grandeur et de richesse. Ils se croient être
a physiologie, une expo- sition et une discussion si détaillées des idées de presque tous les auteurs allemands, et ils s
J'emmagasinernent des images. Il étudie ensuite l'association des idées et leurs lois, qui sont l'impulsion à l'associati
rt de la seconde partie. Dans celle-ci, il est question d'abord des idées ayant une impor- tance prédominante (überwerlhi
L'ouvrage se termine par une analyse psychologique spéciale de l' idée délirante, y compris l'idée obsédante. En dehor
une analyse psychologique spéciale de l'idée délirante, y compris l' idée obsédante. En dehors de bien d'autres conclusio
tion est celui-ci touchant le délire du paranoïque : les véritables idées déli- rantes sont des associations en forme de
culière dans la direction de l'esprit. Quant à la conception de ces idées ,, elle est la consé- quence de l'intensité path
ment du stade aigu qui peut s'être présenté et à la condition que l' idée délirante devienne véritablement délire, c'est-
ment délire, c'est- à-dire un système. Dans les autres psychoses, l' idée délirante a une genèse fort analogue, sauf dans
né par des facteurs qui lui permettent de s'établir en parlant de l' idée délirante; mais contrairement à la paranoïa, da
l'ai déjà dit en commençant, ce compte rendu ne peut donner qu'une idée vague de l'ouvrage. Ce livre mérite d'être lu et
on et une grande attention, ce fut la folie morale. 11 s'en fit une idée très définie, qui le fit différer de quelques-u
çon légère. Il écrivit dernièrement sur le développe- ment de cette idée un petit ouvrage édité par Prielsard et Symonds.
ement est l'occupation systématique et variée des malades. Certes l' idée d'occuper les aliénés est aussi vieille que l'ali
il arrive souvent que les aliénés, sachant très bien qu'ils ont des idées qui ne sont ni partagées ni admises par leur fa
e, les dissimulent avec soin, jusqu'au jour où l'in- fluence de ces idées ou de ces hallucinations se traduit brusque- me
que dans les familles où il existe de l'hérédité névropathique, les idées délirantes se communiquent facilement et fréque
e de Ray- mond et de 1' , par L. Lém, 1, 102, 166. Exagération, idées présomptueuses ou d' -, par Selle, 53. Fétich
rasthénie, par Clarlie, 210 ; - et hypnotisme, par Schultze, 402. Idées présomptueuses ou d'exagé- ration, par Selle, 5
5 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ulaire n'avait d'ailleurs pas attendu ces expériences pour exprimer l' idée que 1 habitude de se ronger les ongles peut prédi
été donné. Une série de faits analogues justilieraient fort bien l' idée île grouper dans la même classe les enfants qui m
en de coercition est supprimé. C'est ce qui uous a donné, dès 1886, l' idée de recourir, contre l'onychophagie et les habitud
, dans la matinée du surlendemain, il senlil renallrr plus vivement l' idée de sa mauvaise habitude, sans cependant la mettre
usin alors absent, pour agir vis-à-vis de lui. A ce moment ou eut l' idée de faire partir l'enfant pour un couvent de Breta
entales. La recherche extrême de l'actualité, le besoin, inhérent aux idées du jour, de paraître renseigné, sont cause «pie.
nombre de magnétiseurs-prestidigitateurs ont remis en circulation les idées de lucidité somnanibulîquc, de la clairvoyance à
uvre dans ses grandes lignes. M. Charcol fut un puissant remuetir d' idées . I.a postérité dira de lui qu'il fut plus qu'un c
ses ancêtres, il a été lui-même le constructeur. » Telles sont les idées qui nie servent de guide dans mes explora lions d
suggestion et île l'autosuggestion, c'est-à-dire de la puissance de l' idée , soil sur le corps, soit sur l'esprit, en revanch
se concentrer avec accumulation sur uni- seule ou seulement quelques idées el s'y lixer. il ms manifeste par contrecoup et a
de nombreux phénomènes physiologiques ou morbides, variant selon les idées ditférentrs sur lesquelles celle Force esl ve
lesquelles celle Force esl venue en grande partie se porter. Par l' idée où les idées qui sont à leur hase, res phénomènes
celle Force esl venue en grande partie se porter. Par l'idée où les idées qui sont à leur hase, res phénomènes sont les pro
de cet afflux abondant de l'attention vers l'organe cérébral sur les idées qui sont les noyaux de ces phénomènes divers, el
l'objet de ce travail, la force nerveuse s'accumule et se lixe sur l' idée de dormir: de là le nom de pôle et inertie il que
donc plus ou moins long temps, d'une part, incapable d'abandonner les idées lixes, réparatrices ou non, sur lesquelles son at
n, tous états émotifs différents d'expression et d'intensité, selon 1 idée suggestive ou autosuggestive qui en est l'élément
eur, et selon la profondeur de la concentration de l'esprit sur cette idée . Parmi les pathologiques.ou range la maladie duso
établi, dans le travail en question, que le sommeil est l'effet d'une idée qu'on se suggère, quand le dormeurs 'endort de sa
attention accumulée al devenue immobilisée cl lixe au cerveau sur une idée , laquelle est d'habitude l'idée de reposer, qui e
mmobilisée cl lixe au cerveau sur une idée, laquelle est d'habitude l' idée de reposer, qui est la cause de cet élat psychiqu
du corps, portée en grande partie au cerveau, avec accumulation sur l' idée fixe de dormir et y est restée en arrêt : de la l
sé d'une manière positive que si. par le cumul de l'attention sur des idées perturbatrices, l'équilibre du corps se dérange,
ilibre du corps se dérange, par le même cumul en sons inverse sur des idées pondératrices, la pensée cérébrale clans laquelle
e par une grande provision d'énergie nerveuse mise en réserve sur ces idées . Alors cette pensée, au lieu de laisser se dévelo
l'influence îles travaux actifs de la veille, cette pensée, grâce à l' idée de reposer prise par le dormeur, ce que démontre
profond, avec de la force nerveuse en excès et arrêtée d'abord siu L' idée de dormir, force mise en mouvement par une impuls
, par l'effet de l'accumulation d'une grande partie d'elle-même sur 1 idée fixe de reposer prise en eulranl dans le sommeil.
struits avec de l'attention accumulée prise, n'importe comment, sur 1 idée lise «le reposer : c'est dans les rêves somuambul
conceptions qui naissent dans la folie maniaque où l'incohérence «les idées est portée â l'extrême, et où les mouvements déli
ond, là on la force nerveuse s'est en grande partie immobilisée sur l' idée continue de garder les organes en repos, le dorme
on regarde un objet avec une grande attention, et que l'on n'a que l' idée de cet objet dans l'esprit, il arrive que. tout â
ous concentrons notre attention : mais, au lieu de Ia diriger sur une idée quelconque, comme celle d'un objet, nuiis la coii
ceptibles d'être encore excités. On le voit, en la seule dîirérenee d' idée qui est introduite dans l'esprit des sujets de ce
e fixé, c'est que le dormeur en a exprimé le désir et en a conservé l' idée arrêtée. Je ne m étends pas davantage sur ce suje
n autre facteur bien différent de ceux qu'il croyait exister: c'est l' idée de dormir. Car si l'idée devenue fixe d'un objet
érent de ceux qu'il croyait exister: c'est l'idée de dormir. Car si l' idée devenue fixe d'un objet produit nu arrêt de l'all
il qu'aillant qu'on v ajoute en même temps dans l'esprit des sujets l' idée de se reposer plus ou moins longtemps, idée qui.
ans l'esprit des sujets l'idée de se reposer plus ou moins longtemps, idée qui. avec la concentration seule de l'esprit, est
ssociation qui. à la suite de la concentration de l'attention sur une idée , est le phénomène essentiel de la formation des é
ttention ou de la force nerveuse libre s'est accumulée et lixée sur l' idée de reposer et qu'à l'autre pôle, le pole d'activi
nfusion, a présider à la réception des sensations et au remuement des idées , coin nie avant la formation du sommeil, mais ave
its avec un excès de forci" nerveuse portée et mise en ri-serve sur l' idée fixe de dormir : d'où parfois par contre-coup «le
dormeurs se continuant d'un étal à l'autre, grâce â un enchaînement d' idée , ou bien, (b )par suggestion, ces rêves —et c'est
e le somnambulisme naturel naît de la continuation d'une succession d' idées ayant pris naissance dans l'étatde teille antérie
coulent, Ces malades alors se rebiffent, se révoltent contre vous à l' idée que vous les prenez pour îles malades imaginaires
ux et mentaux consistant en aversion pour la mère et la grand mère on idées de persécution fondées sur des hallucinations de
l. — A eu moins de douleur, a eu par moments des pleurs, a encore des idées de persécution, mais n'a plus vu d'araignées, mêm
ns ut supra, mais de plus suggestion de ne plus avoir d'attaques ni d' idées de persécution. 22. N'a eu ni crises ni halluci
Six séances faites avec 7 jours d'intervalle firent disparaître toute idée délirante. 20 Juin 1893. —J'ai revu cette jeune
inue mes suggestions verbales afin de faire entrer dans son cerveau I idée slu sommeil. Au bout d'environ quinze minutes,
Le docteur Aza m a été un initiateur. Le premier en France, il eut l' idée de répéter les expériences de Braid et le courage
, disrulant et disséquant avec une rans sûreté de jugement toutes les idées nouvelles dans ce qu'elles avaient île vrai et de
her à savoir cependant ici si les conclusions tirées dans cet ordre d idées par le maître ont toujours été marquées au coin d
bien ou le mal fondé des polémiques engagées entre les partisans des idées de l'école de la Salpètrière et ceux des écoles d
re temps, ce qu'ils reproduisent journellement. Sous l'influence de l' idée suggérée de dormir, ils tombent eu idée fixe, s'i
lement. Sous l'influence de l'idée suggérée de dormir, ils tombent eu idée fixe, s'immobilisent, deviennent insensibles et i
tion du sommeil, pour se porter de ces points avec accumulation sur l' idée de dormir. Os faits sont connus. Ce qui prouve qu
uvent aussi, par un effort et d'eux-mêmes, se remémorer, associer des idées , raisonner, mais surtout se déterminer et agir.
de toute l'impulsion donnée â la suggestion, ace levier puissant de l' idée , leurs opérations d'esprit augmentées de toute l'
es ne se forment, en grande partie accumulée el immobilisée sur L' idée fixe de dormir, celte cheville ouvrière de l'état
es dormeurs, eu rapport avec ce dernier, se remémorent, associent des idées , portent des jugements, il continue à se développ
r des gens qui donnent. III Si la concentration de l'esprit sur l' idée de dormir amène la dissociation de l'action pensa
par suite d'une concentration de l'esprit, au pôle d'inertie, sur une idée qui devient tixe à mesure que celte concentration
e qui devient tixe à mesure que celte concentration se tait; et cette idée que nous nous suggérons à notre insu, c'est celle
ue nous nous suggérons à notre insu, c'est celle de prendre du repos, idée à laquelle nous n'avions jamais attribué tant d'i
ppe aussi, entant que continuant à dormir, elle fixe le sommeil par l' idée que nous avons de le faire durer. Cette action dé
'il se produit en ces malades des symptômes insolites, est-ce que les idées qu'il leur a suggérées ne sont pas. tout le temps
me réveillasse immédiatement. Tant que je restais endormi avec celte idée de grattement lixée dans la lèle au pôle d'inerti
, ce qui m'est arrivé plusieurs années de suite, cela, pas plus que l' idée de reposer dans laquelle je m'endors toujours, n'
nuit. El tout ce long temps, pendant mes sommeils et mes rêves, cette idée lixc de m'éveillcr au bruit d'un grattement fit t
qui, en ce sens étroit, se passerait à ma fenêtre. A mon insu, cette idée était comme un œil ouvert continuellement pour ép
e M. Forel. Dans la plupart des faits précédents, on remarque que l' idée qui est à la base de ces laits, chez chacun des d
'on y réfléchit, que ces dormeurs n'ont nullement conscience de cette idée toute existante qu'elle est. On sait, depuis long
ience, ou ignorerait ce qu'est le son. Il en est ici de même pour les idées dominantes que je viens île signaler, idées qui s
est ici de même pour les idées dominantes que je viens île signaler, idées qui sont des sensations transformées rt fixées da
ttention qui en rompt la continuité, comme il advient pour les autres idées qu'ils immobilisent tous les jours dans leur mémo
s rendent variables en se les remémorant. Je viens d'établir qu'une idée qui est permanente et invariable dans le cerveau
C'est par une semblable permanence et une nom blable invariabilité d' idée , qu'un chagrin douloureux dans lequel on s'endort
traite par suggestion : devenus absorbés d'une manière continue par l' idée négative de leur mal qui leur est inculquée, ils
le.-, que les malades, qu'où traite par suggestion, de se dégager des idées fixes et permanentes qu'on leur u imposées. Comme
e effort pour 3. varier leurs étals do conscience et sortir dos idées fixes qu'on leur a imposées, restent inartives d'
ention, se dédoublant, se concentre inseîeiument sur une ou plusieurs idées lixes aux dépons de la force nerveuse répartie pa
eux qui agissent sous l'influence de cette pensée, c'est que diverses idées imposées par suggestion à un dormeur somnambule,
posés de l'organisme, résultats toujours en rapport avec le sens de l' idée spéciale suggérée pour chacun de ces résultats. E
suggérée pour chacun de ces résultats. El si une ou plusieurs de ces idées sont allirmées au donneur, par exemple, pour que
le, pour que reflet qui les concerne s'exécute en lui après réveil, l' idée de ce qui doit lui arriver ainsi, reste latente i
qu'il est éveillé, et cela au milieu du remuement mémoriel des autres idées , jusqu'à ce que ecl effet ail son accomplissement
passent et s'exécutent de toutes sortes de manières différentes, les idées suggérées restent en arrét, immobiles au foyer de
anes. Nécessairement du cerveau, ce foyer commun aux deux vies, les idées , par le grand sympathique, doivent donc, de cet o
automatiquement au cerveau, aux dépens de l'attention accumulée sur l' idée lixe de dormir, en étant une sorte de continuatio
lée sur l'idée lixe de dormir, en étant une sorte de continuation des idées de la veille ou un effet de suggestion, ils prenn
ois, causes d'illusions pendant les rêves, el s'y sont transformés en idée d'argent que l'on compte, en idée d'une morsure d
s rêves, el s'y sont transformés en idée d'argent que l'on compte, en idée d'une morsure de chien, d'une canonnade, d'un vol
bandonnés de la force nerveuse qui s'est portée, de ces organes sur l' idée fixe qui maintient cet état? Chez moi. les sens c
ent nécessaireinent ici la place à la mémoire toujours bien fournie d' idées . Autant que j'ai pu m'en convaincre, il est bea
tuel allant de la veille au sommeil : loin de naître à la suite d'une idée déposée dans mou esprit par une suggestion quelco
es et en ont expliqué la marche d'après les lois de l'association des idées . Ils ont fait, sous ce rapport, des observations
de mes rêves n'a présenté un ordre quelque peu suivi, même quand une idée principale a persisté tout le temps de leur durée
té tout le temps de leur durée. Et il eu a été de même, lorsque cette idée principale et fixe a continué de servir tic canev
ont par eux-mêmes, faute d'initiative pour compter les heures, aucune idée du temps qui s'écoule, à moins que. par autosugge
produisît aucune amélioration dans la voix. Je fus alors frappé de l' idée que les troubles pouvaient être dus à une manière
ndre toute l'œuvre de Tolstoï, d eu chercher la cause inspiratrice, l' idée dominante qui revient toujours prendre la premièr
qu'il trouvera la solution. — C'est là que viendmul se condenser les idées de Tolstoï dans un panthéisme socialiste où l'égn
ression très grande sur le cerveau du malade, a déterminé peu à peu l' idée homicide. Le sujet de l'observation est un propri
s ; il n'en fut pas ainsi ; il arriva alors une chose étrange : cette idée de meurtre qui avait duré si longtemps, ne trouva
vite. ». — Lorsque reniant n'est plus là, il se calme mais toujours l' idée persiste. Dans le jour il regarde de loin sa peti
s deux semaines il n'avait pas vu son enfant, il arrive qu'un jour, l' idée homicide changea de but et qu'il déclara froideme
froidement à sa femme qu'il avait le désir de la faire mourir. Cette idée homicide contre sa femme n'a duré qu'un jour, le
Il est bien certain que cet acte étant accompli sous l'empire' d'une idée maniaque, n'entraine pas la répression. M. X... p
. le coupable manquant, veut tuer un innocent, sous l'influence d'une idée délirante, on se demande si déjà l'idée de tuer s
ocent, sous l'influence d'une idée délirante, on se demande si déjà l' idée de tuer son beau-frère n'était pas une idée obséd
, on se demande si déjà l'idée de tuer son beau-frère n'était pas une idée obsédante, un svmptôme de manie homicide, une man
son pays ; M. X... en apprenant son retour est transporté île rage, l' idée obsédante de tuer sa fille lui sort de la tète :
ssises, niais aujourd'hui le procès change complètement de face : les idées obsédantes du malade sont de notoriété publique,
Dans une autre observation nous n'avons plus seulement allairc à des idées obsédantes pouvant amener la mort, mais bien à un
les boulevards sans but et sans motifs. A la lin du troisième jour, l' idée lui vient d'aller à Marseille: il pari aussitôt,
arait le lendemain. Cette altercation va être le point de dépari de l' idée maladive. A ce moment nait chez M, Y... la pensée
il a reçu lui donne, croit-il, le droit de lui ôter la vie. Cette idée devient obsédante et impulsive, à deux reprises i
rojeta exécution et la scronde tentative a lieu avec préméditation. L' idée homicide n'existe pas continuellement; elle nait
cun seutimeut. n'a commis aucun acte qui indiquât la persistance de l' idée impulsive, mais encore il n'a eu aucun des accès
s causes de son internement. a-l-il simulé la guérisou en cachant ses idées d'obsession et en faisant des efforts de volonté
utre qu'à moi. de sortir du cercle rétréci des quelques sensations et idées récentes que l'on a prises autour de soi. La scèn
es de l'esprit, comme le sont pour chacun, les paroles concernant les idées abstraites et non représentatives des sensations.
lorsque je faisais des efforts pour en découvrir les Iraces; une idée trouvée me menait sur la voie des autres. A pro
par quelques remémorations qui, ù la suite d'une simple association d' idées , reviennent à la pensée au bout de longues années
e reviennent assez souvent, et chaque fois qu'ils se manifestent, les idées qui. à leur propos, accourent me tourmenter, me f
à nue preuve du pouvoir qu'a l'émotion de vivifier pour longtemps les idées qui raccompagnent. Ces deux rêves qui me liautcnt
n'ont certainement une telle persistance, chez moi. que parce que les idées imagées qui sont à leur base, s'y sont implantées
es des rêves non affectifs, preuve que l'élément émotif qui revêt les idées en augmente le iclicl. Assez souvent, j'ai été ré
sont des liaisons bizarres de sensations perçues et principalement d' idées remémorées, dont les incohérences sont ducs à l'i
ceux qui dorment de faire effort pour associer ces sensations et ces idées selon leurs rapports naturels, cl les ranger selo
s plus influencés d'entre eux, 4 1/2 pour cent, sont immobiles dans l' idée fixe du sommeil, d'esprit et de corps, comme le f
er au moment désiré : bref, c'est tout ce qui est sensation, émotion, idée et qui a la propriété de rappeler vers les sens e
qui continue, d'une manière péremptoire, ce fait indéniable dû à une idée qu'on se suggère. c'est un fait opposé, où l'idée
indéniable dû à une idée qu'on se suggère. c'est un fait opposé, où l' idée fixe de ne pas s'éveiller, maintient le sommeil,
s que dans les voies nerveuses qui conduisent du centre où se forme l' idée du mouvement aux organes moteurs, la suggestion d
la suggestion diminue ou enlève totalement la conduction parce que l' idée du mouvement se forme complètement et que la volo
ne l'exécutera pas, il pourra résister à la suggestion quand les idées contradictoires à l'idée do l'acte suggéré entrer
urra résister à la suggestion quand les idées contradictoires à l' idée do l'acte suggéré entreront avec assez de força d
e suggéré entreront avec assez de força dans le cerveau- Pour que ces idées contradictoires puissent entrer avec assez de for
intacte dans les voies d'association par lesquelles les centres de l' idée suggérée et des idées contradictoires sont réunie
es d'association par lesquelles les centres de l'idée suggérée et des idées contradictoires sont réunies. Si cette conducti
toires sont réunies. Si cette conduction est diminuée, l'entrée des idées contradictoires est plus dîfficile et pour cette
qu'il y a résistance. Si lu conduction est totalement annihilée, les idées contradictoires ne peuvent plus entrer dans le ce
morale, qui n'y a même jamais pensé, on provoque dans son cerveau une idée tout à fait nouvelle, les voies d'associations en
ies d'associations entre le centre nerveux où se forme cette nouvelle idée et les centres où se forment des idées opposées,
veux où se forme cette nouvelle idée et les centres où se forment des idées opposées, ne possèdent qu'une puissance locomotri
sous l'influence puissante de la suggestion. C'est pour cela que les idées contradictoires ne peuvent pas entrer dans le cer
ntraire à ses principes, il ne l'exécute pas : cela vient de ce que l' idée suggérée n'est pas nouvelle pour son cerveau et d
pas nouvelle pour son cerveau et de co que les associations avec les idées contradictoires se sont manifestées déjà plus
puissance conductrice des voies d'association entre les centres où l' idée s'est formée et que les centres des idées opposée
ation entre les centres où l'idée s'est formée et que les centres des idées opposées, s'est assez développée pour résister a
veloppée pour résister a l'influence de suggestion, que par suite les idées contradictoires ne rencontrant pas une résistance
sistance suffisante entrent plus facilement dans le cerveau. Si mes idées sont justes, on peut en conclure qu'il y a dans l
aximum d'intensité puisqu'il suffisait chez ces personnes d'évoquer l' idée du sang prêt à couler pour susciter le spectre de
rt d'heure je parviens à l'endormir par le regard, en lui suggérant l' idée du sommeil, Le sommeil, sans être profond, est as
lièrement tracée. L'esprit vacille dans toute» les directions: qu'une idée soit suggérée alors, ou qu'elle germe spontanémen
ur une manifestation de l'hypocondrie. Dans cette forme de vésanie, l' idée obsédante est fixe, fatale, très tenace. Rien ne
plainte à formuler- Un certain nombre de ceux qui devraient avoir les idées les plus larges font une opposition quasi-systéma
à cela ? N'avons-nous pas vu toujours les « classiques » rejeter les idées nouvelles sans même daigner les examiner. Mai
ts, mais cette puissance, il la paie au prix de sa personnalité ; se» idée », son travail sont dépensés, disséminés en articl
plus. M. Horwilz élimine absolument, pour expliquer ces phénomènes, l' idée d'une inflammation quelconque dont tous les signe
essentiellement du domaine de la vue, provoques par des sensations ou idées quelconques, en dehors au moins en apparence) des
éterminées par «les sons musicaux, par des odeurs, des saveurs, par l' idée dos nombres, des jours de la semaine ou des mois.
re verra un mois sous la forme d'un animal; celui-ci évoquera, pour l' idée d'année, une ellipse divisée en douze parties, ce
affective de cette sensation. En d'autres termes, une sensation, une idée est toujours accompagnée d'un certain étal émotio
qu'il n'a pas. L'éveil de son intelligence, se faisant autour d'une idée née spontanément dans son cerveau, vous verrez, l
s suivre l'exécution des diverses phnsi-de- la mise en œuvre de celte idée , et les somnambules se présenter à vous sous de n
rouble est étendu, plus l'intelligence so développe dans le sens de l' idée dominatrice. Nous avons observé et suivi tels mal
rester neutre, qu'il laisse le somnambule poursuivre sans entrave son idée et il le verra développer une somme d'intelligenc
volonté. Voyez d'autre part le somnambule spontané poursuivre une idée , accomplir un acte, vous ne pourrez mettre en dou
s dans une mesure restreinte, limitée exclusivement à l'exercice de l' idée qui le préoccupe, il ne verra, ne sentira, ne per
percevra que des choses directement en rapport avec son but. avec son idée ; vous trouverez donc chez les deux somnainbitles
ose dans la main. Bien que n'ayant pas cherché ce résultat, j'eus l' idée d'en profiter pour la débarrasser d'une névralgie
leet le sommeil a sulli pour rendre son cerveau capable de recevoir l' idée de la guérison et la réaliser. Ce cas m'a permis
reux élèves reconnaissants, en l'honneur de M. le Dr Liébeault. celte idée avait déjà été émise et elle avait rencontré une
aut guère mieux. ï.c travail me fatigue. Je n'ai plus d'entrain ; les idées ne me viennent pas. C'est une aflsairc d'état pou
psychique naissant qui constitue à la fois la tendance à l'acte et l' idée de l'acte, en un changement psychique positif qui
la suivent résultent directement dos tendances, sentiments, images et idées qui ont abouti à se coordonner sous la forme d'un
ques, il ne semble pas que cet auteur admette une distinction entre l' idée d'un mouvement et la tendance â la reproduction a
liquerait peut-être le fait sur lequel a insisté cet auteur : « que l' idée de l'action est impossible à déraciner de l'espri
possible à déraciner de l'esprit humain, qu'elle se retrouve sous les idées d'effort, de cause, d'efficacité, de volonté, etc
nnaît nullement d'ailleurs l'existence d'une relation étroite entre l' idée et le mouvement [Op. cit.. p. 7 et S. H admet for
p. cit.. p. 7 et S. H admet formellement que dans la constitution des idées entrent des éléments moteurs. Comme A. Bain, il a
rvent à le dépenser: les uns intrinsèques, les autres extrinsèques. L' idée d'une boule, par exemple, est la résultante d'imp
uvements proprement dits : ce sont des éléments constitutifs de notre idée plutôt qu'une manière de la traduire au dehors. T
Toutefois, cette relation étroite, établie par la physiologie entre l' idée et le mouvement, nous laisse entrevoir comment Tu
genre, on peut admettre quelque chose de plus qu'une fusion entre des idées et des se risa lions de mouvement. Il faut admett
voir expliquer une relation plus intime encore, plus directe, entre l' idée et le mouvement, entre un événement psychique et
le : on peut, au moins hypo-thétiquement, identifier la conscience, l' idée pure de mouvement avec un processus moteur, el l'
il semble que l'on supprime une question embarrassante ; comment une idée peut-elle donner lieu à un mouvement, c'est-à-dir
ber dans la métaphysique on n'évitera pas la nécessité d'identifier l' idée pure avec un mouvement moléculaire. Pourquoi donc
nger pénètre ces fibres, elles font c!Tbrt pour le diriger, d'après l' idée suggérée, dans le sens choisi de la plus faible r
preuve de la sincérité du sujet. Ce qui vient encore corroborercette idée delà sineérîtédu sujet, c'est la disparition de s
es, depuis les plus simples jusqu'aux plus complexes. Sensations, idées , associations, réflexion, attention, mémoire, rai
rapport à son état moyen, dans des conditions qui peuvent donner une idée de l'état où sont normalement, certains individus
rendre la tranquillité â un esprit inquiet, dévoyé, ayant perdu toute idée de religion et de morale, hanté de l'idée de suic
, dévoyé, ayant perdu toute idée de religion et de morale, hanté de l' idée de suicide qui l'obsédait, peut-être par une sort
lui aussi, pour retourner à Paris. Mais, il déclare qu'il a changé d' idée et, en faisant ses adieux à sa sœur, il demande à
t sur soi-mèuir. une conception pessimiste des choses, enlin. par des idées de suicide. C'est dans cette disposition, je le s
èvement et. éventuellement, de suicide a deux dont Chambige a conçu l' idée . Mais celui-ci est parti : il s'est rendu a Const
u ne perception de ces bruils. occupée qu'elle est tout entière par l' idée fixe qu'on lui a suggérée ! Et le drame se déroul
'excitations, et en se mettant à cheval sur la poutre. Depuis lors, l' idée de passer sur le portique le préoccupa, cl lorsqu
de ses supérieurs, â tel point qu'il sentît naître dans son esprit l' idée de déserter pour échap-per au supplice du portiqu
ersonne une envie sexuelle. Tout en se rendant compte de ce que cette idée avait d'illogique, il n'en fut pas moins très imp
e soustraire à ses angoisses et à ses ennuis, il eut successivement l' idée de se suicider, de se couper le poignet, et de dé
e se couper le poignet, et de déserter, niais il était retenu par des idées religieuses. Un jour, pendant une halte, une rant
ations difficiles Uu de ses oncles paternel est un original ayant des idées de persécution et vivant enfermé seul chez lui de
stant rigide, très pratiquant, il met sa conduite en rapport avec ses idées religieuses. S'il se livre parfois à l'onanisme
conservé les inquiétudes que la maladie avait fait uailre. Aiusi. à l' idée de l'embarras dans lequel il se trouverait si un
ou tel acte déterminé. Il n'est, d'ailleurs, jamais venu à personne l' idée de demauder l'inleruement de ces malade» dans des
nt d'en arriver aux moyens extrêmes (dilatation du col, etc), j'eus l' idée d'emplover la suggestion. A mon grand étonnement
nt par la pression bi-ocu-laire et lui suggérai pendant son sommeil l' idée de guérison, je lui défendis de vomir et lui ordo
'affaiblir. Le surlendemain je l'endors de nouveau et lui suggère I idée de guérison complète ; dès lors cessation complèt
aiblissement du pouvoîr de contrôle de la conscience sur le cours des idées . En proie à l'angoisse et â la terreur, ils prenn
scination, est écrasé par une locomotive, fera naître dans l'esprit l' idée de l'irresponsabilité dans la production des acci
ingués aua-lytiquemeut dans l'ensemble des phénomènes d'intelligence. Idées , attention, réflexion, raison, imagination, motif
qui a été de la volonté cher d'autres, el, comme ils pen--nl avec le» idées de tout le monde, ils agissent acee la Toloalé de
r des états affectifs. 110 soient pas d'accord plus ou moins avec nos idées rationnelles, hormis les cas d'imbécillité ou do
caractérise la passion. Enfin, dans des cas relativement rares, les idées les plus .abstraites arrivent à constituer des ét
re chose que cet étal nerveux lui-même, alors elle apparaît comme une idée île mouvement discutée, délibérée, victorieuse, p
é plus ou moins élevé les conditions dans lesquelles une image on une idée constitue un processus moteur. L'importance d'une
e on une idée constitue un processus moteur. L'importance d'une telle idée est considerable, puisque, par définition, elle t
professeur Beruheîm la suggestion est une influence provoquée par une idée suggérée et acceptée par le cerveiiu. Cette inf
nque, la répétition de cet acte rappellera dans le cerveau du sujet l' idée qui s'v rattache et le sujet réalisera la sug-ges
omme réfrac-i taire, vint tout â coup apporter une confirmation à nos idées . Un beau jour cette malade tombe inopinément dans
e dernière, on sait le rôle capital qu'Herbert Spencer fait jouer à l' idée du double. D'elle dt-rive le culte des morts, et
I). Ils ne voyaient donc là qu'un travail, et n'auraient pas eu celte idée s'ils l'avaient regardé comme un miracle dans le
rge et qui doit le faire admirer même de nos jours en dehors de toute idée religieuse. Comme on l'appelait auprès d'une jeun
les genoux, en priant et en récitant des litanies. Bien qu'il ail des idées philosophiques assez avancées. il se sentît porté
atique à exécuter les mêmes mouvements et cet automatisme s'étend aux idées , avec d'autant plus de force que la foule es) plu
pour titre : « La foi qui guérit ». prouve qu'il s'était rallié à nos idées sur la suggestion. Il pensait comme nous que ta s
exercée sur l'appétit et la lionne digestion de tout individu par des idées gaies, un milieu agréable. ou le l'ail de manger
affubla de la mitre du pain re agonisant. — Le prélat l'aperçoit et l' idée lui parait si plaisante, qu'il pousse involontair
Aucun médecin, ayant en vue l'intérêt vrai tle ses clients, n'aura l' idée d'employer un procédé thérapeutique, aussi incert
ec une extrême facilité toutes les conceptions qu'on y dépose : toute idée devient acte, toute image évoquée devient chez eu
nde extérieur el je m'applique en parlant a captiver sou esprit par l' idée du sommeil. Cela sutlit chez beaucoup pour que en
pas conscience de dormir, je me contente de lixer dans son cerveau l' idée que je veux suggérer, disparition d'une douleur,
à l'impressionnabilité nerveuse, à l'émotivité spéciale du malade. L' idée seule qu'on va l'hypnotiser, le magnétiser, produ
res sujets traités par celte méthode et qu'il soit familiarisé avec l' idée d'hypnotisme. Il est d'autres sujets au contraire
e. Pour acquérir celte expérience, il faut savoir se dégager de toute idée a priori, cl le D Friedrich qui est certainement
s, ni honnêtes épouses. Les jugements précipités sont faussés par l' idée préconçue: celle-ci devient une auto-suggestion q
Nous dirons donc que la contagion du meutre est l'acte par lequel l' idée du meutre s'impose ou se transmet à un individu l
bien son incurie et sa (1) M.inouvricr exprime à peu près ta ra'-mc Idée : • La plupart de» assassins oui n-çu une certain
d'intelligence inégale, finissent par adopter identiquement les mêmes idées , les mêmes défiances, les mêmes haines. Que l'un
erveau troublé); folie imposée (un sujet B ne se laisse suggérer îles idée délirantes que de la part et au Contact d'un antr
antre sujet A: sitôt qn'il est séparé do ce dernier, il échappe à ces idées délirantes) ;3° la psychose de it n est contingen
qu'il n'y eut plus personne à immoler. Mais cette transmission de l' idée , cette suggestion, nous l'avons déjà dit. ne s'im
oir, surtout ce dernier, des qualités spéciales. Celui qui impose son idée , sa volonté à une individualité isolée ou â une f
version de la personnalité. On peut comprendre maintenant comment l' idée homicide, qu'elle emane d'un individu, d'une lect
â celle du mi* crobe ensemence dans un bon bouillon de culture : là l' idée germera grandira, mûrira et à un moment donné séc
cello désignation. M. DUMONTPALLIER. —Cette action contagieuse des idées s''exerce an plus haut degrés dans le domaine sci
ayant plus ou moins l'autorité pour le faire de certains moments, des idées prévalent avec une telle forée, qu'il y a lémétïl
ns une communication sur la nature de l'hystérie, M. Sollier dont les idées qui se rapprochent sensiblement de celles que M.
connaît l'esprit conservateur en hypnologle, a combattu vivement les idées tic l'auteur, mais M. le professeur Hitzig, de Ha
nstaté qu'elle s'endormait par suggestion avec une grande facilité. L' idée me vint donc nussitot d'employer ce traitement av
0 pages four- (1) Félix Alcan. — Partis 2 voI.in-8. millantes d' idées . il disséquera avec férocité les œuvres sur lesqu
e et de remonter avec énergie, pour les contrôler, les associations d' idées qu'il a eu l'habileté île provoquer. Une import
rir à quelle espèce de dégénéré appartient l'auteur. Partant de cette idée qu'il y a dégénérescence, il examine l'œuvre avec
. Après avoir exposé le mécanisme du phénomène appelé association d' idées . Il fait ressortir que pour que cette association
résulte que son attention est insuffisante et que ses associations d' idées se forment automatiquoment et sont conséquemment
croit voir mais où l'on ne voit pas ; dans lequel on doit former des idées à l'aide d'aperceptions qui dupent la conscience
e la volonté subirait des éclipses pendant lesquelles l'association d' idées reprendrait son automatisme? Parmi les mystique
nt que nos sens perçoivent quelque chose, notre conscience n'a aucune Idée de ce qu'ils percevront ; au contraire, avant le
i bon puisque sont sains exclusivement ceux-là qui partagent déjà ses idées ? Les remèdes seraient : une Ligue formée des h
ux psychoses simples et si, chez l'individu normal, l'association des idées no se développe pas sur un fond perpétuellement m
ssements commerciaux d'une importance extrême. D'autres, effrayés à l' idée de prendre une détermination décisive pour leurs
onduite à suivre, pâlissait, frissonnait, et se taisait épouranté â l' idée de sa responsabilité. Un autre malade de M. Bou
matière médicale a fait tous les frais du traitement. Chacun, selon l' idée qu'il se faisait de la cause de l'incontinence, a
donnèrent aucun résultat. Il continuait à uriner au lit. Nous eûmes l' idée de lui suggérer de l'insomnie avec la préoccupati
a soin de rappeler - qu'il ne faut jamais oublier que la i théorie, l' idée , doit toujours so plier aux faits et non les fait
it toujours so plier aux faits et non les faits à la « théorie ou à l' idée que nous nous en faisons. » II n'y a pas différ
adaptation, une organisation de ces différents modes qui forment nos idées , notre éducation, enfin notre caractère psychique
umaine, dépasse quelquefois les limites physiologiques et devient une idée fixc, une manifestation morbide apparaissant sous
nosophobie ou pathophobic, c'est-à-dire la peur de la maladie. Cette idée fixe ou plutôt celte obsession est plus fréquente
mmuniquer tout de suite deux observations qui m'ont surtout inspire l' idée de l'uuto-suggcstion chez les nosophobes. 1° Lo
l étudie à fond les symptômes, depuis au lieu de se débarrasserde son idée Gxe, elle devient au contraire plus grave. Du jou
, si quelqu'un causant avec lui arrive à détourner son attention de l' idée que ses genoux vont fléchir et qu'il tombera, Il
anne ou sans parapluie, d'un côté l'agoraphobie, et de l'autre côté l' idée qu'il est ataxique ut que les ataxiques tombent e
s perdre l'équilibre. Ce qui est encore â remarquer c'est que cette idée de l'ataxie occupe le cerveau du malade par pério
i, pour la faire sortir de prison, eurent l'ingénieuse et peu honnête idée de lui donner un remplaçant. Ils choisiront pou
6 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'aime ; il remplace le curé quand celui-ci ne peut dire la messe. Idées , par conséquent, absurdes de grandeur et de sat
, par conséquent, absurdes de grandeur et de satisfaction. Quelques idées de persé- cution viennent s'ajouter à ce tablea
availler lui a tourné la tête » peu à peu sa raison se troubla, des idées de grandeur apparurent : il ne parlait que des
nérale progressive. Etat m6H<t"6s facultés. Perte de la mémoire. Idées de grandeur absurdes : il avait 92 milliards et
à allumer du feu. Une voisine inquiète de ne pas voir l'idiot eut l' idée de se rendre aux ruines. Elle trouva le malheur
onfondre avec les obses- sions vraies, ce que M. Magnan appelle les idées obsédantes ou plutôt idées fixes, prévalentes,
ons vraies, ce que M. Magnan appelle les idées obsédantes ou plutôt idées fixes, prévalentes, prépondérantes (Koch, Verni
S OBSESSIONS ET LEUR PASSAGE AU DÉLIRE. 35 colique s'accompagnant d' idées délirantes dont la teneur rappelle les obsessio
survenus au même moment, dans un accès mélancolique anxieux avec idées délirantes de culpabilité et de damnation. D'au
e, et finalement, tombe dans un véritable accès mé- lancolique avec idées de ruine, d'auto-accusation. Ces deux variétés
ulement dans leur mode d'apparition et dans le caractère qu'ont les idées délirantes de n'exprimer que la transformation,
s et bientôt apparaissent sponta- 36 CLINIQUE MENTALE. nément des idées délirantes de culpabilité, de damnation (elle est
systématisé secondaire). Le malade, comme le dit Schuele, accepte l' idée obsédante qui prend place au milieu de ses autr
lace au milieu de ses autres pensées ; la séparation disparait et l' idée obsédante devient un délire véritable. C'est ai
à l'occasion de ses règles, très normales cependant, ma- nifeste l' idée qu'elle fait une fausse couche, suivie rapidement
dée qu'elle fait une fausse couche, suivie rapidement d'une série d' idées , de teinte mélancolique, franchement déli- rant
e. Aucun changement pendant dix mois. A cette époque, nou- velles idées délirantes hypocondriaques. Elle a la matrice dés
ment, la punition de sa faute... Peu à peu l'anxiété se calmp, les idées délirantes persistent, mais gravitent dans un c
torpeur, impuissance intellectuelle ; de l'autre, auto- matisme des idées aboutissant parfois à un véritable délire à for
il, le malade est contraint de suivre cette marche pathologique des idées qui devient de plus en plus rapide, jusqu'à ce
rde sans voir, j'écoute sans entendre, et pendant tout ce temps mes idées me travaillent, partant de l'objet que j'ai à l
le souvenir du fait réel qui reste incertain et les associations d' idées qu'il réveille actuel- lement. L'événement qu'e
dit : « Suis-je bête (sic) d'avoir eu 40 0 CLINIQUE MENTALE. ces idées . » Ce qui ne l'empêche pas d'être reprise par d'a
t l'obsession évoluer et passer par des transitions insensibles à l' idée fixe et au délire systématisé. Petit à petit, l
uvoir de critique, de contrôle ; il ne la sépare plus de ses autres idées ; il l'accepte, il ne discute plus, ne doute guère
et affirmé péremptoirement. Ce n'est plus un simple doute, mais une idée d'6[î<<o«ec ! <St : < ! OH formelle,
délirante. Plus récemment, se sont manifestés d'autres symptômes : idées de persécution s'accompagnant d'interprétations
rétations délirantes et même d'hallucinations. Elles se relient aux idées d'autoaccu- sation, et trouvent leur explicatio
dans les inconvenances que le malade a commises ou pu commettre. Idées d'un complot formé contre lui par des personnes d
t formé contre lui par des personnes dési- gnées, voix injurieuses, idées d'empoisonnement, injection de virus pendant le
s sales et répugnants, ou même par l'audi- tion de mots éveillant l' idée de malpropreté : crainte des souillures de l'âm
es systématisés peuvent être en pareil cas de nature très diverse : idées hypocondriaques, idées religieuses, idées de pe
être en pareil cas de nature très diverse : idées hypocondriaques, idées religieuses, idées de persécution-, idées d'aut
de nature très diverse : idées hypocondriaques, idées religieuses, idées de persécution-, idées d'auto-accusation, ou mê
: idées hypocondriaques, idées religieuses, idées de persécution-, idées d'auto-accusation, ou même idées or- gueilleuse
eligieuses, idées de persécution-, idées d'auto-accusation, ou même idées or- gueilleuses. Les plus fréquentes, d'après n
es plus fréquentes, d'après notre observation personnelle, sont les idées de persécution. Il est, à ce propos, une remarq
e propos, une remarque intéressante. C'est que presque toujours ces idées de persécution expriment, de la part du malade,
oujours ces idées de persécution expriment, de la part du malade, l' idée d'une contrainte subie ; ils invoquent l'hypnot
e dédoublement del a personnalité, s'exprimant même parfois par des idées de possession. Mlle J... présente, depuis l'âge
e sous forme d'interrogations; recherches métaphysiques. Plus tard, idées obsédantes à forme de contraste; manie blas- ph
de pensée qui me contredit toujourset me pousse au mal quand j'ai l' idée du bien », finit par se croire réellement le jo
r cette voie, les interprétations ne se font pas attendre, puis les idées de per- sécution caractérisées, de plus en plus
e de souffrance et d'agitation. En second-lieu, c'est la présence d' idées de défense correspon- dant à la solution de ces
leur organisation en système, leur opposition constante avec les idées de persécution, la présence de phénomènes psychom
e phénomènes psychomoteurs divers correspondant à ces deux ordres d' idées , constituent un véritable dédoublement de la pe
de subordination réciproques entre les troubles émotionnels et l' idée obsédante. Cela peut avoir quelque intérêt, mais
ourrait appeler avec Tanzi diathèse d'incoercibilité psychique. L' idée obsédante n'en est que la manifestation ultime, l
même de leur répétition. les synthèses partielles correspondant aux idées obsédantes deviennent de plus en plus stables e
e; la lutte, le doute font place à l'adaptation, à la croyance. L' idée obsédante prend définitivement place au milieu de
xpliquent encore la forme que revêtent quelquefois ces délires, les idées de persécution par l'hypnotisme, la suggestion,
e en une sorte de gymnas- tique dont l'emploi serait basé sur cette idée , exacte en elle- même mais un peu trop vague, à
menter et de perfectionner leurs fonctions. C'est aussi cette même idée qui dirigeait les applications faites alors de ce
hérapeutiques dans des cas de lésions incurables fit admettre cette idée nouvelle que si les deux termes organe et fonct
singulièrement modifiées. LA RÉÉDUCATION MOTRICE. 51 Une pareille idée jetait un jour tout nouveau sur le méca- nisme
un travail d'éducation nouvelle de rééducation c'est que toutes les idées justes paraissent simples d'après coup, et non
auses de ce retard se comprennent assez bien. C'est d'abord que les idées que nous avons exposées sur l'éduca- tion motri
ient bien l'éducation physique, avaient confusé- ment pressenti les idées qui représentent aujourd'hui les principes de l
voie indiquée, publiant divers travaux sur ce sujet. Depuis lors, l' idée de rééducation s'est encore étendue par les appli
s des cas où un examen attentif aurait dû en écarter absolument l' idée . Mais ce même travail d'analyse n'est pas moins
cès sont bien en rapport avec les techniques spéciales employées, l' idée de suggestion devient une expli- cation inadmis
tion organique est une méthode générale de traitement basée sur les idées de réparation et de suppléance fonctionnelles.
importantes amé- liorations. Frenkel a pu le premier formuler cette idée que l'ataxie régulièrement traitée n'est pas in
d'origine corticale. Pourtant les mêmes principes, et avant tout l' idée de reconstitution fonctionnelle, dirigent toute
éducation motrice, laquelle n'est elle-même qu'une application de l' idée plus générale encore de rééducation organique.
histoire de l'aphasie. La découverte de Broca et l'évolution de ses idées sur la localisation de l'aphasie ; par le Dr La
abord des troubles psychiques sous forme d'excitation maniaque avec idées de persécution, puis des signes de basedo- wism
quelques essais de conciliation. Ces conceptions ont fait naître l' idée de fatalisme, à laquelle Kant et Schopenhauer s
alisme, à laquelle Kant et Schopenhauer s'efforcent de substituer l' idée de liberté en distin- guant le caractère empiri
Cette dis- tinction s'allie, sans la moindre contradiction, avec l' idée de fond primitif, de caractère inné. Ce dernier
allumer du feu. Une voisine inquiète de ne pas voir l'idiot eut l' idée de se rendre aux ruines. Elle trouva le malheur
vant le terrain quileur est propre, depuis la simple croyance à l' idée maladive, jusqu'à la manifestation délirante sous
1871, dans son ouvrage sur le délire des persécutions, signale les idées de persécution communiquées ou délire à deux et
ctif, l'autre le passif. Lasègue et Falret^ en '1877, reprenant les idées éparses sur la contagion de la folie, décrivent
olie induite ou folie trans- formée, c'est-à-dire la transmission d' idées délirantes d'un aliéné à un autre aliéné. Cette
e la Gazette des Hôpitaux de 1894, montre bien l'évolution de cette idée de la contagion de la folie. Elle fut développé
permet de discerner, relativement au milieu dans lequel on vit, les idées et les faits à accepter ou à rejetter. . ' Ta
l'a fait remarquer M. Pronier. Les plus souvent transmises sont les idées de persécution, les idées mégalo- maniaques le
ier. Les plus souvent transmises sont les idées de persécution, les idées mégalo- maniaques le sont plus rarement. D'autr
ent jusqu'ici, ce sont les formes anxieuses de la mélancolie et les idées de persécution. IV. Toute folie par contagion
, elle est due à la résistance plus ou moins grande qu'il offre aux idées déli- rantes suggestives émises par le sujet ac
ertains délires systématisés, on voit arriver très rapide- ment les idées mégalomaniaques ou les réactions délirantes. Co
s aliéné, qu'il n'est jamais halluciné; il ne fait que partager les idées délirantes du sujet actif sans y collaborer par
d'habitudes alcooliques, réalisa un délire alcoolique typique, « idées de persécution et de jalousie, hallucinations de
après trois mois de résistance. Sa maîtresse lui imposa d'abord ses idées de persécution, puis plus tard ses hallucinatio
enre de malades ? Il nous semble que le fait même de l'imposition d' idées délirantes à un sujet le met dans un état sugge
'autres ses facultés, ce qui le rend incapable de réagir contre les idées maladives imposées pendant le temps-de l'influe
ille sa puissance vésanique, édifie un délire dans lequel certaines idées déli- rantes lui sont propres et dépendent de s
période d'ébranlement cérébral qui correspond à l'accepta- tion des idées délirantes du sujet actif ; une deuxième période
onc deux éléments à considérer dans le délire du sujet passif : les idées délirantes qui dépendent de l'in- fluence sugge
ier le tableau clinique : ou bien il y a simplement exagération des idées délirantes commu- niquées qui continuent à évol
somme, la folie communiquée est caractérisée par la transmission d' idées délirantes d'un sujet actif à un ou plu- sieurs
closion. Sous cette impulsion, il élabore de ses propres forces des idées délirantes qui évo- luent par la suite, même un
ère. 1. - Agent actif. Dégénérescence mentale avec prédominance d' idées de persécution, illusions et hallucinations multi
sions, puis rapidement des hallucinations multiples apparurent. Les idées de persécution deviennent de plus en plus marqu
squ'ici cherchait à la rassurer et à lui montrer la fausseté de ses idées , commence elle-même à être légèrement influencé
réfecture de police porte : Délire mélancolique avec prédominance d' idées de persécution, halluci- nations multiples, ins
ale avec illusions, hal- lucinations, interprétations délirantes et idées de persécutions. Signé : Dr Magnan. Cette mal
lles elle s'excite par intervalles. Elle présente en outre quelques idées de richesse : « On l'a fait enfermer ici avec s
e janvier et pendant laquelle la mère a essayé de la raisonner. Les idées de persécution restent aussi actives, mais elle
t à Dun, mais elle ne sait que croire. Malgré ses affirmations, ses idées de persécution persistent. Son état général est
blissement inlel- lccluel, hallucinations de l'ouïe et de la vue et idées de persécution. Agent passif d'un délire commun
ire de Mm0 G. est copié sur celui du sujet actif; ce sont les mêmes idées de persécution, les mêmes hallucinations avec les
. Depuis l'apparition des hallucinations, elle ne combat plus les idées délirantes de sa fille; l'une et l'autre se commu
allucinations de la vue. Il semble même que cette communication des idées délirantes entre elles ait produit le même effe
d'entrée : Léger affaiblissement intellectuel avec hallucinations, idées de persécutions, excitation passagère. Signé :
de l'ouïe sont un peu moins intenses et lorsqu'on lui parle de ses idées de persécution, elle met toujours en avant sa f
porte : Léger affaiblisse- ment intellectuel avec hallucinations et idées de persécution en voie de décroissance. Signé :
sous l'influence de l'agent suggestif toujours aussi délirant, ses idées de persécution reprennent plus d'acuité ainsi que
ennent de plus en plus rares, mais elle conserve toujours les mêmes idées de persécution. A la fin de janvier après une d
une nouvelle crise halluci- cinatoire qui dure quelques jours, les idées de persécution sont les mêmes. Ainsi les deux v
ificat de transfert porte : Léger affaiblissement intellectuel avec idées de persécution. Signé : Dr Magnan. D'après le
Ses persécuteurs ne l'y ont pas suivie, mais elle conserve les même idées de persécution. Elle a quelques idées déli- ran
, mais elle conserve les même idées de persécution. Elle a quelques idées déli- rantes nouvelles qu'elle puise dans son p
it-fils et sa fille; C'est la police. » Elle conserve ses premières idées de persécution. Elle met toujours sa fille eu a
mais réclame de temps à autre sa sortie sans grande suite dans les idées . 152 CLINIQUE MENTALE. Au mois de décembre 19
qui évolue avec ses éléments principaux puisés chez l'agent actif ( idées de persécution, hallucinations de l'ouïe, etc.)
r- ver de cas, sans vouloir émettre une opinion d'accord avec nos idées , il serait intéressant de voir si la continuité d
t inca- pables, pendant un certain laps de temps, de corriger les idées qui leur sont imposées et qui peuvent les entraîn
le provoque. » L'impulsion est à l'acte, ce que l'obsession est à l' idée . On peut donc distinguer : idée obsédante, obse
l'acte, ce que l'obsession est à l'idée. On peut donc distinguer : idée obsédante, obsession, impulsion et acte impulsi
souvent chez les individus normaux : elle se manifeste comme une idée qui occupe le cerveau à un faible degré, pour dis
disparaître aussitôt sans laisser de trace ; mais qu'une semblable idée DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 187 surgisse à
premier rôle à l'élément 158 PATHOLOGIE MENTALE. intellectuel, l' idée , qui apparaît dans des conditions spé- ciales,
ions et de sa maladie. De même, chez les dégénérés impulsifs, les idées sont libres par elles-mêmes, nullement subordon
eux sont adéquats à leur délire ou à leurs troubles sensoriels. L' idée obsédante chez les dégénérés naît avec l'individu
cune d'elles le carac- tère particulier d'entité morbide, selon les idées de certains aliénistes ? Ce serait de scinder l
vations, qui ont porté sur un certain nombre d'états syndromiques : idées homicides, idées de suicide, doute, vol, perver
porté sur un certain nombre d'états syndromiques : idées homicides, idées de suicide, doute, vol, perversions, etc., vien
essions et impulsions conscientes à l'homicide, craintes, onanisme, idées mélancoliques de suicide, secondaires. Marque
a maison, elle-même a présenté, entre vingt-cinq et trente ans, des idées de suicide, sans tentative. Vers cinquante- cin
s idées de suicide, sans tentative. Vers cinquante- cinq ans, mêmes idées également, sans exécution. Enfin, vers 160 PATH
n. Enfin, vers 160 PATHOLOGIE MENTALE. soixante-quinze ans, mêmes idées encore, qui ne l'ont plus quittée jusqu'à sa mo
jusqu'à sa mort à quatre-vingt-quatorze ans. Elle conservait ces idées le plus secrètement possible, mais ne pouvait les
'une façon évidente. D'autre part, du côté de sa mentalité surgit l' idée tenace d'homicide, qui commence dès lors et d'e
d'homicide, qui commence dès lors et d'emblée à l'obséder : c'est l' idée de tuer tous ceux qui se trouvent autour d'elle
de manifestations constituait le premier accès de la maladie. Ces idées , à la longue, préoccupaient moins l'esprit de la
nts muscu- laires généralisés. Parallèlement à cet état physique, l' idée obsé- dante d'homicide qu'elle présentait aupar
spécialement son père, ne la quittait plus; à la vue de celui-ci, l' idée surgissait dans son esprit et elle avait beauco
son esprit et elle avait beaucoup de peine à la dominer; de même, l' idée de mettre du poison dans les aliments ; et par
mort. A la cuisine, la vue d'un instrument tran- chant réveillait l' idée d'homicide, mais l'idée d'y toucher la faisait
ue d'un instrument tran- chant réveillait l'idée d'homicide, mais l' idée d'y toucher la faisait Archives, 2' série, t. X
., à la longue la volonté et le jugement arrivaient à repousser ces idées d'une manière lente,, mais elles n'étaient pas sa
- coup moins pendant les derniers, où elle njavait que. de vagues idées d'homicide, qui la tourmentaient bien encore cont
ongé. Tout, rentra dans l'ordre avec le changement de milieu et ses idées obsédantes, cette fois, disparurent un matin su
sept mois. C'est dans la con- valescence de cette maladie, que les idées obsédantes, impulsions homicides et idées d'emp
de cette maladie, que les idées obsédantes, impulsions homicides et idées d'empoisonner les aliments, réapparurent; penda
ès d'elle. Ensuite vinrent des idées- mélancoliques- et, quelques idées de suicide, mais sans que la malade fasse de te
te du côté mental, mais soudainement s'éveilla de nouveau en elle l' idée obsédante de tuer son père ; toutes les fois qu
Au printemps dernier, elle se trouve de nouveau sous l'empire des idées noires, et dans un état physique déplorable, elle
use apparente, en dehors de son état physique maladif, éclatent les idées obsédantes; cette fois avec un cortège plus bru
moins d'énergie dans la volonté qu'elle possédait auparavant. Ces idées la rendaient en même temps mélancolique. Arrivée
Je sens ne plus avoir de courage ni de volonté pour résister à mes idées , je suis- dans un cercle d'où je ne crois pas p
l'avons décrite Elle présente un carac- tère mobile et émotif. Les idées d'homicide et la crainte des objets- qui donnen
lque acte délictueux, elle serait considérée comme responsable. Ces idées envahissent totalement le champ de sa conscienc
tat émotif, maux de tête, etc. Il y a des jours au contraire où ces idées sont moins intenses, où la malade paraît calme. D
cet état l'a rendue à son réveil plus gaie et moins inquiète ; ses idées obsédantes furent moins persistantes, la nuit a
ent encore cette fois, durèrent plus longtemps. Par intervalles ses idées font bien derrechef leur apparition, mais beauc
atif. OBs. II. Impulsion consciente au suicide (unique syndrome). Idées mélancoliques secondaires par intervalles. Souc
'une paralysie survenue subitement. Un oncle maternel aurait eu des idées noires ; parfois sans cause, il devenait triste
d'autre nature, puisse en faire découvrir la genèse, brusquement, l' idée du suicide surgit dans le cerveau de la malade.
ement, l'idée du suicide surgit dans le cerveau de la malade. Cette idée obsédante n'avait aucune relation avec le souve
faite santé, donnait des soins à ses enfants, lorsque subitement, l' idée de se tuer lui vint, elle trouve par hasard dan
ins et la sauve. Elle reprend son travail; mais il y a deux mois, l' idée de suicide germe de nouveau, subite, impérative
c'était la nuit, au matin elle sort de chez elle pour exécuter son idée ; elle veut se jeter à l'eau; en route ses réfle
son idée; elle veut se jeter à l'eau; en route ses réflexions et l' idée de ses cinq enfants la détournent un moment de
te santé, elle quitte brusquement son logis, parce que cette même idée de suicide la tenaille à nouveau; elle marche lon
el elle a été " amenée à l'asile, elle répond : « Je ne sais pas, l' idée de me tuer m'est venue tout d'un coup sans rais
rt que moi. » Cette phrase indique clairement que l'apparition de l' idée obsédante a lieu dans son esprit d'une façon br
ans lutte ni réflexion préalable. A la suite de nos questions sur l' idée qui s'est emparée de son cerveau, la malade com
la malade commence à pleurer et finit par s'étonner elle- même des idées bizarres et absurdes qui l'accaparent à certains
e malade, nous remarquons que le syn- drome suicide existe seul ; l' idée obsédante survient d'une manière brusque, sans
uses excentriques. Son frère faisant une bouffée de délire avec des idées de persécu- tion ; il disait qu'on voulait lui
n voulait lui faire du mal et lui prendre son poste; à cause de ses idées , il dut quitter le service pour rentrer se soig
ans motif. A l'âge de douze ans, elle se livra à la masturbation. L' idée lui vint de la manière suivante. A l'école pend
cet acte pervers, elle cher- chait à s'exciter par toutes sortes d' idées que créait son imagina- tion, idées liées aux s
à s'exciter par toutes sortes d'idées que créait son imagina- tion, idées liées aux sensations qu'elle avait éprouvées lors
es qui passaient à côté d'elle. Elle était consciente de toutes ces idées bizarres, mais elle ne pouvait pas s'en rendre
ue instant si elle n'a pas égaré quelques billets de banque. Puis l' idée que des billets de banque existent partout et u
inte pour ceux-ci, s'emparent de son cerveau et marquent dès lors l' idée obsédante principale de son état maladif. Com
tude. Il y a deux ans, à la suite de ces troubles, il lui surgit l' idée obsédante qu'elle ne voit plus clair et surtout
n inté- rieur ; tout ce changement se rapportait à l'obsession, aux idées de doute et de crainte qu'elle éprouvait pour l
lus tard. Tous ces troubles maladifs actuels pivotent autour de l' idée obsé- dante du doute et des billets de banque.
ement. Actuellement, M. A. C... est lucide, ne présente plus aucune idée obsédante, elle regarde et touche sans émotion
billets de banque. Bref, elle constate l'absurdité des singulières idées , qui s'étaient emparées d'elle il y a quelques
ystérique, est mort à la suite d'une crise; était porté souvent aux idées noires et restait des semaines entières sans pa
à quatre-vingts ans à la suite d'une attaque d'apoplexie; avait des idées de suicide, DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. lui t
ade commença la couture. En même temps, Marie-Louise F... avait des idées vagues de tristesse et ne demandait qu'à mourir
celle-ci, elle devint plus obtuse, et à la même époque lui surgit l' idée de l'impulsion au vol. Cette impulsion lui appa
t ces impul- sions au vol, la malade présentait continuellement des idées vagues de suicide qui par intervalles devenaien
les, qu'elles poussaient celle-ci à l'acte. C'est à la suite de ces idées qu'en 1899, elle se coupa à la main droite avec
is mois. Un jour du mois de janvier dernier, elle fut reprise par l' idée de suicide, survenue à la suite d'une crise hys
evint triste jusqu'au lendemain, quand tout à coup se substitua à l' idée précédente, l'impulsion au vol qui s'empara de
, hémianesthésie du côté droit. La malade à l'asile a parfois des idées noires ; elle se sent énervée, frotte constamme
adie nerveuse que sa mère ; un fils, faible d'esprit, est porté aux idées noires ; il a l'air de réfléchir conti- nuellem
ieuse et sou- vent pleurait, sentant elle-même la bizarrerie de ses idées . C'est dans ces conditions qu'elle fut internée
mélancolique avec hallucinations multiples de l'ouïe et de la vue, idées de culpabilité et de persé- cution, et quelques
ue, idées de culpabilité et de persé- cution, et quelques anciennes idées de doute. La malade s'imagi- nait que des assas
tobre 1901. Petit à petit apparurent dans- son cerveau de nouvelles idées encore différentes des autres. Celles-ci s'accen-
s le 25 février. 1902. La malade à l'entrée piésente cette fois des idées mystiques qui prédominent dans le tableau morbi
ons hypocondriaques DES OBSESSIONS ET IMPULSIONS. 175 et quelques idées mélancoliques, elle se plaint d'étouffements. b
le second, un état de dépression mélancolique avec hallucinations, idées de culpabilité et de persécution ; enfin pour l
ns à l'homicide et suicide présente quelques caractères spéciaux. L' idée obsé- dante est plus tenace, la lutte de la par
tion) ; dans la seconde, l'individu se rend longtemps maître de son idée obsédante, ou bien, à l'instant même où il se v
liniciens un certain nombre d'entre eux qui embrassent encore ces idées . Pour M. Magnan et pour nous, nous sommes loin
ons. Enfin, les autres syndromes relatés dans nos cas donnent une idée nette des caractères généraux indiqués au comme
L'auteur désigne sous ce nom, ou sous l'appellation synonyme d' « idées impératives », des idées, des impressions mentale
e nom, ou sous l'appellation synonyme d' « idées impératives », des idées , des impressions mentales ou des émotions, pres
, dans l'axiome de droit, doit bénéficier. En confirmation de ces idées , l'auteur apporte une importante statistique de
ceci : il faudrait faire pénétrer dans l'esprit des magistrats une idée qu'ils admettent difficilement et qui, pourtant
re. Deux de nos malades, plusieurs mois avant leur mort, eurent des idées de persécution, l'un d'entre eux devient véritabl
crée l'instinct moral. Cette conception ne peut s'harmoniser avec l' idée d'une morale absolue. Aussi le Dr Bordier consi
o-psychologique 1, )[. Charpentier réservait son premier groupe aux idées morbides pouvant aller jusqu'au délire chez les
on de reprendre, pour le compte de la diathèse névropathique, les idées de Verneuil sur le réveil des dialhèses. Mais d
matisme opératoire. En attendant, il suffira au chirurgien ' Les idées morbides et les délires de persécution. 216 CLI
té, les troubles intellectuels se caractérisent aujourd'hui par des idées hypocon- driaques de décomposition des tissus,
tissus, d'altération, de non existence des organes et surtout par l' idée fixe, incessante d'une mort pro- chaine et cert
s symptômes signalés dans le certificat de mélancolie anxieuse avec idées hypo- chondriaques « elle prie la mort » et idé
lie anxieuse avec idées hypo- chondriaques « elle prie la mort » et idées de négation. Pendant vingt-quatre heures elle r
l'état physique ; la malade engraisse. Le 20 avril, rechute. Les idées hypocondriaques sont moins nettes, ainsi que le
rechute. Les idées hypocondriaques sont moins nettes, ainsi que les idées de négation, mais les idées de culpabi- lité se
iaques sont moins nettes, ainsi que les idées de négation, mais les idées de culpabi- lité se surajoutent; elle est cause
re dès qu'on l'interroge. Les préoccupations hypocondriaques et les idées de négation ont disparu; « je croyais être mala
es de négation ont disparu; « je croyais être malade, c'était des idées ... quand on n'a pas de cerveau, pas de coeur on n
and on n'a pas de cerveau, pas de coeur on ne peut pas vivre. Les idées de culpabilité persistent. 4 Elle n'a pas été sag
as de sa faute, c'est la misère qui l'a pous- sée. Elle a aussi des idées de ruine, on l'abandonne, son mari, ses enfants
st parce qu'elle est juive, on le lui dit assez d'ailleurs. » Les idées de persécution sont plus nettes ; elle accuse de
lle cesse de pleurer, s'excite, se met en colère. Mais toutes ces idées délirantes sont mal coordonnées, mal systématis
présenta aussitôt après l'opération un délire mélancolique avec des idées de 224 CLINIQUE MENTALE. négation, des halluc
dées de 224 CLINIQUE MENTALE. négation, des hallucinations et des idées de suicide. Elle était d'ailleurs prédisposée à
déjà en terreur d'entrer à l'hôpital s'effraya encore davantage à l' idée de l'opération. Environ trois semaines après ce
Par moments, la mémoire lui échappe, puis revient. Quelques vagues idées de persécution se manifestent; elle a des préoc
couchée, elle dormait peu, et fut prise de délire mélancolique avec idées de persécution. Elle se trouvait à elle-même « un
jamais d'elle-même. Pas d'halluci- nations du sens génésique, pas d' idées délirantes obscènes. Le 21 septembre 1897 elle
ire plus en paroles, et se défend d'avoir, actuellement, aucune des idées d'autrefois. 7</som<'<Me (mars 1899).
otif. Le som- meil était devenu mauvais. Obsédé constamment par des idées 228 CLINIQUE MENTALE. chimériques de misère e
i l'opération, le malade était vraiment bien. On aurait dit que les idées avaient changé et il témoignait une vive satisf
oir débarrassé de son infirmité. Puis, sans raison apparente, les idées mélancoliques primitives reparaissent peu à peu
ne répondant pas à ce qu'on lui disait. Uniquement occupé dans ses idées hypochondriaques, il montrait une indifférence
aussitôt elle voit son état empirer brusquement. Désordres dans les idées et les actes ; il dérangeait tout chez lui. Tout
sive. Refus d'aliments par moments. Pas d'autres accusations. Pas d' idées de suicide, au contraire, dit la femme, il avai
ant l'opération il a présenté des modifications de carac- tère, des idées de ruine, survenues peut-être sous l'influence
Après l'opération il a présenté le même délire, un peu plus accusé ( idées typiques de négation, de ruine. Actes incons- c
ion extrême amenant le découragement et les tendances au suicide; idées d'iniquité, de culpabilité, hallucinations pénibl
ssais ayant tou- jours une fistule donnant du pus. C'est là que les idées délirantes apparaissent. - La malade qui a co
n malheur prochain et elle essaye de se jeter par la fenêtre. Ces idées délirantes ont persisté pendant son séjour à Sain
té pendant son séjour à Sainte- Anne et à Ville-Evrard; de plus les idées de persécution ont augmenté sous l'influence d'
is si mau- vais est devenu excellent, quant à l'état mental, si les idées mélan- coliques hypochondriaques et de persécut
n. Réflexions. L'observation dénote un délire mélanco- lique avec idées de culpabilité et de persécution et halluci- na
furent administrés à la malade. Il fut impossible de se former une idée de la relation de l'oeuf aux parties distinctes
ns même dire trois de nos malades avaient, avant le traitement, des idées de suicide qui semblaient ne pas être qu'une va
te ; ces actes n'ont pas été produits par l'enchaînement normal des idées qui aboutit à la volition. Il y avait un désord
e 1902. E. B. LXIII. Un nouveau cas de torticolis mental. Rôle de l' idée fixe, crainte de voir tomber la tête ; par le D
es attitudes de la malade, des subterfuges qu'elle emploie que de l' idée fixe qui préside aux accidents et aux puériles pr
idents et aux puériles pré- cautions prises pour y porter remède. L' idée fixe mère de toutes les phobies, de tous les su
leur force dynamométrique. L'affaiblissement intellec- tuel et les idées délirantes n'ont présenté aucune modification s
éningite a été considérée comme l'accident primitif du tabes. Cette idée avait été déjà avancée par Vulpian, mais après
ce que j'appellerais l'orthonu- trition. Un de mes malades avait l' idée fixe d'assassiner son père; il en fut complètem
joué à la lois par l'hérédité et le milieu dans la propagation des idées religieuses et leur transmission à travers les si
cès, soit la proportion énorme de 43,75 p. 100. Pour avoir donc une idée plus exacte de la mor- talité à l'asile Sainte-
'ailleurs les relations existantes entre les neurones à images et à idées et les neurones pathiques et vaso-moteurs. Quoi
os. Son intensité a été parfois telle qu'elle a pu faire naître des idées de suicide. Parfois il y a des quinzaines d'acc
que instant : « Je ne sais pas... je ne sais plus... je n'ai plus d' idées ». C'est sa seule réponse aux questions que nous
uve. Par moments, elle manifeste un peu d'exaltation cérébrale avec idées de satisfaction et de richesses : « elle a fait
rge étendue de la fesse gauche. La photographie ci-dessus donne une idée suffisante de cette singulière affection. La
ez comme j'ai faim ». On continue aussi à constater quelques vagues idées de satisfaction et de richesses. 27 juillet.
bêtises Je ne veux pas penser à ce qu'elle a fait... Je n'ai plus d' idées , plus de mémoire. Je ne me rappelle plus d'un i
u- sions de l'ouïe, et bientôt des hallucinations, provoquant des idées de persécution ; il se produit une confusion ment
des illusions et des hallucinations sensorielles, quelquefois des idées de persécution liées à des troubles de la sensibi
lame un pareil sujet. Une première tentative faite dans cet ordre d' idées par le Dl Catala a porté des fruits assez appré
comme dans les cas où il se trouve déterminé par des associations d' idées , des habitudes plus ou moins conscientes. Son a
reflète aussi dans des détails qui caractérisent son délire. Les idées érotigaces dans l'épilepsie. M. Marie communiqu
e soit atteint. Cette multitude de fragments d'images, d'éléments d' idées alimentés et nourris par une émo- tion toujours
de repère constant. 6 : Sensations et mouvements que ne guide pas l' idée d'une direction précise. Dans le premier cas, les
et gé- néralisés peu à peu, des obsessions, des phobies, des tics d' idées , des manies avec craintes obsédantes, des idées
phobies, des tics d'idées, des manies avec craintes obsédantes, des idées ébauchées de sui- cide et d'homicide sont surve
besoin congénital, tantôt d'une éducation, tantôt engendrés par des idées . Ce dernier groupe sur lequel la volonté a un e
n somme, selon l'expression de M. Brissaud, une habitude morbide. L' idée joue aussi un grand rôle dans la pathogéuie des
le, émotivité exagérée, affectivité, vanité, manque de pondération, idées fixes, obsessions, phobies, etc., sont les prin
ément psy- chique. Ils montrent le danger qu'il y a à appeler tic d' idées une obsession, une phobie. Ils insistent sur la
t-être un peu trop délibéré- ment le pont qui relie les tics et les idées fixes. II faut, en effet, savoir se borner, car
nes moteurs qui ne sont que la manifestation toute secondaire d'une idée obsédante. La science consiste justement à pren
alades finissent par répéter involontairement. Leur origine est une idée délirante. Les auteurs avouent que les stéréoty
e cepen- dant, une crainte du châtiment, avec scrupules, reproches, idées de suicide. Ce n'est que six mois plus tard,
soit dans la journée, avec dyspnée, suffocation, larmes, désespoir, idées de suicide. Néanmoins, l'état général reste satis
n, édit. 1899. Pitres et Régis. Sémeiologie des obses- sions et des idées fixes.. Rapport au Congrès de Moscou. 1897. Les
RITIQUE. tems du transport an cerveau : mais lorsqu'il eut cessé, l' idée et le sentiment de ce qui s'étoit passé en moi,
re des armes. Ce délire d'action systématisé avec hallucinations et idées mé- lancoliques rappelle les accidents cérébrau
, la symétrie des altérations du côté gauche, évoquent aus- sitôt l' idée de leur origine vasculaire. On trouve d'ailleurs
rtis des opérations des plus directes du sens des atti- tudes.» Ces idées , dégagées de toute conception ancienne sur la psy
du xvi° siècle et au xvn° siècle, la Bavière est travaillée par les idées de sorcellerie et de possession. Les aliénés sont
de douches froides. C'est vers la fin du xvui0 siècle qu'on émet l' idée de construire des établissements pour.aliénés(J
lement dans le quartier des femmes; il s'agissait d'une malade avec idées d'homicide. L'expérience a montré toutefois que
ouvertes, pourraient être fermés dans ces cas spéciaux, (malades à idées de suicide, moribonds, etc.), 468 asiles d'alié
suggestions spéciales. L'habitude, la mémoire, l'associa- tion des idées , l'imagination ont chacune leur rôle respectif da
Sonate du DiabledeTARTiN; résulte des préoccupations du momentetdes idées qui ont obsédé l'esprit pendant la veille. En g
ment, il a a cinq ans ; ce traumatisme psychique provoque, avec des idées de suicide, la première de ces crises ; depuis
t ou paraît hypnotisé lorsque son attention s'est absorbée dans une idée fixe sur un point unique. En effet, les phénomè
rne de la Clinique. Dans ce nombre entrent seulement les cas où les idées obsédantes font l'essentiel de la lésion, présent
actère inquiet, indécis et scrupuleux. Les personnes, souffrant des idées obsédantes, s'habituent déjà de bonne heure à l
êtres qui les ~ entourent; souvent on constate chez ces malades des idées liypo- chondriaqueset, en particulier, la crain
e psy- chique. Pour la plus grande majorité des cas, le début des idées obsé- dantes se rapporte à l'Age le plus jeune
but des idées obsé- dantes se rapporte à l'Age le plus jeune et ces idées se développent progressivement d'une manière no
signaler un début aigu de la maladie ; par exemple, dans 1 cas les idées obsédantes se dévelop- pèrent d'une manière aig
mes de la syphilis cérébrale influa d'une manière favorable sur les idées obsédantes. Concernant les troubles moteurs et
dans l'une ou l'autre forme sont très sou- vent observées dans les idées obsédantes, mais ces anomalies appa- raissent n
s auteurs ont exclu de pareils cas du groupe de la constitution des idées obsédantes, et les ont cités seulement pour com
, et les ont cités seulement pour comparer ces cas avec les cas des idées obsédantes, où ces dernières forment une maladi
on des obsessions morbides, et trouve que souvent, de pair avec les idées obsédantes on peut rencontrer aussi d'autres tr
constitution, sur le terrain de laquelle peuvent se développer des idées obsédantes; ne peut-on pas donner à cette const
. Bernstein est. d'accord avec l'élévation d'une « constitution des idées obsédantes » comme maladie particulière, et il ra
nt de la personnalité. Cette définition sépare les obsessions des idées fixes pures sans émotion angoissante. Les auteu
ant que l'anxiété se manifeste plus spé- cialement par une crainte, idées obsédantes phobiques (phobies), ou par une idée
t par une crainte, idées obsédantes phobiques (phobies), ou par une idée (états obsédants idé(itifs). Les phobies se subdi
s lesquels l'état anxieux se produit sous forme intellectuelle ou d' idée , ce sont les obsessions proprement dites. qu'on
, les obsessions hallucinatoires. Obsessions idéatives. Ce sont des idées parasites, automatiques, discordantes, irrésist
matiques, discordantes, irrésistibles. Les plus fréquentes sont des idées rela- tives à la morale, à la métaphysique, à l
- tives à la morale, à la métaphysique, à la religion. Rarement l' idée obsédante est unique, le plus souvent plusieurs i
on. Rarement l'idée obsédante est unique, le plus souvent plusieurs idées obsé- dantes coexistent, soit similaires, soit
la maladie. Obsessions impulsives. Cette variété n'est autre que l' idée obsé- dante d'accomplir un acte quelconque, ind
llucination est relativement fréquenté dansl'ob.- session ; c'est l' idée émotive qui se transforme en sensation exté- ri
uentes. Le diagnostic doit être fait avec les états physiologiques ( idées fixes. passions), avec les états pathologiques
description, mais elle est évidemment insuffisante pour donner une idée des mérites de cette définitive monographie sur
ait son mari avec la résignation habituelle, elle eût tout à coup l' idée d'un chien qui lui léchait les lèvres. Ce fut u
ses : il lui sembla qu'elle ne pourrait plus éviter l'association d' idées . Le fait est qu'elle ne l'évita plus. Elle redo
E BESTIALITÉ CHEZ LA FEMME. 501 arrivait, elle était angoissée, à l' idée que son mari pourrait s'ap- procher d'elle ; el
elle allaitait son enfant à la fenêtre, elle vit passer un chien; l' idée lui vint des caresses du chien, elle éprouva un
et qu'elle eut toujours vécu avec lui en con- formité de goûts et d' idées , bien que sa mort la laissât pour un temps au m
le plus récent, celui de M. Bernheim, apporte- sur la question des idées nouvelles, contradictoires ou complémentaires.
st guérir par persuasion, car c'est faire accepter par autrui une idée éminemment raisonnable et en harmonie avec la réa
a réalité. On voit que l'auteur, pour être précis dans un ordre d' idées qui commandera des conclusions logiques, a distin
du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique. Ici, l'auteur réfute les idées de l'École de Nancy sur l'hypnotisme, la sugges
fute les idées de l'École de Nancy sur l'hypnotisme, la suggestion, idées soutenues particulièrement par M. Bern- heim. P
estive ». (Bull. Med. p. 938). N'avons-nous pas déjà vu les mêmes idées dans les leçons du mardi de Charcot et dans le
travail, nous constatons que l'au- teur a sensiblement modifié ses idées , mais nous ne voyons pas que sa conception soit
ésente l'appareil symptomatique de la mélancolie (refus d'aliments, idées bizarres, de suicide, etc.) ne peut être étique
ses de nature différente. « La suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par
sion, suggestion et croyance. Le cerveau à qui l'on fait accepter l' idée de la réalité des rayons Roentgen est-il sugges
calquer tous sur le même plan. Rien dans leur aspect qui donne l' idée d'un hôpital ou d'un asile d'aliénés; ce sont d
é du pavillon, pour transformer, au cas où la présence de malades à idées de suicide l'exige, le rez-de-chaussée de la mo
et de surveillance pour 12 à 15 malades tranquilles, déprimés, ou à idées de suicide. Un vestibule spacieux conduit à un
ant plus facilité que l'aliéné dissimule moins ses antécédents, ses idées délirantes, etc., lors- qu'il est seul avec le
surveillés plutôt dans le jour que la nuit, à ceux qui n'ont pas d' idées de suicide, ne sont ni dangereux ni insociables
s : · 1° Salle de surveillance pour aliénés tranquilles et sujets à idées de suicide, avec surveillance continue (pavillo
aliénés et celui des médiums ordinaires. Délire-hallucinatoire avec idées de persécution consécutif à des phénomènes de m
, décrivant le pays, le langage, les moeurs de ses habitants. Des idées de persécution se sont développées aussi. La débi
colonie. lien a recherché les causes, et il les a trouvées dans les idées et les coutumes traditionnelles de la race juiv
u involontaire, la tra- duction au dehors des actes psychiques, des idées , des sentiments dont les manifestations extérie
larté et une précision remarquables. Déclarons avant de résumer les idées de l'auteur, que l'ouvrage est écrit dans un styl
ainsi et les malades aigus ou nouvellement admis, ceux qui ont des idées de suicide, les épileptiques sont soumis pendan
as aigus, les épileptiques, les agités, les bruyants, les aliénés à idées de suicide soient placés dans des dortoirs spécia
d'histoire de l ? La découverte de Ilruca et l'évo- lution de ses idées sur la localisa- tion de l' par Ladame, 88. Ob-
médiumnité, par Baliet et Dlieur, 5<5. liallu- cinatoire avec idées de pei sédition consécutif à des phénomènes de
r, 202. Comment meurent les épileptiques, par Spratling, 275. Les idées érotiques dans l ? par Marie, 377. Recherches c
ahuillero, 365. Torticolis mental. Un nouveau cas fle - Rôle de l' idée fixe. Crainte de voir tomber la tête, par Scher
7 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
7.—Les homicides en Italie, p. 28. — Médecine rétrospective, p. 29. — Idée fixe et obsession, p. 29. IV. — NOUVELLES. — En
faire partager ses convictions. « Quand la vérité est contraire aux idées reçues, il faut un grand courage et une grande fe
officiel entre les mains du professeur Charcot, il ne se plia pas aux idées reçues, mais lutta avec l'école de Nancy contre l
telligence du sujet sous forme de symboles ou signes représentatifs d' idées que celui-ci doit interpréter. C'est ce que j'ai
t incoercible ou de l'impuissance à se mouvoir, mon sujet conçoit une idée relativement claire et adéquate du résultat annon
purgative, que les mots purge et purgation évoquent dans son esprit l' idée familière que chacun y attache. Mais que cett
prit l'idée familière que chacun y attache. Mais que cette simple idée est donc superficielle et sommaire au regard du n
coup d'adresse de cette force, puisque son esprit n'a pas la moindre idée des moyens employés pour en arriver là et reste t
ibilité, intelligence et volonté. Mais il défigurait horriblement mon idée et se montrait plagiaire aussi maladroit que sans
tte sensibilité, cette intelligence, cette volonté raisonnante et les idées même qui les accompagnent sont inconscientes ! ce
el, a-t-il flatteusement dit, aura assez vécu pour voir le triomphe d' idées qu'il défendit avec opiniâtreté contre les maître
t la démonstration de Ramon y Cajal (voir son livre sur les nouvelles idées sur la structure du système nerveux, p. 25), le f
'acte voulu est meilleur ou jugé tel. Il réside donc dans l'éveil des idées provoqué par la sensation D. Le courant A allant
ntrifuge. Prenons un exemple : la vue d'un pauvre. Elle éveille des idées multiples : la faim, la pitié, le dégoût, le dési
, le désir d'être généreux, etc.... Suivant les personnes, une de ces idées plus intenses l'emportera déterminant l'acte. P
a' du cylindraxe a vient exciter la cellule A' qui éveille en nous l' idée de châtiment et vient combattre l'impulsion en fa
igine cérébrale. Si un,e sensation ne provoque pas d'associations d' idées et provoque de suite le réflexe centrifuge, l'act
faire vibrer les cellules A' A". Il n'y a donc pas prédominance d'une idée plus forte, puisqu'il n'en existe qu'une. Dans
l'enfant sont très portés à .l'imitation de l'acte, le associations d' idées étant encore peu développées. On a de môme expl
hystérique, l'ordre donné est exécuté sans provoquer d'associations d' idées capables d'amener une restriction. Notons pourtan
ssible de faire obéir l'hystérique, ou, en d'autres termes, quand une idée est bien ancrée dans le cerveau, la suggestion re
tation d'actes perçus et la suggestion ou reproduction d'actes dont l' idée a été éveillée dans le cerveau par la parole ou l
u et très développé chez certains. Paroles, écrits suscitent en eux l' idée opposée à celle conseillée, et l'acte inverse se
cte inverse se produit. Si la sensation provoque des associations d' idées , la volonté apparaît suivant la nature de ces ass
courants dérivés seront nombreux, moins nombreuses s'éveilleront les idées , plus rapide tendra à se produire le courant cent
tte promptitude à se décider provient d'une pauvreté d'associations d' idées , de raisonnement. Chez le passionné, certaines ce
ntrifuge. Ces motifs aux actes sont des sentiments, des passions, des idées morales. Si ces cellules déterminantes n'existent
déréglé. Non seulement la sensation ne provoque pas d'associations d' idées et amène de suite l'acte ; mais l'unique cellule
tait le sien. Chez le logique, la sensation détermine de nombreuses idées . Les unes poussent à l'acte ; les autres détermin
ion trop intense de l'acte qui ne peut être évité. Les associations d' idées A' A" amenant l'arrêt peuvent se produire, mais e
ec l'aide de Dieu, il retrouvera le sommeil au bout de 24 heures. » Idée fixe et obsession Une idée fixe est une concept
era le sommeil au bout de 24 heures. » Idée fixe et obsession Une idée fixe est une conception délirante inconsciente qu
a personnalité psychique de l'aliéné, tandis qu'une obsession est une idée inutile ou nuisible, mais consciente, et qui occu
'esprit du malade contre sa volonté. Quelle que soit l'origine de l' idée fixe (jugement défectueux, idée préconçue, souven
nté. Quelle que soit l'origine de l'idée fixe (jugement défectueux, idée préconçue, souvenir erroné), ce qui la caractéris
r. L'obsession est tout autre chose. Quelle soit constituée par une idée absurde ou une sensation erronée, le malade r
ui es ste entre les aspirations personnelles et l'acte commandé par l' idée . Cette angoisse ne se manifeste pas seulement par
t chez ce dernier, c'est la faculté du jugement, de l'association des idées qui est profondément lésée, tandis que chez le pr
volonté. La séquestration est le meilleur traitement des malades à idée fixe ; chez les obsédés elle n'est pas nécessaire
letin médical, M. Roubinowitch vient d'établir la distinction entre l' idée fixe et l'obsession. NOUVELLES Enseignement d
L'organisation du musée de psychologie a été inspirée à la fois par l' idée qui a présidé à la création du musée psychologiqu
. Delbœuf était un redoutable adversaire. Il apportait à défendre ses idées une ardeur et une fougue qui ont pu surprendre se
xpression : « Conscience normale », dont vous paraissez m'attribuer l' idée . Permettez-moi de réclamer à ce sujet. Une « co
lleurs, s'il y avait eu ici suggestion idéoplastique,suggestion par l' idée , par l'imagination, enfin action du moral sur le
on dont il est lui-même l'agent et le patient. ïl se suggestionne à l' idée de la toute-puissance du moyen surnaturel dont il
usqu'à une certaine époque, furent plus ou moins sous la domination d' idées dont elles ne pouvaient pas se débarrasser et qui
. Cela devenait plus fréquent, et, à la fin, il suffisait qu'il eût l' idée d'uriner pour laisser échapper l'eau n'importe où
egard d'une personne, même celui de ses enfants, le faisait rougir. L' idée que quelqu'un pouvait peut-être le regarder lé fa
rougir. Cette obsession le forçait d'abandonner ses affaires, et des idées de suicide le hantèrent. Le malade est absolume
é et croyait que tout le monde devait s'en apercevoir. Cette dernière idée l'obsédait également lorsqu'il allait dans le mon
otion causée par l'aspect d'un ivrogne en chemin de fer qui causait l' idée de ne plus pouvoir prendre le train. J'ai égale
mes de maladies ou de dégénérescence). La non- assimilation d'une idée obsédante constitue quelquefois l'élément morbide
obsessions consistent en une hypertrophie chronique de l'attention. L' idée elle-même est normale, mais elle ne l'est pas dan
on nouveau, du moins très peu connu, car il n'était venu à personne l' idée de les classer, de les grouper ou de les catalogu
du cocaïnomane : D'abord c'est une excitation indescriptible avec l' idée de faire quelque chose de grand ; l'acuité auditi
fin se pro- duisent des hallucinations terrifiantes toujours avec idées de persécution. Toute appétence pour une alimen
ction très développé qui lui fit prendre le contre-pied de toutes les idées de progrès. C est ainsi qu'il combattit l'introdu
; le progrès consiste le plus souvent en le renversement de quelques idées anciennes ou rétablissement de quelques vérités n
ue et de la psychothérapie pratique, M. Charles Richet cfiaçait toute idée d'antagonisme entre les deux assemblées. Au congr
s de ce chef sont très rares. C'est peut-être pour cela qu'aucune idée morale ne s'est développée, sous l'influence de l
cle à leur penchant, elles succombent à la tentation. D'autrefois les idées de suicide surviennent et il y en a qui se sont t
ieure autre que celle à laquelle il est soumis, la concentration de l' idée vers un point unique donne au sujet un raisonneme
se contracte et l'apparence de l'ensemble des mouvements donne l' idée d'un appel d'air et d'une forte inspiration à laq
alade ayant repris son appétit et sa gaieté. Lypêmanie héréditaire. Idées et tentatives de suicide. Hallucinations de l'ouï
à la Salpêtrière, le 16 novembre 1805, dans un état de lypêmanie avec idées de suicide et céphalée. Antécédents héréditaire
cardiaque; mère morte tuberculeuse ; grand'mèrc paternelle avait des idées de persécution, morte aliénée à St-Dizîer. Un onc
ait lui qui l'avait inventée. La malade n'a pas de suite dans les idées lorsqu'elle veut faire un ouvrage. Elle a eu, q
cotte jeune fille, atteinte depuis plusieurs mois de lypé-manie avec idées de suicide liée à une céphalée très forte et d'hé
ès avoir lu des récits de crimes détaillés, ait lui-même à son tour l' idée de commettre un crime? C'est là le point délicat
actes semblables, lus dans les journaux. L'exemple est contagieux : l' idée s'empare de l'esprit faible ou abattu et devient
aux, qu'une tentative de suicide a eu lieu, on voit tout à coup cette idée surgir dans des têtes où elle ne s'était pas enco
n souvenir. « Si leur tranquillité est ainsi troublée, c'est qu'à l' idée du crime commis par X... s'adjoint déjà une crain
dit combien je m'estimais heureux d'exposer dans la libre Suisse ces idées qui peuvent paraître attentatoires à la liberté,
pas nuire à ses lecteurs. Nous voilà loin avec cette conclusion des idées que me prétait un critique, qui considère cependa
il s'agit bien plus simplement d'empêcher le contact entre certaines idées et certains individus, car de ce contact jaillit
par une représentation mentale obsédante, pouvant aboutir un jour à l' idée fixe, à la paranoia confirmée ; c'est elle qu'il
du maître, on devra renoncer à faire naître dans l'esprit du malade l' idée de la guérison. Ainsi entendue, la psychothérap
ivée à un degré de maigreur extrême qui achève de la confirmer dans l' idée qu'elle ne tardera pas à mourir. Rien aux poumo
le sommeil s'améliorent: mais l'état mental est à peine modifié, les idées mélancoliques ramènent à choque instant la pensée
re. De là aussi un découragement profond, qui a conduit la malade à l' idée qu'elle était incurable et l'a souvent fait pense
la malade, d'une nouvelle forme de suggestion dont elle m'a fourni l' idée en me faisant paît de l'explication qu'elle se do
c'est l'estomac qui le préoccupe le plus ; il a eu la malencontreuse idée d'ouvrir un livre de médecine populaire et le voi
néral assez satisfaisant, en somme, pour écarter à première vue toute idée de tumeur maligne ou de tuberculose. A l'examen
on découragement reprend le dessus. Un article de journal lui donne l' idée de se faire électriser : il me prie de l'adresser
le fais très volontiers. Peine inutile ! Nouveau retour offensif des idées morbides : le malade commence à perdre le sommeil
tent vains. Le malade, renfermé dans le cercle infranchissable de ses idées fixes,se montre rebelle à toute tentative de sugg
des mêmes arguments, quand l'époque présumée do la mort fut passée, l' idée fixe se désagrégea, la suggestion acquit une infl
un grand danger. Mais il n'a jamais été repris depuis ce temps de ses idées hypochondriaques. II est maintenant retiré des af
assiques : la céphalée et l'insomnie. Ce qui domine la scène, c'est l' idée obsédante qui semble n'avoir attendu pour se déve
quoi tous les traitements qui ne se sont pas directement attaqués à l' idée obsédante née du désiquilibre mental ont successi
ens musculaire. Cette façon d'envisager la pathogénie m'a conduit à l' idée d'essayer de créer par la suggestion hypnotique u
début, par suite de ses écarts, le malade avait, dit-il lui-même, les idées troublées : « Je le sentais bien, mais je ne cham
ient seulement qu'à cette période de son existence, il avait déjà des idées de richesse, de .trésors qu'il aurait découverts.
l partit pour Nancy, où il a dû coucher ; puis, toujours obsédé par l' idée de gens qui le poursuivaient, il a pris à la gare
on a constaté des hallucinations spéciales de nature terrifiante, des idées de grandeur, de richesses. Sous le nom de verti
démontrer le contraire. On a la conscience d'avoir rêvé et comme une idée vague du sujet du rêve. Si Ton fixe son attention
xcitations venues du cerveau antérieur sont les processus psychiques, idées , sentiments, évocation d'images erotiques ou sexu
syncopes et des.accès d'asthme causés par la sonde- d'images et d' idées voluptueuses. L'élut de plénitude des vésicules p
anente entraine la quasi permanence de la fonction. A ce même ordre d' idées appartiennent les troubles névropathiques des fem
te opération, nous restions silencieux, Gustave et moi. J'eus alors l' idée de saisir cette occasion pour essayer de l'endorm
à prétendre qu'il fallait que le sujet fût sous l'influence de cette idée préalable, qu'il allaitélre expérimenté, pour pro
professés avec un succès toujours croissant, peuvent déjà donner une idée de la puissance intellectuelle de Delbceuf. Mais
), a défini l'espace euclidien, ainsi que la droite et le plan, par l' idée d'homogénéité et réduit les postulais fondamentau
1. Ailleurs2, il rappelle et résume dans ses lignes essentielles l' idée qu'il a déjà exposée dans un travail antérieur :
us avons tenu à résumer, ou à citer d'après lui-même, les principales idées dont s'inspire le travail de Delbceuf sur te Déte
ceci parait raisonné. En réalité, ta vue du chapeau est associée à l' idée de sortir, et cette idée détermine une série d'ac
réalité, ta vue du chapeau est associée à l'idée de sortir, et cette idée détermine une série d'actes habituels. Le rôle
ominante qui l'emporte peut représenter un sentiment, une raison, une idée , etc., etc. Supposez les cellules intellectuell
uis la rue, puis le numéro, puis la profession... Ses associations -d' idées se déroulent mathématiquement, il ne peut en dist
es analogues, avec une volubité croissante. C'est alors qu'on eût l' idée d'écrire ce qu'elle disait et qu'on s'aperçut que
notions dérivées d'un esprit de « hiérarchie absolument contraire aux idées modernes les divisent en caté- « gories plus no
malade « les services les mieux appropriés à son état. Pénétrés de l' idée que la bonne confraternité ne peut être que la
t des mêmes Bulletins, 3- série, t. XIX, n° 4. suggestion1. Là, l' idée de la souffrance avait produit le mal ici, l'abse
elle y augmente le désordre organique dont la douleur est le signe; l' idée du mal y entretient et y développe le mal. Au con
e plus profondément divisés, mon savant ami et moi. Comme ce sont les idées que j'ai émises, à plusieurs reprises, depuis 188
peut provoquer de côté ou d'autre. Delbœuf a été un grand remueur d' idées . Comme le font les mineurs dans l'ordre physique,
s'était montré affecté ; il qualifie de géniales quelques-unes de ses idées , mêlées à des aperçus contestables. Antérieuremen
s l'acte du joueur. Tel esprit, d'ordinaire fort censé, développe les idées les plus extravagantes : certaine personne, certa
ncore, on joue par entraînement, par suggestion ; on ne peut se faire idée , sans les avoir vues, des figures éreintées et ma
s pâles, les traits tirés, les yeux bouffis. Encore des victimes de l' idée obsédante, de l'illusion du gain facile, suggesti
ns les précautions que recommande M. Lacassagne. Dans le même ordre d' idées , le changeur ne doit-il pas interposer un grillag
ui concerne les opinions politiques, économiques. C'est permettre aux idées de se faire jour et de mûrir, c'est faciliter l'é
des mois : le malade est alors trop fortement impressionné par ses « idées noires on n'a plus à soigner alors un neurasthéni
u nuisibles, en exaltant par là son aptitude naturelle à accepter une idée ou à la réaliser. Sédatif nerveux par excellence,
s en cette matière la difficulté n'est pas seulement l'expression des idées , la question médico-légale est de décider si l'ét
Il faut bien se l'avouer, la France, cependant toujours à l'affût des idées nouvelles, ne se hasarde que timidement sur ce te
vre mon âme tout entière au bien, je vis avec Dieu. » « Répétez ces idées et d'autres semblables, même mécaniquement, et el
omme de lettres, comme cela se présente assez fréquemment, avait eu l' idée , en compagnie de littérateurs amis, pour stimuler
robablo que ce soit pendant ces périodes de dépression qu'ils aient l' idée de rédiger leur testament. m. Auguste Voisin.
une surveillance attentive ne décèle plus, et j'assiste au réveil des idées de soumission, de travail et de bonne conduite. D
n ne fût très douloureuse. Le malade, prévenu, s'était endormi avec l' idée de souffrir ; et, en effet, tout le temps de l'op
mouvements s'effectuèrent avec précision et docilité. Par contre, l' idée préexistante de la souffrance attendue tint en év
Plus tard, l'élève composera, reproduira en cette langue nouvelle les idées , les sentiments des auteurs. Enfin, bien plus
Pour Stahl, lorsque le régime de l'économie est troublé, c'est que l' idée elle-même est troublée, c'est que l'âme est malad
'hypnotisme, le mécanisme de la guérison est le même. II s'agit d'une idée qui, après avoir été acceptée par le cerveau, s'e
s circonstances dans lesquelles ce bruit se produit, c'est-à-dire les idées que le phobique associe avec le bruit abhorré. Ai
qui met hors de lui le phobique, ce n'est donc pas le bruit, c'est l' idée qu'il y attache, idée de mauvaise éducation, de m
e phobique, ce n'est donc pas le bruit, c'est l'idée qu'il y attache, idée de mauvaise éducation, de manque d'égard, de poli
a famille nosologîquc des états de dépression psychique : mélancolie, idées de persécution, folie mystique ou religieuse, ave
organique inconscient. La cessation des règles suggère à la femme des idées de vieillesse commençante ou confirmée, de déchéa
t désagréable, peut-être un objet de répugnance pour les hommes ; ces idées agissent sur elle comme un choc moral, comme un g
t une profonde tristesse 1res explicable. Mais à coté de ce travail d' idées conscientes se passe un autre phénomène, inconsci
phie. Un vol. in-4«, 464 p. Paris 1897. J.-P. Durand (de Gros). — L' idée et le fait en biologie. Broch, in-4% 88 p. Félix
tifiée à l'unanimité. M. le Dr Bérillon communique à la Société ses idées personnelles sur la nécessité du détatouage chez
suggestion chez cette malade. Imbu et ajuste raison, je crois, des idées et des procédés de l'Ecole de Nancy, opérant d'ap
voir rien connu à la suggestion; 3° d'avoir persévéré dans beaucoup d' idées fausses réfutées par de plus récentes découvertes
suite d'études sur l'hypnotisme, publiées par James Braid, et que les idées émises dans cette analyse ont été en grande parti
s seulement dans Neurologie, etc..., et, finalement, de présenter une idée générale de ses dernières opinions. Avant tout,
rs membres de cette association; il y lut son rapport et y exposa ses idées . Son premier ouvrage sur le mesmérisme fut intitu
en de cette science, en agissant de manière à imprimer à son esprit l' idée que la fixation de son attention était simplement
e : elle avait été donnée déjà par l'abbé Faria et Bertrand, mais les idées de ces derniers, quoique non complètement oubliée
ère, et la plus indispensable condition, de fixer l'attention sur une idée et {es yeux sur un point. » Quelques expérience
payer de phrases et à dissimuler derrière des mots l'insuffisance des idées et l'absence d'observations claires. Pour compren
e tardera pas à être convaincu de cette vérité, que la plupart de nos idées isolées, ou même associées, et par conséquent de
de cette dernière confidence, je constatai chez cette jeune femme une idée fixe qui la dominait complètement, celle que, bie
ouloureuses, car ses ressources s'épuisaient et elle frémissaient à l' idée d'être obligée de reprendre pour vivre son ancien
ait pas sortie des bras de celui à qui elle venait de se livrer que l' idée fixe l'obsédait. C'est dans une anxiété des plus
raire d'une pudibonderie portée à un degré maladif. J'en donnerai une idée en rapportant qu'elle trouve souverainement indéc
it son trouble au chagrin de voir son bonheur reculé d'un semestre, l' idée fixe s'implantait dans son esprit qu'elle venait
s règles pour être complètement rassurée ou confirmée plutôt dans son idée qu'elle était grosse, car elle avait déjà la cert
tère très évident d'immoralité, soit qu'ils ne se rapportent à aucune idée précise, constituent, pour celui qui les portent,
enir matérialisé du séjour dans un milieu immoral. A ce titre seul, l' idée de pratiquer le détatouage pourrait être préconis
tée sans discussion. Mais, comme on pourrait soulever, contre cette idée , diverses objections d'ordre administratif et jur
disposés à se complaire dans les conceptions théoriques que dans les idées pratiques, ne tardera pas à être prise en réelle
ntellectuelles du patient étaient à ce point absorbées par une simple idée , ou à ce point prises par telle fascination de la
je pense qu'ils résultent entièrement des impressions mentales ou des idées dominantes excitées dans l'esprit des sujets (soi
éfinitions suivantes : « Monoidéologie, doctrine de l'influence des idées dominantes sur les actions mentales et physiques
ples d'inconscience ou d'involontaire action musculaire résultant des idées dominantes. Il dit encore que, lorsque l'attentio
e, lorsque l'attention d'un homme ou d'un animal est absorbée par une idée associée au mouvement, un courant de la force ner
la volonté. Le sujet hypnotisé perdant le pouvoir de neutraliser, les idées dominantes se trouvent ainsi irrésistiblement ann
ait que le changement de condition physique provenait de l'action des idées prédominantes agissant sur les propres actes du p
prédominantes agissant sur les propres actes du patient, soit que ces idées prédominantes naquissent dans l'esprit même de ce
e des œuvres publiées durant sa vie, et que cette simple suggestion d' idées nouvelles, faite à l'esprit du lecteur par ce sym
ut être la cause réelle et efficace de conceptions plus étendues et d' idées plus élevées. » Braid avouait dans Neurologie é
dinaire, celui-ci est diffus ou passif, flottant indifféremment d'une idée à l'autre, rendant, par là, le dormeur incapable
t, peuvent rarement faire plus que d'exciter un réve, dans lequel les idées passent à travers son esprit, sans produire des a
t par les mots intelligiblement prononcés à son oreille, soit par des idées qui existaient préalablement dans son esprit, ou
phie. Un vol. in-4°, 464 p. Paris 1P97. J.-P. Durand (de Gros). — L' idée et le fait en biologie. Broch, in-4*, 88 p. Félix
t l'hypnose provoquée chez des névropathes, depuis que J. Braid eut l' idée , un des premiers sans doute, d'utiliser l'anesthé
soutien, si elle retombait gravement atteinte, comme autrefois. Cette idée d'une rechute possible de son ancienne péritonite
ré le luxe de symptômes qui les entourent, n'ont d'autre cause qu'une idée morbide née à la faveur du traumatisme moral et q
té mais ils apparaissaient invariablement lorsque ceux-ci avaient des idées préconçues du sujets ou lorsqu'ils étaient excité
ait à produire les effets attribués à une force magnétique et que les idées suggérées étaient capables d'exercer une grande v
é dans Medical Notes and Réflexions, personne, dit Braid, ne conçut l' idée déterminée que des changements physiques spéciaux
n ami qu'il suffisait d'éveiller dans l'esprit d'un patient certaines idées conformes à sa condition, pour obtenir des altéra
constaté que, sans aucune lésion organique, et par le seul fait d'une idée dominante ayant paralysé ou mal dirigé sa volonté
tout entier. En altérant l'état de la circulation, en retranchant les idées préalables et en y substituant une salutaire idée
en retranchant les idées préalables et en y substituant une salutaire idée de vigueur et d'assurance, — ce qui peut être
mployés, — sur cela, étant éveillés peu de minutes après, avec telles idées dominantes dans leur esprit, les patients, au gra
es intéressées à la chose; celles-ci repoussèrent dédaigneusement ces idées , les qualifiant de dérisoires. Je leur dis alors
du malade, soit par des impressions physiques déterminées, certaines idées sont fixées fortement et involontairement dans l'
fficulté », demande-t-il, a de comprendre la raison pour laquelle une idée dominante serait suffisante à produire des effets
6° L'ardent état de l'imagination qui fait qu'instantanément, chaque idée suggérée, ou le souvenir des impressions passées
nt, que des effets de la mémoire rappelée, par certains contacts, aux idées qui y ont été associées par suggestion : ou bien
ression de condition mentale, excitant, dans l'esprit des sujets, les idées avec lesquelles ceux-ci étaient ordinairement ass
ette expression physique suggère ou excite, dans l'esprit du sujet, l' idée correspondante à la (passion ou émotion) à laquel
cune altération organique, apparente, connue et durable, se compose d' idée , d'émotion, et dépend de l'individualité psychiqu
re action dynamogénique thérapeutique, telle que la suggestion. » L' idée , l'émotion sont des phénomènes psycho-dynamiques.
formes. Elle rétablit l'harmonie dynamique nerveuse; elle guérit de l' idée et de ses manifestations dynamiques morbides par
e guérit de l'idée et de ses manifestations dynamiques morbides par l' idée dans son expression thérapeutique. Les psychopath
e la périphérie sont susceptibles de devenir sensations, perceptions, idées , émotions, actes, successivement. Après Brown-S
rveux d'augmenter ou de diminuer l'excitation d'autres parties. Les idées , rapports de perceptions actuelles ou remémorées
ssions dynamogènes ou inhibitives de certains éléments nerveux. Les idées sont donc des faits nerveux dynamiques. M. le P
re un temps moins court de sorte que nous en ayons conscience, qu'une idée s'interpose entre elle et l'acte, la parole qui l
confond avec la loi de l'habitude. Celle-ci régit la formation des idées et le mécanisme de leur association. Par elle, un
ormation des idées et le mécanisme de leur association. Par elle, une idée tend à se reproduire indéfiniment, soit acte, soi
ons nouvelles. D'autres phénomènes dynamiques sont rattachables aux idées . Ce sout les émotions. Elles prennent aux idées l
sont rattachables aux idées. Ce sout les émotions. Elles prennent aux idées leurs raisons d'être. La différenciation subtile
uvelle) cause d'abord en bloc une excitation cérébrale confuse d'où l' idée se dégage lentement s'il est physique, plus rapid
'obsession, d'hallucination. L'émotion n'a donc de valeur que par l' idée qui l'a devancée et dont elle recueille la force
itation convulsive, de constriction vasculaire 1. Les émotions, les idées , voilà, en somme, des faits dynamiques-psychiques
Cependant, dérivée d'une sensation visuelle, auditive ou autre, une idée est acceptée par le cerveau, si la crédivité, inh
Bernheim) n'est pas contrebalancée par la raison. L'introduction de l' idée dans le cerveau et son acceptation par lui, telle
em). La suggestiùilité d'un individu sera son aptitude à accepter les idées et à les réaliser. Pas d'idée, pas de suggestion.
ividu sera son aptitude à accepter les idées et à les réaliser. Pas d' idée , pas de suggestion. Celle-ci repose sur le mécani
ssibilité de rencontrer les mêmes conditions réveille un même ordre d' idées , de suggestions. Mais si les sensations provenu
e, portent le nom d'autosuggestions. Elle découle d'une association d' idées bâties sur une sensation interne, et « en rapport
hique est influencée par elle. Les qualités d'une perception, d'une idée et de la suggestion attenante sont imputables à l
t de la suggestion attenante sont imputables à l'individualité. « L' idée ou la sensation première est mûrie par le cerveau
nsciente dans laquelle interviennent les impressions antérieures, les idées accumulées comme souvenirs, la modalité native, a
vidualité psychique. De ce travail cérébral nous ne connaissons que l' idée ou la sensation initiale : la porte d'entrée ; et
n reçue, l'individualité particularise l'impression élaborée, devenue idée , suggestion. « Autant de cerveaux, autant d'aptit
es sont des impressionnables; leur aisance à passer sur le champ de l' idée à l'acte sans contrôle en classe d'autres sous la
une altération organique apparente, « connue et durable, se compose d' idées , d'émotions, et dépend « de l'individualité psych
t à elles. Son caractère dynamique est issu de la dynamogénie des idées et des émotions. Ce qualificatif « dynamique » ma
r cette définition, ce sera décrire la nature de notre Élément. Une idée contient un acte de puissance. « Toute idée suggé
e de notre Élément. Une idée contient un acte de puissance. « Toute idée suggérée et acceptée tend à se faire acte » (Bern
eim et étayée par lui d'exemples probants auxquels nous renvoyons L' idée redevenue sensation ! c'est l'explication des ill
si variés, à doses individuelles tantôt faibles, tantôt massives. Une idée dérivait d'une sensation, elle a pénétré la consc
dans un groupe de cellules ou de neurones psychiques. L'inhibition d' idées concurrentes rem-pêche de se manifester ; elle re
ironique ou négligente, lors même qu'ils souffrent véritablement. L' idée neutralisante ! c'est l'explication des paralysie
est le secret des anesthésies sensitivo-sen-sorielles-dynamiques. L' idée agit sur les fonctions d'un organe. Quant à l'é
Quant à l'émotion, elle doit, comme l'on sait, sa raison d'être à l' idée . Une idée dégénère en émotion, de même qu'une émo
l'émotion, elle doit, comme l'on sait, sa raison d'être à l'idée. Une idée dégénère en émotion, de même qu'une émotion proje
motion projette à son tour une image. L'observation nous montre que l' idée est fréquemment une émotion qui commence. L'idée
on nous montre que l'idée est fréquemment une émotion qui commence. L' idée de la mort, même imprécise, est encore dénaturée
e: mélancolie ; enfin, psychiques propres, c'est-à-dire que plusieurs idées naîtront d'une seule, et avec elles des états psy
ule, et avec elles des états psychiques voisins ; exemple : phobie ou idée de répulsion accompagnant une idée fixe, une obse
ques voisins ; exemple : phobie ou idée de répulsion accompagnant une idée fixe, une obsession. L'individualité diversifiera
et fidèle, dut se servir d'un mot qui, jusque-là, exprimait une autre idée , plus grossière, mais, néanmoins, superficielleme
culaires ; il suffira peut-être de penser clairement et nettement une idée pour la répandre, comme la lumière ou l'électrici
x haillons d'un langage qui nous contraint, par exemple, à exprimer l' idée d'un tout, dont nous sommes des parties, par le m
originairement, signifie « celle qui enfante », nous imposant ainsi l' idée d'une mère avec tous les attributs de la sexualit
t les Universités. J'ajouterai une seconde remarque à celle-ci. Les idées exprimées dans ce chapitre sont presquo identique
tion du corps, et l'éloignant ainsi des autres, soit en éveillant les idées préalablement associées avec l'impression physiqu
leurs propriétés. « En défendant cependant l'hypnotisme contre les idées erronées de ceux qui lui attribuent des pouvoirs
réve ou le somnambulisme, résulteront selon que les sensations ou les idées prédominantes sont plus ou moins également vives.
isme et la psychologie expérimentale (l'), par le Dr Bérillon, 283. Idée fixe et obsession, 29. Impressions d'un cocaïnoma
pnotisme (la), discussion et polémique, 239. Lypémanie héréditaire, idées et tentatives de suicide, hallucinations de l'ouï
hérapie (du traitement des), par le Dr P. Valentin, 116. Obsession ( idée fixe et), 29. Obsessions par la suggestion (gué
8 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
omme une production parasitaire, en dehors du cours ordinaire des idées et que le malheureux patient surpris, en quelqu
elle com- prend parfois plusieurs mots, une phrase traduisant une idée déterminée; mais que l'obsession émane, comme d
os malades, avec l'obsession du mot apparu en dehors du cours des idées et l'impulsion à le répéter, se mon- trent égal
Hallucinations, troubles de la sensibilité générale, prédominance d' idées de persécution. Craintes du toucher. Lavages ré
re elle a été prise de délire mé- lancolique avec hallucinations et idées de persécution : on la regardait avec mépris; o
érant toujours les soins de propreté. Au bout de quelques mois, les idées de persécution ont reparu avec la même intensit
epoussées. Très attristée, elle a manifesté à diverses reprises des idées de suicide; d'autres fois exaspérée, elle brise
n IX. Dégénérescence mentale. Hallucinations à sept ans; plus tard, idées mélancoliques et de persécution. A vingt-huit a
tée et a craché sur une de ses parentes. Depuis sept mois, elle a l' idée de se tuer ; elle s'est piqué une varice et s'e
des injures ou des obscénités. De temps à autre elle manifeste des idées de persécution, elle prétend qu'on mêle à ses a
tamment de pécher, mais plus elle cherche à repousser les mauvaises idées plus aussi elle se sent obsédée et poussée à pe
t qu'elle est obligée de lutter vigoureusement pour repousser cette idée ! ' Sauf son mari, elle craint le contact de to
PATHOLOGIE MENTALE. la ménopause, lui est suggérée, dit-elle, par l' idée que celui-ci ayant touché sa verge pourrait dép
pour repousser toute expression qui pourrait donner prétexte à une idée obscène. Plusieurs médecins avaient conseillé l
maladives reprenaient leur empire. Ce cas fort instructif donne une idée de la marche en quelque sorte naturelle des syn
cence mentale. Hallucinations. Troubles de la sensibilité générale. Idées ambitieuses et de persécution. Ono- matomanie.
e qu'il fait, et des téléphones qui divul- guent ses paroles et ses idées que les publicistes, les députés, tout le monde
thologie mentale. habituel, mais de la dépression mélancolique avec idées de persé- cution ou de l'excitation avec des id
élancolique avec idées de persé- cution ou de l'excitation avec des idées ambitieuses. A sa dernière entrée, il est trist
est triste, en proie à des préoccupations hypochondriaques et à des idées de persécution; il prétend qu'on le poursuivait
de quel- ques jours, le délire perd de son activité, mais quelques idées de persécution persistent. Depuis cinq ans, i
ervation XIV. Dégénérescence mentale. Hallucinations bilaté- rales. Idées ambitieuses et de persécution. Onomatomanie . Mot
lle se sentait poussée à tuer ses enfants, elle ne sait comment ces idées lui venaient, mais elle en était vivement affec
es perdent une certaine catégorie de souvenirs, un certain groupe d' idées du même genre formant ensemble un système. Ains
me. Ainsi, elles oublient ce qui a rapport à leur famille, ou les idées relatives à telle personne, ou les connaissances
crois, au contraire, que certaines d'entre elles se rapprochent des idées fixes : un certain nombre seulement dépendent d
jouter aux autres formes d'oublis ' Etude sur un cas d'aboulie et d' idées fixes. (Revue philosophique 1891, t. I, p. 258-
sme que nous n'avons pas à étudier et dans lequel l'association des idées joue le plus grand rôle, les phénomènes psychol
se réunisse les sensations produites et les rattache à la masse des idées antérieures qui constitue la personnalité. Eh b
e image soit reproduite par le jeu automatique de l'association des idées , il faut encore que la perception personnelle s
il est toujours permis de raconter certains faits et d'exprimer les idées qu'ils nous sug- gèrent, quand on prend la préc
dérivent directement par la suite, des troubles dans la sphère des idées et des actes. Tous ces phénomènes, comme les au
e son père, elle est alors affectée de mauie avec désordre dans les idées ..... Guérison. P. KERAVAL. ' IV. LE champ vis
E PATHOLOGIE MENTALE. l'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles idées , hallucinations, paralysie totale des jambes, d
ssé à la Société psychiatrique de Vienne. Dégénéres- cence mentale, idées de grandeur, impulsivité. Psychose chro- nique
'alblaU. f. Nervenheilk. NF.,II, 1891.) Première étude : manie avec idées de grandeur bizarres et phé- nomènes peu accent
mme si on lisait une langue inconnue avec un alphabet connu (plus d' idées ) plus d'association d'idées; sorte de surdité ver
inconnue avec un alphabet connu (plus d'idées) plus d'association d' idées ; sorte de surdité ver- bale). Interruption de B
'un an ; plusieurs accès d'aphasie; au commencement de cette année, idées délirantes de persécution; hallucinations de l'
intermédiaires, de leurs formes mixtes (en 1811, on n'en avait pas idée ), on s'étonne à bon droit que la justice conserve
. . La première motion do M. Svetlin est seule adoptée. M. BOECE. Idées propres à opérer une réforme radicale de l'assis-
s accès sont épouvantables, les délirants chroniques, qui par leurs idées fan- tastiques ou provocatrices, jettent partou
avoir de prédisposition à commettre des actes répréhensibles, car l' idée même de la culpa- bilité dépend de conditions a
s d'aliénés ne sauraient être le moyen vrai; en revanche, quand les idées raisonnables et la menace du code pénal demeu-
ication de la science et de l'humanité bien entendue. On a émis l' idée qu'il valait mieux ne pas placer un médecin à l
uel à l'aide de l'oreille et en comparant l'image du son du mot à l' idée qu'il représente. On apprend à lire en unis- sa
ne, l'enfantement d'un mot fait courir une incitation du champ de l' idée ou de la notion que ce mot représente au champ
hé, chez le malade en question, l'association, la combi- naison des idées et des notions, et ces nouvelles recherches contr
s nouvelles recherches contre- disent à l'existence d'un centre des idées . C'est un postulatum à rayer, de même qu'il a f
priori s'embrouillent principalement quand on considère un centre d' idées , et les contradic- tions sont telles qu'il faut
ci un objet qui frappe mes regards, je sais ce que c'est, j'en ai l' idée , la notion précise, je puis le décrire exactement
art, possible, ainsi que l'a montré Charles Richet, de suggérer une idée délirante à un sujet, de lui faire croire qu'il
arce que les conceptions suggé- rées agissent sur l'association des idées en vertu de rouages auto- nomes sur lesquelles
nt bien moins graves que le trouble fonctionnel. C'est à coup sûr l' idée delà paralysie qui a provoqué la paralysie. Pou
sont imprimées dans la conscience du patient, et ont produit cette idée fixe qu'il allait être paralysé, l'idée a arrêté
tient, et ont produit cette idée fixe qu'il allait être paralysé, l' idée a arrêté les fonctions du centre cortical du br
n ! cette paralysie peut guérir spontanément par l'expec- tation. L' idée fixe s'affaiblit avec le temps, tandis que l'exci
e action favorable sera aidée par l'influence dérivative d'autres idées qui impressionnent vivement l'affectivité et l'in
troubles fonctionnels; 3° Parce que certains symptômes, telles les idées délirantes et SOCIÉTÉS savantes. 12S les hall
roubles morphologiques de l'idéation, notamment des obsessions; des idées délirantes d'origine autosuggestive et non point
'origine autosuggestive et non point des délires primordiaux ni des idées fausses, d'ordre mélancolique, ' appliquées à u
ale et intellectuelle, les .126 sociétés savantes. penchants, les idées et d'obtenir la disparition des hallucinations
urbations intellectuelles des vésanies toxiques et hystériques. Les idées délirantes systéma- tiques, organisées, cristal
uvres complètes de M. Charcot, que M. Bourne- ville a eu l'heureuse idée de réunir et de publier, serait l'un des plus i
et dynamique d'expression. Cette analyse succincte donne à peine l' idée des difficultés vrai- ment considérables, que M
et nous espérons qu'en donnant une plus grande publicité à cette idée , nous aiderons à la réalisation d'un but si louab
er pour que ce mot malfaisant n'intervienne point dans le cours des idées ; ils n'osent pas sortir crai- gnant de l'entend
erstitieuse, quoiqu'elle considère comme' · profondément ridicule l' idée d'accorder une puissance maléfique à un mot que
actes. Phrases préservatrices. Crainte du toucher. En dernier lieu, idées de persé- cution. \ M. S..., âgé de quarante-
voir assez bien fait. A douze ans, au collège, le directeur eut l' idée de faire défiler tous les élèves devant le corp
il ne fallait. Des scrupules et des craintes s'éveillent à propos d' idées parfois bizarres; après la visite d'un ami, pen
. Les angoisses sont parfois si pénibles qu'elles font naître des idées de suicide. Observation XX. - Mère dégénérée, s
t ans, à la suite de chagrins causés par des malheurs de famille, l' idée obsédante d'enterrements précipités, d'enterremen
venu. Elle cherche vainement à s'endormir, l'inquiétude augmente, l' idée que sa parente est en léthargie, qu'elle peut êtr
saisit et l'inquiète. Elle a eu de longues périodes de calme sans idées obsédantes; mais celles-ci reviennent prompteme
aternel sont alcooliques. La mère, déséquilibrée, a toujours eu des idées bizarres. Un oncle maternel, peureux et superst
a donc trompé, dit-elle, son mari et elle n'est pas mariée ; cette idée la poursuit sans cesse, et mal- gré des confess
A diverses reprises, elle a eu des périodes de dépression avec des idées mystiques et de persécution ; la crainte d'avoir
ant quelque temps ces obsessions sont devenues le point de départ d' idées délirantes, mais plus tard, elles sont restées
diverses reprises des périodes de tristesse, quel- quefois même des idées de suicide, mais c'est surtout depuis deux ans
sorielle, à l'hystérie, au début de la démence paralytique, etc., l' idée d'envisager l'amblyopie transitoire plus largem
était bientôt suivi d'embarras de la parole et de troubles dans les idées . Non seulement la malade ne pouvait pas articul
épilepsie sen- sitivo-sensorielle, sontsuivies de troubles dans les idées , de sorte que la malade fait une chose pour une
l'intelligence, qui rend au sujet les paroles correspondantes aux idées qu'il voudrait exprimer, difficiles à trouver (vé
fréquentes que les autres. Après les attaques, mélancolie, plears, idées de suicide. Le malade ne saurait pas préciser,
sorte que pour l'aphasie motrice par exemple, on ne se fait qu'une idée très approximative de l'étendue que devrait avo
Il existe une zone visuelle, base de la perception visuelle et des idées qu'elle fait naître; il y a une zone auditive, un
être regardée comme une mauvaise opération. La fausseté de cette idée préconçue a depuis été amplement démontrée par
xcision de la cicatrice, la chose fut faite. Pour vous donner une idée de l'état pitoyable dans lequel se trouvait le
gagner sa vie. - Le Dr Jackson fut le premier à suggérer, et son idée a été maintes fois mise en pratique que l'épile
ègles ordi- naires. , C'est dans les maladies de l'esprit que les idées localisatrices de Virchow ont été le moins bien
des réflexes tendineux. Délire intense; désordre excessif dans les idées . Mort. - Autopsie. Epaississement de la pie-mèr
aux de ces intoxications. . Nous n'avons donné qu'une bien faible idée de cet important travail qui ne comporte pas mo
mble symptomatique qui dure cinq semaines. Au bout de ce temps, les idées mélancoliques s'évanouissent totale- ment, mais
de stupeur. Les malades ont un délire franchement mélancolique avec idées d'indignité, d'incapa- cité, de culpabilité, de
ons de l'ouïe manquent souvent ou sont simplement confirmatives des idées délirantes, en sorte qu'il n'y a pas de dialogu
uentes. A ce moment, l'hypochondrie physique se mani- feste par des idées de destruction, de non-existence des organes; c
refus est alors total, tandis qu'il est partiel chez le persécuté à idées d'empoi- sonnement. La marche de ce délire est
e qui n'est, en réalité, qu'un délire mélancolique à rapprocher des idées d'immortalité et que Cotard a désigné du nom de
sécution. Enfin, il évolue parfois sur un fonds hystérique. - Les idées de négation sont l'expression de troubles subject
nt sous des formules différentes. On peut ainsi distinguer : 1° des idées hypocondriaques de néga- tion, comme celles que
on des organes, des facul- tés, des sentiments); 2° puis il y a des idées de négation extério- risées, s'adressant au mon
n extério- risées, s'adressant au monde extérieur ; 3° et enfin des idées de négation d'ordre psychique et d'ordre métaph
et psychique, ils nient l'âme, Dieu, le diable, etc.. A côté de ces idées de négation, on doit en placer d'autres qui ont
placer d'autres qui ont avec elles une analogie véritable comme les idées d'énormilé, d'immortalité, de possession, de damn
sion, de damnation. C'est précisément celle combinaison fréquente d' idées hypocondriaques, de négation, de damnation, d'i
logique aboutissant au délire des négations ? M. Séglas regarde ces idées comme des idées délirantes secondaires, dépenda
ant au délire des négations ? M. Séglas regarde ces idées comme des idées délirantes secondaires, dépendant de l'altérati
près semblable. Les exemples que Cotard a donnés à l'appui de ses idées sont parfaits d'analyse psychologique : mais le
rop généralisé, le délire des néga- tions n'est pas une entité. Les idées de négation ne sont pas rares, mais le type dél
te très succinctement 28 observations de malades ayant présenté des idées de négation : si quelques-uns se rapprochent ou
ques sont négateurs. 11 n'en est pas de même des persécutés; 2° les idées délirantes de négation, isolées ou plus ou moin
ancolie avec grande anxiété, on observe parfois cette association d' idées de négation, de damnation ou de 284 SOCIÉTÉS SA
espèce noso- logique nouvelle; 4° dans les états mélancoliques, les idées de négation indiquent un trouble plus profond q
négation indiquent un trouble plus profond que celui accusé par les idées de ruine, d'impuissance et de culpabilité ordinai
ruine, d'impuissance et de culpabilité ordinaires ; mais quand ces idées de négation se manifestent, il ne semble pas qu
avant tout de l'espèce nosologique sur laquelle se sont entées les idées délirantes spéciales. C'est ainsi que les vésa-
ciales. C'est ainsi que les vésa- nies de forme intermittente, avec idées de négation, ne guérissent pas, alors que certa
rtains accès de mélancolie avec angoisse, culpabi- lité imaginaire, idées de damnation, de possession, de négation, d'imm
les folies séniles, de forme dépressive, on note assez souvent des idées de négation isolées ou systématiques ; 8° les s
négations est l'apanage des cerveaux invalides; 9° on- observe les idées de négation dans les états mélancoliques anxieu
dans les états mélancoliques anxieux. ils se combinent alors à des idées de damnation, de possession ou d'immortalité, e
nous ne les avons jamais \us dans cette affec- tion s'accompagner d' idées d'immortalité ni de possession. On les rencontr
ie; de la propension au suicide et aux mutilations volontaires; des idées hypochondria- ques de non-existence et de destr
destruction d'organes, du corps tout entier, de l'âme, de Dieu; des idées de damnation et de possession ; des idées de ne
r, de l'âme, de Dieu; des idées de damnation et de possession ; des idées de ne pouvoir jamais mourir; état de chronicité s
à quelques-uns de ses phénomènes constitutifs, particulièrement aux idées hypochondria- ques de non-existence ou de destr
r l'ensemble des documents rassemblés dans son rapport, c'est que l' idée hypochon- driaque de négation, comme toutes les
t, c'est que l'idée hypochon- driaque de négation, comme toutes les idées délirantes, quelles qu'elles soient, se rencont
rtenant à cet état psychopathique : . 1° Anxiété mélancolique; 2° idées de damnation et de posses- sion (la malade croi
pension au suicide et aux mutilations volontaires; 4° analgésie; 5° idées hypochondriaques de non-existence ou de destruc
, en matière inerte, une statue, espèce de chose ou de saleté); fin idée fixe de ne pouvoir jamais mourir (la malade cro
mais est-ce une raison suffisante pour y voir une contradiction aux idées de Cotard. Ces cas différents ne se- raient-ils
à la description de Cafard. Tout d'abord, il peut s'agir de simples idées de négation ou d'un délire négatif plus ou moin
de négation ou d'un délire négatif plus ou moins systématisé. 1° Idées de négation. -Elles se rencontrent surtout sous l
s soudaine- ment et l'indifférence des malades contraste avec leurs idées hypo- chondriaques. Ces mêmes caractères peuv
chondriaques. Ces mêmes caractères peuvent aussi s'appliquer aux idées de négations que l'on rencontre dans les délire
abituels de la paralysie générale peuvent-ils être nécessaires. Les idées de négation se rencontrent aussi chez les séniles
s dans les formes habituelles aux individus plus jeunes. Enfin, les idées de négation ont été signalées aussi dans l'alco
à des psychoses, et le plus fréquemment à la mélancolie. A. - Les idées de négation ne sont pas rares chez les mélanco-
s de symptoma- tologie se réduisant surtout à l'absence, tantôt des idées de damna- tion, ou de possession ou d'immortali
auto-accusation de ces délires, mais ne met nullement en relief les idées de damnation. En fait cette idée, simple inter-
is ne met nullement en relief les idées de damnation. En fait cette idée , simple inter- prétation donnée par le malade d
bles psychopathiques plus profonds, n'a pas plus d'importance que l' idée de culpabilité; ce n'est qu'une étiquette diffé
qu'une étiquette différente due au milieu, à l'éducation. De même l' idée de possession n'est pas indispensable et l'on peu
s le fonds est le même. Il n'y a qu'une différence de degré entre l' idée de possession formulée et la contradiction inté
s fréquente chez le mélancolique et même la conversation mentale. L' idée d'immortalité de son côté n'est pas plus nécess
est pas plus nécessaire au diagnostic de délire des négations que l' idée de grandeur à celle de délire des persécutions.
ndeur à celle de délire des persécutions. Elle semble n'être qu'une idée surajoutée, ne fait pas taire les autres idées dé
semble n'être qu'une idée surajoutée, ne fait pas taire les autres idées délirantes, 288 SOCIÉTÉS SAVANTES. et comme l
délire de négation, sa guérison pos- sible, la venue pêle-mêle des idées délirantes. Ne doit-on pas plutôt chercher à re
es variétés différant par l'apparition successive ou simultanée des idées déli- rantes, par la marche plus ou moins rapid
plus ou moins rapide et régulière de l'affec- tion, etc... B. Les idées de négation systématisée ne se rencontrent pas
pas que dans la mélancolie. Cotard les avait déjà trouvées à côté d' idées de persécution. En Allemagne, Witkowski a décri
e forme qu'il ap- pelle Wahnsinn depressiver, où l'on rencontre des idées hypochon- driaques, des idées d'auto-accusation
nn depressiver, où l'on rencontre des idées hypochon- driaques, des idées d'auto-accusation, de culpabilité, de négation,
ou motrices, mais aucun état mélanco- lique. Puis sont apparues des idées de possession et de négation; la malade nie tou
roche plutôt des délires des persécutés; elle n'a pas cependant des idées véritables de persécution, mais des SOCIÉTÉS SA
s idées véritables de persécution, mais des SOCIÉTÉS SAVANTES. 89 idées de possession qui ne sont pas primitives comme le
rd. Il en est de même du dédouble- ment de la personnalité. ' Les idées de négation sont rares chez les persécutés ; s'il
de ce qu'on leur a pris. Lorsqu'on rencontre chez eux de véritables idées de néga- tion, on trouve en mème temps des phén
signes d'un dédouble- ment de la personnalité et très voisins de l' idée de possession. La présence de ces symptômes mon
ronostic ne peut être aujourd'hui fixé d'une manière abso- lue. Les idées de négation hypochondriaque semblent indiquer un
us les symptômes de l'affection. Il est à remarquer cependant que l' idée de négation semble être l'apa- nage de cerveaux
es antérieurs. On la rencontre dans les mêmes circonstances que les idées de grandeurs auxquelles elles peuvent être assi
e qui précède, tirer les conclusions suivantes ; 1° En dehors des idées de négation qu'on rencontre par exemple chez le
par Cotard" et qui dès lors doit être conservé. 3° La présence des idées de damnation, de possession, d'immortalité même
tic de ce délire de négation, lorsque l'on peut constater, soit des idées délirantes de même nature mélanco- lique, soit
t à la maladie. Toutefois, d'une façon générale, on peut dire que l' idée de négation est toujours le fruit d'un cerveau in
drie morale simple; puis apparaissent les phénomènes d'anxiété avec idées de ruine, culpabilité, indignité, damnation, to
iété avec idées de ruine, culpabilité, indignité, damnation, toutes idées possibles et acceptables. Plus tard apparaissen
, toutes idées possibles et acceptables. Plus tard apparaissent des idées de négation absurdes, et enfin un délire d'énor
ons ; car, il côté du délire des négations essentiel, il existe des idées délirantes de négationqu'on rencontre dans dive
ire des négations et altérations de la personnalité, et accepte les idées de Cotard. M. Carrier (de Lyon). Depuis longtem
is dix ans j'ai vu un assez grand nombre de malades qui avaient des idées de négation, mais je n'eu ai pas rencontré un s
utive analogue à ce qu'on voit chez certains persécutés. Il y a des idées de négation et très fréquentes chez les mélanco
suis d'accord avec M. Garnier pour reconnaitre que l'apparition des idées peut être précoce. C'est ainsi que l'une de mes
s fut prise, en décembre 1891, de délire mélancolique vulgaire avec idées de ruine, craintes de supplices, en février sur
a guère que quinze jours, au bout desquels réapparurent les mêmes idées mélancoliques du début, mais de plus des idées de
apparurent les mêmes idées mélancoliques du début, mais de plus des idées de négation typiques qui survinrent au bout de
emarquer tout à l'heure, avait signalé la précocité pos- sible des ; idées de négation chez les anxieux. Si le type qu'il
plus grande prédisposi- tion amenant une apparition plus rapide des idées de négation ainsi qu'il en est pour les idées d
ition plus rapide des idées de négation ainsi qu'il en est pour les idées de grandeur chez les persécutés. La séance est
és doit-il se taire toujours, alors que son silence peut susciter l' idée d'un état plus grave que la réalité, ou celle d
e constater au cours de notre dernière visite annuelle. On aura une idée de l'importance du nombre de ces malades par ce
r le Congrès '. M. Gilbert Ballet ? Sur les caractères de certaines idées de per- sécution observés chez les dégénérés à
e Lasègue, les caractères qui différencient les unes des autres les idées longtemps confondues ensemble de persécution et
bsolument vraies dans tous les cas : il est telle circonstance où l' idée de persécution nettement caractérisée pourtant s'
icale de hernie. Or, depuis cette opération, le malade présente des idées de persé- cution. Il est convaincu que ses cama
assant près de lui : « Tiens, tu es comme ça. » Ce sont bien là des idées de persécution avec les interprétations délirante
ions délirantes, les hallucinations auditives, qui accompagnent ces idées d'ordinaire. Eh bien, ce persécuté, qui ressemb
égénéré comme il l'est, a été le point de départ d'un échafaudage d' idées morbides. Cet homme est désireux de se faire me
omme est désireux de se faire mettre un testicule artificiel; cette idée l'obsède. « Quand j'aurai mon faux testicule, d
enchantés de la chose. » Cette dernière phrase peint très bien les idées de persécution observées chez ce malade; elle m
les idées de persécution observées chez ce malade; elle montre ces idées à cheval, d'une part sur l'idée de persécution
es chez ce malade; elle montre ces idées à cheval, d'une part sur l' idée de persécution telle qu'on l'objet ve couramment,
persécution telle qu'on l'objet ve couramment, d'autre part, sur l' idée mélancolique ou plutôt hypochondriaque. L'indiv
le voit, d'un délire de persécution ayant pour point de départ une idée hypochondriaque et ajoutant à ce point de dépar
as eu pour but de faire ressortir la relation qui relie souvent aux idées hypochondriaques les idées de persécution. J'ai
sortir la relation qui relie souvent aux idées hypochondriaques les idées de persécution. J'ai voulu montrer dit-il, qu'à
ui deviennent des persécutés vulgaires, il en est chez lesquels les idées de persécution offrent des caractères un peu sp
ractères un peu spéciaux. J'ai cherché d'ailleurs à établir que les idées de persé- cution à physionomie anormale se renc
ossible plus souvent d'analyser avec précision les caractères que l' idée de persécution a, quand elle surgit an cours de l
hysionomie s'explique par la nature du trouble fonda- mental d'où l' idée de persécution dérive et qu'elle accompagne. Le
uineries sont méritées et dans une certaine mesure légitimes. Ces idées de persécution survenant chez des dégénérés ont d
e) qui leur a donné naissance : transitoires et rémittentes quand l' idée hypochondriaque est susceptible de rémissions,
e de préoccupations hypochondriaques se transfor- mant plus tard en idées de persécution. A partir de ce moment, les cas
son travail a été de mettre en relief le caractère particulier des idées de persécution de quelques-uns de ces malades. '
ant de la communication de M. Ballet est la nature particulière des idées de persécution de ses malades. On ne les rencon
lequel j'ai insisté pour ma part dans différentes publications. Les idées de persécu- tion qu'on trouve chez les mélancol
311 gueil, elles reposent sur le fonds d'humilité particulière aux idées mélancoliques, elles sont empreintes aussi de c
avant tout un auto-accusateur. Or, les malades de M. Ballet ont des idées de persécution absolument semblables et cependant
tés : ce sont de simples faits de transition. Si les caractères des idées de persécution sont ceux des idées de même natu
ransition. Si les caractères des idées de persécution sont ceux des idées de même nature chez le mélancolique, l'ensemble d
eurasthéniques et dyspeptiques très marqués, fut prise subitement d' idées délirantes de persécution, reposant sur un fonds
t tous les défauts, qu'elle n'avait pas rempli ses devoirs. Cette idée de persécution était, en somme, celle des mélanco
tions. D'abord la malade était une émotive au plus haut point : ses idées délirantes étaient très rémittentes, se présent
s, se présentant par bouffées d'une durée plus ou moins longue. Les idées étaient presque toujours conscientes chez elle,
arrêter sou- vent sous l'intluence de cette fusion qui brouille mes idées ; je crois qu'il y a lutte entre elles. « Ma t
s qu'il y a lutte entre elles. « Ma tête se vide peu à peu et les idées galopent, galopent sans que j'en puisse retenir
'en réjouis tour à tour. Enfin il y a en moi un terrible amalgame d' idées , de sensations, de faits, de gestes : je n'expl
, le malade devient triste, craint de devenir fou, de mourir, a des idées de suicide. L'attaque survient presque classiqu
ychique, elle est essentiellement caractérisée par la confusion des idées , par suite de l'affaiblissement et de l'incoor-
ssement et de l'incoor- dination des processus de l'association des idées , de la perception et de la perception personnel
ion de la température notée chez le malade, qui ne cadre pas avec l' idée d'une syphilis torpide ou pseudo-démente. En ce
e. Il croit, lui aussi, à la nécessité du déplacement de l'asile. L' idée fera son chemin, grâce aux efforts de tout le mon
s entre leurs membres, où l'on constate des faits et on échange des idées et où les mé- decins se mettent en contact avec
Coudière dont les allo- cutions ont été celles d'hommes dévoués aux idées de progrès et d'humanité. M. le Dr GASSOT, de
ière opération de M. Lanne- longue ; 2° parce qu'elle en rapporte l' idée à « l'affection d'une mère s'étendant dans la r
de vue médico-légal. Certes un livre aussi touffu, et aussi riche d' idées originales, prêterait à de nombreuses discussio
onner plus de force. Ils finissent~par être tellement obsédés par l' idée de se protéger ou de protéger les autres que la
nt montrés plusieurs syndromes épisodiques, l'onoma- tomanie avec l' idée obsédante de répéter certains mots pour éviter
porte et tou- cher la serrure. Plus tard, elle est obsédée par l' idée qu'elle doit accomplir plu- sieurs fois certain
passe devant une maison où s'est accompli un crime. Obsédé par ces idées tristes, il est obligé de répéter plusieurs foi
les. Elle a actuelle- ment, surtout la crainte du mot exprimant une idée de tristesse qui pourrait, pense-t-elle, porter
abandonnée à elle-même, donnant pleine satisfaction à toutes ses idées obsédantes; dans sa famille, on fermait les yeux
ancolique avec hallucinations, préoccupations hspochon- driaques et idées de persécution. M. M... s'est adonné à l'onanisme
n'en disais rien cependant, j'aurais en honle d'avouer de telles idées , et je ne me plaignais que d'insommie. «Puis, m
e me plaignais que d'insommie. «Puis, mon esprit a été envahi par l' idée de la fatalité du nombre treize; j'évitais de m
t impuissante contre mes obsessions, je me pris à lutter contre ces idées folles par des idées aussi absurdes. J'avi- sai
mes obsessions, je me pris à lutter contre ces idées folles par des idées aussi absurdes. J'avi- sais de me servir du nom
le nombre 13. Et puis absurde ou non, je ne raisonnais plus. Cette idée de Dieu Treize m'effrayait et cela suffit pour
rit sans qu'il puisse s'en débarrasser, il s'imagine que toutes ses idées vont devenir des erreurs, qu'il va être obligé
, très émue, elle se reproche vivement de pareilles pensées, mais l' idée venue persiste et ne disparait que lorsqu'elle
qui lui permet de trouver promptement le mot qui la préserve de son idée extravagante. Quand elle a pu superposer cette
s fort démons- tratifs, ne sera plus surpris d'entendre parler de l' idée DE L'ONOMATOMANIE. 383 obsédante du vol et de
eur de nattes, de l'exhibitionniste, ou du mal- heureux qu'obsède l' idée de mordre la peau de jeune fille, quand ils déc
s impul- sions qui rendent leur vie insupportable, conçoivent des idées de suicide et réclament une surveillance par- t
maladies spinales '. Dans le présent travail, nous n'avons pas eu l' idée d'entre- prendre une tâche semblable pour les m
trou- vait pas » : elle aurait pu les écrire parce qu'elle avait l' idée de ce qu'elle voulait dire, mais elle ne pouvai
fication, tandis que, associées, elles acquièrent t la valeur d'une idée . Observation II. Hystérie à forme d'épilepsie p
violence et ses oreilles sifflent, son intelligence se trouble, les idées deviennent confuses; ces phénomènes durent deux o
sfaire à ses engagements lui inspire un déses- poir très grand et l' idée du suicide se présente à son imagination avec u
ion avec une insistance toujours croissante; il parait qu'une telle idée occupe son esprit même pendant l'attaque, en ef
nde inconscience, a éveillé dans l'esprit des personnes présentes l' idée qu'il voulait se précipiter dans la rue pour se
vent à des troubles de la digestion) devaient conduire bientôt à l' idée de troubles circulatoires dans le cerveau. Ce son
rd sembler un cas typique d'hémiamblyopie verticale, confirme notre idée . Pour quelques autres observations, où l'hémian
plus particulièrement chez quelques-unes d'entre elles, cer- taines idées prennent très facilement une importance exagérée.
manifeste de plusieurs façons,, par la fréquence avec laquelle ces idées se présentent à leur esprit, par la durée penda
dées se présentent à leur esprit, par la durée pendant laquelle ces idées persistent, par les actes extérieurs qui les ac
urs avec une précision extraordinaire, un fait, un accident, une- idée quelconque qui ont vivement impressionné l'esprit
le fait. Nous retrouvons la même importance exagérée de certaines idées dans les rêves : Une jeune fille de vingt-trois a
xtérieurement visibles, ces malades ont sans cesse dans la tête des idées d'une impor- tance exagérée. Je trouve un jour
précautions, d'ailleurs faciles. , En effet, on peut changer leurs idées ou reproduire soi-même artificiellement ces idé
eut changer leurs idées ou reproduire soi-même artificiellement ces idées d'une importance exagérée qui nais- saient spon
es sug- gestions beaucoup plus graves encore; toujours on verra ces idées prendre une importance énorme, se répéter, dure
hallucinations. En quoi donc consiste l'importance que prennent ces idées ? Une première explication a été fournie souven
cles, par tous les philosophes 1. Chez tous les hommes, dit-on, les idées ont une tendance à se transformer en acte, une
marchant au pas, la vue d'un bâillement nous fait bâiller, etc. Les idées semblent aussi se transformer en sen- sation, l
façon un peu plus précise de répéter cette même explication. Toute idée bien comprise, bien claire, est en réalité dans
une dépendance très étroite. Nous n'avons qu'à signaler dans ces idées , la notion de la couleur des fleurs, la couleur e
d'odorat, de tact, d'ouïe, etc., en un mot, comme je le disais, ces idées sont de véritables systèmes d'images. Le plus s
caractère important du développement des images contenues dans une idée . J'emploie la parole pour faire aux malades, qu
utres moyens pourraient également faire pénétrer dans leur esprit l' idée qui va se développer. Je dis à Isabelle, sur le
le dans son esprit par ces mots le système d'images qui constitue l' idée d'un bouquet de roses. Ordinai- 1 Voir une étud
développement automatique de tous les éléments qui entrent dans une idée . Ces faits nous expliquent déjà une partie de l
ggestion, ce que nous avons appelé l'importance prise par certaines idées . Nous avons encore à insister sur une autre exp
des phénomènes psycho- logiques où le développement automatique des idées se mani- feste jusqu'à un certain point; la mém
ni- feste jusqu'à un certain point; la mémoire, l'association des idées , l'habitude, sont des faits de ce genre bien décr
. Dans un esprit bien équilibré, le développement automatique des idées présente toujours deux caractères, il est soumis
456 CLINIQUE NERVEUSE. port avec mon caractère, mes sentiments, mes idées ; je garde le souvenir de l'avoir faite et je l
la considère désormais comme faisant partie de ma personne. » nous idées sont aussi déter- ~ minées par les circonstance
uvons. Si, 'actuellement, vous pensez à un ballet de l'Opéra, cette idée ne se déve- loppera pas en vous parce que vous
en regardant cette estrade, un spectacle tout différent et que l' idée d'un ballet de l'Opéra ne s'accorde pas avec les
les sensations visuelles que vous éprouvez. Le développement de vos idées est donc raisonnable, harmonieux, en accord ave
de vous montrer chez ces jeunes filles. Chez elles, en effet, ces idées , dont je vous ai parlé, ces attaques, ces rêves
. Vous voyez, comme précédemment, le développement automatique de l' idée , elle voit son chien, le caresse, sent ses poil
qu'il n'y ait plus de personnalité, dans son esprit il n'y a qu'une idée envahissante, celle de son petit chien. Et quan
, se fixe de cette manière pendant vingt-quatre heures sur une même idée et qui, pendant ce temps, perd toute cons- cien
isais, en commençant, que les suggestions sont chez nos malades des idées d'une importance exagérée. Nous avons analysé c
développement automatique de tous les éléments con- tenus dans une idée , développement qui se produit sans par- ticipat
CLINIQUE NERVEUSE. des habitudes, des souvenirs, des associations d' idées , mais si je vous parle d'un bouquet, vous ne le
on de dire que les habitudes, les sou- - venirs, les associations d' idées normales ne suffisent pas à nous faire voir un
dure et les paroles ne peuvent pas pénétrer... je me perds dans mes idées comme dans un filet, comme dans une toile d'ara
rdue et les malades sont incapables de fixer leur esprit sur aucune idée nouvelle. Par exemple, comme je l'ai montré sou
ur sortir, me tuerai plutôt que de m'arrêter. » « Je tombe dans une idée comme dans un précipice, me disait Berthe, et l
me disait Berthe, et la pente est bien dure pour remonter. » c Mon idée me poussent me chasse sans que je puisse résist
'autre le délire des dégénérés avec sa distraction, ses doutes, ses idées fixes et son aboulie. » Mes- sieurs, je n'ai pa
ion et de l'anesthésie, du doute et de l'amnésie, des attaques, des idées fixes et de l'aboulie soit en proie à deux mala
é, non sur l'inter- t Pierre Janet. Etude sur un cas d'aboulie et d' idées fixes. (Revue philosophique, 1891, t. I, p. 258
situations et aux choses nouvelles, il ne peut plus que répéter ses idées anciennes, sans rapport avec des temps nouveaux
t son âge, est capable d'inventer, de com- prendre, de combiner les idées anciennes avec des idées nou- velles, il n'a pa
inventer, de com- prendre, de combiner les idées anciennes avec des idées nou- velles, il n'a pas l'esprit d'un vieillard
eux danser, je ne vois plus rien du tout, je n'ai plus qu'une seule idée en tête, danser. » D'ailleurs j'avais déjà vu c
ble. Je n'y comprends rien, je le veux pendant un instant, puis mon idée est partie; si je cherche ce que je voulais, je
écute une suggestion : quand vous affirmez à une de ces malades une idée bizarre, en contra- LA SUGGESTION CHEZ LES HYST
personnalité, la connaissance des objets exté- rieurs réels, et ces idées justes s'opposent à la pensée contra- dictoire
lle a vingt-; trois ans, etc., et tous les éléments contenus dans l' idée sug- gérée se développent en liberté '. Les m
s bien, elles ne sont pas suggestibles parce qu'elles ont une autre idée en tête; rien n'est difficile comme de suggesti
gestionner une personne qui a déjà reçu une suggestion ou qui a une idée fixe. Mais je ne parle pas de cela. Certaines h
stériques que personne n'a touchées, qui n'ont certaine- ment pas d' idées fixes, deviennent peu à peu de moins en moins s
nt volontaire, mais n'avait plus ce déve- loppement automatique des idées , sans conscience personnelle et sans souvenir.
ues. Ce développement automatique des éléments ren- fermés dans une idée ancienne ne peut se produire sans volonté perso
endait, non pas seulement des lois générales de l'asso- ciation des idées telles qu'elles s'appliquent chez tous les homm
rappe alors le front d'un air désappointé comme pour rassembler ses idées , puis il reprend le crayon et se remet à écrire
es caractères seuls de l'aphasie faisaient donc éléminer d'emblée l' idée de ramol- lissement cérébral droit chez un gauc
ue, un croyant plein d'enthousiasme. Quelques phrases donneront une idée *le l'esprit dansllequel a été conçu son livre :
erté sera le signal de la reprise soit des mêmes actes et des mêmes idées délirantes, soit d'autres syndromes épisodiques
le soustraire à son angoisse. De même pour la maladie du toucher, l' idée d'une souillure pos- sible torture son esprit :
avait affaire à un délirant chronique qui, sous l'influence de ses idées délirantes, tira un coup de revolver sur le pol
nquiétude des plus manifestes avec jalousie morbide. Peu à peu, les idées de persécution ont fait leur apparition avec un
après le début de la maladie que se montrent les premiers signes d' idées - ambitieuses. En somme, un cas type de délir
responsable lorsqu'il commet des actes en dehors de la voie de ses idées délirantes. " 9° Beaucoup d'aliénés sont influe
' " 484 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 10° Beaucoup d'aliénés ont des idées correctes sur le bien et le mal, dans l'abstrai
il° Beaucoup d'aliénés peuvent résister 3 l'influence de leurs - idées délirantes : par conséquent l'irresponsabilité et
t venus demander des arguments à la thérapeutique. Dans cet ordre d' idées , les auteurs, après avoir soumis métho- diqueme
es aliénés à séquestrations multiples. M. 1\hRANDON de Mon- TYEL. L' idée mère de la communication de M. Charpentier, que l
fesseur Ribota envoyé une note résumant ses travaux récents sur les idées générales; le Dr Newbold expose les caractères
té légale et séquestration des , par Coutagne, 479. Persécutions, idées de - chez les 522 TABLE. DES MATIÈRES. hypoch
9 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
L'organisation du musée de psychologie a été inspirée à la fois par l' idée qui a présidé à la création du musée psychologiqu
à indiquer le but et le programme de l'institution. Actuellement, l' idée qui a présidé â la création de l'Institut Psycho-
éances de suggestion sans hypnose. M. le Dr P. Farez communique ses idées personnelles au sujet d'un enfant extraordinaire
de l'estimation des coupons mis en vente. Depuis 1883, il avait des idées de doute et d'anxiété. Il craignait de ne pas acc
sprit, d'une absolue et irrémédiable incurabilité. C'est contre cette idée , nourrie avec un soin jaloux pendantquatrean3, qu
s communications suivantes : 1. M. Dumontpallier.— De l'action de l' idée en pathologie et de la puissance de l'idée en thé
pallier.— De l'action de l'idée en pathologie et de la puissance de l' idée en thérapeutique. 2. M. E. Bérillon. — Interp
es à l'unanimité. La séance est levée à 7 h. 35. De l'action de l' idée en pathologie et de la puissance de l'idée en thé
h. 35. De l'action de l'idée en pathologie et de la puissance de l' idée en thérapeutique (spécialement dans les prétendue
re aucune distraction ; si bien qu'elle était sans cesse hantée par l' idée de la souffrance et par l'idée de n'avoir pas et
qu'elle était sans cesse hantée par l'idée de la souffrance et par l' idée de n'avoir pas et de ne pouvoir pas avoir d'enfan
nds chagrins de famille, ce nervosisme, d:s-je, était entretenu par l' idée dominante d'une affeciton utérine et l'habitude d
s la région examinée aucune affection, aucune lésion. J'ajoutai que l' idée de la douleur et l'habitude de cette idée constit
une lésion. J'ajoutai que l'idée de la douleur et l'habitude de cette idée constituaient toute la maladie et que, si elle co
, vous vous mettrez au lit à 10 heures et vous vous endormirez avec l' idée que le sommeil réparera bien vos forces, calmera
dès ma première visite, que Mme X.- n'était nullement malade et que l' Idée habituelle de souffrir avait entretenu la souffra
ysiques. Ensuite il régularise le sommeil par des formules évoquant l' idée de calme et de repos, telles que les suivantes :
t au tic, il est assez peu marqué ; il semble, le premier jour, que l' idée d'aller trouver un médecin ait influencé dynamiqu
les mouvements et par la chaleur du lit. Ces douleurs lui donnèrent l' idée de s'examiner, et elle découvrit une gibbosîté à
ais, à ce moment-là, M. !c Dr Mongour ayant examiné !a malade donne l' idée de lui placer autour du corps un semblant de cors
magnétique de l'opérateur.» « ... Toutes les origines des nouvelles idées sont semblables au point de vue des luttes qu'ell
ne va éclater : Parfois je suis si triste, si découragé, que j'ai des idées folles et que je pense à chercher la mort. Ah! co
e physiologique de 1' « Ereutophobie. » S'inspirant avec raison des idées nouvelles émises par W. James et Lange sur la nat
ation élective, dans les profondeurs viscérales de notre organisme. L' idée fausse qui intervient dans la constitution des ph
imitif, il constitue un terrain éminemment favorable à l'invasion des idées auto-sug-gérecs d'impuissance fonctionnelle ou mo
aible, mais juste, tout l'effort volontaire se perd dans une dédale d' idées absurdes et de sentiments déraisonnable. L'anxiét
ent à la perception et à la sensation, au jugementet à l'émotion, à l' idée et au terrain. 6° Du diagnostic gxact de la var
bien que des deux côtés !a plus grande importance soit attachée aux « idées dominantes » et à la « suggestion a, Braid consid
Rewiew, ce rapport pourrait reposer entièrement sur le principe des « idées dominantes ». Le sujet croyait que l'opérateur av
rtaient témoignage et semblaient indiquer son existence; soit que les idées préalables aient été présentes, soit qu'elles aie
ique du cerveau humain: c'est la tendance du cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. 2° Toute idée acceptée est un
endance du cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. 2° Toute idée acceptée est une suggestion. L'hypnotisme n'est p
par M. Galli (de Binasco, Italie), sur L'action curatke de certaines idées ; et par M. de Packiewicz (de Riga), sur La réglem
une œuvre philanthropique « la maison des étudiants pauvres o,dont l' idée et l'organisation font le plus grand honneur à no
la nature de l'hypnotisme. Or, depuis les recherches de Charcot, les idées ont évolué et l'hypnotisme, tel que l'envisagent
a psychothérapie savent qu'il convient de réveiller le malade sur des idées agréables. La mise en œuvre de la psychothérapie,
sont, par ordre de fréquence, le défaut d'attention, la mobilité des idées , l'esprit de contradiction, une émotivité exagéré
particulier, qui produit divers symptômes, comme des obsessions, des idées fausses, hallucinations, illusions et même des co
e l'état général du système nerveux. Par exemple : la disparition des idées impulsives est toujours accompagnée par la dispar
essive do rougir, déterminant des troubles dans l'état général et des idées de suicide. (1) Communication faite au Couvres
attentivement, car. nous dit le mari, elle aurait mis à exécution son idée fixe, Avec le retour progressif des forces, cet
re en ce sens que, tout le temps, cette femme fut préoccupée de cette idée , rougissant même seule à la pensée que telle ou t
hommes façonnent le peuple, forment leur caractère, leur donnent des idées , le peuple se borne à les suivre passivement, son
à la coutume et se laissent difficilement imprégner par une nouvelle idée . En d'autres termes, la nation fait les grands
Braid de la manière la plus claire et la plus étendue. De semblables idées ont été récemment émises par le Dr. Wilks, le nou
celles-ci, mais le fait nren demeure pas moins réalisé que de vielles idées demeurent attachées à la profession ». Le docte
reconnaissait comme « double conscience * et en un développement des idées qu'il avait opposées à l'automatisme et qui maint
concentrée du principe de suggestion... et sous la direction de cette idée il a conséquemment poursuivi '.'investigation ave
es phénomènes hypnotiques. A cette époque, il ne semblait pas avoir l' idée que Braid eût anticipé la « suggestion », théorie
ouronné par l'Institut (Prix Laltemand, 1882). Dans le même ordre d' idées , il avait encore public, à différentes époques, l
rne un grand jeune homme de 25 ans, Th..., à qui l'on avait suggéré l' idée d'empoisonner une tante qu'il aimait beaucoup. L'
Congrès durant la seconde partie de la séance du 17 septembre. Les idées qu'il a développées et qui représentent la doctri
ets que je prenais là au hasard, parmi ces élèves, ne pouvait avoir l' idée préconçue, ni se douter en aucune façon de ce que
e cache pas du reste qu'il émet cette explication parce que, imbu des idées de la science officielle actuelle, il ne peut adm
e propose de faire dans d'autres expériences) à imposer à mon sujet l' idée de l'acte à accomplir en lui laissant ensuite la
hanger de caractère. Devenue apathique, elle maigrissait et avait des idées de suicide. L'agitation n'a commencé qu'au mois
orance des autres, ne sera plus qu'un pléonasme. Mais le progrès de l' idée est incessante et la lâcheté des convictions, si
l'esprit de corps, un « homme du passé, fut souvent en avance sur les idées de son siècle par « la perception très nette dos
énile délirante ; elles accompagnent plus spécialement le délire avec idées de persécution. (1) Congrès d'alienistes et neu
D'abord il n'eut aucune difficulté à passer la sonde; mais bientôt l' idée seule d'uriner produisait une contraction de la v
it une jambe au pied du lit chaque soir. Au bout de treize ans, cette idée fixe s'aggrava ; craignant de défaire ses propres
ie actuelle. Plus tard, il rejeta le mot hypnotisme, qui impliquait l' idée de sommeil ; et il énuméra les nombreuses différe
de concen: tration, de monoidéisme, tous les phénomènes dépendant.des idées dominantes produites dans l'esprit du sujet. Un d
rmes psychologiques, les effets seraient explicables pur l'action des idées prédominantes, non soumises à l'inhibition ; d'au
n des idées prédominantes, non soumises à l'inhibition ; d'autres idées , lesquelles normalement les auraient tenues en éc
et d'autres membres de l'Ecole de Nancy diffèrent entièrement de ces idées . Ils tiennent la volonté du sujet pour affaiblie,
et d'autres membres de l'École de Nancy diffèrent entièrement de «es idées . Us tiennent la volonté du sujet pour affaiblie o
assisté ; un vrai travail intellectuel actif s'accomplit en lui ; ses idées , souvenirs remémorés consciemment, deviennent des
urs de la paupière supérieure et concentration de l'attention sur une idée unique détermine le sommeil ; le sujet peut s'y p
on d'esprit. Dans cet état, son imagination devient si vive que toute idée développée spontanément ou suggérée par une perso
obtenus. L'initiateur de la doctrine suggestive, Braid, oubliant son idée directrice, a fait encore, comme tous ses prédéce
u'ils étaient hypnotisés dans un but curatif ; ils conservaient cette idée pendant leur sommeil ; les manipulations faites s
la suggestion, sa vertu dormitive et sa vertu curative; il sait que l' idée seule du sommeil peut le provoquer; il sait que l
roduction du sommeil et au traitement des malades. Encore imbu de ses idées physiologiques relatives à la fatigue des releveu
logique, par suggestion verbale; par la parole seule il fait entrer l' idée du sommeil et l'idée de guérison dans le cerveau
on verbale; par la parole seule il fait entrer l'idée du sommeil et l' idée de guérison dans le cerveau du sujet. Telle est l
er le braidisme : il a substitué le sommeil et la thérapeutique par l' idée au sommeil et à la thérapeutique par manipulation
sujets suggestibles plus ou moins, auxquels peuvent être suggérés des idées , des actes, des hallucinations. Certains états d'
e le deviennent davantage quand on peut leur suggérer préalablement l' idée de sommeil; mais que chez les sujets très suggest
uggestibles, cette suggestion préalable n'est nullement nécessaire. L' idée de suggestibilité ne serait pas associée â celle
stérie, et la doctrine de la suggestion ne serait pas obscurcie par l' idée mystérieuse et anti-physiologique qui s'attache a
hypnagogiques, il nous arrive de ne pouvoir préciser l'origine de nos idées . Qui de nous, à la suite d'un travail prolongé, s
une hallucination de ce genre qui avait inspiré à Alfred de Musset l' idée de la Nuit de Décembre. « Du temps que j'étais
base des troubles passagers de l'attention. effort pour prendre son idée tout à fait au sérieux, en supposant même qu'elle
son action d'arrêt sur la moelle; assez, cependant, pour éveiller des idées subconscientes relatives à la fonction urïnaire,
tiques et hésitent toujours à laisser pénétrer dans leur enceinte ces idées nouvelles. C'est dans íe bul de contribuer de tou
auxquelles leur esprit était loin d'être préparé. Ils considéraient l' idée de tenter l'introduction de l'hypnotisme dans le
seur agrégé de philosophie. Ce professeur, partisan de la théorie des idées innées, considérait que le fait d'hypnotiser un e
nnaître que, plusieurs années après avoir violemment combattu nos idées dans la Critique philosophique de Renouvier, il a
e de notre communication fut de nous fournir les moyens d'appuyer nos idées théoriques sur des faits précis et frappants ; au
us ayant appris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant; transformer son caractère; corriger
plus rigoureuse, il fallait encore former des élèves, vulgariser nos idées et les faire accepter par tous les esprits exempt
les hypochondriaques, certains paralytiques généraux et tabétiques à idées mélancoliques rendent bien compte de ce phénomène
ples dont l'intelligence est peu développée. Nous voulons parier de l' idée que des animaux possèdent l'homme; cette convicti
l'inhibition volontaire est partielle et limitée a l'influence d'une idée particulière. C'est le cas des malades dont je vi
'abolition de son pouvoir d'inhibition est nettement limité & une idée particulière, à un souvenir relatif a une personn
impulsions. Son calme habituel, l'égalité de son caractère excluent l' idée d'hystérie. Si les crises de larmes étaient sous
que du cerveau humain : c'est la tendance du cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. L'hypnotisme n'est pas un é
ise en activité de la suggestibilité, avec ou sans sommeil. « Toute idée introduite dans le cerveau et acceptée est une su
jusqu'à la ceinture et sous le sein. Elle ne peut dormir, elle a des idées noires, etc. Après avoir fait tous mes efforts
ples où la psychothérapie montre sa puissance. iv.— Trouble mental, idée obsédante, guérison par la suggestion dans le som
our la consulter à ce sujet, etc., etc. On a beau la détourner de ses idées , elle répète toujours la même chose. Il s'agit d'
ner de ses idées, elle répète toujours la même chose. Il s'agit d'une idée caractérisée. La malade ne se prête qu'avec mau
récit interminable des mêmes histoires, toujours obsédée par la même idée , ce dont il faut la détourner à tout prix. Elle a
'interroger sur le passé pour avoir des explications, la tendance à l' idée fixe reparaissait encore, quoique moins accusée.
Il n'est pas probable, en effet, que les causes des obsessions et des idées fixes soient des altérations anatomiques, patholo
au en particulier, produisant des symptômes comme des obsessions, des idées fausses, hallucinations, illusions, etc., qu'on p
cela pour une bonne raison, c'est que je ne lo savais pas moi-même. L' idée de tenter l'extériorisation de la sensibilité ne
ue j'allais faire, puisque je ne le savais pas moi-même. Je n'ai eu l' idée d'essayer sur lui l'extériorisation de la sensibi
ques le possèdent au plus haut degré? « Il ne peut pas se faire à l' idée que la suggestion puisse transformer « momentaném
ier ne contient pas d'arsenic ; que M. Liégeois ne « peut pas avoir l' idée de lui faire empoisonner sa tante, etc., etc. « E
ous ? Non, certes! Mais il ne raisonne et n'agit que dans le cercle d' idées où la suggestion a enfermé et comme emprisonné so
é son activité morale et physique. Il ne suit et ne peut suivre que l' idée qu'on lui a suggérée ! Pour la réaliser, il déplo
olonté supérieure lui a assigné. Tout lo reste, hommes et choses, idées et faits, émotions et sentiments, lui est devenu
t sentiments, lui est devenu absolument étranger ! Il n'a plus qu'une idée , une seule qu'il tranformera en acte, — comme le
e qu'il tranformera en acte, — comme le somnambule naturel, l'homme à idée fixe, l'aliéné! Pourquoi, avez-vous ajouté, Th.
cherches, que j'ai pu assister, pour ainsi dire, à l'évolution de ses idées , et que, par de longues causeries, j'ai pu appren
vement ou l'expression d'une émotion. Le sommeil provoqué n'est que l' idée du sommeil, plus ou moins fidèlement réalisée par
vements ou les émotions suggérés sont la réalisation par le sujet des idées de mouvements ou d'émotions. Il n'y a donc pas
propriété physiologique du cerveau humain, qui consiste à accepter l' Idée et a la réaliser, voilà la condition fondamentale
toute l'activité cérébrale est fixée sur un seul point, sur une seule idée : il en est de même dans le sommeil artificiel. E
s plus faciles à produire, qu'il est familier à tout le monde etquc l' idée de dormir est, par suite, toujours bien comprise,
tre cas, le cerveau est monoîdéisé ; ici, l'esprit est en arrêt sur l' idée de dormir, là il est en arrêt sur la sensation vi
étudier ici. Je dirai seulement que chaque sujet réalise à sa façon l' idée de dormir qui lui est suggérée. Certains, malgré
uggestion : tous se rallient à la doctrine de l'école de Nancy. Les idées soutenues dans cet ouvrage de 1889 — à savoir que
assez abondante pour qu'il pût tisser un vêtement sans pareil. Nulle idée de prosélytisme; tout au contraire. Rien de plus
sa vertu même, à l'utopie satisfaite de la misère selon la nature, l' idée inflexible, étrange, folle, la monomanie, si l'on
on puissante, pourrait tout aussi bien surgir de cet élément, si, à l' idée stérile et personnelle, se substituait l'idée féc
de cet élément, si, à l'idée stérile et personnelle, se substituait l' idée féconde et impersonnelle d'un réformateur, appara
uggestion quia échoué à Liège, j'ai trouvé, plusieurs fois, que cette idée était pleinement acceptée au réveil. L'une des je
e que je suis mieux informé, il me reste « encore la conviction que l' idée générale de voler, suggérée par le « Dr X..., sug
somnambulisme devant quelques habitués ; puis il lui avait suggéré l' idée de dérober quelques petits objets : montres, port
ent lieu ensuite ; — car on ne peut sonder le « mystère possible de l' idée qui aurait pu être imposée à N... de ne « plus se
rs, M. Vogt n'a pu nous donner qu'un exposé très incomplet de ses idées . Aussi, ài-je l'intention de mettre prochainement
a sensation peut traverser le cerveau sans provoquer ni sentiments ni idées et amener un acte suggéré. Le cerveau peut réag
. La sensation excite plusieurs groupes de cellules, d'où plusieurs idées . Un groupe plus important amène !:acte, qui est a
raisonnants. Ici encore on peut distinguer : ceux qui associe peu d' idées : les esprits simples ; ceux qui associent mal le
ocie peu d'idées : les esprits simples ; ceux qui associent mal leurs idées : les esprits faux ; ceux qui associent bien leur
nt mal leurs idées : les esprits faux ; ceux qui associent bien leurs idées : les intelligents. Cette bonne association peut
tiquer de manières diverses chez : les littéraires qui ont beaucoup d' idées , mais les associent d'une façon faible : les scie
is les associent d'une façon faible : les scientifiques qui ont peu d' idées mais les joignent fortement ; les philosophes enf
our être dignes de ce nom, doivent relier fortement un grand nombre d' idées . L'intelligence peut être enfin spécialisée à une
ent sur les cas suivants : manie, lypémanie, hypocondrie, mélaucolic, idées fausses oa fixes, conceptions délirantes, illusio
ons, hallucinations, obsessions; délire erotique, mystique, furieux ; idées de persécution, de mort, de suicide ; len-tauves
peu de'temps, parfois même en deux ou trois séances, à un aliéné ses idées délirantes et ses hallucinations; il y a là de qu
son attention dispersée pourra ne pas se maintenir suffisamment sur l' idée du sommeil. Ainsi, de toute façon, la suggeslibil
cutives, une femme entend une voix qui lui dit : « Tue ta fille ! » l' idée persiste pendant la veille et la malheureuse immo
r et même créer expérimentalement chez ce dernier des obsessions, des idées fausses, des souvenirs illusoires, des faux témoi
ns psychologiques excellentes : il se sait malade et il a nettement l' idée des services qu'on va lui rendre pendant son somm
ge d'une sensation, d'une image simple, d'une image composée ou d'une idée . Or, l'image simple est le souvenir de la sensati
la sensation, l'image composée une combinaison d'images simples, et l' idée le résultat do l'abstraction s'exerçant sur les i
t des analgésies, des images et des anesthésics de tous les sens, des idées , des jugements, mouvements, des raisonnements, de
'autres moins frappantes sinon moins considérables. La suggestion des idées , des émotions et des sentiments est si courante q
DES CROYANCES RELIGIEUSES I. — LA VOCATION ET LA CONVERSION. Les idées religieuses s'installent dans l'esprit 1° par sug
s. En général, ces trois modes se combinent dans l'ordre suivant. Les idées religieuses sont communiquées à un sujet par la p
re. S'il jouit au contraire d'une certaine supériorité psychique, ces idées ne pénétreront que par l'effort répété des agents
sentiment, amour ou crainte, pourra faciliter l'acclimatation de ses idées et les affermir en lui. Des suggestions répétées
ation physio-psychique précède la pénétration ou l'affermissement des idées religieuses. Avant la conversion religieuse, il y
la conversion religieuse, il y a eu conversion organique. II — LES IDÉES RELIGIEUSES. On sait que les idées religieuses
conversion organique. II — LES IDÉES RELIGIEUSES. On sait que les idées religieuses ont évolué constamment depuis leur ap
uristes. L'homme, assimilant toutes choses à lui-môme, attribuait des idées , des sentiments, une volonté bienveillante ou mal
nfini dans l'espace, ni l'infini dans le temps. L'infini n'est qu'une idée , à laquelle nous arrivons, comme le dit Ribot, en
ment par un Dieu éternel, autant de problèmes irrésolus. En fait, l' idée qui domine toutes les religions et toutes les mét
, l'idée qui domine toutes les religions et toutes les métaphysiques, idée qui passe dans l'esprit de tous les hommes, est c
NTIMENT RELIGIEUX. Les sentiments qui facilitent la pénétration des idées religieuses, ont été remarquablement étudiés par
orale. Cependant, à mesure qu'on tentait un rapprochement entre les idées religieuses et les vérités aensorto-rationnclles,
sculter. » Autre expérience : « M. Forel suggère à une infirmière l' idée suivante: « Cet étudiant en droit, que vous voyez
de le transfert de la contracture d'une jambe à l'autre, nous eûmes l' idée de recourir au même procédé. A dix ans d'interv
rétaire général, dans le délai indiqué ci-dessus1. De l'action de l' idée en thérapeutique. Par M. Ddmontpalubr, membre d
d'une jeune femme qui, mariée depuis sept années, était obsédée par l' idée qu'elle n'aurait pas d'enfants. Au début de son m
ouvées étaient la conséquence de l'état nerveux ; que l'habitude do l' idée de la douleur entretenait les impressions doulour
les impressions douloureuses locales et que la persistance de la même idée avait créé et entretenu l'obsession de ne pouvoir
oin de commentaires et est un nouveau fait à l'appui de l'action de l' idée en pathogénie et de la puissance de l'idée en thé
à l'appui de l'action de l'idée en pathogénie et de la puissance de l' idée en thérapeutique. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
leurs rites souvent étranges, par la loi d'analogie d'association des idées . Ils jouaient le rôle d'hallucinatoires, d'excita
lt (de Nancy). Heureux qui a pu vivre assez longtemps pour voir ses idées riompher. Ceux qui ont innové et agrandi le cercl
u( sujet disparaissait, on pouvait le sugestionner, lui inculquer les idées qu'on voulait. Et Liébeault rappelait l'importanc
. Dumont, chef des travaux physiques de la Faculté de Médecine, eut l' idée de suivre ses consultations. Il fut convaincu de
ur maternel, délire mystique, hallucinations religieuses, obsessions, idées fixes, crises de désespoir lamentations, verbiger
s jeunes esprits ce qu'elle appelle « les vérités de la foi ». Or ces idées religieuses, qui étaient celles de la foule et ce
nt d'autant mieux les enfants qu'elles n'avaient à lutter avec aucune idée scientifique contradictoire. Et puis, l'esprit de
. Le peuple était misérable, pensait peu, s'occupait de vivre. Or les idées religieuses, qui peuvent subjuguer de grands espr
ins troublantes que la messe. Nous ne savons rien de précis sur les idées et le sentiment religieux de Gilberte Pascal avan
l se trouve seul avec un sujet hypnotlsable, pour lui inculquer une « idée , une hallucination ou une impulsion (jj... Il est
st possible, dans « l'état de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées fixes, des « impulsions irrésistibles, auxquell
it encore à manifester le pouvoir absolu que j'avais conservé sur les idées , les sensations, les volontés, les actes de M"" D
ur une affection très grave de la vue. Voici l'expérience que j'eus l' idée de réaliser. J'endormis, en quelques secondes, le
t les questions ainsi abordées, elles ne donneraient cependant qu'une idée incomplète du vaste champ que l'Hypnotisme et la
res nouvelles sur les rapports du moral et du physique ; qui montre l' idée conçue ou suggérée, agissant sur le cerveau, sur
tion verbale, un» femme de 3C ans, deux fois veuve, que poursuivait l' idée du suicide, iorUflêc encore par une tendance héré
i sont par ordre de fréquence, le défaut d'attention, la mobilité des idées , l'esprit de contradiction, les troubles du carac
s sens, à la transformation de ces impressions en sensations, puis en idées , et par suite en actes, que ces idées soient imag
ressions en sensations, puis en idées, et par suite en actes, que ces idées soient imagées ou non ; bref, elle crée toutes ce
ommune une concentration initiale de l'attention sur une ou plusieurs idées . Et l'on ne peut expliquer celte diversité de phé
e qu'apparaissent et augmentent les marques distinclives du sommeil : idées fixes et, par suite, insensibilité, isolement, ca
te de la profondeur de la concentration d'esprit sur une ou plusieurs idées , parallèlement et à l'inverse, peu à peu les sign
entie, et par cela même renforcée, se reporte chez les sujets sur les idées déjà déposées au cerveau pendant la veille, et le
r séparément ou en masse, sur toutes les parties du corps, au moyen d' idées acquises auparavant. Ce procédé psychique, ou p
olyidéïsme, s'il va continuellement de la création de sensations et d' idées à la création d'autres sensations et d'autres idé
e sensations et d'idées à la création d'autres sensations et d'autres idées , dans le sommeil il est en monoidéisme, ce qui es
qu'il y soit sollicité, il se fixe plus ou moins sur une ou plusieurs idées qu'il accepte sans résistance et suit en aveugle.
lhérapeule? Recourir à ce dernier pour qu'il enlève, par exemple, une idée fixe, est aussi légitime et salutaire que de s'en
Vergier regagna Paris. Jansen s'était pénétré particulièrement des idées d'Augustin, qu'il mettait au-dessus de tous les g
orrection et de la grâce, où il émettait sur cette question les mêmes idées que Jansen. Il compo-ait encore deux Apologies
ant une vitalité nouvelle sur des organismes à terrain favorable, ces idées religieuses deviendront plus actives en passant p
x dans un état mental particulièrement favorable à la réceptivité des idées religieuses. Guillcberi s'attacha surtout à Biais
, l'analyse élémentaire des états de conscience (*). L'insomnie par idée fixe subsconsciente, — par le Dr Pierre Janet. La
lescence que le regret de la mort de son enfant devient pour elle une idée fixe, la |uelle s'accompagne de gémissements cont
vait été ainsi réveillée en sursaut au (1)Tellos soat, dumoins, les idées que je me suis efforcé de mettre en lumière e de
nt que pendant les instants de sommeil : sous cette nouvelle forme, l' idée fixe avait déterminé un symptôme en apparence tou
erre Janet. Grâce aux divers procédésdela thérapeutique suggestive, l' idée fixo est dissociée, le rêve terrifiant est atténu
temps, tous les autres symptômes morbides disparaissent. Sans doute l' idée fixe aura des tendances à renaître; aussi, ne fau
s observations qui comportent aussi divers troubles consécutifs à une idée fixe survenue pendant le sommeil; là encore, l'hy
e, comme les somnambulismes eux-mêmes, de la persistance de certaines idées fixes subconscientes, plus ou moins méconnues ; 5
éconnues ; 5" enfin, elle est guérie facilement par !e traitement des idées fixes elles-mêmes (c'est-à-dire par un traitement
la Douleur des autres, fort dramatique et tout fourmillant de nobles idées sociologiques. M. Charles Richet a l'esprit gén
ières, parce qu'il a médité sur ce qu'il voyait, parce qu'il a eu des idées générales, et parce qu'il s'est autorisé à deveni
ent dus à des modifications circulatoires ; il n'avait pas la moindre idée d'une explication psychologique de l'hypnotisme ;
s, je désire rappeler à mes lecteurs qu'un compte rendu des dernières idées de Braid se trouve dans l'appendice à la traducti
rtion : « L'initiateur de la doctrine suggestive, Braid, oubliant son idée directrice, a fait encore comme tous ses prédéces
de telles suggestions. M. Bernheim apparemment est d'accord avec ces idées , puisqu'en admettant que beaucoup de sujets peuve
Bernheim (loc. cit., p. 139.) dit lui-même : a Dans l'hypnose, toute idée reçue est immédiatement transformée on action, sa
e son obéissance. Les auditeurs de Forton s'avisèrent que de telles idées constituaient un danger public chez un homme qui
rloitde la vie chrétienne d'une manière qui remplissoit tout à fait l' idée qu'elle en avoit conçue depuis que Dieu l'avait t
amais déterminée à instaurer la réforme, elle parvint à rallier à ses idées austères les plus anciennes religieuses. Elle obl
de fixité. On dirait qu'il n'y a plus dans le cerveau du sujet qu'une idée fixe, celle de ne pas perdre de vue les yeux de l
Actes sociaux (les causes des), par le D' Regnault, 83. Action de l' idée en thérapeutique, par le D' Dumontpallier. 282.
l'idée en thérapeutique, par le D' Dumontpallier. 282. Action de l' idée en pathologie, par le Dr Dumontpallier, 14. Aff
80. obsédante, guérison par la suggestion, par le Dr Bourdon, 182 Idée en thérapeutique (action de l'), par le Dr Dumont
lle, 349. Insomnie (un nouveau remède contre 1'), 187. Insomnie par idée fixe subconsciente, 314. Institut psycho-physio
gie rétrospective, 340. Psychology (the new), 343. Puissance de l' idée en thérapeutique (la), par le Dr Dumontpallier, 1
10 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
i nous permettront plus tard de formuler des lois. > Ce sont ces idées générales qui amenaient notre confrère à demander
urs insomnies, leurs souffrances phy- siques, leur aboulie et leurs idées obsédantes. Ce sont aussi, quoi qu'on en ait dit,
en » — comme a nommé le premier le professeur von Kraft Ebing : « les idées fixes dont la durée et l'intensité morbides sont
rasthénique, comme on l'observe souvent, est obsédé sans relâche de l' idée qu'il se jettera à l'eau, quoiqu'il ne sente nul
, à Utrecht, novembre 1800. bien lorsqu'un autre est tourmenté de l' idée que ce serait une chose effroyable que de tuer se
e, il évite ses enfants, cache tout instrument tranchant et que cette idée fixe hante jour et nuit, c'est dans ces cas qu'on
» (conceptions obsédantes), la conception préalable faisant difaut. L' idée de frayeur se présente tout d'un coup éveillée pa
maire le plus évident. 4« Aussi j'ajouterai, en quatrième lieu, les idées obsédantes proprement dites, les obsessions intel
'une émotion, ni d'une impulsion à commettre un acte; il n'y a qu'une idée isolée, un mot, une phrase poursuivant incessamme
er. Presque chaque cas d'obsession constitue un syndrome isolé; les idées , les perceptions, les impulsions diffèrent presqu
constitue un délire hypocondriaque, le premier est une obsession, une idée obsédante. Dans ces quatre cas, sans exception
ssé peut-être avec l'intention de le jeter dans les aliments? A cette idée j s'associait un déplacement de la crainte ; elle
l sur le modus quo de la naissance de ces psychoses et nous donne une idée exacte de leur nature. On pourrait la baptiser
Dans la jeunesse du malade, cela ne portait guère à conséquence; ces idées bizarres étaient assez insignifiantes, de sorte q
survenue. Pour se débarrasser, du moins pendant quelque j temps, des idées obsédantes qui entravaient sérieusement son trava
. Cependant le malade n'est pas aussi convaincu de l'ineptie de ses idées que d'autres obsédés. Il continue à attacher une
céder à ses pensées subites, il réclame plutôt que je lui enlève ses idées fantastiques. Je confesse que les résultats obt
pendant il continue a les réclamer, si je ne puis pas lui enlever ses idées obsédantes et ses impulsions ; la suggestion agit
qui regarde l'effet eu général obtenu d'un traitement psychique des idées obsédantes, je dois dire que rarement celui-ci es
nt de penser que l'anomalie de l'état psychique réside moins dans les idées obsédantes que dans un défaut d'énergie et dans l
sérieuse du malade. Aussi, agirait-on mal de vouloir combattre les idées obsédantes en leur opposant des idées obsédantes
on mal de vouloir combattre les idées obsédantes en leur opposant des idées obsédantes contraires par suggestion. On fera le
gie et en ne s'acharnant pas à vouloir lui enlever par suggestion son idée obsédante. LE TRAITEMENT HYPNOTIQUE DE LA DIPSO
cet acte leur est moins agréable et qu'il est moins conforme a leurs idées personnelles. En effet, il a présenté aux auditeu
janv.-févr. 1891, 77). Janet (Pirans). — Sur un cas d'aboutie et d' idées fixes. (Reçut philosophique, mars-avril 1891).
c elle. II est donc évident qu'à l'état de veille elle n'avait aucune idée de s'être trouvée dans le sommeil hypnotique. Cel
nté, pouvaient l'être pendant l'hypnose; 3° I-a malade n'avait aucune idée d'avoir été hypnotisée. Examinons ces points un
qui lui arrivait dans l'hypnose, mais en outre qu'elle n'avait aucune idée de l'hypnose elle-même; si. par exemple, on lui a
ment par imitation. Je ferai remarquer encore, dans le même ordre d' idée , que dans l'armée, qui ne saurait cependant être
esse, ou à la suite d'un appel subit de l'attention accumulée sur une idée émotive, ou par une incubation lente et continue
otive, ou par une incubation lente et continue de cette force sur une idée prédominante. • J'ai cru devoir rapporter aujou
n accouchement. De plus, tant qu'elle fut grosse, elle n'eut jamais l' idée que l'enfant qu'elle portait dans son sein, pourr
des individus chez lesquels il- étaient provoqués. On s'effrayait à l' idée qu'ils pouvaient devenir une arme terrible aux ma
Delbœuf prouve que notre professeur de philologie ne se fait pas une idée exacte de ce que doit être une expertise médico-l
taires, c'est-à-dire celles où il n'y a pas encore de complications d' idées fausses ou d'hallucinations. Dans les deux derniè
ais aussi au plus haut degré de cette maladie compliquée même par des idées fausses et des hallucinations, j'observais dans q
avent pas que, dans leur sommeil, on peut leur imposer des rêves, des idées , des sensations, des actes comme Altred Maury et
dignité humaine. J'ai défini la suggestion : l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée. Ce n'
On a trouvé cette définition trop large. « Selon vous, dit-on, toute idée est une suggestion ». Je réponds : Certainement.
uelqu'un : • Donnez-moi la main » ; j'ai introduit dans son cerveau l' idée de me donner la main ; j'ai fait une suggestion.
j'ai fait une suggestion. Le sujet me donne la main : il transforme l' idée acceptée en mouvement ; la suggestion est réalisé
it par un mouvement de recul. Alors j'ai éveillé dans son cerveau une idée contraire à celle que je voulais y mettre : ma pa
loureuse à la région thoracique, perçue par le cerveau, fait naître l' idée d'une affection du cœur, crée de l'angoisse, des
, le poussent au suicide, c'est une auto-suggestion; c'est-à-dire une idée consécutive à une impression perçue, idée qui, él
uggestion; c'est-à-dire une idée consécutive à une impression perçue, idée qui, élaborée par un cerveau spécial, développe u
dée qui, élaborée par un cerveau spécial, développe une association d' idées , lesquelles idées se transforment en sensations q
par un cerveau spécial, développe une association d'idées, lesquelles idées se transforment en sensations qui engendrent à le
se transforment en sensations qui engendrent à leur tour de nouvelles idées ; des émotions, des actes surgissent; c'est un dyn
ctes surgissent; c'est un dynamisme cérébral complexe que la première idée a créé. Soit. C'est là de lauto-suggestion. Mai
uggestionné? » Je réponds : Si la phrase prononcée n'éveille aucune idée dans l'esprit de la personne, il n'y a pas sugges
rquoi je l'ai dite, si celle phrase méditée éveille chez lui d'autres idées , j'ai fait une suggestion. Nous parlons, par exem
'étranger. L'allusion à Carnot fait naître dans le cerveau du sujet l' idée que la correction, l'honnêteté, la sagesse de not
uestion; il se peut que ces mots, interrogés par lui, lui suggèrent l' idée que telle personne de sa connaissance est un ami
nnaissance est un ami de M. Carnot et peut lui être utile. Hors cette idée élaborée par le cerveau l'incite à faire une déma
utre chose est la suggestion réalisée. La suggestion faite, c'est l' idée introduite; la suggestion réalisée, c'est l'idée
stion faite, c'est l'idée introduite; la suggestion réalisée, c'est l' idée devenue acte. J'ai démontré ailleurs que toute
alisée, c'est l'idée devenue acte. J'ai démontré ailleurs que toute idée tend à se faire acte. Si je dis brusquement à que
end à se lever. Même alors que la critique intervient et neutralise l' idée , que la volonté la rejette, le premier mouvement,
arrêté par la volonté, alors quo sa réalisation était en train. Les idées qui font naître des émotions diverses : joie, col
ntractions, des altitudes complexes; le corps se met à l'unisson de l' idée conçue. Le faciès de chacun prend souvent l'expre
austère, concentrée. L'esprit a comme moulé la matière à son image; l' idée s'est matérialisée. Toute idée acceptée constitue
comme moulé la matière à son image; l'idée s'est matérialisée. Toute idée acceptée constitue donc une suggestion; mais tout
ourra facilement traduire en acte. Si je lui suggère, au contraire, l' idée que son bras est paralysé, ou bien il n'acceptera
raire, l'idée que son bras est paralysé, ou bien il n'acceptera pas l' idée suggérée (il n'y a pas suggestion), ou bien, impr
rs la même. Chaque fois qu'un dynamisme cérébral est provoqué par une idée , que ce soit dans le domaine psychique, passionne
ensoriel, moteur, sensitif, le phénomène suggestion existe; c'est une idée transformée en mouvement, acte, sensation, éraoti
otiou, image. On a dit : « Pour qu'il y ait suggestion, il faut que l' idée , au moment où elle est présentée, soit au contrai
à déterminer l'acte de l'acheter, n'a-t-il pu fait une suggestion? L' idée , au moment où elle a été présentée, n'était pas c
e colère contre B... et que, le terrain ainsi préparé, je lui donne l' idée de le battre, la volonté, actionnée par la passio
e battre, la volonté, actionnée par la passion, traduira facilement l' idée en acte. J'ai suggéré une émotion, une idée et un
on, traduira facilement l'idée en acte. J'ai suggéré une émotion, une idée et un acte facile à réaliser. D'autres phénomèn
ative, dont je ne veux pas m'occuper ici : ils sont indépendants de l' idée , c'est-à-dire de la suggestion. Mais d'autres r
à-dire de la suggestion. Mais d'autres relèvent de la suggestion; l' idée les fait automatiquement, sans que la volonté int
es faaUucinauoas provoquées chez les hystériques et les aliénés par l' idée fixe, celles que les impressions du rêve détermin
déterminent, sont autant de phénomènes automatiques suggérés par une idée et que le cerveau réalise, sans que la volonté in
e se fait pas comme le mouvement par la volonté seule actionnée par l' idée . Il faut que l'idée fasse inhibition sur le centr
le mouvement par la volonté seule actionnée par l'idée. Il faut que l' idée fasse inhibition sur le centre moteur cortical du
ion résultant du contrôle cérébral a neutralisé et rendu inefficace l' idée que j'ai déposée. Si je dis à quelqu'un : c Voy
ira au premier abord, car il n'a aucune raison de ne pas me croire. L' idée du chien se présente à son esprit; il se peut mêm
oire. L'idée du chien se présente à son esprit; il se peut même que l' idée soit assez forte pour ébaucher l'image du chien.
amisme cérébral; car nous savons que, dans certaines circonstances, l' idée de paralysie peut créer l'image de paralysie psyc
s motrices, sensitives, sensorielles, qui fait la transformation de l' idée en mouvement, sensation, image, est réfréné par l
Nous avons vu que deux facteurs interviennent dans cet acte : l* l' idée ; celle-ci doit être imposée avec force; 28 la ré
; 28 la réalisation; le cerveau doit réaliser la transforma lion de l' idée en acte. L'idée est imposée avec plus de force
n; le cerveau doit réaliser la transforma lion de l'idée en acte. L' idée est imposée avec plus de force par la voix persua
atériel (pilules de mie de pain, électrisation, suggestion, etc.) L' idée se transforme plus facilement en acte lorsque l'a
dynamisme automatique d'avoir toute la plénitude de sou jeu. De là l' idée d'endormir les sujets pour créer artificiellement
ique qui crée la suggestibilité aussi profonde que si le sommeil ou l' idée du sommeil l'accompagnait. C'est pour cela que je
alisés chez eux par simple affirmation à l'état de veille. Chez eux l' idée reçue actionne suffisamment les centres automatiq
caractère. La pédagogie moderne a la prétention de former un corps d' idées directrices qu'elle emprunte à la psychologie pro
t décidément entré chez nous dans la voie du progrès que depuis que l' idée pédagogique y a été introduite avec l'élévation d
'élévation de vues et la sûreté d'impulsion qu'elle comporte. C'est l' idée pédagogique qui a transformé en ces derniers temp
veux, au fond des sensations, des représentations qui constituent nos idées , nos pensées, se trouve, comme on sait, un mouvem
nous d'une série de sentiments, de sensations, de représentations, d' idées et d'impulsions volontaires, et, objectivement, d
ristesse, s'accompagnent bien souvent d'une effusion de larmes; que l' idée d'un plat savoureux, surtout quand on a faim, pro
ents, c'est celle qui est déterminée par la domination d'une certaine idée définie et bien conçue, pendant que le sujet se t
par un acte correspondant [expectant-altention des Anglais). Que les idées , qui consistent en une série de représentations,
qu'exécutent les hypnotiques et les somnambules sous l'influence des idées prédominantes. Ces mouvements ont déjà été, dep
e parfait. Pendant l'attente intense de la réalisation d'une certaine idée , la volonté perd son contrôle sur les muscles, à
e sur les muscles, à cause de la concentration de l'attention sur les idées méditées, et l'attente d'un certain résultat prov
était convaincu, dit-il au réveil, que c'était la réalité I Jamais l' idée ne lui est venue, dans cet état, que ce pouvait ê
trine et que beaucoup de personnes n'ont pas suffisamment compris mes idées . Je résume en disant : que toute idée acceptée pa
t pas suffisamment compris mes idées. Je résume en disant : que toute idée acceptée par le cerveau constitue une suggestion;
toute idée acceptée par le cerveau constitue une suggestion; que ces idées se transforment plutôt en actes, lorsqu'un état p
istible à tous ceux qui veulent voir la vérité, non pas telle que les idées préconçues et l'enseignement traditionnel la sugg
en paraissant plus crédules qui l'étal de veille, n'acceptent pas les idées qu'on cherche a leur suggérer, si elles sont en d
uggestion une anesthésie ou une contracture que de faire accepter une idée en désaccord avec la logique élémentaireou de pro
s la suggeslibilitê, c'est-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée acceptée par le cerveau, et à la réaliser ». Je
que. La suggestibilité serait « 1 aptitude à être influencé par une idée acceptée par le cerveau et à la réaliser. > Ma
gestionnable : à qui n'est-il arrivé de se laisser influencer par une idée émise devant lui ei d'en tirer profil ? L'hypno
e ces malades et de déterminer la concentra-lion de leur pensée sur l' idée suggérée du sommeil. Celte difficulté a quelque
nt, quelque court qu'il fût, la concentration de sa pensée, j'ai eu l' idée de lui Caire respirer un peu de chloroforme afin
de la très grande difficulté d'obtenir le sommeil chez ces malades, l' idée fixe ne leur laissant aucune trêve et ne permetta
e permettant pas un seul moment la concentration de leur pensée sur l' idée suggérée du sommeil. Convaincu par mes succès a
est celui d'un monsieur qui était obsédé, d'une façon constante, des idées de rapports contre nature et à qui celle idée fix
e façon constante, des idées de rapports contre nature et à qui celle idée fixe ne laissait aucune relâche. Une vingtaine
lade peut ainsi reconnaître son médecin et concentrer sa pensée sur l' idée du sommeil suggéré. II ressort, en outre de ces
é en inhalations à dose excessivement faible, chez des obsédés dont l' idée fixe ne permet aucune concentration de la pensée
és dont l'idée fixe ne permet aucune concentration de la pensée sur l' idée de l'hypnose, le chloroforme est utile en faisant
je vais ouvrir la discus-sioo en vous exprimant quelques-unes de mes idées personnelles sur celte question si iotéressante.
les causes d'erreur. Le sujet qui connaît la tournure d'esprit et les idées théoriques de l'expérimentateur, sera capable, da
ateur, n'ont généralement aucune raison pour s'opposer par avance aux idées qu'il va leur suggérer, il obtiendra une exécutio
pas d'ailleurs ainsi que procédera le plus souvent celui qui aurait l' idée de mettre la suggestion criminelle au service d'u
qui aurait l'idée de mettre la suggestion criminelle au service d'une idée coupable. C'est dans ces conditions que j'ai in
ons nous efforcer de ne pas laisier s'accréditer, dans le public, des idées erronées et de ne rien avancer que nous ne soyons
j'ai constaté qu'elles s'observaient surtout à rencontre de certaines idées particulières bien invétérées. A ma clinique de L
be neuve. Elle était manifestement influencée par ma suggestion, et l' idée d'accomplir cet acte désagréable était devenue po
tes blâmables ou coupables qui n'eussent pas choqué au môme degré une idée arrêtée et personnelle. M- Dumontpallibr. — Ton
lsion extérieure, môme la plus contraire à leurs tendances et à leurs idées , accompliraient des actes reprehensibles. J'ai vu
'exécution d'actes contraires à ses convictions, à sa moralité, à ses idées , à sa manière de vivre ou de faire. L'honorable
cer-« taine résistance... mais... un beau jour, il agira en dépit des idées morales, et « commettra l'action criminelle qui
on suffirait à justifier le projet de loi. Mais les adversaires des idées qui ont amené le dépôt du projet de loi, ont fait
les maîtres eux- « mêmes. » L'honorable M. Crocq exprime la même idée : « Par les séances publiques, « dît-il, on don
force. Le tout, d'un style clair, se soutient naturellement par une idée nette des faits et particulièrement de* lieux que
ique. Les causes de suicide dans les armés*. — Le D* Longuet a eu l' idée de rechercher les causes les plus fréquentes qui
isonne et, par la lecture des journaux, s'est mis en tète une foule d' idées , la plupart fausses, dont il faut le débarrasser
résoudre de pareils problèmes; et cela est bien naturel, puisque les idées de ce genre, ne contenant pas do représentations
fois le lecteur des pensées, quoique rarement, parvient à deviner des idées de ce genre, des idées abstraites, et dans ce cas
sées, quoique rarement, parvient à deviner des idées de ce genre, des idées abstraites, et dans ce cas il se guide simplement
qui ont pour origine une tromperie de soi-même, engendrent de fausses idées sur les phénomènes de la nature, et fortifient ce
incontestablement par 1 auto-suggestion), à personne il ne viendra l' idée que ces faits soient, par cela, uniquement et con
re phénoménique engendrant ainsi cette confusion et ces divergences d' idées manifestées jusqu'à ce jour par les différentes é
maintenant qu'il ne saurait entrer sur ce point dans le même ordre d' idées que le juge ; à celui-ci à faire son devoir comme
l'incoordination motrice avait diminué. C'est alors que nous eûmes l' idée de traiter sa rétention d'urine par le même procé
ndant le sommeil hypnotique, la suggestion de retirer sa sonde avec l' idée de ne plus jamais la remettre et de la jeter par
ond avec amnésie au réveil; je lui suggère qu'il n'aura plus jamais l' idée de se toucher ni le jour, ni pendant le sommeil d
habitude, en réitérant la suggestion à plusieurs reprises; j'enlève l' idée et je lui donne la force pour résister. La sugg
l. Dès les premières séances, l'enfant a été guéri ; il n'a plus eu l' idée de se toucher. Le II avril, il pesait 44 livres 1
ais sa volonté était impuissante k lutter contre 1 auto-suggestion; l' idée devenait crise. Cela se faisait pour ainsi dire s
e ta faute. Il y a quelque chose de plus fort que la volonté. Quand l' idée te vient, tu ne peux résister; tu le lais malgré
a main. Celte force que tu n'as pas de résister, je le la donne. Si l' idée de te toucher te vient, à partir d'aujourd'hui, t
hui, tu auras la force de résister; et tu ne toucheras plus jamais. L' idée même ne te viendra pas. Tu n'auras aucun effort à
nstitue la suggestion ; c'est la confiance donnée à l'enfant, c'est l' idée mise dans son cerveau qu'il ne succomberait plus
dans l'eut de sommeil profond a agi plus vile; car elle a supprimé l' idée même en même temps que l'acte presque réflexe qui
eût pu, avec de la persévérance, triompher du mal. Ceux qui ont une idée fausse de ce qu'est la suggestion, et qui la cons
faire croire qu'il est moralement libre, maître de soi, afin que « l' idée de liberté morale » tende à se réaliser elle-même
ion permanente de la volonté du malade à celle de l'opérateur; 7° L' idée qu'une personne ayant hypnotisé une fois une autr
autre personne, conserve dorénavant une influence quelconque sur les idées et les actions de celle-ci. est erronée; 8° Le
son de nier l'influence des impressions maternelles : I. Que chaque idée , chaque impression doit être matérialisée ou, en
esprit sur un autre à distance. III. Qu'une certaine impression ou idée est capable d'influencer la fonction de nos tissu
ses, que les fictions le charment, et qu'il objective puissamment ses idées , qu'il arrive avec une étonnante facilité a donne
e jeune âge, à un degré beaucoup plus sensible qu'à l'âge adulte, les idées émanent le plus souvent des suggestions faites pa
des suggestions faites par l'entourage, en démontrant surtout que les idées reproduites le plus facilement et le plus fidèlem
uggéré, la limite est facile à franchir. III Dans te même ordre d' idées , nous avons fait quelques expériences dans le but
itions de l'observation en montrant que rien n'est plus relatif que l' idée que nous nous faisons du temps qui s'est écoulé d
e domaine des faits psychologiques normaux et exclut, à leur égard, l' idée d'une réglementation légale. 5m L'article 365 d
e ces maisons en France fait que même les malades qui accepteraient l' idée d'être enfermés, hésitent très longtemps à s'y ré
a moyenne de l'Italie. Et encore ces chiffres ne sauraient donner une idée exacte de la férocité et de l'audace des criminel
formes de délire ne sont que des actes délirants se rattachant à des idées erronées qu'une recherche attentive permet souven
à désigner ces états divers. U ne préjuge rien, il n'implique aucune idée hypothétique; il dit simplement: fonctionnement p
nt nerveux; ce sont là des névropathies locales qui impliquent bien l' idée d'une diathèse nerveuse purement locale, d'une vu
la marche, l'absence de fourmillement et d'engourdissement excluent l' idée de névrite ou névralgie sciatique. Est-ce la péri
s automatiques, incapable de réagir, se concentrait tout entier sur l' idée de la douleur; l'idée créait l'acte, la peur des
ble de réagir, se concentrait tout entier sur l'idée de la douleur; l' idée créait l'acte, la peur des secousses douloureuses
réagissait inconsciemment et ne se concentrait plus tout entier sur l' idée de secousse douloureuse. C'est là le mécanisme de
erveau n'est pas un organe passif dans lequel on imprime facilement l' idée qu'on veut; il l'accepte, puis la rejette ; il a
t des bains de vapeur en lui promettant la guérison. Il accepte cette idée ; il y va en toute confiance. Mais l'administrati
aient plus raides, qu'il marchait moins bien. Si j'avais laissé cette idée et cette sensation prendre racine dans son cervea
s mes efforts eussent pu rester infructueux. Mais en déracinant cette idée , en dégageant ma suggestion de tout ce que l'imag
— Présidence de SI. Duvoxtpallifx. (Suite.) Hystérie convalsive; idées de persécution et de suicide; guérison. — Somnamb
somnambulisme, on l'interrogeait, elle répondait sans abandonner ses idées délirantes et sans reconnaître la personne qui lu
se jeter par la fenêtre; d'autres fois elle se sentait poussée par l' idée de se précipiter dans un puits; d'autres fois enc
ée par l'idée de se précipiter dans un puits; d'autres fois encore, l' idée impulsive change, et alors elle veut s'en aller l
disparaître, non pas seulement les crises nerveuses, mais encore les idées de persécution et de suicide. J'ai tenu celte fem
connaissait personne autour d'elle; elle répondait conformément à ses idées délirantes et au milieu dans lequel elle croyait
que, dans le somnambulisme hystérique, le sujet se laisse aller à ses idées délirantes et morbides par auto-suggestion. D'apr
e l'opérateur se substitue à la volonté du sujet, et comme toutes les idées suggérées ont un but curateur, il ne peut en résu
, et en même temps, il était de ceux qui ne persistent pa» dans leurs idée » anciennes lorsque le progrès scientifique eat ve
fer, malgré tout. Est-ce qu'un esprit raisonnable aurait une pareille idée ? Qui sera le plus gêné par ce nom? Ce ne sera pas
rit est fermé à toute chose, en dehors du cercle extrêmement étroit d' idées où elle vit. C'est à elle que revient le choix de
étant plus vives qu'à l'ordinaire, pendant le déjeuner, vers midi, l' idée lui vint tout à coup de ne plus manger. Depuis lo
par l'hypnose, d'abord pour des crises hystériques, ensuite pour une idée obsédante (elle était persuadée qu'elle devait mo
s manger, je ne mangerai pas. — Pourquoi? — Je ne sais pas; c'est une idée qui m'est venue, il y a cinq jours. Je prendrai d
a quinze jours, à midi, le déjeuner m'a bit mal à. l'estomac. Alors l' idée m'est venue de ne plus manger. Je me suis dit tro
11 y a progrès, en ce sens qu'elle n'accepte plus aussi facilement l' idée de ne lias manger; mais elle continue toujours ?
amedi 26 septembre, nouvelle hypnotisation. La malade m'apprend que l' idée de ne pas manger ?? quittée hier toute la journée
llon ? onze heures. Si vous ne me grondez pat fort, je sens que cette idée reviendra tout ? fait ». J'essaie, mais en vain
e est tout étonnée d'avoir faim et d'être entièrement affranchie de l' idée de ne pas manger, sans avoir besoin de répéter la
as manger, sans avoir besoin de répéter la phrase suggérée. Ainsi l' idée de ne plus manger est disparue aussi brusquement
veille, doit agir sur le cœur du malade. 11 ne faut pas suggérer une idée pure et simple, mais une idée associée à une crai
du malade. 11 ne faut pas suggérer une idée pure et simple, mais une idée associée à une crainte, sanctionnée par un châtim
iper l'entêtement de la malade eût été de lui suggérer l'amnésie de l' idée obsédante. De plus, en faisant dormir la malade p
e séance, on a beaucoup plus de chances d'obtenir la disparition de l' idée . Il semble que les séances prolongées aient une a
tion de l'huile de foie de morne créosotée, le médecin traitant eut l' idée de recourir à la suggestion. Il eut raison, car d
ée, chez Louise Laleau, lauto-suggestion n'était pas moins nette. Des idées mystiques avaient établi entre le phénomène morbi
ait tout aussi bien sur le coté anesthésié que sur l'autre. J'eus l' idée alors de rechercher si ce phénomène était soumis
ite, je traçais en même temps plusieurs dessins, soit, pour fixer les idées , les quatre premières lettres de l'alphabet, ta
ire à sa production, éveille en même temps dans l'esprit du lecteur l' idée d'une dermatose accompagnée de symptùmes subjecti
endant les périodes calaméniales. Leurs hallucinations provoquent des idées de persécuuon, et, sous leur influence, ces malad
es. Dans ce dernier cas, elles apportent à la satisfaction de leurs idées la lucidité d'esprit qu'elles conservent longtemp
, les conceptions délirantes de toute espèce, les hallucinations, les idées de suicide et d'homicide, les impulsions à détrui
iner. La folie hystérique a les relations les plus intimes avec les idées de vol, avec les dépravations instinctives et les
onsidérer comme complètement guérie. Pendant le traitement, j'eus l' idée , étant donné l'aptitude à l*hypnotisation que pré
tels caractères de précision que la malade nous donnait exactement l' idée des grandes hysléro-épilepiiques que nous avions
é, dans le service de M. Du mont pallier, ou vues à la Salpétrière. L' idée d'un simulacre était tout à fait inadmissible, le
ême il aurait, lui, obtenu sur le sujet des résultats conformes à ses idées scientifiques, que dans les expériences poursuivi
es hallucinations verbales -. (Arch. de neurol., 64.) Séglas. — Des idées conscientes et obsédantes de persécution et de gr
fait au devoir d'accepter l'étude qu'il nous a adressée, bien que les idées qu'il y exprime soient sur beaucoup de points en
ui disparaît pour les autres à cause de la rapidité avec laquelle les idées s'assemblent. Ainsi, ces messieurs virent l'image
venue inutile, incommode, en trahissant les secrets et confondant les idées par son incertitude toujours plus grande que par
i à son travail, ni à quoique ce fût, était hanté par de fréquentes idées de suicide. Assurément, il avait fort mauvaise mi
Binet et Ch. Féré, etc. etc. Le temps m'a manqué pour appliquer mes idées à trots causes célèbres qui sont encore dans la m
des expériences que nous pourrions tenter. Et voici celle que j'eus l' idée de réaliser : J'endormis en quelques secondes le
estion atténuée. C'est une sorte de vaccina-tion morale/ (2). Cette idée va sembler peut-élrc bien étrange, et l'on s'atta
en activité soni ou non somnam-bulcs et suggestibles! Il n'importe. L' idée est jusle, je le crois du moins. J'attendrai pati
estion et que les effets se manifestent avec la même intensité, que l' idée ait été reçue par l'intermédiaire de l'ouïe ou pa
t à crier et ne se laissa opérer qu'avec beaucoup de difficultés, à l' idée de la douleur qu'elle avait ressenti la première
es phénomènes caractéristiques ¦ de l'hypnose, soit qu'on adoptât les idées qui ont cours à la Salpèlrière, i soit qu'on se p
ou n'étaient plus aptes à la transmisMun fluidique ou vibratoire de l' idée . C'est dans cette atmosphère névropalhique que
nerveux comme le mien. Ce qui me nuisait surtout, c'était l'arsenal d' idées fausses que je m'étais forgé, ce qui me rendait 1
tais forgé, ce qui me rendait 1res malheureux. Vous m'avez enlevé ces idées , et me voila débarrassé de bien des ennuis.....»
a pratique pour hypnotiser une hystérique el chasser de son cerveau l' idée de suicide qui l'obsédait. Comme antérieurement
olait, avait une tendance de plus en plus marquée à la tristesse, aux idées sombres. Après l'avoir déjà remontée plusieurs
e l'appétit, du sommeil, qu'elle ne s'ennuie plus, qu'elle n'a plus d' idées tristes, que la gaieté revient avec la santé, etc
, mieux dormi, elle ne s'était presque pas ennuyée, n'avait plus eu d' idées sombres, etc. Les suggestions furent continuées c
omissements ont disparu avec l'inappétence, avec l'insomnie, avec les idées noires, la constipation, etc., mais les règles so
nt dépassée. MM. Dcbove et Babinski ont soutenu récemment ici cette idée , que la polyurie pouvait être le seul facteur app
es, M. Louis Prévôt du Houdray, grand amateur de basses-cours, a eu l' idée de prendre des notes sur le gloussement souvent s
uteur dans tous les développements de ce volume compact et si plein d' idées neuves et originales. Je m'arrêterai plus particu
pour tout ce que le devoir postule ou révèle est une grande et noble idée , mais vivre pour essayer en vain de trouver l'oub
x qui ont trait a la circulation cérébrale. C'est lui qui a donné l' idée juste, définitive, de l'irrigation comparée de l'
chacun, par faire naître dans le cerveau des tenancières de bordels l' idée qu'elles font un métier moral dans lequel elles d
dre, par l'anus, une assez grande quantité de sang pur. Ma premièro idée est que je dois avoir affaire à une invagination
peut aller depuis une tendance à suivre un conseil pour modifier ses idées , par exemple, jusqu'à un trouble dans son sang-fr
usses et de les rejeter : il se laisse aller à la réflectivité et aux idées suggérées. Grâce d i impressionnât il lié de l'or
s d'une manière plus ou moins exacte, en les interprétant suivant les idées régnantes. Nous voyons journellement de pauvres m
évangélique. inquiétudes, ils ajoutaient encore cette épouvantable idée que le diable s'était logé dans leur corps ou qu'
l discours des illusions el impostures des diables, etc., exprime des idées analogues en termes un pou différents. Au chapi
11 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
suite l'opérateur régularisera le sommeil par des formules évoquant l' idée de calme et de repos, telles que les suivantes :
nts. La morphine d'abord, n'eut sur moi aucun effet appréciable, et l' idée me vint d'employer la cocaïne non en poudre mais
bourré d'observations et de faits, éloquent plaidoyer en faveur d'une idée : « De la suggestion et du somnambulisme dans leu
te cet accent un peu rude et qui s'attarde, développa et défendit les idées si remarquables de son système. A l'entendre, G
mer en des termes techniques qui ne leur étaient guère familiers, des idées quelque peu déconcertantes ! Si l'on ne brûle plu
vous vous trouverez exactement dans l'état d'esprit, avec toutes les idées et les impressions que vous avez eues à chaque ép
ulez remédier aux inconvénients qu'ils présentent.....; vous avez l' idée d'un mécanisme nouveau, qui ne présenterait pas
qui s'augmente de jour en jour, j'ai eu des malades qui, rebelles a l' idée de se faire hypnotiser, s'y prêtaient mal et je n
ent qn'il pouvait écouter nne discussion, et en même temps suivre son idée , ce qni lni permettait de répondre en développant
pense de travaux Importants et de services signalés dans des ordres d' idées différents. Enfin, dans une sphère plus modeste
e catégorie les centres nerveux sont simplement impressionnés par une idée , qu'elle émane de l'hypnotiseur ou quelle soit pe
ns un état passif, il suffit qu'il laisse orienter sa pensée vers une idée prédominante, qu'il se laisse bercer par un rythm
ier des états de conscience anormaux, en particulier pour effacer les idées fixes, les doutes, les phobies, les anxiétés, les
au papier leur petites misères ; beaucoup ont leur journal. J'ai eu l' idée d'utiliser cette particularité, pour faire inscri
crire sept à huit fois par jour le genre de malaise, selon le moment, idée fixe,-phobie, etc., ainsi que les craintes qui en
rai. » Le 4 mars, une heure et demie, elle écrit : « De mauvaises idées me tenaillent, je ne veux pas les écouter. — Je-s
atinée n'ont pas été trop pénibles. Il ne s'est présenté que quelques idées de suicide qui n'ont pas tenu. Ma promenade du ma
, arrivent souvent a créer au point de vue du régime alimentaire, des idées absolument systématiques. Plus nombreux qu'on ne
incipal mobile de cette abstinence presque complète d'aliments. L' idée fixe qui domine l'état mental des anorexiques est
in Constant, est dans le cœur de l'homme, s'est toujours associée à l' idée religieuse, l'une et l'autre se prêtant un mutuel
ec ardeur ces nouvelles étndes et s'y passionna tant qu'il lui vint l' idée de faire les études de médecine et de prendre son
et tout jurisconsulte ; il contribuera sans doute à modifier bien des idées préconçues, à éclairer la justice et à jeter un j
Heureusement, il arriva ce qui s'est produit souvent : c'est que l' idée éclose sur le sol de la patrie française, cette i
suggestion, si l'on s'en rapporte à son étymologie, inipli-que donc l' idée de domination. C'est le sens avec lequel il est e
ce, se retrouve dans la définition de tous les auteurs qui ont eu des idées exactes sur le mécanisme de la suggestion. Person
es. soit au moyen du procédé aspectif de Braid, à subir l'empire de l' idée suggérée? Il y a donc, avant la suggestion et au-
re des hommes qui s'imaginent avoir des convictions, une opinion, des idées qui leur sont personnelles. Pauvres gens qui ne s
nue classique. La voici : « La suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerceau et acceptée par lu
other dans son remarquable livre sur la Logique, il faut : 1° Que l' idée exprimée par le mot que l'on emploie soit parfait
e soit parfaitement circonscrite ; 2° Qu'à chaque circonscription d' idées corresponde une expression qui lui soit spéciale
ui lui soit spéciale et qui lui corresponde exactement ; 3° Que l' idée circonscrite ne renferme pas l'absurde ; 4° Enf
ne renferme pas l'absurde ; 4° Enfin, que dans la subdivision d'une idée générale on n'oublie aucune des idées particulièr
n, que dans la subdivision d'une idée générale on n'oublie aucune des idées particulières qu'elle renferme. Tout manquement
ement à l'analyse de cette définition, nous constaterons : 1° Que l' idée exprimée par le mol suggestion n est en aucune fa
cons-¦crite. La suggestion y est confondue avec toute insinuation d' idée , d'acte. d'image ou de sensation, avec toute pe
ultat, non intentionnel. -d'un défaut d'ordre et de clarté dans les idées . Xous nous trouvons en présence d'un véritable so
airement le fond de leur pensée. Le sophisme par indétermination de l' idée s'associe habituellement avec celui de Vignorance
défini par les plus grands esprits. 2° Qu'à chaque circonscription d' idées ne correspond aucune expression .qui lai soit s
tions absolument contradictoires et incohérentes. 3° Que tontes /es idées circonscrites contiennent l'absurde. Cela est m
satisfaire et la définition : La suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
'explications, elle laisse à entendre que le pouvoir d'introduire des idées dans un cerveau est un acte à la portée de toutes
otion actuelle de la science semble, dès l'abord, incompatible avec l' idée du miracle, telle que l'a définie l'enseignement
exan. VU de Jésus. Paris. 1867, In-8°. Introd. p. XCVII-SCVUI. — Même Idée dans Feuitlee détachées. Paris, s. d., ln-8°, pp.
bilité quand elle s'exerce, et combien est « ondoyante et diverse * l' idée que nous nous faisons de nos plaisirs et de nos d
en « même temps un bonheur collectif et social. » (La Psychologie des idées forces. Et maintenant que devons-nous entendre
à réaliser toute suggestion, à transformer en actes, à actualiser les idées reçues, k faire de toute idée une idée fixe, il e
transformer en actes, à actualiser les idées reçues, k faire de toute idée une idée fixe, il est facile de concevoir avec qu
er en actes, à actualiser les idées reçues, k faire de toute idée une idée fixe, il est facile de concevoir avec quelle faci
devons-« nous faire en pathologie psychique : discuter une a une les idées « fausses, tel est le travail auquel s'attachent
ut, avec les plus grandes chances de succès, entreprendre la cure des idées fixes, des obsessions, des doutes, des peurs, des
ault. Unis dans le dur labeur et dans la lutte pour le triomphe d'une idée commune, ils resteront associés dans la gloire. ”
érise la fameuse définition : La suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerceau et acceptée par lu
mal avisé pour baser une-thérapeutique sur « l'acte d'introduire une idée dans te cerceau. » Que de gens se seraient empres
essence intangible, impondérable et immatérielle, telle que l'est une idée , dans une chose concrète et palpable, dans cet or
semblant des termes vagues, indéterminés comme le sont ceux d'acte, d' idée , de cerveau, ne peut aboutir qu'à une proposition
r là où il n'y a que de l'obscurité. Si « l'acte » d'introduire une idée dans un cerveau a la moindre importance thérapeut
ce thérapeutique, il eut été logique non seulement de donner de cette idée médicament une notion quelque peu précise, mais a
une notion quelque peu précise, mais aussi d'indiquer à quel genre d' idées il conviendrait spécialement de recourir pour obt
on de Potter a démontré fort éloquem-ment que les médications par les idées ne comportaient pas moins d'inconvénients et de d
sons nn titre différent, que la suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
out d'abord, il conviendrait de savoir ce qu'il faut entendre par une idée . Par le nom d'idée, déclare Descartes, j'entends
viendrait de savoir ce qu'il faut entendre par une idée. Par le nom d' idée , déclare Descartes, j'entends cette forme de chac
onnaissance de ces mêmes pensées. (1) Plus récemment, on a défini l' idée : La représentation qui se fait de quelque chose
, ou soit purement intellectuelle. Dans le langage philosophique, l' idée est un fait intellectuel qui répond en notre espr
s ne disposons que d'un nombre assez restreint de mots, le nombre des idées est illimité ; c'est ce que Diderot exprime en di
est ce que Diderot exprime en disant : Je crois que nous avons plus d' idées que de mots : combien de choses senties et qni ne
s senties et qni ne sont pas nommées. (2) Comment, ces innombrables idées étaient susceptibles de devenir autant d'agents t
ypodermique, on a désormais, en plus, la possibilité d'introduire des idées curatives dans le cerveau. Il est vrai que lorsqu
le cerveau. Il est vrai que lorsque l'on se propose d'introduire des idées dans le cerveau des autres, cela suppose, comme p
Pensées de la peinture, 8. P. 170. Il convient également que les idées introduites soient saines, exemptes de défectue
e vanité, après celle bien entendu de la possibilité d'introduire des idées dans le cerveau, c'est d'avoir vu, le premier, qu
st d'avoir vu, le premier, qu'il était nécessaire cependant que cette idée fut acceptée par le dit cerveau. L'insistance .av
à croire qu'il attache à la notion d'acceptation par le cerveau de l' idée introduite, une importance considérable. Il ne s'
urdité dans la proposition exprimée. Comment est-il possible qu'une idée , quand elle a été introduite dans le cerveau puis
va-t-il s'effectuer ? Peut-on se représenter le cerveau refusant une idée , à la façon dont un estomac récalcitrant rejette
ndigeste ? Hélas, il ne dépend pas de nous d'éliminer a notre gré les idées qui se succèdent dans notre esprit et Voltaire, à
les idées qui se succèdent dans notre esprit et Voltaire, à l'article Idée du Dictionnaire philosophique, a pu dire avec rai
endu de moi ni de recevoir, ni de rejeter dans ma cervelle toutes les idées qui sont venues y combattre les unes contre les a
e n'ai recueilli que l'incertitude. Il est bien triste d'avoir tant d' idées et de ne pas savoir au juste la nature des idées.
riste d'avoir tant d'idées et de ne pas savoir au juste la nature des idées . Je l'avoue, mais il est bien plus triste et beau
lles traduisent s'accorde avec l'hypothèse du progrès, bien que cette idée primordiale semblât si naturelle à Spinoza qu'il
es est en accord avec le progrès subjectif" de la conscience et que l' idée même de hiérarchie transparait dans tous ntfs jug
s de la terre, suffit à indiquer pourquoi nous ne pouvons approuver l' idée séparatiste formulée par M. Bergson-Mais ce disse
physiques de l'expérience se présentent à nous dissociés. Mais cette idée n'en est pas moins l'hypothèse nécessaire de la l
Le désir de la guérison rend insensible sur toutes les conformités d' idées qui courraient chance d'ouvrir un courant de symp
nts, l'empêche de dormir. Elle se fait du reste de ce personnage, nne idée saugrenue et invraisemblable. Il a seulement 20 c
ine opposent a l'utilisation des découvertes les plus précieuses. Les idées de Braid. un instant admirées, ne tardèrent pas à
e qu'autant qu'elle était le résultat de suggestions hypnotiques. Les idées de Liébeault ne tardèrent pas à recevoir une cons
r devait suffire à lui valoir une place prépondérante dans un ordre d' idées où il était entré tardivement, sans aucun enthous
'après ses propres écrits : « Je défiais la suggestion, dit-il. toute idée éveillée dans te cerveau. Cette idée peut pénétre
ais la suggestion, dit-il. toute idée éveillée dans te cerveau. Cette idée peut pénétrer dans le cerveau par n'importe quel
odeur, etc.. toute impression transférée au centre psychique crée une idée . Tout phénomène de conscience est une suggestion.
e sait que « toute impression transférée au centre psychique crée une idée . » Il y a encore plus longtemps qu'Esope, dans so
définition qui considère « la suggestion comme l'état par lequel nue idée est introduite dans le cerceau et acceptée par lu
e : Cette formule est la suivante : « Nous avons établi que toute idée tend à se faire acte » Il est possible qu'un cert
me scolastique. Déjà, du temps d'Aristote. la tendance motrice de l' idée avait été constatée et énoncée. C'est cette notio
t cette notion qu'exprime l'adage de philosophie admis par tous : « L' idée est un principe de mouvement. » S'il est un fai
issante, lorsqu'il écrivait : « Il est impossible d'être sitisi d'une idée vive, sans que le corps se mette à l'unisson de c
tisi d'une idée vive, sans que le corps se mette à l'unisson de cette idée . La même constation se retrouve chez tous les a
ouillée, a même basé une doctrine sur ce point de départ, que « toute idée est une force, partant un commencement d'action.
a plupart de ceux qui emploient le mot de suggestion n'en ont pas une idée claire, ajoutait : « Il faut évidemment reconnaît
on de tout un groupe de savants pour lesquels la suggestion est - une idée qui se transforme en acte » : à ce compte, la sug
» : à ce compte, la suggestion se confondrait avec l'association des idées et le terme aurait une signification des plus ban
urait une signification des plus banales, car la transformation d'une idée en acte est un fait psychologique régulier, qui s
t un fait psychologique régulier, qui se produit toutes le fois que l' idée atteint un degré suffisant de vivacité. Qu'on n
près tant d'autres, mais sous une forme inoins élégante : « que toute idée tend à se faire acte. » (4) Aussi bien placé qu
. Revue philosophique. 1887. T. II) (2) Fouillée : Evolutionnisme des idées forces. Paris IS90. (3) A. Binet : La suggestibil
90. (3) A. Binet : La suggestibilité, 1900, p. 9. (4) En réalité, l' idée ne se traduit au dehors par des phénomènes moteur
oujours en rapport avec la puissance de l'élément affectit. Aussi les Idées purement abstraites ne s'accompagnent généralemen
nt une science pour un esprit méthodique. C'est un ensemble informe d' idées inexactes, d'observations souvent puériles, de mo
J'entends respecter le droit des autres. Jamais il ne m'est venu à l' idée de répondre par un article indigné aux ouvrages o
e. Voilà ce qu'il me fallait dire avant d'aborder l'historique do l' idée de Dieu. » Ainsi donc j'admets a. la base de
ure. Ce découpage résulte d'un choix inspiré presque toujours par des idées préconçues. Loin d'être une photographie minutieu
a jamais eu le moindre caractère scientifique. On peut s'en faire une idée par ce qu'elle était au XII. siècle dans un grand
diététique de la paresse par le Dr J. Lacmosier Contrairement aux idées qui ont généralement cours, la paresse n'est poin
u déviées, de besoins factices ou patholo-. giques : on est victime d' idées fixes ou obsédantes, de croyances erronées, de pr
de cette soudaine guérison. je lui répondis que je n'en avais aucune idée , et n'y pensai plus. Quelques jours plus tard e
rtée dans le vocabulaire médical, la notion de la suggestion évoque l' idée qu'elle pent être utilisée pour obtenir la dispar
qu'il parait hvpnotisé lorsque son attention s'est absorbée dans une idée fixe et qu'il en résulte par lui une diminution d
esse, dans ce cas. k la raison du malade. Le sujet discute encore les idées qu'on cherche à lui inculquer mais finit toujours
e, réuni au collège des Hautes-Etudes de Salamanque, pous étudier les idées et les projets de Christophe Colomb, déclare à l'
provoqué de la part de ces chefs un certain nombre de punitions. A l' idée de se trouver en présence de quelques-uns de ses
our être hypnotisé il est nécessaire d'être à jeun d'alcool, il eut l' idée d'utiliser cette notion pour échapper à mon influ
i et suggestionné par vous ; mais j'ai, depuis quelques heures, cette idée fixe que je dois aller, ce soir, non pas chez vou
non pas chez vous, mais chez le dentiste ; et, chose curieuse, cette idée n'est pas accompagnée de l'appréhension habituell
, je n'obtins aucun érythème, ni aucune sensation nette de cuisson. L' idée me vint alors que cet homme simple n'avait, proba
r objet venu (porte-plume, crayonj qui lui suggère involontairement l' idée d'une tige. Alors il parle au sujet en ces terme,
a « maturation » des phénomènes vaso-moteurs suggérés. 7° Certaines idées peuvent interférer de façon à ne pas laisser reco
milieu du verset, il le faisait sans la moindre difficulté. On a eu l' Idée de lui demander le 32e verset d'un chapitre qui n
e œuvre, résultat de trente années de labeur ininterrompu, comporte d' idées réellement personnelles, de vues originales et d'
te des mets locaux de nos provinces), son cerveau vibrait surtout A l' idée d'une belle action. Avec quel enthousiasme il par
de l'initiative Individuelle. Il suffit pour cela, qu'il en émane des idées nouvelles, des trnvanx personnels et qu'elle conc
la psychologie en médecine, qne Je m'étais enhardi U lni parler de l' idée qni nous avait guidés dans la création de l'Ecole
cas, s'exerce l'action hypnogénique. Le sujet, non prévenu, n'a ni l' idée ni le temps d'organiser la moindre résistance à l
lui d'un sujet hypnotisé s'impose nécessairement. Aussi, s'il est une idée dévenue banale à force d'avoir été répétée, c'est
t chez lesquels aucune excitation extérieure ne viendrait provoquer d' idées , d'actes ou de sensations. Si aucune sollicitatio
riques plongés dans l'état d'hypnotisme, cette conclusion exclurait l' idée que l'aimant soit doué d'une action spécifique.
gauche tombaient dans une contraction presque spas-modique. J'ai eu l' idée de voir si le phénomène se réalisait même sans la
ait comprendre le phénomène qui devait ou pouvait survenir, j'ai eu l' idée de faire l'application de l'aimant sur un muscle
démontrer, rapports de physiciens et d'ingénieurs h l'appui, que l' idée de chemin de fer impliquait une impossibilité.
