ture et gravées TOME SECOND Comprenant l'anatomie du cerveau de l'
homme
et des singes, des recherches nouvelles sur le dé
r le travail de Leuret sur Y Anaiomie comparée du cerveau. Cet habile
homme
est mort sans achever son œuvre. Il se proposait,
rt des filons abordables d'une mine déjà exploitée par tant de grands
hommes
. J'ai donc eu la pensée d'ajouter à l'étude du ty
s animaux. J'avais ici deux écueils à éviter, les uns en effet font l'
homme
et les animaux trop semblables entre eux, les aut
gérées-, en effet certaines facultés sont communes aux animaux et à l'
homme
; ils ne diffèrent donc pas d'une manière univers
ne manière universelle-, mais d'un autre côté certaines facultés de l'
homme
n'appartiennent qu'à lui, et ces facultés sont d'
lises : la réalité. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'
HOMME
ET DES PRIMATES CONSIDÉRÉ onus ses Rapports a
é toute l'attention qu'elles méritaient, à coup sûr. Suivant ce grand
homme
, en effet, les filets de communication entre deux
(1) Le célèbre auteur de la Philosophie anatomique, Etienne Geoffroy,
homme
doué essentiellement de l'esprit divinateur, avai
s générales de Geoffroy sur le squelette, que je ne doute pas que cet
homme
célèbre, qui avait autant d'indépendance réelle q
REMIÈRE PARTIE anatomie des centres nerveux cérébro-rachidiens de l'
homme
et des primates CHAPITRE PREMIER de l'axe ner
En créant ces dénominations on a eu égard à l'attitude verticale de l'
homme
. Le sillon médian antérieur est le seul dont on n
longtemps embarrassé, et il faut l'avouer, l'étude de la moelle de l'
homme
ne suffît plus ici, il faut d'autres éléments pou
e comparée nous vient en aide, et ce qui n'est pas appréciable dans l'
homme
, apparaît chez les animaux avec la plus grande év
ennent des régions situées en arrière. Ces faits peu apparents dans l'
homme
sont évidents dans les singes, et en particulier
ns la rétine de l'éléphant, et depuis par M. Kolliker dans celle de l'
homme
. Outre ces tractus rayonnants des cellules, la
du trou occipital. Quant à ses limites inférieures, elles sont dans l'
homme
au niveau de la deuxième vertèbre lombaire. C'est
l'histoire philosophique de la moelle épinière. ENFANT NOUVEAU-NÉ
homme
adulte ENFANT homme Aire totale des faiscea
de la moelle épinière. ENFANT NOUVEAU-NÉ homme adulte ENFANT
homme
Aire totale des faisceaux blancs Aire des fai
des faisceaux blancs à la région dorsale est beaucoup moindre dans l'
homme
que dans les carnassiers, surtout dans les félis{
effet réduits comparativement dans le renflement cervical, et dans l'
homme
beaucoup plus que dans les animaux, mais en revan
ie au-dessous -de lui sous le nom de corne sphenoidale. Enfin, dans l'
homme
et dans les singes, un prolongement accessoire de
-renflés et fort épais, mais leur surface est à peu près unie. Dans l'
homme
au contraire, dans les singes, dans les ours, dan
ervalle plus ou moins grand. Comme l'olive est plus développée dans l'
homme
que dans les singes, cet intervalle est relativem
relativement plus grand dans ceux-ci. La longueur de l'olive dans l'
homme
adulte est de seize millimètres environ, sa large
aire, autrement nommée pont de Varole ou mésocéphale, résulte, dans l'
homme
et dans les singes, d'une énorme accumulation de
bords que la protubérance est comprise. Elle est fort épaisse dans l'
homme
, dans l'orang, le chimpanzé, les phoques, les cét
n-8. La plus grande mesure de la protubérance annulaire est, dans l'
homme
adulte, de trente-deux millimètres environ, dans
immédiatement au-devant de l'anse pédonculaire. Assez aplatie dans l'
homme
, elle apparaît dans les singes, sous forme d'une
ous le nom ^eminences mammillaires; ces eminences sont doubles dans l'
homme
et dans un grand nombre d'animaux carnassiers, ma
vule antérieure. Elle est surtout bien apparente dans le cerveau de l'
homme
, lobe postérieur. Le premier est reniforme et l
rijumeaux postérieurs. Cette lame est la valvule de Vieussens. Chez l'
homme
, un petit pont, formé par un tractus de libres bl
cette description préliminaire. Ils sont au nombre de quatre dans l'
homme
et dans les mammifères adultes. Les tubercules po
uadrijumeaux antérieurs. Plus grêle que le précédent, du moins dans l'
homme
et dans les singes, ce faisceau est le moyen d'un
x faisceaux triangulaires latéraux de l'isthme. Ses dimensions dans l'
homme
sont peu considérables. Sa longueur est d'environ
es corpuscules sont de nature calcaire et existent constamment dans l'
homme
. M. Kôlliker les considère, néanmoins, comme l'ex
e intermédiaire, ainsi que l'enseigne Baër. (1) Voir le Traité de l'
homme
de Descartes. Ce traité, purement hypothétique, p
érite d'être lu et médité ; on y verra une preuve de la grandeur de l'
homme
et en même temps de son impuissance, lorsqu'il as
mais ne l'est pas au même degré dans le groupe des primates et dans l'
homme
. B. — Après la couche optique, vient la deuxièm
est le ventricule dans la plupart des animaux mammifères. Mais dans l'
homme
et dans les singes, de la partie postérieure de l
à l'ensemble du ventricule latéral dont l'arc est fort petit. Dans l'
homme
, la prédominance passe à celui-ci. Cette remarque
occipital du ventricule est particulier aux primates (singes) et à l'
homme
, et, par conséquent, il caractérise fort bien le
ntricule dans les singes, où son développement est énorme, que dans l'
homme
, où la partie enroulée l'emporte évidemment sur l
considération de ce prolongement occipital une importance absolue, l'
homme
serait inférieur au singe. C'est une preuve entre
nes du cervelet. Vue dans son ensemble, la masse du cervelet dans l'
homme
a la forme d'un cœur. La face postérieure ou supé
eminulaire. Les lobes du cœur sont situés en arrière et font dans Y
homme
, dans les orangs, les troglodytes et les éléphant
cissure horizontale, sont des lobules accessoires très-simples dans l'
homme
, très-compliqués dans les animaux, et qui, désign
idée juste de ces choses, il ne faut point commencer par l'étude de l'
homme
, mais remonter en passant par les quadrumanes, la
suit la direction d'une courbe qui, dans les singes et surtout dans l'
homme
, se rapproche du vermis médian pour s'en éloigner
ral. Le vermis du cervelet latéral ne peut être bien compris dans Y
homme
que d'après l'étude du cervelet des singes. Dans
ésigne aussi sous le nom de valvule du quatrième ventricule. Dans l'
homme
le vermis latéral est singulièrement réduit. Son
s latéral. Telles sont les divisions principales du cervelet dans Y
homme
et dans les singes, et nous ajouterons encore dan
apprécier empirique nient l'importance relative des parties. Dans l'
homme
, d'une manière générale, on voit les corps des ce
a prétention de les compter, il les trouvées plus nombreuses dans les
hommes
intelligents que dans les idiots. Il faut qu'il a
d'une simple coïncidence. Les feuilles sont très-nombreuses dans Y
Homme
, beaucoup moins dansl'Ora?^, dans le Chimpanzé, d
avantage les figures, mais l'espace m'a manqué. Le cervelet, dans l'
homme
adulte, est sept à huit fois plus petit que le ce
suivant Valentin. D'après le même auteur, il serait plus gros chez l'
homme
que chez la femme, eu égard au volume des hémisph
est en raison inverse de celui du cerveau. Us sont fort petits dans Y
Homme
, dans YOrang, dans le Chimpanzé, dans Y Éléphant
des anfractuosités. Les plis cérébraux sont fort compliqués dans l'
homme
. Cette complication est telle, que les anciens an
u cervelet qu'elle recouvre. Cette relation est d'ailleurs propre à l'
homme
et aux singes; dans tous les autres animaux l'hém
répondent au cervelet. Au niveau des lobes frontaux, elle est dans l'
homme
à peu près plane, ce qui n'a point lieu dans les
s ont l'angle facial presque droit, tandis que le front fuit chez des
hommes
d'un esprit prodigieux? Y a-t-il eu un crâne d'un
nt à la similitude des langues, des caractères, des industries ! Un
homme
dans ces derniers temps (1) s'est préoccupé de ce
logie. Quand on pèse un cerveau d'Américain, de Chinois, de, nègre, d'
homme
blanc, on peut trouver des poids pareils; mais es
randeur du mystère. Il y a de grandes cervelles qui furent celles d'
hommes
de génie; il y en a d'autres qui ont été possédée
n, la moyenne des mesures de capacité du crâne est plus grande dans l'
homme
de race blanche et de race mongolique, que dans t
iale. Le cerveau des femmes est, en général, plus petit que celui de8
hommes
; son poids varie entre 2 livres 8 onces et 3 livr
lisse dans les singes mais qui porte plusieurs plis rayonnants dans l'
homme
. Ce lobe, qui recouvre la saillie du corps strié
ro glodytes, mais il ne m'a point été donné de m'en assurer. Dans l'
homme
, il offre cinq ou six plis rayonnants. Ces plis
M. Arnold et par M. Foville. Le lobe central paraît particulier à l'
homme
et aux singes, peut-être voit-on quelque chose d'
chacune un lobule; l'une, laface inférieure, à peu près plane dans l'
homme
, est très-excavée dans les singes, elle touche à
es, qu'on doit renoncer à les décrire; une seule est constante dans l'
homme
, elle s'étend dans un sens longitudinal le long d
qui borde, en arrière, le lobe frontal. Ce pli, très-flexueux dans l'
homme
, y présente de nombreuses variétés ; il est simpl
, que nous avons eu occasion d'examiner chez M. Baillarger. Enfin, un
homme
blanc, dont l'un des hémisphères était atrophié d
t normal, le développement excessif auquel le cerveau atteint, dans l'
homme
blanc, dissimule cette régularité primitive, et e
es singes américains font seuls exception à cette règle. Ainsi dans l'
homme
et dans les singes de l'ancien continent, les lim
vant le bord antérieur de la scissure perpendiculaire externe. Dans l'
homme
, ce pli naît du sommet de la scissure qu'en consé
pli n'existe jamais dans les singes et ne se voit pas toujours dans l'
homme
. Dans tous les cas, cette portion de la marge s
cisures subdivisent. Dans les singes, et à plus forte raison chez l'
homme
, le pli courbe n'atteint point au bord supérieur
t dans le Chimpanzé un lobule considérable ; il en est de même dans l'
homme
. Ce lobule, qui porte des plis nombreux, peut êtr
u profonde qui les sépare, étant la plupart du temps remplacée dans l'
homme
par des incisures coupées fort irrégulières. Son
t grand et superficiel. Le deuxième est caché sous l'opercule. Dans l'
homme
, ces deux plis sont grands, et tous deux superfic
de passage. Ceux-ci sont constamment superficiels. H y a donc dans l'
homme
quatre plis de passage grands et superficiels. De
ltat bien utile. 11 est plus avantageux de comparer le cerveau de l'
homme
à celui des animaux qui lui ressemblent le plus,
usé, je ne sais d'après quel indice, de considérer en toutes choses l'
homme
comme le type de la perfection. C'est là ce qu'il
te s'est trop hâté, et c'est fort gratuitement qu'il prête à ce grand
homme
une pareille sottise. M. de Blainville savait trè
simultané de tous les plis de la face externe de l'hémisphère dans l'
homme
, on peut démontrer aisément que certains groupes
lobe temporo-sphénoïdal et le lobe occipital qui prédominent; dans l'
homme
, au contraire, les parties prédominantes sont : 1
fait que les animaux au point de vue d'une progression horizontale, l'
homme
l'emportera sur eux eu égard aux nécessités de la
quement développé celte thèse; et, en effet, on pourrait considérer l'
homme
et tous les animaux comme des harmonies dont les
s animaux comme des harmonies dont les tons diffèrent; or le ton de l'
homme
s'appelle intelligence. Voilà la base de l'accord
l'accord où toutes ses fonctions s'unissent. Ainsi la perfection de l'
homme
no s'appellera ni locomotion, ni acuité des sens
indre le cerveau du plus intelligent des ûlres? Et pour ne comparer l'
homme
qu'aux animaux qui lui ressemblent le plus, quel
ar deux scissures fondamentales. 1 La première scissure est, dans l'
homme
, presque verticale ; elle est située un centimètr
uelques an-fractuosités irrégulières que M. Foville a désignée dans l'
homme
, à cause de sa forme, sous le nom de lobule quadr
r de l'hémisphère. Il est indivis dans la plupart des singes ; dans l'
homme
il est en général subdivisé en deux plis dont le
Ces plis, à peu près nuls dans les singes, sont insignifiants dans l'
homme
. Ce sont de petites incisures assez rares, peu pr
la face externe. Leur disposition générale est fort semblable dans l'
homme
et dans les singes. Nous remarquerons toutefois
oup l'os de ce nom et anticipe sur la région des os pariétaux. Dans l'
homme
, au contraire, le lobe occipital, extrêmement réd
occipital est plat et fait à peine saillie au delà de l'atlas. Dans l'
homme
, au contraire, où le lobe occipital est si petit,
C'est une tâche difficile que de discuter avec les systématiques, ces
hommes
s'entêtent de leurs prétentions et, quoi qu'on di
sorte, une subdivision des hémisphères cérébraux ; très-grêles dans l'
homme
, dans les singes et dans la plupart des mammifère
s-grand volume. Pour se faire une bonne idée de leur origine dans l'
homme
et dans les singes, il faut, avant tout, considér
, épaisses dans la plupart des animaux mammifères, très-grêles dans l'
homme
et dans les singes, se prolongent dans les lobes
itudinale des lobules orbitaires. Cette scissure, très-marquée dans l'
homme
, n'existe point dans les singes. Dans les anima
misphères, et plus particulièrement de leurs lobes postérieurs dans l'
homme
et dans les singes, est dans les autres animaux,
pposition constante. On peut opposer, à cet égard, à l'encéphale de l'
homme
, celui des marsupiaux carnivores; chez ceux-ci, à
tement à découvert, correspondent des lobes olfactifs énormes; chez l'
homme
, à des hémisphères énormes, correspondent des lob
. La paroi des bourses est d'un gris jaunâtre obscur; elle est dans l'
homme
singulièrement plissée et chiffonnée. Leur substa
usieurs anatomistes pensent que l'olive est un organe particulier à l'
homme
et aux singes. C'est là une grande erreur. L'oliv
les chiens et dans les chats, où elle diffère toutefois de celle de l'
homme
et des singes, par la prédominance des noyaux acc
petits noyaux accessoires. Cet organe n'est donc pas particulier à l'
homme
et aux singes; mais nous devons dire que dans la
expansion du funicule accessoire est peu apparente dans le bulbe de l'
homme
adulte. M. Foville a remarqué qu'elle était plus
pyramides; leur multiplication excessive donne à la protubérance de l'
homme
un grand volume qu'augmente encore une assez gran
ofonds. Cette proposition devient bien apparente quand on compare l'
homme
à la plupart des animaux. Dans l'homme le plan su
n apparente quand on compare l'homme à la plupart des animaux. Dans l'
homme
le plan superficiel de la protubérance est énormé
nt, malgré la différence prodigieuse qui existe entre le cerveau de l'
homme
et celui de l'éléphant, un développement équivale
ce type à celle que Reil, Burdach et Arnold ont faite du cerveau de l'
homme
. II. 11 Malpighi donne ainsi la description de
ations de Malpighi sont inexactes. Mais on a proposé, depuis ce grand
homme
, des théories beaucoup moins raisonnables, et je
e blanche à la surface du lobule de l'hippocampe dans le cerveau de l'
homme
et dans celui de quelques autres vertébrés. Journ
e Médecine. Paris, 1840. Tom. VIII, p. 148). et encore chauds, de l'
homme
et du cochon. C'est aussi le cerveau du cochon qu
s réciproques? Voilà à quel abîme nous touchons; s'étonnera-t-on si l'
homme
n'en a point jusqu'à présent sondé la profondeur?
nt entre elles les différentes parties d'un même hémisphère. Dans l'
homme
, les fibres de l'ourlet forment autour de l'ouver
et la paroi propre du ventricule se touchent en ce point, mais dans l'
homme
, il n'en est pas ainsi; des fibres rayonnantes, é
orps calleux et le plan de fibres rayonnantes qui s'en détache dans l'
homme
, revêtent le côté interne de la corne postérieure
atomiste Sténon, se fondant sur les observations d'un des plus grands
hommes
qui aient jamais écrit sur le cerveau, je veux pa
nclusions devait tenir à la différence des méthodes anatomiques. Deux
hommes
examinent un demi-cylindre par ses deux faces : l
sion, beaucoup plus grande dans les mammifères quadrupèdes que dans l'
homme
et dans les singes, est de toutes les racines du
t proportionnée à la grandeur d'un hémisphère peu développé. Dans l'
homme
, au contraire, le nerf optique et la racine qui s
à cette portion antérieure qu'il est si difficile de démontrer dans l'
homme
et dans les singes. Toutefois, on peut se convain
nates des lobes optiques. Ainsi, cette petite racine, si grêle dans l'
homme
et dans les primates, devient ici l'unique racine
corps genouillés internes. Ces corps, dont le volume médiocre dans l'
homme
et dans les singes s'accroît énormément dans les
ue je signale ici. Évidemment, dans les mammifères supérieurs, dans l'
homme
et dans les primates, il y a deux racines au moin
uyer sur ces faits quelques inductions, quelques hypothèses? Dans l'
homme
et dans les singes, la racine directe est au maxi
s élever à des conclusions physiologiques, nous penserions que dans l'
homme
, et dans quelques animaux privilégiés, la sensati
ques dont le corps est affecté; il suivrait de là que le cerveau de l'
homme
recevrait des stimulations immédiates, tandis que
long du bord supérieur de l'hémisphère. Il n'en est pas ainsi dans l'
homme
, du moins d'après M. Foville qui les fait rayonne
férence plus remarquable encore est observée dans les animaux. Dans l'
homme
et dans les singes, il est fort douteux que la co
pinceau rudimentaire. (1) Foville, pl. XX, fig. 5. Ainsi, dans l'
homme
, le système dont nous parlons est une commissure
les animaux ont la leur 5 mais elle n'est pas semblable à celle de l'
homme
. 9° En dehors de l'expansion de la commissure e
se faire une idée complète de la structure des lobes olfactifs dans l'
Homme
, dans les Singes, dans les Phoques, et, à fortior
cule latéral ; cette communication est constamment interrompue dans l'
Homme
et dans les Singes adultes. Mais dans un grand no
ntérieure. Si sur ce second point l'incertitude est possible dans l'
homme
et dans les singes, elle ne l'est pas dans les an
entre cette portion de la commissure chez ces animaux, et celle de l'
homme
et des singes, aucune similitude. Il y a là un pr
perforations de la lame criblée. Dans les singes, et surtout dans l'
homme
, il est impossible de démêler avec précision cett
s la plupart des animaux (1). J'ai longtemps cherché ce rameau dans l'
homme
et dans les singes, et en effet, sur la foi des a
on chez le chat, le chien, etc , j'avoue ne l'avoir jamais vue ch"Z l'
homme
d'une manière satisfaisante Je ne me crois donc p
point un type noble. Je n'insisterai pas davantage sur ces faits. L'
homme
est, dans le ciel des intelligences terricoles, l
igences. Si donc les lobes olfactifs étaient des organes de raison, l'
homme
aurait de grands lobes olfactifs; il n'en a que d
ndamen- (1) Le nerf maxillaire supérieur passe, il est vrai, dans l'
homme
, par un trou particulier, savoir :1e trou rond. M
ptiques où elles se terminent peut-être; le plus grand nombre, chez l'
homme
et les singes, s'épanouit dans l'écorce des hémis
douteuse en ce qui touche certains vertébrés inférieurs, mais dans l'
homme
et dans les mammifères les plus élevés elle paraî
mier abord, et l'on se décidera aisément pour l'affirmative. Dans l'
homme
, par exemple, la masse des fibres dans le centre
t à une richesse et à une grandeur tout à fait exceptionnelles dans l'
homme
où le bulbe est si petit relativement à l'encépha
érébrale peu riche pour un si gros nerf si je la compare à celle de l'
homme
. Dans l'homme en effet le nerf optique est rela
he pour un si gros nerf si je la compare à celle de l'homme. Dans l'
homme
en effet le nerf optique est relativement assez g
hacune des fibres périphériques qui s'y rattachent. Je parle ici de l'
homme
, car dans certains animaux très-inférieurs il fau
ir. « Cet organe, » ajoute ce grand écrivain, « est plus grand dans l'
homme
, dans les quadrupèdes, dans les oiseaux, parce qu
épinière ; cette idée, avons-nous dit, est de Bartholin, et ce grand
homme
la fondait sur ce fait, que la grandeur du cervea
ns doute quelqu'un de ces problèmes dont Dieu cache la solution à l'
homme
comme pour lui rappeler constamment sa faiblesse,
vait qu'une gouttière. Ainsi, très-certainement dans le cervelet de l'
homme
, le développement des masses latérales devance ce
détails qui donnent à l'histoire du développement de l'encéphale de l'
homme
une physionomie toute particulière. A partir de
s lobes olfactifs, qui, pendant toute la vie fœtale, demeurent chez l'
homme
dans un état d'infériorité relative. Les choses
ractères propres qui en font un poisson, un reptile, un mammifère, un
homme
; ce qu'il y a de commun en tous ces animaux se t
x philosophes. Mais si pour résumer la nature dans une idée simple, l'
homme
doit s'attacher surtout aux analogies des êtres,
forme spéciale, par un ensemble de caractères qui ne sont qu'à lui. L'
homme
vertébré est à toutes les époques de la vie embry
ence fondamentale distingue les formes primitives de l'encéphale de l'
homme
à l'état d'embryon, de celles que présentent les
ns, en laissant subsister l'unité du type, feront apparaître, entre l'
homme
et. les animaux, des différences perpétuelles.
sont unies sur le plan médian, jamais cet organe ne ressemble chez l'
homme
à celui des Marsupiaux, des Monodelphes, et même
emple, de l'idée que le cervelet du Lion ne diffère d'avec celui de l'
homme
que pour s'être arrêté plus tôt dans son développ
i se ressemblent fort, nous pourrons comparer plus particulièrement l'
Homme
aux Singes, aux Macaques, aux Papions, aux Ouisti
éraux, et ces derniers surtout, sont beaucoup plus réduits que dans l'
homme
adulte: en revanche, les vermis, le médian et plu
culièrement les latéraux, ont une grandeur et une complication dont l'
homme
ne saurait donner aucune idée. Ces propositions s
ale, explique pourquoi à aucune époque la protubérance annulaire de l'
homme
n'est semblable à celle des singes inférieurs; à
iquent suivant un mode spécifique; à toutes les époques, en un mot, l'
homme
futur se devine. B. De tous les organes encépha
s, à la naissance, ces tubercules forment quatre masses distinctes; l'
homme
ne l'emporte sur aucun d'eux. Loin de là, il leur
igurées et dans des proportions réciproques différentes. En un mot, l'
homme
, en tant que mammifère, présente avec tous les an
de toute assimilation réelle. A toutes les époques de la vie fœtale l'
homme
est homme en puissance, des caractères définis le
ssimilation réelle. A toutes les époques de la vie fœtale l'homme est
homme
en puissance, des caractères définis le distingue
d, laissant de côté des êtres trop éloignés, on se borne à comparer l'
homme
au singe à cause des ressemblances plus grandes q
s deux groupes naturels. En effet, à certains égards, le cerveau de l'
homme
est semblable à celui des singes. C'est la même f
t de la forme générale précède les premiers vestiges des plis. Dans l'
homme
, ils apparaissent et se multiplient longtemps aup
un ordre dans les singes rangés en série, et un autre ordre dans l'
homme
. Chose remarquable ! Les résultats sont semblable
t récité d'Oméga en Alpha. En sorte qu'à tous les âges.de la vie de l'
homme
la Nature semble protester contre des similitudes
nt, il a, même dans ce degré de réduction, des caractères propres à l'
homme
. Dans le microcéphale, dont je donne la figure da
ant conservé ses caractères humains. Ces nains microcéphales sont des
Hommes
amoindris, ce ne sont point des Singes. D. Lobe
utile d'insister ici sur des organes dont la réduction extrême dans l'
homme
indique le peu d'importance. § e. Comparaisons
t ni feuilles ni sillons. Comparons à cet encéphale rudimentaire d'un
homme
en voie de développement, l'encéphale achevé d'un
a considération de ces ressemblances, autrefois mal appréciées, que l'
homme
a pu embrasser de plus en plus, dans quelques for
blanche. À coup sûr les Hottentots bojesmans sont-ils de fort petits
hommes
(1). On sait que, toutes choses égales d'ailleu
nt, mais sous des dimensions singulièrement inférieures à celles de l'
homme
normal. La petitesse singulière de ces merveilleu
qui, au point de vue des choses matérielles, ressemblent si fort à l'
homme
, les plus grandes espèces, les Orangs, les Chimpa
êmement petit. Ainsi la quantité de plis que présente le cerveau de l'
homme
supposerait chez un primate une taille supérieure
e tendance à se développer que dans les herbivores. Or la taille de l'
homme
est médiocre. Il y a une sorte de paléontologie h
erres) qui remonte fort loin et démontre que la grandeur moyenne de l'
homme
n'a point varié. Ainsi le développement des plis
erveau humain dépassent de beaucoup cette proportion ; et cependant l'
homme
est absolument plus petit qu'un Gorille (1). Il e
'homme est absolument plus petit qu'un Gorille (1). Il est vrai que l'
homme
est aussi un géant prodigieux; mais c'est dans l'
semble fabuleux. Le Bœuf vit plus longtemps que la Brebis. Parmi les
hommes
, les plus grandes races et les plus grands indivi
a retraite est pour les vieux employés une étape de la mort; mais les
hommes
qui pensent beaucoup, non aux choses de la chair
choses parce qu'elles peuvent fournir des éléments à l'histoire de l'
homme
d'une part, et de l'autre à celle des espèces ani
l'avouer ici, on est bien loin du moment où l'histoire naturelle de l'
homme
pourra être assise sur des bases positives, car i
sitives, car il y a dans le monde plus de gens prêts à conclure que d'
hommes
disposés à observer patiemment. Voilà pourquoi, s
me l'un des points les plus intéressants de l'histoire naturelle de l'
homme
. En effet, ces races humaines si différentes par
oës, des Miaotsés et des Ghilanes, il est certain qu'il y a entre les
hommes
des différences naturelles, et chaque grande race
dissoluble. Chose remarquable ! Plus la race est ignoble, et plus les
hommes
qui la composent sont semblables dans le niveau d
sionomie commune n'implique plus aucune ressemblance réelle entre les
hommes
qui la composent. Aussi, tandis qu'il est en gé
us élevés, tels que l'Orang et le Chimpanzé, sont très-inférieurs à l'
homme
, car chez eux la convexité des voûtes orbitaires
du cerveau est profondément excavéc; or, cela n'a jamais lieu dans l'
homme
, sinon dans le cas de microcephalic (1). Chez lui
connaître dans un autre ouvrage (Mémoire sur les plis cérébraux de l'
homme
el des primates, 1854.) Je l'ai trouvée a\ec le m
les Singes la face s'agrandit aux dépens du crâne, tandis que dans l'
Homme
, au contraire, le crâne refoulant l'œil, envahit
au volume individuel de la tête. Le critérium est ainsi trouvé; et l'
homme
le plus homme, si je puis ainsi dire, sera celui
ividuel de la tête. Le critérium est ainsi trouvé; et l'homme le plus
homme
, si je puis ainsi dire, sera celui chez lequel ce
coup de raison. On peut dire même qu'il a été indulgent, et pour tout
homme
impartial le livre de Camper justifie cet adage :
ciproquement, au grand développement de la vertèbre frontale dans les
hommes
de race blanche correspond une plus grande rectit
s proportions élégantes qui caractérisent le type grec ancien. Chez l'
homme
blanc le peu de saillie de la face exprimant un p
ite, selon les individus. Elle est plus tardive, en général, chez les
hommes
intelligents que chez les idiots, et plus dans le
) Suivant Hippocrate, la soudure précoce est un mauvais symptôme. Les
hommes
dont la tête est saine ont plus de sutures que le
pariélale se soude d'abord, puis la pariéto-occipitale; mais dans les
hommes
blancs normaux, le plus souvent l'inverse a lieu
précède celle de la frontale (1). Cela est surtout fréquent chez les
hommes
qui ont un grand front, tandis que ceux qui ont u
es sutures en général, et des sutures frontales en particulier dans l'
homme
blanc, tient à cette tendance indéfinie au dévelo
une fois sur dix environ. Je me suis assuré de «a fréquence chez les
hommes
de race slave. approfondi, et je le signale à l
ours pour définir scientifiquement la meilleure forme du crâne dans l'
homme
; nous devrons nous appuyer en outre sur les rés
race tasmanienne qu'elle atteint à son maximum; elle égalait dans un
homme
adulte de celle race 34 I1U1\ et formait à peu pr
és. Quelques personnes expliquent ce fait, en disant que la tête de l'
homme
blanc est sphéroïdale ou globuleuse. C'est là tou
ris, 1838. l'enfant eût pu aller (1). D'ailleurs, je le répète, les
hommes
du peuple inférieur, dont nous procurons les crân
, des moyennes inférieures à celles que révélerait l'étude du crâne d'
hommes
qui se sont distingués par un long exercice des f
lus développée dans VOrang et dans le Chimpanzé; elle acquiert dans l'
homme
des proportions excessives; celte grandeur est do
rition simultanée à la surface du cerveau est l'apanage exclusif de l'
homme
. J'ai donné une grande attention à la déterminati
is et minutieux qu'il ne faut point négliger. Le plus souvent, dans l'
homme
blanc, les plis cérébraux ne laissent sur la tabl
érébral et des centres blancs des hémisphères. Le fait est que daus l'
homme
blanc normal ces empreintes sont à peu près nulle
oir un intérêt véritable; mais il ne faut point oublier que parmi les
hommes
d'une même race il y a des différences que la seu
pe la capacité en môme temps qu'il en améliore la forme. Le crâne des
hommes
distingués par l'esprit et par les mœurs, le crân
up, est en général plus grand, et surtout plus beau, que le crâne des
hommes
qu'on ramasse parmi la populace. Rien n'est plus
s. La longueur est ce qui varie le moins. Je la trouve sur un crâne d'
homme
blanc de grandeur moyenne égale à 176mm, prise ex
acrocéphale n'engendre un macro-céphale (1)? Il est certain que les
hommes
de Toulouse ont une forme de tête qui les disting
noirs de la race tasmanienne. C'est là un fait naturel dans lequel l'
homme
n'est pour rien. D'ailleurs, alors même que ces m
à résoudre : quelle est la source première de ces usages bizarres? L'
homme
, fût-il fou, ne fait rien au hasard. Les effets l
te notre pensée, l'orgueil a été ici comme ailleurs le père du mal. L'
homme
sauvage ou civilisé, ignorant ou savant, hideux o
l. L'homme sauvage ou civilisé, ignorant ou savant, hideux ou beau, l'
homme
, quel qu'il soit, s'admire volontiers, caresse au
e ses qualités, et rit d'autrui. Un peuple de bossus se moquerait des
hommes
droits. Ainsi les particularités qui les distingu
'hydrocéphale; ainsi, voit-on certains nigauds, jaloux de la gloire d'
hommes
fameux, s'imaginer qu'ils s'élèvent à leur niveau
certains peuples guerriers et envahisseurs, Huns, Berbères, Caraïbes,
hommes
de carnage et de proie, prétendaient à l'allure d
ellectuelle. M. le docteur Gosse, qui est à la fois un savant et un
homme
de beaucoup d'esprit, genre de cumul malheureusem
nt sur le reste des ventricules, ont infiniment plus de mémoire que l'
homme
; mais, d'autre part, les autres animaux et même
sation? Le frontal ne loge pas tout le cerveau, loin de là, et dans l'
homme
certaines régions de la vertèbre pariétale s'accr
nd les hémisphères grandissent. De même la vertèbre occipitale dans l'
homme
n'a pas seulement rapport au cervelet, mais encor
violence démontrent assez le contraire. A cet égard, ils dépassent l'
homme
de beaucoup. Eh bien ! le cerveau occupe chez eux
ste, ni le psy-chologiste. A peine ce roman philosophique fait pour l'
homme
peut-il s'appliquer à l'homme. Les preuves qu'on
eine ce roman philosophique fait pour l'homme peut-il s'appliquer à l'
homme
. Les preuves qu'on demande à l'anatomie comparée
en démontré que ce n'est là qu'une prétention. En ce qui concerne l'
Homme
, la grandeur de son cerveau et le développement d
vertèbre frontale implique l'appauvrissement. Or j'attache dans tout
homme
un grand prix au développement des caractères hum
s natures. Cette suffisance d'une forme cérébrale inférieure dans ces
hommes
inférieurs s'explique en tant qu'elle répond aux
en tant qu'elle répond aux harmonies intimes de leur être. Car ces
hommes
aussi sont des harmonies, mais des harmonies d'un
s harmonies, mais des harmonies d'un ordre moins élevé que celles des
hommes
blancs. Chez ceux-ci un degré d'organisation qui
urs, telle forme peut être parfaite dans un sauvage qui serait dans l'
homme
blanc une difformité, et qu'il faut en conséquenc
nverserait bien des préjugés. (1) P. Gratinlet, Plis cérébraux de l'
homme
et des primates. Paris, Arthus Bertrand, 1854. Pl
par Backer (3) et Seu-bert (4) ; mais vers la même époque, on vit des
hommes
de (1) Luig, Rolando. Journ. complémentaire des
rès. Le physiologiste expérimentateur est trop souvent semblable à un
homme
qui, ignorant le mécanisme et les usages d'une mo
visections zootomiques, ont, de nos jours, refusé. En ce qui touche l'
homme
, les singes et les mammifères mono-delphes, ces d
es de la lame optique n'ont pas un trajet absolument semblable dans l'
homme
et dans les animaux ; chez ces derniers, elles se
asse des tubercules quadrijumeaux. Mais dans les primates et dans l'
homme
le plus grand nombre de ces fibres s'enroule auto
'anatomie oblige d'admettre qu'en détruisant la couche optique dans l'
homme
et dans les singes, on anéantirait la perception
Serres admet que la couche optique est l'excitateur de la vue dans l'
homme
et les mammifères. (Anat. comp. du cerveau. T. II
qu'il en soit, les mammifères seuls ont un corps calleux et certains
hommes
ont pu vivre, dont le cerveau en était dépourvu.
certains hommes ont pu vivre, dont le cerveau en était dépourvu. Ces
hommes
avaient une intelligence faible, et on remarquait
rvé dans certains êtres, plus dignes du nom de satyres que de celui d'
hommes
, une très-grande prédominance des loges cérébelle
ont fort petits, en effet, dans l'éléphant, dans les singes et dans l'
homme
dont le cerveau a un développement énorme, tandis
èdes, en supprimant toutes les racines des nerfs optiques ; 2° chez l'
homme
et chez les singes, en détruisant le principe des
n'y eut plus que la perception d'une simple lueur (2). Ainsi, chez l'
homme
, les impressions lumineuses arrivent directement
e, fidèles à l'esprit des méthodes expérimentales. De tout temps, l'
homme
a été pour l'homme un mystère attrayant. Se conna
it des méthodes expérimentales. De tout temps, l'homme a été pour l'
homme
un mystère attrayant. Se connaître? voilà le but
es sens, ce qui connaît est aisément distingué de ce qui est connu. L'
homme
sait fort bien qu'il n'est pas les choses qu'il t
ent rien que la pensée (1). Ce senliment intérieur, inné à tous les
hommes
est le point de départ de la psychologie. On a vo
de départ de la psychologie. On a voulu connaître ce qui pense dans l'
homme
, et l'attention des philosophes s'est concentrée
ur les autres c'est une essence. De là une lutte incessante entre les
hommes
que cette question divise. Quid autem sit Anima,
le Ndoç est seul immortel; l'âme des animaux et l'âme inférieure de l'
homme
Yv%y, sont matérielles et étendues dans tout le c
hez les animaux supérieurs et les plus haut placés, « sans excepter l'
homme
. » Or, quelle est la nature de cette âme étendu
pareils systèmes, cependant, ont fait du bruit dans le monde ! tant l'
homme
est pressé de connaître, tant il cherche dans l'i
toute science chez les animaux est automatique ; en vain fait-il de l'
homme
un être amphibie moitié ange, moitié brute, le ma
les forment par leur agrégation, de l'eau, « du feu, une plante ou un
homme
; que toutes ces substances « qu'il appelait atome
logique de nier l'essence matérielle que celle de la pensée (2). L'
homme
, en effet, se connaît comme être, mais non comme
et très-fine : « Il est impossible, » dit-il, « de croire que le même
homme
se balte avec lui-même, quand deux hommes s'attaq
-il, « de croire que le même homme se balte avec lui-même, quand deux
hommes
s'attaquent réciproquement. Ce serait là cependan
justement qu'il en a fait un système nouveau. Suivant lui, l'âme de l'
homme
et des animaux, c'est l'idée que Dieu a de leurs
mble fort aux entéléchies d'Aristote. L'idée que Dieu a du corps de l'
homme
est évidemment la plus élevée; mais tout se dével
'être avec le corps. A cet égard, les animaux sont du même rang que l'
homme
; et peut-être qu'en poussant à l'extrême les idée
des théories que nous avons rapidement exposées fait assez voir que l'
homme
, quel que soit d'ailleurs son génie, ne résout ri
cet égard, n'a mieux parlé que saint Augustin. L'âme, dit ce grand
homme
, est une chose qui se cherche ; elle se connaît e
ainsi : Je suis puisque je pense. Ainsi l'âme est ce qui pense dans l'
homme
. Cela ne vaut-il pas mieux que de la définir: un
éfinition des mots sensation et sentiment. Dans l'état présent de l'
homme
et du monde l'âme ne fait rien sans un certain co
eurs manières d'être affectée par elles. Toutes les sensations de l'
homme
peuvent être, bien qu'innombrables, rangées en ci
onomia anomalis. §24. Lugcluni Batavorum, 1688. (4) Hist. nat. de l'
homme
. T. III. de l'édit. in-4°, p. 370; 174». avait-
ous-jacentes. De là ces pelotes tactiles si apparentes à la main de l'
homme
, à la face inférieure des phalanges onguéales. Là
ainsi disposé, dirigeons sur le bord du disque immobile le doigt d'un
homme
non prévenu, auquel on a, au préalable, bandé les
conçoit comme l'idéal de la perfection en ce genre? Comment ce grand
homme
pouvait-il songer à cette foide de doigts, quand
cette foide de doigts, quand le plus souvent, pour mieux loucher, les
hommes
qui analysent finement n'en emploient alors que d
-elles pas justement préférées? Ainsi la mesure la plus parfaite de l'
homme
sera nécessairement un système de pièces solides
es plus impérieux, les plus fatalement liés à toutes les actions de l'
homme
, sont le plaisir et la douleur; par eux, dans l'é
Anaxagore et d'Helvétius, lorsqu'ils attribuaient la supériorité de l'
homme
, quant à l'intelligence, à la perfection de ses m
icateurs excellents, et l'on sait assez de quels secours ils sont à l'
homme
et aux animaux. L'odorat, eu égard aux choses élo
nier ressort. Là est leur rôle naturel; toutefois l'intelligence de l'
homme
en a pu tirer un parti plus élevé. N'est-ce pas i
'est-ce pas ici le lieu de faire remarquer avec M. Chevreul combien l'
homme
met d'intelligence dans ses sensations. Les sensa
elle emprunte davantage; elles lui sont familières à tel point que l'
homme
qui les perdrait simultanément serait pour ainsi
pose le rhyhtme. Ces choses étant établies, imaginons que plusieurs
hommes
, prêts à se mouvoir, soient à la fois excités par
lle mais inévitable. Qui n'a souvent admiré, en voyant des milliers d'
hommes
marcher du même pas, au bruit du tambour, comme s
mystérieux. Mais l'effet en est immense, et quels heureux résultats l'
homme
n'en a-t-il point tiré! Mais ce n'est pas seuleme
iller par là des sentiments divers. Aussi rien de plus puissant sur l'
homme
que la musique; par elle un enchanteur mélodieux
e et M. de Blainville. L'erreur de ces philosophes est spécieuse. L'
homme
tire un tel parti des sensations de l'ouïe dans l
eront aisément comprendre. Supposons, à la manière de Condillac, un
homme
réduit à un seul sens, au sens de l'ouïe. Cet hom
de Condillac, un homme réduit à un seul sens, au sens de l'ouïe. Cet
homme
ne voit pas, il ne touche pas. Eh bien, nous affi
e ne voit pas, il ne touche pas. Eh bien, nous affirmons qu'un pareil
homme
ne peut avoir ni de la forme, ni du mouvement des
ère à en faire les signes par excellence de toutes ses idées. Ainsi l'
homme
qui écoute un autre homme fait lui-même ses idées
par excellence de toutes ses idées. Ainsi l'homme qui écoute un autre
homme
fait lui-même ses idées à l'occasion des sons qu'
gues, de là la science de la signification des mots. Science que tout
homme
a besoin d'acquérir, et qu'il ne reçoit pas toute
tre sens aux exigences des communications qui s'établissent entre les
hommes
. D'ailleurs l'ouïe est peu sujette au sommeil et
ette musique éveille, ouvre à ses idées une large voie dans l'âme des
hommes
qui l'écoutent, car le langage n'est pas seulemen
ntiments humains, est donc le sens social par excellence. Parler à un
homme
qui n'est ni sourd, ni prévenu, c'est envahir son
ns invisibles que l'habitude de parler un même langage crée entre les
hommes
d'une même nation, on disait autrefois d'une même
, l'éternelle raison de la guerre. C'est que la véritable patrie de l'
homme
n'est pas la terre qu'il foule aux pieds, ce n'es
ence éclairée par l'amour. L'ouïe est donc un sens admirable dans l'
homme
, mais par le parti qu'en tire l'esprit. Les anima
en tire l'esprit. Les animaux entendent aussi bien, sinon mieux que l'
homme
, mais tout cela n'est rien sans l'intelligence. N
les corps. Ces rayons étaient-ils réfléchis par une surface polie, l'
homme
se voyait lui-même. C'était l'opinion d'Aristote,
x, n'est-ce pas là une expression figurée, bien digne d'ailleurs d'un
homme
auparavant aveugle ? Comment, en effet, pourrait-
e dont nous n'avons naturellement aucune idée, et dont la plupart des
hommes
ignorent l'existence, car il est fort à remarquer
e idée de notre œil (2). Un aveugle-né sent aussi bien ses yeux qu'un
homme
clairvoyant, mais celui-ci ne sent pas sa rétine
nt que l'esprit porte sur les attitudes et les mouvements du corps. L'
homme
posé sur ses pieds distingue fort bien le bas du
aut, et de la même manière absolument par la vue et par le toucher. L'
homme
ne voit point à droite ce qu'il touche à gauche.
