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1 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
e que je viens de vous dire, que nous sommes ici dans le domaine de l' hystérie , et il n'est pas sans intérêt de relever une fois
ent, il paraît y avoir une sorte d'antagonisme entre les phénomènes d' hystérie locale, comme on les appelle quelquefois, et les
tre jusqu'à un certain point. Et, à tout prendre, les phénomènes de l' hystérie convulsive vulgaire/régulière, sont bien moins te
Voilà certes une série d'accidents qui, au premier chef, révèlent l' hystérie . Mais ce n'est pas tout : les stigmates permanent
e cas? — H y a des ressources: à un âge plus avancé, chez la femme, l' hystérie accentuée est beaucoup plus tenace, plus persista
iode prodromique marquée par des symptômes qui rappellent l'aura de l' hystérie convulsive. Il semble alors à la malade qu'elle
taque se termine souvent par des pleurs, comme se termine l'attaque d' hystérie vulgaire, et en somme il n'est guère douteux que
st l'occasion de relever une fois de plus la ténacité des accidents d' hystérie monasymptomatique.11 y a, en effet, près d'un an
z pas non plus rattacher, comme on le fait trop souvent, les tics à l' hystérie . Ce sont choses totalement différentes et il suff
ale du tronc; à la suite d'un coup reçu sur le front, Neurasthénie et Hystérie . 2e Malade. — Chorée paralytique chez un enfant
ie agitante, l'épilepsie, la chorée, etc., etc., et par-dessus tout l' hystérie , oui, l'hystérie et principalement l'hystérie vir
ilepsie, la chorée, etc., etc., et par-dessus tout l'hystérie, oui, l' hystérie et principalement l'hystérie virile, plus commune
., et par-dessus tout l'hystérie, oui, l'hystérie et principalement l' hystérie virile, plus commune, cela est facile à comprendr
ie virile, plus commune, cela est facile à comprendre, que ne l'est l' hystérie féminine dans ces conditions de traumatisme que n
s de traumatisme que nous signalions tout à l'heure. En somme donc, hystérie et neurasthénie, voilà les deux formes neuropathi
la neurasthénie règne seule, exclusivement ; tantôt, au contraire, l' hystérie est seule présente, tantôt enfin, l'une et l'autr
n'ignorez pas le rôle important que joue dans la symptomatologie de l' hystérie , le rétré- Pig. 12. cissement monoculaire ou
récissement permanent du champ visuel ne se voit guère en dehors de l' hystérie . Je dis rétrécissement à l'état permanent, parce
persiste pas, il ne s'établit pas comme cela a lieu dans le cas de l' hystérie à l'état permanent. J'ajouterai qu'il parait bien
etc.,relèvent non pas directement de la cause toxique mais bien de l' hystérie dont celle-ci provoque le développement (hystérie
ique mais bien de l'hystérie dont celle-ci provoque le développement ( hystérie toxique de quelques auteurs). Pour ce qui est d
e rétrécissement permanent, lorsqu'il existe, se rattache à la grande hystérie hystérie épilepti forme, et nullement à l'épileps
ssement permanent, lorsqu'il existe, se rattache à la grande hystérie hystérie épilepti forme, et nullement à l'épilepsie. Che
rétrécissement concentrique du champ visuel, lorsqu'il appartient à l' hystérie , se présente chez notre sujet; je veux parler de
assez déjà, dans les conditions où nous sommes, pour caractériser, l' hystérie . Mais il y a plus encore : l'attaque, que quelque
core aujourd'hui, comme un syndrome nécessaire à la constitution de l' hystérie , l'attaque, dis-je, est ici représentée. Sans dou
la suivent représentent en quelque sorte, mais dans la catégorie de l' hystérie cette fois, le vertige épileptique, sans accompag
lle, une double névrose s'est produite ; la neurasthénie d'un côté, l' hystérie de l'autre. Or, vous savez que nées dans ces cond
, c'est une triste chose; mais une neurasthénie profonde compliquée d' hystérie , qui entraînent avec elles la misère intellectuel
dre la genèse, sous l'influence du choc nerveux des deux névroses : hystérie et neurasthénie. S'agit-il là d'une création de t
mprévu. 1° On sait bien aujourd'hui que l'alcoolisme prédispose à l' hystérie (1) ; or, le malheureux V..des, alors qu'il était
cident qui a provoqué, simultanément sans doute, la neurasthénie et l' hystérie . ONGLE PÈRE MÈRE TANTE TABLEAU DE FAMILLE____
- sciatique malade : l de : Neurasthénie Épileptique Epileptique. Hystérie 1. Voir Charcot : Hémianesthésie hystérique et
(Bulletin médical, Numéro du 25 mai 1887.) 6 La neurasthénie et l' hystérie associées ou isolées, telles sont, vous disais-je
rente ; il ne s'agirait pas là, suivant eux, purement et simplement d' hystérie ou de neurasthénie. Il y aurait en quelque sorte
ent être ramenés tous sans difficulté aucune à la neurasthénie et à l' hystérie isolées ou combinées. Qu'il s'agisse d'une coll
tique spéciale, mais en outre je ne vois pas que la neurasthénie et l' hystérie d'origine traumatique se séparent par aucun carac
n'est nullement légitime d'admettre qu'il existe toute une famille d' hystéries , distinctes nosographi-quement les unes ds£ autre
s ds£ autres en môme temps qu'elles sont distinctes par la forme. L' hystérie est une et indivisible, c'est du moins mon humble
tout cela se rencontre nécessairement dans la neurasthénie et dans l' hystérie de l'homme avec ou sans l'intervention quelconque
ait-on les dépayser en quelque sorte, en les distrayant du champ de l' hystérie 1 Je crains bien que dans cette affaire fôtranget
1 Je crains bien que dans cette affaire fôtrangeté apparente du terme hystérie , lorsqu'on l'applique à l'homme, ne soit une des
t il ne faut pas, je pense, grand effort pour cela — qu'en soi le mot hystérie ne signifie rien, et peu à peu vous vous habituer
stérie ne signifie rien, et peu à peu vous vous habituerez à parler d' hystérie chez l'homme sans penser le moins du monde à 1'«
lles ce mot sert d'étiquette, n'a pas eu plus de succès (1). Le terme hystérie au contraire résiste depuis bien longtemps aux in
ôpitaux, 1884. 2. G. Guinon: A propos de deux travaux récents sur l' Hystérie traumatique. Progrès médical f. 317. 3 novembre 1
érie traumatique. Progrès médical f. 317. 3 novembre 1888, id. — De l' Hystérie dans ses rapports avec la chirurgie. In Revue de
pour la droite. D'ailleurs, pas d'exalta- 1. Sulfure de carbone et Hystérie , comm. à la Société médicale des Hôpitaux, 9 nove
i vous que les nouveaux venus. Les autres savent ce qu'il en est de l' hystérie de l'homme et sous quel aspect elle se présente à
'alcoolisme, voire même du traumatisme, tous agents provocateurs de l' hystérie . Ce sont là des questions qui devront nous occu
s nous appliquer encore à bien établir chez notre homme le diagnostic hystérie . Nous ne reviendrons pas sur les symptômes sign
ici en jeu, et cette constatation qui vient corroborer le diagnostic hystérie , trouve son complément lorsqu'on fait tirer la la
que les rétrécissements de ce genre seuls sont caractéristiques de l' hystérie dans certaines affections, en effet, comme dans l
x, et après cela il n'est pas nécessaire, pour affirmer le diagnostic hystérie , de chercher ailleurs. Sans doute notre homme n
aintenant-sur l'état mental de notre malade. Si je n'admets pas que l' hystérie puisse être démembrée et qu'il soit permis de rec
ie puisse être démembrée et qu'il soit permis de reconnaître autant d' hystéries distinctes et nosographiquement séparées qu'il y
développement de l'affection, j'admets cependant naturellement dans l' hystérie , espèce une et indivisible, des variétés, des [fo
et cela doit être en effet pour lui matière de bréviaire. Pourquoi l' hystérie échapperait-elle à la règle ? De fait elle n'y éc
que et constituant même pour elle un caractère qui la séparerait de l' hystérie . Evidemment, c'est là une erreur. Ces mêmes c
à une erreur. Ces mêmes caractères appartiennent bien et dûment à l' hystérie virile et ils s'y observent non seulement lorsque
lequel je viens d'insister n'est donc pas l'apanage, la marque d'une hystérie spéciale, elle peut se rencontrer dans toutes les
ystérie spéciale, elle peut se rencontrer dans toutes les formes de l' hystérie . Après avoir montré que tous les accidents nerv
nts nerveux relevés chez notre homme appartiennent sans exception à l' hystérie , plus ou moins mêlée à la neurasthénie, irons-nou
us ou moins mêlée à la neurasthénie, irons-nous prétendre que c'est l' hystérie encore qui a été en jeu dans toutes les observati
avec arc de cercle. Evidemment, ces observations-là se rapportent à l' hystérie et il faut en con- 8 dure, car les observatio
ervations de ce groupe sont fréquentes, que dans la plupart des cas l' hystérie a été vue par les auteurs qui ont écrit sur l'int
née, par fragments, sans être reconnue par eux pour ce qu'elle est. L' hystérie serait donc d'après cela l'affection qui se dével
les choses de plus près qu'on ne l'avait fait jusqu'ici et songer à l' hystérie . Mais, dès aujourd'hui, on peut affirmer que tout
de ses successeurs il en est plusieurs où certainement ce n'est pas l' hystérie qui est enjeu. Je citerai comme exemples du genre
ler. En tout cas bien évidemment, ces cas-là ne se rapportent pas à l' hystérie . Car si l'hystérie est capable de simuler une fou
en évidemment, ces cas-là ne se rapportent pas à l'hystérie. Car si l' hystérie est capable de simuler une foule d'états morbides
rnins et alcooliques, il faut savoir distinguer ce qui appartient à l' hystérie provoquée par l'intoxication, des accidents nerve
ur le traitement. Pronostic sérieux, cela paraît être la règle dans l' hystérie mâle des adultes. Le malade guérira difficilement
s, et dont je tiens les opinions en grande estime, comme un exemple d' hystérie traumatique. Les raisons principales en faveur de
on à l'Hôtel-Dieu. Je repousse donc absolument toute ingérence de l' hystérie dans la production du syndrome de Brown-Séquard c
ille-Evrard ; sa grand'mère maternelle a été sujette à des attaques d' hystérie . Je ne me refuserai donc pas à admettre que l'é
coolique, qu'elle a commencé à avoir des attaques vulgaires de grande hystérie à l'âge de 18 ans ; que vers cette époque, à l'âg
ne faudrait pas croire cependant que cette apparition de phénomènes d' hystérie convul-sive à la fin et au début des crises de so
sommeil sont souvent pendant des années précédées par des attaques d' hystérie convulsive auxquelles elles tendent à se substitu
gé à paraître devant nous, une fois de plus, ce matin. Ce n'est pas d' hystérie qu'il est question cette fois, mais bien d'une af
titre que l'ataxie locomotrice, la paralysie générale, i'épilepsie, l' hystérie , etc., un membre de la famille neuropathologique,
soit nécessaire d'y insister qu'il s'agit là d'une attaque de grande hystérie (Hysteria major : hystéro-épilepsie à crises mixt
t éclater. L'influence des abus alcooliques sur le développement de l' hystérie , surtout chez l'homme, est. on le sait aujourd'hu
isager les questions relatives au pronostic et au traitement. C'est l' hystérie qui aujourd'hui est ici l'affection dominante vra
sont les maladies dites organiques. Vô Telle est en particulier l' hystérie de l'homme, surtout celle de l'homme adulte, et p
, gesticule. t. Comme cela arrive dans la plupart des cas de grande hystérie chez l'homme l'hypnotisa-tion dans ce cas n'a pas
que de 15 ans. — Rétrécissement du champ visuel après les accès. 3° Hystérie chez un saturnin âgé de 28 ans. lre Malade. M
s toutes les autres névroses à peu près sans exception ; ainsi dans l' hystérie , dans le mal comitial, dans la paralysie agitante
a langue et urines involontaires, faits vraiment exceptionnels dans l' hystérie , même dans l'hystérie épilepti-forme (hystéro-épi
olontaires, faits vraiment exceptionnels dans l'hystérie, même dans l' hystérie épilepti-forme (hystéro-épilepsie). Les accès son
loi du bromure, même aux doses les plus élevées, quand il s'agit de l' hystérie , tandis que, au contraire, dansl'épilepsie, l'inf
ir que dans le cas de notre malade, où il s'agit d'épilepsie et non d' hystérie , le rétrécissement du champ visuel n'est pas un p
a, le premier je crois, appelé l'attention et dans lesquels on voit l' hystérie survenir chez l'homme à la suite de l'intoxicatio
serafacile de reconnaître par la description du malade que chez lui l' hystérie provoquée par le saturnisme ne diffère en rien d'
tc., etc., ou encore, soit une émotion morale, soit un traumatisme. L' hystérie est une, je le répète une fois de plus, et quelle
En voilà assez pour bien établir chez notre malade, l'existence de l' hystérie classique. Rien n'y manque, anesthésies sensiti
artiennent pas, ainsi que quelques auteurs l'ont prétendu, aux seules hystéries déterminées par un traumatisme. imp. noizettk,
laques, etc., etc.. Mais, dans la règle, c'est la neurasthénie et l' hystérie , soit isolées soit combinées l'une avec l'autre e
rement chez un même sujet. J'ai nommé la neurasthénie d'une part et l' hystérie de l'autre. Le sujet que vous avez sous les yeu
un des côtés du tableau. Ainsi que je l'ai déclaré en commençant, l' hystérie se trouve chez notre sujet combinée àla neurasthé
lésion organique aujourd'huipassablement déterminées, en dehors de l' hystérie . Il n'appartient pas en tout cas, je crois pouvoi
t dans le vrai et je l'engage à suivre son idée. !• Neuiaslhénie et hystérie combinées. Le Progrès médical, 1888, t. VIII, 6me
TIÈME LEÇON s lre Malade. — Cas complexe. — Ataxie locomotrice et hystérie . 2e Malade. — Cas complexe. — Hystérie et sclér
exe. — Ataxie locomotrice et hystérie. 2e Malade. — Cas complexe. — Hystérie et sclérose en plaques. (A propos de ces deux c
e fort éloignées l'une de l'autre, à savoir l'ataxie locomotrice et l' hystérie . S'agit-il ici de l'une ou de l'autre ? Avant de
depuis plusieurs années, M.Parinaud et moi, ce n'est guère que dans l' hystérie qu'on voit la notion du rouge persister seule, ce
ayant disparu. Y aurait-il donc, chez notre malade, complication d' hystérie ? 4° L'examen campimétrique fournit à cet égard
e. C'est encore un symptôme qu'il n'est pas rare de rencontrer dans l' hystérie . ' 23 au résultat important que voici :—Tout
t important que voici :—Tout n'est pas tabétique chez notre malade; l' hystérie est là, présente,il s'agit de lui accorder dans l
rmes qui se montrent parfois dans le tabès. « Ataxie locomotrice et hystérie » : c'est une combinaison qui d'ailleurs n'est pa
relevée d'ailleurs d'une façon expresse dans ses Leçons de 1879. « L' hystérie , dit-il, (p. 246) me paraît exercer une influence
paravant, pendant des années, tourmentées par tous les accidents de l' hystérie , par des accidents convulsifs entre autres. » Il
ataxie locomotrice qui prend les devants et précède l'apparition de l' hystérie . Est-ce à dire que, dans cette complication d'évé
ion d'événements, il faut admettre que la maladie aerveuse, ataxie ou hystérie , qui se montre la première en date, joue vis-à-vi
e faut pas oublier d'un autre côté que les deux affections, ataxie ît hystérie , représentent deux membres de la même famille nos
rquer, tout d'abord, 1. VoirG.Guinon : Les agents provocateurs de l' hystérie . Thèse de Paris,1889, p. 219 et suiv. qu'il s'a
se de Paris,1889, p. 219 et suiv. qu'il s'agit chez elle d'un cas d' hystérie tardive, sénile même,pourrait-on dire, car on ne
l'influence provocatrice de la ménopause. Les premiers symptômes d' hystérie , en effet, ont paru à l'âge de cinquante-deux ans
t se manifester sans accompagnement d'aucune tendance hystérique. L' hystérie , faut-il ajouter, s'est développée chez notre mal
ns l'étiologie de l'ataxie locomotrice aussi bien que dans celle de l' hystérie . M...gnon a été très faible, très délicate dans s
la précédente. Il s'agit en effet, là encore, d'une combinaison de l' hystérie avec une affection organique bulbo-spinale, à sav
ulbo-spinale, à savoir la sclérose en plaques. Seulement ici, c'est l' hystérie quiparaîtau premier abord dominer la situation et
mptômes oçuljîfres qui contribuent à caractériser nosographiquement l' hystérie d'un cô.y,jd4$axie locomotrice et la sclérose en
DES SYMPTOMES OCULAIRES dans le tabes, la sclerose en plaques et l hystérie a. Appareil moteur de l'œil. Tabès (Ataxie lo
t de cause centrale, — diplopie spéciale consécutive. 2° Nystagmus. Hystérie : 1° Quelquefois paralysies associées. 2° Spa
à propos de notre cas, en les comparant à ceux qui appartiennent à l' hystérie . Mais il ne sera peut-être pas inutile, pour mieu
deux yeux. Une diplopie de même origine se voit assez souvent dans l' hystérie ; mais dans celle-ci, c'est plus particulièrement
bertson appartient exclusivement à l'ataxie. Rien de semblable dans l' hystérie , non plus que dans la sclérose en plaques où l'on
aniques appréciables: c'est une loi qui s'applique aussi bien, dans l' hystérie , aux symptômes oculaires qu'à tous les autres. De
stic. Le rétrécissement régulier et concentrique du champ visuel de l' hystérie contraste évidemment d'une manière frappante avec
pas la même, si l'on peut ainsi parler, que celle qui se voit dans l' hystérie . Dans cette dernière, en effet, il est fréquent d
s le service de la Clinique. Il s'agit chez elle d'attaques de grande hystérie avec les phases classiques et bien marquées, à sa
résie des mouvements associés est un symptôme qui peut se voir dans l' hystérie ; mais lorsque les choses vont jusqu'à produire l
6. voyez, de ce rétrécissement concentrique et régulier qui, dans l' hystérie à stigmates, constitue en quelque sorte un symptô
hases d'empirement temporaire de l'am-blyopie sont-elles le fait de l' hystérie ou de la sclérose multiloculaire ? cela me parait
remarquable, conformément à ce qui se voit très vulgairement clans l' hystérie , surtout chez la femme, le cercle de la vision po
pour le bleu. On sent là, si l'on peut ainsi parler, l'influence de l' hystérie et cette influence, on peut le dire, se maintient
rt remarquable, de symptômes oculaires dont les mis appartiennent à l' hystérie , les autres à la sclérose en plaques. Mais vous
ulaires que vous savez qui nous a amené a reconnaître que, derrière l' hystérie se cachait, chez P...et, la sclérose multiloculai
nt la sclérose multiloculairesesont notablement amendés, depuis que l' hystérie s'est développée et semble avoir pris le dessus.
vement grossières, la rapprochent en quelque sorte clini-quement de l' hystérie , maladie mobile par excellence, du moins dans bon
ganiques des centres nerveux celle qui se combine le plus souvent à l' hystérie (2), et dans cette association, c'est tantôt la
plaques ouvrir la marche et céder le pas, au moins pour un temps, à l' hystérie . Voilà certes une association morbide dont le s
paralysies hystériques psychiques. S'agit-il donc chez notre malade d' hystérie ? Oui, et c'est chez elle l'hystérie qui actuelle
agit-il donc chez notre malade d'hystérie ? Oui, et c'est chez elle l' hystérie qui actuellement domine de beaucoup. Cette assert
coup plus accentués qu'ils ne le sont en réalité. C'est donc encore l' hystérie qui est en jeu dans les membres supérieurs. La
ement parétique des membres inférieurs ; tout le reste appartient à l' hystérie . C'est, il importe de le relever, à l'occasion
que, à côté de la chlorose de l'âge critique, il y a lieu de placer l' hystérie de la ménopause : c'est de cela qu'il s'agit simp
n choc local, B...ot a « localisé », si l'on peut ainsi parler, « son hystérie » dans les membres inférieurs où elle éprouvait l
d, car, en somme, ainsi que je l'ai déjà proclamé, c'est évidemment l' hystérie qui domine la situation, et il y a tout lieu d'es
e époque être quelquefois simulé de la façon la plus frappante dans l' hystérie . Bonneuil, où est né notre malade, Me...ier, au
re. Telles sont les circonstances émouvantes au milieu desquelles l' hystérie s'est manifestée chez notre homme. Ce sont les do
é vespérale car elle est déjà un indice; elle appartient en effet à l' hystérie . Lorsque les accès épileptiqucs se règlent, c'est
jouer un rôle si important sur la scène morbide ; les partisans des « hystéries multiples » pourraient même, peut-être, se voir e
r entraînés à considérer cette hypéresthésie, comme l'étiquette d'une hystérie spéciale 1'« Hysteria virilis amatoria ». S'il en
e-resthésie scrotale et testiculaire se rencontre quelquefois clans l' hystérie , provoquée par des causes qui n'ont rien, absolum
térique en conséquence d'une chute faite du haut d'un échafaudage ; l' hystérie à part, il en avait été 1. Des paralysies hyste
iné par l'émotion de la chute est bien le seul agent provocateur de l' hystérie qu'on puisse invoquer ; l'amour contrarié n'y éta
ns la maladie de Basedow. Combinaison de la maladie de Basedow avec l' hystérie , l'ataxie locomotrice progressive. 1er Malade
onvulsions en bas âge ; une de ses sœurs a été sujette à des crises d' hystérie . Elle a été somnambule dans l'enfance et, vers
eux delà maladie de Basedow tendent à rétrocéder. La combinaison de l' hystérie avec la maladie de Basedow chez un même sujet n'e
ent de notre observation qui m'a paru mériter d'être mis en relief. L' hystérie est représentée aujourd'hui chez Mon...rier, non
rtainement, il ne s'agit pas là d'ataxie locomotrice,non plus que d' hystérie dont d'ailleurs notre mala-lade ne porte aucun de
Revue de médecine, p. 299, me paraîteomme à ce dernier, relever de l' hystérie ; ce cas appartient \ M. le professeur Tessier fi
ans la démonstration des faits ; car nous ne devons pas oublier que l' hystérie est dans ses allures parfois mobile au plus haut
hystéro-épileptique, non: 1. Richer. Éludes cliniques sur la grande Hystérie , 2e édition, 188 , p. 245. plus qu'avec la cata
ire des antécédents de MmeP... signale dans son passé deux attaques d' hystérie , l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 a
on? 2e, 3e et 4e Malades. Lorsque l'on parle de neurasthénie ou d' hystérie mâles, il semble qu'aujourd'hui encore on ait pre
i un assez bel exemple de neurasthénie cérébro-spinale sans mélange d' hystérie , survenu chez une dame américaine à la suite d'un
affections nerveuses sans «substratum» organique, la neurasthénie, l' hystérie par exemple, se montrent généralement, toutes cho
ymptômes observés chez notre malade peuvent être ramenés, les uns à l' hystérie , les autres à la neurasthénie. Nous commenceron
ever une fois de plus, que le déterminisme règne dans les choses de l' hystérie comme partout ailleurs en pathologie. Je vous d
l a été marqué par le développement d'une attaque classique de grande hystérie . Une pesée faite le 23 même, précisément quelques
; Charcot. De Y hypèresthésie de l'ovaire dans certaines formes de l' hystérie . Leçons faites à la Salpêtrière en 1872. — Mouvem
s parle mari? Quoi qu'il en soit,il s'agit, vous le voyez, d'un cas d' hystérie tardive et certes ce cas-là n'est pas le meilleur
xemple de la combinaison, plusieurs fois déjà signalée par nous, de l' hystérie et de l'ataxie locomotrice progressive. A propos
tes fois, une sorte d'antagonisme entre les accidents dit locaux de l' hystérie (hystérie locale), tels que bruits laryngés, cont
une sorte d'antagonisme entre les accidents dit locaux de l'hystérie ( hystérie locale), tels que bruits laryngés, contractures e
utres cas du même ordre ; mais, quoi qu'il en soit, la fréquence de l' hystérie dans les prisons, les asiles et les dépôts de men
source certaine que dans la seule année 1888, il a été admis 15 cas d' hystérie mâle relevant pour la plupart d'une influence tra
propos, l'étude statistique publiée récemment par M. le Dr Marie : l' hystérie à la consultation du bureau central des Hôpitaux
de chemin de fer Paris, 1888. — Guinon. Les agents provocateurs de l' hystérie . Paris, 1889. 39 veuse se démasquent dans tou
s jamais êtes suivie d'attaques con-vulsives. Enfin, sans sortir de l' hystérie , Richer, sous le nom d'accès épilepti-ques incomp
semble, dis-je, que ce soit la neurasthénie qui constamment précède l' hystérie et lui prépare en quelque sorte le terrain. Il pa
la gauche. Début quinze ours après l'accident. La neurasthénie et l' hystérie se montrent simultanément. III Trem.-.ay, 32
, lions qui se présentent du côté droit. La neurasthénie d'abord, l' hystérie trois mois après. IV Const..s..menuisier en b
e m'en porte garant, dans les attaques délirantes ou convulsives de l' hystérie . La morale de tout ceci, c'est qu'il va falloir
ction dont il va être question, pas d'épilepsie en particulier, pas d' hystérie . Dans la nuit du 8 au 9 août, on sonne chez elle
nambulisme spontané pathologique ; c'est une forme qui appartient à l' hystérie : les accès ambulants sont en général, dans ces c
ont en général, dans ces cas là, précédés et suivis par une attaque d' hystérie convulsive. Cela n'est point nécessaire cependant
quillement se coucher: à peine au lit survient une nouvelle attaque d' hystérie . Au réveil aucun souvenir de ce qui s'est passé.
utre fois cette même malade, après avoir éprouvé encore une attaque d' hystérie cette fois suivie d'extase, se lève, s'habille co
ait douter qu'il s'agit là d'une contracture hystérique. C'est dans l' hystérie , dans l'hystérie seule en effet, autant qu'on sac
s'agit là d'une contracture hystérique. C'est dans l'hystérie, dans l' hystérie seule en effet, autant qu'on sache, que l'on renc
plaque sacrée, pas de confusion de l'esprit, pas de vertiges, etc. L' hystérie paraît être chez lui primitive ; pour le moins c'
of nerv. Syst. in Women, Philadelphie, 1885, p. 39. 2. Traité de l' hystérie , p. 477. 3. Etudes, t.ïl.p. 25, 4. Charcot. —
a commencé à faire paraître dans le Montpellier médical, sur un cas d' hystérie mâle avec astasie-abasie, une série de leçons qui
bien qu'il s'agisse encore, dans ces cas-là, fort souvent du moins, d' hystérie , l'ataxie abasique peut se montrer isolée,àtitre
sormais comme un exemple du genre. Seulement, vous avez compris que l' hystérie développée en pareille circonstance, ne saurait a
itablement été créées par lui, tandis que celui- ci, dans le cas de l' hystérie , ne saurait être considéré que comme une cause oc
nce étroite où elles sont vis-à-vis de l'action toxique, tandis que l' hystérie , pour s'être développée à la suite et en conséque
alcoolique avec rétractions fïbro-tendineuses. 3e et 4e Malades. — Hystérie et dégénérescence chez l'homme. Messieurs, Je
ables rêves chez les hystériques non alcooliques. Mais'ce n'est pas d' hystérie qu'il s'agit ici certainement. C'est bel et bien
Les Erinnycs. 2° p. V. p 44. iSS9, 2. Voir sur la combinaison de l' hystérie avec les diverses formes de lu dégénérescence men
, août. — Tabaraud. Des rapports de la dégénérescence mentale et de l' hystérie , thèse de Paris, novembre 1888. vres hères que
marques non méconnaissables : attaques et stigmates permanents. Où l' hystérie va-t-elle se nicher? Je vous l'ai montrée bien so
compte fait, en raison de l'extension singulière que semble prendre l' hystérie mâle dans les classes inférieures de la société à
de l'idée que nos prédécesseurs des siècles passés se faisaient de l' hystérie , lorsqu'ils n'y voyaient qu'une « suffocation uté
c., etc. Si cela est réellement, il s'agirait, vous l'avez compris, d' hystérie et d'épilepsie coexistant chez notre homme, mais
t alors que, sous l'influence puissante de cet agent provocateur, l' hystérie apparaît avec les attaques et les stigmates qui l
ement sous son influence que, la prédisposition héréditaire aidant, l' hystérie a paru. Elle est représentée chez notre malade
ssure le malade, d'un phénomène peu connu encore dans l'histoire de l' hystérie et qui ici est fort accentué. Je veux parler d'un
on sur les atrophies musculaires qui se produisent dans le cours de l' hystérie , et qui ne relèvent que de sa seule influence (2)
ntre bien, si je ne me trompe, que parmi les agents provocateurs de l' hystérie , à côté des grandes perturbations morales, des tr
aralysie spinale infantile. 2° Chez un homme de 24 ans : Epilepsie, Hystérie majeure et Morphinomanie combinées. Messieurs.
ait pas se servir du rétrécissement du champ visuel pour distinguer l' hystérie de I'épilepsie, parce qu'il se rencontrait chez l
plaques ou la myopathie progressive qui en sont la cause? Mais non, l' hystérie , sachez-le bien, peut se combiner, s'associer ave
h bien, chez ce malade, nous n'avons pas seulement les stigmates de l' hystérie , nous en avons aussi les attaques. Je vous ai mon
épileptique qui a quelque chose de plus que son épilepsie; il a de l' hystérie . Mais il a, je le répète, des attaques d'hystérie
pilepsie; il a de l'hystérie. Mais il a, je le répète, des attaques d' hystérie qui surviennent spontanément et de ces attaques v
C'est au sortir de sa fièvre typhoïde qu'il est tombé dans la grande hystérie ; c'est alors que sont apparues cette anesthésie,
ses crises de nuit. Ce sont bien là, si je ne m'abuse, des attaques d' hystérie . Il y a encore un autre caractère qui nous manque
d de la lettre. A ses crises de jour, qui sont des attaques de grande hystérie , l'épilepsie, le mal comitial, ne prend aucune pa
l'épilepsie, le mal comitial, ne prend aucune part; et inversement, l' hystérie n'intervient d'aucune façon dans ses crises de nu
nadier de l'armée allemande âgé de 23 ans, en garnison à Carlsruhe. L' hystérie mâle n'est donc pas vous le voyez, comme on l'a d
i un jour, en plaisantant, que je serais enchanté de voir constater l' hystérie chez un cuirassier prussien. Eh bien voilà un gre
une véritable découverte. La phase épileptoïde de la grande attaque d' hystérie est si bien une simple appa- i rence que si l
e normal de l'urée est de 18 gr. 60; or, à la suite de ses crises d' hystérie , ce chiffre descend à 14 gr. Après les accès d'ép
ans lumière, et autres images sinistres. Ces rêves procèdent-ils de l' hystérie ou de la morphinomanie ? Des deux peut-être. No
ces elles aussi, à quel degré, je n'ai pas besoin de vous le dire ; l' hystérie peut-être autant que l'épilepsie. En somme, je
tant s'en faut, à la névrose neurasthénique. Quoi qu'il en soit, l' hystérie ou la névrose traumatique, cemme vous voudrez l'a
particulier mais fort vulgaire dans les formes les plus diverses de l' hystérie virile et, quelle qu'en ait été la cause provocat
a réalité : notre malade est un hystérique et l'on peut ajouter que l' hystérie développée chez lui, par le fait de la fulguratio
eurasthénie cérébrale,créé par des chagrins et un surmenage récents,l' hystérie s'est bientôt développée, sous l'influence de la
u'on pouvait s'y attendre, figurer parmi les agents provocateurs de l' hystérie , et même il est singulier que les faits à l'appui
r on étudie, à la lumière de nos connaissances actuelles concernant l' hystérie , l'hystérie masculine surtout, les troubles nerve
à la lumière de nos connaissances actuelles concernant l'hystérie, l' hystérie masculine surtout, les troubles nerveux divers qu
t), pourrions-nous ajouter aujourd'hui. « Mais comment admettre que l' hystérie soit en cause chez un homme robuste ? A peine est
reils scrupules et l'on recon-naîtrait,assurément,que c'est bien de l' hystérie qu'il s'est agi chez cet homme, au moins dans le
ivant à l'occasion des orages. Mais « peut-on songer,dit l'auteur,à l' hystérie chez l'homme ! » Plutôt que de s'arrêter à cette
me. L'auteur ne songe même pas à la possibilité de la présence de l' hystérie dans ce cas, bien qu'elle y soit facile à reconna
as dans lesquels la connaissance des travaux récents relativement à l' hystérie mâle eût rendu quelques services. Les trois obs
diverses échéances, la paralysie hystérique. Les cas dans lesquels l' hystérie s'est développée à l'occasion d'un coup de tonner
ement de la commotion électrique, il faut s'attendre à voir souvent l' hystérie intervenir tôt ou tard. 2° Lorsqu'une fulgurati
ion d'une paralysie relevant directement de l'action électrique, si l' hystérie , par suite, entre en scène, la paralysie hystériq
accidents qui appartiennent si fréquemment à la Symptomatologie de l' hystérie , sont souvent cités parmi les troubles nerveux qu
ce que nous observons chez lui, l'astasie comme le reste, relève de l' hystérie , et c'est comme hystérique qu'il devra être trait
) que, dans la grande majorité des circonstances, Fabasie relève de l' hystérie . « Mais,ajoutais-je,il faut compter sur les anoma
esoin de commentaires. Évidemment c'est bien, comme on l'a supposé, l' hystérie qui est en jeu dans ce cas, bien qu'il s'agisse d
es auteurs sous le nom de syringomyélie, ne sont autres que des cas d' hystérie . J'en viens actuellement à l'exposé de quelques
rapprochent singulièrement ces derniers de ceux qui appartiennent à l' hystérie : c'est un point sur lequel nous allons avoir à r
ainsi dire d'une façon banale dans la symptomatologie classique de l' hystérie . Un troisième groupe de symptômes répond à une
ncé dès le début exister entre la syringomyélie et certaines formes d' hystérie de façon à tenir le diagnostic en échec. Je rel
niques peuvent,par contre, se retrouver exactement reproduites dans l' hystérie ; et si vous ajoutez à cela que les anesthésies s
on n'observe dans la syringomyélie les troubles sensoriels qui dans l' hystérie s'associent si fréquemment aux troubles sensitifs
ra aisément évité par ce seul fait que l'on ne rencontrera pas dans l' hystérie , ces troubles trophiques musculaires ou autres qu
aines formes d'atro-phiemusculaire,en effet,relèvent directement de l' hystérie ainsi que nous l'avons montré, M. Babinski et moi
rai, comme le suppose M. Schulze (4), que plusieurs cas rattachés à l' hystérie ont dû être plus tard considérés comme des exempl
ant à la syringomyélie, il en est un certain nombre qui relèvent de l' hystérie . Mais je ne veux pasm'arrêter à faire ici un pr
vous démontrer séance tenante, à propos d'un exemple approprié, que l' hystérie peut dans de certaines circonstances simuler la s
it, et établir enfin sur des fondements inébranlables le diagnostic : hystérie . Il faut donc, pour que cela soit ainsi, qu'il y
agnostic que je vous avais proposé d'accepter tout à l'heure; c'est d' hystérie mâle, tout simplement, qu'il s'agit dans le cas e
ns doute,comme je les ai commencées,c'est-à-dire en vous parlant de l' hystérie masculine, dont il a été, d'ailleurs, bien souven
t voir là un signe des temps. Sous l'influence des études récentes, l' hystérie mâle a été définitivement réhabilitée et l'on a a
d'hui familiarisés, pourront à chaque instant, dans la catégorie de l' hystérie , rencontrer un pendant, un représentant, un « sos
. - Noisette, 8, r, Campagne-Ire» Pari' APPENDICE APPENDICE ¹ 1 Hystérie et névrose traumatique. Voir leçons 7 (2e Malade,
xiste nombre de cas si nets, si typiques soit de neurasthénie, soit d' hystérie pure, que toute contestation à l'égard de ces fai
hardl,Leyden et autres en Allemagne,il a bien fallu reconnaître que l' hystérie occupait la plus large place dans l'histoire du«
e plus restreint des cas complexes dans lesquels la neurasthénie et l' hystérie se trouvent associées. C'est donc autour des fait
71 06s. — Collision de trains (accident de Velars), Neurasthénie et hystérie consécutives (névrose traumatique). - Claw... Lou
qui précède, l'association d'un état neurasthénique des plus nets à l' hystérie . Si, actuellement, les symptômes de l'une et l'au
lution sur laquelle M. Charcot a plusieurs fois appeié l'attention, l' hystérie est venue s'ajouter à la neurasthénie déjà exista
té des faits; elle n'est pas seulement une vue de l'esprit, puisque l' hystérie et la neurasthénie peuvent apparaître successivem
nt se montrer isolément sur des sujets différents. La présence de l' hystérie chez notre patient, ne saurait, je pense, faire l
ativement fausse que l'on se fait en général du tabieau clinique de l' hystérie chez la femme. Chez le mâle, en effet, la maladie
chez la femme, — ce que l'on croit être le trait caractéristique de l' hystérie , c'est l'instabilité, la mobilité des symptômes »
e de la maladie hystérique, même chez la femme. Chez elle, il y a des hystéries aux stigmates permanents, d'une stabilité inéluct
e appartenant en propre aux traumatisés et complètement étrangère à l' hystérie proprement dite. Cependant, si Ton examine un à
e appartenant au tableau clinique, soit de la neurasthénie, soit de l' hystérie . La tristesse, la mélancolie, l'apathie intelle
tendance mélancolique s'observent le plus communément dans les cas d' hystérie les plus accusés, indépendants de tout traumatism
d'humeur, les caprices n'existent pas toujours nécessairement dans l' hystérie de la femme. Ces troubles ne sont donc pas caract
érie de la femme. Ces troubles ne sont donc pas caractéristiques de l' hystérie . Tout cela n'a rien d'absolu. Il y a des hystériq
hallucinations... etc., mais tout cela c'est la monnaie courante de l' hystérie . Il y a encore l'affaiblissement de la mémoire,
réalité, ils ressortissent les uns à la neurasthénie, les autres à l' hystérie . Leur association chez un même individu ne légiti
pas plus la création d'une psychose nouvelle, que la combinaison de l' hystérie et de la neurasthénie ne constitue une névrose pa
ivilège de déterminer l'apparition de cet état complexe dans lequel l' hystérie et la neurasthénie se développent côte à côte.
à la série traumatique. Son cas doit être rangé dans la catégorie des hystéries provoquées par une émotion quelconque. Si l'on ve
perte du sens musculaire qui, manifestement, doit être rattachée à l' hystérie . Enfin, il y a deux ans, tout à coup, un matin,
d'un côté, il n'existe plus actuellement aucune manifestation de l' hystérie , et, de l'autre, l'élément myos-p^smodique a comp
ètement guérie et libre de tous ses mouvements (1). APPENDICE ¹ 3 Hystérie provoquée chez l'homme par la peur de la foudre (
9, pp. 435, 461. L'observation qu'on va lire offre un bel exemple d' hystérie développée chez l'homme par suite du saisissement
outefois que le shock nerveux a déterminé immédiatement une attaque d' hystérie suivie de mutisme, a été publiée par M. le docteu
TABLEAUX Pages. Tableau généalogique (Sciatique, Neurasthénie et Hystérie ) ... 35 — — (Chorée aiguë grave)........... 117
des symptômes oculaires dans le Tabès, la Sclérose en plaques et l' Hystérie ................. 163 Tableau généalogique (Hyst
bleau généalogique (Abasie trépidante)............. 372 (Epilepsie, Hystérie et Morphinomanie.) B. - FIGURES, FAC-SIMILE ET
0, 21 Fig. 11 — ! (Points douloureux)............ 26 Fig. 11 — et hystérie (Sensibilité).......... 33 Fig. 12 — (Champ vis
,21 — (Atrophie) ... 74 Fig. 22. — Alcoolisme, paralysie infantile, hystérie (Sensibilité) . 97 Fig. 23 — — (Champ visuel) 9
26. — Epilepsie (Rétrécissement du champ visuel) . . . 120 Fig. 27.— Hystérie chez un saturnin (Sensibilité) ....... 122 Fig.
périeur (Lésions médullaires)............. 146 Fig. 34. — Ataxie et hystérie (champ visuel) .......... 159 Fig. 35 — — (Sens
5 — — (Sensibilité)............ 160 Fig. 36.—Sclérose en plaques et hystérie (Sensibilité) . . . . 167 Fig. 37, 38 — — — (Ch
caéseuse dans le mal de Pott . . . 181 Fig. 40,41. — Mal de Pott et hystérie (Sensibilité) . ,..... 185 Fig. 42 — — (Champ v
ttaque de sommeil (Champ visuel)......... 272 Fig. 62, 63.—Tabès et hystérie (Sensibilité)........... 280 Fig. 64,65. — Hyst
..... 294 Fig. 69, 70 — — (Sensibilité)........... 295 Fig. 71.-- Hystérie mâle (Contracture)............. 350 Fig. 72,73.
. — Paraplégie alcoolique (Sensibilité)......... 387 Fig. 76, 77. — Hystérie mâle (Sensibilité)............. 396 Fig. 78 — (
...... 401 Fig. 81 — (Champ visuel)........... 402 Fig. 82, 83. — Hystérie , épilepsie et morphinisme (Sensibilité). . 422
ensibilité). . 422 Fig. 84 — — (Champ visuel) . 423 Fig. 85, 86, — Hystérie mâle. Phases de l'attaque........ 426 Fig. 87 —
imulation hystérique de la syringomyélie...... 520 Fig. 125, 126. — Hystérie provoquée par la foudre (Sensibilité).. . 546 T
du tronc ; à la suite d'un coup reçu sur le front, neurasthénie et hystérie ............. 19 2e malade. — Chorée paralytique
récissement du champ visuel après les accès................ 117 3°. Hystérie chez un saturnin Agé de 28 ans........ 12! SEPT
0 HUITIÈME LEÇON 1er malade. —Cas complexe. Ataxie locomotrice et hystérie 151 2e malade. —Cas complexe.Hystérie etsclérosee
spéciale dans la maladie de Basedow. Combinaison de la maladie avec l' hystérie , l'ataxie locomotrice progressive......: 231 DO
infantile......... 407 G) *° Chez un homme de 24 ans : épilepsie; hystérie majeure et morphinomanie combinées . . ........
étractions fibro-tendineuses............... 381 3e et 4e malades. — Hystérie et dégénérescence chez l'homme 392 VINGT ET UNI
hystérique de la syringomyélie . . 516 APPENDICE Appendice n° 1. — Hystérie et névrose traumatique ..... 527 Appendice n°2.
-modique hystérique (Pied bot hystérique)...... 535 Appendice n° 3.— Hystérie provoquée chez l'homme par lapeur de la foudre.
ostic, 366. — (Ecriture dans Ã), 359. — et choree vulgaire, 366. — et hystérie , 366, 375. — Etiologie, 366. — et tabes (diag.)
jambes, 364. — Durée, 482. — et hémiplégie capsulaire, 477, 479. — et hystérie , 474, 477, 479, 483. — et incoordination cérébell
ts, 289. (Voy. Epilepsie, etc.) Achaud, 71. Achromatopsie. — et hystérie , 159. 165, 169. — et sclérose en plaques, 165. —
r chez les femmes, 388. — et conception, 93. — et epilepsie, 95. — et hystérie , 35, 99, 288. — et maladies nerveuses, 93. — Hall
ordination automatique. (Voy. Abasie.) Atrophie musculaire, —dans l' hystérie ,403. — dans la paralysie alcoolique, 85, 86. — de
— Sans lésions médullaires, 413. Attaques de sommeil. (Voy. aussi Hystérie , Hystérique (sommeil), etc., etc.), 67, 272, 273.
me entre les) et les accidents locaux, 7. — transformées, 13. (Voy. Hystérie , Hystériques, etc., etc.) Audry, 194. Aura ép
241, 335. — Etat de mal, 239. — Emotions morales, 234, 236, 239. — et hystérie , 240. — et tabès, 243.— Examens des urines, 238
, 369, 386. Brodie, 194. Bromure de potassium dans l'épilepsie et l' hystérie , 117, 118. Brouardel, 84. Brown-Séquard, 55, 14
138.— dans la Sclérose en plaques, 165, 166. — dans l'Epilepsie et l' Hystérie , 423. — dans l'Epilepsie, 31, 119, 423. —(Rétréci
champ), 31, 32, 50. Rétrécissement temporaire du champ), 32. — dans l' Hystérie , 165 et passim. — dans le Tabes, 159, 165. Char
de), 178. Spasmodiques et contractures retráctiles, 537. (Voy. aussi Hystérie , etc.) Coprolalie, 15, 468. — et Echolalie, 15.
Dégénérés 93, 392. — Stigmates psychiques, 16. Dégénérescence et Hystérie , 392,393, 399. Déjerine, 101, 144, 145,414, 416
on, 109, 110. Diplopie.— de la Sclérose en plaques,164, 166. — de l' Hystérie , 164, 266. — du Tabès, 164. — et Vertige de Méniè
olisme, 95. — et Rétrécissement du champ visuel, 31. Epilepsie et Hystérie . — Différence des attaques, 424. — (Indépendance
. — (Indépendance de F). 424. Epilepsie. — et traumatisme, 322. — Hystérie et bromure de potassium, 117, sq. Epilepsie, hyst
tisme, 322. — Hystérie et bromure de potassium, 117, sq. Epilepsie, hystérie et morphinomanie, 420, sq. — Par cellaire, 118. —
ation). — (Accidents déterminés par la), 435.— agent provocateur de l' hystérie , 458, 543, sq. — en zig-zag, 444.— globulaire, 44
n.— (Amnésie dans la), 444.— (Etat mental à la suite de la), 448.— et hystérie , 543, 549. — Hystérie et neurasthénie, 457. — (Lé
444.— (Etat mental à la suite de la), 448.— et hystérie, 543, 549. — Hystérie et neurasthénie, 457. — (Lésions produites parla)
e et abasie-astasie, 477, 479. ¦ Hémiplégie hystérique, 262.— (Voy. Hystérie .) hémispasme gl0ss0-labié, 49. Hérédité.— alc
, 172 — dans la chorée grave, 111. — dans le bégaiement, 79. — dans l' hystérie , 6, 35, 541. — dans l'hystéro neurasthénie, 261,
87. Hypnotisme, 52. — Contagion, 254. — (Dangers de 1'), 247. — et Hystérie mâle, 100, 380. — Période de léthargie, 70. — (Re
10. — (Simulation et illusion, dans F), 10. . Hysteria Major, 32. Hystérie . (Voy. aussi, Attaques de sommeil, hystérie mâle,
. Hysteria Major, 32. Hystérie. (Voy. aussi, Attaques de sommeil, hystérie mâle, hystéro-neurasthénie. Champ visuel, Contrac
ion ovarienne, 275, 276. — Contagion des accidents hystériques, 11. Hystérie . ¦— Contracture avec rétractions tendineuses, 540
tion chirurgicale, 542- — Contracture chez une tabétique, 278, 279. Hystérie . — Crises d', 161. — Dans l'armée allemande, 425,
(Déterminisme dans F), 272. — Diplopie, 164, 266. — Dormeuses, 63. Hystérie . — et abasie, 366, 375. — et Abasie, astasie,474,
tasie,474, 477, 479, 483. et abasie trépidante, 474, 477, 479, 483. Hystérie et alcoolisme, 35, 99, 288. — Rêves, 389. Hysté
477, 479, 483. Hystérie et alcoolisme, 35, 99, 288. — Rêves, 389. Hystérie .— épilepsie et morphino-manie, 420, sq. — et Choc
aques), 424. — et épi lepsie (Influence du bromure de Pot.), 322. Hystérie et mal de Pott, 186, 189, sq., 194. —Douleurs lom
sibilité du raclais à la pression, 192. — Stigmates, 186, sq., 192. Hystérie . — et mal. de Basedow, 240.— et saturnisme, 121,
sedow, 240.— et saturnisme, 121, sq.,— et sclérose en plaques, 162. Hystérie et syringomyélie.— (Diagnostic), 489. — Sensibili
, 517. — Troubles sensitifs, 497. —Troubles trophiques, 518, 519. Hystérie et Tabès, 161, 277, sq., 281. — Béllexes, 282. —
Tabès, 161, 277, sq., 281. — Béllexes, 282. — Stigmates, 281, 282. Hystérie . —et tics, 15. — et traumatisme, 30.—et Utérus, 3
al, dans 1') 188,533. —Etourdis-sements, 289. — Fugues, 325. — Grande hystérie . — 96. — (Hérédité dans 1'), 6, 35, 541. — (Influ
nfluence du sommeil sur les accidents), 4, 12. — La misère cause de l' hystérie , 403. — Locale, 6.— Monosymptomatique, 6,13.— (
,13.— (Multiplicité de F,) 197. — Neurasthénie et fulguration, 457. Hystérie provoquée par la foudre, 457, 543 sq. — Paralysie
Hystérie provoquée par la foudre, 457, 543 sq. — Paralysies dans l' hystérie par fulguration 453, sq. 456, 457, 459, 460. Hy
lysies dans l'hystérie par fulguration 453, sq. 456, 457, 459, 460. Hystérie .— phases de l'attaque,166. — Phénomènes laryngé
36, 121. — Variétés des formes, 470, 471. — Vomissements 272, 273. Hystérie male, 36, 48,100, 419 sq. 458, 459, 522, 533. — A
mmeil hystérique, 66. — Zones, 33. Hystéro-neurasthénie (Voy. aussi hystérie , hystérie mâle, hystérique, neu rasthénie), 31,
érique, 66. — Zones, 33. Hystéro-neurasthénie (Voy. aussi hystérie, hystérie mâle, hystérique, neu rasthénie), 31, 33, 51, 2
Lannois, 334. Laryngés (Bruits). — chez le tiqueur, 15. — dans l' hystérie , 4, 6. Laryngées (Crises) tabétiques, 345, 346.
, 214, 216. MlERZEEWSKI, \ 19. Miliotti, 64, 68, 362. Misère et hystérie mâle, 285. MÔbius, 235. Moelle épinière.—Comp
y. Espèces). Morphinomanie.— Description,430, sq. — Diarrhée, 432. — Hystérie , epilepsie, 420 ^sq. — Importance des périodes au
e ouvrière, 256.— et choc nerveux, 132, 139,200.—ethystérie, 31. — et hystérie (Hérédité) 261. — et surmenage, 29. — et surmenag
ctions génitales, 137. — Force dynamométrique. 137. — Hérédité, 35. — Hystérie et fulguration, 457. — Pronostic, 261. — (Sympt
). — du tabès et suspension, 201, 202, 211, s*», — (Symptômes) dans l' hystérie , 163. — Dans la maladie de Basedow, 235. — Dans l
onnement par 1'), 369. — (Coma dans l'empoisonnement par 1'), 369. — ( Hystérie causée par 1'), 370. — (Paralysie dans l'empoison
— Tremblement, 232. Paralysie hystérique.— Paraplégie, etc* ( Voy. hystérie , hystérique, hystéro-neu-rasthénie, etc., etc.
— Troubles trophiques, 143, 144, 409. Paralysie par fulguration et hystérie 453 sq. 456, 457, 459, 460. ' Paralysie sensiti
2. — Difficulté du diagnostic au début, 189,191. Pott (Mal de) et hystérie . — Douleurs lombaires, 190. — Sensibilité du rach
l'alcoolisme, 288, 389. — dans la paralysie alcoolique, 389. — dans l' hystérie , 292, 294. — dans l'hystérie mâle, 51, 265, 268,
s la paralysie alcoolique, 389. — dans l'hystérie, 292, 294. — dans l' hystérie mâle, 51, 265, 268, 352. — dans l'hystéro-neurast
, 534. — Apparition des images du côté anesthésié, 288, 294. — Dans l' hystérie et l'alcoolisme, 288, 389. Reynolds, 117, 118,
, 334. Salmon, 54. Sapelier, 44. Sattler, 417. Saturnisme, 84. — et hystérie , 121 sq. — et maladies nerveuses, 93. Sayre (
Champ visuel, 165, 167. — Démarche, 170. — Diplopie, 164, 166. — et hystérie , 162. — et suspension, 204, 217, 220, 221. Myosis
Steppeur, 83. (Voy. Démarche). Stigmates.— Hystériques, 13. —(Voy. Hystérie ). Straus, 343. Strümpell, 182, 527. Stuart
ie musculaire, 501, — Eruptions huileuses, 497. Syringomyélie. — et hystérie . — (diagnostic), 489. — Sensibilité, 497, 517, 51
fulgurantes, 154,201, 277, 278, 279. — Champ visuel, 165. Tabes et hystérie . —161,277, sq. 281.— Stigmates, 281, 282. — Réfle
atique, 24. — et névralgie brachiale, 24. Tic moteur, 16. Tics et Hystérie , 15. Tics et Rhythme, 15. Tillaux, 225. TlL
et automatisme ambulatoire épileptique, 323. — et épilepsie, 322 — et hystérie , 30 — et maladies nerveuses, 30. — et neurasthéni
— dans la mal. de Basedow, 238. — dans l'épilepsie, 421. Utérus et hystérie , 37. V Valleix, 24. ' Vasomoteurs (Troubles
2 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
amyotrophie et syringomyélie) a Il faudra dorénavant compter avec l' hystérie . Nous, en par- « ticulier, qui, par profession,
coulés, et l'assertion de Sydenham n'a jamais cessé d'être vraie. L' hystérie , après des vicissitudes diverses, a défini - 1.
r anglais, étaient bien naturelles à une époque où on n'avait sur l' hystérie que des notions vagues et incertaines et où on
connues, je regarde l'affec- tion dont elle est atteinte comme une hystérie . » Nous avons, à l'heure actuelle, le droit et
ons de la névrose. Et même, dans les cas exceptionnels, du reste, d' hystérie « monosymptomatique », l'évolution et les circo
permettent d'ordinaire de se prononcer en connaissance de cause. L' hystérie peut tout simuler : diverses affections des systè
Widal, n'est-elle pas une preuve remarquable de la simulation par l' hystérie des troubles caractéristiques des névrites périph
nous borner à un côté peu exploré jusqu'ici : à la simulation par l' hystérie des maladies organiques de la moelle épinière.
git de faits classés sous les rubriques les plus diverses. Tantôt l' hystérie , un instant ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « S
surplus, nous risquerions d'être incomplet : la bibliographie de l' hystérie et des affections de la moelle est beaucoup trop
mercurielle, alcoolique, etc., n'étaient pas encore connus et où l' hystérie mâle n'é- tait pas monnaie courante. Bref, ils
courante. Bref, ils ne sont pas utilisables. On peut y soupçonner l' hystérie sans pouvoir l'y démontrer avec certitude. Par
quelques-uns d'entre eux, le doute n'est plus permis : il s'agit d' hystérie méconnue. Nous en rapporterons plus loin quelques
sont rares et ne datent que d'hier. En résumé, la littérature de l' hystérie simulatrice est très pauvre, et cette pénurie t
part, on ne s'est pas assez attaché à rechercher les stigmates de l' hystérie et que, d'autre part, la copie a été si parfait
trop au-dessus de nos forces mais uni- quement la simulation par l' hystérie des maladies organiques spinales et en particul
servations à l'appui, que, dans des cas déterminés, les signes de l' hystérie se réunissent, se groupent chez un même individ
c'est- à-dire, dans l'espèce, d'une maladie organique spinale par l' hystérie . Pour quelles raisons la névrose simule-t-elle
de commentaires. La condition nécessaire et suffisante, c'est que l' hystérie puisse réaliser sur le vivant une sympto- matol
nifestations qui, prise en détail, ne puisse être rencontrée dans l' hystérie a\ec des caractères similaires. Les troubles mo
lement, perte du sens musculaire, etc., appartiennent à la fois à l' hystérie et aux rnyélopathies. Les troubles trophiques e
phies, etc., ont long- temps servi de lignes de démarcation entre l' hystérie et les affections 1. Charcot, Leçons sur les ma
rande névrose. Il ressort de ce court aperçu qu'on rencontre dans l' hystérie les élé- ments primordiaux des maladies de la m
nter en clinique; tantôt le malade présente des stigmates actuels d' hystérie ; tantôt ceux-ci font défaut. (a) Dans le prem
rechercher. La deuxième proposition soulève plus de difficultés. L' hystérie ne donne pas un brevet d'immunité contre les ma
des sclé- roses spinales. Il faudra donc s'attacher à prouver que l' hystérie seule est en cause et, pour cela, se livrer à u
ond. cas, il s'agit de faits rarissimes qu'on désigne sous le nom d' hystérie monosymplomaligiae, autrement dit d'hystérie ré
désigne sous le nom d'hystérie monosymplomaligiae, autrement dit d' hystérie révélée par un symptôme unique. C'est dans ces
oivent se placer les associa- tions hystéro-organiques. Parce que l' hystérie peut simuler une affec- tion spinale, cela ne v
rait attribuer toutes les manifes- tations à une seule maladie, à l' hystérie ou à la myélopathie, reposerait sur une erreur
- quable, elles ont droit au respect. Les associations morbides d' hystérie et de tabes, d'hystérie et de sclérose en plaqu
oit au respect. Les associations morbides d'hystérie et de tabes, d' hystérie et de sclérose en plaques, etc., existent donc.
as, s'agit-il tou- jours d'une seule et même névrose hystérique ? L' hystérie ne serait-elle pas ici un symptôme de la lésion
partagés. MM. Charcot, G. Guinon', ', Brissaud, etc., pensent que l' hystérie , sous quelque forme qu'elle se pré- sente, quel
toujours identique à elle-même, une et indivisible. 11 n'y a pas d' hystéries symptomatiques. La névrose peut en effet précéd
quantàsanature, même quand elle est provoquée par elle. «Toutes les hystéries , dit excellemment M. Brissaud, qu'on pourrait a
e, la même espèce morbides 1. Guinon, les Agents provocateurs (le l' hystérie . Th. de Paris, 1889. 2. Brissaud, les Hystéries
s provocateurs (le l'hystérie. Th. de Paris, 1889. 2. Brissaud, les Hystéries provoquées (Gaz. des hop., n° 131). 8 NOUVELLE
dierons plus tard en détail, il faudra sans cesse se rappeler que l' hystérie est sujette à des lois précises. « Rien n'est l
les temps, pour toutes les races, universelles par conséquent. » L' hystérie a son histoire natu- relle ; elle ne forme pas
pi- nale, il n'y a qu'un seul grand diagnostic à faire : celui de l' hystérie . En effet, les maladies de la moelle nous sont
-ci de la syringomyélie, etc. Nous ne pourrions en dire autant de l' hystérie et des myélopathies ; nous n'en voulons pour té
oivent nous servir d'enseignement. Il faut donc toujours songer à l' hystérie , et chercher à démontrer qu'elle est ou qu'elle
ris, systématiquement, la recherche méthodique des stigmates, car l' hystérie est toujours imminente, solitaire ou associée.
c reposaient sur un diagnostic erroné. Cepen- dantle pronostic de l' hystérie n'est pas univoque. Tandis que certaines manife
. Ces syndromes sont surtout l'apanage des adultes; or, chez eux, l' hystérie est plus grave que dans l'enfance; ils semblent
si beaucoup plus fréquents chez l'homme. Or le pronostic grave de l' hystérie mâle est aujourd'hui parfaitement établi. En
délébile de la névrose. Si on sait quand et comment on tombe dans l' hystérie , il est impossible de prédire comment et quand
s guérisons doivent être reportées, pour la plupart, à l'actif de l' hystérie . Mais si, du côté des cures organiques, le char
nt de songer qu'il est aujourd'hui toujours possible de découvrir l' hystérie sous un masque qui nous est encore peu connu, e
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEURS DE LA SCLÉROSE EN PLAQUES L' hystérie est le type parfait des névroses ; la sclérose en
entendre par ces considérations qu'il en sera bientôt de même de l' hystérie . Jusqu'ici, la névrose hystérique ne repose pas
le. A côté d'elles prennent place une infinité de formes frustes. L' hystérie peut les simuler toutes; mais nous n'aurons ici
s le nom de « pseudo-sclé- rose » ne sont autre chose que des cas d' hystérie . Nous allons ici étudier successivement : I.
rose; II. Les « pseudo-scléroses » ; - III. Les associations de l' hystérie et de la sclérose en plaques; 1Y. Les principau
relèvent pas d'une lésion organique cérébro-spinale, mais bien de l' hystérie . En effet, ce malade est hystérique. Est-il bes
tré l'an dernier dans le service de la clinique pour des attaques d' hystérie . L'autre qui est née en juillet 1890 a déjà des
olongée. Malgré ces caractères nous croyons qu'ils'agit encore là d' hystérie . L'hystérie à forme épileptoïde n'est pas rare. M
gré ces caractères nous croyons qu'ils'agit encore là d'hystérie. L' hystérie à forme épileptoïde n'est pas rare. MM. G. Ballet
d'entrer à Necker où M. le professeur Dieulafoy fit le diagnostic d' hystérie , ce malade sortait d'un service hospitalier ave
p- tion rarissime. L'examen du fond de l'oeil n'a pas été fait. L' hystérie peut donc tout expliquer. La syphilis, si elle a
scillations par seconde) à l'aide de ce double tracé. Chez G... l' hystérie ne faisait aucun doute. Mais en raison de la du
e ces hypothèses et montrer que tous les phénomènes relevaient de l' hystérie . OBs. YI (résumée). (Rendu, in Soc. méd. ItBp.,
tation, il y a dix ans. Aujourd'hui, nous devons penser aux faits d' hystérie masculine, de tremblements hystériques qui sont
on de l'ouie du côté gauche, assez de signes, en un mot, pour que l' hystérie ne puisse être mise en doute. De plus, l'amélio
. Rendu, ce malade est entré à la Salpêtrière, où il a passé un an. Hystérie et rien qu'hystérie, tel a été le diagnostic de M
st entré à la Salpêtrière, où il a passé un an. Hystérie et rien qu' hystérie , tel a été le diagnostic de M. le professeur Ch
tres conditions démontrant d'une façon péremptoire la présence de l' hystérie . En effet, on pouvait penser à la sclérose en p
ngée et guérit spontanément. En présence de tous ces symptômes, l' hystérie ne saurait être mise en doute, malgré l'absence
ogie, on admit l'exis- tence de névroses spéciales, distinctes de l' hystérie et susceptibles de simuler les maladies organiq
contestablement de rinstérie. Loin de nous de ne voir partout que l' hystérie , et de vouloir tout faire rentrer dans son cadr
avons nulle envie -la vieille théorie deSydenham qui attribuait à l' hystérie tout ce qui ne se rapportait pas à une maladie
unes de ces observations, on trouve des symptômes irréfra- gables d' hystérie , que nous voulons faire oeuvre de réhabilitation
eut-être autorisé à faire des réserves. En effet, à cette époque, l' hystérie mâle était mal connue, et il suffisait même dan
ent devoir se ranger sous les trois chefs suivants. Cas où : 1° L' hystérie est incontestable; 2° L'hystérie est discutable
is chefs suivants. Cas où : 1° L'hystérie est incontestable; 2° L' hystérie est discutable; 3° L'hystérie ne peut être incr
L'hystérie est incontestable; 2° L'hystérie est discutable; 3° L' hystérie ne peut être incriminée. I. Et d'abord, les deu
un ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 39 doute de l' hystérie . C'est là un point que M. Rendu a parfaitement mi
ations et celles de Westphal, on serait tenté de les classer dans l' hystérie . Mais ce n'est là qu'une hypothèse que l'insuff
in d'admettre de nouvelles névroses simulatrices, quand on a déjà l' hystérie , affection essentiellement polymorphe, qui rempli
vroses ». III. Il reste enfin une troisième catégorie de faits où l' hystérie ne semble pas en cause. Il resterait à détermin
que, sans aucun doute, le complexus morbide relevait en entier de l' hystérie ; 2° Dans l'autre, la névrose hystérique n'est p
tis et qui sont permanents, on ne saurait bien longtemps songer à l' hystérie . Nous sommes ici en présence d'un cas de scléro
stphal. Nous croyons qu'il s'agit bien plutôt d'une forme bizarre d' hystérie , d'un de ces syndromes que nous étudions. L'évolu
n de l'iodure, plaident en ce sens. La recherche des stigmates de l' hystérie n'a pas été faite ici comme dans la plupart des
sont-ils pas la reproduction textuelle de la sympto- matologie de l' hystérie de cause traumatique, telle que nous la connaisso
rait fort intéressant de savoir si, dans ce cas, les stigmates de l' hystérie ont été recherchés. C'est ce que l'auteur ne di
tic peut osciller, dit-il, entre une sclérose multiloculaire et une hystérie grave. Les principaux symptômes sont un fort trem
eux observations très instructives qui relèvent sans nul doute de l' hystérie de cause traumatique. Ons. XXI (résumée) (Buzza
appelle que nombre d'affections organiques ont été prises pour de l' hystérie ; et, comme il a surtout en vue les rapports de l'
pour de l'hystérie; et, comme il a surtout en vue les rapports de l' hystérie et de la sclérose en plaques, il insiste sur la
tique du tremblement intentionnel, qui, dit-il, n'existe pas dans l' hystérie . C'est là une affirmation qui n'est plus souten
, on reconnaîtra que beaucoup de symptômes, rattachés jusqu'ici à l' hystérie , relèvent d'une affection organique, et que le
ystérie, relèvent d'une affection organique, et que le domaine de l' hystérie est destiné à s'amoindrir ~ au sur et à mesure
hés. Quant aux faits où on avait noté durant la vie des symptômes d' hystérie , tous rapportés à la névrose et où l'au- topsie
e la mère. 1. Contribution à l'élude des troubles trophiques dans l' hystérie , atrophie musculaire el oedème (Nouvelle Iconog
ès médical, n', .il, 42, 1890). 3. Des troubles trophiques dans l' hystérie . Th. Paris, 1890. m. 5 66 NOUVELLE ICONOGRAPH
ans l'expression. Les personnes cliniquement familia- risées avec l' hystérie et qui verront le malade reconnaîtront là un faci
que présente L... ne peut laisser aucun doute sur l'existence de l' hystérie chez cet homme. Mais il est remarquable que l'o
e oeil ou un point brillant quel- conque : autre manifestation de l' hystérie . Cette éclosion successive de troubles somatiqu
des attaques. Une fois de plus ceci montre qu'on peut entrer dans l' hystérie par plus d'une porte, de même que de tous les sym
. Au fond, il n'existe donc pas plus une période préconvulsive de l' hystérie qu'il n'existe une période 1. Leçon du mardis j
bes, celui-ci pouvant d'emblée débuter par l'ataxie du mouvement, l' hystérie pouvant se manifester tout d'abord par de grand
e cause originelle, mais une cause occasionnelle de l'éclosion de l' hystérie chez L..., nous pren- drions en considération,
rneaux de cuisine. Ce serait, pour les partisans de l'autonomie des hystéries toxiques, un cas de plus d'hystérie oxy-car- bo
s partisans de l'autonomie des hystéries toxiques, un cas de plus d' hystérie oxy-car- bonée. Cet oedème est donc bien un o
éral en ce qui concerne les divers accidents ou manifestations de l' hystérie . La première de nos malades est une nommée Witt
instant dans les divers travaux de M. Charcotet de ses élèves sur l' hystérie et sur l'hypnotisme. Le 22 mars 1890, nous hypn
stéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des attaques d' hystérie . Bien qu'elle refuse énergiquement de nous raco
l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes attaques d' hystérie , pour lesquelles on fait aussi usage.de la comp
ction produite par notre sujet qui nous a fait songer aussitôt il l' hystérie chez lui. Mais par une singulière contradiction a
lombricaux et des interrosseux (Pl. XIII) s'observe rarement dans l' hystérie , où l'on rencontre ordinairement la griffe médi
orme, au tremblement mercuriel. C'est ici le lieu de rappeler que l' hystérie est assez souvent provo- quée par l'hydrargyris
e de son intoxication puisse présenter un tremblement relevant de l' hystérie et simulant le tremblement mercu- riel. La réal
qu'il existe un véritable trem- blement mercuriel indépendant de l' hystérie et émanant directement, en d'autres termes, de
faut apprendre à distinguer des cas où, chez les hydrargyriques, l' hystérie se développe et donne lieu à un tremblement mérit
intoxication mercurielle, de ces tremblements et des stigmates de l' hystérie ; la guérison rapide de ces tremblements sous l'
te du tremblement rémittent-intentionnel (type Rendu) : OBs. III. - Hystérie provoquée par une émotion violente. - Tremble-
onclusions de son mémoire légitimes, s'il, existait, en dehors de l' hystérie , des états dynamiques capables de reproduire le t
ue destiné à ces vagues névroses qui, n'ayant rien de commun avec l' hystérie , seraient cependant capables comme elle d'imiter
a recherche et la constatation de tous les symptômes possibles de l' hystérie , telles sont les données sur lesquelles devra r
PLAQUES De l'avis de M. le professeur Charcot et de M. P. Marie, l' hystérie et la sclérose en plaques sont les deux affecti
Il* 1, t. Ir, 1891. `3. Guinon, les Agents 1)i-oi,ocaleii)-s (le l' hystérie , Th. (le Il. )19. li. Arch. géit. de médecine,
le rétrécissement du champ visuel relevaient de la sclérose ou de l' hystérie . Ons. XXVI (Oppenheim, in eod. loco). Une jeune
un troisième cas de sclérose multiloculaire typique combinée avec l' hystérie . M. Oppenheim fait précéder ces observations dé
ions démonstratives des réflexions suivantes : « J'ai vu, dit-il, l' hystérie se combiner avec des maladies organiques très d
es en lumière pour la première fois par M. le professeur Charcot. L' hystérie est une névrose dont la fréquence est incontest
st-il d'origine hystérique, ou bien n'y a-t-il qu'une association d' hystérie et de sclérose en plaques ? A. La réponse à la
probable- ment la coexistence de quelque autre signe univoque de l' hystérie z. » B. Dire si le complexus morbide tout entie
l 'aura céphalique. Et en réalité, ces vertiges sont des attaques d' hystérie avortées, arrêtées à l'état naissant. Parfois,
Le facies immobile, hébété de la sclérose, peut se retrouver dans l' hystérie simulatrice. Chez l'homme en particulier, le visa
synoptique des symptômes oculaires dans la sclérose en plaques et l' hystérie . ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTERIQUES « SIMULATEURS
indépendamment de toute maladie infectieuse, plaidera plutôt pour l' hystérie . Enfin le mode de début, l'évolution avec des a
st celui de la nature de la lésion, du moins pour ce qui concerne l' hystérie . L'hystérie, en effet, peut simuler toutes les
la nature de la lésion, du moins pour ce qui concerne l'hystérie. L' hystérie , en effet, peut simuler toutes les variétés de
évolution d'un syndrome iéputé incurable, il faut bien avouer que l' hystérie semble parfois se jouer des recherches les plus
s attaques convulsives. On l'examine de nouveau, on songe alors à l' hystérie masculine et on trouve tous les stigmates de la
térie masculine et on trouve tous les stigmates de la névrose. Si l' hystérie est certaine, on se demande cependant s'il n'y a
out autre examen on puisse les rattacher à leur véritable cause : l' hystérie traumatique. Il y a un hémi-tremblement du côté
agisse d'une paralysie d'un autre ordre ». 1 Obs. XXVIII (Berbez, Hystérie et traumatisme. Th. de Paris, 1887. p.106). Par
llaire. M. Charcot démontra que tous ces phénomènes relevaient de l' hystérie , et l'événement vint lui donner raison. La di
frappé de paralysie des membres inférieurs, il faut donc penser à l' hystérie . Il n'est peut-être qu'un seul signe qui permet
gne qui permette d'affirmer, à coup sûr, la présence exclusive de l' hystérie ou d'une lésion spinale : c'est la distribution
considérable est la règle dans celle-ci ; elle est plus rare dans l' hystérie . La douleur rachidienne osseuse, sans hyperesth
sie cutanée. Si, dans ces conditions, on ne trouve aucun stigmate d' hystérie , la lésion médullaire' suffira à tout expliquer
te d'hystérie, la lésion médullaire' suffira à tout expliquer. Si l' hystérie coexiste, il faudra faire la part des deux. Q
m- possible. OBs. XV. Accident de chemin de fer : neurasthénie et hystérie coiisécit- tives. Tremblement hystérique de la
LOCALISATION MONOPLEGIQUE OBs. YIV. Surtttetccge : neurasthénie et hystérie . Tremblement hystérique localisé au membre supé
r une vive frayeur qui appartenaient cer- tainement au domaine de l' hystérie . Il y aurait lieu encore de reviser les faits d
eut à l'âge de huit ans constituait tout son passé pathologique. L' hystérie s'est révélée chez ce malade ' dans le mois de
our -disparaître encore. Et ce n'est qu'après la première attaque d' hystérie qu'il s'installa définitivement. Il existait al
de des oscillations. Cas. XVI. Chute, émotion vive, neurasthénie et hystérie consécutives. Tremblement hystérique du membre
e dans la collection de ses recherches cliniques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie'. D'un autre côté je me reporterai
lie malattie mental, (3) Bourneville, Recherches sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, 9sus0-1590. zoos NOUVELLE ICONOGR
ris en 1883. A cette époque, elle présentait des accidents variés d' hystérie : parésie des membres inférieurs, intolérance gas
e, et son billet de sorlie, affirme-t-il, portait le dia- gnostic : hystérie . Il était très amélioré, et, quinze jours après,
fort possible que la syphilis à cette époque ait été en jeu, mais l' hystérie coexistait avec elle certainement. Dans tous le
Rendu, dont la compétence est indiscutable, porte le dia- gnostic d' hystérie . Cette paraplégie guérit pour reparaître sans rai
ine hystérique des troubles moteurs et urinaires qu'il présente ? L' hystérie est en cause, et seule en cause. Il nous semble i
llègue et ami M. Thiro- loix). Rétention d'urine. Flénaiparaplogir. Hystérie . - Maria Des..., trente- deux ans, plumassière,
stigmates de la névrose, éloignent toute idée de lésion spinale. L' hystérie seule est évidemment en cause. Ces. XXXVI (M. L
arquable observation d'une discussion contradictoire et conclut à l' hystérie seule provoquée par la syphilis. Assurément, le
nels et qui ne doivent plus aujourd'hui faire écarter l'hypothèse d' hystérie . L'observation suivante est un exemple manifest
cependant. Nous ne nous attarderons pas à démontrer qu'il s'agit d' hystérie , et d'hystérie seule chez un saturnin. Le plomb
s ne nous attarderons pas à démontrer qu'il s'agit d'hystérie, et d' hystérie seule chez un saturnin. Le plomb a joué le rôle
frigore des cordons latéraux. Il ne soulève nullement l'hypothèse d' hystérie , la seule, en réalité, qui soit justifiée par l
'on ait songé, à l'hôpital de Pouilly, à une lésion médul- laire. L' hystérie n'est pas douteuse, la nature hystérique de la pa
une émotivité manifeste, qu'une de ses soeurs avait des attaques d' hystérie , qu'on n'a trouvé à l'autopsie aucune lésion, o
raisemblablement nous en avons perdu le souvenir sur le compte de l' hystérie venant compliquer le mal de Pott. Aujourd'hui,
mes entièrement convaincu que tous ces troubles qui existent dans l' hystérie relevaient de la grande névrose. Du reste, on
ovembre 1887. La malade quitte l'hôpital dans le même état. Que l' hystérie soit en jeu chez cette malade, cela n'est pas dou
SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 323 fellation actuelle de l' hystérie . Les autres manifestations habituelles de la né
cidents morbides observés chez le malade. Ici l'existence même de l' hystérie est en cause; il faut avant tout la démontrer, et
souvenirs, ajoute : .« Rien, chez le jeune D... ne m'avait révélé, l' hystérie et en cherchant dans ma mémoire, je ne trouve r
que les stigmates sensitivo- sensoricls font souvent défaut dans l' hystérie infantile. La planche XIV donne une repro- duct
e paraplégie spasmodique suivie d'une guérison plus radicale. - L' hystérie est-elle en jeu ? Oui, assurément. Et cependant t
agnostic de tabes dorsal spasmodique. Nous avouons volontiers que l' hystérie ne pouvait pas être soupçonnée et que, n'était
es doutes. Et pourtant la recherche métho- dique des stigmates de l' hystérie est restée infructueuse. La guérison seule est
tude sur les rapports du rétrécissement mitral con- génital et de l' hystérie , note chez ses malades un arrêt de déve- loppem
vancement des sciences; loi aoùt 1889). 2. Rétrécissement mitral et hystérie chez l'homme (Archives U6'it. méd" novembre 189
disparaît de même. La diathèse de contracture existe en dehors de l' hystérie . Elle a été désignée par quelques auteurs sous
cture, in Progr. méd ? 188G, p. 835. Pitres, Leçons cliniques sur l' hystérie , 1891, t. 1", p. 377. DIATHÈSE DE CONTRACTURE.
l'état de contracture latente des hémiplégiques organiques. Dans l' hystérie , il est souvent remplacé par cet autre phénomèn
oppose. La diathèse de contracture n'existe pas dans tous les cas d' hystérie , tant s'en faut. En comprenant les cas où elle
sthésie, mérite de prendre rang parmi les symptômes permanents de l' hystérie . PAUL Richer, Chef du laboratoire de la Clini
du reste aucune douleur; elle est très froissée d'être soupçonnée d' hystérie . A partir de ce moment, l'amélioration fait des
aucune lésion; il il n'y avait aucun stigmate sensitivo-sensoriel d' hystérie . Depuis la sortie de Necker, nous avons eu l'oc
e fille semble bien faite en apparence pour éloigner tout soupçon d' hystérie . Tuberculose pulmonaire, tuberculose méningée,
rgé pour être vrai. Il ne s'agit pas ici de tuberculose mais bien d' hystérie . La fièvre avec ses caractères hectiques est as
olites au cours de ce coma pour éveiller chez M. Dieulafoy l'idée d' hystérie . En l'absence des stigmates ordinaires de la né
les accidents passés et présents. OBs. XLIX (résumée) (Pontoppidan, Hystérie hos Mand, Iqospitals Tidende et Centralblatt su
n ce moment il n'existe aucun autre symptôme bien caractéristique d' hystérie . Je sais que la malade a eu la syphilis et que
RE VIII DIAGNOSTIC DE LA SIMULATION Il est des cas complexes où l' hystérie se trouve associée avec une paraplégie de cause
es stigmates, est une simple affaire d'examen. Mais démontrer que l' hystérie seule est en jeu comporte un raisonnement serré e
ives sont la règle. Les douleurs subjectives sont plus rares dans l' hystérie . L'anesthésie cutanée, au contraire, accompagne
laire orga- nique. Mais l'atrophie musculaire n'est pas rare dans l' hystérie . Le décubitus avec signes généraux graves, sera
nt communs aux deux affections; l'incontinence est plus rare dans l' hystérie . La cystite purulente appartient aux lésions orga
des manifestations articulaires et spinales permettent d'éliminer l' hystérie . Quant aux paraplégies réflexes, elles sont trè
NOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. toujours rechercher les stigmates de l' hystérie . Les rencontre-t-il ? Il lui reste à savoir si
volution le con- duira toujours à des probabilités pour ou contre l' hystérie et quel- quefois à la certitude. TROISIÈME PA
us celui de « syndrome hystérique simulateur» du tabès. Les faits d' hystérie simulatrice du tabes sont rares. La plupart de
e tabes fort extraordinaires. Ces divers auteurs ne parlent point d' hystérie . En l'absence de détails circonstanciés, nous ne
les imiter. Par contre, Webb' publie une observation qu'il intitule hystérie simulatrice du tabes. L'hystérie n'est pas niab
lie une observation qu'il intitule hystérie simulatrice du tabes. L' hystérie n'est pas niable dans ce cas, mais elle ne nous
l'occasion d'une méprise. H. Huchard, qui vit la malade, songea à l' hystérie , et l'événement vint lui donner raison. C'était
l'hystérie, et l'événement vint lui donner raison. C'était un cas d' hystérie avec « phénomènes ataxi- formes », suivant son
sque nous avons entrepris l'étude de cette question, d'autres cas d' hystérie simulatrice du tabès. Or, au cours de cette mêm
rait croire qu'il s'agit là d'une manifestation exceptionnelle de l' hystérie . Mais si on veut bien admettre que.d'autres obs
mettre que.d'autres observations nous les résumerons plus loin où l' hystérie a été méconnue relèvent, elles aussi, de la névro
p. 550. 3. P. Michaut, Conlribut. à l'élude des manifestations de l' hystérie chez l'homme, Th. Paris, mai 1890. . Pitres,
inutile de faire ressortir les relations de l'astasie-abasie avec l' hystérie . « Quelquefois, dit M. Charcot Ii, l'abasie s'ass
qu'il s'agisse encore, dans ces cas-là, fort souvent du moins, de l' hystérie , l'ataxie abasique peut se montrer isolée, à ti
'éleclrisalion localisée, 3° édit., p. 779. 2. Briquet, Traité de l' hystérie , Paris, 1859, p. 477. 3. Lasègue, De l'anesthés
rs, autour de la ceinture, etc., ne sont pas exceptionnelles dans l' hystérie , qu'elles peuvent y revêtir un certain caractère
schromatopsie, etc.), sont des manifestations assez communes dans l' hystérie . Il n'est pas exceptionnel de trouver dans la n
coup plus fréquents, ils ont tous ou presque tous leur sosie dans l' hystérie . Si l'on combine les signes de la série tabétiq
ment. . De plus, tout le complexus morbide nous semble relever de l' hystérie seule. En effet, les troubles de la vue : dimin
pique dans ses caractères et sa distribution dépend évidemment de l' hystérie ; elle rend compte aussi du dérobement des jambe
ciels sensitifs et moteurs; or, ceux-ci sont aussi fréquents dans l' hystérie que dans le tabes. Etant donné que cette malade
dans le tabes. Etant donné que cette malade est hystérique et que l' hystérie seule suffit à l'inter- prétation de tous les p
nt probable, pour ne pas dire certain, qu'il s'agit, dans ce cas, d' hystérie simulatrice. La marche de l'affection, l'état p
la jambe gauches. M. le profes- seur Dieulafoy fit le diagnostic d' hystérie . Après un court séjour à Necker, 388 NOUVELLE I
ire remarquer, que l'achromatopsie est très excep- tionnelle dans l' hystérie mâle. Mais elle existe chez cet homme et ne peu
ais elle existe chez cet homme et ne peut qu'identifier davantage l' hystérie virile avec l'hystérie féminine, où, comme on l
t homme et ne peut qu'identifier davantage l'hystérie virile avec l' hystérie féminine, où, comme on le sait, ces accidents o
lexes rotuliens qui ne plaide encore contre le tabes en faveur de l' hystérie . OBs. LV (inédite) (Communiquée par notre collè
M. 13arié', Joffroy et G. Ballet3 ont récemment men- tionnée. Or, l' hystérie et la maladie de Basedow suffisent amplement à
uvent manquer chez un sujet sain, qu'ils peuvent être abolis dans l' hystérie . Quant ladyschromatopsie, le vert et le rouge s
a maladie de Basedow et que tous les symptômes relè- vent soit de l' hystérie , soit du goitre exophthalmique. Le léger degré
ifficultés. 11 nous faut maintenant résumer quelques observations d' hystérie simulatrice méconnue, pour faire voir qu'on peu
P..., vingt-six ans, garde-malade. M. Mader, qui n'a pas songé à l' hystérie , intitule cette observation : myelitis spontané
e observation : myelitis spontané heilung. Or, il nous semble que l' hystérie existe dans ce cas et peut tout expliquer. Cett
son spontanée ne s'accordent guère avec cette idée. D'autre pari, l' hystérie semble démontrée par la zone douloureuse du rac
les électriques. En somme, il est fort vraisemblable qu'il s'agit d' hystérie simulatrice méconnue. Ous. LXI (Grasset et Apol
née de nous, un neuro-pathologiste du mérite de M. Grasset écarta l' hystérie par ce seul fait qu'il s'agissait d'un homme. I
ture de ce fait démontre, d'une façon péremptoire, la présence de l' hystérie et de l'hystérie seule. C'est ce que nous vouli
émontre, d'une façon péremptoire, la présence de l'hystérie et de l' hystérie seule. C'est ce que nous voulions faire ressort
sujet 396. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. prédisposé, l' hystérie peut être mise en jeu par le développement de l
nviction. Au surplus, la tâche était aisée, les études faites sur l' hystérie dans ces dernières années ayant jeté un jour to
bien, à notre avis, en faire honneur à la grande simula- trice, à l' hystérie , dont les stigmates n'avaient pas été suffisammen
ndel' Neuro- psychose ohne allatomischen Betund. L'existence de l' hystérie était dans ce cas hors de contestation : l'hé-
femme de trente et un ans, atteinte des symp- tômes classiques de l' hystérie et de troubles psychiques; qui mourut de tuberc
névropathies, un terrain préparé d'avance pour les névroses. Que l' hystérie survienne, -c'est ici le cas, - et une de ces a
suffira de rappeler l'exemple typique de maladie de Friedreich et d' hystérie rapporté, il y a deux ans, par MM. Gilles de la
de la Tourette, Blocq et IIuet, etde citer le passage suivant : « L' hystérie peut affecter les sujets atteints de maladie de
e la clinique deux myopathiques chez les- quels la coexistence de l' hystérie est indéniable'. » Nous rapportons nous-même pl
niable'. » Nous rapportons nous-même plus loin (obs. LXXI) un cas d' hystérie associée à l'atrophie cérébrale partielle. En
sujet, soit que la lésion organique cérébro-spinale ait provoqué l' hystérie (thèse de G. Guinon, p. 91G et suiv.), soit qu'il
'auteur discute-t-il la possibilité de la terminaison fatale dans l' hystérie par l'hystérie. Il rappelle queMcyer2 attribue
-t-il la possibilité de la terminaison fatale dans l'hystérie par l' hystérie . Il rappelle queMcyer2 attribue la mort de trois
Nouvelle Iconographie, 1888, p. 117). 2. Mener, Iciite lorllliche Hystérie (Virchow's ¡lrelt, Bd IX). ÉTUDE DES SYNDROMES
l'alcoolisme. Il est admis en effet jusqu'ici qu'on ne meurt pas d' hystérie , et nous croyons que, chez ce malade, la plupar
pas à l'abri de la mort su- bite vulgaire. Du reste, ces exemples d' hystérie mortelle sont excep- tionnels, et, à cette ques
- tionnels, et, à cette question de savoir s'il n'est pas des cas d' hystérie grave qui puissent entraîner la mort, nous pens
CHAPITRE XI ASSOCIATION IIYSTERO-TABËTIQUE Les cas complexes d' hystérie associée au tabes ne sont pas rares dans la pra
paravant pendant des années tourmentées par tous les accidents de l' hystérie . » Ces succes- sions morbides ne sont pas rares
t, à la métamorphose ? » Ocs. LXVI (Charcot, Cas complexe, Tabès et hystérie . Leçons du mardi, p. 152). Esther M..., cinquan
niques du système nerveux, on peut voir survenir les symptômes de l' hystérie . Il pense que la perte des réflexes rotuliens, le
pupillaires, les vertiges, etc., ne peuvent ici être rapportés à l' hystérie . « Je n'ai jamais vu, dit-il, la perte du réfle
clérose des cordons postérieurs peut être un agent provocateur de l' hystérie . Lorsqu'au contraire l'hys- térie préexiste, il
rédité. « Il ne faut pas oublier, dit M. Charcot, que le tabes et l' hystérie appartiennent l'un et l'autre à la grande famil
e est l'influence réciproque, quant à l'évolution, du tabes et de l' hystérie associés ? 11 est fréquent de voir, en matière de
ISSi-1SSR, p. 133, 1. Georges Guinon, les Agents provocateurs de l' hystérie . Tli. Paris, 1889. 402 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE
possible dans les cas complexes d'association hystéro-organique, d' hystérie et de tabes, par exemple. Mais, dans ces cas, u
blement influencés par le développement de la névrose hystérique. L' hystérie est-elle la pre- mière en date ? Dans ce cas, o
nfluences réciproques, une fois que l'association est formée, que l' hystérie et l'organopathie spinale coexistent chez un mê
rises viscérales, gastriques, intestinales, rénales, offrent dans l' hystérie et dans le tabes de grandes ressemblances. Il fau
hées, mor- phologiques. Il est cependant un certain nombre de cas d' hystérie où la distribution de l'anesthésie rappelle, de
e celle du sens articulaire que l'on retrouve si fréquemment dans l' hystérie , est bien différente de celle que l'on peut ren
ier 1877). ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 405 l' hystérie . Les mouvements choréiformes, les spasmes sallato
iation est malaisée. La rétention d'urine est très fréquente dans l' hystérie (l'incontinence même peut s'y rencontrer). Mais
ution est un élément capital de diagnostic. Les manifestations de l' hystérie sont par nature fugaces et mobiles; on peut les v
tion est tenace, il ne s'ensuit pas qu'on soit autorisé à écarter l' hystérie . Cette démonstration estaujourd'hui faite, notamm
démonstration estaujourd'hui faite, notamment, en ce qui concerne l' hystérie virile, et nous aurons maintes fois l'oc- casio
, que l'atro- phie musculaire peut être une des manifestations de l' hystérie . M. Babinski ', son clief de clinique d'alors,
développement. » L'existence de ce nouveau trouble trophique dans l' hystérie était à peine signalée que notre maître M. Chau
sculare nette 1)(ii-alisi islerische. Naples, 1886. 3. Leroux, De l' hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire
t, loc. cil. 10. Chantcmosso et Widal, Troubles trophiques liés à l' hystérie ... (Soc. urétl.llop., 1890, 28 mars). , .i13
actions électro-musculaires et en nous plaçant au point de vue de l' hystérie simulatrice, il nous semble légitime d'admettre
é maternel, sa grand'mère avail de fréquentes attaques convulsives ( hystérie ou épilepsie); sa mère est hystérique : depuis lo
sont depuis venues toujours régulièrement. A seize ans, attaques d' hystérie convulsive, survenant il la suite d'une émotion,
tances mêmes. Une nuit, cette jeune femme est prise d'une attaque d' hystérie qui se termine par une con- tracture des deux m
n'a plus que deux frères, tous deux atteints de crises convulsives ( hystérie ou épilepsie) : l'un qui a vingt-quatre ans et
ité, dans le service de M. Luys. Là éclatent de franches attaques d' hystérie nécessitant la camisole de force. A la suite d'
ait, à cette époque, deux ou trois attaques (par semaine) de grande hystérie : elle était hypnotisable et sugges- tionnable.
ut encore là quelques accès de spasme laryngé. Outre ces attaques d' hystérie , la malade présente toujours, de temps à autre, d
ritable chorée de Sydenham. Enfin la malade présente des attaques d' hystérie classiques, et dernièrement elle a eu de vérita
hme représentant l'unité de résistance), ce qui est la règle dans l' hystérie , mais beaucoup plus du côlé droit, ce qui est e
un garant de l'origine. M... est une grande hystérique; c'est de l' hystérie et d'elle seule que relève l'atrophie musculair
c plus s'autoriser de l'existence de cette réaction pour éliminer l' hystérie et rapporter les lésions à une affection spinal
précédente est un cas extraordinairement complexe. La présence de l' hystérie ne nons semble pas ici niable ; elle est attestée
d'autre part, MM. Ballet et Crespin ont bien étudié les attaques d' hystérie à forme d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne n
me d'épilepsie partielle. Néanmoins, il ne nous paraît pas qu'ici l' hystérie puisse expliquer les convulsions, l'hémi- plégi
c'est là tout le bilan, pensons-nous, de la catégorie organique. L' hystérie revendique le reste : peut-être les accès de cris
se la sclérose céré- brale, c'est assez vraisemblable. Plus lard, l' hystérie est survenue et récemment a produit la fonte ra
due à la sclérose-, cérébrale. Il ne reste donc par exclusion que l' hystérie qui puisse en rendre compte. Mais ici surgit un
trophie du membre inférieur droit reconnaît-elle aussi pour cause l' hystérie ? Nous a\ouons franchement que la question nous
; elle a en outre déterminé la localisation des manifestations de l' hystérie sur le côté droit déjà hémiplégie. C'est en eff
thésic chez Cécile V... n'est pas isolée; si elle faisait défaut, l' hystérie n'en existerait pas moins. Il est du reste bien
es convulsives, les unes, nous l'avons déjà démontré, relèvent de l' hystérie , les autres de l'atrophie partielle du cerveau.
uxtaposition, d'une association d'atrophie cérébrale partielle et d' hystérie . La première, la plus ancienne en date, a déter
l'aide de béquilles. Le diagnostic porté à cette époque fut celui d' hystérie . Au mois de septembre z1889, il revient a l'Hôtel
DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES «SIMULATEURS». 435 ralysie infantile et l' hystérie , et, à ce point de vue, ce cas rappelle un cas
IC DE LA SIMULATION Démontrer que l'atrophie musculaire relève de l' hystérie , et de l'hys- térie seule, et indiquer brièveme
n'est pas seulement la dissociation de la sensibilité cutanée que l' hystérie peut reproduire; elle peut encore en simuler la
le, les anesthésies dans la glioma- tose se disposent, comme dans l' hystérie , par zones géométriquement délimitées occupant
ont encore d'autres traits communs. L'atro- phie musculaire dans l' hystérie peut se présenter avec des caractères analogues
ibrillaires, les réactions de dégénérescence peuvent exister dans l' hystérie ; ce ne sont donc ni le siège, ni le degré, ni les
t une séparation entre ces deux catégories d'amyotrophie. Enfin l' hystérie ne s'arrête pas, dans certains cas donnés, à la
s déviations de la colonne vertébrale ne sont pas très rares dans l' hystérie . Nous ne parlons pas des saillies de la colonne v
les troubles vaso-moteurs, la scoliose, etc., se retrouvent dans l' hystérie comme dans la gliomatose. La nature se charge,
vrai, comme le suppose M. Schuitze, que plusieurs cas rattachés à l' hystérie ont dû plus tard être considérés comme des exem
à la syringo- myélie, il en est un certain nombre qui relèvent de l' hystérie . L'hystérie peut dans certaines circonstances s
- myélie, il en est un certain nombre qui relèvent de l'hystérie. L' hystérie peut dans certaines circonstances simuler la sy
au point de vue qui nous occupe, en rendant la ressemblance avec l' hystérie plus frappante, ne peut qu'augmenter les diffic
r du champ visuel pour affirmer, sinon l'exis- tence exclusive de l' hystérie , du moins sa coexistence. Au cours de cette ann
mettre de dire s'il est d'origine gliomatcuse ou hystérique. Dans l' hystérie , le rétrécissement est plus régulièrement conce
qu'un élément hystérique surajouté. En effet, la coexis- tence de l' hystérie et de la syringomyélie n'est pas exceptionnelle,
re intéressé, les autres organes sensoriels, si souvent pris dans l' hystérie , semblent jusqu'ici respectés dans la gliozczcc
e la syringomyélie; 1° Les associations de la syringomyélie el de V hystérie . CHAPITRE XV SYNDROMES HYSTÉRIQUES SIMULATEUR
née. Cependant, un coup d'oeil rétrospectif permet de reconnaître l' hystérie dans un certain nombre de faits publiés jusqu'ici
s auteurs sous le nom de syringomyélie ne sont autres que des cas d' hystérie . » Cette méprise n'est pas douteuse. Pour ne pa
yélie. P...eyn, quarante-six ans. Cette observation est un type d' hystérie simulatrice. Si, aujourd'hui que le tableau est
pé- ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 449 ciaux, l' hystérie ne s'imposait pas en présence de cette paralysie
n minutieux et plusieurs fois répété, ont seuls permis d'affirmer l' hystérie , et l'événement est venu donner rai- son à M. l
ques et non aux hybrides. Dans tous les cas, il ne s'agit ici que d' hystérie simula- trice. Le fait suivant nous semble rent
eût montré l'existence de la dissociation syrin- gomyélique dans l' hystérie , on n'eût pas hésité à rattacher son cas à la g
d'hui douteux, tont en affirmant qu'on peut invoquer en faveur de l' hystérie un certain nombre des signes présentés par cett
cause appréciable, nous semblent plaider hautement la cause de l' hystérie . L'oedème de la main, accompagné, au dire de la
te, mais ce sont là des troubles trophiques dont l'existence dans l' hystérie n'est plus à démontrer. Et l'absence des attaqu
e professeur Charcot, qu'elle est loin d'être exceptionnelle dans l' hystérie ? L'hystérie existe donc, à notre avis, dans ce
arcot, qu'elle est loin d'être exceptionnelle dans l'hystérie ? L' hystérie existe donc, à notre avis, dans cette intéressant
pinion de l'auteur, de quoi peut-elle être symptomatique sinon de l' hystérie ? Son apparition brusque, apoplec- tiforme, est
Selon le point de vue auquel on se place, on peut voir là un cas d' hystérie , de maladie de Morvan ou de gliomatose médullai
l en soit, malgré toute la tentation que nous avons de voir là de l' hystérie compliquant la gliomatose médul- laire, nous ne
re opinion diffère complètement de la sienne que l'exis- tence de l' hystérie n'est pas davantage niable. L'hémianesthésie cuta
médical une magistrale leçon sur la maladie de Morvan associée à l' hystérie ? Or, les liens qui relient la maladie de Morva
identifier ces deux affections. Mais, du reste, l'association de l' hystérie et de la syringomyélie sera mise hors de doute pa
diagnostics les plus opposés. Uns. LXXIX (Oppenheim in eod. loc.). Hystérie et syringomyélie. Le double diagnostic de M. Op
rose hystérique, et réciproquement. CHAPITRE XVII DIAGNOSTIC DE L' HYSTÉRIE SIMULATRICE DE LA SYRINGOMYÉLIE Le syndrome hys
co- liose, etc... Nous ne connaissons pas, il est vrai, d'exemple d' hystérie simulatrice ayant présenté ce tableau au grand
, les autres sont inconstants, d'autres enfin se retrouvent clans l' hystérie . L'anesthésie syringomyé- lique procède par gra
mites supérieures sont souvent parfaitement nettes, etc. Or, dans l' hystérie on retrouve une distribution et des caractères id
ogènes, massage, suggestion, etc.. Le début brusque plaidera pour l' hystérie . Cependant Furstncr et Vacher Rossqlimo , Roth
effet notablement abais- sée). Or, l'cedénze n'est pas rare dans l' hystérie . 11 se présente sous deux types : (a) L'cedèn
hiv. ile Neurol., 1888). G. 1)aumschino, Troubles trophiques dans l' hystérie (Cas. des //lip" 1880). ÉTUDE DES SYNDROMES HYS
es, vési- cules, etc., courbure scoliotique, peuvent exister dans l' hystérie et dans la syringomyélie. Ces troubles trophiqu
système nerveux. 9 : Fabre, Nouveaux 1%ral/nr. de clinique lIIéd. L' hystérie viscérale. Paris, 1S83. 2. \1'cir-1111Lclrell,
art le tabes, la suspension a été appliquée dans la neurasthénie, l' hystérie , l'impuissance, la paralysie agilante, les névral
nétiseur, qui s'empresse autour d'une malade en proie à une crise d' hystérie convulsive, résultat ordinaire des pratiques me
missements, crises convulsives, prostration qui suit les attaques d' hystérie . Au fond trois femmes enlacées, dans la phase «
I représente Mesmer sous forme d'un baudet provo- quant une crise d' hystérie chez « une jeune beauté » bien portante avant s
ture deladamnation n'avaitpas peu contribuée jeter dans une crise d' hystérie convulsive. ' La planche XLVlf, fort rare, est
lie musculaire chez un-), ), 18, 79; champ v isucl chez un -, 77. Hystérie (Schémas de sensibilité dans l' ), 6, 7, 29, 30
3 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
nt sur le cadavre aucune trace matérielle appréciable. L'épilepsie, l' hystérie même la plus invétérée, la chorée et bien d'aut
ieux peut-être reléguer dans la catégorie de l'incognoscible. C'est l' hystérie qui est surtout visée par cette sorte de proscrip
t d'avoir, dans son beau livre, établi d'une façon irréfragable que l' hystérie reconnaît, elle aussi, au même titre que les autr
attaque, et je pourrais en dire autant de bien d'autres épisodes de l' hystérie , rien n'est laissé au hasard, que tout s'y passe,
t un autre grand fait dans l'histoire des névroses en général et de l' hystérie en particulier qui montre bien que ces affections
, d'exciter la pitié, etc., est chose vulgaire, en particulier dans l' hystérie . Voilà un élément que nous rencontrons à chaque p
y rattachent. Mais, aujourd'hui, Messieurs, alors que l'histoire de l' hystérie a été tant de fois remaniée, fouillée dans tous l
eumographe. II. Tracé du tambour à réaction. tant quand il s'agit d' hystérie ou d'affections connexes, n'est à tout prendre, d
raumatiques les plus banales sur le développement des phénomènes de l' hystérie locale, sur le développement de la contracture, e
l'on sait moins peut-être, c'est que certains phénomènes locaux de l' hystérie , et, en particulier, la contracture d'un membre,
le non à'ky siéra-épi-lepsie à crises mixtes les cas dans lesquels l' hystérie seule existe, mais dans lesquels aussi la maladie
une, la première, s les apparences de l'épilepsie (phase épileptoïde, hystérie épi-leptiforme). Nous avons proposé la dénominati
ystérie épi-leptiforme). Nous avons proposé la dénomination de grande hystérie pour caractériser celle forme et remplacer ce mot
prête à la confusion. Notre malade est à la fois atteinte de grande hystérie et d'épilepsie proprement dite, dont les attaques
. Autrefois, c'est-à-dire antérieurement aux cinq dernières années, l' hystérie l'emporlait sur l'épilepsie : ainsi, en 1874, on
ur l'épilepsie : ainsi, en 1874, on comptait en un mois 244 attaques ( hystérie ) et 62 accès (épi lepsie) ; mais depuis 1876, les
décidément la première place. Une des particularités des attaques d' hystérie chez B., à l'époque où elles se manifestaient en
il y a cinq jours, est survenu un accident qui nous a démontré que l' hystérie n'est pas encore éteinte, tant s'en faut, chez ce
ennent d'être racontées, chez un sujet connu pour avoir été affecté d' hystérie à un haut degré et pour avoir été déjà atteint de
e hystérique^ Nous devions donc rechercher si d autres stigmates de l' hystérie ne s'étaient pas manifestés chez elle à la suite
aloir ne manquent pas. Prenons d'abord nos arguments en dehors de l' hystérie elle-même : 1° J'ai déjà eu occasion de relever l
tion dans les muscles qu'il anime. Mais il est temps de revenir à l' hystérie . Eh bien ! chez beaucoup d'hystériques, du côté d
que accompagnement qui vous fera reconnaître jusqu'à l'évidence que l' hystérie est enjeu ; il serait bien étonnant que vous ne t
taines hystériques, il ne s'agit pas toujours chez elles de la grande hystérie , de l'hystérie à grandes attaques, mais de l'hyst
ues, il ne s'agit pas toujours chez elles de la grande hystérie, de l' hystérie à grandes attaques, mais de l'hystérie vulgaire.
es de la grande hystérie, de l'hystérie à grandes attaques, mais de l' hystérie vulgaire. Je vous présente deux jeunes hystériq
eloppement de la contracture chez les hystériques, et, en dehors de l' hystérie , chez les sujets prédisposés par certaines lésion
tation externe une petite malade dont l'histoire confine à celle de l' hystérie , si elle ne lui appartient pas tout à fait. Il s'
de ces cas singuliers de simulation dont est remplie l'histoire de l' hystérie . Il faut dire tout de suite que l'affection act
us avons appelé l'attention sur les faits de cet ordre, à propos de l' hystérie ; mais, en dehors de l'hystérie, autant qu'on en p
les faits de cet ordre, à propos de l'hystérie; mais, en dehors de l' hystérie , autant qu'on en peut juger d'après les observati
(Archives de Neurologie, T. V, p. 57). Ch. F. SIXIÈME LEÇON De l' hystérie chez les jeunes garçons. Sommaire. — Contractur
pie. — Zones hystérogènes. Phases de l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons : attaque, phénomènes per
Tous ces accidents, comme vous le verrez, doivent être rapportés à l' hystérie , et ceci me conduira à vous montrer brièvement co
je crois utile de vous rappeler quelques-uns des grands épisodes de l' hystérie considérée chez la femme, dans un de ses types cl
e ses types classiques : l'hystéro-épilepsie à crise mixtes ou grande hystérie , telle qu'elle se présente habituellement chez un
énomène qui occupe une place importante dans l'histoire clinique de l' hystérie et qui se rencontre assez communément dans l'hyst
e clinique de l'hystérie et qui se rencontre assez communément dans l' hystérie vulgaire, du moins à un certain degré. Permette
hystérique. Je ne discuterai pas la nature des troubles visuel de l' hystérie ; je vous rappellerai seulement, en passant, que
utre, vous faire remarquer que ces phénomènes ne sont pas propres à l' hystérie , excepté, peut-être, ce qui e^t cela- tif à la
omènes qui se rencontrent très vulgairement dans la grande forme de l' hystérie chez la femme, et sur lesquels je voulais, au pré
, la plus grande partie de ces caractères peuvent se retrouver dans l' hystérie de l'homme. — L'hystérie existe donc chez l'homme
e ces caractères peuvent se retrouver dans l'hystérie de l'homme. — L' hystérie existe donc chez l'homme? A cette question de s
'hystérie existe donc chez l'homme? A cette question de savoir si l' hystérie atteint aussi les individus du sexe masculin, nou
, un élève de M. Ollivier, M. Klein1, n'a pas réuni moins de 77 cas d' hystérie chez l'homme. La proportion serait, du reste, d'a
xagéré. Quoi qu'il en soit, mon expérience me permet d'affirmer que l' hystérie peut se présenter assez souvent chez l'homme, et
lui, il est exalté, écrit des vers, aime la musi- 1. Klein. — De l' hystérie chez l'h omme, thèse de Paris, 1880. que, lit d
établir le diagnostic ; ce n'est pas de l'épilepsie, c'est bien de l' hystérie . Un traitement tonique et remploi méthodique de l
ans l'hygiène intellectuelle suffirent à amener la guérison. Mais l' hystérie grave ne se rencontre pas seulement chez l'homme
. Il semblerait, d'après^ M. Klein, que la plus grande fréquence de l' hystérie , chez l'homme, s'observe vers 24 ans ; je crois q
dans l'autre sexe, plus tôt encore, de 10 à 12 ans, par exemple. L' hystérie peut se présenter, d'ailleurs, chez l'enfant, mâl
très distingué, mais qui fait montre de scepticisme à l'endroit de l' hystérie en général, et de l'hystérie chez l'enfant en par
t montre de scepticisme à l'endroit de l'hystérie en général, et de l' hystérie chez l'enfant en particulier. En présence des att
veux se fussent reproduits. Parmi toutes les observations connues d' hystérie chez les jeunes garçons, celle de MM. Bourneville
d'Ollier. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, 1881, p. ¡10 avec lequel furent é
ntué des phénomènes ; c'est un exemple d'hystéro-épilepsie, de grande hystérie dans toute la rigueur du terme. Il s'agit d'un en
énomènes très accentués ; c'est un cas de petite plutôt que de grande hystérie ; pourtant je crois qu'il n'est pas moins intéress
revient tous les jours à la même heure, nous pouvons déjà présumer Y hystérie , qu'un examen plus sérieux rend évidente. Dans le
qui établissent que tous appartiennent à la même famille. C'est de l' hystérie qu'il s'agit, et rien que de l'hystérie; l'idée d
à la même famille. C'est de l'hystérie qu'il s'agit, et rien que de l' hystérie ; l'idée d'une lésion organique intra-crânienne qu
. Pas de doule sur le résultat, parce que, chez les jeunes garçons, l' hystérie , suivant mes observations, du moins, ne se montre
e rappro-\ chés. L'un et l'autre offrent, en effet, un exemple de l' hystérie anormale par l'absence de crises conyulsives. Ils
qui, incontestablement, devra exciter voire intérêt. En résumé : 1° Hystérie larvée et privée de la marque, en quelque sorte c
statée, soit dans le passé, soit dans le présent, des phénomènes de l' hystérie con-vulsive. Notre malade paraît ignorer absolume
les nerveux qui constituent autant de stigmates caractéristiques de l' hystérie . Il existe en effet une ovarie gauche, une hémian
— Recherche de la simulation de la catalepsie et de la contracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte. —
rnière leçon. Vous n'ignorez pas, Messieurs, que lorsqu'il s'agit d' hystérie , le clinicien doit toujours avoir présente à l'es
rattachent. Mais, aujourd'hui, Messieurs, alors que l'histoire de l' hystérie a été tant de fois remaniée, fouillée dans tous l
. On ne saurait évidemment, dans les études cliniques relatives à l' hystérie , s'entourer de trop de garanties. Mais veuillez r
n ne serait porté à le supposer au pre- mier abord. Ce sujet de l' hystérie mâle est un de ceux auxquels les médecins se sont
on de M. Ollivier, a pu recueillir dans les auteurs 77 observations d' hystérie mâle, auxquelles il a ajouté 3 faits personnels,
ble de 80; d'où il faut conclure, tout au moins, que, chez l'homme, l' hystérie n'est pas vraiment une affection très rare. Un
le même travail ; c'est que lorsqu'elle se développe chez l'homme, l' hystérie est le plus souvent héréditaire ; cette circonsta
sa déformation, mais conservant encore les stigmates permanents de l' hystérie décrits plus haut.. Ch. f. ee qui revient à d
l'hystérie décrits plus haut.. Ch. f. ee qui revient à dire que l' hystérie chez la mère engendre souvent l'hystérie chez le
ee qui revient à dire que l'hystérie chez la mère engendre souvent l' hystérie chez le fils. Une autre notion qui résulte de l
e, après 14 ans, de 20 à 30 ans, quelquefois plus tard. Sans doute, l' hystérie du mâle peut se rencontrer chez l'enfant avant la
se rencontrer chez l'enfant avant la puberté, de 5 à 14 ans ; mais l' hystérie de l'adulte est plus commune. Et, autre point à r
i répondent au tableau de l'hystéro-épilepsie, hysteria major, grande hystérie . L'an passé, je vous citais plusieurs observation
éjà montré un exemple. 2° L'ovarie, un des symptômes fréquents de l' hystérie féminine manque chez l'homme; mais chez lui, dans
uader que, malgré l'absence de ces grands caractères, c'est bien de l' hystérie qu'il s'agit, et rien que de l'hystérie. Notre
s caractères, c'est bien de l'hystérie qu'il s'agit, et rien que de l' hystérie . Notre malade est un homme de 3i ans, forgeron,
reste à établir que, de même que chez notre jeune fille, c'est bien l' hystérie qui est en jeu. J'ai dit déjà qu'il s'agit d'une
is à notre observation appartiennent, comme nous l'avons annoncé, à l' hystérie , rien qu'à l'hystérie ; ils présentent une analog
appartiennent, comme nous l'avons annoncé, à l'hystérie, rien qu'à l' hystérie ; ils présentent une analogie vraiment frappante
s (ch. saltatoire, malléatoire). La maladie est généralement liée à l' hystérie . — Pronostic variable suivant les cas. Messieur
tentionnels. La maladie en question semble le plus souvent liée à l' hystérie , ou d'origine hystérique, bien qu'elle puisse sub
elle-même, en dehors de tout phénomène caractérisant habituellement l' hystérie . Yous allez d'ailleurs voir vous-mêmes comment la
. Actuellement, il ne reste chez notre malade aucun signe permanent d' hystérie , et on ne trouve rien d'autre chez elle qu'une gr
deux premiers cas, mais ici toujours entremêlés avec des phénomènes d' hystérie convulsive vulgaire. En un mot, la chorée rhythmé
grin causé par la mort d'un parent, elle eut de véritables attaques d' hystérie dans lesquelles se manifestaient déjà les mouveme
lléatoires, de crises assez vulgaires, appartenant plutôt à la petite hystérie qu'à la grande, les attaques se produisant rareme
ormes rhythmés qui les accompagnent. SEIZIÈME LEGÓN Spiritisme et hystérie 1. Sommaire. — Influence des excitations intell
— Influence des excitations intellectuelles sur le développement de l' hystérie : croyance au surnaturel, au merveilleux ; pratiq
au merveilleux ; pratique du spiritisme. Relation d'une épidémie d' hystérie ayant sévi sur les trois enfants d'une famille ha
vorise singulièrement, chez les sujets prédisposés, l'apparition de l' hystérie . Parmi tous ces traumatismes des fonctions cérébr
ans la maison qu'elle habitait ; et, tout récemment, cette épidémie d' hystérie qui sévit sur six enfants de la même famille bret
e développement que pour les documents qu'elle apporte à l'étude de l' hystérie chez les enfants et particulièrement chez les jeu
, et qui, tous les ans, avait à deux ou trois reprises des attaques d' hystérie nettement caractérisées. Notons encore que son pè
ntion particulière. Ce ne sont pas, en effet, des symptômes fugaces d' hystérie que présentent ces enfants : Julie est malade dep
térie1. Sommaire. — Détails rétrospectifs sur une petite épidémie d' hystérie . Le traitement doit comprendre deux points. — A.
ent psychique ou moral : 1° Eloignement du lieu où s'est développée l' hystérie ; 2° Séparation respective des personnes atteintes
tion de vous retracer à nouveau l'histoire de cette petite épidémie d' hystérie , développée sous l'influence des pratiques du spi
ns l'épilepsie, restait complètement inefficace, non seulement dans l' hystérie , mais encore dans cette forme d'hystérie qui semb
ficace, non seulement dans l'hystérie, mais encore dans cette forme d' hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'épilepsie,
'hystérie qui semble se rapprocher le plus de l'épilepsie, à savoir l' hystérie à forme épileptique ou hystéro-épilepsie. Je ne p
ir sous les yeux, et, à différentes reprises, des manifestations de l' hystérie convulsive. Mais, nous n'avions pas le choix, et,
portance capitale que j'attache à l'isolement dans le traitement de l' hystérie , où, sans contestation possible, l'élément psychi
eure, font le reste. Pour ma part, j'ai l'intime con- viction que l' hystérie naissante, surtout chez les sujets jeunes, et par
cette influence si remarquable de l'isolement dans le traitement de l' hystérie chez les jeunes sujets, y compris les jeunes fill
aucun désordre gastrique. C'était là un de ces cas qui confinent à l' hystérie , mais qui ne lui appartiennent pas toujours en pr
aladies ner veuses non qualifiées comme aliénation mentale, et de l' hystérie ou encore de la neurasthénie en particulier. Ce
ent légitimement, tout au moins en ce qui concerne le traitement de l' hystérie et des affections connexes. C'est, en somme, l'is
ne, dans le traitement de la neurasthénie et de certaines formes de l' hystérie 1. R. Burkart. — Zur Behaudlung schwcrer Formen
spéciaux qui, s'il est vrai qu'ils n'appartiennent pas en propre à l' hystérie , s'y rencontrent si fréquemment, qu'on peut leur
, son état général est devenu plus satisfaisant. Pour ce qui est de l' hystérie ,rappelez-vous qu'elle avait en moyenne tous les j
202; — Jiourneville, Recherches clin, et tliérap. sur l'épilepsie, l' hystérie , etc. Compte rendu du service des enfants de Bicè
quelquefois parvenir à étouffer dans l'œuf, surtout chez les mâles, l' hystérie naissante, l'hystérie infantile. Je ne parle, en
étouffer dans l'œuf, surtout chez les mâles, l'hystérie naissante, l' hystérie infantile. Je ne parle, en ce moment, que de cell
arents à la Salpêtrière. DIX-HUITIÈME LEÇON A propos de six cas d' hystérie chez l'homme 1. Sommaire. — L'hystérie chez le
EÇON A propos de six cas d'hystérie chez l'homme 1. Sommaire. — L' hystérie chez le mâle n'est pas aussi rare qu'on le pense.
s chez la femme. Messieurs, Nous nous occuperons aujourd'hui de l' hystérie chez l'homme, et pour mieux circonscrire le sujet
ez l'homme, et pour mieux circonscrire le sujet, nous considérerons l' hystérie mâle plus particulièrement chez les sujets adoles
tuée, celle qui répond à ce que Ton appelle, chez la femme, la grande hystérie ou hysléro-épilepsie à crises mixtes. Si je me dé
mparaison que nous ferons, chemin faisant, des symptômes de la grande hystérie chez la femme et chez l'homme, partout nous auron
ont d'ordre tout à fait secondaire. D'ailleurs, cette question de l' hystérie chez l'homme est, en quelque sorte, à l'ordre du
ulté de Paris, il a été soutenu cinq dis-sertations inaugurales sur l' hystérie chez l'homme, et M. Klein, l'auteur d'une de ces
ous ces travaux tendent à prouver, entre autres choses, que les cas d' hystérie mâle peuvent se rencontrer assez fréquemment dans
ontrer assez fréquemment dans la pratique vulgaire. Tout récemment, l' hystérie mâle a été étudiée, en Amérique, par MM. Putnam e
d mechanical lision, and nervous shock, London, 188ii. vent c'est l' hystérie qui est enjeu. Ces états nerveux, graves et tenac
lusieurs mois ou même de plusieurs années, ne sont, souvent, que de l' hystérie , rien que de l'hystérie. L'hystérie mâle est donc
plusieurs années, ne sont, souvent, que de l'hystérie, rien que de l' hystérie . L'hystérie mâle est donc digne d'être étudiée et
nnées, ne sont, souvent, que de l'hystérie, rien que de l'hystérie. L' hystérie mâle est donc digne d'être étudiée et connue du m
e aujourd'hui, en raison de préjugés profondément enracinés, au mot d' hystérie . La connaissance approfondie non seulement de la
y a quatre ou cinq ans M. Klein, dans sa thèse, avait réuni 80 cas d' hystérie chez l'homme ; voici qu'aujourd'hui M. Batault qu
er 218 cas du même genre dont 9 appartiennent à notre clinique l. L' hystérie mâle n'est donc pas, tant s'en faut, très rare. E
beaucoup à mettre obstacle à la diffusion des maladies relatives à l' hystérie chez l'homme : c'est l'idée relativement fausse q
t être le trait carac- ' 1, E. Batault, Contribution à l'étude de l' hystérie chez l'homme. léristique de l'hystérie, c'est l
Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'homme. léristique de l' hystérie , c'est l'instabilité, la mobilité des symptômes.
de l'hystérie, c'est l'instabilité, la mobilité des symptômes. Dans l' hystérie , dit-on alors, en se fondant naturellement sur de
die hystérique, même chez la femme. Oui, même chez elle, il y a des hystéries aux phénomènes durables, permanents, extrêmement
ité ne se concilie pas avec le schéma, qu'ils ont dans l'esprit, de l' hystérie , ils penseront qu'il s'agit là d'une maladie spéc
es auteurs allemands ne veulent pas reconnaître qu'il s'agit ici de l' hystérie . Pour eux, c'est quelque chose de particulier, je
oit pas ces changements capricieux qui sont caractéristiques (?) de l' hystérie . Elle dure telle quelle des mois et des années; 2
ces malades, n'ont pas les allures changeantes, mobiles de ceux de l' hystérie . Les malades sont plutôt déprimés, mélancoliques
endance mélancolique s'observent le plus communément dans les cas d' hystérie les plus accusés, les moins contestables. On n'ob
nent plus habituellement, bien que non nécessairement, toutefois, à l' hystérie de la femme. Mais il est temps, Messieurs, d'ar
uelques détails, un certain nombre de cas parfaitement caractérisés d' hystérie mâle. Chemin faisant, nous relèverons les analogi
en manière de résumé, quelques considérations générales sur la grande hystérie considérée dans le sexe masculin. Mais avant d'
les, jusqu'à quel point, chez la femme, les symptômes permanents de l' hystérie , les stigmates hystériques, comme nous avons l'ha
us en conviendrez tous, d'un cas d'hystéro-épilepsie à crises mixtes ( hystérie épileptiforme), aussi nettement caractérisé que p
ièrement l'hérédité nerveuse si fortement accentuée dans sa famille : hystérie chez le père, très vraisemblablement pour le moin
sie à crises distinctes, à savoir : épilepsie vraie d'un côté, grande hystérie de l'autre, se montrant sous forme d'attaques sép
est rien. Toutes les attaques, chez G., ont le caractère de la grande hystérie , et c'est pendant le cours de ces attaques-là que
lus haut, la céphalalgie de ce genre n'appartient pas au tableau de l' hystérie ; elle se rencontre au contraire, pour ainsi dire
arfaitement classi que. Mais nous n'en avons pas encore fini avec l' hystérie de l'homme. Nous la retrouverons dans la prochain
service de la clinique. DIX-NEUVIÈME LEÇON A propos de six cas d' hystérie chez l'homme (Suite. l) Sommaire. — Formes anor
tigmates hystériques. L'attaque convulsive peut faire défaut dans l' hystérie de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie
14 ans à la campagne. Sa mère aurait eu, en 1872, quelques attaques d' hystérie . Son grand-père paternel était alcoolique et d'un
t en poussant dos cris. Enfin, au bout de quinze jours les attaques d' hystérie commencèrent. Elles eurent lieu d'abord tous les
nce et, en quelque sorte, l'immobilité des éléments constitutifs de l' hystérie , rappelant ce qui s'observe souvent chez l'homme.
ier, est alcoolique. Sa mère, morte tuberculeuse, a eu des attaques d' hystérie . Enfin, l'on trouve dans sa famille une grand'mèr
t l'âge de 82 ans, et deux tantes maternelles toutes deux atteintes d' hystérie . "Voilà des antécédents d'une importance capitale
même que dans les cas dont il a été question précédemment, la grande hystérie est survenue chez cet homme, à la suite de l'affa
autre anomalie, moins rare celle-là, moins inattendue, c'est, dans l' hystérie de la femme, l'absence des crises convul-sives. V
s, etc., etc.; or, les attaques peuvent également faire défaut dans l' hystérie de l'homme. Le cas que je vais vous montrer maint
, datait de 10 mois et était 1. Ballet et Crespin, — Des attaques d' hystérie à forme d'épilepsie par-tielletArch. de Neurologi
développement et la persistance des divers symptômes permanents de l' hystérie . C'est là du moins ce qui ressortira, je pense, t
ypothèse quelque peu valable, à interpréter le cas comme un exemple d' hystérie . D'ailleurs, les caractères cliniques de la monop
nature hystérique d'une paralysie. En conséquence, le diagnostic « hystérie » était franche- ment, résolument adopté. Sans
us, que, chez cet homme, comme chez ceux qui l'ont précédé, la grande hystérie existe, douée de ses attributs caractéristiques.
hasarda placés sous ma main, j'ai voulu surtout vous convaincre que l' hystérie , même l'hystérie grave, n'est pas, du moins chez
us ma main, j'ai voulu surtout vous convaincre que l'hystérie, même l' hystérie grave, n'est pas, du moins chez nous, en France,
ire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hysté-rogènes, attaques d' hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bra
cas, la paralysie motrice, l'anesthésie et le reste se rapportent à l' hystérie : telle sera notre conclusion conforme d'ailleurs
aucun acte de réflexe. Ce phénomène est, vous le savez, commun dans l' hystérie ; plusieurs observateurs, et en particulier M. Ch
cquérir une importance majeure et coniribuer puissamment à dévoiler l' hystérie , dans un cas de diagnostic difficile. Il s'agit d
lopie ou triplopie) n'appartient pas, bien entendu, exclusivement à l' hystérie ; mais elle se présente, en général, dans cette a
voyez, tous les symptômes que nous observons chez Porcz... révèlent l' hystérie et nous ne rencontrons rien, chez lui, en définit
nous ne rencontrons rien, chez lui, en définitive, qui ne relève de l' hystérie . Voilà donc notre diagnostic fixé. A la vérité,
le concession que je puisse faire, qu'il ne s'agit pas ici d'un cas d' hystérie absolument complet, régulier, 1. Comparez fig.
orticale quelle que soit la lésion qui les produit, seulement, dans l' hystérie ce caractère sera, en général, beaucoup plus acce
avez, n'est pas, tant s'en faut, nécessaire à la caractéristique de l' hystérie ; elle fait défaut, suivant Briquet, dans plus d'
ue dans l'observation qui vient d'être rappelée, tout se rapporte à l' hystérie . Or, entre ce cas et celui de Porcz... la présenc
e, en quelque sorte, la lacune qui existe entre celle-ci et les cas d' hystérie les plus vulgaires; elle marque, si l'on peut ain
moyens empiriques que nous possédons, relativement au traitement de l' hystérie : agents propres à relever l'état des forces, déc
e époque, dans l'impossibilité d'exercer sa profession, — relève de l' hystérie , et que, par conséquent, il s'agit là d'une malad
e, la fin de la démonstration. C'est qu'en effet ceux-là savent que l' hystérie peut exister, chez l'homme adulte même vigoureux,
ur Lannelongue). Garçon de 11 ans; la mère a de nombreuses attaques d' hystérie . Le membre du côté malade est contracture non-seu
ans, crises nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des accès d' hystérie à forme d'épilepsie partielle. A 6 ans, accidents
ntensité de la cause traumalique. Mais on les retrouve en dehors de l' hystérie , à peu près nécessairement, chez un individu quel
erte plus ou moins complète du sens musculaire, lorsqu'il s'agit de l' hystérie . Or, ces caractères dislinctifs de la contracture
us porte tout naturellement à penser que, chez lui, c'est bien dans l' hystérie qu'il faut chercher le point de départ de la défo
auche n'est pas autre chose qu'une des nombreuses manifestations de l' hystérie . Pendant le cours de l'exposé qui précède, vous
luence des lésions traumatiques sur le développement des phénomènes d' hystérie locale, in Leçons sur les Maladies du système ner
arlé, et vous le trouverez signalé dans tous les écrits consacrés à l' hystérie . Cependant, je ne crois pas que la caractéristiqu
r, c'est bien rarement que font défaut ces phénomènes permanents de l' hystérie que, pour plus de brièveté, nous appelons stigmat
s sont les seuls symptômes que nous puissions invoquer en faveur de l' hystérie , car notre malade est indemne de tous stigmates.
ion déjà assez compliquée autrement. Les phénomènes qui relèvent de l' hystérie chez l'homme sont, par eux-mêmes, souvent fort sé
tériques *. (Voir la Leçon XXV). Parmi les divers caractères de l' hystérie , de cette névrose si fertile en manifestations de
eur d'une loi et un médecin paraît être fondé à rejeter du cadre de l' hystérie tout syndrome auquel se rattache quelque trouble
és une amyotrophie qui ne peut être attribuée à une autre cause que l' hystérie . Tous ces malades ont été présentés par M. Charco
périphériques sont normaux ; l'atrophie musculaire est, comme dans l' hystérie , une atrophie simple. M. Charcot a encore rappr
re peut relever directement, contrairement à l'opinion régnante, de l' hystérie , et qu'il s'agit alors d'une amyotrophie simple l
ue (Voir la Leçon XXVI.) Parmi les manifestations si variées de l' hystérie , il en est une qui n'a peut-être pas, jusqu'ici,
égorie. Eu égard au nombre de malades, hommes et femmes, atteints d' hystérie , on peut dire que le mutisme est un phénomène rel
des diverses manifestations qui caractérisaient, chez ces malades, l' hystérie . J'ai cependant fait exception pour le premier ca
es. Cette circonstance, à notre avis, caractérisque, fit soupçonner l' hystérie . M. Charcot fit déshabiller le malade et reconnut
vec spasmes respiratoires, mais elle n'a pas eu de grandes attaques d' hystérie . Le bégaiement ni le mutisme ne s'étaient jamais
t de l'admission de la malade, n'était pas disposé à voir là un cas d' hystérie , en raison des phénomènes de déviation de la bouc
e dans la thèse du Dr Peugniez, élève du service de M. Charcot. (De l' hystérie chez les enfants, thèse de Paris, 1885.) Obs. V
ubjectifs et objectifs nous firent penser à un mutisme greffé sur une hystérie à forme non conyulsive ou plutôt à une hystérie d
utisme greffé sur une hystérie à forme non conyulsive ou plutôt à une hystérie dont une des manifestations avait envahi la régio
Le père lui-même est très nerveux. Jusqu'à ces dernières années, l' hystérie ne s'était manifestée que par des attaques incomp
ardoise. Wilks, consulté pour celte malade, crut reconnaître un cas d' hystérie et promit la guérison si la malade voulait venir
se suspendre tout à fait. C'est souvent après une attaque franche d' hystérie qu'au réveil, au retour du sentiment, on constate
les considèrent même comme les plus fréquentes dans la catégorie de l' hystérie . Ce sont elles qui fournissent, dans certains cas
te à admettre que le laryngé supérieur peut être seul atteint par l' hystérie et que ce nerf jouit du triste privilège d'être f
dans toute sa rigueur, l'opinion de M. Legoux, qui pense que, dans l' hystérie , l'aphasie n'est pas un élément de diagnostic ; c
ostic ; ce sont, au contraire, dit-il, les signes bien constatés de l' hystérie qui permettront de donner à ce symptôme sa véri
s ou qu'on relève, dans les antécédents, d'autres manifestations de l' hystérie . Souvent le malade présente de l'anesthésie, des
t. i, p. 52, 54, 60, 75, etc.; t. n et passim; dans Reche?xhes sur l' hystérie , etc., par Bourneville, p. 116 et dans les volume
......................................... (il SIXIÈME LEÇON. de l' hystérie chez les jeunes garçons. Sommaire. — Contractur
— Zones hystérogènes. — Phases de l'attaque d'hystéro-épilepsie. — Hystérie chez les jeunes garçons : attaque, phénomènes per
ux cas de contracture hystérique d'origine traumatique. Sommaire. — Hystérie larvée, sans crises convulsivos. — Contracture sp
— Recherche de la simulation de la catalepsie et de la contracture. — Hystérie chez l'homme, fréquence, hérédité, âge adulte.— F
s (ch. saltatoire, malléatoire). La maladie est généralement liée à l' hystérie . — Pronostic variable suivant les cas............
e suivant les cas.............. 215 SEIZIÈME LEÇON. spiritisme et hystérie . Sommaire. — Influence des excitations intellec
— Influence des excitations intellectuelles sur le développement de l' hystérie : croyance au surnaturel, au merveilleux; pratiqu
, au merveilleux; pratique du spiritisme. Relation d'ime épidémie d' hystérie ayant sévi sur les trois enfants d'une famille ha
.. 229 DIX-SEPTIÈME LEÇON. de l'isolement dans le traitement de l' hystérie . Sommaire. — Détails rétrospectifs sur une peti
stérie. Sommaire. — Détails rétrospectifs sur une petite épidémie d' hystérie . Le traitement doit comprendre deux points. — A.
ent psychique ou moral : 1° Eloignement du lieu où s'est développée l' hystérie ; 2° Séparation respective des personnes atteinte
gleterre........... 238 DIX-HUITIÈME LEÇON. a propos de six cas d' hystérie chez l'homme. Sommaire. — L'hystérie chez le mâ
LEÇON. a propos de six cas d'hystérie chez l'homme. Sommaire. — L' hystérie chez le mâle n'est pas aussi rare qu'on le pense.
................... 253 DIX-NEUVIÈME LEÇON. a propos de six cas d' hystérie chez [/'homme (Suite). Sommaire. — Formes anorm
tigmates hystériques. L'attaque convulsive peut faire défaut dans l' hystérie de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie
aire, anesthésie de l'arrière-gorge, plaques hys-térogènes, plaques d' hystérie suivies d'une amélioration de la paralysie du bra
natomie (Intervention de 1' — en pathologie), 9 ; — pathologique de l' hystérie , 268. Anatomo-clinique (Méthode), 11. Ankylos
51, 61; — à la suite d'une contusion sciatique, 128; — relevant de l' hystérie , 412. B Blépharospasme chez une hystérique, 4
ériques, 370-380. Bromure (Insuffisance du) dans le traitement de l' hystérie , 240. C Catalepsie, 18; — caractères de la
stéro-trauniatiques, 305 ; — dans l'atrophie musculaire relevant de l' hystérie , 407. Ei.ectrisation statique (L') dans le trai
hystérie, 407. Ei.ectrisation statique (L') dans le traitement de l' hystérie , 240. Eloigne ment (L') des malades du lieu où
e, 240. Eloigne ment (L') des malades du lieu où s'est développée l' hystérie , 240. Elongation du nerf médian dans un cas d
médian dans un cas de contracture traumati- que, 1^2. Epidémie d' hystérie , 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'homm
traumati- que, 1^2. Epidémie d'hystérie, 229. Epilepsie partielle ( Hystérie chez l'homme avec attaque à forme d'), 283.
. f Face, Tic non douloureux de la —, 47; — spasme de la — dans l' hystérie , 444. G Griffe cubitale, 102; — interosseuse,
la cécité verbale, 159. Hydrothérapie (L') dans le traitement de l' hystérie , 240. Hyperexcitabilité neuro - musculaire, 103
hystérique, 437. — Diverses phases et caractères de 1' —, 336, 337. Hystérie , 14, 38, 47; — chez les jeunes garçons, 80, 232;
ives, 97; — influence des émotions morales dans le développement de l' hystérie , 226; — son traitement, 234; — chez l'homme, 114,
umatisme, 252; — Grande attaque hystéro-épileptique, 261, 266, 273; — Hystérie et neurasthénie, 268; — Absence de lésions, 268
e, la monoplégie, 289; — chez Vado-lescent,21. — Diilérences d'avec l' hystérie chez l'homme fait, 281. Hystérique (Contracture
iques (Paralysies), 299, 399. I Imitation, 17. Isolement dans l' hystérie , 50, 95, 240. — Cette méthode a été adoptée et no
exion, leur pathogénie, 65; — son influence sur le développement de l' hystérie , 228. Rigidité spasmodique latente chez les hys
Paralysies par suggestion dans le —, 341. Spasme de la face dans l' hystérie simulant une paralysie faciale, 414. Spécialisa
nce et celle des pratiques superstitieuses dans le développement de l' hystérie , 229. Steppage dans l'atrophie musculaire progr
eur influence sur le développement de troubles nerveux en dehors de l' hystérie , 399; — et hystérie, 250, 289, 301, 402, 44?. T
développement de troubles nerveux en dehors de l'hystérie, 399; — et hystérie , 250, 289, 301, 402, 44?. Tremblements, 209; —
4 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
YSTERIE ÉTUDES CLINIQUES sur L'HYSTÉRO-ÉPILEPSIE 0 u GRANDE HYSTÉRIE par LE DR PAUL RI CHER ancien interne, laur
chent toujours logiquement au type fondamental. Vous avez regardé l' hystérie de trop près pour méconnaître que l'intervention
avez très justement fait ressortir que ces phénomènes vulgaires de l' hystérie , aujourd'hui connus jusque dans leurs moindres dé
ent remis à l'étude, faits qui confinent de si près à l'histoire de l' hystérie , vous avez, ce me semble, bien caractérisé la mét
idents convulsifs sont de deux sortes : on observe tantôt des accès d' hystérie , tantôt des accès d'épilepsie avec les carac-tère
ons, dans un môme accès, revêtent successivement les ap-parences de l' hystérie et de l'épilepsie; il semble y avoir mé-lange des
s), Sandras, Briquet, Charcot, considèrent comme une forme grave de l' hystérie , dans laquelle la convulsion à forme épileptique
s rien changer à la nature de la maladie primitive (Charcot). C'est l' hystérie épileptiforme de Louyer-Villermay, de Tissot, — Y
). C'est l'hystérie épileptiforme de Louyer-Villermay, de Tissot, — Y hystérie à at-taques mixtes de Briquet,— Yhysteria major o
Y hystérie à at-taques mixtes de Briquet,— Yhysteria major ou grande hystérie , comme la désigne quelquefois M. Charcot. Parmi
ogrès réalisés dans ces derniers temps, la névrose par ex-cellence, l' hystérie , n'est pas restée en dernière ligne. Dans ses L
cot, ses laborieuses et patientes recherches sur l'épilepsie et sur l' hystérie . Ses observations ont été consignées dans diverse
toute l'année. Il est inutile d'ajouter que le plus souvent la grande hystérie fournissait la matière de l'expérimentation. Ve
avec la participation de M. Charcot, à l'étude de l'hypnotisme dans l' hystérie . Ainsi s'ou-vritdevant nous un vaste champ presqu
nseetdujournal laNature,n"à\i 18 janvier 1876,parleDrCartaz. grande hystérie , tentative certainement bien imparfaite et bien i
e hystérique et la description que donnent les auteurs de l'attaque d' hystérie vulgaire termine cette première partie et montre
intimes qui existent entre cette forme d'hystéro-épilepsie ou grande hystérie et l'hystérie vulgaire ou petite hystérie. La d
xistent entre cette forme d'hystéro-épilepsie ou grande hystérie et l' hystérie vulgaire ou petite hystérie. La deuxième partie
hystéro-épilepsie ou grande hystérie et l'hystérie vulgaire ou petite hystérie . La deuxième partie traite des principales vari
comprend l'étude de quelques-uns des symptômes permanents delà grande hystérie , que .les nouvelles expériences sur l'action des
uite sur le diagnostic différentiel de l'hystéro-épi-lepsie ou grande hystérie et de l'épilepsie véritable, point capital au poi
. Il en ressortira cet enseignement que l'hystéro-épilepsie ou grande hystérie , malgré ses dehors parfois si effrayants, n'est p
au fond de chacun d'eux l'existence d'un même état morbide (la grande hystérie ) susceptible de revêtir, suivant les diverses con
. Ce fragment de médecine rétrospective, qui pourrait s'intituler « l' hystérie dans l'histoire )), démontre également que lagran
uler « l'hystérie dans l'histoire )), démontre également que lagrande hystérie n'est point le produit de notre époque et que, si
MIER PRODROMES L'attaque d'hystéro-épilepsie, ou grande attaque d' hystérie , ne surprend pas ; elle est toujours précédée que
n'a plus d'attaques depuis huit mois. Tous les autres symptômes de l' hystérie , hémia-nesthésie, amyosthénie, ovarie, etc., ont
ctives. Bien d'étonnant que l'un des symptômes les plus com-muns de l' hystérie soit précisément le trouble que produisent or-din
rencontrer pendant l'attaque, comme dans l'intervalle des attaques d' hystérie (Briquet), s'observe aussi parmi les prodromes de
es parmi les signes de l'attaque elle-même. 1. Briquet, Traité de l' hystérie . Richer. Hystéro-épilepsie. 2° troubles des s
ngt-trois ans, que j'avais soignée antérieurement pour des attaques d' hystérie et de catalepsie, fut prise d'une récidive à la s
sa sensibilité. Cette considération ferait rentrer dans le cadre de l' hystérie ovarienne des cas qui s'en séparent jusqu'à prése
les ramifications nerveuses sous-cutanées. Déplus, dans la variété d' hystérie dont il s'agit ici, l'ovarie ne manque presque ja
e. — « Dans la majorité des cas, dit Briquet, au sujet des attaques d' hystérie vulgaire, la perte de con-naissance succède très
. » Ceci est absolument vrai 1. Dans son intéressante observation d' hystérie avec catalepsie et somnambu-lisme, publiée au num
on présenta à la malade une. lettre : aussitôt vio-lentes attaques d' hystérie avec catalepsie ; trois fois on lui présente la l
Fig 14. Phase tonique. Saillie de la langue. sion épileptoïde de l' hystérie est un phénomène important à signa-ler, car il ne
re saisir la relation qui existe entre les causes occasionnelles de l' hystérie , et la nature du dé-lire des attaques, je rappell
ouvient de tout cela avec une grande précision, à chaque attaque où l' hystérie a une part elle répète automatiquement quelques p
et l'on peut se de-mander si l'on a bien affaire ici à une attaque d' hystérie , ou si l'on n'est pas l'objet d'une mystification
Après avoir fait ressortir l'influence des causes occasionnelles de l' hystérie sur la nature des hallucinations qui composent la
urs. Pour Sydenham, l'urine claire est un signe pathognomo-nique de l' hystérie . Mathieu parle de P « émission d'une sorte de m
rte de mucus vaginal, si fréquemment observée à la fin des attaques d' hystérie , que des auteurs ont considéré comme un sperme fé
rapporte Cerise, avait plusieurs fois pai jour de légères attaques d' hystérie , lesquelles se terminaient par une abondante sali
Mais il ne faudrait pas croire que l'attaque convulsive de la grande hystérie avec les caractères que nous avons décrits soit s
nt nous rapportons quelques exemples plus loin, relèvent de la grande hystérie ou « hystéro-épilepsie à crises combinées », dont
jets colorés en rouge. Les attaques d'Ernestine se rapprochent de l' hystérie vulgaire ou petite hystérie; elles sont peu varié
attaques d'Ernestine se rapprochent de l'hystérie vulgaire ou petite hystérie ; elles sont peu variées et présentent les caractè
imitation sur la production des maladies nerveuses en général et de l' hystérie en particulier; mais dans le cas présent, le rôle
t à aboyer exactement comme sa voisine *. » 1. Briquet, Traité de l' hystérie , p. 337. La iaculté d'imiter ne s'exerce donc q
ment des manifestations multiples qui composent une attaque de grande hystérie , à Tordre dans lequel se succèdent les diverses p
des plus beaux exemples qu'on puisse trouver de la forme grave de l' hystérie (hysteria major). Parmi les accidents convulsifs
a publié dans le Mouvement médical 1872, page 203, une obser-vation d' hystérie grave avec aménorrhée, chloro-anémie, alternative
sommes appelé en toute hâte, madame X...-est en proie à une attaque d' hystérie des plus violentes. Après s'être couchée comme d'
e ans, présenta dans la suite les signes les plus variés de la grande hystérie : contracture de l'œsophage qui nécessita pendant
y a quelques années, dans sa clientèle de ville. Il s'agit d'un cas d' hystérie convulsive développée chez un jeune garçon de dou
heureuse toute sa famille, a complètement disparu. L'existence de l' hystérie chez l'homme est une question qui ne saurait aujo
La longue série d'accidents qui marquent sa maladie appartiennent à l' hystérie grave, et les attaques con-vulsives ont présenté
e. Les quatre périodes de l'at-taque y sont parfaitement indiquées. L' hystérie s'est développée sous l'influence de vives émotio
ans, à la suite de vives émotions, est survenue la première attaque d' hystérie . — Ceci eut lieu dans le Midi —. Les attaques, qu
lle qui présentait à un haut degré la plupart des signes de la grande hystérie et dont les attaques ont offert, à un moment donn
la Salpêtrière, dans la ville même où il exerce, un exemple de grande hystérie , avec attaques convulsives bien remarquables au p
soin et une entente du sujet qui rendent inu-tile tout commentaire. Hystérie . Hémianesthésie gauche. Ovarie gauche. Dyschromat
et demi, grande et vigoureuse, née à Moscou (Russie), est atteinte d' hystérie à forme convulsive. Voici ce que nous avons const
le regard fixé sur la lumière d'une bougie. SEIZIÈME OBSERVATION. Hystérie . Hyperesthésie ovarienne gauche. Parésie des memb
s-Unis de Colombie (Ve-nezuela, Amérique méridionale), est atteinte d' hystérie à forme convulsive. Jeune fille forte, bien dével
langues et reprend son état habi-tuel. DIX-SEPTIÈME OBSERVATION. Hystérie . Légère ovarie droite. Attaque convulsive. ' Ma
ne attitude indiquant de la mélancolie. DIX-HUITIÈME OBSERVATfON. Hystérie . Chorée rythmique. Hémianesthésie gauche. Dyschro
r, il y eut syncope et attaque convulsive. Il s'agissait donc d'une hystérie avec pseudo-arthropathie coxo-fémorale gauche, et
abituellement. En résumé, sur ces vingt-deux observations de grande hystérie que nous sommes parvenu à recueillir en dehors de
ation xiv n'est jamais venue à Paris, et c'est à Garmaux (Tarn) que l' hystérie a pris naissance et que les grandes attaques ont
avons décrite, n'a rien de spécial à la Salpêtrière, et que la grande hystérie est partout la même, qu'elle prenne naissance en
Cette troisième section comprend un certain nombre d'observa-tions d' hystérie grave ou d'hystéro-épilepsie, puisées dans les au
ernes. Nous espérons montrer par ces quel-ques exemples que la grande hystérie ne saurait avoir changé avec le temps. Les fait
aits seule change. Les anciens auteurs ont eu sous les yeux des cas d' hystérie semblables à ceux que nous avons obser-vés. Pour
ra qu'ils soient assez rares, soit en raison du peu de fréquence de l' hystérie grave elle-même, soit en raison de l'insuffisance
es causes nombreuses qui favorisèrent chez elle le développement de l' hystérie . Voici comment elle débuta. La jeune per-sonne, q
tère radiale, battements très forts 1. Duvernoy, Dissertation sur l' hystérie , Th. Paris an IX, obs. 17 des carotides, grande
é la nlarche. A cette époque, attaque inopinée d'un violent accès d' hystérie , anxiété extrême, sentiment de suffocation, perte
symptômes d'une éruption difficile, et même les préludes d'un accès d' hystérie . Il eut lieu dès le lendemain de l'écoulement : s
maladie décrite au n° 16. Mais la liaison de la menstruation,'avec l' hystérie n'est pas aussi frappante. C'est aussi cependant
i les faits d'épilepsie, cette obser-vation a manifestement trait à l' hystérie épileptiforme. La res-semblance des accidents con
ge qui devient hideux. QUATRIÈME OBSERVATION 1. Sur une attaque d' hystérie portée au plus haut degré, recueillie par le cito
ut s'empêcher d'y reconnaître la plupart de ceux qui caractéri-sent l' hystérie , l'épilepsie, la manie et même l'hydrophobie. L
atrième période. CINQUIÈME OBSERVATION1. Observation incomplète d' hystérie grave. La malade présenta des symptômes variés, c
OBSERVATION. Caillot, dans sa thèse inaugurale (Dissertation sur l' hystérie ,! 833) distingue deux degrés dans l'expression sy
ingue deux degrés dans l'expression symptomatique de l'hysté-rie : 1° hystérie sans perte de connaissance; 2° hystérie avec pert
tomatique de l'hysté-rie : 1° hystérie sans perte de connaissance; 2° hystérie avec perte deconnaisance. Dans la description des
s symptômes précédents. 1. Dubreuilde St-Martin, Dissertation sur l' hystérie , accompagnée d'une obser-vation singulière sur ce
qui j'ai eu le plaisir de procurer quelques secours, est at-teinte d' hystérie depuis quelques années. Les accès se renouvellent
EPTIÈME OBSERVATION. Dans un petit opuscule tendant à prouver que l' hystérie a son siège dans le cerveau, II. Girard rapporte
n siège dans le cerveau, II. Girard rapporte plusieurs observations d' hystérie . Dans l'observation XIIe, malgré peu de précision
pilepsie qui nous paraît bien plutôt rentrer dans les faits de grande hystérie . « J'ai eu, sous ma direction, dit-il, une jeun
nous semble que ces cas peuvent être facilement rapportés à la grande hystérie . D'ailleurs nous verrons plus loin quelle con-nex
ilepsie isolés, mais pas très com-plets. Dans les séries maladives, l' hystérie et l'épilepsie se combinent diver-sement, mais l'
aladives, l'hystérie et l'épilepsie se combinent diver-sement, mais l' hystérie domine presque toujours. La plupart du temps, les
de, un état de mal épileptique (obs. L); une troisième, une attaque d' hystérie ; notre malade, qui avait été indisposée toute la
de notre description, mais ils sont épars et exposés sans ordre. L' hystérie chez cette malade s'est déclarée à seize ans, sou
s affaire ici à un cas d'hystérc-épilepsie véritable en ce sens que l' hystérie existait!1 à associée à l'épilepsie vraie ; que l
'épilepsie vraie ; que la malade ait été d'abord épileptique, puis, l' hystérie survenant, qu'elle ait continué à avoir de temps
ait continué à avoir de temps à autre, en dehors de ses attaques où l' hystérie prédominait, des attaques de véritable épi-lepsie
it quedans laforme, la nature même des accidents ne relevant que de l' hystérie , mais de la forme grave de l'hystérie, ou grande
accidents ne relevant que de l'hystérie, mais de la forme grave de l' hystérie , ou grande hystérie. J'ai rapporté tout au long
nt que de l'hystérie, mais de la forme grave de l'hystérie, ou grande hystérie . J'ai rapporté tout au long cette observation,
. Les attaques que nous avons vues plusieurs fois appartiennent à l' hystérie . Elles surviennent de préférence, mais non exclus
us traiterons des variétés de l'attaque, appartient aussi à la grande hystérie . Il n'est donc pas nécessaire de faire intervenir
dant lequel elle fait tout 1. Baillif, du Sommeil magnétique dans l' hystérie . Th. Strasbourg, 1868, p. 46. haut les rêves le
œur tumultueux. Puis, la malade se rapproche de la franche attaque a" hystérie , s'arrache les cheveux, fait des bonds qui la jet
. Ni les pleurs, ni les rires, si fréquents à la suite de l'attaque d' hystérie . Une chose digne de remarque, c'est que la malade
veiller, et est surprise de vous trouver à ses côtés... Cette forme d' hystérie a-t-elle aussi son point de départ dans l'ovaire,
ections, que je con-sidère comme étant le type de ce qu'on a appelé l' hystérie libidineuse, cessèrent. La malade porta les mains
rofesseur Charcot, ne s'éloignent pas de notre description. La grande hystérie chez eux ne diffère donc pas essentiellement de c
t et son état empira; elle avait quotidiennement plusieurs attaques d' hystérie . Une se-maine après, elle fut effrayée à la vue d
t aisément multiplier, suffisent cependant pour établir que la grande hystérie a de tout temps et dans tous les pays pré-senté l
médical journal, décembre 1878, p. 527. type morbide. En matière d' hystérie , il ne saurait en être autre-ment que pour les au
'interpré-tations erronées, les manifestations multiples de la grande hystérie que nous aurons appris à connaître. CHAPITRE VI
AIRE. Après avoir bien défini les caractères de la grande attaque d' hystérie , il est nécessaire de rechercher quelles relation
er quelles relations exis-tent entre la grande attaque et l'attaque d' hystérie vulgaire, de l'hystérie que le praticien rencontr
s-tent entre la grande attaque et l'attaque d'hystérie vulgaire, de l' hystérie que le praticien rencontre journellement. La gran
re, de l'hystérie que le praticien rencontre journellement. La grande hystérie , avec ses manifestations de prime abord si étrang
solument distinct de ce que l'on désigne habituellement sous le nom d' hystérie ? J'espère montrer par les rapprochements nombre
tent entre notre description et celle que Jes auteurs ont donnée de l' hystérie vulgaire, qu'on ne saurait séparer les deux affec
affections pour en faire deux maladies de nature différente, et que l' hystérie vulgaire, ou petite hystérie, ne doit être consid
maladies de nature différente, et que l'hystérie vulgaire, ou petite hystérie , ne doit être considérée que comme une atténuatio
terons de passer en revue les principaux au-teurs qui ont écrit sur l' hystérie depuis le commencement du siècle. Louyer-Viller
is le commencement du siècle. Louyer-Villermay décrit une variété d' hystérie qu'il appelle hys-térie épileptiforme, et dans la
e, mais ne sont consi-dérés que comme une nouvelle manifestation de l' hystérie plus intense. « Son diagnostic, dit-il en parla
e l'hystérie plus intense. « Son diagnostic, dit-il en parlant de l' hystérie épileptiforme, son pronostic, ses complications,
et terminaisons, en-fin son traitement, sont les mêmes que ceux de l' hystérie ordinaire. » Cette forme de l'hystérie correspo
sont les mêmes que ceux de l'hystérie ordinaire. » Cette forme de l' hystérie correspond donc bien àl'hystéro-épilepsieà crises
ie correspond donc bien àl'hystéro-épilepsieà crises mixtes ou grande hystérie dont nous nous occupons. Dans la description qu'i
peler une énuméra-tion incomplète, et nous pouvons dire que, dans son hystérie épi-leptiforme, cet auteur n'a vu que la période
leptiforme, cet auteur n'a vu que la période épileptoïde de la grande hystérie . Mais voilà qui est bien fait pour confirmer so
opinion et prouver l'identité de nature de la grande et de la petite hystérie . Les traits qui manquent à sa description, c'est-
oppement, au moins en germe, dans l'exposé qu'il fait des crises de l' hystérie vulgaire. Il distingue trois degrés, suivant la
élire des sens. Les doctrines de Louyer-Villermay, qui faisait de l' hystérie une maladie dépendant exclusivement de l'utérus,
aire des se. méd., t. XXII. 2. Dict. de méd. en 30 vol., 1837, art. Hystérie . Les prodromes, qui peuvent exister plusieurs j
prononcées 1. Dict. de méd. et de chir. pratiq., Paris, 1833, art. Hystérie . d'un côté du corps que de l'autre. Ce sont là
sion devient tonique, etc. Gendrin2 signale comme se rattachant à l' hystérie vulgaire, et comme faisant corps avec les autres
es paroxysmes d'extase ou de manie. 1. Compendium de médecine, art. Hystérie . 1833. 2. Bulletin de l'Acad. roy. de méd., t.
roy. de méd., t. XI, 1845-1846. « C'est une erreur de rattacher à l' hystérie comme phénomène constant les attaques de spasme s
, les hallucinations... qui peuvent se rencontrer pendant l'attaque d' hystérie . «Le délire n'est pas rare... pendant les accès
ttaque d'hystérie. «Le délire n'est pas rare... pendant les accès d' hystérie . Quand la maladie résulte d'une cause morale, les
ropos des phénomènes épileptoïdes qui se rencontrent dans l'attaque d' hystérie vulgaire, l'opinion du même auteur est facile à d
st facile à déduire du passage suivant qui a trait au diagnostic de l' hystérie et de l'épilepsie : « Il semblerait, après ces
breuses et si précises, qu'il n'est pas de confusion possible entre l' hystérie et l'épilepsie. » Cette proposition est vraie p
en diminuer beaucoup la valeur séméiotique. 1. Traité complet de l' hystérie , par Landouzy. — Paris, 1846, p. 83. 2. Musset,
ple, ne constitue pas, à mon avis, une différence essentielle entre l' hystérie et l'épilepsie, et c'est à tort que M. Foville la
'est à tort que M. Foville la regarde comme tout à fait étrangère à l' hystérie , et comme ca-ractérisant l'épilepsie. » Sans co
s la présence de l'écume n'implique pas nécessairement l'absence de l' hystérie : « J'ai vu des hystériques, dit Georget, mousser
une énumération qui n'au-rait point d'ensemble, nous en ferions cette hystérie protée de Sydenham, qui revêt des formes en appar
t de tout autre point de cette cavité. Ce spasme est 1. Traité de l' hystérie , par J.-L. Brachet. Lyon, 1847, p. 264 et suiv.
ication, telle en un mot qu'il la faut pour caractériser la véritable hystérie ....» Plus loin, l'auteur, sous la rubrique vari
er les différents phéno-mènes qu'il vient de décrire dans l'attaque d' hystérie ordinaire, sans qu'au fond leur nature en soit mo
ent le rapprochement que nous signa-lons entre la grande et la petite hystérie . Voici qui a trait à la période épileptoïde.
plus. (.( Les accidents cérébraux donnent lieu à une autre forme d' hystérie : c'est celle qui se caractérise par des phénomèn
teur croit, dans ces cas, à l'existence simultanée des deux névroses, hystérie et épilepsie, dont les symptômes peuvent se montr
revient en ces termes : « C'est dans ces influences cérébrales de l' hystérie qu'on a vu quelque-fois des délires plus ou moins
IV, pages G12. Nous terminerons cet exposé critique de l'attaque d' hystérie vulgaire par quelques citations empruntées aux ou
s aux ouvrages des deux auteurs modernes dont l'autorité en matière d' hystérie est justement reconnue, MM. Briquet1 et Bernutz "
ption que M. Briquet donne des convul-sions qui composent l'attaque d' hystérie vulgaire, le passage sui-vant a manifestement tra
de semble constituer à elle seule la plusgrande partie de l'attaque d' hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrivent-ils long
ption qu'en donne Briquet : J. Traité de Vhystérie, 1859. 2. Art. Hystérie . Nouveau dict. de méd, et de chir., 1874. « Le
-tions... des extases... » Celles (jeunes filles) chez lesquelles l' hystérie s'est développée à la suite d'une vive frayeur on
récède, combien il est difficile de po-ser la limite qui séparerait l' hystérie vulgaire, de l'hystéro-épilep-sie à crises combin
stérie vulgaire, de l'hystéro-épilep-sie à crises combinées ou grande hystérie . Dans toutes les descriptions que les auteurs n
criptions que les auteurs nous ont laissées des attaques de la petite hystérie , nous retrouvons soit épars, soit parfaitement co
ité. Il suffira de modifier quelques traits au tableau de la grande hystérie , d'atténuer les uns, d'effacer, de supprimer comp
ur retrouver toutes les variétés possibles des atta-ques de la petite hystérie ou hystérie vulgaire. Sans parler des phénomène
toutes les variétés possibles des atta-ques de la petite hystérie ou hystérie vulgaire. Sans parler des phénomènes rangés dan
ent contenus au moins en germe dans les manifestations de l'attaque d' hystérie vulgaire. La présence d'hallucinations variées
llucinations variées et de délire parmi les symp-tômes de l'attaque d' hystérie n'entraîne pas nécessairement la complication d'a
lication d'aliénation mentale. L'hystéro-épilepsie n'est pas plus une hystérie compliquée de folie qu'une hystérie compliquée d'
téro-épilepsie n'est pas plus une hystérie compliquée de folie qu'une hystérie compliquée d'épilepsie. Ce n'est pas à dire que l
lie qu'une hystérie compliquée d'épilepsie. Ce n'est pas à dire que l' hystérie ne puisse exister avec diverses formes de folie,
rtiennent en au-cune façon à l'aliénation mentale, mais relèvent de l' hystérie elle-même, au même titre que les accidents convul
s deux premières périodes. Les observations d'hallucinations dans l' hystérie ne sont pas rares parmi les auteurs1. Brierre de
hystériques, qu'il importe de distinguer celles qui appartiennent à l' hystérie , de celles qui dépendent de la folie qui 'souvent
névrose. Il ajoute que les hallucinations peuvent être rattachées à l' hystérie lorsqu'elles se montrent dans les prodromes de l'
tion est citée par Pestins, qui était toujours avertie de son accès d' hystérie par l'apparition de sa propre image dans un miroi
suivant, à la même époque, la personne dont il s'agit eut un accès d' hystérie et des convulsions qui durèrent huit jours. Il se
qui ne voit dans Thystéro-épilepsie que le degré le plus intense de l' hystérie *, et non l'hystérie compliquée d'autres névroses
téro-épilepsie que le degré le plus intense de l'hystérie *, et non l' hystérie compliquée d'autres névroses. Nous avons trouvé a
atténuées, car il est incontestable que la description de l'attaque d' hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lorsqu'on la co
considère à la lumière des notions fournies par l'étude de la grande hystérie . (Macario Mém. sur laparalys. hystérique. Annal
t si effrayée, qu'elle perdit connaissance et eut son premier accès d' hystérie . Cette jeune fille présente ceci de remarquable,
avons déjà fait ressortir les affinités qui existent entre la grande hystérie etl'hysté-rie vulgaire. En montrant de quelles mo
ques qui ont paru isolés et dont le lien qui les rattache à la grande hystérie , n'a pas été jusqu'ici suffisamment précisé. 11 e
gles pratiques qui décou-lent nécessairement de cette conception de l' hystérie , sur laquelle M. Charcot a appelé depuis longtemp
à parfaitement indiqué les transformations que peut subir l'attaque d' hystérie , dans un passage que je cilerai tout au long :
cas, permet de comprendre un certain nombre des formes anormales de l' hystérie , dans lesquelles l'attaque est on peut dire, uniq
s s'atté- 1. Nouveau dictionnaire de médesine et de chirurgie, art. Hystérie . — Paris, 1874, t. XVIII, p. 221. nuent ou même
ntracture générale ou partielle, sont autant de signes en faveur de l' hystérie . Entre deux accès, on voit parfois la malade se
grave, tandis que si c'est l'hystéro-épilepsie, on pour mieux dire, l' hystérie qui est en jeu, la tempé-rature s'élève peu au-de
e le dehors, et qu'il ne relève, comme les autres accidents, que de l' hystérie . En etfet, presque aussitôt la malade ouvre les
ervation suivante empruntée au Journal de Corvisa,rt est un exemple d' hystérie dans lequel les manifestations variées qui compos
trente-deux ans, d'un tempéramentéminemment nerveux, était attaquée d' hystérie depuis plusieurs années. Elle en éprouvait des ac
es qu'on ne saurait rapporter ni à l'hystéro-épiiepsie ni à la petite hystérie ou hystérie vulgaire. En effet, la période épi-le
saurait rapporter ni à l'hystéro-épiiepsie ni à la petite hystérie ou hystérie vulgaire. En effet, la période épi-leptoïde y est
taques convulsives lui faisaient redouter l'existence simuliance de l' hystérie et de l'épi-lepsie. Nous trouverons dans le récit
rapproche de la danse de Saint-Guy, relèvent évidemment de la grande hystérie , et les manifestations diverses dont se composaie
essante qui nous paraît devoir être classée parmi les faits de grande hystérie , avec attaques se rapportant à la variété dont il
nt |)arnii les ma-nifestations variées d'une même névrose, la gi^ande hystérie . Je ne ferai que signaler ici les « attaques de
Je ne conteste point que l'extase ne puisse se trouver en dehors de l' hystérie , de môme que la catalepsie et le somnambu-hsme qu
ase, d'après l'opinion généralement admise, complique assez souvent l' hystérie . Zimmerman, dans son Traité de Fexpé-rience, parl
étudions en ce moment. Elle peut être considérée comme une attaque d' hystérie dans laquelle les deux dernières périodes ont pri
es attaques d'extase de cette variété spéciale de la grande attaque d' hystérie , composée d'une série d'attitudes passionnelles.