mais encore que les réflexes patellaires sont égaux des deux côtés L' idée d'autosuggestion doit être écartée, bien entendu,
ns non suggérées, qui donnent ces symptômes demi-spontanés. • Les idées de l'auteur bien appuyées sur les observations pu
pour le développement du sommeil hypnotique, et, dans lé même ordre d' idées , M. Crocq, au même congrès, disait qu'un rapport
ltérieure. La majorité de ces membres était disposée à accepter les idées de M. Babinski pour qui : ce qu'on appelait autre
s, Arehibald Constable el C. Londres 1908. tions politiques sur l' idée qu'ils se faisaient de la nature humaine ; mais l
abandonner aux impressions extérieures, h raisonner par association d' idées plutôt que par syllogismes ou par inductions, a c
raduisent par divers états d'âme. « Ces connaissances modifient nos idées sur la responsabilité humaine, question posée jou
quelles affreuses plaies nous sont révélées ! On ne vient pas avec l' idée de nous les confier mais en présence de désordres
oments, emballées — excusez la . vulgarité de l'expression — pour des idées ou des hommes qui étaient censés les représenter.
pas le môme Dieu, ou ne l'adoraient de la même manière, ou que leurs idées politiques ou religieuses n'étaient pas semblable
ient pas semblables. L'historien des religions devra être pénétré d' idées médicales. Il faut qu'il connaisse l'influence de
exposant l'histoire des transformations successives qu'ont subies les idées générales en zoologie, il s'est montré également
nt de son exemple, nous ne manquerons aucune occasion de propager les idées de justice et les vues si élevées qui se dégagent
sophes, on peut faire consister l'erreur dans la non conformité d'une idée à son objet. Les sens, la conscience, la volont
entre bien dans la définition générale de l'erreur : elle exprime une idée non conforme à l'objet. Ce n'est pourtant pas une
re nommer directeur de la Statistique au ministère de la Justice. Les idées de Tarde, d'un caractère très personnel, témoigne
pnotisme par le monodéïsme qui entraîne l'esprit à la poursuite d'une idée prédominante, par l'antomatisme psychologique, pa
e il recevait des reproches au sujet de sa distraction, il avait eu l' idée de recourir au traitement psychothérapique. Qua
s qui pourraient survenir. SI la température monte, 11 est inquiet, l' idée de son malade le poursuit. On pourra penser qu'un
en émane et de l'énergie qui s'y trouve emmagasinée, tout un monde d' Idées nouvelles se lève: et qne de surprises il nous pr
ce l'esprit au premier rang et le corps au second: qui professe que l' Idée est tout et que le physique est secondaire : qui,
sement M. Delage, la méthode évolutîonniste nous permet de tirer de l' idée de causalité toutes les conséquences qu'elle comp
a condition primordiale de la psychologie rationaliste. La peur des idées générales « qui caractérise les érudits et surtou
tagionné notre mentalité française. Il faut le proclamer enfin : si l' idée géniale du grand Lamarck est en train de conquéri
croyaient définitive. Raillée à son début parla science officielle, l' idée géniale de Lamiirck peut toujours être contestée
hologie à des auditeurs iiui presque tous possèdent mieux que moi les idées fondamentales de cet enseignement spécial. Ils co
ement et, par ce fait, entravent la formation et l'association de nos idées , la sincérité de nos images, le classement de nos
inairement une activité convenable. Elle peut néanmoins engendrer des idées qui portent l'empreinte d'une étrange bizarrerie
pouvoir de passer a la réalisation active de ses intentions et de ses idées . Il demeure capable d'agir et ce n'est pas un spe
raumatisés. La sinistrose que le professeur Brissaud a défini : « une idée fixe que tout accident survenu au cours du travai
264. Gilbert-Ballet et MosiEtc Vicaht : Délire hallucinatoire avec idées de persécution, consécutifs a des phénomènes de m
odifie entièrement. Ces malades qui étaient entièrement obsédés par l' idée fixe de l'incurabilité, sont désormais convaincus
le plus d'autorité. Je ne crois pas qu'il puisse venir à quelqu'un l' idée de discuter sa compétence hors de pair sur une de
éthode du Dr Jennings. Ce qui détourne beaucoup de morphinomanes de l' idée de se soustraire au dangereux poison dont ils son
tôt l'existence d'une mélancolie assombrie, presque toujours, par des idées de désespoir ou par des conceptions délirantes, t
la maladie. « En conséquence,il cherche à établir,conformément aux idées développées autre-fols jwir IvRSègue, que les tro
pteur. Ce graphisme original concorde avec l'explosion de certaines idées (1) Conférence faite a l'Ecole de graphologie a
e jugement faussé, la raison vacillante et l'esprit importuné par des idées bizarres qui frisent parfois les conceptions déli
nsidérer comme le résultat d'une simple psychasthénie. J'eus plutôt l' idée de les attribuer à une irritabilité spéciale ayan
entendre à la malade des sons agréables à ses nerfs. Dans cet ordre d' idées les médecins consultés supposèrent que les nouvel
t agréables qu'en entendant les chants pieux et les orateurs dont les idées lui paraissaient conformes à ses croyances. Gui
nerveuses de ses premières années et ne conserver de son mal que ces idées mystiques qui. ainsi que je vous l'ai dit, peuven
gion chrétienne C'est, dit-on. dans une de ces extases que lui vint l' idée d'organiser de pieuses associations destinées à c
ez eux des illusions para-doxales, des hallucinations étranges et des idées fixes presque toujours suivies d'obsessions désas
une des manifestations les plus expressives de nos sentiments, de nos idées et de ce qu'on appelle aujourd'hui, d'après Bergs
s sa chambre et déjà couché, il se trouvait subitement assailli par l' idée de n'avoir pas fermé sa porte. Alors, se levant e
ui traitent de la vie sexuelle et ne trouve nulle part un démenti a l' idée qui la tortore. Auparavant la malade était très c
eprocher mutuellement leur incapacité à la vie sexuelle, sans avoir d' idée bien nette sur celle-ci. Enfin, il y a deux mois,
moi et mieux encore pour la malade que toute sa maladie découlo de l' idée que l'onanisme entraine (1) Prof. Walthari», Et
ehriit 1909. n" 39. l'incapacité à la vie sexuelle normale. Cette idée , la malade très réservée, l'a adoptée de confianc
es qui s'opposent à sa satisfaction sexuelle. Alors disparaîtront ses idées mauvaises, et il n'aura pas à. redouter le regard
rationnellement. (A suivre). Discussion : Dr Beb.ii.los:. — Les idées du Dr Pewnizky sont conformes à. celles qui ont é
les avantages que l'on peut tirer de l'hypnotisme pour rechercher les idées subconscientes qui entretiennent les anxiétés et
remonté à la cause du mal. » On voit par ce qui précède combien les idées de M. le Dr Pewnizky se rapprochent des miennes.
a Bérillon, Preda, Paul Farez et Baffegean. 3. Dr Bevalot. Un cas d' idées délirantes, avec symptômes mélancoliques, gnéri p
Georges ?????. La séance est levée h 7 heures. Note sur un cas d' idées délirantes avec symptômes mélancoliques guéri par
fit un premier accès de psychose atténuée dans lequel dominaient les idées de ruine et de culpabilité caractéristiques de la
ide. Il se croyait obligé de suivre l'exemple de ses parents et cette idée de suicide le hantait d'autant plus qu'il était a
tre la guérison et je n'avais pu couper court au flot envahissant des idées fausses dont se trouvait farcie la tête de mon su
* Les ami3 ot les élèves du professeur Raymond ont eu l'excellente Idée de commémorer sa nomination au grade de Commandeu
tude de l'ouie à subir la fascination a donné à divers observateurs l' idée de recourir aux vibrations sonores et aux bruits
cédents, cet accès fut très léger ; notre jeune homme n'eut pas d' idées de suicide et il ne m'en parla dans une lettre qu
lgré les qualités de ses sens, il ne semble pas capable d'assurer les idées et les éloges que Buffon lui a décernés, m'ont to
. M. Béhillox. — La mémoire, la snggestibilité et l'association des idées sont des facultés intellectuelles : le cheval en
iuko-manie », parce qu'il y a chez ceux qui en sont atteints, non pas idée de sport ; mais, quand il n'y a pas snobisme,la r
dées par la crainte d'être en proie à telle ou telle affection dont 1 idée fixe finit par créer chez elles un état particuli
lie anxieuse, avec-l'idée fixe qu'il était atteint de syphilis. Cette idée fixe avait pris naissance, disait-il, à la suite
lyse même du sang faite par un médecin réputé ne changent en rien son idée fixe. Ces craintes nosopho-biques ont affecté son
rmenté et son but est de persuader son entourage de la réalité de son idée délirante. Pas d'alcoolisme, pas de symptômes de
me, pas de symptômes de paralysie générale. Sous l'influpnee de cette idée fixe, à laquelle il rapporte tous les actes de sa
urs conseils et de leurs ordonnances et consécutivement il est prie d' idées de suicide. C'est le seul moyen, dit-il, pour ne
> Depuis lors, il garde le mutisme le plus complet au sujet de son idée délirante, cause de son internement' Mais, il est
obies diverses, à des périodes de dépression, pouvant aller jusqu'aux idées de suicide, succèdent des périodes d'agitation. C
son esclave, et celle-ci, abusant de son ascendant, lui a insufflé l' idée d'un crime irrésistiblement accompli Le profess
ire à quelqu'un d'encore plus hystériquo qu'elle l'est elle-même. L' idée de domination exercée par une hystérique serait d
t été, pour ces populations, un sérieux obstacle au développement des idées de progrès. La majorité des individus étant gén
rouvés par ces déséquilibrée et faisaient naître dans leur esprit des idées parfaitement raisonnables. Comparant ces faits, n
ecins qui en suivent les enseignements psychologiques indique que les idées dn DrVan Renterghem concordent avec le sentiment
onfirmèrent les vues générales de Lamark ; et, dans tous les ordres d' idées , chaque jour affermit la solidité de leur hypothè
aire à l'opinion générale que l'on avait de lui et par conséquent à l' idée que nous ponvions nous en faire. Les constatati
lieu que dans une vallée et que cette vallée éveille tout de suite l' idée de montagnes parallèles, on ne pouvait mieux fair
gnes parallèles, on ne pouvait mieux faire pour donner à un aveugle l' idée de la conformation du globe terrestre que de se s
un véritable cercle de Pompilius, d'où il ne pouvait sortir, à notre idée , que vaincu par la déesse hypnose. De suite apr
il n'est pas énervé par l'attente de ce qui va se passer. Toutefois l' idée de M. Anastay est très bonne ; une suggestion bie
de l'), par Preda, p. 338. Huchard (Un hommage du Dr), p. 195. Idées délirantes avec symptômes mélancoliques guéries p
12 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
travaux de son ménage, elle ne pouvait plus ni penser ni compter, ses idées s'embrouillaient à chaque instart : elle se figur
que nos habitudes et nos souvenirs amènent des actes, des liaisons d' idées que nous constatons plus que nous ne les produiso
pas, elle s'accoutume à les négliger et ne les démêle pas (3). » Ces idées confiées au souvenir et à l'habitude, sont plus n
ion par les objets dont les impressions reproduisent dans l'âme les idées , les besoins, les désirs, qui déterminent dans le
e et au moral, qu'il a la possession facile et complète de toutes ses idées , il peut s'exposer aux circonstances les plus cap
és, il soit épuisé, triste, distrait, timide, incapable de réunir ses idées , déprimé en un mot, et il va tomber amoureux ou p
ord, comme dans toute maladie virulente, une période d'incubation ; l' idée nouvelle passe et repasse dans les rêveries vague
uche murmurer sans cesse un nom toujours le même ! Ajoutons que toute idée amène des modifications expressives dans tout le
le cahier à sa place, etc. (1).» Pas plus que la suggestion, que l' idée fixe ou la folie impulsive, la passion n'est une
s couches de la conscience et nous permet de reprendre possession des idées émancipées. Cette description rapide de la-pass
n état dr faiblesse momentanée de la conscience a permis de semer une idée étrangère qui n'est pas intégrée dans leurs jugem
re qui n'est pas intégrée dans leurs jugements et leur volonté; cette idée se développa sans eux, malgré eux, et leur fait a
ez les aliénés des impulsions motrice indépendantes des images et des idées 2 — VIL Les poisons psychiques. — VIII Hérédité.
r l'attention sur cette femme remarquable. Nous ne nous faisons pas d' idée aujourd'hui de l'immense intérêt que présente son
ois fois plus grande que In moyenne. Il est difficile de donner une idée exacte de l'acuité du sens du tact, développé che
urs peu probable que son éducateur eût rien tenté pour développer ses idées dans ce sens. 11 préféra lui inculquer des idées
pour développer ses idées dans ce sens. 11 préféra lui inculquer des idées religieuses qu'elle accepta facilement. Le cas
dans la voie scientifique, ils ne se doutaient certainement pas que l' idée ferait si vite son chemin. Ce oui n'était hier qu
dès le début de l'accès. C'est peut-être ce qui inspira à Boerhaave l' idée d'utiliser, le premier, l'action -psychique des p
e tous les ataxiques ? Non. et il ne vient à l'esprit de personne l' idée de s'en étonner. Dès à présent, l'Ecole de Nanc
lant des plus simples jusqu'aux plus complexes, sont: la mobilité des idées , l'inconstance, l'absence de volonté, l'esprit de
iments, l'indifférence, l'érotisme, les impulsions irrésistibles, les idées fixes, les illusions, les hallucinations, l'ennui
nombre de médecins avec lesquels nous sommes en complète conformité d' idées , nous sommes autorisé à conclure que l'emploi de
es troubles mentaux de nature hystérique (perversions des sentiments, idées fixes, impulsions irrésistibles, hallucinations,
e souhaite que des recherches soient poursuivies dans le même ordre d' idées que celui que j'ai abordé dans cet article. L'H
23 juillet, l'Union médicale publie la note suivante, qui exprime une idée trop juste pour qu'il n'y soit pas donné suite :
oluptueuses. 11 en est continuellement obsède. « Souvent, dit-il, mon idée remplit à tel point mon imagination que je me lai
Il prétendit, en effet que jamais on ne pourrait l'endormir, que ses idées l'en empêcheraient et que je perdrais mon temps a
l me déclare catégoriquement qu'il ne veut pas être débarrassé de ses idées fixes et que tous mes efforts pour cela seraient
lé de gris ne lui fait plus aucune impression. Je le persuade que ses idées et ses obsessions génitales lui sont devenues abs
e m'annonça spontanément qu'il était beaucoup mieux et que jamais ses idées n'a vaient été aussi effacées, moins obsédantes.
aux pensées mauvaises qui remplissaient si fort mon imagination. Les idées sont toujours là. elles ne m'ont pas quitté, mais
e jamais il ne s'était senti si dispos de corps et d'esprit. Plus d' idées sombres ni de désespoirs. M. B. reprend intérêt a
névropathtque, des visées erronées de cause à effet ont fait naître l' idée fixe d'une paralysie d'abord, puis d'une surdité
ésenta deux rapports dont les conclusions étaient confirmatives des idées du docteur Burq. Ce fut pour nous une vraie satis
e. Sa théorie est ingénieuse, mais bien compliquée. Et puis il part d' idées métaphysiques et ne s'appuie sur aucun fait. Ce
ux applications pratiques. M. Pugliese (de Tranit voudrait voir les idées nouvelles s'implanter et amener la reforme du cod
du Congrès plus d'une objection. M. Laschi (de Vérone) émet lui des idées peut-être encore plus risquées. 11 étudie Le crim
ur établir se liste de proscriptions ! ! M. Laschi émet une seconde idée qui me parait beaucoup plus raisonnable : c'est q
re d'indiquer par insinuation, sans un énoncé détaillé, un ace ou une idée .) Par extension, l'acte ou l'idée suggérés ont pr
s un énoncé détaillé, un ace ou une idée.) Par extension, l'acte ou l' idée suggérés ont pris à tort le nom de suggestion. On
it que l'individu est suggestionné lorsqu'il ne peut pas résister â l' idée ou à l'acte suggérés. La suggestion a pour point
à s'attaquer au goujon. Ses descendants auraient-ils hérité de cette idée fausse. On pourrait également demander des rens
d'Henri Bouley. L'esprit de ce grand savant était ouvert a toutes les idées nouvelles. A ce titre.s'il a droit à la reconnais
de ce siècle, que la conscience de son état excluait nécessairement l' idée de maladie mentale. Cependant, malgré des défin
rand nombre de cas d'aliénation mentale, surtout caractérises par des idées , des émotions ou des impulsions qui s'imposent à
u'ils éprouvent, mais ils ne peuvent parvenir à s'en débarrasser. Ces idées , ces émotions ou ces impulsions dominent leur exi
, au point de les rendre incapables de toute autre préoccupation. Ces idées , ces émotions involontaires ou ces impulsions mor
ant le rêve. On est obsédé, malgré soi, par un mot. une phrase ou une idée qui vous revient constamment à la pensée, que l'o
e ce qui se passe chez les aliénés. Il en est de même de certaines- idées qui nous obsèdent souvent pendant longtemps et qu
it psychologique, que nous ne sommes ni maîtres, ni responsables, des idées , des émotions ou des impulsions qui s'imposent à
térieure, qui s'établit alors en nous, doit consister à repousser ces idées malsaines, à les combattre directement ou indirec
é morale ne commence que lorsque nous entretenons ou encourageons ces idées mauvaises, au lieu de chercher à les repousser et
ou les repousser, quand ils ne s'étendent pas à la sphère des autres idées et de la personnalité même de l'individu qui les
effroi en fournissent des exemples frappants. Dans un autre ordre d' idées , |e pourrais citer l'anaphrodisie morale sous l'i
idées, |e pourrais citer l'anaphrodisie morale sous l'influence d'une idée erronée transmise par le nerf sympathique du cerv
ilité. Chez les hypochondriaques, une trop grande concentration des idées vers un organe entretient dans cet organe un foye
r chez des jeunes filles amènorrhéiques les fonctions menstruelles, l' idée est venue naturellement à l'esprit de cherche à u
l'heure même cette femme lut guérie. Ce dernier exemple nous montre l' idée dans l'auto-suggestion actionnant !a cellule nerv
is sympathiquement. d'une façon physiologique ou pathologique sur les idées ou même sur la locomotion. Quittant le terrain de
re, paralysie), suggestion d'actes (obéissance passive), suggestion d' idées , suggestions sensorielles et hallucinations compl
la suggestibilité, c'est-à-dire l'ap-titude à être influencé par une idée acceptée par le cerceau, et à la réaliser. Tell
onner au mol sommeil une définition arbitraire, souvent contraire à l' idée que le sujet lui-même s'en tait. Le sommeil, qu
paupières est une sensation qui, chez certains, donne au sensorium l' idée du sommeil. C'est la sensation qui suggère l'hypn
les ne réussissent, je le répète, que lorsqu'elles sont associées à l' idée donnée au sujet ou de-- vinée par lui qu'il doi
à un seul : la suggestion. Impressionner le sujet et faire pénétrer l' idée du sommeil dans son cerveau, tel est le problème.
ibles. des somnambules, sans artifice de préparation. Chez eux, toute idée déposée dans le cerveau se traduit immédiatement
dans le cerveau se traduit immédiatement en acte. L'assimilation de l' idée et sa transformation en sensation, mouvement, ima
s dans une atmosphère suggestive, qu'elle se soit ainsi pénétrée de l' idée que tout le monde est suggestible, qu'elle ait vu
e sang et eau pour endormir son sujet, celui-ci peut se pénétrer de l' idée qu'il est difficile à hypnotiser; plus on s'achar
et des inquiétudes de l'entourage, se confirme de plus en plus dans l' idée que son réveil est difficile, jusqu'à ce qu'arriv
) consiste donc â faire pénétrer dans le cerveau, hypnotisé ou non, l' idée de la guérison ou de la disparition de certains s
destines à concentrer l'attention,à fixer l'esprit, à matérialiser l' idée , si je puis dire ainsi, dans une sensation physiq
mpressionnante a amené ces résultats. Ainsi se trouvait confirmée mon idée sur le mécanisme thérapeutique de la suspension d
idée sur le mécanisme thérapeutique de la suspension des tabétiques, idée que j'avais émise dCs l'origine à la Société de m
où elle fut vivement combattue. La médecine actuelle, trop imbue des idées orga-niciennes, croit expliquer tous les mystères
dans une cellule nerveuse. Toute cellule cérébrale actionnée par une idée tend à réaliser cette idée en mettant en activité
Toute cellule cérébrale actionnée par une idée tend à réaliser cette idée en mettant en activité les fibres nerveuses corre
en activité les fibres nerveuses correspondantes à sa réalisation. L' idée tend à se taire acte; c'est sur ce lait physiolog
, augmente la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude à transformer l' idée en acte. L'hypnotisme n'est qu'un des procédés
tions, mais qui s'en venge noblement en facilitant la réalisation des idées nouvelles et en activant l'accomplissement des œu
nom de la Belgique qui est en communauté de langage et en communion d' idées avec la France. M. Driewkeecki (de Saint-Pétérs
e ? Et c'est pourquoi j'ai tenu. Messieurs, à exposer devant vous ces idées peu dites et peu prouvées, mais admises en princi
nes-thésie cutanée avait également cessé. Le mois suivant, toutes ses idées mélancoliques s'étant dissipées, cette jeune fill
: s'ima-ginant assistera son convoi funèbre, elle était obsédée par l' idée qu'on allait l'enterrer vivante, et ses appels dé
parler de la chose qui lui faisait peur et chasser tout d'abord cette idée de son esprit. La malade n'a d'ailleurs guéri qu'
ypnotisme, n°4, octobre 1889; p.106 J'avoue me faire une tout autre idée de l'hypnotisme, véritable névrose provoquée, qui
son opinion. Je me fais de la suggestion de de l'auto-suggestion une idée absolument différente. D'ailleurs, il existe de
je puis en formuler une : toute cellule cérébrale, actionnée par une idée , tend à réaliser cette idée ; l'idée doit se fair
oute cellule cérébrale, actionnée par une idée, tend à réaliser cette idée ; l'idée doit se faire acte ; cette transformatio
ule cérébrale, actionnée par une idée, tend à réaliser cette idée ; l' idée doit se faire acte ; cette transformation se fait
n très peu de temps, parfois en deux à trois séances, à un aliéné ses idées délirantes et ses hallucinations. II y a de quoi
x, des ombres, de ne plus sentir telle odeur ; de ne plus avoir telle idée délirante. Il faut leur affirmer que toutes ces
us avoir telle idée délirante. Il faut leur affirmer que toutes ces idées sont fausses, qu'elles résultent de leur maladie,
dente, lorqu'on leur (ait telle ou telle suggestion contraire à leurs idées ; il faut insister jusqu'à ce que le malade ail a
ais suggérer à un hypnotisé, ni illusion, ni hallucination, ni aucune idée , ni aucun acte mauvais ou nuisible et de ne lui d
urtout essentielle dans un service de névropathes et d'aliénés où les idées de malice et de méchanceté sont si communes. C'
», disaient-elles, et que j'ai eu beaucoup de peine à détruire cette idée suggérée. C'est en agissant d'après ces données
. Mais le lendemain, il se réveillait aussi malade que la veille. Les idées détirantes n'ont jamais été modifiées cher aucun
tiques, se refusaient à accepter toute suggestion allant contre leurs idées délirantes. Je n'ai jamais réussi 1 influencerie
olonté à la sienne, mais l'amener à penser comme nous, à partager nos idées . Loin de détruire en lui le sentiment de la respo
ue le grain de blé mis en terre donne naissance à un épi, de même une idée déposée dans un esprit convenablement préparé y d
ans un esprit convenablement préparé y devient le germe de nombreuses idées . L'esprit a, comme le corps, des ressources propr
as conscience de ce que je pensais, je ne raisonnais pas, j'avais des idées bizarres, je me faisais de la vie et des relation
tout me paraissait absurde, je ne pensais plus, je ne liais pas deux idées ; je ne vivais plus avec les vivants, je faisais
pas assez nettes et indiscutables pour être énoncées. 8° Avoir des idées (a) Un soir que je pratiquais l'auto-suggestion
ommeil, sans m'en apercevoir je me donne l'autosuggestion d'avoir des idées fausses. En me réveillant de cette somnolence, en
i, je constate que je me suis donné cette auto-suggestion d'avoir des idées fausses. Le lendemain, quand je veux me mettre au
lendemain, quand je veux me mettre au travail, il ne me vient que des idées absurdes, erronées, et je suis obligé de cesser d
je suis obligé de cesser de travailler ; il ne me vient pas d'autres idées à l'esprit, je constate qu'elles sont fausses, qu
'autres. (b) Je me suis donné souvent l'auto-suggestion d'avoir des idées vraies, mais ce n'est pas moi qui puis vérifier s
perfection des résultats. L'auto-suggestion d'écrire et d'avoir des idées est celle que je me suis donnée le plus souvent.
e de travail sans m'étre donné l'autosuggestion d'écrire et avoir des idées . Au bout de dix lignes, j'étais à court, je ne sa
is obligé de faire autre chose. Quand l'auto-suggestion « avoir des idées et écrire» était bien faite, pratiquée pendant un
imagination après avoir voulu me donner l'auto-suggestion d'avoir des idées . J'ai souvent rêvé des personnes auxquelles je
l, je me livre a mon exercice d'auto-suggestion, je pense à avoir des idées et à écrire. J'avais la conscience que je pratiqu
'avais la conscience que je pratiquais l'auto-suggestion, d'avoir des idées , et cependart je rêvais, puisque je me croyais un
e temps que je pratique mon exercice d'auto-suggestion pour avoir des idées , accidents DUS a l'aUTO-SUGGESTION. Les accid
, lui dire qu'il ne laut pas faire de faux témoignage, sur une simple idée vague qui peut être une suggestion, mon honnête g
u montrer comment, ;1 la laveur du sommeil artificiel on naturel, une idée fausse, un souvenir illusoire, un taux témoignage
saisir le côté merveilleux des choses, objectivent puissamment leurs idées et arrivent avec une étonnante facilité à donner
arde contre les mauvaises impressions du dehors, en leur inculquant l' idée que la suggestion hypnotique est un procédé aussi
à ce jour, R... n'avait pas encore pratiqué le coït avec une femme. L' idée d'un commerce charnel avec une femme lui répugnai
plus aptes dès lors qu'à un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée , l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux id
un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l' idée qui correspondent aux idées précédentes (1). »
t, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux idées précédentes (1). » Tel est, conclut M. Paul Cop
entiment vraiment personnel entre eux se trouve comme fasciné par les idées généralement admises. La vérité, le devoir, la ve
subie avait été autre (1). » Malgré leur pointe d'exagération, ces idées sout profondément justes. Les milieux ne créent p
es qui ont précédé le crime ou le vol. de croire qu'il en a eu seul l' idée , d'être convaincu, qu'aucune suggestion ne lui a
ersécutions, les aliénés d'aujourd'hui sont fréquemment obsèdes par l' idée qu'on veut leur nuire â l'aide du téléphone, du p
cialistes. » Notre confrère te Docteur Guermonnez. de Lille, a eu l' idée de s'adresser directement a Mgr. Bitter, vicaire
la main gauche 26°6. Désirant arriver très vite à la normale, j'eus l' idée de contracturer le bras gauche, dans l'espoir que
avait été enlevé par les diverses excitations physiques, sans aucune idée de notre part ni du sujet. Quel est le mécanism
d'être calme dans ses entrevues avec son prétendu, de ne plus avoir d' idées tristes. Je lui suggère, en outre, de ne jamais
folie ». V Ses folies guerrières. En l'année 1337. il conçut l' idée d'envahir la Chine. Ce fut en vain que ses consei
un dérangement évident de l'intelligence. C'est une mobilité dans les idées qui cependant ne va pas jusqu'à l'incohérence : e
ssement des sens internes et externes, l'impuissance la confusion des idées , le sommeil agité, les veilles, l'imagination dép
travail, sur laquelle on mettra la dite oraison sera délivrée. Les idées sur la guérison des maladies par les prières sont
uable talent d'exposition qui caractérise ses écrits, a eu i'heuriusc idée de présenter un petit Traité complet sur cette ma
et de l'hypnotisme. — « Cela est certain, il n'est Jamais venu à l' idée de personne de discuter ce droit. On demande seul
ter la curiosité publique. » Tous les corps savants ont exprimé des idées analogues. Après l'Académie de médecine de Belgiq
s me la donner ?» « Afin de mieux imprimer dans l'esprit du sujet l' idée de ce portrait imaginaire, je lui indique du doig
influence de l'hypnotisme, un vide absolu de pensée et comme si toute idée jetée par la suggestion dans ce vide profitait de
essentiellement chez le sujet une tendance irrésistible à réaliser l' idée suggérée. L'école de Nancy généraliserait davanta
modifications favorables sont survenues à partir du jour où vint l' idée de respecter la réaction qui tendait toujours à s
l'âge de 30 ans, cet étal mélancolique s'est compliqué d'une espèce d' idée obsédante : elle entendait une voix intérieure qu
e qui lui disait continuellement: « Il faut que tu te maries, a Or. l' idée du mariage était toujours contraire d sa manière
anière de penser. Cependant, les parents auxquels elle a communiqué l' idée qui l'obsédait y ont vu comme un avis de la Provi
n a désigné sous le nom de « recherche angoissante des mots ». Puis l' idée lui vint de toucher à des cheveux de femme. Il ne
ir de ce moment, et bien que honteux de lui-même, il fut obsédé par l' idée de toucher toutes les chevelures qu'il voyait flo
e les utilise en les « adaptant A son génie propre. C'est du choc des idées que jaillit la lumière. » Les congrès internati
qu'aux cirques forains- Pour corser son spectacle. un dompteur a eu l' idée de placer une jeune fille en état de sommeil hypn
e tant d'autres esprits distingués, ne sut pas se garder de certaines idées métaphysiques incompatibles avec les recherches s
érant la navigation à vapeur comme une utopie; Arago, s'effrayant à l' idée des dangers d'asphyxie que feraient courir aux vo
ès réalisés dans le domaine de l'hypnotisme pour avoir eu seulement l' idée de rédiger des circulaires conçues dans un tel es
loi de l'automatisme idéo-moteur ou idéo-dynamique qui transforme l' idée en acte et arme notre bras? Des crimes peuvent-il
pondent par la négative. M. Delbœuf. de Liège, qui partage nos autres idées sur l'hypnotisme et la suggestion, est.pour cette
ez fortement enracinée dans sa conscience pour la prémunir contre les idées criminelles qu'on voudra lui suggérer dans la sui
se-t-il dans leur cerveau? Sont-ils sous l'empire d'hallucinations, d' idées délirantes? Ont-ils conscience d'un mobile illuso
ire qui les fait agir? Ou bien est-ce un acte automatique, est-ce une idée fixe.sans raison, qui les domine. Je crois qu'il
it pas toujours pourquoi il tue. Certains aliénés disent : * J'ai une idée folle de mettre le feu à la maison, ou de tuer mo
aites-vous cela? lui dis-je. » — « Je ne sais, répond-elle. C'est une idée . Je ne me rends pas compte pourquoi je le fais. M
c cette brusquerie. Ce n'est pas une impulsion instinctive, c'est une idée délirante ou une hallucination qui commande l'act
, vous irez voler mon porte-monnaie sur la table.» Le sujet accepte l' idée tout de suite ou seulement après des suggestions
celle-ci un prétexte rationnel. D'ailleurs cette hallucination, cette idée délirante nécessaire à certains sujets pour l'acc
esoin de ces subterfuges. Le terrain est naturellement accessible aux idées criminelles. A ceux-ci on peut suggérer directeme
mmettre un crime, entraîné par un vertige impulsif ou conduit par une idée délirante ou hallucination. N'est-ce pas le mécan
te désigne à sa vindicte, n'est-ce pas une suggestion collective? Une idée se répand dans les foules, un simple mot : espion
e l'analgésie, de la catalepsie, des hallucinations, des actes. Toute idée introduite avec assurance dans leur cerveau, alor
alors qu'elles l'acceptent et n'ont su se prémunir contre elle, toute idée imposée par surprise à leur cerveau impressionnab
poursuit actuellement qui passionne vivement l'opinion publique. Les idées que je viens d'exposer y trouvent leur applicatio
églige : elle se donne à ce jeune homme. Plus tard le mari rumine des idées de vengeance contre ce jeune homme qui, après avo
. Ce que l'imagination mue par l'intérêt, l'impression du moment, les idées que l'interrogatoire éveille en eux, leur suggère
nerveuse. Ce traitement rationnel n'amena aucune amélioration. Une idée fixe obsédait la malade ; elle était atteinte d'u
je devais réussir. Cependant le résultat se faisait attendre. J'eus l' idée de rechercher s'il existait, sur le corps, des po
lit, procura un sommeil calme pour la nuit el, enfin, pût combattre l' idée fixe qu'elle avait de rester tu lit, en lui disan
semble tout-à-fait à l'état du somnambulisme et est provoquée par des idées de rêve, pendant que l'état 11 est produit par l'
eur. Les actes psychiques se bornent avec une précision admirable aux idées provoquées par la suggestion. M. Krafft-Ebing a
errain de dégénérescence héréditaire. Il y germe des syndromes et des idées délirantes, copiés sur ceux des dégénérés ordinai
nt l'intelligence, sans délire, suffisament conservée, excluait toute idée de malice ou de simulation me raconta de sa voix
entraînée par de nombreuses hypnotisations transforme avec éclat les idées qui y naissent en images. Mais les criminels par
sant à ses camarades comme un esprit supérieur, pénétré lui-même de l' idée de sa supériorité. Avec cela, peu ou point de sen
conde? Et si le souvenir est conservé, le diagnostic est difficile: l' idée de somnambulisme ne vient pas à l'esprit. Nous co
aux philosophes, â tous ceux dont l'esprit libre sait se dégager des idées préconçues et qu'anime la seule passion de la vra
laient l'avoir prédestiné à l'acte infernal dont il était l'auteur. L' idée d'un pareil crime peut-elle germer dans un cervea
et la réaliser ! Un monstre est un être pathologique. On disait que l' idée d'un crime analogue était exposée dans un roman d
l'assassin avait lu ! Est-ce de ce livre, est-ce d'ailleurs que cette idée a pris naissance dans ce pauvre cerveau? Ne s'est
possession de lui, de même que chez d'autres s'implante sans raison l' idée fixe du suicide ; et par une évolution fatale, el
! QUELQUES RÉFLEXIONS SUR LA MÉLANCOLIE DES DÉGÉNÉRÉS GENÈSE DES IDÉES DÉLIRANTES PAR AUTO-SUGGESTION Par le docteur L
ui interviennent fréquemment, d'une façon exclusive, dans la genèse d' idées délirantes chez certains dégenérés. Le fait suiva
lique. On verra le rôle prépondérant qu'a joué, dans la genèse de ses idées délirantes, l'émotivité habituelle du sujet, et l
ée, qui jouera tout à l'heure un rôle important dans la genèse de ses idées délirantes. C'est, d'ailleurs, un enfant doux,
ion a fuir; La terreur des chiens. Parfois, pris tout à coup de l' idée de jeter ou détruire un objet quelconque à sa por
rné;, je pleurais, je gémissais. » D'autre fois, il était pris de l' idée de fuir devant lui, de quitter ses occupations, s
; il me semblait qu'on délirantes pussennt y germer. La genèse de ces idées délirantes repose tout, entière sur le fond' d'ém
ts étaient troublées par des cauchemars : Pranzini était toujours son idée fixe. L'exécution de celui-ci n'apporta aucune tr
z irrégulière. Elle a affecté le type rémittent. Très mobile dans ses idées , mais conservant toujours un fond mélancolique, L
els nous insisterons quelque peu. Voici, en résumé, l'histoire de ses idées délirantes pendant son séjour à Vaucluse. Penda
avait l'attitude d'un déprimé, mais n'exprimait pas catégoriquement d' idée délirante. Sa santé physique paraissait seule le
ause intercurrente notable. Très anxieux, très excite, en proie à des idées mélancoliques et à des idées de persécution très
rès anxieux, très excite, en proie à des idées mélancoliques et à des idées de persécution très pénibles, il était à ce momen
e devant lui, ? en char et en os, » suivant son expression. Comme ses idées étaient très mobiles, les tableaux auxquels il as
un mot, ses moindres sensations sont interprétées dans le sens de ses idées mélancoliques. « Il me tuera, dit-il, un de ces j
ces phénomènes conicjux qui sont tous sous la dépendance étroite des idées délirantes. L'hallucination procède de l'idée dél
dépendance étroite des idées délirantes. L'hallucination procède de l' idée délirante au lieu de l'engendrer; primitivement p
noir. ¡1 verse d'abondantes larme» et pense à se faire mourir: mais l' idée du suicide l'effraie: il ne voudrait pas se donne
la -cène: mêmes phénomènes d'hyperesthésie psycho-sen-sonc le ; mêmes idées détirantes. Tout ce qu'il pense prend pour le mal
im-médiatement une forme extérieure et viennent s'identifier avec ses idées délirantes Son attitude est lamentable. Les idé
entifier avec ses idées délirantes Son attitude est lamentable. Les idées de suicide sont cette fo;s plus nettes, « Le plus
ois, plus fran chement mélancolique, bien qu'il s'y mèle encore des idées de persécution calquées sur te modèle des précéde
mère, et j'entends chanter comme au jour de son enterrement. » Ces idées nettement mélancoliques sont encore entrecoupées
ation se produit, plus courte et moins aiguë que les précédentes. Les idées délirantes sont de plus en plus exclusivement mél
t, il semble présenter un terrain favorable à l'éclosion de nouvelles idées délirantes, dont les éléments lui seront fournis
ment, quelle que soit l'importance apparente que prennent parfois les idées de persécution. En somme, son délire ne repose co
que, mais l'analyse nous a montré la coïncidence dans le même temps d' idées délirantes de nature variée : idées mélancoliques
coïncidence dans le même temps d'idées délirantes de nature variée : idées mélancoliques, idées de persécution, idées hypoch
même temps d'idées délirantes de nature variée : idées mélancoliques, idées de persécution, idées hypochondriaques, idées ero
irantes de nature variée : idées mélancoliques, idées de persécution, idées hypochondriaques, idées erotiques. C'est encore u
: idées mélancoliques, idées de persécution, idées hypochondriaques, idées erotiques. C'est encore un cachet bien spécial qu
de ces tableaux terrifiants qui cadrent si bien avec la nature de ses idées . Ainsi se crée le pénible cercle vicieux dans leq
rteur, et par conséquent base émotive du delire. Genèse des premières idées délirantes par une série d'autosuggestions qui se
ès successifs, à apparition et à disparition brusques; 4° Mélange d' idée » delirantes de nature diverse avec les idées méla
brusques; 4° Mélange d'idée» delirantes de nature diverse avec les idées mélancoliques qui restent la note dominante et pe
xtériorisation rappelant celui dans délires toxiques. Loin de moi l' idée de généraliser et de faire de cette observation u
aient grand « bruit à Paris, et que c'est alors qu'il a eu l'heureuse idée du tenter « des essais dans son hôpital ? » Auj
en lisant la note du Temps si le Juge en question n'exprimait pas une idée généralement admise au palais. Les réponses de
ant, il vaut peut-être mieux qu'elle n'ait pas pu être continuée. L' idée du médecin berlinois n'est certes pas nouvelle, m
les parties de son corps. L'examen se faisait sous la pression de l' idée préconçue : que le diable marquait le plus souven
vomissements. Après l'avoir fixée pendant cinq à six minutes, avec l' idée ferme de l'endormir, elle ferma spontanément les
lle est intelligente, d'un esprit vif et alerte, très mobile dans ses idées , portée en toutes choses à l'exagération, sans at
e qui se présentait pour lui assez brillante. Sous l'influence de ses idées hypocondriaques, il en était arrivé a considérer
de l'épingle : Je lui fait alors des suggestions ayant trait à ses idées hypocondriaques. Je lui suggère d'avoir plus d'in
s lecteurs le peu de ca que les membres du Conseil Municipal font des idées fantaisistes de M. Desprès. M. Alphonse HUMBERT
u telle intervention chirurgicale. Il ne vient cependant à personne l' idée de limiter te champ des applications chirurgicale
cédés d'hypnotisation et les divers degrés de sommeil. Repoussant les idées de l'école de la Salpétrière, il admet avec Bernh
générale de l'Association générale des médecins de France a exprimé l' idée que, pour arriver au relèvement des études médico
ne vit que pour le bas-ventre: le poëte ou l'homme de science pour l' idée : le peintre pour le coloris ; le musicien pour l
d'analyser dans le détail. Aussi, devant cette richesse de faits et d' idées serons nous forcés de laisser dans l'ombre certai
talepsie (1 ) ou la théorie de la suggestion, pour nous en tenir il l' idée la plus nouvelle et la plus frappante de cet ouvr
résente des images effrayantes; ou souvent encore les volontés et les idées de la seconde se traduisent chez la première en i
e sont misérables, si l'on compare le petit nombre de sensations et d' idées qu'ils gardent à la masse énorme de celles qu'ils
ts de conscience inconscients: c'est-à-dire une infinité d'actions, d' idées , de sentiments secondaires dont la vie consciente
t que la suggestibilité est augmentée. En se rangeant a cet ordre d' idées cependant la signification première du mot hypnos
défaut. On conçoit donc que la suggestion, l'imposition d'images et d' idées doi réussir plus facilement dans le cerveau hypot
ysie générale; dans un cas de mélancolie aigûc avec hallucinations et idées de suicide la suggestion a favorisé manifestement
s sensations subjectives, de ses hallucinations et qu'il trouvait ses idées noires motivées. Les résultats publies par le doc
iorés. Si nous ne parvinmes pas toujours à déraciner complètement les idées maladives, nous réussîmes le plus souvent a rendr
rt (opinion des médecins sur l'état mental de) 227, 266. Genèse des idées délirantes par auto-suggestion, par Legrain, 301.
13 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
plus importantes dans le mouvement psychologique qui s'accomplit. Les idées aujourd'hui acceptées par les médecins et par les
antes. Nancy; et parmi eux M. Delbœuf et M. Bernheim ont émis des idées radicalement opposées à celles de Charcot. Ils su
sujets suggestibles plus ou moins auxquels peuvent être suggérés des idées , des actes, des hallucinations. Braid remplaça
istence. Peut-être avons-nous fait simplement accepter à ces sujets l' idée suggérée du sommeil. Dans le cas d'observations
e par un grand nombre d'observations qui viennent aussi confirmer les idées que je soutiens depuis longtemps sur les troubles
ue de coordonner des notions précédemment acquises, que de préciser l' idée de loi physique, entrevue le plus souvent d'insti
côté de l'observation, instituer l'expérience. Or, en «'inspirant des idées de Frccbel et de Pcstalozzi, des tentatives ont é
de faits de résultats, et la préparer ainsi à recevoir plus tard des idées justes, à réfléchir, à raisonner; quelle entrepri
bureaux officiels n'ont pu faire en un demi-siècle. Dans l'ordre d' idées où je me suis placé, jo voudrais vous signaler
us intéressant pour l'esprit d'un enfant, de suivre les progrès d'une idée , d'être initié à la vie des savants, à leurs lutt
tte à la ferraille. Avec un peu de bonne volonté, de suite dans les idées , d'observation consciencieuse des facultés cérébr
t, emmanchée entre trois meules de paille. On eut fort heureusement l' idée do démolir les meules pour faire du battage et l'
ur, qui devient instable et passe de l'animation à la dépression, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces état
nstable et passe de l'animation à la dépression, des idées gaies aux] idées tristes et désespérées. Ces états d'excitation cl
un état de dépression | font disparaître cette dernière, chassent les idées ; tristes et^ l'angoisse. Cette circonstance grave
dans sa poche. Pour le suggestionner, il aurait fallu lui donner l' idée de se moucher ; le commandement interprété par le
affirmer de plus en plus grandes. On les a trompés en leur créant des idées directrices ou mieux, des habitudes, mais on ne l
: La suggcstibiïuè. Paris, Schleicher, éditeur. suggestionnés. L' idée directrice, elle-nicme, est fondée sur un juge- '
rigeait tranquillement vers l'édicule. Mais, arrivé à quelques pas, l' idée devenant plus intense, il pressait le pas et fini
e malade à sa famille, à son milieu, aux conditions dans lesquelles l' idée s'est emparée de son esprit, confier ce malade à
ader d'obéir, s'il est, en un mot, possible de lui faire associor des idées , il est évident que la preuve' de son intelligenc
ière. Un certain nombre de neurasthéniques ayant des phobies et des idées fixes traitées par l'hypnotisme, évoquentdans lec
voquentdans lecours de leur traitement, quand leurs craintes ou leurs idées fixes reviennent, l'image et les paroles du docte
t de la psychopathie sexuelle; il importe donc, se dégageant de toute idée confessionnelle, au risque même d'apporter une no
lle avait un frère avec lequel elle se trouva en parfaite communion d' idées et avec lequel elle résolut, pour gagner le ciel,
t ayant été déjà, à plusieurs reprises, prié de m'en occuper, j'eus l' idée d'essayer de le suggestionner pendant son sommeil
e est aisée à expliquer en psychologie. Le cerveau est envahi par une idée unique et intense, l'idée de la chute. Or, nous s
psychologie. Le cerveau est envahi par une idée unique et intense, l' idée de la chute. Or, nous savons que toute idée entra
idée unique et intense, l'idée de la chute. Or, nous savons que toute idée entraîne à la réalisation de l'acte; et l'être ai
au à ce niveau. (1) Le rétrécisse ment de la pensée qui aboutit a l' Idée unique s'observe dans: l'hystérie, l'hypnotisme.
i aboutit a l'Idée unique s'observe dans: l'hystérie, l'hypnotisme. L' idée unique est celle qu'Impose l'expérimentateur et l
son par la suggestion psychique. Jusqu'à présent, on ne croyait par l' idée pouvoir guérir que des idées: contractures, paral
que. Jusqu'à présent, on ne croyait par l'idée pouvoir guérir que des idées : contractures, paralysies, anesthésies, etc., dép
térielle: de la sérosité s'est répandue dans les tissus. Pour que l' idée agisse, il faut invoquer l'influence vaso-motrice
use. Leur nombre, d'autre part, est assez considérable pour écarter l' idée que j'ai pu avoir affaire à des cas exceptionnels
sa genèse, un rôle prépondérant, sinon exclusif. J'ai développé cette idée au congrès des alié-nistes et neurologistes de To
leur système nerveux. Ma nouvelle série d'observations confirme les idées que j'ai précédemment émises sur la valeur de l'i
oins honnêtes que les maîtres eux-mêmes. » M. Crocq exprime la même idée : « Par les séances publiques on donne un funeste
ite est le moyen par lequel l'auteur communique à ses interprètes les idées et les sentiments qu'il a voulu exprimer. La le
est ici que commence le second acte qu'il doit romplir : exprimer les idées de l'auteur. Il faut distinguer au point dé vue
même, les morceaux qu'il voulait jouer. C'est alors qu'il me vint à l' idée de faire avec lui l'expérience-suivante, à laquel
que qui n'est pas la musique dramatique, ce sont presque toujours des idées générales qui sont exprimées; mais il faut remarq
exprimées; mais il faut remarquer que l'auteur personnifie, même les idées les plus abstraites, en leur donnant la forme qui
nt la forme qui s'adapte le mieux à ses propres sentiments. La même idée pourra donc, surtout en musique, être exprimée de
de l'auteur; puis que, par un effet d'imagination, il se représente l' idée telle que l'auteur se l'est représentée lui-même,
cela arriver à s'oublier soi-même ; il faut faire abstraction de ses idées propres, de ses préjugés, s'affranchir de toutes
tion, par l'entourage, faire table rase des habitudes acquises et des idées préconçues. Tout cela doit, pourainsidire,faire l
s'observe le plus, ne voit-on pas à chaque instant les préjugés, les idées préconçues, les habitudes reprendre le dessus. Po
ir des impressions nouvelles, la faculté d'assimilation pour d'autres idées est moins développée. Au contraire, que se pass
u contraire, que se passe-t-il sous l'influence de la suggestion? Les idées se modifient sans effort, sans même que le sujet
t sans effort, sans même que le sujet aitbesoin d'y songer; certaines idées s'effacent, d'autres sont atténuées, les habitude
ibilité et la faculté de recevoir des impressions se développent, des idées nouvelles surgissent sans effort et l'esprit se l
ce sujet une observation bien caractéristique. On ne se fait guère l' idée du travail énorme exigé des artistes dans les thé
ité de la réalité, il faut que rien ne vienne le distraire, qu'aucune idée étrangère ne puisse l'influencer, et ce sentiment
nce des symptômes cités plus haut et surtout du début de l'aphonie, l' idée d'hystérie s'impose naturellement et on a recours
e, autrement dit, du dégénéré, n'est pas inconsciente. En proie à une idée obsédante, le psychasthénique est obligé d'y obéi
e, il y avait le mérite incontestable de l'initiateur, la valeur de l' idée par rapport au fait, mais cela ne suffisait pas p
riste et préoccupé, un peu timide, a été quelquefois traversé par des idées de suicide. Il a parfois des tendances aux syncop
en ont été la conséquence, ont disparu avec eux et que, par suite, l' idée , le besoin de boire et de fumer pour oublier, ont
sses, plus de tristesse, plus d'ennui, ni de dégoût de la vie, plus d' idées de suicide, il rentre en possession de sa force d
la dépendance d'une fausse sensation, d'une fausse conception, d'une idée morbide, insensée, éclosc dans le cerveau détraqu
tit, s'estincrustée dansleurpensée, au point de se transformer en une idée fixe. Ordinairement la sitopho-bie est passagère
llucinations vives et multiples de la vue et de l'ouic, ainsi que des idées de persécution. Le diagnostic fait lors de son en
rs de son entrée à l'asile est le suivant : « Lypémanie simple avec idées délirantes de persécution, hallucinations de plus
ionnée et elle devint très jalouse. Ses troubles principaux étaient : idée de suicide, délire vague, refus de toute nourritu
tion est facile, mais son idéation est obscure et confuse. Elle a des idées délirantes relatives à l'appareil sexuel. Elle di
git donc de sitophobes obsédés par des conceptions morbides, fausses, idées délirantes primitives fixes ou maintenues par des
jeune homme en train de dormir sur une chaise. Il me vient aussitôt l' idée de profiter de son sommeil pour l'hypnotiser ; j'
es organiques, elle admet que tout vient d'en haut, c'est-à-dire de l' idée dont les autres symptômes sont de simples réactio
les autres symptômes sont de simples réactions. On lui objecte que l' idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'un
sions. les symptômes émotifs précèdent et annoncent l'apparition de l' idée , I)'un autre côté, la marche de l'obsession par a
ssion par accès, le défaut de rapports constants entre la nature de l' idée obsédante et l'intensité de rangoisse; la variabi
de l'idée obsédante et l'intensité de rangoisse; la variabilité de l' idée (dans les cas de panophobie. par exemple) comparé
nels, etc., tout cela s'accorde mal avec l'hypothèse qui attribue à l' idée un rôle toujours prépondérant dans l'obsession.
ression. Dans bien des cas, il parait évident que l'émotion naît de l' idée ; à plus forte raison pour l'obsession, dans laqu
alades sont tous des abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées . L"¿tude des mouvements volontaires est, à cet ég
rmanente qui préexiste aux obsessions et les prépare. L'influence des idées et des émotions se fait sentir dans le développem
ces dernières paroles prouvent que c'était une conviction plus qu'une idée motivée par l'odorat; car les juifs croyaient que
othérapie et de rappeler la part qui nous revient légitimement dans l' idée d'appliquer le traitement psycho-mécanique dans l
semblablement écarté; il est certain que des femmes indifférentes à l' idée de grossesse ont pu à tort se croire enceintes; m
eut être le prétexte et le point de départ de la fausse grossesse : l' idée de grossesse s'installe à la faveur de cette lési
de « cette dernière confidence, je constatai chez la jeune femme une idée « fixe qui la dominait complètement, celle que, b
t pas sortie des bras de celui à qui elle venait de se livrer « que l' idée fixe l'obsédait. C'est dans une anxiété des plus
es qui ne sont pas faciles. Par exemple : « Ecrire et avoir de bonnes idées , o La volonté que nous sollicitons de toutes no
loi qui commande à la volonté est la suivante : « Tout acte, toute idée ou toute pensée, pour être produite doit avoir d'
— Il faut provoquer dans notre cerveau la représentation mentale de l' idée , de la pensée, de Pacte que nous voulons produire
. Dans l'exemple qui nous occupe, c'est : * Ecrire et avoir de bonnes idées . » Il y a deux manières de développer la repr
au la représentation mentale de l'acte que l'on veut accomplir, acte, idée ou pensée. Dans l'exemple précédent, c'est : «
nsée. Dans l'exemple précédent, c'est : « Ecrire et avoir de bonnes idées . • Loi. — Toute impression perçue est cause de
ssions autres que celle qui est proposée: « Ecrire et avoir de bonnes idées . » Pour cela l'esprit doit s'abstraire, se plon
Pour une fois que la représentation mentale « Ecrire, avoir de bonnes idées » aura été provoquée, un acte pourra être produit
urra être produit. Cet acte ou résultante sera : « Ecrire une bonne idée . » Pour dix fois que la représentation mentale
i équivaut à dix représentations mentales : « Ecrire, avoir de bonnes idées j>, l'acte ou résultante pourra être produit d
gt;, l'acte ou résultante pourra être produit dix fois ; dix fois une idée bonne pourra être écrite,et.chaque fois une idée
fois ; dix fois une idée bonne pourra être écrite,et.chaque fois une idée différente. Si la représentation mentale : Ecri
ifférente. Si la représentation mentale : Ecrire et avoir de bonnes idées » est provoquée cent fois, la résultante pourra ê
t provoquée cent fois, la résultante pourra être : Ecrire cent bonnes idées . Ceci est théorique. En pratique, il faut sol
plusieurs fois la représentation mentale : « Ecrire, avoir de bonnes idées », pour arriver à la résultante : a Ecrire une bo
de bonnes idées », pour arriver à la résultante : a Ecrire une bonne idée . « L'entraînement facilite dans une très grande
1° La méditation. — Dans l'exemple actuel la méditation prend* les idées et les fixe par le souvenir. Le développement du
nes des autres par le fait des facultés, imagination, association des idées , mémoire. Chaque idée qui se présente naturelleme
ait des facultés, imagination, association des idées, mémoire. Chaque idée qui se présente naturellement forme une représent
naturellement forme une représentation mentale distincte. — Autant d' idées , autant de représentations mentales différentes.
2° L'auto-suggestion. — Avec l'auto-suggestion, ni l'association des idées , ni l'imagination, ni la mémoire n'entrent en jeu
n jeu. — L'ordre est donné au cerveau : o Ecrire, auoir de bonnes idées ». La représentation mentale: « Ecrire, a.voir de
bonnes idées ». La représentation mentale: « Ecrire, a.voir de bonnes idées », se développe seule, en dehors de tout autre id
a.voir de bonnes idées », se développe seule, en dehors de tout autre idée . Elle se développe dix fois, cent fois, mille foi
rence entre la méditation et l'autosuggestion : Méditation. — Mille idées , mille représentations mentales. Auto-suggestio
Mille idées, mille représentations mentales. Auto-suggestion. — Une idée , mille représentations mentales. C'est-à-dire,
e représentations mentales. C'est-à-dire, pour la méditation, mille idées différentes donnent chacune une représentation me
ésentations mentales différentes. Pour l'auto-suggestion, une seule idée donne lieu à mille représentations mentales de ce
, une seule idée donne lieu à mille représentations mentales de celte idée par le travail particulier de l'autosuggestion.
le travail particulier de l'autosuggestion. Aussi la puissance de l' idée proposée mille fois par l'auto-suggestion sera co
tion sera considérablement plus grande que par la méditation. Cette idée mille fois fixée par mille représentations mental
cte, la résultante. Dans l'exemple actuel : « Ecrire, avoir de bonnes idées . » L'autosuggestion du vertige et le suicide
temple le vide, il a la représentation mentale' d'une chute, or toute idée d'acte s'accompagne d'exécution, et cela d'autant
te idée d'acte s'accompagne d'exécution, et cela d'autant mieux que l' idée est plus intense. L'étude des particularités qu
porter ses regards en amont. Si l'on suit en aval l'eau qui coule, l' idée de son mouvement excite à l'imiter et on quitte l
i une infirmité : ainsi le fait de voir une vespasienne lui suggère l' idée de l'acte, au point de s'y précipiter pour y sati
de s'y précipiter. Il avait pu jusqu'à présent se soustraire à cette idée , mais il redoutait cette impulsion. Il n'y avait
ns, on devra, par un traitement moral, lui montrer la fausseté de ses idées et la prémunir contre leurs conséquences ; mais c
soient pour lui dépourvus de sens, doit s'être formé au préalable une idée plus ou moins (1) Extrait des comptes rendus de
elle on cherche à faire accepter à autrui ou à lui faire réaliser une idée manifestement déraisonnable. Par exemple, dire à
ntouré de flammes éblouissantes constitue de la suggestion, car cette idée est en désaccord flagrant avec l'observation ; so
a suggestion, car cette affirmation est contraire au bon sens. Si ces idées sont acceptées, si l'hallucination visuelle ou si
a été suggestionné. Le .mot « suggestion » doit donc impliquer que l' idée qu'on cherche à insinuer est déraisonnable. En ef
ainsi la guérison n'est pas une suggestion, bien au contraire, car l' idée émise, loin d'être déraisonnable est éminemment s
obies diverses ; c'est du reste, un homme intelligent, n'ayant aucune idée délirante, se rendant parfaitement compte de l'ab
sèdent, sachant bien que ses craintes {!) J'af déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hyst
n affaiblissement cérébral, est tourmenté par de sombres pensées, des idées hypocondriaques qu'il ne peut pas chasser; il se
ypnotiques sontdc même essence que les phénomènes hystériques ; cette idée ressort aussi de ma définition de l'hystérie. Mai
tiques que l'affirmation a été permise. C'est en m'appuyant sur ces idées que je soutiens depuis longtemps, contrairement à
ennemies à vivre en bonne intelligence, elle modifia profondément les idées . Chaque peuple avait autrefois des Dieux locaux,
uoi il est venu sur la terre; ce qu'il deviendra, etc. En proie à ses idées obsédantes, à ses scrupules, à ses doutes, à ses
eillance, nous lui rappellerons bientôt sa promesse d'exposer ici les idées qu'il professe sur la thérapeutique vitale et sur
aîtres de la philosophie contemporaine. Ajoutons que renouvelant, les idées de Lamark et de Darwin, il les a complétées par d
de vieilles outres (Mat. IX, 17). Si les évangélistes avaient eu l' idée , en rappelant les miracles, de n'écrire que des a
(secrétoire, circulatoire, musculaire, etc.), — et inversement. Toute idée a une tendance naturelle à passer à l'acte; la re
« une occasion où elle succombe d'ordinaire a. Dans le même ordre d' idées , nous voyons qu'en 1537, la duchesse de Guastala,
ions, nous poursuivions la recherche d'un même idéal. Champion de nos idées psychologiques, ouvrier comme nous de la pensée l
ypnotiseurs. Ainsi tous pouvons-nous par nous-mêmes nous forger une idée rudi-mentaire de ce que sont les médiums: ils pou
le docteur Liébeault y voit un phénomène psychique, l'influence de l' idée sur l'organe, et, pour parler plus clairement, la
aurais trop appeler l'attention des lecteurs les plus sérieux sur - l' idée principale du docteur Liebeault, qui est que le p
oi de répétition. Au reste, la justesse des critiques adressées aux idées de Charcot, est loin d'être démontrée. Et tout
tain nombre d'auteurs, entre autres par Luys. Elle est conforme aux idées émises au sujet du somnambulisme spontané par Bai
ldat avance machinalement, c'est de la suggestion. Le cri a éveillé l' idée de l'acte qui est accompli. II leur tient un
pour une obsession passionnelle avec mélancolie, dégoût de la vie et idées de suicide. A la stupéfaction d'un confrère de pr
oir senti son enfant remuer, et quoique troublée elle s'entêta dans l' idée de l'existence d'une grossesse. J'attendis donc
vie psychique. Une circonstance quelconque fait naître en nous une idée , qui s'accorde avec un vif sentiment de désir ou
ement devait devenir une méditation sur la vie. Rendant justice aux idées exposées lors de l'ouverture des Cours de l'Ecole
créer un enseignement nouveau dans les hôpitaux, agrandissement de l' idée première de Dujardin-Beaumetz, avait de profondém
en 1898, en collaboration avec M. le professeur Raymond, Névroses et idées fixes, deux gros volumes bourrés de faits c Uniqu
lité, sur le dédoublement de la personnalité, etc. Dans cet ordre d' idées , et sans vouloir remettre en doute ce qui est déf
ce génitale d'origine psychique, « trac » des artistes, neurasthénie, idées fixes, certaines impulsions, nombreuses obsession
tachons la plus grande importance, c'est que, contrairement aussi aux idées reçues, le sommeil n'est nullement nécessaire pou
ble de la sensibilité (générale et spéciale) dans tous pes modes. L' idée d'ailleurs n'était pas neuve et un homme qui conn
tres d'hyperesthésie, des lopoal-gies, de l'œdème nerveux et quelques idées fixes. Je recours, celte fois encore, à la sugges
ovoquer plusieurs réflexions. Lorsqu'une suggestion se heurte à une idée préconçue, à un senti- ment tenace, à une cra
iron ; elle faisait de mauvaises affaires et devint mélancolique avec idées de suicide ; bientôt elle allume dans sa chambre
le coup de poursuites pour exercice illégal de la médecine, ont eu l' idée de faire circuler une pétition, qui est aujourd'h
me dans la géologie, il y a ceux qui bâtissent leurs systèmes sur des idées métaphysiques et ceux qui ne consultent que les f
donner une suggestion. 2° L'auto -suggestion est la suggestion ou l' idée que la personne se donne à elle même. 3° L'auto
e en pratique,'ou pratique de l'auto-suggestion; 2° Auto-suggestion idée , ou pensée, ou ordre; • 3° Auto-suggestion résult
acte. Bien souvent, en sous-entendant auto-suggestion, on dit : l' idée proposée, la pensée proposée (par l'auto-suggesti
gestion L'auto-suggestion se pratique en se donnant mentalement une idée , une impression, un ordre, dans la somnolence la
mieux appropriée. Le sujet, pour se donner le mieux possible cette idée , cette pensée, ou cet ordre, doit se les répéter
agne d'une certaine fatigue. Soit l'auto-suggestion avoir de bonnes idées , que le sujet veut se proposer. Le sujet se met d
ord dans la somnolence favorable. Puis il se répète mentalement cette idée , cette pensée, cet ordre : avoir de bonnes idées.
ète mentalement cette idée, cette pensée, cet ordre : avoir de bonnes idées . L'avantage immense de l'auto-suggestion c'est
idées. L'avantage immense de l'auto-suggestion c'est que les bonnes idées viendront. Toutefois elles viendront dans la mesu
sujet. Il n'y a pas d'autre moyen connu pour faire produire de bonnes idées à un individu qui n'en a pas l'habitude. Ce résul
stion, c'est la pensée unique, c'est en quelque sorte l'analogue de l' idée fixe, préméditée, expérimentale. Cette pensée uni
puissance de l'individu dans un seul but. Toutefois quand une seule idée est proposée en auto-suggestion, la fatigue arriv
es auto-suggestions. Soit les auto-suggestions : 1° Avoir de bonnes idées . — 2* Ecrire. — 3° Avoir de VOrdre. Le sujet qu
, 1° il répétera mentalement de dix à cinquante fois, avoir de bonnes idées , et il se reposera deux minutes. Puis, 2° il ré
e qui doit le fixer. Quand la phrase est longue comme avoir de bonnes idées la fatigue arrive au bout de peu de fois, dix, vi
s seulement. C'est la fatigue qui doit régler le nombre de fois que l' idée est proposée mentalement. Le sujet choisit et r
l'idée est proposée mentalement. Le sujet choisit et reprend chaque idée un peu suivant son inspiration et suivant le dési
Par exemple, s'il tient davantage à l'auto-suggestion auoir de bonnes idées , c'est à celle-là qu'il reviendra le plus souvent
roposées moins souvent. Mais chaque fois que le sujet reviendra â une idée proposée, il devra se la répéter mentalement au m
s auto-suggestions principales seront : Io Ecrire: 2°/4uoir de bonnes idées . Ces auto-suggestions seront répétées aussi longt
xécuter. Et le résultat final, recherché, écrire et avoir de bonnes idées , sera obtenu. II faut ajouter que lorsque le
uvoir bien différent de l'auto-suggestion. L'auto-suggestion crée les idées . La méditation groupe les idées, elle s'exerce
gestion. L'auto-suggestion crée les idées. La méditation groupe les idées , elle s'exerce grâce à une faculté différente.
s'exerce grâce à une faculté différente. L'auto-suggestion crée les idées . Cette pratique de l'auto-suggestion appelle l'ac
s le centre nerveux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes idées . Le centre nerveux qui préside à ce travail peut
eux qui préside à ce travail peut donner dans une journée un nombre d' idées assez restreint, par exemple dix bonnes idées. Qu
une journée un nombre d'idées assez restreint, par exemple dix bonnes idées . Quand l'auto-suggestion auotr de bonnes idées au
par exemple dix bonnes idées. Quand l'auto-suggestion auotr de bonnes idées aura été pratiquée, le centre nerveux qui préside
ulée, et il produira un travail dix fois plus grand, soit cent bonnes idées dans une journée. Si ce même centre nerveux est
erveuses qui produisent tout travail, musculaire ou intellectuel. Une idée produite ou un mouvement produit sont des résulta
parce que l'impulsion vient du centre nerveux qui lui est spécial. L' idée émise est émise parce que l'impulsion vient du ce
ue de l'auto-suggestion, nous allons prendre un autre exemple, soit l' idée proposée. — Plaire. — Causer. — à développer par
développer par l'auto-suggestion. Plaire. — Causer. — Ce sont deux idées qui seront associées. On commence par se mettre
de se sent bouleversé ; le jeune marié tout particulièrement. Alors l' idée de détruire la sorcière s'empare de tous les cerv
a des distraits qui ne sont pas suggestionnables. Pour qu'une série d' idées s'empare de toute la conscience, il faut une dimi
douloureux, ne permet pas le coït. Depuis près d'un an, l'ennui, des idées lugubres, l'anéantissent. Elle dort à peine, ne m
croire à un début de fièvre typhoïde. Le début brusque éloigne cette idée . J'apprends que les règles ont été arrêtées brusq
s bras et dans les jambes, puis une grande angoisse; alors survient l' idée obsédante de s'arracher les cheveux; elle n'a pas
caprices, il aura non plus seulement des tics et des manies, mais des idées fixes et des obsessions; il versera dans la folie
eur action. Ainsi ballottée de l'un à l'autre, cette femme a eu des idées de persécution; tout le monde lui veut du mal. El
a plus solide récompense ont toujours été de voir ses opinions et ses idées étudiées, propagées, discutées. Plusieurs fois
doit à celui-ci d'avoir soulevé un grand et salutaire remue-ménage d' idées , qu'il reste toutefois à mettre en bon ordre ».,.
r lutte pour là vie. Le mot struggle ne comporte pas nécessairement l' idée de lutte, c'est-à-dire d'un corps-à-corps avec un
lequel le régime appliqué aux condamnés s'inspire uniquement de cette idée que l'homme qui fait le mal est un malade le plus
reté si cela lui est désagréable? J'ajoute qu'il n'entre pas dans l' idée du directeur de séparer complè- lement ses pe
14 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'Uri'exàmén·trèsattentifdéel'état' mental f'rêvètee encore quelques idées de persécution et quelques hallucinations si NO
tement dan.losens)y ? q confusion mentale à forme mélancolique avec idées délirantes *,r 'iB)<<M'<'M.M mçoSoiWvj
all, de la7 naturealdes travâuxoriginaûx' qili'v ont été faits, des idées qui y ont cours. C'est certainement-un des modè
mplement guidé dans son entreprise par l'amour de la science et des idées personnelles, toujours originales. N'est-il pas
e déclara qu'ayant frictionné les jambes de soeur Buvée, elle eut l' idée qu'elle voulait ainsi se procurer « l'abord' ».
x, mais il se contient et dissimule son ressentiment., Seulement) l' idée de'se venger surgit dans son esprit et, immédia
une maladie caractérisée par des hallucinations sensorielles et des idées délirantes' sans trouble profond' de la connaissa
Il faut le distinguer de la confusion mentale ou désordre dans les idées , hallucinatoires, car les malades ne sont pas dé
ntes,- sont hantés de perpétuelles hallucinations sensorielles et d' idées délirantes dé- 64 SOCIÉTÉS SAVANTES. taillées
principale. Il a pour facteurs les hallucinations de l'ouïe, et les idées de per- sécution. 11 débute deux jours après l'
rche traînante, cessation graduelle des hallucinations, réforme des idées délirantes = tout est terminé en un mois et dem
viduels. On voit alors survenir des halluci- nations multiples, des idées de culpabilité. - Le délire systématique halluc
allucinations de l'ouïe, de la vue, de la sensibilité générale, des idées de persécution hypocondria- ques simples et com
e dans le délire alcoolique génital et obscène. Les malades ont des idées de jalousie qui les minent; ils accusent de leu
déprimée, défiante, hypocondriaque. Tendance à la dissimulation. Idées délirantes cristallisées persistant pendant toute
s de Blois, sur les auto-accusateurs, j'ai cherché à établir si les idées d'auto-accusation étaient pathognomoniques d'un
ématiques. L'auto-accusation fournit quelquefois l'explication de l' idée de per- sécution, comme le fait l'idée de grand
elquefois l'explication de l'idée de per- sécution, comme le fait l' idée de grandeur. D'auto-accusateur on peut devenir
issement musculaire depuis six mois. On n'a pas remarqué chez lui d' idées de grandeur ou de ri- chesse. Perle de la mém
plète, et à l'impossiblité absolue de penser et de concentrer leurs idées . Ils perdent en même temps leur énergie, leur v
par accès plus ou moins périodiques, surtout nocturnes. Alors des idées absurdes, et sans aucune suite, viennent comme un
és : fièvre, syncope, érythème. Un cas de guérison (mélancolie avec idées de persécution). Les autres cas sans améliorati
aque asile départemental un quartier spécial; mais c'eût été là une idée irréalisable. Il aurait fallu construire tout u
fondamentaux hallucinations sensorielles 140 " SOCIÉTÉS SAVANTES. idées délirantes el incohérence sont, au point de vue d
e par des conceptions délirantes, cristal- lisées et systématisées ( idées de persécution et de grandeurs) pro- cède d'un
es individus qui, à la suite d'un accès de mélancolie accompagnée d' idées de persécution conservent de l'affai- blissemen
sement intellectuel; l'affaiblissement intellectuel persistant, les idées de persécution ne peuvent plus être redressées pa
à mélancolie affective. Sans doute, comme l'a montré Kroepelin, les idées délirantes sont loin d'être aussi systématiquem
lus ici des conceptions délirantes de la mélancolie transformées en idées de persécutions stables et permanentes, il s'ag
ormées en idées de persécutions stables et permanentes, il s'agit d' idées délirantes fixes mais complètement nouvelles qui
mais complètement nouvelles qui dans leur premier état étaient des idées de persécution puis se sont transformées eu idé
état étaient des idées de persécution puis se sont transformées eu idées présomptueuses et finalement ont.été systé- mat
; en 1892, commence à se déve- lopper la paranoïa secondaire ; les idées délirantes naissent, se sys- 144 , SOCIÉTÉS SAV
ite, par exemple, de l'affaiblissement intellectuel. Nullement. Les idées déli- rantes, ont totalement disparu ; la malad
ux néces- saires à l'élaboration intellectuelle, à la formation des idées ; ces images passant en avant dans la région fro
e jour leur application. De son côté, M. Baillarger a eu l'heureuse idée de réunir en volumes, sous le. titre de Recherc
d'une extrême clarté, placés à la fin des deux volumes, donnent une idée d'ensemble de chaque mémoire, si bien 'que les
Elle se désolait, reconnaissait son impuissance et manifestait des idées de suicide. Mais ce qui est important à relever
mies, on la traitait de folle, bien qu'elle n'émît à aucun moment d' idées délirantes. Dix-huit mois environ après l'incendi
térograde de reproduction et de conser- vation. Il n'existait pas d' idées délirantes bien caractérisées ni d'hallucinatio
s dans sa mémoire que les résidus des autres sensations. Mais cette idée de flammes peut aussi être venue après coup et
peu de choses en histoire. La mort de Napoléon le, évoque en elle l' idée du premier empire, Louis XIV celle d'un roi de Fr
serait survenu, il y a deux oit trois ans. Elle' manifeste quelques idées délirantes : qui sont certainement aussi la con
e ses affaires. l Comme on le voit, son délire se réduit à quelques idées fausses, au nombre de deux ou trois, nullement
. Elle n'a jamais manifesté d'autres conceptions délirantes, ni des idées de suicide, et elle n'a jamais été excitée dura
on ! Chez eux, il'ÿ'a en plus du trouble, de la confusion' dans les idées . Quoi qu'il en soit, il est curieux de constate
Je n'ai pas réussi, non plus qu'avec, l'hypnotisme. ^ ? , J'ai eu l' idée aussi de faire à cette malade des injections de
aut-il aller plus'loin et admettre avec,M.,Sollier ? appliquant des idées générales de M.; Paul JaneL1 sur l'hystérie, qu
ité verbale ne devra pas s'accompagner d'agraphie. Dans cet ordre d' idées , le malade qui fait le sujet de l'observation,
s résidus. Nous pouvons donc, par l'examen des urines, acquérir des idées très vraisemblables sur la composi- tion des ur
les traits caractéristiques qu'ac- tuellement on lui attribue. Les idées depuis lors se sont notablement modifiées et l'
ntellectuel. L'expression pour Georget devait servir à désigner les idées , les passions, les déterminations différentes d
taines repré- sentations mentales trop fortes ou des associations d' idées trop faciles et trop actives. C'était déjà un p
rie, mais c'était un progrès insufflant. Il restait à montrer que l' idée , qui intervient en pareil cas, diffère de nos idé
à montrer que l'idée, qui intervient en pareil cas, diffère de nos idées et de nos représentations ordinaires, qu'elle e
de nos idées et de nos représentations ordinaires, qu'elle est une idée subconsciente. C'est à cette démonstration qu'o
La conscience est un phénomène dont le sens intime nous donne une idée plus juste que ne saurait le faire une définition
ns passées; notre esprit assiste en spectateur aux associa- tions d' idées qu'il forme, aux volitions qu'il élabore et à l'e
sio- . logique quand notre intelligence vivement sollicitée par une idée , semble momentanément étrangère à tout ce qui
le momentanément étrangère à tout ce qui ne se rapporte pas à cette idée . L'absorption de notre esprit, qui est une des fo
cidents mentaux de l'hystérie. Qu'on ait affaire à un spasme, à une idée fixe, à l'attaque ou au délire, tous ces troubl
entale telle qu'on en observe dans la vie psychique normale, mais d' idées , souvenirs ou images, SOCIÉTÉS SAVANTES. 228
n, par suite c'est la mobilité et souvent la contradiction dans les idées , c'est dans l'ordre affectif et moral un sentim
e un rêve qui se repro- duit de temps en temps et se rattache à une idée fixe, c'est-à-dire au souvenir subconscient d'u
et sup- prime la conscience. Il n'en est pas de même de toutes les idées . fixes : quelques-unes d'entre elles peuvent p
elques-unes d'entre elles peuvent provoquer l'éclosion de certaines idées fausses ou délirantes qui pénètrent dans le champ
i précède, il est nécessaire de rappeler brièvement ce que sont les idées fixes dans l'hystérie. Nous avons , montré que
que les divers phénomènes psychologiques, sensations, i souvenirs, idées , se répartissent chez l'hystérique en deux groupe
s, t. XXVIII. 15 226 SOCIÉTÉS savantes. à la personnalité. Qu'une idée naisse, soit par suggestion, soit spontanément
dans l'esprit du malade, sans arriver jusqu'à la conscience (et les idées de ce genre sont communes dans l'hystérie), ell
es de ce genre sont communes dans l'hystérie), elle constituera une idée subconsciente, c'est-à-dire que le sujet en ign
ente, c'est-à-dire que le sujet en ignorera l'existence. Mais cette idée ne sera pas moins susceptible de se traduire en
ire de la subconsciente. La subconscience est ainsi un réceptacle d' idées plus ou moins nombreuses, spontanées ou provoqu
s- thésies, les paralysies, les contractures résultent de pareilles idées . 11 en est de même de certains tics, de certain
e, en effet, à certaines préventions, à certaines défenses ou à des idées fausses dont les malades n'ont plus conscience, m
tudié quelques-uns; il a montré que ces délires se rattachent à des idées fixes subconscientes, qu'ils ont des caractères t
en dehors de ce champ de conscience rétréci une foule de notions, d' idées , de souvenirs qui restent dans le domaine de la s
qui restent dans le domaine de la subcons- cience. Ces notions, ces idées peuvent se coordonner en un sys- tème qui, sous
tème qui, sous diverses influences, se substitue aux notions et aux idées conscientes ; elles apparaissent alors au grand j
oupe confus de la folie hystérique, y trouve-t-on, conformément aux idées de Krafft-Ebing, des psycho-névroses (première
nt incohérents et traduisent seulement une grande mobilité dans les idées et les volitions. Les faits de cet ordre sont j
n précise dont jusqu'à présent les éléments nous font défaut. Les idées mélancoliques ne sont pas rares chez '.les hystér
oitement soit aux concep- tions délirantes de l'attaque, soit à des idées fixes ou à des rêves. Mais indépendamment de ce
escence coexiste fréquemment avec l'hystérie. Il est possible que l' idée de M. Ballet réponde à une réalité noso- logiqu
t plus brillant. Un caractère encore de la folie hystérique c'est l' idée fixe. De plus, la manie hystérique s'observe ch
ésentent ce caractère commun, à savoir que toutes deux impliquent l' idée qu'il ne s'agit pas de troubles Archives, t. XX
riphérique. Ce terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l' idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'e
et d'un prix peu élevé. Cafés de tempérance. Dans le même ordre d' idées , nous devons - mentionner les cafés de tempéran
'on pourrait même taxer de demi-imbécile. Je suis convaincu que les idées de crimes anarchistes hantaient depuis longtemp
e. Dans ses antécédents personnels, on relève anciennement quelques idées vagues de per- sécution, depuis longtemps dissi
a lueur de cette dernière méthode. Vous voyez un malade atteint d' idées de persécution, très étroitement liées ; il a d
s ne s'étaient pas déployées en une marche progressive, souvent des idées hypo- chondriaques se mêlaient aux idées de per
e progressive, souvent des idées hypo- chondriaques se mêlaient aux idées de persécution ou de grandeur ; c'étaient donc,
stique, de persécution), mais courts et limités à un petit nombre d' idées . Le diagnostic devient d'ailleurs facile si l'on
vés .dès leur apparition, ont souvent une étrange complexité. Les idées de persécution coudoient les idées de grandeur; à
vent une étrange complexité. Les idées de persécution coudoient les idées de grandeur; à elles se superposent des idées m
écution coudoient les idées de grandeur; à elles se superposent des idées mystiques, des conceptions hypochon- driaques,
à diminuer, sa personnalité exagérée revêt une forme nouvelle. Aux idées de persécution succèdent les idées de grandeur.
ée revêt une forme nouvelle. Aux idées de persécution succèdent les idées de grandeur. Le dégénéré, être originelle- ment
se circonscrit en une série de con- ceptions pénibles, en quelques idées de persécution qui peu- vent subsister pendant
n lui une prédisposition qu'il n'avait pas au début, il prépare aux idées délirantes le sol où elles pourront s'élever, a
tion, peut donc avoir lui aussi, à la suite d'un accès subaigu, des idées de persécution avec hallucina- tions auditives,
ées de persécution avec hallucina- tions auditives, quelquefois des idées de grandeur, c'est-à-dire des délires systémati
a plupart, à l'affaiblissement de la mémoire, à la dissociation des idées ; si le délire se surajoute à cette déchéance de l
obilisées, les moyens de transmission faussés, les associations des idées d'abord ralenties, puis impossibles. Comment co
Comment comprendre, dès lors, la mise en jeu de ces associations d' idées qui créent la systématisation dans les délires
éliorées, la mémoire s'est affirmée plus nette, l'as- sociation des idées moins fruste; il y a eu, en un mot, rémis- sion
es modifications, le délire incohérent du début faisait place à des idées de perséçu- 284 , asiles d'aliénés. tion coor
mélange. Mais voici qu'un ictus frappe le malade, et aussitôt les idées délirantes s'enfuient, le paralytique obtus rep
es prédécesseurs, je n'ai pu en constater aucune. . Pour donner l' idée de la fréquence relative des diverses formes ps
lire hallucinatoire qui en résultait, puisant ses éléments dans les idées courantes de possession, et com- pliqué d'hallu
e nous étendre davantage sur eux. Mais on se ferait une très fausse idée de l'épidémie d'Auxonne si l'on pouvait penser,
l'extrême mysticisme du temps. Comme il n'est pas de règle que les idées érotiques occupent une place aussi impor- tante
on. Je viens encore une fois, dussé-je vous paraître en proie à une idée fixe, vous convier à quitter les sereines hauteur
tériels. ' Je me suis déjà fait auprès de vous le champion de cette idée que si nos traitements d'activité et nos pensio
ressants et aucun d'eux ne me paraît être en contradiction avec les idées actuelles sur la névroglie. On sait qu'après beau
mais dont les éléments persistants correspondent à la survivance d' idées de persécution dans la période mégalomaniaque.
iniques devant la pathologie microbienne. L'auteur défend ici une idée chère de pathologie générale et de philosophie
état de veille, on ne peut retrouver chez elle aucun délire, aucune idée fixe, et l'on ne cons- tate qu'un état de confu
à la Salpêtrière, mais ce n'est là qu'un mot ne répondant à aucune idée précise. Elle ignore comment et pourquoi elle y
e présentant à nous avec de l'anes- thésie généralisée, la première idée qui devait se, présenter à notre esprit était,
es faits les uns avec les autres, raisonne en un mot et exprime ses idées avec plus de facilité, exécute plus vite et d'u
points de vue par MM. Charcot, Souques, P. Janet, la présence d'une idée fixe subconsciente. En effet, alors qu'à l'état
gatoire de la malade ne met sur la piste d'aucun délire, d'au- cune idée fixe, dans le sommeil hypnotique, comme dans celu
automatique, elle raconte qu'elle est perpétuellement obsédée par l' idée ou même la vision du gendarme qui est venu la c
n que quelques réponses très brèves. La présence constante de cette idée fixe, même pendant la HYSTÉRIE. EXPÉRIENCE DE S
st-il indiqué, au point de vue thérapeutique, de s'attaquer à cette idée fixe. Mais il est à remarquer, à ce propos, que
nditions de la suggestibilité. Et c'est ainsi que la présence d'une idée fixe, un développement intellec- .tue plus gran
automatique et inconsciente, on peut modi- fier par la suggestion l' idée fixe du gendarme. M... est également suggestibl
riences. En outre, lorsqu'elle vient à parler de son délire, de son idée fixe du gendarme, elle ne la juge plus de la mê
gendarme à sa juste valeur, comme une véritable hallucination, upe idée obsédante moins fausse, cette fois, elle déclar
ntes, comme dans l'état de distraction provoquée, nous attaquer à l' idée fixe avec quelque succès, et il s'est produit d
groupe il faut ranger la folie puerpérale, phtisique, infectieuse à idées de persécution ou de grandeurs. C'est un mélang
vient aussi de la revivification de la sériation des associations d' idées et des perceptions. Sensation de ce qui est a
ogiqzies, 1894.) E. B. XXIX. NOTE sur une amnésie consécutive DES idées obsédantes ; par le D1' FÉRÉ. Il n'est pas ra
sédantes, un phénomène analogue. Il s'agit d'un malade chez qui les idées obsédantes qui l'avaient le plus tourmenté disp
ze ans, à la suite d'un cha- grin d'amour, accès de mélancolie avec idées de suicide. Le malade a maintenant quarante-tro
s entre l'impulsif de Zola et lui et par degrés s'implante en lui l' idée que lui aussi pourrait avoir une impulsion anal
effés sur la démence paralytique (accès maniaques, mélanC07 liques, idées de grandeur et hypocondriaques), les autres provo
alité, était un héréditaire atteint de paranoïa avec prédominance d' idées de persécution. G. DENY. XXXVI. UN cas DE sen
le d'obser- vation commune pour les nouveaux et les mélancoliques à idées de suicide ; là se monte une garde continue de
fugue hystérique, le déterminisme inconscient, mais reflétant une idée antérieure, la cohérence, la logique des actes et
rvations intéressantes, appar- tiennent la conscience complète de l' idée , de la mise en marche, de la fugue et le souven
religieuse paralytique désespérait de sa guérison lorsqu'elle eut l' idée , pour l'obtenir, de. s'adresser au vénérable fr
ion IV. Délire chronique à la troisième pé- riode : Hallucinations. Idées ambitieuses systématisées. Quatrième période :
accuser autrui de ses vagues souffrances. Il flotte, au milieu des idées qui l'assaillent, il hésite, il doute; il accepte
s monologues, ne tardent pas à se produire en dehors du courant des idées du sujet; si bien que celui-ci, pensant à autre
ctures « avant même qu'elle ait fini d'en comprendre le sens ». L' idée qui, à l'état physiologique accompagne l'acte, su
s nouveaux thèmes offerts à son imagination délirante son système d' idées de persécutions va chaque jour se précisant et
é, magnétisme, téléphones, microbes, etc., ou dans un autre ordre d' idées toute l'occulte puissance de la magie, de la so
re, sourdement créée à la première période, n'a fait que grandir. L' idée délirante de persécution, seul horizon de cette
un instant, nous la verrons dissipée devant une forme nouvelle : l' idée de grandeur. L'histoire des deux malades suivan
ne vit pas que les sujets seuls qui ont progressivement évolué de l' idée de .persécution à l'idée de grandeur, sont préc
seuls qui ont progressivement évolué de l'idée de .persécution à l' idée de grandeur, sont précisément ceux qui ont vers
ps inquiets, soupçonneux, n'ont toutefois accepté qu'en luttant l' idée délirante, et l'ont amenée avec lenteur et méthod
roisième phase de l'affection : nous la trouverons ailleurs'. Que l' idée de grandeur surgisse à la suite d'une déduction
ien; le fait capital consiste uniquement dans la transformation des idées de persécution en idées de grandeur; et ce qu'i
siste uniquement dans la transformation des idées de persécution en idées de grandeur; et ce qu'il faut considérer, c'est
ersonnalité toute différente s'est fait jour, car dès ce moment les idées de persécution s'effacent et disparaissent deva
ent les idées de persécution s'effacent et disparaissent devant les idées de grandeur. Celles-ci ne sont pas toujours trè
e l'origine de la polyurie hystérique doit être recherchée dans une idée fixe. Auguste Drug., trente-sept ans, bijouti
e [et pollakiurie transitoire attirait son attention. Peu à peu son idée s'était fixée sur ce fait. Jusqu'au 14 juille
raisons. Etant donné le traumatisme crânien originel, la première idée qui devait venir à l'esprit était celle d'un cas
it était celle d'un cas de polyurie traumatique. C'est, en effet, l' idée que nous avons tout d'abord partagée, faute d'u
fait l'avait assez vivement frappé. Il en est peu à peu résulté une idée fixe, subconsciente tout au moins. Le jour où, à
d'une forte émotion, il est devenu franchement hysté- rique, cette idée s'est développée, a grandi, est devenue enva- h
é l'origine d'une grande polyurie permanente. La formation de cette idée fixe et son évolution ne sont pas douteuses che
du moins à notre connaissance. Il s'agit du rôle pathogénique des idées fixes et de la manière de l'interpréter. Ehrhardt
fant, qu'un ado- lescent qui pisse au lit, a l'attention attirée, l' idée fixée sur sa triste infirmité. Les moqueries et
sur ce chapitre. Que ce sujet devienne plus tard hystérique, cette idée fixe consciente ou subconsciente, pourra grandir,
s'impose presque chez un tel sujet, étant donnée l'existence d'une idée fixée depuis longtemps sur une anomalie de l'ur
écutive aux grandes libations, peut et doit devenir l'origine d'une idée fixe. La filiation des phénomènes est aisée à c
ce nocturne ou sans alcoolisme antécédent, relèvent également d'une idée fixe d'origine génito-urinaire. Sur une seule d
olentes. Instillation de nitrate d'argent. » Ces détails, pris sans idée préconçue, sont très instructifs. N'est-il pas tr
préconçue, sont très instructifs. N'est-il pas très naturel qu'une idée fixe, d'ordre urinaire, .prenne origine au mili
ment démon- trée. Il est vrai que, dans l'espèce, la recherche de l' idée fixe présente quelques difficultés. Raison de p
e, au point de vue du méca- nisme psychologique. Mais comment une idée fixe d'ordre urinaire parvient-elle à réaliser
nomalie de la sécrétion ou de l'excrétion urinaire attire et fixe l' idée d'un sujet, cela se conçoit aisément. Il est mo
est moins aisé de comprendre le méca- nisme intime par lequel cette idée fixe aboutit à la polyurie durable. 11 est logi
itoire des excès alcooliques, etc. L'inter- médiaire obligé entre l' idée fixe et le syndrome urinaire semble donc être u
troubles vaso-moteurs localisés dans l'hystérie, provoqués par une idée , sont indiscutables. L'oedème, produit par sugg
it, si on peut dire, sous les yeux de l'observateur qui a suggéré l' idée d'un gonflement oedémateux. Si le trouble vaso-
lement oedémateux. Si le trouble vaso-moteur rénal, déterminé par l' idée d'un ancien trouble quantitatif de la miction,
ren- thèses, la meilleure preuve qu'on puisse fournir du rôle des idées fixes dans la détermination de l'hyperdiurèse hys
èse que nous défendons ici ? Qu'est-ce que suggérer sinon fixer une idée sur un point donné ? Mais s'agit-il d'une actio
hysiologistes placent les centres vaso-moteurs. De quelle manière l' idée fixe, dans la polyurie hystérique, influence-t-
hystérique, influence-t-elle ces centres ? On peut sup- poser que l' idée fixe est le point de départ d'un réflexe cortical
e du rein et par suite la polyurie. En résumé, si la pathogénie par idée fixe de la polyurie hystérique semble indiscuta
t irréductible ; 2° La polyurie hystérique est la conséquence d'une idée fixe d'ordre urinaire. Cette idée fixe a son or
stérique est la conséquence d'une idée fixe d'ordre urinaire. Cette idée fixe a son origine dans l'exis- tence antérieur
(excès alcooliques aigus, inconti- nence nocturne d'urine, etc.). L' idée inhibe probablement les centres vaso-moteurs du
nombreux travaux écrits sur les délires dans lesquels il existe des idées de grandeur et des idées de persécutions, vague
ur les délires dans lesquels il existe des idées de grandeur et des idées de persécutions, vagues ou précisées, coordonné
ôle, bien que, comme il le dit lui-même, en quelques cas rares, les idées déli- rantes s'organisent en l'absence d'halluc
un élément tout aussi important que l'élément hallucinatoire. Cette idée du délire organisé primitif (/) ? ' : Mïoe ? 'e
se; celle-ci présente, secondairement, des sentiments conformes aux idées qui lui sont imposées par l'idéo"énèse vicieuse
d'après Westphal, succéder à l'hypochon- drie par le mécanisme des idées de persécution d'origine primitive, engendrant
dées de persécution d'origine primitive, engendrant à leur tour des idées de grandeur, mais il pourrait aussi survenir d'
sans stade hypochon- driaque préalable, par la création spontanée d' idées délirantes indélébiles. Il y a bien, dans l'esp
-ücklheit) dans la forme de la pensée, mais non dans la liaison des idées , car les allures du malade se ressentent de ce
s la forme de la pensée, mais une dislocation de l'enchaînement des idées qui peut aller à la confusion ( Veî,ivii,î,ttng
stphal, mais il l'a appelée Wahnsinn. Elle consiste en ceci que des idées , en soi probables ou soutenables, ou au contrai
font d'ordinaire point défaut pendant la période de créa- tion des idées délirantes, au moment des exacerbations de la m
riode de transition d'une phase à une autre, comme par'exemple, des idées de persécution aux idées de grandeur. La contin
phase à une autre, comme par'exemple, des idées de persécution aux idées de grandeur. La continuité des excitations sens
noms de : mélancolie délirante , folie instinctive, mélancolie avec idées de persécutions, délire général hallucinatoire
olie avec idées de persécutions, délire général hallucinatoire avec idées de gran- deurs et de persécutions mal liées, et
signe très expressément la combi- naison ou la non-coordination des idées délirantes et des halluci- nations de la folie
du délire systématisé chronique; le rôle des hallucinations et des idées délirantes de grandeur et de persécutions resso
uisse se produire par obsessions, et que, celles-ci n'étant que des idées délirantes imparfaites, la Verrùcktiaeit mérite l
OLOGIE MENTALE. aussi un délire systématique avec désordre dans les idées et les actes, ou confusion mentale (Ve ? -wii@i
émontrer que la pupille se dilate, sous l'influence du cerveau, à l' idée de distances plus ou moins grandes. Cette dilatat
lucinatoire (Fuerstner), con- 1 Ce qui suit fixe très nettement les idées sur la terminologie alle- mande et sur les opin
différentes; c'est ce qui se produit pour les hallucinations et les idées de persé- cution dans la mélancolie, et même da
assigné d'expressions convenables aux délires, au désordre dans les idées (confusion des Latins) dont le plus haut degré
convertir en des pensées de leur cru, parce que les associations d' idées sont, chez eux, inopportunes ou inexactes. Le m
ionne encore, parce que les lois qui président à l'enchaînement des idées sont en rapport avec la structure anatomique du s
l y reconnaît un élément expansif, l'exaltation du moi mal- gré les idées de persécution, et la sépare ainsi de la mélancol
cution, et la sépare ainsi de la mélancolie; la systématisation des idées présomptueuses lui permet de la séparer de lama
n des idées présomptueuses lui permet de la séparer de lamanie. Ces idées présomptueuses sont d'ordinaire, dit-il,secon-
dit-il,secon- daires, mais elles peuvent également être précédées d' idées de persé- cution ou se développer en même temps
u'elle peut également se développer sans celle-ci. Dans ce cas, les idées de persécution d'abord, puis celles de grandeur
persécution d'abord, puis celles de grandeur, ou les deux espèces d' idées délirantes simultanément, s'implantent spontané
ntégrité de l'intelligence, des conclusions tirées d'associations d' idées saugrenues absolument étrangères à un cerveau n
es illusions (paranoïa acula simplex) servent à la construction des idées délirantes et à leur conception, for- mant ains
tout. Mais il n'y a point paranoïa lorsqu'il n'existe que quelques idées délirantes dépourvues de lien entre elles; l'auto
erve, aboutir à la confusion mentale chronique ou désordre dans les idées chronique (chronica Verwirrtheil) amentia chron
à la suite de la paranoïa aiguë, l'adhérence assez persistante des idées délirantes et même la création ultérieure de qu
mpagnées de délire suraigu dans lequel on distingue déjà un noyau d' idées délirantes coordonnées; puis l'agitation tombe
tés et hallucinés, ils tombent alors dans le désordre chronique des idées , état de dissociation intellectuel (Verworrenhe
ion d'hallucinations prises pour des réalités; ainsi se forment des idées délirantes qui par les raccords et l'ajustement
es qu'il s'agit en somme uniquement de l'opiniâtre im- plantation d' idées délirantes très simples qui amènent la démence
qui la séparent de l'amentia (confusion mentale, désordre dans les idées ). Nous n'y arriverons qu'en nous maintenant rig
indre au bénéfice de l'amentia. Passons donc au désordre dans les idées , à la confusion men- tale, désigné sous le nom
tuent les limites les plus extrêmes des mêmes formes aiguës. Quelle idée faut-il se faire du délire de collapsus ou toxiqu
et même plus longtemps une confusion mentale, un désordre dans les idées (Verwirrtheit) tout particulier. Chez ces patie
t laquelle ils parlent sensément s'attachant simplement à certaines idées erro- nées et à des souvenirs laissés en eux pa
es, et de complète désorientation. Au début parfois il apparaît des idées d'em- SOCIÉTÉS SAVANTES. ". 499 Foisonnement,
modalités précédentes de la confusion mentale ou désordre dans les idées (Ve·wirrtlaeit), il convient de rapprocher famcnli
ercevoir exactement les impressions sensorielles, de coordonner des idées et d'aboutir à une idéation complète lorsque la
meuvent sans adapter leur locomotion à un but voulu, ils n'ont plus idée des rapports qui fixent leurs person- nalités o
excitation. En somme, dans la confusion mentale ou désordre dansles idées (amentia), l'incohérence 800 SOCIÉTÉS SAVANTES.
outir la confusion mentale chronique ou désordre chronique dans les idées , terminée elle-même par la démence confuse (dem
les sens; c'est une fantasmagorie kaléidoscopique de tableaux et d' idées n'ayant entre eux aucuns liens ou n'ayant que d
. A côté d'eux, d'autres alcooliques sont hantés dès le début d'une idée fixe,d'unehistoirequi demeure invariable pendan
ÉTÉS SAVANTES. La confusion mentale aiguë ou désordre aigu dans les idées , en- core appelée parFuerstner acute hallucinal
uerstner acute hallucinalorische Yerworrenheit (dé- sordre dans les idées hallucinatoire aigu), par Meynert Amentia, par
n qui est primitivement et directement troublée, l'enchaînement des idées est dissocié (Ziehen). Cette dissociation décon
stéma- tiquement coordonné, c'est le désordre, l'embrouillement des idées et des concepts qui prédomine jusqu'à la fin du
suite de la confusion mentale qui cède, on voits'organiser quelques idées délirantes systématiques, et alors on peut dire q
fusion mentale, il y en a d'autres dans lesquels de prime abord les idées pathologiques affectent une direction déterminée;
n il peut se produire une rémission pendant laquelle une partie des idées déli- rantes sont corrigées ou mises en doute p
on de l'idéation, la suspension et l'accélération de l'émission des idées jouent un rôle essentiel, et il y a des cas dan
possible de dire si c'est l'exaltation de l'humeur qui a produit les idées de grandeur;' ou si celles-ci ont procédé à cel
t le texte est exactement délimité, sans l'intervention de quelques idées et hallucinations diffuses, avec appréciation n
n que chacun se fait des rapports de sa personne avec les autres. L' idée du moi se forme dès le début de la vie à l'aide
et morales ; sensations et sentiments produisent, en engendrant les idées de relation entre notre individu et les autres,
le début, à la période de méfiance, on n'a pas du tout affaire à l' idée obsédante et vivante d'une persécution. La sensib
« je suis tout autre » ou c voilà qui est drôle ». Ils n'ont pas l' idée qu'ils sont malades, ils veulent simplement dir
it plus ce qui se passe en eux et par suite on ne peut se faire une idée nette de chaque cas. Mais il est des observatio
ÉS SAVANTES. (primoerer Wahnsinn), que les cas caractérisés par des idées déli- rantes de persécution avec exagération de
oyait le germe dont devaient ou dont pouvaient naitre plus tard les idées délirantes de grandeur. Évidemment Snell n'adme
re ultérieur, Snell indiqua combien de ses malades avaient créé des idées de grandeur, il y faisait remar- quer que, quan
nement rendu comptede l'intimité des relations qui existe entre les idées du délire de persécution et celles du délire de
al, on savait que dans le cours de psychopathies très diverses, des idées délirantes peuvent se développer, qu'elles peuven
airement sur le méca- nisme de l'association des impressions et des idées , en un mot d'étudier systématiquement les condi
ité morale, ou à des troubles de l'iden- tification ou encore à des idées délirantes déterminées, d'ordinaire, dans le co
puis par un dérangement plus ou moins profond de l'association des idées , et finalement par les troubles de la mé- moire
olie systématique chronique simple (déchéance). 3 désordre dans les idées consécutif à une folie aiguë. 3 démence sans qu
l, 207. Amnésie rétrograde, par Toulouse, 167;- consécutive à des idées obsédantes, par Féré. Hl. Angoisse larvée et
glas et Connus, 353. Hystérique, folie -, par Moravcsik, 405. Idées fixes, rôle des - dans la pathogénie de la polv
ale et antérieure associées , par Lamy, 209. Polyurie, rôle des idées fixes dans TABLE DES MATIÈRES. S37 la pathogé
15 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
pons présentement se distingue incon-testablement par l'abondance des idées ingénieuses, et mérite par cela l'attention la pl
l'attention la plus suivie. Mais le degré de l'examen critique de ses idées n'est pas. malheu-reu*emcnt, toujours suffisant p
rdera lui-même — un moyen préférable et plus noble pour combattre ses idées , que la négation à priori, si commune de nos jour
son rêve; j'ai constaté qu'il tombait très facilement dans l'ordre d' idées suggérées. Ainsi, je lui parle devant vous d'un
n'est pas drôle de mourir comme cela... » Je change le cours de ses idées et lui parle d'une parade de la foire : deux clow
tacle des clowns l'intéresse énormément. Passant à un autre ordre d' idées , je lui dis : . Allons, descends vite; les gendar
, par l'intermédiaire de nerfs excitatifs. Le langage qui exprime des idées n'a d'autre but que de traduire par une forme dét
e par une forme déterminée le phénomène d'impression ; il n'y a pas d' idées qui produisent un phénomène cérébral. De même, la
pas avec ces deux produits chimiques que l'on peut se faire une juste idée des propriétés et de la sphère d'action du haschi
voir admirablement spécifié, en un seul mot, l'étrange accouplement d' idées et le milieu insensé, féerique et tourbillonnant
out à la fois, actif et passif. Il subit et observe; lutte contre des idées , des pensées qu'il sait fausses, incohérentes, sa
ant celles de mon dernier volume sur l'Orient, vous donnera une juste idée de la puissance de la suggestion sur les sujets s
r les effets trop inquiétants du haschisch, celui-ci eut l'iugénieuse idée de produire le bruit d'un... gaz s'échappanl bruy
s hallucinations. Preyer. — L'orìgine des nombres. Th. Ribot. — Les idées générales. Richet. — L'avenir do la psychologie.
'oiseau qu'on obtient du sommet d'une colline et l'on aura une faible idée du pouvoir visuel de l'être aérien, avec celle di
montagnes moins élevées. Mais plus. M. Caustier part évidemment de l' idée (absolument erronée à mon avis) que le pigeon ne
rement des notions des lieux dont nous ne pouvons avoir qu'une faible idée . Si une lieue pour le Chalicodoma correspond à 4
ersonnes, aussi ai-je cherché dans le traitement de certaines manies, idées fixes, psychopathies passionnelles, à tourner la
Il semble que le courant descendant modifie la polarisation de nos idées en dépolarisaut nos propres tensions nerveuses, t
euses, tandis que la suggestion persuasive vient prendre la place des idées emportées, pour ainsi dire, par le courant électr
.., 30 ans. Perd son enfant en deux jours du croup. Obsession, triste idée persistante de sa fille oppressée par le poids de
ense troupeau d'intelligences simples et saines qui n'ont jamais eu d' idées , sur quoi que ce soit, que celles qu'on leur a su
elopper en plein jour par de la concentration, de l'attention sur une idée . Ce sont des hallucinations provoquées inconsciem
ou champ l'a entraîne et il Ml parti dès l'aube pour labourer. Mais l' idée religieuse le travaillait et il redoutait quelque
et Marie sont des jeunes filles d'un esprit borné et dont toutes les idées se remuent dans un centre très étroit. Sans être
rent en silence, presque recueillies, toutes deux hanlees par la même idée : la procession qu'allaient faire leurs compagnes
ise du nouveau venu avait fait s'évanouir les visions enfantées par l' idée religieuse. Les trois jeunes filles ont gardé l
. Dumonlpallier à l'Académie de Médecine, ses anciens élèves ont eu l' idée de lui offrir. le 19 juillet, un banquet chez Led
rs, il sut prouver à chacun qu'il était resté en parfaite communion d' idées avec tous et qu'il n'avait oublié aucun des faits
sujets ont été traités suffisamment pour arriver à se faire une juste idée de la paresthésie sexuelle. Les symptômes de l'
at. Le D' von Schrenck Ntoring a été excellemment inspiré lorsque l' idée lui vint d'écrire son livre, mais surtout d'éclai
ue, beaucoup de malades restent la proie — leur vie durant — de leurs idées obsédantes et unissent le plus souvent. soit dans
ymptômes de ces aberration» doivent se comprendre comme sensation» et idées obsédantes occasionnées par auto-suggestion, ou b
ns qu'on lui fait. Du moment que le cerveau accepte sans critique les idées suggérées, soit que le sujet se trouve à l'état d
uloir imprimer aux travaux d'un congrès une direction dans un ordre d' idées quelconque. Aussi le nombre de mémoires présentés
ractère de nouveauté et d'originalité. A retenir aussi l'excellente idée de remettre aux assistants, dès le début de chaqu
out drôle. A neuf heures, il abandonne son travail, poursuivi par son idée de persécution; il t'imagine qu'on veut faire mou
a parole écrite. En effet, l'écriture ne peut évoquer directement une idée dans le cerveau; elle évoque seulement l'image d'
au; elle évoque seulement l'image d'un mot, que lui-même représente l' idée que l'on veut communiquer. Il s'ensuit un retard
à faire disparaître certains symptômes, comme les hallucinations, les idées de persécution, l'insomnie, etc.... Mais ces résu
it l'esprit et les corps. Jusqu'à présent, nous n'en savons rien. Une idée , un raisonnement, une pas-ion sont des phénomènes
, laquelle consiste à substituer suggestivement, dans le cerveau, des idées saines à des idées fausse', pense que semblableme
à substituer suggestivement, dans le cerveau, des idées saines à des idées fausse', pense que semblablement on peut obtenir
s sens. *** Arithmogenèse, par M. le professeur W. Reyer. Les idées ne peuvent naître que par les sens. Aucune idée,
seur W. Reyer. Les idées ne peuvent naître que par les sens. Aucune idée , pas même l'idée de nombre, ne prend naissance da
Les idées ne peuvent naître que par les sens. Aucune idée, pas même l' idée de nombre, ne prend naissance dans le cerveau d'u
qu'il en résulte une différence d'intensité et de qualité, produit l' idée de zéro. Il est donc un fait que tous les tons
ut témoin, frappa vivement M Brown-Séquard et lui apporta la première idée des théories auxquelles il se voua dès lors sans
des vues théoriques que m'ont inspirées mon expérience. Ce sont des idées très simples que le bon sens naturel doit forcéme
r celui-ci par celui-là. Si l'on avait accepté dans sa pureté cette idée riche et simple et si on l'eût rendue applicable
écouverte nouvelle et importante de la science thérapeutique, comme l' idée pure et indépendante : le corps peut être guéri p
hydrothérapie et l'électrothérapie, le plus innocemment du monde. L' idée qu'on ait jamais pu faire courir du danger aux pa
zen et des Donato, a terni dès le premier abord et rendu suspecte l' idée si simple et si intelligible do guérir les malade
malades et rend les médecins méfiants. La crainte, la méfiance, les idées fausses créent plus d'entraves, causant plus de p
pas faire une impression sur elles sans que vous leur ayez donné une idée claire de la chose. Si cela ne vous réussissait p
lle ne se généralisera pas et l'extension qu'elle mérite par sa belle idée fonda-mentale ne lui sera pas dévolue. Il n'y a
leur parlerez comme vous parleriez à vous-même. Vous leur expliquez l' idée idéoplastie (c), l'idée suggestion, vous leur mon
parleriez à vous-même. Vous leur expliquez l'idée idéoplastie (c), l' idée suggestion, vous leur montrez qu'il est possible
guérir des états pathologiques par des fonctions psychiques, par des idées , des volitions. Vous leur dites que vous ne les c
, mais il faut encore instruire. Il faut faire comprendre, donner une idée plausible de la chose, ménager leur sentiment d'i
pte avec une bonne nourriture, avec la propreté et l'air pur. Cette idée de centralisation psychique ne trouvera pas d'opp
alades qui sont très dociles et impressionnables, ils acceptent toute idée suggérée, ils ont une foi plénière et une confian
e foi plénière et une confiance absolue en nous. Mais l'influence des idées sur les fonctions physiologiques est médiocre. Il
de l'utilité de la force de volonté individuelle. Je concède que l' idée n'est pas nouvelle. Il faut avouer même qu'on hon
e l'idée n'est pas nouvelle. Il faut avouer même qu'on honorait cette idée , il y a une cinquantaine d'années, beaucoup plus
iction sont nouvelles. Ainsi, comme science et comme application, l' idée est sans nul doute nouvelle, car l'idée devient s
ience et comme application, l'idée est sans nul doute nouvelle, car l' idée devient science grâce à la méthode, et la convict
car l'idée devient science grâce à la méthode, et la conviction que l' idée peut servir invite à l'appliquer. La grande maj
appliquer. La grande majorité des médecins applaudit probablement l' idée et la trouve belle, mais elle ne croit pas absolu
de la parole écrite et qui s'imaginerait devoir ainsi communiquer ses idées de vive voix à chacun des membres. Et pourtant
dées de vive voix à chacun des membres. Et pourtant de tout temps l' idée fondamentale de la médecine est restée la même ;
nt diminué considérablement. Personne, je l'espère, ne me prêtera l' idée absurde de vouloir remplacer la médication par la
n, l'esclave de conceptions théoriques. Remarquez cependant que ces idées ne sont pas, en effet, si absurdes qu'elles puiss
paraître à beaucoup de gens. Hack Tuke ne traite pas de ridicule l' idée d'échapper aux maladies épidémiques à force de vo
ique ainsi nommée par Forel. On entend par la le pouvoir inhérent aux idées d'Influencer des états phytiques. Par exemple, la
onsiste qu'à faire entrer dans le cerveau du sujet, endormi ou non, l' idée de la guérison ou de la disparition de certains s
née du pouvoir de contrôle. M. Delbœuf (de Liège). — La plupart des idées exprimées par M. Van Eeden sont conformes à celle
pnotisme, en 1887. C'est en faisant naître dans l'esprit du sujet l' idée de la guérison que l'on l'obtient. Je rappellerai
us comme un phénomène élémentaire. Nos lecteurs pourront se faire une idée plus complète de l'intérêt psychologique que prés
lemagne soit restée si longtemps indifférente à ce mouvement et que l' idée de publier un Journal spécial sur cette question
rocès criminels. Dans la dernière session des assises de l'Aisne, ces idées nouvelles paraissent avoir agi en faveur d'un acc
i avait cassé la mâchoire. il est donc probable qu"il n'avait pat les idées très nettes lorsqu'on l'interrogea quelques minut
ire k Bouvry. comme si, dit M. Faisant, il voulait lui Insinuer cette idée et la lui imposer. Et le greffier insiste : « Pou
, cette habitude devant abréger notablement la durée de sa vie. Cette idée , déposée dans son esprit, y lit rapidement son ch
çon presque inopinée de vomissements, de frissons et de diarrhée. Les idées tristes l'ont envahie et elle vit dans une préocc
roubles nerveux et mentaux assez graves : hallucinations, cauchemars, idées de suicide, etc. Elle attribue ces symptômes à l'
commencement d'adhésion. Comprendre une phrase, c'est entrer dans les idées elles sentiments qu'elle exprime, quitte à s'en d
Tant que ses auditeurs le suivent, on peut dire qu'ils n'ont plus une idée à eux. De cette identification provisoire avec la
e rebelle à la suggestion verbale quand on aura l'esprit positif, des idées arrêtées, une volonté énergique, l'habitude de me
Quand il nous parle, il ne nous supplie pas en lui-même d'adopter ses Idées ; il nous ordonne de le faire, il veut que nous c
t ardue alors : il est encore plus difficile de déraciner une vieille idée que d'en implanter une neuve, et ici on a les deu
ne prévention. 11 faut parler longtemps pour désorganiser peu à peu l' idée que l'on attaque et habituer l'esprit de l'audite
à peu l'idée que l'on attaque et habituer l'esprit de l'auditeur a l' idée nouvelle. L'amour-propre seul exigerait ce délai
'orateur est bien obligé de prendre l'homme tel qu'il est. Toutes les idées que Ton voudrait nous faire admettre et qui ne s'
t donc, si l'on veut nous donner une conviction solide, rattacher les idées qu'on nous pré- (l) Pascal. De l'art de persuad
seils n'agissent sur nous qu'à la longue, par la sonrde obsession des idées suggérées. Le difficile sera donc d'obtenir de no
ment, en quelque sorte, par la cadence de la parole, le mouvement des idées et des sentiments. Le rythme, dit excellement Did
ves ou gaies, ou un enchaînement de petites onomatopées analogues aux idées qu'on a et dont on est fortement occupé, aux sens
des moyens pour arrêter ces crises, mais sans succès. Enfin, on eut l' idée de faire prétarer dans la salle des fourneaux all
combattu mon interprétation. « M. Janet a travesti et dénaturé les idées que, à la demande de M. le président Sidgwich, j'
dangereux que par les suggestions mauvaises qu'on peut faire. « Ces idées se trouvent développées dans mon livre Hypnotisme
tisme, septembre et octobre 1891. Les faits sur lesquels j'appuie ces idées , je les montre à tous ceux qui visitent ma cliniq
clinique. « Je prie le lecteur qui désire réellement connaître mes idées sur la suggestion, de les chercher dans ces écrit
uatre heures. Programme : Naissance et évolution des pratiques et des idées médicales che; les différents peuples. Superstiti
. » (Allg. ZEitsch f. Psychiatr., XLIX, 1-2.) » De la yariabilité des Idées délirantes et des hallucinations ». L'Administr
e l'a fait rencontrer après tant d'efforts infructueux avait leurré l' idée instigatrice qui dirigeait ces efforts, si mon fa
de réussir à donner une solution ferme en plaidant pour ou contre mon idée préconçue, mais la constatation des résultats éta
ces recherches l'étaient beaucoup moins que celles dont j'avais eu l' idée en premier lieu. Il est parfaitement inutile qu
rience sur l'homme à l'état de veille. Dominé pendant longtemps par l' idée que je pouvais bien n'avoir affaire qu'à une form
mis au courant de toute l'histoire de la malade, et alors, il eut l' idée de profiler du sommeil ebloroformique pour détrui
ne valeur physique à cette médication. 11 est juîte de dire que les idées de Moebius n'ont pas reçu l'approbation unanime d
traordinaire par l'explosion qui résulte de la tension violente d'une idée , absorbant toutes les autres pour constituer une
de reproche moitié brusque, moitié amical, de manière s, écarter de l' idée de la patiente toute trace d'inquiétude. Le vieux
iques se superposaient ainsi aux images visuelles et réveillaient les idées que ces dernières étaient devenues incapables d'é
e délire, dan» cet état, est très cohérent, sans hallucinations, sans idées absurdes, tout le monde s'y trompe, sauf les init
geant ta main. Je déchiffre la conversation suivante, qui donnera une idée du détire somnarabulo-hystérique de la malade; ca
riture que l'on fait exécuter a sa main réveillent dans son cerveau l' idée que représentent les mots écrits, et la voilà de
profonde. Le tact et le sens musculaire étaient conservés : on eut l' idée de s'en servir pour réveiller dans son cerveau l'
éveiller dans son cerveau l'image des mouvements de l'écriture et les idées associées à ces images : le suc- cès a été comp
néanmoins, jusqu'à la fin du siècle dernier, nous avons ignoré que l' idée pouvait faire surgir l'état corporel correspondan
s en l*s défiant de l'abaisser, il ne fait par là que leur donner une idée mensongère de son pouvoir. Il leur impose par son
s, pendant le retour de voyage même, son visage s'est assombri et les idées de chagrin l'ont encore une fois envahie. « Du
encore une fois envahie. « Du 14 juillet à fin décembre, les mêmes idées noires revenaient fréquemment et ont fini par se
ar se modifier; pendant les mois d'octobre, novembre et décembre, ces idées ont pris la tournure dangereuse que vous connaiss
rapidement, en moins d'une minute. Et alors, je la défiai d'avoir ses idées sinistres pendant qu'elle était là à côté de moi.
nt ses yeux l'image de son mari, de ses enfants, éveiller chez elle l' idée de les tuer, cette idée ne vint pas. J'insistai p
on mari, de ses enfants, éveiller chez elle l'idée de les tuer, cette idée ne vint pas. J'insistai pendant près d'un quart d
qu'il était difficile, sinon impossible, que, dans ces conditions, l' idée du meurtre se présentât à son esprit, distrait qu
« Vous le constatez; vous ne pouvez pas faire renaître vos mauvaises idées , ma parole et ma présence les repoussent ». Qua
t, de huit à neuf heures, il lui fut impossible de s'abandonner à ses idées de meurtre, elle était bien trop occupée à s'obse
que dans l'intervalle. J'avais été prévenu que. dans ces moments, les idées étaient plus noires. Certes, j'aurais pu risquer
affaiblit le cerveau; qu'on ne fait pas disparaître en huit jours des idées maladives qui ont mis des années à s'implanter da
jouter à l'angoisse provenant de mon éloignement. Tout le cortège des idées sinistres reparut plus terrifiant que jamais. Ell
889 Tremblement choréiforme du membre supérieur droit- — Lypémanie, idées de mort et de suicide- — Guérison par la suggesti
is. De 1876 à 1888, évanouissements, absence de force. Depuis 1881, idées noires qui ont augmenté d'intensité lors de ma pr
s au tremblement de La paralysie agitante. Evanouissements fréquents. Idées de suicide constantes. Pleurs. Insomnie ou cauche
Dès te premier sommeil provoqué, je lui ai suggéré de ne plus avoir d' idées noires, ni d'idées de suicide. Dans une deuxièm
eil provoqué, je lui ai suggéré de ne plus avoir d'idées noires, ni d' idées de suicide. Dans une deuxième séance (dix jours
embre 1892, époque à Laquelle elle a été reprise d'évanouissements, d' idées noires et de suicide, de douleurs et du même trem
voqué, j'ai pu par suggestion faire disparaître le tremblement, les idées noires, les évanouissements et les douleurs des m
mbres. 9 novembre. Pas de tremblement, pas d'évanouissements. Pas d' idées noires. Il existe de la douleur précardiaque et
mment compliqué de troubles mentaux graves, consistant en mélancolie, idées délirantes tristes, en tentative de suicide, et d
suggestion de sensibilité ou de motilité ; tel autre n'accepte pas l' idée suggérée de sommeil, alors que cependant ses memb
fin des moindres circonstances favorables pour lui faire accepter ses idées . L'observation suivante est instructive dans ce
du tégument cutané sans douleurs. Ou se préparait à abandonner toute idée d'opération lorsque le Dr Mendez de Leon, se rapp
fondant toutes les lois sous lesquelles vil notre monde physique. Ces idées passent sans doute confusément dans l'esprit de c
premiers saisis par la contagion homicide, et qui plus est. n'a pas l' idée de s'en étonner. » La plupart viennent par curi
che ? Le sujet ne peut pas se suggérer un phénomène dont il n'a pas l' idée . 11 y a, je pense, dans l'hémisphère droit du c
eil l'avait un peu reposée. Des le soir du second jour nous eûmes l' idée , sans prévenir la malade, l'endormant encore sous
n prendre ! » 17 septembre 1889. — «... Cola ne me vient même pas a l' idée , et j'en suis étonnée ; pourquoi ?? • 21 septem
ée, et j'en suis étonnée ; pourquoi ?? • 21 septembre 1889. - • Une idée domine toutes les autres : savoir pour- « quoi
et c'est une vraie souffrance de ne pouvoir y arriver. C'est une « idée fixe, une vraie monomanie. — Quand on me parle de
as ; si j'en souffre, je ne me dis « pas : « Si j'en avais ! » Non. L' idée ne me vient pas que je pourrais facile-« ment m'e
Malgré cela, toute la journée j'ai été inquiète et tourmentée, et l' idée seule que cela pourrait arriver me donne du tremb
mauvais de son existence, parce que l'esprit agit en lui. parce que l' idée inhérente au cerveau commande ces actes, donne l'
pense : la machine automatiquement obéit et réalise la pensée. Qu'une idée possède le cerveau ! le corps vibre à son unisson
esprit en a la clef et peut les déterminer. Voyez chez l'homme sain l' idée suggérée au cerveau, son instrument, jouer sur lu
nations! Voyez chez l'homme malade, la simple parole, c' est-a-dire l' idée qu'elle contient, donner un sommeil bienfaisant,
aceutique! El le médecin n'est pas un simple vétérinaire! Imbus des idées organiciennes à outrance, habitués à considérer t
mais nul n'a été plus fécond ; nul dans sa douleur n'a enfanté plus d' idées , plus de science, plus de découvertes utiles; nul
ur que de croire que ces impressions ont été fixées par un ennemi des idées religieuses. J'estime, au contraire que ces croya
suis-je injuste, mais j'ai cru constater une exploitation peu digne d' idées respectables. La définition de Guy-Patin m'est mo
t de Crimi-nalogie, dont l'organisation sera inspirée à la fois par L' Idée qui a présidé à la creation du Musée Psychologiqu
au point de durer plus d'une heure, de plus la malade étant envahie d' idées de suicide, on dut l'envoyer à l'hôpital. A son
l est susceptible d'avoir des érections, voire même des pollutions. L' idée d'être endormi le préoccupait vivement et je ne f
otisation j'aurais pu formuler, avec quelques apparences de raison, l' idée que cet homme n'était pas hypnotisante. Je me ser
par l'hypnotisme, mais en même temps, il s'était mis dans l'esprit l' idée qu'on ne pourrait l'endormir. Il fut cependant as
utérisation, qui ne provoqua aucune réaction. En même temps j'eus l' idée de masser tous les muscles qui s'insèrent sur l
es. Maack, de Kiel, parle aussi de suggestions prœ-hypnotiques. Les idée » suggérées pendant l'hypnose et devant se dévelop
sujet, à l'état de veille, avant la production de l'hypnosc, et que l' idée suggérée doit se réaliser pendant l'état d'hypnos
t intacte, son intelligence bonne, sa volonté assez ferme. Elle a des idées noires et elle craint de mourir d'une maladie d
e l'ai endormie, cl pendant les séances suivantes je lui ai suggéré l' idée de la guérison el j'ai pu arriver aux résultats s
tion opiniâtre, eh bien ! dès la première séance, je lui ai suggéré l' idée qu'il fallait qu'elle aille tous les malins à sep
tion du projet, sa séparation, le pèlerinage lui-même, deviennent une idée fixe... Dans ces conditions, l'esprit n'est pas l
uggestion. « SI l'esprit du malade, dit Barvell, est dominé par cette idée qu'une cura va s'opérer en lui, la cure est opéré
le Docteur de Dekterow, de Saint-Pétersbourg; voici quelles sont les idées qui ont été émises par cet auteur : « L'hypnoti
iorité, et qu'il osait pour cela d'un troc très commode, émettant des idées contradictoires, de façon à pouvoir toujours dire
côté moral lui échappe. C'est un honnête homme; il ne supporte pas l' idée d'un vol ou d'un crime quelconque; il n'a pas eu
upporte pas l'idée d'un vol ou d'un crime quelconque; il n'a pas eu l' idée que ses actes puissent être considères comme crim
ent être considères comme criminels. A reste, il ne réfléchit pas : l' idée lui vient. l'acte qu'elle sollicite suit immédiat
lle, le sujet pouvant lui-même prendre note de ses sensations, de ses idées , de ses déterminations et les rapporter aux sugge
t par prendre pour la vérité. Charcot (4) suggère à une jeune fille l' idée qu'elle a de l'argent, et quelques jours après el
. Ayant eu l'occasion récente d'observer deux de ces cas. j'ai eu l' idée d'employer le courant faradique sur un point du c
alpêtrière, mais on n'a pu l'y garder en raison d'hallucinations et d' idées de suicide. 11 août. — Étal actuel : La physi
le désir de se frotter le dkeur. et, par conséquence naturelle, toute idée , toute pratique et tout désir d'onanisme. 2° Pl
lui et avec lui, les générations se succèdent en conservant les mêmes idées , les mêmes lois et les mêmes qualités, bonnes ou
une, considéré. Mais c'est un mélancolique assailli continuellement d' idées plus noires que l'encre. L'obscurité, la solitude
de me l'envoyer. Nous avons jeté une espèce de plan et émis quelques idées . Il riait aux éclats, toujours dans son sommeil :
—est-il allopalhique ou homœopathique ? — de lutter contre certaines idées morbides, en forçant le sujet i s'en occuper. A
par notre regretté confrère, dont l'esprit était ouvert à toutes les idées nouvelles. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONAL
c'était bien une névrose hypnotique suggestive. » Se basant sur ces idées , Bernheim divise les états hypnotiques en neuf de
n magnétiseur. Certains adeptes de l'École de Charcot ont modifié ces idées premières. Ainsi, tandis que cet auteur considère
par lesquels ils ont passé. Nous avons entendu Luys développer ces idées dans ses leçons cliniques à la Charité : il y mon
peut se rattacher à la névrose, et variées à l'infini, autant que les idées extravagantes peuvent se présenter à l'imaginatio
lles soutenaient leurs mensonges. En effet, tant que l'on n'a pas l' idée de chercher ce qu'il peut y avoir de simulation d
pas fixer son attention, ne peut pas concenter toute sa pensée par l' idée du sommeil. D'un coté, le moindre bruit peut le d
le distraire, et de l'autre son esprit est tellement préoccupé de son idée morbide qu'il ne peut l'en détacher et porter son
dée morbide qu'il ne peut l'en détacher et porter son attention sur l' idée du sommeil. Il se croit lui-même réfractaire, cl
une fixation du regard très intense pour détacher son attention de l' idée morbide. Quand le neurasthénique a été une fois e
ète par accès. Vertiges fréquents, peut-être liés i l'usage du tabac. Idées plutôt ambitieuses. Le malade a passé la plupart
gestion verbale assez énergique, j'ai pu détacher son a lient ion des idées morbides qui tourmentaient son cerveau et lui imp
ès intelligent et que son cerveau est assez développé pour recevoir l' idée du sommeil. Et cela a parfaitement réussi. Au bou
déjà avancé. M. Delasiauve avait gardé un esprit ouvert à toutes les idées nouvelles. Il laissera à tous ceux qui l'ont conn
16 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sorielles ne se rattachait aucune ou ne se rattachaient que peu des idées habituelles et, par suite, ces sensations, ces pe
c ? Plus tard, les phénomènes cérébraux et leur marche imposèrent l' idée du foyer de ramollissement siégeant très probab
rer qu'au moins pour le Tremblement Infantile nous partagions les idées d'un certain nombre d'observateurs qui se sont pr
r le Dr P. 111nom. (Journ. de Neurologie, 1902. n°4.) D'après les idées généralement reçues en France, le terme de cata
ence de signification, et de relation soit entre eux, soit avec une idée directrice quelconque. Ces troubles sont donc dan
rist, nul peuple ne fut plus apte que le peuple juif à recevoir des idées abstraites sur la Cosmogonie et à concevoir les
à sacri- lier les intérêts politiques, sociaux et économiques à des idées et à des convictions profondes. Les sémites a
ces qui se mêlèrent à eux par la suite furent vite imbues des mêmes idées et sentiments, et acquirent les caractères des
al o/' Mental Science, octobre 1901.) Il faudrait pour donner une idée exacte de ce travail reproduire l'arbre généalo
général de quarante et un ans, ancien syphilitique chez lequel les idées délirantes sont provoquées et entretenues par d
historique de la Société. Ce fut Baillarâer qui, le premier, eut l' idée de fonder une association de médecins aliénistes.
ébat sur les hallucinations permit à Baillarger de dévelop- per des idées lumineuses devenues depuis classiques etàParchapp
entre les partisans de cette opinion et ceux qui 'partageaient les idées de Baillarger sur la dualité de cette aflec- ti
rescence qui rendirent son nom illustre dans le monde entier. Les idées délirantes de persécution donnèrent lieu à des co
aladie isolée par XI. Magnan : celui où commencent à apparaître les idées de grandeur et celui de démence terminale.' Sig
premier travail est une oeuvre vraiment remarquable ; il a fixé nos idées sur la marche de la paralysie générale, sur ses
ysie générale, sur ses variétés habituelles, sur les caractères des idées délirantes, « multiples, mobiles, non moti- vée
ibliographie est si vaste. Jules Falret développa et compléta ses idées sur la paralysie générale dans plusieurs études
athologie cérébrale. Dans tous ces travaux, Jules Falret a semé des idées nouvelles, qui sont aujour- d'hui du domaine co
ser les questions,.à trouver les for-' mules précises qui mettent l' idée en relief et la gravent dans les esprits. Dans
happe à une brève analyse, nous nous con- tenterons d'en donner une idée par la division du sujet. < 1 1° Folies idio
r, par Ed. Clal)arè(Je ; Nouvelle classification des associations d' idées . Genève, Ch. Eggimaim et C10, éditeurs. Paris :
puérilement malicieuse, par son incapacité de ras- sembler quelques idées raisonnables, sauf à de certains moments où une
à tel point que, venant d'observer le sujet de l'ob- servation I, l' idée m'était venue que la dépression et les rides d'
esthésies ou hyperesthésies profondes qui sont le point de départ d' idées fausses et d'actes dérai- > sonnables : -ces
nales; c'est le myxoedème et le crétinisme goitreux qui ont donné l' idée des fonctions du corps thyroïde; n'est-ce pas la
ents de recherche de la phy- sico-chimie et c'est attirés par cette idée que, du monde entier des savants viennent à Par
m de mélancolie perplexe (Ritti) ; 3° un délire mélanco- lique avec idées de négation, de damnation, de possession, tra-
onnalité; 4° une phase de mégalomanie qui se déduit logiquement des idées de négation, véritable mégalomélancolie, selon
, alitement. M. Brissaud rappelle qu'en 1890, il a émis les mêmes idées que M. Lalanne sur l'anxiété. Lorsque l'angoiss
, l'état mental de l'infantilisme; le rapporteur n'adopte pas cette idée , l'état mental du tiqueur ne rappelle celui de
i l'obsession. Cas fréquent, tic obsédant, entretenu, aggravé par l' idée obsédante qui est le plus sûr agent d'entretien
), c'est une complication ; l'hystérique est devenu aliéné. Voilà l' idée qui m'a fait donner un sens différent au mot ps
que, mais pas état mental). M. Cruciiet (de Bordeaux) part de cette idée , admise absolument par tous les auteurs, que le
des lies. M. Pitres (Bordeaux). - Je ne partage pas tout à fait les idées doctrinales développées par M. Noguès dans l'ex
l que soit le résultat de ces recherches, il ne me viendra jamais l' idée d'appliquer a un cas de ce genre le nom de tic
ez qui la maladie avait débuté à soixante-dix ans. Dans cet ordre d' idées , M. Parant croit devoir signaler le cas d'un ma
efois la mélancolie s'accompagna, pendant une quinzaine de jours, d' idées de suicide et même d'homicide qui marquèrent le
close. Elle entre dans le dégoût de la vie, est aux prises avec des idées actives de suicide et est actuellement en cours
s aliénés les choses se passent différemment : tout entiers à leurs idées délirantes, ils se livrent à une mimique effrén
es lies que nous publierons prochainement. Elle vient à l'appui des idées de M. Pitres, notamment en ce qui concerne la s
lle, dans son traité du Délire des persécutions1, sous ce titre : « Idées de persécution .communiquées ou délire à deux e
chives, 2- série, t. XIV. 19 290 CLINIQUE. MENTALE. contagion des idées délirantes est très rare d'un aliéné à un autre
luencé à divers degrés pour que l'entourage abandonne peu à peu les idées fausses qui lui avaient été communiqués. Tout
ans commettre aucun acte imputable à l'aliénation 1 ». Etendant l' idée de Baillarger, M. Régis constitue un groupe à p
s comme réellement atteintes de folie. » Il y a communication des idées délirantes d'un sujet à l'autre. Il faut pour c
, pas. Enfin l'organe passif ne tarde pas à se débarrasser de ses idées fausses dès qu'il se trouve soustrait à l'influen
aliéné : il peut ne pas guérir, même séparé de son compagnon ; les idées délirantes qu'il accepte avec leurs réactions m
mme vraies par le parent avec lequel il vit en étroite communauté d' idées et de sentiments ; jusque-là il n'y a qu'un fai
que-là il n'y a qu'un fait de crédulité, mais les conséquences de l' idée fausse ne tardent pas à se produire. » Cette
ns avec prédomi- nance de l'une d'elles dans ta conduite du délire. Idées de persé- cution. biterprétations délirantes, E
mêmes phrases se suivent l'une appelant l'autre qui la complète ; l' idée , comme un thème musical, passe d'un instrument
herche à restreindre la portée de leurs dires ; elle critique leurs idées , leurs termes. Sa méfiance ne s'endort pas un i
arlers. C'est elle qui tient le plus à la vie et qui repousse toute idée de suicide. C'est elle dont la toi- lette est l
montées elle dort. Par contre, sa nature émo- tive, en recevant les idées d'Annette, les lui restitue, plus intenses. J
molle, que ne soutient d'ail- leurs nul jugement. On ne cite aucune idée venue d'elle. Devant nous, elle demeure silenci
sueur et délirant; il a de l'ex- citation intellectuelle, quelques idées ambitieuses « il va acheter à sa femme des « ch
vue; il rêve à ses che- vaux, à son métier, à ses clients. Quelques idées confuses de per- sécution, une tendance aux idé
clients. Quelques idées confuses de per- sécution, une tendance aux idées de satisfaction il croit que c'est son patron q
ces symptômes démentiels s'accusent da- vantage ; il s'y joint des idées de richesse, G..., d'ailleurs, avait continué à
lever l'instant d'après. Bavardages incohérents avec prédominance d' idées de satisfaction et de richesses ; instabilité m
ur, sainte Thérèse a reproduit sous une autre forme le même ordre d' idées ; ce château fort se compose de plusieurs encei
ite de l'embarras de parole. Ce fait lui semble venir à l'appui des idées émises par M. Paillas sur la corrélation des ce
prement dit. 11 convient tout d'abord d'éliminer les observations d' idées obsé- dantes, ou mieux fixes, prépondérantes et
it d'accès aigus, ils revè- tent en général la forme anxieuse : les idées morbides ne sont que la transformation délirant
dées morbides ne sont que la transformation délirante des anciennes idées obsédantes, comme cela s'observe aussi d'ailleu
er au délire systématisé. Le thème délirant est très variable ; les idées de persécution sont les plus fréquentes, expliq
de persécution sont les plus fréquentes, expliquant en général une idée de contrainte qui peut aller jusqu'au délire de
in qu'ils s'opposent à la construction de greniers pouvant donner l' idée d'en faire des dortoirs, soit pour les malades tr
la pre- mière, d'ordre clinique, est consacrée à la définition de l' idée et du délire d'auto-accusation ; à la conceptio
e ces états morbides, 346. SOCIÉTÉS ..SAVANTES. - caractérisent l' idée d'auto-accusation. La seconde partie, d'ordre m
nces pratiques, dans les domaines judiciaire et administratif, de l' idée d'auto-ac- cusation, comprend l'étude de la sit
e déprécie, parle de sa déchéance physique et morale et exprime des idées générales d'incapacité, d'indignité, de culpabili
du délire de culpabilité des mélancoliques, toutes les variétés des idées - délirantes, obsédantes ou simplement vaniteus
e du délire mélancolique. Ce délire, qui affecte d'abord la forme d' idées de culpabilité générale, diffuse, peut, en vert
pertrophique de menues peccadilles passées, soit a la culture d'une idée fixe postonirique, soit à l'attribution personn
dans l'espace et dans le temps, et s'est précisée dans son objet, l' idée d'une culpabilité déterminée,le mélancolique de c
stade d'évolution délirante, res- tent ainsi platoniques dans leurs idées d'auto-accusation. Quelques- uns d'entre eux vo
d'auto-accusation. Quelques- uns d'entre eux vont plus loin et de l' idée passent à l'acte. D'auto- accusateurs platoniqu
bilité diffuse à la culpabilité précise ou auto-accusation, et de l' idée platonique d'auto-accusation à l'acte de l'autodé
passe ainsi de l'inquiétude vague à la persécution précise, et de l' idée inoffensive de persécution passive à l'acte jus
tiologiques avec la dégénérescence mentale, dans la pathogénie de l' idée d'auto-accusation. Les dégénérés inférieurs, dé
ment le bénéficiaire intéressé. Les obsédés peuvent présenter des idées obsédantes d'auto-accu- sation, consécutives el
SOCIÉTÉS SAVANTES. 349 ) ment commis le crime dont il a cultivé l' idée , et arrive à se croire réellement coupable. L
réellement coupable. Les dégénérés paranoïaques qui formulent des idées d'auto-accu- sation sont les auto-accusateurs s
hallucinatoire, de nature onirique, le délire évolue au- tour d'une idée fixe qui survit au rêve morbide (Régis) et qui év
sincérité et leur mimique. 380 SOCIÉTÉS SAVANTES. La survie de l' idée fixe de culpabilité est presque toujours éphé-
uquel le malade fut soumis démontra qu'il avait agi sous l'empire d' idées de culpabilité, afin d'expier les crimes dont i
parole, inégalité pupillaire, signe d'Argyll, perte de la mémoire, idées délirantes diverses (de grandeur, de négation,
staterait, en outre : 1° Que le prévenu a tardivement manifesté des idées d'ambition ou de fortune, des goûts de dépenses
les erreurs apparaissent aussitôt ; 4° Enfin, si sa conception des idées abstraites est intacte. Je reconnais que sur ce
iques, ou de n'en mercurialiser aucun, suivant que l'une ou l'autre idée théorique nous guide, ou que l'une ou l'autre i
ite de l'embarras de parole. Ce fait lui semble venir à l'appui des idées émises par M. Pailhas sur la cor- rélation des
s de la vie du sujet et qui a pour origine et base intellectuelle l' idée qui s'est associée à l'émotion causale. La gué-
Dans le chapitre des symptômes l'auteur établit une filiation des idées de négation et de leurs « idées corollaires », et
l'auteur établit une filiation des idées de négation et de leurs « idées corollaires », et insiste tout particulièrement
eune femme habitant Bissy (Savoie), avait depuis quel- ques jours l' idée fixe de tuer sa mère. Pour échapper à cette obses
GIE CLINIQUE MENTALE. Contribution à l'étude de la pathogénie des idées délirantes fondamentales, des idées directrices
à l'étude de la pathogénie des idées délirantes fondamentales, des idées directrices, et des obsessions; de leurs rappor
tempérament fou (Maudsley) d'une mé- lancolique dans la genèse de l' idée de culpabilité, l'influence de l'obsession dans
anique. Elle montre aussi clairement que possible, selon moi, que l' idée de culpabilité naît surtout par suite de la ten
intervient pour produire l'affirmation formelle, la fixa- tion de l' idée de culpabilité. Au point de vue de l'intelligen
nce de la part qui revient à chaque élément dans la pathogénie de l' idée de culpabilité et des idées fondamentales dans
chaque élément dans la pathogénie de l'idée de culpabilité et des idées fondamentales dans les délires vésaniques avec
llectuel n'est pas non plus très élevé. Il est bien évident que les idées de culpabilité ne sont pas simplement la conséq
les idées de culpabilité ne sont pas simplement la conséquence des idées de persécution; nous trouvons, en effet, dans l
oi, si le rôle de la tare originelle n'était pas le principal, si l' idée de culpabilité n'existait pas préalable- ment p
nt, à établir qu'elle les mérite. Il ne saurait être question ici d' idées de culpabilité décou- lant d'hallucinations de
éductif n'a donc qu'une part insignifiante dans la germination de l' idée de culpabilité, il n'influe que sur la forme qu
l'idée de culpabilité, il n'influe que sur la forme que revêtira l' idée de culpabilité, le délire de culpabilité. Comme
dans l'exercice volontaire de l'intelligence, dans la formation des idées , s'accompagnent d'un autre côté, et comme consé
'un certain degré d'automatisme psychologique, origine première des idées délirantes' 1 ». C'est en vertu de son organisa
semaines et des semaines, est obsédée par le besoin d'arriver à une idée déterminée de culpabilité, d'ar- rêter une idée
oin d'arriver à une idée déterminée de culpabilité, d'ar- rêter une idée de culpabilité. Comme elle doit ainsi fatale- m
lpabilité. Comme elle doit ainsi fatale- ment aboutir à une forme d' idée de culpabilité, le rôle du raisonnement déducti
ée par le doute, par le besoin de don- ner une forme déterminée à l' idée de culpabilité qui germe en elle, le soulagemen
ène accusant incontestablement une influence originelle. C'est de l' idée de culpabilité à l'état latent que procède l'ob
latent que procède l'obsession, besoin impulsif de développer cette idée , de lui donner une forme ; cette obsession, ain
idée, de lui donner une forme ; cette obsession, ainsi causée par l' idée latente de culpabilité, amène à son tour l'évol
amène à son tour l'évolution ou plutôt la fixation de la forme de l' idée de culpabilité, et, son rôle accompli, nous la
er. Comment l'obsession conduit-elle à la fixation de la forme de l' idée de culpabi- lité ? La continuité et la durée de
du délire, l'obsession, conséquence elle-même de cette tare et de l' idée préexistant à l'état latent, joue le rôle d'auxi-
t le peu de durée de la maladie, de la trouver sous l'in- fluence d' idées de négation que l'on ne rencontre générale- men
e n'a plus d'estomac, plus de poi- trine, etc. Je me demande si ces idées de négation ne seraient pas simplement communiq
tion souvent exprimé à haute voix ; je sépare les deux malades, les idées de négation de la plus jeune disparaissent, ell
st, à mon avis, en s'attachant à distinguer surtout net- tement les idées délirantes qui procèdent essentiellement de la
est pas en attri- buant, comme on le fait encore aujourd'hui, telle idée déli- rante à telle autre ou à telle hallucinat
ons de voir chez J... 11..., on ne peut pas conclure, de ce que les idées de persécution apparaissent primitivement plus
lus bruyantes et plus mani- festes, que ce sont elles qui causent l' idée de culpabilité, mais, à mon sens, elles contrib
sens, elles contribuent à en faciliter l'éclosion et l'évolution, l' idée de culpabilité préexistant, à l'état latent, et
orte que, même dans la mélancolie dite à délire de persécution, l' idée de culpabilité serait encore, malgré les apparenc
, l'idée de culpabilité serait encore, malgré les apparences, une idée fondamentale. Le caractère nettement obsessif d
ettement obsessif des phénomènes qui pré- sident à l'évolution de l' idée de culpabilité, l'intensité, le relief des idée
à l'évolution de l'idée de culpabilité, l'intensité, le relief des idées de persécution et la facilité avec laquelle not
de persécution et la facilité avec laquelle notre malade adopte les idées délirantes d'une de ses com- pagnes m'amèneraie
lanètes Rocheuses. » Son élocution abondante, la multitude de ses idées , de ses rai- sonnements, de ses preuves indiqua
té de livres ! « Flammarion l'a plagiée » ; elle reconnaît bien ses idées et son style. Dès lors, les persécutions ne c
ifficile de la suivre dans le dédale de ses explica- tions ; mais l' idée générale qui s'en dégage, c'est que dans toutes c
pour vivre encore, pour avoir un nom et une patrie. A côté de ces idées de persécution, mais écloses en même temps qu'e
persécution, mais écloses en même temps qu'elles, sont apparues des idées de grandeur. Elle est le parallèle du Christ, l
st l'enfer à cause de tous les maux que nous souffrons. Telle est l' idée des Planètes Rocheuses « livre métaphysique et
sychique : l'incohérence des troubles délirants, la coexistence des idées de persécution et de grandeur, l'absence d'évol
tente de répondre, sur un ton monotone, quand nous lui exposons les idées de sa mère : « Très bien, c'est cela, très bien.
nnel d'un raison- nement. Tout au plus J... protestait-il quand l' idée délirante le choquait trop brusquement par son
s. Mais à côté de cette psychose communiquée, J... a présenté des idées de persécution, qui, ne rentrant pas dans la foli
des soins « pour son pauvre fils, qui perdait la tête. » « Il a des idées noires, dit-elle, il ne sait plus ce qu'il fait
terrain sur lequel s'est développée la psychose. On voit que les idées de persécution jouent le principal rôle dans ce
e principal rôle dans ces deux délires : c'est en effet la règle. L' idée de persécution se développe facilement au milie
lles ont vouée au père, ont pu, volon- tairement ou non, suggérer l' idée de l'accusation. V. Ne devons-nous pas faire co
usqu'à la démence complète, de la dépression mélancolique jusqu'aux idées systématisées de persécution, depuis des stigma
es centres supérieurs (douleurs névralgiformes diverses, insomnies, idées hypochondriaques). Cette tropho-asthénie se ren-
' Libotte. (Journal de Neurologie, 1899, n° 25.) Partant de cette idée que tous les symptômes du goitre exophtal- miqu
mel, se soient imposé la pieuse mission de la mettre au courant des idées actuelles, l'auteur a voulu écrire de sa main, dé
loin de croire à une hallucination de sa part, lorsqu'ils eurent l' idée de soulever les planches, et le muet lubrique a
ntiment connu sous le nom d'amour, qui a son origine aussi dans une idée , image, impression obsé- dante. L'impression ag
la ' rend irrésistible à l'état pathologique. » cc Pour que cette idée angoissante puisse surgir spontané- ment et dom
eorget, décrite après Morel et comprise par divers auteurs sous les idées fixes (Buccola), idées incoercibles de Tambu- r
orel et comprise par divers auteurs sous les idées fixes (Buccola), idées incoercibles de Tambu- rini, idées impéralives
sous les idées fixes (Buccola), idées incoercibles de Tambu- rini, idées impéralives par Hack Tuke, ces trois derniers a
Westphal nous donne une analyse fine de ce phénomène.sous le nom d' idées obsédantes. Pour lui c'est une idée, bien que l
de ce phénomène.sous le nom d'idées obsédantes. Pour lui c'est une idée , bien que l'intelligence reste intacte, sans qu
ence reste intacte, sans qu'il existe un état émotif ou passionnel, idée qui appa- rait à la conscience, s'y. impose con
UE MENTALE. sant pas chasser, empêche et traverse le jeu normal des idées et est toujours reconnue par le malade comme an
est ou absent ou, s'il existe, il est secondaire et provoqué par l' idée obsédante, dont il représente une simple réacti
magne, Krafft-Ebing regarde l'émotion comme la consé- quence de l' idée dominante. « La réaction de la représenta- tion
mènes, le doute, la crainte et l'acte. - Mais en réalité, c'est l' idée qui prévaut toujours : « L'idée impérative est
l'acte. - Mais en réalité, c'est l'idée qui prévaut toujours : « L' idée impérative est le grand facteur, les troubles é
uvant être considérés comme secondaires et dus au conflit entre l' idée et la volonté. » D'autres auteurs qui considère
ui est primitive, en se réper- cutant'vers l'écorce, y réveille des idées appropriées et l'idée à peine née, retourne à l
réper- cutant'vers l'écorce, y réveille des idées appropriées et l' idée à peine née, retourne à la base raviver les sen
e raviver les sentiments d'où elle est sortie. Donc dépendance de l' idée vis-à-vis du sen- timent et subordination fonct
trouve, l'obsession n'existe plus ; par contre si nous y enlevons l' idée fixe ou la tendance impulsive, y laissant seule
ouvent par une phase d'angoisse analogue, après la disparition de l' idée fixe. Enfin, si l'émotion n'était qu'une réacti
on de l'idée fixe. Enfin, si l'émotion n'était qu'une réaction de l' idée fixe, son intensité devrait nécessairement être
t à anxiété systématisée ou monopho- bique ; 3° L'état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. On distinguait autrefo
ge de. fluide émotionnel, accumulé en excès dans l'organisme. Une idée , une émotion, une sensation quelconques suffisent
10° L'attaque du vertige. A l'état d'angoisse vient se greffer une idée fixe ou phobi- que comme une sorte d'objectivat
on ou de l'imagination ; 3" Phobies relatives à un trouble dans les idées ou les senti- ments. 2° Y a-t-il une différen
eux (névrose anxieuse), les der- nières dues à la prédominance de l' idée , l'état émotif restant 't toujours le même, la
e de l'idée, l'état émotif restant 't toujours le même, la nouvelle idée se mésallie à l'état émo- tif, ce qui nous rend
y avait phobie, développée comme symptôme de la névrose anxieuse. L' idée qui constitue la phobie peut être substituée pa
. L'idée qui constitue la phobie peut être substituée par une autre idée ou plutôt par le procédé protecteur qui semblai
à rougir. Dès lors, il y pense toujours, il y pense'sans cesse; une idée fixe s'est greffée sur le phénomène émotionnel,
émotif s'atténue.-Il est'd'usage de'sé- parer, dans l'obsession, l' idée fixe simple et l'idée impulsive ; bien qu'au fo
est'd'usage de'sé- parer, dans l'obsession, l'idée fixe simple et l' idée impulsive ; bien qu'au fond de toute idée il y
, l'idée fixe simple et l'idée impulsive ; bien qu'au fond de toute idée il y ait un élément moteur, et quelles idées ob
ien qu'au fond de toute idée il y ait un élément moteur, et quelles idées obsédantes soient de véritables impulsions inte
a- tives ou théoriques et des obsessions impulsives ou actives. L' idée fixe. physiologique, est. la forme quasitétanique
» DES OBSESSIONS EN PATHOLOGIE MENTALE. 475 être pathologique. L' idée fixe physiologique est voulue, même cherchée pa
ience qu'elle envahit par une sorte d'effraction de la volonté. L' idée d'obsession a comme caractère principal d'être in
nté plus ou moins intense pour chasser cet hôte importun. C'est une idée parasite, automatique, discordante, irrésistibl
tel- ligence constitué par la succession harmonieuse de plusieurs idées , l'émotivité pathologique cherche à jeter une not
re, intruse, toujours la même qui sollicite notre 'attention. Cette idée discordante s'impose et domine les autres ; d'o
dans certaines formes chroniques et incurables de l'obsession où l' idée fixe s'ancre, dans le cer- veau. Il est même de
toujours. Dans tout cela, je finis par ne-plus me reconnaître, mes idées s'embrouillent et je ne puis plus démêler le vrai
s plus démêler le vrai du faux. o Les auteurs qualifient encore l' idée obsédante d'irrésistible, cela veut dire non se
ce qui différencie essentiellement, en effet, au point de vue de l' idée , l'obsession, du délire, c'est que, dans l'obse
t appel à la volonté pour la refouler; tandis que dans le délire, l' idée peut être pénible, mais elle n'est pas un éléme
de donner des preuves d'une énergie peu commune pour combattre leur idée fixe et la combattent réellement, leur'volonté
ent. Mais souvent les obsédés succombent dans la lutte contre leurs idées ; alors leur attention se con- centre davantage
e leurs idées ; alors leur attention se con- centre davantage sur l' idée à chasser qui pénètre plus profon- dément dans
pénible et puis à l'anxiété, l'angoisse de se sentir envahi par une idée étrangère, se joint l'anxiété, l'angoisse de ne
mitante, résultant du conflit douloureux de la volonté contre cette idée . Un autre carac- tère et des plus anciennement
conservé seulement avant et après l'accès. - Par la présence de l' idée obsédante, constatée par un grou- pement de cer
rfois tout à fait pendant un instant, soit que le malade cède à son idée , soit que celle-ci revête une forme particulièr
phénomène, c'est bien un attribut de la conscience. La nature des idées d'obsessions est éminemment variable. Sur un'no
ob- session religieuse et scrupuleuse avec ses infinies variétés ( idée -anxieuse de ne pas toucher une personne ou une c
sion du doute et d'un sentiment quelconque. L'origine de toutes ces idées d'obsession est une impres- sion, un choc émoti
jours à une origine sexuelle, opinion combattue par M. Régis. Les idées obsédantes ne sont pas généralement des idées a
e par M. Régis. Les idées obsédantes ne sont pas généralement des idées absurdes, impossibles ; parfois même elles sont
ion l'indice d'un affaiblissement 480 CLINIQUE MENTALE. mental. L' idée obsédante peut se modifier et se transformer pa
obie systématisée est rare- ment unique; le plus souvent, plusieurs idées obsédantes coexistent soit similaires, soit dis
nforce simplement en lui. Cette action du rêve sur l'obsession et l' idée fixe s'exerce surtout chez les hystériques, san
ne, elles ont une allure rémittente ou continue, sont chroniques, l' idée obsédante est multiple et peut se modifier. ,
elque com- pliment sur lui-même, car il est très content et a haute idée de soi : il n'y à pas d'ouvriers qui gagnent pl
malade est : Dégénérescence et débilité mentales originaires, avec idées délirantes polymorphes (culpabilité, persécutio
u pro- bable. Les automutilateurs obéissent le plus souvent à des idées délirantes ; les uns veulent se punir des crimes
ouvent aussi, il est impossible de comprendre quelle relation lie l' idée délirante à la mutilation. Aussi, dans une obse
d'une automutilation, mais qu'elle doit être recherchée dans une idée délirante (mystique, de persécution, de culpabi-
inution ou abotition de la volonté par une crainte mor- bide on une idée fixe; c) la volonté peut être entravée par une
tiplicité, la mobilité, l'absence de motifs et la contradiction des idées déli- rantes, signalées par AI. Falret ; d'autr
, le délire éclate varia- ble, mobile, fugace ; il peut y avoir des idées de persécution, des idées de grandeur, du délir
ble, mobile, fugace ; il peut y avoir des idées de persécution, des idées de grandeur, du délire mystique, il n'y a pas de
pper à l'observation et se traduisant surtout par l'incohérence des idées et l'inattention à l'égard des choses ambiantes
tière « il y avait quelque chose d'excentrique et de perverti ; ses idées « ne semblaient pas s'associer à la façon de ce
sprit égaré, et que même on y peut voir luire de temps en temps une idée originale et vraie exprimée dans une langue amu
tait purement intel- lectuel et se satisfaisait par des débauches d' idées ; mais Nietzche n'est jamais obscène. Il semb
horismes courts, de phrases où l'on découvre « des associa- tions d' idées et de mots qui ne sont réglées ni par le bon sens
re et un manque de goût ». D'ailleurs, si « Nietzche avait quelques idées directrices, on ne peut pas-dire qu'il ait eu u
e autour de ses oeuvres, et AI. Ireland re- marque que c'est là une idée délirante commune chez les au- teurs. Le débu
de chute dans l'espace et commençant à esquisser les mouvements; l' idée de chute exerçant un rôle inhibiteur et envahis
uence de l'alcoolisme dans l'éclosion de la folie et nous donne une idée du développement de l'alcoolisme lui- même dans
onduite au commissariat de M. Lahat, où on apprit que celle-ci, une idée d'ivrogne lui passant par la cervelle, avait forc
rd n'est-il qu'un syn- I diome, par Castm. 386. vésa- nique. Voir Idées délirantes ! Auto-intoxication et-par SégJas, ;
ans, guérie en une seule séance, par Le Menant des Chesnais, 279. IDÉES délirantes. Contribution à l'étude de la patlio
. Contribution à l'étude de la patliogénie des fondamentales, des idées direc- trices et des obsessions ; de leurs ra
ire; parSeg)as,336.Leset)ansy- cltastéuie. par Janet, 386. Voir Idées délirantes. Des - en patho- logie mentale, par
17 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ion veineuse, et nulle description n'en saurait donner de meilleure idée que la figure 7, dessinée d'après nature. Le ne
ient ainsi des conditions favorables à leur cir-, ¡ culation. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 35 varicocèles
ssent, sans doute, une telle pathogénie. 1 CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS»; Par M. le D'
RISTIAN, Médecin de la Maison nationale de Charenton. . 1 ! b). IDÉES DE grandeur alternant avec LES IDÉES DE PERSE-
nale de Charenton. . 1 ! b). IDÉES DE grandeur alternant avec LES IDÉES DE PERSE- CUTION. A première vue, les malades d
catégorie ne diffèrent pas de ceux dont je viens de parler : leurs idées de grandeur sont de même nature. m'a semblé cep
e fixité, ni la même ténacité : elles alternent simplement avec les idées de persécution. Chez ces malades, on ne voit pa
longuement discuté, M. Dontrebente et moi. Il avait assurément des idées ambitieuses', et je ne l'ai 1 L'un de nous a ob
Ann., jan- vier 1882. 36 CLINIQUE MENTALE. jamais nié; mais ces idées venaient et disparaissaient. Jusqu'à la fin de
ntes, la menaçait, allait même aux voies de fait. Il a conservé ses idées ambitieuses; il se croit toujours riche à milli
t. Tout le monde cherche à l'empoisonner, même sa mère, ou du DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 37 moins la «
oisons violents qu'on jette sur lui, ou même qu'on lui respire. Ces idées rendent le malade très difficile pour son entou
dans le vin. On le couvre de Humes, on lui inspire son souffle. Ses idées de gran- deur sont toujours restées vagues ; le
s ; le malade est du reste peu intel- ligent. c). PERSÉCUTÉS avec IDÉES d'orgueil, DE satisfaction vagues, non FORMULÉE
l aussi, en faisant remarquer cependant que l'or- gueil et la haute idée d'eux-mêmes existaient chez ces malades, bien a
re, de citoyen, sa vertu sans tache ». Jamais il n'est arrivé à une idée de grandeur concrète. L'observation suivante est
il énumère ses propriétés, la valeur de ses terres. Mais jamais d' idées de grandeur concrètes, tandis qu'au contraire, le
ns pour qu'il attrape un mauvais coup... Sa \ ...... -... 1 . DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 39 maîtresse n
demment un persécuté, mais, quoiqu'il ait de lui-même la plus haute idée , ce n'est pas un mégalo- maniaque véritable, et
sur le corps, sur les bras, une foule de tatouages symbolisant ses idées délirantes. Ici je ne veux parler que de la for
qu'il connaisse le sens exact. Veut-il, par exemple, exprimer cette idée très simple que, s'étant marié, il ne rêvait qu
utorise à ce sujet une supposition plausible. d). PERSÉCUTÉS sans IDÉES DE grandeur. Tous les persé- . cutés finissent-
elques-uns de nos collègues affirmer nettement que l'apparition des idées ambitieuses est de règle, qu'aucun persécuté n'
uses est de règle, qu'aucun persécuté n'y échappe. S'il n'y a pas d' idées de grandeur maintenant, il y en aura dans un mo
nstitué définitivement, et si, jusqu'à ce moment, il n'y a pas eu d' idées ambitieuses, il est permis de croire qu'il n'y
ur existence, pendant trente ou quarante ans au moins; jamais DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 41 on ne les a
deviendront ambitieux que très tard, ou qui cachent avec soin leurs idées de grandeur; que l'on admette encore que chez b
e encore que chez beaucoup de malades je n'aie pas su démêler ces idées de grandeur qui existaient réellement, je persist
ept. 1887, p. 29G. . Marandon de Montyel, Des Persécutés génitaux à idées de gran- deur, in Ann., mars 1890. Doutrebente,
n effet, non pas que les persécutés génitaux ne sau- raient avoir d' idées de grandeur, mais que chez eux ces idées ne son
aux ne sau- raient avoir d'idées de grandeur, mais que chez eux ces idées ne sont qu'accessoires, qu'elles ne constituent
les délirants' chroniques les persécutés génitaux qui ont quelques idées accessoires de gran- deur, - je resterai en dro
rois que ce serait forcer les analogies que de considérer comme une idée ambitieuse la revendication du domaine légué à
revendication du domaine légué à son frère. C'est là simplement une idée de persécuté qui pré- DES IDÉES DE ,GRANDEUR' C
à son frère. C'est là simplement une idée de persécuté qui pré- DES IDÉES DE ,GRANDEUR' CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 43 tend qu'o
gt-cinq ans, et qui pourtant, jusqu'à présent, n'a manifesté aucune idée de grandeur : ! ..., , r ? , . Observation 'X
ses écrits, ni dans ses conversations, je n'ai pu surprendre aucune idée ambi- tieuse. Une autre observation que je po
, on lui fait avaler des drogues malfaisantes, etc. Jamais aucune idée ambitieuse quelconque. Enfin je viens de perdre
à une époque où il n'était pas question de délire chronique. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 45 5 je disais
es misères à un homme comme moi qui n'a jamais fait de mail » DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 47 IY. Il me p
uns deviennent ambitieux, les autres parais- sent réfractaires aux idées de grandeur. A l'époque de la fameuse discussio
ussion à la Société médico- psychologique, j'étais persuadé que les idées ambitieuses ne surviennent qu'exceptionnellemen
je viens de réunir les observations, j'en trouve trente et un avec idées de grandeur plus ou moins développées, soit plu
e serait généralement rapide. Chez la plupart de mes malades, les idées de grandeur sont apparues peu après les idées de
t de mes malades, les idées de grandeur sont apparues peu après les idées de per- sécution ; dans certains cas, on aurait
délirants chroniques, d'autres persécutés présentent également des idées ambitieuses, mais moins fixes, moins dominantes
lire a certainement une grande importance. Mais, dans la genèse des idées délirantes, ' Toutes réserves faites sur la qua
sous la main, suffiront amplement, je pense, pour vous donner une idée de ce que l'on doit entendre sous cette dénomin
est vrai sur- tout dans les cas particuliers où cette collection d' idées associées qu'on appelle le moi est obnubilée. O
où le jugement est affaibli, la volonté à peu près impuissante. Les idées suggérées en pareille circonstance et en partic
ill... et en même temps, elle se remet en mémoire par association d' idées , bien qu'elle ne la regarde pas en ce moment, l
de lésions syphilitiques implique, sui- vant toutes probabilités, l' idée d'une origine commune. P. Keraval. XXV. DE ce
l'importunité de ces pseudo-réminiscences et leur intensité que des idées délirantes prennent corps et fournissent une syst
sphorescences suffisent pour entraîner des groupes d'associations d' idées et d'impressions. Ou plutôt, ces lueurs qui vol
ans la sphère inconsciente du psukê provo- quent des associations d' idées fixes qui, à leur tour, font irruption dans le
très probablement des lacunes dans les trames de l'association des idées ; ainsi les fibres qui nous avertissent de la ré
ent d'une altération fonctionnelle des rouages de l'association des idées . P. K. XXXIII. NOTE sur les paralysies dans la
ablir le diagnostic de névrite périphérique, et, pour écarter toute idée d'une affection médullaire. La grippe doit donc
tuelle, -anémie, fièvre, couches. Le début est aigu : de nombreuses idées délirantes de grandeur, de persécution ou de cu
erreurs des sens dont une production énorme accable le malade; les idées délirantes surgissent et se multiplient, à ce q
rès impé- tueux entre lesquels la réaction de la conscience sur les idées déli- rantes est moins forte. Le souvenir de
ifient les autres manifestations de la vie psychique, la marche des idées , la sphère motrice; si la mélan- colie ou la ma
sujets atteints de cette affection mentale. Con- formément à cette idée , étant donné ce fait que la maladie se pré- sen
production d'hallucinations dans toutes les sphères et différentes idées délirantes, n'ayant rien de systé- matisé. Si c
actère de la maladie ne se découvre que quand l'impétueux accès des idées délirantes et des erreurs des sens se calme, et
ystérie, une telle marche de la paranoïa ne peut servir d'appui à l' idée que le délire primitif aigu et le délire primit
s dans le projet de loi de M. Reinach. . La Société s'associe aux idées émises par M. Garnier et décide qu'elle nommera
u cadre des obsessions; 2° l'hallucination peut être secondaire à l' idée obsédante (obsession hallucinatoire) ou être pr
et que nous avons consacré, le 26 septembre dernier à la... géniale idée du chapelier Léon. La Revue mensuelle de l'Ecol
Revue mensuelle de l'Ecole d'Anthropologie nous rappelle que cette idée avait déjà germé sous des crânes plus ou moins
com- prend trois périodes. La seconde période se signale par des idées systématisées de persécution et par des halluci
riode, qui manque parfois, aux troubles précé- dents s'ajoutent des idées de grandeur. C'est pendant le cours des deuxièm
u reste, ses facultés mentales sont conservées, et en dehors de ses idées délirantes, il raisonne sainement. Il arrive mê
s'aper- cevaient depuis longtemps de ses préoccupations et de ses idées étranges. - Il faut le bien noter, jamais dans
té de ce genre, maintenant âgé et un peu dément, et chez lequel les idées de persécution ont beaucoup perdu de leur inten
re que, chez eux, la tendance à tuer n'est pas raisonnée mais que l' idée du meurtre s'im- pose à leur esprit; soit sous
ade semble être arrivé à la période finale d'un accès de manie, ses idées sont troublées, pas de conceptions délirantes p
pes de la psychologie positive qu'une sem- blable conclusion, car l' idée de la responsabilité atténuée est basée sur l'é
ces des opinions' 1 en '-certains points;, on- retrouvé cettè même' idée son : . r' dameiitale, 1 la'distinction ide's a
s de l'affection, sans règle précise, avec ou sans hallucination ou idée délirante préalables. La mélancolie chez les dé
. D'autres fois, c'est sous l'empire d'une halluci- nation ou d'une idée délirante que l'homicide s'accom- plit, mais il
ou moral n'est pas un aliéné, il est un criminel-né. Loin de nous l' idée qu'il soit, par suite, considéré comme étant re
es qu'elle voit faire signifient qu'elle paiera pour tout le monde. Idées de suicide parce que la religion a dit : si ton p
as fait. c D'ailleurs, ajoute-t-elle, il y a toujours en moi deux ' idées qui se contredisent. » Une voix intérieure lui di
ltation externe de la Salpêtrière le 10 novembre 1891. Elle a des idées noires. Il y a deux ans, son mari s'aperçut déjà
n mentale. - Le matin, quand elle se réveille, elle est assaillie d' idées . Elle se répète qu'elle aurait dû réfléchir avant
u- rais mieux fait d'agir autrement, je ferais mieux de changer d' idée . Il lui arrive de parler toute seule; elle se sen
e. » Elle ne fut articulée qu'une fois. Pas de mauvais génie. Pas d' idées délirantes. Idées de suicides particulières, El
iculée qu'une fois. Pas de mauvais génie. Pas d'idées délirantes. Idées de suicides particulières, Elle voulait donner di
lle parait avoir eu une première atteinte avec état neurasthénique, idées noires, préoccupations pour son travail. C'est
Mais elle était déjà malade quand elle a commencé à se faire des idées . Elle se forçait à manger; elle sentait ses jambe
ait mieux que je meure que de supporter cela. » Enfin elle a eu l' idée de se tuer et de se jeter à l'eau. Elle s'est é
eau froide, sèche, flasque. Etouffements quand elle réfléchit à ses idées tristes. Champ visuel normal. Fosse iliaque droit
ujet. 11 n'est pas honnête, » . 27. Voici comment elle expose ses idées de culpabilité, d'hu- milité ; et comment elle
gorge comme une respiration aiguë, et c'est z elle qui me donne des idées mélangées. Le mélange des idées con- siste à av
ë, et c'est z elle qui me donne des idées mélangées. Le mélange des idées con- siste à avoir toute espèce de contrariétés
n âne.. , Conversation mentale. J'étais un sujet préparé contre les idées . Une voix dit pour, l'autre contre. Je ne les e
» Mais elle n'a pas de visions. Elle sembleavoir de la tendance aux idées de négations. « Je croyais vivre comme tout le
être des personnes qui leur ressemblaient. « Je me fais souvent une idée qui s'abat tout de suite, c'est plutôt dans mes
mal. Elle devint complètement aboulique et indifférente d'où ses idées de désespoir, d'humilité et de culpabilité. Elle
fixe dans un scepticisme vague doutant de ses sentiments et de ses idées noires, de ses actes même, incapable de. faire de
ité du dédoublement. Il s'agite' dans son esprit un a mélange » d' idées contradictoires qui l'empêche de conclure à quoi
On la méprisait. Elle resta trois mois à Vaucluse et en sortit sans idées délirantes. Le deuxième accès a débuté en octob
oisins parlent d'elle en arrière. Elle avait de l'insomnie. Pas d' idées d'empoisonnement. Pas d'auto-accusation. Inte
ademoiselle Sans-Gêne. J'ai du poil au cul. Je ne changerai pas mes idées . Parce que Monsieur a des con- naissances, je n
ut ce qui s'était passé et reconnaissait qu'elle n'avait eu que des idées imagi- naires. Elle n'avait rien vu, ni entendu
t que l'analyse ne saurait suivre d'assez près pour en donner une idée satisfaisante. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE MEN
ommis ou regardé commettre froidement sous l'influence de la même idée délirante et sont également et respectivement con
cueillies et relatées avec soin, dont l'analyse ne donnerait qu'une idée insuffisante, mais dont la lecture, jointe à ce
variétés de folie du doute, devant prendre place dans le cadre des idées obsédantes, dont elles partagent tous les carac
revanche, la méthode d'investigation pe ut suggérer au patient l l' idée de certaines anesthésies ou inversement. Le publi
oua. Il promit même de raconter plus tard comment lui était venue l' idée de cette simula- tion ; il n'a pas tenu parole,
ntion; imbécillité : instabilité de l'attention. Partant de cette idée directrice, qu'il développe d'ailleurs parti- c
roprement dite, le rôle que joue l'attention dans l'acquisition des idées , et dans-la mémoire est tel quel'auteur a pu fa
ces, la faculté de généralisation, d'abstraction, l'association des idées , l'imagination, etc., tous phénomènes qui sont
des imbéciles. ° Il est difficile de donner en quelques lignes une idée exacte de cet ouvrage, fait à Bicêtre dans le s
gique, etc.) contribue pour une large part à la justi- fication des idées de l'auteur. Au point de vue de la protection e
ction coupable, etc... Autant d'exemples qui viennent à l'appui des idées de l'auteur et qui contribueront, espère-t-il, à
janvier 1889.) , Ce court mémoire, accompagné d'un plan, donne une idée exacte de la disposition que présente la nouvel
service de l'humanité dans lequel on a mis en pratique les grandes idées médicales, hygiéniques,[sociales, administrativ
i appris qu'un enlèvement avait eu lieu à Villejuif. Ça m'a donné l' idée d'en faire autant. M. le PRÉSIDENT constate que
Le Dr MAGNAN. - Louise Dourches va mieux, mais elle conserve des idées délirantes, il faut donc qu'on la laisse tranquil
obstacle. Après dix minutes de tentatives infructueuses, elle eut l' idée qu'on pouvait avoir barricadé la croisée; elle
c plus de violence que jamais. Vers 10 heures, elle abandonne son idée de sortir. «Puisqu'on ne veut pas que j'aille m
es; puis agitation, bavardage délirant dans lequel elle exprime les idées les plus grotesques, besoin de mouvements excen
vais... » ce qui signifiaitje sens que je perds la direction de mes idées , que je n'ai plus la libre disposition de mon e
maman... Je ne dois pas faire de bruit... » . Elle n'avait aucune idée de sortir, tout au plus quelques mouve- ments d
tes et déraisonnables parmi lesquelles la pensée de sa mère était l' idée dominante. Cette crise surajoutée s'est répétée
as ! ... » Elle devient aussitôt soupçonneuse, tourmentée, et cette idée d'empoisonnement qui l'avait vivement préoccupé
uttes qu'elle engageait avec les personnes qui s'op- posaient à ses idées déraisonnables; et -malgré ces scènes de violen
délire des crises prend lui aussi un autre caractère ; une nouvelle idée domine l'esprit de la malade; pro- fondément tr
poser..... lui seul en a le droit ! ... - Du 15 au 20 juin, cette idée a dominé toutes ses crises, pendant toute leur
ar la jeune fille la troubla au point qu'abandonnant le jour même l' idée du suicide, elle n'eut plus d'autre préoccupati
oient dociles, confiantes, et ne se torturent pas l'esprit de mille idées déraison- nables ; qu'elle m'avait entendu dire
Sur l'éveil partiel de tel ou tel sens dans ses rap- ports avec l' idée dominante qui captive la malade; Sur la pathogé
ère, nous pouvons aujourd'hui, sans crainte de l'avenir, affirmer l' idée , qu'il y a trente ans, nous avions émise avec q
nécessaires à l'élaboration intellectuelle, à la formation de nos idées : ces images passant dans la région fron- tale
es : d'abord elle se sent poussée à l'onanisme en dehors de toute idée de rapprochement sexuel, c'est une spinale simple
nt le plus profondément possible. HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 321 L' idée obsédante de mordre et de manger la peau n'est
ntôt, pour la raison la plus futile, déprimé, triste, hanté par des idées de suicide. Il a même fait dans le service une
imple observation du sur- veillant. Il présente en même temps des idées mystiques, il est dévot et superstitieux et par
les sensations, les souvenirs, les perceptions, les associations d' idées , etc. Plus tard, au vingtième siècle peut- être
ies, non pas d'après des causes phy- siques, mais d'après certaines idées qui déterminent le choix des impressions sentie
ies localisées, les associations habituelles de nos sensations, les idées que nous nous faisons de nos organes, jouent un r
e direz-vous, vous éveillez par la notion de la position des bras l' idée principale de l'attaque et le. reste se déroule.
. Mais pour mettre de l'unité au milieu de faits divers il faut une idée , une théorie : les hypothèses peuvent avoir des
ots « je, moi », ce sont des termes éuormé- ment complexes. C'est l' idée de la personnalité, c'est-à-dire la réunion des
pensées morales, politiques, religieuses, etc., c'est un monde d' idées , le plus considérable peut-être que nous puission
e ce sont des faits psychologiques simples sans l'intervention de l' idée de personnalité. Deuxième temps : il s'opère un
t de départ de ce qu'on appelle en psychologie des associations d' idées . Une sensation devient une sorte de signe, à prop
ue qui a la réputation, parait-il, « d'enlever les sorts ». - Cette idée , qu'il pouvait bien être ensorcelé, avait donc,
goisse s'ajoutent des hallucinations de la vue et de l'ouïe, et une idée délirante nait tout à coup dans son cerveau. Des
est bouchée. Il voit près de lui un de ses voisins, M... Puis cette idée surgit : C'est « son sort» qui l'étouffe, et c'es
plie par l'appétit de tuer, il n'y reste de place pour aucune autre idée . Voici ce qui s'est passé ensuite. A..., à demi
arre, il comptait à haute voix les coups qu'il leur don- nait ; son idée était de leur en donner à chacune soixante. NOT
il est déprimé, il s'exprime lentement et non sans difficulté, ses idées sont troublées, et il lui faut un certain effor
faut que je meurs. » Eu dehors de son quadruple assassinat, dont l' idée l'absorbe, il est très difficile d'obtenir de l
ans ses divagations, les mêmes craintes d'empoisonnement, les mêmes idées de suicide, qui reviennent toujours. Il devient
royait, mais qu'il ne le croit plus. 11 est toutefois certain que l' idée de sortilège ne l'a pas abandonné. Elle occupe to
On retrouve encore des hallucinations, des illusions, et aussi des idées délirantes, mais moins intenses. Il y a surtout b
actuel de A... : Dépression mélancolique légère, trouble dans les idées , préoccupations un peu vagues et mal systé- mat
réoccupations un peu vagues et mal systé- matisées dans le sens des idées de persécution, et spé- cialement crainte qu'on
générale, des hallucinations et des illusions diverses, et par une idée délirante de sortilège. Presque de suite, une i
et a même regretté de les avoir commis, tout en con- servant cette idée , qui fut la cause originelle de l'im- pulsion,
est devenu, pour le malade, le point de départ d'une association d' idées , qui s'est déroulée plus ou moins à son insu, e
peut-être la moindre part. Le dernier terme de cette association d' idées a été cette concep- tion absolument consciente,
e dans l'esprit du malade et lui restant associée jusqu'à la fin. L' idée de faire embrasser le cadavre de la mère par l'
être davantage et se transformera en un délire mélan- colique avec idées de sortilège et de persécution. Mais on doit pr
n dédoublement de la personnalité caractérisée par la lutte entre l' idée de bien et l'idée de mal. Ici chaque voix a sa
la personnalité caractérisée par la lutte entre l'idée de bien et l' idée de mal. Ici chaque voix a sa localisation. Cela
est née. C'était un asthmatique et un alcoolique avéré. Il a eu des idées de suicide répétées sans tentatives. Il n'était
t suivant : niveau intellectuel peu élevé; délire mélancolique avec idées mystiques prédominantes ; depuis plusieurs mois
roches. Elle se sent forcée de se parler ainsi. Elle a toujours ses idées religieuses. Elle n'aime pas le bruit, le mouve
colie « pure ». Cette opinion d'ailleurs est bien en rapport avec l' idée que l'on se fait de l'état cérébral des mélanco
et incertaines ; et cette incertitude même s'oppose à ce que leurs idées revêtent une intensité suffisante pour que les
TRICES. 393 d'hallucinations terrifiantes de la vue et de l'ouïe, d' idées mélancoliques, crainte de la ruine, de la mort
ique avec découragement général, et par paroxysme de l'anxiété, des idées de désespoir et de suicide. A ce moment, il n'y
n l'a empoi- z sonné par l'ordre des illuminés de Sicile... » Pas d' idées de gran- deur apparente. Aliéné à cinquante ans
les décrit avec une minutieuse précision. On ne peut que donner une idée imparfaite d'un semblable tra- vail qui doit êt
'asile de la Jamaïque en 1874 ; il avait de la manie chronique avec idées de grandeur. Douze ans plus tard, en 1886, il c
l'écart, manque de spontanéité. Elle a de la peine à rassembler ses idées pour répondre aux ques- tions, à moins qu'elles
te pas de signe de sclérose et d'atrophie, porte à faire accepter l' idée de Meyer, Rumpf, Mendel, que les lésions des vais
tion principalement sur la nature de ses formes albuminoïdes. Cette idée générale doit sans doute trouver son applicatio
l'épilepsie, la stupeur, la mélancolie, l'excitation maniaque, les idées vagues de persécution ou de grandeur. A l'asile,
ents arrivent assez facilement à se débarrasser de leur parasite. L' idée de possession est tellement anracinée chez les
roduire l'hallu- cination et provoquer de nombreuses associations d' idées , se fondre avec tout un monde d'images commémor
à son essence même, il s'effectue tout un monde d'asso- ciations d' idées qui lui donnent sa couleur ou la complètent. Tell
dement, en février 1890 le voilà vésanique; un désordre extrême des idées et des actes se montre, et, huit jours après le
d'une assistance familiale dans leur pays, m'ont amené à fixer mes idées sur les conditions générales à rem- plir àcet e
sont : i°Un cas de mérycisme; 2° Deux observations d'inversion des idées sexuelles qu'il ne faut pas confondre avec l'in
ons déli- rantes dans la folie systématique ou le désordre dans les idées hallucinatoire et la démence. Dans l'espèce, il
ion faisant espérer la guérison. 3° Irritabilité, mélan- colie avec idées de persécution provoqués par des hallucinations d
d'agitation gaie ou triste et d'angoisse extrême. Désordre dans les idées . Ces accidents durent huit jours, puis graduell
deux mois. M. HAHN présente aussi un cas de désordre aigu dans les idées , qui est en somme un délire général avec agitat
rdial d'après lui, caractérisé par désordre et incohérence dans les idées et les actes et qui se différencierait nettemen
; le malade a conscience de sa siluation, bien plus, il expose des idées philosophiques d'un fatalisme des plus cyniques
on à un grade supérieur dans la Légion d'honneur, ont eu l'heureuse idée d'organiser cette fête. « Ils. m'ont ainsi pr
re pressentiment lui vint. Il le chercha paitout, mais vainement. L' idée lui étant venue plus tard de forcer l'armoire,
sburg, 225. PÉDONCULE, fibres du-, par Zacher, 401. Persécutés, idées de grandeur chez les -, par Christian, 35; sort
18 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
me du rêve, un rêve de commande et un rêve en action. N'avoir que des idées suggérées et les croire spontanées : telle est l'
que d'entre nous donne à ceux de ses semblables qui en sont témoins l' idée plus ou moins irréfléchie de l'imiter, et. si ceu
eils resteraient toujours incapable de varier spontanément le type d' idées et de besoins traditionnels que leur imprimerait
ntes et indéterminées qu'ils avaient fait naître, besoins de foi sans idée , besoins d'activité sans moyen d'action. Quand no
bles combattues, toutes les fois qu'elles sont en opposition avec les idées , traditionnelles filles antiques du prestige et d
actuelle, ne pouvait croire â une simple névrose et inclinait vers l' idée d'une angine de poitrine organique. Je prescrivis
du centre génital sur le système nerveux général. Dans cet ordre d' idées , il est possible que. lorsqu'après l'allaitement,
e je pensai qu'elle avait pris quelque narcotique. A l'appui de cette idée , je n'avais aucun indice autre que le sommeil pro
talie, bien qu'il soit conçu d'après une autre méthode et d'après des idées différentes. Le Dr Émile Laurent a procédé comm
ite une sorte de profession de foi où il résume en quelques pages les idées de l'école de criminalogie française. Les Italien
Le Dr Emile Laurent a commencé ses recherches sans parti pris, sans idées préconçues, sans direction d'aucun maître, sans s
st un document absolument neuf et personnel. On y trouve exposées des idées d'esthétique très élevées. Là encore l'auteur a s
s et de leurs mobiles. Tel est ce livre dont on ne peut donner qu'une idée incomplète par une analyse déjà trop longue pour
rand nombre des écrivains littéraires, il a voulu se faire une exacte idée de ce qu'on nomme hypnotisme et parler en connais
, c'est que nous regrettons de voir se propager, parmi le peuple, les idées fausses, les préjugés qui peuvent, sinon entraver
iculièrement. Il n'y a chez l'hystérique aucune réflexion, elle a une idée et la met aussitôt a exécution, ses actes ne sont
mme qui veut paraître a tout prix et qui n'est même pas rebutée par l' idée d'aller en Cour d'assises, parce que la elle pour
'est le cerveau de l'opéré qui fait la suggestion et qui transforme l' idée en acte. Il peut arriver que !c cerveau de l'hyst
ontrôle du monde médical les résultats obtenus dans ce nouvel ordre d' idées . Déjà le grand succès du Congrès international
de la tribune qui leur est libéralement ouverte pour y exposer leurs idées , de s'y adresser à un auditoire courtois, sinon i
point de vue thérapeutique, il ne se doutait probablement pas que les idées qu'il exposait avec tant de modestie étaient appe
d'affections organiques est souvent créée de toutes pièces par l' idée préconçue du-clinicien. Ne suffit-il pas d'une su
ggestion dans les expertises médico-légales et qu'ils s'habituent à l' idée de voir la suggestion intervenir comme un mode de
la routine ne se résolvent pas faci-: lement à s'incliner devant des idées avec lesquelles ils ne sont point familiarisés.
implement le tait du hasard,sans connexion immédiate avec le fond des idées , délirantes ou non délirantes Dans la première ca
1887 (coup de revolver) Louvel, assassinant le duc de Berry avec l' idée de délivrer sucessivement la France de tous les B
ruire un personnage important et tout chez eux convergeait vers cette idée : les autres, en se dressant en face d'hommes en v
jusque là n'a voulu entendre. LES FAUX RÉGICIDES Pour donner une idée aussi exacte que possible de ces aliénés en marqu
chologique, que se produisent successivement chez ces individus : les idées de persécution ; la poursuite de griefs imaginair
une susceptibilité qui en font des êtres absolument à part. « Leurs idées , dit le Dr Journiac, leurs actes sont dans une co
rivent, intelligents ou non, à jouer naturellement avec les mots, les idées et le paradoxe. A la mobilité de leurs idées, à c
ement avec les mots, les idées et le paradoxe. A la mobilité de leurs idées , à cette contradiction perpétuelle, correspond un
ces individus mobiles arriver â cet état contradictoire : mobilité et idées fixes. Ce sont les hommes les mieux prédisposés a
grâce à leur mobilité résistent â l'envahissement de l'individu par l' idée fixe; mais chez certains la lutte est inégale ; l
individu par l'idée fixe; mais chez certains la lutte est inégale ; l' idée fixe revient successivement, et à chaque appariti
l'emporte sur tout le reste de l'activité cérébrale. Dans cet état, l' idée fixe se répète sous forme d'obse sion. qui, lorsq
il leur est impossible d'y résister et toujours lu satisfaction de l' idée , si futile qu'elle soit, amène chez e ux un soula
ne partie de dé-bauche : puis, peu à peu, il s'éprend d'elle. Alors l' idée fixe, l'obsession s'installe sous forme de sentim
esoin. Et cepen-dant, dans ses rêves de jeunesse, il s'était fait une idée magnifique del celle qu'il aimerait : il la voula
de se jeter par sa fenêtre, d'un étage assez élevé. Dans un ordre d' idées un peu différent, j'ai eu souvent l'occasion de v
besoin de boire. Il y demeurait plusieurs jours de suite sans avoir l' idée d'absorber la moindre liqueur alcoolique, bien qu
ues hallucinations et même du délire de la persécution, ainsi que des idées de suicide. Ce sont ces idées de suicide qui l'
lire de la persécution, ainsi que des idées de suicide. Ce sont ces idées de suicide qui l'ont amené à venir nous consulter
ou des personnes de sa famille. C'est a ce moment que naissaient ses idées de suicide. Sa femme, qui redoutait qu'il n'y don
ions de la veille lui sont revenues à l'esprit. Il a surtout rêvé a l' idée de résister désormais a toutes les impulsions et
esponsables des attentats qu'ils commettent sous la pression de leurs idées fixes, quelque habile que puisse être la combinai
ilosca, si nous mettions des cataplasmes aux pieds? — C'est une bonne idée .—Ou aux mollets ?— C'est tout aussi bien.— Ou aux
avec une tache de sang sur les manchettes. Et c'est bien fait ! — Les idées d'asepsie se sont répandues dans le public, qui a
our dissiper des troubles nerveux résultant d'un choc moral, ont eu l' idée de la faire traiter par suggestion hypnotique. Le
auto-suggestion. L'auteur expose ensuite, et de main de maître, ses idées sur l'etiologie ou mieux sur les moyens pratiques
te, fatigué demeure volontiers au repos et dans l'isolement, il a des idées de suicide. Il raisonne bien et sa nutrition est
ns les paralysies générales d'une autre origine. Folie puerpérale ; idées délirantes communiquées ; traitement psychique.
intellectuels avec intervalles d'excitation, quelques hallucinations, idées de mystique relatives au spiritisme, troubles de
ladie sur un terrain prédisposé et entaché d'hystérie. La couleur des idées délirantes est duc â l'influence du mari, spirite
t d'une façon notable et à tenté de se suicider pour échapper à cette idée fixe. M, Boucher rapproche cet état particulier d
ant des plus simples jusqu'aux plus complexes, sont : la mobilité des idées , l'inconstance, l'absence de volonté, l'esprit de
iments, l'indifférence, l'érotisme, les impulsions irrésistibles, les idées fixes, les illusions, les hallucination», l'ennui
héniques la suggestion s'est montrée impuissante à triompher de leurs idées hypocondriaques. Néan-moins nous avons pu recueil
la suggestion, il fallait s'attendre â ce que des médecins eussent l' idée d'appliquer a l'enfant une médication qui donnait
pas l'art d'utiliser l'aptitude que présente un sujet à transformer l' idée reçue en acte ? Et, d'autre part, l'observation j
i de son opinion, l'histoire d'une malade de la Salpetrière qui eut l' idée , sans savoir pourquoi, de se précipiter du haut d
ocuré quelques jours au paravant pour panser une plaie douloureuse. L' idée du suicide lui est venue tout-à-coup après la que
1883,. sa grossesse continuant à la préoccuper et à lui inspirer des idées soimbres, elle acheta un revolver et des cartouch
onde en conseils pratiques.' Notre collègue de Londres professe des idées très austères, quant à sa tâche et à son devoir d
d'avoir bien voulu associer la Revue de l'Hypnotisme à leur généreuse idée . Dr. Edg. Bérillon LA FOLIE DU DOUTE ET LE DE
ft-Ebing qui a nommé, le premier, en 1867, «Zwangsvorstellungen » les idées fixes dont la duréé et l'intensité morbides sont
logues, qu'il rattache â l'hypocondrie et qui! donne comme exemples d' idées fixes; entre autres une curieuse observation de v
e observation de van Swieten. La distinction entre l'obsession et l' idée fixe ne sera faite que beaucoup plus tard par Wes
rs n'aient pas soupçonné déjà les traits essentiels qui distinguent l' idée fixe de l'obsession. Delasiauve (4) rapporte le
s ces cas comme identiques. Brierre de Boismont (5) dit aussi que l' idée irrésistible, vivement combattue par le malade, f
dans ces cas le trait dominant du tableau. Sous l'obsession même de l' idée fixe, dit-il, les malades peuvent remplir leurs d
as été omise par M. Baillarger « c'est qu'on peut-être malade par les idées quand elles dominent l'esprit, mais qu'on n'est r
er les impulsions. « Puis il ajoute... « il est certain qu'au début l' idée fixe ne doit pas exercer sur les autres idées la
st certain qu'au début l'idée fixe ne doit pas exercer sur les autres idées la pression qu'elle exercera plus tard... il n'en
sion qu'elle exercera plus tard... il n'en est pas ; moins vrai que l' idée fausse est l'image du fruit gâté qui ne tarde pas
ensée est con-forme â l'opinion de Stricker (6) qui se demande si les idées fixes ne seraient peut-être point au début de sim
assage de Renaudin (1) qui distingue dans la monomanie deux espèces d' idées fixes et de conceptions délirantes, relativement
ns et la folie systématisée.Il décrit de main de maître la genèse des idées fixes. « chez un individu prédisposé, dit-il. fai
t quelque temps l'individu peut avoir conscience de tout ce que cette idée fixe a d'absurde, de déraisonnable ou de crimin
nent absurdes et extravaguants. » Tout cela s'applique aussi bien aux idées délirantes des fous systématisés qu'aux idées for
applique aussi bien aux idées délirantes des fous systématisés qu'aux idées forcées des obsédés. Marcé le démontre par les ex
x comment. Griesinger disait que le trouble était uniquement dans les idées , indépendant de toute complication émotive ou pas
spèce de t. question forcée " qui se ferait sentir dans les cercles d' idées les plus divers. C'est pour cette raison que l'au
résumées comme suit. 1° Jamais l'obsession ne devient une véritable idée fixe délirante, car les malades ne les assimilent
de son obsession, il n'agit pas comme le fou sous l'inspiration d'une idée délirante. L'obsédé reconnaît le ridicule et l'ab
ion; le fou systématisé se conforme logiquement aux déductions de son idée fixe qui a pénétré comme telle dans la conscient-
te par un état émotif ou passionnel. C'est un trouble originel de l' idée . Ce n'est pas une émotion. Quant l'obses sion app
n plus que dément. Comme Legrand. Wille signale encore les fréquentes idées de suicide et même des tentatives qui parfois ont
$3;, p. o» »..,,? «..:. M.b. aine T. III. lit» p. »7°. **? « ***. idées , tit observer néanmoins qu'il fallait bien se gar
cerveau et que j'allais mourir. Quand je marche et que les mauvaises idées me prennent, je dois m' arrêter, puis revenir d'u
re du toucher. Incapacité absolue de travail depuis 6 ans, à cause J- idées ". Mlle X. de taille moyenne, sans aucun signe
té aliénées. La malade raconte que depuis son enfance elle a eu des idées " qu'elle ne pouvait chasser. Elle se posait tout
nte d'aucune sorte, ni d'appréhensions quelconques. Mais toujours des idées sous forme de questions qui parfois deviennent si
qu'on l'a toujours regardée de travers. Depuis quelques années les idées l'obsédaient de plus en plus. Dé quelle se mettai
cette particule ne peut être divisée ? Comment cela se peut-il? Ces idées et bien d'autres semblables la tourmentaient long
isqu'on ne le voit pas dans le fond du ciel? Puis c'est le tour des idées sur la mort et l'immortalité. Quand quel-qu'un me
ps?I Y a-t-il une autre vie après celle-ci ? etc. etc. Toutes ces idées la tourmentaient souvent et longtemps. La malad
tourmentaient souvent et longtemps. La malade a eu fréquemment des idées de suicide, mais jamais elle n'a fait une tentati
des craintes, des remords: grâce à l'aiguille libératrice, toutes ses idées noires s'envolent. Il y a. chez ces malades, un
Révolution et de la Commune, la suggestion a joué un rôle. Tantôt une idée noble et généreuse circule dans les masses et met
leur sang et leur travail. C'est la Fête de la Fédération. Tantôt des idées de haine, de méfiance, de trahison, sont répandue
fini la suggestion dans le sens le plus large : l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
quel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui. L' idée arrive au cerveau par un des cinq sens ou par les
musculaires ou viscérales. Chaque cerveau transforme l'impression en idée , suivant son individualité psychique; car, à côté
t de suggestibilités diverses par des impressions identiques. Toute idée suggérée et acceptée tend à se faire acte; c'est
domine toute la doctrine de la suggestion, loi de ridèo-dynamisme. L' idée devient (douleur, démangeaison, froid, etc.) imag
suggestion dans un but thérapeutique ; car le cerveau, actionné par l' idée , actionne à son tour les nerfs qui doivent il)
rebethérapie, à li librairie Dam. In-S. Pari..518 p. réaliser cette idée ; il peut, par des phénomènes de dynamogénie ou d
sont sous -la domination directe du centre encéphalique. Pour que l' idée devienne suggestion, il faut qu'elle soit accepté
té qui fait la suggestion, et l'automatisme cérébral qui transforme l' idée en acte, sont modérés par les facultés supérieure
lte l'automatisme : cérébral, c'est-à-dire l'aptitude à transformer l' idée en acte. Tel est le I sommeil naturel qui. engour
s la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée et à la réaliser. L'état hypnotique n'est autre c
une pratique quelconque, de façon à faire pénétrer dans son cerveau l' idée qu'on veut réaliser. Le ! sommeil n'est pas néces
existe normalement, sous l'influence des émotions suggestives, d'une idée impérieuse dans le sommeil naturel. Ces expérienc
de l'aliénation mentale. Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l' idée exacte de ce que c'est que la suggestion, qui sub
l'idée exacte de ce que c'est que la suggestion, qui substituent leur idée préconçue à l'observation des faits, qui, sans av
e pourra:! donner lieu à des faits regrettables. C'est probablement l' idée qui l'inspirait lorsqu'il écrivait les lignes sui
tions mauvaises après son réveil, les exécutera sous l'influence de l' idée fixe ? *-«-•¦-.«. ftfàtkgm im ¦¦{¦iftl» p. IIS.
pour le compte d'autrui comme pour le sien, entraîné qu'il sera par l' idée irrésistible et fixe qu'on lui aura imposée ! Qua
t ou au moins chaque groupe de faits, et de l'étudier patiemment s.ms idée pré-conçue, abstraction faite de toute idée théor
l'étudier patiemment s.ms idée pré-conçue, abstraction faite de toute idée théorique. L'heure de la système tisation n'est p
male. Cet ensemble symptomatique ne permettait pas de s'arrêter à l' idée d'un état comateux consécutif à une lésion cérébr
émettions l'avis que le sommeil devait être simulé sous l'influence d' idées morbides probablement de nature mélancolique 'a
ue n'eût pu le faire une simple description. On retrouve là de vagues idées mélancoliques; une ébauche de systémation déliran
nts de son délire. C'est un débile intellectuel: l'incohérence de ses idées , la puérilité de ses conceptions maladives le pro
rédigé un long factum, ou il nous a exposé ses préoccupations et ses idées morbides. Ce factum est un tissu illisible de pro
La faiblesse cérébrale qui a préparé et facilité la germination des idées mélancoliques, parait tenir, chez G... à une doub
e intellectuel, et sur le fond de débilité sont venues se greffer des idées mélancoliques, incohérentes, mal systématisées, p
gt; ti térr'Kt iS6u, ia Âmmk '»iék^ptf{tthgitm,hyééri*.i.x, P. 454. idées mélancoliques, avec préoccupations religieuses. L
tenant les yeux fermés, ne faisant aucun signe, ne manifestant aucune idée , ne prenant volontairement aucune nourriture. Lor
sa propre personnalité. Il sait qui il est et qui il a été : il a des idées , des penchants, des sentiments qui lui sont propr
is libre. Donnez-moi vite un verre. • En somme, elle conservait ses idées , ses penchants, ses sentiments de l'état de veill
eil sont absolument étrangers l'un à l'autre ; ils n'ont ni les mêmes idées , ni les mêmes goûts, ni les mêmes aspirations. Il
allure générales du sujet se modifier et se mettre en harmonie avec l' idée du personnage suggéré, on observe que son écritur
de confusion intellectuelle à laquelle se surajoutent quelquefois des idées mystiques et de suicide. Ces dernières nécessiten
titutions sociales de leur pays et ont un goût très prononcé pour les idées révolutionnaires. Suicide à deux. Responsabilit
elà parole et '• les centres motcurs"sont tr'opprécis pour donner une idée exacte de la complexité réelle des actions cérébr
ne fallait pas s'attendre à trouver dans la bouche de M. Lockroy des idées bien profondes sur la question de l'hypnotisme L'
d'art et de morale, un flot d'anecdotes, de citations curieuses, d' idées paradoxales. On retrouve, à le lire, l'impression
n'est • Voilà un crime qui n'est point banal et qui peut donner une idée de la passion de nos protégés pour le jeu. L'un d
un, comme cela arrive en général en pareil cas, rejette sur l'autre l' idée première du forfait. Rien ne parait moins compliq
en résultera qu'elle aura, dans l'état de sommeil, des souvenirs, des idées , des sentiments qu'elle ne connaîtra pas à l'état
extérieur. Elle pouvait aller, venir, travailler; elle n'avait aucune idée délirante, aucune hallucination; mais son état in
i composent noire corps. Un homme, 1 quarante ans, n'a plus les mêmes idées , les mêmes penchant, les mêmes tendances, la même
NALE (Suite) Par M. le Dr Edgar Bérillon (1). II semble que les idées exprimées avec tant de force et de précision par
non seulement par des savants qui se sont inspires directe-: ment des idées de M. Liébeault, mais aussi par un élève de M. Ch
de perforer. « Eu moins d'un quart de minute, je suggère àMM G... l' idée de tuer M. M... d'un coup de pistolet. Avec une i
son sang. On lui demande si ce n'est pas moi qui lui aurait suggéré l' idée du meurtre qu'elle vient d'accomplir. Elle affirm
tient le verre qu'on lui présente. Avec une candeur qui éloigne toute idée de simulation, M"" C... répond : t C'est de l'ars
sant devant ses auditeurs des expériences faites dans le même ordre d' idées , s'efforçait de leur démontrer que des suggestion
e sujet, un grand nombre de suggestions. Il lui suggéra, notamment, l' idée qu'il était devenu femme et qu'il allaitait son e
gt;; ; ¦.].,!¦. de M. le professeur DcIIkciiI. Vous me demandez mes idées sur le cas de Gabrielle Bompard 1 ). Je vous avou
de l'aliénation mentale. Mais ceux-là seuls le disent qui n'ont pas l' idée exacte de ce que c'est que la suggestion, qui sub
l'idée exacte de ce que c'est que la suggestion, qui substituent leur idée préconçue à l'observation des dits, qui. sans avo
je reviendrai tout à l'heure, il faut reconnaître qu'à l'étranger les idées de MM. Liébeault et Bernheim ont été adoptées par
mer — et définitivement cetlo fois, nous l'espérons — le triomphe des idées do nos deux maîtres, MM. les professeurs Charcot
ris, aux lieu et place de M. Bernheîm empêché. En pleine communauté d' idées avec ce dernier, il le prétend, du moins (3), il
concéder à ce dernier que personne ne lai contestera la priorité de l' idée qu'il se fait de Mal second. (1) Gazette des Tr
ublié et ses livres inconnus. Notre devoir est de faire revivre see idées en célébrant sa mémoire et réimprimant ses ouvrag
8°. — Paris, J.-B. Baillière, 1890. M. Jules Falret a eu l'heureuse idée , à l'exemple de son père, le Dr Jean-Pierre Falre
, 189D, XVII, 287-291.) ?echetereff (V.). — Cas de trouble dans les idées , guéri par suggestion à la période initiale de l'
e provoqué. Il montrait que, soit qu'il agisse sous l'impulsion d'une idée spontanément éclose dans son cerveau, soit qu'il
hystériques présentant les modalités les plus variées de l'hypnose, l' idée qu'il considérait ces sujets tl) -iT'iir'i 'jèn
ntateur et sa responsabilité morale est nulle *. Pour prouver que les idées émises par lui dans sa communication n'étaient pa
le, disait-il, dans l'état de somnambulisme provoqué, de suggérer des idées fixes, des impulsions irrésistibles auxquelles l'
se prêter à ce genre d'expérience. On a également suggéré au sujet l' idée de dérober, par exemple, des photographies, etc.
cée par quiconque sait prendre de l'ascendant sur elle, acceptant les idées suggérées et entraînée par sa nature à les réalis
mis hors de conteste. Jamais nous ne sommes entraînés à agir par une idée pure, par la conclusion logique d'un raisonnement
ement, etc. Ce qui nous met en branle, c'est l'attrait exercé par une idée et par une personne, les désirs ou les répulsions
la maltraitait; qu'elle a suivi M. Garanger et a facilement accepté l' idée de se livrer à la préfecture de police ; qu'elle
le faire. Son intelligence n'a donc pas suffi à la prémunir contre l' idée dangereuse de dénoncer le crime ; elle n'a pas su
se cl humoristique. A quoi bon rectifier des assertions erronées, des idées travesties, des citations tronquées? Aucune discu
donne de dormir, elle murmure « oui » et se rendort. Je lui suggère l' idée )de ne pas souffrir pendant son accouchement, puis
; il me faudrait des pages et des pages, tant il y a de choses et d' idées entassées dans ce compact in-octavo. Je me conten
ontinuée dans la Nièvre, dans le Loir-et-Cher, dans l'Eure-et-Loir. L' idée féminine de jeter du vitriol à la figure de son a
ne régularité presque mathématique. Cela exclut, me semble-1-il, tout idée de tromperie de la part du sujet. La conclusion
on produite parle liquide sur le pharynx réveille dans le sensorium l' idée du vomissement, et la suggestibilié du malade tra
ium l'idée du vomissement, et la suggestibilié du malade transforme l' idée en acte. Pendant le sommeil naturel, l'action p
organiques restèrent sans effet. La suggestion seule, neutralisant l' idée du vomissement, a pu réaliser, dans une seule séa
aux antérieurs. Comme à l'état normal, c'est une influence psychique, idée , sentiment, qui agit sur le centre génito-spinal;
e, idée, sentiment, qui agit sur le centre génito-spinal; seulement l' idée , le sentiment sont pervertis. Dans ce groupe se r
rescence mentale avec dépression mélancolique, perversions sexuelles, idées et tentatives de suicide. Antécédents héréditai
uit, après avoir résisté, elle reste inquiète, irritée, obsédée par l' idée de prendre un doigt d'eau-de-vie, et ne peut retr
réquentes, ainsi que les impulsions; quelquefois, en travaillant, l' idée de donner un coup de poing sur la table lai vient
des spasmes, dit-elle, quand elle ne peut exécuter ces mouvements. L' idée lui vient de prendre la table, de taper sur elle,
e passe en dedans, elle est comme quelqu'un qui n'a pas satisfait son idée >; elle éprouve un malaise général, plus accen
estomac, à la vulve, aux reins. Parfois, tenant un objet A la main, l' idée lui vient de le laisser tomber A terre, mais, dan
ie des crimes impunis. » Si l'on dégage de ces phrases ronflantes l' idée maltresse du magistrat, à savoir qu'il considère
sous-jacents. Ce caractère, à lui seul, suffirait pour écarter toute idée de simulation, car il est impossible à un sujet n
uf. — Les Fites de Montpellier, Promenade à travers les hommes et les idées , In- 8°, 75 pages. — Félix Alcan, éditeur, I0S,
illance et de désintéressement, un groupe de médecins étrangers eut l' idée de lui offrir, à l'occasion de sa retraite, un té
ngagés dans la ?même Toie thérapeutique en reconnaissant la part de l' idée dans l'étiologie et la guérison de divers états m
i ont étendu et perfectionné son œuvre, qui onl su faire pénétrer ses idées dans le monde scientifique. Mais personne ne me
la vérité — telle qu'elle était comprise par lui, — ce trésor, cette idée sublime el féconde de la psychothérapie, fût rest
ent une belle carrière et à qui la science e*t redevable d'une grande idée , et enfin que de fêter un grand homme qui est la
de l'hypnotisme, a porté un toast aux médecins étrangers qui ont en l' idée de cette touchante manifestation internationale,
* Hemmerlé, de Nicopol-sur-Dnieper, qui, la première, en avait émis l' idée . ÉTUDE MÉDICO-LÉGALE SUR UN CAS DE SOMNAMBULISM
ser : ce qu'il y a de certain, c'est qu'on lui a mis dans la tète des idées superstitieuses en lui racontant des histoires de
me un esprit, sente et se conduise comme esprit, cela peut provenir d' idées superstitieuses ou spiritistes qui lui auraient é
eu au courant de ces différents états, peut avec sûreté exclure toute idée de simulation. Ce qui pourrait passer pour de la
uefois à rencontre du but, en incarnant dans l'imagination du sujet l' idée qu'il s'agit d'une lésion organique difficile à d
classiques de la sciatiqne. En ayant soin d'examiner le malade sans idée préconçue et sans porter son attention sur les po
n sur les points douloureux de la sciatique, nous avons pu éliminer l' idée de névralgie dans le tronc du nerf. Nous pensons
hénique : elle mange à peine, elle est incapable d'aucun travail, des idées sombres la tourmentent, ses jambes sont engourdie
t sous elle; elle n'a plus la force de tenir une aiguille; elle a les idées abasourdies, ne cause plus: t Je n'ai plus de goû
ent, après avoir soigneusement fermé sa porte, elle se couche, puis l' idée lui vient de vérifier si celle-ci est bien fermée
: elle a mal au bout des doigts et ne peut s'en servir. Enfin, des idées de suicide apparaissent; elle préfère la mort à u
e, s'élant levé à cinq heures et déclarant qu'il arrivait parce que l' idée lui en était subitement venue le matin. Endormi d
r Ladame. 129. Polies intermittentes (les), 86. Folie puerpérale, idées délirantes communiquées, 90. Fonctions intellec
19 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
comme vous pouvez en juger par la citation suivante, à accepter les idées de Fournier sur la fré- quence de la syphilis c
Dès la première édition de mon livre (1878), je défendais les mêmes idées 2, et presque en même temps mon élève regretté,
cons- tante chez les tabétiques. Il se trouve en opposition avec l' idée exprimée tout récemment par Pierre Marie en ces
aître légitimes à l'époque où elles ont été émises, étant donné les idées impar- faites que l'on avait sur les diverses m
ic de l'affection. Groupés ensemble, ils donnent, croyons-nous, une idée générale, suffisamment com- plète de la maladie
sent pendant le sommeil. . Ma... est un garçon impressionnable, à idées bizarres. Il suffit que l'on désire qu'il fasse
ic s'accompagne de phénomènes psychiques. Pour la mère, ce sont des idées de suffisance, d'in- faillibilité; pour le fils
, d'in- faillibilité; pour le fils, de l'obsession, des manies, des idées de doute. Enfin, la mère présente des troubles
hir la cuisse sur le bassin. Cette comparaison donne une très bonne idée de l'acte, ' G. de la Tourette. Archives de Neu
itution vigoureuse, caractère difficile, emporté, original dans ses idées et la manière de se vêtir. Au point de vue mental
on encore réglée. L'état mental n'offre aucune particularité; pas d' idées bizarres; pas d'idées fixes, sait lire, écrire.
at mental n'offre aucune particularité; pas d'idées bizarres; pas d' idées fixes, sait lire, écrire. Caractère doux, tran-
ment a porté 1 Les' deux tracés suivants permettent de se faire une idée très juste des dissemblances fondamentales qui
), de signes (échocinésie), et dans des troubles psychiques tels qu' idées fixes, délire du doute. Or, ces divers caract
, dans les trois cas où ils ont été notés, se sont traduits par des idées de doute, des manies, des obsessions (Obs. Il,
s idées de doute, des manies, des obsessions (Obs. Il, III), ou des idées de suffisance, d'infailli- bilité (Obs. I). H
énomènes. ' La marche de la maladie a de tous points confirmé notre idée à présent, nous avons les arguments suivants po
prudence qu'il croyait avoir com- mise le jour avant; finalement, l' idée suggestive qui domine l'é- tat psychique de B..
ntinuellement. La douleur devient pour lui occasion de renfort de l' idée suggestive; elle lui rappelle celle qu'il avait
t des douleurs très violentes pendant plusieurs mois, si bien que l' idée d'être malade à l'épine ne l'a plus abandonné.
amens répétés- peuvent bien avoir cultivé dans le cerveau de B... l' idée d'une hémiplé- gie gauche. Cette idée aurait tr
ivé dans le cerveau de B... l'idée d'une hémiplé- gie gauche. Cette idée aurait trouvé, dans le deuxième trauma- 1 tisme
nction dans le procédé curatif à mettre en oeuvre. Dans cet ordre d' idées , la faith-healing me parait être l'idéal à atte
lus, l'incubation la prépare, le pèlerinage à accomplir devient une idée fixe. Les déshérités de la fortune se mortifient
ropres aux malades en question, celui des condamnés à mort dont les idées tendront huit fois sur dix au suicide. Etant ad
éditaire présentant des périodes d'excitation et de dépression avèc idées de persécution et qui a été pris à plusieurs re
Les folies aiguës se présentent sous deux formes. ' 1° Désordre des idées hallucinatoire (amentia acuta). Trois symp- tôm
us souvent rapidement modifiable. Trouble de l'association dans les idées . Marche caractéristique ; oscillations très consi
à des rémissions; sidération tenant à un désordre suraigu dans les idées , puis agitation ma- niaque, stupeur, ou apparen
systématiqu e chronique par l'installa- tion aiguë ou subaignë des idées délirantes, tandis qu'elles' s'ins- tallent len
tement et progressivement dans la folie systématique chronique. Les idées délirantessont solides, mais dépourvues de lien,
étrite, catarrhe chro- nique du col et du vagin ; désordre dans les idées avec stupeur, angoisse. Guérison de la métrite;
l la racine motrice. Il n'y a lieu ni de confirmer, ni d'infirmer l' idée acceptée par les auteurs de l'entre-croisement
ue cela a été dit ici par M. Briand, cachent assez volontiers leurs idées ambitieuses, alors qu'ils étalent sans trop de
re des troubles de la sensibilité générale. Coexistent-ils avec les idées ambitieuses ou les excluent-ils ? Les deux opinio
a d'abord présenté un véritable accès de délire mélancolique avec idées de culpabilité et plusieurs tentatives de suicide
2 SOCIÉTÉS SAVANTES. Au premier abord, on croit avoir affaire à des idées de persécution, assez systématisées. Mais, il e
t leur fondement psy- ehologique, elles se rapprochent beaucoup des idées de possession, si fréquentes jadis. A côté d'
on, si fréquentes jadis. A côté d'elles, on peut voir parfois des idées de nature mélan- colique, culpabilité, damnatio
existent, ne sont que des épisodes réactionnels sous le coup des idées délirantes, à l'inverse de ce qui a lieu dans la
rse de ce qui a lieu dans la mélancolie. Puis apparaissent d'autres idées délirantes, de nature très diverse. Tantôt les
omme une faveur (Dieu parle par leur bouche, etc.) et formulent des idées de grandeur. D'autres, au contraire, accusant d
1891 Présidence DE M. Ludwig. M. SCHNTH : 1L. Du désordre dans les idées hallucinatoires aiguës. Début soudain ; à peine
des accidents, hallucinations profuses, confusion complète dans les idées , obnubilation de la connaissance, fréquence de l'
que. Ce qui prime, l'élément qui domine, c'est le désordre dans les idées qui déconcerte le malade ; son humeur, mobile,
te le malade ; son humeur, mobile, au gré des hallucinations et des idées déli- rantes qui dépendent égalementde ces dern
sla folie systématique aiguë, on constate une organisation dans les idées délirantes que le malade s'attache à enchaîner
raisonnement aussi logique que possible ; dans le désordre aigu des idées , au contraire, les idées délirantes, incohérent
que possible ; dans le désordre aigu des idées, au contraire, les idées délirantes, incohérentes, témoignent du trouble p
profond de la connaissance déjà signalé. Le désordre aigu dans les idées est une psychopathie due à l'épuisement du syst
ne hysté- rique de quarante-quatre ans, atteinte de mélancolie avec idées de culpabilité qui déroba une sonde oesophagien
ions de la vue qui déterminèrent le syn- drome du désordre dans les idées hallucinatoire aigu. Quelques mois plus tard le
gine hystérique, doit avoir des particularités si distinctes, que l' idée de cette dernière doit être complètement exclus
7em<'s</tën : M psy- chiques, dans lequel M. Régis étudie les idées fixes, impressions, aboulies qu'il rattache fra
ions physiques des diverses émotions, la mémoire, l'association des idées subissent des variations appréciables à l'aide de
une exaltation croissante de la personnalité qui se traduit par des idées de satisfaction. Le carac- tère antérieur du ma
n générale du droit commun. Ce compte rendu ne peut donner qu'une idée générale, le plan d'ensembie du livre de M. Fér
nous autorise à envisager. S'agit-il d'une téphro-myélite aiguë, l' idée n'est pas plus sou- tenable etil me paraît inut
tant dit, si vous envisagez ce côté du tableau sans préjugé, sans idée préconçue, vous verrez qu'il n'y a rien d'absolu-
rès tuméfiée, violacée, noirâtre par places. La figure 18 donne une idée de l'état de la lèvre à ce mo- ment, mais une i
ure 18 donne une idée de l'état de la lèvre à ce mo- ment, mais une idée incomplète, car elle n'a été prise que le lende
buleuses dans lequel ils ont le pouvoir et l'autorité suprêmes. Ces idées nous reportent aux discussions de Platon, dans le
une signification au terme éducation. Lorsque le type physique de l' idée est une fois ébauché, il devient une partie de
n. Pas de sensations de plaisir, au contraire, éré- thisme pénible. Idées de suicide. Traitement. Continence, hydrothé- r
e c'est le malade qui l'a enfoncé lui- même sous l'influence de ses idées mélancoliques. Un autre point intéressant de l'
ès de délire mélancolique, la malade de M. Tou- louze a été prise d' idées de négations, d'abord mal liées qu'elle finit e
ments, ils ont eu de l'excitation maniaque au cours de laquelle les idées de persécutions s'exagéraient. M. GnR : mER s'é
idées de persécutions s'exagéraient. M. GnR : mER s'étonne que les idées de persécution aient persisté pendant les pério
'expliquent les intoxications alcooliques aiguës; l'association des idées se trouble, il se produit des concep- tions cli
uit des concep- tions clichées, pour ainsi dire, des associations d' idées par asso- nances, une idéogénèse exagérée et ac
tlérations, parole rylh- mée et saccadée, désordre extrême dans les idées ) avec alternatives de gaîté et de dépression, p
ce qu'on lui dit, ce qu'on-lui demande, il n'a pas un désordre des idées aussi intense. il est moins obtus ; la volubilité
dre des idées aussi intense. il est moins obtus ; la volubilité des idées n'existe pas chez lui. L'humeur des deux espèce
ileptique. L'accès de manie aiguë du dément paralytique reflète les idées de grandeur de ce malade ; les hallu- cinations
l'auteur y fait rentrer le type de Meynert (désordre aigu dans les idées avec hallucinations et agitation maniaque). Il
losion des hallucinations ou leur impériosité, le désordre dans les idées , la fréquence d'épisodes plus aigus venant comp
l aussi touffu, et où l'auteur a jeté presque à chaque page quelque idée neuve et personnelle. Quoique le mieux que nous
erdit au malade de parler; ou bien le malade se tait en vertu d'une idée délirante, mélancolique ou de persécution. Il est
s obsessions hallucinatoires, et distinguer deux cas : 1° ou bien l' idée obsédante s'accompagne d'une hallu-- cination q
eveu a éveillé, consciemment ou inconsciemment, dans son cerveau, l' idée de paralysie bra- chiale. Cette idée a germé pe
sciemment, dans son cerveau, l'idée de paralysie bra- chiale. Cette idée a germé pendant trois ou quatre jours, puis s'e
traumatisé au niveau de l'épaule droite, logiquement éveiller cette idée de monoplégie brachiale et localiser cette mono
attention pendant de longs mois. De cette comparaison a dû naître l' idée de paralysie. Tout à fait singulier chez notre
rrésistibles manquent sou- vent. Pas plus que les impulsions, les idées tardives de suicide ne font partie intégrante d
rition plus ou moins complète des obsessions, des impulsions et des idées fixes, ainsi qu'à la diminution qui peut être n
t altérée que dans son pouvoir de coordina- tion et de fixation des idées , c'est-à-dire dans son mode actif et sur- tout
s'ajouter, à une pé- riode généralement avancée de la maladie, des idées de négation généralisée portant d'abord sur la
ysique et englober dans la néga- tion l'âme, la nature et Dieu. Ces idées de négation se distinguent facilement de celles
ment systématique. « Par un enchaînement logique » (Cotard), de ces idées de néga- tion se déduisent des idées de damnati
ent logique » (Cotard), de ces idées de néga- tion se déduisent des idées de damnation, d'immortalité, de véri- tables id
se déduisent des idées de damnation, d'immortalité, de véri- tables idées de grandeur conservant le cachet de tristesse qui
rale (\Ville). En somme, le fond de la maladie est la confusion des idées par suite de l'affaiblisse- ment et de l'incoor
se- ment et de l'incoordination du processus de l'association des idées , de la perception ; les hallucinations ne sont qu
établies; l'apparition rapide d'une ccr- taine systématisation des idées délirantes avec actes coordonnés, est indiquée
t en revue chaque genre de délit et de crime, il constate que cette idée s'adapte aux faits d'une façon exacte. Examinan
tat de dépression. Les malades tombaient vite en prostration et les idées délirantes habituelles persistaient jusqu'à la
est prise d'une crise violente de lypémanie avec hallucinations et idées de persécution. Elle est alors admise à l'asile
et transitoire et ils avouent qu'ils ont agi sous l'influence d'une idée et qu'ils ont maintenu cette attitude il l'aide
sont véritable- ment pittoresques. Ici intervient l'apparition des idées de gran- deur ; leur genèse la plus commune et
et obscur il n'y a pour l'aliéné qu'un pas bien vile franchi. - Les idées de grandeur peuvent encore apparaître subitemen
cience, en même temps que l'explosion d'images, d'hallucinations, d' idées délirantes qui malgré la confusion grave, laiss
uelque disposition quoique peu pré- cise de l'esprit du malade. Les idées et les réactions dérivent du fonds du caractère
n cer- tain degré de systématisation dans les hallucinations et les idées délirantes. Bien qu'on puisse rencontrer dans
giques, d'un côté l'obnubilation de la conscience et l'éclosion des idées délirantes, de l'autre la plénitude de l'activi
huit ans environ. II : Hé- rédité légère; excentricités, émotivité, idées fixes; début de la maladie à l'âge adulte; péri
e adulte; période d'inquiétude ; délire de persécution systématisé, idées de grandeur; désagrégation mentale; durée cinq
isé de plus - en plus actif; affaiblissement intellectuel; jamais d' idées de gran- deur ; durée sept ans. IV : Hérédité i
inconnue; délire de persécution systématisé; depuis un an mélange d' idées de gran- deur. - V : Hérédité inconnue, époque
persécution systématisé auquel s'adjoignent t par la suite quelques idées de grandeur et un certain degré d'affai- blisse
émission, réelle ou appa- rente ; période de persécution; mélange d' idées de grandeur; dé- mence consécutive. De ces ob
terminale, est le délire de persécution, qui même dans la phase des idées de grandeur, ne leur cède pas totalement la pla
chaque cas. Comme on le voit, l'auteur en est resté aux premières idées de M. Gérente et ne s'est pas assimilé parfaite
appétits ou à des sentiments; qu'ils soient les manifestations des idées ou le résultat d'un besoin purement automatique
une maladie somatique et non pas seulement à un simple trouble des idées : lassitude, impuissance, abattement, céphalée,
facultés intellectuelles productives, la mémoire, l'association des idées , l'imagination sont démesurément surexcitées aux
pensée, caracté- risé par des associations extrêmement rapides des idées est, sui- vant le degré d'excitation intellectu
iers, toutefois, au milieu de l'accès maniaque, on voit poindre des idées hypochon- driaques, mystiques, ambitieuses qui
e franche, laquelle est constituée essentiellement par un chaos des idées et des actes, sans dérange- 404 BIBLIOGRAPHIE.
uit un but d'économie; s'il cite des chiffres, c'est pour fixer les idées ; et si ces chiffres sont avantageux pour les fina
con- verties en argent. / M. Mercier ajoute d'ailleurs que cette idée , qu'il croyait neuve, lorsqu'il a annoncé son i
cile de voir qu'elle n'a pas été sans inconvénients. On a ainsi une idée très précise d'un caractère isolé et une idée trè
ients. On a ainsi une idée très précise d'un caractère isolé et une idée très vague de la maladie à laquelle on rattache
ble la définition de l'hystérie, s'est-on fait de la définition une idée trop ambi- tieuse. Nous sommes évidemment incap
donné ni essence, ni explication. Nos définitions ne sont que des idées générales, des résumés qui doivent seulement con-
ces études font allusion à nos propres travaux et même adoptent les idées générales que nous avons autrefois exprimées su
ale, ou bien unsimple choc qui éveillait dans l'esprit du sujet une idée et une émotion analogues produi- saient des par
rconstances, disait-il, une paralysie pourra être produite par 'Une idée "'... En raison de l'obnubilation du moi produit
dans l'autre cas, ainsi qu on l'a imaginé, par lechocnerveux, cette idée une fois installée, fixée dans l'esprit et y régn
rexies', à des mu- tismes 1. Partout, il montrait l'importance de l' idée fixe qui , produisait et entretenait- l'acciden
stence des accidents hystériques par imitation, par suggestion, par idée . Dans son ouvrage sur les agents provocateurs d
inon montre aussi comment, dans certains cas, on peut constater l' idée fixe qui détermine l'accident hystérique. Le mala
main, je ne peux plus la remuer, mon bras est lourd 6, etc. » Ces idées ont la plus grande importance et déterminent non
ue, M. Dutil montrait par plusieurs observations l'importance des idées fixes et des rêves dans la formation des accident
'hys- térie traumatique Quel que soit le mécanisme par lequel ces idées amèuent le trouble moteur, chorée ou contracture,
s où des mouvements bizarres sont aussi la conséquence de certaines idées fausses. Non, dit M. Moebius, les mouvements de
par des représentations. » Le discours de M. Strumpell exprime des idées analogues : « Ce qu'on appelle la nervosité est
. certaines représentations trop fortes, certaines asso- ciations d' idées trop faciles deviennent le point de départ d'un
d nombre d'accidents hystériques paraissent dé- pendre de certaines idées fixes, de certaines suggestions ; mais Peut-on,
des paralysies, des spasmes ne semblent en relation avec au- cune idée , aucune imagination du sujet. Le malade, de quelq
s, à serrer sa main, à faire une grimace; bien mieux, il n'a aucune idée de ce spasme, il ne le sent même pas, il consta
ou qu'il s'endort, ceux-là peuvent facilement être rattachés à une idée . Mais les autres se produisent même quand le su
u début, peut-être, le sujet a eu conscience d'une émotion, d'une idée plus ou moins vague, mais il est évident que ces
et il suffit quelquefois pour les provoquer non pas d'éveiller les idées , mais de presser un point du corps, l'ovaire ou
à l'hystérie; nous ne nous trouvons pas davantage en présence d'une idée fixe, claire et simple. Le sujet ne sait pas ce
ar un phénomène psychologique qui est associé avec l'état émotif, l' idée fixe, le rêve constitutif de la seconde existen
ence psychologique rudimentaire dans laquelle les sensations et les idées peu nom- breuses ne se contrôlent pas et ne se
Freud, op. cit., 1893, t. II. 432 REVUE GÉNÉRALE. les autres. Les idées fixes que nous avons vu jouer un si grand rôle
émotionnel ancien. On peut le constater en examinant avec soin les idées et les sen- timents qui envahissent régulièreme
duction plus ou moins complète d'une émotion, d'une aventure, d'une idée ancienne dans une seconde existence qui est ana
u de cristal, y verra des images, des lettres correspondantes à des idées , à des souvenirs qu'il croyait sincèrement ne pas
ous avons été forcé de reconnaître que dans beaucoup d'accidents, l' idée fixe qui devait les provoquer et les entretenir
ar il l'ignorait complètement. Nous comprenons maintenant que ces idées peuvent exister en lui bien qu'il n'en ait pas co
par l'écriture automatique pendant la veille pouvait exprimer ces idées fixes ? Plus souvent encore, nous avons constaté
ou tel état hypnotique retrouvait complète- ment la mémoire de ces idées fixes subsconscientes. De semblables idées fixe
ment la mémoire de ces idées fixes subsconscientes. De semblables idées fixes, existant en dehors de la percep- tion pe
ui a été pro- voqué dans l'une par toute une série d'associations d' idées peut apparaître brusquement dans l'autre; elles
genre dans lequel un grand nombre d'accidents se rattachaient à des idées fixes subconscientes. z Il faudrait, disions-no
nsi en dehors de la conscience personnelle '. » La puissance de ces idées dépend précisément de leur isolement. Les idées
La puissance de ces idées dépend précisément de leur isolement. Les idées ' Automatisme psychologique, 1889, p. 436. Même
êmes remarques à propos d'une autre malade sur un cas d'abolie et d' idées fixes. (Rev. phi- losophique, 1891, t. I, p. 28
e psychique en soient averties et prennent part au processus D. Ces idées grandissent, a s'installent dans l'esprit à la
les accidents de l'hystérie traumatique par la persistance d'une idée , d'un rêve ? Le rapport entre l'idée provocatrice
tique par la persistance d'une idée, d'un rêve ? Le rapport entre l' idée provocatrice et l'acci- dent peut être plus ou
t constater que souvent le malade dans son état normal ignore cette idée provocatrice qui ne se retrouve net- tement que
urelles ou provoquées et c'est précisément à leur isolement que ces idées doivent leur pouvoir. Le malade est guéri, dise
auteurs, quand il parvient à retrouver la conscience claire de son idée ' Jules Janet, op. cil., p. 622. s L. Laurent
iale 2. » 1 Ibid. Les auteurs ajoutent, p. 4, sans préciser que ces idées se rapprochent aussi de celles de Benedikt. Nou
irréprochable, ce qui frappe chez un campagnard. Mémoire conservée, idées lucides, compréhen- sion facile. Absence de tis
nelle, aussi, une conception de cette nature ne sortirait pas des idées reçues en pathologie nerveuse. Toutefois, on ne p
up de cas, la duboisine semble calmer immédiatement le désordre des idées et des actes comme dans.la manie aiguë. Dans le
mais elle a le grand inconvénient de le laisser tout entier à ses idées morbides. Les malades qui sont continuellement re
'au jour suivant et à s'accompagner de somnolence, de confusion des idées , d'étour- dissements et de fatigue; enfin les s
ve se compose de quelques concepts ou images saillant sur un fond d' idées vagues et ternes; sorte d'arrière- plan à peine
de veille, ce n'est pas que l'esprit manque d'unité; c'est que les idées intermédiaires dont nous sommes conscients à l'ét
it cheval, puis oiseau, c'est que par une association natu- relle d' idées nous avons passé do l'idée d'homme à celle de c
t que par une association natu- relle d'idées nous avons passé do l' idée d'homme à celle de cheval puis à celle d'oiseau
rêve et de l'état de veille, c'est que, pendant celui-ci, certaines idées , celles de personnalité, de temps, d'espace, et
à l'état de veille sauf que certaines vibrations du cerveau et les idées qui leur conespondent sont moins fortes, par su
du sang au cerveau. Il en résulte une rupture d'équilibre entre nos idées pendaut le rêve; certaines d'entre elles domine
chose que l'état de rêve prolongé pendant la veille; telles sont l' idée fixe etla mélancolie. Dansée cas, l'aliéné est
. Dansée cas, l'aliéné est absorbé par la contemplation d'une seule idée ou d'un seul objet. . Toutes les autres perce
sprit de l'aliéné. Ce manque de coordination des perceptions et des idées chez le mélancolique ou l'halluciné vient d'une
tal très amélioré et plus de signes de néphrite. 4° Maniaque avec idées de persécution, excitation considérable et tend
oedème dis- paraît et l'état mental se guérit. 6° Mélancolie avec idées de suicide. Albumine et dépôt de cris- taux d'o
pour un travail fait à Ville- juif, et intitulé : Dissimulation des idées de grandeur dans le délire chronique des perséc
paranoïa (folie systéma- tique), il a démontré que conformément à l' idée nosographique que l'on doit se faire de l'entit
die mentale qui se manifeste par la prédominance et la permanence d' idées délirantes systématisées, et de conserver le mo
2,ücktheit, à tous les cas indistinctement dans lesquels il y a des idées délirantes quelconques. Il s'ensuit que paranoï
e fille, à cette époque mineure, lui à refusé son consentement. Son idée fixe l'a amené à considérer le père de la jeune
fait un premier rapport médical sur lui. Il y a donc dans l'espèce idée fixe, puis délire des persécutions, et con- cur
de malformation congénitale originelle sur laquelle ont germé des idées morbides. En un mot, c'est un pseudoparanoïa. ,
lui aussi pendant quelque temps) est pour lui un exemple frappant d' idée fixe (obsession) qu'il serait plus exact d'appele
frappant d'idée fixe (obsession) qu'il serait plus exact d'appeler idée présomptueuse (obsession présomptueuse). De cet
rnicke. J'ai publié des observations dans lesquelles il y avait des idées fixes présomptueuses qui entraînent tout naturell
ent positive, plus rarement négative. M. NEISSER. L'isolement des idées fixes est un fait général et géné- ralement rec
onnu. Les cas de M. Wernicke sont des exceptions. On n'a guère vu d' idées délirantes fixes isolées prendre le caractère d
'a guère vu d'idées délirantes fixes isolées prendre le caractère d' idées de persécution. * Quant aux traits symptomatiqu
nsiste sur ce point en tenant compte de la valeur diagnostique de l' idée fixe deM. Wernicke, et en même temps de la défi
ux du mot, ayant pour caractères la permanence et la prédominance d' idées déli- rantes systématisées. Je dirai tout à l
identique, tout à fait par des procédés analogues, à développer des idées délirantes systématisées de persécution ou de g
ce n'est là que les prémisses d'une considération scientifique. Les idées délirantes, surtout quand elles sont systématisée
r des mois, voire parfois des années, il n'existe pas forcément des idées délirantes fixes et systématiques. On serait do
rsonnes qui l'entourent ; c'est l'exagération qui lui suggère cette idée . Puisviennentles hallucinations de la parole in
substratum hypochondriaque est une trouvaille de M. Neisser. Toute idée pré- somptueuse se rattache à une exagération c
é- sente ensuite un homme de quarante-trois ans tourmenté pas des idées de persécution mais sans dépression, sans que ces
nté pas des idées de persécution mais sans dépression, sans que ces idées l'empêchassent de sentir normalement, de partic
à la conversa- tion, de s'occuper. Ceci prouve que la persistance d' idées délirantes fixes, sans trouble du côté de la se
verbales psyclvo-motrices, par lioubinovitch, 120 ; désordre des idées dans les aiguës, par Schoenthal, 124- phénomène
20 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is, la rougeur passée, ils n'y pensent plus. Chez d'autres, cette idée qu'ils ont rougi les poursuit et les tourmente, m
prise en effet, au moment où l'on parlait du Panama, malgré elle l' idée la prit qu'on pouvait établir un rapprochement
, gêné'par les regards des passants. Rougit' devant un étalagera, l' idée qu'on pourrait croire qu'il peut voler.des obje
l, fermer les yeux, essayer de penser à autre chose, toujours cette idée les obsède : « Si tu venais à rougir, quel ennu
sujets continuent, même dans l'intervalle, d'être préoccupés par l' idée de leur rougeur. Ils en sont tyranniquement obs
chant ma facilité extraordinaire à rougir, je suis obsédé par cette idée : « Je vais rougir. » Cette idée me suit partout,
à rougir, je suis obsédé par cette idée : « Je vais rougir. » Cette idée me suit partout, me tenaille le cerveau et suff
tance extérieure. Pourtant, si je suis seul, dans ma chambre, cette idée est insuffisante. Il faut que je sois dans la rue
. Il se peut que cela me laisse indifférent. La plupart du temps, l' idée surgit et me frappe d'un choc : Ge Tu vas rougi
e), je ressens des picotements derrière la nuque, aux oreilles, mes idées se brouillent, je ne sais plus exac- tement ce
er des faits, des circonstances ? Inutile. Partout, toujours, cette idée me menace. Vais-je dîner chez une personne ? C'
euvent agir sur moi ? Au milieu de la foule, je souffre beaucoup. L' idée que je ne pourrai me déga- 16 PATHOLOGIE NERVEU
oque, je ne pris pas garde à cette affection. Car je n'avais aucune idée des lois de l'hérédité; en outre j'espérais que c
l'âge de quatorze à quinze ans, avait sans cesse la malencontreuse idée de me dire : « Qu'est-ce que tu as à rougir ? Q
parente de ses rougeurs. Il en a peur non parce qu'il y attache une idée de maladie ou de terreur instinctive, mais uniq
rait donc offrir un terrain de choix pour l'étude des rapports de l' idée fixe avec l'émotion, On sait qu'à l'heure actue
adies intellectuelles, depuis l'obsession «équivalent affectif de l' idée fixe » (Ribot), jusqu'à la mélancolie anxieuse (a
'on ne le croit généralement, plus considérable môme que celui de l' idée fixe, et que, dans ces états, les phénomènes va
s de l'élément mental et de l'élément affectif de l'obsession, de l' idée fixe et de l'émotion, que l'étude des phobies q
ient le sentiment de confusion, jusque là peu marquée, et, enfin, l' idée fixe, qui se greffe sur ce complexus émotif com
(rougeur) ; phénomène émotif (confusion) ; phénomène intellectuel ( idée fixe). D'autre part, si l'on envisage la maladi
xcessive à rougir, innée ou acquise, sans émo- tion morbide et sans idée fixe, c'est-à-dire la maladie réduite à son élé
émotive, elle, est la tendance à rougir, avec émotion morbide, sans idée fixe, c'est-à-dire la maladie avec ses deux élé
op/lObie, enfin, est la tendance à rougir aves émo- tion morbide et idée fixe, c'est-à-dire la maladie au complet, avec
ans l'ordre de succession des symptômes, la rougeur à la base, et l' idée fixe au sommet, à titre de cou- ronnement possi
ion affec- tive intense, peut coïncider avec une absence complète d' idée fixe, et, d'autre part, une préoccupation menta
r, une fois l'obsession créée, sont généralement engendrées par « l' idée » de rougir, c'est-à-dire par l'élément intelle
s obsédants semblent donc commandés par l'idé fixe, l'émotion par l' idée . Ce fait qu'une émotion est produite par une pe
ntale. On peut donc admettre que, dans la crise de rougeur, c'est l' idée qui provoque l'émotion, sans que cela change ri
blème n'est pas aussi simple qu'il le paraît au premier abord. L' idée de rougir précède bien la rougeur, cela est incon
s, pour être con- vaincu que l'émotion apparait en même temps que l' idée et que, dès que celle-ci surgit dans l'esprit,
s, de la constriction de la gorge, etc. Il ne s'agit donc pas d'une idée simple, ordi- naire, mais d'un état psychique c
mple, ordi- naire, mais d'un état psychique complexe, dans lequel l' idée et l'émotion coexistent, indissolublement liées
er. Nous pensons, néanmoins, que ce que les malades appellent « l' idée » de rougir est en réalité une « crainte », c'est
re. Il en est ainsi également dans l'état interparoxystique, où l' idée de la rougeur, bien que n'aboutissant pas à la cr
moins vive et plus ou moins marquée suivant les cas. Ici encore, l' idée fixe est inséparable de l'émotion. Il existe
t qu'on pourrait le croire, de prime abord, sous la dépendance de l' idée . La première, c'est la façon dont se passent le
osphériques qui influent par leurs variations, sur l'intensité de l' idée fixe. Il peut même arriver ce fait curieux que
impossible. » C'est là, croyons-nous, une preuve péremptoire que l' idée ne suffit pas à créer la crise émotive et que,
depuis J819, a pré- senté une première période caractérisée par des idées de persé- cution à teinte mystique ; elle réagi
sensorielles seulement à cette époque), plus tard sont apparues des idées hypocondriaques ; tous ses organes étaient mala
Cazanwielh 2 après une longue période de dépression profonde, avec idées de suicide, se sent enfin ins- piré par une « v
et 105. 3 Dupain. Obs. VIII, p. 56. 1 Legrain. Débilité mentale, idées mystiques, délire religieux à évolution chroniq
tion, réactions rares dans le délire de persécution ordinaire, sans idées mystiques. Les caractères différentiels peuvent
que le premier mot qui me reste à prononcer est déjà formé dans mon idée , mais assez souvent j'ignore comment finira le
par une force étrangère. , « Il leur semblait qu'ils débitaient des idées qui ne leur ap- partenaient aucunement et dont
ien connus). La seconde catégorie est celle de l'extase en repos. L' idée seule règne d'ordinaire, abstraite ou métaphysi
la folie; i parle D E. Mink. L'auteur est surpris de voir quelle idée fausse se font, en géné- ral, de la folie non s
conversation suivie et intelligente. A ce propos M. Mink réfute les idées enonées qui considèrent comme des critériums de
rphine employés durant un traitement de neuf mois. S. 11. VI. LES idées prévalentes; par L. A. Kocii. (Cent·al6l. f. Ne¡'
k, XIX. X. F. VII. 1896.) Les auto-psychoses circonscrites ou par idées fixes de Wernicke sont une forme de l'ancienne
e. Il y a dans cette théorie une part de vrai. Mais s'il existe des idées prédominantes, il faut encore considérer le ter
servations cliniques données par Wernicke l'auteur n'a pas séparé l' idée délirante de l'idée obsédante. L'idée prévalent
données par Wernicke l'auteur n'a pas séparé l'idée délirante de l' idée obsédante. L'idée prévalente peut n'être prédomin
cke l'auteur n'a pas séparé l'idée délirante de l'idée obsédante. L' idée prévalente peut n'être prédominante que parce q
pa- thique, il n'y a pas pour cela psychose, il n'y a pas pour cela idée fixe. Quand un homme, jusque-là bien portant, e
e, prédominante, c'est qu'il y a eu dans le terrain générateur de l' idée constitution générale patho- logique. Souvent c
ateur de l'idée constitution générale patho- logique. Souvent cette idée prévalente reste encore dans un cadre actif, qu
d'amour-propre, sous l'influence de son irritation, engendrer des idées prévalentes psychopathiques qui devenant, en part
avitent dans un sens déterminé. Ce n'est plus à proprement parler l' idée qui est fixe, mais le sens vers lequel convergent
parler l'idée qui est fixe, mais le sens vers lequel convergent des idées multiples variables en soi, mais adhérentes en ma
e pas la sphère d'ac- tion de l'événement générateur ; une nouvelle idée chasse l'autre quand l'individu change de milie
groupes sont également formés de dégénérés, de démené rés sans les idées délirantes du groupe numéro 2, et sans la débilit
quentes; 11° le suicide est une exception chez l'indigène ; 12° les idées dé- lirantes les plus communes sont les idées m
l'indigène ; 12° les idées dé- lirantes les plus communes sont les idées mystiques et les idées ambitieuses, ces dernièr
dées dé- lirantes les plus communes sont les idées mystiques et les idées ambitieuses, ces dernières semblant se concilie
ontré aucun exemple bien caractérisé malgré l'extrême fréquence des idées mystiques; 16° l'alcoolisme apparaît surtout de
Dr Serge SOU¡¡HANOFF, Le délire chronique présente une forme où les idées absurdes s'expriment sous l'aspect du délire d'
sous l'aspect du délire d'invention et de découverte le contenu des idées morbides est tiré du domaine des sciences prati
ent pas la physique, il en parle et raisonne sainement, sans aucune idée délirante, ce qui fait croire aux personnes qui l
aît que ce malade se distingue beaucoup des autres malades dont les idées délirantes de persécution et de gran- deur se d
, sans trace évidente d'alcoolisme, en proie dépuis longtemps à des idées de défiance et de jalousie qui. sous l'influenc
ut dire, c'est qu'O... agit de plus en plus sous J'influence de ses idées fixes, et, par suite, qu'il est dominé par une
e de l'hypoglosse droit, de cause inconnue : l'auteur aban- donne l' idée de la lésion des noyaux de l'hypoglosse. P. KERAV
tâche entreprise par l'auteur, sont exposés les rapports entre les idées religieuses et philosophiques des peuples et le
s peuples et les théories ayant cours sur l'aliénation mentale. Les idées sur la folie de la période hippocratique, du ga
eront de leur empreinte les recherches des aliénistes français. Les idées résultent des sensations et « la mé- thode expé
er, Scinde; Kratft-Ebing, etc., etc., ont brillamment développé les idées de l'école zomatique, mais les classifications
les aliénés à un encellulement rigoureux. Il est à espérer que les idées humaines prévaudront dans cette oeuvre en Itali
iles, toujours en vigueur. Forcément ce règlement se conformait aux idées régnantes. Que prescrit-il sur le point particu
, et montrant que l'isolement confirmait le lypéma- niaque dans ses idées de culpabilité et de déshonneur, exal- tait la
ileptiques, des dangereux à impulsions subites, des mélancoliques à idées de suicide, des semi-agités, des gâteux encore
couru. Alors même qu'on n'accepterait pas dans leur intégralité les idées nous vellesqueje défends, qu'on croirait bon de
soriels et sensitivo-moteurs de l'écorce cérébrale. Pour GOLGI, les idées courantes sur la texture et la morphologie élémen
morphologie élémen- taire des organes centraux du système nerveux, idées alors em- pruntées à Gerlach, à JCIIULTZG, à Me
a sensibilité, des grandes, des cellules de la motilité, et aussi l' idée de Wundt, qui tenait les unes pour jeunes et le
toplasmiques. » HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 103 Mais l' idée d'une transmission nerveuse isolée, soit centripè
ration dirigée contre W. Wundt, dont les 110 PATHOLOGIE NERVEUSE. idées à ce sujet ne diffèrent guère de celles de Meyner
qui servent àcette sensation. » (Ibid., p. 291.) Un partisan des idées de Gudden, A. Forel, a surtout adhéré dans le p
nnellement les diverses parties de ce système, est si contraire à l' idée de localisations fonctionnelles précises et exa
premier appor- tées au monde. Loin de se montrer fermé à toutes les idées nou- velles qui résultent du développement même
erveux, car rien 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'est plus opposé à ses idées que d'attribuer aux prolongements protoplasmiqu
. 11ÉRAVAL. VII. La mensuration DE la rapidité DE l'association DES idées chez LES ALIÉNÉS ET EN PARTICULIER DAUS LA FOLI
et les maniaques des mulliplications ou autres jeux d'association d' idées et l'on détermine le temps qu'ils y mettent ave
re chaque appel et chaque reprise est le temps de l'association des idées . Après l'association par nombres simples, on pr
s aliénés, en effet, âgés de plus de soixante ans, pré- sentent des idées de persécution; 3° mais quelquefois ces idées se
ans, pré- sentent des idées de persécution; 3° mais quelquefois ces idées se précisent, se coordonnent et les malades, ma
s'adaptent au milieu et aux circonstances. Dans cette psychose, les idées de vol, d'empoisonnement, les troubles de la se
lire au lieu d'être vague et diffus, est puéril et incohérent ; les idées de vol deviennent des idées de spoliation et de
diffus, est puéril et incohérent ; les idées de vol deviennent des idées de spoliation et de ruine. XII. QUELQUES remarq
simisme contemporain et des pessimistes, L'auteur, conformément aux idées de son maître, M. Régis, cherche à démontrer qu
ersonnalité et même le monde exté- rieur ; que, comme lui, il a des idées obsédantes, soit d'ordre phi- REVUE DES THÈSES
r relation avec celles dont nous allons nous occuper. Les anciennes idées de Fournié, de Max Simon et de Baillarger évolu
rnal des connaissances méd., n°' 6 et 7, 1894. De l'antagonisme des idées délirantes chez les aliénés. (Annales, jan- vie
bre de gestes et d'attitudes conventionnels dont chacun exprime une idée plus ou moins complexe. Quelques- uns (et ceci
ents de travail, facilitant ainsi quelque peu l'expression de leurs idées . C'est le cas du sourd-muet qui motive ces lign
font défaut ; son intelligence ne peut se servir dans l'échange des idées avec les autres hommes que de perceptions visue
cès de délire toxique dont on sait uniquement qu'il manifestait des idées de gran- deurs et qu'il était très agressif.
a valeur symbolique qu'elles pouvaient avoir; elles exprimaient des idées comme elles le pouvaient le sujet ne jouissant
s seules qui aient pu s'éveiller dans leur cerveau en exprimant les idées . De plus, elles ont été non seulement reproduit
passer de la mimique, qui leur sert ou à donner plus de relief à l' idée ou à l'exprimer avec plus de rapidité. En dehor
sus d'un bas prix. Il a une opinion très haute de lui-même. ' Ses idées , par reflet de l'importance qu'a l'ouïe dans le d
n ensemble a le même sceau enfantin que nous avons signalé dans ses idées . Nous ne copions aucun de ces rêves pour ne pas
1 TJ auront de spécial ce qu'ont de spécial les symboles de leurs idées . La pensée, formulée intérieurement à l'aide de
longue, l'action de l'âge aidant, il peut arriver un moment où les idées délirantes finissent par se dis- socier et, com
s conso- lantes). Les dernières semblent parfois être l'origine des idées de grandeur (théomanie) ; lamégalomanie des thé
sés chez les dégénérés forment une transition gra- duelle entre les idées délirantes religieuses n'offrant aucune systéma
tes ; or il n'est pas rare de les voir devenir le point de départ d' idées délirantes de nature religieuse. Une de nos ma-
religieuse. Une de nos ma- lades atteinte de débilité mentale avec idées de persécution persistant depuis six ans a en o
faiblesse d'es- prit), on peut distinguer, parmi les congénitaux à idées déli- rantes religieuses, deux autres grandes c
aux deux phénomènes. Souvent ces tendances érotiques se marient aux idées mystiques les plus exaltées. En Allemagne, nous
s, les perversions sexuelles peuvent s'observer conjointement à des idées délirantes mystiques. Une débile, ancienne reli
nt à la fois sur le crâne et sur le cerveau des microcéphales que l' idée étiologique de compression Archives, 2° série,
ant fina- lément au vomissement : en même temps on lui inculquait l' idée d'un antagonisme tel entre les médicaments qu'i
car, lorsque, au bout de neuf jours, le malade quitta l'hôpital,' l' idée , la vue ou l'odeur de son alcool favori lui don
érison est due à une pure sugges- tion, basée sur une association d' idées , et aidée par un traitement tonique. Ce procédé
l'intelligence proprement dite, de la mémoire, de l'association des idées , du raisonnement, et enfin de la volonté, de la
en effet, l'attention peut être altérée à des degrés divers et les idées , les paroles, la conduite peuvent varier avec l
es les criminels anarchistes et les régicides ? Contrairement à l' idée de M. Régis, qui a créé un type d'aliéné régici
i veut dire littéralement « oeil obscur », par où il comprend cette idée concrète : a Je ne savais pas ce que je faisais
fréquemment pas d'autre cause. P. KERAVAL. XXII. La Psychologie DES idées fausses DES aliénés; par le DI' Urie de Jouy (d
96, n°27.) La conclusion qui se dégage de ce travail, c'est que les idées fausses se manifestent dans l'aliénation mental
très différentes qui peuvent se ranger en deux catégories : 1° des idées d'infériorité; 2° des idées du supériorité. Les i
t se ranger en deux catégories : 1° des idées d'infériorité; 2° des idées du supériorité. Les idées fausses des aliénés a
ries : 1° des idées d'infériorité; 2° des idées du supériorité. Les idées fausses des aliénés apparaissent dans le sensor
jeu, au moyen des fibres d'association, l'activité des centres des idées auxquelles ces sentiments sont habituellement l
autres sphères du sensorium se trouvent contraires si bien que les idées contradictoires qui devraient corriger les idées
es si bien que les idées contradictoires qui devraient corriger les idées fausses ne peuvent plus être réveillées. 228
LOGIE MENTALE. Ces considérations seraient applicables à toutes les idées fausses des aliénés quelle que soit la variété
les symptômes bien nets d'une lésion en foyer, avec confusion des idées et démence survenues lentement, mais progressivem
es psychiques élémentaires des malades (mémoire, enchaîne- ment des idées , jugement, actions, expression de la physionomie,
allucination de l'ouïe (reproches et menaces), excitation, anxiété, idées de persécution. Transféré à l'asile d'aliénés, il
urs troubles psychiques. Tels sont : a) les hallucinations ; b) les idées délirantes; c) les états affectifs pathologique
essions : quelques malades deviennent incendiaires, poussés par une idée obsédante à laquelle il leur est impossible de
d'autres par suite d'états affectifs pathologiques (angoisse), ou d' idées délirantes, d'autres par vengeance, etc. M. WEB
Présentation de malade. - Femme de quarante ans. Hallucinations et idées de persécution systématisées. Pas de cons- cien
Ver ? ,ttcktheit.) ' M. Ganser. Sur les conceptions délirantes. Les idées délirantes sont en général des conceptious inex
uant à leur contenu : ce n'est pas là cependant l'essence même de l' idée délirante. Il y a des idées délirantes dont il
est pas là cependant l'essence même de l'idée délirante. Il y a des idées délirantes dont il est impossible de démontrer l'
rement aux erreurs de jugement, les conceptions délirantes sont des idées qui se produisent par suite d'un méca- SOCIÉTÉS
nisme pathologique des processus physiologiques de l'écorce. Les idées délirantes se manifestent en premier lieu sur le
. L'orientation individuelle de la vie représentative détermine des idées de culpa- bilité, d'indignité, de persécution.