x composés des insectes. Il y a donc en réalité dans la vision de l'
homme
deux images, produites pour un seul objet. Mais d
rches si pénibles qu'elles sont presqu'un martyre, et les forces de l'
homme
le plus déterminé s'y épuisent. Ces expériences s
que tous les raisonnements possibles certaines erreurs de la folie. L'
homme
attentif à une idée ne verra dans les objets exté
ns. Les passions jouent un grand rôle dans la vie des animaux et de l'
homme
; mais bien qu'ayant pour cause des sentiments in
de là encore ces joies dont l'expansion embrasse l'univers entier. L'
homme
dont la santé est parfaite voit tout en beau ; to
u point de les rendre présentes ! Par quel artifice la pensée de tout
homme
, les consecutions de tout animal, sont-elles comm
tenu que le second. Cela est naturel ; en effet, quand nous voyons un
homme
pour la première fois, nous en avons, par son asp
e idée distincte avant de savoir son nom ; c'est en un mot un certain
homme
grand ou petit, blond ou brun, avant d'être pour
sible. Cependant il y a à cet égard beaucoup de différences entre les
hommes
suivant le degré d'importance que les mots ont da
en soit, on comprend aisément que si la mémoire s'affaiblit dans deux
hommes
ainsi disposés, l'un, celui qui a des images plus
res qui les désignent. Ce fait malheureux se produit trop souvent. Un
homme
célèbre, dans l'une des plus fameuses académies d
rps sans intelligence. Je vais expliquer ma pensée par un exemple. Un
homme
, revenu après de longues années dans un pays qu'i
la mémoire du corps ou de l'automate. En voici un autre exemple. Un
homme
monte son escalier dans les ténèbres ; comme il n
lamer des tirades complètes de Virgile et d'Ovide. Suivant Érasme, un
homme
né en Italie, et qui n'avait jamais été en Allema
re entreprit sa cure et lui fit rendre une énorme quantité de vers. L'
homme
fut ainsi guéri; mais il perdit en même temps la
Je pourrais ajouter beaucoup sur les prodiges de la mémoire. Certains
hommes
ont eu le privilège d'une mémoire presque divine
et le fameux Biaise Pascal. Ces merveilles sont rares; la plupart des
hommes
ont la mémoire incomplète et faible. On s'est don
bien prouvé que les animaux aient une mémoire identique à celle de l'
homme
? La faculté dépenser est si intimement liée à la
! ses tranquilles plaisirs plutôt que sa liberté ! Sans la mémoire, l'
homme
ne serait rien ; la mémoire est la base de la per
sions enfin, toutes les fibres de l'âme humaine. Il y a donc dans l'
homme
, à partir du moment où il pense, deux sources d'i
la méditation, mais d'une action effective. L'imagination a dans l'
homme
éveillé des effets analogues. Mais l'homme a une
. L'imagination a dans l'homme éveillé des effets analogues. Mais l'
homme
a une puissance qui n'appartient qu'à lui, celle
inations libres du jugement. La puissance d'imaginer est donc, dans l'
homme
éveillé, la base de la liberté et de l'intelligen
t en usage un procédé fort simple : il est fondé sur la faculté que l'
homme
possède d'obscurcir ou de réduire au silence les
. D'ailleurs, et c'est là une remarque essentielle, non-seulement l'
homme
sent, en un certain degré, les choses imaginées,
t à coup sûr un grand mystère. Quoi de plus merveilleux que de voir l'
homme
s'imaginant lui-même au milieu de ce qui est en l
la conséquence. Maître par son imagination du temps et de l'espace, l'
homme
est par elle actif au delà du monde et peut s'éle
oup d'éléments qui sont du domaine de la vue. Nous parlons ici de l'
homme
exclusivement, et il est indispensable d'en faire
ontrée. Dans ce que nous allons dire maintenant de l'imagination de l'
homme
éveillé, il s'agira surtout des idées visuelles e
gination, de même qu'elle nuit à celle de la sensation en général. Un
homme
attentif à une conversation qui l'intéresse vivem
nière incurable. 4° En conséquence de la proposition précédente, un
homme
imaginera d'autant plus vivement que son attentio
personnes attribuent à des puissances occultes. Je m'explique : Un
homme
tient la main d'une femme hystérique, plongée dan
ste à elle-même dans toute sa splendeur , car penser c'est agir, et l'
homme
ne se connaît que par la pensée. Si donc il a jam
que les lignes d'un livre s'effacent graduellement sous les yeux de l'
homme
qui s'endort, après avoir paru doublées. On sai
mptoirement que le sommeil n'intéresse que fort peu la (1) Quelques
hommes
entendent pendant leur sommeil au pointde pouvoir
choses que par les idées que les sensations nous en donnent. Ainsi l'
homme
se meut dans l'idée qu'il a du monde. Or si l'idé
losophie, qui pourrait aborder la solution de ce mystère? « Lorsque l'
homme
rentre dans l'état naturel, dit Deleuze, il perd
x états sont aussi étrangers l'un à l'autre que si le somnambule et l'
homme
éveillé étaient deux êtres différents (1). » Dele
ncer que dans l'état de veille l'âme ne pense pas toujours, puisque l'
homme
a le plus souvent oublié le soir la plupart des c
saillants et les plus remarquables. (1) On a prétendu que certains
hommes
n'avaient jamais rêvé. On peut consulter à cet ég
, Melp., § 184. — Béallie (Réflexions sur les songes, § 1) parle d'un
homme
qui avant d'être malade n'avait jamais rêvé. On a
stoire de Thespesius, dans Plutarque, en est un exemple frappant. Cet
homme
était un assez mauvais sujet; il lit une chute, e
ment renouvelé, et de méchant qu'il était, il devint le plus sage des
hommes
, à, tel point que ses compatriotes, le considéran
es hommes, à, tel point que ses compatriotes, le considérant comme un
homme
nouveau, l'appelèrent le divin (1). Je laisse à P
ion du sommeil, à tous les animaux en commun, mais principalement à l'
homme
, parce que Dieu, en même temps qu'il lui fourniss
oduction des rêves et concourir à leurs incessantes modifications. Un
homme
grave, raconte Walter Scott, s'était endormi avec
'organisation du cerveau, j'en préparais un fort grand nombre, soit d'
hommes
, soit d'animaux. Je les dépouillais avec soin de
idées fixes. On trouve dans l'histoire, dit Boerhaave, des exemples d'
hommes
qui, après avoir rêvé d'une belle femme, dépériss
isant allusion à l'hallucination de Spinosa, n'a pensé peut-être à un
homme
à la fois Brasilieri, noir et galeux. Cela est vr
nouveau dans ce rêve singulier. Spinosa savait d'avance ce qu'est un
homme
noir, un homme galeux, un homme Brasilien. Ce qui
e rêve singulier. Spinosa savait d'avance ce qu'est un homme noir, un
homme
galeux, un homme Brasilien. Ce qui est nouveau en
Spinosa savait d'avance ce qu'est un homme noir, un homme galeux, un
homme
Brasilien. Ce qui est nouveau en ceci, ce ne sont
combinaisons diverses, peut se produire aisément. On peut rêver d'un
homme
à tête de chien, d'une chimère ou d'un vampire. U
eillé ? car c'est on des plus inexplicables phénomènes du rêve, qu'un
homme
endormi et rêvant ait à la fois des songes qui lu
es distincts et précis, si semblables à la vie réelle, ont frappé les
hommes
, au point d'être considérés par eux comme des imp
ux comme des impressions reçues par l'âme dans un monde surnaturel. L'
homme
a, dit-on, la faculté de découvrir l'avenir dans
, et Lactance voit en eux un moyen dont Dieu se sert pour avertir les
hommes
et leur révéler les choses futures. Macrobe a don
ui que deux personnes ont à la fois; 4° le public, qui est propre à l'
homme
public et concerne la chose publique; et 5° enfin
oit, en effet, qu'un songe, pouvant influer sur la détermination d'un
homme
, il pourra aisément paraître prophétique, mais su
re le point de départ de certaines idées, de certains mouvements de l'
homme
éveillé, « qu'y a-t-il d'étonnant, dit-il, que ce
a été celle de fort bons esprits (1), et j'ai entendu dernièrement un
homme
d'un haut mérite, M. le professeur Guérard, l'acc
sement par les observations de ses amis, il l'ut tué en effet par cet
homme
au moment où il cherchait à frapper le mirmillon,
il « je trouvay une chose que je n'avois jamais pensée, c'est « qu'un
homme
puisse pleurer en songeant, car je me trouvay a l
de Simonide appartient à cette catégorie. Hugo Grotius raconte qu'un
homme
, ignorant le grec, entendit en rêve une voix qui
Augustin, il est vrai, attribue aux démons la puissance d'envoyer aux
hommes
des songes qui annoncent l'avenir; mais quelle cr
endormi plein de santé. Vers le milieu de la nuit il vit en songe un
homme
pestiféré tout nu, qui l'attaqua avec fureur, le
ncube est une maladie propre au sommeil. Il semble qu'il y ait dans l'
homme
endormi qu'une perception confuse de son mal assi
es avec les expressions d'un ravissement sensuel inexplicable chez un
homme
d'une sobriété ascétique. Il est bien connu qu'
tions ou plutôt comme éléments complémentaires d'une idée visible. Un
homme
a faim, il ima« gine qu'il mange une viande rôtie
t si essentiel à l'intelligence, que ce qu'il y a de plus inconnu à l'
homme
, ce sont des ténèbres absolues. Pénétrez dans un
sairement lumineuse ; voilà ce qui remplit à jamais les ténèbres d'un
homme
qui a vu une première fois. Qui pourrait même dir
iller directement le mode de sensibilité propre aux nerfs auditifs. L'
homme
qui entend un son quand sa vertèbre auditive fait
é des courants électriques, peut-être pourrait-on faire entendre à un
homme
soumis à ces expériences un concert harmonieux.
ux de la terre, dit-il, s'emparent de la pensée et trompent ainsi les
hommes
qu'ils entraînent au crime et aux plus honteuses
, il y en a de quotidiens; et qu'y a-t-il d'étonnant d'ailleurs qu'un
homme
préoccupé, se rappelant ce qu'il s'est dit à lui-
dit à lui-même, imagine l'instant d'après, l'avoir entendu d'un autre
homme
? Nos souvenirs sont-ils autre chose que des idées
ère catégorie comprend des phénomènes d'un ordre très-différent. Un
homme
applique sa pensée à des recherches profondes. So
cette catégorie n'ont point d'explication actuelle suffisante. Qu'un
homme
préoccupé, se parlant à lui-même idéalement, s'im
d'une substance narcotique. J'apercevais une foule remuante de petits
hommes
microscopiques; lorsque je détournais la tête, ce
ge de lui adresser le premier la parole. Qui « es-tu ? lui dit-il; un
homme
ou un Dieu? que viens-tu faire « dans ma tente? q
ique irrécusable des faits qui, sous des formes diverses, éclaire les
hommes
sur l'avenir (1) ? Les deux hallucinations dont
de compassion que « la situation de ce moribond qui d'ailleurs était
homme
de « bien et bon chrétien (1). » Ainsi, ferme-t-o
où on l'a vu d'abord? il paraît de nouveau. Par quel autre procédé un
homme
de sens arrive-t-il à se convaincre de l'existenc
elles d'une logique trop subtile pour être entendue de la plupart des
hommes
? L'halluciné ne doit-il pas se comparer naturelle
des hommes? L'halluciné ne doit-il pas se comparer naturellement à un
homme
clairvoyant au milieu d'une nation d'aveugles, et
s parmi des gens d'ailleurs sains d'esprit. Un de mes amis, le Dr S.,
homme
étranger aux vaines frayeurs, revenant un soir de
viduels ; en sorte qu'à certains égards l'halluciné est différent des
hommes
qui l'entourent. Mais dans certains cas la même h
entre mille, parce que nul n'a eu un meilleur garant. « Un certain
homme
,» dit saint Augustin, «racontait « qu'une nuit, a
gens quelconques à « qui il semblerait indigne d'ajouter foi, mais d'
hommes
que « nous jugeons incapables de nous tromper (1)
ses cachées, de quel droit refuserait-on ce privilège à l'esprit de l'
homme
? Les préoccupations des sens, dira-t-on, l'activ
sse qu'ils trouvent leurs idées (3), » si Dieu préside à l'esprit des
hommes
sans l'entreprise d'au- (1) Bacon. Dignité et a
'est-on borné à invoquer l'observation et l'histoire. Au nombre des
hommes
qu'on a cru doués de cette faculté merveilleuse,
rtitudes ! que de verbiage, que d'obscurités indéchiifrables dans cet
homme
! Vers la fin du dernier siècle, Cazotte fit, dit-
nombre de conditions, est le plus habituel et fréquent chez tous les
hommes
dont l'imagination est vive. Les illusions du t
moment sur le pont; l'animal se changea à leurs yeux en un cadavre d'
homme
; l'un voyait sa jambe, un autre distinguait nette
ois siècles auparavant, aux yeux de ces passants qui, à la place d'un
homme
clairement aperçu, ne trouvaient plus qu'un chien
modifications singulières, ce qui était immobile paraît se mouvoir; l'
homme
ami qui veille pieusement auprès d'un cadavre voi
t son imagination ranime ces restes immobiles. Souvent, aux yeux d'un
homme
qui s'éveille de l'ivresse, les objets dansent, t
e apparaît surtout dans ces illusions du sens interne qui troublent l'
homme
jusque dans les profondeurs de la conscience et d
terne, l'une des plus curieuses, à coup sûr, est celle par laquelle l'
homme
se croit double, soit par l'âme, soit par le corp
si accablé dans l'autre? Cette pensée le préoccupa longtemps; et cet
homme
si fin dans l'analyse psychologique m'a plusieurs
ès avoir parlé rapidement de ces actes anormaux de l'imagination de l'
homme
éveillé, disons quelques mots des rêves de cet ét
ément à quel degré de puissance et de sublime liberté peut s'élever l'
homme
une fois délivré de cette chaîne; qui pourrait do
n volontaire qui a ses règles dans tous les pays où l'immolation de l'
homme
est la conséquence habituelle de religions et de
tes. L'extase, dans ce cas, est i'un des plus heureux privilèges de l'
homme
. Nous pourrions établir, par une multitude d'ex
Pendant ce temps, il doit s'interdire toute * communication avec les
hommes
et s'imposer le silence le « plus absolu. Quand l
is Lycaon a dû frapper d'une crainte superstitieuse l'imagination des
hommes
. Peut-on s'étonner dès lors de la quantité prodig
n de M. Michéa, l'hallucination est dédoublée. Quand, par exemple, un
homme
a d'un côté des hallucinations de la vue, et de l
pourrait peut-être opposer à cette hypothèse ce fait singulier qu'un
homme
, qui a des hallucinations de l'ouïe, par-exemple,
et l'énergie, le plus puissant sera un être surna-« turel; l'autre, l'
homme
de tous les jours. Qu'ils soient « égaux, mais op
ci de ces foules imaginaires, le mécanisme habituel des idées dans un
homme
préoccupé en donnant aisément la clef; il s'agit
faiblies, ces excitations cérébrales sont surtout fréquentes chez des
hommes
livrés aux pratiques de l'ascétisme et du jeûne.
elle était aussitôt rectifiée. Mais qu'un accident pareil arrive à un
homme
auquel la folie, le sommeil, une excitation quelc
ntiments qui accompagnent nécessairement tout état déterminé, dans un
homme
qui veille. Il y a des moments où le sentiment de
et peut-être se succéderaient-elles éternellement dans l'esprit de l'
homme
si la foule des idées n'y était disciplinée par l
pouvoir supérieur de l'âme. Aussi, cette expression si simple : « cet
homme
a perdu la raison, » par laquelle on désigne les
ésentent à l'esprit? Une douleur cuisante déchire les entrailles d'un
homme
, quelque chose comme la fable de Prométhée lui re
résultat absolu, et conduira à ces convictions inattaquables chez un
homme
absolument préoccupé et qu'aucun jugement extérie
oids sur l'estomac. Or, supposons que cette phrase soit pensée par un
homme
qui dort, cette idée abstraite de poids sera auss
s l'occasion de me convaincre de la vérité de cette proposition. Un
homme
très-nerveux et malade de la pierre subit un cert
Pierre! Antoine! (disait-il en appelant ses domestiques), chassez ces
hommes
! » et il ajoutait : « Vous aurez beau faire! vous
ein de la plus insouciante générosité, faisait un soir, avec quelques
hommes
de son âge, une partie de billard. Contre son ord
rétiques dues à un calcul qui fut expulsé le surlendemain. Ainsi un
homme
ne souffre point et cependant l'organisme est sou
docteur Calmeil, m'a raconté l'effroyable et héroïque martyre. Cet
homme
, né d'une famille de paysans aisés et religieux,
là que le plus haut degré d'une aberration commune à presque tous les
hommes
. Qu'est-ce, en effet, que la jalousie, sinon une
stes maladies qui sont comme des émeutes de la partie matérielle de l'
homme
contre le pouvoir régulateur de l'esprit. M. Mo
cation infinie d'images qui assiègent dans les ténèbres les yeux d'un
homme
éveillé; images dont un pen plus de durée ferait
ine; ce n'est point une rivière, c'est un torrent. Après vingt ans, l'
homme
ne marche plus, la pente de la vie commence; il c
e par les expériences de M. Chevreul sur le pendule oscillateur. Un
homme
tient un pendule à la main; il pense à un mouveme
miracles des objections victorieuses. H n'était pas difficile, à des
hommes
si habiles, d'instituer des expériences et de les
l qui les supporte. Faites maintenant l'expérience suivante : qu'un
homme
auquel on aura au préalable bandé les yeux, sauti
e, sera déplacée et dirigée par les pressions les plus légères. Cet
homme
qui sautille, c'est la table qui vibre sur le sol
monde peuplé de lutins, de gnomes et de farfadets, l'art suprême de l'
homme
sera la nécromancie! Illusions sacrilèges, ou vér
d'opération se prolongeant, on vit au bout de quelques instants notre
homme
pâlir, s'affaisser peu à peu et tomber en syncope
ans un autre. » Il .cite, à ce sujet, l'observation suivante : « Un
homme
d'âge étant malade, une jeune servante de la « ma
use, mais conforme aux procédés généraux de la nature. Si la vue d'un
homme
qui se gratte éveille une démangeaison ; si voir
ogue? Je ne l'ai jamais observé sur moi-même; mais un de mes parents,
homme
d'intelligence, ayant vu pour la première fois pr
Dès lors, on concevra comment la fréquentation habituelle de certains
hommes
pousse à reproduire leurs attitudes et leurs gest
est des voies naturelles et facilement explicables, par lesquelles un
homme
qui imagine vivement peut sans paroles, sans acte
s paroles, sans actes effectifs, influer sur l'imagination d'un autre
homme
. Cette correspondance cachée qui s'établit par le
expressions, sont capables de compassion au même degré que les autres
hommes
. 11 est difficile de le penser; mais il suffit d'
s du magnétisme, en tant que le magnétisme est une chose naturelle. L'
homme
qui veut énergiquement jeter un autre homme dans
st une chose naturelle. L'homme qui veut énergiquement jeter un autre
homme
dans le sommeil magnétique regarde ses yeux. 11 v
.Celui qui n'a point la foi résiste à son insu, et voilà pourquoi les
hommes
sont, en général, beaucoup moins sujets que les f
ontestée. Magdeleine répondait qu'elle n'avait eu commerce avec aucun
homme
, et qu'elle avait conçu par les seules forces de
'elle fût bien populaire (1). Je doute qu'on trouvât aujourd'hui un
homme
assez fou pour renouveler de pareilles rêveries.
ncidences fortuites? Je l'ignore. Mais ces faits ont pour garants des
hommes
graves ; la multitude les admet et les affirme ;
mmerdam l'histoire d'une femme enceinte qui, effrayée par la vue d'un
homme
noir, crut, en se lavant le corps, éloigner le da
eût été directement lésée. Ce fait a eu plusieurs fois pour témoin un
homme
incapable d'en imposer, M. Cormier, capitaine au
'on pouvait, à l'aide de certaines conjurations, attacher la vie de l'
homme
à certains (1) Du Potet.—Cf. Mirville. Des espr
t sensili. Lib. IV, cap. i. — Gabriel Naudé, Apologie pour les grands
hommes
accusés de magie, chap, iv; et Macario, Du sommei
rincipes. Enfonçait-on une cheville en terre, juste sur le lieu où un
homme
avait uriné, il était enchevillé, c'est-à-dire co
On connaît la fameuse histoire de Taliacot. Il avait fait un nez à un
homme
riche, de la peau d'un pauvre diable. Le jour de
puissance de certaines paroles. « J'ai vu, dit le célèbre Fernel, un
homme
qui arrêta une hemorrhagic incoercible, en toucha
d'y insister ici ; mais l'histoire a conservé le souvenir de certains
hommes
doués d'un pouvoir inexpliqué. Tel était ce Valen
phys, med. Lib. HI, obs. xxxi, p. 476. Hamb., 1691. Greatrakes. un
homme
doux, très-religieux et simple en tout. » Nous n'
st par lui qu'ils agissent et qu'ils opèrent (1). » Ce fluide liait l'
homme
aux astres. Il avait son flux et son reflux. Th
s pour constater l'existence d'un « fluide magnétique, prouvent que l'
homme
produit sur son « semblable une action sensible p
able. Tous ces faits sont inexpliqués, mais ils sont naturels, et l'
homme
ayant la faculté de rêver, pendant le sommeil nor
ans doute, mais ne l'est pas davantage que la faculté qu'ont certains
hommes
de se réveiller au moment qu'ils ont décidé par a
charbon sur le parquet, devient comme une porte par où les yeux de l'
homme
charmé plongent dans les profondeurs du monde fan
dépassent pas absolument la sphère des illusions naturelles, chez un
homme
jeté par ses préoccupations ou par une foi aveugl
à dire sur cette conclusion. Les illusions naturelles auxquelles l'
homme
est en butte sont si nombreuses, le monde et son
Il n'y a là rien de merveilleux en soi ; avec un peu d'exercice tout
homme
d'esprit est le maître d'en faire autant. Quand l
plus sûr à la fois. J'étais à la campagne ; je priai un de mes amis,
homme
d'un âge mûr, d'écrire sur un morceau de papier u
celui d'une interrogation ; non, lui répondis-je, c'est une lettre d'
homme
, et elle ne contient que quelques mots. Il vit qu
érieur, sans avoir par cela même une certaine tendance au mépris. L'
homme
qui résiste moralement serre symboliquement ses
il exécute ces mouvements, il se sent réellement plus courageux. Un
homme
porte la tête de côté, et, faisant tout à coup un
verez involontairement un sentiment analogue. Faites devant vous un
homme
élever les sourcils, baisser les paupières, souri
c'est là une habitude heureuse. Il est physiquement impossible qu'un
homme
qui respire ainsi ait une mauvaise pensée. Chac
Dès qu'un animal veut agir, sa volonté incline vers ses organes. Nul
homme
n'a l'instinct de mouvoir ses ailes, nui oiseau n
un peu d'intelligence; mais tous l'accomplissent nécessairement. A l'
homme
seul a été accordé le droit d'ambition et de révo
l'existence de l'organe lui-même? Malgré sa grande intelligence, l'
homme
n'est pas absolument sans instincts. Réciproqueme
ignalé une influence qui s'exerce incessamment sur l'imagination de l'
homme
, celle du corps en action. Si les mouvements acci
ifie par une plus longue influence des mêmes causes sur une race. L'
homme
n'échappe pas absolument à ces influences modific
ar ses instincts, l'animal subit surtout l'influence du monde, mais l'
homme
est surtout conduit par son intelligence. Aussi,
en évident qu'ici la périphérie commande le centre, tandis que chez l'
homme
, le centre domine en souverain. Cet encéphale, si
ce. Souvent, le physiologiste expérimentateur agit comme le ferait un
homme
qui, pour connaître le mécanisme d'une montre, en
ces natives qui distinguent, quant aux aptitudes intellectuelles, les
hommes
des différentes races? Ces questions sont, hélas!
tations, est son privilège exclusif. Il est donc bien certain que l'
homme
parle, et nul philosophe, si absurde qu'il ait ét
ige de langage ; ils vont même si loin à cet égard, qu'à leurs yeux l'
homme
ne diffère absolument des animaux que par la reli
ignorent Dieu, il ne conclut pas qu'elles soient fort inférieures à l'
homme
. D'un autre côté, loin de leur accorder un lang
nt mis en doute ; souvent, dit-il, ils usent de la raison mieux que l'
homme
. On a conservé le souvenir de certains chiens qui
oler, et pour la régaler, lui apportaient des morceaux de viande. Des
hommes
éminents, et entre autres, M. de Blainville, fure
s, parce que je m'étais « laissé persuader que de tous les animaux, l'
homme
était le « seul qui fût doué de raison et d'intel
omphé longtemps (2), malgré les protestations du sens commun (3). Les
hommes
les pluséminents ont pris part à la lutte, et l'a
été surtout en grande faveur parmi les théologiens, à tel point qu'un
homme
tel que Daniel Sennert encourut le reproche d'imp
raissent point avoir ce sentiment. Il est certain, ajoute-l-il, qu'un
homme
élevé au milieu des bêtes, ne se rappela pas son
e rappela pas son état ancien quand il fut revenu dans la société des
hommes
, à plus forte raison les bêtes doivent-elles igno
ourage que le lion? » Cet argument est fort bon. 11 est certain que l'
homme
a des rapports généraux avec l'univers, mais il y
server avec plus de soin. Ajoutons qu'une élude plus approfondie de l'
homme
pouvait éclairer la question par voie d'analogie.
s par l'observation, et vérifiés par l'expérience. Les actions de l'
homme
ont deux mobiles : dans les unes, l'esprit interv
t du corps, en s'y laissant entraîner. C'est ainsi qu'il y a dans l'
homme
lui-même une foule d'actions admirablement enchaî
es résultats, leur attribuer une intelligence supérieure à celle de l'
homme
, puisqu'il est bien certain que Dieu fait dans le
on commence à distinguer la limite qui s'élève entre les animaux et l'
homme
. Dans les premiers, les actes les plus considérab
ns longue, qui limite la sphère de leur activité. L'intelligence de l'
homme
n'a pas de chaîne, ou du moins sa chaîne est bris
'apprennent point de leurs pareils, ils le reçoivent quelquefois de l'
homme
. Tel fut, après le chien de Creilingius, celui de
missibilité est une des conditions de la puissance modificatrice de l'
homme
sur les espèces domestiques. 11 paraît d'ailleu
e immédiatement. Heureusement que l'étude comparée du langage, dans l'
homme
et dans les bêtes, ouvre une voie lumineuse, bien
gage n'est pas particulier aux bêtes, nous le retrouvons aussi dans l'
homme
. Grâce à ce point de contact, il sera peut-être p
t convenu de nommer langage d'expression. Ce langage étant commun à l'
homme
et aux animaux, il n'est peut-être pas inutile d'
de l'œil qui se ferme avec effort; dans ce cas, il se produit chez l'
homme
une moue très-marquée, et tous les animaux fermen
e la répulsion; la lèvre supérieure, semblable à un obturateur chez l'
homme
, est alors à demi soulevée et repoussée par la lè
ce immédiate un pareil langage peut atteindre. Ce n'est pas tout. L'
homme
sait imaginer, et les animaux le peuvent aussi, p
me choses extérieures. Le chien qui rêve s'élance parfois et jappe; l'
homme
fait de même à son insu. Conçoit-il l'idée d'une
ances qu'il peut être intéressant de signaler. C'est surtout dans l'
homme
, et plus particulièrement dans l'organe de la vue
tant plus intelligible, qu'il est éminemment naturel et spontané. L'
homme
, ce roi de la nature vivante, exprime ainsi ses p
ont pour le moins aussi variées, aussi puissantes chez eux que dans l'
homme
. Qui mieux qu'elles, surtout les mammifères carna
ur affection en léchant la peau de leur ami comme pour le savourer. L'
homme
a le baiser, qui est une expression plus délicate
tefois, le geste des bêtes a peu de métaphores, tandis que celui de l'
homme
est un trope perpétuel. Le langage d'expression
r illuminer le domaine si vaste de la science. § 4. Du langage de l'
homme
. On peut distinguer quatre éléments distincts d
. On peut distinguer quatre éléments distincts dans le langage de l'
homme
, savoir : 1° Le langage automatique et spontané
er l'œuvre de l'esprit. 1. Le geste et le cri se développent dans l'
homme
, suivant les mêmes lois que dans les animaux, mai
e l'espace? nos yeux exprimeront métaphoriquement cette attention ; l'
homme
qui se livre à des raisonnements compliqués sembl
s démangeaisons importunes contrariaient l'attention. Un de nos amis,
homme
distingué, imagination ardente et grand créateur
, en un mot, vers la volupté, d'autres phénomènes se manifesteront; l'
homme
s'enveloppe, en ce cas, pour jouir, et tous ses g
nsu de l'intelligence, et pareils au héros de Molière, la plupart des
hommes
font des métaphores et de très-fines, sans le sav
rai dire, ce n'est là qu'une extension du langage des animaux. 2. L'
homme
exprime souvent ses idées en en désignant l'objet
qui s'établissent entre les bêtes, mais ici s'arrête leur langage ; l'
homme
seul possède les deux formes supérieures. 3. Il
ifères; toutefois on n'en cite aucun qui ait imité le lan gage de l'
homme
. Linnaeus, cependant, dans ses phrases poétiques,
mmalia pilosa in terra gradiuntur loquentia. » Mais le bon sens des
hommes
du vulgaire ne va pas jusque-là. « Il ne lui manq
mmifères ayant, je ne dis pas parlé, mais imité quelques paroles de l'
homme
; car nous devons laisser de côté l'ânesse de Bala
paradoxal orang-outang lui-même, ne reproduisent point les voix de l'
homme
. 11 faut donc reléguer parmi (1) Julii Obsequen
de VHyène. Ils affirmaient qu'elle savait imiter le vomissement de l'
homme
, attirant ainsi les chiens qu'elle dévorait. Quan
s mammifères ne sont pas absolument incapables d'imiter le chant de l'
homme
. Leuret (t. I, p. 470) a rappelé, d'après M. Dure
llç part elle ne sert chez les animaux au développement du langage; l'
homme
seul a ce privilège. Comme les bêtes, il exprime
la représenter. Il comprendra tout au plus la désignation faite par l'
homme
, mais il n'ira point au delà; c'est là le nec plu
telligence. Il est donc absolument faux de dire avec Porphyre que l'
homme
ne diffère d'avec les bêtes que du plus au moins.
ntiments qu'éveillent ces idées ; en un mot, il n'est que sensible. L'
homme
est sensible aussi, mais de plus il est peintre.
sa voix. L'animal n'a jamais que l'idée de ses sentiments actuels; l'
homme
seul peut avoir l'idée d'une idée. Or qu'est-ce
de ces noms imitatifs est d'autant plus grand dans les langues, que l'
homme
est plus près de la nature. De même, certaines ca
le radical est évidemment le geste vocal haaah, que fait entendre un
homme
qui expire en frissonnant. Grogner, a pour équiva
t, par lesquels nous réagissons contre une odeur mauvaise. Ainsi, l'
homme
ne se distingue point d'avec l'animal en tant qu'
Dieu seul, il est vrai, crée des substances, mais il a communiqué à l'
homme
seul le pouvoir de créer des formes et deles défi
par exemple, une chose est rouge, elle est bleue, elle est blanche. L'
homme
n'a en lui aucun moyen direct de peindre le rouge
lourens dit fort bien, en comparant le langage des bêtes à celui de l'
homme
: « Ces voix, ces cris, « ces accents, ces gestes
ngue même, j'ai le « mot parlé et le mot écrit. Tout est signe pour l'
homme
, « tout peut lui être langage : nos monnaies sont
ons comme un simple jeu d'esprit cette proposition de Lactance, que l'
homme
ne diffère des animaux que par la religion. La re
es animaux que par la religion. La religion est sans doute propre à l'
homme
, et les bêtes n'en offrent pas le moindre vestige
omme, et les bêtes n'en offrent pas le moindre vestige; mais tous les
hommes
ont-ils un culte? Certains sauvages sont si abrut
romper cet oiseau inquiet, on s'est avisé d'envoyer à l'af-« fût deux
hommes
, dont l'un s'y plaçait et l'autre passait; « mais
eux seulement « se retirent. Enfin, il est nécessaire que cinq ou six
hommes
« en allant à l'affût mettent son calcul en défau
n calcul en défaut. (1) » Si la pie ne distingue pas en quoi quatre
hommes
diffèrent de cinq, cela ne veut pas dire qu'elle
e, cela prouve, au contraire, qu'elle ne compte pas du tout. Si trois
hommes
peuvent à la fois frapper ses sens, elle distingu
riodes de sons, bien que l'esprit en ignore le nombre (1). Ainsi, l'
homme
est distinct des animaux, il règne dans une sphèr
ique une âme individuelle. Maintenant, que peut l'intelligence de l'
homme
au-dessus de celle des bêtes? Cela n'est-il pas a
ux, il fait de l'univers son domaine. Enfin, qui connaît Dieu, hors l'
homme
, s'élevant ainsi au-dessus du monde, pour contemp
ntempler les causes éternelles? Mais, à quelle faculté merveilleuse l'
homme
doit-il tant de gloire? À la faculté d'abstractio
nce. Mon but n'a point été de décrire en détail l'intelligence de l'
homme
, mais de la distinguer par ses véritables caractè
ne incertitude légère dans les mouvements, et il est constant que des
hommes
naturellement privés de corps calleux ont pu vivr
ifférences qui nous étonnent dans les caractères et les aptitudes des
hommes
et des animaux d'une même espèce. Je m'explique
aire de l'automate. Les animaux inférieurs n'ont que celle-ci, mais l'
homme
a surtout la première; on doit surtout à M. Longe
l'activité de cette faculté et la fréquence des hallucinations dans l'
homme
. 4. Cette division des hémisphères en départeme
ble. Au point de vue des choses que l'anatomie actuelle découvre, l'
homme
appartient au même type que les singes; mais il n
iffèrent essentiellement. On peut en donner une preuve certaine; si l'
homme
et les singes ne différaient que relativement, la
conserve son caractère spécifique qui est la faculté du langage. Ces
hommes
à petit cerveau, dont les circonvolutions dépasse
à parler raisonnablement, mais à imiter machinalement une parole de l'
homme
? Il ne s'agit donc ici ni de complication de plis
le humain confirme ces résultats ; ainsi, la distinction absolue de l'
homme
s'établit à la fois par les procédés du philosoph
la fois par les procédés du philosophe et par ceux du naturaliste. L'
homme
intelligent n'est pas un genre dans la série des
nous élevons par degrés. Depuis le jour où, pour la première fois, l'
homme
a levé la tête pour voir de plus loin, son hori
. Du langage des bêtes......,............. 656 § 4. Du langage de l'
homme
................... 6'64 CHAPITRE XI. — Si l'on
angeant toutes les combinaisons, tous les systèmes que tant de grands
hommes
avaient adoptés. Ce n'est qu’avec du temps, de la
les et qui doivent éviter des fatigues et des sueurs à des millions d’
hommes
; si, dis-je, nous voyons ces choses repoussées p
st facile de prévoir, en étudiant un peu les habitudes et la vie d’un
homme
, ce qui doit lui arriver, ce qui l’attend. Soyez
oir; soyez comme lui, imprimez certaines terreurs à l’âme. Beaucoup d’
hommes
ne sont que de grands énfants; ils ont besoin d’ê
c point de quitter. Il croit les . dieux, et il se souvient qu’il est
homme
; il n’envie, « il n’admire, il ne méprise la fort
oi divine de transformation et de progrès, loi évidente pour tous les
hommes
réfléchis et studieux, les découvertes ne sont qu
dépendantes les unes des autres pourra se révéler. Le progrès de l’
homme
sert au progrès des hommes, le développement d’un
autres pourra se révéler. Le progrès de l’homme sert au progrès des
hommes
, le développement d’une génération contribue au d
lie, l’Ecosse, l’Angleterre et surtout l’Allemagne illustrées par des
hommes
profondément versés dans l’étude de celte science
l’esprit humain a marché, et le XVIIIe siècle émancipe la pensée; Un
homme
paraît : l’Allemagne, ce pays des profonds penseu
nous l’envoie. Est-ce une théorie nouvelle, éclose du génie d’un seul
homme
, ou bien la restitution d’une science oubliée que
mmune. Soyons justes : le nom de Mesmer doit briller parmi ceux des
hommes
qui ont agrandi le domaine de l'intelligence. Au
découvertes, vous surtout, cœurs ardents, qui chérissez dans tous les
hommes
des compatriotes et des frères. Le ciel vous. o
es intentions. Leur concours peut seul déterminer l’émancipation de l’
homme
, qui prend enfin la robe virile et veut accomplir
nous devons désirer le plus, après le pardon de Dieu, est l’oubli des
hommes
. La justice de Dieu s’exerce et nul ne sait comme
La justice de Dieu s’exerce et nul ne sait comment. J^e souverain des
hommes
poursuit ù travers les siècles les persécuteurs c
ler en esprit jusque dans les tombeaux pour y remuer la poussière des
hommes
qui furent coupables! Le fait n’est que trop vrai
ieu... Dieu c’est Ja lumière. (Les Proscrits, p. 55.) — Comment les
hommes
ont-ils si peu réfléchijus-qu alors aux accidents
peu réfléchijus-qu alors aux accidents du sommeil, qui accusent en l’
homme
une double vie ? (Louis Lambert, p. 77.) — Le m
lonté, fluide qui est l’attribut de tout être doué du mouvement. En l’
homme
, la volonté devient une force qui lui est propre.