des champs. Sa sauté a été relativement bonne. Vers 16 ans, signes d' hystérie . Plus tard hallucinations nocturnes terrifiantes
ge ^28) l'histoire d'unejeune lîile de quinze ans dont les attaques d' hystérie consistaient prin-cipalement en accès délirants p
ellent ami P. Poirier, interne distingué des hôpitaux. La rareté de l' hystérie chez l'homme pouvait rendre le diagnostic diffici
ce qu'il a fait depuis une demi-heure. Les observations d'attaque d' hystérie accompagnées de délire ne sont pas rares dans les
se et pudique, âgée de dix-huit ans, avait fréquemment des attaques d' hystérie . Les accès étaient très violents; son corps se co
moins reculée, ou même qui n'en a jamais eu. Nos malades, chez qui l' hystérie présente à un si haut degré la forme convulsive,
ais qui, dans ses pre-mières années, avait présenté quelques signes d' hystérie . En outre des antécédents hystériques, la nature
lpêtrière comme fille de service. Elle a été sujette à des attaques d' hystérie , qui paraissent avoir coïncidé avec la première m
n presque instantanée. Partie le 4 novembre 1865 K A côté des cas d' hystérie dans lesquels on voit le désordre psy-chique alte
u à peu s'y substituer, on conçoit l'existence d'une forme spéciale d' hystérie non convulsiva consistant en troubles intellectue
'une nature déterminée et constituant en quelque sorte une véri-table hystérie morale. Il importe alors de bien connaître les
les caractères spéciaux du délire qui relève directement de la grande hystérie . Conscience du délire. — Ce caractère a été sig
Analogie avec le somnambulisme. — Les liens qui réunissent parfois l' hystérie au somnambulisme sont si étroits, que l'on voit l
cette si intéressante question des rap- ports qui existent entre l' hystérie et le somnambulisme naturel ou provoqué. Influe
de la mobilité extrême qui caracté-rise les troubles psychiques de l' hystérie , l'idée fixe paraît un contre-sens. Pour être d'u
us juste des variétés cataleptiques et somnam-buliques de l'attaque d' hystérie et en facilitera singulièrement la description.
aractérisée par la présence chez toutes d'une même névrose, la grande hystérie . C'est, croyons-nous, dans ce défaut de méthode,
tenir les phénomènes d'hypnotisme les plus mar-qués. Et de même que l' hystérie se rencontre à un degré moindre chez un grand nom
fait, et plus ou moins atté-nué. En fait d'hypnotisme comme en fait d' hystérie , nous pensons que rien n'est livré au hasard, et
quer que nos recherches ont porté sur des malades atteintes de grande hystérie , 6t sur celles dont j'ai tout au long rapporté pr
l n'est pas ?douteux que quiconque s'adressera comme nous à la grande hystérie n'arrive aux mêmes résultats. qui lui permette
ent entreprise dans le but d'éclairer la Symptomatologie de la grande hystérie . Nous avons 1. Voyez VEistoire académique du ma
uet a été à même d'observer, cet auteur n'a rencontré que trois cas d' hystérie avec des attaques consistant eu un véritable somm
té, page 184, les attaques convul-sives se rapprochant de celles de l' hystérie vulgaire, est prise, en outre, de temps à autre,
tion singulière dans laquelle se trouve une de mes malades atteinte d' hystérie grave. Depuis environ un mois, elle entre tous
érapique de Passy, grâce à l'obligeance de M. Pascal, un second cas d' hystérie bien singulier dans lequel l'attaque composée de
euf ans, d'origine italienne, est atteinte de-puis deux ans environ d' hystérie convulsive. Les attaques,qui se renouvellent pres
ués \ J. t'avrot, Thèse, 1844. Delà catalepsie, de l'extase et de l' hystérie . Virginie-Thérèse, vingt-trois ans, fille natur
et régulièrement jusqu'à dix-huit ans. En 1838, première attaque d' hystérie . Huit mois après, deuxième attaque, dans l'inte
des vomissements et du météorisme fréquents, mais point d'attaques d' hystérie . Au bout de six semaines, elle sort de fHôtel-D
s de ca-talepsie partielle sont complètement disparus; les attaques d' hystérie même sont moins fréquentes, présentant toujours c
le contact de la main, arrêtait instantanément une attaque clonique d' hystérie avec mouvements désordonnés des membres, et nous
par immixtion de phénomènes cataleptiques. attaque de catalepsie. L' hystérie et la catalepsie sont-elles deux névroses distinc
la plus grande fréquence de la catalepsie chez f homme, pendant que l' hystérie ne se rencontre guère que chez la femme. M. Briqu
jamais. Quelques auteurs au contraire ont pensé que non seulement l' hystérie était une complication de la catalepsie, mais que
ements qu'elle renferme. » 1. « Nous pensons que la catalepsie et l' hystérie ont le même siège, sont pro-duites par le même ge
ions très diverses; on le voit fréquemment accompagner les attaques d' hystérie et figurer dans cette maladie à titre de complica
des faits de croire à une identité de nature entre la catalepsie et l' hystérie . Il nous suffit de savoir que le symptôme catal
lus souvent pré-cédées de prodromes semblables- à ceux de l'attaque d' hystérie : épigastralgie, globe montant à la gorge, palpit
es oreilles, douleurs de tête, etc. D'après Bourdin \ « les accès d' hystérie se combinent avec les accès cataleptiques de deux
tre part, a des attaques convulsives ou simple-ment d'autres signes d' hystérie . a) LA CATALErSIE COMPLIQUE LES ATTITUDES PASSI
qui, avec beaucoup plus de raison, pourrait être considéré comme une hystérie dans laquelle les attitudes passionnelles de l'at
tanisme de la période épileptoïde. Dans la relation d'une attaque d' hystérie compliquée de cata-lepsie, rapportée par M. Mesne
s de la catalepsie ; voici ce qui se passa : Après un violent accès d' hystérie pendant lequel l'énergie des mouve-ments musculai
, nous parla quel-ques instants, pour retomber encore dans un accès d' hystérie . Une autre observation fort intéressante, citée
ue la malade qui en fait le sujet n'ai pas présenté d'autres signes d' hystérie (du moins il n'en est pas parlé), les accidents s
nter-valle permettent non moins sûrement de les rattacher à la grande hystérie . J'en citerai, comme exemple, fobservation dont
ive, et l'auteur, au chapitre du dia-gnostic, prend soin d'éliminer l' hystérie . Le symptôme qui le frappe le plus, c'est la cata
s pour trouver dans cette observation une forme spéciale de la grande hystérie . Si, à notre avis, fauteur s'est mépris sur finte
pas moins quelquefois l'expression symptomatique d'une autre névrose ( hystérie ou épi-lepsie, par exemple), aux autres signes de
tre part, a des attaques convulsives ou sim-plement d'autres signes d' hystérie . a) le somnambulisme apparait mêlé aux attitude
des passionnelles de la troisième période de l'attaque. Les accès d' hystérie étaient compliqués d'extase, de catalepsie ^'Ét
ble d'accidents convulsifs présentant tous les caractères des accès d' hystérie . Au mois d'octobre, les accès étaient très fréq
aient très fréquents. Il fut relevé, du 11 au 31 octobre, 927 accès d' hystérie , en moyenne, 46 en vingt-quatre heures. Ce «hilîr
our la première fois de la catalepsie à la suite d'un violent accès d' hystérie . J'ai rapporté cet accès plus haut au chapitre de
crise allait cesser, et, à peine couchée, elle est prise d'un accès d' hystérie aussi violent que le précédent. Elle se réveille,
; elle l'aperçoit de loin, et est prise aussitôt d'un violent accès d' hystérie . Cet accès dure dix minutes, est suivi d'une péri
talepsie d'environ dix minutes aussi; puis survient un second accès d' hystérie de cinq minutes qui se termine par un cri, au mil
tre. y A peine son beau-frère l'eut-il quittée qu'un nouvel accès d' hystérie éclata avec une intensité extrême; madame X... eu
s enfants, mes chers enfants, laissez-les moi!... » Un nouvel accès d' hystérie survint, aussi violent que le précédent, et quand
oussa un cri de douleur affreux, et de l'extase tomba dans un accès d' hystérie , au milieu duquel elle prononçait ces mots : « C'
mbulisme. J'ai déjà rapporté, page 256, les détails d'une attaque d' hystérie observée par leD' Billet, et composée des trois p
en résolution. 10 h. 10 minutes. — Projections du bassin en avant ( hystérie libidineuse). La mousse disparait de la bouche, l
1861.—Les règles reparaissent et font éclater une violente attaque d' hystérie qui dure douze heures : la malade affirme que c'e
voir été malade..... 19 février. — A cinq heures du soir, attaque d' hystérie qui dure une heure et qui est suivie de pleurs, p
e la névrose dont est atteinte la malade, ne saurait être autre que l' hystérie . Les accès de somnambulisme ont été précédés pa
précédés parfois de crises épileptoïdes. Nous avons affaire ici à une hystérie qui compte au nombre de ses manifestations le som
nté d'ailleurs fort délicate, n'avait que de rares et faibles accès d' hystérie , lorsque, à l'âge de quatorze ans, elle fut attei
TRES SIGNES d'hYSTÉRIE. Presque toutes les malades dont les accès d' hystérie sont en-tremêlés de phénomènes somnambuliques pré
uelle de médecine et de chirurgie, n° 4. —10 avril 1879, 276. — Cas d' hystérie avec somnambulisme par E. Chambard. Briquet rap
d'une jeune fdle hystérique qui avait tous les jours deux attaques d' hystérie : l'une à midi, qui était une attaque hystérique
a thèse de M. Espanet, nous montre, chez une jeune fille de 18 ans, l' hystérie , préparée depuis deux ans par l'impression vive d
d'expirer dans son lit. — La jeune fille est prise d'une attaque d' hystérie violente et pro-longée. » A partir de ce jour,
eçoit dans ses bras. Immédiatement accès convulsif terrible de grande hystérie à ce contact. )¦ Au point de vue des mouvements
l'observation suivante n'a ja-mais eu d'attaques convulsives, mais l' hystérie est décelée par les accidents les plus variés. 11
ractères à l'aide desquels il serait possible, chez une malade dont l' hystérie ne se traduirait que par les attaques de somnambu
issement de la première menstruation, les attaques se compliquèrent d' hystérie . On observa également l'a-phonie, le délire, le t
c. cit. p. 58. CHAPITRE IX analogies entre le délire de la grande hystérie et les TROUBLES cérébraux occasionnés par l'abSOR
Il existe entre les troubles intellectuels et sensoriaux de la grande hystérie et les effets produits sur l'intelligence par l'a
ux éclairée. Si le mécanisme intime des troubles mentaux de la grande hystérie nous échappe, du moins ils ne nous apparaîtront p
e de grandes analogies avec le délire qui termine la grande attaque d' hystérie . En voici les prin-cipaux caractères tracés d'apr
diés par M. Moreause retrouvent à divers titres, dans l'histoire de l' hystérie . Il me suffira de les énoncer, tels qu'ils ont ét
n du sujet sur la forme de son délire. Pour le hachisch, comme pour l' hystérie , il est tout naturel que les ef-fets délirants qu
E. En outre des attaques et de leurs nombreuses variétés, la grande hystérie compte, au nombre de ses manifestations, toute un
llée. Dans cette longue question de la Symptomatologie de la grande hystérie , je ne désire que relever quelques points particu
ario, Gendrin, Gharcot, etc., ne manque presque jamais dans les cas d' hystérie un peu intense. Dans la grande hystérie elle est
presque jamais dans les cas d'hystérie un peu intense. Dans la grande hystérie elle est de règle, de telle façon que son intensi
point du tronc, à un membre, ou bien le plus souvent, dans les cas d' hystérie grave, elle occupe toute une moitié du corps (hém
de l'anesthésie hystérique, une des formes les plus fréquentes dans l' hystérie grave et des plus intéressantes à cause de ses re
al où nous nous plaçons ici, qui est celui de la Symptomatologie de l' hystérie , nous trouverons là tout un ensemble de faits nou
pi-nion professée par M. Charcot, qu'il n'y a pas un phénomène dans l' hystérie qui ne se retrouve dans les cas d'affections orga
gération des réflexes tendineux est donc un phénomène fréquent dans l' hystérie . La trépidation spontanée s'observe plus rarement
débuts sont accusés par celle-là. Un nouveau rapprochement entre l' hystérie et les lésions céré-brales organiques existe dans
encontre souvent chez les enfants comme première mani-festation d'une hystérie qui s'en tiendra toujours aux symptômes locaux va
torticolis hystérique est une des plus fréquentes manifestations de l' hystérie infantile); —é) les muscles de la vie de relation
dineux et de la trépidation spinale est généralement reconnue. Mais l' hystérie qui ne fait qu'emprunter ses symptômes aux affec-
nsuelle de iS19. "SI. Brissaud en consigne un cas dans sa thèse \ L' hystérie ne fait point exception à la règle qui régit les
qui tiennent sous leur dépendance l'hémianesthésie cérébrale. Dans l' hystérie , la lésion d'une nature inconnue ne laisse après
tion morbide, indéfinissable parl'anatomie pathologique, comme dans l' hystérie , peu importe. L'essentiel est que les centres soi
qui donnent à cette affection, ou plutôt à cet accident de la grande hystérie , une physionomie si inattendue et si singulière n
s phénomènes insolites et sans analogues dans la symptomatologie de l' hystérie . Ils ont avec les mouvements rhythmés de la secon
u même titre que la contracture, elle est une des manifestations de l' hystérie locale, et il n'est pas rare de l'observer chez l
e même qu'il estbien prouvé que toutes les cho-rées qui relèvent de l' hystérie ne sont pas, par cela même, systé- Fig. 10-2.
marche ou la guérison subite des diverses manifestations de la grande hystérie , montre qu'ici, plus qu'ailleurs, cette action mo
que chose à sa place. Et si 1' « ex-pectant attention » existe dans l' hystérie , ce n'est pas là où les auteurs anglais ont voulu
ient d'établir entre l'hystéro-épilepsie à crises combinées ou grande hystérie et l'épilepsie véritable. Dans un chapitre spécia
'ai essayé de montrer les affinités étroiles qui rattachent la grande hystérie à l'hystérie vulgaire, et nous sommes arrivés à c
montrer les affinités étroiles qui rattachent la grande hystérie à l' hystérie vulgaire, et nous sommes arrivés à cette conclusi
s d'apparence épileptique, il n'y avait pas lieu de séparer la grande hystérie des cas d'hys-térie vulgaire; que, sous des dehor
e nature et qu'il n'y avait entre elles qu'une différence de degré, l' hystérie vulgaire ou petite hystérie n'étant que l'état ru
entre elles qu'une différence de degré, l'hystérie vulgaire ou petite hystérie n'étant que l'état rudimentaire de l'hystéro-épil
érie n'étant que l'état rudimentaire de l'hystéro-épilepsie ou grande hystérie . Ce que j'entreprends ici n'est en quelque sort
on la généralité des auteurs au sujet du diagnostic différentiel de l' hystérie vulgaire et de l'épilcpsie. En réalité la difficu
deux névroses, une sorte de mélange ou de combinaison formée partie d' hystérie et partie d'épilepsie. C'est le cas de rappeler q
stéro-épilepsie à crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l' hystérie et de l'épilepsie appa-raissent d'une façon compl
soin de le bien préciser dès le début, — appar-tient complètement à l' hystérie , malgré l'apparence trompeuse de quelques-uns de
endons, touchant la nature distincte de l'hystéro-épilepsie ou grande hystérie . Naturam^ morboriun curationes ostendimt. Le brom
de ce médicament, je ne sache pas que l'on ait obtenu dans les cas d' hystérie quelques succès vraiment sérieux, même par un usa
s d'ap-parence si grave qui composent la Symptomatologie de la grande hystérie , la santé générale des malades ne paraît pas souf
le cours de ce travail et que ce cas paraît se rattacher à la grande hystérie . Je n'en veux pour preuve que ces quelques lignes
beaucoup em-ployées dans répuepsie,dans l'hystéro-épilepsie et dans l' hystérie , principalement en Amérique et en Angleterre. A l
dans ses Recherches cliniques et thérapeu-tiques sur Vépilepsie et l' hystérie . Les convulsions sont immé-diatement enrayées; et
rations sonores (diapason, gong) sur les diverses manifestations de l' hystérie . Chez quelques-unes de nos malades, nous avons vu
tait l'harmonica l Duvernoy constate chez un malade que les accès d' hystérie soïit diversement modifiés par la musique : ((
onc rationnel de penser que l'influence de la musique sur les accès d' hystérie se borne aux accès convulsifs sans perte de conna
ail, nous avons cherché à établir entre l'hystéro-épilepsie ou grande hystérie et l'épilepsie véritable. Nous avons vu, en tra
les dehors effrayants que revêtent parfois les accidents de la grande hystérie , et les exemples de guérison n'en sont pas rares.
ystérie, et les exemples de guérison n'en sont pas rares. La grande hystérie guérit parfois spontanément, soit en s'atté-nuant
agnent d'anes-thésie cutanée, que ces troubles nerveux dépendent de l' hystérie , de l'alcoolisme, du saturnisme, ou de lésions cé
rendre dans le traitement des affections nerveuses en général et de l' hystérie en particulier ^. Mais il est encore un autre a
place importante. C'est au point de vue spécial du traitement de l' hystérie que cette note a été rédigée. Note du docteur R
ables ou non des autres formes d'électricité. Pour ne parler que de l' hystérie , le fait que nous avons dès le principe mis en lu
ignait à priori l'électricité statique comme moyen de traitement de l' hystérie . Or les observations que nous avons pu faire à la
harcot, confirment très explicitement cette vue. Le traitement de l' hystérie consiste essentiellement dans le traitement de se
és est un des symptômes les plus communs et les plus impor-tants de l' hystérie ; de l'existence et de la fixité de l'anesthésie s
que l'on observe dans les formes les mieux caractérisées de la grande hystérie , la sensibilité récupérée persiste pendant un tem
ganiques s'améliorent, les attaques ou les autres manifestations de l' hystérie s'atténuent et finissent par disparaître. En un m
tique de la ville, elle a porté surtout sur les accidents locaux de l' hystérie et sur ce point nous pouvons être plus affirmatif
ue l'afTectiou est plus tenace lorsqu'elle n'est pas liée à la grande hystérie . Nous avons vu aussi que la méthode indirecte de
hésie par les sesthésiogènes, comme un signe diagnostic précieux de l' hystérie dans les cas douteux. L'électricité statique se p
avons cherché à établir, dans le cours de cet ouvrage, que la grande hystérie formait une entité morbide parfaitement caractéri
ystéro-épilepsie des auteurs, se rattachant par des liens étroits à l' hystérie vulgaire dont elle est comme l'expression la plus
raît s'éloigner, par certains côtés, du type jusqu'ici classique de l' hystérie , il ne faudrait pas en conclure que nous sommes a
recherchions dans les temps anciens les traces méconnues de la grande hystérie . Nous les retrouverons dans l'histoire de ces gra
e n'est pas un des moindres mérites de cette conception nouvelle de l' hystérie que de trouver sa justification dans l'étude du p
e nos malades) quelle influence jouent, dans l'étiologie de la grande hystérie , les émotions vives qui, dans certains cas, suffi
stème nerveux qui, en dernière analyse, donnent naissance à la grande hystérie ! En outre des circonstances étiologiques, les
signalons ici entre les anciennes épidémies convulsives et la grande hystérie que nous observons de nos jours à l'état sporadiq
uralisme, et qui, placées ainsi en regard de nos études sur la grande hystérie , mettront en valeur deux points qui sont comme le
même proposition : a) l'existence dans les temps anciens de la grande hystérie avec les principaux caractères que nous lui avons
its anciens d'une appréciation difficile, doit être faite à la grande hystérie . Je serai aussi sobre de réflexions que possibl
rait devoir être considérée comme une des manifestations de la grande hystérie . Il nous semble que, sans forcer les analogies,
être rangée, dans certains cas, parmi les manifestations de la grande hystérie . Elle devient une preuve de plus en faveur de not
et nous montre qu'il n'y a rien d'irrationnel à rapporter à la grande hystérie les mouvements rhytmés de la dansomanie. I. cho
es, que nous avons fréquemment ob-servées pendant les accès de grande hystérie . « Ils déchiraient souvent leurs vêtements ou s
gnés qui se rapprochent beaucoup des prodromes de la grande attaque d' hystérie . Vers la fin de l'épidémie, du temps de Schenck
s, d'où res-sort clairement la place importante occupée par la grande hystérie dans cette affection qui causa un si grand étonne
e, cloîtrée depuis sa quatorzième année, passait pour avoir inoculé l' hystérie et la nymphomanie à ses compagnes. Gertrude croya
ement de milieu et de l'isolement sur les malades atteintes de grande hystérie n'a pas changé. De nos jours encore nous savons q
t fait croire à la possession. Ici, comme ailleurs, c'est la grande hystérie qui est en cause. Les hallucinations, les mouve
se que nous avons étudiée particulièrement et qui s'appelle la grande hystérie . Pilel de la Ménardière nous a laissé une très
as reconnaître les grands traits de l'attaque convulsive de la grande hystérie avec quelques-unes de ses variétés, comme les att
agination et des émotions en général sur le développement des accès d' hystérie . Chez nos possédées qui puisaient dans leur con
qui présente tous les caractères du délire semi-lucide de la grande hystérie , que l'on interrogeait le diable et qu'on chercha
lation ou de supercherie. II nous suffit de savoir que dans la grande hystérie , dont l'existence chez les religieuses de Loudun
rrissent mal. La constitution prédominante est lymphatico-nerveuse. L' hystérie est très commune, comme dans toute la Sa-voie, et
emières malades, il est facile de reconnaître les signes de la grande hystérie . Perronne T..., âgée de dix ans, devait faire p
es, d'un côté, avec la description que nous avons donnée de la grande hystérie et, de l'autre, avec les anciennes possessions dé
sessions démonia-ques. Entre les possessions d'autrefois et la grande hystérie d'aujourd'hui, l'épidémie de Morzines est comme u
jeune fdle de vingt-six ans, présentait depuis huit ans des signes d' hystérie : boule, gastralgie, etc., auxquels se joignirent
ntraire l'in-fluence du démon. Au point de vue spécial de la grande hystérie dont le rôle en tous ces évé-nements a été consid
nt, il est aisé de reconnaître le rôle important que jouait la grande hystérie . Mais l'épidémie n'existait pas encore avec les c
arlé. J'en citerai quelques exemples dans lesquels la présence de l' hystérie ne saurait être révoquée en doute. En 1726, Mar
trouver les signes des deux premières périodes de l'attaque de grande hystérie . « Sur le champ, la tombe se vuide, on la met d
Duchêne; en voilà assez pour montrer qu'il s'agissait ici d'un cas d' hystérie grave dont les manifestations variées ont disparu
es de Saint-Médard, qui pour la plupart présen-taient les signes de l' hystérie la mieux confirmée, je mettrai en valeur deux poi
sou comble, constitue un milieu propice au développement de la grande hystérie . Pour donner une idée des proportions que peuve
il ne nous sera pas difficile de reconnaître les marques de la grande hystérie . A Bristol, il semble que les accidents nerveux
s, délire, cris, etc., tout ce qu'il faut pour caractériser la grande hystérie . « On m'avait dit, raconte mistress Trollope',
ces faits démontre d'une façon péremptoire que, de même que la grande hystérie , la névrose qui sévissait dans les revivais ne sa
actérisent sous son véritable nom et qui ne saurait être autre (jue l' hystérie . Notre opinion ne difl'ère point de celle du mé
du médecin anglais, mais nous espérons, par ces Éludes sur la grande hystérie , y avoir apporté un nouvel appoint. EXTASE RELI
ée de convulsions, dont les analogies avec les symptômes do la grande hystérie sont vraiment saisissantes. J'emprunte les déta
On ne saurait mieux dire en ce qui concerne le pronostic de la grande hystérie . Ce sont surtout des individus jeunes et des fe
logies qu'elle présente avec une des va-riétés de l'attaque de grande hystérie , formée surtout aux dépens de la période des atti
ses extatiques, Marie de Mœrl avait présenté des signes non douteux d' hystérie . Pendant les extases, les poses expressives se me
taque hystérique ou attaque hys- téro-épileptique et de l'attaque d' hystérie vulgaire................. 204 DEUXIÈME PARTIE
'autre parta des attaques convulsives ou simplement d'autres signes d' hystérie ...................................... 502 § 2.
lepsie....... 507 Chap. IX. — Analogie entre le délire de la grande hystérie et les troubles cérébraux occasionnés par l'absor
RATIONS SUR LE DIAGNOSTIC, LE PRONOSTIC ET LE TRAITEMENT DE LA GRANDE HYSTÉRIE Chapitre premier. — Diagnostic et pronostic....
attaques..................... 599 ^ ''I. — Traitement de la grande hystérie ............................. A. — Hydrothérapie
que. Page 343, ligne 4. — Au lieu de : les observations d'attaque d' hystérie accom-pagnées de : lisez : les observations d'att
5 (1934) Oeuvre scientifique
moelle ; les affections des nerfs ; les affections des muscles ; l' hystérie et le pithiatisme ; les troubles physiopathique
Gaz. hebdomad. de méd. et de chir., août 1890); 2° Hypnotisme et hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique (in Gaz
n organique ou d'un état purement névropathique, de neurasthénie, d' hystérie , ou enfin d'une maladie simulée ? Assurément, s
peuvent être reproduits par suggestion, on peut affirmer que, si l' hystérie intervient dans la genèse des accidents, elle n
stème nerveux, et ce trouble est étranger à la symptomatologie de l' hystérie . Ce sont Westphal et Erh qui ont les premiers,
fection organique, car ces symptômes ne peuvent être produits par l' hystérie ; c'est du moins l'opinion que je soutiens depui
tail). Ces phénomènes ne font pas partie de la symptomatologie de l' hystérie . Je prévois une objection que vous pourriez me
ue les précédents, car on ne les observe jamais dans les attaques d' hystérie et parce qu'ils ne peuvent pas être l'oeuvre de
mécanisme. L'histoire de ce que l'on a appelé « les stigmates de l' hystérie », l'hémianesthésie sensitivo-sensorielle, est
iques pour voir que dans la très grande majorité des observations d' hystérie (observations de troubles moteurs, attaques, tr
x de Paris, le 28 juin 1906, et qui a pour titre Ma Conception de l' Hystérie et de l'Hypnotisme : .' « Avant d'explorer la s
vement en vue des malades ayant des manifestations incontestables d' hystérie , telles que des attaques caractéristiques; j'aj
bles visuels qui constituent les prétendus stigmates oculaires de l' hystérie , je disais en terminant : ' « J'ai étudié de
ontre-suggestion ont fini par être bien compris que le domaine de l' hystérie s'est notablement réduit, que les hôpitaux ne son
e des orteils paraît faire défaut. Je ne l'ai jamais observé dans l' hystérie , que cette névrose se fut manifestée par des tr
particulièrement précieuse, car elle permet d'écarter l'hypothèse d' hystérie . Il en est de même pour la paraplégie au début.
médecins chargés de l'examen à émettre l'avis qu'il s'a- gissait d' hystérie ou de simulation ; ayant observé chez ce malade u
pas aussi régulières et sur laquelle je reviendrai en traitant de l' hystérie . '. (') Un certain nombre d'auteurs emploient i
quelle il importe d'être fixé : je veux parler de l'influence que l' hystérie pourrait exercer sur les réflexes tendineux et os
'y a pas encore bien longtemps, les neurologistes admettaient que l' hystérie est capable de déterminer des troubles dans la ré
l'étude de ces réflexes à l'état pathologique qu'on a attribué à l' hystérie la faculté de produire une surréflectivité géné
s manifestations hystériques, elle était généralement attribuée à l' hystérie . Il est facile d'imaginer, avec les notions act
ûment incorporé des cas de paralysie organique dans le domaine de l' hystérie , on était inévitablement conduit à admettre que c
ailleurs, était acceptée d'autant plus volontiers qu'on prêtait à l' hystérie , comme à quelque agent matériel, la faculté de se
. Pour établir que l'exagération des réflexes tendineux relève de l' hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une par
ction exercée sur elle par la suggestion, dépend exclusivement de l' hystérie , et, d'autre part, que l'exagération des réflexes
x, disparaissant avec la paralysie, devait être intimement liée à l' hystérie . « Il est à souhaiter que les neurologistes qui
un seul sujet de ce genre, et en 1908, lors de la discussion sur l' hystérie à la Société de neurologie de Paris, il ne se t
tore Levi, intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d' hystérie avec forte exagération des réflexes tendineux »
a encore des neurologistes pari- siens réellement convaincus que l' hystérie peut exagérer les réflexes tendineux, que ne le
voici ce qui s'est produit : on a bien présenté, avec l'étiquette d' hystérie , quelques hémiplégiques et quelques paraplégi-
exemple, un individu âgé, n'ayant jamais eu de manifestations de l' hystérie et frappé d'hémiplégie sans cause immédiate app
é. 92 SÉMIOLOGIE miplégie, si le malade n'a pas de stigmates de l' hystérie , s'il est syphili- tique, ou s'il présente les
motion, on n'hésitera guère à admettre que la paralysie relève de l' hystérie . Il ne me vient certes pas à l'esprit de refuse
que de l'appareil circulatoire ne conférant pas l'immunité contre l' hystérie , un individu porteur d'une pareille affection e
nt faire complè- tement défaut dans les paralysies hystériques et l' hystérie ne mettant pas à l'abri des affections organiqu
nts peuvent être troublés. (') Voir à ce sujet : « Association de l' hystérie avec les maladies organiques du système nerveux,
ent nor- male ? En ce qui concerne les troubles de motilité que l' hystérie peut engen- drer dans le domaine des muscles de
ait que confirmer (-». L'existence de la paralysie flasque dans l' hystérie a été longtemps mise en doute et Charcot, après
côté, je conçois fort bien que ce signe puisse être observé dans l' hystérie ou plutôt être simulé par l'hystérie. Quoi qu'i
gne puisse être observé dans l'hystérie ou plutôt être simulé par l' hystérie . Quoi qu'il en soit, il semble pour le moins pl
ieur ; un observateur superficiel sera exposé à faire dépendre de l' hystérie les phénomènes tendineux. Je dois reconnaître c
ons, l'opinion de Rosenbach me paraît juste ; je ne crois pas que l' hystérie puisse, au même titre qu'une affection organiqu
ompte des raisons pour lesquelles ces caractères font défaut dans l' hystérie , il faut au préalable chercher à comprendre le
ains médecins admettent que l'agent qui produit les phénomènes de l' hystérie peut se localiser dans divers départements de l'é
tie à cause de cette conception pathogénique que l'on a considéré l' hystérie comme capable d'engendrer des paralysies identi
out autre. Ce phénomène, de même que les autres manifestations de l' hystérie du . reste, ne saurait être considéré comme la
de paralysies semble bien montrer que la paralysie qui relève de l' hystérie a pour origine la sug- gestion ou l'auto-sugges
le que la volonté ne peut réaliser et qu'on n'observe jamais dans l' hystérie , que, d'autre part, l'aspect de la contracture hy
ouble en question; aussi, quoique je ne l'aie jamais observé dans l' hystérie , il me semble fort possible qu'exceptionnellement
s réflexions précédentes ne s'appliquent qu'aux manifestations de l' hystérie , les plus communes du reste, qui sont susceptib
épithète de primitives, par opposition à certains troubles liés à l' hystérie , tels que l'amyotrophie ou les rétractions fibr
troncs nerveux et la DR étant étrangères à la symptomatologie de l' hystérie , leur présence dans l'hémiplégie alterne facili
paralysie de la troisième paire aide aussi à écarter l'hypothèse d' hystérie dans cette variété d'hémiplégie décrite par Weber
rmer une opinion précise, à reconnaître si l'hémiplégie dépend de l' hystérie , ou si elle est liée à une affection organique
uant à leur nature et ne pourrait-elle pas conduire au diagnostic d' hystérie ou d'association hys- téro-organique ? Rien n'a
maladie des tics convulsifs, affection absolument indépendante de l' hystérie , faisait ressortir que « ces malades peuvent so
intacts, il y avait encore lieu de se demander si dans l'espèce, l' hystérie n'aurait pas été en cause et s'il ne se serait
l'hystérie n'aurait pas été en cause et s'il ne se serait pas agi d' hystérie ou d'une association hystéro-organique. J'avoue
HYSTERIE-PITHIATISME I. HYSTÉRIE-PITHIATISME. I DÉFINITION DE L' HYSTÉRIE (J. BABI1VSKI.) Publié dans les comptes rendu
ce du 7 novembre 19 0 I . Malgré le grand nombre des travaux dont l' hystérie a été l'objet, les médecins ne semblent pas se
nces dans la manière dont, les uns et les autres, nous comprenons l' hystérie . Le désaccord tient sans doute à ce que les aut
désaccord tient sans doute à ce que les auteurs qui ont traité de l' hystérie n'en ont pas donné une définition suffisamment ne
i don- ner raison à Lasègue, qui a déclaré que « la définition de l' hystérie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais ».
(Diction- naire de la langue française, par Littré), soutenir que l' hystérie n'est pas définissable équivaudrait à dire que
nir que l'hystérie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l' hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres af
Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagnostic d' hystérie , à moins d'employer des mots qui soient pour lu
t, à sa façon. Mais pour s'entendre sur les questions relatives à l' hystérie , qui sont encore l'objet de discussions, il ser
ères faciles à observer, communs à toutes les manifesta- tions de l' hystérie et qui leur soient exclusivement propres. Pour
her des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l' hystérie . Considérons les grandes manifestations de l'hy
éparer de l'hystérie. Considérons les grandes manifestations de l' hystérie , les crises ner- veuses, les paralysies, les co
auteurs l'ont pensé, de se servir de ces caractères pour définir l' hystérie ? Tel n'est pas mon avis, car aucun d'eux n'app
et, bien d'autres affections qui sont fonction- nelles, mentales. L' hystérie n'est pas seule susceptible d'être provoquée pa
r une influence sur la genèse de troubles mentaux indépendants de l' hystérie , elles sont même capables de faire apparaître c
céré- brale peut être consécutive à une vive émotion. De même que l' hystérie , la goutte peut se manifester par des accidents
, donner à ce mot « suggestion », qui, comme le mot DÉFINITION DE L' HYSTÉRIE 45g « hystérie », ne me semble pas avoir été dé
« suggestion », qui, comme le mot DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE 45g « hystérie », ne me semble pas avoir été défini avec une pré
aucune des affections actuellement bien classées hors du cadre de l' hystérie ne peut être reproduite par suggestion ; il est
ule affection nerveuse bien définie et située hors des limites de l' hystérie que la psychothérapie seule soit en mesure de f
s d'apparaître sans avoir été précédés d'autres manifestations de l' hystérie . Je crois qu'il est légitime d'appeler encore h
iques des troubles qui, sans présenter les (') Voir : Hypnotisme et Hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique. Leçon
ki, et publiée en 8gi dans la Gazette hebdomadaire. DÉFINITION DE L' HYSTÉRIE G6 caractères des accidents primitifs, sont lié
trou- bles l'épithète de secondaires. L'atrophie musculaire dans l' hystérie (') est le type du genre : elle n'apparrait jam
des phé- nomènes hystériques primitifs qu'on doit les rattacher à l' hystérie . Mais, me dira-t-on peut-être, jusqu'à présent
é à défi- nir les accidents hystériques ; comment définissez-vous l' hystérie elle- même ? Je répondrai que l'hystérie sans m
comment définissez-vous l'hystérie elle- même ? Je répondrai que l' hystérie sans manifestations hystériques est en quelque
ns hystériques. En résumé, voici la définition que je propose : L' hystérie est un état psychique rendant le sujet (qui s'y t
r, j'ai été conduit à déterminer les attributs qui sont propres à l' hystérie et qui, par conséquent, la définissent par une
discussion, que l'on s'accorde à classer les uns dans le cadre de l' hystérie , les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui
chives de Neurologie. (i) Dans mon travail intitulé « Hypnotisme et Hystérie », que j'ai mentionné plus haut, j'ai déve- lop
ènes hysté- riques ; cette idée ressort aussi de ma définition de l' hystérie . Mais je voudrais être plus précis et détermine
s être plus précis et déterminer avec exactitude le lien qui unit l' hystérie à l'hypnotisme. On peut définir l'hypnotisme de
sont identiques aux accidents hystériques. Les manifestations de l' hystérie sont donc exactement semblables à celles de l'hyp
que l'on pourrait me faire. Il n'est pas rare d'observer des cas d' hystérie incontestable se manifestant par des crises ou
suasion, au moins en apparence, soutiendra-t-on pour ce motif que l' hystérie n'est pas en cause ? Je ne prétends pas, répondra
lgré l'échec essuyé par la psychothérapie, j'affirme qu'il s'agit d' hystérie , c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas
iblis ou abolis et il y aurait de la D R ; aucune autre cause que l' hystérie ne peut produire une paralysie de ce genre ; ma
rouble encore non classé qu'on veut faire entrer dans le cadre de l' hystérie ; qu'on le reproduise d'abord par suggestion, q
droit, en présence d'un nou- veau cas identique, de diagnostiquer l' hystérie , même si le traitement psychique reste sans eff
ffet entre les troubles en question et une manifes- DÉFINITION DE L' HYSTÉRIE 463 tation hystérique primitive s'impose ; il e
e l'exagération des réflexes tendineux ne peut être provoquée par l' hystérie ('). Je dis qu'il est impos- sible d'exagérer p
rvations de ce genre qu'on a publiées et qui ont été rangées dans l' hystérie sont loin d'être démonstratives selon moi, car
privés de cette propriété ? z On est même en droit de dire que l' hystérie ainsi définie est l'affection mentale qu'il imp
reconnue ou méconnue. Si l'on m'objectait que ma délimitation de l' hystérie est arbitraire, voici ce que je répondrais. Il
s que la persuasion ne peut faire disparaître. Si je me sers du mot hystérie , quoiqu'il fût plus raisonnable d'abandonner l'us
essentiel de s'entendre une fois pour toutes sur la définition de l' hystérie , j'invite mes collègues, s'ils n'acceptent pas
que je propose, à nous faire connaître leur manière de concevoir l' hystérie et à indiquer le sens qu'ils attachent à ce mot
atique » serait substitué à « hystérique ». II MA CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'hypnotisé (PITHIATISME) (J. Babinski)
l'indique le titre de cette conférence, ma manière de conce- voir l' hystérie et l'hypnotisme diffère de la doctrine classique.
uns d'entre eux, comme MM. Dutil etLaubry, au- teurs de l'article « Hystérie », paru dans la deuxième édition du Traité de M
Ils avaient cherché à mettre ce caractère en évidence en appelant « Hystérie » de j7 ? e utérus, ce groupe nosologique, et i
notion primitive était inexacte ; néanmoins, on conserva le terme « hystérie » parce que cette affection semblait tout au 3A
mologique. S'il n'est pas absolument nécessaire de supprimer le mot hystérie , il est indispensable de le définir à nouveau,
e d'en donner une qui le satisfit, déclara que « la définition de l' hystérie n'avait jamais été donnée et qu'elle ne le sera
n des attributs qui semblent appartenir en propre à cet objet. Si l' hystérie ne pouvait être définie, c'est qu'elle se confon-
rayer des cadres noso- logiques. Si, au contraire, on estime que l' hystérie a des attributs spé- ciaux, on peut et on doit
ux propositions. Aussi, la plupart des médecins qui ont écrit sur l' hystérie n'ont pas contesté la possibilité d'une définit
s ne se sont pas estimés en mesure de l'énoncer avec précision. L' hystérie , suivant l'opinion la plus répandue, devrait surt
aux autres les éléments qui la composent. On dit généralement que l' hystérie se manifeste par deux ordres de CONCEPTION DE L
ment que l'hystérie se manifeste par deux ordres de CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 467 troubles, les uns perman
notable sur l'état général. Telle est la conception classique de l' hystérie , la manière dont on la définit. Il en résulte q
de la névrose. En procédant ainsi, on a été amené à classer dans l' hystérie les phéno- mènes les plus variés. Vous aurez un
vralgies hystériques, en particulier des névralgies sciatiques. L' hystérie serait capable de donner lieu à des troubles ment
ppareil de la vision est considéré comme payant un large tribut à l' hystérie ; outre la diminution de l'acuité visuelle, le ré
pupillaire pendant les attaques et, en dehors même des attaques, l' hystérie pourrait provoquer de l'inégalité des pupilles et
es faits d'angine de poitrine, de tachycardie et de pouls lent. L' hystérie se manifesterait à l'estomac par des gastralgies,
e, est fort longue et que, d'après l'opinion généralement admise, l' hystérie serait en mesure de se manifester de toutes les f
sure de se manifester de toutes les façons. Charcot avait dit que l' hystérie est « la grande simulatrice » ; on a renchéri sur
ur cette proposition et on en a altéré le sens en soutenant que « l' hystérie peut tout faire ». Du reste, cette idée, que be
ontiers leur parait conforme à leur conception un peu nuageuse de l' hystérie , suivant laquelle cette affection serait causée p
es cas exceptionnels où j'ai été en face de « professionnels » de l' hystérie , pour lesquels cet état est un gagne-pain, et q
présence, mes élèves, des symp- tômes que l'on peut observer dans l' hystérie ; j'agis avec la même cir- conspection, même si
vement en vue des malades ayant des manifestations incontestables d' hystérie , telles que des attaques caractéristiques ; j'ajo
ur attribue et la conception classique ainsi que la définition de l' hystérie fondées sur leur existence se trouvent ébranlée
parmi les caractères énoncés plus haut et devant servir à définir l' hystérie , il n'y en a pas un qui, à ce point de vue, mér
lésions vasculaires : ce caractère n'est donc pas distinc- tif de l' hystérie et ne peut faire partie d'une définition. La rapi
èdent pas souvent d'une ma- nière brusque, soudaine ? De même que l' hystérie , la goutte peut se mani- fester par des acciden
iés qui se succèdent et se substituent les uns aux autres. Enfin, l' hystérie n'est pas la seule maladie qui, d'habitude, n'a
iniques qui ont été proposées. Selon Moëbius, on peut ranger dans l' hystérie toutes les modifications corporelles provoquées
actère précédent ne s'applique pas à toutes les manifestations de l' hystérie et il s'applique à des troubles incontestableme
rie et il s'applique à des troubles incontestablement étrangers à l' hystérie ; une hallucination hystérique n'est pas une mo
pas dues à des représentations mentales ? P. Janet a écrit : « L' hystérie est une psychose appartenant au groupe des mala
qui pourrait se discuter, que ces caractères appartiennent bien à l' hystérie , il est évident qu'ils n'en constituent pas les
p;'7E-Pf7'77y/t7'7S ? ? discuter la valeur des autres données sur l' hystérie admises dans la doc- trine classique. Y a-t-il,
sur ce sujet avant d'avoir au préalable déterminé le sens du mot « hystérie », c'est-à-dire de l'avoir défini. C'est ce que
enu en contester la valeur. Que s'agit-il de faire pour définir l' hystérie ? Je l'ai dit plusieurs fois : il n'y a qu'à dé
roubles nerveux qui, de l'avis de tout le monde, sont étrangers à l' hystérie , et faire ainsi ressortir les caractères distin
choque pas la raison ; c'est de la persuasion. z) Définition do l' hystérie , par J. Babinski (Société de Neurologie, séance d
(Société de Neurologie, séance du 7 novembre 1901) CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME ! I ï 3 Reprenons notre argu
teur. Or, aucune des affections classées aujourd'hui en dehors de l' hystérie ne peut être repro- duite rigoureusement par su
de son affaiblissement cérébral, est tour- () Voir : Hypnotisme cl hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique. Leçon
s d'apparaître sans avoir été précédés d'autres manifestations de l' hystérie . J'estime qu'il serait légitime d'appeler encor
troubles l'épithète de secondaires. L'atrophie mus- culaire, dans l' hystérie ('), serait le type du genre; elle n'apparaît jam
evenue normale ; il est donc permis de rattacher cette atrophie à l' hystérie . Toutefois, je reconnais qu'on pourrait discuter
ni que les accidents hystériques et vous me demanderez de définir l' hystérie elle- même. Je pourrais vous répondre que c'e
, par J. Babinski (Archives de Neurologie, 1886). CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE G'lIY ? \'OTIS.IIE 475 peut-être le droit
roit de m'objecter que certains troubles absolument étran- gers à l' hystérie sont aussi la conséquence de l'autosuggestion ; n
st préférable d'éviter. Remarquez bien, d'ail- leurs, que séparer l' hystérie de ces manifestations, c'est réaliser une abs-
urement. ' En résumé, voici la définition que je vous soumets : L' hystérie est un état psychique spécial qui se manifeste pr
qu'une question secondaire au point de vue de la délimitation de l' hystérie . 2° On m'a fait cette autre objection : il y a
l'hystérie. 2° On m'a fait cette autre objection : il y a des cas d' hystérie franche qui sont rebelles à la persuasion, qui
jecté que la psychothérapie n'était pas efficace seu- lement dans l' hystérie et que, par conséquent, la curabilité par persua-
ue je ne conteste pas l'utilité de la psychothérapie en dehors de l' hystérie ; je soutiens seulement que les accidents hysté
eures aux soins de la toilette, etc., et essayez de CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 477 guérir par la persuasion
et ne peut être comparée à celle que vous avez dans certains cas d' hystérie , où, en quelques instants, vous guérissez compl
ette autre critique : « Pourquoi limitez-vous ainsi le domaine de l' hystérie ? » Je répondrai que les classifications ne peu
nt, de faire une revision utile des nombreux troubles attribués à l' hystérie , que nous avons énumérés plus haut et de voir s'i
énumérés plus haut et de voir s'ils en font réellement partie. L' hystérie peut donner naissance à des crises nerveuses sous
sies, d'aphonie, d'incontinence d'urine puissent être causées par l' hystérie ? Assurément non, car elles ne possèdent pas to
table la possibilité de l'exagération des réflexes tendineux dans l' hystérie , ce qui tient, sans doute, à ce qu'ils ne sont pa
'opinion ancienne, n'a pu être apportée. Vous voyez donc déjà que l' hystérie ne peut pas tout faire ; elle est incapable de
ion du système pyramidal. Pour les mêmes raisons, je soutiens que l' hystérie ne donne jamais naissance à des paralysies limi
de Neurologie de Paris, séance du 1er mars goli). CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 479 9 de paralysie de la 3e
une. Si l'atrophie musculaire simple, sans D. R. peut dépendre de l' hystérie en qualité de manifestation secondaire, il n'en
ut pas les reproduire par suggestion. On a l'habitude de dire que l' hystérie provoque souvent une anesthésie complète de la
que vous n'y arriverez pas. Les hyperesthésies sont communes dans l' hystérie , mais elles ne sont pas cantonnées rigoureuseme
eusement dans le territoire d'un nerf périphérique. z En réalité, l' hystérie n'est pas plus capable d'atteindre un nerf sensit
, dont on se sert pour dési- gner certaines douleurs dépendant de l' hystérie , est impropre ; il est im- possible de faire na
ds aussi que la réalité des troubles cutanés et vaso-moteurs dans l' hystérie est loin d'être démontrée. Pour ce qui me concern
ont été induits en erreur par des simulateurs, ou ont attribué à l' hystérie ce qui appartenait à quelque affection concomit
buts des mani- festations hystériques primitives, appartiennent à l' hystérie , mais je doute fort que cela arrive; je ne croi
faire partie de la classe des accidents hystériques secondaires. L' hystérie peut produire de l'aphonie et des troubles respir
moptysies, les hématémèses, les hématuries puissent dépen- dre de l' hystérie ; ce sont probablement des cas d'association hyst
longtemps considérés comme atteints d'hémoptysie ou CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 481 d'hématurie hystérique e
nt de déceler l'existence des affections organiques viscérales. L' hystérie peut provoquer des douleurs dans la région du coe
de faits de tachycardie ou de pouls lent pouvant être attribués à l' hystérie . On observe parfois dans l'hystérie, une émissi
lent pouvant être attribués à l'hystérie. On observe parfois dans l' hystérie , une émission d'urine qui semble in- dépendante
e sont là des raisons tout à fait insuffisantes, car, d'une part, l' hystérie ne confère pas l'immu- nité contre les autres m
à caution. Pour démontrer que la fièvre puisse être un produit de l' hystérie , il faudrait présenter des faits où la fièvre se
ne saurait, en pareil cas, être question de fièvre hystérique. L' hystérie . malgré l'élimination de troubles nombreux qui lu
chothérapie. Voyant que l'analyse des faits conduit à éliminer de l' hystérie tous les phénomènes objectifs que la suggestion
uel- ques-uns d'entre vous sont peut-être amenés à se demander si l' hystérie est réellement un état pathologique et si les m
cinés, de fuir le danger imaginaire en ('.) Voir : Association de l' hystérie avec les maladies organiques du système nerveux,
dicale des Hôpitaux de Paris, 1 1 novembre 1892). CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 483 s'exposant à un danger r
p. 76). J'estime qu'il faut procéder avec l'hypnotisme comme avec l' hystérie et, faisant d'abord abstraction de toute idée t
festations de l'hypnotisme sont absolument identiques à celles de l' hystérie , et si l'on ignorait les circonstances dans les
stion de nuances et nous avons vu, du reste, que les symptômes de l' hystérie auxquels on a attaché le plus d'importance, les
qui sont identiques aux accidents hystériques. » Comme on le voit l' hystérie et l'hypnotisme sont faits de la même pâte, se
ement à ce que déclarait alors M. Bernheim (') Voir : Hypnotisme et hystérie , par J. Babinski. Leçon faite à la Salpêtrière, l
omènes hystériques et que des liens intimes unissent l'hypnotisme à l' hystérie . » CONCEPTION DE L'HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME
liens intimes unissent l'hypnotisme à l'hystérie. » CONCEPTION DE L' HYSTÉRIE ET DE L'HYPNOTISME 485 On peut dire d'une maniè
arrive à cette conclusion qu'il est essentiel de connaître à fond l' hystérie et de bien manier la psychothérapie. Messieur
ulièrement à votre réflexion le côté pratique de ma définition de l' hystérie ; suivant ma conception, cette névrose est cons
: naturam morborum curationes ostendunt. III DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE PITHIATISME [J. BABINSKI. Pu
clinique de Charcot, je fus, à mes débuts, imprégné des idées sur l' hystérie qu'on y enseignait à cette époque et qui, jusque
miration profonde pour le grand neurologiste dont les travaux sur l' hystérie , fort importants d'ailleurs malgré les erreurs qu
, tout au moins, singulièrement exagéré cette faculté attribuée à l' hystérie de reproduire les maladies les plus diverses, «
s qui l'ont fait abandonner. Selon moi, l'extension excessive que l' hystérie a subie tient à trois causes principales : 1" on
; 2" on a méconnu l'importance de la supercherie, DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE Il 8 -J et, faute d'une surveill
Il 8 -J et, faute d'une surveillance suffisante, on a rattaché à l' hystérie des phéno- mènes qui relevaient de la simulatio
sans crainte d'être contredit, que l'on a fréquemment rapporté à l' hystérie des cas d'hémiplégie organique, mais je soutien
omitante, d'antécédents syphilitiques, des prétendus stigmates de l' hystérie , les circonstances dans lesquelles la paralysie
soit liée ou non à la suggestion, dénote néanmoins l'existence de l' hystérie . Cela est exact, mais il est certain aussi qu'o
tions et discussions à la Société de neurologie, j'ai soutenu que l' hystérie était incapable de modifier les réflexes tendineu
action qu'elles ont exercée sur la concep- tion traditionnelle de l' hystérie . Nous touchons ainsi à l'un des côtés les plus
peler leurs souvenirs pour se remémorer des faits DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 489 de ce genre. Voulait-on guér
té de la paralysie ; l'on était amené fatalement à en déduire que l' hystérie était en mesure de produire des phénomènes de cet
n n'avait pas manqué de franchir. Cela n'est pas encore tout : si l' hystérie est capable d'engendrer de pareils troubles à l
tait presque infailliblement conduit à attribuer l'hémo- ptysie à l' hystérie . La fièvre même, s'il y en avait, ne faisait pas
reil diagnostic, car il était tout naturel, après avoir admis que l' hystérie fût apte à exercer une action perturbatrice sur l
s exemples depuis qu'ils m'ont vu entreprendre ma campagne contre l' hystérie tra- ditionnelle ; ce sont des hémoptysies, des
adition. 2° On trouve sans cesse la simulation dans l'histoire de l' hystérie . C'est là d'ailleurs une vérité qui n'est pas n
ent prendre à des mensonges plus ou moins habiles et attribuent à l' hystérie des phénomènes résultant de la supercherie. Ces
ontractures, d'anesthésies, etc., rangés, de l'avis unanime, dans l' hystérie . Il est impossible de distinguer objectivement
imulation est en cause plutôt que la suggestion ? DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 49r Sur des raisons d'ordre mora
d'une manière générale est indiscutable, c'est que le domaine de l' hystérie a été singulièrement grossi par l'immixtion d'inn
conque. Un très grand nombre de pareils faits ont été rapportés à l' hystérie uniquement sur la constatation des prétendus stig
ituelle boutade inédite de Lasègue : 4ga HYSTÉRIE-PITHIATISME « L' hystérie est une corbeille dans laquelle on jette les papi
mes contradicteurs, nous voulons bien reconnaître que le champ de l' hystérie a été démesurément agrandi par les erreurs de d
encore que de pareils faits ne dépendent pas dans certains cas de l' hystérie . Effectivement, je n'ai pas encore achevé ma dé
ent. 3° Reconnaître que parmi les troubles que l'on a rattachés à l' hystérie il en est qui peuvent être reproduits par sugge
utrui une idée quelconque, qu'elle soit déraison- DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 4g3 Comment délimiter le domaine
rmittente, pendant un laps de temps plus ou moins DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE ! ,g5 long, le bras privé de sou
choses. b) On a attribué à l'émotion un rôle très important dans l' hystérie et l'on a généralement admis que les phénomènes
ant de penser à sa paralysie, recouvre tout natu- DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 497 rellement l'usage de ses mem
xes vasomoteurs cutanés (dermographisme), qui ont été rangés dans l' hystérie . Nous verrons bientôt ce qu'il faut penser de c
ux autres groupes ('). Nous venons de voir, après avoir écarté de l' hystérie , telle que la tra- dition nous l'a transmise, t
es, dont la réalité n'est pas encore démontrée. DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 499 suite d'erreurs de diagnosti
établi, il faut se demander si l'on continuera à faire usage du mot hystérie . Ce n'est plus une question de logique, mais enco
y avoir d'hésitation à cet égard ; si l'on veut faire usage du mot hystérie , il est naturel de le réserver aux phénomènes pit
onsidérés comme les plus caractéristiques, les plus importants de l' hystérie et auxquels cette névrose doit surtout la curio
tachés à son étude. Pour ma part, je me servirai de ces deux termes hystérie et pithiatisme comme synonymes, laissant au tem
vra les conserver tous les deux, ou l'un d'entre eux seulement. L' hystérie ainsi définie constitue un état névropathique bie
le rappeler, on peut observer encore, à l'hôpital, des épidémies d' hystérie , on ne voit plus, de nos jours, de faits sembla
exac- titude du fait que je tâche de faire ressortir, de comparer l' hystérie telle qu'on l'observe actuellement dans les hôp
e telle qu'on l'observe actuellement dans les hôpitaux de Paris à l' hystérie d'il y a vingt à vingt-cinq ans. Les grands acc
s points de vue que je viens de considérer, les autres névroses à l' hystérie , on ne peut manquer d'être frappé par les diffé
n, qu'il y avait « de grandes analogies entre la psychasthénie et l' hystérie » ('). Que certaines phobies puissent être le r
nous comparons, c'est que, contrairement à ce qu'on observe dans l' hystérie , la maladie du doute avec ses diverses modalités
contraste avec l'extrême mutabilité des troubles qui constituent l' hystérie , le pithiatisme. Je ne prétends pas que la natu
maintenant par quelques-uns, que des affections indépendantes de l' hystérie peuvent être guéries par la suggestion ou par la
gique de dire que dans de pareils cas il s'agit d'associations de l' hystérie avec d'autres affections et que les troubles guér
roubles guéris par la psy- chothérapie sont ceux qui dépendent de l' hystérie . Il est de toute évidence que les phénomènes pi
irement exposé à jouer, s'il n'y prend pas garde, DÉMEMBREMENT DE L' HYSTÉRIE TRADITIONNELLE 503 dans la genèse des phénomène
vail ». A. D'une part, il ne commettra pas l'erreur d'attribuer à l' hystérie des états se manifestant par des caractères que
ccidents du travail a engendrés et dont la conception ancienne de l' hystérie est une des causes principales. a) Sachant que
en droit de conclure de cette étude que la conception ancienne de l' hystérie fondée sur des observations les unes insuffisante
s erronées, ne résiste pas à la critique ; que le démembrement de l' hystérie traditionnelle est une conséquence inévitable d'u
ne place fort importante, auquel on peut réserver la dénomination d' hystérie , mais qui est désigné d'une manière plus expres
l on l'envisage. L'hypnotisme a tout à fait les mêmes allures que l' hystérie avec laquelle il se confond ('). Les sujets h
ur sincérité connaît des limites. J'ai eu l'occasion d'écrire sur l' hystérie les lignes suivantes : Dans toutes sortes de ci
é n'était pas absolue : .' (') Voir J. Babinski. Ma conception de l' hystérie et de l'hypnotisme (pithiatisme), Chartres, igo6.
, de circuler et d'éviter tous les obstacles. Tout cela rapproche l' hystérie de la simulation et j'ai l'habitude de dire que
e considéré comme un moyen de commettre un viol. lABINSKI. 33 V HYSTÉRIE ET PITHIATISME [J. BÀBINSKI. Publié dans l'ex
terrogatoire les réflexions, les gestes inopportuns qui auraient pu HYSTÉRIE ET PITHIATISME 515 troubler la spontanéité de l
ollaboration avec J. Dagnan-Bouverel, ayant pour litre « Emotion et Hystérie (r9r), nous avons insisté sur la distinction qu'i
i ont conduit à l'opinion classique sur le rôle de l'émotion dans l' hystérie . J'ai montré qu'en suivant une pareille voie, o
on varie les observa- tions, de discerner les causes supposées de l' hystérie , de les dissocier et d'apprécier la valeur de c
trer dans des complexus représentatifs et de leur donner de la vie. HYSTÉRIE ET PITHIATISME 517 L'étude comparative de milie
nt ? C'est qu'autrefois le médecin « culti- vait » inconsciemment l' hystérie ou du moins, n'en connaissant pas bien le mécan
tion nous présentent sous un aspect tout nouveau les relations de l' hystérie avec l'émotion; elles montrent que l'émotion se
cère, profonde, secoue l'âme humaine, il n'y a plus de place pour l' hystérie . Ce qui précède permet de comprendre la variabi
tre assimilés à celle-ci, en ce qui concerne leurs relations avec l' hystérie , ou en diffèrent-ils ? Comme l'émotion, ils son
le avec de pareils accidents, ils jouent dans la genèse de certains HYSTÉRIE ET PITHIATISME 51g d'entre eux un rôle accessoi
e : « Crises de cata- lepsie hystérique et rigidité décérébrée ». HYSTÉRIE ET PITHIATISME 5ai diverses épreuves auxquelles
ment, semblent en tirer des déductions générales sur la nature de l' hystérie , la façon de la concevoir, qui, si elles étaient
poser, dans le cas 12, à des neurologistes avertis, le diagnostic d' hystérie . Chez cette malade, en particulier, les crises to
visageons, par exemple, l'hémianesthésie sensitivo-sensoriclle de l' hystérie , qui fait partie de cette catégorie de troubles q
uvres complètes, vol. III, p. 5,5. et suiv.) le passage suivant : HYSTÉRIE ET PITHIATISME z3 «Mais avant d'en venir à l'ho
jusqu'à quel point, chez la femme, les symp- tômes permanents de l' hystérie , les stigmates hystériques, comme nous avons l'
s tenté d'en conclure que sur ce point, au moins, leurs idées sur l' hystérie ne s'éloignent pas des miennes. Depuis des années
quelque douze ans par le Dr Morax, sur les troubles visuels dans l' hystérie , les passages sui- vants qui vous montreront qu
en dirai autant de la dischromatopsie, si particulière, attribuée à l' hystérie . Pour résumer mon impression actuelle sur la na
le sur la nature des troubles visuels, décrits comme stigmates de l' hystérie , je dirai qu'un médecin interrogeant ses malades,
qui, d'autre part, établissent d'une manière irréfutable, croyons- HYSTÉRIE ET PITHIATISME 525 nous, qu'il y a des phénomèn
'il y a des phénomènes, considérés autrefois comme cardinaux dans l' hystérie et qui répondent exactement à la définition que j
TIll lt l' 1 S M E Il y a beaucoup d'autres questions relatives à l' hystérie qui pourraient être discutées, notamment celles
ces morbides (La Presse médicale, 17 janvier 1912), s'exprime sur l' hystérie en ces termes : Ici encore, Sydenham va nous se
. Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l' hystérie ! Et pour voir à quel point Sydenham connaissai
l'hystérie ! Et pour voir à quel point Sydenham connaissait bien l' hystérie , il suffit de lire cet admirable chapitre qui lui
fluence d'un autre maître, de Charcot, connu une grande époque de l' hystérie , et pendant des années nos services nous ont mont
nos services nous ont montré chaque jour les plus beaux types de l' hystérie telle qu'on la décrivait à la Salpêtrière. Pren
e telle qu'on la décrivait à la Salpêtrière. Prenons l'exemple de l' hystérie mâle, En la seule année de 1889, dans mon service
ssais n'était pas, croyez-le bien, un hôpital privilégié en matière d' hystérie masculine. A la même époque, dans le service de
dans une salle de clinique générale de 38 lits, passaient 22 cas d' hystérie mâle indiscutable. El maintenant ? Par un singu
intenant ? Par un singulier changement à vue, il n'y a presque plus d' hystérie dans nos services, pas plus chez les femmes que
critique objective à laquelle M. Babinski a soumis la doctrine de l' hystérie . Ces hystériques si nombreux, si démonstratifs, s
artifi- cielle et intensive. Aujourd'hui que nous sommes avertis, l' hystérie a à peu près disparu de notre clinique hospital
gorie de troubles ayant pour attributs de pouvoir être produits par HYSTÉRIE ET PITHIATISME 527 suggestion et d'être suscept
eraient susceptibles d'en subir les effets, les manifestations de l' hystérie sont devenues, parti- culièrement dans les hôpi
ata, ni dans l'élément militaire, ni dans l'élément civil, de cas d' hystérie pas plus pendant la période de recul, qu'au mom
liminer la suggestion dont l'intervention est d'autant plus vrai- L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 531 1 semblable que, chez les
es nerveux ou des nerfs périphériques, et que l'auteur rattache à l' hystérie . Dans des cir- constances dramatiques, au momen
vement. Cette observa- tion serait démonstrative si le diagnostic d' hystérie était incontestable; mais rien n'est moins cert
attention sur le rôle du traumatisme dans la genèse des accidents d' hystérie locale ; cette conception fut défendue et dével
n des signes des affections organiques classées était, sans hési- L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 533 tation, portée à l'actif
534 HYSTÉRIE-PITHIATISME E que l'on était en présence d'un cas d' hystérie pure. Et cependant, les conditions dans lesquel
ons aux phénomènes nerveux d'ordre réflexe, de ne pas attribuer à l' hystérie tous les troubles consécutifs au traumatisme et i
se sont crus cependant en droit d'affirmer que, dans certains cas d' hystérie observés pendant la guerre, la suggestion n'ava
ilité et apportent parfois les éléments d'une auto- suggestion. L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 535 SYMPTOMATOLOGIE Si les
rois années de guerre, de dégager ce qui appartient en pro- pre à l' hystérie et ce qui lui a été indûment rattaché. Les mani
er à reprendre la conception ancienne des stigmates permanents de l' hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été décrits so
ister, ils ne sauraient en aucun cas nous autoriser à rattacher à l' hystérie les troubles nerveux qui les accompa- gnent,
s oublier qu'un même individu peut être sujet tantôt à des crises d' hystérie , tantôt à des crises épileptiques ; aussi, con-
arque que nous croyons devoir faire : le sujet, en pleine attaque d' hystérie et en apparence absolument étranger à tout ce q
thésies liées aux lésions des troncs nerveux. , ". , ' .. 1 ? ? L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 537 Ces troubles de sensibili
esquels la guérison a été obtenue rapidement, se rappor- taient à l' hystérie . Mais celle-ci n'est pas toujours alors seule en
pendant le sommeil, tandis qu'une griffe organique persiste. » L' HYSTÉRIE PENDANT LA il GUERRE 539 Sur ce dernier point l
de la tonicité musculaire permettant d'affirmer que pour le moins l' hystérie n'est pas seule en cause. Dans aucun des cas su
en question la loi que nous formulions précédemment à savoir que l' hystérie ne modifie jamais l'état des réflexes tendineux
est-il de même pour les réflexes cutanés ? Aucun des nombreux cas d' hystérie que nous avons observés n'est venu jusqu'à présen
faits ne peuvent donc servir à démontrer que l'anesthésie hysté- L' HYSTÉRIE PENDANT LA 11 GUERRE o 1 1 rique soit capable d
énomène n'implique pas du tout, comme certains le pensent, l'idée d' hystérie . Elle n'a cette signification que si le trouble
résumé, les faits nouveaux dont on s'est servi pour soutenir que l' hystérie est en état d'abolir les réflexes cutanés ne sont
liés à des affections organiques avaient été mis sur le compte de l' hystérie . Nous n'avons pas observé, non plus, depuis le
début de la guerre d'oedème que l'on put légitimement rattacher à l' hystérie . Un certain nombre d'oedèmes traumatiques, que
so-moteurs étaient considérés autrefois comme très com- muns dans l' hystérie . Nous avons contesté cette opinion et un grand
es troubles circulatoires et thermiques devaient être détachés de l' hystérie et elle nous a conduit à les considérer comme d
bles c'est qu'elle s'associe à des phénomènes d'une autre nature. L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 543 Malgré la fréquence des p
us nous croyons en droit de conclure que la conception moderne de l' hystérie n'a été ébranlée en aucun point. Bien plus elle
d mal interprétés et rattachés, faute d'une sémiologie précise, à l' hystérie bien qu'ils en fussent absolument distincts. Il
étal naissant, il aura bien des chances d'enrayer les rechutes. L' HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE 545 l'influence d'autres mode
estion, ils sont habituellement plus tenaces que lorsqu'il s'agit d' hystérie pure et ils sont plus sujets à la récidive. Il es
précédemment, nous le répétons, s'applique aux cas dans lesquels l' hystérie se présente à l'état de pureté ou constitue l'élé
tres neurologiques ont témoigné qu'ils partageaient les idées sur l' hystérie développées dans ce livre et soutenues depuis l
physiopathiques, terme devant exprimer l'idée que, d'une part, ni l' hystérie , ni aucun autre état psychopathique ne peuvent
« réflexe » et, d'autre part, à l'extraordinaire fortune du concept hystérie . On avait décrit, autrefois, sous le nom de par
cept de l'hystéro-traumatisme. On avait été conduit à attribuer à l' hystérie , presque sans exception, tous les troubles nerv
ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans ses Leçons cliniques sur l' hystérie à propos d'un malade atteint d'atrophie musculair
réflexes, une foule d'ac- cidents qui appartiennent absolument à l' hystérie et qui sont entrés tout naturellement dans le g
a conséquence de la donnée, classique autrefois, suivant laquelle l' hystérie était capable de tout faire sans en excepter mê
moteurs, thermiques et trophiques. Avec la conception ancienne de l' hystérie , il faut bien le reconnaître, la distinction en
ait inévitable. Les notions inhérentes à la conception moderne de l' hystérie condui- saient déjà, par contre, à séparer ces
vité tendineuse permettait bien lorsqu'elle était nette d'écarter l' hystérie , mais elle est parfois peu prononcée, discutable;
ffirmer qu'il y avait là des phénomènes qui ne dépendaient pas de l' hystérie et qui se rattachaient vraisemblablement aux ac
pathogénique de telles contractures, ajoute-t-il, reste obscur... L' hystérie n'est pas en cause. » Mentionnons encore les publ
érapiques. Si quelques-uns écartent pour cette raison l'hypothèse d' hystérie , aucun d'entre eux ne rapproche ces faits des d
, s'imposait à nous l'idée que ces désordres ne dérivaient pas de l' hystérie ou du moins que, si elle intervenait dans la ge
attribuées ni à une affection organique du système nerveux, ni à l' hystérie , nous conduisait à établir entre elles une conn
orter pour les traces au livre suivant : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et troubles nerveux d'ordre réflexe. Collection H
lexes cutanés et notamment des réflexes cuta- nés plantaires dans l' hystérie est encore discutée. Certains auteurs avec Déje
re que nous sommes en présence de phénomènes hys- tériques et que l' hystérie à elle seule est capable de provoquer une anesthé
ou de contracture pithiatique et encore leur réalité dans les cas d' hystérie pure ne nous paraît-elle pas prouvée. Si l'opinio
re notable que l'extrémité du membre, on est fondé à soutenir que l' hystérie intervient ici pour une part importante et que l'
eux, doivent être mis, pour la plus grande part, sur le compte de l' hystérie . On ne saurait trop insister sur la fréquence a
et se combinent avec les troubles réflexes, la par- ticipation de l' hystérie pouvant être tantôt légère, tantôt prépondérante.
r de ces trois sources : la lésion des nerfs, l'action réflexe et l' hystérie (cssociation hystéro- e/7< ? .ro-o ? MyMe),
e motilité comme étant de nature purement réflexe, sans lien avec l' hystérie et contre-indiquant dans l'espèce l'emploi de l
oment, Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec l' hystérie . Evolution. Mesures médico-militaires. Presse méd
u s'ils ne sont pas dus, pour une part plus ou moins grande, à de l' hystérie associée. A la vérité rien n'autorise à rejeter
ns l'évolution de l'affection aucune de ces bizarreries propres à l' hystérie . A quelle affection organique avons-nous affair
tale et d'Anatomie pathologique, ,or mars 1891). 30. Hypnotisme et hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique (Leçon
e faciale hystérique (Id., 4 novembre 1892). 36. Association de l' hystérie avec les maladies du système nerveux, les névrose
du cou (Société de Neurologie, 4 juillet 1901). 77. Définition de l' hystérie (Id., 7 novembre '901). 78. Des troubles pupill
gie, 15 janvier tgo3). 89. Sur l'état des réflexes tendineux dans l' hystérie (Société de Neurologie, 5 février 19o3). go.
laboration avec Delherm. Id., 7 juin igo6). 125. Ma conception de l' hystérie et de l'hypnotisme (Société de l'Internat des Hôp
ociété médicale des Hôpitaux, 1 er mars 1907). 134. Suggestion et hystérie . A propos de l'article de M. Bernheim intitulé :
e l'article de M. Bernheim intitulé : « Comment je comprends le mot Hystérie » (Bulletin médicel, 3o mars 1907). 135. Quelqu
'article de M. Sollier intitulé : « La définition et la nature de l' Hystérie » (Archives générales de Médecine, mars 1907).
nces dans le siège d'excitation (Id.). 1 4 1 Emotion, suggestion et hystérie (Id.). y2. Sur la définition de l'hystérie (Con
1 Emotion, suggestion et hystérie (Id.). y2. Sur la définition de l' hystérie (Congrès de Lausanne, août 1907). r(t3. Section
Ig07). t45. Sur les prétendus troubles trophiques de la peau dans l' hystérie (Société médi- cale des Hôpitaux, 6 décembre 1g
de M. Cruchet intitulé : « Définition de l'Hys- térie en général et Hystérie infantile » (Presse médicale, 21 décembre 1907).
M. Gordon intitulé : « Troubles vaso- . moteurs et trophiques de l' Hystérie » (Revue neurologique, 3o octobre 1908). i 5(r.
la Salpêtrière, novembre et décembre I go8). 155. Démembrement de l' hystérie traditionnelle. Pithiatisme (Semaine médicale,
1 gog). 158. Sur la fièvre et les troubles trophiques attribués à l' hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id.,
ttore Levy intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d' Hystérie avec exagération des réflexes tendineux. Réponse
Société française d'Electrothérapie, mars 1912). 191. Émotion et hystérie (en collaboration avec Jean Dagnan-Bouveret. Jour
. 224. Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec l' hystérie (en colla- boration avec Froment. Presse médica
llaboration avec Froment. Revue neurologique, juillet 1016). 237. Hystérie et Pithiatisme (en collaboration avec Froment. Re
. z48. Troubles physiopathiques d'ordre réflexe. Association avec l' hystérie . Évolu- , tion. Mesures médico-militaires (en c
tier et Jarkowski. Société de Neurologie, 2 décembre 1926). 286. Hystérie . Pithiatisme. A propos de la communication de MM.
Société de Neurologie, 2 mai 1929). 288. Réponse à Radovici. Sur l' Hystérie (Société de Neurologie, 5 juin ig3o). TABLE DES
YSTÉRIE-PITHIATISME I. Hystérie-pithiatisme. 1. - Définition de l' hystérie (i5 IL Ma conception de l'hystérie et de l'hypn
hiatisme. 1. - Définition de l'hystérie (i5 IL Ma conception de l' hystérie et de l'hypnotisme 465 III. Démembrement de l'h
ception de l'hystérie et de l'hypnotisme 465 III. Démembrement de l' hystérie traditionnelle. Pithiatisme 486 IV. De l'hypnot
IV. De l'hypnotisme en thérapeutique et en médecine légale 5o5 V. - Hystérie et pithiatisme 51l¡ VI. - Hystérie-pithiatisme
Hystérie et pithiatisme 51l¡ VI. - Hystérie-pithiatisme 520 II. L' hystérie pendant la guerre. VII. - Hystérie-pithiatisme
6 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
thologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d' hystérie . Superposition des anesthésies hystériques et do
ingomyélie et on ne la retrouve guère, et encore rarement, que dans l' hystérie . Des troubles trophiques analogues à ceux du pana
nt aussi profonde et complète que dans le cas présent. C'est dans l' hystérie seule, Messieurs, qu'un pareil syndrome peut se r
t, si l'on veut admettre ce fait, parfaitement vraisemblable, que l' hystérie s'est surajoutée chez notre homme à la maladie de
pu constater la présence des stigmates hystériques. Mais c'est une hystérie sans zones hystérogènes, sans attaques, jusqu'à p
aitement, doit porter sur deux éléments bien distincts. D'une part, l' hystérie .est jusqu'à un certain point susceptible d'améli
du 28 janvier 1890). Sommaire. — Importance de la connaissance de l' hystérie pour le chirurgien. —• Histoire du malade : chute
enu, mais sur lequel je ne saurais trop insister. Je veux parler de l' hystérie traumatique. Je me suis aperçu en effet que, grâc
est très souvent en jeu. Le chirurgien doit aujourd'hui connaître l' hystérie , l'hystérie traumatique en général et les acciden
vent en jeu. Le chirurgien doit aujourd'hui connaître l'hystérie, l' hystérie traumatique en général et les accidents d'hystéri
ître l'hystérie, l'hystérie traumatique en général et les accidents d' hystérie traumatique locale en particulier, aussi bien que
ant des données nouvelles de la neuropathologie, en ce qui concerne l' hystérie , considérée in ils surgical aspect, comme disent
ssants à examiner. Il est à peine besoin de justifier le diagnostic d' hystérie . La névrose est chez lui présente avec ses stigma
s, que de différences entre elles ! Je ne parle pas de leur nature, l' hystérie étant une maladie de nature dynamique, j'entends
ont, nous le savons aujourd'hui, partie du tableau symptomatique de l' hystérie . L'élément spasmodique peut se rencontrer chez le
ent avec une dé^irâi-tation analogue à celle qui est la règle clans l' hystérie , ils présentent d'autre part des caractères qui p
sont les caractères distinctifs de l'anesthésie syringomyélique. L' hystérie peut présenter, mais ne présente pas, en général,
e très vive. Il n'y a rien d'épileptique dans tout cela, tandis que l' hystérie s'y révèle d'une façon parfaitement nette. Les
dont souffre notre malade sont donc en réalité de petites attaques d' hystérie , manifestées seulement par une aura suivie d'une
, une auto-suggestion contraire a pu le défaire. Mais, Messieurs, l' hystérie ne se laisse pas aussi facilement déloger quand e
n'est pas le premier de ce genre que je mets sous vos yeux, combien l' hystérie mâle est souvent tenace, difficile à guérir dans
ic des accidents de ce genre est loin d'être toujours bénin, et que l' hystérie , chez l'homme comme chez la femme d'ailleurs, est
loin d'être guérie. Les stigmates persistent encore, témoignant que l' hystérie est toujours là, en dépit de l'amélioration relat
est singulier, Messieurs, que cette partie de la Symptomatologie de l' hystérie , qui semble cependant destinée, à mesure qu'on l'
aquelle, je crois l'avoir démontré, doit rentrer dans l'histoire de l' hystérie et se rencontre plus fréquemment chez l'homme.
lement peut occuper une place importante dans la symptomatologie de l' hystérie . Déjà autrefois même, j'avais cherché à le faire
térique ; nous avions reconnu, du moins, (1) Briquet. — Traité de l' hystérie , p. 478. (2) Voyez Leçons sur les Maladies du S
e chaque type de tremblement non hystérique a, dans la catégorie de l' hystérie , son pendant, son « sosie » qu'il faut apprendre
r l'importance qui s'attachera désormais à l'étude de ce phénomène. L' hystérie , dans cette forme, pourra simuler toutes les espè
die de Basedow, mais qu'il est tout simplement une manifestation de l' hystérie ! Voici, à mon avis, la classification des trem
énérale sont au contraire vibratoires. Tous ont leur « sosie » dans l' hystérie . La seconde grande catégorie comprend les tremb
res nerveux, l'autre dans l'intoxication mercurielle. Eh bien, dans l' hystérie , nous pouvons retrouver le tremblement de la sclé
lement de l'intoxication mercurielle, lui aussi, a son pendant dans l' hystérie . Il s'agit alors d'un tremblement qui persiste à
par les mouvements intentionnels. C'est ici le lieu de relever que l' hystérie , comme l'a surtout montré M. Letulle (1), peut êt
par ce fait hystérique puisse présenter un tremblement relevant de l' hystérie et simulant le tremblement hydrargyrique. La réal
oire qu'il existe un véritable tremblement mercuriel indépendant de l' hystérie , et émanant directement, en d'autres termes, de l
il faut apprendre à distinguer des cas où, chez les hydrargyriques, l' hystérie se développe et donne lieu à un tremblement mérit
aler probablement la coexistence de quelque autre signe univoque de l' hystérie . Il en a été ainsi chez un malade observé récemme
i se voit dans les maladies à tremblement pouvant être simulées par l' hystérie . Vous n'ignorez pas que le tremblement de la para
affection, chez notre homme. A la vérité, il n'est pas rare de voir l' hystérie entrer en combinaison avec la sclérose en plaques
r que chez 13... il y a coexistence de la sclérose en plaques et de l' hystérie , celle-ci étant représentée dans l'association pa
reproduite et qui présente tous les caractères de l'attaque de grande hystérie . Ajoutons que si pour un temps—nous l'avons plusi
de la sclérose en plaques s'est évanoui. Nous sommes en présence de l' hystérie , de l'hystérie seule et sans mélange; tout lui ap
en plaques s'est évanoui. Nous sommes en présence de l'hystérie, de l' hystérie seule et sans mélange; tout lui appartient chez n
que vous commettriez là. Aujourd'hui, la ténacité des accidents de l' hystérie mâle, surtout chez les sujets de la classe ouvriè
et s'accompagnent de perte de la connaissance. Ce sont des attaques d' hystérie tout à fait typiques. Il a, en outre, de petite
anger des appareils inamovibles dans la thérapeutique des accidents d' hystérie locale. Messieurs, La leçon d'aujourd'hui aur
Messieurs, La leçon d'aujourd'hui aura trait à un phénomène de l' hystérie encore peu connu, que j'ai observé un certain nom
description si remarquable, bien que condensée en quelques mots, de l' hystérie , sur une espèce de tuméfaction, d'enflure, qui es
ionnée et distinguée à il) Damascbino. — Troubles trophiques dans l' hystérie . Leçon recueillie par Revillout. — Gaz. des Hôp.,
I, 561-563. (2) Fabre. — Nouveaux fragments de clinique médicale. L' hystérie viscérale. Paris, 1883. Delahaye et Lecrosnier.
jours de sujets marqués, par la présence des stigmates, au sceau de l' hystérie la mieux caractérisée. Je me bornerai à vous cite
ieurs j et n'oubliez point combien la connaissance de ces accidents d' hystérie locale est indispensable au chirurgien. Je vous l
s ont justement permis de classer les premiers dans la catégorie de l' hystérie la mieux caractérisée. En effet notre malade pr
quelquefois isolé, mais fréquemment aussi mêlé à d'autres symptômes d' hystérie locale tels que l'anesthésie, la paralysie ou la
es de la sensibilité, pourra, dans certaines circonstances, simuler l' hystérie ou être simulé par elle, suivant les cas. Cette d
ic est encore rendue bien plus grande, si, étant donné qu'il s'agit d' hystérie , vous trouvez chez votre malade la dissociation d
gomyélie, mais peut cependant se rencontrer, ainsi qu'on sait, dans l' hystérie . C'est précisément ce qui est arrivé chez le mala
'heure et que je considérais comme représentant de petites attaques d' hystérie et dans l'abolition du goût sur un des côtés de l
de la syringomyélie, mais peut parfaitement bien se rencontrer dans l' hystérie . Aujourd'hui le doute, s'il pouvait subsister e
la première période de sa maladie, est sujet à des grandes attaques d' hystérie classiques avec phase épileptoïde, grands mouveme
re confirmer tout ce que je.vous ai dit au sujet de cet accident de l' hystérie locale. On peut reproduire artificiellement l'œdè
s le service de la clinique. Cette jeune fille est atteinte de grande hystérie tout à fait classique avec stigmates permanents,
moins qu'il ne soit survenu, pour une cause quelconque, une attaque d' hystérie dans la journée, auquel cas, au sortir de l'attaq
a demande, non encore guérie. Ces deux observations nous montrent l' hystérie traumatique chez la femme, où on la trouve peut ê
uvent que chez l'homme. Déplus elles prouvent l'identité absolue de l' hystérie chez les gens de la ville et chez ceux de la camp
, absolument sans instruction, qui réalisent deux types d'accidents d' hystérie locale les mieux caractérisés qui se puissent voi
moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique poplité externe. — Hystérie avec stigmates permanents. Pascal M..., trente-
at de la sensibilité chez le malade de l'observation XI (sciatique et hystérie ). Les stries simples indiquent les points où le
nt du champ visuel chez le malade de l'Observation XI (sciatique et hystérie ). Il est à remarquer que le cou-de-pi ed présen
mi-contracturée, est typique et porte au suprême degré le cachet de l' hystérie . La sciatique a donc servi d'appel aux manifest
n est bien simple. On pourrait penser évidemment chez cette femme à l' hystérie en voyant les limites de son anesthésie qui ne ré
les parties sensibles est graduelle et non pas brusque comme dans l' hystérie . De plus il ne s'agit pas d'une anesthésie, mais
u côté opposé, nous ne pouvons faire autrement que de l'attribuer à l' hystérie et non à la sciatique. Tel était du reste l'avis
ons dans ses antécédents personnels qu'elle a eu plusieurs attaques d' hystérie avec sensation de boule , sanglots, etc., et d'ai
hésie un peu paradoxale de notre malade ne serait qu'un symptôme de l' hystérie , et d'ailleurs l'association de l'hystérie a été
serait qu'un symptôme de l'hystérie, et d'ailleurs l'association de l' hystérie a été constatée plusieurs fois chez les sujets at
Il n'est pas spécifique, car on le peut rencontrer par exemple dans l' hystérie et dans la lèpre; mais, combiné à l'atrophie musc
du système nerveux, peut, il importe de le remarquer, se compliquer d' hystérie ; la névrose ajoute alors ses symptômes propres à
les deux cas de Roth et d'Oppenheim, où il y a association évidente d' hystérie et de syringomyélie. En résumé, on trouve 15 cas
nsi décomposés : 2 cas où le rétrécissement relève manifestement de l' hystérie , 7 cas de syringomyélie où la concomitance de l'h
stement de l'hystérie, 7 cas de syringomyélie où la concomitance de l' hystérie n'est point mentionnée (Déjerine) ; parmi ces cas
ins de la paraplégie qui en est la conséquence. A propos d'un cas d' hystérie masculine : 1° Paralysie dissociée du facial in
ité nerveuse Sommaire. — Progrès réalisés dans la connaissance de l' hystérie masculine en France et à l'étranger. — Descriptio
té des opinions concernant l'existence de la paralysie faciale dans l' hystérie . Sa rareté relativement au spasme glosso-labié hy
s quelques années, grâce aux efforts soutenus de l'école française, l' hystérie masculine, dont la grande fréquence devient chaqu
ôpitaux et agrégé de la Faculté 1. Il a fait la statistique des cas d' hystérie qu'il a rencontrés pendant son exercice à la cons
t son exercice à la consultation du Bureau central et a pu voir que l' hystérie mâle est très fréquente dans les classes inférieu
érieures de la société ; elle semble même y être plus fréquente que l' hystérie féminine. Nous parlons ici bien entendu de la gra
e que l'hystérie féminine. Nous parlons ici bien entendu de la grande hystérie , de l'hystérie massive comme l'appelle M. Marie,
e féminine. Nous parlons ici bien entendu de la grande hystérie, de l' hystérie massive comme l'appelle M. Marie, car pour 1 P.
la consultation du Bureau central. (Progr. Méd. 27 juillet 1889.) l' hystérie légère, c'est plutôt l'inverse que l'on est appel
nterne, qui a relevé, dans une des précédentes années, tous les cas d' hystérie mâle qui se sont succédé dans ses salles à l'hôpi
x et qui peuvent se résumer en ceci : autrefois nous ne voyions pas l' hystérie mâle; aujourd'hui, dans nos services, elle se pré
it suffisant. Ainsi, M. Bitot, à Rordeaux, a observé plus de 20 cas d' hystérie mâle dans le seul service de clinique générale di
e de deux ans. Je ne parle pas de l'étranger où la conversion « à l' hystérie mâle considérée comme une maladie fréquente chez
duire. En Angleterre les travaux de l'école de Man 1 A. Souques.— L' hystérie mâle dans un service hospitalier. (Arch. gén. dem
n service hospitalier. (Arch. gén. deméd., août 1890.) s Bitot. — L' hystérie mâle dans le service de M. le professeur Pitres à
confrères et nous. M. le professeur Mendel a montré la fréquence de l' hystérie chez l'homme dans les policliniques de cette vill
autorisé actuellement, si je ne me trompe, à inscrire à l'actif de l' hystérie bon nombre de cas désignés sous le nom de névrose
venu toutefois que par là on entend qu'il s'agit le plus souvent de l' hystérie mâle et que celle-ci ne diffère en rien d'essenti
rien d'essentiel, au point de vue des symptômes et du pronostic, de l' hystérie masculine déterminée par toute autre cause. Dan
riel clinique, tant général que spécial pour observer journellement l' hystérie mâle. Il lui faut, en effet des conditions part
connaissance de ces maladies. Il devrait en être de même en matière d' hystérie mâle. Que ceux qui ne sont pas placés convenablem
a névrose hystérique. Le médecin peut contribuer souvent à répandre l' hystérie et à en faire une maladie épidémique. Surtout ne
et à en faire une maladie épidémique. Surtout ne dorlotons pas trop l' hystérie chez l'homme, laissons-la aux femmes et aux enfan
n autre point de vue. Jl nous montre comment, dans la production de l' hystérie masculine, i» peut y avoir pour ainsi dire « cumu
n chef de clinique, dans son ouvrage sur les agents provocateurs de l' hystérie . L'hérédité est là, présente, sans doute, comme d
s agents provocateurs se disputent la prééminence. Les partisans de l' hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un cas
ans de l'hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un cas d' hystérie toxique : les habitudes alcooliques sont en effet
effet parfaitement avérées chez notre malade. D'autres partisans des hystéries multiples viendront également réclamer et à bon d
hoc nerveux, la terreur; ils trouveraient là tous les caractères de l' hystérie Iraumatique, dont on a voulu faire bien à tort un
ence d'attaques convulsives typiques, ayant le caractère de la grande hystérie , avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. Ces
e se liver en ces occasions. que je le soutiens depuis longtemps, l' hystérie est une et indivisible, et que sa véritable cause
ents dans les pieds et les mains. Mais ceci dépasse le domaine de l' hystérie et rentre plus vraisemblablement dans celui de l'
bien constatée chez un hystérique et qui me paraît bien dépendre de l' hystérie . Il me faut maintenant faire ressortir tout l'int
paralysie faciale, dont pour le moment je conteste l'existence dans l' hystérie , deviendrait bien et dûment démontrée. » Aujour
dicale des Hôpitaux en 1890 et 1891. Elles établissent que si, dans l' hystérie , la paralysie faciale est un fait exceptionnel, s
ris par ce qui précède, je ne puis voir chez notre malade qu'un cas d' hystérie « comme un autre » dans lequel étiologiquement, l
n, suivant les lois qui président à la localisa-lion des phénomènes d' hystérie traumatique sur les points frappés et dans leur v
né nos connaissances actuelles sur la subordination des causes dans l' hystérie , n'ont pas besoin de commentaires. je veux parl
érents, paraît-il, à la profession de tonnelier. XV. Sur un cas d' hystérie simulatrice du syndrome de Weber. Sommaire. — S
fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L' hystérie peut simuler le syndrome de Weber. — Importance d
ous trouvions au contraire en face d'une affection toute dynamique. L' hystérie serait-elle donc en cause? Oui, très certainement
nchement que je n'avais encore ni vu, ni entendu signaler d'exemple d' hystérie simulatrice de l'hémiplégie alterne pédonculo-pro
tielle. Et, cependant, je crois pouvoir affirmer d'ores et déjà que l' hystérie est seule en jeu ici et vous en donner une démons
vé ici, ni dans le passé ni dans le présent, d'attaques convulsives d' hystérie mais la malade nous a fait le récit de certaines
st pas pour cela complètement résolu. 11 se pourrait assurément que l' hystérie ne fût ici qu'un revêtement surajouté à une lésio
avoir cherché sans pouvoir les découvrir les stigmates officiels de l' hystérie , l'idée d'une lésion organique pouvait venir à l'
ral, les antécédents, etc., je gardai par devers moi cette idée que l' hystérie pouvait bien être en cause. Et l'événement vint m
pas cependant que le strabisme spasmodique peut se rencontrer dans l' hystérie . Supposez-le associé au blépharospasme précédent
en clinique générale l'importance d'une connaissance approfondie de l' hystérie et des diverses manifestations qu'elle peut prése
s névropathiques par les liens de l'hérédité et que, en somme, dans l' hystérie on ne connaît rien ou presque rien quand on ne co
s. Concédez -morqu'ici la zone d'anesthésie partielle se rat dans l' hystérie . C'est assez dire que ce symptôme ne saurait cara
72, p. 493. (2) Charcot, Leçons du Mardi, 1889, p. 501. puisque l' hystérie souvent et le tabès quelquefois peuvent le réalis
cément syphilitique ; il en existe au moins une autre qui relève de l' hystérie : ne savons-nous pas, en effet, que les accidents
édité qu'un traumatisme plus mental que physique a fait entrer dans l' hystérie , et qu'une hémiplégie, accompagnée de céphalée in
e fortune longuement amassée, le malade était une proie facile pour l' hystérie . Aussi bien, la goutte et la névropathie sont fai
ion. Comme il arrive souvent chez les individus d'un certain âge, l' hystérie a été précédée d'une période de neurasthénie prép
s tempes. Et voilà des hommes désemparés. Sortiront-ils jamais de l' hystérie qui les accable aujourd'hui ? C'est peu probable.
i les accable aujourd'hui ? C'est peu probable. Je ne connais guère l' hystérie mâle des artisans que depuis six ans, et je dois
hémihypoesthésie droite qui semble indiquer que, dans la syphilis, l' hystérie peut se mettre de la partie sous l'influence de l
mianesthésie que seule pourrait expliquer, en dehors de l'hypothèse d' hystérie , une lésion de la capsule interne. Et maintenan
s de la sclérose multiloculaire doivent être reportées à l'actif de l' hystérie . A côté de cette sclérose fruste par effacement
épressive, dans l'hypocondrie, la mélancolie; on le voit aussi dans l' hystérie . Dans cette dernière névrose, il peut tenir au ra
as dans notre description des bâillements qui peuvent survenir dans l' hystérie comme dans tout autre état pathologique ou même p
peut concevoir que les bâillements soient la première révélation de l' hystérie , mais cela ne ressort pas de nos quatre observati
ions que pour la figure 53. Il existe des stigmates permanents de l' hystérie : anesthésie totale du bras droit; anesthésie de
crises sont plus complètes et se rapprochent davantage de l'attaque d' hystérie ordinaire. Elles sont annoncées actuellement par
roubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a des crises d' hystérie . — A partir du moment où elle a commencé à être r
a gorge et l'é-touffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable attaque d' hystérie caractérisée par un phénomène inusité, le bâillem
est donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites attaques d' hystérie . La malade se plaint en outre de phénomènes dys
très peu et éprouve du dégoût pour les aliments. Les stigmates de l' hystérie sont très peu accentués chez cette malade. Il exi
ceux qui, physiologiquement pour ainsi dire, peuvent survenir dans l' hystérie comme au cours de tout autre état normal ou patho
, des autres manifestations convulsives limitées ou généralisées de l' hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans
peut supposer que ce soit là une manifestation monosymptomatique de l' hystérie . Dans ce cas, la question du diagnostic différent
ine et Mairet, que l'accès d'épilepsie, à l'inverse de l'at ¦ taque d' hystérie , augmente considérablement le taux -du résidu fix
ans inversion de la formule des phosphates. (1) La Nutrition dans l' hystérie , in-8°, 1890, p. 42. Terminons en disant que, a
thologique. Relation d'un cas type de maladie de Morvan compliqué d' hystérie . Superposition des anesthésies hystériques et de
u radius. (Leçon). Sommaire. — Importance de la connaissance de l' hystérie pollile chirurgien. — Histoire du malade : chute
anger des appareils inamovibles dans la thérapeutique des accidents d' hystérie locale..........95 vr. Hystéro-traumatisnie c
r la Paraplégie diabétique...........279 XIV. A propos d'un cas d' hystérie masculine : 10 Paralysie dissociée du facial infé
. (Leçon). Sommaire. — Progrès réalisés dans la connaissance de l' hystérie masculine en France et à l'étranger. — Descriptio
té des opinions concernant l'existence de la paralysie faciale dans l' hystérie . Sa rareté relativement au spasme glosso-labié hy
s nerveux : cumul des agents provocateurs. . 285 XV. Sur un cas d' hystérie simulatrice du syndrome de YVeber. Leçon). So
fibres du moteur oculaire commun et celles du faisceau pyramidal. L' hystérie peut simuler le syndrome de Weber. —Importance de
Huet).................._ 429 TABLE ANALYTIQUE A Absintuicme et hystérie , 303. Acromégalie et syringomyélie, 358; — part
e et syringomyélie, 358; — partielle, 358. Agents provocateurs de l' hystérie , 291. 303, 305, 306. Agraphie, 389. Alcoolism
s de l'hystérie, 291. 303, 305, 306. Agraphie, 389. Alcoolisme et hystérie , 291, 303. Amblyopie dans la sclérose en plaque
ingomyélique, 341 ; — dans la sciati-que-névrite, 159, 166 ; — dans l' hystérie et la syringomyélie, 41 ; — dans les paralysies h
Bâillements hystériques, 429 ; — comme première manifestation de l' hystérie , 430: — tracés, 433, 43'i, 436, 437, 438, 439, 44
F Facial : paralysie complète du nerf —, 420; paralysie du — dans l' hystérie . (v. Paralysie faciale hystérique ) Faciès d'Hu
uses, 260. Gommes de cerveau : localisations des — 374. Goutte et hystérie , 368. Grand sympathique : participation du — da
, 298, 366, 368. Hérédité nerveuse : son rôle dans 1 étiologie de l' hystérie , 306. Hystérie et goutte, 368 ; démarche dans l
Hérédité nerveuse : son rôle dans 1 étiologie de l'hystérie, 306. Hystérie et goutte, 368 ; démarche dans l'hémiplégie hysté
381. Noyaux bulbaires des muscles des yeux, 193. Nutrition dans l' hystérie , 453. o Oculaires : troubles —, dans la sclér
e, 179; — obstétricale, 131 ; — par lésion du petit bassin. 137; — et hystérie , 166, 177. Sclérodactylie, 3. Sclérodermie, 3
dans la —, 418. Scoliose, 339. Simulation re la syringomyélie par l' hystérie , 105; - par une lésion traumatique de la moelle e
ez dans la —, 381. T To db : démarche de —, 365. Traumatisme et hystérie (voir Hystérie et hystéro-traumatisme) — au début
81. T To db : démarche de —, 365. Traumatisme et hystérie (voir Hystérie et hystéro-traumatisme) — au début de la syringom
7 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
raîné par le malade derrière lui, comme un corps inerte, soupçonnez l' hystérie et non pas une lésion organique de la région du l
s hystériques, faciles à reconnaître, en vérité, quand on connaît l' hystérie sous tous ses masques. Nous avons, M. Ballet et m
ous ses masques. Nous avons, M. Ballet et moi, appris à connaître ces hystéries à forme d'épilepsie partielle, et, pour ne parler
s cas purs de monoplégie ou d'épilepsie partielle, relevant soit de l' hystérie , soit d'une lésion ordinaire, il faut, enfin, com
énéral en ce qui concerne les divers accidents ou manifestations de l' hystérie . La première de nos malades est une nommée W...
instant dans les divers travaux de M. Charcot et de ses élèves sur l' hystérie et sur l'hypnotisme. Le 22 mars 1890, nous hypn
hystéro-épileptique, et se voit quelquefois à la suite des attaques d' hystérie . Bien qu'elle refuse énergiquement de nous racont
a l'habitude de donner de l'éther pour calmer les grandes attaques d' hystérie , pour lesquelles on fait aussi usage de la compre
é ce fait. Bien qu'il n'ait pas rattaché le délire de ses malades à l' hystérie elle-même, attendu qu'à cette époque (1860 et 187
é de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'attaque d' hystérie , mais sans insister sur les caractères spéciaux d
l'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des attaques d' hystérie classique avec période épileptoïde, phase des gra
ert généralement d'éther à la Salpêtrière pour arrêter les attaques d' hystérie .) Ici, nous arrêtons le délire en appliquant à
le service de M. Charcot une jeune négresso de Tombouctou, atteinte d' hystérie .) Compresse chaude sur la joue. — « Quelles név
le cours de ce travail, des phénomènes analogues se manifester dans l' hystérie et dans l'hypnotisme. Nous avons constaté, dans u
somnambulisme, pense que ce dernier état se rapproche à ce point de l' hystérie qu'il est assimilable à une sorte « d'hystérie la
proche à ce point de l'hystérie qu'il est assimilable à une sorte « d' hystérie larvée ». Les cas auxquels Gilles de la Tourette
ère d'attaque est surtout fréquente chez les enfants. Sous le titre d' hystérie maniaque j'en ai publié récemment un très bel exe
hystérique offre une sorte de synthèse des symptômes de la névrose, l' hystérie maniaque, selon cette conception, représenterait
térique. Dans un premier groupe de faits, il s'agit d'une attaque d' hystérie dont la période convulsive est raccourcie, et don
, attaque délirante, attaque de somnambulisme). La grande attaque d' hystérie est bien connue depuis les travaux de M. le Pr Oh
ses quatrephases. Nous ne parlons ici, bien entendu, que de la grande hystérie , hysteria major ou hystéro-épilepsie. Quelquefois
p. 373 et 432. — Voir aussi P. Richer. Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hystéro-épilepsie, 1885. On trouvera même dans
ne période de délire comme inhérente à la constitution de l'attaque d' hystérie complète. Nous reviendrons d'ailleurs plus loin s
même plusieurs jours. Ces diverses modalités de la grande attaque d' hystérie se trouvent déjà signalées dans le livre de M. Ch
ntes fois combien cette attaque de délire se rencontre souvent dans l' hystérie . On voit alors les phénomènes convulsifs de la cr
as ici sur cette immixtion de phénomènes hypnotiques dans l'attaque d' hystérie , nous réservant d'y revenir plus loin à propos d'
, quelquefois furieux, tenir une place prépondérante dans l'attaque d' hystérie . Dans une leçon publiée en 1884 (1), il rapportai
publiée en 1884 (1), il rapportait l'histoire d'une petite épidémie d' hystérie survenue chez trois frères et sœurs, à l'occasion
le même ordre d'idées, citons encore le cas rapporté sous le titre d' hystérie maniaque infantile par M. Blocq (1). Dans ce cas
s transitions peuvent se rencontrer. C'est, à n'en pas douter, dans l' hystérie de l'enfance et en particulier dans l'hystérie de
'en pas douter, dans l'hystérie de l'enfance et en particulier dans l' hystérie des jeunes garçons que l'on rencontrera le plus g
touffe ! » Puis, perdant connaissance, sans tomber par (1) Blocq. — Hystérie maniaque infantile (Soc. de mèd. prat., 1890).
velopper sans cause connue. Ainsi que cela se présente souvent dans l' hystérie infantile, on ne constatait chez lui aucune espèc
cident survenu clans un éboulement, avait présenté les symptômes de l' hystérie traumatique. Depuis cet éboulement, tous les ans,
trière. Nous reconnûmes chez elle dès son arrivée l'attaque typique d' hystérie avec prédominance de la phase passionnelle. Trois
sulter M. Charcot, il présentait dès son arrivée tous les signes de l' hystérie infantile avec attaques dans lesquelles la phase
s et sous l'influence d'une émotion qu'elle eut sa première attaque d' hystérie . Elle était rentrée un peu tard de son atelier.
ique seul éclate par crises en apparence indépendantes de l'attaque d' hystérie , mais qui doivent cependant en être considérées c
oit associé aux autres phases plus ou moins accentuées de l'attaque d' hystérie , se développer spontanément, comme l'attaque elle
caractère somnambuli-quo, mais sont de véritables attaques de grande hystérie . (G. G.) carafon, à midi. » (Le nommé N... est
é de donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'attaque d' hystérie , mais sans insister sur les caractères spéciaux d
, d'après les renseignements qui nous ont été fournis, des attaques d' hystérie . Un frère du père est mort à 51 ans, en 1882, d'u
né à la Salpêtrière trois des sœurs de Sch...er, pour des accidents d' hystérie manifeste. (G. G.) Le lendemain elle fut prise
vo-sensorielle droite complète, est toujours sujette à des attaques d' hystérie . La phase passionnelle de ces attaques, dans laqu
t... Pauvre fille ! Regarde-là... C'est pour voir les contractures, l' hystérie ... Je connais tout ça, parbleu ! J'ai été à la Sa
mençâmes nos expériences, une jeune négresse de Tombouctou atteinte d' hystérie convulsive classique. Une compresse très chaude
s combien se touchent de près les manifestations de l'hypnose et de l' hystérie . Le malade que nous allons étudier maintenant e
plus loin. Les attaques dont souffre le malade sont des attaques d' hystérie le mieux caractérisées du monde. Elle se composen
trait, cela est on ne peut plus vraisemblable, comme un bel exemple d' hystérie traumatique chez l'homme. En réalité, le cas de
attaque hystérique (1) P. Richer. — Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hystéro-èpilepsie. 2e édit. 1885, p. 302. ou
tre part, a des attaques convul-sives ou simplement d'autres signes d' hystérie . » Cette catégorie de cas comprend celui du malad
ue représentant. On objectera : mais comment imaginer une attaque d' hystérie , quelle qu'elle soit, qui dure, nous ne dirons pa
douteux de l'observation journalière, que la majorité des attaques d' hystérie ne présente pas les quatre périodes classiques. M
s en France comme à l'étranger (1) et vouloir en faire une sorte d' « hystérie de culture » qu'on ne rencontrerait qu'à la Salpê
ce sujet les traités de MM. Eichhorst, Hii% la description d'un cas d' hystérie chez un soldat allemand de MM. André et Knoblauch
igent, n'a jamais voulu embrasser la carrière des (1) Bernutz.—Art. Hystérie du Dictionnaire de médecine et de chirurgie prati
tant en paroles qu'en actions à (1) Pitres. —Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme, 1891, II, p. 287. l'égard de s
e la formule de (1) Briquet.— Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , Paris, 1853, p. 430. Briquet, laquelle est éga
nuits de suite. Chez elle aussi il s'agissait simplement d'attaques d' hystérie avec prédominance de la période somnámbulo-delira
noctambulisme, pense que ce dernier état se rapproche à ce point de l' hystérie , qu'il est assimilable à une sorte d'hystérie lar
pproche à ce point de l'hystérie, qu'il est assimilable à une sorte d' hystérie larvée. D'autre part, bon nombre de prétendus noc
isme et on a pu constater qu'il s'agissait en réalité d'une attaque d' hystérie avec allongement de la phase passionnelle. Tout r
ase passionnelle. Tout récemment un homme de notre service, atteint d' hystérie avec grandes attaques habituellement diurnes, se
importance capitale à plusieurs points de vue. Comme toute attaque d' hystérie , on peut provoquer l'attaque de somnambulisme à l
lles de la Tou-rette (2), en ce sens que l'hypnose touche de près à l' hystérie . Mais que de différences dans leur aspect extérie
). Il s'agit d'une femme qui, après avoir eu autrefois des attaques d' hystérie , tombait dans des crises de a somnam- (1) Pitre
orie de l'hypnose, bien qu'il admette chez sa malade l'existence de l' hystérie , rendue grossièrement manifeste par la présence d
e cette étude. La phase passionnelle de la grande attaque classique d' hystérie peut prendre, aux dépens des autres phases, un dé
de vue nosographique, mon opinion est qu'il s'agit là d'une attaque d' hystérie transformée. Ces états de vigilambulisme me parai
ment des modifications de la troisième période de la grande attaque d' hystérie (Voir plus haut, n0S XXVII et XXVIII). Il y a, en
vues de M. le Pr Charcot, la troisième période de la grande attaque d' hystérie . Dans la description classique de l'attaque, donn
bien s'isoler complètement, comme il arrive dans la petite attaque d' hystérie consistant principalement en grands mouvements, o
ticulière de l'attaque hystérique. On la rencontre fréquemment dans l' hystérie des enfants, petits garçons et petites filles, ch
e risquerait de passer sans se douter qu'ils sont en pleine attaque d' hystérie , et les premiers, les délirants, dont on se gare
ul aspect clinique que peut revêtir la troisième phase de l'attaque d' hystérie . Il en existe encore un autre, vraisemblablement
r tous ses membres, » autrement dit elle venait d'avoir une attaque d' hystérie , lorsqu'après« cette victoire tant divinement obt
r véritablement les périodes d'état second à des attaques vulgaires d' hystérie . M. Dufay s'est aperçu que la sensibilité persist
. On peut en résumer en quelques mots les points les plus saillants : hystérie ; accès de dédoublement de la personnalité, avec
si di ipnotismo spontaneo) sont purement et simplement des attaques d' hystérie de (1) Nous ne savons point si l'auteur a const
ée. Mais, pour moi, je ne puis voir là-dedans qu'une simple attaque d' hystérie avec immixtion de phénomènes hypnotiques. Si qu
cette phase convulsive. Voilà qui est bien du domaine de l'attaque d' hystérie et non de l'hypnotisme. Mais je reviendrai plus l
ent de la personnalité survenant par crises, à la fin d'une attaque d' hystérie dûment caractérisée. Dans le cas de M. Ladame (
té, chez cette malade, d'anesthésie cutanée ni aucun autre stigmate d' hystérie . Bien que cette jeune fille, dans son état seco
, etc., etc. D'ailleurs, cette jeune fille porte les stigmates de l' hystérie (1) Bonamaison. — Un cas remarquable d'hypnose
ie (1) Bonamaison. — Un cas remarquable d'hypnose spontanée, grande hystérie et grand hypnotisme. (Rev. de l'hypn. et de la ps
observe fréquemment chez d'autres à la suite d'une attaque vulgaire d' hystérie . Remarquons déjà que, dans ce cas, l'état secon
r de sa vie antérieure. » Outre les stigmates les plus accentues de l' hystérie , elle présente en outre la faculté d'être hypnoti
agabondant. Il aurait eu déjà à cette époque, paraît-il, des crises d' hystérie , marquées par des hémoptisies et des paralysies t
des moyens (aimant, suggestion) qui touchent de près, on le sait, à l' hystérie et qui en tous cas étaient presque toujours suivi
ue de comparer, en l'y assimilant, à l'aura céphalique de l'attaque d' hystérie ) elle s'endort d'un sommeil profond, dont rien ne
es on ne peut nettement définir. Elles se rapportaient sans doute à l' hystérie ou à l'épilepsie. Sa mère, morte également des su
s crises de nerfs. Celles-ci sont simplement des attaques vulgaires d' hystérie , pas très violentes, mais suffîsammentcaractérist
aire pendant la crise. Nous sommes donc en plein dans le domaine de l' hystérie . En effet, si l'on pousse plus loin l'examen, o
on n'a jamais constaté d'attaques. Quant aux autres stigmates de l' hystérie , ils sont aussi profondément modifiés. Au lieu d'
n 1884 et 1885 elle est à diverses reprises en proie à des attaques d' hystérie à allure épileptiforme qui se reproduisent plusie
A cette époque (1885), M. Charcot, après ses mémorables leçons sur l' hystérie mâle et le rôle du traumatisme dans 1 etiologie d
à ce sujet. Dans cet état second, elle est sujette à des attaques d' hystérie vulgaires, classiques, avec phase épileptoïde, pé
n très haut degré de développement tous les stigmates ordinaires de l' hystérie . Elle présente une anesthésie totale, non seuleme
our un autre individu ignorant (1) Pitres. — Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme. Paris, 1891, t. II, p. 219. (2
ate, pendant l'état second, un certain apaisement des phénomènes de l' hystérie qui constitue le fond de leur maladie. Le sujet d
ent dans l'état normal. Il en est de même chez nos deux malades que l' hystérie laisse bien plus tranquilles dans le vigilam-buli
e D... est encore un caractère permettant de rattacher sa maladie à l' hystérie , la périodicité des accidents morbides étant un d
tat vigilambulique à la faveur d'une grande attaque caractéristique d' hystérie , mêlée de phénomènes hypnotiques, que nous avons
qui assimile de tous points la crise de vigilambu-lisme à une crise d' hystérie vulgaire, qu'on arrête en pressant sur les points
e périodicité bien hystérique, ne sont autre chose que des attaques d' hystérie avec modification particulière de la phase des at
........ 28 août 1891 (événement causal,. C J_ début de l'attaque d' hystérie ). Période de la crise d'hystérie. Amnésie de la
causal,. C J_ début de l'attaque d'hystérie). Période de la crise d' hystérie . Amnésie de la crise (18 août-31 août)------.....
8 août-31 août)------............. Y) J_3l août (fin de l'attaque d' hystérie ) I Période d'o.mnèsie antérograde (31 août-22 d
valoir— la crise, origine de tout le mal, a été une attaque de grande hystérie . Nous avons, en effet, quelques raisons de croi
nion sera suffisamment corroborée si nous parvenons à démontrer que l' hystérie est en jeu, car les manifestations hystériques, b
ion spontanée ? Une hallucination marquant le début d'une attaque d' hystérie n'est pas dans les habitudes de la grande névrose
de raison de plus en plus longs. Enfin, au sortir de cette attaque d' hystérie délirante, MmeD... se trouva dans l'état où vous
ans l'état où vous la voyez aujourd'hui. Je viens de dire attaque d' hystérie , car c'est bien d'hystérie qu'il s'agit dans l'es
aujourd'hui. Je viens de dire attaque d'hystérie, car c'est bien d' hystérie qu'il s'agit dans l'espèce, malgré l'absence actu
leau et que l'existence d'une attaque cl'hystéro-épilepsie, de grande hystérie , devient incontestable (1). Cette attaque a don
n grave résultant, par exemple, d'un ramollissement cérébral. C'est l' hystérie , Messieurs, qui est en ijeu, et l'hystérie seule.
issement cérébral. C'est l'hystérie, Messieurs, qui est en ijeu, et l' hystérie seule. Or, l'attaque convulsive et délirante a du
nse pas. A mon avis, il s'agit simplement d'un équivalent d'attaque d' hystérie , d'une attaque d'hystéro-épilepsie prolongée sous
es résultats. Ne pourrait-on pas songer ici à provoquer une crise d' hystérie , dans l'espérance de voir l'attaque défaire ce qu
rapports étroits du diabète avec l'aliénation mentale, l'épilepsie, l' hystérie , le goitre exophthal-mique ont été signalés par d
le diabète et la paralysie agitante (Topinard), entre le diabète et l' hystérie « dont dit M. Bouchard, on constate fréquemment l
. C'est encore chez un même individu qu'on trouve la coexistence de l' hystérie et du diabète, ainsi que l'a démontré M. Grenier4
ent de la nutrition, Paris, 1882, p. 182. (4) Grenier. — Diabète et hystérie . (Archiv. gén. de méd., 1888.) reste fournir ic
ora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des attaques d' hystérie précédées de prodromes céphaliques, caractérisées
articularité nerveuse. Fils de 5 ans bien portant. Fille. 19 ans. Hystérie a vec astasie - abasie. Dans la suite nous avon
pour cette raison, nous les laisserons complètement de côté. Dans l' hystérie l'absence de l'aura est un fait absolument except
tivement fréquente, bien qu'à un degré notablement moindre que dans l' hystérie . Cependant il existe des cas dans lesquels le mal
cas de ce genre le diagnostic devient beaucoup plus difficile entre l' hystérie et le mal comitial. Mais chez tous les malades de
ombinaison avec une autre affection pouvant amener une confusion, l' hystérie , par exemple. Notre statistique porte sur soixa
a plus de doute, c'est à l'épilepsie que l'on a affaire et jamais à l' hystérie . » C'est exactement ce qui arrivait chez la mal
de la main droite, jamais dans les lèvres ou la face. Aucun signe d' hystérie , sauf un double rétrécissement concentrique du ch
et de la nature de ce rétrécissement du champ visuel. S'agissait-il d' hystérie commençante ? Peut être ; en tous cas il n'est pa
14 ans (apparition des règles) la malade est sujette à des attaques d' hystérie , précédées de l'aura hystérique et parfaitement d
ment et dans un cas l'aura rappelle « la sensation bien connue dans l' hystérie , et dans bien des cas d'épi-lepsie pure la sensat
e rarement au complet tous les phénomènes prodromiques de l'attaque d' hystérie . Le plus souvent on constate l'existence de la bo
uel, points hystérogènes, que se basera le diagnostic positif entre l' hystérie et le mal comitial, diagnostic quelquefois diffic
trique, mammaires, etc., ainsi que cela arrive le plus souvent dans l' hystérie . En tous cas, dans cette première série, on ne
e l'attaque qui la suit et de l'examen du malade au point de vue de l' hystérie , seront, dans la majorité des cas, suffisants pou
5 0/0. Est-ce à dire pour cela qu'il faille enlever à l'aura dans l' hystérie toute sa valeur diagnostique et séméiologique ? N
andement en général par son allure, son évolution, sa durée. Dans l' hystérie , elle attire l'attention des malades, qui l'ignor
aux. Cela doit nous montrer qu'il ne faut pas classer d'emblée dans l' hystérie toute crise nerveuse, précédée de ces phénomènes,
ctement avec les caractères que leur a dès longtemps assignés, dans l' hystérie , M. le Pr Charcot, ils se rapporteront à l'accès
rt des cas de tabès, de sclérose en plaques, de paralysie générale, d' hystérie , d'épilepsie, dé tumeurs cérébrales, de paralysie
° } ophthalmique.......... I Neurasthénie...... ... -....... 214 Hystérie ................ 244 Astasie-abasie.............
rbides diverses. ... 13 Association de la choréede Sydenham et de l' hystérie . 7 Association de l'hystérie et de la maladie d
iation de la choréede Sydenham et de l'hystérie. 7 Association de l' hystérie et de la maladie de Basedow. 4 Association du t
niers, on voit par leur nombre combien de manifestations variées de l' hystérie il est possible de rencontrer dans un aussi vaste
mettant encore tous ceux qui, dans la statistique,font double emploi ( hystérie etchorée, hystérie et goitre exophthalmique, névr
ceux qui, dans la statistique,font double emploi (hystérie etchorée, hystérie et goitre exophthalmique, névralgie faciale hysté
de névralgie faciale, il y en a deux qui relèvent manifestement de l' hystérie et appartien- nent à cette catégorie de cas étu
uvé sept fois l'association manifeste de la chorée de Sydenham avec l' hystérie , sans comprendre les cas signalés par M. P. Marie
ent de l'ovarie chez les cho-réiques ; quatre fois l'association de l' hystérie et de la maladie de Basedow; une fois celle de ce
épisodes encore assez peu connus et assez insuffisamment étudiés de l' hystérie ; je veux parler de l'émission plus ou mois répét
aryngés sont dans l'acception ïa plus étroite du mot des phénomènes d' hystérie locale. Ils ont, en d'autres termes, une tendance
tat d'isolement, sans accompagnement d'autre stigmate ; si bien que l' hystérie dans laquelle ces accidents existent représente e
n pareil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres accidents d' hystérie locale tels que clou, contractures, paralysies, e
uits laryngés plus ou moins analogues à ceux qui se produisent dans l' hystérie peuvent se manifester en dehors d'elle, dans d'au
n qui ressemble à des attaques, pas d'aura. Il s'agitdonc bien là, si hystérie il y a, d'hystérie locale, au premier chef, d'apr
es attaques, pas d'aura. Il s'agitdonc bien là, si hystérie il y a, d' hystérie locale, au premier chef, d'après la définition qu
que dès l'âge de quatre ans, c'est-à-dire à une époque de la vie où l' hystérie ne se montre guère, existaient des clignements d'
ns d'un autre ordre, qu'on n'observe jamais autant queje sache dans l' hystérie et qui, au contraire, se montrent assez fréquemme
iculés, de paroles; rien de tout cela, je le répète, n'appartient à l' hystérie . On peut en dire autant des phénomènes que M. G
s auteurs, Briquet lui-même, ont mis la coprolalie sur le compte de l' hystérie . A mon avis, c'est là une erreur qu'il importe de
reur qu'il importe de relever. Nous devons nous efforcer de dégager l' hystérie d'une foule de matériaux étrangers qu'on voudrait
t qui ne font qu'encombrer un domaine nosographique déjà si chargé. L' hystérie et la maladie des tics peuvent coexister, mais ce
la sera, vous allez le constater, tout autre chose. (1) Traité de l' hystérie , p. 317. La représentation mentale d'un acte, a
me pronostic que ceux qui se développent spontanément, en dehors de l' hystérie . Ces dernières résisteront, hélas ! le plus souve
able cliniquement à celle qui constitue un des grands caractères de l' hystérie , et ces hémianesthésies seraient bien et dûment d
ielle offrant cette particularité, déjàplusieurs fois observée dans l' hystérie ,que l'anesthésie sensitive occupe le côté gauche,
c nos études actuelles l'ont déjà établi dans leur esprit; c'est de l' hystérie qu'il s'agit. Ces attaques-là sont hystériques. C
crite par MM. Ballet et Crespin, dans leur travail sur les attaques d' hystérie à forme d'épilepsie partielle. L'an dernier j'a
aintenant, nous considérons les choses dans l'ensemble, voyez comme l' hystérie serait simple et facile à légitimer, sans faire i
Le malade présente 'des phénomènes qui constituent les stigmates de l' hystérie . En effet, on peut provoquer chez lui la contract
ondre à ceux qui m'objecteraient qu'il s'agit ici d'un homme et que l' hystérie est exceptionnelle dans le sexe masculin. On sait
in. On sait, en effet, actuellement, d'une façon péremptoire, que l' hystérie est chez l'homme beaucoup plus fréquente qu'on ne
pourrait émettre. On pourrait dire que les convulsions dépendent de l' hystérie et que l'anesthésie doit être mise sur le compte
nin, il me semble beaucoup plus logique de rattacher l'anesthésie à l' hystérie qu'au saturnisme ; car l'existence de l'hémianest
me paraît vraisemblable. Je pense que, chez un sujet prédisposé, l' hystérie peut être mise en jeu par le développement de l'i
; ajoutons que la goutte, affection arthritique par excellence, et l' hystérie , membre important de la grande famille neuropatho
nt chez un même sujet. Donc, dans notre cas particulier, c'est de l' hystérie qu'il s'agit. L'appellerons-nous saturnine? Oui,
'ataxie syphilitique, de chorée rhumatismale. J'aimerais mieux dire hystérie chez un saturnin, ataxie chez un syphilitique, ch
n cas ? Ne s'agirait-il pas, alors, je le répète, le plus souvent d' hystérie ? Eh bien, je vois, en examinant ces observatio
imant, avec transfert ; en un mot, tellement semblables à celles de l' hystérie que, lorsqu'elles existent isolées, le seul argum
in nombre de cas d'hé-mianesthésies qui ont reçu ce nom relèvent de l' hystérie (1) ; la chose est certaine pour plusieurs cas et
le établi que l'intoxication saturnine provoque le développement de l' hystérie , au même titre que celui de la goutte ; le rappro
e, je le répète, que la famille névropathique à laquelle appartient l' hystérie , et la famille arthritique dont fait partie la go
jourd'hui, je suis convaincu qu'il s'agit là, comme aujourd'hui, de l' hystérie chez un saturnin. Cette observation a d'étroites
l y a perte absolue du sens musculaire. Voilà donc un bel exemple d' hystérie chez un alcoolique. La prédisposition nerveuse ex
on a dans l'esprit l'idée, comme c'était le cas il y a dix ans, que l' hystérie n'existe pour ainsi dire pas chez l'homme, on att
emblement unilatéral) citées par les auteurs, sont des observations d' hystérie chez des alcooliques. Nous sommes ainsi conduits
tisme — ambulatoire), 61 ; diagnostic de F—, 63. Contagion : dans l' hystérie , 449 ; — dans l'hypnose, 457. Contracture (atta
sme hystérique, 158, 179, 182. Délire : — provoqué dans l'attaque d' hystérie , 50 ; — post-hys-téro-épileptique, 25. Délire d
érique, 74, 126, 144, 146; — dans le vigilambulisme, 189. Enfance : hystérie de 1'—, 76, 77. Epilepsie : accès d'automatisme
Epilepsie partielle, 1 ; — crurale, 8; — hystérique, 8, 9; Attaque d' hystérie à forme d'—, 70, 132. F Facial : névralgie —e
e d'hystérie à forme d'—, 70, 132. F Facial : névralgie —e dans l' hystérie , 438 Faciès : dans la myopathie, 377. Friedre
ns : provoquées dans la catalepsie, 23; — provoquées dans l'attaque d' hystérie , 36 ; (Voir Somnambulisme hystéri- :'g que et D
suggestion, 171; Mémoire dans 1' —, 285 ; Contagion dans Y —, 457. Hystérie : excitation des sens dans l'attaque d' —, 36; Dé
M. le Pr Charcot à la Salpêtrière, 437. Névralgie faciale : dans l' hystérie , 438. Noctambulisme, 58 ; Caractères du —, 58,
dans l'hystérie, 438. Noctambulisme, 58 ; Caractères du —, 58, 59 ; Hystérie et —, 60 ; — et somnambulisme hystérique, 86, 161
2; Nombre des malades traités à la —, 433 ; Statistique de la —, 434; Hystérie et neurasthénie à la—, 437 ; Tubercules cérébraux
3, 34 ; — dans le somnambulisme hystérique, 145. Suicide : — dans l' hystérie , 103. T Tabes dorsal : association du — avec
8 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
qui leur revient. .. » E. B. Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie (') Par le Dr Paul Magnin. Vice-président de la S
toujours d'un trouble du fonctionnement régulier de l'organisme et l' hystérie joue ici le plus grand rôle (2). Pour les autre
tare névropathique. Il n'existe aucun rapport entre l'hypnotisme et l' hystérie . Il n'y a pas de névrose hypnotique et l'hypnotis
le somnambulisme hypnotique et les états de même nom appartenant à l' hystérie , il n'existe pour M. Gilles de la Tourette que ce
arcot, 1882, p. 172. (2) P. Richer : Etudes cliniques sur la grande hystérie oit hystiro-épilepsie. 2* édition, 188ô, p. 1Ù5 o
de veille et font éventuellement partie du cortège des symptômes de l' hystérie . Les manœuvres hypnogéniques ont pour effet de dé
n équivalent clinique de la grande attaque complète et régulière de l' hystérie . Nous sommes donc amenés à conclure que l'hypnose
les contractures, la catalepsie sont des manifestations communes à l' hystérie et à l'hypnotisme. L'exaltation de la suggestib
tibilité, caractère fondamental de l'hypnotisme, appartient aussi à l' hystérie . —Les somnambules hypnotiques sont parfois tout c
s'exerce d'une façon prédominante sur les troubles qui relèvent de l' hystérie . — Il existe entre l'hypnotisme et les manifestat
elui qu'on peut observer dans les divers accidents qui dépendent de l' hystérie , — Enfin une attaque hypnotique peut s'enchevêtre
urini pense au contraire que l'hypnotisme, dans le cas même de grande hystérie , ne constitue jamais une névrose, mais ne fait qu
mais ne fait que mettre en évidence des phénomènes pathologiques de l' hystérie qui se réduisent tous à des manifestations d'exci
ctif capable de mettre en évidence les stigmates les plus cachés de l' hystérie . D'ailleurs les phénomènes hypnotiques peuvent
inion des observateurs de l'Ecole de (1) J. Babinski: Hypnotisme et hystérie , leçon faite à la SalpC-trlûre, le 23 Juin 1891.
pparaissent dans toute leur évidence les liens étroits qui unissent l' hystérie et l'hypnotisme. Que d'observations ont été pub
qui les lit et les analyse attentivement croit pouvoir reconnaître l' hystérie . Et de fait, le diagnostic de la névrose n'est pa
dérer la sensibilité hypnogénique comme un des symptômes de la grande hystérie . Ces excitations périphériques s'adressent soit
pathogénie invoquée pour rendre compte des autres manifestations de l' hystérie . Là, comme ici, nous avons affaire à des désordre
âgée de 36 ans, atteinte de neurasthénie et de quelques phénomènes d' hystérie (strangulation, envie de pleurer, émo-tivité très
femme avait eue avec son mari. Il y avait eu une ébauche d'attaque d' hystérie avec strangulation, cris et grands mouvements des
llette. Elle avait présenté seulement à l'âge de 18 ans une attaque d' hystérie , mais depuis lors elle n'en avait plus eu. Ses pa
tance de la constatation exacte des troubles de la sensibilité dans l' hystérie Par le D' P. Joire (de Lille). Quand nous avo
il est de la plus grande importance de bien faire le diagnostic de l' hystérie . Parmi les éléments du diagnostic, les troubles d
Il est de la plus grande importance de bien faire le diagnostic de l' hystérie et en particulier de rechercher les troubles de l
e est reprise, à la suite d'une dispute avec sa sœur, d'une attaque d' hystérie convulsive qui la fait retomber dans son état pri
'étude de la musique. Dr M. lêpinay: Les agonis provocateurs de l' hystérie chez quelques animaux. Dr Manfrûxi (de Turin):
estion hypnotique et clic guérira très rapidement. Une grande crise d' hystérie pourrait très bien amener ce résultat, mais il se
e période dite des attitudes passionnelles de la grande attaque d' hystérie , ou plus probablement qu'elle se rattache au synd
qu'à elles seules elles fourniraient la symptomatologie de la grande hystérie avec phénomènes épileptoîdes tels que : morsures
. Charcot a signalé, au nombre des troubles psychiques de la grande hystérie , l'hallucination se produisant dans un certain se
e ce phénomène d'œdème est quelquefois la première manifestation de I hystérie et ne s'accompagne pas d'autres symptômes évident
cisse ment de la pensée qui aboutit a l'Idée unique s'observe dans: l' hystérie , l'hypnotisme. L'idée unique est celle qu'Impose
à l'œdème bleu hystérique. Je recherchai les autres stigmates de l' hystérie et je ne trouvai que l'insensibilité du pharynx e
oints de vue. D'abord, l'œdème a été la première manifestation de l' hystérie chez cette malade. Deuxièmement la suggestion a
es fosses iliaques ('). « Laignel-Lavastine. RECUEIL DE FAITS L' Hystérie en Chine Le Dr Matignon, médecin de la légation
t d'adresser à l'Académie de médecine un important mémoire intitulé : Hystérie et Boxeurs en Chine. Trois choses, écrit M. Mat
nvraisemblables et fréquemment au suicide. Tous les caractères de l' hystérie et surtout l'insensibilité des muqueuses, les zon
caractérisés se rattachant à l'épilepsie, â l'aliénation moniale, à l' hystérie ou à la dégénérescence. Les guérisons obtenues à
te une affinité étroite entre l'incontinence essentielle d'urine et l' hystérie . La mentalité des jeunes incontinents se rapproch
la seconde, un certain nombre de sujets manifestement en puissance d' hystérie : stigmates permanents, crises convul-- -sives, r
é surtout les convulsions, les paralysies infantiles, la méningite, l' hystérie et Pépilepsie chez les frères et sœurs, et, chez
et, chez les parents, la migraine, la névropathie, les névralgies, l' hystérie et l'instabilité mentale. Enfin, ces nouveaux f
s.-Cette aphonie des plus nettes est très caractéristique et domine l' hystérie de cette malade : c'est d'ailleurs la première fo
symptômes cités plus haut et surtout du début de l'aphonie, l'idée d' hystérie s'impose naturellement et on a recours à la sugge
il a de l'hypoesthésie dans le côté gauche du corps, voilà pour l' hystérie . 11 a été marchand de vins et, l'alcool aidant, s
isser croire à ses dangers illusoires. Les agents provocateurs de l' hystérie chez quelques animaux par M. Lépinay, médecin-v
tres, tout aussi bien pour le corps que pour le cerveau. En somme l' hystérie existe chez les animaux; Eleti, Olver et notre gr
) de réfléchir et d'observer pour compléter ces travaux et rendre à l' hystérie ce qui lui appartient. Dans les nombreuses maladi
on est si neuve que peu de vétérinaires oseraient poser le diagnostic hystérie : on parle d'épilepsie et surtout de rage. En e
chef de clinique du professeur Charcot, Les agents provocateurs de l' hystérie . Les agents provocateurs sont chez les animaux
ivie d'accidents nerveux épilepti-formes, choréiques, dans lesquels l' hystérie a sa part. L'hyper excitabilité génésique ; 7a
d'origine manifestement psychique. J'ai parlé trop brièvement de l' hystérie , j'ai passé rapidement en revue tout au moins les
et du tronc, paralysie de la vessie et attaques classiques de grande hystérie . Le début de la maladie remonte au mois de mai de
r et le rendre synchrone à mon rythme vocal. COURS ET CONFÉRENCES Hystérie et ménopause [*). Par M. le P' Raymond. Cette f
Chez cette héréditaire, l'apparition des règles a donc fait appel à l' hystérie : leur disparition va provoquer le retour des phé
l qui a disparu alors que les autres sensibilités restent intactes. L' hystérie est capable, à elle seule, de réaliser ces dissoc
reproduisent. Il y a là une sorte de tic rythmé très fréquent dans l' hystérie . Ce tic se passe dans le champ de l'automatisme ;
née au xvn« siècle, et cet abus doit être rangé parmi les causes de l' hystérie a cette époque. Si l'on songe que les religieuses
e pouvait penser à autre chose. » (4) C'est la boulimie hystérique, l' hystérie , c'est-à-dire la dégénérescence des neurones, aya
installe à la faveur de cette lésion. Le cortège symptomatique de l' hystérie avec les afcerra/îons du goût, les vomissements s
s, au moment de leur période d'incubation, parfois fort longue-Dans l' hystérie , le rêve n'est plus seulement un symptôme, mais s
t est souvent un élément utile dans le diagnostic différentiel avec l' hystérie . Cette intéressante étude, publiée dans la coll
T, fï/ÉRAPEUTIQÏJE 16« Année — ? 7. Janvier 1901. Définition de l' hystérie (') Par M. le docteur J. BàBINSEI, médecin do l
NSEI, médecin do la Pitié Malgré le grand nombre des travaux dont l' hystérie a été l'objet, les médecins ne semblent pas se fa
rences dans la manière dont, les uns et les autres, nous comprenons l' hystérie . Le désaccord tient sans doute à ce que les aut
désaccord tient sans doute à ce que les auteurs qui ont .traité de l' hystérie n'en ont pas donné une définition suffisamment ne
ainsi donner raison à Lasègue, qui a déclaré que « la définition de l' hystérie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais ». O
e » (Dictionnaire de la langue française, par Lïttré), soutenir que l' hystérie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l'
tenir que l'hystérie n'est pas définissable équivaudrait à dire que l' hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affe
. Tout médecin qui a porté, ne serait-ce qu'une fois, le diagnostic d' hystérie , à moins d'employer des mots qui soient pour lui
it à sa façon. Mais pour s'entendre sur les questions relatives à l' hystérie , qui sont encore l'objet de discussions, il serai
caractères faciles à observer, communsàtoutes les manifestations de l' hystérie et qui leur soient exclusivement propres. Pour
ocher des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l' hystérie . Considérons les grandes manifestations de l'hy
séparer de l'hystérie. Considérons les grandes manifestations de l' hystérie , les crises nerveuses, les paralysies, les contra
ns auteurs l'ont pensé, de se servir de ces caractères pour définir l' hystérie ? Tel n'est pas mon avis, car aucun d'eux n'appa
effet, bien d'autres affections qui sont fonctionnelles, mentales. L' hystérie n'est pas seule susceptible d'être provoquée par
er une influence sur la genèse des troubles mentaux indépendants de l' hystérie , elles sont même capables de faire apparaître che
gie cérébrale peut être consécutive à une vive émotion. De même que l' hystérie , la goutte peut se manifester par des accidents v
fois communs à toutes les manifestations hystériques et spéciaux à l' hystérie . La possibilité d'être reproduits par suggestio
faut, selon moi, donner à ce mot « suggestion », qui, comme le mot « hystérie », ne me semble pas avoir été défini avec une pré
, aucune des affections actuellement bien classées hors du cadre de l' hystérie ne peut être reproduite par suggestion ; il est t
u en 1s91 dans les Archives de Neurologie. (2) Voir : Hypnotisme et Hystérie . Du rôlede l'hypnotismo en thérapeutique. Leçon f
seule affection nerveuse bien définie et située hors des limites de l' hystérie que la psychothérapie seule soit en mesure de fai
les d'apparaître sans avoir été précédés d'autres manifestations de l' hystérie . Je crois qu'il est légitime d'appe-lerencorehyst
ces troubles l'épithete de secondaires. L'atrophie musculaire dans l' hystérie (') est le type du genre: elle n'apparaît jamais
s à des phénomènes hystériques primitifs qu'on doit les rattacher à l' hystérie . Mais, me dira-t-on peut-être, jusqu'à présent
herché à définir les accidents hystériques; comment définissez-vous l' hystérie elle-même? Je répondrai que l'hystérie sans manif
ues; comment définissez-vous l'hystérie elle-même? Je répondrai que l' hystérie sans manifestations hystériques est en quelque so
s hystériques. En résumé, voici la définition que je propose :¦ ? hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y tr
oir, j'ai été conduit à déterminer les attributs qui sont propres à l' hystérie et qui, par conséquent, la définissent par une an
e discussion, que l'on s'accorde à classer les uns dans le cadre de l' hystérie , les autres en dehors de ce cadre. Pour ce qui
inition proposée; c'est (1) Dans mon travail intitulé Hypnotisme et Hystérie , que j'ai mentionnrt plus haut j'ai développé la
énomènes hystériques ; cette idée ressort aussi de ma définition de l' hystérie . Mais Je voudrais être plus précis et déterminer
ais être plus précis et déterminer avec exactitude le lien qui unit l' hystérie à l'hypnotisme. On peut définir l'hypnotisme de l
on que l'on pourrait me faire. Il n'est pas rare d'observer des cas d' hystérie incontestable se manifestant par des crises ou qu
rsuasion, au moins en apparence ; soutiendra-t-on pour ce motif que l' hystérie n'est pas en cause? Je ne prétends pas, répondrai
malgré l'échec essuyé par la psychothérapie, j'affirme qu'il s'agit d' hystérie , c'est que j'ai observé au préalable d'autres cas
ffaiblis ou abolis et il y aurait de la D R; aucune autre cause que l' hystérie ne peut produire une paralysie de ce genre ; mais
trouble encore non classé qu'on veut faire entrer dans le cadre de l' hystérie ; qu'on le reproduise d'abord.par suggestion, qu'
en droit, en présence d'un nouveau cas identique, de diagnostiquer l' hystérie , même si le traitement psychique reste sans effet
psychique reste sans effet. Du reste, j'ajouterai que, dans les cas d' hystérie où la psychothérapie ne semble pas donner de résu
que l'exagération des réflexes tendineux ne peut être provoquée par l' hystérie ('). Je dis qu'il est impossible d'exagérer par s
ubliée dans la Galette des hôpitaux, 5 et 8 mat 1900. gées dans l' hystérie sont.loin d'être démonstratives selon moi, par el
sont privés de cette propriété ? On est même en droit de dire que l' hystérie ainsi définie est l'affection mentale qu'il impor
reconnue ou méconnue. Si l'on m'objectait que ma délimitation de l' hystérie est arbitraire, voici ce que je répondrais. Il es
nts que la persuasion ne peut faire disparaître. Si je me sers du mot hystérie , quoiqu'il fût plus raisonnable d'abandonner l'us
issables par la persuasion et remplacerait avantageuse me ni le mot ¦ hystérie o. L'adjectif « pithiatique » serait substitué à
essentiel de s'entendre une fois pour toutes sur la défir nition de l' hystérie , j'invite mes collègues, s'ils n'acceptent pas ce
le que je propose, à nous faire connaître leur manière de concevoir l' hystérie et à indiquer le sens qu'ils attachent à ce mot,
Isoré et Isaac Renaudot. A l'époque où ces médecins observèrent, l' hystérie était une maladie à peu près inconnue. A part que
e devait paraître qu'en 1660, et celui de Thomas Willis qu'en 1667. L' hystérie restait donc, pour le xvii' siècle, ce qu'elle av
hez une (Henriette-Marie d'Angennes du Fargis) ; 6° Des symptômes d' hystérie chez trois (Henriette-Marie d'Angennes du Fargis
de vomissements gravidiques. Paroxysmes d'angoisses, ëpllepsie et hystérie (') par m. le Professeur Raymond i Notre pr
ces crises? -C'est toujours un problème très difficile de séparer l' hystérie de l'épi-lepsie. L'aura, qu'elle soit somatique o
i ont des crises d'epilepsic ou des épileptiques qui ont des crises d' hystérie . Notre malade a-t-il uriné sous lui? Une fois s
s lui? Une fois seulement. D'ailleurs, cela se rencontre aussi dans l' hystérie . Quelquefois il s'est mordu la langue et ce fait
u côté gauche, mais ce n'est pas un argument suffisant en faveur de l' hystérie , car on a vu subsister, après les crises, épilept
de pleurer, puis il se reprend et se trouve très gai. C'est donc d' hystérie qu'il s'agit ici. Le traitement sera suggestif;
vons-la donc en attendant mieux. Dans son bel ouvrage sur la grande hystérie , ouvrage que devraient commencer par connaître à
ient commencer par connaître à fond tous ceux qui veulent s'occuper d' hystérie et d'hypnotisme, M. Richer a tracé de main de maî
nce, ainsi que je l'ai dit ailleurs, les liens étroits qui unissent l' hystérie et l'hypnotisme. C'est précisément dans (1) Cou
larmes par suite de la présence d'une rose dans la chambre). Dans l' hystérie , de nouvelles auto-suggestions peuvent se former
ont étudié l'hypnotisme sur des sujets sains ou soi-disant tels. L' hystérie de la Salpêtrière, a-t-on dit, est une hystérie d
soi-disant tels. L'hystérie de la Salpêtrière, a-t-on dit, est une hystérie de culture. La description des trois états est un
entr'autres, à admettre que l'hypnotisme, dans le cas même de grande hystérie , ne constitue jamais une névrose, mais ne fait qu
mais ne fait que mettre en lumière des phénomènes pathologiques de l' hystérie qui, ou préexistent (dans la veille même) ou sont
ctif capable de mettre en évidence les stigmates les plus cachés de l' hystérie . Quoi qu'il en soit, reste toujours la valeur d
tipliée pour ainsi dire à l'infini. Dans ses leçons cliniques sur l' hystérie , le professeur Pitres ne distingue pas moins de d
t, d'autre part, Mm* V... ne présente point de stigmates manifestes d' hystérie . Cependant nous savons que les maladies inflammat
rmenage, la débilité, les privations, etc., peuvent faire appel à une hystérie latente. Aussi étant donné ce qu'a présenté cette
rique. A la faveur d'une affection inflammatoire et de la débilité, l' hystérie se serait installée et développée ; elle aurait d
s points suivants et à les mettre en vedette : I. — Tout d'abord, l' hystérie peut apparaître très tard. Dans une de ses derniè
ême après S0 ans. II. — En second lieu, on doit toujours penser à l' hystérie , même chez les vieillards, toutes les fois que l'
cette névrose sénile même lorsqu'aucun signe ne peut faire penser à l' hystérie franche. Pour n'être qu'hypothétique cet espoir n
s, des jeunes filles, des femmes adultes, et même des hommes faits, l' hystérie peut encore, en dépit de l'opinion courante, se m
t amenée. Noti'e examen nous révéla l'existence de divers stigmates d' hystérie , en particulier d'une analgésie à la figure, géné
troubles trophiques et l'atrophie musc.ulaire. Ce n'est ici que de l' hystérie . Il semble que le genou et la hanche soient très
cinq jours. Sur ces entrefaites, le médecin de l'assurance affirme l' hystérie et considère notre homme comme un simulateur. V
etté Dr Gibert, à l'étude des maladies nerveuses, en particulier de l' hystérie et de l'hypnotisme. En 1889, il soutient devant l
plement » attribués à ce que l'on est convenu d'appeler en médecine l' Hystérie ; mais l'étiquette nous importe peu ; le point ca
st de les guérir. Or, tous les médecins savent que les symptômes de l' Hystérie sont souvent plus difficiles à guérir qu'une mala
nce, M. Bérillon vous a présenté une petite malade atteinte de grande hystérie , à propos de laquelle j'avais fait quelques remar
érer la sensibilité hypno-gënique comme un des symptômes de la grande hystérie . Toutefois, certaines conditions ont une influe
es sur l'intérêt majeur que présente l'étude de la sensibilité dans l' hystérie et l'hypnotisme. Dans son enseignement, à la Piti
rne manquait jamais de proclamer que le critérium de la guérison de l' hystérie résidait dans le retour complet et durable de la
n homme qui connaissait à fond toutes les questions se rattachant à l' hystérie et dont je m'honore d'avoir été l'élève, Burq, l'
tons pas à le regarder métaphoriquement comme le véritable pouls de l' hystérie , qu'un médecin doit tout aussi souvent tâter que
plement, de troubles relevant de la grande névrose, c'est-à-dire de l' hystérie . Jusqu'à présent, on a essayé une seule fois de
s somatiques de l'hypnotisme. — Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . Lundi 5 Mai. . . Phénomènes psychiques de l'hy
sous la dépendance d'un état émotif et liés à l'existence d'un état d' hystérie plus ou moins accentué. Ce qui me confirme dans c
opinion, c'est que ces phénomènes sont d'autant plus accentués que l' hystérie est elle-même plus développée. Les hystériques, m
qué. M. Voisin. — Tous ces phénomènes sont des ébauches de crises d' hystérie ; il faut que les médecins en soient instruits, qu
et encore par un médecin compétent en la matière. D'ailleurs, comme l' hystérie est un des états qui sont le plus justiciables du
ente sont ceux de Vhémisomnarnbulisme hystérique. Les signes de son hystérie sont très nets; elle a un fort rétrécissement du
ées à bavarder. Elle a vu sa tante, elle Ta entendue et la forme de l' hystérie de la tante a déterminé celle de l'hystérie de la
entendue et la forme de l'hystérie de la tante a déterminé celle de l' hystérie de la nièce. Réglée à 15 ans, mariée à 16, no
t ici, la tante a été l'agent provocateur de la forme sous laquelle l' hystérie se manifeste. Mais, la suggestion n'est pas tout
le l'hystérie se manifeste. Mais, la suggestion n'est pas tout dans l' hystérie ; jusqu'à 16 ans, pourquoi notre malade n'a-t-elle
lée, elle est accourue vers nous. Elle ne présente aucun stigmate d' hystérie ; elle n'a pas l'état mental de l'hystérie ; on l
présente aucun stigmate d'hystérie ; elle n'a pas l'état mental de l' hystérie ; on l'a endormie jadis, mais l'hystérie n'est pa
e n'a pas l'état mental de l'hystérie ; on l'a endormie jadis, mais l' hystérie n'est pas la cause des accidents actuels. C'est u
ille est morte tuberculeuse. La tuberculose, s'élant greffée sur de l' hystérie , était sans doute une des causes de la permanence
oints hystérogènes, le diagnostic était facile. Il fallait penser à l' hystérie quoique la malade n'eut jamais de convul-tions. L
rrivent à la détraquer. Cette personne, qui avait une petite teinte d' hystérie , est ainsi devenue la victime de ses hypnotiseurs
unications déjà inscrites D'.Iules Voisin : Incontinence d'urine et hystérie . Dr Bérillon : Présentation d'un appareil vibra
s monstres doubles. Dr Paul Joire (de Lille) : Considérations sur l' hystérie . Df Damoglou (de Omduran. Egypte) : Hyperacuité
de Munich) : Corrélation des troubles somatiques et psychiques de l' hystérie . M. Lépigay : L'hypnotisme chez le cheval. Dr D
l. Dr Délius (de Hanovre) :Note sur l'apparition des symptômes de l' hystérie . M. Caustier. Sur la méthode en psychologie zoo
tangoissepsychasthenic, par Raymond, p. 188. Angoisse, épilepsie et hystérie (Paroxysmes d'), par Raymond, p. 219. Antimusic
ques (Sensibilité et hypnotisme chez les), par Paul Magnin. p. 301. Hystérie (Définition de l') par Babinski, p. 193. nystér
par Babinski, p. 193. nystérie et ménopause, par Raymond, p. 157. Hystérie on Chine (L'), p. 96. Hystérie chez quelques anim
e et ménopause, par Raymond, p. 157. Hystérie on Chine (L'), p. 96. Hystérie chez quelques animaux (Les agents provocateurs
iale, par Durand (de Gros), p. 367. Rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie (Les), par Paul Magnin, p. 2. Réformatoire d'El
ce annuelle de la Société d'Hypno- logie, p. 351-Seusibilité dans l' hystérie (Importance de la constatation exacte des troub
9 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
é du diagnostic des tumeurs du cervelet : au début, le diagnostic d' hystérie fut un instant posé. Les troubles men- taux con
ellent. Pas de syphilis. -Rien au coeur, rien dans le bassin. Pas d' hystérie . Le diagnostic était difficile et ne pouvait se
orées par un faible courant galvanique appliqué sur la tête. Dans l' hystérie , l'action de l'électricité est nil pe}' se. Elle
rnaud. Mardi 3 août. Matin : Discussion de la deuxième question : hystérie infantine. Rapporteur : M. Bézy. Soir : Discussio
GVILLC. Teclzerclres cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
8 francs. Paris, 1897. 0. Dom. S013LIER (P.). Genèse et nature de l' hystérie . 2 volumes grand in-8- formant ensemble 866 pag
s, et cela depuis les analyses'psy- chologiques les plus fines de l' hystérie et de l'hypnotisme, jusqu'aux dernières découve
tes infectieuses. Rapp. au Congrès de Bordeaux, 1805. - Deux cas {l' hystérie provoquée par une maladie aiguë (fièvre typhoïde
n Leç. de clin, méd., il, série, p. 414. Etiologie infectieuse de l' hystérie , in Leç. de clin, méd., 2. série, '1806, p. 557.