, et leur couleur s'en ressent. Un second mode de développement des idées délirantes n'est pas sans analogie avec l'intui
délirantes n'est pas sans analogie avec l'intuition du génie : des idées de grandeur ou de persécution s'installent dans
ssi l'apparition d'hallucinations. Troisièmement, il faut citer les idées délirantes provoquées par les rêves, puis celle
t de loi publiés jusqu'ici ne permettent pas encore de se faire une idée exacle des mesures spéciales prises pour les ca
ui ont eu antérieurement une maladie mentale ou qui manifestent des idées de jalousie; c) les vagabonds. Discussion. - M.
orrectement et calcule bien. Il a conscience de sa situation. Pas d' idées délirantes. Diagnostic. - Le crâne en forme de
age l'influence exercée sur elle par son frère qui lui a imposé ses idées délirantes. Après un court séjour à l'asile la ma
pensées d'autrui. Sa soeur présente quelques hallucinations, des idées de persécution basées sur des troubles de la sens
L'aîné des frères, Nicolas, né en 18ou, a commencé à présenter des idées de persécution cinq ans avant l'internement. Qu
moments il s'excite, se déshabille, devient anxieux, présente des idées de persécution avec hallucinations. 11 est encore
impose à un autre individu son délire et non pas seulement que des idées délirantes éclatent sous l'influence d'une même
le frère sur sa soeur : c'est le premier qui impose à celle-ci ses idées délirantes; chez tous deux on constate l'existenc
ervation, il s'agit de sujets vivant isolés, en étroite communion d' idées et présentant tous une prédisposition manifeste
lément actif dans l'élaboration du délire et qui a commu- niqué ses idées de grandeur à son entourage. Il en est de même
ne des deux soeurs, plus intelligente que l'autre, systématiser des idées délirantes, présenter des hallucinations, alors
qu'ils n'ont pas été recherchés avec soin. De là pour se faire une idée exacte de leur fréquence il est nécessaire de d
Cette sensation nauséeuse vague sur laquelle le malade greffe une idée nette et complète qu'il formule sous le nom de
ensyslens. Arch. f. Anat. u. Phys., 1893, p. 319-428. Les nouvelles idées sur la structure du système 282 ' REVUE CRITIQU
tige. La découverte des collatérales a profondément transformé les idées sur l'activité du système nerveux central. On don
tons les plus hautes fonctions de la vie cérébrale (association des idées , mémoire, intelligence). Quant à la com- plexit
yramidales, avec ses pro- longements multiples, correspond bien à l' idée qu'une cellule ner- veuse doit être en rapport
La tournure insolite que prend parfois l'association, la fuite des idées et des paroles, la difficulté tran- sitoire de
on, Cajal rappelle que, dès que cette fonction se concentre sur une idée ou sur un petit nombre d'idées associées, outre
cette fonction se concentre sur une idée ou sur un petit nombre d' idées associées, outre la contraction intense des cellu
su. Quant à l'origine des cellules de Deiters, Weigert adopte les idées de la science de son temps sur la phylogénie et l
nt imaginé pour expli- quer l'accomplissement quand même du crime l' idée de la a pos- session >. Naturellement l'homm
tifique ; on a outre mesure étendu la portée du mot, et compromis l' idée qu'il repré- sentait. En résumé on supprimerait
est ce que Russel Reynolds a pittoresquement appelé la « chorée des idées »; il y a impossibilité de fixer son attention
e malade commence à parler ou à écrire sur un sujet, de nou- velles idées se précipitent, sous le tumulte desquelles il ne
il ne reste rien du sujet primitif : les mouvements dirigés par les idées souffrent du même désordre; c'est ainsi qu'une
s hypocondriaques, de la dépres- SOCIÉTÉS SAVANTES. 331 sion, des idées d'indignité, des accès d'angoisse, une tentative
rtance et l'authenticité des résultats qu'elle donne. Les nouvelles idées et le nouveau point de vue ont pénétré dans la
former un nouveau substratum pour de nouvelles images, de nouvelles idées et conceptions. Pour ce qui concerne les prolon
ca- nismes moteurs qui sont en union avec eux. Involontairement l' idée surgit que nous avons des liaisons doubles entre
LLA. (Il J11anicomio, \Il, fasc. 1.) Cas de délire sensoriel avec idées de démonopathie prédomi- nantes, bien que souve
hystérique présente des conditions favorables à l'apparition de ces idées et ces conditions se résument dans la suggestib
es facultés imaginatives uni à la ten- dance à concevoir toutes les idées sous forme concrète et sensible, et enfin la fu
ne syphilitique, saturnine et alcoolique ont petit à petit entamé l' idée d'une entité pathologique impropre à les expliq
de la langue et des muscles de la face, ictus, démence progressive, idées de gran- deur. III. De l'examen des 41 observ
e en 1890, après une période prodromique dépressive accompagnée d' idées de persécution et d'empoisonnement. Aucun signe d
MENTALE. quatre ans, pour la première fois, un accès délirant avec idées hypocondriaques et de persécution. Diagnostic :
permis de faire d'emblée le diagnostic. LVII. La signification DES IDÉES délirantes au POINT DE VUE DU diagnostic; par M
aux troubles de la sphère affective. Ziehen considère également les idées délirantes et les hallucinations comme carac- t
utour d'eux comme se rapportant à eux-mêmes, ils élaborent même des idées délirantes très compliquées : idées hypocondtia
x-mêmes, ils élaborent même des idées délirantes très compliquées : idées hypocondtiaques, idées de persécution parfois t
même des idées délirantes très compliquées : idées hypocondtiaques, idées de persécution parfois très systématisées. L'ex
ues, idées de persécution parfois très systématisées. L'existence d' idées délirantes et d'hallucinations ne suffit donc pas
t intellectuel. Ce malade vient de rentrer à l'asile avec les mêmes idées déli- rantes, mais son intelligence a baissé, l
diviser en trois groupes : 1° Modifications de l'humeur (tristesse, idées de persécution), accom- pagnant une série d'acc
de nature différente, avant et après l'attaque. Avant : dépression, idées hypocondriaques. Après : euphorie. Rarement le ra
orcément de nature fantastique ; ils peuvent persister sous forme d' idées délirantes ou se développer en se systématisant.
malade se plaint d'abatte- ment, s'accuse elle-même, manifeste des idées ^d'empoisonnement. A l'asile, somnolence, puis é
l'époque de la ménopause, de douleurs généralisées, de scrupules, d' idées de persécution. A l'asile, ces dernières idées
ées, de scrupules, d'idées de persécution. A l'asile, ces dernières idées délirantes persistent : on constate des douleur
trait un état d'euphorie. Il n'y avait pas, à proprement parler, d' idées de grandeur; mais souvent les malades, par suite
ier l'efficacité professionnelle du corps médical. Dans cet ordre d' idées , les médecins, choisis au concours, ne devraien
t. Depuis sa nais- sance, ma tante s'occupait moins de moi et cette idée m'était insup- portable. Je suis allée chez le
0 mars 1857 qui, selon lui, ne répond plus aux besoins actuels, aux idées régnantes. Nous reconnaissons que tout règlemen
liénés toutes les libertés possibles, même celle de conserver leurs idées déli- rantes. Mais c'est là la négation de tout
sonnes étrangères à la vie d'asiles doivent se faire une singulière idée de nos parloirs, on croirait vraiment assis- te
ne sont pas des maisons de retraite et on se fait difficilement à l' idée qu'un certain nombre d'aliénés, M. Marandon a p
ourte et diplo- pie. Marche impossible sans assistance. Trouble des idées pendant un ou deux jours. Pas de nausées ni de
se mettait à lire; il paraît que dans ce cas jouait un grand rôle l' idée de la myopie qui agissait comme une auto- sugge
e des expressions auditives avec des images grâce à l'existence des idées délirantes ou des hallucinations; outre cela ce p
es ont été traités d'une façon plus humaine et plus scientifique; l' idée générale qu'on se fait [de la [folie s'est tran
ces du régime parlementaire. Les anarchistes sou- tiennent quelques idées qui peuvent être prises en considération, mais
sévère. Les aperçus originaux sont nombreux et l'auteur exprime ses idées avec une franchise énergique à laquelle on n'es
e l'intelligence et de la vie sentimentale crée toujours, entre les idées et le- jugement, une désharmonie éminem- ment p
se dont les hallucinations de l'ouïe sont la carac- téristique. Les idées de persécution deviennent plus nettes et arri-
ersécution deviennent plus nettes et arri- vent à faire place à des idées de grandeur qui petit à petit se subs- tituent
lace à des idées de grandeur qui petit à petit se subs- tituent aux idées de persécution. C'est la troisième période de l
le malade. Il peut être un délire mystique qui s'il se complique d' idées ambi- tieuses, peut simuler le délire chronique
e ambitieux du dégénéré a toujours les mêmes caractères généraux; l' idée ambitieuse est analogue aux idées obsédantes, il
s les mêmes caractères généraux; l'idée ambitieuse est analogue aux idées obsédantes, il n'y a toujours pas de troubles s
ns, différentes contemporaines ou successives. Dans ces délires les idées de persécution et de grandeur peuvent se com- b
ession au lieu de la transfor- 496 FAITS DIVERS. mation lente des idées de persécution en idées de grandeur qu'on obser
nsfor- 496 FAITS DIVERS. mation lente des idées de persécution en idées de grandeur qu'on observe chez le délirant chro
tées à l' - de Villejuif, par Eourneville, 412. Associvtion DES idées . Mensuration de la rapidité de l' - chez les
1\TES. Sur les conceptions -, par Ganser, 244. Signification des idées - au point de vue du diagnostic, par Aschall'en
471. ICTÈRE, psychoses, auto-intoxica- tions, par Cramer, 330. Idées prévalentes, par A. Koch, 37. Psychologie des -
21 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
ci un exemple. 11 montre avec quelle rapidité peuvent se propager les idées . (1) Voir les numéros précédents. De même u
affection mentale, d’autre part la contagion, dans la propagation des idées religieuses, y est manifeste. Dans le mode de f
ite, des propriétés des congrégations religieuse* en France donne une idée de la figure qu’on obtiendra. (2) Victor Huoo.
urémotif et passionnel) est un symptôme d'affection mentale. 2° Les idées religieuses se propagent par suggestion. 3° La
ques s’étaient à la longue compliqués de dépression mélancolique et d’ idées hypocondriaques. Dès la première tentative, elle
el est qu’il soit un moment distrait de son obsession et isolé de son idée fixe subconsciente ; alors, dans ce temps d’autom
de la mort, surtout par étouffement ou par accidents du cœur ; celte idée me poursuit au point que je n’ose plus sortir seu
r un instant les obsessions, sa pensée concentrée exclusivement sur l' idée de sommeil: je l'assurais aussi que dans ce temps
nvaincu, par de nombreuses observations, que souvent les phobies, les idées fixes ont leur point de départ dans une émotion o
-coup de cette excitation anormale pourra être la mise enjeu de cette idée subconsciente; peu à peu, la répétition de ces tr
subconsciente; peu à peu, la répétition de ces troubles renforcera l’ idée principale et, par ce mécanisme, celle-ci finira
, l’impression vive qui avait provoqué l'obsession principale, soit l’ idée de mort par suffocation ou par lésion du cœur et,
appréhensions de mort par suffocation, ne sont pas le résultat d'une idée délirante, d'un trouble mental, mais d'un souveni
toute image terrifiante ou simplement triste, en leur substituant une idée voulue, fortifiée par l'habitude, et au besoin en
r un artifice enseigné à la clinique du Dr Bérillon, pour remplacer l’ idée obsédante et aussi pour fortifier ce temps d’auto
s a été complet. Si de temps à autre les imaginations morbides et les idées fixes ont tendance à reparaître, M. X... a recouv
sentations : en se rendant compte de la genèse de ses phobies, de ses idées obsédantes et de leur développement, il s'est res
fait qu'un membre ou un segment de membre peut être paralysé par une idée exprimée, c’est-à-dire par suggestion. Que ces pa
», il écrit: « La croyance au mal de tête est causée par différentes idées erronées: parfois par des émotions qui agissent s
compliqués du larynx, du palais, de la bouche, des lèvres, etc. a L’ idée vient à l’enfant de prononcer un mot; immédiateme
nent motrices en vertu de la loi psychologique qui veut que toute idée exige par elle-raéme la réalisation des mouvement
des obstacles qu’il imagine; l'obliger « à mettre de l'ordre dans ses idées , à attendre, avant d’émettre des sons corresponda
de sa critique pendant l’analyse, ni se laisser influencer par aucune idée préconçue ; G. Etre capable de s’exprimer d'u
troactives ou actuelles; allochirie, microesthésie. macroes-thésie. Idées fixes ; obsessions ; rêves. Hallucinations rétr
des états seconds, des somnambulismes naturels. i»" Il dévoile ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent
Ces représentations symboliques de l'acte déterminent chez autrui l’ idée et l’acte correspondants. La suggestion s’adresse
resse donc à un cerveau évolué; elle met en jeu les sentiments et les idées : elle provoque une série d’actes en vue d’un but.
on centripète ; 2° L’excitation d’un groupe de neurones éveillant l’ idée correspondante; 3° Un mouvement centrifuge ou a
otiseur peut substituer sa volonté à celle du sujet, lui inspirer les idées , les sentiments, les sensations qu’il lui plaît,
dégoût chez certains buveurs, tels que les dipsomanes, angoissés à l' idée qu’ils vont absorber cette liqueur qu’ils abhorre
garantie à l'impulsif qui succombe quand même. En Amérique, on a eu l’ idée folle de traiter les buveurs par le dégoût des bo
laquelle il attribuait une puissance considérable. Dans cet ordre d’ idées , ils convient de rapporter la guérison si curieus
ité, paraissent se rattacher au mal comitial. II souffrit d'abord d' idées de persécution; puis il éprouva le besoin d'insul
nombre de guérisons obtenues par suggestion hypnotique, à savoir des idées délirantes, un torticolis intermittent survenant
en collaboration avec le Dr Pierre •lanet, sous le titre Névroses et Idées fixes. Et cela même explique l’empressement avec
e. Dépourvu de toute ambition personnelle, il se contente de voir scs idées se répandre et porter leurs fruits. Il lui arrive
Il multiplie quotidiennement les expériences concluantes et jette ses idées au public au furet à mesure qu’elles se développe
de synthèse. Ses livres sont dp vraies fourmilières où pullulent les idées inédites et surprenantes, les théories originales
e par les symptômes suivants : J.ristcssc, aboulie, dégoût de la vie, idées et même tentatives de suicide, idées de luinc et
cssc, aboulie, dégoût de la vie, idées et même tentatives de suicide, idées de luinc et de culpabilité, scrupules religieux,
nse que M. Lionel Dauriac a voulu dire que nous ne savions pas si les idées religieuses étaient vraies ou fausses. Si c’est b
t bien là sa pensée, je ne saurais l’acceptcr sans restriction. Les idées religieuses., toutes présentées par les propagand
t que des légendes ; 4" Que Joshua était un mélancolique imprégné d' idées bibliques et bouddhistes, et atteint d’un délire
es scènes d'évocation avec celles de l'antiquité, la ressemblance des idées religieuses de ces peuples avec celles qui inspir
posé la question ; l’analyse et la critique sont œuvre d'impiété. Ces idées sont extrêmement anciennes ; le fétiche, lui-même
même le songe et s’entretenait avec le songeur. Il fallait pour que l’ idée de la réalité de cette conversation fût facilemen
e, de Virgile et de tant d’autres, les caractères de leur voix. Les idées que, d’après les songes, on s'était formées de l'
confusion religieuse, de lieu et d’origine, dont émergeait une seule idée nette, c’est que le mort avait parlé. Ce phénom
ations elles-mcmes, qui deviennent le point de départ d'impulsions, d’ idées obsédantes, de manies, de concepts plus ou moins
la suggestion, l'attention, l’émotion, la mémoire, l’association dc-s idées , les lois des phénomènes physiologiques cérébraux
’a mis en état de faire disparaître dans des cas d’hystérie grave les idées fixes, causes du mal. Dans de nombreux cas de neu
mettront de faire de loin connaissance avec ¡'Institut Liébeault. L' idée qui a présidé à la création de l’institut a été c
dc sa critique pendant l’analyse, ni se laisser influencer par aucune idée préconçue; 7. Etre capable dc s'exprimer d'une
ange; on peut produire l’amnésie d’un seul mot ou d’un seul système d’ idées ; et tout cela, sans que l’état général de la cons
e me suis demandé : étant donné que l'inhibition isolée de systèmes d’ idées est possible, ne pourrait-on pas produire par la
de pour que des bruits de l’entourage, des sensations organiques, des idées intercurrentes ne troublent plus le sujet. Grâc
, dans cet état d’hypnose partielle, il réussit à rendre couscienle l’ idée qui le fait agir. Une autre Ibis, il constate en
ble, dans cet état de veille partielle systématisée, de reconnaître l’ idée efficace, si l’on agit sous l'influence d’une sug
ènes hystériques, recherches qui, à ma grande joie, m’ont amené à des idées pressenties déjà par Charcot et poursuivies plus
s concrètes et que nous ne prenons quelquefois ces dernières pour des idées abstraites que parce que ces images concrètes son
pléthysmographe. Je ne vois aucune relation entre celle image et les idées qui l'ont précédée dans ma conscience. » Il s’agi
ées qui l'ont précédée dans ma conscience. » Il s’agit donc ici d’une idée appartenant au groupe des idées décrites par Iler
conscience. » Il s’agit donc ici d’une idée appartenant au groupe des idées décrites par Ilerbart comme entrant librement dan
donna les éclaircissements suivants : « Pendant noire conversation, l’ idée d’une petite contrariété, que j'ai eue ce matin p
s mots: « Le bras de M. J... » Nous voyons quel aspect prennent ces idées qui, en apparence, entrent librement dans la cons
és, ils peuvent par leur simple volonté, reproduire cet état j mais l' idée efficace qui produit celui-ci reste toujours une
t. Enfin, on peut, par la suggestion, dissocier des sensations et des idées qui restent unies sous l’influence des excitation
; elle peut en effet se produire sans exiger la formation préalable d’ idées dans le cerveau. Les premiers actes cérébraux d
la suggestion, comme nous le verrons, exige l’acquisition préalable d’ idées . Elle peut persister alors, que toute autre facul
l’impulsion première, on fait ce que commandent les sentiments ou les idées . Quelques adultes conservent un caractère infan
ne se borne pas à l’actc seul, elle met en jeu'la cause, sentiment ou idée , qui l’a déterminé. Ainsi certains actes, la fuit
sentations symboliques de l’actc qui peuvent déterminer chez autrui l’ idée et l’acte correspondants. Tous nos sens sont de
ue) émotionnent le cerveau, et des paroles (langage) qui évoquent des idées . Les yeux voient les gestes et la physionomie.
gestes et la physionomie. Une odeur, un goût, peuvent éveiller des idées . Le sens musculaire luî-même peut être la sourc
ons. L'attitude communiquée au sujet hypnotisé éveille en lui les idées correspondantes. Tandis que les résultats de l’im
resse à un cerveau évolué dont elle met en jeu les sentiments, et les idées . Tout d’abord, comme l'imitation, la suggestion
te pas des actes simples, mais comme elle éveille des émotions et des idées , elle provoque une série d’actes en vue d’un but.
but. Ceux-ci s’inspirent de sentiments, de passions, d’associations d’ idées , de raisonnements complexes. La suggestion peut
pas soumis à la réflexion. Il n’y a pas lutte entre sentiments, entre idées différentes. Les voies suivies par le courant ner
oiront leur état extrêmement grave ; ils discourront sans fin sur une idée que vous avez émise sans y attacher grande valeur
clatent de rire aux endroits les plus pathétiques des drames. Toute idée émise, si logique soit-elle, leur inspire l'idée
des drames. Toute idée émise, si logique soit-elle, leur inspire l' idée contraire. Il suffit de dire blanc pour que ces e
; ils avaient bien entendu, mais les paroles avaient éveillé en eux l’ idée du contraire et sans s’en douter, ils en avaient
nes psychiques : d’ou la formation de plusieurs images, sentiments ou idées . Un sentiment ou une idée domine, qui déterminera
rmation de plusieurs images, sentiments ou idées. Un sentiment ou une idée domine, qui déterminera l’acte. Fig. 4. Acte
rement, par exemple quand nos passions sont mises en jeu. Quand les idées sont d’intensités à peu près équivalentes, il y a
, il y a attente ou réflexion. Puis on se détermine et on préfère une idée aux autres comme motif d’acte: c’est le jugement.
le jugement peut être superficiel, c'est-à-dire faire choix entre des idées peu nombreuses, ou être bien établi entre de nomb
tre des idées peu nombreuses, ou être bien établi entre de nombreuses idées . Quand il y a attente, réflexion, jugement, il
tion de l'objet qui fascine. L’étude de la fascination explique les idées populaires sur le mauvais œil, et les croyances a
ps d’expérience à vos savants pour développer dans l'âme des foules l' idée que l’hypnotisme n’est pas œuvre de charlatans, e
z ces déshérités, est le premier instrument de leur rédemption. Cette idée , n'est-elle pas sublime ? Voici une naine ; elle
t par la parole et par la plume pour la défense et la propagation des idées républicaines; tous deux furent, aux diverses épo
que de l’homme sur l’origine et la nature de ses sensations et de ses idées , ne s’est reposée que dans la considération des d
es, plus inébranlable que jamais, a produit une première végétation d’ idées systématiques? sinon encore scientifiques, sur la
et réprésentant une somme de labeur, dont seuls peuvent se faire une idée ceux qui font des recherches basées sur des texte
’auteur à sa génération. Nous pouvons en effet, maintenant, avoir une idée complète de tout ce qui a été dit et fait, en ana
, des états seconds, des somnambulismes naturels. 5° Il dévoile ces idées fixes qui, à l’insu des malades, sont si souvent
mer l’effet. III. — Une jeune fille âgée de 25 ans est en proie à l' idée obsédante de se jeter par la fenêtre. Or quelle e
extrême obligeance et du bon vouloir qu’il a apportés pour donner à l’ idée que je lui avais soumise une forme à la fois scie
je n’y tiens pas outre mesure. J’ai simplement voulu dire qu'une même idée , une même sensation, une même représentation répé
ti la folie me venir. C'était dans ma pauvre cervelle un tourbillon d’ idées et d’images où il me semblait que ma conscience,
hargé du cours des maladies mentales à l'université de Bordoaux Les idées émanées du rêve exercent dans la vie normale, mai
ie de Bordeaux, mai 1899.) — Les délires systématisés secondaires. — Idées fixes post-oniriques des états toxi-infectieux. (
ir de maladies infectieuses, même sans avoir déliré en apparence, une idée fausse isolée, absurde, tranchant au milieu de l’
d’une fièvre typhoïde, alors que jusque là il n’avait jamais accusé d’ idée délirante, même au plus fort de sa fièvre, se mit
dit l’auteur, comment il avait pu être si longtemps dominé par celte idée fixe (*). Cette curieuse particularité mentale,
fausses croyances puisées dans un rêve d’action et lui survivant, des idées fixes post-oniriques, de tous points analogues au
rvivant, des idées fixes post-oniriques, de tous points analogues aux idées fixes dites post somnambuliques. Et ce qui prou
puissante vis-à-vis des vraies vésanies systématisées, exerce sur ces idées fixes issues des psychoses infectieuses la même a
issues des psychoses infectieuses la même action efficace que sur les idées fixes subconscientes des névroses. Dans plusieurs
is, m’a dit M. Sicard, qu’il ne s’agit là que de la persistance d'une idée fixe subconsciente de nature hystérique, telle qu
le que les travaux de MM. Raymond et Janet nous l’ont fait connaître, idée fixe subconsciente qui peut persister durant un t
itre d’agent provocateur. Mais il est impossible d’admettre que les idées lixes de la convalescence des infections relèvent
omnie complète pendant trois jours, l'agitation continue, le délire d' idées se transforme en délire d’action. On est obligé d
e Charcot, il est celui qui a été chargé par le Maitre de publier les idées de l’Ecole de la Salpôtrlère sur l’hypnotisme et
veau, « car l’affection passe au cerveau par les nerfs » (*). Cette idée du siège encéphalique de l’hystérie ne fut repris
e la conscience. Tout cela est assez vague, et l’on peut dire que l’ idée que nous nous faisons aujourd’hui de l’hystérie n
autres. » « Ce défaut de synthèse favorise la formation de certaines idées parasites qui se développent complètement et isol
, par le professeur René Lépine, théorie dont il avait eu ia première idée en 1894, à propos d'un cas d’hystérie à forme par
ures perçues par la conscience sont les sensations, les images et les idées .) Enfin, de même que le peroxyde de plomb d’une
ence des figures dessinées sur les neurones (réveil des images et des idées , souvenir}, d’autre part un courant nerveux quelc
nerveux quelconque (association dos images, idéation, association des idées , jugement, raisonnement). Cette phosphorescence e
si confondu avec le petit mal épileptique la distraction causée par l’ idée fixe. Nombreux sont les exemples de géniaux viv
aux vivant en dehors de la vie normale, absorbés qu’ils sont par leur idée . Newton mit deux ans à préparer son livre des p
e, et demeurait ainsi, h moitié nu, pendant des heures, poursuivant l’ idée qui l’occupait. Leibnitz étudiait pendant des m
eur, il importe de distinguer : 1° Si c’est par préoccupation d’une idée fixe qui la poursuit; 2° Ou par absence, petit
ébral complet, puis, quand il revient à lui, il reprend le fil de ses idées exactement au point où il l’avait laissé au début
considérations qu’elles nous ont inspirées. COURS ET CONFÉRENCES Idées obsédantes et délire de persécution t). Par M.
es et délire de persécution t). Par M. le Professeur Raymond. Les idées obsédantes et, par suite, les idées fixes, font c
r M. le Professeur Raymond. Les idées obsédantes et, par suite, les idées fixes, font comprendre la genèse de bien des névr
es; témoin le cas de cet homme, âgé de 40 ans, lequel, sous le coup d’ idées obsédantes, se dispute cinq fois, dix fois par jo
attu, il a le sentiment de sa défaite. Donc ici, il y a plus qu’une idée ; l’idée passe à l’acte, la lutte imaginée devient
a le sentiment de sa défaite. Donc ici, il y a plus qu’une idée; l’ idée passe à l’acte, la lutte imaginée devient lutte v
malades et n’y parvenait que difficilement. M. Ilachet-Souplet eut l’ idée , un jour, de lui suggestionner le moyen de se mie
* C... se plaint de ne plus pouvoir trouver ses mots ni condenser ses idées . Cependant elle parle avec volubilité pendant des
thèses. C'est aux environs de 1772 ou 1775 que Mesmer, exhumant ces idées surannées, les fait revivre, tout en émettant cet
théorie, il n’a montré aucune espèce d'originalité et même toutes ses idées sont un plagiat pur et simple de ce qu'enseignaie
ation qui s’est manifestée dans son état mental, accepte facilement l’ idée de la démorphinisation graduelle. Dès ce moment,
yens de traitement avaient échoué et il allait la renvoyer, lorsque l' idée lui vint d’essayer les courants faradiques. La gu
n’était pas heureux ; i! avait de fréquents accès de mélancolie et l’ idée du suicide le hantait. L’autre matin, il a pris u
tions de l’hypnotisme au traitement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des états d’anxiété, des habi
s à images simples, les neurones à images composées et les neurones à idées . Les neurones à images simples font suite aux n
ur un neurone au même titre que les images simples composantes. Les idées résultent de la combinaison des images simples. S
s nerveuses que j’ai recueillies sous le microscope, je constitue une idée , qui est l’idée de cellule nerveuse, et qui pourr
j’ai recueillies sous le microscope, je constitue une idée, qui est l’ idée de cellule nerveuse, et qui pourra se fixer sur u
détermine des réveils et des associations inconscientes d’images et d’ idées , qu’il atteigne enfin les neurones supérieurs de
revers; on a appelé cette fonction l'instinct de conservation ; et l’ idée de suicide ne vient à ces êtres, hommes ou animau
nos efforts avaient pu produire le bien, nous aurions une toute autre idée de la mort, nous irions plus simplement, plus nat
tions de l’hypnotisme au traitement des aboulies, des obsessions, des idées fixes, des phobies, des états d’anxiété, des habi
oies parcourues sont des sentiers de traverse, on a ['association des idées , la rêverie, le rêve, les traits d’esprit, les co
taine difficulté à rassembler, dans un même moment, les images et les idées se rapportant à un même sujet. Et cela explique
lement leur suggestibilité. En effet, s’ils acceptent si aisément les idées ou mieux les jugements qu’on leur impose, c’est q
dans l’impossibilité de rassembler au bon moment toutes les images ou idées qui s'y rapportent et de leur opposer des jugemen
s'y rapportent et de leur opposer des jugements contradictoires. « L' idée ou le groupe d’idées suggérées, dit Charcot, se t
e leur opposer des jugements contradictoires. « L'idée ou le groupe d’ idées suggérées, dit Charcot, se trouvent dans leur iso
dans leur isolement à l’abri du contrôle de cette grande collection d’ idées personnelles depuis longtemps accumulées et organ
stériques se montre meilleure lorsqu’elle opère sur les images et les idées recueillies avant la maladie. C’est que les neuro
- leure. souvent preuve, pour un groupe déterminé d’images et d’ idées , d’une clairvoyance et d’une pénétration extraord
aisément, c’est que rien ne vient du champ de leur mémoire atténuer l’ idée triste ou joyeuse qui passe en leur conscience (2
uvent, dans un même moment, rassembler qu’un très petit nombre de ces idées qu’on appelle des motifs d'action, ils se déciden
, nous invite à définir la personnalité, l’ensemble des images et des idées actuellement conscientes ou susceptibles de le de
pe d'images hallucinatoires comme dans Yexlase, à un petit groupe d’ idées comme dans l'obsession et Vidée fixe. On dit alor
s comme dans l'obsession et Vidée fixe. On dit alors que l’image ou l’ idée principale «envahit le champ de la conscience. »
s,il acquerrades connaissances nouvelles, associera des images et des idées , jugera, raisonnera, pensera à Tinsu de N. Et, s’
sthme I, il lui enverra les systèmes d’ondulations, les images et les idées qu’il aura élaborées, ces messages psychiques don
he de pouvoir fixer leur attention et de concentrer leur pensée sur l’ idée du sommeil, tant leur esprit est préoccupé de l'i
eur pensée sur l’idée du sommeil, tant leur esprit est préoccupé de l' idée morbide et ne peut s’en détacher, soit parce qu’i
’emphysème avec douleur permanente du côté gauche. Depuis lors, les idées tristes avaient augmenté, surtout après la mort d
n mari, mort phtisique, elle avait été beaucoup mieux, n'avait plus d’ idées noires, mais après, étaient venues des idées de s
up mieux, n'avait plus d’idées noires, mais après, étaient venues des idées de suicide, qu’elle avait surmontées. Mais, il y
aire, d’avoir une maladie de cœur et se sentant 1res malheureuse, les idées noires et de suicide avaient repris le dessus, cl
uit jours, les dimanches après-midi. J’insiste sur la disparition des idées tristes et surtout de suicide, de ses phobies, de
e ses peurs de la maladie, de la phtisie surtout ; je lui suggère des idées riantes, un sommeil tranquille toutes les nuits,
hemars et fait de bonnes nuits, elle mange et digère bien, n’a plus d’ idées tristes et encore moins d'idées de suicide, plus
elle mange et digère bien, n’a plus d’idées tristes et encore moins d' idées de suicide, plus de peur de la maladie de poitrin
e et opérer au moment psychologique pour faire entrer et accepter une idée . Il faut, dès le début du traitement inculquer au
stituer une synthèse mentale très marquée, que l’hystérie, fille de l’ idée , doit guérir par l’idée, que la neurasthénie, fil
tale très marquée, que l’hystérie, fille de l’idée, doit guérir par l’ idée , que la neurasthénie, fille de la fatigue, doit g
orie physiologique de 1’), par Binet-Sanglé, p. 257, 289, 321, 353. Idées obsédantes et délire de persécution, par Raymond,
22 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
e deuil qui vient de nous frapper, nous éprouvons une consolation à l' idée que Félix Régamey, qui portait si haut le culte d
us éclairer mérite-t-il un sérieux examen, et c'est conduit par cette idée que j'ai cru intéressant de présenter aujourd'hui
ens à moi. Sitôt que j'ai repris connaissance, je suis en proie à une idée fixe, qui a généralement trait à l'heure, au jour
pt mois). Je me sens beaucoup plus fort au physique et au moral, et l' idée d'avoir une crise ne m'impressionne plus comme au
de traiter la suggestion envisagée au point de vue pédagogique et les idées qu'il émettait se rapportent si bien aux anormaux
nsable dans un établissement d'anormaux. Pédagogie. — Loin de moi l' idée de décrire ici une méthode, voir même un procédé,
tenu compte de l'acuité visuelle et de la surdité. M'inspirant des idées de l'instituteur de l'établissement que je dirige
ser l'effort et non le forcer en s'imposant à l'enfant ; répandre des idées pour qu'à leur contact tombent ses enveloppes com
es et faux jugements du psychisme inférieur), enfin l'association des idées et l'imagination inférieures (trances et romans d
reconnaître que nous avions sur l'hypnotisme et la psychothérapie des idées absolument communes. J'espérais avoir, quelque jo
dévastation ! Il ne leur manquerait plus que le silence pour donner l' idée d'une macabre chevauchée de revenants. Il n'y a
ecin. La doctrine du pasteur Ebel, qui était marié, se basait sur des idées chiliastes. D'après lui, le règne personnel de Jé
s ; il fut condamné à une peine correctionnelle de 6 années. Mais ses idées et le culte qu'il avait organisé durèrent encore
'incline à lui accorder, pour le début de ce mouvement religieux, des idées mystiques. Mais pour le reste des cérémonies et p
ux aveugles à composer par perceptions successives, les images et les idées que le sens visuel produit par sensations synchro
ayant des adeptes en Chine, les Chinois adoptent assez facilement les idées religieuses ou mystiques des autres peuples sans
e pays. Il est peu aisé de les connaître toutes, tant sont vagues les idées de ces peuples orientaux et parce que les Malais
que à les mettre à leur aise, à gagner leur confiance, à me faire une idée juste de l'état de leurs organes. Le diagnostic
'état, Bénita se conduisait comme ces aliénés qui, sous le coup d'une idée délirante de négation, d'indignité, de damnation
dans son sens le plus large — si elle n'implique pas nécessairement l' idée de psychose, de folie, pas plus qu'elle n'impliqu
tenaces de la névrose, dans la genèse et la persistance desquelles l' idée fixe joue parfois un rôle considérable, que l'emp
que l'emploi de l'hypnose nous semble très formellement indiqué. L' idée fixe est, en effet, à la base d'un grand nombre d
La production du somnambulisme permettra bien souvent de dépister les idées fixes subconscientes du sujet, puisqu'aussi bien,
s ignore à l'état de veille. D'ailleurs, ce ne sont pas seulement les idées fixes secondaires, mais aussi l'idée fixe primair
s, ce ne sont pas seulement les idées fixes secondaires, mais aussi l' idée fixe primaire, le choc moral initial qu'il faudra
e-là, il se refusait absolument. Mais il ne suffit pas de connaître l' idée fixe, il faut chercher à la détruire, à la dissoc
ue en somnambulisme. Une substitution analogue peut s'opérer dans les idées fixes ; on peut modifier ainsi, peu à peu, cette
r l'ostensoir ! etc. Lorsqu'on réussit à supprimer où à transformer l' idée fixe primaire, un véritable changement à vue s'op
s l'état du malade. Les accidents actuels disparaissent rapidement, l' idée qui les entretenait n'existant plus ; les stigmat
demeure, toutefois, subconscient dans la veille. La dissociation de l' idée fixe contribuera donc, en permettant le calme de
de la nuit, à réparer la santé physique et morale du sujet. Quand l' idée fixe est de date ancienne, sa résistance est énor
sommeil hypnotique en lui-même a un grand effet curatif. C'est cette idée qu'il a exprimée par sa théorie bien connue du so
tères fondamentaux : 1° faiblesse de transformation des sensations en idées ; 2° diminution du pouvoir de création ; 3° rétré
rie. Et puis, dans bien des cas, la personnalité du médecin, dont les idées , les procédés d'examen et de traitement ont diffu
mme un législateur, un philosophe, plutôl que comme prophète. Cette idée est surtout juste à l'égard de Mahomet si le mot
misme, le christianisme, le judaïsme et le paganisme, ne sont que des idées conçues et formées plus tard, d'après l'éducation
fformes et malades : l'art grec, disait-on. évoque toujours en nous l' idée du beau idéal et classique à l'exclusion de tout
destruction et, double du mort, lui assurait une vie éternelle. Une idée religieuse s'attachait de même aux terres-cuites
es. Je parle, écrit le correspondant russe du journal des Débats, des idées morales, qui subissent une crise dont rien au mon
morales, qui subissent une crise dont rien au monde ne saurait donner idée . De quelque côté que l'on se tourne, ce ne sont q
croyance au surnaturel, les histoires de sorcier et de revenants, les idées obsédantes de maléfices. En outre, l'imitation et
e signification au point de vue médico-légal, mais n'impliquer aucune idée métaphysique ou philosophique. Sollicité de tro
vèrent dans leurs partis pris. Cependant, peut-être quelques-unes des idées émises ci-dessus feront-elles réfléchir les indéc
e se développe, sorte de folie morale où dominent alternativement les idées de désespoir, de suicide, d'homicide, et les impu
tourent, odieux et coupables. Sera-t-elle toujours leur victime ? Les idées de révolte se font jour dans son esprit, puis des
victime ? Les idées de révolte se font jour dans son esprit, puis des idées de vengeance. Comment se venger ? Les atteindre d
qu'il est mal de se venger, elle possède en son entier le faisceau d' idées morales qui sont l'attribut commun des individus
e, une conscience rétrécie, des fonctions psychologiques diminuées. L' idée de vengeance n'est plus désormais combattue par l
L'idée de vengeance n'est plus désormais combattue par l'ensemble des idées antagonistes qui la neutralisent habituellement d
ièrement catégorique : « Sans un plan directeur, écrit-il, sans une idée maîtresse, sans une heureuse initiative, nous n'a
que les Anglais ont appris à gagner la bataille de Waterloo. » Les idées de Spencer, devenues classiques en Angleterre, on
t confié â leurs soins. * * La suggestibilité, la réceptivité aux idées ambiantes sont le propre de l'enfance. Les idées
, la réceptivité aux idées ambiantes sont le propre de l'enfance. Les idées bonnes et les idées mauvaises y trouvent donc
idées ambiantes sont le propre de l'enfance. Les idées bonnes et les idées mauvaises y trouvent donc un terrain égalemen
t un terrain d'union, favorable à l'étude de leurs travaux communs, l' idée d'Henri Bouley est en partie réalisée. Le concour
elle-même, il ne faut pas espérer la moindre transformation dans les idées de nos académiciens médicaux. Mais peut-être un j
s de nos académiciens médicaux. Mais peut-être un jour viendra où les idées démocratiques qui président au gouvernement du pa
émies ; à ce moment le corps électoral aura voix au chapitre. Telle idée qui peut paraître actuellement un paradoxe devien
ticulier : l'étudiant américain est assurément — ceci dit sans aucune idée de critique confuse — plus sérieux et plus moral
eulement de la mort, mais de la mort subite, et se demandait si cette idée évoquée continuellement ne pouvait causer une mor
faudrait pas laisser l'esprit de l'enfant s'appesantir souvent sur l' idée de la mort, mais au contraire lui enseigner la jo
ource d'élévation joyeuse. C'est ainsi que se forme le caractère. L' idée de Dieu et d'infini devrait bien entendu pénétrer
e devrait être l'aspiration de tout cœur humain. L'élimination de l' idée de crainte devrait être le premier objet de l'enf
einte d'une curieuse affection : elle est sans cesse en proie à cette idée qu'elle va avoir envie d'évacuer ses matières féc
d'être régulières. A 14 ans, la malade entre au lycée et, dès lors, l' idée de la défécation involontaire commence à la harce
s magasins, etc., aussitôt la voilà qui commence à s'inquiéter; l' idée de la défécation se présente inévitablement à son
molles, enfin liquides. Le besoin satisfait, elle peut sortir, mais l' idée et la crainte de la défécation persistent et même
liquant le traitement hypnotique ? Ma malade était tourmentée par une idée qui avait une cause réelle : à savoir le fait qu'
; elle entre en somnambulisme. Je lui suggère alors de n'avoir plus d' idées et de craintes de défécation, de ne pas s'inquiét
eille elle se sentait bien, s'est promenée beaucoup sans avoir aucune idée de défécation ; elle n'a pas eu non plus de selle
a malade a été très bien portante ; elle s'est beaucoup promenée sans idées obsédantes ni crainte de défécation, sans selles
n dormi, n'a pas été nerveuse, comme d'habitude, n'a presque plus les idées de défécation qui l'obsédaient auparavant ; si el
lle continue à se promener tranquillement dans les rues sans avoir ni idées obsédantes de défécation, ni défécation. Je répèt
cette observation finale : « La malade se sent très bien, n'a plus d' idées de défécation ; pendant la marche, elle retient f
iété publique que beaucoup de chiennes mangent leurs petits, et cette idée est tellement répandue qu'en passant nous allons
le a mangé les nouveaux-nés. Il nous faut souvent lutter contre celte idée , donner des preuves du contraire. Xous reviendron
ients d'eau bouillante, de couvertures, etc. Nous avions eu cette idée parce que la guenon portait son petit d'un coin d
e impulsion involontaire aveugle, fatale, produite chez la mère par l' idée des dangers immédiats ou futurs que peut courir s
J'ai été délivré de l'esclavage. Car c'est un esclavage dont on n'a idée que lorsqu'on y est passé. J'ai pu assister aux
sage, être raisonnable », et les variantes. Puis, pour remplacer l' idée de l'absente, j'ai pratiqué l'auto-suggestion pou
i pratiqué l'auto-suggestion pour travailler, écrire, avoir de bonnes idées , et d'autres auto- suggestions que j'ai jugée
écartais par l'auto-suggestion de travailler, écrire, avoir de bonnes idées , etc. A ce moment, j'estime avoir fait certains
pensée. Pendant trois ans, il a fallu continuellement déplacer une idée fixe par une autre, sans cesser, sans se reposer,
Turquie était riche, puissante, et se montrait largement ouverte aux idées de progrès. A l'époque de la guerre de Crimée qur
du trône. Tous ses sujets, musulmans et non musulmans, à cause de ses idées libérales, fondèrent sur lui les plus grandes esp
ondèrent sur lui les plus grandes espérances. Va fait qui donnera une idée de la largeur de ses vues : pendant le règne de s
elligence exige la chasteté, la continence ; et dans un autre ordre d' idées , la sobriété, le jeûne. Le travail de l'intelli
oup d'efforts, des efforts continuels pour supprimer de sa pensée les idées d'amour. J'estime que la persévérance k pratiqu
to-suggestion tous les jours pour travailler, écrire, avoir de bonnes idées , faire œuvre utile, cette continuité a développé
pert la question de responsabilité. Cet expert n'aurait pas eu même l' idée de se dérober. Qu'y a-t-il donc de nouveau ? —
-t-il donc de nouveau ? — Nous sommes à un tournant de l'histoire des idées . L'éternel conflit de la psychologie et de la phy
omment ne pas tenir compte de l'évolution et de la transformation des idées dans l'exercice des choses de la justice ? Le dou
i la querelle de mots ne fasse en réalité que traduire une querelle d' idées . Je crois au vieux dicton : ce qui se conçoit bie
us nous chicanons sur les mots, c'est que nous nous chicanons sur les idées . En veut-on la preuve ? La voici. « Je propose
se. Mieux vaudra toujours, me sem£le-t-il, en revenir à la querelle d' idées qui n'est pas sans issue que de s'attarder à une
trine de tout repos dont le moindre défaut est de laisser stagner les idées . Tous nous sommes convaincus que la justice de de
reursi subits et si violents qu'il avait l'air d'un possédé ayant des idées de persécution et des impulsions au meurtre et au
jours accompagnés de musique. Et la foule était entretenue dans cette idée par les prophètes, qui non seulement faisaient œu
pour crime de lèse-majesté. Un autre fut exilé pour avoir énoncé l' idée qu'il fallait aimer sa patrie. Ce n'est pas la pa
us tels, c'est l'exil dans une province éloignée de Constantinople. L' idée que tes Turcs puissent résider à l'étranger lui e
ement : » Il n'y a pas d'autre maitre que Dieu. De plus, il exprime l' idée de la collaboration de tous les membres d'une soc
tout temps Les petits ont pâti des sottises des grands. » La même idée se retrouve dans tous les pays sous forme de prov
t servie de ce linge. Ces quelques exemplea suffisent pour donner une idée de la crédulité et de la suggestibilité vraiment
d'être responsable, ou de ne pas être responsable, ne comporte aucune idée métaphysique. Le récent congrès des aliénistes
e de l'autre la notion de la responsabilité pénale ne comporte aucune idée métaphysique. A ces deux points de vue, si je s
om do l'expertiee médico-légale, ont été formulées contre le mot et l' idée de responsabilité pénale. * Le mot responsabi
médecins, la prolixité sévissant surtout dans le langage médical. L' idée du législateur de diviser les personnes punissabl
sunt qui fart non possuni, c'est-à-dire qui ne peuvent exprimer leurs idées ; n'étint pas capables de répondre utilement à un
u'ils manquent tous deux de l'intention coupable et n'ont même aucune idée de l'injure « affectu doli et captu contumeliœ ?
ut voir, à la lecture de ce rescrit, que les Romains se faisaient une idée assez nette de l'aliénation mentale. Ils la consi
diminution accentuée de la volonté, ceux qui subissent la tyrannie d' idées fixes, obsédantes, systématisées, et enfin tous c
e objection contre le mot de responsabilité, c'est qu'il implique une idée de métaphysique. Elle se trouve réfutée par la dé
physique. Elle se trouve réfutée par la démonstration que le mot et l' idée dérivent directement du droit romain auquel notre
se concilier les applaudissements des étudiants tout en ménageant les idées rétrogrades du gouvernement de la Restauration, e
dans leurs jugements ou leurs rapports quelques bribes de ce fatras d' idées abstraites dont l'Université les avait gavés pend
dmis la nécessité, probablement dans un but de clarté, de renforcer l' idée exprimée par l'emploi de termes différents, mais
* potest sane responderé » mérite le qualificatif de responsable. L' idée de la responsabilité pénale, gravée sur les table
i reproche, en somme, établir la filière psychologique par laquelle l' idée délictueuse est née et a ensuite été exécutée. Oe
rofesseur Brissaud a défini : « une affection psychique, causée par l' idée fixe qui s'emparait de l'ouvrier accidenté, q
n France ; vous savez quel rôle prépondérant Charcot a fait jouer à l' idée fixe dans la genèse de la plupart des accidents d
part des auteurs à partir de cette époque définirent l'hystérie par l' idée fixe et par l'auto-suggestion et cette façon de f
marquons en passant que Ziehen, de Berlin, n'a fait que reprendre les idées de Mœbius et de Strümpell lorsqu'il considère l'h
ent ; enfin, ce défaut de synthèse favorise la formation de certaines idées parasites qui se développent complètement et isol
s mentales connues ; et des arguments qu'il présente à l'appui de ses idées et dont l'exposé m'entraînerait trop loin, M. Jan
une voie nouvelle et, à ce titre, elle reste très intéressante. Des idées précédentes, on peut rapprocher celles de M. le p
e peut s'appliquer à tous les faits observés : l'élément psychique, l' idée n'a aucune influence primordiale sur le développe
es centres modifiés, comme nous allons le voir que se développent les idées et les sentiments et c'est le trouble phy- * siqu
observations psychologiques et le trouble physique fût-il primitif, l' idée n'en joue pas moins un rôle capital dans la genès
e que beaucoup d'autres ; elle a l'a- vantage d'être conforme aux idées de mon regretté maître Brown-Séquard sur la natur
erreur si commune qui nous porte k juger les mœurs anciennes avec les idées du présent. Beaucoup de rois peuvent nous apparaî
et l'obsession, tantôt les dispositions à la manie raisonnante et aux idées de persécution. L'examen de quelques-uns de ces c
voir se promener à son aise dans des rues silencieuses, il avait eu l' idée bizarre de faire du jour la nuit et réciproquemen
n pli ni aucune ceinture ne gênait sa sensibilité. 11 eut un jour l' idée de convoler en justes noces avec une épouse dont
si désagréablement impressionné, apparaît de nouveau. A la longue, l' idée seule que chose pareille puisse se répéter suffit
Bekhterev, « la peur de rougir » ne saurait être identifiée avec les idées obsédantes, mais serait un état émotionnel, surve
t un trouble pur et simple des fonctions intellectuelles. En effet, l' idée qui provoque la rougeur de la face étant liée à u
D'après Arnaud, chez les individus affectés d'une forme quelconque d' idées obsédantes, on peut toujours constater un affaibl
ier de leur émotivîté. Concentrant leurs efforts pour lutter contre l' idée obsédante qui envahit leur conscience, ils en arr
plus profond désespoir. Pour ce qui est de la signification de cette idée , elle apparaît comme une formule définitive, indi
la station debout, ainsi qu'à l'église, en même temps que survenait l' idée de la possibilité d'une chute. Puis le malade fut
e mentale, notamment en ce qui concerne la production d'impulsions, d' idées et de phobies obsédantes. Dans son travail « Les
du pigment des cheveux et de la peau ont une valeur particulière : l' idée d'appliquer la suggestion dans les cas du (1) E
ais pu se nourrir autrement qu'avec des aliments liquides ; la simple idée qu'il faut avaler quelque chose, provoque chez lu
nt préparer un soldat, maître de ses nerfs, alerte, résolu, imbu de l' idée maîtresse du sacrifice volontaire pour la communa
lin au merveilleux et d'avoir subi des suggestions religieuses. Les idées religieuses des prophètes Juifs n'avaient rien d'
r en droit : La responsabilité dans le droit chinois. Dr Bérillon : Idées fixes affectives en relation avec l'hémianesthési
and'chose à y gagner. Tout aussi discutables me paraissent être les idées de M. Ba-binski ; cet observateur a formulé succe
e des deux termes suggestion et persuasion, le premier impliquant une idée raisonnable, le second au contraire une idée déra
e premier impliquant une idée raisonnable, le second au contraire une idée déraisonnable. Si au point de vue philologique et
suggestibilité est énorme. Je vous ai développé assez longuement mes idées sur ce point pour n'avoir pas à y revenir. M.. Ba
guérisseur agit par persuasion». Cela revient à dire, en somme, que l' idée de guérison étant conforme à la raison, tout proc
t suivantes.) absurde soit-il, qui peut servir à introduire cette idée dans l'esprit agit par persuasion. Vous le voyez,
du fait que ces manifestations sont souvent sous la dépendance d'une idée , il ne s'en suit pas que le sujet qui en est port
ficulté on éprouve parfois à ramener dans le champ de la conscience l' idée subconsciente cause de tous les troubles. La form
quelques marchands et quelques banquiers. Ce fut surtout dans son idée fixe de transférer la capitale de l'Inde de Delhi
onument de sa vanité et de sa folie. » En l'année Î337, il conçut l' idée d'envahir la Chine. Ce fut en vain que ses consei
La notion moderne de la lèpre est, certainement, incompatible avec l' idée de sa guérison par la suggestion. Il nous faudrai
est clair que les termes impur » et ¦ pur » (') expriment, non pas l' idée de contagion, mais une impureté spéciale, convent
La psychothérapie graphique, son importance dans le traitement des idées fixes. Par M. le Dr Bérillon, Professeur à l'Ec
ement douée de plus grande efficacité lorsqu'il s'agit de traiter des idées fixes et même des obsessions. Chaque jour les f
part des occupations courantes sont compatibles avec la persistance d' idées fixes ou obsédantes, l'applicaton nécessaire pour
toute l'importance que cette méthode peut avoir dans le traitement d' idées fixes. La suggestion par l'inlervention du sens
ges graphiques aux images visuelles avait le pouvoir de réveiller des idées que les seules images visuelles étaient devenues,
lus de facilité d'introduire dans le cerveau sous forme d'images, les idées qui peuvent contribuer à perfectionner notre espr
urir à l'écriture lorsque l'on veut faire pénétrer dans un esprit une idée qui par sa valeur morale, par sa persistance, par
l'état d'hypnotisme pourra donc être utilisé chez les sujets dont les idées fixes et les obsessions sont profondément enracin
é, apporte une contribution nouvelle au traitementdes aboulies et des idées fixes. Un peu plus tard, lorsque cette thérapeu
ganisation de l'expertise médico-légale en Turquie. 3>( Bérillon : Idées fixes affectives en relation avec l'hémianesthési
le 30 janvier 1908- [Fin.) M. Crocq (de. Bruxelles) professe des idées sensiblement analogues aux précédentes. Avec M. B
ement pour le corps. Elle entraine le développement de telle ou telle idée , s'oppose à la réalisation de tel ou tel acte et
pétence au point de vue du diagnostic de l'aliénation mentale. Mais l' idée énoncée ne tarderait pas à prendre corps, et il n
gande légitime, de faire pénétrer dans la masse du peuple opprimé les idées de civilisation qui sont les nôtres. Le despotism
quelques jours de suite. De là, cette thanatophobie à . la suite de l' idée des peines de l'enfer. Il accepte mon interprétat
que de la protestation intéressée d'un onychophage qui s'indigne à l' idée d'être pris pour un dégénéré. Nous reviendrons su
ie, psychasténie) et la volition n'est pas assez forte pour chasser l' idée maladive. Parfois, cetle variété ne diffère de la
pied de l'hystérie, disent Bérillon et Magnin, est l'inattention et l' idée fixe et l'hypersuggestibilité. Le neurasthénique
Ces sensations, souvent étranges, aboutissent à des obsessions, à des idées fixes ou délirantes. La sensibilité organique o
ez ses amis, la femme ne quitte pas son ongle des yeux, terrifiée à l' idée que son enfant pourrait naître avec un ongle pare
La psychothérapie graphique, son importance dans le traitement des idées fixes, par Bérillon, p. 345. Régamey (Eloge de
23 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ussi moins facilement à l'action ; tout le lasse et l'ennuie. Nulle idée délirante d'ailleurs chez les sujets non prédis
» C'est un homme petit, brun, apathique et indifférent. Il a des idées de grandeur et de richesse. Mémoire nulle. Hémian
at immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées ambitieuses. Hésitation de la parole. Inégalité
cat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction et quelques préoccu- pations hy
rd. , , D... Estella est grosse, petite, apathique. Elle a quelques idées puériles de satisfaction. La mémoire est défail
ficat immédiat du 10 juillet : « Est atteint de paralysie générale. Idées ambitieuses. Emotivilé. Hésitation de la parole.
paralysie générale ; affaiblissement des facultés intellectuelles, idées de satisfaction : « elle confectionne des chapeau
paralysie générale avec préoccupations hypocondriaques et quelques idées de satisfaction. Hésitation de la parole, inéga
at suivant de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction ; propos incohérents, hésitatio
aiblissement des facultés mentales, particulièrement de la mémoire. Idées mélancoliques. Pupilles resserrées, la gauche plu
Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction, propos incohérents, hésitation
Certificat de M. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées ambitieuses. Propos incohérents. Hésitation de la
roni- que tendant à la paralysie générale. Hallucinations pénibles. Idées de persécution. Excitation passagère. Trembleme
Certificat de M. Briand : « Est atteinte de paralysie générale avec idées hypocondriaques. Légère hésitation de la parole
pilles dilatées et inégales, réflexes rotuliens conservés intactes. Idées hypocon- driaques prononcées. A une maladie dan
atteint de paralysie générale avec préoccupations hypocondriaques, idées de persécution, excitation, insomnie. Hésitation
t indifférent de sa situation. La mémoire est affaiblie. Quelques idées puériles de satisfaction et de fortune. L'embarra
895. Certificat immédiat : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction, conscience très i
morbide, les allures du psychopathe, la genèse de telles ou telles idées délirantes créées souvent par les sensations anor
ainsi que des hallucinations sensorielles, donné nais- sance à des idées délirantes (obs. II). II s'agit d'une jeune fille
de l'attention leur donne plus de netteté. Certaines associations d' idées ou de sensations les rendent plus précises ; ma
ucune altération organique apparente connue et durable se compose d' idées , d'émotions et dépend de l'individualité 63 REV
s troubles de la marche, des modifications dans l'association des idées . Jusqu'ici on avait expliqué ces phénomènes par d
tion sociale. Dans les conditions normales, leur esprit n'a aucune idée criminelle, mais par l'effet d'une altération du
séquent, elle doit faire l'objet d'une chaire distincte des autres, idée en conformité aussi avec les voeux exprimés par
on sexuelle, la troisième, qui débute à peine, sur" le suicide. L' idée directrice de cette dernière enquête, relativemen
axie individuelle et sociale ? Devons-nous laisser aux hommes cette idée qu'il est inutile de nous consulter sur les phé
processus d'idéation sont normaux. Il peut y avoir quelquefois des idées de persécution, mais elles sont passagères. E
notable. Il y a un peu d'affaiblissement intellectuel, mais aucune idée délirante. La malade semble rési- gnée; malgré
t aux opérations plus délicates de la mémoire, de l'association des idées , du jugement, etc., donnent, quand elles sont l
cile de se rendre compte des lacunes de sa mémoire. Il n'y a aucune idée délirante. La malade est tranquille, ne fait pa
irement dans l'inversion sexuelle, il ne se mêle à cet amour aucune idée de pédérastie, cette pratique lui inspirant le
e sorte son autre personnalité pour n'avoir plus à l'esprit que des idées d'amour pour son propre sexe, se considérant co
ties. (The alienist and neurologist, jan- vier 1897.) 13. IV. DES idées DE richesses ET DE grandeur chez LES émigrés alié
'ambition et de fortune, et susceptible de devenir, sous la forme d' idées de richesse et de grandeur, ou l'élément domi-
de conceptions déli- rantes ; 2° l'auteur a distingué avec soin ces idées de richesse et du grandeur appartenant à la fol
tiennent par la force. Pour désigner d'une façon précise le genre d' idées qui sert de pivot à leurs conceptions délirantes,
es malades, leur 142 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. mobilité, leurs idées délirantes de suspicion, leur tendance morbide
aliéné, les facultés émotionnelles et motrices sont affectées, les idées érotiques sont fréquentes et donnent lieu à des m
élires variés; ils ont cependant plus spécialement une tendance aux idées de persécutiun. Ces délires revêtent des caract
e principal de ces caractère est le mode de réactions vis-à-vis des idées délirantes. Les actes délictueux com- mis par l
été consécutif. Il y avait de l'instabilité, de la dépression, des idées vagues de persécution, et même des troubles de
lte que l'hystérique est un être sans jugement, sans associations d' idées , par disparition des images commémoratives. C'e
ènes psychopa- thiques : 10 les hallucinations sensorielles; 2° les idées déli- rantes ; 3° la confusion mentale (désorie
ocure l'orgasme génital : c'est la vue d'un train qui déraille ou l' idée seule d'un pareil événement. Il habitait à une ce
si des jouissances génitales. RIÏVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 183 L' idée de la femme lui est insupportable. Bien d'autres
s, l'hôpital pour criminel est un non-sens. P. KERavaL. XXXV. Les idées prépondérantes; par J.-L.-A. KOCH. (Centralbl.
laissent difficilement corriger par des conceptions contraires. Les idées prépondérantes exagérées sont généralement le f
n, soit physiologique soit patholo- gique. - Voici des exemples d' idées prépondérantes physiologiques tran- sitoires ou
es tran- sitoires ou persistantes nées sur un terrain sain. Telle l' idée d'un original, d'un inventeur sain d'esprit qui
lectionneur qui court après un un objet manquant à sa collection. L' idée passionnelle exerçant sur la pensée une influen
n mouvement révolutionnaire, etc.... En tout cas; à notre avis, l' idée prédominante pathologique, qu'elle ait eu pour
préalablement lésé. Wernicke distingue bien les unes des autres les idées autochtones, les idées prépondérantes, les obse
nicke distingue bien les unes des autres les idées autochtones, les idées prépondérantes, les obsessions, tout en admetta
essions, tout en admettant des transitions; mais, puiqu'il s'agit d' idées prépondérantes pathologiques, les obsessions, aus
ions, aussi bien que les conceptions délirantes peuvent devenir des idées prépon- dérantes, des idées fixes. En revanche,
ceptions délirantes peuvent devenir des idées prépon- dérantes, des idées fixes. En revanche, nous ne saurions admettre q
hilie indéniable du délirant, malgré la persistance du genre de ses idées morbides quelque peu variables, 188 REVUE DE TH
UE DE THÉRAPEUTIQUE. elles ne se souderont eu un système coordonné. Idées prédomi- nantes par déchéance d'originepsychopa
né. Idées prédomi- nantes par déchéance d'originepsychopathique, ou idées fixes pré- dominantes rappelant les psychoses c
conscrites, purement psycho- tiques, elles n'ont pas le caractère d' idées systématisées vraies. Prenant pour exemple, com
ec le certificat suivant : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction : cons- cience incomplète de sa
cat suivant de M. Magnan : c Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction. Hési- tation de l
est très net ; les pupilles sont inégales. Mémoire nulle ; quelques idées de satisfaction : elle est belle, a une voix su
certificat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale, avec idées ambitieuses. Propos inco- hérents. Hésitation d
ed gauche. » Le malade B... Joseph est en rémission; il n'a plus ni idées ambitieuses, ni idées de richesse et paraît s'i
B... Joseph est en rémission; il n'a plus ni idées ambitieuses, ni idées de richesse et paraît s'intéresser à sa situa-
ar M. magnan n'ont pas persisté. Actuellement, le malade a quelques idées con- tradictoires de satisfaction et de richess
Certificat de M. Magnan : c Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Propos incohérents. Hésitation d
ole. Inégalité pupillaire. » Inconscient de son état, il sourit à l' idée de sa fortune imagi- naire et de ses titres. La
- lysie générale, avec préoccupations hypocondriaques et quelques idées de satisfaction. Hésitation de la parole. » (Magn
M. Vallon : « Est atteint d'affaiblissement, des facultés mentales. Idées de satisfaction. Inconscience'de sa situa- tion
tous les signes psychiques et somatiques de la paralysie générale : idées puériles de richesse et de satisfaction, affaibli
de paralysie générale. Affai- blissement intellectuel et physique. Idées de satisfaction. Emoti- vité. Hésitation delà p
M. le Dr Ch. Vallon : « Est atteint de dépression mélancolique avec idées confuses de persécution. Tur- TROUBLES TROPHIQU
Le malade conserve toujours quelque préoccupation mélancolique avec idées de persécution. OEdème des deux mains, qui sont
vec le certificat suivant : Est atteinte de paralysie générale avec idées mélancoliques, hésitation de la parole. Inégali
ndifférente. Elle est inconsciente de son état, et n'a que quelques idées vagues de satis- faction et de richesse. La par
alysie générale. Affaiblissement des facultés, actes inconscients : idées de persécution, propos sans suite, embarras de la
nt : « Est atteinte de paralysie générale d'origine alcoolique avec idées vagues de persécution. Agitation. Propos ambiti
parole hési- tante. La mémoire très mauvaise. La malade a quelques idées pué- riles de richesse et d'ambition : elle est
ysie générale, affaiblissement des facultés; embarras de la parole, idées de satisfaction. » (Dr Dagonet.) C'est une femm
me petite, maigre, apathique et indifférente, qui conserve quelques idées confuses de persécution : un homme, dont elle a
ssance, s'est introduit chez elle pour la voler ; et aussi quelques idées de richesse sans cohérence. Hésitation de la pa
: « Est atteinte 188 CLINIQUE MENTALE. de paralysie générale avec idées de satisfaction; propos incohé- rents. Hésitati
ai 1894. Certificat immédiat : « Est atteint de paralysie générale, idées mélancoliques. Préoccupations hypocondriaques.
allon.) C'est un homme grand et maigre, apathique ; il n'a aucune idée de richesse ou de satisfaction. L'embarras de la
cat suivant de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction. Hési- tation de l
t pas à la lumière. L'embarras de la parole est assez net. Il a des idées de richesse : il est très riche, roi d'Es- pagn
illaire. 190 CLINIQUE MENTALE. Embarras de la parole très marqué. Idées de richesse. La sensi- bilité cutanée est aboli
Certificat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole. Inégali
moyenne. Figure apathique et indifférente. Pas de délire : quelques idées vagues et contradic- toires de satisfaction. La
at immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole. Inéga
ES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 atteint de paralysie générale avec idées de satisfaction. Hésitation de la parole. Inéga
est un homme petit, maigre, apathique et indifférent. Il a quelques idées vagues et enfantines de richesse et de satisfacti
at immédiat de M. Magnan : « Est atteint de paralysie générale avec idées incohérentes de satisfaction. Hésitation de la
a figure est injectée, rouge. Il est apathique et conserve quelques idées vagues de satisfaction. L'embarras de la parole
t suivant de Ai. Magnan : « Est atteinte de paralysie générale avec idées de satisfaction. Cons- cience très incomplète d
e de l'utérus puisse exister seule sans cavité utérine, on aura une idée assez exacte de cette espèce de membrane qui, t
que dans ceux où elle n'avait pas été cons- tatée. Cela confirme l' idée , jadis émise, de la difficulté de résoudre la q
le parait devoir être rattachée au groupe des accidents mentaux par idée fixe. A. FENAYROU. II. Contribution A L'ÉTUDE
sement serait un des facteurs. A. Fenayrou. XXIII. L'insomnie par idée fixe subconsciente; par le Dr p. JANFT. , (Pres
i jusque-là était resté dans des limites normales, en une véritable idée fixe s'accompagnant de gémissements continuels
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 237 Cette cause n'était autre que l' idée fixe, plus ou moins modifiée, de la mort. de so
dée fixe, plus ou moins modifiée, de la mort. de son enfant ; cette idée , primitivement consciente, avait semblé dispara
a suggestion pendant le sommeil hypnotique, à l'apparition de cette idée fixe, M. Janet est arrivé à faire dormir sa mal
omme les som- nambulismes eux-mêmes, de la persistance de certaines idées fixes subconscientes plus ou moins méconnues ;
connues ; 5° enfin, elle est guérie facilement parle traitement des idées fixes elles-mêmes. » - A. FENAYROU. XXIV. Par
caractérisés par des altérations de la mémoire, de l'apathie, des idées de suicide, des attaques de sommeil et notamment
éminent président et fondateur : le pasteur Rochat, de Genève. L' idée de considérer le buveur comme un être en détresse
mme un être en détresse morale était sublime et devait conduire à l' idée , également mal connue en France, de soigner le
légitime de défense ne saurait plus être que la lutte pacifique des idées P. 4. Quelques considérations sur le congrès de
s coups de la critique scientifique et du simple bon sens, et que l' idée de confondre sous ce titre des disciplines spéc
tout acte qualifié c anti- social ». Ce n'est, dit-il, d'après mon idée , que dans une commu- nauté de loups et non d'ho
ypermnésie n'est donc qu'un mode particulier de l'asso- ciation des idées , avec ou sans rapidité de la pensée. Cette hyper-
délires mixtes d'emblée ; 5° les délires mixtes avec prédominance d' idées hypocondriaques ; 6° les délires mixtes chez le
cliniques. Ils sont caractérisés dans leurs traits généraux par des idées mélancoliques associées à des idées de persécut
s leurs traits généraux par des idées mélancoliques associées à des idées de persécution et se montrent chez des hérédita
uditives, sensorielles et psycho-motrices ; le tout com- biné à des idées de persécution systématisées, des idées de suicid
s ; le tout com- biné à des idées de persécution systématisées, des idées de suicide passant facilement aux actes. L'héré
du délire mélanco- lique, la guérison est plus probable que si 'les idées de persécution sont prépondérantes. Le pronosti
sence de phénomènes surajoutés (coprolalie, écholalie, échokiuésie, idée fixe). Le tic simple survient le plus ordinaire
lité qu'on lui applique quelquefois est parfaitement appropriée à l' idée fausse qu'on se fait de la chose, étant aussi i
ait; on lui prescrivit l'hydrothérapie et un régime excitant. Ses idées religieuses se joignant à une répulsion instincti
fut l'objet d'une demande en mariage, qui fut d'ailleurs rejetée. L' idée d'une possibilité de mariage de son amie déterm
ers la même époque elle se trouvait entraînée à des caresses dont l' idée ne lui était pas venue jusque-là envers plusieu
que, lorsqu'ils ' Ch. Féré. Note sur une amnésie consécutive (t des idées obsé- dantes. (Revue neurologique, 1893, p. 6,ï
t pour condition sine qud non de son con- cours ma conversion à ses idées . Cet homme incarnait l'esprit et les tendances
eut d'abord s'en occuper, et s'il veut ensuite s'abstraire de toute idée confessionnelle. Il aurait là une excellente oc
' Van COILLIE.) Le Dr Van Coillie, de Bruxelles, exprime encore une idée origi- nale à laquelle je n'ai qu'à souscrire p
but que d'éclairer la masse de nos concitoyens. D Si je partage l' idée de l'auteur, je ne partage pas, hélas, ses espé
oolisme. Le premier, c'est la progression incessante et rapide de l' idée d'abstinence qui apparaît comme le remède souve
s'en charger. Comme au jour des grandes calamités, il fait naître l' idée de devoir, de sacrifice, il engage la responsab
es sociétés de tempérance. Rien de surprenante) ! conséquence que l' idée d'abstinence fasse de rapides progrès puisque d
la boisson fermentée est peu redoutable ? Nécessité d'acclimater l' idée d'absti- nence en notre pays frondeur ? Peu imp
her surtout, mais bien plutôt dans les cas aigus qui présentent des idées délirantes non systématisées, de l'incohérence,
iens ont eu le champ libre; aux cliniciens maintenant confirmer les idées mises en avant, à en démontrer la justesse. (Am
tout point de conscience active est entouré d'un essaim d'images ou idées subordonnées le contrôlant 3'2 8 REVUE DE PATHO
il y a une aptitude spéciale à la transformation immédiate de de l' idée en acte, sans laisser à l'inhibition le temps d'i
ques involontaires et inconscients de la vie normale, tendance de l' idée à devenir actuelle, accroissement de la suggest
e il ressort que Braid et Myers ont beaucoup contribué à donner une idée claire de l'état hypnotique, tout en ajoutant a
nettement dégénérative chez une malade hystérique; depms deux ans l' idée obsédante de mettre le feu surgissait dans l'es
volonté, une suggestibilité plus grande qui a peut-être permis à l' idée obsédante de se. transformer en acte criminel.
r la démence. Dans beaucoup de cas on retrouve, jusqu'à la fin, des idées de persécution très nettes, mélangées aux idées
jusqu'à la fin, des idées de persécution très nettes, mélangées aux idées mégalomaniaques lorsque celles-ci se sont montr
malade admis à l'asile en juin 1890, pour délire mélancolique avec idées hypochondriaques, vomissements, dys- pepsie, re
e continua néanmoins la gestion de ses affaires. Sous l'influence d' idées délirantes de persécutions, avec hallu- cinatio
e famille, sans qu'aucune trace en soit restée dans son esprit. Les idées de persécutions avec hallucinations persistè- r
és au dehors, ce qui ne manquerait pas de répandre dans le public l' idée des bienfaits l'hôpital, et établirait la renom
ante, etc., les éléments manquent pour motiver un jugement. 15. Les Idées de Descartes sur la physiologie du système nerveu
décrite par MM. Pitres et Régis au congrès de Nancy, développe les idées de ces auteurs et contient un certain nombre d'
'occultisme et de ses pratiques. Nous nous bornons, pour donner une idée de son importance et de son intérêt, à indi- qu
omènes affectifs. De l'enchaînement de ces trois facteurs résulte l' idée de la personnalité. Dans la mélancolie, on peut
, cette cessation est à l'instant remarquée. Pour reprendre cette idée , on peut comparer l'organisme à un atelier bruy
s le début on peut observer l'analgésie cutanée complète. ' c Les idées hypocondriaques semblent n'être qu'une inter- p
p changé... » Une malade (Obs. n° XI) atteinte de mélancolie avec idées de négation souffrait depuis trois ans de troub
l'état du patient qu'à celui d'une chenille qui, gardant toutes ses idées et tous ses souvenirs de chenille, deviendrait
ersécutés... Les hallucinations sont simplement con- firmatives des idées délirantes et ne présentent pas cette indépenda
tard. De l'origine psycho-mol rice du délire, p. 422. 3 Séglas. Les idées de négation (Annales médico-psychologiques, jui
xtinction progressive de la personnalité les conduit seulement de l' idée d'animaux, contenus dans leurs viscères à la zo
conforment plus ou moins bien leur attitude et leurs moeurs à cette idée . Tous les auteurs anciens ou modernes ont rangé
aques vives, a définitivement arrêté ses conceptions délirantes à l' idée que l'intérieur de son corps est rempli d'eau e
estomac et les mouvements de ses viscères le confirment dans cette idée . C'est d'ailleurs un individu d'un niveau intel
est d'ailleurs un individu d'un niveau intellectuel peu élevé ; son idée déli- rante persiste telle depuis plusieurs ann
ut atteint Harrington au déclin de sa vie. Il s'imaginait que ses idées prenaient naissance dans son cerveau sous forme d
oteurs. Abdiquant dès lors toute personnalité, ils rapportent leurs idées à une mentalité étrangère. Le malade que nous v
sif qu'ils ne peuvent dominer. C'est alors que se développent les idées de puissance infernale, de possession, de damna-
r les différentes régions de la série psychique se traduisent par l' idée d'une influence destructive surles objets extér
ons qu'il couve et qu'il creuse jusqu'à ce que quelques-unes de ces idées soient devenues plus fortes et assez persistant
vissement de la volonté, cet assujet- tissement du moi entraîne des idées de domination par une LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 3
ion par une LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 369 puissance supérieure, des idées de possession presque de règle chez les aliénés
de la motilité, les résidus de ces pseudo-mouvements qu'on appelle idées sont méconnus dans la conscience malade, qui le
tes doivent servir encore à autre chose. Von Lenhossék expose son idée à se sujet dans son Hypothèse des rapports fonc
le professeur Bombarda. La vie psychique entière rencontre dans l' idée des neurones et de leur mobilité l'interprétati
énérer, constituant uu circuit morbide, le cercle basedowien. Cette idée , conclusion des principales théories du goitre ex
dans le dernier n°de 1897 des Archives de Neurologie (p. 545). Une idée semblable a été émise il y a une trentaine d'an
modique avec trou- bles de la sensibilité éveillait immédiatement l' idée , soit d'une lésion transverse de la moelle, soi
les formes com- munes de mélancolie, engendrent à l'état faible les idées de ' Voir Archives de Neurologie, n° °9. LE D
ber les excitations motrices qui viennent à se produire. De là, les idées de possession diabolique. Et de fait les malade
ire et à la puis- sance malfaisante qui s'impose. c Les anxieux à idée de damnation, dit Cotard -2, sont les malades l
soit en outre sur le monde exté- rieur. Les sujets manifestent des idées de destruction ou d'absence d'organes, puis ils
une rose sans mot dire, il s'écrie : « Ce n'est pas une rose ! » L' idée et le mot lui restent, mais lui paraissent, en
; il ne doit pas mou- rir, mais souffrira pendant l'éternité. Cette idée d'immortalité se rencontre surtout dans les cas
ils sont morts ; on en voit même qui présentent alternati- vement l' idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, su
voit même qui présentent alternati- vement l'idée d'être morts ou l' idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs états alter
dit Albert Maury, est poursuivi par la crainte d'être damné, cette idée le préoccupe, c'est-à-dire qu'elle vient d'elle
l ne méditait pourtant pas sur le diable, bien au contraire ; celte idée lui faisait peur, il la mais il n'en était pas
pas moins sous l'empire de sa préoccupation qui s'attachait à cette idée '. » Ce raisonnement s'applique d'une façon abs
automatique- ment des blasphèmes par exemple, aux mélancoliques à idées de damnation. Ces phénomènes d'articulation menta
es sensoriels, non constants d'ailleurs. C'est que la tendance de l' idée à devenir réalité est une source d'impulsions a
ctives dans l'esprit, et que lorsqu'un objet cause de la frayeur, l' idée s'en imprime avec une intensité correspondant a
ayeur Il s'ensuit que les actions des malades se conforment à cette idée et non à leurs propres volitions. Voilà pourquo
ique se trouve dans les cas, qui ne sont pas rares, où les séries d' idées , à mesure qu'elles arrivent, s'accompagnent d'u
e de la personnalité. Dans les cas très développés où ce cercle d' idées , qui accompagnent constamment la pensée actuelle
i n'appartiennent pas au moi (ordinaire) de l'individu. Ce cercle d' idées qui agit librement sur les organes de la parole
pas conscience avant de l'exprimer, le moi ne le perçoit pas ; ces idées viennent d'une région de l'âme qui reste dans l
te sur la pensée. « Les gens sans éducation voient dans ce cercle d' idées un être étranger. Dans quelques cas, on trouve
dans ces dis- cours insensés... une ironie qui se dirige contre les idées qu'antérieurement ces individus respectaient le
re, bien lourd et bien trivial 1. » « Incapables de diriger leurs idées , dit Baillarger 2, ils sont obligés de les subi
, ils sont obligés de les subir. Entraînés à chaque instant par ces idées spontanées et involontaires, ils cessent de pou
s le plus souvent à des explica- tions erronées; ils attribuent les idées qui les obsèdent à un être étranger. Ce qui aid
anger. Ce qui aide à cette explication, c'est la nature même de ces idées qu'ils n'ont jamais eues dans leur état normal,
leur état normal, ou même qui sont complètement opposées à leurs idées habituelles ; enfin, l'erreur devient plus complè
lle ; il continue à considérer comme lui appartenant une partie des idées qui surgissent dans son esprit, mais il y en a
rte de lutte entre la volonté qui tend à reprendre la direction des idées , et la mémoire et l'imagi- ' nation qui continu
e sommeil, le rêveur prononce souvent les paroles qui expriment les idées de son rêve, tantôt il se borne à les murmurer,
pe, est aliénée, depuis près de trois ans. C'est un esprit faible à idées religieuses exagérées : ... Elle est en proie à
en qu'elle ne fait plus qu'un avec le diable. Actuel- lement, cette idée est confirmée par toutes sortes d'interpré- tat
elle a eu des hallucinations visuelles en rap- port avec ces mêmes idées ; elle a vu le diable, l'enfer, mais ces halluc
refusé et s'est moqué d'elle : depuis, elle s'est confirmée dans l' idée qu'elle est abandonnée deDieu et de ses ministr
vouée ' Baillarger, p. 317-323. - Séméiologie et pcithogéiie des idées de négation, Séglas, loc. cil., p. 17. 470 PA
nsée et cause seule tout le temps '. Il y a toujours en elle deux idées qui se contredisent 2. Une malade de M. Iluet e
r analogie entre elles, et par l'existence manifeste et constante d' idées de négation et de damnation caractéristique de
, 1888, n0' 33 et 34). " Séglas et Besançon. De l'antagonisme des idées délirantes, loc. cit. (Annales médico-psycholog
chez lesquels il a trouvé men- tionné le délire hypocondriaque avec idée d'immortalité étaient dominés par des idées de
lire hypocondriaque avec idée d'immortalité étaient dominés par des idées de damnation, de possession diabolique, en un m
ractères particuliers, une évolution spéciale, et a côté de simples idées mélancoliques, occupant dans l'en- semble sympt
us attribuons précisément à ces deux mots (délire, par opposition à idées ) le même sens qu'on attribue aux mêmes expressi
en ce qui concerne les persécutés. De même qu'il y a des malades à idées de persécution symptomatique et des malades à d
à délire de persécution idiopathique, de même il y a des malades à idées mélancoliques et d'autres à délire mélancolique
l'action propre de la glande à celle de ses vaisseaux, suivant les idées qu'on se faisait autrefois de la sécrétion. A.
e de lésions médullaires. Ces constatations viennent a l'appui de l' idée d'après laquelle le tétanos est dû à une combin
janvier 1898.) Dans ce travail, M. Brissaud s'attache à réfuter les idées soute- nues par M. P. Marie dans un article sur
ue, migrations, affaiblisse- ment de la mémoire, confusion dans les idées , obtusiou. Même état en 1892 avec nombreuses at
, quand ces actes sont raisonnables, ne sont pas inspirés par des idées délirantes. Le médecin expert, appelé à se pron
actuelles sur les localisations et sur la topographie cérébrale. L' idée de la décharge paroxystique est applicable aux
ge l'ablation totale de la lésion déchar- geante. Nous savons que l' idée de la décharge est applicable aux fonctions sen
ait donc, de tous côtés, cherché un moyen préservateur, et on eut l' idée de recourir à l'ouate végétale. Cependant elle pr
1)vsuenstns nerveuses et neurastté- me, par Glatz, 350. Emigrés. Idées de richesses et de grandeurs chez les aliénés,
I : PILEP11QUE. Vision bitaté- 1 ale chez une -, par Mabdle, 390. Idées prépondérantes par Kocii, 156. Illusions micros
par Soenger, î88. Iarntwcles. Lcoled ? parlVlse,310. Insomnie par idée lixesubconsclelllc, par Jaunt, 236. I.\VLli,r
24 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
la suggestion, il fallait s'attendre à ce que des médecins eussent l' idée d'appliquer à l'enfant une médication qui donnait
as l'art d'utiliser l'apli-tude que présente un sujet à transformer l' idée reçue en acte ? Et, d'autre part, l'observation j
le aplitude que présente l'attention, de se porter avec force sur une idée , sur une partie du corps. Dans la plus grande par
é de modifier à sa guise, par voie de suggestion, les sentiments, les idées et les résolutions de l'hypnotisé. Et cette con
ger sainement sa conduite. A l'égard de tout ce qui se rapportait à l' idée suggérée, le suggestionné cessait d'être éveillé
ier ne contient pas de l'arsenic; que M. Liégeois ne peut pas avoir l' idée de lui faire empoisonner sa tante qui est présent
M. Ploix laissera le souvenir d'un esprit élevé, ouvert à toutes les idées du progrès. Philies et phobies alimentaires
ner d'utiles renseignements, fournir une synthèse et faire naître une idée générale qui, autrement, resterait confuse. Nous
ent en ce qui concerne le fromage montrent bien qu'on a affaire à une idée En certains cas, les répugnances sont si généra
tend ma voix. De plus, elle a la même douleur et autant d'attaques. L' idée me vient que son état maladif étant la catalepsie
du jugement rendu par la 3e chambre de Lyon, un individu qui aurait l' idée de recourir à la suggestion pour obtenir un testa
n, s'il s'agissait d'une simple margralhie douloureuse suggérée par l' idée de nouveauxlombrics. La surcroissance de douleurs
rbation depuis la fièvre et la douleur thoracique, pouvaient donner l' idée d'une cause organique. Mais l'absence de troubles
ible ; la douleur était le résultat d'une auto-suggestion, dont l' idée des lombrics était le point de départ. Toute expr
fit qu'une coïncidence fortuite ait fait naître dans le cerveau cette idée de périodicité pour que dorénavant elle fût créée
tion, il ne tardera pas, comme grisé par la suggestion, à oublier ses idées de résistance et à se laisser aller. Cette tendan
i et ne suis plus malade. » Ce n'est pas la phrase textuelle, c'est l' idée qui était restée dans son cerveau et qu'une simpl
. La provocation de ces phénomènes implique-t-elle un état anormal? L' idée des lombrics a déterminé chez lui des douleurs ab
verre fictif. Je lui suggère un acte. Dans trois minutes, tu auras l' idée de monter sur les gradins de l'amphitéâtre, jusqu
c'est-à-dire que son cerveau a une tendance naturelle à réaliser des idées qui y surgissent et qui sont acceptées par lui. C
éaliser des idées qui y surgissent et qui sont acceptées par lui. Ces idées deviennent mouvements, sensations, images, émotio
n a fait son œuvre salutaire ! Parco qu'elle a mis dans son cerveau l' idée qu'il ne devait pas accepter la suggestion du vol
mposent aux méditations de tous les hommes qui ne jugent pas avec des idées préconçues et n'acceptent pas avec une foi aveugl
ui secondent l'influence morale du médecin, en entretenant chez lui l' idée de la guérison, et qui ne cherchent pas à neutral
turellement défiant, accepte avec entêtement, irrésistiblement, cette idée qui, implantée dans une imagination sombre, neutr
es résultats thérapeutiques attribués au massage. Il y a dans cette idée une grande part de vérité, car il n'est pas doute
e, de satisfaire à tous les besoins de la vie. Cela cadre-t-il avec l' idée que nous nous faisons de l'état mental des epilep
: son ignorance le rendait incapable de défendre victorieusement ses idées . Il eut à plusieurs reprises des crises de léth
r Bersiieiu, de Nancy. Pour que la suggestion existe, il faut que l' idée qu'on veut imposer au cerveau soit par lui accept
t par lui acceptée. Mais tous les cerveaux n'acceptent pas toutes les idées . Autant de sujets, autant d'individualités psychi
L'auto-suggestion les domine ; leurs sensations douloureuses ou leurs idées personnelles les obsèdent au point que ni la paro
je vous ai montré qui avait des douleurs abdominales engendrées par l' idée du ver intestinal ; je l'endormais malgré lui ; j
ypnose, ne laissent pas déraciner la douleur ; ils s'endorment avec l' idée consciente ou inconsciente de la conserver; ils s
; mais on ne peut lui dé suggestionner ses douleurs ; on voit que son idée est faite ; il s'entête à la maintenir. Le 14 e
ion de brûlure est-elle l'effet d'une auto-suggestion consécutive à l' idée que je lui ai donnée le 9, quand je lui ai demand
n à son mode spécial de sug-gestibilité ; au lieu de contrecarrer ses idées arrêtées, acceptons-les et tâchons de l'influence
ue nous touchons la corde sensible, que nous donnons dans ses propres idées . Le lendemain, 17, il trouve que le mal de tête
on. En faisant la suggestion sans en avoir l'air, en faisant entrer l' idée curative dans le cerveau par voie détournée, sans
t hypnotique, la suggestion thérapeutique; lesdeuxentêtés, dans leurs idées et leurs impressions, réagissent dans le sens de
ant la difficulté, évitant la suggestion directe, et donnant dans ses idées , en affirmant que je n'y pouvais rien, ce qu'il a
iser la loi de 1838, que les fous peuvent cacher, non seulement leurs idées délirantes, mais encore leurs hallucinations. S
ntellectuelle, de l'aboulie, du dégoût de l'existence. Il n'existe ni idées hypocondriaques, ni délire. Pas de troubles neura
e d'une voix persuasive qu'il va dormir, de captiver son esprit par l' idée du sommeil. « Quand je veux suggestionner une p
ons-nous ce qui se passe dans la cellule nerveuse quand elle fait des idées , du délire, du mouvement, quand elle perçoit de l
rbations d'origine psychique ou centrale. Lorsque chez notre garçon l' idée de lombric suffit à extérioriser dans l'abdomen u
et son insomnie qui continuaient malgré l'extrait thébaïque. J'eus l' idée de la suggession hypnotique et elle s'endormit fa
taient avec moi, d'une façon tout à fait bénévole, non seulement sans idée préconçue de ce qui allait se passer, mais même a
urgente, et, comme nous n'avions pas de chloroforme, j'eus aussitôt l' idée de recourir à l'hypnotisme. Comme je devais opére
ne pas en offrir. M, Putcaux consacre plusieurs pages à l'exposé des idées du Prof. Forel (de Zurich) dont on connaît la com
nitié,comme une étrange et incompréhensible accouplement de mots et d' idées . NOUVELLES Enseignement de l'hypnotisme et
Lui ayant demandé ce qu'il avait, il répondit : « C'est une mauvaise idée ; » la crise passée, amnésie complète de ce qu'il
urs environ. Description d'une crise. — La crise est précédée d'une idée fixe prise au hasard, au nombre des idées général
La crise est précédée d'une idée fixe prise au hasard, au nombre des idées générales qui traversent l'esprit et que, malgré
ue, malgré sa banalité, X... sent devoir provoquer une attaque. Cette idée s'impose, elle grossit peu à (1) Travail commun
nvahissant tous les centres psychiques et déplaçant toutes les autres idées ; quand son hypertrophie a atteint un certain deg
t lutter contre cet envahissement en appelant à son secours une autre idée , qu'il rend fixe par un effort de sa volonté. Il
airement et la renforce afin de l'opposer avec succès à la « mauvaise idée . » Il parvient ainsi à éviter la crise. Il est à
est à remarquer qne la formation et l'intensité même de cette seconde idée d'origine volitive ne provoque aucune attaque, al
ive ne provoque aucune attaque, alors qu'il n'en est pas de même de l' idée pathogène. Il n'éprouve pas non plus de fatigue p
n plus de fatigue psychique par la lutte qui s'établit entre les deux idées . La crise est encore évitée si son attention est
rprend quand il écrit, il ne s'arrête pas, bien qu'il sente grossir l' idée ; il ne lâche pas son porte-plume, mais la phrase
t pendant les trois jours qui précèdent l'examen. Il les attribue à l' idée fixe qui le poursuivait de passer cette épreuve.
anisfestation pathologique, l'aura, est constituée par une « mauvaise idée » qui, pour le malade, est la cause occasionnelle
occasionnelle de tous ses accès. Il semble que la formation de cette idée et son hypertrophie provoque une fatigue psychiqu
décharger, la volonté arrête la crise par l'action inhibitoire d'une idée thérapeutique mise en présence de l'idée pathogèn
r l'action inhibitoire d'une idée thérapeutique mise en présence de l' idée pathogène. Cet état de résistance doit provenir,
ésentatifs, c'est-à-dire des mémoires diverses servant à constituer l' idée thérapeutique ; cette idée interrompt le courant
s mémoires diverses servant à constituer l'idée thérapeutique ; cette idée interrompt le courant pathogène formé dans des ce
e, les centres psychiques étant découronnés, il arrive souvent qu'une idée devient envahissante. On attribue alors à certain
yer, à lui parler dans le même sons q'ie moi, à éloigner d'elle toute idée du passé. Après cette première séance et malgré
cher des fenêtres. Non seulement il ne peut supporter de sang-froid l' idée de sortir, même la nuit, dans sa voiture, les sto
uprême de l'homme, en tant qu'animal sociable, est de n'avoir que des idées suggérées et de les croire spontanées. Je désir
u'elles sont indéterminées. Donner un corps à ces besoins de foi sans idée , trouver un but à ces besoins d'activité sans moy
tions, de la sensibilité cutanée, les rêves deviennent terrifiants, l' idée de la mort la poursuit. Elle a peur de mourir tou
n métier l'oblige à sortir. Un jour, se trouvant devant sa croisée, l' idée lui vint « en coup de foudre » (sic) de se précip
la suggestion par un parfum, me basant en cela sur l'association des idées et sur l'observation vulgaire du rappel d'un souv
s que tout mouvement agit sur les centres psycho-moteurs et que toute idée se transforme en mouvement. Dans ce traitement,
estion peut être renforcée par un parfum selon la loi d'association d' idées par rappel de mémoire. 3° Dans le traitement ps
t social, crime qu'il n'avait pas commis, mais qui pour lui était une idée fixe ayant une grande influence sur son état psyc
innocent de ce crime imaginaire. Cela suffît pour le délivrer de son idée fixe et lui faire apprécier sainement sa situatio
bien à retourner à son bureau, mais dominé par la crainte et par son idée fixe du crime imaginaire dont nous avons parlé, i
déjeune, veut encore écrire à sa femme, mais toujours dominé par son idée fixe, il repart pour Bruxelles. Descendu d'abor
oin impulsif. M. Motet cite à ce propos l'observation d'un débile à idées de grandeur et persécuté auto-accusateur. Victime
s. Observations et expériences. — Psychologie des sens, sensations et idées , mémoire. — Lois de l'association. — La conscienc
s hallucinations; autres matières qui s'y rapportent. Hallucinations, idées obsédantes, aphasie, etc., etc. iv. psychologie
aires. J'ai cependant laissé de côté toutes sortes d'associations d' idées qui jouent un rôle dans ces rêves, mais qui ne se
ourra-t-elle pas, dans certains cas, être assez forte pour amener des idées de vengeance, puis des représailles ? Une des mal
à résoudre, mais il faut reconnaître que les rêves, comme une foule d' idées subconscientes, peuvent entraver leur libre arbit
du lever matinal exerce sur les enfants une influence déplorable. L' idée du Dr Talcott n'est peut-être pas aussi paradoxal
je ne sais où. Mon homme revient,toujours incrédule, mais content à l' idée qu'on ne lui sciera plus le dos avec la vieille.
ar l'attitude spéciale. Le plus souvent le phénomène est dominé par l' idée : il suflit que je m'éloigne pour que le sujet la
, le cerveau n'étant plus entretenu par ma présence suggestive dans l' idée que le bras doit rester comme je, l'ai mis. D'aut
bras étant cata-leptisé, le cerveau reste figé pour ainsi dire sur l' idée de garder l'attitude donnée et sur l'impression r
es ; c'est-à-dire que le cerveau tout entier reste en arrêt sur cette idée , sur cette impression, comme absorbé et fasciné p
sse à 3 qui le déchiffre, d'où impression transmise à 2 qui éveille l' idée de l'objet correspondant. Supposez le passage d
s les comprendre. Le son de la cloche, par exemple, ne réveille pas l' idée de cloche (surdité psychique) ; 3 lésée : on n'en
e, l'adresse à 3 qui le prononce, le transmet à 2 où le mot éveille l' idée de l'objet. Supposez le passage de 2 à 3 aboli,
euil de la porte, de s"en aller ailleurs, ayant changé complètement d' idée en route. Le traitement par les dragées l'a com
usitées en pareil cas (bromure de sodium et bains chauds), il a eu l' idée de recourir à la musique comme moyen thérapeutiqu
rétine de lapins et d'autres animaux. Or voici .qui, dans un ordre d' idées voisin, est encore bien plus extraordinaire. Tout
ling en pleine lumière pendant une minute... L'auteur ajoute : avec l' idée d'en fixer l'image sur la rétine. Puis, tirant un
telligent, mieux équilibré; l'intelligence, qui est une association d' idées , serait due aux nombreuses ramifications des cell
contact se produiraient d'autant plus nombreux que nos associations d' idées seraient plus développées et plus parfaites ; dan
arvient à expliquer le développement de la mémoire, l'association des idées , l'imagination, et même à comprendre histologique
modifications dans les ramifications ne sont pas aussi la source des idées fixes, des manies, des douleurs dans beaucoup de
r une voie par où cet acheminement graduel devient définitivement une idée fixe; celle-ci peut être consciente ou subconscie
te de ces différenciations; une fois la suggestibi-lité développée, l' idée suggérée a une grande tendance à se transformer e
s d'épilepsie et souvent aussi d'hystérie ; c'est comme si le fil des idées avait été momentanément rompu. L'hypnotisation, e
hypnotique, sont dus à un arrêt de la pensée. C'est, au fond, la même idée que l'on retrouve dans les théories psycho-physio
es diverses (alcool, tabac, onychophagie), l'association de certaines idées soit diminuée ou abolie par le raccourcissement o
euses ? La connexion entre le centre d'arrêt et le centre d'où part l' idée ou l'acte de la manie, serait alors suspendue ou
llule primitivement affectée ou sur le nerf qui a été atteint, d'où l' idée fixe ou souvent réveillée d'une douleur. En réali
sur les lieux de contact des prolongements des cellules nerveuses; l' idée qu'un poison peut porter son action non sur la ce
nerf moteur. De même aussi l'imagination, la mémoire, l'association d' idées peuvent devenir plus actives sous l'influence de
siologiques et pathologiques d'une façon qui semble admissible. Cette idée n'est du reste pas théorique ; elle est basée sur
rtaines maladies, les troubles nerveux qu'entraîne la vieillesse, les idées fixes, les manies, les douleurs. Nous avons établ
par la médication hypnotique de l'état mental, des obsessions et des idées fixes des hystériques Par M. le Dr P. Joibe (de
affaires, et, depuis la rupture, elle est tellement poursuivie par l' idée fixede le revoir que des malheurs de famille qui
tic, c'était sa correspondance. Or ces lettres, tant par la suite des idées que je pouvais y trouver que par leurs caractères
la dépendance de cette névrose, une obsession auto-suggestive et une idée fixe. Cette idée fixe pouvait facilement dégénére
cette névrose, une obsession auto-suggestive et une idée fixe. Cette idée fixe pouvait facilement dégénérer chez la malade
mental était totalement changé, elle n'avait plus aucune obsession ni idée fixe, elle était parfaitement calme et raisonnabl
opodes, pseudopodes capables de s'allonger et se raccourcir. La seule idée qui nous paraisse essentielle, c'est qu'il s'agit
se, la partie modifiée. Nous pensons avoir rendu bien vraisemblable l' idée que cette partie serait représentée par les p
des personnes chez qui les imperfections du corps le sont aussi. L' idée de responsabilité demeure pour longtemps figée da
Sous l'influence de Hegel, d'Auguste Comte, de Darwin, de Spencer, l' idée cartésienne de l'absolu fit place à l'idée de rel
, de Darwin, de Spencer, l'idée cartésienne de l'absolu fit place à l' idée de relatif. L'influence de ces philosophes ne tar
des troubles fonctionnels, reconnaissant pour cause la présence d'une idée morbide, que ces troubles accompagnent et compliq
déterminer des manifestations morbides, emprunte deux facteurs : une idée , un ferra tu; idée accidentelle, contingente, qui
ifestations morbides, emprunte deux facteurs : une idée, un ferra tu; idée accidentelle, contingente, qui se développe sur u
in qui est le facteur primordial, indispensable. Il faut, pour qu'une idée morbide puisse s'acclimater et se fortifier, qu'e
terrain est donc la cause essentielle des désordres psychiques : les idées n'en sont que les causes occasionnelles. Mais l'i
sychiques : les idées n'en sont que les causes occasionnelles. Mais l' idée , quelle qu'elle soit — idée de sensation, idée de
ont que les causes occasionnelles. Mais l'idée, quelle qu'elle soit — idée de sensation, idée de mouvement, idée d'émotion,
occasionnelles. Mais l'idée, quelle qu'elle soit — idée de sensation, idée de mouvement, idée d'émotion, — une fois acceptée
s l'idée, quelle qu'elle soit — idée de sensation, idée de mouvement, idée d'émotion, — une fois acceptée par un cerveau pro
turellement conduit à distinguer les causes du terrain et celles de l' idée . L'hérédité lui parait jouer ici un rôle absolu
é quelconque la déchéance de notre organisme. Quant aux causes de l' idée , elles sont innombrables, car toute sensation peu
érébrasthéniques craignent d'être frappés d'aliénation mentale et ces idées nosophobiques en poussent même quelques-uns au su
Malgré cela M. Anacleto, le médecin habituel de la malade, éloigne l' idée de cancer en se basant sur ses antécédents névrop
. Il n'y a pas chez lui ce conflit angoissant caractéristique entre l' idée fixe qui pousse au vol et la volonté qui fait eff
n de dégénéré. Pour compléter l'examen de ce jeune homme, j'ai eu l' idée d'interroger son sommeil et ses rêves. J'ai appri
idus rêvaient la nuit d'une ville, d'un pays quelconque; au réveil, l' idée de cette ville, de ce pays persistait, résidu ins
ut agir de deux façons différentes vis-à-vis des impulsions. Tantôt l' idée onirique envahit le champ de la conscience tout e
ivation de M. Tissié. D'autre fois, le rêve ne fait que renforcer une idée , une tendance déjà préexistantes, au moins à l'ét
estion hypnotique a fait son apparition en thérapeutique, la première idée qui est venue a été de l'appliquer aux psychoses,
nnaissance des procédés auxquels il a eu recours, en même temps que l' idée de les appliquer, aux communications que nous avo
si cela leur plaît, des revendications de priorité. Dans l'ordre d' idées qui nous occupe, le seul qui serait véritablement
is recouvré leur liberté. Folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de persécution, traitée avec succès par la sugges
de curiosité. Beaucoup de médecins ne sont pas encore habitués à l' idée de considérer cette perversion du sens génital co
ain nombre de malades atteints de cette affection, je suis arrivé à l' idée qu'il valait mieux les soigner méthodiquement que
nt de son intempérance, mais encore de son inversion sexuelle. Mais l' idée de changer de mœurs ne fut pas acceptée par son e
huit ans, l'influence d'une impression tactile sur la formation diune idée et sur l'accomplissement des actes, au moyen de l
ui, à se soumettre à mon examen. Il se montra d'abord réfractaire à l' idée de tout traitement psychothérapique. II se rendai
te de la gravité de ses impulsions homicides : « Je sais bien que mes idées sont absurdes, disait-il, mais je ne puis ni pens
est impossible qu'il en soit autrement. Je ne m'habituerai jamais à l' idée de la savoir avec un autre. » Quelques raisonne
favorablement modifié. 11 déclarait spontanément avoir renoncé à ses idées de vengeance, reproduisant les arguments que je l
rvice pendant quelques mois, absolument guérie de ses hallucinations, idées de persécution, troubles de la parole, de la mémo
aque caractérisée par des hallucinations terrifiantes de la vue, avec idées de persécution, a guéri en quelques séances par l
qui n'est autre qu'une profonde terreur: il me donnait parfaitement l' idée de toutes ses souffrances ; les yeux constamment
la journée, et il en fut ainsi pendant un an. Hantée, obsédée par une idée fixe dont on ne pouvait éclaircir la nature, elle
salaud, etc. Mais, épouvantée perpétuellement en même temps par cette idée impulsive qui la forçait à blasphémer, elle manif
e qui la forçait à blasphémer, elle manifestait sa résistance à cette idée en s'écriant ; « Non, non, non. » Aujourd'hui,
A la faveur dc cet état s'implante, dans l'esprit de celte femme, une idée fixe, résultant d'une série de réflexions que nou
ions que nous ignorons et que probablement elle ignore elle-même. Ces idées , qui ont pu être conscientes un jour et devenir s
révèlent leurs tendances d'esprit. Ici il semble qu'il s'agisse d'une idée d'injustice se rapportant à la mort de l'enfant e
rechercher pour expliquer ce délire et le faire disparaître, c'est l' idée primitive, la cause de ce délire, à savoir le sen
oit à l'état de veille, soit dans le sommeil hypnotique, une nouvelle idée , juste et raisonnable, à l'idée fausse, point de
s le sommeil hypnotique, une nouvelle idée, juste et raisonnable, à l' idée fausse, point de départ des troubles psychiques.
malades par des distractions ou des travaux intéressants, à chasser l' idée subconsciente, origine de leurs conceptions délir
son confrère en miracles. Troublé par la renommée de Vignes, il eut l' idée d'organiser une campagne en Suisse pour célébrer
s pour endormir les enfants Arabes et Berbères, 283. Evolution de l' idée de responsabilité, par Henri Lemesle, 300. Evol
, 94. Médication hypnotique de l'état mental, des obsessions et des idées fixes des hystériques, par P. Joire (de Lille), 2
25 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'excitation, passant dans la stupeur, la démence consécu- tive avec idées délirantes confuses, illusions sensorielles, ph
e malade ne sait où il se trouve, ni ce qui l'entoure et n'a aucune idée du temps. Il ne répond pas si ou lui demande so
nstater. En 1898, le ur Protopopoff nota chez lui des frag- ments d' idées délirantes, par exemple : il disait qu'il était u
lement le malade ne le dit plus; avant non plus, ce n'était pas une idée stable chez lui, mais seulement une idée délirant
n plus, ce n'était pas une idée stable chez lui, mais seulement une idée délirante passagère. Le degré de la conscienc
lée, écrite à l'hôpital Préobragensky, nous avons pu nous faire une idée de tout le cours de sa maladie. La maladie a dé
aladie. La maladie a débuté par une période mélancolique avec des idées d'autoaccusation très marquées et une peur exagér
et des soupçons envers les personnes qui l'entouraient. Quoique ces idées portent une coloration d'angoisse, pourtant ell
e d'une mélancolie 24 ik CLINIQUE MENTALE. initiale, légère, avec idées délirantes isolées et une confu- sion mentale,
sque la psychose primaire ' était encore présumée, entrent déjà des idées délirantes et non avec caractère d'auto-accusat
tôme d'affaiblissement de la fonction corticale. Pour expliquer mon idée , je dois remar-- quer que les poses stéréotypes
assez marqué de l'élément délirant, qui contient non seulemeut des idées d'auto-accusation, mais aussi des idées de pers
contient non seulemeut des idées d'auto-accusation, mais aussi des idées de persécution. Le cours consécutif de la malad
e viser à des hauteurs inaccessibles. En arrière des coulisses de l' idée de l'objet nos regards ne porte- ront jamais. T
la zone d'association postérieure entraîne de la confusion dans les idées , et l'impossibilité de s'orienter dans l'espace
flexion combinée de la cuisse et du tronc. Ce fait me suggère cette idée que le spasme fonctionnel est peut-être, au moi
cence wallérienne indirecte. , , III. Contribution à l'étude de l' idée de grossesse trouble psychopu- thique; par M. F
EBOIS (Thèse de Nancy, 1903; lmp. Louis Kreis). Après examen de l' idée de grossesse non accompagnée de trou- bles psyc
l'idée de grossesse non accompagnée de trou- bles psychiques, de l' idée de grossesse prenant la forme d'une obsession,
ques, de l'idée de grossesse prenant la forme d'une obsession, de l' idée délirante de grossesse, l'auteur s'attache à l'
per- sonnelles seraient aussi à l'appui de cette conclusion, que l' idée délirante de grossesse ne se rencontrerait que
ultes dans cette région où le goitre est encore assez commun et l' idée me vînt de chercher à me rendre compte de ce qui
du Dict. Dechamble, page 109. 102 CLINIQUE NERVEUSE. ou bien des idées exaltées ; quelques-unes ont un délire fugace ;
LINIQUE NERVEUSE. grins, perte de son mari, troubles intellectuels, idées de persé- cution, craintes de viol, idées de ve
, troubles intellectuels, idées de persé- cution, craintes de viol, idées de vengeance, incendie d'une maison et recrudes
on dernier livre ? Grasset cherche à établir comme fondement de ses idées sur la suggestion, l'hypnotisme et l'hys- térie
s une formule et en déduire toute la thérapeutique. D'ailleurs, ces idées sur l'auto- matisme, le polygone, le centre 0,
vocabulaire de comparaison grossière employé à une époque où les idées émises sur ces phénomènes étaient totalement erro
peut-on dire que son moi, que son intelligence n'ait pas accepté l' idée suggérée. En aucune façon, et au contraire Gras
REVUE CRITIQUE. pour que vous ne lui fassiez pas accepter d'abord l' idée d'être totalement inerte, c'est-à-dire pour que
lus loin : « Comment le coup de gong de la Salpêtrière donne-t-il l' idée du sommeil à un sujet qui l'en- tend pour la pr
et qui l'en- tend pour la première fois, il devrait plutôt donner l' idée du réveil (p. 114). Nous répondrons, au nom de
mar- quables spécimens. Notre maître reconnaît d'ailleurs que ses idées , à cet égard, se sont modifiées, et que les res
es ou de l'extension des orteils. Est-il utile de répéter les mêmes idées au sujet des dissections anatomiques que la sug
sions reçues, mais non perçues par le centre 0. » A ce même ordre d' idées se rattache la théorie polygonale des anesthési
si la conception de Babinski sur 1 Nous avons déjà développé cette idée dans un travail intitulé : Rela- tions qui exis
urt mémoire, qui ne contient, dit l'auteur lui-même, ni théorie, ni idées nouvelles, mais seulement quelques observa- tio
tirer l'attention sur certains cas de mélancolie, dans lesquels les idées délirantes peuvent légitimement être rapportées à
seraient pas tenues, non plus que par un assentiment donné à leurs idées délirantes. Il. DE Musgrave-Clay. V. Les symp
tone, accablement physique et moral absolu, crises d'angoisses avec idées de suicide, conviction de ne pas guérir, etc. L
fections la même dépression physique et mentale profonde, les mêmes idées de ruine, de culpa- bilité, de damnation. Cepen
elle diffère de l'autophilie des aliénés en ce qu'il n'existe pas d' idées délirantes proprement dites ; c'est vague, mobi
amour platonique. Mais a personne qui maintenant éveille en lui les idées les plus cour REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 149
és par la crainte de déglutir ou plutôt de s'étrangler, tantôt sans idée nette (phobie simple). tantôt en vertu de l'obs
: 1° Le langage manque souvent chez l'idiot, généralement faute d' idées ; 2° Son apparition, quand il existe, est tardive
servation fait 154 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. exception à cette idée généralement admise et montre une filiation étr
iatrique de Moscou en état de dépression, d'angoisse, de peur, avec idées hypochondriaques; l'état mélan- colique chez el
hangea ; la malade commença à' manger ; l'émotion d'angoisse et les idées hypochondriaques disparurent progressivement. M
mémoire de l'affaiblisse- ment de l'intelligence et quelques rares idées de grandeur. L'em- barras de la parole date de
utôt des symptômes de démence épi- leptique (apathie, confusion des idées , perte de la notion du temps et du milieu) que
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. un XXXI. Séméiologie générale de l' idée de grossesse; par M. Thomas, (L'Echo de Lyon, 1
02, n° 5. M. Thomas range les différentes formes que peut prendre l' idée de grossesse en deux grandes catégories : 1° Co
t prendre l'idée de grossesse en deux grandes catégories : 1° Comme idée fixe : idée fixe permanente ou obsession paroxy
ée de grossesse en deux grandes catégories : 1° Comme idée fixe : idée fixe permanente ou obsession paroxystique. Dans c
ixe : idée fixe permanente ou obsession paroxystique. Dans ce cas l' idée de grossesse domine la scène, c'est l'idée dire
oxystique. Dans ce cas l'idée de grossesse domine la scène, c'est l' idée directrice. 2° Comme phénomène secondaire mêlé
st l'idée directrice. 2° Comme phénomène secondaire mêlé à d'autres idées délirantes : a). Idée de grossesse liée à d'aut
° Comme phénomène secondaire mêlé à d'autres idées délirantes : a). Idée de grossesse liée à d'autres conceptions délira
ud, Rousset et Viallon, Toulouse et Marchand, on trouve la simple idée de grossesse dans toutes les vésanies. Le délire
vésanies. Le délire de grossesse n'est pas chose commune, quant à l' idée fixe permanente et à l'obsession paroxystique,
aroxystique, l'auteur ne l'a pas encore vu signaler. La genèse de l' idée de grossesse peut avoir un point de départ mental
se Perdrix, que sa raison abandonnait par instants, manifestait des idées de suicide. (Le Progrès de l'E1l1'c, 20 janvier
e de soixante-cinq ans, était depuis quel- que temps en proie à des idées noires. Ce matin profitant d'une courte absence
IN BIBLIOGRAPHIQUE. BtcnEMis (Fernand). Contribution à l'élude de l' idée de yrosseise. 1 vol in-8- de 102 pages, imp. Kr
194 -il CLINIQUE mentale. de dépression mélancolique avec quelques idées de persécution. Hallucinations de l'ouie : on l
Hallucinations nombreuses de l'ouïe de caractère pénible. -Pas d' idées délirantes. Inconscience. Signes physiques : faib
ptembre 1903, elle est intellectuellement affaiblie et désorientée. Idées de satisfaction et LE FOND DE L'ÛEIL CHEZ LES P
ue avec anxiété ; la maladene s'alimente passpontanément. Absence d' idées délirantes. Signes physiques très atténués; pas
te-huit ans, en- trée le 15 avril 1903. Très excitée, manifeste des idées de richesses. Actes inconscients; elle a mis le
ment, le 7 septembre 1903, affaiblissement intellectuel sans aucune idée délirante. Elle se rappelle très bien avoir commi
ans; entrée le 15 avril 1901 : excitation avec euphorie et quelques idées délirantes de richesses ; embarras très net de
septembre 1903, il existe de l'affai- blissement intellectuel, avec idées de satisfaction, euphorie, incons- cience de so
rante et un ans; entrée le 9 mai 1903. Examen du 15 septembre 1903. Idées LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAU
903. Présente alors de l'excitation intellec- tuelle, avec quelques idées de persécution, elle est nn peu dé- sorientée,
Pas de troubles bien nets de la parole. La malade conserve quelques idées de persécution. A l'ophthalmoscope, la papill
s, bien que la mémoire soit assez bien conservée. Il n'existe pas d' idées délirantes, mais la malade n'a aucune conscienc
rait eu, avant son en- trée, des hallucinations de l'ouie, quelques idées de persécution, et aurait fait une tentative de
men du 8 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel avec quelques idées mystiques et érotiques. Cette malade s'occupe r
peuvent être articulés. Affaiblissement intel- lectuel accompagné d' idées de satisfaction. Tremblement intense des membre
à la convergence. Pas de tremblement des membres. Il existe des idées de satisfaction, mais la malade a la mémoire ne
z Examen du 10 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel avec idées hypochondriaques. IIallucinations multiples ; des
n du 10 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel, avec quelques idées délirantes de richesses et quelques divagations
03. A ce moment quelques préoccupations hypochon- diaques, qnelques idées de satisfaction; hésitation de la parole ; inég
s, entrée le 8 avril 1903. Examen du 9 septembre. Démence totale; idées de satisfac- tion ; rires et pleurnicheries enf
rait présenté des crises gastriques. , Examen du 10 septembre 1903. Idées de satisfaction; eupho- rie ; affaiblissement i
903. . Examen du 10 septembre 1903. Affaiblissement intellectuel; idées de satisfaction ; inconscience absolue. Signes
903. - Affaiblissement intellectuel. A eu avant son entrée quelques idées de grandeur; elle allait nommer le pape et se c
paralysie générale avec halluci- nations génitales très intenses et idées de suicide; inégalité pupil laire; troubles de
03. - Examen du 7 septembre 1903. - Affaiblissement intellectuel; idées de satisfaction; pleurnicheries; inconscience de
men du 9 septembre 903. - Affaiblissemen intellectuel avec quelques idées de persécution. Paralysie faciale gauche survenue
son produit dans le métabolisme pro- téique ; et à l'appui de cette idée venait l'observation que la téta- nie consécuti
i cences aiguës de nombreux états toxiques. Dans un autre ordre d' idées , l'auteur tenta de se rendre ce des changements
aire n'a sur lui aucune influence. Au cours de ces expériences, l' idée se présentait tout naturelle- ment à l'esprit q
e sentiment de bien- être général, l'activité intellectuelle et les idées élevées entrent en scène pour plus de la moitié
violer était faible d'esprit, et au cours du procès,'il ne vint à l' idée de personne que l'accusé pourrait bien l'être a
-Pierre à Go, nève. Se basant sur l'existence d'hallucinations et d' idées déliran- tes chroniques de grandeurs et de pers
al fédéral ; dans cet arrêté on lui fait savoir qu'il est atteint d' idées délirantes, d'hallucinations et de démence. Il
e comme Machetto au milieu d'agités; il serait temps de reprendre l' idée d'un asile spécial pour les malades chez les- q
à l'asile elle était considérée comme ayant fort probablement des idées de suicide, et que l'auteur écrivit au médecin tr
ce chiffre 40 hommes et 32 femmes étaient signalés comme ayant des idées de suicide, et il y avait eu négli- gence dans
ait en l'appelant à di- riger leurs discussions. Il s'inspirera des idées émises par son pré- décesseur afin de conserver
ie). BIBLIOGRAPHIE. VIII. Contribution à l'élude diagnostique des idées hypochondriaques dénégations, parle De Sigismon
e dans les diverses affections mentales où elles se présentent, les idées de négation peuvent contribuer à en établir le
r se propose de mettre en liiiiière ; et pour cela il s'adresse aux idées de négation hypochondriaques, c'est-à- dire rel
ion diagnostique particulière suivant les cas. L'existence même des idées hypochondriaques de négation est déjà par elle-
déjà par elle-même une première indication diagnostique, car les idées indiquent toujours un fond très marqué d'affaibli
VARIA. ment l'apparition de la démence lorsqu'elles se relient aux idées de persécution, ou la coexistence d'un état mél
tte thèse une contribution importante à la séméiologie clinique des idées hypochondriaques de la négation. . J. Sr';cr.AS
5. - Prix Belhomme. - 900 francs. - Question : De l'association des idées chez l'idiot et l'imbécile. Prix Es- quirol. Ce
iques, diphtériques par exemple. Ballet3 distingue dans cet ordre d' idées les polynévrites des mononévrites, insistant su
travail (pinceau, brosse, etc.); mais plus tard il se rattacha à l' idée d'intoxication saturnine, remarquant que la par
La malade pré- sente d'autres symptômes dont l'existence éveille l' idée d'un pro- cessus infectieux spécial : diminutio
). , L'auteur passe en revue les origines et le développement des idées scientifiques contenues dans le vocable : cataton
bservations cliniques de démence précoce avec catatonie, confirme l' idée de Kroepelin. 11 y aurait lieu de considérer un
s compare avec celles qui relèvent de l'alcool, et constate que les idées de suicide, si communes dans la folie alcooliqu
rapidement fatale de la maladie. M. TOULOUSE fait ressortir que les idées de grossesse se sont sur- tout montrées pendant
lité générale et des troubles génitaux qui développent chez lui des idées de perséculion. Néanmoins, le malade s'observe,
élire systématisé mystique n'aboutit pas chez lui. Seules, quelques idées de persécution subsistent en rapport avec ses t
générale comme chez l'aveugle. Ces observations rendent probable l' idée que les nerfs de la sensibilité générale jouent
actif dans la transmission du son, par excitation rolidienne. Cette idée ne contredit aucune- des théories actuelles con
suite d'un accès. A l'arrivée du médecin, peu après le meurtre, ses idées étaient encore confuses et l'état de stupeur co
comparer, de critiquer, de concevoir, d'associer logique- ment les idées , ne constituent le plus souvent, au début de la
observations in extenso, nous nous contenterons, afin de fixer les idées et de citer quelques exemples, illustrant par l
contracture, il s'apercevait alors du caprice de ses associations d' idées et de leur haut degré d'impulsion. Ce qui vie
r et à évoluer. Cette multitude de fragments d'images, d'éléments d' idées , alimentés et nourris par une émotion toujours
et vers la puberté : il peut y avoir une période de dépression avec idées de suicide, ou bien, dans une forme plus insidi
fois de la vue, de l'odorat et de la sensibilité générale; il a des idées délirantes d'indignité personnelle, de soupçon
élirantes d'indignité personnelle, de soupçon (on le travaille, ses idées ne sont pas à lui, etc.), et plus tard il devie
s commencements. Puis l'affaiblisse- ment mental s'accuse, mais les idées délirantes et les hallucina- tions disparaissen
caractère très accusé de la démence et le caractère passager des idées délirantes dans l'hébéphrénie) sont si nettes qu'
fs, sont la cause des crimes commis par les aliénés, et non pas une idée nette d'homicide. R. DE AIUSGRA'E-CL.1Y. L1V1
t de la conscience, provenant d'une diminution dans la cohésion des idées et les enchaînements for- tuits, sans aucun rap
dépossession tend, à un moment donné, à se compliquer d'au- - tres idées délirantes surajoutées : idées de persécution, te
donné, à se compliquer d'au- - tres idées délirantes surajoutées : idées de persécution, tendances orgueilleuses, etc. {
phéno- mènes fondamentaux de contraste psychique, d'antagonisme d' idées délirantes. En somme, il ne s'agirait là que d'ha
de la tendance au suicide sont également étudiés. Chez un aliéné, l' idée de suicide décèle ordi- 1 Nous avons insisté so
ne tare héréditaire souvent très chargée et malheu- reusement cette idée a une fâcheuse tendance à reparaître : '). chaque
ditaires. M. Azémar signale l'évolution du délire du doute vers les idées de négation. 11 insiste sur l'importance du fonct
trau- matisme moral. De plus, l'association d'accès d'angoisse et d' idées de suicide, doit être considérée comme l'étape
cas par véritable insuffisance nerveuse. XIII. L'association des idées dans la manie aiguë et dans la, débilité mental
venir, le jugement et le raisonnement, le rôle de l'association des idées , depuis l'asso- ciation par ressemblance, contr
arition rend impossible toute adapta- tion au monde extérieur ; ses idées semblent fuir, et il lui arrive d'avoir conscie
lui arrive d'avoir conscience de son état. ' L'incohérence de ses idées ne doit pas être attribuée à la volu- bilité de
acqué- rir une énergie consciente suffisante pour assurer le rôle d' idée directrice. La psychologie et la physiologie n'
à celui du maniaque. Il y a chez lui une ébauche de coordination d' idées , mais le niveau mental subit à chaque instant d
'activité psychique, on trouve toujours à sa base l'association des idées . Les lois d'association sont les mêmes dans l'a
il y eut à la base un état de frayeur et d'an- xiété commandant des idées de persécution confuses et détermi- nant des ré
cution confuses et détermi- nant des réactions assez violentes; ces idées délirantes semblaient étayées elles-mêmes sur d
ingestion de poison contenu dans un de ses aliments. Il a alors des idées noires, croit qu'il va mourir : en proie à ses id
Il a alors des idées noires, croit qu'il va mourir : en proie à ses idées , il entre à l'hôpital Dubois où il reste huit o
faire conduire a la maison Dubois, mais dans le trajet, il change d' idée , se fait ramenerchez lui et prie son con- cierg
nt et lentement, il semble avoir beaucoup de peine à rassembler ses idées . Il se croit électrisé, sous l'influence magnét
ai déjà dit que le malade ne rassemblait que fort difficilement ses idées ; parfois il ne parait pas comprendre les paroles
sont rares,le plus souvent il se croit encore hypno- tisé, mais ces idées sont cpnfuses ; il sent toujours des courants é
n'a pas de désorientation et sait parfaitement'où il est. Enfin les idées de persécution extrêmement confuses qu'il pré-
en somme d'un état de confusion mentale, d'imprécision extrême des idées , qui se traduit dans toutes les pen- sées du ma
si. L'état de confusion disparaît progressivement et avec lui les idées délirantes; celles-ci ont à peu près disparu à la
qu'il aura une fin un jour, d'ailleurs, il est un peu effrayé par l' idée de vivre au dehors, il lui faudra chercher un l
es, que cette signature' pouvait avoir des con- séquences graves. L' idée que sa femme de ménage pouvait le quitter, que
s délirantes, il n'a rlus de confusion mentale ou d'imprécision des idées . Il ne parait pas avoir de troubles de la mémoi
passe, n'a aucun trouble de la notion du temps. Très cohérent, ses idées bien systématisées, il analyse très bien son état
isait fréquemment qu'il avait le cerveau vide, qu'il n'avait plus d' idées . Pour penser à quelque chose, il faut qu'il le-
seulement qu'il peut évoquer des souvenirs passés, rassembler ses idées pour penser à l'avenir. Il fait cela un peu volon
» « Oui, au moment même. » feuilleton. - « Simple rapprochement d' idées avec le mot précédent. Aucune représentation. »
n'a pas beaucoup d'images, un mot lui suggère un cer- tain nombre d' idées à côté, liées au mot d'une façon fort cohérente.
, où le malade commence à s'isoler totalement, à présenter quelques idées hypochon- driaques, à concevoir de la méfiance
roportions identiques; sur cet état s'installent des combinaisons d' idées assez fixes qui forment les éléments d'un délir
econd en a été extrêmement pauvre, le délire s'est figé en quelques idées qui n'étaient après tout que l'interprétation d
e Dr PASTUREL, Médecin-adjoint de l'asile de Leyme (Lot). , « Les idées délirantes de persécution dans la paralysie gén
ts vésaniques à la période de début ou durant les rémissions, les idées de persécution se manifestent avec une certaine
cas simuler un délire de persécution systématisé. » Telles sont les idées exprimées à ce sujet par Magnan et Sérieux *.
ntale de Ballet, z1903), écrit à peu près dans le même sens : « Les idées de persécu- tion dans la paralysie générale son
s des auteurs là-dessus, suffisent pour montrer que jusqu'ici les idées de persécution ont été considérées dans la paraly
is- tence simultanée des troubles habituels de cette maladie et d' idées délirantes de persécution, d'une tenacité et d'un
persécution, d'une tenacité et d'une intensité extraordinaires. Ces idées de persécution sont en outre accompagnées de ré
l changea d'une façon notable de caractère. Il fut en proie à des idées de persécution, plaida avec son patron au sujet d
métier à la perfection, etc.... En même temps il - formule quelques idées de persécution; on l'a rendu malade'en le contr
c elle, il ressent une grande commotion dans le corps. Toutes ces idées délirantes persistent sur le thème que nous ven
s qu'on l'interroge on s'aperçoit qu'il n'aban- donne aucune de ses idées délirantes. A part les troubles mo- leurs signa
étit. Dans les derniers temps qu'il a passés chez lui, il avait des idées de grandeur et de richesse très nettes, il étai
bre de châteaux et il allait les voir en voiture dans la journée. Idées de persécution et de jalousie envers sa femme. A
ffet ni de l'année, ni du mois, ni du jour courants. Mégalomanie et idées absurdes de richesses très accusées : « Il est
ooliques, avoir eu des halluci- nations terrifiantes de la vue, des idées de jalousie à l'égard de sa femme, quelques hal
té par changement dans caractère, de l'irritabilité, l'apparition d' idées de grandeur qui la rendaient même violente. En
tion du sujet. Si l'on pousse plus loin l'examen on découvre des idées absurdes de grandeur et de richesse combinées a
, elle en a le titre mais non l'éducation.» Elle est en proie à des idées de persécution, on l'a dérangée, dit- elle, de
- née à la même place. PARALYTIQUES GÉNÉRAUX DANGEREUX. 465 Les idées de persécution ne l'ont pas abandonnée. Elle se
la sorte, elle pleure de colère. Toutefois, nonobstant toutes ces idées délirantes, elle s'occupe quelque peu à l'épluc
ordinaire par des caractères particuliers, nous voulons parler des idées de persécution tenaces et de longue durée, acco
x et pendant une aussi longue période que F..., de l'Ous. II. Ces idées morbides semblent être sous ladépendance,comme
es hallucinations existaient. Il importerait aussi de savoir si ces idées de persécution chez les paralyti- ques généraux
ytique. D'après Bail, les hallucinations de l'ouïe et par suite les idées de persécution sont liées à la maladie elle-mêm
que la para- lysie générale seule, ne suffit pas pour produire des idées délirantes de persécution ainsi que des halluci
e cette thèse une statistique de 59 cas de paralysie générale, avec idées de persécution, chez qui il a relevé 21 fois l'
leur théorie. Il s'agissait d'hallucinations surtout auditives avec idées de persécution et de jalousie. Dans nos obser
Elles ont sur- tout existé au début, mais ce qui domine ce sont les idées de persécution et surtout les réactions violent
dernières sont subordonnées chez C... et F... (Ons. I et et II) aux idées de grandeur. Il s'est fait chez ces deux malades
es de grandeur. Il s'est fait chez ces deux malades l'association d' idées suivante : Ils sont rois, Dieu, souverains, maî
on, en effet, d'après ses antécé- dents héréditaires et personnels ( idées délirantes de persé- cution remontant à cinq an
essus irritatifs en même temps que des hallucinations multiples des idées de persécution et de réactions violentes durabl
é par une grande prédominance des hallucinations auditives, . des idées délirantes très souvent (mais pas nécessairement)
s, de les systématiser dans la grande majorité des cas, et, par ses idées de persé- cution, arrive finalement aux idées d
des cas, et, par ses idées de persé- cution, arrive finalement aux idées de suicide. Cette faculté de systématisation im
La durée de son hallucinose auditive (nous entendons la durée des idées délirantes, les hallucinations ayant disparu au
lirium tremens), puisse dans un très bref délai corriger toutes ses idées déli- rantes, tandis qu'un autre, celui-ci atte
noïa chronique que dans le délire alcoolique du type auditif, les idées délirantes s'implantent en dépit d'une logique pl
nd dès lors que cette même logique ne réussisse plus à corriger ces idées déli- rantes. En effet, chez notre malade, ce s
pparaissent les premiers. Cette démence consiste en une lenteur des idées , une indolence, un état nuageux de l'intellect av
stinguent la mélancolie alcoolique et organique, la mélancolie avec idées ob- sessives, la mélancolie raisonnante, hystér
humeur, une élévation dans la sphère émotive, une inclination aux, idées de grandeur, un affaiblissement marqué de la cr
trouble dans le compte du temps, observé chez le malade, comme une idée démente délirante et voit dans ce trouble un affa
actes d'association. Le symptôme, noté chez le malade, présente une idée délirante absurde, une expression partielle d'u
die là où Esquirol et Calmeil n'avaient vu que des symptômes. Les idées de Kroepelin ont soulevé de multiples controverse
ubles délirants, dont le poly- morphisme est la note prédominante : idées de grandeur le plus souvent absurdes, parfois d
es de grandeur le plus souvent absurdes, parfois délite d'énormilé, idées mystiques, idées de persécution, idées de culpa
lus souvent absurdes, parfois délite d'énormilé, idées mystiques, idées de persécution, idées de culpabilité et d'auto-ac
, parfois délite d'énormilé, idées mystiques, idées de persécution, idées de culpabilité et d'auto-accusation. idées de r
idées de persécution, idées de culpabilité et d'auto-accusation. idées de ruine physique ou morale, idées de négation, t
ulpabilité et d'auto-accusation. idées de ruine physique ou morale, idées de négation, troubles de la personnalité. Toute
, artificiel et convenu. En dehors des réactions provenant de leurs idées délirantes, ils présentent de brusques impulsio
conclusions du livre de M. Masselon résumant très complètement les idées de Kræpelin sur ce sujet. Inutile d'in- sister
perçus. Sans doute de nouvelles recherches sont nécessaires, mais l' idée entrevue jusqu'ici est assez belle pour qu'il s
laire ou connexe. Voici près de vingt ans que Weismann a exposé ses idées sur ce sujet et l'énorme controverse qui s'est
du stigmate inhérent au passage a l'asile fermé. L'auteur combat l' idée de fonder pour les maladies mentales des hôpita
spontanément. Cette nécessité d'éviter tout ce qui peut suggérer l' idée d'asile à l'esprit du public est pour lui telle
s et adopté les mêmes vues en prin- cipe. C'est te même mouvement d' idées qui en France c'est mani- festé dans les discus
manie, par Grieves, 399. Grossesse. Contribution à l'étude de l' idée de trouble psychopa- thique, par Bichebois, 86.
e psychopa- thique, par Bichebois, 86. Sémélo- 10 ? générale de l' idée de -, par '1 homa', 157. IIAIIN. Le R. P, Gui
llavardln, 391 IIYIÉItO-SYPIIILIS. Un cas Il ? par Thooris, 67. Idées nvrocttnNDSUIrES. Contribu- tlon à l'étude diag
26 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'avons retenu que ceux dont les observations pri- ses sans aucune idée préconçue, nous ont semblé offrir tontes les ga
ne S... Elvire, femme R... 56 ans. Entrée à l'asile le 3 nus. 19U0. Idées dé- lirantes de persécution. Hallucinations psy
sme, voûte palatine élevée, oreilles mal conformées, regard fixe. Idées délirantes de persécution. Hallucinations de l'ou
es tendineux, digestions pénibles. Insomnie. Otite' externe droite. Idées délirantes de persécution à base d'interprétation
flexes tendineux, gastrn. entérite ancienne, pharyngite granuleuse. Idées de ruine, d'indi- gnité, auto-accusation, illus
battue. 31 oct. Se dit com- plètement guérie (n'a plus de mauvaises idées ), travaille. 2 nov. Continue à être bien, etc..
antitative de l'intelligence. Indifférence affective. Irritabilité. Idées de persécution et de ja- lousie à base d'interp
stolique. Diminution quantitative et qualitative de l'intelligence. Idées délirantes de persécution, hallucinations psych
bilité générale. Exa- gération des réflexes tendineux. Désordre des idées , grandilo- quence emphase (attitude dramatique)
ration des réflexes ten- dineux. Voix de polichinelle. Désordre des idées , conceptions mégalomaniaques. Quatre examens pé
on des réflexes tendineux. Hypermnésie, association automatique des idées et des mots, fuite des idées, idées de persécut
permnésie, association automatique des idées et des mots, fuite des idées , idées de persécution sans consistance. Accès i
ie, association automatique des idées et des mots, fuite des idées, idées de persécution sans consistance. Accès intermit
langue. Exagération des réflexes tendineux. Logorrhée. Hypermnésie. Idées de persécution. Idées ambitieuses. 84 examens p
s réflexes tendineux. Logorrhée. Hypermnésie. Idées de persécution. Idées ambitieuses. 84 examens périmétriques com- plet
générale. Exagération des réflexes tendineux. Insomnie. Logorrhée, idées de satisfaction et de grandeur. Hypermnésie, di
constipation, tumeur ancienne du genou droit d'origine bacillaire. Idées délirantes de persécution, de ruine, illusion ?
ion de la sensibilité générale. Exagération des réflexes tendineux. Idées délirantes absurdes de satisfaction de grandeur
de fièvres intermittentes. Affaissement global de l'in- telligence. Idées de persécution sans consistance, amnésie progres-
suel. Ainsi nous croyons-nous être suffisamment gardés contre toute idée préconçue. A. Paralysie générale. 1° Troubles p
t très faiblement diminuée, ce qui ne saurait se concilier avec l' idée d'un oedème d'origine névritique. D'ail- leurs,
rsonnages légendai- (1) Les citations suivantes donneront une juste idée du travail de M. Tissié : « Nous avons pris, di
esprit mais intelligent (p. ]0<) qui pari sous l'influence d'une idée fixe qui l'élreint et le captive » (p. 105). (T
ensemble.Ils répètent d'ailleurs, sans mo- dification sensible, les idées françaises telles que les ont fixées les leçons
'humeur très changeante. Par mo- ments était découragé, avait « des idées tristes à pleurer » . à d'autres moments était
usqu'en octobre 1905. « La maladie, écrit la famille, consiste en l' idée de voyage, il se sauve à tout moment. » Mais «
e voyage, il se sauve à tout moment. » Mais « depuis octobre 1905 l' idée de voyage l'a repris déplus fort et il est part
s obsédants» de Thomsen (2) (Zwangsvorgange) par op- position aux « idées obsidantes » (Zwangsvorstellungen), Ces « agité
sychasthénie, I. p. 176. (2) 'rfi0ssv. Contrib. à l'étude clin, des idées obsédantes. (Arch . Psycho XXVII. 1895,) cité p
ujet atteint d'épilepsie, ce fait est intéressant, car il suggère l' idée que l'attaque d'angine de poitrine pourrait êtr
de l'audition colorée, serait dû soit à une association fortuite d' idées datant de la jeunesse et développée d'une manière
m antagoniste du bacillus-coli. En faisant ces essais on a obéi à l' idée que beaucoup de folies aiguës avaient une origi
n fait extrêmement remarquable. Même remarque pour la réversion des idées , la substitution des couleurs complémentaires e
que; enfin plus on cherche l'antécédent spécifique dans cet ordre d' idées plus on le trouve. Ceci et bien d'autres faits
ne (l'Alle- magne) il s'en faut que le terme paranoïa réponde à une idée précise et couvre un territoire nettement circo
nt une rémission des symptômes. 4° Dès que l'on est débarrassé de l' idée dé désordre primitive- ment intellectuel, il n'
n ; cependant, Hardy et Labaresse (iib Dict. Jaccoud) signalent des idées noires au début avec du découragement. IIillair
THOLOGIE MENTALE. 71 mentaux caractérisés par de la dépression, des idées de persécution, dos illusions, des hallucinatio
précises qu'il n'avait pas soupçonnées jusqu'alors. Tandis que les idées sexuelles acquises par les lectures, les con- v
emière sensation et le réflexe génital n'était réveillé que par des idées se rapportant à cette sensation. L'explication
e ou tout au moins d'expectante atten- tion. Dans tous les cas, les idées introduites par l'initiateur se comportaient co
des sensations, des perceptions 'hallucinations et illusions), les idées délirantes et illusions du souvenir, l'auto- su
solument changer quel- que chose, c'était non le mot « asile mais l' idée qui s'y at- tache dans le public, la méfiance i
se trouver assez mal préparés à leurs nouvelles fonctions. Si mes idées prévalaient, l'article 2 pourrait subsister, sa
1857, un peu trop laconique à leur égard ; en témoignant pour les idées de leurs chefs le respect dû à l'expérience ; en
ues, de les comparer entre eux, et au risque de sembler émettre une idée paradoxale, je prétends qu'il y a plus à appren
ecins, consultés en ce cas, je sup- pose, devront-ils se ranger aux idées de leur collègue ? Ou ils seront en désaccord d
pos de l'article 7, nous devons protester vigou- reusement contre l' idée d'un concours sur titres pour la nomination des
se le cuisi- nier de mettre du poison dans les aliments, a quelques idées de persécution. Sort onze mois après son. entré
-Evrard en septembre 1905 avec le diagnostic de «Confusion mentale, idées hypocondriaques, hal- lucinations auditives, te
son père, alors gravement malade, ne mangeait pas. Il a eu quelques idées de persécution contre ses amiset ses clients. I
e santé de Ville-Evrard. C'est un débile congénital avec un stock d' idées et de connais- sances très restreint.il bégaye,
3' série, 1007, t. 1. 9 130 clinique mentale. l'acte dont il a l' idée . Il cède tout de suite, sans réfléchir aux consé-
est très agité, incohérent, "e déshabille, crie, se roule à terre. Idées de grandeur énormes. 11 ne peut rien dire de se
ATHOLOGIE MENTALE. 141 leur, celle stéréotypie était secondaire aux idées de persécution du malade, est comme elle coexis
si l'inexactitude du terme ne correspond pas à l'inexac- titude des idées . R. de DIUSCR1VE CLIY. XXXVII. La psychologie d
'obsession ; elle n'est que la tendance à la maté- rialisation de l' idée obsédante, elle se manifeste chez le sujet avec
ans surprise que chez les paranoiaques d'aujourd'hui on observe des idées qui ont la plus grande analogie avec les vieill
HOLOGIE MENTALE. 145 celle des gens du monde ; ensuite il suggère l' idée que la méthode des pesées, en aliénation mental
. Stransky. l.'auV'ur a fait des expériences sur les associations d' idées chez les personnes normales et les déments préc
re cas de délire de négation intellectuelle, font ressortir que les Idées de négation, les idées de doute, d'étran- geté,
ation intellectuelle, font ressortir que les Idées de négation, les idées de doute, d'étran- geté, de changement, de tran
llon, tout en se refusant à admettre une origine périphé- rique aux idées hypochondriaques, approuve la distinction faite
ïa, alors qu'en France nous avons le mot délire qui exprime la même idée . M. DENY répond qu'il ne suffit pas à un sujet
t à l'appui de ce qu'il pense sur la localisation topographique des idées délirantes. M. TOULOUSE. Le malade était-il aff
correspondant, dans le délire chronique de Magnan, à la période des idées de gran- deur. Hypochondriaques et persécutés c
présentées par un débile, délirant chronique, mort à la période des idées ambitieuses. A l'autopsie on trouvera une ménin
IAS communiquent l'ohservaLiunn d'un addisonnien ayant présenté des idées de persécution et de richesse, vans pouvoir rép
11. Grassel dit que l'édification de celle théorie repose sur cette idée que l'existence d intermédiaires entre deux êtres
illusions et halluci- nations ; les obsessions ; les délires ( ! ), idées de grandeurs, d'in- ventions, de ruine, de néga
même homicides, les aboulies, les troubles de la cénesthésie, de l' idée du moi, du psychisme social, sexuel et familial
its et crimes). Au point de vue criminel, M. Grasset estime que les idées de Lombroso ont des rapports étroits avec la do
ivité. D'ailleurs,que sont ces tendances ? Comment s'en faire une idée exacte puisqu'elles ne se manifestent jamais à
la lecture et l'audition des mots, et pour four- nir les images ou idées évoquées par les signes vus ou en- SUR LA SYMÉT
autre, en supposant possible leur indé- pendance psychologique, des idées abstraites et des idées générales. Or, si l'on
ible leur indé- pendance psychologique, des idées abstraites et des idées générales. Or, si l'on peut penser sans mots (G
1 1 ¡J ? 3° « Chaque cb-ctie est susceptible ... de percevoir l' idée des objets et de ressentir des sensations très co
.. de saisir les rapports' qui unissent' lés 'objets entre eux, les idées entre elles "ou avec les objets, enfin les' idé
entre eux, les idées entre elles "ou avec les objets, enfin les' idées , sensations et objets avec le sujet même... Il vi
jets, les sensations ressenties et les mots'qui représentent ces idées et ces sensations » (p. 56). 11 existe en effet
ent dit. - Suivons maintenant les sensations, les sentiments, les idées , bref, tout ce que peut contenir la mémoire, pour
nt en avoir. Revenons aux acquisitions. Chaque moitié 'aurait ses idées pro- pres ; cela aurait du moins demandé a être
semblable d'après plusieurs passages qu'il ne s'agît par de simples idées images, mais d'idées quelconques', abstraites ou
sieurs passages qu'il ne s'agît par de simples idées images, mais d' idées quelconques', abstraites ou cô'ric5·ètes, parti
conques', abstraites ou cô'ric5·ètes, particulières ou générales, d' idées symbolisant des jugements et des raisonnements'
ces, de, là nécessité 'de l'intervention du cerveau gauche pour les idées abstraites et générales, qui n'ont guère d'autre
t franchement illogique d'a LLl'ibu'er 'à 'cJ\'aqÙ'e hémisphère des idées préformées, qui, pour le( psychologue, ne sont qu
CORPS. . : 21;) cbi'é d'attribuer à chacun la faculté de forger des idées et de les travailler indépendamment dé son cong
ons du reste du contenu de Fêtât de conscience, et, d'autre part, l' idée d'étendue intervient, plus '6'ù moins nette, 'd
, être conservés dans les asiles ordinaires. J'ai moi-même émis l' idée que ces asiles soient construits, sur un type spé
3° aut·i·, 1PC7, t. 1. 15 22G LÉGISLATION. calme, dissimuler ses idées délirantes pendant un mois et même plus : mais
âche avec le plus de zèle et de dévoue- ment et gratuitement, que l' idée d'un salaire quelconque leur répugnerait, car l
il y parviendra, surtout en cas d'évasion ; et si l'aliéné a des idées de suicide ! 3° Enfin, il veillera à ce que l'a
revenus de l'aliéné pourront être dilapidés ! Je vais émettre une idée bien révolutionnaire, et je de- mande pardon à
upérieure : il n'aura pas de chambre particulière parce qu'il a des idées de suicide, n'aura pas le régime de sa classe p
malade. Les maximes, les pensées, se rattacheront a\ecutilité à des idées relatives à la culture de la volonté, à l'éduca
ntale : attention volontaire, attention spontanée, associations des idées , évocation des images. Pour-Ziehen, il serait d
ente de l'absurde qui déterminent et coordonnent les associations d' idées ». Dans la démence précoce, la conscience est m
ique pas avec la' logique des mélanco- liques. Les associations des idées ne sont pas guidées exclusivement par la douleu
Dans ces épreuves écrites, on voit combien les asso- ciations des idées sont correctes chez les mélancoliques à part la
la longueur du temps, la lenteur d'évocation, et l'introduction "d' idées délirantes) et combien elles'sont troublées che
hez un malade dont tous les phénomènes (dépression, con- tenu des idées délirantes, déficit intellectuel peu appré- cia
DE LA DÉMENCE PRÉCOCE. 281 CONCEPT10 ? S D1LIRANTES. -Les premières idées déli- rantes sont les idées hypocondriaques, le
ONCEPT10 ? S D1LIRANTES. -Les premières idées déli- rantes sont les idées hypocondriaques, les idées de transformation et
es premières idées déli- rantes sont les idées hypocondriaques, les idées de transformation et les idées de négation. Ell
sont les idées hypocondriaques, les idées de transformation et les idées de négation. Elles sont en rap- port avec des t
a fois le corps et l'esprit. Ziehen insiste sur la prédominance des idées hypo- condriaques d'origine sexuelle. Dans les
sthésique plus pénible et un délire hypocondiaque plus riche. Les idées de transformation corporelle sont extrême- ment
ées de transformation corporelle sont extrême- ment fréquentes. Les idées de possession corporelle (dé- lire métabolique)
ées de possession corporelle (dé- lire métabolique) aboutissant des idées de transforma- tion, représentent le plus haut
us haut degré des troubles cé nesthésiques. Kraepelin considère les idées de posses- sion comme un symptôme de catatonie,
tuel. La rapidité avec la- quelle s'installent et disparaissent ces idées pathologi- ques est un de leurs caractères esse
a mé- lancolie elles ont une évolution lente, sourde et tenace. L' idée morbide apparait comme un corps étranger hors s
nforcer ce sentiment » (mas- selon). Chez les déments précoces, les idées de transfor- mation changent il chaque instant,
s donnent sont toujours absurdes. Un autre fait par- ticulier à ces idées de transformation symptomatiques de la démence
mr. Maladies de la pérsoll11alité, page. 01. 282 CLINIQUE MENTALE Idées de négation. Les idées de négation annoncent la
oll11alité, page. 01. 282 CLINIQUE MENTALE Idées de négation. Les idées de négation annoncent la fragmentation de la pe
ésthési- ques et aux premières lésions delà synthèse mentale. Ces idées pathologiques concordent bien avec la tendance
ans dou- leur (Séglas) pathognomonique de la démence précoce. Les idées de négation complètent ce syndrome. Elles sont
des ombres ; ma famille, le monde n'exis- tent plus ». Comme les idées de négation qui surviennent dans les formes mél
chique. Lorsque la faillite psychique n'est pas considérable, les idées de négation peuvent se fixer et persister jusqu à
ions délirantes présentent toutes les nuances des délires tristes : idées de culpabilité, do ruine, etc. Comme les idées
es délires tristes : idées de culpabilité, do ruine, etc. Comme les idées de négation et de transfor- mation, elles ont d
ts affectifs aux dépens desquels el- les s'étaient constituées. Ces idées ne constituent jamais un système délirant de tr
ÉCOCE. 283 ment à la douleur morale comme dans la mélancolie. Des idées étrangères aux états dépressifs s'insinuent par
. Des idées étrangères aux états dépressifs s'insinuent parmi les idées tristes ; ce sont particulièrement des idées de
'insinuent parmi les idées tristes ; ce sont particulièrement des idées de grandeur et de persécution. Cotard a signalé
s idées de grandeur et de persécution. Cotard a signalé de vraies idées de grandeur dans la mélancolie, elles ont surto
malade, c'est un délire rétrospectif. Dans la démence précoce, les idées de grandeur sont niaises etpuériles et portent
t portent sur la personnalité actuelle. Mais, fait particulier àces idées de grandeur des déments précoces : elles ne s'a
âle), dépourvu d'émo- tion et un état de cénesthésie pénible. Les idées de persécution existent. également dans la méla
la même que dans la démence précoce. Ce sont le plus souvent des idées d'expiation que les malades acceptent sans réagir
our se défendre. Au dé- but de la mélancolie on peut rencontrer des idées de dé- fense,mais celles-ci sont éphémères et f
lement de la défense -il l'accusation. Chez les mélan- coliques les idées de persécution et les idées d'expiation renforc
ccusation. Chez les mélan- coliques les idées de persécution et les idées d'expiation renforcent le système du délire mél
ncolique. Che1 les déments précoces, elles tendent à désagréger les idées existantes et à reconstituer un système nouveau
are toute la personnalité ou qui est remplacé lui-même par d'autres idées délirantes appelées à disparaître avec les prog
sensoriels, et leur combinaison avec les troubles cénesthésiques ( idées de transformation, idées de négation etc.; cons-
binaison avec les troubles cénesthésiques (idées de transformation, idées de négation etc.; cons- tituent un véritable sy
280 CLINIQUE MENTALE. Résumé : Anxiété extrême. Prédominance des idées hypocon- driaques et de négation. Apathie. Abou
identes au mois de décembre 19(lu (il 20 ans).Ce sont de nombreuses idées hypocondriaques. A cette époque, elle était en
t plus sortir, restait des journées entières enfermée. Malgré ses idées morbides, son état général se maintenait. Elle
cin constate qu'elle est atteinte de c· )lé- lancolie anxieuse avec idées pénibles et hypochondriaques variées. Insomnie
rou, dans l'estomac. Si on leva- mine cet organe, elle, abandonne l' idée émise pour en exprimer une autre. « elle a les
reste bon. La malade ne maigrit pas. Elle mange et dort bien. Pas d' idées de suicide. Le 15 mars 10 ? onadu l'isoler parc
ller Les troubles cencsthesiquessnnt profonds, elle a de nombreuses idées de négation. Tout son corps est mort, elle de
e garde longtemps la main droite ap- pliquée sur la poitrine. Les idées de négation dominent pendant longtemps la scène.
ll'll1('nl. Au mois cle se}Jtem/JI'e la malade ne parle plus de ses idées hypocondriaques, u'cL plus anxieuse, ne cher- c
bles cénesthési- ques variables. niées de culpabilité associées aux idées de gran lieur et de persécution. 1. -,^tué de
son) relate l'étal mental suivant .-Etal de mé- lancolie anxieuse ; idées de culpabilité, impulsions, incohérence dans le
e anxieuse ; idées de culpabilité, impulsions, incohérence dans les idées el dans les actes, mélange d'idées de persécution
impulsions, incohérence dans les idées el dans les actes, mélange d' idées de persécution et de grandeur. Hallucinations n
vait de plus en plus. Il est toujours déprimé et conserve les mêmes idées dé- liranlcs. Il a de nombreux moments de lucid
ten. Sonderabdndt aus der Leuthohl Uedenhschrifft. Il Rand) Résumé. Idées (l'auto-accusation et d'expiation. Idées de {/)
schrifft. Il Rand) Résumé. Idées (l'auto-accusation et d'expiation. Idées de {/)'a ! t(eu) ? \''ottt&;'eMSg hallucina
artait pas du coeur, ma conscience est chargée (le malade avait des idées de suicide avant son entrée, il n'en a plus). O
s intenses. OBS 1\ ? (Personnelle). Résumé : Etat mélancolique avec idées d'auto-accusation et de grandew' passo{/13res.
ndew' passo{/13res. Prédominance des troubles cénésthésiques et des idées de persécution. Démence para- noïde se transfor
e ; sentiment d'incomplé- tude : nombreuses obsessions et phobies ; idées hypocondria- ques. Il croyait avoir toutes les
précautions antiseptique ? Cette phobie fut la source des premioes idées de persécution qui pré- cédèrent de quelques an
rent la scène morbide de la période initiale. Il est obsédé par des idées d'empoisonnement. Il a des battements de coeur et
e de sa tristesse et dit avoir un gros chagrin depuis trois ans Ces idées de grandeur, comme les idées de culpabilité et d'
r un gros chagrin depuis trois ans Ces idées de grandeur, comme les idées de culpabilité et d'ex- piation tendent à s'ell
mesure que la maladie progresse, les (roubles cénesthésiques et les idées de persécution tendent à occuper le premier pla
Il escalade la grille, puis, phase de tiis- tesse et d'immobilité. Idées de suicide. Négativisme. .Yovembre, Nouvelle te
ssayé de le rui- net,». 1 De temps en temps il manifeste quelques idées de grandeur. « La franc-maçonnerie a pour but d
rofonde du caractère et de la mémoire, avec persistance de quelques idées et souvenirs communs à plusieurs états. Plusieu
: si le groupement de représentations organiques est dominé par une idée mhibitrice, la série consciente jointe à ce gro
-mêmes en évidence leur origine inorganique. La représentation, l' idée que le sujet a de chaque fonction ne se borne p
a dyschromatopsie pour une couleur donnée, est toujours basée sur l' idée ,nécessairement incomplète,que le sujet s'est fo
c de circonstances fortuites et est gouvernée'pour ainsi dire par l' idée que se fait le sujet du fonction- nement des 'o
llement naturel pour tous les hom- mes qu'il ne serait pas venu à l' idée de M. Janet et de M. Ribot d'en chercher une ex
satisfaction : elle laisse alors le champ libre aux associations d' idées qu'elle entraine ha- bituellement et qui formen
,soit en parlant, soit en écoutant, on peut noter par écrit quelque idée tout à fait étrangère à la conversation. Dans l
montrent que des associations entre des phénomènes moteurs et des idées ou impressions peuvent s'effectuer suivant toutes
ous les processus psychiques qui entretiennent et qui for- ment l' idée du moi : Sentiment d'effort, apports coenes- th
nes pouvant se manifester par du désordre apparent des actes ou des idées ? De plus, à quoi est dû,pour le dupli- cisme.l
par exemple une suggestion pure, ce ne peut pas être seulement une idée commune : c'est forcément un fait complexe^ sus
bles de «saisir les rapports qui unissent les objets entre eux, les idées entre elles...» (p. 56) Bien, plus ils possèdent
Le point de départ commun de toutes ces tentatives de réforme est l' idée de donner des garanties plus efficaces à la, li
ces précoces, séniles, etc. La manie,par suite de l'incohérence des idées , de l'exaltation de toutes les facultés, est ég
s, c'est au contraire une représentation exagérée, obsédante, une idée fixe du trouble observé. Avec cette dernière mani
dernière manière de voir, la paralysie tient à ce que le sujet a l' idée fixe que son bras est paralysé. On voit qu'en
l'amné- sie, une autre par de l'aboulie, une autre encore par une idée fixe. Chez le même sujet nous voyons survenir é
e de même aussi longtemps qu'il ne change pas. Nous avons alors l' idée fixe qui varie et disparaît avec l'état soma- t
es deM. Pierre Janet, le seul fait de n'avoir pris à partie que ses idées et ses théories, prouve en quelle estime je les
aggravations, ou les recru- descences de la maladie, et comment des idées fixes se sont substituées les unes aux autres,
tains troubles sous l'influence de la disparition do certai- nes idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce
uence de la disparition do certai- nes idées fixes. En réalité, ces idées disparaissent par ce que l'état cérébral qui am
it en même temps : il n'y a pas de rapport do cause à effet entre l' idée fixe et 'le* trouble hystérique, il n'y a qu'un
'un drame dont cha- cun connaît au moins en partie les actes et les idées de ses interlocuteurs, et concourt à l'action.
olitions avec profond sentiment de liberté et dans les- quelles les idées les plus abstraites paraissent souvent intervenir
la nature même de l'esprit. Mais, sans remar- quer qu'il confond l' idée et la chose, il constate qu'il n'a pas à « prou
avant de passer à toute autre chose. Quelle est,en effet,la seule idée apportée par la dualité des coêtres dans 1' « e
ar la dualité des coêtres dans 1' « explication » du libre arbitre, idée du reste inadmissible, comme toutes celles qui
une autre », p. 108. Il est facile de voir que l'introduction de l' idée de conci- liation n'enlève rien à la force de l
oment que, par une nouvelle inconséquence, l'Auteur identifiait l' idée et la chose, il devait prendre l'idée telle qu'el
uence, l'Auteur identifiait l'idée et la chose, il devait prendre l' idée telle qu'elle est fournie par l'observation int
urement déterminé» (p. 127) mais en- core si nous avions adopté les idées de l'Auteur sur «l'Etre complet » et ses rappor
ieure naît qui va.... soumettre à une sorte de contrôle sensations, idées , no- tions et volitions » (p. 130). Cette force
e réforme radicale des asiles d'aliénés ; si l'on veut réaliser des idées du bien,inspirées par une sage et haute philant
isan de la réunion des fonctions. » - Lo Dr Miraglia partageait les idées de son compatriote ». « Le Dr Le Menant des Che
n en chef et en sous-ordre. » « Le Dr Bourneville, reproduisant les idées de la majo- rité de la Commission ministérielle
stration préfectorale de l'autre. L'unité manque sou- vent dans les idées directrices de l'Asile, et ce défaut res- sort
à consulter, mais dont une analyse même étendue ne donnerait qu'une idée très imparfaite. R. M. C. revue DE pathologie
vivent au-delà d'un an. S'il y a de la manie et de l'exaltation des idées ,la marche est variable ; la présence d'idées fixe
et de l'exaltation des idées,la marche est variable ; la présence d' idées fixes et de dé- lire systématisé indique ordina
bsence dans un trouble d'une fonction quelconque suffit à écarter l' idée de toute origine hystérique. L'anes- thésie à t
alimenta- ton. Un autre, atteint par une émotion morale, avec une idée fixe concomitante de son état somatique fixe,pour
du centre psycho-moteur, amènera en même temps la disparition de l' idée fixe née au même titre que la con- tracture ou
e, enrayée, inhibée par une cause quelconque. D'où la fréquence des idées fixes, des trou- bles systématisés persistants.
n'aie fait que signaler cette manière de voir sans l'a- dopter. Mon idée de l'engourdissement cérébral provo- quant l'hy
en- gourdissement, le sommeil spécial, implique au premier chef l' idée de passivité, l'idée d'un processus fatal sur l
le sommeil spécial, implique au premier chef l'idée de passivité, l' idée d'un processus fatal sur lequel le moi du sujet
. 149) qui « évolue... sous l'action successivement accu- mulée des idées ..... des souvenirs... des impressions.... synth
explique l'existence et les divers caractères des principes et des idées que l'on veut lui refuser,ce serait abuser de l
st assi- gnée et sa valeur pratique. 1° Sur le premier point, les idées de l'Auteur sont d'une regrettable indécision ;
ns faire jouer à celles-ci le rôle prépondé- rant ? Or, telle est l' idée de l'Auteur,ou telle est la conclu- sion qui dé
é, Paris, F. Alcan, Inédit, 1884 ; 5« édit. 1894. L'évolution des idées générales, Paris, Alcan, 1890. Romanes (G. J.).
'à la suite d'examens répé- tés et fouillés. Dans le cas spécial, l' idée délirante commande la discipline sévère qui dir
parce qu'on veut croire, et enfin par suggestibilité (croyance Les idées religieuses s'ins- tallent dans l'esprit par su
aveC Jean de Coyssonné, luthérien, qui dut abjurer à Toulouse les idées qu'il partageait avec Rabelais. 11 devient bachel
e leur milieu, constituant un excellent terrain pour la culture des idées religieuses. La famille Pascal s'éteignit, déci
teignit, décimée par l'erreur, après avoir subi la contagion de ces idées , à cause de sa constitu- tion psychopathique, l
ans cette deu- xième édition l'enthousiasme, la persévérance et les idées prati- ques de Séguin. , La question de l'édu
s pas encore, si bien que mainte- nantje ne suis plus maître de mes idées . Cet état de choses ne peut durer, je vous prie
près Roanne, nommé Clairet.devenu fou subitement, était hanté par l' idée de voir les cadavres de deux enfants qu'il avait
e de l'institut contrariait leurs carac- tèresindépendants et leurs idées libérales ; elles avaient été punies récemment
27 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
nte ou inconsciente du sujet, toujours facile à déjouer, que dans les idées préconçues de l'expérimentateur. Nous voudrions
personnes, par simple affirmation, avec une facilité effrayante. L' idée des expériences que j'ai instituées pour établir
ûr de vous, pour jurer ? Faites attention. C'est peut-être une simple idée , une illusion, un rêve. — Je le jurerais devant l
, vient à rencontrer son pseudo-voleur : il ne lui viendra pas dans l' idée de l'accuser, de lui reprocher son vol, de le dén
les abus de l'hypnotisme ; on s'est récrié, avec raison, contre l' idée de recourir à la suggestion hypnotique chez les a
'examiner les faits, parce que ces faits ne concordent pas avec leurs idées à priori, ceux qui jugent sans avoir vu, ni voulu
es hommes qui ont une foi excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement mal disposés pour faire des dé
ues jours une affection mentale dont le pivot est une perversion de l' idée religieuse. Mme B... s'imagine que son mariage
qui a dirigé son éducation religieuse, rien ne peut la ramener à des idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bi
le sermon, dans lequel, avec textes à l'appui, furent développées les idées suivantes, fort canoniques, du reste, puisque ce
onnes bien plus compétentes que je ne pouvais l'être dans cet ordre d' idées . On sait qu'elles étaient restées infructueuses.
nt, les digestions s'établirent régulières, les forces revinrent, les idées de damnation éternelle ne reparurent plus, les sc
ar un repos complet d'esprit. » Je développai de mon mieux toutes ces idées en m'aidant des détails minutieux de sa vie domes
de chlorhydrate de cocaine. Revenant après un temps de repos sur les idées déjà suggérées, j'ordonnai de laisser le malade r
e: il cherchait péniblement les mots, mais avait de la suite dans les idées . Il s'informa de quelques détails domestiques et
tions, c'est-à-dire à accomplir automatiquement certains actes dont l' idée lui est suggérée par l'opérateur. Les autres ad
laisser prise à aucun doute ; ensuite en disant que, dans cet ordre d' idées , on parvient rarement à convaincre autrui, puisqu
pour l'avenir. Ce qui est le plus frappant, dans ce dernier ordre d' idées , c'est pour ces enfants internés la difficulté et
on dispose pour déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l' idée d'étudier l'état du coeur et du pouls au moyen du
tricité faradique. Dans le deuxième mémoire, l'auteur développe son idée et s'adresse a l'inhibition par des agents pharma
s de toutes ses facultés mentales, qu'il avait présenté autrefois des idées de grandeur et de persécution qui l'avaient pouss
effet, voire même par la seule pensée qu'on veut l'endormir, ou par l' idée qu'en faisant telle ou telle chose, elle s'endorm
ses diverses périodes. Depuis longtemps déjà nous la préparions à l' idée qu'elle ne souffrirait pas ; nous lui affirmions
hasard nous a fait découvrir ;ce qui. soit dit en passant, élimine l' idée d'une suggestion de notre part, au moins pour la
ns la famille. L'intelligence du dipsomane perd de son énergie; les idées lui manquent; l'initiative diminue; il s'occupe d
s et de niaiseries; il accepte avec une grande facilité et répète les idées qui lui sont communiquées; la volonté est défaill
ès avoir cherché en vain des remèdes dans la thérapeutique, j'ai eu l' idée de me servir de la suggestion hypnotique, qui m'a
uggestion. Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées , les sensations du patient pourront éprouver cert
tions, mais l'expérimentateur ne pourra, dans aucun cas. suggérer des idées inconnues au sujet : en dépit de tous les efforts
ivité de l'acte coupable n'existe pas: le sens intime ne perçoit ni l' idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit
able n'existe pas: le sens intime ne perçoit ni l'idée de faute, ni l' idée de répression; aucun conflit entre les sensations
édiques superficielles, sans doute. De tout un peu, telle doit être l' idée régulatrice de ce programme. Je ne partage donc
ducation. M. Bérillon, au dernier Congrès de Nancy, avait exprimé l' idée que c'était dans l'hypnotisme qu'il serait possib
er toutes les objections que des personnes incompétentes ou animées d' idées préconçues pourraient soulever contre l'applicati
d'abord, les faits où la suggestion mentale n'est qu'apparente : les idées simultanées chez deux personnes en présence ou ay
s cet état, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans idée , mais pas assez cependant pour en atoir une ; rie
motifs, transmission nerveuse physique des maladies, transmission des idées de la volonté. A cet effet, il nous fera passer e
portée : je la vois pendant un de ces accès de violence. Elle a des idées de suicide ; elle refuse de se lever pendant plus
avait été brisée par le chagrin et les peines; vous m'avez rendu mes idées religieuses que j'avais primitivement, mon caract
plus aptes dès lors qu'à un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée , l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux ex
un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l' idée qui correspondent aux excitations précédentes.
tandis que les poumons respiraient l'air ambiant, respirait, lui, les idées ambiantes et ne pouvait en respirer d'autres. T
estions des milieux et les suggestions hypnotiques. L'homme roule les idées , ou plutôt il est roulé par les idées qui, circul
hypnotiques. L'homme roule les idées, ou plutôt il est roulé par les idées qui, circulant tout autour, ont forcément pénétré
e sentiment vraiment personnel en eux se trouve comme fasciné par les idées généralement admises. La vérité, le devoir, la ve
article par M. le docteur Barêty sont en opposition complète avec les idées généralement admises aujourd'hui. La plupart de n
sens intime ou observation intérieure. Il proteste même contre toute idée d'exclure cette observation de nos éléments de co
ssant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux, dont l' idée est à ses yeux une hypothèse simple, presque enfa
r psychiques. Un grand nombre d'exemples permettent de se faire une idée juste de ce qu'est un réflexe psychique. L'enfa
ns-nous encore que les éducateurs de la jeunesse actuelle, au nom des idées de progrès qui entraînent l'esprit de l'homme, on
r l'action du chlorhydrate de morphine, ne suffit pas pour donner une idée de la variabilité des phénomènes émotifs que l'on
oins surprenants que les précédents et qui sont destinés à donner une idée de la délicatesse extrême des forces mises en jeu
tions des plus délicates, qui résulte toujours de l'importation d'une idée nouvelle dans le domaine scientifique et qui déve
ons par minute, cent huit pulsations. En présence de ces symptômes, l' idée d'un empoisonnement par In belladone vint à l'esp
'hui, en présence d'un fait nouveau, si éloigné qu'il puisse être des idées acceptées, le savant regarde, critique, discute,
ale mise en action par toutes les influences extérieures. Telle est l' idée dominante de notre travail. Les applications prat
eurs. La soif effrénée de l'égalité, les aberrations du socialisme, l' idée d'une réforme opérée par la destruction totale de
rs mauvaises habitudes, l'ont été presque toujours sous l'influence d' idées religieuses proposées et reçues au moment psychol
sez forte pour provoquer un trouble du sommeil. Les jours suivants, idées noires, nouvelles contrariétés qui, autrefois, au
J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommeil; je n'avais pas les idées très nettes, ce qui nravait pas été le cas lors d
produisent sous forme d'impulsion irrésistible et en rapport avec une idée qui traverse le cerveau. Ce n'est pas de l'incoor
me suffisait, par la suite, d'être en sa présence pour qu'elle ait l' idée de se retenir et de se dominer, sans effort, sans
édecin obtienne la concentration absolue de la pensée du malade sur l' idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a paru intér
ant sous rapport moral que sous le rapport physique. Pour d'autres, l' idée suggérée n'a rien de spécial ni de particulier; r
aque instant, rien ne vient l'avertir de l'origine étrangère de cette idée . M. le docteur Brulard, inspiré par le professeur
ée est-elle plus forte que les autres ; mais enfin, en présence d'une idée , d'un acte à exécuter, le sujet se trouve dans le
ions morales qu'en présence des autres pensées journalières, et, si l' idée est en contradiction trop évidente avec ses princ
s habitudes, il reste libre de l'exécuter ou de passer outre: seule l' idée est suggérée, mais la réalisation de cette idée d
passer outre: seule l'idée est suggérée, mais la réalisation de cette idée dépend tout entière de la volonté du sujet. Si ce
r et à n'agir qu'avec le contrôle sévère de sa raison, il examinera l' idée suggérée, il la jugera au même titre que les autr
il le juge convenable. » On le voit, l'hypnotisé, en présence d'une idée suggérée, peut être encore en possession de tous
impatient de me voir arriver. Pour parer à cet inconvénient, j'eus l' idée , comme je l'avais déjà fait dans un autre cas, de
ur vous soulager. Vous appliquerez la main droite sur le front avec l' idée de dormir. Dès que vous serez endormi, votre main
rer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l'état de veille, l' idée d'un taux témoignage. Le jour où la pratique de
isonne; mais, si j'attire plus particulièrement son attention sur une idée , cette idée se transforme, malgré lui, en sensati
, si j'attire plus particulièrement son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en sensation ou en act
dico-psychologique — Ordre du jour de la séance du 31 octobre: 1° Des idées morbides de persécution, M. Charpentier; 2° Sugge
quelle finesse certains hypnotisés flairent, si je puis dire ainsi, l' idée qu'ils doivent réaliser. Un mot, un geste, une in
l'être dans l'autre. Dans l'un comme dans l'autre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensat
des résultats parvenus à sa connaissance, s'est aussi rallié à notre idée . Dans la deuxième édition de son livre sur le (
tisé, surtout si l'on a soin de préparer l'esprit de l'enfant à cette idée . Quand les enfants ont l'intelligence assez dével
d les enfants ont l'intelligence assez développée pour comprendre les idées simples que vous leur exprimez, il est toujours p
aut donc pas croire qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l' idée exprimée se fixe dans l'esprit de l'hypnotisé.
ui se dit et se fait autour du sujet fait naître dans son cerveau des idées correspondants. L'expérimentateur doit donc s'obs
ait l'influence d'un camarade, qui , par jalousie, le détournait de l' idée de se laisser hypnotiser. Dans un autre, le sujet
218). sans pousser des cris d'effroi, a été très vite habitué à l' idée de ne plus avoir peur dans l'obscurité la plus co
cérébral faisant défaut, l'esprit de contradiction n'existe plus; les idées sont acceptées plus facilement; elles s'imposent
hique. On nous a dit qu'il n'était pas moral d'imposer à l'enfant des idées qui n'existent pas en germe chez lui. Je voudra
ose à ce qu'on cherche à imposer a l'enfant, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous croyons qu'a
ier. M. Bérillon. — Je retrouve dans les paroles de M. Compayré une idée généralement admise par tous ceux qui n'ont pas é
leurs expériences ne leur permettaient pas d'adopter complètement les idées de M. Charcot. Ils nièrent que la succession des
dormez. » Par ces paroles et d'autres de ce genre, on fait naître l' idée du sommeil, on amène par suggestion le sommeil. L
pnotisée, ils appliquent dans le dos des timbres-poste et suggèrent l' idée qu'ils ont appliqué un vésicatoire. Dumontpallier
, un médecin russe a obtenu la même modification. Si l'on suggère l' idée que l'on approche une bouteille d'ammoniaque, le
uement ; un état analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naître l' idée que l'on a bu du Champagne. Je suis obligé de m'a
te. Mais ce que n'a pas compris notre confrère berlinois, c'est que l' idée nouvelle était celle qui consiste a appliquer mét
oigt sur le globe oculaire, insensibilité complète. Une fois, j'eus l' idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir
tout ce que cette situation avait de nuisible pour la propagation des idées scientifiques qu'il enseigne, a décidé de n'admet
ement de la Société mutuelle d'autopsie. Les objections tirées de l' idée religieuse ne nous sembleraient pas plus dignes d
et particulièrement impressionnable dont l'imagination, frappée par l' idée du magnétisme, crée ces désordres fonctionnels, q
la très grande majorité des sujets est suggestible, c'est éliminer l' idée de névrose ! A moins d'admettre que la névrose es
s résister, parce que leur volonté est affaiblie par la peur ou par l' idée d'une force supérieure qui les influence malgré e
'il va l'être. Ainsi conçue, ma proposition est inattaquable. C'est l' idée qui fait l'hypnose; c'est une influence psychique
façon la plus efficace dans un but thérapeur tique Telles sont les idées principales que le lecteur trouvera développées d
vu son amie céder si facilement sous son regard, il est possédé de l' idée que Louis Chassin a dû endormir sa femme. Mais
excellente condition pour éviter la supercherie et pour écarter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus
d'excellentes conditions pour éviter la supercherie et écarter toute idée de suggestion, est justement dans les conditions
t restés jusque-là inexplicables. « Ajoutons, dans un autre ordre d' idées , a dit en terminant M. Jules Voisin, que cette ob
rminant M. Jules Voisin, que cette observation nous a confirmé dans l' idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù s
matin, » Tout d'un coup, alors que je prenais congé de Mme X..., l' idée me vient d'essayer d'endormir Mme B... Je tiens à
me vient d'essayer d'endormir Mme B... Je tiens à remarquer que cette idée m'est venue alors seulement que Mme B... était so
ue de celle réellement excitée du côté opposé. Dans le même ordre d' idées , j'ai retrouvé dans mes notes un fait absolument
eurs aucune interprétation. GUÉRISON PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE D' IDÉES DELIRANTES ET DE MÉLANCOLIE AVEC CONSCIENCE Par
elle, elle ne peut plus travailler, elle ne fait que pleurer et a des idées absurdes qui la paralysent et la rendent très mal
la paralysent et la rendent très malheureuse. Elle est obsédée par l' idée qu'elle deviendra folle ou qu'elle doit mourir po
ir pour ne pas être un déshonneur pour sa famille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations g
idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent; elle se sent poussée
uations régulières etun peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec sensations particulières du côté d
s elles sont intenses. Les sensations n'accompagnent pas toujours ces idées . Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais
jours ces idées. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces sensations ne sont venues pendant la nuit.
ensations ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces sensations, il n'y a pas d'émission de liq
ions obscènes. Pendant ces instants, tantôt la malade pleure et a l' idée de se jeter à l'eau afin de ne pas déshonorer sa
: ou bien elle a plus d'énergie et ne pleure pas, mais alors elle a l' idée fixe qu'elle deviendra folle. Ces idées absurdes,
leure pas, mais alors elle a l'idée fixe qu'elle deviendra folle. Ces idées absurdes, dit-elle, l'obsèdent toute la journée e
travailler. Quand elle a l'esprit bien tendu et fixé à un devoir, ces idées , au bout de quelque temps, arrivent et l'empêchen
ndant ce temps je lui dis et lui fais répéter : qu'elle n'aura plus d' idées absurdes, qu'elle n'aura plus de sensations génit
e au bout de la demi-heure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d' idées absurdes, pas de sensations génitales et elle n'a
e. A dormi chez elle pendant une heure de 3 à 4 heures. A eu quelques idées très faibles. Troisième séance d'hypnotisme.
tisme. 4 mars. A deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques sensations; mais cela a été très fuga
sent que si elle avait la volonté suffisante, elle chasserait ses idées . — Quatrième séance d'hypnotisme. Mêmes suggestio
Quand elle entend ma voix, elle se dit : « Je ne les aurai pas » (mes idées absurdes;. 31 mars. La malade a pu reprendre se
Elle n'a pas entendu ma voix depuis le mois de juin, et cependant ses idées ne sont pas revenues. Est très contente. Mêmes
êmes suggestions. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'éta
re séance d'hypnotisme, nous vîmes une amélioration très notable. Les idées suggérées se sont imposées à la malade, et, au bo
rées se sont imposées à la malade, et, au bout de quelques jours, ces idées suggérées s'extériorisèrent et revêtirent la form
son. Quand elle entendait ma voix, elle se disait: Je n'aurai pas mes idées absurdes, — et elle ne les avait pas. Ces halluci
armée, Em. Du-ponchel, pensant qu'il y avait lieu de s'accoutumer à l' idée de rencontrer des soldats hystériques, s'appliqua
à s'aggraver, et le malade à mourir d'épuisement. Pour prendre une idée du dénûment auquel ces infortunés étaient réduits
nerveuses. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans cet ordre d' idées . Le professeur italien fait l'inventaire de toute
côté des sensualistes : les sens sont l'unique origine de toutes nos idées ; aussi répète-t-il avec Condillac : Nihil est in
inis, contingents et variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de substance, ni aucun des principes fo
Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des sensations, des idées et des actes aux hypnotisés? Quels sont les procé
'imagination. Le traumatisme n'agit que comme auto-suggestion, et l' idée d'absence de mouvement entraine la suppression du
de mouvement entraine la suppression du mouvement, absolument comme l' idée du mouvement est déjà le commencement du mouvemen
st déjà le commencement du mouvement. On peut, du reste, se faire une idée de ce qui se passe d'après ce que les chirurgiens
allait le nom et la science de Charcot pour imposer au monde savant l' idée que l'hypnotisme existe. Le docteur van Eeden d
mais nuire. L'autorité de Charcot fut cependant si puissante, que les idées de Liébeault eurent de la peine à se répandre. Le
article fort intéressant de M. Tuchmann, sur la fascination et sur l' idée que les esprits crédules des diverses époques se
is oublié de remettre à ma fille la clef de la maison. Il me vint une idée . Une de nos servantes a été hypnotisée autrefois
avait pas encore ouvert la portière. » Elle n'avait d'ailleurs aucune idée de la suggestion qui lui avait été faite. Certe
, tout étourdie, la tête lourde, avec une confusion complète dans les idées . Elle suivait machinalement les rues pour regagne
r vers elle; je n'étais nullement effrayée, et « cependant rien que l' idée de cette chambre vide et des cris plaintifs « que
nté suffit a peine pour faire équilibre à la tension produite par une idée dominante qui, elle-même, a la plus grande tendan
oins longtemps et pendant lequel ils agissent sous la direction d'une idée qui est devenue pour eut une véritable obsession.
dié avec persévérance et sur lequel je crois pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est à Bernheim (de Nancy) que revi
aucun effet chez certains malades par la suggestion hypnotique, eut l' idée de s'adresser à l'hypnotisme pur et simple ; il f
decin ont pour but leur guérison, ils finissent par guérir sans que l' idée de la guérison leur soit suggérée par un tiers. I
le nombre des faits significatifs restreint. Dans un autre ordre d' idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une
grives et Arnould, quelle que soit la conception que l'on adopte de l' idée de climat, le climat se distingue de lui-même par
nous devons remercier un érudit Oranais, M. Del-phin. de l'excellente idée qu'il a eue de grouper, à l'usage des membres du
sera pas tant qu'on n'aura pas ouvert ses yeux, s'il est pénétré de l' idée à priori que l'ouverture des yeux est nécessaire
inations, tant qu'on n'aura pas fric- tionné son vertex, s'il a l' idée préconçue que la friction du vertex peut seule le
eur comme le bâton du voyageur appartient au voyageur, il exprime une idée qui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. B
ns le somnambulisme », page 182. il y verra développée et démontrée l' idée contraire. J'ai dit : « L'effêt de la suggestion
ui en résulte produit l'occlusion des yeux et que celle-ci -suggère l' idée du sommeil. Les prétendues zones hypnogènes n'exi
ications connues. En voici quelques exemples : I Lypémanie avec idées do suicide. — Amélioration. La nommée Bi..., âg
mars, l'état antérieur restait le même, mais il s'est compliqué de l' idée de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la v
e de nouveau, le 15, et je réussis. Je lui suggère de ne plus avoir d' idée de suieide, de ne plus pleurer, d'avoir avec moi
nus. J'ai traité : 1° Une folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de suicide, datant de deux mois, et au bout de qu
me. M. Bérillos. — Cela est certain, et il ne m'est jamais venu à l' idée de discuter ce droit. Je demande seulement que le
sur les paralysies psychiques qui mettent en plein jour la force de l' idée , qui nous montrent des gens réduits a l'impui
— elle peut servir de base et de point de départ pour une théorie des idées générales qui sont des extraits ou des condensati
de la Charité, à Paris, n'ont pas pour peu contribué à extirper cette idée fausse. De cette investigation patiente et appr
binet de travail. Il ne leur viendrait d'ailleurs jamais à l'esprit l' idée d'aller expérimenter sur les tréteaux d'une salle
n livre nouveau, dans lequel je reprends d'ailleurs et je précise mes idées de 1884, en y ajoutant, d'une part, le résultat d
M. le Dr Liébeault, les faits hypnotiques, sans avoir, à l'origine, l' idée d'en faire une publication quelconque, j'ai été a
ble l'avait poussée a réaliser ma suggestion. Même résultat, pour l' idée qui lui fut suggérée de se rendre chez Mme Sed...
ène. Ce changement me semble dû à la concentration de la pensée sur l' idée suggérée et je l'aï toujours, pour ma part, obten
nous ont appris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; transformer on caractère; modifier
utier quelques mots, d'aligner quelques phrases, d'appliquer quelques idées rudimentaîres, qu'on s'évertue à lui présenter le
r. 3o3. Hystérique (l'), par Col lineau, 221. 259, 278, 347, 373. Idées délirantes guéries par la suggestion hypnotique,
ru au président de la Société de thérapeutique, 215. Lypémanie avec idées de suicide, améliorée par la suggestion, 326. L
28 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
nte ou inconsciente du sujet, toujours facile à déjouer, que dans les idées préconçues de l'expérimentateur. Nous voudrions
personnes, par simple affirmation, avec une facilité effrayante. L' idée des expériences que j'ai instituées pour établir
ûr de vous, pour jurer ? Faites attention. C'est peut-être une simple idée , une illusion, un rêve. — Je le jurerais devant l
, vient à rencontrer son pseudo-voleur : il ne lui viendra pas dans l' idée de l'accuser, de lui reprocher son vol, de le dén
les abus de l'hypnotisme ; on s'est récrié, avec raison, contre l' idée de recourir à la suggestion hypnotique chez les a
'examiner les faits, parce que ces faits ne concordent pas avec leurs idées à priori, ceux qui jugent sans avoir vu, ni voulu
es hommes qui ont une foi excessive dans leurs théories ou dans leurs idées sont non seulement mal disposés pour faire des dé
ues jours une affection mentale dont le pivot est une perversion de l' idée religieuse. Mme B... s'imagine que son mariage
qui a dirigé son éducation religieuse, rien ne peut la ramener à des idées plus saines: elle refuse tout aliment et tombe bi
le sermon, dans lequel, avec textes à l'appui, furent développées les idées suivantes, fort canoniques, du reste, puisque ce
onnes bien plus compétentes que je ne pouvais l'être dans cet ordre d' idées . On sait qu'elles étaient restées infructueuses.
nt, les digestions s'établirent régulières, les forces revinrent, les idées de damnation éternelle ne reparurent plus, les sc
ar un repos complet d'esprit. » Je développai de mon mieux toutes ces idées en m'aidant des détails minutieux de sa vie domes
de chlorhydrate de cocaine. Revenant après un temps de repos sur les idées déjà suggérées, j'ordonnai de laisser le malade r
e: il cherchait péniblement les mots, mais avait de la suite dans les idées . Il s'informa de quelques détails domestiques et
tions, c'est-à-dire à accomplir automatiquement certains actes dont l' idée lui est suggérée par l'opérateur. Les autres ad
laisser prise à aucun doute ; ensuite en disant que, dans cet ordre d' idées , on parvient rarement à convaincre autrui, puisqu
pour l'avenir. Ce qui est le plus frappant, dans ce dernier ordre d' idées , c'est pour ces enfants internés la difficulté et
on dispose pour déjouer les supercheries des morphinomanes, il eut l' idée d'étudier l'état du coeur et du pouls au moyen du
tricité faradique. Dans le deuxième mémoire, l'auteur développe son idée et s'adresse a l'inhibition par des agents pharma
s de toutes ses facultés mentales, qu'il avait présenté autrefois des idées de grandeur et de persécution qui l'avaient pouss
effet, voire même par la seule pensée qu'on veut l'endormir, ou par l' idée qu'en faisant telle ou telle chose, elle s'endorm
ses diverses périodes. Depuis longtemps déjà nous la préparions à l' idée qu'elle ne souffrirait pas ; nous lui affirmions
hasard nous a fait découvrir ;ce qui. soit dit en passant, élimine l' idée d'une suggestion de notre part, au moins pour la
ns la famille. L'intelligence du dipsomane perd de son énergie; les idées lui manquent; l'initiative diminue; il s'occupe d
s et de niaiseries; il accepte avec une grande facilité et répète les idées qui lui sont communiquées; la volonté est défaill
ès avoir cherché en vain des remèdes dans la thérapeutique, j'ai eu l' idée de me servir de la suggestion hypnotique, qui m'a
uggestion. Cependant, Je pouvoir de l'hypnotiseur a des limites : les idées , les sensations du patient pourront éprouver cert
tions, mais l'expérimentateur ne pourra, dans aucun cas. suggérer des idées inconnues au sujet : en dépit de tous les efforts
ivité de l'acte coupable n'existe pas: le sens intime ne perçoit ni l' idée de faute, ni l'idée de répression; aucun conflit
able n'existe pas: le sens intime ne perçoit ni l'idée de faute, ni l' idée de répression; aucun conflit entre les sensations
édiques superficielles, sans doute. De tout un peu, telle doit être l' idée régulatrice de ce programme. Je ne partage donc
ducation. M. Bérillon, au dernier Congrès de Nancy, avait exprimé l' idée que c'était dans l'hypnotisme qu'il serait possib
er toutes les objections que des personnes incompétentes ou animées d' idées préconçues pourraient soulever contre l'applicati
d'abord, les faits où la suggestion mentale n'est qu'apparente : les idées simultanées chez deux personnes en présence ou ay
s cet état, le sujet a le cerveau assez réveillé pour n'être pas sans idée , mais pas assez cependant pour en atoir une ; rie
motifs, transmission nerveuse physique des maladies, transmission des idées de la volonté. A cet effet, il nous fera passer e
portée : je la vois pendant un de ces accès de violence. Elle a des idées de suicide ; elle refuse de se lever pendant plus
avait été brisée par le chagrin et les peines; vous m'avez rendu mes idées religieuses que j'avais primitivement, mon caract
plus aptes dès lors qu'à un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée , l'ébranlement et l'idée qui correspondent aux ex
un seul genre d'ébranlement, qu'à une seule idée, l'ébranlement et l' idée qui correspondent aux excitations précédentes.
tandis que les poumons respiraient l'air ambiant, respirait, lui, les idées ambiantes et ne pouvait en respirer d'autres. T
estions des milieux et les suggestions hypnotiques. L'homme roule les idées , ou plutôt il est roulé par les idées qui, circul
hypnotiques. L'homme roule les idées, ou plutôt il est roulé par les idées qui, circulant tout autour, ont forcément pénétré
e sentiment vraiment personnel en eux se trouve comme fasciné par les idées généralement admises. La vérité, le devoir, la ve
article par M. le docteur Barêty sont en opposition complète avec les idées généralement admises aujourd'hui. La plupart de n
sens intime ou observation intérieure. Il proteste même contre toute idée d'exclure cette observation de nos éléments de co
ssant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux, dont l' idée est à ses yeux une hypothèse simple, presque enfa
r psychiques. Un grand nombre d'exemples permettent de se faire une idée juste de ce qu'est un réflexe psychique. L'enfa
ns-nous encore que les éducateurs de la jeunesse actuelle, au nom des idées de progrès qui entraînent l'esprit de l'homme, on
r l'action du chlorhydrate de morphine, ne suffit pas pour donner une idée de la variabilité des phénomènes émotifs que l'on
oins surprenants que les précédents et qui sont destinés à donner une idée de la délicatesse extrême des forces mises en jeu
tions des plus délicates, qui résulte toujours de l'importation d'une idée nouvelle dans le domaine scientifique et qui déve
ons par minute, cent huit pulsations. En présence de ces symptômes, l' idée d'un empoisonnement par In belladone vint à l'esp
'hui, en présence d'un fait nouveau, si éloigné qu'il puisse être des idées acceptées, le savant regarde, critique, discute,
ale mise en action par toutes les influences extérieures. Telle est l' idée dominante de notre travail. Les applications prat
eurs. La soif effrénée de l'égalité, les aberrations du socialisme, l' idée d'une réforme opérée par la destruction totale de
rs mauvaises habitudes, l'ont été presque toujours sous l'influence d' idées religieuses proposées et reçues au moment psychol
sez forte pour provoquer un trouble du sommeil. Les jours suivants, idées noires, nouvelles contrariétés qui, autrefois, au
J'étais comme quelqu'un tiré d'un profond sommeil; je n'avais pas les idées très nettes, ce qui nravait pas été le cas lors d
produisent sous forme d'impulsion irrésistible et en rapport avec une idée qui traverse le cerveau. Ce n'est pas de l'incoor
me suffisait, par la suite, d'être en sa présence pour qu'elle ait l' idée de se retenir et de se dominer, sans effort, sans
édecin obtienne la concentration absolue de la pensée du malade sur l' idée qu'il lui suggère. En résume, il m'a paru intér
ant sous rapport moral que sous le rapport physique. Pour d'autres, l' idée suggérée n'a rien de spécial ni de particulier; r
aque instant, rien ne vient l'avertir de l'origine étrangère de cette idée . M. le docteur Brulard, inspiré par le professeur
ée est-elle plus forte que les autres ; mais enfin, en présence d'une idée , d'un acte à exécuter, le sujet se trouve dans le
ions morales qu'en présence des autres pensées journalières, et, si l' idée est en contradiction trop évidente avec ses princ
s habitudes, il reste libre de l'exécuter ou de passer outre: seule l' idée est suggérée, mais la réalisation de cette idée d
passer outre: seule l'idée est suggérée, mais la réalisation de cette idée dépend tout entière de la volonté du sujet. Si ce
r et à n'agir qu'avec le contrôle sévère de sa raison, il examinera l' idée suggérée, il la jugera au même titre que les autr
il le juge convenable. » On le voit, l'hypnotisé, en présence d'une idée suggérée, peut être encore en possession de tous
impatient de me voir arriver. Pour parer à cet inconvénient, j'eus l' idée , comme je l'avais déjà fait dans un autre cas, de
ur vous soulager. Vous appliquerez la main droite sur le front avec l' idée de dormir. Dès que vous serez endormi, votre main
rer, aussi bien dans l'état d'hypnotisme que dans l'état de veille, l' idée d'un taux témoignage. Le jour où la pratique de
isonne; mais, si j'attire plus particulièrement son attention sur une idée , cette idée se transforme, malgré lui, en sensati
, si j'attire plus particulièrement son attention sur une idée, cette idée se transforme, malgré lui, en sensation ou en act
dico-psychologique — Ordre du jour de la séance du 31 octobre: 1° Des idées morbides de persécution, M. Charpentier; 2° Sugge
quelle finesse certains hypnotisés flairent, si je puis dire ainsi, l' idée qu'ils doivent réaliser. Un mot, un geste, une in
l'être dans l'autre. Dans l'un comme dans l'autre, en effet, toute idée qui arrive au cerveau tend à devenir acte, sensat
des résultats parvenus à sa connaissance, s'est aussi rallié à notre idée . Dans la deuxième édition de son livre sur le (
tisé, surtout si l'on a soin de préparer l'esprit de l'enfant à cette idée . Quand les enfants ont l'intelligence assez dével
d les enfants ont l'intelligence assez développée pour comprendre les idées simples que vous leur exprimez, il est toujours p
aut donc pas croire qu'il soit nécessaire d'enfler la voix pour que l' idée exprimée se fixe dans l'esprit de l'hypnotisé.
ui se dit et se fait autour du sujet fait naître dans son cerveau des idées correspondants. L'expérimentateur doit donc s'obs
ait l'influence d'un camarade, qui , par jalousie, le détournait de l' idée de se laisser hypnotiser. Dans un autre, le sujet
218). sans pousser des cris d'effroi, a été très vite habitué à l' idée de ne plus avoir peur dans l'obscurité la plus co
cérébral faisant défaut, l'esprit de contradiction n'existe plus; les idées sont acceptées plus facilement; elles s'imposent
hique. On nous a dit qu'il n'était pas moral d'imposer à l'enfant des idées qui n'existent pas en germe chez lui. Je voudra
ose à ce qu'on cherche à imposer a l'enfant, même par suggestion, des idées qui sont reconnues bonnes. Mais nous croyons qu'a
ier. M. Bérillon. — Je retrouve dans les paroles de M. Compayré une idée généralement admise par tous ceux qui n'ont pas é
leurs expériences ne leur permettaient pas d'adopter complètement les idées de M. Charcot. Ils nièrent que la succession des
dormez. » Par ces paroles et d'autres de ce genre, on fait naître l' idée du sommeil, on amène par suggestion le sommeil. L
pnotisée, ils appliquent dans le dos des timbres-poste et suggèrent l' idée qu'ils ont appliqué un vésicatoire. Dumontpallier
, un médecin russe a obtenu la même modification. Si l'on suggère l' idée que l'on approche une bouteille d'ammoniaque, le
uement ; un état analogue à l'ivresse apparaît quand on fait naître l' idée que l'on a bu du Champagne. Je suis obligé de m'a
te. Mais ce que n'a pas compris notre confrère berlinois, c'est que l' idée nouvelle était celle qui consiste a appliquer mét
oigt sur le globe oculaire, insensibilité complète. Une fois, j'eus l' idée de lui donner deux ordres contradictoires : tenir
tout ce que cette situation avait de nuisible pour la propagation des idées scientifiques qu'il enseigne, a décidé de n'admet
ement de la Société mutuelle d'autopsie. Les objections tirées de l' idée religieuse ne nous sembleraient pas plus dignes d
et particulièrement impressionnable dont l'imagination, frappée par l' idée du magnétisme, crée ces désordres fonctionnels, q
la très grande majorité des sujets est suggestible, c'est éliminer l' idée de névrose ! A moins d'admettre que la névrose es
s résister, parce que leur volonté est affaiblie par la peur ou par l' idée d'une force supérieure qui les influence malgré e
'il va l'être. Ainsi conçue, ma proposition est inattaquable. C'est l' idée qui fait l'hypnose; c'est une influence psychique
façon la plus efficace dans un but thérapeur tique Telles sont les idées principales que le lecteur trouvera développées d
vu son amie céder si facilement sous son regard, il est possédé de l' idée que Louis Chassin a dû endormir sa femme. Mais
excellente condition pour éviter la supercherie et pour écarter toute idée de suggestion. On voit que le sujet n'est plus
d'excellentes conditions pour éviter la supercherie et écarter toute idée de suggestion, est justement dans les conditions
t restés jusque-là inexplicables. « Ajoutons, dans un autre ordre d' idées , a dit en terminant M. Jules Voisin, que cette ob
rminant M. Jules Voisin, que cette observation nous a confirmé dans l' idée que par la suggestion hypno-tique on parvient ù s
matin, » Tout d'un coup, alors que je prenais congé de Mme X..., l' idée me vient d'essayer d'endormir Mme B... Je tiens à
me vient d'essayer d'endormir Mme B... Je tiens à remarquer que cette idée m'est venue alors seulement que Mme B... était so
ue de celle réellement excitée du côté opposé. Dans le même ordre d' idées , j'ai retrouvé dans mes notes un fait absolument
eurs aucune interprétation. GUÉRISON PAR LA SUGGESTION HYPNOTIQUE D' IDÉES DELIRANTES ET DE MÉLANCOLIE AVEC CONSCIENCE Par
elle, elle ne peut plus travailler, elle ne fait que pleurer et a des idées absurdes qui la paralysent et la rendent très mal
la paralysent et la rendent très malheureuse. Elle est obsédée par l' idée qu'elle deviendra folle ou qu'elle doit mourir po
ir pour ne pas être un déshonneur pour sa famille. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations g
idées absurdes, elle m'avoue qu'elle a des sensations génitales, des idées erotiques qui la torturent; elle se sent poussée
uations régulières etun peu douloureuses. Depuis 18 mois elle a des idées erotiques avec sensations particulières du côté d
s elles sont intenses. Les sensations n'accompagnent pas toujours ces idées . Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais
jours ces idées. Elles sont moins vives pendant la marche. Jamais ces idées et ces sensations ne sont venues pendant la nuit.
ensations ne sont venues pendant la nuit. Pendant que la malade a ces idées ou ces sensations, il n'y a pas d'émission de liq
ions obscènes. Pendant ces instants, tantôt la malade pleure et a l' idée de se jeter à l'eau afin de ne pas déshonorer sa
: ou bien elle a plus d'énergie et ne pleure pas, mais alors elle a l' idée fixe qu'elle deviendra folle. Ces idées absurdes,
leure pas, mais alors elle a l'idée fixe qu'elle deviendra folle. Ces idées absurdes, dit-elle, l'obsèdent toute la journée e
travailler. Quand elle a l'esprit bien tendu et fixé à un devoir, ces idées , au bout de quelque temps, arrivent et l'empêchen
ndant ce temps je lui dis et lui fais répéter : qu'elle n'aura plus d' idées absurdes, qu'elle n'aura plus de sensations génit
e au bout de la demi-heure. La journée a été bonne. Elle n'a pas eu d' idées absurdes, pas de sensations génitales et elle n'a
e. A dormi chez elle pendant une heure de 3 à 4 heures. A eu quelques idées très faibles. Troisième séance d'hypnotisme.
tisme. 4 mars. A deux reprises différentes, hier, elle eut quelques idées et quelques sensations; mais cela a été très fuga
sent que si elle avait la volonté suffisante, elle chasserait ses idées . — Quatrième séance d'hypnotisme. Mêmes suggestio
Quand elle entend ma voix, elle se dit : « Je ne les aurai pas » (mes idées absurdes;. 31 mars. La malade a pu reprendre se
Elle n'a pas entendu ma voix depuis le mois de juin, et cependant ses idées ne sont pas revenues. Est très contente. Mêmes
êmes suggestions. 15 décembre. La guérison persiste. N'a pas eu ses idées et ses sensations depuis le mois d'avril. L'éta
re séance d'hypnotisme, nous vîmes une amélioration très notable. Les idées suggérées se sont imposées à la malade, et, au bo
rées se sont imposées à la malade, et, au bout de quelques jours, ces idées suggérées s'extériorisèrent et revêtirent la form
son. Quand elle entendait ma voix, elle se disait: Je n'aurai pas mes idées absurdes, — et elle ne les avait pas. Ces halluci
armée, Em. Du-ponchel, pensant qu'il y avait lieu de s'accoutumer à l' idée de rencontrer des soldats hystériques, s'appliqua
à s'aggraver, et le malade à mourir d'épuisement. Pour prendre une idée du dénûment auquel ces infortunés étaient réduits
nerveuses. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans cet ordre d' idées . Le professeur italien fait l'inventaire de toute
côté des sensualistes : les sens sont l'unique origine de toutes nos idées ; aussi répète-t-il avec Condillac : Nihil est in
inis, contingents et variables, ne sauraient donner par eux-mêmes les idées de cause, de substance, ni aucun des principes fo
Qu'est-ce que la suggestion? Comment suggère-t-on des sensations, des idées et des actes aux hypnotisés? Quels sont les procé
'imagination. Le traumatisme n'agit que comme auto-suggestion, et l' idée d'absence de mouvement entraine la suppression du
de mouvement entraine la suppression du mouvement, absolument comme l' idée du mouvement est déjà le commencement du mouvemen
st déjà le commencement du mouvement. On peut, du reste, se faire une idée de ce qui se passe d'après ce que les chirurgiens
allait le nom et la science de Charcot pour imposer au monde savant l' idée que l'hypnotisme existe. Le docteur van Eeden d
mais nuire. L'autorité de Charcot fut cependant si puissante, que les idées de Liébeault eurent de la peine à se répandre. Le
article fort intéressant de M. Tuchmann, sur la fascination et sur l' idée que les esprits crédules des diverses époques se
is oublié de remettre à ma fille la clef de la maison. Il me vint une idée . Une de nos servantes a été hypnotisée autrefois
avait pas encore ouvert la portière. » Elle n'avait d'ailleurs aucune idée de la suggestion qui lui avait été faite. Certe
, tout étourdie, la tête lourde, avec une confusion complète dans les idées . Elle suivait machinalement les rues pour regagne
r vers elle; je n'étais nullement effrayée, et « cependant rien que l' idée de cette chambre vide et des cris plaintifs « que
nté suffit a peine pour faire équilibre à la tension produite par une idée dominante qui, elle-même, a la plus grande tendan
oins longtemps et pendant lequel ils agissent sous la direction d'une idée qui est devenue pour eut une véritable obsession.
dié avec persévérance et sur lequel je crois pouvoir émettre quelques idées nouvelles. C'est à Bernheim (de Nancy) que revi
aucun effet chez certains malades par la suggestion hypnotique, eut l' idée de s'adresser à l'hypnotisme pur et simple ; il f
decin ont pour but leur guérison, ils finissent par guérir sans que l' idée de la guérison leur soit suggérée par un tiers. I
le nombre des faits significatifs restreint. Dans un autre ordre d' idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une
grives et Arnould, quelle que soit la conception que l'on adopte de l' idée de climat, le climat se distingue de lui-même par
nous devons remercier un érudit Oranais, M. Del-phin. de l'excellente idée qu'il a eue de grouper, à l'usage des membres du
sera pas tant qu'on n'aura pas ouvert ses yeux, s'il est pénétré de l' idée à priori que l'ouverture des yeux est nécessaire
inations, tant qu'on n'aura pas fric- tionné son vertex, s'il a l' idée préconçue que la friction du vertex peut seule le
eur comme le bâton du voyageur appartient au voyageur, il exprime une idée qui n'appartient pas à l'Ecole de Nancy. Que M. B
ns le somnambulisme », page 182. il y verra développée et démontrée l' idée contraire. J'ai dit : « L'effêt de la suggestion
ui en résulte produit l'occlusion des yeux et que celle-ci -suggère l' idée du sommeil. Les prétendues zones hypnogènes n'exi
ications connues. En voici quelques exemples : I Lypémanie avec idées do suicide. — Amélioration. La nommée Bi..., âg
mars, l'état antérieur restait le même, mais il s'est compliqué de l' idée de suicide. Son mari est venu plusieurs fois la v
e de nouveau, le 15, et je réussis. Je lui suggère de ne plus avoir d' idée de suieide, de ne plus pleurer, d'avoir avec moi
nus. J'ai traité : 1° Une folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de suicide, datant de deux mois, et au bout de qu
me. M. Bérillos. — Cela est certain, et il ne m'est jamais venu à l' idée de discuter ce droit. Je demande seulement que le
sur les paralysies psychiques qui mettent en plein jour la force de l' idée , qui nous montrent des gens réduits a l'impui
— elle peut servir de base et de point de départ pour une théorie des idées générales qui sont des extraits ou des condensati
de la Charité, à Paris, n'ont pas pour peu contribué à extirper cette idée fausse. De cette investigation patiente et appr
binet de travail. Il ne leur viendrait d'ailleurs jamais à l'esprit l' idée d'aller expérimenter sur les tréteaux d'une salle
n livre nouveau, dans lequel je reprends d'ailleurs et je précise mes idées de 1884, en y ajoutant, d'une part, le résultat d
M. le Dr Liébeault, les faits hypnotiques, sans avoir, à l'origine, l' idée d'en faire une publication quelconque, j'ai été a
ble l'avait poussée a réaliser ma suggestion. Même résultat, pour l' idée qui lui fut suggérée de se rendre chez Mme Sed...
ène. Ce changement me semble dû à la concentration de la pensée sur l' idée suggérée et je l'aï toujours, pour ma part, obten
nous ont appris qu'on pouvait, dans l'état d'hypnotisme, modifier les idées de l'enfant ; transformer on caractère; modifier
utier quelques mots, d'aligner quelques phrases, d'appliquer quelques idées rudimentaîres, qu'on s'évertue à lui présenter le
r. 3o3. Hystérique (l'), par Col lineau, 221. 259, 278, 347, 373. Idées délirantes guéries par la suggestion hypnotique,
ru au président de la Société de thérapeutique, 215. Lypémanie avec idées de suicide, améliorée par la suggestion, 326. L
29 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
den, etc. (Charité-Annales, XXIII. Jolii-m-.) 36 THÉRAPEUTIQUE. l' idée d'appliquer la suspension avec la planche incliné
les examens post mortem. Il insiste surtout sur la genèse de ses idées : trois étapes : 1° de la constatation de ia pers
médicale. La mélancolie se rencontre plus' souvent aussi à côté des idées de grandeur, et la sensation de « bonhomie » fa
s, les émotions provoquent des vomissements; chez beaucoup aussi, l' idée , le souvenir d'un objet qui sent mau-* vais, d'
ne résultent pas toujours de réactions instinctives, d'émotions, d' idées associées, suivant la direction et les lois fon
ican journal of Insaitity, 1900, p. 65-80.) Un mélancolique que des idées de persécution avaient poussé à l'assassinat d'
; un individu, d'apparence parfaitement saine, mais qui obéit à des idées fixes, ne peut pas être considéré comme partiel
r est celle-ci : l'accusé a-t-il agi ou non sous l'impulsion de ses idées délirantes ? SIMON. V. Épilepsie avec amnésie r
ard aux cir- constances qu'on prononce si une personne est folle. L' idée de danger joue un grand rôle dans la question.
d'observations des criminels qui y sont, permettant de se faire une idée de leur état mental. , Pourquoi ne pas continue
rente-quatre ans, et atteinte, depuis deux ans et demi seulement, d' idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe, v
enragé ? Cela ne semble indiquer qu'une simple coïncidence, mais l' idée de phénomènes rabiques éventuels pouvaient obsc
emple le vide, il a la représentation mentale d'une chute; or toute idée d'acte s'accom- pagne d'exécution et cela d'aut
idée d'acte s'accom- pagne d'exécution et cela d'autant mieux que l' idée est plus intense. 1 De la volonté. M. CosTE
uestions de philosophie morale et sociale; il expose et discute les idées de l'auteur, particulièrement sur le transformi
régions de l'écorce cére-' brale dont le rôle reste inconnu et. des idées émises, par Flechsig (opposition des sensations
JENKS. (The Americccn Journal of hzscanit, 1900, p. 501-50G.) , L' idée inspirant ce travail était de trouver un signe ai
ute psychose correspond une névrose déterminée. D'autre part, pas d' idées innées, et l'auteur passe eu revue les progrès
l'explication de la genèse de celles-ci, en prenant pour exemple l' idée d'espace. De même l'étude des émotions a montré
la science. on arrivera à trouver un moyen de guérison efficace. L' idée de AL Stubbings est certainement ori- ginale ;
giques de l'émotion, que sur le rôle respectif de l'émotion et de l' idée dans l'obsession. M. Soury, l'éminent directeur
t les temps et les moments, ce qui paraissait venir à l'appui des idées de Lange sur le rôle actif des modifications vaso
les degrés de celle-ci. C'est ainsi que quand le sujet est ému à l' idée que quelqu'un va venir dans la pièce et qu'il v
striction, ce qui leur fait penser qu'il est prématuré d'admettre l' idée de la vaso-dilatation comme synonyme de la roug
chide et Marchand ont constaté que sous l'influence de l'éveil de l' idée phobique, leur malade présentait consé- cutivem
t les expérimen- tateurs, chez leur malade, ce n'est pas une simple idée , c'est une appréhension, une crainte, c'est-à-d
simple idée, c'est une appréhension, une crainte, c'est-à-dire une idée émotive, - une émotion, et rien ne prouve que s
aire penser, on ne provoquerait pas de même, con- sécutivement, une idée émotive en rapport avec cette rougeur. Qu'on se
mental correspondant. Au surplus, à l'appui de cette opinion que l' idée obsédante, dans l'Ereuthophobie, est bien plus
ssait moins facilement; dès lors, ajoute- t-il d'un mot typique, «l' idée a perdu en force ce que la sen- sation a perdu
geur, l'élément intellectuel est subor- donné à l'élément émotif, l' idée à l'émotion. Mais nous n'insistons pas sur ces
ouillonnement intérieur. Je suis vacciné pour un mo- ment. Je sens ( idée ? sensation ? probablement les deux) que je ne
e porte venue. Disparaître, disparaître, c'est le seul but, c'est l' Idée maîtresse qu'on a peine à dominer. Maintenant
est une tristesse poignante, parfois dangereuse qui fait naître des idées de suicide, peut même provoquer l'acte. Vous
fréquentation du monde. Je sors, je vais au théâtre, j'échange mes idées avec quelques amis en des causeries soit légère
plis un acte qui devait me délivrer pour toujours. Aujourd'hui, mes idées étant les mêmes, mes états d'âme sont moins aig
favo- rables, l'indifférence, les sentiments ternes défavorables. L' idée que je vais rougir est impuissante à produire l
action n'est sim- plement que la manifestation d'une association d' idées . J'ai eu d'abord la sensation que je rougissais
Des sensations de rougeur étant perçues de plus en plus souvent, l' idée de rougeur apparaît de plus en plus souvent et fi
plus souvent et finit par envahir le champ de la conscience. Cette idée étant liée intimement à la sensation d'où elle
s, et que, d'autre part, ces sensations existent en nous à l'état d' Idées , ces Idées-Perceptions provoquent la rougeur av
après que j'ai eu constaté que je rougissais moins facilement. L' idée a perdu en force ce que la sensation a perdu en f
jours. Je sors, je me promène, la rougeur se produit rare- ment, l' idée , la crainte de rougir est absente de ma pensée.