iger la foudre Tut consumé; maintenant elle obéit à la puissance de l'
homme
. Le magnétisme a fait déjà bien «les victimes; le
te! combien tu me rends fier! Moyen simple comme la nature, quand les
hommes
cesseront-ils de te dédaigner pour suivre d’aveug
ivre? Un philosophe, un médecin, croyez-vous? Non, mais il viendra un
homme
qui, étudiant les lois de la vie dans le magnétis
, il y a plusieurs années, elle fut poursuivie dans les champs par un
homme
qui, la trouvant de son goftty «voulait sur elle
oulent-elles qu'on le voit se lever, venir à moi dans l’attitude d’un
homme
furieux, levant le poing comme s’il voulait me fr
ui viennent des vices semblent réfractaires (I). Il détermine sur l’
homme
sain ou malade une longue série de phénomènes don
« Voici le résumé du magnétisme dans son action « ordinaire : » L’
homme
, créature célesle, n’a pas été tellement « abando
n ap-« pelle le magnétisme. C’est cet ascendant que la « volonté d’un
homme
peut exercer sur les sens, la « matière et la vol
omme peut exercer sur les sens, la « matière et la volonté d’un autre
homme
. « La science, encore en enfance , à laquelle o
r ou fluide magnétique. « Nous établissons donc dans la nature de l’
homme
« la volonté, qui a son siège danslecerveau et qu
assuré le contraire, les femmes ne sont pas plus susceptibles que les
hommes
de ressentir les effets du magnétisme. Il en es
hi L'abstinence recommandée à certainescorporations religieuses d’
hommes
venait d’un observateur à pensées profondes. Ils
it par là que la commission était composée o en majeure partie de ces
hommes
qui croient tout « savoir et ont inlérêt à ce que
r système médi-«« cal, souvent erroné, continue de dominer; par des «
hommes
, dis-je, qui craignent de voir tomber l’é-« chala
aut espérer qui* « lors du projet de loi à la Chambre il y aura des «
hommes
qui sauront leur dire que l’anatomie pa-« thologi
isme rendu plaisant, ridicule, et de l’autre dangereux. 11 faut aux
hommes
des romans, des fictions; la réalité, ils s’en so
de la sécheresse de celle qu’on enseigne, dans les écoles. Loin que l’
homme
se. renferme en luwnême et devienne égoïste, je f
se parce qu'à force d’études il a surpris le mobile qui fait agir les
hommes
; parce qu’ayant eu toutes leurs mauvaises passion
enir qui vous est réservé, • Le caractère propre, le signe du grand
homme
, c'est qu'il réussit. Il faut « être du parti du
Ecritures, y cherchant la loi pour vous conduire et guider les autres
hommes
, mais vous reconnaissez que ce n’est point assez
mais vous reconnaissez que ce n’est point assez de votre exemple. Les
hommes
veulent plus : ils veulent croire, car sans croya
es veulent plus : ils veulent croire, car sans croyance et sans foi l'
homme
peut encore rester honnête, mais ne sera point éc
esprit; il quitta sa place et vint â M. Rousseau dans l’attitude d’un
homme
prêt à frapper, et lai dit : Partez, Monsieur,
r la fureur de mon élève. Si un simple rayon de l’intelligence d’un
homme
peut agir sur une autre intelligence, l’appeler à
vancés dans la science ! Que ces lignes rappellent à votre souvenir l’
homme
que vous avez fété, honoré, çt que vous excitiez
nspire? Le Dieu des bonnes gens. Vrai philanlhrope, utile ami des
hommes
, Il sait guérir des maux désespérés; Vrai phi
rils dans la fange égarés. Il nous enseigne avec quelle puissance L’
homme
, sur l’homme aux yeux intelligents, Prouve qu’il
fange égarés. Il nous enseigne avec quelle puissance L’homme, sur l’
homme
aux yeux intelligents, Prouve qu’il lient son imm
Jourdain. Tissera li dot Drouhard. James de Montry. Bouvier,
homme
de lettres. Mairot, négociant. Hering. I.angl
lle Florentin-Guil-« laumo. Doué d’une grande sensibilité, ce jeun« «
homme
dovint bègue en voyant son frère battre s:i « mèr
t pas simulé, « voici les épreuves douloureuses auxquelles ce jeune «
homme
a été soumis et durant lesquelles il n’a pas « ma
ncore le même effet. Mais, bien plus fort, un coffre sur lequel trois
hommes
sont assis est mis en mouvement d»la même manière
t grossit la somme des connaissances humaines. Maintenant la vie d’un
homme
serait trop courte, non pas pour étudier en rudim
ans sa chaire, indiquer ses incertitudes à ce sujet. « Parmi tant d’
hommes
éminents qui cultivent les sciences, il eh est pe
d’arrôt dans la marche grandiose imprimée au «/•nie humain par les
hommes
illustres dont Galilée fut le précurseur? N’est-i
tère lajeune fille, très-peu touchée de son état. Le curé du lieu, en
homme
éclairé, refusa d’accéder à leur désir d’exorcise
ique, qui ne peut même plus s'asseoir: sa chaise, maintenue par trois
hommes
forts, est repoussée, malgré leur résistance, à p
es les manières, et toujours la même chose a lieu. Le samedi 24, un
homme
d’un caractère sévère, respecté, ami des lumières
manifesta hautement son étonnement d’une telle conduite de la part d’
hommes
appelés, par l’art qu’ils exercent et les science
s est, de jonglerie ou de charlatanisme. Mais qu’importe que quelques
hommes
nient la vérité, lancent le sarcasme sur ceux q
effets et proposent de l’attester légalement, si besoin est. Tant d’
hommes
n’ont pu avoir la berlue, être fascinés, mystifié
vestibule» elle s’assit sur une chaise de cuisine maintenue par deux
hommes
: la répulsion fu t instantanée et d’une violence
d embrasser 1 ensemble , et c’est pour cela que la nature a créé des
hommes
spéciaux dont le génie perce les ténèbres qm les
perce les ténèbres qm les environnent et trouvent l’inconnu. Mais ces
hommes
rares ont besoin d’ètre précédés par des observat
un, sachant bien que son travail serait dès lors mutile. C e sont les
hommes
intelligents qui recherchent dans la pierre et le
. Vous le voyez, il y a compensation, et, des deux rôles offerts à un
homme
sage, son choix serait longtemps incertain. Tout
e absence, la justice qu’au moment cpyvous refuserait. Le cœur de l’
homme
est ainsi fait, et vous ne pouvez le changer. Les
ur de l’homme est ainsi fait, et vous ne pouvez le changer. Les mêmes
hommes
qui, aujourd’hui, vous flétrissent, vous accablen
plus en vous le noble désir que vous avëz do voif^Vhhdrc utile aux
hommes
et de leur faire du bien. Faites-le, ce bien, d’a
ez débarrassé d’une erreur, partagée maintenant par un grand nombre d*
hommes
; mais nous n’avons pas cette crainte. Ne soyez pa
Faites, quoi qu’on puisse dire ou penser de vous; n’écoutez point les
hommes
à préjugés ou ceux que la rouille des siècles pas
ommunes; votre résistance passera pour déraisonnable ; soyez honnêtes
hommes
, ne mentez point ¿votre conscience; lorsqu’un sai
lève jusqu’à lui. Instrument de propagation, vous amènerez d’autres
hommes
à votre sentiment; la vérité s’étendra, vous v au
les aujourd'hui. Si l’explication manque encore à plusieurs, quelques
hommes
dn moins les soumettent à un examen consciencieux
ntensité, malgré ce nombre de témoins. Allons, messieurs nos grands
hommes
,s géants de la presse, rois de L'intelligence, il
n’exciterais point de cuisants regrets, et le repos de tant de grands
hommes
n’eût point été troublé. Nous allons, pauvre
C’est déjà prodigieux. Poursuis. Te voilà maintenant près d’ung/vW
homme
connu par des découvertes sur le lait; leur impor
! tout sc renverse ou fuit à ton approche chez le portier de ce grand
homme
; tu montes un étage, plus rien. Un génie puissant
lgré ta bonne envie, ta faculté refuse (Je sc manifester ; lo grand
homme
ne voit rien, ou si peu que ce n'est pas la jtein
n, ou si peu que ce n'est pas la jteine d’en parler. Un autre grand
homme
, lu les verras tous, refuse de t'examiner. Cela
le poursuit : plus rien. Va donc au bout de la ville, va trouver un
homme
illustre à plus d’un titre; s’il dit oui, on dira
oilà un bon juge sans doute, car qui donc jugera bien si ce n’est cet
homme
distingué et toujours en éveil ? L’Académie reçoi
n d’être parfaits ; il les admet, s’en rapporte à la parole d’un seul
homme
, peut-^tre à sa vision. Ce savant rédacteur compr
x, sur les nouvelles du jour, la partie historique des Ecritures, les
hommes
publ'îs, et surtout sur le caractère des membres
ant des Pjrénées-Orientales, nouveau journal rédigé par des écrivains
hommes
de cœur et de conviction : « M. Lassaigne conti
rochements sur le magnétisme qui indiquent l’avancement des idées des
hommes
qui la dirigent) ; la Gazette des Bains, qui en a
n’acquiert de solides connaissances qu'en s’initiant aux travaux des
hommes
qui nous ont précédés dans la carrière et en suiv
en tant qu'il se rapportera à un ordre de vérités reçu par nos grands
hommes
. Plus despotes qu’aucun des potentats du Nord, ne
paysans en sait autant là-dessus, j’allais dire plus, que nos grands
hommes
. Passons. Puis on parle des étoiles filantes; ici
faculté magnétique dont la nature m’a doué, par cela seul que je suis
homme
. L’occasion cherchée se présenta plusieurs fois,
tan. D’abord, c’est une odieuse calomnie; mais ensuite il va mal à on
homme
qui profite des découvertes de Mesmer, qui s’enor
rrêts; voyez-le entrant dans les croyances et passionnant une foule d’
hommes
. Suivez son progrès à travers de monde; depuis
esmer ! si tu erres encore parmi nous, si tu assistes aux travaux des
hommes
qui ont compris ton génie et cherchent à établir
t encore à vaincre. Mais non , tu ne te mêles plus des affaires des
hommes
. Ta patrie est le monde invisible, le séjour de t
lamma nos cœurs. Honneur à Mesmer! Messieurs, que la mémoire ds cet
homme
de bien soit impérissable; que la vérité qu’il ap
e; car c’est une vérité humanitaire, sans la possession de laquelle l’
homme
serait trop incomplet. Que devons-nous donc à M
tre le point de départ de beaucoup d’autres. Nous devons à ce grand
homme
une nouvelle mé-décine plus certaine que celle en
; par conséquent nous empêcherons par nos travaux l’exploitation de l’
homme
malade. Et ce sang humain inutilement versé, ce s
i devons l’entrée du temple des merveilles; car, si jusqu’à ce jour l’
homme
ne s’est point connu, il le peut désormais, puisq
s le savez, Messieurs, notre terre fut rougie par le sang humain. Les
hommes
se ruèrent sur leurs frères, lorsque ceux-ci, pou
oque approche où la société, reconnaissante envers ce bienfaiteur des
hommes
, lui élèvera un monument. Trop faible, Messieur
nger tes dispositions, corriger ta mauvaise nature et faire de toi un
homme
de bien. Il n’est pas douteux que le somnambule n
et les plus pures jouissances, celles réservées aux bienfaiteurs des
hommes
, celles qui, enfin, ne sont point destinées à ceu
nie parce qu'on n’a pas vu. — Mais à quoi sert donc le témoignage des
hommes
rangé au nombre des moyens de connaître la vérité
ntre leurs mains. Cela peut être exagéré, mais il est de fait que ces
hommes
trouvent des sources cachées et sont affectés par
ome émané de la source, arôme qui n’a aucune action sur le commun des
hommes
. » 1692 fut, en France, la plus brillante époqu
antes. En sorte que sa faculté divinatrice fut niée de la plupart des
hommes
qui attribuèrent à la baguette magique un don qui
aculté très-réelle, mais qui dépasse la portée des sens de nos grands
hommes
. Tant il est vrai de dire que l'erreur chemine ra
venu du Charollais, l’ayant assuré que, dans son pays, il y avait un
homme
doué de ce don merveilleux, il fallait le faire v
bé Para-melle, dont la science hydroscopique était authentique. Notre
homme
ne se tint pas pour battu, et, réfléchissant qu’i
r battu, et, réfléchissant qu’il n’y avait pas de raison pour que tel
homme
ne pût avoir un talent qu’on attribuait bien à te
ur que l’aimant attire ? — C’est un de ces secrets de la nature que l'
homme
ignore, mais que plus tard il pourra peut-être dé
nous allons vous citer les paroles de M. Magendie. M. Magendie est un
homme
connu de tous les magnétiseurs ; il les déteste d
semblent, à nous, deux succursales des Quinze-Vingls. Tous ces grands
hommes
sont tellement étrangers à ce qui se passe (1)
es médecins sur la race humaine, nous allions dire sur la sottise des
hommes
. Or, pour cela, on ne vous demandera point votre
eles tondre. Les bouchers ne les consultent point...... Y a-t-il un
homme
sensé qui, en lisant le discours de M. Magendie,
s malades qui croient de telles absurdités sont de pauvres dupes; les
hommes
qui exploitent de telles faiblesses sont d’effron
ercure, au-devant de î;i poitrine, pour prévenir les convulsions. Des
hommes
graves, au-dessus par leur esprit et leur éducati
« LA NATURE OFFRE UN MOYEN UNIVERSEL DE GUÉRIR ET DE PRÉSERVER LES
HOMMES
. » VARIÉTÉS. One séance de magnétisme. — La
ut (legré la faculté propre à la magnétisation, n’est point un de ces
hommes
à existence factice, à réputation douteuse. Non,
ces hommes à existence factice, à réputation douteuse. Non, c’est un
homme
qui remplit avec honneur les fonctions de sa posi
insensibilité des membres magnétisés, a droit à la reconnaissance des
hommes
. Ce droit, de toute justice, a été hautement proc
d. Mort de M. Virey. — « Vanité, tout n’est que vanité ! » Voici un
homme
d’un rare mérite, comme écrivain ; membre de l’Ac
savant; il a fait la guerre à une vérité utile pour plaire à quelques
hommes
, et l'oubli est venu payer de tels services ! Ing
s’ouvre devant le Pharaon d’Egypte, et auquel prennent part Moïse, l'
homme
de Dieu, et les magiciens, que les saints Pères o
u, et les magiciens, que les saints Pères ont cru pouvoir appeler les
hommes
du démon. • L’Ecriture, après avoir décrit les
toutes les pratiques d’un peuple en enfance, mériter l’attention des
hommes
sérieux. « J’étais étahIiauCoiredepuisplusieurs
tive, qu’elle se consume on projets dans les moments de repos. « Un
homme
grand et beau , portant turban vert et benisch de
aites venir Cradoek, » ajouta lord Prud-hoeavec cette impatience d’un
homme
qui craint de se fier trop facilement à une super
entrâmes dans l’impasse au fond de laquelle était la maison de notre
homme
. Je tirai le cordon, et, après un instant d’atten
éressant de suivre attentivement les. connaissances si variées de cet
homme
; j’en avais l’intention, mais dans ce jour H n’ét
e dans les âges les plus reculés, doit être indépendant de tout nom d’
homme
, et qu’en changeant le nom on ferait admettre la
s le mobile. Il ajoute que, dans les sciences non formées, les noms d’
hommes
sont préférables en ce qu’ils ne préjugent pas la
us reproduisons la première partie d’une lettre qu’un de nos abonnés,
homme
honorable et remplissant de hautes fonctions, nou
public hommage à la mémoire de Mesmer. Le jour de la naissance de cet
homme
illustre a été choisi par M. le baron du Potet po
n du magnétisme, vous avez rejeté ce qu’il vous apportait, persiflé l’
homme
, ridiculisé la doctrine; que dis-je, vous avez ca
de leur main, avec la môme facilité qu’au travers d’une lucarne, des
hommes
se mouvoir, paraître et disparaître, qu’ils appel
peu prudent de vouloir lui dérober. Les crises éprouvées par ce jeûne
homme
duraient à peu près dix minutes; celui qui les av
telle est la force à laquelle elle est soumise qu’elle entraîne deux
hommes
dans son mouvement. Les personnes qui assistaient
bstitut, le commissaire de police, deux docteurs-médecins et quelques
hommes
de peine, se rendent au cimetière dans le but d’e
Chapus. Ils exhument d’abord le cadavre d’une femme, puis celui d’un
homme
, et disent reconnaître Chapus ; ils prennent ce c
iensaient produit leurs merveilleux effets. Mais, pour encourager les
hommes
encore sains à ne rien craindre, car la crainte p
eût l’intention de comprendre dans les défenses projetées une foule d’
hommes
dont le seul tort, aux yeux dos hommes de l’art,
défenses projetées une foule d’hommes dont le seul tort, aux yeux dos
hommes
de l’art, est de soulager et guérir sans médicame
gnétisme dans la boue des ruisseaux; il en sera tiré un jour, car des
hommes
qui le comprennent s’occupent, dans le silence, à
euse fille électrique, si longtemps un objet de doutes, môme pour les
hommes
les plus hauts placés dans la science. Ce nouve
, et la petite fdle voyait et rendait ce qu’elle voyait à mesure. Cet
homme
prononçait tout bas quelque chose sur ce verre re
t savoir ce qu’il deviendrait. Alors, ce ne fut plus dans le verre. L’
homme
qui était là lui offrit de le lui montrer comme p
mer s’est immortalisé par sa vaste découverte du magnétisme, tous les
hommes
qui ont marché sur ses traces ont été, comme lui,
ont fait dans le but principal de propager une vérité utile à tousles
hommes
indistinctement. « En effet, le magnétisme et s
e et ses phénomènes infinis présentent toujours un côté fructueux à l’
homme
qui veut se donner la peine d’en apprendre la pra
ur allemand. « Le magnétisme est dans,1a nature; il est inné avec l’
homme
, qui devient spiritualiste dès qu’il le comprend,
phénomène magnétique présente avec lui l’idée de la Divinité, dont l’
homme
possède une émanation que l’auteur de la nature l
eu l’idée d’une provocation, mais seulement celle de faire appel aux
hommes
de science en général, et en particulier aux méde
le est dirigée sans discernement ou appliquée mal à propos. « Que l’
homme
qui a étudié l’organisation animale pratique le m
utes les parties qui composent le corps et le mouvement : la vie de l’
homme
? « Du reste, la chirurgie n’a-t-elle pas fait
« Mais Dieu, le créateur universel çt tout-puissant, on donnant à l'
homme
à la fois la propriété et la puissance magnétique
les juger et de déclarer si elles peuvent complètement satisfaire les
hommes
de science; il y aurait de la témérité de notre p
ertaine de son triomphe. Des médecins, des officiers (supérieurs, des
hommes
de lettres, des artistes distingués, beaucoup de
démies et du monde savant. En effet, la raillerie est permise à des
hommes
convaincus d’une grande vérité lorsqu’ils la voie
. La nature offre un moyen universel de quérir ET DE PRÉSERVER LES
HOMMES
. Sur la face antérieure du socle étaient gravés
iscours suivant : • Messieurs , « Dès la plus haute antiquité les
hommes
s’assemblaient pour rendre hommage à la mémoire d
oduisant à chaque instant les miracles promis, et ralliant à elle les
hommes
mêmes qui d’abord l’avait rejetée. Honneur à Mesm
gué un nouvel art de guérir. Ne souffrons jamais que lesoufle impur d'
hommes
corrompus ternisse une aussi belle renommée. «
ple il n’y aura point d’idole; la vérité y sera sans voile : tous les
hommes
pourront la contempler. « Loin, bien loin de no
nce presque divine que Dieu, dans son inépuisable bonté, a donnée à l’
homme
. «Continuons donc, Messieurs; marchons en avant
fruits désaltéreront ceux que les mauvaises passions dessèchent; les
hommes
ne so croiront plus maudits; ils reconnaîtront le
notre tâche, et qu’à notre tour nous mériterons la reconnaissance des
hommes
qui nous remplaceront bientôt dans notre mission’
ec enthousiasme ; on se léva pour boire à P» gloire de Mesmer, de cet
homme
dé'bien qui, pour prix de la vérité qu’il apporta
glorifier ce qui avait été regardé comme méprisable, et de venger les
hommes
injustement persécutés. On accueillit cette off
se est gaguée, si nous restons unis : fcj ieu bénit les efforts des
hommes
réunis!... CJ n champ nous est ouvert, c’est un
ppelle une invention ou une découverte d’abord rejetée par nos grands
hommes
. La plus franche gaieté s’empara des convives, le
nt. Le .magistrat de la ville 6’.émut sur les faits et gestes.de «fit
homme
. JUne commission, çompcwée de MM. Gelof, Lichtzin
* Breekmans était un sorcier. Le magistrat lança un édit contre cet
homme
, mais celui-ci parvint à échapper, par la fuite,
re, déposez1 quelques mille livres sterling; vous tenterez quelques
hommes
; aucun ne gagnera le pari, car il y a ici des em
ressement dans vos demandes au ministre de l'instruction publique; un
homme
qui vous veut tout le bien que vous méritez vous
Seine, 32. CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Insensibilité a la douleur. —Tout
homme
, par la seule puissance de sa volonté, peut occas
eut occasionner une perturbation grave dans l’état naturel d’un autre
homme
; et à la suite de cet état extraordinaire appelé
la première intuition de l’intelligence? Il est bien des choses que l’
homme
ne peut comprendre en faisant t. ii. 15 juin 1846
sont autant de mystères qui échappent à toutes les investigations des
hommes
les plus savants. Si parfois notre raison .se rév
é ! avouer que l’on s’est trompé et que l’on a flétri injustement des
hommes
honorables ! ce serait faire croire que l'on a qu
sieurs , « Lorsqu’une découverte utile vient enrichir le monde, les
hommes
justes et reconnaissants en recherchent l’auteur,
désir est d'éclairer vos esprits sur la vie et quoJques actes de cet
homme
illustre, de vous le montrer sous son véritable a
tri ses contemporains. « Envisagé du côté intellectuel, était-ce un
homme
de génie, un savant distingué, un médecin habile,
éan de la vérité méconnue. Le nom de Mesmer devient populaire, et des
hommes
nouveaux qui se déclarent ses admirateurs effacen
ortalité qu’il s'est acquise. « Il suffit, Messieurs, à la vie d’un
homme
d’être distingué par son génie, son talent ou sa
ie se rencontre avec un cœur corrompu, on doit oublier les torts de l’
homme
pour ne voir que les résultats heureux, les bienf
apportés au monde par ses découvertes. « Mais est-ce là le cas de l’
homme
dont nous vénérons la mémoire ? Le vil-on jamais
le monde une vérité qui, par son in- « fluence sur lo physique des
hommes
, peut opérer « des changements que, dès leur nais
“1, la duchesse de Chaulnes la pré- a fércncc sur In généralité des
hommes
serait, au fond, a aussi condamnable à moi que si
de Dcleuze et de Puységur n'auraient point fait cortège à celui de l'
homme
illustre que nous glorifions en ce jour. « La f
nous le reconnaissons, tenons compte des circonstances relatives aux
hommes
, au temps, ou pardonnons au génie ce qu’il a d’im
ur nous; car, quand le moment sera venu de nous juger aussi, d’autres
hommes
diront, sans doute, de nous, ce qu’avant d’étre a
nce : 1 ingratitude décèle un mauvais cœur. « La fin de la vie d’un
homme
, Messieurs, justifiant son passé, suivons Mesmer
herchant par la méditation et le travail l’oubli de l’ingratitude des
hommes
et de l’injustice des savants. Mais son activité
s’écrie : « Mon existence res-« semble absolument à celle de tous les
homme
? qui,, « en combinant des idées fories et d’une v
la tâche qu’ils se sont « imposée. » « A celte époque si féconde en
hommes
d’énergie, en actions d’éclat et aussi en atrocit
qu’il affrontait et ne considérant que la grandeur de la victime, un
homme
se découvre et s’incline respectueusement devant
me se découvre et s’incline respectueusement devant elle (1). « Cet
homme
était Mesmer!!! « Retiré en Suisse durant le co
son cœur avait dû souffrir ! La Révolution avait fait disparaître les
hommes
les plus distingués. Ses élèves, tous gens de rob
reconnaisse*-vous là un charlatan? Ne voyez-vous pas, au contraire, l’
homme
de bien, qui, ayant le droit de mépriser les sava
e de bien, qui, ayant le droit de mépriser les savants et de haïr les
hommes
, ne s’occupe pourtant que dès moyens d'enrichir l
qui accusent encore Mesmer de charlatanerie connaissent peu ce grand
homme
et la bonté de son cœur! Ils le jugent, sans dout
vait plus y avoir entraînement. Eh bien, nous trouvons que pas un des
hommes
d élite qui reçurent de sa bouche les principes d
vous n êtes point tous pénétrés d’un sentiment de vénération pour un
homme
de génie qui remplit jusqu au bout et si glorieus
insi qu’en donnant l'exemple de notre vénéralion nous empêcherons les
hommes
méchants et au cœur sec de ternir la renommée de
du mcsmèritrne est très-restreint, nous demandons le concours de tout
homme
de bonne foi, car notre œuvre est universelle; el
s merveilleuses par des moyens inconnus. Il initia ù ses mystères des
hommes
instruits, qui, sous le nom de mages, formèrent u
e et diverses névralgies légères. THÉORIES. DU LIBRE ARBITRE. L’
homme
est-il libre d’engager sa liberté, de vendre sa v
rices d’autrui? Et, en supposant qu’il y eût un moyen qui donnât à un
homme
le pouvoir si grand de contraindre un autre être
ton pouvoir, mais je ne veux point y obéir!... Crains la justice des
hommes
ou plutôt celle de Dieu, qui voit ton crime et te
donc créé des êtres que l’on peut asservir? Il ne peut en être ainsi.
Homme
affreux, rends-moi ma liberté.... — Vous me ver
. Votre voix me parait tendre et suppliante, vous n’êtes plus le même
homme
. Ali ! j’élais un« créature méchante! Pardonnez-m
corps est déchiré, mes membres sont souillés; puis j’excite le rire d’
hommes
qui n’ont rien d'humain !... Au secours, nia mère
mmes charmantes ; parce que là il quitte son rôle, n’est plus qu’un
homme
du monde, ayant des saillies, des bons mots ; il
oin. Si tu n’as pas d’amis, de frère, qu'on aille chercher le premier
homme
de bonne volonté que l’on rencontrera, que ce soi
able de révolter tes sens, souffre une telle approche; pourvu que cet
homme
ait un cœur compatissant et qu’il sache ou devine
nd fait, sur une grande vérité. Il faut bien du temps pour guérir les
hommes
de leur faux savoir, il est plus facile de les gu
vérité brillante comme le jour s’avance; elle éclairedéjàune foule d’
hommes
convaincus par l'expérience et par des faits inno
hommes convaincus par l'expérience et par des faits innombrables. Ces
hommes
font ce que ne peut la science, ils guérissent
nce le veut ainsi, afin qu’il ne vous soit plus permis de tromper les
hommes
; et ne faut-il pas pour cela que le magnétisme, p
tout l’Oricnt pour avoir signifié pontife, prêtre, mage, c’est-à-dire
homme
élevé en dignité de puissance et de savoir. Il es
es Jésuites, pour y faire ses études de théologie. II rencontra là un
homme
d’un grand mérite, qui le prit sous sa protection
vant lui. Je suis la fille de ces montagnes, « et j’ai dix courages d’
homme
dans mon cœur. Je « ne sortirai d’ici qu* lorsque
parole acquerra quelque valeur lorsque nous dirons : Méfiez-vous des
hommes
qui sont chargés de vous guérir ; ils sont plus i
r leur raison. Tant de questions restent à approfondir ; l'étude de l’
homme
est si peu avancée, ses propriétés si peu connues
r leur raison. Tant de questions restent à approfondir ; l'étude de l’
homme
est si peu avancée, ses propriétés si peu connues
ue corporation pour prendre rang dans les sciences et faire jouir les
hommes
du bien que par sa nature elle peut faire? Heureu
tres du magnétisme. Nous savons trop à quelles passions obéissent les
hommes
séparés de la société pour ôtre confiant ; nous c
ôt qu’à des œuvres de bien ; qu’on l’emploiera plutôt à fanatiser les
hommes
qu’à les éclairer, et que des croyances absurdes
leurs desseins et arriver à un but d’asservissement de la pensée. L’
homme
ne doit-il donc jamais quitter l’enfance? Faudra-
es de bien les feront chérir et respecter. Que les médecins, amis des
hommes
, fassent du magnétisme un instrument de guérison
les aidant de vos bras et do votre pensée, mais réservez-vous d’être
hommes
, n'aliénez aucune de vos facultés ni vos libres
féconde et que vous briserez les liens préparés dans l’ombre par des
hommes
à qui la liberté fait peur et qui voudraient ench
a liberté fait peur et qui voudraient enchaîner l’avenir, ramener les
hommes
en arrière lorsque Dieu lui-même les pousse en av
te et ne dira jamais son dernier mot. La nature a mille secrets que l’
homme
n'a point encore pénétrés; il reste donc à l'inte
fin qu’ils suivent aussi cette loi non moins impérieuse qui porte les
hommes
à toujours améliorer leur sort et à se rapprocher
’ère des merveilles, C’est le salut du genre humain ! Désormais l'
homme
s’étudie. S’élance, transformé, des langes du b
ns un corps périssable, être immatériel, ¡.’homme n’est plus pour l'
homme
une énigme vivante, Une œuvre du hasard que la mo
leur dédain superbe, ou leur vainc. Fureur ? Tout ce qui vient de l’
homme
est fragile et menteur ; Ne faut-il pas que Die
cet état. Nous avions accepté, mais la mort est venue surprendre cet
homme
habile et sans préjugés; nous avons ainsi perdu u
oyons pour la première « fois; si vous vous rappelez l’ascendant d’un
homme
« sur ses semblables, la fascination de l’animal
aître en lui notre première révolution. Doué d’un puissant génie, cet
homme
embrassait toutes les questions , voulait résoudr
ar F.-A. Mesmer. PRÉFACE. Le but de cet ouvrage est de mettre les
hommes
d’accord sur les principes et sur les objets qui
ement leur bonheur. Les idées vagues et indéterminées qui mettent l'
homme
en contradiction avec les autres, et le plus souv
es malheurs qui en résultent tant qu’on cherchera ailleurs que dans l’
homme
même les motifs et les règles pour diriger les ac
s pour diriger les actions humaines. C’est donc dans la nature de l'
homme
, une et invariable en tous temps et en tous lieux
uels seront les moyens de connaître et de constater cette nature de l’
homme
, qui paraît sous des formes aussi variées que les
mœurs, les religions et les gouvernements ? Les uns ne veulent voir l’
homme
naturel que duns son état inculte et sauvage; les
pelle civilisé. Ni l’une ni l’autre de ces situations ne montre l’
homme
tel qu’il est par la nature. On n’a donc pas su j
su jusqu’ici ce qu’on devait entendre précisément par la nature de l’
homme
. Quoique la diversité des climats et des situat
ehose que le désir naturel d’éiendre son existence individuelle. L’
homme
, ainsi que tout animal, se plaît à jouir des moye
ous les moyens, en tendant vers ce but généralement recherché par les
hommes
, consti- lue, lorsque ces moyens suffisent, l'é
bonheur. C’est sur ces moyens et leurs rapports qu’il faut que les
hommes
s’entendent, et que les principes et les idées en
tre méconnues en aucun temps, ni en aucun lieu. Par son mécanisme l’
homme
est lié à 1 univers. 11 devient un chaînon essent
rapports et les proportions qui déterminent proprement sa nature. L'
homme
, par la nature, est destiné à vivre en société, c
sur les organes des sens une impulsion du mouvement, pour laquelle l'
homme
est absolument pasiif, il devient actif par l’eff
e principe interne. — Voici comment s’opère ce changement : Placez un
homme
dans un jardin, devant un arbre, devant un pommie
nts de l’appétit, de là aux membres îles extrémités qui déterminent l’
homme
à s’approcher de l’arbre, à étendre la main, à cu
donnent l’idée du bien et du mal moral. Les diverses relations des
hommes
en société vont donc être déterminées d’une maniè
sables au bonheur de la société. L’avidité et le luxe ont porté les
hommes
à s’occuper des moyens d’ennoblir les races de ce
sophie est parvenue dans ce siècle à faire retrouver et reprendre à l’
homme
les droits que lu nature avait gravés dans son cœ
es droits éternels et imprescriptibles qui sont destinés à conduire l’
homme
vers son bonheur; mais cela ne suffit pas : car,
aux talents pour bien mériter de la patrie. Dans tous les temps les
hommes
ont été maîtrisés pur l’opinion. Dans une lâche o
al, combien il est important, pour l’harmonie physique et morale de l'
homme
, de s’assembler fréquemment en sociétés nombreuse
. Ce n’est que par la conformité des principes et des idées que les
hommes
se rapprochent de l'égalité possible, qu’ils s’ai
ourquoi brûler leur chair? êtes-vous donc les vengeurs des fautes des
hommes
? êtes-vous juges ici-bas? LE DOCTEUR. Je te l
DOCTEUR. Il n’y a point de Dieu. LE MALADE. Mais la justice des
hommes
? LE DOCTEUR. Elle fléchit devant nous; jamai
e Poitiers. LE MALADE. Il y a donc encore de l’humanité parmi les
hommes
, puisqu’en vous je trouve un frère ? LE DOCTEUR
i môme, un illustre médecin , M. Gerdy, qui prend son brevet de grand
homme
, nie la découverte de Mesmer avec un ton d'assur
sport. Mais ce qu’on ignore peut-ôtre, c’est que le petit-fils de cet
homme
extraordinaire, Georges Church, qui exerce à Sydn
elle opération; mais, bientôt vaincu par l’irrésistible charme de cet
homme
extraordinaire, il retombe dans l’état mes-mériqu
ns importance, peut donner la clef de bien des actions occultes que l’
homme
exerce sur des animaux. L’éducation de ces dernie
ves. Cette marcho est en tout conforme à la nature de notre esprit; l’
homme
abandonné à lui-môme la suit par instinct, et le
s ne sommes entrés dans cette discussion que pour mettre d’accord des
hommes
qui ne devraient jamais être divisés d’opinion ,
uel il donnait à ses adorateurs le pouvoir d’envoyer des maladies aux
hommes
et aux animaux, de nuire aux fruits de la terre,
qui lui persuade de se soumettre ; elle ne se soumet donc jamais. L’
homme
peut laisser enchaîner ses bras, sa parole; sa pe
re. Car celle parole venant d’un dieu d’amour, enseignant l’amour aux
hommes
, se fait entendra dans toutes ses célestes harmon
é s’abîmer dans l’idéalisme et s’est évanoui coin me une ombre, que l'
homme
s’était plu à évoquer dans celte nuit qu il appel
elle la vie et dont il ne doit se réveiller qu’à la mort, époque où l'
homme
, nous assurent nos idéalistes, du reste les plu
’elle s’assimile dans son simple et indécomposable principe. Mais l’
homme
n’est pas fait pour réfléchir solitairement la vé
chir solitairement la vérité ; il faut qu’il la communique aux autres
hommes
quand il l’a trouvée ; et comme il ne peut à lui
sion. La communion est non-seulement nécessaire à la faiblesse de l’
homme
, elle est surtout un état moral en elle-même. La
de l’homme, elle est surtout un état moral en elle-même. La vie de l’
homme
doit être une vie de charité ; il doit recevoir e
fera membre vivant et libre du grand corps de l’humanité. Enfin, l’
homme
ne doit pas être seulement uni avec l’homme et le
de l’humanité. Enfin, l’homme ne doit pas être seulement uni avec l’
homme
et le monde, il faut que cette unité secon- dai
ité absolue. Et Dieu a gardé en lui la suprême lumière pour convier l’
homme
à celte suprême communion ; et la charité univers
t dans un éternel présent, l’immensité se concentre en un point, et l’
homme
devient prophète. Celui qui a apporté au monde
IVfluMon dans le» Htn esi immiuentr et continue, mais seulement de l'
homme
qui se mel dans les conditions spirituelles néces
t dépassant quelque peu lu boite. » Présentez-lui le doigt (vous, l’
homme
à puissance névrurgique quelconque ). « L’aigui
is, et toujours applicables à quelque irrégularité vitale affectant l’
homme
en santé.Votre esprit, s’inoculant ces erreurs, v
ante; je dis plus, elle n’est pas, sous certains rapports, celle d'un
homme
raisonnable quand on en puise les principes dans
donc besoin du malheur public pour vivre? Est-ce l’exploitation de l’
homme
malade qu’il vous faut comme industrie propre à v
ustrie propre à vous enriehir? Mais c’est un crime odieux ! Quand les
hommes
s'éclaireront, ils maudiront vous et votre race,
. iffesuier. § 1. — Morale. Parmi les êtres animés, l'espèce de l’
homme
est une de celles destinées par la nature à vivre
mme est une de celles destinées par la nature à vivre en société. L’
homme
au milieu des êtres est en contact avec-tout co q
i, des e ets, c’est-à-dire des changements. Celte organisation de l’
homme
, qui est fondée uniquement sur l’état mécanique d
donc un changement déterminé ou empêché par un principe interne de l’
homme
. T. III. 31 AOUT 18i6. k Toute action humaine
conditions qui la réalisent : 1° L’impression ou la sensation que l’
homme
reçoit „d’après la situation dans laquelle il exi
ie universelle. L'ordre de convention est établi par la volonté des
hommes
. Il est positif ou d’habitude. Le premier est exp
’autre est ce qu’on nomme les mœurs. Tous ccs ordres regardent ou l’
homme
individuel, ou l’homme considéré en société. L’
me les mœurs. Tous ccs ordres regardent ou l’homme individuel, ou l’
homme
considéré en société. L’ordre naturel doit être
mesure définitive de tous les ordres, effets ou changements dont l’
homme
sera la cause. Tout être existant est organisé.