USE. Dieu) : encéphalomyélite. - Juillet 1S95, Babinski (Pitié) : hystérie . -Juillet 1896, Potain (Charité) : rhumatisme. -
u une hémiplégie gauche traitée par Fournier en US887. De la grande hystérie diagnostiquée par Babinski en 1893, il ne reste
ngt-six ans, d'un tempérament nerveux, sans stig- mates cependant d' hystérie . Hérédité névropathiquelchargée, tant du côté p
était le cas chez notre malade, on ne constaterait aucun stigmate d' hystérie . Et si chez Mme X... nous avions réussi dans no
bserver combien il faut être réservé quand on porte le diagnostic : hystérie , et éviter de croire et de laisser croire que l
agnostic : hystérie, et éviter de croire et de laisser croire que l' hystérie est seule en jeu. Souvent en effet, l'hystérie
laisser croire que l'hystérie est seule en jeu. Souvent en effet, l' hystérie masque une lésion organique à laquelle elle est a
ésion organique à laquelle elle est associée. Après avoir reconnu l' hystérie , un examen de tous les organes s'impose pour s'
car un mal de Pott pourrait réellement exister concur- remment à l' hystérie . Les accidents hystériques disparaissent brus-
effet d'agir sur le moral du sujet. Weir Milchell, pour traiter l' hystérie , a recours à quatre élé- ments : isolement, sur
du matin. Séance du 3 août (matin). Deuxième question. - Sur l' hystérie infantile sa iicitui e et ses causes. Rapport d
causes. Rapport de M. le Dr P. DEZY. M. Burzy. - L'histoire de l' hystérie infantile a commencé le jour où a été détruite
ographie, sinon complète, du moins très suffisante. L'histoire de l' hystérie infantile peut être divisée en trois périodes.
n trois périodes. Dans la première, les anciens reconnaissent que l' hystérie con- vulsive existe, non pas seulement chez la
de la Salpêtrière, qui établissent bien nettement les limites de l' hystérie , ses formes, son traitement. Naturellement l'hy
limites de l'hystérie, ses formes, son traitement. Naturellement l' hystérie infantile profite de ces éclaircissements. Non
tt. On trouve tous les détails qui intéressent par- ticulièrement l' hystérie infantile, soit dans l'historique placé au comm
évrier 1888, où il est dit : « On commence sans doute à parler de l' hystérie chez les jeunes garçons, et le niveau de nos co
ellence. Aux travaux de Charcot et de ses élèves, qui traitent de l' hystérie en général, Bernutz, Grasset, Pitres, Blocq, Gi
juillet 1885) est inspirée par Char- cot. Elle a pour titre : De l' hystérie chez l'enfant. On y trouve la description des d
chez l'enfant. On y trouve la description des diverses formes de l' hystérie à cet âge, notamment le début par les troubles
t la thèse de 111 ? Hélène Goldspiegel, Contribution à l'étude de l' hystérie chez les enfants. Paris, octobre 1888. Enfin pa
mars 1880 parut la thèse de Paris, ins- pirée par J. Simon « sur l' hystérie infantile considérée dans ses sources, ses cara
ses sources, ses caractères, son traitement. » L'auteur- dit que l' hystérie des fillettes est redoutable par sa durée ; il
e de Giraud, inspirée par J. Simon. Elle a pour titre : Essai sur l' hystérie précoce se développant, chez 2B2 SOCIÉTÉS SAVAN
le bromure et l'hydrothérapie. Ces deux thèses parlent surtout de l' hystérie chez les petites filles ; en dé- cembre 1884, l
a question fait un pas avec la thèse de Casaubont, t, intitulée : L' hystérie chez les jeunes garçons. L'auteur prend pour po
capital de cette thèse se résume dans cette conclusion : la grande hystérie ou hyatéro-épilepsie existe chez les garçons; ell
ie hystériques chez l'enfant, et touchent dans plusieurs leçons à l' hystérie infantile. C'est sous l'inspiration de ce regre
tion, non complètement jugée encore. Elle traite, en effet, de l' hystérie infantile et de sa fréquence au-dessous de l'âge
ons sur ces travaux en discutant la question de l'âge du début de l' hystérie infantile. En janvier 1803 parait la thèse de B
point de vue spéciale qui va être étudié; il s'agit, en en'et, de l' hystérie simulatrice des maladies de l'encéphale chez l'
l'enfant. A Nancy parut en février 1894 la thèse de Fischer « sur l' hystérie infantile, observée à la clinique des enfants de
endant l'année scolaire 1892-93 ». Celte thèse rapporte trois cas d' hystérie infantile, pris dans le service de P. Simon.
ait, à lllontpellier, la thèse d'Isnard sur les manifestations de l' hystérie dans l'enfance. Cette thèse, inspirée par Bosc,
renferme plusieurs observations intéressantes, défend la cause de l' hystérie des très jeunes enfants, mais en prolestant con
cembre 1896 est soutenue, à Paris, par J. Couturies une thèse sur l' hystérie chez les jeunes enfants qui relate des observa-
monoplégie très rapidement guérie. L'auteur parle de cas nombreux d' hystérie infantile qu'il a vus dans le service de J. Sim
s d'hys- térie infantile se répartissant ainsi : garçon, douze ans, hystérie SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 3 convulsive avec arc
e de l'hysté- rie similaire chez l'enfant et ce principe que plus l' hystérie débute de bonne heure plus elle est similaire.
dans le même ordre d'idées que Grasset a étudié les rap- ports de l' hystérie avec la scrofule et la tuberculose. Cette héré-
n. L'éducation a une influence primordiale. Que de fois on voit l' hystérie s'installer chez l'enfant en vertu de ce facteurl
core un de .ces vices de- l'éducation qui font apparaître souvent l' hystérie chez l'enfant. M. Baratoux, cité par Gilles de la
ité par Gilles de la Tourette, a donné la relation d'une épidémie d' hystérie qui sévit sur six enfants de la même famille br
ouse. L'auteur, qui a exercé en Vendée, y a fréquemment rencontré l' hystérie infantile qu'il attribue, en partie, à des mari
On connaît assez l'influence de l'émotion sur le développement de l' hystérie . Nous n'y insisterons pas, nous contentant de sig
cette cause est une des raisons qui expliquent pourquoi l'on voit l' hystérie infantile se manifester chez plusieurs enfants
e voit, les cas de contagion nerveuse sont loin d'être rares dans l' hystérie infantile, et les épidémies d'écoles semblent rem
eppe Villani a relaté le cas d'un garçon de quinze ans qui eut de l' hystérie manifeste à la suite d'un traumatisme. Bosc rappo
ologie nerveuse de ce numéro renferme l'analyse d'une observation d' hystérie infantile. 2 On trouvera' dans Jean Wier (Bibli
ses peuvent, comme chez l'adulte, être des agents provocateurs de l' hystérie . Isnard rapporte, dans sa thèse citée (p. 141,
141, un cas, d'après Railton, d'un enfant de six ans ayant eu de l' hystérie à la suite de l'influenza. La névrose fut de cour
yphoïde qui, d'après Comby, devait être rattaché aux prodromes de l' hystérie . Nous ne reve- nons pas ici sur la tuberculose,
un intérêt pratique. Je suis loin de vouloir nier la fréquence de l' hystérie chez l'en- fanl ; cependant je crois qu'il sera
données suffisantes pour décider s'il s'agit de l'épilepsie ou de l' hystérie : l'embarras est d'autant plus grand que, comme
nous avons d'ores et déjà des raisons suffisantes de rattacher à l' hystérie , et c'est là le point de pratique sur lequel il
elques mots des rapports de l'incontinence d'urine infantile avec l' hystérie . J'ai déjà insisté ailleurs sur les analogies q
ontinence d'urine est une manifestation apparte- nant en propre à l' hystérie ou constitue du moins une prédisposi- tion form
L'étiologie de l'incontinence d'urine ne diffère pas de celle de l' hystérie . Elle se développe toujours sur un terrain prépar
eloppe toujours sur un terrain préparé par l'hérédité. Comme pour l' hystérie , les causes occasionnelles ne jouent, visà-vis
e une véritable crise hystérique en miniature. Le diagnostic de l' hystérie chez les incontinents est justifié, dans beauco
, soit dans leurs antécé- dents pathologiques, d'autres symptômes d' hystérie . Le pronostic de l'incontinence se confond avec
hystérie. Le pronostic de l'incontinence se confond avec celui de l' hystérie infantile : abandonnée à elle-même, elle guérit
reuve de l'affinité qui existe entre l'inconti- nence urinaire et l' hystérie est fournie par l'action qu'exerce sur elle la
égis pense, comme M. Pitres, que ce serait mal servir la cause de l' hystérie infantile que de vouloir en étendre trop les li
mps à autre avouer notre ignorance que de mettre sur le compte de l' hystérie un accident dont la véritable natuie nous échap
e querelle de mots. Le rappor- teur fait rentrer dans le cadre de l' hystérie infantile les accidents hystériques qui se déve
quatorze, quinze, seize ans : il me semble que la dénomination d' hystérie infantile ne doit s'appliquer qu'aux accidents de
- mière et de la seconde enfance. Aller au delà c'est confondre l' hystérie de l'enfance avec celle de l'adolescence ou de la
'estime que l'on est un peu trop enclin aujourd'hui à rattacher à l' hystérie toutes les manifestations névropathiques que l'
thiques que l'on observe chez les enfants. On oublie qu'à côté de l' hystérie , quelquefois même coexistant avec elle, il exis
ne d'accidents qu'on pourrait être tenté sans cela de rattacher à l' hystérie . Au cours de la discussion provoquée par le rap
Au cours de la discussion provoquée par le rapport de M. Bezy sur l' hystérie infantile, M. Bérillon a présenté une étude détai
ceptée sans conteste dans le traite- ment de toutes les formes de l' hystérie chez l'adulte. Par contre, l'emploi de ce procé
'adulte. Par contre, l'emploi de ce procédé dans le traitement de l' hystérie infantile soulève encore des objections d'ordre
oulevées contre l'emploi de la suggestion dans le traite- ment de l' hystérie infantile sont les suivantes : « Vous allez créer
imée que ce trai- tement hypnotique n'ait pour effet de réveiller l' hystérie en puis- sance et de provoquer l'éclosion de no
is vu survenir il la suile de leur traitement le moindre symptôme d' hystérie . Cela est tellement vrai qu'à Nancy, où les mal
où les malades ont été hypnotisés par milliers, la grande attaque d' hystérie n'existe pas. Les neurologistes les plus éminents
e de l'hypnotisme en arrivent à nier l'existence des stigmates de l' hystérie tels que les a . décrits l'École de laSalpêtriè
jamais. Partout où l'on s'occupe couramment d'hypnotisme, la grande hystérie , autrefois si commune, disparaît et les malades
ontre une malade chez laquelle surviennent t des crises complètes d' hystérie , avec l'arc de cercle et les convul- sions toni
ui consiste à accuser l'hypnotisme d'être un agent provocateur de l' hystérie , émane ordinairement t d'un représentant de l'É
bilité est, en fait, synonyme d'éducabilité. Toutes les formes de l' hystérie peuvent se rencontrer chez l'en- fant, mais il
exceptionnel de constater l'existence de stigmates classiques de l' hystérie . L'hystérie convulsive chez l'enfant est aussi
l de constater l'existence de stigmates classiques de l'hystérie. L' hystérie convulsive chez l'enfant est aussi très rare et
tat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant assisté à des crises d' hystérie . Par contre l'hystérie se révèle fréquemment pa
veuse, l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie. Par contre l' hystérie se révèle fréquemment par l'apparition de troub
une coquetterie excessive est également une des manifestations de l' hystérie précoce. En un mot l'instabilité mentale des enfa
ques semble calquée sur celle que présentent les adultes atteints d' hystérie vulgaire. 6) SOCIÉTÉS SAVANTES. L'éducation d
oi de la suggestion est nettement indiqué dans le traitement de l' hystérie infantile. Les cas dans lesquels l'indication a é
contrôlés, sont les suivants : 1° les troubles symptomatiques de l' hystérie , associés ou isolés, tels que les tics, la chor
ettant de différencier les troubles fonctionnels qui dépendent de l' hystérie infantile de ceux qui relèvent de la dégé- nére
. Sabrazès et au sien, les observations de trois enfants atteints d' hystérie , qui méritent d'être réunies parce qu'elles off
econde enfance (de dix à quatorze ans). Le mode d'ap- parition de ]* hystérie a été ici le même que chez les adultes. La sugg
hémorrhagies et des troubles trophiques que M. Bézy a rattachés à l' hystérie infanlile, il convient, je crois, de grouper ce
er à la diathèse hystérique. 61, SOCIÉTÉS SAVANTES. Trois cas d' hystérie infantile. MM. S.BRASLS et LAUas rapporlent tro
ie infantile. MM. S.BRASLS et LAUas rapporlent trois observations d' hystérie nfantile qui méritent d'être réunies à cause de
seconde enfance réussir plus facilement que chez l'adulte. Un cas d' hystérie infantile. M. BÉzy rapporte un cas d'hystérie i
l'adulte. Un cas d'hystérie infantile. M. BÉzy rapporte un cas d' hystérie infantile. Une fillette de quatre ans et demi e
la rareté des maladies à tremblements dans l'enfance, tandis que l' hystérie est fréquente à cet âge. Le diagnostic se fait en
fara- disation. Ce qui prouve une fois de plus que chez l'enfant l' hystérie ne tient pas. Il insiste sur la valeur thérap
istence de la réaction de dégénérescence permet d'éloigner l'idée d' hystérie . Il réfute le cas de Gilles de la Tourette et D
que la femme; 2° la paralysée générale arrive le plus souvent au HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 99U marasme et à la fin de
ésent comme secondaires, ou passant inaperçus. CLINIQUE NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE; Par le Dr F. TERRIEN, An
bre 1893 des Archives de Neu1'o- logie, je publiais une étude sur Y Hystérie en Vendée, où j'éla- blissais la fréquence de c
rai aujourd'hui sur ce sujet en limitant, cette fois, mon étude à l' hystérie de l'enfance que j'avais, à dessein, laissée de
aire l'objet d'une communication spéciale. On le sait maintenant, l' hystérie ne connaît pas d'âge, de même qu'elle ne connaî
d déjà penché sur la tombe. On voit, par là, combien le cercle de l' hystérie s'est élargi depuis celte époque encore peu élo
en un mot, en pleine période d'activité sexuelle. L'histoire de l' hystérie infantile est donc de date récente, elle ne rem
..Hyë'e <H/aM/<7e, Grancher. 7/e ? e c/;e : .s ? e«KM 1 Besy. Hystérie infantile, 1896. - Grancher. Hystérie chez les je
? e c/;e : .s ? e«KM 1 Besy. Hystérie infantile, 1896. - Grancher. Hystérie chez les jeunes enfants. (Journal de médecine e
r 1888. (Bulletin médical, 30 juillet 1890.) - Chaumier (de Tours). Hystérie chez les jeunes enfants. (Bulletin de l'Académi
es des enfants, 1889; 17, 18, 19, 20, 21, 23 leçons. Greffier. De l' hystérie précoce. (Archives géné- rales de médecine, oct
s jeunes garçons, (l'rogrès médical.) lieclcerclres cliniques sur l' hystérie et épilepsie, 1880-1881. (Ar- chives de Neurolo
887). -Gilles de la Tourette. Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , 1891. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 301 enco
la Tourette. Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie, 1891. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 301 encore bien des points
des points obscurs et on peut dire avec Pitres que le chapitre de l' hystérie infantile est encore à faire. Cette lacune, je
ies différentes, en raison des formes multiples sous lesquelles son hystérie nous apparaît à des époques diverses. Cependant
ue est très chargée; père alcoolique avec des stigmates très nets d' hystérie et signes non moins nets de dégénérescence ment
est droite sans saillie anormale, sans douleurs à la pression. 0 HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 303 A des accidents tétani
cher, et cela mal- gré l'absence de stigmates, au seul diagnostic d' hystérie . C'était une contracture hystérique; les événem
sie chez un enfant de huit ans. Guérison au bout d'un mois. Un an HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 305 après parésie par sugg
ille sur la chute et sur le début de l'affection me font penser à l' hystérie . Je recherche s'il n'existe pas quelques stigma
a sugges- tion faite par les parents. Tout cela n'appartient qu'à l' hystérie , et ne peut se rencontrer dans aucune autre aff
jamais. Les émotions causées par la mort du père avaient préparé l' hystérie , la chute la fit apparaître. , Le soir de la ch
s conséquences, puisqu'elle rendait d'un seul coup l'enfant amné- HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 301 sique et qu'il perdait
On avait, sans doute, cru à une lésion organique,, et c'était de l' hystérie qui était en jeu, car outre cette aphonie qui n
jeu, car outre cette aphonie qui n'existe ainsi marquée que dans l' hystérie , aphonie survenant sans perte de connaissance,
ubitement ; la veille, la fillette s'était amusée comme de coutume, HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDEE. 309 ces selles étaient rég
sensibilité est absolue, la perte de connaissance complète. Coma. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 311 Celait la nuit; le len
excessivement nerveux qui a fait déjà du méningisme hys- térique. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 313 Observation X. Pseudo-
noplégie brachiale, suite d'une chute sur le bras (Obs. 2 et 3 de l' Hystérie en Vendée, n° de décembre 1893 des Archives de
abituelle. Avec l'enfant de l'OBSERV.ITIO.1 II, c'est le seul cas d' hystérie infantile où j'ai réussi par suggestion à l'éta
hystériques ven- déens, de même que je le constatais dans l'article Hystérie en Vendée. Chez eux la suggestion même à l'état
uide, cela lui suffisait tant le besoin de boire était impérieux. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 315 Quelle était la quanti
paralysie hystérique; les réflexes sont conservés. Au bout de cinq HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 31 ï jours tout avait disp
a nature de laquelle je ne peux me prononcer. Nous avons ici de l' hystérie , c'est un point acquis. Cejeune hystérique est
ut exister en dehors de tout autre stigmate consti- tuant ainsi une hystérie monosymptomatique. La polyurie chez notre petit
ilk., XVIII, N. F., vi, 1895.) Convulsions généralisées rappelant l' hystérie , à la suite de l'inci- sion d'un furoncle dans
ces vitales, M. Pailhas tente un rapprochement entre l'enfance et l' hystérie d'une part, et d'autre part entre la vieillesse
s hypcrsthéniques, aux- quels paraît se rattacher essentiellement l' hystérie , et à amender, au contraire, les troubles matin
tes se montrent absolument opposées à la théorie physiologique de l' hystérie fournie par M. Féré en 1890 et de laquelle il d
epsie à aura laryngée ne peut être incriminée. Il n'y a donc qu'à l' hystérie mono-symptomatique ou au phréno- âlottisme de l
ne différenciation plus complète qu'elle ne l'est actuellement de l' hystérie et de la dégénérescence intellectuelle propreme
Novembre 1897. N° 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par le D'' F. TERRIEN,
cuisse, l'enfant crie que je lui fais mal. Jé n'entends pas de cra- HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 371 1 quements, l'article
u dernier examen. Évidemment ces dernières crises sont des crises d' hystérie . Observation XV. Enfant d'un an. Crises d'hysté
ont des crises d'hystérie. Observation XV. Enfant d'un an. Crises d' hystérie . Convulsions toniques, cloniques sans aura, san
? Était-ce une crise due à quelques lombrics ? Etait-ce une crise d' hystérie ou d'épilepsie ? Le réveil, à coup sûr, n'était
erreurs nocturnes, se jette subitement hors de son lit croyant voir HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 373 des bêles qui viennent
regards d'une jeune bonne Estelle me rappela ce fait et au moment HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDUE. 375 5 où l'on m'apportait
hives de J\Teu1'O- logie et que mon frère a rappelé dans sa thèse « Hystérie en Vendée » et ce dernier cas plus probant. E
s que des hypothèses. Tout est donc étrange, presque mystère dans l' hystérie ; cette dernière observation en est une preuve n
n en est une preuve nouvelle. Observation XVII. Enfant de sept ans. Hystérie et dégénérescence mentale. Vomissements hystéri
elle n'a 1 Elle est ordurière dans ses expressions (coprolalie). HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 377 l point une physionomi
est pas très chargée, les selles sont régulières. Comme stigmates d' hystérie (car je pense a des vomissements hystériques) j
t confirme bien ce que j'avançais dans une précédente étude sur l' hystérie en Vendée. La suggestion, dans l'hystérie, est le
ne précédente étude sur l'hystérie en Vendée. La suggestion, dans l' hystérie , est le traite- ment par excellence ; mais dans
s mention ici, c'est parce que cet enfant présente un bel exemple d' hystérie associée à une affection organique. Voici les q
endée, et avant tout je ne voulais présenter que des malades dont l' hystérie ne pouvait être mise en doute. Car en raison de
ormes à celles qui sont généralement acceptées aujourd'hui : 1° L' hystérie existe chez les enfants et tous les âges, aussi
t point discutable, aussi je n'insiste pas. Du reste, sur J 8 cas d' hystérie , relatés ici, nous en trouvons 8 au-dessous de
e chez les adultes. L'est-elle davantage ? Je ne saurais le dire. HYSTÉRIE INFANTILE EN YE ? \DÉE. 379 L'impressionnabilit
t la troisième enfance sans donner plus jamais de signes évidents d' hystérie . Ce n'est pas ainsi que se comporte ordinaireme
névrose avec crises convul- sives, mode d'accidents qui révèle une hystérie bien accen- tuée. Pour résumer ma pensée je dir
ie bien accen- tuée. Pour résumer ma pensée je dirai donc que, si l' hystérie de l'enfance n'est point rare (les nombreux cas
ccorder certains auteurs qui appliquent trop aisément l'étiquette d' hystérie à des mani- festations qui ne relèvent en rien
à bien des causes qui, dans l'âge viril, peuvent faire éclater l' hystérie . Ce qu'il gagne d'un côté, il le perd donc de l'a
fréquente ni moins fréquente qu'à tout autre âge de la vie. 3° L' hystérie des enfants est la même que l'hystérie des adul
ut autre âge de la vie. 3° L'hystérie des enfants est la même que l' hystérie des adultes. - On peut observer chez les enfant
à leur non-existence de ce que l'on n'arrive pas à les démasquer. L' hystérie est une ; de même qu'il n'y a pas, à proprement
'hystérie est une ; de même qu'il n'y a pas, à proprement parler, d' hystérie mas- culine, féminine, il n'y a pas davantage d
parler, d'hystérie mas- culine, féminine, il n'y a pas davantage d' hystérie infan- tile, juvéline et sénile. La névrose, ch
és, idées extravagantes, gestes désordonnés, etc. - En réalité, l' hystérie de l'enfance est bien identique à l'hystérie vi
etc. - En réalité, l'hystérie de l'enfance est bien identique à l' hystérie virile et les divisions fondées sur l'âge n'ont d
ladie, sur la localisation ou la nature des symptômes. 4° Comme l' hystérie de l'âge viril, elle peut simuler chez l'enfant
ler chez l'enfant, presque toutes les maladies du système nerveux HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 381 médullaire (thèse Souq
s à la hanche et sa marche est normale. Et la méningite ? Comme l' hystérie sait bien la copier ; aussi l'erreur est-elle f
marque s'impose quand on parcourt les observa- tions publiées sur l' hystérie de l'enfance, elle ne copie abso- lument que le
frappe à l'âge viril, de la paralysie agitante, etc. Sa Ainsi que l' hystérie virile, elle peut s'associer chez l'en- fant à
e époque plus avancée de la vie. Renard et Swolfs ont cité un cas d' hystérie chez une jeune fille de quatorze ans avec crise
ngite tuberculeuse. Dans l'observation XVII de ce travail on voit l' hystérie et la dégénérescence mentale coexis- ter, le sy
ondi pour dissocier ce complexus morbide et donner à chacun des ' Hystérie en Vendée, p. 469, Archives de Neurologie. HYST
chacun des ' Hystérie en Vendée, p. 469, Archives de Neurologie. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 383 éléments qui le consti
touché à l'affection qui lui est associée 1. 6° Le diagnostic de l' hystérie , chez l'enfant, est de beau- coup plus difficil
champ visuel surtout qui a une signification carac- téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 - CLINIQUE NERVE
r, les antécédents héréditaires qui manquent très rarement dans l' hystérie , les antécédents personnels révélant, dans son
ature des phénomènes primitifs. Tout d'abord, je pouvais penser à l' hystérie , prononcer le nom, mais je sen- tais mon diagno
es connues, je regarde l'affection dont elle est atteinte comme une hystérie . » Je pense néanmoins que l'hystérie monosympto
nt elle est atteinte comme une hystérie. » Je pense néanmoins que l' hystérie monosymptomatique ne peut, ne doit être portée
n escient. Donc, pour toutes les raisons que je viens d'énumérer, l' hystérie de l'enfance plus encore que l'hystérie de l'âg
que je viens d'énumérer, l'hystérie de l'enfance plus encore que l' hystérie de l'âge viril exige une observation très atten
ns gênante, plus ou moins fugace et vice-versa. 7° Pronostic. « L' hystérie , dit Ollivier, reconnue dans HYSTÉRIE INFANTILE
ce-versa. 7° Pronostic. « L'hystérie, dit Ollivier, reconnue dans HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE.. 385 les premières années,
appréciation résulterait-elle de ce que l'on a rangé parfois dans l' hystérie certaines manifesta- tions qui pouvaient avoir
ions disparaissant pour toujours, on est porté alors à croire que l' hystérie infantile est beaucoup plus aisément curable. S
devrai considérer comme assez sombre l'avenir d'un jeune enfant à l' hystérie nettement accentuée. Il est vrai que le traitem
e. Je ne passerai pas en revue toutes les causes pouvant produire l' hystérie chez les enfants, puisqu'elles sont évidemment
classiques au chapitre Etiologie de l'hys- térie en général, car l' hystérie , nous le savons, est une dans son étiologie com
86 CLINIQUE NERVEUSE. du Bocage. Or, il est fréquent de constater l' hystérie chez ces fils de buveurs. Toutefois, il est ass
iter au point de produire bientôt un état patholo- gique qui sera l' hystérie ou la neurasthénie. Ce serait, pour moi, une de
évroses dans ce pays. 9° Traitement. Dans mon premier travail sur l' hystérie en Vendée,je disais : «L'hypnotismeestuneexcell
ant l'hypnose. Voilà le langage que je tenais en 1893, et aujour- HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 387 Î d'hui, s'il m'était
e aussi brillants que ceux obtenus primitivement. Je parle ici de l' hystérie virile. Si j'ai une telle foi dans l'efficacité
acquis, je serai beaucoup moins affirmatif en ce qui con- cerne l' hystérie infantile. Doit-on l'utiliser cependant ? Et si
de à cet âge. J'ai toujours présente à l'esprit cette belle crise d' hystérie que je déter- minai en essayant un jour d'endor
es leçons sur l'importance de l'isolement dans le traitement de l' hystérie . Il est certain, en effet, qu'ainsi isolé, mais i
ut vrai pour la Vendée que j'habite : ce que j'ai dit au chapitre HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 389 « Etiologie » l'indiqu
rce musculaire sont suffisamment conservées ; 4° Sans parler de l' hystérie simulant le tabes et de l'association hystéro-t
es psychoses, qui peuvent la compliquer, sont la con- séquence de l' hystérie , de la neurasthénie ou de l'alcoolisme qui comp
as un alcoolique ; il ne présente non plus pas de stigmates ni de l' hystérie , ni de la neurasthénie. Une considération impor
nt détaillé, divisé en trois parties : 1° Etiologie spécifique de l' hystérie . Consisterait en des trauma- tismes psychiques,
nstitue le fond de la névrose de défense, de rejet, qui s'appelle l' hystérie . Mais le déplacement du souvenir d'un évé- neme
ulté- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 499 rieurement, provoquent l' hystérie par le mécanisme sus-indiqué. 2° Nature et méca
t. Il cherche donc les éléments psychiques sem- blables à ceux de l' hystérie , et, évoquant des souvenirs dans lesquels se re
sculaire lisse (états moraux, fatigues, surine e nage, névropathie, hystérie ) capable d'engendrer à elle seule le spasme et
cas, séparer deux applications. La guérison est durable. D. XII. Hystérie izztra-ilzfectieuse; par le Dr MocQuoT. (Thèse de
son travail, l'auteur formule les conclusions suivantes : 0 : 1° L' hystérie , quand elle apparaît en pleine période aiguë de
it que le sujet y soit prédisposé par une tare héré- ditaire ; 2° l' hystérie ainsi développée affecte plus spécialement la f
tant plus souvent observées dans les névroses post-infectieuses; 3° hystérie et infection marchent de pair, peuvent s'influe
dans le traitement des maladies mentales, par Tokarskv, 51 i. " Hystérie infantile au Congrès de Toulouse, par Bézy, 249
10 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
est très nerveuse, très irritable ; elle n'a jamais eu de crises d' hystérie . Depuis longtemps elle est sujette à de violentes
très difficile. Elle a eu dans sa jeunesse des crises incomplètes d' hystérie . Elle a encore des accès de sommeil cataleptiqu
s forts qu'à droite. El si cela ne suffisait pas pour la diagnose d' hystérie , un symptôme qui survint durant l'observation e
fait libres de contracture et de parésie, je crois que la diagnose d' hystérie est suffisamment justifiée. Notre cas nous ra
sez étranges pour que leur absence leur serve de caractéristique. L' hystérie qui peut se présen- FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 45 ter
ation de la température. Ceci servira à modifier la définition de l' hystérie donnée par les auteurs classiques et aussi à su
ccession des états qui permettent de qualifier sa névrose de grande hystérie . A la fin du mois d'août, les convulsions génér
pe typhoïde, ordinairement primitive, marquant le commencement de l' hystérie . L'auteur publie 3 observations de la dernière
et celui que je décris. Avec l'antécédent de la forme fébrile que l' hystérie avait pris chez cette malade, ' il paraîtrait q
con- clure que la fièvre est une des manifestations possibles de l' hystérie et que les hautes températures. lorsqu'elles se
ations organiques des pyrexies. De même que dans les observations d' hystérie pathologique étudiées par Gilles de la Tourette e
a observé et décrit plusieurs cas, ne dit pas que chez ses sujets l' hystérie fût en cause, mais il note que les malades attrib
n trouve en effet sur notre malade presque tous .les stigmates de l' hystérie : .analgésie, rétrécissement du champ vi- suel,
ques. Obs. XI de la thèse d'Athanasio. Des troubles trophiques dans l' hystérie . NOUVELLE Iconographie de la Salpètrierp. r. V.
au mo- ment de l'attaque de chorée rhythmée. Cependant l'attaque d' hystérie avec perte de connaissance peut revêtir la form
manque de tous les autres signes habituels de l'athétose double. Hystérie . Il existe, d'après M. Audry, dans la littérature
e, une seule observation des mouvements involontaires au cours de l' hystérie . Le cas est rapporté par Wiszwianski. Il nous s
ent guérie de son trouble moteur. On ne peut nier cependant que l' hystérie , cette grande simulatrice, ne puisse, en cas de
tc. que l'on doit dire, mais mouvements athétoüles dans le tabès, l' hystérie , etc. 6. Etiologie. Anatomie pathologique et pa
ÉTUDE CLINIQUE sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections nerveuses. L' hystérie de la mère a été observée par Richardière, Char
ose, la principale et le plus souvent la seule manifesta- tion de l' hystérie , les accidents convulsifs qui constituent la form
n a déjà, à diverses reprises, rapproché la maladie de Raynaud et l' hystérie . Quoiqu'il en soit, nous devons en terminant po
mités, elle ne nous paraît pas pouvoir être mise sur le compte de l' hystérie , pas plus que sous la dépendance des troubles vas
x. De même par exemple que l'hémiplégie appar- tient aussi bien à l' hystérie qu'à l'hémorrhagie cérébrale, il est incontesta-
nnent compliquer (tabes, paralysie infantile, névrite périphérique, hystérie ), ce qui ne s'observera point dans l'athétose d
estbon d'a- voir présente à l'esprit, surtout en ce qui concerne l' hystérie . 4° C'est en cela que réside en réalité la seul
atignolles, Paris. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE DE L' HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
casion d'observer à l'hôpital des Enfants-Malades un cas complexe d' hystérie qui simulait à s'y méprendre le type clinique s
légie spas- modique infantile. La simulation tenace et rebelle de l' hystérie a pu être démasquée bien avant que ne survînt u
bornant déjà à étudier chez les enfants seulement les rapports de l' hystérie simulatrice avec les mala- dies nerveuses organ
moindre symétrie, incohérent et disparate. Les manifestations de l' hystérie s'adaptent aussi bien chez les enfants que chez
es deux ordres de faits; car, c'est une erreur de croire que dans l' hystérie tout est laissé au hasard. - « Tout s'y passe au
, la deuxième partie. Avant de commencer cette étude parallèle de l' hystérie simulatrice et des maladies organiques de l'enc
ales où nous examinons plus spécialement les problèmes relatifs à l' hystérie infantile. Tout n'est pas encore résolu dans un
ache pour tout méde- cin à décider si tel syndrome est le fait de l' hystérie ou de lésions nerveu- ses organiques. C'est sur
onsidérations historiques et critiques. 1. Conception actuelle de l' hystérie . Quels que soient les progrès réalisés depuis m
les progrès réalisés depuis moins de vingt ans dans l'é- tude de l' hystérie , il serait à noire avis souverainement injuste de
linique française et que le Traité clinique et théra- peutique de l' hystérie de Briquet, paru en 1859, marque décidément une
en pas douter, le tableau très complet et très exact d'atta- ques d' hystérie ; mais il s'agit souvent d'hommes ou d'enfants qu'
s 1850 dans la connaissance des maladies du système nerveux et de l' hystérie en particulier. C'était là notre seul but. Il e
nées avec tant d'art dans son Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie . Il ressort de son premier chapitre que seuls,
ès de nous, de Brodie, méritent d'être conservés il l'histoire de l' hystérie avant l'apparition du livre de Briquet. Pour en
rget en 1831, en combattant la théorie antique qui ne voyait dans l' hystérie qu'une ma- ladie incohérente, bizarre ou même h
on admirable préface, il espérait qu'un temps viendrait où « le mot hystérie serait tout simple- ment un nom propre, comme o
i moyen d'amener ce résultat, c'était de démontrer l'existence de l' hystérie chez l'homme et sur- tout chez l'enfant, en rep
ui régissent la grande névrose. Aujourd'hui donc, quand il s'agit d' hystérie , il ne saurait plus être question de « protée i
mpre avec les errements passés et se familiariser avec l'étude de l' hystérie . « Il ne faudrait pas croire pour cela, dit M.
é- rie soit plus fréquente aujourd'hui qu'autrefois. Si les faits d' hystérie se multiplient de nos jours, c'est que cette ma
e cette maladie est déjà mieux connue. Cela est vrai surtout pour l' hystérie mâle qui, ignorée il y a encore quel- ques anné
nées, tend aujourd'hui a être considérée comme plus fréquente que l' hystérie féminine », d'après les statistiques récentes de
(1890). M. Babinski (2) n'admet ces propositions que pour la petite hystérie et croit la grande hystérie seulement « l'apanage
met ces propositions que pour la petite hystérie et croit la grande hystérie seulement « l'apanage .l'une aristocratie névro
e. » Encore plus erronée était la croyance qui portait considérer l' hystérie comme un produit des raffinements de la civilis
prétation est souvent plus malaisée. Seulement, il faut dépister l' hystérie qui ne cherche qu'à se dissimuler ». Ainsi do
ésumé des découvertes les plus récentes faites dans le domaine de l' hystérie , au point de vue de la conception de cette névr
a conception de cette névrose. Il n'y a pas à proprement parler une hystérie toxique, une hys- térie traumatique, une hystér
rement parler une hystérie toxique, une hys- térie traumatique, une hystérie émotive, une hystérie masculine ou fémi- nine,
érie toxique, une hys- térie traumatique, une hystérie émotive, une hystérie masculine ou fémi- nine, mais une seule hystéri
térie émotive, une hystérie masculine ou fémi- nine, mais une seule hystérie , dit M. le professeur Charcot, « une et indri-
- seur Lasègue, l'a dit en excellents termes : « La définition de l' hystérie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais ».
ie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais ». II. Études sur l' hystérie chez les enfants. Nous avions besoin de poser c
l'oublier. Ch. Lepois et Sydenham qui avaient admis les premiers l' hystérie mas- culine sont également les premiers à l'adm
ne plusieurs observa- tions. Enfin, Briquet réunit plus de 80 cas d' hystérie chez des enfants seu- lement de 1 à 12 ans. Il
IE DE LA SALPÊTRIÈRE. clair, dit-il dans son Traité (1), que plus l' hystérie aura eu d'intensité chez les parents, plus les
dre, principalement par l'Ecole de la Salpêtrière, la question de l' hystérie infantile. On l'étudié conjointement avec l'hysté
question de l'hystérie infantile. On l'étudié conjointement avec l' hystérie masculine; mais les deux n'ont pas marché de pa
statistique, le travail le plus complet que nous connaissions sur l' hystérie infantile ». Il a gran- dement facilité la lâch
son livre sur les Hystériques (1883), a consigné plusieurs faits d' hystérie rela- tifs à des enfants. Mais son point de vue
premier et presque le seul a abor- der franchement le problème de l' hystérie chez les enfants. C'est lui qui, dès 1880, insp
sinon d'importants développements, au moins un court chapitre sur l' hystérie des enfants. L'impressionnahilité naturelle de
estion de l'hys- (1) Briquet, Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , p. 90. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ
3 : J0 térie infantile était beaucoup moins avancée que celle de l' hystérie des adul- les. Sans doute, les difficultés de c
is encore aujourd'hui, nous répéterions volon- tiers, à propos de l' hystérie infantile, ce que M. Charcot disait naguère de
opos de l'hystérie infantile, ce que M. Charcot disait naguère de l' hystérie masculine : « Voilà, parait-il, qui passe l'imagi
le de ne pas être dépassés à l'étranger par les travaux parus sur l' hystérie chez les enfants. En Allemagne, c'est seulement
traordinaires et qui ne se rapportent souvent que de très loin il l' hystérie . Au reste, il ressort d'un mémoire assez récent
s psy- chiques qui tiennent le premier rang dans les symptômes de l' hystérie in- fantile. Duvoisin tend lui-même il prouver
se, sont devenus plus tard des aliénés. Cette tendance à faire de l' hystérie , même infantile, une maladie pure- ment psychiq
eur compatriote Russel Reynolds (1868), qui niait l'hérédité dans l' hystérie . Enfin, les auteurs américains nous transmetten
leur Index cata- logue les titres de nombreux mémoires concernant l' hystérie et en parti- (1) Charcot, Levons sur les maladi
incomplète, des travaux pro- duits en France et à l'étranger sur l' hystérie infantile, nous l'avons jugée nécessaire pour m
ramener, croyons-nous, à l'examen de deux chefs principaux : 10 L' hystérie existe-t-elle chez les enfants, à tous les âges*
L'hystérie existe-t-elle chez les enfants, à tous les âges* ! 2° L' hystérie , chez les enfants, est-elle différente de l'hysté
s âges* ! 2° L'hystérie, chez les enfants, est-elle différente de l' hystérie chez les adultes ? Pour l'âge qui précède imm
é, les auteurs sont à peu près unanimes à admettre l'existence de l' hystérie . C'est Ch. Lepois (6618), dit M. Gilles de la T
core M. Gilles de la Tourette, qui a le premier mentionné des cas d' hystérie chez les jeunes garçons (Genève, 1740). M. Clopat
à établir la pro- portion d'un garçon pour deux filles atteintes d' hystérie . A mesure que l'hystérie masculine sera mieux c
n d'un garçon pour deux filles atteintes d'hystérie. A mesure que l' hystérie masculine sera mieux connue, il est possible que
a été chez les adultes. Dans la seconde enfance, les observations d' hystérie deviennent plus rares. Raulin, nous dit Briquet
(1891), Burnet soutient l'opinion un peu vague de M. Ollivier que l' hystérie existe et n'est même pas très rare chez les en-
arrivons enfin au point le plus discuté, celui de l'existence de l' hystérie chez les nouveau-nés et dans la première enfance.
emière enfance. Les statisti- ques précédentes, bien qu'affirmant l' hystérie « dès l'enfance tendre », ne nous fournissent à
ilité. M. le professeur Grancher (2) a observé un cas pour lequel l' hystérie débuta très nettement chez une petite fille à l
NTS 337 leurs son opinion formulée en termes clairs et précis : « L' hystérie est aussi très commune, même chez les tout jeun
une courte étude à ce qu'il appelle « les prodromes lointains de l' hystérie » chez les enfants en bas-âge. C'est là un chap
six mois chez un enfant de 2 ans. Le travail le plus récent sur l' hystérie des nouveau-nés et des tout jeu- nes enfants a
es conclusions, proposé la subs- titution un peu trop radicale de l' hystérie à l'éclampsie des nouveau-nés et aux accidents
dans la pathologie infantile. Nous voulons bien faire la part de l' hystérie dans les convulsions de l'enfance ; mais de là à
e qu'en dépit de toutes les difficultés in- hérentes à l'étude de l' hystérie chez les nouveau-nés et les jeunes en- fants, c
e de l'hystérie chez les nouveau-nés et les jeunes en- fants, cette hystérie existe. Rien n'autorise à la rejeter à priori; au
et complet. Pouvons-nous maintenant saisir des différences entre l' hystérie chez les enfants et l'hystérie chez les adultes
enant saisir des différences entre l'hystérie chez les enfants et l' hystérie chez les adultes ? Nous avons indiqué plus haut
es psychiques tiendraient le premier rang dans les symp- tômes de l' hystérie , même infantile, et seraient comme les avant-cour
lletin médical, 30 juillet 1890. (2) Pitres. Leçons cliniques sur l' hystérie , 1891, t. I, p. 37. 338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
enfants ne saurait suffire il nos yeux pour porler le diagnostic d' hystérie et encore moins pour soupçonner un état mental
éagir, parce que trop souvent hélas ! on se paie de mots à propos d' hystérie et qu'on ne tient pas assez compte des conditio
ations pathologiques où les maladies mentales prennent le pas sur l' hystérie pure. Alors, suivant la judicieuse remarque de M.
nons de signa- ler el qui tend à se glisser dans la conception de l' hystérie infantile, sous le couvert des doctrines allema
t des doctrines allemandes. On a dit encore que chez les enfants, l' hystérie offre une plus grande mo- bilité de symptômes,
Charcot a déjà démontré leur peu de fondement en ce qui concerne l' hystérie féminine; pareille démonstration ressorl assez cl
féminine; pareille démonstration ressorl assez claire- ment pour l' hystérie infantile de plusieurs de nos observations. Quand
, p. 199. (2) Gilles de la Tourette, Traité clin, ri Ilu·rrip. de l' hystérie , 1). ;Il. MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CH
nclusions suivantes du professeur Pitres (1) : « Les divisions de l' hystérie fondées sur l'âge ou le sexe des malades, n'ont
non pas à des espèces nosologiques distinctes. Il est certain que l' hystérie infantile est en général moins complète et moin
rie infantile est en général moins complète et moins bruyante que l' hystérie juvénile ; les attaques convulsives y sont moin
t identiques chez des sujets d'âges très différents. « En résumé, l' hystérie est une et in- divisible, ses manifestations va
son étude n'ont aucune importance nosographique. Les expressions d' hystérie infantile, viscérale, traumati- que, etc., sign
ystérie infantile, viscérale, traumati- que, etc., signifient que l' hystérie s'est développée chez un enfant, que ses symptô
, de la pé- nurie des documents relatifs à l'histoire générale de l' hystérie infantile, et des nombreux desiderata qui nous
s maintenant qu'il nous faut aborder la question plus spéciale de l' hystérie simulatrice des maladies nerveuses organiques che
, on a répété surabondamment que la simula- tion des maladies par l' hystérie s'étendait à la pathologie tout entière et qu'i
prenaient leur masque. Il semblerait donc que la litté- rature de l' hystérie simulatrice fût très riche en documents de valeur
eté d'observations utilisables s'explique par ce premier fait que l' hystérie était mal connue autrefois, que ses stigmates phy
ait les reconnaître d'abord avant de songer à leur simulation par l' hystérie . Il y avait donc il leur égard une double diffi
aussi inconnue que leur masque. D'autre part, leur simulation par l' hystérie peut dans un grand nombre de cas être si parfaite
lexes, ceux par exemple des associations pathologiques et ceux de l' hystérie 1nonosymptomatique. Démon- (1) Thèse Paris, 189
pro- blème des associations pathologiques et des combinaisons de l' hystérie avec les maladies organiques du système nerveux
veux; il en a fourni deux exem- ples où les lésions avaient suivi l' hystérie (1), le professeur Grasset (2), de son côté, et
et M. Cénas (3) (de Lyon) ont rapporté plusieurs observations où l' hystérie avait suivi les lésions. La thèse de Souques vien
ntes à cet égard (4). Il paraît donc démontré actuellement que si l' hystérie peut simuler les maladies organiques du système
héorie de Buzzard (5), qui soutient au contraire la simulation de l' hystérie par les maladies nerveuses organiques ? Nombre
s, beaucoup plus nombreux et non moins bien observés. Tant pis si l' hystérie et les maladies nerveuses organiques s'identifi
nsemble, fort bien compris, du docteur Fabre (de Mar- seille) sur l' hystérie simulant les affections cérébrales (1). Plus loin
ques. Mais ces différents auteurs ne traitent pas spécialement de l' hystérie si- mulatrice chez les enfants, et leurs observ
té énoncées plus haut, quand nous faisions l'histoire critique de l' hystérie infantile en général ; la meilleure est assurém
l'idée que c'était de la simulation, que les prétendues attaques d' hystérie étaient des farces ». Ainsi, après West, les pr
mitation concourt à la produire. Cette maladie a beau s'appe- ler l' hystérie , elle n'en est pas moins sérieuse, même chez l'en
té des méthodes qui sont entre nos mains (1) ». PREMIÈRE PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
urions voulu parler ensuite des lésions du cervelet et des formes d' hystérie qui pouvaient simuler ces lésions. Mais les fonct
: M. le pro- fesseur Charcot a pu fournir récemment un cas unique d' hystérie simula- trice du syndrome de Weber chez un jeun
v., t. III, p. 20. 344 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. L' hystérie peut enfin simuler, du côté de l'appareil de la v
et les lésions dissémi- nées des méninges, dont les rapports avec l' hystérie seront traités dans la deuxième partie. A. Lé
er du cerveau l'étude plus spéciale des lésions de l'écorce et de l' hystérie simu- latrice correspondante, nous allons faire
Ce tableau étant lui-même reproduit plus ou moins exactement par l' hystérie simulatrice, il y a lieu d'étudier parallèlement
igner le titre même de cette maladie. Voyons maintenant comment l' hystérie peut simuler cette forme clini- que d'hémiplégi
ent des membres, ce ne serait pas un signe suffisant pour rejeter l' hystérie (3). La contracture, même consécutive aux altér
Séglas (5) (1891) ont insisté sur les rapports de la chorée avec l' hystérie et sur la transforma- tion possible, chez un mê
vant notre comparaison de l'hémiplégie spasmodique infantile avec l' hystérie simulatrice, nous devons retenir encore l'existen
sensibilité dans la maladie organique et à plus forte raison dans l' hystérie dont ces troubles constituent un des stigmates es
ants, ce ne sont pas là non plus des traits carac- téristiques de l' hystérie infantile. (1) Sollier, France médicale, 22'jan
itato. (8) Pitres, Progrès médical, 1889, et Leçons cliniques sur l' hystérie , 1891. (9) Charcot, Clin, des mal. du syst. ne1
encontre forcément des limites et des obstacles ; en second lieu, l' hystérie elle-même jouit d'attri- buts qu'il lui est imp
e les stigmates ne sont pas au complet, lorsqu'il s'agira surtout d' hystérie 1/lonosymptomatique, avant d'affirmer son diag-
se pas pour cela de jeter une grande clarté dans le débat. Jamais l' hystérie ne produira chez les enfants, à notre connaissa
et qui ont porté, M. Déjerine le premier en date, le diagnos- tic d' hystérie . Il nous reste maintenant il justifier ce diagn
e, avec lésions organiques du cerveau. Il restait donc à discuter l' hystérie et à expliquer par elle ce qui ne pou- vait s'e
ar elle ce qui ne pou- vait s'expliquer d'ailleurs. Les stigmates d' hystérie étaient évidents ; nous ne citerons que l'hémia
nature hystérique du syndrome complexe que nous venons d'étudier. L' hystérie s'impose; elle suffit d'autre part à l'interpré
t d'autre part à l'interprétation de tous les faits. C'est donc à l' hystérie et à l'hystérie seule que nous devons les rapport
l'interprétation de tous les faits. C'est donc à l'hystérie et à l' hystérie seule que nous devons les rapporter. (13 juille
mouvements ne dénote une ancienne hémiplégie. Les stig- mates de l' hystérie persistent néanmoins. Mieux que tous les raison
(13 novembre 1892.) (A suivre) A. BARDOL, Interne des hôpitaux. HYSTÉRIE TRAUMATIQUE Messieurs, I. Nous allons aujourd
'ils jettent sur la genèse, encore très obscure, de ces formes de l' hystérie qui peuvent être provoquées par les traumatisme
lyopie (diplopie ou triplopie) n'ap- partient pas exclusivement à l' hystérie , mais se présente avec des caractè- res qui per
rir une grande importance et contribuer puissam- ment à découvrir l' hystérie dans un cas de diagnostic difficile (1). » Cett
(1) Voyez Maladies du système nerveux, t. III, p. 323 et suivantes. HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 3G3 qui selon l'affirmation si caté
les stigmates sen- sitifs et sensoriels les plus significatifs de l' hystérie . Passons à présent à l'étude des phénomènes mot
pathologiques auxquelles nous assistons. Comme manifestation de l' hystérie nous ne voyons pas ici de phénomè- nes capricie
eflètent cette impression. Si nous suggérons l'idée du froid, de la HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 365 terreur, etc., ces idées vienne
tat d'une lésion réelle des tissus produite par le choc cérébral. HYSTÉRIE TRA UMA TI ? v - 367 Des considérations que nou
Nous alloll. OU11\etll'e notre malade au traitement ordinaire de l' hystérie . Nous essayerons avant tout l'action de l'hypno
iques d'hyoscinè, tout l'arsenal en un mot de la thérapeutique de l' hystérie . Nous chercherons à influer par tous les moyens
' 18, 19, 20, 21, 36, 37, 38, 39, 40, 41, 42. Casque vibrant, 35. Hystérie (Rétrécissement du champ visuel ' dans l' -), 4
11 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
t du caractère. Il est impossible dans une définition générale de l' hystérie de ne pas en tenir compte. Certains auteurs o
gmates se montrent souvent très tôt à une définitions RÉCENTES DE l' hystérie . période où les idées fixes ne pourraient avoir
it., p. i. 3 Oppenheim, op. cil., p. G. définitions récentes DE l' hystérie . 5 duit par un affaiblissement de la sensibilit
du système nerveux chez l'hystérique. « Le fait fondamental de l' hystérie , dit M. Oppenheim, est la faiblesse irritable, un
physiol der sinnesorgane, t. IV, 1892.) Cf. Stigmates mentaux de l' hystérie , p. 156. DEFINITIONS RECENTES DE LHYSTERIE. 1
étrécissement de l'impulsion motrice, comme la caractéristique de l' hystérie : 1. lI. Laurent s'exprime à peu près de même :
tainement qu'aucun de ceux que l'on est habitué à rechercher dans l' hystérie 1. » Le rétrécissement du champ de la conscienc
tère principal signalé dans un nouveau groupe de défi- nitions de l' hystérie ; il permet de résumer les faits contenus dans l
stigmates, en particulier, qui n'y étaient pas contenus. IV. - L' hystérie , maladie mentale. a Nous disons hardiment, écri
chet en 1847, non, le cerveau n'est pas essentiellement lésé dans l' hystérie 2. » De- puis cette époque, les opinions ont si
rare de trouver aujourd'hui des médecins qui considèrent encore l' hystérie comme une maladie des organes génitaux et qui e
évident, dit M. Jolly, que dans le cours des temps la théorie de l' hystérie s'est de plus en plus rapprochée d'une interpré
trouble du fonc- tionnement du cerveau. Il faut donc admettre que l' hystérie est une névrose particulièrement cérébrale z. »
que l'hystérie est une névrose particulièrement cérébrale z. » * L' hystérie n'est qu'une manière de fonctionner du cerveau,
e médecine mentale de M. Hack Tuke, les deux articles consacrés à l' hystérie aboutissent à cette même conclusion. « L'hystér
les consacrés à l'hystérie aboutissent à cette même conclusion. « L' hystérie , d'après M. Donkin, est un 1 Laurent. - Les éta
t un 1 Laurent. - Les étals seconds, 1893, p. l : JL - Brachet. - Hystérie , p. 291. J Jolly, op. cit., t. II. * Georges
ly, op. cit., t. II. * Georges Guinon. Les agents provocateurs de l' hystérie , 1889, p. 354. si Sollier. Amnésies, 1892, p.
érébrale... On court moins de risque de se tromper en considérant l' hystérie comme une espèce de folie qu'en cherchant à gro
ans le même ouvrage, MM. Charcot et Marie, rattachent également l' hystérie à un trouble dans le fonctionnement des régions
e dans le fonctionnement des régions cérébrales les plus élevées. L' hystérie est moins, d'après eux, une maladie dans le sen
vons faites jusqu'à présent, nous amènent aussi à faire ren- trer l' hystérie dans le groupe des maladies mentales. Il faut c
pte de la valeur pratique de notre définition toute provisoire de l' hystérie . Pour critiquer notre définition qui tend à fai
e l'hystérie. Pour critiquer notre définition qui tend à faire de l' hystérie une maladie mentale, on nous permettra de suivr
ésenter et ensuite si elles sont assez précises pour caractériser l' hystérie seule et la distinguer des autres maladies de l
esprit. Considérons d'abord le premier point : la conception de l' hystérie considérée comme une maladie mentale, résume- t
dans trois catégories principales : 1° les accidents viscéraux de l' hystérie ; 2° les 1 DOl1kili. Hyslcria : Dictionurq of ps
/ psychological medicine, t. I, p. 628. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 13 troubles vaso-moteurs et secrétoires; 3° le
Ce court résumé a simplement pour but de montrer qu'en rattachant l' hystérie au groupe des maladies mentales, nous n'oublion
iologiques et psychologiques. Certains troubles physiologiques de l' hystérie ressemblent tout à fait aux troubles qui accomp
phénomènes se rattacherait encore à notre conception générale de l' hystérie . S'il reste des phénomènes inexpliqués et nous
comme des maladies mentales, pourquoi ne les verrait-on pas dans l' hystérie ? Le défaut de nutrition, la diminution des ma-
utre par lequel on explique avec précision tous les phénomènes de l' hystérie . 11 y aura alors une définition physiologique d
es de l'hystérie. 11 y aura alors une définition physiologique de l' hystérie . Mais nous pensons qu'aujourd'hui une semblable
rons maintenant le problème d'un autre côté : cette conception de l' hystérie qui est assez générale pour embrasser la plupar
pas maintenant trop large, ne fait-elle pas rentrer sous le titre d' hystérie une quantité d'accidents qui appartiennent à d'
it déjà fort justement', que depuis quelques années le domaine de l' hystérie s'est con- sidérablement agrandi. Ce terme ne s
leurs, d'idées fixes seront bientôt rattachés très légitimement à l' hystérie . C'est là un fait curieux de l'histoire de la m
ce que prend la psychiatrie. Sans doute, il arrivera un moment où l' hystérie sera démem- brée, et il n'est pas impossible de
er comment et jusqu'où nous sommes disposés à élargir le champ de l' hystérie . L'une de ces discussions sur les limites de l'
champ de l'hystérie. L'une de ces discussions sur les limites de l' hystérie a été provoquée par l'étude du somnambulisme. D
on médicale, ni scientifique ne peut être DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 19 faite sur des phénomènes douteux et indisti
ujets présentant déjà tout un ensemble de symptômes appartenant à l' hystérie . Les magnétiseurs, qui- connaissaient bien le s
maladie nerveuse se guérit 2. « Ce sont les maladies de nerfs et l' hystérie , disait aussi Noizet, qui four- nissent le plus
rette. - Hypnotisme et étals analogues, 1887, p. ôo. r' Babinski. - Hystérie et hypnotisme. (Gazette hebdomadaire, juillet 1
nce comme une personne normale nous parait appartenir bien plus à l' hystérie qu'à l'épilepsie. Tout en tenant compte f ' Lou
dire que le' somnambulisme rentre tout entier dans le domaine' de l' hystérie .' ' 1 .. ' - On pourrait répéter la même discus
nomènes- pré- sentent en eux-mêmes ce qu'il y a. d'essentiel dans l' hystérie , des anesthésies, des amnésies, des idées subco
hénomènes médiani- miques, c'est précisément ce que nous ' appelons hystérie , parce qu'elle se retrouve dans tous les autres
e. Nous acceptons donc sur ce point l'élargissement du concept de l' hystérie et nous y fai- sons rentrer les somnambulismes,
RALE. transitoire de la désagrégation mentale. Ce diagnostic de l' hystérie et des délires toxiques nous apprend donc qu'il f
ires toxiques nous apprend donc qu'il faut, dans la définition de l' hystérie , ajouter un élément de plus, la durée, la perma
éparés des hystériques, simples névropathes, mais aujourd'hui que l' hystérie elle-même est considérée comme une maladie ment
n. - L'état mental des hystériques. 1890. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 23 ruz serai même un peu plus affirmatif que c
Charcot l'a établi autrefois, qui rendent compte des accidents de l' hystérie . Inversement, il est assez difficile de rencont
transitoires, des actes subcons- cients, en un mot des symptômes d' hystérie . Il existe même certains symptômes qui sont tou
sont étonnées que dans notre travail sur les stigmates mentaux de l' hystérie , nous ayons décrit les troubles de la volonté e
ttement que ce symptôme n'était pas toujours carac- téristique de l' hystérie ,' qu'il devait se présenter d'une ma- nière par
ésenter d'une ma- nière particulière pour servir au diagnostic de l' hystérie et que, en un mot, c'était un symptôme banal ap
t Insisté sur ce point a plusieurs reprises. Stigmates mentaux de l' hystérie , p. 112, 231. ? 1· Il. REVUE GENERALE. deux,
térique. Cet état serait au contraire plus large de beaucoup que l' hystérie ; il comprendrait les symptômes hystériques parmi
é médico-psychologique, paraissent avoir une affinité mutuelle... l' hystérie parait être ainsi le résultat d'une évolu- tion
rit ne se présente pas de la même manière dans les deux cas. Dans l' hystérie les phénomènes psychiques ne pouvant plus être
e l'on peut exprimer d'une manière schématique en disant que dans l' hystérie il y a- formation de deux personnalités indépen
es hystériques. Nous pouvons donc conclure comme M. Colin 2 que « l' hystérie a sa place marquée au soleil et qu'elle a des r
ÉCENTES DE L'IIxSTERIE. 27 cessaire de nier le caractère moral de l' hystérie pour lui con- server sa place, il suffit de dis
les unes des autres. Nous avons élargi sur un point le concept de l' hystérie en lui rattachant les somnambulismes et les act
n rapprocher. La désagrégation mentale est plus permanente dans l' hystérie que dans les délires, elle est beaucoup plus co
à insister dans ce travail sur l'étiologie ni sur l'évolution de l' hystérie , il suffit de rappeler des notions bien établie
eler des notions bien établies. L'hérédité pathologique joue dans l' hystérie comme dans toutes les autres maladies mentales
! , op. cil., p. SI. Georges Guinon, les agents provocateU1's de l' hystérie , 1889, p. 2S5, Pitres, op. cit., t. I, p. 1G, etc
etc. 2 Briquet, p. 111. Guinon, p. 121. 3 Guinon, p. 77. Dulie. - Hystérie et neurasthénie associées. Gazette médicale de
es hystériques simulateurs, 1861, p. 51. Babinsky. Association de l' hystérie avec les maladies organiques clu ssl. ieei-v. (
p.17. - Jolly, op. cit , ,p.9. 28 REVUE GÉNÉRALE. DÉFINITIONS DE L' HYSTÉRIE . se succèdent et dont les effets s'additionnent
ulière et se manifeste par l'ensemble des symptômes qu'on appelle l' hystérie . Le mot « hystérie » doit être conservé, il ser
e par l'ensemble des symptômes qu'on appelle l'hystérie. Le mot « hystérie » doit être conservé, il serait bien difficile
rès bien M. Charcot, modifier le mot « utérus » plutôt que le mot « hystérie >. Mais puisque chaque époque lui a donné un
sumer ce que nous avons emprunté à toutes ces études récentes sur l' hystérie , il suffit de réunir les conclusions de nos pré
suffit de réunir les conclusions de nos précédents paragraphes. « L' hystérie , pou- vons-nous dire, est une maladie \mentale\
umer en deux mots cette définition un peu complexe, on dira : « L' hystérie est une forme de la désagrégation mentale, caract
paralysie détaillée ou en masse. On a assez souvent attribué à l' hystérie la faculté de simuler les affections nerveuses
omatologie organique. Ici, un premier fait important se détache : l' hystérie ne simule jamais les paralysies périphéro-spina
33 rique est toujours plus affecté que le segment central. Dans l' hystérie , l'épaule ou la cuisse peuvent être plus paralysé
mes de la paralysie orga- nique se retrouvent comme morcelés dans l' hystérie . De l'hémi- plégie commune organique (paralysie
alysie des membres supérieur et inférieur et du facial inférieur) l' hystérie ne reproduit que la paralysie des membres et di
ur ce mouvement de circumduction, qui fait avancer la jambe. Dans l' hystérie , la partie centrale (la hanche) ne jouit pas de c
er au premier. En effet, comme je l'ai entendu dire à M. Charcot, l' hystérie est une maladie à manifestations exces- sives,
tomatologie organique. On sait aussi combien sont fréquentes dans l' hystérie les anesthé- sies absolues, profondes, dont les
de la sensibilité, différente dans leslésions organiques et dans l' hystérie , n'est guère explicable aujour- d'hui. Il sembl
rmes de paralysie cérébrale qui ne se trouvent pas réalisées dans l' hystérie , pas plus que les paralysies péri- phéro-spinal
de vouloir affirmer que tel ou tel symptôme ne se trouve pas dans l' hystérie , quand les recherches de M. Char- cot et de ses
d'une grande rareté. L'hé- mianopsie n'a pas encore été vue dans l' hystérie et, je pense, elle ne le sera jamais. Mainten
es paralysies hystériques justifient en vérité cette affirmation. L' hystérie est ignorante de la distribution des nerfs et c
n de la psychologie, qu'on ne saurait éviter quand on traite de l' hystérie . Je dis avec M. Janet, que c'est la conception
. Nous démontrons dans ce mémoire que les symptômes permanents de l' hystérie dite non traumatique s'expliquent (à part les s
mportance d'un trauma et devient la cause de symptômes permanents d' hystérie . L'impossibilité de l'élimination s'im- pose qu
mé, je pense qu'il est bien en accord avec notre vue générale sur l' hystérie , telle que nous l'avons pu former d'après l'ens
eville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Publié avec la collaboration de 1\0
nesthésie de l'arrière-gorge et de l'épiglotte, comme stigmate de l' hystérie . Broch. in-8° de 12 pages. Toulouse, 1893. Impr
me contracture est le phénomène dominant. J'écartai immédiatement l' hystérie dont je n'avais devant moi aucun stigmate, et d
part on retrouve la dissociation dans beaucoup d'autres maladies, l' hystérie (Charcot), la névrite alcoolique, (Lancereaux),
en montre pas moins que, dans une maladie aussi grave que la grande hystérie , il exerce, une action favorable qui peut durer l
C'est probablement une fièvre de ce genre que, l'on, observe dans l' hystérie , (névrose f ? AC ? tionnèllèpar,èxëelleriée).=r
élévation thermique). C'est une pseudo-fièvre, qui s'observe dans l' hystérie simple et dans, l'hy-téro-épilepsie., ? 40 Fièv
de pression céphaliq'ue1 'sensations pénibles dans le dos : Pas d' hystérie . L'issue n'en'est pas' connue;' il'est à'supposr
imer certains symptômes ¡hystériques, mais "qu'on T ne guérit pas l' hystérie elle-> même. Il se rattache complètement à l
dans les idées, la manie, la, mélancolie de la folie circulaire, l' hystérie , le délire chronique systématique. L'at-, titud
NEVILLE. 7{ec/Mrc/tM cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
été soutenu par Mme Charcot, que nous eûmes enfin les leçons sur l' hystérie et l'laystéro-épi- lepsie qui terminent ce volu
hypno- tisme ont toujours porté sur des sujets atteints de grande hystérie (hystéro-épilepsic ; hysteria major). C'est d'ail
'épilepsie, la psychiatrie, les amyotrophies , la cécité verbale, l' hystérie chez l'honcnze, etc. Citons encore les deux vol
'en- semble des règles qui doivent guider dans le Traitement de l' hystérie , qui lui a permis de rendre à la santé un grand
, le bromure de camphre dans le trai- tement de l'épilepsie et de l' hystérie . Nous ne parlons que des médica- ments qui ont
1888 ; - Sur un cas de paraplégie diabétique, 1890 ; - Sur un cas d' hystérie simulatrice du syndrome de Weber, 1891 ; - A prop
érie simulatrice du syndrome de Weber, 1891 ; - A propos d'un cas d' hystérie masculine : 1 ° paralysie dissociée du facial inf
mouvements choréiformcs et chorée rhythmée ; A propos de six cas d' hystérie chez l'homme ; Sur deux cas de monoplégie brach
eich Sur la claudication intermittente par oblitération artérielle; Hystérie et syphilis ; De l'in- fluence d'une maladie ou
et médico- légal (leçon recueillie par Dutil). Semaine médicale : Hystérie chez l'homme ; Hystérie et tics, dia- gnostic (
n recueillie par Dutil). Semaine médicale : Hystérie chez l'homme ; Hystérie et tics, dia- gnostic (1886) ; Spasme glosso-la
éro-traumatiques chez l'homme (1887) ; - Sciatique, neurasthénie et hystérie (1888); - Kpilepsie, hystérie et morphinoma- ni
(1887) ; - Sciatique, neurasthénie et hystérie (1888); - Kpilepsie, hystérie et morphinoma- nie ; De la maladie de Morvan (1
mbres. Sensibilité générale et sens spéciaux normaux. Aucun signe d' hystérie ni de neurasthénie. Foie et rate très engorgés,
station délirante et sans trouble apparent de la santé, autre que l' hystérie . M. Ballet pense que l'analyse chimique des uri
une observation de dégénéré héréditaire accusé de faux et atteint d' hystérie et d'astasie-abasie. Une discus- sion s'engage
lanche G..., avait depuis quelques mois des crises très violentes d' hystérie . Deux médecins spécialistes ayant examiné la ma
t mauvais. (Boston med. and Surg. Journ., 1893, p. 125), Drame DE l' hystérie . Nous lisons dans le Progrès médical : .- Lorsq
ement progressive, sans délire d'aucune sorte. Quelques stigmates d' hystérie ne jouent dans le tableau clinique qu'un rôle t
i de la paralysie bulbaire aiguë, il n'appartient pas davantage à l' hystérie non plus qu'à la névrite périphérique. Peut- êt
.1 1 11 Ii . " M. KOENtc. Ma première observation témoigne non de l' hystérie mais'd'un' de ces. troubles fonctionnels sembla
es de l'innervation faciale soient en rapport avec l'épilepsie ou l' hystérie . Restent deux malades atteints de névrose traum
rencontré souvent , des anomalies du sens de la température dans l' hystérie ou la névrose traumatique. , . f ? . '1 Voy
ômes morbides sont tantôt ceux de la neurasthénie, tantôt ceux de l' hystérie , tantôt ceux des deux névroses combinées. La cé
énital, etc., tous ces symptômes relèvent de la neurasthénie. A l' hystérie se rattachent les troubles de la sensibilité : an
des cas, cesse de lui-même avec les causes qui ont pu le produire : hystérie , névrose, frayeur, violent chagrin, grande émot
chimique. P. K. XLVIII. UNE NEUROPSYCHOSE PÉRIODIQUE entée SUR UNE HYSTÉRIE dégénérative; par W. S. GREIDENBERG. (Centralbl
escence héréditaire ; long isolement; excès bachiques et vénériens; hystérie avec accès périodiques de troubles nerveux et p
atteinte, il y avait un peu d'amaigrissement. On pensa d'abord à l' hystérie , jusqu'à ce que l'apparition d'un léger stra- b
elle est des plus suggestibles. L'hérédité dans la genèse de cette hystérie est notoire L'impor- tance médicologue à cette
anifestement une débile; elle n'offre 'pas de signes constatables d' hystérie . Enfin l'évolution de la maladie- peut ne pas e
ment utile à tous les points de vue d'établir un classement. DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE; Par le DITERRIE.N. Si la Vendée a
rmale. Je lui faisais part incidemment de divers faits relatifs à l' hystérie que j'avais observés. Ces exemples lui ont paru
uer l'hypnotisme dans les maladies nerveuses, en particulier dans l' hystérie . J'es- saierai de démontrer : 1° que l'hypnotis
sans elle; 3° Que si l'efficacité de l'hypnotisme est telle dans l' hystérie , en revanche elle n'est d'aucun secours 'dans l
que ces névroses ou affections organiques ne sont pas seules, que l' hystérie s'y trouve associée et que c'est l'effa- cement
lpêtrière, je suis d'avis qu'il existe d'étroites relations entre l' hystérie et l'hypnotisme. En ce qui concerné le rôle d
e peut avoir d'action thérapeutique que sur les manifestations de l' hystérie ; 4° J'essaierai en dernier lieu d'expliquer la
riages consanguins si nombreux ? Faudra-t-il penser également que l' hystérie se développe plus facilement dans un pays neuf,
l'excès ? Sont-ce ces trois causes réunies ? - CHAPITRE PREMIER HYSTÉRIE CHEZ LES ENFANTS HYPNOTISABLES. GUÉRISON DES- A
e, cette jeune fille fut sujette à des actes 1 Voir : Hypnotisme et Hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeu- tique. Le
ecine et de chirurgie, juillet 1891.) Voir aussi : Association de l' hystérie avec les maladies organiques du DE L'HYSTÉRIE E
si : Association de l'hystérie avec les maladies organiques du DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 449 de somnambulisme, se levant la n
, l'anorexie, le spasme, tout cela rentrait bien dans le cadre de l' hystérie . Les troubles moteurs eux-mêmes, astasie et aba
enir debout, ces troubles moteurs, dis-je, se rattachaient bien à l' hystérie , l'astasie et l'abasie étant des phénomènes pur
rtant s'est maintenue excellente depuis deux ans. Observation II. Hystérie mâle chez un jeune garçon de treize ans .' 10 H
concentrique assez notable du champ visuel. C'était donc bien de l' hystérie . Craignant que les parents ne veuillent accepte
are qu'il y a fracture, et malgré ses soins les doigts restent DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 451 toujours immobiles. Au bout de u
bles ataxiques, sauf les douleurs; tout, au con- traire, révélait l' hystérie , rétrécissement du champ visuel, quoique peu no
e d'autres stigmates, m'ont suffi pour que je porte le diagnostic : hystérie . C'était bien en effet de vomissements hystériq
éance d'hypnotisme. Ce vomis- sement ne s'est pas reproduit. DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 4S3 Observation V. Grande hystérie a
pas reproduit. DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. 4S3 Observation V. Grande hystérie avec crises convulsives. Con- tractures, surdit
voyais pour la première fois, je constatai tous les stigmates de l' hystérie : hémianesthésie sensitivo-sensorielle droite,
aplégie, de ces troubles de la vessie me firent penser aussitôt à l' hystérie . L'examen direct me confirma dans mon diagnostic.
céreuse de l'estomac et qui n'a jamais rien eu autre chose que de l' hystérie , affection gênante, qui persiste, mais qui ne tue
l'hypnotisme d'enlever les accidents qu'elle peut produire. DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. ,455 On ne devrait jamais oublier qu
DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. ,455 On ne devrait jamais oublier que l' hystérie peut simuler toutes les maladies, les copier, s
si l'on n'a pas soin de rechercher quelques-uns des stigmates de l' hystérie (car il en existe presque toujours), on est expos
u bras droit. Après la constatation des prin- cipaux stigmates de l' hystérie j'endors la jeune fille et lui enlève instantan
s. Les émotions causées par la mort de son père avaient préparé l' hystérie , la chute la fit apparaître. Le soir de la chut
t sans doute cru à une lésion organique. Et pourtant c'était bien l' hystérie qui était en jeu, car outre cette aphonie qui n
jeu, car outre cette aphonie qui n'existe ainsi marquée que dans l' hystérie , aphonie survenant sans perte de connaissance,
rs la malade et, par la suggestion pratiquée deux jours consé- DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 457 cutifs, j'arrive à lui faire qui
gue se demande si l'ago- raphobie ne peut pas être un syndrome de l' hystérie . J'accepterais volontiers pour ma part cette op
e l'ai endormi plusieurs fois (il ne présentait aucun stigmate de l' hystérie ) je n'ai jamais pu atténuer ces peurs, même faibl
e, mais là l'hypnotisme n'y fait rien, elle peut être un signe de l' hystérie , et là l'hypnotisme au contraire produit d'excell
er la cessation du phénomène. Ainsi les troubles psychiques dus à l' hystérie sont presque toujours améliorés par la suggesti
'amena. L'examen direct de la maladie me fit porter le diagnostic : hystérie avec perversion du goût, idées impulsives. J'endo
de dé- bilité mentale. Ces troubles psychiques je les rapporte à l' hystérie . Or, on a pu voir combien la suggestion est eff
suggestion pendant le sommeil hypnotique sur les accidents dus à l' hystérie . Chez un sujet hypnotisable, et ils le sont pre
als ont toujours été complets, immédiats et durables. CHAPITRE II hystérie CHEZ DES SUJETS NON HYPNOTISABLES OU QUI refusent
- missements depuis trois semaines. Elle ne pouvait même pas DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 459 garder quelques cuillerées d'eau
Plaques hystérogènes sous le sein droit. -Anesthésie pharyngienne. Hystérie . Je veux endormir la malade qui s'y refuse. Je
et à droite, plus marquée à gauche. J'en avais assez. C'était de l' hystérie . C'était de l'anorexie hystérique, des vomissem
cupations du ménage et a repris de l'embonpoint. Observation III. Hystérie . Parésie des jambes. Toux. Hémoptysie. Anorexie
si me servir de cet exemple, pour bien faire voir les erreurs que l' hystérie fait souvent com- mettre même aux médecins qui
moins en appa- rence. Très sceptique de nature, je cherchai vite l' hystérie ; ne reconnaissant à la Vierge de Lourdes que le
rosse erreur de diagnostic, ma phtisique n'était qu'une hysté- DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 461 rique; elle en portait les stigm
tout certificat, le seul que j'aurais pu donner eût été le brevet d' hystérie et j'avais un exemple déplus de la difficulté q
ie et j'avais un exemple déplus de la difficulté qu'offre souvent l' hystérie et des erreurs qu'elle fait commettre. J'avais
et des constatations directes que je venais de faire, le diagnostic hystérie traumatique s'imposait, du reste la suggestion
G..., quinze ans, mère hystérique, tantes nerveuses, vint me DE L' HYSTÉRIE EN VENDEE. 463 consulter pour des douleurs vive
des cris tant elle souffrait. L'examen de cette malade m'indique l' hystérie , rétrécissement concentrique très marqué du champ
permettre la marche. La malade est partie guérie. CHAPITRE III HYSTÉRIE ASSOCIÉE. GUÉRISON DE TROUBLES HYSTÉRIQUES PAR
l'exposé de ce travail que l'hypnotisme n'était efficace que dans l' hystérie , que partout ailleurs ses résultats 464 CLINIQU
absolument contraire. Jamais dans aucune autre affection que dans l' hystérie , la sug- gestion pendant le sommeil hypnotique
que des manifestations hystériques. Je ne voudrais pas pro- DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE 4G5 longer cette discussion, d'autres
rité et plus d'éclat. Je relaterai seulement quelques exemples où l' hystérie était asso- ciée à d'autres affections organiqu
ne manifestation évidemment hystérique. Du reste les stigmates de l' hystérie , zone hystéropène au-dessous du sein droit et a
mum. Voilà donc une malade chez qui sont associées deux névroses, hystérie et neurasthénie. Elle est très sensible à la sugg
ment moral, de l'associer aux médicaments donnés. Observation II. Hystérie Chorée. Au début de ce chapitre j'ai dit un mot
s à quatre mois. Observation III. Myopathie primitive (Type Erb). Hystérie . Je ne devrais pas parler ici de cette malade p
uve une faiblesse dans le bras droit puis bientôt dans le bras DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 467 gauche. Bientôt on peut constate
en tirer d'aussi fausses déductions. Observation IV. Mal de Poil. Hystérie . Guérison par hypno- tisane d'un hoquet hystéri
ensellure lombaire est très prononcée. Ch... a toujours traîné DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 469 une existence très misérable, so
. Voilà encore un bel exemple de la difficulté de diagnostic de l' hystérie , quand elle est associée aux affections organique
ais fixé. Il devenait incontestable que tout cela se rapportait à l' hystérie . J'avais bien fait souffrir cette pauvre infirm
dans lequel cet auteur fait connaître les règles du diagnostic de l' hystérie . DE L'HYSTÉRIE EN VENDÉE. 471 1 une même loca
auteur fait connaître les règles du diagnostic de l'hystérie. DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. 471 1 une même localité et survenant
raitement des accidents hystériques. Mais là se borne son action. L' hystérie voilà son domaine. L'hypnotisme n'en a pas d'autr
iste n'est pas toujours un neuropathologiste. Il peut oublier que l' hystérie est susceptible de coexister avec toutes ! es f
férer des pouvoirs qu'il n'a pas. Ne le sortons pas du domaine de l' hystérie . Et certes, vu la fréquence de cette névrose, l
uccursale de Lourdes. CHAPITRE IV DES CAUSES DE LA FRÉQUENCE DE L' HYSTÉRIE EN VENDÉE. Il me reste une dernière question à
supérieurs, un autre enfant hystérique avec tous les stigmates de l' hystérie : étouffement , bourdonnement d'oreilles, in- s
e-seize ans , contracture spas- modique des muscles de la mâchoire, hystérie (observation relatée plus haut), la fille de la
favorisent la dégénérescence mentale peuvent éga- lement produire l' hystérie . ZD C'est là certainement la raison principale
citer, au point de produire bientôt un état pathologique qui sera l' hystérie ou la neurasthénie ? L'alcoolisme des parents,
dement considérable ». J. Noir. X. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associés, avec autopsie ; par le professeur Gra
épileptoïde des pieds, et des vertiges. A côté de cela des crises d' hystérie apparurent avec diminution de la sensibilité du m
et qu'il s'agissait bien réellement de sclérose en plaques et que l' hystérie lui était combinée et ne s'était pas borné à la
apprenons du reste des choses fort intéressantes, par exemple que l' hystérie possède quelques signes qui lui sont propres (p
peut dans certains cas rendre des services pour le traitement de l' hystérie , dont l'hydrothérapie est le seul traitement gé
grande amélioration (p. 249). Du reste, l'idée qu'ils se font de l' hystérie est bien surprenante quand on lit (p.56)à la fin
où l'on observe un mélange de symptômes qui tiennent à la fois de l' hystérie et de l'épilepsie » ( ! ) Plus loin, nous lisons
it par une simple neurasthénie de la moelle. On le rencontre dans l' hystérie et dans les principales intoxications. Mais, dans
l et de 1' -, dans l'hémiplégie fonctionnelle, par Koenig, 337. Hystérie , quelques définitions de l' par P. Janet, 1 ; d
par Vigouroux, 506. Neuropsychose, une' périodique entée sur une hystérie dégénéra- tive, par, Griedenbel'g,¡3Dl.¡, ,. ,
12 (1913) Exposé des travaux scientifiques
landes à sécrétion interne, de l'appareil cardio-vasculaire, et à l' hystérie . Chacune de ces sections comprend les chapitres
pas aussi régulières et sur laquelle je reviendrai en traitant de l' hystérie . « Le clonus du pied- cela ressort de ce qui pr
de la moelle cervicale et de ses racines. J'ai démontré enfin que l' hystérie est incapable de modifier l'état des réflexes t
ns sur les réflexes tendineux dans le tabes. En ce qui concerne l' hystérie , je me contenterai de noter ici que, dans une dis
particulièrement précieuse, car elle permet d'écarter l'hypothèse d' hystérie . Il en est de même pour la paraplégie au début.
d'années, à l'époque où parut mon premier travail de revision. L' hystérie était généralement conçue comme un état névropath
c, à une hyperthermie, parfois très élevée. 13.w;mssr. là z 194 ' HYSTÉRIE , - P1TI11AT1SII; L'hystérie occuperait ainsi un
très élevée. 13.w;mssr. là z 194 ' HYSTÉRIE, - P1TI11AT1SII; L' hystérie occuperait ainsi un domaine extrêmement vaste, do
e vue médico-légal, d'une pareille manière de voir. Telle était l' hystérie traditionnelle, « la grande Névrose ». Cette co
tinctif qu'elles ne possèdent pas en elles-mêmes. Par exemple, une HYSTÉRIE . PiTfHATtSË 195 hémiplégie qui, survenant chez
s longtemps déjà que, d'une part, les manifesta- tions variées de l' hystérie ne sont pas indissolublement liées auxdits stig
tivité aux membres inférieurs, de la trépidation épileptoïde du 196 HYSTÉRIE . P1TII1AT1SME pied, que l'on rapporte également
196 HYSTÉRIE. P1TII1AT1SME pied, que l'on rapporte également à l' hystérie . Mais, pour aucun de ces faits, la vérification
s avec épilepsie spinale. La convic- tion, si répandue jadis, que l' hystérie , comme les lésions du système pyramidal, peut p
en d'éviter un écueil sur lequel autrefois on a si souvent donné. L' hystérie n'a pas d'action appréciable sur les réflexes ten
es faits nouveaux, ont sapé les fondements de l'ancien édifice de l' hystérie . J'ai indiqué ailleurs (p. 1 6) toute une série
s, du reste très importants, dans la doc- trine traditionnelle de l' hystérie . 11 découle, en effet, de ce qui précède que ce
des observations faites sur des hémiplégies indûment rapportées à l' hystérie . Il n'est pas rare, en effet, de voir, dans l'h
né d'hémiplégie hystérique on devait inévi- tablement déduire que l' hystérie a la faculté de produire des troubles circulato
? La fièvre hystérique semble aussi chose toute naturelle, car si l' hystérie est apte à exercer une action perturbatrice sur l
ons de penser qu'elle peut aussi troubler dans leur fonctionne- 198 HYSTÉRIE . P1THIATISME ment les centres régulateurs de la
novite tuberculeuse, tantôt des phlyctènes attribuées également à l' hystérie , et que le malade on le découvrait plus tard pr
alité fut discutée en if)0() à la Société de Neurologie de Paris. HYSTÉRIE . - PITI111T15\IH : 199 Sans doute, on savait au
s solidement établies ? P En résumé, autrefois, on attribuait à l' hystérie la faculté d'engen- drer des phlyctènes, des ul
e où a paru mon premier travail d'ensemble sur la délimitation de l' hystérie , ces publications sont devenues de plus en. plu
uer à des affections organiques, aujourd'hui bien connues, ce que l' hystérie s'était indûment approprié ; de plus, ils ont c
hisme), qui seront plus loin l'objet d'une discussion (p. 201). 200 HYSTÉRIE . PITII IAT] S)IE brer des produits de la superc
ons dont nous allons maintenant aborder l'examen. Le domaine de l' hystérie ainsi déblayé, il restait encore un grand nombr
leur influence ne s'étendait pas sur toutes les manifestations de l' hystérie . Pouvait-on du reste avoir une autre opinion à
de pareilles erreurs et, l'intrusion d'accidents organiques dans l' hystérie n'étant plus à redouter, je pensai qu'il y avait
ports avec les divers troubles que nous avons en we. Mes recherches HYSTÉRIE . l'ITIIlATIS} ! E 2111 dirigées dans celle voie
é de provoquer chez certains sujets, presque au commandement, 202 HYSTÉRIE . PITH1ATISMF. une accélération des battements c
. Il y aurait même quelque avantage à abandonner l'usage du terme hystérie qui, pris dans son sens étymologique, ne répond à
impressionnants dont ce mot évoque presque automatiquement le sou- HYSTÉRIE . P1TIIIATISME 203 venir (grandes attaques de ne
ntérêt capital et sur lequel je n'insiste pas. Le démembrement de l' hystérie traditionnelle se trouve donc accompli : les él
ont été séparés et chacun d'eux a été mis à sa place naturelle. L' hystérie , a dit Lasègue, n'a jamais été définie et ne le s
, et qui par suite consti- tuent les éléments de la définition de l' hystérie ; je l'ai énoncée de la façon suivante : « L'
nition de l'hystérie ; je l'ai énoncée de la façon suivante : « L' hystérie est un état pathologique se manifestant par des t
es à distinguer do ceux qui appartiennent à la paralysie faciale. » HYSTÉRIE . - PITHIATISME 20." On ne le savait pas autrefo
gie hystériques, par exemple, pourraient-elles apparaître sous lin- HYSTÉRIE . PITII1AT1SME 207 lluence d'une émotion' sans a
lème, capital pour qui veut pénétrer la nature et le mécanisme de l' hystérie , qu'il fallait, selon moi, soumettre de nouveau
i ont conduit à l'opinion classique sur le rôle de l'émotion dans l' hystérie . J'ai montré qu'en suivant une pareille voie, o
llaboration avec J. Dagnan-Bol1\eret. ayant pour titre « Emotion et Hystérie » (I(J1), nous avons insisté sur la distinction q
ans des complexus représentatifs et de leur donner de la vie. 208 HYSTÉRIE Pl'11111T1S\Il. implique l'idée d'une perturbat
l'on varie les observations, de discerner les causes supposées de l' hystérie , de les dissocier et d'apprécier la valeur de c
ment ? C'est qu'autrefois le médecin « cultivait » inconsciemment l' hystérie ou du moins, n'en connaissant t pas bien le méc
tion nous présentent sous un aspect tout nouveau les relations de l' hystérie avec l'émotion; elles montrent que l'émotion se
gestion, elles l'excluent sur le moment et empêchent, lorsqu'elles HYSTÉRIE . P1Î111ATISMË 21l sont intenses, le développeme
cère, profonde, secoue l'âme humaine, il n'y a plus de place pour l' hystérie . Ce qui précède permet de comprendre la variabi
tre assimilés à celle-ci, en ce qui concerne leurs relations avec l' hystérie , ou en diffèrent-ils ? Comme l'émotion, ils son
voquer l'apparition d'accidents hystériques, contrairement à ce qui HYSTÉRIE . PITHIATISME 213 était autrefois admis sans con
mots de l'hyp- notisme qui, selon moi, n'est qu'une dépendance de l' hystérie . Quelques extraits d'un travail récent (175) ex
nt l'occasion de compléter ce que j'ai dit sur les rapports entre l' hystérie et la simulation. « Les phénomènes hypnotique
blissant qu'aucune d'elles ne peut tire maintenue aujourd'hui. 2H HYSTÉRIE . - P1TIIIAT1SME f riques) à la réalité desque
, de circuler et d'éviter tous les obstacles. Tout cela rapproche l' hystérie de la simu- lation et j'ai l'habitude de dire q
rait le plus vraisemblable; il en est ainsi, en particulier, dans l' hystérie associée où les phénomènes pithiatiques se greffe
de semble avoir conscience de leur mécanisme. - Mes travaux sur l' hystérie , outre l'intérêt spéculatif qu'ils peuvent prés
les cas d'association, en déterminant exactement ce qui revient à l' hystérie et à l'affection concomitante. on acquiert le m
prétendus hystériques), à apprécier plus exactement la valeur de l' hystérie traumatique, enfin à reconnaître plus sùrement
le avait d'abord suscités, en même temps que sont mieux saine- 31(i HYSTÉRIE . - PITII1AT1SME gardés les intérêts légitimes d
seraient susceptibles de subir ses effets, les manifestations de l' hystérie sont devenues beaucoup moins fré- quentes qu'el
dmis, au moins dans ce qu'elle a de fondamental, ma conception de l' hystérie , du pithiatisme. Cela est pour ainsi dire de noto
ure coïncidence si, depuis l'entrée en vigueur de la loi de 1898, l' hystérie a fait l'objet de recherches si nombreuses. La re
bien rendu compte que la maladie avait changé avec le temps ; que l' hystérie d'au- jourd'hui n'était plus celle d'autrefois,
es appellc pitliiatidnes. « Le pifltinlisme, tel serait le nom de l' hystérie nouvelle. Peu importe que ce nom plaise ou dépl
est pas absolument unanime est le suivant : tous les symptômes de l' hystérie sont-ils pilhialiques ? A la Société de Neurologi
ies hystériques, qui sont justement les stigmates fondamentaux de l' hystérie traumatique. « Les contractures pithiatiqnes,to
eau pyramidal «M. Babinski n'admet pas les troubles trophiques de l' hystérie , en dehors d'une supercherie qui n'a rien de pi
cas, scientifiquement démontré, de trouble trophique imputable à l' hystérie , quelqu'un affirmera-t-il que lous les autres t
uant la simulation ? Bien loin de là. Le diagnostic différentiel de l' hystérie et delà simulation est impossible. » Dans sa
s » (La Presse Médicale, t janvier rgra). Chauffard s'exprime sur l' hystérie en ces termes : « Mais que d'autres variations,
de nos jours et sous nos yeux, nous avons 'u se passer en matière d' hystérie . « Ici encore, Sydenham va nous servir de témoi
. Ainsi un sixième des cas de maladies lui paraissait imputable à l' hystérie ! Et pour voir à quel point Sydenham connaissai
fluence d'un autre maître, de Charcot, connu une grande époque de l' hystérie , et pendant des années nos services nous ont mo
nos services nous ont montré chaque jour les plus beaux types de l' hystérie telle qu'on la décrivait à la Satpptrierp. 2J
trierp. 2JR i)YSTËM ! ) ? P ! Tf)iAT)SME « Prenons l'exemple de l' hystérie mâle. En la seule année de 188g, dans mon servi
dans une salle de clinique générale de 38 lits, passaient 22 cas d' hystérie mâle indis- cutable. « Et maintenant ? Par un
tenant ? Par un singulier changement à vue, il n'y a presque plus d' hystérie dans nos services, pas plus chez les femmes que c
critique objective à laquelle M. Babinski a soumis la doctrine de l' hystérie . Ces hystériques si nombreux, si démonstratifs, s
e artificielle et intensive. Aujourd'hui que nous sommes avertis, l' hystérie a à peu près disparu de notre clinique hospitaliè
e men- tales », paru en l()'2, termine ainsi l'article consacré à l' hystérie : « Conclusion. Seulement... il y a un seulemen
epuis dix-huit mois. Et ce qu'on rencontre c'est de la toute petite hystérie . » INDEX BIBLIOGRAPHIQUE i. Observations de r
lale el d'elnalomie pathologique, il, mars 1891). 3o. Hypnotisme et hystérie . Du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique (Leçon
o- vembre 18q2). INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 221 36. Association de l' hystérie avec les maladies du système nerveux, les névrose
u cou (Société de Neurologie, 4 juillet Igo 1). 77. Définition de l' hystérie (1(1-, 7 novembre igoi). 78. Des troubles pupil
gie, 15 janvier tgo3). 8D. Sur l'état des réflexes tendineux dans l' hystérie (Société de Neurologie, 5 février igo3). go.
laboration avec Delherm. Id., 7 juin igo6). 125. Ma conception de l' hystérie et de l'hypnotisme (Société de l'Internai des H
ciété médi- cale des Hôpitaux, ter mars igo7). 134. Suggestion et hystérie . A propos de l'article de M. Bernheim intitulé :
e l'article de M. Bernheim intitulé : « Comment je comprends le mot Hystérie » (Bulletin médical, 3o mars tgo7). 135. Quelqu
'article de M. Sollier intitulé : « La définition et la nature de l' Hystérie » (Archives générales de Médecine, mars tgo). 1
ences dans le siège d'excitation (Id.). r41. Emotion, suggestion et hystérie (Id.). r4z. Sur la définition de l'hystérie (Co
Emotion, suggestion et hystérie (Id.). r4z. Sur la définition de l' hystérie (Congrès de Lausanne, aoùt 1907). t 43. Section
1907). t45. Sur les prétendus troubles trophiques de la peau dans l' hystérie (Société médicale des Hôpitaux, 6 décembre 1907
remarques sur l'article de M. Cruchet intitulé : ^ Définition de l' Hystérie en général et Hystérie infantile » (Presse médica
e de M. Cruchet intitulé : ^ Définition de l'Hystérie en général et Hystérie infantile » (Presse médicale, 21 décembre 1(07)'
de M. Gordon intitulé : « Troubles vaso-moteurs et trophiques de l' Hystérie » (Revue neurologique, 3o octobre igo8). r 54.
la Salpêtrière, novembre et décembre igo8). r 55. Démembrement de l' hystérie traditionnelle. Pithiatisme (Semaine médi- cale
igog). 158. Sur la fièvre et les troubles trophiques attribués à l' hystérie (Id.). 15g. Deux cas de tumeur cérébrale (Id.,
ttore Levi intitulé : « Quelques nouveaux faits relatifs à un cas d' Hystérie avec exagération des réflexes tendineux. Réponse
iété française d'Électrothérapie, mars 19 1,2). 19 ! . Emotion et hystérie (en collaboration avec Jean Dagnan-Bouveret. Jour
vrisme de l'aorte et troubles pupillaires 180 Cyanose I g a IX. - Hystérie . - Pithiatisme 193 Index bibliographique 219 g
13 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
il nous est donné d'observer toutes les formes de l'épilepsie et de l' hystérie grave. Ce n'est pas tout, M. le directeur de l'As
mes nous n'avons à relever en général que des indices très vagues : l' hystérie y figure dans quelques cas ; mais, le plus souven
Note de la 4° édit. Voir à I'Appendice, a» IV.) TROISIÈME PARTIE Hystérie . — Hystéro-Epilepsie. Charcot. Œuvres complètes
désir de mettre à profit un certain nombre de cas très remarquables d' hystérie qui se trouvent actuellement réunis dans nos sall
e verrez indiqué dans aucun des traités ou des articles récents sur l' hystérie , même dans les plus complets etles plusjustemente
t de la simulation. On la rencontre à chaque pas dans l'histoire de l' hystérie , et l'on se surprend quelquefois à admirer la rus
r les observations d'ischurie hysté-rique : c'est que, en dehors de l' hystérie , la suppression d'urine pour peu qu'elle se prolo
ent actuellement et parmi les-quels vous reconnaîtrez les traits de l' hystérie intense, invété-rée, marquée par une réunion cara
t épileptiformes, d'autres fois se rapprochant du type vul-gaire de l' hystérie . Ainsi, ce matin, vous pouvez reconnaître un ac
ulière. Une sœur de la malade est sujette à de fréquentes at-taques d' hystérie . En janvier 1871, Marie L... eut une frayeur qui
janvier 1871, Marie L... eut une frayeur qui occasionna une attaque d' hystérie . En mai, faiblesse extrême, malaise, douleurs dan
dans nos Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 151 ^B.). DIXIÈME LEÇON De l'hémianasthés
rique. Sommaire. — Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne dans l' hystérie . — Association fréquente de ces deux symptômes. —
nne, la parésie et la contracture. — Variabilité des symptômes dans l' hystérie . — Valeur diagnostique de l'hé-mianesthésie hysté
s sens spéciaux. Messieurs, Il est deux points de l'histoire de l' hystérie , sur lesquels je veux insister particulièrement d
ovaire et à l'utérus, dit-il, par exemple, quelque part, on fait de l' hystérie une maladie de lu-bricité, une affection honteuse
e, je suis loin de croireque la Ud+ricitê soit toujours en jeu dans l' hystérie , je suis même convaincu du contraire. Je ne suis
ptoirement 1. Briquel (P.). — Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie . Paris, 1859. démontré que, dans une forme spéc
l'hystérie. Paris, 1859. démontré que, dans une forme spéciale de l' hystérie —que j'ap-pellerai, si vous vouliez, ovarienne ouo
, sont, si je ne me trompe, des exemples évidents de cette forme de l' hystérie ; vous pourrez, en les examinant, vous assurer de
s. 11 s'agissait là, presque toujours, la critique l'a démontré, de l' hystérie poussée au plus haut point; et pour que, sur ces
hésie, telle qu'elle vient d'être décrite, est, dans la clinique de l' hystérie , un symptôme d'autant plus impor-tant qu'il est à
hésie, telle qu'elle vient d'être décrite, est un symptôme propre à l' hystérie . En réalité, il est très rare qu'elle puisse être
ou moins profond, précédé ou non de convulsions (forme comateuse de l' hystérie "! etchez laquelle on aurait observé, au réveil, u
re l'hémianesthésie avec tous les caractères qu'on lui connaît dans l' hystérie , ou peu s'en faut. Permettez-moi d'entrer à ce su
es sensspéciaux, el telle, par conséquent, qu'elle se présente dans l' hystérie , peut être produite, dans certains cas, par une l
) (B.). ONZIÈME LEÇON De l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des auteurs anglais. — Douleur ovarienne :
Rapports entre l'hyperesthésie ovarienne et les autres accidents de l' hystérie locale. De la compression ovarienne. — Son infl
ralgie, clou hystérique) appartiennent, d'après cette définition, à l' hystérie locale. I. Parmi ces symptômes, il en est un
inant qu'à mon sens il joue dans la clinique de certaines formes de l' hystérie me paraît mériter toute votre attention. Je veux
e simple indication que la douleur iliaque est chose fréquente dans l' hystérie ; c'est là un fait re-connu depuis longtemps par l
par les dificultés cliniques que présentent les symptômes locaux de l' hystérie . M. Skey, qui à cet égard s'est fait le continuat
'un mot, c'est déjà quelque chose qui arrête l'esprit. Dans 200 cas d' hystérie sur 430, M. Briquet a rencontré lacœlialgie. Tout
ntime, existe entre ta douleur ovarienne et les autres accidents de l' hystérie locale. Vous pouvez reconnaître, en effet, Mess
le rôle vraiment prédominant de lovaralgie dans l'une des formes de l' hystérie . ^émmmmmm Vous xrenez de voir comment la comp
euillez bien remarquer qu'il ne s'agit pas, chez elles toutes, de l' hystérie convulsive commune, vulgaire, si je puis m'exprim
ulsive commune, vulgaire, si je puis m'exprimer ainsi, mais bien de l' hystérie convulsive considérée dans son type unanimement r
me, ne diffèrent en rien d'essentiel de celles qui appar-tiennent à l' hystérie lorsqu'elle revêt la forme épidémique. Or, c'est
r Fintérêt qu'il y a, au point de vue pratique, àsuprimer les accès d' hystérie grave ou à en modérer, tout au moins, l'intensité
ompression de l'ovaire gauche (1). Cas II. —(Cot...p 21 ans, a vu l' hystérie débuter à 18 ans. Les mauvais traitements qu'elle
rostitution, ont sans doute exercé une certaine action étiologique. L' hystérie locale, ici. est encore plus marquée que dans le
t Urbain Grandier a été la victime. Geneviève est âgée de 28 ans; l' hystérie date de l'époque de la puberté. Parmi les symptôm
e date de l'époque de la puberté. Parmi les symptômes permancnls de l' hystérie locale, nous observons chez elle une hémianesthés
saltatoires, A ce propos,, je vous ferai remarquer que certains cas d' hystérie , constituant en quelque sorte des varié-tés dans
parfaitement développé Valentiner dans son intéressant travail sur l' hystérie (i). Chez Geneviève, la compression de l'ovaire
ré-cipitèrent sur elle pour lui enlever l'argent qu'elle portait. L' hystérie locale se compose, chez elle, d'une hémianesthé-s
, et dans nos Recherches cliniques el thérapeut. sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 116-150. (B.) 2. Voir Leçon IX, p. 275. 3
Pied bot hystérique. Messieurs, Dans son traité fondamental sur l' hystérie , M. Briquet, bien qu'il n'accorde pas à l'histoir
s plus intéressantes relatives à cette manifestation singu-lière de l' hystérie . I. Etch..^aujourd'hui âgée de 40 ans, est at
s en deux moitiés égales, appartiennent pour ainsi dire en propre à l' hystérie (2). Quoi qu'il en soit, ce symptôme ne s'observe
attaque, selon toute vraisemblance^ a pris la forme épi-leptique de l' hystérie . Etch..., en effet, pendant l'accès est tom-bée d
s; mais c'est à 40 ans que sont apparus les symptômes permanents de l' hystérie que nous avons à étudier aujourd'hui. Nous devons
ir ces symptômes précéder l'apparition des phénomènes permanents de l' hystérie : hémiplégie ou paraplégie. C'est un point que M.
paraplégie plus ou moins prononcée des extrémités inférieures, dans l' hystérie , est toujours accompagnée — il au-rait pu ajouter
re avait entièrement cessé. Ce fait est d'autant plus important que l' hystérie convulsive n'exis-tait plus que dans les souvenir
a contractilité faradique y est amoindrie. Depuis plusieurs années, l' hystérie paraît complète-ment épuisée chez cette femme, et
multipliées pendant la dix-huitièmes année. Les unes, appartenant à l' hystérie simple, reviennent tous les deux ou trois mois, l
hystéro-épileptique. octobre. Grises convulsives dans lesquelles l' hystérie prédomine.Durant la deuxième crise, les personnes
se connue et sans ax^oir offert jusque-là de symptômes caractérisés d' hystérie , d'une contracture doulou-reuse des muscles de la
ro-épilepsie. — Sens de cette dénomination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixtes. — Variét
cette dénomination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixtes. — Variétés de Phystéro-épilepsie
ces attaques, c'est de retrouver parmi les convulsions cloniques de l' hystérie certains traits plus ou moins prononcés qui rappe
Cela veut dire que chez les malades auxquelles ce nom est affecté, l' hystérie se montre combinée avec l'épilepsie, de manière à
à constituer une forme mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d' hystérie et d'épitepsie. Mais cette appella-tion répond-el
vroses ; ce n'est pas seulement l'épilepsie, ce n'est pas seulement l' hystérie ; c'est à la fois l'une et l'autre. Telle est, j
use à admettre la légitimité de cet hybride, moitié épilepsie, moitié hystérie . A la vérité, on ne nie pas que l'épilepsie et
e, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas que l'épilepsie et l' hystérie puissent se rencontrer chez un môme individu. L'o
où l'épilepsic semble s'entremêler avec les symptômes ordinaires de l' hystérie convulsive ? Vépilepsie ne serait là que dam la
autres termes, dans ces cas, il s'agirait uniquement et toujours de l' hystérie , revêtant l'apparence dejj épilepsie.Le nom hysté
et toujours de l'hystérie, revêtant l'apparence dejj épilepsie.Le nom hystérie épilepti-forme, employé, si je ne me trompe, par
iquet, qui se montrent sous ce rapport très explicites. « Les accès d' hystérie », dit M. Tissot, « ressemblent Charcot. Œuvres
up à l'épilepsie. » Aussi, eu a-t-on fait une forme particulière de l' hystérie , sous le nom dH hystérie êpi-leptiforme. Mais ces
, eu a-t-on fait une forme particulière de l'hystérie, sous le nom dH hystérie êpi-leptiforme. Mais ces accès n'ont pas, néanmoi
vrai caractère de l'épilepsie (1). M. Dubois (d'Amiens) considère l' hystérie épileptiforme comme de l'hystérie ayant un degré
M. Dubois (d'Amiens) considère l'hystérie épileptiforme comme de l' hystérie ayant un degré de plus dans l'intensité des sympt
cle marqué au coin de la plus saine observation, dit que cette espèce hystérie à attaques mixtes n'est qu'une forme parliculière
spèce hystérie à attaques mixtes n'est qu'une forme parliculière de l' hystérie ; ce n'est que de l'hystérie très intense ; le pr
tes n'est qu'une forme parliculière de l'hystérie ; ce n'est que de l' hystérie très intense ; le pronostic ne s'en trouve pas es
ve pas essentiellement modifié ; le genre de cause qui a occasionné l' hystérie , les conditions spéciales à l'individu affecté, s
de ces modifications dans la forme des attaques. La nature même de l' hystérie n'en est pas fon-cièrement changée. Veuillez re
echerchons donc sur quels fondements s'appuie la doctrine régnante. L' hystérie et l'épilepsie, dit-on, peuvent se combiner de di
subdivisions. 1° L'épilepsie est la maladie primitive ; sur elle, l' hystérie vient ensuite se greffer, à son heure, c'est-à-di
dissimulée, se révèle. De là, des contrariétés vives qui engendrent l' hystérie . Les attaques propres aux deux né-vroses étaient
r une grossesse,, en ra-menant le calme dans le ménage, fait cesser l' hystérie , mais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois, l
ais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois, l'épilepsie succède à l' hystérie . Cette condi-tion paraît être beaucoup plus rare
re mentionné d'autres combinaisons d'ordre secondaire. Ainsi : a) l' hystérie convulsive coexiste avec le petit mal (Beau, Duna
pilepsie convulsive est surajou-tée à quelques-uns des accidents de l' hystérie non convulsive (contracture,anesthésie,etc.) Nous
ac-cord. Le débat ne porte que sur la seconde. B. Dans celles-ci, Y hystérie et l'épilepsie sont coévales ; elles se sont déve
ttaque mixte revêt son caractère propre ; dès cet instant, c'est de l' hystérie épileptiforme. Je rappelerai à votre souvenir la
ncipalement la discussion, succède la phase clonique. Alors, tout est hystérie ; on voit survenir les grands mouvements à caract
V. Nous voici parvenus, Messieurs, au point délicat. En quoi cette hystérie à crisescomjplexes se sépare-t-elle de l'hystéris
ent non. Il n'est pas vrai-ment exceptionnel de voir dans l'attaque d' hystérie commune,— alors quepersonnenesongeàfaireinterveni
xagération, le plus haut degré de développement de cette variété de l' hystérie ordinaire. VI. Si, d'un autre côté, nous tour
e la malade Ler..., qui, depuis près de quarante ans, est sujette à l' hystérie épileptiforme la plus vio-lente. Cette femme est
l'opinion de M. Briquet, le pro-nostic n'est pas autre que celui de l' hystérie intense. De cette considération découle une consé
1869. Mais si, en ce qui concerne le caractère thermique, l'accès d' hystérie épileptiforme et l'accès d'épilepsie vr,- se conf
être utilisé pour le diagnostic. Mais il est temps d'en revenir à l' hystérie épileptiforme dont cette digression nous a quelqu
pilepsie vraie de l'hystéro-épilepsie ? — « Si ce n'était pas là de l' hystérie », disaient en parlant de Go..., les surveillante
la langue. — Chorea major. — Nature de l'affection : elle relève de l' hystérie . — Preuves à l'appui, ovaric et hémianesthésie dr
fets transitoires de l'application des plaques d'or et d'étain dans l' hystérie . — Leur action per-manente dans l'hémianesthésie
vont abonder. L'étude des antécédents nous apprend que chez G... l' hystérie convulsive a commencé à se manifester dès l'âge d
façon la plus accentuée,les symptômes locaux permanents de la forme d' hystérie que nous a\7ons pro-posé d'appeler ovarienne, alo
ège, à peu près obligatoire en pareille circonstance, des symptômes d' hystérie locale, ont persisté,sans autre modification qu'u
urvit (1). Voici maintenant rémunération des principaux symptômes d' hystérie locale dont la présence peut être actuellement re
est un exemple très régulier, très classique, dans la catégorie de l' hystérie ovarienne. Il est encore un point, cependant, sur
iée à une lésion orga-nique, où ces applications ont eu, comme dans l' hystérie , pour résultat de provoquer le retour de la sensi
ade, ainsi que je l'avais annoncé, présente tous les ca-ractères de l' hystérie ovarique sous la forme la plus régulière, la plus
mpression ovarienne sur ceux des accidents qui sont justiciables de l' hystérie ne sont pas toujours fugaces et tempo-raires. Je
vec raison, 1. Recherches cliniques et thérap. sur l'épilepsie et l' hystérie et Iconogr. photogr. de la Salp., t. I, II et III
elle un acte intentionnel. Chez Ve..., cependant, les caractères de l' hystérie ne sont pas moins prononcés que chez G... Outre l
malades du service de M. Charcot. 1. Traité cliniq. et thérap. de l' hystérie , p. 923. A l'état normal, toutes les parties du
, les nombreuses combinaisons qui pourront se produire dans les cas d' hystérie où. ce genre d'amblyopie sera parvenu à un haut d
dans la clinique. Il est bien entendu que ces troubles visuels de l' hystérie sont tout fonctionnels et qu'ils ne s'accompagnen
ressentir, l'amaurose complète, portant sur les deux yeux, est dans l' hystérie , un fait relativement rare. Bri-quet ne l'avait r
eville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 1H7,145 et 166. 2. Voir l'observ. complèle
s propres à la diathèse, n'appartiennent ce-pendant pas en propre à l' hystérie . C'est là un point sur lequel M. Charcot a, depui
ns l'hystéro-épilepsie (Hysteria, major) et aussi fréquemment, dans l' hystérie vulgaire (Hys-teria minor). Bien d'autres trouble
téro-épilepsie ci crises distinctes, dans laquelle les symptômes de l' hystérie et de l'épilepsie se manifestent séparé-ment dans
crises qui ne se confondent jamais et qui sont tantôt des attaques d' hystérie , tantôt des accès d'épilepsie ; Y hystéro-épileps
e ; Y hystéro-épilepsie à crises mixtes dans laquelle les signes de l' hystérie et de l'épilepsie apparaîtraient mélangés ; ces c
'hysléro-épilepsie à crises mixtes, que le degré le plus intense de l' hystérie , et pour éviter toute confusion,il propose d'appe
que dans la forme, elle ne seraitpas dans le fond des choses. C qsïY hystérie épi lept if orme de Louyer-Villermay. Les attaq
re. 1. Compte rendu par P. Richer. 2. Les crises convulsives de l' hystérie s'appellent attaques. Le mot accès est réservé po
s courants galvani-ques, etc. II. L'attaque convulsive de la grande hystérie , avec les ca-ractères qui viennent d'être tracés,
et la description qu'ont donnée les auteurs classiques de l'attaque d' hystérie vulgaire. Il résulte clairement de ce rapprocheme
affections pour en faire deux maladies de nature différente, et que l' hystérie vulgaire ou petite hystérie ne doit être considér
x maladies de nature différente, et que l'hystérie vulgaire ou petite hystérie ne doit être considérée que comme une atténuation
untées aux ouvrages'de deux de nos principaux classiques en matière d' hystérie , MM. Briquet et Bernutz, en fourniront aisément l
ption que M, Briquet donne des con-vulsions qui composent l'attaque d' hystérie vulgaire, le passage suivant a manifestement trai
e semble constituer à elle seule la plus grande partie de l'attaque d' hystérie vulgaire. Aussi les auteurs la décrivent-ils long
uxquels nous empruntons nos citations n'ont eu en vue que l'attaque d' hystérie vulgaire ou petite hystérie, on trouvera là un
citations n'ont eu en vue que l'attaque d'hystérie vulgaire ou petite hystérie , on trouvera là un puissant argument en faveur
ui ne voit dans l'hystéro-épilepsie que le degré le plus intense de l' hystérie . On y trouvera aussi un argument de plus en faveu
atténuées, car il est incontestable que la description de l'attaque d' hystérie vulgaire s'éclaire singulièrement lors-qu'on la c
considère à la lumière des notions fournies par l'étude de la grande hystérie . III. Par ce qui précède, nous sommes conduits
iLé. Mais l'emploi des divers moyens usités pour modifier l'attaque d' hystérie fait disparaître ces convulsions si effrayantes e
a quelques phéno-mènes convulsifsapparfenantplus particulièrement à l' hystérie ; tels sont les mouvements de circumduction du com
epsie comme névrose complètement distincte, quoique fort voisiné de l' hystérie . Mais il peut se faire que les deux états se renc
ambulisme ne sont pas rares., et tous les auteurs qui ont traité de l' hystérie ont parlé des atta-ques de catalepsie et des atta
ce des lésions traumatiques sur le déve- loppement des phénomènes d' hystérie locale. II. Traumatisme et paralysie agitante »
rgical. On sait moins peut-être que certains phénomènes locaux de l' hystérie se manifestent quelquefois delà même façon et sou
d'une façon unpeu explicite, appelé l'attention sur cesphénomènes d'« hystérie locale », comme il les appelle, développées par l
ue l'on connaît, quant à présent, de plus important sur ce sujet de Y hystérie locale traumatique meut se résumer, suivant M. Ch
bliés on voit, à l'époque où s'établissent les fonctions sexuelles, l' hystérie ovarienne apparaître avec tout son cortège de phé
es particuliers dansledomainepsychique, etc., etc. D'autres fois 1' « hystérie généralisée » vient se surajouter à I? « hystérie
D'autres fois 1' « hystérie généralisée » vient se surajouter à I? « hystérie locale » sans intermission, sans temps de repos,
IjjQûJjLinfantUe, on pourrait le répéter de tous points au sujet de l' hystérie locale déterminée par une action mécanique ; ce n
es sujets jeunes et vierges encore de toute marque un peu prononcée d' hystérie généralisée. Lorsque l'hystérie ovarienne s'est d
re de toute marque un peu prononcée d'hystérie généralisée. Lorsque l' hystérie ovarienne s'est déve-loppée et établie avec tout
ste, les difficultés qu'offre très habituelle-ment le diagnostic de l' hystérie locale en général, surtout lorsqu'elle se présent
atif. Il ne s'agit pas les -ujets prédisposés le développement de l' hystérie locale : c'est ce dont té-moigne l'observation su
e dont « vous devez savoir vous abstenir. » II. Ce n'est pas dans l' hystérie seulement que la localisation des accidents palho
ue. Le même fait peut se produire dans d'autres maladies qui, comme l' hystérie , appartiennent au groupe provisoire des névroses.
te atténuée; mais il est facile à première vue, d'y reconnaître que l' hystérie et l'hystéro-épilepsie jouaient là, comme elles l
RIQUE. Sommaire. — Hémianesthésie et hyperesthésie ovarienne dans l' hystérie . — Association fréquente de ces deux symptômes. —
nne, la parésie et la contracture. — Variabilité des symptômes dans l' hystérie . — Araleur diagnostique de l'hé-mianesthésie hyst
....300 ONZIÈME LEÇON de l'hyperesthésie ovarienne. Sommaire. — Hystérie locale des auteurs anglais. — Douleur ovarienne ;
apports entre l'hyperesthésie ovarienne, et les autres accidents de l' hystérie locale. De la compression ovarienne. — Son infl
ro-épilepsie. — Sens de cette dénomination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixtes. — Variét
cette dénomination. — Opinions des auteurs. — Hystérie épileptiforme, hystérie à crises mixtes. — Variétés de l'hystéro-épilepsi
a langue. — Chorea ma-jor. — Nature de l'affection : elle relève de l' hystérie . —Preuves à l'appui : ovarie et hémianesthésie dr
fets transitoires de l'application des plaques d'or et d'étain dans l' hystérie . — Leur action per-manente dans l'hémianesthésie
ence des lésions traumatiques sur le développement des phénomènes d' hystérie locale ................................ 449 II.
323. Compression de l'ovaire, 331, 398.— Ses effets sur l'altaquc d' hystérie , 332. — Mode opératoire, 332. — Historique, 333.
3, 336 ; — de Saint-Louis, 359. Epilepsie clans ses rapports avec l' hystérie , 367, 368, 370. — Des-cription d'un accès d'—, no
ovaire, 329. — Con-clusions, 338. — Faits cliniques, 340, 346, 373. Hystérie (V. Epidémie, Hémianes-thésie, Hyperesthésie ovar
ètes ou incomplètes, 22, 26, 36, 53, 213. Simulation (De la) dans l' hystérie , 281. Somnambulisme, 447. T Tarentisme, 342
'incoordination motrice, 230. Trépidation provoquée" du pied dans l' hystérie , 350 ; — dans la sclérose des cordons latéraux, l
14 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
ans la démonstration des faits ; car nous ne devons pas oublier que l' hystérie est dans ses allures parfois mobile au plus haut
lleurs, en lui soufflant (1) Richer, Études cliniques sur la grande hystérie , 2e édition, 1885. p. 245. sur la figure ou en
re des antécédents de Mme P... signale dans son passé deux attaques d' hystérie , l'une à l'âge de 19 ans, l'autre à l'âge de 20 a
mplexes que soulève l'étude de l'hypnotisme, du somnambulisme et de l' hystérie , d'une compétence telle qu'on la trouverait chez
P. M. VALEUR DE LA SUGGESTION HYPNOTIQUE DANS LE TRAITEMENT DE L' HYSTÉRIE (1) Par le Docteur Edgar BÉRILLON Grâce aux re
), Briquet (3), Ber-nutz (4), pour ne citer que les plus illustres, l' hystérie s'est peu à peu dégagée de son obscurité nosologi
ses (55, rue Saint-André-des-Arts . (2) Landouzy, Traité complet de l' hystérie . Paris, 1845. (3) Briquet, Traité clinique et t
ie. Paris, 1845. (3) Briquet, Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie . Paris, 1859. (4) Bernutz. Leçons cliniques sur
que de l'hystérie. Paris, 1859. (4) Bernutz. Leçons cliniques sur l' hystérie (Gazette des Hôpitaux, 1874);- — Art. Hystérie, d
Leçons cliniques sur l'hystérie (Gazette des Hôpitaux, 1874);- — Art. Hystérie , du Dictionnaire Encyclopédique. (5) Charcot, L
e l'hypnotisme est indiqué contre certains des symptô-mes graves de l' hystérie , le même procédé cesse d'être applicable lorsqu'o
estion hypnotique: 1° Dans le traitement des symptômes de la grande hystérie (hysteria major) ;2°ans le traitement de l'hystér
ômes de la grande hystérie (hysteria major) ;2°ans le traitement de l' hystérie mono-symptomatique 3° dans celui des manifestatio
ire (hysteria minor); 4° dans le traitement des troubles mentaux de l' hystérie . Grande hystérie. La grande hystérie, ou hyst
); 4° dans le traitement des troubles mentaux de l'hystérie. Grande hystérie . La grande hystérie, ou hystéro-épilepsie. est
nt des troubles mentaux de l'hystérie. Grande hystérie. La grande hystérie , ou hystéro-épilepsie. est essentiellement caract
minution des attaques, qu'il est fort probable que les stigmates de l' hystérie et la tendance aux diverses manifestations persis
ts à admettre que la (1) Pau Richer, Etudes cliniques sur la grande hystérie , 2e édition, 1885. suggestion hypnotique qui a
permis, pendant de longs mois, de neutraliser les symptômes de grande hystérie dès le retour de leur apparition (attaques convul
prolongé, est parfaitement justifiée dans le traitement de la grande hystérie et des symptômes qui lui font cortège. Nous nou
dmettre qu'une mère permette jamais de l'employer sur sa fille (1). Hystérie monosymptomatique. Assez souvent l'hystérie ne
yer sur sa fille (1). Hystérie monosymptomatique. Assez souvent l' hystérie ne se manifeste que par l'apparition d'un symptôm
rsistent à affirmer que la suggestion hypnotique doit, dans les cas d' hystérie monosymptomatique, compter moins de succès que
rcés, aussi bien dans le traitement des manifestations complexes de l' hystérie que dans celui des symptômes isolés, mérite d'êtr
, mérite d'être rangée au premier rang des agents thérapeutiques. L' hystérie vulgaire. Si, comme nous venons de le voir, on
git d'appliquer la suggestion au traitement des symptômes graves de l' hystérie , il est loin d'en être de même lorsqu'on se tro
me lorsqu'on se trouve en présence des diverses manifestations de l' hystérie vulgaire (hysteria minor). L'adage « qui peut plu
, est la crainte que cette médication n'ait pour effet de réveiller l' hystérie en puissance et de provoquer l' éclosion de nouve
grand nombre d'autres cliniciens émments, 1 hypnotisme n'a engendré l' hystérie . Il serait aussi injuste de dire que leurs hypnot
où des malades ont été hypnotisés par centaines, la grande attaque d' hystérie est beaucoup plus rare que partout ailleurs. Quan
en sera pallié par un pronostic éclairé. Lorsque les symptômes de l' hystérie vulgaire sont susceptibles de céder par l'emploi
céraux et menstruels, qui sont si fréquemment sous la dépendance de l' hystérie vulgaire, méritent bien quelque attention. La sug
nt la suggestion, aussi bien au traitement des symptômes de la grande hystérie qu'à ceux moins graves, mais souvent aussi pénibl
'à ceux moins graves, mais souvent aussi pénibles, qui dépendent de l' hystérie vulgaire. (1) Dans l'espace des six derniers mo
? Au contraire, nous pensons qu'il ne faut jamais perdre de vue que l' hystérie est avant tout la manifestation d'une dégénéresce
tique au grand air. etc., des adjuvants d'une puissante efficacité. Hystérie mentale. Tous ceux qui ont eu l'ennui de vivre
. mariée depuis douze ans, présentait quelques symptômes de la grande hystérie . Chez elle, les troubles mentaux dominaient a un
que nous venons de dire, que c'est surtout dans le traitement de l' hystérie que la suggestion hypnotique a donné les résultat
nettement indiqué : 1° Contre les attaques convuisives de la grande hystérie et contre les symptômes qui peuvent persister à l
ntractures, spasmes. anesthésies,amaurosestetc.): 20 Dans les cas d' hystérie monosymptomatique (monoplégie, mutisme hystérique
matopsie. chorée rythmée, etc.) ; 3° Contre les manifestations de l' hystérie vulgaire [insomnie, dyspepsie, troubles viscéraux
vorise singulièrement, chez les sujets prédisposés, l'apparition de l' hystérie . Il est évident qu'à une époque où l'hypnotisme
rique et bizarre, sujet depuis l'âge de dix-sept ans a des attaques d' hystérie s accompagnant toujours de crachements de sang et
bliée in-extenso dans l'Encéphale de janvier 1889 : Em. Laurent. De l' hystérie pulmonaire chez l'homme. passe devant ses yeux
le même ordre d'idées que celui que j'ai abordé dans cet article. L' HYSTÉRIE D'ORIGINE TOXIQUE Par le Docteur COLUSEAt' Ce
une curiosité clinique. Il s'agit dune modalité distincte que revêt l' hystérie , et dont la fréquence est subordonnée au sexe, à
eux irascible et de mère hystérique. Sa sœur était atteinte de grande hystérie et lui-même, dans son enfance, avait été sujet ju
t par le plomb et la physionomie affectée par les déterminations de l' hystérie . Eh bien! dans l'hydrargyrisme. la même corréla
hydrargyrisme. la même corrélation se constate, ainsi (1) Berbez, L' hystérie toxique. — Gazette des hôpitaux, p. 45. Paris, 18
rie toxique. — Gazette des hôpitaux, p. 45. Paris, 1888. (2) Dutel, Hystérie saturnine ; Monoplegie brachiale. — Gazette médic
is, 1888. (3) Rendu, Poussées de congestion pulmonaire, saturnisme, hystérie . — Gazette des hôpitaux, p. 909. Paris, 1888. q
il ne fut pas impossible à Rendu de relever chez lui des stigmates d' hystérie non équivoques : légère diminution de la sensibil
avéré. Mais quelle influence le mercure a-t-il pu (1) Letulle, De l' hystérie mercurielle. — Gazette hebdomadaire de médecine e
hebdomadaire de médecine et de chinirgie, p. 616. 1887. (2) Rendu, Hystérie et intoxication mercurielle.—Gazette, des hôpitau
ns bien aujourd'hui l'influence métallique comme capable d'éveiller l' hystérie chez l'homme. » A tout prendre, le cas est typiqu
tude poursuivie par Deboye sur le saturnisme dans ses rapports avec l' hystérie , celle à laquelle s'est livré Letulle sur l'actio
ue seraient, avec plus d'exactitude, considérés comme du ressort de l' hystérie . L'hémianesthésie dont il relève en pareil cas, l
ur de l'intoxication alcoolique, en tant que cause occasionnelle de l' hystérie chez un sujet héréditaire, elle serait moindre qu
tes, des rêves caractéristiques, des hallucinations, du délire. » L' hystérie pourrait presque être affirmée, en s'appuyant sur
hémianesthésie cérébrale doit toujours et avant tout faire songer à l' hystérie . (1) Ferdinand Dreyfous, De l'hystérie alcooliq
avant tout faire songer à l'hystérie. (1) Ferdinand Dreyfous, De l' hystérie alcoolique. — Union Médicale, nes des 3, 5, 15, 2
chose d'anormal, d'illogique, d'extraordinaire, et, comme celles de l' hystérie , se produisent la nuit comme le jour. Dans quelqu
Les recherches de Charcot (1) sur les rapports entre la syphilis et l' hystérie établissent péremptoirement un fait sur lequel Ri
me,très impressionnable, a éprouvé de grands chagrins; (1) Charcot, Hystérie et syphilis. Analyse d'une leçon faite à la Salpe
ne erreur qui doit être énergiquement relevée. On a vu sans doute des hystéries se développer ou s'aggraver après des tentatives
n'a rendu hystérique une personne qui ne l'était pas, ou aggravé une hystérie déjà existante, toutes les fois que l'on a procéd
auteurs, l'hypnotisme peut devenir un véritable agent révélateur de l' hystérie . M. le Dr G. Guinon en donne des exemples dans so
évolution, comme aussi réveiller ces mêmes névroses assoupies. Pour l' hystérie le lait lui parait incontestable. Souvent, en eff
n se trouve en présence de sujets atteints, à la lois, d'épilepsie, d' hystérie et de syphilis. Et maintenant dans l'bystérie d
6 — 1873. — Paris. — année, Gazette des hôpitaux p. 894 — 1888. (2) Hystérie et syphilis. — Paralysie psychique. — Progrès Mèd
mme capable de produire, de créer de toutes pièces, une névrose.« Une hystérie spéciale qui serait a l'hystérie proprement dite,
de toutes pièces, une névrose.« Une hystérie spéciale qui serait a l' hystérie proprement dite, ce que l'èpilepsie symptomatique
, sous le choc subi par la santé générale (anémie svphilitique etc) l' hystérie , latente, jusque là, se décèle. Cet homme alors a
ur profonde, déclare-t-il que de chercher a établir l'existence d'une hystérie symptomatique. Une pareille opinion conduirait a
évrose, tandis qu'elle agit tout au plus comme cause occasionnelle. L' hystérie existait A l'état latent chez tous les intoxiqués
nts; un certain nombre de faits nous ont démontré que, précisément, l' hystérie toxique présente certains caractères qui portent
hystérique. Arch. gén.de méd. 1887. (3) Hischmann, intoxication et hystérie . th. inaug. p. 82 1888 Paris. l'on désormais ac
et hystérie. th. inaug. p. 82 1888 Paris. l'on désormais acceptée d' hystérie toxique peut être inscrite au diagnostic, l'intox
t, de jour en jour se renouvellent. Dans l'histoire des origines de l' hystérie elles permettent d'envisager la question sous un
sans nécessité les espèces. (1) Guinon,les agents provocateurs de l' hystérie 1989 Paris. CONGRES INTERNATIONAL DE L'HYPN
ne catégorie de sujets, chez les femmes présentant les symptômes de l' hystérie confirmée et dont les accidents utérins relèvent
ic aussi certain que possible, en recherchant avec soin toute trace d' hystérie (est-ce folie d'affirmer le diagnostic d'une sclé
rétention d'urine et des matières ; fièvre, insomnie; aucune trace d' hystérie . je fus d'abord assez mal accueilli par la pati
dans les maladies matérielles du système nerveux, en dehors de toute hystérie , ne nous placent point en révolte contre les donn
e femme, âgée de trente-six ans, qui portait les stigmates certains d' hystérie . Elle ètait entrée pour s'y faire traiter de cert
illa et Virginie perdit l'habitude de gâter. J'avais eu affaire à une hystérie se présentant sons des dehors qui ne pouvaient gu
lle de vingt ans, très intelligente, ne présentant aucun syptôme de l' hystérie , d'un caractère doux et faible. Je l'avait plus
un mot, est soumise fatalement a un déterminisme comme peut l'être l' hystérie ou tout autre affection parallèle. Ce détermini
de l'hypnose. Ces sujets n'avaient eu antérieurement ni une attaque d' hystérie , ni une attaque d'épilepsie. Par un procédé ou pa
ovoqué. Et brusquement survient une première attaque d'épilepsie ou d' hystérie , brusquement, au grand désespoir de l'hypnotiseur
délibéré, commencer la série des attaques du haut mal ou de la grande hystérie ! Mettrez-vous en cause l'hypnotiseur lui-même
rables contre des troubles mentaux graves qui ne dépendaient pas de l' hystérie . M. Aug. Voisin. — Je suis heureux de la questi
la suggestion. Vous ne constaterez chez eux aucune manifestation de l' hystérie . Il est certain que l'hypnotisme doit être réserv
sme irrésistible ; Le blèpharospasme ; Les attaques convulsives d' hystérie ; Us troubles purement fonctionnels du système
X Séince du 25 octobre 1889,— Présidence de M.Cadet de Cassicourt Hystérie tabagique M. Gilbert. — Je présente à la Sociét
iques (agents cestniogènes, etc.) j'en conclus qu'il s'agissait d'une hystérie tabacique. Ce qui me confirma encore dans ce diag
. M. Hayem. — Il semble qu'on abuse un peu, présentement, du root : hystérie , et qu'on le détourne de son acception primitive.
service et je partage son diagnostic. Assurément, la dénomination d' hystéries toxiques prête à confusion si on ne différencie p
ne différencie pas soigneusement les divers cas. D'autre part, cette hystérie toxique ne ressemble pas, c'est certain, à l'hyst
tre part, cette hystérie toxique ne ressemble pas, c'est certain, à l' hystérie commune, à L'hystérie des anciens auteurs (c'est
ie toxique ne ressemble pas, c'est certain, à l'hystérie commune, à L' hystérie des anciens auteurs (c'est ainsi que les crises n
ante (l'action des aimants, par exemple). M. Ballet. — Que le mot « hystérie toxique », ne soit pas irréprochable, je n'y cont
comme vient de L'observer m. Le tulle, d'appliquer la dénomination d' hystérie A ces cas morbides dans lesquels on trouve ce qui
s lesquels on trouve ce qui est véritablement la caractéristique de l' hystérie : troubles nerveux sans lésions matérielles, et a
on ou guèrison par les acents esthingènes ; sans compter que dans ces hystéries toxiques les troubles sensitifs et sensitivo-sens
uoi elles n'auraient pas même nature. J'ajouterai que dans nombre d' hystéries toxiques, on note maints symptômes d'hystérie vul
erai que dans nombre d'hystéries toxiques, on note maints symptômes d' hystérie vulgaire et que, dans les deux cas, on a affaire
nos collègues. Cette influence du terrain sur le développement de l' hystérie toxique est si fréquente et si importante, i mon
intoxication jusqu'alors latente, comme cela s'observe souvent dans l' hystérie saturnine. M. Gilbert. — C'est fort possible :
lever tous les doutes? L'homme observé est donc un hystérique ; et l' hystérie s'est développée cheï lui i l'occasion de la fulg
faveur de l'état d'asthénie nerveuse créé par un surmenage récent, l' hystérie s'est bientôt développée chez cet homme sous l'in
iques. La foudie doit donc figurer parmi les agents provocateurs de l' hystérie . 11 est mime singulier que ces cas ne soient pas
nir, on étudie la lumière de nos connaissances actuelles concernant l' hystérie mile, les troubles nerveux divers qu'on observe c
nt de la commotion électrique, il faut s'attendre l'intervention de l' hystérie ; 2° Lorsqu'une fulguration partielle a détermi
rsqu'une fulguration partielle a déterminé une paralysie simple, si l' hystérie entre en scène, la paralysie hystérique peut se s
te en quelques minutes. L'auto-suggestion mal pratiquée développe l' hystérie ainsi que l'hypnose mal pratiquée. Mais l'auto-
e de !a mise en œuvre des procédés spirites, se sont confirmés dans l' hystérie . BIBLIOGRAPHIE Premier Congrès de l'Hypnotism
tal de Gabrielle Bompard lui semblait le résultat d'une névrose, de l' hystérie , mais que l'hypnotisme n'avait rien à voir dans l
usqu'à ses contradictions. Un effet, comme vous le savez peut-être, l' hystérie se présente assez souvent chez des sujets d'appar
i disant que j'allais le guérir, je vis se dérouler la grande crise d' hystérie , avec les quatre périodes classiques ; je continu
résultats pratiques. UN CAS REMARQUABLE D'HYPNOSE SPONTANÉE GRANDE HYSTÉRIE ET GRAND HYPNOTISME par le Dr BONAMAISON Dire
l'école de la Salpêtrière, à l'étude des névroses en général et de l' hystérie en particulier, a été le point de départ de nombr
pe, restent encore obscurs. Si l'histoire pathologique de la grande hystérie est aujourd'hui à peu près complète, son histoire
ade, comme nons l'avons dit, une sorte de tableau vivant de la grande hystérie . Nous allons énumérer, dans l'ordre de leur app
nous faudrait passer en revue la symptomatologie entière de la grande hystérie , si nous voulions décrire toutes les manifestatio
ifestations banales, qui constituent le cortège habituel de la grande hystérie , ont dû céder la place dans notre description aux
racture qui caractérise la plupart des manifestations spontanées de l' hystérie . Nous n'avons jamais pu cependant constater d'une
personnalité, est une des manifestations les plus rares de la grande hystérie , et la littérature médicale ne renferme que quelq
emple remarquable des relations étroites qui existent entre la grande hystérie et le grand hypnotisme. Cette parenté de la név
isme A l'aventure, de le réserver pour des sujets » compromis par l' hystérie , la folie, l'état vicieux ou dégénéré. » Nous s
mnie rebelle, soit une névralgie ou bien encore quelque symptôme de l' hystérie ; dans les mêmes circonstances, le médecin d'hôpit
qu'à fermer les yeux d'un malheureux en proie à de violentes crises d' hystérie et à lui faire une suggestion pour calmer l'attaq
Paris. X...,a présenté les signes les plus manifestes de la grande hystérie , (attaques, troubles de sensibilité, de motilité,
STÉRIQUE Histoire vraie pouvant servir à l'étude médico-légale de l' hystérie et de l'hypnotisme. Par M.le professeur J. GRAS
x faits récents redonnent de l'actualité à l'étude médico-légale de l' hystérie et de l'hypnotisme. D'un côté, ce sont les réci
.dis-je, me mena voir une jeune fille qui présentait des attaques d' hystérie extrêmement remarquables. Agée de dix-neuf ans,
eus aucune peine à diagnostiquer une bystéria major, c'est-à-dire une hystérie en forme de clownisme. Le docteur et la famille
excellent collègue M. le professeur agrégé Brousse. Le diagnostic d' hystérie se trouva confirmé dès le début. La jeune malade,
e de; crimes commis à la faveur, sinon de l'hypnotisme, du moins de l' hystérie : Dans les derniers jours de mai 1889. un colpo
iol commis sur une femme adulte et forte, à la faveur d'une attaque d' hystérie provoquée. Comme la malade était hypnotisable e
igine de son apprentissage hypnotique. Voilà donc une hystérique (l' hystérie ne saurait être contestée, en raison des stigmate
ser sur les premiers pour passer condamnation sur les autres ; 5° L' hystérie , par elle-même, porte à l'exagération et à la sim
positives de la névrose, il faut se rappeler que tous les actes d'une hystérie hypnotisable n'ont pas été nécessairement commis
l'application thérapeutique de la suggestion dans le traitement de l' hystérie et d'autres maladies du système nerveux. M. Kra
squ'inouï. Les expériences sur l'application de l'hypnotisme dans l' hystérie ont été communiquées par M. Kratft-Ebing d'abord
les plus importants des observations de M. Krafft-Ebing concernant l' hystérie . M. Krafft-Ebing a réussi par la suggestion à a
éd, contrub.. t, VI. p.37. Lisbon. 1888 TROUSSAINT : Obseravation d' hystérie à forme convulsive avec aptitude à l'hypnotisme e
ngrès d'Anthropologie criminelle: Brochure in-8° 31 pages. Blocq. — Hystérie maniaque infantile : Brochure in-12° Paris, 11 pa
nuant mon examen, j'apprends que cette jeune fille a eu une attaque d' hystérie , il y a deux ans, pour la première fois, à la sui
ale de la Faculté de médecine. Briquet a écrit dans son Traité de l' hystérie , ouvrage publié en 1859, «t qui restera classique
et affectueux, fut hypnotisée par un jeune médecin pour des crises d' hystérie . Chaque crise était ainsi transformée en accès de
e relie peut-être un peu trop souvent les phénomènes de l'hypnose à l' hystérie , par contre l'école de Nancy ne semble pas avoir
l lui parait plus orthodoxe de brûler des sorcières que de croire à l' hystérie et à l'hypnotisme. Dixième Congrès médical inte
les manifestations plus ou moins fréquentes des grandes attaques de l' hystérie convulsive. Etant donné le terrain pathogénique
que très nerveuse, très impressionnable, et sujette à des attaques d' hystérie de moyenne intensité chaque fois qu'on la contrar
e violentes douleurs dans la poitrine, dans le ventre: ses attaques d' hystérie devinrent fréquentes, plus violentes ; et ce fut
ographisme, nous aurions assurément provoqué quelque grande attaque d' hystérie comme elle en avait souvent. Elle nous dit qu'e
e le service que nous-mêmes lui avons rendu. DE LA NUTRITION DANS L' HYSTÉRIE ET L'HYPNOTISME par M.M.GILLES de la Tourette e
as en souffrir. C'est ce sin gulier problème de la nutrition dans l' hystérie que nous avons également essayé de résoudre, en n
ts variés: attaques, état de mal, etc. constituant la pathologie de l' hystérie . I. Nos recherches ont porté pour le premier gr
s avant la sortie de l'état du mal. Ce sont là des phénomènes dus a l' hystérie et non à l'inanition. L'étude de 1a courbe des ex
arie entre 200 gr. et 300. par jour. III. Chimiquement, l'attaque d' hystérie est l'inverse de l'accès d'épilepsie. Les accès
ation considérable des principes constitutifs de l'urine. L'attaque d' hystérie et les états de mal, quelque forme qu'ils revêten
s, établir chimiquement la cœxistence, à l'état isolé, de l'attaque d' hystérie et de l'accès d'épilepsie, con-firmant ainsi l'op
et l'état de mal hystériques, de même d'ailleurs que, cliniquement, l' hystérie a de nombreux points de contact avec l'hypnose. L
ront pas — que la suggestion peut développer et développe souvent une hystérie jusqu'alors a l'état latent. « Or, l'hystérie —
développe souvent une hystérie jusqu'alors a l'état latent. « Or, l' hystérie — que nous savons reconnaître, quoiqu'on en ait d
sernes et des hôpitaux. « En outre, en dehors du développement de l' hystérie par imitation, il faut bien, au régiment, compter
e décès. Ouant à l'allégation que la suggestion peut développer une hystérie souvent latente, elle dénote que celui qui l'expr
dénote que celui qui l'exprime a du entendre quelquefois parler de l' hystérie , mais quel'étude de cette affection lui est peu f
moral ou physique peut être considéré comme agent provocateur de l' hystérie et que contre cent crises déterminées par l'appli
ait quelque injustice à dire que c'est l'hypnotisme qui a développé l' hystérie . Il faudrait plutôt incriminer la maladresse ou l
a des médecins qui ne peuvent faire de l'hypnotisme sans provoquer l' hystérie . Il y en a aussi d'autres qui ne manquent jamais
8° Masson. Paris 1890. Grasset et Rauzier. — Leçons sur deux cas d' hystérie provoqués par une mala-die aiguë : 54 pages, in.
une affection organique la syringomyélie et une affection dynamique l' hystérie . Mais le plus souvent le diagnostic est facilit
Dès le début, la notion, que l'hypnose soit nécessairement liée à l' hystérie , (1) Rieger. Der Hypnotismus.. Jéna. 1884. (2
eutique general dans une foule de maladies qui n'ont que faire avec l' hystérie a dù sembler une absurdité. Beaucoup de médecins,
rent l'application de l'hypnotisme comme un moyen de propagation de l' hystérie , or ils ne se rendent pas compte de ce fait : que
anomale de ces réflexes est un des symptômes principaux du syndrome: hystérie . Une émotion psychique légère peut suffire chez
s'en suit pas forcément qu'en augmentant la suggestibilité on crée l' hystérie . Je connais des personnes très suggestiblcs, null
ugmenter la suggestibilité de l'hystérique ou du sujet prédisposé à l' hystérie n'est pas exempt de danger. L'expérience en eff
mel. Presse, n°29. p. 1185. KURELLA : Théorie de l'hypnose et de l' hystérie (Cent. f. Nervenb. Juin 1889). LEVILLAIN : Cons
ain, 301. Goût (suggestion dans le developpement du), 355. Grande hystérie , 37. Grande hystérie et grand hypnotisme,434. G
stion dans le developpement du), 355. Grande hystérie, 37. Grande hystérie et grand hypnotisme,434. Guérison de certaines ma
et médecine légale, 330. Hypnotismus (der). par Albert Moll, 30. Hystérie et hypnotisme, 370. Hystérie mentale, 43. Hys
notismus (der). par Albert Moll, 30. Hystérie et hypnotisme, 370. Hystérie mentale, 43. Hystérie monosymptomatique, 38. Hy
rt Moll, 30. Hystérie et hypnotisme, 370. Hystérie mentale, 43. Hystérie monosymptomatique, 38. Hystérie d'origine toxique
tisme, 370. Hystérie mentale, 43. Hystérie monosymptomatique, 38. Hystérie d'origine toxique, par Collineau, 31, 72 Hyst
ptomatique, 38. Hystérie d'origine toxique, par Collineau, 31, 72 Hystérie suggestion dans le traitement de l'), par Béril
Hystérie suggestion dans le traitement de l'), par Bérillon. 35, Hystérie vulgaire, 40. Indications de l'hypnotisme dans
s par la suggestion hypnotique, par Bérillon, 336. Nutrition dans l' hystérie et dans l'hypnotisme (de la) par Gilles de ta Tou
ion par p. Burot, 231. Suicide chez le vieillard, 284. Tabagique ( hystérie ), par Gilbert, 155. Tarot des bohémiens (le), 2
, par Briand, 139 Valeur de la suggestion dans le traitement de l' hystérie , par Bérillon, 35 Valeur relative des divers proc
15 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
semblances- Chez la mère comme chez le fils, le tic coexiste avec l' hystérie ; mais chez la mère, la grande névrose parait ét
Ma..., elle est simi- laire et directe tant pour le tic que pour l' hystérie ; en outre, elle se complique des antécédents d
s troubles psychiques et coprolaliques consécutifs. Par rapport à l' hystérie , ces deux observations démontrent que la grande
lus ou moins accidenté. DE LA MALADIE DES TICS.' 31 tisme ou de l' hystérie ; parfois, de ces deux facteurs à la fois. Son d
rée de Sydenham. Convient-il d'attribuer les mouvements de J... à l' hystérie , et par suite de les considérer comme des spasm
lequel l'affection s'est développée. Chez la malade, en effet, l' hystérie est manifeste; elle résulte de la constatation
uve- ments qu'elle présente doivent être rapportés fatalement à l' hystérie ; c'est simplement une présomption. Pour conclure
est en droit de conclure que les mouvements ne relèvent pas de l' hystérie , bien que la malade soit une hystérique. Si on
alles très irréguliers. Ainsi ' A. Pitres. - Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 318. 2 De ces deux
hez J... elle a créé deux états morbides différents : les tics et l' hystérie . Et comme le dit excellemment M. G. Guinon : «
es tics ne joue pas non plus un médiocre rôle dans l'étiologie de l' hystérie . D'autre part, ne voit-on pas tous les jours de
iations morbides semblables ? L'épi- lepsie se marie souvent avec l' hystérie pour constituer cette maladie qui a reçu le nom
sie à crises sépa- rées. De même, il existe des cas dans lesquels l' hystérie et la maladie des tics convulsifs viennent se g
Obs. I, II, III et IV). Lorsque la maladie des tics coexiste avec l' hystérie , il est possible, en dehors du traumatisme, de
G. Guinon. -> Revue de médecine, 7° année, n° G, p. ji8, dt9. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 41 Les q
' -des accès d'épilepsie, soit sensitive, soit motrice. Or, que l' hystérie puisse reproduire très fidèlement le tableau de l
e dal D' Millioti, Millano. 1883. Ballet et Crespin. Des attaques d' hystérie ii forme d'épilepsie partielle. (Archiv. de Neu-
iv. de Neu- )-ologie, 1884.) Babinsky. L'atrophie musculaire dans l' hystérie . Progrès médical 1886. (Obs. I.) Babinski. De l
ophtalmique hys- térique. (Archiv. de Neurologie, 1890, n° 60.) l' hystérie et les maladies organiques DU cerveau. 43 les o
me), nous ont fourni des preuves valables à l'appui du diagnostic d' hystérie . 2° Le caractère spécifiquement hystérique de q
l de nos quatre malades est bien celui qui est caractéristique de l' hystérie ; de toutes les 'particularités qui le démontren
es sensitifs,- moteurs ou émotifs, qui ont marqué le début déjà L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 45 névro
r ainsi dire dans la pratique cou- rante, il faudra s'assurer que l' hystérie n'est pas la cause des accidents morbides car n
'avoir permis de recueillir cette observation dans son service. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 47 gagna
est réduit presque à un point. 0 ? il droit. Pas d'altérations. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 49 Exame
sidérablement amélioré. Diagnostic. -Dans ce cas, le diagnostic d' hystérie , qui a été confirmé après par l'issue de la mal
hélicopoïde. Celle-ci, du reste, peut être observée, même dans l' hystérie , si les membres sont contracturés (Charcot). La
uissant appui pour le dia- gnostic en nous démontrant dans le cas d' hystérie une inver- sion de la formule du phosphate, nou
résence d'une déviation faciale ne parle pas contre le diagnostic d' hystérie . Elle peut dépendre, ou d'une parésie, ou d'un
ié a une signification clinique presque spéci- fique en faveur de l' hystérie , puisqu'il est très rare et tardif dans les lés
llèmispasme gosso-labié des hystériques, thèse de Paris, 1888. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. SI infér
DU CERVEAU. SI inférieur, ne dépose non plus contre le diagnostic d' hystérie . En effet, elle a été signalée dans cette névro
Pour ce qui est des troubles du langage, peuvent se vérifier dans l' hystérie toutes les formes d'aphasie avec les mêmes cara
Ures : sur la paroi abdominale apparurent les signes d'une contu- L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 53 ' si.
beaucoup de difficultés et de tâtonnements à trouver les diffé- L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 55 rente
aincre qu'une bonne partie au moins de ces phénomènes était due à l' hystérie . Le cours de la maladie a démontré com- bien no
r l'origine psy- chique. Mais il y avait en faveur de l'hypothèse d' hystérie d'autres arguments basés sur l'examen objectif
t de l'odorat; 1 V. Charcot. OEUVI'es complètes, t. IX, p. 134. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 59 3° L'
La déformation de la colonne vertébrale peut bien être imputée à l' hystérie . En effet, elle est très limitée, elle occupe l
uren. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE. ment elle peut être observée dans l' hystérie dans les membres paralysés ' ; 7° La démarche
ents très solides pour nous donner la per- suasion, que seulement l' hystérie était la cause de tous ces phénomènes. ' La m
. Charcot. Leçons sur le spasme glosso-labié. (Sem. médic, 1887.) L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 61 phéno
récision par une paralysie . Fig. 14. - Examen du 16 août 1892. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES. ORGANIQUES DU CERVEAU. 63 hyst
ques auteurs allemands comme une espèce autonome et différente de l' hystérie , tandis que l'Ecole de la Salpêtrière en fait u
ot. Leçons du Mardi, 1887-1888, p. 111. 64 PATHOLOGIE NERVEUSE. - L' HYSTÉRIE ET LE CERVEAU. notre cas, cette doctrine nous e
en écouler tout logi- quement. C'est que dans le diagnostic entre l' hystérie et les maladies organiques, il ne faut pas se c
ressemblent tous. A ceux qui me reprocheraient de toujours parler d' hystérie , et avant de m'expliquer plus com- plètement à
s troubles trophiques dans le Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , de mon ancien chef de clinique, M. Gilles de l
tch... (Bourneville, Recherches clin, et thér. sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 175 et 192, Paris, 1876.) A consulter aussi
par le serrement du testicule. Il est difficile de rattacher à l' hystérie un sommeil dans lequel tout ce qui touche à la
'est élargi, les accès d'excitation sont moins forts. Dia- gnosis : hystérie plus psychose ex abuso spi1'ituoso1'1t1n. Surdité
e du pharynx. Diagnosis : la combinaison d'un état tétanoïde avec l' hystérie qui est cause de cette coexis- tence paradoxale
spécial. Séance du 20 mars 1892. I. M. le Dr G. ROSSOLIMO. Sur l' hystérie simulant la gliomatose mé- dullaire. Il présent
le complexe des troubles, simulant la gliomatose médullaire, par l' hystérie , il considère ce cas, comme appartenant au grou
rologie. -Boukneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
connais- sance, deux crises parfaitement caractérisées de petite hystérie à la suite de contrariétés. Il n'a pas de stig-
une autre question se pose que nous allons maintenant examiner. L' hystérie par elle-même n'est-elle pas capable de provoqu
es difficultés de diagnostic que crée l'intervention fréquente de l' hystérie dans la clinique neuropathologique, je dois vou
viens de formuler. Oui, il existe des amyotro- phies relevant de l' hystérie , subordonnées à elle, subissant le sort des aut
t elle pousse des cris ». Une soell1' du malade a eu des attaques d' hystérie pendant deux ans. Côté maternel. Mère bien port
Invariablement, quand l'état nerveux des sujets s'aggrave (accès d' hystérie antérieurs ou prodromes d'un nouvel accès), les
vasculaire. L'ensemble des phénomènes sensitivo-moteurs émane de l' hystérie et d'un substratum organique qui produisent une
nombreux pourront être rangés dans les manifestations variées de l' hystérie ou de la neurasthénie; 4° des formes plus rebelle
nséquence de plusieurs causes différentes, telles que l'hérédité, l' hystérie , les excès de tabac, etc.; 2° par contre, le tr
chez les malades d'autres troubles nerveux et des Stig- mates de l' hystérie , tels étaient les éléments à l'appui de la nature
lésions occupant les centres nerveux. L'amblyopie chronique de l' hystérie ou anesthésie rétinienne tient probablement aus
tient probablement aussi à une lésion. M. Leber a, dans un cas d' hystérie grave chez la femme, pu pratiquer l'examen micros
manentes, et laisse de côté celles qui se montrent dans l'attaque d' hystérie . Son ouvrage est divisé en deux parties : dans
ention honorable à M. Pitres (de Bordeaux) : Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypno- tisme. Prix Barbier (2,000 fr.),
s, que le plomb joue un rôle important comme agent provocateur de l' hystérie . Chez notre malade, le terrain était merveilleu
ait merveilleusement préparé à cet égard pour le développement de l' hystérie . La tristesse, le chagrin et le surmenage subi
ntré que la migraine ophthal- miquepeut être une manifestation de l' hystérie , et plus récem- ment, M. Fink3, dans sa thèse,
s notre cas la migraine n'est autre chose qu'une manifestation de l' hystérie . Observation III. - Monoplégie brachiale gmche
et suiv.) ' Fink. - Des rapports de la migraine ophthalmique avec l' hystérie . Thèse de Paris, juillet 1891. 336 CLINIQUE N
cas est complexe, on ne saurait l'interpréter sans dis- cussion. L' hystérie et la sclérose en plaque sont les deux maladies
et l'atrophie mus- culaire dégénérative nerveuse par la suite. A l' hystérie seule doit être attribuée l'anesthésie très spé
rdeur, etc. Chez les individus qui ont eu déjà quelques symptômes d' hystérie , elle se manifeste soit après un accès hystériq
ROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQUE. 355 Autres stigmates d' hystérie . Parmi les stigmates d'hystérie que nous n'avon
HYSTÉRIQUE. 355 Autres stigmates d'hystérie. Parmi les stigmates d' hystérie que nous n'avons pas encore mentionnés, nous re
harynx; 9 des points douloureux et hystérogènes; 7 des attaques d' hystérie ; 4 l'ovarie. Résultat du traitement. La paral
(Prog. méd., 1888, 4 nov.) 20. GuiON. Les agents provocateurs de l' hystérie . Paris, 1889, p. 158. 21. Determann llystéris
e. (Neul'ologisches Oci2tî,alblatt, - 1890.) 22-25. Souques. De l' hystérie mâle. (Extrait des Archives générales de médeci
s le même rôle important qu'on lui attribue très fréquemment dans l' hystérie , l'épilepsie et les autres manifestations névro
in Dicl. encyclop. des sciences médicales, p. 252. - Rapports de l' hystérie avec les diathèses en général, et spé- cialemen
née probable. (France médicale, 1S91, n" 11.) UN CAS SINGULIER DE L' HYSTÉRIE MALE. 367 Î d'atrophie musculaire progressive f
e n'est pas depuis longtemps que le tremblement comme un symptôme d' hystérie ait attiré l'attention des cliniciens. ' Bouvie
urs de tous les pays sont d'accord. Ainsi le Dr Oseretzkowsky (De l' hystérie chez les militaires. Thèse de Moscou, 1891. Rus
aille moyenne, d'une bonne et robuste consti- UN CAS SINGULIER DE L' HYSTÉRIE MALE. 369 tution, un peu anémique. Quand aux or
de la maladie, on peut aisément conclure que nous avons un cas d' hystérie . En effet, le rétrécissement concentrique et pe
que. Fig. "n, I' j. : 0. 37'3 RECUEIL DE FAITS. CAS SINGULIER D' HYSTÉRIE MALE. Par ses propriétés essentielles, le tremb
u tremblement étaient observées des attaques, typiques de la grande hystérie . Ainsi chez la malade de Chambard, le trembleme
uses déterminantes sont nombreuses : frayeur, émotion, - attaques d' hystérie , expériences d'hypnotisme; ses causes prédis- p
ture de la catalepsie ? Marcé la regarde comme un épiphénomène de l' hystérie ; Georget et Lieutaud font de ces deux névroses
l'hypnotisme est aussi étroitement uni à la catalepsie, de sorte qu' hystérie , catalepsie et hypnotisme seraient une trilogie
ENTES DE L'HISTi;I;II;; Par M. Pierre JAKET. Les définitions de l' hystérie étaient autrefois 'très nom- breuses et tout au
ette maladie. « On désigne provisoi- 1'ement, dit-il, sous le nom d' hystérie un ensemble de manifes- tations nerveuses se pr
finition», car il déclare un peu plus tard que « la définition de l' hystérie n'a jamais été donnée et ne le sera jamais. Les
la longue préface, intéressante d'ailleurs, de Brachet, Traité de l' hystérie , 1847 et son chapitre sur les Définitions, p. 202
sies partielles,18G5. (L`ludes nzédicates, t.I, p. 898.) 3 Lasègue. Hystéries périphériques, 1878. (Études médicales, t. II,
ils peuvent; dans la plupart des cas, permettre le diagnostic de l' hystérie . De même M. Gilles delaTourettedansun ouvrage t
Neurologie, 1891. Extrait p. 8.) 3 Pitres. Leçons cliniques sur l' hystérie , 1891, t. I, p. 4. 4 Gilles de la Tourette. Tra
et thérapeutique de l'hys- lérie, 1891. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 419 réunissait la plus riche collection de doc
- men et de langage s'entendent à peu près sur le diagnostic de l' hystérie , mais les auteurs qui ont reçu une éducation diff
ations. Peut-être, quand on déclare impossible la définition de l' hystérie , s'est-on fait de la définition une idée trop amb
faits qui ont été recueillis de tous côtés ? S'il en était ainsi l' hystérie n'existerait pas et ne mériterait pas d'être ét
acquises. Voici que de nouveau on propose diverses définitions de l' hystérie . Ces tentatives ne nous sem- blent pas entièrem
7, Breuer et Freud e. Cette revue 1 Moebius. lieber den Begriff der Hystérie (aus dem Centralblalt sur nervezheilkcczde, von
er charité. Thatsuchliches und hypothelisches uber des IV(tseii der Hystérie , octobre 1S89.) 3 A. Strumpell. Ueber die Entst
der Kgl. universitat Erlangen, 4 nov. 1892.) 4 F. Jolly. - Ueber hystérie bei kindern. (Sonder abdruck aus der berliner k
lblalt, E. 111endal, 1893, n"' 1 et 2.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 421 générale n'a pas la prétention d'être comp
ut les auteurs qui ont examiné le côté mental, psychologique de l' hystérie . C'est donc simplement un groupe de définitions q
s générales que nous avons autrefois exprimées sur la nature de l' hystérie , nous demandons la permission de les reprendre
mme un fait uniquement physique, l'attaque, devint prédominant et l' hystérie fut essentiellement une ma- ladie convulsivante
et l'hystérie fut essentiellement une ma- ladie convulsivante. « L' hystérie , disait Brachet, est une né- vrose du système n
ne menace de suffocation » » Ces définitions 1 Brachet. Traité de l' hystérie , 18F7, p. 204. 432 REVUE GÉNÉRALE. étaient un
apable de coordonner un grand nombre de faits. Les définitions de l' hystérie se sont transformées et sont devenues psycholog
conceptions purement physiques et les interprétations morales de l' hystérie . «-L'hystérie, dit-il, est une néurose de l'encép
urement physiques et les interprétations morales de l'hystérie. «-L' hystérie , dit-il, est une néurose de l'encéphale dont le
à la manifestation des sensations affectives et des passions 1. » L' hystérie devient une maladie émotionnelle et sans doute
x de Brodie 2 et 1 Briquet. - Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , 18.ï9, p. 3. = B. Iirodie. Lectures illuslrali
local nervous affections. London, 1837. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 423 de Reynolds', M. Charcot a montré que cert
estion, par idée. Dans son ouvrage sur les agents provocateurs de l' hystérie , M. Guinon montre aussi comment, dans certains
id., t. III, p. 506. " Georges Guinon. Les agents provocateurs de l' hystérie , 1889, p. 42. 6 Id., ibid., p. 360. 7 Dutli.
ateurs de l'hystérie, 1889, p. 42. 6 Id., ibid., p. 360. 7 Dutli. Hystérie et neurasthénie associées. (Gazette. médicale de
édicale de Paris, 1889. Extrait n° 10.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 425 coup de modération, bornant leur rôle à l'
à géné- raliser un peu plus cette conception et à l'appliquer à l' hystérie tout entière, ce fut, croyons-nous, le rôle de M.
Une opinion, dit-il, tend de plus en plus à s'établir, c'est que l' hystérie est une psychose et que la modification qui la
i remue et qui veut remuer pour obéir à un ordre imaginaire. Dans l' hystérie , le rapport est plus immédiat, la pensée se tra
s, (durch Vorslellungen). Aux définitions purement physiques de l' hystérie se substitue donc une définition nouvelle qui che
cherche à grouper les symptômes autour d'un phénomène moral, « l' hystérie est un ensemble de maladies par représentation. »
tion à tous les accidents et la transformer en une définition de l' hystérie ? C'est ce qui a semblé très contestable à plusie
12. ` Breuer et Freud, op. cil., p. 1. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 427 sions, de cris, de paroles. Le sujet n'a p
lires, des somnambulismes qui appartiennent incontesta- blement à l' hystérie ; nous ne nous trouvons pas davantage en présenc
qui ont montré combien le somnambulisme jouait un grand rôle dans l' hystérie . Ce phénomène se présente d'abord spontanément
Automatisme psychologique,. 1889, p. 448. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE 429 terminée, par exemple, se trouve associée a
n que nous considérons comme essentielle pour l'interprétation de l' hystérie , ce sont les rap- ports étroits qui existent en
extases nous paraissent plus fréquentes et plus importantes dans l' hystérie qu'on ne le croit généralement, elles forment d
c plus de détails dans notre travail sur Les accidents mentaux de l' hystérie . 430 REVUE GÉNÉRALE. avait dans le somnambuli
arcot. Maul, du syst. nerveux, t. I, p. 417. Paul Richer, La grande hystérie , 1885, p. 301. Pitres, Leçons cliniques sur l'hys
r, La grande hystérie, 1885, p. 301. Pitres, Leçons cliniques sur l' hystérie , 1891, t. 11, p. 235. ' * Aulom. psysch., p.
90. Autom. psych., p. 87, 1 : 0, 'r-'r8.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE 431 1 aura été attirée sur ce point accidentell
mais nous pouvons supposer d'après bien des signes que l'attaque d' hystérie vulgaire est la reproduction automatique d'un é
t Breuer et Freud, op. cit., 1893, p. 9.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 433 Ces études sur les attaques et les somnamb
s l'hommage ci Che- vreul, 1880, p. 93. DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 435 mentaires, ou bien s'agrège plus ou moins
s, existant en dehors de la percep- tion personnelle, jouent dans l' hystérie un rôle capital; elles peuvent déterminer des t
s des phénomènes psychologiques comme un caractère essentiel de l' hystérie : « Ce fait, disions-nous, doit jouer dans cette
rmale 2. » Un peu plus tard, nous expliquions divers accidents de l' hystérie et en particulier les contractures par une acti
santes, et il a cherché à exprimer cette nou- velle conception de l' hystérie 5. On peut peut-être reprocher à ce travail d'ê
sychologique, 1889, p. 362. ' Ibid., 1889, p. 367. s Jules Janet. Hystérie et hypnotisme d'après la théorie de la double p
(Revue scientifique, 1888, t. I, p. 616.) DÉFINITIONS RÉCENTES DE L' HYSTÉRIE . 437 seconde personnalité toujours cachée derri
lement mais nous ne résumons ici que les conceptions médicales de l' hystérie . M. Laurent, dans un tra- vail paru d'abord dan
montrent par de nombreux exemples que les divers symp- tômes de l' hystérie ne sont pas des manifestations spontanées, idio
avec le trauma provocateur. Les accidents les plus ordinaires de l' hystérie , même l'hypéresthésie, les douleurs, les attaques
doivent être interprétés de la même manière que les accidents de l' hystérie traumatique par la persistance d'une idée, d'un
« En présence de ces faits, on peut légitimement se demander si l' hystérie ne joue pas un rôle beaucoup plus considérable qu
bservations nouvelles, dans lesquelles l'intervention possible de l' hystérie serait l'objet d'une attention spéciale 2. » 1
ne pas connaître ce travail. ' A. Pitres.- Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme, t. I, p. 300. PARALYSIE AGITAN
urement fonctionnelle, et les rattacher bien plus naturellement à l' hystérie dans laquelle l'hyperexcitabilité spinale joue
hyperexcitabilité spinale joue un rôle si considérable. Du reste, l' hystérie est ici confirmée par les antécédents du malade
ffection la crise convulsive qu'il a valeur dans le diagnostic de l' hystérie . Nous aurions voulu reproduire celui de M..., m
que, il y a simplement superposition de deux névroses, ou bien si l' hystérie et la paralysie agitante ne sont ? en réalité qu'
eut s'empêcher de reconnaitre que les symptômes ressortissant à l' hystérie et à la paralysie agitante, si l'on en excepte la
causes, débutent assez souvent brusquement; que, dans notre cas, l' hystérie a précédé l'explosion des symptômes parking son
mis d'asseoir une opi- nion ; rappelons simplement que l'étude de l' hystérie sénile est à peine ébauchée, mais qu'elle se co
ines considérables et d'un allaite- ment prolongé. G. DENY. LXII. Hystérie A deux. Vols A l'étalage ; par le Dr L. DE Rode.
e l'autopsie. R. M.-C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 461 LXXVII. Hystérie mâle D'ORIGINE TOXIQUE ET FOLIE DES actes; parR
bien des malades que l'on hypnotise. M. Char- cot choisit des cas d' hystérie intense ou de grande hystérie et d'hystéro-épil
otise. M. Char- cot choisit des cas d'hystérie intense ou de grande hystérie et d'hystéro-épilepsie, et même, dans ces condi
e demander, avec Tamburini, si ces phénomènes ne sont pas ceux de l' hystérie aiguë. M. Charcot, dit l'auteur, m'a signalé le
pas moins de neuf phases progressives. Enfin, dans les cas rares d' hystérie grave et d'hystéro-épilepsie, on atteint le max
es malades qui présentent d'autre part les symptômes ^ de la grande hystérie , et-quand M. Bernheim a essayé de donner à l'au
eville. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Publié avec la collabotation de MM.
ar Page, 258. Hypnotisme à Paris et à Nancy par Robertson, 464. Hystérie , diagnostic différentiel avec les maladies org
II,Slr des extrémités, par La- quer, 28 Í. Paralysie, agitante et hystérie , par Chabbert, 438; ascendante de Landry, par
16 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tomatiques, peut être très légitimement, suivant nous, rattaché à l' hystérie . L'un des malades dont l'observa- tion figure d
DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE. 3 Observation 1 - Intoxication saturnine. Hystérie . Bégaye- ment transitoire et récidivant. (Obser
de l'intoxication saturnine, les autres démontrant l'existence de l' hystérie , enfin une gêne par- ticulière de la parole qu'
ébité sans difficulté appréciable de prononciation. Observation II. Hystérie . Monoplégie double à droite. Déviation de la la
qu'on fut conduit à reviser le diagnostic primitif et. à admettre l' hystérie . On releva en effet une anesthésie du côté paré
la sclérose en plaques. Observation III. - Intoxication saturnine. Hystérie . Bégaiement hystérique. lion ? (Paul), âgé de
des, deux sont saturnins et le plomb a été la cause qui a éveillé l' hystérie , chez ces individus à hérédité, d'ailleurs, déf
ie droite avec déviation de la face à gauche, qui fut rapportée à l' hystérie , dans le service de M. le professeur G. Sée, où
ble et il lui suffit de fixer un objet pour s'endormir.* Ainsi, l' hystérie est manifeste chez nos trois malades et s'affir
alades hystériques, le bégaiement est survenu sous l'influence de l' hystérie , qu'il est une manifesta- tion hystérique. Ar
rique. Ainsi, nos malades sont des hystériques et c'est bien de l' hystérie que relève chez eux le bégaiement. Le bégaiemen
vulgaire. RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS 1. Chez les indiyidus atteints d' hystérie on peut observer un trouble transitoire de la p
ythmée, que M. Charcot a très bien étudiée et qu'il a rattachée à l' hystérie . Dans la chorée rythmée, comme chez notre malad
du reste montré que la cho- rée rythmée est une manifestation de l' hystérie , et nous ver- rons plus loin que notre malade n
x issus de la Salpêtrière, a consacré au diagnostic des tics avec l' hystérie , une leçon clinique dans la Semaine médicale de
s, caractérisent et affirment la maladie comme les stig- mates de l' hystérie affirment la névrose ou les phénomènes somatiqu
quemment chez eux, autant il est rare de trouver les stigmates de l' hystérie . On doit en tirer, comme Charcot, cette conclus
tante que la maladie des tics est nosologiquement distincte de l' hystérie , qu'elle constitue une individualité morbide, une
ortance accordée à son étude. Si la névrose tiqueuse diffère de l' hystérie par sa nature, elle s'en distingue aussi par so
ifférentes au point de vue de leur gravité respective. Tandis que l' hystérie est susceptible de guérison ou tout au moins d'
de deux observations dans lesquelles les symptômes psychiques de l' hystérie furent transmis de la femme au mari et du mari
par R. FRIEDL1DER. (Neurol. Centralbl., 1889.) La pathogénie de l' hystérie , dit M. Kurella, a pour origine la surac- tivit
les expériences de suggestion hypnotique. M. Laufenauer attribue l' hystérie et la neurasthénie qui n'en est qu'un premier d
une erreur de diag- nostic ; on avait toute raison de croire à une hystérie chez une imbécile, il n'existait aucune-lésion
nsibilité. Etude cri- tique comparative d'autres cas. - P. K. XX. Hystérie CHEZ l'homme; par FRANCIS-W. CLARK. (The journa
ous REVUE DE pathologie NERVEUSE. 81 lesquels peut se présenter l' hystérie conduisent naturellement t à lui attribuer une
des d'épuisement physique ou mental déterminent l'appa- rition de l' hystérie et principalement de sa forme convulsive, milit
de fer désaimanté. L'auteur rapporte ensuite trois cas bien nets d' hystérie chez l'homme; nous les résumons ici sommairemen
n'a pas disparu : tout en reconnaissant chez lui l'existence de l' hystérie , l'auteur incline à le considérer comme un simula
ode, de processus morbides com- plexes tels que paralysie générale, hystérie , folie circulaire, quelques manies, quelques fo
la folie chez les vieillards. .Des rapports de l'alcoolisme avec l hystérie . M. Colin donne lecture d'une communication sur
nne lecture d'une communication sur les rapports réciproques de l' hystérie et de l'alcoolisme. M. B. XXIll" CONGRÈS DES ME
cussion. - M. l3EnRItAN propose d'hypnotiser les malades atteints d hystérie traumatique. - M. Bruns. Commençons par l'élect
13EVrto cite un cas de guérison par castration. Il s'agissait d'une hystérie grave avec intervalles d'excitation maniaque et
pension au suicide. M. NEUENDOIIFF. - Une vieille fille, atteinte d' hystérie grave depuis dix-sept ans, éprouvait au moment
certaine; il en espère deux autres. - M. RICtiTER. Remarquez que l' hystérie , même quand elle persiste grave depuis des anné
erveux, agité, éprouvant des vertiges fréquents. Les stigmates de l' hystérie e\itent (diminution du champ visuel, plaques d'
° l'anes- thésie, avec les mêmes dispositions, rappelant celle de l' hystérie ; ces deux symptômes sont au début méconnus par
durée très longue. A propos du dia- gnostic, l'auteur insiste sur l' hystérie , la maladie de Morvan, la lèpre systématisée de
moteurs et sensitifs dans le domaine du sciatique poplité externe. Hystérie avec stigmates permanents. Pascal M..., trent
de la sensibilité chez le malade de l'observation XI (sciatique et hystérie ). Les stries simples indiquent les points où le
ontracturée, est typique et porte au su- prême degré le cachet de l' hystérie . La sciatique a donc servi d'appel aux manifest
t bien simple. On pourrait penser évidemment chez cette femme à l' hystérie en voyant les limites de son anesthésie qui ne
té opposé, nous ne pouvons faire autrement que de l'attribuer à l' hystérie et non à la sciatique. Tel était du reste 186 P
par la jeune fille n'est pas la maladie de Par- kinson, mais bien l' hystérie ; qu'il s'agit en un mot, dans notre cas, d'un t
dents. Pour toutes ces raisons, on peut affirmer la réalité de l' hystérie chez notre malade. ' Pouvons-nous en conclure q
i imprudent de déclarer malgré la constatation de ce stigmate que l' hystérie ne jouerait aucun rôle dans la pathogé- nie des
s malades étaient affectés. Il ne faut pas oublier que l'étude de l' hystérie sénile est à peine ébauchée et qu'elle nous rés
gé Mossé, j'ai relevé trois cas où le rapport du tremblement avec l' hystérie paraît absolu- ment incontestable. On peut dire
quent, que, dansle tremblement sénile, une part doit être faite à l' hystérie comme agent pathogénique. Je ne prétends pas, b
ui, sans être absolument démonstratif, plaide encore en faveur de l' hystérie chez la jeune fille, c'est l'état de la nutriti
gmates, la nutri- tion s'effectue normalement. Au contraire, dans l' hystérie pathologique, autrement dit dans ces périodes o
posé; c'est que la nutrition se fait chez notre malade comme dans l' hystérie , et non comme dans la paralysie agitante et le
te et le goitre exophtal- mique. On a établi, en outre, que, dans l' hystérie patholo- . gique, on observe, l'inversion, de l
: les premiers sont aux autres comme, ! est à 3. Durant l'attaque d' hystérie , la relation change, les phosphates terreux off
port normal de 3 à 1. 1 - Chez une jeune femme atteinte de grande hystérie et entrée ces jours derniers dans le service av
igé de faire sur ce diagnosticilesplus formelles, res- trictions. L' hystérie est., probable, .elle est même certaine ^mais l
qu'elle tremble, et elle continue à trembler. 1. , f. ,. Certes l' hystérie est une maladie longue, et rebelle ? si, l'on.