, dit Louis, qu'il y a une, dame là-bas -j- Je ne la vois pas + Mon idée me le dit + Je ne l'ai pas entendue, ni vue, je
ri de la même manière, c'est là l'essentiel. M. Otz penche vers les idées de Magnan tout en se servant du terme de confus
ission volontaire et nécessite d'y rester trois mois. A l'appui des idées exposées et des résultats du traitement préconi
par des processus mélancoliques ou démentiels plu- tôt que par des idées de grandeur. Après ce préambule, l'auteur établ
aité des maladies mentales de l'auteur, actuelle- ment sous presse. Idées générales sur les deux grands groupes de désord
ports, des bulletins. Pas trop de faits secs et inutiles ; mais des idées sur les problèmes vitaux de la folie. Pénétrons d
11 faut gagner les sympathies intelligentes du public d'élite à nos idées et à notre oeuvre. Nos hôpitaux devraient s'o
; parfois cela aboutit soit à de l'excitation maniaque, soit à des idées de suicide ou à des tendances liomi- ActHVhs,2°
wLEs. (American Journal of Insanity, juillet 1899, p. 109-122.) . L' idée principale de l'article qui ne peut guère être ré
athologie men- tale. (Trois tableaux de classification appuient ces idées ). - SIllON, XXV. Remarques sur la contagion m
que quelques faits qui lui sont personnels : exemple de contagion d' idées délirantes concernant la croyance à la fin du m
monde et, de fou à fou, malgré leur peu d'influence réciproque, d' idées d'empoisonnement et de refus de nourriture, etc.
285 à 293. Nous avons des sensations d'abord, puis tout un'monde d' idées s'affranchit : mémoire et imagination. Bien ent
la volonté ne sont mauvais que s'ils sont tels d'origine. Quant aux idées d'imagination elles sont de deux sortes : les u
on à la question des- connexions réciproques entre les rêves et les idées délirantes; par A. D. Kaizowsky. (0&o ? eKt
mpliqué, parce que l'attention est faible. La pauvreté relative des idées , l'indigence des idées générales, la pré- domin
tention est faible. La pauvreté relative des idées, l'indigence des idées générales, la pré- dominance des idées concrète
e des idées, l'indigence des idées générales, la pré- dominance des idées concrètes immédiates et de l'aperception associ
ats qu'il avait obtenus. C'est alors que se présenta à son esprit l' idée délirante de tuer son pro- fesseur, auquel il n
s qu'il avait eues. ' Or on finit par savoir que la veille où cette idée s'était présentée à son esprit, le malheureux,
tuerait ». Il lui fut d'autant plus aisé de se débarrasser de cette idée , que les événements ultérieurs lui montrèrent l
e, un rêve à images éclatantes a tiré du fonds de la conscience une idée délirante de persécution, qui tout aussitôt s'e
orte d'éréthisme spécial des centres psycho-sensoriels, préparant l' idée délirante, par l'intermédiaire de ce rêve particu
e : la cristallisation commence. Le ma- lade se réveille plein de l' idée 'délirante. Il s'en débarrasse parce ((ne cette
lle plein de l'idée 'délirante. Il s'en débarrasse parce ((ne cette idée porte en elle un caractère abortif, grâce auquel
lon des circonstances de la vie, ranimant l'énergie de l'émotion, l' idée délirante se rallume. P. KERAVAL. XXXI. La po
ncarnation des diables. Les peuples simples sont encore hantés de l' idée délirante que l'inté- rieur de leur corps peut
e d'hallucinations. Elles naissent sur un terrain hystérique. Ces idées délirantes se rapprochent de la démonomanie qui,
parles dreyfusards, dont la conduite n'est pas en rapport avec les idées délirantes, dont le délire est puérile, et qui
ention, da la mémoire; une complète indifférence à tout, même à ses idées délirantes. De l'analyse des douze observrtions
de la démence, fondement de la disjonction de la vie psychique, aux idées délirantes, ainsi qu'à toute la conduite du malad
nt épineux. mais il n'existe pas de bases sur lesquelles s'appuie l' idée de quelques auteurs rattachant le tableau entie
° 3 1901.) Des recherches sur le mécanisme psycho-physiologique des idées délirantes et entre autres points sur le rôle d
une malade atteinte de mélancolie avec hallucinations de l'ouïe, et idées de persécution. , D'après la classification de
amen de ces deux observa- tions ne donne pas raison à ses anciennes idées . Deux cas d'une tumeur ayant comprimé lentement
a maison de santé de Vames. II y a obsession toutes les fois qu'une idée , un mot, une image s'impose à l'esprit, indépen
sion est-elle la conséquence d'un trouble intellectuel, ou bien l' idée n'est-elle, au contraire, qu'une suite logique- d
l'élément intellectuel. D'après cette théorie, une perception, une idée d'une certaine nature, enva- hissant l'esprit,
n, qu'elles traduisent objectivement ; elles n'ont, par rapport à l' idée , que la valeur d'une simple réaction. - Cette
tales pour établir l'antériorité des modifications organiques sur l' idée , et toute une école de psychologues s'est ralli
ie intellectuelle, on peut, tout d'abord, tenir pour démontré que l' idée ne devient obsédante que grâce à une altération
e que grâce à une altération mentale préalable. Tout le monde a l' idée de la rage et la crainte légitime du chien enragé
rôle incontestable. L'angoisse obsédante est parfois antérieure à l' idée qui lui donne sa for- mule durable (Berger, Wil
énomènes d'angoisse précédaient toujours chez lui l'apparition de l' idée -. Il existe aussi des états d'angoisse obsédan
, on sait qu'il n'y a pas de rapports fixes entre l'importance de l' idée obsédante (au point de vue des conséquences pos
xiété légère. Cela s'accorde mal avec l'hypothèse' qui attribue à l' idée le rôle toujours prépondérant dans l'obsession.
près complet, est encore peu compatible avec cette hypothèse, car l' idée ne présente pas de semblables variations. Il es
ois apparue, persiste et s'accroche, en quelque sorte, à toutes les idées que le hasard des circonstances fait surgir tou
que le fait essentiel est l'angoisse, que le fait accessoire est l' idée . La théorie émotive ou physiologique a donc été
uppose prouvé ce qui, précisément, est en question, à savoir qu'une idée est toujours incapable de produire une réaction
ce centre pourrait être provoquée par des stimulations centrales ( idées , perceptions) ou par des excitations périphérique
ue; elle résulte, au moins en grande partie, de la lutte contre l' idée obsédante, elle est secondaire, dans bien dès cas
aniques de l'émotion qu'il faut la chercher, et c'est tantôt dans l' idée . Mais, à notre avis, l'émotion et l'idée ne four-
er, et c'est tantôt dans l'idée. Mais, à notre avis, l'émotion et l' idée ne four- nissent que la cause déterminante de l
s caractérisées. Pour que les tendances obsédantes se fixent en des idées précises, l'existence d'un trouble préalable du
ces, ils ne finissent rien, ils n'aboutissent pas, qu'il s'agisse d' idées ou de mouvements. En dehors même des crises ang
al, méd. psycli., 1847, t. X. 3 P. Janet. Sur un cas d'aboulie et d' idées fixes. Rev. philos., mars et avril 1891, p. 39f
'état obsédant. - L'élément émotif et l'élément intellectuel pur, l' idée , jouent l'un et l'autre un rôle important, mais
velles, et par là s'explique fort bien leur émotivité spéciale. L' idée détermine le point de départ et l'orientation des
njeu ; enfinla lutte de la conscience contre l'envahisse- ment de l' idée obsédante aggrave les effets de l'angoisse. Mai
e obsédante aggrave les effets de l'angoisse. Mais l'influence de l' idée est subordonnée à une altération préa- 1 able o
'aboulie est la base et comme la structure intime de l'obsession, l' idée en est le revêtement extérieur, c'eslelle qui d
e est entièrement subjective et ne représente qu'elle-même. C'est l' idée qui donne à l'obsession et sa formule et son ca
ut, une maladie de la volonté. CLINIQUE MENTALE. Biographie d'une idée fixe. Observation de CASPER '. Ce n'est pas s
rappant qui se soit présenté à mon observation. Si nous suivons une idée fixe depuis son origine tout à fait primor- dia
ro de cette Revue, nous reproduisons ici la célèbre obser- vation d' idée fixe avec obsession de la rougeur de Casper, obli
(Casopis céskych lék, 1900). (Pitres et Régis). ' BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 271 1 terminal, nous la verrons traverser
actuel, l'anomalie primitive n'existait que dans les pensées et les idées de l'enfant, mais plus fard, cela devint l'orig
me causaient un plaisir que je goûtais volontiers. Le cours de mes idées était en tout étrange et je ne pouvais m'abando
écarté du chemin de la morale, à cette époque je n'avais même pas l' idée du mal. Dans le premier semestre, je fus extrao
ement pénible. Mais déjà je n'avais plus besoin de BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 27S z railleries ou d'autres motifs pour
is autant que je le pouvais contre une aussi sotte angoisse. Mais l' idée de la rou- teur devint chez moi absolument fixe
songeais plus qu'à la manière dont je pourrais m'en défaire. Cette idée me faisait concevoir des théories insensées. Me
endant rien. Je n'ai certes pas négligé de me dire en moi que cette idée était absurde et de me sermonner. Cela m'aida à
heures. Dix fois je m'y remettais pour aban- donner aussitôt et mon idée fixe revenait toujours. Parfois ma bonne mémoir
rée à un perpétuel combat. Je ne pouvais pas m'aff1'anchÙ' de celte idée fixe. J'étais assez mélancolique et aimais comm
petite difficulté. Cet état s'était installé sans autre motif que l' idée de son installation. Hien n'était maintenant po
é, et cela me réussit plus ou moins dans la suite. BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 279 J'avais derechef fixé ma demeure là o
ument impossible de m'occuper do quoi que ce soit; BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 281 j'avais une prostration complète de t
mienne. Notre mère était de constitution faible. , BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 283 Moi-même je n'ai pas eu depuis longte
au milieu des hommes. lime demanda instamment mon BIOGRAPHIE D'UNE IDÉE FIXE. 285 assistance parce que son état avait d
n état avait de nouveau empiré, comme autrefois. Il me vint alors l' idée d'essayer- un remède assez ori- ginal : je cons
alheureux a pu garder dans les profondeurs de ses pensées intimes l' idée du suicide sans la laisser percer dans ses- écr
er dans ses- écrits. Déjà, dans sa seizième année, il lui vient à l' idée qu' « il n'aurait pas une fin naturelle ». Six
uverait pas ce qu'il cherchait, m'a empêché de donner suite à cette idée . Si l'on songe à la lutte ininterrompue dans la
ement ». Les observations que l'on trouvera plus loin donneront une idée plus précise des mensonges ordinaires de l'enfa
n'est que surface et que l'enfant est inca- pable de coordonner les idées acquises et d'en tirer des déduc- tions. Son im
t qu'il perdra la confiance de ceux qui vivent auprès de lui. A des idées religieuses, qu'il sait exagérer en temps oppor
rofesseur de musique pour prendre des leçons par- ticulières. Cette idée lui était venue sans doute parce qu'à plu- sieu
c été négatifs, mais ils ne prouvent rien, dit M. Lannois, contre l' idée première : que l'intoxication du sujet, dans le
mme pendant l'époque du développement du système musculaire. D'où l' idée de traiter cette hypertrophie par l'élonga- tio
'agit d'un homme de quarante-neuf ans et d'aspect robuste ayant des idées de négations, quelques halluci- nations et idée
robuste ayant des idées de négations, quelques halluci- nations et idées hypochondriaques très actives, sous l'influence
tre incriminée tout d'abord. C'est elle qui, sous l'in- fluence des idées hypochondriaques qui obsédaient le malade et de
hypothèse qu'il s'agit plutôt d'un paralytique général méconnu avec idées hypochondriaques qui aurait succombé à une atta
ait succombé à une attaque apoplectiforme. M. SOLLIER pense que 1 idée de paralysie générale doit être écar- tée parce
sie générale devait être écarté. Un hypochon- driaque, obsédé par l' idée qu'il pourrait avoir été mordu par un chien enr
'une note sur le délire de grossesse. Les auteurs désignent ainsi l' idée délirante de grossesse que présentent les alién
'il y a itté- rêt à détacher du bloc des délires. Ai. 5G\AX. Si l' idée de grossesse est rare chez l'homme, elle est fr
el ayant parfois un point de départ organique. - M. l3nr.i\D. - L' idée de grossesse est très fréquente chez les alié-
ssives de la folie. On voit souvent des femmes être prises de cette idée au moment de la période mégalomaniaque de leur
ane se croit enceinte de Dieu et prête à accoucher du Christ. Cette idée qui peut se retrouver partout, aussi bien dans
aucune évolution. Ce n'est même pas un syndrome ; c'est une simple idée délirante. ' - M. Duram a vu plusieurs paralyti
moins avancée. M. Sérieux a dans son service trois femmes ayant des idées de grossesse : l'une.est une persécutée ordinai
ain c'est que le pourcentage des paralytiques généraux, ayant cette idée de grossesse, est assez con- sidérable pour qu'
pparition est due soit à l'affaiblissement intellectuel, soit à des idées obsédantes. En résumé, dans la seconde catégori
lectuelle, sur la couleur du délire (le plus souvent, il s'agit . d' idées de persécution ou de grandeur, existant tantôt se
quer que l'observation de M. Marie n'est pas en opposition avec mes idées sur le phénomène des orteils. J'ai soutenu que
rement liés à la syphilis ; niais je tiens à faire observer que mon idée n'est pas basée sur les statistiques dont j'ai
à propos d'une observation, que si une sug- gestion se heurte à une idée préconçue, à un sentiment intime, à une crainte
croit qu'il s'agit plutôt d'un mou- vement obsédant résultant d'une idée délirante. A. TOIL\I\SKY con- sidère ce spasme
s jumeaux, et insisté sur la similitude parfois décon- certante des idées délirantes apparues chez eux, tantôt à peu de t
irmé; les signes physiques de la paralysie générale apparurent. Les idées délirantes moins actives ne tardèrent pas à dis
ez chacun d'eux d'un type clinique rigoureusement identique : mêmes idées délirantes de négation exprimées de la même faç
et redoutent anxieusement que leur entourage ne s'en aperçoive; l' idée qu'il s'agit de quelque chose d'anormal les troub
fut suivie d'une crise hystérique avec trouble mental, tendance aux idées de persécution. En même temps, engourdissement
entrée au mois de mars précé- dent en état de dépression et avec l' idée qu'on voulait l'empoi- sonner : elle était rése
M. Wigles'worth pensa qu'il avait du être commis sous l'influence d' idées délirantes, mais en examinant la meurtrière que
était redescendue et avait replacé le couteau sur la ta- ble : son idée de tuer disparut ce jour-là : une autre fois enco
re autrement. Elle n'a aucun remords, et ajoute que « voilà que son idée la reprend et qu'il faut qu'elle coupe quelqu'u
criminel, est moindre et moindre aussi par conséquent le nombre des idées dans l'esprit du criminel, que dans l'esprit de
minel, que dans l'esprit de l'homme normal adulte. Un esprit où les idées font défaut est un esprit qui présente un certa
chose. Elle n'auront pas grand effort à faire pour s'abandonner à l' idée qu'elles en peuvent disposer. D'ailleurs, au mo
oire assez simple d'une jeune fille qui fut d'abord obsé- dée par l' idée délirante qu'elle avait commis un inceste avec so
l'ordre sauf les troubles d'origine bulbaire. Cette marche écarte l' idée d'une maladie de Landry. A noter que le malade,
rtains poètes du moyen-âge et les menées de certains confrères. Ces idées de servitude sexuelle se retrouvent dans plusie
d'être guéri, non seule- ment de ses blessures, mais encore de son idée fixe. La commo- tion et la souffrance lui ont r
ésion ou un trouble circulatoire du centre chargé d'emmagasiner les idées de souvenirs qui se rapportent aux images audit
rtant ; il reçoit environ 80 p. 100 des fibres en ques- tion. A l' idée de la plupart des anatomistes, les trois territoi
éléments ? Messieurs, en raison même de la soudaineté du début, l' idée vient immédiatement à l'esprit de mettre les acci
faisceau des radia- tions de Gratiolet. - Je vous rappelle qu'à l' idée de la plupart des analomistes, les trois amas g
ours été émotive et peureuse et particuliè- rement suggestible, des idées de doute et de scrupule la hantaient; un état d
les diverses actions de sa vie ainsi que ses diverses pensées. Les idées les plus bizarres qui lui ont traversé l'esprit r
ivement son état mental, des craintes de culpabilité engendrent des idées qui lui font supposer qu'elle est coupable. En
mple « imagination ». Et, avec assez de discernement, elle juge les idées à qui elle refuse son consentement et celles à qu
e supposer. Parfois, à propos d'une pensée en apparence banale, une idée plus ou moins étrange lui vient à l'esprit et s
ui l'assaillent malgré elle; elle se demande d'où peuvent venir ces idées . Par ses écrits et ses dires, notre sujet nous
et ses dires, notre sujet nous apprend qu'il se rend compte que ces idées prennent naissance en lui, qu'elles viennent de s
... se dit que « c'est elle-même qui s'hypno- tise, qui se fait des idées impossibles. » Puis elle s'empresse d'ajouter :
aires à sa volonté. Ne sachant comment expliquer ces associations d' idées troublantes pour sa conscience, qu'elle constat
saient toutes ses pensées, que tout le monde savait ses vilaines idées , qu'elle même savait être fausses. C'est parce qu
vait être fausses. C'est parce qu'on aurait su qu'elle avait dans l' idée de telles pensées et qu'en réalité ces pensées
en elle la réponse. Quand elle leur dit des sottises ce sont des idées qui lui viennent en elle, parfois elle remue le
ui lui viennent en elle, parfois elle remue les lèvres et parle ses idées , ceux-ci lui répondent. Elle se cause à elle-mê
choses que peut- 478 PSYCHOLOGIE. être on ne me dit pas. Dans mon idée , je m'imagine qu'on me blâme de beaucoup de cho
pensées. Si d'avoir entendu des conversations, ça me revient dans l' idée , je n'en suis pas la cause ». La malade repasse
e s'imagine que cette pensée, que cet acte ont été coupables. Cette idée de culpabilité est liée, attachée à toutes ses
itive aura disparu du champ de la conscience. L... s'émeut de ces idées coupables qui lui reviennent à l'esprit. Elle l
bêtises. » : « Je suis bête et je. suis folle d'avoir de pareilles idées . » « On m'a souvent dit qu'il fallait repousser
idées. » « On m'a souvent dit qu'il fallait repousser de pareilles idées qui sont fausses ». Ces craintes, ces soupçons
souvenir déterminé. L... se croit coupable, elle demande pardon des idées qui surgissent en dehors d'elle et malgré elle à
nt. Ignorante, elle est incapable de comprendre l'apparition de ces idées dans le champ de sa cons- cience. Après une ana
que l'on me parle ». Parfois elle discute en elle la valeur de ses idées de culpabilité; son doute méthodique est analys
n'est plus secret, tout le monde le sait. Me vient-il une mauvaise idée à la pensée, l'idée d'insulter quelqu'un cette
tout le monde le sait. Me vient-il une mauvaise idée à la pensée, l' idée d'insulter quelqu'un cette personne en est immé
des excuses, leur, dire qu'elle n'est pas coupable, que toutes ces idées contradictoires se passent en dehors d'elle.
parle. Elle fait même plus, elle remue les lèvres pour parler les idées des personnes qui causent en elle-même (ainsi q
e nous dit ou nous écrit, que ce qu'elle entend ce sont ses propres idées , ses propres craintes : « Ce ne sont, dit-elle
ier les hallucinations dites psychomotrices ne sont que les propres idées de la malade, dont elle prend connaissance par
des diverses lois de psychologie, de la loi de l'association des idées , elle s'étonne de trouver en elle des pensées qui
r elle nous facilite largement la confirmation expérimentale de nos idées ' à savoir l'explica- tion et le mécanisme de l
les troubles mentaux apparurent plus marqués : propos incohérents, idées de suicide, actes désordonnés. , Admis à l'as
u'on le constate alors extrêmement affaiblies, perte de la mémoire, idées délirantes de grandeur et de richesse, tremblem
nterne le 21 aoiiL'189. Il parait alors atteint de mélancolie, avec idées vagues de persé- cution, idées de suicide, il e
it alors atteint de mélancolie, avec idées vagues de persé- cution, idées de suicide, il est à demi stupide ; on ne constat
nuit on l'entendait crier et se promener dans sa chambre. Quelques idées mélancoliques : « le bon Dieu m'envoie vous dire
e cause connue que la misère et le chagrin, elle se met à délirer : idées délirantes de grandeur et de richesse, propos i
e chagrins multiples (paralysie générale il forme mélancolique avec idées de négation, à marche rapide). Marié depuis vingt
t défaut. Ces derniers ne tardèrent pas à apparaître tandis que les idées délirantes faisaient place à la dé- mence. Evol
; les sons, même celui de sa propre voix,, lui paraissent sourds. L' idée lui vient qu'il est en proie à une attaque d'ép
serve ingérés peu de temps auparavant, en vertu d'une association d' idées se rattachant au souvenir d'une intoxication al
t timoré ou anormal. Pen- - dant que je les regarde, je n'ai qu'une idée me rendre compte ; des yeux de celui qui me. ca
'on observe des troubles delaréflexion et de la systématisation des idées . Sous leur forme la plus atténuée les symptômes
mes consistent surtout en une incoordination et une imprécision des idées qui donnent à la pen- sée une tournure puérile
el des souvenirs consécutifs aux troubles de la systématisation des idées : le ma- lade n'est plus capable de rappeler un
pée. Le trouble du souvenir porte primitivement sur le nombre des idées et des images que ces malades ont à leur disposit
ne véritable jargona- phasie. L'incapacité de systématisation des idées , l'effacement des images- souvenirs ont pour co
ire, exception- nellement le délire de persécution systématisé. Les idées de persé- cution apparaissent, par contre, fréq
ic. Bien plus importants sont d'autres signes tels que la fuite des idées , l'orientation, la faculté de comprendre, l'excit
ignification diagnostique tout à fait distincte, entre la fuite des idées et la « salade de mots », entre l'agitation mot
irée des affaires il y a dix mois. Depuis ce moment, elle avait des idées noires et avait manifesté, maintes fois, l'inte
ups de revolver dans la tête. Cette jeune fille, qui était hantée d' idées noires, avait déjà tenté deux fois de se donner
ystérique, par Iutterer, 333. Infanticide, par Audiffrent, 414. IDÉES délirantes. Voir Rêves. Bio- graphie d'une - fi
Worcester, 132. Rêves. Connexions réciproques entre les et les idées délirantes, par Katzowski, 232. Salivation d'
30 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
x ; les malades sont très mobiles, expansifs, exubérants dans leurs idées et actes, incohérents dans leurs discours, et c
actif dans son for intérieur. Le sentiment douloureux est lié à une idée d'impuissance physique et morale qui donne nais
à une idée d'impuissance physique et morale qui donne naissance aux idées tristes de désespoir, de dégoût, manque de conf
lètement défaut; les malades sont continuellement dominés par leurs idées tristes, inter- prètent défavorablement les phé
osent la question : Pourquoi est-ce que je souffre ? Alors surgit l' idée de damnation, punition, culpa- bilité, criminal
, une faute commise, une simple incorrec- tion ou inconduite dont l' idée tourmente parfois les malades. D'autres sont to
'idée tourmente parfois les malades. D'autres sont tourmentés par l' idée de ruine; qu'ils ne sont plus bons à rien, indi
plus bons à rien, indignes de vivre (humilité) ; d'autres, par l' idée qu'ils sont malades (délire hypochondriaque, noso
verses surtout intercostales et du trijumeau, qui servent à fixer l' idée mélancolique; elles entretiennent la marche du
tuée par un délire interne caché. Les malades sont minés par des idées de tristesse, de ruine, d'humilité, de culpabilit
ns des malades peu- vent être isolés ou rouler dans un même ordre d' idées , comme par exemple dans la mélancolie religieus
ications, et toutes leurs sensations se con- centrent autour de ces idées . Donc, selon les idées, délires, sensations qui
rs sensations se con- centrent autour de ces idées. Donc, selon les idées , délires, sensations qui prédominent, nous auro
échés et sacrilèges qu'il a commis. L'idéation et l'association des idées sont réduites. Le malade est déprimé, découragé
ession et la tristesse. La perception est gardée. L'association des idées et le jugement sont atteints. La mémoire est alté
emande, il ne répond qu'à la suite des menaces. L'asso- ciation des idées est bonne, chaque fois que nous arrivons à avoir
vons à avoir une réponse de lui, on observe une cohérence entre ses idées . A cause de son mutisme relatif, nous ne pouvon
ées. A cause de son mutisme relatif, nous ne pouvons nous faire une idée sur l'état de ses facultés intellectuelles et s
umides. Il est impossible de juger sur l'état de sa mémoire, de ses idées , de son intelligence et de son raisonnement, la m
a volonté est amoindrie, la perception conservée. L'association des idées et l'idéation sont altérées. Il ne présente aucun
demande ce qui vient de se passer. - A diverses reprises, a eu des idées de suicide, mais sans tentatives sérieuses. Le
dans les formes anesthésiques. L'observation de ce cas confirme les idées de limiter sur la lèpre à savoir que cette mala
e-quatre ans, elle devient sujette à.des périodes d'excitation avec idées vagues de persécution ; elle ressent de violent
Fait inté- ressant bien mis en lumière, et qui semble contraire aux idées reçues, les suites d'une hémisectiou traumatiqu
la moitié des affections de l'axe spinal, mais encore parce que les idées émises et 1 a méthode d'étude suivie sont presque
erie Ber-er-Levrault et Cie Raymond (F.) et Janet (P.). Névroses et idées fixes. Tome II : Frag- ments des leçons cliniqu
ques sur les névroses, les maladies produites par les émotions, les idées obsédantes et leur traitement. Volume in-8° de
affec- tivité diminuée; la mémoire est affaiblie; l'association des idées et ,1e jugement absents. Observation XIV. Le
uffrance, la dépression. La perception conservée. L'association des idées , l'idéation sont alté- rées, le malade a l'idée
L'association des idées, l'idéation sont alté- rées, le malade a l' idée qu'il est faible, malade, indigne, etc. L'in- L
lire mélancolique. ' La perception est conservée. L'association des idées et l'idéation semblent altérées, mqis on ne déc
s ayons répété plusieurs fois la même question. L'associa- tion des idées et l'idéation sont altérées. Ils'accuse d'être co
La mémoire est bien conservée. Le raisonnement et l'association des idées sont bien altérés. Les sentiments affectifs son
pable. Son front est continuellement ridé, probablement parce que l' idée et l'image du crime lui sont toujours présentes.
e maintenant par d'autres pensées. Le jugement et l'association des idées ne semblent pas bien alté- rés. Elle se plaint
es sont claires et nettes. Elle est continuellement dominée par ses idées hypochondriaques, se demandant sans cesse : Où
e avec une chaise à la tête et cela au milieu de l'église. 11 a des idées de persécution ; il accuse toute sa famille au
t moi qui avons le mauvais goût de ne pas partager complètement les idées de M. Marandon de Montyel) où 134 ORGANISATIO
titue un délit ». Décidément, on se fait en Angleterre, une étrange idée des médecins pour qu'il soit nécessaire de les
e c'est là une simple boutade. On se fait dans le monde une étrange idée des fonctions d'un directeur administratif. Je
où chaque médecin est appelé à exposer net- tement etloyalement ses idées et ses aspirations. Cette Commission, dont les
ACEVEDO. (Siglo Medico, n° 2315.) Après avoir passé en revue les idées de Alexander et de Barac et les faits de Kummel
é, abandonné par la plupart des médecins alié- nistes ; il évoque l' idée vague du retentissement à distance de cer- tain
s des cas d'infantilisme opposé à la cachexie parathyroïdienne, les idées nouvelles de Brissaud sur le nanisme sont rapid
suite d'auto-intoxications et d'infections intenses, persistent des idées délirantes isolées et fixes, puisées, comme chez
tère, émotivité, perte de la mémoire, du juge- ment, du sens moral, idées extravagantes de grandeur, etc. Puis se trouve
taux de ces malades ont évolué et parce qu'elles peuvent donner une idée nette des différents aspects que peut revêtir, ch
de : il existe en effet des hallucinations visuelles nocturnes, des idées de jalousie morbide, des actes de violence cons
mélancolique, après deux tentatives de suicide. Il se rappelait ses idées de suicide mais nullement les tentatives : héré
es de l'alcool eurent désagrégé les centres supérieurs, la première idée impulsive qui vint, l'inhibition ayant disparu,
découverte du D1' Ashmead, et que per- sonne en Norvège n'a aucune idée de l'existence d'une pareille affection, pour l
tre considéré comme un myxoedémateux. Néanmoins. M. Mongour eut l' idée de le soumettre à la médication thyroïdienne, non
tème des Asiles de Comtés les critiques suivantes : 1° Absence de l' idée d'hôpital; 2° Manque de direction médicale; .
d'esprit et d'autres qui étaient des idiots. M. Vallon. C'est une idée trop généralement répandue qui fait croire que
un délire systématisé de teinte mystique. D'une part les cas où les idées religieuses sont l'expression d'un fond mental
toxiques, organiques, névropathiques, etc., pouvant s'accompagner d' idées délirantes religieuses. Ces dernières ne consti
dits secondaires 1, en particulier des mélan- coliques chroniques à idées de damnation et de possession, dont on doit la
2 ». Schüele enfin divise en deux ces délires systématisés 3 : 1° idées délirantes nuisant au moi, le rapetissant, exempl
, le rapetissant, exemple : personnalité attaquée par le démon ; 2° idées délirantes élar- gissant le moi ; exemple : idé
par le démon ; 2° idées délirantes élar- gissant le moi ; exemple : idées religieuses aboutissant à la mégalomanie. En
ratif est de règle pour les autres paranoïaques. EnRussie l la même idée est développée par Rosenbach, tan- dis que Grei
met à côté des formes héréditaires, d'autres non dégénératives. les idées religieuses pouvant exister dans l'un et l'autr
ux, ces saints, ces papes, etc., ne guérissent pas, à moins que les idées relatives à ces transformations, ne soient four
du fond émotionnel qui change absolument l'état moral du sujet. Les idées délirantes par suite, lors- qu'elles arrivent e
second lieu, se trouvent en contradiction avec le caractère, et les idées antérieures. Il y a déjà chan- gement du ton de
lire convergent sur lui-même ; par suite de l'origine primitive des idées délirantes et des troubles psycho-sensoriels qu
mé- lancolie primitive (formes hypocondriaques, anxieuses ou avec idées de persécution, etc.). Ces sous-distinctions n'
persécution des formes en réalité secondaire à la mélan- colie avec idées de persécution : Des psychoses décrites comme s
2° Délires mystiques non systématisés. D'une façon générale, les idées délirantes religieuses peuvent encore s'observe
et ceux des délirants systématisés types. Manie. Nous avons vu les idées religieuses, dans les états mélancoliques, et d
e- ments intérieurs de la pensée. Le développement consécutif des idées de force, de talent, de puissance et de grandeur,
s, en quelque sorte possession de ce qui nous entoure, dérivent les idées de richesse dont Destutt de Tracy plaçait déjà
elle elles se confondent par des nuances insensibles. » Les mêmes idées religieuses que l'on rencontre dans la mélancol
tard suffit à faire comprendre les analogies et les différences des idées religieuses dans les états aigus, maniaques ou
nt aucun caractère digne d'être signalé. La logorrhée, les fuites d' idées et les autres symptômes classiques ordinaires d
tations extérieures de la dévo- tion ; il peut même se produire des idées délirantes reli- gieuses qui ont pour caractère
nt pour caractères d'être morbides, incohé- rentes et diffuses, ces idées délirantes, consécutives à la démence se rappro
res du délire paraît fourni, dit Cotard, « par la prépondérance des idées de force, de capacité, de calcul, de puissance.
n'hésite, tout lui est facile, jamais il ne se décourage, jamais l' idée d'un échec ou d'un insuccès ne se présente à so
u délire des paralytiques engendrera facilement, on le conçoit, des idées de toute-puis- sance et une sorte de théomanie.
ralytiques Dieu ou fils de Dieu ne sont pas rares. La genèse de ces idées s'ex- plique autant par l'hyperboulie que par l
n trait commun qui est la prédominance de l'éréthisme moteur avec idée de toute-puissance incohérente et non coordonnée.
plus ou moins la forme religieuse , quelquefois même on observe des idées de possession Ces malades ont d'ailleurs une va
e des crises convulsives, invoquent à l'esprit de l'épileptique l' idée d'une force supérieure à laquelle il attribue l'a
, étant mise à part. Congénitaux. Chez l'idiot et l'imbécile, les idées reli- gieuses qui parfois les préoccupent, ne p
ouvenirs, d'appré- ciations de sensations, de questions à saisir, d' idées à expri- mer, tout est diffus, dissocié, incoor
entremêlées, et on peut y trouver simultanément ou séparément, des idées ambitieuses, de persécution, de culpabilité, de
délire systématisé, circonscrit, limité dans certains cas à quelque idée fixe qu'on a vu, dans ces conditions, persister
sister après la guérison, comme persiste chez les hystériques une idée fixe isolée, produit d'une suggestion hypnotique
mmeil artificiel, le souvenir perdu de leur délire. Mettant cette idée à exécution, nous avons été assez heu- reux, da
une infection ou d'une auto-intoxication, restaient dominés par des idées LES psychoses d'auto-intoxication. 293 déli
t triompher. La suggestion arrivait assez facilement à détruire ces idées délirantes, en même temps qu'elle en démontrait
io-iî2toxicatioîî et par suite de la con- fusion mentale. ' Cette idée de faire du délire des intoxications un délire de
st, chronologique- ment et symplomatiquement, la suite d'un rêve. L' idée de Lasègue est plus ou moins implicitement admi
s. Nous les avons considérés comme indis- pensables pour donner une idée aussi exacte que possible de la façon dont nous
u début ne tourne pas chez la malade, à la mélancolie simple avec idées de culpabilité imaginaire. II est évident que la
u'il a eue, en entretenant pour ainsi dire le malade dans une vague idée qu'il était atteint de quelque fièvre, en arrêt
par la suggestion hypnotique, faire disparaître l'amnésie et les idées délirantes consécutives à l'accès et activer ains
mon mouchoir de poche est un signe qui me rappelle une commission ( idée objective) que j'ai à faire à un ami. Les signe
j'ai à faire à un ami. Les signes, ce sont les images phonétiques ( idées des mots entendus) et les images graphiques (id
ges phonétiques (idées des mots entendus) et les images graphiques ( idées des mots vus). Pour reproduire oralement une im
mot intérieur que nous seuls entendons), il nous faut avoir aussi l' idée des mouve- ments musculaires qui doivent être e
r une image phonétique au moyen de l'écriture, il nous faut avoir l' idée des mouvements de la main nécessaires pour repr
enter l'image graphique. Pour parler et pour écrire, cinq groupes d' idées sont indispen- sables : 1° les images objective
topographiques avec les cellules; par le professeur H. ALIATIIY. L' idée fondamentale de ces théories nouvelles est la sui
tes les erreurs entassées jusque-là sur cette affection, émit cette idée révolutionnaire pour l'époque, que l'hystérie p
son siège n'est pas dans l'utérus, mais bien dans le cerveau. Cette idée violemment com- battue à l'origine, fut confirm
nécessaire : il fallait, en effet, réagir vigoureusement contre une idée généralement admise de l'hystérie, idée non seu
r vigoureusement contre une idée généralement admise de l'hystérie, idée non seulement fausse mais encore injustement dé
sensoriels du même caractère pénible. Par moments, percent quelques idées confuses de persécution : « Ils sont là qui fon
ade n'étant, elle aussi, qu'une réaction secondaire et la fuite des idées n'étant, en réalité, qu'une fuite des per- cept
n- nerre, menaces insultes; troubles de la sensibilité générale ; idées délirantes d'ordre mélancolique ou mégalomaniaque
inatoire, la manie halluci- natoire de Mendel, le désordre dans les idées hallucinatoires de Fritsch, le désordre dans le
dre dans les idées hallucinatoires de Fritsch, le désordre dans les idées pseudo-aphasique de Meynert et de Schlaugenhaus
avec un mélange de tendances à la persé- cution, au mysticisme, aux idées de grandeur; en un mot, avec un polymorphisme i
n des rapports, méritent d'être discutés à la lumière des nouvelles idées . Voici les circonstances qui ont accompagné ce
psychothérapie tout entière repose sur le principe suivant : toute idée acceptée par le cerveau tend à se faire acte : to
t : toute idée acceptée par le cerveau tend à se faire acte : toute idée est un acte à l'état naissant (Bernbeim, Liébau
com- plet que possible, et en concentrant toute son attention sur l' idée de dormir. Le sujet se trouve alors dans un éta
aravant consacrée à la production de sensations, de mouvements et d' idées . Que cette attention, ainsi rendue dispo- nible
dées. Que cette attention, ainsi rendue dispo- nible, rencontre une idée sur qui elle puisse s'accumuler, et cette idée
nible, rencontre une idée sur qui elle puisse s'accumuler, et cette idée ainsi renforcée, verra s'augmenter, dans une très
érapeutique d'ordre physique ou psychique et servir à renforcer des idées , des suggestions préalablement choisies. A. Fen
égard, en toute circonstance, depuis trente années. Pénétré de l' idée qu'on peut lui succéder sans songer à le rem- p
it, un grand amour de la justice et qu'il s'efforce de réaliser les idées prédominantes actuelles : la recherche du mieux
che du mieux dans l'amélioration du sort de choqzie ciloyell. Ces idées sont les nôtres, Monsieur le Maire, et nous les a
risent par la fixité d'une ou plusieurs conceptions délirantes. Ces idées déli- rantes se systématisent faiblement et iso
elles représentent les préoccupations antérieures du malade ou les idées délirantes nées pendant l'accès psychonévro- ti
suite naturelle d'un accès psychonévrotique dont quelques-unes des idées délirantes s'attar- dent et se systématisent av
ncolie, c'est que dans les premiers le. délire se réduit à quelques idées ,qui restent seules du délire primitif. Tandis que
, après un an de mélancolie franche, a commencé de mani- fester des idées de persécution liées à des hallucinations multipl
es à des hallucinations multiples et très actives et finalement des idées de grandeur, tout en conser- vant un fonds méla
d qu'est la confusion mentale tonique, en tout point comparable aux idées fixes post-hypnotiques des hystériques. La preu
Il croit qu'il ne s'agitdans ces faits que de la persistance d'une idée fixe subconsciente, de nature hystérique, telle
que les travaux de MM. Haymond et Janet nous l'ont fait connaître, idée fixe subconsciente qui peut persister pen- dant
tique peuvent se ramener à trois groupes : Il Délires systématisés, idées fixes consécutives à des rêves rappelant la phy
t-être pas le nom de systématisés, mais ce ne sont pas non plus les idées subconscientes dont nous a entretenu M. Sicard.
es dont nous a entretenu M. Sicard. Il reste dans la conscience une idée fixe dont le point de départ se retrouve dans u
pendant la convalescence, a conservé de son rêve délirant la seule idée qu'il est décoré et qu'il a rapporté des riches
ion men- tale dans sa forme classique avec association vicieuse des idées , insuffisance de la perception, apparence de dé
res avec conservation de la logique, et associa- tions normales des idées , c'est-à-dire des souvenirs existants; pas de d
perdre. SOCIÉTÉS SAVANTES. 389 M. Vallon rappelle, à propos des idées fixes observées au cours de la psychose polynév
l'alcoolisme subaigu. Alors que tout le délire a disparu, seule une idée délirante persiste. Ces faits ne sont pas rares
éponse à faire à M. Sicard. L'hys- térie n'a pas le monopole de ces idées fixes plus ou moins systématisées : l'hystérie
ne devons pas nous désintéresser. Il est en effet, Messieurs, une idée chère aux Marseillais, c'est celle de voir un j
des ulcérations sur le col. Après cau- térisation et guérison, les idées délirantes disparurent. M. Bidon pense que les
ons utérines sont tantôt causes, tantôt simplement coexistantes des idées délirantes.. M. Mabille dit qu'il serait utile
e monde, et les mesures législatives ne suffiraient pas à relever l' idée du mariage; 2° Dans la plupart des cas, l'alién
l'affaiblissement des facultés intellectuelles suggère à M. Minor l' idée de l'analogie qui pourrait exister entre les at
vers où l'on avait remarqué de la dépression et de la confusion des idées . Elle consiste en un désordre plus ou moins acc
re. Il y a 3 formes, légère, moyenne et accentuée. Associée à des idées délirantes, elle n'est plus qu'un syndrome, faisa
és. Au contraire, elle peut évoluer vers la démence, associée à des idées délirantes ou à des états psychiques particuliers
quées ou confuses, à des erreurs d'interprétation aboutissant à des idées délirantes, à des illusions, à des hallucinatio
attribué ce dernier état à l'isolement dans lequel se trouvent les idées suggérées à l'abri du contrôle des idées personne
ans lequel se trouvent les idées suggérées à l'abri du contrôle des idées personnelles accu- mulées qui composent le moi.
s malades qui en sont atteints sentent qu'ils ont un grand nombre d' idées à la fois, vagues et fuyantes ; ils en déduisent
les neurasthé- niques ne peuvent se ressaisir ; naissent alors les idées fixes. Toute conception délirante trouve son ex
té par une faiblesse de la force psychique qui aurait dû donner aux idées représentatives leur importance pour ainsi dire
ui que des états passagers, et si nous réussissons à lui donner des idées conformes à la moralité générale, il est à craind
s idées conformes à la moralité générale, il est à craindre que ces idées ne soient bientôt supplantées par d'autres qui le
eu. Ainsi on observe d'abord un changement de caractère, quelques idées de jalousies, des idées de persécution et puis se
'abord un changement de caractère, quelques idées de jalousies, des idées de persécution et puis seulement des signes phy
par l'auteur en ce qui concerne les alcooliques chroniques dont les idées de persécution réapparaîtraient à chaque rechute
même temps que les facultés intellec- tuelles s'obscurcissent; les idées délirantes perdent peu à peu leur netteté et ne
Journal, 4 avril.) t3 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. (L.). >'« le idée fisse. - Brochure iii-8" de 3a pages. z Firenze
ne d'un état de dépression ou d'anxiété plus ou moins accentué, d' idées de suicide, etc., le diagnostic de mélancolie par
s éléments de diagnostic a été le polymor- pibisîiîe du délire; les idées d'auto-accusation se manifestant avec d'autres
du délire; les idées d'auto-accusation se manifestant avec d'autres idées , hypochondriaques, de persécution, plus ou moin
analogues, où cet élément important de diagnostic fait défaut, les idées d'auto-accusa- tion constituant à elles seules
e l'affection une fois cons- tituée, se trouve dans l'existence des idées d'indignité, d'inca- pacité, de culpabilité, et
in- dres faits sont interprétés par le malade dans le sens de ses idées et deviennent autant de preuves à l'appui de ses
vacité. L'attention, la per- ception, la mémoire, l'association des idées ne témoignent nullement de cet arrêt psychique
ixe, volontiers même réticent, il émet cependant très nettement des idées paiticulières, dont la formule générale mérite
he un égoïsme extraordinaire, et un orgueil profond. Bien que les idées délirantes revêtent toutes la même formule unif
urrait en imposer. Nous avons émis tout à l'heure l'opinion que ses idées d'auto- accusation n'étaient que le masque d'un
a donc été chez lui le mode d'apparition et de déve- loppement des idées délirantes qu'il émet aujourd'hui ? L'étude des
à pratiquer avec exagéra- tion. C'est à partir de ce moment que les idées délirantes, sans être précédées ni accompagnées
vacité. L'attention, la perception, la mémoire, l'association des idées ne semblent nullement atteintes à un degré quelco
usation particulière du délire eût pu éveiller au pre- mier abord l' idée d'un cas de mélancolie. Mais nous savons aujour
rticulier sur lequel ils se manifestent. Ce n'est pas la teneur des idées , mais leur genèse qui permet de rapporter un dé
réotypée. Parfois surviennent, au bout d'un certain temps, d'autres idées délirantes, de persécution, de grandeur, dont l
à la misère. En vain cherchait-on à lui prouver la fausseté de ses idées , il s'attachait à démontrer par toutes sortes d
ûmes l'observer. A ce moment, le malade émettait toujours les mêmes idées délirantes d'auto-accusation. Mais nous ne pûme
parition était déjà très particulier, bien diffé- rent de celui des idées d'auto-accusation qui relèvent de la mélancolie
s explications ; et, loin de ressasser d'une façon monotone la même idée à la façon du mélancolique, s'ingénie à chercher
se tient jamais pour battu. Tout le délire d'ailleurs se borne aux idées d'auto-accusation, sans mélange d'aucune concep
Au point de vue mental, le délire ne s'est nullement modifié ; les idées d'auto-accusation sont toujours le symptôme prédo
ment, le malade se montre irritable lorsqu'on le contredit dans ses idées délirantes ou d'autres fois se met à pleurer, à
n, ni anxiété : loin de rester inactif, isolé, ruminant ses tristes idées ou de s'agiter dans une anxiété sans but, M. B.
sa femme des lettres très correctes où il ne parle pas même de ses idées , ne voulant pas, dit-il, susciter de nouvelles
es mentaux, sans qu'ils aient d'ailleurs changé de caractère. Les idées d'auto-accusation deviennent moins tenaces ; elle
s craintes sont peut-être exagérées ; puis, il discute lui-même ses idées et admet que beaucoup d'entre elles sont fausse
délirantes appa- raissent d'emblée en quelques heures. Ce sont des idées d'auto-accusation, de culpabilité, la crainte d
nt intense, et parfois un certain degré de confusion secondaire des idées . L'insomnie est fréquente : parfois on note du
nir. Anxiété réactionnelle. elle n'accepte aucune discussion de ses idées : à partir de ce mo- ment, les hallucinations s
e commence à dormir. Deux jours après, elle commence à discuter ses idées , puis très rapidement, dès le lendemain, les dé
bite- ment sans cause connue, et duré six semaines avec les mêmes idées délirantes d'auto-accusation, les mêmes hallucina
qui est destinée à relier les impressions sensorielles à certaines idées de l'esprit, afin de constituer les conceptions
dical s'y intéressât davantage, en contribuant à la propagation des idées justes sur l'hygiène de la parole et les vices
e clinique avec le certificat suivant : a Mélancolie. Lamentations. Idées d'in- dignité. Condamné en mars dernier pour ab
étrange, sa physionomie exprime la tristesse, il ne manifeste pas d' idées délirantes, il ne fait entendre aucune plainte,
« Villejuif, asile d'aliénés » ; mais malgré cela il n'avait aucune idée de sa situation. Nous l'interrogeons : sa phy
3 février 1897 ; le jugement est correct ; il y a absence de toute idée délirante. P... n'a pas une instruction très dé
er, ce qui lui a fait croire que sa langue était paralysée; à cette idée s'est associée inconsciemment ou plutôt subcons
tte idée s'est associée inconsciemment ou plutôt subconsciemment, l' idée qu'il ne pouvait pas non plus remuer la langue
complètement disparu, en sorte qu'on ne saurait voir la une simple idée hypochondriaque) ; et surtout par cet autre fai
il est effrayé, il cherche à fuir, quelquefois même il conçoit des idées d'homicide ou de suicide ; il se présente en un
maladives toujours mobiles et ne tardent pas à changer le cours des idées délirantes; 3° L'alitement en permettant de pla
L'observation que je cite ne vient pas corroborer cette opinion : l' idée délirante y est net- tement systématisée et le
, pas d'an- técédent vésanique ou névropatiiique. En second lieu, l' idée déli- rante s'est manifestée au moment même où
nt amendés. Le fait le plus saillant, c'est la systématisation de l' idée délirante chez le malade : l'idée d'un héritage
nt, c'est la systématisation de l'idée délirante chez le malade : l' idée d'un héritage qu'il vient de faire est chez lui
et Bucquoy. Il est fort possible que, dans la majorité des cas, les idées délirantes de la convalescence de la fièvre typ
e générale et : 1° suggérer de bien dormir la nuit, 2° susciter des idées gaies et même faire renaître le goût du chant,
neurologiste ne peut 'devenir1 expert en neurologie sans' avoir des idées précises sur lés mala- dies de l'esprit et leur
31 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
M. Bonne, faire le tour de mon sujet et obtenir un contrôle de mes idées . Je l'en avais remercié dans la préface du livr
. Je le remercie aujourd'hui de me valoir une confirmation dans mes idées , et de me permettre de prouver au lecteur que l
nalement accolés et soumis à une existence conjuguée. Voulez-vous l' idée sous une autre forme ? Voici : De même que chaq
ar lui sur tous les points. Mon livre est né de cette enquête sur l' idée fondamentale du duplicisme,idée qu'après deux a
livre est né de cette enquête sur l'idée fondamentale du duplicisme, idée qu'après deux ans d'hésitations j'ai présenté a
ppartient le cerveau gauche est probablement plus intellectuel ». L' idée que présente cette phrase est banale; et M. Bon
leurs caractères particuliers et distincts en contradiction avec l' idée d'une unité essentielle et originelle. Par une
de progression. » En plusieurs passages, M. Bonne revient sur cette idée que les cellules de l'embryon en for- mation vo
Cette dualité d'opérations successives ne se con- cilie pas avec l' idée d'un être un dont l'activité ne peut être tou-
tudes sociologie 40 PSYCHOLOGIE. ques qui ont fortifié en moi les idées de liberté et des règles morales nécessaires, j
s. J'ai cherché une doctrine qui me permît de relier entr'elles mes idées . C'est avec la plus entière bonne foi que j'étu
rofi- tât'de mes critiques ; il l'étaitunpeu moins de m'attribuer l' idée d' « une liste d'organes simples », si j'ose m'
au ser- vice de la Doctrine ses connaissances physiologiques et ses idées sur le corps calleux. Aussi, l'on confond encor
on croyait jadis la disjonction pos- sible. Mais, sans même avoir l' idée de critiquer la distinction natu- relle entre l
doute que nulleamplifi- cation arrive à masquer la niaiserie de son idée mère ; je doute même, s'il y persiste, et quoiq
zoologique »(p. 36), que sa trouvaille l'aide jamais « à relier ses idées entre elles. n RECUEIL DE FAITS Sur un cas d'
alade subit un premier internement pour une crise d'exaltation avec idées vagues de grandeur et de per- sécution. Il pous
UR UN CAS D'OEDÈME A ÉVOLUTION D'APPARENCE SPONTANÉE. 51 neront une idée plus précise de ces modifications ; surtout si on
chez une débile, le même trouble physiologique aurait abouti à des idées de persécution ; en tout cas, les deux champs v
uantaine, de préférence chez la femme,et qui se caractérise par des idées délirantes de préjudice, l'affaiblissement t du
ans, interné pour tentative de suicide effectuée sous l'influence d' idées délirantes mystiques. Intelligence normale ; s'é-
uelle. L'amélioration fut rapide : après 8 jours d'internement, les idées délirantes avaient cessé et le malade se rendait
que chez les malades n'appartenant pas à l'armée. D'autre part les idées délirantes étaient toujours vagues, péni- bles
emble pas qu'il y ait eu un rapport quelconque entre le contenu des idées délirantes et des hallucinations et les événe-
élancolique, ce qui peut être interprété comme une confirmation des idées de Kroepelin sur l'unité nosologique de la mani
érale la guérison réelle de ces intermittents. Dans le même ordre d' idées , on peut avancer que certains cas rapportés à l
; mais il propose,pour éviter une confusion de remplacer le terme d' idée obsédante des persécutés persécuteurs pour celu
le terme d'idée obsédante des persécutés persécuteurs pour celui d' idée prévalente. Cet avis est celui de MM. Vallon et
es per- turbations dans le domaine des sentiments et dans celui des idées ; on constate surtout le rétrécissement du cham
t jusqu'à un âge avancé, mais seulement quand ils soutiennent leurs idées fa- vorites et restent cantonnés dans leur doma
ont applicables. : U. Bérillon. La suggestibilité, la réceptivité aux idées am- biantes sont le propre de l'enfance. Les id
réceptivité aux idées am- biantes sont le propre de l'enfance. Les idées bonnes et les idées mauvaises y trouvent donc u
es am- biantes sont le propre de l'enfance. Les idées bonnes et les idées mauvaises y trouvent donc un terrain également
gieuse qui s'occupait d'elle était partie en retraite, hantée par l' idée de la revoir, elle s'écada très adroitement pen
mbulisme d'une durée de plusieurs jours. 5° Ecrits de la malade : idées obsédantes de vengeance, principa- lement d'inc
1 ? laL de délire somnambulique et tournent toutes autour de deux idées fixes : celle du suicide et de la vengeance..Mais
is alors qu'en état de délire parlé, elle est surtout hantée' par l' idée du suicide, HYSTÉRIQUE INCENDIAIRE PENDANT L'ÉT
développe, sorte de folie morale où dominent alternativement les idées de désespoir, de suicide, d'homicide, et les impu
urent, odieux et coupables. Sera-t-elle toujours leur victime ? Les idées de révolte se font jour dans son esprit, puis d
ctime ? Les idées de révolte se font jour dans son esprit, puis des idées de vengeance. Comment se venger ? Les atteindre
u'il est mal de se venger, elle possède en son entier le faisceau d' idées morales qui sont l'attribut commun des individu
une conscience rétrécie, des fonctions psychologiques diminuées. L' idée de ven- geance n'est plus désormais combattue p
de ven- geance n'est plus désormais combattue par l'ensemble des idées antagonistes qui la neutralisent habituellement
suis persuadé que les congressistes, qui ne sont pas venus avec ces idées , n'en trouveront pas moins de charmes à parcour
etient ensuite l'as- semblée d'un sujet scientifique. Il expose ses idées et les résultats de ses dernières expériences s
d'Etat de bâtir un nouvel asile d'aliénés plus en harmonie avec les idées mo- dernes. Mais l'émeute qui éclata peu après
laient aux champs ». Il applique dans cet Asile primitif toutes les idées nouvelles, qui sont d'ail- leurs encore en cour
ue des motifs d'action (c'est-à-dire que ces motifs répondent à une idée délirante, à une impulsion irré- sistible, ou à
t être rendu. Il appartient au médecin de bien in- sister sur cette idée . Une des conquêtes les plus positives de la soc
tendu pour les médecins qu'en aucun cas il ne saurait impliquer une idée philosophique, de métaphysique. 128 CONGRES D
uées ; les malades sont généralement luci- des, bien orientés ; les idées délirantes, la stupeur, la surex- citation sont
n de l'attention volontaire, le ralentissement de l'association des idées , l'insuffisance des perceptions et l'indifféren
our du terrain ; elle permet de se faire de la folie périodique une idée très séduisante. Au point de vue symptomatiqu
e improductive ; la stupeur maniaque ; la dépression avec fuite des idées ; l'in- hibition maniaque. La folie maniaque-
aractérisés par une agitation vive, un délire diffus dominé par des idées d'orgueil et de grandeur. Il convient de noter,
l'existence de tentatives de suicide qui ont été la conséquence des idées déli- rantes,et qu'on a souvent signalés dans l
ique avec beaucoup de justesse les propositions de M. Pitres et les idées connues de M. Bernheim et de M. Ba- binski : «
e que personne n'a envisagé aussi je me permets de vous soumettre l' idée suivante : Les réactions hystériques sont des r
des mots que nous sommes incapables de définir, comme conscience, idée , image, représentation, etc. Tout le monde semb
at hystérique. C'est qu'une fois produit il a tendance à persister ( idée ou accident somatique), Cet état ainsi fixé amè
ous le reconnaissons volontiers,. nous ne fai- sons que prêcher les idées émises depuis longtemps par les Cabanes. Witkow
ure physique, sa tenue,son veston ou son nez que l'on établit ses idées . Après, quelquefois, mais pour ce faire, on passe
is taquin et profond,on recherche ce qu'il a fait, quelles sont ses idées ,quelleest son intelligence.L'ourunhom- me du pa
Rousseau dont nous reproduisons, malheureusement trop résumées,les idées prin- cipales. M.B. Après avoir parlé des ant
s il y a eu autre chose. Rousseau a eu des pha- ses délirantes avec idées de persécution. Il n'a jamais eu d'hal- Iucinat
s fondamentaux : la faiblesse de trans- formation des sensations en idées ; le rétrécissement du champ cérébral. L'affa
t de la paralysie générale à 54 ans, hémipa- résie droite. Démence. Idées de richesse et de satisfaction. Inégalité pupil
86 ; troisième internement en 1887 ; quatrième internement en 1892. Idées de grandeur et idées de persécution. Violences.
ent en 1887 ; quatrième internement en 1892. Idées de grandeur et idées de persécution. Violences. Deux ictus en 1902 tro
1902 troisième ictus en 1904 ; quatrième ictus en 1905. Démence et idées de grandeur absurdes. Cinquième ictus en 1906.
sychoseni) de Freud. MM. SCHMIERGELD et PROVOTELE concluent que les idées de Freud contiennent une part de vérité, mais q
accompagnées d'une rapide analyse, desti- née à mettre en lumière l' idée principale. E. COULOIYJOU. VARIA UN enfant qu
du délire épileptique, avec hallucinations auditives et visuelles, idées de persécution et accès d'excita- tion dont les
. On leur â donné des régimes impossibles, on leur a in- culqué des idées fausses sur leur état. La psychothérapie peut l
géné- raux où réside la haute importance du congrès et quelle est l' idée maîtresse qui se dégage du programme étendu de
nécessaires, tendant à ce que la législation en se conformant aux idées modernes sur le traitement des aliénés dangereux
une maladie psychique, une maladie par imagination, une maladie par idée , une maladie par suggestion, ou par persuasion »
éter une scène à laquelle ils ont assisté ou à mettre en action une idée fixe quelconque. Ce délire est à mon avis ext
ement ne croit rien, n'accepte rien qui soit en opposition avec son idée dominante comme on le voit dans des délires systé
oit même rien, n'entend rien en dehors du système d'i- mages de son idée : « ses yeux sont ouverts mais ils ne voient rien
seulement sur la période remplie par le dé- lire mais encore sur l' idée même qui a rempli le délire et sur tous (1) Cf.
ERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. les événements précédents auxquels cette idée a été mêlée. Sans doute cette amnésie comme cet
ès réelle, elle n'est ni inventée, ni voulue par le su- jet qui a l' idée fixe de l'événement auquel il pense dans son déli
vénement auquel il pense dans son délire, mais qui n'a aucunement l' idée de tous ces caractères du délire qui se reprodu
d symptôme de l'hystérie pourrait se caractériser ainsi : c'est une idée , un système d'images et de mou- vements qui éch
ôté il y a développement exagéré, régulièrement déterminé, de cette idée émancipée, de l'autre il y a une lacune .amnésie
qui s'impose et qui n'est pas sans dif- ficultés c'est celle de ces idées à forme somnambulique ou à forme médiamique ave
et ne s'accom- pagnent ni d'anesthésie, ni d'amnésie. En un mot les idées fixes que présentent les hystériques constituen
nt original et important. Considérons un phénomène très voisin de l' idée , de langage. Dans bien des cas nous voyons des
e ici la même exagération, la même régularité que dans les crises d' idées fixes : on y retrouve les mêmes caractères néga
angage, quelque chose d'analogue à ce que nous avons observé pour l' idée fixe. Après tout, qu'est-ce qu'une fonction si
me d'images associées les unes avec les autres exactement comme une idée ? Le système est plus considérable, il est surt
st surtout plus ancien, mais c'est quelque chose de semblable : une idée est une fonction qui commence, une fonction est
able : une idée est une fonction qui commence, une fonction est une idée de nos ancêtres qui a vieilli. Le même trouble
ges exactement comme l'amné- sie consécutive au développpement de l' idée fixe. Les mêmes remarques peuvent s'appliquer à
ns les études précédentes, mais qui devient ici plus visi- ble. Ces idées , ces fonctions qui se séparent ainsi de la consci
érations automatiques et des dissociations analo- gues à celles des idées et du langage. Cela est possible, parce que ees
de l'esprit. Les expressions de a ma- ladie par représentation, par idée , par imagination » me semblent bien peu précise
uggestion ». Si on l'entend d'une manière vague comme désignant une idée quelconque, entrant dans l'esprit d'une manière
séquence de ce développement indépendant, de cette dissociation des idées dans l'esprit de l'hys- térique, si on la ratta
e, parce que comme je viens de le faire remarquer, l'hystérique à l' idée fixe de certaines scénes de sa vie, mais n'a pas-
rique à l'idée fixe de certaines scénes de sa vie, mais n'a pas-, l' idée de la manière dont ces scènes se reproduisent, de
avers les mots, démonstration, persuasion, suggestion, association, idée fixe, obsession, etc., qu'il faut distinguer da
e fixe, obsession, etc., qu'il faut distinguer dans les délires les idées fixes de telle ou telle espèce, les divers degr
de gare au Theil, qui, depuis quelque temps, n'avait pas toutes ses idées à lui, s'est précipité du haut de la fenêtre de s
pour la malade ; ce n'est que son aspect qui a une importance. L' idée d'avoir des rapports sexuels avec un « homme dégo
niacal); le même phénomène se produit sous l'influence de certaines idées délirantes, d'hallucinations, etc.; les formes
t pas débarrasser son imagination de ces tableaux. Parfois d'autres idées de même nature se présentaient à son esprit ; t
t atteint « d'une anomalie psychique ou physique quelcon- que » ; l' idée du mariage et des relations sexuelles normales
omme affirme catégoriquement le malade, jamais il ne lui est venu l' idée de prendre chez soi les bottines de femme et «d
'asile est d'être avant tout médecin. Il se ferait certainement une idée fâcheuse de son rôle s'il le concevait un peu d
chargés de fonctions identiques ou analo- gues, leurs vues et leurs idées ; ils seront privés de l'expé- rience, des cons
moyenne de 825 fr. Pour obtenir ce dernier résultat, je suggérais l' idée d'un remaniement de nos traitements et de la cr
is s'étant donné l'une à l'autre une stimu- lation énergique et des idées à mettre en oeuvre. I. - A l'Infirm erie spécia
e indistinctement des interpré- tions fortuites, des associations d' idées soudaines, peut-être des hallucinations psychiq
ttentes, elles ne sont reliées entre elles par nulle image et nulle idée . Il leur arrive seulement plus tard d'être objet
eùt contenu, sans douto bien qu'à un degré un peu moindre, quelques idées de persécution. Les preuves de l'imminence morb
dans sa vésanie dépressive, elle aurait débuté peut-être par des idées mélancoliques, au lieu d'idées de persécu- tion
elle aurait débuté peut-être par des idées mélancoliques, au lieu d' idées de persécu- tion, l'appoint qui restait nécessa
éité pour ce qui est de l'imminence morbide, communication pour l' idée seulement. Déjà sous ce rapport, notre cas part
ressortit à deux prototypes. Mais il faut en outre remarquer que l' idée délirante n'est pas tout le délire. Notre sujet
e n'est pas tout le délire. Notre sujet, à demi-passif, nanti d'une idée déli- rante, y réagira d'une façon si personnel
verses personnes, et tout un roman s'organise, avec, pour centre, l' idée de richesse. En octobre 1904, on l'enfume, on u
0 CLINIQUE MENTALE. coffre-fort est bien à elle. De telles sautes d' idées dépassent les li- mites de la paralggie banale.
a porté ordre ». L'optimisme lui est si inhérent qu'elle étend ses idées de richesse hors des limites de son roman, de p
EUX 331 filles ; le monde comprendra ma souffrance. » Peut-être des idées de grandeur se feront-elles jour incessamment.
pensées, mais je ne savais que croire, ce n'était peut-être qu'une idée à moi, Je n'y suis plus. » La malade dit ceci a
onvictions constitue un fragment de délire imposé, c'est-à-dire une idée délirante reçue d'autrui, mais sans aptitude dé
ieur, aucune tendance personnelle ne la préparait à s'as- similer l' idée de richesse, même après quatre années de délire
que dès avant la rencontre de M""1 Granet. elle était mûre pour les idées de persécution. IV. Les délires des deux asso
quable. Comme particularité, nous noterons la rapide apparition des idées de grandeur, qui si elle a pu être ai- dée par
stabilité du tonus, chez certains délirants, et leur ten- dance aux idées de grandeur. Un intermédiaire non syl- logistiq
rie Forel. Nous ne saurions l'appeler exactement; mélancolie avec idées de persécution, puisque les idées de persécution
peler exactement; mélancolie avec idées de persécution, puisque les idées de persécution ont été précoces; les idées méla
persécution, puisque les idées de persécution ont été précoces; les idées mélancoliques tardives, que la ma- lade a conse
ques heures de conversation avec son amie nouvelle, Mme Granet. L' idée nette de persécution, déposée en elle par cette d
on malaise et l'aidant à en prendre conscience, à le faire durer. L' idée , telle qu'elle, n'était qu'un ferment assez fai
on nous permette cette ex- pression : il a réveillé des cultures. L' idée a pu être com- muniquée, mais non à proprement
umilité déjà connue, chez l'autre aux troubles de l'association des idées (paralogie, intuitions etc.). Ces conditions on
nication du délire est restée pour chacune limitée aux sé- ries d' idées qu'elle aurait pu produire elle-même. Nous comp
paration déjà très avancée chez le sujet même le moins actif) ; l' idée de l'hostilité ambiante a satisfait d'emblée ch
le semble en même temps plus fréquente. Peut-être le passage de l' idée délirante aux actes mé- dico-légaux est-il pour
nes hallucinations de la sensibilité générale, causes elles-mêmes d' idées de persécution corporelle ou d'idées hypochondr
générale, causes elles-mêmes d'idées de persécution corporelle ou d' idées hypochondriaques.Ces sensations nous montrent d'a
ucinatoires, à savoir la facilité avec laquelle elle transforme ses idées en convictions, et ses con- victions en souveni
us l'accroissement de l'op- timisme morbide, qui a déjà produit des idées de riches- ses et qui produira peut-être des id
déjà produit des idées de riches- ses et qui produira peut-être des idées de grandeur. Mais par un contraste curieux,tand
par un contraste curieux,tandis que l'optimisme aug- mentait, les idées optimistes sont devenues plus vagues, elles ont
bservation, que nous avons prise à l'Asile Clinique. Observation, Idées délirantes de persécution ; hypothèses nombreus
if des facultés intellectuelles. Réactions : menaces et violences ; idées de suicide, refus d'aliments. - Début il y a si
de bris de carreaux dans un bureau de placement, elle présente des idées délirantes de persécution et voici le thème de
re voir de toutes les cou- leurs ». 352 pathologie mentale. Ces idées de persécution, banales en somme, se basent sur
cause du doute qui l'envahit sans cesse, du manque de fixité de ses idées morbides, elle ne nous a communiqué qu'après de
elle ne s'explique pas. En somme, voilà donc une malade qui a des idées déli- rantes de persécution depuis 6 ans enviro
e différencie des persécutés-persécuteurs. 1° Louise K... n'a pas d' idée obsédante ou pour mieux dire d'idée fixe, prédo
urs. 1° Louise K... n'a pas d'idée obsédante ou pour mieux dire d' idée fixe, prédominante, prévalente. Si ses idées de
te ou pour mieux dire d'idée fixe, prédominante, prévalente. Si ses idées de persécution systématisées forment un tout il
s, qui engendre cet état. En vain donc on chercherait chez elle l' idée prévalente des persécutés-persécuteurs. 2° No
dée prévalente des persécutés-persécuteurs. 2° Notre malade a des idées qui sont vraiment de nature délirante, qui trad
délirante, qui traduisenl l'abolition de son sens critique. Or les idées délirantes proprement dites n'existent pas chez
qu'elle a affaire à des physiciens. De plus, elle a pré- senté des idées d'empoisonnement, et elle a actuellement des id
pré- senté des idées d'empoisonnement, et elle a actuellement des idées de suicide, par intervalles. On ne voit jamais de
des idées de suicide, par intervalles. On ne voit jamais de telles idées chez les persécutés persécuteurs qui savent avec
brasseur, qu'elle aurait dû le tuer, mais aussi elle a affirmé des idées de refus d'aliments et de suicide : « Je ne mange
d'interprétation. 1° Multiplicité des conceptions; 2° Existence d' idées délirantes (mégalomanie, etc.) ; : 3 Evolution
port avec leur mobile. Délire des persécutés-persécuteurs. 1° Idée obsédante unique ; 2° Absence d'idées délirante
persécutés-persécuteurs. 1° Idée obsédante unique ; 2° Absence d' idées délirantes proprement dites ; 3° Fixité des c
s (2) dans la folie des persécutés-persécuteurs, on a affaire à une idée obsédante. à u'i trouble de la volonté. Dans le
ns, notamment les paralysies,les anesthésies, les contractures, les idées fixes,etc.,sont les résultats de la suggestion
hi., XXIX, f. 210, p. 249 à 255, le'- avril 1906.) V. s'inspire des idées bien connues de Lipps sur l'association : quand
ralysie ou une anesthésie hystériques, il est inexact de dire que l' idée de cette paralysie en ait été la cause : il ne s'
que soit par la suggestion à l'état de veille soit, pour détruire l' idée fixe, à la suggestion h y pnotique qui est sans
tive et objective, et sont parfois assez accen- tués pour évoquer l' idée d'un tabès. La ponction lombaire met en évidenc
ssus voli- tionnels ou de la vie affective ; peut être sentiment ou idée confuse d'incapacité. Les différences des cou
ance de la perte du sens musculaire et articulaire, mais bien d'une idée fixe subconsciente de chute possi- ble qui déte
sion de l'âme, est, dit l'auteur, tout à fait exact. Pour avoir une idée schématique de la manière dont sont enchaî- nés
la physionomie ». Cet extrait des conclusions de l'auteur donne une idée assez exacte du style général de l'ouvrage. Q
De l'ensemble de l'ouvrage.intéressant sans aucun doute et riche en idées , il résulte que la physionomie humaine, par sa st
totale de la mémoire est signalée, l'esprit évoque immédiatement l' idée de l'épilepsie et de ses grands caractères es-
dit l'auteur dans la pré- face, de rattacher les superstitions, les idées fausses, les croyan- ces fixes collectives des
scal, Napoléon) ; on doit les admettre, malgré Condillac, comme des idées conçues et con- servées dans l'esprit ; chez le
rs à l'hystérie : son caractère était le rapport direct en- tre les idées mystiques et erotiques ; elle s'observait dans le
r de la philosophie, de nous attribuer une raison indépendante, des idées acquises par nos seuls ef- forts ; n'aurions-no
forts ; n'aurions-nous - pas. pour tout patrimoine psychique, les idées , les jugements de nos ancêtres, de notre race, de
sulte de l'influence d'élé- ments multiples, et qui est aidée par l' idée sentiment du devoir. La responsabilité apparaît
onsti- tuent le bien ; mais comment savoir si ce sont pas aussi des idées innées, déterminées ' ! Ces idées normales sera
t savoir si ce sont pas aussi des idées innées, déterminées ' ! Ces idées normales seraient déterminées par une organisat
alitative est l'origine des deux formes de l'erreur pathologique, l' idée délirante et la représenta- tion obsédante. La
luence de l'élément affectif morbide qui accompagne régulièrement l' idée délirante, les souvenirs latents qui, par le mé
s nouvelles sont ainsi non seulement interprétées dans le sens de l' idée déli- i-aiite, mais encore transformées en illu
i- i-aiite, mais encore transformées en illusions. Suit l'étude des idées délirantes les plus typiques et de leurs rappor
es et de former des représentations». Le temps de l'association des idées : ralentissement allant jus- qu'à l'inhibition
lant jus- qu'à l'inhibition de la pensée ; accélération : fuite des idées , logorrhée, stéréotypie chez les individus mal
econ- daire qui comprend les degrés les plus élevés de la fuite des idées . Dans la deuxième partie, l'auteur s'est appliq
séquences ; l'internement n'est le plus souvent pas nécessaire. Les idées de grandeur peuvent être contemporaines de celles
ypo- chondriaque, forme rare, caractérisée par l'existence d' « une idée de persécution au centre des conceptions délira
paranoia abortive, folie du doute, folie avec conscience, folies à idées imposées, pseudomonomanie, im- pulsions intelle
représentations obsédantes, mais aux impulsions, aux phobies et aux idées fixes comme synonyme de folie d'obsession (Zwan
ires, auto- matiques, irrésistibles, étrangères au cours normal des idées , très tenaces ; elles constituent un véritable
ories ont cherché jusqu'à présent à expliquer cet état : celle de l' idée obsédante, presque abandonnée actuellement, cel
les génitaux. Elle peut être acquise ou congénitale. Diagnostic : l' idée ob- sédante est facile à distinguer de l'idée f
itale. Diagnostic : l'idée ob- sédante est facile à distinguer de l' idée fixe normale ou pathologi- que,cette dernière e
est à discuter dans chaque cas. On a pu se demander si la fuite des idées est bien un trouble du langage'; mais il est in
- La doctrine antique de la responsabilité est un anachronisme. Les idées relatives aux choses de la justice évo- luent e
car c'est surtout dans le langage médical que sévit la prolixité. L' idée du législa- · sociétés savantes 469 leur de d
argument contre le mot de « responsabilité » est qu'il implique une idée de métaphysique. Or ce mot non seule- ment déri
non seule- ment dérive du mot latin respondere, mais bien mieux, l' idée de la responsabilité, telle que nous la concevo
t carcel servira pour les deux usages. Les Romains se faisaient une idée très nette de l'aliénation mentale, Ils la cons
é. Il la déduisait de la façon dont il répon- dait. Cela implique l' idée que ce magistrat possédait une culture générale
il y avait la un motif suffisant pour que le magistrat n'ait pas l' idée de déléguer une partie de son pouvoir à une per
iation à l'égard des experts ne soit pas sensiblement différente. L' idée de responsabilité, gravée dans les tahles d'air
mais d'une impulsion aveugle, fatale, pro- duite chez la mère par l' idée des dangers immédiats ou futurs que peut courir
aisies d'armes, 3.hri % ; homicides, 1 ,;¡(j %. Contre lui-même : idées et tentatives de suicide, 15,86 % ; au- to-accu
fuites (soit inconscience ou subconscience, soit hallucinations et idées délirantes) 17,66 % ; outrages à la pudeur, 0,8
32 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
ion des vérités scientifiques proviennent de l'esprit de routine, des idées préconçues; mais elles sont surtout inspirées par
inspirées par la peur que beaucoup de personnes ressentent à la seule idée de faits imparfaitement expliqués. Aussi Braid in
qu'après s'être assuré que le sujet ne formule aucune opposition à l' idée d'être endormi, et qu'il ne se retranche derrière
n réside souvent dans des contre-suggestions de l'entourage, dans des idées préconçues, dans des dispositions du caractère, d
anglaise-atteinte d'une psychonévrose dont l'aboulie, l'indécision, l' idée fixe et l'anxiété étaient les symptômes prédomina
nom de consentement organique. Je veux, par ces termes, exprimer l' idée que les obstacles à la réalisation de l'hypno
hypnogène : Discussion : MM Bérillon et Félix Regnault. M Bérillon: Idées fixes affectives en relation avec l'hémianesthési
é. Il rentrait toujours à la maison nerveux et en colère. Peu à peu l' idée de l'eau-de-vie lui revint et elle se fit de plus
x, appliqués avec insistance. On a bien pu de la sorte lui suggérer l' idée de l'abstinence complète de l'alcool, mais cette
lui suggérer l'idée de l'abstinence complète de l'alcool, mais cette idée , étant contraire au désir et au point de vue du m
vie antérieure ; il rentre toujours à la maison nerveux et irrité ; l' idée qu'il est mal de ne pas prendre un ou deux verres
, le harcèle, elle devient de plus en plus impérieuse, et obscurcit l' idée de l'abstinence complète que la suggestion a intr
laquelle le malade a été certainement en proie à une lutte morale, l' idée qui était maîtrisée par ta suggestion, mais qui n
vide qui soit plus difficile à combler ; mais dans la lutte pour les idées , comme dans les combats de la guerre. le courage
et etCondillac prétendent l'expliquer par la loi de l'associalion des idées qui dirige l'instinct sexuel au moment de la diff
qui était intelligent, cultivé, sans tare nerveuse, eut la singulière idée de simuler une maladie qu'il n'avait pas, en se f
onté, ils n'ont pas leur libre arbitre ». Depuis la guérison de son idée fixe, le simulateur s'est montré transformé. Il a
Donc, l'inverti vous a raconté son histoire. Vous avez constaté l' idée obsédante, l'impulsion sexuelle, l'abaissement de
de très réels avantages. Un uraniste qui, même sans évoquer encore l' idée d'un rapport sexuel normal, en arrive à aimer la
nt de l'Ecole de psycnologie. Le but de tout art est d'éveiller des idées capables de produire une émotion. Les arts diffèr
usique. Il est prouvé maintenant que le rouge n'éveille pas les mêmes idées et ne provoque pas les mêmes sentiments que le bl
te, il est vrai, un ordre de succession rationnel de la sensation à l' idée et de l'idée à l'émotion; mais, si la sensation v
ai, un ordre de succession rationnel de la sensation à l'idée et de l' idée à l'émotion; mais, si la sensation varie seulemen
la sensation varie seulement en intensité,d'un individu à un autre, l' idée éveillée par elle peut être complètement différen
substitue à ce personnage. Ce sont presque toujours, il est vrai, des idées générales qui sont exprimées ; mais il faut remar
exprimées ; mais il faut remarquer que l'auteur personnifie même les idées les plus abstraites, en leur donnant la forme qui
s'adapte le mieux à ses propres sentiments. Il en résulte que la même idée pourra être exprimée de plusieurs façons différen
musique dramatique, l'auteur ne doit plus chercher à s'assimiler une idée abstraite, pour la juger, la faire aimer et s'eff
tel qu'il serait réellement. Pour cela, il doit lui attribuer les idées elles préjugés de sa race et de son rang, lui sup
près d'un mois dans cet état de désespoir et sous l'influence de ces idées noires. Vint ensuite une courte période de joie,
ématuré des eaux fut pour elle, comme un coup de foudre et ramena les idées noires. Si je lui avais fait aussitôt la suggesti
l'enfant travaille uniquement par devoir, sans être aiguillonné par l' idée d'une sanction ; mais nous vivons dans le domaine
uelques années). Dans ce travail, en commun. les hommes apportent des idées plus larges, plus de méthode, de logique ; les fe
volume, aussi clair que substantiel, l'analyse complète des géniales idées de Fourier et l'on verra quelles applications pro
orales et politiques avait pour litre : Ui suggestion hypnotique. Les idées qu'il y avait soutenues sur la question des sugge
le professeur Liégeois avait continué ft défendre ses travaux et ses idées sur l'hypnotisme. Membre correspondant de l'aca
ut allier deux qualités, qui le plus sonvent s'excluent : l'amour des idées générales et le culte du détail dans toute sa min
l savait trouver, dans la constatation en apparence la plus banale, l' idée d'une loi originale et importante. * Homme de c
'introducteur en France de ridée-transformiste, a une époque où cette idée était battue en brèche par les savants-officiels.
adie l'a terrassé en pleine vigueur, il y a quelques semaines. Et ses idées personnelles, qu'il a répandues a profusion, n'on
es à des fautes de technique. H est très important de connaître les idées que le sujet se fait sur l'hypnotisation, car les
estions reçues et des impressions émanant de son organisme. Enfin les idées préconçues peuvent aussi exercer une influence su
memo directe. J'ai assisté à une expérience insensée dans cet ordre d' idées . Un hypnotiseur de profession produisait, chez un
plus en plus difficiles, et non en rapport avec leur capacité, avec l' idée de hater les progrès, sans se rendre compte des o
cientifique. Nous ne pouvons mentionner que quelques-unes des grandes idées qu'il a exprimées : « La science n'existe en
te communication un débat fort animé s'est engagé au cours duquel des idées fort utiles ont été exprimées. M. Moreau-Bérill
'à présent que des résultats peu encourageants. Dernièrement on eut l' Idée de créer dans cet asile une fanfare composée des
le merveilleux. Ici même, nous avons entendu M. Liégeois exposer les idées qui lui étaient chères et nous n'avions pas tous
attention visuelle. On dirait qu'il n'y a plus dans son esprit qu'une idée fixe, obsédante, celle de ne pas perdre de vue le
jamais compromis, et j'accepte mon malheur, comme je me suis fait à l' idée du malheur de ma patrie. Je fais toujours mon ser
: Joserai Chateaubriand ou rion ! » S'il y a dans l'émulation une idée de lutte, c'est souvent celle d'un combat avec so
supplémentaire dont ils n'étaient pas fâchés d'être débarrassés. L' idée m'est venue d'en appeler directement aux intéress
rande surprise, 90 sur 100 se sont prononcées nettement, non contre l' idée de récompense, mais contre le système actuel de r
être content de son sort ». disant qu'un sujet pareil excluait toute idée de progrès et d'ambition et aboutissait à un fata
des camarades. Elle contraint à condenser la pensée, à ramasser les idées dans un temps donné, et. plaçant l'élève dans les
t doit encore entrer en ligne de compte, — mais sans y attacher cette idée de classement rigoureux qui était la base de l'éd
dehors de toutes distinctions de partis, s'associeront à cette noble idée de rendre ainsi nn juste hommage ft la mémoire d'
tère indélébile, le réflexe génital n'étant plus réveillé que par des idées se rapportant h la première sensation fortement r
uisqu'il eut pour but de faire introduire dans la science juridique l' idée de l'irresponsabilité du criminel ayant obéi à de
e juridique l'idée de l'irresponsabilité du criminel ayant obéi à des idées suggérées. Liégeois a beaucoup lutté pour prouver
il a exposé avec la clarté et la logique qui le caractérisent, cette idée dont la justesse le hantait. Lors de l'affaire
souhaiter que la disparition de Liégeois n'amène pas la perte de son idée , car la jurisprudence actuelle qui, comme la méde
uels faisaient sourire sa logique et son bon sens. Cette communauté d' idées a été entre nous deux l'occasion qui nous a rappr
elle seule déterminer le suicide. Voici un cas assez complexe où l' idée de suicide apparaît dans le champ de la conscienc
n de manifestations hystériques au point que, au premier abord, cette idée semble être en rapport étroit et direct avec l'hy
r l'hystérie et l'hypnotisme (t. ?, p. 282). faire remonter cette idée à une phobie primitive qui est elle-même la signa
er, se surmène physiquement et moralement, et c'est en vertu de cette idée qu'elle est indispensable, que sans elle rien ne
coule. Et, un jour, tandis qu'elle est toute à cette contemplation, l' idée surgit tout à coup dans sa conscience, qu'elle se
er dans ce canal, que ce serait le repos absolu, l'oubli définitif. L' idée de suicide n'est pas encore nettement formulée ma
n constate pour la première fois uno hémianes-thésie gauche totale. L' idée de suicide se précise, elle entre complètement da
e firent penser qu'il s'agissait avant tout d'une hystérique et que l' idée de suicide qui avait snbi un commencement d'exécn
ement liée a l'anes-thésie gastrique ; autrement dit je pensais que l' idée de suicide était une manifestation purement hysté
tre l'anesthésie gastrique la malade recommencerait à manger et que l' idée de suicide, de ce fait, disparaîtrait. Je soumis
vint et la malade se remit à manger. Mais, à mon grand étonne-ment, l' idée de suicide persistait. Et pourquoi veut-elle mour
de soi, d'anes-thésie. de phobie et d'obsession et. dominant tout, l' idée de suicide rendue chaque fois plus forte, plus te
; le mois de mai, époque où. pour la première fois, s'est affirmée l' idée de suicide. On peut dire que la malade qui fait
sera la cause de toutes les rechutes, c'est lui qui domine et règle l' idée du suicide. Cette prédisposition névropathique,
cours à l'Ecole de psychologie.le Dr Bérillon a exprimé fréquemment l' idée qne les applications de la psychologie reposent e
ison, « de tout classement entre les hommes ne parte pas d'une fausse idée de « l'égalité humaine et d'un sentiment d'incons
ans l'instruction de nos élèves n'exclura pas de nos préoccupations l' idée de Véducation du caractère. D'ailleurs l'instruct
lus vouloir ou du moins elle ne sait plus ce qu'elle veut ; quand une idée naît dans sa conscience, immédiatement c'est l'id
veut ; quand une idée naît dans sa conscience, immédiatement c'est l' idée contraire qui l'attire, son caractère est suivant
aujourd'hui elle doit être non seulement inutile, mais nuisible. Ces idées entretiennent et déterminent un état d'émotivité,
ie, de l'hystérie et, dominant le tout, un syndrome mélancolique avec idée de suicide. Avant d'aborder la pathogénie de ce
olique avec idée de suicide. Avant d'aborder la pathogénie de cette idée de suicide et d'essayer de la rattacher à sa caus
petit tempérament et à partir du jour où mon mari mit en pratique ses idées , je remarquais des choses : c'est que, avant l'ac
es faire disparaître. Arrivons en. maintenant à la patliogénie de l' idée de suicide qui est le but de cette étude, peut-êt
peu longue. A n'examiner que les faits, il est facile de rapporter l' idée de suicide que nous constatons chez notre malade,
i connus et si bien décrits, de suicide héréditaire. Mais dire qu'une idée de suicide est héréditaire cela vent simplement d
sposée au suicide. Il faut donc rechercher la cause prédominante de l' idée et ici la question se pose de savoir si la névros
stion se pose de savoir si la névrose ou la psychose qui accompagne l' idée de suicide est la cause déterminante de cette idé
e qui accompagne l'idée de suicide est la cause déterminante de cette idée ou bien si elle n'est elle-même qu'une conséquenc
serait bien si son corps pouvait lui aussi être ballotté par l'eau. L' idée de suicide se trouve ainsi dans la sphère inactiv
éprouvent certains névropathes. Les malades chez lesquels on trouve l' idée de suicide, présentent, à côté des concomitances
côté des concomitances psychiques qui expliquent et justifient cette idée , un ensemble de phénomènes décrits sous le nom de
r à la douleur, à l'angoisse, que par un seul moyen, la mort. Ainsi l' idée de suicide nous apparaît comme une conséquence de
per, le malade ne trouvera plus un refuge que dans la mort. Ainsi l' idée de suicide nous apparaît indépendante des névrose
acquis. Mais ce trouble à lui seul est insuffisant pour déterminer l' idée de suicide, il y faut encore certaines circon
réalisées par les conditions même de la vie. Cette conception de l' idée de suicide comporte des indications pronostiques
indications pronostiques qui ont leur valeur. On peut dire que toute idée de suicide, doit être considérée en dehors de la
n du devenir de ces malades, il faut moins considérer la névrose et l' idée de suicide en présence desquelles se trouvent ces
leur mépris. Ces conversations impressionnent vivement leur fille ; l' idée s'installe en elle qu'il serait affreux de deveni
e répond sans empressement, comme à regret, cachant soigneusement son idée obsédante et mettant sa nervosité sur le compte d
ment à sa grossesse et son esprit ne s'arrête pas longtemps sur cette idée ; elle s'efforce de ne pas rechercher si on la re
stant avant la provocation au somnam- 1) Pierre Jaoet : Névroses et Idées Tires. Parle 1904. bulisme. Cette période peu
et il reconnaît qu'elles coïncident bien avec son expérience. Mais l' idée ne semble pas lui être venue d'essayer la méthode
L'activité psychique chez les neurasthéniques M. René Lanfer a en l' Idée d'examiner les résultats de cette activité psychi
termina par une allocution dans laquelle M. Lionel Danrlac résuma les idées philosophiques qui l'avaient Inspiré pendant sa l
qui pourraient convenir k la délicatesse féminine on n'a jamais eu l' idée de recourir à des femmes. Si le terme de dégust
l'apanage exclusif de l'homme et je gage que personne n'a jamais eu l' idée , en parlant d'une dame de déclarer qu'elle était
e de leurs fils, souvent très exercé. ' Us n'auraient pas même eu l' idée de demander à leurs filles si elles savaient qu'i
on est ainsi amené à augmenter la durée des séances conformément aux idées et à ln pratique de "Wetterstrand relativement au
te ' Jules Liégeois était, ce qui est donné à bien peu, l'homme d'une idée , et d'nne idée qui restera dans la science des ps
eois était, ce qui est donné à bien peu, l'homme d'une idée, et d'nne idée qui restera dans la science des psyeholoques, et
veaux collaborateurs nous a donné les preuves de son dévouement a nos idées et de son érudition psychologique. Plusieurs d'en
toujours prêché la paix et l'iiarmonie ne se sont jamais opposés fi l' idée que la Chine puisse être un peuple fort, bien au
umping beans. Aucun de ceux auxquels j'ai montré ces graines n'a en l' idée d'en* explorer l'intérieur ; or, vous m'avouerez
nt chantés par tous les fidèles. Leur texte est très significatif des idées progressistes de la congrégation. Leur gravité im
la morale chrétienne seule, parait insuffisante. On leur inculque des idées modernes. Les femmes, de leur côté, forment des g
situation, nous chercherons à pénétrer les causes de ce changement d' idée et, par des contre-suggestions appropriées, nous
l'école du village et se mit à tisser dans la maison paternelle. Ses idées religieuses étaient déjà un peu extravagantes ver
plus. Avec le temps cette « Madame Humbert » religieuse eut d'autres idées sur le mariage. Elle défendit, d'abord, qu'il y e
ou croix. peu nous importe la signification primitive; c'est à l' idée humanitaire seule que nous avons voulu nous range
dans toute sa longueur. Ce qu'il exprimait en parlant ainsi c'était l' idée de la supériorité de la force coordonnée et organ
és dans les nuages bleuâtres de leur pipe. Us ont en tête une foule d' idées , de projets ; mais ils n'ont le courage d'en exéc
ile, et ayant étudié les autres, ce qui est moins aisé, en déduit des idées générales et des règles qui le conduisent à être
vement, l'influence du geste sur la physionomie et la production de l' idée : j'ai exposé longuement les méthodes thérapeutiq
s qui utilisent le mouvement (sous toutes ses formes) pour rappeler l' idée momentanément effacée par la maladie. Les nombr
l'emploi sur le malade d'une gymnastique méthodique en rapport avec l' idée qu'on veut lui inculquer. Toutes les questions
as sur la volonté en elle-même mais plutôt sur la transformation de l' idée en acte. Us veulent, ils commencent même l'action
. Je disais alors et je le répète encore aujourd'hui bien que mes idées me -soient personnelles, que si l'on veut compren
rd'hui, cette femme qui pleurait, parce quelle ne pouvait passer de l' idée à l'acte, dormait sur ce'point : -elle ne pouvait
ée à l'acte, dormait sur ce'point : -elle ne pouvait extérioriser son idée : l'image motrice dormait en elle. Il fallut sur
aboration du maître et de l'élève. C'est là proprement le principe, l' idée première de l'éducation attrayante. Elle emploie
une figure perpétuelle et à chaque pas renouvelée, on n'y reçoit les idées qu'en images ». Or, voyez comme ces expressions s
mollesse ; elle n'en marque pas moins nn progrès remarquable sur les idées de son temps. An xvn° siècle, l'autorité monarc
de mettre de l'art et de l'agrément dans son style pour répandre ses idées dans le monde. Au xvrr9 siècle, ou avait néglig
'être « juste en détail » pour Rousseau dont l'ouvrage est une mine d' idées nouvelles reprises en partie aujourd'hui par les
artisans de l'éducation attrayante. Et on ne peut que souscrire à ses idées quand il dit : « Au lieu de présenter aux enfants
survécu. Au XIX1"*1 siècle, de nombreux pédagogues s'inspirent des idées de Rousseau. Parmi les plus fameux. Frœbel. le cr
i veut d'abord exercer les sens et par leur moyen, faire pénétrer les idées dans le cerveau : Pesta lozzi « le pédagogue de l
hasténique. Ainsi, parmi les troubles intellectuels se présentent les idées fixes des somnambules et les obsessions des scrup
tuosités physiques et morales. Elle est donc en parfaite communauté d' idées avec le Dr Voisin. Je lève mon verre en l'honne
sentent plus l'odeur des hommes et celle des femmes leur provoque des idées voluptueuses. Tel est également l'opinion d'un
au tannage des cuirs eut amené cette modification. Dans cet ordre d' idées , on nous cite ce fait, qu'à l'époque du premier e
lui faire perdre des habitudes pernicieuses, de faire disparaître des idées illogiques, des anxiétés, des croyances, autant d
maître s'accroît d'autant, mais s'il arrive à créer cette communion d' idées avec ses élèves, son travail est à la fin merveil
apeutique, un grand nombre de médecins français et étrangers eurent l' idée de se grouper pour fonder une société destinée à
est un sur garant que nous ne ferons jamais la moindre concession aux idées qui ne seraient pas conformes à l'esprit le plus
ur et le plus profond.. (1) L'empereur expliquât! ]« netteté de ses idées et 1« faculté de pouvoir, sans se fatiguer, prolo
n'avait éprouvé d'insomnies par la préoccupation Involontaire de ses Idées Vtax-jt dormir.je ferme tous tes tiroirs,et me vo
t général k Bamberg. Hohenlohe fut dès sa jeunesse en communication d' idées et en relations personnelles avec l'école mystiqu
aquineries d'un de ses camarades. Pascal même, voulant répandre des idées morales dans la société, introduisit sur le conse
aspiration de lout cœur humain. 11 faut élever les enfants dans cette idée et les garder de toute crainte. » Qui s'exprime a
pour le ß entraîner à l'effort qui sera la loi de la vie. Dans cette idée , on les garde plusieurs heures par jour sur les b
indéfinissables, (aboulies, obsessions, doutes, sei-upules, phobies, idées hypochondriaques) qui ne'sont pas absolument inco
non sans quelque emphase. « le penser analomique. » Dès ce moment, l' idée me vint que « le penser psychologique » alors si
maîtres était développée, ne furent pas éloignés de considérer que l' idée d'associer les sels de bromure en une trinité thé
res, l'hydrothérapie, l'isolement, il ne venait pas au neurologiste l' idée qu'il y eut quelque chose de véritablement utile
ésie à peine croyable à une époque où il ne serait venu à ] ersonne l' idée de secouer le joug de la discipline dogmatique im
fforts de persuasion ponr gagner sa confiance et lui faire accepter l' idée d'un traitement régulier. On ne peut qu'être surp
la entre la publication du livre de Liébeault et la révélation de ses idées . Il passa tout ce temps à s'occuper de ses malade
uisit. Actuellement, l'enfant a cessé toute pratique onanistique. L' idée , supprimée par l'hypnose, ne lui vient plus, comm
, insupportable à l'école comme en famille. L'n seul fait donnera une idée de sa malignité : il s'est amusé récemment à cass
gestif, dans des conditions données, à l'acceptation d'un fait, d'une idée , d'une croyance. Elle est, par là, le point de
là, le point de départ de l'éducation individuelle, d'une quantité d' idées acquises, d'impulsions communes, on d'actes qni f
es unes dilatées facilement m'ont paru appartenir à ceux pour qui mes idées et ma candidature étaient sympathiques : voix acq
ien qui m'a fort intéressé : sa facture est à longue phrases dont les idées accessoires se succèdent et s'emmêlent. en pé
des superposées, appelant l'attention, la tendant, la charmant en ces idées accessoires et suggestives pour arriver brusqueme
essoires et suggestives pour arriver brusquement, autoritairement à l' idée principale affirmée : suggestion collective. Ob
as, comme facteur principal le rythme, musical dans la phonation de l' idée par l'orateur et la vision suggestive de celui-ci
re humaine, durant que le phénomène pupillaire s'accomplit, certaines idées prennent possession de notre intellect, certains
? — Je crois pouvoir l'affirmer et dire que de la réitération de ces idées , de la répétition de ces actes, résultent des hab
ionnabîlité : son intelligence dominera ses sens, et il n'acceptera l' idée suggérée que si son intellectualité, après mûre r
ydriase. d'ordre suggestif, est, dès l'enfance, la porte d'entrée des idées conventionnelles de morale qui doivent adapter l'
e sommeil dans lequel l'hypnotiseur et l'hypnotisé peuvent échanger d' idées entre eux. L'auteur se posant la question : Com
. Il recommandera au malade de se coucher et de se recueillir sur une idée indiffé- rente. Souvent une excitation extéri
l ainsi obtenu est un phénomène de la suggestion : l'action vive de l' idée visant au but désiré. L'auteur étudie ensuite les
ier cas on parle de suggestion. ? y a hétéro-suggestion alors que l' idée du but visé a été introduite par une autre person
end l'étude de la suggestion dans ses rapports avec la volonté. Une idée prenant empire dans l'âme se traduit aussitôt en
-disant s mouvements volontaires aussi bien que les actes réflexes. L' idée du but visée, dans l'acte volontaire emprunte
nt volontaire, un acte quelconque viennent à se réaliserai faut que l' idée de ce mouvement ou acte règne dans l'esprit : 2
lisé est un acte volontaire et l'individu censé actif du moment que l' idée menant à cet acte emprunte sa force à un motif ré
aux besoins de sa famille. Si l'homme obéit à la loi morale, si les idées dominant dans son âme concordent avec les motifs
onduit à établir que celle-ci peut être éliminée. a Par évocation d' idées contraires ; b En captivant l'attention par des
L'homme à le pouvoir de détourner ses pensées d'une sensation, d'une' idée spéciale, soit au moyen du travail, soit par l'ap
alade désespéré, de lui créer un nouvel idéal, de le détourner de ses idées noires, de renforcer sa volonté. L'hypnose dans c
33 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Les faits qui vont suivre apportent aux idées que je défends un appui considérable. Non seule
resque toujours la même (crainte du cancer), se cramponnent à cette idée , la retournent dans tous les sens, en font le p
xiste entre eux et ceux qui vont suivre. Le point d'application des idées obsédantes peut varier, mais la qualité patholo
rier, mais la qualité pathologique des malades est la même; que ces idées se portent sur la langue, sur les dents, sur le
D1' Fernet, auprès d'une malade qui, subitement, avait été prise d' idées mélancoliques. Après avoir longtemps et vaineme
eur, disait 111°1° L..., était projeté de côté. Non seulement ces idées s'étaient impérieusement installées dans son es
onstrations les plus évidentes, aux conseils, aux exhortations. Son idée fixe était qu'elle était atteinte d'une maladie
e sa maladie actuelle il a l'esprit constamment tourmenté par cette idée fixe, que d'au- tres opérations pourront être t
Je revis plusieurs fois 111 ? de X..., toujours poursuivie par son idée fixe et par sa contracture. Celle-ci était devenu
1882-1886, 4 N-ol. in-8°. 26 PHYSIOLOGIE. et de manifestation des idées . L'existence de centres sensoriels et sensitivo
resque toujours, « tous les sens concou- rent à l'élaboration d'une idée » '. Dès que l'idée ou l'image exige, pour appa
ous les sens concou- rent à l'élaboration d'une idée » '. Dès que l' idée ou l'image exige, pour apparaître avec une inte
erminée de l'encéphale comme un produit stable et in- variable. Les idées n'existent que durant leur évocation de l'incon
phénomènes naturels, la qualité, la quantité et les rapports des idées doivent nécessairement changer d'une façon cor-
la même que chez Herzen et chez Ardigo'. Dans un mémoire sur les Idées fixes et leurs conditions physiopathologiques ,
minent psychologue voyait dans ce qu'il appelle « la convulsion des idées » ce que (Esquirol avait ap- pelé une sorte de
: elle ne réussit pas mieux à maî- triser une image obsédante, une idée morbide qui s'exalte et tend à passer à l'actio
plus grande survit. Mais, lorsqu'il s'agit du processus morbide des idées fixes, toute lutte est vaine et inutile, et tou
dominante ne laisse aucun espoir de vaincre '. » On retrouve ces idées dans une étude récente, et qui nous semble de p
ssociation automatique, partant involontaire et inconsciente, des idées , des sentiments et des mouvements, est fréquente
els Charcot et ses élèves ont récemment- appelé l'attention, et les idées fixes, si bien étu- diées par Buccola, font com
ts que présentent ces déments sont donc analogues aux rési- dus d' idées , et, de fait, ce sont des résidus d'images 40 P
constamment rapprochée des troubles psychiques du même genre des idées et des émotions chez ces ma- lades. Bianchi a d
ilité, ce qu'est dans celui de l'intelligence l'apparition subite d' idées et d'émotions sans liens d'association évidents
te pas quelque fil invisible ou très subtil d'association entre ces idées . lnlomo alla assoaazion délie idee. liev. di fi
, et d'une très gran- de portée pour l'explication scientifique des idées et des impulsions incoercibles, est dû à Tambur
sur les hallucinations motrices, ce savant n'a eu qu'à rappeler les idées vraiment géné- rales de son hypothèse des centr
ctiles et musculaires, qui ac- compagnent la phase centrifuge d'une idée motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement ef
aucune hallucination verbale de la vue ni de l'audition, et point d' idée délirante de persé- cution. Il s'agit donc bien
.) Rappelons encore ces paroles de Bianchi, fort en accord avec les idées de l'école expérimentale des physiologistes et de
ientif., 5 févr. 1887. 56 PHYSIOLOGIE. chet, « c'est se faire une idée très fausse du siège des facultés intellectuell
cune catégorie exclue, - je pourrais bien faire, à l'appui de cette idée , un raisonnement a base anatomique, mais je m'en
ences soigneuses, dit qu'il n'y a aucun fondement pour admettre les idées de Munk, que les seg- ments de la rétine sont e
ce qui se passe en lui et attribue une trop grande impor- tance aux idées qui lui trottent par la tête et aux perceptions d
l y a réellement transmission à une personne saine en tous points d' idées délirantes; cette dernière les accepte et les '
t les ' fait siennes ; si l'autorité du délirant-contage impose ses idées dé- lirantes, son départ coincide avec la dispa
fonctionnelle des personnes. Il examine les faits dans l'ordre des idées que nous venons de relater. Enfin il consacre que
ui ont reçu les dénominations de : désordre avec confusion dans les idées (\Ville); - démence (Esquirol); - folie systémati
dépourvues de sens. Observation IL Simulation de désordre dans les idées avec délire. Les allures du sujet changent quan
et les délusions sont secondaires, la formation pathologique des idées suivant dans ce cas la même marche que le process
e conservation de la faculté de raisonner vient aussi combattre l' idée que la maladie ait pu débuter par les centres sup
généré, jadis atteint d'agita- tion maniaque avec désordre dans les idées (deux accès), à la suite de séjour prolongé dan
lancolie, et il n'est pas très rare que celle-ci soit accompagnée d' idées de suicide. Ils se rencontrent le plus souvent ch
u'une étude d'ensemble ; aussi l'analyse n'en donnerait-elle qu'une idée fort imparfaite. R. blUSGRAVE CL.&Y. R, M
s institutions sociales de leur pays et ont une grande tendance aux idées révolutionnaires. Cette mélancolie disparaît ra
in d'une glorieuse carrière médicale, M. Baillarger a eu l'heureuse idée de réunir en deux volumes les mémoires qui étab
délire triste, sont plus ou moins complè- tement déprimés, ont les idées embarrassées et la conception lente, tombent da
ion, plus d'un point douteux ou inconnu, un article confirmatif des idées de Sydenham sur la folie consécutive aux fièvre
vices d'aliénés sous le nom de sonde de Baillarger, nous aurons une idée de ce qu'est ce livre considérable, véritable m
ulpteur de talent et dessinateur impec- cable, M. Paul Richer eut l' idée , il y a plusieurs années, de mettte e ces quali
lire et comprendre le modèle qu'ils auront choisi. » Voilà pour l' idée générale qui a présidé à l'oeuvre : nous ne sau-
ifestations et à mettre en lumière l'évolution, pour faire valoir l' idée originale qui domine ce livre, et qui consiste
t d'abord une tristesse profonde, un complet découragement. C'est l' idée fixe que le mal est sans remède, véritable obse
out ce qui, au point de vue de ma thèse, peut- être retenu dans les idées de Broca, c'est qu'il fait un centre olfactif d
appareil olfac- tif. Les auteurs modernes semblent abandonner les idées de Broca; et l'on revient à tourner les yeux du
onstitué à l'ourlet du manteau cérébral, semble se rapprocher des idées de FOVILLE, lequel dit à ce sujet : . « Il (le
te ; c'est le pro- duit artificiel d'une dissection dirigée par une idée préconçue. » HUGUENIN admet le système de l'our
laquelle les sentiments pathologiques des or- ganes entretiennent l' idée hypocondrique, ou bien des causes bien définies
de penser chez ces malades subirait l'influence décidée de leurs idées mélancoliques, entretenues parleurs organes souff
n de tem- pérature enrapport avec le repos, confirme avec éclat l' idée suivant laquelle il y a équivalence et convertibi
dans le corps géniculé interne du même côté; il confirme ainsi les idées de Baginsky et Fleschsig. - Nous avons donc suj
d'après tous les nombreux faits mentionnés, est en faveur de cette idée que tout le trajet de la sensibilité remonte du c
proportions étaientde 8 et 15 p. 100. Il faut faire son deuil de l' idée de la rétrogradation atavique ; la dégénérescen
ladie a déterminé, pendant sa période fébrile, du désordre dans les idées , des hallucinations, de l'agitation sous forme
estime qu'elle lui a conférés. Il rappelle l'évolution actuelle des idées qui porte toutes les sciences vers l'améliorati
un jeune homme de vingt-deux ans, qui fut pris de pneumonie, puis d' idées d'empoisonnement et de folie religieuse (halluc
'influenza déter- mina de l'angoisse avec agitation et désordre des idées ; en moins de vingt jours, il était mort; on tro
1. Schmalfus (deIlanovre). L'influenza développa chez une femme des idées délirantes hypocondriaques, notam- ment des idé
hez une femme des idées délirantes hypocondriaques, notam- ment des idées d'empoisonnement et des craintes de phthisie pu
ans réserve. Nous avons le regret de n'en pouvoir dire autant des idées em- pruntées par l'auteur sur sa conception act
sans pouvoir les découvrir les stigmates officiels de l'hystérie, l' idée d'une lésion organique pouvait venir à l'esprit
état général, les antécédents, etc., je gardai par devers moi cette idée que l'hystérie pouvait bien être en cause. Et l
alade. Les deux schémas suivants vous donne- ront par contraste une idée de la situation du sourcil dans le spasme palpé
ais toutes les recherches faites jusqu'aujourd'hui dans cet ordre d' idées , ne reposaient que sur des faits isolés et n'av
oint, lorsque M. le Dr Mot- choutkowsky (d'Odessa) eut à son tour l' idée d'impres- sionner les sens dans la phase des at
duits à faire de plus complètes investigations, dans le sens de l' idée de M. Motchoutkowsky, dans ce vaste champ d'exp
rit, puis regarde avec attention.) Mon père, je veux me retirer ces idées . Tu as toujours été bon. Ma pauvre mère, je te
'on place devant elle, sans s'en occuper, toujours conduite par son idée domi- nante. La parole n'a aucune action. Elle
eu a éveillé l'image de sa mère dans le ciel, la piqûre au ventre l' idée de laparatomie, l'éther le ta- bleau d'attaques
AQUE HYSTÉRIQUE. par la parole, soit par des bruits appropriés, des idées délirantes qu'il avait spontanément manifestées
la dénomination qui, en l'état de la nomenclature, donne le mieux l' idée du plus cons- tant de leurs caractères, je croi
expériences sur le gyrus fornicatus, qui prouvent la précision des idées anatomiques de Rroca sur l'unité du lobe falcif
millimètres. » La dissection de sir W. Turner est donc opposée aux idées de Zuckerkand sur l'absence de l'hippocampe che
nctionnement des cordons et des centres sensitifs correspondants. L' idée ou la conception d'un mouvement est donc un rév
Le réveil de ces impressions, séparément ou con- jointement, est l' idée du mouvement et ce qui nous permet de produire
gnent l'ac- tion musculaire et qui forment en partie la base de nos idées de mouvement sont distinctes des centres cortic
actionnées par le mouve- ment lui-même. On peut concevoir que les idées de mouvement peuvent être for- mées et les mouv
tante n'implique pas que l'un est dépen- dant de l'autre ou que les idées musculo-sensorielles de mouve- ment soient les
nce, puissent renaître idéalement et entrer dans la composition des idées et des conceptions de mouvement. Mais si, comme
ladies mentales. Délire des persécutions. - Persécutés géni- taux à idées de grandeur. Rapports du délire avec les hallucin
ion, en particulier à l'emploi de l'électricité. Dans cet ordre d' idées , M. le DilMorel (de Gand) vient de publier une
aire dans les conditions les plus variables et les plus opposées. L' idée fixe est, on le sait, le symptôme essentiel du dé
cherche surtout à se débarasser par tous les moyens possibles. L' idée fixe de persécution se retrouve du reste chez les
entraîne la volonté; et le jugement qui peut, au début, réprouver l' idée fixe cesse bientôt d'exercer son contrôle, ce q
ôle, ce qui ne l'empêche pas de reprendre son action en dehors de l' idée fixe. Les idées obsédantes décrites par Westpha
l'empêche pas de reprendre son action en dehors de l'idée fixe. Les idées obsédantes décrites par Westphall chez quelques
décrites par Westphall chez quelques aliénés se rapprochent de l' idée fixe qui caractérise le délire des persécutions :
sant subitement, involontairement, interrompent ainsi la marche des idées du malade, s'imposent à l'attention avec une én
Les actes impulsifs sont, on le comprend, un phénomène réflexe de l' idée obsédante, ils n'en sont que le développement rég
de l'idée obsédante, ils n'en sont que le développement régulier. L' idée fixe dans le délire de persééution a, au début, u
ans le délire de persééution a, au début, un peu le caractère d'une idée obsédante : elle est, en effet, d'abord isolée
tisé. Les interprétations fausses, délirantes sont inséparables des idées fixes dont elles sont une résultante : elles se
pos des faits les plus ordinaires, toujours dans le sens de la même idée fixe. Les hallucinations de l'ouïe sont prédo
de persécution systématisé. Forme typique. .Maladie de Lasègue. L' idée fixe de persécution, les interprétations délirant
en sont atteints. Puis on voit se développer consécutivement à l' idée délirante, dans la grande majorité des cas, les a
orme mégalomaniaque. Le délire de persécution peut s'associer à des idées ambitieuses pour constituer une forme complexe.
mplexe. - Dans quelques cas,'dit M. Dagonet, on voit apparaître des idées ambitieuses en même temps que se développe le d
timents dépressifs se transforment en sen- timents expansifs et les idées d'oppression et de persécution de- viennent des
ansifs et les idées d'oppression et de persécution de- viennent des idées de grandeur. Ou bien, dit Scliûle, cité par l'a
prolongé, ce dernier disparaissant entièrement, et dans ce cas les idées anciennes s'effacent et le malade abandonne son
tellectuelle. Schüle a cité quelques cas rares où les deux ordres d' idées déli- rantes, ambitieuses et de persécution se
tané- ment, dès le début. Il cite encore deux observations où les idées ambitieuses s'étaient produites au début de l'a
s ambitieuses s'étaient produites au début de l'affection, avec les idées de persécutions, puis [avaient disparu complète
ur reparaître plus tard avec une intenssité plus grande, à coté des idées de persécution. Des idées ambitieuses seules, s
une intenssité plus grande, à coté des idées de persécution. Des idées ambitieuses seules, sans idées de persécution, co
à coté des idées de persécution. Des idées ambitieuses seules, sans idées de persécution, comme on les voit dans la paral
uspendues et qu'on conslatait dans le plus grand nombre des cas des idées délirantes de nature triste et un delire sensor
ure triste et un delire sensoriel plus ou moins en rapport avec des idées déli- rantes. Une observation citée par M. Dago
iation que l'on rencontre chez un certain nombre de ces malades d' idées hypochondriaques et de persécution. Si dans le
e ce désordre, on ANNALES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 441 remarque les idées prédominantes de persécution plus ou moins accu
odes d'excitation avec impulsions violentes, on observe souvent des idées de persécution. La paralysie générale présente,
rares, les manifestations délirantes habituelles asso- ciées à des idées de persécution prédominantes. Ces idées de per-
bituelles asso- ciées à des idées de persécution prédominantes. Ces idées de per- sécution peuvent se présenter soit à la
yel. M. Doutrebente reprend la ques- tion des persécutés génitaux à idées de grandeur, non pas qu'il veuille apporter des
'avant M. Marandon de Montyel il a pris la parole pour signaler des idées de grandeur chez un persécuté génital. M. Doutr
a vue. Il s'agit donc de chercher dans la nature psychologique de l' idée délirante la raison d'être, la condition de l'h
ogique produit par des causes pathologiques; il en est de même de l' idée délirante. La genèse spéciale empêche l'idée de
il en est de même de l'idée délirante. La genèse spéciale empêche l' idée de correspondre à la réalité des choses. Il est b
é par la nature même des représentations mentales qui constituent l' idée délirante. En effet, une idée déhranre ou non e
sentations mentales qui constituent l'idée délirante. En effet, une idée déhranre ou non est un groupe d'images visuelles,
est un groupe d'images visuelles, audi- tives, motrices, etc., et l' idée , quelque abstraite qu'elle soit, et pour qu'ell
e l'esprit, et c'est à lui seul que nous devons la connaissance des idées abstraites. Ces explications visent le cas où l
naissance des idées abstraites. Ces explications visent le cas où l' idée délirante serait une idée abstraite; mais le méca
ites. Ces explications visent le cas où l'idée délirante serait une idée abstraite; mais le méca- nisme organique mystér
i fait apparaître les idéesdélirantes, ne fait pas apparaître cette idée sous la forme exprimée par le mot on me persécu
serait incompréhensible pour le malade), mais bien sous la forme d' idées de faits : ces faits sont des mots entendus, c'
il se les représente dans son centre auditif. C'est là la véritable idée délirante, c'est cette idée auditive qui est le p
n centre auditif. C'est là la véritable idée délirante, c'est cette idée auditive qui est le point de départ de tout le
n le voit, autre chose que des mots, ou si l'on aime mieux, que des idées auditives verbales dans l'idée du malade. De pl
ots, ou si l'on aime mieux, que des idées auditives verbales dans l' idée du malade. De plus, cette expression du persécu
comprend ce geste ou cet acte qu'il a vu qu'en le rapportant à ses idées auditives. Ces faits ne servent qu'à réveiller
organique de la maladie. Ainsi, en un mot, dans la forme étudiée, l' idée de persécution est une idée audi- tive, et avec
si, en un mot, dans la forme étudiée, l'idée de persécution est une idée audi- tive, et avec Lelut, on peut dire que l'h
audi- tive, et avec Lelut, on peut dire que l'hallucination est une idée délirante elle-même devenue sensation. Mais,
ance, qui fait que le malade porte sans cesse son attention sur son idée et en écarte, par cela même, toutes les idées i
son attention sur son idée et en écarte, par cela même, toutes les idées intermédiaires (Pariset), ou comme le dit Taine
comme le dit Taine, les réducteurs antagonistes, autrement dit les idées de contrôle. Nous avons vu que les persécuteurs
s visuelles, par la raison que ces gestes ne font que réveiller les idées auditives, seul fondement du délire. Du reste, l'
que le fond de ce délire est un orgueil pathologique et une fausse idée ou plutôt un sentiment du droit et de la justice
'une attaque injustifiable. Il n'y a pas de concentra- tion sur des idées délirantes, comme chez le persécuté à hallucina-
conséquence de ces dis- positions moi-bides est l'acte et non pas l' idée délirante ; l'hallucina- tion ne peut donc appa
lucina- tion ne peut donc apparaître puisque son degré inférieur (l' idée ANNALES MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 445 délirante)
son bon droit, mais cet état d'esprit ne sert pas à transformer une idée sensorielle qui n'existe pas en hallucination,
allucinations de la vue (entre autres) parce qu'un état faible, une idée visuelle a précédé l'hallucination, parce que l
tat d'halluci- nation, certainement analogue au rêve. A côté de l' idée fixe que l'aliéné à délire systématisé s'assimile
fixe que l'aliéné à délire systématisé s'assimile pour en faire une idée délirante, on rencontre un trouble mental analo
analogue mais qui diffère cependant d'une façon catégorique de l' idée fixe, en ce sens qu'elle ne devient jamais une id
atégorique de l'idée fixe, en ce sens qu'elle ne devient jamais une idée délirante : n'est l'obsession. En effet, l'obse
e. Le fou systématisé se conforme logiquement aux déductions de son idée fixe qui a pénétré comme telle dans la conscien
its par ! \lare ! . M. Falret, tout en partageant au fond les mêmes idées que M. Magnan, croit devoir admettre comme une
e atteinte de mélancolie ou d'hypocondrie. Dans certains cas, les idées mélancoliques et hypocondriaques ont été plus act
sujet. Ce symptôme persiste même quand il existe simultanément des idées de pré- somption. D'ailleurs, le délire de prés
jamais il ne se montre seul dans la paranoïa. Si l'on considère les idées de pre- somption dans leurs rapports avec la fo
distinguer quatre formes : - 10 Absence complète et permanente d' idées de présomption (Obs. et II) ; 2o Idées de préso
nce complète et permanente d'idées de présomption (Obs. et II) ; 2o Idées de présomption survenant au début de la maladie e
présomption survenant au début de la maladie en même temps que des idées de persécution (Obs. III); 3° Idées de présompt
a maladie en même temps que des idées de persécution (Obs. III); 3° Idées de présomption qui, après s'être montrées au dé
après s'être montrées au début de la maladie en même temps que des idées de peisécution, rétrocèdent pendant plusieurs moi
sieurs années pour revenir plus tard plus intenses (Obs. IV. V); 4° Idées de présomption s'ajoutant (c'est l'allure ordinai
temps plus ou moins long (quelques mois ou quelques années) à des idées de persécution, pour persister, devenir permanent
socier définitivement a ces dernières. (Obs. VI à X.) Evidemment, idées de présomption et idées de persécution émanent
a ces dernières. (Obs. VI à X.) Evidemment, idées de présomption et idées de persécution émanent d'un même tronc patholog
frappé. Ce dernier peut, sinon guérir, au moins s'accommoder de ses idées délirantes qui palissent. Quant au terme, par
ktheit à la démence secondaire avec excitation et désordre dans les idées ; ce mot convient aussi aux malades qui conçoive
lVulensittta s'applique aux aliénés chez lesquels prédominent des idées délirantes de toutes pièces. (Voy. Archives de Ne
tielle et ca- ractéristique du délire. Partant de là pour étudier l' idée délirante, l'auteur conclut que le délire est d
et à l'état latent, chez l'homme bien développé. Entre ce groupe d' idées piimilives et celui des idées plus récentes, il
mme bien développé. Entre ce groupe d'idées piimilives et celui des idées plus récentes, il y a, chez l'homme complet et bi
la conscience, un état affectif, un trouble dans l'asso- ciation d' idées , un grand nombre de symptômes très variables d'
une clarté relative de la conscience, un développement subaigu des idées délirantes qui ne se présentent jamais sous une f
es psychiques, tels que les sensations, l'action, l'association des idées , les souvenirs, l'attention, la volonté que l'a
La préface dont M. Charcot a honoré ce travail en exprime mieux l' idée générale que ne pourrait le faire une courte anal
34 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
clinique; avec le diagnostic suivant : Délire mé- lancoliqave avec idées confuses de persécution, découragement, ten- da
gnostic : Alcoolisme, hallucinations. Insomnie. Propos désordonnés. Idées de suicide. K ? exerce la profession de garçon
at négatif. Très rapidement le malade s'est amélioré. En dehors des idées confuses de persécution dont il avait conservé
ur sa demande. La confusion mentale a disparu, ainsi que toutes les idées délirantes, qu'il a presque totalement oubliées.
tion des malades nécessitant une surveillance con- tinue (malades à idées de suicide, malpropres, agités, isolés), s'est
- gage articulé, possède un vocabulaire assez complet, a quelques idées simples, des sentiments affectifs, pas de mauvais
sme, stéréo- typie des attitudes et des mouvements, incohérence des idées , gri- maces, impulsivité), tous d'origine menta
eu que si, au préalable, le champ de la conscience est visité par l' idée de ce mouvement ou de cet acte. Si cette idée ne
ence est visité par l'idée de ce mouvement ou de cet acte. Si cette idée ne se heurte pas à des idées opposées, le mouve
e ce mouvement ou de cet acte. Si cette idée ne se heurte pas à des idées opposées, le mouvement, qui a dès lors lieu, est
est le cas de la plupart des actes habituels. S'il se pro- duit des idées de mouvement concurrentes, il faut qu'elles soien
assées du champ de la conscience : c'est le rôle de la volition ; l' idée victorieuse entraîne l'acte de choix. Le degré
te de choix. Le degré de netteté dans le champ de la conscience des idées de mouvement dépend de l'activité des centres p
s ne rencontrent pas de stimulus contraires, sous l'influence d'une idée motrice toute pas- sagère, à demi consciente, q
orpidité des centres, il faut, pour que l'acte s'accomplisse, que l' idée de mouvement soit renforcée par l'intensité de
tout. Les phénomènes physiologiques'corticaux qui accompagnent une idée ne cessent pas immédiatement à l'instant où cet
mpagnent une idée ne cessent pas immédiatement à l'instant où cette idée disparait du champ de la conscience. Ils subsiste
'un choc minime pour leur rendre une vigueur suffisante, pour que l' idée correspondante renaisse. Ceci est manifeste en
ux échanges nutritifs intracorticaux correspondants, qui ramène les idées en question dès que l'on se dispose àreprendre la
ce du fonctionnement psychophysique engendré par le mécanisme d'une idée est exagérée. Les phénomènes d'innervation dus
tion dus à ce mécanisme tendent à se prolonger et à se répéter. Les idées déjà effectuées demeurent ainsi longtemps clich
On lève le bras d'un malade de ce genre, on éveille ainsi en lui l' idée qui correspond à la position de son bras; tant
lui l'idée qui correspond à la position de son bras; tant que cette idée se maintiendra sans concurrence dans le champ d
le bras conservera la position qu'on lui a donnée : catalepsie. Les idées concurrentes qui pourraient chasser cette idée
e : catalepsie. Les idées concurrentes qui pourraient chasser cette idée et, par suite, interrompre l'attitude, tels le se
r suite, interrompre l'attitude, tels le sentiment de la fatigue, l' idée de l'incommodité de la position, etc., etc., ces
la fatigue, l'idée de l'incommodité de la position, etc., etc., ces idées dérivatrices ne viennent pas parce que le champ d
du mécanisme cortical correspondant, plus fai- blement agissent les idées dérivatrices. Levez l'autre bras du sujet, ou p
a position qu'il a-est absurde, vous dis- trayez son attention de l' idée première, l'innervation du bras cata- leptique
que les actes des autres personnes puissent engendrer chez eux des idées qui enchaînent leur attention et se maintiennent
sont ainsi imitateurs et suygeshbles. Mais il peut arriver que des idées à mécanisme persévérant bloquent le champ de la
iploi- que, et qui paraît avoir été un engorgement ganglionnaire. L' idée d'une exploration sous le chloroforme fut exami
'état mental particulier des malades qui per- mettront d'éliminer l' idée de lésion organique (Revue neurologique, avril
chologique. 111. Z Les modifications profondes apportées dans les idées sociologiques ne permettent plus de maintenir sou
cation du subconscient, en particulier chez les malades qui ont des idées fixes, des pliobies, des obses- sions. Le somno
sorbé par une occupation, il ne louche plus; mais dès que revient l' idée de loucher, il a beau faire tous ses efforts pour
est donc à la fois une éducation de l'esprit et du mouvement, de l' idée et de l'acte. Elle tend à supprimer les habitudes
des facultés intellectuelles; plusieurs mois après se montrent des idées délirantes de jalousie : « sa femme a des amant
suivant : « Léger affaiblissement intellectuel avec hallucinations, idées ambitieuses et de persécution, sensiblerie, excit
, avec amnésie des faits récents et délire polymorphe : mé- lange d' idées de persécution et d'idées de satisfaction : sa fe
écents et délire polymorphe : mé- lange d'idées de persécution et d' idées de satisfaction : sa femme l'a trompé, et pourt
zaine, D... est beaucoup plus calme, mais il n'a pas renoncé à ses idées de per-écution : sa femme a voulu l'empoisonner,
acté ait été suivie d'une reprise des phénomènes d excitation ; les idées de persécution reviennent plus actives : « Sa f
e, apparaissent d'abord des troubles délirants (hal- lucinatious et idées de persécution) qui ont les caractères du délir
cients, tentatives de suicide (D1' Legras). Paralysie générale avec idées de satisfaction et de persécution, excitation pas
eure continuellement, manifeste un certain état d'anxiété. Quelques idées délirantes de persécution peuvent être saisies su
s distractions, de se mettre à l'hydrothérapie. Suivant en cela les idées de M. Maurice de Henry, M. Romme rap- pelle que
entes. L'explication du caractère particulier de la conduite et des idées dans la paralysie générale rentrerait donc dans
des émotions, celle des impulsions, qui détermine l'association des idées . » De cette caenesthésie dépend le groupe- ment
ment des phénomènes de mémoire qui constitue les impulsions et les idées délirantes. R. DE Musgrave-Clay. Il. Les aliéné
à des paroxysmes de violence. La manie est souvent accompagnée d' idées de persécution, avec hallucinations de la vue et
ouve aussi quelquefois des perversions du goût et de l'odorat : les idées délirantes revêtent souvent la forme sexuelle.
tte distinction doit toujours être considérée comme arbitraire, les idées délirantes qui aboutissent au crime pouvant cou
en pareil cas d'un infanticide qui, le plus souvent, s'accompagne d' idées et parfois de tentatives de suicide. Il est à r
s de suicide. Il est à remarquer que dans les cas d'infanticide les idées religieuses sont très souvent liées à l'obsessi
euis maris occupés à boire dans quelque coin : l'attente jointe à l' idée agissait sur l'appareil de la déglutition. t La
l'absence de toute polynucléo-e du sang ramènent le professeur à l' idée d'une tumeur en voie d'accroisse- ment. Cette t
oite. Démarche maladroite. Etat mental très affaibli. Confusion des idées et diminution de la mémoire. Petit à petit le mal
ire cervicale (5e et 6° racines). Recherche sur l'association des idées chez les aphasiques. MM. P. Marie et Vaschide.
ychologie des aphasiques examinent celte fois- ci l'association des idées , Les recherches furent faites sur 9 aphasiques,
bres et de la face. (Stra- bisme intermittent). Faut-il d'après les idées émises par M. Déje- riue à la séance de juin, r
nes. Etant donné la loi : toute cellule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou tour les fibres nerveuses qui do
actionne à sou tour les fibres nerveuses qui doivent réaliser cette idée , on arrive à cette définition que la suggestibi
ibilité est la faculté par laquelle le cerveau accepte et réalise l' idée . J'insiste sur le mot faculté, car trop de pers
t rendre de plus en plus convaincante sa puissance de persuasion. Idées de doute cl phobies portant sur la sphère génital
mplète, il se croit anormal et inférieur. Cet homme a toujours en l' idée de se faire remarquer, d'être supérieur aux autre
désir de se renseigner sur les faits de psychiatrie sans se créer d' idées fausses. L'auteur a du reste eu l'excellente idée
sans se créer d'idées fausses. L'auteur a du reste eu l'excellente idée de mettre au début de son volume une première p
ans, marchande de vins à Frépillon (Seine-et-Oise) manifestait des idées de suicide, malgré la surveillance dont elle étai
luent chacun pour son compte. En effet, on ne voit pas pourquoi une idée obsédante mettrait obstacle à l'éclosion d'une
de partie à partir de ce moment, cette jeune fille n'eut plus que l' idée obsédante, toujours consciente, d'une mort immi
classiques d'une manie aiguë non hallucinatoire avec prédominance d' idées et d'actes érotiques. Cependant jamais cette je
enfant, celle-ci l'an- goissait et le torturait. L'année suivante l' idée obsédante n'avait plus besoin des incartades du
cependant même alors, parfois à propos d'une taquinerie du petit, l' idée obsé- dante survenait et l'angoissait. 1 Dése
femme qui s'empressa de lui dire que la douleur lui troublait les idées , car jamais il n'avait porté la main sur son fils
és sur la.tête, se déclara un misérable indigne de vivre et eut des idées de suicide. Puis survinrent des hallucinations
ours un complexus très varié de processus psychiques obsédants; les idées obsédantes et les phobies ne sont jamais isolée
éo-obsessive. Avant tout, nous avons en vue de nous arrêter sur les idées obsédantes de jalousie pathologique. Comme on l
mme symptômo-complexus de la paranoïa dégénérative chronique. Les idées obsédantes de jalousie sont assez rares, à ce qu'
rès prononcée. Il y a quelques années apparurent chez la malade des idées de jalousie envers son rnari, ne correspondant
envers son rnari, ne correspondant pas à la réalité; dès lors ces idées quittaient rarement la malade, lui causant beauco
i causant beaucoup d'in- quiétude et de tourment. Avec le temps les idées de jalousie revê- tirent un caractère particuli
particulier. Lorsque la malade est calme, c'est- à-dire lorsque les idées et la crainte de la trahison du côté de son mar
ur se délivrer de ses inquiétudes obsédantes, avouant bien, que ses idées jalouses causent beaucoup de désagréments à son
la malade commence à s'agiter, à se tourmenter à propos de cette idée obsédante; pour se calmer elle a besoin que son m
e ses serments soient prononcés d'une façon déterminée; lorsque les idées jalouses apparaissent la malade s'inquiète à. p
nquillise, mais cet état de tranquillité ne dure pas longtemps; les idées de jalousie réapparaissent, la malade de nouvea
er qui avait rapport aux scrupules jaloux qui la tourmen- tent. Les idées de jalousie chez la mataue sont accompagnées d'un
frant des obsessions morbides, chez notre malade aussi existent des idées hypochondriaques, s'exprimant en forme d'une pe
aires pour la constitution idéo-obsessive, on ne peut pas réfuter l' idée que, peut-être, dans de pareils cas existe une
ités individuelles de la manifes- tation externe des phobies et des idées obsédantes, il faut rapporter aussi la peur des
t intellectuel, excès alcooliques anciens, tendances mélancoliques, idées de persécution et de suicide, préoccupations hy
hypochondriaques ». Dl Legras. « Affaiblissement intellectuel avec idées mélancoliques et de per- sécution, cauchemars,
llectuel puis, avec quelques préoccupa- tions hypochondriaques, des idées de persécution non localisées. c A l'asile de v
sile. A ce moment, les préoccupations hypochondriaques dominent les idées délirantes de persécution qui sont un peu effac
plus âgée). Conception, rien de particulier. Grossesse, eniiiiis et idées noires; mouvements violents du foetus ci cinq m
resse. Grossesse sans aucune com- plication, sauf des ennuis et des idées noires en raison de sa situation irrégulière et
ez pas avec trop de sévérité, mais dicutez largement. Du choc des idées , la lumière jaillira et le Congrès de Bruxelles s
d'estime réci- proque. » M. Ballet (de Paris). - L'évolution des idées qui s'est poursui- vie en Allemagne depuis un c
caractères : ils sont exécutés sans but, ne sont jamais le reflet d' idées délirantes et sont dépourvus de toute signi- fi
l'esprit qui se manifeste par delà naïveté et de la versatilité des idées (infan- tihsme psychique). Vers l'âge de dix-ne
as, la meilleure psychothérapie consiste à dire la vérité ; car les idées fixes ont souvent pour point de départ des idée
a vérité ; car les idées fixes ont souvent pour point de départ des idées fausses. Il faut rechercher ces dernières et s'ef
d'attention, léger état de rêve, mal de tête, angoisse, anxiété et idées mélancoliques très accentuées. Guérison par l'a
is plus tard il présente du délire de persécution et finalement des idées de gran- detw et de richesse, parle de ses mais
; ils peuvent s'exprimer en forme de représentations obsédantes, d' idées obsédantes, de peurs obsédantes ou phobies, de
° dans des cas plus graves, cette constitution se manifeste par des idées obsédantes, des pho- bies, etc. (psychopathie)
les cas encore plus graves s'expriment sous la forme de psychose, d' idées obsédantes (psychose idéo-obses- sice). Il va s
mental et celui des médiums ordinaires. Délire hallucinatoire, avec idées de pe''s<'c<t<t0) : , consécutif « des
ns, décrivant le pays, le langage, les moeurs de ses habitants. Des idées de persécution se sont développées aussi. La dé
es : les symptômes sont peut être plus atténués, et la tendance aux idées fixes hypochondriaques plus marquée. 1 Comme
able de tout travail suivi, vantard, pusillanime et alcoolique avec idées mystiques. C'est, dit-il. un dévoyé de l'ordre
e la police qui est contre lui. En même temps il semble obsédé de l' idée que Paris n'est plus snr, que faute d'une polic
- blé dans ses facultés, mais-bien un véritable fou hanté par des idées de persécution le poussant à des actes dangereux
est peut-être plus fréquente qu'il ne parait. C'est l'insomnie par idée fixe, dont il a donné un exem- ple remarquable.
ir généraliser, quiconque se plaît à reconnaître le rôle énorme des idées obsédantes et des processus psychiques voisins
de l'adulte, contrairement à l'opinion de Déjerine qui exprimait l' idée , en 1890, « qu'il n'existe actuellement aucun c
l'état saburral des voies diges- tives, à des hallucinations, à des idées délirantes ou à l'idée fixe du suicide. Certa
s diges- tives, à des hallucinations, à des idées délirantes ou à l' idée fixe du suicide. Certains cas, cependant, éch
té au début, mais elle est devenue dans la suite une obsession, une idée fixe. M. le professeur Brnnuem (de Nancy). J'ai
illé, le sujet ne se rappelle pas qu'il a pensé. On s'endort avec l' idée d'un problème à résoudre; on se, réveille avec
trouvée dans son cerveau, la nuit porte conseil. On s'endort avec l' idée de se réveiller à heure fixe. Les uns se ré- ve
l'heure et enten- dent sonner la pendule. Les autres, obsédés par l' idée de ne pas manquer l'heure, se réveillent plusie
ner d'une façon suivie, surtout abstraite ; d'acquérir de nouvelles idées ; la diminution delà volonté persévérante. L'af
es actes d'automatisme pur : ils n'expriment en aucune- manière une idée quelconque ; il y a absence de but, absence d'u
nité, absence de re- lation de ces mouvements entre eux ou avec une idée quelconque. Il y a identité absolue entre ces s
e précoce dans la première attaque ? Et comment ? Mélancolie avec idées de persécution et idées de suicide chez un syrin-
ière attaque ? Et comment ? Mélancolie avec idées de persécution et idées de suicide chez un syrin- gomyélique. Examen hi
ord déprimé était atteint sept ans avant la mort de mélancolie avec idées de persécution. « Grincheux et malotru », il se
il était fort déprimé, et c'est en pleurant qu'il nous parla de ses idées de suicide. Il présentait en somme de la mélanc
ses idées de suicide. Il présentait en somme de la mélancolie avec idées de persécution et de suicide, basées sur des ha
plus ou moins prononcé qui peut, dans certains cas, se compliquer d' idées déli- rantes de persécution et d'idées de suici
ertains cas, se compliquer d'idées déli- rantes de persécution et d' idées de suicide. Cet état mental naîtrait sous l'inf
isme; Epilepsie; Alcoolisme ; Dipsomanie; Névropathie; Dypsomanie ; Idées obsédantes; Insomnie (alcoo- lisme) ; Douleurs
scient est rendue facile et, par elle, la connaissance de certaines idées fixes ignorées de la cons- cience ugiie ; 2° so
ncore d'au- tres manières, cet ensemble de traitements nous donne l' idée de l'objet, et, maintenant, nous avons obtenu c
américain, tient à dissiper la confusion courante que l'on fait des idées de ce dernier avec celles du médecin danois Lange
strée serait un merveilleux moyen de propagande pour ses salutaires idées . Il a donc demandé aux « artistes » de lui four
aient, que nous avons entrepris cette tâche, et au moment même où l' idée nous en était venue, mille objections se présen
ge du frère de la malade. Depuis ce mariage, elle aurait montré des idées de culpabilité, d'indignité, elle ne parlait pr
lail habituellement, et depuis longtemps. des préoccupations et des idées tristes que le mariage de son frère n'a fait qu
n mai 1903, à l'arrivée dans le service, nous constatons encore des idées de culpabilité, d'indignité, des traces de ses an
s la voyons habituellement inerte, sans anxiété, manifestement sans idée délirante, à peu près sans activité cere- braie
ectueuse, assez raisonnable, dans laquelle on ne trouve pas trace d' idée délirante, mais elle déclare ne rien com- prend
oubles intellectuels, après une longue période de préoccupations, d' idées tristes, et 412 ) CLINIQUE MENTALE. après un
e couler, des troubles mélancoliques apparaissent presque aussitôt; idées de culpabilité, d'indignité, de suicide; elle se
eulement, à l'époque où elle quitte son emploi. Nous remarquons des idées de culpabilité, d'indignité, des craintes imagina
pas en- ceinte, l'affection continue à évoluer progressivement, les idées délirantes deviennent de plus en plus imprécise
ative au début de sa ma- ladie et une certaine mobilité puérile des idées qui trahissait évi- demment encore la prédispos
te maladie au chevet de ce frère et qu'elle finira comme lui. Cette idée prend peu a peu une très grande consistance dan
L'auscultation ne révèle pas de signes certains de tuberculose. Les idées sont extrêmement confuses, elle a une très gran
nelle et altération de la santé physique, phase de préoccupation, d' idées tristes, période de transition avec confusion m
auses émotionnelles suivies d'altération de la santé physique ; des idées tristes ou du 416 CLINIQUE MENTALE. délire mé
s'intéressait à rien, à personne, n'était sous 1 influence d'aucune idée délirante, d'aucune hallucination, n'avait pas d'
ence d'aucune idée délirante, d'aucune hallucination, n'avait pas d' idées de suicide et ne s'explique pas, ajoute-t-elle,
tuelle indique suffisamment qu'elle n'est sous l'influence d'aucune idée délirante, d'aucune hallucination, qu'elle n'ép
lo- giqne. et les condamne à périr au bout de peu de temps. Cette idée convient à la paralysie ugilanle, à la sclérose l
me de trente et un ans, atteint de paralysie : état ma- niaque avec idées de persécution, alcoolisme. Parole nette. Signe
une somnolence qui s'accompagne au réveil, d'un certain trouble des idées , quelquefois d'un peu de délire court et tranqu
culté de se repérer et, par suite de se souvenir. L'association des idées persiste excellente. P. Keraval. IV. Contribu
énomènes compris sous ce nom tiennent a des hallucinations et à des idées fausses. La catatonie est probablement due à un
à la suite de surmenage. Le tout se complique d'hallucinations et d' idées délirantes. L'année suivante accès brusque de c
ions cutanées ne paraissent pas étrangères à la genèse de certaines idées délirantes de sorcellerie et de persé- cution.
ite, du moins au point de vue mental ; elle s'accompagne en effet d' idées de bien-être, de richesse, de gran- deur, si bi
ur la seconde un ataxique que l'on transporte clans la piscine. L' idée symbolique que vous avez voulu exprimer sera vite
tant de bruit, découle de ces constatations. Dans le même ordre d' idées , il nous a appris a utiliser la sug- gestion pr
ni miracles, ni lois intérimaires, » et Charcol, exprimant la même idée en termes analogues, écrit à son tour : « Nous
ne se sentent pas observés. Là le malade poursuit et exprime une idée nette et suivie en rapport t avec tel ou tel épis
nologue est décousu, incohé- rent. L'aliéné passe brusquement d'une idée à une autre, sans transition apparente. Parfois
tc. Mais dans bien des cas, la pensée du malade paraît passer d'une idée à une autre sans qu'il y ait aucun lien entre l
iques assez différents les uns des autres. Parfois il résulte d'une idée fixe prépondérante dominant à tout instant l'es
ancien persécuté systématique chez lequel dominent actuellement des idées de grandeur. Il a rait des inventions, des déco
Parfois c'est Vidéorrhée, l'association rapide et tumultueuse des idées qui préside à la naissance du soliloque. En voici
sions verbales. 4 Tel est le cas de L..., tabétique délirant avec idées de persécu- tion. Il par le intérieurement « de
,obertson). On sait qu'en ce dernier cas, le malade parle, émet des idées généralement très banales ; elles paraissent no
ouvent chez les aliénés. Ils parlent le langage réflexe mais aucune idée ne correspond à leurs paroles. A..., dément sén
n métier de plombier, de sa petite let- tre. Dans le même ordre d' idées figureraient encore les mono- logues par éclaol
, malade en état de démence alcoolique avec excitation constante et idées de grandeur prédo- minantes, et qui monologue s
eur du ciel et de la terre. » Non seulement ce monologue révèle des idées de grandeur, mais l'absurdité même de ces idées
onologue révèle des idées de grandeur, mais l'absurdité même de ces idées dénote un fonds de démence et peut faire soupço
e celui d'un dément. L'incohérence y est due surtout au tumulte des idées dont les liens .l'associa- tion échappent mais
onologue du dément traduit non plus le tumulte mais la pauvreté des idées , la monoto- nie, le rabâchage, l'absurdité. P
mps, il arrive à une période de délire systématique secondaire avec idées d'auto-accusation, de négation, d'énormité. V
es. Les monologues d'origine idéative (c'et-à-lire se reliant a une idée prépondérante) sont surtout le fait des formes
e la manifestation de son délire, de ses souffrances il exprime une idée nette, toujours identique à elle-même. Enfin
rtu de son état d'excitation générale, le second sous le coup d'une idée prépondérante. Tous ces caractères sont utiles
rendre cette étude. 0 ! ! <KV\T;Oi'< '. Mélancolie présénile. Idées hypocondriaques, de négation, de lulpabililé et
maigrir et en même temps se montre l'insomnie, la dépression et les idées noires. Une visite d'une voisine qui lui prédit
stomac. Prise de panophobie elle veut s'enfuir de sa maison, et a l' idée de boire du pétrole pour en finir avec ses tortur
angue saburrale, l'haleine fétide. Dans son délire mélancolique les idées de négation tiennent la première place : elle a
on éclosion peu après la méno- pause etson délire où prédominentles idées hypocondriaques et les idées de négation, réali
pause etson délire où prédominentles idées hypocondriaques et les idées de négation, réalise le tableau de la mélancolie,
e Moral et Doyon). 504 CLINIQUE MENTALE. par des associations d' idées , des habitudes plus ou moins conscientes. Son a
it la conception délirante définitive, toujours en rapport avec les idées 1 1 les préoccupations dominantes du malade ? »
faire appel à la théorie de M. Séglas. C'est par une association d' idées subconciente, par un trouble de l'attention, co
irement à la règle. « N'est-ce pas, ajoute à ce propos M. Séglas, l' idée de la surdité unilatérale qui eût une influence
nilatéralité s'expliquant ainsi par un simple fait d'associations d' idées . » On ne saurait mieux dire, mais faut-il eu dé
vaut-il pas mieux se demander pourquoi. lorsque cette association d' idées précitée a perdu sa raison d'être, Iesllallucin
on autonomie primitive, la paraplégie est Haccnfe coufoirnément aux idées de Baimn ·t le Bruns. · Si, an contraire, ell
lement dans le quartier des femmes; il s'agissait d'une malade avec idées d'homicide. L'expérience a montré toutefois que
ouvertes, pourraient être fermés dans ces cas spéciaux, (malades à idées de suicide, moribonds, etc.), mais alors un ser
alades qu'il est nécessaire de séparer des autres, ceux qui ont des idées de suicide, les épileptiques, et les cas graves d
t hienveil- asiles d'aliénés.. 523 lante. On avait craint que les idées obscènes de certains aliénés ne rendissent l'em
rme du pied, non influencé parle lit ni par le lait, l'auteur eut l' idée d',tp- pliquer le traitement thyroïdien qui ame
l cas, la meilleure psychothérapie consiste dire la vérité. Car les idées fixes ont souvent pour point de dépat t des idé
vérité. Car les idées fixes ont souvent pour point de dépat t des idées fausses . Il faut rechercher ces dernières et s'e
, par Guillam,69. Aphasiques. Itecllerche sur l'asso- ciation des idées chez les-, par - 11. Marie et Vaschide, 17 Vôir
de médiumnité, par liallet et Dheur, 277. - hallucinatoire, avec idées de 1)( i,é(titioti, t otisè- etitif à des phéno
, par Lux, 281. et morphinomanie, par Soller, 369. Voir Léthar- Idée de doute. Voir Phobie. de suicide. Voir Synngom
ve, par Souklia- noff, 197. Philippe. Nécrologie, 538. Phobies. Idées de doute et poitant sur la sphère génitale, p
la -, par 01 léaiisl,y, 437. S%lt[NG031Yb.LIQUE. Mélancolie avec idées .1,- peiséeutiou et idées de suicide chez un Ex
37. S%lt[NG031Yb.LIQUE. Mélancolie avec idées .1,- peiséeutiou et idées de suicide chez un Examen liibtu- logique, pa
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
daires et tardifs chez les délirants partiels mystiques ; de là les idées de dédoublement et de possession ou au contrair
lysie générale. Accès mélancoliques passagers, accès maniaques avec idées ambitieuses et de persécution. Internement, per
s et de persécution. Internement, persistance durant trois mois d' idées de persécution très actives provoquées par des ha
grincement de dents. Ces troubles jouent un rôle dans la genèse des idées de persécu- tions avec tendances à la systémati
fées secondaires épisodiques à forme mélancolique (auto-accusation, idées de suicide), accès d'agitation maniaque avec id
auto-accusation, idées de suicide), accès d'agitation maniaque avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations m
ncessante. d) Leur rôle dans la genèse, au cours d'une rémission, d' idées de persécution avec tendances à la systématisat
Magnan a délivré le certificat suivant : « Paralysie générale avec idées ambitieuses incohérentes; hésitation de la paro
entôt à l'asile. A son arrivée il est en pleine excitation avec des idées ambitieuses HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS
réflexes rotu- liens, de l'instabilité dans la station debout ; les idées sont inco- hérentes, mobiles, l'agitation conti
Au mois d'août, l'agitation persiste quoique atténuée ; il a des idées de négation : « il dit qu'il n'a plus de cerveau,
ès alcooliques probables. Démence. Embarras de la parole. Mélange d' idées de persécution et de grandeur. Inconscience de
re-Inférieure. Il rentre à Paris le le" mars, très déprimé avec des idées de ruine, du mutisme et du refus d'aliments. Pas
s la genèse et le développement de la personnalité physique, de l' idée que chacun de nous se fait de sa force et de sa v
lire du malade en soit modifié, le sujet continuant à avoir la même idée de lui-même quel que soit l'état de ses organes
assique, Mail... trouve le mot milliard insuffisant pour donner une idée de sa fortune et il vante sa force physique. Il
image, un concept, il demeure constant que toute représentation ou idée implique non seulement l'existence d'un. substr
z l'homme le plus haut développement connu. » Abstraction faite des idées de conscience et d'intelligence, le naturaliste
dans telle circonstance. Rien d'uto- pique, selon 'Edinger, dans l' idée que le système nerveux sera un jour aussi bien
z les lézards vivants qu'on ne saurait, à l'en croire, échapper à l' idée qu'un mécanisme préétabli entre ici également e
ce, d'une volonté, etc., sont réductibles à de purs réflexes. Des idées nouvelles d'Apathy, de Bethe, de Nissl, sur la
cette dernière confidence, je constatai chez cette jeune femme une idée fixe qui la dominait complètement, celle que, b
t moral s'était complè- tement modifié, et comme elle exprimait des idées de suicide, je l'interrogeai et, éclatant alors
t pas sortie des bras de celui à qui elle venait de se livrer que l' idée fixe l'obsédait. C'est dans une anxiété des plus
hystériques ait été si longtemps méconnue : sans doute, on avait l' idée pré- conçue que l'immobilité des pupilles et l'
malade qui n'est pas aban- donné seul dans une pièce obscure à ses idées délirantes ; en outre, l'infirmier de garde de
est malheureusement trop long pour que nous puissions en donner une idée : le rôle important que jouent les détails dans l
les considère comme responsables. Il est évident qu'il n'y a que l' idée de la force et non le sentiment de la justice q
obligations sur autrui. « Aucune société ne se laisse inoculer les idées les plus humaines que peut lui prêcher un de se
mmédiatement la déglutition, et qui sont provoqués par la peur et l' idée que la déglutition est impossible. Les malades
ours dans le sens contraire, car elle entretient chez les malades l' idée d'un cancer, de sorte qu'il faut condamner l'us
avec d'autres monades, d'où les représentations. Il n'existe pas d' idées innées, pas de prédispositions, pas de facultés
diverses séries de représentations. Les fusions donnent lieu aux idées générales, que le langage réalise. Si la fusion e
yant ni commencement, ni fin, avec le déterminisme psychologique, l' idée d'un dieu créateur et . rémunérateur devient in
son système est défectueux. Il faut y voir une concession faite aux idées de l'époque. Il reconnaît toutefois qu'il s'agit
'éducation de la volonté fait naturellement suite à l'éducation des idées . Vouloir, c'est désirer le possible ; il implique
analytique. M. Mauxion nous fait remarquer qu'un grand nombre des idées que la pédagogie moderne a la prétention d'avoi
une base scientifique, sans recourir aux théories paresseuses des idées innées ; ce sera encore d'avoir substitué à l'imp
re touché en dernier lieu après le reste du corps. ' D'ailleurs l' idée de prédisposition entraîne après elle une con-
uehren (E.). Le marquis de Seule el son temps. Avec une préface : L' idée de sadisme el l'érofologie scientifique, par 0. U
-il, et il concluait : mieux vaudrait tout de suite mourir. Cette idée de suicide revenait presque journellement dans se
ne répond qu'après un petit temps de réflexion; les associations d' idées , même simples, nécessitent un temps direc- teme
r », dit-il, et il est sincère, « je sais seulement que j'avais des idées noires, ne pouvant plus trouver de travail et éta
l'asile qui je crois remonte à cette époque (répétition de la même idée et phrase inachevée par amnésie). Jai passé une
ème élément qui rattache ' Janet. L'amnésie hystérique. Névroses el idées fixes. (Archives de neural.. 189 ? .) Janet.
el idées fixes. (Archives de neural.. 189 ? .) Janet. Névroses el idées fixes. Dugas. La perle de la mémoire et la pert
ts relevés chez les malades de 11Z..Ianet : phénomènes d'aboulie, idées fixes, attaques de délire, etc. ; il n'y a pas eu
ne double hérédité mentale très accentuée entrée à l'asile avec des idées de persécution, et qui présentait une malformat
timent, de volonté et de pensée : la pensée consiste à formuler les idées ; et tout processus mental ayant pour fin l'act
géné- ral (sensations et émotions réunies) tendent à provoquer des idées conforme à leur propre nature : les sentiments
forme à leur propre nature : les sentiments agréables éveillent des idées agréables, et inversement : d'où la grande influe
un esprit formé. Dans l'esprit en voie de formation, le mot comme l' idée ou le sentiment qui lui sont sous-jacents, est
a syphilis : au point de vue mental, perte de mémoire, incohérence, idées délirantes de forme soupçonneuse. Hallucination
inu, mais le plus souvent interrompu, qui suggérait naturellement l' idée d'alcoolisme. ' IL de M. X. Sur les maladies co
désintéressement, toutes qualités aussi contraires que possible à l' idée de la folie ». v. Le tribunal en 1870 refusa d'
face est asymétrique. Après quelques troubles mentaux très légers ( idées vagues de persécution, crainte de devenir fou),
sthénie physique et psychique ; parfois incohérence légère dans les idées et la conversation). Puis survient le symptôme
nt, que la digestion n'agit pas seulement sur le psychique, sur des idées , des obsessions, des impulsions. Elle peut ou p
r l'étrange ligure de Swedenborg, mais sans avoir pu s'en faire une idée explicitement précise. Le terme flou d'illuminé
mauvais physio- logiste étant imbu déjà de mysticisme et hanté de l' idée des causes finales, il eut pourtant des aperçus
ers sujets et particulièrement sur le foie et le poumon et conçut l' idée du lobule hépatique et pulmonaire. Il ajoutait
haute spé- culation où il ne s'arrête plus ; la théosophie va de l' idée spécula- tive où elle débute, au sentiment où e
livrer à une propagande antibacillaire eflicace. Dans cet ordre d' idées , et conformément au voeu émis par la Commission
ile n'est applicable qu'à des malades tout à fait tranquilles, sans idées de persécution, sans hallucinations, offrant de
nt à peu près continuelles. ' G... présente de certains moments des idées obsédantes. Ainsi ayant entendu parler de quelq
ouvent sous nos yeux des hallucinations, dont voici, pour fixer les idées , un exemple choisi entre beaucoup d'autres. Bru
ut ce que je souffre. » Sur ses instances réitérées, nous eûmes l' idée d'essayer sur elle de la suggestion hypnotique.
s ne sont plus arrêtés pour être jugés, ils suivent immédiatement l' idée . ou même plus exactement l'image mentale. L'hal
des, processus psychiques. et provoque un : bouleversement dans les idées et dans les- actes. 216 6 PSYCHOLOGIE MORBIDE
et le délire consécutif, qui se manifeste par du désordre dans les idées et les actes, est le résultat de cet état menta
s mentales du sujet joint à de l'agitation motrice, le désordre des idées et des actes, le tout sont la dépendance des ha
malade serait plutôt excitation maniaque avec confusion dans les idées et hallucinations. D'autres auteurs propo- sera
tion constante dans les conceptions délirantes. Mais ici il y a une idée fixe, une histoire qui demeure invariable. Chez
e histoire qui demeure invariable. Chez notre malade il n'y a pas d' idées persistantes ni fixes, tout l'état mental est s
avec elles. On ne peut pas dire à proprement parlerr qu'il s'agit d' idées de persécution ; la malade a devant ses yeux de
elle réagit automatiquement, mais elle n'a pas pendant l'accès " l' idée qu'elle est persécutée. Elle souffre, mais elle n
époque, le moyen de se réunir pério- diquement pour échanger leurs idées sur les questions à l'ordre du jour; il donne,
nant que l'étude des maladies de « l'esprit » se soit ressentie des idées qu'une métaphysique conventionnelle avait repan
our voir. Le jour où Hanno- ver, il y a de cela soixante ans, eut l' idée de placer dans une solu- tion d'acide chromique
ntale avec torpeur ou agitation, le délire onirique ou de rêve, les idées fixes post-oniriques, enfin l'amnésie. Dans l
tères du délire onirique, du rêve. Il est fréquent de constater des idées fixes post-oniriques, à savoir qu'une idée déli
équent de constater des idées fixes post-oniriques, à savoir qu'une idée délirante fixe persiste chez le malade, alors qu'
servés et l'ordre de leur succession permettent seuls de donner une idée de ce qu'on toit entendre par délire aigu. Si l
ar la multiplicité des hallucinations de tous les sens, exprime des idées heurtées qui, arrivant par des chemins diffé- r
ement à ce délire de persécution, auquel sont venues se joindre des idées de grandeur : on la poursuivait parce qu'elle é
par leur extrême agitation, et cependant leurs paroles, le sens des idées que l'on peut surprendre, les feraient prendre
ient prendre pour des mélancoliques. Ils peuvent du reste avoir des idées de suicide. ' M. le professeur BRISSAUD, qui
lisée. Les photographies que nous vous présentons en donnent une idée , mais non la représentation exacte. Le 14 août 18
268 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 29 septembre; il était caractérisé par des idées mélancoliques, des, hallucinations de la vue et
araissait surtout la nuit. Rentré dans sa famille, il manifeste des idées de persécution. Il est interné 8 jours après sa
senté un état mental caractérisé par de la confusion mentale, des idées de persécution, des alternatives de calme et d'ex
r cas est relatif à un dégénéré atteint de délire mélancolique avec idées hypochon- driaques. 3 mois après le début de so
3 mois après le début de son affection, et sous l'influence de ses idées délirantes, le malade fut pris de contracture ave
reux de voir M. Martin confirmer les SOCIÉTÉS SAVANTES. ' , 271 1 idées de son maître, M. le professeur Brissaud, reprise
e instabilité psychique remarquable, une versalité extrême dans les idées , en même temps qu'ils offrent un certain degré
ves de calme et de dépression et quelquefois bouffées délirantes et idées de persécution. C'est un dément qui s'occupe le
ntelligence. Diminution de l'attention, accès de colère sans cause, idées mégolomaniaques, veut réussir dans le dessin et
is parties : : 1° l'obsession patho- logique des inventions est une idée fixe, automatique, irrésistible, qui en s'impos
alades entraine une lutte qui ne fait qu'accentuer l'angoisse; 2° l' idée fixe est inconsciente et n'est plus reconnue pa
ue exclusivement chez les dégé- nérés. Le délire envahit toutes les idées du malade et se traduit par des actes en rappor
es, les illusions, les hallucinations, l'explication délirante, les idées de grandeur ; 2° sur les manifestations de la vie
son de santé. L'alcoolisme A VIENNE. Le tableau suivant donne une idée du nombre de malades alcooliques dans la périod
la définition de Mobius : « L'hystérie est un état dans lequel les idées commandent au corps et déterminent dans ses fon
considère l'ensemble des symptômes comme de simples réactions de l' idée . On lui objecte que l'idée ne devient obsédante q
ymptômes comme de simples réactions de l'idée. On lui objecte que l' idée ne devient obsédante que grâce à l'existence d'
n, les symptômes émotifs précèdent et annoncent l'ap- parition de l' idée . D'un autre côté, la marche de l'obsession par
ion par accès, le défaut de rapports constants entre la nature de l' idée obsé- dante et l'intensité de l'angoisse, la va
'idée obsé- dante et l'intensité de l'angoisse, la variabilité de l' idée (dans la panophobie, par exemple), comparée à l
ls, etc., tout cela s'accorde mal avec l'hypothèse qui attribue à l' idée un rôle toujours prépondérant dans l'obsession.
cas, il parait évident que l'émotion n'est qu'une conséquence de l' idée ; à plus forte raison pour l'obsession, dans la
ades sont tous des abouliques, qu'il s'agisse des mouvements ou des idées . L'élude des mouvements volontaires est, à cet
anente qui préexiste aux obsessions et les prépare. L'influence des idées et des émotions s'exerce dans' le développement
se devant l'obstacle à franchir et, s'il y a idée- obsédante, cette idée ne survient que comme accompagnement et comme c
n ? On observe ceci. L'obsession peut se manifester par plusieurs idées , soit au même moment, soit successivement, tandis
n, malgré cette diversité intellectuelle, reste toujours la même. L' idée obsédante est donc, dans l'obsession, l'élément
celle des allumettes, des chiens, des chiffres, par exemple. Car l' idée n'est rien chez moi, c'est l'émotion qui est to
rien chez moi, c'est l'émotion qui est tout, et, en guérissant mon idée , je n'auiai pas guéri mon (motivité, qui se por
accompagner que plus tard, par le fait même de sa progression, de l' idée obsédante. L'éreuctophobie ou obsession de la r
Les choses peuvent en rester là et dans ce cas, il y a phobie sans idée obsédante. Mais certains malades vont plus loin.
rrasser du tourment - qui les ronge. Alors, mais alors seulemeut, l' idée obsédante est venue se joindre à l'anxiété, l'é
s surfaces d'une façon très élémentaire mais donnant parfaitement l' idée de la figure que l'enfant a voulu représenter,
rche. Chez lui, le langage faisait absolument défaut par absences d' idées , croyons- nous, car bien que l'articulation lai
ous surprend souvent par la longueur des phrases qu'il forme et les idées qu'elles expriment. ' Très mal doué sous le rap
s impressions fortes. De même, en ce qui concerne la traduction des idées ex- primées par la musique, la suggestion augme
des lésions de l'utérus ou des annexes sont le point de départ de l' idée de grossesse; 2° les pseudo-cyr'ossesses pur su
elle trouve son interprétation dans une fausse sensation, dans une idée morbide entretenue et confirmée par des halluci
de entretenue et confirmée par des hallucinations et transformée en idée fixe. La sitophobie d'origine psychique est pou
ion mentale ou mélancolie anxieuse, avec hallucination de la vue, idées de ruine, d'indignité, de persécution. Ces déli
ations, des compléments et observations de son chef ; très heureuse idée car en matière de disposition légales par exemple
'à un certain point, de son état démentiel. Il nous dit qu'il a les idées brouillées, qu'il a la tête perdue, qu'il ne sa
e très grave. Il n'a présenté, à aucun moment de la maladie, aucune idée délirante expansive ou dépressive, et la démenc
ouvons pas le suivre dans les détails qu'il donne sur la marche des idées et des lois en Angleterre à propos de cette que
mal qui évolue sur la frontière de la lolie. Chez un tel malade les idées dominent les organes et y provoquent des modifi
agérée, ainsi que l'impressionnabilité. Ils arrivent à se créer des idées erronées, qu'ils cultivent soigneusement jusqu'
erronées, qu'ils cultivent soigneusement jusqu'à les transformer en idées fixes, et dès lors ils cessent de pouvoir être co
oivent adopter' en présence des malades, bien qu'ils n'aient qu'une idée sommaire de ce qu'est un aliéné. Actuellement l
si. M. Bourneville expose en détail ce qui se fait dans cet ordre d' idées en Angleterre, où existent des écoles d'infirmi
déclare satis- fait de ce personnel. D'après lui, ces divergences d' idées peuvent s'ex- pliquer par les situations différ
de veille sont indé- niables ; il suffit de citer dans cet ordre d' idées la diminution du nombre des gâteux. M. BOURNE
s indigentes, le paiement des frais de séjour; 3° De répandre des idées justes sur la nature des maladies 432 asiles d'
23 ,450 1 CLINIQUE MENTALE. démentiel avec confusion complète des idées , agitation, désordre des actes, mouvements de f
lioration dans l'état général avec dimi- nution de la confusion des idées ; la malade a même eu deux ou trois moments cla
ucher. Excitation maniaque très vive, se traduisant surtout par des idées religieuses incohérentes d'abord, puis par une
e Brugia et Marzocchi, nous trouvons une classification basée sur l' idée même que ces auteurs se font de la nature des s
avec le certificat suivant « Excitation maniaque. Désordre dans les idées et dans les actes. Agitation incessante avec cr
« Dégénérescence mentale avec excitation. Désordre complet dans les idées et dans les actes. » Actuellement c'est un déme
e de persécution. Depuis cette époque, son délire a peu changé. Les idées de persécution prédominent toujours, à peu près
ution prédominent toujours, à peu près sous la même forme, mais des idées de grandeur sont appa- ' Cit. par J. Séglas. Le
uis XV. D'autres fois la stéréotypie est en rapport avec d'autres idées délirantes. C'est un moyen de défense qu'emploie
nais- sance, on trouve d'ordinaire .qu'elle est provoquée par une idée délirante. C'est là un point sur lequel Wernicke
vérifier pour notre part l'exactitude de cette opinion. Toutes les idées délirantes peuvent en être la cause provo- catr
provo- catrice. Or, dans les délires systématiques, on trouve des idées délirantes diverses : idées 'de persécution, hypo
es délires systématiques, on trouve des idées délirantes diverses : idées 'de persécution, hypochon- driaques, mystiques,
eut occasionner une stéréotypie. Il est relativement rare que les idées de persécution donnent à elles seules et par elle
antaisie. » Non moins rares sont les stéréotypies causées par des idées hypochondriaques, accompagnant un délire systéma-
cale, n° 2, p. 9, 11 janvier 1899. 488 PATHOLOGIE NERVEUSE. Les idées délirantes mystiques occasionnent aussi quel- q
ploie souvent aussi le point d'exclamation trois fois répété. Les idées de grandeur sont plus souvent le point de dépar
lable « cinq fois cinq vingt-cinq » par exemple. Mais de toutes les idées délirantes, celles qui le plus sou-, vent provo
plus sou-, vent provoquent des stéréotypies sont certainement les idées de défense. Nous pourrions reprendre et citer les
as faire plus de pas d'un côté que de l'autre. 1 Ainsi toutes les idées délirantes peuvent occasionner des stéréotypies
occasionner des stéréotypies. Isolément, prises à elles seules, les idées de persécution, hypochondriaques et mystiques e
hypochondriaques et mystiques en sont assez rarement la raison. Les idées de grandeur et surtout les idées de défense son
nt assez rarement la raison. Les idées de grandeur et surtout les idées de défense sont au contraire les deux grandes cau
es de défense sont au contraire les deux grandes causes '. Mais les idées de grandeur, de défense, de persécution ont che
eurs stéréotypies. En voici un exemple=. Une débile a à la fois des idées de persécution et des idées mys- tiques. Ses id
un exemple=. Une débile a à la fois des idées de persécution et des idées mys- tiques. Ses idées mystiques lui font accom
a à la fois des idées de persécution et des idées mys- tiques. Ses idées mystiques lui font accomplir des gestes, « qui se
pratiques religieuses avec génuflexions, prières à la Vierge ». Ses idées de persécution ont amené des idées de défense.
ions, prières à la Vierge ». Ses idées de persécution ont amené des idées de défense. Pour la récompenser des épreuves qu
matisés, alors que la conscience est encore entière, tandis que les idées de grandeur et de défense apparaissent plus tardi
E NERVEUSE. Ainsi, voilà réuni chez une même malade un ensemble d' idées délirantes et de stéréotypies. Quoi qu'il en so
oit, on voit que les stéréotypies sont pro- duites au début par une idée délirante. Cette idée est à ce moment pleinemen
téréotypies sont pro- duites au début par une idée délirante. Cette idée est à ce moment pleinement consciente et le mou
oujours susceptible de délirer dans une foule de directions, mais l' idée princi- pale à laquelle il s'est arrêté -devien
t à une véritable systé- matisation de son délire... Aussitôt que l' idée prédominante est arrivé à un degré complet de d
ise, les actes se systématisent égale- ment, ils semblent appuyer l' idée délirante qui leur a donné naissance. C'est la
sensibilité sur lequel... s'étaient graduelle- ment développées les idées délirantes. » Alors qu'à cette période, survien
e volontaire et consciente, qui rattachait primitivement l'acte à l' idée déterminée, fait place à une simple association
ée déterminée, fait place à une simple association automatique. L' idée délirante s'estompe, s'affaiblit ; toutefois elle
- cation pendant un temps assez long. ' Pierre Janet. Névroses et Idées fixes, I, p. 398. Alcan, Paris, 1898. 492 PATHO
te contracte avec le délire les rapports les plus étroits. Né d'une idée délirante, il suit une évolution parallèle à ce
de délires systématiques 2. 1 F. Iiayrnond et P. Janet. Névroses et Idées fixes, II, Paris, p. 385. Alcan, Paris, 1898.
réquente chez les négateurs et qui résulte d'abord chez eux de leur idée particulière, finit sou- vent à la longue par d
e bien le type du gémisseur tel que l'a décrit Morel. 1 De Sanctis. Idées de négation. (Il Manicomio mode1'llo. Année XVI,
c la femme de son frère, au retour du régi- ment. Il a eu alors des idées de suicide. Il refusait la nourriture pour mour
ntrée, il se montre tantôt déprimé, tantôt anxieux, manifestant des idées de culpabilité prédominantes, des tendances au
e déjà depuis longtemps. Cette stéréotypie, provoquée d'abord par l' idée obsédante, finit par faire en quelque sorte cor
ements sans qu'il y ait de lésions cérébrales et qui sont dus à une idée fixe ou à une idée délirante cons- ciente ou su
ait de lésions cérébrales et qui sont dus à une idée fixe ou à une idée délirante cons- ciente ou subconsciente. Mais,
ypies. Ces manifestations hystéri- ques se rattachent souvent à une idée fixe subconsciente. Or il importe à ce propos d
e division de la conscience- de caractère permanent et complet. Les idées parasites, qui figurent à l'origine de .certain
c se produit chez un hystérique, un lien intime entre ce tic et une idée déter- CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES STÉRÉOTYPIES.
a conscience personnelle : c'est la manifesta- tion extérieure de l' idée fixe. Cette idée fixe, au contraire, reste subc
onnelle : c'est la manifesta- tion extérieure de l'idée fixe. Cette idée fixe, au contraire, reste subconsciente, ignoré
e dont l'évolution se fait en deux temps. Dans un premier temps une idée déterminée, dont le sujet a conscience provoque
également conscient, voulu, systématique. Dans un second temps, l' idée première s'efface, elle n'est plus nécessaire à
'autant plus accentuée que sou- vent sous le tic mental, il y a une idée inconsciente qui fait exécuter le mouvement. -
forme de la psychose primitive, puisqu'elles sont en rapport avec l' idée délirante dominante dans le cours de l'af- fect
entre elles, que chacune d'elles sous la même forme peut résulter d' idées différentes et peut- être aussi parce qu'on les
pas à démontrer les réflexes cutanés. Ces faits confirment donc les idées de Van Gehutchten sur la nature corticale des r
lez donne l'observation d'une mélancolique avec agitation anxieuse, idées de négation et pachydermie, dont l'état s'améli
36 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
igures qui, quoique fort schématiques, n'en donnent pas moins une idée exacte des dimensions et des rapports de la tumeu
ait du restant de la substance blanche. Pour donner une meilleure idée de la disposition. générale de la tumeur, nous
es infectieuses. Nous en avons été frappés et cela nous a suggéré l' idée d'en faire l'examen bac- tériologique. Malheure
contradictoires par exemple l'asso- ciation du délire dépressif, d' idées ambitieuses et d'idées hypo- condriaques, de pe
emple l'asso- ciation du délire dépressif, d'idées ambitieuses et d' idées hypo- condriaques, de persécution, etc. L'auteu
s connexions entre les autres parties ; 4° le malade peut avoir des idées sans avoir en lui les mots correspondant à ces
peut avoir des idées sans avoir en lui les mots correspondant à ces idées ces deux dernières constatations prouvent que dan
tions prouvent que dans un ensemble représentatif constitué par des idées , des images articu- lées, des conceptions repré
; 5° des recherches faites chez ce malade sur les associations des idée ? , il découle qu'il y a une pensée sans mots non
ifficile, dit M. Næcke, de distinguer une obsession véritable d'une idée délirante. Il est évident que bien des observat
ns d'obsessions présentées par les Français témoignent en réalité d' idées délirantes et non d'ob- sessions. P. K. X. Co
ceptions délirantes non systématiques des anormaux héréditaires Les idées fixes ou exagérées de Wernicke. P. K. XI. UNE m
ntes; mais il n'est pas séquestré, il a évidemment adopté plusieurs idées délirantes de ses soeurs tout en louvoyant, quant
d'un effort de la volonté impuissant à chasser du cerveau certaines idées qui semblent au malade condamnables. Voici par
t le plus ordinairement un élément sexuel qui donne naissance à ces idées insupportables, à ces cas de conscience perpétuel
vraies, 2° les phobies. Dans toute obsession il y a d'une part une idée qui s'impose au malade et d'autre part un état
at émotif est la chose principale et persiste inaltéré, alors que l' idée associée varie. Une analyse psychologique des d
'empreinte pathologique : l'état émolif s'est éternisé, alors que l' idée associée n'est plus l'idée juste, l'idée origin
'état émolif s'est éternisé, alors que l'idée associée n'est plus l' idée juste, l'idée originale, en rapport avec l'étio
'est éternisé, alors que l'idée associée n'est plus l'idée juste, l' idée originale, en rapport avec l'étiologie de l'obses
ouver dans les antécédents du malade, à l'origine de l'obsession, l' idée originale remplacée. Ses idées remplacées ont d
malade, à l'origine de l'obsession, l'idée originale remplacée. Ses idées remplacées ont des caractères communs, elles co
a réussi seulement à remplacer l'idee incon- ciliable par une autre idée mal appropriée à s'associer à l'état émotif qui
est resté le même. C'est cette mésalliance de l'élat émolif et de l' idée associée qui rend compte du caractère d'absurdi
u caractère d'absurdité propre aux obsessions. Dans certains cas, l' idée origi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 47 nale a
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 47 nale au lieu d'être remplacée par une idée , est remplacée par des actes ou impulsions qui
de cette substitution, ce serait un acte de défense du moi contre l' idée inconciliable. La grande différence entre les o
est tout à fait différent de celui des obsessions : il n'y a plus d' idée inconciliable remplacée; on ne trouve jamais au
f anxieux qui, par une sorte d'élection a fait ressortir toutes les idées propres à devenir l'objet d'une phobie. L'auteu
n'existe pas nécessairement. Ce phénomène est la conséquence d'une idée fixe consciente ou inconsciente. Il fau- drait
e cette sorte d'inanition due incontestablement à l'influence d'une idée fixe successivement consciente et inconsciente.
la raillaient de son embonpoint, c'est alors qu'elle fut prise de l' idée fixe de maigrir. Elle passait REVUE DE PATHOLOG
e 29 kilogrammes. Il existe un délire mélancolique avec dépression, idées de remords, de culpabilité, de damnalion. Tenda
était remontée à 37*. La guérison s'est maintenue depuis. C'est l' idée fixe de maigrir qui domine toute l'histoire de ce
chez eux l'influence trophique du système nerveux est activée par l' idée de grossir. Il arrive un moment où les hystériq
s pâle-rnêle, les halluci- nations et les illusions font naître les idées les plus diverses. Prédominance cependant d'idé
s font naître les idées les plus diverses. Prédominance cependant d' idées de persécution rapportées à sa femme qui, aidée
sprit, ses conceptions sont pauvres, lentes sont ses associations d' idées , sa mémoire est bornée, sa volonté insuffisante,
t à l'état chronique et aboutissent même à de véritables psychoses ( idées délirantes hypocondriaques, obsessions, etc.). En
leur réalité, pour déjouer la simula- tion. Ce mémoire confirme les idées de Charcot et traite de la super- position poss
sins .qui accompagnent le texte sont seuls capables de donner une idée . Il est incroyable qu'avec une telle conformation
ine d'abord les conséquences que l'on peut être amené à déduire des idées de Lombroso, au point de vue de la responsabili
ls et comme échappant à l'aliéniste. M. LEPPMANN s'élève contre les idées émises par M. Kurella; il critique également le
uence inévitable de tout groupement social. M. MENDEL se rallie aux idées exprimées par le précédent ora- teur. M. NAEC
fusion de documents, d'analyses de travaux et d'observations, les idées si fréquemment émises par le maître, et ils juger
le on est souvent désarmé, on y trouvera encore la des.- truction d' idées fausses engendrées par l'amour du surnaturel, et
ant que je n'ai vu ni remuer, ni crier. Je l'ai cru mort. J'ai eu l' idée de le cacher dans ma pail-- lasse, ne sachant o
açon lucide et correcte à toutes nos questions, ce qui exclut toute idée de délire actuel. Elle fait preuve de présence
actuel. Elle fait preuve de présence d'esprit et de suite dans les idées en ne variant pas dans ses dires, qui cependant
ître chez bien des filles de santé régulière en pareil cas et cette idée a dû d'autant plus venir à l'esprit de l'in- cu
même temps les phénomènes d'automatisme psychique s'exagèrent; les idées fixes et les impulsions naissent avec la plus d
mutisme le plus complet, parce que, comme dit Itard, n'ayant aucune idée , ils n'ont rien à dire; ou bien est-ce, comme l
fet, si les idiots sont muets n'est-ce pas parce qu'ils n'ont pas d' idées , et s'ils n'ont pas d'idées n'est-ce pas parce
s n'est-ce pas parce qu'ils n'ont pas d'idées, et s'ils n'ont pas d' idées n'est-ce pas parce que n'étant pas maîtres de l
mots pour les repré- senter ? Que si les muets intelligents ont des idées sans parole, n'est-ce pas parce qu'ils ont à la
s'assurer si tel mot bien ou mal prononcé correspond exactement à l' idée que nous avons voulu provoquer. Petit à petit à
de rapport avec celle des sourds-muets parlants. Ils énoncent leurs idées par ordre d'importance, et dans leur lan- gage,
: sortir André samedi ? Il est évident que dans cet exemple c'est l' idée de sortir qui est la plus importante, aussi ser
era-t-elle énoncée la première ; après vient le nom de la personne, idée pour ainsi dire secon- daire, car l'idiot ne pe
s anatomiques des stries acoustiques (barbes du calamus) imposent l' idée qu'elles constituent un faisceau d'association ce
élude de la station verticale symétrique, il suffit pour donner une idée du très intéressant travail de M. Paul Richer.
citer : les troubles gastro-intestinaux (pouvant donner lieu à des idées d'empoisonnement), les sensations abdo- minales
s idées d'empoisonnement), les sensations abdo- minales éveillant l' idée de grossesse, les sensations anormales du côté
à l'électricité, etc.), la sensation de compression de la tête, les idées de persécution, la modification des sentiments
à Broadmoor, il présenta des signes évidents de trouble mental, des idées de richesse et plus tard de persécution, qui fi
ENNER. Il s'agit chez l'une des soeurs, âgée*de trente et un ans, d' idées de persécution avec troubles de la sensibilité
n mentale : fièvre très légère (37,7 a 38°,2), incohérence dans les idées , association par consonnances, hallucinations nom
ec inégalité pupillaire, grincement des dents, incohérence dans les idées , tem- pérature à grandes oscillations allant ce
est plus conforme aux faits de dire avec M. Féré, développant une idée de M. Morel, que l'hérédité morbide est surtout c
spéciale appelant l'attention de tous ceux qui avaient accepté son idée . Dans d'autres occasions aussi, le journal cont
u sens du tact, de la vue et de l'ouïe. Interprétations délirantes. Idées de persécution systématisées ; mélancolie anxie
marquable pour une personne de cet âge ; en effet, en dehors de ses idées délirantes et de ses hallucinations, elle raiso
ans la moindre hésitation; 204 CLINIQUE MENTALE. elle exprime les idées les plus sensées sur les malheurs dont ont été
ns la fosse aux lions, parce qu'elle a offensé Dieu. Une fois cette idée mélancolique apparue l'anxiété augmente, et dep
droit de la face était couvert d'une large ecchymose, preuve de ses idées bien arrêtées de suicide.,Elle s'était frappée
ces faits, mais montre un peu d'anxiété quand on lui rappelle ses idées délirantes. Elle n'a jamais eu ici d'hallucinatio
tions tactiles, visuelles et auditives, et en dernier lieu quelques idées de per- sécution qui présentent une certaine sy
'une femme qui dans l'inter- rogatoire, et abstraction faite de ses idées délirantes, se montre raisonnable en somme, mal
ons noter à ce propos la rapidité presque impulsive avec laquelle l' idée de suicide fut suivie d'exécution, fait qui n'est
sous l'intluence de ces troubles multiples se sont développées des idées de persécution, vagues d'abord, mais qui ont re
abord, mais qui ont reçu un commencement de systématisation ; des idées mélancoliques s'étant entées sur les symptômes pr
hallucinatoire survenant subitement : hallucinations de l'ouïe, et idées de persécution systématisées d'emblée, persistant
oir d'hallucinations d'aucune espèce, ni de rêves se rattachant aux idées qui la préoccupent. Peu à peu son intelligence ba
ation mentale était afférente à un principe immatériel, suivant les idées théoriques d'Heinroth. Ces idées surannées, ces
principe immatériel, suivant les idées théoriques d'Heinroth. Ces idées surannées, ces fictions ont vécu, mais la scissio
lupart du temps chez les prédisposés, elle se compliquera souvent d' idées de vols, de troubles génitaux et d'idées ambiti
e se compliquera souvent d'idées de vols, de troubles génitaux et d' idées ambitieuses. - 3° La mélancolie qui revêt chez
hez les vieillards presque toujours la forme anxieuse, avec ou sans idées de doute ou de suicide, avec ou sans croyance q
dépouillé, avec ou sans délire hypocondriaque absurde, avec ou sans idées de négation, est la forme la plus fré- quente ;
sensibilité génitale. L'évolution du délire de persécution vers les idées de grandeur parait souvent très rapide, mais pa
s réagir contre ses persécuteurs. 5° Il en résulte, en outre, des idées de vol, de la défiance exa- gérée, de l'anxiété
de l'anxiété, de l'aboulie, du délire hypochondriaque absurde, des idées de négations plus fréquentes chez les vieillards
es du cerveau ou atteints de démence sénile on retrouvera les mêmes idées de vol, les mêmes actes avec une pué- rilité pl
vol, les mêmes actes avec une pué- rilité plus accentuée, mais ses idées délirantes seront le plus sou- vent incohérente
lutôt penser à l'ivresse qu'à la folie. Malgré l'abondance de leurs idées on ne constate chez eux aucune incohérence. Ils
que de cette intéressante question. Puis, il montre l'évolution des idées pathologiques de- puis la doctrine de Trousseau
passe, à tort ou à raison, pour l'antagoniste du corps thyroïde. L' idée de traiter le goitre exophtal- mique par l'inge
eux-mêmes se tiennent encore très prudemment sur la réserve; mais l' idée directrice de leurs expériences est si ingénieuse
in nombre de malades basedowiens. « C'est là, nous le répétons, une idée théorique dont la démons- tration nécessite des
physiques de la maladie, des troubles mentaux caractérisés par des idées vagues d'empoison- nement et de persécution. El
a montré une augmentation notable de l'élément terreux, auquel des idées modernes attribuent une signification important
de la para- lysie générale progressive avec l'épilepsie : mais les idées sont plus niaises chez le paralytique général ;
ervé sur un jeune homme élève d'un lycée. L'attaque provenait d'une idée qui, grossissant peu à peu, devenait énorme et dé
angeait de façcn à l'éviter. Alors il cherchait à opposer une autre idée à la « mauvaise idée », il la grossissait par l
éviter. Alors il cherchait à opposer une autre idée à la « mauvaise idée », il la grossissait par la volonté, et si la l
nté, et si la lutte pouvait s'établir, la crise ne survenait pas, l' idée thérapeutique combattait l'idée pathogène, sino
ablir, la crise ne survenait pas, l'idée thérapeutique combattait l' idée pathogène, sinon la crise suivait son cours. La
s les besoins de la vie, pendant leur fugue. Cela cadre-t-il avec l' idée que nous nous faisons de l'état mental des épil
brièvement exposés, les résultats obtenus par le développement des idées d'humanité, l'action des congrès, la propagande
n : M. Binswanger. - On peut observer dans cette forme clinique des idées délirantes et des états hallucinatoires. La mob
hallucinatoires ont provoqué des conceptions délirantes telles que idées de persécution, de grandeur, d'empoisonnement,
e idées de persécution, de grandeur, d'empoisonnement, de négation, idées érotiques, hypocondriaques. Les idées de perséc
mpoisonnement, de négation, idées érotiques, hypocondriaques. Les idées de persécution étaient des plus fréquentes; celle
tate chez certains malades de l'excitation motrice, de la fuite des idées , des modifications de l'humeur, des symptômes d
grouper un peu, différemment qu'on a l'habitude de le faire. z L' idée générale que nous voudrions voir se dégager de no
ès précises et uniformes, ne s'accompagnent.dans la règle, d'aucune idée délirante et consti- tuent un trouble psychique
portante pour la production de ces états, en faisant intervenir des idées mystiques génitales ou autres. Il cite l'exempl
paru vingt ans après et sont caractérisés par de la mélancolie avec idées d'indignité et délire de négation. Elle prétend
, de savoir que les aliénés peuvent dissimuler, non seulement leurs idées délirantes, mais encore leurs hallucinations.
vons mis sous les yeux de nos lecteurs leur permettront d'avoir une idée exacte de la session de Bordeaux, du Congrès de
traitements qu'il voyait appliquer par les sommités médicales, l' idée lui est venue de se procurer quelques années de r
perpé- tuer le souvenir de HACK 'l'arc, le faire en conformité des idées qui ont surgi toute sa vie, c'est-à-dire l'amél
été trouvé dans le gave d'Oloron, sur le territoire d'Oraas. Toute idée de crime doit être écartée. Une tentative de su
rche dès qu'ils s'aperçurent de sa disparition. Son fils ayant eu l' idée de suivre la voie du chemin de fer voisine de la
, entretient la santé, favorise le som- ? meil et amène l'oubli des idées délirantes 2. » Il est 'partisan de., faire bén
sion à la nécessité de la surveillance continue des mélancoliques à idées de suicide, ainsi que des sujets atteints de ps
en liberté des aliénés et de la colonisation des chroniques. « L' idée , dit-il, du traitement en masse, avec la discipli
stance des aliénés en Allemagne. Grande est la part qui revient aux idées françaises et anglaises dans les progrès consid
gisme ; à cette période correspondent l'excitation motrice et les idées de grandeur; 3° les matériaux de nutrition sont à
es lésions trouvées à l'autopsie du cerveau, sans préjuger d'aucune idée théorique sur les localisalions. De l'examen co
ien des anciens moyens de coercition par le fait qu'en ce temps les idées de John Conolly étaient très discutées et rappe
nique, le malade peut regarder ses conceptions délirantes comme des idées maladives; ce sont alors des conceptions délira
t de la maladie, tandis qu'il ne conviendra pas de l'inanité de ses idées fixes de grandeurs et de persécutions. P. Keraval
s'accomplissent plus péniblement (lecture, calcul, association des idées , etc.); chez certains sujets, cette action de ral
écution). Jusqu'alors on avait mis les lacunes de l'association des idées observées dans les psychoses chro- niques sur l
s idiots il s'agit d'un arrêt de dévelop- pement de ces fibres. Les idées délirantes de la paranoïa peuvent également êtr
alement être mises sur le compte de troubles dans l'association des idées provoqués eux-mêmes par une dégénération partiell
ccompagné de congestion de la face, d'hallucinations de la vue. Les idées érotiques sont très rares. En général la menstr
'.trente-cinq ans, reproduit d'une façon quasi photographique, 'les idées délirantes de la mère. Mais- en outre elle mani
'les idées délirantes de la mère. Mais- en outre elle manifeste des idées de grandeur et a, de sa supériorité une convict
lents. C'est la mère qui a été l'agent actif dans l'élaboration des idées délirantes; c'est elle qui les a communiquées à
t évolué vers l'affaiblissement intellectuel et s'est accompagnée d' idées de grandeur. L'auteur croit devoir admettre tro
caractère, sans faiblesse intellectuelle. Pas d'évolution vers les idées de grandeur et la démence. Immobilité. 2° Déb
perséculés-perséculeurs (le mari). L'apparition et l'évolution des idées délirantes, l'absence d'esprit critique chez un
trant au cours d'une paranoïa chronique (la fille). Apparition d' idées de grandeur. Terminaison par un état d'affaibliss
ces observations comme fort intéressantes, moins par la nature des idées délirantes que par leur coexistence chez tous l
ise jusqu'au jour où la fille prend la direction. Le mari subit les idées délirantes qui lui sont imposées et les abandon
de la maison. Il a conscience de sa situation. Il ne présente pas d' idées délirantes, ni d'hallucinations. Il est quelque
tournures stéréotypées. On ne constate point d'hallucinations, ni d' idées délirantes. Les malades font volontiers des con
jeunesse, con- sécutivement à une forme de dépression accompagnée d' idées de persécution et suivie plus tard d'un état d'
dées de persécution et suivie plus tard d'un état d'excitation avec idées de grandeur. Les conceptions délirantes ne tard
hez quelques-uns cependant on a pu noter la persistance de quelques idées délirantes etd'halluci- nations, bien que peu a
ire ne tarde pas à disparaître et en 1877 les hallucinations et les idées délirantes s'étaient effacées, et n'ont point rep
urs, du manque d'enchaînement de ses pensées, de l'illogisme de ses idées (associations par assonnance). Il parle de cent
e voit, ce malade présente les signes décrits plus haut : absence d' idées délirantes, faculté d'orientation conser- vée,
isant par l'impossibilité où est le patient de se débarrasser d'une idée donnée, c'est-à-dire par une indigence de pensé
duisant par une pro- duction exagérée de conceptions : une première idée provoquant l'apparition d'une seconde, celle-ci
e seconde, celle-ci d'une troisième; c'est une véri- table chasse d' idées . L'incohérence, d'après Arndt, tient à la pro-
L'incohérence, d'après Arndt, tient à la pro- duction exagérée des idées mais peut aussi tenir à la lenteur excessive et
tenir à la lenteur excessive et à l'indigence dans la formation des idées . ' Dans le second cas, il s'agit d'un sujet ant
ans les réponses de rapport avec les questions, pas d'association d' idées dont on puisse retrouver le fil. L'auteur admet
nde tout particulièrement par la jus tesse de leurs vues et par les idées nouvelles qu'ils développent. Sans nier le rôle
ssi courte que celle que nous venons de faire ne peut donner qu'une idée incomplète de la valeur du contenu de cet importa
directe de ses moyens intellectuels. M. Giroudon développe cette idée et apporte quelques faits d'observation à son app
e ses moyens intellectuels ; - pour faire les frais d'un délire aux idées larges et nombreuses, il faut un cerveau suffis
ts élémentaires et peu compli- qués, formés d'un nombre restreint d' idées niaises tournant dans un cercle étroit et toujo
que chez les faibles d'esprit, entraîne une union plus étroite de l' idée et de l'acte, une tendance toute particulière à
névroses traumatiques, adoptant ainsi une position mixte entre les idées de Charcot et celles d'Oppenhein et autres aute
réalité. Le Journal du Loiret continue, en essayant de combattre l' idée que de telles expériences sont dangereuses. Il
nexé, je ren- voie au rapport du Dr Bourneville dont je partage les idées sauf sur deux points de détail. Mon éminent con
s distances à parcourir pour s'y rendre des diverses divisions. L' idée de réunir les deux infirmeries a moins d'inconvén
affecté à cette catégorie d'aliénés. En 1880, on eut l'ex- cellente idée de les en détacher et de construire pour eux une
ne serve pas de modèle pour le nouvel asile. En effet, on a eu l' idée impardonnable de construire deux quartiers de 150
aussi les suicidiques. Dans beaucoup d'établissements les aliénés à idées de sui- cide sont hospitalisés à l'infirmerie ;
e ne per- mettre le passage d'aucun lien. Le nombre des aliénés à idées de suicide est bien plus con- sidérable du côté
Ces trois mots paraissent lui servir à donner plus de foi ce à son idée et à faire plus facilement des éclats de voix,
e est peu développée. Maiie-Louise ne parait pas être mailresse des idées , - Parfois, elle a de véritables idées fixes. Q
arait pas être mailresse des idées, - Parfois, elle a de véritables idées fixes. Quand elle entend parler d'un accident ou
ssure. On parle d'autre chose, mais Marie- Louise Th... relient son idée et fait avec le couteau le simulacre de se coup
rents degrés, de désordres de la conscience et de l'association des idées , parfois d'agitation, de délire. Dans une catég
tat morbide, le malade oublie la vie normale et les sentiments, les idées , les actes qui l'éloignaient de ses souvenirs d
.) Il s'agit d'un fait de démonopathie rentrant dans le cadre des idées fixes ou paranoïa rudimentaire L'auteur émet à ce
ntaire L'auteur émet à ce propos les considérations suivantes : les idées fixes ou paranoïa rudimentaire naissent dans de
le degré de paranoïa proprement dite, et représente seulement une idée fixe, une paranoïa rudimentaire, doit consister e
oral, visant à mettre un terme à la suggestion point de départ de l' idée fixe (isolement) et à lui opposer de nou- velle
tale dans laquelle l'intelligence est dominée par une ou plusieurs idées fixes ou par des idées délirantes, sans que le se
ntelligence est dominée par une ou plusieurs idées fixes ou par des idées délirantes, sans que le sens moral soit forcéme
date, sous forme d'affaiblissement de l'activité intellectuelle, d' idées hypocondriaques, d'irritabilité, de con- fusion
il, l'auteur apporte de nou- veaux faits cliniques à l'appui de ses idées sur la folie blennorrha- gique. Les malades don
ble démence paralytique, faisant ainsi faire un pas de plus à cette idée que la paralysie générale n'est qu'une maladie
des staphylocoques pyogènes et des streptocoques. Dans cet ordre d' idées , l'auteur rapporte deux cas démonstratifs comme
déséqui- libralion mentales; onanisme. Il y a trois ans, début des idées de persécution : la police le fait surveiller ;
tés du sens moral : ces dernières s'ajoutent en effet plus tard aux idées délirantes. M. Heilbronner (de Breslau) fait un
et c'est lui qui donne la clé de tout l'ensemble symptomatique. Les idées délirantes associées sont tantôt de simples conce
stence, soit à des attaques contre l'honneur du patient, soit à des idées d'infériorité, d'auto-accusation, de désespoir. T
épidémies, le suicide, les imitations de crimes, la propagation des idées et l'en- gouement en politique, enfin les cas i
esures d'assistance forment le dermier chapitre. L'auteur, imbu des idées qui, depuis Pinel, ont fait de rapides progrès en
tion dont une analyse même détaillée ne peut donner qu'une faible idée . Ce sujet difficile et complexe a dû nécessiter d
37 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Démence avec illusions viscé- rales, abdominales et auditives, et idées de persécution. Agi- tation par accès. Imbécill
. Observation XXII. M. Bern... Démence avec agitation continue et idées de crainte, se rattachant à des troubles nutri-
it et se bornent à répondre au médecin : «Je ne sais pas, c'est une idée qui me passait parla tête ». Inutile de les int
le fait d'un seul incendie à la charge d'un prévenu milite contre l' idée de pyromanie. Dans mes obser- vons, le nombre d
fois pardutympanisme abdominal ; au point de vue psychique par des idées de mort pro- chaine, de l'anxiété et une triste
souvenir du sinistre lui revint à l'esprit, et à son grand effroi l' idée de mettre le feu s'empara de lui, sans qu'il pu
il s'endormit d'un bon sommeil jusqu'au lendemain. A son réveil l' idée de mettre le feu reparut plus vive que la veille.
stible. Sa tête se fendait, son coeur sautait dans sa poitrine, ses idées étaient con- fuses. Il quitta le travail pour a
rie des veaux avec un autre domestique qui jouait de l'accordéon, l' idée reparut avec une violence telle que toute lutte
la ramasser et la placer au milieu du fourrage. Comme la veille l' idée disparut alors tout à coup, et un grand soulage
venir ses crises qui, dit-elle, la débarrasseront de ses mauvaises idées . Dans un cas de pyromanie chez un malade intell
ons le terme paranoïa employé par Heinroth ', mais il n'en a qu'une idée vague et peu précise. Cependant sous le nom d'E
fixes et sentiment exagéré de la personnalité. Nous retrouvons ces idées dans Esquirol 2 qui décrit les monomanies intel
e plusieurs observations dans lesquelles il insiste surtout sur les idées de grandeurs. En Allemagne Griesingerl (1845) d
onceptions déli- rantes fixes que le malade répète constamment. Ces idées qui se rapportent toujours à la personnalité de
idu, à ses rapports avec le monde, peuvent être actives, exaltées, ( idées de grandeur) ou passives (idées de persécution)
e, peuvent être actives, exaltées, (idées de grandeur) ou passives ( idées de persécution). On peut ainsi distinguer deux
vations de la transformation chez les héréditaires vésaniques des idées hypocondriaques en idées de persécution, puis de
ation chez les héréditaires vésaniques des idées hypocondriaques en idées de persécution, puis de grandeur. Dans soc Trai
s tard sous le nom de délires systématisés primitifs. Il décrit les idées tixes, les excentricités, les bizar- rfries des
formes, sur la rapidité de l'appari- tion et de la disparition des idées délirantes dans certains cas, sur le développem
mélancolie, et caractérisée par l'apparition primitive de séries d' idées déli- rantes particulières de contenu mixte (pe
nées d'hallucinations (pî,i2nâi-e oder eigentlzclaer Wahnsinn). Les idées délirantes en outre n'auraient pas, comme dans
leur caractère, qui semblent s'hypertrophier, et alors arrivent les idées systématisées de per- sécution, d'empoisonnemen
mme. Ce sont les hallucinations de l'ouïe qui ouvrent la scène. Les idées de persécution qui les accompagnent ne sont qu'un
on caractéristique se retrouvaut dans d'autres formes de folie. Les idées fixes ont pour Samt la même base pathologique q
hypochondriaque. Au bout d'un certain temps, viennent s'ajouter des idées de grandeur. - 3°La Jormeaiguë est caractérisée
tions surtout de l'ouïe et souvent terrifiantes, s'accompa- gnant d' idées de persécution. A l'acmé de la maladie, l'inco-
es avec l'état émotionnel. Chez le maniaque et le mélancolique, l' idée est secondaire et procède de J'état émotionnel ;
l'autre. Nous aurons l'occasion de revenir plus en détail sur les idées que cet auteur à émises à ce propos dans la derni
la dernière édition de son traité. Emminghaus (IS78) partage ces idées . Nous signalerons encore cette même année un tr
éditairement ; le fond sur lequel elle repose est constitué par des idées délirantes dont l'origine primitive est bien dé
. Stuttgart, 1881. LA PARANOÏA 71 laquelle on observe souvent des idées de persécution par Té- lectro-magnétisme, des h
urs aliénés décrit par Calmeil et Thomeuf 'l, et par Nasse 1. - Les idées fixes, sont séparées de la Paranoia primitive,
Pelmans (1882) nie l'existence delà forme secondaire et partage les idées de Koch, de Krafft-Ebing, etc., à ce sujet. Gna
361, 1882. 74 REVUE CRITIQUE. lancolie), rééditant à ce sujet les idées de Fristh. (Voy. p. 6.) Il signale l'augmentati
u terrain de jour en jour. Raucli (1883) n'émet sur le sujet aucune idée originale. Tuczek 2, étudiant l'hypochondrie, d
omprend « la folie morale, p la paranoia partielle (rudimentaire ou idées fixes qu'il décrit le premier et délire des per
on rigoureuse ? Ce sera pour Muret, en dépit des critiques dont ses idées sont encore l'objet, un inoubliable titre de gl
e l'hé- rédité qui dépose dans ces jeunes. cerveaux, ces ferments d' idées fixes, impulsives, dont l'apparition à cet âge
ire éclate soudainement; c'est un véri- table accès dans lequel les idées se produisent péle-mêle, se com- binent et s'en
porter quelque changement à l'allure délirante, puisque ce sont des idées expansives qui viennent se faire jour à travers
es. Pendant un temps, dont la durée est variable, les deux ordres d' idées co-existent plus ou moins étroitement combinées
rgueilleuses qui tendent à prédominer définitivement. Peu à peu les idées de persécution sont abandonnées sur la route du d
i- blement dans l'échelle intellectuelle. Du reste le passage des idées de persécution aux idées de grandeur s'accentue,
le intellectuelle. Du reste le passage des idées de persécution aux idées de grandeur s'accentue, rend plus profonde enco
constituée par l'organisation d'un dé- lire de persécution, où les idées maladives sans cesse alimentées par les halluci
tisent ; 3° La troisième période, caractérisée par l'intervention d' idées de grandeur, marquant la systématisation ultime
l'ex- périence, il faut avoir endormi la malade, et lui suggérer l' idée 'e qu'elle porte un vésicatoire). Inversement,
circonstance, une rondelle d'emplâtre vésicant, en lui suggérant l' idée qu'il s'agissait d'une simple feuille de papier d
clinique. Il y a neuf ans, appuyé sur la statistique, je réfutais l' idée que les mala- dies mentales commençaient par un
ntal invariable de la folie systémitique est toujours la fixité des idées délirantes avec tendance à la systématisation. Ma
de violents accès d'angoisse, ainsi que des phases, des courants d' idées mélancoliques qui semblent constituer l'introdu
une autre forme de mélancolie; M. Meilhou, veut arrivera faire de l' idée de sui- cide un caractère capable d'exclure le
it une critique en règle de quatre observations dans lesquelles des idées de suicide ont été constatées chez des sujets qui
e une observation montrant encore qu'un mélancolique peut avoir des idées de persécution sans être un vrai; persécuté, pu
servations éta- blissantquecesmêmes mélancoliques peuvent avoir des idées de suicide. Mais ces quelques faits sont insuff
la principale proposition de la thèse à savoir que la présence des idées de suicide doit faire exclure le délire des persé
combiné avec le délire alcoolique et que, dans ces conditions, les idées du suicide peuvent être indépendantes du délire d
- grand du Saulle dans lesquelles le délire des persécutions avec idées de suicide n'était nullement compliqué. Cn. F.
urent les diverses parties de l'encé- phale et de prendre une bonne idée de leur disposition topogra- phique générale. L
courir, son étendue, le nombre et l'importance des stations, les idées fondamentales et leur enchaînement. La commissi
git. Lorsque cette question viendra en discussion, on verra que l' idée de la commission permanente départementale remont
te départementale remonte à l'origine même de la loi de 4838. Cette idée a été mûrie et déve- loppée dans les études suc
arlement, M. Ribot, comme ayant beaucoup contribué à donner à cette idée la consistance que la commission du Sénat ne po
ême de tous les sons devenus conven- tionnellement représentation d' idées . C'est l'amnésie des signes audibles, la perte
ent les questions ultérieures que nous lui adressons, elle suit son idée première et nous fait des réponses qui n'ont au
ue les langages parlé et écrit soient corrects et en rapport avec l' idée , alors que l'image auditive fait défaut ; et il
bornons pour le moment à ces citations qui indiquent nettement les idées de l'auteur se résumant en ceci : les accès iso
le 11- 37, p. 62. 222 REVUE CRITIQUE. goût) et un délire subit d' idées de grandeur et de persécution mêlées ou alterna
le calme peut renaître, mais les hallucinations persistent avec des idées d'empoisonnement, de persécution, etc. Cette fo
folie systématique Donc ce n'est pas la teneur, mais la 'genèse des idées qui est prépondérante Comme dans les cas de Mende
ucinatoire ( Wahnsinn) de Krafft-Ebiii dont il partage en somme les idées , trouve cependant que l'expression de cet auteu
ns ce cadre la manie hallucinatoire de Mendel, le désordre dans les idées hallucinatoire de Fristh. le désordre dans les
ordre dans les idées hallucinatoire de Fristh. le désordre dans les idées pseudo-aphasique (Meynert, Schlangenhausen), le
s pseudo-aphasique (Meynert, Schlangenhausen), le désordre dans les idées hallucinatoire curable ou ai-il pri- mitif (Mey
origine dans une mélancolie, on a toujours relevé en même temps des idées hypochondriaques; or, celles-ci ont invariablem
eures de la folie systématique. 11. Moel) prétend que la teneur des idées ne peut servir de diagnostic entre la mélancoli
e se met tout à coup à accuser ses parents et à avoir plus tard des idées de persé- cution et de grandeur) ; sans doute,
ique, affectant la forme d'agitation mamaque avec désordre dans les idées , idées de persécution, basées sur des hallucina
affectant la forme d'agitation mamaque avec désordre dans les idées, idées de persécution, basées sur des hallucinations m
ondamental de la Verrücktheit, dit il, est toujours la production d' idées délirantes avec tendances à la systématisation.
'est la Ve ? -rûcktheit qui en constitue le fond, qui sus- cite les idées , les systématise et amène des conceptions anor-
nce. Très souvent aussi chez les débiles congénitaux, on trouve des idées délirantes plus ou moins nettes atteignant tant
s. L'auteur conclut qu'en somme la Verrücktheit désigne une folie à idées délirantes concrètes, stables, avec tendance à
symptômes de dégéné- rescence. III. Telles sont, en somme, les idées émises dans les principaux ouvrages allemands '
é- ment et dont ils ne fournissent pas les éléments. De plus, les idées ambitieuses ne sont pas une conséquence logique,
t pas une conséquence logique, mais sont souvent contemporaines aux idées de persécution, qui indiquent déjà une exagérat
sychiques et les rapports harmoniques qui doivent exister entre les idées , les sentiments, les actes. Dans ce travail Buc
sujet, se demandant si les hallucinations sont pri- mitives, si les idées délirantes n'en sont que l'interprétation ou na
istant seul, le plus souvent de couleur érotique ou religieuse. Les idées fixes ' Beard. onon : a7t)'a and monohypocondri
t où l'on rencontre souvent un délire de persécution caché sous les idées hypocondriaques. 5° Certains cas de folie hysté
gues toutes caractérisées par la pré- dominance d'un groupe donné d' idées et de tendances rentre dans les formes abortive
stématique primitive, tandis que d'autres constituent le groupe des idées fixes où subsiste la conscience. 7° Les forme
la raison et à la folie (tem- péraments de fous), les graphomanes à idées de grandeurs ca- chées. 0 8° Certains cas typ
ésie occupe toute la surface de la peau; cet ensemble contredit à l' idée de la sclérose en plaques. Sur ces entrefaites,
des successives sont une phase d'inquié- tude, suivie d'une phase d' idées de persécutions, puis d'idées am- bitieuses, po
d'inquié- tude, suivie d'une phase d'idées de persécutions, puis d' idées am- bitieuses, pour aboutir à la démence. Il
SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 suffit pas, en effet, qu'un aliéné ait des idées de persécution pour appartenir au groupe des dé
élirants persécutés dont nous nous occupons, il faut encore que ces idées se développent d'une certaine façon, qu'elles s
qui lui sont propres, après un état mélancolique vague, avec peu d' idées de persécution. Enfin, je ne vois que très rare
parle constamment de Dieu, du diable, d'or : aucune suite dans les idées , mange beaucoup et maigrit néanmoins. Idées de
: aucune suite dans les idées, mange beaucoup et maigrit néanmoins. Idées de persécution multiples; conceptions hypochond
un peu de faiblesse intellectuelle, portant sur le sens moral, puis idées délirantes pendant un an et désor- dre dans les
s moral, puis idées délirantes pendant un an et désor- dre dans les idées avec affaiblissement des facultés. Mais tous ce
loi nou- velle a donné satisfaction à tous les voeux, à toutes les idées des aliénistes allemands. 11 y a eu unanimité à
a religion d'entrer dans ces asiles. Or, par suite des malheureuses idées cou- rantes, vous ne pouvez pas la faire entrer
propose d'édicter. Je crois donc que je ne fais qu'entrer dans les idées mêmes de la commission en pré- cisant un peu mi
ajouté « un aliéné étranger ». J'ai agi ainsi pour entrer dans les idées que je crois êfre celles de la commission, mais
ion. L'expression d' «étranger» » ne répond pas tout à fait à votre idée . M. LACOMBE. L'étranger est celui qui n'est pas
our en vérifier les termes; je crois que nous sommes d'accord sur l' idée . Il ne restera plus qu'une question de rédaction;
soins à donner aux aliénés est un bon pas de fait dans cet ordre d' idées . (The New-York Médical Journal, 20 no- vembre 1
a lecture de cet ouvrage un charme et un attrait tout spéciaux. « L' idée dominante de toute ma vie scientifique, dit M. Le
iques ou légales les plus diver- gentes ou les plus ardues. » Cette idée maîtresse, qui a égale- ment guidé l'éminent mé
stance des aliénés. Ces maisons ont été créées sous l'influence des idées an- ciennes, superstitieuses, et conservent enc
arents. Pas de fièvres éruptives, pas d'accidents strumeux. « A mon idée », dit la mère, « l'enfant aurait eu une peur a
s eu d'excitation maniaque, ni d'hallucinations, mais on a noté des idées tristes et, à deux reprises, il a tenté de se s
servé son intelli- gence, maiscelle-ciétaitobsédée, dominée par des idées oudeshallucinations de nature triste. Quoique l
e. L'intoxication alcoolique chez lui détruisit l'harmonie dans ses idées délirantes et nous pûmes alors entendre ses réf
le que le malade, à bout de force, ne puisse plus lutter contre ses idées et ses hallucinations terrifiantes. Il est domi
il répète chaque mot qu'il entend. Dans les choses journalières, l' idée correspondante au mot entendu lui fait défaut.
asysté- matique,' peut passer à la Paranoïa à travers le stade des idées fixes, forme rudimentaire ou prodromique de Par
n'y a pas là plus d'hérédité qu'ailleurs; la priorité en date de l' idée sur les troubles du sentiment n'est rien moins
alades du plus léger trouble émotionnel pour changer ou exciter les idées déli- rantes. En outre tous les auteurs ne s'en
ent-ils pas des délires à marche aiguë, chose incompatible avec une idée de dégéné- ' Voir le iio 37, p. 62, n° 38, p. 2
général; qui s'accompagne presque toujours d'hallucinations et d' idées délirantes permanentes plus ou moins systématisée
iste surtout dans des ano- malies de l'intelligence (associations d' idées bizarres, juge- ments absurdes) ou des sentimen
i un résumé : 398 REVUE CRITIQUE. Guicciardi (i88tt) se range aux idées de Tanzi et Riva, à propos de l'interprétation
cette forme de Paranoïa. Cette Paranoïa rudimentaire (ou plutôt les idées fixes) avaient été divisées par Tamburini* en t
es) avaient été divisées par Tamburini* en trois classes : 1° les idées fixes simples (Ex. : folie du doute pure) sans te
olie du doute pure) sans tendance à se transformer en actes; 2° les idées émotives avec actions simultanées (azioni coatt
re avec tendance à l'extériorisation de leur contenu moteur; 3° les idées tmpM/s/ues. Morsolli n'en admet que deux classe
idéative à se transformer en acte. Quant au terrain sur lequel ces idées se développent, il est aussi très contesté. Kra
G. Andriani. Conbributo alla conoscenza délie psicosi degeneralive ( idée fisse). (La psychiatria, 1885.) LA paranoïa. 39
les classe dans les Paraphi-enies du second groupe. D'ailleurs, les idées de cet auteur seront rendues plus claires par l
e le terme Paranoïa qui semble ainsi associé dans sou esprit avec l' idée d'une constitution nemopathique, qu'elle soit con
du Saulle. - Le délire des persécutions, 1873. 3 P. E. Garnier. Des idées de grandeur dans le délire des persécu- tions (
ces mots par folie de la chicane, bien qu'ils expri- ment de plus l' idée de plainte. Consulter aussi à ce sujet : Liebman,
été médico- psychologique (1885-1886). Nous retrouvons encore ses idées reproduites dans la thèse d'un de ses élèves, l
s avec lequel on pourrait la confondre par la systé- matisation des idées hypochondriaques, de persécution, de grandeur.
ctères particuliers qui peu- vent faire distinguer la nature de ces idées , il faut dire que ce délire systématisé de néga
t décrit les mêmes formes que nous venons d'examiner. Reprenant les idées de Morel sur la folie héréditaire, il l'é- tudi
idité d'esprit sont ce que d'autres aliénistes ont désigné du nom d' idées fixes, et nous représentent ainsi cette forme d
à la thèse de M. Legrain, qui expose d'une façon très complète les idées de son maître sur les différents points que nou
marche (hallucinations surtout de l'ouïe, nature et évolution des idées délirantes, réactions du malade), de même que d'a
de, hallucinations multiples ou absentes, relations entre elles des idées délirantes). Il importe à ce sujet de rappeler
ce sujet de rappeler ici que, au point de vue de la succession des idées délirantes, les différents aliénistes qui ont écr
aliénistes qui ont écrit sur la Paranoia ont fait observer que les idées de persécution ou de grandeur pouvaient exister
xte), on pour- rait les voirôtre contemporaines ou se succéder, les idées ambi- tieuses étant la conséquence des idées de
es ou se succéder, les idées ambi- tieuses étant la conséquence des idées de persécution. Or, en nous reportant à la clas
de M. Magnan, nous aurions, dans le dernier cas, une succession des idées analogues à celles . que l'on rencontre dans le
. Régis ' (1885) où sous le nom de folie partielle il reproduit les idées de Magnan sur le délire chronique; et une leçon
(1885) sur une forme particulière de délire ambitieux distinct des idées de même nature des débiles, circulaires, perséc
par Westphal. Là, les avis sont bien partagés : les uns suivent les idées de Westphal, ce par exemple Meynert, Fristh, Me
dimentaire décrite par Arndt et dont le type est représenté par les idées fixes. Le terrain, nous l'avons vu, sur lequel
. Le terrain, nous l'avons vu, sur lequel peuvent se développer ces idées est très contesté : et d'un autre côté, certain
té : et d'un autre côté, certains auteurs tout en rapprochant les idées fixes de la Paranoia, les en distinguent cependan
des hallucinations, des troubles de la sensibilité générale et des idées de persécu- tions ; très excité sous l'influenc
tions diminuent d'intensité, l'excitation s'apaise peu à peu, les idées mélancoliques, mystiques, ambitieuses disparaisse
cessation rapide d'un accès délirant polymorphe; tout à coup des idées mélancoliques, mystiques, ambitieuses, des idées
e; tout à coup des idées mélancoliques, mystiques, ambitieuses, des idées de persé- cution se sont montrées s'enchevêtran
eurs cliniques comme type de persécuté » qui n'a ja- mais eu aucune idée ambitieuse ; et celle d'un autre individu persé
ve que pcndantque Fr. était présenté comme « type de persécuté sans idées ambitieuses », M. Régis, chef de clinique de M.
que les observations des déli- rants chroniques n'ayant jamais eu d' idées ambitieuses soient difficiles à trouver. Il en
évolution dans l'épanouissement du délire que se sont produits les idées de grandeur ». Or, c'est là précisément ce que
un grand nombre] de cas le délire des grandeurs vient s'ajouter aux idées de persécutions, il ne croit pas que cette évol
elligence s'usant en quelque sorte à tourner dans le même cercle, l' idée délirante s'atténuera et il ne testera de toute
déjà remarqué que les hypochondriaques manifestaient souvent des idées ambitieuses. Hystérie, somnambulisme, vol incon
nheur il n'y a à Dalldorf qu'un petit nombre d'individus imposant l' idée de la nécessité d'installations spéciales. Mais
gens sans aveu et que des aliénés ordinaires seront tourmentés de l' idée qu'ils sont séquestrés avec des criminels, idée
ont tourmentés de l'idée qu'ils sont séquestrés avec des criminels, idée confirmée par la vue des appareils de sécurité
es degrés de gravité. Et par-eela même qu'une famille, cédant à des idées que l'on comprend parfaitement, place un de ses
craindre qu'on n'assiste sous peu à la formation de deux courants d' idées : l'un rappelant la secte des spirites ou croya
38 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er des faits de rémission des symp- tômes tabétiques en exprimant l' idée que la paralysie géné- rale paraît arrêter la m
es bouteilles et des papiers dans le ventre. Par- fois il avait des idées de suicide et on le voyait alors faire des ten-
arracher la peau du visage et des mains, ou bien il manifestait des idées de persécution : « On lui en voulait, on allait
(Le Radical, 17 juin 1898.) PATHOLOGIE MENTALE. NOTES SUR LES IDÉES DE NEGATION; Par M. TRÉNEL, Médecin adjoint d
ÉES DE NEGATION; Par M. TRÉNEL, Médecin adjoint des asiles. Les idées de négation,malgl'é la gravité de pronostic qu'el
celles de différents auteurs. M. Séglas a de nouveau établi que ces idées peuvent se rencontrer dans les conditions les p
dans les observations suivantes : dans l'un des cas, il s'agit d' idées de négation élémentaires au cours d'une mélancoli
élémentaires au cours d'une mélancolie simple. Dans le second, ces idées apparaissent dans la période mélancolique d'une
d'une folie périodique alternante. Enfin dans le troisième cas les idées de négation prédominèrent un certain temps dans
arme à feu. -- Un an après le début de la mélancolie, apparition d' idées de négation peu développées, épisodiques portant
oment par une période de perplexité et de légère confusion dans les idées sur laquelle elle ne donne que des renseignemen
laquelle elle ne donne que des renseignements vagues. Bientôt ses idées prennent une tournure dubitative et néga- tive
il ne travaille certainement pas parce que tout est NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 25 at't'êté. Il ,emble il1\1u<
ne vient plus. Il ne va plus y avoir non plus de pain ; dans cette idée elle se lève la nuit pour vérifier si la boulan-
out cela la fait cependant réfléchir un peu; elle se demande si ses idées ne sont pas des rêveries. A son arrivée à l'a
leurer, de se désoler sans pouvoir se livrer à aucun tra- vail. Les idées de négation ont complètement disparu; la malade
et, il existait, ~ comme on l'a vu, une certaine confusion dans les idées avec quel- ques illusions de la vue et de l'oui
rtes de choses qu'elle ne comprenait pas. Elle ne se faisait qu'une idée inexacte de l'heure et du jour. Cet état ne dura
al qui allait juger son fils, on ne constatait rien d'autre que des idées mélancoliques. Au point de vue physique son éta
siste encore aujourd'hui mais bien moins accentuée. NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 27 Cet examen est d'ailleurs diffi
e M110 A... est amélioré, elle a pleine conscience de ses anciennes idées délirantes, elle retrouve les souvenirs qu'elle
ériode J'acuité de la maladie. Mais elle est déprimée encore, a des idées d'indignité, se fait des reproches immérités.Le
é. C'est le tableau banal de la mélancolie simple accompa- gnée d' idées de culpabilité, de déchéance, de ruine. Ce qui
tal qu'a présenté la malade au moment de son entrée à l'asile. Les idées mélancoliques passent un instant au second plan;
nt quelque temps, c'est la tendance à la négation. Il n'y a pas d' idées de négation complètes, mais il est bien évident
n évident qu'il n'y a qu'un pas de cette perplexité cons- tante à l' idée de négation vraie. La malade est encore acces-
à affirmer que tout a disparu, et l'on peut combattre encore cette idée ; il est bien vraisemblable que, si la malade n'
ion serait donc de donner quelques indications élémentaires sur l' idée de négation chez le mélancolique : en particulier
élancolique : en particulier ne pourrait-on pas voir dans certaines idées de notre malade (que les vaisseaux ne marchent
débuté en 1882. Hérédité vésanique (familiale ? ). Appa- 2'ilion d' idées de négation au cours du quatrième accès ; période
ec hallucinations et illusions terrifiantes de la vue et de l'ouïe, idées de négations portant sur la personnalité de la
28 PATHOLOGIE MENTALE malade et sur le uzmzd; extérieur : quelque* idées d'énormité. Ces symptômes ne durent que peu de
réditaires. Sa mère et sa soeur ont été aliénées. La mère avait des idées d'imnânite, ci oyait 101l10urs mal faire. La so
l'asile quelques mois plus lard dans un accès de mé- lancolie avec idées de suicide, elle sort guérie trois mois après;
ait soignée dans ses accès précédent*, et où elle émet de profondes idées de suicide et. manifeste l'idée de ren- trer à
ent*, et où elle émet de profondes idées de suicide et. manifeste l' idée de ren- trer à l'asile. L'accès (où les accès,
us taid elle croyait ne pas bien faire ; elle se rendait compte de» idées mélancoliques de sa mère et les combattait tout
dans la stupeur (certificat de M. Cort.1). En sep- NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 29 tembre, on note l'anxiété avec
multiples, agi- tation permanente, insomnie : elle émet une foule d' idées de né- gation, par moments elle ne parle pour a
ns un état d'anxiété indeseriptihie qu'elle émet avec loquncité les idées qui sont reproduites ici telles quelle*, si ce
omme le bruit d'un coup de sabre de bois ( ? ). » NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 31 A un moment donné, une autre ma
dement, elle se rend compte qu'elle a été malade et se rappelle ses idées délirantes. A la fin du mois de janvier, elle e
Depuis un an le même état persiste et le même état persiste et les idées mélancoliques sont très actives. Cependant la m
t. Dans cette deuxième observation comme dans la précé- dente les idées de négation sont survenues d'une façon épi- sod
avons affaire à une psychose simple et curable où l'apparition des idées de négation n'implique pas, en raison même de l
'. les mêmes hallucinations terrifiantes y sont notées. Mais les idées de négation paraissent être de date récente; elle
obser- vation I et sont accompagnées d'un symptôme important, les idées d'énormité et d'immortalité. Ces dernières n'appa
normité et d'immortalité. Ces dernières n'apparais- NOIES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 33 sent, il est vrai, que d'une fa
la malade expri- mer, dans une unique circonstance d'ailleurs, une idée in- verse, et considérer une malade qui l'appro
sidérer une malade qui l'approche comme im- perceptible à la vue. L' idée de négation se retrouve dans les caractères de
petits coups de fusil sourds. Mais quelle que soit l'intensité des idées de négations, elles n'en sont pas moins transit
re d'énormité était non secondaire et tardif, mais contemporain des idées de négation mêmes. La psychose elle-même paraît
extérieur. Délire hallucinatoire poly- morphe avec état anxieux et idées de persécution. Consécutivement, développement
anxieux et idées de persécution. Consécutivement, développement des idées de persécution, apparition d'idées de g7·a7z- d
nsécutivement, développement des idées de persécution, apparition d' idées de g7·a7z- deur et de possession. Guérison ( ?
ue elle aurait eu des scrupules de religion, des doutes et quelques idées d'indignité, symptômes qui paraissent avoir été
les plus grands dé- tails. Ce qui prédomine rapidement, ce sont des idées de négation, de forme hypochondriaque surtout,
. « Son médecin l'a blessée, elle va avoir le téta- NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 35 nos ; c'est une maladie où la t
stière sous la garde de sa belle-soeur. C'est à ce mo- ment que les idées de négation prennent tout leur développement. «
naire. Elle entre à l'asile en juillet 1895, on constate encore ses idées de négation, elle raconte qu'elle a desséché la f
les yeux se servent de ce qui a appartenu aux siens, et dans cette idée elle déchire et brise une foule d'objets qui on
lors à l'asile'le 23 septembre 1896. Dès son en- trée elle émet des idées de grandeur et de persécution bien carac- téris
son mari savait la vérité, il serait terrifié. il 11... émet des idées bizarres, absurdes : elle prétend n'être plus s
re malade persécutée mélancolique, dont elle admet et encourage les idées délirantes. Malgré sou délire très actif, elle
lare qu'elle reconnaît qu'elle a été malade, qu'elle n'a eu que des idées délirantes ; elle ne sait comment expliquer l'i
n'a eu que des idées délirantes ; elle ne sait comment expliquer l' idée absurde qu'elle n'était plus sur terre ; elle r
e affec- tion, ainsi que ses enfants. Elle combat avec vivacité les idées dé- lirantes de la malade dont elle était deven
lle la retire de l'asile en janvier 1897. Dans ce troisième cas les idées de négation ont encore eu une très grande inten
deux symptômes fré- quents chez les négateurs hypocondriaques, les idées de suicide et les troubles de la sensibilité, m
de et les troubles de la sensibilité, mais il faut dire que, si des idées de suicide n'ont pas été notées d'une façon caté-
ut remarquer que je n'ai observé la malade qu'à une époque où les idées de négation avaient disparu, et il est permis de
et morte, il a pu exister des troubles de la sensibilité. Enfin des idées d'immortalité nettement-formulées manquent; mai
nt-formulées manquent; mais elles se confondent évidemment avec les idées de damnation, de possession et de grandeur. C
observation rentre dans la catégorie des faits où l'apparition des idées de négation a lieu, dès les premiers accidents
allucinations mul- tiples ; ces symptômes font rapidement place aux idées de négation les mieux caractérisées qui àl'arri
embre 1895 à no- vembre 1896 un changement radical est survenu; les idées de persécution d'abord, puis les idées de grand
ent radical est survenu; les idées de persécution d'abord, puis les idées de grandeur et de pos- session ont pris la plac
puis les idées de grandeur et de pos- session ont pris la place des idées de négation. Celles-ci per- sistent cependant e
11,10 II... a perdu sa conscience, c'est qu'on la lui a prise). Les idées de grandeur elles-mêmes n'ont pas ici la teinte
s là une expres- sion de mélancolique. Cette mégalomanie, à forme d' idées de grandeur des persécutés qu'on rencontre chez
180). Il est enfin un point à noter encore : ce sont les quelques idées parfaitement absurdes qui ont été émises à un mo-
onné par la malade , comme de se croire trans- portée dans la lune, idées qui apparaissent d'une façon inattendue pour ai
idées qui apparaissent d'une façon inattendue pour ainsi dire ; les idées de ce genre ne sont pas exceptionnelles et ont
rquer le mode de terminaison de la maladie; le revirement subit des idées de la malade, en raison des réticences avec les
que, a fourni à AI. le profes- seur Potain l'occasion d'exposer ses idées sur la nature et la patho- génie de lamaladie d
té droit. Le sujet est sans connaissance et cyauosé. L'auteur eut l' idée de recourir à ladouche froide sur la tête. A ce
aissé simplement diriger par les faits, sans avoir jamais eu aucune idée préconçue au sujet de sa nature. Ils ne compren
es prétendent aussi qu'ils ont pro- cédé à leur enquête sans aucune idée préconçue, j'en suis fort aise pour eux ; mais
qu'il est éminemment personnel,' et l'intérêt qui s'attache à toute idée personnelle s'accroît ici de l'autorité'de ses au
'influence de discussions, de simples contradictions opposées à ses idées déli- rantes. Pendant un de ces moments de sure
donné seulement un semblant de bien fondé. D'abord dominée par des idées de persécution de la part de son mari et de div
ent, qui le détour- naient d'elle, qui favorisaient son inconduite ( idées de jalousie, etc.), elle ne tarda pas à arriver
conduite (idées de jalousie, etc.), elle ne tarda pas à arriver aux idées de vengeance. Elle échafauda contre M. K... tou
le était transférée dans notre seivice en février 1894. Bientôt les idées ambitieuses et l'exagéra- tion du sentiment de
e nos notes d'octobre 1894 est ainsi conçue : Persistance des mêmes idées , très autoritaire, ne supporte pas la moindre c
est atteinte de délire systé- matisé chronique caractérisé par des idées de persécution et des idées de grandeur, se dit
matisé chronique caractérisé par des idées de persécution et des idées de grandeur, se dit victime de son mari, prétend
n jccnvie· 1895 : la fièvre continue évolue saus complications; les idées délirantes persistent, moins accusées toutefois,
tanéité. La convalescence arrive fin janvier laissant les anciennes idées délirantes simplement atténuées, la malade ne l
rechute, la fièvre reparaît intense, avec céphalée, etc., mais les idées délirantes dis- paraissent totalement; AI"« K..