tions humaines. La représentation ou la connaissance par laquelle l’
homme
est instruit de la conformité ou de l’opposition
ur juger les actions humaines, doivent se prendre dans la nature de l’
homme
.- Or, comme la nature de l’homme est la même en t
ivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’
homme
est la même en tous les temps et en tous les lieu
emps et en tous les lieux, il n’y a qu’une seule morale pour tous les
hommes
; elle est la même pour les nations et les individ
tous les moyens et conditions pour sa conservation. Le bonheur de l'
homme
individuel, ainsi que de l’homme en société, est
r sa conservation. Le bonheur de l'homme individuel, ainsi que de l’
homme
en société, est fondé sur deux principes, la sant
consiste dans l'accord des fonctions des membres et des viscères. L’
homme
jouit de la liberté quand il a en lui et par lui
s que de l’intérêt. Elles sont donc inséparables pour le bonheur de l’
homme
, et toute législation sera vicieuse qui n’aura pa
ur juger les actions humaines, doivent se prendre dans la nature de l’
homme
.- Or, comme la nature de l’homme est la même en t
ivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’
homme
est la même en tous les temps et en tous les lieu
emps et en tous les lieux, il n’y a qu’une seule morale pour tous les
hommes
; elle est la même pour les nations et les individ
tous les moyens et conditions pour sa conservation. Le bonheur de l'
homme
individuel, ainsi que de l’homme en société, est
r sa conservation. Le bonheur de l'homme individuel, ainsi que de l’
homme
en société, est fondé sur deux principes, la sant
consiste dans l'accord des fonctions des membres et des viscères. L’
homme
jouit de la liberté quand il a en lui et par lui
s que de l’intérêt. Elles sont donc inséparables pour le bonheur de l’
homme
, et toute législation sera vicieuse qui n’aura pa
somme de la portion de liberté que chaque individu y a portée. L’
homme
qui s’attache ainsi à la société civile ne préten
La sûrété renferme donc la liberté, la propriété et la santé; et l’
homme
attache l’une et l’autre à la s,p-eiété'dortt'fï
organes, comme si une émanation infiniment petite de la volonté de l’
homme
lui était transmise par la mèche agitée. Cependan
e théorie, rattacher aux mômes hypothèses les deux derniers sens de l’
homme
, le goût et l’odorat. Comme la fièvre imitativt d
ou à l’extension de facultés plus matérielles. « Quand uno masse d’
hommes
est agglomérée sur un seul point, a dit un ingéni
lement par les niasses, mais par quelques personnes, mais par un seul
homme
, et qui produit un état nerveux dont l’exagératio
: « Et moi aussi, je suis fou ! » Mon auditoire se leva comme un seul
homme
; une exclamation de surprise et d'horreur partit
eût probablement dit que fort peu de chose à l’esprit et au cœur d’un
homme
des tribus placé hors des cris, du tumulte, de la
ensée. Ici, le tout homogène se compose d’éléments immatériels; ici l’
homme
agit sur l’homme uniquement par la communication
ut homogène se compose d’éléments immatériels; ici l’homme agit sur l’
homme
uniquement par la communication de son principe é
œur ; il n’y a plus d’Arabes, il n’y a plus de Français : un groupe d’
hommes
s’est arrêté dans le désert; on n’y reconnaîtrait
s personnes dont elles étaient naguère émues. Ce n’était plus même un
homme
, c’était seulement une cantilène qui exerçait l’i
ux. Elle suppose donc la connaissance exacte des uns et des autres. L’
homme
qui fait cette application est le juge. Tout me
s. Une pareille impuissance est capable de durer toute la vie pour un
homme
, en amour comme en musique. C’est la plus doulour
tative fut la Nouvelle Iféloïse, et le mot affreux du modèle : Jamais
homme
ne se montra plus aimable; mais c'est M. de Saint
et, pourvu qu’il meure à terre, il n’en est pas parlé. On voit là des
hommes
tout criblés de coups et couverts de sang, et lor
fièvre imitative renferme un secret calcul de la Providence. Quand l’
homme
parcourt d’une façon normale sa destinée complète
est pas seulement un sommeil, elle est aussi une volupté. On a vu des
hommes
surpris par le froid demander en grâce qu’on ne l
er en grâce qu’on ne les délivrât pas d’une mort délicieuse. Pour les
hommes
profondément religieux, la mort ne sera jamais un
ngers se sont vus dans la nécessité de proscrire, surtout quand leurs
hommes
étaient réunis, les airs nationaux, et notamment
r leurs regrets ou par leurs espérances, contre le niveau social de l'
homme
actuel qui ne sait pas plus ce qu’elles ont été q
lition de l’ignorance et de l’intérêt. Il est dur, en effet, pour des
hommes
que la science compte au nombre de ses membres le
fitable surtout à l’amour-pro-pre, de nier une vérité révélée par des
hommes
nouveaux, que de venir humblement confesser la su
mes nouveaux, que de venir humblement confesser la supériorité de ces
hommes
, qui viennent quelquefois, sans diplôme et sans
trangère. Mais la vérité finit par triompher ; et, de nos jours, un
homme
de cœur, M. le baron du Potet, s’est con- l/,8
, suivant en cela le précepte évangélique que Dieu adresse à tous les
hommes
convaincus : Aile: et instruises les nations. D
te, je fis,à part moi, cette réflexion : Est-il possible que tous ces
hommes
se soient trompés ou aient pu se laisser tromper?
ce que d’autres ont déjà dit avant nous sur ce sujet : « Si quelques
hommes
isolés rapportaient des phénomènes d’un ordre sup
ttestés par les personnes les plus recommandables ; si des milliers d’
hommes
assurent qu’ils les ont vus de leurs propres yeux
reconnaître que le fluide magnétique, modifié suivant la nature de l’
homme
, n’offre avec les autres fluides qu’une différenc
celle de Dieu; puissance qui, dirigée par l’intelligence départie à l'
homme
seul, est susceptible des plus grands résultats
e nous l’avons dit, est dirigée par la volonté et l’intelligence de l’
homme
. Je dirai encore que la polarité des membres co
er autre chose qu’une habitude prise dès longtemps sans aucune loi, l’
homme
primitif devant être aussi fort et aussi adroit d
tases, lui ayant mis entre les mains un billet cacheté dans lequel un
homme
demandait éclaircissement sur plusieurs choses, e
it. « Elle déclara que lorsqu’on la consultait sur les maladies des
hommes
et des animaux ou sur la manière de recouvrer les
ns ce banquet pour offrir un dernier témoignage de reconnaissance à l’
homme
dévoué qui parcourt la France pour initier les po
s choses ! » « Cette étude satisfait les plus nobles instincts de l’
homme
, « Ange déchu qui se souvient des deux. » et
te curiosité do son âme. «Cette étude est encore un bienfait pour l’
homme
considéré seulement dans sa vie physique. « Le
éunion de la première lettre de chaque vers forme un acrostiche : l'
homme
qui, bravant lç stupido empirismo, n temps bien l
in, animer le mourant! Grâce à ce Prométhéc, n croit à l’art divin; l’
homme
n’est plus athée, e cessant d'enseigner l'œuvre d
éparer, M. du Potet a pris la parole et a porté le toast suivant à un
homme
que sa science recommande autant que son patrioti
une circonstance particulière. « A M. le docteur Iialme. u A cet
homme
vénérable, qui, dédaignant les préjugés de l’écol
nous témoigner, en encourageant nos efforts, que la science, pour les
hommes
d’élite, ne consiste pas dans uno suffisance orgu
le banquet, le présideut a proposé une collecte en faveur d’un brave
homme
dopt l'infortune lui a été signalée. Cette collec
plomb et autre invention, les regardant comme superflus. Quoi ! les
hommes
ne peuvent considérer froidement la vérité; il fa
étreintes de plusieurs personnes, parmi lesquelles se trouvaient des
hommes
; elle était en proie à une violente attaque de ne
a avec quelque difficulté. — « Je ne peux « pas, dit-elle, ce méchant
homme
m'empêche d’uri-« ner, et j’en ni pourtant bien e
e, cette aventure aurait pu devenir funeste pour le médecin. Le père,
homme
d’un sens assez étroit, commença, lorsqu’il me
ouver la femme. Cette science est bien autre, ma foi, que celle des
hommes
, sans cesse humiliée par elle. La simple bergère
on du Potet, que vous le verrez magnétiser à très-grande distance des
hommes
obligés, malgré une force prodigieuse et une volo
Ingestrie et Achbermann. Ce dernier, colonel des gardes de la reine,
homme
colossal et que rien n’aurait pu fléchir, était,
ession ne peut peindre la grandeur; c’est une seconde religion pour l’
homme
qu’elle éclaire de son flambeau; il croirait déso
la m’a coûtés; mais vous verrez qu’il n’y aura pas un souvenir pour l’
homme
qui, le premier, osa appeler tout ce qu’il y a de
ces ordinaires. En effet, du moment où l’action magnétique permet à l’
homme
de suppléer à l'imperfection de ses organes finis
’il conduit, M. Poe l’appelle Dieu. Il conteste la séparation que les
hommes
ont voulu établir entre l’esprit et la matière. T
e la toute-puissance, qui serait sans cela son attribut nécessaire. L’
homme
, par conséquent, séparé de son corps, serait Dieu
eu ou rentrerait en Dieu. Mais cette séparation n’est pas possible. L’
homme
est une créature ; les créatures sont des pensées
us! s’écrie l’interlocuteur de M. Van a Kirk ; voulez-vous dire que l’
homme
ne sera jamais a dépouillé de son corps? — J'ai d
abliraient point un principe nouveau. Il faut plusieurs générations d’
hommes
ardents pour généraliser une vérité; quelquefois
es, cc qui assure le triomphe : une association puissante, composée d’
hommes
entreprenants, éclairés et sincères, capables enf
marcher résolument au même but. Qu’importe la jalousie de certains
hommes
qui voudraient être les premiers parmi les égaux?
e toutes entraves, la vérité brillante du magnétisme, aux regards des
hommes
qui, trop longtemps, l’ont confondue avec les œuv
liser les peuples; venez inscrire votre nom sur la liste des amis des
hommes
et de la vérité. Nous jetons en ce moment les f
véritable art de guérir semble être banni. Déjà de toutes parts des
hommes
soulagent et guérissent ceux que la fausse scienc
s’y refuser? Ne le voit-on pas donner des marques de distinction aux
hommes
généreux qni, au risque de leur vie, sauvent cell
e chose, et ne (luit-il pas y avoir môme faveur? • Une commission d'
hommes
respectables va se charger d’ôtablir les statuts
t les moyens du premier, et l’éducation du second. L’éducation de l’
homme
consiste : 1» Dans le développement et la perfe
parer; 5" De les combiner (I). Ce développement des facultés de l’
homme
n’étant qu’une progression semblable à celle de l
isation de chaque individu. Cette progression de la végétation de l’
homme
est soumise, comme son existence, à l’action du m
es actions. Pour exercer scs relations par ses idées, il faut que l'
homme
ait des moyens de les communiquer. - Ces moyens
ons reçues. Comme on a dit que les seuls moyens de relation entre l’
homme
individuel et l'homme en société sont la langue e
a dit que les seuls moyens de relation entre l’homme individuel et l'
homme
en société sont la langue et les actions, le prem
actions. Cette marche est la seule qui puisse faire contracter à l’
homme
l’heureuse habitude de raisonner sa conduite et d
est par l’inévitable réciprocité des effets résultant des actions des
hommes
, réunis en société, qu’ils sont forcés à une sort
à tous les moyens capables de diminuer ces excès et de rapprocher les
hommes
de l égalité possible. Ce sont les vertus soc
et entre les différentes conditions et les diverses situations où les
hommes
se trouvent placés. C’est ainsi jue Vhumanité e
acité, la probité et Y exactitude, rlans les procédés rapprochent les
hommes
de l’égalité, de la réciprocité, de la bonne foi
e qu’on exerce envers les animaux et celle qu’on se permet contre les
hommes
. En effet, la passion de la chasse et l’ardeur in
rayons? soyez muets et continuez de courber la tête en présence «les
hommes
qui vous accusent tout liant d’impuissance, et vo
nétisme, que vous étiez des enfants. « Non,non, vous vous montrerez
hommes
complets, vous joindrez votre voix à celle de bea
puissante résistance. Deux d’abord, puis trois, quatre et enfin cinq
hommes
des plus forts, et tous incrédules, cherchent à l
est une enfant très-grèle. On essaie de l’attirer, retenue par trois
hommes
forts, qui ne peuvent l’empècher de graviter vers
. Comment concevoir qu’une jeune fille de quatorze ans renverse trois
hommes
forts et- bien résolus à lui barrer le passage? M
e Espagnol extatique dont la sensibilité est extrême. Retenu par deux
hommes
forts, il les entraîne en obéissant à l’attractio
, les traits profondément altérés, l’œil hagard, dans l’attitude d’un
homme
qui veut attenter à ses jours, ce qui confirme la
vants ni des morsures d'un pamphlet. Le temps, plus puissant i|ue les
hommes
, plus sage que les académies, dissipera bien des
ia au miracle. « A partir de ce jour, l'abbé Paramclle fut un grand
homme
à Cornac, à Saint-Céré. Chacun allait le trouver
ndiqua, à dix mètres, un cours d’eau de la grosseur de la cuisse d’un
homme
. A moins de six mètres, on trouva un volume d’eau
n prix inlini, et vous verrez que M. Paramelle n’est pas seulement un
homme
extraordinaire, mais encore l’un des hommes auxqu
lle n’est pas seulement un homme extraordinaire, mais encore l’un des
hommes
auxquels la France doit le plus. « Mais on prét
ne faudrait pas, assure-t-il, plus de trois mois sur le terrain à des
hommes
dégrossis pour en savoir autant que lui. Mais est
assez curieuses vient d’être opérée ici par les soins de la police. L’
homme
qui en a été l’objet était arrivé de- puis quel
les traditions, l’histoire et les pratiques mystérieuses de quelques
hommes
touchant la science qui nous occupe. On peut donc
divulgua point à ses élèves cet état si nouveau dans la science de l'
homme
. Il pressentait l’abus monstrueux que l'on ne man
s de 182G, à la tète desquels se trouvait M. llusson. Cette réunion d’
hommes
distingués et animés par la bonne foi constata et
nt je vous ai préservé. Vraiment, c’est abuser de la permission qu’un
homme
a de faillir, et il en sera probablement ainsi ju
e chemin de la gloire est glissant, montueux, infini, que la vie de l’
homme
qui le parcourt est une lutte acharnée, que sa mi
lutte acharnée, que sa mission est un labeur continuel, que pour cet
homme
il n’y a point de trêve, point de repos, qu’il
viez pas alors si facile à changer de langage; vous ignoriez que tout
homme
qui vise à l’Académie doit nécessairement se mont
vaisseau qui porte le magnétisme. Alors , seulement alors , tous ces
hommes
sans courage et sans vertu croiront à l’existence
c les faits; car, outre que cet état s’obtient magnétiquement sur les
hommes
et les femmes de tous âges et de toutes condition
air proprement dit. Elle pourrait, frappant à son tour l’orgueil de l’
homme
, lui dire : Souviens-toi que tu n’es qu’une vaine
s temps et de toutes les religions, et ils n’ont jamais poursuivi les
hommes
qui usaient des facultés de,l’esprit pour soulage
ant un tribunal, et ses apôtres qui imitaient ses œuvres, et tous ces
hommes
qui de loin suivaient leurs traces, et tous ces r
e nous avons le pouvoir de détruire. « Il est des lois pour punir l’
homme
qni manque à son mandat; qui plus que les médecin
t eu des autels. Us devraient se voiler la lace ; car aujourd’hui des
hommes
sans science, sans éludes médicales, produisent,
ntraints de retourner dans leurs forêts. Vous repousserez de même ces
hommes
étranges qui viennent aujourd’hui avec une feinte
la santé humaine; nul ne peut mieux faire que nous. Ecartez donc tout
homme
qui viendra parler de notre imprévoyance, signale
ments. Me voici, moi qui ne suis pas savant, l’antagoniste d’un grand
homme
; j’intervertis l’ordre de lu nature, tant pis pou
Jouffroy, ont écrit des romans.» lit no voulant pus imiter ces grands
hommes
, il livre cependant au monde un roman ! Que voule
rands sujets qui puissent occuper nos « méditations. Si l’on y voit l’
homme
dans toute sa « grandeur et sa magnificence, il s
aient l’apercevoir. N’est-ce pas là le signe qui caractérise le grand
homme
? Il n’y aurait que cette seule tache dans l’ouvra
e passé ne corrige jamais l’avenir. Chaque vérité nouvelle trouve des
hommes
nouveaux qui cherchent à l’arrêter au passage. Ef
vant une touffe de poils d’ours, déclare que «e sont les cheveux d'un
homme
blond qui souffre de l’estomac. Là c’en est une
agissaient dans le silence, loin des passions qui agitent les autres
hommes
, car ils avaient reconnu les principales conditio
que tout à coup la limite est franchie; une vie nouvelle apparaît. L’
homme
n’était connu que par ses facultés de la veille ,
ours favorable; plus il y a d’effervescence, plus on se sent vivre; l'
homme
affaibli acquiert dans ce milieu la force nécessa
e. SOCIÉTÉS SAVANTES. Ces curieuses expériences, répétées sur des
hommes
qui n’étaient point prévenus, étrangers par consé
onsieur, qui accueillez la vérité n’importe par quelle bouche, et à l’
homme
de génie, qui l’a peut-être pressentie, quand il
antérieures ce fait ait pu être découvert par le Christ et par îles
hommes
qui se sont trouvés dans une situation analogue.
la force magnétique augmente prodigieusement la force de vision de l’
homme
; je crois que ces faits sont constatés par un cer
’homme; je crois que ces faits sont constatés par un certain nombre d’
hommes
très-sincères et très-chrétiens. Je crois que la
urels, que, par conséquent, il faut en rendre compte, et que jamais l’
homme
n’a manqué de la connaissance do ces secrets. Je
Ecritures. Quelle chose curieuse! La lumière va être répandue par les
hommes
qui, de tout temps, l’ont placée sous le boisseau
d de détails plus explicites, mais persuadé qu'é-tant signalé par les
hommes
spéciaux comme un des somnambules les plus lucide
pour lui, et la justification complète de la haute réputation que des
hommes
spéciaux lui ont faite. La cause du magnétisme y
s pauvres homœopathes !... « On cite l’exemple de Deleuze et autres
hommes
honorables qui étaient convaincus de la vérité du
e est un des rares vestiges do la puissance adamique, demeurés chez l'
homme
pour attester la miséricorde divine et nous être
chaque jour leur aveugle opiniâtreté nous fait gagner du terrain. Des
hommes
que l’on croyait étrangers à nos recherches, loin
trente-six autres TOUE III.— K° ao. — 30 DÉCEMBRE 1846. 12 grands
hommes
; ce n’est pas de rouge qu’il va se colorer, mais
la gloire d’autres générations. Voyez-les aujourd’hui poursuivre les
hommes
inoifensifs qui usent du pouvoir que la nature le
e est la loi qui les protège. Cette loi a-t-elle voulu asservir les
hommes
et créer dansl’Etat une caste, une corporation ay
te loi n’est applicable que dans son esprit. En effet, il n’est aucun
homme
qui n’ait au moins cent fois dans sa vie conseill
tre ceux qui abusent de la crédulité publique. Elle a voulu punir les
hommes
qui trompent sciemment les malades en leur admini
que personne fût en droit de pousser une plainte légitime, sans que l’
homme
mort par l’imprudence ou l’incurie du médecin pût
’incurie du médecin pût trouver un vengeur. Non, cent fois non, des
hommes
raisonnables ne voulurent point accorder de tels
êtres, elle a prouvé sa fécondité, mais n’a donné aucune lumière aux
hommes
qui cherchaient à pénétrer ses secrets par des mo
de ma relier dans le môme ehcniin. Les sarcasmes, les railleries des
hommes
éclairés, et plus encore les cris de votre propre
re naître en vous lo remords. Dénoncez aux tribunaux, faites punirles
hommes
qui la propagent, montrez dans toute sa nudité le
vaincre et l’anéantir cette vérité. Ah ! vous êtes les plus fous des
hommes
: une vérité ne meurt point, elle triomphe parce
ères tombent, les préjugés se dissipent, la propagande s’accomplit; l’
homme
du monde au milieu de sa famille, le lettré dans
ve symptomatique do diverses névroses, et que dans les ambulances des
hommes
résolus supportent sans se plaindre les plus crue
ait dans l'enceinte du tribunal de police correctionnelle de Lyon. Un
homme
honorable, M. Poulard, était traduit sous la prév
tourne! De même, avant comme après la condamnation de M. Poulard, les
hommes
éclairés et qu’aucun pré- jugé n’aveugle, qu’au
hissantes, et ne devinrent elles point les plus dangereux ennemis des
hommes
que d'abord elles devaient protéger? C’est donc a
ous allez, comme lui, rencontrer les préjugés, la sottise dans chaque
homme
que vous voudrez convaincre, et cette armée qui e
Cependant c’est un bien préférable à la liberté que vous apportez aux
hommes
, c’est une vérité qui mène à la croyance en Dieu,
); chaque page devait être lumineuse, et contenir sur la science de l’
homme
tout ce que de saints personnages avaient caché j
’ils enseignaient). Pour cet effet, le diable s’associait une foule d'
hommes
qu’il avait gagnés par promesse de largesses et p
s et leur annonçant la venue d'un monde nouveau, d’un monde où chaque
homme
aurait un œil de plus et des dons surnaturels. Et
à leurs œuvres qu’ils avaient vraiment plus de vertus que les autres
hommes
, leur demandait leur bénédiction. Mais jugez de l
e qui me lit une peine extrême, car je ne pus plus les distinguer des
hommes
bienfaisants dont ils avaient pris l'allure el le
que ce travail est commencé, et un jour je vous ferai l'histoire des
hommes
généreux qui l'entreprirent et pajèrent de leur v
e, sans doute, mais elles attristent l’âme par le souvenir. Ah! que l'
homme
qui sent, qui voit la vérité est malheureux! Mieu
il marcherait en aveugle et ne découvrirait point les méchancetés des
hommes
. Dans ce moment, un grand nombre d'entre eux s'ag
le moyen de lui couper les ailes. Chers elèves, Dieu a voulu que l’
homme
, quelle que fût la dilïéieuce des temps, des lieu
onger que c'était une force immense que l’on pouvait rendre utile aux
hommes
? A nos yeux i! en aélé de même pour la force vita
onséquent destinée à faire d’abord plus de fous que de sages, car les
hommes
no sont point encore préparés à la recevoir.Ce qu
issance magnétique, i Eloignez surtout les vices que trop souvent les
hommes
ont pris pour des défauts supportables. Ce n'est
re qui a disposé un semblable mécanisme dans la charpente animée de l’
homme
. « L’esprit de Michel se transporte au gré des
us, car on ne les lit pas. Ce qu’on demande, ce que la généralité des
hommes
exige de vous, ce sont des expériences qui prouve
orité des faits. Ces dernières, toutes simples, modestes, composées d’
hommes
sans prétentions scien-tifii|ues, sans noms marqu
ès a été obtenu, et que ces sociétés ont dû de voir venir à elles des
hommes
nouveaux demandant leur incorporation. Maintenant
nul ne le p‘iit croire, a moins qu’elle n’ait, comme certains grands
hommes
, donné naissance à un avorton? Sans aucun doute
dont mille fois j'ai donné l’exemple. » Deleuze, ce brave et digne
homme
, qui, nous en convenons, n’était pas très-porté p
eurs, vous ne marchez pas, vous reculez même; appelez donc à vous des
hommes
plus jeunes, plus entreprenants, car l’âge semble
ts, car l’âge semble avoir glacé votre sang. » Nous ne voyons qu’un
homme
qui se serait fort accommodé de cet état de chose
nceinte pour contenir une vérité si grande. Elle est utile à tous les
hommes
et doit de tous être connue. 11 ne laut point, pa
à son système. Mesmérisme devint synonyme d* magnétisme animal, et l’
homme
fut ainsi inséparable de la chose. Les Anglais et
uction rencontra ici peu de résistance. J -B. Difbois était un de ces
hommes
avides de science, qui, pour acquérir une idée, e
vous négligez aussi vos affaires domestiques. Dubois était un de ces
hommes
, à part de l’espèce, qui \ivenl pourvu qu'ils aie
t. Si notre âiae ne 1110»le point au Ciel tout à coup, celle de cet
homme
de bien doit par habitude errer h la Sur-bonne el
tout ceci est uu rêve; (a mort seule est certaine. v bon cl estimable
homme
. Je verrai souvent ton visage illuminé comme il é
ies; on ne nous pardonne pas d’apprécier à leur juste valeur certains
hommes
et certains faits. Nous nous attendions à cette
les, trompeuses. Mais nous ne voudrons jamais être confondus avec les
hommes
qui, agissant sur la crédulité, trouvent le moyen
temps où le temple de la science lui sera ouvert. Mais il dépend des
hommes
honnêtes, consciencieux, éclairés, d'abréger ce t
magnétiseur à la magnétisée, et de pauvres êtres sont asservis à des
hommes
sans pitié, qui, pour avoir un peu d'or, les tien
uperstition et la tyrannie inventèrent pour gouverner les actions des
hommes
. De même que les principes et les règles pour n
e les divers corps de l’univers. J1 a été dit que toute action de l’
homme
consiste dans un changement produit par un prin
ou l'ordre social, esl établi sur le consentement et la totalité des
hommes
réunis parfamille ou nation. Les lois constituent
ou naturelle. De sorte que l’on peut affirmer avec certitude que tout
homme
sera inévitablement puni par la nature même, qui
t la réflexion peuvent nous fournir. I.a société peut compter que l'
homme
le mieux persuadé de celle vérité sera aussi le p
ibilité de marcher. 8° Sciatique de deux mois de durée affectant un
homme
de trente-cinq ans. 9” Etisie, avec fièvre et d
aincre : c’est quelque chose de plus : une sorte de soudure^rfun seul
homme
ne peut rompre; il faut que plusieurs s’emploient
ar M. Malgaigne sont identiques. Si nous en croyons le souvenir des
hommes
, si nous nous en rapportons aux Écritures, la pre
ns qui avoient obligé le Créateur à ne rien créer en la présence de l’
homme
ne pou-voient pas luy permettre de luy laisser vo
marquées, comme si Dieu avait voulu, dès le commencement, initier les
hommes
au magnétisme. Nous ignorons les suites immédia
par l’ordonnance, cette femme les lui remit. • Plusieurs personnes,
hommes
et femmes, jeunes et vieux, se présentèrent succe
pour obtenir la conti-« nuation de l’une et la guérison de l’autre. L’
homme
« qui vit suivant les lois de la nature n'a guère
de voir un gouvernement prétendu barbare encourager, solder même les
hommes
qui guérissent les maux en se servant de facultés
e ignorance. C’est pourquoi nous appelons de nos vœux le temps où les
hommes
de science emploieront leur génie à de nouvelles
: j’y ai imprimé aussi, par ma volonté, mes pensées,.tout ce que les
hommes
regardent comme étant la vertu. Essayons donc leu
s. Cette épreuve encore va donner des résultats. Les membres de cet
homme
résolu sont agités convulsivement^ l’attitude de
uivre un son ou une odeur qui échappe complètement « aux organes de l’
homme
. Il désigne ces personnes par « le nom de sensiti
es jambes et les bras, guérissent les entorses beaucoup mieux que les
hommes
de l’art; on les punira sévèrement. Le peuple a
es ensemble; mais cela ne mérite aucune attention de la part d'uu tel
homme
, puis- que ses principes sont morts et que les
s le demandons, M. le ministre? On voudrait, de la sorte, ramener les
hommes
au régime des animaux, qui se portent bien et ▼¡v
s. Quant à ccs derniers, ils sont les plus coupables en rappelant les
hommes
aux lois naturelles. Mais à quoi donc serviraient
re que vous y verrez non l’orgueil du maître, mais la simplicité de l’
homme
qui cherche la vérité, et aime à communiquer ce q
, tout en cherchant à tous inslruire, je puis aussi parler à d’aulrcs
hommes
qui sont en communion de pensée avec nous. La f
hie de Socrate, est aujourd'hui presque oubliée. Le savant, le sot, l’
homme
vulgaire, s’ignorant eux-mêmes, ne voient dans to
es d'abord, et qui n’avaient pour adhérents qu'un très-petit nombre d’
hommes
. Petit à petit le cercle s’estagrandi ; le combat
abord entre de petits groupes, puis successivement entre des masses d’
hommes
de croyance ou d’intérêts opposés. La vérité a to
us-qu’àcc qu’elle devînt elle-même instrument de trompe -lie; car les
hommes
défigurent, altèrent toute chose-, il semble qu'i
es ont cultivées? Non ; le savant est aussi malheureux que les autres
hommes
; les apôtres religieux ne se distinguent nullemen
rités sont pourtant découvertes, et Dieu ne cesse d’inspirer nombre d'
hommes
. Par où donc pèchent-ils? je vous l’ai dit: ils m
veulent vivre daus l’obscurité. La même loi régit les animaux et l’
homme
; ils ont en eux-mêmes le principe de leur conserv
e de leur conservation. En vain la science le chercherait ailleurs. L’
homme
seul dévie à la loi commune, la transgresse const
tié. N’espérez point qu’ils reconnaîtront d'abord leurs erreurs; tout
homme
qui s’est nourri de préjugés les soutiendra jusqu
ra jusqu’à la fin de savie: il est marqué d’un scean ineffaçable. Des
hommes
ont dit à d’autres hommes : ce monde est votre
: il est marqué d’un scean ineffaçable. Des hommes ont dit à d’autres
hommes
: ce monde est votre proie; ils ont cru ces par
que; peut-être dans sa sensibilité trouverez-vous ce qu’il manque aux
hommes
les plus intelligents: un guide pour vous conduir
une précision infinie. Tout l’univers matériel obéit à des lois ; à l’
homme
seul il a été donné de connaître qu'un Dieu les a
de toutes les poitrines. La science avait pour mission d’éclairer les
hommes
. Elle s’est trompée : elle les a tous plongés dan
ves, renouer la chaîne des temps anciens à ceux-ci. Tout prouve que l'
homme
a eu la vraie lumière; mais elle s’est perdue ; p
ire. Déracinons ensemble ces préjugés, honteux pour la dignité de l’
homme
, que la science et la religion laissent subsist
e pouvaient détruire, et bientôt encore torturèrent, massacrèrent les
hommes
qui avaient une croyance différente de la leur. E
la guerre leur sera déclarée, car il existe des croyances; il est des
hommes
qui ne peuvent souffrir qu’on examine et réédifie
e la nuit h Camfranc; le commandant me déclara qu’il était resté deux
hommes
eB arrière; l'un était employé dans les adminis
un détachement avec une lanterne et deux brancards pour rapporter les
hommes
perdus dans le cas où ils auraient succombé. Un d
s physiologiques dignes d'ôtre examinés. M. du Potet prend d’abord un
homme
de vingt-quatre ou vingt-cinq ans, trapu et fort;
; car, sans vouloir vous passer la rhubarbe, je vous reconnais comme
homme
de mérite et spirituel écrivain. » Banquet. — N
ns à cœur c'est d’honorer autant qu'il est en nous, c’est d’exalter l’
homme
éminent qui a si puissamment contribuéaux progrès
si noblement, si utilement remplie, à l’inactive indifférence de ces
hommes
qui, tout occupés des soins matériels, laissent s
rien, les obstacles n’exis-tent pas. Vous appartenez, monsieur, à ces
hommes
d é-lite qui, résumant eu eux toutes les vérités
able de celui de Mesmer, comme votre nom sera lié dans la mémoire des
hommes
aux noms vénérés des Deleuze et des Puységur. «
glorieuse encore et bien moins périssable : celle qu’elle décerne aux
hommes
de progrès et aux bienfaiteurs de l’humanité. «
ette son grain dans un terrain presque toujours favorable, fertile; l'
homme
de science, au contraire, jette souvent le sien s
emence qui est ainsi perdue, il ne l’a point trouvée ou reçue comme l’
homme
des champs; il a fallu qu’ill’allAt chercher dqns
an, le laboureur, dorment tranquilles après la fin de leur journée. L’
homme
qui aime les sciences 'et qui les cultive voit se
rer de triompher des obstacles et du temps. « Heureux, messieurs, l’
homme
qui, sur son déclin, peut ainsi jeter un regard s
rd sur la roule qu'il a parcourue, lorsqu’il est certain d’y voir des
hommes
qui marchent sur scs traces, s’apprêtant à le dél
l lui faut le témoignage des sympathie's d'autrui, l’amour des autres
hommes
; plus encore, il fantiqu’il voie ses découvertes
eulement je dois vous détromper sur quelques points. Je ne suis pas l’
homme
de génie que je viens dedépein- dre. Je n’ai fa
ommages donc devraient èlre pour Mesmer. « Pourquoi faut-il que les
hommes
laissent toujours passer le génie sans le glorifi
oble entreprise, afin qu'un jour il reproduise, non plus l'image d'un
homme
ordinaire, mais ceux d’hommes qui y ont plus de d
our il reproduise, non plus l'image d'un homme ordinaire, mais ceux d’
hommes
qui y ont plus de droit, ceux à qui Dieu a accord
e de Mesmer, de l’uységur et Deleuze. On a rappelé le souvenir de ces
hommes
de bieu qui souffrirent pour la cause que nous dé
rmes : « Au magnétisme!.... à cette science divine qui prouve que l'
homme
a reçu du Créateur la faculté de soulager et de g
les effets « merveilleux du magnétisme sont un présent du Ciel. « L’
homme
ne doit point se les attribuer. Le magné-« tisme
cessité. Par une suite de ccs principes, toute peine par laquelle l’
homme
perd sa vie, sa patrie, quelque partie de son cor
e de scs membres; 6” Les travaux publics. - • La sensibilité de l’
homme
est nécessairement altérée par l’idée habituelle
armoires seront sans serrures, les comestibles à leur discrétion. Les
hommes
dangereux, assassins par irrascibi-lité, se trouv
e la plupart des crimes dans la société ne sont pas de la nature de l’
homme
, que l’on se permet de calomnier comme dépravée e
y trouvons encore ce passage : «Je vous diraiqu’ils’estrencontré un
homme
(M. Yien-net), un écrivain, un législateur, qui,
il « dans son rapport, qu’elle guérit des malades abandon-« nés par l’
homme
de l’art, et en attendant que la Fa-• culté la fa
ête baissée; vains efforts! 11 ne va pas à la moitié de la flèche. Un
homme
que l’on eût placé sur une glace polie, ayant aux
il éprouvait dans les bras et les jambes le sentiment de fatigue d'un
homme
qui a beaucoup lutté. Une troisième expérience
cs verges de fer étaient tantôt positifs et tantôt négatifs. Ce grand
homme
n'avait pas eu le temps de découvrir les vraies l
e soit le jugement des plus éclairés, qui semblent faire un crime à l’
homme
d’oser toucher à l’arche sainte, c’est-à-dire de
ou le fruit d’impostures intéressées. Pourquoi faut-il que ce soit un
homme
faible qui donne l’exemple? Tant de gens capables
ies, tandis que Dieu ne cesse d’inspirer la tolérance et de crier aux
hommes
: la lumière luit dans les ténèbres; mais ils ne
que le travail commencé aura quelque importance, et un jour d’autres
hommes
apparaîtront, qui, saisissant tous les faits, rec
s : on magnétisera dans la rue, dans la loge du portier de nos grands
hommes
, avant qu’ils se décident à examiner cette force
plication, M. Léon Simon a dit qu’il était oiseux, puérile, indigne d’
hommes
instruits et sérieux, de controverse!- sur laréal
des magnétiseurs toute espèce d’autorité nous paraît, de la part d'un
homme
aussi éminent que M. Simon, une partialité que ri
unes membres de cette profession la nécessité qu’il « y a pour chaque
homme
d’examiner par lui-même un « tel sujet, etc. »
m. — Qui ne connaît Platon? Qui ne connaît César ? Otez le nom de ces
hommes
, qu’en reste-t-il? un philosophe, un vainqueur; v
ers. La vie est donc la transition de l'esprit à la matière. Mais l'
homme
n’cst-il pas le résumé de la vie? N'a-t-il pas da
la création, depuis la terre jusqu’à Dieu, depuis l’éponge jusqu'à l’
homme
. Tous les philosophes en ont senti l’existence
qui ont traité de cetLe matière, l'esprit médian ne se borne pas à l’
homme
. La raison en est toute simple. Qu’est-ce que l’h
e borne pas à l’homme. La raison en est toute simple. Qu’est-ce que l’
homme
? Le résumé de l’univers, le microcosme. Donc l'un
e microcosme. Donc l'univers doit posséder toute« les propriétés de l'
homme
. L’âme des mondes ne peut agir sur eux que de la
des mondes ne peut agir sur eux que de la môme manière que l’âme de l’
homme
agit sur le corps. Il faut que ce tiers médiant s
ends deux noms pour bien faire sentir que ce dernier est adhérent à l’
homme
; je ne le sépare pas non plus du théomédisme, car
passives. D’où les diverses propriétés des pierres, des plantes, des
hommes
, qui ne se rencontrent ni dans Icjjenre, ni dans
Dans chaque résultat il y a toujours un excès de qualité qui, chez l'
homme
, tient à l'audace, à la crainte, à la colère, au
onfondre dans les liens d’une communauté universelle? Regardez chez l’
homme
le cerveau, le cœur, (1) Lib. IU, dtSimpl. med„
ordre de sympathies peut répondre au tliéo-médisme, tandis que chez l'
homme
c’est, an magnétisme plus spécialement, lin premi
ette sympathie d’union est si générale, que je ne comprends pas «leux
hommes
qui s’embrassent avec deux pensées, et pour moi c
’embrassent avec deux pensées, et pour moi ce serait un prodige qu’un
homme
et qu’une femme vinssent à enlacer leurs enivreme
de propriétés vitales, mais se poursuit bien loiu dans la nature. Un
homme
qui ne connaîtrait pas l’aimant et. qui verrait m
ermédiaires. Vous qui levez le doigt du mépris sur le magicien, sur l’
homme
qui reconnaît les propriétés occultes sous le voi
magnétisme terrestre ; nous, en sus de tout cela, nous puisons chez l’
homme
un fluide plus grand encore, le magnétime animal
n tube inerte, et le délire augmentait. Plus d’espoir 11e restant aux
hommes
les plus expérimentés; j’eus la téméraire hardies
iseurs; que ces propriétés étaient justement celles employées par les
hommes
qui, dans tous les temps et dans tous les lieux,
ue ce pouvoir s’exercait au travers des murailles et pouvait saisir l'
homme
qui ignorait notre pensée et le dominait comme en
ignorance fut toujours un mal; c’est par elle que les malheurs de l’
homme
se perpétuent ; elle est la source de toutes nos
; l'avenir est à Dieu, il en ordonnera sans don le, et inspirera les
hommes
d’élite appelés pour accomplir ses desseins. Nous
notre conscience nous dit que toute découverte est un bien utile aux
hommes
, que toute vérité vient, de Dieu, et que ne pas d
nt, de Dieu, et que ne pas dire celle qu’on sait est un crime que les
hommes
ne peuvent punir, mais gue Dieu punira sans doute
nous suivre méditent ces paroles : « Les anciens admettaient dans l’
homme
l’intelligence naturelle, la spirituelle ou métap
rême en l’identifiant avec elle; ils prétendaient même que l’âme de l’
homme
, enfermée dans son corps charnel, pouvait encore
Plein de confiance en lui, sûr de l’impuissance de cette magie, un
homme
de vingt-cinq à vingt-six ans s’approche du rond
déjà si curieux offerts par le somnambulisme sont dépassés; car ici l’
homme
est éveillé, et par sa seule intelligence il peut
imprimer plus de respect, on attribuait aux dieux ce qui venait de l’
homme
lui-même. Peut-être aussi voulaient-ils exercer u
mps caché d’entrer en communication avec un monde supérieur. D’autres
hommes
touilleront le passé, et lorsqu’ils referont l'hi
voir accueillie et enchâssée avec les autres joyaux que le génie de l’
homme
a trouvés el fait briller par mille facettes. L
i nous les divulguions à qui que ce soit; car ce n’est plus un fait d’
homme
à homme : des expériences faites devant une centa
es divulguions à qui que ce soit; car ce n’est plus un fait d’homme à
homme
: des expériences faites devant une centaine de p
emps emprisonnées en lui. Mais pour aider l’esprit de recherche des
hommes
forts, nous rendrons compte successivement de tou
artiste, et l’on doit désirer qu’il reproduise de même les traits des
hommes
qui ont marqué dans le magnétisme. — Le Corsuir
t la proie des flammes, au milieu desquelles on voyait des milliers d’
hommes
qui s’étaient réfugiés dans l'enceinte sacrée.