(26 février 1890) : « La question des rapports qui existent entre l' hystérie et les maladies organiques du système nerveux est
usions sont fon- cièrement opposées. Charcot, qui dépiste si bien l' hystérie , et sait la retrouver derrière les voiles sympt
stations purement hysté- riques. Buzzard pense, au contraire, que l' hystérie est trop souvent mise en cause, et que l'on ren
r. Enfin, pour mettre le comble à l'incertitude, il se peut que l' hystérie , maladie primitivement et essentiellement fonctio
anesthésie pharyngée que. nous interprétions naguère en faveur de l' hystérie , peuvent rentrer dans le cadre symptomatique de
nser qu'il y aurait peut-être dans certains cas, lieu de songer à l' hystérie . Il est bien dé- montré aujourd'hui que dans un
fure de carbone ? L'oxyde de carbone agirait comme provocateur de l' hystérie , celle-ci se manifes- tant alors par des troubl
Cependant il y a des cas où il semble que l'on puisse soupçonner l' hystérie ; une obser- vation de Baur' d'anesthésie et de
probable. Il est certain que l'oxyde de carbone peut réveiller l' hystérie chez des sujets prédisposés. Telle est l'opi- n
Charcot ' qui a récemment publié l'histoire d'un malade chez qui l' hystérie , manifestée par de l'astasie-abasie s'est montr
te de l'asphyxie. Tous ces accidents relevaient probablement de l' hystérie . La névrose dont l'apparition est provoquée par
ERO-TRAUDIATIS111E. 231 façon certaine, s'il y a lieu, le rôle de l' hystérie dans les paralysies consécutives à l'empoisonne
s phénomènes, suivant M. Charcot, n'appartiennent pas en propre à l' hystérie ; on les retrouve à peu près nécessairement chez
Ibidem. 234 RECUEIL DE FAITS. traumatique Chez un individu dont l' hystérie , une intoxi- cation ou une émotion morale vive
aussi en vain que nous avons recherché chez elle les stigmates de l' hystérie . Cette absence de prédis- position nerveuse peu
isie multicolore de symptômes éphémères indiquait dans l'espèce une hystérie ; l'autopsie révéla une encéphalite syphiliti- q
toujours des attaques. Elle fut en tout semblable pour le reste à l' hystérie chez la femme. P. K. XLII. CE QU'IL faut ENTEND
à l'hystérie chez la femme. P. K. XLII. CE QU'IL faut ENTENDRE par HYSTÉRIE ; par P.-J. MOEBIUS. (Centralbl. f. Neruenheilk.
compagnée. Et ce qui prouve la véracité de ces allégations, c'est l' hystérie traumatique de Charcot, si éminem- ment distinc
t l'hystérie traumatique de Charcot, si éminem- ment distincte de l' hystérie ordinaire, une fois qu'elle s'est mani- festée
vrose terrifiante, qui, tout hystérique qu'elle est, se sépare de l' hystérie par ses allures. De là la nécessité du traitement
développement de la maladie sur un terrain prédisposé et entaché d' hystérie (troubles de la sensibilité, boule, attaques co
RAVE (de Rouen) communique un mémoire sur l'auto-suggestion cause d' hystérie , dont voici les principales conclu- sions. L'au
za déterminer la guérison. M. OPPENHEI3t. Les névroses, notamment l' hystérie et la neuras- thénie hypochondriaque, sont aggr
(A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser- vice des e
ons nerveuses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie agitante). Volume m-8° de 169 pages
aillière. GILLES DE la TOURETTE et Cathelineau. La nutrition dans l' hystérie . Volume de 116 pages. Prix : 3 fr. 50. Pour nos
our nos abonnés. 2 fr. 75 GUINON (G.). Les agents provocateurs de l' hystérie . Volume in-8° de 392 pages. Prix : 8 fr. Pour n
clinique de la Faculté à la Salpêtrière, Médecin des hôpitaux. L' hystérie a été considérée pendant longtemps, et c'est là
u caprice et du hasard ? 2 L'idée qu'on se fait actuellement de l' hystérie est tout autre : la généralité des médecins, ta
, dans une série de travaux successifs, que les manifestations de l' hystérie , loin d'être abandonnées à la fantaisie, sont a
lois les plus rigou- reuses. C'est ainsi que la grande attaque d' hystérie , qui paraissait autrefois caractérisée par une
lation, ce sont les notions que nous possédons actuellement sur l' hystérie de l'homme , sur son existence et sa fré- fréqu
s-je, a aidé aussi à surmonter les préjugés et à faire accorder à l' hystérie une place im- portante dans le cadre nosographi
m- ple, que l'on voit souvent maintenant fonder le dia- gnostic d' hystérie sur la seule existence d'une hémia- nesthésie s
raine ophthalmique, qu'on n'a pas encore jusqu'à présent reliée à l' hystérie , peut être parfois sous la dépendance de cette
USE. pêtrière, d'agrandir sans cesse et sans raison le cadre de l' hystérie . Il y a en somme, croyons-nous, un double écuei
e; d'une part se garder de limiter dès maintenant le domaine de l' hystérie sous le prétexte fallacieux qu'il a été suf- fi
romes dont personne ne conteste ac- tuellement les relations avec l' hystérie . Voici un malade qui, à la suite d'une attaque
avec l'hystérie. Voici un malade qui, à la suite d'une attaque d' hystérie , se trouve dans l'impossibilité absolue de parl
sons qu'on peut faire valoir pour établir que celle- ci relève de l' hystérie , et il ne viendrait à l'idée de personne de con
les deux sujets et là encore tout médecin admettra volontiers que l' hystérie est en cause. Voici enfin 'un troisième malade
s précédents; mais l'accident n'a pas été précédé d'une attaque d' hystérie , on ne sait encore quel sera son mode de termin
il n'y a aucun stigmate hystérique. En pareil cas, le diagnostic d' hystérie peut paraître difficile à soutenir. Toutefois,
encore ait pu être manifestement rattaché à une névrose autre que l' hystérie , on peut, à bon droit, 310 CLINIQUE NERVEUSE.
bservation de mutisme, que le trouble de la sensibilité relève de l' hystérie ? Assuré- ment, non, car il est établi que l'hé
ésie sensitivo-sensorielle dont la présence est si fréquente dans l' hystérie et qui persiste généralement avec tant de ténac
u'elle est considérée, à juste titre, comme un des stigmates de l' hystérie , constitue pourtant un accident qui n'est pas c
qui peuvent permettre de démontrer que les attaques sont liées à l' hystérie . Mais si ces divers renseignements font défaut,
ions hys- tériques ; à l'un appartiennent les troubles auxquels l' hystérie seule paraît capable de donner naissance ; ce s
roupe appartiennent les symptômes et syndromes qui sont communs à l' hystérie et à d'autres maladies. Cette distinction des
lésion organique puisse occuper le territoire cérébral qu'envahit l' hystérie lorsqu'elle provoque l'apparition du mutisme ou
supposer que certains syndromes qui ne semblent pas spéciaux à l' hystérie présentent pourtant, lorsqu'ils se lient à cett
ments sur lesquels on peut fonder dans un cas donné le diagnostic d' hystérie et nous avons choisi, à dessein, des syndromes
us avons choisi, à dessein, des syndromes dont les relations avec l' hystérie sont admises depuis long- temps sans conteste.
que tour à tour, quand on veut établir qu'une affection relève de l' hystérie . On peut les ran- ger en cinq groupes principau
e indé- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 313 pendante de l' hystérie , comme on peut aussi présenter une affection hy
e le syndrome dont il est porteur a quelques uns des attributs de l' hystérie . b) Certains syndromes, comme le mutisme, par l
ent qu'avant de chercher à démontrer qu'un .syndrome est propre à l' hystérie , il y a lieu d'établir préalablement que cette
neté dans l'apparition d'un accident nerveux tend à démontrer que l' hystérie est en cause; c'est là une erreur ; les affecti
et même de certaines névroses, et mener ainsi au diagnostic. c) L' hystérie ne conduit que rarement à la dé- chéance psychi
pitale. S'il survient dans le cours ou à la suite d'une attaque d' hystérie , s'il est susceptible de succéder, en le rem- p
y a de très grandes probabilités pour que ce syndrome dépende de l' hystérie . On pourrait nous objec- ter, toutefois, que de
in- criminés, mais il n'y a rien là qui appartienne en propre à l' hystérie ; les influences psychiques parais- sent toutefo
us sou- vent le bromure de potassium n'exerce aucune action sur l' hystérie , et que, par contre, les pratiques hydro- théra
obtenir ainsi, quand il s'agit de phénomènes indépen- dants de l' hystérie , que des contre-façons, mais non pas des reprod
c précision par un sujet hypnotisé, il y a lieu de supposer que l' hystérie est un de ses agents producteurs. C'est, en par
ividuelle de chacun d'eux, on sera amené à accepter le diagnostic d' hystérie . avec ou sans réserves, et par- fois il sera im
hèse que la migraine ophthalmique peut être sous la dépendance de l' hystérie . La migraine ophthalmique survient de préféfé-
véritable. . La coïncidence de la migraine ophthalmique et de l' hystérie a été notée déjà depuis longtemps, et a été men
ts et que la migraine ophthalmique peut être une manifestation de l' hystérie . Cette dernière opinion a été émise par M. Char
Observation II. - Jeune fille âgée de seize ans. - Stigmates de ' l' hystérie : hémianesthésie sensitivo-sensorielle à droite,
ellement de sujets atteints à la fois de migraine ophthalmique et d' hystérie . Le diagnostic s'impose en effet, dans ces dive
ce de M. Charcot, que l'hémiopie permanente ne s'observe pas dans l' hystérie , tandis que le rétrécisse- ment du champ visuel
a mi- graine ophthalmique est ici sous la dépendance directe de l' hystérie , qu'elle est une manifestation de cette névrose
oints dits hystérogènes. Dans l'OBSERVATION III la relation entre l' hystérie et la migraine est assurément moins apparente q
ccès de migraine joue ici exac- tement le même rôle que l'attaque d' hystérie et en constitue un véritable équivalent; ces de
res observations, la relation qur unit la migraine ophthalmique à l' hystérie n'est pas déterminée d'une façon indiscutable.
la rigueur possible, 'que dans les deux premières obser- vations l' hystérie tient la migraine ophthalmique sous sa dépendan
enté étroite, et que, d'autre part, l'hémiopie paraît étrangère à l' hystérie . On sait en effet que dans la migraine ophthalm
'opinion de quelques auteurs, l'hémiopie paraît indé- pendante de l' hystérie , puisque, comme nous l'avons dit plus haut, les
distingue la migraine ophthalmique commune de celle qui relève de l' hystérie . On admet, comme on le sait, que la migraine op
ble et n'a rien de subversif, puisqu'il est établi maintenant que l' hystérie est susceptible de pro- voquer l'apparition de
abès), alcoolisme, hé- miopie d'origine cérébrale (hémiplégie) et l' hystérie . A. Tabès. Nous avons examiné 38 tabétiques d
e de relation pour le diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l' hystérie et dans l'ataxie locomo trice progressive. Nous
irer au point de vue du diagnostic et du pronostic ? Tout d'abord l' hystérie nous semble évidente chez elle, si l'on se rapp
ence actuelle. Georges GUINON. XX. Des troubles trophiques dans l' hystérie ; par Al. ATHANASSIO. Publié du Progrès médical,
e qu'on s'est longtemps faite des névroses et en parti- culier de l' hystérie . » L'auteur a classé les troubles trophiques de
ier de l'hystérie. » L'auteur a classé les troubles trophiques de l' hystérie en quatre catégories : troubles trophiques de la
(A.). - Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du ser- vice des enf
ons nerveuses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie agilanle). Volume m-8° de 169 pages
. Gilles DE la TOURETTE et C.1'l'III ? LIVC.1U. La nutrition dans l' hystérie . Volume de 116 pages. Prix : 3 fr. 50. Pour nos
Pour nos abonnés. 2 fr. 75 Guinon (G ? Les agents provocateurs de l' hystérie . Volume in-S° de 392 pages. Prix : fr. Pour nos
n de l ? en Angleterre, l H. Alcoolisme, rapports de l ? avec l' hystérie , par Colin, 112. Alexie avechémianopsio homonym
le, par Fried- lauder, 242. Hypnotisme, théorie de l' - et de l' hystérie , par Kurella, 74 : in- terdiction des séances p
me anesthésique, 301; restriction de l' 1-ois- dres, 302, 10. - Hystérie , thérapeutique de l' - et de la neurasthémie, p
n du tissu, par Upson, 268. Nia «asthénie, thérapeutique de e l' hystérie ut de la par Kaufe- nauer, 74 ; - et 1),itliopl
17 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
estre d'hiver à d'instructives leçons sur les psychasthénies et sur l' hystérie , M. Raymond a fait ressortir la valeur de l'hypno
nd a fait ressortir la valeur de l'hypnotisme dans le traitement de l' hystérie . Avec beaucoup d'à propos, il a démontré que le s
re du jour sont faites ainsi qu'il suit : Dr Pamart. — Epilepsie ou hystérie : la psychothérapie facilitant le diagnostic. D
solidarité qui unit tous les membres de notre société. Epilepsie ou hystérie par M. le Dr Pamart, professeur à l'Ecole de Ps
rfois difficile d :établir un diagnostic ferme entre l'épilepsie et l' hystérie épileptoïde. Certains cas semblent véritablemen
uites judiciaires. Cet homme n'avait pas présenté de manifestations d' hystérie et, cependant, c'est à l'hystérie qu'il faut attr
it pas présenté de manifestations d'hystérie et, cependant, c'est à l' hystérie qu'il faut attribuer sa somnolence comme le prouv
voilés. Un examen prolongé me fit découvrir que j'avais affaire à une hystérie et que cette confession sentimentale avait eu lie
re dans ces cas à des maladies du système nerveux, la neurasthénie, l' hystérie , la fatigue nerveuse générale, la mélancolie, l'h
qui sont sous la dépendance d'une affection générale très commune, l' hystérie . Tous les troubles de la sensibilité peuvent y êt
ment de la maladie générale qu'il faut nous adresser. En guérissant l' hystérie , nous corrigerons les troubles nerveux qui sont s
le diagnostic, sans le secours de l'anesthésie. Le traitement de l' hystérie suffira amplement à faire disparaître les phénomè
es manifestations vitales... Et, cependant, on ne peut pas dire que l' hystérie ne soit pour rien dans ce cas. En effet, le tra
riche en faits de cette nature, ait jamais rapportés. Epilepsie ou hystérie , par M. le Dr Pamart, professeur à l'Ecole de p
S Le rôle de l'hypnotisme dans le traitement de la grande attaque d' hystérie (1) par M. le professeur Raymond La grande at
e d'hystérie (1) par M. le professeur Raymond La grande attaque d' hystérie ne présente, le plus souvent, par elle-même, aucu
rt, les rapports intimes qui semblent exister entre l'hypnotisme et l' hystérie , et ceci m'amène â vous parlez de l'hypnose, en t
cidents nerveux. Mais l'objection me parait tomber lorsqu'il s'agit d' hystérie confirmée, d'hystérie grave ; dans ces cas, les a
l'objection me parait tomber lorsqu'il s'agit d'hystérie confirmée, d' hystérie grave ; dans ces cas, les avantages du procédé l'
de parti pris. (1) Leçon laite à la Salpêtrière. Dans les cas d' hystérie récente, il peut intervenir utilement et vous m'a
succès personnel considérable. Sur La définition et la nature de l' hystérie , nous eûmes deux rapports, l'un de M. le Dr Schny
e la raison de si nombreuses divergences irréductibles, au sujet de l' hystérie : « Il est naturel que les conditions d'observa
une influence sur l'élaboration de leurs doctrines, relativement à l' hystérie . Et puis, dans bien des cas, la personnalité du m
vée précédemment par M. le Dr Babinski ; celui-ci voudrait rayer de l' Hystérie un de ses chapitres les plus intéressants, celui
résulte que l'existence des troubles veso-moteurs, au cours de l' hystérie , est incontestable. L'autorité scientifique du na
Vendée — a aussi traité cette question des troubles iroohiques dans l' hystérie ; et il a présenté quelques faits très éloquents,
s, empruntés à sa propre pratique rurale, dans un milieu où fleurit l' hystérie , pour ainsi dire « à l'état sauvage » et non comm
ante, au double point de vue psychologique et biologique. Pour lui, l' hystérie se manifeste par la tendance à l'exagération de l
la trop courte séance est entièrement consacrée à la discussion sur l' hystérie . Des protagonistes de marque donnent et recoi-
étracté. (à suture) CONGRÈS & SOCIÉTÉS SAVANTES Genèse de l' hystérie (1) par M. le Dr Terrien, de Nantes. Celte qu
par M. le Dr Terrien, de Nantes. Celte question de la genèse de l' hystérie est extrêmement importante, car sa solution en en
non moins importante : la cura-bilité possible ou l'incurabilité de l' hystérie . S'il est admis, en effet, que l'on naît hystériq
l que soit le traitement. Si, au contraire, on devenait hystérique, l' hystérie pourrait être curable. Or, à ce mot du professe
toujours je l'ai rencontrée. On a tort de confondre trop souvent l' hystérie avec l'accident hystérique. 11 ne faut pas oublie
xcellente hygiène physique et morale, n'auront pas à souffrir de leur hystérie . Je pourrais citer plusieurs individus qui jamais
gestion, de la suggestion. Voilà comment se créent les accidents de l' hystérie . Mais les malades étaient déjà des hystérique
traumatisme, dans le cas de l'enfant, par exemple, a pu développer l' hystérie , et que la suggestion faite par la mère est venue
hystérique soit dans des dispositions spéciales, c'est-à-dire que son hystérie subisse une certaine préparation et que le potent
ienne ; lorsquelles font défaut, nous sommes exposés à rencon. trer l' hystérie sans phénomènes hystériques. Si l'hystérique a un
en arrive donc à poser les conclusions suivantes : I. — Genèse de l' hystérie . On nait hystérique ; on ne le devient pas. C'e
stérique ; on ne le devient pas. C'est l'hérédité nerveuse qui crée l' hystérie , mais une hystérie qui reste à l'état latent sans
devient pas. C'est l'hérédité nerveuse qui crée l'hystérie, mais une hystérie qui reste à l'état latent sans se manifester au d
uérison définitive obtenue par le régime bromure indiquent toujours l' hystérie ; 2° L'augmentation des crises coïncidant avec
n des crises coïncidant avec une cure bromurée, doit faire conclure l' hystérie ; 3° Les crises qui apparaissent à l'époque de
t « s'asseoir », ou se « jette volontairement à terre » est atteint d' hystérie . La irise épileptique foudroie toujours le malade
ondent souvent et la période stertoreuse qui existe aussi bien dans l' hystérie que dans l'épi-lepsie. Mais, même après ces rense
la langue ou des joues et des lèvres est toujours symptomatique de l' hystérie . Cette différence n'a été signalée par personne
vieille femme, et l'oncle même de la victime ! REVUE DES LIVRES L' hystérie et la neurasthénie chez le paysan, par M. le Dr T
les descendants des Chouans, dans ce vieux bocage, véritable foyer d' hystérie . « J'ai vu, dit-il, très beau à la Salpé-trière,
stovaïnisation, alors qu'elle est complètement innocente et que l' hystérie seule doit être mise en cause. Elle a été seuleme
rition de la rétention peut être comptée comme une manifestation de l' hystérie ; un rétrécissement véritablement puncti-, forme
on sur la longévité. Dr Paul Farez : Les troubles trophiques dans l' hystérie , etc., etc. L'autopsie d'une dame du monde. R
pathologique de cette malade : 1° Celle où la symptomatologie de l' hystérie s'épanouit sous toutes les formes ; 2° les périod
nce de leur caractère immoral et répréhensiblc. Dans les périodes d' hystérie , tout change : une deuxième personnalité émerge,
n était déjà obsédée. Et ainsi nous apparaît nettement le rôle de l' hystérie comme facteur de criminalité. L'hystérie, à la vé
araît nettement le rôle de l'hystérie comme facteur de criminalité. L' hystérie , à la vérité, ne fait pas acception de caractères
tion hypnotique au traitement des maladies organiques. Epilepsie ou hystérie ? — L'hypnotisme procédé de diagnostic. Dans la
à des troubles du système nerveux tels que la chorée, l'épilepsie, l' hystérie confirmée. Elle peut être considérée comme faisan
sivité est symptomatique d'une névrose. Chez les enfants atteints d' hystérie , d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescence
s ainsi qu'il suit : 1. M. Paul Farez. — Troubles trophiques dans l' hystérie : brûlures suggérées. / Discussion : MM. Jacque
imité-La séance est levée à 6 h. 45. Les troubles trophiques dans l' hystérie ; brûlures suggérées, par M. le Docteur Paul Fa
soulevé la question très controversée des troubles trophiques dans l' hystérie . Pour M. Babinski, un phénomène n'est hystériqu
ive de la persuasion. Les troubles trophiques rapportés jusqu'ici à l' hystérie l'ont été à tort, ajoute-t-il, puisqu'ils ne remp
d'un jeune homme âgé de 16 ans, qui présentait des attaques de grande hystérie avec anesthésie de tout le corps excepté du bout
que l'on voudra obtenir par suggestion sera d'autant plus aisé que l' hystérie sera en pleine floraison, que (és accidents seron
e D' Paul Maom.v, professeur. Objet du cours : Les traitements de l' hystérie . Les jeudis à cinq heures et demie, à partir du
analogie avec les phénomènes que nous observons journellement dans l' hystérie . C'est ainsi que le cas le plus remarquable est c
santé publique. — Dr Claparède : Quelques mots sur la définition de l' hystérie . D' Car-taz : De la surdité hystérique. M. le D
istence de médecin aliéniste. Aucune des définitions actuelles de l' hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Extra
janvier 1908. -Avant d'aborder l'étude des divers traitements de l' hystérie , il me semble nécessaire de passer rapidement en
a Salpêtrière ne correspondent pas à la réalité, Charcot faisait de l' hystérie de culture et c'est le médecin qui provoque l'app
comme l'a dit très justement M. le » professeur Raymond, « la grande hystérie n'est pas réduite, comme certains le pensent au s
ui changent leur manière de voir ». On pourrait presque appliquer à l' hystérie , envisagée dans son ensemble et en tant que malad
est aujourd'hui ce qu'il était autrefois. L'étude scientifique de l' hystérie n'a réellement commencé, je vous le rappelle, qu'
e à grouper les symptômes autour d'un phénomène moral » (P. Janet). L' hystérie devient un ensemble de maladie par représentation
progrès. La plupart des auteurs à partir de cette époque définirent l' hystérie par l'idée fixe et par l'auto-suggestion et cette
e reprendre les idées de Mœbius et de Strümpell lorsqu'il considère l' hystérie comme « caractérisée par une influence anormaleme
côté purement clinique. De toutes les théories psychologiques de l' hystérie , la plus remarquable à mon avis est celle de M. P
longuement, je ne puis que vous la résumer. Pour cet observateur « l' hystérie est une maladie mentale appartenant au groupe con
ubles les plus variés d'apparence uniquement physique ». En somme « l' hystérie est une forme de désagrégation mentale, caractéri
ées et dont l'exposé m'entraînerait trop loin, M. Janet conclut que l' hystérie lui semble être « une forme de la dépression ment
ssi bien elle fait disparaître les limites très nettes qui séparent l' hystérie non compliquée des maladies mentale, tout au moin
le ; ne méritent ce nom que les maladies du psychisme supérieur, or l' hystérie est le plus souvent une maladie du psychisme infé
terdam, celle de Freud. Pour cet observateur, les manifestations de l' hystérie sont toujours d'origine sexuelle ; une foule de d
on mal et est guéri. J'avoue que cette prétention d'expliquer toute l' hystérie par des troubles génitaux de l'enfance me semble
ue, l'idée n'a aucune influence primordiale sur le développement de l' hystérie , sur la forme de ses manifestations. Les phénomèn
ues et deviennent une conséquence. Charcot a dit très justement que l' hystérie est moins une maladie au sens vrai du mot qu'une
phy- * sique qui est primitif. C'est une erreur de vouloir faire de l' hystérie une maladie mentale ; elle doit être considérée c
'elle puisse paraître au premier abord, la théorie physiologique de l' hystérie n'est au fond que la traduction en langage vaguem
s définitions physiologiques, mais on en fera tant qu'on voudra : « L' hystérie , pourra-t-on dire, est une psychonévrose dépendan
rme aux idées de mon regretté maître Brown-Séquard sur la nature de l' hystérie et de l'hypnotisme ; elle est même d'autre part a
tteints, a Dans une conférence que je vous ai faite en 1905 sur « l' hystérie et l'indépendance des hémisphères cérébraux », je
difficilement au traitement. Cependant, là où le trouble est lié à l' hystérie , il est impossible d'obtenir un résultat favorabl
t homme, aucun autre phénomène qui puisse être mis sur le compte de l' hystérie . Il s'agit donc d'une névrose de l'œsophage et
religieuses. . H. HUCHARD. Aucune des définitions actuelles de l' hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul Maonin. Ext
mblaient exagérer les bienfaits n'existe plus. Aujourd'hui, c'est à l' hystérie qu'il s'en prend. Envisageant les diverses manife
sychique. Nous sommes tous plus ou moins exposés à avoir des crises d' hystérie suivant qu'est plus ou moins grande notre suscept
réaction se fait sous forme de crises de nerfs, on a appelé cela de l' hystérie , mot qu'on peut supprimer pour dire crise de nerf
en, je dois l'avouer, quel avantage il y a à substituer à la notion d' hystérie telle qu'on la comprend généralement celle d'inno
nski ; cet observateur a formulé successivement deux définitions de l' hystérie ; la première, proposée en 1901 à la Société de N
proposée en 1901 à la Société de Neurologie, est ainsi conçue : « L' hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y tr
définition qui reste d'autre part presque littérale ment la même. L' hystérie , dit-il dans une conférence faite à la Société de
forme à la raison, tout procédé, si (1) R- Crochet. Définition de l' hystérie en général et hystérie infantile. Province Médica
procédé, si (1) R- Crochet. Définition de l'hystérie en général et hystérie infantile. Province Médicale 10,07 (p. 505 et sui
la névrose. Dès lors, en bonne logique, il est obligé d'exclure de l' hystérie toute une série de phénomènes (viscéraux, vaso-mo
e. Elles se ressemblent par bien des côtés ; toutes deux démembrent l' hystérie au point de la rendre méconnaissable, de la faire
on vive, d'un embarras de voiture, elle présente une grande attaque d' hystérie . Ces crises d'hystérie empêchent la malade de v
voiture, elle présente une grande attaque d'hystérie. Ces crises d' hystérie empêchent la malade de vaquer à ses affaires, (el
27 décembre. — Guérison complète. La malade n'a pas eu d'attaques d' hystérie depuis sa dernière visite et je ne constate plus
leurs sentiments respectifs. Aucune des définitions actuelles de l' hystérie n'est légitime. Par M. le D' Paul MaGNIn. Extra
ses manifestations, la crise entre autres, à l'émotivité primitive. L' hystérie constitue pour lui un syndrome mental « un état p
e-Lausanne M. Schny-der (de Berne) se refuse lui aussi à considérer l' hystérie comme une entité morbide, mais, contrairement
cisément la raison des différents aspects sous lesquels se présente l' hystérie suivant les conditions ethnologiques et sociales
base de toutes les manifestations hystériques et on peut parler d'une hystérie infantile physiologique. L'hystérie de l'adulte e
stériques et on peut parler d'une hystérie infantile physiologique. L' hystérie de l'adulte est étroitement liée à certaines cond
née des situations réelles et à un défaut d'adaptation à celles-ci. L' hystérie est -avant tout « une maladie d'évolution de l'es
de son étiologie mais je ne pense pas que sa « conception morale de l' hystérie » puisse pratiquement intéresser la clinique. Ell
isants et ne nous donne sur la nature tout comme sur les limites de l' hystérie que des indications réellement par trop vagues. O
ec M. Cruchet « comment l'état normal de l'enfant s'est transformé en hystérie physiologique... Il ne faut pas comparer l'enfant
tat mental soit hystérique chez l'enfant. Les termes très impropres d' hystérie physiologique ne peuvent donc être synonymes de m
Claude au même congrès nous ramène sur le terrain de la clinique. « L' hystérie , conclut-il, peut être considérée comme une diath
la fonction en soit troublée. La recherche des symptômes latents de l' hystérie permettra de mettre cette faculté spéciale en évi
ymond donne de la névrose la définition suivante : « La psychonévrose hystérie — qui n'est qu'une manière spéciale de réagir et
quant aux chercheurs une direction pour l'étude de la pathogénie de l' hystérie , elle présente l'avantage d'être très clinique ;
purement clinique, celle de M. le Professeur Pitres (de Bordeaux) « L' hystérie , dit-il, est une névrose dont les accidents très
Vous saisissez toute l'originalité de cette théorie biologique de l' hystérie ; l'auteur ne semble, du reste, se faire aucune i
losophique, mais par trop sévère, ce me semble, que vouloir définir l' hystérie avantd'en avoirdécelé la nature est une entrepris
je dois ajouter toutefois, qu'à l'heure actuelle, la définition de l' hystérie reste encore à trouver. La folie dans les dynas
i comporte un pronostic et un traitement particulier. Le trépied de l' hystérie , disent Bérillon et Magnin, est l'inattention et
de névralgies diverses et de céphalalgie, 390 de rhumatismes, 1.260 d' hystérie , 1.800 de parésies, 216 d'incontinence d'urine, e
168. Epidémie religieuse en Allemagne (Une), p. 75. Epilepsic ou hystérie , par Pamart, p. 9, 80. Epilepsie ou hystérie, p
p. 75. Epilepsic ou hystérie, par Pamart, p. 9, 80. Epilepsie ou hystérie , par Ferencz, p. 159. Erythrophobie (L'), par O
Joire, p. 46. Hypnotisme dans le traitement de la grande attaque d' hystérie (Le rôle de l'), par Raymond, p. 90. Hypnotisme
nd, p. 90. Hypnotisme et suggestion « armée », par Witry, p. 303. Hystérie : Aucune des définitions actuelles de l'hystérie
par Witry, p. 303. Hystérie : Aucune des définitions actuelles de l' hystérie n'est légitime, par Paul Magnin, p. 291, 323 359.
les de l'hystérie n'est légitime, par Paul Magnin, p. 291, 323 359. Hystérie (Genèse de l'), par Terrien, p. 114. Hystérie e
n, p. 291, 323 359. Hystérie (Genèse de l'), par Terrien, p. 114. Hystérie et neurasthénie chez le paysan, par Terrien, p. 1
h, p. 272. Traditions et mœurs persanes, p. 95. Trophiques dans l' hystérie , (Les troubles), par Paul Farez, p. 179. Tympan
18 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n de Bernhardt qui mentionne la « crampe de l'acces- soire » dans l' hystérie , l'épilepsie, et celle de Binswanger qui la don
n peut le rencontrer chez des sujets sains, dans la neurasthénie, l' hystérie , l'épilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percuss
ssion de plusieurs modes du langage musical. De même,en dehors de l' hystérie ,les amusies pures sont t rares en règle, il y a
e à la démence précoce ou ne sont-ils que les ma- nifestations de l' hystérie ou de l'épilepsie concomitantes ? Les deux opin
rvations personnelles ; il y a des cas d'association manifeste de l' hystérie ou de l'épilepsie avec la dé- mence précoce ; m
la forme desuggestion qui convient à chaque malade. Epilepsie ou hystérie . \I.IAh(ART présente un maladequi fut soigné pa
sentant tous les caractères de l'épilepsie peuvent se rapporter a l' hystérie épileptiforme. L'hypnotisme est un moyen ultime
oi-disant tels, tant est imprécise la limite théorique qui sépare l' hystérie épileptiforme de l'épilepsie vraie. \1.IAGNIN ?
sivité est symptomatique d'une névrose. Chez les enfants atteints d' hystérie , d'épilepsie, de chorée et même de dégénérescen
orure de zinc et deux cureftages consécutifs. 1° Développement de l' hystérie . Pour calmer les douleurs qu'elle éprouve, la m
re 50 à no cen- tigrammes par jour de ce médicament. Puis la grande hystérie se développe sous la forme de crises convulsive
. 99. Enfin, un troisième ordre de phénomènes, contemporains de l' hystérie , s'ajoute à ce tableau : c'est une perversion pro
LÉGALE. irritable, se plaint de névralgies, a de petites attaques d' hystérie sous forme de spasmes de toux, de tremblements,
ce pathologique de Mme X... : 1° celle où la sympto- matologie de l' hystérie s'épanouit sous toutes les for- mes ; 2° les pé
e de leur caractère immoral et répréhensible. Dans les périodes d' hystérie , tout change : une deu- xième personnalité émer
n était déjà obsédée. Et ainsi nous apparaît nettement le rôle de l' hystérie comme facteur de criminalité. L'hystérie, à la
aît nettement le rôle de l'hystérie comme facteur de criminalité. L' hystérie , à la vérité, ne fait pas acception de caractèr
onscients sont des hystériques en puissance.S'il est rare de voir l' hystérie être, par les altérations de la personnalité qu
ts (1). ' Quelle que soit l'opinion que l'on ait sur le rôle de l' hystérie comme agent provocateur des actes antiso- ciaux
xistence, au moment de l'acte, des ma- nifestations psychiques de l' hystérie , crise délirante, somnambulisme, état second, d
al, le départ de l'élément sain et de z) A. CuLmuuE. Infanticide et hystérie (Archives de Neurologie 1S95.) 110 CONGRÈS DE
ance où le 3e rapport portant sur « la nature et la définition de l' hystérie » devait être discuté. Le rapport concernant
tion de l'hystérie » devait être discuté. Le rapport concernant l' hystérie : Définition' et nature CONGRÈS DES MÉDECINS AL
nature CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 143 de l' hystérie : a été confié à deux co-rapporteurs. M. Schnyd
ces deux rapports nous permet,en effet, d'avoir sur la nature de l' hystérie une vue d'ensemble aussi complète et aussi cons
e et aussi consciencieuse que possible. Définition et nature de l' hystérie . Résumé du rapport de M. CLAUDE. L'auteur fra
peut être justifiée par aucune raison pathogénique, car si toute l' hystérie réside dans le paroxysme nerveux créé par l'émo
e crains que la définition de M. Babinski n'assigne au domaine de l' hystérie des limites trop étroites. Elle n'est pas justi
s justifiée par une démonstration du trouble psychique inhérent à l' hystérie . Certes, elle s'accorde avec la généralité des
re d'entre eux ; rejeter de parti pris ces derniers du cadre de l' hystérie au nom d'une définition qui n'est nullement l'ex-
ler des lésions organiques qui resteraient facilement latentes si l' hystérie .amplifiant le trouble fonctionnel, ne le faisai
tante. \I. Claude passe en revue les théories psychologiques de l' hystérie (MM. Janet, Grasset, Binswanger, Claparède, Ber-
EUROLOGISTES. cation. Une définition scientifique de la nature de l' hystérie ne peut être donnée actuellement. On ne peut qu
itutionnel et les aptitudes psychiques du sujet on peut donner de l' hystérie la définition suivante : L'hystérie peut être c
es du sujet on peut donner de l'hystérie la définition suivante : L' hystérie peut être considérée comme une diathèse prenant
usqu'ici pour faire rentrer les innom- brables troubles qualifiés d' hystérie dans le cadre d'une entité morbide ont été infr
'hystérie dans le cadre d'une entité morbide ont été infructueux. L' hystérie considérée de la sorte apparaît comme un protée
à revendiquer pour la crise seule la dénomination d'hystérique. L' hystérie est la manifestation psycllopaLhologiduc par ex
nts suivant les conditions ethnologiques et sociales des individus ( hystérie infantile, hystérie féminine). Les états hystér
itions ethnologiques et sociales des individus (hystérie infantile, hystérie féminine). Les états hystériques dérivent par d
nt la base de toutes les manifestations hystériques et parler d'une hystérie in- fantile physiologique. Chez l'adulte, l'hys
t parler d'une hystérie in- fantile physiologique. Chez l'adulte, l' hystérie est étroitement liée à certaines conditions psy
s pour le développement des états hysté- riques et considère même l' hystérie comme un mode de réac- tion anormal de l'indivi
humaines, d'où la fréquence de la psychonévrose chez la femme. L' hystérie est avant tout une maladie d'évolution de l'es-
ésente une brisure dans le développe- ment de la mentalité. Aussi l' hystérie , dans sa forme pure, est-elle la maladie des in
d'individus présentent également une mentalité qui constitue pour l' hystérie un terrain de culture favorable. Cette maladie
hasard m'a jeté pendant plus de dix an. dans un véri- table foyer d' hystérie , et, à moins que mes hystériques et neurasthéni
iation dans cette question, car je n'avais pas en face de moi cette hystérie cultivée,éduquée, comme on est exposé à la renc
ntre vous qui ont parcouru le livre que j'ai publié récemment sur l' hystérie et la neurasthénie des paysans, ont pu voir ave
pprimais instantanément, par la persuation, les gros accidents de l' hystérie , ils ont pu égale- ment remarquer le peu d'effi
stion, la persuasion est le véritable traitement des accidents de l' hystérie , le seul qui soit réellement efficace tan- dis
qu'elle répond le mieux à la conception que je me suis faite de l' hystérie . Cependant je me séparerai de M. Babinski sur u
nski nie la fièvre hystérique, nie les troubles vaso-moteurs dans l' hystérie , nie les troubles trophiques dus à l'hystérie.
vaso-moteurs dans l'hystérie, nie les troubles trophiques dus à l' hystérie . Je lui ai cité un cas de fièvre hystérique. Je
aîtrait plus, et, elle n'a plus reparu. A quoi attribuer, sinon à l' hystérie , une fièvre qui revient tous les mois, pendant
-être contribué à provoquer. Quant aux troubles vaso-moteurs dans l' hystérie , j'en ci- terai un cas type. M. Babinski ne m'a
e. C'était donc bien un phénomène hystérique. Dès lors, puisque l' hystérie peut produire des troubles vaso- moteurs dans l
des troubles vaso- moteurs dans le sens de la vaso-constriction, l' hystérie , il est rationnel de le penser, pourra produire
dire davantage, j'arrive aux conclusions. 1° Il ne faut pas voir l' hystérie partout, mais il faut la voir là où elle se tro
trouve. On ne doit pas, comme le fait Babinski, rayer du cadre de l' hystérie tel phénomène, parce que l'on ne sera pas parve
pas,comme vient de le dire M. le Professeui Bernheim, réserver à l' hystérie que les convulsions,n'accepter que l'hystérie c
ernheim, réserver à l'hystérie que les convulsions,n'accepter que l' hystérie convulsive, s'il en était ainsi, je me trouverais
aurais pas vu d'hysté- riques, ou très peu d'hystériques, puisque l' hystérie à crises est très rare en Vendée, 3 cas sur 300
e 150 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. définir l' hystérie , d'en définir le mécanisme. Il faut, avant tout
s morbides qu'il est im- possible de mettre sous la dépendance de l' hystérie . Il est im- possible de modifier par suggestion
cher ces deux groupes l'un à l'autre. Si l'on veuf conserver le mot hystérie , qu'il vau- drait peut-être mieux abandonner, c
u premier groupe. Je crois donc pouvoir dire que la définition de l' hystérie que j'ai donnée est fondée sur l'observation et
e et que ce n'est pas arbitrairement que j'ai retracé le champ de l' hystérie . M. CLAPAIIÈDE (de Genève). Il me semble que no
nous ne pourrons avoir une vue d'ensemble des manifestations de l' hystérie que si nous nous élevons un peu au-dessus des fai
isse saisir que chez les animaux qui les pratiquent. Le propre de l' hystérie apparaît comme une anomalie (constitutionnelle
r-Seine). - Ce qui cause la confusion actuelle sur la question de l' hystérie , c'est l'intro- duction dans son étude des conc
ité cérébrale auquel il correspond, les différents symptô- mes de l' hystérie selon les régions du cerveau atteintes. L'hysté
mptô- mes de l'hystérie selon les régions du cerveau atteintes. L' hystérie présente -en effet des manifestations motrices,
ériques, les troubles disparaissent en général très rapidement. L' hystérie n'est donc pas une entité morbide. C'est un mod
t sans suite, et sans unité - · par suite de sa perte de mémoire. Hystérie et troubles trophiques ; simulation. MM. BRISSA
tions trophiques simulées (pem- phigus, et oedème). Suggestion et hystérie . M. BAmNSxc présente une malade chez qui l'exci
nette dans un cas de lésion calcarine. Anatomie pathologique de l' hystérie . M. CLAUDE a trouvé dans deux cas des lésions d
éningé et d'atrophie médullaire localisée ; il ajoute à propos de l' hystérie qu'il n'a pas constaté les formules urologiques d
nstatée qui ne peut être mise sur le compte de l'alcoolisme ou de l' hystérie est bien un trouble pro- dromique de l'état de
a crise,ressemble au même trouble constaté au début de la crise d' hystérie . En pareil cas, « les objets n'apparaissent « p
en formant ce voeu que je déclare lo congrès ouvert. SECTION I L' Hystérie maladie mentale Par le Dr Pierre JANET Depuis
is une trentaine d'années il semble entendu par tout le monde que l' Hystérie est une maladie mentale, mais cette déclara- ti
die organique quelconque. Il faudrait cepen- dant s'entendre : si l' hystérie est une maladie mentale, elle rentre dans le do
GRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 219 tout temps ont caractérisé l' hystérie . A ce point de vue je mettrai au premier rang u
le pays les plus divers. En résumé ce premier grand symptôme de l' hystérie pourrait se caractériser ainsi : c'est une idée
tion précédente.Si nous sommes amenés à les rattacher nettement à l' hystérie dans certains cas,il faudra pour les comprendre
t il n'existe pas aujourd'hui de théorie anatomo-physiologique de l' hystérie de la maladie du doute ou du délire de persécut
des théories psychologiques en un langage vaguement anatomique. L' hystérie ne peut être définie que psychologiquement par co
défaut précédent, on répète sim- plement l'affirmation banale que l' hystérie est une maladie men- tale et on ne la distingue
is qu'il est plus important de faire entrer dans la définition de l' hystérie ces caractères eux-mêmes qui résument plus de sym
i comprennent l'explication de la suggestion elle-même. En un mot l' hystérie me semble être une forme de la dépression menta
tirer de ces discussions un peu prématurées sur la définition de l' hystérie , c'est la nécessité main- tenant reconnue par l
à ceux qu'ont accomplis les études de neurologie. La nature de l' Hystérie Par le Docteur Paul Joinc. Pour bien comprend
bien comprendre les manifestations si nombreuses et si variées de l' hystérie , il faut se rendre compte exactement de ce qu'e
tes les formes que présente celte maladie. - Nous considérons ici l' hystérie comme un trouble dynamique du système nerveux.
ct et à ses qualités physiques ou chimiques. Nous définirons donc l' hystérie en disant que c'est une modifica- tion de l'équ
veux est réparti régulièrement en vue du fonctionne- ment normal. L' hystérie est un simple trouble de l'équilibre du sys- tè
ns d.*abord diviser en trois groupes toutes les manifestations de l' hystérie et nous verrons que l'on peut y classer tous le
toujours raison à la formule schématique que nous avons donnée à l' hystérie . Il faut considérer que la sensibilité et la fo
processus psychique,c'est son intellec- tuali té. - , Guérit-on l' hystérie ? P D. Terrien, de Nantes, Il ne suffit pas d
D. Terrien, de Nantes, Il ne suffit pas d'étudier la genèse de l' hystérie , la nature de l'hystérie, il importe beaucoup d
Il ne suffit pas d'étudier la genèse de l'hystérie, la nature de l' hystérie , il importe beaucoup d'être fixé sur ce point : g
ystérie, il importe beaucoup d'être fixé sur ce point : guérit-on l' hystérie ? Je répondrai nettement : On guérit les accide
l'hystérie ? Je répondrai nettement : On guérit les accidents de l' hystérie , mais on ne guérit pas l'hystérie, pas plus que
nt : On guérit les accidents de l'hystérie, mais on ne guérit pas l' hystérie , pas plus que l'on guérira un arthri- tique de
est parce que mes anciens malades étaient toujours en puis- sance d' hystérie , c'est parce qu'ils avaient l'hystérie latente. J
nt toujours en puis- sance d'hystérie, c'est parce qu'ils avaient l' hystérie latente. J'ai essayé, au contraire, de donner d
éri que ses accidents. 13 CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. , Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de l'hystérie)
L DE PSYCHIATRIE. , Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de l' hystérie ) Par le Dr Paul SOLLIER. En résumé, la théori
ps que sur la clini- que. Elle consiste essentiellement en ceci : l' hystérie est constituée par un état d'activité moindre d
ition complète- des centres fonctionnels de l'écorce cé- rébrale. L' hystérie n'est donc que l'exagération de ce qui se produit
xtrémités de deux neurones conli- gus. Cette théorie mécanique de l' hystérie , essentiellement physiolo- gique, elle aussi, m
- Présidence de M. le Dr Jules Voisin. Troubles trophiques dans l' hystérie ; brûlures par suggestion. M. Paul FAREz rappor
ue l'on voudra obtenir par suggestion sera d'autant plus aisé que l' hystérie sera en pleine floraison, que les accidents seron
son Institut et qui intéressent les cas sui- vants : neurasthénie, hystérie , paralysies diverses, incontinence d'urine, imp
la fréquence du phé- nomène électrique dans la névrasthénie.dans l' hystérie , dans les névroses traumatiques, dans la maladi
adolescents. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXXI. Définition et nature de l' hystérie ; par CROC. (Journ. de neurologie, n° 8, 1907.)
e de l'hystérie ; par CROC. (Journ. de neurologie, n° 8, 1907.) L' hystérie , d'après l'auteur, est caractérisée surtout par u
eur est ainsi conduit à conclure que trois facteurs caractérisent l' hystérie : l'hyperimpressionnabilité, la diminution du c
e toute spéciale. En se basant sur ces notions, on peut donner de l' hystérie , la définition suivante : l'hystérie est un éta
s notions, on peut donner de l'hystérie, la définition suivante : l' hystérie est un état psycho-pathologique caractérisé par
ntres de fonctions déterminées, que les pro- cessus inhibitifs de l' hystérie peuvent exclure en masse de la vie consciente :
erritoire n'a pas été absorbée par les territoires associés. Dans l' hystérie , les ass. sonL pauvres et insuffisantes ; les pro
mique. F. TISSOT. XLI. Examen des centres nerveux dans deux cas d' hystérie ; par CLAUDE. (L'Encéphale,1907, n° 7.) Le sy
légale,et celle des simulations inconscientes si fréquentes dans l' hystérie , il rappelle également l'importance de l'usage
nsoriels pour éclairer le diagnostic. L. WAHL. XXIX.-Suggestionet hystérie . Réponse à l'article de M.Bernheim : « comment
térie. Réponse à l'article de M.Bernheim : « comment je comprends l' hystérie » ; par Babinski. (Bulletin médical, 11 mars 19
nts mai- tres au sujet des questions relatives à la pathogènie de l' hystérie . M. Bernheim a répondu à son contradicteur et m
temps. Gué- rison. L. WAIIL. XXXI. Considérations générales sur l' hystérie ; lecons du Prof. RAYMOND. (Bulletin médical, 2
atoires et trophiques qui ne doivent point être rayés du cadre de l' hystérie , mais vis-à-vis desquels on doit se mettre en gar
lie et les troubles de caractère. Le Prof.Raymond définit ainsi l' hystérie : «La psychonévrose hys- térie résulte d'une mo
règlent ces réflexes ». Le Prof. Raymond établit le diagnostic de l' hystérie et de la psy- chasthénie ;cette dernière évolue
un homme, atteint d'astasie-abasie. On doit éviter de con- fondre l' hystérie avec la démence précoce. Les cas de grande hys-
classe en deux groupes représentés chacun par un des cas cités : l' hystérie serait en cause pour le deuxième groupe ; quant
e pelvi-péritonite et de salpingite. Ces faits ne relèvent pas de l' hystérie , au sens que Babinski donne à ce mot.Mais on pe
bres; céphalée à gauche. Accès d'angoisse ; état cachectique. Pas d' hystérie . II. Femme : 29 ans, début par vertiges, céphal
gauche; paralysie transitoire de l'abducens à gauche. Aucun signe d' hystérie . IV. Femme 37 ans : début par oedème du dos des
trémité inférieure du sterno-mastoidien droit. Rien au coeur. Pas d' hystérie V. Femme 55 ans : début par sensation permanent
être ramené à des troubles vasomoteurs. D'autre part dans 4 cas, l' hystérie ne pouvait être mise en cause, d'après l'anamnè
considérations sur les troubles oculaires de l'épi- lepsie et de l' hystérie au point de vue médico-légal; par P ANSIER, ROD
récissement du champ visuel Quoique plus rare, la si- mulation de l' hystérie est possible ; là encore ce sont les phénomè- n
" I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie nerveuse de nombreux signes d' hystérie entre autres la polyopie monoculaire par interp
rend, en effet, la plupart des cas se rattachant à l'épilepsie, à l' hystérie , à l'alcoolisme et au traumatisme. Puis, aprè
es phénomènes ont des rapports étroits avec les névroses, surtout l' hystérie . Les suggestions peuvent être déterminées dans
notait une série de troubles sensitifs et moteurs particuliers à l' hystérie : son caractère était le rapport direct en- tre
u don des langues ; phénomènes de lévitation). Les rapports entre l' hystérie et la médiumnité paraissent aujourd'hui accessi
10 heures, et les continuera les jeudis suivants à la même heure. Hystérie MACABRE. - La Tri6ttn2 raconte qu'à Baia Latina
toniques et paranoïaques. La définition suivante protégera-t-elle l' hystérie contre les pro- jets de démembrement qui menace
onscience de son état ; le mélancolique ne l'a généralement pas ; l' hystérie et la paralysie générale ne sont pas toujours f
neurasthénie. pour ne garder comme psycho-névroses légitimes que l' hystérie et la psychasthénie ; l'hy- pochondrie,en effet
et mélancoliques sur- tout parmi celles ayant des affinités avec l' hystérie et l'épilepsie. Sous la désignation de syndrome
irer un fragment d'aiguille, et les phlyctènes ont cessé depuis ; l' hystérie n'est donc pas, dans ce cas, la cause du pemphi
ATIlIES. Les -, par Dupré et Camus, p. 208. Centres nerveux. Voir Hystérie . Cervelet. Voir Encéphalite. CfUROMÈGALiE. Vo
65. à symptômes unilaté- raux, par Bratz et Leubucher, p. 72. ou hystérie , par Pa- mart, p. 90. L' expérimen- tale, p.
cas d' - d'origine nerveuse, par Mar- chand et Olivier, p. 156. Hystérie . Voir Elnlflstc. Défi- nition et nature de l' -
et, p. 218. La nature clc l' -, par .Ioirc, p. 221. Gué- rit-on l' hystérie , par Terrien. p. 227. et sommeil, par Paul So
ic de la -, par Bérillon, p. 90. Suggestion. Voir Timidité.- et hystérie , par Babinski, p. 167. Faux cas dé mentale, par
p. 305. Action de la sur la longévité, par Clark Bell, p. 306. et hystérie . Réponse à l'article de Bern- heim ; « Commen
e. Réponse à l'article de Bern- heim ; « Comment je comprends l' hystérie >, par Babinski, p. 372. Voir Grenouille.
a maladie de par Par- rhon et Marbc, p. 80. trophi- ques dans l' hystérie , brûlures par suggestion, par Fartez, p. 304.
Quelques considérations sur les oculaires de l'épilepsie et de -l' hystérie au point de vue mé- dico-lcgal, par Pansier, Ro
19 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
llon, M. le Dr Paul Farez. II Les rapports de l’hypnotisme avec l’ hystérie . Rapporteurs : M. le Dr Paul Magnin, M. le Dr J
rgie chez une hystérique. Tamrurini (Reggio Emilia) : Rapports de l’ hystérie et de l'hypnotisme. Autres communications annon
ffre aucun autre trouble de sensibilité et n'a jamais eu d'attaques d’ hystérie . Pour ramener cette jeune fille à une vie régul
ubit parfois des crises qui 1 appellent singulièrement les attaques d’ hystérie : la respiration devient alors plus rapide, halet
un sentiment de fatigue et de prostration générale. Des stigmates d’ hystérie ressortent du reste de lcxamen et de l’interrogat
digne ni capab'c d’exercer sur autrui son autorité. Traitement de l’ hystérie et de la neurasthénie par l'isolement et la sugge
ch., février 1900, p. 59. Une jeune fille de 12 jins est atteinte d’ hystérie mono-symptomatique caractérisée par une contractu
o-traumatismes oculaires, par G. Borel, Ann. d'ocul avril 1900. L’ hystérie traumatique monosymptomatique se manifeste parfoi
rès.— Question à l’ordre du jour: Les rapports de l'hypnotisme avec l’ hystérie . Rapporteurs M. leDr Paul Magnin, M. le Dr J. Cro
icago) : Analyse du somnambulisme hypnotique. Janet Pierre (Paris): Hystérie provoquée par des manœuvres d'hypnotisme. Mouti
es états somnam-buliques. Tambüiuni (Reggio Emilia) : Rapports de l’ hystérie et de l’hypnotisme. Van Rexterghem (Amsterdam) :
urrions adjoindi’e à cette ctude celle de l’hystérique, considérant l' hystérie comme une maladie qui rend les sujets plus partic
cette affection dans la grande névrose; il la considérait comme de l’ hystérie monosymptomatique et mettait bien en lumière, d’u
d'origine médullaire. L'affection de cette femme est une variété de l' hystérie . Chez des dégénérés, des déséquilibrés on pourrai
matique ; la malade n’avait ni hérédité névropathique, ni stigmates d' hystérie ; il s’agissait probablement d’une manifestation m
il s’agissait probablement d’une manifestation monosymptomatique de l’ hystérie . Pseudologia phantastica, par M. le D- Redlich
rédilection particulière. Citons nu hasard ses articles sur la grande hystérie chez l’homme, le dédoublement de la personnalité,
nt de donner une ment ion toute particulière à ceux qui intéressent l’ hystérie , la neurasthénie, les suggestions criminelles et
us évidents d’aliénation mentale, d’hallucinations pathologiques ou d’ hystérie , sans s’y arrêter un instant. Ce n'est pas un des
estion hypnotique l’a mis en état de faire disparaître dans des cas d’ hystérie grave les idées fixes, causes du mal. Dans de nom
ur l’Autosuggestibilité pathologique comme signe caractéristique de l' Hystérie . A Schéveningue, le docteur Breukink représente
xamen, ils s’aperçurent que la jeune fille présentait des stigmates d’ hystérie . C’est dans ces conditions que je fus commis. L
me convaincre rapidement qu’elle présentait des symptômes évidents d’ hystérie . J’essayai de l'endormir par l’occlusion des paup
mieux connue, et il est assez facile au médecin expert de dépister l’ hystérie chez les personnes qu’il est appelé à examiner, c
ourrions adjoindre à cette étude celle de l’hystérique, considérant l' hystérie comme une maladie qui rend les sujets plus partic
hez des paralytiques généraux au début, qui n’offraient aucun signe d’ hystérie . En matière d’hypnotisme, comme dans tout probl
que je ne me suis pas livré sur eux à la recherche des symptômes de l’ hystérie . M. Vogt (de Berlin).— M. Regnault a raison de
son de dire que la léthargie et la catalepsie existent en dehors de l’ hystérie : pour co qui est de l'expérimentation psychologi
lbaum a décrite sous le nom de catatonie. La catatonie n’est pas de l’ hystérie , mais il ne s’en suit pas que ce soit de l’hypnot
ture du poison qui est en cause. La catatonie se rapporte non pas à l’ hystérie , non pas à l’hypnotisme, mais à un poison cataton
ère, c’est qu’il s’adressait à d'autres procédés. L’attaque de grande hystérie provoque spontanément 1 apparition d’états psycho
ement morbide, hystérique. D’ailleurs, nous ne savons pas ce qu’est l’ hystérie , quelle est sa cause, sa lésion matérielle; nous
onditions il est impossible de s'entendre sur la valeur exacte du mot hystérie . Un autre point a été soulevé : « les animaux,
s l’un, un cinématographe nous fait assister aux phases d’une crise d’ hystérie . Admirable instrument de cours! Et nous voici de
ndividu, très généralement il s’agit de malades (maladies organiques, hystérie , névropathie héréditaire, etc.). Etudions la lé
vec sa famille, en mai 1897. Elle présente des stigmates manifestes d’ hystérie : abolition du réflexe pharyngien, points doulour
« Il a fallu toute sa fermeté pour aborder ce genre de recherches. L' hystérie et l’hypnotisme avaient mauvaise réputation. On a
par Charcot. C’est encore à lui que nous devons la connaissance de l' hystérie traumatique. c'est-à-dire des accidents relevant
t de cette névrose et développés sous l’influence d’un traumatisme. L’ hystérie est ainsi devenue un des plus gros chapitres de l
s asiles publics d’aliénés, fera une conférence sur : L’hypnotisme, l’ hystérie et les démoniaques dans l’art. (Cette conférence
r Paul Magnin. Après avoir fait un exposé magistral des rapports de l’ hystérie et de l’hypnotisme, le professeur a terminé sa le
s à la lumière oxy-drique, les diverses phases de la grande attaque d’ hystérie . M. Magnin a montré que les descriptions de Charc
rdu de leur valeur. Il a insisté sur la nécessité de bien connaître l' hystérie avant d’aborder l’étude de l’hypnotisme expérimen
e Dr Chcvalier-Lavaure. Masson, 1891.) — A propos des Rapports de l' hystérie et de la folie. Le délire onirique de l’hystérie
os des Rapports de l'hystérie et de la folie. Le délire onirique de l’ hystérie et des états toxi-infectieux. 5me congrès des ali
fébrile, d’une infection, d'une intoxica- lion, qui développent l’ hystérie chez certains sujets prédisposés (!) ». Certes,
que les idées lixes de la convalescence des infections relèvent d’une hystérie antérieure ou immédiate. Et la preuve, c'est que
les cérébraux, et c'est le plus grand nombre, il y a peu ou prou de l’ hystérie . L’analogie des délires toxiques et des délires
nt être des délires toxiques. Les rapports si étroits des névroses, hystérie , épilepsie, choree et de leurs manifestations con
les psychoses infectieuses appartiendraient, ce que je conteste, à l' hystérie , il n’en est pas moins vrai qu'elles peuvent dans
n se l’explique difficilement. Pour Charcot, l’œdème dur et bleu de l’ hystérie pouvant s’accompagner d'ulcérations, simule très
e sais. J'ai vainement cherché chez cette malade les stigmates de l’ hystérie , mais c’est une femme nerveuse évidemment, très e
ut récemment insisté sur la relation qui existe, d'après lui, entre l' hystérie et l'ulcère rond de l’estomac ; il ne faudra pas
lier les idées de l’Ecole de la Salpôtrlère sur l’hypnotisme et sur l’ hystérie . Son traité de la grande hystérie et du grand hyp
lpôtrlère sur l’hypnotisme et sur l’hystérie. Son traité de la grande hystérie et du grand hypnotisme e’st pour nous un livre cl
u sculpture) destinée à les compléter. Dans ses travaux sur la grande hystérie (1881) qu'a couronnée l'Acadcmie des Sciences, le
ue redevint normale après 14 jours de traitement. Il s'agit ici d’une hystérie traumatique qui était provoquée non par la présen
ysie de l’accommodation, qui est un des symptômes les plus rares de l’ hystérie , disparut par un traitement suggestif (faradisati
APEüTIQüE 15* Année — N« 9. Mars 1901. Théorie physiologique de l’ hystérie par le Dr Binet-Sanglé. I Historique L’év
le Dr Binet-Sanglé. I Historique L’évolution des théories de l’ hystérie est un exemple de la manière lente et progressive
nt l’homme arrive à la possession de la vérité. Pour les anciens, l’ hystérie était due aux pérégrinations de la matrice (uevip
nos (131-201 ou 210 ap. J.), tout en admettant l’origine utérine de l’ hystérie , ne croyait pas aux mouvements de la matrice. A
pas aux mouvements de la matrice. Aétios (vi8 siècle) pensait que l’ hystérie affectait non seulement cet organe, mais aussi et
cerveau par les nerfs » (*). Cette idée du siège encéphalique de l’ hystérie ne fut reprise qu’en 1607 par Thomas Willis. Ce s
sprits animaux. En 1682, Thomas Sydenhain révélait l’existence de l’ hystérie masculine, et écrivait que cette maladie provenai
it l’irritabilité ou le racornissement. » Pomme attribuait en effet l' hystérie au racornissement des fibres nerveuses. En 1859
9, Briquet attirait l’attention sur les symptômes psychologiques de l’ hystérie . Selon lui, celte maladie consistait « dans la pe
s à percevoir certaines modalités psychiques » (3). Pour Charcot, l' hystérie était « en grande partie une maladie mentale ».
ie une maladie mentale ». Pour Oppenheim, Jolly, Breuer et Freud, l' hystérie consiste dans un dédoublement de la personnalité.
, t. H. p. 65. (2; IintQGgr : Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , Paris, 1859. (3) Lasègue : Etudes médicales.
, et l’on peut dire que l’idée que nous nous faisons aujourd’hui de l’ hystérie n'a acquis de la précision et de la clarté que gr
J’ai nommé Pierre Janet et Paul Sollier. Pierre Janet a donné de l’ hystérie des définitions diverses, mais qui se complètent
s définitions diverses, mais qui se complètent l’une à l’autre. « L’ hystérie est une forme de désagrégation mentale caractéris
al, par iequel 011 expliquera avec précision tous les phénomènes de l’ hystérie . Il y aura alors une définition physiologique de
ènes de l’hystérie. Il y aura alors une définition physiologique de l’ hystérie » (’). Pour Paul Sollier : « La causepremière
autre chose que les attaques efc tous les accidents paroxystiques. L’ hystérie n’est qu’un trouble local du cerveau plus ou moin
donner ce que Pierre Janet appelle « la définition physiologique de l’ hystérie ». La théorie qui va suivre n’est que l’extensi
héorie dont il avait eu ia première idée en 1894, à propos d'un cas d’ hystérie à forme particulière (2). « Dans un travail récen
des cellules, l’attention (1) Paul SOLLicn : Genèse et nature de l' hystérie , Alcan, 1897, t. II. (•¿) llenô IiKi‘K.2 : Sur
l'hystérie, Alcan, 1897, t. II. (•¿) llenô IiKi‘K.2 : Sur un cas d’ hystérie à forme particulière. (Revue de médecine, août
gale. Vol. XIV., fasc. 2-3, p. 419.) (4) René Lépine : Sur un cas d' hystérie à forme particulière. (Revue de médecine, 1891, p
nts par suite d’une modification locale dans leur densité. y. l’ hystérie . Si bien qu’alors môme que cette conception physi
réquemment atteints de maladies nerveuses. Neurasthénie, hypocondrie, hystérie , états névropathiques divers et môme aliénation m
des impulsions ambulatoires, tous symptômes que l’on retrouve dans l’ hystérie {'). C'était du reste le diagnostic que fît le
e ». Pourtant, à cette époque, on connaissait mieux l’épilepsie que l’ hystérie . Arrivons aux crises convulsives. La première
ant plusieurs jour?. » Cette attaque ressemble plutôt à une crise d’ hystérie . Le mal comitial est plus dangereux et moins théâ
la précaution de se coucher tout d’abord dans son lit. L’attaque d’ hystérie à grandes allures se terminant par des hallucinat
nts affectifs différents. M,,e G..., âgée de 24 ans, est atteinte d’ hystérie convulsive. Elle est profondément hypnotisable. P
bles fonctionnels ne doivent pas toujours être mis sur le compte de l’ hystérie . Dans le cas actuel, notre homme a eu une très gr
EUTIQUE 15« Année — N° 1U. Avril 1901. Théorie physiologique de l’ hystérie par le Dr Binet-Sanglé. [suite) On sait, de
it même, la motricité s’est accrue d’autant. Ainsi s’explique que l’ hystérie soit surtout fréquente chez l’enfant, chez l’adol
une diminution de la masse du sang ou de certains de ses composants ( hystérie suite d’anémie). Or on sait que Soukhanoff a obse
ye, après ligature des carotides ; 2° A l’action de divers poisons ( hystérie suite d’intoxication oxycarbonée, sulfocarbonée,
longements neuroniens. Par exemple : L’alcoolisme est une cause d’ hystérie . Mais aussi une absorp- tion d’aicool aggrave
iforme sous l’influence de l’alcool. Le morphinisme est une cause d’ hystérie . Mais aussi une injection de morphine pourra déte
ments sous l’influence de la morphine. Le surmenage est une cause d’ hystérie . .Mais aussi une fatigue accidentelle fera s’aggr
ents sous l’influence de la fatigue. Le traumatisme est une cause d’ hystérie . Mais aussi une attaque d’hystérie éclatera sous
. Le traumatisme est une cause d’hystérie. Mais aussi une attaque d’ hystérie éclatera sous l’influence d’un traumatisme. Aussi
t même d’un souffle ? Enfin les émotions sont à la fois une cause d’ hystérie et une cause d’accidents chez les hystériques, Qu
la sensibilité, la rétraction des neurones de sensation, c'est que l’ hystérie est avant tout une maladie cérébrale. Mais il e
ain que les neurones des voies centripètes se rétractent aussi dans l’ hystérie . Cette rétraction est le plus souvent secondaire.
te anesthésie d’origine cérébrale, quelle qu’en soit la cause. Dans l’ hystérie cette contracture a pour effet d’augmenter l'anes
symétrie; elles constituent des troubles vaso-moteurs engendrés par l’ hystérie . Ajoutons que ces taches sanguines sont le siège
clonus est une manifestation de la névrose trauma-tique. Un cas d’ hystérie grave, par M. le I> E.-A. GuiZE, Conférence de
e violente disputé de cet homme avec sa femme : ils se rattachent à l’ hystérie , en raison du début brusque à la suite d’un traum
la glotte ainsi que des troubles moteurs et sensitifs du ressort de l’ hystérie . Elle se plaint en outre d’une dyspnée très inten
me des adducteurs ne peut guère avoir comme facteur étiologique que l’ hystérie . Le traitement psychique est donc tout indiqué. O
agi par simple suggestion ? _ Sur les manifestations oculaires de l' hystérie ,parM. Grand-Cl¿ment, Société nationale de médec
Lyon, il juin I ‘.*1*0. Les manifestations les plus fréquentes de l' hystérie sont l’astigmatisme, lepiphoru ou bien, au contra
EUTIQUE 15e Année — N° 11. Mai 1901. Théorie physiologique de l' hystérie par le Dr Binet-Sanglé. (suite) II. — Hyper
ui les empêchent d’atteindre les centres supérieurs. tl. Dans l’ hystérie la formation de ces neuro-diélectriques est due à
ébrale localisée, accomplira de grandes choses. Si Ton fait rentrer l’ hystérie fruste dans le cadre des maladies mentales, il es
logique que je propose de substituer aux théories psychologiques de l’ hystérie . Schème 13. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHO
et bien portante. Celte malade ne présente aucun des stigmates de l’ hystérie . Le mal, chez elle, s’est aggravé depuis deux
blement au but, et l’avenir du'traitement de cette névrose comme de l' hystérie est à la psychothérapie ainsi comprise. Ce qui
a Société de thérapeutique, que la «suggestion est le traitement de l' hystérie , mais qu'elle n’obtient rien du neurasthénique, q
our obtenir des résultats, il faut que la neurasthénie se complique d’ hystérie ou que la neurasthénie soit tellement invétérée,
elle ait fini par constituer une synthèse mentale très marquée, que l’ hystérie , fille de l’idée, doit guérir par l’idée, que la
ouvent étonnante et cela sans qu’il y ait besoin de la complication d' hystérie ni même de la synthèse mentale dont on a parlé...
par Paul Farez..... p. 40, 203. par Félix Regnault p. 45, 164. Hystérie grave, par Guize, p. 314. Hystérie et neurasthé
par Félix Regnault p. 45, 164. Hystérie grave, par Guize, p. 314. Hystérie et neurasthénie, (Traitement par l'isolement et l
ur Font, p. 28. Hystéro-traumatismes oculaires, par Borel, p. 30. Hystérie (Théorie physiologique de 1’), par Binet-Sanglé,
askovec, p. 377. Obsession du suicide (L), p. 318. Oculaires de l’ hystérie (Sur les manifestations), par Grand-Clément, p. 3
gestion, par Pau de Saint-Martin, p. 17. Théorie physiologique de l’ hystérie , par Binet-Sanglé p. 257, 289, 321, 353. Tropho
20 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
a complicité de Gabrielle Fenayrou. La question ne se posa pas. Pas d' hystérie , pas d'hypnotisme. Pas d'hypnotisme, pas de sugge
nt de la région prcecordiale. — Pseudo-angine de poitrine. — Crises d' hystérie respiratoire et cardiaque; affaiblissement progre
malade n'eut ni ovarialgie. ni anesthésie, ni aucun autre stigmate d' hystérie . L'hyperesthésie excessive localisée vers la poin
gion prœcordiale. Je restai convaincu qu'il ne s'agissait que d'une hystérie locale et cet avis fut partagé par mon collègue M
yai d'arrêter la crise, comme je le fais d'habitude pour les crises d' hystérie , en affirmant énergiquement malade que tout allai
ntinue à la région prcecordiale; des crises excessivement violentes d' hystérie respiratoire et cardiaque se greffent sur cette d
Central blatt fur Harn-so Sexual-Organe ». Vol. 1, cah. 2). PETITE HYSTÉRIE ET TROUBLES DYSMENORRHÉIQUES TRAITÉS PAR SUGGES
5 mai, à la suite d'une crise, je vis la malade et je diagnostiquai : Hystérie mineure sous la dépendance de l'arthritisme. Le
et la coloration des urines. 2° La névrose a pris le nom de petite hystérie ; le sommeil provoqué n'a donné que le petit hypno
s à ta société que tel malheureux aliéné inoffensif. Les crises d' hystérie M. le Professeur Bernheim vient d'indiquer dans
le Bulletin Médical un moyen des plus simples d'arrêter les crises d' hystérie : Les crises d'hystérie les plus violentes peuve
oyen des plus simples d'arrêter les crises d'hystérie: Les crises d' hystérie les plus violentes peuvent toujours ou presque to
vent d'enrayer ainsi instantanément ou en peu de minutes les crises d' hystérie qui se développent en ma présence. Il me suffit e
qui se développent en ma présence. Il me suffit en général de dire: d' hystérie est fini!La crise s'arrête. Réveillez-vous ». Ou
onvictton, arrête dans leur évolution les grandes et petites crises d' hystérie . La castration comme pénalité Un médecin cali
s. Dr E. Berillin. — La Suggestion Hypnotique dans le traitement de l' Hystérie : In-8°, 13 Pages, 1890. Paris. Dr E. Bissiti
ces trois états. Il a dit que l'hypnose n'était pas spéciale â l' hystérie et que le suggéré était uo instrument aveugle et
ême homme atteint successivement de monoplégie hystéro 'raumatique, d' hystérie avec arc de cercle, de grand tic convufsif, de ch
te de ces excès et d'avoir pendant son ivresse de véritables crises d' hystérie . La nuit, elle a des cauchemars, du délire hystér
lepsies et les épileptiques. » Dr Levillain LEÇONS SUR DEUX CAS D' HYSTÉRIE PROVOQUÉS PAR UNE MALADIE AIGUË Par le Professe
raux ou morbides, sur l'explosion des désordres qui ressorlissent à l' hystérie . Cette année, une série de leçons faites â la cli
igne d'intérêt sur ce sujet.. i Guison Les agents provocateurs de l' hystérie . Th. inaug. 1887 Paris. 2 J. Grasset.:Leçons su
/8e de 54 pages. — G. Masson éditeur) 1890 Paris. 3 Lejoubieux — De l' hystérie conscientive à la gripe Th. inaug. ;° 238. — 1890
minable liste de celles qu'on peut en mainte circonstance imputer à l' hystérie . Mais, d'autre part, ces deux manifestations peuv
rt bien, en une foule de cas, reconnaître une origine avec laquelle l' hystérie n'a rien de commun. Il y avait donc, avant tout,
plausible, portée par l'auteur : « La grippe peut donc provoquer l' hystérie . C'est là un fait important et inédit..... Elle
ns comportent, à coup sûr, un intérêt de premier ordre. Ce groupe d' hystéries consécutives à une maladie infectieuse se rapproc
ellement, comme le fait judicieusement remarquer l'aureur de ceux des hystéries toxiques et des hystéries traumatiques. Et, à ce
dicieusement remarquer l'aureur de ceux des hystéries toxiques et des hystéries traumatiques. Et, à ce propos, il se pose la ques
lue par les observateurs, ¿tte importante question est celle-ci : Ces hystéries toxiques, traumatiques, intectieuses, sont elles
es, sont elles distinctes les une des autres et diffférent-elles de l' hystérie ordinaire, névrose spéciale? Sans hésiter, il rep
oristique et que pour notre part nous acceptons sans amendement : « L' hystérie est une entité morbide, une névrose indivisible d
é morbide, une névrose indivisible dans sa nature. » I Collineau :l' hystérie d'origine toxique.:. Revue de l'hypnotisme, nos d
sons d'enregistrer : « Entre la théorie allemande qui veut faire de l' hystérie traumatique une névrose spéciale, à part, et la t
art, et la théorie de la Salpétrière qui n'y voit que des formes de l' hystérie , je me prononce carrément pour la théorie de la S
Charcot, c'est sur l'interprétation du mécanisme pathogénique de ces hystéries consécutives. Ce n'est pas d'aujourd'hui que date
à dire que pour l'interprétation des phénomènes qui accompagnent les hystéries provoquées il rejette, et ceci de la manière la p
e classer et hiérarchiser les éléments étiologiques si multiples de l' hystérie . Pour se rendre un compte exact de l'ampleur des
emble se condenser. «J'ai proposé, dit-il, de diviser les causes de l' hystérie en prédisposantes, fonda-mentales et occasionnell
ituées par le fond morbide qui le . plus souvent, se cache derrière l' hystérie , a Les causes occassionnelles provoquent l'appari
umération des éléments étio-logiques qui contribuent à la genèse de l' hystérie . Revenons seulement aux deux observations cliniqu
lève contre la dénomination de névrose traumatique et propose celle d' hystérie traumatique. Il voudrait qu'une commission fût no
l'état de pureté, et les malades peuvent offrir divers stigmates de l' hystérie , et entre autres des anesthésies et des hyperesth
de développement de la maladie sur un terrain prédisposé et entaché d' hystérie . La couleur des idées délirantes est duc â l'infl
le souvenir de certains faits récents. De l'auto-suggestion cause d' hystérie . M. Coste de Lagrave donne lecture d'un mémoire
ntales. 5. Les affections nerveuses des enfants. 1. — NÉVROSES. Hystérie . — Sur le total des 360 malades que nous avons tr
ons traités par la suggestion, 155, plus du tiers, étaient atteints d' hystérie . C'est dire que nous avons rencontré les formes l
ons locales, mais aussi contre l'ensemble des symptômes généraux de l' hystérie . D'une façon générale, nous pouvons dire que le s
t nettement indiqué : 1° Contre les attaques convulsives de la grande hystérie et contre les symptômes qui peuvent persister â l
, anesthé-sies, hyperesthésies. amauroses. etc.) ; 2° Dans le cas d' hystérie monosymptomatique (monoplégie, mutisme hystérique
sie, chorèe rythmée, tics, etc.); 30 Contre les manifestations de l' hystérie vulgaire (insomnie, anorexie, dyspepsie, constipa
. (1) ?érillon —De la suggestion hypnotique dans le traitement de l' hystérie , 11 pages in-8° Paris 1890 et Compte-rrndus de l'
isparition des symptômes qui avaient permis de porter le diagnostic d' hystérie . Parmi les observations que nous avons recuelli
arents sont bien portants. Une sœur ni née a eu de grandes attaques d' hystérie . La malade a éprouvé quatre ans auparavant un vio
u'une partie des aliments. Elle a eu a divers reprises des attaques d' hystérie : l'aura est caractérisée par la sensation d'une
c'est sur leur conseil que la suggestion a été appliquée. OBS, VI. — Hystérie et syringomyélie Mlle Sch.... âgée de 24 ans. b
rante-;in ans. La malade à eu depuis l'âge de treize ans des crises d' hystérie qui n'ont cessé qu'au moment de La première appar
ue de ce procédé, dans le traitement des diverses manifestations de l' hystérie . Chorêe. — Dans la même période, nous avons tra
n'amène pas une amélioration ou une guérison aussi rapide uue dans l' hystérie . Pour arriver â la guérison, un certain nombre de
it avoir d'action que contre les troubles mentaux qui relevaient de l' hystérie . Si la constatation de manifestations hystériques
loyées contre des troubles mentaux qui n'avaient aucun rapport avec l' hystérie . Chez quatre malades atteints de lypémanie anxi
aura bien soin d'être vue au milieu de 1 Taguet, Du suicide dans l' hystérie '(Annales médico-psychologiques, mai 1877). 2Le
pportant autant à l'histoire de l'aliénation mentale qu'à celle de l' hystérie . M. Taguet, par exemple, rapporte trois observati
t être hystériques mais qui avaient certainement autre chose que de l' hystérie pure puisque sur les certificats d'entrée de ces
sécutif. » Il est de toute évidence que si on établit l'histoire de l' hystérie sur de pareilles observations, on y fera entrer t
nt il n'y a pas à tenir compte si on vent ne considérer que les cas d' hystérie pure. Les femmes ont tenté de se donner la mort p
es tentatives d'hypnotisme faites chez des malades atteints de grande hystérie ont provoqué des attaques convulsives. Je ne croi
us d'efficacité que les autres traitements dans les cas très graves d' hystérie . Dans le cas de syringomyélie où M. Bérillon a
sie, je serais porté à croire que ce symp tôme reléverait plutôt de l' hystérie . Quant a la chorée, on sait que cette affection a
inion de M. le professeur Merzejevski cro*is que c'est dans la grande hystérie que la suggestion trouve une de ses principales i
ions. A mon avis, el'e constitue contre les attaques convulsives de l' hystérie un traitement d'une efficacité presque souveraine
'hypno-tisation. mais la peur de l'hypnotisme qui engendre la crise d' hystérie . On pourrait de même provoquer une attaque d'hyst
ndre la crise d'hystérie. On pourrait de même provoquer une attaque d' hystérie par l'électrisation, mais il serait injuste de di
service d'hôpital. Loin de provoquer le développement des crises d' hystérie , l'hypnotisme eu mêne la disparition complète et
omme un fait d'une rareté exceptionnelle que d'assister à une crise d' hystérie . Les médecins qui suivent assidûment notre cliniq
où un nombre relativement considérable de malades atteints de grande hystérie ont été hypnotisés, peuvent en témoigner. Que l
. Meyner: (1). dit qu'elle appartient au complexus symptomatique de l' hystérie et de l'hypocondrie. Kraepelin ne la mentionne qu
roprement dite, mais de celle qui provient des névroses. telles que l' hystérie et l'hypochondrie. Cependant Morel. le créateur d
s la vraie justice! Nous avons consacré, un chapitre á l'étude de l' hystérie éclairée par la doctrine de la suggestion. Nous a
névropathes seuls, que l'état hypnotique n'est pas un •Symptôme de l' hystérie . Nous avons montré que l'nystérie est souvent l^é
ue la succession des phases qui constituent "-ce qu'on appelle grande hystérie n'offre pas spontanément la régularité que l'écol
issance de la suggestion comme agent thérapeutique ; vous avez vu des hystéries , des contractures d'origine psychique, des paraly
te-t-e Ile un danger quelconque ? On le dit : l'hypnotisme fait de l' hystérie , l'hypnotisme fait de l'aliénation mentale. Mais
sous prétexte de faire changer le caractère. Pour les candidats à l' hystérie .Gilles de la Tourette, de l'école de la Salpétriè
une manifestation de la maladie : c'est augmenter le contingent de l' hystérie ; quant aux hystériques avérés si on parvient à t
ques et l'on jette l'anaiheme à l'inoffensîve suggestion qui guérit l' hystérie .' B&ulier revirement de l'esprit humain ! J
Accusera-t-on la valériane, le bromure, l'hydrothérapie de faire de l' hystérie , de faire de la folie ? Ni M. le Dr Liébeault de
content que le sujet a présenté, au début de la séance, une attaque d' hystérie avec contractures et hallucinations terrifiantes.
fense. Le rapport des experts, malgré leurs constatations de l'état d' hystérie , se termine par les conclusions suivantes : « G
t facilement et profondément hypnotisable un malade atteint de grande hystérie , un dégénéré, un détraqué, en un mot. L'École de
avait échappé jusque-là à Briquet et aux autres historiographes de l' hystérie , c'est que, tait que durait son délire, la malade
gné ces accidents. Les deux (1) J. Voisin.Note sur un cas de grande hystérie chez l'homme avec cdédoublement de là personnalit
- avec de longs développements dans la thèse de M. Berjon : La grande hystérie chez l'homme thèse de doctorat. Bordeaux observ
sente-t-elle un danger quelconque? On le dit : l'hypnotisme fait de l' hystérie , l'hypnotisme fait de l'aliénation mentale. Mais
ue-, et l'on jette l'anathème à l'iniffensive suggestion qui guérit l' hystérie . Singulier revirement de l'esprit humain ' « J'
ccusera-t-on la valériane, lo bromure, l'hydrothérapie, de faire de l' hystérie , de faire de la folie? « La suggestion guérit s
ée dans l'hypnotisme elle a été prise tout d'abord d'une .attaque d' hystérie avec raideur des membres et hallu-cinations visib
otisme est un état pathologique, ne se rencontrant pas en dehors de l' hystérie , et qoi est caractérisé par trois périodes : la c
entent, au point de vue social, de pareils faits. L'hypnotisme et l' hystérie sont-ils toujours associés? en d'autres termes, l
stibles à un très haut degré, et qui ne présentaient aucun symptôme d' hystérie . Je ferai remarquer, en outre, que, si la plupart
sant, les experts avaient constaté qu'elle était atteinte de « petite hystérie » se formulant de temps en temps par des attaques
une c petite hypnotique » qui entre dans le sommeil par une attaque d' hystérie ; rien n'indique qn'elle ait obéi à une suggestion
; au moment de l'échéance fatale, le physique cédera et une attaque d' hystérie se substituera à la volonté de l'hypnotiseur. Car
2e éd. I888). Comme si les hommes ne payaient pas un lourd tribut à l' hystérie Quo M. Bornheim relise donc h ce propos son obser
hef de clinique de M. le prof. Pitres, de Bordeaux, écrit (Note sur l' hystérie mâle. Mercredi médical, 21 janvier 1891, n° 3, p.
alors Evraud s'est Jeté sur Gooffe et l'a élran-glé. » L'attaque d' hystérie terminale, mais c'est là l'enseignement de la Sal
al Le Temps du 29 janvier 1891. Buscai. — La Responsabilité dans l' hystérie . (Ricista sperimentale di freniatria e di medicin
eins, 10,20, 31 mars, 7,10,27 avril et 1er mai 1890.) ?itot(?.).— L' Hystérie mâle dans le service de M. le professeur Pitres,
richt. Juill.) Coste de LAGrave. — De [Auto-suggestion, caute de (l' hystérie . 1er Congrès méd. ment. Rouen, 8 août 1890. Del
u droit pénal. (Revue philosophique, octobre 1888.) Webber. — Cas d' hystérie traités par [hypnotisme. (J. of nerv, diseases, s
ué; 2° Qu'aux points de vue chimique et clinique, l'hypnotisme et l' hystérie ont de nombreux liens de parenté. Ce travail es
00 pour les (mis ¦Irnikrwjnuri Une antre malade, Gén.... atteinte d' hystérie , avec manifestations erotiques et dépravation mor
. Rappelant ces faits dans son étude si remarquable sur la « Grande hystérie >, M. Paul PUcher y ajoutait le commentaire su
ant souffrante tout le long de sa grossesse. Présente des stigmates d' hystérie . Elle a eu trois enfants, dont l'un est mort d'hy
se. Chez elles — ce qui, nous l'avons établi (1), est de règle dans l' hystérie normale — les excréta urinaires rapportées au poi
(1) Voyez Gilles de la Tourette et Catheclineau. La Nutrition dans l' hystérie . — Progrès médical, 1889, 1890.. (2) Deutsch. A
17 ans. ayant eu, après des chagrins de famille, une violente crise d' hystérie , se trouva paralysée du corps entier. La paralysi
que le cerveau, elle déséquilibre le système nerveux, elle réveille l' hystérie latente. Les mots hystérie, hypnotisme, léthargie
ilibre le système nerveux, elle réveille l'hystérie latente. Les mots hystérie , hypnotisme, léthargie, catalepsie, somnambulisme
on. Les autres symptômes hystériques se sont dissipés rapidement. L' hystérie mâle, contrairement à ce qu'on a dit, m'a paru, e
autre que moi s'occupe de ce malade, on provoque chez lui une crise d' hystérie , etc., etc. » Ces observateurs, qui voyaient se
r sauf le rouge, fait, pour le dire eu passant, assez fréquent dans l' hystérie chez la femme, mais assez rare chez l'homme. Elle
femme, mais assez rare chez l'homme. Elle a, en outre, des attaques d' hystérie de temps en temps, mais beaucoup moins fortes et
dès son enfance, elle avait des crises de nerfs (véritables crises d' hystérie ). Ce sommeil apparaît aussitôt qu'elle s'assied
ctions déjà mentionnées. Le tout rappelait un commencement de crise d' hystérie . Peu après elle se met à parler le même langage d
jour un lavement. Il y a trois mois, elle eut une première crise d' hystérie qui dura une demi-heure ; quinze jours plus tard,
rsistantes, tenaces, existant souvent sans autre stigmate classique d' hystérie , peuvent en imposer au médecin non familiarisé av
i de métrorrhagies. Nous avons en vain recherché les stigmates de l' hystérie : jamais d'accidents conv'ulsifs, de sensation de
me en 1892; 3° Questions mises à l'étude : ?. « Des rapports de l' hystérie avec l'hypnotisme. » ?. « Les suggestions crimi
naux (un cas d'), par P. Sérieux, 331, 337. Auto-suggestion cause d' hystérie (de 1'), 90. Blépharospasme hystérique, traité
à la). 193-Criminalité comparée (la), par G. Tarde, 277. Crises d' hystérie (les), 26. Délire chronique à évolution systéma
Bernheim, 161,218. Hypnotisme et suggestion, par Déjé-rine, 225. Hystérie provoquée par une maladie aiguë [leçons sur deux
par une maladie aiguë [leçons sur deux cas d'), par J. Grasset, 82. Hystérie , traitée par suggestion, 103. Illusion de la ma
hypnotiques (les variations de la), par A- Pitres, 175, 196. Petite hystérie , traitée par suggestion. par Journée, 18. Philo
21 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rganiques·duFCerveau, les 1 intoxications, surtout l'épilepsie et l' hystérie , l'auteur. conclut, enrr se basant à la fois su
deux ans dans un état de somnambulisme,' terminé par des attaques d' hystérie . Le souvenir de la fugue et de la journée précé
iels de - la fugue morbides dans la folie, dans l'épilepsie, dans l' hystérie ; dans la neurasthénie, s .1 1 ? ,d I .'. -1p a'
sion, des personnages présentaient des signes incontestables de l' hystérie . L'antiquité 'ne' leur a pas fourni des matériaux
questions sui- vantes : 1° Pathologie mentale : Des rapports de l' hystérie et de la folie. Rapporteur : M. Gilbert Ballet,
ue spinale, ni de céphalée. Aucun trouble vaso-moteur. Aucun igne d' hystérie . Foie et rate normaux. Examen du sang. ,- Plasm
; rien de particulier du côté des autres organes. Aucun stigmate d' hystérie . La malade tout le temps s'est traitée réguliè-
la description des exor- cismes, dans lesquels les crises de grande hystérie qui s'y produisirent, ne présentèrent aucune di
portance et d'une émotion morale (perte de sa fortune), fut prise d' hystérie avec contractures de divers membres. Le trait
gt minutes. Les excitations fortes engendrent de grandes attaques d' hystérie , mais on les suspend en frottant légè- rement l
core mis à profit l'incomparable champ d'exploitation qu'a fourni l' hystérie , à ce moment enfin où toute cette mine si riche
plupart de ces observations sembleraient devoir être rapportées à l' hystérie . C'est l'opinion plus ou moins explicitement ex
'elles se manifestent d'or- dinaire dans certaines névroses, dans l' hystérie . Ce qu'on peut dire, c'est que, d'une façon gén
.,Sollier ? appliquant des idées générales de M.; Paul JaneL1 sur l' hystérie , que certaines amnésies, et notamment les traum
smes et à leurs résultats notoires au point de vue de la thèse de l' hystérie convulsive et délirante. « Comme j'en ay desj
magine que si la mort l'avait épargné, il aurait lui-même tiré de l' hystérie quelque belle et grande étude de psychologie mo
SOCIÉTÉS SAVANTES. 219 naire de ces multiples syndromes qui sont l' hystérie . Qui donc a démontré qu'en nombre de cas la mal
'OLII : . - w i' - .M. Gilbert Ballet (de Paris), rapporteur. « L' hystérie , a dit Esquirol, dégénère et passe souvent à la
e où les notions régnantes sur les symptômes et les caractères de l' hystérie man- quaient plus que toutes autres de précisio
ls qu'on les rédigeait encore il y a vingt ans à peine, on y voit l' hystérie fréquem- ment mentionnée bien qu'il nous soit s
parcourir au hasard les services hospitaliers pour s'assurer que l' hystérie n'y est pas moins commune qu'autrefois. On l'y re
arbitrairement classés sous d'autres vocables. Ainsi, tandis que l' hystérie devenait moins commune dans les asiles, elle augm
atique elle vise à devenir noso- logique. Etudier les rapports de l' hystérie et de la folie ne saurait plus consister à énum
terminer au préalable ce que l'on doit entendre par ces deux termes hystérie et folie, l'un s'appliquant à une maladie psych
qui, tout constant qu'il soit, ne parait pas absolument spécial à l' hystérie , ne nous fournissent, à proprement parler, l'él
finition, au moins d'une définition rigoureuse. Est-ce à dire que l' hystérie ne constitue pas une espèce morbide nettement d
ue, suffit déjà sinon à circonscrire avec précision le domaine de l' hystérie , du moins à nous montrer les principaux des tro
n accusent l'étroite parenté. Si l'on est embarrassé pour dire où l' hystérie commence et où elle finit, on ne l'est pas pour
s en relief le rôle de Vidée dans la genèse des manifestations de l' hystérie , mais c'était un progrès insufflant. Il restait à
aujourd'hui avéré et établi que le trouble mental élémentaire de l' hystérie , celui auquel tous les autres.sont subordonnés,
est singulière- , ment réduit. Mais il n'en est pas de même dans l' hystérie . "" Chez les personnes affectées de'cette malad
utomatiques dont le rôle est si important dans la pa- thologie de l' hystérie . A vrai dire, chez l'hystérique deux per- sonna
atique, nous donne la clef de la plupart des accidents mentaux de l' hystérie . Qu'on ait affaire à un spasme, à une idée fixe
nous abusons, l'état actuel de nos connaissances sur la nature de l' hystérie . C'est à la lumière de ces notions cliniques ou
oubles mentaux complexes qu'on a, à tort ou à raison, rattachés à l' hystérie , ceux qui relèvent véritablement de cette névro
de ces associations, c'est que les maladies qui se juxtaposent à l' hystérie ont, comme l'hystérie, pour facteur étiologique
c'est que les maladies qui se juxtaposent à l'hystérie ont, comme l' hystérie , pour facteur étiologique principal, la pré- di
élire transitoires ou durables. ' Or, c'est chose commune de voir l' hystérie se développer sur un fond de dégénérescence. D'
x. Néanmoins il y a des différences, et si la dégé- nérescence et l' hystérie constituent deux états très voisins, ils n'en s
ente afin de nous rendre compte des rap- ports qui existent entre l' hystérie et la folie. Les auteurs anciens attribuaient à
entre l'hystérie et la folie. Les auteurs anciens attribuaient à l' hystérie toutes sortes de per- versions (mensonge, dupli
ligé de faire la dis- tinction entre les troubles qui relèvent de l' hystérie et ceux qui dépendent de la dégénérescence ment
matiques. Mais à côté de ces troubles qui relèvent directement de l' hystérie , il en est d'autres qui dépendent de la dégénér
ourt les observations sur lesquelles il s'est appuyé, on voit que l' hystérie est à l'arrière-plan et la dégénéres- cence men
l'on a attribuées aux hystériques n'appartiennent pas toujours à l' hystérie , mais souvent à la dégé- nérescence mentale. Il
it attribuer à la dégénérescence et celles qu'il faut rattacher à l' hystérie . Ces considérations sur l'état des hystériques
ques montrent qu'on avait été trop loin quand on a voulu faire de l' hystérie une folie. La r réhabilitation des hystériques
e de déviations qui expliquent la tendance qu'on a eue à faire de l' hystérie une folie. On trouve d'ailleurs dans l'attaque
aire de l'hystérie une folie. On trouve d'ailleurs dans l'attaque d' hystérie des troubles délirants qui appartiennent exclus
hystérie des troubles délirants qui appartiennent exclusivement à l' hystérie et qu'il convient d'étudier pour arriver à fixe
ent d'étudier pour arriver à fixer les rapports de la folie et de l' hystérie . SOCIÉTÉS SAVANTES. 225 C'est dans la grande
res simulant des délires d'autre nature. Le délire de l'attaque d' hystérie est généralement passager; il supprime ce qui r
écessaire de rappeler brièvement ce que sont les idées fixes dans l' hystérie . Nous avons , montré que les divers phénomènes
usqu'à la conscience (et les idées de ce genre sont communes dans l' hystérie ), elle constituera une idée subconsciente, c'es
n finir avec les troubles mentaux qui ressor- tissent en propre à l' hystérie , il convient de dire quelques mots du somnambul
n tend de jour en jour à l'envisager comme une mani- festation de l' hystérie ; mais comme il est assez spécial et n'a été SO
, qu'ils soient provoqués ou spontanés, paraissent se rattacher à l' hystérie . Pour l'établir il est nécessaire d'envisager l
lements de la personnalité ? Nous savons que ce qui caracté- rise l' hystérie c'est l'insuffisance de la perception personnelle
la caractéristique de certains états mentaux observés au cours de l' hystérie et s'expliquer les dissociations de la personnali
tériques, à côté des troubles mentaux qui relèvent directement de l' hystérie , il n'est pas rare d'en observer d'autres qui n
part sur le rôle important que joue l'hérédité dans la genèse de l' hystérie et, d'autre part, sur l'association fréquente a
t pas une seule des formes de la folie qui ne puisse s'associer à l' hystérie . Parmi ces associa- tions, il en est quelques-u
us ne ferons qu'indiquer. On sait combien il est fréquent de voir l' hystérie se juxtaposer à l'épilepsie *. On sait d'autre
ons mentales avec celles de cette dernière affection. Au cours de l' hystérie , on peut voir se développer des accès de manie
oit quelquefois la mé- lancolie franche se développer sur un fond d' hystérie . Suivant Schùle,la ! He<a : HCoMeA ! /6<ë
uter aurait tout aussi bien pu se poser ainsi : c Des rapports de l' hystérie .et de la dégénérescence mentale. » M. Ballet,
'est qu'en effet il est très fréquent d'observer l'association de l' hystérie et des nombreuses formes de la dégénérescence men
nombreuses formes de la dégénérescence mentale. On peut dire que l' hystérie se développe habituellement sur un terrain dégé
terrain dégénéré. On peut même aller plus loin et se demander si l' hystérie n'est pas une des modalités de la dégénérescence.
SOCIÉTÉS SAVANTES. Tout d'abord il est certain que les limites de l' hystérie sont dif- ficiles à préciser et les états qui l
rescence. La coexistence de ces accidents de dégénérescence et de l' hystérie ne prouve pas que cette dernière soit elle-même
ut au plus une présomption en faveur de la nature dégénérative de l' hystérie . Un motif d'une plus grande valeur se trouve da
eur se trouve dans ce fait que les syndromes de dégénérescence et l' hystérie ont tous pour facteur étiologique principal la
à l'état latent. Et dire que le facteur étiologique principal de l' hystérie est la prédisposi- tion héréditaire, cela revie
érie est la prédisposi- tion héréditaire, cela revient à dire que l' hystérie est une des mo- dalités de la dégénérescence.
s mo- dalités de la dégénérescence. En résumé on peut dire : 1° l' hystérie et les manifestations indis- cutables de la dég
nce mentale se rencontrent fréquem- ment chez le même malade ; 2° l' hystérie et la dégénérescence mentale ont le même facteu
entale ont le même facteur étiologique principal : l'hérédité; 3° l' hystérie et les principales manifestations de la dégénéres
tous ces phé- nomènes comme étant de même nature et conclure que l' hystérie SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 est une des nombreuses
breusesmodalités de la dégénérescence mentale. Cela n'empêche pas l' hystérie d'avoir son individualité clinique, mais cela l
résente l'ensemble symptomatique de la sclérose latérale. De même l' hystérie doit être séparée des autres formes de la dégéné-
rations me permettent de poser les conclusions sui- vantes : 1° L' hystérie est une des formes de la dégénérescence mentale ;
une des formes de la dégénérescence mentale ; 2" Sur ses confins, l' hystérie se confond avec certaines manifes- tations dégé
es une limite précise ; 3° Il y a lieu en clinique de conserver à l' hystérie son individua- lité et de la distinguer autant
accidents qui se rattachent ou dérivent directement de l'attaque d' hystérie complète ou fruste ou d'une autre manifes- tati
pathogénie et le traitement de certains acci- dents psychiques de l' hystérie . Voici le fait : Louise Cr., âgée de trente-sep
rta bientôt vivant. Trois jours après elle eut une grande attaque d' hystérie convul- sive suivie d'une scène de délire bruya
et parfois le souvenir de la scène déterminait une grande attaque d' hystérie suivie d'un délire tou- jours identique dans le
ersions, moins communes qu'on ne l'a dit, n'ap- partiennent pas à l' hystérie , elles relèvent de la dégénérescence qui coexis
s alors qu'elle avait été précédemment dans un autre service pour hystérie . Voilà un fait qui, ce me semble, ne peut laiss
é des hystériques existe. Mais cette perversité appartient-elle à l' hystérie ou relève-t-elle de la dégénérescence ? C'est c
llet en admettant que la dégénérescence coexiste fréquemment avec l' hystérie . Il est possible que l'idée de M. Ballet répond
ement chez les dégéné- rés simples qui ne montrent aucun stigmate d' hystérie . Gela est vrai, mais ce qui est plus vrai encor
n'hésiterais pas, non à affirmer, mais tout au moins à soupçonner l' hystérie . On peut donc soutenir qu'il y a une perversité
enir qu'il y a une perversité fréquente et sou- vent typique dans l' hystérie et que cette perversité dépend ou de l'hystérie
vent typique dans l'hystérie et que cette perversité dépend ou de l' hystérie elle-même ou du caractère spécial que l'hystérie
ité dépend ou de l'hystérie elle-même ou du caractère spécial que l' hystérie imprime à la dégénérescence concomitante. 234
caractéristique des intoxications et que, par ce côté-là, encore, l' hystérie peut être considérée comme une intoxication ainsi
normal, qui paraissent ne jamais se perdre, pour ainsi dire, dans l' hystérie . M. FALMT. Je ne veux discuter du rapport de M.
qu'il y soit arrivé. Les caractères généraux qu'on a attribués à l' hystérie sont basés sur des recherches cliniques; ils so
une étude clinique attentive et prolongée per- met d'affirmer que l' hystérie imprime à la maladie mentale un cachet particul
ent; les rechutes sont moins marquées. En somme, on peut dire que l' hystérie aggrave le pronostic des manies et leur donne u
erver des cas semblables. M. Gilbert Ballet. M. Joffroy pense que l' hystérie , est une maladie de dégénérescence. Il ne voit
e dégénérescence; autrement il sera impossible de s'entendre. Que l' hystérie et la dégénérescence soient deux états voisins, d
pas possible de faire autrement quand on traite d'un sujet comme l' hystérie . La séance est levée. - Le soir, M. Lécuellé, m
IDENCE DE M. PIEI1RET. SUITE DE LA DISCUSSION SUR LES RAPPORTS DE L' HYSTÉRIE ET DE LA FOLIE. M. Mendelsohn (de Moscou) pre
vulsifs moteurs. M. JOFFROY. M. Ballet ne veut pas admettre que l' hystérie ne soit qu'une modalité de la dégénérescence; l
ttre que l'hystérie ne soit qu'une modalité de la dégénérescence; l' hystérie , selon lui, peut exister chez des sujets indemn
nviction. Personne ne conteste aujourd'hui que certaines attaques d' hystérie ne puissent être remplacées par des crises de m
rticulier de débilité mentale, qui peut coïncider pour- tant dans l' hystérie avec un certain brillant de l'intelligence, se
nsidérations analogues s'appliquent aux délires systé- matisés de l' hystérie , délires en général assez courts et de dia- gno
x, que les religieuses ursulines parcoururent la gamme entière de l' hystérie depuis la forme la plus atté- nuée jusqu'à la p
te Joly avait aussi des visions terrifiantes, caractéristiques de l' hystérie , quand elle affirmait voir des lions, des bêtes
ent défaut ; il se pourrait aussi qu'en raison de leur intensité, l' hystérie des ursulines ait été compliquée de nymphomanie
ceptibilité'différentielle est plus troublée que l'acuité visuelle ( hystérie ). On voit par là toute l'importance du symptôme
e de relation pour la diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l' hystérie et dans le tabes. Contribution A l'étude HIST
e de la paralysie générale avec des symptômes de névroses diverses ( hystérie , neurasthénie, maladie de Basedow) ; il semble
trophiques de l'enfance, maladie de Basedow, hypnotisme, épilepsie, hystérie . Mettant à profit l'élément nouveau apporté par
INGVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie , l'idiotie et l'hydrocéphalie. Compte rendu du se
I. Novembre 1894. ? 93 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE . - CONFUSION MENTALE ET AMNÉSIE CONTINUE. ANEST
le présente de la façon la plus nette les stigmates classiques de l' hystérie . Les troubles de la sensibilité sensitivo-senso
. Notre malade semble d'ailleurs parfaitement indifférente à tout HYSTÉRIE . EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 355 et vit dans une s
quer, comme nous le verrons plus tard, qu'elle présente le phéno- HYSTÉRIE . EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 357 mène connu sous l
ns présentes, elle s'assimile également les images des souvenirs. HYSTÉRIE . EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 359 Aussi, M... racon
plus souvent la fixation d'un objet brillant, l'on arrive en cinq HYSTÉRIE . EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 361 minutes à provoqu
brèves. La présence constante de cette idée fixe, même pendant la HYSTÉRIE . EXPÉRIENCE DE STRUMPELL. 363 veille, à l'état
une anesthésie essentielle, sine maiei-ia, comme cela a lieu dans l' hystérie anesthésique. La constatation de ce signe perme
troubles unilatéraux DE la vision centrale ET leurs rapports avec l' hystérie ; par M. UNIES. (Neurolog. Cen- tralbl., 1893.)
nervation des vais- seaux du cerveau. Tout indique d'ailleurs que l' hystérie est elle- même due à cette pathogénie (innervat
progressive dont le pronostic est favorable, ce qui n'empêche que l' hystérie ne puisse être indépendante et que la périencépha
'épilepsie caractérisé en plein sommeil, ce qui n'a pas lieu dans l' hystérie . M. ScHOENTHAL rappelle que les observations de
sibilité morale, la terreur des hystériques. La terreur joue dans l' hystérie un rôle pathogénétique important et c'est un sy
à l'angoisse sont tout à fait les mêmes que ceux qui distinguent l' hystérie de la neurasthénie : telles la paraplégie (la t
es ob- serve en dehors de la folie proprement dite : l'épilepsie, l' hystérie , la neurasthénie. L'auteur établit nettement le
, 1894. Librairie Bergmann. , Grasset. Etiologie infectieuse de l' hystérie . Leçons recueillies et publiées par Galavielle.
aits, déjà anciens, laissent un doute dans l'es- prit. Assurément l' hystérie y est indubitable, mais il faut avouer que la n
es observations de polyurie ner- veuse, sine materia, relèvent de l' hystérie , et que l'origine de la polyurie hystérique doi
mant chez la mère, la goutte chez le grand-père et chez un oncle, l' hystérie convul- sive chez une tante. Du côté paternel,
analysait bien les faits de ce genre, on retrouverait fréquemment l' hystérie comme intermédiaire entre le traumatisme et la
demander si leur origine n'est pas hystérique, d'autant plus que l' hystérie mâle et l'hystérie traumatique sont restées méc
rigine n'est pas hystérique, d'autant plus que l'hystérie mâle et l' hystérie traumatique sont restées méconnues jus- qu'à ce
IQUE MENTALE. à faire connaître la polyurie dite essentielle, met l' hystérie en bonne place étiologique. Ainsi, dans sa thès
roidissements, aux maladies aiguës, relèvent vraisemblablement de l' hystérie . Mais ici encore, plus que ci-dessus, les bases
, l'alcoolisme, les traumatismes. Dans l'ignorance où on était de l' hystérie mâle, on n'en re- cherchait pas les stigmates c
e n'indique dans l'enfance qu'un état névropathique précurseur de l' hystérie , mais sans aucune influence directe sur la prod
nt de la névrose et qu'il a joué le rôle d'agent provocateur de l' hystérie . » Nous pensons, au contraire, que l'incontinen
, en effet, l'origine psychique des manifesta- tions urinaires de l' hystérie n'a pas été explicitement démon- trée. Il est v
e quelques difficultés. Raison de plus pour ouvrir le chapitre de l' hystérie waso-motrice, au point de vue du méca- nisme ps
reins. Certains exemples de troubles vaso-moteurs localisés dans l' hystérie , provoqués par une idée, sont indiscutables. L'
héréditaire, par TABLE DES MATIÈRES. 535 Pain, 146; rapports de l' hystérie et de la -, par Gilbert Ballet, 219; la de Ch
r Dalley, 518. Hypothermie chez les aliénés, par Bouchard, 135. Hystérie , rapport de l' et de la folie, par G. Ballet, 2
22 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
Louvain, le 26 mai 189. COURS ET CONFÉRENCES L'hypnotisme et l' hystérie , par M. le Dr Babinski, médecin des hôpitaux. M
suite d'un grand nombre d'observations, entre les phases de la grande hystérie et les périodes du grand hypnotisme, est bien rée
s étant survenus spontanément chez ces malades à la suite de crises d' hystérie , on ne saurait, a déclaré M. Babinski, admettre q
inski est convaincu que son adversaire s'est trouvé en présence d'une hystérie méconnue. Les sujets hypnotisés à Nancy ne seraie
e suffisant de ce fait, mis en lumière par M. Charcot, à savoir que l' hystérie peut revêtir tous les caractères des affections o
tous le» symptômes, en un mot, qui dominent le tableau clinique de l' hystérie . Or, la suggestion, à elle-seule. serait impuissa
de ces symptômes physiques. Elle a agi comme un agent révélateur de l' hystérie . Après la leçon de M. Babinski, M. Charcot, pre
de l'hypnotisme. Là où les auteurs de Nancy n'ont ni vu ni constaté l' hystérie , leurs propres observations, quand on les examine
isme on 1802; 3° Questions mises à l'étude : a. « Des rapports de l' hystérie avec l'hypnotisme. > b. « Les suggestions cr
l'Institut hydrothérapique de Saint-Didier (Vaucluse). 1er fascicule ( Hystérie , Neurasthénie), ln-8°, 95 pages. — Octave Doin, 8
doyen de la Faculté de médecine de Bordeaux. — Leçons cliniques sur l' Hystérie et l'Hypnotisme faites ù l'hôpital Saint-André de
t plus intéressant qu'il concerne une dame exemple de tout symptôme d' hystérie . Voici l'histoire rapide des prodromes de l'aff
sur la première question mise à l'ordre du Jour : Des rapports de l' hystérie avec l'hypnotisme. M. Bermikim. — On a affirmé
vec l'hypnotisme. M. Bermikim. — On a affirmé que l'hypnotisme et l' hystérie étaient de même nature, qu'on ne pouvait hypnotis
s fait le diagnostic ; l'hypnose, dans ces conditions, serait comme l' hystérie , une névrose, une maladie véritable. Les malades
de ce fait, placés dans un état pathologique comparable à ta crise d' hystérie . Cette manière de voir me parait erronée, et j'
a été déjà démontré par Braid, que l'hypnose n'a aucun rapport avec l' hystérie . Tout récemment encore, avant de venir ici, j'a
ine n'est composée que d'hystériques. Mais ce n est pas tout : si l' hystérie et l'hypnose étaient la même chose, les phénomè
e s'obtiendraient d'autant plus facilement qu'on aurait affaire a des hystéries plus prononcées et a des malades nerveux. Eb bien
mmeil hypnotique. Dira-t-ou pour cela que le sommeil naturel est de l' hystérie ? Évidemment non, et nous en revenons toujours a c
sidération que, si l'on admet avec nos adversaires que l'hypnose et l' hystérie constituent un seul et même état, il faut admettr
i dît, je reconnais parfaitement qu'il y a un lien de parenté entre l' hystérie et l'hypnose. L'hystérique est un auto-hypnolisé,
s'auto-sugges-lionner lui-même, et un grand nombre des symptômes de l' hystérie ont toutes les allures des phénomènes d'auto-sugg
moin de faits de ce genre. Un grand nombre d'autres phénomènes de l' hystérie se comportent comme des phénomènes d'auto-suggest
en commençant, cela ne veut dire nullement que l'hypnotisme soit de l' hystérie . M. Babinski. — D'après ce que il. Bernheim vie
-pèlrière. 11 reconnaît, en effet, que bien des manifestations de l' hystérie (anasthé-sies, amauroscs, etc.), se rapprochent (
je dirais, moi, sont identiques) de celles qu'on peut observer dans l' hystérie . 11 maintient pourtant que l'hypnotisme n'a aucun
ie. 11 maintient pourtant que l'hypnotisme n'a aucune relation avec l' hystérie et que c'est uu état physiologique. Contraireme
a Sal pétri ère, je soutiens qu'il existe une relation intime entre l' hystérie et l'hypnotisme L'hystérie est beaucoup plus vast
s qu'il existe une relation intime entre l'hystérie et l'hypnotisme L' hystérie est beaucoup plus vaste que ne le pense M. Bernhe
une raison pour rejeter la réalité de cet eut qui peut être latent. L' hystérie , en effet, occupe un champ plus étendu que ne le
un champ plus étendu que ne le croit M. Bernheim ; c'est ainsi que l' hystérie de l'homme, qu'il considère comme exceptionnelle,
le, est au contraire très fréquente, plus fréquente peut être que l' hystérie de la femme. Dans ces conditions, au lieu d'invoq
et de voir s'ils présentent des analogies avec ceux qui relèvent de l' hystérie . Or, 1° les anathésies, les paralysies flasques
ls constituent d'autre part les manifestations les plus communes de l' hystérie . M. Bernheim vient précisément de reconnaître e
pendant le sommeil naturel, qui n'a certainement rien à faire avec l' hystérie , on peut produire des effets suggestifs analogues
libililé, caractère fondamental de l'hypnotisme, appartient aussi à l' hystérie , et du reste M. Bernheim vient de le reconnaître
s'exerce d'une façon prédominante sur les troubles qui relèvent de l' hystérie ; 6° Il peut exister entre l'hypnotisme et les
lui qu'on peut observer entre les divers accidents qui dépendent de l' hystérie ; 7° On voit parfois des attaques hypnotiques s
, ne donne de'résultals sérieux que dans les affections relevant de l' hystérie . C'est l'une des preuves que je viens de donner d
es que je viens de donner des relations qui unissent l'hypnotisme à l' hystérie . M. Bernheim conteste l'exactitude de cet argum
que, contrairement â l'opinion de M. Bernheim, pour un grand nombre l' hystérie est manifestement en cause, et que dans beaucou
tres, tien ne démontre qu'il s'agisse d'affections indépendantes de l' hystérie . Pour toutes les raisons que je viens de résume
je viens de résumer, je crois que les relations intimes qui relient l' hystérie à l'hypnotisme sont absolument indéniables. M.
es du système nerveux. Si on veut donner a tous ces troubles le nom d' hystérie , si on veut admettre que toute modalité nerveuse
admettre que toute modalité nerveuse anormale sans lésion constitue l' hystérie , alors nous sommes tous hystériques à nos heures
tion de définition ! M. Bkrillon. — Ce qui tendrait à prouver que l' hystérie n'a pas de rapport avec l'hypnotisme, c'est que l
z l'adulte. De ces faits on pourrait déduire que les rapports entre l' hystérie et l'hypnotisme, s'ils existent, n'ont rien d'étr
, les résultats les plus favorables, sont : les crises, convulsions d' hystérie , les chorees anormales, les tendances impulsives
importantes, à savoir s'il y a quelque affinité entre l'hypnose et l' hystérie où d'autres affections névropathiques ou psychopa
u'on appelle un peu nerveuses, mais elles n'accusent aucun symptôme d' hystérie . Au mois de septembre 1890, M. D... me consulta
es étaient absolument inconnues, n'accusait pas le moindre svmptômc d' hystérie cl toutes les affections nerveuses lui sont tout
comme dans le sommeil provoqué. Dira-t-on que le sommeil, c'est de l' hystérie ou de l'aliénation mentale ? Les rêves du sommeil
ÇUS A LA REVUE Babinski (J.), médecln des bùpilaux. — Hypnotisms et hystérie ; du rôle de l'hypnotisme en Thérarapeutique. (Bro
analogue, mais j'ai hute de passer à un autre genre d'affection que l' hystérie . J'ai pour voisin de campagne un sieur J...t âg
e dans un nombre restreint de cas, qui appartiennent tous à la grande hystérie , cl que c'est dans ces seuls cas rares que l'on c
s, quelle innombrable série d autres cas, qui appartiennent aussi à l' hystérie , môme la plus grave, ainsi qu'à d'autres névropat
épendamment de toute influence suggestive dans certains cas de grande hystérie , nous ne pouvons également admettre qu'ils soient
s encore la fréquence avec laquelle on rencontre aussi dans la grande hystérie les manifestations hypnotiques seulement sous la
unique, caractéristique de l'état hypnotique, surtout dans la grande hystérie , qui esl l'excitabilité réflexe exagérée, dont le
cataleptiques de l'hypnotisme. Magnin relate plusieurs cas de grande hystérie , où l'on vérifiait, a l'état de veille, une hyper
ures : la léthargique et la somnambulique; et, de mémo dans les cas d' hystérie chez un homme (5). Il y a plus encore : Charcot n
lconque, et seulement dans un nombre assez restreint de cas de grande hystérie , s'ils ne sont pas de nature à justifier la divis
les vérifie seulement dans un nombre très restreint de cas de grande hystérie , dans la plupart desquels on les rencontre aussi
iennent pas à l'hypnotisme, mais ils préexistent et appartiennent à l' hystérie , comme autant de stigmates hystériques. Et que, s
se vérifier dans l'hypnose, pour le moins dans tous les cas de grande hystérie ; mais il n'en est rien. A l'exception de cas peu
e; mais il n'en est rien. A l'exception de cas peu nombreux de grande hystérie , on ne les obtient pas, ou, si l'on parvient â le
ment et fidèlement dans tous leurs traits leurs attaques spontanées d' hystérie antérieures. Tous ces faits dous prouvent donc
e fait que reproduire nettement et uniquement les manifestations de l' hystérie . De même les phénomènes somaliques. surtout ITryp
reparaissent dans l'hypnotisme uniquement manifestations propres de l' hystérie et nullement de l'hypnotisme, c'est-à-dire comme
éflexe augmentée, qui constitue la condition propre, essentielle de l' hystérie dans ses formes les plus graves. Mais pourquoi,
entes (1). Pour nous donc l'hypnotisme, dans les cas même de grande hystérie , no constitue jamais une névrose par elle-même (c
ans ces cas, que mettre en évidence des phénomènes pathologiques de l' hystérie , qui se réduisent tous dans les manifestations de
rique. Chez les individus qui ne présentent pas les phénomènes de l' hystérie , ni en action, ni à l'état latent, et. d'autant p
l'infini selon les sujets, c'est-à-dire selon qu'il s'agit de grande hystérie ou des formes variées et frustes d'hystérie, acco
on qu'il s'agit de grande hystérie ou des formes variées et frustes d' hystérie , accompagnées de leurs innombrables manifestation
e l'on va des formes les plus légères aux formes les plus graves de l' hystérie , le cadre des phénomènes hypnotiques se complique
superposer. Cette conception explique les rapports intimes entre l' hystérie et l'hypnotisme, rapports qui ont déjà été reconn
ystériques comme sur le terrain le plus adapté à cela. En effet, si l' hystérie peut offrir dans plusieurs cas une condition favo
es effets physiologiques nets de Chypnotisme pur et simple, puisque l' hystérie , en y mêlant ses propres phénomènes pathologiques
ctéristiques de l'hypnotisme, mais qu'ils appartiennent seulement à l' hystérie , dont ils représentent, quoique rares, autant d
Pitres, dans son dernier ouvrage si complet : Leçons cliniques sur l' Hystérie et l'Hypnotisme, tombe dans l'erreur commune de d
ne me trompe, que le diabète hydrurique peut relever directement de l' hystérie et constituer un des syndromes de cette névrose.
r, cela ne suffit pas, car la simple eoïneidence, chez un sujet, de l' hystérie et de perturbations de toute nature, est chose ex
trêmement fréquente. Pour affirmer qu'un syndrome est tributaire de l' hystérie , il est indispensable do constater, soit dans son
r qu'il existe dans ce cas une étroite parenté entre la polvurie et l' hystérie ; ce syndrome a été influencé par la suggestion à
autorisé à affirmer que la polyurie peut étro une manifestation de l' hystérie . Cette donnée me parait avoir, non seulement un
urique, se rappeler que ce syndrome peut être sous la dépendance de l' hystérie et qu'il est alors susceptible d'être modifié et
les phénomènes hystériques peuvent se présenter à l'état d'isolement ( hystérie moaosymptomalique}, on est en droit de supposer q
lle considérer tous les cas de diabète hydrurique comme relevant de l' hystérie , car rien ne permettrait une pareille généralisat
ette observation e*t que la polyurie peut être une manifestation de l' hystérie et qu'alors ello est susceptible de disparaître a
ique, la dépression mentale, la faiblesse ou la perte de l'appétit, l' hystérie chronique, le torticolis, la paraplégie fonctionn
- (Revue de médecine, n° 5, 10 mai 1891.) Charcot. — « Sur un cas d' hystérie simulatrice du syndrome de Weber». (Leçon recueil
urologie, n° 63, mai 1891.) Charcot (J.-M.). — « Leçon sur un cas d' hystérie masculine (Arch. de neurol., 64.) Charles Kraff
t souvent extatique et rêveur. Elle présentait de nombreux signes d' hystérie : douleurs sus et sous-mammaires gauches, dans le
noms. Robert Whyst les a nettement séparés de l'hjpochondrie et de l' hystérie ; c'est l'irritation spinale de Frank, la névralg
14 décembre l->vl. — Présidence de SI. Duvoxtpallifx. (Suite.) Hystérie convalsive; idées de persécution et de suicide; g
-on, elle allait mourir. Elle avait tout simplement une belle crise d' hystérie avec tout son tableau symptomatique : mouvements
rant qu'à l'apparence; il en est ainsi, d'ailleurs, pour les formes d' hystérie qui se traduisent chez les uns par de la paralysi
iologic ni l'allure clinique; il se rapprocherait beaucoup plus, de l' hystérie : les petites crises qu'il a présentées, un tremb
s nécessaire pour diagnostiquer le type morbide qu'elle représente. L' hystérie peut être mono-symptomaiique, elle n'en est pas m
e. L'hystérie peut être mono-symptomaiique, elle n'en est pas moins l' hystérie . 11 ne faut pas nier la neurasthénie parce que
qu'elle ne mange pas. » La malade présente tous les caractères de l' hystérie : impressionnabilité excessive, anesthésie du pha
e par elle, de ses ascendants, aucun fait ne pouvait faire songer à l' hystérie . Tout au plus, avait-elle eu quelque attaque de n
malade. ¦ Nous cherchâmes, sur-le-champ, s'il existait des signes d' hystérie et nous arrivâmes & constater, en un grand no
ante, chercher les altérations du champ visuel. « C'était donc de l' hystérie . La malade fut endormie, mais la suggestion fut i
modifications de la sensibilité générale el spéciale. Mais c'est de l' hystérie fruste pour ainsi dire et elle rentre ainsi dans
omènes hystériques et que des liens intimes unissent l'hypnotisme à l' hystérie . 11 nous a paru que seuls des faits expérimenta
ez grand nombre de malades présentant des manifestations de la grande hystérie , nous avons pensé qu'il pourrait y avoir encore q
e la question de l'hypnotisme. Ces malades sont atteintes de grande hystérie , ainsi que le démontrent leurs observations. Elle
je lui présente les résultais de mes expériences. Observation I. — Hystérie grave. — Anorexie hystérique ; anurie; Itêmia-nes
té à de la viande. Elle présentait en outre des stigmates variés de l' hystérie : de l'anurie, une hémianesthèsie complète de tou
et toutes les muqueuses. Eu résumé, cher un sujet alteint de grande hystérie , très hypnoUsable, la manifestation des phénomène
es autres procédés ayant été impuissants à les produire. Obs. II. — Hystérie grave. — Crises hystéro-épileptiques ; sensation
n'n pas eu d'action sur l'aménorrhée ni sur la coxalgie. Obs. III.— Hystérie grave.— Ciisesprolongccsifhysffrocpitrj>sic ;
e sont apparus qu'après l'intervention de la suggestion. Obs. IV. — Hystérie eonvutsive. — Ilémianesthésie du côté gauche. — G
iale. Elle a été traitée par nous en 1889 pour des grandes attaques d' hystérie , avec perte complète de connaissance et grands mo
nstration clinique des périodes décrites à U Salpétrière. Obs. V. — Hystérie infantile grave. — Crises convulsives à rage de d
roit amaurolîque, a produit la catalepsie du côté droit. Obs. VI. — Hystérie infantile. — Troubles du caractère. — Hallucinati
gnait et qu'on designo souvent encore la maladie nommée aujourd'hui l' hystérie ), ladite femme malade respondit de sa bouche : «
e idée, que la polyurie pouvait être le seul facteur appréciable de l' hystérie ; l'influence si nette de la suggestion dans le ca
iaque. Le phénomène s'observe dans plusieurs maladies menules, dan* l' hystérie , dans le délire de la fièvre et dans le somnambul
uivant. La démoniaque susdite présentait des symptômes manifeste* d' hystérie , comme on en constate dans presque tous les ras d
. par Bellet, 24. Hypnotisme (grand et petit), 154. Hypnotisme et hystérie (l'), par Ba-binski. 23. Hypnotisme expérimenta
-binski. 23. Hypnotisme expérimental chez une sourde-muette, 304. Hystérie avec l'hypnotisme (rapport de l'), par Babinski,
04. Hystérie avec l'hypnotisme (rapport de l'), par Babinski, 50. Hystérie avec l'hypnotisme (rapport de l'), par Bernheim,
50. Hystérie avec l'hypnotisme (rapport de l'), par Bernheim, 47. Hystérie convulsive, guérison par David, de Sigean, 230.
23 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aincu, à tort ou à raison, que l'amnésie est très importante dans l' hystérie , que c'est même un des symptômes cardinaux de c
la Salpêtrière, 1887, p. 297. 1 Gilles de la Tourette. Traité de l' hystérie , 1891, p. 552. 32 CLINIQUE NERVEUSE. j'ai con
iption. Une jeune fille nommée Célestine, très gravement atteinte d' hystérie , était entrée à l'hôpital vers le mois de novem
des somnambulismes spontanés la nuit, puis de grandes attaques d' hystérie . Ce qui nous intéresse aujourd'hui, c'est un ou
taque que M. Charcot considère et à juste titre comme une attaque d' hystérie . Elle sortit de son attaque dans un état mental
ons élémentaires, nous aurons affaire à des démences ou à des cas d' hystérie . Il y a donc intérêt, quand cela est possible,
rès souvent altérées dans toutes les maladies de l'esprit et dans l' hystérie comme dans les autres. Mais leur trouble donne
oici un autre cas plus complexe, Marguerite a de grandes attaques d' hystérie depuis deux ans et, à la suite de ces attaques,
le premier je crois, ce phénomène : Etudes cliniques sur la grande hystérie , 1885, p. 707, mais il l'a constaté sur une fem
arguerite, avait des sortes de délires consécutifs à ses attaques d' hystérie . Avec plus de précision, elle a, à la fin de l'
ce somnambulisme complet de Wit..., voir le travail de Jules Janet, Hystérie et somnambulisme, d'après la théoriede la double
n ne reçoit ni dans un hôpital ordinaire, ni à l'asile d'aliénés, l' hystérie grave, la neurasthénie, la dysthymie par épuise
cle des fous est encore une de leurs craintes. Même embarras pour l' hystérie grave et la grande chorée. Leur admission n'est
libré quelconque un des éléments morbides qui confinent à ceux de l' hystérie ou qui en représentent le stigmate, il y a lieu
la mélancolie sans délire le groupe de neuropsychoses telles que' l' hystérie , l'hypo- chondrie, la neurasthénie, la folie ob
talmoplégie externe, la syringomyélie, la para- lysie diabétique, l' hystérie mâle, le syndrome de Weber, la syphilis cérébra
NEVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie l' hystérie et l'idiotie, compte rendu du service des enfants
exte. - Paris, 1892. Librairie G. Chanon. Grasset. Quelques cas d' hystérie mâle et de neurasthénie. Leçons recueillies par
me migraineux et d'autres, à l'épilepsie sensitive sensorielle, à l' hystérie , au début de la démence paralytique, etc., l'id
peut se rattacher l'amblyopie temporaire sont : la neurasthénie, l' hystérie , l'épilepsie sensitivo-senso- rielle, le tabès
d'amblyopie transitoire, sont des troubles dynami- ques, ceux de l' hystérie en particulier, ou des troubles de significatio
tement en esquissant les rapports de l'amblyopie transitoire avec l' hystérie et avec l'épilepsie sensitivo-sensorielle et la
s seront indiqués de même à propos de l'épilepsie partielle et de l' hystérie accompagnées d'am- blyopie transitoire. Ils son
ènes neurasthéniques. 3. Rapports de l'amblyopie transitoire avec l' hystérie . Pour esquisser ces rapports, je ne saurais mie
ance exacte des rapports qui unissent la mi- graine ophtalmique à l' hystérie date de 1888. A cette époque, M. Charcot présen
, avaient signalé la coïncidence de la migraine ophtalmique et de l' hystérie ; mais, toute interprétation faisait défaut et
Il est rare que, chez le même malade les attaques convulsives de l' hystérie et les attaques d'amblyopie transitoire soient
être pathogno- monique', permettrait de porter un diagnostic sur l' hystérie . Mais, il est certain que, même chez les hystér
de migraine; d'autre part, les données de la chimie clinique sur l' hystérie ne sont pas encore si complètes et si sûres, po
hystériques. Les caractères essen- tiels de l'amblyopie hystérique ( hystérie normale) restent tou- jours le rétrécissement c
modation. Il y a des ob- servations de migraine ophtalmique due à l' hystérie , où l'hé- miopie semblait exister (subjectiveme
atées (Babinski et Finck), de migraine ophtalmique due sûrement à l' hystérie , dans quatre d'entre elles la forme hémiopique
lement. ' Gilles de la Tourette et Ctuitelmeau. La nutrition dans l' hystérie * Paris, 1890. l'amblyopie transitoire. 219
rmer que l'hémiopz'e transitoire de la migraine ophtalmique due à l' hystérie , résulte de l'exagéra- tion temporaire du rétré
u même ordre de troubles dynamiques de l'écorce cérébrale, dont l' hystérie tire sa pathogénie'. Nous ne saurions rattacher
de cas d'amblyopie transitoire (accompagnée ou non de migraine) à l' hystérie , puisque le sujet ne présente pas de stigmates
drôme dont nous nous oc- cupons, ne présente pas les attributs de l' hystérie , tels que la possibilité d'être modifié par des
'amblyopie qui 1 Néanmoins, les crises d'amblyopie transitoire et l' hystérie pourraient coexister, sans avoir de liens étroi
meil hystérique ET DE LEURS rapports avec l'hypnotisme ET la ghande hystérie ; par L. LOE\YEi' : FELD. 19'CIt, f. Psychiat.,
ttaques de sommeil qui com- prennent tous les éléments de la grande hystérie représentent les points ultimes d'une série con
autres maladies mentales, notam- ment dans la paralysie générale, l' hystérie et certaines aliénations complexes, tenant à la
ués. Une certaine partie a pu être rattachée à la neurasthénie, à l' hystérie , à l'épilepsie, à la manie, à la mélancolie, au
UCIIEREAU. M. J. SÉGLAS (de Paris) lit une observation sur un cas d' hystérie avec automatisme dans la période d'aura des att
olisme, etc., et les amnésies fonctionnelles de l'épi- lepsie, de l' hystérie , etc. Chaque cas particulier est étudié aux di-
ue la correction physique était un bon moyen de traitement contre l' hystérie . Ce médecin a sans doute voulu rivaliser avec c
EVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
x : 4 fr. BounNEViLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
UCCI, , de Fivizzano (ltalie). Le diagnostic différentiel entre l' hystérie et les maladies organiques du cerveau constitue
siques ou la compilation des différents écrits de ses élèves sur l' hystérie . On sait bien aujourd'hui que l'hystérie est susc
écrits de ses élèves sur l'hystérie. On sait bien aujourd'hui que l' hystérie est suscep- tible de réaliser la plupart des sy
nous, le diagnostic. Ces observations concernent : a). Quatre cas d' hystérie à forme d'épilepsie par- tielle ; b). Un cas d'
tiennent pas généralement à l'hémiplégie hystérique. Observation I. Hystérie il forme d'épilepsie partielle sensitive. Mme G
ence consommée m'a été très utile dans plusieurs circonstances. L' HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau. 389 ving
ssé. En mai 1890, les grandes attaques disparurent, la santé de l' hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau. 391 Mme
es accès se présentèrent du côté droit, ne touchant pas à la face L' HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau. 393 et à
façon tout à fait distincte et indépendante. Or, l'on sait que l' hystérie peut s'associer à toutes les ma- ladies organiq
r lequel il n'y a pas de doute possible : la maladie organique et l' hystérie évoluent alors chacune pour son compte en garda
sente il est évident que tous les phénomènes étaient imputables à l' hystérie . Il nous paraît intéressant de montrer par quel
e et comme il n'y a dans G... d'autre maladie fonctionnelle que l' hystérie nous devrions logiquement les rattacher à cette
liniques de l'épilepsie partielle. (Revue de Médecine, p. 609.) l' hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau. 395 ilya
être exclus d'une façon absolue. Ils ne peuvent être imputés qu'à l' hystérie et plus particulièrement à cette manifestation
est peut-être à rechercher dans les conditions mentales propres à l' hystérie ; nous ne voulons pas ici faire de la psychologi
ient donné origine. Du reste, l'amnésie est loin d'être rare dans l' hystérie . Au contraire, l'on peut dire qu'elle constitue
une femme, laquelle après une violente émotion morale, présenta une hystérie con- vulsive paifaitement caractérisée et un ou
aite la notion de la langue anglaise, qu'elle parlait sans diffi- l' hystérie ET LES maladies organiques DU cerveau. 397 Î an
ce. Du reste, l'aphasie motrice a été observée d'autres fois dans l' hystérie ; Souza- Leithe en a décrit un cas classique ch
dire la même chose pour la surdité ; elle peut être provoquée par l' hystérie , comme le prouvent les observations de Fulton,
En effet, l'on sait que la cachexie et le marasme peuvent, dans l' hystérie , atteindre leurs dernières limites jusqu'à la mor
té unique l'on 1 Fournier. La syphilis du cerveau, Paris, 1889. L' HYSTÉRIE ET LES maladies organiques DU cerveau. 399 aura
us basant sur des données exceptionnelles; tandis que l'hypothèse d' hystérie est en parfaite harmonie avec tous les phénomèn
nous croyons donc autorisé à maintenir dans ce cas le diagnostic d' hystérie . Cette observation nous démontre combien M. Cha
sociées, elles acquièrent t la valeur d'une idée. Observation II. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice. Cha...,
se pas de résistance lorsque l'on veut le recoucher, il dort pen- L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 403 dant
ation qui existe entre ces ordres de causes etle développement de l' hystérie grave'. ' V. G. Guinon. Les agents provocateurs
de l'hystérie grave'. ' V. G. Guinon. Les agents provocateurs de l' hystérie , Paris, 1889. - Giraudeau. Rél1'écissemellt mit
de l'hystérie, Paris, 1889. - Giraudeau. Rél1'écissemellt mitral et hystérie chez l'homme. (Arch. géu. de méd., nov. 1890.)
HOLOGIE NERVEUSE. ' Nous avons'donc là des causes très puissantes d' hystérie qui ne pouvaient pas manquer de produire leur e
hénomènes sont absents ici, tandis que les stigmates oculaires de l' hystérie sont au grand complet. Or, la diplopie n'est pa
grand complet. Or, la diplopie n'est pas un phénomène rare dans l' hystérie et la parfaite fonctionnalité des muscles de l'oe
est hystérique, comme nous le démontrons par l'examen objectif, L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 407 c'es
, L'HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 407 c'est à l' hystérie qu'il faut attribuer tous ces troubles mo- teur
ce nous savons ce qu'il faut en penser. Elle peut s'observer dans l' hystérie aussi bien que dans les lésions organiques. -
s précéder comme une aura; jamais il n'est permanent, à moins que l' hystérie ne complique l'épilepsie comme il arrive sur 11
évolution et le caractère du rétrécissement que l'on observe dans l' hystérie . Pour ce qui est de l'hémianesthésie, les consi
oire. De plus, elle n'est pas aussi complète et profonde que dans l' hystérie : c'est ce qu'enseigne M. le professeur Charcot
lle épileptique impossible à distinguer de celle qui accom- pagne l' hystérie . Mais nous ferons observer que pour cons- tater
érations qu'il cherche doivent être bien légères, tandis que dans l' hystérie il n'y a pas besoin de procédés délicats ; les
ates très nets de la névrose hystérique confirme notre diagnostic d' hystérie qui était basé sur l'étiologie et sur l'évo- lu
'étiologie et sur l'évo- lution de la maladie. OBSERVATION III. - Hystérie à forme d'épilepsie partielle crurale. Bar...,
un an il n'eut à souffrir aucun trouble digne d'être remarqué. Un L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 411 an a
ment les plus légères grada- Fig. 5 et 6. -Bar... 20 juin 1892. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 413 tion
enu pendant longtemps. Cependant, même pour ce cas, le diagnostic d' hystérie peut être affirmé en se basant sur les argu- me
, cette modalité de l'aura nous paraît bien plus en harmonie avec l' hystérie qu'avec l'épilepsie. En outre de cela, pendant
uée ci-dessus, nous révèle des conditions mentales plus propres à l' hystérie qu'à l'épilepsie : du reste, nous reviendrons s
é- rence parmi les phénomènes, nous parait déposer en faveur de l' hystérie . fin Il est à remarquer que les attaques ont to
complète tactile, à la douleur et thermique à gauche, la perte L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 413 du s
ous croyons autorisé à émet- tre, même pour ce cas, le diagnostic d' hystérie . Pour ce qui est de l'étiologie de ce cas, elle
s de bonnes raisons pour l'affirmer. Il existe, en effet, des cas d' hystérie bien avérée, provoqués par l'éclat de la foudre
figurent parmi les agents provocateurs, pour ainsi dire banals de l' hystérie ? Une deuxième objection pourrait être fournie,
parfaite, pas de troubles de la motilité, ni de la sensibilité. L' hystérie , dans ces cas, saute aux yeux, comme dit M. Char-
t. Ils démontrent non seulement que la fulguration peut provoquer l' hystérie , mais que ses effets immédiats ont eu de l'infl
stiques. 1 Revue médicale française et étrangère, 19 mars 1891. L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Obse
HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 417 Observation IV. Hystérie à forme d'épilepsie partielle motrice simulant
est perçu avec toute la rapidité et la netteté dési- rables. ' L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 419 Sens
t, même dans ce cas, le dia- 420 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. gnostic d' hystérie nous parait le plus rationnel. Il s'appuie prin
onné origine. Tous les deux peuvent se rencontrer aussi bien dans l' hystérie ', que dans les affections organiques,.sans que
tème nerveux, recueillies par le D' G. Guinon. Paris, 1892. . - L' HYSTÉRIE ET LES MALADIES ORGANIQUES DU CERVEAU. 421 nous
s, tous les phénomènes de ces maladies sont absents, il n'y a que l' hystérie qui nous puisse expliquer ces phénomènes. En
qui précédèrent, comme cela arrive souvent, les manifestations de l' hystérie . La cause occasionnelle doit être recherchée da
a une élection toute particulière sur le système nerveux; les cas d' hystérie , d'aliénation mentale. de myélite, de polynévri
s organiques '. ' V. Georges Guinon. - Les agents provocateurs de l' hystérie , Paris, 1889. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE. En p
a dans notre cas a donné leur forme à certaines manifestations de l' hystérie . Nous rappelons, en effet, qu'en outre de la fa
'y substituant, est encore une chose fréquente dans l'histoire de l' hystérie et nous n'y insisterons pas. Ce qu'il importe de
ision), et proprement dans les crises de ces maladies ner-' veuses ( hystérie , épilepsie) auxquelles l'amblyopie transitoire
que nous venons d'indiquer, qui existent entre la neurasthénie, l' hystérie , le tabès, l'épilepsie sensitivo-sensorielle et l
'amblyopie transitoire avec des mala- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie ) où les troubles vaso- moteurs (phénomènes vaso
accompagner d'autres névropathies fonctionnelles (neuras- thénie, hystérie , .épilepsie) ou organiques (tabès, paralysie L'
rendront service, étant employés selon la cause constitutionnelle ( hystérie , neurasthénie, épi- lepsie, dyspepsie, anémie e
48. Gilles de la Tourelle. - Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie . (Vol. 1, Hystérie normale, Paris, 1891.) 49. G
ourelle. - Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie. (Vol. 1, Hystérie normale, Paris, 1891.) 49. Greco. - Dell'emiano
bre 1891.) 52. Fink. Des rapports de la migraine ophtalmique avec l' hystérie . (Th. de Paris, 1891.) 53. Charcot. Sclérose
te très souvent des phénomènes de ce genre pen- dant les attaques d' hystérie . C'est là un fait d'observation dans lequel l'e
isanterie, et, depuis deux ans, elle a, tous les soirs, une crise d' hystérie formidable et passe une heure tes yeux fixés su
ue diabolique, 1886,' p. 81). ? -Gilles de la Tourette. - Traité de l' hystérie , 1891,522. LA SUGGESTION CHEZ LES HYSTÉRIQUES.
Berthe. Celle-ci se rapproche, en effet, du type qui a été appelé l' hystérie mas- culine, mais qui existe aussi chez la femm
sérieuse et utile. Si vous interrogez les parents sur le début de l' hystérie , le récit est toujours le même : on a com- menc
ment et indépendamment l'une de l'autre deux maladies; d'un côté l' hystérie avec ses anesthésies, ses amnésies, ses attaques
question, en général si mal com- prise, celle des rapports entre l' hystérie et la folie du doute. Je me contente de vous li
ade. Mais aujourd'hui, après avoir étudié les nom- breuses formes d' hystérie qui se rencontrent dans ce service, après avoir
térique, comme M"10 D... en est une. Il faut admettre qu'il y a des hystéries monosymptomatiques au moral comme au physique,
e existe dans plusieurs maladies mentales, et en particulier dans l' hystérie dont il forme un symptôme essentiel. Cette abou
ion. M. Charcot nous a appris à étudier 470 0 RECUEIL DE FAITS. l' hystérie en savant, il a toujours voulu mettre de l'ordre
utenu toute sa vie qu'il y a un déterminisme rigoureux, même dans l' hystérie . Si on considère aujourd'hui ces malades à un p
decin-adjoint de l'hôpital de Mustapha. Bien que les observations d' hystérie simulant la sclérose en plaques ne soient pas r
entionnel, est-il besoin de rappeler son existence fréquente dans l' hystérie (Charcot, Rendu, Pitres, Dutil, Sou- ques). Ain
arcot, Rendu, Pitres, Dutil, Sou- ques). Ainsi donc le diagnostic d' hystérie ne nous semble pas douteux, mais rappelons-nous
mptômes que présente notre malade sont exclusivement imputables à l' hystérie . Il est facile de mettre la sclérose en plaques
idées par des habitudes alcooliques pour justifier l'existence de l' hystérie . Au point de vue étiologique, faisons remarquer
e à l'occasion d'un traumatisme. Elle a fait éclore non seulement l' hystérie mais encore, comme - REVUE DE MÉDECINE LÉGALE.
l en était besoin, que la névrose traumatique ne diffère guère de l' hystérie banale. Relevons dans notre observation la coex
si rapide et aussi frappant ? Evidemment non, car on sait combien l' hystérie mâle est d'ordinaire tenace et résiste aux trai
point d'une contracture paralytique, il y avait lieu de penser à l' hystérie . J'appliquai l'aimant; le petit patient se mit
dégénérés; mais la valeur thérapeutique en est inappréciable dans l' hystérie , surtout comme agent suggestif. En certains cas
EVILLE. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
médical. BoURNEvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
s associations hystéro-orgauiques. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées avec autopsie. Brochure in-8° de 28 p
atisme ambulatoire, chez un dipsomane, par Souques, 61 ; - dans l' hystérie , par Séglas, 321. Bibliographie : Mémorrhagie,
d'aliénés, par Bins- wanger, 120; et droit, par Cullerre, 477. HYSTÉRIE , diagnostic différentiel entre l'- et les affec
24 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
u régiment, et il n'en présente pas actuellement ; or, à son âge, l' hystérie sur- tout chez l'homme où elle est toujours si
, il existe rarement bien que cela puisse se voir toutefois, dans l' hystérie , des troubles vésicaux, peu marqués à la vérité
es. , A. P. Sujette depuis l'adolescence a de fréquentes attaques d' hystérie . Bron- cho-pneumonie à 29 ans. Mariée à 19 ans
DE L'AVANT-BRAS DU MÊME COTÉ L. BATTAILLE 61 CIL, EDITEURS DE L' HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
mentale. Mère a dû être isolée dans sa jeunesse pour traitement d' hystérie il forme dé- lirante. Cette affection s'atténue
- ment cette étrangeté qui fit porter il M. Charcot le diagnostic d' hystérie ; il se basait d'ailleurs sur la mobilité et l'
miplégie spasmodique infantile et comment on arrivait à démasquer l' hystérie simulatrice. Des trois facteurs essentiels de l
quent les pronos- tics les plus sombres. Comment donc démasquer l' hystérie ? Ce n'était certes pas, nous l'avons vu plus h
tous ces cas, ce qui avait fait attribuer l'atrophie musculaire à l' hystérie , c'étaient les caractères nettement hystériques d
trophie. Ici, rien de pareil. Les meilleurs signes en faveur de l' hystérie reposaient donc dans les an- técédents du petit
égie, après avoir laissé l'enfant infirme près d'un an. Dès lors, l' hystérie s'imposait avec une force indiscutable et la suit
e l'liémichorée; suite de' frayeur, a existé seule pendant 7 ans. L' hystérie a donc copié dans ce cas les types organiques d
nication de M. Babinski (1), ce qui a irait aux associa- tions de l' hystérie avec les hémiplégies organiques. Il nous a été im
'affirmer à priori que toutes les ma- ladies peuvent s'associer à l' hystérie et rien n'est plus facile il concevoir. Si, en
'encéphale chez LES enfants S 27 et, en fait, les associations de l' hystérie avec d'autres maladies sont, d'a- près ce que j
ur distinguer ces deux ordres de lé- sions dans les rapports avec l' hystérie qui les pourrait simuler. -1. Lésions irritativ
d'abord des convulsions généralisées. Elles peuvent exister dans l' hystérie , soit dans l'hystérie vulgaire à forme convulsive
ns généralisées. Elles peuvent exister dans l'hystérie, soit dans l' hystérie vulgaire à forme convulsive, soit dans l'hystér
d. Dans le pre- mier, la période épileptoïde de la grande attaque d' hystérie avait seule frappé le médecin traitant qui avai
eur cérébrale. Dans le deuxième, il s'agissait seulement d'un cas d' hystérie vulgaire à forme convulsive dans lequel une cépha
mal. du syst. nerv. T. III, p. 90). Observation VI. Cas de petite hystérie avec céphalée persistante et attaques convulsives
voir, dans une de ses leçons (7). Ainsi, il est bien démontré que l' hystérie peut s'approprier le masque de l'épilepsie part
ons partielles épileptiformes constituent souvent toute l'attaque d' hystérie . Les accès de cette fausse épilepsie se montren
psie se montrent d'ordinaire par séries et constituent alors dans l' hystérie un véritable état de mal épileptiforme. Tantôt
es cas et en l'absence des autres phénomènes de la grande attaque d' hystérie (grands mouvements, poses plastiques, hallucina
es trois qui vont suivre, l'observation VII permet d'affirmer que l' hystérie était la seule cause des attaques d'épilepsie p
2, sous le titre de Contribution au diagnostic différentiel entre l' hystérie et les maladies organiques du cerveau. L'au- te
maladies organiques du cerveau. L'au- teur y rapporte quatre cas d' hystérie à forme d'épilepsie partielle dont l'un est relat
gue, ni incontinence d'urine. Conscience parfaite. Le diagnostic d' hystérie porté à la Salpètrière et qui a paru évident à
les uns seraient attribués à une lésion organique et les autres à l' hystérie . Il est possible que les uns et les autres relè
uns comme les autres pourraient aussi bien relever uniquement de l' hystérie . ~ Quant aux accès d'épilepsie partielle, ils a
serva- tion d'une façon très régulière avec les attaques franches d' hystérie et la malade ne se trouve pas plus incommodée d
de ne se trouve pas plus incommodée de ces accès que des attaques d' hystérie . En faveur de leur commune origine, on peut encor
ors reconnue spasmo- dique ou névropathique peut dépendre soit de l' hystérie , soit de lésions organiques des centres nerveux
ie complète des parties primitivement atteintes de contracture. L' hystérie peut-elle simuler ces deux ordres de contractures
pas rare de les voir s'installer en permanence après une attaque d' hystérie . Lorsque ces contractures sont (1) Charcot, Leç
(1) ». Comment donc dans tous ces cas démasquer la simulation par l' hystérie ? Il existe presque toujours au début des contr
d'ailleurs des troubles divers de sensibilité et autres stigmates d' hystérie se surajou- tent à la contracture primitive, ta
rrive souvent que la contracture est la première manifestation de l' hystérie et que celle-ci est monosympGomatique (2). On s
stitués, à intelligence moyenne et bien équilibrée, chez lesquels l' hystérie borne ses manifestations aux troubles delà motili
vrose se produit dans les cas d'hysté- rie incomplète, telles que l' hystérie non convulsive et en particulier l'hys- térie d
intéresser sont en général épars dans une foule d'observa- tions d' hystérie infantile, perdus, pour ainsi dire, au milieu des
iels des monoplégies d'origine corticale se retrou- vent-ils dans l' hystérie ? Y a-t-il des types de monoplégie hystérique qui
re, sont surtout chez les enfants les premières manifestations de l' hystérie qui ne se trahit par aucun autre signe ; la nat
e mo- noplégie. On croyait, il n'y a pas longtemps encore, que si l' hystérie pou- vait copier exactement les paralysies des
ractures sont souvent les premières, les seules manifestations de l' hystérie . Ce n'est pas notre faute si nous ne pouvons four
-il donc rappeler encore une fois que nous avons seulement en vue l' hystérie infantile et que beaucoup de choses sont encore
pathique soit cependant une simple manifestation symptomatique de l' hystérie . Nous n'insisterons pas davantage sur ces dévia
rme, il y aura bien des hypothèses à éli- miner avant de songer à l' hystérie . Enfin, dans notre troisième catégorie rentrent
- lement dynamique. Dans tous ces cas, il faut démêler la part de l' hystérie et de la lésion organique, ce qui complique inf
as songer il la faire écrire. Sensibilité intacte. Aucun stigmate d' hystérie ne peut être constaté. Pas d'at- taques. Tout
ANTS 45 Dans cette observation, bien des signes sont en faveur de l' hystérie , le début brusque du mutisme, ses caractères, l
cus- sion du cas unique que nous lui empruntons de simulation par l' hystérie du syndrome de Weber. En lisant celle discussio
de voir jusqu'à quelle limite peut être poussée la simulation par l' hystérie des maladies nerveuses à foyer circonscrit et que
s rigoureuse. Nous sera-t-il permis d'ajouter qu'en regard du cas d' hystérie simula- trice du syndrome de Weber rapporté par
fait de lésions organiques ou de lésions purement dynamiques. Car l' hystérie est le type le plus commun de ces affections qu
une intéressante exorcisation. Un jeune garçon de dix ans atteint d' hystérie délirante fut considéré comme possédé du démon et
envoyé au médecin du can- ton. Celui-ci avait porté le diagnostic d' hystérie . Lorqu'il vit l'enfant pour la première fois, l
nlr, Interne de la Clinique des maladies du système nerveux. DE L' HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
(Gilles de la Tourette) ont une grande valeur au point de vue de l' hystérie ; enfin, ajoute M. Parinaud (2), si forte que s
ue doit être faite tout d'abord à pro- pos du mode suivant lequel l' hystérie frappe les muscles de l'oeil : c'est qu'à l'inv
use organi- que, la paralysie de ces muscles est l'exception dans l' hystérie et leur spasme y devient au contraire la règle
t coexister (4). Quoiqu'il en soit, on n'a pu fournir encore dans l' hystérie une seule observation précise de paralysie isol
e de faux ptosis a été donné plus haut au cours -de l'observation d' hystérie simula- trice du syndrome de Weber. Les deux ex
qui suivent ne sont pas moins intéressants. Observation XVIII. Hystérie chez une enfant de 13 ans. Ptosis pseudo-paralyti
ujours la même qu'au premier et au second examen. DEUXIÈME PARTIE HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPH
tc., etc. Toute la question pour nous se réduit à voir d'abord si l' hystérie peut simuler chacun de ces symptômes en particu
IQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES ENFANTS 109 treront ensuite comment l' hystérie réalise leur groupement de façon à si- muler la
ns inté- rêt de faire ressortir au préalable que certaines formes d' hystérie se rap- prochent singulièrement du type habitue
nts dans la méningite aiguë ; c'est aussi un phénomène banal dans l' hystérie où on le rencontre sous toutes les formes. Quel
caractères se retrouvent dans les vomisse- ments spasmodiques de l' hystérie : ils surviennent « brusquement et sans autre d
nin- gite. C'est un phénomène qui n'est pas moins contingent dans l' hystérie ; mais il suffit qu'on l'y observe pour que les
u près. On a beaucoup discuté sur l'exis- tence de la fièvre dans l' hystérie : affirmée d'abord par Briquet, elle a été ensu
surtout des phénomènes d'ordre nerveux, parfaitement imputables à l' hystérie . Nous avons hâte d'arriver maintenant aux éléme
e de la formule chimique touchant l'inversion des phosphates dans l' hystérie paroxystique (Gilles de la Tourette et Cathelin
vons nous empêcher de regretter que la recherche des stigmates de l' hystérie n'ait pas été faite ; l'absence d'attaques convul
serait pas à elle seule à rejeter un fonds véritable et permanent d' hystérie , comme l'auteur le donne à entendre. Les stigma
ingite hystérique coïncidant avec les premières règles. Stigmates d' hystérie . " D... Marie, âgée de 14 ans, entrée le 25 avr
a tête basse et l'air confus. On recherche alors les stigmates de l' hystérie ; on constate de l'anesthésie pha- rongée, de l
ses nerveuses d'autrefois fortifient singulièrement le diagnostic d' hystérie qui se serait ma- nifestée à l'occasion de l'ét
rait aussi difficile il délimiter que l'est bien souvent celle de l' hystérie dans les cas d'associations patho- logiques. On
rs que parce qu'ils sont hystériques ? Opposer la simu- lation il l' hystérie n'a donc pas sa raison d'être puisque les deux ma
1'é- mise. Crises d'aboiement et secousses rhytmiques. -Stigmates d' hystérie . Ch... Léon, âgé de 14 ans, écolier. Entré le 1
e qui précède. Cepen- dant, on y trouvera la marque bien nette de l' hystérie et ce séra la une expli- cation suffisante des
et quand on l'observe. On peut alors rechercher les stigmates de l' hystérie ; on constate en effet une aneslhésie complète
encéphalite chronique. Cependant, M. Pitres penchait t du côté de l' hystérie . L'événement lui donna raison. Après trois mois d
lle a fini par guérir complètement. CONCLUSIONS GÉNÉRALES. I. L' hystérie chez les enfants ne diffère pas essentiellement d
qui simulent la méningite aiguë et la méningite chronique. IV. L' hystérie existe seule dans la plupart de ces syndromes sim
bante. Ces dissociations sensitives se retrouvent d'ailleurs dans l' hystérie (7), dans les névrites périphériques vulgaires
r les anesthésies hystérique, Bordeaux 1887. Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme 1891. Charcot. Leçons du mardi.
veuses dans la race juive. Chez elle, qu'il s'agisse d'épilepsie, d' hystérie , de neurasthénie, ou de maladies mentales, la pro
ntes, dans les convulsions de ce Protée comme on ap- pelait alors l' hystérie . Mais il observait, notant les attitudes, dessina
ve- nait de découvrir l'indépendance complète des deux névroses, l' hystérie et l'épilepsie. Et comme toujours il appuyait s
lus employer ce terme, disait-il, il pourrait prêter à confusion, l' hystérie et l'épilepsie n'ont aucune parenté ». Cette
ne parenté ». Cette découverte de l'unité, de l'indivisibilité de l' hystérie dans ses for- 246 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
ire au courant d'une discussion sur les travaux de mon maître : « L' hystérie à la Salpêtrière, vous la cultivez, vous ne la
! à Charcot qui a donné la- vérita- ble formule du traitement de l' hystérie et de l'épilepsie, qui a trouvé le seul moyen d
édiat par tous. L'hypnotisme est un état morbide qui, de même que l' hystérie dont il dérive, a son déterminisme et ses lois
irait encore un coin obscur de ce merveilleux que ses travaux sur l' hystérie poursuivis dans l'histoire des démoniaques rédui-
le lût et le cor- rigeât, un des derniers chapitres du Traité de l' hystérie que je faisais sous sa direction, car aucun de
n ne rencontre pas de symp- tômes neurasthéniques bien accentués. L' hystérie paraît être chez lui pri- mitive : pour le moin
de beaucoup, domine la situation. Evi- demment il s'agit d'un cas d' hystérie traumatique avec contracture. « Il était d'aill
effet accoutumé des violentes émotions. Il eut une grande attaque d' hystérie et à son réveil, un nouveau phé- nomène apparut
d'accidents neurasthéniques classi- ques avec quelques symptômes d' hystérie et des attaques frustes. Nous retrouvons chez e
En somme c'est le chapitre (,Llolociqtie de la neurasthénie et de l' hystérie , avec toutes ses variantes. Peut-être y a-t- il
omme dans les observations II et III, il en est d'autres chez qui l' hystérie domine la situation et se mani- feste avec un b
mentaux. Mais ils ne sont pas toujours les seuls, el de môme que l' hystérie s'a- joute à la neurasthénie, de même aussi les
dont ils présentent tous les stig- mates physiques et psychiques, l' hystérie pouvant parfois se surajouter. Existe-t-il d'au
éter ce qui a été dit sur le pronostic de la neu- rasthénie et de l' hystérie dont ils souffrent. « Ces deux névroses associées
la partie inférieure du corps chez un épileptique, par Féré, 142. Hystérie simulatrice des maladies organi- ques de l'encé
25 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
irconstances sur lesquelles nous insisterons. Cette ma- ladie est l' hystérie . L'observation suivante est donc intéressante à u
CONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dire aujourd'hui, et- d'autre part l' hystérie . La première affection a été constatée avec cer
alade ne prête à une sem- blable hypothèse. Il faut donc admettre l' hystérie , laquelle s'est développée sous l'influence de
lement se trouve mentionnée dans un certain nombre d'observations d' hystérie recueillies il y a déjà fort long- temps. Nous
on de présenter un relevé complet de ces cas. La bibliographie de l' hystérie est trop étendue et' notre, enquête serait néce
et de quelques-uns de ses cacactères. Dans une de ses leçons sur l' hystérie de l'homme, M. Charcot décrit en ces termes le
e textuellement : 1. Briquet. Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , p. 478. 2. Charcot. Leçons sur les maladies du
titue, pen- dant un temps plus ou moins long, le seul symptôme de l' hystérie . En pareille occurrence, on porte souvent le di
ptôme marquant et tenace presque à l'égal des autres symptômes de l' hystérie . Il en a été ainsi chez deux de nos malades don
servations de date un peu ancienne et relatives aux phénomènes de l' hystérie (elles sont nécessairement incomplètes), nous p
me rectiligne, bien au 1. P. Marie, loc. cit. Fie. 21. - Tracé V. Hystérie . FIG. 22. - Tracé VI. Paralysie générale. Fie
ycardie suffirait alors à lever tous les doutes; sans compter que l' hystérie a ses stigmates propres, et que le tremblement
près constant de la maladie de Basedow et relativement rare dans l' hystérie . Cependant, étant donné que l'hystérie s'associ
et relativement rare dans l'hystérie. Cependant, étant donné que l' hystérie s'associe fréquemment chez un même individu, so
éléments mor- bides le tremblement devra être attribué. Ces. I. - Hystérie et neurasthénie provoquées par le surmenage che
ntre dans les faits cliniques, les auteurs, décrivant par exemple l' hystérie convulsive, n'hésitent pas à les attribuer aux
assées sous silence. Pour notre part, nous 1. Clopatt. Etudes sur l' hystérie infantile (1888 ? Iletsingfurs. Obs. XIII, p. 7.)
r encore que, grâce il lui, dans ces dernières années, l'étude de l' hystérie chez l'homme a pris un développement jusqu'alor
ment jusqu'alors inconnu et qu'en ce qui regarde l'état mental de l' hystérie masculine, nous aurons il tenir compte des tra-
1888, dans un article sur « la conception qu'on doit se faire de l' hystérie J », M. Moëbius a nettement caractérisé l'état
. 1126, 11 Il. 3. Des rapports de la dégénérescence mentale et de l' hystérie . Th. Paris, 1883. h. Caractère, moeurs, état me
ves de neurologie, t. 111, 1882, p. 187. 5. Ueber den lJegri¡rder Hystérie ; in Cenlralblalt {¡il' .1'cruenlaeilhutade, n° 3,
yons qu'en réalité il n'en est pas ainsi, et que, comme l'attaque d' hystérie , l'état mental hystérique a son déterminisme qu
. Charcot a, dans ces dernières années, introduit dans l'étude de l' hystérie un nouvel élément d'appréciation qui, dans la c
ur. Si c'est à lui que revient l'honneur d'avoir nettement séparé l' hystérie de l'épilepsie et d'avoir montré que l'hystéro-
t encore a lui qu'il faut attribuer l'extrême mérite d'avoir fait l' hystérie « une et indivisible ». Elle « s'accole » très
ation 1. ])on\ cas d'onomatomanio : coexistence chez un malade de l' hystérie et d'une variété spéciale U'onouuVomanicClIUVII
. Chacun des termes de ce tableau nesemblc-t-il pas applicable il l' hystérie et ne les retrouve-t-on pas à chaque instant da
erse de bien des observations encore peu anciennes, le diagnostic d' hystérie ne pût un seul instant être mis en doute. Si l'
hotocollockaphie Chêne & LONGUET T Etat Mental ET Faciès dans L' HYSTÉRIE Masculine LI : CROSNJER BnDL Editeur ! CONSID
BnDL Editeur ! CONSIDÉRATIONS SUR LES ECCHYMOSES SPONTANÉES. 59 l' hystérie et, en l'instituant comme base d'un traitement qu
e semblait avoir de prise sur elle. Pendant t le délire d'une crise d' hystérie je l'entends dire : « On ne me guérira pas : ce
ange et désas- 1. Leçons du mardi (loc. cit.), 1888-1889, p. 392. « Hystérie et dégénérescence chez l'homme. » 2. Essai su
et dégénérescence chez l'homme. » 2. Essai surla nutrition dans l' hystérie . Th. Paris, 187G. 3. Gilles de la Tourelle et C
187G. 3. Gilles de la Tourelle et Cathelineau, la Nutrition dans l' hystérie , in. -8 de 116 p. Paris, 1890, Lecrosnier et Il
térique, pour ne pas manger, n'en maigrirait pas davantage. III L' hystérie , nous l'avons dit, peut se trouver associée à des
érescence qu'on a encore de la tendance à englober dans le chapitre hystérie , sont assez bien connus aujourd'hui pour que nous
ue. Nous voudrions seulement montrer comment ils s'associent avec l' hystérie , et aussi faire voir que, même lorsqu'ils domin
. La simulation, voilà un terme dont on a outre mesure abusé dans l' hystérie au point d'en faire la caractéristique de l'esp
cusant le sieur T... d'avoir violé son enfant pendant une attaque d' hystérie . Le sieur T... est cité en cour d'assises : là
al d'un sujet, prédire, ou tout au moins prévoir, la guérison d'une hystérie locale. Un exemple puisé dans nos observations de
e les enfants, sujets à cerveau en voie d'évolution chez lesquels l' hystérie est de ce fait très mobile et qui, à l'inverse
plus sou- vent de la névrose. M. Charcot enseigne, en effet, que l' hystérie infantile revêt, dans la majorité des cas, un c
s personnels des hystériques adultes et on verra combien rarement l' hystérie chez eux a débuté avant l'adolescence, lorsque
ûr, tout au moins chez les hommes. La manifestation a été fugace, l' hystérie a disparu pour ne plus revenir, sans préjudice bi
pression reçue peut être vivement ressentie, la forme maniaque de l' hystérie prédominant, ainsi que nous l'avons dit, mais e
à l'état de faits acquis. Quoi de plus commun que les épidémies d' hystérie dans les collèges, dans les pensionnats de petite
s êtres dégénérés, vicieux, intraitables, chez lesquels cependant l' hystérie peut éclore concur- remment avec les stigmates
remment avec les stigmates de la dégénérescence mentale. Chez eux l' hystérie peut guérir, mais ce qui ne guérira pas c'est leu
xcellente thèse de M. Courges Guinou : les Agents provocateurs de l' hystérie , 1889. z. Charcot. Leçons du mardi 1888-1889 (l
otocollocraphif. Chêne & Longuet T Etat Mental ET Faciès dans L HYSTÉRIE Masculine LRCROSNICR & HAH> : EDITEVqS
surajouté, dure plus ou moins longtemps, mais un jour ou l'autre l' hystérie prend, au moins au point de vue physique, com-
épôts de mendicité. » Tel est'l'état mental, l'allure générale de l' hystérie masculine si souvent combinée à la neurasthénie
souvent combinée à la neurasthénie. Nous sommes là bien loin de « l' hystérie brillante », affectant les jeunes viveurs surmené
ait autrefois en concédant avec peine qu'il existait quelques cas d' hystérie masculine. C'est de forgerons, de mineurs, de m
r ce terme pour dire que l'état mental, dans ce que l'on a appelé l' hystérie toxique, est absolument le même que dans l'hyst
l'on a appelé l'hystérie toxique, est absolument le même que dans l' hystérie ordinaire, par la bonne raison qu'il n'y a pas
érie ordinaire, par la bonne raison qu'il n'y a pas deux variétés d' hystérie . L'état mental dans l'hystérie, ou mieux dans l
ison qu'il n'y a pas deux variétés d'hystérie. L'état mental dans l' hystérie , ou mieux dans l'hystéro-neurasthénie, est de m
fameuse névrose traumatique venue d'outre-Rhin pour faire pièce à l' hystérie masculine, comme on a dans les mêmes régions di
et sur le rétrécissement du champ visuel, sur la température dans l' hystérie . M. Charcot, dans ses leçons, a souvent présent
blé qu'il était assez bien caractéristique de l'état psychique de l' hystérie féminine à cette époque de l'existence. Nous te
plus évidentes, et tout ce qu'il dit dans ce chapitre à propos de l' hystérie se résume en ces mots : ces espèces de pollutio
'im- pression n'est pas en raison directe de son intensité. Aussi l' hystérie et l'état mental qu'elle comporte guérissent-il
nt se fusionner avec lui. Parmi ces stigmates psychiques alliés à l' hystérie , il convient tout particulièrement de montrer l
essive', dans l'hypocondrie, la mélancolie; on le voit aussi dans l' hystérie . Dans cette dernière névrose, il peut tenir au
ans notre description des bâil- lements qui peuvent survenir dans l' hystérie comme dans tout autre état pathologique ou même
ut concevoir que les bâillements soient la première révélation de l' hystérie , mais cela ne ressort pas de nos quatre observati
r masquer son bâillement. Il existe des stigmates permanents de l' hystérie : anesthésie totale du bras droit; anesthésie d
es sont plus complètes et se rapt prochent davantage de l'attaque d' hystérie ordinaire. Elles sont annon- cées actuellement
roubles utérins (octobre 1888). La mère de la malade a des crises d' hystérie . A partir du moment où elle a commencé à être r
pine et Mairet, que l'accès d'épilepsie, à l'inverse de l'attaque d' hystérie augmente considérablement le taux du résidu fix
gorge et l'étouffe. Il ne s'agit pas ici d'une véritable attaque d' hystérie caractérisée par un phénomène inusité, le bâille-
st donc certain qu'il s'agit là véritablement de petites attaques d' hystérie . La malade se plaint en outre de phénomènes dys
ès peu et éprouve du dégoût pour les aliments. Les stigmates de l' hystérie sont très peu accentués chez celle malade. Il e
eux, qui, physiologiquement pour ainsi dire peuvent survenir dans l' hystérie comme au cours de tout autre étal normal ou pat
des autres manifestations convulsives limitées ou généralisées de l' hystérie se groupant sous forme d'attaques. Il existe dans
supposer que ce soit là une manifes- tation monosymptomatique de l' hystérie . Dans ce cas, la question du diagnostic différe
qu'elle ait. pu être, ne permet pas de supposer la moindre trace d' hystérie , et rien dans ses antécédents de famille ou perso
ve combinée avec la mydriase : ils l'auraient aussi observée dans l' hystérie et dans la grossesse, mais dans des conditions qu
anque pas d'un certain intérêt. Cette femme est atteinte en outre d' hystérie . D'après son histoire, on peut déduire que la n
'il s'agit de développer les fonctions des membres, on 1. Ch. Féré, Hystérie el Fatigue (C. r. Soc. de biologie 188.i, p. 197)
eurs bulbaires dans leur rapport avec le goitre exophthalmique et l' hystérie . Dans deux cas, l'un de Jendrassik', l'autre pe
il ne manque à cet homme qu'une chose pour être hystérique, c'est l' hystérie . .C'est donc une hypothèse à laquelle nous ne p
part, ne voit-on pas, cliniquement, les paralysies psychiques de l' hystérie se compliquer fréquemment d'atrophie musculaire (
tions bromurées, 40, 41. Facial et abducens (Paralysie du -), 34. Hystérie masculine (État mental et facies dans l'-), 8,
rabes, 75. Eléphantiasis nostras, 74, 76. Glossographe, 46, 47. Hystérie (Champs visuels dans 1' ). 3, 4, 9, 10, 33, 34;
26 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
r prédominants. Aussi a-t-on'pTi'tuFdécrire une forme vaso-motrice ( hystérie vaso-motrice). Il est de notion courante qu'on
idement provoquer le sommeil, par exemple pour couper une attaque d' hystérie , mieux vaut la paraldéhyde et l'hydrate de chto
ux vaut employer le nom d'astasie-abasie uniquement pour celle de l' hystérie , car c'est un symptôme purement hystérique. Il
suggestion due à t'hypersuggestibiiité morbide caractéristique de l' hystérie (ceci est à craindre chez les individus en état
phie musculaire étendue. DE KpAFFT-EBtNG. Présenta- tion d'un cas d' hystérie chez l'homme (apoplexie hystérique). GAUSTER. L
passage à la Salpêtrière, il avait étudié, avec beaucoup de soin, l' hystérie et l'épilepsie, Esqui- rol lui demanda de rédig
ence. Je fus, pendant ce temps, témoin d'une véritable épidé- mie d' hystérie chez les élèves de cet établissement. Le mal avai
rveux engendrer la névrose chez un sujet prédisposé. Ducamp. III. Hystérie et paludisme; par Clament. (Thèse de Montpellier,
paludisme; par Clament. (Thèse de Montpellier, - 1894, n° 32.) L' hystérie paludéenne est une hystérie infectieuse, elle n'e
èse de Montpellier, - 1894, n° 32.) L'hystérie paludéenne est une hystérie infectieuse, elle n'est pas une hystérie spécia
ystérie paludéenne est une hystérie infectieuse, elle n'est pas une hystérie spéciale mais une variété de la grande névrose.