1896. Manie aiguë, suite de couches ; loquacité exagérée, insomnie, idées rapides, souvent incohérentes; difficulté de fi
ivement » guérie obtient sa sortie. - Ce dernier cas nous donne une idée des difficultés de cette étude. 106 REVUE d
étanisantes du muscle sain et de son similaire malade, se faire une idée assez exacte de la durée de la contraction du m
droit et se retrouvent tous au côte gauche. Il lui vient alors à l' idée qu'il a affaire à un hystérique. Il a la confia
c atrophie musculaire, etc.). C'est alors seulement que nous vint l' idée des tumeurs mé- dullaires multiples ; mais une
. Ces faits, pris dans leur ensemble, concordent donc bien avec les idées que nous avons exposées ailleurs relativement a
rôle de l'intoxication dans la pathogénie des accès épileptiques, idées reprises ces temps derniers par M. Maurice de Fle
ire, si je dis devant vous qu'une part dans la vulgarisation de ces idées nous appartient et que c'est à la médecine légale
où la lutte s'établissait entre des guerriers qui substituaient à l' idée du droit celle de la vengeance et de la. force.
lle devient inquiète, s'imagine qu'elle est perdue et manifeste des idées de suicide. De plus elle a de véri- tables cris
occupation devient rapidement chez certains malades une véri- table idée fixe qui absorbe toute l'attention, captive toute
à une action nerveuse réflexe, à un état de shock. Dans cet ordre d' idées , Vène, Le Dentu ont cité des exemples intéressa
stématique dans lesquels le délire est uniquement constitué par des idées d'auto-accusation. Il s'agit alors d'individus
agner parfois d'hallucinations secondaires, surtout de l'ouïe, et d' idées de sui- cide. De plus, il n'existe pas de sympt
sé persisle sous une forme stéréotypée; quelquefois il survient des idées de persécution, de grandeur; d'autres fois le s
est contraire à la théorie de Charcot et qu'il vient à l'appui des idées de Bastian et de Van Gehuchten, mais nous avons
ie transitoire et des conditions dans lesquelles elle apparaît, une idée différente de celle qui a cours en France. Krafft
it l'histoire, accepta avec empressement, mais avec modération, les idées nouvelles. D'un côté elle réprimait énergiquement
rigine ou dans le cours de certaines folies plus caractérisées, des idées délirantes de revendication. Par exemple : 9° C
risées, des idées délirantes de revendication. Par exemple : 9° Ces idées délirantes peuvent carac- tériser la période pr
rs après l'opération d'étouffements répé- tés, de suffocations; des idées hypochondriaques s'installent, le malade demand
rique, M. Terrien supprime aussitôt les étouffements. Dès lors, les idées hypochon- driaques s'effacent, le malade est gu
genèse et l'évolution du délire. Une de ces malades a présenté des idées de persécution, avec hallucinations de tous les
dégénératives et enfin plusieurs bouffées délirantes antérieures, idées hypocondriaques, craintes d'empoisonnement, etc.,
ce, ne cesse de parler à voix basse, mais sans aucun ordre dans les idées ; elle ne répond que rarement aux questions qu'
ve peu à peu à se rendre compte de sa situation, la confusion des idées est moindre, elle répond assez raisonnablement au
n interrogatoire, mais, si l'interrogatoire se prolonge un peu, les idées deviennent 'confuses, elle s'énerve, donne des
de fièvre, jusqu'aux dernières heures; ces phénomènes éloignaient l' idée d'une infection ; mais il est possible que les-
les d'ordre hystérique et dégénératif. Il montre les anomalies de l' idée morbide comme prenant fré- quemment naissance d
d dans le développement intellectuel de l'enfant, l'acquisition des idées se trouvant entravée par la lenteur des percept
être excellentes, dans un état mélancolique avec anxiété très vive, idées de suicide et de persécution, craintes d'empois
'un délire mélancolique qui a cédé la place à un état maniaque avec idées de grandeur et érotiques, et hallucinations mul
on, a apparu un délire mélancolique avec anxiété, auto-accusations, idées de suicide, idées de persécution et hallucinati
lire mélancolique avec anxiété, auto-accusations, idées de suicide, idées de persécution et hallucinations terrifiantes.
t, suspendant ou troublant le cours régulier de l'associa- tion des idées . Les états psychopatiques, postoniriques sont hab
s, il y a de l'épi- lepsie vraie, mais cela n'infirme pas du tout l' idée d'une tumeur. M. Higier se rallie à la théorie
délire mélancolique, soit parfois encore la tendance manifeste aux idées de grandeurs, ainsi que nous en avons observé u
je constate de la tendance à l'excitation, une certaine confusion d' idées où surnagent celles de grandeurs. Fin septembre
la bouche et convulsions. Parfois dans l'intervalle surgissent des idées de grandeurs : le malade dit, par exemple, être
ne grande 330 SOCIÉTÉS SAVANTES. religiosité. De plus, il a des idées vagues de persécution : on l'a placé ici par tr
remarque un air habituel de satisfaction et certaines tendances aux idées de grandeurs et de richesses : « il est très fo
ntré à l'asile fin juin 1865 ; épilepsie, hallucinations de l'ouie, idée d'empoisonnement, excitation maniaque, accès d'
35 7, 9, 10); le délire mélancolique 3 fois (obs. 2, 5 et 11) ; les idées ambitieuses 2 fois (obs. i et 2) ; l'air de sat
s catégories : , 1° Dans la première, l'acte impulsif procède d'une idée impulsive (Zwangsidee), laquelle tend à se réal
it la tête lourde et se plaignait de ne pouvoir plus rassembler ses idées . Un jour, ayant donné en paiement d'une petite
sé de fatigue. Ramené chez lui, il se montre anxieux, manifeste des idées mélancoliques, se croit perdu de réputation et
déprimé, dans une sorte d'hébétude, pleurant facilement, mais sans idées délirantes au moins en apparence. 360 CLINI
élire systé- matisé avec hallucinations de l'ouïe, dissociation des idées , alter- natives d'apathie et d'excitation, conc
ique, fièvre sans ictère). Elles avaient pour effet d'exaspérer les idées d'empoisonnement et de provoquer de l'agitation
refroidissement, sans autres manifestations psychopatiques que ses idées délirantes habituelles. Une heure avant de mour
es conséquences sur les fonctions hépatiques a été de provoquer des idées d'hypocondrie et de persécution ayant trait aux
délire fébrile, pas d'hallucinations de la vue ni de confusion des idées , en un mot aucun des symptômes psychiques qui s
trouble mental déjà ancien. Le malade est agité, avec désordre des idées et des actes, troubles de la sensibilité généra
sordre des idées et des actes, troubles de la sensibilité générale, idées vagues de persécution par la physique, propos c
malade, est ainsi conçue : « Cette malade manifestait autrefois des idées de persécution ; les conceptions délirantes se
admise le 20 novembre 1846, est atteinte de délire systématisé avec idées de persécution. Elle prétend qu'un certain Levê
ni- tales qui, par les souffrances qu'il occasionne, entretient les idées délirantes. Un octobre 1874, on la voit progr
ves de diarrhée et de constipation. La malade mani- feste les mêmes idées délirantes, sans que la physionomie de l'état m
omatologie. Elle peut cependant pro- voquer l'éclosion de certaines idées délirantes en rapport avec les souffrances loca
quelquefois observée aux périodes initiales, peut être l'origine d' idées hypochondriaques et engendrer de l'excitation g
if de la propriété, la méfiance exagérée, facilitant l'éclosion des idées de persécution. » Du conflit des idées de propr
facilitant l'éclosion des idées de persécution. » Du conflit des idées de propriété et de richesse, d'une part, et des
u conflit des idées de propriété et de richesse, d'une part, et des idées de persécution d'autre part, résultent soit des m
nt. La foi religieuse étant encore très ardente dans l'Aveyron, les idées mystiques sont très fré- quentes dans le délire
ÉGALE. 417 Î avant le jugement, à l'effet de pouvoir échanger leurs idées et for- muler une opinion commune ; Sa En mêm
rise. Les embarras financiers ont peut-être poussé au crime, mais l' idée criminelle est liée à une perception dé- formée
de devient réellement anxieux, à plus forte maison quand il y a des idées de suicide. Dans les mélancolies graves, nécess
l. D'autre part, le siège, le volume de ces derniers excluent toute idée d'obstruction vasculaire par embolie. On ne con
ontact avec les cellules ganglionnaires. 1 Nous avons développé ces idées ailleurs. Voir Dr Joanny Roux. Le signe d'Argyl
développé à propos du signe d'Argyll-Robertson absolument les mêmes idées que nous. MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION
e auditif, lorsque c'est un bruit venu de la rue qui nous a donné l' idée d'aller voir ce qui s'y passe. L'influx arrivé au
couches (accouchements normaux). Etat de dépression avec angoisse, idées de suicide et quelque anesthésie psychique. En
odies obsédantes, car elles sont indépendantes de l'association des idées , s'implan- tent dans l'esprit et résistent à to
se importante, toute excitation vient du dehors, la conception de l' idée , batterie (productrice d'énergie), doit être écar
n des tissus. Le psychiatre est enfin parvenu à convaincre de cette idée les autorités adminis- tratiH's, les amener peu
e, il dit : « et pourtant cela est n. M. de Bechterew compare cetle idée délirante à l'idée suggérée pendant l'hypnotisme,
urtant cela est n. M. de Bechterew compare cetle idée délirante à l' idée suggérée pendant l'hypnotisme, qui pénètre la c
de mots par dis- position d'esprit pathologique, par association d' idées morbides, par hallucinations sensorielles, par
gaiement, un défaut d'images verbales ; un manque de suite dans les idées , sem- blables aux mêmes accidcats qui atteignen
Une trop vive excitation centrale gêne alors non l'association des idées , au début suffisante, mais la direction, le cou
ne suffit plus à assurer le recrutement des mots correspondant aux idées , la parole reste bien ordonnée mais elle est in
- chisme larvé). L'excitation sexuelle naît aussi de la vue ou de l' idée d'un wagon qui déraille. Il s'en allait placer
corps de la femme provoque de la répulsion chez lui, de même que l' idée d'un commerce charnel avec elle, parce que cela
eur DU crâne; par ZANKE. (Neu1'OIo(J. Cezztralbl., XVI, 1897.), L' idée de comparer une grandeur en poids aune grandeur v
que la joie, la crainte, la volonté, constitués par l'association d' idées et de souve- nirs. L'enfant prend alors conscie
nt en général, il faut : la mémoire, l'aptitude à l'association des idées et des images. Toute opération élémentaire de l
car le concept entendu sous le premier terme ne correspond pas à l' idée commune, classique de la responsabilité. La réact
'l'EHO-épILEPSIE simulant l'épi- lepsie vraie, par'l'homson, 299. Idées DE négation. Notes sur les - , par Trénel, 23.
39 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
t à l'Académie dé Belgique et qu'il n'est venu à aucun des orateurs l' idée de mettre en doute l'existence des phénomènes fon
ntation donnée par un magnétiseur, cet individu eut la malencontreuse idée de suggérer à plusieurs sujets que le feu venait
uera son implacable ennemi. Elle sera convaincue d'ailleurs que cette idée lui est venue spontanément, que je n'y suis pour
che. Si l'on vous interroge sur ce fait, vous serez convaincu » que l' idée vous en est venue spontanément ; vous oublierez c
? c'est un vol ; comment avez-vous été amené à le faire ? — C'est une idée qui m'est venue comme ça. — Mais, avez-vous donc
ourquoi l'avez-vous fait tout à l'heure.? — Je ne sais pas. c'est une idée . — Mais, ne vous l'aurait-on pas suggérée ? Si ce
» vous verrez entrer dans mon cabinet « celui qui vous a suggéré » l' idée de voler », vous prendrez la pièce de cinq francs
mi, mon collègue dit encore: « Voyons, dites-moi qui vous a suggéré l' idée de voler ? — Per- » sonne. — L'idée est donc ve
dites-moi qui vous a suggéré l'idée de voler ? — Per- » sonne. — L' idée est donc venue de vous ? — Parfaitement. — » Save
d. ¡I revient à sa première version, déclare que c'est lui qui a eu l' idée de voler, qu'on ne lui a rien dit. etc. Jusqu'à c
stion la plus récente s'impose à elle — la relation qui unit ces deux idées . Elle me regarde fixement, parce que. si je lui
e pas me regarder; Elle se place devant moi, parce qu'il y a là une idée de protection qui s'allie parfaitement à l'idée d
arce qu'il y a là une idée de protection qui s'allie parfaitement à l' idée de ne pas me dénoncer ; Elle ne me voit ni ne m
t contraires à l'amnésie suggérée. On lui inspirerait, par exemple, l' idée : de se rendre chez lui, pour le protéger contre
compte que des agents naturels existent, dont nous n'avons pas même l' idée . La science sait, par exemple, qu'avant que cette
emain, il acceptera la tâche sans broncher. Aujourd'hui il n'a qu'une idée : s'y soustraire... sans trop savoir pourquoi...
vons mieux faire que de reproduire intégralement ici, pour donner une idée de l'interêt qu offre le travail de M. Dessoir.
el, toutes mes demandes restent sans réponse. Elle ne réalise que les idées que j'exprime impersonnellement, si je puis ainsi
t voulez-vous que cela me vienne ? comme à tout le monde. Comment les idées vous viennent-elles à vous-même? » et elle contin
-à-dire la correction psychique et l'annulation de la sensation par l' idée suggérée nous paraît, au contraire, satisfaisante
e nul agent créé ne peut produire, c'est meure dans les esprits cette idée que toute œuvre sensible non expliquée par les lo
d'avance. 2° Femme âgée de 37 ans. Hérédité directe. — Souffre d' idées Me persécution et de grandeur avec hallucinations
er et souffre comme les précédentes fois de mélancolie passive. — Les idées d'indignité sont très prononcées, bien que la mal
é de la folie systématisée. C'est principalement pour combattre ces idées délirantes et rompre le fil des préoccupations in
n. — On n'avait pas besoin d'endormir la malade. — En lui suggérant l' idée de se tenir tranquille, l'impossibilité d'ouvrir
simultanément sur plusieurs sujets à la fois. Dans la même série d' idées , j'ai eu encore recours, comme moyen succédané de
rgit la question de savoir quel est le mécanisme de cette action de l' idée sur la matière corporelle. J'ai alors supposé que
mpêcher la sécrétion salivaire. Voilà, en peu de mots, les quelques idées systématiques qui, actuellement, me guident pour
lles, et surtout ptree que cette foi en une chose fictive amènera une idée fictive, déli- rame, et déterminera des actes
à des phénomènes hystériques de même nature. Enfin, la puissance de l' idée fixe se révèle également à la suite du traumatism
ter, que leur évolution est subordonnée à l'existence préalable d'une idée fixe, d'une autosuggestion. Car il n'est pas une
e élevée entre le dormeur et le monde extérieur; les conceptions, les idées y subsistent, mais la perception étant éteinte ou
cet agent c'est la suggestion, aboutissant toujours a la fixité d'une idée ou de plusieurs idées associées. 3* Au point de
ggestion, aboutissant toujours a la fixité d'une idée ou de plusieurs idées associées. 3* Au point de vue psychologique, il
cilement hypnoiisablcs, en ce sens que la mobilité hobituellede leurs idées s'opposcà ce que l'opérateur parvienne facilement
sa mère qui est très nerveuse « dans ses attaques de nerfs » et que l' idée lui est venue de faire comme elle, dans l'espéran
n présence de témoins. A priori, on serait peu porté à croire que l' idée de feindre la paraplégie (paralysie des membres i
de chloroforme. Il a exprimé sur les « phantasms of the living» les idées les plus originales. Il a publié aussi, il y a qu
et, quand on présente à un sujet de la valériane, par exemple, avec l' idée d'obtenir, d'après les données physiologiques, un
sont réels et se produisent malgré les indications des médecins et l' idée des sujets, au moins pour la première fois. Ce so
estion de l'hypnotisme, je crois devoir vous exposer d'abord quelques idées générales sur la physiologie du système nerveux.
e de l'cvcque se révèlent avec *un grand charme, ¡1 y a cependant des idées et des propositions qui appartiennent au domaine
r des analyses fines et savantes, des distinctions, des séparations d' idées et de jugements fondées sur la variété même des é
ue nous osons, nous-même, *na!grc de très longues éludes, exposer nos idées et les soumettre au contrôle de ceux qui ont part
de se dépenser, d'un objectif précis et impersonnel; la suggestion d' idées généreuses et élevées, que Ton parviendra à s'emp
re taire sa première communion. Dans ces deux dernières années, les idées de vol ont beaucoup augmenté ci, de plus, il
ns arriver à aucun résultat. La maison de Mettray. où l'on avait eu l' idée de le placer, n'était pas considérée comme étant
auches. Le 6 juillet, le jeune homme était absolument transformé. L' idée de faire le mal avait disparu et était remplacée
comme un perroquetlaleçon qu'on lui aurait apprise: il convertit ses idées en résolutions exactes ; il recherche tous les mo
a bien fait. Les tentations mêmes ne viennent plus le solliciter et l' idée de quelque chose de sérieux et de bon prend consi
uits et à la mémo heure, sans que personne s'en aperçût, ramenèrent l' idée de se lever. Tout d'abord, il descendait dans la
ggestions, mais plus facilement à celles qui sont en rapport avec ses idées de déambulation. L'anesthésie est absolue: on peu
ent et spontanément, par une cause subite, dans un des trois états, l' idée n'a été pour rien: c'est la rupture de l'équilibr
tiera quelques mots, d'aligner quelques phrases, d'accoupler quelques idées i rudimentaires qu'on s'évertue à lui présenter l
l'aplomb moral se perd. Sourdement, se glisse dans l'enchaînement des idées un ne sait quelle pernicieuse indécision. Selon l
n à un très jeune enfant, c'est vouloir qu'il dénature le sens de nos idée » »; il n'hésite pas à le déclarer. Sur cette sc
eux. Cerise (t) lui-même — un croyant — s'exprime, sur les périls des idées et des pratiques superstitieuses, en terme» qui n
e aux centres encéphaliques; si, là. elle se traduit en sensation, en idée , en ressentiment : et si, durable ou fugace, agré
et si, durable ou fugace, agréable ou pénible, CEI rcss:mimem. cette idée , cette sensation demeure plus ou moins conforme à
nt giratoire, en une succession rapide de réactions : « réactions des idées sur les idées, des idées sur les sentiments, des
en une succession rapide de réactions : « réactions des idées sur les idées , des idées sur les sentiments, des sentiments sur
ession rapide de réactions : « réactions des idées sur les idées, des idées sur les sentiments, des sentiments sur 1« idées,
es sur les idées, des idées sur les sentiments, des sentiments sur 1« idées , des sentiments sur les sentiments. » Que tes émo
erveux de tout point regrettable : un spasme. Le cours défectueux des idées la provoqué. Que ra-t-il se passer les jours suiv
chambre obscure, sans pousser des cris d'effroi, fut vite habitué à l' idée de ne plus avoir peur dans l'obscurité la plus co
i). Cependant une grande partie de» ouvrage* ne fait que rééditer des idées déjà connues. Tous ceux qui se sont rendu cm pie
omme les Suédois sont de sang germanique aCP»pur que les Allemands, l' idée de l'immunité des Germains contre l'hypnose (r, m
rine n'a pas progressé et elle resta toujours ce qu'il la lit. Deux idée *, deux lois, disert: les initiés, lui servent de
st la l'objet Je l'expérimentation sur l'homme sain. Hanehmann a eu l' idée ingénieuse d'en taire la base de son système, mal
ique et la chimie, ' n'ayant plus, disait-il. le courage de rixer ses idées sur ces ennuveuscs choses-là »! Sa plus chère d
t un moyen infaillible de le vaincre ; il sufnsak 4Ê s'attaquer à ses idées sur les courants électriques ou sur le» ondes lum
sur un tupi», le ventre contre terre. Les causes qui font jaillir l' idée sont nombreuses -t fugitives. Partiel*»: composai
é sur nos propres méditations. Quand c'est fini, r.ous n'avons aucune idée de la conversation tenue â nos eûtes. Plus tarda
une circonstance fortuite venant à évoquer une certaine association d' idées , voilà que bien des choses que nous re croyions!
très mal ; elle n'avait plus de goût à rien, elle ne vivait plus; ses idées s'embrouillaient ; elle n? savait plus compter; e
en effet, à l'heure dite : il m'annonça tout joyeux qu'il avait eu l' idée de reprendre ses injections, et qu'il n'avait épr
ons beaucoup moins à en constituer la théorie. Il est bien vrai que l' idée que l'on se fait de l'état hypnotique doit avoir
de la liberté des représentations hypnotiques ; il semble approuver l' idée de Tnr-ehin:-Boni'an:i. qui voudrait les réglemen
t d'être nuisibles pour le sujet ou répugnantes pour les spectateurs, idée excellente en théorie. mais, or. en conviendra, d
uit ce résultat heureux d'avoir contribué à éclaireir notablement les idées de !a plupart de nos collègues relativement i l'h
tion sur le danger qu'il peut y avoir & développer longuement des idées justes d'ailleurs, mais qui ne prouvent rien dans
confrère, colportées de citations en citations, il ne serait venu à l' idée de personne de soulever la question de l'interdic
demment, et ainsi jusqu'à la 10e, 20e, 30e dilution. Pour avoir une idée du peu de substance active qui reste dans les dil
uler quelque proposition ou quelque critique de nature à froisser des idées auxquelles vous êtes habitués, à ébranler des cro
lant se rendre compte des effets de l'imagination, a eu la singulière idée d'administrer à cent de ses malades une potio
persécutés persecuteurs; la folie à deux ou folie communiquée; les idées de persécution : alcooliques, débiles. paralytiqu
condamnation de ceux qui la combattent, poussés qu'ils sontpar des idées préconçues et des déductions théoriques inconsidé
chez le somnambule, s un degré tel qu'on s'en fait difficilement une idée . Cette finesse des sens chez l'hypnotisée expliqu
ar ce mot. C'est la suggestion par l'hypnotiseur â l'hypnotisée d'une idée ou d'un ordre sans avoir recours a la parole, au
s. Elle ne joue donc pas la comédie. Il serait étrange au moins que l' idée de ce genre spécial de comédie naisse spontanémen
t pas nettement le phénomène; il en est qui. après leur réveil, ont 1 idée suggérée qu'iU doivent ne pas me voir, mais qui.
ent ne pas me voir, mais qui. incapables de réaliser exactement cette idée , croient devoir s'ingénier à ne pas me *oir; ils
est-il quelquefois pour les hallucinations positives. certains ont l' idée de l'image suggérée, la cherchent et ne l'ont pas
e chez Elise B..., et ¦otmbre d'ajtres que j'ai expérimentées. Ici, l' idée de simulation ou «complaisance ne peut plus être
fle de Rabelais, de Montaigne, d'Erasme naquit l'humanisme : mais les idées nouvelles ne remuèrent pas les couches profondes
t, des Carnot, des Rabaud-Saint-Htiennc, des Danton, des Lakanal, les idées sur l'enseignement de la jeunesse se modifièrent
ber par la ruse à ses exigences tracassières ne tarde pas-à devenir l' idée dominante de l'enfant, et qu'aux luttes de ce gen
ne en général. D'instinct, sans effort, il est incité à accoupler les idées et à en tirer des déductions. La plupart du temps
nt son sommeil, elle avait des rêves et était surtout tourmentée de l' idée de ne plus pouvoir entendre. Le médecin qui lui d
e est incapable de tout acte cérébral spontané, incapable d'avoir une idée , un désir, une volonté. La mise en œuvre de ses f
itôt ce qu'est devenue sa boîte, elle est en pleine possession de son idée . Est-il un exemple plus démonstratif de la revi
ire:... je le voudrais, » que je ne le pourrais pas:... je n'ai pas d' idées , aucune... » aucune idée:... dites-moi ce qu'il f
que je ne le pourrais pas:... je n'ai pas d'idées, aucune... » aucune idée :... dites-moi ce qu'il faut écrire, je vais le fa
e qu'il faut écrire, je vais le faire ; » mais ne me demandez pas une idée à moi... je n'en ai pas! D. —. Ce que je vous d
bien vous écrire, mais je ne puis ie taire. » parce que je n'ai pas d' idées à moi ! > Elle signe... elle date du 29 mars
est ce qui arrive, quand les circonstances actuelles nous suggèrent l' idée de quelque événement immédiat. L'effet est surtou
ggestion, il entendait sonner le tocsin et que. par une association d' idées toute naturelle, il craignait que le feu ne fût c
ien celle que je suis censé avoir magnétisée, il se persuade dans son idée et je peux alors lui faire répéter plusieurs fois
aphie, à l'électrothérapie et à l'élcctro-diagnostic. Pour donner une idée nette de l'installation de ces laboratoires, j'ai
Kowalewsky. L'énumération de tous ces travaux peut déjà donner une idée de la place importante qu'a prise, en Russie, l'é
Kînzelbach. Grâce au dévouement et au zèle de M. le Dr Lagoguey, l' idée de l'assurance entre médecins en cas de maladie e
o-scnsiblc, (il faudrait ajouter idéo-abstrait pour les suggestions d' idées , de représentations abstraites), n'est point du t
ison de ses auto-suggestions. Il faut que le sujet soit imprégné de l' idée que la suggestion ne peut rien produire en dehors
ns (perceptions trompeuse»), mais tout autant de souvenirs d'actes, d' idées abstraites, etc. à 205), faits qui découlent
Dans l'étatd'hypotaxie où se trouve l'hypnotisé, il est le jouet des idées , images, etc., qu'on lui suggère et ne peut plus
de simulation, en fondant en larmes. Je commençai par entrer dans son idée et lui faire promettre solennellement de me dire
et je n'avais pas prévenu le sujet que ic l'endormirais ; du reste, l' idée d'hypnotiser M. B. ne m'est venue qu'au moment mê
t arriver de bonne heure ; chacun doit pendant des années étudier les idées officielles de ceux qui peuvent être ses juges; H
x qui peuvent être ses juges; H doit aussi faire grande attention aux idées préconçues et au parti pris de ces derniers, il n
ous exposer ma pensée et mon jugement sur ces questions difficiles. L' idée que je m'en fais est basée tout d'abord sur l'étu
ase dans une autre. Ce n'est pas tout : on peut, dans le môme ordre d' idées , dédoubler la personnalité physique du sujet et p
rce q,ue, en pratiquant ces manœuvres, on a donné au sujet, d'abord l' idée du sommeil, puis l'ordre de s'endormir. Le somm
ontractures, les troubles oculo-papillaires rentrent dans cet ordre d' idées . Enfin, argument péremptoire, comment expliquer
du temps, si éveillés et si exaltés. Cette influence du milieu et des idées anté-térieurcment acquises peut bien expliquer, à
qui ont formé l'opinion de M. Charcot et qu'il a observés sans aucune idée préconçue. II y a eu certainement là des phénomèn
le s'en repentait. Alors elle disait qu'elle n'avait pas eu une bonne idée , que ce n'était pas la bonne route et qu'elle aur
. Ce qui dominait à cette époque, c'étaient les hallucinations et les idées fixes. Elle entendait des bruits et des voix dans
e entendait des bruits et des voix dans les oreilles. Dominée par ses idées , elle mettait tout en œuvre pour les exécuter. Si
lle mettait tout en œuvre pour les exécuter. Si son mari dominait une idée et s'efforçait de la combattre, elle entrait dans
t que la suggestion directe n'avait pas beaucoup d'influence, j'eus l' idée d'avoir recours à un subterfuge. Pendant que j'ap
CAS d'hYSTVBIE GRAVE 3?Q phrase : « Je saurai vaincre mes mauvaises idées et je saurai me dominer. Rien ne me retiendra d'a
En même temps, la mémoire revenait, le sommeil était calme: plus d' idées fixes, ni d'hallucinations. Sa physionomie a repr
rgée d'eau ; dsns cet état clic n'avait fait aucun progrès. J'eus l' idée de la réveiller progressivement pendant ses repas
La jalousie morbide peut apparaître subitement et spontanément ; les idées jalouses surviennent tout à coup, sont acceptées
l'hésitation est remplacée par une certitude, la raison succombe : l' idée délirante prend le dessus, domine toutes les conc
vie des preuves de sa prétendue infortune. Il se complaît dans cette idée , il la caresse avec complaisance, il la raisonne
elle et vulgaire. De cette élaboration de plus en plus exclusive de l' idée principale, naissent d'autres idées délirantes qu
ion de plus en plus exclusive de l'idée principale, naissent d'autres idées délirantes qui se multiplient, se coordonnent, se
omplète que possible, l'observation de la malade qui nous a inspiré l' idée de traiter ce sujet. Observation 1 (personnelle
e, avec accidents hystériques; hallucinations de la vue et de l'ouïe. Idées de - persécution. Préoccupations hypocondriaques.
r. Certificat immédiat. — Dépression mélancolique. Hystérie morale. Idées de persécution, hallucinations de l'ouïe. Préoccu
épiant, contrôlant et interprétant à son gré. ou plutôt au gré de son idée 6xe, ma démarche, mes gestes et les moindres >
ppelons, en passant, que notre jalousie morbide doit être écartée des idées de jalousie qui peuvent se manifester accidentell
ssentiellement diverses : c'est un trouble spécial de l'esprit où les idées jalouses prennent une telle prépondérance qu'elle
uns conservent plus ou moins l'équilibre nécessaire pour juger leurs idées jalouses, les autres en subissent toute l'influen
fou ou il ne l'est pas » n'a pas le sens commun. Par conséquent, ces idées , parfaitement simples, mais absolument fausses, n
res excentriques, le caractère irritable, les sentiments mobiles, les idées bizarres, les actes insolites motivent de notre p
nservent encore plus ou moins l'équilibre nécessaire pour juger leurs idées erronées ; ils deviendront ou ils ne deviendront
ons reçu immédiatement un grand nombre de réponses favorables à cette idée . Spontanément, les médecins les plus autorisés de
pitaux de Paris nous ay.. ¦ assuré leur concours, nous espérons que l' idée d'un Congres d'hypnoiogie pourrait recevoir, dans
trôle scientifique. Nous croyons donc devoir soumettre de nouveau l' idée d'un Congrès d'hypnoiogie à nos collaoorateurs et
pourraient contribuer à mener à bien l'organisauon d'un Congrès don l' idée a déjà été accueillie avec faveur. Interdiction
n'a pas cessé depuis. La chorée s'est compliquée de lypémanie, avec idées de suicide depuis 1881. et elle a voulu se jeter
te de connaissance, des étourTements, un bruit guttural rauque et des idées de suicide. Je constate à la première consultat
e ne laisse rien à désirer. Lalvpé-manie est très intense, il y a des idées de suicide incessantes. On ne peut la laisser seu
ères suggestions portent sur : Ne plus avoir de douleurs de tûte, d' idées noires et de secousses dans le membre supérieur d
ans de chorée qui s'était compliquée, depuis 8 ans, de lypémanie avec idées de suicide qu'elle a failli mettre à exécution.
nt depuis i885. Dau..., î5 ans. folie mélancolique, hallucinations, idées et tentatives de .suicide — La guerison se mainti
40 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
e des passions humaines de Florence qui a donné au docteur Bérillon l' idée de former la très curieuse collection placée dans
se résoudrait pendant le sommeil. 'Il y a une grave objection à cette idée d'une lente accumulation d'« Ermüungsstoffe » (li
ivité absolue; au contraire, il peut se remplir de séries complètes d' idées , mais sous une forme confuse et illogique. Certai
te par les plus fugitives analogies. Il en résulte que l'essor de nos idées est absolument déréglé, c'est une sorte de délire
pensées est également très grande chez les frères Siamois; les mêmes idées , les mêmes désirs se faisaient jour en même temps
sans suite et à peine intelligibles pour d'autres. La concordance d' idées et de sentiments est également fréquente chez les
le rossignol à deux têtes. Aussi si les deux monstres ont les mêmes idées , les mêmes sentiments, ont-ils cependant quelque
te, plus irritable. Si les sensations qu'ils possèdent provoquent des idées de même nature, elles les provoquent avec une int
sparaître les troubles sensitifs, moteurs et psychiques. Pénétré de l' idée de la dépendance et de la corrélation intime qui
rrénales; c'est le myxœdème et le crétinisme goitreux qui ont donné l' idée des fonctions du corps thyroïde ; n'est-ce pas la
ruments de recherche de la phy-syco-chimie et c'est attirés par cette idée que, du monde entier, des savants viennent à Pari
titre, « de l'imagination de la poule », indique qu'il avait quelque idée de la suggestion qui joue ici un rôle. Pendant de
ec de l'animal, et il pensait avoir ainsi fait naître chez sa poule l' idée qu'elle était attachée au moyen d'une ficelle et
e présente chez l'araignée). Il n'est point impossible que, suivant l' idée de Romanes, cette anesthésie cataleptique se soit
es ouvrages le font « sourire ». C'est qu'il se fait lui, une autre idée de la Médecine. « Est-ce que la science de guérir
itement des médicaments. Ajoutons qu'il se faisait de la médecine une idée extra-terrestre. Pour lui c'est Dieu qui crée le
rir. C'est avec l'exagération habituelle de son tempérament nerveux l' idée des auteurs de la collection hypocratique quand i
solé, une sorte de génie mal équilibré qui sut cependant, grâce à ses idées générales, établir une doctrine qui, aujourd'hui,
impetum faciens. Tel est, en somme, le vitalisme de Van Helmont. L' idée pre- mière en remonte à Hippocrate et aux phi
u que citer ici les plus intéressants et les plus en rapport avec nos idées modernes. Citons encore sa théorie chimique de
clésiastique de l'abbé Fleury donne la note des préoccupations et des idées du clergé à ce sujet; en voici un passage : « La
s du Démon. Au XVIIe et XVIIIe siècle la religion se dépouille de ces idées de terreur; l'idée de l'amour de Dieu règne en ma
et XVIIIe siècle la religion se dépouille de ces idées de terreur; l' idée de l'amour de Dieu règne en maître ; la prière de
ions lui font sentir des approches charnelles, comme d'autre part ses idées sont tournées du côté de l'amour divin, elle attr
bandonner : elle est désespérée. La jalousie la torture. Hantée par l' idée de tuer l'infidèle, elle se fait horreur. Pour se
jour, on l'enveloppe dans un drap mouillé : la veille elle avait eu l' idée de se tuer, coûte que coûte, et elle avait passé
e avait passé une nuit fort agitée. Comme elle revient du bain, cette idée la reprend et la contracture apparaît. En somme
, se livraient à des pratiques de sorcellerie dont le récit donne une idée exacte de l'état d'inhibition dans lequel devaien
e Aoi, la femme poursuivie par des hallucinations terrifiantes et des idées de jalousie que font disparaître finalement les i
on des dieux, il songe tout à coup, par une association automatique d' idées justement relevée par Patin (1), à l'arc protecte
mptômes cliniques de la lypémanie, auxquels il ne manque même pas les idées pathognomoniques d'humilité et de culpabilité, Aj
amnésie consécutive; à la mélancolie, la prostration, le mutisme, les idées d'indignité, les gémissements, le refus de nourri
le, violent, ait voulu marquer que tout en respectant pour la forme l' idée courante de l'origine surnaturelle de la folie, i
n'y a pas moyen de rien en obtenir..., etc. » L'enfant s'habitue à l' idée qu'il est ainsi fait ; il persévère et ne songe n
mes d'hallucinations. Un jour on veut marier Marie Alacoque ; cette idée lui cause une grande émotion et elle a des halluc
elle a des hallucinations de l'ouïe qui prennent ta tournure de cette idée : « Jésus-Christ me fît entendre qu'il était le p
aîchissement aux vives flammes de l'ardeur de la bienheureuse ; cette idée de la saignée dans la bouche de Dieu est tellemen
ccupent également de la correction du criminel, tout en possédant une idée très vague de ce qu'est le criminel. Les sciences
nombre de phénomènes automatiques est pour ainsi dire instantanée. L' idée est à peine exprimée qu'elle est déjà réalisée. U
presque insignifiantes au fond, ne contenant en tous cas que des idées simples qui étaient proposées et suggérées à la f
traditions historiques, l'art musical a été employé pour suggérer les idées du beau, du bien, du courage guerrier, du respect
la suggestion tonale, pour inculquer aux peuplades et aux foules les idées de méthode, de précision, de décision, de discipl
par te rythme comme plus capable de faire pénétrer dans le cerveau l' idée essentielle de précision, de méthode, de mathémat
chapelle à ces guérisseurs purement humains. C'est dans cet ordre d' idées qu'est écrit ce mémoire. Mais, avant de raconter
l'amnésie, l'aboulie, l'aphasie, le vertige, les hallucinations, les idées fixes, le délire aigu, la folie. D'après M. Pro
s expliquent, et, néanmoins, certains caractères fixes font écarter l' idée d'une distribution de hasard. M. Constensoux se p
ppose un état très anormal de la conscience et des agents moteurs des idées . De même le somnambulisme est symptomatique d'amn
it que telle action du cerveau est consciente et telle autre pas. Les idées de Wundt n'en sont aucunement pour cela dénuées d
ions et suspend une partie des fonctions cérébrales. Dans cet ordre d' idées , Lloyd Tuckey et Brown-Séquard ont cherché la cau
up plus grande à l'attention concentrée avec une force anormale sur l' idée suggérée, par laquelle le fonctionnement de l'esp
de celui de monoïdéisme; dans le vide de l'esprit vient se placer une idée unique, qu'aucune autre ne supplante ou ne combat
ent les attitudes et exécute les mouvements qui correspondent à cette idée . Les symptômes hypnotiques sont de nature spéci
triste. Déjà Gratiolet a dit : « Il est impossible d'être saisi d'une idée vive sans que le corps se mette à l'unisson de ce
saisi d'une idée vive sans que le corps se mette à l'unisson de cette idée ». Or la réflectabilité idéo-motrice de ceux qui
est renforcée, et cela les rend très disposés à mettre en action les idées qu'on leur suggère ; les associations inhibitrice
soulagés par un voyage prolongé en voiture ou en chemin de fer, eut l' idée d'appliquer la vibration au traitement des neuras
esticule gauche sensible. Etourdissements et frayeurs à la vue et à l' idée des tramways. Enfin, véritable ébauche de crise h
i du toucher avec localisation génitale.. Notons que la confusion d' idées qui se produit dans les cas de folie simple n'exi
e Alacoque. Notons encore chez ces malades, la grande influence des idées ambiantes dont les hallucinations de l'ouïe sont
e malade dont les symptômes hallucinatoires rentrent dans cet ordre d' idées . Les médecins sont nombreux qui pourraient apport
chotte n'eut affaire qu'avec l'incomparable Dulcinée du Toboso. Les idées si curieuses qui servirent de base aux hallucinat
aîtres de la philosophie contemporaine. Ajoutons que, renouvelant les idées de Lamark et de Darwin, il les a complétées par d
ait encore la pensée d'Hœckel, en ajoutant : « C'est en répandant les idées si fécondes du transformisme et la conception pur
e, jouent, vous le savez, un râle fondamental dans la propagation des idées religieuses. Déjà en 1900, M. Guimet nous avait
t pas de la science : c'est de la littérature. Aussi dans cet ordre d' idées nous pouvons être entraînés bien loin. C'est ains
ouver tel renard, par exempte, dont la somme des connaissances et les idées sont de beaucoup supérieures à celles de certains
fications à ses démarches: combien la vivacité des besoins écarte les idées de la crainte, et jusqu'à quel point une défiance
maine psychique que dans les autres domaines de la vie organique. Une idée générale se dégagera par suite de cette partie de
des faits; et elle vous donnera ensuite ce que vous lui demandez: des idées . La psychologie et la biologie Discours de M.
lesquels travaille la conscience, c'est-à-dire les sensations et les idées qui en dérivent ne sont-elles pas modifiées de mi
stions différentielles pour y mettre comineen un asile intangible les idées métaphysiques qui lui étaient chères. Mais Joseph
quand 0 sera fortement fixé, absorbé par une préoccupation ou par une idée . Dans les deux cas, 0 est dissocié du polygone; c
t démontrée notamment par l'existence des rêves. Les rêves sont des idées ou des images, en tout cas des actes psychiques;
ans le reve, les mêmes facultés s'exercent comme enchaînement des idées . La notion du temps, de durée, d'espace, tout ce
éviations rapides, des associations et des successions fantastiques d' idées et d'images soûs les influences les plus superfic
es (du senssorium) amenant ainsi l'isolement de celles-ci». C'est l' idée que lance Mathias Duval (4), l'année suivante : «
brale... » Le même auteur (5) est plus récemment revenu sur la même idée et émet l'hypothèse de nervi nervorum : fibres ce
hérapeutiques sont à la fois plus certains et plus stables. C'est l' idée que j'ai exprimée en 1886 lorsque le premier j'ai
eux ce que j'appellerais l'orthonutrition. Un de mes malades avait l' idée fixe d'assassiner son père; il en fut complètemen
ie milieu, en l'espèce la suggestion mentale, dans la propagation des idées religieuses, et de suivre, pour ainsi dire pas à
n des idées religieuses, et de suivre, pour ainsi dire pas à pas, ces idées dans leur transmission à travers les siècles. D
des Petits-Carmes. Les soldats manifestèrent une telle répulsion à l' idée de s'installer dans leur nouvelle caserne au 13 d
t qu'un muscle ou un groupe de muscles peuvent être paralysés par une idée exprimée, c'est-à-dire par suggestion. C'est pa
qu'il parait hypnotisé lorsque son attention s'est absorbée dans une idée fixe et qu'il en résulte par lui une diminution d
e Bernheim quand il dit que la suggestion est « l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
e mis en état de suggestibi-lité. Je dois insister un peu sur cette idée parce qu'elle est importante et que l'Ecole de Na
avec beaucoup de talent. Bernheim (1) définit la suggestion : toute idée acceptée par le cerveau. « Que cette idée vienne
finit la suggestion : toute idée acceptée par le cerveau. « Que cette idée vienne par l'oreille, exprimée par une autre pers
circonstances du monde extérieur, quelle que soit l'origine de cette idée , elle constitue une suggestion... toute idée est
soit l'origine de cette idée, elle constitue une suggestion... toute idée est une suggestion. La suggestion est dans tout..
la suggestibilité, c'est-à-dire l'aptitude du cerveau à recevoir une idée et à la transformer en acte... Ainsi envisagée, l
ent; elle comprend l'humanité tout entière; caria suggestion, c'est l' idée d'où qu'elle vienne, avec toutes ses conséquences
t acte; c'est le déterminisme qui nous fait agir... Elle est dans les idées courantes dont on se pénètre, dans l'imitation, d
nie du domaine de la suggestion; il y a suggestion chaque fois qu'une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
ne idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lui, que cette idée soit émise par un être humain ou qu'elle résulte
on, proposée par Liébeault, et par Bernheim, les créateurs mêmes de l' idée moderne et scien- tifique de la suggestion. Nou
s et des autres, il n'y a plus de lignes de démarcation. Je force l' idée pour accentuer mes objections et il est bien évid
objections et il est bien évident que Bernheim n'a jamais soutenu ces idées jusque-là (1); mais elles me paraissent logiqueme
gestion. Au fond, la divergence porte plus sur les mots que sur les idées . Depuis Claude Bernard et avant lui, on admet q
fiées, altérées ou abolies. Personne ne songe à s'élever contre cette idée . Donc, l'hallucination et le délire sont de mêm
erronée de sa doctrine l'objection qui consiste à lui dire : avec vos idées tout est suggestion, déterminisme, libre arbitre
songe, s'il ouvre la bouche, c'est pour en parler. Sous l'empire de l' idée fixe, les sentiments altruistes se rétractent. Pl
cardiaque -est un bon père; il aime ses enfants, ne peut se faire à l' idée de les quitter. Cet amour reconnaît plusieurs c
ent religieux, s'inscrivent côte à côte des éléments très divers, des idées égoïstes, des idées altruistes, un égoïsme fait d
crivent côte à côte des éléments très divers, des idées égoïstes, des idées altruistes, un égoïsme fait de tremblement et de
rsonne d'abord et atout le genre humain ensuite. Parfois il roule des idées de suicide, rêve volontiers l'anéantissement d'un
iodes de rémission, Mme F. vit à peu près comme tout le monde. Mais l' idée - fixe de la mort l'obsède perpétuellement. — « S
e grande armoire de place. En même temps sa mentalité se modifie, les idées tristes s'atténuent, les sentiments affectifs ren
ent mes soins à une malade dont l'observation confirme absolument les idées émises par M. Farez. Il s'agit d'une vieille fi
e sa mère poursuit cette malade nuit et jour. Il y a là une véritable idée fixe. C'est dans ces conditions qu'elle m'a été
rimer son délire. ïl s'est senti amoindri et comme obsédé ; de là aux idées de persécution il n'y avait qu'un pas; il a cherc
séances privées. Or, on délire toujours dans le sens de ses premières idées . Ces troubles psychiques évoluent sur un terrai
ces explications furent les premières superstitions et les premières idées religieuses ; elles constituèrent également la pr
Saint Antoine. Chez certains esprits, ces hallucinations réveillent l' idée de prosélytisme, et la vie passive de contemplati
nom du maître de la création qui a fait l'homme de sang condensé. L' idée monothéiste apparaît déjà en ce songe. Il va subs
r Allah, Dieu unique, aux croyances polythéistes de son époque; cette idée , Mahomet l'avait prise en ses voyages en Syrie.
polygone. C'est la pensée que Charcot (1) a exprimée en disant : « l' idée ou le groupe d'idées suggérées se trouvent, dans
pensée que Charcot (1) a exprimée en disant : « l'idée ou le groupe d' idées suggérées se trouvent, dans leur isolement, à l'a
ans leur isolement, à l'abri du contrôle de celte grande collection d' idées personnelles, depuis longtemps accumulées et orga
ire naître par voie de suggestion, d'intimation, un groupe cohérent d' idées associées qui s'installent dans l'esprit à la man
e insinuation déraisonnable: « le mot suggestion doit impliquer que l' idée qu'on cherche à insinuer est déraisonnable » ; si
activité, quand la suggestion l'a mise en branle, pense, combine dés idées , raisonne, sent et agit sans que le moi conscient
elle, de l'audition-sensation réelle.; et l'audition sensorielle de l' idée créatrice, d'une représentation purement psychiqu
qu'ils ont d'entendre des sons musicaux et d'associer entre elles des idées harmoniques, auront besoin de cette harmonie pour
eil un degré plus grand de sensibilité. La mémoire, l'association des idées , l'imagination et même la volonté pourront garder
ue le rêveur puisera les matériaux de ses songes. L'association des idées est, évidemment, aussi mise en jeu par le rêve, m
le parallélisme des forces; fa mémoire, la volonté, l'association des idées et toutes les fonctions psychologiques, étant en
y, 1903, April-July. (2) Revue philosophique, 1893, p. 670. les idées qui ont obsédé l'esprit pendant la veille ne revi
à des causes antérieures dû réve. Mais il est bien probable que cette idée du diable hantait perpétuellement Tartini qui tou
'honneur de connaître, reste en dehors du débat. Je n'attaque que ses idées . Il écrit dans le numéro de décembre, p. 181 :
de novembre, p. 151 : « Un jour on veut marier Marie Alacoque ; celte idée lui cause une grande émotion, et elle a des hallu
elle a des hallucinations de l'ouïe qui prennent la tournure de cette idée ». Voici le texte qui prouve cette affirmation ;
r ; lui faire observer par exemple que pour donner à ses lecteurs une idée exacte de Marguerite-Marie Alacoque, il eût été a
des circonstances y manquent qui aideraient le lecteur à se faire une idée exacte de l'état d'esprit de la malade. Je ne cro
'état d'esprit de la malade. Je ne crois pas en outre qu'il donne une idée suffisante du témoignage des médecins quand il éc
ur. Il est certain que dans plusieurs de ses visions on rencontre des idées et des descriptions qui offrent des similitudes a
la psychiatrie. — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fixes. — Les aboulies. — Les impulsions irrésisti
ances que lui occasionnait le trac. Pendant vingt ans, il éprouva à l' idée de manquer son entrée en scène les anxiétés les p
e une conception de Bernheim qui est bien encore dans le même ordre d' idées : « l'étage supérieur du cerveau, dit-il (j'appel
ité qui fait la suggestion, cet automatisme cérébral qui transforme l' idée en acte, sont modérés par les facultés supérieure
cit., p. 92. formation inconsciente, à l'insu de la volonté, de l' idée en mouvement, sensation ou image, par suite de l'
éfinition, combattue plus haut, de Bernheim : la suggestion est toute idée acceptée par le cerveau. Quand l'idée est accepté
nheim : la suggestion est toute idée acceptée par le cerveau. Quand l' idée est acceptée par le cerveau avec persistance de l
son O de contrôle et obéissant à O de l'hypnotiseur. C'est la même idée que Crocq (1) exprime aussi quand il dit en son p
atisme de ce dernier. l'exposé et la synthèse, sur un schéma, des idées de Pierre Janet ; mais encore c'est la manière de
rtout à sa mémoire, plus qu'à son raisonnement. On ne procède pas par idées générales, on procède par faits, ce qui convient
n regardant fixement sa femme. Il est évident qu'il veut exprimer une idée , mais qu'il ne peut: il a de l'aphasie d'abord pa
41 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
Tiens, dit-elle à sa compagne, regarde ma sœur qui prie. » — a Quelle idée de venir prier ici, reprend l'autre c'est bien as
esprits par la richesse et le surprenant développement continu de ses idées . Dans tout l'ensemble, assez considérable, de ses
l'Académie des Beaux-Arts, (avec un portrait). — La réalisation d'une idée de M. le Dr Huchard et la création d'une commissi
de France fût organisée au Ministère de l'Intérieur. Cette excellente idée vient d'être adoptée et le Ministre, fort intelli
et mère commune des hommes et des dieux. En effet, d'après Strabon, l' idée de Cybèle n'est jamais séparée de celle de montag
de faire face à une somme donnée de travail. On fait naître ainsi des idées ambitieuses qui très souvent ne se réaliseront pa
osité. Un assemblage d'assistants n'est pas un milieu homogène; les idées , les professions, les origines, les situations di
exercé sur toutes les sciences biologiques, M. Giard a démontré que l' idée de la sélection naturelle s'est imposée peu à peu
iscours si remarquable ('). Les passages suivants pourront donner une idée de la méthode rigoureusement scientifique à laque
Rémora, qui arrêtaient le navire de la science. Car peu importe que l' Idée de finalité persiste, comme certains le réclament
r et à en subir toutes les o conséquences. » « N'est-ce pas la même Idée qu'exprimait récemment avec plus de force Félix L
ntenses de la peur et de la terreur. Pendant tout le moyen-âge, les idées superstitieuses se sont donné libre cours au suje
compte, de visu, de ce qui se passait pendant l'extase, ils eurent l' idée de se placer immédiatement devant Bernadette, s'i
biles o. Elle souriait à cet être invisible et cela don-o nait bien l' idée de l'extase et de la béatitude. Elle écoutait ave
le premier jour il sentait qu'une révolution s'était opérée dans ses idées et qu'il avait acquis une nouvelle force pour se
ux temps les plus anciens et nous avouèrent qu'ils partageaient l' idée que le lapin était un animal dont le seul nom suf
cteurs qui pourraient avoir des renseignements sur l'origine de cette idée superstitieuse, de nous les communiquer. Nous vou
ceux de la côte normande. Un fétiche pour prendre du poisson Les idées superstitieuses des pêcheurs sont innombrables. N
ment de terre et, dans l'appartement, elle était poursuivie par cette idée obsédante que rien n'est solide et que peut-être
que peut-être le plafond va lui tomber sur la tête. Il s'agit là d' idées fixes et d'affaiblissement de la volonté comme il
nest maris fortune (La chance de l'honnête hommej, il reprend la même idée et l'exprime ainsi : ____« And the voman thaï c
partiennent à la même école que ce curé de Beauvais qui eut un jour l' idée de faire raboter par un menuisier la barbe de sai
purs et radieux » si étincelante de lumière et si bien adaptée à ses idées religieuses, il sortit de la réserve habituelle à
llucinations) (3), ou nettement objectives des phychasténiques. Les idées qui hantent ces sujets sont abstraites et général
cause. Puis le vertige évoque chez elle, à la faveur de là cécité, l' idée fixe ou l'hallucination d'un précipice ouvert. D'
re et si précise, apte à exprimer les vérités scientifiques comme les idées générales, et dont on a pu dire avec raison qu'el
en portants, est affecté, sans cause plausible, de mélancolie, avec l' idée fixe d'être atteint d'une maladie incurable et de
t d'avoir été une des plus douloureuses victimes. Conséquent avec des idées souvent exprimées, il léguait son corps au profes
325 pages, 3 fr. 50. Dujarric, éditeur, 50, rue des Saints-Pères. idée de grouper, sous le nom de Société de Pathologie
làtriques. Déjà, chez les Juifs, le prophète Jcrémie se lamentait à l' idée de voir ses coreligionnaires se prosterner devant
n sociale et économique, ont également à entrer en ligne de compte. L' idée qu'elle est assurée fera en outre germer, chez la
out effort est inutile, et il est résolu à n'en faire aucun. Il a une idée fixe, l'idée fixe d'une infirmité — qui n'exi
t inutile, et il est résolu à n'en faire aucun. Il a une idée fixe, l' idée fixe d'une infirmité — qui n'existe pas dans
matisé jusqu'à un certain point, comportant des hallucinations et des idées de persécution. La première pensée est qu'on se
hypnose et on la débarrassera de ses hallucinations, ainsi que de ses idées de possession. Tic d'habitude chez un éthylique
ensant, mais aussi de propager, sur les questions de psychologie, des idées saines confirmées par l'expérience, C'est dire qu
barbe est la toute-puissance, résume, d'une façon toute plaisante, l' idée que la grande majorité des individus du sexe masc
dre l'opinion que les femmes à barbe devaient être des viragos. Cette idée a d'ailleurs été confirmée par certains savants.
istrait, dispersé, incapable de concentrer sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations mentales, il ë
certainement, des manifestations intellectuelles, des associations d' idées , des variations de l'intelligence. Le cheval, cel
st d'adord le Traité des névroses, dans lequel il exposait toutes les idées considérées il y a peu de temps comme des nouveau
ale française. M. Huchard a conçu de la presse scientifique une haute idée . j Elle est faite, dit-il, d'indépendance parce q
liothèque de l'Ecole de psychologie. A ce sujet, pour bien préciser l' idée qui nous a inspirés, je ne puis mieux faire que d
son acception la plus large, la suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
Dans son sens le plus restreint, le mot de suggestion comporte que l' idée qu'on cherche à insinuer est contraire à la raiso
tion et persuasion, tient uniquement à ce que le premier implique une idée déraisonnable ; le second, au contraire, une idée
remier implique une idée déraisonnable ; le second, au contraire, une idée raisonnable. Notre collègue M. Félix Regnault a
ecin : La suggestion est l'acte par lequel on tend à introduire une idée dans le cerveau et a la lui faire accepter. Mai
apparaît ici dans toute son importance. La simple énonciation d'une idée suffira pour que tel sujet l'adopte. Tel autre ré
ongue discussion. Et retenez bien qu'entre l'individu qui accepte l' idée sans résistance aucune et celui qui lui est le pl
té de contrôle. La suggestion devient alors « l'acte par lequel une idée , bonne ou mauvaise, est introduite dans le cervea
nt « l'ensemble des opérations qui font accepter (après contrôle) une idée par le cerveau et provoquent vis-à-vis d'elle un
t tant de bruit, découle de ces constatations. o Dans le même ordre idées , il nous a appris à utiliser la suggestion pratiq
effet sédatif sur le cerveau et aussi une sorte de dissociation de l' idée fixe du sujet qui le subit. On profite, dit M. Du
airées et de piété... Elle se rendait ensuite avec une docilité (1) Idée de la vie et de l'esprit de Messire Nicolas Choar
s. C'était aussi à ce (1) (2) Nécrohge de Port-Royal, p. 282. (3) Idée de la vie et de Vesprit, etc., p. 301. (4) /bld
Il fut sacre en 1652 (41 ans), et par piété choisit pour cette (1) Idée de la vie et de l'esprit, etc., p. 270. (2) Ibi
prit n'étoit occupé qu'à (1) Nécrologe de Port-Royal, p. 279. (2) Idée de la vie et de Vesprit, etc., p. 47, [3)Ibid., p
ce»^) «Enl656, il ordonnal'exhumation d'un homme de la paroisse (1) Idée de la vie et de l'esprit, etc., p. 2-10. (2) Né
Nécrologe de Port-Royal, p. 279. (3) Dictionnaire de Moserî. (4) Idée de la vie et de Vcsprit, etc., p. 62. (5) ibia.
tte date lors de la fermeture de l'établissement. (A suivre.) (1) Idée de la vie et de l'esprit, etc., p. 228. (2) Ibi
ou à accomplir et cette représentation mentale fait naître aussitôt l' idée d'impuissance. Elle existe fréquemment à l'état
e (neurasthéniques, psychasthéniques, hystériques) chez lesquels *- l' idée de diminution de puissance ». comme l'exprime si
té l'effort pensant qu'il sera infructueux, dominés qu'ils sont par l' idée d'impuissance. On peut rattacher à la fatigue s
, se déclare beaucoup plus fatigué qu'en se mettant au lit. Ici l' idée de fatigue prédomine chez le sujet au moment de l
olte.. Il s'agit, en somme, d'éviter que l'attention se porte sur l' idée de fatigue ou de substituer à cette idée, lorsqu'
e l'attention se porte sur l'idée de fatigue ou de substituer à cette idée , lorsqu'elle existe, une idée d'énergie; c'est au
dée de fatigue ou de substituer à cette idée, lorsqu'elle existe, une idée d'énergie; c'est aussi pour cela qu'il est recomm
rement scientifique, sans aucun souci des dogmes, des traditions, des idées reçues et des polémiques religieuses. (1) H exi
, son hérédité, sa constitution, sa suggestibilité, ses images et ses idées , ses hallucinations, sa théomanie, son intelligen
et de psychologie et l'Ecole de Psychologie de Paris s'unirent dans l' idée commune d'organiser cette souscription et elles c
révolution qu'un homme peut à lui seul accomplir dans l'évolution des idées philosophiques et scientifiques de son époque qua
vue médical qu'il se montre réfractaire aux doctrines nouvelles. Les idées dont Liébeault a été l'initiateur faisant leur ch
la entre la publication du livre de Liébeault et la révélation de ses idées . Il passa tout ce temps à s'occuper de ses malade
illance et de désintéressement, un groupe de médecins étrangers eut l' idée de lui offrir, à l'occasion de sa retraite, un té
x en effet, sont ceux qui on pu vivre assez longtemps pour voir leurs idées triompher. Ceux qui ont innové, ou agrandi le cer
ccent convaincu, impriment progressivement dans l'esprit des sujets d' idée de dormir, idée qui ne tarde pas à se transformer
impriment progressivement dans l'esprit des sujets d'idée de dormir, idée qui ne tarde pas à se transformer en sommeil plus
n se place sur un Ht moelleux et l'on chasse de son esprit toutes les idées qui pourraient le préoccuper, bref, on s'isole de
s ; l'on ne songe qu'à une chose, reposer; l'on ne se berce que d'une idée , dormir. Et ce n'est pas seulement l'homme qui en
nt au sommeil, isolement ménagé des sens, afflux de l'attention sur l' Idée de s'endormir, ce qui, physioiogiquement, se trad
force des organes sensibles pour s'accumuler dans le cerveau sur une idée mémorielle; puis enfin, subsidiairement, besoin p
d'une sensation à une autre ou voltige, tour à tour, sur une foule d' idées sans s'arrêter à la pensée de dormir ou sont conv
rment, et d'une voix impérative, Ils leur ordonnent le sommeil. » L' idée directrice de l'œuvre de Liébeault apparaît clair
pète ou centrifuge, susceptible de s'accumuler, sous l'influence de l' idée suggérée, dans les diverses régions de l'organism
st pas chose facile de faire table rase dans son esprit d'une foule d' idées préconçues que l'on croit vraies et que l'on care
mitié n'ont cessé d'unir au Dr Liébeault, a développé et commenté les idées du maître dans le remarquable mémoire sur la Sugg
aux questions d'occultisme. Mon ami Jules Bois, ayant eu, en 1902, l' idée d'ouvrir une enquête sur l'importance de ce mouve
a appris qu'une des conditions de la fixation de l'attention sur une idée , c'est que la force nerveuse, répartie dans toute
sa vision intérieure sur l'objet de ses recherches. C'est ainsi que l' idée fondamentale de son œuvre a pu évoluer normalemen
s. C'est justement parce qu'il ne s'est jamais préoccupé de plier ses idées à la mode du jour, et de les conformer aux exigen
de vouloir, mais eilo fait abstraction de sa volonté.... Si quelques idées persistent, elle ne s'y attache pas, ce sont des
nt toutes seules. Si cette personne était éveillée, elle suivrait ces idées , les développerait, mais comme elle veut s'endorm
er les suggestions qu'il reçoit. II peut choisir entre les nombreuses idées qui peuvent 1 impressionner ; il peut en provoque
ière de procéder qui peut être employée. Le sujet provoque chez lui l' idée de veille passive. Quand il s'y trouve, il utilis
s depuis sur la question n'ont pour ainsi dire fait que reprendre ses idées . J'ai souvent employé le procédé de M. Coste de
on l'enfonce, dit le vieux proverbe : c'est à force de se répéter une idée qu'on se l'inculque. Et ce n'est point un des moi
, a pour ainsi dire sa spécialité sensorielle; les uns conçoivent les idées sous forme visuelle, les autres sous forme auditi
autres sous forme motrice. D'où il ressort que pour faire naitre une idée dans l'esprit du malade, nous pouvons, tout comme
ellement à vous parler de l'influence du geste sur la production de l' idée . J'ai eu maintes fois l'occasion de vous expose
mploi, sur le malade, d'une gymnastique rationnelle en rapport avec l' idée qu'on voulait lui suggérer. Mais si le geste co
ais si le geste communiqué passivement peut servir à faire naître une idée dans le cerveau, le même mouvement passif peut au
mouvement passif peut aussi, dans certaines circonstances, rappeler l' idée qui a été momentanément effacée par la maladie.
hysiques, on obtient presque toujours d'excellents résultats. » Des idées que je viens de vous exposer, on peut rapprocher
es. Elles ont en effet un lien commun, l'influence du mouvement sur l' idée et l'attention. M. Dubois (de Saujon) a montré
lutions du problème qui consiste à amener l'abandon par le malade des idées et des mouvements inutiles. II fixe en somme l'at
t les mouvements d'immobilisation. D'une part, inculquer au sujet l' idée de la réalisation possible du repos absolu par de
ur, dans les centres psychiques inférieurs désagrégés du sujet, d'une idée de guérison qui remplace l'idée de maladie. L'idé
inférieurs désagrégés du sujet, d'une idée de guérison qui remplace l' idée de maladie. L'idée neuve détruit l'idée morbide e
és du sujet, d'une idée de guérison qui remplace l'idée de maladie. L' idée neuve détruit l'idée morbide en la remplaçant, en
ée de guérison qui remplace l'idée de maladie. L'idée neuve détruit l' idée morbide en la remplaçant, en la troublant, en la
ond, c'est toujours la môme mécanique d'action : le remplacement de l' idée morbide par l'idée suggérée. Et, conséquent ave
la môme mécanique d'action : le remplacement de l'idée morbide par l' idée suggérée. Et, conséquent avec lui-même, M. Gras
tend vers n + 1, tandis que la résistance se rapproche de n — i. Ces idées très justes sont tous les jours confirmées par le
ini a bien mis en lumière autrefois lorsqu'il a émis le premier cette idée que les modalités qu'affectent chez les hystéro-é
esse, dans ce cas, à la raison du malade. Le sujet discute encore les idées qu'on cherche à lui inculquer mais finit toujours
rouve lacause 1h plus habituelledans des contre-suggestions, dans des idées préconçues, dans des dispositions qui reposent su
pas de parler comme un orateur; maïs il a pu cependant coordonner ses idées et vous les exprimer succinctement, nettement, av
dans la thérapeutique des névroses et des psychonévroses. Beaucoup d' idées , présentées aujourd'hui comme nouvelles, ont été
tolérant et qui permettait, dans la chaire de l'Ecole, l'expression d' idées contraires aux siennes. Toutes ces qualités ne co
a vénération a élé trop cultivée. Dès l'enfance, on leur a inculqué l' idée qu'il y a des hommes extraordinaires par leur pui
lupart des hommes sont pénétrés d'un profond sentiment de respect à l' idée d'être mis en présence d'un millionnaire, d'un ho
gtemps encore, un médecin praticien se trouvait for! impressionné à l' idée de se rencontrer en consultation avec un des prin
e pierre fondamentale de la psychothérapie, a évoqué en nous quelques idées , qui, nous en sommes persuadés, seront partagées
maux de tète, d'insomnies ; le moindre travail amenait la confusion d' idées et les études durent être interrompues ». ¦ «L'
nt d'une démence précoce. » On se demande comment il peut venir à l' idée de croire ce jeune homme, bien développé sous tou
trerons en parlant du sujet principal de ce travail, c'est-à-dire des idées do M. Dubois sur la suggestion hypnotique. Mais a
souverainement persuasif scion nous, dépasse ie contenu actuel de nos idées pratiques,de nos maximes sociales,de notre struct
une importance plus considérable encore. M. Dubois est pénétré de l' idée que la psychothérapie doit être faite en se serva
tisme. Le nouveau Larousse dit que suggérer, c'est faire pénétrer une idée dans l'esprit et nous.hypnotiseurs, nous pouvons
avocats renommés ont fourni la leur. Dans aucune, nous ne trouvons l' idée mauvaise, la valeur corrup-tive que il. Dubois ch
ns leur action, ouand on entend par là que toutes deux inculquent des idées , elles sont aux deux bouts de la même chaîne, pui
et la Sonna [tradition du Prophète). Cet accaparement de l'être par l' idée religieuse rend l'âme musulmane bien préparée au
revue « El Mana » s'est particulièrement, distinguée dans cet ordre d' idées . En Tunisie, malheureusement, où on ne fait rie
e. Depuis les psychiatres ont regardé la suggestion : Comme toute idée acceptée par le cerveau (Bernheira). II faudrait
gestion à l'état de veille n'existerait plus. Dans la suggestion, l' idée qu'on cherche à insinuer est déraisonnable (Babin
félicitations, s'enfermer dans son cabinet et se tordre les mains à l' idée qu'il n'avait pas donné tout ce qu'il pouvait don
ui emploie la « voie détournée » îe la raison pour faire accepter ses idées et même les imposer, tand-s que nous, nous employ
ie sensible (la même que celle qui lui permet de guérir) pour créer l' idée de la guérison. Nous comprenons fort bien que i
exactes que celles qu'il possède. H ne voit dans la suggestion que l' idée de faire prendre des vessies pour des lanternes e
a ? Suggérer n'est pas insinuer (dans son acceptation mauvaise) une idée ; cela est possible mais en pratique suggérer c'es
n pratique suggérer c'est créer une sensation et par la sensation une idée . Par quelque procédé que ce soit, l'hypnotiseur c
les bras de sa mère. Chacun peut comprendre cela, nous semble-t-il. L' idée seule du sommeil, l'ordre de dormir peuvent dans
péciale du sujet. La simple parole ne suffit pas toujours à imposer l' idée . Quelquefois il faut raisonner, démontrer, convai
ni aucun trouble sensoriel ; elle n'avait aucune bizarrerie dans les idées ou dans le caractère. Bien des fois déjà j'avai
. Le kyste, cause ignorée de la révolte de l'estomac, n'était pas une idée ; c'était une cause physique, n'ayant rien à voir
e de concentrer notre attention avec plus de force sur telle ou telle idée déterminée. Il en résulte que nous y pensons avec
42 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
etentissement qui résulte de leur lésion. Pour se faire une juste idée des fibres d'association et de celles de Gratio
l sur la capsule interne'. La planche Y du même travail donne une idée de l'épaisseur des fibres descendantes du corps
heures. Hémiplégie incomplète à droite qui disparait peu à peu. Les idées de jugement, sa volonté s'exprimant par des sig
le, ces faits n'en sont pas moins intéressants. Pour bien fixer les idées et éviter des longueurs inutiles, nous n'en cit
lirantes. Les malades, tout entiers à leurs hallucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l'état si bien décrit
u'elle est, entourée d'incertitudes, ceux mêmes qui partagent les idées de M. Luys devront en combattre l'application,
et plus docile, mais qu'il a toujours une grande confusion dans ses idées . Les renseignements font défaut jusqu'au 25 juil-
t, Mat... devint taciturne et ne parla plus à personne. Il a eu des idées de suicide. Le 31 juil- let, après s'être frapp
de fortes contusions à la hanche et à la jambe droites. Il a des idées de persécutions, craint les gendarmes et la polic
us régulièrement, il se contrariait à la moindre observa- tion. Ses idées lypémaniaques revinrent et le malade sembla de
pression. A son entrée, au milieu de son verbiage, apparaissent des idées de persécutions. On a cherché à l'empoisonner, se
cuper à divers travaux d'aiguille ; mais elle conserva toujours des idées de persécution et était à ce point irritable qu
L'année s'écoula ainsi, Dup..., laborieuse, mais enracinée dans ses idées depersécutions, mé- fiante, toujours disposée à
les hallucinations disparurent peu à peu, la malade abandonna ses idées de persécution et recouvra la raison. Elle sortit
l parut alors plus éveillé, plus causeur; mais il laissa percer des idées de per- sécutions bien arrêtées et fit des tent
aître ; Cla... devint incohérent dans ses dis- cours ; émettait des idées bizarres, excentriques, prétendait faire venir
le malade, tout en restant actif et intelligent, retomba dans ses idées religieuses, ses accusations contre les prêtres e
mes en couches offrant des con- vulsions éclamptiques, le cours des idées a changé. En présence d'un cas d'éclampsie, on
ige répond plutôt à des accès in- complets. Ils seraient précédés d' idées noires, d'une sorte de sensations d'étouffement
utôt avoir une influence favorable. Ces circonstances éloignaient l' idée de la recherche des antécédents névropathiques;
sur une forme grave de mélancolie anxieuse, caractérisée par des idées hypochondriaques auxquelles s'associent le plus
s idées hypochondriaques auxquelles s'associent le plus souvent des idées de damnation. 11 dit en avoir observé trois cas
générale. Six tent(ilives de suicide. - Impulsions 0 l'homicide. Idées hypocondriaques, de damnation, d'immortalité. Elu
it mieux se sacrifier. Elle se promettait toujours de chasser cette idée ; mais malgré ses efforts, elle y céda à trois r
r de ne pouvoir élever son enfant et de la laisser sans position. L' idée lui vint un jour qu'elle devait la tuer pour lu
souffrait dans tout son corps; elle était toujours poursuivie par l' idée de tuer son enfant, bien que la voix de sa cons
ra comme toi. » Elle voyait un tribunal qui la condamnait. Dans son idée , on écri- vait sur sa porte : « Maison maudite»
re des bruits de sifflet de chemin de fer, de ,bourdon- nement. Ses idées de meurtre et de suicide ne l'abandonnaient pas
filet). On la conduisit alors dans notre établissement : les mêmes idées persistèrent. En même temps son corps à changé
peut ébranler sa conviction. On peut les rapporter à trois sortes d' idées , qui sont par ordre de prédominance : des idées
à trois sortes d'idées, qui sont par ordre de prédominance : des idées hypochondriaques, des idées de damnation, des idé
ui sont par ordre de prédominance : des idées hypochondriaques, des idées de damnation, des idées d'im- mortalité. C'es
dominance : des idées hypochondriaques, des idées de damnation, des idées d'im- mortalité. C'est ainsi que hlme A. ltf.
des de station les plus bizarres. Elle ne sort guère de ce cercle d' idées , répète toute la journée les mêmes phrases, exami
la lin des siècles sa faute et les crimes du genre humain. Cette idée d'immortalité s'est développée sous l'influence d
'est pas en chair de monde; d'ail- leurs, Satan est immortel. Cette idée augmente encore sa tristesse et son anxiété.
z violent pour la tuer et si elle ne présente plus actuellement des idée . de suicide, c'est parce qu'elle est bien conva
ue de l'inutilité de ses tentatives. Notons, pour terminer, que les idées hypochondriaques, de non-existence ou de destru
existence ou de destruction de divers organes sont accom- pagnées d' idées analogues se'rapportant aux choses 'Métaphy- 62
possible. En effet, bien que nous constations chez Mmo A. M... des idées hypo- chondriaques, des idées de persécution, d
nous constations chez Mmo A. M... des idées hypo- chondriaques, des idées de persécution, des idées de grandeur, ni la ma
A. M... des idées hypo- chondriaques, des idées de persécution, des idées de grandeur, ni la marche du délire, ni la natu
on, des idées de grandeur, ni la marche du délire, ni la nature des idées délirantes, ni les réactions qu'elles détermine
son et ce n'est qu'une dizaine d'années plus tard qu'apparurent les idées de damnation. Prises en elles- mêmes, ces idées
d qu'apparurent les idées de damnation. Prises en elles- mêmes, ces idées de diffèrent pas beaucoup de celles que l'on pe
ution du délire. Ce n'est qu'un peu plus tard que sont apparues les idées hypochondriaques comme conséquence logique d'ai
s idées hypochondriaques comme conséquence logique d'ailleurs des idées de damnation. Les souffrances qu'endure Mm° A. M.
alors, après une période plus ou moins longue de prépa- ration, les idées hypochondriaques qui apparaissent les premières
tes sortes de persécutions dirigées contre sa personne. Quant à l' idée d'immortalité qui, au moins lorsqu'on la consid
qui, au moins lorsqu'on la considère d'une façon abstraite, est une idée de grandeur, elle est contemporaine, dans le ca
e idée de grandeur, elle est contemporaine, dans le cas actuel, des idées de damnation, c'est-à-dire presque primitive; t
NCOLIE ANXIEUSE. 4;3 malade meurt ou tombe en démence avant que ses idées , déli- rantes en soient arrivées à cette périod
-mêmes, sans s'inquiéter de leur mode d'apparition, les différentes idées délirantes que présente notre malade, on voit q
nent confirmer les symptômes propres à la paralysie générale. Les idées de damnation, comme nous l'avons dit plus haut,
'accompagnent de doutes ou de négations métaphysiques analogues aux idées hypochondriaques et qui, chez notre malade au m
alade au moins, semblent en être une conséquence logique. Quant à l' idée d'immortalité, il semble assez difficile au pre
lorsqu'elle est comme ici logiquement déduite, de la distinguer des idées du même genre que l'on trouve chez les persécut
ire que, chez M ? A. M... et les malades qui lui ressemblent, celte idée d'immortalité est une conception déli- rante de
ue, le persécuté qui commence à se reconnaître dans le chaos de ses idées délirantes, s'agite, remue, discute sans cesse
rticulière de la mélancolie anxieuse, distinction que la nature des idées délirantes ne l'ait que rendre évidente. Ce q
dre évidente. Ce qui domine chez les anxieux ordinaires ce sont les idées de perte, de ruine, de déshonneur, de culpabili
s de perte, de ruine, de déshonneur, de culpabilité. S'il y a des idées hypochondriaques, elles s'expriment par des plain
ations maladives de toute nature auxquelles s'associent souvent des idées d'empoisonnement. Les malades alors sentent leu
s craignent de ne guérir jamais. Mais on ne trouve pas chez eux ces idées hypo- chondriaques de non existence ou de destr
cé indique à une certaine période de la mélancolie l'appari- tion d' idées hypochondriaques d'un pronostic grave. M. Foville
driaques d'un pronostic grave. M. Foville parle de la possibilité d' idées exclusivement religieuses et mys- tiques qui co
ance excessive des troubles de la sensibilité générale, différentes idées spéciales énoncées ci-dessus; puis, à cause de
longue durée presque certaine de la maladie quand apparaissent les idées hypochondriaques et de damnation, la systématis
mémoire : nous les rappellerons ici : 1° Anxiété mélancolique ; 2° Idées de damnation ou de possession; - 3° Propension
nsion au suicide et aux mutilations volontaires ; 4° Analgésie ; 5° Idées hypochondriaques spéciales ; 6" Idées d'immorta
lontaires ; 4° Analgésie ; 5° Idées hypochondriaques spéciales ; 6" Idées d'immortalité. Nous avons exposé longuement les
mpêché de faire de notre malade une délirante chronique. Malgré ses idées de damnation, nous n'avons pas songé à en faire
recueilli un grand nombre de faits soigneusement obser- vés et sans idée préconçue'. 1 Depuis que cet article a été comp
t d'imbécillité à différents degrés; 2o un cas de mélan- colie avec idée de suicide, chez un enfant de quatre ans, hérédi-
ux de folie morale : il s'agit d'un individu qui était obsédé par l' idée de prendre des tabliers, pour s'y livrer à des
ui feignit successivement la fureur maniaque avec désordre dans les idées , la surdi-mutité, des hal- REVUE DE PATHOLOGIE
ment le malade du monde extérieur. Telle est l'essence des faits et idées publiés par AI. Siemens. P. K. VU. Les rappor
nations et de la diminution de l'odo- rat, de la confusion dans les idées , de la congestion céphalique et faciale, de la
es doses, assure le calme. Pas d'intoxication; le désordre dans les idées subsiste seul, mais il n'y a pas lieu d'incrimine
eine péiiode d'agitation congestive avec désordre excessif dans les idées , hallucinations de la vue et de l'ouïe, le laveme
e cas pathologiques à laquelle on est loin de s'attendre, d'après l' idée que l'on se l'ait générale- ment d'un service d
bitieuse, et que la démence, synonyme de dis- sociation absolue des idées , et terme ultime de la déchéance intellectuelle
e époque. Au moyen âge, les sorciers, la magie, les sortilèges, les idées religieuses de damnation ; de nos jours, le mag
ions dont se sertie malade varient'de m'oins en moins, son cercle d' idées se rétréi bit; il'élaborè'dê' plus en plus, les
js ! ) t)T ? h n ihrf, x Y ? t u ? lJ.i,r92tIS 2ritti1.9.'1 '"Les idées de persécution surviennent et- avec eux, 1 îndill
ns; ils se fixeront même dans cette phase; mais, le plus souvent, l' idée de persécution les amènera à en chercher les ca
détenteurs d'un trésor, ministres, prophètes, inspirés de Dieu. Les idées ambitieuses arriveront par bouffées d'abord, mê
Les idées ambitieuses arriveront par bouffées d'abord, mêlées à des idées tristes ou de persécution ; puis elles feront e
les feront explosion et, le mal s'accentuant de plus en plus, toute idée de persécution disparaîtra pour être remplacée
des étant incapables .de se replier sur eux-mêmes en dehors de leur idée délirante. Enfin la démence complète arrive ave
lire, à grouper les faits, à les systéma- tiser, à circonscrire ses idées dans un cercle restreint, sans présenter de dép
ucina- tions, troubles de la sensibilité générale et prédominance d' idées de persécution ». On la traite de « câlin d'h
t. VIII. 12 Il 17S RECUEIL DE FAITS. sion d'un déménagement, les idées de persécution apparaissent. « Vous voyez bien
nt il est possible que dans leur esprit ces malades asso- cient-une idée particulière à ces expressions, ainsi que le prou
de la vite. Révélations divines. Dissociation commençante dans les idées . Ecrits - incohérents ». n ., Elle est venue à
arier; elle n'a pas peur des Parisiens.' 111 . - 1, w,r.rr L' Les idées de grandeur et de sa mission l'emportent, survies
rr L' Les idées de grandeur et de sa mission l'emportent, survies idées de persécution qui ont signalé - le début de son'
cohérence dans ses paroles,' niais la transition ap.1 d eiili'e les idées qu'elle évoque semble être l'indice de",lacunes
s cas déjà, cites. Toutefois, a de paraissent comme des bouffées' d' idées ambitieuses et de' persé- .. - ' - ? ) i t.,u.
parti qui soutient l'autre, répète-t-il parfois, je sens de grandes idées qui me viennent ; mes parents ne sont pas de vr
er ». Surviennent'une attaque, un vertige, V... reprend ses mêmes idées , mais d'une manière inconsciente. 1 AinsPquVle^
t-l 5>' ,- période maniaque d une grande violence, ainsi que les idées ordi- naires de grandeur. La syphilis est reche
les améliorationnappréciable;puisi une rechutai avecragilalion et ! idées ! déràigonlial)lës (parentd,av6c;lar Tamil le r
roprehHaiïucinations doFou'ie ? A'son ! entrée à l'asile : . mêmes' idées de gr=deur ? itreml)lcmentde Ila,)Ilan eue ;iparo
: Kroepklin, (do Leipzig').jE<u ? tm'M<( ? U ? s .cialions d' idées . Les eapérienées out 'pLo3Ll ? iusit,ug <sur
onasensorielles,,t ,, djuis ,,1 a ^'orniiit lourdes .«a^QcUjtions d' idées ;.ij§ contribuent^ la formaVon,de,lQ,R.4f0 lles,as
ndesune,assoiation d'idées'. pjusbrefapn.u'tient aux.associations d' idées ,'tn.- .i( ? i) ? i ? r" ? ? y.-r ? ? v ? 'dé
jj ? o, , , ^ ? -, &28 SOCIETES .SAVANTES. aux associations d' idées provoquées par lareçlierglÿe intellectuelle sur
ent 0,03" à 0,05 ? L'in- ituencde ? exer'ice'sur les associations d' idées s'est, une fois, mani- festée par jarejouiydes
ncitateurs, on fait reparaître plusse 50 -p. 100 des associations d' idées dans les quatre premiers jours; puis, la propor
évident. L'alcool parait' agir sur la .qualité des, associations d' idées ; le genre'des combinaisons, con- - 9qeptutllès"
ncore été démontrée. ; 1 ` , M. Seeligmueller adhère pleinement aux idées de M. Strumpell. Déjà, dans sa monographie sur
ven un grand couteau de boucher. On l'arrête, sans qu'il vienne à l' idée de personne que son état mental puisse offrir d
uvre l'existence d'une mélancolie avec hallucinations sensorielles, idées de persécution, troubles de la sensibilité géné
se voit dans l'excitation maniaque où, tel est souvent l'afflux des idées que les sentiments correspon- dants ne viennent
d'indices fugaces. Pareille ondulation relève du désordre dans les idées d'origine hallucinatoire; la vitesse des change
ns; l'expression de para- car, à l'instant où^la bouche Sourit, 1 idée douloureuse est interrompue par unielïensée f "
ions graves. En bien des cas, il y a sous roche, dans l'espèce, une idée de présomption vaniteuse. De même que chez l'ho
ire paramimique vrai est excessivement rare; la teneur générale des idées contraste effec- tivement avec l'expression de
ui sont devenus sa seconde nature et de lui inculquer de, nouvelles idées par la nou- velle existence à laquelle on le fo
esta qu'elle pût émaner de la mélancolie. lioclt rejeta également 1 idée de la folie systématique secondaire. Pour llcnd
t aussi s'observer chez le fou systématique ; elles émanent alors d' idées de persécution et sont provoquées par des hallu
ar des hallucinations sensorielles. Ce n'est donc pas la teneur des idées délirantes, c'est leur genèse qui est prépondér
n a toujours relevé en; t) 5 le SOCIÉTÉS SAVANTES. même temps des idées lr pocl7ondri;nlucs ; or, celles-ci ont inva- r
écutives à la masturbation) d'auto-accusations lypénianiaqucs, et d' idées de persécution; les cas chroniques eux-mêmes dé
ou caressaient des projets originaux, impraticables. La teneur des idées délirantes ne saurait servir de base à une divisi
devient alors la terreur de la maison; plus tard se développent des idées de persécution et de la mégalomanie. Sans doute
ersonnelles, bien détaillées, mais dont la lecture ne donne pas une idée de la folie alterne aussi nette que celle de l'ou
e désordre des actes et des sentiments est plus grand que celui des idées ; les hallucinations génésiaques, surtout chez l
p diminué. Aura. - Le malade parait éprouver une véritable crainte ( idée fixe, persistante que des distractions seules p
de ne pas lutter contre sa flexion le tourmente, l'obsède et cette idée lixe paraît provoquer la contracture de la main.
e, aug- mentation du tissu graisseux). M. Strümpell se rattache à l' idée d'une névrite dégénérative systématique pure, s
rs allures, leurs rapports topo- graphiques permettent d'éliminer l' idée d'un hasard. L'idée d'une névrite ascendante se
pports topo- graphiques permettent d'éliminer l'idée d'un hasard. L' idée d'une névrite ascendante secondaire (inflammati
a d'ail- leurs plus trait à la paralysie générale. M. Tuczek a eu l' idée de soumettre à la méthode d'Exner les circonvol
R LES organes digestifs; par ESCIILE. (ileurol. Centra ? 1883.) L' idée d'employer l'ésérinc en injections hypodermiques
l'émotion ressentie en voyant sa soeur atteinte de mélancolie.) Idées de suicide ; malade non dangereuse. Sobre et
Durée du premier accès : neuf semaines. Cause inconnue. Pas d' idées de suicide ; pas dangereuse. Sobre et bien él
au point de vue mental, c'est la concentration del'attentionsur une idée unique. La fixation d'un objet, brillant ou non
nce de cervelet n'avait pas entraîné de troubles de coordination; l' idée que le cerveau avait dans l'espèce, suppléé les
rquer que ce fait engage à ne pas généraliser indistinc- tement les idées de Bernhardt et Lecocq, d'après lesquelles l'hémi
uicide. C'est un persécuté; une société de gens le harcèlent, etc., idées d'empoisonnement. La psychose a été précédée et e
réussirions qu'ap- proximativement à stéréotyper l'enchaînement des idées . Les fonctions psychiques, dit l'auteur, émanen
ique sur laquelle M. Arndt base sa classification, produit de cette idée que la folie, une, se manifeste à tel ou tel âg
que, de même que les sensations normales donnent naissance à des idées normales, les sensations anormales donneront nais
t subite dans la crise), par Motticre, 332; - (tmpanite), .t34. Idées (associations d'), 227. Idiotie, 121. Idiotie
43 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ents oculaires, elle tomba dans une dépression profonde avec vaguei idées de persécution, mais surtout idées délirantes m
dépression profonde avec vaguei idées de persécution, mais surtout idées délirantes mélancoliques très prédominantes et
u contact des dendrites fines avec les cylindraxiles. Les nouvelles idées et les nouvelles combinai- sons entre elles exi
série, t. IV. 2 18 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. conscients. Afin qu'une idée apparaisse dans le champ de notre conscience, u
mple nous convainc de la variété et de la multitude des images, des idées et de représentations qui peuvent passer dans n
nc pas admettre que, par exemple, l'apparition d'une image ou d'une idée dans notre conscience doive amener, pour ainsi
interrompue,qui transmet le courant nerveux, et la disparition des idées causer l'ouverture de cette même chaîne. Cette
orie des neurones à l'ex- plication du trouble de l'association des idées sous l'influence de l'intoxication et de l'auto
i produit un trouble très marqué dans le cours des associations des idées ; 3° la confusion de la conscience est accompag
donc pas de ces idiots qui ne parlent pas parce que, n'ayant aucune idée , ils n'ont rien il exprimer. Son mutisme proven
taient ces organes pour la prononciation de ce son. Pour donner une idée du peu d'habileté et de la faiblesse des organe
on fait habituellement de la pratique, on explique les mots par les idées qu'on a soin de faire éclore ou de réveiller à
t des phrases par des questions multipliées portant d'abord sur les idées formellement exprimées, puis sur les idées qui
portant d'abord sur les idées formellement exprimées, puis sur les idées qui sont sous-entendues, enfin sur celles qui d
le divise conformément aux éléments substantiels dont se compose l' idée et qui sont : « 1° Le nom, avec ses accidents q
tives, qui ont mission d'exprimer les rapports rationnels entre les idées ; 4° les diverses constructions synthétiques qu
nstructions synthétiques qui correspondent au mode de concevoir les idées complexes et qui forment la langue. » Ces div
particules rationnelles dési- gnant les rapports intimes entre les idées et les faits; 3° des diverses constructions syn
des traits, asthénie profonde, respiration courte, ohnibulation des idées , faiblesse du pouls, sécrétion d'une sueur froi
omprendre, ainsi qu'il l'a très bien démontré dans un autre ordre d' idées , que ce qui peut se faire-dans une nation peut
e, sinon d'incapacité, contre les médecins réfractaires à certaines idées et classés, avec une désinvolture sans pareille
la symptoma- tologie relève des phénomènes de compression. De là l' idée d'éli- miner cet élément pathopénique par la po
xtatique est atteinte de contracture systématique en rapport avec l' idée de crucifixion. Les troubles psychopa- thiques
ons actuelles de la psychopathologie. Cette analyse ne donne qu'une idée très imparfaite de cette oeuvre remarquable, qu
èm. » B. Maladies mentales. Thèmes de programme. 1. Obsessions et idées fixes. Rapports prévus : professeur Pitres (de Bo
Dl' Régis (de Bordeaux) : « La séméiologie des obsessions et des idées fixes. » Communications annoncées : James Shaw,
raine, le chapitre de l'étiologie et de la nosologie. La marche des idées à ce point de vue a été rationnelle mais curieu
ladies du système nerveux ? D'abord on a adopté la vieille et juste idée de l'hérédité. Puissante dans toutes les parties
é d'organe et non d'héré- dité de maladie, ce qui est différent : l' idée de l'hérédité éclaire Pédologie mais nullement
elle qui a obligé Fournier à inventer la parasyphilis. C'est là une idée ingénieuse que nous retrou- verons et discutero
sans exagération des réflexes tendineux. Vous aurez d'avance une idée de ce cas en parcourant quelques-uns des diagno
iment poser la question : à quel âge avez-vous eu la vérole ? Les idées de Fournier, développées par Erb, sont tout à fai
maladies du système nerveux sont donc de plus en plus, suivant une idée que je défends et répète depuis 18ï71, uniqueme
des maladies à apparence terminale distincte. » Et on développait l' idée de l'artériosclérose faisant d'abord des troubl
es mixtes par asso- ciation de ces deux processus. En face de ces idées , se sont élevées, au point de vue ana- tomopath
ommence les chapitres consacrés à la pathogénie des scléroses : « L' idée générale qui se dégage des faits précédents est
uvelle du tabès, mais elle permet de mettre les choses au point : l' idée directrice est l'idée de la multiplicité étiolo
elle permet de mettre les choses au point : l'idée directrice est l' idée de la multiplicité étiologique que nous substituo
est l'idée de la multiplicité étiologique que nous substituons à l' idée de parasyphilis. - La syphilis joue un rôle éti
i- cations puissantes : révulsion, suspension, Frenkel... Voilà l' idée qui peut éclairer non seulement le tabès, mais
mais jouait très mal. L'intelligence était affaiblie, il avait des idées enfantines, riait souvent d'un air niais quand
corps. De la compa- raison des conditions physiologiques résulte l' idée toute naturelle (et tout ce qui parait naturel
caractérisée' par de la mélancolie ovec délire hypo- condriaque et idées de soupçon et de persécution. R. DE MUSGRAVE CL
ns entré à l'asile en même temps que sa femme. Ils présentaient des idées délirantes identiques, la femme surtout était a
ès impressionnée de l'accident présentait un état mélancolique avec idées de persécution, hallucination, frayeurs nocturnes
ravail, il resta chez lui et au bout d'un mois présentait les mêmes idées délirantes que sa femme- Au point de vue hérédi
'affection mentale commença par une grande dépression morale avec l' idée d'avoir commis du mal et des délires homicides
image de la maladie changea essen- tiellement. Alors apparurent des idées hypocondriaques et néga- tives absurdes. Il ref
blesse de la mémoire, ni autre confusion de l'intelligence, que les idées hypocondriaques absurdes et ambi- tieuses, ne s
folie alcoolique. 144 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. La genèse des idées délirantes est celle qu'on rencontre surtout t
faux point de départ et que les erreurs incorrigibles sont devenues idées délirantes. La tendance processive est un sympt
les degrés dans l'inversion et il faudrait se débarrasser de cette idée préconçue, que l'inversion est un tempérament d
e d'un centre des muscles des yeux dans le lobe frontal. Contre les idées émises par Hitzig et Il. de Boyer, s'éleva Munk
trop vite à une guérison hâtive, et de donner trop vite suite à des idées de mariage émises par le malade : ce dernier, q
es manifestations peuvent atteindre le système nerveux sous forme d' idées délirantes, de tendances au suicide, de pertes
Science, octobre 1896.) L'auteur relate l'évolution, en Ecosse, des idées de progrès qui ont abouti soit à la création d'
dernier verre de bière ou d'alcool. A. la bonne heure ! Voilà une idée neuve, juste et pratique ! son application ne pou
a disparition de son contenu, le cylindre-axe. Dans le même ordre d' idées , si la gaine myéli- nique était vidée, ses paro
des lésions presque uniquement radiculaires. Dans un autre ordre d' idées , nos cas nous ont aussi montré que les douleurs
oustraire à cet état d'infériorité et être à même d'appliquer leurs idées . Pour ma part, je sais bien que je me refuserai à
; il serait le maître des services généraux qu'il dirigerait à son idée comme les médecins seraient les maîtres des qua
'auront ces méde- cins-directeurs qui voudront non pas accepter les idées des médecins traitants mais imposer les leurs.
ie de sa paperasserie. J'irai même plus loin, je dirai que dans mon idée si les économes et les receveurs devraient être
ogiste, et à rédiger ses constatations per- sonnelles ainsi que les idées qu'elles lui suggèrent. Comment le D'' Dubief v
onnel secondaire, personnel médical et personnel administratif, les idées que me suggèrent une expérience longue déjà hél
utenus dans cette campagne. Peut-être conviendrait-il d'appliquer l' idée que nous avions fait prévaloir avec Herold, à l
- cher et se plaint en outre de douleurs dans le dos. La première idée qui vient à l'esprit est celle d'une compression
ggestives, de folie à double forme, de délire de persé- cution avec idées de grandeur, de folie du doute avec délire du t
rvir d'épigraphes à bien des travaux récents. « Tous ces germes d' idées , ainsi jetés à pleines mains dans les écrits et
halange de disciples qui devaient porter très loin et très haut les idées et la méthode qui leur étaient en- seignées. -
ès lui, en s'entourant de nombreux disciples qu'il pénétrait de ses idées etanimait de son ardeur pour le bien. Il avait
le, par l'absurdité des opérations intellectuelles (association des idées , raisonnement, jugement), plus encore que par l
idées, raisonnement, jugement), plus encore que par l'absurdité des idées ; - par les lacunes de la mémoire, par les altér
oire, soit la; 246 SOCIÉTÉS SAVANTES. faculté d'associer quelques idées , on peut affirmer qu'il ne s'agit pas d'un para
'est surtout chez les femmes et les jeunes gens que celte absence d' idées délirantes a été constatée. M. BRIAND (de Ville
e Georget, de Landouzy et enfin de Bouchut qui, en 1877, combat les idées de Briquet, et SOCIÉTÉS SAVANTES. 251 attribu
important à diagnostiquer chez l'enfant. C'est dans le même ordre d' idées que Grasset a étudié les rap- ports de l'hystér
n action d'arrêt sur la moelle, assez cependant t pour éveiller des idées subconscientes relatives à la fonction uri- nai
nature de l'hypno- tisme. Or, depuis les recherches de Charcot, les idées ont évolué et l'hypnotisme, tel que l'envisagen
chothérapie savent qu'il convient de réveiller le malade sur des idées agréables. La mise en oeuvre de la psychothérapie
sont par ordre de fréquence le défaut d'attention, la mobilité des idées , l'esprit de contradiction, une émotivité exagé
t. L'existence de la réaction de dégénérescence permet d'éloigner l' idée d'hystérie. Il réfute le cas de Gilles de la To
urs en médecine âgés moins 1 Nos lecteurs savent que ce sont là des idées que les Archives de Neurologie et le Progrès mé
omme on en parle dans les romans; on leur prête des sentiments, des idées , des aspirations, que, pour ma part, je n'ai ja
dans des asiles ces aliénés nouveau modèle, et ces mélancoliques à idées de suicide qu'on laissera à proximité d'une pièce
us économique pour la société. Il me semble que les promoteurs de l' idée de l'Open-door vont absolument à rencontre de l
eur appartient pas, pour lequel ils n'ont aucune compétence, dans l' idée d'affaiblir l'autorité du mé- decin et d'y subs
nous perdions cette tutelle, si les familles allaient croire que l' idée de malade évoque tout naturelle- ment celle de
re éminent confrère ne peut pas être considé- rée comme donnant une idée exacte relativement aux termi- naisons de ladit
is, me disait la mère. qu'on le surprenait ainsi. Il n'avait qu'une idée fixe, boire et chercher partout du liquide quel q
pré- coce et la marche lente des accidents, doivent faire écarter l' idée d'une sclérose des cordons latéraux et permette
es troubles de l'intelligence, du langage, etc. L'auteur adopte l' idée de séparer des affections spasmo-paraly- tiques
délirante; elles accompagnent plus spécialement le délire avec les idées de persécution. Elémentaires, communes, auditiv
é de suggestibilité ou de démence des sujets. Céphalée persistante. Idées et tentatives de suicide. Deux craniecto- mies.
chute à terre, déviation de la langue à gauche, hémiparésie droite, idées de suicide. Un an après, en janvier 189G, survi
diate : céphalée gauche, hémiparésie et vomissements cessèrent; les idées de suicide disparurent, et le 15 juillet 1896,
on secondaire ; il est dangereux parce qu'il tendrait à confirmer l' idée , malheureusement trop répandue, que l'alcool, p
altéra- tion organique, apparente, connue et durable, se compose d' idée , d'émotion et dépend de l'individualité psychiq
un lieu de passage où les sensations analysées deviennent émotions, idées , volitions. L'idée, l'émotion sont des phénomèn
ù les sensations analysées deviennent émotions, idées, volitions. L' idée , l'émotion sont des phénomènes psycho-dynamique
e sobre, de signification un peu ardue. L'action pathogénique des idées , voilà ce qu'a cherché l'anteur dans les nombre
sychothérapie, bref et précis. Il peut se résumer à ceci : guérir l' idée par l'idée judicieusement employée. Les guéri-
ie, bref et précis. Il peut se résumer à ceci : guérir l'idée par l' idée judicieusement employée. Les guéri- sons rappor
mais ayant présenté à l'âge de trente ans de la mélancolie,1 avec idées de persécution, puis de persécuté il était devenu
ient -absolument exacts. En effet, je me souvenais que j'avais eu l' idée 'de mettre mes clefs dans un lieu sûr pour les
sur ces simples données, vivacité, colère, pleurs, rires exagérés, idées extravagantes, gestes désordonnés, etc. - En
neuf, primitif, ai-je dit dans une précédente étude; un pays où les idées superstitieuses dirigent tant de cerveaux, où r
ée par ces récits grotesques, son jeune cerveau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sème; le jour il y pense, la
ns dit, à l'absence de voies longues d'association. Les anciennes idées sur les fibres arci forntes d'association du fo
es si complexes à une lésion corticale en foyer. On se rattacha à l' idée d'une aphasie purement fonctionnelle. Gowers ad
es paraissent plus insurmontables et le pouvoir de résistance aux idées de suicide est moins effectif; les gardiens de ce
neurs de Berlin et Hambourg. Mais c'était de leur part se faire une idée bien fausse du carac- tere indépendant des conf
DES maladies NERVEUSES ET mentales ' Séméiologie des obsessions et idées fixes. MM. Pitres et Régis (de Bordeaux). Conce
otion, le sentiment, soutient aussi Dallemagne, sont à la base de l' idée comme les centres nerveux inférieurs constituent
rent effacement des émotions et du sentiment dans la genèse de l' idée n'implique donc que l'infériorité de leur degré d
es distinctions sont pour ainsi dire inexistantes dans le temps ; l' idée et l'émotion, séparées par tant de caractères,
ession. Par contre, prenez une obsession quelconque et enlevez-en l' idée fixe ou la tendance impulsive, ne laissant que
Il peut donc y avoir obsession, entendue au sens large du mot, sans idée fixe et sans impulsion ; il n'y en a pas sans é
, soit simultanément, c'est le phénomène intellectuel, sentiment ou idée . Ce qui ne varie pas, ce qui reste immuable et
e même par une phase d'angoisse analogue, après la disparition de l' idée fixe. - Notons enfin que, si l'émotion. n'était
ixe. - Notons enfin que, si l'émotion. n'était qu'une réaction de l' idée fixe, son intensité devrait nécessairement être
e de cas, aux phéno- mènes de l'émotivité pathologique s'ajoute une idée fixe ou domi- nante. Ce sont les obsessions pro
ant à anxiété systéma- tisée ou monophobique ; 3° L'état obsédant à idée anxieuse ou monoïdéique. ' C'est là, sur une
rge de fluide émotionnel, accumulé en excès dans l'or- ganisme. Une idée , une émotion, une sensation quelconques, suf- f
it deux personnes devant sa porte, elle ne pouvait se sortir de l' idée que l'un de ses enfants s'était précipité par la
um émotif s'atténue. Il est d'usage de séparer, dans l'obsession, l' idée fixe simple et l'idée impulsive. Bien qu'au fon
l est d'usage de séparer, dans l'obsession, l'idée fixe simple et l' idée impulsive. Bien qu'au fond de toute idée il y ait
n, l'idée fixe simple et l'idée impulsive. Bien qu'au fond de toute idée il y ait un élement moteur, et que les idées ob
ien qu'au fond de toute idée il y ait un élement moteur, et que les idées obsédantes soient de véritables « impul- sions
us n'a- vons à nous occuper ici que de l'élément intellectuel, de l' idée fixe. Obsessions idéatives. - Le caractère pr
l'idée fixe. Obsessions idéatives. - Le caractère principal de l' idée fixe patho- logique - nous parlons de l'idée fi
ractère principal de l'idée fixe patho- logique - nous parlons de l' idée fixe jugée telle, car l'idée fixe méconnue est
ixe patho- logique - nous parlons de l'idée fixe jugée telle, car l' idée fixe méconnue est une idée délirante dont nous
arlons de l'idée fixe jugée telle, car l'idée fixe méconnue est une idée délirante dont nous n'avons pas à nous occuper
nté plus ou moins intense pour chasser cet hôte importun. C'est une idée parasite, automatique, discordante, irrésistible.
La plupart des auteurs ont insisté sur ce caractère essentiel de l' idée fixe d'obsession. Kipper la considère comme par
Ce qui différencie essentiellement, en effet, au point de vue de l' idée , l'obsession du délire, c'est que, dans lèpre-,
appel à la volonté pour la refouler, tandis que, dans le second, l' idée délirante peut être pénible, suivant sa teneur
bord rangée et décrite dans les folies dites avec conscience. Les idées qui constituent l'élément intellectuel de l'obses
nforce simplement en lui. Cette action du rêve sur l'obsession et l' idée fixe s'exerce surtout chez les hystériques, sans
e, caractérisée par des . impulsions, ne saurait être admise, toute idée , nous l'avons vu, étant un mouvement en germe e
ssement intellectuel, intoxication alcoolique, morphiniqueou autre, idée délirante, contagion par l'exemple ou les journau
mme des plus fréquents. En réalité, pour faire passer l'obsédé de l' idée ou de la peur à l'acte. il faut le plus souvent
gi- cides. Ravaillac, pour ne citer que celui-là, était hanté par l' idée de tuer le roi, et trois fois il quitta Paris p
t pas, chez lui une obsession simple, mais une obsession liée à une idée erronée, sinon délirante. En est-il de même pou
lue du cadre des obsessions. Il admet deux sortes decas : ceux où l' idée obsédante s'accompagne d'hallucination qu'elle
ythrophobie, caractérisée par des ictus de rougeur angoissante avec idée obsédante pins faible, dans l'inter- valle. Qua
ent intellectuel tend à pré- dominer. Les obsessions vraies, avec idées fixes et impulsions marquées, sont donc plus gr
r l'autonotion de sa qualité, l'état émotif jusqu'à l'angoisse. Idées fixes. I. L'idée fixe est l'activité, par imp
sa qualité, l'état émotif jusqu'à l'angoisse. Idées fixes. I. L' idée fixe est l'activité, par impulse pliysiologique
équilibre fonc- tionnel du cerveau. II. La forme psychique de l' idée fixe est l'idée simple, ou une représentation p
tionnel du cerveau. II. La forme psychique de l'idée fixe est l' idée simple, ou une représentation psychique éléme
re- lation avec l'état psycho-moral de la personnalité. III. L' idée fixe ne produit pas, par elle-même, de l'émotiv
VIII. L'obsession est un trou- ble pathologique des dégénérés. . Idées fixes. IV. L'idée fixe n'est en action que pe
t un trou- ble pathologique des dégénérés. . Idées fixes. IV. L' idée fixe n'est en action que pendant les états apro
; lorsque la personnalité est en fonction à but inconnexe avec l' idée fixe, il y a arrêt du trouble. V. L'idée fixe
à but inconnexe avec l'idée fixe, il y a arrêt du trouble. V. L' idée fixe est une activité qui, par elle-même, va à
t une activité qui, par elle-même, va à l'épui- sement. , VI. L' idée fixe n'est pas un concept délirant; elle n'est
irant; elle n'est plus qu'une persistante perception mécanique. L' idée fixe est sans action sur les fonctions associa-
fixe est sans action sur les fonctions associa- tives. - VII. L' idée fixe n'a pas d'ac- tion sur la personnalité. '
II. L'idée fixe n'a pas d'ac- tion sur la personnalité. ' VIII. L' idée fixe est, un trou- ble fonctionnel observable à
Aix-la-Chapelle, Baden en Argovie... Toujours dans le même ordre d' idées , si l'iodure n'était absolu- ment pas toléré, o
rauss). A un point de vue plus restreint et dans un autre ordre d' idées , des cliniciens éminents, appuyés sur des faits n
citation et suivies d'une aggravation de l'état mé- lancolique avec idées de suicide. S'occupe régulièrement. Facile à di
un congé, qu'il va passer dans sa famille. Il est anxieux et a des idées de suicide auxquelles il peut encore résister.
il ne peut rester en place, gémit; l'atten- tion est diminuée, les idées mélancoliques sont obsédantes : aussi 494 RECUE
ns un état de tristesse excessive qui lui fait désirer la mort. Les idées de persécution n'existent à peu près pas, et ce q
si atteint que le jour de son entrée. Il nous avoue à ce moment ses idées de suicide, raconte son délire, ses illusions e
base- dowiens. Nous ne trouvons pas l'instabilité, soit dans les idées , soit dans le travail; cet homme a été calme, pon
ur passe en revue toutes les moda- lités, toutes les associations d' idées , toutes les pratiques impul- sives (fétichistes
s cuisses et les jambes. Pas de troubles vésicaux ni rectaux. Toute idée de myélite fut écartée. La contracture indiquai
Le diagnostic de la lésion causale était difficile; on s'arrêta à l' idée d'un tubercule intéressant la troisième paire.
her la parqlysie à une lésion directe du nerf et fait écarter toute idée d'ophtalmoplégie corti- cale, qui avait été sug
rreaux. Certaines assertions du patient semblent indiquer aussi des idées délirantes : il dit que les religieuses pro- vo
tomatique ce qui est délire mélancolique vrai, de ce qui n'est qu' idées mélancoliques. Les auteurs attribuent à ces deux
es. Les auteurs attribuent à ces deux mots (délire par opposition à idées simples) le même sens qu'on attribue aux mêmes
oncerne les persécutés. De même qu'il y a des malades quelconques à idées de persécution idiopathique, de même il y aurai
dées de persécution idiopathique, de même il y aurait des malades à idées mélancoli- ques et d'autres à délire mélancoliq
ue du cerveau humain : c'est la tendancedu cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. Toute idée acceptée est une s
la tendancedu cerveau à réaliser toute idée acceptée par lui. Toute idée acceptée est une suggestion. L'hypnotisme n'est
bilité psychique suggérée au sujet. La sug- gestion, c'est-à-dire l' idée , d'où qu'elle vienne, s'imposant au cer- veau,
l'état général du système nerveux. Par exemple, la disparition des idées impulsives est toujours accompagnée par la dispar
dical alors que celui-ci est nettement indiqué. Pour réaliser cette idée , nous conseillons de pratiquer la cra- niectomi
écueil qui difficilement pourra être vaincu par la réalisation de l' idée que nous poursuivons. Croire que les centres ou
896-1897, n° 6.) Presque tous les paralytiques généraux qui ont des idées déli- rantes ont en même temps des hallucinatio
ches en hallucinations. Les troubles sensoriels forment la base des idées délirantes des paralytiques généraux et reten-
: « A la suite de ce compte rendu, M. Bourne- ville a eu l'heureuse idée de publier divers documents (lettre au Conseil
d'Etat pour légaliser l'opération ? En ce cas quelles seraient vos idées sur une loi de ce genre ? 'f - 1° et 2° Les m
-, par Goldscheider et Flateau, 436. ChpnvLALGiE persistante avec idées de suicide, par Voisin et Lasve, 341. Céréb
44 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
explication qu'aux accidents et de les rattacher égale- ment à des idées fixes.' Certains malades semblent, en effet, av
sie et on en conclut facilement que ces stigmates sont des sortes d' idées fixes survenues par accident. Cette explication
. 1° Il y a toujours un événement précis au début de l'accident par idée fixe, ici nous ne voyons rien dans l'histoire d
he et celle d'avoir le champ visuel rétréci. 2° Les acci- dents par idée fixe sont connus par les malades, les stigmates
que le plus souvent ils sont ignorés. 3° Il est vrai que certaines idées fixes sont sub- conscientes, mais on en retrouv
nts; jamais aucun de ces procédés ne nous a permis de constater une idée fixe relative aux stig- mates. 4° La pensée de
ns le stig- mate des caractères compliqués dont le sujet n'a aucune idée . Soupçonne-t-il les troubles bizarres des mouve
nstatons quelquefois chez lui dès qu'il arrive à l'hôpital ? 5° Les idées fixes étant acci- dentelles et personnelles son
a observés. 6° Enfin, nous avons déjà re- marqué autrefois que les idées fixes ne se développent d'ordi- naire, sauf des
très tôt à une définitions RÉCENTES DE l'hystérie. période où les idées fixes ne pourraient avoir cette force et cette
. D'ailleurs ces phénomènes sont presque toujours des accidents par idée fixe.) Si les stigmates ont toujours ce caractè
modifie un peu la pensée du sujet; la suggestion, l'association des idées , l'attention sur- tout suppriment comme par enc
semblent encore bien hypothétiques, nous avons toujours adopté ses idées sur l'épuisement général du système nerveux che
t et ne donne que des résultats très minimes, elle ne forme que des idées vagues, douteuses, surprenantes et inintelli- g
même distraction pour les souvenirs et pendant qu'elle pense à une idée , elle oublie toutes les notions opposées qu'ell
ce fait fondamental qu'elles se donnent toujours tout entières à l' idée présente, sans aucune de ces réserves, de ces r
s impressions. Une impression donnée venant effacer brusquement les idées antérieurement exis- tantes, l'hystérique se tr
chose à quoi il ne s'attend pas. Cette impression chasse les autres idées et, dominant l'intelligence, cause, selon sa na
ocalisation de l'anesthésie peut dépendre d'une suggestion ou d'une idée fixe, mais l'anesthésie en elle-même et les sti
subsister les phénomènes psychologiques, mais ne les réunit pas à l' idée de la personnalité. On peut se représenter les
tte conception générale ; car le développement exagéré de certaines idées dépend de leur isolement, et cet isolement est
et il semble encore, d'après les analyses précédentes, que cette idée puisse fournir le moyen de résumer un grand nombr
aux et qui enlèvent les ovaires aux femmes pour les guérir de leurs idées fixes. « Il est évident, dit M. Jolly, que dans
rtain nombre de ces faits doivent probablement se rattacher à des idées fixes persistantes, plus ou moins consciemment, a
ont pas semblables, si beaucoup de malades refu- sent de manger par idée fixe, d'autres acceptent la nourriture, puis la
, 1891, p. 626.) 16 REVUE GÉNÉRALE. plus ou moins directe par les idées du sujet, ainsi que l'on peut le montrer très n
que nous avons signalés pourront donc plus tard être attachés à des idées fixes, modifiant même les fonctions viscérales.
s'interpréter autre- ment : les hystériques n'ont pas seulement des idées fixes, elles ont des émotions persistantes et l
Archive ? t. XXVI. 2 18 g REVUE GÉNÉRALE. de tics, de douleurs, d' idées fixes seront bientôt rattachés très légitimemen
a. d'essentiel dans l'hystérie, des anesthésies, des amnésies, des idées subconscientes, etc. Il est bon de s'entendre s
lité, plus ou moins dissimulés, chez presque tous. Ce sont même ces idées fixes, comme M. Charcot l'a établi autrefois, q
taires, l'impuissance de l'attention pour comprendre et retenir les idées comme des stigmates de l'hys- térie. Ce sont, d
t-à-dire la repro- duction des phénomènes anciens sous la forme des idées fixes et du délire. L'aboulie est un caractère
uefois confondues avec des délires du contact, aux contractures des idées fixes, aux attaques convulsives certaines attaq
ures des idées fixes, aux attaques convulsives certaines attaques d' idées précédées d'une angoisse comme d'une aura, aux
iques parmi ses manifestations, mais il se révélerait aussi par les idées fixes, les impulsions, les anesthésies dues à l
ychasthénique qui ne présente que des doutes, des impulsions et des idées fixes. Il n'y a pas entre ces deux catégories d
l'attaque et le somnambulisme se distinguent bien de la veille, les idées fixes ne sont pas exprimées, ni même connues par
d'une distraction et d'un doute continuel. Au lieu de passer d'une idée à une autre avec une facilité extrême en oublia
idée à une autre avec une facilité extrême en oubliant totalement l' idée précédente, le psychasthénique reste toujours i
, le psychasthénique reste toujours indécis entre les différentes idées . Les délires , malheureusement pour le malade, ne
vahissent à chaque instant la conscience, se mêlent avec les autres idées et produisent un trouble général de la pensée b
nse malgré elle à tromper son mari et qu'elle est obsédée par cette idée continuelle, nous paraît beaucoup plus folle qu
nts; enfin ce défaut de synthèse favorise la formation de certaines idées parasites qui se développent complètement et in
té à croire que sous l'expression « lésion dynamique » se cache l' idée d'une lésion comme l'oedème, l'anémie, qui, en vé
aralysie hystérique sera donc une altération de la conception, de l' idée de bras , par exemple. Mais de quelle sorte est
onception du bras ne peut pas entrer en association avec les autres idées qui constituent le moi dont le corps de l'indiv
que son souverain l'avait touchée. La relation de cette main avec l' idée du roi semble si importante à la vie psychique
même les femmes du chef mort, avec son cadavre, obéissaient à cette idée que nul ne ''devait plus les toucher après lui.
r en association nouvelle avec un autre objet et par suite rend l' idée de cet objet inaccessible à l'association. Ce n
e n'a pas lieu, s'il faut pour la paralysie hystérique toujours une idée autosuggestive directe comme dans les cas traum
altérées dans leur structure. Ces résultats nous donnent-ils une idée plus précise sur le pro- cessus pathologique si
et amour de la discussion et cette vigueur pour la dé- fense de ses idées , qui le caractérisaient au plus haut degré. Mai
cutives et où il a exposé, avec les plus grands développements, ses idées person- nelles sur la pathologie mentale et la
sultats du travail incessant de toute sa vie, et en particulier ses idées personnelles sur la mono- manie et la pseudo-mo
ingué et fécond, penseur original, mais trop souvent dominé par des idées chimériques et irréalisables, il a offert, pendan
l'oppo- sition et à la controverse, toujours enclin à contester les idées généralement acceptées, et en même temps, d'un
usqu'à son dernier souffle. S'il a eu la joie de voir triompher les idées qui lui étaient chères, il pouvait se dire qu'à
mpher les idées qui lui étaient chères, il pouvait se dire qu'à ces idées il était toujours resté fidèle, qu'il n'avait j
ant les pensées de toute sa vie. M. Delasiauve est mort préoccupé d' idées de progrès et d'amélioration sociale. Quelque
ération des sujets où s'est produit cette intervention, donnera une idée de sa multiplicité et de son impor- tance. La
rait d'ailleurs de cette fréquentation réciproque des échanges d' idées qui ne pourraient être que profitables à la scien
rait avantage à en conserver les grandes lignes et à s'inspirer des idées générales qui ont présidé à sa fondation. R. M.
dra|it- il de. l'établir ? Voici quel est à cet égard le résumé des idées de M. Ewart : 1° comme terrain, il faudrait au
t être qu'au cours d'un sommeil hypnotique. On lui aurait suggéré l' idée de prendre le nom et le titre de duc et la pens
rite ni de thrombose. . , Les figures 7 et 8 donnent une excellente idée de la forme et de . la. constitution des tractu
oment, je me suis fondé sur l'absence de ce symptôme pour rejeter l' idée d'une syringomyélie, j'ai eu tort ; mais l'erre
s images d'articula- tion verbale avec le centre de la notion, de l' idée ? 3" lési6n''c6n- sistant en une inflammation i
remar- quable ; il fera peut-être pencher la balance en faveur de l' idée d'une affection fonctionnelle quand le diagnost
lep f, '.vtr.y Observation I. Délire fixe, le malade se croit Dieu; idées délirantes subordonnées variant à l'infini, et,
ire, ries grandeurs, formant un pivot autour, duquel (Oscillent des idées ^, de persécution plus ou moins mobiles. Observa
es allégations' qui varient.' Le' délire croit au maximum" et1 les' idées déli- rantes, surtout celles des persécutions'
it, puisque la systématisation est le résultat de l'association des idées .1) JITI9jJ.\- .IU'" p.6f1'Jd.. p<¡ur" l, ? 0 ?
cillation du délire tient -généralement à1¡a'variation étroite (une idée délirante cesse pour -'êtfe'remplacée par une n
que, photopsie, hallucinations de la vue,"1 confusion' dans îles , , idées ? Tout,disparait,,sâüf l'hémiôpie'qui, tout en di
'un accès de mé- lancolie'et manifesta presque immédiatement' des ' idées de néga-' tien nettement systématisées. , t-4 ,
néga-' tien nettement systématisées. , t-4 , , ' 0, jfi-' -, «Les idées de négative de cette malade portaient à la fois s
nte- nus dans la tête. A ce délire dénégation étaient associées des idées d'immortalité et aussi de damnation. -'' l'l, '
de damnation. -'' l'l, ' " '1 Cette observation montre donc que les idées de négation 'systé ? matisées peuvent se montre
ge ? la gêne,' 1 Le'délire'de jalousie peut encore se combinera des idées de persécution vagues ou coordonnées, à un déli
systématique hypochondriaque, . le désordre avec confusion dans les idées , la manie, la, mélancolie de la folie circulair
.., ' Cas I. j- Un homme de trente-quatre ans, mélancolique, avec idées de^persécution/ entré' à l'asile'dé Kingston. Il
ses observations personnelles. Très personnelles en effet sont les idées de M. Seguin sur les névroses et leur traitement
ts (alcool, morphine, bromures). Le régime de Seguin est basé sur l' idée que l'excès d'aliments hydrocarbonés est cause
mesure dans d'autres asiles, en faisant entrer dans la pratique les idées de Frédéric Wines et d'autres qui ont préconisé
une foule d'autres. Afin de combler cette lacune, il eut l'heureuse idée d'accepter la présidence de la Société anatomiq
u- levard Saint-Germain et celle de Neuilly, peuvent se faire une idée de ce qu'était l'esprit fin et délicat qui avai
privée satisfasse promptement à ce noble et patriotique devoir. » L' idée de M. Eloy était dans l'esprit de tous. Un comi
de ces troubles et la guérison si prompte de mon malade éloignent l' idée d'une sclérose vraie, et rap- proche mon cas de
rcons- tances, il pensa qu'une opération était permise. Il écarte l' idée des impressions maternelles et dit qu'un tel ca
fin à l'état mental des aliénés qui présentent du désordre dans les idées avec inconscience. C'est le procédé Mercklin. P
troubles psy- chiques a toujours été aussi vague et peut susciter l' idée d'une auto- intoxcitation d'origine variable. C
, entre ces trois états et les auto-intoxications. A l'appui de ses idées il présente deux observations minutieusement pris
ces états morbides à l'intoxication est évident. L'auteur émet deux idées , l'une qui généralise sa première observation,
oportions inégales, des trois syndromes déjà mentionnés. Sa seconde idée , simple hypothèse, est que son cas d'auto-intox
eance, par appétit de mal faire, cela devient chez quelques-uns une idée fixe qui dirige toutes leurs démarches, toutes
leur sensibilité morale, et qu'ils sont alors la conséquence d'une idée délirante tirée d'un rêve ou d'une hallucinatio
rs signalé ces cas. 1 M. DOUTREDENTE rappelle un cas de persécuté à idées d'empoi- sonnements mort à l'asile, et dont la
blable ne donnerait pas les mêmes résultats comme propaga- tion des idées philanthropiques et recrutement d'adhérents. M.
ant dirigent la scène psy- chique. La malade les interprète par des idées de possession et dans l'explication qu'elle en
ncoliques peuvent cependant être auto-accusateurs et présentent des idées de persécution ana- logues à celles des mélanco
e nom de variété psycho-motrice du délire des persé- cutions. Les idées de persécution se modifient d'une façon connexe,
rsécution se modifient d'une façon connexe, et c'est plutôt par des idées de possession que le malade interprète alors le
lien très net entre ces états et l'auto-infection; généralisant son idée , il estime qu'il en est ainsi le plus souvent d
e affectait. De plus, il m'a été permis de vérifier dans ce cas les idées que j'ai avancées l'an dernier à la Société méd
rations se sont faites avec la plus grande netteté, ce qui exclut l' idée d'altérations cadavériques. D'ailleurs le maxim
sa veroiccktheil qui dérive du développement et de la fixation des idées délirantes par l'affec- tion préalable qui a af
et cependant beaucoup d'auteurs admettent que le développement des idées délirantes fixes prend racine à raison d'un aff
'par la formation, la genèse, l'évolution du délire'; car, à côté d' idées réellement fixes, le délire, le système se tran
xications; nous tendrions à signaler comme tel le désordre dans les idées , hallucinatoire, aigu. P. K. XIX. Contributio
r apparition deux ans après le début destroubles de l'intelligence ( idées de persécution, de suicide; halle : , cinations
eux. Chez l'adulte, les groupe- ments nerveux qui correspondent aux idées sont déterminés par la vue des objets : la répé
e neurique est conservée, et ainsi peuvent s'établir les courants d' idée qui, finalement, abou- tissent à l'expression o
t., XLVIII, 0.) i ? "1'9;, " Il s'agit d'une femme prédisposée aux' idées noires par une' né- vralgie elle-même occasionn
r, caractérisée par des hallucinations de l'ouïe qui provoquent des idées de persécution, sans idées de grandeurs, avec a
lucinations de l'ouïe qui provoquent des idées de persécution, sans idées de grandeurs, avec accidents anxieux consécutif
il deux objets principaux : il veut tout d'abord protester contre l' idée très répandue que la folie est presque toujours
antes : l'auteur a mon- tré, dit-il : 1° Que les perceptions et les idées , malgré, leur variété d'origine et de nature, n
fait Vulpian, les lésions des faisceaux de la moelle; sans doute l' idée du système physiologique esl bonne, mais non po
nguer d'une part les maladies des tics convulsifs des maladies avec idées et- mouvements obsédants,'et d'autre part desitic
ques, et qui se traduit par l'impossibilité de suivre longtemps une idée ou une suite d'idées, par une indécision constant
uit par l'impossibilité de suivre longtemps une idée ou une suite d' idées , par une indécision constante de l'es- prit qui
t sont bien à part. Les vrais hypochondriaques enfin ont dans leurs idées délirantes un caractère de fixité et de fatalit
aux consolations, aux encouragements et passent avec facilité d'une idée triste à une pensée joyeuse. Le pronostic est g
ine qu'il a appris à lire, son écriture est restée défectueuse; une idée abstraite demeure difficilement fixée dans sa mém
rir son pantalon, il a fait d'inutiles efforts pour repousser cette idée . Dans divers entretiens, nous apprenons des délai
on sommeil est bon, son appétit régulier. Rien d'anor- mal dans ses idées ou tendances n'imposent pour lui un plus long s
quilibrée encore sur ses vieux jours, elle se montre terrorisée à l' idée qu'après sa mort, sa fille (déjà une femme) sera
morphoses, il est « le fils naturel de Dieu ». Il est hanté par des idées de sorcellerie, parle de la « bande noire invis
ackson s'efforce aussi d'en expliquer le mécanisme ; et reprenant l' idée ancienne de Schroeder van der Kolk qui com- par
i tient-il des propos contradictoires; il amalgame à son délire des idées tout à fait différentes, parce qu'il supprime l
de manie par suractivité mentale nourrisse ou provoque de nouvelles idées de grandeurs. Cet ensemble de symptômes est dû.
r cons- tate lui-même que ,c'est là un retour, modifié par quelques idées modernes, vers les classifications anciennes, e
sensitivo-moteur. En somme Hitzig, Munk et Bastion ont exprimé des idées sem- blables en termes différents. Bastion et H
lée et recueillie avec beau- coup de soin, destinée à confirmer les idées émises par M. Bevan Lewis au sujet des altérati
'être privée de tous moyens d'existence. Plus tard apparaissent des idées délirantes : la malade s'imagine qu'elle est da
ucoup de cas où le délire mélancolique évolue par l'association des idées dans la sphère inconsciente et parvient, une fo
'anesthésie et la pares- thésie qui donnent lieu à la formation des idées de négation à l'aide des associations dans la s
té, depuis les illusions et les hallucinations qui ne sont que «des idées revêtues d'une brillante enveloppe sensitive »,
des idées revêtues d'une brillante enveloppe sensitive », jusqu'aux idées délirantes proprement dites et aux idées fixes;
ppe sensitive », jusqu'aux idées délirantes proprement dites et aux idées fixes; 3° dans l'intensité des concep- tions ;
frappé dans l'exposé de toutes ces questions c'est l'abon- dance d' idées nouvelles, de conseils pratiques précieux, de vue
es de sommeil, de l'apparition des règles chez la femme, etc. Les idées de l'auteur sur la valeur des anomalies du dévelo
tte catégorie. La place nous manque pour rapporter ici toutes les idées de l'auteur sur la paranoïa, les folies intermi
eil. Le persécuté vrai, même lorsqu'il ne formule pas nette- ment d' idées orgueilleuses, est toujours disposé avoir dans le
elle, août 1893.) Aitcilivus, t. XXVI. 28 434 clinique mentale. idées de persécution. Les idées de persécution particip
ivus, t. XXVI. 28 434 clinique mentale. idées de persécution. Les idées de persécution participent alors des caractères
uelle au mélancolique se retrouve chez lui, même lorsqu'il émet ses idées de persécu- tion, et pour lui, les poursuites d
n de nous, à différentes reprises, a insisté sur ces caractères des idées de persécution du mélancolique, opposées à cell
ont bien nettement atteints de délire des persécutions;- mais leurs idées de persé- cution présentent ce fait particulier
élires de persécution systématisés. (Seni. méd., 15 nov. 1890.)-Les idées de persécution. (Journ. des Conn. méd., 11, et
épond-elle ce n'est pas injuste pour les coupables. Telles sont les idées qui dominent la scène psychique et qui res- sor
ertains malades vraiment atteints du délire des per- sécutions, les idées peuvent revêtir l'aspect qu'elles ont chez les
nt du délire des persécutions par le fond, de la mélancolie par les idées délirantes, et servant de tran- sition à ces de
persécutés qui se font remar- quer par la nature spéciale de leurs idées de persécution faisant d'eux en même temps des
nalité qui en résultent et que le malade traduit au dehors par des idées de possession. Tels sont, dans le fait suivant,
la main dans son travail ; ou lui retire sa pensée; si elle a une idée , cette idée s'en va et elle reste comme abrutie.
ns son travail ; ou lui retire sa pensée; si elle a une idée, cette idée s'en va et elle reste comme abrutie. Elle craint
lui a dit n'avoir jamais vu le jour. En revanche elle manifeste des idées de ven- geance contre l'épicier qu'elle rend re
rs, semblables à celui que nous signalons ici. La nature même des idées délirantes à l'aide desquelles la malade interp
r Au premier abord 2 on peut croire que l'on a affaire à de simples idées de persécution, en général assez systématisées,
on, en général assez systématisées, mais il est à remarquer que ces idées de persécution ont une teinte spéciale mystique
les différents troubles psychomoteurs énumérés tout à l'heure, ces idées s'éloignent des idées de persécution habi- tuel
es psychomoteurs énumérés tout à l'heure, ces idées s'éloignent des idées de persécution habi- tuelles, et, en tenant com
tion, au milieu social, se rapprochent au contraire beaucoup des idées de possession, d'observation fréquente autrefois.
qui ne fait qu'un ' J. Séglas et P. Bezançon. De l'antagonisme des idées délirantes chez les aliénés : l'attaque et la d
es. ' ' Ce n'est pas seulement pour le mode d'expression de leurs idées que ces persécutés méritent à notre avis d'être d
itent à notre avis d'être distin- gués à titre de variété. Mais ces idées même de possession ne sont que l'étiquette de t
troubles phycho-moteurs, les'altérations de la personnalité et les idées de possession apparaissent très vite, presque d
s de possession qu'ils accusaient précédemment. Ils formulent des idées de grandeur : Dieu, les Esprits parlent par leur
oliques peuvent cependant être auto-accusateurs et présentent des idées de persécution analogues à celles des mélancoliqu
s le nom de variété psycho-motrice du délire de persécutions. Les idées de persécution se modifient d'une façon connexe
ersécution se modifient d'une façon connexe et c'est plutôt par des idées de possession que le malade inter- prète alors
se persuade aussitôt qu'il est paralysé des doigts et de la main; l' idée de fracture, entraînant l'idée d'impuissance fo
paralysé des doigts et de la main; l'idée de fracture, entraînant l' idée d'impuissance fonctionnelle, et la paralysie ps
la poussait à manger cette cire. C'était donc pour lui enlever ces idées qui pouvaient un jour lui être si funestes qu'on
die me fit porter le diagnostic : hystérie avec perversion du goût, idées impulsives. J'endors la malade et dans une séan
enfin cette autre considération qu'un pays neuf,-pri- mitif, où les idées superstitieuses dirigent tant de cerveaux, où r
frappée par ces récits gro- tesques. Son cerveau travaille sur ces idées bizarres que l'on y sème. Le jour il y pense, l
eule- ment accélérée, le soir, comme les autres; les associations d' idées elles- mêmes gagnent en qualité, par suite du t
très notable- ment, on constate alors une abondance d'association d' idées d'ori- gine extérieure tandis que la trame des
nt la résistance au travail et son effi- cacité ; l'association des idées devient alors monotone et dépourvue de sens, co
xtérieures est plus ou moins suspendue; il y a du désordre dans les idées par automatisme cérébral, par profusion dans les
s mentaux et des névroses y est particulière- ment écourtée. Aucune idée originale ne s'y trouve exposée. La deuxième pa
nt si rationnel amène une grande amélioration (p. 249). Du reste, l' idée qu'ils se font de l'hystérie est bien surprenan
cin de la colonie de Dun-sur- Auron. M. le Roux a eu l'excellente idée de faire imprimer le rapport de M. Marie et tou
45 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, typique en effet, semble avoir suggéré à notre éminent collègue l' idée de ranger toutes les vé- sanies en un double ca
illarger, qu'il utilise en ce qui concerne le jeu de la pensée, des idées et des sentiments, il adhère presque exclusivem
ous avons appelé syllogistique ne se crée pas de toutes pièces. Les idées qu'il conçoit, les émotions qui l'impressionnen
ur constatation. Mais le principe en a été méconnu, ce qu'atteste l' idée comprise dans cette définition : lésion partiel
les, sur l'interprétation desquels il y aurait beaucoup à dire. L' idée qui s'impuse généralement, à travers ces diver-
u cas, ou au délire général, ou à la monomanie. Raimbaud n'avait ni idée fixe ni impulsions déterminées. Son affection s
anie, à l'instar de Macario. « En effet, dit-il, nous rencontrons l' idée du démon aussi bien dans la monomanie que dans
e, lèvres agitées de légers mouvements choréiques. L'aspect donne l' idée de la chlorose et d'une souffrance générale. Me
leptique. En quoi consistent l'extase et la catalepsie ? Quelle ~ idée , d'autre part, implique le délire mouomaniaque ?
ne-t-elle d'un afflux sanguin vers l'encéphale, les sensations, les idées , les sentiments, les aspirations prennent des p
manifestation intellectuelle et téta- nise les organes externes, l' idée d'en faire une dépen- dance du délire mouomania
illerées de soupe, se le reproche et s'arrête. A ces insanités, les idées normales font concurrence, surtout dans les for
diat. A l'émotion apaisée, survit une impression qui se répète, une idée qui s'impose, une croyance qui, peu D'UNE PRÉTE
ditions dans lesquelles on les observe. Se rattachaient-elles à des idées fixes, à une passion consciente, à quelque chos
que. Le champ, au contraire, en est quelquefois assez étendu. Une idée appelle une preuve. Tout sentiment se justifie.
es sous la forme que leur a donnée leur auteur, elles suggèrent une idée inexacte sur l'état de la molilitéchez les hémi
ec hallucinations pénibles, scrupules, craintes de damna- tion et idées de suicide. Dès le commencement de janvier, il
sa mère et sa fille et essaye de s'occuper de la classe; mais les idées sont moins nettes, le travail plus pénible et la
d'un employé. Jamais on n'avait remarqué chez lui de tristesse ni d' idée de suicide; au contraire, ces derniers jours il é
us sainement de la portée des documents produits. Avec le temps les idées mûrissent, si elles ne disparaissent ou- bliées
faits, interrogatoire que nous avons poursuivi sans parti pris ni idée préconçue. Les observations nouvelles produites d
nous porter à modi- fier, sur les points fondamentaux du moins, nos idées d'antan. Toutes celles qui sont susceptibles d'
volutions cérébrales soient le siège des organes de perception. Les idées émises il y a 70 REVUE CRITIQUE. quelques ann
t attachés à détruire chez le chien, et dont la lésion, d'après les idées admises, détermine chez l'homme l'hémianesthési
n'est pas près d'être résolu d'une façon définitive. D'ailleurs les idées que défendent chez nous, avec une courageuse pe
vue. Ferrier, il est vrai, a cru trouver la démonstration de ses idées sur le siège des centres supposés de la vue et de
a- teurs n'ont pu jusqu'à ce jour faire la démonstration de leurs idées . Y arriveront-ils ? Nous ne le pensons pas. Et no
n'a pas été irrité. A la fin de son travail, l'auteur développe ses idées sur les fonctions bilatérales, en les regardant
gitation, excitation psychique, confusion et précipitation dans les idées . Durant en'moyenne moins d'une semaine, raremen
lantation. Répondant à l'entité mélancolie anxieuse greffée sur des idées délirantes dépressives avec hallucinations, acc
'épuisement, concer- nent également un délire lypémaniaque confus à idées chan- geantes, rarement exaltées, accompagné d'
- vées se ramènent aux quatre rubriques synthétique suivantes : 1 idées délirantes isolées ou hallucinatoires; - 2° agita
ou moins aiguës; 3° mélancolie calme, parfois stupide accompagnée d' idées délirantes ; 4° faiblesse mentale. Les indicati
sables des trois types : agi- tation maniaque aiguë mélancolie avec idées délirantes et hallucinations stupeur. Durée moy
privée, il a toujours té- moigné d'une grande inconstance dans ses idées et d'un défaut d'équilibre dans ses facultés.
un faible d'esprit, c'est au moins une tête extrêmement légère; une idée lui traverse le cerveau, si étrange qu'elle soi
n chômant le temps nécessaire à leur voyage à l'asile, de fausses idées sur une nouvelle décision possible du directeur à
dut l'alimenter artificiellement : gâtisme. Jamais ou n'ob- serva d' idées délirantes ni aucune manifestation de cet ordre.
de notre côté, que si les administrateurs étaient bien imbus de ces idées , il serait possible de retirer des asiles pour le
s, dit Guislain, sont d'une opposition dont on ne peut se faire une idée quand on ne les a pas vus de près. Il faut les
upeur, dit Griesinger), les craintes, les terreurs imaginaires, les idées de culpabilité, de perdition et de damnation; l
nérale, déprimée ou anxieuse, et, d'autre part, les mélancoliques à idées de culpabilité, arrivés à une période plus ou m
plicitement; il ne signale, dans la véri- table mélancolie, que les idées de ruine, de culpabi- lité, etc., indique le dé
délire hypochondriaque consécutif et relègue dans la monomanie les idées de persécu- tion; mais il n'insiste pas autreme
ent les caractères de la mélancolie vraie et que d'autres malades à idées de ruine et de culpabilité ressemblent à des mo
leurs parents et leurs amis, ni même pour leurs enfants..» » Les idées de ruine apparaissent souvent, et semblent être
es états d'hypochondrie morale et les affections mélancoliques avec idées de culpabilité, de ruine, de damnation et négat
médico-psychologique, s'imaginent qu'ils ne mourront jamais. Cette idée d'im- mortalité se rencontre surtout dans les c
qu'ils sont morts. On en voit même qui présentent alternativement l' idée d'être morts ou l'idée de ne pouvoir mourir, su
voit même qui présentent alternativement l'idée d'être morts ou l' idée de ne pouvoir mourir, suivant leurs n 162 L&g
et Fodéré ' avait déjà remarqué la connexion de cette der- nière idée délirante avec ce qu'il appelle la damno- manie
161 CLINIQUE MENTALE. de très bonne heure. Griesinger a signalé les idées lugubres, négatives, dont se sentent envahis le
es hallucinations, chez les malades à a . ' Il 1.111, . 1 1. le . idées de culpabilité, appartiennent à cette catégorie
cinations de la vue, celles-ci sont simplement confir- matives des idées délirantes et il est quelquefois malaisé de les
quentes chez les anxieux, surtout quand ils sont domi- nés par des idées religieuses, et qui établissent encore une diff
ins fréquent, et les mutilations tout à fait rares. Les anxieux à idées de damnation sont les malades les plus disposés
e dite sans délire, l'hypochondrie morale, les états anxieux avec idées de ruine, guérissent habituellement. Mais la ma
iminuer l'intensité du trouble mélancolique général, tandis que les idées délirantes et les négations per- sistent au mêm
atant de deux ans. Conscience des troubles psychiques et physiques. Idées de suicide. M-e Adèle C..., quarante-quatre a
t son délire expansif des grandeurs. Il dit avoir la tète remplie d' idées de millions et de milliards, la nuit voir en rê
l'asile; conscience au dehors de l'affaiblissement intellectuel. - Idées de suicide.- Retour des aeceHo'a ? Mes. In- con
e s'aperçut qu'elle n'avait plus de mémoire, plus de suite dans les idées et elle eut la conscience nette de sa déchéance
peu physiologique que puisse paraître au premier abord une pareille idée , M. Mortimer Granville propose d'enrayer la déc
intellectuels. -Fréquents et pouvant varier depuis la confusion des idées et la somnolence jusqu'au délire, à la stupeur,
auteur examine, successivement les questions suivantes : ' Quelle idée doit-on se former des aliénés ? - A quoi peut-on'
nt et. dès l'ap- parition de l'exanthème, l'humeur s'assombrit; aux idées mé- lancoliques se joignent de l'excitabilité,
e-mère. d'ailleurs noté par M. Richter. Celui-ci exclut néanmoins l' idée d'une méningite, à raison de la non-adhérence d
; par VRSSELLE. Thèse de Lyon, 1882. M Vesselle, développant les idées de son maître M. Pierre), cherche à établir que
rs ont confondu dans la même description du délire mélancolique les idées de ruine, de culpabilité, de méfiance et de per
suicide. Mnle E... est dans un état d'agitation anxieuse avec des idées de culpabilité et délire hypochondriaque ; elle
lité de sa situation à laquelle personne ne peut la soustraire; les idées de suicide persistent toujours. Le'délire de né
e les aliments. 1880. MI' S... est toujours dominée par les mêmes idées mélancoliques ; elle reste le plus souvent muet
t tout à fait absurdes et inintelligibles, mais se rapportant à des idées de transformation et d'anéantissement de sa per
des tentatives de suicide. 1880. M. A... exprime toujours les mêmes idées mélanco- liques de culpabilité, il est l'homme
préhensibles. Vers le mois de mars 1880, il commença à exprimer des idées négatives tout à fait absurdes ; il disait qu'i
n plus marqués pendant le cours de l'année 1881. Il s'y joint des idées de grandeur que le malade reporte dans le passé.
riz, elle est à cette époque atteinte de délire mélancolique avec idées de culpabilité, idées mystiques et paroxysmes d'a
e époque atteinte de délire mélancolique avec idées de culpabilité, idées mystiques et paroxysmes d'agitation furieuse. \
aiguille, cause volontiers ; mais elle est toujours dominée par des idées de culpabilité, se croit adultère, indigne de ret
GATIONS. 293 qu'on dépense de l'argent pour elle; mais de nouvelles idées délirantes viennent compliquer ce délire de cul
ir. En mai 1882, la situation est toujours la même; cependant les idées de persécution paraissent prédominer de plus en p
. a commencé à se plaindre que tout le monde lui en voulait, et ces idées de per- sécution se concentrèrent sur la person
nt. Quand elles existent, elles sont simplement confirmatives des idées délirantes. Conséquemment pas d'antagonisme ent
inines, le désir de ressembler à la femme, de plaire à l'homme, l' idée obsédante de l'homme nu s'imposant plus tard à
des organes virils de l'homme, à la vue d'une statue, à la seule idée du pénis de l'homme. Par contre, indifférence a
ement, n'est autre qu'un malade dont le cerveau est torturé par les idées les plus étranges; qui, d'un instant à l'autre,
chez une jeune fille de vingt-huit ans, qui suffisent à donner une idée de cette perversion sexuelle chez la femme ?
raient des troubles névro ou psychopathiques ; c'est, on le voit, l' idée générale qui ressort de toutes ces recherches.
des femmes nues et des statues l'excitent. Tendances mélancoliques. Idées de suicide. - M. X..., médecin, âgé de trente-t
puis huit ans surtout, il avait beaucoup de difficulté à suivre une idée , à appliquer son esprit à l'étude ; il lui semb
ré- sentant les femmes nues, parce qu'ils réveillaient en lui les idées obscènes qui lui sont désagréables. Pendant tou
que ses yeux se portassent sur la partie inférieure du dos et que l' idée de l'anus vint s'implanter dans son esprit. Il
l'amphithéâtre et dans les salles de dissection, il n'avait aucune idée bizarre. Depuis un an, il offre des alternative
natives d'excitation et de dépression, et parfois sur- viennent des idées de suicide ; il voudrait, dit-il, se brûler la
pulsions, une émotivité extrême, des tendances mélancoliques et des idées de suicide, disposition dépressive qui persiste
ées de suicide, disposition dépressive qui persiste en dehors des idées obsédantes. C'est donc toujours le même état ps
ces histoires et aussi au contact des clous. Accidents hystériques; idées hypochondria- ques ; hallucinations. Phimosis e
iage qui n'avaient pas eu de suite, il retomba sous l'empire de ses idées ; il se remit à se raconter ses histoires, dans
les mains, méditant profondément sur une affaire : tout à coup, ses idées se présentent à son imagination ; il tâche de l
ntrent les antécédents héréditaires, les accidents hystériques, les idées hypochondriaques, les hallucina- tions et les s
verte d'un bonnet de nuit. no</<;e; crainte des lieux élevés, idées znélm7co- liques, tendance au suicide. M. L..
très excité et l'érection se produisait immédiatement. Plus tard l' idée seule d'une tète do vieille femme ridée et laid
a eu également/les accès passagers de profonde tris- tesse avec des idées de suicide, plus particulièrement de sub- mersi
le préparation, passivement en quelque sorte, L... est envahi par l' idée maladive et devient l'esclave de l'obsession la
aintes imagi- naires, émotivité extrême, tendances mélancoliques, idées de suicide ; rien n'y manque. A un examen super-
mois, il fait cinq places, et après une période de dépression avec idées mélancoliques il est ramené à l'asile. Il racon
ntérieur de la moelle épinière, avait occasi0nnécetté difformité. L' idée que les symptômes observés 'chez notre, malade
t ici le lumbago. Elle peut être poussée assez loin pour éveiller l' idée d'une affection médullaire (Lasègue). La marche
sciatique, il fallait laisser subsister un peu de diabète ». Cette idée a été reprise à propos du coma diabétique. *
e du sucre dans l'humeur aqueuse suffirait à expliquer l'amblyopie, idée que Hepp (de Strasbourg) avait ruinée par l'ana
La forme de la rétinite glycosurique n'est pas en rapport avec l' idée d'une lésion encéphalique, qui se traduit sur l'o
EUSE. 375 donné, il prêtait attention, mais semblait n'avoir aucune idée du moyen par lequel il pourrait accomplir cet a
oyer dans cette région. Dans l'espèce. M. Wolff parait incliner à l' idée d'une méningite ayant déterminé une lésion inte
énérale des lésions anatomiques, dans leurs rapports réciproques. L' idée de la pression exercée par la pie-mère enflammé
rmale nécessaire à l'esprit pour découvrir les rapports mutuels des idées . Suppo- sons maintenant que quelques-uns de ces
canisme suivant lequel peuvent se produire, soit des associations d' idées anormales, soit un état d'insensibilité morale.
yoscyamine; il l'a employé dans deux cas de ma- nie chronique avec' idées de violence et de destruction, et dans un cas d
et de n'en retenir que les grandes lignes, ou en quelque sorte les idées directrices. Par une comparaison qui ne manque ni
force d'être sac- cadée ; délire tranquille ; incohérence dans les idées . Cette incohérence cesse quand on pose à la mal
t vieilli soit par le progrès ou la modification dans la marche des idées sur les questions qu'il a étudiées, soit parce
questions qu'il a étudiées, soit parce que, par la valeur même des idées et des vues qu'ils contiennent, ces articles très
bliés il y a vingt ou trente ans. C'est un ouvrage dont ou aura une idée bien plus nette à la lecture que par une analyse
s nette à la lecture que par une analyse qui ne peut mentionner les idées nombreuses propres à l'auteur, jetées incidemme
tres sur les lésions de la volonté, sur celles de l'association des idées , sur les diverses formes de fypémanie, sur les
r la paralysie générale et sur l'aphasie. ' Dans un autre ordre d' idées , les chapitres sur le traitement de la folie, l
r des établissements d'aliénés en Hollande, font très apprécier les idées de l'auteur sur le traitement et l'admi- nistra
46 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ril. On connaît depuis longtemps le rôle que joue l'association des idées dans la formation du langage et dans l'émission d
l'empêche de le dire clairement. Il a gardé de l'hypnotisme une seule idée , celle qu'où peut faire prendre une pomme de terr
abstinence de la morphine. Jusqu'il y a quatre ans, j'étais imbu de l' idée de tous les hypnotiseurs, que l'insomnie était in
rir ces malades. Nous l'avons affirmé lorsque nous avons combattu les idées de M. Combe dont tout le régime n'a presque aucun
nable; il m'est im-posible de pouvoir écrire une phrase parce que les idées ne me viennent pas. * Cette dépression mentale
dans la nécessité d'interrompre sa carrière. Sous l'influence de ses idées hypochondriaques, il en arrive à considérer le su
ce assez profonde. Alors je lui fais des suggestions ayant traita ses idées hypochondriaques. Je lui suggère le calme moral e
il tombe au lit, obsédé par la peur de la mort. Cette fois encore ses idées noires sont dissipées par la suggestion hynoptiqu
e de concentrer notre attention avec plus de force sur telle ou telle idée déterminée. Il en résulte que nous y pensons avec
tre définie : l'action de provoquer un état de conscience (sensation, idée , sentiment, volition), que cet état de conscience
se couchant.— Les malades émus par le nom de chloroforme n'ont pas l' idée de résister à ce puissant hypnotique. Us dorment
umé de six observations confirmât! ves. Tout cela vient à l'appui d' idées que le Dr Fiessinger a développées dans un articl
r son attention et ne pense à rien ; c'est de la confusion totale des idées , sans hallucinations et non du délire actif, car
usions qu'il affectionne tant, Bérillon a semé, à tous les vents, des idées saines et viriles, inspiratrices d'énergie. Mai
té? Qui t'a donné la passion de l'enseignement? Qui t'a suggéré l' idée de te consacrer à l'étude de la volonté et de l'é
s communs des médecins et des vétérinaires, vous avez réalisé une des idées les plus chères du professeur Henri Bouley. Les t
ir poursuivi son œuvre en créant la Société de pathologie comparée. L' idée de grouper, pour le travail en commun, les médeci
cielle de l'esprit du malade et l'imposition plus ou moins nette de l' idée du médecin au malade, n'est pas à, la base de la
mme M. Dubois le veut faire. Nous avons, si nous voulons accepter ces idées théoriques de M. Dubois, nous avons tout aussi bi
it dans sa masse la vérité scientifique et sa pensée sera dégagée des idées de force occulte ou de fluide ; il sera initié ù
le somnambulisme on peut tout suggérer à un malade, même suggérer des idées saines à un aliéné! Voilà les erreurs dont vit le
des raisonnements et non pas sur la pratique, que les partisans de l' idée des « dangers » de l'hypnotisme ont fondé leur co
en erreur beaucoup de gens. Actuellement je ne puis plus partager l' idée que la suggestion a la propriété d'exagérer la su
é ou si quelqu'un le leur a dit comme je l'ai fait pour combattre les idées de M. le prof. Combe dont toute la méthode curati
rs de Lyon n'ont rien négligé pour donner à leurs hôtes la plus haute idée de l'hospitalité lyonnaise. La fête de nuit donné
oilà comment les choses se passent. On commence par se railler de vos idées , dont la nouveauté choque ; au bout de quelque te
ne gêne. Il est vrai que, de son côté, M. Z, tout à fait acquis à mes idées , a consenti à moins « pontifier » et à rapprocher
tre ces cadavres étaient encore chauds. Vous ne pouvez vous faire une idée de l'émotion qui s'empara de tous quand cette nou
soutenue à la Faculté de Paris, le Dr A. Lebrun vient d'exprimer des idées qui nous paraissent mériter d'être rapportées: Il
tter d'une large dette d'affection et de reconnaissance, j'avais eu l' idée de préparer un discours. Puis j'ai pensé que
persévérer dans la lutte que je n'ai cessé de soutenir en faveur des idées scientifiques et philosophiques qui nous sont com
à ces études spéciales. Un jour, d'une façon tout à fait inopinée, l' idée me vint de créer un journal qui servirait de lien
tendre l'exposé de mon programme. A mesure que je lui développais mes idées sur le rôle que la psychologie doit jouer en méde
est un sûr garant que jamais nous ne ferons la moindre concession aux idées qui ne seraient pas inspirées par un rigoureux es
dans son toast si amical, a aussi donné sa précieuse approbation à l' idée de créer un terrain d'union entre les médecins et
ments.) Une simple définition vous donnera d'ailleurs la plus haute idée de son caractère. Dans le département de l'Yonne,
amment les yeux fixés sur l'objet, et l'esprit uniquement attaché à l' idée de ce seul objet »• (N- p- 33) Plus loin, dans un
on ou de fixité d'attention, dàn„ lequel l'esprit est absorbé par une idée unique. » (Ch. A., p. 225.) Kous avons vu que l
orce de leur conviction intime. » (S. L., p. 356.) Et il confirme ses idées par l'observation suivante : ' Nous avons placé d
la théorie... de Bertrand et de l'abbé Faria. Si j'ai bien suivi les idées de Bertrand » il attribue tous les résultats à «
M. Joé Chamberlain, l'ancien ministre anglais, et il trouvait que les idées de son sujet erraient au Heu de se lixer. Le pouv
ts ou de fœtus, où l'observation était plus facile à interpréter. Les idées de Ramon y Cajal, admettant que les extrémités de
ute action sensible des objets analogues, et à exciter dans l'âme les idées correspondantes. (S. L., p. 60.) 7) Braid : « C
e les rend tout à fait inaccessibles et les éloigne même parfois de l' idée de l'opération suivie. » (S. L., p. 190.) 9) Br
Il faut noter que Braid a l'habitude de répéter, comme Faria, îa même idée sous diverses formes, ce qui rend ses arguments d
oute action sensible des objets analogues et à exciter dans l'âme les idées correspondantes. » (S. L., p. 60.) Et « quand ils
traire, mais non exprimée, parce qu'autrement les époptes suivent les idées et non l'action inefficace d'une volonté externe.
it pas, comme plusieurs auteurs d'aujourd'hui qui n'acceptent pas les idées de l'Ecole de Nancy, que tout le monde était hypn
e son état, il était rentré dans sa famille. Il eut la malencontreuse idée d'aller consulter !a somnambule. Celle-ci ne diag
elle on cherche à faire accepter à autrui ou à lui faire réaliser une idée manifestement déraisonnable. . Sans doute chacu
un auteur veut nous prévenir que par le mot suggestion il exprimera l' idée ¦ chose absurde », il est libre de le faire ; mai
e guérir. D'autre part, la chose suggérée, laguérison, est-elle une idée absurde. Une chose absurde ne se réalise pas. La
de l'agrégation et indiqué le remède à ce fâcheux état de choses. Nos idées exposées dans un article, réuni ensuite en brochu
r que nous puissions en espérer l'acceptation. Mais, depuis 1895, les idées que j ai été le premier à défendre ont fait leur
les élèves. Dans la Clinique infantile, le docteur Variot expose des idées encore plus hardies. 11 admet que les étudiants
mbreux, ne sont plus possibles, mais qui par contre ont le flair de l' idée neuve, l'inquiétude de la recherche constante,.
re de la séance, vous allez assister à un entassement pyramidal d' idées associées par l'ingéniosité humaine. Cette ingéni
pain et du vin, comme en plein védisme ! Non seulement j'accepte l' idée d'une science spéciale qui serait la Pyramidologi
. Un beau matin, ayant trouvé un chèque adressé à son père, il a eu l' idée de le toucher: la réflexion lui vint à temps et i
remier cas, on constatera des besoins" impérieux, des obsessions, des idées fixes; les actes commis sont inconscients: l'enfa
, la dégénérescence mentale se traduit encore, chez l'enfant, par les idées fixes, les obsessions, le doute avec ou sans déli
s et frayeurs, de somnambulisme, le caractère mobile et fantasque des idées de l'enfant permettent, d'un autre côté, de recon
nt, la compréhension diminue, la mémoire disparait petit à petit; les idées sont décousues, les attitudes deviennent bizarres
uelque migraine ou un malaise quelconque, Madame votre mère, avec les idées fausses mais bien arrêtées que vous lui connaisse
s images mentales enregistrées à tort et à travers se transforment en idées délirantes qui ressortent pèle-môle, affectant su
fectant successivement les types les plus divers. Ce sont d'abord des idées d'indignité, de honte du corps. La malade, qui n'
ur elle de conserver des yeux pareils. Un instant après, elle part en idées ambitieuses, prétend faire son droit ; puis ce so
part en idées ambitieuses, prétend faire son droit ; puis ce sont des idées de persécution, on la bat ; ce sont des idées ero
roit ; puis ce sont des idées de persécution, on la bat ; ce sont des idées erotiques, on a cherché à abuser d'elle ; des hal
ment d'angoisse qui fait défaut ici ; de plus, chez cette malade, les idées délirantes sont fuyantes, se succèdent avec une f
vais, elle grandit sans accrocs et put gagner sa vie. Domestique, ses idées de doute s'exagérèrent ; après une déception — el
déception — elle manqua un mariage qu'elle espérait, —survinrent des idées de mélancolie et d'indignité. La malade voulut s'
s graves et voici ce qu'il importe de connaître. La mélancolie où les idées tristes sont fixes, les délires systématisés où l
éfendre le beau renom de la médecine française, avait eu l'ingénieuse idée de demander aux lecteurs du Journal des Praticien
n. Je fais en un mot de la dérivation psychologique. Ce recours à des idées dérivatives me rend le plus grand service. Il jou
stible, non entachée de nervosité et qu'elle a toujours eu une piètre idée de la valeur thérapeutique de l'hypnotisme. Ell
i qui est employé chez l'homme pourrait être applicable à l'animal. L' idée de soumettre un cheval à une discipline psycho -m
ment bien constitués sont des terrains impropres à la germination des idées religieuses, alors même qu'ils sont plongés dans
me qu'ils sont plongés dans un milieu mystique ; d'autre part que ces idées se développent jusqu'à envahir le champ de la con
irituel, ils le savent aussi par intuition ? Le malheur est que les idées acquises de'cette manière constituent dans le
des théologiens n'est rien autre que l'imagination s'exerçant sur les idées religieuses. — Au surplus, s'il y avait deux mani
nce extraordinaire ou d'une énergie peu commune, s'il avait forgé des idées nouvelles, s'il avait fondé, par lui-même, de nou
le bouddhiste, constituait un recul. J'expliquerai l'origine de ses idées sur Dieu, les Anges, les Démons, le jugement dern
paradis, le royaume de Dieu et l'enfer. Je montrerai où il puisa l' idée du Messie, et comment il en arriva à croire à sa
penser de son intelligence, et comment chez lui, à l'incohérence des idées , à la faiblesse du jugement et du raisonnement t
stic. Du moins j'ose espérer que, dépouillant en entrant ici toutes idées reçues, tous préjugés et toutes préventions, vous
ère sensation et le réflexe génital n'était plus réveillé que par des idées se rapportant à cette sensation. Il y a à ce su
emière éducation sexuelle. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce que les idées introduites par l'initiateur se comportent comme
t avec méthode et suivant une progression régulière. Pour fixer les idées , prenons l'exemple d'un homme bien portant et bie
ui; il n'a ni volonté, ai faculté d'exprimer sur quoi que ce soit une idée particulière ; membre du corps enseignant, il se
rrait fournir occasion à des interprétations malveillantes. ¦ « Les idées neuves, voilà surtout ce dont il faut se garer. C
ées neuves, voilà surtout ce dont il faut se garer. Cela dérange, une idée neuve, bouleverse des habitudes mentales, amène b
contemporaine doit ses méthodes les plus fructueuses, n'a jamais eu l' idée de gaspiller sa puissante activité dans des conco
son aspect délicat. Il s'enfuit plusieurs fois de l'école, eut même l' idée de suicide, etsa timidité le rendittoujoursmalheu
d'étudiants, d'ailleurs très corrects. Intimidée, elle eut souvent l' idée de rebrousser chemin ; mais elle se répétait ment
x conférences en vue de mon examen », etc. Quand clic discutait cette idée , se disant : « Je pourrais travailler seule chez
impression vraie d'une petite augmentation de la force nous suggère l' idée d'une augmentation plus grande et cette idée même
la force nous suggère l'idée d'une augmentation plus grande et cette idée même agit sur nos muscles pour les rendre plus fo
in jour. Arrivé au commencement de la montée et la voyant si raide, l' idée lui vient que l'ascension en est au-dessus de ses
de la conviction de pouvoir, en toute circonstance, la répéter. Cette idée étant bien ancrée dans son esprit, il a foi en lu
e, il a des accès de dépression neurasthénique, ou mélancolique, avec idées de persécution et tendance au suicide ; il pleure
s la Commission le nom du Dr Huchard, qui en avait le premier donné l' idée au ministre. Nous pensons qu'il convient d'en fél
osé sullira pour le démontrer. Longtemps avant que la Faculté eut l' idée d'enseigner à son tour l'oculistique, cette scien
eur de combat de ses unités, comme de ses individus. Dans cet ordre d' idées , on travaille chez nous aux mêmes améliorations.
s l'empêchait de nuancer un morceau. Plus elle sentait profondément l' idée , plus elle rendait le texte froidement, sans expr
e la pauvreté, la paralysait. A quatorze ans, elle rougissait à l' idée de se présenter dans le monde avec une humble rob
pérer pareilles suggestions, il ressort de ces expérimentations que l' idée de plaie ou de maladie par exemple s'est trouvée
ns préoccupé en généraljde sa maladie, il est triste, déprimé. Or les idées déprimantes possèdent, au dire des physiologistes
e son vouloir reprennent le dessus, il fait passer au second plan les idées , émotions et sentiments essentiellement déprimant
e et à faire surgir ainsi dans son cerveau, en rapport avec elle, des idées , des impressions, des émotions agréables, à quelq
isent les divers états de joie avec tout leur cortège d'émotions et d' idées agréables. L'expérimentation et l'expérience clin
rois pas qu'aucun représentant autorisé de la Faculté ait jamais eu l' idée de visiter ce local. Il eût assurément éprouvé la
e deviner l'action. L'homme couché, endormi, ou mort, donne une juste idée de cette impression. Il y a ici effet descendant,
malade. Les maximes, les pensées se rattacheront, avec utilité, à des idées relatives à la culture de la volonté, à l'éducati
gaieté, etc. Elles devront tendre à créer dans l'esprit du malade une idée dêrivtttive, capable de le détourner de ses préoc
ématiquement dans le but de concourir au traitement des aboulies, des idées fixes, des obsessions et môme des préoccupations
mage une fois de plus, à l'ingéniosité de mon ami le Dr Bérillon. Les idées qu'il vient d'exprimer relativement à l'importanc
sueur abondante coule de mon visage, je suis incapable de penser, les idées ne viennent pas, je parle comme vous me voyez ».
ciale. Les graves perturbations dans le domaine des sentiments et des idées ne laissent aucun doute sur la nature morbide de
agances, son instabilité d'humeur, son incapacité pour le travail des idées lui échappent. Il croit avoir eu toujours les mêm
travail des idées lui échappent. Il croit avoir eu toujours les mêmes idées et les mêmes dispositions d'humeur ; il est sujet
e nouvelle conception du monde, basée sur la science et surtout sur l' idée d'évolution qui sera l'héritière des anciennes re
e doit donc faire place à un autre système qui soit plus conforme aux idées modernes et aux besoins de ceux qui veulent recev
ulgence vraiment excessive s'il les trouvait en rapport avec la haute idée qu'on doit avoir de notre enseignement médical.
e cause. II y a longtemps que, pour ma part, j'ai renoncé à toute idée déjouer un rôle quelconque dans l'enseignement of
lle était à la fois mystique et anticléricale; sa manie s'aggravait d' idées et d'actes chimériques et sacrilèges. Mme Marie B
la carrure le fera paraître plus râblé, plus solide. Dans cet ordre d' idées , c'est l'épaulette qui atteint le maximum d'inten
en même temps, à la seule vue des bandes de cuir qui les composent, l' idée arrêtée de vigueur. Il en est de même de la ceint
festent un véritable désespoir et une anxiété très pénible à la seule idée de comparaître devant les jurys de concours. C'
s tremble ; elle perd absolument contenance, et n'a plus qu'une seule idée , celle de s'enfuir. Bien qu'elle se prêtât au t
47 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
proposé par Legrand du Saullc ; toutes ces phobies se compliquaient d' idées de persécution et de bizarreries insupportables.
omba de jour en jour dans une tristesse et désespoir affligeants. Des idées de suicide vinrent s'ajouter ù son état, une méla
tre œuvre en suggérant à mon mari une activité qui lui fait défaut; l' idée do so remettre â ses affaires ne le caresso pas d
, tout rentre dans l'ordre, mais la malade est bientôt en proie à une idée obsédante : ¦ Mon Dieu, je vais devenir folle! Je
lles je me trouve sont bien un peu défavorables. La malade n'a aucune idée de ce mode de traitement et elle n'a jamais enten
issait pas cependant que de leur écrire, pour entretenir en elles les idées et ;en sentiments dévots qu'elle y avait mis. Qua
n bonnes moins; car Us étaient aux petiles écoles de Port-lÎoyal. L' idée de ces écoles était due à Du Vergier de Hauranne.
' de l'hypnotisme. La théorie de l'inhibition est venue confirmer l' idée de Bi-chat (2) sur ia division du travail mental
a peau par l'action d'un agent physique) ou centrale (résultant d'une idée spontanée ou suggérée). Cette irritation a pour p
cstion. Pour qu'une suggestion s'effectue, en effet, il faut qu'une idée soit émise, il faut qu'elle soit reçue et compris
us ceux qui s'occupent de suggestion. Quand il y a auto-suggestion, l' idée est éveillée chez le sujet par le désir, la crain
pas croire tout d'abord, tant elle est en opposition avec toutes ses idées . Donc, quand il se produira une auto-suggestion
ir d'auto-suggestion, puisque, comme je l'aï montré tout à l'heure, l' idée ne peut se trouver dans le cerveau du sujet, il n
nuit et d'une façon méthodique, on peut remarquer un certain nombre d' idées dans ses rêves : une association étrange mais net
difficile à expliquer parles opinions courantes sur l'association des idées , reliait tous les rêves en apparence très dispara
conscient; mais plus :c sommeil est profond, plus les associations d' idées et les images constituant le rêve se rapportent à
onctions, paralysés dans le sommeil profond, tandis que ces groupes d' idées qui, à l'état de veille, se trouvent plus ou moin
de penser avec conscience, nous voyons dépérir, en premier lieu, les idées nouvelles, et le contenu des rêves se forme d'ima
re naturelle l'intéresse également, mais toujours au point de vue des idées générales. Charles Martins, en détordant l'humé
re les membres antérieurs et postérieurs. Durand de Gros généralise l' idée de Martins, trouve la torsion humorale chez un gr
tait forte intelligente, refusa un beau parti pour demeurer toute aux idées et aux sentiments qu'on lui avait inculqués, et a
. Que n'eût-elle pas été, si elle eût donné son enthousiasme soit aux idées scientifiques qu'un Dieu puissant et juste ne pré
ntir d'avoir un instant aimé la science ou l'art. Noua avons vu 'es idées suggérées, véritables agents morbides, augmenter
iété des crises. La troisième, c'est que quand elles finissent, Ie3 idées de la malade n'ont point leur netteté normale, et
calomnies, les injures, le cœur et l'esprit inépuisables d'actes et d' idées . Vincent de Paul en mémo temps que savant. Cett
dont il analyse si bien le déterminisme, il proclame la nécessité des idées générales. Il complète ainsi, par la critique exp
eaucoup. C'est ainsi qu'il comprend et caractérise la vie par « une idée créatrice qui se développe et se manifeste par l'
». « Il fut vraiment un maître des intelligences ». Pour avoir une idée de cette grande influence extra-médicale, il suff
ce considérable dans cette école scientifique qui a fait « passer ses idées dans le courant de la circulation intellectuelle
re preuve, au moins aussi curieuse, de cette expansion au dehors do l' idée médicale, dans les transformations contemporaines
bord du côté dulangage intérieur: les mots échappent, s'en vont ; les idées fuient et, si la pensée peut encore s'exercer, el
os hôtes anglais fussent satisfaits de leur visite. Pour donner une idée de la courtoisie des relations scientifiques, il
es à un autre temps, et qui sur aucun autre point, ne répondent à nos idées actuelles. « Cetéternel conflit entre les conve
ntrairement à ce que croit Bernheim, l'influence de l'association des idées diffère beaucoup suivant qu'il s'agit de faire re
n, ni des calculs qu'il décrit pendant le sommeil provoqué. J'eus l' idée de faire aussi quelques expériences de ce genre e
'écrire ; 7° Cette impulsion est toujours immédiatement suivie de l' idée de tracer une croix et d'écrire certains chiffres
sont bonnes. C'est après tous ces méfaits de l'alcool, que j'eus l' idée d'essayer de le déshabituer de cette pernicieuse
malades depuis des années, elle a cru elle-même être incurable. Cette idée a été inconsciente chez elle, car elle ne l'a pas
e, de Walter Scott, etc., et môme du « lion d'Androclès a et même d'? idées a comme a le Drame » ou * la Mort » ou « la Dame
ulièrement favorables aux sujets considérés, suffisent à se faire une idée du type dévGt. Je trouve, parmi les hommes, don
rs. — Les suggestion ? eurs, non préalablement suggestionnés pour les idées qu'ils répandent, sont les fondateurs de religion
ectes et d'hérésies. Au-gustinus fut un créateur-suggestionneurpour l' idée delà grâce efficace, s'il est vrai que cette idée
uggestionneurpour l'idée delà grâce efficace, s'il est vrai que cette idée soit dans ses œuvres. Sinon, cette qualité appart
e se sont crispés au moment où la suggestion devait s'accomplir, et l' idée de certains chiffres lui est venue à l'esprit en
e presque tout le temps : étouffements, inappétence, etc.; elle a des idées noires, elle redoute le moment de l'accouchement,
imposer à la patiente une volonté; on fait entrer dans son esprit une idée qui s'insinue doucement, qu'elle accepte et qu'el
l constate que cette jeune femme avait raison et il se détache de ses idées anciennes d'art égoïste, déprimant et corrupteur,
ale : « On mène le monde, dit M. Jean Finot, non seulement Avec des idées , mai»* surtout avec des mots. Il sufiit quelquefo
nce en même temps que lu signification qu'on lui prête.Le mot devient idée , pensée, conviction; la gaine s'identifie ainsi ?
s consciences consécutives. Donc, c'est la conception de la mort, l' idée que nous nous en faisons, qui nous terrorise et n
sticisme, il n'est besoin que d'observer la nature et de reformer nos idées pour fournir aux inquiets et aux craintifs des po
étouiTait, comme si une bête lui tirait son lait. Naturellement cette idée fut taxée de billevesée. Déjà ce malaise s'était
ffier. De plus, il est évident que cette suggestion est contraire aux idées morales, à la volonté du sujet, car, sans cela, i
elles soutenaient leurs mensonges. En effet, tant que l'on n'a pas l' idée de chercher ce qu'il peut y avoir de simulation,
ur ce phénomène, ou à propos d'un acte nécessitant u::e association d' idées dans la quelle intervenait la main. Par exemple,
il y a exagération à affirmer qu'en outre de la mémoire, do certaines idées conçues spontanément ou suggérées par l'éducation
s preuves d'ordre expérimental, 30 constate que c'esi aussi par cette idée que certains psyche-physiologistes ont essay'- d'
la suggestionne mis la mala.de en étal d'hypnotisme et lui suggérai l' idée que ses membres n'étaient plus engourdis et qu'el
des erreurs psychiques qui agissent à l'insu de l'observateur sur les idées directrices de l'expérience; en outre, le cylindr
tout endormis, l'automatisme rotatoirc des bras. Dans le môme ordre d' idées , un ancien in'srne de Charcot, le D' Regnard, rac
e Pascal semble l'avoir remarqué pour les sentiments religieux et les idées qui s'y associent. Il dit que, pour arriver à cro
n religieuse s'opère par les deux grands modes de la transmission des idées , par la parole et par les signes graphiques. 1.
rases, ils seront bien près d'y voir clair dans les faits et dans les idées . La sociologie tuera l'éloquence judiciaire et l'
de la part de son auteur./page> page n="235"> 4„ Une fois l' idée suggérée entrée dans l'esprit du sujet, il n'çst
pnotique et à laquelle' celui-ci puisse succéder sans réveil? Celte idée me parait probable et démontrée par les faits.
riée, et que j'hypnotise pour des troubles psychiques variés. J'eus l' idée de l'endormir un soir dans son lit et de la laiss
avorables â la suggestion que l'hypnotisme lui-même. Dans cet ordre d' idées , un membre très distingué de notre Compagnie, le
itement des aliénés; il avait affaire à des malades accaparés par des idées fixes, distraits, mobiles, incapables de fixer le
s le centre nerveux devient représentation mentale. Autre exemple : Idée émise, « secourir les malheureux ?. Cette idée
e. Autre exemple : Idée émise, « secourir les malheureux ?. Cette idée perçue aujourd'hui parce qu'elle est formulée, se
la pensée. Pour commencer, nous prendrons un exemple prouvant que l' idée ou la pensée peut être prise par l'auto-suggestio
u la pensée peut être prise par l'auto-suggestion naturelle. Soit l' idée déjà citée : Secours aux malheureux. Cette idée
naturelle. Soit l'idée déjà citée : Secours aux malheureux. Cette idée , une fois perçue, par suite de la loi de la repré
tation mentale, se reproduira de nouveau dans notre pensée. Comme l' idée est bonne et que nous sommes par nature se-courab
onne et que nous sommes par nature se-courables aux malheureux, cette idée qui revient est acceptée et, par auto-suggestion
st acceptée et, par auto-suggestion naturelle, chacun développe cette idée de secourir les malheureux, suivant ses aptitudes
he des nombres par entraînement d'auto-suggestion. Les impressions et idées qu'il se suggère ont plus de puissance que les im
t idées qu'il se suggère ont plus de puissance que les impressions et idées étrangères. L'auto-suggesiion chez le mathématici
ons de philosophie. Il s'impose ces méditations, il accepte certaines idées par auto-suggestion. C'est parce qu'il emploie l'
t de l'auto-suggestion excellente. Ils impriment à leur attention les idées qu'ils pourront développer. Les autres, dont le
(4) Id./page> page n="272"> est ainsi, on conçoit qu'une idée , ou mieux que l'ondulation nerveuse correspondant
a faiblesse d'esprit, l'ignorance et la spécialisation. — Pour qu'une idée religieuse soit reçue, il faut qu'elle ne soit su
, soit par crainte de ruiner ses croyances, établir un lien entre ses idées ; 2° Ses idées sont si rares et si disséminées
e de ruiner ses croyances, établir un lien entre ses idées ; 2° Ses idées sont si rares et si disséminées qu'il ne peut pas
iciens de génie comme Biaise Pascal. Celles-là n'avaient qu'un îlot d' idées , celui-ci qu'un magnifique archipel. « Heureux
du 19 juin 1648./page> page n="276"> son couvent fermé aux idées et aux sentiments extérieurs. Jacqueline Arnauld
it priso de vertige avec sentiment de constriction à la gorge, puis l' idée de circuler la dominait d'une manière irrésistibl
ypnotique. Dès le lendemain de la première séance, il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paralys
ypnotique. Dès le lendemain de la première séance, il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paralys
. le Dr Henry Lemesle, licencié en droit, fera une conférence sur : L' idée de responsabilité au moyen âge : les procès de so
absolument nécessaire aux gens grossiers pour leur donner une grande idée de la religion, et leur en faire aimer l'exercice
ofesseur à la Faculté de Madrid; une brochure intitulée: Analyse de l' idée de morale, par M. Aars, de Christiania. La corr
bre correspondant de l'Académie des sciences morales et politiques. Idées délirantes de persécution avec hallucinations aud
ion. Souvent son attention est absente et comme accaparée par quelque idée fixe; il faut alors, en quelque sorte, tirer Mme
ignal des désordres mentaux. Mme B... est, dès lors, en proie à une idée fixe : on la poursuit, on veut lu frapper et la f
is, chez des parents, elle interprète les moindres bruits d'après ses idées de persécution ; ce sont surtout les locataires d
ts. La nuit n'apporte guère de trêve à ces terreurs obsédantes. Les idées délirantes de la veille reviennent sous forme de
pe et se complique petit à petit. Ainsi, de semaine en semaine, les idées terrifiantes se modifient et évoluent. Tantôt Mme
... de ¦ ruminer », d'entretenir son mal, el de s'intoxiquer avec ses idées délirantes; provoquons la sedation de son process
dant cette durée d'environ 15 heures, elle a l'esprit en repos et ses idées délirantes sont suspendues; à midi, elle se lève
ou simplement triste ; je lui apprends à faire la chasse à toutes ces idées qui ont constitué la matière de son délire. Au
. Il existe, dit M. Marie, un état mélancolique avec prédominance des idées de ruine et tendance au suicide, insomnie rebelle
arie; elle présente, toutefois, de nombreux points de ressemblance. L' idée de ruine n'est pas, il est vrai, prédominante, ma
onctions intellectuelles n'étant plus accaparées ni étouffées par les idées délirantes, reprennent leur cours logique, les so
ps; parfois encore, do loin en loin, des imaginations morbides et des idées tristes ont une tendance à reparaître, mais Mme B
très développées, ses aptitudes à penser, à réfléchir, à associer des idées , à compter, à cogitationner devinrent prépondéran
Cependant, voici les circonstances qui m'ont amené à exclure toute idée d'une infection rabique : la durée de l'incubatio
hobie s'est manifestée chez lui. Dans la rage, rien que le bruit ou l' idée de l'eau réveillent déjà le spasme de déglutition
en fut tellement affectée qu'elle ne tarda pas à être obsédée par des idées do suicide. Développée à ce point, la zoophilie e
y a d'ailleurs des aliénés dans la famille et la malade a eu déjà des idées fixes. Elle est très difficile à traiter, car ell
, Leopold Voss, Hambourg et Leipzig, 189G. Kb. Aabs. — Analyse de l' idée de la morale, 27 p., Jacob Dybwad, Krisriania, 18
logiques de la sensation, de l'image simple, de limage composée, de l' idée et du jugement? Tout, dans l'état actuel de la
lles ont laissée au moment de la sensation ; 3° L'image composée, l' idée et le jugement correspondent à l'impression sur u
s d'origine sensorielle; 4° Les souvenirs de l'image composée, de l' idée et du jugement correspondent à la reproduction de
lations sonores, de même à chaque sensation, à chaque image, à chaque idée , à chaque jugement correspond un système d'ondula
ge n="334"> à une éducation spéciale devant lui donner une saine idée du monde et de la vie. Ce double but a été pleine
chasthéniques, elle est, elle, tout à fait consciente et dépend d'une idée obsédante. (1) Présentation de malades faite à
et les amis de M. le professeur R. Lépine (de Lyon) ont eu l'heureuse Idée de commémorer le vingt-cinquième anniversaire de
énation mentale. — Les états hypocondriaques. — Les obsessions. — Les idées fixes. — La mélancolie.— La joie et la tristesse
l au travers de l'atmosphère terrestre, de telle sorte qu'on voit des idées traverser, telles quelles, dix-neuf siècles et so
le langage psychologique vulgaire, à côté du mot cliché, l'expression idée courante. Tous les deux sont remarquablement exac
erses, les combinent pour émettre un système nouveau, une pensée, une idée nouvelle, plus simple, et par conséquent plus prè
Darwin, et quoi de plus génial ? Avant eux autant d'espèces, autant d' idées disparates. Ils viennent, et voici que ce chaos s
'il y a suggestion toutes les fois qu'un cerveau est actionné par une idée ; suggestion veut dire, si l'on veut, influence, m
ngrène cutanée chez une hystérique, par Balzer, p. 219. Glycosurie ( Idées délirantes de persécution avec hallucinations aud
s rapports avec les émotions sexuelles, par Havelock Ellis, p. 156. Idées délirantes de persécution, par Paul Farez, p. 296
ar Mariani, p. 217. Patholésie, par Buckley, p. 184. Persécution ( Idées de), avec hallucinations auditives et visuelles e
lie délirante, par Henri Stadelmann, p. 330. Traumatisme psychique ( idées délirantes de persécution consécutives à un traum
48 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
son état véritable en simulant un accès d'excitation maniaque avec idées de grandeur; tantôt c'est un criminel, qui pour
3 par cet homme avait été successivement la grande hystérie avec idées de suicide et la folie des persécutions avec déli
a prison, le signalant comme étant atteint d'hystéro-épilepsie, d' idées de persécution et de suicide. Voici d'ailleurs co
ux accès d'agitation. Ajoutons à cela la mobilité du caractère, les idées hypocondriaques, le besoin de faire sans cesse
manifestant depuis son admission, à des intervalles rapprochés, des idées délirantes de persécutions avec projets de veng
ions dangereuses, consé- quences de son affection convulsive, à ses idées bien arrêtées 8 MÉDECINE LÉGALE. de vengeance
, en un mot, incons- tant. Je n'ai jamais constaté chez lui que des idées désordonnées et même banales; son intelligence
ne pouvait qu'être frappé chez cet inculpé de l'instabilité de ses idées , de la puérilité de certains de ses jugements,
u Dr C... qui 09 a MEDECINE LEGALE. n'avait pas eu un instant l' idée d'une simulation possible de Cing... et croit p
ire à manifestations certainement équi- voques, on avait trouvé des idées de persécution, des hallu- cinations du goût et
dées de persécution, des hallu- cinations du goût et de l'ouïe, des idées hypocondriaques et même des idées ambitieuses q
nations du goût et de l'ouïe, des idées hypocondriaques et même des idées ambitieuses qui étaient survenues simulta- néme
eux purement subjectifs en faisaient d'ores et déjà un hystérique à idées de suicide. Cette antinomie n'é- tait-elle pas
n concomitant de l'hystérie délirante et évoluant d'emblée vers les idées ambitieuses avec hallucinations variées était u
on et les méde- cins qui l'examinaient. Or, cet exclusivisme de ses idées de persécution, joint à la singularité de leur
continué ces recherches et il s'est ensuivi une confirmation de ces idées . Toutefois, s'il nous est permis de croire que
Elles ont tout au moins le mérite de faire comprendre avec force l' idée qu'elles expriment, puisque c'est surtout à la
des objets comme l'indique du reste l'étymologie. Au con- traire, l' idée qu'évoque l'expression de toucher actif, plus par
cains est beaucoup plus com- plète puisqu'elle comprend à la fois l' idée de l'activité nécessaire pour sa perception et
d à la fois l'idée de l'activité nécessaire pour sa perception et l' idée de reconnaissance tactile en général. De plus,
de position et de poids. Bourdicault-Dumay se rallie en partie aux idées précédentes. Ayant anesthésié par une pulvérisa
erches de confirmation. Arrivé au terme de cette courte revue des idées exprimées par les auteurs les plus récents sur
une hémiplégie gauche, de l'embarras de la parole avec un mélange d' idées de persécution et de grandeur. A l'asile, il a
(Presse médicale, 28 juin 1899.) M. Duplay résume en ces termes ses idées sur la pathogénie de la folie post-opératoire.
céré- braux se sont traduits tout d'abord par de la bizarrerie des idées et par des actes désordonnés, sans but; ensuite
r des actes désordonnés, sans but; ensuite, se sont manifestées des idées érotiques et des idées de persécution avec tendan
, sans but; ensuite, se sont manifestées des idées érotiques et des idées de persécution avec tendance à la violence, vér
allucinatoire, confusion mentale extrême; puis, angoisse impulsive, idées de persécution, idées hypochondriaques. C'est le
on mentale extrême; puis, angoisse impulsive, idées de persécution, idées hypochondriaques. C'est le plus souvent un déli
trouve d'ailleurs plus dans les paralysies gé- nérales typiques les idées de grandeur au^si prononcées qu'aupa- ravant. V
on d'étiologie devient importante : doit-on s'en tenir à l'ancienne idée que la manie simple est une maladie du cerveau
ement modifiées elles- mêmes par la maladie, ce qui conduit à cette idée , confirmée par l'observation, que toutes les ma
ccessivement tous les symptômes de la méningo-encéphalite diffuse : idées de gran- deur, démence, embarras de la parole,
nce de toute autre cause, et sur- tout sur le caractère spécial des idées délirantes et des hallucina- tions. - G. D. X
hallucinations de la vue revêtant parfois un caractère terrifiant, idées mystiques et idées érotiques. Pendant près de d
vue revêtant parfois un caractère terrifiant, idées mystiques et idées érotiques. Pendant près de deux mois, cette malad
son refus persistant de s'alimenter; ce motif résidait dans cette idée délirante, véritable auto-suggestion, qu'elle dev
ins légistes sacrifient encore, d'une façon générale, aux anciennes idées , en se perdant dans des analyses psycholo- giqu
nature; par suite, il ne saurait être question de responsabilité. L' idée de vengeance, conséquence de l'admission du dog
e alors avec le plus de fruit son aptitude naturelle à accepter les idées et à les traduire en actes. La deu- xième varié
i, en effet, se trou- vent placés, par ce fait qu'ils ont accepté l' idée de dormir, dans un état de passivité consentie
action manifeste- ment perturbatrice. Le travail d'élaboration des idées qui constitue le mode le plus élevé de l'activi
écembre 1897.) M. Liébault donne, dans ce travail, un résumé de ses idées surle principe, le mode d'action, les procédés
urs du système nerveux. 11 en résulte qu'il suffit d'intro- duire l' idée dans le cerveau pour reproduire dans le domaine d
i lui est adressée, sa force nerveuse préalablement accumulée sur l' idée de dormir. Ainsi s'explique la possibilité de l
end de même que, plus il y aura de force nerveuse immobilisée sur l' idée de dormir et plus les effets curatifs obtenus p
thérapeutique qu'il allait mettre en oeuvre, M. IIartenberg a eu l' idée de faire sur cette malade un essai de rééducati
propos des diverses déterminations volontaires, à se fixer sur les idées qui commandent les actes et à opposer son actio
ement insolite qui a décharné et comme polarisé leur émoti- vité, L' idée du fait initial rappelle l'émotion et celle-ci. à
D'autre part, l'action augmente considé- rablement le pouvoir de l' idée curative que notre suggestion a in- troduite da
e notre suggestion a in- troduite dans le cerveau; du moment qu'une idée est réalisée, elle s'affirme et se fo·tifie. 4°
servation I. - Femme de quarante et un ans, mariée, mélancolie avec idée prédominante d'une complète inaptitude aux chos
ccompagne d'une véritable confusion mentale qui lui lait perdre les idées et les mots et la rend ridicule. Cet état s'est
? D-Yoî-1; iliedi- cal Journal, 26 mars 189S.) Quelle que soit l' idée que l'on se fait de la véritable nature de l'ét
ux qui accompagnent et aggravent sou- vent les affections. Dans les idées fixes, dans les formes multiples de phobies, da
urasthénie ; -la seconde de mélancolie et insomnie ; la troisième d' idée fixe ; la dernière de céphalalgie persistante et
olent, qui a été temporairement atteint de délire mélancolique avec idées de persécution et de sui- cide. Vacher est donc
tentative de suicide. Le malade n'a jamais eu d'hallucinations ni d' idées déli- rantes d'aucune sorte. Pas d'accès de mél
deux observations de chorée chro- nique où il n'est pas question d' idées de suicide, ni même de troubles mentaux. ' En
que King a particulièrement insisté sur les troubles mentaux et les idées de suicide dans la chorée héréditaire. Cependant,
familles pro- venant de la même souche, ne mentionne nulle part les idées de suicide. Le travail de Huber, de Zurich, p
i qu'il en soit, le malade observé par l'auteur n'a pas manifesté d' idées de suicide et l'histoire du cousin germain aura
888 aussi, a quatre cas personnels, chez lesquels il ne parle pas d' idées de suicide. Même année le cas de Klippel et Duc
fait le sujet de l'observation, ne parait pas avoir manifesté des idées de suicide. Du moins il n'en est pas parlé dans s
es terribles conséquences, tombent dans le désespoir et sont pris d' idées de suicide, » Comment Iluet justirie-t-il une
, et dont nous interprétons différemment les incidents relatifs aux idées de suicide. Observation XXIV. Il s'agit d'un ho
ements involontaires ayant beaucoup augmenté, qu'il a manifesté des idées de suicide, répétant « qu'il valait mieux en fini
hiques, d'humeur égale et tranquille. Il n'est pas fait men- tion d' idées de suicide. Sukling a présenté le z16 octobre 188
que âgé de trente-neuf ans à hérédité similaire, sans dire un mot d' idées de suicide. '' En 1890 Cirincione et Mirto publ
1 il-) 2 PATHOLOGIE NERVEUSE. dans laquelle il n'est pas question d' idées de suicide. Il en est de même dans les 2 cas de
de Psychiatrie de Vienne, par v. Solder, n'offraient pas non plus d' idées de suicide. Nous en dirons autant de celui de K
ns personnelles de l'auteur. Dans deux cas seulement il est parlé d' idées de suicide. Une emme de trente-huit ans (Obs. I
l. CXVI, p. 175, 1898. II... cin- quante-cinq ans, déprimé, parfois idées de suicide (sometimes suicidai). Pas un mot de
ne 6 observations personnelles, dans 3 desquelles il est question d' idées ou de tentatives de sui- cide. La première conc
observent chez les dégé- nérés. Toutefois les hallucinations, les idées délirantes, les mani- festations paranoïaques s
ladie et n'appartiennent pas à sa symplomatologie habi- tuelle. Les idées de grandeur ou de persécution, bien qu'elles ex
t aboutissent à la démence ; on observe aussi occasionnellement des idées de grandeur dans la chorée de Huntington, etc.
dit l'auteur, car l'état des foyers scléreux ne se peut allier à l' idée d'une compression qui devrait porter sur tout l
oquait des convulsions généralisées. Marie a le premier sug- géré l' idée d'auto-intoxication. Cette manière de voir est ce
s expertises litigieuses, imposeraient, comme science d'état, leurs idées personnelles sur la pathologie mentale et la re
s membres d'une même famille ». M. I)OUTREi3rNTE rappelle que cette idée avait été déjà exposée par M. Régis dans un tra
e de la genèse de l'émotion L'émotion organique étant primitive à l' idée et celle-ci résultant d'un besoin de justificat
ies par suggestion. M. Jules Voisin. Une malade était obsédée par l' idée de tuer son enfant; elle ne vivait plus, ne man
lement soumis au traitement hypnotique. Ce malin il a encore eu des idées d'auto-mutilation, mais ses mains se sont paral
de l'homme sur l'origine et la- nature de ses sensations et de ses idées ne s'est reposée que dans la con- sidération de
impression simple comme un son strident, ou d'un souvenir ou d'une idée , c'est le retentissement de cet événement psych
ses facultés immatérielles multiples, son libre arbitre absolu, ses idées innées et considère, avec juste raison, tous le
pas abattu cependant moralement et sa maladie ne lui suggère aucune idée noire. Il a des insomnies fréquentes, il rêve b
de troubles de la ' A Souques. Contribution il l'élude du râle des idées fixes dans la pathogénie de la polyurie hystéri
du symptôme pendant le sommeil, son apparition en dehors de toute idée fixe, la différencie du dernier. Quelle explicati
- ques, ces symptômes de polyurie et de pollakiurie impérieuse. L' idée n'est pas neuve, du moins en ce qui concerne la p
phénomènes de polla- kiurie impérieuse étaient liés chez elle à une idée quelconque, d'ordre urinaire, et notamment à ce
t dans le sommeil hypnotique, sans découvrir la moindre trace d'une idée de cette nature pouvant expliquer par son retou
ique, de tout antécédent génito-urinaire et indépendamment de toute idée fixe de cet ordre.' La polyurie, la pollakiur
joutons enfin, qu'au plus fort de ses gastralgies, elle a de vagues idées de persécution, se demandant qui peut la faire so
dépressive, dont cependant Kroepelin aurait exagéré l'importance. L' idée d'absorber dans cette forme tous les cas de man
obable que le syndrome catatonique, comme les hallucinations et les idées délirantes ne sont pas pathognomoni- ques et ca
actère bon, idéation régulière, mais limités. Délires paranoides, idées déli- Absence, rantes. Episodes (courts) de m
rès importants, et caractéristiques en ce qu'ils ne suggèrent pas l' idée d'une perte de l'action musculaire, mais d'une
formation des mots et des phrases mais encore dans l'expression des idées . Il peut y avoir des symptômes aphasiques, mais
cas ordinaires de spasme fonctionnel du cou, on est conduit à cette idée que cette affection doit dépendre sinon toujours,
ns du faisceau posté- rieur. M. Anglade insiste sur ce fait que les idées de persécution sont consécutives aux douleurs p
résultat. La question est pour moi jugée. Reprenant une excellente idée du Dr Bourneville, M. Pornain demande ensuite l
la « Paranoïa » est séparée des « Veruckteit » en com- battant les idées de Schule et de Krafft-Ebing aussi bien que celle
plus encore sur l'étiolo- gie et la pathogénie. L'auteur repousse l' idée d'un raisonnement d'un besoin d'explication de
iée, par la voie atavique. Il conclut en demandant l'extension de l' idée de dégénérescence et sa plus grande généralisat
rogea sur les mobiles de ces incendies, il répon- dit : « C'est une idée comme ça qui me faisait agir quand j'avais bu.
ueux DES DENDRITES corticales. zizi CAJAL (Ramony). - Les nouvelles idées sur la structure du sys- tème nerveux chez l'ho
ceux qui tuent dans des conditions banales, uniquement occupés de l' idée d'expédier leur victime au ciel, il en est qui
al par celui du bien est d'ailleurs fréquent, dans un autre ordre d' idées , chez les délirants mystiques. Un des malades q
ilibre mental ins- table ; la moindre contrariété lui troublait les idées . Mariée à vingt-huit ans, elle eut, au boutde d
ine à lui faire lâcher prise. Recouchée, elle délire, manifeste des idées de damnation et de désespoir. Ce matin sa face
s cinq heures, retour de l'activité mentale et du délire, composé d' idées tristes et de diva- gations roulant sur sa vie
a eu un petit accès maniaque avec agitation violente, confusion des idées et délire de courte durée. Depuis deux ans, i
aussitôt il s'écrie qu'elle veut l'empoisonner. Le lendemain les idées délirantes persistent. S'étant mis, sous prétexte
vers le village en poussant des cris et en appelant au secours. Aux idées de persécutiou se joint un délire religieux : il
l a quelques paroles raisonnables, le plus souvent il manifeste des idées religieuses et démoniaques. Il prétend que sa gor
inquiète, elle se tourmente, s'imagine être parjure. Peu à peu ses idées se troublent et depuis huit jours elle est en p
ublent et depuis huit jours elle est en plein délire religieux avec idées de damna- tion : le malin esprit s'est emparé d
ais aujourd'hui l'agitation réparait avec des crises panophobiques. Idées de suicide, veut s'échapper pour aller se jeter
grammes. Le cerveau n'a pas été examiné. Nous relevons, parmi les idées délirantes émises par la malade, la suivante qu
volontairement pour échapper à une obsession insupportable, comme l' idée du déshonneur, d'un supplice imminents. Le démo
peu paresseuse, pas de troubles de la parole, pas d'incohérence des idées ou des actes. Sommeil bon, pas de cauchemars. L
IX. 21 322 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. a l' idée de prêter attention au chapeau, il y a dilatation
en est-il quand le patient pense à l'obscurité du jardin la nuit. L' idée qu'il se fait d une source lumineuse invisible
pour lui provoque un rétrécissement des pupilles, mais moins vif. L' idée représentative d'objets indiffé- rents, encrier
p visuel dilate cependant plus fortement les pupilles que la simple idée d'un objet obscur placé derrière le dos du patien
r un excitant lumineux; b) faible- ment quand elle est portée sur l' idée de lumière; 1° Les pupilles se dilatent : a) fo
te sur un objet obscur; b) faiblement, quand elle est appelée sur l' idée d'un objet obscur; 3° Les idées correspondant à
lement, quand elle est appelée sur l'idée d'un objet obscur; 3° Les idées correspondant à des objets indifférents (au poi
nte. Au point de vue psychique, un certain degré d'imbécillité avec idées vagues de persécution entretenues par des hallu
1898.) La suggestion, dit M. Bernheim, est « l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et réalisée par
de- départ et de base de discussion dans ce travail. Il considère l' idée comme la syn- thèse fonctionnelle d'images (ver
presque fatalement celle de toutes les autres. L'introduction d'une idée dans le cerveau, qui constitue l'un des élément
sée par suite de l'évocation d'une des images qui constituent cette idée . 11 y a autant de variétés de suggestion que de
est aussi la plus commune et la plus puissante. La réalisation de l' idée est la conséquence de l'entrée en activité de s
la conséquence de l'entrée en activité de ses images composantes. L' idée se fait, selon sa nature, sensation, mouvement,
ent une intensité suffisante. Il en est ainsi, en particulier, de l' idée de sommeil : endormir un sujet par suggestion,
meil : endormir un sujet par suggestion, c'est lui faire réaliser l' idée de sommeil par l'évocation, soit de son image. au
provoqué cette fonction spéciale qu'on appelle hypno- tisme. Une idée a d'autant plus de chances d'être réalisée qu'on
le rôle capital que joue l'élément affectif dans la suggestion. Une idée n'agit que si elle est sentie et elle se réalis
rès inté- ressant travail : 1° Il y a suggestion chaque fois qu'une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par
t seulement conce- vable. C'est quelque chose d'inobjectif, c'est l' idée pure et cette idée pure se montre pourtant le s
vable. C'est quelque chose d'inobjectif, c'est l'idée pure et cette idée pure se montre pourtant le succédané parfait des
ses frères et deux de ses fils. Ces faits suggèrent à W. Sinkler, l' idée d'une prédisposition héréditaire à des lésions du
développent, ses apti- tudes à penser, à réfléchir, à associer des idées , à compter, à cogita- tionner deviennent prépon
par la morphine ; ils les ont, il est vrai rendues morphinomanes. Idées délirantes de persécution avec hallucinations aud
rt des désordres mentaux. Dès lors, 111 ? B... est en proie à une idée fixe; on la poursuit, on veut la frapper et la
sse de récla- mer l'autonomie, mettent la plupart en pratique cette idée et sont plutôt pour leurs chefs de service, à l
ats, les familles répu- 356 BIBLIOGRAPHIE. * gnant toujours à l' idée de mettre leurs membres dans des maisons où exi
essions et impulsions à l'homicide et au suicide. Il repousse toute idée de responsabilité atténuée et n'admet avec l'éc
prévoyance de ne point sug- gérer, aussitôt en face du malade, des idées qui pussent éveiller des hallucinations. En fro
emblement a diminué. Le malade est toujours sous l'influence de ses idées mélancoli- ques, mais les hallucinations provoq
uleuses des malheu- reux tabétiques au moyen de ces injections. L' idée seule de l'action efficace des injections'sous-cu
re attribué sans aucun doute à une cause générale. Partant de cette idée il explique la pathogénie de la mélan- colie de
t l'organe d'une conception isolée du mouvement. Pour organiser les idées complexes qui constituent le sens musculaire, i
e de nombreuses cellules, c'est-à-dire la combinaison de nombreuses idées de mouvement. Les fibres arciformes en question
uicide. Dans la grande majorité des cas, ce délire est accompagné d' idées obscènes. Parmi les causes de cette maladie,
ts. Quelquefois le malade présente, au moment même de l'acte, des idées délirantes, des illusions, des hallucinations qui
t fruste chez l'autre, d'où la nécessité, si l'on veut se faire une idée de la fréquence de ces faits, de soumettre à un
des sujets auxquels elle touche ; toutefois on peut signaler que l' idée directrice de l'orateur a été de retracer les p
trouvait, hier soir, à la terrasse d'un café de Montmartre, quand l' idée lui vint brusquement de prononcer un grand discou
e poids entre les deux hémisphères qui est de 135 grammes donne une idée de l'atrophie de l'hémisphère droit dont toutes
senté des troubles paralytiques, très nerveuse, présentant même des idées confuses de persécution et ayant fait des excès
avait l'intelligence affaiblie, la perception et l'association des idées difficiles, ces troubles ne sont survenus qu'à
arésie spasmodique des membres inférieurs éveillait immédiatement l' idée du tabes spas- modique ; mais, ce dernier étant
de veiller. Dans l'esprit de la loi, sinon dans son application, l' idée d'expiation, de vengeance sociale est remplacée p
ation, l'idée d'expiation, de vengeance sociale est remplacée par l' idée de réforme. Mais elle pose encore la question d
s étonner, c'est encore un Français, Demetz, qui le premier eut l' idée de ce système. Les théories de ce philanthrope on
uzon, 170. Torticolis spasmodique, par Parrv, 52). Traumatisme. Idées de persécutions avec hallucinations consécutive
49 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
psychologique des anormaux. — L'étude des anomalies est une source d' idées générales. — Les femmes a barbe dans l'art et dan
nce. L'influence que ce travail mental exerce sur la formation de nos idées est si considérable qu'Helvétius a pu dire que to
s idées est si considérable qu'Helvétius a pu dire que toute nouvelle idée vient de la comparaison de deux choses que l'on n
ord, elle stimule puissamment notre curiosité, puis elle engendra les idées de rapports, et enfin elle nous incite à recherch
a donc pour nous, dans l'étude des anomalies, une véritable source d' idées générales. C'est ce que le physicien "William Cro
avons pu recueillir au prix de nombreuses difficultés peut donner une idée très nette de l'évolution de l'art de la gravure,
traduction, pour littérale qu'elle soit, ne peut donner qu'une faible idée de la saveur humoristique qui se dégage de cette
-" chondric, plus l'imagination est obsédée par des sensations et des idées " qui s'y sont incarnées de longue date ; en d'au
possible, d'en faire ressortir l'importance. S'il y a une action des idées sur les rêves, il y a aussi une réaction inverse
dées sur les rêves, il y a aussi une réaction inverse du rêve sur les idées . On sait quel rôle considérable jouaient les so
importance dont il nous est difficile actuellement de nous faire une idée . Les légendes qu'on trouve à l'origine de toutes
orte de forme vague, un double, une ombre. Puis, graduellement, cette idée qui ne s'est développée ni en un jour, ni chez un
, mais par une lente élaboration dans une série de générations, cette idée se transforme et s'épure; de la croyance grossièr
tat're-rnent au milieu d'un rêve; 14" L'influence des rêves sur les idées et par suite sur les doctrines philosophiques et
état second. Le champ de la conscience est tout entier envahi par une idée fixe qui n'est nullement mise en doute et qui se
qu'elle ne contrôle pas davantage et qui provoquent des actes. Cette Idée fixe se rapporte à une scène de sa jeunesse. Elle
dure quelquefois un quart d'heure. Troisièmement, pendant que cette idée délirante se déroule, la malade bleuit ; elle res
ngtemps qu'elle est sous le coup de ces phénomènes respiratoires, les idées délirantes, par une sorte de balancement, dispara
losophique le plus élevé. Aux applaudissements de tous, il commente l' idée que le sentiment le plus réconfortant pour l'homm
ujets bienendormis, de pouvoir évoquer, par un effort volontaire, les idées qu'ils ont dans l'esprit. Sédatif nerveux par exc
exagéré les anomalies, que présentait la famille d'Ambras, Il a eu l' idée fort ingénieuse de placer au centre de son tablea
sacrée, une constriction aux deux mollets. Toujours triste, il a dos idées de suicide et diverses phobies : phobie de sa mal
leur et cette irritation de la peau qui sont l'effet de la brûlure. L' idée me vient alors que cet homme du peuple ne s'est p
ngements des bras marquoient son réveil, et alors elle n'avoit aucune idée de ce qui lui étolt arrivé, si ce n'est que les p
re malade, Il s'agit d'une hallucination symbolique. Dans cet ordre d' idée , je vous rappelle deux malades que j'ai présentés
ntamait une lutte imaginaire avec des individus absents ; une série d' idées fixes tourmentent ces malades et les entrainent j
re quoi que ce soit. Je ne suis pas comme tout le monde, dit-il ; les idées dansent devant moi comme dans un cinématographe *
nctionnement du système nerveux ont eu une influence certaine sur les idées de Pinel. Sur beaucoup de questions il s'est mont
hilosophie associée à la médecine peuvent exercer sur l'évolution des idées médicales, sont d'un heureux augure pour l'avenir
nge. Bientôt, ïl fallut en rabattre. L'opinion générale se rallia à l' idée que Krao, malgré l'anomalie et l'exagération son
nsdes centres associés. Quant à Zfehen, Il ramène cette maladie à des idées obsédantes. Comment expliquer l'influence de la s
gereuse, l'incertitude du moment de l'arrivée, du temps qu'il fera, l' idée de naufrage ou autres accidents possibles, etc.
la fin du voyage. Toutes, ou à peu près, s'étaient embarquées avec l' idée bien arrêtée qu'elles ne devaient pas être malade
rties par une raie médiane. Le dessin ci-joint permet de se faire une idée très exacte de la répartition de la barbe et des
Cai du D* Chowne, L-n ire-- ,1829. policier trop zélé n'eût pas l' idée de la considérer comme un homme habillé en femme.
té nerveuse impressionnable ; elle avait des peurs, des anxiétés, des idées fixes, on doit la considérer comme une hystérique
asser le quatrième examen (thérapeutique) il tremblait a l'avance à l' idée d'écrire sous les yeux de l'examinateur. Il ne pe
écision que tout est vague aussi bien dans mes souvenirs que dans mes idées , mes pensées, mes jugements, et môme dans mes sen
s la maison du dieu, parmi les objets du culte, dans une atmosphère d' idées religieuses et de foi passionnée, Sehcmouél fit b
Leur vénération exaltait son orgueil. Dès lors, il est en proie à une idée fixe qui absorbe toute son énergie cérébrale. Ell
s, greffé Bur l'égoisme des dégénérés mentaux. Il vieillit avec son idée fixe. Lorsque l'âge le mit dans l'impossibilité d
énérescence cérébrale, accès de délire aigu, accès de mélancolie avec idées de persécution et impulsions homicides et suicide
fble,enproieades hallucinations verbales, et bientôt pénétré de cette idée que le dieu lahvé lui adressait la parole, et qu'
ules corticales qui peuvent fonctionner ensemble, peu d'images, peu d' idées se rencontrent et se contraient, peu d'actes sont
la suggestibillté et l'égofsme du prophète. Mais aussi cesimages, ces idées , ces actes, revêtent une intensité qu'explique le
veuse dans un nombre restreint de conducteurs. De là le verbalisme, l' idée fixe, la théomégalomanie, les impulsions violente
lamait l'unique femme à barbe o blanche ». Son portrait nousdonne une idée fort exacte de la barbe majestueuse qui lui desce
illot. Il me semblait que les regards des hommes m'offensaient et à 1 idée qu'ils regardaient mes jambes, jo rougissais jusq
s qui animent,—qui suggestionnent — les deux peuples en présence. Ces idées néfastes ont si bien pénétré en leur imagination
ntre leurs intérêts vilaux. Du côté russe, on ne saurait dire que l' idée de patrie, telle que nous la comprenons, puisse s
n extrême à l'autre, avant de reprendreson équilibre. A défaut de l' idée de patrie, telle que nous la concevons, un symbol
ropriétaire qui se — cercle — dans son domaine. Il en résulte que l' idée de patriotisme, procédant du culte du foyer, hant
n de leurs membres. Une fois le cerveau influencé, suggestionné par l' idée de vengeance, rien ne saurait l'arrêter dans ses
gestionné par l'idée de vengeance, rien ne saurait l'arrêter dans ses idées de meurtre, le délire atteint même les plus sages
on n'est plus souvent maître de la diriger, on devient son jouet. L' idée est si bien ancrée que rien ne pourrait faire rev
it semblable à celui qui produit le sommeil. Il y avait chez elle une idée dominante : guérir par le docteur choisi par elle
nte. On en rit, on hausse les épaules, mais on revient à la charge; l' idée s'introduit dans le cerveau de nos Parisiens et g
élat d'hypnose; un rien, en effet, suffit pour les faire passer de l' idée à l'acte; ils sont fascinés : l'idée de la posses
uffit pour les faire passer de l'idée à l'acte; ils sont fascinés : l' idée de la possession entre dans leur cerveau sans déû
e de la possession entre dans leur cerveau sans déûancc cl un rien, l' idée étant essentiellement motrice et productrice de m
: il a remplacé le vieux mot dégénération, sans impliquer pourtant l' idée de dégradation ou d'infériorité. L'évolution est
ier passe avant le bien de l'Etat; l'instinct du droit fait oublier l' idée du devoir et la poussée vers le bien-être général
le. Nous nous faisons, â ce sujet, de la profession d'instituteur une Idée particulière et point banale, à laquelle ne songe
son influence, il finit par perdre tout doucement la défiance et les idées aberrantes dont il s'est fait une loi. • Nous
ante, des impulsions, sinon invincibles, sûrement incontestables, des idées fixes et, enfin, des phobies de toute espèce : pe
es rencontre peut-être dans aucune autre profession. A mesure que ces idées se font jour dans notre pays, l'initiative privée
programme de l'Ecole de Psychologie, dont le but est de propager des idées saines confirmées par l'expérience, et en même te
x professions libérales, pratiquent la doctrine de Confucius, ont des idées rationalistes très avancées, le peuple, c'est-à-d
l'hypochondrie, l'imagination reste obsédée par des sensations ou des idées préconçues, qui engendrent lauto-suggcstion si di
a jalousie, la peur d'être malades, une préoccupation quelconque, une idée fixe, et ils s'y complaisent. Les neurasthéniqu
es incompatible avec l'exercice de la volonté aboutit, dans l'ordre d' idées qui nous occupe, aux phobies. Toutes les peurs pa
i ne l'empochait pas d'être obsédé et continuellement tourmenté par l' idée de la pauvreté possible. Il se figurait et se per
dans le feu un magnifique o Essai sur l'avenir de la Chimie «, dans l' idée qu'il avait été inspiré parle diable en l'écrivan
oires ou passagères et doutes, actes subconscients, aura angoissante, idées fixes et entêtement, phobies et autres phénomènes
nt fait des disciples ? Si leur fallacieuse propagande a réveillé des idées obscures choz les malheureux qui nous intérossent
pugnances invincibles sont exceptionnelles. Dans ce dernier ordre d' idées , ne sait-on pas qu'il est fréquent de voir des en
oire, de l'internement de ces malades dans des asiles d'aliénés? Si l' idée peut en être venue à quelques personnes, elle ne
ent indubitablement reconnus peu ou point délirants en dehors de leur idée fixe, de leur phobie. Conséquent ment, ils seraie
re patience ; ce genre de citoyens demeure totalement réfractaire à l' idée , au sentiment du devoir social. Nous sommes contr
s soient des demi-responsables, suggestionnés par des rêveries ou des idées subversives, nous n'y saurions contredire, mais s
défendre au même titre que ses autres enfants. Les opinions et les idées que nous venons d'émettre ou de rappeler, Messieu
logique M. le D* Félix Regnault, profeaseur. Objet du cours : Les idées religieuses des peuples primitifs : L'animisme :
emploie son talent d'écrivain et d'orateur à combattre loyalement les idées de ses adversaires, il sait respecter toutes les
ait te voyage de La Haye tout exprès pour vous exposer, ici même, ses idées sur le traitement de la mélancolie. Enfin, nous
de psychologie physiologique. Depuis, convaincus de la justesse des idées du maître, un grand nom- bre de chercheurs, p
re Ecole et c'est pourquoi j'ai tenu à vous faire saisir la suite des idées qui ont abouti à sa formation. Entre temps, nou
nt des visages sans physionomie, Chain fort accentuait encore la même idée dans les termes suivants : « Quiconque n'a pas de
ger, mais aussi de l'étudier et d'en trouver le remède. Telle est l' idée qui m'a guidé dans le choix du sujet de cette leç
'orthopédie mentale. Le manque de principes, l'instabilité dans les idées , les défaillances morales que l'on constate si fr
décevante. Mais c'est surtout chez les dramaturges que se retrouve l' idée de l'hérédité des passions mauvaises, des lâcheté
dait jusqu'à la cinquième génération. Il faut le reconnaître, celte idée de l'hérédité inéluctable a été surtout propagée
n des hommes était la seule manière de former le caractère. La même Idée se retrouve, plus fortement exprimée par Corneill
'imprimer, d'une façon indélébile dans l'esprit de ses compatriotes l' idée que toute l'éducation du caractère repose sur un
erne le maréchal Lanncs, dont il était l'aide de camp, et donnera une idée très nette de la puissance de suggestion par laqu
a personnalité héréditaire en lui imposant une série d'habitudes ou d' idées destinées à constituer une personnalité supérieur
r ; en second lieu, c'est un de ceux qui semblent le plus heurter les Idées communes que nous avons sur la force et la matièr
M. Richet a été amené a exposer a notre collaborateur Jules Bols ses Idées sur la direction qu'il convient d'apporter dans l
de la tempe, rature corporelle, chez les tuberculeux qui sont sous l' Idée qu'on leur a fait une Injeotion de tuberculinc. C
age fatal, la logique de l'hypothèse ! Pour qu'un législateur ait l' idée de créer le régime des castes, il faut qu'il cons
a m couleur. Continuons de déduire. Pour qu'un législateur ait eu l' idée de faire ï castes et de rejeter hors caste une pa
. Admettons que les infortunés Parias de lTnde antique aient eu une Idée ... La Représentation des quatre castes supérieu
légendaires descendants de Qain ou même de Nemrod, selon l'Ingénieuse idée de LIstx. Or l'Ingéniosité est Ici parfaitement a
son acception la plus large, la suggestion est l'acte par lequel une idée est introduite dans le cerveau et acceptée par lu
. Dans son sens le plus étroit, le mot de suggestion implique que l' idée qu'on cherche à insinuer tst déraisonnable. Cet
té de contrôle. La suggestion devient alors : l'acte par lequel une Idée bonne ou mauvaise est introduite dans le cerveau
nt : l'ensemble des opérations qui font accepter, après contrôle, une idée par le cerveau et provoquent vis-à-vis d'elle un
tend vers N+J, tandis que leur résistance se rapproche de N — 1. Ces idées très justes sont tous les jours confirmées par le
ns ce cas, à la raison du malade. Le sujet discute souvent encore les Idées qu'on cherche à lui inculquer mais finit presque
ecin sur le malade, un procédé pour restreindre les sensations et les idées de ce dernier, de façon à faire prédominer celles
bien ce qu'elle éprouve ; mais elle est pleinement à la merci de ses idées obsédantes. Néanmois, il ne faut pas désespérer d
agité de tremblements dans les membres, de démangeaisons, hanté de l' idée fixe d'une anomalie dans sa personne. Cette angoi
nce avait le don d'hypnotiser les auditeurs, il ne leur venait pu a l' idée de considérer cette somnolence comme ayant une va
tes d'urine. Le patient était d'avis que la rétention résultait d'une idée fixe et que ce qui le guérirait c'était la sugges
s ; même sa carrière d'artiste est brisée, etc., etc., Obsédé par ces idées , il verse dans la mélancolie, ne dort plus, ne ma
il joue avec entrain, sans hésitation ni trouble. En même temps, ses idées noires l'ont quitté ; il est tout à fait calme et
obsédés par tel air, tel passage, ils sont comme monoidéisés par une idée fixe ; et, ainsi, ils se déséquilibrent. Chez eux
le soir il devient nerveux. La mère se diisolc et abandonne bientôt l' idée d'essayer de l'endormir comme une chose inutile à
a malade à s'y soumettre. On peut considérer une malade qui accepte l' idée du traitement et s'y soumet avec bonne volonté co
est assis dans un wagon, il se cramponne à la banquette, angoissé a l' idée que le train va se mettre en marche. Puis, il a l
nces spéciales. Ce spasme, parfaitement conscient, est provoqué par l' idée , au moment où notre malade y pense. Pendant que
ensaire anti-alcoolique que dirige le D' Bérillon, elle en expose les idées générales, et met en relief la valeur de l'hypnot
entent plus l'odeur des hommes, et celle des femmes leur provoque des idées voluptueuses. Celle odeur réside surtout dans l
avail de la pensée s'effectue plus rapidement, la parole s'anime, les idées tristes, les aspirations vagues, empreintes de pr
L'extension de l'alcoolisme habituel, en Russie, s'explique par cette idée — parfaitement fausse, mais très répandue dans le
moment il est tellement la proie de ses pensées, qu'il n'a même pas l' idée de boire et, s'il est ivre, son ivresse passe, le
d'hu meur. De la galté la plus franche, ils passent rapidement A des idées lugubres. Parfois une tristesse qui n'a pas de ca
st obsédé par une pensée, c'est qu'il n'y a pas d'issue possible; une Idée lui passe un moment parla téte, c'est de se suici
e : il faut à tout prix oublier et par là étouffer ses souffrances; l' idée de la nécessita du l'oubli lui fait penser à l'al
plit de terreur, elle qui n'a jamais fait usage d'alcool ; puis cette idée peu à peu prend corps et, à la fin, s'empare enti
esse passe et que les centres cérébraux se remettent à fonctionner, l' idée persistante la hante de nouveau, elle est reprise
ancien toxique. IV. Mme L. R..., 35 ans; état nerveux indéterminé; idée fixe de jalousie ; croit que son mari veut la qui
ui-ci que j'ai recours. Deux séances par semaine pendant un mois; les idées changent, la gaieté revient; séances plus espacée
rer en communication avec elle. Tout d'abord, il me faut renoncer à l' idée de l'endormir par la fixation du regard ; car la
nimaux. Cette année, IeDr Bérlllon, président de la Société, a eu l' Idée d'ajouter à ces concours, un concours d'animaux «
nt les actes Intelligents spontanément accomplis par les animaux. L' Idée du h- Bérillon, malgré sa nouveauté, a été accuei
n de ces anomalies, elles témoignent cependant de la persistance de l' idée populaire qui en rattache la production à une inf
ériences de M. Stumpf ont surtout démontré qu'il fallait renoncer à l' idée d'un cheval doué de l'aptitude à penser librement
Le jeune homme, depuis quelques semaines, vivait sous l'empire d'une idée Axe, qui l'obligeait constamment a penser à Mlle
ui affirmais qu'une contre-suggestion le débarrasserait sûrement de l' idée ûxe qui lui avait été suggérée. C'est a cette cir
eut être mcdiûé par des influences psychologiques diverses et que les idées suggérées l'emportent sur les manifestations inst
bissent sans s'en douter l'influence de la mode, des convenances, des idées de leur milieu et le manifestent dans le choix de
de la façon la plus évidente. Quand la possibilité de la guérison des idées fixes de nature affective sera connue, le nombre
pas ce qu'elle lit : elle est incapable de suivre l'enchaînement des idées , les caractères de l'écriture se brouillent et el
50 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le délire prenait une acuité nouvelle, l'anxiété était extrême, les idées de suicide devenaient incessantes. A plusieurs
, 511 an" e( atteinte depuis 1903 de deprcs- sion mélancolique avec idées obsédantes el impulsions diverses. Depuis la mê
Mmo S., 3"2 ans, présente depuis 1003 un délire mé- lancolique avec idées obsédantes ; c'est une dégénérée avec stig- mat
T., 2G ans, c-t une dégénérée dont l'état dépressif esl lié à de.* idée * obsédantes. L'anxiété est très mal'- et l'inso
grise. H Celle description est, d'après 31. Fickler, en faveur de l' idée que la substance des cordons latéraux a projeté
avec son aboulie si caractéristique de l'appari- tion soudaine de l' idée tvrannique qui s'impose à la volonté de la lutt
existe également peu de délirants systématiques qui prêchent leurs idées délirantes il qui veut ou non' les entendre. Les
dre. Les mala- des se rendent très bien compte de la bizarrerie des idées de leurs voisins ; ils en sont peu impressionné
r sensibilité morale s'affaiblit trop pour qu'ils prennent part aux idées et menées tl'autrui. JI. \acclcu a ccltcntlanLv
ccltcntlanLvu, cn mar 1900, un ltaraly liyuu général présenter des idées de grandeur spéciales qu'il tenait d'un de ses
tant elles étaient superficielles ; elles lurent remplacées par ses idées propres." La crédulité des paralytiques et des
e succès. Puis les souvenirs s'implantent dans la conscience avec l' idée de culpabilité qui s'y attache, cette l'ois sou
et'l'i- mage de la criminalité de l'acte. Dans sa lutte contre ses idées obsédantes en faisant appel à ses souvenirs con
propriétés curatives de l'é- lectricité, l'auteur s'élève contre l' idée encore assez généralement admise que cet agent
instan- [allé(,. « Il était en 1)1-t)iu depuis quelque temps il des idées noi- ¡'CS)) n (Semeur de l'Oise, 15 janvier.)
es de mentisme ou confu- sion mentale passagère en rapport avec les idées obsé- dantes de mort imminente. A l'anxiété diu
la mm prématurée d'un livre unique a aullcvc tle Jtoulcvcraer a·. idées . Elle présente depuis plusieurs semaines des tr
ines des troubles mentaux que l'on peut ranger sous deux chefs : 10 Idées fixes d'un carac- tère mélancolique avec crises
rs seutement. elle est prise d'une anxiété, d'abord modé- rée, avec idées tristes : « elle est perdue, il ne lui sera jamai
le des crises elle présente un état de dépression mélancolique avec idées de culpabilité, entrecoupé de moments lucides p
ychasthe- nique, c'est aussi une vésanique. comme l'indiquent les idées délirantes de culpabilité et de damnation consta-
itation maniaque avec, im- pulsions violentes. Désordre des actes ; idées de persécution. 11 se plaint qu'on ne lui donne
lui donne pas il manger ; qu'on le maltraite, etc. Incohérence des idées qui conservent toujours une teinte mélan- coliq
un état démentiel. Une méconnaissance aussi flagrante du rôle des idées obsédantes et des phénomènes moteurs systé- mal
'entoure et refus d'aliments. Une semaine après, elle manifeste des idées mélancoliques, des scru- 1)\\le, de l'agitation
a diminué, mais l'état anxieux per- siste, la malade émet quelques idées d'humilité, d'indignité et de craintes de la mo
ux fermés, ne les ou- \1',lliI que pour manger : n'exprimant aucune idée et n'ayant, plus de crises maniaques depuis plu
s une sorte de mélancolie profonde avec relus partiel d'aliments el idées de suicide. Il esL perdu ; il de- demande qu'on
sur le bas-ventre et les parties génitales tout en manifestant des idées erotiques ou eu prote- rant des paroles obscène
ances, gale au lit, demande encore à ce qu'on le lue, manifeste des idées dépressives analogues a celles d'autre- fois ma
tantôt de forme anxieuse avec gémissements, délire de culpabilité, idées de suicide. L'ex- ritation génitale et les mano
qui se traduit, actuellement par de l'agitation, de l'insomnie, des idées incohé- rente» de satisfaction et de persécutio
folies sys- tématisées où elle engendre tant et de si singulières idées délirantes, mais elle n'y joue que le rôle d'un
ue que par l'intermédiaire d'un état psychologique, c'est il dire d' idées érotiques, ce qui parait singulièrement paradox
arait singulièrement paradoxal, à moins d'invoquer la possibilité d' idées subconscientes. Nous avons bien pu constater ch
de l'anxieux ne parait d'ailleurs guère favora- ble il l'éclosion d' idées relatives aux fonctions sexuelles. Au dessous d
sortie légère- ment améliorée d'un accès aigu de folie sénile, avec idées de persécution eL d'empoisonnement, niais elle
es troubles ultérieurs il ce traumatisme crânien on lui connaît des idées de jalousie et de persécution, accompagnées déc
ortail constamment un revolver sur lui, ayant tou- jours présente l' idée de la trouver avec quelqu'un et du leur faire l
y a ans qu'on ne sait l plus où elle esl. - Après ce départ, ses idées et ses interprétations délirantes n'ont pas ces
s parents a partagé son exis- tence. C'a été avec elle de nouvelles idées de persécution, de nouvelles scènes de jalousie
appait, puis implorait son pardon en pleurant. Et constam- ment des idées de suicide revenaient dans sa conversai ion ; «
t resté assez longtemps sans travail. Puis, sous l'influence de ses idées do persécution ses places devinront plus instable
lations verticales. Enlin, à côté de tout cela surnagent encore des idées délirantes, un fond mélancolique de tristesse,
Plusieurs fois d'ailleurs il exprime ce même désir devant nous. Les idées de persécution persistent également, bien qu'ac
xpliquer, qui s'est manifesté autrefois par de l'épilepsie,puis des idées de persécution, mais qui affectaient le plus so
certainement été aussi pour beaucoup dans les exacerbations de ses idées délirantes do persécution et de jalousie, et mê
les mêmes que les premiers jours ? Ainsi, troubles délirants avec idées répétées de suicide liés il un terrain de déséq
tous d'une organisation hospitalière qui ne répond plus du tout aux idées , aux desiderata du jour. ' Une question se po
au n'est donc pas le centre de la motitite, elle est le centre de l' idée et de la volonté. D'expériences commencées en 1
re organe psychique et modifier imperceptiblement le contenu de nos idées conscientes. Les lecteurs de pensées se disti
dial de l'appareil moteur. Il peul aussi émaner de sensations' et d' idées délirantes. Dans le premier cas, i ! e.\isteun
inovv, ainsi que le professeur FL'ese, de Ka- zan, ont appliqué les idées de Con01ly, ('touffes premiers, parlé du no-res
dans un Asile, mais j'ai constaté aussi qu'il était, en proie à des idées très actives et très anciennes de persécution.
classés en trois groupes : a) Quelques slygniales d'hystérie ; b) Idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe ;
"elllail'n[ les symptômes suivants : an- goisse, insomnie, phobies, idées fixes, 11'L'lllhlclllenl, l11ol')lliillo- manie
iences de M. Slumpf ont sur- tout démontré qu'il fallait renoncer l' idée d'un cheval doué de l'aptitude à penser libreme
r plus tendre enfance, une horreur instinctive de la so- ciété, des idées d'indépendance, le dégoût du travail intellectuel
1000 pages. Lue analyse quelque peu détaillée ne peut donner qu'une idée bien vague de Ions les faits d'observation cont
qui ont été exposées au cours de cette analyse, qui ne donne qu'une idée bien imparfaite du livre de M. Sérieux. ' Les
oit surtout nettement dans la fig. 7 qui donne du reste une bonne idée de l'irrégularité du foyer. M. de Monakow est d
vocabulaire d'imprimerie et qui marque avant toute autre chose une idée de fixité ; celui de stéréotypie . Hâtons-nous
l'altitude' indifférente du repos ; elle peut être expressive d'une idée , encore que cette idée ait complète- ment dispa
e du repos ; elle peut être expressive d'une idée, encore que cette idée ait complète- ment disparu pour faire place à l
us envisageons. Ce malade fit en 1S93 un délire de persécution avec idées d'empoisonnement. A cette époque, il refusa d'u
ut de ne plus répondre aux questions posées. Puis, à la longue, les idées délirantes devinrent plus vagues et finirent pa
s de nourriture et le mutisme nie sont pas ici sous la dépendance d' idées . délirantes actives. Mais si le refus de nourri
e mutisme étaient plei- nement conscients. voulus et adaptés il une idée direc- trice chez notre malade, nous demandons
s demandons pourquoi le su- jet se comporterait au rebours de cette idée en se sou- mettant avec docilité à l'opération
pa- gne n'a rien d'impératif et reste en désaccord complet avec l' idée qui semblerait y être enfermée au premier abord
que la phrase en question, furent primitivement orientés par une idée délirante, mais se poursuivent aujourd'hui alune
uivent aujourd'hui alune " façon tout automatique et sans que cette idée délirante préside en aucune façon il leur mécan
eu à des considérations analogues. Celui-là ne manifestait aucune idée délirante ; il s'occupait activement dans le co
comme des bizarreries de langage tant qu'ils sont le reflet d'une idée ; mais au bout d'un ccrtain temps, le lien d'asso
out d'un ccrtain temps, le lien d'associa- tion qui les reliait à l' idée première ayant disparu. le ma- lade est incapab
la stéréotypie. C'est ainsi que M. 1\.. qui exprimait autrefois ses idées de grandeur il grand renfort de néologismes, a
même sans érection. Il semble que, dans la majorité des cas. aucune idée ne préside il l'acte, et nous n'avons jamais ob
mouvements qui la représentent ont été engendrés autrefois par une idée , mais cette idée a disparu petit à petit, tandi
a représentent ont été engendrés autrefois par une idée, mais cette idée a disparu petit à petit, tandis que l'acte adéq
upart des déments précoces est profondément impressionnée par des idées délirantes et des représentations hallucina- to
'autre part ? Il nc fau- dra donc pas s'étonner de trouver dans les idées déliran- tes anciennes, le point de départ d'un
Cet écrit marque déjà une certaine tendance à la sté- réotypic ; l' idée s'y meut dans un cercle restreint et les mêmes
ctif. Au début le malade refuse de répondre parce qu'il nourrit des idées de persécution ; il refuse de manger par craint
e n'a plus de contenu ; elle n'est que l'enveloppe survivante d'une idée disparue. Mme ll...... et Mme IL..... sont deux
qucs lléjil âgées, qui. présentèrent au début de leur affection des idées hypocondriaques et de persécution à base halluc
enons il faire observer qu'entre l'expression motrice actuelle et l' idée délirante ancienne, le lien n'est pas toujours
ile à découvrir. Certains actes, alors qu'ils étaient adaptés à une idée , pouvaient n'avoir cependant qu'une valeur conv
ès le début de l'affec- tion. Nous nc saurions mieux exprimer noire idée qu'en empruntant une comparaison il la médecine
que les sté- réotypies ont très fréquemment leur origine dans une idée délirante ancienne, on conçoit que la condition l
favorable à leur genèse eu pareil cas, doit être la fixité de cette idée délirante elle-même ; c'esL,cn effet, de cette
le doit se faire l'extériorisation mo- trice. Or, cette fixité de l' idée délirante, le paranoïquc la réalise mieux que l
ut qu'au moment même de son exécution, l'acte ne. soit plus lié à l' idée qui dans le passé lui a donné nais- sance. C'es
sous la même rubrique des actes répétés qui sont encore liés à une idée directrice, qu'on a sou- vent méconnu la signif
mouvements qu'exécutent, cer- tains malades sous J'influence d'une idée pathologique obsédante peuvent se répéter avec
t au milieu ; mais leur ténacité est en rapport avec la fixité de l' idée directrice, leur inconbruancc par rap- port au
ort au milieu ne fait que refléter le caractère illégitime de cette idée . Le jour où, l'idée délirante ayant disparu. le
t que refléter le caractère illégitime de cette idée. Le jour où, l' idée délirante ayant disparu. le malade continuera s
te, la distinction n'est pas toujours aisée dans la pratique, car l' idée ne s'efface jamais d'une façon brusque et subit
sa répétition : si l'acte est absurde et abusif, c'est parce que l' idée qui le commando est elle-même absurde et abusiv
même absurde et abusive ; mais l'acte reste étroitement associé à l' idée et c'est là le fait important. En développant
conservées, en rapport avec une hallucination actuelle ou avec une idée déli- rante active. De même, les gestes bizarre
complaisant clans la paraphrase sans cesse renaissante d'une même idée . Une faudrait pas davantage confondre la stéréo
à fixer une pensée. Le mot dit tout : il n'est donc pas dépourvu d' idée , tant s'en faut. Le néologisme, quelque répété
sans équivoque qu'il n'existe derrière celle formule motrice aucune idée délirante active, aucune re- présentation hallu
ullement le reflet de. cette activité. Le divorce entre l'aclc et l' idée apparaît avec évidence dans toutes ses manifest
trop considérable, le sujet peut retenir quelques associa- tions d' idées très élémentaires, comme celles qu'on uti- lise
ment do l'activité idéative dv un défaut absolu ; si le contenu des idées est parfois restreint, souvent il y a une pué-
purement psychique apparaissent sous l'influence du mécanisme de l' idée fixe. Ce dernier groupe a été étudié spécialeme
laires des paupières,la sensa- tion de prostration, l'insomnie, les idées sombres, des sueurs pro- fuses, de la tachycard
adie à la suite du chagrin et du surmenage, dépression psychique et idées SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 tl'ilp au début, désor
le qui la suif. ' Dru,uiL·me entm·r; en avcil 1S ! I1. - Elle a des idées confuses de persécution, des craintes (l'empois
ond un méca- nisme d'innervation spinal ; subjectivement, c'est une idée accom- pagnée de volonté. Celte idée est l'imag
al ; subjectivement, c'est une idée accom- pagnée de volonté. Celte idée est l'image représentative do l'es- pace, dont
stion du tic et d'avoir montré que le tic est le correspondant de l' idée REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 305 fixe dans la
s existent. Dans le 1) pl' Chaslin, il y a à la seconde période des idées délirantes, des hallucinations, des illusions,
ux affections sont le Hieàtre de l'angoisse qui s'installe avec une idée détermi- née dont elle est, originaire, qu'elle
uralion a guéri une jeune femme d'une psy- chasthénie avec aboulie, idées de doute, manie du serment, scrupules religieux
ental des réactions sen- sibles, delà mémoire, de l'association des idées , des conceptions morales, de la réflexion, de l
28 correspondance. honnêtes. Mais il ne faudrait pas croire que les idées morales justes coïncident nécessairement avec u
de leur aimable obligeance. A cette occasion, afin de contrôler nos idées antérieures, nous avons repris la question, et
ne sug- gestion. Les faits que nous apportions à l'appui de notre idée semblaient nous donner raison pour le cas consi-
vengeance, elle avait élu domicile ailleurs, quand soudainement une idée ti.\elui\int qui précipita le dénouement. «Un soi
enfin se grellèr, par un enchaînement puéril d'interprétations, des idées rétrospectives de per- sécution dont la réactio
là un rapproche- ment imprévu, irréfléchi, involontaire, entre deux idées disparates. Aussi bien ne faut-il pas, de par
ique de la suggestibilité. Subir une suggestion, c'est recevoir une idée et la tenir pour vraie sans la con- trôler, san
nsiste essentiellement dans la compa- raison de plusieurs images ou idées différentes, clichées sur des neurones différen
é de l'esprit de l'enfant, la facilité avec laquelle il passe d'une idée à une autre,' son extrême suggestibilité. Dès
lexion soutenues, ils acceptent comme paroles d'évangile toutes les idées qu'on leur im- pose. LA. PSYCHOLOGIE DES DÉGÉ
de vocation et des dévots est le théâtre, et particulièrement des idées , des émotions et des sentiments religieux. Cette
nos actes sont les conséquences nécessaires de l'association de nos idées . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQU
tives, des représentations mentales et surtout de l'association des idées ; et ce sont ces différents troubles que l'on r
stériques. M. Vallon croit que le mot de ((mensonge» impliquerait l' idée de conscience et ne s'applique pas très exactem
aménité de on camctère, l'llOuorahililé de sa 1 ie.et surtout par l' idée très tileW c tla'ils'élait faite de ses dt : vo
e étiquette purement conventionnelle, car elle n'exclut nullement l' idée d'aliénation mentale.... » - C'est la thèse que
générale, la sou- daineté d'apparition et la longue persistance dés idées de suicide chez certains malades ? Dans le cas
e, hanté depuis longtemps et d'une façon quasi-permanente par des idées de suicide, raconte avoir avalé auparavant une
asile Sainte-Anne pour dégénérescence mentale av ce hallucinations, idées mélancoliques et de persécution, tendance au su
nonçait. déjà pleine de promesses dans sa thèse de doctorat sur Les idées de grandeur dans le délire des persécutions.