in toute sa première tendresse se réveille ; il n’envisage plus que l’
homme
de son cœur, au moment de périr. Incapable d’étou
science que Mesmer nous a léguée, par une médaille à l’effigie de cet
homme
illustre, de cet ami de l'humanité. Chaque méda
évangélique bien rare ; mais ce qui est surtout extraordinaire', ces
hommes
à langue pesante, à pensées confuses, sont armés
accaparent autant qu’ils le peuvent les biens de ce monde, souvent l’
homme
ainsi placé a été l’antagoniste le plus acharné d
épose même sur sa tombe la couronne réservée à la vertu. Mais qu’un
homme
modeste meure après avoir consacré son temps, ses
bli entoure son tombeau, tout est fini pour lui. Est-ce ainsi que les
hommes
sont reconnaissants du bien qu’on leur fait ? La
entiment? Pour nous, lorsque nous apprenons qu’un philosophe, qu’un
homme
de bien est descendu dans le tombeau, les regrets
te, notre cœur est attristé, car nous savons que les bienfaiteurs des
hommes
sont rares, autant que ceux qui les exploitent so
es par le travail, lui ôtèrent la possibilité de continuer. Que cet
homme
de bien repose en paix, qu'il aille retrouver les
la mémoire se réveille; le inonde aime alors qu’on l'entretienne des
hommes
qui travaillèrent à lui préparer le bonheur dont
ennemi des erreurs parler des somnambules de Mesmer? Conçoit-on qu’un
homme
de cette gravité ignore que Mesmer n’avait point
emarquables, tellement caractéristiques, qu’il n’est plus permis à un
homme
raisonnable de douter de son existence. La réal
les destinées ne pouvaient être prévues, alors que depuis le premier
homme
et depuis combien de milliers d’années elles n’av
é funeste, et que toute vérité appartient sans distinction à tous les
hommes
; la leur cacher, c'est les frustrer d'une chose q
au magnétisme doit être soigneusement rassemblé, afin qu’un jour les
hommes
qui voudront écrire sur la science profonde, obje
in qui régit l’univers, qui embrasse les destinées humaines, et que l’
homme
ne peut définir. Ce pressentiment de Bonaparte :
: « S’il fallait croire « aux prédictions de ces Bohémiens, tous les
hommes
« seraient des aigles et des géants. » « Ainsi,
auie-Itale verra naître non loin de son sein un «être surnaturel; cet
homme
sortira tout jeune de la « mer, viendra prendre
! Sera vu avec «une armée forte de quarante - neuf fois vingt mille «
hommes
, piétons armés qui porteront armes à cornets « de
« de fer. Il aura sept fois sept fois sept mille chevaux «ainontés d’
hommes
qui porteront, plus que les pre-omiers, grande ép
ou lance et corps d’airain. Il aura « sept fois sept fois deux mille
hommes
qui feront jouer « machine terrible, et vomiront
a toute suppute de son armée sera de quarante-neuf « fois vingt mille
hommes
. « Portera à dextre main un aigle, signe de la
e et autres, là n’étant « plus dans sa domination. a Lors, le grand
homme
abandonné, trahi par siens «amis, pourchassé à so
ail-« lotins. « Ainsi seront pourchassés du palais des rois par « l’
homme
valeureux, et par après les immenses Gaules « déc
lionne foi qu’il y a des choses qui sont « au-dessus de la portée des
hommes
, et que nonobstant « leur rare perspicacité, ils
nt encore une fois rougir la Seine de sang, quels sont-ils? —Et cet
homme
qui fera partout respecter la France, réglera les
uestion, dans les dernières années du règne de Napoléon, que du petit
homme
rouge, qui avait promis de lui rendre trois visit
ampagne de Wagram, et la troisième à Fontainebleau, en 1811. Le petit
homme
rouge, qui n’est autre qu’une superstition popula
un jour à l'une des croisées du château de Plaisance, vit passer des
hommes
et des femmes d’une structure singulièrement grot
oins en dehors des principes connus de la physiologie. Mais entre ces
hommes
et les magnétiseurs de profession, entre ces phén
fait de rapides progrès. I.a mémoire de Mesmer doit être chère aux
hommes
qui pratiquent sa doctrine. Le temps n’est-il pas
elaux investigations du savoir. D’où, pour moi, le magicien serait un
homme
qui sait la nature. Je définirai la magie: scienc
a transparence, l’opacité, la réfraction, la réflexion : lumière. L’
homme
, sous l’influence d’une volonté, voit dans les té
l’action du fourneau ou des dissolvants. Que remarquons-nous chez l’
homme
que sature le fluide échappé de nos doigts? Ici s
ntionnelles. Suivons quelques-unes de ces filiations, en partant de l’
homme
blanc, qui tient le sommet de la chaîne. Les ra
l’immuabilité de la loi de transition. Voulons-nous maintenant de l’
homme
passer à l’herbe des prés : Alfourou, chimpanzé,
phoque, marsouin, anguille, lamproie, ver de terre, chiendent. De l’
homme
désirons-nous passer aux oiseaux : homme, singe,
de terre, chiendent. De l’homme désirons-nous passer aux oiseaux :
homme
, singe, sarigue, dyasure, ornithorynque, manchot,
e, sarigue, dyasure, ornithorynque, manchot, canard. Aux reptiles :
homme
, singe, écureuil, fourmillier, tatou; de ce derni
cence intellectuelle, et l’âme, ce rayon de la divinité infusé dans l’
homme
, va se perdant en instincts de plus en pins fro
si la mer obéit à l’astre qui l’attire, la plante sera influencée, l'
homme
le sera, car il est une règle écrite sur la terre
st la source principale? N’est-ce pas le soleil? Où croyez-vous que l'
homme
absorbe plus de sucs, où la terre est-elle plus r
sages (uocpoi). Du reste, tjotpoç, en acception primitive, veut dire
homme
expérimenté dans la profondeur des choses naturel
n cumula les fonctions de roi, prêtre et magicien sur la tète du même
homme
, ainsi que l’indique le surnom d’Herinès Trismégi
gique; c’étaient des savants, comme l’indique le mot latin sapientes,
hommes
de science. Que firent en effet les Grecs? Manqua
et il lui échappa parce qu’elle étudia la nature sans y comprendre l’
homme
. Elle découvrit l’électricité, le calorique, l’ai
Je ne puis vous le dire, on ne peut pas le révéler avec la langue des
hommes
. — C’est donc au-dessus de l’électricité? — L’éle
avec vous l’anniversaire de la naissance de Mesmer. La mémoire de cet
homme
éminent doit, comme vous le dites si bien, être c
— Comment cela? «—Cette nuit Michel est venu.... Il m’a fait voir l’
homme
caché derrière la charpente sur laquelle Michel e
Michel et moi étions assis le malin de sa mort.... Il m’a fait voir l’
homme
nous écoulant quand Michel a dit : « Je te conter
nd Michel a dit : « Je te conterai cela ce soir.... » Et puis de là l'
homme
.... « — Comment se nomme cet inconnu? « — Luc
service de la justice! » (Démocratiepacifique.) — Cet article d’un
homme
animé des meilleurs sentiments trouvera des appro
ience, qui aurait contre elle la société tout entière, moins quelques
hommes
épars sur la surface du monde. Laissez le magné
r sacristain s’il s’agild'un crime d’église, et tout le pouvoir si un
homme
du gouvernement est en cause. Naguère un de nos
qu’il la faut répandre. Un jour on ne se contentera plus de dire aux
hommes
: Dieu vous voit ; ils sauront que tous les crime
us voit ; ils sauront que tous les crimes peuvent être dévoilés par l’
homme
lui-même... Le magnétisme servira à la régénérati
nous écrivons ces lignes; le vulgaire ne nous comprendra pas, mais l’
homme
instruit de ces choses sera de notre avis. M. d
Gault en le quittant, tout ce qu’il y a de puissance nerveuse dans l’
homme
surexcité par la passion! La dynanique et les mat
erveuse mise en action par le magnétiseur était non pas inûnie, car l’
homme
est soumis à des lois déterminées, mais qu’elle p
e le sont toutes les différentes espèces de puissances électriques, l’
homme
peut apporter sa vitalité tout entière, soit pour
ui avaient à y faire obéit. Le banquet mesmérien a été troublé par un
homme
qui, non content d’être admis à cette fête, voula
fond de leur cœur. . Ils firent tant qu’ils .persuadèrent quelques
hommes
, mais un surtout, qui leur promit de les faire en
leur appétit à l’odeur qui s’exhale des cuisines. Triste rôle! Quels
hommes
est-ce donc qne ceux qui venaient ainsi, au noin
iter hospitalier, nous demander de les recevoir parmi noos? Que les
hommes
de bien et de conviction se réjouis-ent, notre ca
jour, et ses partisans sincères, éclaires. étaient confondus avec des
hommes
pour qui il n’est qu’un moyen, un instrument, une
u port. La raison et le nombre ayant réduit au silence ces quelques
hommes
qui avaient résolu d’empêcher le banquet (I), le
x émue, mais forte, prononça le discours suivant : Messieurs, Des
hommes
pleins d’orgueil cf de vanité ont dit : Non, il n
e dépôt si précieux que nous avions reçu des disciples de Mesmer, ces
hommes
dont nous voulons parler nous repoussèrent et, no
à tous les membres. des gens sans vertus, mais à la généralité des
hommes
. Chacun île nous, dès ee jour, Messieurs, a tra
assemblons en grand nombre pour honorer la mémoire de Mesmer, de cet
homme
illustre qu’ils couvrirent de mépris, et pour leu
si le veut lajnstice. Le vice et le mensonge peuvent bien tromper les
hommes
; mais il arrive un temps où la fourberie se décou
son nom, sans recevoir la récompense destinée à tout bienfaiteur des
hommes
. Figurez-vous, Messieurs, cet homme au corps îl
estinée à tout bienfaiteur des hommes. Figurez-vous, Messieurs, cet
homme
au corps île fer et à l'âme Je feu! Mesmer abando
peut souffrir. Cruels savants! ingratehumanité! lorsque apparaît un
homme
à idées fortes et neuves, 011 !e flétrit, quelque
glacé par une philosophie corruptrice ? N’est-ce point le réveil de l’
homme
jeté depuis longtemps dans la torpeur? Semblable
ce magnétisme découvert par Mesmer! N’est-il pas destiné à modifier l’
homme
, à régénérer sa nature? Que vos voix s’élèvent
a terre. Fraternité! principe conservateur des nations, sans lequel l’
homme
n’est plus qu’une brute et n’a plus que de grossi
iens enchaîner nos cœurs, afin que nous donnions l’exemple à d’autres
hommes
et que nous les gagnions à notre cause. Oui, Me
te ; le souffle de vie n’y est point. La morale eut-elle jamais des
hommes
plus instruits, plus intelligents pour la faire c
instruits, plus intelligents pour la faire comprendre? Cependant ces
hommes
distingués atteignent rarement le but. C’est qu’i
rarement le but. C’est qu’ils ne connaissent point le lien qui unit l’
homme
à Dieu ; c’est qu’ils ne savent plus interroger l
eau. Ne laissonsjamais éteindre ces nobles sentiments qui portent l’
homme
à secourir son frère, à lui tendre la main. Souve
ut le monde se lève pour porter un toast à Mesmer, au bienfaiteur des
hommes
. Dans ce moment, M. du Potet reçoit aussi le prix
du génie pour perpétuer la mémoire des héros ou des bienfaiteurs des
hommes
. (1) Prochainement nous publierons l'acte de co
eu, de génie. Sans doute, Messieurs, nous pouvons parler des grands
hommes
, mais les artistes ont le privilège de les peiudr
ue la vérité les inspire ; ayons une àme pour les remercier. Tous les
hommes
ne peuvent pétrir le bronze et animer la toile ;
ôpitaux sont discrets. J’ai vu ■— l’aveu m’est pénible — Amputer un
homme
hier; On le rendit insensible.... il poussait d
us de rivage en rivage ; Mais quand le pilote s’endort, C’est aux
hommes
de cœur, c’est à tout l’équipage A guider le navi
é, l’éternelle sagesse, Non, rien, Seigneur, rien n’est h nous. L’
homme
est petit, mon Dieu, mais il est votre ouvrage,
ieu, mais il est votre ouvrage, Et seul vous ôtes infini ; Mais l’
homme
est grand, pourtant, car il est votre image, Qu
t goûté de cette liqueur nons étaient devenus étrangers. Ensuite un
homme
courageux qu’on a essayé, niais eu vain, de rendr
le fortune, nous avions au banquet sa vivante image : un neveu de cet
homme
illustre, découvert à Paris depuis trois jours se
rs méfaits. Chacun les a soumis à une appréciation rigonrense, et les
hommes
qu’ils protégeaient et voulaient introduire parmi
occasion de revenir sur ces détails. Nous sommes loin de craindre les
hommes
qui ont porté le trouble parmi nous. Nous voulons
nstances assez extraordinaires pour être offertes aux méditations des
hommes
savants. » —Ce qui embarrasse ici toute lascien
ience qu’il nous a léguée par une médaille frappée à l’effigie de cet
homme
illustre. Les personnes ayant participé à cette
er : La nature offre un moyen universel de guériï et de préserver les
hommes
, et au milieu : Le Jury magnétique d’encouragemen
e la vie animale. » Or, moi qui admets l’existence d’un fluide dans l’
homme
devant une maladie semblable, je me dis : c’est p
stes, qu’entre la vie et la mort il y a un abîme insaisissable pour l’
homme
. Quoi, je verrai la douleur fuser sur les trajets
déjà concevoir ces diverses combinaisons: A B -+- G représentant l’
homme
, c’est-à-dire l’intelligence dominant, puis la vi
neur qui, par un si faible moyen, montre le pouvoir qu’il a donné à l’
homme
pour l'utilité de ses semblables. Tout le monde v
able de ce qui ne peut l’être, lndignesde leur ministère, ce sont ces
hommes
absurdes qui partout ont entravé la marche de l'e
e de l'esprit humain et produit des athées. Quand de toutes parts des
hommes
pieux répandent la lumière nouvelle du magnétis
i de l’écrivain qui, pour briller un peu, sacrifie la réputation d’un
homme
dont il ne connaît ni la vie ni les travaux? —
ale, s’appuie sur les données du somnambulisme. Comment, dit-elle, un
homme
de sens peut-il invoquer pareilles chimères?... L
rs obligeant de scs talents et de son expérience. Trois personnes, un
homme
et deux femmes, mises dans l’état de sommeil magn
choses; mais, imitant les Anglais, nous ferons nous-mêmes ce que les
hommes
d’Elat devraient faire. Nous nous assemblerons, n
iences délicates ont le don d’exciter prodigieusement la curiosité; l’
homme
est insatiable : plus il voit de faits excentriqu
ux de M. démens que les plantes s’éthérisent aussi facilement que les
hommes
et les animaux. On ne peut guère se faire une idé
t permis, et c’est fausser l’esprit de la loi, qui fut faite contre l’
homme
qui a la conscience de ses actes, que de l’appliq
ce moment, car elle est absurde et place nos législateurs au rang des
hommes
les moins sages, les moins prévoyants, qui sacrif
nt de leur spécialité; ils préparent les matériaux : c’est à d’autres
hommes
de les faire servir à l’édiücc, d’en surveiller l
I la nature offre on moyen universel de guérir et de (I préserver les
hommes
. » Art. II. — Elle a pour but: 1° La connaiss
iversaire de la naissance de Mesmer, à une étude biographique sur cet
homme
illustre ou scs disciples, et à l'exposition des
je vais en citer deux qui m’ont à jamais dégoûte de l’éther. 1° Un
homme
élliérisé à Saint-Louis pour un phlegmon à ouvrir
sir le chirurgien, cclui-ci ne serait pas député aujourd’hui. 2° Un
homme
, ayant au bras une tumeur de 14 kilogrammes, éthé
des systèmes qui sont poursuivis. Nous avons reçu des protestations d’
hommes
honorables qui ont été poursuivis parce qu’ils av
ais je me fie davantage à l’agent du gouvernement, au préfet, qu’à un
homme
qui aura l’esprit de corps, et qui, en interdisan
jouissant dans le silence des bienfaits du magnétisme. Aucun de ces
hommes
investis de hautes fonctions n’avait encore osé é
très-rapidement, et nous croyons qu’à la Chambre des Députés d’autres
hommes
avancés imiteront M. de Boissy, afin qu’il y ait
narrer la suite: « Je ne me présentai que trois jours chez ce digne
homme
, qui joint la prière à scs soins magnétiques. Je
elle n’a plus souffert; elle est guérie et bénit chaque jour ce digne
homme
. , , « Connaissant une dame qui avait une desce
que, dans votre intéressant journal, il ne soit pas plus parlé de cet
homme
incomparable par son zèle, son courage et son tra
l’ignorance chez les prêtres est plus dangereuse que chez les autres
hommes
. On ne trouve bienveillants et sages que le vie
isant toujours au doux soulagement des malheureux; regardant tous les
hommes
comme mon prochain, sans considérer s’ils sont Ju
t sans rien trouver qui put me convaincre ni d’un coté ni de l'autre,
homme
à conviction comme je le suis, j’ai cru que le me
argé en qualité de pasteur. Mais à qui m’adresserais-je lorsque les
hommes
dans leurs disputes, tous, croient avoir raison?
r-propre mal placé, et, cc qui est pire, par des intérêts privés, les
hommes
cachent bien souvent la vérité à ceux qui, de bon
n dire beaucoup à ce sujet! Ce fut pour lors que, mettant de côté les
hommes
, j’eus recours au livre sacerdotal, c'est-à-dire
dire à la divine Ecriture, parole d’un Dieu qui ne ment pas comme les
hommes
: Non est Dcus ut homo, ut mentiatur. (Num., cap.
ntage qu’il y aurait de recourir à ce moyen quand on a sous la main l’
homme
convenable. « Eufin nous" dirons pour terminer,
ues. Cette folie passera, j'espère, comme tant d'autres, et alors les
hommes
de science et de conscience pourront se faire ent
fixer les époques que la nature parait avoir tracées dans la vie de l’
homme
en société pour en faire parlie de la constitutio
concouru pendant sa vie. On distingue dans le cours de la vie de l’
homme
sept époques ou périodes qu’il a à parcourir en s
ier et privatif. La première époque commence dès la naissance, et l’
homme
est regardé comme enfant jusqu’à neuf ans. Les
ble en matière de modes et de coutumes : c’est que depuis l’état de l’
homme
sauvage jusqu’à celui de l'homme parfaitement civ
tumes : c’est que depuis l’état de l’homme sauvage jusqu’à celui de l'
homme
parfaitement civilisé, depuis la classe des paysa
ns les usages e' dans les rapports des âges entre eux, à rappeler aux
hommes
que régissent les mêmes lois, qui forment par leu
teur des modifications physiologiques produites par la volonté de l’
homme
sur ses semblables. S/ xsSé (nom et demeure du
habitants de Chablis doivent à votre dévouement et à vos lumières.
Homme
généreux, désintéressé et bienfaisant, recevez do
t la fête du 23 mai l’on découvrit à Paris un petit-neveu de ce grand
homme
, qui cherchait lui-même des renseignements sur la
s ineffaçables, et transmis d’âge en âge comme partie intégrante de l’
homme
, se renouvelant comme lui, il échappe ainsi k l’a
vre leur poussière aux vents. La science, la plus belle conquête de l’
homme
, une fois acquise, est inaliénable; nulle vicissi
près avoir reconnu que la propriété magnétique est commune à tous les
hommes
et constaté la grande accessibilité des Bengalais
J’en demandai la cause ; il me fut répondu qu’on venait d’arrêter un
homme
qui volait un enfant, et que les parties étaient
ssi, et je vis un garçon de dix à douze ans assis sur les genoux d’un
homme
qu’on disait son libérateur. Il avait l’air hébét
ui, il était à la porte de Chandernagor, à deux milles du lieu ou cet
homme
l'avait acosté. Il n’en savait pas davantage. «
avait pas davantage. « Il n’avait ni bu. ni mangé,'ni fumé avec cet
homme
; et son maître, ses amis disaient tous que c’étai
ttaques de nerfs ni de promenade nocturne. « J’ai examiné ensuite l’
homme
qui disait l’avoir délivré, et son témoignage fut
qu’il ignorait pourquoi il était là; qu’il était obligé de suivre cet
homme
qu'il ne connaissait pas; et qu'après avoir dit c
cela, il était tombé et s’était meurtri l'œil. Dans cet intervalle l’
homme
s’enfuit, mais il fut arrêté et conduit à Hooghly
sirais vivement savoir de quel côté était la vérité. Le métier de cet
homme
d’abord éveilla mes soupçons; j’avais ouï dire qu
t, qui fit cerner le rendez vous des voleurs d’enfants. On trouva six
hommes
et trois femmes, qui faisaient ce mélier depuis p
fesseurs. Nous avons toujours considéré le docteur Ordinaire comme un
homme
du progrès, et par conséquent au-dessus des coter
proposé de placer le magnétisme entre les mains de ses ennemis et des
hommes
qui le nient -, de mettre la brebis sous la garde
férons : tandis que vous vous obstinez à entourer d’honneurs quelques
hommes
patentes dont vos hommes d'esprit se sont moqués
vous obstinez à entourer d’honneurs quelques hommes patentes dont vos
hommes
d'esprit se sont moqués de tout temps, nos démocr
médecine au magnétisme; nous croyons que le Créateur, en donnant aux
hommes
un moyen universel de guérir et de préserver leur
ées, enfin!... Tel ne pouvait être le vœu du Créateur! Il a donné aux
hommes
un moyen simple de se guérir et de sc préserver,
hommes un moyen simple de se guérir et de sc préserver, voulant que l'
homme
en santé devienne le médecin de l’homme malade; q
e sc préserver, voulant que l'homme en santé devienne le médecin de l’
homme
malade; que le mal cl le remède, le malade et le
mplète.... Poursuivez donc votre honorable mission : instruisez les
hommes
; mais, au nom de l’humanité , protestez, comme
tait fort souffrante il y a deux ans, et son médecin, le docteur D*",
homme
instruit et magnétiseur, dit-on, ne comprenant ri
’article suivant que nous empruntons au Portique du XIX' siècle : L’
homme
n’est, pas un animal aussi crédule qu’on le pense
lorsque nous sommes forcés à reconnaître enfin la supériorité de cet
homme
, notre orgueil fait que nous avons besoin d’admet
igence humaine. Et quand une fois nous nous sommes mis à diviniser un
homme
, nous le croyons sans examen; l'amour-propre ét
n que d’éteindre la lumière de la lune qui se trouve sur sa tête, cet
homme
est nécessairement un dieu. C’est à ce raisonne
estable ou sur une observation judicieuse, dont l’esprit inquiet de l’
homme
a tiré de fausses conséquences. Lorsque les Rom
e Dieu, sa science dut nécessairement l’emporter sur la science que l'
homme
ne tire que de sa faible intelligence ou des tâto
déjà à ses deux conipa-gnonsdecaptivité,qui regreltaienll’absenced’un
homme
verse dans la science des songes : « Les interpré
C’était afin de soustraire les enfants d’îsraël à l'influence de ces
hommes
qui pouvaient les entraîner vers l’idolâtrie, que
nt répandue. « Les Celtes passaient les nuits près « des tombeaux des
hommes
vaillants pour en recueillir « les oracles (2). »
ression populaire : II n'a pas couché dans l’église, pour désigner un
homme
peu avisé et qui ne peut rien prévoir, vient de c
ia. Ces Toscans annoncèrent qu’il devait y avoir en tout huit races d’
hommes
de mœurs différentes, et que Dieu a marqué à chac
ylla. de Sylla est un fait unique dans les annales du monde. Or cet
homme
, qui ne rougissait pas d’avouer que tout son bonh
’élément du bien devenir l’instrument du mal! Rien n’est sacré pour l'
homme
dont on a laissé prédominer les instincts mauvais
. « Je me rendis donc à l'hôpital de la prison et j’y magnétisai un
homme
que j'avais endormi plusieurs lois déjà; mais je
s en garantir le succès; que s’il voulait ordonner l’appel de trois
hommes
queje nommai, j’essaierais d’obtenir ce résultat
ble. Personne n’a été tenté de nier publiquement que j’aie enlevé ces
hommes
; avec les facilités que possèdent les barbiers du
ays, je pourrais presque sûrement m’engager de voler en plein jour un
homme
, femme ou enfant. Dès que je vis ces effets extrê
as exempte d’inconvénients ; le savoir n'est pas égal chez tous les
hommes
, et l’absence déréglés, de principes d’applicatio
ie et perte blanche depuis trois ans, palpitation de cœur.) (!) Cet
homme
était abandonné depuis trois jours; on lui avail
xaminer ces matières. Cette audace n’est pas étonnante de la part des
hommes
qui, dès lepriûfcipe, ont nié ces faits. QucTMl
, il a été l’instrument d'ond œuvre qui, revêtue de la signature d’un
homme
âu&s/ distingué que l’anleur de Monte-Cristo,
le page de plus en faveur de notre science, la profession de foi d'un
homme
de talent, une voix puissante qui s’ajoute à cell
pour moi, qu’il me soit permis d’en bénir la source et de remercier l’
homme
généreux qui se sacrifie avec tant de courage au
le moment de s’assurer do l'efficacité du magnétisme pour mon mal; un
homme
aussi aimable qu’intelligent, toujours prêt à fai
e m’en retourner chez moi. Je me défie toujours des raisonnements des
hommes
, mais je me rends aux faits, et le magnétisme a c
s convaincu qu’il est un moyen universel de soulager et de guérir les
hommes
. Ce fut vers le commencement d’avril que ma sen
te ipsum (saint Math., chap. XXII). D’après ce divin précepte, tout
homme
etsurtout tout chrétien, quel que soit le rang ou
dans sa touchante parabole du Samaritain, lorsqu’il nous présente cet
homme
charitable versant de l’huile et du vin sur les p
s multipliés ont prouvé que le fluide magnétique dont Dieu enrichit l’
homme
à sa naissance est doué de propriétés curatives,
s préjugés religieux. Les premiers obstacles sortent du rang de ces
hommes
soi-disant éclairés et progressifs, qui, pour se
s religieux, obstacle le plus difficile à combattre. Rien ne rend l’
homme
plus opiniâtre dans ses résolutions, rien ne (’él
ure du démon, rien dans ce livre saint ne nous force à croire que l’
homme
peut avoir le démon a scs ordres pour le faire ag
i connu dans l’Inde et dans l’Egypte, exercé aujourd’hui même par des
hommes
qui en font un métier , on appelle les serpents,
de la terre, prophétisant la ruine et la destruction de l’impiété des
hommes
: Exallavil vocem suamde terrd in prophétie deler
Simon n’avait aucune alliance avec le démon? J'aime à le croire. Les
hommes
n'abandonnent pas tout à coup un ordre de choses
ire les gens de la justice. Retournons-nous à la barbarie? Quoi! un
homme
ne pourra plus tendre la main ù son frère souffra
à lui ! Si Dieu a écouté sa prière, malheur à lui ! M. Laforgue, l’
homme
aux bonnes œuvres, Y homme qui guérit sans que
a prière, malheur à lui ! M. Laforgue, l’homme aux bonnes œuvres, Y
homme
qui guérit sans que jamais scs mains se soient
es cœurs élevés sont donc bien rares, puisqu’on ne pardonne point à l’
homme
qui sait faire plus que nous. On accuse M. Lafo
vé un procureur du roi pour recevoir celle plainte et pour troubler l’
homme
inoffensif plein de charité. Jésus fut accusé d
res pensées seraient chassées par ce divin rayon qui vient éclairer l’
homme
et le pénétrer lorsqu’il est persécuté pour des œ
eignement aux médecins touchant les bornes de leur art, et donner aux
hommes
les preuves évidentes des vérités que la science
Frédéric Soulié vient de mourir. Nous aurions voulu trouver dans cet
homme
, distingué à plus d’un titre, le philosophe et l’
omba à l’âge où la nature a des ressources infinies, ‘a l’époque où l’
homme
est assuré de vivre. — Nos expériences de magie
très-calme, provoqua hardiment à « l’essai quelqu'un de l’assemblée,
homme
ou femme. « C’est pourquoi un gentleman s’assit a
trouvent mieux, et le public, tôt ou tard, leur en tiendra compte. L’
homme
sage ne repousse aucune idée sans examen, parce q
venant de Dieu, est répandue sur toute la nature, car Dieu a dit à l’
homme
: « Tu es mon lils et lu participeras de mes œu
it; et, « m’imitant de loin, créer des choses a mon image. » Mais l’
homme
n’a pas compris, ou plutôt il a oublié les parole
is demeurer enfouie parce qu’elle déplaît à 1 ignorance et choque les
hommes
qu’on appelle distingués. Rien n’avance en ce mon
rsions de ce genre ne sont pas rares; mais quand elles concernent des
hommes
instruits elles méritent une mention spéciale ; c
à des points de vue différents, trouvent des rapports, inaperçus des
hommes
spéciaux, qu’ils développent de manière à donner
ersonne, mais redresse tout le monde. Marcillet pour lui est un grand
homme
et l'esculape-somnamhule sans pareil. L’auteur pa
quelque bon traité ou de grandes erreurs, car M. Delaage n’est point
homme
à s’arrêter dans un chemin où il n’aperçoit point
e.) Mais si, d’après l’Ecriture, rien ne nous oblige à croire que l’
homme
ait le démon à ses ordres, les livres sainte nous
ture l’existence du démon et sa nature, qui est de pouvoir agir sur l’
homme
au lieu de lui être soumis, faisons maintenant l’
ir que, d'après les livres saints, on n'est pas forcé de croire que l'
homme
ait pouvoir sur le démon pour le faire agir à sa
e démon pouvant agii par lui seul et avec la permission de Dieu sur l’
homme
, comme moi-même je l’ai reconnu, il pourrait bien
tique, est une action aussi bonne que louable. David, en parlant de l’
homme
bienfaisant envers l’affligé, dit que l'Elernel l
peut-on établir contre le magnétisme thérapeutique sur l’opinion des
hommes
étrangers à cette science? Quelle persuasion pe
nce? Quelle persuasion peut porter dans mon esprit l’opinion de ces
hommes
qui prétendent parler du magnétisme thérapeutique
tisme thérapeutique sans l’avoir jamais exercé ni étudié? Comment des
hommes
qui ne connaissent ni la nature, ni les propriété
e magnétique, ni les moyens par lesquels son exhalation s’opère ; ces
hommes
qui n’ont jamais senti au bout de leurs doigts ce
joie dans le cœur du magnétiseur chrétien et charitable; comment ces
hommes
osent-ils s’ériger en juges pour prononcer un arr
rent une autre du même genre, c’est-à-dire appuyée sur l’autorité des
hommes
consacrés au ministère spirituel des différents
ises, comme tous les astres, à une loi régulière? Non, certes; mais l’
homme
n’a pu encore soumettre cette loi à son compas. I
es jours, des baromètres nous disent le temps qu’il fera demain. Et l’
homme
ne pourrait point, par un songe, une vision, par
de celte faculté, la seule qui pût les séparer du grand troupeau des
hommes
. De là les prophètes. La divination, chez eux, n'
six semaines qu'avec mes huit ans je me disais le plus malheureux des
hommes
d'être condamné à partir pour Orléans. Orléans, c
» A ce nom de Fontgibu, mon attention c’était éveillée, et je vis un
homme
assez âgé, poudré à blanc, qui portait des épau-l
jours, je reçus la visite de M. B.., que j’ai toujours connu pour un
homme
parfaitement sensé. La conversation, engagée d’ab
nce. Pour satisfaire une mauvaise passion rien ne coûte au commun des
hommes
; ils prennent soin cependant de cacher leur nom :
démon, le considèrent comme une force physique et médicairice dont l’
homme
est doué par son Créateur, et qui, loin de le pro
es; mais je sais aussi que parmi les ministres protestants il y a des
hommes
éclairés qui, laissant leurs confrères dans l’orn
saires du magnétisme ne seront que vox clumantis in deserto pour tout
homme
de bon sens. Qu’il me soil permis, avant de fin
un morceau de pain pour donner à un pauvre, on s’en sert pour tuer un
homme
, faul-il proscrire l'usage du couteau comme une c
té, l’attrait des sexes, la » volupté dans le magnétisme, si c’est un
homme
qui ma-» gnétise un homme, si c’esl une femme qui
a » volupté dans le magnétisme, si c’est un homme qui ma-» gnétise un
homme
, si c’esl une femme qui agit sur une » personne d
vérité, impartialité ei franchise doivent ôtre la devise de l’honnôte
homme
. Si quelqu’un, en lisant cette lettre, trouve que
donc très-important pour l’histoire de la •vie et des travaux de cet
homme
illustre. Les épilhètes de fameux, célèbre, qui l
s de nu pas voir. ■— Ce fait singulier se représentera bientôt. Cet
homme
a été dans un état très-alarmant. Il est survenu
us ad- met à un léger aperçu des mystères de la vie intérieure de l’
homme
. Sheik Manick, laboureur, vint de Burwan, le 21
urément pour lous les chirurgiens des opérations satin douleur. Si un
homme
n’a nulle conscience d’une opération, et qu’éveil
a science ni pour l’humanité un don de mince valeur que de rendre des
hommes
insensibles, ne fût-ce qu’à la moitié des horreur
iatement en devoir de m’en assurer par des expériences directes. Deux
hommes
préparés à être opérés furent soumis à la série d
ction). ( :Oi\ F ÉREXCES M AG¡VÉT IQUES. Magie (1). Heureux les
hommes
dont l'esprit fertile sait créer pour toutes chos
même3, hélas! se comprirent-ils toujours? Vérité! erreur! où sont les
hommes
qui savent discerner ces deux choses dans les fai
ui qui la comprend n’a besoin que d’un peu de courage pour amener les
hommes
à son sentiment. Qu’ils sont à plaindre les hom
pour amener les hommes à son sentiment. Qu’ils sont à plaindre les
hommes
qui croient qu’en nous tout est mortel ; qu’ils s
ns les mânes de ceux qui ne sont plus. C’esi dans ces instants où l’
homme
, puissant de volonté comme de savoir, commande au
ojets. N’exigez d’elles rien de plus, elles n’ont que ce pouvoir. Des
hommes
méchants, tel a été le délire et le destin, car l
iquité les a vus servir pour de l’or le dérèglement des passions. L’
homme
froid , l’académicien, ne pourront comprendre ces
grands maux cesseront (t’exister; fou encore. Enfin Mesmer a dit : L’
homme
a pouvoir sur l’homme, l’âme sur la matière; autr
(t’exister; fou encore. Enfin Mesmer a dit : L’homme a pouvoir sur l’
homme
, l’âme sur la matière; autre fou. Mais ¡ouïes ces
mon esprit. Impuissant et faible, je ne puis me comparer à ces grands
hommes
. Au premier échelon d’une échelle qu’ils graviren
t la considérer éprouvent le saisissement précurseur de la vision ?