, considérés comme des accès pernicieux, peuvent être rapportés à l' hystérie . Le diagnostic de l'hystérie paludéenne se base
pernicieux, peuvent être rapportés à l'hystérie. Le diagnostic de l' hystérie paludéenne se base sur l'existence des stigmate
de l'hystérie paludéenne se base sur l'existence des stigmates de l' hystérie , sur la périodicité des attaques et la constata
tive, de celle qui a pour terrains les névroses graves telles que l' hystérie , l'épilepsie et la neu- rasthénie. Il va de soi
ces phénomènes ne sont-ils pas liés à une cause plus générale, l' hystérie ? : ' La transformation d'anurie en polyurie (j
d'attaques épi- leptiformes un tableau, facile à reconnaître, de l' hystérie . Le malade, un soldat, était atteint d'attaques
de l'anesthésie d'un membre. D'autre part dans les observations, l' hystérie n'a pas toujours été recherchée avec soin. Son
s artères, et enfin certaines affections cardiaques. Il méconnaît l' hystérie . Il méconnaît aussi le rhumatisme arti- culaire
le rhumatisme arti- culaire aigu. Bien plus, dans certains cas, l' hystérie apparaît en propres termes dans l'observation '
point, la coexistence, la relation de la maladie de Raynaud et de l' hystérie sera plus souvent observée encore. ' Thèse, P
e notre intention n'est pas de ramener toute maladie de Raynaud à l' hystérie , mais de montrer qu'il existe une modalité hyst
de montrer qu'il existe une modalité hystérique de cette maladie. L' hystérie existe comme cause de l'asphyxie des extrémités
rouvée dans nos recher- ches où le rapport de cause à effet entre l' hystérie et la ma- ladie de Raynaud a été nettement indi
l'introduction dans les cadres nosologiques d'une nouvelle forme d' hystérie , la forme vaso-motrice intermittente. Au cours
ion, indique l'influence de l'hypnose et décèle le mé- canisme de l' hystérie par l'existence d'une émotion ou de l'idée fixe
ons on trouve étudiée tantôt une face du problème, la présence de l' hystérie , tantôt, l'autre face, l'influence des émotions
utre part, dans nombre d'observations signa- lées, la présence de l' hystérie . Le fait est même pour ainsi dire banal. Les au
rt de ces faits avec d'autres faits qu'on qualifierait maintenant d' hystérie masculine traumatique. A la suite de l'observat
es émotions faciles et persistantes, premier point. Et du fait de l' hystérie , la grande exagératrice, les troubles vaso-mote
On voit donc que la maladie de Raynaud est fréquente au cours de l' hystérie , qu'elle naît sous l'influence des émo- tions.
buée à l'artério-sclérose. DUCAMP. XI. Etiologie infectieuse DE L' HYSTÉRIE , par le professeur Grasset; leçons cliniques re
formule une conception synthétique de l'étiologie infectieuse de l' hystérie . « L'hystérie est une manifestation directe de
onception synthétique de l'étiologie infectieuse de l'hystérie. « L' hystérie est une manifestation directe de l'infection qu
acquise pour les maladies organiques du système nerveux, quant à l' hystérie elle ne saurait faire exception, et M. Grasset
idée sugges- tive. Cette conception ne détruit en rien l'unité de l' hystérie , car l'origine infectieuse même multiple ne sup
ement l'hérédité névropathique. En maintenant l'unité clinique de l' hystérie , on peut bien admettre des types cliniques divers
ettre des types cliniques divers. « Il est impossible de nier que l' hystérie traumatique est un type tout à fait à part, not
énacité et surtout par la fixité de ses manifestations. De même les hystéries toxiques et infectieuses ont un type spécial. E
othétique mais qui ne paraît pas défendable. Ce qui caractérise les hystéries toxiques et infectieuses, c'est qu'elles présen
ins traits de l'empoisonnement et de l'infection ordinaires. Dans l' hystérie saturnine, les extenseurs sont paralysés; dans
Dans l'hystérie saturnine, les extenseurs sont paralysés; dans l' hystérie hydrargyrique on tremble : dans l'hystériesy phil
remble : dans l'hystériesy philitique, on a de la céphalée ; dans l' hystérie paludéenne, il y a de l'intermit- tence, et che
is que dans les cas plus sérieux, on arrive à l'inflam- mation. L' hystérie est une névrose du système nerveux tout entier, s
omique principale qui en fait la caractéristique symptomatique. » L' hystérie peul donc avoir des rapports avec les infection
s, avec la tuberculose. Quant aux infections capables de produire l' hystérie , elles sont extrêmement variées : infections ex
o-infections, particulière- ment d'origine gastro-intestinale, et l' hystérie consécutive à la co- lique hépatique et considé
e parait suffisante pour établir que l'étio- logie infectieuse de l' hystérie existe comme pour les autres mala- dies nerveus
e, mous et entre- mêlés de grandes oscillations dans la chorée. L' hystérie et l'alcoolisme se rapprochent par la composition
ent par rotation autour du bras du sujet. Elles se distinguent de l' hystérie et de l'alcoolisme en ce que l'élément du tracé
éus et le gyrus angulaire n'étaient pas pris. P. S. XIX. UN cas D' HYSTÉRIE CHEZ UN enfant, caractérisé par DES attaques RÉ
amener à considérer une polyurie simple comme étant subordonnée à l' hystérie : 1° Sa coïncidence avec des accidents hystériq
nifestation névropathique. La tendance actuelle est de considérer l' hystérie comme le ré- sultat d'une pertubation cérébro-p
on troisième stade ? Va-t-elle jusqu'à la gangrène ? Du fait de l' hystérie , il peut se produire des gangrènes spon- tanées
ue de Philadelphie, on dit que quelques cas devaient appartenir à l' hystérie . L'observation d'Auché et Lespinasse a trait à
t de la muqueuse buccale. Le cas de Baginsky est relatif à un cas d' hystérie infantile. On retrouve encore l'hystérie dans l
sky est relatif à un cas d'hystérie infantile. On retrouve encore l' hystérie dans les cas de Sigerson, dont nous reparlerons
t ajouter le cas de Weir Mitchell (obs. III, thèse de Lannois) où l' hystérie et une affection organique se trouvent associée
es maladies par émotion et à l'étude des troubles vaso-moteurs de l' hystérie . Nous ne voulons pas entrer dans l'exposé des e
la neuro-pathologie et sont prédomi- nantes pour l'apparition de l' hystérie ou la détermination de ses manifestations polym
s'ajoutent à la liste déjà longue des troubles vaso-mo- teurs de l' hystérie . L'intérêt de nos cas est de montrer que pour l
e du malade. Ils appuient directement la théorie psychologique de l' hystérie . Dans tout accident hysté- rique, dit Janet, un
es deux syndromes sont proches parents, issus d'une même névrose, l' hystérie . Du reste la transformation de l'un de ces synd
ntradiction ? Non. La malade est guérie de son accident, non de son hystérie . Et, comme hystérique, elle peut éprouver de no
e malade présentant actuellement des stigmates de neurasthénie et d' hystérie , à la suite d'une série de chagrins. Cette as
ne cause commune. à la ma- ladie de Raynaud, que la cause en soit l' hystérie ou toute autre. On peut encore mettre en ligne
sant d'aborder, à propos de nos faits, la théorie vaso-motrice de l' hystérie que Vulpian a combattue. Mais il est prudent d'
épétons, en terminant, qu'en tète des phénomènes vaso- moteurs de l' hystérie on trouve l'émotion ou l'idée fixe sub- Quelque
s'ajoutent à la liste déjà longue des troubles vaso-mo- teurs de l' hystérie ; Ils ne constituent pas d'ailleurs des maladie
autre, et qui, dans le cas présent sont issus de la même névrose, l' hystérie . D. - 8° Pour les syndromes de Raynaud et de We
8° Pour les syndromes de Raynaud et de Weir Mitchell rattachés à l' hystérie , la théorie centrale doit être acteptée. Raynau
pathogéniques contradictoires. Ce dernier, en effet attribuait à l' hystérie , les phénomènes convulsifs et l'amnésie que Wag
andes commotions physiques et morales, soit dans les accidents de l' hystérie . J'ajoute, et c'est là à mon sens un fait impor
o-antérograde peut être observée, indépendamment de toute attache d' hystérie , d'alcoolisme ou de trauma, dans les maladies i
art. I, 1894, p. 50.) VII. REVUE CRITIQUE DES récents travaux sur l' hystérie ET la NEU- BASTHÉNIE; par Miche ! ) CLAIexE. (B
on sous la forme ordinaire. Le diagnostic peut se faire : a. avec l' hystérie , tandis que l'hys- térique la plus dédoublée ig
ion mentale primitive, le délire fébrile, l'alcoolisme, la manie, l' hystérie . Le délire des négations apparaît donc non comm
s étaient purement hystériformes. Dans tous ces cas, en effet, où l' hystérie semblait marquer le début, nous avons pu nous c
aussi se montrer en tant que symptôme dans la paralysie générale, l' hystérie , l'épilepsie, l'alcoolisme, la sénilité, les ac
u'on semble le dire. Entre les idées délirantes réellement dues à l' hystérie et à l'épilepsie, et l'adjonction à ces idées d
ans. L'histoire est la même pour une dame de vingt ans, indemne d' hystérie , d'hémicranie, de migraine. La prosopalgie a duré
r. 75. Aux bureaux du Progrès Médical. Lépine (R.). -Sur un cas d' hystérie ci forme particulière. Bioclitire. in-8° de 16
e de raisons que vous apprécierez, se rattacher aux phénomènes de l' hystérie . Il s'agit en un mot d'une hémia- nopsie hystér
istence d'une véritable hémianopsie qui fût sous la dépendance de l' hystérie . La plupart des auteurs qui avaient semblé adme
qui semblent bien d'après leur discussion devoir être rattachés à l' hystérie . Mais ces phénomènes hémiopiques ont toujours é
de chaque oeil au périmètre. Un examen de ce 1 Briquet. Traité de l' hystérie , p. 295. 8 Zvynos. Amblyopie et amauroses hysté
0, II, 305.) 1 Fink. Des rapports de la migraine ophtalmique avec l' hystérie , thèse 1891. UN cas d'hémianopsie hystérique.
hystérique, '1891, et M. Gilles de la Tourette dans son traité de l' hystérie auquel nous avons emprunté quelques-uns des ren
es' signale le scotome central et l'hémiopie comme possibles dans l' hystérie , sans insister toutefois suffisamment sur ses p
e me montrais disposé à considérer ce symptôme comme douteux dans l' hystérie 2. A la môme époqueM. S.1 reud '3 écrivait : c
. S.1 reud '3 écrivait : c L'hémiopie n'a pas encore été vue dans l' hystérie et, je pense, elle ne le sera jamais. » Il n'
nt qui constate avec précision l'hémiopie, sinon précisément dans l' hystérie , au moins dans une névrose que l'on peut jusqu'
présenter se rapproche de celle-ci. Elle est 1 Pitres. Leçons sur l' hystérie , 1891, t. I, p. 98. 2 Pierre Janet. Stigmates m
ons extérieures. Elles se manifestent complètement dans l'attaque d' hystérie , dans le somnambulisme, en un mot pen- dant,,Ia
est incontestable; mais pouvons-nous rattacher;ce : phénomène à l' hystérie ? .Pouvons-nous dire qu'il s'agit d'une hémianops
avoir une liémlôpaëtenant à \ toute espèce-dencaûse en dehors 'de l' hystérie . Nous ? pouvons supposer=ici-que cette femme, e
térie. Nous ? pouvons supposer=ici-que cette femme, en outre de son hystérie qui produit'.E=7rdiréciss'ement concentrique du
rasthénie (Déjerine et Vialet), elle peut aussi se présenter dans l' hystérie et dans ce cas ce symptôme, comme le disaient d
i qu'en réalité la sensibilité rétinienne, n'est pas altérée dans l' hystérie et que théoriquement les hystériques peuvent vo
ste ·1J V·r ·17 J O1 .'fl. J 111 1 n V1w .pi f 111 `lilt /1 .de 1 hystérie . ,De plus,en plus 1 hystérie est la grande simula
J 111 1 n V1w .pi f 111 `lilt /1 .de 1 hystérie. ,De plus,en plus 1 hystérie est la grande simula- - ? , n4 1 1,.... " l.y,
.JX311l./xlv> J,i oliJbU ôfHUx.lGl.1 symptôme particulier dans 1 hystérie . ol,czd f{ ;r3jil'.h j-ît,' iTôliFi,),.t4j(lf "
éressante de son origine influenzique. Sans s'arrêtera l'idée d'une hystérie ou d'un alcoolisme, peu admissibles ici en tant
lement présenté de la chorée. On ne trouve chez elle aucune trace d' hystérie non plus que chez sa soeur âgée de douze ans.
pendant onze mois. Mort dans l'été de 1886. L'auteur conclut à l' hystérie . P. K. XXXIV. DES formes DE l'aliénation mental
accusent l'électricité et le magnétisme. Mais, par-dessus 'tout, l' hystérie c'est là la possession. P. K. CONTRIBUTION A la
Extrêmement rares dans les psychoses fonctionnelles en dehors de l' hystérie , et de la migraine ophtalmique compliquée, elle
sme n'a donné aucun résultat, M. SCHULT7E. Quelques remarques sur l' hystérie et l'hypnotisme.- z Une hystérique de trente-de
p à dire contre la pré- tendue fréquence de l'hémianesthésie dans l' hystérie , contre la contracture des muscles animés par l
rée chez l'hystérique. Suit une critique du travail d'Etfertz sur l' hystérie , l'hypnotisme et la suggestion. Discussion. M.
cription de Charcot, car à Paris, où à la Salpêtrière, affluent les hystéries les plus graves de toute la France. Quant à l
très grande valeur, une importance extrême pour le diagnostic de l' hystérie . Si l'on constate cette anesthésie ou tout au moi
ves persistantes. Celles-ci passées, on constate les stigmates de l' hystérie : rétrécissement du champ visuel, émoussement uni
eule l'insensibilité pharyn- gée demeure comme signe permanent de l' hystérie . Le congrès d'automne aura lieu le 10 novembre
étant celle des délires toxiques, fébriles, de certaines névroses ( hystérie , épilepsie) et se montrant dans le cours des tu
mation morbide en hérédité nerveuse. La neurasthénie engendrerait l' hystérie , celle-ci donnerait naissance à l'épi- lepsie,
0 ! 'e), 1 de polynévrite chronique, 3 de névrose traumatique, 12 d' hystérie ; 6 de neurasthénie. Dans les maladies organiqu
omène coïncidait avec une diminu- tion de l'acuité visuelle. Dans l' hystérie et la neurasthénie, si l'acuité visuelle est no
l'a cependant trouvée affaiblie même pour l'oeil sain dans un cas d' hystérie et dans un de neurasthénie. L'anisométropie n'i
s- position spécifique, mais encore sur une nervosité générale ou hystérie (sic) avec ses symptômes typiques. AI. Friedman
r nos abonnés, 3 fr. 50. 1)[IENER (J.) et Fbexd (P.). Sludien liber hystérie . Volume in-8° de 2G9 pages. - Leipzig und Wien,
, 2(e9. Hydarihroses intermittentes, par Feré, 130. Hypnotisme, hystérie et -, par Schultre. Hystérie et paludisme, pa
ntes, par Feré, 130. Hypnotisme, hystérie et -, par Schultre. Hystérie et paludisme, par Clément, 68 ; étiologie infec
ux, recherches sur les éléments , par Dagonet, 21l. Neurasthénie, hystérie et -, par Clarhe, 210. " Neuromyosite multipl
316. PAcnYtiÉroxGtTE spinale, par Polita- kis, 121. Paludisme, hystérie et -, par Clé- ment, 68. Paralysies consécuti
27 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ar M. le docteur Paul Richer, dans ses Etudes cliniques sur la grande hystérie , qui constituent un véritable monument destiné a
ypnotisme qu'on observe dans le cours des manifestations de la grande hystérie et qu'on a désignées assez justement sous le nom
un grand nombre de sujets qui ne présentent aucun des stigmates de l' hystérie et surtout en faisant ressortir le rôle prépondér
vanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l' hystérie . Elle-même, dès sa première jeunesse, a présent
t l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente attaque d' hystérie . C'est alors qu'elle passa dans mon service, où
ileptique dans le sens le plus large du mot. Ces attaques de grande hystérie durent chez V... pendant un temps fort long, comm
Les pupilles sont égales. Nous constatons plusieurs stigmates d' hystérie , des points sous-mammaires et iliaque gauches. Il
surexcitation de la sensibilité, toutes conditions fréquentes dans l' hystérie , l'hypnotisme, le somnambulisme, paraissent les m
V. XII. Fasc. 3.) Lucas Championnière : Contribution à l'étude de l' hystérie chez l'homme. Troubles de la sensibilité chez les
et Bricon ; Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, compte rendu du service des épilept
ous la mention de femme aliénée. Elle présentait quelques symptômes d' hystérie , mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-
ement datant de neuf mois. Elle a eu autrefois de fréquentes crises d' hystérie qui ont diminué beaucoup depuis quatre à cinq ans
mentales qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'épilepsie, d' hystérie , de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir
s hétéronomes dans le traitement des névralgies, de la migraine, de l' hystérie , de l'épilepsie, de la chorce, du somnambulisme,
IQUE INTERNATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) Davezac: Leçons sur l' hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médecine de Bordeaux
etite. La grande forme, t hypnotisme parfait », ne se voit que dans l' hystérie . On y observe trois phases : 1° La phase léthar
le de Nancy considère l'hypnotisme comme tout à fait indépendant de l' hystérie . Pour ma part, je me rangerais plus volontiers
antage aujourd'hui accepter une relation intime et nécessaire entre l' hystérie et l'hypnotisme. Plusieurs hystériques avérées se
très complets chez d'autres sujets qui ne présentaient aucune trace d' hystérie . A Nancy, l'on se préoccupa bientôt, et avant t
n"a recours, autant que je sache, à ce traitement que dans les cas d' hystérie . Voici comment on procède à Nancy, et comme j'a
hologique ! Non! l'état hypnotique n'est pas une névrose analogue à l' hystérie ! Sans doute, on peut créer chez les hypnotisés l
Sans doute, on peut créer chez les hypnotisés les manifestations de l' hystérie , on peut développer chez eux une vraie névrose hy
vrose ! A moins d'admettre que la névrose est universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité nerveuse quelc
symptômes ou plutôt les stigmates de la névrose connue sous le nom d' hystérie . Bien que beaucoup plus fréquente chez les adulte
fréquemment chez les jeunes filles et un assez grand nombre de cas d' hystérie précoce ont été publiés. Dans ces conditions, p
eut fort bien donner libre cours aux manifestations désordonnées de l' hystérie . En tête des circonstances propres à déterminer
ent d'une maladie qu'ils n'avaient pas soupçonnée auparavant ». L' hystérie est une de celles dont l'existence larvée se révè
s lamentables. Eh bien ! une curieuse observation de Potain fait de l' hystérie saturnine une non moins indiscutable réalité. Tou
es, est bien autrement profonde. Des siècles durant, on a regardé l' hystérie comme l'apanage de la femme. Les doctrines régnan
evêtue par les désordres les rapprochait plus intimement de la grande hystérie si familière à la femme. « J'ai voulu surtout vou
ut vous convaincre, disait à ses élèves le maître en terminant, que l' hystérie mâle, même l'hystérie grave, n'est pas. du moins
sait à ses élèves le maître en terminant, que l'hystérie mâle, même l' hystérie grave, n'est pas. du moins chez nous en France, u
e Jules Voisin, communication d'un cas particulièrement intéressant d' hystérie convulsive, chez un jeune homme de 21 ans, avec c
ation chez le soldat, et lui avait, dans le but de la distinguer de l' hystérie de la femme, appliqué la désignation de Tarassis.
'appliqua ù répandre les doctrines de l'Ecole de la Salpêtrière sur l' hystérie mâle. Les cas que l'on est appelé à rencontrer —
ertificats médicaux eux-mêmes incomplets. « Or, personne ne pense à l' hystérie , qu'il faut savoir rechercher, que l'on trouvera
e le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme sujette à l' hystérie . A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la péri
t du reste aucun autre symptôme morbide, ni les stigmates connus de l' hystérie . Notamment, la sensibilité était normale partout.
taque hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégorie de la grande hystérie ; seulement, elle ne présente pas les trois phase
a dormeuse présentera les signes de l'une des phases quelconques de l' hystérie . Et d'ailleurs — je peux bien vous en parler, pui
enez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'attaque d' hystérie , quoique assez rare. Comment vous comporter en pa
lpétrière, dans le courant de 1878, sur des sujets atteints de grande hystérie . Les recherches de la Salpêtrière, conduites av
it de 15 à 20. et au quart de 25 à 3o. En réunissant tous les cas d' hystérie développés depuis la naissance jusqu'à cet âge, o
erches anatomo-pathologiques, tentées jusqu'ici en vue de rattacher l' hystérie à quelque lésion, soit de l'utérus ou des ovaires
s deux éléments pathologiques — une affection génitale organique et l' hystérie , — la coïncidence est plus fréquente qu'entre l'h
ganique et l'hystérie, — la coïncidence est plus fréquente qu'entre l' hystérie et quelque autre maladie que ce soit. Selon Briqu
ations. L'élévation du rapport tient à ce qu'extrêmement fréquente, l' hystérie ne met d'ailleurs les femmes à l'abri d'aucune au
e qu'en soit la nature, de l'appareil génital. Sans affinité avec l' hystérie , cancers, squirrhes, fibrômes, tubercules, kystes
er? Onze fois sur vingt, la suppression brusque des règles engendre l' hystérie , au dire de Briquet. La chlorose, si commune au
nt interdit d'hypnotiser des sujets,ne présentant pas les symptômes d' hystérie confirmée. L'œuvre de James Braid trouva plut
les dyspeptiques ;guérison eu une séance. Mlle Z..., (pas de signes d' hystérie ), dont la sœur est hystérique, a eu au moment des
'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une attaque d' hystérie . Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaques se renouv
à l'état de veille. Je suis même convaincu que l'accès de la grande hystérie n'est lui-même qu'une variété d'hypnotisme; je n'
dentiquement la même chose. REVUE DE LA PRESSE Un ces curieux d' hystérie ; sensibilité des téguments au contact de l'or, —
e est un hystérique, et, comme tous les hystériques, il a. de par son hystérie même, la tendance à exagérer toutes choses, a êtr
) De ce que, chez l'un comme chez l'autre sexe, les désordres que l' hystérie fomente ont coutume d'éclater à l'âge de la puber
e se manifeste en toute évidence dans les circonstances que voici : l' hystérie engendre l'hystérie, et ce. dans la proportion fo
ute évidence dans les circonstances que voici : l'hystérie engendre l' hystérie , et ce. dans la proportion formidable de 5o pour
x. Toutefois, s'il est indiscutable que l'épilepsie soit un facteur d' hystérie moins puissant que l'hystérie même, l'aliénation,
table que l'épilepsie soit un facteur d'hystérie moins puissant que l' hystérie même, l'aliénation, sous ce rapport, occupe encor
statistiques démontrant la transformation de la folie des parents en hystérie chez les enfants sont en somme assez pauvres et l
res dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie ) ait pu accabler les générations dans le passe, l
iniment probable que, dans les cas de ce genre, le développement de l' hystérie a été favorisé par l'impressionnabilité très vive
s, c'est-à-dire étrangères à la personne, exercent sur la genèse de l' hystérie une action digne d'examen Et d'abord, que doi
nt de là, les auteurs ont subjectivement été induits à conclure que l' hystérie , en particulier, devait être plus fréquente que p
s, toujours sur le point de s'ébranler. Au rapport de Schleisner, « l' hystérie est une des trois maladies régnantes de l'Islande
na, écrit pour sa part Briquet, que dans la Pologne septentrionale, l' hystérie est assez commune et qu'elle sévit principalement
holm, d'après une lettre, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l' hystérie est très commune en Suède, chez les gens de la ca
de ces arides contrées sont marqués pour toutes les névroses, pour l' hystérie et l'épilepsie en particulier. Sans l'être auta
tant que dans l'extrême nord, dans les pays chauds, la fréquence de l' hystérie est grande. Médecin en chef de l'hôpital militair
ès nombreux. De son côté, Moty fait suivre une curieuse observation d' hystérie chez l'homme, qu'il a recueillie à l'hôpital mili
toxiques, monomaniaques, etc. » Chez la femme arabe, au contraire, l' hystérie a semblé à Moty moins fréquente et moins évidente
uve bornée par l'ignorance. » Sur la côte septentrionale d'Afrique, l' hystérie , à ses yeux, correspond à la torpeur intellectuel
de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez fréquemment prises d' hystérie et » qu'en raison des habitudes de galanterie qui
t des émotions de diverses espèces qui en sont la suite inévitable, l' hystérie y est fréquente, tandis qu'elle est moins commune
ctimes. Sur la question de savoir dans quelles parties de la France l' hystérie se; fait rare ou prédomine. Bordier. dans son cha
clins, il fournit plus d'un instructif document. En ce qui concerne l' hystérie , il en a observé deux cas chez des jeunes filles
uggestion, pas plus que les autres caractères dits somatiques. 3° L' hystérie n'est pas un bon terrain pour l'étude de l'hypnot
r cela seul qu'il ne constate pas chez la victime les caractères de l' hystérie , risquerait d'égarer la justice. 7° Tous les pr
préparés par l'exemple à la suggestion. Je trouve, en général, que l' hystérie , de même que les maladies mentales, est peu favor
IQUE Par le Dr Collineau (Suite) En somme, à un degré variable, l' hystérie est de tous les climats. Dans les pays froids, le
imats extrêmes, aux facteurs divers dont, par toutes les latitudes, l' hystérie est le produit. L'histoire de cette maladie fou
de Lebert, notant, dans le Valais et le Faucigny, la coïncidence de l' hystérie avec l'indigence, et un appauvrissement de l'écon
te que dans les classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d' hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hyst
emme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d' hystérie sans attaques sur sept; une femme très impression
e sur cinq. Il est très probable que le nombre des femmes atteintes d' hystérie sans attaques est proportionnel à celui-là ; de s
aques est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien évidemment, l' hystérie est moins commune dans les classes aisées que dan
les plus élevées que dans les classes moyennes. » On a avancé que l' hystérie était très rare dans les campagnes. Non; c'est la
ences: telles sont, à la ville comme aux champs, les générateurs de l' hystérie dépendant de la position sociale et du milieu.
'est le régime. Les doctrines erronées des anciens sur la nature de l' hystérie les ont entraînés, sur la question du régime alim
re de tels errements serait pernicieux. Entre les sujets atteints d' hystérie , une distinction s'impose. Les uns, à la vérité,
) Huckel : Die Rolle der Suggestion bei gewissen Frischeinungen der Hystérie und) des Hypnotismus- In-8°, 73 p. Iena. — Le rôl
73 p. Iena. — Le rôle de la suggestion dans certains phénomènes de l' hystérie et de l'hypnotisme. Sallis (de Bade) : L'hypnot
et tant d'autres médecins émi-nents dans leurs études cliniques sur l' hystérie , l'hypnotisme et le somnambulisme. Ce qui est v
e sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d' hystérie franche à la suite d'une contrariété. Enfin, une
elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte attaque d' hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait jamais assi
ctions nerveuses. Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 cas d' hystérie observés chez les enfants par Briquet, et sur les
huit ans sont, par excellence, les candidats au mal caduc et à l' hystérie , à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de
classement, en tant que condition prédisposante ou préservatrice de l' hystérie , de toute profession manuelle, de tout métier. Ma
lon la judicieuse remarque de Briquet, « toute cause prédisposant à l' hystérie doit, si elle a quelque puissance, amener la mala
fique (dangers de l'). 125. Hypnotisme officiel à Berlin (l'), 187. Hystérie (cas curieux d'. par Peter. 3o3. Hystérique (l'),
28 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ar M. le docteur Paul Richer, dans ses Etudes cliniques sur la grande hystérie , qui constituent un véritable monument destiné a
ypnotisme qu'on observe dans le cours des manifestations de la grande hystérie et qu'on a désignées assez justement sous le nom
un grand nombre de sujets qui ne présentent aucun des stigmates de l' hystérie et surtout en faisant ressortir le rôle prépondér
vanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l' hystérie . Elle-même, dès sa première jeunesse, a présent
t l'insistance du chirurgien, elle est prise d'une violente attaque d' hystérie . C'est alors qu'elle passa dans mon service, où
ileptique dans le sens le plus large du mot. Ces attaques de grande hystérie durent chez V... pendant un temps fort long, comm
Les pupilles sont égales. Nous constatons plusieurs stigmates d' hystérie , des points sous-mammaires et iliaque gauches. Il
surexcitation de la sensibilité, toutes conditions fréquentes dans l' hystérie , l'hypnotisme, le somnambulisme, paraissent les m
V. XII. Fasc. 3.) Lucas Championnière : Contribution à l'étude de l' hystérie chez l'homme. Troubles de la sensibilité chez les
et Bricon ; Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, compte rendu du service des épilept
ous la mention de femme aliénée. Elle présentait quelques symptômes d' hystérie , mouvait les bras l'un autour de l'autre. Venait-
ement datant de neuf mois. Elle a eu autrefois de fréquentes crises d' hystérie qui ont diminué beaucoup depuis quatre à cinq ans
mentales qui, sous les noms de névralgie, de migraine, d'épilepsie, d' hystérie , de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir
s hétéronomes dans le traitement des névralgies, de la migraine, de l' hystérie , de l'épilepsie, de la chorce, du somnambulisme,
IQUE INTERNATIONAL HYPNOTISME (depuis 1880) Davezac: Leçons sur l' hystérie et l'hypnotisme. (Journal de médecine de Bordeaux
etite. La grande forme, t hypnotisme parfait », ne se voit que dans l' hystérie . On y observe trois phases : 1° La phase léthar
le de Nancy considère l'hypnotisme comme tout à fait indépendant de l' hystérie . Pour ma part, je me rangerais plus volontiers
antage aujourd'hui accepter une relation intime et nécessaire entre l' hystérie et l'hypnotisme. Plusieurs hystériques avérées se
très complets chez d'autres sujets qui ne présentaient aucune trace d' hystérie . A Nancy, l'on se préoccupa bientôt, et avant t
n"a recours, autant que je sache, à ce traitement que dans les cas d' hystérie . Voici comment on procède à Nancy, et comme j'a
hologique ! Non! l'état hypnotique n'est pas une névrose analogue à l' hystérie ! Sans doute, on peut créer chez les hypnotisés l
Sans doute, on peut créer chez les hypnotisés les manifestations de l' hystérie , on peut développer chez eux une vraie névrose hy
vrose ! A moins d'admettre que la névrose est universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité nerveuse quelc
symptômes ou plutôt les stigmates de la névrose connue sous le nom d' hystérie . Bien que beaucoup plus fréquente chez les adulte
fréquemment chez les jeunes filles et un assez grand nombre de cas d' hystérie précoce ont été publiés. Dans ces conditions, p
eut fort bien donner libre cours aux manifestations désordonnées de l' hystérie . En tête des circonstances propres à déterminer
ent d'une maladie qu'ils n'avaient pas soupçonnée auparavant ». L' hystérie est une de celles dont l'existence larvée se révè
s lamentables. Eh bien ! une curieuse observation de Potain fait de l' hystérie saturnine une non moins indiscutable réalité. Tou
es, est bien autrement profonde. Des siècles durant, on a regardé l' hystérie comme l'apanage de la femme. Les doctrines régnan
evêtue par les désordres les rapprochait plus intimement de la grande hystérie si familière à la femme. « J'ai voulu surtout vou
ut vous convaincre, disait à ses élèves le maître en terminant, que l' hystérie mâle, même l'hystérie grave, n'est pas. du moins
sait à ses élèves le maître en terminant, que l'hystérie mâle, même l' hystérie grave, n'est pas. du moins chez nous en France, u
e Jules Voisin, communication d'un cas particulièrement intéressant d' hystérie convulsive, chez un jeune homme de 21 ans, avec c
ation chez le soldat, et lui avait, dans le but de la distinguer de l' hystérie de la femme, appliqué la désignation de Tarassis.
'appliqua ù répandre les doctrines de l'Ecole de la Salpêtrière sur l' hystérie mâle. Les cas que l'on est appelé à rencontrer —
ertificats médicaux eux-mêmes incomplets. « Or, personne ne pense à l' hystérie , qu'il faut savoir rechercher, que l'on trouvera
e le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme sujette à l' hystérie . A l'âge de la nubilité, c'est-à-dire à la péri
t du reste aucun autre symptôme morbide, ni les stigmates connus de l' hystérie . Notamment, la sensibilité était normale partout.
taque hystéro-épilep-tique qui appartient a la catégorie de la grande hystérie ; seulement, elle ne présente pas les trois phase
a dormeuse présentera les signes de l'une des phases quelconques de l' hystérie . Et d'ailleurs — je peux bien vous en parler, pui
enez maintenant que l'attaque de sommeil est une forme de l'attaque d' hystérie , quoique assez rare. Comment vous comporter en pa
lpétrière, dans le courant de 1878, sur des sujets atteints de grande hystérie . Les recherches de la Salpêtrière, conduites av
it de 15 à 20. et au quart de 25 à 3o. En réunissant tous les cas d' hystérie développés depuis la naissance jusqu'à cet âge, o
erches anatomo-pathologiques, tentées jusqu'ici en vue de rattacher l' hystérie à quelque lésion, soit de l'utérus ou des ovaires
s deux éléments pathologiques — une affection génitale organique et l' hystérie , — la coïncidence est plus fréquente qu'entre l'h
ganique et l'hystérie, — la coïncidence est plus fréquente qu'entre l' hystérie et quelque autre maladie que ce soit. Selon Briqu
ations. L'élévation du rapport tient à ce qu'extrêmement fréquente, l' hystérie ne met d'ailleurs les femmes à l'abri d'aucune au
e qu'en soit la nature, de l'appareil génital. Sans affinité avec l' hystérie , cancers, squirrhes, fibrômes, tubercules, kystes
er? Onze fois sur vingt, la suppression brusque des règles engendre l' hystérie , au dire de Briquet. La chlorose, si commune au
nt interdit d'hypnotiser des sujets,ne présentant pas les symptômes d' hystérie confirmée. L'œuvre de James Braid trouva plut
les dyspeptiques ;guérison eu une séance. Mlle Z..., (pas de signes d' hystérie ), dont la sœur est hystérique, a eu au moment des
'âge de 15 ans, à la suite d'un violent orage, elle eut une attaque d' hystérie . Depuis i5 ans jusqu'à 22, les attaques se renouv
à l'état de veille. Je suis même convaincu que l'accès de la grande hystérie n'est lui-même qu'une variété d'hypnotisme; je n'
dentiquement la même chose. REVUE DE LA PRESSE Un ces curieux d' hystérie ; sensibilité des téguments au contact de l'or, —
e est un hystérique, et, comme tous les hystériques, il a. de par son hystérie même, la tendance à exagérer toutes choses, a êtr
) De ce que, chez l'un comme chez l'autre sexe, les désordres que l' hystérie fomente ont coutume d'éclater à l'âge de la puber
e se manifeste en toute évidence dans les circonstances que voici : l' hystérie engendre l'hystérie, et ce. dans la proportion fo
ute évidence dans les circonstances que voici : l'hystérie engendre l' hystérie , et ce. dans la proportion formidable de 5o pour
x. Toutefois, s'il est indiscutable que l'épilepsie soit un facteur d' hystérie moins puissant que l'hystérie même, l'aliénation,
table que l'épilepsie soit un facteur d'hystérie moins puissant que l' hystérie même, l'aliénation, sous ce rapport, occupe encor
statistiques démontrant la transformation de la folie des parents en hystérie chez les enfants sont en somme assez pauvres et l
res dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie ) ait pu accabler les générations dans le passe, l
iniment probable que, dans les cas de ce genre, le développement de l' hystérie a été favorisé par l'impressionnabilité très vive
s, c'est-à-dire étrangères à la personne, exercent sur la genèse de l' hystérie une action digne d'examen Et d'abord, que doi
nt de là, les auteurs ont subjectivement été induits à conclure que l' hystérie , en particulier, devait être plus fréquente que p
s, toujours sur le point de s'ébranler. Au rapport de Schleisner, « l' hystérie est une des trois maladies régnantes de l'Islande
na, écrit pour sa part Briquet, que dans la Pologne septentrionale, l' hystérie est assez commune et qu'elle sévit principalement
holm, d'après une lettre, ajoute Briquet, qu'il m'a écrite, dit que l' hystérie est très commune en Suède, chez les gens de la ca
de ces arides contrées sont marqués pour toutes les névroses, pour l' hystérie et l'épilepsie en particulier. Sans l'être auta
tant que dans l'extrême nord, dans les pays chauds, la fréquence de l' hystérie est grande. Médecin en chef de l'hôpital militair
ès nombreux. De son côté, Moty fait suivre une curieuse observation d' hystérie chez l'homme, qu'il a recueillie à l'hôpital mili
toxiques, monomaniaques, etc. » Chez la femme arabe, au contraire, l' hystérie a semblé à Moty moins fréquente et moins évidente
uve bornée par l'ignorance. » Sur la côte septentrionale d'Afrique, l' hystérie , à ses yeux, correspond à la torpeur intellectuel
de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez fréquemment prises d' hystérie et » qu'en raison des habitudes de galanterie qui
t des émotions de diverses espèces qui en sont la suite inévitable, l' hystérie y est fréquente, tandis qu'elle est moins commune
ctimes. Sur la question de savoir dans quelles parties de la France l' hystérie se; fait rare ou prédomine. Bordier. dans son cha
clins, il fournit plus d'un instructif document. En ce qui concerne l' hystérie , il en a observé deux cas chez des jeunes filles
uggestion, pas plus que les autres caractères dits somatiques. 3° L' hystérie n'est pas un bon terrain pour l'étude de l'hypnot
r cela seul qu'il ne constate pas chez la victime les caractères de l' hystérie , risquerait d'égarer la justice. 7° Tous les pr
préparés par l'exemple à la suggestion. Je trouve, en général, que l' hystérie , de même que les maladies mentales, est peu favor
IQUE Par le Dr Collineau (Suite) En somme, à un degré variable, l' hystérie est de tous les climats. Dans les pays froids, le
imats extrêmes, aux facteurs divers dont, par toutes les latitudes, l' hystérie est le produit. L'histoire de cette maladie fou
de Lebert, notant, dans le Valais et le Faucigny, la coïncidence de l' hystérie avec l'indigence, et un appauvrissement de l'écon
te que dans les classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d' hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hyst
emme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d' hystérie sans attaques sur sept; une femme très impression
e sur cinq. Il est très probable que le nombre des femmes atteintes d' hystérie sans attaques est proportionnel à celui-là ; de s
aques est proportionnel à celui-là ; de sorte que. bien évidemment, l' hystérie est moins commune dans les classes aisées que dan
les plus élevées que dans les classes moyennes. » On a avancé que l' hystérie était très rare dans les campagnes. Non; c'est la
ences: telles sont, à la ville comme aux champs, les générateurs de l' hystérie dépendant de la position sociale et du milieu.
'est le régime. Les doctrines erronées des anciens sur la nature de l' hystérie les ont entraînés, sur la question du régime alim
re de tels errements serait pernicieux. Entre les sujets atteints d' hystérie , une distinction s'impose. Les uns, à la vérité,
) Huckel : Die Rolle der Suggestion bei gewissen Frischeinungen der Hystérie und) des Hypnotismus- In-8°, 73 p. Iena. — Le rôl
73 p. Iena. — Le rôle de la suggestion dans certains phénomènes de l' hystérie et de l'hypnotisme. Sallis (de Bade) : L'hypnot
et tant d'autres médecins émi-nents dans leurs études cliniques sur l' hystérie , l'hypnotisme et le somnambulisme. Ce qui est v
e sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d' hystérie franche à la suite d'une contrariété. Enfin, une
elle assistait, cette personne a été prise de la plus forte attaque d' hystérie que j'aie jamais vue. Si elle n'avait jamais assi
ctions nerveuses. Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 cas d' hystérie observés chez les enfants par Briquet, et sur les
huit ans sont, par excellence, les candidats au mal caduc et à l' hystérie , à celui de la puberté. Dans 1 appréciation de
classement, en tant que condition prédisposante ou préservatrice de l' hystérie , de toute profession manuelle, de tout métier. Ma
lon la judicieuse remarque de Briquet, « toute cause prédisposant à l' hystérie doit, si elle a quelque puissance, amener la mala
fique (dangers de l'). 125. Hypnotisme officiel à Berlin (l'), 187. Hystérie (cas curieux d'. par Peter. 3o3. Hystérique (l'),
29 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ements incoërcibles depuis 10 mois, chez une jeune fille de 14 ans. — Hystérie . — Guérison rapide des vomissements après suggest
ires. qui sont sous la dépendance de la diathére nerveuse (épilepsie, hystérie , hypocondrie), ou arthritique ; 3° Les Phobies es
Lemoine, sur l'emploi des miroirs rotatifs dans la thérapeutique de l' hystérie . Nous avons eu aussi une observation très intér
st élevé à 161, comprenant en grande majorité des manifestations de l' hystérie , sous les formes les plus variées. En somme, la
e nocturne et diurne d'urine, la dyspepsie nerveuse, les attaques d' hystérie , etc., qui rentrent dans la catégorie des habitud
ET THÉRAPEUTIQUE 9e année. — n° 3. Septembre 1894 LES RAPPORTS DE L' HYSTÉRIE ET DE LA FOLIE (1) Par M. Gilbert Ballet, profe
Par M. Gilbert Ballet, professeur agrégé à la Faculté de Paris. « L' hystérie , a dit Esquirol, dégénère et passe souvent à la f
ultés intellectuelles, morales et affectives. Et maintenant, qu'est l' hystérie ? Tout le monde s'accorde aujourd'hui à la cons
et précise n'en est pas moins difficile à donner. Est-ce à dire que l' hystérie ne constitue pas une espèce morbide nettement dis
ité nosographique indiscutable; Si l'on est embarrassé pour dire où l' hystérie commence et où elle finit, on ne l'est cependant
Breuer et Freud, Pierre Janet). Le trouble mental élémentaire de l' hystérie paraît être un rétrécissement du champ de ta cons
s psychiques qu'on observe chez les hystériques ne dépendent pas de l' hystérie , très souvent associée à des maladies psychiques
hiques d'autre nature. C'est chose commune, en particulier, de voir l' hystérie se développer sur un fond de dégénérescence, d'où
scence, d'où juxtaposition fréquente des manifestations mentales de l' hystérie et des perversions instinctives, des syndromes ép
essaire d'envisager ceux ou celles de ces malades qui sont affectés d' hystérie pure, en dehors des tares de dégénérescence (P. J
e parait être un des traits de la dégénérescence bien plutôt que de l' hystérie . Au contraire, au premier rang des troubles pro
l'hystérie. Au contraire, au premier rang des troubles propres à l' hystérie , il faut noter la suggestibilité, la difficulté d
sait, constituent une manifestation paroxystique très habituelle de l' hystérie sont souvent précédées, accompagnées ou suivies d
z les hystériques, bien qu'ils soient, par leur nature, étrangers à l' hystérie . Ce délire des attaques, au moins dans les formes
es portant l'empreinte de la dégénérescence peuvent se juxtaposer à l' hystérie . 11 n'est pas une seule des formes de la folie qu
e avec ses délires propres, ceux des intoxications si communes dans l' hystérie , alcoolisme, morphinisme, co-caïnisme, des accès
ler plus particulièrement l'attention des membres du Congrès : 1o L' hystérie est-elle une maladie exclusivement mentale ? Défi
lle une maladie exclusivement mentale ? Définition psychologique de l' hystérie . Rôle du rétrécissement de la conscience dans la
ènes hystériques ; 2° Relations cliniques et psychologiques entre l' hystérie et la dégénérescence mentale; 3° Le caractère e
Congrès. Nous ne le pensons pas cependant. L'étude des rapports de l' hystérie avec la folie manquerait de base et perdrait à la
uleurs de tête habituelles, la dyspepsie nerveuse, les idées fixes, l' hystérie (surtout les accès hystéro—épileptiques et l'apho
onnalité, dédoublement de la conscience) et de leurs rappports avec l' hystérie , a provoqué un certain nombre de travaux habiles
ent rapide dans les fonctions psychiques qui est caractéristique de l' hystérie , ainsi que de la tendance pathologique de ces pat
ement de la personnalité. Dans son nouvel ouvrage : Neurasthénie et hystérie , Lowenfeld a donné place à une étude particulière
, d'après l'affirmation de l'auteur, ne présentait pas de symptômes d' hystérie . La comparaison d'écrits, datant réellement de l'
d'un médecin, complètement versé dans les phénomènes psychiques de l' hystérie , pour déchiffrer la forme symptô-matique, que par
ôwenpeld 17 s'occupe, dans un mémoire spécial, de la relation entre l' hystérie et la suggestion, que nous avons déjà mentionnée
nce et de la réflexion. Lowenfeld raconte que tous les symptômes de l' hystérie ne proviennent pas des idées et ne sont pas, en g
al, de cause psychique. Janet 18 regarde aussi comme symptômes de l' hystérie , une réceptivité particulière aux suggestions.
aboulique du délire du doute appartiennent à cette catégorie. Dans l' hystérie , l'aboulie n'atteint qu'une certaine catégorie d'
revue, décrit ses recherches chez les mêmes patientes: « Studien uber hystérie and suggestion » (Bonn, 1894,Paul). Dans sa disse
ouvons, par conséquent, regarder ces phénomènes comme des symptômes d' hystérie , provoqués par l'autosuggestion. Huit î8, ,et Rem
et des vomissements nerveux datant de cinq ans, dans un cas de grande hystérie . Mayeh 56 a présenté une patiente de 18 ans qui f
. Les résultats se rapportent à des cas d'épilepsie, de mélancolie, d' hystérie , de neurasthénie, de dipsomanie, de névralgie, d'
oxication par le plomb, illusion des sens, hémiplégie du côté gauche, hystérie , idées mélancoliques, accès de tremblement de cau
cette époque (elle avait alors 30 ans) qu'elle fit son entrée dans l' hystérie à l'occasion d'une émotion morale violente qu'ell
ressionnalité, il n'est pas rare de voir survenir sur eux des accès d' hystérie , d'épi-lepsie, etc., et des formes diverses de ma
ux époques de surexcitation religieuse du moyen âge, dépendaient de l' hystérie (Voir les Démoniaques dans l'art, 1887). Ses élèv
alpêtrière, 1894, ?1), est remonté plus haut et a étudié le rôle de l' hystérie dans les religions grecque et romaine (ménades en
rie dans les religions grecque et romaine (ménades en délire, accès d' hystérie à l'occasion des mystères et des fêtes). Nous-mêm
s). Nous-même avons recherché dans un travail publié ici le rôle de l' hystérie dans la genèse des miracles, nous appuyant sur le
er le rôle de l'hypnotisme dans l'histoire religieuse en général. L' hystérie explique à la fois : 1° Gomment peuvent se prod
es paralysies, les léthargies et tous les symptômes qui relèvent de l' hystérie ; 2° Le courage et l'insensibilité dont ont fai
au début du christianisme abonde en faits qui prouvent que souvent l' hystérie amena une insensibilité que l'on regardait comme
instants après, les blessures disparaissent. » Qui ne sait que dans l' hystérie les blessures saignent peu ou prou. Puis « elle s
ergique et calme des martyrs a dû souvent faire reculer les fauves. Hystérie et pratiques religieuses Abordons la troisième
ligieuses Abordons la troisième partie de cette étude, le rôle de l' hystérie dans les pratiques religieuses. Il n'est peut-ê
ges les plus grossiers jusqu'à la plus évoluée et la plus noble, où l' hystérie n'ait joué un rôle. Les recherches qu'ont faites
l'occasion de cérémonies analogues. A l'occasion des funérailles, l' hystérie joue souvent un rôle important. Si on ignore la c
indiquant que les fétiches seuls avaient frappé la morte. Parfois l' hystérie conduit les nègres à la lycantrophte et les incit
ion de la croyance à la véracité des rêves. Moyens de se procurer l' hystérie . — Les accès hystériques ne sont pas toujours fac
des imposteurs. Le plus souvent ils sont les premières dupes de leur hystérie . CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE La Société d hyp
but. Dans ce sens seulement, on peut parler d'opérer des guérisons d' hystéries , de neurasthénies. Nous sommes convaincus que l'a
s permet de diagnostiquer chez elle, avec une grande vraisemblance, l' hystérie à tendance erotique, qui est caractérisée au poin
res, mais chaque émotion plus forte provoque des troubles propres à l' hystérie erotique. Il me semble qu'Eusapia se prépare, p
ut pas oublier qu'on a dans les médiums des malades hystériques, et l' hystérie , comme on le sait, est souvent accompagnée d'une
ases, m'a semblé un état artificiel, ou tout au moins le produit de l' hystérie préexistante chez le sujet. Avec la suggestion
ué sur des personnes neurasthéniques et affaiblies par l'épilepsie, l' hystérie , etc., avait produit des accidents physiques et m
hystérique et suggestion. La polyurie survenant dans le cours de l' hystérie n'a été encore qu'assez rarement signalée : cepen
ister en dehors de tout autre stigmate, constituant ainsi une forme d' hystérie monosyraptomatique, et peut alterner ou se substi
t la paralysie agitante. M. Kliatschkine (de Kasna) décrit un cas d' hystérie qui ressemblait, à s'y méprendre, à la maladie de
caractère, est devenu franchement hystérique. M. Kliatschkine admet l' hystérie pure, simulant la maladie de Parkinson ; car s'il
e de la clinique sur l'expérimentation pathologique — où l'étude de l' hystérie entra dans une voie nouvelle et où les belles rec
jamais été malade, et ne présentant aucun symptôme se rattachant à l' hystérie ou à toute autre maladie du système nerveux. Le
cteur Félix Regnault. Nous avons montré, ici môme ((), le rôle de l' hystérie dans l'entretien de la foi religieuse. Allons mai
aintenant la parole est au directeur de l'Enseignement supérieur. L' hystérie à Madagascar. Sous ce titre, notre collaborateu
populations de ce pays, et qui, de toute évidence, n'est autre que l' hystérie . « Il existe ici, dit-il, une maladie étrange e
satisfaisant. Diagnostic différentiel des attaques d'épilepsie et d' hystérie . Par M. le D' Aug. Voisin A l'occasion de ma
nostic différentiel de l'attaque d'épilepsie avec l'accès convulsif d' hystérie . Je suis heureux de l'occasion qui m'est fourni
asse dans l'intervalle de mes visites. Ce signe n'existe pas dans l' hystérie . Les convulsions présentent en outre des caract
re un signe pathognomonique de l'épilepsie. Il n'existe jamais dans l' hystérie . Il est un autre ordre de signes des plus impor
(1), tandis que les hallucinations sont fréquentes après l'attaque d' hystérie , et les maisons d'aliénées renferment des malades
s. — Causes. — Sujets. — Hallucinations collectives: 4° Névroses. — Hystérie . — Extase. — Catalepsie. — Diverses manifestation
s. — Hystérie. — Extase. — Catalepsie. — Diverses manifestations de l' hystérie . — L'hystérie en médecine légale ; 5° Hypnotism
— Extase. — Catalepsie. — Diverses manifestations de l'hystérie. — L' hystérie en médecine légale ; 5° Hypnotisme. — Sommeil h
er le traitement de ces malades. Cette étude des idées lixes dans l' hystérie a commencé, comme vous le savez, avec les travaux
tent à généraliser cette conception relative au rôle des idées dans l' hystérie et emploient bien rarement, à propos de ces malad
Hysterie, » Nerven-klinick der Charité, oct. 1889. Jolly. — « Ueber hystérie beikindern. » Sonder Abdruck aus der Berliner kli
çon que le vertige fréquent dans la neurasthénie est fort rare dans l' hystérie . Aussi me semble-t-il intéressant de signaler le
équemment, elle voyait de nouveau sa couleuvre pendant les attaques d' hystérie . Les attaques ont disparu, mais l'hallucination d
père, elle eut sa première attaque convulsive. C'était une attaque d' hystérie indiscutable, qui se reproduisit ensuite très fré
idées fixes. Cette dissociation de l'esprit, que l'on constate dans l' hystérie , cet isolement de l'idée fixe en dehors du contrô
'une bonne santé. La menstruation était régulière, pas de symptômes d' hystérie . " A la face dorsale de Pavant-bras gauche, se tr
dmore, 185. Arrêt (le pouvoir d'), 308. Attaques d'épilepsie et d' hystérie (diagnostic différentiel des), par A. Voisin, 339
traitée par la suggestion, par A. Voisin, 304. Epilepsie et de l' hystérie (diagnostic différentiel de 1'), par A. Voisin, 3
, 124. Figuier (Louis), nécrologie, 100. Folie (les rapports de l' hystérie et de la), par Ballet, 65. Folklore, 246. Hac
hèses sur la physiologie des centres nerveux (Mathias. Duval), 240. Hystérie et de la folie (les rapports de 1'), par Ballet.
rts de 1'), par Ballet. 65. Hystéro-traumatisme chez le chat. 62. Hystérie et pratiques religieuses, 152. Hystérie à Madag
matisme chez le chat. 62. Hystérie et pratiques religieuses, 152. Hystérie à Madagascar (l'), par Cullerre. 317. Idées fix
30 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
877. BOURNEVILLE. HYSTÉR0-ÉP1LEPSIE ATTAQUES OBSERVATION I. Hystérie . Th. L..., dont nous allons rapporter l'histoir
des. Sommaire. — Antécédents. — Maladies de l'enfance. — Début de l' hystérie ; ses causes. — Hémianesthésie. — Hyperesthésie ov
; son influence sur les attaques et sur les symptômes permanents de l' hystérie . — Mort. — Autopsie. L...., Th., fleuriste, est
re muqueuse dont la convalescence fut longue. La première attaque d' hystérie est survenue en juillet 1871 dans les circonstanc
s. Seulement, pour être distinguées, les couleurs doi- Planche I. HYSTÉRIE : PHYSIONOMIE NORMALE vent être plus rapprochée
ue) ; le corps se couvre souvent de sueurs. Planche 11. ATTAQUE D' HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III. ATTAQUE D'HYSTÉRIE :
anche 11. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : lre PHASE Planche III. ATTAQUE D' HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 3e
Planche III. ATTAQUE D'HYSTÉRIE : 2e PHASE Planche IV. ATTAQUE D' HYSTÉRIE : 3e PHASE Bientôt la malade se réveille et ple
neville.—Recherches cliniques et thérapexitiques sur l'épilepsie et l' hystérie , Obs. xxiv, p. 99. I thyle arrêtent également
5 ; — en 1875, 34. Relation entre la menstruation et les attaques d' hystérie . — Dans ce cas, cette relation (l) La glace a
sur les attaques, fait connu, mais sur les symptômes permanents de l' hystérie : Yhémianesthésie et Yhyperesthésie ovarienne. No
ication des leçons que M. Charcot a consacrées à l'hystéro-épilepsie [ hystérie épileptiforme de Louyer-Villermay) que cette mala
t qui a duré dix minutes. Presque toujours, en 1875, les attaques d' hystérie avec crucifiement, se terminaient par du délire :
ies. Durant les quatre derniers mois de 1875, elle a eu 22 attaques d' hystérie et 18 accès d'épilepsie, c'est-à-dire que l'hysté
eu 22 attaques d'hystérie et 18 accès d'épilepsie, c'est-à-dire que l' hystérie prédominait; —durant l'année 1876, les accès (34)
le sur les attaques (15) et cette prédominance de l'épilepsie sur l' hystérie s'est accusée davantage dans le dernier semés tre
esthésie, ni sur sa diminution depuis que l'épilepsie l'emporte sur l' hystérie épileptiforme. Mais nous devons établir un parall
e dans nos Recherches cliniques et thérapeutiques sur fépilepsie et l' hystérie , p. 24. « Les bras sont rigides, étendus perpen
hez elle, encore plus que chez Madeleine, l'épilepsie l'emporte sur l' hystérie qui n'est là qu'à l'état d'ébauche. Voilà donc
n exemple, quelle est la triste destinée d^s malheureuses atteintes d' hystérie grave et pour montrer qu'elles méritent beaucoup
neville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur Vépilepsie et l' hystérie , p. 52. face est envahie par une pâleur extrême
.., dans nos Recherches cliniques et thé-rapeut. sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 144). approximativement aux apophyses épine
te un ensemble de phénomènes qui indiquent qu'elle est en puissance d' hystérie . Déjà aussi son caractère orgueilleux se décèle n
caractère orgueilleux se décèle nettement. Une fois née (17 ans), l' hystérie convulsive acquiert promptement une grande intens
, elles étaient liées intimement aux autres symptômes permanents de l' hystérie , anesthésie cutanée et hyperesthésie ovarienne. A
ions, t. ii, p. 49). là d'un accident qui, s'il est fréquent dans l' hystérie , ne lui est point particulier, car il n'est pas r
les phénomènes épileptiformes et ceux qui appartiennent en propre à l' hystérie . Nous avons rassemblé ainsi des éléments nombreux
limité durant (l) Briquet. — Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , p. 429. longtemps, le délire peut s'étendre, s
s puissante des différents phénomènes qui accompagnent les attaques d' hystérie ; ce sont elles, en effet, qui ont le plus souven
pilepsie. — Action de l'éther. — Métallothérapie. Si les attaques d' hystérie grave possèdent des caractères principaux communs
. — Description d'une attaque en 4871. — Symptômes perma-' nents de l' hystérie : Hyperesthésie ovarienne et hémianesthésie du cô
été consignés dans nos Recherches thérapeutiques sur l'épilepsie et l' hystérie (p. 107). 6 mai. — M... prend presque chaque jo
. R. 38°. (l) Voir page 14 et Recherches cliniques et thérap. sur l' hystérie , etc., p. 116. 24 non. — La contracture est per
celui de Geneviève (p. 75-90). II. — Les symptômes permanents de l' hystérie grave se composaient, à l'origine : Io d'une hype
e tremblement parait avoir été, ici, l'un des premiers accidents de l' hystérie (p. 113,124, 130, etc.); il se montre par accès,
jouer un aussi grand rôle, tout au moins, chez les femmes atteintes d' hystérie grave. Avons-nous décrit toutes les formes que
................................................. 1 Observation I : Hystérie ....................................... 2 Observ
.......................... 14 Observation III: Hystéro-Epilepsie et Hystérie .................. 33 Observation IV : Hysléro-E
ontracture ou épileptiformes, 108, 124, 127. Attitudes (Des) dans l' hystérie , 96, 155, 156. Aura, 7, 16, 60, 66, 93, 116 (V.
dialgie, 5, 0. Catalepsie, 134, 139, 154 (V.Extases). Causes de l' Hystérie , 4,14,34, 51,110. Cautékisation du col utérin a
93, 127.— Disparition de 1' — sousTinfluence ae la tuberculose, 11. Hystérie simple, 3. Htstéro-Epilepsie, 33, —diagnostic ent
me, 111. 136, 146. Opium, 123, 128, 153. Ovaires (Lésions des) dans l' hystérie , 11. P Pacte de silence, 103. Palpitations ca
Pharyngisme, 58. Possession, 19, 24, 26, 92, 95, 99. Prodromes de l' hystérie , 51, 90, 111, 112. R Rachialgie, 89, 143. R
, 152. Rétention d'urine, 83,89. S Sangsues, 117. Scrofule et hystérie , 4. Secousses, 58, 61, 62, 65, 72, 81, 85, 93,
, 54, 38, 59, 98, 126. T Température centrale dans les attaques d' hystérie , 9, 38,59, 115, 137. — Température des mains et
Trépidation, 139, 148. Tribadie, 146. Tuberculose pulmonaire dans l' hystérie ; son action sur les symptômes permanents, 11. T
ginisme, 111,114, 118,120, 134, 149. Vaso-moteurs (Troubles) dans l' hystérie , 05, 119, 150. Vision (Troubles de la) chez les
31 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
de celte dernière maladie, que s'aggravèrent tous les symptômes d'une hystérie déjà ancienne, sur laquelle vinrent se greffer de
due n'a pas seulement pour domaine les manifestations classiques de l' hystérie , mais qu'elle est encore — et avant tout peut-êtr
te do la grippe, de petites crises que le major prenait pour de l' hystérie . II me donna du bromure et, depuis, je n'ai jamai
le plus gravement atteint. Elles sont fréquentes, par contre, dans l' hystérie et même dans le simple nervosisme sans déterminat
Braid lui-môme. Suivant le professeur Béncdikt: « Certaines formes d' hystérie sont mieux traitées par les aimants que par l'éle
ravers les vêtements, sur la vertèbre sensible, d'un malade atteint d' hystérie , on voit les muscles se détendre graduellement, l
u bien complètement détournée. * En ce qui regarde la parenté entro l' hystérie et l'hypnotisme, Braid est d'accord avec l'Ecole
ité. B. • TRAVAUX ORIGINAUX Le traitement psychothérapique de l' hystérie infantile (') par M. le D' Edgar Bébillok. Ap
é acceptée sans conteste dans le traitement de toutes les formes de l' hystérie chez l'adulte. Par contre, l'emploi de ce procédé
l'adulte. Par contre, l'emploi de ce procédé dans le traitement de l' hystérie infantile soulève encore des objections d'ordres
a soulevées contre l'emploi de la suggestion dans le traitement de l' hystérie infantile sont les suivantes : « Vous allez créer
imée que ce tpaitement hypnotique n'ait pour effet de réveiller l' hystérie en puissance et de provoquer l'éclosion de nouvea
amais vu survenir à la suite de leur traitement le moindre symptôme d' hystérie . Cela est tellement vrai qu'à Nancy, où les malad
, où les malades ont été hypnotisés par milliers, la grande attaque d' hystérie n'existe pas. Les neurologistes les plus éminents
que de l'hypnotisme en arrivent à nier l'existence des stigmates de l' hystérie tels que les a décrits l'Ecole de la Salpêtrière,
t jamais. Partout où l'on s'occupe couramment d'hypnotisme, la grande hystérie , autrefois si commune, disparait et les malades d
n rencontre une malade chez laquelle survienne des crises complètes d' hystérie , avec l'arc do cercle et les convulsions toniques
qui consiste à accuser l'hypnotisme d'être un agent provocateur de l' hystérie , émane ordinairement d'un représentant de l'Ecole
bilité est, en fait, synonyme d'éducabilité. Toutes les formes de l' hystérie peuvent se rencontrer chez l'enfant, mais il est
t exceptionnel de constater l'existence des stigmates classiques de l' hystérie . L'hystérie convulsive chez l'enfant est aussi tr
el de constater l'existence des stigmates classiques de l'hystérie. L' hystérie convulsive chez l'enfant est aussi très rare, et
ultat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant assisté à des crises d' hystérie . Par contre, l'hystérie se révèle fréquemment par
rveuse, l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie. Par contre, l' hystérie se révèle fréquemment par l'apparition de trouble
ites filles, la coquetterie est également une des manifestations de l' hystérie précoce. En un mot, l'instabilité mentale des enf
riques semble calquée sur celle que présentent les adultes atteints d' hystérie vulgaire. L'éducation défectueuse joue dans l'é
emploi de la suggestion est nettement indique dans le traitement de l' hystérie infantile. Les cas dans lesquels l'indication a é
nt contrôlés, sont les suivants : 1® Les troubles symptomatiques de l' hystérie , associés ou isolés, tels que les tics, la choréc
rmettant de différencier les troubles fonctionnels qui dépendent de l' hystérie infantile de ceux qui relèvent de la dégénérescen
e ne mette son projet à exé-culion. La sensibilité est normale et l' hystérie hors de cause. Rien de spécial dans les appareils
e tremblement? Est-il hystérique ? Mais les stigmates classiques de l' hystérie font presque complètement défaut et l'on ne pourr
'empresse d'ajouter qu'il n'existe chez cette malade aucun symptôme d' hystérie . Les crises étaient si douloureuses, au début,
nécessaire. L'idée de suggestibilité ne serait pas associée â celle d' hystérie , et la doctrine de la suggestion ne serait pas ob
e .actuelle, les accidente névropathiques les plus divers: attaques d' hystérie nettement caractérisées, gastralgies nerveuses, c
OCIÉTÉS SAVANTES De l'incontinence d'urine dans ses rapports avec l' hystérie infantile {1). M. A. Cuilerre. — L'incontinence
t que cette affection est une manifestation appartenant en propre ù l' hystérie ou une prédisposition formelle à celte maladie.
Ia L'étiologic de l'incontinence d'urine ne diffère pas de celle de l' hystérie . Elle se développe toujours sur un terrain prépar
ie. Elle se développe toujours sur un terrain préparé par l'hérédité ( hystérie , alcoolisme, névroses, psychoses). Les causes occ
favorables à l'éclosion de l'incontinence d'urine aussi bien que de l' hystérie (maximum de fréquence : de 7 à 13 ans). 28 Môme
ts urinaires s'afflrme encore par la coexistence d'autres symptômes d' hystérie . Plus tard, cette incontinence du jeune âge peut
neurologistes (Toulouse 1897). puberté, la rapproche encore de l' hystérie au point de vue du pronostic. Quelquefois aussi,
ystérie au point de vue du pronostic. Quelquefois aussi, comme dans l' hystérie monosymptomalique, il y a des cxaccrbations persi
médecin. . 5° Enfin, la suggestion, si utile comme traitement de l' hystérie , guérît dans les trois quarts des cas l'incontine
e affinité étroite entre l'incontinence d'urine chez les enfants et l' hystérie . T,a moitié des jeunes incontinents est hystériqu
racuité de ce sens, à la période extatique et hypnotique de la grande hystérie , et dans la manie aiguë, tandis qu'il est affaibl
ques, elles sont monnaie courante du tabes, des folies toxiques, de l' hystérie , et aboutissent, en vertu souvent de mécanismes t
ou la dyschroma-topsie, le daltonisme de la folie alcoolique et de l' hystérie , que nous avons déjà mentionnés, se montrent parf
ons. Son calme habituel, l'égalité de son caractère excluent l'idée d' hystérie . Si les crises de larmes étaient sous la dépendan
e d'hystérie. Si les crises de larmes étaient sous la dépendance de l' hystérie , i! présenterait d'autres manifestations psychiqu
é bien réglée, un peu nerveuse, sans offrir toutefois des stigmates d' hystérie bien caractérisés ; n'a jamais eu d'enfants. Pas
de la Pitié les éludes sur l'action des métaux et des aimants dans l' hystérie . Ce fut aussi h la suite des rapports de la Com
76 pages, Alcan. Paris, 1897. Paul Sollier. — Genèse et nature de l' hystérie , 2 vol. in-8°. Alcan. Paris, 1897. 0. Amoedo. —
Hypnot.. III, 355. (5) Pierre Janet : Traitement psychologique de l' hystérie , dans le Traité de thérapeutique de Albert Itobin
a science profonde que Mesnet possédait des différentes variétés de l' hystérie . Dans la préface de cet ouvrage, Mesnet nous pr
e contracture constituent un des stigmates les plus sûrs de la grande hystérie . Ces contractures peuvent êlre localisées à un
fluence des lésions traumatises sur le développement des phénomènes d' hystérie locale. Mataaies du sysième nerveux. T. 1, p. 449
de la diathèse de contracture est assez sérieux. Il est l'indice de l' hystérie confirmée et l'accompagne assez souvent d'autres
expérimentant à la Salpôtrière, retrouva dans les crises de la grande hystérie les différentes phases de la possession et du dém
es divers de l'hypnose. 13 avril : (Congé de Pâques.) 20 avril: Hystérie . Etude clinique de. l'éjal mental des hystériques
avril: Hystérie. Etude clinique de. l'éjal mental des hystériques. L' hystérie et la médecine légale. 27 avril : Etude de la s
pnotique et suggestive au traitement des manifestations diverses de l' hystérie . 25 mai : La thérapeutique hypnotique et sugges
Les névroses convulslves. — Rôle de l'éducation dans l'étiologie de l' hystérie . — Le traitement psychothérapique de l'hystérie.
dans l'étiologie de l'hystérie. — Le traitement psychothérapique de l' hystérie . — L'hystérie mentale. — Action complémentaire de
ie de l'hystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L' hystérie mentale. — Action complémentaire de la suggestion
le jeudi, à 10 h. 1/2). OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Abriccssof. — L' hystérie aux il' et iS* siècles (étude historique et bibli
dence de M. Dumontpaluer. Rôle de l'éducation dans i'étiologie de l' hystérie infantile. Par le D* Kdgar Berillom. Toutes l
térie infantile. Par le D* Kdgar Berillom. Toutes les formes de l' hystérie peuvent se rencontrer chez l'enfant, mais il est
l'existence des slignates classiques de la névrose. Le plus souvent l' hystérie infantile se révèle par (apparition de troubles p
e exagérée, la minauderie, sont égalemrnt une des manifestations de l' hystérie précoce. En un mol, l'instabilité mentale et les
es semblent calquées sur celles que présentent les adultes atteints d' hystérie vulgaire. Certains auteurs ont cru qu'il fallai
uteurs ont cru qu'il fallait considérer comme des manifestations de l' hystérie les troubles convulsifs du premier âge. C'est ta
n plus précise que celles qui ont été fournies jusqu'à ce jour. L' hystérie convulsive chez l'enfant est très rare, et comme
ultat d'une contagion nerveuse, l'enfant ayant été témoin de crises d' hystérie . L'observation suivante vient démontrer, d'une fa
ouir dans lu production des troubles hystériques chez les enfants : Hystérie convulsive che\ une petite fiille de neuf ans. —
re est très nerveuse. Elle a présente longtemps de grandes attaques d' hystérie dont elle no nous a pas parlé lorsqu'elle nous a
ncipaux termes : (1) Bùiullon : Le traitement psychothérapique de l' hystérie infantile. — Comptes reytdus du Congrès des alièn
is pu observer chez l'enfant. L'enfant, témoin des grandes crises d' hystérie de la mère, les reproduisait fidèlement. Elle éta
ives chez l'enfant, mais aussi à celle des autres manifestations de l' hystérie . Ce double succès s'est maintenu. L'éducation d
s., s' Ed., ii. 13. (2) Pierre Janet: Traitement psychologique de l' hystérie , dans le Traite de tlié-rapeutique de Albert Robi
jamais le nervosisme, cette souche commune de la neurasthénie et de l' hystérie . Mais elle penchait vers la 1. Nécrolope de Por
t psycho-physiologique. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Abricossof. — L' hystérie aux tlc et 18e siècles (étude historique et bibli
ementation de l'hypnotisme ; 3. Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie ; 4. Les applications de l'hypnotisme à la théra
mouvements spasmodiques, — bégaiement, — neurasthénie, — psychoses, — hystérie , — amblyopieet sunrdité nerveuses, — alcoolisme c
des Beaux-Arts, est l'auteur d'un travail considérable sur la grande hystérie et le grand hypnotisme, ainsi que d'études fort r
ie et le grand hypnotisme, ainsi que d'études fort remarquables sur l' hystérie dans l'art. NECROLOGIE M. Auguste Voisin. N
, éditeur, 104, boulev. Saint-Germain. Prix : 1 fr. Abricossop. — L' hystérie aux il* et ÎS" sièdes (étude historique et biblio
76 pages, Alean. Paris, Î897. Paul Sollier. — Genèse et nature de l' hystérie ^ 2 vol. in-8°. Alean. Paris, 1897. Cesare Lombr
ntracture, par le Dr Bériilon, 280. Education dans l'étiologie de l' hystérie infantile (rôle de 1'), par le D'Bérillon, 318.
téro-neurasthénie. suggestion sans hypnose, par le Dr Valentin, 11. Hystérie infantile (rôle de l'éducation dans l'étiologïe d
ôle de l'éducation dans l'étiologïe de 1), par le Dr Bérillon, 318. Hystérie infantile (le traitement psychothérapique de l'),
ile (le traitement psychothérapique de l'), par le Dr Bérillon, 68. Hystérie infantile (de l'incontinence d'urine dans ses rap
r Dumontpallier, 282. Incontinence d'urine dans ses rapports avec l' hystérie infantile, par le Dr Cullerre, 152. Inhibition
, par le Dr van Ron-terghem, 154. Traitement psycho-thérapique de l' hystérie infantile (le), par le Dr Bérillon, 68. Trouble
32 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
copie, Métallothérapie, Hypnotisme, etc. ÉTUDES PHYSIOLOGIQUES DE L' HYSTÉRIE 213 1. Études physiologiques de l'hystérie.
PHYSIOLOGIQUES DE L'HYSTÉRIE 213 1. Études physiologiques de l' hystérie . — Action des applications métalliques, des aiman
re partie ou mé-tallothérapie serait l'application au traitement de l' hystérie des données fournies par la première. Ici, outre
ude comparative de certains faits de métalloscopie, d'hypnotisme et d' hystérie . (Voir Gamgee, professeur de physiologie àOwen's
é la métallothérapie. « L'anesthésie est un phénomène commun dans l' hystérie ; parfois même tout un côté du corps est frappé.
ié. L'application des métaux a réussi absolument comme dans les cas d' hystérie ; seulement la persistance de la sensibilité a ét
tement caractérisées; je réponds des résultats obtenus. « Les cas d' hystérie que j'ai examinés sont des cas parfaitement établ
otion du jaune et du bleu s'est éteinte. « Lorsque la guérison de l' hystérie a lieu, les achromatop-siques recouvrent la notio
hémianesthésiques, antérieurement, mais qui n'ont pas de symptômes d' hystérie anesthésique, l'application, sur la partie ancien
pie. Tous ces caractères de l'achromatopsie ne sont pas propres à l' hystérie . On sait qu'à la suite de lésions de la partie po
es qu'il a faites à la Salpêtrière sur dos femmes atteintes de grande hystérie . Ces malades sont les mêmes qui ont servi à M. Ch
ent l'emploi, cle la métalloscopie et cle la métallo thé-rapie dans l' hystérie , bien que, d'après M. Burq, elles soient applicab
l qui réussit le plus communément à modifier certains phénomènes de l' hystérie , c'est-à-dire le fer, d'après M. Burq ; on passe
lief les Cuarcot. Œuv. compl. t. ix, Hypnotisme. 16 phénomènes de l' hystérie restés latents. Par la métallos-copie, dans les c
e la métallotliérapie, c'est à-dire du traitement par les métaux de l' hystérie grave. C'est ici que commencent les difficultés s
. Autrefois, dans ses premières études, voici comment il traitait l' hystérie . Après avoir reconnu qu'une malade était sensible
une quinzaine de jours, que la plupart des phénomènes permanents de l' hystérie s'atténuaient ou même disparaissaient. 11 y avait
et sujette aux grandes attaques depuis trois ans. C'est toujours de l' hystérie grave (hysteria major), qu'il s'agit, ce n'est pa
de l'hystérie grave (hysteria major), qu'il s'agit, ce n'est pas de l' hystérie vulgaire (hysteria minor). Mais qui peut le plus
n parvenait à guérir les formes graves, on réussira à fortiori dans l' hystérie vulgaire. L'hémianesthésie à droite, ainsi que
sujet principal de notre conférence, bien qu'il ne s'agisse plus de l' hystérie . L'hémianesthésie hystérique n'est pas la seule
recherches depuis longtemps entreprises par M. Charcot sur la grande hystérie « hysteria major. » Une connaissance plus approfo
d'après les symptômes qu'il rapporte, était manifestement atteinte d' hystérie , il eut l'idée d'approcher d'elle un aimant. Les
l'amélioration de tics douloureux et de diverses manifestations de l' hystérie . De 1780 à 1829, nous ne trouvons rien sur le s
on summum dans certaines maladies, en tête desquelles il faut citer l' hystérie , Fataxie, le diabète. Les effets produits par l
ept mois et qui avait résisté à tout l'arsenal de la thérapeutique. L' hystérie , chez elle, n'avait jamais été accompagnée de con
oprement dites. La découverte de ces lois vous montrera enfin que l' hystérie n'est pas une de ces inconnues où l'on voit tout
plaise aux sceptiques et aux hyslérophobes, ce n'est pas un roman : l' hystérie a ses lois. VIL Phénomènes divers de l'hystér
udier aujourd'hui (1) le plus important des accidents permanents de l' hystérie , hysteria major, ou hys-téro-épilepsie. Nous rapp
, cette étude constitue, assurément, un grand côté de l'histoire de l' hystérie , et nous ne devons pas oublier que nous sommes mé
ité, à. Anesthésie. — Ces troubles sont les accidents permanents de l' hystérie , les plus 1. Leçon du 10 novembre 1878, résumée
ysés. Ces phénomènes ne sont, d'ailleurs, pas l'apanage exclusif de l' hystérie , comme le pensait autrefois Briquet ; j'ai démont
ce côté droit aussi qu'apparaîtront les divers autres phénomènes de l' hystérie : aura, contractures, douleur ovarienne, etc. Si
ore inconnus dans leur essence même. Ils existent dans tous les cas d' hystérie ; et, mis en présence d'une hystérique qu'il n'a
nc hypéresthésie de ce côté du corps. C'étaient là des stigmates de l' hystérie ; bien qu'il n'y ait pas eu antérieurement d'attaq
n'est pas indispensable au diagnostic, j'affirmai que c'était là de l' hystérie et que la guérison surviendrait spontanément, et,
s, etc. Avec le cochon d'Inde, nous avons toujours échoué. VI. De l' hystérie dans l'art. — Nous nous proposons, mon collaborat
mon collaborateur M. Ri cher et moi, d'étudier cette question : de l' hystérie dans l'art. Je termine cette conférence en vous m
guérissant une démoniaque. Nous remarquons ici une antre phase de l' hystérie : c'est une véritable attaque d'hystérie ; la dém
ons ici une antre phase de l'hystérie : c'est une véritable attaque d' hystérie ; la démoniaque déchire ses vêtements, et ses mem
C'est la pho-tographie la plus fidèle des contorsions d'une attaque d' hystérie » IX. Études physiologiques sur l'hypnotisme c
ant l'hypnotisme ont toujours porté sur des sujets atteints de grande hystérie (hys-téro-épilepsie, hysteria major). C'est d'ail
ation plus récente (Etudes cliniques sur thystéro-êpilepsie ou grande hystérie , 1881.) Le D1' Regnard qui contribua aux premiè
ant signalés en passant dans un ouvrage de l'un de nous sur la grande hystérie (1). Depuis le commencement de l'impression de
L'hypnotisme, tel qu'il s'observe chez les sujets atteints de grande hystérie , et c'est sur de semblables sujets qu'ont porté n
attributs les plus caractéristiques. De même que l'étude de la grande hystérie (hystéro-épilepsie à crises mixtes) peut être d'u
grand secours pour la compréhension et l'éclaircissement de la petite hystérie ou hystérie vulgaire ; de même l'étude des faits
s pour la compréhension et l'éclaircissement de la petite hystérie ou hystérie vulgaire ; de même l'étude des faits si précis et
e que l'hypnotisme ainsi considéré chez les sujets atteints de grande hystérie , ou autrement dit, que le grand hypnotisme ne con
-tii££ede_ rUùlCUéL (' )- Elle se rencontre d'ailleurs en dehors de l' hystérie , et elle a reçu diverses dénominations : Contract
tracture, au même titre que les autres symptômes dits permanents de l' hystérie , se développe spontanément, sans cause appréciabl
rée produiront la contracture. Eh bien ! on peut admettre que, dans l' hystérie , il y a un état purement dynamique des filets du
insi comment, à la suite de la moindre excitation périphérique dans l' hystérie , comme dans le cas de lésion organique, et plus e
ces du cas, les seuls caractères diagnostiques sont, en effet, pour l' hystérie : 1° L'intensité même de la contracture, rarement
e jeune malade, des accidents dont elle a souffert. Les débuts de Y hystérie se manifestent, en janvier 1886, par une parésie
contractures n'a pas disparu. C'est une guérison de l'accident de l' hystérie locale ; ce n'est pas une guéri son de la maladie
les indications et les contre-indications de l'hypnotisation clans l' hystérie : voilà un sujet qui nous occupera certainement q
ions théâtrales du soiimanibulisiiie, provoquer, semer le levain de l' hystérie à Turin, à Milan et dans nombre de villes encore
. Je vous rappellerai, messieurs, qu'il y a dans le traitement de l' hystérie deux parties, deux éléments distincts et du reste
mmuniquer quelques résultats nouveaux, relativement non-seulement à l' hystérie , mais encore à bien d'autres affections du systèm
, de relever, messieurs, que l'électricité statique, en dehors de l' hystérie , nous a paru apte à rendre de grands services dan
ropos que les muscles de la face sont, dans l'hypnotisme comme dans l' hystérie , soumis à d'autres lois que les muscles des membr
urnir une observation probante de paralysie flasque de la face dans l' hystérie , tandis que du côté des membres, ces paralysies s
Charcot, au mois de Juin 1885. Elle présente tous les stigmates de l' hystérie (hémianesthésie sensitivo-sensorielle, rétrécisse
périodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. — Les attaques d' hystérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une
. M. Bernheim, en effet, ne paraît guère prendre comme critérium de l' hystérie que la crise, et semble négliger complètement les
t une manifestation névropathique qu'il est permis de rapprocher de l' hystérie . Tout d'abord, j'insisterai encore une fois sur
s grandes formes de l'hypnotisme peuvent se rencontrer en dehors de l' hystérie ; la coexistence de ces deux états n'est donc qu'
tre pourtant bel et bien hystérique. 11 faut donc, avant de rejeter l' hystérie , rechercher avec soin tous les stigmates de cette
it d'affirmer que te sujet n'est pas hystérique. Ne sait-on pas que l' hystérie se traduit parfois par une manifestation unique,
ique, la contracture d'un membre, le mutisme par exemple ? c'est là l' hystérie locale ou monosymptomatiquc. Il est de règle en p
malade l'existence de quelques phénomènes qu'on puisse rapporter à l' hystérie , et il est souvent possible de prouver ainsi par
heim, en présence d'un sujet mâle rejette donc à priori l'hypothèse d' hystérie . Or, ne sait-on pas aujourd'hui surtout depuis le
aujourd'hui surtout depuis les travaux récents de notre maître que l' hystérie est très fréquente chez l'homme ? Il s'ensuit que
s tous les cas, que les hypnotiques dont nous parlons sont entachés d' hystérie . Eh bien ! cette coexistence de l'hystérie et de
us parlons sont entachés d'hystérie. Eh bien ! cette coexistence de l' hystérie et de l'hypnotisme est une première preuve en fav
semble, avons-nous dit, qu'il y a une parenté entre l'hypnotisme et l' hystérie . Voici des arguments qui plaident dans ce sens :
les plus importants, la contracture léthargique appartient aussi à l' hystérie . Bien souvent on peut, en effet, chez un hystériq
elui qu'on peut observer entre les divers accidents qui relèvent de l' hystérie . Nous avons vu plusieurs fois des attaques hystér
ancé, les grandes formes de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l' hystérie ,dont elles paraissent être une émanation. En ce
ie. métallothérapie. hypnotisme, etc. I. Etudes physiologiques de l' hystérie . — Action des applications mé- talliques, des a
métallothérapie................... 224 Troubles de la vision dans l' hystérie . — Action de la métallothérapie .................
494 ; —expériences thérapeutiques, p. 497 ; — dans le traitement de l' hystérie , p. 499. Electrique (Excitabilité) du muscle pe
1'—, p. 476: — dangers des représentations publiques d' ?—. p. 479. Hystérie dans l'art, p. 298. I Induction, p. 271. L
33 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ui lui appartient de par son origine. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L' HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. - TROUBLES DE LA'SENSIBILITÉ CHEZ
regretté maître protestait contre l'opinion qui voulait faire de l' hystérie une maladie propre à la femme. Il affirmait qu'
ù on oubliait, avec ce nom de Beau, ses études très complètes sur l' hystérie chez l'homme, j'observais avec intérêt tout ce
cette question. J'ai d'abord reconnu, comme le disait Beau, que l' hystérie chez l'homme n'est pas rare, avec cette réserve
les cas complets présentant toutes les grandes manifestations de l' hystérie sont moins communes chez l'homme que chez la fe
observation en 1875. C'était un jeune homme d'une trentaine DE L' HYSTÉRIE CHEZ L HOMME. 17 d'années, qui avait un petit p
de l'examiner eut devant moi, dans mou cabinet, le plus bel accès d' hystérie que l'on puisse imaginer. La'sensation de boule
t des attaques d'hysté- rie; sa mère avait également des attaques d' hystérie et une grande bizarrerie de caractère. Le père
on de le soigner à nouveau. Ce sont là, sans contredit, des faits d' hystérie très complète dont les phénomènes ont été gross
nt étudiés, je l'accorde, et ne diffèrent pas de ce que l'on DE L' HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 19 observait en général chez les
l est presque impossible de les distinguer l'une de l'autre. Si l' hystérie de l'homme s'observe si nette, si com- plète, o
en plus fréquentes encore. Parmi les manifestations limitées de l' hystérie , il y en a une qui devait appeler mon attention
as que cela ait jamais été fait, mais je suis bien convaincu DE l' hystérie CHEZ l'homme. 21 qu'on trouverait parmi eux des
s une impression morale vive suspend la sensibilité; je fais DE l' hystérie CHEZ l'homme. 23 remarquer aussi qu'il y a des
qu'on a tant étudié chez nous depuis peu et dont la parenté avec l' hystérie est reconnue. Même, comme je le dirai plus loin
ations indigènes du nord de l'Afrique etbeaucoup d'Orientaux DE l' hystérie CHEZ L'HOMME. 25 s'accordent à dire que la doul
ystème nerveux si excitable est encore à la merci d'une ali- DE l' hystérie CHEZ l'homme. 27 mentation qui n'est même pas c
serait bien intéressant de savoir d'une façon exacte si chez eux l' hystérie de l'homme est pluscom- mune que chez nous. D'a
ment chez eux-mêmes une série de phéno- mènes caractéristiques de l' hystérie , une véritable hys- térie artificielle. J'ai ob
importance et qui méritent d'être étudiées.méthodique- ment. L' hystérie a toujours joué un rôle important dans les mani
mpliqués ne se produisent guère qu'à la fin de la séance. Au DE l' hystérie chez l'homme. - 29 début, on en fait peu à la f
-heure, et souvent beaucoup plus, les exercices commencent. DE 1, hystérie CHEZ L'HOMME. 31 Mais d'autres éléments de prép
s'in- terrompt, choisit des exercices, parle même aux spec- DE l' hystérie CHEZ l'homme. 33 tateurs. Toutefois, il arrive
bord, finit par vous envelopper, vous entraîner, vous donner DE l' hystérie chez l'homme. 37 une sorte de vertige contre le
'Ais- saoua. Ils vous signalent les progrès des gens qui ont DE l' hystérie CHEZ l'homme. 39 débuté depuis peu. J'ai eu, à
avec plus de violence. Il est, en somme, atteint d'un état aigu d' hystérie artificielle, pendant laquelle il jouit d'une i
les. Au point de vue de leur invulnérabilité, que valent les DE l' hystérie CHEZ l'homme. 41 exercices des serpents et du s
un peu mieux conservée chez eux que chez les individus en attaque d' hystérie vraie. Mais cette conservation de la conscience
eur, un autre vendait des poteries, etc., etc. Seulement, on de l' hystérie chez l'homme. 43 rencontre dans le même groupe
Ais- saouas. On les retrouve en plusieurs contrées. En eau- DE L' HYSTÉRIE CHEZ L HOMME. 45 sant avec le regretté Bastien
e terminent par des cris, des convulsions, de véritables attaques d' hystérie . Ces pra- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE. - DE L'HYSTÉR
n que, chez eux, on compléterait d'une étonnante façon l'étude de l' hystérie chez l'homme. On expliquerait ainsi bien des fa
s que llomberg a relatées en entier dans son Traité sont deux cas d' hystérie . Cornitis montant vicentini noui medicorum ceus
ur aujourd'hui par l'école de la Salpêtrière, dans les études sur l' hystérie , et M. Ba- binski a fait cette année même une c
observe la dispari- tion du sens musculaire, en particulier dans l' hystérie 2, ' Voir la traduction de ce travail par : \1.
pas le phéno- mène du transfert, comme cela se voit souvent dans l' hystérie . Chez le malade dont il est question on n'a obt
pas modifiée. M. Adamkiewicz écarte, à cause de cela, l'hypothèse d' hystérie . Il s'agit par conséquent ici d'une lésion des
damkiewicz se fonde, comme on le voit, pour rejeter le diagnostic d' hystérie sur les motifs suivants : 1° absence de stigmat
rd on peut se demander si réellement dans ce cas tout stigmate de l' hystérie faisait défaut. En effet, en ce qui concerne le
le rétrécissement du champ visuel constituant des caractères de l' hystérie d'une impoitance fondamentale, il eût été bon de
une raison suffisante pour rejeter catégorique- ment l'hypothèse d' hystérie ? Non certainement. Ne sait-on pas que cette né
me, de hoquet, qui sont, à n'en pas douter, sous la dépendance de l' hystérie , et qui constituent ses seules mani- festations
oit possible d'observer chez les malades aucun stigmate. C'est là l' hystérie monosymptomatique. Je crois aussi utile de fair
les troubles trophiques. Du reste, c'est une erreur de croire que l' hystérie soit à l'abri d'altéra- tions nutritives. L'amy
tions nutritives. L'amyotrophie elle-même peut se développer dans l' hystérie et atteindre même de fortes proportions. En ce
, la sudation excessive, ce sont là des phénomènes vulgaires dans l' hystérie . Arrivons enfin J'anesthésie, Les caractères so
u'il n'y a pas un seul argument permettant de rejeter l'hypothèse d' hystérie . Voyons maintenant si le diagnostic porté par M
une modification dynamique du système nerveux, à une névrose, à l' hystérie . - Mais l'opinion que nous émettons ne prête-t-el
thésie analo- gue à l'anesthésie hystérique, mais indépendante de l' hystérie ? Si l'on soutient une pareille thèse, il faut,
us naturel de considérer les cas de cet ordre comme appartenant à l' hystérie et en constituant simplement une va- riété qu'o
rie et en constituant simplement une va- riété qu'on peut appeler l' hystérie locale, ou l'hystérie mono- symptomatique suiva
simplement une va- riété qu'on peut appeler l'hystérie locale, ou l' hystérie mono- symptomatique suivant l'expression de M.
connaître que ce cas d'ânes. thésie doit rentrer dans le cadre de l' hystérie '. Babinski. II. Surdité verbale, APIIÉ ! 11 ?
elle des gens qui puissent de bonne foi contester que possession et hystérie soient synonymes ? S'il s'en trouvait la lectur
hystéro- épileptiques et qu'à ce point de vue les caractères de l' hystérie dans les siècles passés ne diffé- raient en r
st inspiré le peintre n'é- tait autre qu'un sujet atteint de grande hystérie , et ce n'est pas une des moindres preuves do la
d'amener tous les phénomènes considérés comme caractéristiques de l' hystérie ; et cela, non seu- Archives, t. XIV. 42 178 p
ncore incomplètement connues, et qui, bien que liées intimement à l' hystérie , pourraient être au premier abord facilement mé
De la contracture hystérique traumatique. Tl.1886. Quinqueton. De l' hystérie chez l'homme, 1886. 3 Bataille. Traumatisme et
e des monoplégies bra- chiales hystériques. Thèse 1887. 5 Berbcz. Hystérie et traumatisme. Thèse de Paris 1887. DES MONOPL
présence constante, avec fort peu de variantes, des stigmates de l' hystérie . A côté du fait matériel de la paralysie, on re
paralysie partielle est manifestement consécutive à une attaque d' hystérie bien caractérisée. Dans ces conditions, l'impot
L'interprétation de ce fait ne laisse ici aucun doute. L'attaque d' hystérie ouvre la scène, entraîne à sa Fig. 12. DES MO
poignet gauche, qui détermine, en même temps que des phénomènes d' hystérie générale, une paralysie partielle sensitivo- mo
es trois cas que nous venons de passer en revue, les stigmates de l' hystérie étaient assez accen- tués pour permettre sans h
es ; aucun des stigmates, en un mot, qui indiquent l'existence de l' hystérie . Au point de vue de ses antécédents personnels,
chez ,'a malade de Lombroso. Ailleurs, le traumatisme éveille une hystérie grave, avec perte de connaissance, anesthésie d
douloureuse du poignet, que portait la malade de M. Charcot, mais l' hystérie se révèle par ses stigmates habituels. Enfin, l
ée au physique et au moral. Elle ne présente aucun signe apparent d' hystérie , pas de douleurs ovariennes ni de points d'hy-
ocalisée au dos de la main. Néanmoins, M. Adamkiewicz n'admet pas l' hystérie chez sa malade ; il repousse ce diagnostic, par
e ; il repousse ce diagnostic, parce que les signes géné- raux de l' hystérie manquent, et à cause des troubles trophi- ques
cinq jours; amnésie. Le mémoire n'est pas encore fini. P. K. V. L' HYSTÉRIE dans l'armée ; par le Dr Em. DUPONCHEL. (Rev. d
E dans l'armée ; par le Dr Em. DUPONCHEL. (Rev. de méd., 1886.) L' hystérie occupe actuellement dans la neurologie générale d
el en cite plusieurs exem- ples. La connaissance des stigmates de l' hystérie permet aujour- d'hui d'éviter de semblables err
Au point de vue de la médecine légale militaire, l'existence de l' hystérie soulève une importante question. Il conviendrai !
d'exemptions en y faisant figurer l'hys- térie, mais tous les cas d' hystérie mâle ne paraissant pas a priori absolument inco
ail inspiré par M. Debove, l'auteur étudie une ma- nifestation de l' hystérie qui, jusque dans ces derniers temps, bibliograp
ésiogènes ou de la suggestion. Dans les autres cas, les signes de l' hystérie se montrent en toute évidence. Une seconde séri
; les sujets frappés n'offrent point à première vue les signes de l' hystérie et le diagnostic de l'apoplexie organique sembl
nit les apoplexies de l'hysté- rie symptomatique, c'est-à-dire de l' hystérie qui survient dans le cours des intoxications :
tes les formes de l'ictus apoplectique peuvent être réalisées par l' hystérie , depuis le simple étourdisse- ment jusqu'à la g
de l'hémi-anesthésie sensitivo-sensorielle dans le diagnostic de l' hystérie , l'influence des intoxications sur le développe
evra Archives, t. XIV. 20 306 BIBLIOGRAPHIE. être fait d'avec l' hystérie , la sclérose en plaques, l'atrophie mus- claire
t BKICON. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, ? hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des épile
s enfin comparer les deux ordes de symptômes. I. L'étiologie de l' hystérie est banale et classique chez F... L'hérédité es
dultère, le procès, la prison, les métrorrhagies et la cellule... L' hystérie se déve- loppe graduellement et éclate bruyamme
qui n'étaient pas hystériques antérieurement (j'entends la grande hystérie , à attaques franches, et non l'hystéricisme ou
sommeil provoqué ? Exactement et tout simplement ceux des crises d' hystérie spontanée, présentées par notre malade, déjà av
pro- duisent simplement et fidèlement leurs attaques spontanées d' hystérie antérieure (ces attaques ayant des caractères d
nt, chez ces malades, la simple provocation et reproduction de leur hystérie sponta- née. Cette manière de voir est du res
dire que l'hypnotisme en général est une névrose artificielle, une hystérie provoquée. Si le sujet sur lequel on développe
opathe, mais elle-même n'a jamais présenté aucun des stigmates de l' hystérie . G. D. 410 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
APHIE. X. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des épil
6 ; re- cherches cliniques et thérapeuti- ques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, par Bourneville, Isch Wall, Bau
par Bidon, 407. Hvdrocéphalie chez un adulte, par 1'oppin, 112. Hystérie (étude de 1' chez l'hom- me), par I. Lucas-Cham
34 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Congrès des médecins alié- nistes et neurologistes, 1905. Dupouy. Hystérie avec hémianes- thésie sensitivo-sensorielle gau
de tout phénomène convulsif. parler, par analogie, d'épilepsie ou d' hystérie alcooliques (Francotte). La connaissance des ex
ffacé de ces quelques jours. Ce malade ne présente aucun stigmate d' hystérie ou d'épilep- sie ; on ne relève dans ses antécé
our se prêter à une analyse utile. R. M. C. V.- Les rapports de l' hystérie et de la folie; par F. W. EDRIDGE GREEN. (The J
ravail se résume ainsi : non seulement il n'y a entre la folie et l' hystérie aucune ligne de séparation nette, mais il y a bea
aration nette, mais il y a beau- coup de cas qui seront qualifiés d' hystérie par tel médecin et de folie par tel autre : l'a
ette opinion s'applique particulièrement aux cas qui débutent par l' hystérie pour finir par la folie. Il est remarquable que
ent aliénés, perdent beau- coup des symptômes caractéristiques de l' hystérie ; les crises hysté- riques notamment disparaisse
-même. R. de Musgrave CLAY. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. Hystérie infantile, avec hallucination; pal' AItSUlOLES.
énomènes cliniques.. Les trois leçons suivantes sont consacrées à l' hystérie ; ce sont : « Spasme tonique du diaphragme d'or
hystérique sans gra- vité. ' - L. Wahl XXI. Pathogénie d'un cas d' hystérie liée à une tumeur céré- belleuse; par le Pl BER
s obsédantes qui se rencontrent dans certains états pathologiques. ( Hystérie , état épileplique. Ce sont des hallucinations v
au moins proche parente des psychoses), l'insomnie, les attaques d' hystérie , les troubles de la circulation, les altération
rauma- tisme surl'alfection médullaire. Ptosis paralytique dans l' hystérie . 111. W uvlNr..nd cn caplurtcylcux ca clur tler
I)r AntUcaume, de Paris. 6) Neurologie. Déli- nition et nature de l' hystérie . Rapporteurs : ;\1. le D'' Claude, de Paris. ;\
EVILLE. Recherches cliniques et thérapeu- tiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
. Valeur de la rééducation de l'attention dans le traitement de l' hystérie . M. Paul MAGNtN. Il ne suffit pas pour guérir l
é. Une telle prétention est en contradiction avec le fond même de l' hystérie , qui est caracté- risée avant tout par une faib
nt particulière- ment dignes d'attention. L'épilepsie, la chorée, l' hystérie , les psy- choses convulsives (formes morales et
folie, à l'épilepsie, ou au crime, à l'ivrognerie, à la chorée, à l' hystérie , peut- exister, plus ou moins, tout entière chez
1'll. Recherches cliniqu-si et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, t. XXV, par BOURNEVILLE, avec la co
Série. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 - (Théorie ph
;QA , , Par le 1l° Pnu. SOLLII ? R. La question de la nature de l' hystérie est plus que jamais à l'ordre du jour. On en es
Je voudrais revenir aujourd'hui sur la théorie physio- logique do l' hystérie , telle que je l'ai exposée pour la première foi
ai exposée pour la première fois en 1897 dans Genèse et nature de l' hystérie (1), et qui est basée sur l'association de l'ét
erprétations psychologiques qu'on a pro- posées pour expliquer et l' hystérie en général et ses di- vers symptômes en particu
indifférence du sujet à cette paralysie. Comment les partisans de l' hystérie maladie psychique vont-ils l'ex- pliquer ? L'
e phénomène psychologique lui-même ? D'ailleurs, les partisans de l' hystérie maladie psychique 'par représentation se divise
l'idée fixe que son bras est paralysé. On voit qu'en faisant de l' hystérie une maladie par représentation, on ne risque pa
nt-elles être troublées par une représentation ? Les partisans de l' hystérie psy- chique ne paraissent pas avoir vu toutes l
si gros- sier qu'une paralysie hysté11que d'un bras,neuf manières HYSTÉRIE ET sommeil. 357 de l'expliquer psychologiquemen
terprétations contradictoir es comme une théorie psychologique de l' hystérie ? La question se pose d'ailleurs immédiatement
a cause-, ou si .elle ne dépend que d'une seule. Les partisans de l' hystérie maladie psychi- que ont omis de se mettre d'acc
r dans tout cela un corps de doctrine, une théorie uniciste de. l' hystérie . Il faudrait tout au moins que l'un de ces phé-
ique présente toujours plu- sieurs manifestations de la névrose ; l' hystérie soi-disant monosymptomatique est un mythe. Or i
monde. On ne saurait donc prendre la théorie psycholo- gique de l' hystérie comme base d'une méthode thérapeu- tique, et ce
n même temps de preuve. i Toutes les théories psychologiques de l' hystérie se résument donc en ceci qui est vraiment un pe
stérie se résument donc en ceci qui est vraiment un peu vague ; l' hystérie est une maladie psychique ; ou : les troubles h
une mala- die à manifestations somatiques aussi importantes que l' hystérie on ait ainsi subordonné les troubles physiques
la nécessité de penser de la sorte s'impose c'est bien en matière d' hystérie . C'est frappé par ce fait élé- mentaire que j'a
me des émotions. Bilil. de philos. conlhmp. Paris F. Alcan, 1905. HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 3u3 tant,que la synthèse des impres
ffisante. Pour trouver une solution au problème de la nature^de l' hystérie , il faut s'adresser à la physiologie. La théorie
malentendu que j'ai déjà essayé de détruire dans mon ouvrage « l' Hystérie et son traitement », à propos de l'opposition q
il, dans laquelle il consacre une grande partie aux rapports de l' hystérie et du sommeil sur lesquels j'aurai lieu de re-
ques, et sur la prééminence des premiers ; et surtout sur le fait HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 365 que ce n'est pas dans une expli
gie n'est au surplus qu'une branche. Les troubles psychiques de l' hystérie sont conséquence et non cause do l'état hys- té
nant de définir la nature. J'ai dit que le trouble fondamental de l' hystérie est constitué par une sorte de sommeil,d'engour
ne voyait dans cet état de vigilambulismo qu'une sorte d'attaque d' hystérie transformée, un équi- valent de la phase délira
ment étaient si éloi- gnées de la conception que j'ai proposée de l' hystérie , que ce passage m'échappe, et échappa d'ailleur
ropres. '* Il suffisait de la généraliser, de la poursuivre comme HYSTÉRIE ET SOMMEIL. . 3P7- je l'ai fait, pour voir se d
a commencé à s'engourdir, à tomber dans le vigilambulisme et dans l' hystérie . Et l'on saisit alors facilement quel a été l'i
'on a un arrêt de fonctionnement d'un nerf par exemple. Seulement HYSTÉRIE ET SOMMEIL 369 ici c'est le cerveau lui-même qu
erses. Ces variations s'accompagnent (1) Voir Genèse et Nature de l' hystérie . Archives, 3'SàPiO, 1907, t. I. \ . 24 370 PS
l, non seulement une confirmation de la théorie que je propose de l' hystérie , mais encore une méthode expérimentale permetta
nelle, puisque le réveil complet amène la guérison complète de l' hystérie . (A suivre). PSYCHOLOGIE Sur la symétrie bila
elles du cerveau et de la moelle, notamment les névroses (surtout l' hystérie et la neurasthénie) et les psychoses se rencont
Série. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de l'Hystérie
CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de l' Hystérie . (Suite et fin). ' Pau le D' Paul SOLLIER. La
le D' Paul SOLLIER. La définition suivante, que j'ai proposée de l' hystérie , paraît donc répondre aux différents points de
les hystériques, d'où l'apparence de fantaisie, d'irrégularité de l' hystérie . Mais si l'hystérie présente,en effet,des aspec
ù l'apparence de fantaisie, d'irrégularité de l'hystérie. Mais si l' hystérie présente,en effet,des aspects multiples, des va
n déterminisme remarquable. Mais ce n'est pas tout, non seulement l' hystérie revêt des aspects multiples, mais encore chaque
per- manente, et alors tous les troubles objectifs et subjectifs HYSTÉRIE ET sommeil.. 451 qui en résultent, dans le doma
and on procède au réveil dans un but thérapeutique. Au cours de l' hystérie on comprend que l'on peut voir certains centres
nt si on ne tient pas compte de cette no- tion fondamentale : que l' hystérie , dans son ensemble, n'est qu'une agglomération
ncerté en présence de ce protée, qu'on a cru insaississable, de l' hystérie , tout simplement parce qu'on l'a considérée com
Leur siège, 452 clinique NERVEUSE. Les phénomènes psychiques de l' hystérie sont, on le conçoit, avec cette manière de voir
lisé d'un ou plusieurs centres du cerveau, et que la plus grande hystérie ne soit jamais que la généralisation d'états lo
uels l'accord est encore bien moins fait que sur la définition de l' hystérie . Nous savons un peu mieux ce qu'est un centre c
ex- clusivement dus à des modifications de l'activité corticale. hystérie et SOMMEIL. " * 453 différence de nature, malgr
lisée à une fonction quelconque, si tant est qu'il y ait jamais une hystérie moriosymptomatique et un état de vigilambùlisme
ées, les plus variables aussi, permanen- tes ou paroxystiques, de l' hystérie . Dans un cas il y a un engourdissement.localisé
l'hypnose se trouvera indiqué conjointement à la méca- (1) Voir : L' hystérie et son traitement». F. Alcan, 19ùl. 454 CLINIQU
ne- ment. , Et maintenant, j'en reviens à ma théorie du trouble HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif de l'hystérie constitu
ns à ma théorie du trouble HYSTÉRIE ET sommeil. 455 primitif de l' hystérie constitué par une sorte de sommeil des centres
. Cla- parède consacre un long chapitre à une étude comparée de l' hystérie et du sommeil, dont la conclusion est une théor
e l'hystérie et du sommeil, dont la conclusion est une théorie de l' hystérie considérée comme une manifesta-- tion de même o
otons donc immédiatement que, pour M. Cla- parède comme pour moi, l' hystérie est une sorte de som- meil. Cela ne l'empêche p
t, la distraction. HYSTP-l 11-- ET SOMMEIL. 457 Il ne voit dans l' hystérie qu'un phénomène de distrac- tion, de désintérêt
-à tort du reste-d'avoir con- fondu le sommeil cérébral, cause de l' hystérie , avec le sommeil naturel. Sentant la contradict
en sont les points qui ne se recouvrent pas. Lorsqu'on a dit que l' hystérie est un sommeil on n'a rien gagné du tout, car i
core à déterminer quelle sorte de sommeil, ce qui différen- cie l' hystérie du sommeil normal. Et c'est là toute la questio
a question. » Mais où M.Claparède prend-il que j'ai iden- tifié l' hystérie avec le sommeil normal ? J'ai dit un som- meil
l normal, naturel, un engourdissement. Si quelqu'un iden- tifie l' hystérie et le sommeil naturel, il me semble que c'est M
en se basant sur un carac- tère inconstant et non fondamental de l' hystérie , en face d'une hypothèse des plus contestables
rel. Je n'ai ni identifié ni comparé le sommeil du cerveau dans l' hystérie au sommeil naturel. M. Claparède pré- tend qu'o
arède pré- tend qu'on n'a rien gagné du tout quand on a d t que l' hystérie est un sommeil. Je lui demande bien pardon ; on
et ce sommeil est en tous points semblable à celui qui constitue l' hystérie . M. Cla- parède nie-t-il que ce soit un sommeil
alent de nouvelles critiques de M. Claparède, lequel feint de les HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 459 regarder comme des affirmations
croire que j'assimile l'état de sommeil des centres neryeux dans l' hystérie au sommeil naturel. Il m'accuse de rattacher ce
à la suite de causes dépri- mantes physiquement et moralement que l' hystérie apparaît. Et je le crois encore. Plus tard j'
dès lors il ne comprend pas comment j'iden- tifie le mécanisme de l' hystérie avec celui du sommeil normal. Mais je n'ai jama
on des fonctions céré- brales, qui entraîne les manifestations de l' hystérie . A côté de l'arrêt par épuisement des centres c
t. J'ai (1) Voir : « Le mécanisme des émotions ». F. Alcan, 1905. HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 461 soutenu depuis longtemps que ce
réagir du cerveau, qu'il n'y a pas de maladie hystéri- que et que l' hystérie est une manière de fonctionner du cerveau, que
Parmi les hypothèses sur la nature du sommeil spécial, cause de l' hystérie , j'avais indiqué, sans m'y. arrêter, et en empl
'a- dopter. Mon idée de l'engourdissement cérébral provo- quant l' hystérie est qu'il est analogue à l'engourdisse- ment pr
stion du sommeil normal, ni celle du sommeil cérébral spécial à l' hystérie , et que, au point de vue clinique, l'assimila-
ystérique. M. Claparède prétend que la théorie physiologique de l' hystérie ne rend pas compte de ce qui fait le caractère
ffit d'en rechercher la cause pour voir qu'au contraire tout dans l' hystérie est soumis à un déter- minisme rigoureux, et j'
uis pour ma part fort enclin à adopter cette manière de voir (que l' hystérie n'est qu'un sommeil local du cer- veau plus ou
re atteints et à des degrés différents, la variabilité infinie de l' hystérie est expliquée. » Ce qui trompe M. Claparède, c'
inventées, ainsi que ceux qui, à ma sui- te, les ont renouvelées. HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 463 négatif pourrait-il être le con
étail, j'ai pu modifier certaines appréciations, je n'ai fait que HYSTÉRIE ET SOMMEIL. 465 me confirmer davantage dans ma
ps que sur la clinique. Elle consiste essentielle- ment en ceci : l' hystérie est constituée par un état d'activité moindre -
hibition complète des centres fonctionnels de l'écorce cérébrale. L' hystérie n'est donc que l'exagéra- tion de ce qui se pro
extrémités de deux neurones contigus. Cette théorie mécanique de l' hystérie essenliellcmenl 1111 ? siologiyue, elle aussi,
ion gnosique. ' Séance du 2 Mai 1907. Présidence de M. BABiNsKi Hystérie M. DÉJERINE présente une femme de 45 ans, attei
hé à l'étude clinique de la paralysie générale, de l'épilepsie de l' hystérie , de l'alcoolisme, de la morphinomanie et à' leur
: I. Psychiatrie, Neurologie. Théories modernes sur la genèse de l' Hystérie . Psychoses alcooliques chroniques, les formes p
e. rapport, 1111. CLAUns et ScxrrYnFR : Nature et définition de l' hystérie , -discussion. Après-midi, asile de Cery-sur-Lausa
uls lent permanent ; par Simon et Schmidt, p. 57. Attention. Voir Hystérie . Auscultation. Voir Muscle. UTO-I1T0\ICATIOT.
ez l'enfant ; par Comby, p. 138. Folie. Voir 11 nlisérums. Voir Hystérie . Un cas de -- aigui' hallucinatoire d'origine t
Voir Os- léomalaric. Voir ^Maladie mentale. Hallucination. Voir Hystérie . La psychologie de l'- ; par Stoddart, p. 142
es de la voie pyra- mygale ; par Claude et Le- jonne, p. 48G. - Hystérie . Les rapports de l'- et de la folie ; par Green
latérale ; par Klippel et Mail- lard, p. 429. Rééducation. Voir Hystérie . Religions. Les lois psychophy- siologiques d
ituilaire ; par Albert Salmon, p. 136. - Voir Try- panosome. Voir Hystérie Voir Tumeur. Sorcellerie. La moderne : étud
de - du lobe temporal ; par Deroitte, p. 54. cérébelleuse ; voir Hystérie . Un cas de-cérébrale avec som- meil ; par Mai
35 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lpètrierc ' Il semble que toutes les manifestations possiblesde l' hystérie aient déjà été signalées et même que leur nombr
ur- tant malgré la multiplicité des manifestations attribuées à l' hystérie il est un groupe de phénomènes que l'on a toujo
Archives, t. XII. 1 , , CLINIQUE NERVEUSE. bles trophiques dans l' hystérie semble constituer un caractère négatif, qui fai
rophiques, l'atrophie musculaire, peut être sous la dépendance de l' hystérie et être observée dans les pa- ralysies hystériq
qu'ils présentent ne peut être attribuée à une autre cause que l' hystérie . Après avoir passé en revue ces obser- vations,
ne peuvent être mis sur le compte d'aucune autre affection que l' hystérie . L'amyotrophie est évidemment de nature à éloig
ophie est évidemment de nature à éloigner de l'esprit l'hypothèse d' hystérie , et fait penser à une lésion organique. Examino
nt, et ce caractère est déjà tout à fait en rapport avec l'idée d' hystérie . 16 CLINIQUE NERVEUSE. Nous venons de suppose
ois et demi pendant les- quels le malade a de fréquentes attaques d' hystérie ; guérison complète ; - à l'âge de vingt-cinq a
cette donnée de ce que le malade est atteint, à n'en pas douter, d' hystérie , il devient probable que la paralysie est de na
s d'hydrocéphalie, de poren- céphalie, de sarcome encéphalique et d' hystérie dans lesquelles il y a eu des contractures perm
un état normal. On en ren- contre des exemples bien marqués dans l' hystérie , et ces cas ont une grande importance dans la m
e chez la femme une folie purement épileptique sans aucun mélange d' hystérie . Quelles que soient d'ailleurs les combinaisons
. Parents indemnes, mais. soeur idiote, hémiparétique. Originalité, hystérie , accidents mens- truels. Il y a sept ans, agita
s troubles fonctionnels du système nerveux cen- tral (neurasthénie, hystérie ); 5° le triomphe du traitement périphérique sym
se conductrice. P. K. IV. Contribution au traitement DE l'attaque d' hystérie ; par Albert RuAULT (Franee médicale, 4885, n° 8
L'auteur a pu arrêter ainsi non seulement des attaques légitimes d' hystérie convulsive, mais aussi d'autres mauifestatioes
e, XL, p. 80 et 83, et Progrès médical, 1885. A propos de six cas d' hystérie chez l'homme. '1\1. Oppenheim a publié depuis u
n organique ? Réponse dubitative ; en tout cas, il s'agit non d'une hystérie , mais d'une névrose spéciale (Westphal, Thomsen
' plus tard, confirme l'existence d'un centre cerébial laryngien. Hystérie , 7eystéro-éPilepsie, épilepsie : hémianesthésie d
domaine de la chorée se rétrécit à mesure que l'on connaît mieux l' hystérie ; il se rétrécira encore, croyons-nous, quand on
s atteints de chorée un certain nombre de stigmates permanents de l' hystérie et en particulier l'anesthésie sensitivo- senso
du fond de l'oeil. Cette amblyopie n'est pas absolument propre à l' hystérie ; on la rencontre dans toutes les affections qui
as moins un symptôme de première importance pour le diagnostic de l' hystérie . Dans l'épilepsie pure, d'après nos recherches,
usieurs états nerveux où on l'a signalée doivent être rattachés à l' hystérie . Cette amblyopie. comme l'hémianesthésie dont e
. Mont- pellier, isba. - Imprimerie Boehm et fils. PEUGNIEz. De l' hystérie chez les enfants. Volume in-8° de 181 pages. Pr
que, il est logique de mettre cette paralysie sur le compte de l' hystérie ; du reste, cette hémiplégie s'est développée à
qu'il est impossible de contester qu'elle dépend étroitement de l' hystérie ; elle est, en effet, limitée au côté paralysé,
taques de nerfs, mais il est impossible de déterminer s'il s'agit d' hystérie ou d'épilepsie. Antécédents personnels. A seize
. Nous avons montré ensuite que cette hémianesthésie dépendait de l' hystérie , et enfin, revenant sur nos pas, nous nous som
ore d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. L'existence de l' hystérie chez ce malade ne peut être contestée. L'hé- mi
lésion spinale, soit à une lésion des nerfs, et coïn- cidant avec l' hystérie . - L'amyotrophie hystérique envahit-elle en mas
riphériques sont normaux, l'atrophie musculaire est, comme dans l' hystérie , une atrophie simple. On peut encore rapprocher
peut relever directement, contrairement à l'opinion régnante, de l' hystérie et nous avons cherché à montrer quels sont ses
it pour lui autrefois obscur. En ce qui concerne particulièrement l' hystérie et ses diverses manifestations, nous nous trouv
toire- ment aujourd'hui, depuis les travaux de M. Charcot', que l' hystérie est fréquente chez l'homme. Or, que disait-on a
fréquente chez l'homme. Or, que disait-on autrefois à ce sujet ? L' hystérie , disait-on, est l'apanage presque exclusif de l
que exclusif de la femme; chez l'homme elle est exceptionnelle et l' hystérie mâle est absolument négligeable. Le sexe de nos
été déjà une première objection fondamen- tale contre l'hypothèse d' hystérie , et qui aurait paru suffisante à beaucoup de mé
re avec les traditions et à porter chez ces malades le diagnostic d' hystérie , aurait-il osé aller plus loin et attribuer ces
érie, aurait-il osé aller plus loin et attribuer ces paralysies à l' hystérie ? Ne connaissant les caractères propres des par
ns certains cas par la suggestion hypnotique sur les accidents de l' hystérie , si graves et si invétérés qu'ils soient. 11 n'
ce du coma et l'héllliparesie gauche qui excluent le diagnostic d' hystérie . En ce qui a trait aux allures du phénomène du ge
oir Charcot. Leçons du Progrès médical, t835. A propos de six cas d' hystérie chez l'homme et Archives de Neurologie, t. XI, p.
nombre de cas, ils repré- sentent une forme mixte de psychonévrose ( hystérie , épilepsie, neurasthénie, folie), sans que l'as
tères (voy. le texte) élimine, d'après M. Mercklin, le diagnostic d' hystérie . Le malade est encore en observation. P. K. L
être employé ? MM. Vogelgesang et IDELFR. Il est à employer dans l' hystérie . M. LOEIIR senior. Usez-en dans tous les cas où
N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES; Par M. A.-J. OSERETZKO
; Par M. A.-J. OSERETZKOWSKY, de Moscou. Depuis bien longtemps, l' hystérie était considérée comme une maladie n'appartenan
Pf4Ç, nom qui lui avait été donné par suite de la fausse idée que l' hystérie était causée par des maladies de l'utérus. Cepe
ndant, ces derniers quinze ans, il s'est produit une réaction, et l' hystérie chez les hommes adultes a été, plus d'une fois,
aux accès bizarres et au cours capricieux de la maladie, les cas d' hystérie chez les soldats peuvent donner lieu, et cela a
cela par expérience. Je veux apporter l'histoire de quelques cas d' hystérie observés à l'hô- pital militaire de Moscou. *
convulsions; 3° certains dérangements por- taient le caractère de l' hystérie ; les convulsions, par exemple, se manifestaient
point hystérogène) sont des symptômes appartenant exclusivement à l' hystérie . De même, il est impossible d'expliquer autreme
un trouble organique du système nerveux, m'a fait recon- naître l' hystérie . Observation Il.- Ch..., un jeune soldat, est e
usqu'au 28 juin, jour de la sortie de l'hô- pital. QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 269 Un début rapide, s
rdi-mutité à une lésion organique quelconque, me font reconnaître l' hystérie de Ch... Ce cas a été montré dans son temps à n
s une chute d'un arbre. Le diagnostic ne pouvait hésiter qu'entre l' hystérie et une maladie de la moelle épinière. Le début
maladifs et les renseignements anamnestiques parlent en faveur de l' hystérie . QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSE
nts anamnestiques parlent en faveur de l'hystérie. QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 271 Observation IV. Le
e sa paraplégie passée. - Cette observation permet de constater l' hystérie : une prédisposition héréditaire, les particula
le malade ne marche que sur le bord externe du pied. QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 275 Au mois de février
capricieux de la sensibilité qui ne peuvent avoir lieu que dans l' hystérie ; nous avons une anesthésie complète du côté dro
t je ne veux pas hésiter plus longtemps à établir le diagnostic d' hystérie . OBSERVATroN VL-5..., soldat de vingt-trois ans
n choc apoplectique, lequel n'a pas eu lieu; le nerf QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 277 facial est normal,
Il souffrait de douleurs sourdes dans les jambes. Un QUELQUES cas d' hystérie dans LES troupes RUSSES. z79 examen constate un
periphérique, les données, de l'anamnèse m'ont fait diagnostiquer l' hystérie . Une amélioration rapide de la maladie, due en
embre / 9 janvier 1885. L'examen du malade fait voir quelques cas D' HYSTÉRIE dans LES TROUPES RUSSES. 281 que l'intelligence
e évidente de la maladie. Dans ce cas, on ne pouvait supposer que l' hystérie ou la simulation. Mais celle-ci ne peut être ad
. Je crois que je n'ai pas besoin de prouver le dia- gnostic de l' hystérie dans ce cas. Observation XI. - F..., jeune sold
p visuel est rétréci concentriquement ; trouble dans QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 285 la sensation des c
st évi- dent. · Faisons maintenant un résumé des symptômes de l' hystérie chez les hommes, nous voyons qu'elle était indi
le professeur Charcot, l'année passée, dans une de ses leçons sur l' hystérie des hommes. Je n'ai pu ob- server la dyschromat
aux vomissements et aux accès d'angine de poitrine. QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 289 10. Le malade n° 8
sta normale, ou 37°,6 - 37°,7. Ainsi, les phénomènes cliniques de l' hystérie des hommes ne sont pas moins variés que ceux de
ues de l'hystérie des hommes ne sont pas moins variés que ceux de l' hystérie des femmes. L'hérédité et la prédisposition sem
édisposition semblent jouer le principal rôle dans l'étiologie de l' hystérie . Ainsi, dans les cas 1,3,4, 7, 8, 9, nous avons
es cas 3, 8 et 10 nous montrent une pré- disposition de famille à l' hystérie . Parmi les causes accidentelles dans le 3e cas,
entel. Il est important de noter que, sur neuf soldats atteints d' hystérie , il y en avait cinq qui venaient d'être enrô- l
la vie de famille à celle de soldat influence sur l'origine de l' hystérie . Parmi les hystériques, il y avait des gens d'u
cependant marcher en s'aidant un peu d'une béquille; QUELQUES CAS D' HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES. 291 quand il marche, o
s accès et les troubles de la sensibilité étaient typiques pour l' hystérie . Je veux traiter ces cas dans un article pro- c
de la glotte. La malade ne peut plus parler ; on diagnostique de l' hystérie . Traitement par les courants constants. La dysp
i ne prouvent nullement que la psychose se complique d'éptiep-ie, d' hystérie , d'alcoolisme. Mais les formes de transition de
s de relais. Importance de ces lésions pour l'in- terprétation de l' hystérie . V. SECTION DE pédiatrie M. RANKE (de Munich)
cérité par des observateurs non prévenus ; et lorsqu'il s'agit de l' hystérie ces faits acquièrent une importance de pre- mie
me (de 1'), par Jendras- sik, 43. 'l'.lltLti LU : MATIÈRES. 427 Hystérie (traitement de l'atta- que dl par Ruault, 99; -
36 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de la S1L.I ? fItIItC. M. le professeur CHARCOT A PROPOS D'UN CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE : 1° PARALYSIE DISSOCIÉE DU FACIAL IN
f de clinique. Sommaire. Progrès réalisés dans la connaissance de l' hystérie mascu- hne en France et à l'étranger. Desclipti
es opinions concernant l'existence de la pa- ralysie luciale dans l' hystérie . Sa rareté relativement au spasme glosso- labié
quelques années, grâce aux efforts soutenus de l'école française, l' hystérie masculine, dont la grande fré- quence devient c
aux et agrégé de la Faculté '. Il a fait la statis- tique des cas d' hystérie qu'il a rencontrés pendant son exercice à la co
n exercice à la consultation du Bureau central et a pu voir que l' hystérie mâle est très fréquente dans les classes inféri
ieures de la société ; elle semble même y être plus fréquente que l' hystérie féminine. Nous parlons ici bien entendu de la g
inine. Nous parlons ici bien entendu de la grande hystérie', de l' hystérie massive comme l'appelle 1\1. Marie, car pour 1
Pro ? .llécl. 27 juillet 1880). CAS 1) HYSTERIE MASCULINE. ;¡ l' hystérie légère,, c'est plutôt l'inverse que l'on' est a
interne, qui a relevé dans une des précédentes années tousses cas d' hystérie mâle qui se sont succédé dans ses-salles l'hôpi
et qui peuvent se résumer en ceci : autrefois nous ne voyions pas l' hystérie mâle, aujourd'hui dans nos services, elle se pr
suffisant. Ainsi, M. Bitot, à Bordeaux, a observé plus de 20 cas d' hystérie mule dans le seul service de clinique générale
deux ans. - Je ne parle pas de l'étranger où ! a conversion « à l' hystérie mâle considérée comme une maladie fréquente che
nfrères et nous. M. le professeur Mendel a montré la fréquence de l' hystérie chez l'homme dans les policliniques de cette vi
utorisé actuellement, si je ne me trompe, à inscrire à l'actif de l' hystérie bon nombre de cas désignés sous le nom de névro
nu toutefois que par là on entend qu'il s'agit le plus souvent de l' hystérie mâle et que celle-ci ne diffère en rien d'essen
en d'essentiel, au point de vue des symptômes et du pronostic, de l' hystérie masculine déterminée par toute autre cause. D
el clinique, tant général que spécial pour observer journellement l' hystérie mâle. Il lui faut, en effet des conditions pa
, au même degré, aussi s'y prend-on quelquefois, paraît-il, CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. H à douter de la légitimité cependan
naissance de ces maladies. Il devrait en être de même en matière d' hystérie mâle. Que ceux qui ne sont pas placés convenabl
à en faire une maladie épidémique. Surtout ne dorlotons pas trop l' hystérie chez l'homme , laissons- la aux femmes et aux e
de cli- nique, dans son ouvrage sur les agents provocateurs de l' hystérie . L'hérédité est là, présente, sans doute, comme
ts provo- cateurs se disputent la prééminence. Les partisans de l' hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un c
de l'hystérie symptomatique auraient beau jeu à en faire un cas d' hystérie toxique ; les habitudes alcooliques sont eu eff
ffet parfaitement avérées chez notre malade. D'autres partisans des hystéries multiples viendront également réclamer et à bon
s l'al- cool qui a fait éclater la première attaque et a révélé l' hystérie , mais un traumatisme, ou mieux, car il n'y a eu
r- veux, la terreur; ils trouveraient là tous les caractères de l' hystérie traumatique, dont on a voulu faire bien à tort
ainsi 8 CLINIQUE NERVEUSE. que je le soutiens depuis longtemps, l' hystérie est une et indivisible et que sa véritable caus
d'attaques convulsives typiques, ayant le carac- tère de la grande hystérie , avec arcs de cercle, grands mouvements, etc. C
heureusement presque jamais de se liver en ces occa- sions. CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. 9 De plus la présence de stigmates h
de la face et zOllc/¡lIsléI'Ofll\l/cúd'/¡i/POCOlll/¡'cgaur/¡c CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. Il l de bêtes en rêve. De plus, pend
ents dans les pieds et les mains. Mais ceci dépasse le domaine de l' hystérie et rentre plus vraisemblable- ment dans celui d
térie. Il me faut maintenant faire ressortir tout l'intérêt CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. 13 a n de cette constatation et pour
ublié par 1\1. Strassmann sous le titre d'hémiplégie faciale dans l' hystérie '. Chez ce sujet la langue est enroulée sur ell
face dans lhéntipiégie hystérique (Prof ! . l/1éd" 1888), - CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. t5 pas démontré que les paralysies f
ralysie faciale, dont pour le moment je conteste l'existence dans l' hystérie , deviendrait bien et dûment démontrée. » Aujo
e des Hôpitaux en 1890 et 1891. 'Elles éta- blissent que si, dans l' hystérie , la paralysie faciale est un fait exceptionnel,
., 1890, li novembre. 3 Bonnet. - Soc. mèd. des IIÔp" 1890. cas d' hystérie masculine. 17 n'accompagne pas l'hémiplégie hys
somme que l'abus du vin et de l'eau-de-vie puisse paraître CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. 19 moins honteux à avouer que ne le
s par ce qui précède, je ne puis voir chez notre malade qu'un cas d' hystérie « comme un autre;'» dans lequel étiologiquement
e hys- téro-épileptique. Il était à l'Entrepôt occupé à son CAS D' HYSTÉRIE MASCULINE. 21 travail habituel, lorsque tout à
suivant les lois qui président à la localisa- tion des phénomènes d' hystérie traumatique sur les points frappés et dans leur
s l'espèce,- l'importance pratique de l'une d'entre elles ; cas d' hystérie masculine. à je veux parler de l'alcoolisme don
rovoqué l'apparition, dans ce cerveau évidemment t prédisposé, de l' hystérie et des troubles de la motilité. Le 2G août, com
un singe, vêtu en soldat, saute sur le véhicule, puis s'élance à ' Hystérie et traumatisme. Thèse de Paris, 1887. . Ancmv
ré- centes ont démontré l'existence de troubles trophiques dans l' hystérie : on s'était basé, il n'y a pas bien longtemps, s
u se retrouvera probablement assez fréquemment dans le domaine de l' hystérie . Il semble résulter en effet des observa- tions
ccoud, qui l'a observée le premier, la rencontre seu- lement dans l' hystérie ; plus tard, Weir-Mitchel) la décrit sous le nom
re tour observé deux cas très nets d'asta- sie-abasie ; dans l'un l' hystérie est probable, dans le second, elle est manifest
ropathique assez mal défini mais qui nous paraît proche parent de l' hystérie , malgré l'absence de crises nerveuses propremen
soigné une cousine germaine de cette malade qui était t atteinte d' hystérie gastrique. Antécédents personnels. - Réglée à t
occasion d'une recrudescence des phénomènes nerveux. Les attaques d' hystérie que présente cette malade, se rattachent au typ
fatigue et la marche devient de nouveau impossible. Les attaques d' hystérie se sont espacées et ont fini par disparaître, t
une action quelconque. M. N. Chatalof. Contribution ci l'élude de l' hystérie épidé- mique. Le rapporteur relate deux épidémi
e de l'hystérie épidé- mique. Le rapporteur relate deux épidémies d' hystérie observées à Moscou. La première, qui dura envir
rasthénie traumatique, plus fréquente à l'hôpital, associée à de l' hystérie , résistant à tout traitement; à cau-e de la ténac
dent de la lèpre 1. Je l'avais relevée déjà, pour ma part, dans l' hystérie . C'est assez dire que ce symptôme ne saurait ca
tution et bien portant, âgé de seize ans, atteint de la véritable hystérie et très propre aux expériences d'hypnotisme ainsi
à la suite de fièvre typhoïde. 2° observation. - A. P., attaques d' hystérie antérieures, accidents délirants à l'occasion d
e fièvre typhoïde, depuis, répétition du délire dans les attaques d' hystérie . 3° observation. Syphilis antérieure, fièvre ty
membres inférieurs, fièvre typhoïde antérieure, stigmates avérés d' hystérie avec grandes attaques depuis cette époque. Ce n
ation (liypeiliydrose). M. Saury conclut de celte observation que l' hystérie et l'hypochondrie sont unies par des liens très
eux autres noyaux ayant été épargnés. , M. SIEMERLING, - Un cas d' hystérie grave avec aliénation mentale. A l'autopsie on
ions mises à l'étude étaient les suivantes : 1° Des rap- ports de l' hystérie avec l'hypnotisme; 2° Les suggestions criminelles
pports étroits du diabète avec l'aliénation mentale, l'épilepsie, l' hystérie , le goitre exophthal- mique ont été signalés pa
iabète et la paralysie agi- tante (Topinard), entre le diabète et l' hystérie « dont, dit M. Bouchard, on constate fréquemmen
'est encore chez un même individu qu'on .trouve la coexistence de l' hystérie et du diabète, ainsi que l'a démontré M. Grenie
ent de la nutrition. Paris, 1882, p. 182. ' Grenier. - Diabète et hystérie . (Archiv. génér. de méd., 1888.) 318 . CLINIQUE
ora (153 grammes par jour). Un mois plus tard, début des attaques d' hystérie précédées de prodromes céphaliques, caractérisé
paire dorsale. - - RECUEIL DE FAITS DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER; I Somm
es vénériennes, il il a la peau aussi DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 363 blanche que la neige. » Caractère vio
; 5° fille, dix-neuf ans, brune, à l'air effronté, a été atteinte d' hystérie à dix-sept ans, elle avait eu des convulsions é
dehors cependant pour satisfaire ses DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 365 goûts. - Sommeil bon, prolongé, de di
rsiste pendant une minute, une minute DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 367 et demie. Puis il a des battements vi
lement très fort secoue tous les mem- DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 369 bres. Il y a de l'écume à la bouche :
t dans l'extension, puis présentent z DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 371 des secousses iétaniformes de plus en
la notion de toutes les cou- leurs. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 373, 9 décembre. - Sous prétexte qu'il «
la mère; des accidents nerveux , divers chez les frères et soeurs ( hystérie , arriération intellec- tuelle et instabilité me
à lors de la conception. III. Dans un grand nombre d'observations d' hystérie nous voyons des émotions vives être le point de
rtance à ses dires lorsqu'il n'est pas possible de les contrôler. L' hystérie a été précédée de troubles moraux et d'excès ou d
sans pouvoir préciser à quelle cause il convient de la rattacher. L' hystérie , DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÙRIE MALE.
ait dans la chambre de ' Jean Wier. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 377 î son père, effrayé et disant qu'il y
ui l'avertisse. Fig. 32. Fig. 33. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 379 En 1887, après une rémission d'un moi
s scarlatine qui le rendit très malade. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS HYSTéRIE MALE. 381 Pas d'autres fièvres. Pas de diphthér
si on ne le retenait pas. Il dit que DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 383 pendant son attaque il lui semble rêv
Il regarde devant lui et est bientôt DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 385 repris de nouvelles convulsions cloni
rne la tête à droite et à F'lq. 39. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 387 gauche, puis retombe. Les yeux sont r
ant sur les genoux jusqu'au maître de DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 389 musique. Il bat la mesure de la têle,
ues auteurs récents. ' Enfin, à propos de ces deux nouveaux cas d' hystérie mâle, nous croyons utile de rappeler les cas qu
tiles à ceux que tenterait la tâche d'une nouvelle monographie de l' Hystérie chez l'homme. REVUE PHARMACOLOGIQUE SUR LE SU
Cenltwlbl., 1890.) L'auteur étudie l'association des symptômes de l' hystérie avec la gliose spinale, la syphilis cérébrale,
hilis cérébrale, la paralysie faciale périphé- rique. En revanche l' hystérie pure peut, par action réflexe, produire des sym
démence, états mélan- coliques, états maniaques (folie circulaire, hystérie ), folie puerpé- rale, folies toxiques, folies p
idée de ses lecteurs. Au point de vue scientifique, qu'est-ce que l' hystérie nerveuse périphérique, surtout à propos d'une o
coup de foudre a-t-il été la cause de l'apparition d'une attaque d' hystérie ? C'est là une simple hypo- thèse que nous soum
Hypnotisme, en thérapeutique, par Itossolimo, 137; Tokarski, 148. Hystérie masculine, par Charcot, 1, par Bourneville et S
37 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t cystalgie, accidents dus à la dentition, spermatorrhée, insomnie, hystérie , délirium trémens), et en particulier dans l'ép
aresser. Sensibi- tité spéciale et générale normales. Aucun signe d' hystérie . Som- meil bon, naturel. Sentiments affectifs e
nfore-Sagen 1 zVorclezz. Kobenhavn 1902. B,131NSIU. Définition de l' hystérie . Extrait de la Société de Neuro- logie de Paris
liologia. Patogenesi e cura. In-18 de 278 pages. Il Mobin (J.). L' hystérie et les superstitions religieuses . In-16 de 21
ique. Les organes sont sains ; l'urine est normale; pas de signes d' hystérie ; une morsure profonde de la langue; un peu de
l'Inté- rieur et des Cultes, le Secrétaire général, Ed. Combes. L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Par LE Dr ROUBY MON BUT. Ce
e un chapitre important de l'histoire ecclésiastique. De même que l' hystérie avait joué un très grand rôle pendant le Moyen-
e Moyen-Age avec les sorciers et les possédés du démon, de même l' hystérie , .pendant la Renaissance et les siècles sui- va
naît l'identité parfaite. La connaissance exacte des symptômes de l' hystérie doit donc amener la revision de l'histoire des
fait nouveau s'est produit aussi en aliénation : la découverte de l' hystérie ; devant ce fait d'une importance immense doiven
ation de sainte Thérèse ne fut autre chose que la canonisation de l' Hystérie . La VIE DE sainte Thérèse. Parmi les plus célèb
a VIE DE sainte Thérèse. Parmi les plus célèbres illuminées à qui l' hystérie méconnue, donna, sous sa lueur factice, un gran
lumes des Bollandistes. C'est peut-être aussi, au point de vue de l' hystérie , celle qui présente la forme la plus classique,
at maladif et cette mort prématurée : si Thérèse est faible et si l' hystérie se développe très vite chez elle, c'est que le
mencèrent' une vie de prières et de privations.; il fallut 128 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE quelques punitions pour leur
ur Thérèse dans ses fondations et l'accompagna dans la plupart. L HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 129 0, Elle ne l'appelle que
endant vingt-cinq années, soeur Thérèse fut en proie au démon -de l' hystérie : pour raconter les événements de cette période
son », dit-elle à son confes- Archives, 2a série, t. XIV. 9 130 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE' seur, « car je ne crois pas
Dios), espèce de glose sur le livre des cantiques de Salomon. , L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 131 I A ces écrits dont les q
nto espero, no esperara Lo mismo que te quiero, te quisiera 132 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THRKSE temps et se posa parfois en sa
que le Seigneur ne lui donnerait ni l'esprit ni la volonté pour L' HYSTÉRIE DE SAINTE THERESE 133 mener à bien cet ouvrage.