ies mentales et nerveuses (1900) ; -- Séméiologie et traitement des idées de sui- PAUL GARNIER. 469 cide (1900) ;- Les
soit en France, soit à l'étranger, et il y apporta chaque fois des idées neuves ou des faits nouveaux sur différentes qu
ménité de son caractère, l'honorabilité de sa vie, et surtout par l' idée très élevée qu'il s'était faite de ses devoirs
e. Depuis l'année 1877, où il soutint sa thèse si remarquée sur les idées de grandeur dans le délire de persécution, il n
comme pour la richesse de la documentation,pour l'éléva- tion des idées , autant que pour le grand sens pratique qui s'y
et lui inspirer une foi profonde en l'utilité de sa mission. » L' idée si élevée qu'il s'était ainsi faite du rôle du mé
u professeur de grande autorité, Griesinger. duquel il a reçu les idées directrices qu'il a conservées toute sa vie : à s
en chef de Argyll Asylum, et c'est là que si ! ' John a adapté ses idées avan- cées. 1 · 11 a été le premier il. aboli
? réunit une dernière fois, sous sa présidence, les adeptes de son idée venus des principaux pays d'Europe. Sir John Si
51 (1934) Oeuvre scientifique
at une opinion scientifiquement fondée, s'il n'a pour se former une idée que de pareilles données. Il devra se contenter
u tendon en raidissant volontairement la cuisse et suggérer ainsi l' idée d'une abolition des réflexes; de même l'extensi
de plusieurs de ces signes chez un malade ne permet pas d'exclure l' idée qu'il simule ou qu'il se suggestionne dans une
uisse, parfois à droite, parfois à gauche ; il cherche à donner une idée de ses souffrances à l'aide de gestes en faisant
hystéro-neurasthénique ; ce qui paraissait venir à l'appui de cette idée , c'est que cette personne avait eu autrefois de
t cercle autour de ces malades durant la crise, en échangeant leurs idées souvent pessimistes sur le pro- nostic, était d
able au plus haut point. Quel enseignement ! C'est parce que, les idées ayant évolué, le rôle de la suggestion et celui
ction de troubles ayant la suggestion pour cause ou à la fixation d' idées hypochondriaques. A la vérité, même en prenant
ncore développé, on trouvera dans ce fait une confirmation de cette idée que le phénomène des orteils est en relation av
se générale des réflexes ne permet- tant pas d'accepter la première idée , c'est la deuxième qu'on est obligé d'admettre.
lité idio-musculaire sont pour moi des arguments à l'appui de cette idée . C'est pour ce motif que je range cette affection
es dépend surtout de la modalité de la lésion. A l'appui de cette idée , voici une très intéressante expérience que Lap
Ce caractère, dont l'absence, il est vrai, ne permet pas d'exclure l' idée de surréflectivité, est particulièrement appare
es entraver la surréflectivité ? ' ? Ce qui conduit à émettre cette idée simple hypothèse c'est principa- lement l'étude
constituerait un moyen curatif delà contrac- ture. J'ai émis cette idée , en 1906, à la Société de neurologie, à l'occasio
mais la crainte d'accidents m'avait toujours empêché de mettre cette idée à exécution » ('). Deux ans plus tard, en 190
Deux ans plus tard, en 1908, Foerster eut le mérite de passer de l' idée à la réalisation et de fixer la technique de l'
ndispensable pour éviter l'ambiguïté. On peut exprimer, je pense, l' idée qu'on s'en fait généralement, en disant que c'e
r l'inexac- titude de la conception traditionnelle. Au début, mes idées trouvèrent une vive opposition. Actuellement, au
la pauvreté de la sémiotique qui a contribué le plus à fausser les idées . Que l'on se reporte à l'époque où les signes d
que ces signes fussent connus, il m'a été possible de rectifier les idées qui avaient cours. Voici les données sur lesque
el des deux espèces d'hémiplégie. Depuis longtemps pénétré de cette idée , je me suis attaché à l'étude des caractères in
lésion organique du système nerveux et doit éloigner de l'esprit l' idée de para- lysie hystérique. Ce serait même un ca
des doigts est en contact avec la paume de la main. Pour donner une idée de la forme de la contracture hystérique, je dira
ns de vous exposer sont exactes, ainsi que j'en suis convaincu. L' idée qu'on doit se faire du mécanisme de la paralysie
passés, causait volontiers, s'exprimait correctement, émettait des idées sensées ; elle s'inté- ressait aux personnes de
rappellerai que suivant Pierre Marie et Foix, qui ont exposé leurs idées dans plusieurs publications, les deux phéno- mè
t exagération des réflexes de défense. Je suis arrivé ainsi à cette idée que, dans le groupe des contractures liées à un
ions d'une bonne dénomination qui consiste à éveiller dans l'esprit l' idée d'un des caractères princi- paux de l'objet qu'
ment retenu. ' Après ce court historique, reprenons le fil de nos idées . J'ai dit que si le lien entre les réflexes de
évidence ce fait que la surréflectivité défensive n'implique pas l' idée d'incurabilité. Les réflexes de défense, après
e permettrai toutefois de soumettre à la critique quelques-unes des idées que ces auteurs ont énoncées. Auparavant, je do
e manière incidente. Je ne puis mieux faire pour vous en donner une idée que de citer un passage du travail de MM. Marie
ense occupent une place importante. Pour donner un aperçu exact des idées que j'ai exposées sur ce sujet, je pense que le
e malentendus. Si je saisis bien ce qu'il y a de principal dans les idées de M. Walshe sur les réflexes d'extension et de f
se. La conception fondamentale des neurologistes anglais, issue des idées de Jackson, de Sherrington, est que ces réflexe
irritation » ne peut pas jouer aussi un certain rôle. ' C'est une idée que M. Foix tend à admettre, comme on l'a vu préc
dégénération secondaire m'avait déjà conduit autrefois à cette même idée . A l'appui de cette manière de voir, on peut in
enant la question d'un autre point de vue, je sou- mettrai quelques idées à vos réflexions. Au début de cette conférence,
tres fonc- tionnant d'une manière synergique. Sans discuter cette idée , nous croyons qu'il y a lieu d'admettre l'inter-
male, d'une perturbation que l'on pourrait dénommer, pour fixer les idées , une pseudo-abolition du réflexe à la lumière. Je
ôle important dans la production de ce réflexe ; à l'appui de cette idée encore hypothétique, je mentionnerai les faits su
u- bles d'une compression nerveuse ; n'a-t-on pas été amené à cette idée par des considérations théoriques, en rapprocha
héré- ditaire presque, sinon tout à fait, pathognomonique. Cette idée a été confirmée depuis par plusieurs observateurs
fique précieux. » Cestan a relaté aussi des faits conformes à notre idée (6); il rapporte l'histoire de quatre malades d
, faisait complètement défaut. Nous ne saurions admettre non plus l' idée de Lewandowsky pour qui l'hypermétrie relèverait
aires avec hémianesthésie et hémiplégie croisées. Quelle que soit l' idée qu'on se fasse à cet égard, il n'en est pas moins
odique des divers signes, nous nous sommes efforcés d'en donner une idée claire et distincte. Dans ce but nous avons int
tés latents, avaient incidemment émis, entre autres explications, l' idée d'une suppléance. « Il faut, dit Bickel, d'auta
des fibres musculaires sans aucune intervention des nerfs. Si cette idée était exacte, il serait légitime, pour explique
cial, réalisant un type de para- lysie faciale tout spécial ? Cette idée n'est pas inadmissible mais il est peut être pl
e plus nette au pied qu'à la jambe, et l'observation confirme cette idée . Chez les malades de ce genre, comme chez le su
a dépendance de cette lésion présumée. Il me semble toutefois que l' idée d'une relation de cause à effet entre la tumeur
qu'il serait intéressant à tous égards de chercher à vérifier cette idée en pratiquant la ponction rachi- dienne chez de
e satisfaction, de béatitude, d'optimisme, qui sans être liée à des idées délirantes, contraste avec l'aplatissement phys
générescence. En résumé, cette observation vient à l'appui de cette idée , soutenue précédemment par l'un de nous, que qu
cielle : il serait, évidemment, irrationnel d'écarter de parti pris l' idée d'extraction. Si on n'arrive pas à préciser le
es cas ordinaires de torticolis spasmodique, on est conduit à cette idée que cette affection doit dépendre, sinon toujours
perturbation du système pyramidal, j'ai été conduit à émettre cette idée que le spasme du cou ou torticolis, dit mental, e
la présentation du malade atteint d'hémispasme, n'a pas contesté l' idée d'une perturbation du système pyramidal, mais,
s moteurs ? Sont-ils de nature fonction- nelle ? A l'appui de cette idée , on pourrait invoquer le fait qu'ils se sont at
ur manière de voir, la nature prétendue mentale de cette affection, idée qui jadis était généralement admise et que j'ai
à fait accessoire. Ce qui importe, c'est de se rendre compte, toute idée préconçue étant mise à l'écart, des résultats d
affec- tion qui sont parfois intolérables et peuvent conduire à des idées de suicide. Il s'agit donc simplement de savo
pas en pré- sence d'un trouble mental. Ne s'agirait-il pas là d'une idée délirante, de négativisme ? Nous croyons pouvoi
ent isolé, il serait peut-être difficile d'écarter complètement cette idée , bien que la persuasion, la contre-suggestion q
iés à une perturbation organique du système nerveux, quelque soit l' idée qu'on puisse se faire de leur mécanisme intime,
and on a affaire à des accidents hystériques n'infirme-t-elle pas l' idée précédemment émise quant à leur nature et ne po
trait le plus saillant du tableau sympto- matique et peut donner l' idée d'une lésion cérébrale en foyer. 8" Des plaques
accès d'agitation et présente par moments de l'incohérence dans les idées . Mon ami, le Dr Parinaud, qui l'a examinée le 12
estruction des faisceaux qui le constituent Q. A l'appui de cette idée , j'ajouterai que les caractères de cette forme
corticale porté dès le début, mais elles me conduisent à modifier l' idée que je m'étais faite sur la cause du mal. Il y
ne, il serait sin- gulier que l'aphasie eût éveillé en son esprit l' idée d'une paralysie loca- lisée précisément du côté
ue, par conséquent, l'absence de céphalée ne permet pas d'écarter l' idée de tumeur cérébrale. J'avais fondé en partie
paralysie constitue un argument de grande valeur à l'appui de cette idée . Pouvant ainsi conduire à un diagnostic précoce
eures de la moelle, produite par la néoformation gliomateuse. Cette idée me paraît concorder fort bien avec les données
onnaissant la même cause, surviennent chez des tabétiques avérés. L' idée d'une pareille coïncidence ne doit pas être per
foetus macéré, la coexistence du tabes chez le père et la fille, l' idée de syphilis transmise héréditairement me semble s
t fruste chez l'autre, d'où la nécessité, si l'on veut se faire une idée de la fréquence de ces faits, de soumettre à un
'amélioration notable qui a été obtenue, font écarter de l'esprit l' idée d'une sclérose de nature tabétique. La névrite
; nous appor- tons donc ainsi un nouvel argument en faveur de cette idée que les troubles de la sensibilité dus à des lé
u lésion pottique avec abcès par congestion. C'est cette der- nière idée qui nous paraissait la plus probable, malgré l'ab
e caractéristique. Dans la thèse de M. Laplane où sont exposées les idées de M. Sicard, on trouve en effet à la page n3,
escendante secondaire. C'est donc là un nouveau fait à l'appui de l' idée que j'ai soutenue. Je ferai remarquer aussi que
guérie n'étaient pas aussi sous la dépendance de la syphilis. Cette idée n'a rien de révolutionnaire quand on considère
les relations entre les lésions de la périphérie et des centres, des idées qui étaient en partie nouvelles à l'époque où e
t émises. « Ce terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l' idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'e
lle sciatique névralgie, épi- thète qui n'implique pas, du reste, l' idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas l
'm observé des faits dont les uns confirment en grande partie les j idées soutenues depuis longtemps par M. Brissaud et par
ssette mentonnière, la synergie paradoxale faisaient défaut. Si les idées que j'expose se confirment, cette notion nouvelle
chacune desquelles nous donnerons un qua- lificatif pour fixer les idées , la catégorie des muscles prédisposés, celle de
les autres régions, en employant aussi les chiffres pour donner une idée de leur degré de développement. Main : Muscles
nt pour lui dépourvus de sens, doit s'être formé au préa- lable une idée plus ou moins nette de ce qui distingue cet état
le on cherche à faire accepter à autrui ou à lui faire réaliser une idée manifes- tement déraisonnable. Par exemple, dir
ouré de flammes éblouissantes constitue de la suggestion, car cette idée est en désaccord flagrant avec l'observa- tion
suggestion, car cette affirmation est contraire au bon sens. Si ces idées sont acceptées, si l'hallucination visuelle ou si
été suggestionné. Le mot « sugges- tion » doit donc impliquer que l' idée qu'on cherche à insinuer est dérai- sonnable. E
insi la guérison n'est pas une suggestion, bien au contraire, car l' idée émise, loin d'être déraisonnable est éminemment s
de la face dans la paralysie du nerf (') J'ai déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hyst
es diverses ; c'est, du reste, un homme intelligent, n'ayant aucune idée délirante, se rendant parfaitement compte de l'ab
affaiblissement cérébral, est tourmenté par de sombres pensées, des idées hypocondriaques qu'il ne peut pas chasser ; il
iques sont de même essence que les phénomènes hysté- riques ; cette idée ressort aussi de ma définition de l'hystérie. Mai
es que l'affirmation a été per- mise. C'est en m'appuyant sur ces idées que je soutiens depuis longtemps, contrairement
térie et l'hypnotisme diffère de la doctrine classique. Si mes - i. idées sur ce sujet sont connues de la plupart des neuro
on est obligé d'aban- donner la définition primitive fondée sur une idée erronée. Mais, il est facile de constater, en l
ne peuvent être définis, c'est soutenir que les mots précèdent les idées Que penserait-on d'un naturaliste qui s'avouerait
er dans l'hystérie les phéno- mènes les plus variés. Vous aurez une idée de l'étendue du domaine qu'on lui assigne lorsq
ns en soutenant que « l'hystérie peut tout faire ». Du reste, cette idée , que beaucoup de médecins énoncent volontiers l
de la sensibilité, peuvent suffire pour éveiller dans son esprit l' idée d'une hémianesthésie ou d'un trouble visuel ; i
on tâche de faire accepter à autrui, ou de lui faire réaliser, une idée mani- festement déraisonnable. Par exemple, dir
e ou de quelque autre traitement, n'est pas de la suggestion, car l' idée émise est raisonnable, ou tout au moins ne choq
r des phobies diverses ; c'est un homme intelligent, n'ayant aucune idée délirante, se rendant parfaitement compte de l'ab
4 Il IfYSTI;RIE-l'ITIIIITIS : lll3 menté par de sombre pensées, des idées hypocondriaques qu'il ne peut chasser ; il se v
on et de dis- paraître par persuasion ; il n'en est pas de même des idées formées par le cerveau du nosomane ou celui du
présent, aucun neuro- logiste n'est venu combattre publiquement mes idées , ni proposer une nouvelle définition des manife
rs d'aucun autre agent. Si vous voulez vous faire, à cet égard, une idée personnelle fondée sur l'ex- périmentation, aye
inale parfaite (2) qui n'est qu'une forme de cette exagération. Mes idées sur ce sujet sont déjà admises en grande partie
un double but, d'abord pour renforcer dans l'esprit de la malade l' idée qu'elle avait été victime d'un accident, et, ensu
'ont pas été suffisamment suivis pour qu'il soit permis d'exclure l' idée d'une maladie infectieuse associée. Généra- lem
tre considérés comme des simulateurs, mais je dois avouer que cette idée est fondée sur des arguments d'ordre moral et n
donné de cet état diverses définitions fondées, la plupart, sur les idées qu'on s'est faites de sa nature intime, de son
suggesti- bilité, c'est-à-dire l'aptitude à être influencé par une idée acceptée par le cerveau et à la réaliser (Psych
isme comme avec l'hystérie et, faisant d'abord abstraction de toute idée théorique, se placer sur le terrain clinique. Q
es sont de nature à faire naître dans l'esprit de l'hypnotisé cette idée qu'il est déséquilibré, incapable de résister à
ue, jusque-là rebelle aux moyens curatifs habituels, s'est buté à l' idée que sa paralysie est incurable et la persuasion
le chef de clinique de Charcot, je fus, à mes débuts, imprégné des idées sur l'hystérie qu'on y enseignait à cette époqu
elles sont pour ce motif entachées de nullité. Mais, dira- t-on, l' idée directrice, quoique fausse, a pu conduire à la dé
erreurs, comme je viens de le dire, s'expliquent en partie par les idées théoriques fausses qui étaient ancrées dans l'esp
ers qu'on ne sait où classer ». M. Vaquez a exprimé de son côté une idée semblable. Aujourd'hui qu'à ce point de vue l'e
ter lorsque je le désire. La suggestion, ainsi comprise, implique l' idée que la volonté est maîtresse des troubles qu'el
rimer l'action par laquelle on tâche de faire accepter à autrui une idée quelconque, qu'elle soit déraison- DÉMEMBREMENT
ue des observations nouvelles pourraient conduire à la revision des idées ainsi acquises. Je ne ferai pas une description d
hique de l'homme qui admet, serait-ce sans un contrôle rigoureux, une idée sensée ou acceptable qu'on lui soumet, ne peut
capable de traduire, avec les nuances qu'elles comportent, les deux idées principales qui s'attachent à l'objet que nous
celle d'entre elles qui est la plus intéressante pour le médecin, l' idée que les accidents en question peuvent, sous l'in-
st sans doute pour ce motif que, lorsqu'on détourne son esprit de l' idée qui l'obsède, on arrive parfois, ainsi que je l'a
ent apte à produire, en pareil cas, un changement dans le cours des idées ? Le malade, cessant de penser à sa paralysie, re
RIE TRADITIONNELLE 497 rellement l'usage de ses membres ; lorsque l' idée de l'impotence revient à son cerveau, il consta
t à la convention que j'ai proposée, le mot sug- gestion implique l' idée que la volonté est maîtresse des troubles qu'elle
ou tel spectacle, tel ou tel propos. Les faits qui confirment cette idée abondent. En voici un exemple banal : une hysté
i peuvent s'expliquer très facilement ; elle est l'origine de cette idée fausse, très répandue autrefois, encore admise
isible ou utile et qu'elle ne pourra guère rester indifférente. Les idées que je viens d'exposer me paraissent dignes d'êtr
doute la principale entrave à la guérison. b) Bien pénétré de cette idée que « les troubles vaso-moteurs et les troubles
lu- sions des premiers expérimentateurs, trompés sans doute par des idées a priori. La méthode des graphiques, très préci
s s'associent nécessaire- ment à des signes objectifs. Soutenir une idée contraire équivaudrait à contester l'existence
omplis pendant le sommeil ? Toutes mes observations infirment cette idée . Après une séance d'hypnotisation pendant laque
dra de l'ascendant sur eux qu'après avoir donné satisfaction à leur idée ; il (') Voir : L'année psychologique, publiée
n est restée étrangère à son développement. Or, celle-ci implique l' idée d'une perturbation de la conscience, et tant qu
ction d'une manière éclatante. 5t8 HYSTÉRIE-PITHIATISME J'ai eu l' idée de procéder à une information auprès des garçons
on des accidents hysté- riques on a opposé l'argument suivant : des idées , de simples idées ne peuvent avoir sur la condu
ysté- riques on a opposé l'argument suivant : des idées, de simples idées ne peuvent avoir sur la conduite, sur la santé
ortée s'il s'agissait, par suggestion, d'entendre l'influence d'une idée pure, abstraite, si tant est même que de pareille
uence d'une idée pure, abstraite, si tant est même que de pareilles idées répondent psychologiquement à une réalité quelcon
breux travaux, entre autres ceux de Ribot, ont montré que toutes les idées , même les plus abstraites, possèdent un certain
il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d' idées de ce genre ; il s'agit d'idées qui enveloppent u
idérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre ; il s'agit d' idées qui enveloppent un contenu affectif extrêmement
onsidère un acte volontaire, on voit qu'il est la réalisation d'une idée , d'un projet formé à l'avance et, en partie tou
les causes qui ont fait adopter, pour la mettre à exécution, telle idée de préférence à telle autre, on constate que ce c
sentiments qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l' idée d'un état pathologique et le réalise lorsque cett
ue saisit l'idée d'un état pathologique et le réalise lorsque cette idée s'impose à lui par ses éléments affectifs systé
affectifs systématisés apparaît dès lors clairement ; ils fixent l' idée et lui donnent la puissance de réalisation plas
Ces accidents, pour apparaître, ont besoin de l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des états
érée, soutenue, il est vrai, par des états all'ectifs systématisés, idée dont ils ne sont que l'expression. VI llYSTÉR
étaient légi- times, entraîneraient un changement profond dans les idées que j'ai sou- tenues, idées acceptées par un gr
neraient un changement profond dans les idées que j'ai sou- tenues, idées acceptées par un grand nombre de neurologistes, e
ues. » MM, Tinel, Baruk et Lamache ne sont pas seuls à soutenir ces idées . Notre collègue René Bénard, qui a fait quelque
owski et Plichet, et qui, par certains côtés cliniques, éveillent l' idée de phénomènes hystériques, dont on peut les dis
signa- lée la présence de cette hémianesthésie. Pour bien montrer l' idée qu'on se faisait de son importance, de sa ténac
se sont montrés stables, permanents, et combien peu cela répond à l' idée , fausse par trop de généralité, qu'on se fait en
lée. Je serais tenté d'en conclure que sur ce point, au moins, leurs idées sur l'hystérie ne s'éloignent pas des miennes.
du pithiatisme a eu pratiquement des conséquences heureuses. Les idées que j'ai exposées ont été confirmées par un grand
ervé un cas sérieux dans mes salles. C'est que, depuis Charcot, nos idées se sont profondément modifiées, en grande parti
hétéro-suggestion ont tout le loisir d'intervenir. A l'appui de l' idée contraire, d'après laquelle des accidents hystéri
ganiques, conformément à l'opinion exprimée par Erichsen en 1866. L' idée d'hystéro-traumatisme était très féconde et les é
tre l'opinion que nous avons soutenue. Elle tend même à confirmer l' idée du rôle indispensable de la suggestion : celle-
hes. Étant le produit de la suggestion, elles se modifient avec les idées en cours et se modèlent sur les conceptions ind
é de stigmates. Quelques-uns nous avaient prêté à tort, en effet, l' idée que nous consi- dérions ces troubles comme une
d'un phénomène n'implique pas du tout, comme certains le pensent, l' idée d'hystérie. Elle n'a cette signification que si
d'abolir les réflexes cutanés ne sont rien moins que probants. Nos idées ont été depuis lors confirmées par plusieurs neur
E-P1TIII : ITISdI tique. Il en était même qui ne repoussaient pas l' idée d'une réforme. Cette manière de voir a été disc
ants des Centres neurologiques ont témoigné qu'ils partageaient les idées sur l'hystérie développées dans ce livre et sou
il serait permis d'appeler physiopathiques, terme devant exprimer l' idée que, d'une part, ni l'hystérie, ni aucun autre
ient ainsi apparu à nos yeux et, conséquemment, s'imposait à nous l' idée que ces désordres ne dérivaient pas de l'hystérie
érive du mot grec 7tOtPC,),ÚElV (délier, relâcher) n'implique pas l' idée d'une impotence complète. Tout affaiblissement de
rcot et par Vulpian. Les résultats de nos recherches confirment les idées de ces auteurs et fournissent des arguments nou
d'ordre réflexe. Il est permis d'invoquer encore à l'appui de cette idée la mutabilité de ces troubles, susceptibles de se
es impliquent une pertur- bation des centres nerveux, et c'est là l' idée principale que renferme la pathogénie «réflexe»
sans qu'il soit fait appel au témoignage du malade, ce qui exclut l' idée de suggestion, est particulièrement instructif; o
manger. Le sommeil était devenu impossible, et ce malade avait des idées de suicide. Nous décidons de soumettre C... à l
a question ne peut être résolue pour le moment, mais en faveur de l' idée que les rayons X ont ont joué un rôle thérapeut
ue peu destructives ou qu'elles ne le sont pas ; à l'appui de cette idée , je rappellerai qu'il n'y a pas eu de troubles
e à penser que les rayons X ont exercé une action curative. Cette idée , qui s'appuie en partie sur les faits précédemmen
52 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
ve de l'état de veille. Les uns et les autres découlent d'une série d' idées qui naissent, surgissent d'une manière mécanique,
s et l'assimilant complètement au sommeil naturel ('). Adoptant ces idées , mon distingué collègue Vires (2) dit : « il exis
les représentations du rêve. » Je crois avoir assez développé cette idée pour n'avoir pas besoin d'insister davantage: pou
st. et Vhypnot., t. II, p. 346. thèse névropathique » ; c'est une idée que nous retrouverons et appliquerons dans le pro
armés de leur affaiblissement central, avec de sombres pensées et des idées hypocondriaques... La psychothérapie pourra les a
ment dans l'état de suggestibilité. (1) « J'ai déjà développé cette idée dans mon travail sur la migraine ophtalmique hyst
midi pour aller lire un billet relatif à sa santé et que j'avais eu l' idée de déposer dans un coffret placé sur la cheminée
augmenter les effets, la sensation de la vitesse éveille en nous des idées et des sentiments particuliers. L'homme qui dirig
Chez le « chauffeur », chez le fanatique du cheval, il y a souvent l' idée de « record n. Le record est un jeu public ; dans
esse. Cela même peut éclairer le diagnostic et faire dépister des idées délirantes ou des idées fixes, tantôt ignorées de
airer le diagnostic et faire dépister des idées délirantes ou des idées fixes, tantôt ignorées de la conscience vigile, t
étrie. Ceux qui n'ont pas passé par là ne s'en peuvent faire aucune idée , excepté les internes des hôpitaux et les candida
rendant l'homme incapable de vouloir bien ce qu'il doit vouloir. Les idées prennent une tournure triste, la mélancolie s'ins
ence, n'ayant pas réveillé l'attention/'et ne s'étant pas reliées aux idées déjà existantes. De même qu'il se produit, des
e créer quoi que ce soit ; il faut attendre, et voilà.souvent que les idées , les mélodies, les vues sont là, venant on ne sai
dité. Les psychologues actuels ne sont point tous d'accord avec les idées que nous venons d'exposer. Par exemple, les adhér
que la conscience se dirig» sur elle-même. La conscience de soi est l' idée de nous-mêmes en qualité de sujet concevant, qui
stinguer son moi du non-moi, et cette distinction suppose qu'il ait l' idée de son propre corps, laquelle se forme par la coo
ations profondes apportées depuis un certain nombre d'années dans les idées sociologiques ne permettent plus de la trouver au
sen premier repas, après avoir poussé son premier cri. « C'est une idée populaire confirmée par les littér ateurs [') que
ue. L'épidémie de prières La Société qui exploite les naïfs par l' idée de guérir les maladies par la prière a trouvé un
compliquée de suffisance. Malgré les oppositions systématiques, les idées nouvelles progressent. On Ta bien vu à ce congrès
communication sur la douleur, M. le professeur Brissaud a exposé des idées qui se rapprochent beaucoup de celles qui ont été
rapie. L'avenir nous révélera de nouvelles surprises à cet égard. Les idées que nous soutenons depuis de longues années dans
occasion de constater qu'ils savaient associer au plus haut degré les idées de progrès aux sentiments de solidarité et d'affe
ient tombées sur un sol fertile. Ses collaborateurs, en communion d' idées avec la Société d'hypnologie de Paris, viennent d
souvent à loucher et surtout il m'est plus facile de repousser cette idée — par conséquent obsession diminuée et volonté pl
'Ecole de psychologie. Dans votre séance du 20 janvier dernier, aux idées émises par moi sur la formation des hiérosyncrotè
m'explique. En prenant la filiation suivante : présentation de l' idée au cerveau acceptation de l'idée par le cerveau
ion suivante : présentation de l'idée au cerveau acceptation de l' idée par le cerveau réalisation de l'idée Nous arr
au cerveau acceptation de l'idée par le cerveau réalisation de l' idée Nous arrivons à la loi établie par M. Bernheim
i établie par M. Bernheim : Toute cellule cérébrale actionnée par une idée actionne à son tour les fibres nerveuses qui doiv
e actionne à son tour les fibres nerveuses qui doivent réaliser cette idée . Il en découle la définition : La suggestibilit
stibilité est la faculté par laquelle le cerveau accepte et réalise l' idée . J'insiste sur le mot faculté car trop de personn
de concentrer la force psychique sur la faculté en question et sur l' idée à faire réaliser. Pour cela il no faut qu'un peu
ystérique ou autre) il faudra annihiler et prévenir l'acceptation des idées conscientes ou inconscientes qui se présentent en
ormellement de guérir une paralysie agitante par la suggestion. Cette idée n'a jamais été la mienne. Au point de vue chiru
al du malade par un eminent spécialiste et si le malade est atteint d' idées de suicide, il peut réaliser son impulsion en all
ni miracles, ni lois intérimaires », et Charcot, exprimant la môme idée en termes analogues, écrit à son tour : * Nous ne
isit plus. En sorte que le malheureux souffrit pendant des années à l' idée d'une maladie dont la nature ne fut jamais confir
momentanément; elle n'est pas durable. Avec le retour des. crises, l' idée obsédante renaît. On voit reparaître l'angineux s
au regret de consacrer une sérieuse évolution sociale vers un ordre d' idées rationnel et nouveau. La médecine militaire, romp
e. On a voulu ignorer la situation, en attendant que la diffusion des idées et la saine raison se chargeassent de mettre à te
re, à un ordre, ne fait autre chose qu'accepter une suggestion. Toute idée créant un dynamisme cérébral quelconque est une s
ychique —- justiciable d'une thérapeutique mentale dirigée contre des idées mal formulées, souvent subconscientes. Que devons
le contrôle et qu'elle enregistre journellement, par la diffusion des idées dont son enseignement spécial poursuit si heureus
atitude de m'avoîr ainsi fourni l'occasion do le faire aujourd'hui. Idées de doute et phobies portant sur la sphère génital
happe pour venir me dire qu'il a passé une nuit atroce, hanté par son idée fixe, par sa phobie. Il est moins rassuré que jam
a caractéristique du sujet a toujours été, avec un égoisme profond, l' idée constante d'être remarqué et jugé supérieur aux a
entuant chaque jour peut devenir la cause de véritables conflits et d' idées de séparation, que je vois déjà poindre à l'horiz
z un peu rouge à la base, dès lors, la rougeur du nez lui devient une idée fixe obsédante et c'est cette rougeur qu'elle acc
breuses cautérisations locales avaient entretenu le malade dans cette idée que son affection résidait dans la bouche. La pho
ujet le réflexe de vaso-motricité qui se maintenait par association d' idées d'une façon permanente. En conséquence, l'immob
les entretient; supprimer la vue, et par cela même l'association des idées , moteur du réflexe, sera toujours le moyen de les
la, devant moi, d'un air honteux et quelque peu contrit, il me vint l' idée d'agir ou plutôt de... parler en conséquence, c'e
s essayé de jeter une semence dans ce jeune cerveau, c'est-à-dire une idée , mais je ne savais pas si elle germerait, je n'os
animaux font de l'hypnose sans le savoir. J'ai fait dans cet ordre d' idées un grand nombre d'observations à mon hôpital vété
ualistes entre l'animalité proprement dite et l'espèce humaine. Ces idées ne sont pas nettement exprimées par Darwin, qui a
is par la mémoire et permet, par voie d'abstraction, la formation des idées de cause et d'effet. L'intelligence agissante
ril. On connaît depuis longtemps le rôle que joue l'association des idées dans la formation du langage et dans l'émission d
pensée. Cela est tellement vrai que lorsqu'il n'a pas à associer des idées et qu'il n'a qu'à réciter des choses sues par cœu
ues de pathologie, ceux qui n'ont pas eu l'occasion de s'en faire une idée personnelle sont souvent embarassés pour répondre
ème nerveux. En 18S4, il était fort audacieux de soutenir do telles idées devant la Faculté de Médecine de Paris. Les quest
s professeurs et les conférenciers n'ont qu:un seul but, propager des idées saines, continuées par l'expérience, et en même t
de cet état. (à suivre) Ces chiffres permettent de se faire une idée du rôle que joue la suggestion dans la formation
le les empreintes non seulement de la forme corporelle mais aussi des idées et des inclinations de nos pères. Montaigne U
utre parent dans la transmission d'indices innés et héréditaires. Les idées populaires, depuis l'antiquité et jusqu'à nos jou
l'alcoolisme et de la dipsomanie. Nous adressons à ce pionnier de nos idées dans le Nouveau Monde, nos félicitations et nos r
. Dans l'intervalle des accès; le malade a l'intelligence lucide, les idées nettes, la mémoire intacte, il jouit de sa pleine
lement quitté leur corps et accompli un voyage réel. Dans cet ordre d' idées , citons Er l'Arménien, dont Platon rapporte le ca
mulateur ; c'est un aliéné mélancolique, maladivement absorbé par une idée fixe. Par exemple, l'un est, à propos de quelques
, pendant plusieurs jours ou plusieurs semaines. Dans certains cas, l' idée délirante a fini par provoquer la véritable attaq
n'amènent aucune amélioration. Alors la malade devient la proie d'une idée fixe : elle est certainement atteinte d'une fluxi
itut de psychothérapie placé sous l'égide du maître, nous exprime une idée à laquelle nous nous rallions avec empressement,
La Revue de l'Hypnotisme s'empresse de faire part de cette généreuse idée à tous les amis, à tous les élèves et à tous les
est que la dévotion est une affection mentale contagieuse, et que les idées et les sentiments religieux se transmettent par s
ons pieuses L'étude généalogique qui précède permet de se faire une idée de la manière dont se sont formés les biens de ma
courte durée et, quand il doit passer à une autre, il s'épouvante à l' idée d'affronter la femme nouvelle ! Cyniquement il me
eux qui les condamnaient. Les uns et les autres étaient des fous... L' idée me vint donc dc démontrer que tout ce qu'on attri
rveuse accumulée dans cet organe et mise ensuite en mouvement par les idées suggérées à l'esprit. Ainsi agit un multiplicateu
le, en s'inscrivant le premier pour une somme de cent francs. La même idée était venue simultanément à plusieurs des admirat
n rapport avec les circonstances de sa vie, avec son caractère et ses idées générales. II y a plus. Il ne faut pas seulement
nées par les mots « le beau », « l'art » et d'autres, et de certaines idées relatives à l'idéal, idées que l'on met en relati
», « l'art » et d'autres, et de certaines idées relatives à l'idéal, idées que l'on met en relations étroites avec le bien,
rveuse accumulée dans cet organe et mise ensuite en mouvement par les idées suggérées à l'esprit. Ainsi agit un multiplicateu
it bientôt une nombreuse clientèle. Mais il était déjà hanté de l' idée que les guérîsons opérées par les prêtres de l'an
suggestion, et l'anesthésie par suggestion. Il émit à leur sujet des idées originales dont on pouvait tirer des conclusions
upe la religion chez les autres. Nous ne saurions donc partager les idées de ceux qui demandent à l'art de traduire et de r
e la vie universellement acceptées ; nous vivons au sein d'un chaos d' idées et de systèmes religieux et philosophiques dispar
rsonnelles, tellement que même ceux qui ne vont pas d'accord avec les idées qui ont donné naissance à une œuvre d'art peuvent
sance à une œuvre d'art peuvent en jouir; c'est possible, même si les idées générales du spectateur sont l'opposé de celles d
spectateur n'est pas capable de faire suffisamment abstraction de ses idées personnelles, auquel cas il se prive de grand
uissance véritablement esthétique, on doit se garder d'interposer les idées qui n'ont point contribué à la création de l'œuvr
des peintres. Il est certain que dans toute jouissance artistique l' idée de but reste à l'arrière-plan. Toute œuvre d'art
ique l'idée de but reste à l'arrière-plan. Toute œuvre d'art où cette idée préside, par exemple la poésie didactique, tombe
nt par la collaboration d'une série d'individus, de tempéraments et d' idées divergeantes, qui les uns après les autres accomp
adjuvant efficace à la méthode suggestive. Si celle-ci débarrasse des idées maladives, la course, en-fortifiant le sujet, amé
aussi au moyen des petites, vous m'excuserez de venir intercaler une idée personnelle et toute spéciale parmi les vues géné
savants en renom. C'est surtout l'intérêt pratique attaché à cette idée , dont je poursuis l'application avec persévérance
iques, tant élémentaires que composés, servent à l'incarnation de nos idées : Les chiffres — les lettres— les figures ou im
onnement de ce grand ressort de la mémoire qu'on nomme la liaison des idées . Cette puissance d'individualisation de l'image
ut quand il s'agit de malles sortant de chez le même fabricant. Mon idée est-elle réellement pratique et répond-elle à un
les provoquent. C'est le désir d'atteindre ce but qui m'a suggéré l' idée d'utiliser la (1) Nous ne disons pas que cette
rain-Image i> et « Bagage-Image o, dénominations où l'analogie des idées se trouve indiquée par la similitude de désinence
s toutes approba-tives. Voici textuellement l'une d'elles : ' « L' idée nouvelle de prier MM. les Voyageurs de coller sur
de locomotives qui apercevra un feu rouge, il ne viendra pas d'autre idée que celle de s'arrêter. Et cette même exclusion d
e idée que celle de s'arrêter. Et cette même exclusion de toute autre idée est l'avantage caractéristique du signal coloré.
t, une manière de voir appartenant à l'artiste. Celui-ci se forme une idée de ce qui est essentiel dans ce qu'il veut rendre
ce qu'il veut rendre, il transforme la réalité en conformité de cette idée et l'idéalise en ce sens ('). Que plusieurs peint
et qui se meuvent de préférence dans le monde des abstractions et des idées générales, sans grand souci de ce qui est spécial
lités immédiates, et ne peuvent se laisser entraîner dans un cercle d' idées étranger aux choses qui les intéressent : ceux qu
surajouter. Partout dans les opérations de l'esprit l'association des idées exerce son influence; comment donc se ferait-il q
ais il subit aussi l'influence d'un facteur associatif, puisque mille idées et conceptions existantes en nous s'unissent à la
l'impression faite sur leurs sens, car ils n'ont pas une provision d' idées et de sentiments moraux, sociaux ou religieux à y
arquable de l'influence exercée sur les jugements esthétiques par les idées associées se trouve dans la manière dont la conce
e utilité. L'utilité sera nécessairement un élément considérable de l' idée de beauté que conçoit un architecte s'il s'agit d
s qui manquent de vérité et ne sont que de fausses apparences, ou aux idées et aux images immorales, lors même que ces choses
cas de la), p.289. Doute et phobies portant sur la sphère génitale ( Idées de), par Edmond Vidal, p. 121. Ecole de psychol
53 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
n mange, on boit,comme dans l’état naturel; on peut donc se faire une idée d’une pareille existence, continue et variée îi l
er. Il semble que le magnétisé a la conscience de sa défaite, car une idée fixe le possède, il veut constamment gagner la po
lles pour ne pas entendre. Quand devant eux vous exposez un fait, une idée vraie, elle pénètre dans leur cerveau ; mais elle
urs de cette précieuse faculté. En 1517, Pierre Pomponacc, dont les idées philosophiques sont hardies pour le temps où il é
il s’agit, je veux, autant qu’il est en moi, concourir à dissiper les idées superstitieuses combattues par Mgr l'évêque de Vi
per les idées superstitieuses combattues par Mgr l'évêque de Viviers, idées répandues dans le monde païen, où chaque objet ma
istre écrivait (1) : « Attendez que l'affinité de la science et des idées religieuses soient réunies dans la tête d’un seul
a pensée, elle franchit les distances, elle combine certains ordres d’ idées bien supérieures à celles de l'état normal, perço
et pénètre dans une sphère île connaissances dont nous n'avons qu’une idée imparfaite ; elle peut saisir l’ensemble des évén
on développement et à sa conservation. Ernest Platner, résumant les idées philosophiques des anciens sur la spiritualité de
orrespondance des âmes avec le monde invisible. Nous retrouvons celte idée érigée en principe chez tous les adeptes de l'ill
ont d'autant plus étendues qu'elle s’écartera davantage du cercle des idées qu’elle pourrait acquérir par les sens, par l’cxp
opensions intuitives de différente nature ; elles varieront comme les idées , suivant chaque organisation intellectuelle. Nous
nsibilité et d’intelligence, ayant des propensions, des facultés, des idées natives, qu’il sait posséder et qu’il peut dirige
fectionner. » Cette définition est l'expression assez exacte de nos idées sur l’expansibilité animique, idées qui vont trou
l'expression assez exacte de nos idées sur l’expansibilité animique, idées qui vont trouver leur complément dans l’idéalisme
déalisme de l’auteur des Harmonies de l’intelligcncc humaine. . Les idées primitives que reçoit l’âme humaine, avance, dit-
Dieu, créateur de toutes choses, possède au suprême degré, non pas en idée , mais en substance, l’existence, l’intelligence,
epaître d'images; mais les sens ne sont pas les seules sources de nos idées , il y en a qui viennent de l’âme, de Dieu.... «
elles, certaines maladies, etc., suivant l’influence du climat et des idées superstitieuses de chaque époque. Les hommes les
ptions se transfigurent comme les images de nos pensées, etc. • Les idées dominantes ont une grande influence sur les hallu
si fréquemment au moyen-âge , c’est que le christianisme consacra les idées platoniciennes relatives aux mages et aux démons.
grande surprise, je reçus une communication relative à deux ordres d' idées qui étaient dans mon esprit, l'un depuis vingt-ci
mpare de l’esprit des médiums» et force au dehors l'expression de ses idées à elle, quelquefois eu «lC-pil du mortel par le
s, et des pensées lui sont suggérées, qui sont en opposition avec ses idées préconçues, et souvent trop profondes et savantes
t pourtant pas de véritables impressions ; l’esprit « ne saisit pas l’ idée ; il reçoit l'instinct et il agit en conseil quenc
avait égarée depuis la mort de son mari (2). Sans nous arrêter aux idées contradictoires qui fourmillent dans les ouvrages
: la doctrine du chevalier de Barbarin résume à peu près toutes leurs idées . Ce novateur, qui était un ancien officier d'ar
n esprit délirant. L'obscurité de leur langage, la confusion de leurs idées , l'inconstance de leurs sensations ne pouvaient m
s ruines du swedenborgisme et du quiétisme. Véritables plagiaires des idées do leurs devanciers, elles n'ont vécu que le temp
momentané des organes de l’innervation ramènerait la clarté dans les idées . La monomanie se substituerait à la démence, lors
et d’un respect affectueux pour leur présence. Telle est, en effet, l’ idée que la foi nous donne de ces saintes et pures int
savent moins que moi. Salut à ce siècle précurseur des plus belles idées et des plus grandes découvertes ! Salut à l'être,
nnées sans m’ôter le courage, m’ont pourtant obligé de renoncer à mon idée favorite. J’ai cherché dans mes élèves celui qui
s, sont d’autant plus lucides que leur sang a moins de densité. Cette idée , sur laquelle il revient sans cesse, m'a paru dig
Que les ennemis du magnétisme veuillent bien se dépouiller de leurs idées préconçues et de leurs préventions défavorables;
n œuvre propre, en nous avertissant seulement qu'il en a emprunté les idées à ceux qui inspirent son medium. De là doit natur
ui. Malheureusement le somnambule est souvent le jouet de ses propres idées , encore plus souvent l’instrument des volontés de
ns l’examen des moyens employés par l’auteur pour faire prévaloir ses idées . L’héroïne, Marguerite jeune fille candide, nat
le livre est classé dans la bibliothèque catholique, ait de Dieu une idée aussi enfantine. Ce n’est pas offenser Dieu que d
exion, ma: die à grands pas, s'arrête et marche encore. Il a fixé son idée , il considère des livres qu’il a achetés dans la
tend alors sa cigarette. Gette tabagie improvisée inspire à Auguste l' idée d’ouvrir les deux vasistas ; on les ferme vingt f
u corps, ayant une existence indépendante de lui, et qui ne conçoit d’ idées relatives au corps, qu’autant tpi elle y est port
dernier, et de cette modification naitru dans l'âme du somnambule une idée en rapport arec celle qui a fait naître ta modifi
lon lui, le langage des tables n'est autre chose que l'expression des idées instinctives des opérateurs. Nous avons déjà réfu
nts sur ce su-sujet important. Nous ferons seulement remarquer qu’une idée instinctive dont nous n’avons pas conscience est
dée instinctive dont nous n’avons pas conscience est une chimère; une idée est la représentation d’une chose conçue par notr
que par la conscience que nous en avons ; si mon esprit possédait des idées dont je n’eusse pas conscience, cet esprit cesser
je n’eusse pas conscience, cet esprit cesserait d'être mien, et cette idée me serait étrangère. Je suis donc hors d’état de
u’un n'est pas moi. L'instinct détermine des mouvements, mais non des idées . Quand une série de mouvements combinés produit u
ugés, et que la plume entre leurs mains n'a pas été l'organe de leurs idées , au lieu d’exprimer les inspirations des esprits.
iquement, il était journellement témoin des insuccès delà médecine. L’ idée lui vint d’employer le magnétisme contre cette ma
nts qu’il leur fait, M. de Lima a voulu donner à ses compatriotes une idée sérieuse du magnétisme. Il s’adresse de préférenc
on. Mais ne nous arrêtons pas à la forme, et allons au fond. Quelle idée l’auteur se fait-il de la magie? C’est ce qu'il n
vement, la nouvelle œuvre de M. Maurin, A. Morin ou M. Orina ; mais l' idée que je m’en suis formée diffère un peu de celle q
ns le second numéro, M. Morin déroule le plan du développement de ses idées et règle l’ordre d'évolution des sujets qu’il veu
e chose sous des formes différentes. Ce ressassis continuel des mêmes idées amène nécessairement des redites fréquentes et de
es et des comparaisons romanesques, quand une diction pure suffit ? L’ idée succombe sous cet attirail frivole, et, de même q
nnes manifestent de la surprise en voyant que le principal organe des idées mesmériennes, le Journal du Magnétisme, ne se soi
roupes qui agissaient en toute simplicité, consciencieusement et sans idées préconçues. J'étais sûr d’avance que M. Babinet
s. 11 l’admet carrément et sans ambages. Dans tout son article, cette idée poind à chaque instant, et quoique presque latent
ire n’a pas retenus ! N’a-t-il pas fallu formuler en propositions les idées qui se présentaient à moi? Ces propositions, 11’a
ps les amplitudes auxquelles se réduit le mouvement. Pour fixer les idées , supposons les divisions numérotées à droite et à
ves intellectuelles sont susceptibles de prendre la même extension. L’ idée conçue dans mon cerveau peut être perçue par le s
fréquence a d’action sur le cerveau, par suite sur la production des idées , et réciproquement. Le café, qui accélère la circ
ntrent-ils en crise sitôt qu’ils mettent la main sur un meuble avec l’ idée de produire des phénomènes anologues, surtout si
tion d’un être sur un autre être. Quoi qu’il en soit, et à part toute idée théorique, le fait est incontestable. Il suffit à
Le medium, sans plus avoir la conscience du mode de génération de nos idées , sera donc apte à formuler des phrases, des disco
tuelles n’a froissé aucun de mes préjugés, 11’a dérange aucune de mes idées préconçues. Lorsque nous voyons, me disais-je,
n doute préconçu, les autres sous l'empire d’une foi commune. Or, une idée qui s’empare vivement d’une foule, et l’idée reli
une foi commune. Or, une idée qui s’empare vivement d’une foule, et l’ idée religieuse est la plus puissante sur les masses,
veilleuse force qu’a créée Gut-tenberg ? Grâce à l’imprimerie, aucune idée utile ne peut être étouffée maintenant, le grand
au monde! « El vous, nos frères d’Amérique, ardents néophytes de l’ idée nouvelle, marchez dans votre croyance comme vos r
otre attention a été si longtemps enchaînée par des discours pleins d’ idées profondes, je m’arrête à ce point culminant de la
qui me mettait en présence d’une saisissante réalité, vous donner une idée bien décolorée, il est vrai, mais qui vous intére
collègue, en grande partie relatifs à l’imagination, puis ses propres idées sur le magnétisme en général et la clairvoyance e
de a institué une Société mugnélologique qui a pour but de propager l’ idée que le magnétisme est... curatif!!! Cette socié
e saurais trop insister, c’est que lorsqu’on occupe les somnambules d’ idées métaphysiques, ils donnent dans toutes sortes d'e
le mérite de la priorité et se laisse appeler révélateur des faits et idées qu’on désigne maintenant sous le nom de spiritual
culté de médecine. Quand je vous visiterai, je vous ferai part de mes idées à ce sujet. Je suis reconnaissant qu’on ait pen
à bien juste titre le plus vif regret de n’avoir pu la partager, et l’ idée grande et généreuse de la propagation du magnétis
e reconnaissance qui débordent de mon cœur. Plein de confiance dans l’ idée que les efforts auxquels je dois voire approbatio
ait fait le système psychologique le plus bizarre, et qu’il liait aux idées magnétiques ; système consistant à regarder la so
e en considération. L’analyse de ce document ne vous donnerait qu’une idée insuffisante de son contenu ; nous aimons mieux v
st en traitement magnétique, qu’elle compte beaucoup mieux et que ses idées s’enchaînent plus facilement. Elle nous fait sa
ion, est la cause du bien-être que l’on éprouve... Laissons de telles idées à ceux qui les professent, elles pourraient tout
u des réponses tantôt favorables, tantôt opposées à ma volonté, à mon idée ou à. celle des assistants, tantôt surprenantes,
homéopathique réussit à merveille, et Massimo retrouve le fil de ses idées . — Ce passage, fort bien exécuté d’ailleurs, m’a
es courants de Mesmer, Newton et Descartes. — M. du Potet reprend les idées do Mesmer et établit l’école physique du mesméris
nerveux à la titillation d'animalcules absorbés. Raspail reprend ses idées , les développe et nous fait un tableau aussi effr
dit Hip-pocrate? Les crises jugent les maladies. Supposons, selon ces idées , que le cerveau de l’idiotne reçoive pas la quant
s’agissait d’animer l’écorce de son être ; il pouvait bien avoir des idées , des combinaisons, du jugement dans son intellige
i manifestaient son existence à l’extérieur. Ainsi je puis donner des idées à mon chien, éveiller chez lui une série de réfle
ées dans son crâne, car il n’a pas la parole pour l’expression de ses idées , et les gestes qu’il fera pour me les transmett
par le nom d'électricité humaine. Cuvier était-il bien loin de ces idées , quand il a dit : « 11 y a grande apparence que
n sent sous ces paroles l'embarras dans lequel est Cuvier en face des idées mesmériques, et l’on voit très-bien qu’il désigne
epte; des expériences dirigées dans ce sens eussent donc été dans ses idées . En effet, il est très-simple de comprendre l’ex-
énie humain, il n’adopte en général que ce qui rentre dans le cadre d' idées qu’il s’est ouvert; sans lui répugner, les choses
u le cessait suivant qu’il s’approchait ou s’éloignait. — Sa première idée fut de voir dans ces deux faits une corrélation a
nétaire et l’action de l’aimant sur le fer; plus tard il fit de cette idée un de ses aphorismes. Eli ! n’a-t-on pas le droit
ient placé à l'avance dans un chemin favorable à l’acceptation de ces idées . Si, d’après ces expériences, pas un de nos mouve
e, est à même d’apprécier ces faits, Matteuci est-il bien loin de nos idées , ne nous aide-t-il pas même admirablement en fais
électricité. » Voici une phrase qui est faite tout entière pour nos idées ; car je suis loin de prétendre que le mesmérisme
, le tiercelet, qui agite ses ailes par ondulations, mènerait à cette idée , si un phénomène de sensation mesmérique ne le pr
ton discordant. ("est ainsi que Matteuci me mène en plein dans les idées cartésiennes, qui aident parfaitement les idées m
ène en plein dans les idées cartésiennes, qui aident parfaitement les idées mesmériques sur l’action à distance; car si j’act
utre chose que le théomé-disme admis par le moyen-âge ; c’est la même idée , mais séparée de la divinité à laquelle on rattac
Ce passage est des plus curieux, en ce sens que Newton corrobore nos idées d’analogie sur les impondérables, mais (1) Newt
ont entraînés (1). » Cette comparaison est très-juste, et donne une idée des vastes conceptions (Je Mesmer; son génie embr
n sympathique. Ainsi, en mettant tout esprit de parti à part, toute idée enthousiaste de côté, il est certain que la place
pulsion de Descartes et se fit Français ! Pour retrouver le fil des idées de Mesmer dans l’histoire du mesmérisme, il faut
t personne de méthode générale. M. du Potet vint, et, reprenant les idées de Mesmer, il dit : n La volonté est le principe
t dans les brumeux horizons du somnambulisme. M. du Potet reprend les idées de Mesmer, et constitue une véritable école ; et
ériques qui me conduit à vous donner ce conseil. — Alors, c’est une idée à vous? — Oui, monsieur, renouvelée des Grecs,
le premier malade adressé aux pêcheurs de la Méditerranée. — Votre idée est magnifique, reprend mon client; il y a de quo
ents viciés. La torpille donne la première raison affirmative à cette idée toute théorique, et si maintenant 011 prouve que
ant lui-même un divin instrument. » Vous le voyez, magnétistes, nos idées d’avenir font leur chemin. C’est que dans la véri
de Mesmer, qui étaient riches et bienfaisants, eurent tout d’abord l' idée d’en faire profiter les pauvres. Mais l’accès des
sous la direction d’un comité de médecins. L’élan une fois donné, l’ idée gagna vite du terrain ; et, en 1852, Mgr l’archev
ut être bien dirigée que par un homme de l’art. Je repris alors mes idées , et M. du Potet annonça dans le Journal du Magnét
rases sonores où une obscurité affectée cherche à masquer le vide des idées . On se demande si c’est une gageure de mystifier
seconde j’étais seul avec lui etM. Na-pier, et nous n’avions d’autre idée que d’obtenir des réponses sur celui auquel appar
ait jamais entendu parler de Montrose; elle n’avait pas eu la moindre idée du but que je me proposais quand je lui avais dem
fut ensuite en observant la foule, qu'elle adopta, mais lentement, l’ idée d’une exécution. « Ceux qui connaissent les dét
ma la lettre cachetée, sans l’avoir ouverte, et sans avoir la moindre idée de son contenu , conjecturant qu'il s’agissait pr
es faits aux explications, le savant adepte donne la substance de ses idées sur la classification possible du phénomène en qu
qu’un fait apparaît, nous ne pouvons nous empêcher de nous former une idée de la raison de son existence; et il n’y a aucun
. Paris, l'a mis dans le cas de pouvoir donner à ses compatriotes une idée de l’état où se trouve la question du magnétisme
e la pince. Le pouls n’offre rien à noter. Elle parle seule, suit son idée dans son discours sans s’interrompre ; prononce u
lui fait-on des questions étrangères, elle poursuit toujours la même idée . L’accès de ce jour a commencé à trois heures e
ropos analogues à ses habitudes les plus fortes de méditations et aux idées particulières de son extase. » Quant au traitem
ance capable d’opérer une diversion curative dans l’exaltation de ses idées rçlatjvçs sü sorcelage, absorbant son attention.
su depuis, écrit-il, qu’Itard, longtemps avant moi, avait eu la même idée , et l’avait publiée dans son ouvrage. » Mais il o
el de ce qui se sera passé d’intéressant dans le pays, concernant les idées et les faits magnétiques. — La ville de Lyon a
tenu le drapeau d’une main assez ferme, se rattache comme théorie à l’ idée de Mesmer, qui voulait identifier le principe de
, surtout dans la science, est un droit pour celui qui a de nouvelles idées à énoncer ; mais un devoir résultant de ce droit,
ennent à la physique positive, et qu’il est tout à fait en dehors des idées des anciens qui ont traité de la baguette divinat
ordinairement contre cette maladie n’avaient rien produit sur elle, l’ idée me vint de la magnétiser. J’étais accompagné de M
et que dans son état normal il est incapable de concevoir la moindre idée de la construction d’une machine ou de tirer un p
alors aux mauvais jours de la République, le communisme et toutes les idées les plus subversives étaient aux prises avec les
nts que nous venons de décrire. Insensiblement sa santé s’altéra, ses idées tournèrent à la mysticité; enfin, en 1851 elle su
sont des mots qu’il faut changer, car ils n’expriment que de fausses idées . L’humanité vit avec le mensonge, les croyances r
sentiment, ni pensées, mais des vertiges de sensibilité, des débris d' idées qu’il revêtait encore de paroles confuses que lui
lerins et mon cimetière? Je cherche une introduction, je poursuis une idée , je médite un rapprochement, et, croyant avoir tr
s, presque tout ce qu’il a dit est encore applicable. Beaucoup de ses idées ont été réalisées à Calcutta, Londres, etc. ; mai
s et des pages entières sur des sujets dont je n’avais pas la moindre idée . J’étais abasourdi. Plus tard, l’écriture tracée
riences plausibles. _ Un mot maintenant sur la mise en œuvre de ces idées et l’administration intérieu re. Deux heures
nciles ou même les arrêts de l’inquisition, ne parviennent à tuer une idée : la vérité se rit des obstacles et fait son chem
ut donc affirmer, à l’égard d’aucun fait, qu’il soit surnaturel, et l’ idée de surnaturel est antiscientifique. La question
investigation; si bizarre, si choquant qu’il soit, si contraire à nos idées préconçues, nous n’avons jamais le droit d’en ref
11 est indispensable qu’une pensée dominante, un plan déterminé, une idée unitaire président à sa marche. Or, ce n’est qu’à
soins empressés auxquels elle doit sa prospérité actuelle. « Si ces idées générales sont vraies, si l’on peut se fonder sur
s ; mais on n’y a rien compris ; les explications ne donnaient qu’une idée imparfaite du travail opéré; l’ouvrier intelligen
tion; mais il ne put obtenir d’aveu. ( Le sieur Guerand eut alors l’ idée d’aller consulter une somnambule à Paris, et sur
s est insuffisant pour obtenir des effets positifs, il fixe assez les idées pour donner le goût d’étudier, et Ton ne peut esp
t le système de l’auteur, nous ne croyons pouvoir mieux en donner une idée à nos lecteurs qu’en citant textuellement l’expli
e centre des opérations sensibles de l’àme, mais non dans la fausse idée que l’âme y soit exclusivement présente, et qu’el
r a dit qu’avec la foi on pouvait remuer des montagnes......... « L’ idée d’une pile ou chaîne humaine ne date pas d’hier,
s pauvres qui leur arrivent ; mais elle restera pour attester que les idées mystiques n’absorbent pas l’esprit de tous les ma
ue un autre objet même que le spiritualisme; car il n’en dit mot. Une idée confuse exprimant l’Espérance en termes vagues et
econd moi, à tel point que ce dernier ne peut avoir de sentiment ou d’ idée qui ne soit aussitôt transmis à la personne somna
qu'il franchit le seuil de notre porte. « Jamais on ne se fera une idée de la fureur de passion avec laquelle tout le mon
« Nous gardâmes la chambre;... et je ne sais pourquoi nous primes l’ idée de songer aux événements publics et de nous occup
i je le voulais, tout comme les autres. Mais je tâche « d’écarter les idées de ce genre ; elles ne m'ont que trop « tourmenté
Nous « étions restés longtemps chez moi, à causer et à fumer, et « l’ idée nous vint de sortir du palais, incognito, pour vo
s, la scène change, le somnambulisme intervient. Celui-ci reporte les idées au magnétisme et fournit à l’écrivain l’occasion
magnétisme, et donne la preuve que toute la société était émue par l’ idée des faits. « 11 juin. — Je fus charmée d’une vi
ux, et les phénomènes du magnétisme confirment encore quelquefois ces idées . « 1" février. — A onze heures il y avait une s
Elle ne m’aime pas! répétait ce jeune insensé, tout bas. « « Celte idée seule le frappait. Ni son danger, ni les autres t
personnelle et non un traité scientifique, comme le titre en donne l’ idée . Toutefois, cet ouvrage n’est pas dépourvu d’inté
se en donnerait une explication plausible et serait d’accord avec les idées que d'autres faits m’avaient suggérées sur le mél
’il faut avoir en grande défiance les observations isolées, et qu’une idée doit être successivement élaborée par plusieurs c
sulte faite au Dieu de clémence ; elle combattit si victorieusement l' idée que le démon, être fort problématique comme perso
54 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
ris de vengeance que j’ai, dit-il, fait entendre, sont assurément une idée assez heureuse pour donner une teinte dramatique
la plusieurs fois avec autant de savoir que d’éloquence. A la fin ses idées sur les esprits et leur commerce avec l’homme ava
s’en servir pour propager, d’une manière gracieuse et attachante, des idées qui, exposées d’une manière didactique, n’auraien
roit de semer les fictions à pleines mains. Mais il doit croire à son idée , ou bien, au lieu d’être un poète, il ne sera qu’
Ce dédain, qui semble si légitime et si rationnel, vient de la fausse idée qu’on se fait des appareils. Quelques extatiques
qui ne sont lucides que sous l’empire de certaines maladies ; de là l’ idée si répandue chez les anciens, que les mourants av
Ce dédain, qui semble si légitime et si rationnel, vient de la fausse idée qu’on se fait des appareils. Quelques extatiques
qui ne sont lucides que sous l’empire de certaines maladies ; de là l’ idée si répandue chez les anciens, que les mourants av
dont la précision est aussi extraordinaire que propre à confondre les idées reçues. Ce second point, le plus étrange, est une
e sa pensée est que les tables sont comme un miroir qui réfléchit les idées , les sentiments, etc., des opérateurs : elles ne
inance du système négatif de l'économie. » A nous, mesméristes, ces idées nous expliquent pourquoi nous calmons le délire p
ssage sur l’épilepsie, la catalepsie et l’hystérie. On y trouvera des idées d’où les pages mesmériques vraiment sérieuses n’a
sses de toutes les classes prennent chaque semaine par suite de leurs idées religieuses, c’est à ces moyens surtout qu’ils do
i grossit la bourse. Dans un prochain numéro je ferai connaître les idées de ce savant sur les moyens de prolonger la vie ;
u’il cultive depuis longtemps avec grand succès, il conçut de suite l’ idée de recourir à ce moyen souverain pour arracher un
èglement. Je n’ai pas besoin de vous dire, mon cher maître, que nos idées sont les vôtres ; il ne peut en être autrement. L
e de leur insuccès que pour leur opposition systématique à toutes les idées nouvelles. Par exemple, le public voit tous les j
qu’on n’y observe peu ou point de cette incohérence ou incongruité d’ idées qui est si spéciale au rêve ordinaire. Au contrai
même aussi, quand l’attention est lixée sur un certain enchaînement d’ idées , tout ce qui se dit d’accord avec les idées est e
un certain enchaînement d’idées, tout ce qui se dit d’accord avec les idées est entendu et apprécié par le somnambule ; mais
mettait souvent à pailer une heure ou deux après s'être endormie; ses idées roulaient presque toujours sur les événements du
es questions ou observations qui ¡rentraient pas dans le cours de scs idées , elles ne faisaient aucune impression. Toutefois,
l’expression particulière de la physionomie. Danscette situation, les idées étaientd’abordfixéesentièrement sur un seul objet
dans ce dernier, il y a fréquemment, comme il a été déjà dit, quelque idée dominante de laquelle l’attention du somnambule n
il musculaire. « Non-seulement de simples émotions, mais encore des idées déterminées peuvent être excitées de cette façon.
nambule au-dessus de sa tète et fléchissez les doigts su" la paume, l’ idée de grimper, de se balancer, de tirer une corde, e
fléchit les doigts tout en laissant pendre le bras le long du côté, l’ idée qu’on excite est celle de soulever un poids; et,
bras étant porté en avant dans la position de donner un coup, c’est l’ idée de boxer qui surgit. Le pouvoir de l’opération po
ncipe dont il dépend. La facilité avec laquelle des sentiments ou des idées particulières peuvent être ainsi excitées, est so
, caractérise un tel état, à savoir la possession de l’esprit par une idée dominante, idée qui, infusée ce semble par le pri
tel état, à savoir la possession de l’esprit par une idée dominante, idée qui, infusée ce semble par le principe de suggest
stammentles yeux fixés sur l’objet et l’esprit uniquement attaché à l’ idée de cet objet. On observera qu’en vertu du consens
pas déraisonnable de regarder cette relation comme le résultat d’une idée dominante qui possédait l’esprit au moment de tom
des connaissances des personnes présentes. A cela je réponds que nos idées d’hier ne sont pas celles de demain, lesquelles n
gnorés le nouveau phénomène pourra dévoiler un jour! Science infuse ! idées innées! criera-t-on. Qu’importe. J’aime micuv c
nte qu’il occupe dans l'enseignement ecclésiastique, la nouveauté des idées physiologiques émises dans cet écrit spécialement
ilieu du réseau de circonlocutions et de précautions oratoires dont l’ idée est presque toujours enveloppée; enfin, de découv
e, ajoute-t-il, unit par un lien secret, mais réel, les choses et les idées ; car le monde intellectuel a son magnétisme, non
quelque découverte, et cha- 3ue découverte passant tôt ou tard des idées aux faits, ou e l’individu à la société, vient l’
la mission des écrivains se rapporte particulièrement au travail des idées , aux développements de l’esprit public, la propag
vrage dont nous nous étions chargé de rendre compte pour donner une idée de son importance aux différents points de vue d’
p d’œil à ma pharmacie, où je ne trouvai rien qui me convînt, j’eus l’ idée de faire un vomitif magnétique. A cet effet, je p
n verre d’eau et j’imposai la main dessus environ deux minutes avec l’ idée que cette eau me servît de vomitif et amenât ma g
e de son propriétaire qui l’avait ensorcellé, et il fit part de cette idée au devin lorsqu’il le revit au rendez-vous conven
igé par le docteur Durand'Fardel, lequel n’est qu’à demi conforme aux idées magnétiques. — VEntr’aete du 20 mars relate la
a surface du globe, et d’infiltrer lentement, mais régulièrement, ses idées dans tous les lieux de réunions publiques où se p
ison auquel le malade s’exposait sans le savoir. Préoccupé de cette idée , j’en parlai à un de mes parents qui connaissait
dier la question du magnétisme que du côté qui pouvait satisfaire ses idées philosophiques. Il a eu le tort de demander à la
ons point d’autre but que de mettre à môme le lecteur de se faire une idée du point de vue auquel s’est placé M. Jacques dan
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
itement identique à celle de l’homme qui, ayant fortement attaché à l’ idée d’une époque précise, encore future, celle d’une
, les signes qui le lui annonceront, ramèneront dans le cercle de ses idées , avec la notion de ce temps, celle de l’acte qu’i
la cause de leur vie. Cependant Barthez, tout en ayant renoncé aux idées trop métaphysiques des anciens sur la nature du p
huitième chapitre du livre de M. Ragon. Nous y trouvons, entre autres idées heureuses, une hypothèse qui ne doit point tomber
de cet agent, et auxquels l’enthousiasme ou le fanatisme de certaines idées donne la faculté de se concentrer et de s’absorbe
ant les yeux sont éblouis et l’esprit captivé. .Mais tout fait, toute idée , toute vérité, tout ce qui enfin s’écarte du doma
? La réunion de mille systèmes différents, un monstrueux assemblage d’ idées contradictoires propres seulement à éterniser des
IXe siècle? La négation du juste et de l’injuste; assemblage confus d’ idées fausses et mensongères sur la nature de l’homme e
tres animés des modifications plus ou moins importantes. Tant que ces idées aventureuses ne seront pas confirmées par l’expér
ont commencé par n’être que des hypothèses. « Mesmer poursuivant l’ idée du fluide universel, fut conduit à ramener à une
où s’élabore la pensée du genre humain, où af-uent toutes les grandes idées , foyer d’où part l’étincelle qui éclaire et agite
ue toujours rebelles au progrès et enclins à opposer la routine aux idées trop hardies qui ont le tort irrémissible de déra
novateurs qui n’ont pas le bonheur d’être témoins du succès de leurs idées . Comme Moïse, qui ne put entrer dans la terre pro
l’acide chlorhydrique versé à son insu dans la lessive, et elle eut l’ idée de consulter Mm* Mongruel pour connaître l’auteur
olue et qui, à première vue, peut paraître choquante en rappelant les idées fantastiques de la pierre philosophale et de pana
es doses, ces règles, il les eût au moins formulés! Non, messieurs, l’ idée n’en est pas même admissible. Médecin distingué,
nteraient pas d’un raisonnement qui repose sur un ordre de faits et d’ idées dont ils contestent les premiers et raillent les
e par malheur arriva de Paris un médecin ami du magnétisme, qui eut l’ idée de se mêler de l’affaire et conseilla à la somnam
influence particulière d’une exaltation cérébrale, fruit de certaines idées , qui absorbait complètement tout le reste de l’or
uloir l’admettre lorsqu’il s’agit d’une autre catégorie de faits et d’ idées ? L’imagination ne peut-elle pas être une cause et
hétique : cela me suffit. Si Mgr Sibour ne voit pas le démon dans les idées exprimées par les somnambules, mais le reflet de
e le crois comme un grand pas de fait vers un rapprochement, dans les idées sur les esprits, entre M. de Mirville et moi ; et
s plus fantastiques de ceux qui nous attaquent, et, quelle que soit l’ idée , nous la discutons sérieusement. Tant pis pour qu
ce des choses. Or, que voyons-nous tout d’abord, et comme donnant une idée générale de la solidité du terrain sur lequel se
e pouvons que nous affliger de voir une légèreté si grande dans les idées s'appuyer sur une âpreté aussi dogmatique dans le
rosité laiteuse qu’elles iiii>siii 1.1 ('chapper. Partant de cette idée que le fœtus était iiiuri. ¡I fut fortement quest
e n’cst-il pas soutenu celui qui se dévoue à jeter dans le inonde des idées , une idée nouvelle, ou bien encore une idée dès l
pas soutenu celui qui se dévoue à jeter dans le inonde des idées, une idée nouvelle, ou bien encore une idée dès longtemps m
jeter dans le inonde des idées, une idée nouvelle, ou bien encore une idée dès longtemps mise au rebut ? Il est fou ! crie
la nature humaine, pleine, hélas ! de misère et d’infirmités; car une idée nouvelle réduite en actes, c’est un grand nombre
n’avons certes pas la prétention d’apporter au monde scientifique une idée nouvelle, chose rare et précieuse en notre temps,
our expliquer une chose, même tle travers, ¡1 faut avoir au moins une idée de cette chose, afin que, si l’interprétation en
nt le somnambulisme proprement dit (J). Aussi, quel désordre dans les idées ! Quelle confusion dans l'analyse ! Quel chaos de
davérique ; surdité qui isole mîme du magnétiseur, domination par une idée unique, presque toujours religieuse; agenouilleme
considèrent le cerveau comme l’estomac de l’intelligence digérant les idées comme le gaster digère les substances nutritives.
us avons été matérialiste. Disciple de Broussais, nous partagions les idées et les préventions de notre maître. Aujourd’hui,
sans l'intermédiaire des fonctions de relation, donnent peut-être une idée assez nette de cette action rayonnante des êtres
M , qui énonce, mieux sans doute que nous n'avons su le faire, une idée analogue. Nous sommes heureux de nous rencontrer
i nous entraîne ; — clans une occupation monotone, nous n’avons pas l’ idée du temps qui s’écoule, — nous n’avons pas conscie
donnés sous l’empire d’une tendre passion pour une amante, — avec des idées chastes par une mère, —ou avec un sincère abandon
éloignée, aucune notion de magnétisme assez précise pour me donner l’ idée d’en faire le rapprochement avec des faits d’ordr
agle que de nom et que par ouï dire. Ils ont pour la plupart si peu d’ idées de ce phénomène qu’ils le confondent toujours a
elle de toutes : peu à peu je sentais le trouble « se mettre dans mes idées ; c’est en v ain que je causais avec « mes guides,
equel s’élèvent les constructions de la fantaisie; l’enchaînement des idées accomplit cette transformation qui a lieu suivant
lques mots des aberrations de l’odorat et du goût. Cet enchaînement d’ idée , qui donne naissance au ragle, a lieu suivant la
que ce souvenir se présente à l’esprit par suite d’un enchaînement d’ idées dont la première est née de quelque sensation qui
ltés qu’on rencontre chez les lucides: ces pauvres folles, imbues des idées de possession et de sortilège, ont l’imagination
e de la sorcellerie, ait commis aucune des pratiques qui, d’après les idées reçues alors, avaient la vertu d’appeler le démon
ire devant soi les expériences dont nous allons essayer de donner une idée à nos lecteurs? Le sujet que M. Lecomte a soumi
e naître en nous l’espoir, puisque déjà le magnétisme se présente à l’ idée de tous ceux qui souffrent et languissent, et que
quand je m’adressai à des personnes plus âgées, elles traitèrent mes idées de rêveries superstitieuses et s’en moquèrent. Né
s de la baguette tournante pour indiquer les eaux. Je rattachai cette idée à mes observations précédentes; je saisis donc la
sée sur line longue expérience. « Beaucoup de gens se révoltent à l’ idée de choses dont ils ne comprennent pas le pourquoi
ontrent les faits magnétiques sous un jour si éclatant. Revenus à des idées plus nettes, mieux comprises, sur ces étranges ma
première, c’est du moins ce que pourrait faire penser la conformité d’ idées et l’ensemble des discours dénotant la persistanc
ntis et manifestés. « Mais c’est de la suggestion ! s’écria-t-il. » L’ idée et le mot étaient trouvés. Par ce mot la théori
ce de volonté magnétique, laissait ainsi, à son insu peut-être, cette idée de résistance impossible se développer dans l’esp
rveilleuse influence demeurée si mystérieuse jusqu’ici. Cet ordre d’ idées nous amène par une force logique à l’examen direc
natisme qui précipitait ceux-ci contre ceux-là? Etait-ce uniquement l’ idée religieuse, dont, nous sommes loin toutefois de c
s co-religion-naires. Or, quelque exaltée que l’on veuille supposer l’ idée religieuse, même à cette époque, pense-t-on qu’el
ait surnaturel et à reconstruire, d’accord avec la raison, un ordre d’ idées qui s’enchaînent parfaitement, se tradaisent'l’un
pos de faits d’un ordre surnaturel. « De Hafin avait eu la mauvaise idée de composer un livre sur la magie. Ce travail, as
e qu’avec peine de s’être laissé aller à de pareilles rêveries, à des idées superstitieuses indignes d’un grand esprit, et so
elques-unes mêmes résistaient à « ses soins. » « Greatrakes avait l’ idée que la faculté qu’il possédait était un don de Di
e de cette fameuse accusation intentée contre de Haën à propos de ses idées sur la magie et la sorcellerie. » 11 n’y a, dan
ommuniqués aux objets soumis au contact d’êtres organisés, résume ses idées sur ce point délicat, dans le numéro du 24 juin 1
es faits les plus importants à connaître, les doctrines et toutes les idées émises sur ce vaste sujet. Les phénomènes de spir
s ambulants, à ceux qui ne savent point pénétrer dans le domaine de l’ idée et s’élever à de plus nobles choses ; tout leur a
ute ma vie, je n'ai cru qu’au giron de l'Ecole. Je n’avais, en fait d’ idées sur ce qui nous occupe, que les dénégations magis
it, s’élevait, et le désordre de mes sens croissait avec celui de mes idées . Ebloui par le vertige, je me dressai éperdu sur
e abstraction ! Toutefois, je dois dire que le clergé local, devant l’ idée religieuse et la sagesse duquel je m’incline, n’a
oigner de son imagination tout sujet de frayeur en la rassurant par l’ idée logique, tel devait être le but du médecin, et c’
n ne la veille plus, elle n’a plus peur. Elle revient d’elle-même aux idées religieuses comme à l’affection de son père. La m
’il avait reçu le don de guérir les écrouelles. Poursuivi par cette idée , que la raison combattait, il la tint secrète pen
volonté ou faculté de réagir sur nous-mêmes fournit à la conscience l’ idée de notre personnalité, l’idée du moi. ». 11 est
ur nous-mêmes fournit à la conscience l’idée de notre personnalité, l’ idée du moi. ». 11 est évident que notre volonté n'e
aute mission , ont refusé d’examiner une innovation contraire à leurs idées reçues, et n’ont pas craint de la nier et de la d
de mes connaissances. » Cette brève citation suffit pour donner une idée de la valeur de cette pièce, valeur toute de sent
re môme vois-je plus loin que vous. Longtemps placé comme vous, mes idées étaieut aussi les vôtres, ma plainte sur ceux qui
en jeu, comme dit le comte de Richemont. On se fait une trop haute idée des esprits ; il n’y a pas plus de différence ent
. Constant, écrivain distingué, penseur hardi et champion courageux d’ idées généreuses, s’est livré à de longues et patientes
ve de ses passions ou des préjugés de ce monde ; l’homme qui aime ses idées et qui a peur de les perdre, celui qui redoute le
porte aucun secret nouveau. M. Constant nous semble n’avoir pas des idées bien arrêtées sur la valeur des rites. Tantôt il
de l’analogie dans les trois mondes; que tout signe correspond à une idée et à la forme spéciale d’une idée; que tout acte
es; que tout signe correspond à une idée et à la forme spéciale d’une idée ; que tout acte exprime une volonté correspondant
ale d’une idée; que tout acte exprime une volonté correspondant à une idée et formule les analogies de cette pensée et de ce
55 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
entaire et surmenée quant au développement de l'intelligence. » Les idées délirantes, qui se sont développées progressive
rale violente et de quelques excès alcooliques. Ce sont d'abord des idées ambi- tieuses avec croyance à des faveurs surna
hysique et intellectuelle de M. D..., provoquèrent à leur suite des idées de persécution, associées aux idées ambi- ' Com
, provoquèrent à leur suite des idées de persécution, associées aux idées ambi- ' Communication faite au Congrès internat
e la personnalité. 2v 3 lieuses et qui prédominent aujourd'hui. Ces idées délirantes sont entretenues par des troubles ha
e, deux dans sa gorge, un dans son ventre, un dans son estomac. Ces idées de possession sont accompagnées d'idées de néga
e, un dans son estomac. Ces idées de possession sont accompagnées d' idées de négation et reposent sur différents symptôme
lace ensuite comme domestique, mais elle reste poursuivie par des « idées noires », sa mère la me- naçant toujours de la
oujours de la faire ramener par la police. A Pâques 1888, nouvelles idées de suicide. D... est une fille robuste, de bell
tats analogues où le moi, la volonté, le jugement sont obnubilés, l' idée d'impuissance motrice tend à se réaliser object
bjectivement sous la forme d'une paralysie complète, absolue. Cette idée , qui s'implante ainsi sans contrôle, peut être, o
produite par l'immobilisation forcée n'a-t-elle pu faire naître une idée de paralysie qui, dans un cerveau incapable de ré
ts, dans ce cas, d'un voile de substance grise. Pour en avoir une idée nette, il faut l'examiner sur le bord interne d
inger s'ex- prime ainsi à son tour : « Les associations multiples d' idées , de souvenirs, de sensations, de mouvements, qu
, que Seppilli a eu l'occasion d'observer, a modifié en ce sens les idées du médecin d'Imola : Femme de trente ans, épi
ais avec une grande quantité de pseudo-réminiscences; le cercle des idées est rétréci et leur cours est lent ; le malade
u et crée l'orthophrénie pénitentiaire. M. 111EIVIteL se rallie aux idées de M. Leppmann. M. NEUE[\(- DORFF. L'anthropolo
de la littérature ont servi à l'auteur à la démonstration de celte idée . En levant la séance, M. le D1' Motschoutkovsm
ssionnée, qu'elle fût mo- trice, sensorielle, même psychique. Les idées délirantes n'ont pas été modifiées; elles sont re
à son cercle fibreux ventriculaire : toujours entraîné par cette idée , il y ramenait tout ce qu'il observait. Si je m
suis égaré et si, comme Foville je me suis laissé entraîner par une idée préconçue, par une con- ception théorique, mon
active). Plus tard, courte agitation avec quelque désordre dans les idées . Deux cas de psychose stupide assez longue. Deu
ent pas con- tenir leurs appétits, ni refréner leurs passions : les idées mo- rales et sociales sont insuffisantes à main
es mots, un accès passager de délire alcoolique, quelquefois avec idées ambitieuses et préoccupations hypochondriaques, p
ère hésitation de la parole, de l'inégalité pupillaire, parfois des idées de satisfaction ou des préoccupations hypochondri
on normale, il y a un défaut d'équilibre. Un délire polymorphe, des idées ambitieuses, mys- tiques, de persécution, etc.,
la parole et quelquefois aussi de l'inégalité pupillaire donnent l' idée d'une paralysie générale, et, comme l'amélioratio
générale, des fourmillements, qu'il peut attribuer à l'électricité ( idées de persécu- tion), d'autres fois il y a anesthé
antôt le délire est ambitieux non continu, tantôt mélancolique avec idées de persécution. 4° L'excitabilité musculaire es
e prononcer : calmes dans l'asile, ils sont souvent repris de leurs idées dès leur sortie. Pour la leur accorder il faudr
suivantes : 1° L'aliéné persécuteur se reconnaît à la nature de ses idées délirantes : r idées de haine, de vengeance, id
né persécuteur se reconnaît à la nature de ses idées délirantes : r idées de haine, de vengeance, idées persécutrices; à la
la nature de ses idées délirantes : r idées de haine, de vengeance, idées persécutrices; à la fixité de ses idées déliran
idées de haine, de vengeance, idées persécutrices; à la fixité de ses idées délirantes, à leur longue durée ou à leur retou
ongue durée ou à leur retour fréquent; à la tendance extrême de ces idées à commander l'acte] délictueux; 2° le médecin éta
'irresponsabilité, quand le délit est un acte pathologique, lié à l' idée délirante; la responsabilité atténuée,, quand,
le délinquant, malgré l'absence de lien entre le délit commis- et l' idée délirante, il se trouve une accumulation de préso
ptions ci-dessus notées, il n'y a aucun rapport entre le délit et l' idée délirante; 3° la séquestration de l'aliéné perséc
s qui le sont moins, ce sont ceux qui ont un délire alcoolique avec idées de persécution et que M. Charpentier a peut-êtr
e sur le travail comme élément moralisateur, c'est dans cet ordre d' idées qu'on assiste les épileptiques à Lyon. M. L9n
quamation sèche et induration de la peau. La localisation éveille l' idée de la pellagre, l'auteur croit que dans ce cas l'
sa famille; il est calme, d'humeur égale. L'état de dépression, les idées de satisfaction ont disparu. En l'absence de
atrophie partielle des hémisphères cérébraux. Neurasthénie tardive. Idées obsédantes. Ramollissement cérébral.- M. SÉGLAS
ous apprend encore le rôle de l'auto- suggestion; elle provoque des idées subites et des impulsions qui détonent dans la
élancolie avec angoisse et hallucinations - exaltation avec gaieté, idées de grandeur - manie avec' confusion dans les id
ion avec gaieté, idées de grandeur - manie avec' confusion dans les idées . Tous ces types portèrent l'empreinte de l'épuise
re sinon vraie, du moins ori- ginale, et qui sert à mieux fixer les idées . La première partie est consacrée à Goltz (de S
it donc antérieure au traumatisme. Le Dr Hughlings Jackson a émis l' idée que ces cas sont une variété de chorée spinale.
c Iheory of goût. il, 1880, t. 111, p. 1.) CLINIQUE MENTALE DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS; Par M. le D'J.
ne poursuis aucune vue doctrinale, que je me suis défendu de toute idée préconçue ? Je me suis systématiquement borné à
s en formaient la deuxième caté- gorie 2. En 1860, il formula son idée plus nettement : le délire de ' Dans son articl
ent : le délire de ' Dans son article sur les persécutés génitaux à idées de grandeur, paru en mai 1890 dans les Ann. méd
istian, qui n'admettent encore que la lypémanie avec prédominance d' idées de persécution (p. 375). M. Doutrebente aurait
'appelle le Délire de Persécution « cette forme de lypémanie ». Mes idées se sont modifiées depuis. J'ajouterai qu'en 187
'- Études cliniques, II, passim; p. 112; obs., 7, 8, 10, etc. , DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 327 persécutio
Morel a également signalé, et il a été le premier, l'apparition des idées de grandeur chez les per- sécutés. Ici encore,
il surviendra une transformation non moins extraordinaire dans les idées et les sentiments du délirant par persécution,
i faire un reproche. Il ne pouvait manquer de subir l'influence des idées de son temps, et, d'un autre côté, si l'on rang
de Delgiqtie, nos 59 et 60. Semaine médicale, 1890, n° 50. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 329 Enfin, dan
le d'aliénation mentale ayant ses caractères propres et surtout ses idées nettement systématisées » (p. 36G). II. - On ne
ées nettement systématisées » (p. 36G). II. - On ne peut nier que l' idée de persécution se montre dans les formes d'alié
c. Mais en cela, elle ne diffère pas de toutes les autres espèces d' idées déli- rantes, quelles qu'elles soient, ambitieu
que d'après ses manifestations extérieures ? A côté des aliénés à idées de grandeur, à idées hypochondriaques, avec agita
ifestations extérieures ? A côté des aliénés à idées de grandeur, à idées hypochondriaques, avec agitation maniaque, nous
maniaques. De même, et pour les mômes raisons, à côté des aliénés à idées de persécution, nous devons garder une place au
écuté devrait, comme il arriverait à l'état normal, - rattacher à l' idée de cause extérieure nocive, celle d'une altérat
ur la mélan- colie, Paris, 1876. ' Goc. cit., n° 60, p. 19. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 331 santé sera
je veux me borner, dans cette étude, à rechercher les rapports des idées de grandeur avec les idées de persécution. Art.
tte étude, à rechercher les rapports des idées de grandeur avec les idées de persécution. Art. Folie, du Diction, de Dech
iation avec le délire ambitieux. Morel voyait dans l'apparition des idées de grandeur un signe d'incurabilité. Magnan pro
. Mais quand, après avoir écouté leur récit, on demande à ces DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 333 rejetons d
t fait cette découverte. On doit se demander par quel mécanisme l' idée ambitieuse vient s'ajouter à celle de persécuti
nt-ils ni trêve ni repos ? » De déduction en déduction arriverait l' idée » qu'on le craint, - qu'il n'est donc pas le pr
as que le délire ambitieux s'installe peu à peu, progressivement. L' idée ambitieuse surgit d'emblée, elle s'établit tout
e, à l'occasion d'un rêve, d'une hallucination, d'une association d' idées , peut- être même à la suite d'une idée fortuite
nation, d'une association d'idées, peut- être même à la suite d'une idée fortuitement éclose, par céré- bration inconsci
e-t-il pas à tout moment, en pleine santé, d'être assaillis par une idée quelconque, sans lien apparent avec nos préoccu
e quelconque, sans lien apparent avec nos préoccupations actuelles, idée qui s'im- ' J'ai développé ces idées dans la di
c nos préoccupations actuelles, idée qui s'im- ' J'ai développé ces idées dans la discussion qui a eu lieu à la Société m
n entrée, c'est-à-dire depuis plus de six mois, le malade avait des idées ambitieuses, mais qui ne s'écartaient pas du ca
ut maintenant une grande bou- teille de vin à chaque repas. » Cette idée d'empereur a persisté depuis cette époque, mais
lus, de quelque façon que l'on veuille expliquer l'ap- parition des idées de grandeur', il reste ce fait clinique, que be
t restent mégalomaniaques. Mais, dans cette évolution nouvelle, les idées de persécution ne disparaissent pas. Elles pers
on du délire qui se produit, mais seulement une complication. Aux idées de persécution s'ajoutent les idées de grandeur,
seulement une complication. Aux idées de persécution s'ajoutent les idées de grandeur, qui passent au premier plan; mais
inance de tel ou tel ordre de symptômes. Si l'on n'envisage que les idées de grandeur, on peut voir, d'après les observat
iaque, mais sous une forme vague d'orgueil, d'infatuation, de haute idée de soi- même ; . ' Ma¡¡nan, loc. cit., p. 2ti
e soi- même ; . ' Ma¡¡nan, loc. cit., p. 2ti6 et suivantes. DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 335 d). Enfin,
Z LES PERSÉCUTÉS. 335 d). Enfin, beaucoup de persécutés n'ont pas d' idées de gran- deur, et ne paraissent pas susceptible
de la bibliothèque avec une ponctualité et un ordre admirables, DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 331 et de tous
é d'un physique très avantageux, avait toujours manifesté une haute idée de sa personne et de ses talents; il se montrai
d'être vis-à-vis de son père que nous pûmes juger des progrès de l' idée délirante. Il ne voulut plus le recevoir, ne le
A ce moment il était très sui exilé : On m'attaquait, j'ai tout DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS.. 339 dit. Quan
néant, t'en veux ? * Je n'ai pas compris. Quand je lis, on suit mes idées et on me les vole... Tout cela se fait par comm
e, son beau-frère et d'autres membres de sa famille, voilà pour les idées de persécution. Mais les idées de grandeur domine
embres de sa famille, voilà pour les idées de persécution. Mais les idées de grandeur dominent : M... porte le nom d'un p
ris; des sodomistes et autres individus infâmes s'arrêtent sous DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSECUTES. 341 ses fenêtr
ent rare, de la mégalomanie des persécutés, c'est la théomanie; aux idées de grandeur se joignent les idées religieuses.
rsécutés, c'est la théomanie; aux idées de grandeur se joignent les idées religieuses. J'en ai deux exemples remarquables
lir des documents. Puis aban- 342 CLINIQUE MENTALE. donnant cette idée , il s'installa à Einsideln, en Suisse, pour prier
sa mère et de l'empereur Maximilien du Mexique. Parallèment à ces idées de grandeur ont marché les idées reli- gieuses.
lien du Mexique. Parallèment à ces idées de grandeur ont marché les idées reli- gieuses. Puisque C.. appartient à la fami
mit dans le journalisme et se fit remarquer par l'exaltation de ses idées réactionnaires et cléricales. En 1883, bronchit
lus mal disposé pour son père. Il quitta le journalisme, abjura ses idées réaction- naires et parvint à se faire nommer j
-même ses aliments. Sous l'influence de toutes les drogues mal- DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 343 faisantes
xcitation et de prostration. A cette époque, tournant court à toute idée cléricale, il prit en aversion la religion cath
n de faire remarquer que, chez les deux per- sécutés théomanes, les idées de grandeur existaient comme dans les premières
s de grandeur existaient comme dans les premières observations; les idées religieuses se sont déve- 344 CLINIQUE MENTALE.
rante ans maintenant que E... vit dans son quartier d'une exis- DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 34S tence tout
nté et d'une vigueur étonnantes pour son âge, a conservé toutes ses idées délirantes de 1844. Il proteste avec la dernièr
e juillet, après deux attaques survenues dans la rue, il est pris d' idées tristes voyant que sa maladie ne guérit pas. « Il
modifications du caractère, alternatives de gaieté et de tristesse, idées vagues DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTHRIE M
ents. E. B. IX. AMENTIA (démence aiguè) ou désordre incohérent 'des IDÉES - (VelwÏ1'1'theit) synonymes : DÉLIRE SYSTÉMATI
qui dès le premier coup troublent le mécanisme des asso- ciations d' idées et subordonnent les images corticales principales
t morbide caractérisé par la systématisation, la cristallisation' d' idées délirantes fixes. Quatre observations raisonnées.
ns opératoires pour glaucome, on a vu survenir un désordre dans les idées avec hallucinations et angoisses terribles, qu'
; si quelques-uns manifestent pour une raison ou pour une autre une idée de suicide, il faut les interner dans un asile.
nfectieux à l'autopsie dans les autres vis- cères contredit à cette idée . Et d'ailleurs, l'atrophie des fibres myéli- ni
gitation, ni sur les crises d'angoisse, ni sur le désordre dans les idées post-épileptique Elle n'améliora en rien l'étal m
chronique systéma- tique (1), de désordre avec incohérence dans les idées (1), d'épi- lepsie (1), d'imbécillité (1), de d
fonctions vésico-rectales d'un aliéné atteint de désordre dans les idées avec gâtisme et impotence. Mais, deux mois aprè
ccroître la vie des facultés provinciales nous avons fait prévaloir l' idée , du concours régional. C'était aussi dans le bu
ir dont étaient animés tous ses membres de ne tenir compte d'aucune idée préconçue pour chercher avec impartialité le vrai
à les verser ; dans des conditions meil- leures encore, si, selon l' idée de M. Sollier, vous faites de l'adjoint non une
r l'intermédiaire de son président. » Toujours dans le même ordre d' idées , c'est-à-dire afin de bien indiquer la pensée q
relativement à un corps spécial d'aliénistes pour la Seine. Cette idée a toujours été défendue par M. Bourneville qui in
t emphatiques auxquelles on peut se trouver entraîné pour frapper l' idée de ses lecteurs. Au point de vue scientifique,
instantanée et poussent à commettre des actes de violence. Aussi, l' idée fausse dominante est que la folie est de fait inc
alescents l'assistance dont il a besoin. A cause de l'influence des idées populaires à l'égard des fous et de ceux qui re
e un agent salu- taire. Afin de faire face aux exigences de cette idée charitable, une société qui a pris le titre de
temps que quelques réticences dans l'interro- gatoire, donnèrent l' idée de faire rechercher dans les archives la trace
talof, 138; grave avec aliénation mentale, par Siemerling, 269. IDÉES DE grandeur chez les persé- cutés, par Christia
du système nerveux, par Oppenheim, 411. Neurasthénie tardive avec idées obsédantes, par Séglas, 266. Noyaux arciforme
56 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ais, pour l'exemple, qu'on ne la supprime pas. Dans le même ordre d' idées , une autre responsabi- lité pèse encore sur les
aits d'âme (chez le prof. Tarnowky, comme je me rap- pelle) ; cette idée m'ayant fortement frappé, commençait t a m'inqu
anormal et le fait que sa pensée s'occupait constamment de la même idée , l'idée du regard, le tourmentait beaucoup. Les
t le fait que sa pensée s'occupait constamment de la même idée, l' idée du regard, le tourmentait beaucoup. Les condition
sse chaque Ibis que je regarde les gens. Il se ]\pul qu'en partie l' idée du sentiment désagréable ou son souvenir y joue
l'on crache en le voyant ; mais le malade ne manifesta jamais des idées délirantes bien exprimées. Quant a la base psyc
re- tenue ont apparu avant la masturbation. Puur vous donner une idée bien nette de mon étal psychique pendant ces accè
'uriner, mais c'est impossible. Mes genoux commencent à trembler. L' idée de ce que le méde- cin en doit penser, et qu'il
dée de ce que le méde- cin en doit penser, et qu'il m'attend, celle idée augmente muon embarras, ella miction devient im
on état, autrement je risque de ne rien dire. Je suis atteinte de l' idée que je ne peux pas regarder aux yeux des gens,
mies vraiment insolentes et impudente-, ce qui m'a affermi dans l' idée que je ressemble aune femme perdue. Dieu ! qu'est
ue ou un tableau, tout cela peut me distraire et me faire oublier l' idée maladive ; el quand je reste à la maison toute
ommencé les éludes ces-jours-ci ; je dois y aller et je frémis de l' idée seule de me montrer avec une telle physionomie de
n seulement regarder en face tout le monde comme un mur, mais que l' idée même que je puisse les regarder autrement ne me
C'est déjà bien avant que je me présentais toujours toutes socles d' idées . Une fui,qualJ\l.ïétaisenco ! 'e élève à l'Inst
,qualJ\l.ïétaisenco ! 'e élève à l'Institut, je mesuis suggé- rée l' idée d'être coupable d'une faute dont on soupçonnait 7
'au moment où l'élève coupable a fait son a\eu. Une autre fois, mes idées fixes se rapportaient la religion et m'ont fait
alade (1) Mois d'une romance russe. '23 CLINIQUE MENTALE. ' - l' idée et la sensation d'avoir l'expression impure dans
ou probablement beaucoup plus souvent, a cause de l'excitation de l' idée imposée qui consiste en ceci : le malade craint
at affectif primitif ; dans d'autres cas, elle suit immédiatement l' idée imposée. Il est il remarquer que le regard d'au
lle reflète en particulier la formation ou la production des vraies idées obsédantes et phobies, des hallucinations sensori
veur lui-même, successivement affecté de délire hallucinatoire avec idées de persécution, de tuberculose d'ictus entraîna
lèlement au corps au la cellule. Nous tendrions donc à adhérer il l' idée de Lcn- bossek (1895) : les dendrites jouissent
e tare morale indélébile ». «Avec cette évolution do l'opinion, les idées de prophylaxie et d'hygiène psychique, les méth
sistance mo- derne réclame. » Nous nous associons de tout coeur aux idées exprimées par M. Charron. Parmi les 78 décès
uteur con- clut. Actuellement prédomine presque universellement l' idée que le système nerveux est l'organe, le siège d
urtant qu'un obsédé qui, pour penser, est obligé de représenter les idées en images visuel- les. Il ne commence à parler
tic de suc- cion chez un enfant, dans le second de mélancolie avec idée fixe et nosophobie. Importance delà psychothé
récises qu'il n'avait pas soupçonnées jusqu'alors. Tandis que les idées sexuelles acquises par les lectures, les con- v
le fait initial elle réflexe génital n'était réveillé que par des idées se rapportant à ce fait. L'explication de ces é
sme ou tout au moins d'expectante attention. Dans tous les cas, les idées introduites par l'initiateur se comportaient comm
trait, dispersé, incapable de concentrer sa pensée ; esclave de ses idées parasites et de ses préoccupations mentales, il
nerveux et des sens, de celle des sens aux notions, des notions aux idées , des idées à la moralité. 150 CORRESPONDANCE.
des sens, de celle des sens aux notions, des notions aux idées, des idées à la moralité. 150 CORRESPONDANCE. Présenté s
nt 22 malades en moyenne, la plupart alitées, agitées, ou ayant des idées de suicide, il n'y a que 2 gardiennes. Au qua
ée à la première attaque de posses- 158 varia. » sion. Parfois, l' idée d'ensorcellement apparaît d'emblée, provo- quan
ée, provo- quant l'entrée en scène des symptômes morbides ; cette idée émane de la facile suggestibilité des hystériques
uggestibilité des hystériques. Elle n'est pas le moins du monde une idée délirante ; elle fait partie du bagage des préj
e et la situation nosologique de l'hypochondrie. 1. Pathogénie de l' idée HYPOCHONDRIAQUE. - Réservant la de l'hypochondr
urs, Pierre Roy s'en tient tout d'abord à l'étude palhogénique de l' idée hypochondriaque, base clinique invaria- ble, né
incontestée de tout état hypochondriaque. Pour tous les auteurs, l' idée hypochondriaque est une préoc- cupation netteme
er l'un de l'autre ces deux états. Aussi, l'étude pathogénique de l' idée hypochon- driaque devra s'adresser surtout aux
urasthéniques, et négliger les cas complexes, graves et tardifs des idées dénégation. Le gros problème pathogénique de l'
et tardifs des idées dénégation. Le gros problème pathogénique de l' idée hypochondriaque consiste à rechercher s'il s'ag
autres : il les rend durables par l'attention qu'il leur prête et l' idée de maladie devient chez lui l'idée fixe. - .
'attention qu'il leur prête et l'idée de maladie devient chez lui l' idée fixe. - . Le meilleur moyen de troubler sa sant
ilitiques, etc.) jouent un rôle important dans le développement des idées hypochondriaques. En réalité,/^ n'y a pas d'hyp
sse se développer sur un cerveau absolument sain. Pour que naisse l' idée hypo- chondriaque, deux conditions sont nécessa
s, coenesthésique et psychique, nécessaires au dévelop- pement de l' idée hypochondriaque, peuvent se rencontrer dans les
ut ranger la mélancolie intermittente, où s'observe fréquemment des idées hypochon- driaques. 5° Enfin on peut ranger d
auteurs ont d'abord éliminé de leur étude les différents cas où les idées hypochondriaques, bien que très réelles, n'ont
ouleur (malades qui se tuent, mélan- coliques hypochondriaques avec idées d'incurabilité) reste pra- tiquement valable. L
que constitutionnel a une importance capitale eta donné lieu il des idées ou des préoccupations hors de 174 CONGRÈS DES M
la thèse récente d'un de ses élèves, où se trouve développée cette idée qu'il professe déjà depuis longtemps, n'ait pas
s malades pour traduire leurs préoccupations nosophobiques ou leurs idées de néga- tion sont parfois absolument identique
chez les vrais hypochondria- ques . ' En résumé, l'évolution des idées qui se fait actuellement dans la pathogénie du
n rapport la notion de l'hypocondrie pour lui substituer celle de l' idée hypochondriaque qu'il défi- nit « une préoccupa
t d'ailleurs toujours grave, en raison de la tendance au suicide. L' idée de négation n'est pas une résultante nécessaire
e négation n'est pas une résultante nécessaire ni même directe de l' idée hypochon- driaque ; son apparition semble plutô
l'un avait du délire hypochon- driaque, tandis que chez l'autre les idées de satisfaction pré- dominaient. Les altération
re réparties dans trois catégories distinctes, selon que : il). L' idée d'un trouble de la santé et l'idée de persécution
s distinctes, selon que : il). L'idée d'un trouble de la santé et l' idée de persécution évoluent parallèlement sans que
é opposé. Celte variabilité ne nous paraît guère conciliable avec l' idée d'une simple lésion d'origine ganglionnaire, so
erte delà mémoire d'une façon progressive, achats déraison- nables, idée de richesse. , A l'examen fait à l'entrée à l'a
ique ; écriture tremblée avec des mots incomplets ; incons- cience, idées de grandeurs' et de richesse. Dans les mois sui-
s). Quand je suis allé visiter le service(le Kroepelin, j'avais une idée préconçue contre sa méthode. Je n'ai constaté r
ela parce que les chefs de service n'ont pas sur ce point les mêmes idées que les médecins qui ont fait acheter les appar
able. M. CROCQ (Bruxelles). Dans notre pays, sous l'influence des idées allemandes, la balnéation continue s'est implanté
e s'est implantée, et ce que j'en sais me fait partager le fond des idées tressages émises par M. Christian. Transformer
également des phénomènes convulsifs. M. le Dr Dide a eu, en 1898, l' idée de provoquer des convul- sions en mettant des c
spect d'asphyxie lamentable de l'épileptique en crise m'ont donné l' idée d'essayer un traitement de l'attaque.- Appelé p
attait. La crise était bien arrêtée et ne reparut plus. J'ai eu l' idée , à la suite de cet essai de l'oxygène, de traiter
t avoir perdu le sentiment de leur dignité. La confusion dans les idées arrive assez vite et en même temps apparaît la dé
ns intellectuelles faites sur des inter- prétations délirantes, aux idées de grandeur. Le diagnostic mérite d'être fait d
surles hématies du boeuf ; on admet, en principe, conformément aux idées de Bordel, que les diverses alexines sont équiv
cette femme remarquable a compris, c'est que les sentiments et les idées de l'hommesont en raison de ce sens intime de l
. Macré se levèrent et le lirentrentrer. Fa, l'el sous l'empire des idées de persécution qui le hantaient, Q54 varia. s
Séglas, sous différents aspects en rapport avec la nature même des idées déliran- tes. Le plus ordinairement, le qualifi
is naturelles ; et, dans des cas plus accentués, se manifestent des idées de possession démoniaque, de démonomanie. Le dé
n intéresser aussi la base orga- nique. Le malade exprime alors des idées de transfor- mation des organes de nature hypoc
1904 avec le certificat suivant : « Aboulie avec confusion dans les idées , (roubles de l'attention, idées obsédantes de t
« Aboulie avec confusion dans les idées, (roubles de l'attention, idées obsédantes de toutes sortes, accès d'excitation a
uels. Pendant quelques jours, la malade manifeste en outre quelques idées d'empoisonnement ; son mari, dit-elle, du l'emp
plus que quand on s'approche de son lit : elle a toujours les mêmes idées de transformation corporelle, mais présente en
peut-être, c'est affreux ». En même temps, elle manifeste quelques idées de culpabilité et croit avoir une influence nui
t mourir de faim par ma faute». En mars même état de confusion avec idées délirantes de transformation et d'énormité. Par
emande sa sortie, etc. Tou- tefois elle conserve toujours les mêmes idées au sujet de la trans- formation (le son corps o
de une longue période délirante caracté- risée d'abord par quelques idées hypochondriaques de négation, ensuite par des i
rd par quelques idées hypochondriaques de négation, ensuite par des idées de transformation corpo- relle. La malade se cr
s'exagère au sur et à mesure que se développent et s'amplifient les idées délirantes. Aux troubles de la perception inter
, malgré le contenu en apparence mégalomaniaquc de certaines de ses idées délirantes,-la malade reste toujours angoissée.
otinée, brûlée ou enterrée vivante, etc.. Ce sont là évidemment des idées d'énor- mitédans le sens péjoratif plutôt que d
demment des idées d'énor- mitédans le sens péjoratif plutôt que des idées de gran- deur. M... a perdu en outre la notio
si l'on veut, d'une variété du syndrome de Cotard, dans lequel les idées de négation d'organes sont remplacées par des i
dans lequel les idées de négation d'organes sont remplacées par des idées de transformation corporelle. Quelle a été l'
idées de transformation corporelle. Quelle a été l'origine de ces idées ? Les travaux de Wernicke, de Storch, de O. Foe
ctif de la sensibilité, d'aucun signe d'une lésion orga- nique, les idées de transformation corporelle qui, avec l'état a
st il coup sûr très discutable : on peut toutefois admettre que les idées de transformation corporelle n'interviennent ic
pscudo-mégalomaniaque, qui sont venues plus lard se greffer sur ces idées de transformation du corps et du monde extérieu
as s'exprime presque dans les mêmes termes lors- qu'il dit «que les idées hypochondriaques dénégation sont en rapport ave
ns de la sensibilité, elles-mêmes réveillées et entretenues par les idées délirantes (2) tr. C'est en nous appuyant sur c
vre, se traduisant par des aspects divers, agitation ou dépression, idées mélancoliques, idées de grandeur, ressemblant p
des aspects divers, agitation ou dépression, idées mélancoliques, idées de grandeur, ressemblant parfois au délire alcool
ou entretenues par un état sabur- ral intense et d'où naissent des idées morbides d'empoi- sonnement, assez actives et a
rticales se substituent aux premières. Il y a des gens chez qui les idées qui ont surgi dans leur cer- veau subsistent in
leur cer- veau subsistent infiniment longtemps. Mais en général les idées ne persévèrent que pendant quelques minutes. '
lus déterminé par un travail disparaît, a l'égal de l'adhérence des idées , sous l'influence d'un nouveau travail. La te
disposé pour les choses d'as- sistance, a l'intention de réaliser l' idée de la création d'une colo- nie agricole et d'un
ntion d'acheter et d'an- nexer à l'asile (1). ' Nous avons émis l' idée , mal acceptée par certains, que les mé-, decins
aternité, à l'esprit de progrès qui veulent l'union, la largeur des idées , la générosité des sentiments, la suprématie de
t; : 1111' IIU\CIII l'ourrmsmn. 3b6 clixiqVe mentale, donnent une idée exacte (déviation antérieure et latérale du tro
nt qu'elle nourrissait. Durant sa grossesse déjà, elle avail eu des idées mélancoliques : elle voulait se détruire, mais
raît, avec des CHOLÉMIE JO; MÉLANCOLIE. 350 hallucinations et des idées de perséculion. Elle entend la voix de son mali
les traits alan- guK Elle parle à voix basse, gémit pal' instants. Idées hypocon- driaques : son coeur ne liai plus, sa
récente (novembre), pour « délire mélancolique avec hallucinations, idées confuses de per- sécution, excitation, insomnie
, elle est de nouveau angoissée depuis une hui- taine de jours. 1 Idées hypocondriaques : elle crache tous ses poumons, e
01 Observation \ ? Mélancolie hypocondriaque avec hallucinations; idées de persécution et de suicide. Cholémie. (Résumée.
, 17 ans. Son père aurait présenté des accidents mélancoliques avec idées de suicide à la mort de sa femme, mais il n'y a
s, Madame G... a eu plusieurs fois des crises de mélancolie, avec idées de suicide, mais non suivies de tentative. Troi
de, mais non suivies de tentative. Trois mois avant son entrée, les idées de persécution prennent corps et solidité. « Le
yenne intensité. Observation. \'1. Mélancolie acec hallucinations ; idées de persécution. Cholémie. (Résumée.) Louise S
t la tour- mente et la maltraite constamment u. Elle a eu aussi des idées d'homicide, elle voulait luer son mari. Aucune
G mois. Il s'est manifesté par de l'inquiétude, de l'insomnie, des idées de persé- cution indécises, passagères ; puis d
D Avec insistance dans les questions, on parvient à découvrir des idées de persécution sur ce fond de mélancolie anxieuse
ue ? Elles ont écrit une lettre pour la dénoncer comme folle. Ces idées de persécution sontsurtoutalimeulées par des hall
s qu'elle est dans le service, mais cela a suffi pour engendrer une idée hypocondriaque). Cholémie. - Teint bilieux : lâ
ois avant sa mort, elle était deptimee. mélancolique et avait dcb idées de persécution. Elle est morte dans cet état il l
lle se bouchait les oreilles pour ne pa" en- tendre. Elle avait des idées de ruine : elle n'avait plus d'argent et ne vou
vail était le moyen le plus sûr de détourner son esprit du cercle d' idées clans lequel il se complaît et d'attirer son at
ne mange plus ; très déprimé, il verse dans la mélancolie et a des idées de suicide En deux séances , SOCIÉTÉS SAVANTES.
a vie et en mourant il avail l'unique regret d'avoir eu trop tard l' idée de simuler la folie. La fatigue suggérée. )1.
l accomplir : et cette représentation mentale fait nitre aussitôt l' idée d'impuissance. La fatigue esl, suivant les cas, a
lère, une harangue vibranlc, etc., en somme, toutes les fois qu'une idée forte ou une émotion se substituent à l'idée de
toutes les fois qu'une idée forte ou une émotion se substituent à l' idée de fatigue. M. D¡ : MONCHY rend compte du congr
- tème musculaire. Les troubles p·cltograp11111ueJ concernent les idées exprimées, le mode d'expression de ces idées, la
1111ueJ concernent les idées exprimées, le mode d'expression de ces idées , la vitesse de l'écriture, tous caractères fert
emple on a noté axant l'âge. de 30 ans hallucinations sensorielles, idées délirantes absurdes, désordre des actes caraclé
aigus alors même que dans sa démence, le malheureux radote la même idée ou que, finalement indifférent, il parle 101'1
3 ans, présentant une paralysie dutiras gauche. L'altitude évoque l' idée d'une paralysie radiale ; l'examen montre certa
. Il nous est difficile, dans deux pages d'analyse, de donner une idée complète de l'oem l'e magistrale de MM. Launois e
deux désespérées avaient déjà manifesté il, plusieurs reprises des idées de suicide. Taciturnes, mélancoliques, elles caus
euses recherches personnelles, nous estimons, dit- il, en dépit des idées généralement admises jusqu'à présent, qu'on n'a
ncohérence des oeuvres ; le confus par l'absence d'individualité, d' idée dirigeante, le désordre chaotique ; les paranoi
opagation dans les diverses asiles. Ce n'est que lorsqu'on aura une idée nette et définie des propor- tions du mal que l
ture ou du dessin, et des centres qui président à l'élaboration des idées , les troubles calli et psy- chographiques fourn
littérale), ou d'un mot (image verbale), abstraction faite de toute idée doctrinale concernant l'existence d'un centre d
portant rapport sur l'Hypochondrie. Ce rapport concluait : 1° que l' idée hypochondriaque simple ou délirante est une pré
Voir l'oelvl. Cerveau. Voir Lésions. Con- tribution à l'étude des idées ] égnnntes au xvi° siècle sur les fonctions d
57 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent la base de ce travail dont notre maître nous a ainsi donné et l' idée et les élé- ments à l'occasion d'un cas que nou
hospice de la Salpê- trière. La définition qu'on a lue implique l' idée de para- lysie de synergies musculaires détermi
araissentconvenirle mieux. Il faut deux mots pour exprimer les deux idées distinctement. Si vous -s n'en voulez qu'un, il
riction par un lien élas- tique. Depuis la même époque elle a des idées tristes, des cauchemars, . des envies de pleure
dation que les aliments froids. Le malade n'a jamais remarqué que l' idée de manger, ni la pensée d'aliments sapides fiss
, et il aurait été prévenu de cette attaque par de l'obtusion des idées . Dans la nuit, deuxième crise semblable à la pr
ent atteintes. L'incohérence est complète, portant sur tout ordre d' idées , et, dans ce chaos, il est impos- sible de trou
i- fiques isolées, émergent par instants au milieu d'un torrent d' idées baroques. Pendant tout ce temps, la tenue est bon
s sentiments affectifs, du sens moral, du pouvoir d'association des idées et conservation très incomplète de la mémoire.
, A. Paré, nourri de la littérature ancienne, adoptait encore les idées d'un philosophe qui avait écrit2 : 1( La matrice
dans des dangers extrêmes, et occasionnant diverses maladies. » Ces idées , le chirurgien français les traduit ainsi qu'il
ôt, il est vrai, dans la folie systématique et dans le désordre des idées hallucinatoire (délire asthénique), mais, outre
es derniers se termina par une folie systé- matique hallucinatoire ( idées de persécution), qui guérit en plusieurs mois a
e à une névrose (hystérique ou hystériforme), l'auteur tendrait à l' idée d'une inconnue complète. L'influence de l'alcoo
ique dans le monde extérieur de ces conceptions ou associations d' idées . L'illusion ordinaire au contraire provient d'une
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE. '1'13 sion de lettrés. Désordre dans les idées , agitation, excitation. Une attaque épileptifor
chronique (suite de la discussion). M. Charpentier a rencontré les idées de persécutions dans plusieurs cas; il estime q
ils peuvent se diviser en dix groupes principaux : Premier groupe : Idées de persécutions traumatiques ou chirurgicales.
es de persécutions traumatiques ou chirurgicales. Deuxième groupe : Idées de persécutions survenant pendant et SOCIÉTÉS s
OCIÉTÉS savantes. 113 après les maladies aiguës. Troisième groupe : Idées de persé- cutions empruntées à des rêves. Quatr
Idées de persé- cutions empruntées à des rêves. Quatrième groupe : Idées de persécutions dont les manifestations déliran
es manifestations délirantes simulent l'ivresse. Cinquième groupe : Idées de persécutions chez les pléthoriques et les co
oriques et les congestifs à tempérament sanguin. Sixième groupe : Idées de persécutions chez les arthritiques mélancoliqu
z les arthritiques mélancoliques à forme torpide. Septième groupe : Idées de persécutions simples dans le délire des pers
mples dans le délire des persécutions ordinaires. Huitième groupe : Idées de persécutions avec hallucinations et troubles
persécutés psychiques; C, les persécutés mixtes.) Neuvième groupe : Idées de persécutions dans la mélancolie anxieuse (au
s dans la mélancolie anxieuse (auto-persécuteurs). Dixième groupe : Idées de persé- cutions aboutissant à la mégalomanie
VANTES. ceux qui pensent que l'hallucination de l'ouïe n'est qu'une idée projetée au dehors. C'est là une doctrine contr
trices encéphaliques, Kast pense qu'il serait prématuré d'adopter l' idée de Struempell et qu'il faut réserver la question
à l'étranger, il s'est borné à être un bon inspecteur sui- vant les idées bornées et routinières de la bureaucratie. Nous
l'injonction « Tu ne peux plus marcher » suggère chez ces sujets l' idée d'une impuissance motrice complète, relative à
XV. I i 210 pathologie nerveuse. ne sais plus marcher » suggère l' idée seulement d'une impuissance relative, dont l'in
résultat obtenu. Ne peut-on pas admettre que quelquefois au moins l' idée d'impuissance motrice pour la station et pour l
un rêve peut-être qui n'aurait pas laissé de souvenir, et que cette idée , en raison de la prédisposition native ou accid
re ans, vertiges. - Premier accès à sept ans. - Débilité mentale. - Idées mélancoliques après les accès. - Excitation man
e, intelligence peu développée.- Grand'mère maternelle, mélancolie, idées de persécution. - Né avant terme : convulsions
récitent perpétuellement en gesticulant, arrivant souvent même à l' idée qu'ils veulent être acteurs ou même qu'ils le s
tent. Tantôt il est volontaire (dû à la crainte causée par une »^ idée délirante ou une hallucination), tantôt involonta
lirante ou une hallucination), tantôt involontaire (par | absence d' idée et incapacité d'attention), tantôt il reste inex-
ion, arrêt de la pensée. D'autres fois on constate d'une part des idées délirantes avec hallucinations comme dans la méla
avec hallucinations comme dans la mélancolie et, d'autre part, des idées de grandeur, de naissance illustre : quelques m
uelques malades, durant le stade de stupeur, ne sont pas la proie d' idées dépressives, mais au contraire ils ont de temps
'idées dépressives, mais au contraire ils ont de temps en temps des idées assez gaies si l'on en juge d'après le rire que .
juge d'après le rire que . l'on constate chez eux par instants. Les idées religieuses et éro- tiques sont très fréquentes
par sa signification clinique de la paralysie générale avec ou sans idées de gran- deur, dans laquelle il y a aussi un ha
s nous occuperons tout d'abord. IIeclcer' rapporte, à l'appui des idées de Kahlbaum, deux observations de Catatonie, pa
s deux mémoires consécutifs sur la question, reproduit en somme les idées de Kahlbaum. Il signale parti- culièrement l'hé
mme une forme particulière de mélancolie attonita, et il cite les idées de Meynert sur la physiologie pathologique de cet
teur n'ajoute rien à la description de Kahlbaum dont il accepte les idées . Spitzlca2 classe la Catatonie dans le groupe d
ère physiognomonique ; ', et comme telle exprimer plastiquement une idée délirante J (attitude de combattant, de prédica
e purement somatique (cataleptique ou tétanique), ou sug- f gérer l' idée . L'état psychique peut se limiter à l'état du t;
i dans des explications physiologiques et il tente en suivant les idées de Rieger2 de ramener les phénomènes cataleptique
les autres, il y avait eu soit du délire, soit du trouble dans les idées , soit de la pesanteur de tête. » z En somme,
traire, elle a l'expression d'un sommeil paisible qui éloigne toute idée de souffrance ; il n'y a pas cette sterteur si
Timermans nous semble avoir donné la note juste en disant qu' « une idée mélancolique fixe portait son sujet à une létha
e maniaque avec abstinence complète b. Ces aliénés, guidés par leur idée fixe, raisonnent pour ainsi dire leur stupeur q
ogie peut com- prendre également des conceptions ambitieuses et des idées de persécutions. Chez les dégénérés surtout, l'
rêtent à aucune disposition régulière. 304 SOCIÉTÉS SAVANTES. Des idées de persécution, hypochondriaques, mystiques ou am
le des symptômes analogues à ceux de la folie du doute. Les mêmes idées se trouvent encore exprimées dans une leçon de M.
un malade affecté de tumeur cérébrale. Les symptômes contraires à l' idée d'une paralysie générale étaient le contraste e
le y avoir eu de la surdité verbale. L'autopsie concorde avec cette idée , car la pie-mère présente une altération au niv
s, agitation, activité improductive, désordre et confusion dans les idées . Le ? 3 septembre, on constate de l'affaiblisseme
e ? 3 septembre, on constate de l'affaiblissement psychi- que, sans idées délirantes ni phénomènes paralytiques; tran- qu
euse et mentale. M. le docteur Ladame (de Genève) a eu l'heu- reuse idée de publier les pièces originales d'un de ces proc
ibliographie. 32S curieux que les rapports médicaux pour donner une idée de ce que peuvent produire d'absurde les préjug
u desquels ils sont confinés dans notre pays. A. Raoult. Quelques IDÉES sur la construction ET l'organisation des hôpitau
s est construit sur un plan adopté il y y a trente ans, lorsque les idées et les méthodes de traitement et de direction é
laits de ce genre n'ont pas d'importance théorique. Si on accepte l' idée que les cordons postérieurs de la moelle sont les
acilement. il y a deux ans, à la suite de préoccupations, il eu des idées noires; cet état psychique a persisté pendant t
ous le nom de mal de mer, vague expression ne nous donnant aucune idée de la nature ou du siège de la lésion, nous l'ap-
M. Dagonet1 semble rattacher ces faits à la stupidité : les - mêmes idées se trouvent exprimées dans le livre récent de K
qui lui disent qu'elle est un-assassin, qu'elle a tué ses enfants. Idées de culpabilité; elle doit s'empoisonner, elle a p
Elle n'est plus anxieuse, mais déprimée, con- servant cependant ses idées mélancoliques, travaille un peu. Plus de mouvem
les autres phénomènes, ils ont été considérés comme pri- mitifs aux idées délirantes, ou comme secondaires, ou comme indé
dmettons fort bien que, s'ils sont le plus souvent la conséquence d' idées délirantes, il n'y a rien d'impossible à ce qu'
e nouvelles. D'autre part, ils peuvent être indépen- dants de toute idée délirante; et l'on peut voir que, chez certains
hétiques, la résistance systématique. C'est ainsi que, dominé par l' idée de l'élément spasmodique capital dans la forme
ntripète) - excitation véritablement inlrapsychique, intracenlrale ( idée délirante). La seconde classe a trait au gâtism
atiques chroniques, quatre états d'angoisse et de désordre dans les idées greffés sur un terrain de démence ou de folie s
rée, l'hémiathétose, les 1 M. Thomsen poursuit, comme on le voit, l' idée d'après laquelle M. Charcot et l'Ecole de la Sa
ique caractéristique; finalement mélancolie, érotisme, mégalomanie, idées de persécution systématisées. '08s. IV se résum
dans une profusion d'hallucinations de l'ouïe et de la .vue et des idées délirantes intensives chez un homme ayant eu des
que des souvenirs est surtout obtenue à l'aide de l'association des idées . Parallèlement aux perturbations sus-énoncées,
i se présenta au Dr Kier- nan, atteint de délire des grandeurs avec idées de persécution. Bientôt il fut atteint de sympt
la suite de repas copieux. M. KLEIN lit une note sur l'origine des idées délirantes dans la paralysie générale. Du dél
« Elle jouait, dit-on, presque toujours seule et n'avait pas des idées de petite fille; elle jouait comme un garçon; ell
dix, treize et quatorze mois. « Notons enfin au point de vue des idées actuelles que, il y a nne vingtaine d'années, s
ériode du délire chronique ; elle avait des halluci- nations et des idées de persécution nettement systématisées ; aujour
le commence d'après l'observation de M. Séglas à présenter quelques idées ambitieuses. C'était là la marche prévue du dél
délire chro- nique. Cette malade, qui jusqu'ici n'aurait eu que des idées de persécution, commence à présenter quelques i
rait eu que des idées de persécution, commence à présenter quelques idées ambitieuses. Elle entend les messieurs, personn
ls du délire chronique, des hallucinations surtout auditives et des idées systé- matisées de persécution ; depuis peu de
é- matisées de persécution ; depuis peu de temps apparaissent des idées ambitieuses. M. Séglas signale un tic facial pe
e ce genre qui pourrait d'ailleurs n'être que la tra- duction d'une idée de persécution, mais il n'en est pas de même po
principal de la critique de AI. Séglas. Pour notre collègue, les idées de persécution chez cette femme datent du mois d'
s, mais seulement l'un ou l'autre d'entre eux; et il ne viendra à l' idée , de personne de faire entrer forcément dans le
c'est-à-dire de l'inquiétude, des inter- prétations délirantes aux idées arrêtées de persécution, il peut se faire que 1
élirantes aux idées arrêtées de persécution, il peut se faire que 1 idée nette de persécution s'installe la première sans
persécution s'installe la première sans l'hallucination, mais cette idée par son caractère obsédant ne tarde pas à stimu
niques. Puis encore M. Séglas s'empare avec empressement de cette idée émise par M. Legrain que le délire chronique peut
nquiétude, des interprétations délirantes aux hallucinations et aux idées de persécution, puis aux idées ambitieuses et fin
délirantes aux hallucinations et aux idées de persécution, puis aux idées ambitieuses et finalo- ment à la dissolution me
lade d'ailleurs, ambitieuse aujourd'hui, faisant aussi remonter ses idées à une substitution, dans l'en- fance, etc.. A
je rappellerai même que certains auteurs admettent la présence des idées fixes en dehors de l'hérédité. Enfin je ferai r
anxieux il se produit souvent une mégalomanie caractérisée par des idées d'immortalité, d'immunité, etc., pseu- do-mégal
d'énormité peut aboutir dans des cas très cliniques à de véritables idées de grandeur; l'apposition d'idées de grandeur à
as très cliniques à de véritables idées de grandeur; l'apposition d' idées de grandeur à une période avancée d'un délire c
gique basée presque exclusivement sur un caractère symptomatique, l' idée nette de persécution, a dû englober des faits d
hallucinés, d'autres ne le sont pas, les uns arrivent d'emblée à l' idée systématisée de persé- cution, d'autres n'y abo
l, parle des persécutés qui deviennent des ambitieux. (Dudélire des idées et des actes qui est la conséquence de l'hypochon
ution ? stymatisation des conceptions déli- rantes : transition à l' idée qu'ont ces malades d'être appelés à de grandes
le remarquable mémoire de Foville' sur la folie avec prédominance d' idées de grandeurs, nous trouvons, 'continue111.n1agn
a mégalomanie des sujets qui d'emblée ont des hallucinations et des idées ambitieuses ; d'autres, qui ont des idées ambit
des hallucinations et des idées ambitieuses ; d'autres, qui ont des idées ambitieuses et pas d'hallucinations; d'autres che
ujets ' A Foville. - Etude clinique de la folie avec prédominance d' idées de grandeur. Paris, 1871. Archives, t. XV. 30
ième période carac- térisée par des hallucinations auditives et des idées systématisées de persécution, puis vient une tr
goût, de l'odorat, des troubles de la sensibi- lité générale et des idées stéréotypées de persécution, enfin sur- vient l
odifications beaucoup plus importantes se sont déjà produites : les idées ambitieuses et les erreurs de la personnalité.
lire ambitieux dans la troisième période; c'est à ce moment que les idées délirantes tendent à se stéreotyper; cette périod
de, il semble que le ter- rain soit devenu propice à l'éclosion des idées ambitieuses, le patient comme l'a fait observer
a nature de la maladie; le délire de persécution persiste, mais les idées ambi- tieuses tendent peu à peu à devenir prédo
M. Charpentier, il a fait une étude séméiologique fort étendue des idées morbides de persécution qu'il a classées en neu
itieux a de spécial, il le doit à son origine psycho-motrice et à l' idée prédominante de toute puis- sance. Il rappelle
ant. Je demande à M. Cotard la permission de faire observer que l' idée , de puissance ne suffirait pas à elle seule pour
ce délire ambitieux 470 O SOCIÉTÉS SAVANTES. systématisé avec les idées de persécution suffirait à poser un diagnostic.
ic, il faut aussi s'enquérir de la marche et de la succes- sion des idées délirantes. Cet aliéné ne sera délirant chronique
'il est devenu ambitieux et persécuté en même temps, ou bien si les idées de persécution se sont développées longtemps aprè
tuel consécutif et la cristallisation du délire. Il existe aussi des idées de persécution chez certains vieillards et je v
'auparavant il ne présentait aucun trouble intellectuel, j'écarte l' idée du délire chronique ; mais si, au contraire, on
mbes, bras pendants, délire. Le 26, désordre très prononcé dans les idées , délire. Intégrité physique des viscères de la
efforts faits dans le même but. Mais le caractère pratique de celte idée avait jeté de profondes racines dans l'esprit p
58 (1860) Journal du magnétisme [Tome XIX]
livrés, le temps allait doucement et sans secousses faire triompher l’ idée dont vous avez si longtemps tenu \e drapeau ; et
me est prochain. 11 y a longtemps que cutte fol dans le triomphe de l’ idée pour laquelle je combats, huoible soldat, me sout
rtmu, éloigné. C’est la certltuile nette, précise de la victoire de l’ idée magnétique, de sa victoire à courte échéance. Ent
toire à courte échéance. Entendons-nous bien. Je dis la victoire de l’ idée et non le triomphe de ses défenseurs. Avez-vous j
onne. Quelle est, en effet, la bonne méthode pour faire triompher une idée sinon d’amener sa reconnaissance parles savants c
lic, qui n’est ni amphore ni imperméable, s’est laissé pénétrer par l’ idée . Elle est partout, elle n’est plus discutée, tout
r ou le propager, mais parce que c’est une chose du domaine public. L’ idée est vulgarisée. Il ne lui manque plus que la cons
hore académique est plongée dans le milieu ambiant, dans le monde des idées courantes qui n'y entrent pas, parce que, comme j
ent pas, parce que, comme je l'ai dit, elle est imperméable, et nulle idée nouvelle n’y pénètre i moins que son niveau ne s’
uie sur la/i^jinc, au Heu de découler de I'amoub, vraie base de toute idée religieuse ; et pour me faire bien comprendre san
de qui aura conquis le magnétisme en s’assimilant pelii à petit les idées que nous avons propagées. «Les magnétiseurs ent
« Individuellement les savants sont heauconp moins hostiles à leurs idées que ne le pensent les magnétiseurs. Les méde-dns
tion est conquise, ouplutôlle monde civilisé, lentement infiltré de l’ idée , se l'approprie en la modifiant, la fait sienne e
issant des merveilles. Vous marchez devant vous, toujours guidé par l’ idée lumineuse, et vous irouvee autour de vous le dése
e, paixe que cet agent fait pénétrer dans le domaine de la vie et des idées et permet de déchiffi^er l’énigme de l’eiistence,
adémie, en inspirant aux docteurs Jimes Braid, Paul Brocu et Aiunt, l’ idée de travestir le somoiuubulisme en hypnobatase, le
cès, ma conviction surtout devint si profonde, que j’eus un instant l’ idée de créer une école toute spéciale, en la faisant
ues zélés partisans de la piirénologle, auxquels je communiquai mes idées , et ne doutant plus d’une entière réussite, SHrto
tUi |>evjjlexit6, qui ne me laissait plus (le reiios, ¡Vus enfin l’ idée île me faire remplacer par im de pies élèves qui
ui plus est, ainsi qu'oo vient de le voir, celui qui opère n’a aucune idée de la phrénologie et ne laisse cependant pas que
cc que quelqu’un, entrant dans la cliambre, détournât le cours de mes idées . Je sentis une oppreision sur la pnitrine, et je
de consolation, le malheureux attend, il attend jusqu’à ce qu’enfin l’ idée lui vienne de chercher par le travail ce que la P
spirées aujourd'hui si, considérant le progrès des temps et celui des idées , elles se décidaient à at>order résolument l'é
te par une sorte de galvanoplastie métaphysique de. tous ces atomes d' idées que se créent des images nouvelles qu’on appelle
ques, prononcent des paroles cabalistiques ; mais comme on n'a qu’une idée vague de leurs affreux secrets, on admet toutauss
t venir le tourmenter la nuit. Dès lors, cette menace est devenue une idée fixe qui s’est emparée de son esprit pour ne plus
reçu le don de guérir le« écrouelles. Fatigué plusieurs mois de cette idée , U en fit part à sa femme, qui pensa que c’était
ont pas peut-être très-bien choisis , mais ils donnent suffisamment l’ idée que je veux faire concevoir de la vérité. Aide-to
beaucoup Te« le fatalisme. Elait-ce ea elle un reflet de mes propres idées ? ie n'en sais rien ; mais je dois avouer que tout
urraient tomber et se casser Je cou. Mais pourquoi donc soumetire les idées à ce régime tardi-grade ? quel danger y a-t-il de
sent par ne plus laisser passer que des atomes, que de la poussière d’ idées , tandis que les bonnes, grandes et fortes idées s
que de la poussière d’idées, tandis que les bonnes, grandes et fortes idées sont jetées aux ordures. « Vous savez tout cela
etc., et une foule d’autres hommes d’une aussi grande valeur. « Ces idées d’une justesse parfaite s’appliquent d’une manièr
tidigitation prennent un nom qui ne leur appartient pas, faussent les idées et nuisent à la moralité de la chose réelle. VA
ère. J’avoue que j’al la tête trop faible potir arrêter longtemps mes Idées sur un pareil sujet, je serais pris bien vite d’u
e 1^ yeux, l'oi^ane de la vision fera parvenir à son intelligence les idées des couleurs que la peau n’aura pu transmettre.
Cela dit, et bien francitement, nous allons émettre quelques-unes des idées que notre esprit, aussi faible qu'il soit, nous a
e. Qu’un espère : bien, très-bien ; mais qu'on n'alTirn>e point. L’ idée de notre complet anéanlissement, noua dira-t-on,
urant l’espace. Comme il n’y a rien de fortuit; que le hasard, dans l’ idée qu'on s’en fait généralement, est un mot vide de
bien, beaucoup de temps, de pa-lience et de perspicacité. « Une des idées les plus absurdes propagées jusqu’ici, c’est que
es incidents qui dénotent qu’à cette époque on avait déjà une confuse idée de la puissance du fluide et de la volonté sur ce
de ceriaina se révolte fi penser que leur âme, parla suggestion d’une idée qni vient la surprendre, qui s’imposeàelle, qui s
aient-ils donc renversés parce que l’esprit subirait l’influence de l’ idée , c'est-à-dire de la plus noble de toutes les puis
d’applications utiles de l'influence, on tous temps reconnue, de nos idées sur notre état moral et sur notre état physique
llencc, ma^Kétis.-ne conjugal do la prière , du l'ardent espoir, de l’ idée unique, indivisible, afïlue au /)ésiW , l'inonde,
est qu’un dérivé, langue qui exprime à peu près constamment les mêmes idées et les mêmes sentiments, par les mêmes images.
hies; et les partisans de l'obscurantisme, les ennemis jurés de toute idée nouvelle, les corps savants, en un mot, seront en
u téraohi, ils seraient partis, emportant dans leur esprit une fausse idée non-seulement sur la véracité de la science, mais
ùlait involontaire en en moütrant la cause, et par là repousser toute idée de charlatanisme. Mais je ue convainquis pas. D
nts, gens pour la plupart respectables ; mais leur l6te est remplie d’ idées qui ne sont point les vôtres ; vous parlez une la
¡ tout ce qui enfin devait flatter votre vue et vous donner une haute idée de nos savauts. Qu’avez-vous recueilli? pas même
, au bout de quelque temps, je parviens à changer la direction de ses idées , mais je fais de vains efforts nom- le révelllp
il n’aurait point eu conscience du temps qu'il aurait ainsi vécu. L' idée me vint un jour de savoir si l’insensibilité prov
ire, plus de triomphe pour le magnétiseur et la somnambule ; mais ces idées sont un faible mobile pour l'homme consciencieux
-dence. Il va sftas dire que je n’attache à ce petit recueil aucune idée de spéculation; il n'ira pa^^’ÿtalçrsous la vitri
«. La Sagesse des nations a formulé cet aphorisme : — Du choc des idées jaillit la vérité; ce qui peut encore se traduire
écrivain, au mépris de ses convictions les plus intimes, reculait à l' idée de laisser tomber de sa plume le mot magnétisme !
e et lafemme.ellen’a pas, toute prévoyante qu’elle est, eu la moindre idée des lois qui régiraient les sociétés humaines ; a
ce des discussions du monde savant sur l’hypnotisme, en présence de l’ idée magnétique exploitée au théâtre, mise en action p
ans une heureuse improvisation, remplie de belles et philanthropiques idées , que nous aurions du plaisir à retracer si ses pa
ne question si capitale, assurerait que l’avenir ne modifiera pas nos idées ? Si je re-raontais à moins de dix ans de mon exi
enu la parole, et, dansun discours qui se rapprochait un peu, par les idées émises, de celles de M. Clever de Maldigny, mais
les Henri Martin, avec tous ceux qui ne professent pas, à priori, les idées étroites et aveugles qui ont fait concevoir du ch
but de nos pensées, et afin qu’il inspire, k tous les magnétistes, l’ idée conimuae d'introniser, dans la société, la puissa
s, une apologie du magnétisme, et la forme épisodique S0U8 laquelle l' idée de l’auteur est enveloppée. Pour en finir avec le
es il ne pouvait avoir aucune connaissance daas son état naturel, ses idées et son langage, lout fut si nouveau pour moi et e
qu’étant magnétisé, je pouvais attacher leur esprit à tç-lle ou telle idée , ou qu’étant réveillés, ils nepen-sassentqu’à tel
a, et pendant que nous causions de choses indifférentes, il me vint l’ idée , en chargeant mes maius dans cette intention, de
ses facultés intellectuelles présentaient une différence notable; ses idées étaient plus claires, et il raisonnait avec une p
ve suivante : j’avais à répondre à une lettre qu’il m'avait écrite, l' idée me vint de magnétiser la réponse que jè lui envoy
des méukphysiques dont nous parlons sont le produit du frottement des idées , de leurs combinaisons et de leur action réciproq
mie el la science morte officielle. Le style en est brûlant comme îes idées ; c’est un fe i roulant d’antithèses et d’étymclo
votre conviction, s'il vous sera possible de vous maintenir dans ces idées . Voici des faits, exclusivement des faits. Ma p
aire au but d’un apostolat vraimenthumanltaire en même temps qu'à mes idées siu' la haute mission que je préjugeais du dévoue
t celte pensôe si noblsmeiU, si dignement servie pai'los prêtres de l’ idée , les Mielielet, les Quinet, les H. Marlin, Hugo,
tions d’élite qui mûrissent et pèsent un examen en dehors du joug des idées régnantes et sous toute défiance de la tare de no
n’en est pas de même avec M. Lesage, dont l'honorabilité exclut toute idée de ruse, et qui, d’ailleurs, se plaisait dans son
ies et les plus fausses, met en lumière l’anarchie qui règne dans les idées . On peut ne pas adopter mon rationalisme, mais je
moni. « cm un devoir, une imite obltgalJoD pour • quiconque a une idée , de la produire ei mettre ■ aa Jour pour le bien
l’organisme humain. A cette fin, il est indispensable de préciser l’ idée que Von doit se faire de la Divinité, car cette n
du sur l’autre? « (Docteur Ricard.) Avant de poursuivre cet ordre d' idées , il convient de jeter un rapide coup d’œil sur la
e extérieur. Le subjectif procède de F objectif. La doctrine tics idées innées est donc radicalement fausse, car, qu’est-
tics idées innées est donc radicalement fausse, car, qu’est-ce qu’une idée , sinon la représentation claire et distincte d’un
dont il a pris connaissance ? Or, il est impossible de concevoir une idée sans les signes, vocaux ou graphiques, qui la for
et aux mouvements spontanés du cerveau, mais rien qui ressemble à une idée , à un acte volontaire ou raisonné ; et c’est pour
un souvenir de nos premières années ; le contraire aurait lieu si nos idées étaient innées. Connaître l'état du cerveau, c'
ssance de ma main à poser ici les caractères qui donnent un corps aux idées f}ue mon âme façonne dans mon cerveau (1). Leur u
abaissements alternatifs des hémisphères, qui peuvent nous donner une idée du prodigieux travail moléculaire qui s’y opère l
ue par l’enveloppe crânienne. Toute représentation objective^ toute idée subjective, toute action de l'àme sur le cerveau
x approprié à cet usage. Du moment que l'on admet la plasticité des idées , et comment la repousser quand on comprend les fo
s de la pharmacie homéopathique ne sont-elles pas un progrès vers les idées fondamentales de la religion? Un auteur contemp
ation d'aujourd’hui ne peut se détacher de celle d’hier ; puisque les idées nouvelles ne peuvent se dégager des idées ancienn
celle d’hier ; puisque les idées nouvelles ne peuvent se dégager des idées anciennes. Vous êtes surpris de voir un vieux s
essentiellexneiit^it-r/ir-tiblel.., 11 ajoute ! « La doctrines des idées innées est donc radicalement fausse. I) Mais al
uérir qu'après de longues études ? Nous admettons non-eeulement les idées innée», mais bien plus les scienm — H L’âme, co
d’une femme enceinte vivement fi'appée ou longtemps « préoccupée de l’ idée d’un objet, soit capable d'en imprimer H l’image
naturelle, lisez ■ gangue matérielle. — ligne 21, au lieu de : les idées fondamentales de la religion, lisez : les idées [
21, au lieu de : les idées fondamentales de la religion, lisez : les idées [ondamen-lalet de la science. (!) Niius on a\ii
M. Desion ne m'offraient pas les résultats que je cherchais. Enfin, l’ idée me vint de tenir de la main gauche les deux condu
, mais ne constituait pas le problème-cherché; alors j'eus l’heureuse idée de placer dans la main du malade , ou d’appliquer
e diffère donc du magnétisme que par les procédés employés et par les idées différentes de ceux qui opèrent ou des opérés, et
vriront ainsi. Nous connaissons une dame, tout à fait étrangère aux idées qui nous occupent, qui, en peignant ses longs che
e geste le répand à (lots ; et c’est ainsi que vraies ou fausses, les idées se communiquent. Le vin et Camour hypnotisent et
inconnues, qui flypQotisent parfaitement ceux qui en sont affectés. L’ idée fixe et la nostalgie peuvent encore s’expliquer,
udeexcesaiveraent inlércsssnle qui le IprmlDe et qui a pour litre : L’ Idée fixe. {¡foii ae lo ridaeiion.) l’action simpl
s à ramphiihéâtrede l'Ecolc de médecine, a brillammenl sanctionné les idées de Laplace, à la satisfaction très-reientissante
ation en tous genres ; ils établissent, présentent et défendent leurs idées , les thèses de leur raisonnement, à d'inégaux et
î qu'à peifectionncment róintógfal. Vous n’avez plus qu’à suivre en idée Ic.s évcniucllc3 imiialions de ces contingences i
si laborieuse! A certains moments, et presque d’instinct, on évoque l’ idée d'un ancien compagnon, et l'on ne sait pat se ral
r autant que possible le point en litige. Avant de discuter sur les idées , il faut d’aboril commencer par s'entendre sur le
, etc. Si je n’ai pas eu le bonheur dc convertir M. Ordinaire à mes idées , j’ai au moins eu la satisfaction de le ramener d
x, c'est parce que son niatjuéüsuur lui impose, par com umnicatioii d' idées plastiques, les sensations qui sont corrélatives
rigino divine et antérieurement à sa communication avec le monde, les idées des choses, et si véritablement elle avait besoin
nt elle avait besoin du contrôle des phénomènes pour en retrouver les idées . Jamais cerveau, sorti des rangs du peuple, n’eût
ence humaine ne s’est pas eoiichie du plus petit lambeau de fait ou d’ idée par ce procédé exclusivement pneumatique. Rien n’
nt je viens d’analyser quelques pages, car il admet non-seulement les idées innées, mais encore les sciences innées l ! Si
st pas étonnant qu’il ne saisisse pas le fond et la filiation de rues idées , et qu’il y substitue les fruits hétéroclites de
ablir l’équilibre aussi bien entre les cerveaux, o(i je crois que les idées se forment plastiquement, qu’entre les corps inan
force et de substance, et c'est ce qui jette la perturbation dans ses idées . La clarté ne se fera dans son esprit que lorsqu’
nt, ainsi que de quelques personnes du pays qui sympathisent avec les idées nouvelles et qui désirent avec ardeur le progrès
mettre en lutte, mais pour qu’ils exprimassent par leur liarmoniv son idée et sa puissance, etc... Or, par l'ordre même de l
ier sens, qui est matériellement le plus exact, n’entratne-t-il pas l’ idée de résurrection, idée dont l’absence chez Moïse e
riellement le plus exact, n’entratne-t-il pas l’idée de résurrection, idée dont l’absence chez Moïse eût été un fait inconce
é, et tous ceux qui l'ont reçu de Pythagore n'ent fait que suivre les idées de Foé. » Fabbb d'Olivet. {De l'élaf tocial de rt
ant ZJeus&rmacAma, enveloppera de fluide ou le distribuera avec l’ idée que la nature seule doit agir. 11 y a encoi'e t
ions, les imposteurs et les charlâians qui cherchent à accréditer dès idées aussi peu fondées 1 Le magnétisme animal présen
nie! Combien d’imliviilus peuvent sc ilatlnr d’avoir eu denx ou trois idées lumineuses dans le cours de leur vie? Règle gén
c’était la première fois que je tentais une expérience de ce genre, l’ idée ne m’eo étant pas encore venue. Depuis loi's, j’a
succès le plus complet. Les faits que je vais rapporter donneront une idée exacte des divers effets de la vue magnétique; c'
mais il n’y a qu'un instant qu’elle remuait ses pieds mignons. Une idée me vint. Je priai madame 11... de quitter l’appar
céc sur lui jadis. Quand donc les médecins l'enonceront-ils à leurs idées systématiques à leurs préjugés d’école? Quand don
constitue un agent thérapeutique des plus puissants. Loin de moi l' idée d'en faire une panacée universelle, ni de l'isole
te presque complète de connaisHoce. (Pathologie.) C’est alors que l’ idée vint au chef de cliniquc d’essayer le rcagnétisme
bules aux hallucinations. Comme dans l’aliénation mentale, toutes les idées les plus incohérentes se présententà l’esprit du
t de nos savants qui condamnent le magnétisme sans le connaître], nos idées erronées, dit-il, qui ont été publiées dans le/ou
ies étaient contagieuses pour le magnétiseur, nous «’avons point eu l’ idée de prendre ce mot au pied de la lettre, c’eût été
restreint, trop restreint, une brochure d’une vingtaine de pages, ses idées sur la cause des maladies nerveuses. Des proposit
i). Les niayiic-tietes, en le lisant avec allention, y trouveront des idées fécondes et de luaûneuses explicatious sur le pri
59 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rner son guéridon. Elle céda. Très versée à ce moment-là dans ses idées philanthropiques, rêvant de pacification univer
fait. Son nom signifie Idéal car Deus dérive de Ideus qui veut dire Idée et idée équivaut à « Bonté-Charité » ; il a pri
n nom signifie Idéal car Deus dérive de Ideus qui veut dire Idée et idée équivaut à « Bonté-Charité » ; il a pris intime
des Ames provenant « du respect mutuel des êtres contrairement aux idées des 11 hommes qui désirent et prennent la chair
« tu seras le porte-parole devant les hommes. « La nouveauté dans l' idée à faire vivre c'est la combinaison « du Moi et
le a évoqué typtologiquement « l'esprit dans le Midi), sera fou des idées que j'aurai, il m'a pro- « mis il' ma mort de r
érales. Toutes les médications avaient échoué lorque l'auteur eut l' idée de recourir à la jusquiame, qu'il administra so
malade est épileptique et il n'existe pas d'épilepsie incomplète. L' idée d'une « décharge » de force nerveuse n'est pas da
ans les phénomènes mentaux (souve- nirs éveillés par associations d' idées ) et une excitation afférente purement mentale p
en griffe, et cette apparence évoque immédiatement dans l'esprit l' idée d'atrophie musculaire myélopathique, d'atrophie
Pour toutes ces raisons nous ne pouvons donc pas nous arrêtera l' idée de syringomyélie à forme atrophique, mi il nous
D'autre part, un médecin fort distingué, M. Zambaco a défendu celte idée que les malades qui, en Bretagne, avaient servi
vous ai dit tout à l'heure pourquoi chez nos malades je repousse l' idée de syringomyélie. Parmi les symptômes que nous
présenta en Europe son maximum de développement. A cette époque l' idée de contagiosité de la maladie était déjà admise s
: voyons sur quels arguments se fonde cette opinion. Tout d'abord l' idée d'infection médul- laire consécutive à une névr
t des mots associés par assonnance comme dans « idéal, Deus, ideus, idée ». A partir du mois de janvier, les esprits s'e
Elle cherche à exprimer en vers tous les sentiments et toules les idées que naguère elle condensait en style sentencieux
enue, car je demeure 134 CLINIQUE MENTALE. " « ici pour semer nos idées . Il me dit lui-même de former des « élèves, car
eurs presque tous les frais, d'une sentimentalité quintescenciée. L' idée de ces deux amis charme son coeur, mais la tour
estre : « Tu seras heureuse dans deux mois, lui dit-il un jour où l' idée de divorce la hante, tu m'aimeras dans la perso
« Elle a peur, dit-elle, des hallucinations qui lui ont donné des « idées de grandeur et qui l'ont rendue méchante ave «
lle fait une île et où par une associa- tion verbale inconsciente d' idées elle fait déporter les juifs et les protestants
ience des souvenirs, des scrupules, des ten- dances affectives, des idées à coefficient émotionnel pins ou moins intense
jusqu'à vingt-quatre ans est resté matérialiste et éloigné de toute idée et de toute pratique de piété. A dix-sept ans,
ment bien net de la personnelité que les malades traduisent par des idées et des mots très expressifs. Ces malades ne con
es sur des chiens et des singes, dont nous ne pouvons qu'indiquer l' idée générale. Après avoir lixé l'oeil, on enfonce,
istance et le dédain que partout elle trouve la con- firment dans l' idée d'une persécution diabolique, qui est le point
e et la fille. Il s'agit d'un délire polymorphe avec prédominance d' idées SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 69 mystiques et de persé
du passif, elle est encore contestable, car la systématisation des idées délirantes chez l'organe passif donne à son dél
les de la sensibilité et l'état hypocondriaque. Ainsi sont nées des idées de suicide et progressivement la malade est arr
er ; , 2° L'influence exercée par l'obsession sur l'état mental : l' idée de suicide et les idées de négation se sont dév
xercée par l'obsession sur l'état mental : l'idée de suicide et les idées de négation se sont développées consécu- tiveme
rdon : crises somnambu- liques consécutives à une peur, obsessions, idées fixes, neuras- thénie et faits de pédagogie sug
en proie à des halluci- nations verbales, est bientôt pénétré de l' idée que le Dieu Iahvé lui parle et qu'il est son mi
itoires ou durables, erreurs de sensa- tions, actes subsconscients. idées fixes, aboulie, entêtement. Ces troubles neuras
opophobie, la « Beachtungswahn » ou manie de se croire observé, des idées de persécution. Dans tous les cas, la phobie du
isin. Tout en discourant, je pense à mon mal et perds le fil de mes idées . C'est pis lorsqu'on me parle ! Je sais qu'un reg
ns un style où la pureté de la forme le dispute à la profondeur des idées et une haute science historique et phi- losophi
onde à la réalité des faits et qu'elle puisse se concilier avec les idées nou- velles en psychiatrie. Nous exposerons d
, de la mémoire, de la réflexion, du jugement, de l'association des idées , etc. , Les malades sont incapables de s'appliq
éconcertante qui prouve que Uassociation, l'enchaînement normal des idées , n'ont plus lieu que par assonance de certains
cial en ce qui concerne leur contenu : les plus fréquentes sont des idées de richesse, de grandeur ou de persécution, par
idées de richesse, de grandeur ou de persécution, parfois aussi des idées hypocondriaques, mystiques, érotiques, etc.; el
tisés hallucinatoires, y compris le délire chronique de Magnan, ces idées délirantes sont un peu moins mobiles, plus adhé
nt dans cette affection qu'ils se présentent sans relation avec des idées délirantes ou des hallucinations et indépendammen
vulsives, les états cataleptoïdes, etc., et, dans le même ordre d' idées , les états de confusion, d'engourdissement, de to
e ces délires qui, comme on le sait, est presque toujours à bases d' idées hypo- condriaques, de persécution ou de grandeu
on ou de grandeur. Or, de l'avis de tous les auteurs, de semblables idées ne peuvent se développer qu'à la faveur d'un af
sistent à l'envi sur les caractères différents que présen- tent ces idées dans les affections que nous venons de citer (imb
syllogistiques de ces malades. 0 En réalité, la systématisation des idées chez ces sujets est loin 224 SOCIÉTÉS SAVANTES.
s, contradictoires. D'autre part, la superposition si fréquente des idées de grandeur aux idées de persécution chez les p
autre part, la superposition si fréquente des idées de grandeur aux idées de persécution chez les paranoïaques n'est-elle
s ; cette répétition monotone des mêmes mots dans un cas, des mêmes idées dans l'autre, ne peut être que le fait d'un eff
t fondant en larmes à chaque instant sans motif, elle manifeste des idées de grandeur, des idées érotiques et des idées d
haque instant sans motif, elle manifeste des idées de grandeur, des idées érotiques et des idées de persécution. Successi
f, elle manifeste des idées de grandeur, des idées érotiques et des idées de persécution. Successivement on note du négat
Nissl, l'inclusion préalable des fragments de moelle. Telle est l' idée qu'une comparaison impartiale des différentes t
tres supra-nucléaires. M. Parhon (Bucarest) se déclare partisan des idées de M. Sano et insiste sur la technique indispen
t. XVIU. 16 242 SOCIÉTÉS SAVANTES. trebente et Marchand ont eu l' idée de faire l'application du traite. ment de la fi
hibition des archives examinées trace en même temps l'évolution des idées ; la forme de l'exposition montre l'origine ains
e service actuellement en fonctions. M. Keraval a eu l'excellente idée de demander au docteur Raoul Leroy, le médecin
éa- gissent à la façon des criminels soit sous l'influence de leurs idées délirantes, soit à la suite d'une abolition tem
spéciaux pour alié- nés criminels ; c'est là la manifestation d'une idée propre à ces auteurs ; mais ce n'est pas le rés
riode d'amélioration de l'entéro-colite amenait une atténuation des idées délirantes ; - 2° Deux observations de délire d
comme précédemment, la virilité revint avec l'habitude, toutefois l' idée obsédante persista à un degré encore plus accus
y avait eu des aliénés dans sa famille, il était alors obsédé par l' idée qu'il devenait fou. Je le rassurai, et j'attrib
tatai pour la première fois un profond dégoût de la vie et quelques idées de suicide, n'ayant elles rien d'impulsif, et i
suicide. La nuit, il ne dor- mait pas, obsédé et angoissé par cette idée contre laquelle il luttait ' '' avec force, car
ut pris d'angoisse avec palpitations de coeur et tremblements, et l' idée s'implanta, obsédante, dans son esprit qu'il av
l fut forcé de se lever vers trois heures, obsédé et angoissé par l' idée que s'il attendait jusqu'au lendemain matin, il
on chez un individu donné de différents états psychiques obsédants ( idées , représentations, désirs, mou- vements obsédant
rouble mental. Outre les états obsédants essentiels, exis- tent des idées et des représentations obsédantes symptoma-, ti
-obsessive donne un tableau clinique particulier de mélancolie avec idées obses- sives ; en ayant affaire à de pareils ca
nt les malades eux-mêmes, qu'ils avaient eu, encore auparavant, des idées obsessives; dans certains cas de ce génie, c'es
s et indécentes; le malade s'inquiétait aussi beaucoup à propos des idées sacrilèges, exprimées chez lui d'une manière très
ient tout à. fait, sa. 308 CLINIQUE MENTALE. manière de voir. Les idées obsessives sacrilèges et cyniques le dominaient
tique et qu'il a conscience des fausses sensations auditives et dee idées obsédantes obscènes et sacrilèges qui ont été cit
ion, se combinant avec une masse de représentations obsédantes et d' idées obsessives les plus variables. La nomination de
es plus variables. La nomination de ces représentations et de ces idées « obsédantes » est parfaitement juste et légitime
r, ne lui appartenant pas. Par conséquent, il y avait ici de vraies idées et de vraies représentations obsé- dantes. Seco
ans le cas donné sautent aux yeux les associations obsé- dantes des idées et des représentations de contraste ; comme nou
à vu plus haut, le malade lui-même disait que pendant la prière les idées obscènes et indécentes étaient plus nombreuses
décentes étaient plus nombreuses ; il remarquait lui-même que les idées cyniques et obscènes se combinaient dans son espr
l est intéressant de noter encore dans le cas donné ce fait que les idées obsessives et les représentations obsédantes s'
s organes sensoriels ; le malade avait encore en liaison avec les idées et les représentations obsédantes des illusions e
es états maniaques que le malade a supporté il n'y avait point ni d' idées obsessives, ni des représentations obsédantes;
sédantes; évidemment, l'état d'excitation avec le cours exagéré des idées influait sur les états obsé- dants d'une manièr
tôt après le début de cette maladie appa- rurent chez ce malade des idées d'un contenu obscène et aussi d'autres associat
lade était bien conservée, mais il ne parlait pas volontiers de ses idées obscènes et indécentes. En questionnant le mala
lancolique des associations psychiques obsédantes de contraste (des idées et des repré- sentations obscènes etcyniqûes),
e psychose définie, sont possibles aussi des repré- sentations, des idées et des peurs obsédantes, exprimées 312 RECUEIL
3 cauchemars très pénibles. Ces rêves gravitent autour de la même idée : peur de tomber, de s'étouffer. La malade se cro
notre propre conscience. De même que celle-ci possède des groupes d' idées déterminées Archives, 2- série, t. XVIII. 21
l'identification des divers objets, ou si le tact n'éveille pas des idées relatives à l'espace et à la vue, et si, alors,
atives à l'espace et à la vue, et si, alors, ce ne seraient pas ces idées qui aboutiraient à l'identification de l'objet,
d'autres sensations agréables, agir jusqu'à un certain point par l' idée stimulante ? On peut faire un raisonnement inve
sens, le but, de cette sujé- tion motrice; il s'y peut ajouter des idées délirantes, des halluci- nations sensorielles q
on prend pour la cause et qui ne sont que l'effet. Est-ce que nos idées psychomotrices ne sont pas à nous- mêmes arrêté
nous- mêmes arrêtées régulièrement et au besoin contrôlées par des idées antagonistes ? En ce cas, il faudrait se représ
e. La rapidité de la marche exclut une myélite aiguë ordinaire. L' idée d'une myélite apoplectique se justifie par l'abcè
se à côté s'accompagne très fréquemment de verbigération, certaines idées sont doublées de fusées rhytmiques de nombres o
'ajoutaient depuis quelque temps de violents accès d'agitation avec idées de suicide et même tentatives de sui- cide. Je
'épilepsie devenaient plus rares, mais les troubles psychiques, les idées de suicide et l'excita- tion se dissipaient tot
étant au régiment, appa- DEUX CAS DE MÉRYCISME. 391 raissent des idées délirantes de persécution, sous l'empire des- q
admis à l'asile, ou pose chez lui le diagnostic de mélancolie avec idées de persécution basées sur des hallucinations de l
e, très rares, s'expliquent'd'ailleurs d'une autre manière. De là l' idée que, dans l 's foyers de la région des tubercules
emne de lacunes intellectuelles, adapte son délire à la provision d' idées et de notions enregistrées dans son intelligenc
s et de notions enregistrées dans son intelligence, l'accommode aux idées de temps et d'espace intactes chez lui, le para
t d'espace intactes chez lui, le paralytique qui a perdu quantité d' idées concrètes ou abstraites, spéciales ou générales
nd des lacunes de son intelligence, de la perte de telles ou telles idées ou notions'. P. IiswvaL. VIII. De l'angoisse; p
E MENTALE. retenu que l'attention des psychiatres ; l'auteur a eu l' idée de l'étudier dans les diverses maladies. L'ango
, il est inquiet ressent du tremblement dans les membres, éprouve l' idée fixe d'une anomalie dans sa personne, et quelqu
E PATHOLOGIE MENTALE. 413 11 ne s'est pas amélioré néanmoins, car l' idée seule qu'il doit effec- tuer ce cérémonial le p
e chez ce prédisposé l'appari- tion d'un délire hypocondriaque avec idées de possession et que, par analogie avec les dém
ie maniaque-dépressive les accès de dépression sont plus rares, les idées de culpabilité font défaut; les accès d'excitat
ans la démence précoce on n'observe pas de dépression au début, les idées délirantes sont rares, les symptômes catatoniqu
ta- tion, des moments de lucidité, une singulière association des idées , des bizarreries extraordinaires dans la vie ordi
s faits d'hystérie tardive ne sont pas plus contradictoires à cette idée qu'à celle de l'hérédité : il est le réveil de
ourds-muets et les aveugles, on est resté sous l'influence de cette idée ancienne, que le soin de leur - infirmité relèv
ements fournis sur elle étaient excellents et on doit écarter toute idée de vengeance. Quand elle fut invitée à compléte
our de son lit ». Le 30, il lui vint soudai- nement dans l'esprit l' idée de mettre le {eu; la jeune fille repousse cette
s pieds ci La tète, son cour se gonfle, ses oreilles bourdonnent. L' idée obsédante envahit tout le champ de la conscience,
J'ai mis le feu parce que je ne pouvais faire autrement. » « Cette idée m'a prise subitement, j'allais, c'était impossibl
donne pour motif qu'elle cédait à la passion du moment sans avoir l' idée qu'elle pourrait bientôt recommencer. Cette oblig
nt guéri. En raison de son crime, on avait toujours reculé devant l' idée d'une sortie. D'autres, 456 asiles d'aliénés.
ines possessions, les aliénés dange- reux ? Loin de la métropole, l' idée de l'évasion cesserait vite de les hanter; ils
gé les dangers d'ordre moral qu'elle présente. ' Pour résumer nos idées , nous conclurons : , I. Le maintien dans les as
et complexe de l'hémispasme n'est pas en rapport avec un geste, une idée ou un sentiment, mais est en rap- port avec un
; 502 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. les clôtures entretiennent les idées d'évasion ; ce que coûte la déchéance en chroni
ogressif Attaque apoplectiforme et embarras de la parole. Mélange d' idées de satisfaction puérile et de persécution. A gau-
élire avec agita- tion, illusions, hallucinations et prédominance d' idées érotiques et religieuses - qu'il considère comm
et suivantes, une description riche en détails intéressants. - 3° Idées de suicide, infanticides au cours des folies puer
teur aboutit à la définition suivante de l'illusion vésanique : une idée née dans la cérébration inconsciente ; projetée d
oncitoyens; sa carrière d'artiste est brisée, etc... Obsédé par ces idées , il voit avec terreur s'approcher la date fatale;
ain, sans hésitation, trouble ou appréhension; en même temps, ses idées noires l'ont quitté; il est tout à fait calme et
bsédés par tel air, tel passage, ils sont comme monoidéisés par une idée fixe; et, ainsi, ils se déséquilibrent. Chez eu
mme à des angoisses mortelles ; Renzo, dis-je, laissa de côté toute idée de retraite. Il résolut de prêter main-forte à
60 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
8 avec des in- tervalles libres, pendant lesquels surgissaient les idées mélan- coliques. La température n'était pas éle
l'état de repos ? Les mêmes raisons qui nous ont obligé à rejeter l' idée que ces phosphates se lient à un ralentissement d
se de Felicki, Greisswald, 1881), il adopte pour son premier fait l' idée d'une contracture de l'aponévrose palmaire (épa
t atteinte dans la folie aiguë des jeunes femmes (désordre dans les idées avec hal- lucinations), dans les accès d'angois
ce de la mélancolie, accompagnée d'hallucinations sensorielles et d' idées délirantes correspon- dantes, de la mélancolie
chambre, de grandes figures qui défilaient, etc. Elle eut même des idées de persécution ; elle crut, à une époque, qu'on
t l'autre par pendaison. Actuellement, elle est dominée par cette idée fixe qu'elle peut être enterrée vivante, et, à
suicider ensuite dès le commencement de l'inondation. Ces dernières idées la poussent à inventer des histoires de gens au
er- tain nombre de faits qui me semblent procéder du même ordre d' idées ; je n'ai pas sous la main les observations complè
heure. - Une de ses soeurs est aliénée (dé- lire des négations avec idées mystiques) ; l'autre est d'une reli- giosité ex
e demoiselle d'une vingtaine d'années, fille d'un excité maniaque à idées ambitieuses, qui depuis la plus tendre enfance
oire d'une enfant de sept ans, fille d'un délirant mélanco- lique à idées hypocondriaques, laquelle se nourrit exclusivemen
Alors, elle m'avoua que toujours elle avait été poursuivie par l' idée qu'elle serait étranglée par un os. Elle est en e
satisfaire son appétit; elle eut même, dans ces derniers temps des idées de suicide qui décidèrent sa famille à prendre
le caractère im- pulsif du besoin de manger devant faire écarter l' idée qu'on pou- vait être en présence d'un cas de bo
itis syphilitique non gommeuse. En juin 1883, accès maniaques, avec idées de grandeur et troubles de la parole; à ce mome
ns terrifiantes et anxieuses, avec obnubilation de la connaissance, idée de persécution et parfois agitation maniaque; c
ollège; traduit par le Dr GFauONT, ancien interne des hôpitaux. L' idée fondamentale qui domine le nouvel ouvrage du D°\f
ce livre dont cette courte analyse ne saurait donner qu'une faible idée : c'est, en somme, en véritable traité d'aliéna-
te tension pourrait être soumise à une recherche objective. C'est l' idée qui m'est venue, quand j'ai assisté à des expér
ux chiffres, puisqu'ils commencent par la même ligne; alors j'eus l' idée d'exiger que le suggesteur fixât son attention
tière conscience de son état; il re- grette et déplore, dit-il, ces idées absurdes, mais il n'en reste pas moins l'esclav
ssion aux- quelles se sont ajoutées, dans les dernières années, des idées de suicide. Au mois d'avril 1884, il rencontr
e ces obses- sions, il refuse absolument de sortir et manifeste des idées de suicide. Enfin, depuis quelque temps, il dev
objets, il fait tous ses efforts pour éviter de telles questions, l' idée de Y Infini le jette, ajoute- t-il, dans le dou
1 1 162 pathologie mentale. dépressives s'accompagnant parfois d' idées de suicide. Plus tard, se montrent des perversi
ndirectement par exemple, et ces mots, dit-il, passaient à l'état d' idée fixe. ' Voici encore une observation très court
bilité. Les expressions pas- sionnelles restent figées, après que l' idée qui les a produites a disparu et que la volonté
l n'est plus à Saint-Urbain, mais à Chartres. A la fin de sa crise, idées érotiques, spasme cynique, projeclion ryth- miq
onserve son caractère de stig- mate indélébile. V... garde quelques idées délirantes. Il fuit les médecins, par crainte q
s brièvement un petit nombre de points. Disons tout d'abord que l' idée d'une simulation nous est venue à l'esprit et q
ma- nière générale, l'histoire des accès rudimentaires suggère l' idée d'une localisation différente pour chaque genre d
en tés pâÿ.s',.... En ]èliqiie, Ghëel l'a arrêté peu de temps. L' idée , dit-il, est bofirié, èllé à exil partie reçu u
volontés, et leur montre l'insanité de leurs désespoirs et de leurs idées pro- conçues, de leurs sensations erronées (ens
ly. L9 méthode ne se Plie nas aux çaj dans lesquels il pxis.[e. des idées détirantes ! U'p.gçhgn4rj ! HI(I( ? l L ? acciden
r. D'où vient ! tout ce mouvement ? Pourquoi cet abaissement des idées en,France ? Pourquoi un leldéfaul d'énergie chez
? 11 e J 1, lU' 1 1 (j i - M,I SA ? ¡DER,.l\Iême en supposant que l' idée du'divorcé soit admise dans J'espèce ? c'est' â
les données expérimen- tales de M. Munk, il cherche à combattre les idées bien connues de ce dernier aussi bien par une s
aquelle toutes ces ques- tions y sont traitées, suggère forcément l' idée , mise en évidence du reste depuis longtemps en
esprit scientifique convaincu, il a eu le courage de combattre les idées déplorables d'un passé sécu- laire ; il a brisé
ble. » « Notre grande Révolution arrive enfin, avec son cortège d' idées réformatrices et humanitaires. En 1792, les trois
énation mentale VARIA. 28 1 « Vous ne pouviez mieux glorifier les idées qui inspirent votre apostolat qu'en élevant une
une direction à la fois ferme et bienveillante. « Telles sont les idées morales que ce moumennt doit surtout provoquer
u quartier. « Messieurs, 1 i « Ce n'est pas à ceux qui ont eu l' idée d'élever celle statue que l'un fera, le reproch
ire est, par dessus tout, d'avoir appliqué, dans sa profession, les idées qui font de la philosophie du XVIIIe siècle l'i
trière. un très grand nombre d'élèves qui ont propagé a partout ses idées , ses réformes et ses bienfaits; « Considérant q
salons du xvme siècle, où s'étaient éla- ])orées et développées les idées modernes, celui de Mm0 llelvétius était en quel
le futile des impulsifs au feu, ce serait voir dans l'impulsion une idée morbide isolée, susceptible de surgir au milieu
victime. Ça m'a pris tout d'un coup; en passant devant la maison, l' idée m'est venue de mettre le feu et je l'ai fait en
raissait très au courant de son métier d'huilier. Il se faisait une idée exacte de ses devoirs vis-à-vis de la société,
explications diffé- rentes. Il a commencé par me dire : « C'est une idée qui me passait par la tête ». Je lui ai alors d
'entrer dans les détails, de me raconter ses sensations quand cette idée s'em- parait de lui, puis enchaînait sa volonté
tribué à l'exonérer en 1871 du service militaire, Berger avait eu l' idée d'utiliser, pour se soustraire à la cour d'assi
rairement aux données de la science actuelle, l'impulsion comme une idée isolée, née à l'impro- viste dans un organisme
contraire, dont l'auteur était resté inconnu, qui lui.avait donné l' idée d'en allumer d'autres en lui indiquant le moyen
lle ne perdait pas une occasion d'être nuisible, et je donnerai une idée de sa froide cruauté en racontant que, se trouv
ltats de l'expéri- mentation. On ne connaît guère, dans cet ordre d' idées , que l'observation de M. Bernheim et les mémoir
l, goût, odorat, par exemple, peut, à un moment donné, susciter des idées d'empoisonne- ment. Tel trouble de la sensibili
otilité, paralysies, contrac- tures, peut être le point de départ d' idées de persécution ou hypochondriaques, et même de
r plus tard, toujours sous l'in- fluence des mêmes moyens. Avec les idées délirantes dispa- raîtront aussi petit à petit
l'accès délirant s'établit (délire lypé- maniaque, hallucinations, idées de suicide). Elle fut soignée dans différents a
inations sensorielles multiples, bavardage incohérent rappelant des idées de persécution, hypo- chondriaques, d'empoisonn
le provoquer : le délire des attaques, en somme, par la couleur des idées ressemble beaucoup au délire constituant l'affe
aque de catalepsie spontanée. 30. - Une attaque convulsive, mêmes idées délirantes, très agitée. 2 juillet. Attaque à
ntes, très agitée. 2 juillet. Attaque à midi. 3. Attaque, mêmes idées d'empoisonnement : veut laver ses aliments pour
rons, chansons légères, très hallucinée, veut tuer tous les curés : idées de persécution ; les agents politiques la pours
ractures ne persistent pas au réveil et ne déterminent de nouvelles idées déli- rantes, me souvenant aussi du fait produi
nfluence des attaques, de leur période de délire, sur le retour des idées déli- rantes et de l'excitation, j'essaye de l'
ais descendre sa boule qui ne l'étouffera plus : elle accepte cette idée , la sensation d'étouffement, l'ovarie disparais
n'ai employé qu'en dernier lieu a réussi beaucoup plus vite que les idées suggérées de calme, de la disparition de tous ses
qu'il fallait les faire d'une façon différente pour chaque genre d' idée . - Mais toujours, au lieu de s'adresser direc-
re d'idée. - Mais toujours, au lieu de s'adresser direc- tement à l' idée elle-même, il nous semble préférable, d'après l
ience des faits, de rechercher d'abord le mode de produc- tion de l' idée et de s'adresser à ses causes génératrices; attaq
l'assurant qu'elles ne reviendront jamais. Une fois cela fait, les idées de persécution ou d'empoisonnement n'étant que se
t se sont enfuis. Elle est, en somme, beaucoup moins excitée et ses idées délirantes moins diffuses et moins incohérentes
nnes dont j'ai parlé, et encore ne sont-ce plus des agents. Cette idée , d'ailleurs, disparait le 1.5 septembre, de la fa
courants faradiques aidée de sug- gestions à l'état de veille. Les idées hypochondriaques qui commen- çaient à s'accentu
anophohique avec hallucina- tions terrifiantes, surtout zoopsiques, idées d'empoisonnement, le tout consécutif à une piqû
elle entend des voix dans le lointain et on la pousse dans le dos. Idées d'empoisonnement plus développées : lave tous ses
ypnotiques, les halluci- nations diverses disparaissent ainsi que l' idée d'empoisonnement. Elle mange proprement au réve
e. Refuse de manger sans que je puisse savoir pourquoi; cependant l' idée du poison n'existe plus. 1° ? . - Attaque de lé
, fait de la musique, mange bien, ne manifeste pas d'inquiétudes, d' idées de persécution, d'hallucinations, ni de douleur
r sans avoir des étuutfements, des angoisses, des maux de tête. Les idées , détruites antérieurement, ne reviennent pas :
écordiale, la tension céphalique qui les accompagnent suscitent des idées d'eua- 1 Les suggeslions sont restées sans efre
Les hallucinations, surtout de la vue, n'ont fait que croître : les idées d'empoisonnement et de suicide persistent : incoh
e. 26. Une séance d'hypnotisme a raison des hallucinations et des idées délirantes d'empoisonnement et de suicide. C'est
ais aussi qu'elle peut résister. Elle reconnaît elle-même que ces idées sont contraires à la raison, mais elles lui sont
sans jamais savoir ce qu'il fallait que je fasse. » 2 mars. - Les idées de suicide et d'homicide persistent : « J'é- pr
e et docile; ne souffre pas et ne manifeste aucune de ses anciennes idées . - 3. - Elle se ressouvient d'elle-même de la m
, le sein gauche et dans le. jarret de ce côté. 2 avril. Même état, idées d'empoisonnement, hallucinations du sens muscul
les qui la poussent au suicide ; puis par suite, la fausseté de ses idées d'empoisonnement et la cessation des impulsions
te d'épilepsie, le bromure que je prescris la confirmant dans cette idée ; et comme elle exige cependant des médicaments
persiste, mais en s'attenuant : cepen- dant la malade manifeste des idées d'empoisonnement. 20. - Le tremblement diminue
assez accentué, elle délire même un peu, parle de fleurs, mais les idées détruites par les suggestions ne reparais- sent
lète. Plus d'erreurs de personnalité : aucune hallucination, aucune idée délirante. Reconnaît la fausseté de ses ancienn
août. - Le sommeil est revenu complètement. 1er septembre. - Aucune idée délirante, pas de troubles soma- tiques : somme
gestions réussiront bien mieux si elles s'adressent à la cause de l' idée ou tout au moins à ce qui est regardé comme tel
tout au moins à ce qui est regardé comme tel par la malade, qu'à l' idée elle- même. L'eflet qu'elles peuvent produire d
entre deux forces contraires, la suggestion imposée qui détruit son idée délirante, et le trouble physique qui la produi
i elle dure toujours. Au contraire, si l'on s'attaque à la cause, l' idée qui en résulte disparaîtra pour ainsi dire d'el
ervation nous a maintes fois montré ce fait, notamment à propos des idées de suicide qui n'ont cédé que du jour ou l'hal-
le traitement d'une folie hystérique, telle n'est pas encore notre idée , et nous savons qu'il y a bon nombre de ces cas
é du délire hystérique, seule, en nous obligeant à poursuivre les idées délirantes une à une, a retardé la guérison compl
riger une nouvelle méthode thérapeutique. Nous avons seulement eu l' idée aujourd'hui d'attirer l'attention des observate
eux fois nous avons observé la crainte de la mort passée à l'état d' idée fixe (OBs. X, LVII). Une de nos malades (Cas. L
à la suite d'une émotion extrême, de démence avec désordre dans les idées . Un beau jour, ictus avec hémiplégie droite pas-
ger, il a été souvent malpropre : il est incohérent, agité et a des idées de persécution, aucun symptôme de paralysie n'est
nerfs optiques). A l'asile, il est agité, souvent bruyant, il a des idées délirantes, il est sourd, et on note un peu d'i
érédité; délire religieux (il prétend être l'apôtre saint Paul), et idées de persécution. Quatre jours avant son entrée,
que lorsque la concep- tion n'a rien à voir avec l'association des idées ; elle émane d'excitants internes intra-cérébrau
ble de s'opposer à l'influence des excitants en question. Quant aux idées domi- nantes d'un individu, celles en rapport a
- nantes d'un individu, celles en rapport avec des associations d' idées , il est vrai que, dans les cas avancés, elles ent
quand le malade a le désir de guérir; 6 a. Défavorable, lorsque les idées de suicide sont persistantes; 7. Favorable, si
varie, etc. Hypochondrie. Les hypochondriaques par hérédité ont des idées absurdes, étranges, sur la nature et la cause d
i ne parait pas comporter un tel élément. Ce sont, par exemple, des idées de grandeur absurdes, survenant tout à coup et
que obsession. Il a eu plus tard la crainte des lieux élevés et des idées de suicide. Je n'insiste pas, car chacun de vou
har- monie et ce défaut d'équilibre des facultés. Pour se faire une idée nette de l'état mental des héréditaires, il est
ux nécessaires à l'élaboration intellec- tuelle, à la formation des idées ; ces images passant en avant, dans la région fr
ue ne se modifie point pendant que la fièvre typhoïde marche, les idées délirantes ne disparaissent que lorsque disparais
sens musculaire. Mais, dit M. Bérillon, il n'était encore venu à l' idée de personne de rechercher si, en imprimant une
sente une aptitude spé- ciale à transformer immédiatement en acte l' idée reçue, est par- venu à provoquer chez des sujet
61 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e année-là, il fut incapable de toute application intellectuelle. L' idée seule d'essayer de lire une ligne lui était pé-
t inquiètent peu,le.malade;'au bout d'un i certain temps même, ces- idées de persécution' (pour r continuer,uii : de ces
ations hypocholl-' ¡ driaques du délires des''persécutions-ett des^ idées de ? inofnijl'-rd'. UlI ? tl le ? JI.ilf1¡J ? ,
e' d'en- trée, nous trouvons» que, 'd'abord, les' sentiments, les idées pénibles sont assez confus, assez mal déterminés
t,.en6n, montera .ce- qu'on- pourrait, appeler sonrapothéose.=,Lesl idées .délirantes revêtent désormais le caractère, d'
d, comme conséquence, derrière telles craintes religieuses, 'telles idées de persécution, se glisseront les premières .qu
'sera plus ou moins lente,* à côté des sentiments et par suite des idée : ,> : péi11bles, .viendeoIlt. s'affirmer les
i11bles, .viendeoIlt. s'affirmer les senti- ments de grandeur, .les idées 'ambitieuses. qui en sont le résultat;rquelle q
; les sentiments de gran- deur se prononcent de plus en plus et les idées ; mys- tiques pu;ambitieuses ? qui en'sont la, s
.expajLs troubles,de la sensibilité; les ¡interpréta- tions, les idées délirantes ne jouent qu'un rô)e,secon- daire et
isième' accès '.de'('lypéma11l'e'" anxieuse simple avec conscience. Idées de suicide, Ey rysil- l ' pèle pltlycténoïde de
hique. Il perdait la mé- moire,' ne,l savait plus. retrouver ses ', idées ; sa volonté- et son ? énergie faiblissaient. I
n' pré- sence 'd'une* complication 'grave;- jé veux parler'. de l' idée du suicide,1 née chezdes aliénés^ conscients du d
t;M.C ! n<yKte ? e accès de folie circulaire aveç,f,°nscÜmce" ., Idées , detsuicidet au déú3tt dans le stade, dépressif .
t 'prochaine. A partir de ce jour, M., X... jrestc poursuivi par' l' idée fixe qu'il va mourir^ Il corn- RECHERCHES, SUR-
hir,. demande l'hospitalité à un ami. Pour faire diversion' à à son idée , fixe,, il se livre au travail ardemment, passe a
aucune altération,; la conduite et les relations n'ont pas varié. L' idée fixe d'unemortimminente et l'anxiété morale qui
' donc la règle dans les cas qui nous occupent. ' Pas une fois l' idée du suicide ne s'est montrée dans ,- ... ? r..\
rcheraient.à. se tuer 'dans la" I)roporti611'de, trôis'Isurl quatre idées ' de .-= ? t ? < ? t ? - t ? [) ft... ? «. v
onné quant et l'âge. Hallucinations - -. de l'ouïe avec conscience. Idées lpénaniaques avec cons- cience. Soumission aux
lpénaniaques avec cons- cience. Soumission aux troubles sensoriels. Idées de suicide. Mort par rhumatisme cérébral : ? 1
.. comprenait aussi qu'elle n'avait plus l'esprit aussi lucide, les idées aussi bien liées, l'intelligent ^ aussi active
ouïe' avec \ cons- science. Soumission involontaire aux troubles. - Idées de suicide. non a9tl1GrU )'J't ? %o'IfJJr, L
ii .-.' ; I ! » '') ? 'ri<" I .II', le désespoir fit naître des idées de suicide auxquelles succédèrent t des tentati
'OM<'/M Psychiqâes avec conscience. Systématisation par la rage. Idées de - ' sw'cide ? ,,1' , \"It\ 111\\,. Il h""I\
.lfui ? JPi} ! lr ,([triW.9rd ? A,l'agitation qui, existait déjà, l' idée d'être enragé ajouta une grande anxiété. Le malad
rop'riée,li1. l'2tat^hémorrhoïdal .amena- de l'amélioration, mais l' idée de la rage demeura fixée dans son G1J ? . Ir ,
son entrée,- cette damaprésentaitde l'obtusion intellectuelle,' des idées lypémaniaques,'1des,impulsions ¡{rI la- violenc
était idérangé/ison' souvenir N vague, : son caractère aigri, ses/- idées matIiées : ¡ mais; en, pnèmeJ temps elle, ajout
eU ! quelques faiblesses,-^, permet 'au diable de' lui troubler les idées , dedaifairâ souffrir,¡' bref, ! ùe, la ,rendre
oubles .psychiques dont elle était consciente,1 du. vague dans,les, idées , ou.un tr1= vail exagéré- de ^l'imagination; le
appr;çie n^Ire .plus ,1a, même au .psychique. Sui; i vant elle, ses idées parfois s'embrouillent, elle ne peut plus faire
.. / il garçon s affaiblissait, il devenait moins conscient, et des idées ? t't t)Nn..1 ? 1 ? 1" prr f'1 : JC"fTf ? f) ! Jl
s consi : ; dérations générales. J'ai parlé déjà de la genèse des idées de suicide-par ,lé Ifait"lde,rla econser ? 3tionT
'les, conceptions'de'1 grandeurs' d'un mégalomane1 persécuté aux' idées ) imbitieuses»Ld,tiii-, para 1 ytique'r'ei) l'oii
ons suivantes présentent1 sôus'iïrië forn3êv éoIÍ'¿ cisertoutes les idées "principales 'dê' rn6\t tâ vaiP : Hlêlfi H1 ^îl
ésie; glycosurie; etc.);[ coin'- ment pourrait-on s'arrêter'à'cette idée qu'une, altération ! plus ou, moins grossière'd
son' attention 'en lui parlant brusquement, on peut lui suggérer l' idée qu'elle* entend une voix amie ou 'détestée et t
a persistance' de l'impression sensitive' et' par une association d' idées antomatiques'qui fait' que le1 contact d'un objet
précise, et que, lors- qu'il, s'agit , d'objets imaginaires dont l' idée été inculquée soit par la, .voix, soit , par le
""m,I', "1 r,n, (1. ,C;est, là un,phénomène qui,. écarte , toute . idée T,dej simulation. Ajoutons que, pendant la duré
ban métrique sur une feuille de papier blanc et qu'on lui suggère l' idée que l'on marque un point noir en face de chaque
fle,pa- pier,t nôiîs suivo'ns'Ië'contour du carton en.'suggérant, l' idée , d'une ligne tracée en noir. Quand lesujét'ést`
ement ? 'si , pendant le's6mmeil''sbmriambùlique' on lui suggéré ^l' idée ? qu'il 's'agit, d'une' autre1 personne qu'elle
convaincue que les aliments sont empoisonnés. Si on lui a suggéré l' idée d'une substance nauséeuse, la sensation pourra êt
omplètement la vue du côté opposé, qu'en inculquant en même temps l' idée de cécité, de surdité unilatérale. Dans d'autre
es suggestions de sensations fausses, il est possible de suggérer l' idée d'une altération de struc- ture detoute la subs
e suis de verre, ne me touchez pas;» et, comme conséquence de cette idée fausse, il va se développer un délire systémati
est dans lesommeil somnambulique pro- voqué ; nous lui inculquons l' idée qu'à son réveil son bras droit sera paralysé. N
core possible dans l'état de somnambulisme provoqué de suggérer des idées fixes;' des impulsions irrésisli6les auxquelles
prit très intéressant à étudier. On la voit inquiète, obsédée par l' idée fixe d'accomplir un acte ridicule et dégoûtant,
est immédiate- ment suivie d'une réaction dont la rapidité exclut l' idée de rai- sonnement, et qui rend compte de la mob
hoses simples ou complexes sans que la nature hypochondriaque des idées délirantes serve au fond à déterminer le rang cli
e hallucination, tout à fait fugitive, devient le point de départ d' idées délirantes qui se poursuivent 'en' de' multiple
non dans cette faiblesse, mais dans le délire des grandeurs et les idées de persécution. M. Meynert dit que les mêmes él
rmes, : pouls constamment .très rapide, désordre extrême dans; les, idées ? loquacité saugrenue, prévention anxieuse, ter
e parfaite quand la guérison est devenue complète ; alors aussi les idées dé- lirantes perdent de leur corps et se rectif
d'accès s'accompagnant d'hallucinations de la vue et de l'ouïe, d' idées de persécution, de craintes d'empoisonnement, d
ru et que la peur n'existait plus, on ne retrouvait plus chez lui d' idées de persécution. Le jour de l'attentat, entre
, hallucinations des sens, peurs sans motifs, fugues possibles ; 3° idées de persécution, terreurs imaginaires, impulsion
ssée de sentiments pé- nibles et présenter comme un flot passager d' idées de persécution ou de démonomanie, par exemple ;
encore qu'à la période de dépression peut, au beau milieu de ses idées pénibles, et avant même tout essai de systé- ma
guérir, alors même que nous nous trouverions en pleine éclosion d' idées ambitieuses. Voyez, par exemple, le ma- lade do
eillir une observation assez nette où un délire de persécution avec idées ambitieuses guérit au bout de deux ans et demi.
ante. Pour inter- préter ces troubles de la sensibilité par quelque idée ambitieuse ou de persécution, il faut, en effet
c'est elle qu'on retrouve toujours, inspirant, préparant toutes les idées délirantes. Isoler chacune de ces périodes, les
l sérieux. Le père, désolé, fut obligé de renoncer complètement à l' idée de lui faire terminer son instruction et le vou
us bornons seulement à signaler, ayant déjà exposé précédemment nos idées à ce sujet. Pour terminer nous rappellerons que
on de joindre ces obser- vations aux autres, afin de nous faire une idée aussi exacte que possible du phénomène que nous
d que « ce nombre restreint de cas ne peut évidemment donner aucune idée de la quantité relative de mérycoles qui existe
le 9 mai 1882, M. le D' Blanche exposa à l'Académie de médecine les idées qu'il avait soutenues devant la commission parl
verser, par ses propres conceptions rationnelles, l'échafaudage des idées délirantes systématiques éma- nées de l'inertie
erçue, et des mouvements qu'elle entraine. De là les associations d' idées . Exemples : telle excitation de la sensibilité
rté, devraient être rattachés à ces mêmes phénomènes, ainsi que les idées de sacrifice et la reconnaissance de l'humanité
lie, elle n'est que passagère. Après avoir appuyé l'ensemble de ces idées sur des observations, des analyses et des criti
EUSHUVH. Il est difficile d'établir une règle fixe dans cet ordre d' idées . Pour l'épilepsie, par exemple, les lois de l'hér
mence. Il n'en était rien, cependant, reprend. 1lL,Grtluch, car les idées délirantes d'ordre lypémanique avaient cOI ! 1pli
orale. Quant à la seconde ? il'ne voit aucune raison de rejeter les idées de l'auteur ? ') il z 1 l 1 · SOCIÉTÉS SAVANTES
rne la modalité psychopathique : 1°les stupides (confusion dans les idées ); 2° les anxieux (hallucina- tion); 3° les mani
lument intactes à la suite des attaques décrites, il faut rejeter l' idée d'at- taques congestives; aucun signe dans la s
lrenté-liuit ans qu'apparaissent les premiers symptômes psychiques ( idées d'empoisonnement, tentatives de suicide); plus la
ment dénuées de tout sens symbolique, de tout rap- port avec les idées ; néanmoins, l'enfant les répète sou- vent et av
L'examen des quelques faits que nous allons rap- porter donnera une idée nette de cette dualité sympto- matique et appor
plus tard un caractère ambitieux, qui se met en harmonie avec les idées expansives du délire. L'observation suivante es
ui parle plus tard et que se trouve le mauvais génie. Au milieu des idées tristes, se font jour peu à peu des préoccupati
aboutir après sa phase ambi- tieuse à la période de dissolution des idées , à la dé- mence. - Au point de vue spécial où
on activité, le malade se calme, mais il conserve long- temps des idées de persécution. Il a déjà été traité une fois à
dit-il, car son esprit est de- puis plusieurs années hanté par des idées de sui- cide. Il a commencé de bonne heure à
er des bois- sons spiritueuses, et parfois, quand surviennent des idées mélancoliques, il est poussé impulsivement à bo
escence délirante, et dans l'intervalle des crises, il conserve des idées de persé- cution, il se croit poursuivi dans la
lsif multiplie ses tentatives de suicide et tend à systématiser ses idées de persécution, le délirant chronique est plus
E. chez tous les trois, nous voyons commencer à paraître quelques idées ambitieuses. Pourquoi, dans l'alcoolisme, cette
'y avait rien localement. Pourquoi sur quatre cas, trois fois les idées ambi- tieuses, celles qui marquent une étape pl
la forçait à pousser des cris d'animaux, a commencé à présenter des idées ambitieuses. Elle a DES HALLUCINATIONS BILATÉRA
complète du mérycisme et de la rumination des animaux, la première idée qui vient à l'esprit est de pousser plus loin l
e faits observés chez des gens sains d'esprits réduit à néant cette idée . Il résulte de toutes ces considérations que l'
erçoit une porte ouverte il sort sans savoir où il va aller et sans idée du danger, s'il y en a. Il aime à clapoter dans
tacher à l'excitation du centre vaso-moteur de l'écorce. P. K. XXV. Idées délirantes ET délires; par Siemens. (Neurol. Ce
malade ait seulement cons- cience de leur existence. La notion de l' idée délirante au con- traire repose sur le mécanism
ne point em- ployer indistinctement le mot délire pour l'expression idée dé- lirante. P. K. XXVI. SUR LES courbes sphy
vomis- sements, des hallucinations de la vue, du désordre dans les idées , de l'aphasie ataxo-annésique, de l'exsultation
ssement des facultés mentales avec sensiblerie ; confusion dans les idées , incohérence, faiblesse musculaire. Certificat à
ngue et des lèvres. Quant à la palhogénie, M. Charpentier élimine l' idée d'un foyer purulent ou- vert par les fosses nas
d'un foyer purulent ou- vert par les fosses nasales et l'oreille, l' idée d'une méningite par irradiation d'une ostéite e
eux faits à propos desquels un premier rapport avait mis en avant l' idée d'un affaiblis- sement psychique consécutif à d
ce à l'instant considéré. Et cependant l'étude du malade révèle des idées de persécution greffées sur des hallucinations de
ne largeur anormale. M. Fuerstner parle ensuite de la fréquence des idées mélancoliques chez des individus en proie à des
on constate ou non chez eux une lésion de l'appareil de l'ouïe; ces idées les conduisent sou- vent au suicide. Ces sensat
x. C'est moins, en somme, un délire qu'un désordre complet dans les idées et les paroles qui les expriment. 5° Douleurs m
rent des psy- choses fébriles par le développement plus parfait des idées dé- lirantes : guérison. Dans la plupart des ob
nt sur la vue et l'ouïe, qui deviennent après coup les facteurs des idées délirantes ; ces dernières sont mobiles et ne pré
le sou- venir exact. En un mot, il n'existe aucun désordre dans les idées ; il semble que le moi soit simplement spectate
les m'hues que dans le premier groupe. Puis, soudain, apparaît une idée délirante, sous l'influence de la- quelle le pa
raînent alors des manifestations d'ordre passionnel. En un mot, les idées délirantes et les hallucinations se combinent p
nt touché; de plus il est fré- quemment impossible de savoir si les idées délirantes ou lesliallu- citations se sont mont
ations se sont montrées les premières ; enfin, le désordre dans les idées appartient aux psychoses de tous genres et ne sau
et surtout épileptiques; 4° Malades calmes, mais tourmentés par des idées de persécution ou nourrissant quelque annnosité
bibliographie. 135 travail de M. respaut vient à l'appui de la même idée , tout en s'ap- puyant sur des faits d'un ordre
deux formes, as Dans l'une, le malade, après le choc, poursuit une idée préexistante, ou continue un acte commencé, met
nte au moment de l'ictus n'est pas interrompue, qu'elle consiste en idées raisonnables, se rapportant à la profession par
dées raisonnables, se rapportant à la profession par exemple, ou en idées de suicide, en délire alcoolique, en hallu- cin
cinations sensorielles, etc.; b) dans l'autre, l'ictus interrompt l' idée immédiatement préexistante, ou l'acte commencé
tition d'une action ancienne iden- tique, ou bien l'exécution d'une idée antérieure. Le délire épilep- tique n'est, en s
tique n'est, en somme, souvent que l'exécution automatique d'une idée préexistante ou normale ou pathologique ; il en r
Ainsi le malade a la force de marcher, mais il n'y a aucun goût : l' idée ne lui vient pas, ou, si elle vient à son esprit,
'il préfère habituellement, rien ne peut l'y engager; il n'en a pas idée , et il ne mange pas. » Nous recommandons à nos
u idiopathique (cause ana- tomique du), 151, 41, 423. Délirantes ( idées ), 408. Démence paralytique et syphilis, par S
62 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
sse éclairée de la nation. Partout nous avons des représentantsde nos idées , et s’il existe des incrédules, c’est que ceux-ci
n effet se passer. Ce qu’il demande, ce qu’il exige même, ce sont des idées neuves, des fuits qui lui apprennent que la scien
ublication à part. La création du Journal du Magnétisme a modifié nos idées à ce sujet. Nulle part ailleurs ce travail ne pou
trarier la nature en voulant l’aider. Ailleurs nous développerons nos idées sur cette vérité. ACTION DU MAGNÉTISME DANS LES
culte d’admiration et de gratitude. Mon intention est de donner une idée sommaire et précise de mes découvertes par le pre
convention, le seul moyen dont nous nous servons pour communiquer nos idées , contribue beaucoup à la défiguration de nos conn
oup à la défiguration de nos connoissances. Nous acquérons toutes les idées par les sens; mais les sens ne nous apprennent qu
que des propriétés, des caractères, des accidents, des attributs. Les idées de toutes ces sensations s’expriment par un adjec
des abstractions métaphisiques. Ces mots représentent confusément des idées des substances, c'est-à-dire qu’on se persuade av
ment des idées des substances, c'est-à-dire qu’on se persuade avoir l’ idée d’une substance, lorsqu’elle n’est, en effet, que
Il s agit donc de connoitre le mécanisme de ces modifications, et les idées qui en résulteront seront des idées physiques les
isme de ces modifications, et les idées qui en résulteront seront des idées physiques les plus conformes à la vérité. «Une
intestins. Je fis cesser cet état que je croyais un désordre de ses idées ; redevenue calme, elle persista dans ses aveux, e
contribuera peut-être à jeter quelque jour sur ce fait important. « L’ idée de la toute-« puissance répond à toutes ces objec
telligence est immatériel, et peut agir sur la matière. C’est aussi l’ idée prédominante dans toutes les religions, et il n’e
coup la pensée de la magnétiser ; je ne sais en vérité comment cette idée me vint, car il y avait bien deux ans que je n’av
naissances imparfaites ne sont propres qu’à jeter le trouble dans les idées des magnétiseurs et des personnes qu’ils magnétis
moins veut avoir une définition du magnétisme, voici, pour lui, nos idées sur ce sujet : Nous donnons le nom de magnétisme
n peut comparer l’opiniâtreté des physiciens aujourd’hui, à rejeter l’ idée d’un fluide universel, à celle des poissons qui s
jectée. Bientôt M. B... ferma les yeux pour mieux se recueillir ; ses idées lui semblaient se développer avec une extrême rap
de choses gaies, en lui montrant des images riantes et agréables, ses idées se mettent aussitôt-en harmonie avec ces objets;
nt; il rit, chante, gesticule, parle avec une volubilité extrême. Les idées se suivent avec rapidité : c’est le désordre du m
milieu de cette abondance, de cette mobilité, de cette inconstance d’ idées , on voit cependant dominer celles qui font la bas
t avec le plus grand calme : II est telle heure. Il a une multitude d’ idées qui se pressent dans sa tête ; il ne trouve pas d
un rêve ; cet état d’aberration a donné une impulsion plus vive à mes idées , mais n’a rien ajouté aux connaissances que j’ava
ais.» Le délire, qui pendant quelque temps avait lieu sur une série d’ idées , redevient général. M. D... chante, rit, parle av
Par cette publication, on ne doit pas inférer que nous adop-tons lé» idée » ainsi émises ; nous le» insérons, voilà tout.
faible pour les réactions que vous cherchez. Exemple pour fixer nos idées . Toutes les fois que vous ne produirez point le
u de gens qui croient, vieux, ce qu’ils ont cru, jeunes. Il y a des idées qui naissent avec nous, et d’autres qui nous sont
omme une monnaie, où ceux que nous fréquentons donnent la forme à nos idées . Comme un livre nouveau que nous aimons change en
ciences, les appeler frères, ou, si vous l’aimez mieux, banquiers des idées d’autrui. Ils fréquentent les assemblées des sava
ne peut lui nuire, et pour tout ce qui ne contrarie point en lui les idées de justice et de vérité. —11 sent la volonté de s
perd absolument le souvenir de toutes les sensations et de toutes les idées qu’il a eues dans l’état de somnambulisme; tellem
omènes, les personnes magnétisées ont une lucidité qui leur donne des idées positives sur la nature de leurs maladies, sur la
les écucils. Soyez prudent ot toujours calme, si vous voulez que vos idées et votre jugement acquièrent de la netteté ; inte
réveillé : c’était parle bruit de tna porte, qu’on ouvrait; et cette idée qu’on ouvrait ma porte, quoique j’en eusse pris l
A Monsieur le Directeur du Journal du ¡Magnétisme, Monsieur, Mes idées sur le magnétisme vous sont connues. Toutes mes é
les plus puissants de la thérapeutique. D’après cette théorie, mes idées sont toutes opposées à celles des magnétiseurs me
-street. Paris, J.-B. Boillière, ruede l'Eco le de Médecine. aucune idée , a fait des progrès très-rapides. Cette important
Cabanis, T mémoire : de l'influence des maladies sur la formation des idées et des affections morales. nettement dans la pl
nétisme. Ce qui me reste à dire devra confirmer les hommes dans cette idée : c’est que la plus grande des sciences est en ge
ssertion, ne la rejetez pas d’abord; attendez le développement de nos idées sur ce curieux sujet. (La suite au prochain num
les, et spécialement l’imagination; à dose légère, il fait naître des idées et provoque des hallucinations, de telle sorte qu
si les fumeurs s’accordent-ils tous à dire qu’il leur fait naître des idées . La digitale agit comme les aphrodisiaques. L
ment, le corps enseignant allaient accueillir lo nouveau venu, quelle idée ils auraient de lui. Car là ce n’est pas l’opinio
tous les champs des environs, sans arriver à aucun résultat. On eut l’ idée d’aller à Paris chercher des chiens de Terre-Neuv
tel il mérite une sérieuse attention, et, bien qu il choque certaines idées généralement admises, on ne doit pas moins savoir
élés praticiens. Quelque particulier pourra se déclarer ennemi de ses idées , mais, quant au gouvernement, il n’encourage ni n
des médecins, ou bien de négliger ses affaires personnelles, il eut l’ idée de donner de l’eau magnétisée aux moins malades e
que souscripteur aura le duplicata. Nous associant à cette heureuse idée , nous donnerons dans notre prochain numéro les dé
cartent des sentiers battus : Le jeune Pline allait ù la chasse aux idées , Je Tais il la chasse aui vertus. Lorsque, pa
e vous toucherai point. Ma main dirigée sur votre front imprime à vos idées un trouble inexprimable. Il vous prend l'envie de
ien la pensée. Je me suis mis alors à chercher moi-môme avec d’autres idées ; l’horizon s’est agrandi, et la vérité, sans se m
que tous les magnétiseurs qui vont se former fussent pénétrés de ces idées , et que, dociles à écouter la voix de l’expérienc
appétit immodéré, constipation opiniâtre. Tic douloureux de la face, idées noires et chagrines. Fatigue extrême à 1a moindre
venir de connaissances oubliées? Nous répondrons, nous, qnf> cette idée paraît assez vraisemblable pour qu’un puisse s'ar
ignoré de son cerveau, certaines connaissances de mots, de faits ou d’ idées tellement nouvelles el inconnues pour lui qu’il e
oir être que ce qu'on nomme le fluide magnétique. Contrairement â l’ idée généralement répandue, nous pensons que le fluide
e célèbre, vient surtout appuyer merveilleusement el confirmer mémo l’ idée que nous nous formons de l’âme : qui doit évidemm
que tendre, nous dit M. Lafonlaine, porle invariablement le sujet à l’ idée de Dieu, cl le pénèlre profondément du sentiment
n s’est familiarisé avec le mot ma-« gnétisme, on se flatte d’avoir l' idée ilcla cliosc, tandis que l’on « n’a que l'idée du
on se flatte d’avoir l'idée ilcla cliosc, tandis que l’on « n’a que l' idée du mol. » L’idée d’un agent spécial appartient
r l'idée ilcla cliosc, tandis que l’on « n’a que l'idée du mol. » L’ idée d’un agent spécial appartient aux successeurs de
noblesse rapporte de ses voyages, on retrouverait en elle toutes les idées populaires sur le sujet qui nous occupe. Chaque R
ins individus. « Un inconvénient aussi grand m’a fait prendre « une idée défavorable des traitements nombreux ; et « lorsq
doit être récompensé, le mal puni : ceci est hors de tout doute. L' idée généralement répandue des âmes qui reviennent n e
cission avec les précédentes. Tout en respectant religieusement les idées généralement reconnues par le christianisme sur l
r son désir enthousiaste, et je consentis à lui donner simplement une idée des procédés. Il donna aussitôt l’ordre à un es
re des continents inexplorés, des régions inconnues dans le monde des idées , il les soumet à ses lois, il y plante son drapea
qui sc précipitent devant la bouche des canons pour le triomphe d'une idée que parfois ils ne comprennent pas, el cela parce
. Née depuis moins d’un siècle, cette science, qui contrariait tant d’ idées reçues, a dû nécessairement soulever aulour d’ell
octrine qui a survécu à tant d'attaques, suffisent pour écarter toute idée de compérage ou de supercherie. Celte science n
t intermédiaire, avec la nature, avec les objets extérieurs, avec les idées intimes de l’homme! Voilà pourquoi pour le somnam
de s’opérer en lui? Sa phrase esl devenue traînante tout à coup; ses idées sont confuses et ne jaillissent plus avec netteté
égurisme, pour base de la démonstration des véri'és phrénologiques. L’ idée primitive de celle nouvelle branche île recherche
faiblement ici; j’ai d’ailleurs développé, autant que je l’ai pu, mes idées sur ce sujet dans mon Essai philosophique. Si v
est en \ous, quoi que vous fassiez, quelle que soit la teinte de vos idées , les procédés qu’il vous plaira suivre; les faits
- quelle que soit la rareté d’un phénomène, nous n’avons pas la folle idée de croire qu’il {Riisse intéresser chacun au môme
e ce n’est que par les routes battues qu’elle arrive à comprendre une idée nouvelle. Les effels miraculeux dont il s’agit so
Les effels miraculeux dont il s’agit sont telle- ment au-dessus des idées habituelles, et si en désaccord avec les principe
phique, un fait nouveau lani soil peu en dehors de la sphère de leurs idées habituelles, et ne se liant pas immédiatement à l
ysique comme en histoire naturelle? Il faudrait pourtant se faire à l’ idée que les fails du magnétisme sont d’un ordre tout
nnaître, quelque violence que nous nous fassions pour repousser cette idée , que le temps et l’espace n’existent pas pour le
Il y a des esprits, nous le savons, qui ne se rendront pas, dont les idées sont aussi arrêtées que si leur savoir était le d
faut y aller pour être témoin de ce pêle-mêle de savants et avoir une idée de la tour de Babel. Là 011 trouve autant d’ami
s se produisent indépendamment de toute connaissance phrénologique ou idée de localisation cérébrale. La direction du doigt
ur que les malades la sentissent. Mais aujourd’hui que chacun a ses idées à lui, son syslèmo, sa doctrine*, qu’il est venu
son action était fixe, et que, quelles que fussent la croyance et les idées de celui qui l’exerce, les résultats étaient, ide
des modifications ont lieu, et elles se sont opérées sous l’empire d’ idées , d’intentions qui, cessant tout à coup d’ôlro les
la médecine ne lui donnaient aucun soulagement, il lui vint dans l’ idée de se faire magnétiser; elle consulta à cet effet
le magnétisme, etc., le son est un fluide subtil répandu dans l’air, idée que j’ai déjà émise dans un travail sur l'influen
de pistolet, mise en extase par une musique suave qui la porte â des idées de religion ; puis, par une transition subite, un
peu de besogne. Les bâtards d'Esculape, sous les dehors d’une grande idée philanthropique tendant à établir une organisatio
onneur, mais que ses écrits publiés ou à publier pouvant contenir des idées , une doctrine peu en rapport avec les croyances
Je regarde comme unechose importante une grande constance dans les idées . Il ne faut pas varier à chaque instant dans votr
mieux résister aux attaques insensées de l’ignorance. Celte heureuse idée commence à porter ses fruits, ainsi qu’on en peut
ur ensuite, ei mille autres se sont présentés pour soutenir les mômes idées et produire les mêmes faits. Après ceux-ci, d’aul
il ne nous resle plus qu'à poursuivre notre tâche; le progrès de nos idées est sensible, la vérité mesmé-mérienne s’infiltre
63 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ncontinents sont distraits, comme elles ils peuvent aussi avoir des idées fixes subconscientes qui se manifestent par un
s, 1893. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'URINE PAR SUGGESTION. 9 l' idée fixée sur sa triste infirmité. Si plus tard il de
ur sa triste infirmité. Si plus tard il devient hysté- rique, cette idée fixe, consciente ou subconsciente, pourra grand
s rêves mictionnels. 1 A. Souques. Coielrib. il l'élude du rôle des idées fixes dans la palho- génie de la polyurie hysté
r qu'il faut parfois un certain temps au cerveau pour s'assimiler l' idée suggérée. A remarquer aussi la rechute survenue
st pas reproduite. A noter cette présence, pendant le sommeil, de l' idée suggérée, qui lui fait croire le matin à son ré
, par contiguïté, des préoccupations vésicales et l'association d' idées subconscientes qui donne naissance aux mictions i
s mentales, ayant toutes pour fondement des préoccupations ou des idées fixes relatives à la fonction urinaire. : 1 THÉ
UEIL DE FAITS. HALLUCINATIONS SUCCÉDANT A DES OBSESSIONS ET A DES IDÉES FIXES. Par le D' LARROUSSINIE, médecin de Caste
e de m'être approché de celte femme pour la tuer. n On le voit, les idées déli- rantes ont progressé; le malade ne dit pl
cruel qui existe. » Deux jours après nous avoir fait part de cette idée délirante, il nous déclare avoir entendu, penda
on veut le tuer, le livrer à d'affreux sup- plices ; peu à peu, ces idées prennent corps, pour ainsi dire; le sens de l'a
ir, d'une participation avec jouis- sance aux rapports sexuels. Les idées obsédantes réduites à leur expression la plus s
nne l'opium dans le traitement des psychoses donnèrent à Flechsig l' idée de l'employer dans l'épilepsie. Quant au second
cérébrale. Paris, 1873. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE. puisse évoquer l' idée d'une ancienne syphilis; marié jeune, il a eu d
d'un général », allégation que nous prîmes (à tort) pour l'indice d' idées de satisfaction sinon de grandeur'. Il se trou\ h
s élèves, on retrouve tou- jours dans ces études médico-légales les idées du chef de l'Ecole d'anthropologie criminelle.
is l'état mental restait très défectueux : erreurs de personnalité, idées de persécution à l'égard des parents d'Ernestin
comme éveillé d'un long sommeil tout rempli d'halluci- nations et d' idées délirantes, qu'il se trouvait dans un endroit qu'
nce. Les masses populaires ont prouvé, en effet, qu'elles avaient l' idée pré- cise des besoins naturels de l'homme ainsi
giques, avril 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Des idées impératives ; discussion de l'article de Ilack Tu
uGLiNu-jACKsoN a vu de nombreux cas d'obsessions sem- blahles aux « idées impératives » de Back Tuke. I ! les croit souvent
Elles sont compatibles avec un état mental sain et ne diffèrent des idées normales que par le degré. Il n'admet dans ce cas
démence complète et le coma. M. SAVAGE n'approuve pas le terme d' « idées impératives D, chez beaucoup de sujets elles ne
ique très richement documenté, et accompagné de nom- breux faits et idées personnels. F. Boissier. III. CRANtOTOMOE dans
se divise en plusieurs modalités : a) l'impulsion est précédée de l' idée de l'acte à accom- plir sous forme d'obsession,
ntre chez les dégénérés supérieurs de Magnan, les hystériques; b) l' idée qui précède l'acte est moins nette et se trouve
les dégénérés, chez les hystériques ; c) dans une dernière forme, l' idée antérieure est presque nulle, tant elle est brè
rève et fugace, fournie par une association plus ou moins étrange d' idées , et avant que le jugement ait pu intervenir, l'ac
tre surtout chez les épileptiques : ce qui est inconscient, c'est l' idée causale, qui n'est pas toujours immédiatement a
nt, si minime qu'ait élé son rôle, et s'appuie, pour soutenir cette idée , sur les caractères mêmes de l'acte de l'épiiep
lieu d'être spontané comme chez les épileptiques, est provoqué et l' idée causale est suggérée par un esprit étranger au mo
cuteurs non hallucinés, certains hysté- riques ; c) le désordre des idées a entraîné le désordre des actes, comme dans l'
e à la faiblesse de l'idéation (caprices, associations puériles des idées ). (Annales médico-psycho- logiques, avril 1896.
éniste. Il n'en est pas moins vrai que le médecin doit se faire une idée personnelle sur la question s'il veut tenir un
nt persécuter les autorités, fatiguer les tribunaux, échafauder des idées délirantes d'une façon assez logique, et conser
s. Le médecin doit montrer comment le malade est arrivé à créer ses idées délirantes et indiquer ce qui différencie celle
faut avouer qu'il est des cas dans lesquels, en l'absence de toute idée délirante, le fait de réclamer constitue à lui
dont les réclamations prennent une place si prépondérdnte que leurs idées délirantes, de persécution ou de grandeur, pass
à sa quantité. En effet, l'intensité et l'extension croissante des idées de persécution montrent le caractère maladif des
délire des persécuteurs, il n'y avait, par exemple, aucune trace d' idée délirante. Ce qui élait maladif, c'était l'intens
ne phase dans toute l'évolution de la maladie, et dans lesquels les idées délirantes passent au second plan, dans le tabl
ariété alcoolique, puis- que les alcooliques sont l'objet de tant d' idées de persécution dans leurspantophobies, leurs zo
gorie des malades, que vous désignez sous le nom de mélancoliques à idées de persécution. Enfin les persécutés dégé- néré
ues, de persécuteurs raisonnants, d'alcooliques, de mélancoliques à idées de persécution et de persécutés dégénérés de M.
tous les persécutés : ici se pose encore la question du rapport des idées de grandeur et des hallucinations génitales.
nombre de cas, et c'est un élément additionnel qui n'efface pas les idées de persécution. Le malade affiche hautement ses
fface pas les idées de persécution. Le malade affiche hautement ses idées de persécution ; mais il dissimule ses idées de g
affiche hautement ses idées de persécution ; mais il dissimule ses idées de grandeur : on dirait qu'il en a honte. La di
dées de grandeur : on dirait qu'il en a honte. La dissimulation des idées de grandeur est fréquente, et ce délire apparaî
e. On peut objecter que la plupart des persécutés font porter leurs idées de persécution sur des sujets anciens et qu'il
ffacent chez les persécutés auto-per- sécuteurs, ou mélancoliques à idée de persécution, comment englober avec M. Magnan
r bien saisir toute la portée de ses travaux, ce n'est pas'avec nos idées actuelles qu'il faut le juger; il faut se repor
oir passé complètement inaperçue et ne souleva aucune discussion. L' idée dominante que le tabes dorsalis est une maladie
ium des maladies nerveuses, à cette époque à Horn (Suisse), -de ses idées sur le traitement de l'ataxie des mouvements et
rès intelligent. Humeur calme et égale.' Il a seulement souvent des idées noires et envisage tristement son avenir. Rien
et mentales est tout à fait artificielle. Elle ne repose sur aucune idée générale. Elle est en opposition avec la nature,
un fait très général. Nous puisons incessamment autour de nous des idées , des notions, des doctrines qui ne nous apparti
rations en présence des agents micro- biens. Ils reprirent avec des idées nouvelles, l'étude des névrites, 'des myélites,
s enfin entendent des voix articulant des mots qui représentent des idées diverses, mais déterminées (perception auditive
tellectuelle par automatisme cérébral ou résul- tant d'un système d' idées délirantes, lorsque l'on ne peut invoquer ni un
qùe les hallucinations sont constamment en rapport intime avec les idées délirantes du malade. C'est ce qui se passe, pa
pris d'une hallucination de l'ouïe. Or, celles-ci correspondent aux idées qui le dominent depuis longtemps; il y a un lie
lancolique; bientôt sur - ? ce fond mélancolique se développent des idées de persécution, en un mot il devient malade du
une observation détaillée de céphalée opi- niatl'e avec lypémanie, idées et tentatives de suicide, liées à une mé- ningi
résistance des familles, moins de résislance des malades, puisque l' idée de Maison de santé aura remplacé l'idée de prison
ance des malades, puisque l'idée de Maison de santé aura remplacé l' idée de prison, l'idée de Bastille moderne. Par co
puisque l'idée de Maison de santé aura remplacé l'idée de prison, l' idée de Bastille moderne. Par conséquent, il faut
de l'occasion que nous four- nissent les congrès pour propager ces idées , faire pénétrer nos convictions sur la nécessit
car ces derniers, tous égoïstes mentaux, se complaisant dans leurs idées ' Nous profitons de l'occasion pour signaler no
atteints d'une affection aiguë, les excités, les mélancoliques avec idées de suicide et refus d'aliments, sont mis au lit
rveillance préliminaire. M. Bourneville a fait des objections à l' idée des asiles spéciaux; mais il ne nous dit pas ce
irréguliers, des délin- quants, des fous moraux; j'en resterai à l' idée des asiles de sûreté puur les aliénés dangereux
ion mentale des plus pénibles. Ils sont véritablement obsédés par l' idée de leur infirmité et ne pensent plus qu'à ça, m
e de réaliser les conditions da son admission. On lui donna alors l' idée de se présenter à la Salpê- trière où il fut re
eille logique- ment par certains traits, certaines ressemblances, l' idée que des conditions analogues à celles qui règle
convulsivant des différents groupes musculaires qui nous a donné l' idée d'une analogie possible de mécanisme avec celui
li de documents inté- ressants. Nous allons essayer d'en donner une idée . Disons tout de suite que le nombre des aliénés
tion et dans quelles circonstances y recourt-on ? 2 38. Exposer vos idées sur la convenance et la valeur de la con- train
portes ouvertes » ; si oui, dans quelle mesure ? 41. Exposer vos idées basées sur l'expérience et l'observation person
Conditions qui l'affectent ? Tendances... Impulsions... Idéation... Idées fixes... Sensibilité psychique... Compréhension
description aujour- d'hui. Peut-être, plus tard, donnerons-nous une idée des cons- tructions faites dans ces dernières a
ère séance. Ils auraient le temps, avant la visite, de se faire une idée de l'asile et leur visite serait plus fructueuse.
civil. Les lacunes de ce genre donnent aux étrangers une singulière idée de notre organisa- tion hospitalière. " ' Rev
ofesseur Morselti. Mais cette esquisse rapide ne peut donner qu'une idée bien imparfaite de son importance. Quand on l'a
y a cinq ans, le malade souffrait d'insomnie. Il avait la nuit des idées tristes, il sanglotait, parlait de sa mort proc
attendait. D'où des réactions variées : défiance, colère, anxiété, idées de persécution. Il faut tenir compte aussi du g
semaines ; 2° manie avec mégalomanie, et périodes dépressives, avec idée d'empoisonne- ment, puis amélioration pendant c
nt cinq mois et demi ; sortie ; 3° stade d'alternance journalière d' idées délirantes expansives et dépressives, puis agit
délirantes et des hallucinations de l'ouïe ; 5° extrême agitation, idées persistantes Archives, 2° série, t. II. 25 38
us communément, avec Russell Reyuolds, une sorte de < chorée des idées ., une irri- tabilité de caractère avec incapac
ne certaine tendance à la dépression mélan- colique, et parfois des idées de persécution mal systématisées. La manie a ét
aphie de la Salpêtrière, z, n° 3.) Il s'agit d'un déséquilibré avec idées de persécution, idées de grandeur, troubles de
e, z, n° 3.) Il s'agit d'un déséquilibré avec idées de persécution, idées de grandeur, troubles de la sensibilité général
cet aliéné entreprit un voyage en Amérique sous l'influence de ses idées délirantes, et, à partir de l'époque de son dép
s'agit d'abord d'opérer la recherche prudente mais minutieuse de l' idée principale qui préoccupe et déprime le malade;
e sert encore dans quelques contrées du Nord, pour exprimer la même idée , d'une locution analogue : « Il a une pierre da
varient singulièrement selon l'époque, les préjugés sociaux, les idées régnantes. Dans les temps antiques, les lypéma-
plus grande exercée sur tous les citoyens et, dans un autre ordre d' idées , des découvertes mer- veilleuses en chimie, en
couvertes mer- veilleuses en chimie, en physique, ont substitué aux idées superstitieuses du moyen âge la crainte des per
dit de même : On ne délire générale- ment que dans le cercle de ses idées et de ses croyances. « Autrefois, sous l'empire
le de ses idées et de ses croyances. « Autrefois, sous l'empire des idées superstitieuses, qui régnaient alors sans contr
c., ne se voient plus guère que parmi les pauvres d'esprit. « Les idées fixes, les hallucinations sont partout, toujours,
rivent à se figurer qu'ils sont de terre, de neige, de glace, etc. ( idées de négation). Les autres, au contraire (per- sé
pé par MM. Séglas et Besançon dans leur étude sur l'antagonisme des idées déli- rantes chez les aliénés . 0 Tandis que
n. Ann. Méd. l'sch., janvier 1889. 422 CLINIQUE MENTALE. tive des idées délirantes et des troubles psycho-sensoriels qui
mélancoliques, en revanche, il n'y a pas, à propre- ment parler, d' idée d'attaque et par suite de défense, de résis- ta
ère sous l'influence des lésions psycho-sensorielles. » 1 Séglas. Idées de négation, 21. ans. Méd. l'sclt., série 7, t. X
GIEUSES. 423 Aussi ne doit-on pas être étonné que l'antagonisme des idées ait, chez les mélancoliques possédés, des consé
objectif des persécutés mystiques, à hallucinations dialoguées, ou idées de sens contraire. Chez ces derniers, qu'ils n'ai
s visuelles. ' Legrand du Saulle et J. Falvet ont développé la même idée . DES PSYCHOSES RELIGIEUSES. 425 L'un de nos m
Ils offrent cependant cette particularité que, constam- ment, leurs idées se rapportent à l'objet principal de leur délir
des mélancoliques chro- niques contrastant avec le caractère et les idées habituelles 1 Odeur spirituelle. C'est lorsque
ts en dernier lieu (visions consolantes) et la couleur nouvelle des idées délirantes (théomanie). Tantôt ces malades cons
à l'impulsion du souffle divin, méconnaissant jusqu'à leurs propres idées , différaient à peine de ceux qui s'imaginaient
s'imaginaient parler sous la dictée d'autrui. C'étaient les mêmes idées à eux, méconnues par eux et perçues par eux, qu
cours dans la seule vue de faire part, aux personnes présentes, des idées qui viennent de les saisir d'une manière qu'ils
urnaturelle ; mais après avoir exprimé pendant quelques moments ces idées le mieux qu'ils ont pu, en cherchant les termes
ve, la possession complète par le démon, puis parle bon esprit, les idées de grandeurs naissantes alternant avec les idée
le bon esprit, les idées de grandeurs naissantes alternant avec les idées de persécution primitives. Schuele a signalé de
if, le premier tendant à se substituer au deuxième à mesure quc les idées théomaniaques d'inspiration divine se confirmen
ez elle et menace ses enfants en bas âge; c'est un aliéné atteint d' idées ambitieuses, qui se croit le comte Thibault, le
question d'y transporter l'hospice général de Vienne, mais cette idée n'ayant pas été adoptée, on y caserna la gen- d
certainement dé- pendait de la grande névrose. Sans se rallier à l' idée de l'hystérie, il ne la repousse pas absolument
ntre personnes du même sexe sont arrivés au point d'annihiler toute idée de famille, le médecin peut poser le diagnostic
s qui, loin d'être effrayées, étaient réjouies de son aspect. Cette idée lui causait à lui le même plaisir mental que lors
ées par les observateurs, et relatives à la notion de l'espace, aux idées que les aveugles se font des couleurs, de la lu
es, mais secondaires, et qu'elles sont le résultat d'associations d' idées et de sensations, ce qui est la base de l'ac- q
sujets à des accès d'agitation sous l'influence d'hallucinations, d' idées de grandeur, etc., sont soumis au traite- ment
ouble de la parole, réflexe du genou normal. Démence accentuée avec idées hypocondriaques. Autopsie. Kyste assez volumine
te situation. Toutefois les chiffres sont insuffisants à donner une idée des inconvénients de cet encombre- ment qui a a
oucher des malades à l'asile de Bron près Lyon nous avait suggéré l' idée de proposer à la Commission de remplacer ses vi
64 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
ble, mais ils raniment la foi à ce monde surnaturel êt à ces sublimes idées que le courant vertigineux de la vie pratique fai
mont à ce sujet, et nous avons comme lui la conviction intime que les idées revêtent une forme plastique. Nous reviendrons su
ue vous n’observiez ces phénomènes qu’à travers un prisme, celui de l’ idée spiritualiste. Cette circonstance fait que vous n
. Nous fîmes cesser cette crise sans réveiller la patiente. Alors une idée subite traversa notre cerveau. Qui sait si nous n
re ressortir tout le côté étrange, excessif. Et cependant ce sont des idées qui ont leurs adeptes! Ne motivent-elles pas suff
eux transmission de pensée. S'éveillant alors sous l’action de cette idée , ils ont cru apercevoir réellement le prince Dimi
nt à ce qui est de pénétrer clandestinement dans leur domicile, cette idée est par trop incompatible avec les mœurs d’un gal
il parfait. La nature nous soumet au sommeil pour nous habituer à l’ idée de la mort, et nous avertit par les rêves de la p
ent nos pressentiments par l’analogie de nos images. Car toutes les idées ont un double signe pour nous, relatif à notre do
ur est spiritualiste ; mais voici sans doute ce qui lui a inspiré des idées aussi avantageuses à mon égard. Sachant qu’il é
mon esprit ou plutôt ma raison ne peut admettre. verser toutes les idées , ne nous hâtons pas de trancher cette question ép
ividus d’une grande impressionnabilité et déjà dominés d’avance par l’ idée qu’ils vont être témoins de choses surnaturelles,
Quelque hardie ou choquante que nous apparaisse de prime abord une idée novatrice, tâchons de l’examiner avec calme et d’
impatience et sans excès dé zèle, prihèipàle-ment à l’endroit[de nos idées personnelles, ces chaînés revêches de nos vieille
et à vous redire. Votre union fait votre force; vous portez en vous l' idée , vous produisez le fait qui doit modifier profond
que la pensée de l’homme n’a rien de la terre, et nous répugnons à l’ idée que la mort puisse l’atteindre. « Non, nous ne
re leur avait dit : a Ailes ! et que la paix soit avec vous / » L’ idée mesinérienne n’a pas un monde à conquérir ; mais
Mesdames et Messieurs, Chers Collègues, Je propose un toste à l’ idée Mesmérienne, à la mémoire de Mesmer et de ses con
convictions, et pour faire passer dans le domaine de la science, des idées nouvelles dont l’application doit être un bien po
ent votre pensée : ou bien, modifiant un tracé antique au goût de nos idées modernes, il a habi 116 le prêtre égyptien d’une
ureau du Journal du Magnétisme- En résumé, sans nous préoccuper des idées personnelles ni du cliquetis plus ou moins déclam
it se dépeindre, et ce que nous allons raconter en donnera une faible idée . « Cle furent, dans toute la gent valétudinaire
mpris. Ces derniers avaient différentes manières de représenter cette idée par des emblèmes saisissants. En voici un entre a
x facultés surnaturelles ou intuitives, si 011 raisonne d’après celle idée , dans le somnambu- lismu qui n'est point appelé
in, Mesmer et tant d’autres génies innovateurs, hardis pionniers de l’ idée , qui, tous, devancèrent leur siècle, et payèrent
extraire quelques parcelles de vérité, c’est donner une assez faible idée de ¡¡’intelligence du personnage, à qui M. E. D.
s prête un tel langage. L’abbé de Lamennais s'est fait grand avec l' idée de son premier livre de l’Indifférence en matière
un arc-en-ciel avec sa forme circulaire. 11 est difficile de donner l’ idée de l’intérêt qu’offrent ces expériences, autant p
Il cherchait en vain les causes de ces étranges phénomènes, lorsque l’ idée lui vint de faire entreprendre des fouilles à l'e
e. Cet écrivain, grand par son savoir, grand par son dévouement aux idées libérales, grand surtout par la pureté de sa vie
arfaitement décorés? On trouve de la science sans doute, mais pas une idée d’avenir, pas un trait de génie, rien de transcen
ées humaines ne peuvent être abandonnées aux hommes qui n’ont point d' idée morale, et qui ne comprennent rien aux mobiles se
gt; n’entendent rien à ce que vous leur demandez. Chaque savant a ses idées favorites, ce qui va à son propre génie; ne lui d
ccueillis dans le presbytère du village de Birminsdorf, en Argovie. L’ idée me vint de niellre à l’épreuve une faculté bien s
rendre comment je suis arrivé à me former de Dieu et de la nature une idée qui n’est pas précisément celle que professent to
que pour signaler le retour de quelques médecins distingués vers des idées plus saines et plus élevées que celles qui, déjà
\Varlomont à ce sujet, et npus avons comme lui la conviction que les idées revêtent uneioinje plastique. » Tel est le thèm
l’a démontre ?... Quelle opinion vous fait plutôt pencher pour cette idée que pour l’idée contraire? » J. P. Chevalier. (L'
.. Quelle opinion vous fait plutôt pencher pour cette idée que pour l’ idée contraire? » J. P. Chevalier. (L'üme au point de
dans ces derniers siècles; quant aux Romains, ils abandonnèrent cette idée vers le temps de saint Augustin. » J. P. Cbevalie
humain n'est que l'objet de l'âme humaine ; l’âme humaine n'est que l' idée du corps humain. L'âme humaine et le corps huma
un entretien, avait-il raison de vous dire « nous venons déranger les idées de bien des gens qui se complaisent dans ce qu’il
des organes matériels auxquels il est lié, pour nous transmettre ses idées et le résultat de ce qu’il voit ou de ce qu’il pe
rs mois, vous avez donné une large hospitalité dans votre journal aux idées d’un des plus savants adeptes de l’école spirite,
e journal aux idées d’un des plus savants adeptes de l’école spirite, idées combattues par un non moins vigoureux logicien qu
. Chacun juge suivant ses appréciations personnelles ou en raison d’ idées préconçues. Les premiers sout les négateurs plus
rois donc m’éloigner également des opinions extrêmes en établissant l’ idée d’analogie que j’ai exposée. Si cette idée ne par
extrêmes en établissant l’idée d’analogie que j’ai exposée. Si cette idée ne parait pas rationnelle à me3 adversaires, je s
l’inertie. De nouvelles recherches agrandirent bientôt le cercle des idées , et depuis la découverte de l’attraction, la déco
signification, cl d'établir une classification réelle et conforme aux idées les plus vulgaires. » Chahdel. (Phsycolo-gie phys
ement sous les yeux influaient sur son cerveau de telle façon que ses idées pouvaient se déranger, il s’enfuit la nuit de l’é
. Bien que ne sachant pas faire un discours suivi, et tremblant à l’ idée de parler en public, au point que j’ai été obligé
que avec facilité. (2) ecîoî, forme, figure, apparence; llu, forme, idée .-mot créé par Platon pour indiquer ce qu’il dist
, persane ou grecque. « La parole en est Vimage, le corps naît de l' idée , et l'idée de l'esprit. faculté psythé pour les
u grecque. « La parole en est Vimage, le corps naît de l'idée, et l' idée de l'esprit. faculté psythé pour les sensations
puissance la mémoire ou l’aptitude à parler, à juger, à enchaîner les idées (*). Chaque opération de l'intelligence exige san
vant cl organisé. » J.-S. Qceskè. (Lettres lur le Psychisme.) a Les idées ainsi revêtues d'une substance, agissent physique
avons de notions sur la substance et la constitution de l'âme, quelle idée pouvons-nous rationnellement avoir de ses relatif
obstacle à son accomplissement. La volonté demeure à l’état de simple idée , à moins que le corps ne soit que partiellement e
fred Màury, le Sommeil et les Rêves.) L’auteur, sous le joug de ses idées propres et de leurs corrélations, étudie, en tout
c des sous-œuvres inhérentes à notre caractère, à nos coutumes, à nos idées reçues, qui, sans que nous en observions incessam
pat rare, noua ne pouvons établir entre noua une parfaite communion d' idées . Ne serait-il pas temps de songer que nos dissent
ne dose de prépondérance de ce libre arbitre. Toujours le courant des idées est là, prêt à nous maîtriser : « Trahit sua quem
» (De la Différence des choses.) Ce passage tendrait à corroborer les idées deChardel. Ne voilà-t-il pas le dévoilement de
rt de sa croyance. a La volonté, je pense, est la concentration des idées sur une seule ; elle agit sur les principaux cent
e concentrera en lui-méme , et réunira toute sa volonté sur une seule idée , celle d’agir sur le sujet. a Depuis le commenc
poque se rangent à celle opinion. Un honorable magnétisle, dont les idées se formulent avec netteté j M. Warlumont, qui n’i
’est point de pensée si profondément en- que Pététin n'avait qu’une idée fausse de la catalepsie, eto, » G. E S, BoiiRDir.
rdes? Certainement non. — « Nous avons la conviction intime que les idées revêtent une forme plastique. — Je m’en réfère
vestire, — re-nrsùm vestire, vêtir derechef), c’est recouvrir. Si les idées revêtent une forme plastique, c’est que d'abord,
ade, en présence de son mari, je tâte un iDstant le pouls, sans nulle idée préconçue; puis, comme par instinct, je me mets à
Nous finies cesser cette crise sans réveiller la patiente. Alors une idée subite traversa notre cerveau. Qui sait si nous n
u magnétisme et je serai heureux si je parviens à faire partager nies idées au sujet des méthodes que la nature semble indiqu
i nous environne de toutes parts, je n’aurai point non plus puisé mes idées dans les ouvrages philosophiques de nos contempor
on cerveau a recueillis et qui l’ont frappé comme une lumière. Si mes idées sont vraies, elles serviront la science ; mais je
eux transmission de pensée. S’éveillant alors sous l’action de cette idée , ils ont cru apercevoir réellement le prince Dimi
a lucidité de cette jeune femme n’avait point franchi, jusque-là, les idées de son guide ordinaire. dll la met en voyance.
ins des prêtres, de la science desquels les peuples voisins avaient l’ idée la plus élevée. Ce document important consiste
de la pensée a servi de fondement à la théogonie, à l’élaboration des idées philosophiques de tous les peuples de l’antiquité
e et i’existence par lui-même. 11 est curieux du trouver de pareilles idées conservées jusque dans les derniers temps, au mil
avec les apôtres de Jérusalem, qui « ne savaient exploiter la grande idée du Messie que pour charger l’homine de chaînes pl
un homme, il n’a pas un corps de chair ; c’est un type divin, c’est l’ idée d’Israël triomphant. Le dogme de la lumière immat
sus-Christ, de Notre-Dame et des saints, tous dieux de chair : aucune idée pure à adorer. Thomas d’Aquin ayant eu entre les
it évhémé-riime, pour désigner tout système qui, dans l’allégorie des idées principes, ne voit que des êtres charnels. (2)
gions; mais, quand ce ministère s'obstine contre le juste courant des idées , il tombe connue les dynasties vermoulues. (*)
marche vers la perfection, sinon ii pas de géant : les partisans des idées rétrogrades sont encore nombreux ; du moins à pas
face des Gnizot et de tous ces rhéteurs qui semblent ne pas avoir une idée des lois morales et des puissances de l’âme humai
eussent été plus significatives que des hypothèses ; on a obéi à des idées préconçues et systématiques dont le mesmérisme fa
mènes d’optique; on en faisait aussi de constellés qui se liaient aux idées astrologiques, et d’autres théurgiques et divinat
agination mise dans une véritable diathèse hallucinatoire, la moindre idée qui lui est suggérée s’objective pour elle, et le
ent; enfin, l’hallucination nous faisant voir par les^ewr nos propres idées , il n’est point étonnant que quelques-uns aient p
des cauchemars fatigants ; le sorcier, dont l’esprit était nourri des idées de sabbat, s’étant frotté en même temps que lui d
omprendra les changements profonds qu'elles doivent produire dans les idées et dans les destinées humaines. Attachant le pl
flammation intestinale, 226. Influenza, 259. Lypérnanie(délire avec idées tristes). 169. Maladie grave de l'utérus, 260.