Homme
qui doutes, dis-moi si, avec les meilleurs instru
i est venu nous éclairer sur cette admirable vérité à laquelle tant d'
hommes
honorables el vous particulièrement, Monsieur. co
forcés de croire; car rien n’est plus évident qu’un fait. Ce jeu ne
homme
, qui ne dormait pas, qui conservait l’usage de sa
, lors même qu’il en était séparé par des murailles et retenu par des
hommes
robustes. Mais lorsque ces personnes racontaien
re prochain numéro nous justifierons de ses attaques insidieuses deux
hommes
également respectables, MM. Laforgue et Almignana
umanité, car, faire connaître la cause de préjugés nombreux, guérir l’
homme
de ses terreurs, c’est le préparer à recevoir une
B Les individus en étal d’ivresse, de démence, d’iinbécil-lité ; les
hommes
agités de fortes passions. 2° Sur la manière de
nnaires; 2° le gouvernement et l’administration de la république. L’
homme
ne pouvant vouloir que ce qu’il connaît et la vol
allume au souffle nouveau de la vérité, non plus pour guider quelques
hommes
, mais les générations; non pour enrichir des corp
st un sens nouveau qui se manifeste, c’est un don que Dieu a fait à l’
homme
, et dont ce dernier n’a pas encore su profiter.
ination que l’on donne à celle force inconnue au moyen de laquelle un
homme
peut, dans certaines circonslances, exercer sur u
risque de voir cet article déplaire aux uns et aux autres. « Que l'
homme
¡misseexercer une influence plus ou moins grande
urs maux, et l’on exerce ainsi avec sûreté l’art de guérir. « Que l'
homme
el plus s|iécialemeni les femmes puissent, dans q
ne devons pas, d’un autre côlé, mépriser les faits confirmés par des
hommes
pleins de bons sens (senno), et ce fait est assez
place de lu vérité; mais comment rectifier lout à coup les idées des
hommes
qui doivent servir de guides au magnétisme, lui p
pèce humaine de la faculté que Dieu a accordée à un si grand nombre d’
hommes
. La nature a été plus sage que toi! Et comme elle
ne peut rien surcette affection, et après tout, qu’on s’adresse à un
homme
spécial, car jiour eux ils ne veulent point se ch
e cas! 0 injustice! 0 folie ! 0 inconcevable aveuglement du cœur de l’
homme
!!! Quoi ! le Créateur, souverainement sage et bon
nouveaux à celle doctrine, fournit des armes contre elle, dégoûte les
hommes
de cœur et détourne de son étude les esprits élev
re, sous ce rapport, des services pratiques éminents poulie bien de l’
homme
, autant que servir la science en général; mais ce
ltats en employant, sur un malade, successivement la force d’autant d’
hommes
qu’il en faut pour atteindre le bul qu’il s? prop
e s’agit ici que des nerfs du mouvement dépendants de la volonté de l’
homme
, et non des nerfs de la spontanéité qui continuen
munitions. I/étude de nos sensations est encore dans l’enfance : l’
homme
matériel qui boil, qui rit, qui s’amuse el ne réf
hit pas,n’est pas destiné à lui faire faire de grands progrès; mais l’
homme
d’élude qui n’a pas la vanité de connaître les de
ant les plus belles intelligences. Après M. Jobard viendront d’autres
hommes
qui jugeront d’un autre point de vue les faits ma
enser que, quand des faits, annoncés de toutes parts et qui portent l’
homme
en dehors des lois physiques, seront venus à sa c
tous les arguments d’une fausse philosophie anéantis pour jamais. Des
hommes
avaient pris la raison pour critérium île toutes
doce esl devenu un inélier, el lu l’exerces d’une manière vénale. Des
hommes
profonds de l’antiquité lu as usurpé les lilrcs;
re, car les oreilles sont bouchées comme ion intelligence. Et vous,
hommes
d’argent, habiles calculateurs dont le cerveau ré
on cerveau paraît avoir clé desséché par l’aridilé de ses études. Ces
hommes
qui déclarèrent que Mesmer était un visionnaire,
force invisible, cause de son pouvoir, a cessé d’y rayonner. C’est un
homme
for! qui veut tenter l’épreuve, dans un moment où
mmage à la vérité en publiant le résultat de celle expérience; et cet
homme
, digne en toul de notre estime, car nous aimons l
ules ses passions; les animaux ont leur langage toujours vrai, mais l’
homme
seul dissimule; l’éducation, la fausse religion,
ie à cette mission difficile, el tu y succombas. Entends l’adieu d'un
homme
qui ne lit que t'entrevoir mais connut les pensée
e. Quand à la lucidité, il n’y a d’outrageant que sa négation par les
hommes
mômes qui devraient en enseigner l’emploi. — Le
produits par l’action de mômes organes, depuis le scarabée jusqu'à l’
homme
. Je céderais avec empressement une tftche qui dép
commence le règne animal, du moins est-il parfaitement entendu que l’
homme
domine toute la série des êtres que comprend ce r
l’homme domine toute la série des êtres que comprend ce règne; que l’
homme
résume dans la construction de son corps, tantôt
d’organes analogues à ceux qui furent départis eux autres animaux, l’
homme
jouit en commun avec tux des propriétés qui y fur
ire, l’instinct, l’intelligence et la moralité, suprême attribut de l’
homme
. Le zoophyte laisse entrevoir des symptômes de
e les différentes espèces, soit d’un individu à l’autre. Enfin dans l’
homme
, à une intelligence incomparable relativement aux
de l’humanité, il faut résolument y comprendre L'instinct. Ainsi, l’
homme
est enrichi à la fois de tous les dons départis a
ends à ce que, d’une part, on rejette la faculté de l’instinct chez l’
homme
, el ce que, de l’autre, on assigne exclusivement
, par leur contraste, frappent plus sûrement notre attention. Ainsi l’
homme
étant le type auquel on peut rapporter le degré d
i les organes de ces deux types diffèrent ou se ressemblent. Dans l’
homme
, le volume de l’encéphale correspond assez correc
collective de chaque individu de la classe des vertébrés, y compris l'
homme
, il en est qui présentent les mômes caractères ;
chez les insectes annonce une destination spéciale. Eh bien, dans l’
homme
, se rencontre un système de nerfs ganglionaires s
oivent des impressions qu’on rapporte à l'instinct, pourquoi donc l’
homme
, pourvu d'un appareil qui agit évidemment à la ma
rquions, on l’attribuerait de suite à l’instinct. Mais l’orgueil de l’
homme
se révolte contre l’application de ce mol à une c
s. Si cet orgueil était logique, il nierait aussi la digestion dans l’
homme
, parce qu’elle est incontestable dans les animaux
’intervention des corps opaques, entre les facultés perspectives de l’
homme
et les objets extérieurs, sans l’intermédiaire de
sans l’intermédiaire des sens de la vie animale. (1) Il y a peu d’
hommes
à qui il ne soit arrivé quelque chose de semblabl
ci sont évidem- ment d’un ordre supérieur : à leurs développement l’
homme
est redevable du rôle qu’il remplit dans la créat
s qui concourent à composer la série des animaux se retrouvent dans l’
homme
, soil à l’état de contraction, soit à celui d’ext
d’extension. 2° A chaque organe est attribuée une faculté : donc l’
homme
possède, avec plus ou moins de développement, l’e
tions diverses, sur les divers degrés de l’échelle zoologique. Dans l’
homme
, à son état normal, l’intelligence domine l’insti
ncrédulité; et c’est à peu près tout ce que la multitude connaît de l’
homme
et de sa doctrine. 11 serait temps enfin de renon
e foi, pour examiner sérieusement un système qui importe à la vie des
hommes
, et auquel 22 ans de succès suivis semblent donne
impossible d'affirmer ce qu’elles ne produiront pas. Je ne sais quel
homme
de mérite disait qu’il regarderait comme un extra
esmer, sa découverte n’est pas seulement précieuse pour la santé de l’
homme
, elle l’est encore pour ses connaissances; elle s
cipe des choses qui, depuis tant de temps, occupe les méditations des
hommes
les plus re-commandables ; c’est à ce but que doi
que de Zoroasire. La vie du monde n’est qu’une, dit-il, el celle de l’
homme
individuel n’en esl qu’une particule. On doit d
laisir pour effrayer les élèves, et dans lequel s’égarent souvent des
hommes
qui ont une grande pratique. Pour une maladie u
s affections du corps. L’histoire de l’antiquité nous apprend que les
hommes
érudits se gardaient bien de rejeter la divinatio
deux médecins célèbres des temps modernes ont attiré l’attention des
hommes
sérieux (1)? En nous reportant aux annales de l
tait endormi ou tombé en quelque défaillance d’esprit; semblable à un
homme
mort, dont l’âme aurait abandonné le corps, parce
a a donné lieu à quelques-uns de croire et d’assurer que l’âme de cet
homme
sortait effectivement de son corps, et qu’étant c
i pervers aujourd’hui, l’intérêt et l’ambition dominent tellement les
hommes
, que toutes leurs actions n’ont d’autre but. Voul
s de toute influence magnétique. On en a constaté des effets chez les
hommes
livrés à la vie contemplative, chez les trembleur
rveau. Le baron Massias (3) voit dans cet état anormal l’éveil de l’
homme
instinctif durant l’inactivité absolue des sens.
mnambulisme naturel. Nous remarquerons cependant avec plaisir que des
hommes
d’une haute intelligence ont cru devoir, dans ces
. 261. Le somnambulisme naturel se manifeste indistinctement chez l’
homme
bien portant et chez l’homme malade ; nous dirons
urel se manifeste indistinctement chez l’homme bien portant et chez l’
homme
malade ; nous dirons, toutefois, qu’on l’observe
que, que les visions des mélancoliques sont vraies et subites. «Les
hommes
mélancoliques, maniaques, frénétiques et atteints
a surprise, de m’apercevoir, au bout d’un demi-quart d’heure, que cet
homme
s’endormait paisiblement dans mes bras, sans conv
d’abus, et la lumière eût rentré promptement dans les nuages, si des
hommes
de bien et d’intelligence, tels que Deleuze, le D
elui dont l’imagination est à peu près à l’état rudimentaire, comme l’
homme
des champs, ressentira plus facilement cette cris
n état intermédiaire qui donne lieu à des actions qui ne sont ni d’un
homme
éveillé, ni d’un homme endormi, et qui peuvent av
i donne lieu à des actions qui ne sont ni d’un homme éveillé, ni d’un
homme
endormi, et qui peuvent avoir ainsi des suites lé
pourquoi la civilisation ne produirait-elle pas le même effet chez l’
homme
, en développant les germes de l’intelligence au d
ntriques a dû se rencontrer plus souvent dans un état de société où l’
homme
ne touchait aux formes générales de la civilisati
gnétiques des femmes d’une constitution nerveuse, de préférence à des
hommes
vigoureux ; cette objection n’est pas sincère, ca
es femmes, l’organe des sens n’a-t-il jpas plus de finesse que chez l’
homme
? Le tact n’est-il pas plus délicat, la conception
parfaitement à l’abri de toute responsabilité, sous la direction d’un
homme
de l’art. Déplorons sincèrement les erreurs de
rrons cette science de charité et de dévouement sous la sauve-garde d’
hommes
aussi probes et aussi éclairés que MM. du Potet,
. Les motifs de celle réserve n'ont pas besoin d'être déduits ; les
hommes
avancés dans le magnétisme savent bien qu'on ne p
n ne peut s’exécuter de meilleure grâce ni d’une manière plus digne d’
hommes
qui ont pour devise : « Cherchons le vrai, faison
id. DOUSiAN, id. Cette élection fait entrer en fonctions plusieurs
hommes
nouveaux, dont le zèle promet une impulsion progr
a Société du .Mesmérisme de Paris. « Monsieur le Président, «Deux
hommes
dont les écrits et les actes ont puissamment cont
d’eux est soumis, pendant une demi-heure, aux passes magnétiques. Les
hommes
sont reçus au rez-de-chaussée, les femmes au prem
e ont été guéris; d’autres ont vu s’atténuer leurs souffrances. Des
hommes
du peuple, perclus de rhumatismes contractés dans
étisme même, n’a point encore trouvé d’explication. Il y a chez les
hommes
de science une grande peur du merveilleux ; tout
et personne ne l’ignore; pourtant ils viendront à nous petit à petit,
homme
par homme; car la vérité a une puissance immense
e ne l’ignore; pourtant ils viendront à nous petit à petit, homme par
homme
; car la vérité a une puissance immense ; il faut
la. On l’interrogea sur ce qui s’était passé, et elle dit avoir vu un
homme
de haute stature et d’une hideuse figure, placé d
ra qu’elle ressentait une douleur dans cette partie, aussitôt que cet
homme
commençait à frapper. L’enfant se rendormit, et
ogée à son réveil sur ce qu’elle avait vu ; elle répondit que le même
homme
lui apparaissait toujours; on lui demanda à quell
oupçonnait la malveillance, on fit la garde la plus sévère; plusieurs
hommes
, à diverses reprises, se cachèrent dans la maison
ucune règle absolue, elle est loin cependant d’être indifférente. Les
hommes
qui se sont donné la noble tâche de l’enseignemen
ntique d’où ne doivent jamais s’éloigner les livres élémentaires. Les
hommes
qui parlent au peuple ne doivent rien dire qui pu
gloire, ni profit. Il est moral que cette injustice soit réparée. Les
hommes
sérieux qui comprennent les mérites de ces génére
se spéciale de lecteurs ; fruit de longues recherches, il demande des
hommes
de loisir; œuvre de science, il veut des lecteurs
es revendications qui aient été faites de l’honneur du savant et de l'
homme
. Le lecteur y sent l’âme du disciple émue et reco
seule Mmc la duchesse de Chaulnes la préférence sur la généralité des
hommes
, serait, au fond, aussi condamnable à moi que si
gtemps inédits des dernières œuvres de Mesmer. Tous les écrits de cet
homme
sont inspirés par la morale la plus pure et par l
el que le verra l’avenir, tel que nous l'avons toujours vu : un grand
homme
de bien. Il était bon de montrer tout entier le r
oulagements aux souffrances des amis qui 1 entourent; il révélera aux
hommes
des champs une force mystérieuse et salutaire, do
illage. Le Petit Catéchisme sera plein d’enseignements aussi pour les
hommes
instruits non initiés encore au magnétisme, il mo
l’attendions avec une impatience facile à comprendre. « C’était un
homme
grand et maigre, d’une physionomie repoussante, à
ches suivantes sur l’électro-magnétisme et la puissance animique de l’
homme
sur l’homme, dans les diverses stations où il lui
es sur l’électro-magnétisme et la puissance animique de l’homme sur l’
homme
, dans les diverses stations où il lui sera permis
res où se trouvent les personnes soumises à l’influence animique de l’
homme
? 2° Quelle est la nature des manifestations psy
magnétisait des chevaux. Cette parodie, en jetant le ridicule sur un
homme
sérieux, a fait suspendre les expériences. Mais l
-être téméraire à quelques-uns ; mais elle sera comprise par tous les
hommes
habitués à méditer, par tous ceux qui savent appr
de la matière. » La lettre et le passage qui précèdent montrent un
homme
impartial; il reste à savoir s’il est suffisammen
es; maintenant il n’v aurait point assez de sarcasmes pour accabler l’
homme
qui nierait leur réalité. Ce qui paraît mensong
ts. Les rapporter tous eût pris trop de temps à M. Senger, qui est un
homme
d’aiguille et non de plume. Il est déjà assez emp
nt cessé, son corps était complètement raide, à un tel point que deux
hommes
forts eussent été dans l'impossibilité de le redr
fait avéré, et son existence ne saurait plus être contestée par aucun
homme
instruit et de bonne foi. Sa puissance, comme moy
■ 11 en est ainsi de tous les actes dépendants du libre arbitre de l’
homme
. On parle d’abus... de scandale;... mais, Monse
t l’un «les plus beaux attributs, l’un des plus beaux ornements que l’
homme
ait reçus «le son Créateur ; et, en second lieu,
ez qui la science de Dieu n’exclut certainement pas les sciences de l’
homme
, eussent sur la physique, sur le magnétisme et su
dence pour un malade, et il rendrait toujours d’immenses services à l’
homme
de l’art, s’il savait s'en servir, parce que, dan
cas de névropathie guéris par le magnétisme, sous la direction de cet
homme
de vrai mérite. Tous les faits qui y sont signalé
aître personnellement, Monseigneur, savent cependant que vous ôtes un
homme
de science et de haute capacité. Je joins encor
hénomène psychologique, il mérite les recherches et non le dédain des
hommes
de science, quels qu'ils soient ; 6° Enfin, com
chies et « de toute bonne foi. » Ces idées du célèbre philosophe et
homme
d'État sont celles qui me guidèrent et animèrent
iser n’est autre chose que se priver, au moins en partie, de ce que l’
homme
possède de plus précieux, c’est-à-dire le fluide
ccomplir. Dans ce siècle où tout tend à améliorer la condition de l’
homme
et à le conduire vers cet état de tranquille féli
atigue extrême. « Je crois qu’à l’aide du magnétisme, un malhonnête
homme
pourrait faire beaucoup de mal. Je doute qu’à l’a
était une femelle de jocko, une des espèces les plus rapprochées de l’
homme
. On la lit magnétiser, comme il est dit ci-dess
l’année. Aussi est—¡1 connu clans toute la cavalerie sous le nom de l’
homme
aux trois cent soixante-cinq culottes. Deux Urn
ontingent à fournir par le canton. Le jour du tirage arrive ; notre
homme
se présente comme les autres; mais, au moment de
us enrichis par l’usure, la rapine ou le crime? Connaissez-vous des
hommes
plus francs, plus ouverts, plus gais et plus heur
pathies ou nos antipathies. Quelques essais vous feront retrouver les
hommes
(pie vous aurez pris pour but de vos exercices, d
nous sommes bien loin encore. Imaginez-vous l’effet produit sur les
hommes
, quand ils seront convaincus que pas une action m
our en faire justice. En effet, Monseigneur, nous 11e connaissons l’
homme
que depuis sa déchéance, et nous 11c pouvons pas
seul qu’011 ne le comprend pas? Dieu, qui est si bon, qui n’a créé l’
homme
que pour son bien, n’aurait-il donc laissé qu’à l
pouvoir de disposer de ces phénomènes, qui tiennent à la nature de l’
homme
, et qui ne passent pour surnaturels que parce qu’
lligent qui pense, qui agit indépendamment de l’agrégat matériel de l’
homme
, •■t sur lequel le magnétisme animal n’a aucune a
telligence et 1a. matière), dont l’un créé, mais immortel, survit à l'
homme
; l’autre, quand il en est séparé définitivement
je, il existe quelque chose que Dieu, dans sa providence, a donné à l’
homme
comme aux animaux, aux végétaux, peut-être même,
trouvent aussi exaltées chez les somnambules d’un lion naturel.... L’
homme
, dans cet état anormal, donc, reste le même qu’il
veilleuse; elle mérite seulement d'être examinée, alin de connaître l’
homme
. Eoscolo. Depuis plusieurs années déjà, l’Ang
s regretter qu’un principe, dont l’utilité peut être si grande pour l’
homme
, trouve aussi chez nous un organe de publicité. M
aires au magnétisme, pourvu quelles soient conçues en termes dignes d'
hommes
éclairés et amis du progrès scientifique. Et même
our que les magnétiseurs puissent prétendre à être crus sur parole. L'
homme
qui raisonné veut marcher à la conviction les yeu
est-ce qui rougira ie tourner son esprit vers un principe auquel les
hommes
illustres que nous venons de nommer ne refusèrent
déclarations favorables au magnétisme, publiées par quelques-uns des
hommes
illustres que nous avons nommés, et par d’autres
ompent, le nombre de ceux qui étudient ces influences admirables de l’
homme
sur l’homme, est déjà grand parmi nous ; et ceux
ombre de ceux qui étudient ces influences admirables de l’homme sur l’
homme
, est déjà grand parmi nous ; et ceux qui, sans s’
ts, pour qu’un jour ces faits groupés, coordonnés et attestés par des
hommes
de condition et de pays divers, soient un bouclie
ORT fils. Fécamp, le 28 mars 1853. CLINIQUE. S’il fallait que l’
homme
qui a fait du magnétisme en amateur pendant deux
résultats auxquels il n’osait espérer; s’il fallait, dis-je, que cet
homme
énumérât tous les phénomènes merveilleux qui se s
aucoup plus d'industriels que de vrais philanthropes ou de véritables
hommes
de science. Cependant, Monseigneur, la médecine
es produits de la nature, et les sujets sur qui nous les employons, l’
homme
et les animaux ; mais, pour notre malheur, nous n
tion qui les affecte dans certains états moraux ou pathologiques de l’
homme
, de leur développement singulier dans la plique p
ensons moins encore que tout autre, parce que nous avons dû étudier l’
homme
et les animaux d’une manière plus spéciale. Et ce
mandataires nés. » C’est ainsi que les qualités psychologiques de l’
homme
se trouvent successivement sous l’action de cause
, et qui, s’il pouvait agir corporellement sur moi comme sur le saint
homme
Job, chercherait bien plus à me faire du mal que
en y joignant toutefois les pièces à l’appui... ; car il n’est aucun
homme
de bon sens qui â cette lecture ne s’écrie : Mais
dictées par la raison ; je vous le demande encore dans l’intérêt de l’
homme
souffrant, et enfin dans l’intérêt de la science.
ans ma longue et pénible carrière; peut-être même n’existe-t-il pas d’
homme
au monde qui ait à cet égard autant de données sû
e sera point repoussée par Votre Majesté ; car j’affirme avoir vu des
hommes
qui ne sont point diplômés, obtenir la guérison d
rit les yeux d’un aveugle, et qu'il a transmis le don de guérir à des
hommes
, nous ne pouvons le nier. On lit, en effet, dans
que les bienfaits. Nous devons apprécier l'arbre par son fruit ; et l’
homme
de bien, c’est celui qui produit des bienfaits, c
in est plus puissant que la science humaine ; qui ne le sait pas? Des
hommes
sans moralité. J’approuverais, par exemple, une
un temps déterminé, le malade serait libre de se faire soigner par un
homme
de bien; alors notre autorité subsisterait, la lo
je l’espère, les moyens d’acquérir de nouvelles connaissances, et ces
hommes
que l’on poursuit comme dangereux, seront à l’abr
au même sujet. D’après ce médecin. « On voit plus de femmes que d’
hommes
atteindre les hauts dégrés du somnambulisme ; plu
extase. » D’où il conclut : « Que la femme est plus ithérée que l’
homme
; plus voisine , pour ainsi parler, des intellige
surément fausse ; car tous les plus puissants somnambules ont été des
hommes
. Quelle femme a jamais rivalisé avec Victor, Lema
nnonce la réalité du fait ; il est établi, confirmé, constaté par les
hommes
les plus recommandables. Des savants, des profess
avant membre de l’institut. De MM. Eschenmayer, Ennemoser et autres
hommes
illustres dans le monde mesmérien, témoignage ide
t de l’électricité positive, et l’autre de l’électricité négative. Un
homme
, par exemple (abstraction faite du sexe), appliqu
ompagnent, s’est bientôt développée là bas chez des milliers de gens,
hommes
, femmes et enfants, riches et pauvres, ignorants
coups, à l’aide de l’alphabet, vous mettent en communication avec les
hommes
des âges les plus reculés, vous parlent de toutes
esens, vu qu’il n’y arien dans tout l’univers d’aussi dépravé que les
hommes
; les habitants même de la sphère la moins avancée
t s’en débarrasser avant de pouvoir « monter ». Dieu ayant créé les
hommes
, sur toutes les planètes de l’univers, pour sa gl
dans le monde aristocratique, scientifique et littéraire, et que des
hommes
d’un mérite incontesté, des dames titrées, dont q
her. Un monsieur de mes amis, éditeur d’un journal de Lon- (1res,
homme
très-sérieux, a aussi vu les meubles qui dansaien
rs, — nous avons posé légèrement nos mains sur le bord d’un chapeau d’
homme
, en mettant le petit doigt de la main droite sur
de cas. Elle réussit mieux avec les femmes et les enfants qu’avec les
hommes
, mieux avec les adolescents qu'avec les hommes mû
es enfants qu’avec les hommes, mieux avec les adolescents qu'avec les
hommes
mûrs. Mais on a construit des appareils qui fou
ous avons pu démêler de positif dans le grand livre de la nature. Les
hommes
de loisir viennent de soulever un nouveau coin du
rand péché; mon but principal est de provoquer les investigations des
hommes
sensés, sérieux, sur une remarquable propriété de
soulève, marche, pivote et s’arrête au gré de votre pauvre volonté d’
homme
. Je gage que vous ne vous croyiez pas aussi pui
a fait, pour la grande merveille du jour, une rubrique spéciale. Des
hommes
illustres signent des certificats dont d’autres h
spéciale. Des hommes illustres signent des certificats dont d’autres
hommes
illustres font des gorges chaudes, et les gens qu
lque chose de bien frappant dans les el-fets de magnétisme. Voir un
homme
esclave d’un autre homme, voir deux volontés se c
nt dans les el-fets de magnétisme. Voir un homme esclave d’un autre
homme
, voir deux volontés se confondre au point que l’u
oute sa vigueur, certes il y a là quelque chose qui vous stupéfie ; l’
homme
qui, par la seule puissance du regard dompte le p
ajesté du lion, cela vous émeut, comme tous les drames où la vie d’un
homme
est en péril, d’une terreur nerveuse: mais cette
verser sur le sol, mais un mannequin peut imiter tous les gestes de l’
homme
; l’étincelle magnétique qui traverse obliquement
’aura point eu son égal. La lumière va luire dam les ténèbres, et les
hommes
comprendront. Magnétistes, soyez froids au mili
d’une force, sinon nouvelle, du moins encore indéfinie, inhérente à l’
homme
, qui se produisent en ce moment d’une manière aus
ons, pour nous aider à la remplir, sur le concours dévoué de tous les
hommes
d’intelligence et de cœur qui cultivent les scien
Il y a dix-huit siècles, une parole profonde fut dite : « Si a les
hommes
se taisent et refusent de rendre hommage à u la v
inexpliquées; c’est tout cela et mieux que cela ; c’est le corps de l’
homme
transformé en un aimant puissant et universel, ém
t ; voici pourtant quelque chose qui l’est encore davantage. C’est un
homme
grave qui va parler, et la première partie des fa
oups; et de l’autre, il eût fallu une pression exorbitante, à mains d’
hommes
impossible, pour l’emporter par surcharge, et cel
lors 011 n’avait pas encore adressé la parole à l’esprit frappeur. Un
homme
de Waggum en eut le premier le courage. Il pronon
ociale, il répondit juste. Parmi les curieux, il se trouva un jour un
homme
de Stettin, inconnu Dibbesdorf, et qui, depuis pe
dénicher de son coin, et il se mit à frapper de plus belle. Alors nos
hommes
de science déclarèrent qu’il y avait fraude dans
ui furent consacrées : bien rarement, hélas ! la vérité rassembla les
hommes
! Nous voulons offrir un grand exemple en nous ré
e, pensée qui n’emprunte rien à la passion ni aux vaines opinions des
hommes
. Notre fête est un tribut de reconnaissance env
actes, non la rivalité. Nous espérons un nombreux concours ; tous les
hommes
, d’abord, à qui nous avons enseigné la route du v
mates, médecins en renom, négociants, ecclésiastiques, artisans, tous
hommes
de cœur, unis par le bien qu’ils ont fait et la p
un double attrait. C’est que rien n’est plus doux, en effet, pour l’
homme
que iosie XII. — N° £«t. — 25 Mai 1855. ]î l’
r la mémoire de Mesmer et de faire connaître à l’assemblée le nom des
hommes
que le jury magnétique avait jugés dignes de rece
écrire ses propres paroles. Les forces humaines ne suffisent plus à l’
homme
qu’une multiplicité de rapports force à être touj
du magnétisme vont être obligés d’avouer piteusement leur défaite. L’
homme
commande aux êtres inanimés comme à ses propres o
ies complaisants qui, chez les Orientaux, se mettaient au service des
hommes
doués d’une volonté assez forte pour leur parler
s d’imaginations vagabondes n'était qu’une intuition de l’avenir. L’
homme
, destiné à régner souverainement sur la nature, r
on humanitaire?... N’entendons-nous pas, au delà de l’Atlantique, ces
hommes
religieux qui, eux aussi, retrouvent des secrets
ne même cause les produit. «Tout s’enchaîne dans l’œuvre de Dieu. L’
homme
, p)ac£ au sommet de l’échelle des êtres qui peupl
mettre nos champs à tribut, Pour asseoir leurs sanglantes aires....
Homme
de paix, tes chansons printanières Sont pour l’am
rintanières Sont pour l’amour, lo ciel et nos misères. Salut, Mesmer!
homme
de paix, salut! Salut, Mesmer! nouveau sage, sa
mme de paix, salut! Salut, Mesmer! nouveau sage, salut 1 Tu dis à l'
homme
: One force divine Meut tes ressorts, anime ta ma
, D’un demi-dieu tes mains ont le génie!.... Salut, Mesmer! 6 grand
homme
, salutI Salut. Mesmer! philosophe, salut! Ast
ours : « Messieurs, «Chaque année quand revient le printemps, des
hommes
de toutes les nations et de tous les âges se réun
ui, embrassant de sa pensée et les cieux et les mondes, montre dans l’
homme
le centre de l’univers, révèle aux organes fatigu
dansent et pour les chapeaux qui tournent. Ils n’avaient pas ont en l’
homme
, ils ont été pleins de foi en la matière. La véri
couverte sous le nom des misérables qui la prostituent, combattez les
hommes
qui abritent leurs vices derrière une grande véri
abuser des dons les plus précieux de la Providence, est inhérente à l’
homme
, elle est sa faiblesse et sa grandeur, la chute e
on ; sans elle, il n’est ni conscience, ni libre arbitre. Enlevez à l’
homme
le droit de faire le mal, vous lui ôtez le mérite
thie dans les cœurs, qui rends l’amitié frémissante dans la main de 1
homme
, et mets le paradis dans les yeux de la femme; oh
et inspiraient it son cœur générosité et courage, et l'enfant devenu
homme
était un chevalier re- resseur lc torts ou un r
ie a soufflé sur leur front. Si les signes ne sont pas trompeurs, des
hommes
qui, par de pénibles travaux, auront arraché à la
t les navires aériens, bientôt dirigés par la volonté, portent déjà l'
homme
plus haut que ne gronde la foudre et plus loin qu
veloppera la pratique habituelle du magnétisme ; les services que les
hommes
se rendront entre eux en se dépensant eux-mêmes,
ont plus ces pâles fantômes, qu’une fausse lumière éblouit et que les
hommes
dédaignent. Ils deviendront la parole inspirée de
oètes prophètes et les chanteurs divins des grandeurs cé* lestes. Les
hommes
, guidés par eux dans des routes toujours fleuries
sses au seul moissonneur. Songeons au semeur, messieurs, songeons à l’
homme
à la parole féconde, et reportons vers Mesmer nos
ans du magnétisme réunis en ce moment portaient des tostes à tous les
hommes
qui servirent la grande cause de l’humanité; nous
forment qu’un faisceau. Profond secret! sa furtive étincelle Anime l’
homme
avant d’être au berceau. Je viens, etc. Que l
ar c'est l’anneau de cette immense chaîne Qui de tout temps attacha l'
homme
à Dieu! Je viens > etc. Pour relever la gl
n paillettes étincelantes, ignore le privilège que possèdent certains
hommes
. Chez lui, ce privilège est si grand, que notre p
n pratique, contre les maladies, d’une faculté dont Dieu a gratifié l'
homme
dans sa munificence? Le résultat prodigieux que
douleurs occasionnées par une névralgie frontale du côté droit. Cet
homme
était tout en pleurs et craignait que j’arrivasse
ète sur le carreau. On l’avait relevée et mise sur son lit où trois
hommes
la contenaient diliicilement, lorsque je suis arr
l’origine, l’eau bénite, ainsi que tous les objets consacrés par les
hommes
qui avaient la lumière, renfermaient le principe
comme leur divin maître avec le pan de sa robe! Dieu a délégué à l’
homme
la puissance créatrice limitée à sa destinée. O11
ignore encore ce que peut la volonté humaine; un jour 011 le saura, l'
homme
alors sera véritablement roi de son globe, alors
nt Laforgue emploie ce moyen depuis longtemps, non-seulement pour les
hommes
, mais aussi pour les animaux domestiques. Il n’
e même temps. C’est un moyen, entre mille, que la nature a donné .à l’
homme
non-seulement pour se guérir, mais d’abord pour s
marchand. Dans le monde à rebours où nous vivons, où les rapports des
hommes
entre eux, et môme des nations, sont basés sur
tés comme des possédés, sous la pression d’une volonté étrangère; des
hommes
jeunes, vigoureux, valides, pleins de santé et de
yant les découvertes surprenantes qui viennent enrichir l’empire de l’
homme
sur la nature, d’en espérer de nouvelles encore p
s vives capables de faire avancer l’œuvre de Dieu par l’entremise des
hommes
. Vous me répondrez que, précisément, ce qui se
terre doit avoir pour effet de raviver ces espérances, en donnant aux
hommes
les forces propres à faire avancer l’œuvre de Die
’admire la doctrine des esprits qui vient souvent confirmer celle]des
hommes
les plus remarquables, et si, comme ces esprits,
upérieure ; s’ils ne voient rien dans l’univers d’aussi dépravé que l’
homme
, et si, selon eux, la purification du corps et de
point de vue encore, on ne saurait donc user de trop de réserve. L’
homme
est tellement lié aux puissances de la nature, qu
er si lés nouvélles communications qui tendraient à s'établir entre l’
homme
, les fluides naturels et les âmes transmondaines,
et les âmes transmondaines, ont pour but le véritable avancement de l’
homme
et sont de nature à liii en procurer les moyens.
prestiges des puissances occultés qui se ihettent én affinité avec l’
homme
, ne se cache pas un résultat tout opposé à eélüi
ésultat tout opposé à eélüi qu'on espère, et si après avoir associé l’
homme
à leur pouvoir, ces puissances ne le laisseront p
t-il de notre part la plus sérieuse et plus religieuse attention. L’
homme
, trompé peut-être par de faux-semblants, au lieu
se produisent, me sont inspirées par l’opinion et les sentiments d’un
homme
que je n’hésite pas à regarder comme une autorité
umaine! avec quelle puissance il a recherché les moyens de rendre à l’
homme
la conscience des prérogatives de son origine ! c
deux de ses ouvrages (1) et d’une biographie publiée récemment par un
homme
d’esprit, de conscience et de talent (2), quoique
r la nécessité de la communication d’un sensible immatériel parmi les
hommes
, il convient de montrer en quoi consiste le dange
ts politiques de la terre. On a eu raison, dans le droit, parce que l’
homme
avait celui d’élever au-dessus de cet astral tout
genre. h Toute la nature est en somnambulisme, dit-il, et lorsque l’
homme
se laisse subjuguer exclusivement par le régime d
es facultés en les plongeant dans cet universel somnambulisme, dont l'
homme
est le sujet et la victime dans son enfance, puis
nt d’exemples parmi les somnambules magnétiques. » « ....J’engage l’
homme
de désir à considérer le champ du Seigneur, et à
il lui est donné d’en opérer, soit au développement de la nature de l’
homme
, s’il lui est donné d’en apercevoir les profondeu
en état d’être employés parmi les ouvriers du Seigneur. Le commun des
hommes
, quand ils entendent parler des œuvres vives et s
jour. « Je me crois donc obligé de dire à ceux qui me liront, que l’
homme
peut avancer infiniment dans la carrière des œuvr
nt jamais que très-accessoires, relativement au véritable objet que l’
homme
peut avoir dans la carrière des œuvres vives, s
tez maintenant cette définition du miracle, tirée de la grandeur de l’
homme
. « De l’homme-miracle, et des miracles en perma
homme. « De l’homme-miracle, et des miracles en permanence. « Les
hommes
disent, pour la plupart, qu’ils attendent des pre
ament des miracles pour cela, et que des maladroits leur disent que l’
homme
ne peut ni faire, ni voir des miracles, voici ce
es substances qui nous environnent; de varier à son gré, comme fait l’
homme
, tous les actes de son être ; de s’élever dans sa
ler un miracle, selon toute la rigueur de la définition ? « Ainsi l’
homme
, même le plus ordinaire, étant au moins en puissa
puisqu’ils n’en seraient que les conséquences; et, en môme temps, l'
homme
élant ainsi, par ses litres naturels, un miracle
dans le temps des miracles, puisque, au contraire, tant qu’il y a des
hommes
il y a nécessairement devant nos yeux un foyer de
iracles si recherchés, si admirés, mais si inférieurs au miracle de l’
homme
, ils ne pourraient avoir d’autre utilité que de l
e détourner les yeux de dessus cet être miraculeux que l’on appelle l’
homme
. Ainsi, mortel, qui que vous soyez, eussiez-vous
upplément aux véritables moyens que vous pourriez employer auprès des
hommes
; gémissez lorsque, par le honteux oubli d’eux-mêm
puissances de la nature, vous ne développeriez là que la gloire de l’
homme
, puisque vous n’agiriez que sui; les miroirs de l
a gloire de l’homme, puisque vous n’agiriez que sui; les miroirs de l’
homme
, et que la nature est votre apanage ; au lieu qu’
otre apanage ; au lieu qu’en donnant tous vos soins à la culture de l’
homme
intellectuel et en vous unissant à ce foyer des m
poque antérieure à lui, parce qu’ils auront pour objet de ramener les
hommes
à la croyance de l'éternel principe, dont l’idée
pour eux. — Aussi ces prodiges s’opéreront peu par la puissance de l’
homme
, de peur que ceux qui en seraient témoins ne port
qui en seraient témoins ne portassent pas leur esprit plus loin que l’
homme
, et ne le prissent pour la divinité suprême ; mai
s en magnétisme. « Ces honneurs rendus à la mémoire de Mesmer, de l’
homme
que les deux académies des sciences et de médecin
re de la naissance de Mesmer. Les principaux partisans du magnétisme,
hommes
et femmes, convoqués de tous les pays de l’Europe
, ancien ministre; beaucoup de médecins, des avocats, des avoués, des
hommes
de lettres, etc. Tous les commissaires portaient
déjà de magnifiques résultats, et, nous devons le dire, ce furent les
hommes
du propre parti de Y Union qui provoquèrent cette
urce féconde el pure De biens sur l'immense univers, Chaque soleil, l'
homme
superbe, La fleur ou l’insecte sous l'herbe L'a
re catégorie que M. Ed. Aubert appartient ; il parle du magnétisme en
homme
qui l’a bien étudié, et qui, plus préoccupé du pr
d que, dans tous les tempfe et chez tous les peuples, il a existé des
hommes
qui se sont livrés avec ardeur à la pratique du m
st aux êtres inanimés. « La faculté magnétique existe chez tous les
hommes
, mais tous ne la possèdent pas au même degré. Ell
les faits qu’ils ne connaissent pas ou qui ont été découverts par des
hommes
nouveaux. Enfin, cherchez vous-même la vérité, et
de du magnétisme deviendra l’objet des méditations et des travaux des
hommes
les plus éclairés dans les sciences physiques. Qu
ient autrefois dans le but très-coupable d’extorquer la confiance des
hommes
trop crédules et de s’approprier leurs richesses.
uve la source dans la médecine occulte ou hypnoscopi-que des premiers
hommes
. « Or, nous le demandons aux hommes vraiment éc
ou hypnoscopi-que des premiers hommes. « Or, nous le demandons aux
hommes
vraiment éclairés, en méditant sérieusement sur l
es des trois régions de la nature, comme disaient les anciens. Chez l’
homme
et chez les animaux, la matière est gouvernée par
ou sa volonté réglée d’avance par la volonté suprême. Ainsi donc, à l’
homme
l’intelligence pour mobile et pour guide; aux vég
les anneaux unissent le ciel à la terre. Grâce à son intelligence, l’
homme
prend connaissance de l’univers tout entier, et p
s exercent les uns sur les autres une action intime et élective, et l’
homme
, au milieu de tous ces êtres, serait seul fatalem
car, comme nous le verrons dans le chapitre consacré à la nature de l’
homme
, il y a vraiment un hiatus immense entre la physi
, et de prétendre imposer à la nature des limites infranchissables. L’
homme
, malgré tous les trésors de science amassés par s
lient et nous crient à haute voix que la création ne s’arrête pas à l’
homme
, que l’échelle des êtres s’étend à l’infini au-de
tir des limbes ténébreuses où elle est restée enfermée jusqu’ici. Les
hommes
les plus élevés, les plus religieux saluent avec
gouvernent l’univers ; tout acte de leur part, aussi bien que chez l’
homme
, est la résultante d’un certain nombre de ces loi
n recherche philosophiquement et scientifiquement s’il est vrai que l’
homme
communique avec les esprits ; et si, comme nous l
nger réel consisterait dans la tendance que pourraient avoir certains
hommes
à s’abandonner aveuglément à la direction des Esp
tre des expériences dont l’exactitude a pour garant la signature d’un
homme
très-sérieux : « Nous avons pris une table de f
conditions d’âge, conviennent parfaitement; mais une chaîne formée d’
hommes
et de femmes étrangers les uns aux autres, doués
n constaté, puisque des milliers de témoins de toute espèce, depuis l’
homme
vulgaire jusqu'au savant, viennent chaque jour ap
Sept. — Sont-elles toutes du même sexe ? — Non. — Combien y a-t-il d’
hommes
? — Trois. — Et de femmes? — Quatre. « Tout étai
sme animal, est de frapper d’inertie et d’insensibilité le corps de l’
homme
, et de lui enlever ainsi entièrement autant l’usa
és inhérentes aux somnambules, et moins encore dans celles des autres
hommes
, des animaux ou des êtres inanimés, il est hors d
tachant toutes à un ordre de faits qui donne la plus grande idée de l’
homme
et poétise pour ainsi dire toute la nature. Elle
. Dès lors qu’il existe, il ne peut exister que pour une bonne fin. L’
homme
peut abuser de tout ; mais l’usage utile prévaudr
e les nier; bien plus, chacun voulut se les expliquer, et 011 vit les
hommes
qui jusqu’alors s’étaient le plus distingués par
s expliqueront quelque autre chose par le magnétisme... Parce que ces
hommes
11e comprennent pas l’existence de ce qui n’est p
tiellement intelligente, qui échappera peut-être longtemps encore aux
hommes
à théories, mais qui, je crois, a été de suite pr
uvelles formes, puisque les premières n’ont pas suffi pour mettre les
hommes
d’accord , et sous combien d’autres aspects nous
’on appelle clairvoyance, qui est une manière incompréhensible pour l’
homme
éveillé de voir ou de savoir, et ensuite qu’il ma
tteindre le but indiqué par Mesmer, ils dépendront tous de ce que cet
homme
de génie nous a révélé sous le nom de magnétisme,
conditions. La personne sur laquelle 011 veut pratiquer l’expérience,
homme
ou femme, se tient debout. Trois ou quatre hommes
tiquer l’expérience, homme ou femme, se tient debout. Trois ou quatre
hommes
et femmes font, autour du corps de cette personne
à un être vivant faisant partie d’une chaîne magnétique. Donc, notre
homme
, après avoir remis la table en repos, fit asseoir
a chaîne des questions semblables ; il lui fut répondu par l’un : « L'
homme
propose et Dieu dispose, » et « Honni soit qui ma
par les expériences publiques. « Samedi dernier, M. François Guidi,
homme
de lettres et professeur de magnétisme, avait réu
lus incrédules dans la puissance du magnétisme. » 3° ENLÈVEMENT DES
HOMMES
. M. le Dr Begué nous écrit à propos de la suspe
s ont reproduit, ces jours derniers, ma relation sur l’enlèvement des
hommes
, insérée dans le Journal du Magnétisme, 11° 154,
t vu enlever, à plusieurs reprises et avec une facilité étonnante, un
homme
d’une stature colossale et d’un poids approchant
autant d’erreurs ou d’exagérations qui sont tombées devant l’examen d’
hommes
sévères. Ainsi M. le professeur Ce ni y a contrib
LINIQUE. 4>epst noXvv fiiov» Il porte l’abondance vitale. Un
homme
qui avait connu Mesmer, disait de lui : « C’est m
vivant de ce que devait être l’énergie physique et morale de ce grand
homme
; si vous voulez bien, ami lecteur, songer à ce q
on veut la confraternité et la lumière médicale réunies dans le même
homme
: « Avez-vous magnétisé? me dit-il. — Oui, ma
combien on a eu raison d’avoir recours à la puissante médiatrice des
hommes
et du ciel. C’était si bien exprimé, que le senti
n, je lui tends les bras, ça va tout seul... — Mais... — Ah! quel
homme
vous faites avec vos mais !... Tenez, supposez un
de Mondetour, substitut du procureur impérial ; le comte de Serizay,
homme
de lettres; Jouas Leba-ron, chimiste, etc., etc.