siècle dernier et peu remarquable au point de vue de l'art. 134 l' hystérie DE SAINTE THÉRÈSE L'hystérie. Nous connaissons
le au point de vue de l'art. 134 l'hystérie DE SAINTE THÉRÈSE L' hystérie . Nous connaissons maintenant le sujet, c'est-à-
c'est-à-dire l'état physique et moral de Thérèse ; voyons ce que l' hystérie va produire dans ce. corps débile et dans cette
lata la crise première, début de la maladie. DE la PÉRIODE aiguë. L' hystérie , avant de devenir chronique, est le plus souven
t; z ils subissent dans cette position couchée divers symptômes d' hystérie , mais surtout des attaques convulsives et des par
Paray- le-Monial et de la Salette : A certains moments, le mal L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 135 paraît si grand, la mort
ussent pas signés, s'ils eussent été plus instruits des choses de l' hystérie . Le plus souvent la maladie est moins grave : c
is dans tous les cas graves ou non, c'est toujours la même cause, l' hystérie , et c'est toujours le même mécanisme, la sugges
ons longuement tout à l'heure. Tels sont les principaux symptômes d' hystérie dont Thé- rèse fut le jouet pendant trois année
mpirer; Thérèse avait un grand désir de quitter Bécèdes où elle L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 137 s'ennuyait, pour rentrer
pour l'enterrer; des religieuses vinrent à la maison d'Al- 138 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE phonse de Cépèda, son père, p
écessité, je faisais très rares mes visites depuis quelques mois; l' hystérie lui fit entreprendre un matin, de s'endormir et
ne jeune femme de la campagne, sujette à des attaques convulsives d' hystérie et qui, un jour, à la suite d'une discussion vi
ture arabe à -raies alternativement rouges et blanches, un 14O L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE jour le gardien vint me dire
ter contre cette éventualité en les nourrissant artificiellement, l' hystérie les aide à supporter cette désagréable opératio
cette anomalie sensorielle devaient nécessairement faire penser à l' hystérie , malgré que rien dans l'histoire du malade ne p
de étant daltoniste à l'égard de cette couleur. ' Le diagnostic d' hystérie fut porté nettement. Un examen ultérieur montra
es de la sensibilité et de la vision ne pouvaient dépendre que de l' hystérie ; on a néanmoins exigé que le malade revint se
t un certain temps, une tumeur cérébrale. Le premier diagnostic d' hystérie avait été l'expression de la vérité, mais non de
froid. L'analgésie thermique n'est peut- être pas très rare dans l' hystérie , mais elle est presque toujours associée à l'an
lié des cas de cette dissociation de la sensibilité au froid dans l' hystérie ; mais on l'a observée dans certaines maladies
ut ainsi se résumer : jeune fille pré- sentant quelques stigmates d' hystérie mais n'ayant jamais eu jusqu'alors de manifesta
des époques. Notre observation nous semble parler dans ce sens. L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Par le Dr ROUBY1 ' r (Sui
une hallucination complète * Voir n° So, août 1902, p. 124. 228 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE qu'éprouve Thérèse; elle a bi
mier. Or pour expliqu : r le mot de Thérèse, voir avec les yeux L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 229 de l'âme, disons que la v
le Seigneur avec les yeux de l'âme me regardant d'un air 2j0 , L' HYSTÉRIE DE SAINTE THLRÈSE courroucé, l'impression en fu
lo- tassent ensemble pour lui faire du mal. D'autres hallucina- L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 2 j j tiens de l'ouïe, combin
des pierres incomparables qui formaient cette croix ; les 2')4 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE cinq plaies de Notre-Seigneur
i l'entourent : tout le monde, les confesseurs, les directeurs, L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 2js 5 les soeurs du couvent,
e me trouvais, sans savoir comment, toute vivante en enfer. 2q6 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE Cela se passa en très peu de
se montrant, se tenant à ses côtés : « En effet, dit-elle, il , L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 237 m'est arrivé plusieurs fo
èse. « Étant un jour dans la chambre d'un homme décédé 238 cS . L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE après une mauvaise vie, je vi
que Dieu et Diable s'en fussent mêlés, cette cure se fit long- L HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 219 9 temps attendre : Thérès
e en toute hâte l'édification de ce monastère ; c'est ainsi que l' hystérie peut faire sinon de grandes choses, du moins de
temps, par la construction de la basilique de Montmartre, due à l' hystérie de Marie Alacoque. On connaît la faculté qu'ont
n psychique ; je ne crois pas qu'il soit toujours un mental. Dans l' hystérie , il y a toujours des troubles du psychisme infé
squ'on eut recours à la suggestion hypnotique. Considérations sur l' hystérie . M. Paul Joire (de Lille). Les recherches micro
e). Les recherches microscopiques n'ont appris rien de précis sur l' hystérie . En supposant que les prolon- gements appendicu
tain sens, faut-il y voir la cause ou seulement la conséquence de l' hystérie ? A côté de l'anatomie pathologique qui cherche a
s qui nous révèlent des troubles dynamiques du sys- tème nerveux. L' hystérie se traduit par une modification de l'équi- libr
dans le total de l'activité nerveuse disponible. Le traitement de l' hystérie a pour but de rétablir l'équilibre détruit. La
e nerveuse, pollakiurie. Les troubles somatiques et psychiques de l' hystérie . M. Tesdorpf (de Munich). On a tort de considér
érer à part les troubles somatiques et les troubles psychiques de l' hystérie et de considérer cette dernière tantôt comme un
u à la médecine le double service de pénétrer la nature intime de l' hystérie et de donner un traitement des troubles même so
Communications diverses. M. Jules Voisin. Incontinence d'urine et hystérie . M. Paul Contractures et hyperexcitabilité neur
ques et épilepliques. In-8 de 61 pages. Saenger. Neurasthénie M ? : hystérie bel Kindern. In-8 de 32 pages aver 2 figures. P
L'exa- men histologique n'ayant pas pu être fait complètement. L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 3 I j 5 Mais d'après les résu
fond des entrailles. Il me semblait qu'en le retirant il me les l' hystérie de sainte Thérèse 315 arrachait et les enlevait
la Transverbératioll. de son coeur, c'est-à-dire la plaie ' 3 1 6 l' hystérie DE SAINTE THÉRÈSE faite par le dard de l'ange d
ets pour l'étude de cette maladie, et qu'aujourd'hui même, pour L' HYSTÉRIE DE SAINTE THEKÈSE 317 décrire d'une façon parfa
que dans les cou- vents qui suivent sa règle, plus on est en état d' hystérie , plus on est en état de sainteté. Dans les de
aison d'appeler ainsi l'oraison d'union : il n'est pas diffi- lis l' hystérie DE sainte Thérèse cile de démêler, au milieu de
mêlée. Une dame mariée, présentant des symptômes non dou- teux d' hystérie , entrait, de sa propre volonté, dans cette péri
ême sommeil, sans y prendre garde; on attribuait la chose à une L' HYSTÉRIE DE SAINTE THERESE 319 syncope, mais, d'après'so
re d'eau si merveilleuse qui loin de l'éteindre, l'augmente 320 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THERESE davantage : on prendrait ceci
s livres classiques sur l'extase ? C'est un état symptomatique de l' hystérie qui présente les caractères suivants : perte pr
reprenant ses sens, elle trouvait ses vêtements mal en point. , L HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 321 50 Oraison DE ravissement
oidissement ; puis elle a la Archives, 2° série, t. XIV. 21 322 L' HYSTÉRIE DE SAINTE THERESE douleur violente au côté et l
l'oraison de ravissement ; faire une comparaison entre les états d' hystérie et ces diverses enceintes serait, avec des chan
la grande crise s'emparait d'elle, comme la pythie sur le tré- L' HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 323 pied de Delphes, elle cro
avoir d'autres destinées. Conclusions. Pour sainte Thérèse, si l' hystérie est une excuse et si on. doit lui pardonner, co
de nombreux ruisseaux ; le livre du Dr Pitres (de Bordeaux), sur l' hystérie , est la source féconde qui a coulé dans le file
uels on ne trouve aucun des stigmates 336 SOCIÉTÉS SAVANTES. de l' hystérie ni de la neurasthénie. En revanche, on constate l
es des intoxications sont iden- tiques aux troubles psychiques de l' hystérie et constituent de véritables états seconds ou d
st rien, car les malades n'avaient jamais présenté aucun stigmate d' hystérie et, chose curieuse, n'étaient hypnotisables que
ilibrés, les associations mor- bides les plus diverses (alcoolisme, hystérie , épilepsie, infections, surmenage, etc.) peuven
imes d'une époque ignorante et d'une procédure barbare, atteintes d' hystérie , de débilité mentale et des diverses formes dém
deux catégories psychiatriques, figurent les états mélancoliques, l' hystérie et, enfin, les états démentiels. L'as- sociatio
e trouble fonctionnel de l'écorce auquel on attribue actuellement l' hystérie . Toutefois, l'auteur ne rejette pas la possibil
olu, on peut affirmer que la chorée a des liens très étroits avec l' hystérie dans un grand nombre de cas. A. Fenayrou. XXVII
gie de l'organe de la vision dans le tabès. E. B. XXXII. Note sur l' hystérie droite et sur l'hystérie gauche ; par le P RAYM
ion dans le tabès. E. B. XXXII. Note sur l'hystérie droite et sur l' hystérie gauche ; par le P RAYMOND et le 1)' Janet. (Rev
atistique des auteurs, portant sur 388 observations, montre que les hystéries droites sont plus nombreuses qu'on ne le pensait
que tous les autres symptômes sont à peu près au même nombre dans l' hystérie gauche et dans l'hystérie droite, il est surpre
mes sont à peu près au même nombre dans l'hystérie gauche et dans l' hystérie droite, il est surprenant de voir que les troub
, qui constituent des accidents fort fréquents et fort curieux de l' hystérie , se présentent avec une prédominance marquée da
rie, se présentent avec une prédominance marquée dans le groupe des hystéries droites. Si ce résultat se confirmait, on pourr
d'épilepsie, mais présentant en même temps des signes manifestes d' hystérie . D'autres améliorations notables furent obtenue
avec anxiété systématisée, les phobies trauma tiqués relevant de l' hystérie et les pho- bies proprement dites, ces dernière
é peut être diminuée et pratiquement anéantie par les caprices de l' hystérie , qu'il s'agisse d'un enfant ou d'un adulte; f)
suivantes : . - « La rêverie est particulièrement fréquente dans l' hystérie , mais on la rencontre quelquefois aussi dans la
jeu actif de l'ima- gination jusqu'aux états de rêve délirant de l' hystérie . Il y a aussi d'autres cas, dits cas de pseudol
es paralysies psychiques, afin de ne pas trop étendre le cadre de l' hystérie . M. H. XXXVI. Le vertige psychique ; par VAscni
ication scien- tifique des phénomènes de l ? par Francken, 538. HYSTÉRIE de Sainte-Thérèse, par Rouby, 124, 227,843. Dis
alies du sillon de -, par AntonuWhkv, 496. Sainte Thérèse. Voir Hystérie . Sang. De la présence d'un parasite dans le d
38 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
cile de découvrir des différences 1. Etudes cliniques sur la grande hystérie . 2. Les Démoniaques dans l'art, par Charcot et
ion n'avait pas peu contribué, d'ailleurs, à jeter dans une crise d' hystérie convulsive. ' . La Faculté était toujours dissi
meilleure description pourrait-on donner aujourd'hui de l'attaque d' hystérie ? Aussi les commissaires rejetèrent-ils comme f
ns l'observation que nous venons de rapporter, cette existence de l' hystérie nous semble mise en évidence par l'anesthésie p
2. Séglas et Chaslin, loc. cit., obs. IV. 3. P. Richer, la Grande Hystérie , 1885, p. 615. Fiv. 3. - Tracé obtenu sur la ma
tera certainement parmi les plus intéressantes dans le domaine de l' hystérie . On verra que nos investi- gations n'ont pas to
e étude est donc un chapitre détaché de la pathologie générale de l' hystérie : toutefois, pour les raisons précédemment énoncé
nt, qui a eu des douleurs rhumatismales. Une soeur a des attaques d' hystérie . Antécédents personnels. Rougeole dans l'enfanc
i-ci reste ainsi fixé en extension. - Elle a une ou deux attaques d' hystérie par semaine : elle a eu la première à l'hôpital
e jour-là, à six heures et quarl du soir, la malade a une attaque d' hystérie qui dure environ une demi-heure. Après cette at-
pasme présenté par notre malade. Cet accident n'est pas rare dans l' hystérie . Dans son mémoire inédit sur les Paralysies et
aire imiter à l'hypnotique une affection nerveuse indépendante de l' hystérie , on n'a devant les yeux qu'une copie imparfaite
iner si un syndrome clinique est oui ou non sous la dépendance de l' hystérie . » C'est cette méthode spéciale d'investigation
re est bien plus un chapitre détaché de la pathologie générale de l' hystérie qu'une monographie des spasmes de la face et du
une fille' âgée de seize ans et demi qui a eu plusieurs attaques d' hystérie entre 8 et. 12 ans. Et c'est tout. Antécédent
on. Considérant néanmoins la rareté des paralysies oculaires dans l' hystérie , et d'attiré part la contracture dont cet oeil
onnements d'oreilles, etc. A dix heures et demie, attaque de grande hystérie qui dure deux heures. SUPERPOSITION DES TROUB
n enfance; fièvre typhoïde a 14 ans. A 12 ans, début des attaques d' hystérie , à 13ans début des accès d'épilepsie nettement ca
ût complètement aboli des deux côtés depuis le début des attaques d' hystérie . Dans la nuit du 10 au 17 juin 1888 débute un é
présenté ces derniers phénomènes depuis le début de ses attaques d' hystérie . L'observation VII est intéressante en ce qu'el
ction dé l'orbiculaire (Borel). Si l'on s'étonne, nous dirons que l' hystérie locale n'est pas encore tellement bien connue dan
ur beaucoup de médecins, les attaques sont encore le critérium de l' hystérie . Pour ce qui est du torticolis, en présence de
aux idées que notre maître a émises sur la pathologie générale de l' hystérie . En précisant certains points, il enrichira le ch
larges pour le diagnostic de certaines manifestations locales de l' hystérie , il mettra peut-être un frein à des interventio
mouvements d'oscillation d'avant en arrière comme dans l'attaque d' hystérie . On peut arrêter l'attaque en pressant le nerf so
cé que vont sè montrer les symptômes les plus caractéristiques de l' hystérie . Ici nous devons nous arrêter quelque peu, car
ent en vingt-quatre heures... Telle est la particularité propre à l' hystérie et caractéristique de cette maladie, car la mobil
SALPÊTRIÈRE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES TROPHIQUES DANS L' HYSTÉRIE ATROPHIE MUSCULAIRE ET OEDÈME I Jusqu'à ces
EDÈME I Jusqu'à ces derniers temps l'opinion générale était que l' hystérie ne donnait que très exceptionnellement lieu à d
eigne M. Charcot, a nui pendant si longtemps il la nosographie de l' hystérie , faisait rejeter ou tout au moins négliger par ce
europatologia, anno V, l'asc. 1, janv. et lez. 1887, p. 4C. 2. De l' hystérie chez l'homme, monoplégie avec atrophie musculaire
cinq ans. Scarlatine à huit ans. Pas d'autres maladies. Début. - L' hystérie s'est revélée chez Cah.. au mois de mai 1885, dan
evenir ensuite régu- lièrement. t. La première manifestation de l' hystérie remonte à l'âge de seize ans pendant la convale
et en dehors; pas de perte de connaissance. Ces attaques frustes d' hystérie à forme d'épilepsie partielle reviennent encore
tronc, y compris la fesse. Mais il faut aussi faire remarquer que l' hystérie a toujours porté plus parti- culièrement ses ef
vice de M. le professeur Charcot. 1. Des troubles trophiques dans l' hystérie (Gazette des hôpitaux, 1888, p. 561). 2. Nouvea
aux, 1888, p. 561). 2. Nouveaux Fragments de clinique médicale. - L' hystérie viscérale. Paris, Delahaye et Lecrosnier, édit.
rapporter à des troubles menstruels ce qui appartient peut-être a l' hystérie . - Les cas de Nilowitz : Zwci weitere Fiille cine
sion dans la circonstance à Cah... (Obs. 1) qui, pris d'une attaque d' hystérie , sur la place de la Bastille, avait été ramené
abandonnée; elle nous a conduit même à généraliser notre étude à l' hystérie tout entière, normale ou patho- logique. Ces
s, états de mal, vomissements, etc., constituant la pathologie de l' hystérie . Nos recherches qui ont porlé pour le premier g
NSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS. 293 Que dans l'attaque d' hystérie convulsive et dans toutes les variétés d'attaqu
eux et alcalins étant normalement comme 1 est à 3, dans l'attaque d' hystérie ce rapport devient toujours comme 1 est 2 et so
ique, l'état de mal hystérique n'était autre chose qu'une attaque d' hystérie prolongée avec accen- tuation des phénomènes qu
que nous avons étudiés. Ce sont donc bien là des phénomènes dus à l' hystérie et non à l'inanition. L'étude de la courbe perm
ogique. Ses caractères si spéciaux appartiennent bien en propre à l' hystérie , tout au moins jusqu'à ce que des recherches ul
s, croyons-nous, il faudra compter avec la courbe excré- toiré de l' hystérie , comme on a appris depuis longtemps à se guider
l hystérique, quelle que forme qu'il revête, n'est qu'une attaque d' hystérie prolongée dont il présente tous les caractères ch
si radicale- ment fausse pour les manifestations pathologiques de l' hystérie que z dans l'hystérie normale. A ce dernier p
se pour les manifestations pathologiques de l'hystérie que z dans l' hystérie normale. A ce dernier point de vue, et pour par
ée dans les analyses des diverses manifestations pathologiques de l' hystérie que nous avons étudiées et inlirmer par là même
re exophtalmique Au cours de nos recherches sur la Nutrition dans l' hystérie , entre- prises dans le service de M. le profess
uverait-on la caractéristique de cette complication assez rare de l' hystérie , pour qu'en deux ans, nous n'en ayons pas obser
ue Externe de la Clinique. des maladies du système ncrvcuc. j 0 L' HYSTÉRIE DANS L'ARMÉE ALLEMANDE , Depuis les derniers tr
uis les derniers travaux de M. le professeur Charcot, le cadre de l' hystérie s'est singulièrement agrandi par ce fait même qu'
e nous puissions faire aux auteurs, qui, en Allemagne, doutent de l' hystérie masculine. « On sait, en effet, qu'un certain n
este à leurs diagnostics, se refusent absolument à ad- mettre que l' hystérie soit une maladie véritable ayant, comme toute a
dans les temps modernes et dans l'histoire, 1886. - Dupoiieliel. L' hystérie dans l'armée. Itewc de médecine, 1886, il* vi,
armée. Itewc de médecine, 1886, il* vi, p. 517. - Coustan. Un cas d' hystérie mâle sans attaques. Arch. de méd. et de pharm.
aires, novembre 1887. `3. Oseretzkowsky (de Moscou). Quelques cas d' hystérie dans les troupes russes. Ar- chives do neurolog
latt sur lervenbeilkundc, n° 4, p. 101, S8 3. IL-A. Janssen. Over hystérie bij soldaten. Wcekb)ad voor Geneeskundc, 1887, n°
dans ses Leçons du mardi à la Salpêtrière, 18° Lcç. 1889, pu15. L' HYSTÉRIE DANS L'ARMÉE ALLEMANDE. 319 encore à cet accès
Andrée et Iinoblaucb est absolument superposable par ses .. 1. L' hystérie en Allemagne. - Rouie criliyuc. Progrès médical,
. Charcot chez ses pensionnaires-femmes de la Salpêtrière '. oc L' hystérie chez l'homme étant généralement assez rare, surto
n compulsera également, a' ec beaucoup de fruit, au point de vue de l' hystérie , les observations contenues dans le recueil sui
rx lleeren im Krieye gegen Frankreich, 1870-1871. Merlin, 188G. L' HYSTÉRIE DANS L'ARMÉE ALLEMANDE. 321 guère qu'une par jo
ttaque. Les attaques présentèrent le caractère typique de la grande hystérie de Charcot peu de jours après le début; les trois
graphiques peut se répartir quant à la durée ainsi qu'il suit : L' HYSTÉRIE DANS L'ARMÉE ALLEMANDE. 325 ou du scrotum, il l
- neux n'étaient pas exagérés pathologiquement. . Le diagnostic d' hystérie que nous portâmes malgré les difficultés que pr
rophiques (dans la paralysie géné- rale), 25, ` ? G, 27 ; (- dans l' hystérie ) atro- phie musculaire, il, oedème, 4`3. Vent
13, il. Femme malade (la) par Jan Steen, 52. fessier (pli), C2. Hystérie (champs usuels dans 1' -), d0, 11, .1,G; (schém
la fièvre du -), par Gilles de la Tourette et Cathelineau), 306. Hystérie (contribution à l'étude des troubles trophiqnes
39 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u'on ne peut utiliser ce signe pour le diagnostic différentiel de l' hystérie et de l'épilepsie. On observe en général la dil
ité épigastique profonde plus souvent augmentée que diminuée dans l' hystérie . L'hyperesthésie, plus 'fréquente, se rencontre
que cette anesthésie généralisée doit être mise sur le compte de l' hystérie . G. D. XIV. Un cas de sclérose cérébro-spinale
lle de ses extases et de ses hallucinations, des stigmates avérés d' hystérie . C'est à la suite d'un entraînement extatique q
pendant le profes- seur Grasset, en 1884, signale les rapports de l' hystérie avec la diathèse tuberculeuse, Marfan constate
diathèse tuberculeuse, Marfan constate que la phtisie rallume une hystérie éteinte, Crocq signale deux cas de folie hystériq
fouillées, la relation qui existe entre cette amnésie continue et l' hystérie . D'un autre côté, Charcot nous aenseigné la pos
n autre côté, Charcot nous aenseigné la possibilité du réveil d'une hystérie latente sous l'influence d'une intoxication aig
nous ne croyons donc pas que l'on soit autorisé ici à incriminer l' hystérie . D'ailleurs, cette forme continue de l'amnésie
ésie a été signalée par différents auteurs dans des affections où l' hystérie ne pouvait être invoquée. En outre, M. le profe
-antéro- grade «peut s'observer indépendamment de toute attache d' hystérie , d'alcoolisme ou de traumatisme dans les maladies
ante; fréquente et très manifeste dans les cas de neurasthénie et d' hystérie accompagnés de myas- thénie prononcée, de parés
és d'abord épilepsie, et que leur évolution permit de rattacher à l' hystérie . Il est bon de savoir que cette dernière névrose
ours ou même des semaines. On constate en général des stigmates d' hystérie , mais les troubles sensitifs dus à l'hystérie peu
néral des stigmates d'hystérie, mais les troubles sensitifs dus à l' hystérie peuvent se rencontrer chez les épileptiques. L'
co-légale. L'automatisme de la neuras- thénie diffère de celui de l' hystérie , en ce que le malade a cons- cience de ce qu'il
ts relatifs a la discussion des asiles. - Lemaistre. Quelques cas d' hystérie anormale chez les en/'ants. Pausol. Consi- déra
ur le tabes traumvzliqzcr ; de la phobie épi- leptnïcle. Laffornue. Hystérie à évolution psychique exclusive. Hartemberg. La
CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DE M, LE professeur André Moussons. Hystérie juvénile chez une fillette de douze ans. Hémian
aux de Bordeaux. Depuis qu'on a songé à rechercher la présence de l' hystérie chez l'enfant, on l'a rencontrée très courammen
ue les diffé- rents modes cliniques sous lesquels se présente cette hystérie , on est frappé de remarquer que, dans l'enfance
au couvent, pendant une récréation vers 10 heures du matin, sans hystérie juvénile CHEZ UNE FILLETTE. 179 aucune contrari
ns résultat, puis dans l'oeil droit de l'atropine, qui provoque une hystérie JULENILE CHEZ UNE FILLETTE. 181 mydriase accent
et avec intelligence à toutes les questions qui lui sont posées. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 183 Tête et éou. La
. Les sensibilités musculaire, tendineuse, osseuse, ainsi que les HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE* FILLETTE. ] 85 réflexes, son
c., imprimés au membre est assez faible. Les réflexes rotulien et HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 187 1 achilléen son
particulière qu'a Marthe pour la couleur rouge; à cet effet, nous HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 189 l'amenons dans
sique soit dans l'autre moitié. Si on pro- ' Leçons cliniques sur l' hystérie , t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE NERVEUSE. duit
jour où la disparition de l'hémianesthésie serait accompagnée de HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 191 la disparition
re de raisons que nous allons maintenant faire connaître. I. Si l' hystérie infantile ou juvénile est fréquente, elle ne se
sultats heureux qu'il avait obtenus avec l'ovairine, dans des cas d' hystérie juvénile provoqués de façon analogue, nous avon
s rare que l'hémianesthésie-sensi- tivo-sensorielle complète dans l' hystérie . On n'observe guère que des hémianesthésies cut
eçons du mardi. 1889, p. 517. ' Leçons clin, sur l'hyst., p. 140. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. - 193 Notre observa
ystérique et szooli-mztlilé. (Bulletin nzéclie. de l'Algérie, 18DL) HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. j des deux de Lichw
dic. des hôpitaux, 188. " Cité par Strzeminski. Troubles ocul. de l' hystérie . (Recueil d'oph- 0 Revue médicale de Toulouse,
, du stéréoscope avec les cartons les plus simples de Javal, elle HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 197 I répond comme
no- culaire hystérique. (Archives d'ophtalmologie, 1897, p. z27.) HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 1999 M. Aubaret d'a
, 2r juin 1900, p. kJH-o7.) 3 Il. Parinaud. Les troubles ocul. de l' hystérie . (Annales d'oculistique, juillet 1900, p. 38.
nt l'examen a servi de point de départ à l'article d'Antonelli. ' HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEL UNE FILLETTE. 201 1 à l'instant p
établir les cinq propositions suivantes : 1 Loc. cil., p. 220. HYSTÉRIE JUVÉNILE CREIEZ UNE FILLETTE. 203 3 Dans l'oeil
ntôt vision disso- ciée, etc. ; on peut imaginer mille variantes. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 205 Après avoir dén
caractères généraux des anesthésies, complètes ou dissociées de l' hystérie ; ne voyons-nous pas, en effet, la pupille d'une
, en rapport avec l'oeil amblyope : il en ' hoc. cil., p. 231-32. HYSTÉRIE JUVÉNILE CHEZ UNE FILLETTE. 207 résulte des mod
ontiers les diverses particularités de la vision binoculaire dans l' hystérie . Cela tendrait à prouver que les troubles hysté
s les phénomènes déconcertants considérés jus- qu'à ce jour, dans l' hystérie , du côté de l'appareil visuel, qui nous aideron
ée à l'Hôtel-Dieu et à Tenon, elle prit dans l'hospice des crises d' hystérie à la vue d'une attaque présentée par une jeune
toire pathologique de notre sujet a évolué avec l'âge. Les crises d' hystérie ont actuellement complètement disparu, ainsi qu
la suite d'une chute de bicyclette. Il ne présentait aucun signe d' hystérie . Cet état durait depuis deux ans sans amélioratio
r assurer sa marche ou redresser sa tête. Il n'a aucun stigmate d' hystérie , mais il reste un neurasthénique avéré entre chaq
rve surtout dans la mélancolie, les dégénérescence, l'alcoolisme, l' hystérie . L'auteur abordant le côté médico-légal - point
rature médicale de cette question. R. DE Musgiuve-Clay. XXXVII. L' hystérie , sa nature et son étiologie ; par Charles-Louis
harles-Louis Ailx. (The New York Médical Journal, 4 août 1900.) L' hystérie est une maladie sans définition, que l'on classe
é spéciale ou générale : la peau sent, l'écorce ne perçoit pas. L' hystérie est donc un processus psychique. L'écorce céréb
les, il existe une relation non moins définie. Très souvent, dans l' hystérie , si souvent que .divers auteurs ont parla carac
l'hystérie, si souvent que .divers auteurs ont parla caractérisé l' hystérie dans les définitions qu'ils Archives, 2' série,
instant que la théorie des neurones allait éclairer la nature de l' hystérie , mais depuis qu'il a été constaté qu'on n'obser
pas donner lieu à des phénomènes tels que ceux qui caractérisent l' hystérie , et il apporte quelques arguments en faveur de
ment qu'il n'y a là que des conjectures et que la nature vraie de l' hystérie demeure encore enveloppée dans une obscurité pr
a première remarque de l'auteur à propos du diagnostic, c'est que l' hystérie , comme l'a fort bien dit Leube, ne s'apprend pas
sur un seul qu'il convient d'établir le diagnostic. Les causes de l' hystérie sont en prédisposantes ou déterminantes. Parm
osés que les autres peuples. Il y a des âges de prédilection pour l' hystérie ; il n'y en a pas qui soit indemne. On sait que
n pour l'hystérie ; il n'y en a pas qui soit indemne. On sait que l' hystérie est plus fréquente chez les fem- mes, mais on s
en dernière analyse, la suggestibilité du malade qui fait éclater l' hystérie ; dans le traumatisme physique l'élément de sugg
sument en un mot : suggestion. » R. DE filUSGRAVE-CLH. XXXVIII. L' hystérie et la neurasthénie chez les jeunes sujets; par
de céphalo-rachidien. R. de Musgrave-Clay. XL. Le diagnostic de l' hystérie ; par Charles-W. l3ul\l\. (The New York Médical
il 1900.) On a eu raison de dire que quand on sait la syphilis et l' hystérie , on sait toute la médecine, car la syphilis dét
sait toute la médecine, car la syphilis détermine des lésions, et l' hystérie des symptômes, dans tous les organes. L'auteur se
les organes. L'auteur se demande d'abord ce qu'il faut entendre par hystérie : cela on ne le saura que quand on saura toute
peu satisfaisante qu'elle soit, - de la définition de Mobius : « L' hystérie est un état dans lequel les idées commandent au
ses fonctions des modifications pathologiques. » Le diagnostic de l' hystérie se fait, comme la plu- part des diagnostics, d'
s de valeur que les positives. Les symptômes vraiment propres à l' hystérie ne sont pas nombreux, ce qui peut avoir une vraie
s une paraplégie organique, ce qui peut parfaitement arriver dans l' hystérie . On se trouve souvent en présence, chez les hys
es, elles peuvent manquer. Il n'y a pas de symptôme constant dans l' hystérie , et l'on n'est jamais fondé à la nier sur l'absen
se hystérique, il peut être fort aisé ou très difficile : de plus l' hystérie n'est pas toujours simple et se complique assez
rtant une forme de paralysie fiasque qui ne se rencontre que dans l' hystérie : c'est celle dans laquelle, malgré l'abolition
quelle position où il a été passivement placé. En somme, quand l' hystérie existe seule, son diagnostic est rela- tivement
hystérique du sein prend une importance capitale et constitue une hystérie presque mono-symptomatique, sont rares et mériten
ique l'a totalement guérie de ce trac. Les agents provocateurs de l' hystérie chez les animaux. M. Lépinay rapporte de nombre
ressionnables qui attendaient leur guérison de l'hypnotisme. Dans l' hystérie l'hyp- notisme semble avoir un pouvoir curatif,
les écoliers sains (le mal comitial n'est point contagieux comme l' hystérie et la chorée) ; jeune homme, il exercera la car
t nos 3112 sujets. Mal- heureusement pour deux variétés mentales, l' hystérie et la sénilité, le nombre de ceux que nous eûme
soit nous voyons que le maximum de dermographie a été fourni par l' hystérie que suit de très près la démence et d'assez prè
p. 100. Nous avons noté la dermographie bien plus souvent dans l' hystérie que dans l'épilepsie puisque notre tableau donne
il a été inférieur à l'état anormal, toutefois c'est surtout dans l' hystérie que l'anormalité l'a emporté avec une formidabl
res aliénations mentales l'état normal a été plus fréquent. Après l' hystérie , c'est dans la sénilité et la démence qu'il s'e
l on ne s'attendrait pas, qu'elle a son maximum de fréquence dans l' hystérie qui MÉNINGO-ENCÉPHALITE. 397 possède déjà le
qu'un rang inférieur dans l'anor- malité. Au rang supérieur après l' hystérie vient la sénilité qui comme nous savons n'a pas
chez les malades qui n'ont pas guéri. R. de Musgrave-Clay. XXV. L' hystérie et ses rapports avec la folie ; par Geoffrey Hun-
quent des modifications fonction- nelles nombreuses et imprévues. L' hystérie a deux causes princi- pales, l'hérédité et l'éd
ux-mêmes, est certainement coupable de l'éclosion de bien des cas d' hystérie . Un esprit bien équilibré subit, plus ou moins,
tares héréditaires nerveuses : alcoolisme (29 p. 100), épilepsie, hystérie et psychoses. Le niveau intellectuel est très bas
ctères de la division de la conscience telle qu'on l'observe dans l' hystérie Les études récentes de M. Pierre Janet montrent
Médecin adjoint de l'asile des aliénés tl'EHenx. L'histoire de l' hystérie au point de vue documentaire s'est enrichie dep
« Eu égard au grand nombre de malades, hommes et femmes, atteints d' hystérie , dit Cartaz dans son excellente monographie 2,
as rencontré dans la littéra- ture b ». 1 , Landouzy. Traité de l' hystérie , 18\6. , Hippocrate, Epidémie, livre V. 3 Hér
vin. 5 Gilles de la ïourette. Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , tome II. 508 ' . CLINIQUE NERVEUSE. Perte
subitement par un violent accès de colère, ne peut relever que de l' hystérie . Elle répond 'à la magistrale description deCha
elle cessé de boire qu'elle parle. 1 Pitres. Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE NERVEUSE.
de Watson, cité par Briquet : une jeune femme, après une attaque d' hystérie convulsive, perdit la parole et resta absolumen
sur les aecidents similaires dépendant des lésions organiques... L' hystérie est la grande pourvoyeuse des cures imprévues e
s motrices. R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II. Étiologie et guérison de l' hystérie ; par F. WALTER. (The New Yorls Médical Journal,
he New Yorls Médical Journal, 21 juillet 1900.) Si, dans un cas d' hystérie , du type actif ou convulsif, on admi- nistre un
ntent : ou bien il existe un orga- nisme spécifique générateur de l' hystérie que nos méthodes actuelles ne nous permettent p
Guillain, 157. Hypophyse. Développement de l ? par Rossi, 125. HYSTÉRIE juvénile chez une fillette de douze ans, par Cr
Folie -,traitement thyroïdien, par Legrain, 539. Neurasthénie. L' hystérie et la - chez les jeunes sujets, par de Mer- r
40 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
-ques de l'hypnotisme ont une parenté étroite avec les symptômes de l' hystérie . Luys, qui expérimentait également sur des hyst
cns etéréognostioue. Il suffisait d'observer ses modifications dan? l' hystérie . M. Déjerlne proteste/page> page n="33">
illon, M. le Dr Paul Farez. H Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . .Rapporteur : M. le D' Paul Magmin. III Les
e des phénomènes inhibitoires et dynamogéniques. Les symptômes de l' hystérie , de même que les phénomènes de l'hypnotisme consi
du système nerveux consécutifs aux crises des maladies convulsives, ( hystérie , épilepsie). Les agents chimiques peuventaussi
int k la clinique du D'Bérillon, le 8 juin. J'ai pensé aussitôt à l' hystérie , mais je n'ai rien trouvé dans cette direction. D
smodique puisse constituer ou déceler une dégénérescence ou marquer l' hystérie ; car à ce titre, tous nous serions plus ou moins
oprement dite, et qu'il n'a de chance d'aboutir que dans les cas où l' hystérie simule la névrose tiqucuse. » Malgré l'opinion
met généralement deux causes de l'automatisme ambulatoire ; ce sont l' hystérie et le mal comitial. Afin de prouver que les acc
es, on donne cette première raison que l'on relève les stigmates de l' hystérie chez les automatiques ; mais à cela on peut répon
e que rien n'empêche la coexistence d'une seconde névrose à côté de l' hystérie , en sorte que la preuve avancée n'est pas absolum
as absolument démonstrative. Par contre, l'absence de tout stigmate d' hystérie ne doit pas faire élimiter l'hystérie comme cause
e, l'absence de tout stigmate d'hystérie ne doit pas faire élimiter l' hystérie comme cause de l'automatisme puisque l'on connaît
iter l'hystérie comme cause de l'automatisme puisque l'on connaît ß l' hystérie monosymptomalique » et que pareille hystérie pour
puisque l'on connaît ß l'hystérie monosymptomalique » et que pareille hystérie pourrait n'avoir précisément comme symptôme que l
gument important quoique non décisif pour rattacher l'automatisme à l' hystérie . Mais en voici un autre tout à fait concluant.
dans sa fugue. L'accès ambulatoire est donc sous la dépendance de l' hystérie et cette vérité n'est pas étonnante car on peut e
2 à 1890 dans un état second dont elle était sortie par une attaque d' hystérie . Voilà un bel exemple qui montre bien la dépendan
ance dans laquelle se trouve l'automatisme ambulatoire vis-à-vis de l' hystérie . On le place aussi sous celle du mal comitial.
le grâce à une confusion entre les attaques d'épilepsie et celle de l' hystérie qu'on ne distinguait pas les unes des autres jadi
unes des autres jadis, avant qu'on eût des notions suffisantes sur l' hystérie ? Dire que les gens atteints d'automatisme ont eu
e peut être un hystérique et que son automatisme peut 'relever de son hystérie et non de son épilepsie. J'aime mieux les deux pr
ue de ses crises, rattacher la maladie ù sa cause véritable, soit à l' hystérie , soit à ï'épiiepsie. Le problème est parfois diff
athologique, celte personne est atteinte de mal comitial et non pas d' hystérie . L'individu qui urine sur ses voisins au milieu d
s à notre malade et voyons comment résoudre pour elle, cette question hystérie ou épilepsic ? Cette dame, nous dit-on, a eu de
pas la langue, elle ne perdait pas ses urines. C'étaient des crises d' hystérie . Elles ont disparu quand se sont produites celles
ous allons parler et nous ne trouvons chez la malade aucun stigmate d' hystérie . A l'âge de quarante-cinq ans,d'après ce que no
ne s'est aperçu qu'elle eût perdu ses urines. Une attaque nocturne d' hystérie n'est possible, ne se développe que quand le mala
es d'automatisme ambulatoire et elle a le droit d'en avoir de par son hystérie et de par son épilepsie. Analysons maintenant l
ment tromper et par conséquent modifier par suggestion. Polvurie et Hystérie , par M. Mathieu, Soc. méd. des Hôp. Séance du 10
0 février 1899. Chez les névropathes, la polyurie est fonction de l' hystérie et même, peu' en ê^re. d'après Debove, le seul st
à déterminer. Dans les cas de ce genre, on trouve presque toujours l' hystérie : ici, aucun des stigmates généraux n'en a pu, il
tion auriculaire doit être la manifestation ncurc-symplômotique d'une hystérie encore latente ; car on trouve du côté de l'oreil
la coïncidence de ces deux symptômes est un des meilleurs signes de l' hystérie auriculaire que nous possédions. Les ventriloqu
ir à nos deux jeunes sœurs, l'aînée est encore sujette à des crises d' hystérie . Je la traite par la suggestion. Mais, mon action
n'est donc pas douteux pour moi que nos deux soeurs guériront de leur hystérie et de leur chorée.... La suggestion provoque la
utilité du sommeil prolongé comme un agent héroïque de sedation. L' Hystérie dans ses rapports avec les émotions sexuelles, pa
d neurol, oct. 1898. D'après Hippocrate, l'utérus est le siège de l' hystérie , d'où le nom de cette dernière. Pour de nombreux
rnière. Pour de nombreux médecins et aussi pour la masse du peuple, l' hystérie a passé et passe encore injustement pour une affe
» C'est en 1618 qu'un médecin français, Carolus Piso, soutint que l' hystérie apparaît à tout âge, dans les deux sexes et qu'el
cot, Brener, Freud ont montré qu'il n'existe aucune connexion entre l' hystérie et les faits de la vie sexuelle. L'hystérie compo
aucune connexion entre l'hystérie et les faits de la vie sexuelle. L' hystérie comporte un désordre nettement défini et n'est pa
ésie, tel est le vocable sous lequel M. Buckley propose de dénommer l' hystérie , puisque cette dernière consiste surtout dans une
jc, par MM. P. Lereboullet et F. Allaud, Revue neurologique 1899. L' hystérie simule souvent les accidents organiques les plus
'exploration électrique permet de déterminer s'il s'agit uniquement d' hystérie , ou de lésion organique pure, ou de lésion organi
rie, ou de lésion organique pure, ou de lésion organique compliquée d' hystérie . Témoin l'étude fort intéressante de MM. Lereboul
ang, d'hématè-mèses et de tremblement, jamais elle n'a eu d'attaque d' hystérie commune. Les accidents dont elle souffre se produ
es injections sous-cutanées de morphine comme traitement curatif de l' hystérie , et... quelque temps après, il présenta a la Soci
phénomènes neurasthéniques précis, on a attribué ces troubles à de l' hystérie , et le médecin consultant de Lariboîsièro a conse
état actuel de celte question./page> page n="255"> - Dans l' hystérie , il peut n'exister que des manifestations psychiq
ntal dit hystérique est bien une maladie à part. Ceux chez lesquels l' hystérie se manifeste dès leur enfance sont de? héréditair
e. En somme, c'était là l'ébauche et comme l'équivalent d'une crise d' hystérie . Le diagnostic entre l'hystérie et l'épilepsie ét
e et comme l'équivalent d'une crise d'hystérie. Le diagnostic entre l' hystérie et l'épilepsie était fait grâce à cet interrogato
llon, M. le Dr Paul Farez. II Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . Rapporteurs: M. le D' Paul Magnin, M. le D' J.
e graves accidents d'intoxication compliqués de troubles convulsifs d' hystérie et d'états d'anxiété neurasthénique. Son aboulie
geuse, renfermée, peu exubérante. Elle ne présente pas de stigmates d' hystérie Elle a fait à 17 ans un mariage d'inclination et
tion, quelle qu'elle soit, étant la base essentielle du succès dans l' hystérie , je consentis volontiers à faire l'inoculation. L
re invoquée pour expliquer le succès de l'inoculation sanguine dans l' hystérie . Altérations de la personnalité sous l'influenc
la malade présente un certain nombre de manifestations mentales de l' hystérie . Par contre, sous l'influence de la morphine, ell
-il pas dû à une action curative exercée par la morphine sur l'état d' hystérie ? Plusieurs auteurs ont prétendu avoir guéri des h
bie. 11 existe des photophobies hystériques; mais chez cette femme, 1 hystérie doit être écarlée, et, comme il n'existe aucune l
iagnostic, il est facile ; en effet, même en l'absence de stigmates d' hystérie , on peut affirmer qu'une polyurie est hystérique,
à la microslhésie, dont l'origine remontait à trois mois, alors que l' hystérie datait de trois ans. Cette malade, en se palpant,
uérie. La microthésie serait donc d'un pronostic peu favorable dans l' hystérie . _ Séance du Mardi 20 mars 1900. — Présidence d
on. Il ne présente, il est vrai, aucun des stigmates habituels de l' hystérie , ni anesthésie, ni hypéresthésie, ni rétrécisseme
ue. RECUEIL DE FAITS Association de la sclérose en plaques avec l' hystérie . — Traitement des accidents hystériques par la su
nski était très net (orteil en extension). On en conclut qu'outre l' hystérie héréditaire, il y avait une lésion médullaire qui
En somme, il y avait dans ce cas une association de deux maladies : l' hystérie , la première en date, et la sclérose en plaques c
ose en plaques. La malade marche très bien à genoux. On guérira l' hystérie par la suggestion, et l'autre maladie suivra prob
i n'existe pas.- Donc, il n'y a pas de lésion organique, c'est de l' hystérie trauma-tique. Un cas d'œdème hystérique ; rôle
l devenait intéressant devant la négation formelle de toute attaque d' hystérie antérieure, de connaître la cause efficiente de c
llon, M. le Dr Paul Farbz. II Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . Rapporteurs: M. le D' Paul Magnin, M. le Dr J.
Les névroses convulsives. — Rôle de l'éducation dans l'étiologie de l' hystérie . — Le traitement psychothérapique de l'hystérie.
dans l'étiologie de l'hystérie. — Le traitement psychothérapique de l' hystérie . — L'hystérie mentale. — Action complémentaire de
ie de l'hystérie. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L' hystérie mentale. — Action complémentaire de la suggestion
r vu un cheval prendre le mors aux dents, avait présenté des crises d' hystérie , et, consécutivement, un tic de la face. Au Bré
lle ne devait pas/page> page n="379"> être confondue avec l' hystérie , la mélancolie stupid c, la démence précoce, la p
ntroduction à l'étude de l') par Edgar Bérillon. p. 1, 30, 68, 109. Hystérie (Polyurie et), par Mathieu, p. 90. Hystérie dan
n. p. 1, 30, 68, 109. Hystérie (Polyurie et), par Mathieu, p. 90. Hystérie dans ses rapports avec les émotions sexuelles, pa
Polyurie hystérique et suggestion, par Souques, p, 325. Polyurie et hystérie , par Mathieu, p. 90. Procédé pour produire l'hy
52, 270, 313, 339. Salpêtrière, p. 320. Sclérose en plaque avec l' hystérie (Association de), par Verrier, p. 335. Simon (J
41 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
élimitée. J'ajoute que notre malade ne présente aucun stigmate de l' hystérie . Il ne viendra, je pense, à personne l'idée de
nquer. Il en est toujours ainsi quand l'affection est simulée par l' hystérie . J'ai eu autrefois l'occasion d'adresser à Charco
lésion spinale (cornes antérieures) ou avec une névrite, ou avec l' hystérie . Je vais vous présenter une première malade qui
il a des antécédents névropathiques : sa mère avait des attaques d' hystérie . Lui-même a eu des accès de somnambulisme à )'a
i celui de Fabre (1), rangée parmi les troubles trophiques liés à l' hystérie et rapprochée de l'oedème sous la dépendance du
lons nous trouver en présence d'un des types les plus nets de ces « hystéries locales » si bien étudiées par Brodie. Wilis(2)
ossesse vinrent seuls mettre un terme à ces phénomènes morbides ; l' hystérie disparut et avec elle le gonflement dou- loureu
onflement douloureux des deux seins, coïncidant avec des attaques d' hystérie . Nous ferons remarquer que l'une de ses malades a
observations anciennes, aucune n'est plus intéressante (1) FABRE, L' hystérie viscérale, ion-8", 1881. (2) ÿo,ras, Pathologiæ
irritable ou névrose des mamelles ». En 1837, Brodie rejette de l' hystérie les cas où il existe une tumeur dans la mamelle
montrant chez des femmes qui ne sont aucunement prédis- posées à l' hystérie . Dans ces cas dont il est question, la douleur et
uelques points. En par- ticulier, nous ajouterons que, du fait de l' hystérie , il peut se produire dans le sein de véritables
e « galactorrhée, datant de sept ans, alternant avec des attaques d' hystérie », sur lequel nous aurons à revenir. Avec M.
r- tées à leur véritable cause. (1) Landouzy, Traité complet de l' hystérie , 1846. (2) Briquet, Traité de l'hystérie, 1859,
douzy, Traité complet de l'hystérie, 1846. (2) Briquet, Traité de l' hystérie , 1859, p. 207. (3) Connard, Du sein hystérique
t REGNARD, lcon. phot. de la Salp., 1877-1878, p. 197. (5) Fnsne, L' hystérie viscérale, op. cit., p. 100. (6) WEVER, Ein Fai
ose (1). Le sein hystérique, comme l'arthralgie, est un type de ces hystéries lo- cales si bien décrites par Brodie. Dans l'é
eintes de cancer de la ma- melle et l'on sait combien, en matière d' hystérie , la contagion nerveuse est à redouter.. - En
- encer singulièrement les organes de la lactation et y localiser l' hystérie . Nous ne connaissons pas d'exemple de sein hyst
Hôtel-Dieu, trois cas de mastodynie, dans lesquels l'influence de l' hystérie était indé- niable. Au point de vue de la fré
ra donné de constater (1) Voy. Gn.i.nam; la 'rouacTTr., Traité de l' hystérie , t. II, ch. IX (vient de paraître). 116 NOUVELL
près ce flue nous savons aujourd'hui des troubles trophiques dans l' hystérie , ce cas est d'une interpréta Lion facile. Attaq
rie, ce cas est d'une interpréta Lion facile. Attaques syncopales d' hystérie nées sous l'inlluence d'un traumatisme ; oedème
irer cette conclusion que tous ces cas se rapprochent le pi us de l' hystérie , et dans 4. cas (I, II, III et IV) considérer l
ie, et dans 4. cas (I, II, III et IV) considérer le diagnostic de l' hystérie comme indubitable, étant donné le cours de l'anes
- thésie, sa répartition caractérisque et les autres symptômes de l' hystérie . La question de la coïncidence de l'eczéma avec
mes de l'hystérie. La question de la coïncidence de l'eczéma avec l' hystérie a été peu trai- tée jusqu'à présent dans la lit
ient en ulcères. rltllanassio (2) dit qu'on observe l'eczéma dans l' hystérie ; Adolphe Gautier (3), que l'ec- zéma dans l'hy
eczéma dans l'hystérie ; Adolphe Gautier (3), que l'ec- zéma dans l' hystérie s'observe rarement. Une telle pauvreté de données
nées littéraires s'explique par ce l'ait que, dans les cas graves d' hystérie où do- minent les phénomènes nerveux, toute l'a
examen de la sensihililë de la peau. La présence de l'eczéma dans l' hystérie ne peut pas être considérée comme une coïnciden
s, 1sus2. (2) Alexandra .lthauassio, Des troubles trophiques dans l' hystérie . Paris, 1890. (3) Adolphe Gautier, Des éruption
eux, on observe un parallélisme complet dans le développement de l' hystérie et de l'eczéma. . De même, on ne peut penser
de l'hystérie et de l'eczéma. . De même, on ne peut penser que l' hystérie , entraînant la perte de la sen= sibilité, prépa
ma, dans les cas décrits par le Il Nikolski, comme un symptôme de l' hystérie . Présentement, grâce aux travaux des névropatho-
bservateur el professeur, le regretté Dr-Charcot, nous savons que l' hystérie peut entraîner de pro- fonds désordres trophiqu
ent, dans toute une série de cas, la coïncidence de l'eczéma avec l' hystérie , la distribution symétrique de l'éruption qui en
l'eczéma marchant parallèlement avec des variations semblables de l' hystérie . Le cours même de l'eczéma chronique, toujours le
e mieux et de pis relatifs, rappelle involontairement le cours de l' hystérie . Enfin, dans certains cas, l'eczéma disparaît en
e. Enfin, dans certains cas, l'eczéma disparaît en même temps que l' hystérie (IV) ce qui, plus que tout le reste, confirme la
ités plus haut, était une des formes si nombreuses esl variées de l' hystérie qui peut attaquer, tantôt isolé- ment, tantôt i
ivalant il celle qu'on leur accorde parmi les autres symptômes de l' hystérie . De même que la paralysie dans le cours de l'hyst
ymptômes de l'hystérie. De même que la paralysie dans le cours de l' hystérie peut se développer tantôt indépendamment de tou
e la sensibilité, pas de zones d'analgésie ; aucun autre stigmate d' hystérie . On ne relève dans son passé aucun accident ner
t l'hypothèse d'une gomme ou d'nne masse caséeuse. Ajou- tons que l' hystérie et le' labes ne pouvaient entrer en cause pour ex
u temps, « possédé du démon », autrement dit en proie à une crise d' hystérie . Les analogies sont assez frappantes pour qu'un
est pas l'aspect du visage dans la variété démoniaque de la crise d' hystérie . On dirait plutôt que le Convive indigne ¡cuL d
ttitude moins désordonnée, mais non moins émouvante, de l'attaque d' hystérie . Dans cette interprétation hypothétique, il ser
itie, mais aussi sous forme d'alopécie (1). A la suite d'attaques d' hystérie , on peut aussi ren- contrer une sécheresse part
rapport avec les accidents psychopathiques qu'on peut rattacher à l' hystérie , fréquemment associée à l'infantilisme. Le cas
l'esprit malin, n'étaient que des mani- festations convulsives de l' hystérie . Lés scènes médicales proprement dites sont tel
ain jour sur les rapports de la tétanie des femmes enceintes avec l' hystérie . Mais, avant d'ex- poser ce cas intéressant par
(1) Gilles DE 1..\ TOU1SSTTE, Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , 2e partie, il, p. 12G, 1895. (2) Dance, Etud
mains se contractèrent, et enfin la malade eut une violente crise d' hystérie ». Ainsi donc, chez certains malades atteints d
. 209. NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 279 d' hystérie . Or, si l'on se reporte aux recherches faites à l
positions morbides héréditaires ou acquises, et en première ligne l' hystérie , jouent un rôle considérable dans le développem
e symptomatique, elle rappelle tout à fait la tétanie, et puisque l' hystérie peut produire toute espèce de modalités pathologi
e, à propos d'un nouveau cas, il étudie les rapports qui unissent l' hystérie au syndrome tétanie. Les idées de M. Raymond av
al, nos 6 et 7, 1883. - (4) F. RAYMOND, Des rapports probables de l' hystérie et de la tétanie. Bulletin médi- cal, 1888, p.
la tétanie. Bulletin médi- cal, 1888, p. 599. - (5) LETULLE, De l' hystérie dans le saturnisme. Bulletin médical, 1887, p. 72
écédents facteurs étiologiques font défaut, doit être attribuée à l' hystérie . Les faits récemment publiés par Nicolajevic (2
ouvrier de 19 ans qui avait présenté anté- rieurement des crises d' hystérie joint au cas plus complexe de Minor (5), sont d
pronostic des plus graves. Mais faut-il généraliser et attribuer l' hystérie toutes les for- mes graves de contractures avec
Paris, 1888. (2) NICOLAJEVIC, Ueber die Beziehungen der Tétanie zur Hystérie . Wien. med. Woch., 1893, p. 526. (3) Schlesin
ement desquels personne ne songe à mettre en doute l'influence de l' hystérie . ' Aussi dans son récent Traité de l'hystérie,
oute l'influence de l'hystérie. ' Aussi dans son récent Traité de l' hystérie , l'un de nous (4) se croyait- il autorisé à con
e, l'un de nous (4) se croyait- il autorisé à conclure : 1° Que l' hystérie revendique une grande partie des contractures dit
e chez les enfants en particulier; Qu'à part ce dernier cas, où l' hystérie est le plus souvent monosympto- mastique, le di
de contracture en particulier, sans compter les véritables crises d' hystérie convulsive qui coexistent souvent, n'offrira en g
Et si, à la vérité, d'autres faits de tétanie ne relevant pas de l' hystérie ont été publiés en France par Dreyfus-Brissac,
) (4) Gilles liE la Tourette, Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , 2'' partie, t. II, p. 131, in-8o, 1S95. (i)
t à la leçon précitée de notre maître et surtout à soir Traité de l' hystérie pour l'interprétation des phénomènes que nous a
arquise de marchand de vin. Ce n'est que vers cette période que son hystérie s'accuse ; mais déjà depuis sa jeunesse il eu a
aniques et aussi chez les hystériques et les épi- leptiques. De l' hystérie M. X... n'a pas les stigmates. On pourrait à la
vant est un exemple de ces associations morbides où se com- plaît l' hystérie . Intéressant par le fait de la complexité du diag
ttement hystériques, in- continence d'urine également rapportée à l' hystérie . , Sat... Pierre, né Aubusson (Creuse), figé de
ns l'existence d'attaques antérieures, nous permettent d'affirmer l' hystérie chez Sat... L'anesthésie cutanée occupe une sup
thique, nous croyons que ces symptômes sont sous la dépendance de l' hystérie associée chez notre malade à l'affec- tion musc
'incontinence d'u- rine d'origine hystérique ; dans son Traité de l' hystérie , notre maître M. le Dr Gilles de la Tourette in
hénomènes net- tement hystériques nous permettent de rattacher il l' hystérie les troubles vésicaux. Quant aux douleurs acc
42 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cence mentale ; ce serait l'hyperhidrose dégénérative par migraine, hystérie , mala- die de Basedow, hypochondrie, neurasthén
ande thyroïde. Enfin le volume se termine par l'étude de deux cas d' hystérie mâle. Le premier malade présente une monoplégie
ent si difficile au début, quel- quefois même impossible, et avec l' hystérie , surtout avec les crises d'hystérie qui peuvent
fois même impossible, et avec l'hystérie, surtout avec les crises d' hystérie qui peuvent être confondues avec les c paroxysmes
insiste longuement ainsi que sur le diagnostic différentiel avec l' hystérie qui en dernier ressort pourra être tranché par
ures le taux de tous les élé- ments solides de l'urine, l'attaque d' hystérie au contraire ainsi que M. Gilles de la Tourette
rature s'élève dans l'épilepsie et ne dépasse pas la normale dans l' hystérie Le seul traitement véritablement efficace de l'
ude et vice versa alternativement. Quatrième leçon. Traitement de l' hystérie . Dans cette leçon remarquable, qui est d'une im
enfant qui peut, de par son hérédité, être soupçonnée de tendance l' hystérie ; il montre la nécessité d'éloigner cet enfant
dra abandonner le traitement prophylactique pour le traitement de l' hystérie en général eu se souvenant qu'en matière d'hyst
traitement de l'hystérie en général eu se souvenant qu'en matière d' hystérie il est plus facile de prévenir les accidents que
faire disparaître lorsqu'ils existent. Le traitement curatif de l' hystérie est général ou particulier ; mais avant tout il
s, les paralysies, les contractures, les troubles tro- phiques et l' hystérie viscérale avec l'accident le plus grave de tous
COT. III. Recherches cliniques et thérapeutiques snr l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie; par Bourneville, t., XVIII. Paris
tériques et leur responsabilité devant la loi pénale. M. BiBENT : L' hystérie simulant les affections organiques chez l'enfan
e régulière de la température, l'éruption, la diarrhée etc.; avec l' hystérie où on ne trouve pas d'amaigrissement rapide, d'
e intermittente, de la dégénérescence mentale, de l'épilepsie, de l' hystérie , de la chorée, de l'alcoolisme, du morphinisme,
hognomo- nique de la syringomyélie puisqu'elle a été décrite dans l' hystérie , la névrite et la myélite, est un symptôme de g
te pas et la narcolepsie n'est d'ailleurs jamais symptomatique de l' hystérie , ni de l'épilepsie. Ce n'est pas l'opinion de M
ection. (Ame- rican Journal of insanity, oct. 98.) E. B. XXXVIII. Hystérie traumatique. Double pied-bot hystérique. Amnési
Riche. (Presse médicale, 15 octobre 1898.) Observation d'un cas d' hystérie traumatique survenu chez un jeune homme de dix-
lle n'a pas été opérée, ni contrôlée anatomiquement ? A. Marie. L' hystérie chez les enfants; par le D1' Bruns. Dans une mo
s modifications que subissent chez les enfants les symp- tômes de l' hystérie tels qu'ils son ! décrits chez l'adulte. C'est
'urine, les ttoubles trophiques, les désordres psychiques, etc. L' hystérie se présente aussi souvent chez les garçons que ch
ent chez les garçons que chez les filles. Quant à l'opinion que l' hystérie chez les enfants, ainsi que les maladies nerveu
'expérience de nombreux auteuis, car le plus grand nombre des cas d' hystérie grave, les paralysies et contractures, l'astasi
nfants des grandes villes. Les erreurs de diagnostic à l'égard de l' hystérie peuvent avoir deux causes : soit qu'un trouble
larynx, du poumon, etc., ait été diagnostiqué, alors qu'il s'agit d' hystérie . C'est dire que dans les cas difficiles le diag
d'hystérie. C'est dire que dans les cas difficiles le diagnostic d' hystérie exige des connaissances approfondies de toutes
e souvent nécessaire. La simulation intervient souvent aussi dans l' hystérie , en parti- culier chez les enfants; mais il res
ychique morbide et si, un symptôme étant simulé, la base morbide, l' hystérie , n'en existe pas moins. Si l'hystérie chez le
simulé, la base morbide, l'hystérie, n'en existe pas moins. Si l' hystérie chez les enfants ne se différencie pas d'une mani
ière REVUE d'assistance ET DE LÉGISLATION. 237 essentielle de l' hystérie chez l'adulte, au point de vue du diagnos- tic,
u'au dernier temps. Parmi d'autres symptômes en dehors de ceux de l' hystérie , on note un abaissement de tous les modes de la
ent s'en accom- pagner ainsi que les névroses (épilepsie et surtout hystérie ). 1 Morel. Traité de maladies mentales, 1860. P
sent pas responsable. M. Dupain en a rapporté un bel exemple -1. Hystérie . Le délire religieux est fréquent dans l'hystérie
bel exemple -1. Hystérie. Le délire religieux est fréquent dans l' hystérie . Un certain nombre de cas de possession démonia
nnent à l'hystéromanie épidémique. Avec les délires systématisés, l' hystérie est, en effet, l'affection où la dissociation d
les difformes dans l'Ai-1 (1889), l'Elude clinique sur la grande hystérie , et l'Hystérie dans l'Histoire (P. Richer). Enf
s dans l'Ai-1 (1889), l'Elude clinique sur la grande hystérie, et l' Hystérie dans l'Histoire (P. Richer). Enfin Soeur Jeanne
ernière sorcière de Genève. Ajoutons le récent Traité clinique de l' hystérie (Gilles de la Tourette). Nous ne pouvions son
logie nerveuse proprement dite. Mais, si le rôle considérable de l' hystérie dans ces folies communiquées, est maintenant un
e mot gros de conséquence : la suggestibilité (Traité clinique de l' Hystérie , p. 492-493). M. P. Janet a bien montré l'extra
il s'agit indubitablement de psychoses caractérisées en dehors de l' hystérie coexistante possible. , Si, dans l'observatio
jecter que les troubles psycho- moteurs, par exemple, relèvent de l' hystérie seule, mais, pour cela, il faudrait démontrer q
as en dehors d'elle ; or le contraire paraît établi. D'ailleurs l' hystérie n'exclut pas les psychoses systématisées chez l
n'est qu'une forme de dégénérescence. Ainsi que le dit Brodie, « l' hystérie doit être considérée comme une affection dynami
ailleurs, rien qui doive étonner dans ces points de contact entre l' hystérie et les psychoses ; c'est parce côté que la neur
élire. La prédisposition héréditaire commune se manifestant par l' hystérie et aussi par la dégénérescence mentale ordinaire,
e Clermont en 1894, à propos de la discussion sur les rapports de l' hystérie et de la folie. Voici le passage, que nous dema
xications, d'où qu'elles viennent, et que, par ce côté-là encore, l' hystérie puisse être considérée comme une intoxication,
ndormir un homme, qui n'avait jamais présenté le moindre symptôme d' hystérie , presque jusqu'aux phases ultimes de sa maladie
gle dans le tétanos. {Revue neurologique, sept. 1898.) E. B. L. L' hystérie dans ses rapports avec les émotions sexuelles;
question depuis longtemps controversée que celle des rapports de l' hystérie avec les émotions sexuelles conscientes ou inco
sexuelles conscientes ou inconscientes. Déjà les Grecs plaçaient l' hystérie dans l'utérus, d'où son nom. En 1018, un méde
tte affection, émit cette idée révolutionnaire pour l'époque, que l' hystérie peut se présenter à tout âge et dans les deux s
it pas possible de maintenir plus longtemps la théorie utérine de l' hystérie dans la forme primitive d'Hippocrate; mais nomb
mbre d'auteurs continuèrent à trouver des rapports nombreux entre l' hystérie et les émotions sexuelles. Briquet et surtout C
cette théorie et montrèrent qu'il n'existe aucune connexion entre l' hystérie et les faits de la vie sexuelle, tant physique
exuelle, tant physique que psychique. La conception des causes de l' hystérie , si fortement établie par Charcot et son école
fet, réagir vigoureusement contre une idée généralement admise de l' hystérie , idée non seulement fausse mais encore injustem
victimes de cette affection. Il était nécessaire de montrer que l' hystérie est un désordre physique défini et que le mensong
'une façon définitive. Il est dorénavant inutile de démontrer que l' hystérie n'est pas plus déshonorante que toute autre mal
des émotions sexulles joue un rôle important dans l'étiologie de l' hystérie , il n'y a plus à craindre maintenant de jeter p
e. Il est probable que les progrès- qui se feront dans l'étude de l' hystérie , seront dus aux analyses psychiques minutieuses e
nce lipothymique. On sait également que dans un bon nombre de cas d' hystérie il existe au contraire une analgésie profonde d
ractéristique de l'état cataleptique-franc. Daus ce cas, la crise d' hystérie , en déterminant l'inhibition des régions psycho
l; en outre, 1-e H... aprésenté àplusieurs reprises des symptômes d' hystérie (somnambulisme, crises à forme de contracture,
e marquée de troubles de la vue comme dans l'alcoolisme et dans l' hystérie , avec un mélange de tendances à la persé- cutio
état fébrile, d'une infection, d'une intoxication qui développent l' hystérie chez certains sujets prédisposés. PSYCHOSES POL
vécu ce roman rêvé, et cependant il ne présente aucun symptôme d' hystérie . 2° La deuxième forme clinique est la confusion m
pas le monopole de ces idées fixes plus ou moins systématisées : l' hystérie ne doit pas envahir toute la pathogénie des dél
transitoire et l'émotivité de la malade pourraient faire penser à l' hystérie . Mais les vertiges, les troubles de la parole, le
ou l'anémie cérébrale ne sont que des causes occasionnelles. Dans l' hystérie , comme dans l'épilepsie, des crises viennent inte
é et substituer un moi nouveau au moi primitif. Il n'y a pas dans l' hystérie que des phé- nomènes physiologiques. Le moi seu
s. Le moi seul est conscient ou ne l'est pas. Frend reconnaît que l' hystérie est caractérisée par l'irrésolution, la contrad
ielles de l'Instabilité pathologique. Pierre Janet dit encore que l' hystérie est constituée par la pluralité des moi. Cette in
ncontrent pas seulement chez les hysté- riques, c'est qu'il est des hystéries larvées. La léthargie se produit quand l'activi
Chaque âge a ses psychoses : l'enfance, la chorée ; la jeunesse, l' hystérie , l'hébéphrénie, les per- versions sexuelles; l'
d'hallucinations. Insomnie la nuit suivante. Pas d'alcoolisme, ni d' hystérie . Le lendemain ses craintes sont encore plus viv
les de la société serait d'autant augmente. RECUEIL DE FAITS. - HYSTÉRIE MALE. MUTISME. AMAUROSE. ACCÈS MÉLANCOLIQUE. ÉT
aire. Homme sans antécédents héréditaires, porteur de stig- mates d' hystérie . Pendcmt l'enfance et l'adolescence : santé exc
vail : Spaslische Aphonie. (I'he)». Uo7<«/6/tf/<e, 1898 ) HYSTÉRIE MALE. 461 d'aucune sorte. Dans l'âge adulte : e
n croire pendant ces deux semaines il avait pratiqué le coit en HYSTÉRIE MALE. 4G3 s moyenne quatre fois par jour et l
dents, mais nous n'ajoutons pas grande importance à ce fait, nous HYSTÉRIE MALE. 465 croyons que nos questions éveillent e
e son accès mélancolique, présentant toujours les mêmes stigmates d' hystérie et la même lacune dans la mémoire. HYSTÉRIE
s mêmes stigmates d'hystérie et la même lacune dans la mémoire. HYSTÉRIE MALE. 67 Le 8 septembre, P... nous a écrit une
accès de mutisme, amaurose transitoire qui s'expliquent bien par l' hystérie et ne peuvent s'expliquer que par elle. Le di
'hystérie et ne peuvent s'expliquer que par elle. Le diagnostic d' hystérie étant établi, examinons en détail les diverses
ue. Il est à remarquer que P... est entré dans l'état second, à HYSTÉRIE MALE. 1169 la faveur d'une crise délirante. Or,
s trois accès se sont terminés 1 Gilles de la Tourelle. Traité de l' hystérie , t. 1, page 337. 470 O RECUEIL DE FAITS. br
e ces phénomènes psycho- logiques subconscients si fréquents dans l' hystérie . Le malade ne pouvait pas parler, ce qui lui a
ceux qui provoquent chez eux les sueurs, la polyurie. En résumé, l' hystérie s'est révélée chez notre malade par un grand no
térique sous forme d'accès de mutisme. Mais s'il est rare de voir l' hystérie apparaître aussi tardivement, il est commun, pa
bien mis ce fait en lumière, particulièrement en ce qui concerne l' hystérie mâle. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATH
43 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
publions est probablement celle de Bartel Graetge. (à suivre). L' hystérie de Bernadette, de Lourdes. par M. ie Dr Rouby,
rinage. C'est parce qu'on s'est trouvé en présence d'une maladie, l' hystérie , ou plutôt en présence d'un symptôme un peu extra
guérisons de la grotte ont été attribuées à la Vierge-Marie. II L' hystérie de Bernadette Ceci dit, commençons nos études s
nadette. Bernadette était une malade... Bernadette était atteinte d' hystérie , disons hystérose, pour moins choquer les personn
que, il nous faut le prouver. Essayons de le faire. Les Causes de l' hystérie . — Les causes de sa maladie doivent, ce nous semb
endre chez les enfants les maladies nerveuses, l'épilepsie parfois, l' hystérie souvent. Lisez à ce sujet les statistiques des ou
vent dans cette maladie, un clou chasse l'autre. Développement de l' hystérie . — Lorsqu'au mois de janvier 1858, Bernadette qui
livre de M. le D' Paul Richer intitulé Eludes cliniques sur la grande hystérie et le grand hypnotisme constitue le véritable mon
a Venus barbata a aussi été honorée chez les Romains. (à suivre). L' hystérie de Bernadette, de Lourdes, par M. le Dr Rouby,
le malade immédiatement avant une attaque d'épilepsie ou une crise d' hystérie : Si l'aura est moteur, le malade percevra, par e
adette, il nous faut l'expliquer. Pierre Janet dans son livre sur l' hystérie , donne de cet aura psychique un curieux exemple :
ires oniriques sont l'expression même de l'intoxication cérébrale ; l' hystérie au contraire, dans le cas qui nous occupe, est un
our objet de figurer l'éon androgyne de la Sagesse. (à suture). L' hystérie de Bernadette, de Lourdes, par M. le Dr Rouby,
é. Ces névroses ont été justement désignées sous le vocable général d' hystérie traumatique. Le traitement formellement indiqué r
ds services que rend la suggestion hypnotique dans le traitement de l' hystérie infantile. Il convient toutefois d'ajouter que ce
des saintes de sang royal, ont le droit d'en porter. (k suivre/. L' hystérie de Bernadette, de Lourdes, par M. le Dr Kouby,
otisme, n* de juillet 1906. t'2) D' Pitres : Leçons cliniques sur F hystérie et Vhyfnoliime, p. 0, tome I. Un médecin de L
, de ce qui se passait à la Grotte, mais comme il ne connaissait de l' hystérie que la crise convulsive et la catalepsie, en ne r
ns des crises d'extase ou autres, c'est le pouls caractéristique de l' hystérie . Si le Dr Dauzon s'était servi du thermomètre p
se dans une autre maladie du système nerveux, non moins fréquente : l' hystérie . Nous n'observerons plus du tout ici les mêmes
ar la main gauche sur celle de la main droite. Ce qui caractérise l' hystérie , dans l'examen auquel nous soumettons les malades
qu'après un traitement approprié, nous voyons les manifestations de l' hystérie s'amender et la maladie tendre à la guérison, nou
ent neurasthénique. Nous allons voir maintenant la combinaison de l' hystérie et de la neurasthénie, c'est-à-dire le développem
bien de celle que nous avons vue plus haut comme caractéristique de l' hystérie . Toutefois on remarquera que l'écart entre les
demander la raison de cette faible caractéristique, étant donnée une hystérie aussi caractérisée que dans le cas présent. Nou
par la suite en constatant la combinaison de la neurasthénie et de l' hystérie . Quoi qu'il en soit, le 12 octobre, après avoir o
rtir l'intérêt véritable de la courbe qu'elles présentent; montrant l' hystérie , l'amélioration de cette maladie; la neurasthénie
l'indécision pour les moindres choses. Nervosisme exagéré. C'est l' hystérie qui domine la scène actuellement. Son examen au m
gauche + 0°. Le 17 juin, nous trouvons encore les chiffres bas de l' hystérie , mais la neurasthénie se dessine par la supériori
nités féminines dont le menton était orné de barbe. (à suivre). L' hystérie de Bernadette, de Lourdes, par M. le D' Rouby,
est morte, sans peut-être s'être doutée du rôle considérable que son hystérie a jouée dans l'évolution religieuse du xix* siècl
sions sont pour l'âge de 1 ou 2 ans, la chorée pour l'âge de 7 ans, l' hystérie pour l'adolescence, c'est-à-dire l'expression d'u
pas longtemps. » * Comment ne pas reconnaître la grande attaque d' hystérie dans les descriptions de Mgr Laurent. Il nous m
turée et brisée de fatigue. Les différentes périodes de l'attaque d' hystérie s'entremêlent dans le rapport de Mgr Laurent. Il
il a fallu tout le génie de Charcot pour substituer dans l'étude de l' hystérie convulsiva, la lumière et la méthode, là où n'exi
sister au besoin de faire parler d'elle et de se couvrir de gloire. L' hystérie , comme on le sait, aime les mises en scène et la
mption que l'état maladif se résume à une forme relativement simple d' hystérie traumatique à prédominance psychique. La présompt
iges ; mais tout cela compte peu à côté du reste. Etant donné que l' hystérie traumatique dont il s'agit, affecte surtout un ca
gré ses variations d'Intensité (surdité psychique) ; que les formes d' hystérie dites monosymptomatiques, sont (principalement qu
était alcoolique et sa mère nerveuse ; elle a eu de grandes crises d' hystérie avec les phases classiques ; sur ce terrain hysté
s. De là la possession. II est évident que l'enfant était atteint d' hystérie infantile. L'entourage, qui ne pouvait s'explique
e façon d'envisager les choses a amené M. Babinsky à considérer que l' hystérie doit être définie par le fait que les manifestati
Dans le cours de ses études sur les névroses et en particulier sur l' hystérie , Charcot avait de suite compris le rôle immense q
e vulgaires charlatans.................. « Il nous a montré, dans l' hystérie , une maladie éminemment psychique et comme telle
tout le parti qu'on peut tirer de l'isolement dans le traitement de l' hystérie , chez les jeunes sujets principalement. Il nous a
ns pas à le regarder métaphoriquement comme le véritable pouls dans l' hystérie , qu'un médecin doit aussi bien tâter que l'autre.
jamais une occasion de proclamer que le critérium de a guérison de l' hystérie résidait dans le retour com-pletetdurable de la s
rieurement des excitations purement mécaniques dans l'hypnotisme et l' hystérie . J'ai montré, à cette époque, en étudiant la pr
e magistrats et de conseillers généraux. Plusieurs malades atteints d' hystérie furent endormis par le Dr Liébeaultavec la plus g
des muscles de l'abdomen. Voilà d'indéniables signes somatiques de l' hystérie . On a dit, avec raison, que la chorée est toujo
e chorée arythmique hystérique, ¡1 y a association des deux névroses, hystérie et chorée ; c'est la chorée qui est hystérique ;
eut avoir aucune action sur le fond et l'essence d'une névrose grave ( hystérie , neurasthénie, etc.) qu'elle est impuissante à mo
ons et plus tard, lorsque nous étudierons les divers traitements de l' hystérie , il me sera facile de vous montrer que l'hypnotis
and hypnotisme ne doivent être considérés que comme la signature de l' hystérie . Chaque malade, en effet, descend plus ou moins
fut promptement rétablie. Dans cocas, comme dans tous les autres, l' hystérie et la suggestion créent des terrains très favorab
n tempérament très nerveux. Il ne présente cependant aucun symptôme d' hystérie ni de maladie nerveuse caractérisée. Je ne consta
° Le second point nous montre chez ce malade l'absence de symptômes d' hystérie et de troubles nerveux constatables. Comment, d
eil, et est devenu méchant. L'intoxication éthylique a fait appel à l' hystérie : il s'est installé un tremblement hystérique, le
rdi 2g Mai — Applications générales du traitement psychothérapique: L' hystérie , la neurasthénie, les psychonévroses. Jeudi 3i
, se retrouve constamment devant les mots de nervosité, neurasthénie, hystérie , hypocondrie, dépression périodique, accès maniaq
outent par périodes, quelques symptômes hystériques». Est-ce un cas d' hystérie , de neurasthénie ou de mélancolie simple ? Quand
on a fini de lire l'histoire de ce cas on ne peut diagnostiquer que l' hystérie . Page 522, parlant d'un jeune homme de 17 ans q
de plus à la page 210 : « Il est inutile de s'efforcer de donner à l' hystérie le caractère d'une entité morbide, de la sépa. re
le voit, nous n'avons rien avancé de trop ! Hypocondrie, mélancolie, hystérie , neurasthénie, se ressemblent et se confondent !
des symptômes qui ne sont pas essentiellement différents de ceux de l' hystérie et pourquoi dire d'une hystérique agitée qu'elle
i une phrase de M. Dubois : « La nervosité dans laquelle se rangent l' hystérie , la neurasthénie et toutes les formes mixtes qui
ptômes neuropathologiques et rechercher si c'est la dissociation de l' hystérie , l'obsession hypocondriaque, le terrain épileptiq
rver des aphonies nerveuses paraissant tout à fait indépendantes de l' hystérie et attribuables seulement à une localisation orga
examen préalable, je ne trouvai chez cette jeune fille aucune trace d' hystérie . Pas d'antécédents héréditaires ni personnels. Vu
t de veille on peut obtenir davantage qu'avec l'hypnose. Or les cas d' hystérie forment la majorité des malades atteints de troub
sousconscience. de même que nous ne pouvons admettre comme lui que l' hystérie seule est justifiable du traitement hypnotique. B
que l'hystérie seule est justifiable du traitement hypnotique. Bans l' hystérie existent presque toujours des troubles de O et du
ique : la crise de sommeil constitue ici l'équivalent d'une attaque d' hystérie classique. Elle remplace à elle seule l'attaque t
ïde. Cette jeune fille présentait des stigmates indéniables de petite hystérie . Elle n'avait jamais eu de crises. Sa convalescen
mination du Dr), par Paul Magnin. p. 321. Bernadette, de Lourdes (L' hystérie de), par Rouby, p. 11, 46, 78, 142. Bibliothèqu
44 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
le perdit connaissance à son tour en proie à une attaque convulsive d' hystérie . Quelques jours après une angine grave se décla
de la mobilité et de la sensibilité devaient plutôt se rattacher à l' hystérie traumatique. L'examen fut pratiqué sous mes yeu
action irritante et que les phénomènes peuvent être rattachés non à l' hystérie traumatique, mais au traumatisme lui-même. Le m
dans le but de recourir à une exploration complète. Admettons que l' hystérie traumatique ait bien été le point de départ des a
té gauche. On a beaucoup discuté pour savoir si, dans le cours de l' hystérie , il est possible de rencontrer une paralysie faci
tances, de pertes d'argent, des malheurs de famille ont fait éclore l' hystérie latente; enfin, une cause adjuvante spéciale a dé
s circonstances fâcheuses qui pourraient de nouveau faire appel à son hystérie . Toux hystérique chez un jeune garçon (1). pa
le sexe ni l'âge ne doivent détourner de ce diagnostic, car les cas d' hystérie infantile et d'hystérie masculine sont bien connu
ent détourner de ce diagnostic, car les cas d'hystérie infantile et d' hystérie masculine sont bien connus. Il est vrai que les s
Julliot, docteur en droit. 3° L'hypnotisme dans ses rapports avec l' hystérie , par les Drs Paul Magnin et Crocq (de Bruxelles).
(de Munich). — Corrélation des troubles somatiques et psychiques de l' hystérie . 3. M. Délius (de Hanovre). — Note sur l'appari
3. M. Délius (de Hanovre). — Note sur l'apparition des symptômes de l' hystérie . 4. M. Haeberlin (de Hambourg). — Action vasomo
et Paul Magnin. 5. M. Paul Joire (de Lille). — Considérations sur l' hystérie . 6. M. Bérillon. — Présentation d'un appareil
manifestent par des tempéraments différents. Considérations sur l' Hystérie . Par M. le Dr Paul JoiRE. Président de la Socié
oup occupé, dans ces derniers temps, des origines et de la cause de l' hystérie . Grâce à des observations microscopiques sur les
ilités seraient plus grandes en faveur de la seconde hypothèse, car l' hystérie n'a-t-elle pas pour un de ses principaux effets d
is affirmer si ces modifications sont la cause ou la conséquence de l' hystérie . Il est donc plus sage de laisser ces recherche
arce qu'ils produisent des résultats utiles. Nous considérons ici l' hystérie comme un trouble dynamique du système nerveux. Et
mple d'un dynamisme invisible. Voyons maintenant ce qui en est de l' hystérie . L'hystérie passe pour être une maladie excessive
namisme invisible. Voyons maintenant ce qui en est de l'hystérie. L' hystérie passe pour être une maladie excessivement compliq
ce la méthode rationnelle pour la guérir. Nous dirons d'abord que l' hystérie est une modification dans l'équilibre normal du s
llons d'abord diviser en trois groupes toutes les manifestations de l' hystérie et nous verrons que l'on peut y classer tous les
le de l'équilibre que nous exprimerons par la formule : P=A. Dans l' hystérie , l'équilibre psychique est rompu, toujours dans l
re par F+2n, Appliquons maintenant ces données à quelques types d' hystérie que nous allons résumer en quelques mots. Une m
ble très frappant. Que devient maintenant ce désordre apparent de l' hystérie , cette complexité de symptômes qui ne pouvaient ê
mplexité de symptômes qui ne pouvaient être ni prévus ni expliqués. L' hystérie , dont les manifestations à la fois si multiples e
Julliot, docteur en droit. 3° L'hypnotisme dans ses rapports avec l' hystérie , par les D" Paul Magnin et Crocq (de Bruxelles).
rasthénique. Quant à ses crises, elles semblent bien se rapporter à l' hystérie ; elles ont, du reste, une grande analogie avec c
Les nombreux travaux que l'on a publiés dans ces derniers temps sur l' hystérie montrent l'importance du facteur psychologique da
sibilité. Or, ici, on ne constate aucun des stigmates permanents de l' hystérie . En fait, ce n'est pas d'hystérie qu'il s'agit,
cun des stigmates permanents de l'hystérie. En fait, ce n'est pas d' hystérie qu'il s'agit, mais d'un trouble psychologique. Vo
lations entre les troubles somatiques et les troubles psychiques de l' hystérie . par M. le dr Paul Tesdorpf (de Munich). On d
ques, les uns somatiques, les autres psychiques, de telle sorte que l' hystérie est considérée tantôt comme une maladie nerveuse,
niers temps, on considère que la plupart des troubles psychiques de l' hystérie dépendent non du cerveau, mais des diverses régio
lte manière de voir depuis une dizaine d'années, non seulement pour l' hystérie , mais aussi pour la neurasthénie et l'épilepsie.
des impressions psychiques violentes et inatten- dues font appel à l' hystérie ; il en résulte des troubles de dissociation à la
s troubles de dissociation à la fois qualitatifs et quantitatifs. L' hystérie comporte des processus dissociation non pas seule
s nerveux. Il est probable qu'une maladie toxique fut la cause de l' hystérie de Marie Alacoque ; car parmi les autres agents p
peau de tous « côtés ». On sait combien sont nombreux les exemples d' hystérie développée pendant la convalescence des maladies
de : les douches par exemple, seraient mieux en situation ; de plus l' hystérie s'accompagnant le plus souvent de chloro-anémie,
e atteint de telles proportions, constitue à elle seule un stigmate d' hystérie , exclusivement justiciable du traitement psycholo
* Troisième partie. — La Chemise miraculeuse de Marie Alacoque. — L' hystérie est une maladie qui n'est bien connue que depuis
ports tels qu'on peut aujourd'hui établir cette loi : les symptômes d' hystérie peuvent apparaître ou disparaître sous l'influenc
ray-le-Monial. J'avais dans ma clientèle une jeune fille atteinte d' hystérie ; elle prenait chaque mois des crises convulsives
nces avec le Diable, car elle me quitta plutôt froidement. Ignorant l' hystérie et ses symptômes variés et bizarres, ce qui nous
our comprendre qu'on se trouve en présence de symptômes non douteux d' hystérie , guéris tous les deux par la suggestion (1). Un
e pas là deux faits typiques de suggestion guérissant des symptômes d' hystérie ? N''est-ce pas là ce que, nous, médecins avons à
'Arras ne semblent-ils pas tirés d'un livre de médecine traitant de l' hystérie ? N'ai-je pas raison de dire qu'il n'y a rien de m
que dans l'Inde, embrasser le pied d'un bouddha quelconque. En fait d' hystérie , tous les dieux font des miracles. Mais termino
faits, sans conclure au miracle. A ce moment l'histoire complète de l' hystérie n'était pas faite; sauf la crise convulsive, les
onnerie électrique, etc). Je pense donc que son emploi donnera dans l' hystérie , des résultats très intéressants tant au point de
nnes), Henry Lemesle, Jules Voisin et Lépinay. 2° Dr Jules Voisin : Hystérie traumatique guérie par la suggestion hypnotique.
idature est adoptée à l'unanimité. La séance est levée à 6 h. 40. Hystérie traumatique guérie par la suggestion hypnotique,
phénomènes de strangulation et d'étouffement et ébaucha une attaque d' hystérie . Il se calma bientôt et dormit légèrement.— Nous
te plus de secousses. En s'endormant, il ébauche encore une attaque d' hystérie . La psychologie du tuberculeux pulmonaire par
nt plus rares aujourd'hui, les juges des tribunaux tenant compte de l' hystérie , lorsqu'ils ont à instruire un procès criminel où
omme sœur Clément ou sœur Alacoque qui subissaient les symptômes de l' hystérie avec bonne foi en croyant à la réalité de leurs h
ons connues de la sensibilité, des troubles psychiques si variés de l' hystérie et des autres névroses. Par son importance théori
e verrues chez un individu constitue, à notre avis, une présomption d' hystérie . La guérison de verrues que nous avons souvent ob
gestion vraie. (l) Paul Magnin. Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . Revue de l'hypno-tome, juillet 1901, p. 8. E
péciale, notre malade ne présente aucun des stigmates classiques de l' hystérie . A aucun moment ses règles n'ont été troublées.
lité est absolument intacte et il n'existe aucun signe somatique de l' hystérie . Notre homme a conscience de tous les mouve- (1
Julliot, docteur en droit. 3° L'hypnotisme dans ses rapports avec l' hystérie , par les D" Paul Magnin et Crocq (de Bruxelles).
consentement de 0 du sujet. (1) Paul Sollier. Genèse et nature de l' hystérie , 1897, p. 474. Je crois exprimer synthétiquem
Les névroses convulsives. — Rôle de l'éducation dansl'étiologie de l' hystérie .— Le traitement psychothérapique de l'hys- té
l'hystérie.— Le traitement psychothérapique de l'hys- térie. — L' hystérie mentale. — Action complémentaire de !a suggestion
1902, p. 261. (2) Paul Magnin. Les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . Revue de l'hypnot., juillet 1901, p. 5. (3) Cr
ion verbale, puisqu'elle s'applique au sommeil, à la distraction, à l' hystérie , à certaines lésions organiques comme à l'hypnoti
ravail que nous voulions très simple. Depuis, dans la plaquette sur l' Hystérie de Sainte Thérèse parue dans les Archives de Neur
ndignité. Pour nous et pour tous les médecins qui se sont occupés d' hystérie , ce texte veut dire que Marie Alacoque prenait un
écrit un de ses admirateurs. Tout cela est vrai ! C'est qu'en effet l' hystérie n'est pas une maladie ayant un commencement, un m
tisme fortuit et l'auto-hypnotisa- tion (L'), par Bérillon, p. 289. Hystérie (Considérations sur l'), par Paul Joire, p. 56.
n, p. 289. Hystérie (Considérations sur l'), par Paul Joire, p. 56. Hystérie (Relations entre les troubles somatiques et les
somatiques et les troubles psychiques de l'), par Tesdorpf, p. 146. Hystérie traumatique guérie pur la suggestion hypnotique,
45 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mentaire dans la syringo-myélie que quand celle-ci est compliquée d' hystérie . M. Brissaud ne peut admettre sans peine qu'au
roient, en conséquence, que ce signe peut être différenciateur de l' hystérie et d'un trouble organique. Enfin ils ont consta
cer la chlo- roformisation dans la pratique de la psychothérapie. Hystérie (ruumatique guérie par la suggestion hypnotique.
il et il est dans la misère. 11 présente des stigmates manifestes d' hystérie . Je l'hypnotise et il peut reprendre son travai
rie, la mélan- colie, la névropathie, àlaquelle Queyrat substitue l' hystérie . Ilibot distingue les cont.radictoiras successi
s'augmenter d'un volume de haute valeur. J. BOYER. II. Oreille et hystérie ; par FLEURY-CuAVANNE. (Th. Lyon 1901. Le trava
BIBLIOGRAPHIE. 113 est consacrée à l'étude du syndrome otique de l' hystérie . Les tra- vaux de Walton, de Thomas et Oppenhei
. Ce rôle, peut en effet, être assez considérable pour éveiller une hystérie latente et servir d'agent provocateur à des tro
res points de l'organisme. La troisième partie comprend des faits d' hystérie auriculaire monosymptomatique dans lesquels l'é
'oreille terminent ce travail sur les rapports de l'oreille et de l' hystérie . G. Carrier. 111. (le l'alcoolisme eei\Tormrndi
sie uiid anasthesie bei den tog. ti-azii2alischeîz neurosen und bei hystérie . Ueber acute cerebellare ataxie. blyoloazie, ei
mes. Reste un fait capital : la présence d'états névro- pathiques : hystérie , épilepsie, neurasthénie, n'implique nul- lemen
onds se montrèrent, troubles imputables à ces deux étals maladifs : hystérie d'un côté, déséquilibre psychique de l'autre, t
triction à la gorge; ce sont les stigmates somatiques inhérents à l' hystérie ancienne ; pendant son séjour à l'asile, elle n
rescence, mais il fait découvrir en revanche des signes bien nets d' hystérie : douleurs à la pression dans la région des ova
La marche est irrégulière comme dans toutes les manifestations de l' hystérie . La durée est variable. Les troubles gastriques o
es hystériques. Cependant, ce jeune homme ne présente aucun signe d' hystérie . On peut se demander s'il ne s'agit pas là d'un
obs. VI), présentait très nettement une dégénérescence mentale avec hystérie . La deuxième du même auteur était hypochondriaq
le. Mydriase permanente, très prononcée à droite; pas de signes d' hystérie . Signification, non encore élucidée;, paralysie g
ieuses et indiscutables, toutes les étiolo- gies de carie dentaire, hystérie , neurasthénie, syphilis, si souvent invoquées s
ient pas d'infirmer le diagnostic et d'attribuer ce tremblement à l' hystérie . M. il. XLV. Sclérose en plaques médullaires co
ncore la trépidation spi- nale peut s'observer dans les névroses (l' hystérie et la neurasthénie) et en dehors des lésions du
e,.on la rencontre dans des intoxications, dans l'épilepsie, dans l' hystérie , dans la neurasthénie et même chez des sujets n
lonus du pied bilatéral très net qui dis- parut après guérison de l' hystérie . La discussion se termine sur l'avis général qu
s d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine organique, compliquée par l' hystérie . Malade, de cinquante-quatre ans, ancien alcool
r \V. SERBS6T ne voit pas d'indications nettes sur l'existence de l' hystérie dans le cas en question. , Dr V. Weidenhamuer p
plique du reste, en déclarant que dans l'un des cas il s'agissait d' hystérie , et dans l'autre, de neurasthénie ( ? ). Si l'o
e dentaire, car toutes les dents ont été enlevées du côté malade. L' hystérie ne parait pas devoir être mise en cause, bien q
ises qui paraissent 342 CLINIQUE NERVEUSE. avoir été des crises d' hystérie fruste, mais qui cependant n'ont pas réapparu d
ir notablement maigri; elle ne présente absolument aucun stigmate d' hystérie , bien que nous ayions recherché cette cause ave
es causes générales invoquées d'ordinaire (paludisme, rhuma- tisme, hystérie , tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de s
en effet, que ce symptôme peut exister dans la . neurasthénie et l' hystérie . L'analyse un peu serrée d'un cas de ce genre c
echerches avec la technique de M. Widal. SOCIÉTÉS SAVANTES. 385 Hystérie tardive. M. Dupré rapporte l'observation d'un c
385 Hystérie tardive. M. Dupré rapporte l'observation d'un cas d' hystérie mâle ayant débuté chez un vieillard de soixante
lepsie cervicale, une partie des phénomènes peut être rapportée à l' hystérie . Dr G. Hossomio, qui pendant la démonstration d
HIE. XII. Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
MM. Meige et Feindel étu- dient la parenté morbide des tics avec l' hystérie , la neurasthénie, l'épilepsie, les vésanies, l'
is et non classés qui n'appartenaient pas au tableau classique de l' hystérie et de l'épilepsie. De l'aveu de beaucoup d'aute
héorie générale selon laquelle tous les troubles nerveux, ceux de l' hystérie comme ceux de la neurasthénie, auraient une éti
plusieurs couches nor- males, contractent des crises d'épilepsie, d' hystérie , etc., et accou- chent ensuite en présentations
DE NEUROLOGIE Séance du 2 avril 1903. PnËsiDENCE de M. P. Ricuer. Hystérie monosymptomatique. MM. HAUSER et B.uvy présente
happe complètement aux auteurs qui par élimination en font un cas d' hystérie monosymptomatique en l'absence de tout autre si
cas d'hystérie monosymptomatique en l'absence de tout autre signe d' hystérie . Ils demandent à ce sujet l'opinion de la Socié
une névrose, ou plutôt une psycho-névrose aussi indépendante que l' hystérie ou l'épilepsie. Parmi le nombre de ces malades,
tarés. REVUE CRITIQUE. Dernières conceptions et définitions de l' hystérie ; Par le D' ALBERT CHARPENTIER Lauréat de la
e 1902) un article intitulé : Conception nouvelle et étiologie de l' hystérie . Une année auparavant, le 7 novembre 1901, M. B
e. Nous devons ajouter que les notions émises par M. Babinski sur l' hystérie ont dû paraître définitives à ses collègues de
, dans l'article auquel nous faisons allusion une con- ception de l' hystérie qu'il qualifie de nouvelle, que nous avons cru
(Masson et Créditeurs). 50 REVUE CRITIQUE. I. Avant de définir l' hystérie qui est une entité, l'auteur cherche à définir
se, les différentes conceptions que les auteurs se sont faites de l' hystérie . Résumant dans une phrase, les nombreuses défin
cessaire et suffisant à toute définition : appartenir en propre à l' hystérie et n'appartenir qu'à elle. La logique scienti
de sensé une chose dérai- DERNIÈRES CONCEPTIONS ET DÉFINITIONS DE L' HYSTÉRIE . 505 sonnable. Déclarer à un malade atteint de
on. 506 REVUE CRITIQUE. Il va sans dire que si la définition de l' hystérie vaut pour distinguer entre eux les accidents ps
phéno- mènes qui ne sont pas psychiques ne peuvent appartenir à l' hystérie . Cette énonciation qui paraîtra évidente et banal
voir ainsi défini les accidents hystériques, l'auteur s'occupe de l' hystérie elle-même. L'hystérie en puissance, potentielle
cidents hystériques, l'auteur s'occupe de l'hystérie elle-même. L' hystérie en puissance, potentielle, l'hystérie sans mani-
pe de l'hystérie elle-même. L'hystérie en puissance, potentielle, l' hystérie sans mani- festation est une entité, une abstra
n remplaçant « manifestations hystériques » par leur définition : L' hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y
déjà montré les relations de nature qui unissent l'hypnotisme et l' hystérie con- trairement à l'opinion soutenue par l'écol
1900. Imprimerie Levé). DERNIÈRES CONCEPTIONS ET DÉFINITIONS DE L' HYSTÉRIE . 507 En somme, entre l'hystérique et l'hypnotis
ski qui ont pour titres : Hypnotisme et Hystérie'; Association de l' hystérie avec les maladies organiques du système nerveux
veux et les carac- tères positifs ou négatifs qui appartiennent à l' hystérie . L'auteur, tout en admettant avec Charcot que l
ennent à l'hystérie. L'auteur, tout en admettant avec Charcot que l' hystérie est la grande simulatrice, cherchait par l'anal
e, cherchait par l'analyse minutieuse des symptômes à prouver que l' hystérie simule grossière- ment, pour qui n'y regarde pa
ature hystérique d'une manifestation. L'auteur se faisait déjà de l' hystérie la conception que nous venons de résumer. Dans
nt pour bien montrer que l'auteur, depuis dix ans déjà, considère l' hystérie comme un état psychique particulier, le plus so
ier, le plus souvent comme un trouble de la volonté ' Hypnotisme et Hystérie (1891), G. Masson, édit. ° Association de l'Ile
sont créées par des lésions encéphaliques ou médullaires. Jamais l' hystérie ne fera une paralysie radiale avec con- ' serva
r, comme l'intoxication saturnine en réalise couramment. Jamais l' hystérie ne réalisera une paralysie spasmodique avec incon
nt une importance doctrinale. Le premier c'est « V Association de l' hystérie avec les maladies organiques, les névroses et d
verses autres affections ». Avec Charcot, l'au- teur montre que « l' hystérie est une des affections les plus répandues et qu
alysie faciale consécutive à une fracture du rocher, associée à l' hystérie (troubles locomoteurs, démarche ébrieuse, ver-
s merveilleuses. Le deuxième travail est intitulé : Hypnotisme et hystérie , du rôle de l'hypnotisme en thérapeutique. Ici,
livres et obtenues par la suggestion, la plupart se rapportent à l' hystérie et que, pour les autres (maladies non hystériqu
dormitive de l'opium. Après cette définition, l'auteur montre que l' hystérie est souvent associée à la neurasthénie, à la mé
t l'ensemble des manifestations pré- sentées par un hystérique... L' hystérie peut n'être qu'une manifestation secondaire gre
arcot et dans le travail précédemment cité sur « l'Association de l' hystérie avec les maladies organe- ques, les névroses, e
vante : 1° observations de névrose trauma- tique ; 2° observation d' hystérie convulsive ; 3° troubles hystériques divers : l
M. Bernheim lui-même, il n'y en a que 32 sous la dépen- dance de l' hystérie . (Nous avons souligné les affections net- temen
l'auteur, auraient guéri dernières conceptions ET définitions DE l' hystérie . 5 M par suggestion). L'auteur, à cette époque,
que, mais hystérogène », écrit-il, page 939. Ce qui veut dire que l' hystérie peut s'as- socier à la chorée de Sydenham, comm
tiples, dont quelques-uns empruntés à son livre, l'association de l' hystérie aux maladies organiques du système nerveux (Epi
l'hystérie aux maladies organiques du système nerveux (Epilepsie et hystérie ; angine de poitrine vraie et fausses-crises ;
et hystérie ; angine de poitrine vraie et fausses-crises ; tabes et hystérie , etc.). Nous répé- tons que cette énonciation r
exacts et connus ne constitue pas une « conception nouvelle » de l' hystérie . L'auteur, étudiant ensuite plus particulièreme
à tort depuis « la névrose traumatique ». L'auteur, à propos des hystéries dites toxiques ou infec- ' Cas de Charcot, ltay
Bernhardt, Manuel, etc.. S13 revue critique. tieuses écrit : « L' hystérie n'est pas fonction de toxique ni de toxine ; ce
c. cit., p. 941). Peut-on dire cette fois que l'auteur ait défini l' hystérie d'une façon nouvelle ou même seulement compléme
ndamental de ne pas énoncer des attributs appartenant en propre à l' hystérie et n'appartenant qu'à elle. Ni, Bernheim term
clinique, j'ai cherché à établir l'origine psychique « des crises d' hystérie générale et locale dans leurs nom- « breuses va
la valeur de la suggestion dans les manifesta- tions cliniques de l' hystérie et dans la thérapeutique. Nous ne voudrions pas
pas son titre, puisqu'il n'apporte pas une conception nouvelle de l' hystérie , mais une atté- nuation à certaines affirmation
ski nous paraît justifier son titre. Il apporte une définition de l' hystérie que nous croyons nouvelle et surtout inattaquab
pnotisme et la suggestion », dans lequel il expose une théorie de l' Hystérie et de la Suggestion basée sur un schéma des fonc-
'il a un travail devant lui. Ce malade ne présente pas des signes d' hystérie , mais il a dans sa famille des tares nerveuses
cl' - cérébelleuse aiguë d'ori- gine organique, compliquée par l' hystérie , par PopofT, 302. d'origine centrale et d'origi
'itres et Régis, 4S5. OE;L. Voir Paralysie générale. Oreille et hystérie , par Fleurv-Cha- vanne, 112. Organes internes
OT1'PIE. Voir Tics. Suggestion. Voir Somnoforme. hypnotique. Voir Hystérie . De la en pédagogie scolaire, par ltaf- fegau
46 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
isodes encore assez peu connus et assez insuffisamment étudiés de l' hystérie ; je veux parler de l'émission plus ou moins rép
ngés, sont dans l'acception la plus étroite du mot des phénomènes d' hystérie 74 CLINIQUE NERVEUSE. locale. Ils ont, en d'a
d'isolement, sans accompagnement d'autre stigmate ; si bien que l' hystérie dans laquelle ces accidents existent repré- sen
reil cas sont vraiment rares ; rares aussi les autres accidents d' hystérie locale tels que clou, contractures, para- lysie
laryngés plus ou moins analogues à ceux qui se produisent dans l' hystérie , peuvent se manifester en dehors d'elle, dans d
ressemble à des atta- ques, pas d'aura. Il s'agit donc bien là, si hystérie il y a, d'hystérie locale, au premier chef, d'a
- ques, pas d'aura. Il s'agit donc bien là, si hystérie il y a, d' hystérie locale, au premier chef, d'après la définition
dès l'âge de quatre ans, c'est-à-dire à une époque de la vie ou l' hystérie ne se montre guère, existaient des cligne- TOUX
un autre ordre, qu'on n'ob- serve jamais autant que je sache dans l' hystérie et qui au contraire, se montrent assez fréquemm
ulés, de paroles ; rien de tout cela, je le répète n'appartient à l' hystérie . On peut en dire autant des , phénomènes que
auteurs, Briquet lui-même, ont mis la coprolalie sur le compte de l' hystérie . A mon avis, c'est là une erreur qu'il, importe
r qu'il, importe de relever. Nous devons nous efforcer de dégager l' hystérie d'une foule tle matériaux étrangers qu'on voudr
ui -ne font qu'encombrer un domaine nosographique déjà si chargé. L' hystérie et la maladie des tics, peuvent coexister, mais
eune fille hystérique qui, artificiellement endormie, t Traité de l' hystérie , 1). 317. - 86 CLINIQUE NERVEUSE. présente le
ronostic que ceux qui se dévelop- pent spontanément, en dehors de l' hystérie . Ces der- nières résisteront, hélas ! le plus s
i, on voit éclater trois catégories d'acci- dents : 1° des crises d' hystérie convulsive au nombre de trois, en l'espace d'un
aines conditions des névrites périphériques. G. D. XXXV. UN cas d' hystérie traumatique; par le Dr L. BONAMAISON. . (Lyon m
démontré que parmi les névroses qui succèdent aux traumatismes, l' hystérie est la plus fréquente. A l'appui de cette derni
es, qui n'ont rien de commun avec la paranoïa, comme l'épilepsie, l' hystérie , une telle marche de la paranoïa ne peut servir
. ' M. -B. BIBLIOGRAPHIE 1. Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , d'après l'enseigne- ment de la Salpêtrière; pa
es de n TUUnE'l'TC. Pré- face de M. le professeur CHaRCOT. T. ICI', Hystérie normale ou itzterparnxystique. Paris, 1891, lib
mme en France, ont contribué singulièrement à élargir le cadre de l' hystérie ... C'est, si je ne me trompe, un 124 ' BIBLIOGR
rage de Briquet, nous n'avions aucun traité didactique complet de l' hystérie . M. Gilles de la Tourette s'appuie sur les inté
les intéressantes recherches qu'il a faites sur la nutrition dans l' hystérie pour diviser le traité de l'hystérie en deux pa
faites sur la nutrition dans l'hystérie pour diviser le traité de l' hystérie en deux parties, qui font l'objet de deux volumes
volumes. C'est le tome premier qui vient de paraitre, traitant^de l' hystérie normale ou interparoxystique. Le livre débute
e rôle de l'hérédité et des agents provocateurs dans la genèse de l' hystérie . A ce propos il met au point l'état actuel de l
n tant qu'entité morbide et doit rentrer pour une bonne part dans l' hystérie . · Suivent des chapitres très nourris de faits
ment les deux chapitres qui ont trait aux troubles oculaires dans l' hystérie . On y trouvera minutieusement décrites l'amblyo
ile de para- lysies et des contractures des muscles des yeux dans l' hystérie . L'ouvrage se termine par un exposé sur la cont
rie. L'ouvrage se termine par un exposé sur la contraction dans l' hystérie anormale ou interparoxystique et par un chapitre
pas d'ailleurs trouvé chez elle autre chose qui puisse confirmer l' hystérie . Elle a maigri de trente-cinq livres quoique ay
rative de daté récente. Intégrité de la moelle et des mé- ninges. L' hystérie et l'urémie étant exclus, au même titre que l'em-
arcot, l'auteur s'est proposé d'étudier certaines formes rares de l' hystérie dont l'ignorance pourrait conduire à de regretta-
ociation de certains troubles moteurs, sensitifs et trophiques de l' hystérie peut simuler la symptomatologie de quel- ques m
mblement, les vertiges, les attaques apoplectiformes offrent dans l' hystérie et dans la sclérose multiple, l'auteur met en r
née ou traumatique. Les trois dernières parties sont consacrées à l' hystérie simulatrice du tabes, de l'atrophie musculaire,
es. Il est vrai de dire qu'à l'heure actuelle, la connaissance de l' hystérie mâle, de plus en plus approfondie par M. le pro
cas, c'est pour avoir méconnu ou mal interprété les stigmates de l' hystérie que des médecins ont été conduits à créer un gr
s ces données, doivent en majeure partie rentrer dans le cadre de l' hystérie . En résumé, il ressort de cette étude les notio
tient une bonne place dans ce point particulier de l'histoire de l' hystérie et ne fait pas moins d'honneur à son auteur qu'à
« sont sous la dépendance d'une complication nerveuse, telle que l' hystérie surtout, et ne prennent aucune part à l'arrêt d
office. c Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idio- tie. Compte rendu du service des enf
- bulisme spontané dont les crises intercalées entre deux accès d' hystérie ressemblaient à celles de la malade 111me B...
e quelques rapports de famille entre le somnambulisme spontané et l' hystérie ? et quels sont ces rapports ? Elle me vint que
ives générales de médecine, février 1860. somnambulisme spontané ET hystérie . 291 campagne; en un mot se montre si différent
tensité de quelques-uns de ses accès, son SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE . 297' médecin eut la pensée d'essayer l'action
à chaque instant dans ses crises : quand SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE . 299 mon médecin voudra m'étrangler, laissez-le
nte-Cécile, n° 14, le 1er juillet 1872. SOMNAMBULISME SPONTANÉ ET HYSTÉRIE . 30'1 Son départ de chez elle se fit sans diffi
1855, j'avais vu le somnambulisme se pro- duire entre deux accès d' hystérie convulsive accom- pagnés d'extase cataleptique,
aleptique, et se répéter ainsi pen- dant plusieurs mois, côtoyant l' hystérie , marchant parallèlement avec elle. Aujourd'hu
eur origine, qui germent et se dévelop- pent sur un fonds commun, l' hystérie . Asile clinique (SAINTE-ANNE). M. Magnan HÉRÉ
vait suivre pour étudier de la même manière d'autres symptômes de l' hystérie . Aussi est-il tout naturel que M. Charcot ait d
-à-dire que le nombre des phéno- A. Pitres. - Lefolts climqueasur l' hystérie , 1891, t. 1, j). 125. L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE.
non, et cependant la thermo-anesthésie est loin d'être rare dans l' hystérie . Vous connaisse/, également ce symptôme particu
r, un jeune homme de seize ans qui avait eu sa première attaque d' hystérie à la suite d'une forte frayeur qu'il avait éprouv
jeune fille de vingt ans, Isabelle, qui nous présente le type de l' hystérie la plus banale : père alcoolique, accidents névro
vous voyez que leur intérêt est très réel si l'on veut comprendre l' hystérie . Vous n'hésiterez donc pas à me suivre dans que
s séparez ces malades des autres et vous créez deux maladies dans l' hystérie . Vous pou- vez aussi supposer que ces malades n
s sur le compte d'une autre affection combinée à la mélancolie, l' hystérie , par exemple. C'est ainsi que nous avons pu obs
me allaitait à ce moment et de plus, elle présentait des signes d' hystérie (boule, ovarie gauche, diminution de la sensibili
SE TBAU- MAT1QUE; par H. KRIEGER. (Arch. f. Psych., XXII, 2.) . L' hystérie traumatique de Charcot produit trois groupes d'ac
es règles et autres allégations rappelant les délires viscéraux. 3° Hystérie chez un enfant. La névrose s'est développée isolé
une entité morbide sui generis. Dans la majorité des cas, c'est une hystérie traumatique qu'il convient de ranger dans le cadr
hystérie traumatique qu'il convient de ranger dans le cadre de l' hystérie mâle. Il propose d'en distinguer trois catégories
e catégorie confine à la neurasthénie simple qui, contrairement à l' hystérie mâle, a pour caractéristique l'absence de tous
ité des cas relève de la seconde catégorie, toutefois, sur 18 cas d' hystérie mâle qu'a personnellement observés M. Freund, i
ur chacun des trois groupes. M. Freund présente sept observations d' hystérie mâle,'se décom- posant en deux de la première c
HIE. VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie ; par Bourneville, avec la collabo
urneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie l' hystérie et l'idiotie, compte-rendu du service des enfants
aladies du système nerveux et de l'inversion de leur formule dans l' hystérie . Bro- chure in-8° de 75 pages. Prix : 2 fr. Pan
. Chanon. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. 463 Grasset. - Quelques cas d' hystérie mâle et de neurasthénie. Leçons recueillies par
61 ; recherches cliniques et thérapeu- tiques, sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, par Bourneville, 441 ; séméiolo
l ? par Sarlo et Borgherini, 406. Hypnotisme, par Lehmann, 97. Hystérie traumatique, par Bonamai- son, 109. , Ictus a
Sommeil 111STÉflIQLE, par Steiner, 239. Somnambulisme spontané et hystérie , par ¡esnct, 289. STUPEUR, par Whitwell, 220;
47 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ns les convulsions partielles ou générales de l'épilepsie, dans l' hystérie , dans un grand, nombre d'affections spasmo- diq
enmeyer. - Ueber statische tieJlexkranzpf, 1886, Leipzig. 7 Henoch. Hystérie des enfants, Paris, 1885. (Traduction.) 1 Dl Se
e-abasie. J. Grasset lui consacra ensuite trois leçons « D'un cas d' hystérie mâle avec astasie-abasie** , Berthet observe ce
hebdomadaire, 30 novembre 1888. ° J. Grasset. - Lecons sur un cas d' hystérie mâle avec astasze-abasie. Montpellier méd., mar
diée par Berthet fut atteinte de cette affection après des crises d' hystérie . Le malade, âgé de 55 ans, un négociant, dont l
tion offre un début lent; elle se rapproche en cela du début de l' hystérie traumatique. V. De même la lecture des observat
traumatique chez des jeunes gens), et les observa- tions VU et VU¡ ( hystérie consécutive à la malaria et à la fièvre typhoïd
res. M. Anton termine par deux observations remarquables de grande hystérie communiquée; il insiste sur la surémotivité extrê
d'ordinaire chez les anémiques d311s les folies chroniques, dans l' hystérie , mais ces faits négatifs viennent il l'ap- pui
s aliénés. Les fous chroniques sont tous plus ou moins débilités; l' hystérie n'est-elle pas liée à la chloro-anémie ? Enfin,
aumatique, de commotion cérébro-spinale, de psychose traumatique, d' hystérie traumatique. M. Kast (de Hambourg). Contributio
s vasculaire, gros comme une noisette, mal délimité. Conclusion : l' hystérie convul- sive peut être symptomatique de lésions
t (A.). Recherches cliniques et thera- peutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser- vice des e
schen. Gilles de la TOURETTE et CAT)tr.I,I\EAU. La nutrition dans l' hystérie . Volume de 116 pages. Pria : 3 fr. 50. Pour nos
r nos abonnés. 2 fr. 75 Gul,,o ? (G.). Les agents provocateurs de l' hystérie . Volume in-8° de 392 pages. Prix : 8 fr. Pour n
ur les atrophies musculaires des hystériques, et vous savez que l' hystérie est, par excellence, la maladie des phénomènes dy
ition des tissus, et particulièrement du tissu muscu- laire. Dans l' hystérie , pas plus que dans l'hémiplégie de cause cérébr
ment. De même que dans la plupart des cas de Blocq, des stigmates d' hystérie coexistent très sou- vent avec ces désordres du
certain nombre d'expériences, notamment par ' Briquet. Traité de l' hystérie , p. 477. . Lasèôue. - Anesthésie et ataxie hyst
ondrische Vosrtellungs kreise) dans la catégorie des symptômes de l' hystérie , parce que dans les deux affections, l'imaginat
ffrent des gens d'une autre catégorie de ma- ladies nerveuses que l' hystérie . Le seul rapport qu'on puisse établir ici, est
3. Ce non pouvoir VOll- loir, nous y avons insisté en parlant de l' hystérie traumatique= 2 et en répétant avec Page « Les m
thénique, et l'on sait que féquemment la neurasthésie s'associe à l' hystérie ; elles peuvent donc être présentes chez le même
alheureusement il est impossible de désinfecter le sol. P. K. IV. Hystérie anesthésique ; par M. CoURMONT. Observation d'u
servation d'une jeune fille de vingt-deux ans qui a eu des crises d' hystérie jusqu'à l'âge de dix-huit ans et qui actuellement
. COURMONT. Histoire d'une malade âgée de vingt ans chez laquelle l' hystérie se traduisait alternativement par des crises or
d'urine, etc. L'auteur en conclut que chez cette malade, la névrose hystérie affectait successivement le système nerveux de
ne fut'scandée. Ces faits, au début, peuvent être confondus avec l' hystérie ; mais, ce qui permit.le diagnostic en l'espèce
s leçons comportent des notions éminemment originales, au sujet des hystéries saturnine et mercurielle, et, de plus, établis-
nts volontaires, une discussion clinique du diagnostic montre que l' hystérie est en jeu. L'auteur a étudié à ce propos les d
T (A.). Recherches cliniques et théra- peutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - Compte rendu du ser- vice des e
ier. Gilles DE la TOURET1'G et C.1THELINEA1J. - La nutrition dans l' hystérie . Volume de 116 pages. Prix : 3 fr. 50. - Pour n
Pour nos abonnés. 2 fr. 75 Guikon (G ? Les agents provocateurs de l' hystérie . Volume in-8° de 392 pages. - Prix : 8 fr. Pour
spice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRorr : SÓEUR CHARCOT SUR UN CAS D' HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER1; I, (Leçon
ure de ce syn- drome, passez moi le mot, non ce syndrome lui-même HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 323 et qu'en
erv. silst. New-York, 1873. 9 Perroud. Lyon médical, n° 22, 1874. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. S23 cas de Mo
être pas- sage aux fibres sensitives ne nous intéresse point ici. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 327 Quant aux
générale, i dans l'un comme dans l'autre cas, le nerf de la troi- HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 329 sième pai
on, eod. toc., 1855. . Gubler. Gazette heGcl., 24 octobre 1856. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 331 1 rantiel
hement que je n'avais encore ni vu, ni entendu signaler d'exemple d' hystérie simulatrice de l'hémiplégie alterne pédonculo-p
le. Et, cependant, je crois pouvoir affirmer d'ores et déjà que l' hystérie est seule en jeu ici et vous en donner une démo
de la sensi- bilité et vous aurez l'image de l'hémiplégie dans le HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 333 syndrome
e vous prouver ensuite que, chez elle, tout relève de la névrose. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 335 Assurémen
ici, ni dans le passé ni dans le présent, d'attaques convulsives d' hystérie mais la malade nous a fait le récit de certaine
pour cela complè- ' tement résolu. Il se pourrait assurément que l' hystérie ne fût ici qu'un revêtement surajouté à une lés
oir cherché sans pouvoir les découvrir les stigmates officiels de l' hystérie , l'idée d'une lésion organique pouvait venir à
l, les antécédents, etc., je gardai par devers moi cette idée que l' hystérie pouvait bien être en cause. Et l'événement vint
tre les défaillances possibles de l'oculistique que je vousrap- . HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 337 pelle ces
uicil guuclie est plus élevé que le sourcil (droit) du côte sain. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 339 chez cet
cependant que le strabisme spasmodique peut se rencontrer dans l' hystérie . Supposez-le associé au blépharospasme pré- céd
nique gé- nérale l'importance d'une connaissance approfondie de l' hystérie et des diverses manifestations qu'elle peut pré
tte tare du 1 La jeune fille venait de quitter la salle du cours. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 341 père nous
névropathiques par les liens de l'hérédité et que, en somme, dans l' hystérie on ne connaît rien ou presque rien quand on ne
- loureuse à l'épigastre, de palpitations, de bourdonnements dans HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 343 les oreil
normaux ; pas de diplopie, même avec l'emploi du verre coloré. » HYSTÉRIE simulatrice DU syndrome DE WEBER. 1t5 Ce qui fr
ce fait. Bien qu'il n'ait pas rattaché le délire de ses malades à l' hystérie elle-même, attendu qu'à cette époque (1860 et 1
donner des suggestions dans la phase passionnelle de l'attaque d' hystérie , mais sans insister sur les carac- tère spéciau
'une en particulier a duré dix jours. Elle a de plus des attaques d' hystérie classique avec période epi- leploide, phase des
t généralement d'éther a la Salpêtrière pour arrêter les attaques d' hystérie .) Ici, nous arrêtons le délire en appliquant à
ervice de M. Charcot une jeune négresse de Tombouctou, atteinte d' hystérie .) Compresse chaude sur la joue. - Quelles névra
ours de ce travail, des phéno- mènes analogues se manifester dans l' hystérie et dans l'hypnotisme. Nous avons constaté, dans
le cas de M. Ballet aussi bien que dans le nôtre, dit M. Pitres*, l' hystérie s'affirmait par le bégaiement et par des stig-
hique sont cependant .de simples manifestations symptomatiques de l' hystérie . » Donc, à entendre M, Pitres, tous les bègues
priori, que le bégaiement est une manifestation symptomatique de l' hystérie . Je crois que je ne suis pas le seul à trouver
suis pas le seul à trouver excessive cette manière de comprendre l' hystérie . Je reconnais qu'il est surprenant qu'une émoti
j je ne me charge pas d'élu- cider. M. Pitres pense que c'est de l' hystérie , alors je lui deman- derai ce qu'il entend, au
'hystérie, alors je lui deman- derai ce qu'il entend, au juste, par hystérie et pourquoi certains sujets sont hystériques et
is, jusqu'à présent personne ne s'était avisé de faire intervenir l' hystérie dans tous les cas de bégaie- ment. NOTE A L'O
iques un trouble spécial de la parole, se reliant étroite- ment à l' hystérie , et consistant dans une difficulté très remar-
de son adhésion et répéter une fois de plus qu'on observe dans l' hystérie des troubles de la parole dont la physionomie est
les progrès qu'a faits depuis vingt ans l'étude nosographique de l' hystérie . Il semblerait que M. Chervin connaisse mal cet
'altération sérieuse, strictement limitée au sens musculaire dans l' hystérie sans hémianesthésie cutanée. Il semble donc que
ment de toute suggestion) à l'état de veille dans des cas de grande hystérie où ils constituent autant de stigmates hystériq
'effet; mais ils ne représentent que des manifestations propres à l' hystérie et qui sont mieux mises en évidence dans l'état h
al et pathologique. J. Dagonet. XIV. Des troubles trophiques dans l' hystérie ; par Al. Athanassio. (Publication du Progrès mé
urrait le faire une courte analyse. « Dans le domaine si vaste de l' hystérie , il sembla pendant long- temps qu'il n'y avait
ier de l'bystérie. D L'auteur a classé les troubles trophiques de l' hystérie en quatre catégories : troubles trophiques de la
hysio- logique, par Zicllen, 46'9; - Trou- bles trophiques dans l' hystérie , par Athanassio, 170.' v Bromure DE potassium
1'4TIIIQLI (pathologie du), par Hale White, 270. Swnonr nr\Vcuen, hystérie sinno- latrice du- , par Cliarcot, 321. Syphi
48 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es qui ont de fréquents points de contact avec la folie : ce sont l' hystérie et l'épilepsie. On les rencontre souvent dans l
-eh. de Neurologie, t. I, p. 49.) LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 11 L' hystérie peut, dans certains cas, présenter des manifest
manifestations épileptiformes. Il existe une forme particulière d' hystérie , la grande hystérie, l'hystéro- épilepsie, qui
leptiformes. Il existe une forme particulière d'hystérie, la grande hystérie , l'hystéro- épilepsie, qui doit son nom à ce ca
s crises séparées (Charcot) '. Les manifestations psychiques de l' hystérie bien étudiées par M. Legrand du Saulle méritent
de manie ou de mélancolie on retrouve les symptômes permanents de l' hystérie que l'on qualifie d'hystériques ces divers trou
idérée en elle-même , elle n'a rien de caractéristique. En somme, l' hystérie et la vésanie ne sont point subordonnées l'une
'une à l'autre, ce sont deux 1 H. d'Olier. - De la coexistence de l' hystérie et de l'épilepsie avec ma- nifestations des deu
ombinées chez le même sujet, comme le peuvent être l'épilepsie et l' hystérie se manifestant par des attaques distinctes. L'é
V. Si les états psychiques anormaux, l'aliénation, l'épilepsie, l' hystérie sont unis par des liens de famille incontestabl
ours) reconnaît que la folie a des rapports avec les convulsions, l' hystérie , l'idiotie, l'épilepsie, le strabisme, la paral
d. fr., 1883, p. 115. LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 25 l'épilepsie, l' hystérie ', l'aliénation mentale 2. (OBs. VI, XII.) Ob
e même sujet. Il en est de même des phénomènes épileptiformes, de l' hystérie et de la chorée (Gaguon, Jacobi). Observation
bservation XXV. - Mme de P..., goitre ophthalmique à dix-huit ans ; hystérie et somnambulisme. - Père excen- trique. Mère mé
t souvent en rapport par l'hérédité avec l'épi- lepsie, la folie, l' hystérie , etc. (OBS. VIII, XIX.) Observation XXVII. - M.
s. Elles sont fréquem- ment associées aux affections nerveuses, à l' hystérie , en particulier. Elles sont aussi les alliées c
trine, que l'on peut voir aussi coïncider chez le même sujet avec l' hystérie . 1 Ch. Féré. - Contribution a l'étude de la mi
phthalmique, et elle peut s'associer à d'autres né- vroses, comme l' hystérie (Armingand). M. Ritti l'a observée dans la péri
la folie est associée à la sclérose disséminée au même titre que l' hystérie qui figure assez souvent ,dans ses antécédents;
RAPIE; par BOU1LNE'ILLE et BO ? NAIItE. Depuis quelques années, l' hystérie chez l'homme a été l'objet de plusieurs publica
nellement, nous avons eu l'occasion d'observer une dizaine de cas d' hystérie plus ou moins graves chez des hommes ou chez de
matologique que nous avons été l'un des premiers à établir, entre l' hystérie de la femme et celle de l'homme. Observation.
1883, et Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, par Bourneville et d'Olier, 1880,
des variations d'intensité, mais a toujours persisté. Le début de l' hystérie remonte, chez notre malade, à l'âge de douze an
mortes de convulsions; qu'une autre est atteinte de zézaiement et d' hystérie ; que le malade ainsi que deux de ses soeurs off
assant, que, s'il est hystérique, il n'est pas épileptique. IL 11 hystérie a débuté à douze ans et demi, à la suite d'une
s manifestations les plus curieuses et les moins bien étudiées de l' hystérie . L'un de nous en a donné de nombreuses descript
ervalles très éloignés. Il ne présente au- cun signe permanent de l' hystérie ; son développement phy- sique s'est fait d'une
u intéressant de vous commu- niquer. Chez notre malade, en effet, l' hystérie est restée latente pendant très longtemps, et,,
Legrand du Saulle vient d'ap- peler l'attention, on peut dire que l' hystérie s'y trahissait par un certain nombre de particu
uait l'idée du mal comitial ou d'épilepsie partielle. Si en effet l' hystérie a pu mériter, par la diversité de ses manifesta
considérables de bromure absorbées par la malade. L'hypothèse de l' hystérie avait contre elle, disait-on, l'absence des phé
ilepsie, il n'y en avait aucune qui fût péremptoire pour éloigner l' hystérie . Il faut relever toutefois que ce cas est peut-
i, de jour en jour, ont fait pencher davantage le diagnostic vers l' hystérie . Mais , ,durant la première période de la crise
gissait d'une modalité anormale et jusque- là inconnue d'attaques d' hystérie , d'attaques à forme d'épilepsie partielle, ou b
ique nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inclinaient vers l' hystérie : le nombre considérable des attaques, compatib
ion de plusieurs des phénomènes 1 Georget. - Dict. en 30 vol., art. Hystérie , t. XVI, p. 168. SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 cloni
. Hystérie, t. XVI, p. 168. SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 cloniques de l' hystérie , qui au début faisaient défaut, ne laisse plus,
t entre les deux hypothèses que je rappelais plus haut, celle d'une hystérie à forme non connue jusqu'à ce jour, ou d'une ép
M. Charcot. Elle présentait les symptômes les plus nets delà grande hystérie : anesthésie cutanée générale; rétrécissement c
tomatiques, et qui ne ressemblait, *en aucune façon, aux attaques d' hystérie connues. Voici, en effet, comment ladite attaqu
que d'épilepsie par- tielle. Jamais la malade n'a eu d'attaques d' hystérie franche; jamais notamment, au cours de ses cris
¡iIBL ! O(,HAPII11 ? ce diagnostic délicat, en nous montrant que l' hystérie peut em- prunter le masque de l'épilepsie jacks
La conclusion à tirer des considérations qui précèdent, c'est que l' hystérie s'approprie la plupart des formes symptomatiques
esignaler à la Société établissent enfin que les convulsions dans l' hystérie peuvent aussi revêtir les caractères analogues
xposer très net- 1 G. Ballet. - Des accidents épileptiformes dans l' hystérie . Mémoire couronné par l'Académie. (Prix Civiieu
p. 21 et 201.) 2 Durand. - Contrib. à l'élude des relations entre l' hystérie et le 7-hu- matisme. Thèse, 1808. · 3 leude.
s la paralysie générale; 1 A. Mossé. - Contribution Il l'étude de l' hystérie chez l'homme. Mont- pellier, 1883. 1 Laycock.
ine (Voligurie, l'auuoie) s'observe dans un certain nombre de cas d' hystérie et en particulier dans la forme désignée sous l
ie et en particulier dans la forme désignée sous le nom de grande hystérie . C'est quelquefois un phénomène transitoire qui p
névralgies ; mais elle s'observe surtout à la suite dos attaques d' hystérie et principalement dans la petite hystérie : les
à la suite dos attaques d'hystérie et principalement dans la petite hystérie : les urines sont alors in- colores et caractér
lus ou moins impérieuse. Dans les attaques convulsives de la grande hystérie , on observe toujours une trans- piration plus o
t toniques. On l'a signalée dans la manie, dans la chorée, dans l' hystérie , dans le tétanos. Les recherches de M. Ollivier
comme une manifestation d'un état névropathique" comme une sorte d' hystérie locale. On a signalé la rétention d'urine penda
urèthre est facile à constater dans maintes cir- constances, dans l' hystérie , dans l'ataxie locomotrice, dans les myélites p
qu'on introduit. Il est intéressant de remarquer que, dans le cas d' hystérie , où on peut admettre l'anesthésie tactile de la
se de la vessie et de l'urèthre que l'on observe quelquefois dans l' hystérie et dans l'ataxie locomotrice en particulier, so
r être très préjudiciable. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Grande hystérie chez l'homme; par PASTRRNATXKI. (Archives de Ps
euses limitées à la scissure de Sylvius droite. G. D. V. Un cas D' HYSTÉRIE chez l'homme; par ,1\1. LECOQ. (France médicale
'agit d'une jeune fille de douze ans, présentant les attributs de l' hystérie qui, trois fois dans le cours de la même année, f
cience, une lacune regrettable. Ferd. DIIEYFOUS. XVII. Deux cas d' hystérie ; par G.-L. Walton (Arch. of medicine, \ew-1'orl
ille, mère ou soeur, l'ataxie est proche parente des vésanies, de l' hystérie , de la paralysie générale, du mal comitial; à q
ataxie locomotrice progressive et d'une autre affection ner- veuse, hystérie , vésanie ou autre maladie mentale quelconque. N
té communiquée par le pro- fesseur A. Freund. Observation IV bis. Hystérie et rumination chez une gou- ve1'nante : transmi
M. Taguet, un membre' a nié la coexistence de la tuberculose dans l' hystérie ; j'ai pour ma part, observé deux hystériques m
t D'OLIER. Recherches cliniques et thêmpniliques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des epilept
(trajet intra cérébral de 1'), par Raymond et Artaud, 145, 296. Hystérie chez l'homme, par Paster- natzky, 245; par Leco
me, par Paster- natzky, 245; par Lecoq, 247; - par Walton, 253. Hystérie (deux cas d'), par Wallon, 253. Hystérique (t
49 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
ar M. le Dr Vandenabeele et qui présentait des accidents convulsifs d' hystérie et de la diathèse de contracture. Plongée facil
sensibilité du système nerveux central dans l'hypnotisme et dans l' hystérie . Ainsi Rainaldi aurait constaté une fois de plus,
phénomènes qui appartiennent manifestement, non à l'hypnose, mais à l' hystérie . Les trois fameuses périodes qui ont servi de bas
tisme, au sommeil provoqué, des phénomènes qui n'appartiennent qu'à l' hystérie , mais que ces phénomènes, et en particulier ceux
n. De l'hypnotisme par les miroirs rotatifs dans le traitement de l' hystérie , Par M. le le G. LEMOI.NE, professeur a la Facu
, on put considérer la guérison comme définitive. Observation VI. — Hystérie , alcoolisme, aliénation mentale. Amélioration par
on mentale sont relevés dans sa famille. Plusieurs crises de grande hystérie que nous avons pu observer chez elle nous dispens
dans les névroses, et surtout dans les manifestations si variées de l' hystérie et dans tous les étals qui sont sous sa dépendanc
e d'ailleurs, d'un rétrécissement du pylore. Neurasthénie complète. Hystérie (peut-être hystéro-neutasthénie trau-matique cons
y a tous tes symptômes, tous les stigmates de la neurasthénie et de l' hystérie ; céphalée neurasthénique et tout ce qui s'y ratt
s oublier que l'ataxie psychique est un des principaux symptômes de l' hystérie . Sans doute, l'on ne rendra personne hystérique
peutiques, mais je n'oserais pas certifier qu'on ne puisse éveiller l' hystérie latente en multipliant et en répétant souvent les
ins il se trouve encore des médecins qui continuent à prétendre que l' hystérie seule est Justiciable de la sug-gestion. (f) Ph
t l'action la plus dépressive sur l'énergie morale, c'est-à-dire de l' hystérie , de la neurasthénie, sans compter le tabagisme et
le second, imité, d'une manière complète, dans une attaque de grande hystérie . Mme E. C..., âgée de vingt-cinq ans, est depui
nt de grandes crises convulsives qui étaient de véritables attaques d' hystérie . Ce jeune homme avait été vivement frappé de la
nt achever de dissiper tous les doutes qui auraient pu subsister. L' hystérie , nous le savons, peut, dans ses formes multiples
hésiterions pas à ranger cet état mental dans celui qui caractérise l' hystérie , mais il nous faudrait, pour être affiramatifs à
l'absence de toutes constatations somatiques, de faire rentrer dans l' hystérie confirmée. Ce qui frappe tout d'abord dans le r
). des renseignements très précis sur les troubles intellectuels de l' hystérie . Ce qui n'a pas été suffisamment mis en relief,
a pas été suffisamment mis en relief, c'est l'existence évidente de l' hystérie confirmée sans troubles physiques et confirmée pa
ar les seules manifestations de l'état mental. Assurément, ce genre d' hystérie est à suivre, et il est probable qu'aux troubles
propos à l'avis du Dr Legrand du Saulle et convaincu que lubricité et hystérie sont loin d'être deux termes fatalement associés.
x côtés, il n'y a point de dyschromalopsie. Point de stigmates de l' hystérie franche, mais une très grande impressionnabilité.
'agit dans ce cas d'une chorée hystérique, puisque les stigmates de l' hystérie classique n'existe pas chez celle jeune fille.
s difficultés. » Le Dr Birret rattache celle curieuse affection a l' hystérie ci aux faits d'hypnotisme et a la suggestion. D
ice de tous les sens, hors le tact, étant suspendu dans le cours de l' hystérie . ce der-nier est le seul intermédiaire par lequel
la première. Chez la seconde, la mère est sujette à des attaques d' hystérie : et, il y a un point très intéressant à noter da
rès fort en faveur du diagnostic déjà posé : n'est-ce pas en effet en hystérie que l'influence, soit directe, soit transformée,
ux enfants, rien à noter de saill-lant : au point de vue spécial de l' hystérie , on ne trouve aucun des stigmates définis. Et cel
uvent la première manifestation — le premier stigmate révélateur de l' hystérie . L'hérédité provoque chez ces jeunes êtres l'hyst
révélateur de l'hystérie. L'hérédité provoque chez ces jeunes êtres l' hystérie qui couve sous la forme d'une virtualité, dirait-
es à défaillir, elles aussi. Allons-nous avoir une série d'attaques d' hystérie ? Mais-non; l'habile et puissant metteur en scène
apie, l'auteur étudie successivement l'action de la suggestion dans l' hystérie , dans les névropathies dans les alfocllons organi
çoit. Mais l'image visuelle perçue, l'amaurotique par suggestion et l' hystérie la neutralisent inconsciemment avec leur imaginat
ai établi que l'achromatopsie, comme l'amaurose par suggestion ou par hystérie , est aussi purement psychique. L'expérience du pr
n'est pas au courant des choses de la médecine, il ne sait pas que l' hystérie détermine ce mode de rétrécissement ; il ne sait
r simuler de mauvais foi ce symptôme. Notre sujet ne savait pas que l' hystérie est caractérisée par une hémiansthésie gauche sen
t, et M. le professeur Jastrow, secrétaire. Nouveau traitement de l' hystérie . Un médecin allemand, le Dr Wiederhold, vient d
son droit, la correction physique étant un excellent remède contre l' hystérie . (Gaz. Heb. de Med. et de chir.J OUVRAGES REÇUS
un rôle important dans la pathogénie de ces troubles intellectuels. HYSTÉRIE GRAVE GUÉRISON PAR LA SOGGESTION HYPNOTIQUE (1)
ies nerveuses d'enfants proprement dits : les ouvrages français sar l' hystérie chez les enfants et sur le suicide chez les enfan
Laurent, nous pûmes rapidement constater des stigmates indubitables d' hystérie . Les nombreux interrogatoires auxquels le malade
l'hôpital que pour être réformé sur notre proposition comme atteint d' hystérie . Traitement psycho-thérapique. — Guérir l'hysté
comme atteint d'hystérie. Traitement psycho-thérapique. — Guérir l' hystérie nous paraît impossible; on ne peut refaire un esp
es lui permettront peut-être d'atteindre sans encombre l'âge auquel l' hystérie disparaît souvent d'elle-même. D'autre part, des
s trophiques. Gilles de la Tourotte, dans son remarquable traité de l' hystérie , dit : « Cette atrophie se montre beaucoup plus r
ie. On pourrait objecter que l'enfant n'a présenté aucun symptôme d' hystérie ; mais ne savons-nous pas que chez les enfants en
articulier, la contracture est souvent la première manifestation de l' hystérie et que celle-ci peut être monosymptomatique (5).
logie, n° 34 et 30, 1890. (3) Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie (hystérie normale), p. 240. 1891. (4) Revue men
34 et 30, 1890. (3) Traité clinique et thérapeutique de l'hystérie ( hystérie normale), p. 240. 1891. (4) Revue mensuelle des
simulatrice. Du reste, dans ce cas particulier, le diagnostic entre l' hystérie et la simulation n'a pas une grande importance; o
et la simulation n'a pas une grande importance; or. nous savons que l' hystérie n'est pas rare à cet âge et même au-dessous (4).
r en Cour d'assises, elle avoue qu'elle a simplement voulu (1) De l' hystérie simulatrice des maladies organiques de l'encéphal
ments. Motet (2) cite un enfant de quinze ans simulant des attaques d' hystérie qu'il avait vues chez sa mère. Mon collègue et am
uès. a rapporté le fait d'un petit garçon qui simulait des attaques d' hystérie pour éviter d'aller au collège Un motif d'intérêt
es nerveux qui puissent faire songer à ce que l'on pourrait appeler l' hystérie à l'état naissant. (1) Motet : Ann. d'hyg. pub.
succès a répondu à ce procédé de traitement chez ces deux malades. Hystérie . — Attaques cataleptiques datant de sept ans. — D
Je viens de la voir le 21 février 1S93; la santé est restée bonne. Hystérie . — Accès de catalepsie datant de huit mois. — Pro
esorcizzali ». (L'ipnotismo, février 1893.) Debove.. — - sciatique et hystérie , (Gaiette des hôpitaux 21 juillet 1892) De Sarlo
ales à la Charité', 1892. (2) Richet : Étude clinique sur la grande hystérie , Paris 1885. (3) Pitres : Leçons cliniques sur
la grande hystérie, Paris 1885. (3) Pitres : Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme. tranchés qui se trouvent rarem
toute confusion. nous allons dire quelques mots de la simulation de l' hystérie , qui doit être bien différenciée de la première.
être bien différenciée de la première. En effet, la simulation de l' hystérie est une simulation vulgaire, elle ressortit à l'é
e ressortit à l'élude de la simulation en général et non à celle de l' hystérie . On simule l'hystérie comme on simule l'épileps
la simulation en général et non à celle de l'hystérie. On simule l' hystérie comme on simule l'épilepsie. comme on simule tout
était assez difficile, en particulier, de déjouer la simulation de l' hystérie , à cause précisément de la variété infinie des fo
ation, ajoutons que. la nuit suivante, la malade simula une attaque d' hystérie ; elle simula quelques mouvements convulsifs et s
démonstration des lois psycho-physiologiques de la), par Guérison d' hystérie grave par la suggestion hypnotique,par Krafft-Ebi
hich et la suggestion (le) par Des jardin de Régla. 2(. Hypnotique, hystérie grave, guérison par la suggestion hypnotique, p
raduc. 39. Hypnotisme par les miroirs rotatifs le traitement de l' hystérie , par G. Lemoine, 68. Hypnotisher suggestionner
ues considérations sur la psychologie de 1'), par Delbœuf, 200. Hystérie grave, guérison par la suggestion hypnotique, par
ve, guérison par la suggestion hypnotique, par Krafft-Ebing. 262. Hystérie (de l'hypnotisme par les miroirs rotatifs ët le t
50 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
s mentaux envisagés comme complication des diverses névroses (chorée, hystérie , épilepsie). Dans tous ces cas, lorsque la sugg
approfondi du malade pourrait peut-être autoriser le diagnostic de l' hystérie ? C'est là un point à débattre dans l'avenir. L'h
bert, 10. 10· année. — n° 3. Septembre i895. 0RGAN0PATHIES ET HYSTÉRIE Irritation spinale d'origine hystérique ; guéri
on) et des troubles associés d'ordre purement dynamique relevant de l' hystérie traumatique. Au moment où je vous le présentais
é dans mon service il y a quelques jours. Il s'agit encore d'un cas d' hystérie traumatique. Le nommé F., Florimond, maçon, âgé
d'hui, et c'est déjà quelque chose, qu'elle peut être efficace dans l' hystérie . 11 faut ajouter, ce qu'on ne fait pas toujours,
oup sûr que cette douleur soit purement auto-suggestive. Les crises d' hystérie convulsive, la contracture hystérique, ne sont pa
des zones d'anesthésie et d'hypereslhésie. C'est, le plus souvent, l' hystérie à forme erotique à laquelle on a affaire dans ces
fois, quand on ne peut trouver chez ces sujets des traces certaines d' hystérie confirmée, on découvre qu'ils ont présenté à cert
at névropathique poussé au plus haut degré, qui possèdent en un mot l' hystérie à l'état latent ; en tout cas, toujours et sans e
tille physiquement, elle enlaidit plutôt. — Elle a les stigmates de l' hystérie , elle a des zones d'anesthésic, est presque compl
et elle reprenait possession de son identité somatique. C'était de l' hystérie bien employée. Un autre encore ne pouvait être
Par M. le Dr Gobodichze. Parmi les nombreuses manifestations de l' hystérie , le syndrôme connu sous le nom d'Astasie-abasie (
font venir un de mes amis, le Dr Piquanlin, qui soupçonne de suite l' hystérie et m'adresse la malade. Je l'ai vue pour la pre
dans la proportion de 3 à 1. SUR QUELQUES ACCIDENTS BIZARRES DANS L' HYSTÉRIE Par G. PoteL, interne des hôpitaux. a Scxcent
rt, la pensée du philosophe grec reste vraie, encore aujourd'hui. L' hystérie est, en effet, capable de tout. Dans cette bizarr
eprendre ici toutes les particularités et toutes les bizarreries de l' hystérie : un volume n'y suffirait pas. Nous voulons simpl
édents nerveux notables, la malade est brusquement prise d'attaques d' hystérie . Ces attaques apparaissent tous les deux ou trois
s. La malade vient à Lille comme demoiselle de magasin, mais, là, l' hystérie la reprend sous forme de contractures. Ces cont
appesantirons pas trop sur ce sujet. On sait aujourd'hui que, dans l' hystérie , l'appareil urinaire se permet toutes les fantais
es, et qui suffît à elle seule à donner la mesure des fantaisies de l' hystérie , est celle de Hodges (1). Une femme vient préve
ment ce sont là des exceptions, et des exceptions assez rares. Mais l' hystérie est une maladie tellement fréquente, elle vient s
les. Le diagnostic est en effet d'une importance capitale, car si l' hystérie a parfois des symptômes fâcheux, du moins elle a
dans une grande administration, ne présente aucun des stigmates de l' hystérie , ni d'autre affection apparente, antécédents névr
t examiné ne parait pas épileptique ; en l'absence des stigmates de l' hystérie , M. Raymond tente la suggestion hypnotique pour s
it pas. Mais en raison de ses antécédents de famille, le diagnostic d' hystérie fut maintenu. Il se peut que n'étant plus dans
ales ; je citerai seulement les cas où les deux névroses épilepsie et hystérie peuvent exister chez 2le même sujet. 2e OBserva
qu'à une épilepsie. Le sujet d'ailleurs présente les stigmates de l' hystérie , elle perd le souvenir de ce qui se passe pendant
iminel. Psycho-pathologie des sensations sexuelles. Grandes névroses ( hystérie , épilepsie). Conscience alternante, contagion p
lus l'énorme pouvoir de notre activité psychique non seulement dans l' hystérie , mais aussi dans les autres troubles du système n
ucidé, alors que les observations de paralysie des adducteurs, dans l' hystérie , ne se comptent plus. L'interprétation de ce ph
ues inconscients des convulsions, des chorées, de l'épilepsie et de l' hystérie sont peut-être dus à la suppression de l'influenc
un autre encore, le ramollissement, les raideurs, etc. Les crises d' hystérie et d'épilepsie s'expliquent fort bien par une sus
lysies ; c'est du reste l'hypothèse émise par M. Mathias Duval pour l' hystérie , comme nous le verrons plus loin. Mais, en fait d
mple, un rappel de souvenirs peut suffire à faire éclater une crise d' hystérie , d'épilepsie, de manie ou de folie, une période p
art de ces cas, comme après les crises d'épilepsie et souvent aussi d' hystérie ; c'est comme si le fil des idées avait été momen
cations à la Société de biologie, l'exemple de ce qui se passe dans l' hystérie est fort suggestif. Avec les théories anciennes d
le fainéant, que je ne voulais pas travailler ! » Pas plus que dans l' hystérie , la théorie de la continuité ne nous satisfait po
sera-l-elle produite, comme dans ces attaques d'épi- lepsie et d' hystérie , où l'on diraitqu'une décharge électrique doit se
r l'autre et le développement propositif et spécial qu'avaient pris l' hystérie et ma malade au contact de la même névrose, fait
réquente chez les hystériques. Il y avait chez cette femme, outre l' hystérie et sous la dépendance de cette névrose, une obses
mi ces névroses, M. le Dr P. Hartenberg distingue en première ligne l' hystérie , type accompli des névroses par auto-suggestion;
cieta Lanet-sîana degli ospedali di Roma, fasc. II, 1895.} Un cas d' hystérie chez une fillette de 8 ans, guérison par suggesti
ai. — Les névroses convulsives. — Le traitement psychothérapique de l' hystérie . — L'hystérie mentale. Mardi Î2 Mai. — Les névr
oses convulsives. — Le traitement psychothérapique de l'hystérie. — L' hystérie mentale. Mardi Î2 Mai. — Les névroses par épuis
ndance au vol, chez notre malade, relève de la dégénérescence ou dc l' hystérie . Cette question ne laisse pas que d'être assez
ent défendue par M. H. Colin dans sa thèse ('), consiste à regarder l' hystérie comme une modalité de la dégénérescence. Si on l'
us posons n'a plus sa raison d'être, puisque les impulsions liées à l' hystérie deviennent, par le fait même, des impulsions de d
u'ils coexistent, certaines tendances malsaines, mises à l'actif de l' hystérie , doivent être en réalité attribuées à la dégénére
ans son rapport au Congrès de Clermont-Ferrand sur les relations de l' hystérie et de la folief3). Avec cette manière de voir,
ndre parti pour l'une ou l'autre des deux opinions, nous dirons que l' hystérie , comme d'ailleurs l'épilepsie et la neurasthénie,
lle peut s'associer en proportions des plus variables. Tantôt c'est l' hystérie qui prédomine, le fond dégénératif étant à peine
aire, c'est la dégénérescence qui apparaît comme l'état primordial, l' hystérie , plus ou moins fruste, étant reléguée à l'arrière
des hystériques, th. de Paris, 1890. (?) Ballet : « Les rapports de l' hystérie et de la folie o [Comptes rendus du Congrès des A
iculier dans les maladies mentales et nerveuses. Pour ce qui est de l' hystérie , leur rôle y est des plus importants, ainsi que l
cupé de la question dans ses nombreux travaux sur la psychologie de l' hystérie (6). Il est donc acquis que les rêves, chez les
ologie. Paris, 1890, F. Alcan, édit. (3) Pitres : Les rapports de l' hystérie et de la folie [discussion]. {Comptes rendus du C
obsédés ou impulsifs, il faut être à mon sens plus ou moins entaché d' hystérie pour offrir une prise efficace à la suggestion.
nfants dégénérés, soit fréquemment liée à un fond, apparent ou non, d' hystérie , si l'on en juge par ce fait que l'hypnotisation
ns les cas de ce genre, à la possibilité de la dégénérescence et de l' hystérie ; d'autre part, à l'influence souvent médicatrice
vit. 11 fut placé dans un asile et, là, il eut plusieurs attaques d' hystérie . J'eus recours à la suggestion et parvins à lui
nt de lui, avait 'subi tant d'expériences violentes, que des crises d' hystérie n'ont pas tardé à se manifester. Tout ce qui lui
l'onanisme, la kleptomanie, l'ony-chophagie, la paresse invétérée, l' hystérie infantile dans toutes ses manifestations, telles
at d'hypnotisme (un), par A. Voisin, 360. Accidents bizarres dans l' hystérie (sur quelques), par G. Potet. 174. Action compl
suivi de succès. Guérison de la catalepsie, par Auguste Voisin, 27. Hystérie chez une fillette de 5 ans. guérison par suggesti
51 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteints de cette infirmité. Il y a relevé l'alcoolisme du père, l' hystérie de la mère, toutes les variétés de la neurasthé
a thèse de M. J. Janet 2, on peut de même constater l'alcoolisme, l' hystérie , la neurasthénie, l'hypocon- drie, le nervosism
ndant relevé, comme les auteurs précédents, l'alcoolisme du père, l' hystérie , la déséquilibration mentale, divers accidents
éséquilibration mentale, surtout l'hypo- condrie. L'alcoolisme et l' hystérie viendraient ensuite; puis, en dernière ligne se
seudo- méningitiques, pour se continuer par les somnambulismes, l' hystérie , la neurasthénie, l'hypocondrie et les obsessions
ition. D'après les statistiques de Bri- quet, Clopatt et autres', l' hystérie infantile est particulièrement fréquente avant
chirait le sphincter sans ' Voy. Gilles de la Tourette. Traité de l' hystérie , 189à ? .. 6 THÉRAPEUTIQUE. résistance et en
rêve approprié. Il existe d'ailleurs une affinité réelle entre l' hystérie et l'in- continence. Certains incontinents sont
syndrome et de son analogie avec certains troubles psychiques de l' hystérie ? : ' Une seule suggestion suffit parfois pour
ves. Fréquentes poussées congestives vers la tête, aucun stigmate d' hystérie . Elle a été propre de un an à quatre ans, mais
sieurs reprises chez cet enfant et qui ne sont peut-être que de l' hystérie infantile qu'il faut chercher la cause de l'insuc
-coureur d'affections nerveuses plus ou moins graves, neurasthénie, hystérie , hypocondrie, obsessions mentales, ayant toutes
e psychique analogue à quelques-uns de ceux que l'on observe dans l' hystérie . Le mécanisme de la production de ce phénomène
du système nerveux; on constate parfois chez eux les stigmates de l' hystérie . Les traitements pliarmaceuliques ou chirurgica
entre eux présentaient les troubles sensitifs caractéristiques de l' hystérie . Exposé des observations. La- conclusion finale
La- conclusion finale est que l'eczéma est souvent un symptôme de l' hystérie , et qu'on ne doit attribuer aux irritations extér
lle 'qu'on leur accorde dans l'apparition des autres symptômes de l' hystérie . C. 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. VI. Zo
c'est un syndrome appartenant à divers états patho- logiques, et l' hystérie joue un rôle considérable dans son dévelop- pem
sonnels : rougeole, fièvre typhoïde, syphilis, trau- matisme grave, hystérie qui s'accuse quelque temps après la syphi- REVU
ait tombée, tout se serait passé sans douleur. Nombreux stigmates d' hystérie : plaques d'anesthésie, point dou- loureux épig
évroses se divisent en deux groupes : dans le premier se trouvent l' hystérie et la névrose des obsessions, cette dernière ét
ystérie et la névrose des obsessions, cette dernière étant liée à l' hystérie plus étroite- ment qu'on ne croirait. Dans le s
rompu, d'une irritation génitale fruste. La cause spécifique de l' hystérie est un souvenir qui se rapporte à la vie sexuel
érie, t. IL 4 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. logue à celle de l' hystérie . On y trouve aussi un événement sexuel précoce,
lement à d'autres activités (voir p. 48). P. K. XIX. Observation d' hystérie avec accidents d'akinésie DOULOUREUSE; par A. P
akinésie douloureuse pour une affec- tion dynamique rentrant dans l' hystérie , mais ils veulent en faire une nouvelle psychop
n est pour eux comme pour l'astasie-abasie seule, c'est une forme d' hystérie monosymptomatique. A plus forte raison, quand l
'akinésie dou- loureuse s'accompagne, comme ici, d'accidents nets d' hystérie . La thérapeutique électrique ou pharmaceutique,
ngs-Zuslïxânde der exlei-iore)z und interionezz Augen-J11uskeln bel Hystérie . - Brochure in-8°, de 36 pages. Leipzig, 1896.
l'état mental DE V..., accusé d'homicide. Equivalent psychique DE l' hystérie ; DISI\01.1 UYSTÉ- mQUE; par le De Ruggero 1'.\,
DECINE LEGALE. 121 observés chez lui indique d'une façon certaine l' hystérie . V... est un dégénéré hystérique et il a le car
nté de mani- festation de celle affection, son acle est donc dû à l' hystérie . Chez lui, les centres supérieurs, inhibiteurs,
on d'un réflexe simple, sans contrôle. C'est en résumé là un fait d' hystérie morale non convulsive. V...,son meurtre accompl
clé l'indifférence et même la gaité. Ce n'est pas chose rare dans l' hystérie , après les scènes les plus drama- tiques, les h
s un état parti- culier de perversion de sa personnalité, véritable hystérie mentale, qui lui enlevait la liberté de ses act
comme dans l'excitation maniaque, la paralysie générale au début, l' hystérie ; d) l'impulsion s'explique par une faiblesse inte
l'imbécile, l'idiot, les déments de toutes variétés ; 4° Enfin l' hystérie forme un type mixte où se rencontrent tantôt de
te, cri, perte de connaissance et écume buccale. Pas de stigmates d' hystérie . La brusquerie et l'instantanéité des douleurs
t l'existence de la sclérose latérale amyotrophique. L'étude de l' hystérie et de l'hypnotisme occupe plus parlicu- d3ï ! B
tie de sa vie. La description de l'attaque hystérique, l'étude de l' hystérie interparoxyslique, l'importance et la valeur de
des hôpitaux, attirer l'attention sur elle par des crises de grande hystérie , avec contorsions, grands mouvements- de ilexion
tparcon- séquent erronées sur la paralysie générale, l'épilepsie, l' hystérie , la neurasthénie, la chorée, etc., si on ne con
s et contrairement aux opinions anciennes et d'après lesquelles l' hystérie , l'épilepsie, la neurasthénie étaient des maladie
certain temps. Le traitement de cette affection doit s'adresser à l' hystérie . La maladie à laquelle nous donnons le nom d'ac
rofondément altérée. Philomène eut encore dans la suite des accès d' hystérie ; sa pleurésie guérit; mais l'acrocyanose resta
on trois ans. Comme antécédents héréditaires, il n'y avait que de l' hystérie du côté de la mère; elle était enfant unique.
lle était enfant unique. Comme antécédents personnels, rien que l' hystérie . La malade portait tous les stigmates de la név
mmandent Charcot et ses savants successeurs, de songer toujours à l' hystérie , avant d'asseoir son diagnostic définitivement
s- SOCIÉTÉS SAVANTES. 229 formations et manifestations locales, l' hystérie met le plus souvent en jeu tour à tour l'ensemb
gmus s'observe parfois SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 spontanément dans l' hystérie . Ce nystagmus vibratoire ne ressemble nullement
persécuté, les dégénérés et congénitaux, les convulsifs (épilepsie, hystérie ), alcoolisés et déments au sujet de ces derniers,
une manie alcoolique aiguë guérie au bout de huit jours et un cas d' hystérie grave avec tentatives réitérées de suicide guér
ralysie générale. - Rapporteur, M. ARNAUD (de Vanves) ; - 2° De l' hystérie infantile. Rapporteur à désigner. 3° De l'organ
est que dans un cas où la peur de la rougeur s'est trouvée liée à l' hystérie , que nous avons pu obtenir quelque résultat du tr
ciaux : 282 11) asiles d'aliénés. affection cérébrale ou spinale, hystérie , épilepsie, hypocondrie, chorée, migraine ou ne
t et qui en a compris la nature. Le sein hystérique est un type d' hystérie localisée. Il reconnaît souvent pour cause déte
douloureux. A ce moment appa- raissent des symptômes généraux de l' hystérie , strangulation, troubles céphaliques, etc., et
cas est un exemple de ces associations morbides où se com- plaît l' hystérie : Observation. - Atrophie musculaire chez un ho
de la sensibilité, qui manquent dans la myopathie, ils sont dus à l' hystérie associée, chez le malade, à l'affection muscula
ires. Il reste l'incontinence d'urine, à la vérité très rare dans l' hystérie , elle serait due, dans le cas actuel, à une par
r il ne s'agit pas d'une complication hystérique, l'anesthésie de l' hystérie a des caractères sui generis. La malade mouru
autres sens spéciaux militent, chez cette malade, en faveur de l' hystérie . Le tremblement est pourtant le tremblement typiq
ante. Ya-t-il donc, chez cette jeune fille, maladie de Parkinson et hystérie à la fois ? Le professeur de Renzi ne le pense
t aux phénomènes paralyti- ques, on ne peut guère les attribuer à l' hystérie , la paralysie hys- térique est une paralysie ps
r- 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion dorsale de la moelle, l' hystérie n'est pas en cause. Du reste, on hypnotisa la m
vista clinica c terapeulica, Naples, 1896, n° 3.) G11USIïI'. XHV. Hystérie . Souffle cardiaque NERVEUX. OEDÈME des extrémités
es membres inférieurs dépendent d'une affection cardiaque ou de l' hystérie seule. Le souffle indiquerait une insuffisance mi
s la sensibilité est innervée dans tous ses modes. Aucun stigmate d' hystérie . Réaction hémiopique de la pupille à la lumière
és et de ses propres observations il conclut qu'il s'agit parfois d' hystérie traumatique; il tient donc les manifes- tations
observations connues, et qui ne paraît pas devoir être rattaché à l' hystérie . L'auteur rapporte deux cas personnels. Un des
ise avait été caractérisée par une crise de larmes. S'agissait-il d' hystérie ? L'hérédité du malade est chargée; mais on n'a p
ar le cerveau. Pour le deuxième sujet, il n'en est pas de même. L' hystérie parait être en cause. Le patient a eu antérieur
les d'une explication différente et qui doivent être attribuées à l' hystérie . Il importe aussi de se rappeler qu'on a SOCIÉT
rappeler qu'on a SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 observé d'autres signes d' hystérie (hémianalgésie et rétrécissement du champ visue
i une lésion de la maladie existe au niveau du centre du langage. L' hystérie , dans certains cas très rares, donne lieu à de
rs personnes atteintes d'affections nerveuses et en particulier d' hystérie . Nous croyons utile d'en placer la relation sous
ptomatique résumé ci-dessus. Il discute ensuite la possibilité de l' hystérie , il cite même un cas qui ne manque pas d'analog
ent dé- pendait de la grande névrose. Sans se rallier à l'idée de l' hystérie , il ne la repousse pas absolument. 11 arrive en
phalées admises par les auteurs. En effet, peut-on la rattacher à l' hystérie ? Il faudrait admettre alors que cette névrose pe
nom d'achillodynie. L'existence de la névralgie des tendons dans l' hystérie est d'autant plus inté- 470 REVUE DE PATHOLOGIE
vico-thoracique supérieure. M. Bregman discute le diagnostic avec l' hystérie , la névrite périphérique du radiculaire, la pac
NEVILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques, sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - Compte rendu annuel du service
52 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
ello. Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ), Lecithine Rogler (Neurasthénie, Tuberculose,
rs de son délire somnambulique, elle dessine tout une crise de grande hystérie , avec arcs de cercle, attitudes passionnelles, co
ystéro-épilepsie ? En pathologie générale, Il n'y a pas d'hybrides. L' hystérie et l'épilepsie peuvent coïncider chez le même ind
ncider chez le même individu. Le terme d'hystéro-épilepsic signifie l' hystérie à sa suprême puissance. En dehors de ses huit j
lle, Diabète). Tri bromure de Qigon (Maladies nerveuses. Epilepsie, Hystérie ), Leoithine Roglor (Neurasthénie. Tuberculose,
munication sur le trismus hystérique, comme moyen usuel de dépister l' hystérie , mais ici je ne pouvais l'interpréter comme tel.
ant était petit pour son âge, un peu ridé, d'un tempérument porté à l' hystérie ; mais une chose dominait tout, c'était l'âge de
ie qui la réveille. COURS ET CONFÉRENCES Nouvelle conception de l' hystérie .—-Les stigmates hystérlques(')- par le D' Babin
par le D' Babinsei médecin de la PiUé. Généralement, on dit que l' hystérie se caractérise par des manifestations capricieuse
Boubseville.— Recherches cliniques etthérapeutiquessur l'épilepsie l' hystérie et l'idiotie. In-8, 290 p. Progrès médical, 1903.
avclle. Diabète). Trlbromure de Glgoa (Maladies nerveuses. Epilepsie, Hystérie ). Léclthine Rogler (Neurasthénie. Tuberculose. Di
ber dans l'oubli une des manifestations les plus extraordinaires de l' hystérie , je crois devoir résumer d'une manière succincte
écialistes adonnés ù la solution des problèmes captivants posés par l' hystérie , cette névrose capricieuse qui est loin de nous a
e et il continue : « M. B. {* fut prise (31 mai 188-J] d'attaques d' hystérie très violentes et très nettement caractérisées. C
ntenir couchée; l'arc de cercle fut nettement observé. Ces attaques d' hystérie se terminaient par une salivation abondante sembl
lion de la toux, la malade est prise brusquement d'une grande crise d' hystérie semblable à celle du début- de son état SUPPL
out le corps, début immédiatement après une série de grandes crises d' hystérie et terminaison suivant de près la reproduction de
ison est généralement consécutive à une ou plusieurs grandes crises d' hystérie . On peut admettre que chez la malade qui nous o
re à l'état de veille. Les cas de ce genre sont tris fréquents. L' hystérie , en effet, est très répandue dans la population r
vclle, Diabète). Trlbromure- de Otgon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ). Lecltbinc Rogler (Neurasthénie, Tubérculo»*. Dl
, se répercute pendant la période de « rumination » qui le suit; et l' hystérie latente, qui couvait insoupçonnée, se révèle. Le
savons déjà que les intoxications, & elles seules, fontappel à l' hystérie : si, par contre, il était vrai qu'une intoxicati
chagrin. Peu après la mort de sa mère, elle a une première attaque d' hystérie avec perte de connaissance, puis d'autres très fr
c consécutives au traumatisme survenu en bas âge, mais dea attaques d' hystérie . Il est possible, il est vrai, que ce trauma-
urremment avec d'autres facteurs, ait contribué au développement de l' hystérie chez cotte personne. Quoi qu'il en soit, ce cas
152. III. — COURS ET CONFÉRENCES, i- Crises classiques de grande hystérie et tremblement hystérique monosympto-matique, par
elle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses, Epllepsie, Hystérie ). Leclthine Rogler (Neurasthénie, Tuberculose,
; ET CONFÉRENCES COURS ET CONFÉRENCES Crises classiques de grande hystérie et tremblement hystérique monosymptomatiqne (') p
te beaucoup. Voila donc deux manifestations fort dissemblables de l' hystérie survenues, chez notre jeune fille do 19 ans, parc
érence dans les manifestations tient à une différence de terrain. L' hystérie n'est pas interprétée de la même façon par les au
Paris, Imp. QL'KLQL'EJEU, ru* Gorbert. 10- H CHLOROSE — ANÉMIE — HYSTÉRIE S 6 Epuisement nerveux - Dysménorrhée f ROB I
cllc, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies nerveuses, Epllepsie. Hystérie ). Lécithine Rogier (Neurasthénie, Tuberculose.
'indiquait et m'imposait la vole à suivre. Mais, sans aller jusqu'à l' hystérie , il faut reconnaître que son esprit était d'u
délire hallucinatoire persiste. Aucun des stigmates habituels de l' hystérie , sauf l'absence du réflexe pharyngien. Malgré d
r le bien-fondé des raisons pour lesquelles il convenaitd'accorderà l' hystérie le droit d'oxis-tence dans la nosologie générale
prédisposition constitutionnelle, native, chez les sujets entachés d' hystérie , l'entière et complète responsabilité des infirmi
ssion nerveuse qui se traduit, chez les prédisposés surtout, par de l' hystérie ou de la neurasthénie. Nous dirons qu'une disti
la neurasthénie. Nous dirons qu'une distinction est á faire, que l' hystérie très facilement influençable et curable par le tr
ous rappelons seulement que, à côté des formes franches constituant l' hystérie , la neurasthénie et certains genres de délire
rescence » est le lot nécessaire de l'humanité actuelle. • » Si l' hystérie est souvent caractérisée par un état réel d'aboul
lle, Diabete). Tri bromure de Glgon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ). Léoithino Rogier (Neurasthenie, Tuberculose,
iens qui favorisent si souvent l'évolution de la neurasthénie et de l' hystérie en instance. II sert à fortifier l'influence que
il ressort que les mesures de jurisprudence militaire applicables à l' hystérie masculine doivent être étendues à la neurasthénie
velle. Diabète). Tnbromuru do Gigon (Maladies.nerveuses, Epilepste, Hystérie ). Lôeithine Rogier (Neurasthénie, Tuberculose.
ui les esprits vers les choses de la psychologie. Aux prises avec l' hystérie , Charcot ne fut pas long à se convainore que cett
côté et très exagérée de l'autre. Dans les autres manifestations de l' hystérie , le déplacement de l'équilibre de la force nerveu
elie, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses, Epilepsie. Hystérie ). LOcithino Rogier (Neurasthénie, Tuberculose,
ux sels de magnésium est à la fois un spécifique de l'épilepsie, de l' hystérie , des affections convulsives et un réparateur des
sphères cérébraux a oxposé dos vues originales sur la conception de l' hystérie , qu'il considère comme une manifestation de l'iné
rnière façon d'envisager les choses a amené M. Babinski à tenter de l' hystérie une définition dont l'esprit sinon la lettre est
rie une définition dont l'esprit sinon la lettre est le suivant : L' hystérie est une maladie qui s'échafaude par auto-suggesti
anorexie hystérique, il faut avoir constaté des signes objectifs de l' hystérie , par exemple, l'anesthésiedes parois de l'estomac
esserré ; les yeux sont vagues. Pour mol, Tullio est atteint de cette hystérie latente qui s'est souvent signalée chez ceux qui
elle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ). Léoithlne Rogler (Neurasthénie, Tuberculose.