171. Psychologie. Voy. Spirilualiime. Rationalisme. Contrairement aux idées spiritualités de M. le docteur Clever de Maldigny
65 (1913) Exposé des travaux scientifiques
quer les résultats de quelques-uns de mes travaux cor- roborant des idées émises par d'autres que moi ou établissant des
ction de ce réflexe un rôle important » (122). A l'appui de cette idée on peut invoquer l'état des pupilles dans l'hém
Ce caractère, dont l'absence il est vrai ne permet pas d'exclure l' idée de surréflectivité, est particulièrement apparent
as encore développé, on trouvera dans ce fait une confirmation de l' idée que le phénomène des orteils est en relation av
a flexion combinée de la cuisse et du tronc. Ce fait me suggère une idée analogue à celle que j'ai émise sur la pathogén
tes dans le liquide céphalo-rachidien, ce qui venait à l'appui de l' idée que nous avions émise sur les relations entre l
e cet auteur. » Il me paraît inutile de faire d'autres citations. L' idée que j'ai émise avec Charpentier n'est aujourd'h
udo-abolition du réflexe des pupilles à la lumière. Pour donner une idée exacte du phénomène auquel j'ai donné cette dén
male, d'une perturbation que l'on pourrait dénommer, pour fixer les idées , une pseudo-abolilion du réflexe à la lumière. Je
ccidents m'avait toujours empêché de CONTRACTURE' 67 mettre celle idée à exécution » (Revue neurologique, 1906, p. (¡7(j
Deux ans plus tard, en 19°8, Foerster eut le mérite de passer de l' idée à la réalisation et de fixer la technique de l'
es relations entre les lésions de la périphérie et des centres, des idées qui étaient en partie nouvelles à l'époque où ell
t émises. « Ce terme, névrite périphérique, ne doit pas impliquer l' idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'e
lle sciatique névral- gie, épithète qui n'implique pas, du reste, l' idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas l
gie des tics, affection psychique. J'ai vérifié l'exactitude de ces idées . De plus, j'ai observé de nouveaux signes (117)
e un hémispasme facial identique à celui dont je m'occupe. « Si les idées que j'expose se confirment, cette notion nouvelle
des deux côtés. Il serait inutile de multiplier les citations. Mes idées sont admises maintenant sans réserves, tant en
éopathies, Arthropathies tabétiques. Autrefois déjà on avait émis l' idée que les ostéopathies et les arthro- pathies qu'
port analogue à celui qui existe entre l'aortite et le tabes. Cette idée n'a d'ailleurs été énon- cée par moi qu'à titre
qu'on ne le pensait généralement (83). TABES 97 Du même ordre d' idées font partie mes recherches, en collaboration av
â non du tabes. Aujourd'hui, c'est une notion banale. En effet, les idées de Fournier sur les liens qui unissent le tabes e
ique, que l'on fait suivre généralement aux tabétiques depuis que l' idée d'une rela- tion étroite entre le tabes et la s
estion ne saurait être résolue pour le moment, mais, en faveur de l' idée que les rayons X ont joué un rôle thérapeutique,
cen- dante secondaire. C'est donc là un nouveau fait à l'appui de l' idée que j'ai soutenue (p. 88). « Pour terminer, j
veloppe parfois une atrophie des muscles paralysés qui, d'après les idées autrefois admises, serait toujours précédée d'u
le début. L'absence de ces symptômes ne permet donc pas d'écarter l' idée de néoplasie intra- crânienne. C'est une donn
ébrale, constitue un argu- ment de grande valeur à l'appui de cette idée . Pouvant conduire à un diagnostic précoce do né
phénomènes que je viens de signaler, en m'efforçant d'en donner une idée nette. Est-il besoin de prévenir le lec- teur q
égion cérébelleuse bra- chiale. » Asynergie. Pour se former une idée précise de 1 asynergie, il est bon de l'étudier
emière publica- tion sur ce sujet, celle de 1901, me prête à tort l' idée qu'une lésion auriculaire sans participation de
sans qu'il soit fait appel au témoignage du malade, ce qui exclut l' idée de suggestion, est particulièrement instructif;
ntale. J'ai observé des faits qui semblent en opposition avec cette idée . En février igoo, j'ai présenté à la Société de
« Chorée de Sydenham : maladie organique », Thomas développe la même idée . Chez 10 enfants atteints de chorée de Sydenham
echerches de Babinski, d'André Thomas, ont profondément modifié nos idées sur la nature de cette maladie, car il résulte de
a dépendance de cette lésion présumée. Il me semble toutefois que l' idée d'une rela- tion de cause à effet entre la tume
ts de la maladie de Basedow avec le rhumatisme aigu exprime la même idée . « Il n'est pas jusqu'à la thérapeutique spéciale
l'hypothèse d'affection organique du système nerveux. J'émettais l' idée que dans les faits étudiés par moi les troubles d
troubles d'une compression nerveuse. N'a-t-on pas été amené à cette idée par des considérations théoriques, en rapprocha
er la syphilis. » Grégoire Odobesco, de Bucarest, accepte aussi mes idées et les expose dans un travail qui a pour titre
oit de la syphilis, ne donne pas le droit d'admettre ou d'écarter l' idée d'une paralysie organique. Dès lors la nécessit
fs ou troubles de l'émotivité » ne suffisent-ils pas à traduire les idées qui s'y atta- chent ? . Il y aurait même quel
seule'. » (19 1) i. Je ferai remarquer que j'ai déjà exprime cette idée , en partie, il y a plus de vingt ans, en 1890 (
leur donner de la vie. 208 HYSTÉRIE Pl'11111T1S\Il. implique l' idée d'une perturbation de la conscience, et tant qu'o
ité et mani- fester son action d'une manière éclatante. J'ai eu l' idée de procéder à une information auprès des garçons
tion des accidents hystériques on a opposé l'argument suivant : des idées , de simples idées ne peuvent avoir sur la condu
hystériques on a opposé l'argument suivant : des idées, de simples idées ne peuvent avoir sur la conduite, sur la santé mo
ortée s'il s'agissait, par suggestion, d'entendre l'inlluence d'une idée pure, abstraite, si tant est même que de pareille
ant est même que de pareilles 2)2 2 H1ST);R1E. - l'l'r1111'l'l\lE idées répondent psychologiquement il une réalité quelco
reux travaux, entre autres ceux de Hibot, ont montré que toutes les idées , même les plus abstraites, possèdent un certain c
il. De plus, dans les faits considérés ici, il n'est pas question d' idées de ce genre; il s'agit d'idées qui enveloppent
sidérés ici, il n'est pas question d'idées de ce genre; il s'agit d' idées qui enveloppent un contenu affectif extrêmement
sidère un acte volontaire, on voit qu'il est la réalisa- tion d'une idée , d'un projet formé à l'avance et, en partie tout
les causes qui ont l'ait adopter, pour la mettre à exécution, telle idée de préférence à telle autre, on constate que ce
nti- ments qu'elle a suscités. Semblablement, l'hystérique saisit l' idée d'un état pathologique et le réalise lorsque ce
ue saisit l'idée d'un état pathologique et le réalise lorsque celte idée s'impose à lui par ses éléments affectifs systé
all'ectifs systématisés apparaît dès lors clairement ; ils fixent l' idée et lui donnent la puissance de réalisation plas
es accidents, pour appa- raître, ont besoin de l'intervention d'une idée suggérée, soutenue, il est vrai, par des états
gérée, soutenue, il est vrai, par des états affectifs systématisés, idée dont ils ne sont que l'expression. Avant de t
é- i. Je crois bon de rappeler quelques propositions traduisant des idées autrefois admises, complètement ou partiellemen
un cas sérieux dans mes salles. « C'est que, depuis Charcot, nos idées se sont profondément modifiées, en grande parti
un seulement à tout ce que je viens de dire, et cela me ramène aux idées de Babinski et aux résultats pratiques importants
66 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ons eu l'occasion de faire quelques observations dans le même ordre d' idées pendant l'hypnose. Ce sont les résultats de ces o
par les signes somatiques et physiques qui permettent d'écarter toute idée de supercherie ou de simulation. Il n'est pas inu
ptiques, elle n'a pas grande culture et ses impressions ainsi que ses idées se bornent à un bien petit nombre. En présence de
terreur chez la troisième. L'odeur de l'alcool qui donnait à l'une l' idée de bataille et de coups de poings, donnait à l'au
à l'une l'idée de bataille et de coups de poings, donnait à l'autre l' idée d'enlever une tache sur sa robe. Dans la plupar
nisme de leur production. Il est évident que l'odeur de l'alcool et l' idée d'une tache à enlever vont assez bien ensemble. I
même pour le goût du sulfate de quinine pour qui en a déjà pris et l' idée de maladie et de fièvre ; l'odeur d'un parfum et
éjà pris et l'idée de maladie et de fièvre ; l'odeur d'un parfum et l' idée de fleurs odoriférantes. Dans d'autres cas, au
Mais toutes les recherches faites jusqu'aujourd'hui, dans cet ordre d' idées , ne reposaient que sur des faits isolés et n'avai
e point, lorsque M. le Dr Mot-choutkowsky (d'Odessa) eut à son tour l' idée d'impressionner les sens dans la phase des attitu
conduits à faire de plus complètes investigations, dans le sens de l' idée de M. Motchoutkowski, clans ce vaste champ d'expé
rit, puis regarde avec attention.) « Mon père, je veux me retirer ces idées . Tu as toujours été bon. Ma pauvre mère, je te vo
l'on place devant elle, sans s'en occuper, toujours conduite par son idée dominante. La parole n'a aucune action. Elle ne p
eu a éveillé l'image de sa mère dans le ciel, la piqûre au ventre l' idée de laparotomie, l'éther le tableau d'attaques de
lui rappeler soit par la parole, soit par des bruits appropriés, des idées délirantes qu'il avait spontanément manifestées
raison de son intensité ou do l'état spécial du sujet, passerait de l' idée à l'acte. A l'appui de cette conception on peut
actes des somnambules sont en rapport, tout comme les rêves, avec des idées qui les ont frappés récemment. Une jeune pensionn
t. Mais l'intelligence semblait s'exercer dans un cercle invariable d' idées , et les sens, bien qu'éveillés, n'agir que dans u
és, n'agir que dans une sphère restreinte, toujours en rapport avec l' idée dominante. Il est impossible de décrire mieux l
nterprétation. Mais cette circonstance ne doit pas nous éloigner de l' idée que nous soutenons, si nous nous reportons aux dé
n délire et le diriger partiellement. Mais il arrangeait à sa façon l' idée qu'on lui suggérait". Une canne placée entre ses
ssiens imaginaires. Une plume placée entre ses doigts lui suggérait l' idée d'écrire. Mais nous laisserons de côté cette part
e lui semblait lui être étranger. Il paraissait enfermé dans l'unique idée qui le faisait agir et ne tenir aucun compte du r
, ni s'en étonner. Pour le rendre sensible il fallait entrer dans son idée et s'adresser au sens qui paraissait le plus évei
le mobile actuel de son délire. Une question sans corrélation avec l' idée qui était, à ce moment, maîtresse de son esprit,
, la prenant pour le portique du même gymnase. Dans le même ordre d' idées , citons encore le cas rapporté sous le titre d'hy
entent une période délirante courte, marquée par une incoordination d' idées et d'actes saisissante. D'autres au contraire, le
sa tête et se promène ainsi dans la pièce où il se trouve. Puis cette idée le quitte, et subitement: « Je vais aller attrape
laissée presque totalement au malade qui, le plus souvent, règle ses idées délirantes soit sur ses hallucinations visuelles
es moyens que nous avons à notre disposition pour la provoquer. Cette idée devait tout de suite se présentera l'esprit, lors
Mais toutes les recherches faites jusqu'aujourd'hui dans cet ordre d' idées ne reposaient que sur des faits isolés et n'avaie
ent à ce point lorsque M. le docteur Motchout-kowsky (d'Odessa) eut l' idée d'impressionner les sens dans la phase des attitu
Le contact d'eau chaude ou d'eau froide avec la peau lui donnait des idées d'ablutions ou de bain froid. Il se mettait alors
roide. (1) Georges Guinon et Sophie Woltke, loc. cit. De plus les idées délirantes qu'on lui donnait correspondaient touj
ttaque hystérique. Dans la suite M. le Pr Charcot, mettant à profit l' idée apportée par les Docteurs Motchoutkowsky et Sophi
ire hystérique et de ses diverses modalités pendant l'année 1890. Ses idées sur ce sujet furent exposées par lui dans plusieu
de l'attention, puis de l'extase: « Mon père, je veux me retirer ces idées ..., tu as toujours été bon ... Ma pauvre mère, je
ous avons pu vérifier que les piqûres de la face amenaient toujours l' idée de guêpes, celles de la poitrine l'idée du serpen
la face amenaient toujours l'idée de guêpes, celles de la poitrine l' idée du serpent, celles de la région précordiale l'idé
s de la poitrine l'idée du serpent, celles de la région précordiale l' idée de cœur percé, celles de la paroi abdominale ce
ulsive classique. Une compresse très chaude sur la joue lui donne l' idée de névralgies : « Quelle névralgie!... Je demande
resse trempée dans l'eau froide et placée sur la poitrine lui donne l' idée de bain froid : « Alors nous allons nous baigner?
s clefs, une montre, un livre, elle ne paraît pas les voir, toute à l' idée dans laquelle elle est concentrée. La parole n'a
Cette description, bien longue, quoique résumée, ne peut donner une idée parfaite du délire tant provoqué que spontané de
nt et que les mots seuls ne sauraient rendre. Il est, emporté par son idée délirante, insouciant de tout ce qui se passe à c
cette scène, autrement dit à influencer en réalité la succession des idées délirantes par la parole. Non pas que cela soit t
se à part; car cet auteur, si nous ne nous trompons, conformément aux idées qui avaient cours à cette époque, considérait le
toutes les autres formes rencontrées. Jamais il ne nous est venu à l' idée que toute crise de nerfs non conforme à cette des
riel clinique tout à fait étranger à la Salpêtrière? Dans cet ordre d' idée , nous (1) Voir à ce sujet les traités de MM. Ei
e dément pas non plus: il est sceptique, désillusionné, et toutes ses idées délirantes sont marquées à ce sceau-là. Dans la s
de vers que nous choisissons dans le nombre, parce qu'elle donne une idée assez exacte de l'état moral habituel de notre ma
ue, du moins autant que nous pouvions en juger, c'est-à-dire pour les idées , actes délirants, etc., dans la production desque
e également dans le cachet individuel que chaque malade imprime à ses idées délirantes et qui dépend de circonstances multipl
vant la profession, l'éducation, l'instruction du malade, suivant ses idées ou ses préoccupations du moment. Et cela est dans
sensorielles. Dans ce cas, bien que nous fassions naître de nouvelles idées ou du moins des idées qui ne s'étaient pas produi
cas, bien que nous fassions naître de nouvelles idées ou du moins des idées qui ne s'étaient pas produites jusqu'alors dans l
ute tentative faite dans le but de changer l'ordre, l'association des idées délirantes. C'est là une autre caractéristique bi
ltés et des sens dans un cercle restreint, toujours en rapport avec l' idée dominante et exclusivement limité à son étendue.
ie entre le somnambulisme hystérique et la catalepsie. Loin de nous l' idée de vouloir identifier en tout deux états aussi di
côtés les moins remarquables de cet état. Mais si l'on suggère une idée au cataleptique, soit par le sens musculaire, soi
nent toute la scène et ne laissent de place à l'intervention d'aucune idée étrangère à l'idée provoquée. Nous avons publié a
et ne laissent de place à l'intervention d'aucune idée étrangère à l' idée provoquée. Nous avons publié ailleurs un travail
entielle a été que, dans la catalepsie, la malade ne rend compte de l' idée dominante que par des gestes et une mimique plus
personne normale ? Voilà qui est plus difficile à dire. Avant tout, l' idée de souvenir implique une comparaison latente et l
e permet pas, à cause du mode de réaction des sujets, de se faire une idée bien nette à ce point de vue. Mais, chez de B...,
vons l'interrompre un instant, modifier plus ou moins le cours de ses idées , lui en donner de nouvelles en impressionnant ses
ent à l'hypothèse de somnambulisme hystérique. Et cependant c'est à l' idée d'hypnotisme que s'arrête M. Forel. Cette interpr
aque fait, et chaque groupe de faits, et de l'étudier patiemment sans idée préconçue, abstraction faite de toute idée théori
l'étudier patiemment sans idée préconçue, abstraction faite de toute idée théorique. L'heure de la systématisation n'est pa
892), est le développement, avec apport d'observations nouvelles, des idées exposées par M. le Pr Charcot dans la leçon précé
rieur. Le médecin peut les impressionner, changer le cours de leurs idées délirantes, par des excitations plus compliquées,
ion, il persiste des vestiges de l'ancien moi, qui donnent au sujet l' idée d'une personnalité étrangère. Le deuxième group
ns est perdue et les mots qui les désignent ne réveillent plus aucune idée . » C'est une instruction et une éducation complèt
son état second, était sous le coup d'une impulsion morbide et d'une idée fixe qui le forçaient à voyager. Il n'agissait do
'essaierai seulement par quelques détails bien typiques de donner une idée nette de ce cas si intéressant. Ses antécédents
observateur de lui imposer. Nous avons tout essayé dans cet ordre d' idées , depuis les choses les plus simples et les plus n
e allusion par ces paroles à l'autre état, dont elle aurait une vague idée ? Peut-être; en tous cas, nous constatons ici un
s de cette névrose. * M. le Pr Charcot, dans ses leçons, a émis l' idée que cet état vigilambulique chez des sujets hysté
d se trouvera constitué (1). » C'était un premier acheminement vers l' idée actuellement soutenue par notre maître, à savoir
cusé de torturer des textes pour les faire servir à la défense de nos idées . Nous avons à dessein, dans l'observation de l'un
lade de M. Dufay, parce qu'elle présente, au point de vue spécial des idées de M. Charcot, crue je soutiens ici. un intérêt t
er et le ramène. Une voisine l'apercevant de loin a la malencontreuse idée de s'écrier : Le voilà. À ces mots, croyant sans
ement conscience — et les inconvénients de cet état. Elle eut alors l' idée de recourir à l'usage d'un carnet pour suppléer s
lle devait le retrouver. Par l'usage, elle a ainsi peu à peu acquis l' idée inconsciente qu'elle possède un calepin, car très
rt simple. Legrand du Saulle* a signalé chez certains diabétiques des idées de ruine, une impulsion au suicide et du délire h
drai pas ici sur les arguments qui ont été fournis en faveur de cette idée , renvoyant pour cela à la leçon de M. Charcot et
Brissaud et dans le mien. On en peut donc conclure, conformément aux idées émises dès 1885 par M. le Pr Charcot, M. P. Marie
peur de tout ce qui l'entoure, tremblant de tous ses membres ; « des idées vagues, bizarres » lui passent par la tête. A ce
n auditive. Habituellement il fait tous ses efforts pourchasser cette idée , mais il n'y réussit point, et l'accès suit après
Aura : Secousse brusque du tronc, vertige, tremblement. Puis « une idée , un souvenir » lui passent par la tête. Tantôt c'
ns véritables qu'il s'agit, mais de phénomènes purement psychiques, d' idées en un mot. Le patient ne voit pas son contremaîtr
n contremaître ni son marchand de vins, il y pense seulement et cette idée obsédante, angoissante, qu'il connaît bien, concu
lignes, le fonctionnement de la policlinique, on pourra se faire une idée exacte de son importance, lorsqu'on connaîtra le
ent sous la main, suffiront amplement, je pense, pour vous donner une idée de ce que l'on doit entendre sous cette dénominat
Cela est vrai surtout dans les cas particuliers où cette collection d' idées associées qu'on appelle le moi est obnubilée. Or
e où le jugement est affaibli, la volonté à peu près impuissante. Les idées suggérées en pareille circonstance et en particul
Bill... et, en même temps, elle se remet en mémoire par association d' idées , bien qu'elle ne la regarde pas en ce moment, les
scription d'attaques avec chute et perte de connaissance, la première idée qui viendra peut-être à l'esprit sera de chercher
agnées de perte des urines (ce qui n'est pas absolument contraire à l' idée d'hystéro-épilepsie), mais n'étant jamais mor-
de bégaiement ; il ne paraît pas y avoir le moindre embarras dans les idées . Liseré bleu des gencives extrêmement prononcé. L
die — pour que les accidents apparussent. Si l'on a dans l'esprit l' idée , comme c'était le cas il y a dix ans, que l'hysté
67 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es voisinc, mais reste volontiers dans son coin. Jamais il n'a eu d' idée délirante quelconque. Il lui semble qu'il est e
opérations de synthèse mentale existe un désordre profond dans les idées , dans les actes qui ne sont plus que des'associ
éactions involontaires et'au- tomatiques : ainsi se produisent des* idées délirantes' mobiles,1 ins- constantes ? ayant t
plus de vraisemblance et de'logique, celui qui heurte le moins les idées reçues : (Annales médico-psyclco- logiques, ,18
sont l'anxiété,, lesidéésde damnation, les idées-'de négation ? les idées d'immortalité, la tendance au sui-. cide, les t
ard, en août 1892; et ce n'est qu'en octobre que, sont apparues.les idées spéciales, constituant, à proprement- parler, l
asé à la , criminalité, et que, en éthique générale et 'sociale,' l' idée du mal , dépend du danger que l'on peut faire c
rresponsable.- La volonté peut, . être sous.la domi- z nation d'une idée fixe, à laquelle il ne. peut pas résister,. et, q
vidus. il y en, un plus intelligent qilimposeisa volonté, et ses idées à un second individu plus borné, essentiellement
ois «inculquée, germe, prenne corps l'instar de l'implantation de l' idée fixe; chez les, seconds,, les imitateurs;, il y
s, qui protestent contre la loi de 1838, n'ont eu jusqu'à présent l' idée de se joindre à nous pour récla- mer ces docume
te l'histoire d'un malade atteint de délire des persécu- tions avec idées de satisfaction et même de grandeur. Ce malade,
sionnelles, de délire des per- sécutions ultérieurement compliqué d' idées de grandeurs; et comme le malade, en dépit de l
econd type,' forment des motifs plus que suffisants pour éloigner l' idée d'un produit artificiel. 'Ajoutons 'qu'ici l'on
entrer à cet égard dans de longs développements, Langhans exprime l' idée que le corps homogène central de son foyer typi
demander comment elle a pu s'établir. Voici, dans ce nouvel ordre d' idées , de quelle façon il conviendrait'd'interpréter
s parait, relativement aisée si l'on veuf' bien les étudier sans, idée pré- conçue et en rapporter chaque x élément
port direct avec la question, qui nous occupe ici. Dans cet ,ordred idées nous avons a envisager : 1° une hembrriiagie'/m
chaînement de tous ces faits et leurs rapports avec la syphilis, l' idée de l'origine spécifique de la paralysie générale
ouver une jouissance pure- ment spirituelle et provoquent, en lui l' idée de l'asservissement, de la sujétion. OBSFRVATIO
ons du goût et de certains troubles de la sensibilité générale. Les idées de persécution et les hallucinations de l'ouïe on
s du souvenir, troubles mentaux divers; pas d'hallucinations ni d' idées délirantes; un peu d'irritation sans autre anomal
ez les 'individus entachés d'hérédité; 2° les hallucinations et les idées délirantes ne sont pas aussi impérieuses dans l
perception, en recherchant si les impressions perçues éveillent des idées d'association concrètes l'examen de la mé- moir
manifeste celles de ses conceptions qui procèdent d'associations d' idées pure- ment internes (dix points de repère); com
éral de l'en- semble des fonctions psychiques et des associations d' idées , avec diminution de la mémoire des images optiq
es actes les plus coupables, qui souffre même à garder pour lui ses idées et ses impressions, que nous le croyons digne d
e d'abord qu'il n'en a jamais eu, mais qu'il en a cependant conçu l' idée (obsession). Quelques jours après, il les avoue f
ce qu'il appelle le début de sa mala- die, il avait toutes sortes d' idées de luxure, sans impulsion à l'acte sexuel; des
ensées obscènes se heurtaient dans son cerveau avec toutes sortes d' idées de grandeur dont nous verrons bientôt l'étrange
la raison, s'imposer au point de faire naître chez notre sujet des idées de luxure qui arrivaient à son cer- veau incons
est resté intact. C'est qu'en effet, l'on se ferait une bien fausse idée de notre malade si on pensait qu'il est un affo
) et à l'onanisme. C'est aussi un obsédé, qui est poursuivi par des idées de luxure qu'il ne peut chasser, qui dans une s
me normalement, dans les cen- tres corticaux antérieurs, mais ici l' idée et le penchant sont maladifs, et l'on voit alor
ement un cérébral antérieur, autrement dit un plato- nique, ayant l' idée de la sexualité, sans aucune impulsion à l'acte
délire réside sans contredit dans les conceptions ambitieuses, les idées de grandeur souvent étranges, que nous rencontron
e à son délire, et va nous expliquer la forme toute spéciale de ses idées ambitieuses. Mentionnons cette particularité, q
C'est en effet au Prytanée militaire de la Flèche qu'il sentit ses idées se brouiller « parce que dit-il, il avait déjà
der par les questions, il s'engage immédiatement sur la voie de ses idées de grandeur. Mais dans ce délire, mégalomaniaqu
rainte sérieuse de l'éclosion d'une démence précoce. Obsédé par ces idées , il demande quelquefois à révéler en grand secret
eux qu'il a tenus mille fois. Mais, tout en étant poursuivi par ces idées , il n'est pas arrivé, nous le répétons; à. le c
ions enregistrées textuellement, ce qui permettra de se faire une idée de son langage. a Je tiens bien à vous faire rema
là véritablement un simple accident, sans grande importance, et les idées érotiques ont bientôt été englobées sous le flo
on courage surexcité, sans qu'il, sût trop pourquoi : peut-être l' idée de pointe éveillait-elle en lui celle de sabre de
ant se rendre compte de la valeur scien- tifique de ce mot. Quand l' idée lui vient' de toucher un objet, il faut qu'il l
ous a, révélés. spontanément et qui suffisent largement adonner une idée .» du singulier état d'esprit dans lequel vit co
'imaginer c qu'on lui a jeté un sort ». " Mais pour le moment cette idée n'a rien de morbide,' ce n'est pas une idée dél
is pour le moment cette idée n'a rien de morbide,' ce n'est pas une idée délirante. Il faut tenir'compte de son.éducation'
de l'ouïe, des troubles de la sensibilité générale, s et par celte. idée , réellement bien délirante à présent, que son s
'A..., sans, action sur'les centres ;situées plusienf arrière, et l' idée se transformait en acte : sans aucun 'contrôle. r
orte de trophonévrose (au,sens de, Erb). Le microscope confirme ces idées unitaires. 11 montre que l'hypertrophie* des,fi
d'agitation avec obnubilation psychique,'hallucinations multiples, idées de persécution,' tendance au suicide,' insomnie,
provoquer de troubles de la motilité. 1 . Si donc, pour fixer les idées par un exemple concret, nous trouvons à l'autop
s laissons asservir par personne. Observons sans parti pris, sans idées préconçues, les, innombrables cas pathologiques q
isteitranquillemeiiti à- des'scùlîes qui le mettent llorstaelui,; l' idée ne lui.vient pas'de se lever et.de se faJre,jus
iMaisiprenez £ çelui..qui,>jIès l'en- fance 'la été élevé dans l' idée ;qué les.appâritionssont,nonseu- lementxpossible
ps. Est-ce don ? ainsi.. quel l'on se, figure ,,un, pur, esprit «,L idée d un,espntimplique.. certainement gu il n aniubs-
uscite.ait dans l'esprit des images joyeuses qui remplaceraient les idées noires ; dans tous les cas de lypémanie où il a é
poé"en,,ohservant au point de, vue anthropo- logique, sans] aucune^ idée /préconçue, quelques ,aliénés dits crimi- nels,i
ntenant deux autres symptômes intéressants. - 41, La volubilité des idées et. l'arrêt de l'association'des idées., L'un e
nts. - 41, La volubilité des idées et. l'arrêt de l'association'des idées ., L'un et l'autre apparaissent soit à l'état in
e, folie, systéma- tique7hallucinatoire,avec .volubilité [.dans les idées , émotivité pas- sionnelleinstable, mégalomaniaq
de folie systématique incohérente avec ou sans volubilité dans les, idées . v ail/if.i ? au'" Pvl dtlIJUGL"1 vlUtihlY i 1
il est atteint. e.mé,Ianco ! oe, et,.d'après les renseignements, d idées de,suicide. Il est vrai, que chez ce, malade, i
delà mémoire; troubles mentaux divers ; pas d'hallucinations, pas d' idées délirantes, un peu d'irri- ' tabitité sans'aoàÏ
cinq.filles.let trois- garçons : dans un .seul cas, on a note des. idées de grandeur, encore étaient-elles peu accusées :
, ,h.,ui. ! , ? : ,n.iq B 4-.9 -il Heprenant/pourjamodfier, une des idées , directrices les plus anciennes de la théràpéil
` " '' ? ' " '' j Le mot « Amok » est un mot malais qui-exprime l' idée d'une attaque furieuse, ayant presque toujours
iil-isaii-z d6utepeiisé,q,ue. tout ce qu'il y avait à dire sur, les idées de persécution avait, été exprimé dans la grand
deux points secondaires relatifs à la démence et ]a persistance des idées de persécution. Celles-ci s'effacent : elles dé
- là est-elle complète et fatale ? 9 Pour ,nia part, je crois que l' idée de 'persécution'domine toujours fa, scène, même
e période est caracté- risée par une'note dominante, laquelle est l' idée de persécution dans la seconde phase et l'idée
ante, laquelle est l'idée de persécution dans la seconde phase et l' idée ambitieuse dans la troisième. En ce qui concern
délire chronique, à la tendance des persécutés à dissi- muler leurs idées de grandeur. Notre collègue a inspiré à l'un de
durée, débutant dès l'en- fance, se traduisant .plus tard par 'des idées de persécution, des hallucinations de l'ouïe et
tion, des hallucinations de l'ouïe et, plus tard enfin, ; par , des idées ambi- tieuses, -pour aboutir à l'affaiblissemen
èsse aucune ... , 4.,1`y ? . '11-3t, Il 1 - ' .- la ? " . t ? t ) idée de persécution, s imaginent, a-un certain' âge, q
rises - ? rrrfs c't . ,.) 'r'r ? t tttHKfi klUkU..3l,tt des mêmes idées au moment de l'a' ménopause. 41lljilt.r) "™11 ?
des indi-; vidus normaux sans préparation.et,armée4de,pied en cap d' idées délirantes actives ? i)f.iarnault vous;, eti,ap
... ? était moins oppose, qu on a voulu le dire, a 1 evolutionde 1 idée de persécution.' S'il l'a considérée 1 Le'mnp's
rs temps de sa vie, il commençait a accepter sa transfor- mation en idée ambitieuse. Je l'ai entendu'appeler l'idée' de gr
es et psychiques.) Accès mélancolique passager. Accès maniaque avec idées ambi- tieuses et de persécution. Internement. P
avril 1894. Archives, t. XXVII. 21 322 CLINIQUE MENTALE. mois d' idées de persécution très actives provoquées par des ha
n ou de grincements de dents. Rôle de ces troubles dans la genèse d' idées de persécution avec tendances à la systématisat
secondaires épisodiques à forme mélancolique : (auto - accusation ; idées de suicide). Accès d'agitation maniaque avec id
o - accusation ; idées de suicide). Accès d'agitation maniaque avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations mul
mis, hors de Paris. z ' ' ' , ' 'En avril/la malade manifeste des idées mélancoliques et de pensé- cutio2z : elle'dit s
nes, en proie à un accès maniaque assez intense; elle manifeste des idées de gran- deur et' de persécution', tient des pr
énérale. , ` , Etat actuel. On constate à son arrivée l'existence d' idées de persécution et d'hallucinations de l'ouïe tr
es d'évasion. ? ' En octobre 1891, les hallucinations pénibles, les idées de persé- cution s'amendent, puis disparaissent
gt;folle"».c If y a'unYCertâiâ'opti- misme, mais | pas del traces d' idées de grandeur ? Pas de rêves. ei Au,poitit de.vue
obnu-' bilation passagère : la malade est déprimée'mati if este des idées de ? persécution : 'ces phénomènes-semblent" so
t; jo '* t.. r- mi. -3. ' t lf4 , , - . 20 juillet. Persistance,des idées mélancoliques' et de persécu- tion. P... pleure
e^je n'ai plus'mes voix . 'dans la-boucher1» Légère excitation avec idées ambitieuses : ' '' ` ? i4 ? ëM ? L'excitation a a
? B"*i si1^ ' * r.' < ? il,'% . , ? 1 5 mars., Agitationéxtrême. Idées rdélirantes'Iprôtéiforrnes et loquacité incessa
ôté gauche. it- ? ,j ? . jt\o P... est toujours préoccupée, de, son idée , de .voyage entretenue,}, sans doute par des .t
,, modifications, du caractère); la,,nature des troubles délirants ( idées , ambitieuses et si hypocondriaques absurdes, co
e la maladie (accès maniaques, mélancoliques, délire"'de grandeur,1 idées de persécution avec tendance tala systématisati
grandeur,1 idées de persécution avec tendance tala systématisation, idées hypo- condriaques, ,déliie,lïallucinâtoire,,aig
ité' : il, l'cons'cièiièe' qu'elle 'se 'développe' dans son cerveau Idées de grandeur. t - rï ,t<s ? \TttCIC'c. ^-' ?
te chronique interstitielle diffuse. (Revue mensuelle de médecine ? idées 1877);iu. Recherches ! ,surS%les-\\centres nerveu
caractérisé] par un- état, de dépres- sion mélancolique avec, des, idées de suicide, de, persécution et de ruine,.du ref
que l'internement : c'est alors un état d' excitation maniaque avec idées de grandeur,et derpersécution la.maladefait des
visuelles, se manifestent; et, provoquent le retour de ..quelques^ idées , mélancoliques., Cet, accèsadura.,trois mois av
ucinations auditives paraissent avoir tenu sous leur dépendance les idées de persécution ,et les réactions violenies qui
s hallucinations. diminuèrent, disparurent; l'excitation tomba, les idées délirantes s'effacèrent : la malade entra franc
ns motrices verbales de nature pénible; très actives, provoqua des, idées , de. persécution avec.tendance à laasysté- mati
' L'existence''chez notre malade'1' au cours^d'une' rémission, d' idées de; : persécution avec' técidance`s'àTlà`' systém
Fi n s .... 1 D'autre part, chez notre malade, sous l'influence des idées de persécution, se produisirent, à un moment do
s bouffées à forme mélancolique, qui venaient se greffer- sur les idées de persécution et qui coïncidaient avec un redoub
s, étaient caractérisés par des crises de larmes, de désespoir, des idées de. culpabilité, reproduisant le contenu des ha
s les hallucinations motrices s'amen- dèrent, puis disparurent; les idées délirantes. suivirent une régression parallèle.
térisé par un état d'agitation maniaque des plus intenses avec des idées ambitieuses et hypocondriaques incohérentes et
es de caractère pénible dans la genèse, au cours d'une rémission, d' idées de persécution avec tendances à la systématisat
IRE ET CRITIQUE. mence paralytique (accès maniaques, mélancoliques, idées de grandeur et hypocondriaques), les autres pro
pu- laires de l'époque étaient dominées à un haut' degré, par des idées , de sorcellerie,, de "magie, de possession'démoni
rand nombre), le bouc émissaire chargé des iniquités empruntées aux idées régnantes. , ...... ? q £ J <' ' Sans doute
nnes^qu elle lac -c'u's"à 1 -t td le.'slo'r't-ile; g'-e, -àonne une idée de l'affolement 'des', esprits ? Dans ses exorcis
douteux, l'absence de peptone'dans l'urine permettrait d'écarter l' idée de paralysie générale. » . -lA"lâ suite de'ses
ic' pierre dans l'eau; soudain s'est présentée à son ^esprit cette* idée ^ que < si la pierre s'enfonce lu es perdu ».
orage se sentit contrainte à jurer. Colle impulsion lui a imposé l' idée qu'elle est damnée. Eu lou^cas la contradiction
; ^ '* in =- Discussion : M. 111E\DEL. - Le jeu des associations, d' idées ne nous fait faire aucun' progrès dans^l'inlerp
raît guère per- mise, car leur simple énumération évoque aussitôt l' idée de tabes. Par conséquent, tabes au début, paral
; jeune fille, elle a présenté des manifestations hystériques avec idées mystiques ; son intel- ligence de' tout temps s
tzig); quel'écorceducerveauestpartout sensorielle, conformément aux idées de Munk et de Meynert. Il est également peu pro
il soit provoqué par ? la. multiplicité des .hallucinations ou 'des idées délirantes, ou par'l'émotion, la modification de
a préj'ar : e, mise, enl tîte de ce volume par. l'éditeur donne une idée complète.de ce .volume et*, nous paraît en donner
onne une idée complète.de ce .volume et*, nous paraît en donner une idée exacte : , t.. ? ? <. iWr°v4 v ,. I ? G · ?
e de l'Aveyron. Nous l'avons 'relue et cette lecture nous a donné l' idée de nous reporter aux deux rapports d'Itard. » '-
iotisme incurable., Tout autre était l'opi- nion. d'Itard, imbu des idées ,de Condillac : il crut à la perfecti- bilité de
..^ 3<. ? ? <> ) ? t , Au. lieu d'en donner nous-même une idée générale, nous avons pensé qu'il était préférab
om- maires. - - -,c h' ' ' - . - , , - <- - in - .31 Parmi les idées exprimées par Itard' en ce qui concerne les en-
sait consigner sur des bouts de' papiers rëüèillis`au` hasard" les1 idées qu'élaborait son cerveau de papiers e d 1 àbe ?
les domine. Chez' nos 'aliénés maints phénomènes nous ont imposé l' idée que sur eux agissent0 dés esprits hostiles, à «
68 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ju’ll importe, dans l'iutérêt des peuples, que ce journal, organe des idées nouvelles sur la • science magnétique, acquière a
ité quelconque sans chaire, sans tribune, sans journal, est comme une idée sans expression : on ne la peut faire comprendre.
e la peut faire comprendre. Ce besoin d’un organe de transmission des idées et des fails est si impérieux, que depuis Mesmer
Cette circulaire est curieuse parce qu’elle est en rapport avec les idées qu’un gouvernement absolu se fait des hommes et d
il. Au bout de quelques minutes je revins à moi, conservant une vague idée des sensations que j’avais éprouvées et émerveill
l'homme demi-mort, peut-être que dans cet état existe une confusion d’ idées , et que les choses vues de cette manière sont enc
y détermine également un fait qui se traduit par des penchants, des idées , la colère, la joie ou l’espérance. Cette étincel
ettes. — L’erreur est de ma faute, reprit le magnétiseur. Une autre idée se sera croisée dans mon esprit avec l’émotion qu
l avec une application qui prouvait un besoin impérieux d’écarter des idées pénibles. A la fin d'une soirée d’automne il ét
trations éclatantes ; c’est l’épreuve suprême qui imprime aux grandes idées le sceau de l’immortalité. » Point n’est besoin
aits que nous allons passer en revue quelque chose qui bouleverse les idées et confond la raison humaine. » Le public de l’
is toutes les informations possibles pour retrouver l’ingrat, j’eus l’ idée de m’adresser à la somnambule. J’enfermai • dans
Il en est decertains cerveaux comme decerlaines terres, où certaines idées et certaines plantes ne peuvent germer. Il est in
pu résister plus longtemps au désir de vous communiquer les quelques idées que cette réflexion m’a suggérées, dans l’espéran
llir avec votre bienveillance ordinaire. En général dans le monde l’ idée de monopole, de privilège, est synonyme d'injusti
béir à sa voix que j’ai pris la plume pour vous exprimer ces quelques idées , qui m'ont paru avoir leur utilité, si elles obte
le permettre et m’y encourager, je vous ferai part de quelques autres idées qui font suite et sont comme le complément et la
terrain où Mesmer avait fixé son ancre. C’est une révolution dans les idées , c’est un bienfait que l’on devra au génie de not
les acquièrent par l’ad jonction d’hommes nouveaux, qui apportent des idées nouvelles aussi, nous engagent à faire un chapitr
ouvelle, dont Mesmer nous a le premier ouvert l’entrée. Telle est l’ idée qui m’a déterminé à vous envoyer la liste des cur
e jeune homme dans l’impossibilité de continuer ses études. Alors des idées noires 6’emparérent de lui et avec elles le déses
eur danse. La symphonie de Bethoveen les Ruines d'Athènes peut donner idée de ces mélodies, dont évidemment lé grand artiste
suit. Très-cher Monsieur du Potet, Je dois vous faire part d’une idée . Ne serait-il pas temps, dans un moment où l’on n
rés au culte de l'Etre suprême, de XAuteur de la nature, de Dieu. L’ idée de l’Etre suprême ne doit se former que des attri
erfections qui sont relatives à notre bonheur. Les attributs dont l’ idée de l'Etre suprême est composée sont : 10 Le pri
faisons partie intégrante. C’est dans cet astre que nous sentons l’ idée de Y Etre suprême se réaliser : c’est lui qui aux
, chaquedécadi, une des vertus sociales en en formant et présentant l’ idée et les motifs. On fera à cette occasion mention
Mais si M. de Laborde n’explique pas son secret, nous en donnerons l’ idée , en disant que, depuis un an, nous assistons à de
ux enchantements, si fortes de son temps, et les dépouillait de toute idée de sortilège et de diablerie, pour les rapporter
génie, dans leurs moments d’exaltation, peuvent à peine en donner une idée . » Pour nous résumer : tous ces mystères, dans
ars, à Notre-Dame, a été signalée par un trait qui montre combien nos idées ont progressé dans l’esprit du clergé instruit. L
éation, a invoqué le témoignage des faits magnétiques pour donner une idée , bien imparfaite sans doute, de la puissance créa
us avancé, la science des sciences, la science de Dieu enfin. — Nos idées lentement introduites en Italie, malgré les entra
lques révélations, peut-être, des astrologues arabes; et vous aurez l’ idée de ce composé sublime et bizarre qu’il est plus c
us magnétise. Elle ne demandait pas mieux. Je m’y mots sans avoir l’ idée que cola pût lui faire du bien. Après avoir fini,
tion est arrivée, et d’autres soins m’ont empêché de poursuivre cette idée . Je croyais tout fini, et pour l’honneur de la
de Sa Majesté, du moins je l’espère, et pourra lui donner une foible idée de la manière dont on traite une question qui, lo
llectuelles, et de vous trouver bête, mais bête à ne plus trouver une idée ou une parole raisonnable ? Ne vous est-il pas
emblablement, encore d’autres qui, de près ou de loin, tiennent à nos idées ; mais ceux-ci sont les seuls dont l’opinion manif
t.) INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. ATHÉNÉE TROYEN DE MESMÉROLOGIE. L’ idée actuellement dominante, la tendance irrésistible,
existantes sont des réalisations partielles de cette grande et noble idée . M. de Rovère vient de fonder à Troyes une sembla
tions; mais peut-être aussi détruit-elle quelque peu la connexion des idées si nécessaires en des travaux de ee genre. Je dis
une admirable clarté, et développe les définitions métaphysiques de l’ idée et de l’absolu. La possibilité et probabilité, so
ue hésitation et parlant comme avec effort.) J’en mourrai. P. Cette idée de mort vous afflige-t-elle ? V. (Avec vivacité
igine de la première. T . Oui; et je vois maintenant la confusion d’ idées . Le mouvement est l’action de l’esprit, non de la
contenue en elle, est pensante. P. Ne pouvez-vous pas me donner une idée plus précise de ce que vous définissez la matière
ne définition générale; mais en dépit de tout ceci, il n y a pas deux idées plus essentiellement distinctes que celle (pie no
nie exiguïté, la solidité, la tangibilité, la pesanteur. Supprimons l’ idée de la constitution atomique, et nous cesserons bi
fiée. P. Il me semble qu’il y a une insurmontable objection à cette idée de cohésion absolue; et c’est la très-faible rési
nexplicable que celle qui concilie le retard connu des comètes avec l' idée de leur passage à travers l’éther. Car quelque ra
c’est-à-dire du mouvement de la matière imparticulée; vous aurez une idée distincte du corps ultérieur, en le concevant t
t pas cela, mais une conception de cette nature vous rapprochera de l' idée de sa constitution réelle. Un corps lumineux comm
, n’est que le contraste de la peine. Le plaisir positif est une pure idée . Pour être heureux jusqu’à un certain point, il f
opose de combattre, a-t-il un avantage sur celui qui, n’ayant aucune, idée de ces choses, magnétise avec la simple intention
n loin, où la mise au jour et même la simple propagation de certaines idées exposait à des supplices, à des tortures. Plus ta
produire des phénomènes plus ou moins surprenants. J’ai toujours eu l’ idée , au surplus (et l’expérience est un peu venue la
avancement dans l’ordre des faits provoque son pareil dans celui des idées , et vice versa,- aussi voyons-nous les novateurs
rempli, et dont pas un physicien n’a connaissance, ni n'a pu donner l’ idée aux magnétisés. Leur témoignage, à cet égard, est
forcée TOau VI. — X" 12. — 25 JUIN 1818. 12 de rester à Foissy, l' idée me vint de tenter sa guérison, ou du moins d’essa
février dernier. Ce document porte: .....Dans le grand travail des idées , qui s’opère et pousse l’humanité vers ses dest
els, qui consentent à faire des sacrifices pour étendre l’empire de l’ idée qu’ilsontacquise. Voilà, voilà pourquoi se dévelo
e et bientôt nous le verrons voguer à pleines voiles dans l’Océan des idées . Nous pourrons nous réjouir en commun, alors, car
ons. N’attendez pas, lecteurs, que je donne cours à d aussi tristes idées , pourquoi d’ailleurs jetterais-je dans vos âmes m
elle laisse beaucoup à désirer : elle nous écarte peut-être même des idées reçues ; cependant elle parait s’accorder en bien
étaient réparés avec une promptitude dont on se ferait difficilement idée ; mais, par malheur, je fus obligé de faire une ab
els de nombreux malades venaient recouvrer la santé ; rempli de cette idée , je me rendis à Sainle-Pezenne; j’entrai d’abord
uissance thérapeutique. Son inventeur, Mesmer, n’en eut pas d’autre idée , ne voulut pas le faire servir à un autre but. Or
souvenir d'un homme bien regrettable;puis parce qu'elle contient des idées très-saines sur la •pratique du magnétisme el la
gnétisé, en la reproduisant dans son cer- veau et dans ses nerfs, l’ idée produite dans le cerveau et dans les nerfs du mag
, tandis que ces sortes de phénomènes nous ouvriraient au contraire l' idée vivante de l’existence (1). » Voilà la vraie pe
Nous n’entrerons point dans les discussions que peuvent soulever les idées de cet auteur sur les médecines, classiqueet homœ
ressort. Laissons maintenant M. Charpignon développer librement ses idées : Coup d'œil sun certaines doctmnbs médicales c
d’Egine (630), Boerrhaave (1660), ont basé leur thérapeutique sur ces idées plus ou moins modifiées. Depuis, plusieurs modern
les d’abord, puis, plus tard, chez les Arabes, qui introduisirent ces idées dans l’Occident, idées qui dominèrent doctrinalem
tard, chez les Arabes, qui introduisirent ces idées dans l’Occident, idées qui dominèrent doctrinalement pendant tout le moy
ssentielle ou relative de ce principe vital. Sthal (1700) reprend ces idées d’un point de vue plus élevé et tout métaphysique
ar beaucoup de mots nouveaux d’une grande portée, car ils rendent des idées qui ne sont encore que dans les sentiments. 11 y
nous pénétre d’admiration. Nous ne sommes touchés que par de grandes idées , de grandes images; ce qui est trop vulgaire ne p
qu’un célèbre médecin homœopathe que j'estime beaucoup à cause de scs idées avancées en philosophie médicale, m’écrivait en r
tion rentre dans le même ordre que celui dont je viens de parler. Une idée nouvelle se répand, les uns l'accueillent, les au
ser encore quelque nouvelle explication, mais 011 peut avoir pris une idée des théories qu’elles développent. C’est toujours
ncomplète des différons éléments qui composent l’homme, et une fausse idée de la nature de la maladie. Mesmer, dominé par
une fausse idée de la nature de la maladie. Mesmer, dominé par les idées d’une physiologie transcendante dont les bases se
es aux malades qui viennent de tous les pays. Pour vous en donner une idée , depuis la réouverture de ma cellule jusqu’à ce j
race sur son corps aromal, avec le souvenir des vies précédentes, des idées et des connaissances quelle n’a plus quand elle n
comme ces girouettes qui tournent à tous les vents; ils n’ont qu’une idée dominante, mais elle est résolue, résistante, bie
it magnétiser occultement; et j’étais d'autant plus porté à avoir ces idées , que j’étais calomnié, menacé constamment, injuri
vait pu me porter à une pareille démarche ; je répondis que j’avais l’ idée qu’une société amie, que je ne nommais pas, m’ava
éon, et pendant que je contemplais les traits du grand capitaine, une idée étrangère m’arriva malgré moi, et se développa da
nt. Là, j’ai, dans les premiers moments de mon séjour, reçu l’envoi d’ idées homicides relatives à mon père, d’idées obscènes
de mon séjour, reçu l’envoi d’idées homicides relatives à mon père, d’ idées obscènes relatives à ma mère, à mes sœurs; j’ai é
d’idées obscènes relatives à ma mère, à mes sœurs; j’ai été accablé d’ idées calomnieuses ou des plus criminelles, et j’ai pu
qu’elle s’imaginât marcher dans la crème à la vanille. C’était là une idée assez bizarre, idée de journaliste incrédule, mai
archer dans la crème à la vanille. C’était là une idée assez bizarre, idée de journaliste incrédule, mais le sujet n’y échou
iastique entre plusieurs autres, parce qu’elle nous a paru donner une idée assez exacte de ce qu’on entendait par une vérita
penché sur mon épaule examinait mon travail et me faisait part de ses idées . Puis l’ironie et la taquinerie firent presque to
ce que j'ai souffert pendant son exécution. Seulement pour donner une idée d«^ ces tourments, je citerai un fait entre mille
i lu avec d’autant plus de plaisir que je n’y ai pas trouvé une seule idée un peu saillante dont le germe ne soit non-seule-
Je conçois aisément que M. Poe ait émis à New-York en 1848 les mêmes idées que moi à Paris en 1845, mais ce que je ne conçoi
ée en insérant dans un de vos prochains numéros la concordance de mes idées avec celles de M. Poe. J’ai dit, ci-dessus, qu’
mes idées avec celles de M. Poe. J’ai dit, ci-dessus, qu’entre ses idées et les miennes il v avait parfaite coïncidence :
septembre 1848. La remarque de notre ami touchant l’identité de ses idées avec celles de M. Poe est fort juste : elle resso
nnel, d’avoir des opinions démocratiques et, surtout, de partager les idées socialistes ; le tout pour montrer qu'en de telle
mes prières furent refoulées. Je fus bientôt dégoûté de la vie, des idées de suicide germèrent dans mon cerveau, et je suis
nt tellement faciles et rapides que rien au monde ne peut en donner l’ idée . Ainsi il faut bien remarquer que sans se dérange
uits par le somnambulisme à tel point qu’ils semblent bouleverser les idées reçues jusqu’à ce jour, et indiquer une marche di
que et volontaire de toutes ses aflictions, et il se rattache à cette idée , qui se rapproche un peu de celle que vous avez é
de cet éloignement qu’il professait pour tout acte de piété ; car les idées religieuses qui ont germé dans son esprit lui ont
les jumeaux siamois, et iîilla -Cluistina, se feront facilement une idée de ces communications. « Ils sont contraints d’
ntion de son sujet, en évitant toutefois de l’exposer à l’influence d’ idées préconçues, qu’il pourrait facilement lui imposer
ionne pas par l’exercice comme la vision médicale. Souvent opposé aux idées de la vie intellectuelle, il réclame l’isolement
océdés magnétiques. Dans l’exposé des procédés, nous avons trouvé des idées neuves et importantes, qui justifient, comme nous
partie est consacré au magnétisme surnaturel. Un sait com- bien les idées actuelles sont portées vers la question de l'inte
és, c’est là, pour nous, la marque la plus certaine du progrès de nos idées . Pourquoi faut-il qu’il soit toujours question du
sur la musique, chanta, etc. Ces deux somnambules n’avaient aucune idée pratique du système de Gall. De nombreuses expé
tant mon infériorité, j’oserai pourtant soutenir contre M. Jobard les idées que j’ai émises sur les hallucinations attribuées
availlée par un germe d’hallucination qui n’attend qu’un complément d’ idées fausses, ou une cause futile pour éclater tout à
eur, un malade peut sentir une influence imaginaire , et chez eux les idées peuvent être facilement perverties. Réflexions.
verties. Réflexions. Une mer calme et tranquille ne peut donner l’ idée de ce qu’est cc terrible élément. Ainsi de l’homm
ais toutes les parties. Mais ai-je le temps seulement d’y arrêter mes idées ? Écrire, produire, enseigner, soutenir constammen
69 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bature générale. Humeur hypochondriaque. Pas d'hallucinations, ni d' idées délirantes. Le malade pense un peu len- tement,
nt déjà une et distincte des régions voisines 2. Dans cet ordre d' idées , nous donnerons l'explication de deux schéma, s
chef, directeur de l'asile de Lafond. Sommaire. Excès alcooliques ; idées de richesse et de satisfaction personnelle ; em
arole, marche difficile, chants fré- quents, à cela, s'ajoutent des idées de grandeur (argent caché, va partir pour Paris
mis le feu chez un voisin ; il est à craindre, qu'aujourd'hui, une idée crimi- nelle puisse lui être plus facilement su
.. les symp- tômes ordinaires de la paralysie générale progressive, idées de grandeur et de richesse, embarras de la paro
les attitu- des spéciales comme cabalistiques, la prédominance des idées poétiques ou théâtrales ou mystiques que l'on r
était agitée, et aujourd'hui quand elle reparle du magnétisme. Les idées tournent toujours dans le même cercle, elle les
sur l'index, cependant quelques instants plus tard elle revient à l' idée de la veille et même elle dit avoir perdu ses y
oir mourir d'un moment à l'autre, on veut me tuer par rapport à des idées folles qui se con- centrent en moi, je suis dan
de verbigération écrite. LA CATATONIE. 63 passé, elle raconte ses idées de culpabilité, elle croyait avoir causé la mor
de Méd., août 1857.) 8 Dans ces cas lorsque l'on peut constater des idées délirantes actuelles ou rétrospectives, elles s
at mental particulier qui se manifeste surtout par l'appari- tion d' idées fixes (folie du doute, folie du pourquoi, arithmo
uns des autres le tic convulsif, l'exclama- tion involontaire et l' idée fixe. VIII. HÉMIPLÉGIE DIABÉTIQUE AVEC LÉSIONS
lomanie moins déré- glée, souvent il n'y a que du désordre dans les idées , de l'hébétude, un peu de déchéance psychique);
terles plus simples calculs, par du dé- sordre avec incohérence des idées , par un état d'obnubilation sem- blable à celui
nfants à la surface du corps. Des cas bien curieux dans cet ordre d' idées sont ceux relatés par M. de Saint-Germain, dans
e de son service il reconnaît que dans un certain nombre de cas les idées de persécutions se sont transformées en idées a
ain nombre de cas les idées de persécutions se sont transformées en idées ambitieuses, mais il n'y a pas de règle à cet é
surtout à l'influence de l'hallucination dans le développement de l' idée ambitieuse, car souvent le malade lutte contre
ment de l'idée ambitieuse, car souvent le malade lutte contre cette idée ambitieuse et repousse tout d'abord les titres
vec anxiété qui s'accentuant de plus en plus se complique en 1878 d' idées de persécution. En 186 la maladie commence à év
idées de persécution. En 186 la maladie commence à évoluer vers les idées ambitieuses qui finissent au- jourd'hui par eff
aire, permettent, de concert avec les autres symptômes, d'exclure l' idée d'une affection intra-crânienne en foyer, par e
ents les plus spécieux des juristes, qu'on confond les faits et les idées en voulant- attribuer au tribunal la mission de
devant elle le mot d'âme ou quelque chose qui lui rappelait cette idée , elle disait : « Moi, je n'ai pas d'âme ! » Il n'
peu théoriques à quelques vues pratiques ? Voulez- vous mettre ces idées à l'épreuve des faits ? Voyons ensemble à l'oeu
bon sens lui-même ; c'est aussi le principe supérieur qui donne à l' idée de justice, que la magistrature représente, toute
Société de médecine et de chi- rurgie de Bordeaux a eu une heureuse idée , car l'épilepsie partielle n'avait pas encore d
rtent des observations et des travaux des auteurs. Quoi- que aucune idée originale et nouvelle ne rehausse ce travail, don
ar les flots, que notre attention tout entière se concentra à cette idée du danger, ce qui empêcha le cerveau de réagir
d'incendie, ou bien encore si leur imagination se surexcite par une idée patriotique ou par une grande joie. La prédis
avirer et par conséquent leur sys- tème nerveux est attaché à cette idée du danger im- minent. Voyage en voilier. Ce q
du liquide. C'est là cepen- dant le point essentiel. Or, voici nos idées à propos de la pathogénie du vertige marin. Nou
ur, soit surtout en voilier. Maintenant que nous avons exposé nos idées sur la pathogénie du vertige marin, nous pouvon
te qu'il sera facile par le simple examen du schéma, de prendre une idée d'ensemble du trajet d'un faisceau pris isoléme
ériques avec accès transitoires, de désordre, de confusion dans les idées et des sens. Ces accès, qui peuvent apparaître
e des grandeurs d'emblée sans qu'il ait jamais été précédé d'aucune idée de persécution. Les idées de persécution et de
sans qu'il ait jamais été précédé d'aucune idée de persécution. Les idées de persécution et de grandeur se rencontrent, en
d'abord écarter les malades, qui n'ayant pas à proprement parler d' idées de grandeur, ont, de l'optimisme, une opinion exa
irants chroniques avouent à l'entourage bien moins facilement leurs idées de grandeur, qu'ils ne parlent de leurs persécuti
me de l'auteur, une modification complète de sa manière d'être avec idées religieuses. Ke serait-ce pas une mégalomanie mys
me coupe admirablement l'agitation délirante avec désordre dans les idées de l'hystérique, mais ne peut modifier les agitat
raît une nostalgie qui absorbe le patient, tend à se transformer en idée fixe obsédante, à engendrer des actes instincti
illité et l'uniformité de la vie de l'asile , dans leurs courants d' idées délirantes, surtout lorsqu'on ne peut leur procu-
lance des asiles privés. SOCIÉTÉS SAVANTES. 301 M. EDEL accepte l' idée de l'inspection par une commission plutôt que p
- prie et travaille. Répétition, à peu près termes pour termes, des idées délirantes de la jeune fille. Discussion : - M.
ai il, tremblement dans les bras et les jambes, parole chevrotante, idées de suicide. Pouls à peine per- ceptible, pas to
iabète mis à part, chez les aliénés à désordre très accusé dans les idées et en état d'agitation , l'acétone ne se montre d
argumentation de l'honorable M. Combes roule tout entière sur cette idée dominante que le médecin doit rendre des décisi
suis heureux de voir que, dans le apport de M. Roussel, cet ordre d' idées est traité très rapidement, et qu'il résulte du t
e mère et sa fille, deux soeurs, etc., se trouvent en communion d' idées délirantes. 1 Celte étude a été lue 1 la Sociét
st toujours la sanction de l'internement. Ce mari s'est associé aux idées délirantes de sa femme, et se les est assimilée
lades, parmi lesquels un seul joue un rôle actif et im- pose ses idées aux autres. Ces deux groupes méritent bien l'ét
oit épuisé, ou ait fait place à un autre qui conduit le courant des idées dans une nouvelle direction. Il est à noter aus
dans une nouvelle direction. Il est à noter aussi que ce sont les idées souvent les plus étranges, les plus extravagant
arquantes, qui trouvent ainsi à faire facilement leur chemin. Une idée bizarre, excentrique, livrée aux quatre vents de
, d'ailleurs, qu'aux différentes époques, les délires reflètent les idées du moment. Si l'on examine l'état mental des ma
t rentrés au logis, « histoire de faire une niche à leur femme ». L' idée est acceptée ; le reste de la journée se passe
ée se passe dans différents cabarets. Aucun d'eux ne pense plus à l' idée baroque suggérée par l'un des trois ivrognes. M
s ivrognes. Mais le soir à 9 heures, au milieu des fumées du vin, l' idée reparaît, et ainsi qu'il était convenu, les tro
out autre cadre nosologique déterminé. Mais par quel pro- cédé, l' idée du suicide s'est-elle ainsi propagée si ra- pid
dans d'autres esprits est constituée par des délires tristes avec idées de persécution, et parmi eux, prin- cipalement
de leur apparition. Ce n'est que, quand au délire, se mélangent des idées véritablement étranges, frappées indubitablemen
esprits les plus indulgents, qu'il s'opère une réaction contre les idées du malade de la part des gens bien pondérés. Ma
ong interrogatoire avant 332 PATHOLOGIE MENTALE. de mettre à nu l' idée délirante ou l'hallucination capi- tales qui pe
facilement d'un ambitieux que d'un persé- cuté, et d'autre part une idée ambitieuse, d'origine délirante, a toujours un
y croire, il faut être déjà malade soi-même. En d'autres termes, l' idée ambitieuse pro- voquera le plus souvent des dou
es, l'idée ambitieuse pro- voquera le plus souvent des doutes que l' idée de per- sécution ne provoquera pas, et ces dout
mêmes. influences. En voici un cas très net, qui donnera une juste idée de ce qu'ont dû être les épi- démies de convuls
galement débile, vi- vant avec elle, et à qui elle a communiqué ses idées délirantes. Celui-ci, usant d'imitation, se cro
ile ont suffi pour lui faire abandonner à peu près complètement ses idées délirantes. Sa mère a guéri également en quelqu
era pas difficile de battre en brèche ; il défendra mollement des idées qu'il ne pourra jamais s'assimiler complè- teme
ur cet état mental se sont greffés des syndromes épisodiques et des idées délirantes. De tout temps, Maria a eu des rires
, elle a été obsédée plusieurs fois, mais très passagèrement, par l' idée du suicide. Pour ce qui est de ses idées délira
très passagèrement, par l'idée du suicide. Pour ce qui est de ses idées délirantes, elles doivent être sépa- rées en de
été communiquées par sa mère. Débile, elle a le droit de créer des idées délirantes pour son propre compte. Elle a tou-
s idées délirantes pour son propre compte. Elle a tou- jours eu des idées de persécution, trouvant leur cause dans des in
ssais pour sortir; elle disait : « ça y est ». Voici maintenant les idées délirantes communes à la mère et à la fille. Pl
able cause de leur misère. Si Maria a copié un certain nombre des idées délirantes de sa mère, elle est loin d'en repro
elle sait et croit que sa mère est persécutée, et, partant de cette idée pré- conçue, elle accepte tout ce qui est susce
nt que, déjà à cette époque, la malade tendait à faire admettre ses idées délirantes dans son milieu habituel. Rentrée
fluctuations bien fortes pour démontrer le peu de fondement de ses idées déli- rantes. Poursuivons maintenant l'étude
isé ; il ne se compose en général que d'un nombre assez restreint d' idées mal liées entre elles, souvent passagères et tr
ux gens le bonheur qu'ils n'avaient pas sur terre. Dans cet ordre d' idées , elle ne tarde pas à penser au suicide; mais, c
e malheur de son mari et de son enfant égal au sien, elle caresse l' idée de mourir en leur compagnie. Pendant un mois, e
» ajoute-t-elle sans s'émouvoir. Ces faits donnent déjà une juste idée de l'état mental de la malade, qui, absolument
ssifs. Ces derniers ne sont en quelque sorte que les dépositaires d' idées délirantes dont il ne sont pas les créateurs. D
ie ne peut être qu'un fait pathologique, et, partant, élimine toute idée de responsabilité. Cette théorie de la responsa
thermanesthésie que je viens de signaler on ne peut admettre que l' idée de tabès dorsalis. L'existence de l'analgésie p
attachons une plus grande importance au traitement tonique, mais l' idée d'agir sur les produits pathologiques ne doit p
itué à proprement parler des accès. Observation LVI. Epilepsie avec idées religieuses extatiques,- mouvement de manège fo
nce et sujet à des périodes d'excitation ma- niaque, accompagnées d' idées religieuses résultant de sa profession. A Y aut
de la moitié du corps du côté opposé, elle est incompatible avec l' idée de l'origine corticale, mais la transmission et
succession des éléments de l'attaque ne contredisent nullement à l' idée que l'hémisphère cérébral non excité, a, par pr
et de la localisation des lésions. Et à propos de ces observations, idées originales. D'après l'auteur, la névrite alcool
me avec hémiplégie droite, de l'incohérence et du désordre dans les idées . Un an après, les deux globes oculaires déviés
tion précisée et nettement coordonnée (manie avec désordre dans les idées et halluci- nations sensorielles relativement s
ifestent, de concert avec une mélancolie plus ou moins stupide, des idées de maléfices ou de persécutions, dont la -teneu
dont la -teneur se rattache au mauvais traitement enduré, quand les idées déli- rantes constituent, quels que soient les
aboutit à l'affaiblissement des facultés intellectuelles, les mêmes idées forment dans le complexus un noyau manifeste, i
lentes, devenu maniaque : excitation progressive, désordre dans les idées , irritabilité permanente, et, de temps à autre,
rdre dans les idées, irritabilité permanente, et, de temps à autre, idées de grandeur, hallucinations de l'ouïe, conception
la simulation d'affaiblissemeut intellectuel avec désordre dansles idées (Allg. Zeitsch. f. Psych., XIIIELXXXVII), il aj
u public. Voici le résumé des neuf propositions qui constituent les idées de l'orateur : 1° Il convient d'abord de ne pas
s clauses : la première comprend ceux qui ont un trouble dans leurs idées , c'est la folie intellectuelle. Ceux-là, tous c
d'entre vous sont guidés par une opinion qui n'est pas la mienne, l' idée que dans tous les cas, quand il s'agit de séquest
rs bancs.) SÉNAT. 461 Je crois donc que c'est par une confusion d' idées que les auteurs de l'amendement sont venus reve
ment réussi. Dans une série de chapitres très fournis de faits et d' idées origi- nales, il a traité successivement de la
i a été le chef de clinique du Dr Burq rend aujourd'hui hommage aux idées et aux découvertes de son maître en les exposan
es aux anciens chefs de clinique. Il n'est jamais venu à personne l' idée de confondre le concours des médecins des hôpit
70 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s, inconscients, de nature surtout réflexe. Redlich invoque ici les idées d'Exner sur la « sensomobilité ». Exner insiste
maladies mentales. A l'époque où Griesinger commença d'exposer ses idées sur l'organisation des cliniques psychiatriques
on à la nécessité de la surveil- lance continue des mélancoliques à idées de suicide, ainsi que des sujets atteints de ps
ouvellement admis, ceux qui refusent les aliments, ceux qui ont des idées de suicide, les- agités, les paralysés, les gât
e compagnie, enfin tenue générale en complète opposition avec ses idées et ses manières antérieures : devenu un fou exhib
peuvent être également défectueuses : l'habitude d'insister sur une idée Archives, 2 série, t. XI. 4 50 REVUE DE PATHO
pas être avantageuse pour notre esprit, et celle de considérer une idée sous trop d'aspects et sous trop de rapports en
ticu- lier de dépression, on trouve celle-ci associée d'abord à des idées morbides avec diminution de la mémoire, plus ta
plus tard à des halluci- nations de l'ouïe, plus tard encore à des idées morbides, à des hallucinations de l'ouïe, à des
encore à des idées morbides, à des hallucinations de l'ouïe, à des idées de persécution, mais sans perte de la mémoire ;
r M. KOEppEN. (Neurologisches Centralblat, XVIII, 1899.) Délire à idées systématisées passagères survenant le plus souv
ui cesse tout à fait pour ne plus reparaître. Ce sont surtout des idées systématisées, mal liées, mélangées sans ordre
ous cette influence le malheureux ne peut plus penser, associer ses idées , est incapable de se rendre compte de ce qui s
ndre toutes espèces de choses sur ce sujet, ils ont toutes sortes d' idées , de grandeur 62 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
tes sortes d'idées, de grandeur 62 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. d' idées hypocondriaques, en un mot toutes les idées de la
E PATHOLOGIE MENTALE. d'idées hypocondriaques, en un mot toutes les idées de la folie systématisée chronique. Le terrai
ologique, elle se voit principalement chez les imbéciles (angoisse, idées de persécution absurdes) à l'état fugitif et ch
où elle constitue le délire d'emblée de Magnan. Elle émane alors d' idées fixes fondées puis prédominantes, tel en temps
en qu'on soit en parfaite santé. Il faut également tenir compte des idées délirantes à tendance systématique des saturnin
tion, la paranoïa périodique. Le traitement consiste à discuter les idées délirantes ce qui réussit parfois, à placer le
nique de la Salpêtrière deux cas très intéressants dans cet ordre d' idées . Nos deux malades ont été atteintes d'hémiplégi
mise en lumière par Pierre Marie, duquel j'accepte pleine- ment les idées à ce sujet. La nature infectieuse et toxique des
médullaires; d'ailleurs il est encore impossible de se faire une idée nette sur le début du tabès à ce point de vue. '
nalogues jusqu'ici publiées, et que M. Soukhanoff a eu l'heu- reuse idée de reproduire sous forme de résumé dans l'étude
ngt-deux aus, admis pour un accès de manie aiguë avec confusion des idées qui guérit en quelques semaines. C'est le quati
petit. - 4° A... femme R..., trente-six ans, démence primitive avec idées confuses de persécution et de grandeur développ
Vers l'âge de dix-sept ans, on remarqua qu'elles « perdaient les idées ». Célestine, la première, commença à mal travail
sions à courir, à se livrer à des actes extravagants ou nuisibles ; idée fixe de tuer son père et sa mère contre qui ell
ssion est qu'on a affaire à une faible d'esprit avec prédominance d' idées obsédantes d'hypo- condrie, excitation habituel
emande qu'on la désensorcelle, qu'on la débarrasse de son tourment ( idées obsé- dantes). Imprécations conlre sa mère, qui
ujours soumise à des crises fréquentes d'excitation ma- niaque avec idées délirantes polymorphes; injures, menaces. gross
écrit : tantôt avec crises de désespoir accompagnées de larmes et d' idées mélancoliques, tan- tôt avec accès de colère ac
ion sont presque purement motrices, elle ne parle plus guère de ses idées délirantes. Elle n'a aucune mémoire, ne se rap-
nt d'abord en une per- version de la sensibilité affective, puis en idées obsédantes l ig. i. - Prudence 13... 108 .. C
ans sa famille, il manifesta en effet un caractère irri- table, des idées bizarres, une tendance à délirer sous le moindre
temps que le calme revient. Actuellement, le malade mani- feste des idées ambitieuses et mystiques incohérentes et un dédou
ba dans une sorte de stupeur apathique avec immobilité, lenteur des idées ; il disait lui-même qu'il perdait la tête. Aprè
n fait la ronde de sa position quelquefois. » Même dissociation des idées dans les lettres qu'il écrit à ses parents. Apr
es... etc. » Ainsi, incohérence partielle, sorte de paraphasie sans idées déli- rantes ayant un sens. On remarque qu'il r
onnalité, alors qu'Henri manifeste une dissociation progressive des idées avec crises d'excitation maniaque. En résumé,
lesquelles elles avaient vécu, Juliusburger et Meyer, évoquant les idées géniales de W. Roux, la considèrent comme une lut
diversement localisées d'une seule et même maladie.1 - Suivant ces idées , la paralysie générale n'est qu'un épisode du t
infections vénériennes 1. Ilitzig s'écarte sur quelques points des idées de Leyden et de ceux qui l'ont suivi touchant l
b, sans méconnaître ce qu'il y a de forcément hypothétique dans ces idées , qui ont; surtout trouvé un écho dans les trava
oquer des sensations nauséeuses auxquelles le malade rapporte - ses idées d'odeur Ou' de saveur de matières en putréfaction
ls anatomiques ne permettrait pas à un compte rendu d'en donner une idée exacte, .ni surtout un aperçu de quelque utilit
igences et les devoirs de l'homme social, parce que l'évolution des idées pédotogistes exige que ce travail de perfec- ti
s de tremble- blement fibrillaire de la langue et des lèvres, pas d' idées de gran- deur ; pas d'accroc de la parole quoiq
certain nombre de cas non organiques. Je me base pour avancer cette idée sur deux cas de paralysie alcoolique dans lesqu
é récemment dans une leçon parue dans la Gazette des hôpitaux mes idées sur ce sujet d'une manière complète, je me conten
ssis- tant de Vienne, sur la- pression sanguine chez les aliénés. L' idée principale qui s'en dégage est que, dans les fo
n pronostic sombre sur le cas qu'il vient de rapporter, parce que l' idée de perécution reste im- muable chez le sujet, q
mélancolie avec délire des négations; cette aliénée avait aussi des idées de damnation et de possession avec de l'agi- ta
période de doute et d'interrogations avait précédé l'apparition des idées de négations qu'elle manifeste depuis plusieurs
... a complètement renoncé âsa personnalité, sans avoir jamais eu d' idées de persé- cution. Elle croit ne plus exister, n
tombe par intervalles dans un état de dépression mélancolique avec idées hypocondriaques. Il traverse aussi des périodes
me d'évolution d'un délire spécial avec ses périodes suc- cessives ( idée fausssement attribuée à Cotard) - mais bien plu
ion dans Paracelse. 190 BIBLIOGRAPHIE M. G,\I11'iAULT, Toutes les idées de Paracelse dérivent de l'An- tiquité. Certain
asliu, Keraval, Roubinowitch, Faruarier ont vulgarisé en France les idées des allemands sur la catatonie, la paianoia, le
ien apprécier sur les élèves et les auditeurs l'action vivante de l' idée « in statu nas- centi ». Mais, dans le domaine
tude, nous avons laissé à M. Sérieux toute liberté pour exposer ses idées . (La Rédaction.) 1)3" REVUE DE THERAPEUTIQUE.
ion on voit également un tic (rotation de la tête et des yeux) avec idée fixe corrélative servir de préam- bule à une sé
ne et sortie par la racine du nez a-t-elle lésé ces trois nerfs ? L' idée d'une fracture de la base du crâne était en dés
tête nerveux, névralgie de la tête : pour ne pas s'embarrasser des idées préconçues qu'impliquent ces dénominations et en
rcimonieuse- ment analysées. Puis, le rapporteur a souvent la bonne idée de faire précéder son chapitre analytique propr
l ne .saurait se .dispenser de chercher dans tel mémoire toutes les idées direc- 266 BIBLIOGRAPHIE. trices qui ont guid
on mentale ou de mélancolie anxieuse avec hallucinations de la vue, idées de ruine, de persécution etc., chez les vieillard
re anémique, d'un caractère difficile, sombre : « elle se forme des idées » ; deux fois, pendant une demi-heure environ,
nkel ne révèle aucune modification pathologique. Coordination des idées suffisantes, l'expression en est lente parce qu
ant rapidement à 40°,3 au moment de la mort, comme pour légitimer l' idée d'une méningite. Autopsie pratiquée le 4 novemb
tendent au-delà des masses hyaloïdes, tout cela suggère fortement l' idée de vaisseaux malades. Les corps granuleux son
e fonc- tion. Le pouvoir limité que pos-éde l'enfant d'associer les idées , l'impossibilité où il est de fixer longtemps s
atrie. A mesure que l'on voit s'accroître le pouvoir d'associer les idées et la faculté de REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
epuis Bell et Marshall Hall, aucune oeuvre n'avait révolutionné les idées en matière d'anatomie et de psychologie du systèm
ité d'une expansion et d'une rétraction de ces prolongements. Cette idée a été acceptée par plusieurs physiolo- gistes c
des nausées, pas de soif : l'âge et la débilité écar- taient toute idée d'opération ; il me demandait d'aller la voir le
e complète relativement à cette tentative; 3° Chez l'alcoolique à idées de suicide, l'intoxication chronique se manifes
des fous autrefois et aujourd'hui, et indiqué les modifications des idées , non seulement des médecins, mais du public, Blum
part de vérité ? Il serait intéressant de chercher à vérifier cette idée en pratiquant la ponction rachidienne chez des
cidents dans l'étio- logie de l'acromégalie ? M. Marie n'a aucune idée nette de l'influence de ces traumatis- mes, sur
t qu'il en est fait mention dans Paracelse. M. Garnault. Toutes les idées de Paracelse dérivent de l'anti- quité. Certain
le D''J. Capgras. (Th. Paris, juillet 1900.) L'auteur, adoptant les idées exposées par le professeur Kroepelin, dans sa d
'assistance familiale, les difficultés capitales -résident dans les idées précon- çues et les préjugés courants en haut l
tes des uns, les cris, les chants et éclats de rire des autres, les idées délirantes de toute espèce que des cerveaux tou
surveillance spéciale (agités, paralytiques affai- blis, malades à idées de suicide); la plus grande est réservée aux su
Depuis les plus récents travaux on tendrait plutôt à rejeter cette idée et à attribuer les troubles trophiques à un défau
biologiques actuellement admises, si elles ont été formulées avec l' idée préconçue qu'elles dérivaient de l'étude de la fa
édier à des symptômes fort incommodes il a suffit de substituer à l' idée qu'on voulait éliminer une idée d'un caractère
modes il a suffit de substituer à l'idée qu'on voulait éliminer une idée d'un caractère plus utile. R. DE AIUSGRAVE-CLAY
tumeur d'avec les ventricules peut passer pour un argument contre l' idée du carcinome, mais elle ne l'exclut pas absolum
névroglie, disséminées par places au milieu des cellules. Contre l' idée du gliome alvéolaire, il y a : 1° l'absence de
prouver que l'obsession peut émaner d'une émotion morale, et que l' idée y joue un rôle relativement petit. Ce n'est pas
; 3° l'attraction homo- sexuelle, avec inconscience, s'accompagne d' idées délirantes. La présente observation ressortit à
ées délirantes de grandeur, auxquelles s'ajoutent quel- quefois des idées de persécution. Les autres manifestations mentale
es ; quelquefois, à l'occasion de ces crises, il était obsédé par l' idée que son bétail allait mourir; en 1897, il eut,
e un terme flou, synonyme de névropathe. Son but est de réfuter les idées de 442 BIBLIOGRAPHIE. Moreau de Tours pour qu
ans), sa tante s'aperçut que ses lettres, tant au point de vue des idées , que de l'écriture et de l'orthographe, devenai
eur agrégé de la faculté et médecin des hôpilauv de Bucnos-Aircs. L' idée de Fuller (de Montréal de pratiquer lacraniectomi
nt indépendants de la réaction de température; 23° Par conséquent l' idée directrice initiale du traite- ment, à savoir l
fausses couches. Depuis qu'elle a constaté son erreur elle a eu des idées de suicide, ce qui se voit parfois. Les journau
ion uniforme sur les lobes cérébraux de nature à exclure d'emblée l' idée d'un rapport entre les hallucinations hygriques
tourmente qu'en face du monde. Ce sourire ne s'accompagne d'aucune idée risible, au contraire, il s'associe à un sentimen
ire de la télépa- thie, des religions, etc. Des obsessions et des idées absurdes sont capables de hanter des individus
antôt ils, les reconnaissent comme phénomènes réels. Cette dernière idée est presque la règle quant aux sensations qui s
les auties secondaires. Celles-ci embrassent celles qui dérivent d' idées délirantes s'objectivant sous une forme sensible.
primi- tives sont des hallucinations obsédantes ne procédant pas d' idées obsédantes; elles sont autonomes. P. KEHAVAL.
elles étaient allées soigner : il y avait une grande agitation, des idées délirantes agréables, des hallucinations de la
ar la société d'un fou, non pas du tout par un transfert direct des idées morbides, comme dans la folie à deux, mais sous
distinctions entre les dou- leurs. Au point de vue du mécanisme, l' idée de doute ne se pré- sente pas toujours de la mê
es. D'aulres fois l'illusion est la con- séquence de dissociation d' idées par contrastes. En effet, une idée amène toujou
con- séquence de dissociation d'idées par contrastes. En effet, une idée amène toujours une idée contraire. L'homme norm
ation d'idées par contrastes. En effet, une idée amène toujours une idée contraire. L'homme normal ne s'en préoccupe pas
e s'en préoccupe pas, tandis que ledouteur hésite entre les deux. L' idée de doute peut aussi se transformeren auto-accus
sait l'acte de frapper. Plus tard elle crut avoir frappé et eut des idées délirantes d'auto-accusation et de culpabi- lit
partage l'opinion de M. Séglas en ce qui concerne l'évolution de l' idée de doute vers un délire systématisé. Hallucinat
. des troubles mentaux deviennent manifestes. La malade exprime des idées lypoctondriaques à propos d'une sialorrhée inte
pousse la malade à cracher continuellement. En ce qui concerne les idées spirites présentées parla malade de M. Tré- nel
, au contraire, un spasme des muscles rele- veurs. J'ai dit que l' idée de lésion organique cadrait parfaitement avec l
91, le malade eut un équivalent pshychique d'une longue durée, avec idées de gran- deur et de persécution et du délire re
xuel. Le délire se développa et se systématisa de plus en plus, des idées de persécution s'y ajoutèrent qui s'ag- gravaie
'accusaient plus nettement lors des poussées aiguës. La source de l' idée délirante se trouve toujours dans une sensation
n dehors de l'état d'équivalent épileptique, on trouve chez lui des idées délirantes fixes (idées de grandeur), qui ne so
ivalent épileptique, on trouve chez lui des idées délirantes fixes ( idées de grandeur), qui ne sont que la continuation d
inuation du délire épileptique, dont il garde bien le souvenir. Les idées de grandeur se sont développées davan- tage, ce
mence était la principale raison de ce que le malade empruntait des idées délirantes chez ses voisins de la salle. nI.
rimaire, la folie périodique, la psycho-neurasthénie dégénérée avec idée fixe, insanilas moralis et la psychose développ
71 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
néale avec les hémisphères cérébraux, dit : « Si Descartes eût eu l' idée de faire cette expérience, il n'eût pas émis un
LÉGIQUES OU PARAPLÉGIQUES PAR R le D NOICA. Avant d'exposer nos idées personnelles sur la physiologie pathologique de
e de cette lésion (dégénéres- cence du faisceau pyramidal) et celle idée physiologique que pour qu'il existe de la contr
r simple phénomène d'excitation, parce qu'ils étaient convaicus des idées anciennes que la contracture est la suite d'une e
ture survient et persiste. » Il y a dansja théorie de M. Marie deux idées , l'une que la substance grise médullaire est un
xpliquaient pas la contracture, et pour l'expliquer on revenait aux idées de Charcot, Vulpian, Bouchard, Brissaud, etc.,
celle d'un grade, d'une profession que le malade s'attribue, d'une idée qu'il veut manifes- ter d'une manière symboliqu
ci-dessus indiquée des acces- soires de l'habillement, eu égard à l' idée intentionnelle de celui qui les imagine : et l'
car ils entendraient par là représenter des conditions fausses, des idées ou des choses qui ne ré- clament nullement cett
- ment, désireux de paraître solennel ; le militarisme rappelle les idées du mouvement, du bruit, de l'impériosilé indisc
doptée montre, indépendamment dé la salade verbale, le manque d'une idée claire, bien déterminée, correspondant au symbole
ure à peine l'esprit, et il est supplanté d'autres images, d'autres idées aussitôt supplantées à leur tour ; et dans les
lisme,que j'ai observés, aucun ne voulait exprimer sérieusement une idée . Tous obéis- saient, en se parant, à une série
approfondir la nature ; il ne cherchait pas, il n'avait même aucune idée à ce sujet. Un malade comme celui qu'a décrit d'O
tres points de contact, je n'entends nullement faire allusion à des idées d'unification. La ressemblance dans les manifesta
rien de nouveau dans ce sens : le dément les conserve parce qu'une idée morbide, qui trouve en eux-mêmes un consen- tem
n ; dans le maniaque, c'est une inconstance, avant et après, dans l' idée correspon- dant à l'emblème, et une muabilité t
eurs ; bien au contraire : on a pardonné à Sorolla la pauvreté de l' idée pour sa vivacité des couleurs claires et joyeus
e la base. La radiographie ne donne pas non plus, en géné- ral, une idée juste de la configuration de la gouttière basilai
et intellectuel. Ce n'est que dans les deux dernières années qu'une idée fixe de persécution estsurvenue,laquelle a cond
ut(2906), Laignel-Lavastine et de quelques autres pour se faire une idée du développement pris par l'étude de cette questi
mptômes suivants : dépression sentimentale très prononcée, quelques idées délirantes d'hypochondrie et de persécution ; ins
ns que son esprit ne cesse point de créer. ' - Si certaines mêmes idées se maintiennent au cours des crises et réapparais
qui peut donner à rêver aux psychologues. Encore l'association des idées ! ce qui nous paraît prouver apertement que, mê
er, nous le reconnaissons, car alors l'homme finit par avoir trop d' idées dans le cerveau, d'où manque d'équilibre. » Et le
isposition assez gracieuse du branchage d'uu acacia lui ait donné l' idée de transformer ce branchage en la membrure d'une
avec les anciennes amies de pension de sa femme. » Dans cet ordre d' idées , il ne voit aucun inconvénient à mettre à profi
tête surmontée du nimbe des saintes. Pourquoi ne pas combiner cette idée avec celle d'un autre très beau tableau, beauco
il nous expose lui-même en vertu de quelles profuses associations d' idées il était poussé à entrer non seulement dans la pe
ur exemple pour démontrer le procédé de mutation syllogislique de l' idée de persécution en délire mégalomaniaque, ainsi
ient, puis tout d'un coup mou cerveau devient comme un cristal où l' idée élastique se meut sans fatigue, avec la rapidit
du départ du malade. L'une des photographies en donne assez bien l' idée . Une troisième oeuvre, dont j'ai pu aussi appor
es au-dessous du ligament de Poupart; mais en opposition avec cette idée on peut avancer ce fait qu'il peut se passer ving
torpeur et l'apathie. Parfois il s'y ajoute d'autres troubles, des idées fixes, des hallucinations, comme l'a observé Pi
servations suivantes de L. Lévi. Un enfant de G ans n'avait aucune idée , aucune initiative. Il pleurait à tout propos e
nts de goitre exophtalmique, leur irritabilité, le décousu de leurs idées ^. En général, les basedowiens sont irascibles,
e Basedow est une colère perpétuelle » (Trousseau). L'instabilité d' idées est telle que Russel Reynold l'a appelée une « ch
d'idées est telle que Russel Reynold l'a appelée une « cho- rée des idées ». La mémoire est atteinte. Dans les cas atténués
s réactions affectives disproportionnées à leurs causes, chorée des idées , perversion des sentiments effectifs, tels sont
cobs. Elle peut s'accompagner d'hallucinations (Jensen, Boetzer), d' idées de persécution (Jensen). La forme mélancolique
Delasiauve était en proie à des visions sinisti es ; elle avait des idées de mortel de ruine ; elle se nourrissait d'inquié
lpitations angoissantes, une insomnie per- sistante suscitèrent des idées hypochondriaques et amenèrent un état mé- lanco
17 maladives, peur des couteaux, du vide, etc..., d'autres fois des idées obsé- dantes (arithmomanie coprolalie), de l'ag
onus allant jusqu'à l'impossibilité d'associer et de coordonner les idées . On pourrait donc, semble-t-il, ranger les fait
es éléments les plus fréquents de ce délire hallucinatoire sont des idées mystiques, érotiques, de persécution, de viol, de
n stigmate hystérique ni antécé- dent héréditaire ou personnel, des idées de persécution se sont dévelop- pées parallèlem
hystérique atteinte de goitre exophtalmique avec hallucinations et idées de persécution, attribue les hallucinations à l
la maladie de Basedow se l'approprie et s'en sert pour réaliser les idées de persécution. » Le professeur Raymond et Séri
it banal. » Lorsque le tableau se complique, il est évident que les idées de persé- cution, les idées mélancoliques peuve
au se complique, il est évident que les idées de persé- cution, les idées mélancoliques peuvent se développer sous l'influe
llet (G.). Etat mental des dégénérés. Arch. gén. de méd., 1888. Des idées de persécution dans le goitre exophtalmique. Soc.
ale et absurde du membre paralysé, qui fait tout de suite exclure l' idée d'hémiplégie. Cependant la façon de marcher des h
brusque du talon à chaque pas, qui fait naître, on ne peut mieux, l' idée d'une affection du genou. Beaucoup plus compliqué
ns la marche ordinaire une claudication exagérée. M. Babinski eut l' idée d'inviter à l'improviste la malade à marcher à re
IENS GRECS Ces planches, mieux que toute description, donneront une idée de l'in- térêt chirurgical et artistique de l'o
cal et artistique de l'ouvrage sur lequel M. H. Omdnt a eu la bonne idée d'attirer l'attention du public médical, en le fa
upré, en ajoutant : « Je n'ai pas le moindre souvenir ni la moindre idée de tout ce que vous me racontez là. D'ailleurs à
tassement est un caractère très impor- tant qui vient à l'appui des idées défendues par Pierre Marie et Léri sur la patho
niveau de la région cervicale : fait qui vient encore à l'appui des idées de Pierre Marie et de Léri, qui considèrent l'o
car elle se gêne devant les autres per- - sonnes.. Elle n'a aucune idée sexuelle déterminée, ni aucun désir apparent. T
« je voudrais que ce fût un homme qui m'aime et un travailleur ». Idées générales ; altruisme ; sentiments des droits et
e à nos recherches et à nos soins. Elle n'a aucune pudeur et aucune idée sexuelle déterminée ; interrogée sur ce chapitr
faits qui échappent à une détermination habituelle et directe ; les idées de masse, valeur, distance, temps,hauteur,etc.n'e
men. - Parle et cause volontiers avec une certaine lenteur dans les idées . L'intelligence est bien conservée avec un léger
ui-même qu'une reproduction modifiée dans la forme et complétée des idées que j'avais émises dans l'ouvrage « Les phénomè
s l'ouvrage « Les phénomènes du suggestion et d'auto- suggestion », idées qui, elles-mêmes, commençaient à prendre consista
on dans la conception, je voudrais que chacun fût bien pénétré de l' idée qu'il n'y a dans la nature que des phénomènes nat
ent exac- tement ces distinctions, afin d'éviter le développement d' idées faussées par une conception inexacte des réalit
lonté qui se met au service des passions ou qui est l'es- clave des idées , ne mérite pas ce nom. L'exécution d'un simple mo
des équivalents et fournissent des photographies inté- rieures, des idées . En conséquence, les phénomènes naturels les pl
c., etc. (1). L'étude de la physiologie nous a, du reste, donné une idée de la multi. tude des actions réflexes successi
portance par la suite, que l'objet et sa représentation mentale,son idée doivent correspondre à la même confi- guration
- guration physiologique et au même aspect physico-chimique ; que l' idée d'un objet et cet objet déterminent la même con
t la même condition organique, ce qui revient à dire que les termes idée et sensation sont synonymes, énern6- tiquement
s forme de vibra- tions sonores dans le récepteur téléphonique et l' idée que l'on reçoit à l'appareil correspondant ont,
spéciale. Ils sont (1) D' L. LeFi'vRr, Du mode de transmission des idées , 1 broch. (Weissenbruck. éditeur, Bruxelles) ;
de nom- breuses expériences d'hypnotisme. L'attitude fait naître l' idée qui lui est adéquate. Et tout est si bien mécan
iques ont eu pour cause un rêve et rien que cela. L'excitation et l' idée de cette excitation correspondent à un seul et
autres des impulsions directrices. Un autre encore possède dans ses idées , dans sa force morale, des palliatifs ou des re
de l'automatisme réflexe, imitait, reproduisait ou transformait les idées qu'il rumine ou les sensa- tions pathologiques
a conception phy- siologique, j'ai signalé l'équivalence des termes idée et sensation et l'éga- lité de leurs pouvoirs é
idée et sensation et l'éga- lité de leurs pouvoirs énergétiques. L' idée n'est que la sensation interne d'une sensation
ssions restent identiques pour la 392 " L. LEFÈVRE sensation et l' idée de cette sensation et ce sont deux expressions di
urs de ce travail. La suggestion agit donc par action physique. Les idées suggérées ont pour équivalents mécaniques des v
rvées dans la pratique, mais pas signalées dans les livres, entre l' idée fixe qui ronge le malade et parfois le conduit
malade et parfois le conduit au suicide et souvent à la folie et l' idée inoffensive que l'on chasse à volonté ! La conv
traumatique, les tics, le bégaiement, la crampe des écrivains, les idées fixes, toutes les affections sine materia, à l'ex
ses deux .premières crises, Pierre a présenté, comme on l'a vu, des idées dé- lirantes polymorphes, absurdes, mobiles et
. Elles consistaient surtout en préoccupa- tions hypocondriaques et idées de persécution,'accompagnées d'hallucinations v
ait de son vivant le tableau de l'infantilisme myxoedémateux. Les idées de Hertoghe acceptées par Apert, Fausset et Breto
e. Nous savons du reste que, si personne n'admet plus les anciennes idées de Parrot pour qui le rachitisme aurait toujour
a gracilité, la petitesse. M. Brissaud accepte en grande partie les idées de Hertoghe et il dit « Si du fait de l'athreps
nous ne croyons pas pouvoir accepter aujourd'hui intégralement ses idées à ce sujet : nous ne croyons pas que nos cas et
peut, par le simple examen clinique sur le vivant, se faire aucune idée des conditions fonctionnelles du corps thy- roï
iques les plus disparates que,si l'on acceptait intégra- lement ses idées , nous serions obligé de faire rentrer dans le gir
e de l'infantilisme et je crois que si l'on suivait à la lettre les idées de M. Iler- toghe, de Levy et Rothschild, etc.,
dysthyroïdie. Je ne puis que m'associer complètement à ce sujet aux idées si bien exprimées par M. De Sanctis et je crois
our le moment avec toute la rigueur, scientifique nécessaire. Les idées que je viens d'exposer sont du reste acceptées pa
êmement pauvre et une logique typiquement infantile. Incapables d' idées générales, réfracta ires aux idées d'espace, de t
iquement infantile. Incapables d'idées générales, réfracta ires aux idées d'espace, de temps, les psycho-infantiles ne so
nt chez les deux malades est l'égoisine, le défaut complet de toute idée d'altruisme; elles font l'une pour l'autre de p
bien des cas. Nos malades en effet nous ont montré de posséder des idées générales et morales assez claires, larges et b
ion qu'on lui dit de faire. ' Elle n'a sans doute jamais présenté d' idées de grandeur, ni ne délire du moins depuis que n
e la démonstra; tion de l'existence du phénomène en dehors de toute idée de simulation., ¡ Simulation ; c'est bien. Mais
i amenèrent la mort, je crois qu'on trouvera pleinement justifiée mon idée : je crois que chez ma malade une ulcération tr
si général dans le observations de gangrène cutanée, parle contre l' idée d'un caprice simu- lateur de chaque sujet, il p
d'un caprice simu- lateur de chaque sujet, il plaide en faveur de l' idée qu'il s'agisse d'un phénomène qui suit des règl
parce que le sujet qui croit aux paroles de son méde- cin, reçoit l' idée du médecin telle qu'elle est. L'idée est bonne, e
les de son méde- cin, reçoit l'idée du médecin telle qu'elle est. L' idée est bonne, elle est juste, elle a toute l'appar
lle est juste, elle a toute l'apparence et toute la substance d'une idée logique ; mais si l'idée n'était pas telle, ce
te l'apparence et toute la substance d'une idée logique ; mais si l' idée n'était pas telle, ce serait la même chose : le m
« Si après avoir usé de la crédulité d'un sujet pour lui mettre une idée quelconque en tête, on fait ensuite disparaître
ttre une idée quelconque en tête, on fait ensuite disparaître cette idée par le raisonnement, cela ne constitue pas une
ccompagne d'un état mental spécial qui rende la volonté esclave des idées que nous' lui mettons dans la tôle, et que cet
hystérie. On peut, en effet, suggestionner chez un neurasthénique l' idée fausse d'une maladie gastrique, idée qui peut p
onner chez un neurasthénique l'idée fausse d'une maladie gastrique, idée qui peut persister pendant des années; mais che
persister pendant des années; mais chez le sujet hystérique, cette idée se traduit souvent par des vomis- sements incoe
ole neurologique fran- çaise à suivre aujourd'hui complètement, les idées de M. Babinski sous l'influence de ses argument
sous l'influence de ses argumentations serrées et logiques, de ses idées nouvel- les et suggestives, je vois un phénomèn
vers la tendance qui porta la même Ecole à l'exagération énorme des idées émises sur le même argument par ce grand créate
Ba- binski porte la question -sur un terrain juste », critique mes idées sur l'hystérie et soutient que « mes affirmatio
forme géométrique, rectangulaire, ne me semble guère cadrer avec l' idée d'une lésion d'origine interne ; elle me donne
altération artificielle. M. Valobra, il est vrai, sans exclure l' idée de fraude, en ce qui con- cerne les premières e
tion, qui corrobore mes observations per- sonnelles, et non sur des idées théoriques, comme certains semblent le croire,
fermeté, et toujours une grande persévérance pour la défense d'une idée . Quand il avait fait une promesse, il dépensait s
72 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
e qu’il lui a fait pour mériter sa hàine; il le conjure d’oublier ses idées de vengeance, et l’exhorte à la réconciliation. P
reproches tendres sur son absence. Il abandonne enfin cette série d’ idées et se met soudainement à japper. Le 16, il ne se
le point de vue idéologique. Elle montre clairement une association d’ idées pathologiques calquée, pour ainsi dire, sur l’ass
d’idées pathologiques calquée, pour ainsi dire, sur l’association des idées physiologiques. C. DELÉRY, d. m. p. Le même j
médecin écossais, dans les ouvrages duquel nous retrouvons toutes les idées émises plus tard par Mesmer, sous le nom de magné
casionnée par les nerfs, puis que leur trajet est interrompu. Cette idée d’une atmosphère nerveuse avait déjà été émise pa
ie, a cru devoir, après une longue expérience, modifier ses premières idées sur le fluide magnétique, qui lui offrait alors l
nous avons toujours pris le plus grand soin â nous prémunir contre l’ idée préconçue de nos somnambules, qui, dans la plupar
mbulique. Je suis donc Tenu à Paris dans le but de développer cette idée , car à Lohdres le magnétisme animal n’est pas de
rouver, par de3 résultats dont vous-même pouvez être le juge, que mes idées , loin d’être erronées , reposent au contraire sur
lligiblement sur ce qu’ils voient, et qu’ils ne pourraient donner une idée exacte de ce qu’ils sentent, parce qu’il faudrait
porter un trouble passager à leur quiétude, par des inventions ou des idées nouvelles. Les navigateurs ne redoutent rien tant
r l quels que «oient le» chagrin» qui t'attendent , fais pénétre» tes idées aussi avant que tu pourras dans les intelligences
atrain : , ^ . i Tic Si l’avenir vous pérMl beau, Conservez cette idée si chère : ■: ’7 '1 SôfaVerit Wli'iiui Mène au
ans toutes ses improvisations, sa seconde vue semble assez nette, les idées sont justes, elles se produisent avec une certain
ux de la science nouvelle, qui confond notre raison, ren- verso nps idées reçues et transporte l’âme dans de* régions incon
jeté un grand éclat 5 mais ce fut Alexandrie qui devint le centre des idées et le lieu de la fusion de la science de l’Orient
regarde comme apocryphes. Au milieu de ce mélange, de ce conflit d’ idées , les chrétiens, derniers venus, empruntèrent de t
qui ne résultent pas de la communication dé pensée, se moule sur. les idées personnelles, il a dû en ré-sjMer pn jipmeuse ava
car il y avail des milliers de choses qui n’étaient pas adéquates aux idées de la pensêo naturelle, et qui, alors , ne pouvai
ce et de vous faire une proposition, ou plutôt de. vous soumettre mes idées . Ainsi, ne serait-il pas convenable d’ouvrir une
avais besoin d’épaneber mon cauir et de communiquer mes peines et mes idées . Faites de la présente tout ce que vous jugerez c
exclusive, dans l’état, actuel de la science. — Moi, j’ai d’autres idées . — Vous me permettrez, Monsieur, de garder les
présence des médecins les plus distingués. J’accepterai peut-être vos idées quand j'aurai été à votre école. — Bien riposté
ans la jambe tétanisée, et ce fut dans cette expérience qu’il puisa l’ idée de l’autre, dont l’Àca-f démie a été longuement e
public vit sur une affiche : Expériences de seconde vue, sa première idée fut de penser â la seconde vue écossaise qui donn
si profonde du magnétisme; nous voulons seulement constater que cette idée de magnétisme doit être enracinée bien profondéme
de la jëuü£ personne fondait en larmes, le magnétiseur tremblait à l’ idée d’un fatal dénouement ; car jamais paréillë chose
es, dépendent entièrement de notre organisation , et qui repousse les idées innées avec tant d’autres philosophes, M"' M___
tus viennent de l’âme, et que l’homme peut offrir non seulement des idées , mais des sciences innées. Elle ne conteste pas
ont plus effrayantes. Trois individus sont devenus fous par l’effet d’ idées fixes politiques et religieuses. Tout cela fait
e papier immédiatement. — J’ai été si fortement impressionné de cette idée , que je vous l’envoie, car cela doit être convena
. Ce que Swedenborg enseigne à cet égard favorise incontestablement l’ idée d’une mystérieuse transcription mentale. » Croi
es sciences divisées, subdivisées , fractionnées à un tel point que l’ idée d'unité scientifique est entièrement détruite; qu
ents surviendront sur le globe lorsque la doctrine dont ils donnent l’ idée aura trouvé sa formule. M. Du Potet, avant de p
le monde en était ému. II demanda à lire un poëme incorrect, dont l’ idée cl les expressions lui étaient venues dans une so
ous pouvons dominer l’organisme de nos semblables, diriger même leurs idées , annihiler pour eux le temps et l’espace, profito
ense du mesmérisme cl de son mploi. « Je vous ai écrit ces quelques idées , non pas pour vous donner toute ma pensée, niais
vois ainsi que la voiture et le cheval. Il est facile de se faire une idée de la position de ce malheureux père, quand il ap
brûlé sans éprouver la moindre douleur; son âme, trop absorbée par l’ idée dominante de sa guérison, n’exerçait plus son a
nétiseur qui fait naître à son gré ce curieux état du cerveau, où les idées , vraies ou fausses, sont reflétées, et agitent l’
Avant de pousser encore plus loin mes expériences , il me vint à l’ idée de faire placer devant la lucide, à quelques pouc
la raison qu’on cherche à éviter ce qui pourrait reconduire vers les idées mystiques et superstitieuses qui ont désolé l’Eur
différer son initiation à la science du magnétisme. 11 faut que les idées mûrissent, que des hommes sérieux, capables et pu
fiés par beaucoup d’aulrcs; il me suffit de renvoyer, pour donner une idée de cette comédie, au n° 114- du Journal du Magnéi
intes du même sentiment. La petite portion du monde qui partage nos idées , et vit de nos aspirations, ne pouvait rester ind
e ne souffre pas de dissidence ; et, comme M. Ordinaire froissait les idées reçues sur ces matières , d’aveugles adversaires
de vue médical, tantôt sous le rapport philosophique, il donnait ses idées ; mais toujours appuyées sur des faits; e» ces fai
élite, ce pen seur perspicace eût pu donner une forme, un corps à ses idées ; relier ses profondes réflexions, créer enfin un
parce qu’elle est dégagée de vues systématiques. Dans scs écrits, les idées les plus rationnelles guident les recherches les
porter le magnétisme; et, lorsque vous rencontrez une indépendance d’ idées accompagnant la profession de médecin ne devez-vo
magnétisme, malgré les clameurs de ses confrères. Résumant enfin ses idées , nées de l’histoire, de l’analogie et des faits,
e cure proclamée par la presse a semé partout l’univers le gernie des idées mesmé-riennes. Les magnétistes nantais ont sign
ropriétés thérapeutiques de l’agent magnétique, la propagation de nos idées lui étant ostensiblement interdite. Ces travaux
sont pas devenus d’ardents prosélytes; c'est que des intérêts ou des idées empêchaient déjà la libre manifestation de leur c
de la publicité redisent chaque matin le nom, l’un des inculpés eut l’ idée de faire participer tout le monde magnétique à ce
elle avait au pied, et que, se trouvant là, elle avait eu la fâcheuse idée île lui demander si je lui faisais des traits, ou
ous dire que dans l’intervalle, et poussé par la colère, j’avais eu l' idée de déposer une plainte chez M. le procureur de la
e procureur de la République; mais je n’avais pas donné suite à celle idée . Ma femme, voyant cela, s’imagina que si je recul
, et pour lequel elle venail consulter 1? sibylle. Moi, qui avais mon idée , j’eus le soin de me faire passer près de cette f
abinet de la sibylle; moi, pour lui inspirer de la confiauce, j’eus l' idée de lui dire que je connaissais beaucoup une somna
des hélas! (le témoin pousse des soupirs) comme ça. Puis, suivant mon idée , remarquant peut-être que ces cheveux ressemblaie
e, une jeune personne vient savoir ce que nous voulons. Moi, dans mon idée , je croyais avoir affaire à des lo-rettes, je dis
n point de doctrine aussi sérieux pour le magnétisme, peut donner une idée du temps qu'il faudra pour que celte scienee soit
quelques raisonnements qui ont aussi leur logique de démonstration. L’ idée , du reste, en revient encore au professeur dont j
ecter avec raison que, très-souvent, leurs paroles sont le reflet des idées du magnétiseur. Les expériences que l’on a faites
d’un somnambule, lorsqu’on le provoque. Toute expérience implique une idée fixe chez le magnétiseur, et tout le monde sait q
dans la lutte du vieux monde intellectuel contre le monde nouveau des idées . « L’assemblée a décidé que l’appel serait cont
spoir, qui fait sa force encore, et qui le soutient contre l’affreuse idée de la mort !... La foi n’est-elle pas toute-puiss
humanitaire. Leur adhésion centuplera nos forces par la convergence d’ idées , d’opinions, d’influences, de ressources de toute
ceux qui doutent du magnétisme ; il est la justification complète des idées que nous avons émises il y a longtemps, lorsque n
pensées. Quelquefois même, avant la perpétration du crime, il sent l’ idée , et son âme, avertie, peut produire le réveil.
on , ce principe de coordination qui, combinant nos sensalions et nos idées suivant des lois régulières, imprime au travail d
ie ordinaire, le somnambule n’aura aucun souvenir de lui-même, aucune idée de ce qu’il a senti, pensé, fait ou dit dans l’au
ne dire à qui que ce soit ce que vous avez fait; pour éloigner toute idée de supercherie, tout soupçon de compérage ; quell
sorte de communion intellectuelle et morale, par laquelle toutes vos idées , toutes vos affections, retentissent pour ainsi d
ais ils vous révèlent bien souvent des choses dont vous n’avez aucune idée . L’expérience citée plus haut d’une phrase écrite
non certes en donner une explication, mais peut-être s’en faire une idée , en concevoir au moins la possibilité par une ana
que des formes diverses d’un principe unique. Quand on n’avait aucune idée de ce principe, quand on n’avait pu soumettre, pa
musique, etc., et de tout cela il ne lui reste aucun souvenir, aucune idée , pas l’ombre d’un soupçon; vous lui causez, à lui
été et ce qu’il sera bientôt; et qui, dans la vie normale, n’a aucune idée de ce qu’il vient d’être dans l’autre mode d’exis
jamais de rien en rentrant dans la vie normale; ils n’ont pas plus d’ idée de ce qu’ils ont fait, dit, entendu, que nous n’e
urmonter. Sans doute, M. B*** n’apprend rien aux magéti-scurs ; ses idées sont l’expression de faiIs connus de chacun d’eux
e chacun d’eux et qu’ils interprètent de même; mais dans le monde ces idées el ces faits n’avaient pas encore pénétré; un bru
ur le développement des phénomènes magnétiques ou somnambuliques, vos idées sont bien près de se confondre avec les miennes,
Votre tout dévoué, D' Alfred PERRIER. Je reprends l’exposé de mes idées , au point où mon honorable confrère a soulevé la
73 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
sion de la colonne de mercure est telle qu'elle impose à l'esprit l' idée d'augmentation de la thermogénèse ; et la vascu
à l'intégrité des extrémités ailiculaires, ne s'accorde guère avec l' idée d'un trouble trophique d'origine nerveuse ; ell
le cas de Ferrio l'hypoglosse était touché de façon que, selon les idées de Dejerine, il faudrait pencher plutôt pour le d
ences fonctionnelles. Mais ce mot d'impotence évoque, en général, l' idée de paralysie ou d'atrophie musculaire; or, cell
névropathes, tous présentent soit de la timidité, des phobies, des idées fixes, soit des crises de colère, de larmes ; tou
; tous se frappent de leur affection, et, sous l'influence de cette idée fixe, augmentent bien vite leur névrose. Souvent
et appuyées par des exemples probants, laquelle choisir, et quelle idée impartiale peut-on se faire de la pathogénie de c
extrême, soit encore tendance à la neu- rasthénie, disposition aux idées fixes obsédantes, etc. Mais dans certains cas l
ces trois névroses. Rudler (122) a observé, dans le même ordre d' idées , un jeune soldat atteint d'un tic tonique du me
s l'é- gard-de la possession démoniaque. « En ce qui concerne les idées de possession, l'hystérie n'est pas seule à inc
mêmes, qui, de bonne foi, se sont laissés entraîner à répandre des idées , recon- nues par la suite erronées ou abusives,
et qui continuent à exprimer par le cra- yon ou par le pinceau les idées qui les hantent. Avant que leur psychose 106 HE
de figurations, l'évolution d'une psychose. Dans le même ordre d' idées , rentrent les oeuvres d'art anciennes, qui, par
ce, les hémorragies sont plus considérables mais neus donnerons une idée de leur faible volume en disant que les plus im-
n. Son âge et le manque de signes caractéristiques excluent aussi l' idée d'un athérome. L'hystérie, de même, est exclue
nombreuses larmes. La crise peut être provoquée par le rappel d'une idée triste, par une émo- tion, un reproche. Mais da
devient morose parce qu'il redoute de ne jamais guérir. Mais cette idée , même tenace et intense, est généralement impuiss
tion se compli- quent d'un retard notable dans la transmission de l' idée au mot qui doit la représenter. B... demeure pa
ndroplases sont cliniquement l'opposé les uns des autres. Ces mêmes idées ont été acceptées aussi par MM. Parhon et Marbé.
nt ou rivole. Aussi, dans la situation actuelle de l'avancement des idées , un pen- seur ne petit-il guère parvenir à la p
tte pour l'existence. Hé- las nous n'en sommes pas là encore et les idées meurent en même temps que les hommes qui les dé
r les faits intellectuels eux-mêmes, sans avoir au préalable aucune idée directrice et en supposant même que l'observation
ne saurait ni établir d'expérience, ni faire des recherches. Mon idée de reconstituer le mécanisme cérébral par le rais
fondements des religions, le penseur devrait pouvoir rejeter toutes idées préconçues et être suffisamment dépourvu de pré-
1 On peut, d'une façon expérimentale ou thérapeutique, modifier les idées par suggestion, c'est-à-dire par l'excitation m
r l'excitation mécanique des vibrations sonores repré- sentatives d' idées . En résumé, la fonction intellectuelle se disti
acune des variations de cet objet. Un mot entendu, c'est-à-dire une idée n'est qu'une certaine somme de vibrations sonores
onores et ne diffèrent des autres mots et par conséquent des autres idées que par le nombre, l'amplitude et la somme des
surgissaient dans sa sphère et défi- laient devant elle. Parmi les idées qui se présentent, il y en a de mauvaises ou d'
cience que vous devez de pou- voir apprécier la valeur relative des idées ? Oui, je perçois grâce à elle, mais elle ne fa
de l'inhibition elle-même doit probablement être cherchée dans les idées du malade qui, au moment où il veut signer, a f
. A certains moments, je suis pour ainsi dire obsédé par toutes ces idées à ce point que je me trouve incapable de m'intére
e produise d'énergi- qués diversions pour neutraliser une poussée d' idées qui, elle-même, a déjà annihilé la puissance de
ncapacité, on la veut, xxu 12 174 LEFÈVRE rien qu'en laissant l' idée de doute prendre une place prépondérante dans l'e
FÈVRE ceux-ci reliés entre eux de façon à figurer l'association des idées . L'examen de cette simple figure permet déjà de
ce fait curieux et inattendu et que je signale en passant que toute idée , celle d'orange par exemple, est représentée da
uelle, gustative, tactile et dont chacune constitue une fraction de l' idée complète, fraction qui suffit cependant à en pr
onsciente, elle au- rait constitué une « pensée » inconsciente, uue idée virtuelle. Inversement, tout équilibre physiolo
etc.) ou l'émo- tion correspondants. On comprend main'enant que les idées se réfléchissent sur la physionomie et, récipro
fectionnement plus élevé, il reflète en outre ou principalement ses idées , c'est-à-dire une organisation intérieure de forc
r action réflexe. C'est une loi psychologique bien connue que les idées tendent à se faire acte c'est-à-dire à se trans
ns les résolutions, l'instabilité d'humeur, la versatilité dans les idées ont également une origine purement réflexe. Autre
la pression des ESSAI SUR LA PHYSOLOGIE DE L'ESPRIT 183 anciennes idées , un centre inconscient dont la fonction était de
équivalents mécaniques du monde extérieur. Malheureu- sement, cette idée ne m'est venue que plus tard et par fragments.
icable d'arc réflexes naissants, les excitations extérieures ou les idées c'est-à-dire leur équivalent organisé dans le c
ctions biologiques conditionnées par des équivalents mécaniques des idées ou des sensations. Ajoutons encore qu'il semble
moins grande à effectuer des travaux divers, mais il n'aurait pas d' idée , n'ayant pas de mot sa disposition et d'ail- le
J'ai consacré une brochure intitulée : Du mode de transmission des idées (1), à démontrer notamment la formation de la m
'intermédiaire des organes des sens, les événements extérieurs, les idées répandues, les usages, les coutumes, les rites
valents physiologiques vivants et agissants du monde extérieur. Ces idées qui existent à l'état latent dans le cerveau (mém
qu'aux choses que l'on connaît et jamais à celles qu'on ignore. Les idées originales dérivent toujours de la juxtaposition,
tuent des équivalents mécaniques des choses et qu'il semble que les idées ne soient que des équivalents organi- ques de c
un acte primitivement commandé par une cause extérieure, ou par une idée , et coordonné vers un but; mais par la répétiti
lui faire perdre ses moyens d'existence ; sous l'influence de cette idée fixe les désordres fonctionnels augmentent enco
Meige) la crampe disparaît lorsque le sujet est très préoccupé de l' idée qu'il va écrire, car alors il ne pense plus à l
r ses fonctions,M. Pet..., vit rapidement sous l'influence de cette idée obsédante augmenter les désor- dres de son écri
ont sains. Au point de vue mental, nI. Pet... est intelligent ; les idées sont vives et bien enchaînées ; mais il semble
il écrit dans des journaux contre son administration, ayant de vagues idées de persécution. Ses nuits sont agitées depuis l
ous la dictée. Depuis ce moment, il a toujours été obsédé par cette idée qu'il perdrait sa profession parce qu'il ne pourr
t reçut une instruction supérieure; elle a toujours ma- nifesté des idées religieuses exagérées. Réglée pour la première fo
ne église voisine de son habitation l'énervait ; elle manifesta des idées mélancoliques et des idées de suicide. A plusie
bitation l'énervait ; elle manifesta des idées mélancoliques et des idées de suicide. A plusieurs reprises, elle se frapp
M... resta internée sept mois; elle présenta durant cette période des idées de persécution ; elle accusait l'infirmière qui
u retourner dans son ancienne demeure. Elle manifesta bien- tôt des idées mélancoliques et des hallucinations de l'ouïe, de
it amers comme de la quinine. Elle manifesta à plusieurs reprises l' idée de se tuer et fit même plusieurs tentatives de su
ux mauvais traitements qu'elle subit. M... manifeste en outre des idées mélancoliques et des idées hypochondria- ques.
'elle subit. M... manifeste en outre des idées mélancoliques et des idées hypochondria- ques. Elle a le dégoût de la vie
vont tomber malades parce qu'elles se sont tuées à la soigner. Les idées délirantes hypocbondriaques sont secondaires aux
soigner. Les idées délirantes hypocbondriaques sont secondaires aux idées de persécution manifestées antérieurement; M...
t quelques mouve- ments. 2 janvier 1905. - M... dort mieux; mêmes idées hypochondriaques et mélancoliques ; hallucinati
mps qu'on l'appelle misérable, salope, etc. Elle conserve les mêmes idées bypochondriaques ; elle dit qu'elle a la colonn
icide ; on lui dit qu'elle est damnée, qu'elle est un démon ; mêmes idées hypochondriaqnes ; M... se plaint surtout des p
tent rien de particulier; il s'agit de dépression mélancolique avec idées de persécution et hallucinations de l'ouïe ; l'
uisée et l'hydrothé- rapie ne réussit pas davantage. Vaschide eut l' idée d'employer l'hypnotisme : le sujet était sugges
est donc à la fois une éducation de l'esprit et du mouvement, de l' idée et de l'acte. Elle tend à supprimer les habitudes
l'oeuvre de guérison. Le malade lui-même doit être pénétré de cette idée que, pour bénéficier du traitement, sa coopératio
s obsessions et les psychasthénies. Paris* 1903 (ruez = Névroses et idées fixes. Alcan, Paris, 1898. 1 114. REMAK. - Real
ont occupés de la question. Cette constatation plaide en faveur des idées de SAENGER et de tous ceux qui rattachent les v
égénérescence deviennent évidents. La fig. I donnera au lecteur une idée de l'aspect des préparations traitées par cette
mbre de neuro- fibrilles très argentophiles. Dans le même ordre d' idée , Marinesco (9) a montré que des excitants mécan
pinion : -. « Ce terme névrite périphérique ne doit pas impliquer l' idée que les lésions des nerfs sont primitives, qu'e
. LA GENÈSE DES LÉSIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ne cadre guère avec l' idée d'une origine vasculaire. Dans les foyers né- c
longtemps que Pierre Marie (61) et Slrumpell (99) ont exprimé celle idée que la poliencéphalile peut être une autre loca
grand nombre de cas, allait fort loin. Il faut reconnaître que nos idées sur cette maladie avaient déjà commencé à se modi
plus de 125.000 habitants environ, il semble qu'on doive accepter l' idée d'une petite épidémie. Ajoutons que, pendant la
ations, aussi courtes que possible sur la paralysie pour donner une idée générale de son extension. Cette restriction ne c
que c'est ainsi que nous pouvons le plus facilement nous faire une idée sur l'intensité de l'affection de la moelle. Comm
voies de cette sensibilité, étaient alors intacts. En acceptant l' idée d'une myélomalacie primaire, il reste à traiter d
ins complète. Mais il nous semble incertain qu'on puisse accepter l' idée d'une lésion transversale par une myélomalacie
était la même. De toute façon il n'y a rien qui parle contre cette idée qu'il s'agit, dans notre cas avec douleurs pers
ndant la phase aiguë ou pendant la con- valescence. Pour donner une idée des résultats obtenus par les auteurs antérieur
portent pas sur un grand nombre de cas, elles donnent néanmoins une idée plus'précise qu'on ne l'avait jusqu'ici sur le de
os observations pour voir si elles sont ou non en accord avec cette idée de Wickman. Le résultat, c'est que sur 12 cas (XV
aux. Ce résultat ne semble pas parler très nettement en faveur de l' idée de Wickman. Cependant il faut remarquer que les d
provenant d'une paralysie des muscles ab- dominaux, pour donner une idée des formes différentes sous lesquelles ces trou
'intensité de la réac- tion interstitielle nous indiquent que toute idée d'une inflammation du muscle doit être éliminée
et accessoires de l'acromégalie. Le cas d'Otto vient à l'appui des idées de Brissaud. Notre homme a bien quelque chose d
ans son état de dépression morale, on ne lit pas la constance d'une idée fixe délirante; il n'a pas la rigidité du maintie
lirante; il n'a pas la rigidité du maintien, ni l'attachement à ses idées anormales qui sont propres de la paranoia ; il n'
ont emporté avec eux, du milieu où ils vivaient, les théories et les idées : chemin faisant, ils n'arrivaient il s'en défa
us est une maladie : on sait quels progrès étaient réservés à cette idée . Le naevus est en réalité une maladie congénita
mot de « ligne de Voici ), renferme au contraire implicitement une idée de dis- tribution nerveuse, la ligne de Voigl é
yons qu'il y a là un argument très favorable, fût-il incomplet, à l' idée d'une altération nerveuse en rapport avec le naev
l'étiologie de la forme deBechterew. Quelques auteurs ont exprimé l' idée qu'il faut attribuer cette maladie à l'action c
me- ront cette manière de voir. Quelques auteurs ont déjà exprimé l' idée que ces deux formes ne sont que des variétés d'
raites du travail de Pansini, sont suffisantes pour nous donner une idée assez précise de la façon dont peut se présenter
ble aux vibrations du diapason. Je rappelle à ce propos, quelques idées de M. Egger (1) qu'il a expri- mées dans une pu
imitées à droite, est tellement irrégulière qu'elle nous éloigne de l' idée d'une influence nerveuse centrale; d'autre part
iments affectifs. Il n'est pas négativiste. B... ne paraît avoir ni idées délirantes ni troubles sensoriels. CLINIQUE MÉD
par Duchenne. Nous avons donné ci-dessus des raisons qui appuient l' idée émise par Wickman, qu'on aura probablement ^tou
rateurs auxiliaires du cou). Est-ce que l'expérience confirme cette idée ? Si je considère nos cas observés à la phase a
mé, nos observations rapportées ici ne semblent pas parler contre l' idée qu'il y aura toujours des troubles de la respirat
acique était conservée n'est point du tout en opposition avec notre idée sur le caractère delà lésion anatomique dans la
t survenir. » , Grâce à l'expérience des dernières épidémies, notre idée sur le pronostic de la poliomyélite s'est beauc
ou par désoeuvrement, les autres se font tatouer pour exprimer les idées dominantes, souvent les idées fixes qui les hante
res se font tatouer pour exprimer les idées dominantes, souvent les idées fixes qui les hantent. Les adeptes du tatouage
eurs. Phototype Bcrlliaiiil. LES TATOUÉS LEUR PSYCHOLOGIE 589 L' idée que je me propose aujourd'hui de développer, c'es
e de femme, et, en dehors d'elle, la figure d'un clown - toujours l' idée de s'exhiber en public. Encore une tête de femm
sous le mamelon gauche. Ce symbole exprime dans l'esprit de L... l' idée des souf- frances qu'il endure à l'atelier de t
ques récents. D... était un pédéraste passif et, pour « donner des idées » à ses « clients », il avait jugé utile d'orne
Observation XI. - (Tatouage n° fi.) V... professe publiquement des idées anarchistes. Il porte sur la partie médiane du
Aigle ! Ce tatouage est fréquent chez les Corses restés fidèles à l' idée napoléonienne. Sur le pectoral droit, un matelot
culièrement les sujets militaires. D... aflichait à tout propos des idées militaristes et il était piquant de l'entendre mo
à peu près complètement effacé. La figure 1 donnera au lecteur une idée de l'aspect et du volume de la tumeur. Fig. 1.
ce fait déjà mis en relief par la clinique, vient à consolider les idées de Strumpell sur l'entité des amyotrophies spin
ement, Strumpell ne mentionne pas d'autre raison en faveur de cette idée que le fait qu'elles se déclarent toutes les de
ômes initiaux des deux maladies est une raison assez forte contre l' idée qu'il s'agirait de maladies d'une nature identi
'est surtout mon compatriote, Medin, qui a attiré l'attention sur l' idée qu'il a soutenue de l'identité de la poliomyélite
rches anatomiques sur la poliomyélite ne parlent pas en faveur de l' idée que, dans les épidémies, quelques cas se rapporte
n entre la poliomyélite et la polynévrite, en insis- tant sur cette idée que les deux maladies seraient dues à une infecti
élite aiguë est une maladie infectieuse. En général, on a accepté l' idée que l'infection viendrait à la moelle par la vo
méninges. C'est surtout Harbitz et Scheel qui ont insisté sur cetle idée . Pour ma part, il me semble bien évident, qu'une
ntes questions d'origine, des défenseurs de parti-pris des vieilles idées dont les peuples ont subi le joug jusqu'au moment
sque toutes les pensées neuves sont le résultat d'une association d' idées préexistantes. Il est donc certain que l'on doi
DE, AUTOMATISME ET RÉFLEXE 695 trument. Ceux-là qui ont produit des idées originales savent bien qu'elles ne leur sont ve
ubissant le joug de circonstances qui lui imposent la nature de ses idées comme elles le font maigrir ou mourir. Il faut vo
même que la texture des fleurs varie avec les milieux, de même les idées de l'homme doivent se modifier comme les circon
broch, Severeyus, imprimeur,f3roxelles; Le mode de transmission des idées . 1 broch., Weissenbruch, imprimeur, Bruxelles.
ntaires ou irréfléchis, soit que l'on examine le fonctionnement des idées ou celui des organes, il me paraît ressortir de c
r supposer une intervention plus ou moins importante de l'élément « idée » dans l'accomplissement des actes instructifs.
milieu dont elle subit l'action. Non seu- lement ce ne sont pas les idées qui provoquent les premiers actes qui re- lèven
ue leur réalisation fait naître, deviennent la source des premières idées . En d'au- tres termes, c'est parce que les prem
organes des sens que l'homme en a pris connaissance. La pre- mière idée qu'il en a eue est postérieure et non antérieure
ne peut guère en étudier les réactions et se faire ainsi une bonne idée du chimisme humain qu'en analysant isolément un
es à tous les individus d'une même espèce. Ceci nous donne déjà une idée de la difficulté que nous éprouverons à donner
i, par le fait de son développement intellectuel il n'acquérait des idées qui peuvent, jusqu'à un certain point et au prix
as possible que l'instinct prenne originellement sa source dans les idées , puisque les nouveau-nés en sont dépourvus ; co
'organe comme organe enregistreur des sensa- tions, comme siège des idées ; qu'elle constitue une sorte de registre sur le
lequel viennent s'inscrire toutes les sensations, seule source des idées , L'équilibre organique déterminé par l'inanitio
les autres font et qu'ainsi il perçoit des sensations dont le terme idée est un équivalent psychologique. Sous le rappor
le nou- veau-né, les phénomènes réflexes peuvent donner lieu à des idées cons- cientes. Dans le cas contraire, l'idée re
ent donner lieu à des idées cons- cientes. Dans le cas contraire, l' idée reste virtuelle c'est-à-dire que les choses se
rice automatiquement, mais les choses se passent comme s'il avait l' idée de le prendre. Le contact du doigt, de la tétin
parences. Je disais donc que non seulement l'enfant ne peut avoir l' idée cons- ciente d'aller à selle, de manger, puisqu
bien dans le règne animal que dans le règne végétal 'et l'élément « idée » qui s'ajoute au moins chez l'homme après la n
74 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
rt organique ptam énergique, étaient plus graves. Telles sont les idées théoriques qui ont conduit Hahneniann à son systè
des prescriptions à petites doses. Certes, les objections contre l’ idée théorique du docteur allemand, et surtout contre
rapidement sous un ciel serein, et qui pour un instant obscurcit les idées . Mais parfois pourtant ce pli du cœur a fait coul
y prendre, non l’objet qui y est déposé en image, il y reste, mais l’ idée réelle de la chose enfouie, sans eflacer jamais c
cherchaient du sucre jusque dans de vieux chiffons, mais étaient sans idée sur l'avenir de cesinven-tions ; ils déclaraient,
aisantant les gestes qui provoquent le sommeil, et riait beaucoup à l’ idée de priver complètement quelqu’un de ses sens par
ied frappant le bois de la table, et les spectateurs n’ont pas môme l’ idée de s’enquérir s’ils n’ont pas affaire à quelque B
obstacles, il a subi le sort de toutes les vérités qui renversent les idées reçues. En effet, que voyons-nous : Har-vey lutta
tre ceux qui se trouvaient sur son passage et se livrait à un ordre d' idées et de travaux tout différent. Dans l’accès de s
t fait dans la vie ordinaire ; mais elle se rappelait le souvenir des idées et des ouvrages dont elle s'était occupée dans Ca
s armées françaises, etc., etc., firent une diversion puissante à ses idées habituelles. Bientôt le somnambulisme dispanit en
hé à résoudre le problème en dehors de ces phénomènes. D’ailleurs ses idées sur cette matière ne nous paraissent pas bien fix
peut faire naître ou cesser à son gré. » Après l’émission de telles idées , que nous n’avons pas be- soin de combattre i
les anciens savaient très-bien ; car ilsn’ont pas exprimé d'autre idée , en plaçant des ailes aux pieds de Mercure, le me
s aux séraphins, ou en les plaçant sur des roues qui répètent la même idée de vélocité. Mais ce n'est pas seulement après la
s d’impi ession, dit-il ensuite (t. II, p. A75) dont se composent les idées et les penchants, il n’y a dans le sommeil que ce
nges, et qu’il peut être porté, par une suite de raisonnements, à des idées qu’il n’avaitpas. C’est là, dit-il fort judicieus
ns le cerveau, circonstance qui, diminuant pour elle l’influence de l’ idée de temps, lui figure l’avenir pour la forme du pr
l’inspiration de la divinité. Le moyen âge tout entier a partagé ces idées , et, en4676,/’ Académie des beaux-arts nous dit e
cependant d’un autre côté l’énorme exagération qu’ont donnée à cette idée du diable la crédulité des uns et le fanatisme de
ait appropriée aux temps grossiers pour lesquels elle a été émise ; l’ idée pouvait donc être assez philosophique, et surtout
par lui dans son Sanctuaire du spiritualisme, donnent assez bien une idée . C’est ici qu’il faut une certaine sagacité pou
nt le charlatanisme aime à s’entourer, ont seuls pu donner lieu à ces idées fausses. Pour qui sait lire les vies des saints e
La dénomination de somnambulisme ne me semble pas donner, dit-il, une idée assez claire, ni assez distincte de cet état sing
rait-il être visible pour tout le inonde dans l’état de veille? Cette idée , étant conçue par moi, me conduisit en étudier le
bien simple, c’est que ■cela serait impossible. On a, en France, des idées complètement fausses sur la constitution intérieu
ique juste et loyale, de quelque part qu'elle vienne, car du choc des idées seul peut sortir la lumière, et l’établissement d
culté et l’interdiction d’exercer la médecine : grâce aux progrès des idées libérales, un médecin peut, sans encourir les fou
cesse des explications une fois données, et résument tout un groupe d’ idées en deux ou trois mots. u Mais laissons ces menu
ertains railleurs toujours prêts à traiter de fous tous ceux dont les idées s’écartent d’une certaine orthodoxie. Les mémoi
endre, et les Mémoires ne devront être nue des amplifications sur des idées connues d’avance. h° Mémoire n° h. «Suivantl’au
ps savants qui, en frappant d’anathème un certain ordre de faits et d’ idées , détournent de les .étudier, tendent à renfermer
es divinités helléniques. Toute une hiérarchie d'êtres divins, dont l’ idée avait été puisée chez Pythagore et Platon, était
nce, il y a mentumbulunce ou mentambulation, néologisme qui exprime l’ idée du déplacement de l’àme. « Cette observation de
se essence, pleine de germes, dont Thomassin parle ainsi : « Germes d’ idées mêlés à notre essence, à la propre substance de l
nt sont, la plupart, dans ce préjugé cartésien que ce qui n’est pas l’ idée claire n’est rien. Ils oublient ce qu’a dit Sénèq
e s’aperçoit pas. » — Ils ignorent ce que dit Bossuet, ; qu entre nos idées claires et distinctes, il y en a de confuses et d
tout en les niant. » — Ils n’admettent pas ce mot de Joubert : « Les idées claires servent à parler ; mais c’est toujours pa
Les idées claires servent à parler ; mais c’est toujours par quelques idées confuses que nous agissons. Ce sont elles qui mèn
notre vie telle qu’elle est dans l’idéal qui est en Dieu. L’éternelle idée que Dieu même a de nous, et qui est Dieu, s’impri
tat seul, plus ou moins senti, est la source des grandes pensées, des idées ayant source et vie dans notre âme, et des vigour
lairé par une lumière supérieure, aperçoit des vérités et conçoit des idées qui surpassent sa raison comme scs sens. Le g
ou les alliances hérétiques de M. Jean Reynaud, c'est la confusion d’ idées dont le progrès du spiritualisme est le signe ; c
’une faculté supérieure, inconcevable, dont je n’avais pas la moindre idée et à laquelle j’aurais refusé de croire si les fa
suivies,,ude manière à s’éclairer sur la valeur du remède. On a eu l’ idée d'agir ainsi : M. Vriès a été admis à traiter
été faite relativement au néologisme employé par moi pour exprimer l’ idée du déplacement de l’âme, ou de la faculté en vert
antes, marchantes ou parlantes)-, au lieu que menlambulancc rendait l’ idée du voyage de l’âme ou de l’esprit considéré alors
ux vaut lui donner, autant que possible, la forme qui rend le mieux l’ idée qu’il représente. « Or, mon contradicteur trouv
nté par les Mesmer, les Deleuze et les Puységur. Nous croyons que les idées générales auront encore besoin longtemps de s’app
la vérité pour y demeurer attaché d’une manière inébranlable. Sans idées bien arrêtées sur les faits magnétiques, nous ven
’il est bien plusdifficile de prévenir, estd’éviter que l’Esprit, les idées de l’évocateur ne jouent un rôle dans les réponse
nous soutenons qu’il y a souvent, presque toujours , reflet partiel d’ idées actuelles ou anciennes (1). L'évoqué n’est plus p
corps, en leur donnant des inspirations, ou en leur communiquant des idées . n Voilà donc l’univers peuplé d’une infinité d
Du 23 Mai 1859. (Suite.) Rien n’est propre à donner une grande idée du magnétisme comme ces assemblées annuelles où c
, et faisant trêve aux chagrins que nous éprouvons de ne pas voir nos idées partagées, nous publions quelques-unes des pièces
grand, rien de stable, rien de durable. Chacun, pressé de jouir de l’ idée nouvelle enfantée dans son cerveau, élève à la hâ
e universel. « Que chacun donc de nous renonce pour un moment à se? idées personnelles, et que nos efforts communs ne ten-
esprit, entre le destin et la volonté. « Eli bien, messieurs, cette idée si grande et si belle, qui doit embrasser dans so
rrons nos phalanges et comptons nos forces. Un homme ayant foi en une idée peut lutter sans désavantage seul contre mille. Q
le des faits que d’une manière incomplète et en donne une très-fausse idée . A l’entendre, on serait tenté de croire qu’il ex
éponse à une intervention miraculeuse de la divinité, et c’était là l’ idée fondamentale sur laquelle était basée l’instituti
omnambulisme, on l’antorise à venir en aide à la médecine pratique. L’ idée nous parait excellente ; mais à qui appartiendra
s les plus obstinés. Elles pourraient provisoirement s’emparer de l’ idée de madame Mongruel et s’ériger en académie ou jur
somnambules, on discréditerait (l) Je me propose de développer ces idées sur les attributions d’une académie magnétique da
uelques-uns des procédés propres à produire des coups, et par suite d’ idées préconçues, ils attribuent à des Esprits ce qui,
e livraison. Gand, chez Gyseljnck , éditeur. progrès que font les idées magnétiques qui, d'uii pas lent mais sûr, tracent
le prenait une leçon de piano. Cette expérience bouleversa toutes mes idées .. (i J’ennuierais peut-être mes lecteurs, si
est surtout celle d’un miroir réflecteur, d’un point d'assemblage des idées qui sont communément autour et en dehors de nous,
nous, mais toujours dans notre sphère fluidique, sorte de réservoir d’ idées , magasin de tableaux de décors, de verres d’optiq
ou à peu près d'ailleurs la doctrine de saint Thomas d’A-quin sur les idées images? Ces travaux se reproduisent d’eux-mêmes
nous devons penser. La volonté agit bien sur nos actes, assemble les idées , les combine et en tire des conclusions ; mais la
pent trop des divergences qui les séparent, au lieu de considérer les idées communes par lesquelles ils devraient s’unir. Cet
ions dont il venait de se servir, et encore moins formuler la moindre idée sur cette matière. Aussi on peut se figurer 1 imp
ains. Tout le inonde sait quel parti poétique Virgile a tiré de celle idée en peignant le trouble supposé que la nature ress
indications de cet état maladif de l’esprit public. La tristesse des idées religieuses et la dureté de la situation, au mili
enfin ce qui est permis, ce qui est défendu ; on ne peut se faire à l' idée de trouver un coupable chez celui qui n’a fait qu
comme imaginaire et en punit l’exercice comme propre à entretenir des idées erronées. Des faits nombreux et bien établis ont
ou deux rangées de points, de sorte que l'on ne pouvait se faire une idée de l’exécution, ni juger du degré d’avancement de
y a de bien et surtout de glorieux. Les parotep m peuvent donner une idée juste de celte vision ; le mot ivresse donne seul
. Cet extrait, quoique considérable, ne peut d'ailleurs donner qu’une idée très-imparfaite de cet ouvrage si remarquable.
ce qui se fait pour l’électricité : bien qu’on puisse s’en faire une idée par la lecture des nombreux ouvrages qui traitent
dans un ordre de choses tout nouveau , on est obligé de modifier ses idées sur les limites du possible, d’é-tudier ce« facul
e, ces sentiments doivent avoir leur objet de correspondance. Aussi l’ idée de Dieu et du monde surhumain n'est pas illusoire
joui- à une de mes sœurs : « Mais pour Dieu, occupe donc ton esprit d’ idées plus agréables !» Nous ueparlions pas, et nous ét
nce du 28 juin, démontre bien, surtout par sa petite préface, que les idées magnétiques sont maintenant acceptées par tout le
Sur ces entrefaites , comme j’étais chargé du soin de ce malade, l’ idée me vint d’employer le magnétisme. Je ne le lis ça
dois dire, avant tout cependant, que le moine en question n’a aucune idée du magnétisme, mais il veut et cela lui suffit.
e les bêtes reçoivent et retiennent ensemble plu-seurs combinaisons d’ idées simples, elles ne peuvent jamais assembler ces id
s combinaisons d’idées simples, elles ne peuvent jamais assembler ces idées pour en faire des idées complexes; mais ceux qui
imples, elles ne peuvent jamais assembler ces idées pour en faire des idées complexes; mais ceux qui avancent cette propositi
bservés, mais qui répugnent à leurs connaissances acquises ou à leurs idées préconçues, et je lui en suis plus reconnaissant
uelque chose d’angélique. Et il en donna une description conforme à l’ idée qu’on se fait des anges. Toute l’assemblée et Cag
font mention des peuples les plus anciens n'en peuvent donner qu’une idée bien superficielle. Qui pourrait jamais savoir
nt et: nécessairement elle pensera de toute éternité. Si toutes nos idées nous viennent des sens, quels sont donc les o
ennent des sens, quels sont donc les organes qui nous donnent des idées dans le sommeil, dans l’extase magnétique? Là les
? N’est-il pas évident que notre âme peut se former par elle-même des idées auxquelles nos sens n’ont eu auoune part, et qu’e
sorte d’adoration d’un mot cabalistique, qu’on prend à tort pour une idée , et dans laquelle on se figure avoir trouvé une
môme de’M. Constant avec sa lumière astrale, qui n’est qu'un mot sans idée . En raisonnant comme lui, on peut tout expliquer
antacle. La ligne brisée indique indécision, manque de suite dans les idées . Le lamed est composé d’une branche qui s’élève e
pas s’il en voyait ? - La lumière astrale est, dit-il, un mot sans idée . Pourquoi ne pas avoir la bonne foi de dire seule
phénomène, des raisons évidentes. Essayons si en poursuivant notre idée première nous ne pourrons pas trouver une explica
pus obtenir que quelques mots confus, et le sommeil prit le dessus. L’ idée me vint alors de répéter ce que j’avais vu faire
unication suivante que nous transmet un de nos abonnés. Ses essais, l’ idée n’en est pas nouvelle, mais avait été négligée, o
sinon dissipé mes doutes, du moins m’avaient donné à penser. Une idée subite me traversa l’esprit : il me prit envie d'
naturel au moins assez étrange ;et, ne pouvant me débarrasser de mon idée fixe d’agir sur cette dame (je voulais avoir le c
faut dire que c’est une personne fort instruite, et surtout imbue des idées de Swedenborg. Elle est en outre magnétisée par
commerce, l’association, l’économie politique et sociale, expose des idées très-hardies et d’excellentes vérités : malgré la
allemand par le docteur Justinus kei ner, etM. Goupy a eu l’heureuse idée d’en offrir un abrégé aux lecteurs français. Ce p
e toujours mortelle. Jedemenrai glacéd’horreur; il me vintàl’esprit l’ idée de recourir à madame S.,de la ville de Terre-Haut
sacré une discussion fort étendue. Il nous semble qu’à cet égard, ses idées ne sont pas parfaitement arrêtées, et qu’il laiss
empruntée aux docteurs Gromier et Bellanger. « Dans la génération des idées , il faut de toute nécessité admettre une modifica
raisonnements d’un philosophe. Nous ne pouvons nous faire aucune idée de ce que serait une âme dégagée de la matière, n
aits de prévision de l’avenir : une fois qu’on entre dans cet ordre d’ idées , plus n’est besoin de se creuser la tète pour che
où ils se produisent semble toujours dans le voisinage de Mlle Fox. L’ idée que nous nous faisons de la distance du son n’est
certain son est produit, et que nous ne nous faisons pas d’avance une idée de l’intensité qu'il doit avoir, nous n’avons auc
naperçue pour un liomme intelligent. Elle lui donna, tout aussitôt, l’ idée d’expérimenter si l’insensibilité obtenue par un
mémoires traitant de ladite question, par M. Morin, 149. — Examen des idées de M. le Dr Macario. l’un des concurrents, égalem
es du spiritualiste moderne, 208. — L'Académie de médecine adoptant l' idée déjà émise par le Dr Schilf, attribue les coups m
sse la plupart des phénomènes attribués à l'action des Esprits, 46. — Idées analogues exprimées par divers, 309, 455, 636.
75 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e le suis pas. » Il est difficile de Je faire sortir de cet ordre d' idées qu'il exprime sans incohé- rence, d'ailleurs.
répéter les mêmes choses, il se meut toujours dans un même cercle d' idées , cercle fort restreint, poursuivant ses récrimi
e ses récriminations verbales, mais ne présentent ni incohérence ni idées de grandeur. On ne note pas de troubles de la s
de persécutés persécuteurs. Cette tendance aux 4 MÉDECINE LÉGALE. idées de persécution sans hallucinations de l'ouïe se
s chez R..., la conduite et les actes sont absolument dirigés par l' idée dominante qu'on a commis à son égard des injust
sta- tions diverses de son intellect, de ce qui se rapproche de l' idée fixe et de ce qui, à un moment donné, pour- rai
it des scènes à tout le monde. Elle est poursuivie sans cesse par l' idée qu'elle deviendra folle comme sa tante ci vingt
sieurs fois à son mari avec désespoir : « Mais aide-moi donc ! J'ai idée d'avoir pris quelque chose. » C'est ainsi qu'el
HASMA. 9 ment au cours d'un accès de délire alcoolique subaigu avec idées de persécution, hallucinations injurieuses et t
certificats suivants : Certificat de police : débilité mentale avec idées confuses de persécution. Hallucination de l'ouï
). Certificat d'admission : débilité men- tale avec hallucinations; idées de persécution; excitation passa- gère; catarac
et sa mère à table. C'est bien là le délire psycho-senso- riel avec idées de persécution et hallucinations injurieuses et
ssent en quelques jours alors que les hallucinations de l'ouïe, les idées de persécution et la croyance à la réalité du r
logie de cette forme, il devient inutile et superflu de réfuter l' idée de considérer nosologiquement ces cas comme des
du moins la réalité de cette sugges- tion. Aussi, quelle que soit l' idée qu'on se fasse de la nature de ces phénomènes,
bsence d'ataxie et de lésions transversales permettent d'éliminer l' idée de toute affection exclusivement et primitiveme
LOGIE MENTALE 1. La théorie de l'incohérence avec désordre dans LES idées ; ° par \\'rLLG. (Arch. f. Psych., XIX, 2.) L
mptôme qu'il considère comme principal, de l'enchevêtrement dans hs idées dû à la multiplicité des hallucina- tions et de
eh. f. Psych., XIX, 2.) L'auteur apporte quelques modifications aux idées de Sander. L'hérédité aurait, d'après lui, moin
e; il faut rayer de cette maladie l'expression de désordre dans les idées avec incohérence, surtout si l'on y prétend voi
lade fut soumis à une surveillance très étroite, en sorte que toute idée de violences subies à l'asile peut et doit être
mon service, une autre malade qui a été prise d'hallucinations avec idées de persécution à la suite d'une séance chez un
vons croire que la classi- fication proposée donne l'expression des idées modernes et se trouve en rapport avec le niveau
ymptômes prémonitoires de la folie puerpérale. Dans le même ordre d' idées , le D'' IL Sa v mie entretient le congrès des S
t cérébrales. · Le D'' Hack-Tuke admet que dans la production d'une idée sen- sorielle assez forte pour produire unc leo
inatoire aiguë, a la période do désordre, avec incohérence dans les idées , 19 ans, malade depuis 2 mois, qui guérit penda
spécifier la folie systématique d'après la direction principale des idées délirantes qu'on y rencontre, et, par suite, à
Archives, t. XVII. 9 130 'sociétés savantes. cohérence dans les idées , hallucinatoire aigu, et finissent à la dé- men
us les sens, il passe graduellement à la phase du désordre dans les idées hallucinatoire aigu. L'étiologie comporte : dan
tner. Le délire de jalousie contient de prime abord en soi d'autres idées délirantes. 11 n'y a donc pas de pur délire sys
t au texte d'une conception quelconque, bien que le fonds même de l' idée se montre, en l'espèce, tout accessoire; du mou
ale qui sert d'int : oduction indispensable, afin de bien fixer les idées , à l'étude des signes et de leur valeur diagnos
indrons pas, car outre qu'il con- tient une critique judicieuse des idées défendues par l'Ecole ita- lienne d'anthropolog
ière notion en particulier semblera hardie, car elle bouleverse les idées courantes. Mais sentiment n'est pas raison, et
risonnement cellulaire terminent ce livre dont je n'ai donné qu'une idée bien imparfaite, mais suffisante, je pense, pou
ni que, beaucoup déjeunes gens seraient certainement détournés de l' idée de concourir par la crainte d'être envoyés à cent
l'anamnèse des deux cas était indubitable. Ce fait m'a conduit à l' idée de l'importance des différences de nationalité
UDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 203 mêmes conditions : cela fortifie l' idée qui ressort de ma statistique, c'est-à-dire que
2° la perception du son en tant qu'image susceptible de réveiller l' idée d'un objet donné, c'est Y audition des objets o
llection de sons, mais comme son différencié, capable de susciter l' idée qu'il représente; c'est Y audition des mots ou
cloche; voilà l'auditioza de chose ou d'objet, 3° enfin, cette même idée de cloche pourra être éveillée dans notre espri
onventionnel que nous avons par éducation la coutume d'associer à l' idée de l'objet. C'est Y audition verbale. Avec Mu
onfus ; les mots employés ne font pas revivre dans sa mémoire les idées correspondantes, et l'effacement des images aud
comme le dit Kussmaul, « les malades peuvent parfaitement avoir des idées cor- rectes, mais l'expression correcte leur fa
et non les pensées sont confus. Ils pourraient même comprendre les idées des autres, s'ils pouvaient seulement comprendr
ique des' deux affections est bien diffé- rent. Dans l'amnésie, l' idée d'un objet ou d'un événement est représentée à
orter trois observations, qui suffi- sent amplement pour donner une idée de cette forme. Observation XXIX. Antoine Sor
gestion. La suggestion est l'acte par lequel l'opérateur impose une idée à son sujet, par la parole ou par des gestes ;
in a évité d'éveiller chez le sujet par une parole, par un geste, l' idée de raideur, la sug- gestion ne peut être invoqu
ne bande élastique ou celle d'un tronc nerveux peut-elle éveiller l' idée d'une contracture ? Du reste, s'il restait enco
? S'il a constaté les trois états, ce n'est donc pas en vertu d'une idée préconçue, mais parce que ces trois états se so
at de veille, soit pendant son som- meil hypnotique, il me vint à l' idée d'essayer le transfert. Je n'en dis rien à pers
nsfert s'était accompli sous nos yeux. Or, personne n'en avait eu l' idée , et moi-même je ne l'avais jamais vu. Sans avoi
ilosophe très distingué M. Delboeuf, de Liège, voulant se faire une idée personnelle sur l'hypnotisme dit de la Salpêtri
ma- culés, susceptibles d'être hypnotisés, si l'on veut fixer ses idées à ce sujet. Ces critiques ne peuvent évidemment
veloppement des élé- ments différents des organes. Dans cet ordre d' idées , nous re- levons les travaux suivants : Anoma
. Or, l'exemen attentif des recherches de Béliakoff suggère cette idée , que -la démence sénile est une maladie systéma-
e même des modifications qui surviennent dans ces éléments; aussi l' idée de la systéma- tisation est-elle une conception
es travaux suivants, do M. Bechterew,' montrent combien est juste l' idée de la systématisation ana- tomique. Terminais
s restiforme. Dans un second travail, se rapportant au même ordre d' idées , Bechterew a étudié par la méthode de Flechsi-,
caractéristique. Examen et dia- gnostic traités du reste à fond. L' idée qui vient à l'esprit c'est que l'inflammation d
aires; nombre infini de fibres étroites pouvant peut-être imposer l' idée d'une perturbation dans le développement anatomiq
t le symptôme d'une maladie de poumon. On, personne n'a jamais eu l' idée de baser sur la dyspnée, une classification des
ON DE Momtiiyel voit dans cette observation la confir- mation d'une idée qu'il émettait dans une autre société, à savoir
s de coca en infu- sion chez un mélancolique avec hallucinations et idées de persécu- tion. Sous l'influence de ce traite
u code de procédure, M. Leppmann affirma l'activité plus grande des idées délirantes qui se traduisent, sans que la malad
ise' ses éléments de diagnostic dans le concours et l'intrication d' idées de persécution et d'idées de grandeur sans aucu
ostic dans le concours et l'intrication d'idées de persécution et d' idées de grandeur sans aucune manifestation- somatiqu
ableau témoigne de la périodicité, de l'intermit- tence et exclut l' idée d'une récidive. La quatrième observation présen
, la mélancolie revient. Finalement c'est de la paranoia composée d' idées de persécution et d'idées de grandeurs, sans ag
inalement c'est de la paranoia composée d'idées de persécution et d' idées de grandeurs, sans agitation considérable. L'ét
. Sinon vous avez affaire à du désordre avec incohérence dans les idées d'origine hallucinatoire et revêtant la forme mor
s articles du projet de loi. C'est, messieurs, sous l'empire de ces idées que, voulant donner un corps aux observations q
s fonctions du cerveau ', n'embrassera que l'étude des faits et des idées qui, dans l'école italienne, et en particulier
se, 1881. 3 li z2 PHYSIOLOGIE. convient de tenir grand compte des idées vraiment géniales de Tamburini Sur la genèse de
pprendre, après une assez longue enquête, touchant les faits et les idées des autres auteurs italiens, nous attacher surt
sde l'opération, ne veut pas qu'on les exagère au point d'exclure l' idée de la suppléance, car il est incontestable, sel
, opposés en tout le reste, s'accordent du moins pour exclure toute idée de suppléance dans l'interprétation des phénomè
ur interprétation. » Seppilli, écrivain délicat et fin, et dont les idées ont un tour philosophique, a retrouvé plus d'un
ables entre elles. Les centres absolus d'Exner répondent bien à l' idée de centres fonctionnellement localisés, distinc
amment aidée d'une mémoire très active, qui lui sert à exprimer des idées banales et vulgaires relatives aux diverses campa
qu'il avait eus aux mariages de ses parents et ainsi de suite. Ses idées se succèdent avec une telle rapidité, elles son
oyait et entendait souvent, l'appelaient à eux; elle eut, même, des idées de suicide. Lors de l'admission, le délire part
omplique d'hallucinations de la vue et de l'ouïe. Mais, au milieu d' idées erronées,, d'autres sontsaines; bien des réflex
es sont strictement limitées à la substance grise, ce qui élimine l' idée d'un pro- cessus inflammatoire ; leur nature es
t particu- lier ; 2° en outre, ils viennent tous à l'appui de cette idée que les maladies nerveuses sont les mêmes dans
d and Youth, etc. tendon, 1887, p. 82-88. Nous rappellerons que nos idées sur 1 idiotie crétinoïde avec cachexie pachyder
élire cocaïnique est essentiellement hallucinatoire. Le trouble des idées n'est jamais primitif; il se greffe toujours su
art de la classification étiologique de More), ce qui en souligne l' idée mai- tresse, ce qui, en un mot, en forme la clé
par enchantement; on peut se laisser gagner, de prime abord, à ses idées exposées avec cette certitude qui vous impressi
jourd'hui, après la profonde modification qui s'est opérée dans les idées , grâce aux travaux de More ! et de ses succes-
n raison de son style clair, de son allure simple et des nombreuses idées originales de l'auteur, idées que nous nous bor
e son allure simple et des nombreuses idées originales de l'auteur, idées que nous nous bornons à exposer. L'ivrognerie e
pacité de s'adopter, la négligence de la famille, de soi- même, les idées de persécution avec des sous-idées de grandeurs
sont étudiées d'après des docu- ments anglais et correspondent aux idées des aliénistes français. Il en est de même pour
actes, comme les réflexes purs. Plus tard encore interviennent les idées que M. Ribot classe, suivant la force de leur t
ance à l'acte est modérée, comme l'état affecté. Enfin viennent les idées abstraites, avec lesquelles la tendance au mouv
d'un homme dont la vie entière a été consacrée à la science et aux idées généreuses. ) m n m -ii. m m - r 'M i lmmi^^t^J
ou- sot, 479. Incohérence (théorie de l' avec désordre dans les idées ), par Will, 112. Infectieuses (altérations du
76 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
re. Malgré cette symptomatologie, nous n'hésitons pas à re- jeter l' idée d'une origine corticale des troubles nerveux, cet
l'inattention d'un sujet en proie à un trouble assez accen- tué des idées . Non seulement le malade ne répond à aucune quest
manifeste des préoccupations profes- sionnelles et politiques, des idées de persécution entretenues par des halluci- nat
it. 6° Si l'excitation est en décroissance, il persiste, encore des idées de pe ? 'K' cution étroitement liées aux halluc
il se prêtait très mal à l'expérience (par' suite peut-être de ses idées de persécution) et tout en acceptant la plume d
nt : Com- ment suez-vous ? Le moyen âge fut une époque fertile en idées nouvelles et extravagantes sur l'art de prolong
is les consultaient, et les univer- sités favorisèrent ce courant d' idées en ouvrant des cours publics sur cette prétendu
écherait aussi. » I Celte méthode, si l'on peut appeler méthode une idée aussi bizarre, fut très probablement reprise pa
en âge. Elle s'accordait d'ailleurs merveilleusement avec leurs , i idées de sympathie, d'influence des corps les uns sur l
général, où l'auteur établit sa théorie de la respiration selon les idées de son temps, il s'occupe plus spécialement de
plus, la bactériologie vient de donner un nouvel essor à toutes ces idées . M. Metchnikoff dans plusieurs travaux publiés
la solution du problème, et à plusieurs siècles d'in- tervalle, les idées profondément modifiées, se retrouvent à peu près
les être considé- rées comme des oeuvres grecques, nous donnant une idée complète de ce que pouvait être l'art du VIe si
s spéciaux. Troubles psychiques : loquacité, incohé- rence dans les idées . Evolution. - Le traitement spécifique (iodure
èrement cligne d'intérêt au point de vue du diagnostic. La première idée qui vient, en effet, à l'esprit, c'est qu'il s'ag
tal gauche tdist.t'ndue el refoulée à droite. La figure 1 donne une idée exacte du siège, du volume, de la forme et des re
i est certain c'est que le mot endothéliome éveille dans l'esprit l' idée d'une origine vasculaire, c'est-à-dire, la prolif
des éléments chromatophiles. .' Van Gehuchten (4) rapportant les idées des auteurs précédents remar- que que Marinesco
également gonflées. Ces deux faits nous paraissent plaider contre l' idée qui fait du gonflement un mode de répa- ration
ileptiformes, etc. Bien qu'ils aient été exagérés par les anciennes idées médicales et par les croyances populaires, les fa
otion d'une auto-intoxication est celle qui cadre le mieux avec nos idées actuelles à la fois sur la production des crises
médullaires. Mais je ne crois pas pour cela qu'il faille accepter l' idée d'une épilepsie vermineuse simple. On a donné c
atglé). La lésion cutanée que présente notre malade peut éveiller l' idée des affections suivantes : 1° La maladie de R
ons que nous avons faites sur le mécanisme psycho-physiologique des idées délirantes nous nous sommes proposé d'élucider
Tantôt « on l'hypnotise », tantôt « elle s'hypnotise ». Par suite, idées d'auloaccusation. Hallucinations probables. (1)
mbreux arguments à l'appui, qu'elle n'a jamais fait ce que dans son idée elle se reproche. L... se met à genoux pour deman
t bien portante il venait à tout propos à l'esprit de notre sujet des idées étranges, mais ces pensées duraient peu. La mal
ite à les chasser. « Que je suis bête, disait-elle, de me faire des idées semblables ! » Ces pensées bizarres lui venaien
eux amoureux ; » mais elle chassait rapidement et avec succès cette idée à laquelle elle ne donnait pas son consentement.
le ne donnait pas son consentement. Depuis quelque temps toutes ces idées baroques lui reviennent à la pensée, l'inquiètent
t cet événement : « J'étais tellement dans mes réflexions, dans mes idées ; je res- tais dans mes réflexions, je n'avais
idées ; je res- tais dans mes réflexions, je n'avais plus d'autres idées en tête. Je restais con- tinuellement dans ces
t venir à elle un cheval animé de « mauvaises inten- tions ». Cette idée la frappa. Et elle-même se promenant sur un quai
immédiatement que ce cheval avait' « un caprice » pour elle. Cette idée lui traversa simplement l'esprit et elle ne s'y
nt où l'acte ava t été fait, où la pensée était venue à l'esprit, une idée bizarre avait surgi dans le champ de la conscie
et n'y avait plus songé. Voici quelque temps, dit-elle, toutes ces idées fugaces au moment de leur apparition, s'imposen
ns. Si j'avais parlé tout cela n'aurait peut; être pas été dans mon idée . Je m'entête trop à rester comme ça. » « Si j'ava
les diverses actions de sa vie, ainsi que ses diverses pensées. Les idées les plus bizarres qui lui ont traversé l'esprit
ment son état men- tal ; des craintes de culpabilité engendrent des idées qui lui font supposer qu'elle est coupable. En
simple « imagination ». Et avec assez de discernement elle juge les idées à qui elle refuse son consente- ment et celles
tre guillotiné, parce qu'il ne devait pas faire un.bon sujet. Cette idée lui avait traversé l'es- prit. Mais celle-ci re
t. Mais celle-ci revient actuellement à la conscience : « ce sont des idées , dit-elle, que je me fais moi-même. Pourtant ce
es qui ne sont pas tout à fait réelles. » Elle avait eu également l' idée de sauter au cou de sa soeur qui avait toujours
elle. Cette pensée était pour elle un véritable remords. Toutes ces idées à sou dire, « sont en elle, ainsi que des imagina
nversations. Parfois à propos d'une pensée en apparence banale, une idée plus ou moins étrange lui vient l'esprit et s'a
prenait son repas de midi, lorsqu'elle était dans son village) ; l' idée lui vint qu'elle lui doit la somme de 6 francs. «
hantée par la crainte de lui devoir 6 francs. Et chaque fois que l' idée de Mme R... lui vient il l'esprit, elle est tou
sait pas, dit-elle, ce qu'elle lui doit. Cepen- dant elle a dans l' idée qu'elle lui a pris 500 francs. Elle se figure qu'
unie injustement, et c'est la pensée de son mari qui vient dans mon idée croyant qu'il m'expérimente contre mes parents
r et d'autres chefs intérieurement et dont je repoussais de suite l' idée et je demande sincèrement pardon de ne pas avoi
l'assaillent malgré elle, elle se de- mande d'où peuvent venir ces idées . Nous venons de voir dans les quelques fragment
ents de lettres écrites par notre sujet, qu'il se rend compte que ces idées prennent naissance en lui, qu'elles viennent de
rend parfaitement compte que c'est en elle que naissent toutes ces idées . Parfois elle se dit que « c'est elle-même qui
elle se dit que « c'est elle-même qui s'hypnotise, qui se fait des idées impossi- 244 VASCUIDE ET VURPAS Lies ». Puis
aires à sa volonté. Ne sachant comment expliquer ces associations d' idées troublantes pour sa conscience, qu'elle constat
l, connaissaient ses pensées, que tout le monde savait ses vilaines idées , qu'elle-même savait être fausses. C'est parce
vait être fausses. C'est parce qu'on aurait su qu'elle avait dans l' idée de telles pensées et qu'en réalité ces pensées
t en elle la réponse. Quand elle leur dit des sottises (ce sont des idées qui lui viennent en elle parfois, elle remue les
ui lui viennent en elle parfois, elle remue les lèvres et parle ses idées ), ceux-ci lui répondent. Elle se cause à elle-mêm
on me dit certaines choses que peut-être on ne me dit pas. Dans mon idée je m'imagine qu'on me blâme de beaucoup de choses
pensées. Si d'avoir entendu des conversations, ça me revient dans l' idée , je n'en suis pas la cause. » La malade repasse
le s'imagine que cette pensée, que cet acte ont été coupables.Cette idée de culpa- bilité est liée, attachée il toutes c
tive aura disparu du champ de la conscience. L.... s'émeut de ces idées coupables qui lui reviennent à l'esprit. Elle les
des bêtises ». « Je suis bête et je suis folle d'avoir de pareilles idées . » « On m'a souvent dit qu'il fallait repousser d
idées. » « On m'a souvent dit qu'il fallait repousser de pareilles idées qui sont fausses. » Ces craintes, ces soupçons pr
souvenir déterminé. L... se croit coupable, elle demande pardon des idées qui surgissent en dehors d'elle et malgré elle
que l'on me parle. » Parfois elle discute en elle la valeur de ses idées de culpabilité; son doute mé- thodique est anal
n'est plus secret, tout le monde le sait. Me vient-il une mauvaise idée à la pensée, l'idée d'insulter quelqu'un, cette p
tout le monde le sait. Me vient-il une mauvaise idée à la pensée, l' idée d'insulter quelqu'un, cette personne en est imméd
e des excuses, leur dire qu'elle n'est pas coupable, que toutes ces idées contradictoires se passent en dehors d'elle.
e réellement. Elle construit de la sorte sur ce thème et avec cette idée directrice tout un délire. L'examen minutieux des
le prétend qu'il y a une différence marquée. Ce sont à son dire des idées qui lui viennent à l'esprit et qui s'imposent i
age auditive pour expliquer qu'une personne étrangère lui suggère ses idées actuelles. Elle dit qu'on lui parle. Après une
cause, dit-elle, que je me suis jetée à terre, c'étaient toutes ces idées que je me faisais intérieurement. » Il s'agissait
e réelles hallucinations, celles-ci sont rares en compa- raison des idées intérieures- qui semblent commander les actions d
Cette introduction mentale l'amène à dé- couvrir des associations d' idées qu'elle ne peut pas s'expliquer. Une solution s
ns à ce problème : une puissance extérieure dirige ses pensées, ses idées , lui parle comme elle le dit elle-même dans son l
cette malade d'i- dées de persécution, il n'y a en réalité que des idées d'auto-accusation. 1 reste encore à préciser la
port de l'introspection mentale avec l'existence probable, tantôt d' idées de persécution, tantôt d'idées d'auto- accusati
avec l'existence probable, tantôt d'idées de persécution, tantôt d' idées d'auto- accusation. Notre malade ressemble de p
ime abord à une persécutée, mais ses pseudo-persécutions dérivent d' idées d'auto-accusation qui en sont la genèse. En vér
que L... est frappé par toutes ses pensées, dues à des associations d' idées automatiques ou conscientes. " 248 VASCHIDE E
oute son élaboration et son évolution capricieuse. Absorbée par son idée et poursuivant sa pensée, L... ou- blie le poin
tant comme perdu dans une foule de raisonnements, d'associations, d' idées , de pensées disparates. Notre malade tente un e
e pensée, d'un acte intellectuel et no- tamment d'une association d' idées . Quand notre malade revient à elle, elle arrive
créatrice qui l'occupent presque exclusivement. Dans sa pensée les idées et les perceptions chevauchent comme dans tout ce
tonnement provoque des états d'inertie psychique. L'association des idées l'occupe particulièrement dans ses incursions inl
èmes pour broder un délire. Ignorante du sens de ces associations d' idées , elle est déroutée à chaque pas et plus elle s'
d'un système d'images, plus elle délire activement. N'ayant aucune idée directrice, et tourmentée par cette constante p
vec la seule différence qu'elle ne peut rattacher ce doute à aucune idée directrice. Ce doute n'engendre qu'une auto- ac
ensée ; son moi se confond même. avec le caprice des associations d' idées et de l'activité mentale en elle-même. La malad
t l'anomalie de l'esprit, l'inadaptation au mi- lieu psychique, aux idées admises comme normales : ce sont les stigmates
ations objectives macroscopiques ou microsco- piques, on envisage l' idée nosologique que nous devons nous faire de ' cet
r » et il a peur de mourir dans un de ces soubresauts. Il n'a « d' idées noires » qu'à cette occasion, on a vu qu'il accep
série assez longue' d'investigations hypnotiques, pour découvrir l' idée fixe subconsciente d'où dépendaient tous ces tr
'il était guéri, on s'en est abstenu. Toutefois l'intervention de l' idée fixe est très plausi- ble : on peut au moins l'
ubconscient. Sans doute, une action thérapeutique portant sur cette idée aurait mieux assuré la guérison. Seul, en effet
nombreux du syndrome des tumeurs cérébrales. Pour fixer un peu les idées et restreindre, dans une certaine mesure, les c
x, 3 mai 1901. 356 DUPRÉ ET DEVAUX dit avoir, en vertu de la même idée théorique de décompression céphalo- rachidienne
l lymphatique : et, d'une façon plus gé- nérale, on peut, suivant l' idée de P. Marie et de G. Guillain, penser que « peu
ion de certaines affections du système nerveux ». En appliquant ces idées théoriques et ces données expérimentales à l'inte
nt décolorées sans trace appréciable d'ancienne névrite éveillant l' idée d'une atrophie simple. AUTOPSIE ? Epaississemen
lesquelles nous l'avons notée. » Nous reviendrons plus loin sur les idées professées par Landouzy dans ce mémoire. Dans u
rs de fièvre se fût perdu sans doute et il ne fût venu à personne l' idée de les faire figurer comme le point de départ d
s centres moteurs pelviens très voisins sont souvent tou- chés. L' idée que l'hypertrophie des membres, dont on a décrit
roubles trophi- ques de cette nature, ne pouvaient que corroborer l' idée qui la première s'est imposée à nous, celle de
sont-elles pas propres par elles-mêmes à suggérer à l'observateur l' idée d'une affection médullaire, comparable à celle
femme a toujours froid. Elle est triste, impressionnable, portée aux idées noires. Les palpitations de coeur sont fréque
s. Bien que l'examen de ces deux malades ne nous ait suggéré aucune idée nouvelle sur la pathogénie de ces singulières a
ns notre cas une lordose et non une cyphose suffit à éloigner cette idée . De tous les faits analogues que nous avons tro
77 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
rapportant toutes à la sensation reçue. Je suppose, pour fixer les idées , que, pendant le sommeil, une personne se trouvan
né des plus belles fleurs, et de làl’o- rigine d’une foule d’autres idées du môme genre qui ne larderont pas à se transform
ons d’outre-tombe. Vous avez ainsi exprimé d’une manière heureuse une idée dont j’étais depuis long-frappé. J’avais été vive
comme d’autres somnambules de plus haut titre, il est affecté par les idées qui fermentent autour de lui. Le fait seul de l
ant, nous éprouvons le besoin de dire quelques mots sur la marche des idées et sur leurs évolutions pour juger plus sainement
ent de première année. Il saurait, en effet, que si le cercle donne l’ idée de l’infini dans le temps, le cercle, dont tous l
ans le temps, le cercle, dont tous les rayons sont égaux, répugne à l’ idée du progrès qui suppose une variation constante da
saisie, il faut que l'on comprenne bien ce que veut dire la vie d’une idée ou d’une science, et en quoi, malgré l'analogie,
vie extérieure — dans les phénomènes produits par le rayonnement de l’ idée , c’est-à-dire dans les œuvres accomplies par ceux
nous interdisent les limites que nous nous sommes imposées — que les idées , suivant leur portée plus ou moins grande, doiven
tât rudimentaire de la philosophie et de la morale. La gestation de l’ idée s’est faite régulièrement et dans de bonnes condi
ation ; sa lucidité n’avait point franchi, jusque-là, le diapason des idées de son guide ordinaire. Il la met en voyance. A
te (2), sous le nom du grand écrivain. (1) Cette lutte me suggéra l’ idée que, pour vaincre les académies, il ne s’agirait
où chacun, dans certaine mesure , peut venir exposer son système, ses idées , lorsque surtout il s’agit d’un grand fait. C’est
en Amérique le spiritualisme semble amener une évolution libérale des idées philosophiques , en Europe, ou du moins en France
pour assister aux expériences. C’est-à-dire qu'on devra écarter toute idée préconçue , apprécier, autant que faire se pourra
e les sujets sensibles au magnétisme. La valeur scientifique de leurs idées serait bientôt fixée, si, au VVaux-Hall, à la Red
aminons pas ici. Notre nom n’a aucune autorité, mais nous croyons ces idées utiles, et nous laissons l’initiative sur ce poin
sant étrangère à ce qui l’entourait, elle n’en conservait pas moins l’ idée des rapports des objets. Elle ne parlait point, a
endant cinq nuits de suite, elle nous sembla sous l’empire de la même idée ; elle voulait en finir avec la vie, et elle essa
la moindre impression. Elle semblait obéir à l’impulsion fatale d’une idée dominante ; elle luttait contre les obstacles que
te, ne s’occupant pas de tout ce qui ôtait en dehors du cercle de ses idées ; elle agissait comme si elle eût été seule: elle
est qu'un dérivé, langue qui exprime à peu près constamment les mômes idées et les mêmes sentiments parles mêmes images. «
ges étaient-ils parvenus à bord, sans aucune embarcation visible? Les idées les plus fantastiques s’emparèrent bientôt de l'i
ctionnelles qui, pour le médecin Cardan, ne s’alfranclmsaient pus des idées superstitieuses de son époque, n’étaient, en dern
e la médaille remise par M. R. ; Alexis, abusé par l'irradiation de l’ idée de M. Alexandre Dumas relativement au contenu de
utre quand, d'une ptniic mentale .*colemnt, ù Ciniu de toutl— j’eus l' idée d’agir comme je l’indique plus haut. La table, au
du prochain seront reconnus et mis en pratique. L’homme acquerra une idée infiniment plus élevée de Dieu et entrera en comm
l faut avoir vues naître, — vous en êtes convenu, — pour se faire une idée de leur spontanéité d’éclosion , tout à fait impr
la plus parfaite exactitude; notamment le fait (incroyable, selon les idées reçues, ) de l’apparition de cet esprit voilé, do
. (je ne sais pas ce que c'est que ça, ni comment j’ai dit ça. Quelle idée ! fait-elle en riant) ; et je sens là (montrant so
rain de publication, et propre à rectiQer, parmi los masses, bien des idées do la chronologie traditionnelle, c'est le Monde
cueillies dans une longue et patiente étude, on ne nous taxera plus d’ idées gratuites, de superstition burlesque, d’hypothèse
féroce, sans bonté et sans amour. La troisième enfin s'incarne dans l' idée de la ruse cl de l’asluce; c’est la plus odieuse
t aux contradictions contre lesquelles se choquent et se blessent ses idées . J'ai une sincère sympathie pour tous ceux qui re
e soit arrêtée ? Ces questions ont bien leur importance; car si les idées physiologiques de l’auteur que je combats lui per
e lorsqu’elle aperçoit les objets extérieurs dans leur réalité, a des idées fausses et absurdes de sa propre forme et des qua
sions : « L’hallucination est la perception des signes sensibles de l’ idée , et l’illusion, l’appréciation fausse do sensatio
e des hallucinations, en ce sens que les pensées se colorent, que les idées s’imagent, que l’esprit, en un mot, se revêt de s
vérifié l’efficacité. Qu’importe que ces procédés choquent certaines idées préconçues, qu’importe que la raison n’explique p
es intolérants de toutes sortes, ce sont des esprits malades dont les idées sont étroites, dont le sens moral est perverti.
sme et du somnambulisme, où nous n’ayons enfin un représentant de nos idées . Marchons donc en avant sans rechercher le bruit,
en trinquant, a été remplacé par la singulière habitude de boire àdes idées abstraites, lorsqu’on ne boit pas à la santé des
noncent qu’avec difficulté, et qui rappelle — Dieu sait pourquoi ! —l’ idée ... d’offrir une rôtie. « Nous sommes toujours p
il éclairera le monde!... le monde régénéré par lui, modifié dans les idées , moralisé dans ses habitudes, charmé et consolé d
ux. 11 ne faut pas voir dans ces séparations des partisans d’une même idée , habitant la même ville, une rivalité, mais seu
séances suivantes, — car frappée, émue jusqu’aux larmes parfois, des idées tendres, souvent sublimes et toujours religieuses
; les nobles paroles retentissent, au choc des verres jaillissent les idées généreuses, et les cœurs se retrempent dans la co
u-seppe Mozzoni, docteur ès-sciences. Elles suffiront pour donner une idée de l’importance que doit avoir une œuvre dont l’i
pour donner une idée de l’importance que doit avoir une œuvre dont l’ idée est comprise d’une manière aussi sérieuse, dont l
r de l’imagination résulte à son tour d’un non moins prompt usage des idées reçues par le moyen des sens; nous pourrions donc
stesse et promptitude, et frapper d’étonnement par l’élévation de ses idées . Nous voici nécessairement en pleine psychologie,
per les coups nécessaires de son pied. Il est très-possible que cette idée lui ait été suggérée par les réponses. Mais ce qu
ainsi que les coups, ont une origine également magnétique. Voici l’ idée que je m’en suis faite. Le magnétisme dépend, san
du magnétisme et de la lucidité. J’avais communiqué à M. Chambers mes idées , qu’il partage jusqu’à un certain point; mais il
avec une si grande profusion et gratis ou & peu près ; et si mon idée se réalise, ce qui ne peut se faire, je crois, qu
on de cette nouvelle digression; elle ne sera pas sans fruits, si mon idée germe et si vous la fécondez. Je reviens à mon su
orse,'et j’avais bonne envie d’en essayer; mais on m'avait inculqué l’ idée que mon mal provenait d’une fraîcheur gagnée en r
t où nous nous couchions. Je me levai le matin, et, en m’habillant, l’ idée me vint de jouer un tour à Goodall, qui alors dor
dont nous venons de citer les noms. On peut aisément se former une idée de ce que doit être une société ainsi composée, d
rie. Mais ici, il est évident que la direction a été absorbée par les idées nouvelles des spiritualistes et s’élançait dans c
t d’autre part, de néologismes multipliés. Sans doute lorsqu’on a une idée neuve à exprimer, c’est un droit que de la dénomm
hellénistes de première force, et s’il leur faut à la fois suivre les idées de l'auteur, et étudier son langage à coups de le
saisi le génie de notre langue que le caractère de notre nation. Ses idées , qui méritent certainement d’être connues, seront
brasse beaucoup de détails. Nous allons chercher à rendre compte de l’ idée essentielle et dominante du livre, et l’analyse q
aris, comme il eût dû le faire, et comme il en avait l’intention, ses idées , à cet égard, se seraient-elles modifiées. (1)
ifier que pour l’améliorer. — m — il Voici du reste le plau des idées qui dominent le livre : 1. Tous les actes de la
tion de M. Philips. Mais ce n’est pas ici le lieu de développer cette idée , qui demande d’ailleurs encore à être, mûrie. A
sans dimensions, n’ayant ni longueur ni largeur, ni épaisseur. Cette idée de point réduit à l’infiniment petit absolu entre
our notre part, convaincu que, sous peine de rejeter absolument toute idée psychique et de tomber dans le matérialisme absol
système des âmes composées n’est pas dépourvu de bases sérieuses. L’ idée n’est pas neuve, et si nous voulions faire ici de
. Ce qui fait le mérite de M. Philips, c’est d’avoir appliqué à cette idée la méthode sériaire qu’il possède fort bien, et d
Et cela résulte de la connexion analogique intime entre le monde des idées et celui des faits — pour éviter le langage métap
dmet l’influence de la volonté d’un être sur un autre — et c’est là l’ idée concrète qui résume le mesmérisme, indépendamment
on. Nous regrettons que l’auteur n’ait pas développé dans ce sens l’ idée à laquelle il .est parvenu; mais ce regret n’est
d’affirmations très-voisines les unes des autres, sans saut brusque d’ idées , en commençant toujours par une affirmation qui s
ujours par une affirmation qui soit d’accord avec les opinions et les idées actuelles de celui auquel on s’adresse. Les affir
ion que nous avons énoncée en quelques, lignes : le rapprochement des idées très-voisines, mais non logiquement déduites. — C
onfusion et une anxiété qui troublèrent sa clairvoyance ; toutefois l’ idée d’un naufrage se présentait fréquemment à son esp
passagers de l’Arctic, dont je vous ai parlé. « Je fus pénétré de l’ idée que les esprits d’une centaine d’entre eux au moi
t pas là un se”1 médecin par l’intermédiaire duquel il pût exprimer l’ idée abstraite d’un nom. « Parmi ceux qui conversère
c nous. « 11 me dit qu’il m’était impossible de me former une juste idée de l’état où ils étaient. Il n’y en a pas deux qu
gnement a été pour eux un bienfait inestimable. « Je développai ces idées , et reconnaissant en peu de mots mes auditeurs à
pporter au magnétisme pour la découverte et l’attribution des délits, idée qui a été quelquefois émise au souvenir de la déc
se fixer sur celui de mon somnambule. Cette transition involontaire d’ idées anciennes m’a paru un fait assez remarquable pour
e que mon expérience constate. Voilà un des modes de formation de nos idées mis à nu. C’est ainsi que les purs esprits qui no
ient à créer des mots impropres qui, presque toujours, entraînent des idées fausses, jettent de la confusion dans les discuss
ne à bien déterminer l’objet. » Le récit de M. Constant a donné une idée du danger qui peut accompagner ces opérations ; e
que nous sommes particulièrement folâtres et badins, incapables d’une idée sérieuse, et ne nous occupant des questions de qu
les choses pratiques avant tout, et n’aimant pas plus à gaspiller ses idées que son temps et ses capitaux. Or, dans ce mome
it son fds respirant encore sur le champ de bataille. Pleine de cette idée et toujours livrée au merveilleux sommeil, elle p
, je l’ai trop bien vu malade sur son lit ; elle se leva avec la même idée , et son tourment ne la quitta pas d’un instant. M
l’état mauvais de ma santé, car, depuis son rêve, telle avait été son idée . € Dès le lendemain matin, elle se mit en route
e la royauté chrétienne de l’avenir. » Voici comment il développe son idée de chute : « Depuis la fin mystérieuse de la péri
vrai son roman humanitaire, il n’aurait pas réussi à nous donner une idée exacte du magnétisme en uous disant que c'est un
paroles, et pourtant je sais ce qu’elle me dit. — Vous saisissez ses idées qu’ensuite vous exprimez dans votre langue. —Vous
u la pensée du magnétiseur et des assistants. Rien ne peut donner une idée plus juste et plus facile à saisir que la machine
nts et de croyances ; d’autres fois, ce D’est que la répercussion des idées d’une seule personne influente par sa volonté, qu
e paralyser ou activer de loin le guéridon et lui imposer tel ordre d’ idées qui lui plaît. Il n’est nullement besoin que le
tel ordre d’idées qui lui plaît. Il n’est nullement besoin que les idées soient nettement dessinées dans le cerveau des pe
horescentes, à des bruits étranges, sont également servis selon leurs idées , car il est fait à chacun selon sa foi. Celui q
eaucoup de nos lecteurs , et son œuvre est surtout l’expression d’une idée magnétique. Il a cherché à reproduire un des plus
enouvelée sous mes yeux , et dans des conditions qui écartaient toute idée de supercherie et d a-musement, j’aurais eu bien
ion de ne pas y mêler l’invocation du démon, donnerait-il une haute idée de sa sagesse et de ses lumières?... Dès que les
taines écoles prétendent constater le surnaturel, ce qui x'en-verse l’ idée de miracles ; mais cette question philosophique e
haute voix. On peut donc, en entendant ces déclarations, se faire une idée exacte des résultats. 11 y a quelques personnes q
t vous aurez le regret de n’avoir pu donner à votre malade la moindre idée de ce que vous êtes en état de faire pour lui. Qu
s le monde, Paris, cerveau de l’humanité, où se sont élaborées tant d’ idées grandes et généreuses, et qui aurait dû devancer
ui lui permet de percevoir les choses et les faits dont il n’a aucune idée et qu’il n’a pu — — connaître par la sensatio
78 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es de la parole, donnera mieux que toute description didactique une idée exacte des troubles en question. Nous avons cru
e. Les tics ont été connus de tout temps. Vous pouvez prendre une idée d'ensemble de leur histoire, en lisant les articl
re ces 42 CLINIQUE NERVEUSE. stigmates atténués et les véritables idées fixes, ce qui revien- drait à dire qu'il n'y a
tion dans l'article de Guinon. 1 Il y a d'abord l'obsession par une idée plus ou moins futile. Certaines personnes passe
e, de se noyer quand ils côtoient une rivière. Dans le même ordre d' idées , nous trouvons l'ago- raphobie, la lohophol.ie,
it même des gens qui ont peur d'avoir peur. Dans ce 'même ordre d' idées , mais sous une autre forme, on note la folie du
i par cette dernière observation de Guinon qui ré- sume fort bien l' idée que l'on doit se faire de l'obsession : « Dans
s bizarres manifestations, il ne faut jamais se borner au cadre des idées fixes déjà décrites, car on est tous les jours
in que lui interdit sa singulière dispo- sition d'esprit. Voilà une idée fixe bien particulière. Mais nous avons dit qu'
ituelle, mais ils peuvent manquer et leur absence n'infirme point l' idée de la névrose. Ce sont, en un mot, au même titr
tions hypocon- driaques, etc., tout cela en dehors du déli : e avec idées de persé- cution déjà noté. On constate même ch
e per- sistant, à racines peu profondes, délire mélancolique avec idées de méfiance, de persécution. On le tient enfermé
non parce qu'il est halluciné ou parce qu'il a de prime abord une idée délirante primitive, ses déductions sont logiques
o- logique, c'est-à-dire en une sorte de délire mélancolique avec idées de persécution et sans hallucinations. - Je trouv
très nettement de la mélancolie pure, même de la mélancolie avec idées délirantes, en ce qu'elle contient simultanément
essaires pour accomplir le suicide ; 3° la rapidité avec laquelle l' idée du suicide s'efface et est oubliée R. 11. C.
de la manie; on note de l'exaltation, avec beaucoup de vanité; les idées ou les hallucinations sont ou sexuelles ou reli-
e mélancolie chez les adolescents s'a CI ompagnent généralement d' idées de suicide, et le pronostic est défavorable. Le n
'auto-déception spéciale, demi consciente, allant presque jusqu'à l' idée de persécution, comme le démontrent son attitude
ans, l'autre a quarante, de folie systématique hallucinatoire avec idées délirantes érotiques. Identité absolue à deux ans
alternatives d'exaltation (délire des grandeurs) et de dépression ( idées de persécution) chaque cycle durant six mois; p
'anesthésie et l'atteinte des organes des sens imposent la première idée , d'autant plus qu'aujourd'hui, voilà de cela quat
mitive des éléments rnyéliniques 1. M. SNELL (d'Hildesheim). Des idées présomptueuses de la folie sys- témtttiqlle chr
elles hallucinations étant de nature érotique ou ayant trait à des idées sexuelles, on enlève à la malade ses deux ovaires
ls terminé leur action, que les mêmes halluci- nations et les mêmes idées délirantes reviennent et persistent. Notons que
se de sa mutilation, elle se dit bonne à rien, fut hantée par des idées de suicide; l'ensemble de ces nouvelles idées dél
n, fut hantée par des idées de suicide; l'ensemble de ces nouvelles idées délirantes prit la forme d'obsessions. i\1. W
déments, et un hypochondriaque avec hallucinations sensorielles et idées de suicide. Les symptômes bulbaires furent cons
énéral avec gémissements, inquiétudes dans les membres, turbulence, idées de suicide, siliophobie, concep- tions hypochon
crée à l'automatisme total, la seconde à l'automatisme partiel. L' idée générale de l'ouvrage est que les phénomènes de c
nature des paralysies, des contractures hystériques, voire môme des idées fixes et de la folie impulsive. Sur ce terrain, l
vol. in-8°. , J.-B. Baillière, 1890. 111. Falret a eu l'heureuse idée de rassembler dans ces deux volumes toute son o
leterre, en Italie. Il s'attache à la critique des personnes et des idées et fait toucher du doigt des oeuvres de médecin
sité du traumatisme, qui a été très grand chez cette malade ? Cette idée pourrait venir à l'esprit tout d'abord; mais no
ument pures du sciatique poplité ex- terne. C'est évidemment là une idée ingénieuse, mais qui ne saurait être admise, no
en ces matières de chirurgie abdominale, a pu nous confirmer dans l' idée que la sciatique ne pouvait être due aux accide
ique. » ' . - ' ' Aujourd'hui, on est complètement revenu- de cette idée . Déjà, Trousseau démontre ,que le tremblement e
aquelle les suggestions se réalisent facilement, et le passage de l' idée à l'acte se fait d'une façon automatique. Le type
frayeur (accidents de chemin de fer), etc. Si, comme on l'a dit, l' idée , c'est le moi s'empêchant d'exécuter un acte, d
tat de veille ordinaire se coinpose d'une constante asso- ciation d' idées et d'images coordonnées. Pendant le sommeil ordin
le pre- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 243 mier état, de nouvelles idées sont engendrées par des processus d'asso- ciati
n individu. La liberté vo- lontaire n'implique pas nécessairement l' idée de la responsabilité en ce qui concerne le droi
is ans. Parole balbuliée souvent inintelligible, mais exprimant des idées en rapport avec son degré d'intelligence. Accès
rébrales, abdominales. Gâtisme, malpropreté, inco- hérence dans les idées . Constipation. Inertie psychique. Cela dure cin
; épilepsie passagère depuis l'âge de huit ans. De temps à autre, idées délirantes bêtes avec agitation, loquacité, éroti
les aliénés déprimés et, se basant sur l'amélioration possible des idées mélancoliques chez les diabétiques par le trait
et substitua le cocaïnisme au morphinisme. Bientôt survinrent des idées de persécution, de jalousie. Il croyait voir des
servation intitulée : Folie puerpérale. Amnésie; Astusie et Abasie; Idées délirantes com- musiquées, - Il s'agit d'une ma
tellectuels avec intervalles d'excitation, quelques hallucinations, idées de couleur mystique relatives au spiritisme, tr
attaques convulsives avant et depuis la maladie). La couleur des idées délirantes est due à l'influence des idées du mar
maladie). La couleur des idées délirantes est due à l'influence des idées du mari, spirite convaincu, élément actif ayant
une façon notable et a tenté de se suicider pour échap- per à cette idée fixe. M. Boucher rapproche cet état particulier d
cité M. Hendlé de la bonne organisation des asiles, de son heureuse idée d'organiser sérieusement l'assistance des enfants
de délire hallucinatoire aigu (Obs. I); - de désordre aigu dans les idées (Obs. II); - de mélancolie hypochondriaque (Obs
dans les mêmes conditions affectée de désordre généralisé dans les idées avec hallucinations sen- sorielles ; une folie
'elle fut prise d'angoisse avec hallucinations et désordre dans les idées . Deux morts eurent lieu par pneumonie. M. MUELL
onte que les semaines précédentes elle était toujours dominée par l' idée de ses enfants, ce qu'ils devenaient, s'ils éta
l'expé- rience encyclopédique de M. Charcot sait faire jaillir des idées générales éminemment profitables à l'instructio
soumis à d'autres lois que celles du caprice et du hasard ? 2 L' idée qu'on se fait actuellement de l'hystérie est to
our une plus grande part, à éclairer les esprits et à en éloigner l' idée de simulation, ce sont les notions que nous pos
établir que celle- ci relève de l'hystérie, et il ne viendrait à l' idée de personne de contester la légitimité de ce di
est de part et d'autre exactement pa- reil, on arrive déjà à cette idée que l'hypothèse d'hys- térie ne peut être élimi
sur les hypnotiques. En quoi consiste-t-il ? Reprenons d'abord l' idée ancienne d'après laquelle l'hystérique serait c
e j'ai entrepris mes recherches; c'est dans le but de justifier une idée préconçue que j'ai com- mencé ce travail, sans
En attendant cette consécration ou cette non consécration - de mes idées , les cliniciens, dont l'attention aura été appe
ront recueillir des observations à l'appui ou à l'encontre de ces idées . L'expérimentation pathologique pourra de cette
l ; b, l'arc cérébral. Le schéma ci-joint (.1'ig. 28) donnera une idée d'ensemble de la description qui va suivre. Il
ion. Je pense que si les histologistes autorisés reprennent cette idée , ils arriveront à adopter cette conception. Mal
re les centres des autres sens. C'est ce que je vais tenter. Si mes idées sont confir- mées, il n'y aura plus aucune rais
il le désigne sous le nom de « bande diagonale. » Entrainé par son idée des « systèmes fibreux », il la rattache aussi à
ons seulement quelques faits suivants appar- tenant au même ordre d' idées : 1° dans le cas d'une amplification de l'image
ns l'astigmatisme. Nous étions cependant obligés d'abandonner celte idée , vu que nos recherches ultérieures nous ont mon
CLINIQUE MENTALE FOLIE PUERPÉRALE; AMNÉSIE; ASTASIE ET ABASIE. IDÉES DÉLIRANTES COMMUNIQUÉES; Par J. SÉGLA.S, médeci
si elle parait, sous certains rapports, avoir subi l'influence des idées de sou mari, elle n'a pas fait cependant de vér
c qu'en résumé, le délire est peu accentué chez cette malade et les idées paraissent même un peu incohérentes. C'est la r
à eu l'occasion de signaler l'intluence du milieu sur la nature des idées habituelles de la malade en même temps que sur
uelles de la malade en même temps que sur la teinte mystique de ses idées délirantes. C'est en somme un cas atténué de fo
mpérament particulier delà malade, étant donné d'autre part que ses idées communiquées avaient trait au spiritisme, nous
ge seule du papier persistait et c'est cela même qui nous a donné l' idée de tripler ainsi l'impression visuelle. Nous av
r suffisamment la question, je ne me contenterai pas de répéter les idées que j'ai 406 PHYSIOLOGIE pathologique. exposé
ombré des cercles. 420 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. en faveur de son idée particulière que tous les symptômes de ma- ladi
it être regardée comme le siège principal de la pensée. Telle est l' idée marquante de ce mémoire. Un appendice comprend de
aie de coïter avec sa mère) ; en même temps, agitation, angoisse, idées rudimentaires de persécution, insomnie. Durée : t
autre) de l'économie, germent des hallucinations qui engendrent des idées délirantes et consécutive- ment un type de foli
de la jambe : pendant dix jours, on constate du désordre dans les idées avec balbutiement, embarras de la parole, halluci
onstate : manie et délires hallucina- toires avec désordre dans les idées et conceptions débiles des per- sécutions. Le s
, albuminurie proportionnelle à -l'intensité du dé- sordre dans les idées et de l'agitation. P. K. 442 REVUE DE PATHOLOGI
s peuvent encore se transmettre en substance par l'implantation des idées délirantes ; c'est là l'inoculation vraie parla
lorsque l'évolution est très rapide, aboutit à un désordre dans les idées qui diminue à son tour dès que la marche de la
La préface dont M. Charcot a honoré ce travail en exprime mieux l' idée générale que ne pourrait le faire une courte anal
P III 111\ OTO'IE congénitale, par Eu- lellburg, 70. l'.nl woï , idées présomptueuses de la -, par Snell, 113. Patii
79 (1853) Journal du magnétisme [Tome XII]
songes à la médecine occulte des anciens. Nous ne pouvons donner une idée plus exacte de la médecine somnambulique des temp
lique dont les Indiens, les Égyptiens et les Grecs nous ont donné une idée bien suffisante. On constatera que la plupart des
mme une théorie nouvelle qui clut naturellement se heurter contre des idées préconçues. Du Somnambulisme naturel ou spontan
par intus-susception ; lorsqu’il vient de naître, il n’a pas encore d’ idées ; l’instinct de conservation le dirige alors vers
s énergique, il en augmente infailliblement l’efficacité; cette seule idée , que je vois descendre des hauteurs du système du
ce avec notre savant confrère, dont nous partageons toutes les autres idées en magnétisme. Nous avons eu l’occasion de nous a
e que la malade sem- tole avoir perdu l’usage de ses facultés : ses idées se troublent, et elle reste plongée dans un état
e Mesmer, que la Société possède. C’est dans le but de réaliser cette idée que je me suis mis à l’œuvre : le travail est ter
esprit frappeur fit silence. Les personnes présentes eurent alors l’ idée de donner des ordres à leur tour, et elles furent
eux père de famille fait rejeter à tous ceux qui le connaissent toute idée de supercherie. Toutefois, ce qui doit détruire
s alarmes nocturnes. M. le curé, trop prudent pour favoriser aucune idée superstitieuse, consentit cependant à dire les me
ar l’auteur aux seules personnes qu’il croyait aptes à comprendre ses idées . C’est par hasard que l’un d’eux nous est tombé s
tater par des expériences réfléchies et « de toute bonne foi. » Ces idées du célèbre philosophe et homme d'État sont celles
courir à des ouvrages de longue haleine, le lecteur peut se faire une idée précise et claire du magnétisme animal; Traité do
on instruction. Il voulut donner à quelques gentilshommes du pays une idée du magnétisme animal. On lui amena pour cela une
ous êtes certain de réussir. Les Romains avaient déjà formulé cette idée en ces termes : Qui timide rogat, negare docct.
recueillir les résultats de leurs recherches, les faits nouveaux, les idées nouvelles, et les réponses légitimes aux attaques
u progrès scientifique. Et même, en tenant compte du choc violent des idées nouvelles contre les cerveaux imbus déjà d’idées
du choc violent des idées nouvelles contre les cerveaux imbus déjà d’ idées anciennes et contraires, nous permettrons à nos a
stipation opiniâtre, des étourdissements, un trouble complet dans les idées , tous les symptômes d'un accès prochain revenaien
uelques contractions de la mâchoire et des instants de trouble où les idées se brouillent, elle pourrait se croire tout à fai
icule, mais toujours d’une étrangeté excessivement choquante pour les idées reçues, prend cependant tous les jours une extens
n plus entendre parler de diable, enfer, perpétuité de mal, et autres idées en vogue parmi nous, déclarant que tout cela est
souffrent toutes les tortures atroces que cause le dépouillement des idées , goûts et habitudes anti-célestes acquis dans le
savants de ce monde, ils paraissent généralement tenir à peu près les idées précitées sur l'autre vie et la destinée de la ra
, de magnétisme, etc., dans la vie du corps, et qui a eu le premier l’ idée de se servir de ces forces pour établir la commun
nne foi ne sera pas contestée, même par ceux qui ne partagent pas ses idées , et qui a été jusqu’ici matérialiste dans toute l
it m’a surtout frappé, parce qu’il me semble de nature à éloigner l’ idée de toute supercherie, c’est le sens invariable de
t une révolution. Révolution dans les préjugés, révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans la science
mes que des dupes. Dans ce désordre, un artiste trouva une heureuse idée . Il alla chercher au billard un morceau de craie,
évolution. J’ai dit révolution dans les préjugés, révolution dans les idées du vulgaire, révolution peut-être dans les scienc
ncipation d’Augsbourg, qui raconte l’histoire des tables dansantes. L’ idée leur vint d’essayer sur-le-cliamp, et, comme ils
nous ne faisons ici aucune exception, nous faisons appel à toutes les idées et à tous les dévouements. Toute étude conscienci
e mouvement se manifestent diverses particularités qui excluent toute idée de charlatanisme ou de propulsion mécanique : le
almaire le rebord du meuble), et aussitôt le guéridon partit. Alors l’ idée me vint de le soumettre à des essais de volition
e habitation. « Chose inconcevable, on s’arrêta encore une fois à l’ idée que celui qui frappait les coups ne pouvait être
: ((Mesdames et Messieurs (1), « 11 est de l’essence des grandes idées d’être de prime abord méconnues, souvent persécut
nomènes sérieux et très-remarquables dont vous n’aviez pas la moindre idée . Et, ces phénomènes, je les obtenais en employant
ver lorsqu’on a un fonds d’instruction aussi solide et d’aussi riches idées . M. Logerotle reçut d'unanimes marques de faveur.
e des liens matériels, prend son vol vers le ciel et s’absorbe dans l’ idée de Dieu, ces extases où nous avons entrevu les ri
résidé à toute cette fête ; cette rapide esquisse n’en donnera qu’une idée bien imparfaite à ceux qui n’y ont point assisté,
sque toujours lorsque cette partie du corps est sur l’oreiller. Ces idées , qui se trouvent en germe dans l’ouvrage de l’abb
c attention, en nous dépouillant autant que possible de préjugés et d’ idées préconçues. C’est tout cela, avons-nous dit.
tre lettre : sur l’incrédulité vaincue, l’immortalité triomphant de l’ idée d’anéantissement, le spiritualisme écrasant à tou
ont appelées à se transformer de fond en comble ; si, grâce à eux , l' idée de mort n’a plus de sens, ou signifie seulement p
s où ils souffrent toutes les tortures que cause le dépouillement des idées , des goûts et des habitudes anticélestes acquises
ance des magnétiseurs sur leurs sujets ne peut donner qu’une faible idée ; se trouver assujetti par l’entier abandon de no
e conscience et de talent (2), quoique encore sceptique à l’égard des idées de Saint-Martin. « D’après ce que nous avons di
œuvres vives et spirituelles, ne conçoivent autre chose par là que l’ idée de voir des esprits, ce que le monde ténébreux ap
« Dans ceux qui croient à la possibilité de voir des esprits, cette idée n’enfante souvent que la terreur ; dans ceux qui
; dans ceux qui ne sont pas sûrs de l’impossibilité d’en voir, cette idée n’enfante que la curiosité; dans ceux qui sur cel
enfante que la curiosité; dans ceux qui sur cela récusent tout, cette idée n’enfante que le mépris et les dédains, tant de c
jet de ramener les hommes à la croyance de l'éternel principe, dont l’ idée s’est comme effacée pour eux. — Aussi ces prodige
de l’existence universelle, pour s élever philosophiquement jusqu’à l’ idée d’une puissance générale universellement répandue
le peut recélcr des ennemis d’autant plus affreux qu’on n’en a aucune idée . Tout être doit développer, autant qu’il est son
ne épidémie morale, une espèce de choléra spiritualité.... Toutes les idées un peu fortes sont contagieuses , qu’elles soient
qu’elles soient bonnes ou mauvaises. De la facilité avec laquelle les idées qu'on appelle spiritualistes ont envahi une parti
en les rattachant toutes à un ordre de faits qui donne la plus grande idée de l’homme et poétise pour ainsi dire toute la na
pour la faire revenir avaient échoué, lorsqu’un des assistants eut l’ idée de la soumettre à des passes magnétiques, qui la
ées à la table qui tournait parfaitement, et des réponses obtenues, l' idée vint au directeur de faire deviner des pensées qu
sa juste valeur. HÉBERT (de Carnaj). VARIÉTÉS. *l,ronlquc. — L’ idée du magnétisme entre dans les masses par tous les
ernie, mais en vain ; j’éprouvai une résistance considérable. Alors l’ idée me vint de joindre le magnétisme aux manœuvres ch
, et je la magnétisai en appliquant la main sur l’estomac. Ses seules idées étaient pour sa bienheureuse vierge, qu’elle ne q
t pour sa bienheureuse vierge, qu’elle ne quittait pas ; et quand ces idées passaient, elle voyait son fils mort à deux ans,
voir une chose.... — Quoi donc? — C’est que nous avons les mîmes idées en médecine. Faut pas que ça vous étonne. Ah ! c’
là, je l’affirme, toute ma pensée. « Savez-vous, repris-je, que ces idées ne sont guère catholiques? Elles tendent à dire q
parce que c’était le premier objet qui les avait frappés en sortant d’ idées de terreur, ou les aimer éperdument si le délire
ent un trouble malheureux dans une conscience pure jusqu’ici de toute idée vaguante... Aussi j’aurais un conseil à donner au
val qu’ils lui supposaient. L’humanité devenue plus mûre, a conçu des idées plus saines et rejeté le manichéisme. Ce serait y
enir de ce qui venait de se passer. Depuis sa guérison, il n'a aucune idée de l'état dans lequel il s’est trouvé ; mais ce q
ons l’extrait suivant d’un journal d’Alger. Ce récit leur donnera une idée des effets qu’on peut (I) Voyez t. X, pages 503
mme de goût et de science avant tout, a donné une autre direction aux idées des fian- cés. Seulement, en détruisant le char
aque jour des prosélytes de gens tout à fait étrangers à, cet ordre d’ idées . — La Société du Mesmérisme de Paris vient d’of
s mystérieux se font entendre, c'est Satan qui frappe. Plein de cette idée , qui est une conviction, il cherche à mettre le m
- nifestant leur supériorité par un rigorisme hautain à l’égard des idées suspectes ! _ «Eh bien ! voilà ce qui me révolt
our toutes la croy ance de tout le monde. Nous n’avons jamais que les idées qu’il est de bon ton d’avoir, et nous en changeon
nature à renverser beaucoup d’hypothèses explicatives, nous a donné l’ idée de chercher la mesure de faction exercée par chac
t entreprise avec le désir de la voir aboutir à la confirmation d’une idée préconçue, d’une loi imaginée à l’avance, que l’o
ntifiques serait d’autant plus regrettable, qu’elle permettrait à une idée fausse de se produire et de faire ses ravages, so
produire et de faire ses ravages, sous ce prétexte chimérique que les idées fausses se réfutent d’elles-mêmes. « Examinons
mmes et les ouvrages spéciaux, avant de vous prononcer sur un ordre d’ idées aussi graves, avant de repousser dans le domaine
succès lui est réservé si, agissant avec distraction, il a laissé ses idées flotter à l’abandon. Et cependant le sujet qui ne
après tout, les objections ! n’est-il pas évident qu’aujourd’hui les idées sont portées aux recherches de tout ce qui est au
'enthousiasme aux fanatiques, les dédains à l’ignorance, à chacun ses idées , ses croyances, ses doutes. n L’ascension de l’
toutes les églises. Est-ce simplement une figure, la traduction d’une idée ? Non; c’est la forme même du démon. Pour le peind
s, arriver à leur fin. Ah ! bah ! — vont dire certaines gens, — ces idées ne sont pas neuves, et celui qui les remet en lum
ire, àMannheim, mon portrait au daguerréotype. Pendant l’exécution, l’ idée me vint de le magnétiser. Quelque temps après, me
t, notre esprit distrait se détourne de son but et laisse flotter ses idées au hasard, l’action magnétique se ralentira, devi
par cette étude, que dans ce fait où la sensation est si proche de l’ idée , nuance délicate à saisir, mais saisissable cepen
acte, dis-je, l’électricité attisant la puissance fibro-musculaire, l’ idée se soumettait peu à peu à la sensation, et, arriv
philosophe, et l’illustre Faraday lui-même? Je vous le demande. Ici l’ idée préconçue était loin d’être confirmée par l’impul
âme tant qu'il y a vie humaine, et qui d’ailleurs ne sort jamais des idées de l’existence de l’homme. « Des gens qui ont é
stique, Rodolphe Goclenius, ardent disciple de Para-celse, publia ses idées dans un livre qui porte le titre de : T racial us
euse maladie pouvaient se constater ; moi-même je n’avais pas d’autre idée à ce sujet, le diagnostique du médecin me paraiss
min, et je puis dire en plein merveilleux. Je vais heurter toutes les idées , faire rire nos illustres savants. Ils soutiennen
rment, les autres nient. En présence des controverses, il me vint à l’ idée d’adresser quelques questions sur ces phénomène
te les réponses aux questions qu’il lui avait faites, il lui vint à l’ idée de faire deviner ses pensées par une ou plusieurs
irons du poignet, de couper le bras; mais un troisième eut l’heureuse idée de s’opposer à l'opération. Voici, touchant l'h
s savants, malgré leur répugnance presque invincible à admettre toute idée venant troubler leur repos académique , répugnanc
, suivant qu’elles se composent d’une plus ou moins graude quantité d’ idées . « Une opinion fondée sur l’examen et le rappro
« Une opinion fondée sur l’examen et le rapprochement de beaucoup d’ idées , qui ne peut être ébranlée sans faire écrouler un
ensemble, pour les composer, une plus grande masse de réflexions et d’ idées . Leur esprit a donc des habitudes plus enracinées
tention de nos lecteurs : le Dépisteur. Ce portrait curieux donne une idée de la physionomie de ces populations à demi barba
ais en effet émerveillé. Malheureusement, ou plutôt heureusement, l’ idée me vint que le courant d’air qui existe toujours
itre : la Folle clos Sages et la Sagesse des Fous. C’est un recueil d’ idées neuves sur l’architecture, la médecine et même la
ur, sans qu’il nous soit arrivé jamais de faire prévaloir nos propres idées , si celles-ci, au préalable, n’ont été soumises a
rrespondants à l’étranger, nous aurons , dans un temps rapproché, une idée exacte de ce qui s’accomplit chez les autres nati
e à chercher par quels moyens la société pourrait s’améliorer, et les idées qu’il présente pour atteindre ce but sont dignes
80 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt améliorées par le même traitement. Ainsi se trouvait appliquée l' idée émise deux ans auparavant par M. le DI' Arnaud,
re pour l'année 1889 (p. 57). Les figures 7, 8, 9 et 10 donnent une idée de sa situation à l'âge de onze ans et demi et
et demi et de quatorze ans. Le tableau ci-après permet d'avoir une idée de son développement physique. TROIS cas D'ID
- Les figures Il et 12, comparées aux figures 8 et 9, donnent une idée assez exacte de l'amélioration obtenue. , i ? j
ème cutané, enfin sur la génération (absence de puberté, etc.). Ces idées sont confirmées par les phénomènes obervés chez
de vin blanc, j'étais en train de faire le lit quand tout à coup l' idée de prendre de l'argent et de partir m'est venue
ie; mais la conscience, l'intelligence et le pouvoir d'exprimer les idées par des gestes de la main gauche sont conservés
t très accentué du carac- tère qui devient ombrageux, soupçonneux ; idées de persécution : tendance à mentir, même alors
santé générale, et son père qui vient la voir accepte volontiers l' idée d'une opération. Ou décide d'appliquer une cour
emps surviennent des raptus mélancoliques, avec anxiété, désespoir, idées et ten- tatives de suicide, impulsions violente
tentative d'homicide. Depuis quelques jours X... était obsédé par l' idée fixe de tuer une fille publique. Cette idée lui
X... était obsédé par l'idée fixe de tuer une fille publique. Cette idée lui était venue peu à peu, sans qu'il sût pourq
t commis cet acte sous l'empire d'une obsession pathologique, d'une idée incoercible, d'une impulsion irrésistible; mais
11. Ballet. Nous nous laissons toujours dominer par les vieilles idées métaphysiques, dont nous pourrions nous dégager q
Observations et expériences. Psy- chologie des sens, sensations et idées , mémoire. Lois de l'asso- ciation. La conscienc
llucinations; autres matières qui s'y rapportent. z Hallucinations, idées obsédantes, aphasie, etc., etc. IV. Psychologie
iqueurs tories et à ne faire qu'un usage modéré du vin ». - Celle idée est couronnée de succès dans la province de Limbo
dixième année. Vous savez qu'une telle longévité n'exclut pas toute idée de tare familiale; ce qui est certain c'est que
un centre cortical ou d'un nerf périphérique ne peut donner que l' idée d'une image sensorielle, et pour que le sujet la
Le système tout entier des lois criminelles existantes repose sur l' idée ancienne de la vengeance ou du talion, rajeunie s
de la vengeance ou du talion, rajeunie sous le nom de châtiment. L' idée même de loi, en ce qui touche le crime et les c
un aliéné n'a d'autre but et d'autre objet que le crime même, sans idée aucune d'avantage ou de profit à en retirer, sa
e dit avec raison qu'il faut que nous nous débar- rassions de cette idée que « le crime ne rapporte pas ». L'idéal serai
t la doctrine de la satisfaction pénale, dérivée de cette « vieille idée de vengeance qui a la prétention de confier à l
on empêche d'autres aliénés de se livrer à des actes de violence. L' idée de restitution ou de réparation d'un dommage n'in
aculté musicale, celles où la musique est un moyen d'exprimer des idées intellectuelles ou des émotions particulièrement
démence est survenue d'une manière pré- coce, et il n'y a pas eu d' idées de grandeur. Il est à remarquer que la menstrua
rmidable accumulation d'aliénés), et dont on ne pourrait donner une idée qu'en reproduisant intégralement les tableaux ,
é grâce auquel la maladie somatique modifie la maladie mentale. L' idée fondamentale du travail des deux auteurs est qu'i
sque, presque violent d'un état prolongé d'excitation maniaque avec idées d'exaltation, d'une conduite des plus bizarres et
faHA/tet, t. XXVII, liv. 1.) 11 règne une grande confusion dans les idées sur la confusion mentale. Après avoir cité une
les internes et externes. XXIV. Contribution A l'étude clinique DES idées obsédantes ET DES états psychiques analogues ;
s psychiques obsédants » dont le cadre est plus large que celui « d' idées obsédantes ». Il considère comme appartenant aux
entité pathologique caractérisée par les symptômes suivants : a) Idées obsédantes; - h) Sensation obsédantes; c) Mouveme
édants (impulsifs) qui, n'étant le plus souvent que le résultat des idées et sensations obsédantes, peuvent avoir un eexist
loppé un état d'anxiété profonde de dépression mélancolique et de l' idée fixe que cet état le con- damnait à l'impuissan
ent à elle avec force. Elle pouvait bien résister quelque temps à l' idée de les exécuter mais la volonté devenait bientô
e sensation de malaise, une anxiété vague. Bientôt apparaissent des idées déli- rantes généralement de nature dépressive,
GIE MENTALE. l'anxiété et la dépression apparaissent, ainsi que des idées de persé- cution ; les malades se plaignent d'ê
acés de mort, entourés d'agents secrets, etc. On constate aussi des idées hypocondriaques, de l'auto-accusation. Les hall
lles, à une agitation incessante. Au début ils manifestent quelques idées cohérentes, en général de couleur pénible. Us voi
dents, depuis que je suis en liberté, un désir fou me possède, une idée fixe s'est implantée dans mon cerveau... Il faut
ne auto-intoxication. Ce sont ces faits qui ont inspiré à Horsley l' idée que si chez un homme auquel on avait dû pratiqu
ente avec la belle couleur rubis du sang frais, ce qui écarte toute idée d'altération. Cette couleur ne subsiste pas dan
phalalgies ; pas de vertiges, parfois, face un peu congestionnée. Idées de grandeur, ne veut pas travailler : « Je ne sui
fréquenté le théâtre, aimait les drames, nous dit-il. - Se fait une idée juste de ce qui l'environne, a du reste une ins
symétrique, dont une moitié ne prend aucune part à la formation des idées , des émotions et des actions intentionnelles, o
e action indépendanle des deux hémisphères n'est d'ailleurs pas une idée nouvelle : elle a été soutenue d'une manière in
arfaitement rationnelle, et ne serait nullement en désaccord avec l' idée d'un traumatisme, lorsque la réalité de celui-c
parler d'une déchéance des éléments nerveux et qu'on se rallie à l' idée d'une diminution des fonctions, d'une réduction d
dans les cas graves d'hystéro-épilepsie, d'excitation maniaque avec idées de suicide, il faut intervenir rapidement : le ma
palpitations, des hallucinations, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de persécution et des états passagers d'excitatio
isites » du règlement. ' M. Bourneville défend depuis longtemps une idée analogue : il estime qu'il serait plus pratique
mission elle était très excitée et incohé- rente et manifestait des idées de richesse absurdes sans présenter aucun sympt
environ une année, viennent s'ajouter des troubles sensoriels. Les idées de ri- chesse et de persécution se manifestent
4. Inertie physique et mentale complète. Ne ma- nifeste plus aucune idée délirante. Ne répond à aucune question. Les lés
e lésions cérébelleuses anciennes des troubles du caractère, et des idées mélancoliques avec dépression physique. REVUE
, l'iridectomie fut tentée, plutôt dans un but esthétique qu'avec l' idée de restaurer la vue. Le cristallin et sa capsul
souvent moins. Les vociférations changent à chaque attaque, mais l' idée qui y domine est l'idée de peur. Quelquefois, mai
férations changent à chaque attaque, mais l'idée qui y domine est l' idée de peur. Quelquefois, mais rarement, le malade
dant l'attaque. La crise est suivie d'une légère confusion dans les idées ; le malade n'a aucun souvenir de ce qu'il a dit
- ment psychique joue encore un état important, puisque la simple idée qu'il allait trouver des médecins qui le guérissa
t tirés d'un motif logique ou bien accomplis sous l'influence d'une idée délirante, peuvent se rapporter il des motifs log
giques. De même un aliéné qui commet un homicide sous l'influence d' idées délirantes, peut parfaitement prendre toutes le
t-ce une folie partielle ? Ses actes sont-ils la conséquence de ses idées délirantes ? Etude analytique complète. Elle form
mnésie continue ou antérograde, de la faiblesse de l'attention, des idées de persécution assez développées (aucune espèce
xistence du malade ; elle entraine secondaire- ment toutes sortes d' idées et d'appréciations fausses. Il est important de
me trop pour qu'une analyse. fût-elle étendue, puisse en donner une idée suffisante : nous ne pouvons qu'indiquer, avec l'
type jusqu'ici suivi ou en différer radicalement, par adoption des idées nouvelles sur la matière. La nouvelle méthode d
1895., Accès de manie aiguë avec désordre extrême des actes et des idées . Mouvement incoercible. Violences (sujet très v
de contention et d'isolement absolu. Insomnie. Mélange chaotique d' idées délirantes et de troubles sensoriels. Pas d'hyper
criminel le présenta dans un journal comme un halluciné avec des idées de persécutton et de grandeur. Le D'' Bauer exami
malheureux persécuté avec hallucinations multiples de l'ouïe et des idées de grandeurs qui, sous l'influence de ses idées
es de l'ouïe et des idées de grandeurs qui, sous l'influence de ses idées délirantes, commit un meurtre. 336 REVUE DE MÉD
grand nombre des réponses ont été affirmatives et ont confirmé les idées de Bernheim et de Liébault. REVUE DE MÉDECINE L
groupe comprend les malades atteints du délire de persécution avec idée de crime commis. Ces malades n'ont généralement
mais seulement des interprétations délirantes; ils ont souvent des idées de suicide et du dédoublement de la personnalit
élire se systématise et il comporte trois échelons successifs : les idées de persécution - (on électrise le malade, on mê
lade, on mêle des substances nuisibles à ses ali- ments, etc.); les idées de persécution collective (les jésuites, les fr
collective (les jésuites, les francs-maçons, la police); enfin les idées de persécution personni- fiées ; c'est alors su
nt fait élection d'un bouc émissaire, devient dangereux. Enfin, aux idées de persécu- tion, à la période d'état du délire
persécu- tion, à la période d'état du délire, peuvent s'ajouter des idées de grandeur, qui peuvent être soudaines, ou con
re un personnage impor- tant. Il faut ajouter que, pour Mairet, les idées de grandeur existent dès le début, et sont même
interprétations délirantes; ils sont ambitieux, mais n'ont jamais d' idées absurdes de grandeur. Ils n'aboutissent jamais
sants. Chez les persécutés qui s'accusent de crimes en général, les idées de persécution sont en général tenaces et persi
i se meut lentement, mais elle se rapproche, à un pas régulier, des idées médicales sous la pression de l'opinion publiqu
en somme, l'écart est peu considérable. L'auteur a eu l'excellenle idée de compléter ses recherches par l'étude histolo
ar P. SCHUSTEIt. (Neurolog. Centralbl. XIV, 1895.) - Démence avec idées de grandeur, immobilité pupillaire réflexe, hyp
ue capable de créer la maladie de toutes pièces. A l'appui de cette idée l'auteur présente deux observations : Dans le p
paralysie générale, la dipsomanie, l'intoxication par l'opium. Les idées de suicide sont relativement rares chez le nègre.
es apportés- iJ60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. par les auteurs l' idée d'une dégénérescence delà race : tendances litt
ntre combien cette dernière notion est fausse en s'appliquant à une idée de dégénérescence, car elle représente bien plu
ais qui se hausse à l'importance d'un fait capital par un rapport d' idées , accapare, à un moment donné, toute son attention
de ce jeune homme chez qui l'excitation génitale se développait à l' idée de manger un morceau de la peau fine et blanche
sement et à la production de la lumière électrique. Pour donner une idée de la munificence avec laquelle le Conseil muni
se rend compte de cette différence si l'on se pénètre bien de cette idée que la rétine représente, à la partie supé- rie
uée de manifestations strumeuses d.u côté des os; associa- tion des idées excessivement lente ; mémoire très rudimentaire.