s, 1853. De tout temps, l’humanité a cru à des Êtres supérieurs à l’
homme
, exerçant sur le monde terrestre une certaine inf
’amoindrir successivement le rôle assigné aux Esprits. A mesure que l’
homme
s’initiait à la connaissance des lois de la natur
plus eu besoin d’Ëole; la foudre, qui avait tant effrayé les premiers
hommes
et qui avait été si longtemps regardée comme un m
us été qu’un résultat de fluides dont la nature est connue, et dont l’
homme
a su se rendre maître ; ainsi de suite. La phil
phe qu’en rejetant péremptoirement tout intermédiaire entre Dieu et l’
homme
. Le scepticisme du dix-huitième siècle a surtout
de discussion qu’on avait crus oubliés pour jamais. Un petit nombre d'
hommes
graves, bravant le ridicule, animés de convicti
té à l’entraînement général. Au milieu du siècle de l’incrédulité, un
homme
aussi haut placé par scs vastes connaissances que
rt de ne pas s’accorder avec nos préjugés et nos passions. • Bien des
hommes
de bonne foi se livrèrent alors à un examen consc
Dieu, magnifique série symbolisée par l’échelle de Jacob, et dont l’
homme
ne pourrait, sans un orgueil insensé, se croire l
théorie l’existence des Esprits : la réalité de leurs rapports avec l’
homme
ne peut se prouver que par des faits pour lesquel
fier. En dehors du magnétisme , une foule de causes produisent chez l’
homme
une surexcitation de ses facultés, ou même font n
cun de ces phénomènes n’est surhumain, puisque tous ont lieu chez des
hommes
, et que nous ne pouvons fixer la limite des facul
Quelle nécessité y a-t-il donc à les attribuer à des agents hors de l’
homme
? Nous n’éprouvons aucune répugnance à admettre le
oussole, une arme à, feu, soin des miracles au-dessus du pouvoir de l’
homme
, et qui ne peuvent se rendre compte des merveille
il fait tous ses efforts pour parvenir it constater les rapports de l'
homme
avec les Esprits. 11 doit avouer qu’à cet égard l
à les déclarer malfaisants, ennemis irréconciliables de Dieu et de l’
homme
, artisans effroyables de crimes. Sur quoi oserait
ors beaucoup moins choquante, n’en serait pas plus rationnelle; car l’
homme
, soit qu’il agisse en vertii de ses propres force
feu est un des agents les plus précieux, les plus bienfaisants; si l’
homme
s’en sert pour incendier ou ravager, faudra-t-il
des tremblements de terre, des éruptions de volcan, etc. Les premiers
hommes
, ne pouvant les concilier avec la bonté de Dieu,
la réalité de l’intervention des démons et du pouvoir qu'ont certains
hommes
de la mettre à leur service, en vient à applaudir
s surhumaines, et notamment les âmes des morts, conversaient avec les
hommes
; mais, en admettant comme vraies ces assertions,
naissance qui balance la force morale et domine la raison, approche l’
homme
de la folie. Mais comme il est impossible de chas
organe qui veut bien publier ce que j'ai vu, je m’adresse surtout aux
hommes
non prévenus ; je leur raconte un fait : je ne le
n’ont pas cru à son récit, et dit-on fort spirituellement qu’un seul
homme
n’a pas raison contre toute une grande ville. Lor
grande ville. Lorsqu’il s’agit d’un fait soigneusement étudié par un
homme
compétent, par un homme sérieux, par un homme de
s’agit d’un fait soigneusement étudié par un homme compétent, par un
homme
sérieux, par un homme de bonne foi, son témoignag
neusement étudié par un homme compétent, par un homme sérieux, par un
homme
de bonne foi, son témoignage seul peut l’emporter
se produire dans l’œil frappé d’amau-rose, ainsi que dans l’œil de l’
homme
ou de l’animal mort. Lors donc que nous disons qu
ication satisfaisante du phénomène en question. C’est avec de pareils
hommes
que les sciences grandissent et marchent à la con
et ne sait plus comment il s’appelle. « Enfin, il fait embarquer un
homme
et lui donne le mal de mer à un tel degré que ce
cu de sa métamorphose , il a accepte le bras d’un galant chapelier, l'
homme
au mal de mer, et grâce au progrès fascinateur de
’il croyait aussi admirer dans Fatma ; mais la volonté du professeur,
homme
de goût et de science avant tout, a donné une aut
alement demandée. L’auditoire était nombreux. Nous avons remarqué des
hommes
de science, des hommes spéciaux, bien connus dans
itoire était nombreux. Nous avons remarqué des hommes de science, des
hommes
spéciaux, bien connus dans notre cité, qui ont ét
?... Croire, parce que la science est grande ; espérer, parce que des
hommes
dévoués agrandissent son domaine ; se consoler, p
in, des détails fort curieux sur un certain Manuel Blanco, surnommé Y
Homme
loup, par suite des faits d’anthropophagie que no
za, fait qu’on attribuait à un certain Manuel, connu sous le nom de Y
Homme
à la graisse. Il fut reconnu que c’était le nommé
uvré la forme humaine. C’est alors qu’il s’était trouvé avec ces deux
hommes
lorsqu’il se croyait en compagnie de deux loups.
nantes ont le même principe. « TSCIIEREPANOFF. » h" ASCENSION DES
HOMMES
. i Mon cher monsieur Hébert, « La danse des t
Hébert, « La danse des tables occupe les esprits ; l’enlèvement des
hommes
n’est pas moins digne d’intérêt. « J’ai été ass
et notre réussite a été complète. « Les expérimentateurs enlèvent l’
homme
le plus robuste sans aucune dilliculté ; à peine
rique. Quant aux interrogateurs, ils opèrent comme si, au lieu d’un
homme
, ils avaient affaire à une chose. Ils n’imposent
, rien n’en indique encore la réalité. Cette attraction verticale des
hommes
et des choses, bien qu’alléguée par plusieurs obs
tes à être surexcitées par les fluides dont disposait le docteur, bel
homme
du reste, au regard profond et fascinateur. Il sa
strat exprima le désir de savoir par quelle faculté avait été reçu un
homme
de ce mérite, et de voir le diplôme constatant ce
déploré l’imbécillité du siècle, et montré le savant, c’est-à-dire l’
homme
des sciences exactes, conservant seul son bon sen
vres ignorants, légistes, administrateurs, philosophes, agriculteurs,
Hommes
politiques, canaille, sotte espèce, qui sont la p
jamais l’imprudence d’avoir un avis à eux sont les plus crédules des
hommes
. « Les plus crédules et les moins courageux ! N
change. « C’est l’amour de la vérité qui nous manque. Aux yeux de l’
homme
qui aime la vérité, il n’y a pas de vérités indif
tite soit- elle, est aussi lâche que celui qui laisse maltraiter un
homme
dans la nie. Nous nous devons à qui a besoin de n
aines, ont eu un grand nombre de témoins parmi lesquels on compte des
hommes
qui ne sont rien moins qu’ignorants, crédules ou
la force communiquée à la table : nous avons fait monter sur elle un
homme
qui pèse 87 kilogrammes ; nous avons ordonné ii l
posé d’abord deux enfants qui ont été sur-le-champ vaincus, puis deux
hommes
qui n’ont pas mieux réussi, puis deux autres, don
au de bois. « Patience I le jour viendra où M. Foucault, qui est un
homme
de science et de conscience, regrettera d’avoir é
raient bien expliquer un jour ce qu’on veut laisser dans l’ombre. Des
hommes
prévoyants, disons-nous, ont pensé que la peur sa
roient tout sans examen, on peut réduire au silence ce petit nombre d’
hommes
que la vérité éclaire, et que Dieu aj semés sur c
ssance. Bail I vont dire certains esprits subtils, au xixe siècle, un
homme
ose se vanter d’avoir vu le diableI la chose est
homme ose se vanter d’avoir vu le diableI la chose est curieuse ; cet
homme
est fou, il faut lui ouvrir les portes de Cliar
de scs griffes ! Ah! vous parlez comme un curé, vont dire les mêmes
hommes
. Sans doute, cela est vrai ; mais celui-ci vous p
ui a pour lui tout ce qui est faux , hypocrite et mensonger, tous ces
hommes
;ï double visage, si sur ceux-ci Dieu a laissé ef
i peut l’éclairer ! Applatir les cerveaux, courber la face afin que l’
homme
voie toujours comment la bôte broute et s’engrais
pouvoir de la nature et scs enchantements réels; je veux montrer à l’
homme
l’étendue de sa puissance, lui indiquer ce qu'il
nt de Dieu , que le mystère de la vie peut être perçu, et qu’enfin, l’
homme
étant supérieur à toute l’animalité , une autre v
s qu’on obtient en Amérique. Cet article mérite toute l’attention des
hommes
sérieux. — Un homme qui a longtemps poursuivi l
ique. Cet article mérite toute l’attention des hommes sérieux. — Un
homme
qui a longtemps poursuivi le magnétisme des sarca
on, comme il en existe dans les m s-cles de la vie organique. «2° L’
homme
, en présence d’un corps qui se meut, se trouve da
enêtres donnaient sur la rivière, et où elle avait été déposée par un
homme
portant lunettes et tablier de travail. Sur ce
ient il l’ordre pro-« phétique. « Plongé dans un sommeil factice, l’
homme
voit à travers « les corps opaques, à distance, e
inaires, qu’il serait urgent, a dans l’intérêt de la société, que les
hommes
attachés à la « police aient une somnambule à leu
1° Ont-elles désigné les plaignants? Non; Mmc Barthélémy a parlé d’un
homme
portant lunettes, en bras de chemise et tablier,
mois de prison. (Moniteur judiciaire de J.jon.) \ccrolo#ic. — Un
homme
qui a soutenu le magnétisme avec une grande const
cadémie de médecine a eu tort. lxs faits qui constatent l'action de l’
homme
sur l’homme ont sans doute été démesurément gross
édecine a eu tort. lxs faits qui constatent l'action de l’homme sur l’
homme
ont sans doute été démesurément grossis, dénaturé
du mesmérisme. L’auteur, caché sous le pseudonyme de Fluidus, est un
homme
de beaucoup d’esprit et d’un talent bien connu po
être à rester toujours impénétrables pour la débile intelligence de l’
homme
. Existe-t-il en nous un fluide que nous aurions l
nt ardue. Plusieurs auteurs recommandables, ne pouvant admettre que l’
homme
, par le jeu de ses organes, puisse acquérir une t
tive. Nous ne savons ce que c’est qu’une âme dégagée de la matière. L’
homme
, tel que nous le connaissons, ne peut exister san
our expliquer le fait que nous venons de rapporter, nous dirons que l’
homme
possède un agent magnétique qui, d’après sa volon
our faire tourner la colonne Vendôme, etc. » Il est étrange que des
hommes
de mérite, mais imbus de préjugés, aient autant d
n avec telle ou telle théorie. Ici, il ne s’agit que de vérifier si l’
homme
peut, sans imprimer aucun mouvement par son actio
siècle? Pourquoi répandre inutilement tes célestes rayons? Laisse les
hommes
courbés sous l’ignorance; qu’ils portent leur fai
ion morale, à ce besoin des âmes, devons-nous, pour plaire à quelques
hommes
, nous arrêter également ? Non, nous ne le ferons
L’incrédulité est le type du libre penseur, de l’académicien et de l’
homme
d'Etat. — Vraiment, monsieur, vous ne croyez pa
quarante et une signatures autographes des quarante et un principaux
hommes
d’Etat décédés des Etats-Unis, venus tout exprès
iageexpugnol (1). Vous affirmez que la transformation imaginaire d’un
homme
en loup, laquelle je puis produire et que j’ai pr
tits monstrueux doit cesser d’être pour vous un motif de nier que cet
homme
, cannibale en plein pays civilisé, ait I agi so
que nous servons, vous et moi, mais qui de plus intéresse la vie d’un
homme
éventuellement placé sous le coup d’une condamnat
ctobre 1853. » FAITS ET EXPÉRIENCES. 1° ASCENSION ET ROTATION DES
HOMMES
. Le Journal des Pyrénées-Orientalcs, feuille qu
re estimable journal du 1k mai dernier, l'article de l’ascension de l’
homme
; veuillez, je vous prie , me réserver encore une
ables, fait qui est assez constaté aujourd’hui, mais la rotation de l’
homme
. « Après plusieurs expériences, dont les réussi
, à chacun ses idées, ses croyances, ses doutes. n L’ascension de l’
homme
s’opère, comme je l’ai dit, par le fait d’un flui
personnes chez moi, afin de tenter l’expérience sur l’enlèvement des
hommes
. « Nous avons suivi les préceptes que M. Xiffre
l’intérêt de la science et de la vérité. « Quant à la rotation de l'
homme
, telle que M. Xiffre nous l’a donnée dans le Jour
seulement que la femme s'élève, Qu’on lui sourit au ciel, et que l'
homme
, éperdu De respect et d’amour, peut la chérir san
S. (5° Article.) Vous qui croyez la chaîne des êtres terminée à l’
homme
, qu’il n’y a rien au delà, vous êtes dans l’erreu
issance de la nature, puissance mise par Mesmer aux mains de tous les
hommes
. Voyez-vous les académies s'émouvoir, examiner, c
ement que vous porterez sur moi soit empreint de justice. Lorsqu’un
homme
découvre un des secrets de la nature, n’a-t-il pa
plus grands éclats de la parole humaine ne partent-ils pas aussi des
hommes
de paix et de silence? Selon eux, il faut venge
es de paix et de silence? Selon eux, il faut venger Dieu et punir l’
homme
sans foi qui ose dire que la terre tourne. Et tou
presses gémissent bientôt de diatribes à son adresse. 11 faut que cet
homme
meure à la peine si Dieu n’a point trempé son âme
royance, Jésus devait être un jour le prince des mages et initier les
hommes
à la science morale, en les convainquant du surna
ainte, un sot orgueil, nous font redouter le jugement et la censure d’
hommes
que nous croyons placés très-haut dans l’estime d
supérieur à beaucoup de magnétistes, c’est que, quels que soient les
hommes
qui m’approchent ou devant lesquels j’expérimente
générale, un infâme charlatanisme , un jeu cruel de la bonne foi des
hommes
crédules, une piperie qui mériterait toutes les s
aient le pâtre et le berger, et si nous voulions publier la liste des
hommes
qm crurent à Satan et qui le virent, on serait to
nt pis pour vous, on saura bien vous prouver que vous ôtes un méchant
homme
. On dit que le démon a perdu sans retour son em
tenté de croire que la mort du divin Sauveur n’a rien sauvé; car les
hommes
ne sont point meilleurs , et il est vrai aussi qu
eilleurs , et il est vrai aussi que la nature est toujours la même. L’
homme
ne change pas plus que la nature. 11 existe un pr
agnétique, c’est-à-dire un des merveilleux résultats de l’action de l’
homme
sur l’homme, et qui ont cru tout de suite qu'une
’est-à-dire un des merveilleux résultats de l’action de l’homme sur l’
homme
, et qui ont cru tout de suite qu'une table peut m
es admirateurs, des modificateurs, le complément de la nature, créa l’
homme
, une intelligence servie par des organes pour dev
oyant purement spirituelle, n’est pas unedes facultés primitives de l’
homme
, mais bien le résultat de l’action simultanée de
et des facultés de l’âme; c’est la persévérance raisonnée, et chez l’
homme
l’instinct agit quelquefois à l’insu de l’intelli
faire. « Je crois donc que dans notre monde matériel, l’esprit de l’
homme
ne peut rien sans le corps. « A. D'IIAREMliERT.
riche et intéressant sujet est tous les jours exploré par une foule d’
hommes
éminents qui y consacrent leurs méditations, mult
ue, s’il existe des êtres extra-humains capables de se manifester à l’
homme
, l’expérience seule pourra nous apprendre s’ils s
uand en France, en Allemagne, en Angleterre et en Amérique beaucoup d’
hommes
graves et consciencieux présentent une série d’ex
t achever l’ouvrage terrible de la nature.... C’est à qui d’entre les
hommes
s’excitera au carnage.... partout des hécatombes,
onneur de faux dieux, partout des blasphèmes et des malédictions... L’
homme
, enfant encore, brise les idoles jouets de ses pe
e , la tempête est partout; lorsqu’elle n’est point dans le cœur de l’
homme
, elle est dans les éléments.... Des rires, des pl
urs, des sceptres et des couronnes : tout sera brisé et renversé... L'
homme
vend son frère, il le rend esclave; il distille l
e mains, les persécutés deviennent à. leur tour persécuteurs !.... Un
homme
apparaît.... il fait cesser ces meurtres..., il l
issant le soufre et le salpêtre..,, leur mission est de conserver les
hommes
: ils inventent ce qui doit les détruire.... Part
s armes.... — Mais la justice, la vois-tu quelque part ? — Non; l’
homme
ne la connaît pas encore.... Il jette à terre c
attre pour la sainte cause de la justice? — Non, pas encore!... Les
hommes
vont s’entre-détruire au nom du Dieu de paix et d
tion est entrée dans une phase nouvelle : nous voyons aujourd'hui des
hommes
d’un mérite reconnu admettre le fait et en recher
’idée, nuance délicate à saisir, mais saisissable cependant pour tout
homme
qui se domine ; que dans cet acte, dis-je, l’élec
urs candides auxquels évidemment s’adresse le docteur. Mais pour tout
homme
qui se domine et qui s’étudie, pour les esprits s
J’ai lu avec l’extrême intérêt qu’inspirent toujours les travaux d’un
homme
illustre dans la science, j’ai étudié avec l’atte
1 vol. in—18. Paris, 1853. Depuis l’antiquité la plus reculée, l’
homme
a cherché à connaître sa nature, son origine, sa
r : >• Que la certitude n'existe pas et annulerait l’humanité, l'
homme
et la civilisation. » Il dit ailleurs : « Qu’
ion. » Il dit ailleurs : « Qu’il n’existe aucune certitude pour l’
homme
, et que c’est là le secret de l’existence humaine
our l’homme, et que c’est là le secret de l’existence humaine ; que l’
homme
n’est pas même certain de son existence matériell
n, à faire descendre sur la terre le règne de Dieu prophétisé par les
hommes
supérieurs chez lesquels tant de générations ont
ue tous les écrivains qui, aujourd’hui, dissertent sur la nature de l’
homme
, ne croient pouvoir le faire sans s’occuper du ma
sme est une propriété de la matière et non pas nn esprit terrestre. L'
homme
, comme composition matérielle, prend dans son org
ion terrestre, fluides qui comptent pour beaucoup dans sa création. L'
homme
, d’après des lois qui nous sont inconnues, peut d
nditions de l'activité matérielle conduite par l’activité do l’âme. L'
homme
se repose dans le sommeil, quand lu matière est t
elle est fatiguée d’activité. Or le magnétisme, en .'»?■luirgeaitl l'
homme
de forces adirés, le force à s'endormir, et alors
ée du corps par le magnétiseur; c’est que l'âme n'appartient pas à un
homme
; elle est universelle, elle appartient à l’existe
maine, et qui d’ailleurs ne sort jamais des idées de l’existence de l’
homme
. « Des gens qui ont été endormis une fois par u
agnétiseur, s’endorment très-promptement aux autres fois; en effet, l’
homme
peut repousser le Jluide par la volonté, de même
aux ivresses. Le magnétisme est une force matérielle que l’âme chez l'
homme
11e peut vaincre. Un individu plus fort qu’un aut
ins droits sur la matière, et elle peut attirer le magnétisme. « Un
homme
peut s’endormir tout seul du sommeil magnétique,
• Des boissons magnétisées peuvent produire certains effets •sur l’
homme
. * « Nous n'entrerons pas dans la recherche et
existence humaine : aussi le magnétise ne peu/ rien plus savoir que l'
homme
ne peut savoir, rien plus savoir que le magnétise
c loei dislanciis coereilu. Cette puissance magique est cachée dans l’
homme
; elle sommeille et agit en nous comme l’ivresse.
ins limitée par des influences contraires. « La force cachée dans l’
homme
est une certaine puissance extatique, qui n’agit
qui ne vient pas du ciel et encore 7»oins de t’enfer, mais bien de l'
homme
lui-même, comme le feu qui jaillit du silex; c’es
it ainsi pour vous des charmes. Parfois vous appeliez à vous quelques
hommes
et cherchiez à ouvrir leurs yeux à la lumière ; m
ndant pour un esprit crédule. Cœur candide, vous croyie -que tous les
hommes
de science vous ressemblaient, et que, comme vous
nt parce que vous le méritiez qu’il ne vous fut point accordé. Un bon
homme
n’a pas d’ennemis; mais il n’arrive point, 011 le
que de me l'attacher à jamais. Bon ! va dire certain sceptique, cet
homme
est jésuite, ou d’une crédulité à toute épreuve.
un mot. de tout ce qu’il nous dit. Conservez vos doutes, mon brave
homme
, et si vous êtes médecin, sachez d'abord mieux em
nous arrêter aux objections, sans considérer le péril qui menace tout
homme
qui s’engage dans ce labyrinthe. Baron DU POTET
assez remarquable. Voici le dialogue qui eut lieu entre nous : — L’
homme
peut-il infdtrer sa vie à un objet inanimé, et en
bles de recevoir, par transmission, aucun principe vital émanant de l'
homme
, comme le peuvent les personnes sensibles à l’act
îne. — Comment se produit cet agent magnétique? — La volonté de l’
homme
détermine l’émission d'une plus ou moins grande q
pé des prodiges du vénérable Laforgue, que je regarde comme un de ces
hommes
marqués du doigt de Dieu pour le triomphe du magn
uleurs reparaissent, et quel n’est pas mon étonnement, d’entendre cet
homme
me dire : — Je suis guéri, voyez ! Et il se m
s savants travaillent plus, en général, leurs opinions que les autres
hommes
, et mettent ensemble, pour les composer, une plus
evalier assure avoir obtenues. « Si le tribunal admet ce jugement d’
hommes
compétents et à coup sûr peu suspects de partiali
¡’influence bienfaisante des passes de M. Chevalier ; mais encore des
hommes
remarquables et honorés dans les lettres, les art
avec un imbécile, devenait le sot, tandis que le sot se changeait en
homme
d’esprit. Charmante métamorphose, à laquelle plus
istes ; il ne ménage pas même ses propres amis, car loué par un lel
homme
, c’est, selon nous, recevoir un outrage. Auteur
exactitude. « On connaît le dicton populaire qui s’applique il tout
homme
heureux: « 11 a de la corde dépendu dans sa po-«
es rues, traverse les jardins, entre dans une maison, et, montrant un
homme
qu’il trouve, dit froidement : «Le voilà. » Le dé
son amour-propre offensé le porta à remplir une tâche qui perdait un
homme
, mais qui prouvait sa merveilleuse intuition. Le
steur? Quel pouvoir microscopique se développe-t-il dans l’œil de ces
hommes
? Quelle sublime créature est celle que Dieu fit
été militaire; à mon âge, que j’ai servi sous l’Empire. Eh bien ! un
homme
qui a servi sous l’Empire a gardé de l’empereur u
bout je lui dis : « Mais si, par ma volonté, je faisais tomber cet
homme
qui est là devant nous? — Je ne croirais nullem
quelques communications relatives à l’expérience sur l’enlèvement des
hommes
. Permettez-moi de soumettre quelques réflexions s
, que j’ai vue moi-même et fort admirée, c’est celle dans laquelle un
homme
pesant est soulevé avec la plus grande facilité,
ns. « A Venise, l’expérience se fit d’une manière plus imposante. L’
homme
le plus pesant de la société était porté et soute
ccéderait à l’empereur actuel, parce qu’on avait dit que ce serait un
homme
accompli sous tous les rapports, la bague avait e
s, affligée d’hémorrhagie utérine , malgré les soins intelligents des
hommes
les plus distingués dans l’art de guérir. J’étais
mme le vent du désert pour accabler le voyageur, mais pour livrer les
hommes
à des disputes sans fin. Plus on produira de merv
e d'Orléans. « Il y a, dit Descartes, trois choses en l’esprit de l’
homme
qu’il faut, suivant saint Augustin, soigneusement
u’il ne sait pas. u Or, ceci est une chose honteuse et indigne d’un
homme
, que d'opiner; pour deux raisons : la première, p
que la présomption est en soi la marque d’un esprit mal fait et d’un
homme
de peu de sens. « Nous devons cc que nous enten
que, 129. — Serpent à sonnettes dompté à Cayenne, 81. Ascension des
hommes
. Renseignements et expériences par MM. : Dr Bégué
tables, 447. — Rotation humaine, 367, 371, 450, 530. — Ascension des
hommes
, 377, 449, 530, 608, 633. Extase. Fait, 390.
tuition médicale. Faits, 38, 180, 396, 470, 819, 605. Lycanthropie.
Homme
tuant plusieurs personnes pour en manger la chair
ne Adresse au Directoire ou à l’Assemblée législative. Un étranger [
homme
] célèbre par ses découvertes utiles à l’humanité
de juste, général et invariable, comme étant pris dans la nature de l’
homme
. Quelques-unes de ces idées ont été adoptées ;
. Hélène se retire dans un pavillon; Urbain reste en compagnie de l’
homme
noir, qui lui demande salaire pour sa peine ; tou
né pour recueillir la richesse impérissable qui sort de la bouche des
hommes
de bien, et je les traduis au vent qui souffle po
e M. Roger une valeur trop considérable aux yeux du public pour que l’
homme
le plus désintéressé dans ces débats scientifique
tumeurs..... Nous dirons donc vite, qu’en Angleterre, d’abord, Un
homme
fut, en octobre i8/|2, amputé de la cuisse, dans
ome Ier, et nous avions nos raisons pour cela. M. Cahagnet, excellent
homme
du reste, paraît être d’une susceptibilité excess
je sais, ce que je pressens seulement, des perfections divines que l’
homme
est appelé à connaître un jour? Que M. Cahagnet n
reurs qui charment leur jeune âge, sachant bien que lorsqu’ils seront
hommes
ce manteau tom bera de lui-même. Irai-je établi
ui manque de principes pour le diriger; il peut même rendre insensé l’
homme
fort, en taisant naître en lui l’orgueil, car il
ujet? Rien de positif; le progrès opéré l’a été par la perspicacité d’
hommes
bien éveillés, par la constante observation des p
hoses plus grandes, mais elles sont le fruit du délire ; ici c’est un
homme
froid qui nous donne ces rêves, il les écrit séri
es plus stupides et les plus sanguinaires ont tour à tour conduit les
hommes
, et fait des fanatiques. Pourquoi donc en est-i
des fanatiques. Pourquoi donc en est-il ainsi ? C’est que moins les
hommes
savent, plus ils s’exaltent; l’erreur est alors c
a pas même le mérite d’exciter une controverse. Fruit du cerveau d’un
homme
qui s’imagine des choses petites, mais qu’il croi
et distancés par des années. La science antique se reformera, et les
hommes
seront témoins de merveilles ; tout nous l’indiqu
ns de merveilles ; tout nous l’indique. Mais que de travaux, et que d’
hommes
mourront à la peine! Le ciel ne s’escalade point,
eurs qu’en moi la lumière qui me manquait. Vainement j’ai demandé aux
hommes
que je croyais instruits, je n’ai pu rien apprend
ière de la pé nétration ouvre votre entendement? Par la souffrance: l’
homme
heureux ne peut rien apprendre, il s’épanouit dan
sa vanité; et ce divin mirage des choses du ciel n’arrive que chez l’
homme
résigné qui, tout en souffrant, s’humilie. Celui
, rappelez-vous Jésus faisant usage de figures et de paraboles. Si un
homme
, par la force de son génie, découvrait ce qui dép
mprendrait, il serait longtemps méconnu. Si M. Cahagnet est un du ces
hommes
, il est destiné à subir la loi commune; car, moi
lui dire : Je crois que vous avez imaginé unParadis dans vos rêves d’
homme
éveillé, et j’attends que les preuves deviennent
archant avec difficulté avec un bâton ; guérison en huit séances. «
Homme
de quaranle-sept ans, douleurs au bras droit par
suite d’une chute, depuis trois semaines; sept séances, guérison. «
Homme
de soixante-trois ans , incontinence d’urine depu
lle, qu’on pouvait presque la considérer comme guérison complète. «
Homme
de soixante-sept ans, douleurs rhumatismales , de
ude , douleurs, privation du mouvement; quatre séances, guérison. «
Homme
de trente ans , tache à l’œil droit par suite d’u
nsufflation de sucre, et deux séances de magnétisation, guérison. «
Homme
de trente-sept ans, coup d’une branche d’arbre au
ux récompenses humaines : notre mission est au-dessus du jugement des
hommes
. Parmentier apprenant qu’on dérobait chaque nui
répandues par nous; tant mieux, disons-nous, car c’est pour tous les
hommes
que nous avons travaillé. Et n’avons-nous pas pri
ance do Mesmer. Nous avons l’intention de fêter , comme d’habitude, l’
homme
à qui nous devons la découverte si précieuse du m
viendra payer sa dette de reconnaissance à Mesmer, le bienfaiteur des
hommes
. On peut, dès maintenant, se faire inscrire au
sera court pour organiser ce banquet, et nous avons à regretter que l’
homme
honorable qui jusqu’à présent s'en était chargé,
e magnétisme bien amusante. 11 paraît que ce médecin peut faire qu’un
homme
s’imagine on être un autre, et que le patient est
laindra et on le regrettera ; si vous réusissez, vous aurez rendu les
hommes
heureux , et vous serez l’objet de la vénération
Pour ma part, je pense qu’une pensée sans penseur est chose que tout
homme
qui pense ne pourra concevoir. » L’inconséquence
ui...... pour les garnements dont elle assure l’impunité; mais pour l’
homme
vertueux, c’est une amère déception. D’ailleurs,
académie ouverte au magnétisme se rouvrira, grâce au zèle de quelques
hommes
dévoués au progrès. (Tribune lyonnaise.) tome v
e nous en paraît pas heureuse. Pourquoi une main de femme? Celle de l’
homme
, qui représente la force, n’eût-elle pas été plus
privé d’un représentant de l’art mesmérien. C’est, sans contredit, l’
homme
qui a le plus contribué au succès de notre œuvre
viron seize ans. La sienne est deux fois plus grosse que la téte d’un
homme
. C’est un curieux exemple d eléphantiasis, affect
état normal. 20 mars. — Pouls, 98; respiration , 18 par minute. Cet
homme
devra être magnétisé tous les jours, une heure et
. Le volume de la tumeur est à peu près trois fois celui d’une tète d’
homme
. La santé de Sonatum est considérablement affaibl
invraisemblable. Il lui semblait que c’était le moyen d’éclairer les
hommes
: l’Académie ne fut point de son avis. Craindrait
palpable et odo- ranie comme celle qui vient du rosier. » Ce savant
homme
dit qu’il avait souvent tâché de faire la même ch
marque d’écialant souvenir à la mémoire du plus grand bienfaiteur des
hommes
, notre maître Mesmer. J’espère que vous ne manque
davre pendant une demi-heure après, pendant que j’opérai sur un autre
homme
dans la même salle. Je l’éveillai alors. Il est i
e 10. Après avoir préparé Shaik Koochill, je me disposai à opérer cet
homme
. Il avait été depuis deux jours dans l’état le pl
rouva peu d'avantages de sa trance magnétique. Le contraste entre cet
homme
et son heureux voisin Shaik Koochill est des plus
ac de peau d’environ le volume d’une fève française (un haricot). Cet
homme
parut aussi agité vers la fin de l’opération ; ma
t. Alors la puissance de l’appareil fut portée au second degré, qu’un
homme
robuste ne peut supporter qu’avec une grande diff
ifficulté seulement quelques secondes. Il s’agita simplement comme un
homme
sous l’influence d’uu rêve pénible, et lorsqu’il
qui venait d’arriver, et que j’espérais qu’à son prochain réveil, cet
homme
ne conserverait aucun souvenir ni de l’opération,
nlevait quelques vases, M. Lindssedt, le maître du patient, arriva. L’
homme
lui répéta ce que je viens de dire. Après qu’il f
elles voulaient en attendre l’issue; ces messieurs y consentirent. L’
homme
fut encore mesmérisé. Au bout d’un quart d’heure,
um. Le 10 mai. Gopaul Doss, un Sirdar porteur, âgé de quarante ans,
homme
grand et très-musculeux, est venu de Ballessur, a
e part, sans que le bruit s’en répande partout ailleurs où il y a des
hommes
qui travaillent pour elle , et sans que ceux-ci s
morales et physiques, ouvre des horizons tout nouveaux à l’étude de l’
homme
;.... chose inutile, sans doute, pour le catholiqu
e révolution remarquable a eu lieu dans les symptômes morbides de cet
homme
. Anciennement les accès étaient toujours suivis d
que nous produirons. Mais à quoi servent mes appels? S’il existe des
hommes
qui savent, ils cachent leurs lumières. Disons pl
ed, contiendra ce qui, dans un avenir prochain, servira à accuser ces
hommes
sans verlu comme sans cœur; car le plus impérieux
eaux du déluge. Repoussé parce qu’il était lumière, non point par les
hommes
simples, l'âme du simple à tous les regards s’ouv
s’ouvre; mais par les beaux-esprits de toutes les académies, par les
hommes
appelés à diriger les nations, et qui ne surent j
in par qui nous sommes, dut être nié jusqu’à nos jours par tous ces
hommes
aveugles qui ajoutent le blasphème au mensonge, e
’être, le revêt de divins attributs? Je ne m’étonne plus si de tels
hommes
condamnèrent Socrate à boire la ciguë; s’ils cruc
ux qui d’entre les mortels étaient inspirés de Dieu ! Longtemps les
hommes
industrieux gardèrent pour eux les secrets qu’ils
leurs, qu’aucun ne lui tiendra compte du sacrifice qu’il ferait ; les
hommes
sont tellement oublieux et ingrats, qu'ils ne se
, il garde ce qui lui fut confié, il est coupable d’abord envers les
hommes
, puis envers Dieu lui-même. Un châtiment l’attend
onstancié au sujet de l’action qn’exerce le serpent à sonnettes sur l’
homme
. J’en ai déjà trois cas bien constatés, et combie
ns de Mesmer , entache plus ou moins la mémoire et la conduite de cet
homme
respectable : c’est un parti pris de le salir; et
de la matière ne sont également que des formes purement idéales; si l’
homme
est l’image de Dieu, il doit participer au don cr
s cas. Cette exagération de l’efficacité du magnétisme prouve que cet
homme
éminent n’en avait fait qu’une étude superficiell
sable du précieux métal?........ Mais je me borne à m’étonner qu’un
homme
aussi distingué, docteur en médecine, placé à la
idence si palpable? Est-il donc défendu d’aimer, de chérir les grands
hommes
? Les intentions de M. Gentil nous paraissent m
on ; les premiers sentiments religieux furent inspirés par la peur; l’
homme
chercha toujours, par ses prières, à dissiper le
s des païens. Philostrate (i) prétend que de tous les avantages que l'
homme
peut retirer de la divination , l’art de la médec
é par la formule du serment qui se trouve en tête des ouvrages de cet
homme
célèbre : « Je ferai part à mes disciples de tous
n une méthode curative qui consistait à faire passer une maladie d’un
homme
dans un autre , ou dans un animal, quelquefois mê
uer en doute l'authenticité des nombreuses guérisons obtenues par des
hommes
d’une grande réputation de science et de probité;
rera dans le dédale immense de l’imagination. Dans tous les temps des
hommes
célèbres, victimes de leur vanité ou des préjugés
n lui attribuait. La transplantation de la santé ou de la maladie d’
homme
à homme, sans influence apparente de la puissance
tribuait. La transplantation de la santé ou de la maladie d’homme à
homme
, sans influence apparente de la puissance magnéti
de jeunes filles ; en les faisant coucher avec des vieillards ou des
hommes
épuisés par des longues fatigues ou le libertinag
dinaires se rétablir promptement en couchant avec des enfants; et des
hommes
épuisés coucher avec des nourrices fraîches et vi
et propager des impressions sans être touché. » Longtemps avant cet
homme
célèbre, Maxwel attribuait aux émanations lointai
les enregistrer ici. Le même médecin cite (i) plusieurs exemples d’
hommes
qui ont atteint un âge avancé dans la fréquentati
sique expérimentale doit faire excuser les erreurs où sont tombés des
hommes
du plus grand mérite. Après avoir étudié l’infl
prononcé, nous citerons la pbthisie pulmonaire; nous avons connu des
hommes
d’une forte constitution et d’une vie bien réglée
hamp qui ne peut produire d’épis. Dieu, dans ses desseins, incite les
hommes
; il faut sans doute qu’ils atteignent le but, que
us sommes peut être un de ces êtres au triste privilège. Suivons. L’
homme
a double vie; la science connaît bien l’une : cel
les physiologistes sont à peu près d’accord; le cerveau seul, c’est l’
homme
presque tout entier : la science apprend peu de c
ues. Ici toute science s’évanouit; le savant est comme le dernier des
hommes
: il croit que tout se borne à des rêves, qu’il n
es, que chacun de leurs systèmes ne dure en moyenne qu’une année. L’
homme
agit sur tout ce qui l’entoure par une loi de nat
ide saisissable : 011 11e le voit point, diront-ils. Attendez, grands
hommes
, on vous le montrera. Ce fluide a des propriétés
ux qui servirent de base à toutes les doctrines religieuses, et que l’
homme
, dans toute sa simplicité, attribuait au démon. C
issant en faisceau les rayons de cette lumière, et les portant sur un
homme
plein de vie, tout s’illumine en lui, sa face a q
e dont il est mention dans notre numéro précédent. C’est une lettre d’
homme
compétent; nous l’extrayons du National de F Oues
née. En présence de si douloureuses circonstances, est-il permis à un
homme
qui croit savoir des choses utiles, nécessaires,
, je livre ses réponses au public, suppliant, avec instance tous les
hommes
capables, et surtout les médecins, juges en parei
enances de la raison ; in vino verilas : ce proverbe pâlit ici, car l’
homme
troublé par le vin n’a aucune liberté: il est pre
averti de l’approche de son maître, n’est point une preuve pour nos
hommes
à courte vue. ¡\Iillc faits sont là pour attester
orsque j’aurai vu moi-même les esprits sans corps, et que cent autres
hommes
les auront aperçus en même temps : il ne me suffi
délébile facile à reconnaître pour les gens sages. Mais le commun des
hommes
adopte sans examen, et c’est ainsi que l’humanité
gaire. Mais, que parlé-je de sagesse ; en est-il aujourd’hui chez les
hommes
? Et, moi-même, dans cet instant, en livrant au pu
et juge de leur bonheur par la fin qu’ils feront! llien n’éclaire l’
homme
: présentez-lui une loi de conservation, il la dé
minicalc.s. Magie Magnétique. (Suite.) Nous disions naguère aux
hommes
d’intelligence, en faisant appel à leurs lumières
’un bon nombre de personnes, la démonstration du fluide qui vivifie l’
homme
, et que nous appelons magnétique animal ou humain
pousse des éclats d’un rire étrange. Il voit : ce sont de pelits bons
hommes
qui dansent une ronde, enlacés l’un à l’autre, et
inconséquence des gens qui se croient raisonnables. Interrogez chaque
homme
, parvenu à sa maturité, sur les choses singulière
sous des faits recueillis et qui sc conservent dans les croyances des
hommes
. Tout à l’heure je dépasserai peut-être la démarc
imulé. L’effet en fut prompt, et il eut quelque chose de terrible. Un
homme
d’une trentaine d’années, employé à l’imprimerie