é, en dehors de toute suggestion. De môme, dans certaines formes de l' hystérie , les malades sont peu accessibles à l'hétérosugge
ixième ligne de sa communication parue dans le numéro précédent : a L' hystérie est une maladie qui, d'après M. Babinski, s'échaf
. Une seule affection, n'est-ce pas, peut se comporter ainsi, c'est l' hystérie . D'ailleurs, les réflexes sont conservés, la sens
u sommeil. Sur ces données, vous aveztous l'impression qu'il s'agit d' hystérie avec confusion mentale. Or, il ne faut pas faire
lui sont prétextes à tourments et & crises, lesquelles simulent l' hystérie , mais ne sont que de l'agitation musculaire. Peu
que pour le traitement, Il importait de ne pas faire le diagnostic d' hystérie , car l'hystérique avec confusion mentale guérit,
elle, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ). Lecithine Roglor (Neurasthénie. Tuberculose,
ent surtout des symptômes psychiques. I. MmeX..., 32 ans, de Paris. Hystérie fruste; a eu des crises autrefois; malheureuse en
leure sans cesse: m'est amenée par le mari lui-même. Aucun stigmate d' hystérie . Je l'ai soignée autrefois pour prolapsus utérin
tale psychique, 2; neurasthénie, 2; psychasthénie, 4; bégaiement, 1 ; hystérie , 3; névralgie, 1 ; accouchement. 1 : obsessions,
seul soutien, elle commença à manifester les premiers symptômes de l' hystérie convulsive par des crises plus ou moins espacées,
le j'assiste jusqu'à la fin. C'est, assurément, une attaque de petite hystérie avec tout son cortège clinique. De temps en temps
elle. Diabète). Tribromure do Gigon (Maladies nerveuses, Epilepsie, Hystérie ). Léclthine Rogier (Neurasthénie, Tuberculose,
de zones d'insensibilité uréthrale qui m'avaient permis de dépister l' hystérie . D'un côté, zone d'anesthésie uréthrale accompa
r l'hystérie. D'un côté, zone d'anesthésie uréthrale accompagnant l' hystérie ; de l'autre, hyperesthésie uréthrale accompagnant
médecin, le docieur Roussy, comme un cas très curieux et très rare d' hystérie . Voici l'histoire de cette malade que je vis pour
isent au point qu'à chaque séance la malade ébauche une vraie crise d' hystérie . Vers le milieu de mars 1904, Marie-Louise eut un
mais eu ni crises con-vulsives, ni rien qui rappelle l'épilepsie ou l' hystérie . Pas de stigmates hystériques. Tous les organes
ériques mensuelles, par Raymond, p. 26. Crises classiques de grande hystérie , par Raymond, p. 157. Danse du ventre et spasme
53 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
es. Sou jure élaît alcoolique, sa mère avait des crises conduisîtes d hystérie , sou grand-père uialeruel était buveur. Observa
séance» de suggestion oui amené la disparition complète de» crises d' hystérie el de l'onyrhophagic. Observation IX onychoph
u champ visuel, «pii ne laisse pas dis ilotite sur l'existence de I hystérie . Ces attaques diurnes sont de même nature que l
habituellement. Or. ce fait esl fort important au point de vue de l' hystérie , car ces malades sont certainement très souvent d
tale se relromc a chaque page dans les Eludes cliniques sur la grande hystérie . Dans In préface de ce livre remarquable à tant d
érie si j'avais connu la thérapeutique hypnotico-suggestive, (1) 2° Hystérie avec hallucinations psychiques. —Influence singul
ervé. Louis,- S.... bien portante jusque-là. a eu son premier accès d hystérie avec étouffements. perte à peu prés complète île
rait et riait tour â tour, mais nous n avons pas constaté d'nllaque d' hystérie . Dans d'autres moments elle parait calme. raiso
tte curieuse observation pour bien montrer cette forme particulière d' hystérie qui. latente pendant un grand nombre d'années, éc
locomotrice, les perturbations médullaires. l'aphasie, la folie, l' hystérie . etc. Ce sont, ou le sait, les admirables leçon
celles sur l'hypnotisme, celles même sur les différentes formes de l' hystérie , qui sanctionnèrent la gloire de l'école de la Sa
t je vais parler sont tous hystériques à un remarquable degré. Mais l' hystérie aller le tant de formes et est si répandue que ce
r les touches. Elle refusa et comme j'insistai elle eut une attaque d' hystérie aux mouvements convulsifs. Après deux ou trois jo
re était buveur nu moment où il l'a engendrée. La mère est atteinte d' hystérie confirmée. Plusieurs personnes de la famille sont
acture soient des équivalents psychiques et physiques d'une attaque d' hystérie . Quoi qu'il en soit, le traitement indique bien l
de carbone ; guerlson par la suggestion. L'opinion qui rattache à l' hystérie les phénomènes paralytiques provoqués par l'intox
par MM. Charrot, Marie et plusieurs autres. Cependant la question des hystéries toxiques est encore fort obscure et tous les fait
e du même côté. Evidemment tous ces phénomènes ressortissaient de l' hystérie . Cependant on ne retrouvait chez le malade aucun
ce cas, le sulfure do carbone avait agi comme agent provocateur de l' hystérie . REVUE BIBLIOGRAPHIQUE L'Idiotie, hérédité
e.14 avril 1893. p.132 à 136.) GibErT. — Des eau «et morales de l' hystérie . (Normandis méd.. 4.) J.-D. justice. — Est-ce de
de grandes attaques. Elle n'a éprouvé aucun accident du fait de son hystérie jusqu'à l'irruption de sa paralysie. Celle-ci sur
minance des affections nerveuses dans la race juive. Qu'il s'agisse d' hystérie , d'épilepsie, de neurasthenie.de maladies mentale
vovage sont sensiblement les mêmes que les causes provocatrices de l' hystérie ou de la neurasthénie : fatigues extrêmes, émotio
, vu qu'elle persiste après plusieurs jours de repos à l'hôpital. L' hystérie se manifeste |»ar des attaques classiques, quelqu
même titre que l'extase, la catalepsie, la léthargie — relevait de l' hystérie et que toutes ces manifestations si souvent unies
nseignement à la Sa I pétri ère, l'action des agent» physiques dans l' hystérie . ¦ L'École de la Salpèlrière a fail une graude
sant avec ses frères de longues excursions sans la moindre fatigue. L' hystérie est absolument hors de cause. Depuis environ tr
n âge bien développée, d'un caractère bon et confiant, pas la moindre hystérie . L'enfant dut l'été dernier beaucoup agrafer et
spontonér : Collette. H.... âgée de 2-'ï ans, est atteinte d'accès d' hystérie suivis d'un sommeil comateux, elle tombe rapideme
ble à la précédente. Joséphine D..., âgée de 17 ans. est atteinte d' hystérie convulsive; La première fois que nous Cavons hypn
eçon» de notre regretté collègue et ami, le professeur Charcot, sur l' hystérie et l'hypnotisme, il e»t juste, dis-je, de remarqu
nom ; qu'il avait constaté tous le» phénomène» qui ressortissent â l' hystérie , â l'hypnotisme et à la fascination. Quand moi-
rneville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie. l' hystérie et ndiotie (un vol. in-4°. 364 pages. Félix Alean
in-4°. 27 pages. Montpellier. 1893). Paul blocq— Etat mental dans l' hystérie (broeh. in-8», 30 pages. Paris, 1893). Linn. —
ourants nerveux, par exemple à la suite des attaques d'épilepsie et d' hystérie , à la suite de convulsions diverses on de délires
des médecins militaires ont appelé l'attention sur la fréquence de l' hystérie dans tes diverses armées européennes. En ISSli, l
cou, faisait ressortir l'importance pratique que la connaissance de l' hystérie mâle peut avoir pour le médecin militaire. Presqu
un mémoire dans lequel il démontrait le rôle considérable joué par l' hystérie dans la nosologie générale de l'armée. Depuis l
té recueillis par Charcot et par Grasset (3% sont venus prouver que l' hystérie peut se rencontrer sous toutes ses formes chez le
estions de jurisprudence militaire soulevées par la constatation de l' hystérie mâle nous paraissent actuellement devoir être éte
i précise, se rencontre au moins aussi fréquemment dans l'armée que l' hystérie et elle mérite, par conséquent, d'attirer au même
Sous l'influence de ses préoecu- (1) OsrtETZKOWSKT : Quelques ras d' hystérie dans les troupes russes. [Archives de Neurologie.
médecine, 10 juin 1886, n° 6, p. 517.) (3) GaassiT : Quelques cas d' hystérie màlo cl de neurasthénie. {Montpellier médical, 2«
les jeunes gens qui se destinent aux professions libérales. Comme l' hystérie mâle, la neurasthénie se présente sous les aspect
ct extéricur.commc le faisait déjà remarquer Du poncho) à propos de l' hystérie mile-La névrose se rencontre chez des hommes de c
ex. 'obs. 5), une jeune fille de 15 ans. anémique et prédisposée à l' hystérie , puisque 8 jours avant son entrée à l'hôpital, el
minutes. Au réveil il est douloureux ainsi que l'épaule; des crises d' hystérie convulsive éclatent dans la nuit. Le Df Friedrich
avait provoqués. Laisser une pauvre fille peureuse et candidate à l' hystérie , attendre pendant 20 longues minutes, l'oreille l
dant un quart d'heure, c'est plus qu'il n'en faut pour provoquer de l' hystérie . Suggérer ensuite une nouvelle crise, puis lixer
stériques seuls peuvent avoir, dans les premiers essais, des crises d' hystérie faciles d'ailleurs à réprimer; ce sont celles qui
est obtenu, on arrive toujours à supprimer radicalement les crises d' hystérie . j'affirme donc que tous les troubles nerveux p
à laquelle elle était sujette: cl 2 heures après, une grande crise d' hystérie : pendant un an. elle eut 7 à et crises par jour.
aussi vite, mais on réussit toujours à supprimer les grandes crises d' hystérie en peu de temps, (rois semaines au plus; on réuss
avaux. « La France, dit encore l'auteur, est le pays classique de l' hystérie et de la névropnthie. » A en juger par la facilit
ie. je pourrais conclure que c'est l'Allemagne qui a le monopole de l' hystérie . Cette conclusion serait fausse, car ni Schrenk-N
i Lloyd Tuckey à Londres, ni Osgood à Boston, etc. etc., ne font de l' hystérie arec l'hypnose. Le Dr Friedrich seul parait avoir
herches avec plus de tact, il se convaincra que l'hypnose n'est pas l' hystérie , que la suggestion thérapeutique est très souvent
e consiste pas a faire des hallucinations, ni a créer des symptômes d' hystérie , ce qu'il est facile de faire chez les sujets pré
rd en 1724. On sait que certains savants ont vu dans les névroses : hystérie , êpilepsic, tétanos, des modiHcations de l'organi
, d'un foyer isolé comme dans les cas de sorcellerie, de monomanie, d' hystérie des couvents de Loudun (1), etc.... elle peut se
'intéressantes discussions. Dans une communication sur la nature de l' hystérie , M. Sollier dont les idées qui se rapprochent sen
rite, s'est surtout appliquée à démontrer que tous les symptômes de l' hystérie sont justiciables de la suggestion et qu'il n'exi
do l'auteur à l'un des stigmates qui caractérisent la neurasthénie, l' hystérie , ou l'imbécillité. Sa conviction est telle qu'il
isme à l'hôpital de Munich (l'). étude critique, par Bernheim, 289. Hystérie avec hallucinations psychiques. Influence singuli
54 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cuivre, l'oxyde de zinc, la glace (Recherches sur l'épilepsie et l' hystérie , 1876). Le bromure d'éthyle (Compte rendu de l3
le dit dans un sous-titre, d'établir une théorie psychologique de l' hystérie acquise, de beaucoup de phobies et d'obsessions
ychique, sur l'innervation motrice ou sensorielle. Ainsi apparaît l' hystérie , l'obsession, l'hallucination. C'est le plus or
e- ment l'aspect clinique d'une maladie déterminée (neurasthénie, hystérie , épilepsie). On observe cependant des groupements
R. (Archiv. f. Psychiat., XXVI, 1.) C'est toujours la question de l' hystérie traumatique (Charcot) qui est en jeu; étude min
té. Cette simultanéité éclate souvent en dehors de tout accident. L' hystérie ou les troubles fonctionnels nerveux s'ajoutent
ne affection organique du rachis, des méninges ou de la moelle. L' hystérie peut également le provoquer, mais après les traum
e. 91. B. BIBLIOGRAPHIE. I. Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie ; par le Dr Gilles DE la TOURNETTE (Paris, 1895)
rie; par le Dr Gilles DE la TOURNETTE (Paris, 1895). Seconde partie hystérie paroxystique et traitement, 2 volumes. PLOrr et
religieuse si féconds en reproductions et en descriptions de cas d' hystérie . La première partie de ce traité est consacrée
e cas d'hystérie. La première partie de ce traité est consacrée à l' Hystérie normale ou interpaa·oxystique, la seconde parti
stérie normale ou interpaa·oxystique, la seconde partie traite de l' hystérie paroxys- tique et du traitement. Après avoir dé
autres constitue justement les formes si nombreuses de l'attaque d' hystérie . Ces attaques d'hystérie si souvent remarquable
les formes si nombreuses de l'attaque d'hystérie. Ces attaques d' hystérie si souvent remarquables par leur vio- lence et
sées sur l'examen des urines qui ont permis à l'auteur de diviser l' hystérie en paroxystique et interpa- roxystique ; il les
roxystique ; il les résume ainsi lui-même. « L'attaque convulsive d' hystérie comprenant une période d'ana- lyse des vingt-qu
n outre trancher la question souvent si difficile de l'attaque de l' hystérie ou de l'accès d'épilepsie. Après avoir décrit l
de la Salpêtrière, p. 58-78. (B.) 84 bibliographie. buliques de l' hystérie , aux états seconds de l'amnésie rétro- antérogr
n effet des preuves qui paraissent indiscutables de l'identité de l' hystérie et de l'hypnotisme; les recherches de MM. G. de
faut faire Tentrer le somnambulisme dit naturel dans le cadre de l' hystérie . Tous les états décrits dans ce chapitre ne son
ix, ne doit être confondu avec les maladies mentales auxquelles l' hystérie peut s'associer mais sans jamais se fusionner. Le
u état du mal. Le second volume de la seconde partie du Traité de l' hystérie est consacré aux paralysies et contractures hys
s et contractures hystériques, aux manifes- tations viscérales de l' hystérie et au traitement. Dans le chapitre trai- tant d
e hys- asiles d'aliénés. 85 térique l'auteur conclut que : « 1° l' hystérie revendique une grande partie des contractures d
chez les enfants en particulier. Les manifestations viscérales de l' hystérie , d'une importance si capitale et qui ont été la
de Paris et qui tendent à prouver que l'influence trophique de l' hystérie dans la production de l'ulcère rond semble indisc
production de la nature, où l'on retrouve les vrais caractères de l' hystérie . Pierre Brouzet, artiste marseillais, un peu my
dans un accès de fièvre. Un mois de prison. (Le Pelit Troyen.) L' hystérie . Une jeune fille, âgée de dix-huit ans, Julia Mar
rvosité dans lesquels les médecins diagnostiquaient des symptômes d' hystérie . Au cours de ces crises, il lui arrivait de fra
. N° 102 ARCHIVES DE NEUROLOGIE MÉDECINE LÉGALE. INFANTICIDE ET HYSTÉRIE ; Par le D'A. CULLERRE, Directeur-médecin de l
veau-né ? Mais Tardieu ne connaissait pas les troubles mentaux de l' hystérie . Le terme de folie hystérique était pour lui, c
dieu. Étude médico-légale sur la folie. Paris, 1872. INFANTICIDE ET HYSTÉRIE . 99 On avouera qu'il faudrait d'autres preuves
la folie puer- pérale infectieuse. Il pourra dépister encore une hystérie jusqu'alors mécon- nue, soit qu'elle ne se soit
igations de praticiens insuffisamment préparés à sa recherche. Et l' hystérie , nul ne l'ignore aujourd'hui, est une véritable
avait voulu la faire examiner par un médecin, mais, INFANTICIDE ET HYSTÉRIE . 101 devant l'attitude de l'intéressée, ce prat
e sait définir et dont elle n'arrive à rendre compte INFANTICIDE ET HYSTÉRIE . 103 qu'en disant que ça lui chambarde partout
es symptômes et quelques autres moins importants que INFANTICIDE ET HYSTÉRIE . '105 nous négligeons pour ne pas allonger ce r
ne pas allonger ce rapport établissent nette- ment l'existence de l' hystérie et d'une hystérie grave, préparée par la prédis
rapport établissent nette- ment l'existence de l'hystérie et d'une hystérie grave, préparée par la prédisposition héréditai
ériques, des manifestations de la déséquili- bration mentale dont l' hystérie se complique d'une façon si fré- quente. Nous
açon si fré- quente. Nous avons nettement établi l'existence de l' hystérie avant l'époque où a été commis le crime dont Ma
son* accident a puissamment contribué à faire naître chez elle l' hystérie dont elle souffre aujourd'hui. En tombant sous le
u'elle voit tomber dans la mare et se noyant. Un des symptômes de l' hystérie psychique, c'est l'affaiblissement des sentimen
e a commis le crime qui lui est reproché ; 2° Elle est atteinte d' hystérie traumatique grave depuis le mois de juillet 189
de point en point. Nous dirons seulement en quelques INFANTICIDE ET HYSTÉRIE . 107 mots pourquoi nous ne nous sommes pas pron
persisté, malgré l'évidence, à le nier jusqu'à la fin. Mais si l' hystérie ne nous a pas paru avoir joué un rôle direct et p
érique de la femme E... Elle n'a jamais cessé d'être en puissance d' hystérie et les signes cliniques qu'elle présente encore
me trouble pathologique ? Le mal de Graves serait alors une sorte d' hystérie larvée. C'est que nous nous trouvons, en effet,
tations délirantes. Il y a là un groupement de faits cliniques où l' hystérie joue le rôle pré- pondérant. On remarque encore
odernes attribuent une signification importante pour caractériser l' hystérie grave. Quelques points méritent encore d'être r
es dues à l'épilepsie et celles que l'on observe quelquefois dans l' hystérie . Le diagnostic le plus difficile à faire est celu
approfondi du malade pourrait peut- être autoriser le diagnostic d' hystérie . C'est là un point à débattre dans l'avenir. L'
deux tableaux : Pinel, délivrant des folles, et Charcot étudiant l' hystérie à la Salpêtrière, phototypie de Panajou. Mais l
t;E\iLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - (Compte rendu du service ries enf
ive, dominante, initiale ? Le refus d'aliment moins fort que dans l' hystérie est plus tenace, l'amal- grissement rapide. L'é
non plus être confondus avec la chorée rythmée liée d'ordinaire à l' hystérie et dont les mouvements se reproduisent avec une
hésie et d'hémianopsie qu'il y a probablement lieu de rattacher à l' hystérie et de rapprocher des cas rapportés par - Déjeri
eurasthénie et névrose traumatique) et plus récemment par P. Janet ( hystérie ). - ! II : CHARAN. Du traitement de l'épilepsie p
drose jaune chez trois membres d'une même famille (neurasthénie, hystérie )... . lli. MABILLE (de l'asile de Lafond). - To
un cas assez rare d'asso- ciation de la paralysie générale et de l' hystérie . Cette observation ' est intéressante à ce titr
me la priorité; il a indiqué l'arrêt de la paralysie générale par l' hystérie . M. Piéchaud (de Bordeaux) cite à son tour quel
lI. Regnier, Laroussinie, Régis. On peut réveil- ler des attaques d' hystérie chez les malades nerveux par les opéra- tions c
GAIINIER. Essai sur les écrits des aliénés. Jm. Contribution à l' hystérie tardive (hystérie débutant chez le vieillard). HA
sur les écrits des aliénés. Jm. Contribution à l'hystérie tardive ( hystérie débutant chez le vieillard). HALl PRÉ. La paral
ez certains maniaques, dans quelques formes d'imbécillité et dans l' hystérie . Il est encore difficile de se prononcer sur le
e musculaire se rapprochant plus ou moins d'une franche attaque d' hystérie . Aussi devra-t-on prendre la précaution si on adm
avancée. M. LÜHRMANN (de Dresde). Rapports de l'alcoolisme et de l' hystérie . L'Auteur rappelle les travaux de Dagonet et Ma
, mutisme, contractures, etc.) devaient être mis sur le compte de l' hystérie . L'hystérie toxique est moins rare qu'on le pen
ontractures, etc.) devaient être mis sur le compte de l'hystérie. L' hystérie toxique est moins rare qu'on le pense, mais sou
lisme a joué chez 18 d'entre eux, le rôle d'un agent provocateur. L' hystérie se rencontre chez des alcooliques sous le coup d'
on chronique qui a déterminé des troubles graves de la nutrition. L' hystérie alcoolique ressemble de tous points à l'hys- té
de l'alcool sur la production d'accès convul- sifs hystériques. L' hystérie traumatique paraît plus fréquente chez les' buveu
uente chez les' buveurs. Chez les alcooliques chroniques atteints d' hystérie traumatique une dose minime d'alcool parait fai
l'élément celtique. Les Celtes (Français) sont très prédisposés à l' hystérie et à l'ataxie hérédi- taire. 2° Le groupe sém
races noires psychoses et névroses sont rares, sauf l'idiotie et l' hystérie . La manie est fréquente chez le nègre civi- lis
F.vILLF., Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des enfant
s essentiellement et nécessairement .des malades atteints de grande hystérie ou d'une autre névrose mais étaient bien des in
mais la grande masse était des faibles d'esprit sans trace aucune d' hystérie ou d'autres états voisins. Le traitement de la
troubles mentaux (goitre exoplUalmique, tabès, chorée, épi- lepsie, hystérie , etc.). ' Le livre 111 traite de la prédisposit
aryngien, de l'accessoire et de l ? par Turner et Bulloch, 154. HYSTÉRIE . Traité clinique et théra- peutique de l ? par
2.i8; Pitres, 249; Doutrebente, 250; Pailhas, 251. Infanticide et hystérie , par Cullerre, 97. Inversion du sens génital,
55 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
ter sur ce fait. Actuellement, on semble d'accord pour dire que l' hystérie est la plaie de notre époque. M. Kuborn l'a fort
s pas rares pour établir la responsabilité de l'hypnotisme a propos d' hystérie . M. le professeur Charles Richet a rapporté, da
une extrême facilité, finit par » présenter tous les symptômes d'une hystérie nettement accusée. » Il y a bien d'autres faits
iritisme, et non l'hypnotisme, qui avait été l'agent provocateur de l' hystérie chez ces trois enfants. Mais, dans l'esprit du cé
importe et qui n'est pas niable, c'est que des sujets prédisposés à l' hystérie ont eu leur première manifestation à la suite des
sionnelle, la cause déterminante d'une maladie aussi déplorable que l' hystérie . Ce n'est pas tout. M. le professeur Azam a sig
lequel les manœuvres hypnotiques ont produit, non plus seulement de l' hystérie , mais une épilepsie avérée. Or, si je porte à l
it, et la malade entra en convalescence. 6° Femme 3gée de 44 ans. Hystérie grave. — Morphinisme invétéré. — Insomnies opiniâ
méfaits imaginaires. De fait, on est sous l'empire d'une névrose — l' hystérie — féconde en impulsions bizarres, irraisonnées, i
ent être, en une foule de cas, regardés comme autant de candidats à l' hystérie ; si, encore à l'état latent, la névrose convulsiv
la paralysie. Or, tous ces symptômes sont ceux que l'on trouve dans I hystérie confirmée. Les paralysies psychiques forment donc
as à discuter, que Charcot et ses élèves ont identifié l'hypnose et l' hystérie . Que ces deux étais aient de nombreux points de c
es syndromes morbides, que l'on rapporte avec une docilité banale à l' hystérie , ne sont pas, en fia de compte, de simples effets
ptomatologie est quelque peu irréguliérc ou insolite. Qu'on pense à l' hystérie , quand des accidents dans le genre de ceux que no
ions extérieures se ressentent nécessairement de l'élément primordial hystérie , qui a été introduit d'emblée. En sorte que l'app
rdre miraculeux ce qui est attribuahl* aux névrose» en général et à l' hystérie en particulier, en un mot. toutes les affection*
e d'autres indiv¡dusj> il estime que c'est en dehors du champ de l' hystérie qu'il faut chercher les individus sensibles à l'a
plus accessibles à l'action magnétique ; que c'est dans le champ de l' hystérie qu'on rencontre le plus souvent les sujets facile
ène de la catalepsie ; tel autre encore aura de véritables attaques d' hystérie provoquées artificiellement par des manœuvres hyp
n léger rétrécissement du champ visuel, égal pour les deux yeux. -L' hystérie paraissant la cause des troubles que présente ce
temps, on mettra a découvert des tares né* Tropathiques : épilepsie, hystérie , constitution apoplectique, syphilis, alcoolisme,
col vésical. maladies des enfants, anomalie des menstrues, psychoses, hystérie , amblyopie. surdité nerveuse, alcoolisme, et. fin
Voisin, à Paris, on: appliqué la même méthode. Un cas seulement de l' hystérie proprement dite fut traité par lui. Dans les mala
plications ont toujours été limitées à des malades atteints de grande hystérie . En terminant. l'émincnt professeur a démontré,
ents. Revue odon-tologique et art dentaire, oce 1888. janet (J) 1 L' hystérie et l'hypnotisme, d'après la théorie de la double
fois de plus, que si l'hypnotisme ne crée pas de touies pièces l' hystérie , iî peut en être au moins l'agent révélateur ou e
bservation m'a paru intéressante : elle montre une fois de plus que l' hystérie peut exister chez l'homme à l'état virtuel et ne
et qui pourraient très bien réveiller une prédisposition latente à l' hystérie ou à i'épilepsie. Du reste, il n'est pas seulem
dire que l'hypnotisation n'a pas été étrangère au développement de l' hystérie . Dans l'espèce, l'hystérie doit être bien rapport
'a pas été étrangère au développement de l'hystérie. Dans l'espèce, l' hystérie doit être bien rapportée à l'influence des manoeu
paru quand on les a fait cesser. Au reste, ce mode de production de l' hystérie par le fait de l'hypnotisation, alors que celle-c
pportée à l'hôpital, en état complet d'ivresse et en pleine attaque d' hystérie que nous essayons vainement d'arrêter par la comp
la malade a des attaques de sommeil, c'est là un phénomène propre a l' hystérie et qui ne se rencontre pas ailleurs. L'histoire
e a commencé a avoir des attaques; vous voyez quelle ténacité a cette hystérie encore considérée par bien des médecins comme une
ne attaque fruste, une attaque manquée au lieu du tapage de la grande hystérie ; il y a là un calme apparent, mais auquel ¡1 ne
la l'intime union, ou mieux l'intime parenté de ces états connexes, l' hystérie , les attaques de sommeil et le sommeil hypnotique
t de salon. Il s'agit donc bien là d'une des modalités de l'attaque J hystérie : il est indispensable de le savoir pour éviter de
ère fois, constaté chez elle, au milieu des plus grands troubles de l' hystérie con-vulsive, des manifestations hypnotiques accom
l'un d'ép:-kpsie confirmée, un autre d'hypocondrie et un troisième d' hystérie convul-sive. La seconde leçon, jeudi »8 février
ant sur le corps humain ; mais la question est encore (1) La Grande Hystérie , 2« édition, p. 72a. (2) Le Magnétisme animal,
le situation se trouve le membre. 11 ne s'agit d'ailleurs pas ici d' hystérie provoquée par le traumatisme, car cette malade a
salle Sainte-Marie; cette jeune fille, chez laquelle le diagnostic d' hystérie ne saurait être mis en doute, n'a pas encore affi
quement différents ; au fond, il n'y a qu'un hypnotisme, tandis que l' hystérie et l'épilepsie, pour prendre un exemple opposé, s
nt elle a elle-même démontré le peu d'importance quand il s'agit de l' hystérie , où la simulation était autrefois invoquée de tou
outes parts. Il en est de l'hypnotisme, à ce point de vue, comme de l' hystérie . Il est certain que beaucoup de suggestions peu
a famille, et la guérison paraît définitivement établie. UN CAS D' HYSTÉRIE GRAVE1" Par J. JANET intcite des homtacx (0
ise de eboréc. Ce fut là, chez elle, la première manifestation de son hystérie . Les mouvements choréiques affectaient tout le
t pas sérieusement en danger. Il est vrai que la mort est rare dans l' hystérie ; mais, d'autre part, s'il est un accident capable
é : D'Paul Garnier. Certificat immédiat. — Dépression mélancolique. Hystérie morale. Idées de persécution, hallucinations de l
on expérimente sur des sujets quelconques, le plus souvent exempts d' hystérie . Ce dernier mot soulève une double question sur
une manifestation névro-pathique qu'il est permis de rapprocher de l' hystérie . » Je me rallie, pour ma part, à la conclusion
qui, avant d'être hypnotisables, n'ont jamais présenté de symptômes d' hystérie ). Ceci établi, on peut poser, en principe, que
t toute éducation hypnotique et nous a donné la réaction de la grande hystérie . Et cependant. F... ne présente pas les caractère
t arriver à s'endormir, mais réalisent tout simplement leur attaque d' hystérie , avec ses caractères habituels et antérieurs à to
toute tentative hvpnoiique. Tel était le cas chez ce sujet atteint d' hystérie avec astasie-abasie (n° 6, salle Saint-Lazare) do
salle Sainte-Marie, chez laquelle on constate tous les stigmates de l' hystérie , n'a jamais répondu à nos tentatives d'hypnotisat
, ressort avec une netteté parlaite (1) Leçon clinique sur un cas d' hystérie mâle avec astasie-abasie (Montpellier mi- dica'
sme serait comparable au rapport qui existe entre la grande attaque d' hystérie de la Salpôtrière et toutes les autres attaques:
rière. Sans doute, il n'y a qu'un hypnotisme, comme il n'y a qu'une hystérie . Nous n'admettons pas, je vous l'ai déjà dit, des
isé par un groupe de phénomènes différents en apparence. En matière d' hystérie , de même, on doit invoquer la même névrose, qu'il
trer que I'hysteria minor est I'hysteria major en raccourci. Pour l' hystérie , j'ai déjà fait nettement connaître ma manière de
sur l'hystéro-trauma-tisme (2). Pour rattacher certaines attaques d' hystérie à la grande attaque, on est obligé de se livrer à
r moyen de forcer les convictions. Je n'insiste pas davantage sur l' hystérie ; sans vous reproduire (0 Art. Htstskie dvDict.
à six cas, et non pas toujours, comme le prétend Mendel. D.ins les hystéries caractérisées par une grande variabilité des symp
énibles. Par contre, les résultats ont été très favorables dans les hystéries où les accès convulsifs sont le seul symptôme mor
sposés à présenter des phénomènes rentrant dans In grande classe de l' hystérie . Il est probahlc que l'épidémie de convulsions hy
Di hi » 11111 : L'nc application de l'hvpnotîsme au traitement de l' hystérie . Journ. de Bruxelles, t. LXXXV1, n* 33, p. 704, 1
. Hypnotisme (la réglementation de l'), Hypnotisme spontané, 176. Hystérie grave (un cas d'). par J. Janet. ??9. Index b
56 (1911) La pratique neurologique
VEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hystérique. La vision dans l' hystérie peut se trouver modifiée sous diverses influenc
i fréquents chez la femme, mais elles n'ont point de rapport avec l' hystérie . 71° Troubles visuels par action dynamique sur
c par les caractères précédents et la coexistence d'autres signes d' hystérie . Il faut la distinguer de l'amaurose par double
up des troubles visuels que je signale ici n'ont rien il faire avec l' hystérie . Mais il est difficile, dans un traité de prati
ieurs des signes oculaires qu'on a coutume d'appeler stigmates de l' hystérie . ' - DIMINUTION DE LA VISION. 55 souvent dans
xagération de la sensibilité à la lumière. Stigmates oculaires de l' hystérie . Voici rémunération des signes oculaires les pl
rémunération des signes oculaires les plus importants attribués à l' hystérie : Champ visuel du rouge et des autres couleurs
, nous montre la mul- t'phcité des troubles oculaires attribués à l' hystérie . Toutes ces manifes- tations groupées provisoir
. Toutes ces manifes- tations groupées provisoirement sous le nom d' hystérie se dissocieront bientôt, parce qu'elles ne sont
en apparence bien portants, et qui n'ont aucun signe d'urémie, ou d' hystérie . Cette amaurose s'amé- liore peu à peu et guéri
mbre de ces amblyopies accompagnent des maladies nerveuses connues ( hystérie , lésions du trijumeau, altéra- tion des voies o
nt concen- trique du champ visuel pour le blanc est fréquent dans l' hystérie , dont il constitue un des signes importants (fi
celui du bleu. Celte inversion du champ des couleurs est un signe d' hystérie meilleur que le rétrécissement simple. Dans que
aquelle la vision est conservée. Plusieurs affections, autres que l' hystérie , peuvent donner un rétrécisse- ment concentriqu
s productrice de scotomes de formes et de dimensions très diverses. Hystérie . Certains la disent fréquente dans l'hystérie. El
nsions très diverses. Hystérie. Certains la disent fréquente dans l' hystérie . Elle aurait été constatée dans la névrose trau
ment, quelquefois persistantes; signe d'Argyl IVoberlson. Névroses, hystérie (rare), le plus souvent ce sont des spasmes (ptos
eau. Amènent quelquefois des dilata- tions pupillaires. Névroses, hystérie , épilepsie, certaines maladies mentales aux pér
lle peut exister dans le goitre exophtalmique, la neurasthénie et l' hystérie . A côté de cette mydriase à bascule spontanée,
côtés, concluez à une lésion corticale organique ou fonctionnelle ( hystérie ) ou même à la simula- tion, s'il y a des présom
dehors d'elle. Il sera plus facile de classer ce symp- tôme dans l' hystérie ou en dehors d'elle quand cette névrose sera mi
le ptosis s'ac- centue. Il existe d'ailleurs, d'autres stigmates d' hystérie . En réalité, il s'agit là d'une affection spasm
élic, etc. Il en est de même du nystagmus par traumatisme du crâne. Hystérie : Il y l'ut quelquefois constaté. Plusieurs fois
bral il l'attouchement de la cornée est considérée comme un signe d' hystérie . Enfin une troisième variété d'anesthésie corné
drrolllatopsie ne serait qu'un degré dans l'hémianopsie. Enfin, Y hystérie peut donner des troubles de la vision des couleur
souvent par des contractions spasmodiques des muscles tubaires. L' hystérie est assez fréquemment cause de troubles du côté d
tympanique, mais sans trouble sensoriel concomitant. Par contre, l' hystérie détermine facilement de la surdité et de la surdi
e. Le diagnostic est facile si l'on se rappelle « qu'en dehors de l' hystérie , facile à éliminer, et dn bouchon de cérumen, f
névrosique : on l'a signalée dans la grossesse, la neurasthénie, l' hystérie . Elle est banale dans la migraine. Dans l'épile
peuvent s'observer dans les névroses, la neurasthénie et surtout l' hystérie . Rappelons cependant ici ce que nous avons déjà
ractère artificiel de l'hémianesthésie sensitivo-senso- rielle de l' hystérie . Chez les hystériques, on voit parfois les anesth
très variées. Elle dépend souvent d'un état nerveux, neurasthénie, hystérie , mélan- colie ; elle peut être congénitale. ,
ues (antipyrine, cocaïne) ou infectieuses. On la rencontrera dans l' hystérie , la neurasthénie, la mélancolie, la grossesse;
au ou éloignées, migraines, cauchemars, maladie de Basedow, chorée, hystérie , épilepsie), des troubles vaso-moteurs (congestio
es; on l'observe en fait assez fréquemment dans l'épilepsie, dans l' hystérie , dans la neurasthénie surtout. En somme, en d
lepsie sénile et vertige des arterio-sclereux, etc.). Au cours de l' hystérie , le vertige peut être le prélude d'une crise co
et en évidence le trouble prédominant de l'appareil circulatoire. L' hystérie et l'épilepsie, maladies à crises, simu- lent p
exie. Le diagnostic peut être délicat. On s'appuiera pour déceler l' hystérie sur les antécédents et l'alge des malades, sur la
de la catalepsie; ce trouble ne se rencontre pas seu- lement dans l' hystérie , mais encore au cours des intoxications chronique
ne provoque qu'une sensation de contact; observée par Pitres dans l' hystérie , elle a été notée dans le tabès par Lannois. 4°
cerveau et des nerfs périphériques; on les observe également dans l' hystérie . Dans le tabès elles sont particulièrement fréq
ar compression ou syphilis) ; dans les polynévrites et enfin dans l' hystérie . G) Sens stéréognostique. On désigne sous ce no
iique, dans les polynévrites infectieuses ou toxiques, enfin dans Y hystérie . - (ROUSSY.] 504 SENSIBILITÉ. TOPOGRAPHIE D
ule, protubérance, bulbe et moelle), soit dans les névroses comme l' hystérie , où il se présente dans sa plus grande netteté.
est d'intensité variable; exceptionnellement absolue comme dans l' hystérie , elle est ordinaire- ment incomplète ou fruste.
tivo-sensorielle publiés doit être considérée comme appartenant à l' hystérie ; 2° les faits anatomo-cliniques ont montré que la
grosses difficultés; celles-ci s'expliquent par ce fait que dans l' hystérie on peut parfois observer des hémianesthésies, q
e (exception faite pour la syringomyélie et l'hématomyélie). Dans l' hystérie , au contraire, on observe des troubles sensitif
jective sont fréquents dans les névro- ses, particulièrement dans Y hystérie ; ils se rencontrent également clans la neurasth
ons elles-mêmes, soit plus vraisemblablement à leur association à l' hystérie . On peut enfin observer des troubles de la sens
ostic étiologique. Ces caractères sont particulièrement nets dans l' hystérie . I. HYSTÉRIE Anesthésies. Les troubles sensit
ue. Ces caractères sont particulièrement nets dans l'hystérie. I. HYSTÉRIE Anesthésies. Les troubles sensitifs ont toujour
egmentaire des troubles sensitifs est presque pathognotnonique de l' hystérie . A part quelques cas exceptionnels de névrite l
ématomyélie (où la distribution est pseudo- segmentaire), c'est à l' hystérie qu'on doit immédiatement songer, en présence d'
ernacki), qui pourrait servir pour dia- gnostiquer l'épilepsie de l' hystérie . Les troubles de la sensibilité sont également
, ce qui l'empêchera de rattacher tous les signes observés soit à l' hystérie , soit au contraire à la lésion organique. Il de
èmianesthcsie organique. Elle n'est jamais aussi absolue que dans l' hystérie ; elle ne s'accompagne pas de troubles des sens
s jusqu'ici dans les autres affections nerveuses organiques. Dans l' hystérie on peut observer quelquefois de l'anesthésie ou
lée s'observe très souvent dans les névroses, en particulier dans l' hystérie et la neurasthénie. Dans l'hystérie, elle est p
névroses, en particulier dans l'hystérie et la neurasthénie. Dans l' hystérie , elle est presque constante, et s'accompagne de z
rophique. Les douleurs de la nuque se rencontrent également dans l' hystérie et la neurasthénie. Douleurs du tronc. Les plus
traitement spécifique. La rachialgie enfin est 1'réclttente dans l' hystérie et la neurasthénie (plaque lombaire). I'naryu w
oitre exophtalmique (angine de poitrine, crises gastriques), dans Y hystérie (vaginisme, )1("l'itonisme, etc.), dans la neur
des sensations subjectives qu'on observe dans les névroses. Dans l' hystérie , elles apparaissent soit comme phénomène durable,
r Troubles génito-urinaires). Mais c'est surtout dans les névroses ( hystérie et neurasthénie) et dans les psychoses (manie,
adies mentales; mais ce sens peut être partiellement troublé dans l' hystérie et dans les affections organiques du système ner-
système nerveux ; elle devient plus considérable dans les névroses ( hystérie , neurasthénie), et acquiert toute son importance
a brachialg-ie est en réalité une psychalgie qui s'ob- serve dans l' hystérie , la neurasthénie, la psychasthénie. La brachialgi
Ce signe permet de différencier les accès épileptiques des crises d' hystérie . 6° Le signe de Babinski se rencontre encore da
lquefois des vomisse- ments. Ce réflexe pharyngé fait défaut dans l' hystérie et il est classique de le rechercher comme un d
s qui concordent avec les troubles des réflexes tendineux. Dans l' hystérie , au contraire, alors même que la sensibilité a di
aralysie flasque. Dans certains cas la recherche des stigmates de l' hystérie peut rendre des services, mais il ne faut pas s
odique. 11 permet donc dans les cas douteux d'écarter l'hypothèse d' hystérie . 11 a pu également permettre à Strumpcll et à n
aplégies sensitives. Les paraplégies sensitives pures relèvent de l' hystérie . Exceptionnellement on a pu suivre l'évolution de
s n'a donc aucune valeur pour infirmer ou confirmer le diagnostic d' hystérie , [MOUTIER.] Mi2 PARAPLÉGIE. ' par exemple.
ant, un certain nombre de symptômes ne se rencontrent jamais dans l' hystérie . Ce sont : l'abolition des réflexes tendineux ave
ne ligne transversale il peu près horizontale. Au contraire, dans l' hystérie . l'anesthésie affecte un contour particulier, en
ent de polynévrites infectieuses ou toxiques, de polio- myélites, d' hystérie dans mainte occasion. De même, les paraplégies de
d'une paralysie orga- nique ou d'une paralysie fonctionnelle, de l' hystérie . , CC GUILLAIN.] C32 MONOPLÉGIE BRACHIALE.
CC GUILLAIN.] C32 MONOPLÉGIE BRACHIALE. Les monoptegies dans Y hystérie , l'hysf¡'I'O-IJ'lllllIUllisme ne sont pas . rar
laryngée. 1" Anesthésie du larynx. On admet généralement que l' hystérie s'accompagne facilement (une fois sur six d'après
L'électrisation agit comme moyen de choix pour la suggestion dans l' hystérie . Les formes névritiques sont justiciables de l'
attribuer une origine nerveuse. On la renconlrera cependant dans l' hystérie où elle s'associe souvent avec la paresthésie o
du larynx. Ici encore nous retrouvons comme condition éliologique l' hystérie , mais surtout la neurasthénie dans sa forme anx
s plus loin les spasmes qui se produisent dans les névroses, dans l' hystérie , et ceux qui accompagnent la grande attaque épi
ue : par- fois il y aune véritable aura laryngée. C'est surtout l' hystérie qui détermine des troubles du côté du larynx, s
ale qui ont localisé les phénomènes de la névrose. C'est aussi il l' hystérie qu'il convient de rattacher l'affection NÉVROSE
écrire ici certains des troubles que nous venons de signaler dans l' hystérie ou la chorée. Mais le plus souvent, il s'agit d
chexies; tabétiques (infectieuses ? ). d) D'origine fonctionnelle : hystérie . LI"- ATROPHIES MUSCULAIRES PRIMITIVES PROGRESS
e et Guillon, Sehultz, Spillmann et llansltalier, Pennato, etc.), l' hystérie , la chorée, des psychoses diverses, etc. ; l'ex
idérée de plus en plus comme un fait rare, au sur et à mesure que l' hystérie est mieux délimitée et séparée des affections mul
s ; Tabétiques : infectieuses ( ? ). d) D'origine fonctionnelle : hystérie . HYPERTROPHIES MUSCULAIRES par le Dr André LE
lève Delmas, que la neurasthénie est un . syndrome cérébelleux. L' hystérie ne provoque guère, contrairement à ce qu'on a pré
l'on pourrait, d'après certains auteurs, observer également dans l' hystérie , l'épilepsie, etc. Enfin divers troubles nerveux
vulsions marchent de pair. La durée- dépend de la cause. Plus que l' hystérie , l'épilepsie constitue une prédisposition durab
ticale ou plus rarement d'une exci- tation fonctionnelle localisée ( hystérie ) ou toxique (alcool, plomb, urémie, infection).
le. Cette prédisposition est particulièrement manifeste, non dans l' hystérie et l'épilepsie, mais dans les convulsions symptom
ents, chez plusieurs frères et soeurs), hérédité de transformation ( hystérie , épilepsie) et surtout alcoolisme des parents. A
nes d'épilepsie ne sont pas nets, il faut se souvenir qu'il y a une hystérie convulsive chez l'enfant. Elle se compose souve
de décrire les deux grandes névroses convulsives, l'épilepsic et l' hystérie , d'une série de circonstances cliniques où le p
ous reste enfin à parler de deux causes capitales de convulsions, Y hystérie et l'épilepsie. Nous les rangeons avec les diagno
l'action de la médication broniurée sur eux. Crise convulsive de l' hystérie . Très difficile quand elle simule l'épilepsie o
cette complexité. Très fréquente, en effet, est la petite attaque d' hystérie qui débute par une aura, suivie de perte de con
chutes anciennes ou récentes. Enfin le praticien "n'oubliera pas qu' hystérie et épilepsie peuvent coexister chez le même mal
e frisson; il peut avoir une tendance à l'amélioration comme dans l' hystérie , comme dans les intoxications; il peut être enfin
Il est des cas où ce tremblement parkinsonien était provoqué par l' hystérie , tels sont les cas de Charcot, de Grandlllaison,
ur, d'un traumatisme, d'une attaque de paralysie ou d'une attaque d' hystérie . - . Quelquefois le début est brusque, mais n'e
artiennent pas à la chorée et quand ils existent, ils sont liés à l' hystérie ou à une affection concomitante. Cependant Trib
casion de la grossesse; ce seraient alors, des' manifestations de l' hystérie ou une maladie des tics' ou une chorée chroniqu
s certains cas a parmis de fonder l'interprétation qui rattache à l' hystérie la chorée de Sydenham (Revue neurologique, 1806 e
onnue, dans des cas signalés par Lemoine et Raymond, L'apoplexie, l' hystérie , etc..... - Les autres causes sont banales, et
le (Hermann, Méditz. Oboz, '1899). On la rencontre également dans l' hystérie (Charmeil, Société de Médecine du Nord, 1900).
ense en relation avec une idée délirante, on l'observe aussi dans l' hystérie ; il est parfois tel qu'on est obligé d'alimente
ffections centrales, épilepsie, toxi-infections, troubles réflexes, hystérie ) ; des tics du cou. TICS. 891 l généralement
partie du groupe des symptômes qui ne peuvent être reproduits par l' hystérie . [O. CROUZON.] TROUBLES TROPHIQUES par le D
re table rase aujour- d'hui des soi-disant troubles trophiques de l' hystérie . Huiles, ulcéra- tions, gangrènes hystériques o
propos de tous les prétendus accidents viscéraux et trophiques de l' hystérie ; il faut se méfier de la tuberculose, d'une af
sont les modifications de la respiration qui produisent la toux. L' hystérie entraînerait ce phénomène. D'autre part, les hémo
enfin dans les névroses, dans la maladie de Basedow et enfin dans l' hystérie sous forme d'or- thopnéc on de polypnée : mais
té invoquées ainsi que le paludisme, la goutte et le rhumatisme : l' hystérie semble agir plus réellement. Enfin un trauma- t
us les sujets ne sont pas entachés de névro- pathie, encore moins d' hystérie caractérisée, mais on retrouve chez eux des tra
gies vésicales de cet ordre appartiennent presque exclusivement à l' hystérie et au labes, quoiqu'on en ait signalé dans la p
lle sont rarement très prolongées. ' . Précoces et tenaces dans l' hystérie , elles varient beaucoup dans leur apparition.
lottant, etc.). Ailleurs la thérapeutique habituelle du tabès, de l' hystérie , etc., devront être tout d'abord appliquées. Si
LES DE L'APPAREIL URINAIRE. NEVRALGIES URÉTRALES , En dehors de l' hystérie et du tabes, les névralgies de l'urètre sont ra
s paraissent rester en dehors- de cette étiologie. . , . - , Dans l' hystérie , les névralgies* urétrales sont presque toujours
onduit fait cesser. Rappelons le lien qu'on a voulu établir entre l' hystérie et l'incontinence nocturne infantile et qui est
. ,le n'ai pas à revenir ici sur les incontinences du tabès et de l' hystérie , celles-ci ayant été étudiées à l'article réten
noc- tures présentent une tare nerveuse personnelle ou héréditaire, hystérie ou névropathie qu'on retrouve dans chacune de t
hez le tabétique et cause par elle-même de polyurie. C'est dans l' hystérie qu'on la voit acquérir son maximum d'intensité;
ivement, peu abondantes, surviennent ou accom- pagnent les crises d' hystérie pendant lesquelles les malades peuvent uriner à
t atteint plusieurs années, jusqu'à 8 et 10 ans. " En dehors de l' hystérie , les neurasthéniques sont sujets à de fré- quen
que cette inhibition de la fonction rénale se produit. C'est dans l' hystérie qu'on observe les faits les plus remarquables d
u des vomisse- ments contenant de l'urée. Exception l'aile pour l' hystérie , où l'anurie plus ou moins prolongée existe bie
s la contusion et la commotion cérébrale. Elle accompagne souvent l' hystérie et l'épilepsie. Plus souvent la spermatorrée
retarder indéfiniment l'éjacula- tion, ainsi qu'on l'observe dans l' hystérie et surtout dans le tabès à la première période.
t prédis- posés par une tare héréditaire, telle que l'aliénation, l' hystérie , l'alcoo- lisme. Dans ces conditions, les enfan
se également la langue. Les principaux facteurs olo ? (ILies sont l' hystérie , les hémorragies et ramollissements céré- braux
t généralement une béntianestbésie. Elle dépend 1'ru- quemment de l' hystérie et peut alors accompagner ou non une hémiplé- g
totale. Dans l'héll11anesth(sie totale des lésions en foyer et de l' hystérie , la perte de la faculté du goût lait partie du
(Parkinson, tremblement dit st'nite). moyens (sclérose en plaques, hystérie ) ou rapides (goitre exophtal- mique, 1 intoxica
inu ou paroxystique. Son existence doit avant tout faire songer à l' hystérie . On devra cependant examiner l'épi- glotte, le
missements incoercibles, en plus des caractères spéciaux il touie l' hystérie gastrique : zone hystérogène épigastrique -houl
n bul- baire plus sans doute que par lésions de l'estomac. Dans l' hystérie néanmoins, les vomissements incoercibles simulent
admette avec Gilles de La Tourette la fréquence de l'ulcère dans l' hystérie , ou avec Soupault le rôle simplement vaso-moteur
perficielles ou profondes; superficielles, elles décèlent surtout l' hystérie ; profondes, elles sont fréquentes dans le tabès
s, mais elles sont rarement douloureuses. Néanmoins, surtout dans l' hystérie et le tabès, peuvent se rencontrer, peu fréquem
même y avoir collapsus et mort au cours d'une crise de cet ordre. Hystérie . On trouve simplement ici du spasme douloureux du
t une constipation opiniâtre tant que dure ce spasme; celte forme d' hystérie demande à être dépistée avec soin. Elle est sou
bien que pendant longtemps encore subsiste une santé excellente. L' hystérie enfin présente, elle aussi, des phénomènes paroxy
voisines des .précédentes. . Hémorragies. - On les rencontre dans l' hystérie et le tabes. Les hémorragies intestinales hysté
asmodique (excitation solaire) pu liée à de l'anes- thésie rectale [ hystérie (Grasset)]. " La paralysie intestinale doit êtr
. La langue reste bonne; on peut se demander s'il ne s'agit point d' hystérie chez un tabétique. (P. Marie.) Anorexie hystéri
appareil digestif, en dehors des indications spéciales concernant l' hystérie , la neurasthénie ou les maladies plus spéciales
iner les tumeurs cérébrales, les méningites, les trypanosomiases, 1 hystérie . On l'observe encore, parfois persistant, parfois
dinairement respectés. e) Le pied-bot paralytique est rare dans l' hystérie : c'est un pied équin ou varus équin. '* Le p
e liquide céphalo-rachidien normal. Elle ne se rencontre pas dans l' hystérie . Elle a été constatée dans le liquide cérébro-s
reste généralement normale dans les névroses, la neurasthénie et l' hystérie , alors même qu'elles donnent lieu à des trouble
ou on n'observe pas la DR. Dans les troubles moteurs des névroses, hystérie , neurasthénie, chorée, myoclonies, la DR fait d
ifications de la résistance électrique qu'il avait observées dans l' hystérie et dans le goitre exophtalmique, on crut avoir tr
électrique dans un assez grand nombre d'états pathologiques. Dans l' hystérie avec hémianesthésie Vigouroux avait trouvé une ré
cependant que la résistance électrique est plutôt augmentée dans l' hystérie . Suivant d'Arman cette augmenta- tion serait be
d'Arman cette augmenta- tion serait beaucoup plus accentuée dans l' hystérie avec aliénation que dans l'hystérie sans aliéna
beaucoup plus accentuée dans l'hystérie avec aliénation que dans l' hystérie sans aliénation. Dans la mélancolie (les étals
ux et périphériques. Dans le quatrième nous réunirons les névroses, hystérie et neurasthénie. et des maladies qui n'auront p
IONS DIVERSES, GOITRE EXOPHTALMIQUE, ' , PARALYSIE AGITANTE, ETC. Hystérie . Les accidents pathologiques si nombreux et si va
e. Les accidents pathologiques si nombreux et si variés créés par l' hystérie constituent un vaste champ dans lequel le traitem
que beaucoup d'accidents morbides développés sous l'influence de l' hystérie peuvent simuler plus ou moins nombre d'autres a
terminée. [E HUET.] 17d6 6 f ? LECTlto']'l 1 1-lIl% PIE. Pour l' hystérie il est incontestable que la suggestion joue le pl
nt électrique; en dehors- de la manière d'être que l'on connaît à l' hystérie , nombre de faits pour- raient le démontrer. On
utorisé à appliquer au hasard l'électricité dans le traitement de l' hystérie ; tout en escomptant les effets suggestifs de l'
faire accepter par les malades. ; Le traitement électrique dans l' hystérie peut être envisagé comme trai- tement général o
es gastro-intestinaux, l'anorexie et la constipation, on utilise le HYSTÉRIE . 1527 7 souffle, les effluves, et même les étin
prolongé, un courant faible, de quelques milliampères seulement. HYSTÉRIE . 15-2'J On peut encore employer la faradisation
es spasmes du pharynx et de l'oesophage sont assez fréquents dans l' hystérie ; peu prononcés, ils n'ont pas de graves inconvé
1'¡"lectrisation qui a donné aussi de bons résultats en dehors de l' hystérie . L'électrisation sta- tique (bain, effluves çt
o-membrancuse; deux grosses électrodes (tampons bien recouverts - , HYSTÉRIE . 1551 de ouate hydrophile) sont placées de chaq
te, 826. Crise convulsive de l'épilepsie, z Crise convulsive de l' hystérie , 851. Coordination. Physiologie normale et pa-
raniométrie, 1065. , Crises convulsiues de l'épilepsie, 829. de l' hystérie , 85'1. - liées à l'alhérome cérébral, 991. - ta
Hypotonie, 909. -Valeur séméiologique, - 11'1'1. Hypnose, 191. Hystérie , troubles de la sensibilité. Anesthésies, JJ2.
9. - dans les mé- ningites, les tumeurs cérébrales, 190. - dans l' hystérie , 191. Somnambulisme, 10'1) Somnolence, 189.
x, articulaires, nerveux. dvstrophi- ques, 1109. - oculaires de l' hystérie , 55. Strabisme. Reconnaissance d'une dévia- t
es de la sensibilité dans les affections des nerfs, 351. - dans l' hystérie , 355. - médullaire motrice, 598. - nwnopleyiq
s de la sensibilité dans les affections des nerfs, 550. -- dans l' hystérie , 555. Torticolis mental,- 888. - Traitement é
57 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans le traitement de l'ataxie locomotrice, du tabes juvenil, de l' hystérie , del'ataxie spasmodique, et dans tous ces cas i
eur volume normal. On ne constata chez cette femme aucun stigmate d' hystérie ni de neurasthénie; il est vrai 'qu'on ne const
tallation sans com- plication d'aucune autre maladie. R. C. XVII. Hystérie et goitre exophtalmique alternes ; par FMÉ. (Nouv
E NERVEUSE 51 ment par la localisation alterne des deux syndromes : hystérie à gauche, basédowisme à droite, mais aussi par
eulement une déviation latérale gauche de la langue. On crut à de l' hystérie , mais sous les douches se produisit régulièreme
SIMON. XXXVIII. La migraine et ses relations avec l'épilepsie et l' hystérie ; par Krafft Ebing (traduction W.-Alfred-M. Cor
ultés rencontrées pour établir les relations entre la migraine et l' hystérie . Eu égard à la fréquence des deux névroses, pri
; une attaque de migraine peut, d'autre part, provoquer une crise d' hystérie , l'hypéresthésie hémicranienne devenant une zon
taque de migraine comme un syndrome ou l'équi- valent d'une crise d' hystérie , il y a loin, et K. EBLNG n'en con- nait pas d'
toxines produites par les parasites. R. C. LVI. Noevus veineux et hystérie ; par BINET-SANGL9 et L. Vannier. (nous. Iconog
arer aux trou- bles inverses de l'astasie-abasie. Définition de l' hystérie . M. Babinski apporte sur cette proposition un l
met pas la lecture complète. Sa définition serait la suivante : « L' hystérie est une affection psychique qui consiste en ce
e la discussion de la communication de M. Babinsky, Définition de l' hystérie , dont M. Dupré présentera les principales donné
ncore ouverte à ce sujet, un appui à l'opinion de M. Babinski que l' hystérie seule n'entraîne jamais exagération des reflexe
e dix ans persiste. Ce qui était hystérique a guéri. C'est un cas d' hystérie survenu sur des lésions organiques plus anciennes
e dix-huit ans, atteint de tic de la face et sujet à des attaques d' hystérie , et deux filles en bonne santé. PARALYSIE UYS
aissent et rectifient leur erreur. L'association du tabes et de l' hystérie . M. BÉRILLON. Au tabes se surajoutent souvent d
n quelques séances de suggestion hypnotique. C'est un nouveau cas d' hystérie apparais- SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 163 sant à un
bie dérivant le plus souvent de la neurasthénie, quelquefois de l' hystérie ou de la dégénérescence, causée par l'hérédité, l
bsence de toute réaction de la peau. Relevons tout d'abord que si l' hystérie a le maxi- mum de l'affaiblissement elle ne nou
vitalité de la peau aux âges avancés. Le minimum se montre après l' hystérie dans l'épilepsie. Ce fait ne vient pas à l'en-
100. Entre les deux se placent par ordre décroissant de fréquence l' hystérie puis les quatre autres variétés mentales qui se
près. Enfin il y a trois formes mentales sur sept : la démence, l' hystérie et la sénilité dans lesquellesnous n'avons jamais
pour autoriser des conclusions fermes. HECUE1L DE FAITS. Grande hystérie , datant de vingt-cinq ans, avec crises paroxyst
état de santé de la mère pendant la grossesse de Louis; une crise d' hystérie au cinquième mois; accouchement pénible. Louis,
de Louis qui, le dimanche après, s'en va cueillir des poires GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PAROXYSTIQUES, ETC, 203 dans le jar
r les aboiements d'un chien. Quelques jours après, première crise d' hystérie avec perte de connaissance ; les crises continu
ntez l'oreille : j'entends le tonnerre Tout d'un coup, grand GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 207 7 soubresau
Montvallon + Je ne suis pas bien malheureux ? Je vais aux GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PAR ? YS'1'1()UEz, ETC. 109 plaines
ui, loin, loin, là-bas derrière + Il y a toujours un fil qui GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PARAXYSTIQUES, ETC. 211 tient dans
sa mère. Après la céré- monie funèbre, il fait une crise de grande hystérie . 1er septembre. Endormi, Louis me raconte ce qu
sautant, ça m'a claqué là (en avant des pariétaux) et je me GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PARAXYSTiQUES.KTC. 213 suis tout d'
tives, j'ai été le témoin des mêmes souffrances et du même GRANDE HYSTÉRIE AVEC CRISES PAROXYSTIQUES, ETC. 215 résultat pr
re actuelle, chez mon malade, un accident pas plus qu'un stigmate d' hystérie . Voilà donc vingt-cinq ans que mon sujet était
pratiques avant tout, puisqu'ils nous permettent la gué- rison de l' hystérie . REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. I. Les aliénés
r donne d'abord des citations de Gowers relatives aux rapports de l' hystérie , de l'hypocondrie et de la neurasthénie avec la
res causes, le mode et la durée de réparation des lésions, etc. Or, hystérie , neurasthénie, folie, ne font que traduire ces
ppliquer également à leur genèse psychique, comme on le voit pour l' hystérie et la chorée. Exemples historiques de telles co
s plus rares. 11 y en a cependantdes exemples récents : épidémies d' hystérie dans des pensionnats de jeunes filles. Dewey in
, ou joue le rôle d'une zone spasmogèneprovocatrice d'une attaque d' hystérie grave limi- tée à la phase du délire. Cette int
trente et un ans, ne présentant aucun des stigmates habituels de l' hystérie ou de la neurasthénie, mais cependant très émot
eur du corps : Je ne sortirai pas, non. Tout cela est préparé par l' hystérie . P . KERAVAL XXXII. Matériaux pour servir au'
ulier. Sans paralysie, sans - sociétés savantes. 2't3 stigmates d' hystérie , sans troubles de la sensibilité, sans atrophie,
qu'a formulées contre l'école de Nancy, la récente conception de l' hystérie exposée par M. Babinski. Ils in- sistent sur le
; KaSZ. Quant à la réaction dégé- nérative de la trichinose et de l' hystérie , il n'en saurait être ques- tion ici. C'est l
èbres dorsales. 11 existe une tri- cho-anesthésie périodique dans l' hystérie , l'épilepsie, la migraine ophthalmique. L'alter
différentiel avec les accidents hys- tériques. Dans les attaques d' hystérie et d'li3'stéro-épilepsie l'orifice. des pupille
c. - M. Voisin. Tous ces phénomènes sont des ébauches de crises d' hystérie ; il faut que les médecins en soient instruits, qu
ous avons donc affaire à un cas typique de cette combi- naison de l' hystérie et de l'épilepsie que Landouzy a appelée « hyst
isolément ». (Bourneville et d'Olier 1). Le plus souvent, c'est l' hystérie qui vient se greffer sur une épilepsie déjà exi
eaurontété uniquementdenature épileptique, et plus tard seulement l' hystérie aura fait son apparition; sans doute, comme si
Lors de son premier séjour à l'hôpital (donc peu de temps après), l' hystérie ne jouait pas encore chez elle le rôle prépondé
esthésique correspondante de la peau de l'abdomen. L'existence de l' hystérie , dûment établie désormais, don- nait une signif
es spontanées se rencontrent aussi bien dans l'épilepsie que dans l' hystérie . Dans la première, elles ne constituent toutefo
a pression artérielle pendant ces dernières. (Binswanger 1.) Dans l' hystérie , par contre, leur origine est toute différente
ilepsie (Wien, 1899), p. 218. ! Traité clinique el thérapeutique de l' hystérie , t. II, chap. X. - Voir aussi un article du mêm
ot (Gazette hebdomadaire, 1859) et par Mora (Des hémorragies dans l' hystérie , Thèse de Paris, 1880). Bourneville, Louise Lal
as qui nous occupe, sans aucun rapport avec ces dernières. Dans l' hystérie , par contre, la fièvre peut se présenter indépen-
Mora. * Recherches cliniques el thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, vol. XII, 1892, 2° part., chap. m
dernière n'a d'ailleurs rien d'inadmissible en théorie. En effet, l' hystérie étant caractérisée par « un ensemble de trouble
ches Fieber (Archivi sur Psychiatrie, Band XXIII, 1892). 3 Dutil, Hystérie (Traité de médecine de Charcot, Bouchard et Bi is
l'attaque con- vulsive'. Nous n'hésitons donc pas à attribuer à l' hystérie les élévations de température observées chez no
t invoquer : Il l'alcoolisme; cette femme était alcoo- lique ; 2° l' hystérie ; elle avait des stigmates de nervosisme et des
L'anesthésie cutanée, dans les névroses traumatiques, comme dans l' hystérie , s'accompagne généralement de spasmes des vais-
bsession nette. On fera la thérapeutique de la neurasthénie et de l' hystérie , avec l'hypnotisme en tant que mode d'éducation
s pathogno- mouique : en cela la syphilis peut être rapprochée de l' hystérie . L'auteur examine ensuite sous quelles formes l
ents convulsifs un grand nombre appartiennent incontestablement à l' hystérie : aussi la sug- gestion vient-elle en première
l la pression, sans lésion. Le diagnostic porté est celui de grande hystérie . Un peu plus tard, à la suite d'un massage qui
propos de ce cas, que l'on a une ten- dance fâcheuse à considérer l' hystérie comme une maladie dépour- vue de tout danger, a
ncontre (paralysie BIBLIOGRAPHIE. 425 générale, tabès, épilepsie, hystérie , tumeurs du cervelet, abcès de la fosse cérébel
, t. XIII. , 33 514 SOCIÉTÉS SAVANTES. tremblement secondaire par hystérie d'origine toxique), les auteurs ont pratiqué la
ien directement organique. M. Ballet. S'il constituait un signe d' hystérie toxique, cette dernière trancherait complètemen
ie toxique, cette dernière trancherait complètement avec les autres hystéries toxiques. Recherches urolagiques dans'la déme
ont la marche a fait hésiter au début entre le diagnostic réel et l' hystérie , en raison de rémissions et de rétro- cessions
' . M. CROU50N présente un malade de cinquante-six ans atteint d' hystérie associée au tabes. . M. LAMY présente un malade
HIE. XX. Recherches cliniques et thérapeutiques sur' l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie; par Bourneville, avec la collabor
. Poursuivant ses recherches sur l'étiologie de l'épilepsie, de l' hystérie , de l'idiotie et de l'imbécillité, M. Bourneville
l'hérédité, de dégénérescence mentale ou physique, d'épi- lepsie, d' hystérie , d'idiotie, etc. - Une seconde statistique montre
Manaud décrit un groupe de symptômes, rattaché successi- vement à l' hystérie et à la neurasthénie. Il est constitué par des
lycosurie et albuminurie nerveuses, par J. Roux, 86. Goitre. Voir Hystérie . GOWEITS. Voir Fibres spinales ascen- rlarsle
ertrophie des membres. Voir Dystrophie. 538 TABLE DES MATIÈRES. Hystérie et goitre exophtalmique alternés, par Fére, 50.
Vao'of/ctc ? e. Migraine et ses relations avec l'épt- lepsie et l' hystérie , par Kratft- Ebing. 57. Moelle. Compression d
ndothéhome du -, par Haymond et Cestan. 5J2. Nosves veineux. Voir Hystérie . 011NUI31LTIOI; crépusculaire avec am- nésie
58 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e soit puerpérale, était une névrose ana- logue à l'épilepsie ouà l' hystérie ; mais depuis qu'on a reconnu la fréquence de l'
, 1883. à Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'i- diotie. (Comptes rendus de Bicêtre et d
avec l'éclampsie, comme les convulsions sans forme déterminées et l' hystérie '. » ' D'autre part, si un certain nombre d'aut
se locale échappant au diagnostic (névralgie, paralysie, épilepsie, hystérie , hypochondrie), soit enfin à raison d'une affec
ines antérieures et postérieures des nerfs périphériques. Quant à l' hystérie , elle est surtout étudiée au point de vue de la
ysté- rique tant que l'on a des doutes sérieux sur sa nature ». L' hystérie est d'ailleurs proche parente de la tétanie, et d
arie. II. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie; par Bourneville, DAUGE etBRicoN.
res auteurs. Une observation de crétinisme avec myxoedèmr. Un cas d' hystérie chez un garçon de treize ans qui a présenté ave
rçon où se retrouvent encore les principaux phénomènes de la grande hystérie : hémianesthésie, zones hysté- rogènes, etc. Un
N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (étude d'une nouv
N, interne des hôpitaux. C'est un fait aujourd'hui bien connu que l' hystérie emprunte fréquemment le masque de l'épilepsie.
nt, une différence radicale entre les symptômes épileptiformes de l' hystérie et les manifes- tations épileptiques proprement
r valeur. Archives, t. VU). l. 9 130 CLINIQUE NERVEUSE. Quaud l' hystérie revêt la physionomie de l'épilepsie, c'est le g
a signification nosologique de ce faux état de mal épileptique. L' hystérie s'habille donc souvent en grand mal. Elle peut
pilep- sie et d'affirmer que nous étions en présence d'attaques d' hystérie franche.. Nous nous proposons donc d'établir da
d'établir dans ce travail : 1° Que, dans certains cas, l'attaque d' hystérie simule l'accès d'épilepsie partielle; 2° Que,
ychologiiiuc, dans la séance du 29 oc- tobre 1883. DES attaques d' hystérie . 133 vier 1883, c'est-à-dire pendant dix-huit m
tiplient en conservant t Fig. 2. - Phase clonique. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE . 135 les caractères que nous venons d'indiquer,
rature chez Rosa z , uf\ ? ) ? = ? <... ? - . 1 DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . i : )7 «Vous la voyez bien, c'est une bête ver
sur lesquelles nous insisterons dans un instant; la' des attaques d' hystérie . 139 constatation d'une hémianesthésie positive
tout à droite, démontrent surabondamment la fois l'existence de l' hystérie chez la malade et la nature hystérique des acci
ablir le bien fondé de notre première proposition, à savoir que l' hystérie emprunte, dans certains cas, le masque de l'épi
rovoqué des hésitations, tant s'impose avec netteté le diagnostic hystérie . Si cependant l'on veut bien se reporter par la
'agissait d'une modalité anomale et jusque-là inconnue d'attaques d' hystérie , d'attaques à forme d'épilepsie partielle ; ou
ique nouveau. L'avenir a donné raison à ceux qui inclinaient vers l' hystérie , et l'appa- rition ultérieure des divers phénom
dicale dans l'influence qu'ont sur la calorification les attaques d' hystérie et les accès de mal comitial est un fait aujour
nouvel élément de diagnostic différentiel entre l'é- pilepsie et l' hystérie dans la considération de l'état général et dans
u'à côté des cas dans lesquels le diagnostic différentiel entre l' hystérie et l'épilepsie peut être fait aisément à l'aide
é anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . cas'.dijuesrde, fixer,l'attention. Ce qu'il im
délire chronique sont constituées par différents états, tels que l' hystérie , l'épilepsie, l'alcoolisme, etc., qui peuvent v
mble de la maladie, qui'resto'Ia même.' On peut en dire autant de l' hystérie . ï 'M\ '< ? »^(|.ilt* Ivc,1\W fC4lV ? lv9y'N
'agirait ulileiiienl, de même que l'extirpation des ovaires dans l' hystérie . - llirschberg demande combien de malades se so
ainea d'intimes relations avec beaucoup de névroses, surtout avec l' hystérie et l'épilepsie. La migraine est une névrose du
ive et Z Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'él)ilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du servicetle Bicètr
ous avons interrogé son père qui est arthritique, sa DES ATTAQUES D HYSTÉRIE . 277 mère qui a été nerveuse, son frère aine qu
tant, n'a pas été si- gnalée dans cette affection. DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PARTIELLE (ÉTUDE D'UNE NOUV
ent, d'une part, la réalité d'une variété particulière d'attaques d' hystérie , l'attaque à forme d'épilepsie partielle, const
la difficulté et démontrer que nous avions affaire a des accès d' hystérie . Voici le fait en question. Observation 111 '.
ceux du droit sont déjà convulsés depuis un instant. DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . 283 questionne Ang..., ou ses réponses se trad
s mouvements, ou la période hallucinatoire de l'attaque de grande hystérie . Les accès se succèdent à courts intervalles, p
nt l'effet est d'habitude infaillible contre les attaques de grande hystérie . Or, voici ce que nous avons constaté : le chlo
s uns localisés aux muscles moteurs de la tête et de DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . 285 la face gauche, d'autres étendus aux muscl
iques à forme d'épilepsie partielle. Dans les deux observations d' hystérie qui précèdent, les convulsions, on l'a vu, se s
ne constatons pas chez elle les symptômes permanents habituels de l' hystérie . La sensibilité générale (au tact, à la douleur
ypothèse de phénomènes épilep- tiques. Ajoutons que la réalité de l' hystérie chez cette jeune fille, est suffisamment démont
un clonisme diaplira- matique, comme on n'en voit guère que dans l' hystérie . Sous l'influence des contractions du diaphragm
ls conservent cependant leurs premiers caractères, à DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . 291 i part l'absence du stertor terminal ; si
corticale du cerveau, et encore moins l'épilepsie. Le diagnostic d' hystérie à convulsions jaksonniennes avait été porté dès
attaques éprouvées par Marie C... sont sans conteste des attaques d' hystérie . On les voit, en effet, se transformer à un mom
un clonisme diaphragmatique, comme ou n'en voit guère que dans l' hystérie . Sous l'influence de la contraction du diaphrag
USE. ' prise aussitôt après d'un fou rire. » N'est-ce pas là de l' hystérie au premier chef ? Ajoutons d'ailleurs que chez
i les convulsions partielles tenaient, dans la symptomatologie de l' hystérie , la place qu'y occupent d'habitude, les convuls
que. De là la nécessité d'en bien connaître la possibilité dans l' hystérie , et de rechercher lorsqu'on se trouvera en face
les enseignements qui nous semblent s'en dégager. DES ATTAQUES D HYSTÉRIE . 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Les attaques
TTAQUES D HYSTÉRIE. 293 RÉSUMÉ ET CONCLUSIONS : 1° Les attaques d' hystérie , du moins à-leur pre- mière période, ressemblen
ons partielles épileptoïdes consti- tuent souvent toute l'attaque d' hystérie , et ne sont suivies ni de phase des grands mouv
les autres, de façon que les 29t CLINIQUE NERVEUSE. DES ATTAQUES D' HYSTÉRIE . diverses périodes constitutives de l'attaque n
isés pour distinguer l'accès de mal comitial de la grande attaque d' hystérie (effet de la compression ova- rienne, inefficac
ÉPILEPSIE JACKSONNIENNR. 295 tations des symptômes permanents de l' hystérie après les attaques) conserveront ici toute leur
qui ont été atteints d'aliénation mentale, d'épilepsie ou de grande hystérie , ainsi que leurs proches parents consanguins. O
mariage produira une amélioration dans un cer- tain nombre de cas d' hystérie , et qu'il peut se justifier, dans un certain no
59 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
onale, l'émancipation du polygone par rapport à son centre 0 : tels l' hystérie , le somnambulisme, la catalepsie, l'automatisme a
éduit au repos et à l'impuissance. Dans le spiritisme, comme dans l' hystérie et les autres états pathologiques (catalepsie, so
e encore et non sa soumission à un centre ? extérieur. Enfin dans l' hystérie non suggestible (ce qui existe) le sujet a so
meil naturel. L'hypnose ne peut pas davantage être confondue avec l' hystérie , le somnambulisme, la catalepsie et en général av
le somnambulisme hypnotique et les états de même nom appartenant à l' hystérie , il n'existe pour M. Gilles de la Tourette que ce
de veille et font éventuellement partie du cortège des symptômes de l' hystérie ... Or, si, dit le ?r Pitres, chacun d'eux peut ex
n équivalent clinique de la grande attaque complète et régulière de l' hystérie . Nous sommes donc amenés à conclure que l'hypnose
1, p. 3. ïî) fîn-i-ES de la TourETTE. Traité c/ïïi. et thérap. de l' hystérie , t. ï, p. 208. (3) Pitkks. Leç. clin, sur Vhyst
nous retrouverons et appliquerons dans le prochain chapitre. Mais l' hystérie ne contient pas toute la diathèse neuropathi-que
thèse neuropathi-que (1) et je ne crois pas qu'on puisse identifier l' hystérie et l'hypnose. Le grand argument de Gilles de la
de Gilles de la Tourette et de Pitres est que ces deux états nerveux ( hystérie et hypnose) sont faits des mêmes symptômes. Rien
s. Et l'Ecole de la Salpêtrière a, mieux que tout autre, montré que l' hystérie ne doit pas être confondue avec tous les états mo
sables chez lesquels on ne trouve pas ces caractères spécifiques de l' hystérie , que Charcot et ses élèves ont si magistralement
e revenir sur la question et a développé une conception générale de l' hystérie , qui identifie toujours l'hypnose et cette névros
nt : « Ce qui caractérise, dit-il (2), les troubles primitifs {de l' hystérie ), c'est qu'il est possible de les reproduire par
, aucune des affections actuellement bien classées hors du cadre de l' hystérie ne peut être reproduite par sug- (1) Pitres dit
au sens vrai et scientifique du mot. (2) Babinski. Définition de l' hystérie . Soc. de neurol. de Paris. 7 nov. 1901. Revue de
de lui faire atteindre...» De même, si toutes les manifestations de l' hystérie peuvent disparaître « sous l'influence décisive d
r des névroses, comme la chorée ou la neurasthénie, qui ne sont pas l' hystérie . Et d'autre part s'il est impossible de guérir ce
tion, sommeil naturel, cumberlandisme, tables tournantes, spiritisme, hystérie , som-nambulisme et catalepsie spontanés, automati
autrefois, sont apparus récemment à la suite d'une ébauche de crise d' hystérie à forme vertigineuse et syncopale. D'autre part,
é, dans son passé et dans son état actuel, des stigmates manifestes d' hystérie , l'auteur eut recours à la suggestion indirecte.
ain était préparé ; diverses circonstances provoquent l'éclosion de l' hystérie ; à la suite d'une émotion violente, survient l'hé
dans le domaine des névroses, étendant largement les frontières de l' hystérie , décelant son origine psychique, approfondissant
e lui assurât la crédulité humaine, c'est-à-dire dans le domaine de l' hystérie , de l'hypnotisme, de la suggestion, que l'ignoran
nte sa puissance de persuasion. Considérations psychologiques sur l' hystérie dans l'armée. par M. le Docteur Emile Lux Médec
M. le Docteur Emile Lux Médecin-Major de 1'* classe Messieurs, L' hystérie dans l'armée ! Question bien délicate ! Terme bie
ologues militaires ne paraissent avoir tenu beaucoup à s'occuper dé l' hystérie , dont on a jusqu'à ce jour présent très intention
ans le môme sac une foule de choses hétéroclites. En la circonstance, hystérie et folie, hallucina-bilité, obsession, hypnotisme
incipe de l'opothérapie moderne. Si nos règlements ont exclu le mot hystérie , Messieurs, des causes d'inaptitude militaire énu
ttre à terre un préjugé d'un autre âge. Ce n'est pourtant pas que l' hystérie masculine soit une fable ; elle est connue de lon
jours. Certains observateurs se croient autorisés à affirmer que l' hystérie , névrose purement dynamique, est l'apanage du sex
e certains états ou symptômes absolument inexplicables en dehors de l' hystérie et, en premier lieu, de ces paralysies bizarres,
encore, la solution du problème. Or, qu'il veuille bien songer à l' hystérie , et tout est simplifié; la constatation médicale
sieurs, un départ nécessaire, quant à la gravité des cas à étudier. L' hystérie grave et accentuée, celle qui offrirait les sympt
ie grave et accentuée, celle qui offrirait les symptômes de la grande hystérie , est excessivement rare, absolument exceptionnell
médecin de régiment, en présence d'un cas, dépisté et diagnostiqué, d' hystérie légère, à un degré relatif, nous avons facilement
elatif, nous avons facilement constaté l'état mental particulier —, l' hystérie étant, d'une façon absolue, une maladie psychique
ossibilité de médication. En résumé, et pour terminer, Messieurs, l' hystérie masculine, admise et reconnue aujourd'hui et depu
Ce traitement ne peut être appliqué que dans les formes relevant de l' hystérie , il a sur les autres les avantages suivants : 1
es collatéraux, pas d'antécédents personnels, sinon quelques crises d' hystérie notées depuis un an, date de rétablissement des r
que psychothérapique de la Haye. Vendredi 26 février, à 8 h. 1/2. L' hystérie et son traitement hypnotique, par M. le dr Paul J
ement, l'attaque de sommeil constitue, à elle seule, toute la crise d' hystérie ; elle survient, d'ordinaire, à la suite d'un trau
plir aucune des évacuations qu'exige l'organisme à l'état normal. L' hystérie est, avant tout, une ouvrière de dissociation ; c
que psychothérapique de la Haye. Vendredi 26 février, à 8 h. 1/2. L' hystérie et son traitement hypnotique, par M. le Dr Paul J
que si on s'était moins occupé d'elle, et si au lieu de cultiver son hystérie on l'avait un peu plus traitée, elle aurait pu gu
premiers collaborateurs. Le savant auteur des Leçons cliniques sur l' Hystérie et l'Hypnotisme, n'appartient pas seulement à Bor
ues des organes internes. Ainsi nous serions conduits à reconnaître l' hystérie là où l'on ne la soupçonne pas, et à l'affirmer l
nt du champ visuel presque complet, un point ovarien, etc. C'est de l' hystérie convulsive à son summum. En outre la malade est a
éré que les troubles cutanés sont survenus à cause et à propos de son hystérie . Je vous ai présenté ici même un certain nombre
e. Dès que le pemphigus s'est installé, tous les phénomènes dc grande hystérie convulsive ont disparu. Maintenant que les plaies
il y a, de nouveau, tendance aux crises. En somme, il s'agit d'une hystérie profonde, grave, tenace. On devra tonifier le sys
ence pour ces divers faits? 1° Le premier est certainement un cas d' hystérie , quoique l'enfant soit du sexe mâle ; on a no
uérie par la suggestion hypnotique. [Id. X. 1902). — D' Jules voisin. Hystérie traumatique, guérie par la suggestion hypnotique
est plus prononcée à gauche. Evidemment nous avons ici affaire à une hystérie associée à une tuberculose commençante. La malade
un résultat. Outre cette maladie elle présente encore des stigmates d' hystérie , par exemple, une hémî-hyperesthésie gauche. Dans
ée, 27; dysménorrhée, 29; névralgie et céphalée, 469; rhumatisme, 26; hystérie , 95; neurasthénie, 30; paralysies diverses, 52; d
théâtre (L'), p. 286. Hypnotisme chez les Japonais (L'), p. 322. Hystérie dans l'armée (Considérations psychologiques sur P
60 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
à notre malade : hérédité et aplasies arté.... rielles, nervosisme, hystérie , neurasthénie, chorée. migraine, épilepsie, dém
e aigu et chronique dans quelques névroses el en particulier dans l' hystérie . St-Petersbourg medicinische Wochenschrift, 1894.
isuel, ni anesthésie pharyngée, ni rien qui puisse faire penser à l' hystérie . En présence d'un pareil tableau symptomatique
ert Ballet, Pader, Léonard N. liobinson, mettent sur le compte de l' hystérie . Parmi ces psychoses, on ne peut ne pas être fr
riques. Je dirai un mot des rapports du goitre exophtalmique avec l' hystérie et des psychoses toxi-thyroïdiennes, avant de p
ns donnés par les auteurs. Rapports du goitre exophtalmique et de l' hystérie . Ces rapports ont été étudiés par beaucoup de c
s dans les rapports qui existent entre le goitre exophtalmique et l' hystérie . 10 L'hystérie précède le goitre ; 2° Elle lu
ts qui existent entre le goitre exophtalmique et l'hystérie. 10 L' hystérie précède le goitre ; 2° Elle lui est consécutive
professeur Debove, sous l'influence d'un choc moral ou de la peur,l' hystérie peut créer instantanément l'hyperthyroïdation ; e
la polyurie d'origine nerveuse. Dans cette interprétation, le terme hystérie a une valeur explicative qu'il perd dans la con
lesquels je me range. Dans le deuxième cas, on peut admettre que l' hystérie n'est plus la cause, mais l'effet et que l'into
ant avec lui et qui ont été attribués d'autres facteurs, tels que l' hystérie ou l'alcoolisme. Toulouse aussi, sans contester
ucinations et idées de persécution, attribue les hallucinations à l' hystérie et trouve dans l'état d'esprit particulier des ba
- ner les mêmes sentiments de méfiance qu'une hostilité réelle. « L' hystérie crée l'hallucination, la maladie de Basedow se
ît sous l'influence d'une hyperthyroïdation ; la coexistence avec l' hystérie est un fait banal. » Lorsque le tableau se comp
n trouve éparses dans la littérature médicale sous les étiquettes d' hystérie , de neurasthénie et de nervosisme. En plus des
e. Le thyroïdisme dans ses rapports avec la maladie de Basedow et l' hystérie . Soc. méd. des hôp., 1894-1895. Bhissvud. Con
talien. Deutsche Zeitschr.für Chir., Bd XXXI, Heft5 5 et 6, 1891. Hystérie et goître exophtalmique alternes.Nouv. Icon. de l
1877. PADER. Etude sur les rapports du goilre exophtalmique et de l' hystérie . Th. 189.9. Parhon et Marbé. Contribution à l'é
, 1907, p. 201-213. Raviahd. Sur un cas de goitre exophtalmique 'et hystérie avec accès d'automatisme ambulatoire. Soc. cent
ur le syndrome de Graues-Basedow considéré comme manifestation de l' hystérie . Th. 1899. Salage. Trois observations de gOÎl !
ype d'hémiplégie flasque soit en quelque sorte pathognomonique de l' hystérie : il existe, en effet, dans l'hémorragie cérébral
tirer l'attention sur la démarche dans une autre manifestation de l' hystérie , je veux dire dans la coxalgie hystéri- que, ca
erne les algies hystériques, un ca- ractère paradoxal dans un cas d' hystérie traumatique dans les Leçons de clinique médical
ideront le médecin attentif au point de vue du diagnostic. Dans l' hystérie on rencontre encore bien d'autres formes de troub
commettre une erreur de diagnostic en prononçant d'emblée le mot : hystérie . 240 NERI Charcot sur la démarche dans un cas
table. De l'examen somatique et psychique résultent des stigmates d' hystérie . De l'union de ces deux personnes résultèrent 1
estiques ont toujours eu le don de multiplier les cas de folie et d' hystérie . En 1904, dans l'étude sur la pathogénie des né
en catégories différentes et d'opérer leur synthèse en confondant l' hystérie , la neurasthénie, la né- vrose traumatique, les
Les phénomènes se pénètreni et s'enchevêtrent à ce point qu'entre l' hystérie et la neurasthénie, on a créé 1'liy,;téi-o-neui-a
res et des cas qui ne rentrent dans aucun cas. Pour moi, les termes hystérie et neurasthénie correspondent à une seule concept
arce que, en inventant les stigmates, on était parvenu à faire de l' hystérie une entité à part. C'était trop beau et la neuras
siens. Il y a quatre ans, j'écrivais timidement qu'il existait des hystéries sans stigmate et le fait devait frapper tous les
CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES SUR LA CLINIQUE ET SUR LA DÉFINITION DE L' HYSTÉRIE par - I. VALOBRA Médecin de l'hôpital Umber
ela ne diminue pas leur importance clinique pour le diagnostic de l' hystérie . 2 Joséphine présenta des plaques de gangrène c
e gangrène cutanée de la peau ayant un rapport de dépendance avec l' hystérie ? ' ? Selon les lois de la pathologie, il faudr
phénomène se produit avec une certaine fréquence dans le cours de l' hystérie . c) Démontrer que ce phénomène ne se produit pa
bien associée avec une autre mala- die, ou bien encore associée à l' hystérie (1). La gangrène spontanée de la peau se produi
mer dans les mots suivants de Charcot : « La lésion anatomique de l' hystérie échappe encore à nos moyens (1) En effet, preno
ique démontrée) a été toujours observée chez les sujets atteints- d' hystérie . La discussion et le doute commencent lorsqu'on
(2) Deux sujets (\eumann, Joseph) ne présentaient pas de phénomènes d' hystérie . Nous pouvons nous demander si la suite de leur
de leur existence n'aurait pas démontré chez eux l'existence d'une hystérie latente. 494 ' VALOBRA ' . ' If » presque) ch
se pré- sente pas avec les mêmes modalités cliniques en dehors de l' hystérie , nous pouvons affirmer « qu'il existe un lien d
e considérée d'iniquement comme ayant un rapport très étroit avec l' hystérie , Maintenant, je me demande si le syndrome morbide
pouvons affirmer rien de sûr. Alors toute discussion est inutile. L' hystérie , particulièrement,est un syndrome clinique, exc
née de la peau, ce syndrome aurait un lien d'interdépendance avec l' hystérie , et il fait part du syndrome clinique de l'hystér
pendance avec l'hystérie, et il fait part du syndrome clinique de l' hystérie ; quoique rien ne prouve jusqu'à présent qu'ell
uteur : a) les altérations dites trophiques n'appartiennent pas à l' hystérie ; b) seulement les phénomènes pitltiatir¡ues (q
mble certain que le pithiatisme n'est pas un attribut exclusif de l' hystérie . Il est incontestable que dans aucune autre malad
elà persuasion devons- nous conclure qu'ils étaient tous atteints d' hystérie ? Je ne le crois pas. Le pithiatisme se trouve
par le raisonnement, cela ne constitue pas une caractéristique de l' hystérie ». Et il a parfaitement raison. Mais lorsque la
on a bien le droit, je crois, de parler d'une faculté spéciale de l' hystérie . On peut, en effet, suggestionner chez un neura
hystérisme avec une grande probabilité. Mais cela n'est pas toute l' hystérie . Pour ce qui concerne les troubles trophiques,
icultés à les accepter dans le domaine du pithiatisme (1). Mais l' hystérie ne se résume pas dans la suggestionnabililé de se
psychique particulier fait défaut, on n'a pas le droit de parler d' hystérie , même en présence d'un phénomène objectif qui p
des phénomènes pithiatiques chez d'autres névroses au de- hors de l' hystérie . En résumé : je ne crois pas que les réponses q
que, après M. Charcot, personne n'a été autant utile à l'étude de l' hystérie que M. Babinski. Il a parfaitement raison lorsq
t raison lorsqu'il essaye de réagir contre la tendance à faire de l' hystérie un syn- drome clinique où l'on place tout ce qu
ontanément une auto-sug- gestion identique à celle de ses soeurs en hystérie qui se trouvent en Allemagne, en Italie, en Amé
ligne de compte lorsqu'on étudie la definition et la clinique de l' hystérie , bien digne de porler le nom de stigmate, car i
ais je crois que la réaction suivra encore une fois, je crois que l' hystérie , cette éternelle Protée, selon l'ancienne phrase
ieu, la voie juste. BIBLIOGRAPHIE BABINSKI. - 41a conception de l' hystérie ... 1906. Durand, édit., Chartres. Comment je co
térie... 1906. Durand, édit., Chartres. Comment je comprends le mot hystérie , Bulletin méd., 30 mars 1907. Société de Neurol
ôpit. de Paris, 16 janvier 1908. Gilles de la ToupETTE. Traité de l' hystérie , Paris, 1891-1895. - Traité de Aléd. de 13·ouar
is ont attiré l'attenlion sur les troubles trophiques attribués à l' hystérie . A propos des faits et des opinions exposés par
reprises, a contesté la réalité des troubles trophiques attribués à l' hystérie . Nous remercions 11. Valobra d'avoir bien voulu
nt « qu'après Charcot, personne n'a été autant utile à l'étude de l' hystérie que M. Babinski » et que « M. Ba- binski porte
porte la question -sur un terrain juste », critique mes idées sur l' hystérie et soutient que « mes affirmations et surtout mes
t de la suggestion, et qu'elle constitue un véritable stigmate de l' hystérie ; que la guérison des accidents hystériques est
ions ont été discutées (1). , (1) Voir : 1° Ma conceptions de l' hystérie (Conférence à la Société de l'Internat, 1906).
rologie. Séances du 9 avril et du 14 mai 1908. 6° Démembrement de l' hystérie traditionnelle. Pithiatisme (Semaine médicale, 6
rois que les troubles trophiques cutanés sont des plus rares dans l' hystérie , lorsque, bien entendu, ou prend toutes les préca
e genre étaient réels, on devrait en observer à Paris, berceau de l' hystérie . Naguère encore, on avait l'habitude de dire que
orientèrent surtout vers la pathologie mentale. Déjà, à propos de J' hystérie et de la chorée. il avait été amené à envisager l
61 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UANT SIMULATEUR. 3 par cet homme avait été successivement la grande hystérie avec idées de suicide et la folie des persécuti
és après coup à la suite de son nom par Cing..., savoir « atteint d' hystérie » et L'ODYSSÉE D'UN DELINQUANT SIMULATEUR. 0
ce, dans lequel un prétendu médecin traitant le déclarait atteint d' hystérie et l'avoir traité de cette maladie contractée e
spice précité avait bien certifié que Cing... avait été traité pour hystérie , mais il avait ajouté qu'il lui avait fait, aus
... avait encore inscrit à la suite de son nom les mots « atteint d' hystérie » ; 5° enfin deux certifi- cats d'incurabilité
mprimés, dont il avait rempli les blancs en portant le diagnostic d' hystérie et en imitant la signature illisible d'un médec
justice : « Cing... est un dégénéré chez lequel nous trouvons de l' hystérie et un délire des persécutions. « Comme signes
des dents mal implantées, une voûte du palais ogivale. «'Quant à l' hystérie , quoique nous n'ayons jamais été témoin de cris
e de tout et nous aurons la preuve que Cing... est en puissance d' hystérie . « Le délire de la persécution n'est pas moins
Cing... est un aliéné héréditaire chez lequel se sont développés l' hystérie et le délire des persécu- tions ; il est irresp
out de neuf mois d'observation, déclaré aliéné dangereux, atteint d' hystérie et de délire des persécutions, comme on l'a vu
e, et aussitôt Cing..., se mettant à rire, m'avoua d'emblée que son hystérie n'avait été qu'une supercherie adroite et que s
symptômes des maladies nerveuses, notamment de l'épilepsie et de l' hystérie . Je m'inculquai bien le contenu de cette maladi
m'inculquai bien le contenu de cette maladie qui était celui-ci : L' hystérie , maladie presque exclusive au sexe féminin, tir
ins phénomènes vrais, elle ne donnait l'impression ni d'une crise d' hystérie , ni d'une crise épileptique. Et en effet, cette
ncante que Cing... était un héréditaire dégé- néré ; il admettait l' hystérie comme démontrée, sans qu'une seule crise eût ét
ement anesthésique, ce qui eût été singulier dans l'hypothèse d'une hystérie même latente, alors que cette anesthésie était
ne différente est démon- trée en pathologie mentale, du moment où l' hystérie était déjà admise comme cause efficiente de cer
prend naissance, sans pouvoir être nettement rattaché à une crise d' hystérie , dont il aurait été un épiphénomène, chose d'ai
tendu lui donner Cing..., un délire de persécution concomitant de l' hystérie délirante et évoluant d'emblée vers les idées a
es hystériques, très efficace contre les désoi dres somatiques de l' hystérie est remarquablement infidèle contre les trouble
neurasthéniques; l'auteur estime que dans la pluralité des cas d' hystérie et de neurasthénie, on doit recourir à la thérape
ne allemande, vingt-six ans, céliba- taire, très intelligente, sans hystérie , sans nervosisme. Constipa- tiun rebelle : effe
éfend de considérer la psycho- thérapie comme un agent curatif de l' hystérie ou de la neurasthé- nie, mais il en a constaté
r des métrorrhagies que j'ai pu faire disparaître par suggestion. Hystérie et suggestion. M. Berillon présente une jeune f
ente des dangers de toxicomanie. On prétend, de nos jours, guérir l' hystérie , par l'éthérisation poussée même jusqu'à l'anes
pitaux préconisait les-injeclions de morphine comme traitement de l' hystérie ; quelque temps après, il présenta à la Société an
umer elle-même; il se déclara, en outre, chez elle, des symptômes d' hystérie et de neurasthénie anxieuse. Bien que cette per
erveux. Ce ne sont pas, bien entendu, des névroses sine matera. « L' hystérie nous parait, écrit M. J. Soury, comme à Charcot
tôme polyurie comme manifesta- tion paroxystique et permanente de l' hystérie n'est pas de date bien ancienne. Elle remonte à
stence de la polyurie perma- nente dans le cadre symptomatique de l' hystérie . Dans son traité de l'hystérie, M. Gilles de la
nte dans le cadre symptomatique de l'hystérie. Dans son traité de l' hystérie , M. Gilles de la Tourette consacre à la polyuri
très irri- table, elle a même eu de grandes attaques convulsives d' hystérie dont le malade a été souvent le témoin. Ce dern
u sur un bateau pendant une tempête, a suffi seule à faire éclore l' hystérie et à localiser d'emblée sa mani- festation symp
) POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES. 201 nutrition rares dans l' hystérie et que traduit urologique- ment l'élimination d
, et ratta- cher leur étude à celle des accidents urinaires dus à l' hystérie . Parmi les névralgies vésicales, à côté de la c
er les conclusions suivantes : Parmi les troubles urinaires dus à l' hystérie , il existe une pollakiurie impérieuse, accompag
cale des centres viscéraux. Principe d'un traitement mécanique de l' hystérie ; Par M. le D' VIAL. Mlle Zoé A..., âgée de v
, au sur et à mesure que je réveille la ' TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L' HYSTÉRIE . 215 peau, les muscles, l'os de la cuisse. La m
ation du nez, du cou, de la poitrine. Zoé TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L' HYSTÉRIE . 217 recouvre rapidement la sensibilité du nez
plus + J'ai failli me noyer + Je sors de TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L' HYSTÉRIE . 219 l'eau, je m'habille, on m'aide, parce que
réveille spontanément. Je lui referme les TRAITEMENT MÉCANIQUE DE L' HYSTÉRIE 21 yeux + Je lui fais sentir complètement la tê
ainsi, ne voit-on pas là le principe d'un traite- ment nouveau de l' hystérie , traitement tout mécanique, des- tiné à resensi
ianesthésie sensitivo-sensol'ielle droite et pensons à des crises d' hystérie . Après avoir repris quelques mois son travail,
e dégénérescence; et lorsqu'il existe en même temps des symptômes d' hystérie ou d'une autre névrose, ils ne sont que surajou
nasthénie, les périodes interparoxystiques de l'épi- lepsie et de l' hystérie . Elle est probablement normale dans l'amentia,
, ce qui fit croire à des accidents méningitiques, l'existence de l' hystérie connue permettait seule d'espérer que ces accid
Pour ma part je n'ai jamais observé le phénomène des orteils dans l' hystérie ; je ne l'ai jamais constaté chez un malade dont
convulsions. Pour la morphine : sur 38 lapins; 11 ont eu la grande hystérie ; 9 des convulsions généralisées sans épilepsie
euro- logie, 1891, vol. XXVIII, n° 90.) Léplne (R.). Sur un cas d' hystérie à forme particulière. (Revue de médecine, 1894,
, fibrosarcome mélanique de la glande pituitaire. J. SÉGLAS. XVI. Hystérie et Infection; par V. OTS Y > : SQUEnDO. (Revis
asset le rôle considérable joué par l'infection dans la genèse de l' hystérie , l'auteur se refuse à séparer l'hystérie grippa
ection dans la genèse de l'hystérie, l'auteur se refuse à séparer l' hystérie grippale de l'hystérie commune. Celle-ci est bien
e l'hystérie, l'auteur se refuse à séparer l'hystérie grippale de l' hystérie commune. Celle-ci est bien une REVUE DE PATHOLO
les manifes- tations de la névrose. Cinq observations dont trois d' hystérie mâle, viennent confirmer cette donnée. Les cons
t le rapprochement de ces cas avec les psychoses dégé- nératives. L' hystérie , quel que soit son mode d'apparition, est tou-
arentes. Pour conclure : les états infectieux déterminent souvent l' hystérie chez les prédisposés; le syndrome est dans ce c
hez les prédisposés; le syndrome est dans ce cas le même que dans l' hystérie ordinaire dont on ne peut la séparer à aucun po
ire dont on ne peut la séparer à aucun point de vue. Il n'y a pas d' hystérie d'origine infectieuse distincte. F. BOISSIER.
rigine infectieuse distincte. F. BOISSIER. XVII. Un cas classique d' hystérie ; par RANFOLDI. (ans. di neur., fasc. 1V-V, 189
nérescence, engendre presque tous les cas. Enfin on peut signaler l' hystérie , la neurasthénie, les troubles des fonctions gé
hez les sujets. Ici le malade n'avait pas l'ombre d'un stig- mate d' hystérie . Mais ne sait-on pas que l'attaque d'épilepsie es
vrites, 2 cas d'épilepsie, 1 cas de poliencépha- lomyélite, 3 cas d' hystérie et deux cas de polyarthrite déformante. Les obs
les vibratoires correspondaient presque à celles- là. Dans un cas d' hystérie sans anesthésies, on a constaté une anesthésie
os du bassin et les parties centrales des membres. Dans les cas d' hystérie avec anesthésie cutanée, des troubles vibratoir
. L'auteur développe un parallèle entre la sclérose latérale et l' hystérie , particulièrement en ce qui concerne l'anesthésie
chez des jeunes filles et peuvent être facilement confondues avec l' hystérie . Le phénomène des orteils en extension, signalé
diagnostic et de se demander si on n'a pas été en présence de cas d' hystérie ou de neurasthénie, maladies capables de simule
'il a pu observer récemment, et qu'il considère comme relevant de l' hystérie . Il ne risque aucune interprétation, et se borne
dre la marche, la défécation, la miction presque impossibles. Pas d' hystérie , ni SOCIÉTÉS SAVANTES. 533 d'épilepsie, ni de
cordon dont le palper provoque l'aura caractéristique. Pas trace d' hystérie . La tumeur est enlevée. C'était un névrome. Rés
ecroisements sensoriels, sensitifs et moteurs, par Lugaro, 310. Hystérie et infection, par Esquerdo, 332. Cas classique
ulsions homicides, par sugges- tion, par Voisin, 177. Infections. Hystérie et -, par Es- querdo,332. Insomme. Influenc-
62 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
L RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'ÉPILEPSIE, L' HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE ' ·
imbéciles, propres et n'a- yant ni accès d'épilepsie, ni attaques d' hystérie . Or, dès l'ouverture de la maison, cette règle
NIQUE BOURN6YILLE, Bicêtre, 1591. 1 Deux nouvelles observations d' hystérie mâle ; Par BOURNEVILLE et P. 80X.LlER I S
s vénériennes, « il a la peau aussi 4 DEUX nouvelles observations d' hystérie MALE. blanche que la neige ». Caractère violent
; 5° fille, dix-neuf ans, brune, à l'air effronté, a été atteinte d' hystérie à dix-sept ans, elle avait eu des convulsions é
ehors cependant pour satisfaire ses 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. goûts. Sommeil bon, prolongé, de 9 heures
iste pendant uue minute, une minute 8 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. et demie. Puis il a des battements violen
en temps, le malade a des secousses, DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 9 s'agite dans son lit, se couche tantôt
e. 6. A eu trois attaques le matin. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 11 1 2 juin. Nous constatons et le malade
t dans l'extension, puis présentent 1 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. des secousses tétaniformes de plus en plu
la main droite.» Envoyé en cellule. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 13 10 août. Tranquille depuis sa réintégr
notion de toutes les cou- leurs. 14 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 9 décembre. - Sous prétexte qu'il « s'emb
ez la mère; des accidents nerveux divers chez les frères et soeurs ( hystérie , arriération intellec- tuelle et instabilité me
s'est développée sur un terrain pré- DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 1 i disposé : retard dans la marche et la
à lors de la conception. III. Dans un grand nombre d'observations d' hystérie nous voyons des émotions vives être le point de
rtance à ses dires lorsqu'il n'est pas possible de les contrôler. L' hystérie a été précédée de troubles moraux et d'excès ou d
sans pouvoir préciser à quelle cause il convient de la rattacher. L' hystérie 16 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRIE MALE.
nvient de la rattacher. L'hystérie 16 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. en tout cas n'a joué aucun rôle dans sa p
r. Bourneville, Bicêtre, 1891. 2 18 DEUX NOUVELLE* OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. son père, effrayé et disant qu'il y avait
avertisse. Fig. i . fit. 2. 2. 20 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. En 1887, après une rémission d'un mois, i
s'est assis et Fig. 3. 1 Fig. 4. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 21 1 aussitôt endormi sans rien dire. Son
rlatine qui le rendit très malade. '2 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRiE MALE. Pas d'autres fièvres. Pas de diphthérie;
us- sourcilières. Sourcils marqués. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 23 Oreilles petites, bien ourlées. La mon
on ne le retenait pas. Il dit que 24 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. ... f'. 't . pendant son attaque il lui
egarde devant lui et est bientôt 26 6 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. repris de nouvelles convulsions cloniques
e la tête à droite et à F'ig. 8. 28 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. gauche, puis retombe. Les yeux sont refer
attaque qui a duré quatre minutes et DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. 29 dans laquelle il s'est mordu la langue
sur les genoux jusqu'au maître de 30 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. musique. Il bat la mesure de la tête, et
ieté et de tristesse, idées vagues 32 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D' HYSTÉRIE MALE. de suicide, instabilité mentale, hallucin
sions et impostures des diables, et Goulart, p. 143 et suivantes. Hystérie mâle. ` 33 cegenre à propos de deux hystériques
tiles à ceux que tenterait la tâche d'une nouvelle monographie de l' Hystérie chez l'homme (2). - ," (1) Bourneville et P.
63 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, sciatique, 62 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. hystérie ), mais aucun auteur jusqu'à ce jour, n'avait fait
première dorsale surtout du côté gauche. Il ne s'agit donc ici ni d' hystérie dont la malade n'a aucun stigmate, ni d'une malad
ive ou temporaire, de leur acuité psychique habituelle (alcoolisme, hystérie , neurasthénie, sénilité psychique, folies chron
ques sont un des foyers de pré- dilection de l'épilepsie comme de l' hystérie ; on la signale comme extraordinairement fréque
REVUE CRITIQUE Dernières conceptions de l'hypnotisme . et de l' hystérie 1. Par le D' ALBERI' CHARPENTIER Lauréat de l
avons essayé de montrer, en analysant un travail de Bernheim sur l' hystérie , que la Défini- tion de l'hystérie présentée pa
ant un travail de Bernheim sur l'hystérie, que la Défini- tion de l' hystérie présentée par notre maître Babinski à la Société
Hypnotisme et la Suggestion 2, nous croyons utile de rappeler que l' hystérie est un état psychique rendant le sujet qui s'y
estion. ' Page 6. 3 Page 7. CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 121 On peut avoir ou non conscience des actes
e psychique) essaye une démons- CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 123 tration par des faits de physiologie norma
alement erronées. 3 Page 68.. CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 128 à fermer les paupières et à rester plus ou
à ce mode d'intervention, il n'y a pas de raison ' Définition de l' hystérie . Société de Neurologie . '12G REVUE CRITIQUE.
oute' schématique. Mais le fond CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 127 -1 delà psychologie de l'hypnotisé réside
ts hypno- tisables ont un état mental spécial, caractéristique de l' hystérie ', du pitltiatisrne comme dit Babinski, état pa
n entre l'état de suggestibilité. caractéristique de l'hypnose et l' hystérie . Nous aurons l'occasion de dis- cuter ce point
de dis- cuter ce point à propos des rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . ! De ? 0u persuader et : xTOç (guérissable). 1
ime de la perturbation mentale caractéristique de l'hypnose et de l' hystérie , de démonter les ressorts cellulaires de ce méca-
s pour produire l'hypnose, nous CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 129 9 retrouvons la divergence des deux concep
bulbaire ou médullaire de l'agent « Sugges- tion » ou de l'agent « Hystérie ». A priori, en effet, on pouvait concevoir qu'
s vient infirmer cette hypothèse et montrer que la suggestion (ou l' hystérie , nous y reviendrons) ne peut se localiser dans de
t totalement par la persuasion. CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 131 A propos des hallucinations optiques, Gras
entres moteurs volontaires déjà CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L' HYSTÉRIE . 133 connus. Grasset cite les hystériques 'de S
l'atrophie musculaire est quel- quefois nn trouble secondaire de l' hystérie . Pour terminer cette revue déjà longue des prin
gnes somatiques de l'hypnose et les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie . « Peut- on dans l'hypnose observer et étudier
I 'aires, Stheinheil, 1899. 134 REVUE CRITIQUE. l'hypnose et l' hystérie a été clairement développée dans le précé- dent
l'auto-suggestion est leur unique cause. Dans sa définition de l' hystérie , Babinski a établi que si hysté- rique et hypno
es troubles du vertige vol- taïque n'appartiennent pas non plus à l' hystérie , il se rendait compte par l'expérimentation que
sur les points les plus importants : 1° Dans l'hypnose comme dans l' hystérie , c'est l'état mental du'sujet qui n'est pas nor
agit par suggestion ou persua- sion. 2° Dans l'hypnose comme dans l' hystérie , le sujet réalise seulement des phénomènes que
ts hystériques ont été, à tort, dénommés hystériques. Le cadre de l' hystérie a été bientôt trop agrandi. Une étude scrupuleu
revisera la classification de symptômes qui n'appartiennent pas à l' hystérie et établira que la suggestion hypnotique ne peut
nte serait évidente, alors même que Baelg ne nous eût pas signalé l' hystérie dans l'étiologie du ritsumé tsuffi (posses- sio
u les conditions de l'existence expliquent alors cet attachement. L' hystérie ou l'hysté- ricisme provoque par contre certain
le sommeil hyp- notique (Bosc). Ne regarde-t-on pas actuellement l' hystérie comme une affection psychiqne ayant pour symptô
sui-di-i ? izilité,l'athélose, la paralysie spastique infantile, l' hystérie , la psychose polynév1'ilique,l'é1'wlopho- bie e
E. / VII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'diotie. Compte rendn du service des enfant
eurologie, 1903, ne8.) Chez dix malades atteints de neurasthénie, d' hystérie ou de diverses vésanies, l'auteur a constaté qu
ssi ne m'attarderai-je pas à vous démontrer que dans l'espèce, ni l' hystérie , ni la syphilis, ni la tuberculose, ni une into
s très aisé, s'impo- sant presque, plus souvent il est difficile. L' hystérie , le lum- bago, les névralgies, les sciatiques,
ion d'ataxie cérébelleuse aiguë d'origine orga- nique, compliquée d' hystérie ; par S. Popow. (Obozrémé psichia- vis. 1902). -
bral, l'intoxication chronique par les liqueurs à essences, enfin l' hystérie , I\HI. Thévenet et Péhu rapportent à l'urémie l
lkunde. XXV, N. F. XIII, 1903).- Quelques mots sur la question de l' hystérie , réplique au mé- moire de Nissl; par Raecke. (N
ute une série de phénomènes hystériformes qui en imposent pour de l' hystérie . Ce sont des dou- leurs névralgiques polyarticu
e de la puberté, elle n'avait eu de' syndromes ou de stigmates de l' hystérie . Finalement le tableau carastéristique 332 , RE
plus de dix ans que les choses durent. Voyons, par comparaison, l' hystérie sous-jacente psychopatho- gène. Il s'agit d'un
r si la folie circulaire est une complication ou une émanation de l' hystérie . Pour en décider il faut étudier le méca- nisme
de temps précis, sans cause appréciable qui les déchaîne, c'est une hystérie compliquée de folie circulaire et non une psy-
ompliquée de folie circulaire et non une psy- chose hystérique. L' hystérie en tout cas, d'après MM. Nissl et Kraepelin, c'es
ère, l'actionperma- nente de la tare nerveuse. . Voilà pourquoi l' hystérie qui, chez les malades de la clinique d'Heidelbe
critique M. Raecke répond, qu'à côté de la conception ancienne de l' hystérie , il y a lieu d'admettre un groupe spécial de fa
elle est greffée sur un terrain où l'on trouve les stigma- tes de l' hystérie : c'est ce qu'a fait M. Kraepelin (EinfÜh1'lI/lg,
dispensera jamais de l'analyse psychologique et du traitement de l' hystérie . » P. Keraval. XLVI. La phobie du regard d'autr
ncontrerait dans les états vésaniques les plus divers, imbécillité, hystérie , épilepsie, paralysie générale, démence sénile, m
r des automatismes graphiques ou autres en rapport seulement avec l' hystérie . 1 Les pratiques exagérées du spiritisme attire
e pas une « psychose polynévritique ». R. DE Musgrave-Clay. XXXX. Hystérie para et post-pneumonique; par L. Gallavardin (P
novembre 1901, n° 44, p. 517). Parmi les causes provocatrices de l' hystérie , le traumatisme et les intoxications se placent
t au traitement spécial de l'aérophagie, le traitement général de l' hystérie ou de là neurasthénie. G. Carrier. XXXXVIII.
ibilité et troubles psychiques. Le diagnostic doit être fait avec l' hystérie et des lésions organi- ques du système nerveux.
aralysies produites par la fulguration, que Charcot a séparées de l' hystérie proprement dite et a appelées les kéraino-paral
ppe sur un terrain déjà altéré par la déséquilibration psychique, l' hystérie ou l'alcoo- lisme qui lui communiquent alors un
r cérébrale, épilepsie tardive et jacksonienne. Ellea manqué dans l' hystérie , dans la syphilis secondaire, ainsi que dans qu
ismales, névralgiques. Mais le terrain de choix est manifestement l' hystérie ; il est peu de symptômes de cette maladie que l
ntrée des malades de ce genre dans un asile; et, cela surtout, si l' hystérie est un des éléments constitutifs delà folie.
e signe de sclérose en plaques ; il n'y a non plus aucun stigmate d' hystérie . Au moment où le tremblement est ap- paru, le m
à se servir du reste de leur intel- ligence ; certains malades avec hystérie grave, qui étaient très dif- ficiles dans la vi
mai.) BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. I : Ë'HE ! ! t. Conception du mot hystérie . In-8° de 48 pages. Librairie 0 Uoiu, S, place
ervation d'-cérébelleuse aiguë d'origine organique compli- quée d' hystérie , par Popow, 321. Atrophie. Voir Cervelet. - mus
, par Char- pentier (A), 118. Lien Russie, par Orlitzky, 499. ' Hystérie . Voir Hypnotisme. Voir Epilepsie. - Voir Alaxie
64 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
ur. On invoque Garnier. « L'hypnotisme, a-t-il dit, peut éveiller l' hystérie en puissance : l'hypnotisé peut garder de sa séan
cre tout un chapitre à ces éléments terribles d'erreur judiciaire : l' hystérie et les faux témoignages des enfants. L'affaire La
comme un arrêt de développement de tout le corps. Pas de symptômes d' hystérie . Etat moral. — La jeune fille est très soigneus
udo-hystérique. Le traitement de cette affection est le même qui; l' hystérie et consiste à recourir, non pas à des remèdes cal
stentation est d'ailleurs le plus souvent un symptôme révélateur de l' hystérie ; or, puisque l'hystérique a une tendance à réalis
s normale. Nous avons soigneusement cherché l'appoint névropathique : hystérie , épilepsie, neurasthénie. Un seul de nos élèves,
poque sur la matière. Il aborda ensuite la troublante question de l' hystérie et du témoignage d'enfants, pour citer après quel
Saratov v. IV, faso. S. Paul Farez : Les troubles trophiques dans l' hystérie : brûlure suggérée. Reçue de l'Hypnotisme 22e ann
s accompagnant d'une discussion de laquelle il tire une théorie sur l' hystérie . L'intérêt théorique et pratique qui résulte de
n de notre société les résultats et les conclusions de l'auteur sur l' hystérie et sur l'hypnose. Je ne veux pas insister davan
d'interroger, bien que, d'après les dernières théories modernes sur l' hystérie , elle joue un grand rôle dans la production des s
ystériques et qu'enfin la relation qui existe entre l'hypnotisme et l' hystérie lui permet d'expliquer la plupart des stigmat
les symptômes demi-spontanés, A la vérité, l'auteur soutient que l' hystérie favorise l'association des centres psychomoteurs,
de la suggestion et les rapports qui existent entre l'hypnotisme et l' hystérie , — ainsi que leB conclusions de deux séances de l
nces de la Société de Xeurologie du 9 avril 1908, lesquels montrent l' hystérie sous un nouveau jour. Au Congrès d'Hypnologie d
exécuter. Pour ce qui concerne les rapports de l'hypnotisme avec l' hystérie , notre vice-président, M. Paul Magnin, reconnaiss
'un rapport direct de cause à effet n'existe pas entre l'hypnose et l' hystérie ; qu'il existe cependant un rapport d'analogie :
urs ont donc démontré le phénomène intime entre l'état d'hypnose et l' hystérie (faits expliqués d'ailleurs par M. Abrutzi. M.
ggestion, ainsi que les rapports qui existent entre l'Hypnotisme et l' Hystérie , permettez-moi de revenir à la discussion de la S
en France qu'à l'étranger et de nombreux auteurs signalent des cas d' hystérie à l'appui de l'une ou l'autre de ces théories.
us cite tous ces auteurs, c'est pour bien démontrer que la question d' hystérie n'est pas tout à fait résolue, ni même complèteme
giques dans leurs rapports avec les affections suivantes : 1. — L' hystérie (stigmates, accidents mentaux, accès de sommeil h
nde majorité des cas. les états hypnoïdes pathologiques relèvent de l' hystérie . A mon avis, Y hystérie ne serait qu'un état hypn
s états hypnoïdes pathologiques relèvent de l'hystérie. A mon avis, Y hystérie ne serait qu'un état hypnoTde caractérisé par une
risé par une inégalité fonctionnelle des hémisphères cérébraux (1). L' hystérie consisterait donc dans ce fait essentiel que d'un
M. Paul Richer a publié sous le titre Etudes cliniques sur la grande hystérie est consacré à l'étude des immixtions spontanées
es manifestations de l'hypnotisme aux troubles de la grande attaque d' hystérie . M. Pitres a également insisté sur ce fait, que
ystérie. M. Pitres a également insisté sur ce fait, que les accès d' hystérie se continuaient par des états analogues à l'hypno
nambu-lique les yeux ouverts ». (1) Pitres : Leçons cliniques sur l' hystérie et l'hypnotisme. (2) Paul Maokis : Les rapports
sur l'hystérie et l'hypnotisme. (2) Paul Maokis : Les rapports de l' hystérie avec l'hypnotisme. (Comptes rendus du 2e Congrès
utre n'a poussé plus loin que M. Pitres l'analyse des phénomènes de l' hystérie et de l'hypnotisme et malgré certaines théories q
ntraires. A notre époque, la constatation des troubles de la grande hystérie est devenue moins fréquente; on n'en observe que
sagaces observateurs ont établi sur le grand hypnotisme et la grande hystérie sont demeurés exactement les mêmes qu'ils étaient
eutralise dès leur apparition dans l'enfance ou dans l'adolescence. L' hystérie , avec ses caractères mentaux, n'en existe pas moi
Parmi ces dernières on peut ranger le nervosisme, la neurasthénie, l' hystérie , la psychasthénie. le goïtre exophthalmique qu'on
certain que le législateur ne pouvait prévoir que, par (1) Berrez : Hystérie et traumatisme : Thèse de Paris 1887. le seul
médiums entraînés toutes les particularités des formes mentales de l' hystérie . Les médiums, de (1) Allais Kardec : Le Livre d
onsacré un chapitre à l'influence du spiritisme sur l'apparition de l' hystérie . Il y relate en particulier le cas (1) Grasset
ogie. (1( par M. le Dr Béni-Barde [Fin)- Passons maintenant à l' hystérie . Les défaillances qui accompagnent cette pseudo-p
pales défaillances qui se rattachent aux diverses manifestations de l' hystérie . Je vais, maintenant, vous dire quelques mots d
avez vues former le cortège symptomatique de la neurasthénie et de l' hystérie quand les troubles cérébraux prédominent dans ces
ient à une intervention simultanée de la neurasthénie cérébrale, de l' hystérie mentale et de l'hypocondrie matinée d'une légère
silencieusement ou sans phéno; ménalogie appréciable, des accidents d' hystérie , de neurasthénie ou autres a des traumas psychiqu
présent d'un acte psychique de la vie passée. Et l'on sait combien l' hystérie s'accommode aisément des rythmes périodiques. P
ier. Point de symptômes somatiques. ni psychiques, pouvant indiquer l' hystérie . La malade nous donne un point précis — c'est l
l'auteur nons donne de son état en fait une malade atteinte de grande hystérie . Piqué au vif, le pasteur Sang prend la résolut
on collaborateur M. le Dr Paul Ricber. Etudes cliniques sur la grande hystérie (1), 31. Paul Richer consacre plusieurs pages aux
c-tac d'une montre (1| Paul Riohkr : Etudes cliniques sur la grande hystérie . 1885. p. 524. (2) Les ligures I et 2 proviennent
chée du porte-voix. La contrac- (1) PiTBts : Leçons cliniques snr l' hystérie et l'hypnotisme 1891. T. TJ. p. 87. l2) Panl Ma
ologique. Cette méthode est également applicable au traitement de l' hystérie ; mais comme l'état d'Ame de l'hystérique est trè
tion.lorsqu'elle est cause d'obsession ou de phobie, n'explique pas l' hystérie : elle l'implique comme une condition préexistant
s'est mal défendue, donnant ainsi la preuve d'être une aboulique de l' hystérie . > Le professeur Morselli s'est également ét
; Le professeur Morselli s'est également étendu sur les symptômes d' hystérie présentés par la Tarnowska, notamment le vagabond
isme et du lyrisme poétique, aussi bien que dans les vantardises de l' hystérie . Contre la loi du mal universel, disait Vigny, le
65 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
.) P. K¡;;I1.AVAL. BIBLIOGRAPHIE. 1. Les agents provocateurs de l' hystérie ; par Georges GUINON (Paris aux bureaux du Progr
r est le suivant : énumérer et classer les agents provocateurs de l' hystérie : émotions morales scliock nerveux, maladies gé
rvations prouvent que l'agent provocateur n'a jamais que provoqué l' hystérie laquelle était à l'état latent chez le sujet, o
s prouvent aussi que la maladie provoquée par ces agents est bien l' hystérie et rien autre chose ; ce qui n'empêche pas les
istration probablement (Red.). 158 BIBLIOGRAPHIE. C'est bien de l' hystérie et non des états mal nommés hystéroides ni des
t bien de l'hystérie et non des états mal nommés hystéroides ni des hystéries ayant une physionomie prétendue spéciale à l'agen
ropos, l'auteur blâme avec juste raison les mauvaises expressions d' hystérie alcoolique, d'hystérie saturnine, mercurielle,
vec juste raison les mauvaises expressions d'hystérie alcoolique, d' hystérie saturnine, mercurielle, traumalique proposant d
ocateurs peuvent imprimer un certain cachet aux manifestations de l' hystérie , mais toujours d'une manière accessoire. La c
ière accessoire. La confusion faite par les contradictions contre l' hystérie et la neurasthénie, surtout en Allemagne à prop
ystéro-trauma- tisme, l'ignorance de quelques autres à l'égard de l' hystérie mas- culine bien faite pour dérouter quand elle
nouissement graduel des opposants à mesure que la neurasthénie et l' hystérie masculine ont été mieux étudiées et par suite m
e, la compression par Mal de Bott. ' » Tous ces agents produisent l' hystérie ou bien par auto-sugges- tion ou bien par troub
e plus complet de toutes les questions relatives à l'étiologie de l' hystérie . Charpentier. IL Lell1'bueh de)' Psychiatrie pa
sme comme une des causes les plus fréquentes de l'aliéna- tion. L' hystérie mâle A l'étranger. - Nous voyons avec plaisir la
mâle A l'étranger. - Nous voyons avec plaisir la connaissance de l' hystérie virile, partie de France, faire tous les jours
9) contient un exposé assez net de la question, bien que le terme d' hystérie se fasse bien difficilement accepter. En Belgi-
'hystérie se fasse bien difficilement accepter. En Belgi- que, si l' hystérie mâle compte des réfractaires, elle a cependant
ordre du jour : Leyden, Oppenheim, Slrùmpell admettent volontiers l' hystérie virile, bien que pas encore dans tous les cas q
SaLUER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiolie. Compte rendu du service des enfan
ons nerveuses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie agitante). Volume in-8 de 1G9 pages,
se de présenter 1 Je devrais signaler aussi les manifestations de l' hystérie , qui peu- vent ètre la conséquence du traumatis
la neuro-pathologie et surtout les articles de l'épilepsie, de l' hystérie et de l'idiotie, participa à l'éclaircissement de
ciétés savantes. 275 7° paralysie générale ; 8° Folies névrosiques ( hystérie , épilepsie, hypocondrie ; 9° folies toxiques; 1
la suggestion DANS L'HYPNOTISME ET LES RAPPORTS DE CELUI-CI AVEC L' HYSTÉRIE . La suggestion, à son avis, est loin de jouer l
parfaites, présente des caractères qui le rapprochent beaucoup de l' hystérie : au point de vue de ses périodes il peut être
érale, ils sont rapportés par 111. Charroi à la neurasthénie et à l' hystérie , quelquefois à une combinaison de ces deux élat
as atteints des mêmes phénomènes. Enfin 111. Vi- bert croyant que l' hystérie de l'homme diffère de celle de la femme, se dem
la femme, se demande pourquoi, si le railway-brain n'est que de l' hystérie , il présente toujours les mêmes allures dans les
ui con- cerne le rôle de l'émotion, il suffit de rappeler les cas d' hystérie , provoqués par elle seule, et qu'on ne peut rév
e les symp- tômes procéduriers font partie du tableau clinique de l' hystérie . Un ouvrier traumatisé conserve son appétit, de
é est obtenue, la guérison suit immédiatement. Est-ce là aussi de l' hystérie ? M. Motet croit que si les cas légers peuvent
puissent être provoquées par le traumatisme. Mais il y a des cas d' hystérie incontestahles même dans Lasègue. . M. Christ
une terminologie nou velle. M. Brouardel considère que le terme d' hystérie tel que l'em- ploie l'École de la Salpêtrière,
uto-intoxica- tion. Ce groupe de faits serait donc à distraire de l' hystérie . Quand au rôle joué par la prédisposition, on l
Sollier. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'epilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
ons nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie 320 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. agit
roy Press company. Guinoh (Georges). - Les agents provocateurs de l' hystérie . 1 vol. in-8° de 392 pages, Paris, 1889. Public
e appa- raissait dans le tableau de la paralysie générale et de l' hystérie , semblèrent indiquer qu'à côté de cette migrain
tions du même genre qui existent entre la migraine ophtalmique et F hystérie . MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 32
aujourd'hui, il ait été publié un grand nombre d'observations sur l' hystérie des enfants mâles, et que ce cha- pitre de path
s consécutifs. 1 Elle a eu depuis ces renseignements des attaques d' hystérie . Nou y reviendrons plus loin. DE l'hystéro-ép
1887, t. 06). VIII. Angine DE poitrine, GOITRF EXOPIITIIALl11QU; ET hystérie chez l'homme, par I. GH. AUDRY. (Lyon méd., 188
associés chez le même malade les stigmates caractéristiques' de l' hystérie , des accès d'angine de poitrine et des symptômes
az. méd. de Paris, 1887.) XV. Note pour, servir A l'histoire DE l' hystérie et du saturnisme, par M. A. DuTtL. (Gaz. méd. d
ail est celle d'un homme qui présenta dans sa jeunesse des crises d' hystérie convulsive bien caractérisées. Délivré ultérieu
pour éveiller chez des sujets prédisposés, les manifestations de l' hystérie restée jusqu'alors latente. G. D, XVI. HYSTÉRIE
nifestations de l'hystérie restée jusqu'alors latente. G. D, XVI. HYSTÉRIE mercurielle; par M. L. Guinon. (Gaz. 172é1. de
et plus répété avec le mercure, l'auteur pense que chez ce malade l' hystérie était le résultat direct de la seule intoxicati
ies : l'alaxie loco- motrice progressive, la sclérose en plaques, l' hystérie , la paralysie agitante; maladies auxquelles on
liclnesthésie habituelle du côté paralysé et par les stigmates de l' hystérie (troubles de la vision, zones hystérogènes, pla
que, par J. Voisin, 295. Bibliographie : agents provocateurs de l' hystérie par Guinon, 157 ; z lerhbuch der Psychiatrie, p
r Zie- hen, 451. Goitre exophthalmique (angine de poitrine,- et hystérie chez l'hom- me), par Au(li,v, 437. Hallucinat
Liégeois, 2\JU; par Moll, 297 ; - (effets fâcheux de l'-), 316. Hystérie (mâle à l'étranger), 173; - chez les garçons, p
66 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
CAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L' HYSTÉRIE - ET L'IDIOTIE COMPTE-RENDU DU SERVICE DES
l'idiotie au peu de développement des lobes frontaux. V. , De l' hystérie mâle de l'enfance; - Par BOURNEVILLE et J. BOYE
mâle de l'enfance; - Par BOURNEVILLE et J. BOYER. Les deux cas d' hystérie mâle.de l'enfance que'nous allons rapporter, ob
égards d'attirer l'attention de' nos lecteurs. , Observation I. - Hystérie avec affaiblissement momentané de l'intelligenc
ion z progressive de l'état .intellectueletmoral. - Guérison-. 81 Hystérie mâle de l'enfance. F... (Gabriel), né il Villcr
t de la mémoire et de l'intelligence. - Le Dr Mouflier conclut il l' hystérie . Ce diagnostic est sanctionné par M. le Dr Gilb
es sont égales et symétriques (longueur 6 centimètres), décol- 86 Hystérie mâle de l'enfance. lées, l'ourlet est très acce
à l'incurvation des reins, on peut passer la main entre le sol 88 Hystérie .mâle de l'enfance. et les fesses de l'enfant.
relles. Le 8 août, l'enfant quitte l'Institut médico-pédagogique. Hystérie mâle de l'enfance. 91 qui se sont occupés de lu
ille gauches. III. Nous nous trouvons bien en présence d'un cas d' hystérie mâle, très caractérisée : clou hystérique, rach
issement de la mémoire et de l'intelligence, ce qui est rare dans l' hystérie , en même temps qu'un état de nervosité qui rend
igence réapparaît et le malade réapprend ce qu'il avait perdu. 92 Hystérie mâle DE l'enfance. Il devient capable d'un trav
car les attaques n'ont pas reparu depuis mai 1898. ' OBS.- II. - Hystérie mâle de l'enfance. - Somnambulisme. Arriération
puis l'enfant se réveille brus- (1) Département de la Manche. 94 Hystérie mâle de l'enfance. quement et demande qu'est-ce
elle que nous venons de décrire. Bourneville, Bicêtre. 1899. 7 98 Hystérie vat,L de l'enfance. Juin. - Môme traitement, et
- dre observation qui lui est faite et se garde de tout ce cju 10 Hystérie mâle de l'enfance. pourrait retarder sa guériso
us demandent à le reprendre à titre d'essai à la fin de Novembre. Hystérie mâle de l'enfance. 103 s'améliorer.... il comme
l'enfant est antérieure à la première attaque ; l'apparition de l' hystérie n'a exercé d'influence que sur le caractère qui
nous n'avons pas hésité dès les premières attaques Ù reconnaître l' hystérie m;1/e. V. La maladie débute à douze ans et de
on de deux mois, coïncide avec une réapparition des attaques. 104 Hystérie mâle de l'enfance ; guérison. VI. Dès que R ? a
re. Compte-rendu de 1881, ]>. 55.) - Ron.. 1882. - Nouveau cas d' hystérie chez un jeune garçon. (En coll. avcc Dauge. Cte
ier. Compte- rendu de 1889, p. 148). Famille Lav... 1890. - Cas d' hystérie chez l'homme. (En collaboration avec Séglas. Co
Houez... Hetting ? From... ' 1891. -Deux nouvelles observations d' hystérie mâle. (En collaboration avec P. Sollier. Compte
renvoyer le lecteur au mémoire de d'Olier : De la coexistence de l' hystérie et de l'épilepsie auec manifestations distincte
er chez l'homme. Paris, 1881 ; et à celui de Clopatt, Etude sur l' hystérie infantile (1888), mémoires dans les- quels sont
ulet, n'ont point paru dignes d'une mention à l'auteur de l'article Hystérie du Traité de médecine. Il) En ce qui concerne l
l'article Hystérie du Traité de médecine. Il) En ce qui concerne l' hystérie et 1'lystéro-épilepsie chez la femme, voir Bour
sie chez la femme, voir Bourneville, Recherche sur l'épilepsie et l' hystérie , Paris 1876 ; Bourneville et P. Regnnrd, IC0l10
ures (fig. 7 et 8) n'est pas moins démons- trative. Nouveau cas d' hystérie mâle de l'enfance ; PAR BOURN);VILLE. Par la
1888, à l'âge de 6 ans, et en est sorti le 30 novembre 1893. 142 Hystérie mâle DE l'enfance. Renseignements fournis par s
issent aucun doute sur la nature de la maladie ; B... est atteint d' hystérie . Septembre. - Torticolis antérieur gauche. - Br
ents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'attaques d' hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchement s'est fai
vant : « Atteinte de troubles intellectuels qui paraissent liés à l' hystérie , loquacité, agitation, propos déraisonnables. -
t la taille ont augmenté. Jamais nous n'avons observé aucun signe d' hystérie , contrairement à la mention du certilicat de la
rs anglais.) Thèse de Paris. D'OLIER (H.). - De la coexistence de l' hystérie et de l'épi- lepsie avec manifestations distinc
Médical). SA.DRAIN (G.). Étude sur le traitement cles attaques d' hystérie et des accès d'épilepsie. In-8° de 56 p. Th. de P
67 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
se distingue de celle dernière quant à sa limite proximale ; dans l' hystérie , cette limite est en général régulière ; dans l
ÈNES HYSTÉRIQUES ESQUISSE D'UNE THÉORIE PSYCHO-PHYSIOLOGIQUE DE L' HYSTÉRIE , PAR Albert SALMON (Florence). Docent lib
ocent libre de neurologie de l'Université de Home. Le problème de l' hystérie , quoiqu'il ait été dans les dernières années l'
fondement de l'étude de toute affection. On ne peut donc définir l' hystérie sans fixer auparavant la nature de cette affectio
quel on juge de leur valeur. Même si l'on admet, par exemple, que l' hystérie est due à un rétrécisse- ment du champ de la co
fection. Les données les plus importantes résultant de l'étude de l' hystérie et de l'examen des meilleures théories la conce
mon avis, en contradic- tion avec l'importance de l'émotion dans l' hystérie ; il nous fait seulement supposer que les émoti
des accidents név1'Opathiqnes et psychopathiques. (2) IIARTE1DEPT L' hystérie et les hystériques. Paris, 1910. 260 SALMON t
s actes correspondants, il paraîtra très logique, dans l'étude de l' hystérie , qu'on donne la plus con- sidérable importance
urait une confirmation dans un fait constaté dans beaucoup de cas d' hystérie , à sa- voir que, lorsque les malades ont tenté
omène n'est pourtant pas, d'après ma thèse, la cause primitive de l' hystérie , comme l'admet Janel, mais la conséquence d'un
, le seul (1) CLAPAHÈDE (Ed.), Quelques mots sur la définition de l' hystérie . Archives de psy- ohologie, t. VU. (2) Bianch
n, édit. ; L'état mental des hystériques, 1892. (4) Sollier (P.), L' hystérie , Ed. Alcan, 1914;, Genèse e/l1atul'e de l'hystéri
4) Sollier (P.), L'hystérie, Ed. Alcan, 1914;, Genèse e/l1atul'e de l' hystérie , Paris ils91; Hys<<'«eef sommeil. Archive
teur qui donne une grande valeur à la cénesthésie dans l'étude de l' hystérie , par le fait que cette affection, d'après Sollier
e montrer plus tard, dans ma thèse, d'après laquelle l'origine de l' hystérie consisterait dans l'hyperactivité des centres cén
rofondes de la peau et des muscles ne saignaient pas. Dans un cas d' hystérie décrit par Dejerine (1), l'idée seule du froid
i-même, j'ai appelé l'attention sur la coïnci- dence dans les cas d' hystérie traumatique entre la réaction myasthénique et l
'hypersensibi- lité cénesthésique s'accompagne très souvent, dans l' hystérie , d'une surac- tivité particulière des centres v
que j'ai décrite éclaircit également l'éliologie très complexe de l' hystérie . L'importance des émotions dans son déve- loppe
P1ES, Revue philosophique, 1905. THÉORIE PSYCHO -PHYSIOLOGIQUE DE L' HYSTÉRIE 267 a pas une émotion qui ne provoque un désord
ts qui ont été cités à tort contre l'importance de l'émotion dans l' hystérie . En effet, une émotion très intense peut déterm
er- esthésie cénesthésique, c'est-à-dire la cause fondamentale de l' hystérie , puisse très difficilement être déterminée par
que, 1905 ; Bulletin Médical, 1910. (2) BABINSKI, Définition de l' hystérie . Soc. de Neurologie, Paris, 1906. (3) DUPRÉ et
es hystériques. Nous connaissons tous les rapports existant entre l' hystérie et les modifications physiologiques et patholog
ales en général, dans la détermination des phé- nomènes morbides. L' hystérie constitue une des complications les plus fréque
x d'une sciatique précédem- ment guérie. On remarque souvent dans l' hystérie traumatique un rap- port entre les plus légères
ment à la suite de la guérison des premières. Le développement de l' hystérie traumatique est sans doute favorisé dans beauco
énie, l'intoxication alcoolique, tabagique, le satur- nisme, etc. L' hystérie , même infantile, chérit les sujets de faible cons
les fils d'alcooliques et de syphilitiques.il n'est pas rare que l' hystérie se joigne à une affection organique des centres
le tabes (dans le sexe féminin en'particulier).L'on remarque dans l' hystérie des phénomènes qui semblent très étroitement li
plus dis- tingués, se montrent très perplexes entre le diagnostic d' hystérie et celui d'une affection vaso-motrice. Or, le
ur d'origine émo- tive, etc... En résumé, je suis convaincu que l' hystérie trouve sa plus claire ex- plication dans l'étud
hésie et par suite les modifications de la personnalité propres à l' hystérie . Les rapports existant entre la cénesthésie et
les rapports que nous avons cités entre les lésions organiques et l' hystérie , rapports que les théories purement psychologiq
n seulement n'est pas en (i) Dubois, A propos de la définition de l' hystérie . Revue médicale de la Suisse Romande, 1911. (
édicale de la Suisse Romande, 1911. (2) Fneun, Brucltslùcke einer Hystérie Analyse. Mon. f. Psych. u. Neurol., XVIII. Das
e (d'autres appartiennent sûrement à l'encéphalite infantile ou à l' hystérie ), la plus grande partie lui est absolument étra
mnèse. Hydrocéphalie interne, deux cas certains, un cas douteux.. Hystérie , un cas à diagnostic certain, deux cas avec sympt
avec symptômes pres- que uniquement unilatéraux, probablement aussi hystérie . Méningite séreuse, un cas (papillite évidente,
primitive ; hors de ce groupe, il reslait une petite série de cas d' hystérie , épilepsie affective, etc., et une série de 30
ait déjà à regarder comme épilepsie « essentielle », puis les cas d' hystérie , les deux cas de « petites attaques multiples d
st quelquefois dominatrice chez les débiles nerveux. Selon Freud, l' hystérie , la névrose de la peur sont des étals qui ont leu
moteurs. Babinski les a retirées du cadre des symptômes propres à l' hystérie . La neurasthénie, de n'importe quel type, apporte
nts sensitifs, son= soriels, moteurs ou viscéraux de l'organisme. L' hystérie correspond il un stade plus avancé d'aggravatio
ar l'asthénie, c'est-à-dire par la faiblesse du travail nerveux ; l' hystérie par la facile désagrégation de la person- nalit
de la person- nalité produite par l'auto ou l'héléro-suggestion. L' hystérie correspond à un état de prédisposition nerveuse
- nisme, et selon la quantité, être cause d'une neurasthénie, d'une hystérie , d'une épilepsie alcooliques. Mulalis nzulandis
t que les hystériques et les épileptiques soient incurables. Pour l' hystérie actuellement on le sait déjà. Le professeur Ray
être classés dans le groupe des névroses classiques : neurasthénie, hystérie , épilepsie. Ces états coïncident avec ce que le
es a sécrétion interne sur l'organo- gênèse), par BERTOLOTTI, 13. Hystérie (Le mécanisme des phénomènes hystériques. Esqui
s hystéreques. Esquisse d'une théorie psycho-physiolo- gique de l' hystérie , 251. Souques (A.). Deux cas d'atrophie muscu-
68 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tous les degrés jusqu'aux plus amples manifestations de la grande hystérie ; mais il faut en élargir les limites et les étend
ris, 1902, page 35. 1 liourneville. Recherches sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, compte rendu de Bicêtre pour 1901
me facial, puis il discute les rapports de cette affec- tion avec l' hystérie : « Il est peu vraisemblable que le vrai spasme
ticularités qui le caractérisent, fasse par- tie du répertoire de l' hystérie . Elle n'en peut fabriquer que des contrefaçons
alées dans des cas analogues. Comme causes prédisposantes ce sont l' hystérie , la chorée, les manifestations antérieures du c
t à la face, à la langue, à la mâchoire. G. Carrier. XXIX. Du cas d' hystérie à grandes manifestations. Fièvre hysté- rique ;
alé. Les vomis- sements fécaloïdes avaient déjà été observés dans l' hystérie . Le sujet étudié dans ce travail est un homme d
taient point encore décrites ; 2° que les caractères cliniques de l' hystérie , surtout .pour ce qui concerne les anesthésies,
s les caractères, et nos malades ne pré- ' sentent aucun stigmate d' hystérie . Le diagnostic d'atrophie musculaire par poliom
rait fort bien à d'autres psychoses chroniques ou transitoires, à l' hystérie notamment. Elle ouvre la voie à une thérapeutiq
les en verre de montre. Les anesthésies peuvent être rapportées à l' hystérie ; les amyotrophies peuvent se classer parmi les
un trouble analogue et on ne rencontre chez elle aucun stigmate d' hystérie . Plus exactement, il s'agit d'une habitude devenu
ant la périodicité de certains troubles délirants. Un cas grave d' hystérie . 11. BÉniyLON présente une jeune fille hystériq
, avec '180 SOCIÉTÉS SAVANTES. contractures généralisées. Quand l' hystérie atteint de telles pro- portions, l'hypnotisme,
é- morale et tibiale postérieure). Résultat négatif. Réflexions : Hystérie (troubles trophiques) ou tuberculose (intoxicatio
mènes de suggestion sont moins fréquents, surtout dans les cas d' hystérie à symptômes classiques (anesthésie cutanée, conlr
; Le phénomène plantaire combiné. Etude de la réflectivité dans l' hystérie . M. CROCQ (de Bruxelles). L'examen des réflexes
réflexes est considéré comme peu important dans le diagnostic de l' hystérie ; l'aboli- tion du réflexe pharyngien, que l'on
conclusions sui- vantes, basées sur l'examen minutieux de 100 cas d' hystérie , choisis parmi les plus typiques. 1° L'abolit
typiques. 1° L'abolition du réflexe pharyngien est fréquente dans l' hystérie (73 p. 100); surtout fréquente dans les formes
al, constitue un facteur banal peu propre à établir le diagnostic d' hystérie ; 2° L'exagération des réflexes tendineux (79 p
ition présente une importance très grande dans le dia- gnostic de l' hystérie . Aussi croyons-nous pouvoir considérer le phéno
aibli (14 p. 100) ; 8° Le clonus du pied n'est pas très rare dans l' hystérie (10 p. 100); celui de la rotule est moins fréqu
vé le vrai réflexe de Babinski en extension dans nos cas typiques d' hystéries ; au contraire nous avons noté dans 8 cas, soit
t le nom de vigilambu- lisme. Il est un phénomène primordial dans l' hystérie , c'est l'anesthésie : . c'est elle qui domine t
ose et qui les détermine. Le somnam- bulisme peut s'observer dans l' hystérie , il peut être provo- qué plus facilement que da
e de ces malades, mais il n'en est pas moins un état différent de l' hystérie , et n'a avec elle aucune rela- tion de cause à
l'hystérie, et n'a avec elle aucune rela- tion de cause à effet. L' hystérie est un terrain admirablement préparé pour l'hyp
in admirablement préparé pour l'hypnose, ce qui ne veut pas dire qu' hystérie et somnambulisme sont des manifestations identi
phénomènes constituent des signes "plus ou moins perma- nents de l' hystérie . La chorée malléatoire de Charcot rentre moins
ys- térique, qui sont parfois même intimement liés aux attaques d' hystérie habituelles. Il est des cas où l'on observe des
ente rie aux éclats, pleure; elle a eu aussi une violente attaque d' hystérie en dormant. Règles très irrégulières; à ce mome
à gauche. De même qu'en d'autres cas les symptômes permanents de l' hystérie sont peu marqués. Assez souvent le diagnostic d
ts de l'hystérie sont peu marqués. Assez souvent le diagnostic de l' hystérie ne se fait que par l'existence d'attaques antér
D'ordinaire inopinés, ils succèdent le plus souvent à une attaque d' hystérie , à un choc psychique; ils surviennent parfois e
gnes paroxystiques, mais des signes plus ou moins permanents de l' hystérie . G° Ils disparaissent d'habitude plus ou moins ra
n'existe pas de signes de ces dernières on doit toujours penser à l' hystérie . Il faut, par suite, toujours rechercher, en pa
s organes des sens, des réflexes, qui parfois permet de découvrir l' hystérie . 8° Ces mouvements ont les caractères suivants
rqué en des trou- bles psychiques de diverses espèces, tels que : l' hystérie et la démence précoce. On le note, encore comme
ystérique dont la nature est pour nous tout aussi énigmatique que l' hystérie même. Il en est tout autrement chez le catatoni
préconvulsive, convulsive, post-convulsive de la grande atta- que d' hystérie : la période préconvulsive comprenant des auras
myocloniques ont été signalées en qualité d'épi- phénomènes dans l' hystérie et la neurasthénie (Strùmpell, 111oebius, Lemoi
ysiques de son malade. G. D. LXXXVIII. Théorie physiologique de l' hystérie ; par le D1' SOLLIER. (Journ. de Neurologie, 19
D1" Sollier, après avoir critiqué les théories psychologiques de l' hystérie , expose la conception physiologique qui porte son
qui ne relèvent encore d'aucune classification spéciale. M. H. X. Hystérie à forme de paralysie générale ; par Collet et Lep
tion d'un héréditaire présentant à la fois : la débilité mentale, l' hystérie , la neurasthénie avec gastropathie et des signe
étonne sans y pouvoir trouver d'explication. P. Keraval. XLYI. L' hystérie ; par WILLLUI B. YOUNG, de Bnn-Air (Tennessee).
itation consciente ou inconsciente est le plus grand fac- teur de l' hystérie . L'auteur n'en veut pour .preuve que les grandes
fants, des accidents névropathi- ques de leurs parents. Les faits d' hystérie tardive ne sont pas plus contradictoires à cett
omme). Au point de vue anatomo-pathologique, l'auteur, pour qui l' hystérie est une psychose, pense que l'on devrait « trouve
dit-il, de la ressem- blance des symptômes de l'acromégalie et de l' hystérie . Quant au traitement, il doit être avant tout p
cure aux hystériques pauvre. De cette façon, on verrait décroitre l' hystérie au lieu de la voir s'accroître. Marcel VIOr.LET
alatine ogivale). Aucun trouble de la sensibilité, aucun symptôme d' hystérie . Au point de vue intellectuel, l'inculpée, sans
ifférent des manifestations motrices psycho-mentales du tic et de l' hystérie . Du fait de sa systématisation anatomique, de son
Dupré. Il faut distinguer entre le puérilisme et l'infantilisme. L' hystérie joue, en effet, un rôle important dans la genèse
en dehors de toute suggestion. De même, dans certaines formes de l' hystérie , les malades sont peu accessibles à l'hétéro- s
es de Latcha, mais bientôt ce nouveau sujet tombait en des crises d' hystérie répétées, avec ' Voir les nos il et 43 du Progr
saie d'expliquer- que le jeune Berthaux était plutôt prédisposé à l' hystérie . Il ajoute qu'au- cun des sujets qu'il a endorm
l la théorie du neurone, pat Muenzer, 396. Fièvre hystérique Voir Hystérie . Folie. Un cas de à deux avec infériorité rel
l'étude des localisations dans le noyau de l ? par Parhon, 63. Hystérie . Du cas d'- à grandes manifestations. Fièvre hy
veux Phénomène plantaire combiné. Etude de la réflectivité dans l' hystérie , par Ci-ocq, 261. Un - palpébral constant dan
69 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'a présenté d'accident pouvant faire supposer qu'il est atteint d' hystérie et qu'on ne constate chez lui aucun, absolument
thode chimique de Pfeiffer. Examen de 24 malades dont 17 atteints d' hystérie , neurasthénie et états semblables (tableau). A la
leur mal. L'auteur n'a jamais trouvé chez ces malades des traces d' hystérie ou d'épilepsie. Cette maladie se voit dans l'In
te une observation de surdité fonctionnelle sans la moindre trace d' hystérie proprement dite chez un mas- turhateur. A. AI.
inei.Psycho-pathotogie des sensations sexuelles.- Grandes névroses ( hystérie , épilepsie). - Conscience alternante, con- tagi
ges.- Pans, 1895. - Société d'Editions scien- tifiques. Vonoaoee. Hystérie . Volume in-8° de 123 pages. - Paris, 1895. Libr
6) Les états dési- gnés sous la rubrique Il, mais survenant dans l' hystérie , neuras- thénie, etc. II. Les états psychique
syphilis cérébrale, la mé- ningite, etc. ; spasme du pharynx dans l' hystérie , l'aura épilep- tique, l'hypocondrie; paralysie
réflexe est souvent très accusé ou exagéré dans la neurasthénie, l' hystérie , l'alcoolisme, le surmenage mental, on est cond
l'atteinte plus vive de certains systèmes de fibres que d'autres. L' hystérie post-traumatiqueaprès commotion violente de la
des particularités qui, d'après Charcot, sont caractéristiques de l' hystérie », a été observé et étudié à plusieurs reprises p
examen gynécologique. On n'admet sans doute plus aujourd'hui que l' hystérie ait son siège dans les ovaires, pas plus que l'
s névroses à troubles fonctionnels, telles que la neu- rasthénie, l' hystérie et l'épilepsie. Il croit donc utile de signaler l
e la vessie. Quant à la polyurie, c'est une compagne fréquente de l' hystérie , surtout avec grandes attaques comme ici. Elude c
vention chirurgicale. G. D. REVUE DE MEDECINE LÉGALE. I. Parjure, hystérie , amnésie ET irresponsabilité, expertise MLDICO-
xpertise médico-légale qui fit constater chez elle l'existence de l' hystérie , mais sans l'amnésie. La névrose delà malade s'
a seconde ne voyant dans les névroses traumatiques que des formes d' hystérie , mais d'une hystérie spéciale, ayant ses caract
ans les névroses traumatiques que des formes d'hystérie, mais d'une hystérie spéciale, ayant ses caractères propres. De ces
caractérisent des affections en dehors du traumatisme, symptômes d' hystérie locale ou générale, à la fois locale et général
ocale et générale, de neurasthénie, chorée, épilespie, avec ou sans hystérie , etc.; seulement ici, c'est le trau- matisme qu
que quelconque et la présence des stigmates carac- téristiques de l' hystérie , je devrais décrire mon cas aussi sous le nom d
oedème sans traitement. Le traitement doit surtout s'adresser à l' hystérie . La médi- 330 RECUEIL DE FAITS. cation locale
nsuffisance de la quan- tité absolue d'énergie psychique (exemple l' hystérie ). Il y a une modification des rouages attractif
Déjà connus depuis quelques années comme agents provocateurs = de l' hystérie , les agents infectieux tendent à prendre la valeu
hystérique succéder cliniquement à une infection primitive, c'est l' hystérie qui ouvre la marche par des accidents convulsif
squement ; dans la première observation, après un très fort accès d' hystérie dans la deuxième, après une secousse morale-dsn
ns des muscles de la face - 5° il s'accompagne d'autres signes de l' hystérie (Higier, Remak). Pathogénie. Tous les troubles
bégaiement. La seule différence c'est que dans ce dernier cas (de l' hystérie ) l'interruption est fonctionnelle et non organi
tre question d'affection organique de l'estomac, de neurasthénie, d' hystérie , la gastralgie remplace la migraine. P. K. LX
e et l'hyperes- thésie sensorielle permet de déjouer la simulation ( hystérie , névrose traumatique), surtout si l'on examine
si les observer dans les psychoses associées à l'épi- lepsie et à l' hystérie . Suivant l'auteur, la cacatonie de Kalbaum n'ex
ronoff (lfaloine, éditeur). C'est là une longue revue générale de l' hystérie , telle que l'ont faite les travaux de Charcot e
tique et rendra des services aux praticiens peu familiarisés avec l' hystérie . , E. T. ASILES D'ALIÉNÉS. XIV. DE L'INTERNEM
ment de la conscience et ammésie réciproque. J. S. LXIX. Deux cas d' hystérie ; par le D" Césare pIaNETT.1. (Il manicomio , fa
nt également des exemples du dédou- blement de la conscience dans l' hystérie . J. S. LXX. Sur la toxicité du SUC gastrique ch
e et cinquième doigts de la main droite. M. Bruns (de Hanovre). L' hystérie chez les enfants. m. Bruns fait, d'après un gra
grand nombre de cas observés par lui, le tableau symptomatique de l' hystérie chez les enfants, et insiste sur certains carac
S SAVANTES. 489 s'agit le plus souvent, comme l'a montré Charcot, d' hystérie mono- symptomatique ; le rétrécissement du cham
cas de simulation de mydriase. Pour ce qui est de la nature de l' hystérie , Bruns considère celle-ci comme un trouble psyc
e rallie à l'opinion de Moebius qui admet qu'on ne rencontre dans l' hystérie que des troubles fonctionnels qui pourraient être
qui ne cadrent pas avec la théorie de l\Ioebius. Le diagnostic de l' hystérie chez les enfants peut souvent être fait d'un se
lques cas il peut rester douteux malgré un examen pro- longé, car l' hystérie peut admirablement simuler des maladies 490 SOC
aut d'ailleurs remarquer qu'une issue fatale peut s'observer dans l' hystérie : Bruns a vu un cas d'anorexie hystérique chez un
eur malade. Une question importante est celle des combinaisons de l' hystérie avec des lésions organiques : Bruns a observé un
rmaux. Il est important, au point de vue du pronostic, de séparer l' hystérie de certains états relevant de la dégénérescence
égénérescence mentale (tics et surtout tics généralisés, etc.). L' hystérie se rencontre, chez les enfants, dans les deux sex
t de huit t ans à l'époque de la puberté. Bruns a observé des cas d' hystérie à quatre et à cinq ans ; il considère le diagno
as d'hystérie à quatre et à cinq ans ; il considère le diagnostic d' hystérie chez les enfants à la mamelle comme bien diffic
s à la mamelle comme bien difficile à faire. Les formes graves de l' hystérie sont, pour l'enfant comme pour l'adulte, beauco
campagne et dans les petites villes que dans les grandes villes. L' hystérie est à peu près aussi fréquente chez les enfants
Discussion : M. WiciiMANN a observé dans une école une épidémie d' hystérie à forme convulsive. Il a constaté aussi des cas d
nerveuses, nous allons faire une rapide analyse de ces dernières : Hystérie rabiforme chez un homme. - M. Grasset a observé u
int de troubles rabiformes d'ori- gine netlement hystérique : Cette hystérie à localisation bulbo- mésocéphalique fut facile
Grasset expose en une succession de leçons le tableau clinique de l' hystérie chez l'homme et de la neurasthénie. Il passe en
associations hystéro-o1'ganigues. Un cas de sclérose en plaques et hystérie associées, suivi de l'autopsie du malade fait ici
rares, il est probable que la sclérose a fa- cilité l'éclosion de l' hystérie ou peut-être les mêmes causes ont déterminé che
ion pouvant aller jusqu'à la guérison. Etiologie infectieuse de l' hystérie . M. Grasset défend dans une série de leçons une
ose idiopathique, toutes sont véritablement sympto- matiques même l' hystérie et les maladies infectieuses jouent pour elle u
Hystérectomie. Deux cas d'- suivie d'aliénation, par Lawrie, 353. HYSTÉRIE . Parjure, -, amnésie et irresponsabilité, par K
ns génital, par Krafït l : bina, 485. IaRESI'0\SABILIIÉ. Parjure, hystérie , amnésie et -, par Krafft Ebing, 290. - Irr
70 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nion du professeur de la Salpêtrière : que dans la grande attaque d' hystérie , « rien n'est livré au hasard ; que tout se pas
s plusieurs années médecin dans ce pays, y a observé une forme de l' hystérie qu'il décrit fort bien, et qui n'est autre que
die est endémique, 3, 0/. de toutes les maladies. Le plus souvent l' hystérie se présente ici sous forme d'attaques épileptoï
se présente ici sous forme d'attaques épileptoïdes et choréïques. L' hystérie porte le nom de jiortscha ce qui veut dire : ab
lors à la Salpêtrière, ainsi que le prouve le passage suivant : « L' hystérie dans le canton d'Oustissyssolsk ne res- semble
r Samuel Ayres rapporte comme exemple d'hystéro-épilepsie ou grande hystérie , une intéres- sante observation qui offre avec
il est facile de reconnaître les caractères d'une attaque de grande hystérie dans laquelle prédo- mineraient les symptômes d
ns laquelle il y a coexistence chez un même sujet des deux névroses hystérie et épilepsie, et qui présente au rang de ses ma
deux sortes de crises distinctes, les unes relevant uniquement de l' hystérie , et les autres de l'épilepsie. Mais il est ques
es, octobre 1881. L'auteur entreprend la description de la grande hystérie d'après les auteurs français, il donne une analys
le eut de violentes attaques convulsives, et où l'on diagnostiqua l' hystérie . Après avoir quitté l'hôpital, elle y rentra de
ris, 1875, et dans les Recherches cliniques et thérapeutiques sur l' hystérie et l'épilep- sie, p. t4l, Paris, 1876. de L'H
NS POUR SERVIR A L'HISTOIRE DE L'HI'S'fLRO-1 : 1'1LL.PSIG OU GRANDE HYSTÉRIE . [Identité de lu nature des phénomènes qui comp
nce. J'ai déjà publié°-une observation fort remarquable de grande hystérie développée en province, à Carmaux (Tarn), sous le
, a été adressée depuis à M. Charcotune autre observation de grande hystérie non moins remarquable et que je puis relater ic
roduit. Il montre bien que dans l'évolution d'une attaque de grande hystérie , la part de l'imagination du sujet est restrein
R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. DES rapports DE l' hystérie ET DE CERTAINS SYMPTOMES nerveux avec la GYNÉCO
vue. 1° Dans quelle mesure peut-on admettre les dépendances de l' hystérie qu'elle qu'en soit la forme, à l'égard des maladi
exuels de la femme ? Tenant compte, d'une part, de l'existence de l' hystérie chez l'homme et l'enfant, de l'autre des relati
t pas les mala- dies utéro-ovariennes qui engendrent spontanément l' hystérie . Celle-ci résulte d'un état d'irritation partic
on persistants dans l'ensemble du sys- tème nerveux, c'est-à-dire l' hystérie . Que l'irritation génitale existe en dehors de
ie. Que l'irritation génitale existe en dehors de lésions utérines ( hystérie autonome) ou concurremment avec elles, la dystr
trophie nerveuse qu'elle détermine, désignée par nous sous le nom d' hystérie , acquiert tôt ou tard sa franchise nosologique,
de d'un appareil plâtré; par Lemanski. Thèse de Paris, 1883. De l' hystérie gastrique; par Deniau. Thèse de Paris, 1883. De
e 't ! 'hr : 'f ! 00 m <4 noil 2u;mn| 1 un de nous sur la grande hystérie . et Js , .. ij nn`r.,a` -il r)nt ? )dt')) .frt
, 1 élément ner- veux aurait provoque 1 apparition des phénomènes d' hystérie " 1 ...". 1 1. 4. 1 . ? n<) ? )r ? t")t,h,f ?
oserions, ainsi à une incursion tro 1011 ? Lle dans le domaine de l' hystérie . Nôuslnéfaisons quesiânalér.es faité saillants;
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVII. RECHERCHES ET observations SUR l' hystérie ET LE transfert ; par M. ROSENTHAL. (f19'Chtv.
ntensité, la marche progressive et/par con- séquente la marche de l' hystérie . La faute en seraitauspasmède l'appareil» muscu
r d'excitations périphériques ou primitivement centrales. i r r L' hystérie n est, conclut le mémoire, qu'une faiblesse de ré
diaphragmatiques ; le plus ou moins de vaisseaux atteints fait les hystéries partielles ou les hystéro- épilepsies graves ;
tionnelle de l'individu causent la brusquerie des phé- nomènes, les hystéries aiguës ouïes formes chroniques. C'est pourquoi
ité par l'imagina- tion), un nombre variable et des genres divers d' hystérie : nous renvoyons, sur ce point, à l'énumération
ervation des facultés psychiques, sans hérédité proprement dite, ni hystérie : menstrua- tion irrégulière. Signalons la dila
hique paralytique; 3° Trouble psychique accompagné d'épilepsie ou d' hystérie ; i" Delirium tremens ; 5, Idiotie, crétinism
e spécifier si l'origine de la vésanie est la paralysie générale, l' hystérie ou l'épilepsie, mais uniquement si ces éléments
re. (Librairie J.-B. Baillière, 1883.) C'est un traité complet de l' hystérie , mise en rapport avec les progrès de la science
le but dans lesquels l'ouvrage a été conçu et écrit. Non pas que l' hystérie , au point de vue médical ait été négligée. Les
s et déterminantes, et à l'étude des manifestations somatiques de l' hystérie ; suit un chapitre spécial sur l'hypnotisme che
. Un autre chapitre est exclusivement consacré au traitement de l' hystérie , et résume complètement le rôle important que rem
ons, est celle qui traite des ma- nifestations intellectuelles de l' hystérie , de la folie hystérique, de la clinique médico-
ifférentiels d'avec les hystériques, tout en citant certains cas où hystérie et nymphomanie ont pu se trouver réunies sur un m
onsabilité des nymphomanes. Les manifestations intellectuelles de l' hystérie exposées dans le chapitre iv sont groupées en t
e la di- rection d'esprit à imprimer; un troisième degré comprend l' hystérie grave; ici sont consignées les observations tou
ur la res- ponsabilité des hystériques. En clinique, trois degrés d' hystérie : hystérie légère, hystérie grave, hystérie ave
ponsabilité des hystériques. En clinique, trois degrés d'hystérie : hystérie légère, hystérie grave, hystérie avec folie; au p
ystériques. En clinique, trois degrés d'hystérie : hystérie légère, hystérie grave, hystérie avec folie; au point de vue de
linique, trois degrés d'hystérie : hystérie légère, hystérie grave, hystérie avec folie; au point de vue de la responsabilit
Et enfin, c'est l'opinion qui ressort de l'ouvrage tout entier, en hystérie , l'appréciation médico-légale est essentielleme
blement sénile, soit sous forme de toute autre maladie nerveuse, l' hystérie par exemple. La fréquence serait la même chez l'h
la toux hystérique, l'anesthésie et 1'(tlitxie hys- M) ? <yMM, l' hystérie périphérique, l'anorexie hystérique, la responsab
Hypnotisme chez les hystériques, par Tamburmi et Seltpili, 250. Hystérie et transfert, par Rosen- thal, 310. Hystérie
et Seltpili, 250. Hystérie et transfert, par Rosen- thal, 310. Hystérie (des rapports de 1' et de certains symptômes ne
71 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
logiques en médecine mentale ; mais il a paru sur- tout envisager l' hystérie et l'épilepsie. Jacobs, tout en admet- tant cer
au noble. Elle aurait été toujours bien portante. Pas de traces d' hystérie . , Il y a cinq ans, elle fit dans le cercle de
autres des manifestations arthritiques diverses. Sa soeur a eu de l' hystérie convulsive dans les premières années qui suivir
dont il parle; ses argu- ments sont faibles. 1)0 Idée fixe dans l' hystérie . L'idée fixe dans l'hystérie se confond avec l'
nts sont faibles. 1)0 Idée fixe dans l'hystérie. L'idée fixe dans l' hystérie se confond avec l'étude des idées conscientes e
réalisation de la suggestion. Ce n'est pas dans le traitement de l' hystérie et bien moins encore dans celui des maladies me
ux jeunes filles ? Aucune lésion organique ne la justifie : seule l' hystérie parait en cause, l'opinion de Charcot est trop
e Charcot est trop absolue. Dès lors, il ne faut plus répéter que l' hystérie est impuissante à créer la surdité ver- bale pu
de l'abolition du réflexe anal.' SOCIÉTÉS SAVANTES. -157 Dans l' hystérie , pendant les attaques, ainsi qu'en dehors des a
iles dans le cas de difficulté de diagnostic entre l'épilepsie et l' hystérie doit faire admettre le diagnostic d'épi- lepsie
apide, les principales manifestations nerveuses, la neurasthénie, l' hystérie , l'aliénation mentale. 8. Essai sur l'état me
rs de l'abstinence dans les maladies (pyrexies, aliénation mentale, hystérie ), les jeûnes déterminés par la misère, les fami
ques et hystériques, comme il peut aussi conduire le sujet soit à l' hystérie , soit à la neu- rasthénie. M. Régis considère l
..EvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie el l'idiotie. (Compte rendu du service des entant
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. IX. De la nature et de la genèse de l' hystérie ; par P. SOLL1EI. (Cenlralbl. f. 11'rvenheilii.
ant la valeur thérapeutique de l'hypnotisme dans les cas suivants : hystérie , dipsomanie, enfants vicieux ou dégénérés, obse
ours en rapport avec l'un des trois facteurs suivants : 1° névrose ( hystérie , neurasthénie, épilepsie) ; 2° alcoolisme ; 3°
re que suivant le l'acteur qui le com- mande. C'est dire que dans l' hystérie et dans l'alcoolisme la jalousie morbide est mo
1898) sur la neurologie et la psychiatrie. Abricossoff (Glafira). L' hystérie aux xvu° et xvin0 siècles (étude historique). A
des tuberculeux. Attal (Joseph). Des troubles vasomoteurs dans l' hystérie . Audureau (Jules). A propos de quelques tumeurs e
, tumeurs fantômes). Kirkoff (Nicolas). Contribution à l'étude de l' hystérie dans ses rapports avec la syphilis acquise et h
que, les états congestifs ou mania- ques. Nous laissons de côté l' hystérie , qui entraîne si fréquem- ment des troubles ine
, ayant rencontré chez plusieurs malades qui n'ont aucun stigmate d' hystérie une aménorrhée un peu spéciale, nous avons cher
écillité. Chez aucune de ces malades, ~ il n'y avait de stigmates d' hystérie ; la première est peut-être dégénérée, la derni
it une dégénérée; il n'y a pas de crises, ni d'autres stigmates d' hystérie . Nous sommes en présence d'une manie intermit-
les épileptiques (in Recherches clin, et thér«p. sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, 1888 t898) ; - 5° Sollier. Physiolo
perturbations dynamiques, on a trop vite fait de prononcer le mot d' hystérie ou d'hystérisme sans approfondir plus avant. Ce
ce qui relève des troubles sym- pathiques de ce qui appartient à l' hystérie pure. La thérapeutique n'est pas univoque devan
il avait affaire à un trouble d'ordre psy- chique et à soupçonner l' hystérie . Il reconnut alors l'existence latente de cette
que nouvelle, dont elle devait apprendre à se servir. A raison de l' hystérie , elle a été incapable de l'effort d'attention e
hez des enfants de quatorze et quinze ans ne présentant pas trace d' hystérie , sans aucune hémiplégie ni parésie et dont la m
XXXVI. Diagnostic différentiel entre la sclérose en plaques et l' hystérie ; par Thomas 13UZZ\I\D. (British med., mai 1899.)
owers d'après Gore, Gulrin, Mac Corthy. Il n'existe ni épilepsie ni hystérie . P. Keraval. XL. Des paralysies faciales récidi
rique, de même que Charcot. Un voici un cas qui rentre aussi dans l' hystérie . Il n'a pas d'autre particularité que d'apparte
s diverses sensations qu'elle éprouve, et tout son air, indiquent l' hystérie . Cette astasie-abasie persistante (elle dure de
int que de ces hémorragies. On trouve en outre divers symp- tômes d' hystérie . En présence des hémorragies variées sans cause
es cérébrales (8 cas), du côté malade, comme du côté sain et dans l' hystérie (4 cas). Les recherches faites sur 10 personnes
ystériques porte un cachet spécial qui dénote bien la présence de l' hystérie . Ont pris part à la discussion : 111\i. 13orx,l
rneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. (Compte rendu du service des enfant
ffroy. Hallucinations unilatérales. (Archives de neurologie, 189G.) HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 391 les excitations externes prov
ral provoqué par l'intoxication alcoo- lique. RECUEIL DE FAITS. HYSTÉRIE DE L'ENFANCE; Par BOURNEVILLE et J. BOYER. Le
S. HYSTÉRIE DE L'ENFANCE; Par BOURNEVILLE et J. BOYER. Le cas d' hystérie mâle de l'enfance que nous allons rap- porter,
figure qu'il ne peut suivre la classe où on l'a placé au collège de HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 393 Soissons. La vue de son profe
ement de la mémoire et de l'intelligence. Le Dr moufter conclut à l' hystérie . Ce diagnostic est sanctionné par M. le D'' Gil
ers; de même en arithmétique il commence une multiplication, mais HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 395 est incapable de la mener jus
e résolution, Gabiiel tout en poussant des cris de joie essaie de HYSTÉRIE DE L'ENFANCE. 397 rapprocher ses deux mains don
'Weir Mitchell recommande pour le traitement des femmes atteintes d' hystérie grave et de neurasthénie une méthode reposant e
e, la méthode de Weir Mitchell comme traitement systématique de l' hystérie grave, de certaines formes de neurasthénie et d
Du traitement méthodique de la neurasthénie et de quelques formes d' hystérie . » Paris, 1883.) Avant Weir Mitchell, un médeci
s antérieurement perçues. Or, ' .1. Pitres. Leçons cliniques siii l' hystérie . Paris, 1891, \ol. I, p. 110. 468 REVUE CRITI
'origine centrale, on peut encore en observer un autre groupe, où l' hystérie joue le principal rôle. Dans cette intoxication c
l en expose les allures normales et montre que dans cinquante cas d' hystérie et de neurasthénie, la teneur en substances fib
différenciant ces signes des troubles d'oxydation constatés dans l' hystérie et la neurasthénie, de ceux, du même genre ou d
rthritisme, de l'uricémie, des néphrites; l'auteur en conclut que l' hystérie et la neurasthénie sont des complexus symptomat
du diabète, etc., il existe un trouble d'oxydation spécifique de l' hystérie . L'hys- térie qui se produit dans la chlorose e
Malheureusement on ne peut discuter ni les rapports opposés, de l' hystérie et de la neurasthénie, ni le point de départ de c
is- sements. Après examen des éléments du diagnostic relatifs à l' hystérie aux embolies, thromboses, hémorragies, à l'urém
e. En admettant l'exactitude du diagnostic de M. Francke, entre l' hystérie et une affection spinale à lésion, il ne saurait
ibli les parties du système nerveux ultérieurement lésées puisque l' hystérie est une maladie de l'encéphale et non de la moe
missements, insomnie, dysurie, rétention d'urine. On diagnostique : hystérie . Elle entre le 2ï mai. On constate successi- ve
sset, 49. par Henni, 312. Diagnostic différen- tiel entre la et l' hystérie , par Blizzard, 313. Ecorce cérébrale dans la
72 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
minutes, et qui nous ont donné le spectacle d'une véritable attaque d' hystérie . Au premier abord, voyant le nombre des inspirati
ésir de mettre à profit un certain nom-bre de cas très-remarquables d' hystérie qui se trouvent actuelle-ment réunis dans nos sal
verrez indiqué dans aucun des traités ou des ar-ticles i écents sur l' hystérie , même dans les plus complets et les plus justemen
de la simulation. On la ren-contre à chaque pas dans l'histoire de l' hystérie , et l'on se surprend quelquefois à admirer la rus
r les observations d'ischurie hysté-rique : c'est que, en dehors de l' hystérie , la suppression d'urine, pour peu qu'elle se prol
tent actuellement et parmi lesquels vous reconnaîtrez les traits de l' hystérie intense, invétérée, marquée par une réunion carac
ôt épileptiformes, d'autres fois se rapprochant du type vulgaire de l' hystérie . Ainsi, ce matin, vous pouvez recon-naître un acc
es attaques, c'est de retrouver parmi les convul-sions cloniques de l' hystérie certains traits plus ou moins pro-noncés qui rapp
Cela veut dire que chez les malades auxquelles ce nom est affecté, l' hystérie se montre combinée avec l'épilepsie, de ma-nière
à constituer une forme mixte, une sorte d'hybride composé mi-partie d' hystérie et d'épilepsie. Mais cette appellation répond-ell
roses ; ce n'est pas seu-lement l'épilepsie, ce n'est pas seulement l' hystérie ; c'est à la fois l'une et l'autre. Telle est,
use à admettre la légitimité de cet hybride, moitié épilepsie, moitié hystérie . A la vérité, on ne nie pas que l'épilepsie et
e, moitié hystérie. A la vérité, on ne nie pas que l'épilepsie et l' hystérie puissent se rencontrer chez un même individu. L'o
où l'épilepsie semble s'entremêler avec les symptômes ordinaires de l' hystérie convul-sive ? L'épilepsie ne serait là que dans
autres termes, dans ces cas, il s'agirait uniquement et toujours de l' hystérie revêtant l'appa-rence de l'épilepsie. Le nom d'hy
toujours de l'hystérie revêtant l'appa-rence de l'épilepsie. Le nom d' hystérie épileptiforme, employé, si je ne me trompe, par L
Briquet, qui se montrent sous ce rapport très-explicites. Les accès d' hystérie , dit Tissot, ressemblent quelquefois beaucoup à l
coup à l'épilepsie. Aussi, en a-t-on fait une forme particulière de l' hystérie , sous le nom d'hystérie épileptiforme. Mais ces a
i, en a-t-on fait une forme particulière de l'hystérie, sous le nom d' hystérie épileptiforme. Mais ces accès n'ont pas néan-moin
e vrai caractère de l'épilepsie l. M. Dubois (d'Amiens) considère l' hystérie épileptiforme comme de l'hystérie ayant un degré
M. Dubois (d'Amiens) considère l'hystérie épileptiforme comme de l' hystérie ayant un degré de plus dans l'intensité des sympt
e marqué au coin de la plus saine observation, dit que cette espèce d' hystérie ci attaques mixtes n'est qu'une forme particulièr
ce d'hystérie ci attaques mixtes n'est qu'une forme particulière de l' hystérie ; ce n'est que de l'hystérie très-grave ; le prono
xtes n'est qu'une forme particulière de l'hystérie; ce n'est que de l' hystérie très-grave ; le pronostic ne s'en trouve pas esse
as essentiel-lement modifié ; le genre de la cause qui a occasionné l' hystérie , les conditions spéciales à l'individu affecté, s
echerchons donc sur quels fondements s'appuie la doctrine régnante. L' hystérie et l'épilepsie, dit-on, peuvent se combiner de di
subdivisions. Io L'épilepsie est la maladie primitive ; sur elle, l' hystérie vient ensuite se greffer, à son heure, c'est-à-di
dissimulée, se révèle. De là des contrariétés vives qui engendrent l' hystérie . Les attaques étaient disjointes et conservaient,
ar une grossesse, en ramenant le calme dans le mé-nage, fait cesser l' hystérie , mais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois l'
mais l'épilepsie persiste. 2° D'autres fois l'épilepsie succède à l' hystérie . Cette condition paraît être beaucoup plus rare q
core mentionné d'aulres combinaisons d'ordre secon-daire. Ainsi, a) l' hystérie convulsive coexiste avec le pelil mal (Beau, Duna
épilepsie convulsive est surajoutée à quelques-uns des accidents de l' hystérie non convulsive (contracture, anes-tbésie, etc.).
d'accord. Le débat ne porte que sur la seconde. B. Dans celle-ci, l' hystérie et l'épilepsie sont coévales ; elles se sont déve
attaque mixte revêt son caractère propre; dès cet instant, c'est de l' hystérie épileptiforme. Je rappellerai à votre souvenir la
cipalement la discussion, succède la phase clonique. Alors, tout est hystérie : on voit survenir les grands mouvements à caract
. V. Nousjoici parvenus, messieurs, au point délicat. En quoi cette hystérie à crises complexes se sépare-t-elle de l'hystérie
icat. En quoi cette hystérie à crises complexes se sépare-t-elle de l' hystérie ordinaire, si elle s'en sépare réellement? en quo
ment non. Il n'est pas vraiment exceptionnel de voir dans l'attaque d' hystérie commune, — alors que personne ne songe à faire in
ue M. Briquet a été, par là, conduit à éta-blir à côté de l'attaque d' hystérie clonique, ou classique, une sorte d'attaque dans
xagération, le plus haut degré de développement de cette variété de l' hystérie ordinaire. VI. Si d'un autre côté nous tournons
cas de la malade Leroux, qui, depuis près de 40 ans, est sujette à l' hystérie épileptiforme la plus violente. Cette femme est,
l'opinion de M. Briquet, le pronostic n'est pas autre que celui de l' hystérie intense. De cette considération découle une consé
être utilisé pour le diagnostic. Mais il est temps d'en revenir à l' hystérie épileptiforme dont cette digression nous a quelqu
pilepsie vraie de l'hystéro-épilepsie ? — « Si ce n'était pas là de l' hystérie , » disaient en parlant de Cotte les personnes du
e chapitre des exceptions. Il n'est pas, en effet, sans exemple que l' hystérie se soit, pendant la phase convulsivo, terminée pa
73 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
RECHERCHES SUR L'ÉPILEPSIE, L' HYSTÉRIE ET ' - ' L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRÈS
CAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L' HYSTéRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE DES ÉP
nombre de malades, enfants et adultes, présentant des attaques d' hystérie nettement caractérisée, nous avons le dessein d
ainement ces nouvelles observations dans une étude d'ensemble sur l' hystérie chez l'homme. On sait que l'existence de l'hyst
'ensemble sur l'hystérie chez l'homme. On sait que l'existence de l' hystérie chez le sexe mas- culin a été longtemps mise en
x documents épars dans les recueils pour constituer l'histoire de l' hystérie chez l'homme, il faut bien dire aussi que la pl
suffisantes pour HTSTRO-IsPILI : PSIl;. 31 assimiler absolument l' hystérie de l'homme à celle de la femme. - Ainsi que nou
testicule a été aussi quelquefois essayée avec succès. Au total, l' hystérie , sauf peut-être pour les troubles particuliers
ons signaler à l'attention du lecteur les symptômes permanents de l' hystérie , à savoir : l'hénia2est)tésie, intéressant à la
nous croyons donc autorisés à conclure que les manifestations de l' hystérie sont identiques dans les deux sexes. Tout au pl
d'éthyle sont employés pour combattre les accidents convulsifs de l' hystérie et de l'épilepsie; malheureuse- ment, si, grâce
t a été administré à plusieurs reprises au moment même d'attaques d' hystérie ou d'accès d'épilepsie. Ainsi ont été réalisées
s physiologiques du bromure d'éthyle ; 2° action sur les attaques d' hystérie ; 3° action sur les accès d'épilepsie ; 4° acti
s, le (1) Sappey. - Anal. descriptive, t. I, p. 3'2. ACTION SUR L' HYSTÉRIE ET L'ÉPILEPSIE. 53 passage rapide du clownisme
idiotie (Ibid., p. 391.) D'OLIER (I-I.). - De la coexistence de l' hystérie et de l'épilepsie, avec manifestations distinct
de 92 pages. SADRAIN (G.). - Étude sur le traitement des attaques d' hystérie et des accès d'épilepsie. In-8" de 56 pages.