t du reste du tronc (fig. 29). Les mesures suivantes en donnent une idée . lui56 . - RECUEIL DE FAITS. sant la phalange
est allé en aug- mentant. Les mensurations suivantes donnent une idée des différences qui existent entre les doigts d
i existent entre les membres des deux côtés du corps et donnent une idée de leur croissance durant cette période de .hui
s de persécution, de systématisation, de dissolution délirante avec idées de grandeur. L'évolution du délire paranoïaque pe
ale), loin de l'anihiler et parles conséquences qui en décou- lent ( idées .délirantes), montre surtout la déchéance de l'in
Ll., XIV, 1895.) 11 y a des délires qui ne sont que l'exagération d' idées normales mais déjà exagérées. Telles les manièr
des émotifs, les obsessions des nerveux et des dégénérés, certaines idées fixes et délirantes de la folie systématique. I
ratum psychique cesse de conserver son assiette. Mais il faut que l' idée fixe reste simple et isolée. C'est le cas, dit
s rapports avec le monde extérieur. On y constate un enchaînement d' idées tout à fait absurde. Ce mécanisme représente un
e délire est caractérisé par les hallucinations et la confusion des idées . L'hérédité et les intoxica- tions antérieures
, 309. Neurones par Khppel, 417. Obsédantes. Etude clinique des idées -, par Thomsen, 143. Obsession. Tentative de me
81 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ro- tisme est le plus marqué. Il se traduit non seulement par des idées et des paroles, mais encore par des actes. L'aute
(11,8 p. 100). On voit combien nos constatations confirment peu les idées ayant cours. - (.1 suivre.) HECU El L DE FAIT
et d'un autre amant une fille, ma demi-soeur, qui est sujette-à des idées noires et raconte des choses imaginaires ; elle a
ffilée dans son quart supérieur. La photographie n'en donne pas une idée exacte. Pl, P2, PC et LO sont composés de circo
duisent d'abord par un changement de caractère amenant avec lui des idées qui, par leur fixité, changent, du tout au tout
orienter toute leur vie psychique vers un seul but, vers une seule idée . La pathogénie n'en est pas exactement établie; m
; il ne parle toujours pas et parait manquer presque complètement d' idées . Il crie moins et ne cogne plus sa tête à droit
ypnotiques, on administre de l'alcool, sans doute en vertu de cette idée que l'apparition des accidents a sa principale ca
spéciales. A l'époque actuelle, dans la construction des asiles, l' idée de dé- tention est subordonnée à celle de trait
ardé de section. Peu il peu les habitants se familiarisèrent avec l' idée de loger des aliénés, et un peu plus tard (avri
omporte trois parties principales. La première est une revision des idées actuelles sur le mécanisme de la mé- moire, nou
ésentation et sa ré- percussion dans notre organisme. Se donner une idée est faire de l'autosuggestion, la recevoir d'un
autosuggestion en acte ou gymnastique psychique. Fai- sons suivre l' idée que nous nous donnons, d'un essai de réalisa- t
e, de secouer notre torpeur, la concentration de l'esprit sur cette idée , facilitera la gymnastique psychique, s'il s'ag
ce qui a commencé par n'être que fiction, deviendra réalité. Les idées que nous nous suggérons nous viennent de l'ex-
tique suggestive, se basant sur cette donnée primordiale que toute idée contient en germe le phénomène qu'elle exprime, e
u'elle ne peut rien d'elle-même, qu'elle peut tout avec l'appui des idées qui lui auront été suggérées. Une conclusion mé
ses à ce sujet, il montre aussi que de ce concert émane surtout une idée défavorable au mariage des épileptiques. L'aute
viron 1 kilomètre sans ses éclisses. Le tableau suivant donnera une idée plus claire de la progression graduelle des for
-nous pas nous éloigner du terrain de la clinique. Dans cet ordre d' idées , nos malades diffèrent essen- tiellement des ma
ociations morbides nous étonnent moins à l'heure actuelle, avec les idées régnantes sur l'influence de la syphilis dans l
tion par intervalles. Hallucinations de l'ouïe, refus d'a- liments, idées de suicide. Troubles de la parole. Incohérence et
t, » - Son certi- ncal de quinzaine porte : « Debilité mentale avec idées mélanco- liques et idées de persécution. Halluc
quinzaine porte : « Debilité mentale avec idées mélanco- liques et idées de persécution. Hallucinations de l'ouïe, surdité
it ainsi libellé : « Débilité mentale avec accidents hystériques et idées mélancoliques aujour- d'hui dissipées, peut êtr
u à Villejuif, sans savoir pourquoi, dit-elle : « Quand j'ai eu mes idées à moi, j'ai été tout étonnée de me trouver là. »
e a été reprise de troubles intellectuels et d'incohérence dans les idées . Son père, sobre, atteint de cataracte, presque
st toujours entré ici dans les mêmes conditions : Débilité mentale, idées mélancoliques, stupeur, tendances au suicide. Q
t douce, maternelle avec eux. Traitement : bains, hydrothérapie Ses idées religieuses l'occupent moins, elle semble mieux
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES; 123 extravagants, gâtisme, insomnie. Aucune idée mystique. L'obscénité a remplacé la pudeur. Ce
convulsions neuf mois plus tard n'est pas incom- patible avec cette idée . Kundrat a montré que les cas intra-utérins pré
t, d'aucuns même faisant entrer l'alitement dans le cercle de leurs idées délirantes. . L'alitement fut ensuite installé
ention litigieuse. Une seule chose est à remarquer dans cet ordre d' idée , c'est que la longueur des procès, pour ceux qu
e temps à autre il est déprimé et est sujet à des obsessions avec idées de suicide indépendantes de la dépression et pass
e période d'hypochondrie délirante, une période d'hypochondrie avec idées de négation. On ne trouve dans toute sa vie la
raiter dans le prochain concours : « De la valeur séméiologique des idées hypochondriaques dans les maladies mentales, ap
prise au point de vue médico-légal d'un persécuté persécuteur avec idées ambitieuses ayant commis un grand nombre d'escr
ns diverses sur la pathologie mentale. Contri- bution à l'étude des idées obsédantes, par- le Dr Ladislas Hosko- vec, pri
famille, dévote, espérant améliorer son caractère, lui inculque des idées religieuses et le pousse aux pratiques pieuses.
c'est sous l'empire de la boisson sa passion - que lui estvenue l' idée du suicide. (Le Progrès de l'Eure, 27 avril.) I
rs se sont transformés radicalement à mesure que se répandaient les idées des aliénistes français, écossais, anglais, all
ficultés que certains pensaient insolubles, exposons brièvement les idées ' Il va sans dire que le non-reslreiut est appl
substituer une théorie dont l'exposé va suivre, et qui procède des idées de Schrbder van der Kolk et d'Hughlings Jackson
sont considérés à tort comme des congestions de l'encéphale. » Ces idées furent l'objet de vives discussions auxquelles
récoce. En pri-on, il a été atteint de folie systématisée subaiguë ( idées de persécutions et de grandeurs) qui a laissé des
e subaiguë (idées de persécutions et de grandeurs) qui a laissé des idées délirantes résiduaires. Il est certain, d'après
d'après la pathogénie de ces conceptions délirantes, qu'il s'agit d' idées délirantes, vraiment para- noïques, mais l'état
e même que celui du délirant systématique chronique progressif. Les idées délirantes actuelles n'ont pas la force associa
chez certains alcooliques chroni- ques on trouve assez souvent des idées de jalousie, certainement 232 REVUE DE MÉDECINE
ramimie hébéphrénique»), une certaine incohérence non seulement des idées délirantes mais aussi des pensées normales, d'a
verbales, etc., le caractère illogique, trivial et fantastique des idées délirantes et enfin la tendance ou à une marche
ce de'la paralysie générale progressive de l'adulte par l'absence d' idées de grandeurs et de délire ambitieux et par sa m
7 neuropathologie à Prague intitulée : Contribution à l'étude des idées obsédantes; - et de M. HuGuEs (de Saint-Louis, Et
ronique. Le malade pense sans cesse à sa rougeur : elle devient une idée fixe autour de laquelle s'oriente toute sa vie
s avantages. Le premier, c'est que le traitement s'attaque, non à l' idée de la phobie, mais à l'émotion de la phobie, qu
étaient à l'état de lettres mortes pour 1(.s anatomistes, et où les idées qu'on se faisait de leur rôle se réduisaient à
u langage, mais autant de centres d'expression et de perception des idées qu'il y a de ma- nières d'exprimer et percevoir
ions mo- trices. Les autres, intérieures, donnent naissance à des idées de sou- venirs. D'après certains auteurs, nous
même de localiser les territoires dans lesquels s'emmagasinent ces idées de souve- nirs, les centres des différentes var
internes ; à leur tour, celles-ci vont constituer un stock à part d' idées , de souvenirs. La comparaison s'exerce sur les
qu'ont laissées en nous les impres- sions venues du dehors, sur les idées de souvenirs de toute caté- gorie. Le jugement
ifs qui ont poussé le jeune Folliot à cet acte de désespoir. Mais l' idée de se donner la mort devait être chez lui bien
t le perfectionnement du système en question. C'était précisément l' idée qui nous guidait, nous, le docteur Govséiew à E
peutique. Il m'est impossible de m'arrêter plus longtemps sur mes idées relatives aux indications et aux contre-indicatio
il peut nous apporter des arguments démonstratifs à l'appui de mes idées qui sont aussi les siennes. A ce propos, je cro
bilatérale, l'intelligence se montre affaiblie ; l'association des idées est particulièrement troublée. Les territoires
. Malgré ses réserves, l'oeuvre de M. Flechsig et ses principales idées fondamentales doivent sans doute être appréciées
ois, les symptômes suivants : tristesse, aboulie, dégoût de la vie, idées et même tentatives de suicide, idées de ruine e
se, aboulie, dégoût de la vie, idées et même tentatives de suicide, idées de ruine et de culpabilité, scrupules religieux
omprend encore en général des concep- tions délirantes, surtout des idées de culpabilité, mais aussi des idées de persécu
tions délirantes, surtout des idées de culpabilité, mais aussi des idées de persécution et des idées hypocondriaques. De
es idées de culpabilité, mais aussi des idées de persécution et des idées hypocondriaques. Des états mélancoliques simple
veut être fusillé, guillotiné. Dans quelques cas se manifestent des idées de négation : il n'y a plus d'argent, plus de c
és ; le malade n'a pas de nom, ne peut pas mourir, est éternel. Des idées hypocondriaques ubsuroes sont assez fréquentes
e l'affaiblissement intellectuel l'ait des progrès, se montrent des idées de grandeur. Les malades racontent qu'ils peuve
l'orientation est défectueuse, la pensée est troublée, les mêmes idées sont sans cesse répétées. Cependant on est étonné
stations maniaques isolées (impulsions motrices intenses, fuite des idées , idées de grandeur, humeur gaie sans signes de
s maniaques isolées (impulsions motrices intenses, fuite des idées, idées de grandeur, humeur gaie sans signes de faibles
n, près Falaise, ayant bu plus que de raison, eut la malencontreuse idée de prendre un bain. Il se précipita dans une ca
ent la discussion devint orageuse et un consommateur eut la stupide idée de vouloir mettre les anta- gonistes d'accord e
rofesseur, qu'accompagne un seul des trois assis-' tants, parle des idées de persécution en général, des idées mélancoliq
trois assis-' tants, parle des idées de persécution en général, des idées mélancoliques. Il présente trois malades, dont
tuels des auteurs mystiques) sont des phénomènes intermédiaires à l' idée et à l'hallucination vraie, des représentations
impuissantes dans cette lutte et que seulement la réalisation de l' idée dont il est obsédé peut le délivrer de son terrib
apparaît comme équivalent du coït impossible et la réalisation de l' idée SECTION DE PSYCIIIA'I'Rlrt. 41) 1 obsédante n
l'étude approfondie de l'état d'âme au temps de la réalisation de l' idée obsédante et du mode selon lequel l'action a ét
l'origine d'une série de représentations mentales, d'associations d' idées destinées à l'amplifier, à lui donner l'importa
isément ce qui n'a eu de place que dans le fugitif mouvement de nos idées ; on oublie moins ce qui a pris rang parmi nos
e, et sous l'incitation première et essentielle de l'émotivité, une idée , un mot, un nom ou une image, etc., le pliant,
souvent, ces deux syndromes n'en sont pas moins distincts. Toute idée , pour peu qu'elle acquière quelque intensité, dev
st temporisatrice, tantôt elle est soudaine et sidère la volonté; l' idée devient fait en s'affranchissant de toute prémé
ement a été tout de suite étroit le rapport entre la sensation et l' idée représentative. Anesthésié, en quelque sorte, p
rimer l'humilité de l'adoration ; le second, au contraire, évoque l' idée d'une violence, d'une agression cruelle, et en'
la satisfaction, en quittant mes malades, de leur laisser quelques idées et quelques sensations douces qui, se multiplia
t moral de la folie, p. 169 à 181.) * ... Quand j'ai provoqué des idées tristes, c'a été dans le but de prévenir des id
'ai provoqué des idées tristes, c'a été dans le but de prévenir des idées plus tristes encore, pour faire rechercher le p
et en donner. Quelquefois, je me suis attaché à rendre pénibles les idées déraisonnables, afin que le malade fit effort pou
292.) « ... Le premier moyen à employer pour ne plus songer à ses idées folles, c'est de n'en jamais parler, et le second
dictoires que la lecture de ceux-ci nous a révélés, nous avons eu l' idée d'étudier plus particulièrement les réflexes da
nerveuses et des ondes électriques, ou tout au moins leur analogie, idée qui date, je crois, de du l3ois-Raymontl. Dan
d'octobre, M. Paul Sollier rappelle qu'il a lui-même soutenu cette idée dans des conférences faites l'hiver dernier à l
tre placés les sujets atteints de psychoses récentes, les malades à idées de suicide, ceux qui refusent les aliments, les
, avec les représentations mentales dont elle est l'occasion, que l' idée s'impose peu à peu et que la tendance homosexuell
ide seul 484 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. (Magnan). C'est l' idée qu'exprimait Esqnirol en disant : « Chez l'érot
n que, dans les cas les plus nets, le désir est absolument idéal. L' idée de cohabi- tation est assez souvent répulsive,
, parce qu'elle parait supposer que cette perversion s'accompagne d' idées délirantes, ce qui n'a pas lieu, à moins de com
nter à leurs jours. Ils n'étaient pas épileptiques, n'avaient pas d' idées délirantes, mais présentaient une légère faible
sus différents. Discussion. M. P. Marie (de Paris) s'élève contre l' idée actuel- lement dominante, que le tabes soit tou
de Paris). - llï,l. P. Marie et Switalski viennent. d'émettre cette idée que le tabes doit être soumis à une dissocia- t
uve en désaccord avec M. Marie, je suis porté comme lui à écarter l' idée émise par M. Benedikt et acceptée par beaucoup
écouvrir que la véritable cause de leur état malade réside dans une idée fixe, un rêve, etc., demeurés subconscients pen
82 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
la représentation de l’hypothèque pour lequel ils ont été créés. L’ idée directe de la valeur des assignats, que les citoy
e, comme étant pris dans la nature de l’homme. Quelques-unes de ces idées ont été adoptées ; mais comme les institutions pu
pour s’occuper des travaux nés de la civilisation , pour suivre des idées systématiques nées des erreurs de la science ou d
e; et je ne constate dans le langage qu’on lui prête, que les propres idées de la voyante ou de son magnétiseur. Quoi! les
Dans le singulier paradis de M. Cahagnet, on boit, on mange.....en idée . On conserve le caractère de la vieillesse, mai
nt sur le monde magnétique. Tous les ôtres humains ayant une fausse idée des choses d’ici-bas, s’cn imaginent de plus fa
tre. Voyons ; Le plan peut être très-avantageux à l’émission de vos idées , et conforme à votre manière de voir; mais je ne
dont la signification mal assise emporte pour beaucoup plus de gens l’ idée d’une hypothèse contestée que d’une vérité acquis
mais je ne puis méconnaître ni taire que vous errez. Partant avec une idée préconçue, vous avez choisi dans l’arsenal du som
Doué d'instincts généreux, désirant le bonheur de vos semblables, l’ idée d’un monde meilleur que celui-ci, où la souffranc
t aussi aisément par des créa- tions imaginaires, ou associations d’ idées , comme les rêves, les hallucinations, etc., auxqu
Anglais donnent à ce phénomène le nom de soustraction de pensées ou d’ idées , par opposition à communication ou transmission,
si fourni leur contingent. Et l’Espagne, jusqu’ici inaccessible à nos idées , a spontanément oiFert son tribut. -Si, passant
. La presse, dont l’opposition même servait à l’infiltration de nos idées , est restée presque muette cette année. Absorbée
endre ses sens. Quand tout fut achevé, il dit qu’il avait seulement l’ idée d’avoir senti quelque chose céder dans l’intérieu
par la magnétisation générale, tombé dans un profond sommeil, aucune idée ne m'est restée de ce qui s’est passé durant la t
magnétique. Je demande pardon à mon ami Coddé si je fais défaut à ses idées en m’ef-forçant d’être concis; mais je sais d’ail
Avant hier, ayant aperçu quelques contractions des lèvres, 011 a eu l’ idée d’introduire dans la bouche de la malade uu bouil
se qu’elle produit chez celui qui la boit n’est que le résultat d’une idée transmise par ce liquide. L’auteur de l’observa
et s’ils n’étaient pas souvent aveuglés par les stupides exigences d’ idées préconçues ou d'un amour-propre déplacé, ils ne t
ictimes de leur vanité ou des préjugés de leur époque, ont avancé des idées extravagantes. Souvent les sciences les plus absu
splan* talion des maladies dans les végétaux : ce n’est qu’un tissu d’ idées ridicules et superstitieuses qui n’offre aucun ra
maladie et en délivrer ces derniers. Van Helmont, grand partisan des idées de Paracelse, rapporte aussi plusieurs guérisons
orrompues. » La plupart des médecins hermétiques partageaient cette idée . Bacon admet (4) une sympathie de santé, de mêm
re d’une secrète terreur quand tout est en péril? Doit-on amasser des idées , lorsqu’à côté de vous 011 amasse des haîues, et
’il était un de mes propres organes. J’y implanterai, j’y semerai mes idées ; elles y germeront, et les faits de magie apparaî
t auteur. Mais comment faire une critique sur l’émission d’une simple idée jetée en passant? Nous devons nous borner à const
a seconde doit résumer la force active, créatrice qui communique et l’ idée et l’émotion. En cherchant à fixer, même grossi
ite de son entretien. Nous attendrons qu’il ait fini pour résumer les idées qu’il a émises sur ce double sujet. — On vient
mbulisme magnétique, et le magnétiseur a pu leur inoculer ses propres idées ? Il n’en est rien absolument; aucun précédent, au
e prise au milieu de ces débris antiques était conservée par moi sans idées préconçues, et au moment de l’expérience je n’y a
e, encore aujourd’hui , j’agis sans communiquer à qui que ce soit mes idées sur la magie. J’éloigne même toute conversation s
r rien de semblable à ce qui venait de se passer n’avait été dans mes idées . Non, non, il y a ici quelque chose qui dépasse
inspirations d’un homme de génie ; c’est qu’en cherchant à fausser l’ idée , ils en ont faussé le principe, qu’ils ont ainsi
t, de polarité, peut-être de polarisation. Cette théorie repose sur l’ idée fondamentale que le fluide magnétique est uniform
nne foi et de modestie, M. de la Sal-zède déclare ignorer si déjà ces idées ont été ainsi formulées, ajoutant qu’il sait enco
trouvé le mol, nous admettons comme très-rationnelle la substance des idées de l’auteur à l’égard des efíets libres produits
mple connu de la volonté humaine aux prises avec la nature;.... que l’ idée qu’il a eue d’enfermer dans le cercle d’une loi g
rs se rattachant par leur nalure propre à son adorable système, est l’ idée d’un homme de génie , l’œuvre merveilleuse d’un ê
ité, qui n’est que trop souvent trompeuse, abstraction faite de toute idée de supercherie, de tout soupçon de mauvaise foi.
ivre de M. de la Salzède suffit à faire apprécier dans quel ordre d’ idées cet ouvrage est conçu. Ce n’est point un traité d
e de Paris, qui sont toujours, et partout, les plus récalcitrants aux idées que leurs maîtres n’adoptaient pas) ; oui, ils éc
écompense de notre persévérance et de notre bonne foi, messieurs, nos idées , tant de fois rejetées, se produisent en même tem
systèmes de médecine doivent tomber dans l’oubli, et faire place aux idées que nous apportons , et qui semblent basées sur u
te terrible maladie, le ciel, je le crois ainsi, m’inspira l’heureuse idée de magnétiser mon malade. Entre neuf et dix heure
nt assurément aux préparations préalables. Je fais taire en moi toute idée qui ne se rapporte point à mon sujet même, et je
ourables, etc..... Comment, par quel mystère inconcevable les mêmes idées ont-elles pu prendre racine dans le monde entier,
mile Du Bois-Reymond, qui depuis six à sept ans travaillait après une idée , et avait enfin réussi à démontrer ce que personn
é par suite de la contraction énergique des bras, j’insiste sur cette idée , que l'existence d’un tel courant n’enlralnerait
lité absolue. « Dans son sommeil magnétique, tout était changé. Ses idées sur l’esprit étaient singulièrement opposées aux
il vous assurera qu’il fait tous ses efforts; non, il attend que les idées lui arrivent au lieu d’aller les chercher à leur
cité. Loin de là, le moindre examen suffit pour faire rejeter toute idée d’un semblable rapprochement. Le magnétisme dit a
de le retourner , de le pressurer pour tâcher d’en exprimer, non une idée , mais une forme nouvelle; travail éternel qui, à
ut donner de renseignements utiles, du moins on y voit un projet, une idée arrêtée, tout un règlement dont ils ne doivent po
ar leur sigularité. On peut voir, on effet, un individu atteint d’une idée fixe, d’une iolie momentanée , se condamner pour
’usage d’un membre; mais voir six individus réunis dans une semblable idée , et contre lesquels viennent échouer toutes les t
ance à tout jamais, ni porter un signe qui enchaîne noire esprit. Nos idées sur ce point peuvent être fausses; mais elles ont
ante. 11 élait quatre heures du matin; j’attendais. Tout-à-coup une idée lumineuse, fatidique, se lève en mon cerveau : le
à des faits de telle nature, mais peut être qu’on lui attribuait des idées et des choses auxquelles il n’avait aucunement so
erchant à signaler l’écueil. Car c’était vouloir donner une forme à l’ idée , c'était vouloir rendre sensible ce que Dieu voul
on qui ne pouvait aboutira rien d’important, si ce n’est de fixer les idées des chercheurs. Nous continuerons de dire aux sav
faits a été soumise aux appréciations les plus diverses, suivant les idées scientifiques et les préjugés de chaque époque.
e la nomme pas ; mais il se charge de lui remettre une réponse. Cette idée me séduit : le somnambule s’imposait nécessaireme
e dont nous allons rendre compte est d’une importance majeure par les idées qu’elle fait naître, par le dévouement qu’elle si
oute, pour quelques hommes qui d’abord osèrent soutenir Mesmer et ses idées . Maintenant la voilà , cette vérité brillante et
préjugés, il ne cessa pas d’entretenir scs deux pénitentes dans leurs idées extravagantes. Les exorcismes avaient d’abord lie
de recourir à une multitude de sources difficiles à consulter. Les idées les plus élevées sur la philosophie, la psycholog
convulsionnaires du cimetière de Saint-Médard nous donnera une juste idée des prodiges que peut enfanter une imagination su
andis que le centre cérébral est au contraire fortement tendu sur une idée fixe), qu’on peut enfoncer des épingles, de longu
, et nous pourrions dire toutes les apparences de la vie, les fausses idées nées dans vos esprits sur tout ce qui est supérie
ulgaire. L’homme ne s’est donc rien donné : il a tout reçu ; et les idées saines qu’il peut avoir des choses, il les doit à
e à être entenduc'qu’après qu’une sorte d’éclosion a eu lieu dans les idées par la transmission de l’idée-mère venue du cerve
ont en quelque sorte au novateur un reproche du peu de progrès de ses idées . Ceux-là n’ont point eu de vérité à répandre. Ils
certaine. Ce n’est point là la science; mais son ombre seulement; une idée lancée par les vapeurs du cerveau, assez puissant
des imposteurs, si le magnétisme existe, enfin, c’est tout un monde d’ idées et de faits qui contredisent toutes les assertion
s l’avenir, et réjouissez-vous en songeant an triomphe certain de vos idées . N’avez-vous pas déjà vaincu bien des obstacles,
Amis réunis de Strasbourg, a probablement donné au professeur Bush, l' idée de l’ouvrage que nous avons à examiner. Institu
risme s’est bien répandue, développée; une foule d’hommes dévoués aux idées humanitaires ont, par leurs travaux consciencieux
, il sc trouvera, peut-être, quelques propositions qui choqueront des idées reçues. Nous conjurons nos lecteurs, d^RS l’intér
ogrès de la science, de sc prémunir contre ce que nous appelons des idées arrêtées, et qui ont trop d’analogie avec dos pré
que de ses révélations, nous oblige, disons-nous, à exposer quelques idées des doctrines dont il fait précéder son travail.
e nombre, je place toute la hiérarchie cléricale. Chacun y a mêlé ses idées , ses opinions, ses erreurs. Que reste-t-il des vé
out ce qui précède, concluez et voyez. Nous bouleversons toutes les idées , détruisons tous les systèmes, et nous avons deva
s ne pouvaient pas ne pas être. Nous suivrons le développement de ses idées sur ce sujet. Ses leçons ont lieu le vendredi, à
, à ce qu’on nous assure, au magnétisme. M. Boulay, qui avait conçu l’ idée d’imprimer simultanément sur plusieurs couleurs ;
sieurs couleurs ; mais qui ne trouvait pas le moyen de réaliser cette idée , chargea M. L.-C. Lefebure, magnétiseur à I’aris,
voiler aux autres la lumière, lorsqu’on croit en être le foyer? Et l’ idée ambitieuse d’imposer ses tables de « la nouvell
83 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
al, a nettement exprimé, sur ce point, ce que l'on pourrait appeler l' idée régnante : «Quand, dit-il, la cavité articulaire
53. tieux prend d'emblée les caractères de la démence (Falret). Ces idées sont mobiles, contradictoires, absurdes, bien dif
oient ruinés, déshonorés, etc. b) Quelquefois, il y a association d' idées hypochondriaques ; crainte de mourir, ils s'imagi
pillaire, etc. 3° Variété paralytique, caractérisée par l'absence d' idées délirantes ; alors seulement des modifications pr
nt d'une main, des lèvres, un embarras temporaire de la parole et des idées , une aphasie transitoire, etc. C'est cette vari
ceci, Messieurs, c'est qu'il ne faut pas s'arrêter sans critique à l' idée juste pour l'immense majorité des cas, que le sco
mille. C'est de l'hystérie qu'il s'agit, et rien que de l'hystérie; l' idée d'une lésion organique intra-crânienne quelconque
s efforts. Et ceci, Messieurs, est un fait bien de nature à écarter l' idée d'une simulation ; je doute qu'une personne résol
lement imprimés; qui, par conséquent, lorsqu'il s'agit d'exprimer une idée par un signe du langage, évoquent Y équivalent vi
tituent l'une la surdité, l'autre la cécité verbales. Ainsi, quand, l' idée étant présente, on ne peut évoquer soit l'image a
'est peut-être le plus grand nombre, — lorsqu'il s'agit de traduire l' idée par le signe correspondant, évoquent exclusivemen
u contraire, l'absence de l'élément visuel, dans la constitution de l' idée , paraît être un dommage désormais difficilement r
ent, soit les pratiques religieuses excessives, soit, dans un ordre d' idées connexe, le spiritisme et sa mise en œuvre. 11 su
passe l'imagination. Rien n'est mieux prouvé, cependant, et c'est une idée à laquelle il faudra se faire. Gela viendra, comm
diffusion des maladies relatives à l'hystérie chez l'homme : c'est l' idée relativement fausse que l'on se fait en général d
, se sont montrés stables, permanents, et combien peu cela répond à l' idée fausse, par trop de généralité, qu'on se fait en
sista les jours suivants; de plus, nuit et jour, il était tourmenté d' idées noires. Il croyait à chaque instant voir de nouve
culaire aigu qui l'avait tenu au lit, pendant cinq ou six semaines. L' idée nous vint, en conséquence, tout naturellement, qu
l'intensité des troubles de la sensibilité, permettaient de rejeter l' idée qu'il s'agissait là d'une de ces paralysies, bien
es caractères de cette monoplégie si parfaitement propre à l'étude. L' idée me vint alors que, peut-être, en agissant sur l'e
nées sous le nom de paralysies psychiques, paralysies dépendant d'une idée 1. J. M. Charcot, Lezioni cliniche delV anno sc
s certaines circonstances, une paralysie pourra être produite par une idée et aussi qu'une idée contraire pourra la faire di
nces, une paralysie pourra être produite par une idée et aussi qu'une idée contraire pourra la faire disparaître; mais eutre
vulgaire — de faire naître par voie de suggestion, d'intimation, une idée , un groupe cohérent d'idées associées, qui s'inst
par voie de suggestion, d'intimation, une idée, un groupe cohérent d' idées associées, qui s'installent dans l'esprit, à la m
hénomènes moteurs correspondants. S'il en est ainsi, on conçoit que l' idée inculquée étant dans une expérience de ce genre,
hypnotisé et de lui communiquer par quelque procédé que ce soit, une idée quelconque, fl n'en est plus de même dans les deu
rgane des fonctions psychiques. Ainsi, on pourra y faire renaître une idée , un groupe d'idées liées entre elles, par associa
s psychiques. Ainsi, on pourra y faire renaître une idée, un groupe d' idées liées entre elles, par association préalable.Mais
vement communiqué; tout le reste demeurera endormi. En conséquence, l' idée ou le groupe d'idées suggérées se trouveront dans
out le reste demeurera endormi. En conséquence, l'idée ou le groupe d' idées suggérées se trouveront dans leur isolement à l'a
dans leur isolement à l'abri du contrôle de cette grande collection d' idées personnelles depuis longtemps accumulées et organ
euls le geste, l'attitude que nous imprimons au sujet lui suggèrent l' idée que nous voulons lui transmettre. Lui ferme-t-on,
discussion préalable. Ajoutons que les mouvements en rapport avec les idées suggérées sont, en conséquence, souvent très comp
jet, la simple vue de celui-ci réveillera en elle un certain nombre d' idées en rapport avec la nature de l'objet, et ces idée
n certain nombre d'idées en rapport avec la nature de l'objet, et ces idées s'objectiveront en quelque sorte fatalement, sous
e existence réelle au point de mettre enjeu la série correspondante d' idées et de mouvements : enfin, et d'une façon plus par
ne-rez-vous point de voir qu'en inculquant à un sujet somnambu-lisé l' idée d'un état morbide, par exemple de l'impuissance m
cun des segments du membre. En premier lieu, je suggère à la malade l' idée qu'il lui est devenu impossible de mouvoir l'arti
nsidérée comme ayant fait naître chez ceux-ci comme chez celles-là, l' idée d'impuissance motrice du membre. Or, en raison de
dans l'autre cas, ainsi qu'on l'a imaginé, par le choc nerveux, cette idée une fois installée, 1. C'est très probablement
sur la seconde partie de notre traitement ; elle est fondée sur cette idée que nous vous exposions tout à l'heure, à savoir
1880. (Revue de médecine, 1881, t. I, p. 147.) 2. L'influence de l' idée sur le mouvement, dit M. Maudsley (Le corps et l'
sies imaginaires (?), due à une injonction énergique. Dans ces cas, l' idée du mouvement, la croyance qu'il aura lieu est, da
les nerfs appropriés, donne réellement lieu au mouvement externe. — L' idée d'un mouvement particulier, avait dit Slùller, dé
action d'inhibition exercée sur les centres moteurs corticaux, par l' idée fixe d'impuissance motrice ; et c'est. à cette ci
encement du traitement, agiraient dans le même sens. 1. Synonymie : Idée , conception du genre de mouvement à exécuter (Jam
nous ne trouvons dans ce premier examen rien qui soit contraire à l' idée d'une affection articulaire avec lésions plus ou
e, de la santé générale, ne s'accorde guère, on en conviendra, avec l' idée d'une affection arliculaire organique grave, data
si prononcée et remontant déjà à plusieurs années, de se dégager de l' idée d'une coxalgie organique qui aurait joué, en quel
ômes bien remarquable? Certains s'arrêteront peut-être un instant à l' idée , qu'en pareil cas, le mutisme est une conséquence
. Et, cependant, je suis forcé de dire et de redire, qu'à mon avis, l' idée de simulation n'est que trop souvent fondée, en p
re chez les individus en prévention judiciaire. L'entêtement dans des idées de simulation, insuffisamment motivées, pourrait
la parole ridée d'impuissance motrice d'un membre et qu'on voit cette idée se réaliser effectivement sous la forme spéciale
e du moi, il soit possible d'éveiller dans les organes psychiques une idée ou un groupe d'idées associées qui, en l'absence
ssible d'éveiller dans les organes psychiques une idée ou un groupe d' idées associées qui, en l'absence de tout contrôle, de
certain degré, feront naître, en quelque sorte tout naturellement, l' idée d'impuissance motrice du membre ; et cette idée,
tout naturellement, l'idée d'impuissance motrice du membre ; et cette idée , en raison de l'état mental somnambulique si part
i vont suivre m'ont paru suffisamment caractéristiques pour montrer l' idée que se font les auteurs auxquels ils sont emprunt
ycho-physiologique placé à l'origine des mouvements délibérés. « Si l' idée tend à produire le fait, dit M. Bain (Les Sens et
es Sens et l'Intelligence, trad. Cazelles, 1874, p. 298), c'est que l' idée est déjà le fait sous une forme plus faible. Pens
psychique naissant, qui constitue à la fois la tendance à l'acte et l' idée de l'acte, en un changement psychique positif qui
the nervovs System (1876, pages XX-XXXVII), M. II. Jackson adhère à l' idée de Bain, Wundt et autres, que notre « conscience
e. Nous avons ainsi une mémoire sensilive et une mémoire motrice, des idées sensitives et des idées motrices ; les idées sens
mémoire sensilive et une mémoire motrice, des idées sensitives et des idées motrices ; les idées sensitives étant des sensati
une mémoire motrice, des idées sensitives et des idées motrices ; les idées sensitives étant des sensations ravivées, et les
motrices ; les idées sensitives étant des sensations ravivées, et les idées motrices étant des mouvements ravivés ou idéaux,
que l'expression de « trouble trophique » n'implique pas fatalement l' idée d'une altération matérielle du système nerveux, a
ères, ce syndrome évoquera facilement chez un observateur attentif, l' idée de sa nature. Au surplus, on ne devra pas manquer
rvé nettement la notion visuelle de l'orthographe des mots ; mais « l' idée (motrice graphique) des lettres ne lui revenait p
dans l'écriture. Après quelque réflexion, on trouvera que toutes les idées qu'excite le mot proviennent d'une des quatre sou
visuel). » Comme on le voit, tout en donnant à ces deux sources de l' idée du mot une importance prépondérante, Hartley n'ex
chose que le schéma primitif de M. Charcot mis en place, se faire une idée de ces centres de mémoires partielles, des connex
e intérieur et peuvent, elles aussi, comme ces dernières, réveiller l' idée du mot. Mais la loi d'indépendance des centres
n du mot, suivant que, chez tels ou tels individus, la formation de l' idée du mot a lieu de préférence par un des mécanismes
84 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
des délices sans fin. » « Pour entretenir les jeunes sœurs dans ces idées , qui, on le voit, n’étaient pas toutes orthodoxes
l leur avait fait suivre, avait éveillé en elles des illusions et des idées d’orgueil dont l’esprit de malice s’empara pour l
font pas le moindre doute. Au moyen-âge, au xvn* siècle, on avait des idées , des croyances générales, officiellement, catholi
,si ce n’est de faire des aveux conformes à sa propre croyance, à ses idées personnelles, conformes aux desseins, à la volont
résistance, et je dirai pourquoi plus bas. Rien ne me retirait de l’ idée que je pouvais détruire ce que j’avais produit; a
est agréable, il se repose à l’ombre des cocotiers , tout effrayé à l’ idée que les fruits énormes suspendus à la cime de ces
a plus subtile qui existe et dont nous pouvons à peine nous faire une idée , il y a une série presque indéfinie de matières.
dé de vision. Personne, que je sache, parmi les magnétistes, n’a eu l’ idée de lui fixer une limite ; en tous cas , ce ne son
s somnambules, et de traiter d’illusions tout ce qui peut choquer des idées arrêtées ou des systèmes. Il ne faut point traite
de répondre à vos questions d’une manière opposée ou non conforme à l’ idée que vous vous étiez faite des phénomènes sur lesq
re le champion de ses doctrines ; j’ai exprimé simplement mes propres idées , et je les donne pour ce qu’elles valent. Je vo
s’ils,sont bien réels., sont appçjés à modifier considérablement les idées que la science s’est .formée jasqu’ici de l’impén
e dans le N. E. Spiritua/ist du 26 septembre 1857, va vous donner une idée du phénomène. . Rutlanil (Vcrmont), lo 15 septe
t passé awtoar «telui. On comprend dès lors qu’un médium, frappé de l' idée préconçue que sa main va être l’instrument passif
nation du langage sans lequel nous ne pouvons concevoir nettement les idées , et pour peu que l’esprit s’exalte, nous nous fig
us nous bornerons à apprendre à nos lecteurs que M. Girard adopte les idées de M. de Mirville et croit, comme lui, que c’est
lapotement qui se fait au milieu de l’air et non contre un objet. Les idées , les noms propres sont alors souvent clairement e
me faire résister à toutes ces e insinuations, et vous aurez quelque idée des rages, des fu-« reurs et des murmures où la n
va où son destin la conduit. Je sais à n’en pouvoir douter que les idées de la femme enceinte influent puissamment sur son
es, autant de sentiments. Le sens commun consiste dans l’ensemble des idées admises par la majorité des hommes; il change don
exaucé cette faible prière. Un beau jour, c’était le 1" août 185(5, l’ idée vint à l'auteur d’essayer si les esprits pouvaien
Non, sans doute. Il n’est pas possible qu’après avoir analysé les idées des Chinois, des Indiens, des Perses sur les hiér
sans ce préoccuper de cette question, fait le plus pompeux éloge des idées grandioses qui y sont exposées, de la hardiesse d
’esprit du médium, dans l’état anormal relatif, reçoit généralement l’ idée confusément, attendu que l’esprit qui la lui tran
ent des dictées spiritualistes, tout ce qui ne s'accorde pas avec ses idées . Ainsi l'esprit de saint Louis ayant enseigné l’é
nce vitale, à la formation de ces mêmes organes , sans lesquelles les idées ne peuvent se produire? « 11 est certain que l’
e sublimité inouïe; il faut les entendre pour pouvoir s'en former une idée . Un soir, j’ai demandé l’esprit de ('.harminy île
l’on intente au spiritualisme vient de ce qu’on s’est fait de fausses idées sur les esprits et leur situation. On leur a.prêt
n° 5 du journal, r On n'ira plus aux écoles de médecine chercher les idées systématiques de nos illustres professeurs sur le
recherchent les ouvrages de peu d’étendue «pi peuvent leur donner une idée du magnétisme , retracer les principaux faits his
t ainsi plus brillante la lumière de la vérité. A celui-ci donc les idées spéculatives, les théories et les systèmes; à cet
ainte, l’homme est libre, et nul ne peut s’opposer à l’émission d’une idée ou à la production d’un fait. La vérité comme l’e
tisme dans les familles, était donc urgente. Repoussée d’en haut, l’ idée de Mesmer s’est adressée aux masses, et les masse
isait : «C’est par dessus le monde matériel qu’existe cette masse d’ idées éternellement flottantes, dont les combinaisons e
on ! à la concorde I Paul Auguez. Ce toste, qui exprimait les mêmes idées que celles de M. de Maldigny, idées tendant à éle
Ce toste, qui exprimait les mêmes idées que celles de M. de Maldigny, idées tendant à élever l'homme dans des régions supérie
ue d’un véritable artiste rendit et lit saisir par tous les cœurs les idées exprimées par M. de Maldigny. M. de la Chesneraye
faisceau tous ceux qui concourent au progrès de la même cause. Cette idée , vous le savez, est celle qui a présidé à la form
que chose d’imposant et de grandiose ; l’intelligence, le savoir et l’ idée s’y trouvaient réunis. On pouvait juger que ce gr
s séances publiques et dans la propagation, sur une grande échelle, d’ idées qui, chez un autre peuple, ont causé une grande a
uer de rencontrer des cas de lucidité qui le forceront à modifier ses idées et à reconnaître que le somnambulisme ouvre l’ent
dans l’esprit du lecteur. Quoi ! messieurs, vous reconnaissez que les idées de Bodin ont été partagées par les plus beaux esp
st parvenu à se débarrasser qu’avec peine, répondirent à son appel. L’ idée la plus essentielle qu’ils lui inculquèrent fut c
é une forme animale inférieure? Porphyre, qui admet, conformément aux idées de Pythagoreet de Platon, que'les âmes passent su
les jours par le seul fluide magnétique. Mais, sous ce rapport, les idées fâcheuses et erronées de notre auteur sont loin d
générai, us sont tous à peu près d’accord. Seulement ils se fout une idée plus vraie que les premiers de la nature des espr
part cette divergence et cette rectification dans la conception de l’ idée d’esprit due aux nouveaux spiritualistes, ils nou
ile Bertrand a publié lin grand nombre d’ouvrages pour développer ses idées sur les destinées du genre humain : il veut régén
-dire l’être humain complet... (l’est sans doute pour nous donner une idée de notre puissance collective, que la Providence
uneste et désolant égoïsme. » M. Bertrand , précisant davantage ses idées , attribue le mouvement des tables à l'influence d
aduit par la relation des tables , appartient surtout aux hommes de l' idée , c’est-à-dire aux personnes éminemment religieuse
n de notre terre, que l’imagination de l’homme ne peut s'en faire une idée ... Nous sommes instruits que, quand nous quittons
ontient de bonnes choses parmi un tas d'erreurs. Ils nous donnent une idée de la création qui est bien éloignée de celle de
pas sourd; il est tout à fait imbécile. Vous pourrez vous former une idée de son idiotisme, si je vous dis qu’il est même p
ur-jiai L'Union, qu’on ne lira pas sans intérêt : c’est un ensemble d’ idées et de faits qui conduisent sur le chemin que nous
lation du sang. Je discute volontiers les mots : ils représentent des idées , et les idées gouvernent le monde. «Ne croyez pas
. Je discute volontiers les mots : ils représentent des idées, et les idées gouvernent le monde. «Ne croyez pas, disait Bossu
cela vous vous exposez à inculquer dans l’esprit de vos lecteurs des idées inexactes, fondées sur des analogies forcées, inc
s publions offre, à ce point de vue, un intérêt tout particulier. L’ idée du viol n’entraîne pas toujours l’idée d’emploi d
intérêt tout particulier. L’idée du viol n’entraîne pas toujours l’ idée d’emploi de la force brutale. Il suffit que la vo
nner comme simple hors-d’œuvre (notes A, C, J), et voyons en quoi les idées qu’il exprime se rapprochent ou diffèrent de cell
te A, page 360), au sujet de la transmission de pensée : « Pour que l’ idée soit transmise, on conçoit qu’il est de rigueur q
montré que les meubles (puisque meubles il y a), articulent aussi des idées et des faits complètement inconnus des expériment
iment est bien différent, et nous avons dans nos écrits soutenu cette idée , que la médecine des écoles ne sera un jour que l
possède le triste don de connaître tous les secrets du cœur! » « Mes idées se troublèrent tout-à-fait. « Mais vous êtes do
de phrases, les cerveaux creux, tous ceux enfin qui, n’ayant point d’ idées , ont tout juste la force, assez commune pourtant,
ces exemples nous Servent au moins de leçon. Ne donnons pas à chaque idée nouvelle notre enthousiasme et notre appui, mais
l’é-lectrophore dans une autre chambre. On voulut enfin se faire une idée de la manière dont cet instrument agissait, et l’
je désirais qu’ils eussent, en ne me rendant pas compte du désordre d’ idées où me jetait la crainte d’un mal peut-être irrépa
il convenait à chaque siècle d’appeler la vérité ; il croyait que les idées humaines recevaient de chaque époque des formes d
e de faire une enquête, et tous les membres qui la composent, ont des idées préconçues qui ne leur permettront pas de se livr
stant. La description de ces singuliers phénomènes ne peut donner l’ idée de ce qu’ils sont, il faut les voir ou être affec
r les municipaux. Fuir au moment de la lutte, c'est donner une pauvre idée de leurs forces, cela équivaut presque à signer l
les moyens de se manifester. » Le lecteur trouvera sans doute que ces idées gagneraient à être exprimées en termes plus clair
un manuel qui pût guider dans les cas les plus ordinaires. Quant aux idées systématiques de l’auteur, il se borne en gén
un long sommeil; des hypocondriaques, des mélancoliques, perdre leurs idées de tristesse et leurs rêveries, lorsque leur somm
nouvelles et des règles de pratique ; il sera bien propre à fixer les idées sur les propriétés merveilleuses de l’âme humaine
gner une par mon travail ; cependant je veux devenir riche, c'est mon idée bien arrêtée. Je ne voudrais employer pour cela q
s. Chacun appelle bon l’Esprit qui lui apporte la confirmation de ses idées , mauvais celui qui les contredit. A quoi servir
r une vérité. Si, au contraire, les médiums ne font qu’exprimer leurs idées et celles de leur entourage, le grand nombre des
May Kalhammer, et en produit de longs extraits qui donnent une pauvre idée de l’intelligence des Esprits en Allemagne. ( S
e mettre en rapport, une vieille fille qui se sent rougir rien qu’à l’ idée qu’on pourra lui répondre sur ce qu’elle pense.
ou trois coups frappés très-fort à la tête de mon lit. Aussitôt cette idée jaillit en quelque sorte dans mon esprit, c’est q
sme au théâtre, ce qui prouve combien sont maintenant vulgarisées des idées qui naguère paraissaient si étranges. Dans l’opér
ristianisme jeune, plein de sève, n'ayant pour arme que la force de l’ idée , lutte contre le paganisme décrépit, impuissant m
que le magnétiseur avait reconnu pour être doué de la suite dans les idées nécessaire pour interroger, fut mis en rapport av
es me quittaient à la fois, et cependant j’étais maître de toutes mes idées et j’observais attentivement ce que j’éprouvais.
cé à l’Académie? quelle éloquence, quelle verve , quelle profondeur d’ idées , etc., j’en suis tout ému ! lit ce père X..., dan
. Il nous faut donc un plan d’études commun et faire table rase des idées préconçues, de nos croyances antérieures, et ne v
ord que le fait sans en tirer aucune conséquence; nous vivons sur les idées de nos pères, sans chercher s’ils étaient dans l’
umulation de matériaux épurés, il se fait reconnaître par ses grandes idées ; architecte divin, il élève l’édifice et rejette
ns ce sens. Qu’est-ce en effet que quelques années, quand il s’agit d’ idées ? M. de Reichenbach a publié vers 1851, si nous ne
it sa nature. Le mot lui-même, par son étymologie, contiendrait l’ idée de l’unité de force. Od, si l’on en veut croire
les érudits, que nous ne citons ici que pour mieux faire comprendre l’ idée du physicien qui a adopté cette appellation , Od
organiques. Mais voici qui les rapproche singulièrement des premières idées de Mesmer. Ces pôles, que nous voyons se manifest
ublié, mais ce que je me rappelle très-bien, il me vint tout à coup l’ idée bizarre de le lancer dans la rivière, et l’id:e,p
médecin commençait à désespérer de son malade. Heureusement il eut l’ idée de changer de régime, et il lui administra une fo
encore sur la méthode que j’ai suivie. Je me suis pénétré d'abord des idées des magnétiseurs le plus en vogue, et, sans préve
de côté tout ce qui n a point rapport à notre tâche, le mouvement des idées , philosophie , littérature, les beaux-arts , et n
ci de la vie des hommes. Mais une Ibis reconnue bonne et utile, toute idée nouvelle devrait être franchement, au préjudice m
térialisme théorique et pratique, par le docteur Vitteaut. Examen des idées de l’auteur, en ce qui concerne le magnétiame et
85 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
que instant, et ce caractère est déjà tout à fait en rapport avec l' idée d'hystérie. 16 CLINIQUE NERVEUSE. Nous veno
s il est encore un fait plus important à relever en faveur de cette idée et qui convaincrait les plus sceptiques, c'est
s, mais à des myélites à la fois systématisées et diffuses. Cette idée des myélites mixtes, déjà émise en 1882 dans la
tion que nous donnions nous-même du fait produit, laissait percer l' idée d'une origine purement mécanique, sans que la v
ourru et Burot '. Pour le démontrer d'ailleurs, l'un de nous a eu l' idée de provoquer par suggestion le transport de la
ns présentant une série de phénomènes dont la suscription donne une idée suffisante (longue observa- tion). Voici le rés
e chez une demoiselle de trente-deux ans. Hallucinations de l'ouïe. Idées de persécution entées sur des idées de grandeur
ans. Hallucinations de l'ouïe. Idées de persécution entées sur des idées de grandeur. Période d'abstinence absolue 1 Voy
e entraînerait des troubles trophiques et provoquerait de nouvelles idées délirantes, parce qu'antérieurement un épisode
vation Il. - Folie systématique chez une femme de trente- huit ans. Idées de persécution greffées sur des idées de grandeur
ne femme de trente- huit ans. Idées de persécution greffées sur des idées de grandeur. Abstinence incomplète de vingt-hui
y a sept ans, agitation due à des hallucinations de l'ouïe et à des idées de persécution. Gâtisme. Il y a six ans, première
pure; 2° que la mélancolie et la dépression doulou- reuse avec les idées délirantes qui l'accompagnent et l'affectivité
ante ans, atteinte de mé- lancolie avec hallucinations de l'ouïe et idées de suicide. En 1882, on commença le traitement
ctérisée « par de l'exaltation. - 2° Mais cette exaltation dans les idées « fausses se rencontre également dans divers ty
ule tran- « cher la question. - 4° Dans l'alcoolisme chronique, les idées « d'exaltation sont habituellement fixes, const
quatre cas, les troubles intellectuels étaient caractérisés par des idées de grandeur, variables dans leur nature et dans l
intellectuels caractérisés surtout par de la mélancolie religieuse ( idées de possession, de damnation éternelle, etc.); p
THOLOGIE MENTALE. 73 XX. IMPEl\FECrlll : \ mentale congénitale avec idées DE persécution chez DES jumeaux; par T.-VV. Ai4
re une forme de délire absolument identique et caractérisée par des idées de persécution greffées sur un état d'imbécilli
t avoir eu deshallu- cinations de la vue, incapable d'enchaîner ses idées , de répondre aux questions, de dire son nom. Tr
XXIII. Contribution A l'étude DE l'incohérence ou DÉSORDRE dans LES idées hallucinatoire aigu; par E. KONRAD. (Arch. f. Psy
. XII. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. etc...; les actes et les idées sont d'une incohérence notoire due à la multipl
malade s'incarner dans la peau de grands personnages, émettre des idées de grandeur et de persécution, désordonnées, conf
rs passagères (Ohs. 1) à l'occasion d'asso- nances, d'association d' idées quelconques, puis subir les effets de l'hyperid
nten- ' site, étendue; il faudrait donc rayer du langage le terme d' idée fixe, même dans les cas de conceptions irrésist
s, de folies systématiques, de délires partiels; certes, alors, les idées déli- rantes tournent dans un même cercle, mais
pression des faits décrits par les aliénistes allemands modernes, l' idée contenue dans le mot usité par Mayser, Griesinger
, affectant la forme d'agitation ma- niaque, avec désordre dans les idées , idées de persécution basées sur des hallucinat
tant la forme d'agitation ma- niaque, avec désordre dans les idées, idées de persécution basées sur des hallucinations mu
e temps, l'auteur fait des conceptions délirantes, c'est-à-dire des idées de persécu- tion fugaces de l'alcoolisme aigu,
ion 1 Voy. Archives de Neurologie. 92 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. d' idées simples exigera, dans le même ordre : O,iO; 0,23;
d les forces vives de l'intelligence ont diminué, l'association des idées se fait plus vite; si à l'affaiblissement intel
? L'hémianesthésie sensi- tivo-sensorielle serait en rapport avec l' idée d'une lésion de la partie postérieure de la cap
l'expression de « trouble trophique » n'implique pas fatalement l' idée d'une altération matérielle du système nerveux,
une façon très imparfaite, il lui au- rait été impossible, si cette idée lui était venue à l'es- prit, d'être affirmatif
itabilité électrique (malgré l'atrophie extrême) permet d'exclure l' idée d'une névrite chronique multi- loculaire et de
s) du tabès se sont, chez ce patient, montrés sous l'influence de l' idée qu'il allait être en proie à cette affection et
itude remarquable, ce qui confirme encore le diagnostic et exclut l' idée d'une lésion des centres nerveux. L'auteur insi
ditaire névropathique, de syphilis, en proie à du désordre dans les idées , qui en un mois présenta une para- lysie atroph
. L'absence d'ictus jointe à la consta- tation du marasme élimine l' idée d'une hémorrhagie ou d'une embolie. Le développ
le mémoire de 1\1. Déjerine; M. Westphal revendique lapriorité de l' idée ; il ajoute qu'il a jadis conclu négativement, du
e peut trouver les mots qui lui sont néces- saires pour émettre ses, idées .Le troisième jour des convulsions, les accident
le mieux à la nature des sujets. Le système, qui ne poursuit que l' idée de punition, ne peut jamais s'attendre il modif
'à Paris elle comporte 5 à 8 p. 100 (Magnan et Bouchereau). De là l' idée de dresser une statistique relative au genre de
ation qui eut lieu en 1881 et ne dura que cinq semaines (quel- ques idées de persécution concomitantes), on a eu sous les y
s la psychopathie com- mence par une courte agitation accompagnée d' idées délirantes mélancoliques, puis s'effectue une r
ière observation, d'accès vertigineux; puis, agitation modelée avec idées de grandeurs mobiles et fré- quents changements
la lypémanie animée, la cannabinone n'a exercé aucun effet sur les idées délirantes, n'a pas calmé les patientes (Voy. R
dire que les administrations n'ont pas paru jusqu'ici se faire une idée exacte des besoins, et se préoc- cuper, non pas
appartenant qu'aux femmes. La confusion qui s'est introduite dans l' idée qu'on se faisait de cette maladie vient évidemm
choisi IçTEPf4Ç, nom qui lui avait été donné par suite de la fausse idée que l'hystérie était causée par des maladies de
sa naissance, ce qui est assurément une exagération, mais donne une idée delà force dusujet. La croissance fut normale j
tiques, dans le service dur Hughlings Jackson. Son facies donnait l' idée du myxoedème, sa peau était translucide avec une
rents et est agitée. Toutefois elle n'aurait point eu à ce moment d' idées de suicide. Troisième accès. - Sortie le 9 octo
spect, même physionomie, mêmes propos. A ce moment apparaissent des idées de suicide, qu'elle essaie de motiver en disant
e service avec une autre malade, K..., hantée, elle aussi par des idées de suicide; cette dernière était pour ce fait la
elle demande sa sortie. « J'étais venue ici, nous dit-elle, avec l' idée de ne plus en sortir et de ne plus rien faire ;
s environ. Cette suppuration ne s'est point montrée à droite. Les idées de suicide ont complètement disparu ; la malade n
sortie. Mardi 7. - L'état général n'a pas changé ; seulement les idées d'indignité semblent revenir, et la malade ne d
de ne pouvoir le faire elle-même, et ne pouvant se mettre dans l' idée que ce jour arrivera jamais. Les douleurs dans
e, et répète les mêmes propos qu'avant sa tentative; néanmoins, les idées de sui- cide paraissent disparues. A partir d
tho- logie à l'université de Londres, garantira mon opinion que l' idée généralement reçue sur ce sujet est sans fondemen
e ci-dessus décrite, ont un intérêt général et fournissent quelques idées qui ont leur utilité pour les cas à venir. Peut
épileptoïdes. M. Kuoepelin (de Dresde). Du désordre confus dans les idées . Les caractères sont principalement : l'incapac
ons de la vue, mais sans qu'elles prédominent. Un désordre dans les idées intermédiaires est cons- titué par cet état des
raly- tiques généraux, dans le délire fébrile. Le désordre dans les idées intellectuel a pour symptômes : une succession
les idées intellectuel a pour symptômes : une succession pressée d' idées passagères dans laquelle, à la place de l'évolu
conception représentative, on remarque une série d'associations, d' idées enchevêtrées et, partant, confuses; ou bien on as
oute perception éveille irrésistible- ment les suppositions, et les idées délirantes les plus embrouillées, les plus fant
times et les émotions; ainsi se produit le désordre émotif dans les idées , forme bien proche parente du désordre délirant.
ces syndromes, plutôt épiso- diques,il existe un désordre dans les idées avec incohérence, tout secondaire, dans lequel
er), et finalement un dé- sordre stéréotypé. Le désordre dans les idées est, du reste, un trouble de l'intelli- gence q
hérents dans leurs actes, non parce qu'ils ont du désordre dans les idées , mais parce que la nature de leur délire leur don
e agissent parfois aussi comme s'ils avaient du désordre dans les idées , parce que leur volonté ne se transmet plus physi
ète de ce traité spécial ; nous nous contenterons d'avoir indiqué l' idée qui y préside. Dans une première partie M. Nothna
ncipales parues depuis sur la matière. Signalons enfin l'excellente idée qu'il a eue de joindre au texte un atlas d'anat
aits de ce genre ont un intérêt, au point de vue de l'influence des idées religieuses, sur la pro- duction de la folie.
ations du délire), 377. Pédoncules cérébelleux, 107. Persécution ( idées de), 73. Pinéale (tumeur de la glande), 228.
86 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
S. § I. — besançon. — (2e article). Lorsqu’un cerveau est plein d’ idées , vraies ou fausses, des choses de ce monde ou du
e. Il faut l'investir d’abord, y lancer des projectiles, qui sont les idées nouvelles , détruire quelques edi-lices, se créer
monde ? Si l’Allemagne conçoit, la France proclame. Chasseresses d’ idées , la Germanie et la Gaule sont deux nobles sœurs é
nètre, et cherche à les faire comprendre par des vers qui rendent ses idées . Quelle que soit la forme qu’il emploie, citons-l
plus étendu encore, de plus surprenant : ils peuvent vous donner des idées exactes sur le magnétisme. On doit alors les inte
er, corps et âme, cœur et tête. Il y » a entre eux deux corrélation d’ idées , d’espérance et o de désir. Si le magnétiseur veu
élevé. La stérilité du médecin, du philosophe, du prêtre, vient des idées fausses qu’ils ont de Dieu et de la nature. Le
re intelligence, l’appeler à soi, lui communiquer ses sentiments, ses idées , qui donc oserait nier sur nous l’action de l’int
ir. Un souffle léger, un courunt d’air frais peut assez bien donner l’ idée de ce que l’on éprouvait en approchant d’un petit
s des rapprochements sur le magnétisme qui indiquent l’avancement des idées des hommes qui la dirigent) ; la Gazette des Bain
r un seul mot non défini : l'inflammation. Ce système, opposé à toute idée de physiologie, s’appelait, par euphémisme, médec
, sur l’invitation de l’auteur, ordonne à la somnambule de donner une idée du fond et de la forme. Je ferai observer à ce
tes expériences déjà connues, mais qui, variant à l’infini, selon les idées de l’opérateur et les dispositions morales des pa
nd, parce que le plus faible phénomène magnétique présente avec lui l’ idée de la Divinité, dont l’homme possède une émanatio
u’en faisant annoncer cette dernière par la presse je n’ai point eu l’ idée d’une provocation, mais seulement celle de faire
que nous ne naissons pas au sein d'une société qui a ses moeurs, ses idées , ses ridicules? Est-ce que toujours le temps et l
que nous n’y avons point vécu et que nous ne comprenons pas bien les idées qui faisaient agir nos devanciers. Dégageons-nous
semble absolument à celle de tous les homme? qui,, « en combinant des idées fories et d’une vaste étendue, « sont arrivés à u
se à scs longs travaux? Non ; il voulait seulement le triomphe de ses idées au profit des nations. Et comment le voulait-il c
ndonne; on s’aperçoit qu'action sur et par les nerfs n’implique que l' idée d’un phénomène, exprime un moyen sans indiquer la
rieuse aujourd’hui que do retrouver dans les manuscrits do Mesmer les idées que fit naître en lui notre première révolution.
et sur les objets qui intéressent essentiellement leur bonheur. Les idées vagues et indéterminées qui mettent l'homme en co
ts qu’il faut que les hommes s’entendent, et que les principes et les idées en soient invariablement déterminées et tellement
hangement que toute action produit, et leurs rapports, nous donnent l’ idée du bien et du mal moral. Les diverses relations
et pour faire fleurir lagricul-culture et les arts, j'y ai ajouté des idées sur la division des successions. Je propose aus
les principes. Ce n’est que par la conformité des principes et des idées que les hommes se rapprochent de l'égalité possib
isme une bonne et sévère justice. Ce journal, qu’on dit favorable aux idées nouvelles, est comme les autres : il se repent d’
use confusion. « Tant il est vrai qu'il faut étudier à fond et sans idée préconçue, sans préjugé secret, avant de se mettr
réfine, et enfin tombe dans la conscience, où elle se spiritualise en idée . Après avoir reçu l’impression du inonde extéri
en pénétrant dans l’œil et conduite au cerveau, s’est transformée en idée , la première, en rayonnant dans l’espace , se mod
t cette impression, communiquée à la conscience, se résout de même en idée . Ces irradiations de la lumière spirituelle pro
force réactive est énergique, mettent la conscience en pos session d’ idées plus ou moins claires, plus ou moins confuses, se
ive, c’est pour n’avoir fait des vérités qu'elle nous livrait quo des idées innées, des principes rationnels , des catégories
ur logique irrésistible. Si nous ne pouvons voir le monde que par les idées qui nous le représentent médinlement, nous ne le
médinlement, nous ne le voyons réellement pas, nous ne voyons que nos idées , nous ne touchons, nous ne semons que nos idées,
ous ne voyons que nos idées, nous ne touchons, nous ne semons que nos idées , nous ne sommes sûrs que de l’existence de nos id
e semons que nos idées, nous ne sommes sûrs que de l’existence de nos idées ; le monde extérieur n’est pour nous qu’une idée.
l’existence de nos idées ; le monde extérieur n’est pour nous qu’une idée . Pour sortir de ce cercle vicieux qu’avait rivé
prend conscience de lui-même immédiatement, sans l’interposition des idées repiésenlatives el antérieurement à leur formatio
nt une science pour un esprit méthodique, c’est un ensemble informe d’ idées inexactes, d’observations souvent puériles, do mo
r qu’au moyen des parties contiguës qui servent à rapprocher les deux idées extrêmes du plein et du vide parfait. La résist
vation et de résister à tout ce qui lui est contraire, d’où résulte l’ idée du bien et du mal. Le bien physique ou naturel
urelle qui jusqu’alors m’avait soutenu commençait à m’abandonner; mes idées se troublèrent, des formes étranges vinrent danse
s eût cessé : tous les regards étaient fixés sur moi. Tout à coup une idée terrible traverse mon esprit, un éclat de rire co
éâtre, dans une assemblée politique, en un mot tontes les fois qu’une idée belle ou généreuse, frappant les esprits ou remua
apoléon, consacrent une hospitalité réciproque; par l’échange de deux idées qui réveillaient un enthousiasme de même origine,
pour l’intelligence ne l’est pas moins dans la passion. Une charmante idée de Shaks-peare (Richard II) : • Bctter far off,
approchent, plus elles s’imposent réciproquement leurs goûts et leurs idées , leurs peines et leurs joies. Ce sont deux violon
it, à la rigueur, fournirait une preuve matérielle de l’association d’ idées et de sentiments qui peut, en quelque sorte, foud
où la tradition a placé la scène du meurtre de Malcom, et j’avais une idée que la chapelle du manoir était dans mon voisinag
tre devons-nous à celte fascination, issue de Shakspeare, la première idée des compositions les plus romantiques de Walter S
u de Paul et Virginie, d’un tableau ou d’un livre, d’un fait ou d’une idée , toute propagation réside dans l’ébranlement symp
vait le désir de tuer sa femme, consulté par une femme que poursuit l’ idée de tuer un de ses enfants, consulté par une autre
aussi le même penchant au merveilleux, la môme exagération dans leurs idées transmondaines. Un pays vierge, des forêts inacce
ur la terre aspire encore à celle de la tombe, et la nature a élevé l’ idée de la mort à l’extrémité des chagrins, comme Herc
circonstances qui ont provoqué la fascination. Ainsi le contraste des idées funèbres que le fait de la mort implique et des r
it ce quasi-adolescent, et cela était en clTet fort probable. J’eus 1 idée de magnétiser ce jeune homme(l);je le fis tomber
remarquer que jamais le magnétisme ne m'a mieux rénssi que lorsque l’ idée de l'employer m’est Tenue spontanément et pour ai
bules vraiment dignes de ce nom, parce que tous seraient l’écho des idées , le réflecteur des pensées «le leurs magnétiseurs
des, d’essais et d’observations que je suis enfin parvenu à fixer mes idées , à asseoir mes opinions sur le magnétisme. « J’
la théorie; cependant j’ai cru devoir réunir dans cette note quelques idées qui m’ont été suggérées par l’expérience et la le
ord, expressions dans ce cas toutes synonymes. On tirera contre ces idées quelques objections de la magnétisation mentale,
emarque chez presque tous les individus. Ayant maintenant donné mes idées sur la polarité du corps humain, il me reste à la
e du corps et pour chaque organe intérieur. Résumons maintenant les idées formant la base de ce travail, laissant aux étude
et la réussite complète de l’expérience donne à la malade une liante idée de la puissance magnétique, dans laquelle, plus q
s, soit des. personnes, soit des meubles, etc. Un jour il me vint à l' idée de magnétiser le flambeau et la bougie dans cette
ille des sciences et des arts ; que notre patrie accueille toutes les idées grandes, généreuses , utiles. Ainsi il recevra le
nants, éclairés et sincères, capables enfin de défendre les nouvelles idées et les nouveaux faits. Beaucoup de magnétiseurs l
nomme intellectuelles consiste : 1" Dans la facilité de former des idées claires et distinctes; >* 2" De les compléte
x objets, les comparer, les distinguer, et former lui-même toutes ses idées par sa propre expérience. Comme dans toute la n
bonne heure accoutumer l’enfant à embrasser de grands objets dans ses idées , tels (I) Partie des élude«. quo los montagne
considéré en société, est en relation avec les autres : 1" Par ses idées ; 2" Par ses actions. Pour exercer scs relatio
ses idées; 2" Par ses actions. Pour exercer scs relations par ses idées , il faut que l'homme ait des moyens de les commun
r le sable, à les modeler et ù établir des relations vraies entre ses idées et celles des autres enfants. Il faut apprendre
, de s'en servir. Cette langue, ayant pour objet de transmettre les idées , doit être exacte et précise. Il faut habituer
ice divine. Ce texte sera traité ailleurs, parce qu’il se lie à des idées abstraites et sert de base à toutes les religions
ours, ce qui confirme la propriété qu’ont les sels d’or do donner des idées de suicide, même à dose minime. Séance du 5 nov
ueurs d’un gouvernement paternel, en étouffant le mouvement libre des idées et des sentiments, jettent une sorte de voile sur
ient régénéré de l’électricité. » Tous les savants chérissent cette idée d’unité, d’identité des forces de la nature. Mais
pose, 'lout entier à ce qu’il fait, il ne cherche rien, car une vague idée le dirige; il ne croit ni ne doute, il ignore enl
, afin que je reconnaisse mon erreur et que j’avoue hautement que mes idées sont fausses. Mais ne voyez-vous pas, au contra
indifférent, je vous demande la permission de vous soumettre quelques idées que m’ont suggérées de récentes expériences d’att
emble, est variée à l’infini dans ses détails. En vous exposant ces idées , qui, je le crains, n’ont pas toute la précision
juge de leurs actions, et qui pourraient obéir à des caprices, à des idées fausses sans qu’aucun contrôle pût en rien les ar
87 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l ou l'opium, etc. La mère prenait 5 verres de café par jour. Pas d' idées noires. Accouchement à terme, normal, par le so
coupé de cauchemars. En même temps, son carac- tère s'altéra et ses idées prirent une orientation bizarre. Elle devenait
lue de fixer l'attention constitue le fond de son état psychique. Idées de grandeur : la malade s'imagineî;lre riche; il
t doit composer une pièce dont elle tiendra le premier rôle, etc. Idées de persécution : elle récrimine contre son mari e
voleur. Tous deux- la (lénigrenlauprès des voisins. etc ? lluclques idées erotiques, se traduisant surtout par des gestes
t au crible de leurs préférences personnelles. Il ne viendrait iL l' idée de per- sonne de dénommer cela un acte de justi
allucinations de l'ouïe qui persistent durant des années et par des idées délirantes de persécution, sans évolution, ni s
et cela à l'insu l'un de l'autre pendant près de trois ans. Toute idée de contagion, psychique pouvant être ici écar-
souvent des constipés, et c'est là quelquefois l'unique origine des idées morbides. La conclusion pratique a tirer de ces
nécessaire pour que par la suggestion on puisse le débarrasser de l' idée morbide de la douleur, de la paralysie, de la c
alysie, de la convulsion, etc., qui l'a envahi en lui substituant l' idée contraire de la guérison, de la santé. Mais il
ionnelle, un tic. etc., ou bien au contraire un acte psychique, une idée , une sensation ou une émotion morbides. Dans
stion elle fait même des révé- lations graphiques qui dévoilent des idées fixes subconscientes, SOCIÉTÉS SAVANTES. 61
nté, ainsi que le répètent des esprits peu observateurs on animés d' idées pré- conçues, la suggestion hypnotique reconsti
ions secondaires nouvelles ; et l'accaparement de tout l'être par l' idée religieuse a rendu l'âme musulmane accessible a
'hu- manité se repaisse ; il y voit la nécessité de présenter les idées abstraites sous des formes concrètes, pour les re
à tour la sug- gestion avec une insinuation mauvaise, avec toute l' idée acceptée par le cerveau, avec la seule influenc
n hérédité, sa constitution, sa sug- gestibilité, ses images et ses idées , ses hallucinations, sa théomanie, son intellig
dans tous les pays, un tel effort scientifique, un tel mouvement d' idées et d'opinions, que cette spécialité médicale s'
ladies mentales. Signalons entre autres les troubles de l'idéation ( idées délirantes, troubles de la mé- moire et de l'at
plus souvent de na- ture désagréable, fréquemment indépendants des idées ou des sentiments actuels du malade ; elles sur
tifs de l'ouïe et des hallucinations verbales inconscientes : les idées de persécution s'organisent, se précisent et se s
lus, mais quelle qu'ait été la durée de la psychose l'existence des idées de grandeur et la trans- formation de la person
gé qui s'accompagne, au réveil, de confusion mentale accentuée avec idées de préjudice, et réclamations formulées dans un
les médecins se mirent à hypnotiser les malades ; néan- moins les idées saines ne reparurent pas chez les hysté- riques
h Siemaxzko fut un célèbre médecin. Après avoir émis ces quelques idées générales, je tiens à présenter l'observa- tion
joue ces méchants tours, il me répond qu'il n'ajamais eu dépareille idée ; que d'ailleurs la crampe indolore le saisit si
rale. affaiblissement intellectuel. Projets extravagants. Insomnie. Idées délirantes de richesse. Inéga- lité pupillaire.
accrocs aux mots d'épreuve. A son entrée, le malade présentait des idées délirantes de grandeur caractéristiques. Il dev
rs affaibli au point de vue mental, il est en rémission quant à ses idées délirantes et il aide assez bien les infirmiers
sait et la plaie était en bonne voie de gnérison. Actuellement, les idées délirantes sont disparues. « Je croyais en effe
inte-Anne, une maison où on soigne toutes sortes de maladies. Pas d' idées délirantes de grandeur bien nettes : mais malad
ffection organique : par contre, la flexion dorsale n'élimine pas l' idée d'une paralysie organique. Le même réflexe RE
sidérer les phénomènes comme dus iL la réalisation extérieure d'une idée ou d'une image psychique née, à l'occasion, de
e se préoccupe beaucoup de leur état. Elle les embrasse, pleure à l' idée de s'en séparer, supplie qu'on les lui rende, d
vation, nous voyons un véritable cercle vicieux s'établir entre les idées délirantes et les réactions de la malade. Cette
- lante sur sa progéniture. Ce témoignage entretient de nouvelles idées délirantes qui produisent encore des réactions an
tc. On assiste aux différents congrès, on prend part à la lutte des idées , on revit en un mot toute la vie médicale europ
nne pendant la seconde moitié du dernier siècle, et cette revue des idées , des hommes et des choses, est aussi instructiv
nous montre ces manifestations comme résultant successive- ment d' idées délirantes, d'une attitude stéréotypée, de l'op
899, à (le 30 ans (service du Dr ? \1\gl(5), Pré- sente d'abord des idées de persécution, et fait une tentative de suicid
ieten. Interné pour la première fois à Cicèlre ;15,1( ? on note des idées de persécution et de suicide, du refus d'alimen
ncipaux symptômes et du l'alimentation. Novembre IS9S,- Symptômes : Idées de persécution, croit que son frère veut l'empo
un mouvement. Elle étaiten état de demi-stupeur, avec confusion des idées , et faisait t 166 CLINIQUE MENTALE. tout a\
lait ne rien changer à aucune de ses habitudes ; pour en donner une idée , nous allons décrire un de ces gavages. La ma
on y voit que le début du refus d'alimentation com- mence avec des idées de persécution ; puis l'alimenta- tion se rétab
s de ses compagnes de dortoir. La compréhension eLla conception des idées sont lentes; d'autre part, elle a constamment b
192 RECUEIL DE FAITS. Au point de vue mental, il ne présente pas d' idées délirantes ; il est seulement très déprimé et s
d'or- dre toxique, suivant les travaux du Lannoiset Teissier et les idées émises par Pierrot. Faut-il, pour expliquer les
ui, un plus du choc vibratoire produit, grave fortement le mot de l' idée . Mais ce timbre, qui résulte du renforcement des
forte des consonnes, qui est susceptible du donnerai ! mot et, à l' idée le IIHnilllllmlL"al111'llJalioll eLtI'éncl'gie,
définie : l'action du provoquer un état du conscience (sensation, idée , sentiment, volition), que ce) état du conscience
conversation et, malgré sa grande turbulence, il suit avec assez d' idée les exercices de la classe. Sait se laver seul,
urfaces d'une façon très élémen- taire, mais donnant parfaitement l' idée de la figure que l'en- fant a voulu représenter
tout dissimulé. Elle ne °avait rien faire comme soins de ménage, l' idée ne lui venait même pas d'aider à balayer, à ess
de l'embarras manifeste de la parole, un air de satisfaction et des idées mégalomaniques. Il est inventeur, va faire cons
, la mémoire presque nulle ; l'absence d'orientation est frappante. Idées puériles de satisfaction : sa santé est excelle
est aperçue qu'il « était drôle >, perdait la mémoire, avait des idées ambitieuses au-dessus de sa position. Mais elle n
l'asile, il présente un affaiblissement intellectuel nota- ble, des idées de grandeur absurdes : « Il a acheté tout Chantil
générale, est missur un des certificats de situation. Toutefois les idées délirantes disparais- sent et le malade est ren
asile, où on lui trouve des signes de paralysie générale, euphorie, idées de gran- deur. Il est transféré à Tournai, avec
iens se traduit par une symp- tomatologie spéciale (hallucinations, idées fixes, amné- sie, etc.) peut être résolue très
femme non hystérique. mais émotive à l'excès, et sous l'effort de l' idée fixe, ont parfai- tement guéri à l'aide de la p
er les lois de l'évolution ; en outre, il a précisé et justifié les idées d'Auguste Comte, touchant les rapports de la ps
con- centrer notre attention avec plus de force sur telle ou telle idée déterminée. Il en résulte que nous y pensons av
ense (les pensées ! , on n'aurait pas seulement réfuté par là cette idée régnante que la pensée, la conscience et l'àme
e la traduction que Mme la baronne Il. de, Rothschild a eu la bonne idée de faire pour les lecteurs français qui dédaign
1 fr. Nous félicitons les fondateurs de ce journal de leur heureuse idée et faisons les voeux les plus sin- cères pour l
ate du 22 septembre 1901, le sieur Ci) ? présenté de l'amnésie, des idées sombres, des pho- (1) Voir n.12-1, page 305.
ves, 2' série, 1906, l. XXI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. hies, des idées fixes et de persécution du dérobemcnt des jambes
lade nie l'alcoo- lisme.) A maintenir, hors d'état de se diriger ( idées de grandeur nais- santes.) Conclusions d'expe
naïves et s'il n'a peut- être pas, avant son accident, manifesté d' idées proprement par- ler délirantes, il dul toujours
Actuellement, ses dires sont incohérents et niais. Un y relève des idées incohérentes de grandeur à côté de quelques idées
. Un y relève des idées incohérentes de grandeur à côté de quelques idées de persécution. L'amnésie que nous observons
paralysie passagère, obscurcissement de l'intellect, confusion des idées , etc. Tantôt les phéno- mènes désignés précèden
n men- tale, l'obscurcissement de la conscience, la confusion des idées , ce sont là des caractères communs à l'épilep-
est cependant moins coléreuse et moins répondeuse qu'autrefois. Ses idées et son langage sont moins bizarres. Elle recher
e mélancolie plus prononcée que d'habitude. Il s'en était suivi des idées de suicide : certain soir au préau, on l'a surp
c ses compagnes, elle est serviable avec le personnel, n'a plus les idées noires qui la portaient à attenter à ses jours;
eurs malades aucun trouble intellectuel, ni perte de la mémoire, ni idées délirantes, ni affaiblissement mental. « Les ma
ut dire la cause. A diver- ses reprises, on a constaté chez lui des idées de satisfaction et de richesses : il disait pos
itation expansive pouvant aller jusqu'à la manifestation éphémère d' idées de satisfaction et de richesses. Bref, nous nou
re incoercible et idiot. Peu à peu elle s'est mise à manifester des idées de per- sécution et de suicide, se plaignant de
faire écraser. Depuis quelque temps elle est surtout obsédée par l' idée de mettre le feu et de tout brûler. A son ent
ance du cours du temps, ne s'intéresse à rien, articule souvent des idées d'hypochondrie et des plaintes non justifiées c
les ; une propension à voir tout en noir; le dégoût de vivre et des idées obsédantes de suicide. Il a recommandé à sa fem
ferme où était en service; d'un autre côté, son absence totale d' idées le rend dangereux pour son entourage ». Le cert
membres. 11 a commencé, il y a quatre mois, à manifester quel- ques idées délirantes, mais sans objet fixe. (Les quelques é
niformément indifférente, sans jamais de pleurer spasmodique. Pas d' idées délirantes appréciables. En décembre 1905, il
bre de recherches faites sur ce sujet. Oppenheim (1) rap- porte les idées de Rindfleisch et de Ziegler. Pour les rapports
lustré de nombreuses figu- res, où l'auteur résume l'évolution clés idées sur la question, élu die ensuite : la morpholog
aux préfets, relative à l'internement des aliénés (page 4153). L' idée que l'un de nos semblables peut être indûment ret
s directeurs d'établissements privés pour- raient avoir la fâcheuse idée d'essayer d'entraver son exécution, et porter à
formes soit démentielle, soit délirante ; il se retrouve dans l'es idées , dans les sentiments et dans les actes des mala
88 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
es, des hommes simples , appelés toucheurs , qui n’ont pas la moindre idée du mot magnétisme, ne cessent, «n usant des mêmes
ge, une illusion. Ce n’est plus une science véritable, mais un amas d’ idées systématiques que ne peut plus soutenir la raison
ience sublime dont le nom ne réveillait dans le public que de fausses idées ; les arrêts des corps savants étaient acceptés c
mbreux et d’une importance rela- tivement médiocre. Il exposa ses idées sur l’action des esprits dégagés des corps. Il co
anifestations, on a objecté que les faits ne répondent pas à la haute idée qu’on se fait de pareils êtres que la mort a dû é
qu’on reçoit de ce pays des lettres qui ne sont pas à la hauteur de l’ idée qu’ou avait pu se faire de l’intelligence des hab
e me citer sont tellement ex-« traordinaires, tellement en dehors des idées généralement « admises, que tu cours grand risque
pourquoi ne chercherait-on pas, de bonne foi, sans amour-propre, sans idées préconçues, à réunir dans une synthèse simple et
cette manière d’agir, que le candidat n’attache pas au mot syncope l’ idée qu’on y attache généralement, car il se garderait
ie cérébrale. « Les médecins les plus haut placés n’ont jamais eu l’ idée , dans cette maladie, d’employer des médicaments d
bliques, lorsque les savants de l’ordre le plus relevé exposent leurs idées sur les affaires du temps. C’est pourtant la scie
) en tondra. Une épée traverse, transperce le corps d’un homme. Une idée est plus aiguë que la pointe la plus acérée, elle
ésente le magnétisme. L’occasion pourra se représenter d’examiner les idées de M. Huguet. Pour le moment, nous tenons surtout
; il a présenté la médaille sans son revers. Pour se faire une juste idée de la question , il faut l’examiner sous toutes s
cher de diriger ; aussi est-il facile de reconnaître son style et ses idées dans le livre dont il a la modestie de ne se dire
y sont exposés. L’auteur, quel qu’il soit, voulant nous donner une idée du somnambulisme, nous dit que le fluide magn
médiums (1). Les adeptes de cette église semblent se rallier à cette idée si consolante et qui est comme innée dans le cœur
let, juger de tout légèrement, superficiellement, au point de vue des idées , des préjugés de son temps, et ne recher- che
ne plus avoir de sens moral, il faut être de ces êtres pervers que l’ idée d’une autre vie effraie , ou de ces infirmes que
rer des absurdités? C’est le nom qu’on lui donne en effet, lorsqu’une idée est émise pour la première fois. Quand les premie
la préface de son Dictionnaire astrologique, observe que , quant à l’ idée ridicule de supposer l’astrologie criminelle et p
sacré dont il est animé. Nous venons, Messieurs, de vous donner une idée succincte des travaux de la société. Espérons que
tes les familles , on n’ira plus aux •écoles de médecine chercher les idées systématiques de nos illustres professeurs sur le
nients. Il s’en faut de beaucoup que tout le monde se fasse une juste idée de la lucidité telle qu’elle existe chez les suje
omposent les académies ne sont ni plus ni moins malveillants pour les idées magnétiques que les hommes qui restent en dehors
cision de quelques-uns, si éclairés qu’on les suppose d’ailleurs. L’ idée magnétique fait son chemin régulièrement, en péné
beaucoup d’individus doués de facultés mystiques très-développées. L’ idée religieuse a toujours eu un grand empire sur les
reconnu un polythéisme complexe mêlé à un naturalisme très-avancé, l’ idée religieuse était aussi toute-puissante ; les tend
a révolution. Il apportera non l«magnétisme, nous l’avons, mais l’ idée de sa loi et de sa valeur réelle, et alors prêtre
de mon piètre mérite et des avis médicaux que je donnais parfois, une idée extraordinaire. * C’était à Oran (Afrique), au
ents, je me vis obligé de consentir à ce vœu qui était devenu une idée fixe. « — Un jour donc, — le 18 au 19 juillet,
alement à faire la synthèse des connaissances humaines; il expose ses idées avec une clarté admirable, et il excelle à vulgar
le domaine de l'industrie , et on l’exploite comme une marchandise. L’ idée de Dieu a rapporté des milliards. Ce qui était vr
u corps, n’a plus eu sa raison d'être. Le magnétisme n’est-il pas l’ idée de Dieu? Ne prouve-t-il point l’existence de l’âm
jour et qui ont remplacé leurs pères furent déjà moins hostiles à nos idées , ceux qui arrivent maintenant sont pour la plupar
igieuse et d’une prévision in- faillible, dans un certain ordre d’ idées . Maintenant, grâce aux habitudes d’une piété extr
ir une table par l’imposition des mains. Il y a peu de jours, j’eus l’ idée d’interroger ce véritable voyant sur la destinati
Q. Mais alors que faut-il faire ? Je ne te comprends pas. Indique ton idée par un mot. R. Serre. Et, en effet une serre
mais on reconnaît aussi que l'esprit ne fait souvent que suggérer les idées au médium, et c’est à celui-ci de les développer,
c-iaires, c’est-à-dire dans une disposition d’esprit qui exclut toute idée de compérage par préméditation ou par entraînemen
tre sujet, elle est trop dans la communion et le développement de nos idées en spiritualisme, pour que nous hésitions à la tr
x franches coudées; Et les vôtres sont le bouquet Des plus joviales idées . Sans aucuns vœux récalcitrants, Avec un joye
langage ce qui est banal et ce qui est senti ; ce qui paraît partir d’ idées arrêtées et d’une bouche convaincue. Bientôt idée
ui paraît partir d’idées arrêtées et d’une bouche convaincue. Bientôt idées , paroles, se repercutent de l’un à l’autre ; le m
t à redresser en eux les écarts de l’intempérance et rappellent leurs idées au but qu’ils se sont proposé d’atteindre. Un m
tous les sens des patients, sans quoi, pour fixer par un proverbe mon idée dans tous les cerveaux, les patients peuvent, com
Je me faisais photographier par notre collègue Brissonnet, quand l’ idée me vint d’imprimer à l’épreuve un caractère magné
. Ah ! ah ! je vois vos tours de sorcier... Mais c’est une excellente idée que ce portrait; il y a quelque chose à faire dan
dans cette voie... J'afiïrme n’avoir parlé à qui que ce soit de mon idée avant cette expérience. Le résultat a dépassé m
e actuel? N’est-il pas évident qu’une transformation s’opère dans les idées des peuples, et que les esprits comprennent plus
Oui, je viens m’assurer si les têtes allemandes sont accessibles aux idées philosophiques les plus fortes, aux vérités profo
grain, car je l’ai enfoncé avec mes doigts nerveux , plus que par mes idées , dans les cerveaux allemands. Mesmer sera conte
ien à la pensée de l’homme de foi. La force peut disparaître, niais l’ idée reste et survit à la vie. Soyez-en certains, ch
sant il a compris la nécessité de se transformer, de s’accommoder aux idées nouvelles, c’est qu’en un mot il a progressé. Voy
, sans pouvoir trouver personne qui se donnât la peine d’examiner ses idées . N’a pas qui veut des ennemis. — On ne se passi
ns un autre, que pour ce dont on a compris l’importance. Lorsqu’une idée est produite, vraie ou fausse, elle doit appeler
érique en ce moment est impressionnée par des faits qui dépassent les idées reçues, le surnaturel y a droit de cité. Presque
ravos répétés, et lui a témoigné ainsi sa reconnaissance pour les idées de progrès et de propagande dont il s’est fait l’
ation que j'avais autrefois essaye sur ce sujet, confessera mieux mes idées . L'homme, être faible, audacieux génio. Impat
pression hébraïque adaptée aux conceptions de la nature, « implique l' idée de l'égalité et de l'équité distributive. » C'est
aitement indiqué pour les syncopes, que je n’attachais pas à ce mot l’ idée qu’on y attache généralement; voici les signes au
puisqu’elle n’est positivement que l’étiquette de l’ignorance et des idées de nos prédécesseurs sur la terre. (3) Deutéron
« Dès que je l’eus endormie et qu’elle fut en état de lucidité, l' idée me vint de lui demander l’emploi de ma journée pr
rs? Depuis, j’ai continué des expérimentations nombreuses, dans des idées très-diverses, des vues bien opposées, et par une
mère pendant laquelle elles échangeaient avec nous des paroles et des idées de toute espèce, et c’était déjà bien joli. Au li
de leurs pieds était un procédé long et fatigant. On eut alors l’ idée d’adapter un crayon à une corbeille ou à une simp
) Os essais, qui, pour délivrer l’esprit, autant que possible, de ses idées personnelles, exigent une tension exaltée et sout
extatique, un. Jiaut sensitif ; oui! mais il n'était pas fou. o Les idées , au lieu de se vicier dans leurs rapports, s'altè
elligence, je leur dirai : Voyons ! lorsque vous voulez engendrer une idée , une œuvre artistique ou littéraire, un coup de n
ur ce qui nous arrive à l’imagination, celte faculté procréatrice des idées (Ei'îüî, image) au moyen d'un organe spécial, att
s influences qu'ils Iransinellenl. Lue comparaison complétera cette idée . « Soit une voiture publique qui renferme un no
ais là cesse l’identité. En eflet, tous sont • différents de mœurs, d’ idées , de relations, de destina-« tion, en un mot, d«fo
ur présenter un aperçu du système de l’auteur, et de l'enchaînement d' idées qui l’a amené à attribuer une importance capitale
uille le vieil homme pour faire place à une enveloppe plus austère, l’ idée de l’immortalité de l’âme lui fait peur, et au li
ons ici, des gens qui ne le connaissent pas, qui n’ont pas la moindre idée de son mérite, pourraient fort bien finir par le
ant d’un académicien. Il est précieux pourtant, car il nous donne une idée du grand savoir académique; il nous prouve qu’en
cience, à des observateurs d’élite, au point de biffer d’un trait les idées les plus arrêtées de ces intelligences au col rai
pensée, et de là des mots, des phrases et de longs discours dont les idées frappent souvent par leur élévation, leur profond
ous uous couchâmes. Je me levai, le matin, et, tout en m’habillant, l’ idée me vint de jouer un tour à Goodall qui, alors, do
explications que je viens de te donner, et dont elles froisseront les idées , s’en moqueront, surtout de ma robe, sur le bord
ii une séparation complète, absolue, j’aime mieux adopter seulement l' idée d’une séparation partielle et fragmentaire. Même
faire disparaître ou affaiblir le développement trop fort, selon ses idées , que prenait son corps. En 1848, elle fut subitem
-« porelle du diable,, croyance tout à fait inconciliable «avec les « idées actuelles..» « La Press de Vienne se hâta de ré
ert les images qui portent son nom, et Fusinieri n'avait pas émis ses idées sur les transports de matières opérés par la foud
a mer Adriatique, quand il fut frappé de la foudre. D’après certaines idées superstitieuses, les mariniers ioniens ont la cou
-magnétisme vital et animal, transporte dans son cerveau l’image, les idées , les sentiments, l’esprit, les penchants, les vol
répond à son ami. » Aux procédés qui précèdent, M. Siemelink a eu l’ idée d’en ajouter un autre qui en forme le complément
ent pourtant tant de grands hommes, où s’élaborèrent tant de fécondes idées et qui fut la patrie d’un si grand peuple. Le liv
plus bas : ...... La médecine naturelle doit être dégagée de nos idées et de nos systèmes (ceux des médecins). » (Page 2
a consulté avec profit. Mais malheureusement l’auteur, dominé par une idée systématique, n’est pas dans les conditions conve
idéal ; il ne peut pas entendre parler de progrès, d’améliorations, d’ idées philosophiques, et tout ce qui se rattache à la r
-un pas une personne qui apporte une volonté énergique, inculquer ses idées aux som-nambu.es aussi bien qu’aux médiums et aux
e désespère pas d’y arriver pourtant ; mais il faut attendre qu • lus idées de mes très-chers compatriotes soient devenues pl
ersonne sérieuse et à laquelle il est impossible de prêter la moindre idée de mystification, nous communique la note suivant
utôt de bons israélites, des cœurs simples et naïvement dévoués à une idée . , Qu’on se figure une salle de concert' au deu
ne peut suppléer à la stérilité du fond, et l’on ne peut demander des idées à celui qui, non seulement ne s’est pas donné la
1) Dans les Dernières Chansons de Béranger se trouve l'Uisloire d'une idée . Le couplet suivant nous a paru avoir tant d’à pr
ue nous ne servons de parrains Qu'aux enfants de notre famille. Une idée a frappé chez nous, Fermons notre porte aux ver
qui a lieu pour la médecine, la pharmacie, etc. M. Morin combat cette idée en s'appuyant sur des considérations puisées aux
89 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t des morts par oreillons. Mais, nous le répétons, ce sont là des idées bien connues depuis les leçons de Trousseau, et
de la douleur, sans spécifier aucunement la nature de celle-ci. L' idée , qui au premier abord est la plus ration- nelle
fermentation du glycose. Les hypothèses qui s'inspirent de cette idée se résument en somme dans la théorie de l'acéto-
ion effective de son hypothèse et nous en ôte jusqu'à l'espoir. L' idée d'attribuer les phénomènes d'intoxication à un de
s. Jusqu'à ce jour, nous ne voyons rien qui nous oblige à rejeter l' idée que cette intoxication est due à la pré- sence
celle de la pomme trop mûre. Ces comparaisons peuvent donner une idée de cette odeur éthérée toute spéciale; en réalité
s dou- leurs, jointes à des vomissements répétés, ont pu donner l' idée d'une complication péritonique. Buhl a observé un
ncrasie individuelle; mais les observations faites dans cet ordre d' idées font défaut. Ce qui est certain, c'est que chez
anormales, une irritabilité excessive, une succession plus rapide d' idées ou de mots, un ton plus bref, peuvent être les
un affaiblissement très marqué de la mémoire avec désordre dans les idées ; apa- thie. L'Observation II est celle d'un ho
la face a une valeur absolue qui permettra de repousser d'emblée l' idée d'une atrophie musculaire myélopathiqne. Si les
us les autres aliénés paraissent, de parleurs hallucinations, leurs idées délirantes, leurs conceptions irrésistibles, êt
ie, pas plus qu'on ne prendra pour de la manie le désordre dans les idées accompagné d'hallucinations avec excitation, qu
it d'un vieillard de soixante ans, mélancolique, ayant présenté des idées de persécution et de suicide : ce dernier malad
s on constate : 1° que dans aucun de ces cas précoces il n'y a eu d' idées de grandeur, ni même de période quelconque d'ex
plutôt favora- blement sur les entrants. M. Siesiens partage les idées de M. Jehn, il a une contradic- tion'.toute prê
es, les conceptions irrésistibles, l'excitabilité hysté- rique, les idées de persécution ; mais tous les états d'affaiblis-
judiciaires qu'il a eus entre les mains, 111. Semal a eu l'heureuse idée de tenter un grou- pement des criminels, calqué
pages nous donnent, au premier FAITS DIVERS. - 125 coup d'oeil, l' idée d'un ouvrage scientifique et non pas d'une oeuv
nde s'adresse aux travailleurs de laboratoire; elle insiste sur les idées qui dirigent les recherches crâniologiques et c
lus insignifiantes et les plus dissemblables. Puis apparaissent des idées de peur, alternant avec des idées de vengeance,
semblables. Puis apparaissent des idées de peur, alternant avec des idées de vengeance, et s'accompagnant d'une hyperesth
nière d'être intellectuelle et morale de B... éloigne même de toute idée de pré- disposition. Un autre facteur a donc dû
e, sous forme de torpeur intellectuelle et somatique, alors que les idées , délirantes ont disparu, indique que la cellule
aite, M... fut pris d'excitation et de délire avec prédomi- nance d' idées de persécution (il n'y a dans sa famille ni chez
dont il vient d'être question sem- blaient plutôt en rapport avec l' idée d'une myélite diffuse ou incomplètement systéma
ce à parler des myélites mixtes et fait entrevoir quelques-unes des idées que je développe aujourd'hui. A ce moment l'his
définitives. III. SYMPTOMATOLOGIE. Pour donner immédiatement une idée d'ensemble du tableau clinique du tabes combiné
lésion mitrale; et il me vint enfin à 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. l' idée que cette fièvre intermittente rebelle, irréguliè
suel cortical et des faisceaux blancs en connexion avec lui ? Les idées de Munk et de Ferrier font autorité. Le premier a
à le faire, devant les faits pathologiques en opposition avec ses idées . Grasset a récemment (1883) donné du schéma de
es que je vous présente est, je crois bien, en concordance avec les idées de Munk sur la physiologie du centre visuel, av
spensable longueur de ces citations qui pouvaient seules donner une idée précise de la Archives, t. XL 16 242 REVUE D'
ne malade qui a des hal- lucinations ? 11 l'endort et lui suggère l' idée de n'en plus avoir ? S'agit-il d'une dipsomane
n ce moment même ses soins à une épileptique, auquel il a suggéré l' idée de s'arrêter dans son attaque, dès qu'il est pré-
tout surpris des résultats obtenus chez les dipsomanes auxquelles l' idée de ne plus boire a été suggé- rée. M. VoistN.
présentant des oscillations; actuellement, le ma- lade caresse des idées de suicide, il en a fait une tentative. Il croit
à Mayence où il sera exécuté pour man- quements au service ; cette idée détermine par moments du trem- blement. Il y a
la quinzaine suivante, tous les accidents psychiques reparaissent : idées délirantes avec hallucinations de l'ouïe, tentati
cts sur sa personne et ce qui le regarde, mais il proteste contre l' idée qu'il aurait perdu la rai- son ; accuse, parmi
dant de le sauver, exprime des conceptions lypémaniaques nuancées d' idées religieuses. Par moments, son anxiété s'accroit
dégoût du travail, sorte de folie systé- matique hallucinatoire aux idées d'empoisonnement ; mais bien- tôt la santé psyc
tcrotypés jusqu'alors, témoi- gnent de la coordination complète des idées et de leur multipli- cité. La guérison s'est ma
ressions, malaises hypochondriaques, affaiblissement de la mémoire, idées délirantes), bien qu'ils se soient produits dan
s, depuis cinq ans déjà, il tournait à la misan- thropie ; mutisme, idées d'empoisonnement, refus de manger ; se retire s
r teneur variable, sa mauiéte d'être et fournissant matière à des idées de persécution : par exemple, flammes se mouvant
. Intelligence d'ailleurs assez active tous égards, à part quelques idées puériles et divers souhaits frivoles et mobiles
e- ment intellectuel, d'une phase maniaque avec désordre dans les idées . , M. l''ALK. Il faut distinguer si la psychose
alades se conduisent convena- ment, ils continuent à s'occuper. Les idées de persécution, fondées sur des hallucinations,
sur des hallucinations, sont plus tard généralement compliquées d' idées de présomption; et cependant le délirant sait se
in sur tout ce qui n'est pas sa personne et qui ne touche pas à ses idées délirantes. Aussi la vie au dehors est-elle enc
fréquent de le voir atteindre un stade de calme pendant lequel les idées délirantes et les hallucinations n'entament plus
ectivité; prédominance d'an- goisses, accompagnées de désespoirs, d' idées d'empoisonnement. On lui administre inutilement
e, sans être modifié, témoigne d'un grand calme. Multiplication des idées délira nies; sa chambre est une chambre de tort
e phase asthmatique font totalement disparaître hallucinations et idées délirantes; mais, en revanche, l'asthme ne laisse
neuropathie. M. ERB. Les casd'Edinger n'excluent pas tout à fait l' idée d'une affection des muscles; les altérations ch
gir comme un shock. On y trouve aussi des lial luciiiatioiis et des idées de persécution, sans qu'il y ait terrain alcool
un delirium tremens peut, de par l'angoisse et le désordre dans les idées , provoquer de nouveaux excès qui engendrent les
les hallucinations de l'ouïe prédominent au plus haut point; les idées délirantes fixes, celles de jalousie surtout, per
formes du delirium tre- mens. Ce fait est propre à faire rejeter l' idée d'une prédisposition individuelle. M. KAST (d
est composée; même on dépasse le but quand on est absorbé dans ses idées . La marche et les actions homologues ne sont qu
rétine). Ces trois histoires de malades ne peuvent que donner une idée générale du tableau clinique du tabes com- biné
la marche » sans détails; ce qui est in- suffisant pour éloigner l' idée de démarche spastique, par exemple. La conclu
ue, échappée jusqu'à ce jour aux observateurs, qui nous a suggéré l' idée de l'étudier dans tous ses détails. Nous espé
'urine. Quelques minutes après, elle a de la peine à rassembler ses idées et à les formuler ; à part ces phéno- mènes, l'
incohérente, agitée, exci- table, bruyante, violente; elle a eu des idées de suicide; elle est convaincue que tout le mon
instructive et avantageuse aux travailleurs : tel est le résumé des idées principales de ce mémoire où plusieurs autres q
nvulsifs bien accentués; le lendemain, douleurs dans toute la tête, idées délirantes, agitation, qui motivent son admission
tion dans les muscles de la face : l'aspect du malade suggérerait l' idée d'une paralysie générale, mais il n'y a aucun a
ion est quelquefois extrêmement accusée ; elle peut s'accompagner d' idées de suicide et t d'homicide, ou de persécution n
quinze crises par jour : Tous les traitements ayant échoué ou eut l' idée de lui pratiquer chaque jourune ou plusieurs in
par inter- valles des hallucinations de la vue en rapport avec des idées de suicide. Elle voyait constamment le cadavre
ient de l'avoir tué; M. Voisin BIBLIOGRAPHIE. 447 lui a suggéré l' idée de ne plus voir ce cadavre et l'hallucination a
érer, malgré les préjugés qui s'élèvent nécessairement contre toute idée nou- BIBLIOGRAPHIE. 449 velle et hardie ! L'i
les yeux, nous ajoutons aux sensations brutes de la vue toutes les idées correspondant aux propriétés de l'objet en tant
efficace, qu'elle soit consciente ou non. De plus, la formation des idées générales se fait par la même loi. Tous ces p
sommes efforcés dans cette analyse de reproduire l'enchaînement des idées qui conduit à la conclusion finale, en laissant
la discussion, à la malice; il fait remarquer qu'à la cohérence des idées s'ajoute l'originalité et la bizarrerie'des con
êmes causes occasionnelles, et s'imprègnent réciproquement de leurs idées délirantes; 3° la folie MmntM)M'<jfude(Maran
dans laquelle plusieurs fous renfermés dans un asile changent leurs idées délirantes pour celles d'un fou plus intelligen
ment, dans laquelle plusieurs fous se laissent imposer une nouvelle idée délirante par un autre fou qui les domine. Pu
plus saillant du tableau symptomatique, et peut donner faussement l' idée d'une lésion cérébrale en foyer. Des plaques de
les dits lucides chez les aliénés; Des lésions de l'association des idées ; - Dès FAITS DIVERS. 463 aliénés avec conscie
90 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de ce genre excessivement prolongées, une grande mobilité dans les idées et une légèreté d'esprit et de caractère qui n'
et cela, devant n'importe quel auditoire. De même il exprime une idée ordinaire d'une façon ordurière : M. X... rentre
muscu- laires et répète tout haut tous les mots qui caractérisent l' idée qui le domine au moment même. Pendant le mois
près avec plus d'intensité et s'accompagner du mot qui représente l' idée qui a fixé son attention. Lorsque le malade est
ention est attirée sur un point, il est tellement absorbé par cette idée nouvelle qu'il oublie tout ce qu'il a à faire.
observations anciennes et leur lecture ne nous avait pas inspiré l' idée de traiter nos malades par le curare. Nous ne n
du sensorium, l'uni- latéralité des accidents de la face excluent l' idée d'une lésion protubérantielle ou bulbaire ; l'a
réquentation même des infirmiers que M. Clark a puisé ses premières idées sur le sujet qu'il traite actuellement; il a pu
presque instantané. Il faut ajouter que la faculté d'associer les idées n'est aucune- ment troublée, et que la notion d
répète provoque un influx centripète et la formation d'un magasin d' idées B, d'où la voie AB, en même temps qu'un influx
on forcée. En second lieu, l'alimentation forcée peut provoquer des idées délirantes. Enfin que d'aliénés refusent ensuit
d'hébétude, de troubles du côté de la mémoire, de desordre dans les idées ; pendant les séries d'accalmie, la conversation
trême avec hallucinations de l'ouïe et de la vue, désordre dans les idées , mobilité de l'humeur, actes délirants. Le 10 n
sont suivis d'une excitation de plusieurs heures (injures, menaces, idées d'empoisonnement, destruction, tendances aggres
men, varier d'étendue et paraître émaner des organes splanchniques ( idées délirantes correspon- dantes). Les aliénés spéc
r psychique, des ratiocina- lions et préoccupations délirantes, des idées fixes. La lassitude, le besoin de sommeil, la l
er pendant des années, et, si l'on n'a pas guéri, on a supprimé des idées de sui- cide. Ce serait donc une arme puissante
ntrant qu'il n'existait pas d'albumine dans ce liquide, éloignait l' idée d'éclampsie; les antécédents fournis par la mal
me netteté, du même soin; ici aussi un sommaire termi- nal fixe les idées sur le trajet et les rapports des fibres cérébell
ntres juxtaposés pour les trois modes de sensibilité. Il combat les idées de Schneller. Une observation d'hémiopie latéra
par les mois DE L INCOORDINATION MOTRICE. 177 dont ils revêtent l' idée qui les haute en ce moment; il en est presque t
être écholalique : lorsqu'il n'a pas été frappé par un mot, par une idée qu'il peut traduire par le langage articulé, il
la devant n'importe quel auditeur. Vient-il -CI être frappé par une idée , par la vue d'une personne, aussitôt il revêt c
pé par une idée, par la vue d'une personne, aussitôt il revêt cette idée , il parle de cette personne d'une façon orduriè
tant donné ce besoin extrême qui fait que, chez tous ces malades, l' idée présente s'empare de tout l'être, et se traduit
s- nous, qu'un garçon de dix-neuf ans (Obs. II), puisse avoir des idées lubriques ou obscènes, et les traduire par des
ême manière et de la même façon. » En lisant celte observation sans idée préconçue, il est évident qu'elle répond tout à
me s'aperçut qu'il n'était pas comme tout le monde, qu'il avait des idées ex- traordinaires ; quatre à cinq jours plus ta
ent, miction, écume, pas de défécation. Avant les accès, tristesse, idées de suicide (il a essayé de se donner un coup de
nt de ces maladies doivent se ressentir de cet état de choses, et l' idée de rechercher leur modus faciencla dans l'étude
rée et titrée, permet un dosage très exact. Partant donc de cette idée qu'on peut, par l'examen des urines, arriver à
en expérience manger une certaine quantité de pain. Pour fixer les idées sur les faits que je vicnsd'indiquer.je prendra
2 le7 urines n'est pas augmenté'. Par conséquent, pour avoir une idée complète de l'influence qu'exerce le travail inte
e qui se term'ne par de la mélancolie agitée avec désordre dans les idées . En même temps on constate de la paralysie ou d
ilk., 1883.) Observation d'ataxie suivie de lypémanie anxieuse avec idées d'empoisonnement; on veut « le tuer, le voler »
conceptions déli- rantes. 11 tendrait cependant à se rattacher à l' idée que la psychose et les tabès étaient indépendan
venlceillc., 1883.) L'observation dont il s'agit met en relief des idées fixes d'em- poisonnement, des hallucinations de
e accompagné de désordre, de mobilité, de contra- diction, dans les idées (lamentations) et les actes. Le patient émacié,
c les centres réflexes de la moelle; elle n'im- plique aucunement l' idée de la destruction immédiate ou consécutive des
ure. Cependant de graves manifesta- tions de commotion impliquent l' idée que l'affection psychique sera plus dangereuse.
aussi chez le vieillard, mais ! moins marqué; chez celui-ci, les idées sont comme ses pas; elles ne dévient pas, elles n
ais elles ne peuvent pas suivre; chez nos sujets. non seulement les idées ne peuvent pas suivre, mais elles se trou- blen
ont entièrement dissimulée; ils ont été dominés et dirigés par une idée fixe, soit de faire fortune, soit de conquérir
devons à cet égard être très mesuré dans nos appré- ciations, car l' idée qui les soutient, implantée profondément, est s
ar l'idée qui les soutient, implantée profondément, est souvent une idée noble, élevée et ne méritant que des éloges ; m
nt que des éloges ; mais il n'en est pas moins vrai que ce;soit une idée fixe et que, sous ce rapport, elle présente une
s ce rapport, elle présente une certaine communauté avec les autres idées fixes plus vulgaires et surtout plus dangereuses
les peines morales qui font éclore le mal, mais il semble que cette idée qui s'est imposée perd subitement ses racines e
sion du mal. Quant à eux, ils persistent dans leurs opinions, leurs idées , leur genre de vie, sans les adapter au siècle
ptibititéaugmente ; ils deviennent irascibles; surgissent alors des idées de misanthro- pie, de mépris pour la société do
pour la société dont ils ne voyent que les défauts, quelques vagues idées de persécution se dessinent et le discer- nemen
la cessation brusque de l'énergie entretenue jusqu'alors par une idée intensive déterminante, des troubles mentaux ont
ssances, elle a pour résultat de rectifier une foule d'erreurs et d' idées fausses que, le plus sou- vent, l'on a soin d'e
us pratiques, de cette partie de la science, il a eu enfin la bonne idée de faire autographier le résumé de chacune de ses
lieu le 25 octobre. On : r.nwrov R111. Idiotie ; épilepsie. Mère : idées de suicide pendant deux mois. Grand-père matern
la maladie, alors que les troubles cérébraux sont intenses, que les idées sont très embrouillées, que l'entraînement inte
délire pour finir par la démence. Telles étaient, par exemple, les idées de Griesinger, qui les a développées dans son l
pas les halluci- tions qui fournissent les éléments du délire, les idées délirantes les plus bizarres surgissent spontan
généralement répandue que, dans le cours d'un délire chronique, les idées ambitieuses surgissent comme une conséquence logi
les idées ambitieuses surgissent comme une conséquence logique des idées de persécution. Cette manière de voir n'est pas,
onforme aux faits cliniques. Il avance qu'une analyse attentive des idées délirantes, des illusions et des hallu- cinatio
, au début de la maladie, retrouver les éléments des deux espèces d' idées délirantes (persécution et ambition); le fait m
e tout ce qui se passe autour de lui à sa personnalité est déjà une idée de grandeur, quand même le malade lui-même ne l
alade lui-même ne la considérerait pas comme telle. En général, les idées de persécution ne sont pas nettement séparées des
énéral, les idées de persécution ne sont pas nettement séparées des idées ambitieuses qui viennent après, comme on le cro
nnent après, comme on le croit ordinairement, et les deux espèces d' idées délirantes forment souvent un tissu inextricabl
- mènes analogues dans la vision mentale des individus normaux. L' idée persistante d'une couleur complémentaire, comme s
r. L'une des causes de la sénilité, d'après M. Char- pentier, est l' idée fixe ; cela ne me semble pas très rationnel, car
rationnel, car j'ai souvent remarqué, au contraire, que les gens à idée fixe tom- baient moins facilement dans la démen
des paralysies. M. Charpentier. M. Lunier m'objecte que l'homme à idée fixe, tombe rarement en démence, cette objectio
e dans l'état normal, qui agit sur le centre génito-spinal ; mais l' idée , le sentiment ou le penchant sont ici pervertis.
sse quelquefois à abandonner son lit et t se promener en rond, sans idées délirantes ni hallucinations. Au milieu de févr
. 2 Nous appelons l'attention de l'administration française sur les idées de progrès de l'adnziuistratiozz allemande (P.
r dans les familles; quant aux fous systématiques, on en étudie les idées délirantes, les hallucinations sensorielles. Le
ues avec agitation ou tendance au suicide, des fous systématiques à idées délirantes ou hallucinations dangereuses pour l
traitement est la reprise du travail, qui apporte une déviation aux idées délirantes, et rappelle les conceptions normale
entant tous les éléments de la manie avec désordre extrême dans les idées , obnubilation de la connaissance, actes impulsifs
1868, son mari beaucoup plus âgé qu'elle sans testament. Dès 1868, idées mélancoliques. En 4869, elle se brûle dangereu-
la sensibilité, l'ab- sence de tremblement, permettent d'exclure l' idée d'une lésion organique du système nerveux et de
hés à la diphthérie et à une affection centrale. L'auteur élimine l' idée de la chorée électrique, parce que, dans cette
M. BERNHARDT. 11 y a un an et demi que je connais le malade. Toute idée d'hystérie doit être écartée. Du reste, on ne tro
e passage à travers elles des parties constitutives du sang. Delà l' idée d'ins- tituer des expériences capables de produ
91 (1911) La pratique neurologique
de cinq ans, plusieurs de mes anciens internes eurent l'excellente idée de se grouper pour écrire, en collaboration, un
exécuté leur oeuvre, mérite d'être signalée avec quelque détail. L' idée très louable et très féconde qui les a dirigés
pages, avec addition des schémas nécessaires. Dans le même ordre d' idées , M. Moutier a donné un aperçu de quelques point
es plus ou moins épais.' On ne peut, dans ces conditions, avoir une idée précise de la sensibi- lité rétinienne centrale
auses de mydriase, telle que je viens de la faire, ne donne pas une idée exacte de son étiologie. 11 importe de mettre e
de cérumen ou d'un corps étranger du conduit. Dans le même ordre d' idées et reconnaissant le même mécanisme, on peut cit
ctuel de tous les sens, car c'est lui qui' nous donne, le mieux les idées abstraites, et ce serait ici le lieu de rappeler
r la conscience, sans qu'il y.ait perte de connaissance; toutes les idées se trouvent concentrées sur les sensations de tra
de troubles des sensations. Le réveil est facile en général; et les idées reprennent alors leur cours normal. La stupeur
euse particulière est rare; il n'est guère à citer dans cet ordre d' idées qur l'insomnie pl'od1'o- mique des crises d'épi
es préoccupations sont tout spécialement intenses chez les aliénés, l' idée fixe écartant toute possibilité de repos. Ajout
un nombre de mots tout il fait insuffisant il assurer l'échange des idées ). La suppression du langage oral dépend ici de ca
qu'un mutisme d'origine vésanique. Ce mutisme peut dépendre; d'une idée délirante ou d'une préoccupa- tion hypocondriaq
ont rien à dire. Ils demeurent sans paroles, parce qu'ils sont sans idées . Ce sont les alogiques des anciennes classificati
quelques altérations. La parole est épaisse, le verbe hésitant, les idées peu lucides. A ce syndrome coopèrent en général
par les individus normaux. Nous signalerons dans ce dernier ordre d' idées l'abus de la périphrase, le parler à la troisième
raphiques. Nous désignerons avec Jofïroy les seconds, anomalies des idées exprimées, sous le terme de troubles psychographi
pression; ils ne portent que sur le contenant, sur l'enveloppe de l' idée . Les seconds tra- duis('1111es déformations de
chez l'idiot, le dégénéré, tantôt l'agraphie est le résultat d'une idée fixe ou d'une phobie comme chez l'aliéné caractér
non seulement la forme générale du tracé, mais encore, modifier les idées transcrites. On observe ces troubles psy- rhogr
igence en général. Facultés des- criptives, facultés d'association ( idées ou mots évoqués par d'autres mots), de critique
11 articule iacuemeut et. rapidement; il est prolixe et bavard. Ses idées s'enchaînent avec promptitude et souvent avec b
raire ne retourne pas la feuille : il n'a aucune perception, aucune idée de ce qu'on lui met sons les yeux, bien que son
Il faut déterminer quel est le fonds intellectuel, quelles sont les idées déli- rantes, savoir s'il existe des hallucinat
le passif d'observateur, mais encore un rôle actif en dirigeant les idées exprimées, en provoquant les sujets de l'en- tr
des cas de mélancolie avec stupeur où le malade est absorbé par ses idées pénibles. Dans certains états maniaques, on peut
, on peut voir un état de mutisme passager résultant du tumulte des idées ; la pensée est devenue si désordonnée qu'elle p
e. Quaut au mutisme hystérique, il est le plus souvent créé par une idée fixe, il guérit fort bien par l'isolement et la s
alades comme les maniaques, les alcooliques, parlent très vite; les idées se présentent en niasse à leur cerveau, elles son
iques créent des nl'ologislIll's qui, pour eux, correspondent à des idées . La tendance de ces derniers malades à créer de
u de ces écrits renseignera sur la valeur intellectuelle et sur les idées délirantes (troubles psycliograptuqucs de Jo111'o
, adoptée par Séglas, appartient à Spencer, elle permet d'avoir une idée d'ensemble sur les modalités de la conduite des
t. Dans les démences secondaires, dans les démences vésaniques, les idées délirantes ne sont que la continuation de celle
ntiels, qui sont curables, existe le syndrome; de la confusion- des idées , de la désorientation dans l'espace et dans le;
ons du goût qui s'observent spécialement chez les malades ayant des idées d'empoisonnement, consistent en la perception d
disent alors qu'ils ne sont plus maîtres de leur langue, que leurs idées leur échappent, qu'on parle par leur bouche, qu'o
e, dans les délires mystiques, dans le délire de persécution. LES IDÉES DÉLIRANTES Le terme délire possède en psychiatr
loie couramment, pour désigner un ensemble plus ou moins complexe d' idées morbides concernant le « moi ou ses rapports av
nant le « moi ou ses rapports avec le monde extérieur (Séglas). Ces idées déli- J'anles des auteurs français corresponden
nds, aux de/usions des auteurs anglais. Nous ne considérerons comme idées délirantes ni les idées fixes in- conscientes o
uteurs anglais. Nous ne considérerons comme idées délirantes ni les idées fixes in- conscientes ou subconscienles que Pie
and rôle; dans la pathogénie des accidents de cette névrose, ni les idées obsédantes ou obsessions. Les obsessions se pré
atisfaite ou réprimée le malade ressent un grand soulagement. Les idées délirantes vraies, contrairement il ce épie l'on
tions sur ces thèmes, des nuances dissemblables, elles tiennent LES IDÉES DÉLIRANTES. 241 à des fadeurs secondaires comme
es antérieures, le caractère, le milieu où ils vivent. Toutes les idées délirantes observées en psychiatrie peuvent se ré
l'excellente classification suivante que nous empruntons à Séglas : idées délirantes d'auto-accusation; idées de persécutio
que nous empruntons à Séglas : idées délirantes d'auto-accusation; idées de persécution; idées de dé- l'ense; idées de g
Séglas : idées délirantes d'auto-accusation; idées de persécution; idées de dé- l'ense; idées de grandeur; idées hypocho
antes d'auto-accusation; idées de persécution; idées de dé- l'ense; idées de grandeur; idées hypochondriaques; idées de nég
tion; idées de persécution; idées de dé- l'ense; idées de grandeur; idées hypochondriaques; idées de négation ; idées d'é
on; idées de dé- l'ense; idées de grandeur; idées hypochondriaques; idées de négation ; idées d'énormité; idées mystiques
nse; idées de grandeur; idées hypochondriaques; idées de négation ; idées d'énormité; idées mystiques; idées erotiques; dél
deur; idées hypochondriaques; idées de négation ; idées d'énormité; idées mystiques; idées erotiques; délires palingnosti-
hondriaques; idées de négation ; idées d'énormité; idées mystiques; idées erotiques; délires palingnosti- flue, métaboliq
palingnosti- flue, métabolique, de transformation corporelle. Les idées d'auto-accusation. Les malades qui ont des idées
on corporelle. Les idées d'auto-accusation. Les malades qui ont des idées (['auto-accusation se croient indignes, coupabl
, l'em- prisonnement, l'échafaud, la damnation, l'enfer, etc. Ces idées délirantes sont, très fréquentes dans la mélancol
oliques de la folie intermittente. Dans la para- lysie générale les idées d'auto-accusation ont des caractères un peu spé-
radictoires. Certains persécutés sont aussi auto-accusateurs. Les idées d auto-accusation dans la confusion mentale il fo
lcoolique aigu, délire hallucina- toire avec confusion mentale, les idées d'auto-accusation sont inconstantes, variables,
diffèrent de la douleur morale profonde dumélan- colique vrai : ces idées se voient aussi dans le délire alcoolique chro-
tères que chez l'adulte. Ailleurs, dans la def ? ir.s<t/7f'. les idées d'auto-accusation ont, à cause de cet état déme
éments séniles ont plus de sensiblerie que de douleur morale; leurs idées délirantes sont fugaces et vile oubliées. ,Le
orale; leurs idées délirantes sont fugaces et vile oubliées. ,Les idées de persécution. Chez les malades qui présentent
s. ,Les idées de persécution. Chez les malades qui présentent des idées de persécution il faut rechercher quelles sont le
s, enfin quelles sont devant ces faits leurs réactions' ? ' ? Les idées de persécution sont très importantes dans la para
ux. Dans les délires toxiques, comme le délire alcoolique aigu, les idées Plt.iTIQ114 : Sl.UIIUL. 10 . [G. GUILLAIN.]
à des faits qui se passent au moment même où le malade exprime ses idées ; au cours de son délire il a de l'anxiété, réag
de tuer ou de se suicider. Dans le délire alcoolique chronique les idées de persécution ont fréquemment l'aspect de la j
fréquemment l'aspect de la jalousie. Dans la confusion mentale les idées de persécution sont peu impor- tantes ; elles o
la conséquence de troubles de la perception. Dans la mélancolie les idées de persécution sont vagues. Le mélanco- tique n
à cause d'eux. 11 faut rappeler toutefois que dans certains cas les idées de persécution des mélancoliques se rapprochent
idées de persécution des mélancoliques se rapprochent beaucoup des idées de persécution des paranoïaques. Les vieillar
s de persécution des paranoïaques. Les vieillards ont parfois des idées de persécution il évolution chroni- que comme l
l évolution chroni- que comme les adultes, mais le plus souvent les idées de persécution des vieillards sont secondaires
t pas, s'imaginent qu'on les vole. Dans la paralysie générale les idées de persécution, quand elles exis- tent, ont aus
forme paranoïde de la démence précoce et. chez certains débiles les idées de persécution ont une systématisation incomplète
e, un caractère de niaiserie. Elles s'accompagnent souvent d'autres idées déli- rantes ; le délire est ainsi polymorphe.
s ; le délire est ainsi polymorphe. Les hystériques ont parfois des idées de persécution. Les persécutés peuvent devenir
me commettre des homicides. Chez une autre catégorie de malades les idées de persécution active constituent presque toute
idées de persécution active constituent presque toute la maladie, l' idée de persécution passive; est très réduite. Tel e
t, le délire processif, le Querulanlenwahnsinn des Allemands. Les idées de défense. - Les idées de défense s'ohservent ch
le Querulanlenwahnsinn des Allemands. Les idées de défense. - Les idées de défense s'ohservent chez les persécutés alor
ont ces défenseurs et quels sont les procédés employés par eux. Ces idées de défense ont une certaine impor- tance au poi
point de vue médico-légal, car le persécuté ayant confiance en LES IDÉES D ;Lttt.LVrrs. 245 elles ne réagit plus lui-mêm
lus lui-même contre ses ennemis, devient ainsi moins dangereux. Les idées de défense sont habituellement en rapport avec de
es protéger contre leurs ennemis. C'est là une variété spéciale des idées de défense. On peut comparer ces idées de défen
là une variété spéciale des idées de défense. On peut comparer ces idées de défense des persécutés avec certains phénomè
aliser l'influence supposée mauvaise de certains autres mots. C Les idées de grandeur. Certains malades croient avoir une
ils envisagent la vie avec optimisme, avec satisfaction. De telles idées s'obser- vent avec une grande; fréquence dans l
c'est un délire mobile, absurde, incohérent, contradic- toire. Les idées de satisfaction avec des caractères semblables se
n maniaque et dans la lsezt.clo- paralysie générale alcoolique. Les idées de satisfaction, de capacité existent dans une
ent dans une phase de la folie circulaire. D'autres malades ont des idées de grandeur qui se présentent sous un aspect di
de grandeur qui se présentent sous un aspect différent, ce sont des idées orgueilleuses, ambitieuses, qui déter- minent u
déter- minent une' véritable transformation de la personnalité. Ces idées orgueil- leuses et ambitieuses appartiennent su
appartiennent surtout à la folie systématique qui évolue depuis les idées de persécution jusqu'aux idées de grandeur où l
e systématique qui évolue depuis les idées de persécution jusqu'aux idées de grandeur où les malades se croient pape, roi
se croient pape, roi, empereur; le délire est très systématisé. Les idées orgueilleuses dans la variété paranoïde de la dém
ans la variété paranoïde de la démence précoce sont mélangées à des idées de persécution, à des idées hypochondria- (PICS
la démence précoce sont mélangées à des idées de persécution, à des idées hypochondria- (PICS, le délire est ici polymorp
t vagues et impré- cises dans la confusion mentale délirante. Les idées hypochondriaques. Les idées hypochondriaques on
ans la confusion mentale délirante. Les idées hypochondriaques. Les idées hypochondriaques ont trait aux préoccupations d
angoissant, on ne peut les raisonner; il s'agit alors de véritables idées déliranles parfois très systématisées, c'est la
es parfois très systématisées, c'est la folie hypocliondriaque. Les idées hypochondriaques s'observent dans un état morbide
GUILLAIN.] >>y. SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. Très souvent, les idées hypochondriaques coexistent avec d'autres troub
mélancolie hypochondriaque; elles s'accom- pagnent assez souvent d' idées de négation. Elles s'observent aussi dans les é
ive de la paralysie gélll'- rale, coexistent alors souvent avec des idées de négation. Certains para- lytique s généraux
tions telle que celle par le haschisch. Dans la démence sénile, les idées hypochondriaques s'accompagnent de gémissements
sur un état mental démentiel. Chez les alcooliques chroniques les idées hypochondriaques sont en rapport avec des troub
s de la sensibilité. f Les persécuteurs raisonnants ont parfois des idées hypochondriaques , ils accusent leurs parents,
r. Dans le délire chronique à évolution progressive de Magna n, les idées hypochondriaques ne sont pas fréquentes; lorsqu'e
tent, ces persécutés supposent des manoeuvres de leurs ennemis. Les idées de négation. - Les aliénés négateurs disent qu'il
t élans leur propre existence que dans le inonde exté- rieur. Les idées de négation sont fréquentes dans certaines formes
r elles prouvent la tendance de l'affec- tion il la chronicité. Les idées de négation appartiennent au syndrome de Cotard
ion appartiennent au syndrome de Cotard qui est caractérisé par les idées de négation, les idées d'immor- talité, le déli
ndrome de Cotard qui est caractérisé par les idées de négation, les idées d'immor- talité, le délire d'énormité, le délir
d'immor- talité, le délire d'énormité, le délire mélancolique, les idées de damnation et de possession, les troubles de
osition, la tendance au suicide et aux mutilations volontaircs. Les idées de négation s'observent dans la paralysie général
es débiles elles ont un aspect assez sem- blable. On constate des idées de négation dans la démence sénile. Parfois, el
par des troubles de la cOEnestMsie. Dans la confusion mentale, les idées de négation assez fréquentes. LES IDÉES DÉLIRAN
s la confusion mentale, les idées de négation assez fréquentes. LES IDÉES DÉLIRANTES. 245 dépendent des troubles de la pe
ont aussi pour cause les (roubles de la sensibilité générale. Les idées d'énormité. - Ces idées ont été décrites par Cota
es (roubles de la sensibilité générale. Les idées d'énormité. - Ces idées ont été décrites par Cotard. On les observe dan
lysie générale et la mélancolie. Chez les paralytiques généraux les idées d'énormité ne présentent aucune systématisation
stomacs, une érection perpétuelle, etc. Chez les mélancoliques, les idées d'énormité font partie du syndrome de Cotard. C
s d'énormité font partie du syndrome de Cotard. Ces malades ont des idées d'immortalité; ils ont un corps qui ne peut pas
pas mourir; leur taille est immense, ils touchent les étoiles. Ces idées d'énormité et d'immortalité sont très pénibles po
préféreraient, disent-ils, la mort à d'éternelles souffrances. Les idées religieuses. « En pathologie mentale, le terme
ances. Les idées religieuses. « En pathologie mentale, le terme d' idées religieuses ou mystiques ne désigne nullement, co
fférents. Il sert simplement, la plupart du temps, il qualifier des idées délirantes diverses dont l'expression, la formu
é élevé ou dont il a simplement entendu parler. » (Séglas.) . Les idées religieuses s'observent dans des affections menta
des conseils. Ils croient être des êtres supérieurs, surhumains. L' idée déli- rante, chez eux, revêt le caractère de la
24ô . SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. ' tent l'enfer, sont damnés. Ces idées de damnation sont particulièrement fréquentes;
ièrement fréquentes; elles appartiennent au syndrome de Cotard. Les idées de damnation s'observent aussi dans les période
es mélancoliques de la folie intermittente. ' Les débiles ont des idées religieuses exagérées, puériles, niaises; ils n
s démences, et spécialement dans la démence sénile, on' observe des idées religieuses pathologiques en rap- port avec l'a
aractères hallucina- toires oniriques des délires toxiques. ' Les idées érotiques. - Un groupe spécial d'idées érotiques
des délires toxiques. ' Les idées érotiques. - Un groupe spécial d' idées érotiques com- prend toutes les perversions sex
es (exhibitionnisme, fétichisme, sadisme, masochisme, uranisme).Les idées érotiques sont observées dans un grand nombre d
qu'alors, être conduits pour de tels faits devant la justice. Les idées érotiques avec attitudes lascives, paroles obscèn
épileptiques. Les hystériques, dans leurs délires, ont souvent des idées érotiques. Certains hystériques mythomanes inve
dividus qu'ils croyaient être des anges ou des envoyés de Dieu. Les idées érotiques ont un rôle dans la psychologie des per
erotique chaste, vouant un culte idéal il un être imaginaire. Les idées erotiques sont fréquentes chez les psychasthéniqu
s images lascives. Les délires métaboliques et palingnostiques. Ces idées délirantes s'observent chez les débiles congéni
tains malades refusent absolument de s'ali- menter soit par suite d' idées d'empoisonnement ou de négation, soit par idée
er soit par suite d'idées d'empoisonnement ou de négation, soit par idée de suicide, soit par dépression psychique profond
hothérapie a beaucoup moins d'influence chez les malades atteints d' idée fixe et d obsession. Chez les persécutés la persu
peut arriver que rarement aies convaincre de l'absur- dité de leurs idées . Aux malades atteints de délires infectieux et to
ptômes suivants (dégénérescence ou démence, nature et caractère des idées délirantes, des hallucinations, des impulsions ou
e dernière s'étendant uniquement en avant du sillon de Rolando. Ces idées nouvelles ont. trouvé confirmation dans les résul
ction de la sensi- bilité soit croisée dans la moelle (Long). Cette idée , émise tout d'abord pour expliquer le phénomène
tions organiques locales, et, d'autre part,. sur une association d' idées (souvenirs visuels) acquises par l'expérience.
ions venant du thorax et de la glotte. La notion de force est « une idée purement abstraite, naissant « par abstraction
ent. 11 arrive bien souvent aussi qu'un hémiplégique n'a même pas l' idée de porter sa main saine sur le point où se fait
our la détermination du siège d'une affection profonde. Quoique les idées du médecin anglais n'aient pas encore reçu plei
isée, qui, dans un autre domaine, peut être opposée et comparée à l' idée fixe. On pourrait même dire qu'il s'agit ici d'un
ten est admise par nombre d'auteurs, et si elle cadre bien avec les idées de Bastian, de Bruns, de Hughlings, Jackson, qu
épister l'influence de l'épuisement nerveux, de la suggestion, de l' idée fixe [phobie) ou delà simulation (paraplégies d
troubles plus ou moins gené- ralisés à toute la muqueuse. Avec les idées actuelles sur les stigmates hystériques, on peu
une altération nerveuse, son absence n'en a aucune pour éliminer l' idée de lésion nerveuse : la preuve en est que dans
grande importance, mais dont l'absence ne doit pas faire rejeter l' idée de syphilis nerveuse, car il peut l'aire défaut
2ces ont été expérimentés- sans plus de succès, en partant de cette idée nullement démontrée que la myopathie- peut être
le traitement de l'alaxie du tabès, quand Frenkel (de Hciden) eut 1 idée de la pratiquer dans cette maladie selon des prin
mentalité du pseudo-bulbaire est souvent fortement diminuée, et les idées font défaut qui pourraient éclairer le regard e
ons générales de l'intelli- gence, mémoire, jugement, association d' idées . On constatera que le malade n'a plus, présents
Définition. L'étymologie du mot convulsion (convellere) éveille l' idée de secousse et d'ébranlement; il s'agit, en effet
'excès, commandés primitivement par une cause extérieure ou par une idée acquise. Dans la suite, ils se répètent involon
tic est primitivement commandé par une cause extérieure ou par une idée et coordonne vers un but par la répé- tition :
igu, d'un état maniaque ou de convulsions et d'incohérence dans les idées . D'autre part, il existe un délire choréique :
s et Cruchet (v) d'autre part. Nous nous appuierons surtout sur les idées défendues par Brissaud et Meige et admises par
ils peuvent être d'origine purement corticale et déterminés par une idée , parfois une hallucina- tion (Joffroy) (') ; ma
boutir il de véritables syndromes psychiques bien caractérisés; les idées fixes, les obsessions, les impulsions, les phob
tal « qui ne se traduit extérieurement par aucun signe », un 'il' d' idée ^). A l'opposé des auteurs précédents, Pitres et
ins aliénés ; il représente un acte de défense en relation avec une idée délirante, on l'observe aussi dans l'hystérie; il
u du violon, etc. Le mot crampe est très mal choisi ; il implique l' idée d'une douleur qui est loin d'être constante (')
for- mes paralytiques flasques ; l'impotence au contraire évoque l' idée de forme paralytique, or elle est l'exception.
'un arc réflexe, et le terme « névrose » élimine au contraire cette idée d'irritation organique : or il n'est nulle- men
usculaire; on peut dire qu'il s'agissait d'une véritable « crampe d' idée », comparable aux,j.cs d'idée. ." Certains ma
s'agissait d'une véritable « crampe d'idée », comparable aux,j.cs d' idée . ." Certains malades, ayant appris il écrire de
les caractères de l'acromégalie, c'est un détail seul qui évoque l' idée de l'acromégalie, l'ensemble est tout à fait diff
, pendant le jour, pensent continuellement à leur miction, et cette idée ne les abandonne pas la nuit; l'incontinence se p
êve, que celui-ci ait rapport, soit à une vraie, miction, soit aune idée qui la rappelle, de l'eau qui s'écoule par exempl
ce, le repos intellectuel, et tout ce qui peut les dé- tourner de l' idée de miction.. S'ils sont lollalciuriducs, il faudr
ulaire, et, dans la 1'01'1111' psychopatillue, c'est le pire, car l' idée de miction devient fixe chez ces enfants, et le
statique, ont de l'incontinence, par regorgement, qui détourne de l' idée de rétention, mais celle-ci est par elle-même une
DE. L'APPAREIL URINAIRE. chiffres invraisemblables qui éveillent l' idée de supercherie. Toujours est-il que le produit
, mais on ne doit con- clure à l'origine nerveuse que lorsque toute idée de lésion. organique aura été écartée. On surve
nalyse d'urine, appa- raît et s'installe dans l'esprit d'un sujet l' idée d'un rétrécissement, d'un calcul vésical, d'une
les lectures et les fréquentations susceptibles de lui rappeler des idées erotiques; des bains généraux et surtout les do
tement de liquide urétral après une demi-érection, sont hantés de l' idée de pertes séminales. Aidés par des conseils intér
uches, dépaysement, éloi- gnement de tout ce qui peut provoquer les idées lubriques. Les rnoyèns de coercition (camisoles
cl'znctnilic·e.s qui vomissent sans cesse, obéissant à une foule d' idées étranges. L'état nauséeux est continu; et l'on
socient fréquemment à des troubles plus graves : anorexie mérycisme idées fixes diverses amenant à restreindre chaque jou
Le diagnostic est simple dans tous ces cas. Parfois il s'agit d'une idée fixe; tel l'hypo- condriaque, pour lequel la se
ée; l'alimen- tation sera diminuée encore, loin d'être augmentée. L' idée fixe est entre- tenue par l'entourage qui suppl
sont plus que tous autres des esprits propres à la germination de l' idée fixe. L'on aura souvent quelque difficulté à la
l la malpropreté du paralytique, il dépend en d'au- tres cas de ses idées délirantes, 'soit que le malade se soulage en se
ombre d'états, dans la paralysie géné- rale par exemple. Enfin, des idées diverses de grandeur, (l'humilité, le désir d'ê
êter le gâtisme en raisonnant le dément et cherchant, il détruire l' idée fixe. En d'autres cas, on peut pallier, au moins
igent, souvent hébété ou riant d'un air stéréotypé. D'ailleurs, les idées sont mobiles, les liassions futiles, pue- riles
tuation du type, de même que quelques réponses donnent une certaine idée de la vivacité de l'entendement. Il va de soi q
et des réponses aux tests concernant l'attention, l'association des idées , la mémoire, etc. Il faut ici se garder de parl
as de paralysie pscudo-bulbail'c. Nous ne saurions mieux donner une idée de l'intérêt comparatif de ces recherches qu'en
ïne ou de stovaïne, raclii-cocaïnisation ou rachi-slovaïnisatiûn. L' idée en appartient à Corning et à Bicr, et c'est Tuf
ts remar- quables de la ponction ventriculaire cadrent mieux avec l' idée dune épendymite séreuse, selltiduc qu'avec cell
de la nuque ('); de la torpeur; un sommeil irrésistible et quelques idées de suicide. L'évo- lution se poursuivit pendant
de Cushing et Sladen, Fischer, Merle), on est conduit à accepter l' idée de la symptomatologie d'emprunt. Celle symptoma
est exprimée par un rapport. Nous pouvons cependant nous faire une idée de ce qu'elle est au niveau de la surface d'app
les diverses positions qu'elles peuvent occuper. Elles donnent une idée des dimensions et des positions respectives qu'
açon sm les nerfs et sur les muscles, il convient, pour prendre une idée plus complète de cette réaction, de passer en r
dans des conditions aussi comparables que possible qui donnent une idée approximative de la résistance initiale et perm
enant dans une cer- taine mesure des malades mêmes et résultant des idées qu'ils se font sur l'efficacité du traitement q
tes, 252. Dé- mences, 254. - Amnésie, 255. Hal- lucinations, 257. Idées délirantes, 240. Internement. Établissements
ée, z, ' Auscultation des centres nerveux, 1118. Auto-accusation ( Idées d' -), 241. Automatisme ambulatoire, 192. Aut
. ' Défécation. Troubles révélant un état mental, 998. Défense ( Idées de -) chez les aliénés, 242. Déformations art
ctions élec- triques. Déglutition, troubles, 983. Délires, Voy. Idées délirantes. lllrila- bnliq7les ou palinflllosti
^853. Phénomène des orteils, 450. t- Paraplégies, 508. Énormité ( Idées d' -) chez les aliénés, 245. Entéro-névrose,
(Myopathie juvénile d' -) GSS. Ergotisme, alaxie, 760. Erotiques ( Idées -) chez les aliénés, 246. " Érythromélalgie,
tit zygomatiljue, innerva- tion, physiologie, 585, 586. Grandeur ( Idées de -) chez les aliénés, 245. Graves. Voy. Goi
49. Hypoacoûsie, 1 ? 0. INDEX ALPHABÉTIQUE. 1381 Hypocondrie. Idées hypocondriaques, 243. Hypoesthésie du larynx, 6
15. Ictères chroniques. Liquide céphalora- chidien, -1 [ : il . Idées délirantes, 240, - d'anlo-acensa- lion, - de pe
, 1096. - R : 1DIOGR<IPIfIE, 1179. Narcolepsie, 189. Négation ( Idées de -) chez les aliénés, 244. Néphrite interst
ronier antérieur. Innervation, physio- logie, 548. - Persécution ( Idées de -), 21. Petit dentelé postérieur et supérieu
eichmann (Syndrome de -), 994. Rein, névralgies, z3. Religieuses ( Idées -) chez les aliénés, 245. Renaud. Voy. Fibres à
92 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
ue, chose de divin qui embarrasse l’esprit de ceux qui ont de fausses idées . Kl le est par conséquent destinée à faire d’abor
ne serve de nouveau h enchaîner les nations; car si on a pu, avec des idées erronées, corrompre le cœur de tant de génération
iculairemenl un vrai panorama, et auquel il empruntait les faits, les idées el les mots dont se composent ses réponses. » (
sociétés se sont formées : deux pénétrées de nos principes, une des idées contraires; celle-ci voulant agir sur l'opinion p
combes médicales, lit c’est à vous, cher docteur, qu'en reviendrait l’ idée ! Allons donc, je ne pourrais le croire. Vous avez
a science une allure franche, décidée, un mot impropre jette dans les idées un trouble souvent difficile à détruire. Pour évi
bois était un de ces hommes avides de science, qui, pour acquérir une idée , entendre un bon discours, voir une opération dél
gretle saris doute de 11e pouvoir acquérir ce précieux volume, où une idée , une seule, est enchâssée dans des milliers d’err
ment de la dernière lettre qu’il nous écrit ; il donnera lui-môme une idée de sa croyance et de ses procédés: >• En 182
ur a voulu qu’un profond précipice existât. Ce n’est cependant qu’une idée , un désir magnétiquement formulés ; mais cette id
cependant qu’une idée, un désir magnétiquement formulés ; mais cette idée s’est communiquée au magnétisé tellement qu’en ap
attendions l’apparition de celte Revue; nous espérions y trouver des idées neuves, quelque chose qui marquât la science d’un
s’est pas tellement livré à la débauche, qu’il ne se soit épris des idées nouvelles qui germaient alors en France, et la pl
’étend sur le magnétisme d’une manière favorable à l’extension de nos idées . — Dans le Siècle du 8, M. Pierre Durand, à pro
lieu d exercer sur la raison un salutaire empire. Qu’a-l-on faitdes idées de justice et de liberté; qu’a-t-on tiré des véri
compteriez quatre mille en déclarant que vous n’êtes ennemi d’aucune idée , quelque excentrique qu’elle soit, lorsque celte
ennemi d’aucune idée, quelque excentrique qu’elle soit, lorsque celte idée pent se produire et rendre quelques services au g
t s’accomplir autour d eux, saus y prendre part, le grand travail des idées et ré-mancipation intellectuelle ; il y a loin su
t à de nouvelles conquêtes, pour qu'il soit satisfait, qu’il voie ses idées partagées, admises, et régner sur les esprits.
oublée; pour en avoir la connaissance, il faut : 1° Avoir une juste idée de la règle de l’ordre; 2° Reconnaître les chan
ics. - • La sensibilité de l’homme est nécessairement altérée par l’ idée habituelle des supplices, et les plus grands qu’o
aient insuffisants ou impraticables, on devrait encore éloigner toute idée de cruauté, et supposer plutôt quelques vices phy
donner ; ainsi l’idiotisme, l’hilarité stupide, la fureur, tontes les idées d’un maniaque ou d'un imbécile le dominent succes
t de leurs œuvres. « Nous n’avons point la prétention d’imposer nos idées , mais d'amener ceux qui voudront s’éclairer à rép
uvent fautive, et que le traitement est presque toujours conforme aux idées du médecin, en d’autres termes qu’il y a communic
e, en résumé, n’est autre chose que la croyance mal entendue de cette idée primitive : « Dieu dans toutes ses œuvres. » Idée
l entendue de cette idée primitive : « Dieu dans toutes ses œuvres. » Idée qui devient pour nous de la plus grande évidence
tière au principe spirituel. l’ourlant je ne veux pas pousser cette idée jusqu’à dire que le magnétisme soit justement dan
surent en tirer, ou plutôt tout ce qu’ils embrouillèrent dans la même idée , eu ne raisonnant que par le syllogisme au lieu d
sition de l’âme au corps. Toute pensée d’amour entraîne avec elle une idée de beauté, de bonté et de bonheur; le corps y tro
considérer comme ensemble; mais quand 011 n’admet de création que les idées qu’on a émises, quand on ne croit pas à Dieu, com
int manquer à cette réunion. — M. Alphonse Lcrolle a eu l’heureftsc idée de reproduire les traits de Mesmer dans un charma
nchalamment sur ses épaules. Toute description ne pourrait donner l’ idée de ces phénomènes; il faut les déterminer soi-mêm
premier numéro un long article sur le magnétisme. Ainsi peu à pcn nos idées pénètrent dans les pays qui paraissent leur être
rofonde, objet de toutes nos recherches, trouvent dans ce journal les idées et les faits des temps anciens comme des modernes
eux botanistes, ils ont ri de l’action du remède fondée sur de telles idées , et ce fut la dernière fois qu’ils s’en enquirent
atœ sunt. Les Platoniciens et. les Académiciens se basèrent sur des idées génératrices. Iileee rerum formatrices. Numerus
’ignares, desavants et de génies. Seuls, ces derniers ont les grandes idées , les vastes conceptions; ceux-là répandent à lois
e reçoit-elle une vertu de l’étoile qui préside à sa naissance? Ces idées sont-elles pures illusions? Je n’ose répondre de
Mesmer. Avions-nous tort lorsque nous annoncions le progrès de nos idées ? Il est la récompense de nos efforts et de notre
e des expériences publiques, un organe de plus ouvert par elles à nos idées . Qu’en diront les partisans du procul profani?
’enthousiasme aux fanatiques, les dédains à l’ignorance, à chacun ses idées , ses croyances, ses doutes ou son partipris, et s
ffrir. Cruels savants! ingratehumanité! lorsque apparaît un homme à idées fortes et neuves, 011 !e flétrit, quelquefois mêm
ère permit de publier ce qu’il venait d’exprimer avec tant d’âme. Ces idées neuves et hardies ont précédé la lecture d’un der
ganicisme sans vie, ils sont ennemis de tout principe élevé, de toute idée grandiose. Comme appréciateurs de la science, ils
la découverte de Jackson est funeste dans ses conséquences. Comment l’ idée ne lui est-elle pas venue que si l’éthéri-sation
t où il n’a que du clair fort obscur, et cela tout bonnement avec nos idées de mesmérisme. I Après avoir donné les expérien
1 faut avoir une fière imagination pour associer, à notre époque, des idées aussi illusoires ! Et, du reste, pourquoi, s’il a
ge. L Espagne, après l’Autriche, devient persécutrice des nouvelles idées . Il y a des fous et des insensés partout; mais la
e bonheur qu’il éprouve et ne néglige aucune occasion de répandre nos idées . La Société magnétique de Cambrai, pour encourage
t être maître, attacher son nom à une doctrine, faire prévaloir ses idées à l’exclusion des autres, et sans consulter les i
ension du mesmérisme, et ce n’est que dans ces derniers temps que les idées d’association, de collectivité de moyens, d’unité
té magnétique; M. Evenor Dupont, avocat, connu par son dévouement aux idées phalanstériennes; M. Liéuard, vieillard des plus
cilement que les hommes et les animaux. On ne peut guère se faire une idée de la précision des effets sans voir répéter les
it-elle pas plutôt le sort de toutes les découvertes et de toutes les idées nouvelles? Entre ces idées récentes et les notion
de toutes les découvertes et de toutes les idées nouvelles? Entre ces idées récentes et les notions reçues se livre, depuis l
urs, que ces exemples nous servent de leçon ; ne prêtons pas à chaque idée nouvelle un secours exagéré, mais ne Pétouflons p
ce. Quand nulle pensée n’a fait vibrer la harpe animique, qu’aucune idée du dehors n’a trouvé d'écho en nous, c’est que le
et le choix des expressions n'est pas plus remarquable que celui des idées : la pensée est toujours rendue par des images fr
e dans la veille. Elle s’est surtout appesantie sur la génération des idées , leur transmission et l’étendue possible du savoi
r, disant qu'elle voyait des étoiles (c’est ainsi qu’elle désigne les idées ; elle a un langage énigmatique : ainsi, elle trad
y, afin qu’il y ait dans la loi une porte ouverte pour que toutes les idées nouvelles, les découvertes utiles puissent s’ét
nce de nos lecteurs. Quelques extraits suffiront pour leur donner une idée de l’enthousiasme et de la reconnaissance qu’insp
Courtin. En 1829, nous le retrouvons, avec non moins d’indépendance d’ idées et un savoir accru, soutenant la nouvelle science
ux destinées du magnétisme. Déjà les préventions contre ces nouvelles idées s’éteignent; on commence à comprendre la nécessit
lettre; les termes peuvent n’en être pas parfaitement choisis, mais l’ idée est assurément fort bonne et d’une application fa
veillance et sagacité. Persuadé que nous sommes à une époque où nulle idée ne doit être repoussée à cause de quelque alliage
nétique; c’est aussi mon avis, et je ne puis en donner une plus juste idée à ceux qui ne lisent point l’anglais qu’en le com
et et celle d’Alexis étaient presque identiques. Alors il me vint l’ idée de lui parler du pauvre malade, et je lui demanda
d’autres personne», tous mes mouvements donnaient l’expression d'une idée conçue, la joie ou la frayeur se dessinaient sur
pus avoir le moindre souvenir de la force qui m’avait fait agir, des idées que j’ai exprimées tour à tour; aussi est-il pour
l’extase magnétique, nos actions expriment nettement des pensées, des idées que nous avons conçues, et dont nous n’avons cepe
, Les cures mentionnées dans votre excellent journal me suggèrent l’ idée de vous faire part du plein succès que j’ai obten
ro 48 de votre journal, pages 366 et 367, émet en quelques lignes une idée à laquelle nous donnons l'assentiment le plus com
répondu, car nous nous proposons de continuer le développement de nos idées sur ce sujet en rendant compte des expériences au
e. Très-souvent on prend pour lucidité ce qui n’est que le reflet des idées du consultant: de là nombre de déceptions. PETI
tôt ou tard, leur en tiendra compte. L’homme sage ne repousse aucune idée sans examen, parce qu’il y a du bon partout : il
icle suivant, qui prouve que la presse américaine est favorable à nos idées . De tels auxiliaires assurent le triomphe du mesm
me le plus évident du progrès, le précurseur certain du triomphe de l' idée . Tous ces auteurs, envisageant la question à de
ordres du Créateur (Gen., ch. m). C’est Satan qui suggéra à David l’ idée de faire un dénom* brement du peuple d’Israël con
n exil, une prison, la pension enfin! Jamais il ne m'était venu à l’ idée de demander si celle ville était belle ou laide.
aise où j'avais jeté mes habits, enfin tout. J’étais éveillé corps et idées , autant qu’on peut l’être... La porte s’ouvrit,
e doutait alors dans le Champ-de-Mars, pas même le roi. Comment cette idée m'était-elle tombée de la tête? Dieu le sait. Je
les dangers exagérés de cette puissance dont il n'avait encore qu’une idée si imparfaite. Je lui parlai de vos belles expéri
avec leurs mains; il est donc tout à fait évident qu’ils n’ont nulle idée de la source de leur malaise. Si la volonté dicta
à les détenir, enfin les appelle à elle. El c’est ainsi qu’une vague idée de l'immortalité vient se placer au cœur de la fe
trouve; il y esl cependant, qu’il prenne forme ou non. Semblable à l’ idée qui n’ait en nous, son éclosion dépend de causes
èrement, Monsieur. consacrent leur vie. Nous n’avions qu’une fausse idée du magnétisme; les personnes ici qui en avaient q
n mot, M. Laporte a laissé dans l'esprit de ses concitoyens de telles idées du magnétisme que beaucoup d’entre nous aujourd’h
eu, et les quelques élus qui ont été admis à y assister ont emporté l’ idée la plus avantageuse de la science de M. Derrien e
’intelligence de tous les peuples un travail favorable au progrès des idées nouvelles. L’Italie, restée jus-qu’ici presque ét
rreur à la place de lu vérité; mais comment rectifier lout à coup les idées des hommes qui doivent servir de guides au magnét
le baron, la liberté que j’ai prise de vous communiquer ces quelques idées ; je ne m’y suis résolu que parce qu’il m’a paru q
uire à un fait unique, celui de la transmission des sensations et des idées d’un individu à l’autre, par l’acte de la volitio
l’attention sur ces œuvres dont les pages sont ornées des plus belles idées , mais le temps de le faire avec fruit n’est pas e
nom de Mesmer et le magnétisme animal réveillent à la fois toutes les idées d’incrédulité; et c’est à peu près tout ce que la
93 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
n des grands appareils n'en est exempt. Pour en donner de suite une idée d'ensemble, je rapporterai le fait de Tune de nos
tude, elle éprouve un malaise général qui empêche tout travail et des idées noires envahissent son esprit. Elle est prise de
s le docteur J. Moreau s'exprime ainsi : « C'est sous la pression d' idées de vengeance, de terreur, le plus souvent dans le
ntes : « Si on se re-porte à une autre époque, si on suppose d'autres idées et d'autres croyances, on concevra facilement cet
tabilité extrême, des besoins de remuer, des envies de mal faire, des idées de suicide, et par des hallucinations. Quatre j
ire termine habituellement ses attaques. Elle se sent envahie par des idées tristes, et le souvenir des événements passés rev
ttitudes pas- sionnelles, qui toujours sont la représentation d'une idée ou d'un sentiment, il en est une pour laquelle la
ces diverses attitudes deviendrait fastidieuse, et pour en donner une idée on permettra à la plume de céder la place au cray
es, les attitudes, les paroles même ne varient pas. Pour donner une idée de la rapidité avec laquelle se succèdent parfois
onnelle. faut avoir assisté à cette scène pour s'en faire une juste idée . Le récit en est décoloré; nous essayerons d'y su
les frayeurs qui ont occa-sionné sa maladie. Pour donner une juste idée de la violence de ce délire, je ne puis mieux fai
éritable cause; elle lui attribue une signification en rapport avec l' idée qui la possède. Elle voit, mais elle ne reconnaît
Oh! pour sûr, je me ferai actrice... ça... on ne me l'ôtera pas de l' idée : j'entrerai au Conservatoire, je ferai deux ans
abi-tuels de la grande attaque hystérique : agitation, perversion des idées et des sentiments, douleur ovarienne surtout du c
it, les convulsions étaient bien plus tôt terminées. Notre première idée qui avait été aussi celle du docteur Brongniart,
titudes passionnées, ces poses plastiques représentant exactement les idées qui assiègent l'esprit de la malade, cessent; la
tendus et douloureux; elle se frappait la poitrine avec violence; ses idées n'avaient aucune liaison, et souvent son corps se
des fa-cultés intellectuelles : la malade parle et dirige d'abord ses idées avec jus-tesse; puis son imagination se développe
elle entrait dans un rêve où les aberrations des sens se mêlaient aux idées les plus pittoresques : d'une voix touchante, ell
te avec intérêt son rêve (il y a cependant de la divaga-tion dans ses idées ) et montre avec anxiété son membre inférieur droi
econnaitpas les personnes qui l'entourent,a perdu la mémoire et a des idées singulières. Dans l'intervalle des attaques revie
ges ou des mots inarticulés qui sont apparemment en relation avec les idées qui traversent son esprit. Enfin l'élément pureme
écoulemeut de salive écumeuse teintée de sang. Un léger trouble des idées et du vertige succédait à ces attaques, mais il n
ès ces attaques, il y avait pendant quelque temps de la confusion des idées , mais même les plus fortes ne furent jamais suivi
es accès d'hystérie. Quand la maladie résulte d'une cause morale, les idées délirantes roulent ordinairement sur tout ce qui
oir les femmes acquérir, dans leur accès de vapeur, une pénétration d' idées qu'elles n'avaient pas na-turellement, et ces ava
t. Les figures représentées (Fig. 91, 92,93, 94 et 95) en donnent une idée . Les membres contractures dans l'exten-sion s'élè
L'hallucination peut survenir, mais la contrac- 1. Pour Sonner une idée de la violence de ces grands mouvements, nous avo
lquefois une irri-taliun générale de la telò, puis une exaltation des idées Tort remarquable^ » § 2. — AT T A II ij E 1) E
tent, ils gesticulent, ils prennent des attitudes en rapport avec les idées , les sentiments, les images dont ils subissent l'
utir. Les hallucinations sont des plus variées et en rapport avec les idées et la manière de vivre des extatiques. En sorta
t, je crois, car elle est classique. Je ne puis donner de son air une idée plus précise qu'en rappelant cette image, et vrai
plus digne!... » etc. Après cette dissertation un peu lugubre, ses idées prennent une autre di-rection. Elle chante : « Si
vive anxiété. La malade ne manifeste cependant par ses paroles aucune idée délirante. Son père est mort à cinquante ans d'
n'avait jamais quitté sa famille. Sa mère ne peut supposer que jamais idée d'aucune espèce de jouissance matérielle ait eu a
sse alarmant. Du reste, pas le plus léger trouble intellectuel, pas d' idées fixes, pas d'hallucination. Sur ces entrefaites
nsforment; elle voit des fantômes hideux, le diable lui apparaît; ses idées de possession sont bien plus vives; elle pousse d
le revient à son état habituel ^ Obs. V. Attaques convulsives, avec idées de possession et de multiplicité de la personnali
ait alors chaque fois un aspect diabolique, dont on peut se faire une idée en lisant dans la Messiade le tableau du diable o
eaucoup plus concentré, violent, et dangereux par la prédominance des idées fixes avec impulsion au mal. Mais la confusion de
e furieux, frappant tout le monde, s'arrachant les cheveux, ayant les idées les plus incohérentes; cet état dura deux heures.
iolent qu'on avait dû lui mettre la camisole de force. Nous eûmes l' idée de l'hypnotiser dans cet état. Quelle ne fut pas
it avoir rêvé d'une foule de choses, mais impossible de pré-ciser ses idées ; elle demande à manger, et à partir de ce moment
la suite d'un état de mélancolie consciente ou demi-consciente, sans idées de suicide. Douches vertébrales, bromure de pot
sent d'habitude; on en a vu qui faisaient des vers. )) Mobilité des idées . — La facilité avec laquelle les hystériques dans
ltants, exprimés dans le langage le moins recherché. Perversion des idées et des sentiments. — Ceci est fort remar-quable q
ts. Tous les auteurs en ont rapporté d'analogues. 1. Voy. p. 228. Idées fixes. — Au milieu de la mobilité extrême qui car
ité extrême qui caracté-rise les troubles psychiques de l'hystérie, l' idée fixe paraît un contre-sens. Pour être d'une raret
rt d'heure, une heure, des jours entiers et même de longues années? L' idée fixe a sa source le plus souvent dans la croyance
nt parfois les hystériques pour certaines couleurs. Érotisme. — Les idées erotiques ont souvent une place impor-tante dans
buer. Elles peuvent même faire complètement défaut. Incohérence des idées . — Au milieu de la violence que présente parfois
nte parfois le délire hystérique on observe de l'incohérence dans les idées . Mais ce trouble psychique ne correspond point à
uestions qu'on lui adresse que si elles ont quelque relation avec les idées dans lesquelles se meut son hallucination. Il est
tion. Il est, en quelque sorte, spécialisé dans un cercle restreint d' idées dont son hallucination forme comme le centre, et
tache pas plus ou moins directement. Mais en entrant dans l'ordre d' idées qui le dominent actuelle-ment, l'observateur devi
ubir des développe-ments plus ou moins étendus. Par l'association des idées le cercle dans lequel se meut l'activité cérébral
é dioit. Mais tandis que tout à l'heure, la malade rectifiait toute idée ou sensa-tion fausse que nous cherchions à lui im
, les bras fléchis, elle sent son esprit envahi par toute une série d' idées d'humilité, de contrition ; la tète haute, ce son
série d'idées d'humilité, de contrition ; la tète haute, ce sont des idées d'orgueil ; en un mot, je suis témoin des princip
e exprimant l'orgueil, l'humilité, la colère, etc., immédiatement ses idées seront portées versées sentiments, et cela avec u
r mon témoignage à celui de l'éminent physiologiste. » Bien plus, l' idée d'une action limitée peut être suggérée ; ainsi l
tion de grimper, de combattre, de lever un fardeau, de tirer à soi, l' idée de ces actions vient innnédiatement et avec force
égoût pour son enfant qu'elle adore habituellement, elle avait eu des idées de suicide qu'elle avait refoulées, et qu'elle n'
invariablement de la même manière le lendemain. Pour vous faire une idée nette de cet accès. Monsieur, figurez-vous une hy
tions amènent la résolution musculaire. Tous ces signes éloignent l' idée de véritable catalepsie, et plai-dent en faveur d
roître en raison du nombre des muscles contractés. En même temps, les idées de la malade s'obscurcissent de plus en plus, et
opinion et s'autorisait du témoignage de Lieutaud,qui avait eu cette idée avant lui. M. Lasègue, contre l'argument de M.
de son discours, chaque menace d'attaque vient rompre la suite de ses idées . Nous avons fréquemment observé ce dernier fait c
es fois qu'une petite menace d'accès avait interrompu son discours. L' idée de ce (pi'elle avait encore à dire périssait abso
blent.—Au milieu de sa loquacité, elle allie raisonnablement quelques idées , fait quelques réflexions justes en rapport avec
nt et qu'elle regarde avec une fixité cfTrayante. En entrant dans son idée de brûlure, de flamme, on peut échanger avec elle
dans ce cas, et semble faire de pénibles efforts pour rassembler ses idées et les exprimer. Vers 6 h., cette agitation se
psie. Le 20. La somnolence qui persiste n'exclut pas la netteté des idées . Le 21. Encore un peu de somnolence. Mais la vu
ître. Le 22. id. Le 23. La malade est complètement réveillée. Les idées sont nettes, mais elle n'a aucun souvenir de ce q
bles pendant les-quels la malade avec une persistance et une fixité d' idées étonnantes se livre à deux nouvelles tentatives d
ive naturelle-ment du premier. L'hallucination qui préside à l'une, l' idée fixe qui dirige l'autre, prennent naissance à la
stait plus, et la malade, livrée à elle-même, suivait le cours de son idée fixe. Dans le somnambulisme, existait la persista
t des sens ,mais dans un cercle restreint, toujours en rapport avec l' idée dominante et exclusive-ment limité à son étendue.
de ne dit rien ; elle paraît ne rien voir et cherche à rassembler ses idées ; une expression d'étonnement se peint sur sa fig
n dirigé pouvait mettre en lumière. Nous ne saurions mieux donner une idée de ce délire et de la manière d'en provoquer les
'expres-sion impropre et consacrée par l'usage ; nous lui suggérons l' idée de sa mère, et nous voyons de cette suggestion se
uler toute une scène psychologique dont nous essaierons de donner une idée ^ Elle voit sa mère et décrit son ajustement :
limites de la suggestion, mais aussi qu'on vertu de l'associalion des idées et suivant la richesse de son imagination ou la v
des tortures était commencée. » Je me contenterai, pour donner une idée des hallucinations ter-ribles qui vinrent assaill
ré-veillé : c'était par le bruit de ma porte qu'on ouvrait; et cette idée qu'on ouvrait ma porte, quoique j'en eusse pris l
t au nombre de huit. 1" Sentiment de bonheur. 2° Dissociation des idées ou affaiblissement du pouvoir de diri-ger les pen
etrouvera, dans les deux cas, la même mobilité dans la succession des idées et des hallucinations, la même vivacité d'in-terp
parler, mais il faut que je me taise. — Je ne puis décrire les mille idées fantastiques qui traversèrent mon cerveau pen-dan
ôté gauche demeurent tranquilles, (Fig. 101). La figure 102 donne une idée générale des deux temps. Ce fait montre d'une f
M. Jennings, dans une thèse récente, s'est fait le champion des mêmes idées . 11 nous semble qu'il suffit de lire attentivem
les ont des absences de mémoire plus ou moins fréquentes, ou bien des idées exaltées; quelques-unes ont un délire fugace; tou
atique, cataleptique. Elle a passé pour ma-niaque avec prédominance d' idées suicides, homicides, erotiques. L'hypochondrie a
s la chambre d'une malade qui ne donnait aucun signe de vie, conçut l' idée de faire venir quel-qu'un qui se servît de cet in
s la production des phéno-mènes dits métalloscopiques. 11 eut alors l' idée de s'adresser à l'é-lectricité elle-même, non plu
uacité était le plus exubérante, et qui étaient surtout frappées de l' idée que la cuisinière du couvent s'entendait avec le
atières qui ont trait à la damna-tion. Bientôt les convulsions et les idées déraisonnables purent être notées sur la plupart
rver chez nos malades hystériques. En outre des hallucinations et des idées fixes qui en étaient la conséquence, nous retrouv
partie féminine de la population une fascination dont peut donner une idée la déposition suivante extraite des preuves du pr
ut nous permettre de nous rendre un compte exact de la ténacité d'une idée fixe, née ainsi de la croyance à la réalité d'une
. Histoire des Diables, p. 316. Les extraits suivants donneront une idée des scènes auxquelles donnaient lieu les exorcism
Gran-dier fut confronté avec les religieuses, pour se faire une juste idée du degré de violence qu'atteignaient parfois ces
ère, toute-fois avec grand'pcine. 11 lui semblait qu'on lui était les idées de la mémoire... » Le même jour, sur le soir, l
ne, cette fille tomba dans des horreurs d'esprit, fureur et plusieurs idées de blasphème contre Dieu. Elle ne sut ni n'osa pl
entrent dans un état de fureur qui va toujours croissant, comme si l' idée qui les domine produisait deux effets presque sim
êtent, aux objections qu'elles prévoient, mais sans s'écarter de leur idée dominante,en y rapportant tout ce qu'elles disent
e nous avons vu dans les possessions de Loudun )u de Louviers, aucune idée erotique ne se mêle ou ne paraît s'ajouter à 'idé
s autres prodiges. » (Carré de Montgeron, loc. cit., 1.1, -3e partie. Idées des mouvemenis convulsifs. p. 4.) lés, devient
ne peut leur faire fermer 1. Carré de Montgeroii, loc. cit., t. II, Idée de Vétat des convulsionnaires, p. 29. (ant que
ectuelle dont l'entraîne-ment les contraignait à donner cours à leurs idées . Dans ces moments, la surexci-tation des centres
1. Carre de Montgeroa, loc. cit., Paris, 17-il, t. II, deux. part. Idée de l'état des con-vulsionnaires, p. 48. 2. Carr
ps,où comme dans des branles on les agite adroite."t à gauche. Quelle idée de mollesse n'apcrçoit-on point dans celte situat
sieurs hommes? Que si l'on pouvait donner à cette pratique inouïe une idée moins déplaisante, du moins tout y [)araîtrait-il
ieu propice au développement de la grande hystérie. Pour donner une idée des proportions que peuvent prendre ces manifesta
convulsions : (( Lesgens atteints étaient alors si peu préoccupés d' idées terrestres, qu'ds séjour-naient deux et parfois t
les hallucinations qui appartiennent le plus souvent à deux ordres d' idées différents se remplaçant et se succédant dans une
premier malade, une femme depuis longtemps exclusivement adonnée aux idées et aux pratiques religieuses, la maladie se gagna
ule figure qui n'exprime une émo-tion respectueuse, et vous aurez une idée des scènes dont nous avons été souvent les témoin
94 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
is cette époque, le regretté maître a développé et généralisé cette idée , en l'appuyant de nombreux exemples. C'est en s
optiques. La lecture du mémoire de Panizza peut seule donner une idée de l'étendue et de la pénétration de cette rare
nctions psychiques » , où les perceptions des sens s'élaboraient en idées . Ils combattaient aussi la doctrine, alors tout
du côté correspondant. Il fallait donc admettre, contrairement aux idées qu'avaient partagées Goltz, Ferrier et Munk lui
s. Ces centres se confondent aux vagues confins de leurs limites. L' idée de 1' « engrenage » des cen- tres corticaux du
LES FONCTIONS DU CERVEAU.. 39 que d'autres aient exprimé la même idée auparavant, écrivait Luciani en 1885. Toutefois
re des faits physiologiques, à l'association des perceptions, des idées et des impulsions volontaires dans l'ordre des
s affinités avec la théorie de la sphère sensi- live de Munk. Cette idée , quelle qu'elle soit, de la constitution élémen
- liens, tels qu'Albertoni, se sont aussi sentis attirés vers ces idées , bien avant que l'histologie des centres nerveu
plus la signification de ces bruits ou de ces sons. C'est bien l' idée , la représentation mentale auditive du mot, qui
dre la signification des mots entendus, ni d'exprimer nos propres idées au moyen de ces symboles ou images acoustiques
onctionnelles des T 1 et T, hypothèse en accord d'ailleurs avec les idées dualistes de Luciani sur l'espèce de hiérarchie
rtie des images verbales acoustiques nécessaires à l'expression des idées par la parole, un foyer de ramollissement occup
où se forment les images sonores des paroles correspondantes aux idées ... On pourrait donc admettre, si l'on voulait f
s images acous- tiques verbales indispensables à l'expression des idées . » Voilà ce que la physiologie et la clinique o
xplication paraît insuffisante à ce savant maître qui recourt aux idées de MM. Rameaux et Bucquoy sur les gaz du sang,
ient causées, dit-il, par les refoulements sanguins. Dominé par les idées erronnées sur l'influence mécanique de la dépre
alité. Paul Bert, ayant institué des expé- riences dans cet ordre d' idées , conclut : « Aucun accident n'est survenu, aucu
ment intellectuel. - Instabilité mentale. Lymphatisme ; salacité. - Idées de moquerie. - Actes de violences envers les au
, est à l'Asile de Dôle depuis 4 ans (lypémame avec hallucinations, idées d'empoisonne- ment). Cette femme a un fils jusq
la poitrine, qu'en arrière. Sur l'amygdale gauche, petite plaque. idée . Pas de croûtes dans les cheveux. Quelques gangli
de chacune des ex- périences de l'auteur. On en aura une plus juste idée en consi- dérant la figure ci-jointe qui montre
voyait des lésions qui sont souvent secondaires. Il se rattache aux idées de More ! . D'ailleurs, la classification propo
-celle d'une autre dégénérée ayant t présenté un délire polymorphe ( idées mystiques, ambitieuses et de persécution) au mi
le important dans la formation du caractère de l'homme, telle est l' idée que l'auteur développe dans ce chapitre. L'éner
ît telle ou telle disposition qui provoque une série particulière d' idées , de passions, et, finalement, d'actes. Ne nous
aux aliénés, les moyens de nuire ou de s'évader. Dans cet ordre d' idées , le nombre des portes extérieures du bâtiment p
Il y a là dans des quelques figures un véritable triomphe pour les idées émises depuis long- temps par notre éminent dir
chez eux un obstacle à la guérison, dès ce sens qu'elle devient une idée fixe et obsédante. (Am. J. of. Insan. avril 188
iles. Ces accès sont caractérisés par des impulsions violentes, des idées de grandeur et de satisfaction, etc. Dans l'int
il est laborieux, tran- quille, mais toujours en gardant une haute idée de son intelli- gence et de son instruction, et
devint dangereux et il fallut le séquestrer. Dans le même ordre d' idées il faut citer les chan- gements d'humeur et de
l était complètement aveugle à quinze ans. Vers l'âge de vingt ans, idées de persécution et hallucinations multiples, qui
e d'aliénés. Au début il présente une excitation maniaque, avec des idées de grandeur, qui peut faire croire à une paraly
gravité et de la fréquence de ce nouvel élément causal. La première idée qui viendrait à l'esprit, serait d'expliquer pa
un quart et je le trouve dans les mêmes conditions. 11 me vient à l' idée de lui comprimer un testicule et je prends le t
yeux, se lève et s'habille, sans mot dire, et très rapidement. Les idées sont confuses, comme de coutume, et nous ne rem
ls le malade, homme de cinquante-trois ans, présenta en outre des idées délirantes. Cet auteur n'admet pas la dépendance
l'existence d'hallucinations de l'odorat chez les malades dont les idées délirantes sont surtout d'ordre sexuel : la dis
détruisant le bulbe pileux au moyen de la galvano- puncture. Cette idée parut sourire à la malade qui accepta ce lraite
suractivité motrice que dans la manie, par exemple, naîtraient les idées de force, de talent, de grandeur. De même, dans
énérale, alors que l'énergie motrice est souvent fort déprimée, les idées de grandeur, de force se ren- contrent fréquemm
tion que le malade cherche à faire partager à son entourage; 2° les idées ambitieuses n'appartiennent qu'à la para- lysie
à la démence paralytique. La lypémanie au contraire comporte des idées de suicide ou de mutilations volontaires et about
les paralytiques généraux arthritiques. M. DOUTREBENTE confirme les idées de M. Lemoine. La tendance aux poussées congest
gt-trois ans, atteinte d'une véritable anarchie psychique, aboulie, idées de mort, vide cérébral, alternatives de dépressio
autres manifestations du cocamisme. A côté de ce délire on note des idées ambitieuses, de persécution, hypocondriaques av
tement, au sortir d'une poussée congeslive suivie d'hémiplégie, des idées et des impulsions éro- tiques extrêmement viole
u'il existe une loi : toute cellule cérébrale impressionnée par une idée tend à la transformer en acte. Cette transforma
évrier précédent, était atteint d'hallucinations et manifestait des idées délirantes. Hérédité névropathique très chargée
violences. Les jours suivants sont marqués par des dépressions, des idées de suicide ; puis tout s'efface et le ma- lade
.). ' Nous avouons préférer la médecine des faits à la médecine des idées . Et c'est là l'honneur de l'Ecole de la Salpêtr
elle chez les paralytiques généraux présentant du désordre dans les idées , à petites doses fréquentes que l'on a soin de
réface que c'est la lecture des Leçons du mardi qui lui a inspiré l' idée de cette publication. Cette introduction d'une
t, forme dans lesquelles, du moins au début, on ne constate pas d' idées délirantes. Cette particularité de l'histoire d
eule d'un objet en mouvement ne saurait faire naître en nous aucune idée motrice : pour qu'elle naisse, il nous faut rep
p. H-18. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 371 cérébrale, peut donner une idée de la complexité des problèmes qui restent à ré
trices », partant vo- lontaires, aux centres basilaires, implique l' idée (concetlo) que « ces centres sont en connexion
vé inexcitables les noyaux lenticulaires et caudés. 1 C'est à ces idées que Seppilli se range dans son récent travail sur
la dégénération ». Blanchi se confirme donc de plus eu plus dans on idée que la suppléance fonctionnelle ob- servée est
. J'appelle ainsi la survivance métaphysique qui se perpétue dans l' idée , dénuée de tout fondement expérimental ou clini
t Tamburini étaient également bien venus, selon nous, à remplacer l' idée de suppléance fonction- nelle, au sens ordinair
aralysé \ Goltz a donc résumé et concilié, comme l'a fait Munk, les idées de Schiff et de Hitzig sur la nature de ces tro
conversion de Hitzig », que ce physiologiste, « afin de sauver son idée d'un rap- port existant entre la zone excitable
nce musculaire : grâce à cet artifice, Hitzig avait pu abandonner l' idée de paralysie. » - Mais, avec son étrange péné
e, et, p. 267, le schéma qu'a construit Schiff pour montrer quelles idées théoriques il se fait de la disposition des parti
c enle- ver toute l'écorce cérébrale. » L'expression de pareilles idées chez les auteurs ita- liens, de 1876 à 1881, no
toire, qui accompagnent et suivent le traumatisme opératoire. Les idées théoriques d'Albertoni sur la nature fonc- tion
exposée plus haut, savoir, que l'écorce cérébrale est le siège des idées et de la mémoire, c'est-à-dire des résidus des
e Charcot que c'est un processus pachydermique. D'abord il conçut l' idée que cela pourrait être un processus métaplasiqu
ssu cellulaire sous-cutané. C'est pourquoi au premier coup d'oeil l' idée se présente qu'on se trouve en présence d'une mét
d'Anvers dans un mémoire dont celui-ci n'est que la traduction, les idées du médecin de Cha- Archives, t. XVIII. 28 434
2 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. lalgie occipitale et de l'état psychique ( idées de persécution avec agoraphobie et asthme ; pui
SOCIÉTÉS SAVANTES. 4f¡.\) par du désordre avec incohérence dans les idées , et de l'hébétude entrecoupées par des phases d
soixante-dix ans, at- teinte de délire systématique constitué par d' idées de grandeur et de- persécution ; elle attribue
et en même temps dépourvus d'énergie, ils finissent par nourrir des idées de persécution. C'est du reste au point de vue
95 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt vivement intéressé; et cherchant toujours dans le même ordre d' idées , j'ai vu quelques phénomènes qui m'ont paru 24
s questions, ne pouvait pas arriver à com- prendre celle-ci ; cette idée de douleur n'avait aucune importance pour lui,
s en énuméraut rapidement les faits de la séance on peut donner une idée nette des conditions dans lesquelles ils se pro
tourner, ni se jeter par terre, ainsi qu'il en eut successivement l' idée . Heureusement qu'après avoir franchi diagonalem
i ont précédé cet accident, elle a eu très souvent ses accès, ses idées étaient troublées, elle travaillait moins bien qu
donner ses ordres; mais si on ne le lui disait, il n'aurait aucune idée de l'acte singulier auquel il vient de se livre
- nisse, aujourd'hui, comme preuve partielle, mais indéniable des idées du professeur Poincaré et de moi, un exemple d'un
E. Thomas Brown, au commencement de notre siècle, introduisit ces idées en Ecosse. On peut aussi trouver épars, soit ch
vre sur les sens et l'intelligence, il accentue de plus en plus ses idées dans ce sens, et il s'exprime ainsi : « Comme l
the 2îeîvous System, 1876, Hughling Jackson se montre partisan des idées de Wundt et de Bain, pour qui notre conscience
rait associé certaines formes d'activité céré- brale avec certaines idées de mouvements produits. La mémoire aurait conse
époque dont les souvenirs sont très confus. Il est probable que ces idées , que nous sommes censés obtenir par le sens mus-
qui excite le mouvement ne peut donc fournir à la conscience qu'une idée de la volition et non de son exécution. H est n
mble être analogue à celui d'une sensation d'un sens spécial avec l' idée correspondante. Le sens musculaire jouerait le
le que les autres sens réceptifs. Il servirait à la for- mation des idées fondamentales de solidité, de grandeur, de form
n outre à la réaction externe in- telligente de l'individu, par les idées qu'il fait naître, un guide, grâce auquel l'ind
y quand il dit : « La sensation d'activité musculaire qui fournit l' idée de résis- tance sert à déterminer la quantité d
rie des automatiques secon- daires. » W. James professe les mêmes idées que Bastian et fait partir, comme lui, des cent
nt l'excita- tion était primitivement l'effet. Pour eux, toutes nos idées de mouvement, grâce au rappel des impressions d
UE. musculaire, sont ravivées dans les centres sensoriels, et les idées motrices n'existent pas. M. Charcot (OEuvres, t
ou centre de la sensibilité tactile ». Ferrier se montre opposé aux idées de Wundt et de Bain, et refuse de regarder les
s musculaires. » Bastian a combattu avec le plus de persistance les idées LE SENS MUSCULAIRE. - 99 de Ferrier. « Des co
dans les différents centres des nerfs mo- teurs. » Pour lui, les idées motrices n'existent pas ; toutes nos idées de m
teurs. » Pour lui, les idées motrices n'existent pas ; toutes nos idées de mouvement sont ravivées dans les centres sen
t sont concomitances des courants ell'érents ; et si nous avons des idées des mouve- ments il y a des motifs sérieux d'ad
s, absence totale de signes généraux. - On doit écarter également l' idée d'une lésion cérébrale. · Quelle peut donc êt
u d'importance des troubles trophiques dans uotre cas, écarte toute idée d'altération de ce ganglion. Les anomalies de l
crois aussi utile de faire observer ici que cette mobilité dans les idées et dans l'humeur, ces tendances impulsives des ma
n, granulations épendymaires, etc. Ce cas est apporté à l'appui des idées de M. Baillarger, sur la spé- cificité du délir
a tentative quelque chose de vrai et de fondé, car, depuis lui, ses idées ont été reprises par des observateurs distingué
utés toute leur vie et qui jamais, à aucun moment, n'ont présenté d' idées de grandeur. «Ni M. Garnier, ni M. Briand, dit-
mbitieux est fatal; tôt ou tard il doit survenir ; s'il n'y a pas d' idées de grandeur maintenant, il y en aura dans un mo
malade meurt après avoir rabâché pendant trente ou quarante ans ses idées de persécution sans avoir eu la moindre bouffée
és chez lesquels le délire des persécutions ne se transforme pas en idées ambitieuses; il nous dit notamment que ceux don
dans le service de M. Magnan, un délirantchronique chez lequel les idées ambi- tieuses étaient survenues à la suite d'un
Charenton, l'un des malades qu'il nous cite comme n'ayant pas eu d' idées ambitieuses; je veux parler de l'officier de ma
s dissimulent souvent plus volontiers qu'ils ne dissimulent leurs idées de persécutions; celles-ci reposent sur des faits
i de curieux témoignages. (Fig. 3, 4, 5,6, 7, 8.) Pour donner une idée de la série des âges embrassés par ces intéress
le système adopté par Ja commission. Je conviens, messieurs, que l' idée qui a présidé à la rédaction des articles 7 et
que celle du traitement, et il n'entrera pas sans doute dans les idées de la commission de considérer d'un oeil moins fa
e prononcé, attendu que M. le ministre de l'intérieur m'a prêté des idées qui ne sont nullement les miennes. Je ne viens
phe. M. LE Président. Laissez-moi lire l'ensemble; on prendra une idée plus exacte des dispositions de la loi, et, ensui
nécessilé de tenir le malade enfermé », implique par elle- même une idée de contrainte et de coercition. La commission,
e lésion matérielle démontrable. Du reste, après avoir repoussé l' idée d'une monoplégie hys- térique, force est bien à
ctriques différentes. A plus forte raison, ne peut-on s'arrêter à l' idée d'une lésion du cerveau ou de la moelle. Par ex
ilation psychique tend à décomposer, à dissocier les associations d' idées , à renverser l'ordre de leur genèse, par suite
ence paralytique. Observation Il. Incohé- rence et désordre dansles idées de plusieurs heures. Amnésie chez un paralytiqu
rs. Syphilis. Observa- TION III. Etat d'obnubilation psychique avec idées délirantes de teneur dépressive. Amnésie, tabes
ubles de la sensi- bilité génitale n'arrivaient jamais à formuler d' idées ambitieuses, M. Doutrebente m'a objecté qu'à un
ement, a passé de l'excitation maniaque au délire maniaque avec des idées de grandeur incohérentes, contradic- toires ; o
s'est mis à danser tout nu autour du colonel. La mobilité de ses idées est telle qu'on ne peut les suivre. Der- nièrem
perdu la notion exacte des choses, qu'il n'était plus maître de ses idées et de ses actes, qu'il a été le jouet d'illu- s
é de l'arrestation, dans un tel état d'agitation et de désordre des idées que l'on prescrivit, afin d'éviter une tentative
la parole et s'en est détourné. Il est indubitable que ce sont des idées délirantes qui sont le moteur de ce mutisme. Bi
nnus de l'orateur, mais il n'a jamais réussi à trouver le genre des idées délirantes parce que les malades de cette catégor
evenu fou au bagne après avoir subi six à huit mois de cette peine ( idées délirantes religieuses). Amené à Hil- desheim e
r Dieu pour réformer, convertir, punir les méchants. En même temps, idées d'empoisonnement. Hallucinations de l'ouïe et d
e de Dieu.-II. Homme de trente ans, dans les premiers mois de 1884, idées de persécution avec hallucinations sensorielles.
ntellectuels ; 2° d'une paralysie de la volonté (mélancolie) ; 3° d' idées délirantes imposant aux malades le silence. Dis
urent. En 1857, il avait publié un mémoire plein de recherches et d' idées sur l'homicide et la folie, et en 1858 il fut n
, déjà avant tout essai d'hypnotisation. Nous arrivons donc à cette idée qui n'est pas encore classique, c'est que, ne c
la forme; non pas qu'il s'agisse ici de choses nouvelles, mais ces idées n'ont pas en- core été formulées de manière à é
lui-même. Le mot sens de la lumière exprimait donc jusqu'ici une idée vague qui donnait lieu aux plus fâcheuses confu
e autre, en la réservant toute- tefois comme moyen de contrôle. L' idée nous vint de fixer une fois pour toutes, des om
plus que pour l'acuité visuelle. La table qui suit peut donner une idée des résultats de la mesure photométrique mise e
semble que le neurasthénique soit préoccupé jusqu'à l'angoisse de l' idée qu'il va fermer l'oeil, il craint une surprise dé
possession d'un métier, dont on a ainsi élargi un peu le cercle des idées , à qui on a évité ce mal qui empire tous les ma
uestion de l'adminis- tration provisoire des biens, il s'arrêta à l' idée d'une « commis- sion de surveillance » et expri
latifs et des faits bien connus qui m'au- torisent à affirmer que l' idée de créer dans chaque département t une commissi
nte pour éclairer l'autorité sur les placements des aliénés est une idée primordiale en quel- que sorte dans l'histoire
us expérimentés : MM. Falret, Limier, Motet, Blanche, donnèrent à l' idée de la commission permanente une valeur pratique
es de surexcitation, tout ce qui viendrait empê- cher le retour des idées raisonnables, le réveil des sentiments naturels
jets extérieurs, de rappeler leurs souve- nirs, de coordonner leurs idées , etc... 11 est d'autres malades dont l'intellig
des objets étrangers à leur folie, de communiquer à leur esprit des idées nouvelles, des sentiments différents, en un mot
r de Pinel. Le xmu° siècle, si passionné pour la vérité et pour les idées généreuses, semble indifférent pour les souffra
96 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
et arrache de la sorte plus de mensonges que de vérités. Un jour l' idée nous prit de sermonner cette somnambule sur le me
i). On nous dira piut-êlre que toutes les somnambules n’ont pas des idées aussi religieuses, et qu’un serment de ce genre n
gements, car ce n’est rien moins que l’art de fixer, de concréter une idée , et l’on connaît le danger et les avantages d’une
concréter une idée, et l’on connaît le danger et les avantages d’une idée fixe sur certains cerveaux. L’idée fixe est la
le danger et les avantages d’une idée fixe sur certains cerveaux. L’ idée fixe est la source des plus grands chefs-d'œuvre
d'œuvre et des plus grandes folies ; donnez à un somnambule ivrogne l' idée fixe que toutes les liqueurs fortes sont empoison
longer les malades dans une profonde léthargie. Le second partage les idées d’Hippocrate sur la nature des frictions : « Fr
enfance j’avais le plus admiré, se présenta à moi. Je rassemblai mes idées pour les coordonner et saisir ce qu’il y avait de
tonte jouissance; il n’est qu’un bonheur pour lui au monde : voir ses idées partagées. I.a mort lui paraît douce, lorsqu’il a
ages éloquentes à la défense du magnétisme, et sema beaucoup de nos idées dans ses nombreux écrits. C’est le premier qui, p
e de faire faire la quarantaine à tant d’inventions inouïes, à tant d’ idées téméraires qui, avant même d’avoir reçu des lettr
ciation légale des faits incriminés. « C’est sous l’empire de cette idée que nous croyons devoir vous soumettre, Messieurs
s vous donnent moins encore dans leurs écrits : ils vous ravissent en idée , vous bercent par des rêves comme ils le sont eu
ée des choses réelles. Triste repas du corps que celui qui se fait en idée ; mauvais aliment pour l'âme, que les choses frivo
ue c’est ainsi en toutes choses, aussi vaut-il mieux intéresser à ses idées la classe la plus humble; celle-ci, au moins, vou
à écrire un livre qui fût bien de moi. Je récapitulai donc toutes les idées que j’avais déjà émises sur le magnétisme, et je
oisir; mais, craignant l'effet que devait produire l’étrangcté de mes idées , et peut-être la sublimité des principes nouveaux
RT (de Garnay.) Conversion. — Un journal précédemment hostile à nos idées , le Corsaire, a publié dans son feuilleton du 6 j
end l’amb visible; je suis croyant, parce que j’aime à m’associer à l’ idée sainte, si éloquemment exprimée par l’abbé Lacord
faux interprètes, de tous ces savants en herbe, qui, n’ayant point d’ idées , s’emparent hardiment des opinions d’autrui. Et,
uvait la rendre compréhensible : une certaine netteté d’expression; l’ idée , quoique enveloppée de figures, ne laissait souve
pour nous a Cessé d’en être un. Je vais entrer clans le domaine des idées , aborder un monde nouveau : il faut que ma pensée
s lieux communs, cette doctrine nous paraît bien exposée et donne une idée avantageuse du talent de l’écrivain somnambule qu
is intérieurement que c’était cependaflf1101’ bien pour eux, et celte idée me rendit entièrement passif relativement à leurs
santes; son dédain pour tout ^e qui n'entrait pas dans l’ordre de ses idées se retrouve tout entier dans le jugement qu’il po
ivot du procès : il s’agit d’un délit qui entraîne avec lui une telle idée d’abjection, que nous ne pouvons sans répugnance
ra de déclarer une chose impossible par cela seul qu’elle diffère des idées reçues. L’homme ne peut assigner les limites du p
évite de se donner en spectacle , et elle repousserait avec horreur l’ idée de tirer un lucre quelconque de sa lucidité. On a
Examinons rapidement ses objections. Bannissons d’abord du débat l’ idée du surnaturel. Le surnaturel ou miracle serait un
s fixer la tâche au grand Être ? Est-il tenu, pour s’accommoder à nos idées , de soumettre tous les hommes à une espèce de com
ades, car il ei'il été plus simple qu’il ne créât pas les maladies. L’ idée peut être ingénieuse, mais Dieu n’a pas jugé à pr
ourd’hui l’on s’occupe moins du démon ; mais tout ce qui s’écarte des idées vulgaires est réputé péremptoirement impossible,
ne , et nous acceptous ces expressions, pourvu qu’on n’y mi le aucune idée d’anthropomorphisme ou de légation miraculeuse. S
ge, et dont il a été le témoin. « M. Lassaigne désire transmettre l’ idée par l’attou-« chement des mains. Placé derrière l
série de combats judiciaires. — Nous avons plusieurs fois exprimé l’ idée que les peuples jeunes étant plus accessibles aux
ecin écossais Maxwell; il s’attacha particulièrement à reproduire les idées théoriques de Paracelse et de Van Helmont, dans u
de propager et de recevoir toutes les impressions du mouvement. Celle idée avait été émise antérieurement par Maxwell (apiio
, nous ne pouvons voir dans cette conjecture qu’une réverbération des idées du magnétiseur ou d’une opinion généralement accr
sima corpora, nec reflectitur. » Mesmer rapportait à l’appui de cette idée l’observation d’une malade dont il magnétisait l'
oit, n’est foncièrement neuf dans ce système; c’est l’unification des idées de Mesmer et de Puységur contrôlées, interprétées
rité que nous a généralement offert la magnétisation par contact. Nos idées présentent la plus grande conformité avec celle d
otre langue, l’habitude de nos mœurs la rendent plus accessible à nos idées qu’aucune autre colonie anglaise. Toutes nos insp
plus interrompue. Après bien des efforts isolés, vous avez l’heureuse idée de fonder, le 25 décembre 1845, la Société du Mag
ession sont nécessaires.....Et quoique , lorsqu’il vent revêtir une idée , il emploie avec la plus grande facilité les t
il lus prononce mal; mais pas de manière , cependant, à obscurcir son idée . Il aurait pu atteindre à la précision dans ces d
logique, si nous n’interrompions pas un moment l’enchaînement de nos idées , pour faire remarquer que cette domestique surpri
assistance, croyez-vous qu’ils se fassent de M. le professeur la même idée que nos pères se faisaient de Sylva ou de Tronche
n léger sourire. (Événement.) Comment M. Possin n'a-t-il pas eu l’ idée d’endormir, séance tenante, son bienheureux gendr
es tenlalives ayant été faites pour connaître l’auteur de ce vol... l’ idée vint un peu à tout le inonde, aux maîtres comme a
s exceptions , quoique la pratique du O1 Esdaile paraisse inürmar les idées régnantes sur ce point. « Nous avons soigné une
er l’humanité, en détruisant les erreurs de la science et les fausses idées que l’homme s’est forgées sur la nature et Dieu.
ravail et de la vertu. « Ah ! quelque sombres que puissent être les idée » des pessimistes ; quelque sinistres que soient l
de cette sorte ont des avantages immenses pour la propagation de nos idées sur une large échelle, el lout porte à croire qu’
s ou observés par les membres. Le mémoire suivant pourra donner une idée des recherches et communications qui sont ainsi f
g, me dit-elle; cette boisson me fortifie.... « Maintenant j’ai une idée : je voudrais voir la pairie des chœurs, où sont
ccents : c’est une harmonie qui pénètre le cœur et l’émeut, comme une idée excite les pensées, comme un souffle tiède engend
nocentes..... « Cherche donc ailleurs, mon ami...... un but à tes idées , un vase pour ton cœur, une harmonie pour ton a
magne, à parler un français assez pur. Le pasteur, qui accueillit les idées swedenborgiennes, les inculqua à son frère, à s
x élèves.....Louise élait somnambule naturelle par instants.....Ces idées mystiques tombant sur sa jeune âme, ne firent que
qu’il me semblait dans ce moment qu’elle ne faisait qu’exprimer mes idées ..... tout comme il m’arriva d’écrire des choses
convives, et donné lieu à une manifestation chaleureuse en faveur des idées républicaines : « Un célèbre docteur anglais (M.
outes ces infirmités magnélomaniaques. On se ferait difficilement une idée , si les débats correctionnels n’élaienl là pour l
’extension universelle de l’homœopathie, et ainsi de suite du cycle d’ idées plus ou moins folles et absurdes que parcourt l’e
s reconnaît fausses : c'est ainsi que Deleuze, en i856, modifiait ses idées de 182."), en faisant encore de sages réserves po
st une transfusion de la vie. Si quelques auteurs ont développé celle idée première pour essayer d’expliquer les phénomènes
s l’oreille jusqu’à l’épaule; le même M. Esdaile, qui a eu l’heureuse idée d’employer quatre magnétiseurs à la fois, sur le
plaignait de la faiblesse de scs reins, je suggérai au magnétiseur l’ idée d’une ceinture de flanelle magnétisée. L’endormie
upart des journaux ont maintenant «les rédacteurs qui partagent nos idées . S’il fallait extraire à présent tout ce qui s’éc
n Angleterre, il a fallu un courage bien rare , car vous n’avez pas d’ idée de l’intensité du fanatisme soi-disant religieux
cune autre puissance connue , quoiqu’il les accompagne toutes. J'ai l’ idée qu’il forme une espèce d'atmosphère ou d’éther un
opèrent la vue à distance et la sympathie. Mais tout cela ce sont des idées vagues, auxquelles je n’attache que peu d’importa
vos propres écrits, ils sont toujours intéressants , et je trouve vos idées tout à fait justes et raisonnables. Mais vous m
Tadmission des faits vraiment magnétiques, et se bercer de l’heureuse idée de l’imagination. Mais moi, je ne voulus pas que
mention ; nous les reproduisons imitativement, pour donner une juste idée des moyens employés par les électro-biologistes.
de cabriolet, et réussit enfin à mettre la main sur un sujet dont les idées sur la tempérance contrastaient singulièrement av
en public a été tel, qu'il ne peut rester dans leur esprit la moindre idée de collusion ou de déception. C’est pourquoi il
hénomènes surprenants qui ne s’accordent pas avec les préjugés et les idées préconçues. Ceux qui réfléchissent sur de tels su
our meurtre du D' Park-man. Voici quelques lignes qui feront saisir l’ idée de l’auteur da l’article : « Mes observations s
TAXIL, d. m. Nouvelle-Orléans, 21 avril 1851. Le champion de nos idées , continuant sa route avec calme, disait dans l’Ab
que l’on appelle calmants. L’exemple qui suit en donnera une première idée (i)....................... Les maux de tête, le
ire de notre illustre maître. M. Barthet a continué l’exposé de ses idées , sans autre incident; nous reproduirons ses derni
u l’intelligence universelle de la nature el de tons les êtres. Ces idées sont absolument conformes à la théologie d’Orphée
oit en revenir tout l’honneur; c’est lui qui m’en a donné la première idée , à laquelle j’ai peut-être contribué à donner une
iiant ; assez souvent le malade se trouve guéri en se réveillant. L' idée d'employer ce remède m’est venue en lisant un ouv
avez rejetés quand vous avez cru avoir de la raison, et les nouvelles idées que les phénomènes observés par vous ont fait naî
ce. » (Orléanais du ier juin). Voici la suite de l’exposition des idées magnétiques faite par M. J. Barthet, dans l'Abeil
vait effectué quelques années auparavant. Le somnambule le suivait en idée , décrivant avec exactilude les sites et les accid
douleurs, à de la faiblesse... Quand il va à la tête, il trouble les idées ; il empêche quelquefois le sommeil.... Il donne d
trouble les idées; il empêche quelquefois le sommeil.... Il donne des idées tristes... le malade craint de ne pas guérir, et
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
enveloppée devenue enveloppante) a sans doute pour origine, soit l' idée que cette circonvo- lution, détachée de la surf
mme nous suivions à cette époque les leçons où Broca exposait ses idées sur le lobe limbique (publiées depuis dans le Rev
es troubles de la sensibilité générale,^ mais * bien d'un ordre d' idées déterminé, dans lequel leT fait 'étrange 51,. P
dre désir. J'ai essayé d'en aimer une, espérant ainsi revenir à des idées naturelles ; mal- gré sa beauté, ses efforts, e
par une excitation cérébrale qui empê- chant le malade de fixer une idée et de s'y arrêter, lui fait dire autre chose qu
avant qu'il ait eu le temps de l'exprimer ; en d'autres termes, les idées se précipitent avec une telle rapidité qu'il lui
sis- 60 PATHOLOGIE NERVEUSE. tance de son esprit, à s'arrêter à l' idée de la femme et ayant même éprouvé une certaine
la raison seule contre ses obsessions il sent, dit-il, parfois ses idées devenir anti-naturelles. En dehors de l'hygiè
glu- cose. De plus on observe de la lenteur dans la parole et les idées . La voix est nasillarde. La malade marche en se
rvation intéressante d'Ham- mond, dont nous avons tenu à donner une idée com- plète, nous noterons encore une constipati
d'absence., Tout, du reste, devenait, pour .lui/ lé prétexte d'une, idée , délirante, , A, la suite d'une administration
ation de tartre stibié,' il empoisonné, et a conservé ensuite'cette idée 'pendant lo'nL'temps ? ll : n"i''1 S Y.llïLl. M
qu'il déter- mine "peuvent" être pour le sujet le point de départ d' idées d'em- poisonnement dont il se débarrasse ensuit
ur un asile. Le Dl Bisser se rallie à la parole d'Helmholtz : « Les idées sont les résultantes de l'effet produit sur not
relles, l'homme a appliqué à la notion des successions de temps,' l' idée de cause, et comblé par des conceptions, les la
, il n'a pas de peine à montrer leur imperfection. Dans cet ordre d' idées , il propose une nouvelle terminologie qui puise
de la volonté impulsive; 5° Délire. Idéophrénie, anomalies dans les idées ; 6° Dénence- Aplirénie, déchéance, oblitératio
n pratique, dit Guislain, la maladie se renfermant dans un cercle d' idées restreint, une catégorie de sentiments, cons- t
es données à ce concours, afin de donner aux futurs concurrents une idée de la nature des épreuves. Questions écrites.
ation dans la parole s'accompagnait d'une certaine lenteur dans les idées , de fatigue intellectuelle rapide. Les sens s
vinrent bientôt l'origine d'un délire continu avec prédominance des idées de persécution. In- ternée à l'asile sur ces en
disparaissaient progressivement les perversions sensorielles et les idées délirantes. Pendant tout ce temps, Honorine ava
. Il reste cepen- dant un peu de lenteur dans les mouvements et les idées , peu marquée d'ailleurs. Du côté des tégument
, c'est l'aspect oedémateux de la face, qui suscite immédiatement l' idée d'une néphrite chro- nique. Cet oedème est part
s cas, les altérations tégumentaires puis- sent devenir l'origine d' idées délirantes. Ne voit-on pas souvent des aliénés
ent des aliénés en pleine période de calme, être pris tout à coup d' idées délirantes, particulière- ment d'idées de persé
e, être pris tout à coup d'idées délirantes, particulière- ment d' idées de persécution, à l'occasion d'un embar- ras ga
qu'une main criminelle a dû y répandre du poison. Il en résulte des idées nouvelles d'empoisonnement, de persécution, qui
aut un élément de plus pour que la lésion périphérique provoque une idée déli- rante. Il faut que l'impression périphéri
à l'occasion de cette impression périphérique que se manifestera l' idée délirante. Des faits de ce genre ont d'ailleurs
dans le cadre nosologique ? Ici nous reproduirons entiè- rement les idées émises par notre savant maître dans une leçon c
le faisait pressentir, mais les chiffres suivants en don- nent une idée exacte : 181 î- RECUEIL DE FAITS. Réflexions.
quelques dou- ceurs. Cette déchéance intellectuelle vient appuyer l' idée d'une épilepsie vulgaire, car, dans l'épilepsie
ractère, ce défaut de fixité, cette absence de stabilité dans leurs idées et leurs volitions , rendent compte aussi de l'
au; et le lypémaniaque pour- suivi et -harcelé- sans cesse par 'ses idées de suicide, reste longtemps, sans en rien dire
rsévérance, avec quelle fixité elles reviennent toujours à une même idée qu'elles ont imaginée tout d'abord et à laquell
ont « des expressions ** qui ne leur sont pas familières ». · Ces idées fixes qui constituent, suivant l'expression si in
ertains cas cependant, le cerveau des hystériques est hanté par des idées hypocondriaques. Mais on s'aperçoit bien vite q
ette inconstance et cette mutabi lité dans leurs désirs, dans leurs idées ou leurs affections. C'est encore pour la même
xaltation de leurs sentiments, si d'autres fois elles expriment des idées singu- lières et baroques, disant tout ce qui l
bilité, et qui pré-, sentent une pondération remarquable dans leurs idées ou leurs sentiments; elles sont calmes,, confia
s qui ne sont pas communes à leur âge, elles ont une tendance aux idées hypocondriaques, se plaignant tour à tour de gas-
le caractère devient'- plus calme et les sentiments plus fixes, les idées 'sont' moins' fluctuantes et les volitions moin
e la paralysie générale, et qui ne tarda pas à les présenter tous : idées de grandeur, agitation, inégalité pupillaire, e
stion joue un rôle remarquable dans le cou- rant des pensées ou des idées qui sont excitées dans l'esprit du sujet par l'
ête, les bras et les jambes ; en décembre, irritabilité, tristesse, idées de suicide, insomnie, pupilles inégales (la gauch
uarte et vltime, que les femmes, comme dit Terentius, font en leurs idées aussi muables qu'enfans; par quoy la femme mefc
décembre 1SS1. 292 CLINIQUE NERVEUSE. Nous sommes parti de cette idée pour rechercher si, dans les hallucinations pro
eut reproduire le même phénomène autant de fois que l'on évoque l' idée d'un objet quelconque qui se meut. Ces modifica
tracter et dilater sa pupille, en faisant naître en lui certaines idées ; quand il se représentait un lieu très éclairé,
sieurs personnes dont la pupille se dila- tait par l'évocation de l' idée d'un lieu obscur, remarque ce qui suit : « On n
comparable à la sécrétion de salive qui se fait dans la bouche à l' idée de certains mets. » Ce dernier fait prouve au m
e sommeil hypnotique ou pendant la catalepsie, on leur inculque l' idée qu'il existe sur une table de couleur sombre un
r d'halluciua- tions colorées de cet eeil ; et, si on lui suggère l' idée d'une figure géométrique colorée en rouge , par
d'autres localisaient dans les muscles, etc. C'est surtout sur des idées théoriques qu'on s'est basé tout d'abord pour r
ement qui se propage jusqu'au membre du côté opposé, se rangent à l' idée qu'il s'agit d'un phénomène réflexe. Quelques
énomène du genou est de nature réflexe ; enfin, A. Waller rejette l' idée d'un réflexe et pense que la moelle n'agit qu'e
ace l'impres- sion sensitive du nerf optique par l'impression d'une idée mentale, et considère les lobes optiques comme
tation » dont l'initiative produit les il- lusions de grandeur, les idées exaltées, et dans l'hémisphère ' gauche d'un «
olement tout parti- culier dans la colonie, isolement répondant à l' idée que s'en faisaient Esquirol, Griesinger, Lowens
duellement en folie raison- nante, puis en folie caractérisée par l' idée fausse d'être la victime d'autrui, pour aboutir
à Londres. Je 362 sociétés savantes. rappellerai seulement que l' idée de traiter dans les asiles spéciaux, régis par
ngtemps qu'on organisât un service spécial pour les mélancoliques à idées de suicide et les malades violents ? En agiss
ersécuté, soupçonnait d'avoir été étranglé... par un interne. Cette idée plaisante provoqua une enquête. On devine quel
98 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ut en Allemagne, la plupart, des auteurs s'étaient déjà ralliés aux idées défendues en France par P. Falret et Baillarger
le Manuel- de Psychiatrie, rédigé presque entièrement d'après les idées allemandes, contient une description très exacte
. Ce n'est donc pas à la légère qu'il s'est rallié sur ce point aux idées déjà exprimées, à la suite de Kroepelin, par qu
amnation pour crime politique, de troubles mentaux (hallucinations, idées de persécution, confu- sion etc.) bientôt rempl
me atténuée d'hébéphrénie qui ne s'accompagne ni d'excitation, ni d' idées délirantes et qui se caractérise seule- ment pa
Le contenu du délire est variable, pouvant s'adresser à toutes les idées délirantes ; l'intérêt en réside dans celle const
a potu 8l(81)('1180), coma de l'ivresse, délire hallucinatoire avec idées de persécution et de jalousie. A deux reprises.
roubles mentaux (excitation maniaque, affaiblissement intellectuel, idées de grandeur) et des signes physiques (dysarthri
rise que par des troubles intellectuels, une confusion simple des idées sans autres phénomènes et les délires des prédisp
nnaît- tre in extenso, un résumé bref ne pouvant en donner aucune idée . Tumeur comprimant la région psychomotrice. 3
tion s'appuie sur des observations ; on trouve un exemple de chaque idée délirante : auto-accusation, idées de ruine, de p
; on trouve un exemple de chaque idée délirante : auto-accusation, idées de ruine, de persé- cution, hypocondriaques, de
e persé- cution, hypocondriaques, de transformation,aboutissant aux idées de négation, décrites par Cotard à tort comme u
négation, décrites par Cotard à tort comme un délire spécial ; les idées de négation portent sur le malade lui-môme ou sur
et très rares chez les mélancoliques ; il s'agit souvent de mots, d' idées qui surgis- sent dans l'esprit et que le malade
mais il n'y a pas extériorisation de l'image mentale ; ce senties « idées autochtones » de Werniele, - état faible, -qu'il
roubles de la synthèse se réduisent aux troubles de l'évocation des idées : l'application de nouveaux tests très intéress
de nouveaux tests très intéressants à l'étude de l'évocation des idées permet de conclure dans ce sens, et aussi que « l
sychique des mélancoliques se ramène à un trouble d'évo- cation des idées . Ce trouble ne paraît pas toujours, comme pré-
on,de gêne extrême, l'angoisse. L'anxiété est-elle secondaire à des idées délirantes ' ? Bien souvent,au contraire, la do
à la réalité. Suit l'étude psychologique détaillée des principales idées délirantes : 1- de transformation ; 2° de néga-
issance et de la douleur morale, fonds sur lequel se gref- fent des idées délirantes auxquelles le malade se résigne ou réa
mélancolie : par la dépression ou la stupeur, par l'anxiété, parles idées délirantes. Au point de vue il il convient d'en
il est si documenté et capti- vant, qu'on ne saurait en donner une idée en peu de mots; en- core ce compte-rendu est-il
erné ultérieurement à l'asile de Braqueville, il ne manifesta pas d' idée délirante; il s'y montra docile,tranquille, et
ports et travaux que vous connaissez, répond nécessairement aune idée juste et occupe certainement une place importante
glorieusement élevé à la science neurologique française. Voilà l' idée mère de notre oeuvre, qui donne à nos Congrès u
ur les petits faits les concernant personnellement ; ten- dance aux idées hypochondriaques et de persécution ; diminution
on ; diminution du raisonnement, dujugement, des associa- tions d' idées , de l'attention, de la volonté. La démence simp
conser- vation d'actes automatiques plus ou moins compliqués. Des idées délirantes inconsistantes et non systématisées
cieuse déjà manifeste dansl'âge adulte. A la démence simple ou avec idées délirantes peuvent se joindre des épisodes déli
euse. L'affaiblissement sénile et la démence simple, avec ou sans idées délirantes vagues et isolées, paraissent devoir
dant les troubles men- taux associés aux attaques : hallucinations, idées délirantes, agitation, états extatiques, etc.,
eut dire que le malade est un pur automate devenu le jouet de son idée fixe. Les mêmes considérations s'appliquent à l'é
xplique l'in- fluence si grande du rêve, d'une hallucination, d'une idée fixe, d'une suggestion intrinsèque ou extrinsèq
malades de se contenir ; ils passent pres- que instantanément de l' idée à l'acte. La plupart des auteurs, dans ces cas,
e chose juste ou simplement utile ? D'aucuns font remarquer que l' idée de responsabilité limitée, avec la peine divisée
tre de cette façon se réduisent à une association médiate entre une idée et une émotion, entre une impression sensoriell
s divers types d'atrophie musculaire progressive et se rallient à l' idée de l'unité de ce processus morbide. D'après ce co
larité dans ses actes de scolarité. A la faveur de celait, quelques idées de persécu- tion se font jour : Antoine C ? cro
uper. « Je fais de la philosophie, dit-il, parce que chez moi toute idée incomplète s'accompagne d'une im- pression péni
QUE. 181 (Mi son esprit les grands problèmes concernant d'abord les idées de temps, puis les idées d'espace, enfin les id
es grands problèmes concernant d'abord les idées de temps, puis les idées d'espace, enfin les idées d'infini. Notre malad
nant d'abord les idées de temps, puis les idées d'espace, enfin les idées d'infini. Notre malade a quitté le collège Sain
ur, se fragmente et n'apparaît que de temps en temps. J'ai la bonne idée d'étudier deux mois consé- cutifs, six heures p
actes, des lacunes dans la mé- moire, un manque de liaison dans les idées , tout cela avec 200 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIE
ssaud. Les faits que nous présente M. Lévy vien- nent à l'appui des idées que j'ai toujours soutenues soit avec M. Meige,
r conséquent inutile de reve- nir. L'auteur adopte complètement les idées de notre collègue et les renforce par une série
, des per- ceptions,des sentiments,des mouvements volontaires,des idées , des croyances, c'est-à dire de toutes les manife
elle acquise dans la vraie folie gémellaire, nous dirons que si les idées théoriques émises par ce professeur expliquent
es ascendants, il est peut-être possible, croit-il, de se faire une idée de la folie gémel- laire. En effet, d'après les
e et céleste ou les deux se combinaient, et alors le désordre des idées et des actes était à son apogée. Sans doute, l'in
iante, moins sûre. Conclusions. On peut résumer comme il suit les idées principales qu'on peut tirer de ces recherches
singulièrement les déclarations officielles. Dans le même ordre d' idées , l'examen de ces statisti- ques de décès dans l
ême par leur oeuvre personnelle seulement, - à la propagande de l' idée du patronage, et à un exercice profitable de sa f
se sentait étouffer, c'est alors qu'il a été pris tout à coup de l' idée de tuer ; quant à son autre victime, le malade
t la recherche du meilleur emploi de toutes les forces médicales. L' idée dominante de cette étude est que chaque médecin
le champ delà conscience ; l'imagination du sujet, actionnée par l' idée (L'anesthésie, efface le phénomène (inconscient
disponible. 11 est donc démontré une fois deplus quelesalié- nés à idées de suicide ne doivent jamais être laissés dans le
s sensiblement concor- dants. C'est alors qu'on pourra se faire une idée desconséquen- cesdu rétablissement du privilège
ux. Chaque fois que j'essaie de lire le journal, j'ai du chagrin, l' idée de ne plus savoir lire, l'idée de n'avoir plus
lire le journal, j'ai du chagrin, l'idée de ne plus savoir lire, l' idée de n'avoir plus de mémoire, je ne saurai plus t
a à la porte) ' La nuit il ne dort pas. Il n'existe chez lui aucune idée délirante, pas d'hallu- cinations, pas d'illusi
e ça n'est pas vrai, mais il n'y a pas d'avance,j'ai toujours cette idée -là. 8 mai. D ? nous dit qu'il devient de plus e
rdre que je vous prie de faire appel avant tout. « Dans cet ordre d' idées , je vous invite à veiller avec soin à ce que le
ue safemme avait une « mine d'or dans le ventre ». Obsédé par cette idée fixe, s'en allait, annonçant àses amis etaux com-
rain. L'arthritisme ou mieux le neuro-artliritisme n'est pas une idée morte ; pour M..1. Lépine, il se retrouve dans le
ou nerveuses ; para- plégiques ou atrophiques chez les manouvriers, idées délirantes mélancoliques et obsessions chez les
services administratifs, ces notes me permettront de prendre une idée plus exacte de la façon dont chacun de ces pratic
ues. » Et Meynert rapproche par comparaison le développement de l' idée délirante de la prédominance de certains muscles
ges est impossible ; nous allons essayer seulement d'en dégager les idées principales. Les sept premiers chapitres traite
source de tous les sentiments de sympathie et de devoir, jusqu'à l' idée de pafrie ; nous ne pouvons nous em- pêcher de
atholi- cisme, ne sont-elles pas néfastes' ? Elles ont attaclté une idée de honte aux rapports sexuels, quoique certains
pose sur la loi morale et de l'Ecole de Lombroso, exagération d'une idée juste. « Ce n'est pas obligatoirement, fataleme
ssant dans le même temps le poids des contingences extérieures. Une idée recouvre l'autre sansl'effacer,de làla constitu
sca, p. 1 14, Idiots. Voir l111crocépll £ llic, .h- sociation des idées chez les et les imbéciles, par Boulanger et H
99 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
aucun fait probant à l'appui de ses hypothèses, avait déjà avancé l' idée que dans certains cas de malformations congénital
es variées et complexes auxquelles ces muscles prennent part. Cette idée est admise, au reste, par beaucoup de neurologi
caractérisée par de l'agitation maniaque,des actes désordonnés, des idées dénégation, du refus des aliments, de l'insomni
que et motrice, joints à des alter- natives excito-dépressives, des idées délirantes mobiles et contradictoires, nous aut
e sujet ne présente aucun symptôme parti- culier pouvant éveiller l' idée d'un trouble de sécrétion uni ou pluriglan- dul
ies réparties d'une façon aussi inégale aussi diffuse, nous eûmes l' idée d'examiner à l'écran le thorax de ce sujet; nou
ritables, au contraire, sont celles qui ne correspon- dent à aucune idée , à aucun sentiment; la mimique qui les constitue
rticolis augmente ; et par contre lorsqu'elle réussit à chasser cette idée , le tic est moins fréquent. Ceci, il est vrai,
écrivain. Un autre cas qui démontre admirablement comment la seule idée de la crainte d'incapacité peut causer une psyc
u'elles ne s'expliquent pas, elles sont généralement en proie à une idée maîtresse associée à la terreur. La plus comm
ctime comme pouvant avoir de graves conséquences pour elle- même. L' idée de sa propre incapacité en est la conséquence iné
frère qui lui reprocha sa conduite. Ceci ne le détourna pas de son idée , car quelques semai- nes plus tard il avala du
Est-elle un témoignage qui donne une preuve bien démonstrative de l' idée anatomi- que topographique de la névrite lépreu
e la neiii-opatliologie, la même observation nous amène à spécifier l' idée , nous convainquant que si par systématisation f
ent tout spécialement aux connexions corticales du noyau rouge. Les idées émises par von Monakow sur l'origine et le trajet
nt par de la dépression, allant jusqu'à l'hypochondrie, parfois des idées de suicide, et enfin une irascibilité d'autant
éga- lie, ils ont trouvé une augmentation de l'acide urique. D'où l' idée légi- time de rattacher ces variations dans l'é
ait, le plus souvent sur les éléments blancs, mais dans cet ordre d' idées , des aspects .multiples ont été constatés. La
ce qui concerne les orteils, de deux'parties normales, exclurait l' idée d'un dé- doublement. Mais en fait il s'agit d'u
ermine cette modification de la personnalité ? Par quel mécanisme l' idée suggérée ou d'une représentation pénible se tradu
ales. La suggestibilité implique également un facteur affectif; les idées froides ne provoquent et ne guérissent aucun ph
'une zone hystérogène, etc. 2° Le pouvoir impulsif et plastique des idées affectives, par lequel celles-ci se traduisent
observe très difficilement dans les condi- tions normales. Ainsi, l' idée d'une paralysie, d'une contracture, d'une anest
res, qui eux-mêmes ne sont que la traduction somatique exagérée des idées conçues par le sujet. Même dans ce cas l'on rem
cas l'on remarque que les phénomènes hystériques déterminés par une idée affective peuvent se répéter indépendamment de ce
i- lité qu'on remarque dans d'autres affections par le fait que les idées sug- gérées ou auto-suggérées se traduisent en
rg) (2) n'est que l'expression du pouvoir plastique et impulsif des idées affectives, propre à celle affection. 4° Le méc
s émo- tions, Alcan, édit. 1903. (4) Fouillée, La psychologie des idées forces, Paris. (5) A. Salmon, Di un curioso ed
que de la forte impression cénesthésique éprouvée par le malade à l' idée delà paralysie; la contracture d'un membre impliq
er sans provoquer aucune émolion. Celle-ci nait du contraste de nos idées affectives avec le moi et, par la raison même q
ition dans la résistance que les sujets peuvent leur opposer. Celle idée aurait une confirmation dans un fait constaté d
ction, à savoir la plasticité des centres nerveux, par laquelle les idées affectives se traduisent en phénomènes somatiqu
e saignaient pas. Dans un cas d'hystérie décrit par Dejerine (1), l' idée seule du froid était suffisante à déterminer un
aisseaux cutanés. Gerini a observé également un sujet chez lequel l' idée d'un stimulus électrique entraînait un angiospa
vaso-moleurs, sécrétoires, etc. ; l'on remarque, à l'appui de cette idée , que toute impres- sion cénesthésique se joint
es les émotions, que d'une part elle donne la vivacité à toutes nos idées et de l'autre fournit les phé- nomènes somatiqu
uite de son impres- sionnabilité cénesthésique, indépendamment de l' idée ou de la suggestion de ces phénomènes. Leur méc
édents cénesthé- siques et se réalisent sans que les sujets aient l' idée ou la voionlé de les effectuer. ' La suggesti
térisée par l'émotivité et par le pouvoir impulsif et plastique des idées affectives, qui impliquent, comme nous Pavons déj
st par cette impressionnahilité lé cénesthésique, en effet, que les idées suggérées se traduisent prompte- ment par les i
rétoiresqui ne sont que traduc- tion somatique ou cénesthésique des idées affectives suggérées. On les remarque particuli
ien l'analogie avec les phé- nomènes hystériques où les images, les idées les plus fantastiques ont très souvent leur ori
é qu'ont les troubles hystériques créés par des émotions ou par des idées affectives à se répéter indépendamment de celle
nous donne enfin l'explication du pouvoir impulsif et plastique des idées affectives, pouvoir par lequel celles-ci se tra
lent laisser aucun doute sur la fonction motrice de cet organe. Les idées que se faisaient ces auteurs sur les connexions d
aissance; l'intelligence diminuait len- tement. Deux ans avant, des idées de grandeur furent constatées. Pourtant le (1)
dis. Aucun d'eux ne présente une surface nette qui puisse évoquer l' idée d'une section. Ce n'est pas tout. Dans un cas où
nterprétation plus complète; au lieu de nous arrêter simplement à l' idée d'une différen- ciation incomplète ou d'une mod
» attire vivement l'attention et entraîne dès l'abord l'esprit vers l' idée d'une soudure secondaire. Qu'est celte bride ?
, ne se produit pas de la même façon. Mais cette union exclut toute idée de soudure secondaire : entre les deux or- teil
issance des doigts. Pour que l'on analyse les faits particuliers, l' idée s'impose avec force qu'il ne s'agit pas d'un ph
articulaire, gagnant vers l'espace interdigital et qui exclut toute idée de compression et de soudure secondaire; ce squ
s pour- rons appuyer sur elles une conclusion tendant à repousser l' idée d'un traumatisme. Mais notre conclusion sera
00. \ ? ..c3nes.2' 3$ ? ? iBl C\AUD d'elles ne s'accorde avec l' idée d'une soudure secondaire des doigts. Ce n'est p
viduellement chez des sujets étrangers les uns aux autres, évoque l' idée d'un processus fondamental commun présentant de
apparences de cicatrices. Il n'en faut pas plus pour faire naître l' idée d'un processus traumatique, d'une amputation cong
tre avec alternance. Il y a, sans doute, beaucoup plus à dire sur l' idée de Redlich, entre autres, qui 'explique la préd
antile sans paralysie ». Quoi- que cette expression soit étrange, l' idée est juste : une même cause produit ici des phén
rathyroïdes. Von Füriii, dans son doute, fait remarquer aussi que l' idée très répandue que l'iode serait un élément phys
gentes de différents auteurs ; le plus grand nombre se rallient à l' idée de V. Fiirtli, à savoir que la catalase, appelé
est véritablement d'une importance extraordinaire; dans cet ordre d' idées , de nombreuses recherches sont encore à faire pou
un moment, les toxines aussi bien que possi- ble. Dans cet ordre d' idées , on peut encore donner une autre explication :
s plus communs aux débiles nerveux. Promptes explosions d'humeur, d' idées , d'émotions, pareslhésies et né- vralgies fréqu
va perdre la raison, parce qu'il a des bourdonnements, un chaos des idées , et ainsi de suite. La suggestibilité conduit le
eption de Magnan. Le mot névropathe non plus n'exprime pas bien les idées que je développe. Le névropathe est déjà un mal
1913, progressivement, raconte sa femme, il vient à avoir d'autres idées ; il se montre entreprenant, audacieux, voit les
lle a douze ans et demi. C'est elle qui aura une belle fortune » 1 ( Idée de richesse ou de grandeur, car la situation ma
vite ma vue se brouille. Par moments, il me semble que je perds mes idées , je ne veux pas dire que je déraisonne, mais c'es
Je reste quelquefois un quart d'heure sans penser à rien, puis les idées me reviennent. » L'appétit du malade est bon et
100 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
nse, et l'exagération de tous les phénomènes psychiques : fuite des idées , loqua- cité intarissable, hallucinations, illu
une technique opératoire d'une haute précision. Pour acquérir une idée des fonctions de ce grand centre nerveux, il ne
de temps mensurable, et par une suspension momentanée du cours des idées : état fréquent chez les épileptiques. Quinze o
mènes délirants ne sont devenus apparents que lorsque, à la suite d' idées progressivement mégalomaniaques il est arrivé à
anque d'appétit; ils subissent l'influence d'lialluci- nations ou d' idées délirantes. Les jeunes sujets qui s'adonnent à
la perception consciente qui fait défaut ou bien les associations d' idées correspondantes. Ou plutôt, dans le cas présent
pas lésion de l'aper- ception ; il y a trouble de l'association des idées corrélatives, cécité psychique associative. C'e
ateur à certaines psychopathies dépres- sives, au désordre dans les idées hallucinatoire aigu (de Meynert, aux divers éta
erveuses, par le Dr Jules FALRET. 1890. M. Falret a eu l'heureuse idée de reunir dans un volume, les diverses publicat
els et sensi- tivo-moteurs de l'écorce cérébrale. Pour Golgi, les idées courantes sur la texture et la morphologie élé-
orphologie élé- menlaire des organes centraux du système nerveux, idées empruntées à Gerlach, à Schullze, à Meynert, so
ze, à Meynert, sont de pures hypothèses anatomiques. De même, les idées de Meynert, de lluguenin, de Luys, sur la direc-
ubdivision de ces mêmes prolongements protoplas- miques ». Mais l' idée d'une transmission nerveuse isolée, soit centri
nk a surtout dirigé ses critiques, je ne sais pourquoi, puisque les idées de Wundt à ce sujet ne sont guère que celles
s faits et les raisonnements, également erronés, d'où sont nées ces idées , nous les connaissons : ce sont ceux de Goltz e
le, non acquise, des cellules nerveuses centrales ? Un partisan des idées de Gudden, Auguste Forel, a surtout adhéré aux
lter de la doctrine de Golgi. Les faits ne s'accordent pas avec l' idée d'une cl localisation générale », comme Gudden
rs, proposer de nou- velle théorie; il n'a voulu qu' « éveiller les idées », et, sans doute, nous tirer du sommeil dogmat
nes même ont péri. Etiamperiere ruinoe. Je ne puis insister sur les idées , à coup sûr virginales; de cet auteur, touchant
cinquante-huit; puis il a pu marcher jusqu'à sa mort. Il avait des idées tristes, croyait toujours qu'il allait mourir, il
t. Je puis me permettre de saisir cette occasion pour rectifier les idées qui m'ont été attribuées au sujet du rapport de
et en protestant la terminologie qu'elle donne habituellement, les idées exprimées plus haut expliquent sa signification
assez de dire qu'en analysant le mémoire, on n'en donnerait qu'une idée impar- faite ; il faut bien reconnaître qu'on n
impar- faite ; il faut bien reconnaître qu'on n'en donnerait aucune idée ; aussi ne tentons pas cette analyse, et nous b
IiANDGLI1GAR (FINLANDE). Les médecins finlandais ont eu l'heureuse idée de publier dans la revue mensuelle de leurs tra
ntervalle des accès, le malade restait déprimé, soucieux, mais sans idées délirantes. Pendant les accès on a pu remarquer
dées délirantes. Pendant les accès on a pu remarquer, mélangées aux idées mélancoliques, des idées de persécution érotiqu
s accès on a pu remarquer, mélangées aux idées mélancoliques, des idées de persécution érotiques, et des idées hypochondr
aux idées mélancoliques, des idées de persécution érotiques, et des idées hypochondriaques. Au polymorphisme des idées dé
tion érotiques, et des idées hypochondriaques. Au polymorphisme des idées délirantes se joignaient des halluci- nations d
ge, l'abdomen, les viscères : elles provoquent ou entretiennent des idées délirantes de même nature; il existe en même temp
trouvât-on pas de lésions médullaires, on est en droit d'admettre l' idée des troubles trophiques fonctionnels d'origine
e mélancolie c'est l'ob- session; elle se manifeste sous la forme d' idées de culpabilité associée à des obscénités,' à de
athie aiguë (délire général, hallucinatoire, avec désordre dans les idées ); la maladie, qui ne. datait que de quelques jour
s, tourmenté de temps à autre par des accès d'agitation dus à des idées de persécution (craintes d'empoisonnement) associ
idées de persécution (craintes d'empoisonnement) associées à des idées de grandeur (il est Dieu et ministre); un de ces
on constate la même agitation avec désordre et incohérence dans les idées , loquacité, exaltation, violences, malpropreté,
lucidité parfaite. Le second concerne une débile chez laquelle les idées délirantes portaient l'empreinte de sa débilité
eurs. Pendant le quatrième mois, la démence et le désordre dans les idées sont moins marqués. Le sixième mois, un rapport
asque du bras droit; l'état mental reste le même ; il s'y joint des idées de grandeur; le membre inférieur droit traîne en
d sevrage traduit par des attaques convulsives du désordre dans les idées et du délire d'ordre hystérique; la jeune fille
'aux cirques forains. Pour corser son spectacle, un dompteur a eu l' idée de placer une jeune fille en état de sommeil hy
le terrible fléau. En fondant l'asile d'Ellikou, on est parti de l' idée que, pour agir efficacement sur un ivrogne, il
aboratoire ne prennent véritablement force de loi, dans cet ordre d' idées , que lorsqu'elles ont été sou- mises à l'épreuv
diabétique, qui lui servirait d'étiquette. Oui, Messieurs, j'ai l' idée qu'il existe une paraplégie diabétique ou de ca
g, l'absence des réflexes rotuliens ne vous détournent pas de cette idée . La seule chose qui vous surprenne, c'est l'abs
onsciente possède un caractère objectif, tangible, qui écarte toute idée de dissimu- lation de la part des malades. Le
ne des plus difficiles de la pathologie nerveuse; et, quoi- que l' idée d'apporter un éclaircissement soit loin de nous
le spasme glosso-labial et à lui superposer une anesthésie ? Que l' idée de para- plégie avec son anesthésie ait préexis
h dans toute leur largeur et, en somme, elle n'éveille aucunement l' idée d'un processus systéma- tique : elle fait plutô
de rien jusqu'au moment de son arrestation. Il déclare que jamais l' idée ne lui est venue de faire du mal à son enfant,
préoccupations paraissent avoir agi comme causes déterminantes. - Idées de grandeur, de richesse, agitation, insomnie, vi
iers. On compte parmi eux huit Jolies systématiques chroniques avec idées de persécution ; ce sont des malades qui ne son
à l'excrétion par l'estomac de la morphine injectée sous la peau. L' idée de ces recherches a pour ori- gine l'anecdote d
rs jours de suite, il a provoqué chez des sujets des associations d' idées par l'articulation de mots déterminés - et il a m
ffection meulale incurable secondaire dans laquelle prédominent des idées de per- sécution et surtout des idées de grande
dans laquelle prédominent des idées de per- sécution et surtout des idées de grandeur : il appelle cette entité une Verru
ucktheit généralisée, caractérisée par un désordre extrême dans les idées accompagné d'excitation ma- niaque enté sur un
débute par un stade mélan- colique ; ce stade laisse après lui des idées délirantes fixes qui se développent et s'organi
? de Krafft-Ebing (Leltrbttch der Psychiatrie) ' tend à adopter les idées de Griesinger et prend le terme de vemiccntltci
malheureux se fait du monde extérieur et de lui-même une tout autre idée que les indi- vidus normaux. - Sous le nom de W
la malade, plus ou moins agitée vivement hallucinée, manifeste des idées de persécution; la lucidité Unit par «reparaîtr
la lucidité Unit par «reparaître graduellement, la coordination des idées revient, la menstruation, qui avait disparu dep
que halluci- natoire (Wahnsinn). Wille, du désordre confus dans les idées (e ? 'tt)HT<6 ! <)enfin, Mayser, un délir
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