. Deuxième fascicule : Urémie et éclampsie puerpérale; épilepsie et hystérie . Paris, 1873. In-8 de 160 pages, avec 14 fig. P
ILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilep- sie et l' hystérie . In de 200 pages avec 5 fig. dans le texte et 3 p
- Deuxième fascicule : Urémie et éclampsie puerpérale; épilepsie et hystérie . Paris, 1873. Tn-8 de 160 pages, avec 14 lit. P
ILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilep- sie et l' hystérie . In-8 de 200 nages avec 5 fig. dans le texte et 3
s dans les hémianesthé- sies liées à une affection cérébrale ou à l' hystérie . Brochure in-8. Prix 50 cent. Pour nos abonnés
74 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
L'anesthésie et l'hémianesthésie sensorielle ne caractérisent pas l' hystérie ; on la rencontre dans bien d'autres affections du
nt). I I^ L'anesthésie sensorielle se rencontre dans l'épilepsie, l' hystérie , l'hys- téro-épilepsie, l'alcoolisme, le nervos
ons, sur une étendue presque égale. II. Anesthésie sensorielle de l' hystérie . Vingt-huit malades au- raient été suivies (26
servations, dont un homme. D'après eux, dans la plupart des cas d' hystérie , la paralysie de la sensibilité cutanée est non p
res que dans les formes les plus graves et les plus opiniâtres de l' hystérie , que celle-ci se traduise ou non par des convul
dans les névroses générales (à l'exclu- sion de l'épilepsie et de l' hystérie ). A. Neurasthénie (faiblesse irritable) et nerv
z une hystérique (OBs. XXXIV) ; le second a trait à une chorée sans hystérie (Ocs. XXXV); dans le troisième, il s'agit d'une
r 84 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'élément diagnostique entre l' hystérie et la sclérose multilocn- ]aire. VI. Remarque
à l'hémianestliésie sansova.rie, admettent-elles le diagnosic de l' hystérie ? L'orateur ne saurait le nier résolument, de sor
e sommeil ? Près de 2,000 observations individuelles (neurasthénie, hystérie , hypochondrie, états d'excitation ou de faibles
lecture d'une note dans laquelle sont envisagés les rapports de l' hystérie avec la paralysie générale chez la femme. Sur tre
générale, l'orateur aurait noté sept fois les symptômes évidents d' hystérie . La coïncidence de ces deux maladies ne serait
sie générale n'est nullement influencée du fait de l'existence de l' hystérie : deux fois seulement, M. Rey a noté un délire
deux fois seulement, M. Rey a noté un délire érotique. Quant à l' hystérie , ses manifestations s'atténuent en général au sur
étudiés en ce qui concerne le tabes. Epilepsie, aliénation mentale, hystérie , tabes, atro- phie musculaire, etc., se succède
exploration ophthalmoscopique n'a jamais donné ce qu'on voit dans l' hystérie , particularité importante pour le diagnostic de
84 et 1885 dans Progrès Médical. Il. Richer. Études sur la grande hystérie , 2- éd. 1885. ;1 Ch. Féré. Les hypnotiques hyst
Le 23, les. désordres inflammatoires décroissent dans le poi- DE 1/ HYSTÉRIE AVEC LU RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 231 gnet p
ot attirait-il l'attention de son auditoire sur la combinaison de l' hystérie avec le 1 J.-M. Charcot. Sur deux cas de moizop
u'enfin, si le rhumatisme modifie souvent les mani- festations de l' hystérie on voit aussi quelques cas où ces mani- festati
ait avec les trois observations de L. Meyer, décrites sous le nom d' hystérie aiguë mortelle ; tout diagnostic exact est du r
la classification. Sans doute cette obser- vation se rapproche de l' hystérie mortelle aiguë de L. lleyer, mais le nom est en
on. Du crélinisme, on ne sait rien. On ob- serve très fréquemment l' hystérie et l'épilepsie sans troubles psychiques proprem
rmes se rattachant plus exactement à la manie, à la mélancolie, à l' hystérie , à la stupeur, à la paralysie générale. Ces sem
e XVIII of the « Clirtical Societg's Tiansac- Berjon (A). La grande hystérie chez l'homme. Phénomènes 1s d"inhibition et de
, comme on la voit se produire en apparence spontané- ment dans l' hystérie . Je viens aux hypothèses d'inhibition. Un grand
suivre.) MÉDECINE LÉGALE RAPPORT MËDtCO-LËGAL SUR ANNETTE G... ( hystérie ET MOItPHI01LNIE Par Mil. CHARCOT, BROUARDEL et
la reconnaissance. 11 était difficile pour le tribunal d'apprécier HYSTÉRIE ET MORP ! 1[OMAN1E. 399 autrement qu'il le fit
use vint en cet état devant la cour. Annette G... eut une attaque d' hystérie à l'au- dience, et son défenseur prit des concl
ut des visions elfrayauLes; les accès hallucinatoires se répétaient HYSTÉRIE ET MORPHIOMANIE. 401 toutes les nuits et duraie
G... dit que « son attaque » est précédée de violents battements HYSTÉRIE ET MORPHIOMANIE. t03 très douloureux dans la te
nt un de ses doigts. Cette tentative ne détermine, qu'une attaque d' hystérie à forme cataleptoïde : les membres sont raides,
éjà chez Annette G... Ils appar- tiennent exclusivement l'attaque d' hystérie avec raideur générali- sée desmembres. Cette
pnotiser, n'a- vait rien provoqué de plus chez elle que l'attaque d' hystérie cataleptoïde dont nous venions d'être témoins,
quel nous avons le devoir d'insister. Annette G... est atteinte d' hystérie . Depuis onze ans, elle a présenté les manifesta
nécessaire- ment. P. CHASLIN. III. Etudes cliniques sur la grande hystérie ou hysléro-épilepsie ; par Faut Richer (Je édit
atre parties : 4 la grandehysté- rie ; 2° le grand hypnotisme; 3° l' hystérie dans l'histoire; 4° l'hys- térie dans l'art.
iverses périodes de l'hypnotisme. 3° Tout un appendice intitulé : l' Hystérie dans l'histoire, passe en revue dans l'ordre ch
retrouvent dans les descriptions anciennes les signes de la grande hystérie et de ses variétés qui ont fait l'objet de la p
nt fait l'objet de la première partie. 46 La dernière partie : de l' Hystérie dans l'art, qui est essen- tiellement nouvelle
excelle à décrire les ressemblances avec les attitudes de la grande hystérie . Un ivoire de la bibliothèque deRavenne (ve siè
enheim, 80. Anthropologie par Topinard, 124. Apomorphine dans l' hystérie et les troubles nerveux, 445. Apoplexie séreu
Hoematorachis, 100. Hypnotisme (de l'), par Jendrassik, 358. Hystérie (études cliniques sur la grande), par Richer, 1
58. Hystérie (études cliniques sur la grande), par Richer, 152. Hystérie et morphinisme, 398. Hystérie et paralysie géné
sur la grande), par Richer, 152. Hystérie et morphinisme, 398. Hystérie et paralysie générale, 119. Hystérie et rhumati
ystérie et morphinisme, 398. Hystérie et paralysie générale, 119. Hystérie et rhumatisme, 216. Hystéro-choreique (épidémie
Bernai;, 423. Rhumatisme articulaire aigu, ses relations avec l' hystérie et l'épi- lepsie, par Souza Leite, 216. Sclér
75 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dans des affections fonctionnelles avec hyperexcitabilité réflexe ( hystérie , névrose traumatique), et c'est alors son inten
on, en l'absence de tout trouble intellectuel, de tout stig- mate d' hystérie , conclut à la responsabilité pleineet entière de
CIl\TALOFF, A. ÏOKAnSKY. BIBLIOGRAPHIE. 1. Genèse et nature de l' hystérie ; par le Dr P. SOLLICn. M. Sollier a publié réce
expérimentaux qui servent de base à une nouvelle con- ception de l' hystérie ; le second, aux observations des malades qui lu
nt recouvré la sensibilité et ne présentaient plus aucun stigmate d' hystérie . . . De ces expériences, M. Sollier a conclu qu
e, M. Sollier a cru pouvoir dégager une théorie pathogénique de l' hystérie qui peut se formuler ainsi : Les hystériques ne
somnambules plus ou moins complètes. Toutes les manifestations de l' hystérie , quels que soient leur nature ou leur siège, qu
aux, elle reste entière à déterminer. Telle estla conception de l' hystérie que l'on trouvera exposée avec un très grand lu
tue pas moins un ingé- nieux essai de physiologie pathologique de l' hystérie qui sera lu avec intérêt par tous ceux qui s'in
1oUl'a vieff.. , BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Abricossof (M"0 G.). L' hystérie aux AF7/' et XVIII° siècles (Étude historique e
Cee. CULI.ERnE. -De l'incontinence d'urine dans ses rapports avec l' hystérie infantile. Brochure in-8° de 8 pages. -'fouleus
exe rotulien a droite. Aucun trouble du langage. Aucun stigmate d' hystérie . Pas d'albu- mine ni de sucre dans les urines.
rouble objectif; l'acuité auditive parait normale. Aucun stigmate d' hystérie si ce n'est une diminution notable du réflexe p
s à la symp- tomatologie comparée de .la paralysie générale et de l' hystérie . L'ensemble de ces symptômes (anesthésie, parés
qui n'amendent rien, c'est incompréhensible. P. KERAVAL. XXVIII. Hystérie ET folie IIYS1ÉRIQLE; par E. SOKOLOWSKI. (Centr
IX, N. F. vu, 1896.) Il n'est pas possible de séparer logiquement l' hystérie des autres névroses sans faire appel à la théor
Mensonges d'ailleurs impudents des hysté- riques. C'est pourquoi l' hystérie est le champ le plus fertile des consultants, d
1899. CULLERRE. De l'incontinence d'urine dans ses rapports avec l' hystérie infantile. Brochure in-8l,de 8 pages. Toulouse,
des résultats positifs pour que l'on soit en droit de conclure à l' hystérie . 11. Ballet admet que l'amaurose hystérique est
as répondant clinique- ment à des types des lésions fonctionnelles, hystérie entre autres, qu'en réalité étaient la phase in
cherche à établir la relation étiologique qui existeparfois entre l' hystérie et la tuberculose héréditairement ou directement.
erculeux. Fréquemment on observe l'alternance de la phtisie et de l' hystérie dans une même génération, ou l'alternance de po
un trau- matisme de la moelle. G. D. XVII. Rapports DES névroses ( hystérie , épilepsie, chorée) avec la grossesse ET l'acco
; par M. le Prof. Tarnieh. (Presse médi- cale, 10 avril 1897.) L' hystérie n'est d'ordinaire en rien modifiée par la grosses
nuée ; quelquefois seulement elle est aggra- vée. Le pronostic de l' hystérie pendant la grossesse est donc bénin. 'D'autre p
La polyurie dite essentielle est presque toujours un symptôme de l' hystérie . Le diagnostic de cette polyurie hystérique est f
en effet, que la condition sine qua non de la suggestibilité est l' hystérie et par suite, d'après eux, tout dégénéré influe
et, en renversant la proposition, que beaucoup de dégé- nérés ont l' hystérie en puissance. Parfois aussi le diagnostic de la
e tumeur, le diagnostic peut offrir les plus grandes difficultés. L' hystérie peut, en effet, être la conséquence du traumati
ut aussi être la conséquence d'un trouble cérébral. On sait que l' hystérie se combine avec toutes les affections cérébrales,
pas une seule maladie qui, à un moment donné, ne soit un appel à l' hystérie , pourquoi nier l'existence d'une polyurie essen
, maladie autonome aussi capable que tout autre de faire naitre une hystérie d'occasion ? A. Fenayrou. XXI. Un C\S DE MIGRAI
le début de l'insomnie la malade n'avait présenté .aucun symptôme d' hystérie . Dans les conditions ordinaires, la malade ne p
c être confondus avec les anes- thésies mobiles symptomatiques de l' hystérie . Au fibrome se sura- joute, dans ce cas, une to
. Les paralysies des muscles isolés sont extrêmement rares dans l' hystérie . Dans un des cas de ce genre (celui de Verhoogen,
genre (celui de Verhoogen, voir Gilles de la Tourette, Traité de l' hystérie , t. II, p. 56), il s'agissait aussi de la paral
d'élévation. Le malade est porteur de stigmates incontestables de l' hystérie : rétrécissement concentrique du champ visuel a
de double conscience. L'hypnotisme enfin n'est pas un symptôme de l' hystérie , mais celle-ci est une maladie du moi sublimina
r- tient à la dégénérescence mentale et ce que peut revendiquer l' hystérie . - En dehors même de l'obsession, qui est manif
e aux mensonges se sont manifestées dès le premier âge, alors que l' hystérie ne paraissait pas devoir être mise en cause, et
chées à la dégénérescence héré- ditaire. Sur ce terrain est née l' hystérie , caractérisée par ses stigmates classiques et p
à déterminer le siège et l'étendue de la lésioii. Daiisle tabès, l' hystérie , sans avoir la valeur que lui accorde Rosenbacb
e des maladies aiguës. 19. Contribution à l'étude des rapports de l' hystérie et de la paralysie générale; par J.-V. ROBErjT.
lysie générale; par J.-V. ROBErjT.. La question des rapports de l' hystérie et de la paralysie générale comprend deux terme
a maladie orga- nique. Dans l'association hystéro-paraly tique, l' hystérie peut être préexis- tante ou consécutive à la mé
la méningo-encéphafite. Se trouve-t-on dans ces cas en présence d' hystérie essentielle ? Non. Il n'y a là que des phénomènes
? Non. Il n'y a là que des phénomènes hysté- riformes qui sont à l' hystérie vraie ce que les attaques épilepti- formes sont
e ce que les attaques épilepti- formes sont à l'épilepsie. Enfin, l' hystérie peut emprunter le masque de la paralysie généra
e. Dans l'un se trouvent réunies un certain nombre d'observations d' hystérie , de formes et de degrés variables, depuis la peti
e, elle est prise de suffocations avec boule; puis le grand accès d' hystérie ma- jeure se produit avec toutes les phases ord
en souvent impossible de faire la part des accidents imputables à l' hystérie ou à l'hystéro-épilepsie. Les troubles de la se
, les hémianesthésies ouïes anesthésies variables, c'est-à-dire à l' hystérie majeure. Et si j'ai cru devoir relater brièveme
n somme, l'amaurose complète por- tant sur les deux yeux est dans l' hystérie un fait relativement rare. Briquet ne l'avait r
lraplcie de la Salpëlrière, t. I, p. 19, 11. 3 Briquet. Traité de l' hystérie , p. 293. * Voir aussi le mémoire de 1)'Olier,in
- bution à l'étude du sommeil hystérique. Centurie (Jules). Sur l' hystérie chez les jeunes enfants. - Deglaire (Léon). Con
rowell. 326. - IhSTLKEciOMiE dans la folie, par Davenport, 336. Hystérie . Genèse et nature de l'- par Sullier, 93. - ot
Lnlce, 218. - aiaue par Richault, 345. Rapports rie la - et de l' hystérie , par Robert, 345. - juvéiiiie, par Régis, Chris
76 (1876) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l'hystérie : Compte rendu des observations recueillies à la Salpêtrière de 1872 à 1875
ECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR . L'EPILEPSIE & L' HYSTÉRIE COMPTE-RENDU DES OBSERVATIONS RECUEILLIES A LA
(D') etconsidéra- (1) Bonnefoy. - Des troubles de la vision dans l' hystérie , etc., p. 2S, - .. - ÉTAT DE MAL ÉPILEPTIQUE, 9
riode des palpi- tations cardiaques. Elle u'ofl're aucun symptôme d' hystérie î la motilité et la sensibilité, en particulier
es premiers accidents remontent à l'âge de 14 ans. - Epilepsie et hystérie à crises distinctes ; étourdissements. Parmi les
. du nitrite d'al1yle dans l'épilepsie, l'hyMeéjro3m épilepsie et l' hystérie . Le nitrite d'amyle a été employé dans l'épilep
grâce aux inhalations de nitrite d'amyle. ' C. Faits relatifs ci l' hystérie et à 1 ll ! JSléî"O-épilepsie. Plusieursmoyenss
ontmisà contribution, à la Salpétrière, pour arrêter les attaques d' hystérie et d'hystéro-épilepsie. Nous avons signalé préc
a pouvaient déjà faire deviner son efficacité contre les attaques d' hystérie et d'hystéro-épilepsie qui s'annon- cent par de
vec quelques détails. nitrite d'amyle. ' " 99 Observation XXIV. Hystérie . - Hyperesthésie ovarienne et hémianesthésie dr
e étaient claires, pâles, sans dépôts, sans sucre. Observation XXV. Hystérie . - Hyperesthésie ovarienne et llémianesthésie à
(service de M. Delasiauve), est sujette à de fréquentes attaques d' hystérie , souvent suivies de délire avec propension au s
es attaques dans lesquelles prédo- minent tantôt les symptômes de l' hystérie , tantôt ceux de (1; Chez celte jeune 11 lie, le
un claquement des en comme dans Je trisson.- - Observation 111. ? Hystérie et epilepsie. Nitrite d'amyle Hallucinations de
e nitrite d'amyle a sur les accès d'épilepsie ou sur les attaques d' hystérie et d'hystéro-épilepsie une action incon- / test
statons les mêmes phénomènes qu'autrefois et que la pathologie de l' hystérie n'a pas changé. Nous pourrions établir de nombr
physiologique. Les derniers vestiges des symptômes permanents de l' hystérie ont disparu et Etch... peut être regardée comme
survenir la plupart des accidents connus aujourd'hui sous le nom d' hystérie locale. Avant de les passer en revue, arrêtons-
t quelques dixièmes. Pour plus de détails sur la température dans l' hystérie , voyez Bourneville : Etudes clini- que» et t/¡e
ropa- thiques. Paris, 1869. - Ferran, Du vomissement de sang dans l' hystérie , Paris, 1874. - Bourneville, Louise Lateau ou l
ouvent, l'apparition ou la disparition d'un symptôme permanent de l' hystérie succède à une attaque convulsive. Il y a là une
. II. « L'ischurie (1) n'est pas une manifestation fréquente de l' hystérie , et, même dans les cas peu nombreux où elle a é
plètes, et l'apparition ou la disparition des manifestations de l' hystérie locale. Paralysie, contracture, aggravation ou
existe entre les attaques convulsives et les manifestations de l' hystérie locale n'est pas l'apanage exclusif d'Etch... I
quiétudes. Il suffit du reste pour être édifié sur la marche de l' hystérie d'avoir étudié quelque peu les travaux scien- t
77 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ainsi (dont quatre cas sans antécé- dents héréditaires, et deux d' hystérie épileptiforme), et chez cinq autres malades tra
du Practischeiz Medicin de P. Borner, année 1879, p. 25 ? ' DE l' hystérie . 53 de son intégrité à l'esprit. Selon cet aute
algesthésie n'était modifiée qu'aux poignet et main gauches. DE l' hystérie . 55 Si, fermant ses yeux, on place les membres
(grand-père maternel aliéné) ; de plus, jusqu'à l'âge de sept de l' hystérie . 57 ans, elle a été nettement rachitique et scr
allures que lorsqu'il résulte de lésions uniques. P. K. IV. De l' hystérie considérée dans ses relations avec quelques mal
s suivantes : ' Io Les divers états que l'on comprend sous le nom d' hystérie représentent autant de localisations différente
et mosologiques qui leur correspondent; 3" Dans le traitement de l' hystérie toute espèce d'agents thé- rapeutiques peut dev
ut-être M. Miliotti élimine-t-il cependant un peu trop facilement l' hystérie , cause si fréquente des manifestations nerveuse
s morbides de pareille origine sont vagues, toute- fois lachorée, l' hystérie proprement dite, lespropensions au suicide y ma
efficace dans d'autres né- vropathies convulsives, notamment dans l' hystérie .Le bromure de zinc doit être en général préféré
a paralysie générale. On trouva, dans une observation, le type de l' hystérie mortelle aiguë de L. Meyer (absence de troubles
4 .) P. KËRAVAL. BIBLIOGRAPHIE I. Contributions ci l'élude de l' hystérie . (Cas pratique. Hystérie à forme convulsive. Gu
IOGRAPHIE I. Contributions ci l'élude de l'hystérie. (Cas pratique. Hystérie à forme convulsive. Guérison ); par le Dr Eusta
mENo. Après avoir rappelé sommairement les diverses théories de l' hystérie l'auteur, dit qu'il se range à celle de son maîtr
ération, et comme ce professeur n'est pas de ceux qui croient que l' hystérie est l'apanage exclusif de la femme, il la local
rdres menstruels, qui ouvrent si fréquemment une porte d'entrée à l' hystérie , puisque, comme le dit très bien le D Campa, su
ystérie, puisque, comme le dit très bien le D Campa, sur cent cas d' hystérie , il y en a quatre-vingt-dix dont on trouve la c
la malade et les phénomènes observés, conduisaient au diagnostic d' hystérie à forme convulsive. « Opposé à la polypharmacie
es consécutives. L'hémorrhagie menstruelle se fit et les attaques d' hystérie disparurent. Un mois se passe; le flux cata- mé
, comme la première fois, les règles reparaissent et les attaques d' hystérie cessent. Il n'en est plus survenu d'autres; aussi
usions de l'auteur ne sont pas un peu prématurées. Gautiez. 1 ? L' hystérie viscérale'; par A. Fabre. (Paris, 1883, A. Delali
tant que celles qui l'ont précédée. A. Fabre voit avant tout dans l' hystérie une maladie du système nerveux de la vie végéta
ie du système nerveux de la vie végétative. Sur le tube digestif, l' hystérie ne provoque pas seulementdes troubles fonctionn
te dans des matières vomies au cours de toute autre affection que l' hystérie et l'urémie et l'abondance des liquides expulsé
te, en outre, sur une cause non encore signalée de vomis- sement, l' hystérie suspensive ou inhibitoire. La vie végétative est
en des élévations passagères de température observées au cours de l' hystérie inliilntoire et tranchant sur l'a- baissement o
érisent la fièvre hystérique. La fausse phthisie des hystériques, l' hystérie simulant les affec- tions utéro-ovariennes, non
ère l'opium à haute dose comme le médicament le plus utile dans l' hystérie , dans ses manifestations cardiaques notamment.
ble cause : névralgie faciale antérieure, trauma- tisme, voire même hystérie ; de celles-ci, nous ne dirons rien. Mais il en
Nous ne dirons rien du cri initial de l'attaque d'épilepsie ou d' hystérie ; il y a là un tableau consécu- tif si frappant,
nstitue pas moins un symptôme important et carac- téristique de l' hystérie comme l'a établi M. Charcot. Cette analogie s
s, ces recherches sont restées lettre morte dans beaucoup de cas. L' hystérie , l'épilepsie, l'aliénation mentale, etc., échap
à l'état pathologique, dans l'aliénation mentale, l'épilepsie et l' hystérie . 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A L'ÉTAT
les échanges qui se passent au sein du système nerveux. Quant à l' hystérie , nous rappellerons seulement que nous avons ins
M. Féré a observé que, dans le cas des lésions cérébrales et dans l' hystérie , il existe un rapport constant entre la sensibi
éjà plusieurs milliers d'attaques consécutives. Cette femme, dont l' hystérie n'est aujourd'hui douteuse pour personne, vient
NHARDT. 11 y a un an et demi que je connais le malade. Toute idée d' hystérie doit être écartée. Du reste, on ne trouve rien
adies nerveuses telles que l'idiotie et l'imbécillité, la chorée, l' hystérie , l'épilepsie, l'hypocondrie et enfin un certain n
des barres à sphères, puis les manoeuvres aux agrès, etc. Dans l' hystérie , les exercices qui se pratiquent au gymnase cou-
ie. XIII. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie; par BOURnC'1LLE, ]3oUTIEIt, ]3oN-
ocuments intéressants et dignes d'être consultés sur l'épilepsie, l' hystérie chez l'homme et l'idiotie. P. M. INDEX bibliogr
de la lypémanie anxieuse; par METZGER. (Thèse de Paris, 1884.) L' hystérie chez les jeunes garçons; par de CASAUBON. (Thèse
atique , pseudo-kyste, par Bourneville et Bricon, 320. Epilepsie, hystérie et idiotie (re- cherches cliniques et thérapeu-
pnotisme (nutrition sous l'in- fluence cle l'), par Guertler, G4. Hystérie (éternuments dans 1'), par SOU2a-Leite, 53 ; -
- lations avec quelques maladies localisées), par Castels, 61 ; Hystérie convulsive, pat, Gitrieiio, 129 ; - (viscérale)
78 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
micide, la mélancolie, la manie, la choréomanie, la folie morale, l' hystérie . Kelp a même rapporté un cas de folie circulaire
IQUE. 1. Sur l'élimination du bleu de méthylène dans l'épilepsie, l' hystérie et quelques formes mentales; par H. Bonfigli. (
toujours quelque interruption. J. Ségalas. II. Du traitement de l' hystérie ; par 0.\I\W1 : '1 STOCKLEY. (Médical News, 31 d
rvenant après cette période et notamment celles de la grossesse à l' hystérie et à la maladie des tics. On doit renoncer à l'av
dans la grossesse qu'il est vraiment impos- sible de rattacher à l' hystérie ou aux tics. Paralysie du mouvement associé de
llC. III. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie; par Bourneville, t. XIX, Paris, i
M..., de Saint-Pétersbourg (alcoolisme, empoisonnement de nicotine, hystérie ? ), ne pouvait marcher que foi péniblement, à la
ies des articulations, dans les rhumatismes musculaires et dans l' hystérie ; dans des cas semblables, je fais faire au membr
ents pendant les trois premiers mois ; elle n'a pas eu d'attaques d' hystérie durant sa gros- sesse. L'accouchement s'est fai
nt : « Atteinte de troubles intellectuels qui parais- sent liés à l' hystérie , loquacité, agitation, propos déraisonnables. H
a taille ont aug-' menté. Jamais nous n'avons observé aucun signe d' hystérie , contrairement à la mention du certificat de la
l'asile ressemble presqu'à un hôpital ordinaire. P. KEHAVAL. XX. Hystérie et suggestion. (Académie royale de Médecine de
Otz et Mariant se sont montré d'un avis tout à fait diffé- rent. L' hystérie relève avant tout du traitement par les agents
enir qu'en toute nécessité, et comme thérapeutique symptomatique. L' hystérie est toujours difficile à guérir et c'est à la p
contre elle. Il n'y a d'ailleurs pas un trai- tement exclusif de l' hystérie , celui-ci doit varier selon l'âge et même selon
ait du être aussi éloigné que pos- sible de toute prédisposition^ l' hystérie . R. DE Musgrave CLAY. VII. Contribution à l'étu
^ l'hystérie. R. DE Musgrave CLAY. VII. Contribution à l'étude de l' hystérie de l'enfance telle qu'on l'observe aux Etats-Un
1898.) Les conclusions de ce travail sont les suivantes : f° L' hystérie est une neuro-psychose qui se manifeste par un
ments, demeure encore sans solution précise. 2° L'étiologie de l' hystérie chez l'enfant comme chez l'adulte est très obsc
se prédisposante. Le rôle joué par l'hérédité dans l'étiologie de l' hystérie a été surfait. Il faut attacher beaucoup plus d
t de discipline, l'alcoolisme des enfants et le traumatisme. 3° L' hystérie frappe les garçons aussi bien que les tilles dans
ans. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. loi 4° La symptomatologie de l' hystérie devient caractéristique à force de variabilité
sté sain ; elle se montre parfois comme accident transitoire dans l' hystérie . L'hémianopsie due a des lésions vasculaires du
endant les mouve- ments volontaires. Quelques stigmates sensitifs d' hystérie ont per- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 153 mi
cerveau, du cervelet et de la moelle. F. B. XIII. Neurasthénie et hystérie traumatiques; par PH. COOMBS IiN.re. (l3rvizz,
sive, syringomyélie, maladie de Friedreich, sclérose en plaques, hystérie . . Les associations morbides présentent souvent
RXEVtLLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, Compte rendu du service des idiots,
blement, les myoclonies, les attaques d'épilepsie et les attaques d' hystérie est loin de satisfaire l'esprit. - Par exemple,
tics; 50 La soudaineté des attaques d'épilepsie et des attaques d' hystérie . Je. propose de lui substituer une théorie dont
un déplacement moléculaire par ébranlement (tremblement de Zielgen, hystérie traumatique, etc.) ; 3° Soit à un déplacement m
s et des tics, ainsi que des attaques d'épilepsie et des attaques d' hystérie . - Que se passe-t-il entre les décharges ? 1°
s exagérées par les excitations cutanées; attaques d'épilepsie ou d' hystérie occasionnées par l'excitation de cer- taines zo
plètement aboli. A. Poulard. XXVIII. Cécité réelle passagère dans l' hystérie ; par George C. HAHLAN (de Philadelphie). 11 s
s-Unis). Sur l'évolution de la folie du doute. Sur la nature de l' hystérie . M. OsKAR VOGT (Berlin). - L'hystérie n'est qu'
u doute. Sur la nature de l'hystérie. M. OsKAR VOGT (Berlin). - L' hystérie n'est qu'un syndrome et les divers troubles hys
de dégénérescence ou de ner- vosisme acquis. Dans tous les cas d' hystérie étudiés par moi, j'ai trouvé que des phénomènes
ent, car Freud attribue une origine sexuelle à toutes les névroses, hystérie , neurasthénie, et ce serait suivant lui la qual
ent, comme se rencontrent d'ailleurs associées la neurasthénie et l' hystérie . Paralysie générale progressive chez un sujet a
RNEvILLE. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie, Compte rendu du service des enfants
rneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
vent être attribués à la folie des dégénérés et peut-être aussi à l' hystérie . D'autre part, il ne faut pas oublier que parfo
rneville. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiolie. Compte rendu du service des enfants
gr.), le chlorhydrate d'hyoscine sont pré- férés au chloral. Dans l' hystérie , la neurasthénie, M. Hitzig applique le traitem
tête étant plongée sous l'eau le plus longtemps possible. Les cas d' hystérie , de neurasthénie sont assez fréquem- ment obser
cerveau, on ne peut pas éliminer avec sûreté la superposition de l' hystérie . M. Bruns (de Hanovre). J'ai observé et publié
(A suivre.) ' BIBLIOGRAPHIE. IX. Recherches sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. - Comptes rendus du service penda
dégénérescence. D'ailleurs dans d'autres observations de l'ouvrage ( hystérie mâle) on retrouve cette influence terrible de l
ystérie mâle) on retrouve cette influence terrible de l'alcool. L' hystérie infantile est une cause d'arriération intellectue
se dormeuse de Thenelles esquisse parfois des ébauches d'attaques d' hystérie ; c'est qu'on lui administre des lavements nutri
l'accompagnait. En prison, Azelma Auvray a été prise d'une crise d' hystérie qui a dégénéré en folie furieuse et qui a motivé
iti, 137. BLEU DE .méthylène Elimination du - dans l'épilepsie, l' hystérie et quelques formes mentales, par û0lltlll, 45
49. Recherches cliniques sur l' -, 536 TABLE DES MATIERES. l' hystérie et l'idiotie, par Bour- nevillp, 73, 438. Trait
Hôpital. UU8 visite au plus récent d'Athènes, par Peteisnn, 58. Hystérie . Traitement de l' -, par Stockley, 16. Recherch
par Ley, 147. Idiotie. ' Recherches cliniques sur l'épilepsie, l' hystérie et l' -, par Bourneville, 73,438. - épilep- t
urs de l'oeil, voies cen- trales, par Piltz, 167. Neurasthénie et hystérie trauma- 1 tiques, par Knapp, 153. Neuro-diéle
rychnine. Empoisonnement par la - , par Terrien, 493. Suggestion. Hystérie et -, par ,Il- varez, 145. Traitement par la
79 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
alytique des membres inférieurs.— Chorée. — Symptômes permanents de l' hystérie .— Caractères des attaques. — Rétention d'urine et
oût, et une dans le courant du mois, et les symptômes permanents de l' hystérie sont toujours présents. Sensibilité. — Anesthés
rneville.—Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l' hystérie . (2) Voir, pour l'histoire des quatre malades c
ète. Toutefois., il (1) Bech. clin, et thérap. sur l'épilepsie et l' hystérie , p. 137 et 143. (2) Iconographie photogr., t. i
. (3) Cette jeune fille présente, comme phénomènes permanents rie l' hystérie , une surdité, une amaurose et une abolition de l'
LEPSIE ÉTAT NORMAL OBSERVATION IT. On s'imagine souvent que l' hystérie est liée d'une façon intime à la menstruation, en
tre autres particularités, l'observation suivante nous montrera que l' hystérie grave peut se développer chez une fille longtemps
pour une paralysie de la sensibilité du bras droit et des attaques d' hystérie grave, précédées de douleurs dans le bas-ventre à
ous rapportons l'observation, sur les circonstances qui ont produit l' hystérie convulsive, ce n'est certes pas dans le but de dé
téro-épileptiques. Bien des signes indiquent qu'il ne s'agit là que d' hystérie et nullement d'épilepsie ; nous nous bornerons à
que les grandes attaques. Chez quelques malades, Parm..., Math..., l' hystérie convulsive se borne même à cette seule variété d'
ons, enfin, une jeune fille, âgée de 13 ans, Th., chez laquelle l' hystérie a été caractérisée par Y aura classique (hyperest
ux hystériques, en dehors des attaques, il ne paraît déterminer que l' hystérie gaie. (2) Démon de second ordre, boulanger et g
tre les faits anciens et les faits contemporains prouve que la grande hystérie n'a pas subi, jusqu'ici, de modifications bien pr
droit, c'est-à-dire du côté où existent les symptômes permanents de l' hystérie (hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne, etc.)
celle qui est l'objet de cette nouvelle observation a été atteinte d' hystérie avant l'apparition des règles. Dès l'âge de 9 ans
organe chez les femmes de tout âge, qui n'ont aucune disposition à l' hystérie , et qui probablement ont été spectatrices des sou
de quelqu'une de leurs connaissances (2). » (1) Traité complet de l' hystérie , 1840, p. 93. (2) Des affections locales qui dé
ystérie, 1840, p. 93. (2) Des affections locales qui dépendent de l' hystérie . (\) Loc. eit, p. 92. (2) Traité clin, et t
tumeurs squirrheuses ou fibreuses (1). » Les accidents locaux de l' hystérie induisent souvent les chirurgiens en erreur. Bien
douloureux des seins et la manifestation des symptômes généraux de l' hystérie (1). » La description tracée par nous est confo
sens). G. . est un peu excitée, dit que, elle, elle n'exagère pas son hystérie qu'elle a depuis son enfance, qu'elle veut guérir
6. Athétose, 29, 32, 37. Atrophie, 30. Attaques (Description des) d' hystérie , 96. 103, 162 etc.— Température dans les —, 98, 1
ues, Contractures, etc.). Notion de pos'tion (Perte de la) dans l' hystérie , 128, 136, 140. o Œpophagisme, 190. Ouïe (H
le, 13. — à'éthyle (Effets du), 131. Vision (Troubles de la) dans l' hystérie , 129, 136. Vomissements de saug, 191. TABLE D
80 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
individus timides et enclins à rougir. A part la femme, entachée d' hystérie , tous étaient des neurasthé- niques constitutio
est que dans un cas où la peur de la rougeur s'est trouvée liée à l' hystérie , que nous avons pu obtenir quelque chose, en pa
rieur à tous deux. F. BoISSIER. XXXIX. UN cas remarquable DE grande hystérie ; par R. Merino Y. HANCHEZ. (Siglo Medico, nove
rai- sonnable, repousse l'hypnotisme. - L'auteur, convaincu que l' hystérie est seule en cause, redoute les REVUE DE PATHOL
ester malade pour tourmenter les siens. Il pense avec Jaccoud que l' hystérie se caractérise par un état d'alaxie cérébrospin
Ces femmes ne présentaient aucun signe de paralysie générale ou d' hystérie et leur maladie a évolué comme évolue d'ordinaire
taxie locomotrice. On sait, qu'en dehors des délires toxiques, de l' hystérie et de la paralysie générale, où elles sont déjà t
re d'un précieux secours. 4° Eléments de diagnostic précieux dans l' hystérie infantile; causes souvent méconnues de beaucoup
morbide et il essaie de lu différencier de la neurasthénie et de l' hystérie , dans le cadre desquelles on la range aujourd'h
XIV. DES éruptions cutanées D'ORIGINE hystérique; par PANNETIER. L' hystérie determine des éruptions cutanées d'aspect morphol
moteur et présentent entre elles un c air de famille » emprunté à l' hystérie . Leur indé- pendance avec l'état général du suj
ancestrales. 154 BIBLIOGRAPHIE. XX. Contribution A l'étude de l' hystérie ; par TEXIER. L'expérience sexuelle précoce, con
Freud comme cause spécifique des névroses, n'est pas applicable à l' hystérie , dans laquelle, lorsqu'elle existe, elle n'est
s, etc..., par cer- taines névroses, comme la paralysie agitante, l' hystérie , l'épi- lepsie, par les affections mentales et
ux est intéressante ; les deux soeurs, présentant des stigmates d' hystérie , guérirent les premières, ainsi que le père et la
délire. La prédisposition héréditaire commune se manifestait par l' hystérie , si fréquemment com- binée aux psychoses mystiq
e avec persévérance, a une grande valeur. Même obser- vation pour l' hystérie et pour l'laystéro-épilepsie. Les maladies ment
ure (alcool, morphine), ou d'une maladie (somnambulisme, épilepsie, hystérie ) ; 4° perversions sexuelles; 5° absence de rapp
employée chaque jour pour constater les troubles sensoriels de l' hystérie . Par le même examen le trouble présenté sera re
lysie bilatérale des muscles crico-aryténoi- diens latéraux due à l' hystérie , enfin une d'aphonie hystérique. R. M. C. L.
u'il vient de décrire se rencontrent dans la neurasthénie et dans l' hystérie ; mais outre que chez les malades qu'il a observ
e chez les malades qu'il a observés, il a régulièrement recherché l' hystérie , sans la constater; ce qui paraît les rattacher
ie de Graves c'est surtout leur groupement (différent de celui de l' hystérie et de la neurasthénie) et leur fréquence. -Il 11
médecin de la maison de santé de Vanves. Pathologie nerveuse. - L' hystérie infantile. Rapporteur : M. le D1' Rézy, chargé
rina revendique la parenté de cette réaction qu'il a décrite dans l' hystérie . (Rivisladi freniatria, 1887, XIII, 2, et 1888, X
nitale ou acquise, due à différentes causes. Son exis- tence dans l' hystérie indique combien celle-ci confine aux mala- dies
confine aux mala- dies organiques du système nerveux. En réalité l' hystérie , la neu- REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
tères de coronarite, doit être considéré avant tout comme entaché d' hystérie et l'on ne peut se prononcer sur le pronostic q
ononcer sur le pronostic qu'après un examen attentif à cet égard, l' hystérie cardiaque pouvant se présenter chez les cardiaq
le personnel de surveillance des asiles. Ce sont d'abord deux cas d' hystérie traumatique chez des infir- mières. L'une, âgée
s. On sait que le traumatisme est souvent un agent provocateur de l' hystérie ou d'autres troubles nerveux. L'apparition fréq
oit même faire penser qu'il ne s'agit pas d'épilepsie vraie, mais d' hystérie ou de complication d'hystérie avec épilepsie, ou
s'agit pas d'épilepsie vraie, mais d'hystérie ou de complication d' hystérie avec épilepsie, ou encore d'épilepsie symtomati
iste pas de signes différentiels nets entre les manifestations de l' hystérie et celles de l'épilepsie. D'accord avec Oppenhe
runs, Fürstner ne croit pas à l'immunité des enfants à l'égard de l' hystérie et sur- tout de l'attaque hystérique. Il résume
bromure chez ces sujets. Le fait peut servir au diagnostic entre l' hystérie et l'épilepsie. M. Siemerling signale l'existen
e l'hystérie et l'épilepsie. M. Siemerling signale l'existence de l' hystérie chez de tout jeunes enfants : il cite plusieurs
alysie bulbaire aiguë. R. DE MUSGBAVE-GLAY. LIX. LE diagnostic DE l' hystérie ; par 1lUGIi T. PATRICE. (Neiv-York médical Jou
vail intéressant, mais impossible à analyser, où le diagnostic de l' hystérie est très bien exposé : l'auteur est très document
s suivantes : 1° Le nystagmus s'observe parfois spontanément dans l' hystérie . 2° Ce nystagmus vibratoire ne ressemble pas au
1896.) E. B. LXXII. DE la PERTE DE connaissance dans LES attaques D' HYSTÉRIE ; par le professeur Pitres. Les nosologistes
lsifs, un élément de diagnostic différentiel entre l'épilepsie et l' hystérie , la connaissance étant conservée dans l'hystérie
e l'épilepsie et l'hystérie, la connaissance étant conservée dans l' hystérie et tota- lement abolie dans l'épilepsie. Les au
e est complète dans la période épilep- toide de la grande attaque d' hystérie . Il résulte des recherches faites par l'auteur,
la conservation ou à la perte de con- naissance dans les attaques d' hystérie peuvent, pour compliquées qu'elles soient, être
en contraste de l'état narcoleptique, qui accompagne quelquefois l' hystérie , l'épilepsie, les lésions car- diaques et les l
insiste sur les analogies qui existent entre la neuras- thénie et l' hystérie d'une part et l'anxiété et la terreur d'autre p
part et l'anxiété et la terreur d'autre part. La neurasthénie et l' hystérie ont, comme la terreur et l'anxiété. toute une s
tre symptômes qui appartiennent en propre à la terreur et aussi à l' hystérie , ce sont : 1° la paralysie complète, frappant plu
sans évolution, M. Magnan examine les délires dans l'épilepsie et l' hystérie . - Le délire épileptique a pour caractères l'au
1.1.1 : , Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfants
ysie isolée de il -, par Marina, '50. D04 TABLE DES MATIERES. Hystérie . Cas remarquable de grande -, par Marino y Sanc
81 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
ésentait ù l'Académie des sciences des mémoires sur L'hypnotisme et l' hystérie , et à l'Académie de médecine sur Les anes-thésiqu
lloscopie, l'hypnotisme et l'action de divers agents physiques dans l' hystérie . (Deux mémoires présentés à l'Académie des Scienc
e Sommeil artificiel prolongé, en particulier dans le traitement de l' hystérie . Nous reviendrons sur cette communication qui a e
vantes : 1° Diagnostic différentiel de la paralysie générale ; 2° Hystérie infantile ; 3° Organisation du service médical
cinations de l'ouïe. Céphalée. Hémianesthésie sensitivo-senso-rielle. Hystérie . Troubles vaso-moteurs. — Influence curative de l
lusieurs années. Mme X..., qui ne présentait aucun des stigmates de l' hystérie , accusaitaucontraire plusieurs des stigmates de l
crudescence notable des symptômes neurasthéniques. Aucun stigmate d' hystérie . Les réflexes sont normaux. La sensibilité au con
que nous avons observés, aussi bien que dans toute circonstance où l' hystérie est en jeu. Notre premier cas a trait à une jeu
un peu excitable. Malgré l'absence de stigmates caractérisés de l' hystérie , nous penchâmes vers le diagnostic de ptosis hyst
décrire ou même d'énumé-rer les accidents oculaires qui relèvent de l' hystérie ; nous aurons réussi dans notre argumentation
s où notre volonté n'entre pour rien. Maladie des tics associée à l' hystérie par M. le Dr Rueda. J'ai observé récemment da
ans le service de M. Dabinski un cas de maladie des tics associée à l' hystérie . On sait que les tics qui dépendent de l'hystér
tics associée à l'hystérie. On sait que les tics qui dépendent de l' hystérie ont un début brusque et se déclarent après une at
, le début a été lent et a précédé de longtemps la première attaque d' hystérie . L'évolution est également différente dans les de
érie. L'évolution est également différente dans les deux cas : dans l' hystérie , les manifestations épisodiques comme les mouveme
'était gravée dans l'esprit de Pascal. Or, comme les symptômes de l' hystérie s'accusaient chez lui, une occasion, sur laquelle
e diagnostic de trouble mental entraînant l'incapacité de tester. » Hystérie mâle infantile — Onanisme invétéré Circoncision p
s. En dehors de ces rêves, dont la nature ne permet pas de dépister l' hystérie , elle a fréquemment des crises d'hallucinations h
ilité mentale se prête mal à l'influence suggestive. L'état de grande hystérie de cette malade est nettement indiqué par le fait
les parfums de fleurs qui se trouvent à une distance très éloignée. L' hystérie est aussi révélée par l'existence de contractures
SOMMEIL ARTIFICIEL PROLONGÉ En particulier dans le traitement de l' hystérie . Par M. le Dr Otto G. Wetiebstrand (Stockholm).
M. le Dr Otto G. Wetiebstrand (Stockholm). Dans le traitement de l' hystérie et de beaucoup d'autres maladies, on a donné trop
l'application de la thérapeutique suggestive. Dans le.s formes de l' hystérie , caractérisées surtout par des troubles psychique
d'elle-même, après quelques heures. Seules, les formes graves de l' hystérie fournissent l'indication de cette méthode de trai
maniaques et de délires hallucinatoires. Parmi les autres formes d' hystérie dans lesquelles le sommeil prolongé est aussi par
prolongé est aussi particulièrement indiqué, il faut noter les cas d' hystérie compliqués de morphinisme. Dans le traitement d
nt symptomatique, mais qu'il constitue un traitement fondamental de l' hystérie . Pour arriver à la guérison complète de la névr
nt un devoir d'engager tous ceux qui se trouvent en présence de cas d' hystérie grave, rebelles à tous traitements, à essayer de
latéral douloureux, permanent à gauche, transitoire à droite, lié a l' hystérie . Fort de mon succès antérieur, je conseillai à
ue. (Ann. d'oculistique, Nov.-Déc. 1887.) Charcot. — Sur un cas d' hystérie simulatrice du syndrome de Weber. Leçon recueilli
1882.) Gille de la Tourettb. — Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , Tome 1, p. 390 et seq. Paris 1891. A. vas Gbae
I, p. 378, 1871.) Lasdesbert. — Affection de l'oeil dépendant de l' hystérie . (Journal of nervous and mental diseases, vol X
and mental diseases, vol XIII. n° 2, février 1886.) Lasègue. — Des hystéries périphériques. (Arch, ginèr. de médecine. Juin 18
flammation primitive est tombée, mais deux choses ont persisté : I" l' hystérie traumatique ; 2° la contracture spas-modique du p
roissance normale de la jeune fille, à développer, avec l'anémie, son hystérie latente, à créer enfin chez elle un état de misèr
ade. Elle nous montre l'évolution progressive et presque fatale d'une hystérie entée sur un tempérament lymphatique, aidée par l
orée hystérique. Elle a présenté également des troubles con.vulsifs d' hystérie . L'enfant B..., est atteint d'onychophagie. Dès
Diagnostic de la paralysie générale. — Rapporteur M. le Dr Arnaud L' hystérie infantile. — Rapporteur M. le d' Bézy. Organisa
raités par la suggestion, par le Dr Valude, 173. Onanisme invétéré ( hystérie mâle infantile), par le Dr P. Valentin, 233. Pa
meil artificiel prolongé (du), on particulier dans le traitement de l' hystérie , par le Dr O. G. Wetterstrand, 257. Sommeil pro
rillon, 70. Thérapeutique psychique, E. B., 97. Tics associée à l' hystérie (maladie des), par le Dr Rueda, 184. Vols à l'é
82 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s'opposant pas à la reprise immédiate du travail, se rattachent à l' hystérie plutôt qu'à l'épilepsie. Les crises remontent
mi lesquels nous citerons son Traité clinique et thérapeutique de l' hystérie , 48,ï0. M. le Dr LiNAS et M. le Dl BRIERRE de B
ntion sur quelques particularités peu connues ou rares de la grande hystérie . Nous n'avons en vue qu'une description épisodi
et immuable. Il. zona HYSTËRIQUH. On a cru pouvoir rattacher à l' hystérie certaines éruptions vésiculaires mal limitées d
eu une action suspen- sive sur les manifestations convulsives de l' hystérie . On pourrait peut-être se rendre compte de la p
amener ce résultat, ou si l'amendement des symptômes propres à l' hystérie est sous l'influence de toute autre cause. Une
produire une sédation des troubles hystériques. La coïncidence de l' hystérie et du rhumatisme articulaire aigu n'est point r
HARD, médecin de l'hôpital Tenon. Tous les auteurs qui ont décrit l' hystérie , s'étendent avec un soin jaloux sur la descript
nt pas rares : « On les rencontre à chaque pas dans l'histoire de l' hystérie --dit M. Charcot et l'on se surprend quelquefoi
essures , et cette singulière comédie a précédéde peu une attaque d' hystérie des mieux caractérisées . 'Bail. La stigmatis
98 - REVUE CRITIQUE. ' tion qui n'est pas rare dans l'histoire de l' hystérie , avec quelle constante persévérance, avec quell
la parole est rendue à celles qui ne parlaient pi us ! C'est que l' hystérie , est un terrain fertile en miracles thérapeutique
nt au moindre souffle des plus petites passions. A ce degré même, l' hystérie légère n'est pas, comme le dit si bien M. Riche
. Les auteurs anciens ont souvent assimilé à tort l'hypocondrie à l' hystérie ; nous ne confondons pas ces deux états morbide
ent l'hypocondrie dans le jeune âge est le symptôme précurseur de l' hystérie qui va naître à un âge plus avancé. ÉTAT MENT
ce de re- connaître, de dépister et de combattre la disposition à l' hystérie . Voici encore d'autres exemples qui, en relatan
si on peut voir éclater des accidents nerveux connus sous' le nom d' hystérie de retour on de la ménopause, et souvent accomp
renoncer au beau type grec comme spécimen de la prédisposition à l' hystérie Il y a d'ail- leurs de par le monde trop de fem
été sans utilité : en montrant au clinicien et au thérapeute que l' hystérie atteint plus ou moins profondément la volonté,
stème nerveux et en particulier du cerveau par les mélan- colies, l' hystérie , les congestions cérébrales, les insomnies, les
de démence aiguë paraissant toujours participer plus ou moins de l' hystérie , on croit volontiers qu'ils se terminent presqu
t d'Ouïr. Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des épilept
ée en dehors de 'ombilic. DE L'HYS'l'liRO-FFILliI'S11 : . 285 l' hystérie , cette maladie si éminemment suggestive, à l'ét
Une des choses qui ont le plus retardé l'étude scientifique de l' hystérie , c'est, avec la bizarrerie de cer- tains phénom
d'étudier, dans les manifestations spontanées ou provoquées de l' hystérie , les modifications que peuvent éprouver cer- ta
hamp de recherches, soit dans l'étude des phénomènes spontanés de l' hystérie , soit dans les expé- rimentations sur les phéno
iculier pendant le reste du temps : les symptômes permanents de l' hystérie persistaient seuls. 1 Bull. Soc. biol., 1879.
violentes peuvent ne pas modifier les phénomènes permanents de l' hystérie et particulièrement l'anesthésie. VII. Compress
emis en honneur la com- pression ovarienne pour arrêter l'attaque d' hystérie , on a tenté, à différentes reprises, de remplac
. 69, 391), et Recherches cliniques et </tn'6). sur l'epilepsie, l' hystérie l'idiotie, p. 72-73. RECUEIL de faits. 339
. li. XIII. Etudes cliniques sur ? M/4<d ! 'o-t'pepStC ou grande hystérie ; par P. IRcno. 1. éditeurs. I vol. iii-81. 1881
ouillement, relever bien des erreurs de diagnostic et rapporter à l' hystérie des faits attribués à l'épilepsie. 11 faut d'ai
e. 11 faut d'ailleurs rapprocher la grande attaque de l'at- taque d' hystérie vulgaire. Elle n'est que le degré le plus intense
e d'hystérie vulgaire. Elle n'est que le degré le plus intense de l' hystérie et son étude approfondie jette un jour singulier
jet d'un cha- pitre dont le titre avait paru fort original : « De l' hystérie dans l'art ? » Dans la question difficile de
elles peuvent précéder la méningite tuberculeuse, l'épi- lepsie, l' hystérie , l'idiotie. Plus rarement elles ont pour cause de
83 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tte del dottore Domenico Jl11liotli, 1880. 2 Briquet. - Traité de l' hystérie , p. 477. 3 Lasèguc. - Aizeslhdsie et ataxie hys
nte elle-même et de tempérament nerveux; elle a eu des attaques d' hystérie . Il y a aussi des alcooliques dans la famille.
heté des petites filles. Sa soeur a treize ans; elle est atteinte d' hystérie à forme anorexique. bllie G... elle-même est ré
aucun signe de tabes, de paralysie générale, de tumeur cérébrale d' hystérie . 12 janvier. On a injecté sous la peau de la jo
pathologiques presque semblables aux précédents, nés en dehors de l' hystérie , mais A. Paré a bien soin de spécifier que la f
o- alexie, et souvent la mort 3. » Comment du reste méconnaître l' hystérie lorsqu'il ajoute : « Mais il n'y a rien do plus
igneusement relevées par Landouzy qui, dans son Traité complet de l' hystérie (18/f6) décrit les attaques de sommeil sous la
regarde les symptômes devint dès lors relativement facile. ' De l' hystérie comateuse. Paris, 1875. * Etude descriptive de
cipales variétés. Th. Paris, 1879. - Etudes cliniques sur la grande hystérie ou Ill/siéra-épilepsie, 2- éd., 1885. Archives,
t, une heure environ après leur départ, elle fut prise d'attaques d' hystérie très violentes et très nettement caractérisées. C
êterons que fort peu sur les antécédents héréditaires des sujets. L' hystérie , comme on le sait, appar- tient à la grande fam
fau- drait passer en revue presque toute la symptomatologie de l' hystérie pour les énumérer. Cependant, il en est qui, par
(p. 148), qui, sur 420 malades, a seulement relevé « trois cas d' hystérie avec des attaques consistant en un véritable som-
ns musculaires revêtant l'aspect d'accès n'ayant rien à voir avec l' hystérie ni l'épilepsie, mais représentant des phénomène
rvation : c'est la suppression momentanée (six mois) des attaques d' hystérie et des vomissements, par la suggestion. M. LARI
onie reposant sur un fonds hystérique. D'ailleurs, en traitant de l' hystérie , Schüle revient sur cette question et parmi les
peut-être, vis-à- vis de la température comme une attaque tonique d' hystérie . Connaissant l'état'de la respiration, de la ci
s (art. Cas rares, t. IV, p. ? 0, 1S13), paraitbien se rapportera l' hystérie . La malade resta à plusieurs reprises quarante
une autre de même nature. Du reste, pendant l'attaque de sommeil, l' hystérie ne perd nullement ses droits, et, outre les phé
sortir des séries d'at- taques convulsives, tant il est vrai que l' hystérie se com- porte toujours de la môme façon. A l'in
la malade avait succombé à toute autre chose qu'à une atta- que d' hystérie : à une hémorrhagie cérébrale, à une at- taque
omme on le sait, c'est un des caractères les plus impor- tants de l' hystérie de ne produire, lors des phénomènes les plus gr
facile de comprendre de quel intérêt capital est le diagnostic de l' hystérie , tant à la période d'apoplexie qu'à la période qu
iformes de la paralysie générale, etc. ? Evidemment, en matière d' hystérie , la connaissance des antécédents sera toujours
on trop exclusive de Sydenham, qu'il cite en ces termes : « Quand l' hystérie attaque le cerveau, elle produit quelquefois un
elle. Mais cette hémianesthésie n'est pas l'apanage exclusif de l' hystérie , car on l'observe aussi (Raymond') dans les lésio
s, le plomb et l'alcool favorisant singulièrement l'apparition de l' hystérie chez les sujets prédisposés. Nous nous en tenon
vons dire en matière de conclusion : que ce qui est la règle dans l' hystérie est la très grande exception dans les affection
t-être nous faire remar- quer qu'il en est d'autres dans lesquels l' hystérie et la para- lysie générale se superposent, ains
icultés, nous répondrons par la dernière conclusion de M. Rey : « L' hystérie s'atténue ou disparaît dans le cours de la para
t. I, p. 20.) ' Note sur la paralysie générale chez la femme; de l' hystérie chez les femmes atteintes de paralysie générale
est de Bordeaux que nous vient cette contribution à l'histoire de l' hystérie , faite sous l'inspiration du professeur Pitres. C
ontre à la fois la consanguinité des parents, le bec de lièvre, l' hystérie , l'ataxie locomotrice, la paralysie générale et
CLINIQUE NERVEUSE. soit les grandes névroses, comme l'épilepsie, l' hystérie ou la chorée, soit les vésanies, soit enfin la
J. Voisine, Wagner9. Dans d'autres analogues (J. Adam ? Sankey") l' hystérie parait évidente mais n'a pas été mise en relief
, Fritsch 13 insiste sur l'in- fluence de la dégénérescence et de l' hystérie . L'influence de la dégénérescence est aussi adm
noncé. Morsures de la langue. Aura en forme de boule; aucun signe d' hystérie , pas de perte de la sensibilité au tact, à la dou
ideur chez lui quand un membre est étendu. D'ailleurs aucun signe d' hystérie , aucune perte de sensibilité ou du sens muscula
intoxiqué par le haschich et il émet dans ce cas l'hypothèse de l' hystérie primitive. Dans les autres formes de mélancolie
mouvements des rameurs ou des forgerons ', et liée d'ordinaire à l' hystérie , diffère trop de l'athétose double pour qu'il s
attendant qu'on en ait indiqué, démontré la lésion; en tout cas, l' hystérie doit être résolument écartée'. P. K. XV. LE c
s détails désirables. Marcel BAUDOUIN-. ,186 bibliographie. VI. Hystérie et traumatisme (paralysies, contractures . arthra
é au traitement rappelle les moyens thérapeutiques dirigés contre l' hystérie en général : mé- dication tonique, hydrothérapi
84 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
eville. — Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie et l' hystérie , 1876; — Louise Lateau ou la stigmatisée belge, 1
2 Ibid., t. II, obs. m, p. 187-196. 3 Traité clin, et thérap. de l' hystérie , p. 205. externe de la clavicule; — 5° et 6° ou
Rien du côté du père. — La mère a eu pendant longtemps des attaques d' hystérie . — M... a eu sa première attaque à 12 ans. Elle o
êtrière, p. 129 et 151 ; —Rech. clin, et thérap. sur l'épilepsie et l' hystérie , obs. de Ler... et d'Etch..., p. 122, 146, 166.
est maintenant envahie par quelques-uns des symptômes permanents de l' hystérie (anesthésie partielle, zone hystérogène latéro-ma
'intervalle des attaques, ne laissait aucun doute sur la réalité de l' hystérie : Hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne, région
ues se suspendent spontanément, on voit les symptômes permanents de l' hystérie (hémia-nesthésie, hyperesthésie ovarienne) s'atté
205, 207. — Bourneville. — Rech. clin, et thér. sur l'épilepsie et l' hystérie , 1876, p. 104, 144, etc. sion des convulsions c
* Voir, entre autres, sur ce sujet, l'important article consacré à l' hystérie par M. le Dr Bernutz dans le Dictionn. de méd. et
fort ce matin. T. R. 37°. 20 octobre. — M... a eu quatre attaques d' hystérie le 17 septembre. Sa situation est allées'améliora
M. Briquet leur a consacré un article intéressant de son Traité de l' hystérie . Il distingue les attaques de sommeil, de coma et
volumes de Y Iconographie, et relatifs aux troubles vaso-moteurs de l' hystérie . 1880. l6-i8 janvier. — Règles. 14-16 février.
pêtrière. Là, on constate que D... présente tous les symptômes de Y hystérie ; hémianesthésie, hyperesthésie ovarienne du côté
sortes d'attaques. Sur 430 malades, M. Briquet a relevé « trois cas d' hystérie avec des attaques consistant en un véritable somm
X, plusieurs années dans I'Observation XI. i Briquet. — Traité de l' hystérie , p. 422. Les illusions du sommeil ont eu, autre
s attaques ont été précédées par des manifestations plus légères de l' hystérie , et, entre autres par des attaques syncopales. Su
confidence. " Suzanne présentait plusieurs symptômes permanents de l' hystérie : Vhémianesthésie et Y hyperesthesia de la région
considérable de malheureuses femmes, atteintes à des degrés divers d' hystérie . L'ignorance, mère de toutes les superstitions, l
15, 217, passim. Dermalgie, 36. Diagnostic entre l'épilepsie et l' hystérie , 76. E Ether, 7, 13, 21, 22, 35, 57, 65, 73,
laire, 171, 191. Hypnotisme (voir Catalepsie, Léthargie, Somniation). Hystérie (causes de 1'), 6, 60, 104, 108, 208. Hystériqu
h Léthargie, 103, 140 (voir Sommation). Lésions (absence de) dans l' hystérie , 97. M Magnétisation, 158. — Par le regard, 1
85 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
neanestbé- sie de cegenre doit immédiatement nous faire songer il l' hystérie . L'intensité de celle anesthésie, l'impotence m
are plaident catégoriquement contre l'intervention ex- clusive de l' hystérie . Mais s'il nous est impossible de mettre sur le c
lle, ne se présente pas avec les caractères qu'on lui trouve dans l' hystérie . Elle diffère d'abord de l'a- anesthésie hystér
de l'a- anesthésie hystérique par sa distribution. En effet, dans l' hystérie , l'anes- thésie se rencontre tantôt sous la for
pour la face et pour une partie de la poitrine. De plus si, dans l' hystérie , certains réflexes sont abolis, tel le réflexe ph
otez en outre que notre malade ne présente aucun des stigmates de l' hystérie ; jamais non plus elle n'a eu d'attaque convulsiv
ystérie ; jamais non plus elle n'a eu d'attaque convulsive. Bref, l' hystérie ne peut être incriminée chez cette femme, ni comm
s l'anesthésie parmi leurs symptômes, mais qui peuvent s'associer l' hystérie , celle-ci se manifestant par l'abolition de la
erreur. Sans parler des cas où la syringomyélie était associée à l' hystérie (Charcot, Erb, Schlesinger, Souques) ou encore
est possible de retrouver les caractères de l'attaque convulsive d' hystérie semble s'étendre indéfiniment, au sur et à mesu
eillis par l'un de nous, ont été l'objet d'une étude spéciale sur l' Hystérie dans l'Art (1), et d'un re- cueil plus complet
saient avoir été inspirées par des manifestations convulsives de l' hystérie , considérés comme signes de la possession démon
session démoniaque. (1) PAUL Richer, Etudes cliniques sur la grande hystérie . Appendice, 2e partie. Paris, Delahaye et Lecro
s de prendre place au premier rang parmi les documents relatifs à l' hystérie . , Les deux autres groupes sont d'une interprét
observation fort attentive des phénomènes convulsifs de l'attaque d' hystérie , elle possédé de St Rom- baut mérite de prendre
d'une fois l'occasion de voir la variété démoniaque de l'attaque d' hystérie . La bouche ouverte, contournée, la langue tirée
facies démoniaque, tel qu'on l'observe dans les grandes attaques d' hystérie . A ces nouveaux spécimens choisis parmi les plu
ts de ce genre, elle permet de faire une élude édifiante d'un cas d' hystérie où les manifesta- tions de la névrose ont revêt
if et se prononcer plus catégorique- ment en faveur du diagnostic d' hystérie pour lequel nous avons aujour- d'hui des preuve
eviève, appartiennent bien au type classique des attaques de grande hystérie . Elles alternent avec les vomissements et les c
d'hématémèses, ou même des deux alter- nativement, c'est encore à l' hystérie qu'il faut rattacher ces accidents. Ils apparti
équivalents de l'attaque convulsive, tantôt comme des phénomènes d' hystérie locale. Leur apparition rend souvent le diagnos
e Martin, l'hésitation n'est pas possible. Parmi les troubles que l' hystérie apporte à l'appareil digestif, le dégoût ou le
, p. 2 il. (2) Gilles IiE la Tourette. Traité clin. el lhérap. de l' hystérie , t. II, p. 399 et suiv. (3) Loc. cit., p. 406.
les hématémèses. - C'est avec raison que Morand rapporte encore à l' hystérie les phéno- mènes paroxystiques douloureux qui s
OUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Parmi les localisations de l' hystérie sur les téguments, « le pemphigus, dit Gilles d
t mental de la Fille de St-Géosmes. Les stigmates psychiques de l' hystérie , aujourd'hui bien analysés et bien définis, n'a
d'Europe, présentant presque tous des. stigma- tes incontestables d' hystérie . Un dernier fait peu banal mérite d'être, rappe
elques réflexions. Elle nous fait connaître une belle observation d' hystérie polysympto- matique, car Geneviève Martin sembl
sur des arguments scientifiques indiscu- tables, et le diagnostic d' hystérie qu'il affirme expressément, font le plus grand
sévèrement critiquée un siè- cle plus tard, alors que les termes d' hystérie et de simulation étaient, pour beaucoup, â peu
de Morand, tombé trop tôt dans l'oubli, prenne dans l'Histoire de l' Hystérie la place honorable à laquelle il a droit. Le
rapport avec le tabès ou la syphilis ou des affections surajoutées ( hystérie ) et visant le siège de la lésion anatomique.
en relief. ix ' 24 TROUBLES TROPHIQUES DES ONGLES AU COURS DE L' HYSTÉRIE ET DE LA MALADIE DE RAYNAUD PAR GABRIEL DELAM
ues des ongles au cours d'affec- tions diverses du système nerveux ( hystérie , maladie de Raynaud), parce qu'elles montrent o
ar E. LEXOBLE, 17. Troubles trophiques des ongles au cours de l' hystérie et de la maladie de Ray- naud, par GABRIEL DELA
152. DELAMARE (G.). Troubles trophiques des ongles au cours de l' hystérie et de la maladie de Raynaud, 370. DELBET (Pie
86 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
RECHERCHES SUR L'ÉPILEPSIE : L' HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE PUBLICATIONS DU PROGRÈS MÉDICA
CAL RECHERCHES CLINIQUES ET THÉRAPEUTIQUES SUR L'ÉPILEPSIE, L' HYSTÉRIE ET L'IDIOTIE COMPTE RENDU DU SERVICE . DE
r le rôle de la consanguinité dans l'étiologie de l'épilepsie, de l' hystérie , de l'idiotie et de l'imbécillité ; Par BOUII
s A antécédents héréditaires PEU MARQUÉS. 1 Paring..., Catherine. Hystérie . Parents : cousins issus de germains. Père alco
use. Grand - père maternel aliéné. Bisaïeule maternelle, attaques d' hystérie . Un oncle maternel, crises nerveuses de nature
re paternel rhu- matisant. Mère nerveuse et migraineuse; attaques d' hystérie . Grand-père maternel alcoolique. Grand'mère mat
ie. Parents : cousins germains. Père, convulsions. Mère, attaques d' hystérie . Grand'mère mater- nelle aliénée. Début de la m
. Père, enfant naturel. Oncle paternel imbécile. Mère, attaques d' hystérie . Grand'mère maternelle très nerveuse. Cousine ma-
lique et excentrique Mère, migraines, fièvre ty- phoïde, attaques d' hystérie . Grand'père maternel suicidé. Tante maternelle
nelle alcoolique. Cousine germaine paralysée; une autre, attaques d' hystérie . Mère, intelligence faible. Grand-père ma- tern
nthique, suicidé. Grand'père pa- ternel alcoolique. Mère attaques d' hystérie et migraines. Début de la maladie à 7 mois. 2
s un asile, une autre imbécile. Un cousin suicidé. Mère, attaques d' hystérie . Oncle maternel im- bécile. Début congénital de
use, sans qu'il s'agisse sans doute des accidents con- vulsifs de l' hystérie . Au contraire, nous rencontrons à chaque instan
chez la mère, l'impressionnabilité, le nervosisme, les attaques d' hystérie , la chorée, la migraine, les acci- 26 ÉTIOLOGIE
la chorée, la migraine, les acci- 26 ÉTIOLOGIE DE L'ÉPILEPSIE. DE L' HYSTÉRIE , ETC. dents et fatigues de la grossesse, les ra
les convulsions,l'aliénation -n-tei-ttaleil'idiotiel'épilepsie, l' hystérie , le suicide, l'apoplexie, la démence. Il n'est
urneville. THÈSES ET MÉMOIRES DE 1888 CLOl'ATT (A.). Études sur l' hystérie infantile. Helsiufors.°188b. 1 vol. in-4". PE
87 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ées. » Rauzier publie, dans le Bulletin médical de 1894, un cas d' hystérie ayant simulé le syndrome agonique au cours d'une
rave avec hyperthermie notable. Au bout d'un instant, une crise d' hystérie d'une violence extrême éclate avec son cortège cl
rice avec symptômes mentaux, etc.). V. Folie hystéroïde : 1° Grande hystérie ; 2° folie morale ; 3° folie de la masturbation
n. Tels sont : l'hypnotisme, l'anolgésie spontanée, l'aliénation, l' hystérie , la dissociation syrengomyélique, l'exagération d
ouleur (l'hyperolgésie) se rencontre dans le tabès dorsalis, dans l' hystérie , dans le syndrome de Brown-Seguard, dans les my
nt aussi de ne pas .voir clair ou de voir très peu. Pas de signes d' hystérie . Irritable, difficile à interroger, impulsions
isée avec contraction concentrique des champs visuels, comme dans l' hystérie . La monoplégie hystérique se montre généralemen
légie. Ces « hémiplégies fonctionnelles » n'ont rien à faire avec l' hystérie et ne peuvent être séparées des hémiplégies org
ntaires (lignes d'amputations) et capricieuses qui se voient dans l' hystérie . Prédominance parfois de la diminu- tion du sen
e du bulbe ou de la moelle, les symptômes de foyer sont typiques. L' hystérie cherche quelquefois à imiter ces symptômes, mai
iplégie organique, si rien n'oblige à admettre une association de l' hystérie avec l'affection orga- nique. La genèse, l'ét
é de l'influence d'une auto-suggestion, d'un agent provocateur de l' hystérie (occupation tranquille, som- meil profond, etc.
agir comme choc moral et provoquer des symptômes appartenant à l' hystérie (abasie, hémianesthésie, etc.). La maladie organi
ercher dans tous les cas présentant des symptômes indubitables de l' hystérie si elle ne masque pas une lésion organique, qui
ractéristiques. S'il n'y a pas des données positives en faveur de l' hystérie , on pour- rait même prendre en considération le
ces deux affections du système nerveux. Il est probable que dans l' hystérie toute la masse musculaire d'un membre est contr
logique, se rapporte aux troubles de la vue que l'on observe dans l' hystérie et dans les affections organiques du système ne
de rela- tion pour le diagnostic différentiel de l'amblyopie dans l' hystérie et dans l'hémiplégie organique. Les deux symp
. Pour établir que l'exagération des réflexes tendineux relève de l' hystérie il faudrait prouver, dans un cas donné, d'une p
tion exercée sur elle par la suggestion, dépend exclusivement de l' hystérie , et, d'autre part, que l'exagération des réflexes
x, disparaissant avec la paralysie, devait être intimement liée à l' hystérie .. 1 11 est à souhaiter que les neurologistes qu
n trouble dans le système pyramidal et qu'il n'appar- tient pas à l' hystérie . M. Roth, tout en reconnaissant que ce symp- tô
égie organique, pense qu'il n'est pas impossible qu'il dépende de l' hystérie . A l'occasion d'une discussion à ce sujet j'ai
hez lesquels ils constateraient le signe des orteils dans des cas d' hystérie pure. Jusqu'à présent on n'a pas encore pu nous
tion (fièvre typhoïde 3 fois, alcoolisme 1 fois, nervosisme 3 fois, hystérie 1 fois, signes de dégénérescence 1 fois). La
nous semble pas possible de considérer nos malades comme entachés d' hystérie , car aucun d'eux n'a jamais présenté les signes
; : cette période peut ! s'étendre de quatre semaines à cinq ans. L' hystérie est étran- gère à la production de-l'affection.
ence et aux étudiants. Dans les névroses fonctionnelles (épilepsie, hystérie , hypocondrie, etc.), ou insiste tantôt sur les
is spasmo- dique, 2 de masturbation, 1 de crampe des pianistes' 4 d' hystérie , 1 de hoquet, 1 de delirium tremens, 1 de rhuma
raduellement, pre- nant souvent la forme de la neurasthénie ou de l' hystérie . Chez tous les malades il existait de la céphal
elle de la mère, on n'a remarqué de ma- ladies nerveuses, telles qu' hystérie , épilepsie, danse de Saint- Guy, etc. , La br
. C. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 327 X1\'1. Faits cliniques : 1° Hystérie post-épileptique. 2° Aberra- tions congénitales
espondent exactement à ceur que décrit Richer à propos de la grande hystérie . · 2° Homme d'un certain âge trouvé en état de
pertes de la connais- sance. Plus tard, le malade a eu des accès d' hystérie . Enfin, vingt mois après son accident, il a eu
e ovarienne ou utérine. Il faut signa- ler que certaines attaques d' hystérie sont précédées d'une sen- sation douloureuse da
trique. ' La constatation exacte des troubles de sensibilité dans l' hystérie . M. Paul Joire (de Lille). Il convient d'explor
ques, et par certaines écoles scientifiques; enfin chemin faisant l' hystérie , en tant que névrose sexuelle, est défendue par
tielle, com- pliquée de symptômes représentant les empreintes d'une hystérie antérieure. Une éruption avec un violent coryza
organique, mais d'un trouble fonctionnel qu'il tend à rattacher à l' hystérie et que le spasme des élévateurs est bien primit
M. Crouzon l'a présenté à la Société, il n'avait pas été question d' hystérie et dans sa communication, il n'y a pas un seul
évrose qui ait été noté : on peut donc penser que l'apparition de l' hystérie , si tant est qu'elle existe nettement pour le mom
aire. Du reste, que le malade soit ou ne soit pas hystérique, que l' hystérie soit de date ancienne ou de date récente, c'est
s et on ne serait en droit d'affirmer que dans ce cas particulier l' hystérie est en cause que si l'on arrivait à modifier ce
para- lysie radiale réalisait l'effet de trois causes : alcoolisme, hystérie et compression. ' Importance du réflexe du te
8 p. 100 de l'épilepsie, 4,4 p. 100 de la tuberculose, 2,6 p. 100 d' hystérie et d'apoplexie. L'aliénation, l'hystérie et l'é
tuberculose, 2,6 p. 100 d'hystérie et d'apoplexie. L'aliénation, l' hystérie et l'épilepsie se rencontrent davantage chez le
s communes el autres maladies nerveuses communes : u) épilepsie, b) hystérie , c) neurasthénie', d) névrose traumatique, e) c
. Hypophyse. Sommeil prolongé par tumeur de l ? par Soca. 101.- Hystérie . Constatation des troubles de la sensibilité da
88 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et traite rapidement la thérapeutique et la prophylactique. 111. Hystérie et maladies gynécologiques ; par te D'' DUPIN-DUL
11. Hystérie et maladies gynécologiques ; par te D'' DUPIN-DULAU. L' hystérie peut à, elle seule simuler des lésions d'ordre ch
doit être qu'un moyen de suggestion. Les lésions organiques et l' hystérie peuvent aussi évoluer paral- lèlement chez la f
que celle-ci au contraire, absorbe complètement, au détriment de l' hystérie , l'attention de l'observateur. En supposant les
usieurs névroses ou psychoses, par exemple, dans la neurasthénie, l' hystérie , l'épilepsie, etc. Elle est aussi le symp- tôme
cécité ; par le Dr Robin. La surdi-cécité peut se rencontrer dans l' hystérie : cette affection est simplement simultanée et
e, suggestion, psychothérapie avec considéra- lions nouvelles sur l' hystérie . 1 vol. z de 700 pages. Librairie Doin, 8, plac
ceux où une partie des accidents peut être mise sur le compte de l' hystérie . Évidemment le rétrécissement organique de l'ap
osse de l'aorte, et de la polynévrite pai encln maleuse snbaignë. L' hystérie peut, sinon la produire, au moins s'y,loindre,
rade, à la suite des traumatis- mes, des émotions violentes, dans l' hystérie , dans les intoxications chroniques, en particul
abinski à gauche. Agé- nésie. Pas de troubles des sphincters. Pas d' hystérie . Santé géné- rale excellente. Observation int
ur un cas de polynévrite toxique, probablement amylique. Tabès et hystérie chez un débile, Interprétation hypocondriaque d
symptômes qui relè- vent chez lui soit de l'état digestif, soit une hystérie , soit du tabes. Les caractères particuliers et
s la plupart des états de stupeur cérébrale (traumatismes crâniens, hystérie , épilepsie etc..). Du reste, n'ob- serve-t-on p
lités diverses. Sujet. La maladie évolue sur un terrain prédisposé ( hystérie , neurasthénie, timidité, aboulie) ; des causes
une lésion exclusivement corticale (hémiplégiques); d'autre part, l' hystérie réalise des troubles vaso-moteurs dont la dispa
on » est la preuve de leur origine corticale. Enfin, en dehors de l' hystérie , d'autres perturbations corticales sont parfait
qui peuvent être observés dans diffé- rents états psychopathiques ( hystérie , épilepsie, démence pré- coce, etc., etc.). Ent
mes que chez les femmes, qui à leur tour sont plus prédisposées à l' hystérie (Soukha- no ? et Gurtno2tchlcine). Ile-t possib
t à les supporter sans émotion. Considérations psychologiques sur l' hystérie dans l'armée. M. Lux. Expose le tact, la méthod
neurasthénie. Le paludisme pourrait, d'après l'auteur, amender une hystérie 284 1· - BIBLIOGRAPHIE. préexistante, mais ce
action serait tout à fait exceptionnelle. Il peut aussi réveiller l' hystérie latente ou l'aggraver si elle est en cours de m
ues-uns ne présentent aucune tare héréditaire ou personnelle. Cette hystérie paludéenne jouerait un rôle dans la production
cas de simulation. Lie pronostic et le trai- tement sont ceux de l' hystérie . XIX. Recherches sur la descendance des tabétiq
asse en revue successivement les trois grandes névroses, épilepsie, hystérie , neurasthénie afin d'y étudier les mo- dalités
plupart des états de stupeur cérébrale (traumatisme, délire aigu, hystérie ( ? ), épilepsie, paralysie générale à la dernièr
brales très variées (tumeurs et abcès encéphaliques ; alcoo- lisme, hystérie , états démentiels organiques et vésaniques) une
r divers auteurs, notamment par Carré de Mongeron et Pitres, dans l' hystérie , et par quelques cliniciens allemands et anglai
un gain pour l'enfant, pour sa famille et aussi pour la société. Hystérie et morphinomanie. M. Paul Sollier (de Boulogne-
'une vis-à-vis de l'autre cause ou conséquence. Le plus sou- vent l' hystérie est primitive. C'est elle qui amène la morphino-
gourdissement des centres nerveux, caractéristique de la névrose. L' hystérie peut n'être que secon- daire. Mais c'est très r
are, si même cela existe. Il s'agit ordinai- rement, dans les cas d' hystérie dite morphinique, d'un état hysté- rique méconn
une activité organique très intense. La morphinomanie au cours de l' hystérie primitive constitue un état très grave au point
apparence leurs accidents et ne fout que les masquer en aggravant l' hystérie , qu'il s'établit avec la plus grande facilité u
ssifs, parfois aussi accélérée au cours de l'excitation maniaque. L' hystérie , pour sa part, passe pour guérir et cica- trise
le spasme facial n'est pas plus exempt que les autres affections. L' hystérie ou toute autre névrose ou psychose n'est pas un
ns, nièce d'un aliéné, ayant eu elle-même des attaques classiques d' hystérie dans sa jeunesse, arrive dans le service en mai 1
re nous trouvons de l'hérédité comme cause pré- disposante (et de l' hystérie ), une cause émotionnelle déter- minante, une ph
êt. P. Keraval. XXH. Application au diagnostic des neurasthénies et hystéries traumatiques de l'enregistrement de la pression
arienne, un puissant moyen d'enrayer les terrifiantes attaques de l' hystérie convulsive. Il ne s'est pas contenté de nous fair
it assuré la crédulité humaine, c'est-à-dire dans le do- maine de l' hystérie , de l'hypnotisme et de la suggestion, que l'ign
ès épi- leptiques, la confusion mentale, etc. Dans les attaques d' hystérie , plus souvent dans les grands accès, les monolo
raitement ne peut être appliqué que dans les formes rele- vant de l' hystérie ; il a sur les autres les avantages suivants : 1-
dominance bulho- protubéranuelle; par Léviet jtet- loizel, 528. Hystérie . L'auto-representation de l'organisme chez quel
o - observation d'un médecin morphinomane, par llebove. 167. Voir Hystérie . Mort de faim, 511. )k)LYEMES'îSATnETOSnuES.V
sénile, par Gnmauri, 286. ippli- cation au diagnostic des - et hystéries traumatiques de l'enre- TABLE DES 11L1'l'lPttES
mentale, par Pion, 277. - nerveux, voir Il'alle ? Organisme. Voir Hystérie . Orteils. Abduction des . par Ba- binski, 176
Vrlseu, t8z. SlrcesTlun hypnotique. Voir Ilcoo- lisi,ie. - Voir Hystérie . Von incontinence d'urine. Voit- Impuissance
89 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on, figurent des facteurs communs, toxi- infections, intoxications, hystérie . Tous deux paraissent dus à une atteinte diffus
vec l'aliénation mentale, soit une des grandes névroses, épilepsie, hystérie ». L'opinion de MM. Mairet et Vires est que cell
héniques qui présentent en même temps des stigmates ou des signes d' hystérie , ils donnent la préférence à la franklinisation
e que quelques secondes; elle est plus rare au début de l'attaque d' hystérie et quand elle existe dure plus longtemps. Le
ue devient ensuite hideux, congestionné, avec écume buccale; dans l' hystérie on ne remarque que la bouf- fissure du visage e
luence d'une cause indéterminée il s'est développé une des formes d' hystérie latente chez lui; 3° les phénomènes pulmonaires
née par une hyperesthésie dorsale, ne pouvant s'expliquer que par l' hystérie . R. C. XL1V. Des parésies PSEUDOSPASMODIQUES av
te des pupilles; l'odorat et l'ouïe sont un peu émoussés. Rien de l' hystérie . P. KERAVAL. XLV. De l'hémicranie OPIITHALhtIQU
bution A La connaissance des névropathies organiques MASQUÉES par l' hystérie ; par H. Deterxhnn (Neurolog. Centralbl., XVI,
signalerons surtout les deux suivants : Contribution à l'étude de l' hystérie alcoolique, n° de mars 1888 ; M. le Dr L. GUILL
théniformes, hypocondrie, SOCIÉTÉS SAVANTES..213 sans oublier l' hystérie , l'épilepsie,.voire même la morphinomanie. Voic
eber,'à la suite d'une ovariotomie, est prise de grandes attaques d' hystérie . Dans la remarquable communication de M. le Dr
oolisme, etc.; 6° troubles mentaux liés- à une névrose : épilepsie, hystérie , neurasthénie, migraine oph- thalmique, etc.; 7
s stigmates physiques de dégénérescence, des stigmates permanents d' hystérie , des cicatrices de la tête et de la langue, rés
l'auteur, exposées dans son ouvrage sur la Genèse et la nature de l' hystérie , sur la possibilité de déterminer expérimenta-
es qu'il a signalés dans les Archives de Neurologie, aux articles « Hystérie en Vendée» et «Hystérie infantile en Vendée» po
les Archives de Neurologie, aux articles « Hystérie en Vendée» et « Hystérie infantile en Vendée» pour affirmer que c'est mo
e même qu'il n'y a plus une folie post-opératoire, il n'y a pas une hystérie post-opératoire ; les caractères sont les mêmes e
es mêmes et le traitement est le même. Aux troubles psychiques de l' hystérie , il faut une médication psychique. De la baso
mentale, de la sensiblerie, etc. A l'asile, elle eut des attaques d' hystérie , et aujourd'hui elle présente tous les stigmates
a-t-il une relation entre l'ablation des ovaires et la genèse de l' hystérie ? L'observation nous montre combien il est diff
atrophie musculaire progressive. G. D. LIII. La suggestibilité ET l' hystérie ; QU'EST-CE que l'hystérie; par A. FOREL. (Zeit
sive. G. D. LIII. La suggestibilité ET l'hystérie ; QU'EST-CE que l' hystérie ; par A. FOREL. (Zeitschrirt fil¡' hypnotismes,
A. FOREL. (Zeitschrirt fil¡' hypnotismes, t. V, fasc. 2, 3, 4.) L' hystérie n'est pas une entité morbide mais un complexes
suggestibilité pathologique prédomine dans les formes . graves de l' hystérie . Les phénomènes hypnotiques ojit pour basela su
tibilité normale et l'hypnotisme n'est pas une manifestation . de l' hystérie . La suggestibilité normale est à l'hystérie ce qu
ne manifestation . de l'hystérie. La suggestibilité normale est à l' hystérie ce que la . tristesse est à la mélancolie. ' LW
ent provoquée. Il croit qu'il existe bien une région frontière où l' hystérie empiète sur l'hypno- tisme, mais il croit aussi
strychniques. A. Marie. 296 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LIII. Hystérie infantile; par J. MADiSON TAYLOR. (Médical NC,WS,
GIE MENTALE. constiLuraient de véritables équivalents de la crise d' hystérie , d'épilepsie, de l'alcoolisme, etc. Relativem
l'ablation de l'utérus et des annexes comme moyen de guérison de l' hystérie ou d'une vésanie ; l'hystérie est même une cont
annexes comme moyen de guérison de l'hystérie ou d'une vésanie ; l' hystérie est même une contre-indication d'une opération
et quand tous les autres moyens auront été essayés pour combattre l' hystérie , on pourra recourir à la simulation, même sangl
ns du mieux relatif de la malade pour rechercher les stigmates de l' hystérie , mais notre examen est négatif. 11. La journé
hépatiques,en particu- lier, ont parfois provoqué l'apparition de l' hystérie , de l'épi- lepsie, d'une hémiplégie droite, de
rgique, en particulier, nous paraissent pouvoir être rattachées à l' hystérie , à moins qu'on ne veuille y voir un effet direc
e dépendaient pas plutôt de l'intervention et de l'association de l' hystérie et de l'alcoolisme. Ils ne disent rien du tact
ation de l'utérus ou des annexes normales, comme moyen curatif de l' hystérie ou de la folie. L'hys- térie même constitue pre
rimenté tous les moyens réputés les plus efficaces pour combattre l' hystérie , on peut recourir à la simulation d'une laparot
nerveux et les psychopathes, en particulier dans la neurasthénie, l' hystérie , la mélancolie, et surtout chez ceux qui, par pro
diffère. ;\FIe X... a passé successivement et progressivement de l' hystérie à la mélancolie. pour revenir ensuite à de l'exci
tion comme dans le tabès, par association comme dans certains cas d' hystérie . Le diagnostic souvent liés difficile avec la p
ypnoiisme. Somnambulisme hys- té, l'lue et -, par Loevenfeld,205, Hystérie infantile, par'Pa5'lor, 295. IIosÉmnoes. Diagno
rale, par Reynolds, 299. Névropathies organiques masquées par l' hystérie , par Determans, 133. Névroses. Etiologie des -,
ubercules quadrijumeaux, par de Bechterew, 506. SUGHSTIlIILlTÉ et hystérie , lla ! ' Forel, 2 ! )4. Suicide. Recherches s
90 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ATION PAR GEORGES GASNE, Chef de clinique à la Salpêtrière. L' hystérie réalise parfois des dissociations de symptômes qu
e saispas ce que c'est. En face d'un tel symptôme isolé l'idée de l' hystérie s'imposait; ce malade n'en a aucun des stigmate
ne peut réaliser que rarement par des destructions anatomi- ques, l' hystérie va le réaliser et les cas que nous avons rapporté
erg a rapporté même un cas d'hémiparésie isolée de la langue dans l' hystérie (2). On a admis aussi l'existence d'une paralys
es qui se produisaient sur le tombeau du diacre Pâris relèvent de l' hystérie , cette étrange affection'si ma- gistralement dé
vons de savoir que la grande névrose, la névrose par excellence, l' hystérie , pour l'appeler par son nom, peut se présenter
s ou moins fixes, les 410 INAUGURATION DU MONUMENT stigmates de l' hystérie , dont la constatation nous permet de démasquer ce
donné d'apprécier il son véritable taux l'extrême fré- quence de l' hystérie . Nous avons été arrachés à l'erreur qui consistai
, la recherche des stigmates nous a fourni le moyen de dévoi- ler l' hystérie , là où elle simule les symptômes et les maladies
malades, car nous sommes il même de guérir les manifestations de l' hystérie , lorsque nous les traitons il temps et par les
us a mis à même d'attaquer ce fléau car c'en est un à sa racine : l' hystérie est le plus souvent un fruit de l'hérédité ; n'em
é ; n'empêche que chez ceux qui naissent avec la prédisposition à l' hystérie , les manifestations de la névrose éclatent habi
ccasionnelles. Les plus communs, parmi ces agents provocateurs de l' hystérie , sont : la frayeur, les émotions violentes; les
eux qui sont menacés de le devenir. Bref, le traitement causal de l' hystérie est devenu une question d'hygiène individuelle et
e traitement symptomatique, le traitement des mani- festations de l' hystérie telles que les paralysies, les convulsions, les c
nt le sommeil naturel ou pro- voqné. Or, que se passe-t-il dans l' hystérie ? Qui n'a entendu prononcer cette phrase, deven
rcot fit servir la suggestion au traitement des manifestations de l' hystérie . Mais jusque-là, cela se passait il peu près ex
me, en raison des affinités étroites que cet état entretient avec l' hystérie . L'hypnotisme lui apparut comme une névrose exp
omatisme cérébral, au même titre que les autres manifestations de l' hystérie : au cours de son activité, le cerveau em- maga
thogénie invoquée pour rendre compte des autres manifestations de l' hystérie . Là, comme ici, nous avons affaire à des désordre
'ai montré, dégageant du chaos des innombrables manifestations de l' hystérie , les lois qui les régissent, déchiffrant le mécan
e mécanisme intime de ces manifestations, en nous dévoilant, dans l' hystérie , une maladie psychique, une maladie de la perso
Je vous l'ai montré, précisant les relations de l'hypnotisme et de l' hystérie , englobant l'hypnotisme dans la grande névrose,
ive de dyspnée, qui, parmi celles qui sont expression clinique de l' hystérie , la caractérise plus particulièrement et à laquel
t un ou deux jours d'une période de malancolie sinon des attaques d' hystérie ? Pourquoi pas d'épilepsie dira-t-on ? Mais cec
e dont nous avons été té- 470 J. SOCA moin, c'était une attaque d' hystérie . Le spasme laryngé, les grands mou- vements com
à laquelle nous avons assisté était une énorme atta- que de grande hystérie avec toutes ses phases parfaitement représentées
se résout en sanglots n'est autre chose qu'un fragment d'attaque d' hystérie . C'est la troisième période et une partie de la q
a représentant à eux seuls, ainsi que cela arrive si souvent dans l' hystérie . Ainsi donc le syndrome nerveux correspond à l'
vent dans l'hystérie. Ainsi donc le syndrome nerveux correspond à l' hystérie , en ce qu'elle a de plus profond, à l'hystérie
rveux correspond à l'hystérie, en ce qu'elle a de plus profond, à l' hystérie de la Salpêtrière, à cette hystérie dont M. Ber
qu'elle a de plus profond, à l'hystérie de la Salpêtrière, à cette hystérie dont M. Bernheim disait par une singulière aber
dont M. Bernheim disait par une singulière aberration que c'est une hystérie de culture, l'hystéro-épilepsie à crises réunie
ent par son affection pulmonaire, ne s'expliquerait- elle pas par l' hystérie ? A première vue l'idée est séduisante. En effe
esthésie). Les autres atta- ques ont toutes succédé à une attaque d' hystérie . Les symptômes physiques et fonctionnels de son
fin, avaient presque disparu. Tout à coup se déclare une attaque d' hystérie qui dure des heures et qui se termine en une at
araît ainsi comme la continuation, comme la floraison d'une crise d' hystérie . A la troisième attaque les choses se sont pass
s hystériques, comme un épisode d'une vaste et complexe atta- que d' hystérie . En la dyspnée se résolvent, si on peut ainsi par
considérons ici puisqu'il faut dire que dans la première attaque d' hystérie une dyspnée laryngée très intense a joué aussi
c en des cas où la dyspnée était la seule expression de la maladie ( hystérie monosymptomatique). Et maintenant quels sont
nerveux, il n'y a pas d'autres désordres que ceux qui tiennent à l' hystérie . . Avec cette interprétation du cas plusieurs f
sans nombre. SUR UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 473 d' hystérie qu'elle compté dans son existence. Pour moi, je c
syndrome foncièrement hystérique. Et on voit combien le sceau de l' hystérie est profondément gravé dans tous les organes et f
il consacra a l'élude des manifes- tations convulsives de la grande hystérie . Insinuation erronée, pour ne pas dire malveill
nature, une des phases les plus dramatiques de la grande attaque d' hystérie . Mais ce tableau de nuhens n'est pas seul eu so
s reproductions de toutes les trouvailles artistiques relatives à l' hystérie . la ces documents esthétiques accrochés à la mura
91 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
ppétence du médicament. Dans les cas mixtes où le tabès s'associe à l' hystérie , les effets de la morphine B sont remarquables. D
bles. En juillet, au moment de ses époques, elle a une grande crise d' hystérie . En novembre, dans les mêmes circonstances, elle
otion psychologique, ils auraient su que les hystériques de ce genre ( hystérie monosymptomatique) sont difficilement hypnoti-
se contredire quand il dit à une page « que l'hypnotisme développe l' hystérie » et plus loin : « que c'est en réalité un mervei
ulement quelques « inconvénients » entre autres celui de développer l' hystérie . De plus, jamais Charcot et ses élèves n'ont empl
20 ou 30 ans? En écrivant je revois la sœur d'un confrère atteinte d' hystérie grave avec prédominance des troubles de la consci
crite à un de mes confrères qui me rappelle son cas. Elle souffrait d' hystérie avec angoisses, phobies, faiblesse générale, inso
nte d'un confrère). J'ai vu trois malades esquisser une attaque d' hystérie à la première séance; le traitement s'est terminé
re, où Charcot étudiait l'hypnotisme dans ses rapports avec la grande hystérie . A Saint-Antoine, je fus vivement intéressé par l
84 pages, 4* édition. — J.-B. Baillière, Paris 1906. Dr Terrien : L' hystérie et la neurasthénie chez le paysan, petit in-8s, 1
soit par suite de maladies nerveuses (psj/cfto-néuroses ; épilepsie, hystérie , neurasthénie, chorée) ; 3° Enfants ayant perdu
, actes impulsifs et inconscients, l'existence de l'épilepsie ou de l' hystérie doit être soupçonnée. La constatation de vertig
e des idées de l'enfant permettent, d'un autre côté, de reconnaître Y hystérie . L'enfant sera isolé, retiré de son milieu et gué
ion dans la pratique médicale et un livre du Dr Terrien, intitulé : l' Hystérie et la Neurasthénie chez lepaysan. Les communica
ade rattache l'apparition de troubles nerveux. Dans ces conditions, l' hystérie et la neurasthénie qui résultent des chocs émotio
la nature, in-8,264 pages, Félix Alcan, Paris, 1906. D' Terrien : L' Hystérie et la neurasthénie chez le paysan, in-12, 176 p.,
pèce. Je n'ai constaté chez elle aucun phénomène, passé ou présent, d' hystérie . C'est, ajoute M. Souques, une dégénérée mythoman
l'affectivité excessive de certains parents. COURS ET CONFÉRENCES Hystérie infantile (') par M. le Professeur Raymond. S
de terreurs nocturnes appartiennent, le plus souvent, au domaine de l' hystérie . Le diagnostic entre l'épilepsie et l'hystérie
ent, au domaine de l'hystérie. Le diagnostic entre l'épilepsie et l' hystérie sera important à faire, le traitement de ces affe
e bromure de potassium sera indiqué, alors qu'il sera nuisible dans l' hystérie . L'hygiène doit occuper une place importante ;
é chez cet enfant. De telle façon, on évitera le développement de l' hystérie qui, chez lui, est prête à se déclarer dans ses m
nin : Valeur de la rééducation de l'attention dans le traitement de l' hystérie . Dr Damoglou (du Caire) : Note sur deux cas d
n . — Valeur de la rééducation de l'attention dans le traitement de l' hystérie . 3. Dr Bérillox.—Psychothérapie graphique] : Im
inople) : L'Islam et la pédagogie musulmane. D'Pamabt : Epilepsieou hystérie . La psychothérapie facilitant le diagnostic. Dr
a démontré le rôle des troubles psychologiques dans l'étiologie de l' hystérie . Nul n'a mieux défini que lui le caractère de ces
ople) : L'Islam et la pédagogie musulmane. Dr Pamabt : Epilepsia ou hystérie . La psychothérapie facilitant le diagnostic. .D
. Valeur de la rééducation de l'attention dans le traitement de l' hystérie , parle D' Paul Magnin, professeur à l'Ecole de ps
la guérison. Cette prétention nous semble très exagérée; en matière d' hystérie tout au moins, elle ne parait pas tenir compte du
uasion basée sur le raisonnement peut et doit amener la guérison de l' hystérie , c'est à mon avis faire du roman, non de la saine
le courant fara-dique possède en tant qu'agent de rééducation dans l' hystérie . Les effets obtenus sont d'autant plus rapides et
nés ». Si je me détache des théoriciens pour qui la simulation et l' hystérie sont les seules solutions, je ne puis me rallier
Srezniewski, p. 127. Hypnotisme (une expérience de grand), p. 319. Hystérie infantile, par Raymond, p. 251. Insensibilisa
gnin, p. 1, 146. Rééducation de l'attention dans le traitement de l' hystérie , par Bérillon, p. 334 Référendum du Dr Huchard,
92 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
qui survient, si la lésion est au-dessus du tractus options. Dans l' hystérie , un état fort analogue, sinon tout à fait identiq
relèvent de la critique médicale, est encore fort restreint. Pour l' hystérie en particulier, les tentatives faites pour retr
DÉES DES DIEUX DANS L'ART ANTIQUE 37 l'Histoire Iconographique de l' Hystérie . Mais les premières représenta- tions ne remont
etrouver dans l'antiquité des documents figurés se rap- portant à l' hystérie . Est-ce dire que la névrose n'existait pas à ce
fusés à figurer des scènes où l'on puisse retrouver des traces de l' hystérie ? Non, assurément; et même, ces représentations
la cache, la vérité pathologique igno- rée des artistes mêmes. L' hystérie rêvé lies aspects les plus disparates. Longtemps
ussi, en raison de la variété même des symptômes qui la révèlent, l' hystérie a-t-elle donné lieu aux plus diverses interprétat
hose est hors conteste, il s'agit encore d'une mani- festation de l' hystérie . On pourrait citer encore d'autres interprétati
autres expressions de la né- vrose ? Tout n'est pas désordre dans l' hystérie ; et, au cours même de la grande attaque classiq
ce fait im- portant, que parmi les manifestations extérieures de l' hystérie , certaines 40 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊ
é des indications suffisamment précises sur les manifestations de l' hystérie , il fallait s'adresser aux textes et voir s'ils
re rangée, dans certains cas, parmi les manifestations de la grande hystérie . Elle devient une preuve de plus en faveur de not
nous montre qu'il n'y a rien d'irrationnel à rapporter à la grande hystérie les mouvements rythmés de la dansomanie(1) ». T
e Dionysos, qu'il faut re- chercher les traces iconographiques de l' hystérie dans l'antiquité. Si, en s'appuyant d'ailleurs
mains parles dieux. (1) P. Richer, Études cliniques sur la grande hystérie , p. 617. 48 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETR
dans les figurations de démoniaques, des marques indiscutables de l' hystérie , on peut, je crois, les retrouver sur cette pei
ait hasardeux de soutenir qu'on retrouve des traces manifestes de l' hystérie . Les danses désordonnées n'ont jamais constitué
alpêtrière. t. I, p. 49, et P. Richer. Etudes cliniq. sur la grande hystérie , 1885, p. 5. Fig. li. Fig. 15. 64 NOUVELLE
s d'art de l'antiquité, des indices figurés des manifestations de l' hystérie . (1) Henry MEME. (1) J'ai recueilli également
productions méningées, foyers bémorrhagiques, tumeurs, syphilomes, hystérie . De toutes ces causes, la syphilis est celle qu
h. Paris, mars 1893. Erb. Syringomyélie ou dystrophie znuscul. avec hystérie . Neurolog. centralbl., n° 6; 1893, p. 177. I.
, il est im- possible de retrouver des signes caractéristiques de l' hystérie , le mérite du tableau n'en est pas diminué, et
'on admet aujourd'hui sans conteste que ces accidents relèvent de l' hystérie , c'est un mérite de plus dans l'oeuvre d'un artis
ojevnikotr (1) ont signalé la dissociation de la sensibilité dans l' hystérie ; mais dans le cas actuel, il y a absence des trou
, une disposition spéciale de J'anesthésie qni n'est pas celle de l' hystérie , des lésions articulaires qui ne se rencontrent
hystérie, des lésions articulaires qui ne se rencontrent pas dans l' hystérie . Dans la névrite périphérique on ne voit pas gé
territoire du nerf radial qui est le moins atteint. (1) Rossoumo, Hystérie simulant la gliomatose. Revue de médecine russe,
NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE E coup d'autres maladie, l' hystérie (Charcot), la névrite alcoolique (Lance- reaux)
oration avec notre excellent maître M. Gilles de la Tourette, sur l' Hystérie chirurgicale. ARTHROPATHIES TROPIIIQUES AU POIN
ères années, on s'est à peu près exclusivement, borné, en matière d' hystérie , à une pure et simple constatation de faits. L'in
mentale. On a cherché et on a trouvé, dans toute manifestation de l' hystérie , une origine psychique. Ces travaux ont eu pour c
mater- nelles a souffert pendant vingt ans de crises convulsives d' hystérie . Julie n'a eu que la rougeole dans sa première
a été impossible de déceler aucun stigmate sen- sitivo-sensoriel d' hystérie . Malgré cette déchéance somatique, les forces p
faciles à concevoir et à supposer. Ce n'est qu'un nouvel exemple d' hystérie simulatrice de la coxalgie, de la péritonite, e
93 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
coxalgie hystérique l'élément essentiel du diagnostic, à savoir : l' hystérie . La recherche attentive et quotidiennement répé
mains pour me relever . Voir en particulier les Leçons sur un cas d' hystérie niale avec astasie- abasie, par le professeur G
en que notre malade ne possède aucun des stig- mates habituels de l' hystérie , nous nous croyons cepen- dant autorisé à range
cepen- dant autorisé à ranger son affection sous la rubrique de l' hystérie , en raison surtout des accès de mutisme dont il
grande névrose protéiforme 48 CLINIQUE NERVEUSE. qui s'appelle l' hystérie , à moins qu'elle ne soit le symp- tôme d'une af
donner des soins ont tous présenté des phénomènes qui relèvent de l' hystérie et dont nous allons donner une brève descriptio
minution ou de la guérison de ces inflammations ; 3° enfin un cas d' hystérie chez un jeune garçon. R. M. C. - 122 REVUE DE P
intéressante étude des rapports de l'alcoolisme avec l'épilepsies l' hystérie , les vésanies, etc., etc.. Il conclut que l'alc
lles de la Tourelle, un intéressant travail sur la nutrition dans l' hystérie . Faculté DE médecine DE Montpellier. - M. le Dr
OLLIER. - Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
ons nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie agitante). Volume in-8 de 169 pages,
k, 1889. - New-York médical journal. Grasset. - Leçons sur un cas d' hystérie mâle avec astasie et abasie, recueillies et pub
tispasmo- dique puissant que l'on a préconisé contre l'épilepsie, l' hystérie , etc... Si l'on en croit tous les auteurs, depu
débarrassés sur-le- champ de leurs migraines. - En ce qui touche l' hystérie vraie, il l'a vue plusieurs fois alterner avec
nt été atteints d'acci- dents spasmodiques, tels que l'épilepsie, l' hystérie , la catatonie. Chez un épileptique j'ai obtenu
èce. Les névroses traumatiques ont une certaine ressemblance avec l' hystérie ; le rétrécissement considérable du champ visuel
e par celle de neuropsyel1ose généralisée. M. JOLLY. Dites plutôt : Hystérie provoquée pllr le traumatisme. M. DE CORRAL (de
e monoculaire et ses causes. M. Lieue (de Schweizerlof). Un cas d' hystérie aigus avec laryngo- spasme, pendant la convales
. Librairie J.-B. Baillière et fils. Grasset. Leçons sur un cas d' hystérie mâle avec astasie et abasie. recueillies et pub
on. Gilles DE la TOURETTE ET I : ATHELI\E.1U. - La nutrition dans l' hystérie . - Volume in-8 de 116 pages. - Prix : 3 fr. 50.
mé, phénomènes les plus légitimes d'une série de petites attaques d' hystérie qui ne durent pas en 336 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
ion du chatouille- ment. La dissociation de la sensibilité dans l' hystérie , la syringomyélie, le tabes, se trouve parfois
on simple peut entrer dans le cadre des symptômes somatiques de l' hystérie , comme un caractère fondamental objec- tif de l
voir de fàcheuses influences sur les études de la pathogénie de l' hystérie . Il s'agit de l'origine de l'anesthésie hystéri
nt dans la suggestion ou l'autosuggestion, doivent admettre que l' hystérie , en tant qu'entité morbide, ne contient pas de
tation externe; nous avons pu revoir toutes les manifestations de l' hystérie , aussi bien chez l'homme que chez la femme, sur
re de vue une maxime formulée par M. Charcot : les symptômes de l' hystérie proviennent de deux sources, de la suggestion o
ômes a permis au savant maître d'apporter l'ordre dans l'étude de l' hystérie . Nous pensons qu'en l'état actuel, il est permi
ériques ne se présentent pas sous le même aspect. C'est surtout l' hystérie mâle qui offre parfois cette forme d'anes- thés
LIER. - Recherches cli- niques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l' hystérie et l'idiotie. Compte rendu du service des enfan
ons nerveuses (Alaxie locomotrice progressive, sclérose en plaques, hystérie , paralysie agitante).) Volume zn-8° de 169 page
r. 75. Gilles de la TOURETTE et CATIIELI\E1U. - La nutrition dans l' hystérie Volume in-8" de 116 pages. Prix : 3 fr 50. Pour
nos abonnés, 2 fr. 75. GUI : iON (G.) Les agents provocateurs de l' hystérie . Volume in-8° de 392 pages. - Paris, 1889. Prix
57; -par Sperling, 252; (interdiction de ? ) dans la marine, 434. Hystérie et morphinisme, par Liebe, 282. Hystéro-épile
94 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
notre ami et collègue le Dr P. Richer, Etudes cliniques sur la grande hystérie . Ces planches, exécutées d'après les clichés phot
ons nerveuses, telles que l'épilepsie, l'hystéro-épilepsie, la grande hystérie , où l'on rencontre des attitudes, des états essen
rapides; il en est ainsi dans les crises d'épilepsie, les attaques d' hystérie , la marche dans les cas pathologiques, etc. Grâce
ents les plus rapides, soit dans la marche, la course, les attaques d' hystérie ou d'épilepsie, etc. Le grand avantage que poss
t. Ce gonflement du cou, qui est un phénomène vulgaire de la grande hystérie , est ordinairement passager, mais, chez le sujet
ains d'acromégalique à côté de mains normales. Dans le domaine de l' hystérie , on aura fréquemment à reproduire des contracture
mblements de diverses natures, la chorée, l'athélhose, les attaques d' hystérie et d'épi-lepsie, etc. Examinons successivement
liquera intégralement à la reproduction des attaques d'épilepsie ou d' hystérie . Dans toutes les hypothèses dans lesquelles il
de nos photographies, rend bien la chose. Dans l'étude de la grande hystérie , on rencontre une série d'états particuliers, tel
fig. 8). Nous arrivons maintenant à l'étude de la grande attaque d' hystérie , qui a été faite d'une façon si magistrale par no
empruntons un grand nombre de ses belles planches ('). L'attaque d' hystérie peut se diviser en quatre périodes bien distincte
diverses périodes. (') Paul Riciier, Études cliniques sur la grande hystérie . V" Babé et G'% éditeurs. Paris, i885. Fig. 40.
nence de la crise : c'est du reste un des caractères distinctifs de l' hystérie tandis que dans l'épilepsie la crise est toujours
écédemment. Pour terminer cette revue rapide de la grande attaque d' hystérie et montrer la violence de ces crises, nous donnon
e que l'on nomme, En un mot, la reproduction de la grande attaque d' hystérie par la Photographie offre un champ très vaste d'é
i pour les études ayant trait à la locomotion animale, aux attaques d' hystérie et d'épilepsie, aux tremblements, à la chorée, et
ction des malades en action.......................... 89 Étude de l' hystérie ........................................... 90 É
................................... 90 Étude de la grande attaque d' hystérie ......................... 97 Photochronographie.
95 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
xes affectives en relation avec l'hémianesthésie du coté droit dans l' hystérie : Discussion : MM. Lionel Dauriac et Pamart. M.
on peut en faire usage, ce qui l'a amené à écrire les chapitres sur l' hystérie , les obsessions, l'alcoolisme, le trac des artist
ogique des sympathies olfactives ; 3. Dr JoURPAN (de Marseille) : Hystérie et suicide; 5. Dr Viazemsky (de Saratow) : TJn
emandera encore longtemps le concours, des plus nobles dévouements. Hystérie et suicide par SI. le Dr Etienne Jocnnis (de Ma
ystérie et suicide par SI. le Dr Etienne Jocnnis (de Marseille) L' hystérie est peut-être celle des affections nerveuses dans
u tempérament, de la prédisposition névropathique. (1) Rapport de l' hystérie et de la folie (Congrès de Clermont-Ferrand 1896)
ge, qu'on s'est plu à considérer comme des stigmates particuliers à l' hystérie , et, dans cette névrose, on n'a pas craint de rap
e, pour le suicide en particulier, on a décrit un suicide spécial à l' hystérie . Legrand du Saule a écrit « la tentative du suici
les mobiles invoqués, tous les auteurs ont signalé le suicide dans l' hystérie . 11 s'agirait de savoir si le suicide des hystéri
e, réfléohie. Pas plus l'un que l'autre n'appartiennent en propre a l' hystérie . La cause, la raison d'être du suicide existe en
hystérique, dans le terrain, dans la prédisposition névropathique. L' hystérie peut imprimer à la tentative de suicide une modal
mier abord, cette idée semble être en rapport étroit et direct avec l' hystérie ; et cependant l'analyse psychologique permet de
stérie (aim. méd, psycli. t. XVII (1877). (3) Pitres : Leçons sur l' hystérie et l'hypnotisme (t. ?, p. 282). faire remonte
. Elle croit, par ce qu'elle a entendu dire, que ce sont des crises d' hystérie . Elle demande ce qu'est cette maladie et comme on
s faits intéressants relatifs à l'olfaction comparée. (à suivre). Hystérie et suicide par M. le D' Etienne Jocrmx (de Mars
pour un état panophobïque avec psychasténie, de la neurasthénie, de l' hystérie et, dominant le tout, un syndrome mélancolique av
tion des organes génitaux. Et bien souvent on met sur le compte d'une hystérie plus ou moins latente, ces troubles qui ont une c
en Allemagne, a écrit dans un ouvrage qu'il a publié en 1906, « Sur l' Hystérie » : « Les procédés spéciaux par lesquels on pré
plus justiciables du traitement hypnotique sont précisément les cas d' hystérie infantile. Par de courtes cures d'hypnose, j'ai
s sur lesquels Janet a fait ses observations ont été des cas graves d' hystérie . C'est un fait connu que des améliorations remarq
ndications principales de cette méthode de traitement est justement l' hystérie grave avec somnambulisme facilement provoqué. Xou
créant en quelque sorte chez lui, sous l'influence de ce trouble, une hystérie momentanée avec des symptômes exagérés et nuisibl
rrêté par le chien de chasse ; oiseau fasciné par un serpent (1). L' hystérie , an cadre si vaste et qui parait le résultat d'un
on la plus accentuée. Aussi, si l'hypnose thérapeutique ne crée pas l' hystérie , comme des observateurs superficiels le lui ont r
e savent, de défaire ce qu'elle aurait pu favoriser, et d'améliorer l' hystérie , sinon de la guérir. Nous avons, en faisant le
e et limitée. Dans d'autres cas — je veux dire dans des cas de pure hystérie — l'éloignement de la maison est presque toujours
dans lesquelles le facteur psychique entre le plus largement sont : l' hystérie , la neurasthénie, l'insomnie, les cas d'asthme, d
st un névrophate qui a eu autrefois des crises nerveuses qualifiées : hystérie . U a eu aussi des crises paludéennes. ? est fatig
ers la guérison. La raideur réapparaît avec les périodes d'accès de l' hystérie , de la neurasthénie et de la psychasthénie. Lor
re deux groupes de symptômes, ceux qui sont d'ordinaire rattachés à l' hystérie et ceux qui constituent la névrose psychasténique
s derniers chapitres où sont discutées les définitions générales de l' hystérie , de la psychasténie et des névroses. Le livre de
leur psychologique. Question k l'ordre du jour ; Des stigmates de l' hystérie : L'héml anesthéste hystérique est-elle le résult
aucoup. Une fois même, cette frayeur provoque une véritable attaque d' hystérie , que son médecin fait cesser par suggestion. (1
dressage du cheval. Question k l'ordre du jour : Des stigmates de l' hystérie : L'hémi-anesthésie hystérique est-elle le résult
es de la conscience analogues, les troubles psychiques accompagnant l' hystérie , la neurasthénie, l'épilepsie, les névroses consé
aite à l'Ecole de psychologie. Ce sont les ancienne-; névroses, l' hystérie , la neurasthénie, l'hystéro-neurasthénie, les név
ombre d'états d'éréthisme nerveux, la danse de St-Guy. certaine cas d' hystérie , d'exténuation de fatigue. Le sommeil prolongé
pnotisme et suggestion du Dr W. Hilger, par Van Renterghem. p. 373. Hystérie et suicide, par Etienne Jourdan, p. 144, 169. I
96 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
e du neurologiste érudit et distingué qu'était Johanny Roux. DE L' HYSTÉRIE TRAUMATIQUE - PAR - Johanny ROUX (de St-Etien
Johanny ROUX (de St-Etienne) ' § 1 . - Nature et pat/wqéllie de l' hystérie . Pour bien comprendre, et enfermer dans les lim
de cette maladie, il faut d'abord avoir une concep- tion nette de l' hystérie , telle qu'elle se dégage des travaux récents. C
avaux récents. C'est Babinski surtout qui a contribué à démembrer l' hystérie tradition- nette, suivant son expression. Depui
s, la fièvre que l'on croyait autrefois pouvoir être produits par l' hystérie ; 3° que cette maladie était également incapable
ions organiques indubitables, soit d'autres états névropathiques, l' hystérie s'est trouvée réduite, comme nous l'avons dit,
anormaux, quelques troubles de la sensibilité. Ce démembrement de l' hystérie n'a pas été l'oeuvre d'un seul homme, mais de t
eurs dix ans que nous avions cessé de rechercher les stigmates de l' hystérie ; quant aux oedèmes, trou- (1) Schultze (de Bon
ze (de Bonn), Congrès des neurologistes allemands, Bade, 1891. DE L' HYSTÉRIE TRAUMATIQUE 20a hies trophiques, troubles organ
s organiques... il ne nous avait jamais été donné d'en attribuera l' hystérie . Babinski a été moins heureux quand il s'est ag
s accidents pithiatiques de 7WO", persuasion et cz7c guérissable. L' hystérie est dès lors un étal qui rend les sujets qui en
ceptable. « On trouve,sans cesse la simulation dans l'histoire de l' hystérie » (1). dit-il. A une interrogation de Brissaud,
sur le domaine de ces derniers, ne vaudrait-il pas mieux définir l' hystérie par la simulation plutôt que par la suggestion
urs ont fait ressortir le rôle considérable de la simulation dans l' hystérie . On peut aller plus loin et dire : l'hystérie tou
la simulation dans l'hystérie. On peut aller plus loin et dire : l' hystérie tout entière n'est que simulation. Le blessé
ut ranger dans la même catégorie le (1) l3amnssr, Démembrement de l' hystérie traditionnelle, Semaine Médicale, 1909. (2) Rev
utomatique et inconscient Nous avions donc raison de dire : toute l' hystérie n'est que simulation. Cette conception, si elle
une petite rente ? La simulation tout entière est-elle donc de l' hystérie ? Non assuré- ment, il reste d'abord la simulat
lle de simuler et nous ton- chons ici au problème de la nature de l' hystérie , que Babinski n'a pas osé aborder. En cette fac
onstances. En ce qui concerne l'influence sur le développement de l' hystérie , de l'éducation, du milieu, des circonstances,
l- lement il leur rôle qu'ils ne savent plus qu'ils en jouent un. L' hystérie est dès lors définitivement constituée. L'éclos
e de la marche chez l'homme. Est-il besoin de faire remarquer que l' hystérie ainsi comprise n'est pas une maladie ? - C'est
ise, échap- per à sa colère ou se concilier ses faveurs (1). Si l' hystérie , pourrait-on objecter, n'est pas autre chose qu'u
le milieu, surtout l'éducation. Dans cette histoire naturelle de l' hystérie , il n'y a évidemment qu'une hypothèse impossibl
ré- ciser en quelques lignes ce que l'on peut observer en matière d' hystérie traumatique. Tout d'abord le traumatisme ne c
d'hystérie traumatique. Tout d'abord le traumatisme ne crée pas l' hystérie ; il est l'occasion qui fait apparaître une man
tion. Je crois que tout le monde est d'ac- core à ce sujet, - ' L' hystérie traumatique, en ceci il faut admettre la doctrine
faut admettre la doctrine de Charcot, ne se distingue en rien de l' hystérie d'autre origine, Cela est évident puis- que le
e et pas toujours facile à constater dans l'épilepsie vraie), que l' hystérie ne peut imiter, c'est la mydriase a la fin de la
onsciemment. je veux bien,mais simulée. Pour éliminer l'hypothèse d' hystérie , il faudra donc tout simplement s'attacher à dé
e côté, ou élévateurs de l'autre (Babinski). Il n'y a jamais dans l' hystérie d'effacement des plis du front (Babinski), jama
ique. A ce sujet cependant il faut s'expliquer.Non seulement dans l' hystérie , mais aussi dans la neurasthénie et chez un gra
dans un grand nombre d'états névropathiques, en particulier dans l' hystérie . La première sepro- duit lorsque le malade relâ
impuissante à modifier le réflexe crémastérien ; il persiste dans l' hystérie . Il est vrai que sa variabilité à l'état normal,
impuissante à réaliser des paralysies dissociées : il n'y a dans l' hystérie que des paralysies de membres, de segments de mem
ommander aux mouvements associés, parce qu'elle les ignore : dans l' hystérie , ces mouvements persistent dans des muscles soi
rusque ; b) l'intensité d'emblée très grande ; c) la coexis- . de l' hystérie TRAUMATIQUE 213 lence habituelle d'anestllésie
ctures, il y a les anesthésies. Elles ont tenu dans l'histoire de l' hystérie un rôle considérable.... Qu'on se souvienne des
tout pour la simulation volontaire, mais ils s'appliquent aussi à l' hystérie . DE l'hystérie TRAUMATIQUE 215 quefoispar des
lation volontaire, mais ils s'appliquent aussi à l'hystérie. DE l' hystérie TRAUMATIQUE 215 quefoispar des gesticulations é
un diagnostic nouveau, beau type de sinistrose en même temps que d' hystérie . Je le vis pour une expertise au criminel touch
re il est évidemment impossible d'épuiser la sympto- matologie de l' hystérie traumatique. Fût-ce d'ailleurs en un volume, 21
discutable au point de vue de la nature et de la patho- génie de l' hystérie , notre théorie peut rendre des services, en fourn
e. Il faut examiner les malades avec celte idée préconçue que toute hystérie est simulation et n'admettre comme accidents hy
éci- sément la caractéristique de l'amblyopie hystérique. Toute l' hystérie n'est que simulation, mais toute simulation n'est
hystérie n'est que simulation, mais toute simulation n'est pas de l' hystérie . Du simulateur plus ou moins inconscient et invol
médecin dans les accidents du travail. Masson, 1909, p. 284. DE l' hystérie 1'liAUi<IATIQUE 217 mériterait la correction
, peuvent se retrouver dans l'ensemble des phénomènes rattachés à l' hystérie ; certains auteurs admettent l'existence de ces t
résultats de quel- ques expériences faites sur un malade atteint d' hystérie grave, chez qui les troubles trophiques ont été
ir- culatoires, trophiques, etc.) ne peuvent pas être rattachés à l' hystérie . La constatation de la simulation (très diffici
/t, 4909, 44) et que la conception des trou- bles trophiques dans l' hystérie a été fondée sur des faits mal observés ou mal
iblissement de ce membre. De temps en temps, difficulté d'a- valer ( hystérie ), fourmillement dans l'occiput gauche. Deux à tro
13. ROUDNEW - Dermographisme rouge et blanc (1 pl.), 197. Roux. Hystérie traumatique. 202. Salvadori. Contribution à l'é
97 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tographique » sous lequel elle était connue dans le service. Si l' hystérie semble favoriser les troubles vaso- moteurs de
pos que les muscles de la face sont, dans l'hypnotisme comme dans l' hystérie , soumis à d'autres lois que les muscles des mem
r une observation pro- bante de paralysie flasque de la face dans l' hystérie , tandis que du côté des membres, ces paralysies
harcot, au mois de juin 1885. Elle présente tous les stigmates de l' hystérie (hémianesthésie sensitivo-sensorielle, rétrécis
ériodes distinctes comme dans le grand hypnotisme. Les attaques d' hystérie peuvent dévier du type normal par l'absence d'une
'une et chez l'autre, des plaques d'anes- thesie cutanées liées à l' hystérie , laquelle se manifestait encore par les modific
à un trouble fonc- tionuel, névrosique, de l'encéphale (épilepsie, hystérie , apoplexie commune, sclérose en plaques, paraly
dont ne parle pas M. Liégeois, tels par exemple que les attaques d' hystérie sur- venues à la suite des hypnotisations lucra
1. Bernheim, en effet, ne parait guère prendre comme critérium de l' hystérie que la crise, et semble négliger complètement l
ndes formes de l'hypnotisme peuvent' se rencontrer en dehors de l' hystérie ; la coexistence de ces deux états n'est donc qu'u
pourtant bel et bien hys- térique. Il faut donc, avant de rejeter l' hystérie , rechercher avec soin tous les stigmates de cet
ffir- mer que le sujet n'est pas hystérique. Ne sait-on pas que l' hystérie se traduit parfois par une manifestation unique,
la contracture d'un membre, le mutisme, par exemple ? c'est là l' hystérie locale ou monosymptomatique. Il est de règle en
ade l'existence de quelques phénomènes qu'on puisse rap- porter à l' hystérie , et il est souvent possible de prouver ainsi pa
im, en présence d'un sujet mâle rejette donc a priori l'hypothèse d' hystérie . Or, ne sait-on pas aujourd'hui surtout depuis
arlons sont entachés d'hysté- rie. Eh bien ! cette coexistence de l' hystérie et de l'hypnotisme est une première preuve en f
le, avons-nous dit, qu'il y a une pa- renté entre l'hypnotisme et l' hystérie . Voici des arguments qui plaident dans ce sens
plus importants, la contracture léthargique appartient aussi à l' hystérie . Bien souvent on peut, en effet, chez un hystériq
ui qu'on peut observer entre les divers accidents qui relèvent de l' hystérie . Nous avons vu plusieurs fois des attaques hyst
cé, les grandes formes de l'hypnotisme sont sous la dépendance de l' hystérie , dont elles paraissent être une émanation. En
les choses se passaient de même pour les réflexes. Pas de signes d' hystérie . C'était pourtant probablement croyons-nous un
s, les atrophies musculaires, les paralysies, atrophiques i. Dans l' hystérie et l'hystéroépilepsie, la charge électrique n'e
t) et des perturbations psychiques liées aux accès périodiques de l' hystérie ou de l'épilepsie (épiphé- nomènes ou équivalen
encore développer d'autres affections nerveuses, soit des névroses ( hystérie , épilepsie), soit des maladies nerveuses organi
uppression brusque de la menstruation, une attaque d'épilepsie ou d' hystérie . Ce n'est pas le lieu ici de discuter la valeur
ctions cérébro-spinales. Les trois pre- miers groupes, comprenant l' hystérie , le tabes et la sclérose en plaques qui retenti
laires. Ils ne figurent donc pas non plus dans cette statistique. HYSTÉRIE . Les hystériques chez lesquels on a constaté de
la fréquence relative de cette maladie chez 1'.homme. Dans 9 cas, l' hystérie était associée à une autre affection nerveuse,
'ophthalmoplégie externe que M. Parinaud regarde comme spéciale à l' hystérie et qu'il désigne du nom d'ophthalinoplégie hyst
plet. Nous attirons particulièrement l'attention sur les cas où l' hystérie se trouve associée à une autre affection et où no
de l'alcoolisme est greffé .sur le rétrécissement concentrique de l' hystérie est particu- lièrement intéressant. TABES S
qui nient l'existence de telle ou telle maladie dans leur racé. U hystérie féminine et mâle est assez fréquente à Varsovie.
Israélite 474 ! k REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. atteint de grande hystérie . Il présentait de larges plaques d'hyperesthési
l'usage du tabac. Le Médecin, n° 3, 1887. 0 Greydenberg. Un cas d' hystérie chez l'homme (soldat). Le dlédeciti, n° 44, 988
dit que les signes subjectifs sont de peu de valeur, attendu que l' hystérie peut simuler les malades nerveuses les plus com
es. Fréquemment, ils sont les causes de troubles nerveux tels que l' hystérie , la neurasthénie, les psychoses (anxiété, hypoc
98 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
i- lreuse.La seconde implique la coexistence de l'épilepsie, de l' hystérie , de la neurasthénie ou de toute autre névrose O
rien dans ses antécédents per- sonnels qui puisse faire songer à l' hystérie ou à l'alcoolisme. Historique. - C'est au mois
ns précises, étroites et tenaces, des névroses et spécialement de l' hystérie en constituent la seule et uni- que indication.
les traitements mis en oeuvre. Elle ne présente aucun stigmate d' hystérie et ce serait une erreur de considérer cette apho-
CHaMPS. Thèse de Bordeaux, 1 ! J(4- [905.. ' Etude du rire dans l' hystérie apparaissant à l'état de rire soit spontané, so
e immodéré spontané peut être considéré comme un signe précurseur d' hystérie . Le rire peut précéder ou suivre l'attaque bana
seur d'hystérie. Le rire peut précéder ou suivre l'attaque banale d' hystérie . Il peut apparaître comme réaction émotive inve
complète. Le manque d'équilibre apparaitle plus clairement dans l' hystérie , c'est pourquoi les savants d'un grand mérite,
se être concentrée. Cependant le som- meil hypnotique donne, dans l' hystérie , des résultats bienfaisants. UN CAS DE GAST
augmenté dans quelques maladies fonctionnelles, notam- ment dans l' hystérie . Afin d'éviter de mettre l'air en mouvement par
se en plaques. Ce réflexe esl, très intense dans la neurasthénie, l' hystérie , la sciatique bilatérale radiculaire P. Keraval
iv crses hypothèses, les auteurs en adoptent une quatrième, celle d' hystérie traumatique. qu'ils appuient sur le rétrécissem
n qu'elle fût une buveuse d'eau avérée. , Je n'affirmerai pas que l' hystérie soit sans effet sur les mani- festations de l'o
J'ai en elfe vu une femme ne présentant que de légers stigma- tes d' hystérie à l'état fruste, et qui fut prise très rapidement
ans la descendance duquel on rencontre l'alcoolisme, la syphilis, l' hystérie , la folie ; si, de plus, l'enfance et la jeunes
nt- aucune altération du cylindraxu..1. S. L\'lL- Réflexes dans l' Hystérie . Valeur séméiologique de la dissociation des ré
Cl'sonlll'llL's, penseI1Ull : I'Ue dissocialion des réilexes dans l' hystérie doit être infiniment fréquente. Ce phéno- mène
hénomène pouvant trancher d'une façon absolue le diagnostic entre l' hystérie et une )c ! -ion organique toujours possible. G
antes. La crise dure environ une iluini-huuru. Pas du stig- mates d' hystérie . Au coeur, signe d'un rétrécissement mitral. Il
eurs de lésions cérébrales plus ou moins déterminées. G. 1. XXtX. Hystérie et fièvre typhoïde ; par MM. Roques el (.ORNELO
des H,jp. de Lyon, 21 mars 1905.) Les auteurs rapportent deux cas d' hystérie influencés par une tièvretvphode intercurrente
observation, la lièvre typhoïde développe du toute pièce une grande hystérie avec phénomènes convulsifs et para- plégie spas
é fréquemment et ceci toujours chez des tuberculeux. 'G, C. XXXI. Hystérie et rétrécissement mitral ; par MM. Roque et Cor
rétrécissement congénital prédispose spécialement à l'éclosion de l' hystérie . Parmi les faits cités, il y en a où la lésion
e qu'ils tendent il admettre pour expliquer le déve- loppement de l' hystérie est que la lésion cardiaque crée l'hysté- rie p
218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de 48 heures la première crise d' hystérie éclata ; les règles arri- vèrent ensuite. Depui
la seule influence congestive prémenstruelle que les phénomènes d' hystérie sont apparus. - Dans la deuxième observation, i
systolillue perçu dans la région xiphoïdienne. Les crises de grande hystérie apparurent au moment de la poussée d'endocardit
d'après les auteurs, probante de l'origine cardiaque de certaines hystéries au point de vue des phénomènes de congestion encé
ue quelques jours ; elles représentent l'équivalent d'une attaque d' hystérie L'Ionique et rentrent dans la variété .apoplect
dité et une émo- tivite excessives. on ne constaté aucun stigmate d' hystérie . Cette jeune bonne est hypnotisée : les borbory
Plagniez, de Paris. Isolement et psychothérapie. Traite- ment de l' hystérie et de la neurasthénie. Pratique de la réédu- ca
-anosmie et perte de la vision du vert à dloite. Syringomyélie avec hystérie . Astasie-abasie associée il des troubles organi
méningitiques de la - - chez l'enfant, par Giraudet, 74. - Voir Hystérie . Folie et choc moral, par Pelle- tier, 188. -
potonie et hypertonie chez un même malade, par Bychowslçi, 130. Hystérie et fièvre typhoïde, par Roques et Corneloup, 21
seur commun des doigts, 1)tir Arluro Morse)) ! , 205. - dans l' hystérie . Valeur sémiéiologique de la dissociation des -
iebizzi, 206. Rétrécissement mitral. Voir Epi- lepsie. - - Voir Hystérie . Rêves. Note sur les - précur- seurs de la mi
99 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l1ol'- rtiagie. P. KERAVAL, V, Des vomissements stercoraux dans l' hystérie ; par L. E. Cregman. (Neurolog. Centralbl., XX.
? c1l'rose cérébrale, mélancolie, neurasthénie, folie obsé- dante, hystérie , paralysie générale, etc. La dose a varié de 25 c
l'importance des signes objectifs et de l'histoire gêné-, raie de l' hystérie . Sur le phénomène de « déjà vu » ou fausse reco
malades sont depuis longtemps atteints (l'épilep- sie typique sans hystérie . On pratique chez eux des injections soit REVUE
et psycho- pallies à la limite de la folie, héréditaires dégénérés, hystérie traumatique. Un asile [tour buveurs serait auss
peuvent être classés en trois groupes : a) Quelques slygniales d' hystérie ; b) Idées de persécution avec hallucinations d
des intoxications diverses peuvent réveil- ler des manifestations d' hystérie lalenle. . MARCEL 13RIAND, SOCIÉTÉS SAVANTES.
e psychique, 2 neurasthénie, '2 pycha"lhénie, i ; ; bégaiement, 1 ; hystérie , 3; névralgie, 1 ; accouchement, 1 ; oh- sessio
ne maladie or- ganique, maladie organique méconnue, prise pour de l' hystérie 240 REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE. fébrile. L
elle s'est terminée par la mort. L. W. 1X1.- Etudes récentes sur l' hystérie ; par S[CinANO.(7)Oi<n crit. di clinica naecl
lement aggravé, a rendu l'alimentation déplus en plus difficile. Ni hystérie , ni neurasthénie : une soeur du patient l'-t ar
l'impossibilité d'établir et de sérier les tableaux cliniques de l' hystérie . Les symptômes sont éminemment changeants indivi-
dont la première a Irait à la question de savoir s'il s'agit d'une hystérie traumatique ou du foudroiement direct dusystème
en général aux chiffres de Uriquet et,Landouxvsur l'apparition de l' hystérie . - Sur les 4\1 observations, il n'y l'ut Iii fo
bservations, il n'y l'ut Iii fois aucune antre main- festation de l' hystérie mentionnée ; 4 fois toute autre manifes- tation
en défaut en présence d'une amaurose mOllos)"m ploll1al ic¡ue de l' hystérie , sur- venue sans prodromes, sans cause apparent
NIQUE NERVEUSE Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau d'admission. Hystérie avec hémianesthésie sensitivo-senso- rielle gau
sées à ce même côté. Voyons comment, chez elle, l'alcoolisme et l' hystérie on ! pu retentir l'un sur l'autre, s'enchevêtre
nt. La mensuration du champ visuel à droite donne pour le blanc : HYSTÉRIE . AVEC HÉVI.1\ESIHliSII : St ? SI11\,0-St : XSORIE
tant actuellement une hémianesthésie scnsitivo-senso- rielle. Cette hystérie intervient dans son délire alcoo- lique, en dét
ui commande le côté gauche du corps, lésé fonc- tionnellemcnt par l' hystérie et constituant de ce fait un locus minoris resi
Traitement bromure et thyroïdien. L. W. XXV. Paralysie générale et hystérie ; par M..IOFFROY. (Bail. merl., I ! )04, ]1- 1.
deux malades qui, après avoir présenté des pheuo- mènes très nets d' hystérie , sonLdevenues paralytiques générales. C'est en
tériques ont disparu au cours de la paralysie générale ; d'ailleurs hystérie et démence sont des termes contradictoires. L.
harge électrique accidentelle. Pas d'hérédité nérolaLltiyue·, pas d' hystérie , pas d'autres accidents pathologiques. Les nerfs
e de la syphilis cérébrale. P. Keraval. LXV. De l'angoisse dans l' hystérie et la neurasthénie ; par A. 1)IEHL. (Neurolog.
nte peut-être seulement pour se juslifier. Mais il n'y a que dans l' hystérie qu'on observe une angoisse à l'état de crainte
ndromes maniaques et hallucina- toires dus aux névroses, épilepsie, hystérie ou aux intoxications (alcool, lièvre) ; b) déli
ant alors des troubles de sensibilité dans le côté droit, pense à l' hystérie et adresse la malade au Dr Abadie, qui confirme l
ais eu ni crises convulsives, ni rien qui rappelle l'épilepsie ou l' hystérie . Pas de stigmates hystériques. Tous les organes
L'- chez les alié- nés, par Sokolow, 308. Angoisse. De l'- dans l' hystérie et la neurasthénie, par·Diehl, 318. Anurie
Laper et Crou- son, 311. Voir H-stéi-ie. 1 IÉMI \XOETnÉSJE. Voir Hystérie . IIÉMtAXOPStE hystérique, par Valobra, 238. V
Strabisme. Hypertrophie musculaire ac- quise, par Sicard, 163. Hystérie . Voir Vomissements. Etudes récentes sur l ? par
tonique du pied dans la gé- nérale, par Féré, 305.-géné- rale et hystérie , par Jolfroy, 309. - faciale. Voir Symptô- me
ran- don de Montyel, 307. Vomissements. Des sterco- raux dans l' hystérie , par Breg- man, 59. Voir 'Etat de mal épilept
100 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e-dépressive,à la démence précoce, à la folie des dégénérés, ou à l' hystérie . Masselon est conduit à admettre au contraire u
née de troubles vasculaircset nutritifs (il on est de même dans l' hystérie ) mais, caractère distinctif, se présente sous f
stic doit être basé sur les symptômes somatiques et psychiques de l' hystérie constatés par lui ou mentionnés dans les antécé
t chez lui la névrose,etc. Un inculpé ayant présenté des attaques d' hystérie moyen- ne, voire même de petites attaques vulga
ra à elle seule innocenter le délit, il faut d'au- tres éléments. L' hystérie est-elle,au contraire,grave, s'accom- pagne-t-e
nue. Lorsqu'un détenu d'une maison centrale présente des attaques d' hystérie avérée, on ne le garde pas en prison ; jus- qu'
nsonge, la super- cherie ? Si l'on peut démontrer l'existence d'une hystérie grave, l'amnésie du crime peut être réelle en d
nt, quelques mots de la respon- sabilité des sujets chez lesquels l' hystérie est associée à d'autres facteurs pathologiques.
tte conclusion, que le délit ait une note pathologique. Lorsque l' hystérie s'associe avec les intoxications, la ques- tion
urs surajoutés. La responsabilité dépend na- turellement du degré d' hystérie et de l'importance de l'in- toxication. De tous
cher à démontrer dans quelle me- sure l'acte délictueux dépend de l' hystérie ou de l'intoxica- tion surajoutée. Cette notion
orme. 31. BRIAND (de Villejuif). - Le terrain sur lequel évolue l' hystérie joue un rôle primordial dans le déterminisme et l
tares intellectuelles, morales, ou volontaires qui s'associent à l' hystérie sur le terrain dégénératif, dont la né- vrose e
ues du délit chez les hystériques. Je ne vois guère de spéciale à l' hystérie que la suggestibilité, comme élément psychologi
la fabulation et à la simulation, est très fréquemment associée à l' hystérie , mais elle ne se confond pas avec elle, car on
e hystérique. Le diagnostic différentiel entre la my- thomanie et l' hystérie repose le plus souvent sur la notion de la prés
132 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. part de l' hystérie et de la simulation. Il me paraît difficile de
Société Universelle d'Etudes Psy- chiques. Ce qui fait le fond de l' hystérie , c'est un trou- ble de l'équilibre du système n
coce peuvent relever de nombreuses causes. 1. Dans les cas avérés d' hystérie ou d'épilepsie où les attaques datent depuis tr
urg). QUESTIONS choisies : Neurologie : Définition et nature de l' hystérie . Rappor- teurs : prof. Claude, de Paris, un doc
philis probable. A un examen plus attentif, on trouve des signes d' hystérie : crises nerveuses anciennes ; actuellement, larg
ROCA el IIERBINET. (Nouv. Icorx.de la Salpêtrière, 1905, no 4.) L' hystérie infantile est de notion classique actuellement, m
, ou tout au moins de la fragilité des stig- mates chez l'enfant; l' hystérie infantile est leplus souvent mono- s` mptomatic
ou d'une imitation incons- ciente des malades. Il définit ensuite l' hystérie en montrant qu'elle n'est non plus une entité m
itre. M. Ii1t1111 passe en revue tou- tes les théories émises sur l' hystérie parles différents auteurs, en fait la critique
ue de tout le membre, paraissant d'origine hystérique, l'éveil de l' hystérie ayant eu pour cause occasionnelle le léger trau
mptômes enfin, cons- tatés chez D ? étaient des manifestations de l' hystérie . Notre intention n'est pas d'insister sur les d
nous ont invité à publier cette observation qui montre bien que l' hystérie peut réaliser les troubles les plus divers do l
lectuelles (psychose dégénérative et 1),;ychoné% roses : épilepsie, hystérie , neurasthénie, chorée). 3° par perle de l'intel
c celle le seul fait avec cécité verbale. Observation : Alcoolisme. Hystérie chez une femme de ? 2 ans Aphasie hystérique av
à l'autour difficile établir exactement. G. C. \X\1'lll.-Scléroseet hystérie ; par M. Faisant. (Société de niédecine de Lyon
ns postérieurs ; exagération des réflexes rotuliens, nystagmus. L' hystérie est enfin affirmée grâce au rétrécissement concen
re rare, mérite d'être signalé. Celle observation est celle d'une hystérie bien caractérisée et bien classique. Chez cet
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