ux à qui la nature refuse de parler. Je ne veux point rester comme un
homme
qui, ayant un nouvel organe, refuserait de s’en s
t la vérité réelle et puissante qui m’incite et me pousse en avant. L’
homme
qui a vu la lumière du jour, doit-il, parce qu’il
vert quelque chose d'inconnu, me serait-il permis, sans cesser d’être
homme
, de ne point y appliquer toutes mes facultés. M
is ils sont pour moi autant d’hiéroglyphes. La magie était connue des
hommes
autrefois, je ne puis en rejeter l’évidence. On a
éplique qu’ils étaient écrits non pour tromper, mais pour engager les
hommes
à rechercher les vérités qui étaient cachées sous
ient point ignorés des anciens. Les ballons; belle chose, ma foi! Des
hommes
existèrent, dans l’antiquité, qui surent s’élever
les , car ils nous manquèrent toujours. Puissante intelligence de l’
homme
, les savants ont coupé tes aîles! Chaque fois que
il faut, lorsqu’on la possède, l’implanter en autrui. Rien n’arréte l’
homme
qui croit, et le temps est passé où celui-ci n’os
l, a réussi à faire dévier une aiguille asiatique par la volonté de l’
homme
, c’est-à-dire par le courant électrique que produ
tout cœur) commence par faire justice des moyens honteux que certains
hommes
à l’âme basse et cupide ont mis en œuvre pour exp
dre des faits que la nature offre à nos méditations. « Dès lors, tout
homme
sensé peut se livrer avec une consciencieuse arde
ur se sont emparés, comme d'une proie, des savantes inspirations d’un
homme
de génie ; c’est qu’en cherchant à fausser l’idée
isant de certains êtres sur d’autres; enfin, l’action magnétique de l'
homme
sur les animaux, et de ceux-ci entre eux. Résum
achant par leur nalure propre à son adorable système, est l’idée d’un
homme
de génie , l’œuvre merveilleuse d’un être essenti
bénir la nature de nous avoir donné ce précieux moyen de soustraire l’
homme
aux atroces souffrances qui naissent et se multip
er à autrui C’est là, dira-t-on, l’idéal du bon magnétiseur, et peu d’
hommes
sont en état de le personnifier complètement, nou
es inconvénients qui s’attachent aux meilleures choses dirigées par l'
homme
, le magnétisme est encore un agent qu’on ne saura
projeter d’une manière immédiate sur les organes en souffrance, tout
homme
de sens doit comprendre qu’il y a bien plus de pr
ternelle, qui proclama l'affranchissement des esclaves, l’égalité des
hommes
devant Dieu, et changea la face du monde en disan
le mensonge, funestes présents de l’esprit du mal, aient aveuglé les
hommes
au point de leur faire dénaturer les adorables pr
imples pratiqueront; et lorsque, « obéissant à la voix d’en haut, les
hommes
, suflî-« samment doués, se consacreront sans rése
es couches; mais un jour, enceinte et souffrante, elle consulta notre
homme
, qui lui dit les précautions à prendre, quels soi
as : il est de la Faculté de Paris; mais il faut bien peu connaître l’
homme
, ou être prodigieusement médecin pour concevoir q
OU CKST-QU I NZI HUE ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE MESMER- Les
hommes
cherchent toujours à se survivre; c’cst un besoin
sque jamais du fruit de son génie, il sait qu’après lui seulement les
hommes
auront souci de sa mémoire, et regretteront d’avo
’acquitter. Ainsi, pour Mesmer, nos plaintes seraient injustes, cet
homme
illustre vit toujours pour les magnétiseurs. Ils
es ces renommées éphémères ?.....Les Facultés comptent leurs pertes d’
hommes
illustres , enregistrent leurs hauts-faits, leurs
onc bien puissante pour réunir ainsi dans un même banquet une foule d’
hommes
! Ici point d’opinions diverses, ni de lutte ; les
un bien de famille, ne se transmettaient qu’à de rares élus. « Des
hommes
inspirés de Dieu , se souvenant de Christ, osaien
qui doivent un jour modifier puissamment ce qui existe, et rendre les
hommes
meilleurs et plus heureux. Voyez, messieurs, comm
fins. Ainsi le soleil ne mûrit point tout à coup les moissons. Les
hommes
, avant de jouir des bienfaits de la civilisation,
et combien nous avons à rendre grâce d’être venus dans un temps où l’
homme
commence à se comprendre, et où , devinant la Pro
sparaître. Ceux qu’un vain orgueil avait établis au-dessus des autres
hommes
cesseront de faire autorité : c’est le progrès du
premier nous révéla. « Toutes ces prétendues connaissances sur 1
homme
, gloire des physiologistes, ne seront plus conser
cause, doivent un jour être inscrits dans l’histoire. Les enfants des
hommes
qui nous maudissent béniront notre mémoire, car i
ert pour sa cause? Dois-je me plaindre en cet instant ; on ne devient
homme
que par la souffrance, les plus heureux d’entre l
précieux des biens; car, tandis que l’obscurité environne encore les
hommes
qui nous dédaignent, ne pouvant plus nous opprime
faut une haute intelligence et du génie; pourquoi avez-vous choisi l’
homme
qui n’a pour tout mérite que les talents que tous
! messieurs, à notre illustre maître! Buvons à sa mémoire, car il fut
homme
de bien. » A LA GLOIRE DE MESMER!!!! Après ce d
t que ne peut procurer la science ollicielle. La main secourable d’un
homme
dévoué et sympathique se posant sur la douleur qu
fait des vieux pour que le divin magnétisme soit compris par tous les
hommes
, et que, descendant dans la famille, il devienne
n revue les moyens qui tour à tour ont été employés pour soulager les
hommes
. Par des tableaux saisissants, il a peint les sou
omnambulisme , on saura tellement en démasquer les faussetés, que nul
homme
ne pourra s’y tromper. Voici ces couplets : S2©
insi que tout ce qui est fondé sur le bien et la vérité passionne les
hommes
, et établit des liens dont le poids n’est jamais
jecturale; aussi, en terminant, ferai-je un appel généreux à tous les
hommes
de l’arl, mes collaborateurs : qu’ils s’occupent
faire comprendre un grand mystère. La vérité fut connue de bien des
hommes
, ils trouvèrent sur leur route ce qui n’existe pl
és religieux armés de la loi et du glaive. Ils trouvèrent dans chaque
homme
d’église un censeur inexorable, ne laissant jamai
récieux furent brûlés par la main du bourreau, c’est ainsi que tant d’
hommes
périrent d’une mort funeste pour avoir voulu fair
es dont l’histoire est remplie? Comment se fait-il que des milliers d’
hommes
soient saisis au même instant de la même crainte,
vérité en la revétissant de tous les préjugés; que l’imagination des
hommes
s’en soit emparée pour la traduire selon le capri
être séparée de son alliage impur. Sans doute on a souvent trompé les
hommes
en leur imposant des croyances sacrilèges; mais l
i était son œuvre hier, l’est aujourd’hui et lésera demain. C’est aux
hommes
à lever son voile et à l’imiter dans ses opératio
érience de M. Du 15ois, et venait appuyer de; sa voix l’assertion des
hommes
éminents qui avaient déjà précédemment constaté l
. Il n’y a aucune partie de la science de l’être, en général, et de l’
homme
en particulier, à laquelle le magnétiseur doive r
rnes électorales les plus profondes, montrent dans leurs repaires les
hommes
dangereux que la justice poursuit en vain, etc.,
parce que « une aiguille aimantée mue à distance par la volonté de l’
homme
, c’était donner gain de cause à ces nuées de cha
int irrationnels Puisse cet avis vous éviter de flétrir davantage des
hommes
honorables, et jeter , sans motif, la défaveur su
sensible à l’électricité. Effrayé d’avoir vu opérer Shaik Ackber, cet
homme
voulait fuir. Le Dr Esdaile étant prévenu de son
e tumeur depuis deiix ans. « Avant d’opérer Ranidial j’examinai cet
homme
, tjue je n’avais pas encore vu. C’était le jour d
inq ans, soufl'rait depuis quatorze ans d’une énorme tumeur. C’est un
homme
fort et musculeux ; il s’est souvent fait cautéri
leur conscience cette dissimulation qui s’attache si fréquemment à l’
homme
dans son état naturel. « Un jeune homme, nommé
Mesmer and Swedenborg, par George Bush. ) — A cette appréciation d’
hommes
distingués, nous opposerons quelques réflexions c
lus général des faits magnétiques. Qu’est-ce donc que l'humanité? L’
homme
est-il né bon ou méchant? Si nous le surprenons e
dans les traitements directs, quand le somnambulisme se montre chez l’
homme
souffrant. Le dormeur est trop occupé de sa propr
incères * qu’on pourra dire : A son enfance, le magnétisme trouva des
hommes
qui surent se dégager des illusions , et voir la
ion est trouvé ; c’est notre malhabileté qui nous rend inférieurs aux
hommes
distingués de l’antiquité. Mais près de nous* déj
sur le magnétisme mesmérien. Cet auteur croit à l’action vitale de l’
homme
sur son semblable. Il admet bien que nos procédés
quelque jour sur ce sujet énigmatique. On crut que le frottement d’un
homme
par un autre, l’apposition des mains, etc., produ
endant vingt séances au milieu du tumulte des curieux. Mais M. Gravé,
homme
de coeur et de conviction , c^lme et courageux ,
érées dont le public entend parler fort souvent, et qu’obtiennent des
hommes
simples après que de savants médecins ont vu leur
és tout entiers dans le mode d’organisation physique el morale de l’
homme
, apparaîtra de nouveau, mais sans voiles, et seul
dire , celui qui avait seulement menacé M. du Potet ; et quoique deux
hommes
placés à ses côtés fissent tous leurs efforts pou
s ces ressorts sont mis en jeu; c’est par ce pouvoir exorbitant que l’
homme
possède d’entrer violemment, par l’énergie de son
entrer violemment, par l’énergie de son vouloir, dnns lame d’un autre
homme
, de s’y installer, de toucher toutes les fibres d
e sont renversées, anéanties; par quoi?... Par la simple volonté d’un
homme
; par cette volonté qui dirige un agent mystérieux
leverser l'organisation physique, intellectuelle et morale d'un autre
homme
. Seconde expérience. Dans la seconde expérien
-nous devant ces faits curieux et si remarquables, et convenons, nous
hommes
réfléchis, observateurs et initiés quelque peu au
airement conduire à une plus ample et plus complète connaissance de l’
homme
; à l'examen philosophique de ces états si surpren
renants où, sans être plongé dans un sommeil naturel ou artificiel, l’
homme
apparaît à nos yeux jouissant de toutes ses facul
savants, qui, malgré leurs efforts pour faire marcher la science de l’
homme
, ne l’ont pas fait avancer d’un pas depuis Socrat
ur l’humanité! Et quand Socrate, le plus sage et le plus instruit des
hommes
, avait pris pour maxime : La seule chose que je s
avec le secours de la science nouvelle, et commençons par celle de l’
homme
, ce merveilleux assemblage de toutes les puissanc
rodiges de la création; le plus beau spectacle que Dieu ait donné à l’
homme
. Nous vous appelons encore, comme nous vous avo
pense. Lorsque tout s’apprêtait pour rendre un éclatant hommage aux
hommes
qui ont servi la cause du magnétisme, et que, déj
mpathie qu’il éprouve pour les travaux d’autrui, et d’ho- norcr les
hommes
qui servirent la cause de l’humanité. Un avis u
aine Campbell, du 14e régiment, fds du gouverneur. Jamais plus galant
homme
ne porta le3 ¿paillettes avec autant de distincti
commençais à n’être pas sans inquiétude sur la fin de cette lutte. L’
homme
en opposition avec le serpent, quelle plus émou
e serpent, toujours plus excité ou charmé, avait les yeux fixés sur l'
homme
, dont il semblait suivre les évolutions, et il ag
e mordit. Le poulet expira dans l’espace de trois minutes : quant à l’
homme
, elle n’essaya pas même de l’attaquer. Mais quell
t ce que j’avais entendu conter. Je fis l’ascension des montagnes; un
homme
du pays, ami des Durafour me conduisit à leur fer
que nous ne voulons faire est précisément ce qui convient à d’autres
hommes
. A nous la science positive, les données rigoureu
on lui avait rapporté sur mon hôpital était réel, qu’on y rendait les
hommes
entièrement insensibles à leurs souffrances. 11 a
e puissent y être aussi pratiquées dans les mêmes conditions. « Cet
homme
me montra la noie où il inscrivit alors mon nom e
mmodé, bien qu’il n’eût pas de bandago. 11 y a quinze jours, ce brave
homme
s’occupait à ramasser des débris de chaume jetés
emblable perplexité. — Rien. — Vingt minutes, vingt-cinq minutes; mon
homme
se tourmentait..... et rien. Les vomissements a
enfin, et elles emportaient, disait-on , le mal avec elles (i). « L’
homme
qui semblait ainsi commander à la vie nous venait
rps humain était considéré comme ayant un pdle nord, un pôle sud. Les
hommes
devenaient des barreaux aima ntés (5). « Ainsi,
t on lit dans ses Aphorismes cette belle définition : « La « vie de l’
homme
est une partie du mouvement « universel (5). «
t du traitement. 12» Un violent accès de tétanos étant survenu à un
homme
affecté de rhumatisme aigu, on le magnétisa duran
« l’on pût administrer de son existence............L’action que « l’
homme
a sur l’imagination peut être réduite en art, et
existe pas, sert donc à faire connaître une « puissance réelle de l’
homme
......Le magnétisme est un fait de plus à « cons
se tourna de même comme auparavant. » Mesmer n’était certainement pas
homme
à croire à des faits de telle nature, mais peut ê
étisme, si le magnétisme reBte inactif devant le système nerveux de l’
homme
et des animaux; qu’il est de la chaleur, si la ch
'adopta dans les recherches d’analyse. Il y eut pourtant encore des
hommes
, pleins de mérite et de savoir, qui crurent avoir
nq cents volumes contiennent à peine déjà! Oh! nous vous le disons, l’
homme
, par son âme, est séparé de la nature terrestre,
ra-t-il se contenter uniquement de l’intervention de la divinité? Les
hommes
les plus religieux du xixe siècle ne croient plus
champ des malades aux portes du tombeau, et frapper soudain de mort l’
homme
le mieux portant; elle opère de vrais miracles, e
s merveilleux effets que l’imagination exerce sur l’organisation de l’
homme
. Ils sont unanimes pour signaler le pouvoir dont
ire atteste qu’il continua à parler. Péklin cite l’observation d’un
homme
qui fut (1) Anquetil. Histoire de France, 1.111
rsista pendant plusieurs jours. Hecquet (2) cite l’observation d’un
homme
qui, apercevant une personne suspendue par les ta
s les secours de la médecine. Il a existé, dans tous les temps, des
hommes
ou des femmes qui passaient pour guérir les malad
re à leur privilège. Cette propriété fut aussi attribuée à quelques
hommes
dont les vertus ou la position élevée pouvait exe
ed droit sur la partie douloureuse. « 11 n’y a pas, dit Plutarque , d’
homme
si pauvre et si abject, qu’il ne soulageât lorsqu
on quelconque, et portés par des malades. « Cette énergie , dit-il, l’
homme
la tient de Dieu, et non de Satan, et il peut la
it peut préserver de beaucoup d’accidents, en soutenant le moral de l’
homme
. Nous avons souvent été surpris de l’efficacité d
d qu’en jetant au feu les excréments d’un chien , d’un enfant ou d’un
homme
, les intestins commenceront à s’échauffer; une f
te* sur le Magnët., p. 110), naissance à cette méthode médicale. « Un
homme
de Bruxelles, rapporte ce médecin , s’étant fait
mettre, par la certitude d’être reconnu tôt ou tard. Chronique. —Un
homme
instruit, intelligent et d’un bon cœur, pratique
t son règne est assuré. C’est une gloire, sans doute, pour quelques
hommes
qui d’abord osèrent soutenir Mesmer et ses idées.
érité brillante et majestueuse, enfantant des vertus, passionnant les
hommes
, et les reportant aux principes sublimes de l’Éva
ment le doute en nous, et nous nous écrions : Est-ce là tout ce que l’
homme
peut connaître de sa nature; doit-il donc toujour
creusée par l’ignorance. « ¡N’est-ce pas pitié que de voir de tels
hommes
établis comme guides des nations ? Et si nous jet
ation qui s’avance; que, par toi inspirés, se montrent parmi nous des
hommes
comme Pythagore, Socrale et le divin Jésus. Le ma
onger notre regard. « N’allez point vous égarer en prenant pour cet
homme
inspiré l’un de ces mystiques rêveurs qui donnent
tre allés jusqu’au ciel. Bien des sectes doivent se produire ainsi. L’
homme
aime par passion l’erreur; il s’y plonge. 11 adme
ines pratiques. Dans vos généreux desseins, vous voulûtes honorer les
hommes
d’intelligence et de dévouement ; ceux qui, march
te entreprise. « Il ne faut plus désormais laisser dans l’abandon l’
homme
qui n’attend qu’un regard d’ami pour marcher en a
nouveau. « Je dis ceci, parce que nous avons besoin de deviner les
hommes
, d’être attentifs à leurs œuvres, pour discerner
Bertrand retourna à la médecine, faute de trouver un [appui chez les
hommes
qu’il voulait servir par son beau talent. « Le
ut sans qu’on daignât faire quelque chose pour lui. « Bien d’autres
hommes
encore méritaient d’être soutenus, encouragés; on
ce n’était la gloire du triomphe. Mais la gloire touche bien peu les
hommes
aujourd’hui. Que leur importent ces récompenses a
ette renommée; lorsque le mensonge est honoré partout. Qu’importe à l’
homme
qu’il se survive, quand l’erreur lui donna, vivan
ours jeune; car elle doit se renouveler sans cesse par l’adjonction d’
hommes
nouveaux et méritants. Honneur à vous, qui avez e
s avez fait, pour Mesmer, en peu de temps, ce qu’on devait attendre d’
hommes
dévoués; ce que n’avaient point réalisé les homme
devait attendre d’hommes dévoués; ce que n’avaient point réalisé les
hommes
riches et titrés qui pourtant croyaient à ses pri
; soyez heureux comme je le suis moi- même ; car la vérité unit les
hommes
entre eux, tandis que l’erreur les divise. « Ce
encontre tant d’obstacles? Quel beau sujet d’études ! Apportée par un
homme
inspiré, la vérité prend d’abord racine sur le gr
mpter, ni détruire. « Vérité, Vérité! c’est par toi que d’ici-bas l’
homme
remonte jusqu’à Dieu; sans toi, il n’est qu’un vi
l grouillant dans la fange. Le magnétisme, ce rayon divin, révèle à l'
homme
sa nature : par lui, la face du monde sera changé
e. Pressentez, messieurs, ses hautes destinées; augmentez vos rangs d’
hommes
dévoués et convaincus ; puis, attendez l’avenir.
al, que devons-nous penser de ces cures éclatantes attribuées par les
hommes
superstitieux à la puissance des saints ou de leu
ession, elles accusèrent Urbain Grandier. La réputation de ce prêtre,
homme
d’esprit, et d’un extérieur agréable, était alors
on salutaire que devaient exercer dans la cure de la démonomanie, des
hommes
revêtus des insignes du sactrdoce. Les rites et l
l’usage des exorcismes et des oraisons pour chasser les maladies des
hommes
ne soit aussi ancien que l’Église. Le fils de Die
vins et enchanteurs. Parmi les exorciseurs des temps modernes, deux
hommes
se sont acquis une grande célébrité. Victimes de
n laboureur nommé Charlemagne. Ces expériences curent lieu devant les
hommes
les plus recommandables du pays, des théologiens,
animal. « Mon expérience, dit-il (1), m’avait appris dès lors que cet
homme
n’était que l'instrument de la nature. » Nous aur
l’imagination. Il existait, en 1771 , à Paris, rue des Moineaux, un
homme
que l’on appelait le Toucheur, ou leSatni homme ,
rue des Moineaux, un homme que l’on appelait le Toucheur, ou leSatni
homme
, qui obtint de nombreuses guérisons par le simpl
ira pour dissiper les préventions injustement attachées au nom de ces
hommes
honorables par leurs vertus et leur dévouement à
écouvrir quelques vérités utiles. Après avoir démontré que tous les
hommes
investis aux yeux du peuple des prestiges de la p
mêmes prodiges. » Cette opinion est du reste partagée par tous les
hommes
qui se sont occupés de la médecine d’imagination
s sur toutes les parties du corps sans paraître s’en apercevoir ; des
hommes
leur marchaient sur le ventre et la poitrine , sa
ré pouvoir éviter. D’un côié, nous portons atteinte aux convictions d’
hommes
honorables et instruits, qui, dans leur admiratio
utienne. Sans ce concours , le sentiment du beau, du bon, qui porte l'
homme
à honorer les actions éclatantes et les œuvres ut
abnégation constante, ce sacrifice de soi-même , qui portent certains
hommes
à donner leur vie pour prolonger celle de leurs s
ainsi le principe de la conservation des êtres ne ressemble point à l’
homme
, pourtant généreux, charitable, qui distribue son
ant les gouvernements, qui récompensent par des marques d’honneur les
hommes
qui furent assez heureux pour arracher à la mort
runcdouce rosée donnant la paix du cœur, et qu’il initie par avance l’
homme
béni aux jouissances réservées à l’homme juste; M
et qu’il initie par avance l’homme béni aux jouissances réservées à l’
homme
juste; M. Laforgue, l’homme antique, ressemble à
’homme béni aux jouissances réservées à l’homme juste; M. Laforgue, l’
homme
antique, ressemble à ces solitaires d’un autre âg
e de ceux qui les contemplent ! On a comparé la demeure de ce saint
homme
à la piscine de Jérusalem : c’est tout dire ; et
Puisse la dislinction que nous sollicitons aller droit au cœur de cet
homme
vénérable, pour lui dire : Vos frères pensent à
le drapeau mesmérien planté sur un autre continent, non plus par des
hommes
obscurs, mais par un médecin distlngné, dont I3 s
er à chacun une médaille de bronze. IY. - M. DE ROVÈRE. Parmi les
hommes
que vous vous êtes promis de récompenser, vous av
erez pas, messieurs, tant de ferveur sans appui; vous voudrez que cet
homme
énergique aperçoive de loin des aides, des admira
essence même du magnétisme, qui, par un irrésistible attrait, porte l’
homme
aimant à s’approcher de l’être souffrant, et d’en
tique, et qui semblent être choisis par Dieu pour faire connaître aux
hommes
les vérités utiles. M. Joseph Barthet, de laNou
le Nouveau-Monde. Zélateur puissant de notre cause, il rechercha les
hommes
d’élite, dont il vainquit les résistances en les
ussi élevées que ceux dont vous êtes animés. Rien ne plait tant aux
hommes
que la vertu ; on aime à lui rendre hommage. Elle
tes les jongleries dont on cherche à l’environner, et pratiqué par un
homme
consciencieux. « Il y a vingt-quatre ans, j’étu
ls d’un éminent magistrat consulaire dont le premier titre fut d’être
homme
de bien, de savoir et de charité. Douée de ces
e savoir et de charité. Douée de ces vertus , et formée par de tels
hommes
, M“' Delahay devait acquérir les plus vives et l
me et les effets de magie qui en résultent, établissent pour tous les
hommes
de sens l’existence d’une science nouvelle différ
ge pour qu’il soit renversé. Nous pouvons donc, enfin, saisissant l’
homme
en lui-même, faire apparaître dans tout son jour
its, si, quittant ma simplicité, et me revêtant du manteau d'un grand
homme
, je me mets à parcourir les populations en les re
t, et où les louanges ou le bûcher étaient acquis irrévocablement à l'
homme
aventureux qui s’était inspiré pour un instant de
d’une innocente tranquillité? Je ne demande rien et n’envie rien aux
hommes
. En éclairer quelques-uns est ma seule envie ; jo
ent dans le cadre que je me suis tracé. Commençons : Je prends un
homme
plein de santé, dans la force de l’âge, et, lui m
i mettant à la main une canne qui ne m’appartient point, je dis à cet
homme
éveillé : « Tu seras ivre dans un instant, et tu
avait de la contenance, du respect pour tous. N’esl-il pas ivre! et l’
homme
ainsi placé n’a nul souci d’autrui. Le vin n’altè
nd sa prise et se promène à pas mesurés : c’est la nature vieillie, l’
homme
près du tombeau. Mais, que dis-je? Il se croit je
dieux de faire cesser l’âge mûr. Ce que Dieu a fait est bien ; mais l’
homme
a la puissance d’altérer son ouvrage. N’a-t-il pa
son s’effraie, car je ne vois point de digues à opposer au torrent. L’
homme
qui s’élève dans les airs est bientôt saisi de ve
la puissance mystérieuse du magnétisme? En une matière aussi grave, l’
homme
frivole se contente de rire, celui que la nature
re transportée à Pau, qu’il allait me suivre de suite : en effet, cet
homme
extraordinaire se rendit chez moi, cl, après avoi
tir. Ces dérangements de nerfs ont été successivement guéris par un
homme
de I.igny, habitué au traitement de ces maux, et,
nti. Anna CHABOT. Troyes, 12 mars 1848. Ami des sociétés et des
hommes
qui s’occupent du mesmérisme, et membre correspon
r pourtant avec éton-nnement, à l’une de nos dernières revues, un bel
homme
d’armes sauter en selle, se mouvoir et faire l’ex
précepte, et semer le bien partout. Puisse également la société des
hommes
reconnaissants et éclairés des pieux disciples de
er, faire quelque chose pour liii, et reconnaître les services de cet
homme
fervent et courageux qui refuse d’honorables et l
je ne m’en acquitte pas avec plaisir. Voici ce que je sais sur cet
homme
charitable : Connu ici comme amateur de magnétism
’octobre 18/17, Par l0,IS *(‘s temps, j’ai remarqué que cet excellent
homme
, non moins désintéressé que courageux, a donne s
on par la méthode la mieux raisonnéc; car M. de Rovèrc n’est point un
homme
ordinaire; il n’est point seulement hon praticien
Monsieur le Président, Après avoir entendu toutes les calomnies des
hommes
qui cherchent à jeter des embûches dans la marche
ais vous rappeler les circonstances qui m’ont fait connaître cc digne
homme
. M. Thessier, médecin , voyant l’état de ma mal
ne santé parfaite , et à l’heure qu’il est mon cœur saigne de voiries
hommes
si injustes. Ils ne comprennent pas que l’homme q
ur saigne de voiries hommes si injustes. Ils ne comprennent pas que l’
homme
qui donne sa santé pour soulager les autres, ne d
sme comme de toutes les sciences : souffrance et résignation pour les
hommes
qui sont utiles au genre humain. V'otre servite
uelle est ta mission? Tu veux réformer les croyances, et éclairer les
hommes
! Tu veux les rendre heureux en faisan t pénétrer
germe des vérités immortelles! Tu viens briser les fers qui rivent l'
homme
au mensonge, et chercher son émancipation ! Puis
peur qu’ils auront de comprendre! Non, Dieu ne fit point ainsi les
hommes
! Qui donc a pu les pervertir et changer leur natu
is, à force de recherches, peut-être peut-on l’apprendre. Il faut à l’
homme
de l’or, beaucoup d’or. Pourquoi faire? Ne faut-i
n; monte les degrés de ces Académies, pénètre-toi des discours de ces
hommes
vénérés, l’élite de la nation ; puis cherche le f
sera démontrée. Pousse plus loin tes recherches ! Sans doute tous ces
hommes
ont trouvé le remède aux maladies nées de leurs p
e la pensée! Parle d’une philosophie douce et consolante, qui porte l’
homme
vers son auteur en semant sur sa route de nombreu
agique : magnétisme! Ce qui est pur va tomber dans la boue; car aucun
homme
de science ne voudra le comprendre. Va, tout n’
ide iutelli-geut le laisse dans l’obscurité. Ainsi l’on vit périr les
hommes
du destin, qui, pensant être des dieux eux-mêmes,
l el à leur folle raison. Ils étaient remplacés aussitôt par d’autres
hommes
ayant même mission ; le monde tourne et se mainti
do même ; mais ces lois sont secrètes et insondables au vulgaire. L’
homme
ne s’est donc rien donné : il a tout reçu ; et le
divine que de souffrir? Pourquoi non? C’est la souffrance qui fait l’
homme
fort. En effet, c’est la pensée tourmentée , écha
èbres qui nous environnent. Cette fièvre singulière qui s’empare de l’
homme
placé au milieu de circonstances difficiles où to
a dit cent fois : la nécessité est mère des inventions. Il faut que l’
homme
s’oriente, qu’il rumine un aliment moral, et que,
ontrer pour illuminer la terre? O misère profonde de l'humanité ! L’
homme
est destiné à vivre dans l’ignorance, car celle-c
ignorance, car celle-ci doit sc; perpétuer. C’est en vais» que (les
hommes
téméraires , plutôt qu’éclairés , soutiennent le
, comment il faut apprendre! Étonnez vous maintenant des disputes des
hommes
, des opinions diverses, des croyances opposées; e
il soit si rare de rencontrer quelques opinions identiques, dans deux
hommes
partis de points différents! Eh! nous l’avons fai
e obéit. Mais aussi, par un contraste choquant, la nature produit des
hommes
à esprit faux, qui parlent el agissent comme s’il
La terre n’est qu’un champ de carnage, uu sépulcre, un tombeau où l'
homme
vraiment éclairé esl réduit à gémir. Son impuissa
ntant, son regard abandonne la terre pour se diriger vers Dieu. Des
hommes
sans scrupules et sans science pervertissent le c
magnétique! Je pourrais vous faire le tableau des misères morales des
hommes
que je rencontrai sur ma route, de leur crétinism
, de leur crétinisme natif, qu’ils n’avaient jamais pu surmonter. Ces
hommes
m’ont fait un crime de ma croyance, m’ont flétri
ai-je point eu le cœur navré, en entendant sortir de la bouche de ces
hommes
, que je croyais philosophes, les paroles les plu
ais , que je ne croirais pas. Puis, riant, gambadant, se moquant, ces
hommes
allaient sans doute, en quittant leur interlocute
dées et de faits qui contredisent toutes les assertions de nos grands
hommes
. C’est un nouvel art de guérir les maladies; une
F.n avant,novateurs! Qu’importent les difficultés à vaincre, el les
hommes
puissants que vous avez à combattre! Vous avez po
u bien des obstacles, détruit bien des préjugés? Après vous, d’aulres
hommes
achèveront votre tâche. Pionniers de la pensée, v
article, ce que beaucoup de vous auront peine à croire, ce que nul
homme
étrangerau magnétisme nopourra comprendre : 11 y
t jugement contemporain; car je m’appuie sur des faits que trop peu d
hommes
ont eu la faveur de voir, mais qu’ils sont tous a
ée à mon esprit, comme elle s’est exprimée par des faits que d’autres
hommes
ont saisis. La vie nous arrive par un rayon plu
e le cœur, que ne l’est dans cet instant un caractère tracé de main d’
homme
. Changeant brusquement la position de l’expérim
elle qui jaillit en cet instant ne peut éclairer qu’un petit nombre d’
hommes
. Qui donc allumera le flambeau qui doit guider le
r sur tous? On a bien dit que certains étaient nés pour gouverner les
hommes
, les conduire et régler leurs destinées. Ils étai
i~ bertè mal entendue n’est plus qu’un vain mot, propre à séduire les
hommes
. La liberté, laquelle entend-on? Pour moi, toutes
êmes et au magnétisme considéré comme science. Il est temps que les
hommes
sérieux qui étudient et pratiquent le magnétisme,
nétisme, et j’ai constaté par de nombreuses expériences tout ce que l’
homme
peut sur l’homme. J’ai obtenu, sans le sommeil ma
constaté par de nombreuses expériences tout ce que l’homme peut sur l’
homme
. J’ai obtenu, sans le sommeil magnétique, les plu
alimenter le fanatisme et la superstition ; et ainsi en indiquant aux
hommes
les moyens naturels de guérir, et de jouir de la
la science du mesmérisme s’est bien répandue, développée; une foule d’
hommes
dévoués aux idées humanitaires ont, par leurs tra
endant , nous ne nons dissimulons pas que nous avons, devant nous, un
homme
grave, aussi éminent par son savoir que recommand
n'oublions pas, en publiant son erreur, que c'est trop souvent aux
hommes
avides de vérités nouvelles qu’est applicable le
es entretiens avec le pionde des esprits, et d’en faire connaître aux
hommes
les mystères, impénétrables par toute a,utçç vo*ç
leurs qui déjà montraient leurs corolles. Ainsi l’ont expérimenté les
hommes
de génie. On les vit s’approcher, se placer sous
de cette même action à grande distance; car il est facile de jeter un
homme
par terre à plusieurs centaines de pas. La scie
e innée, il rejettera bien loin ce que la nature a formé et donné à l’
homme
. Le magnétisme et le somnaüibulisme ! Voilà la
a à l’hortitoié plus qu’aux animaux ; ceux-ci n’ont que l’instinct; l’
homme
reçut la double vue. De tout ce qui précède, co
d’eau tombant sur le granit, finira par faire son trou; mais bien des
hommes
9’useront sans que la trace de leurs efforts soit
Vos chefs sont aussi misérables, aussi ignorants que les derniers des
hommes
, et vous en êtes arrivés à vous moquer justement
eureux au bûcher, ils croient, dans leur simplicité d’enfant, que les
hommes
d’autrefois, accusés de magic, étaient des niais
re, comme le but final du magnétisme. Dissiper l’erreur, éclairer les
hommes
, leur dire : Votre malheur vient de vous, et non
, qu’il fallait détourner ; le commandant de place de- manda trente
hommes
pour creuser une citerne qui devait recevoir ces
rchez, pratiquez, instruisez-vous ! Mais lorsqu’il s’agit d’élever un
homme
à la hauteur de prophète et de fondateur d’une re
sion; voyant des bosquets, des rivières, des palais, des maisons, des
hommes
et d’autres objets. Mais après avoir marché ainsi
ules aperçoivent toutes les choses de la pensée et de la volonté de l’
homme
, et même beaucoup plus qu’il n’en sait lui-même.
, non-seulement, toutes les choses de la pensée et de la volonté de l’
homme
; mais même, beaucoup plus de choses que l’homme n
et de la volonté de l’homme; mais même, beaucoup plus de choses que l’
homme
n’en sait lui-même. » (Ârcana cœles-tia, 6214.)
erte sentence : Tromper est tellement le partage de l’humanité, que l’
homme
se sert même de la vérité pour mentir. CHOCARNE
ser les conséquences aussi loin que possible, et plus loin qu’aucun
homme
ne l’avail l'ait encore, je n’agirais point dans
etc.; tant par le magnétisme naturel, qui est à la portée de tous les
hommes
, que par le magnétisme spirituel, qui ne peut êtr
par le magnétisme spirituel, qui ne peut être exercé que par quelques
hommes
privilégiés. «..... Tous les arbres ne peuvent
nifique temple; le magnétisme spirituel en est le sanctuaire où peu d’
hommes
peuvent pénétrer. Science sublime, qui appartient
qui appartient autant au ciel qu’à la terre;'science qui transforme l’
homme
sur la terre, et l’associe déjà aux intelligences
aux intelligences célestes.... « ....Aujourd’hui j’offre à tous les
hommes
instruits, et de bonne volonté, dans toutes les c
le développement possible de cette heureuse faculté, qui rapproche l’
homme
de la divinité, de guérir, du moins de soulager p
ée de prendre des renseignements sur l’abbé Joly, et l’on sut que cet
homme
, ancien curé de Selles et de Bac-Hellouin, commun
Guy, 557. Médecine transplantatoire. Maladies passant du corps d’un
homme
dans un autre, ou dans un animal, 168. — La géroc
gération, mais pour l’avoir observé sur les cinq somnambules lucides,
hommes
ou femmes, les seuls que nous ayons eus à notre d
rser la thérapeutique actuelle pour la remplacer par l’agent que tout
homme
dévoué à ses semblables porte en lui et qui n’exi
dentique sans connexion saisissable avec les vérités physiques dont l’
homme
s’est mis successivement en possession, et qui so
us les mages, les sages et les philosophes du monde : la croyance à l’
homme
double, esprit et matière, à l’immortalité de l’â
ans pouvoir communiquer entre elles. C’est emprisonner la pensée de l’
homme
, comprimer ses aspirations et les attacher à la t
y découvre chaque jour de nouvelles propriétés. Il en est ainsi de l’
homme
en possession de la mécanique du monde. S’il en é
et ne puisse le réaliser; sans cela la pensée et les conceptions de l’
homme
dépasseraient celles de son créateur, et quelle e
produisent, va devenir on ne peut plus claire. ic Suivez bien... Un
homme
est en présence d’une pile galvanique, son intell
cles en mouvement (Matteuci, de Humboldt). « Si la volonté pousse l’
homme
à communiquer un signal par la vibration électro-
n’en désigne aucun. « (l’est exactement le même risque que court un
homme
faible ou médiocre qui se livrerait en aveugle à
ur des escarpements ; « il faut gravir pour l'atteindre ; si tous les
hommes
étaient u justes, elle serait la fleur de la vall
elle est dans le soleil « qui est le paradis où vont les esprits des
hommes
qui ont « bien rempli leur mission sur la terre.
éclaire? ,, _ Non ; mon soleil est à Dieu ce que sa tête est à « l’
homme
; les astres visibles et matériels qui servent à
uel. « Dieu est incompréhensible dans sa grandeur infinie, et « les
hommes
, dans leur orgueil immense, ne le compren-« liron
ée d’une pareille existence, continue et variée îi l’infini, pour les
hommes
sans corps ou les esprits immortels ! Notre révei
un fait tellement répandu aujourd’hui, qu’il n’est plus possible à l’
homme
doué de la logique la plus vulgaire de le contest
succomba et, se renversant en arrière, resta les yeux fermés comme un
homme
endormi convulsivement. « Alors M. de Rovère, p
avait donc environ trois mètres d’espace entre eux deux. 11 fixa cet
homme
, étendit le bras vers lui, et le pointa du doigt
fut comme fasciné, il se mouvait sur ses jambes, trébuchant comme un
homme
ivre, et cependant sans quitter le triangle, et p
l ; à l’autre « j’ai attribué le vice. » « Peu après nous vîmes cet
homme
, par des mouvements de pieds presque imperceptibl
cette chaise avec la main et se retira. Peu après nous vîmes le même
homme
qui était sur le triangle se tourner le dos à la
de Rovère se mit entre eux deux et commença ses passes. Peu à peu cet
homme
donna des signes non équivoques de la puissance q
les ne s’adressaient pas, en sorte qu’il était sur sa chaise comme un
homme
qui sort d’un profond sommeil. Quelques passes à
chez lui. « Plusieurs personnes dignes de foi disaient que le même
homme
avait prédit quarante-huit heures d’avance la nei
sance, comme ceux du paganisme pour faire parler leur sibylle ; que l’
homme
a donc une puissance directe sur l’homme, et que
parler leur sibylle ; que l’homme a donc une puissance directe sur l’
homme
, et que cette puissance est d’autant plus grande
défaut d’une voix plus éloquente, l’existence si bien remplie de cet
homme
de bien, dont tout le Béarn peut s’honorer à just
plus d’une fois considérées comme incurables. « Aujourd’hui que cet
homme
de bien n’est plus, nous pouvons sans craindre, h
e ton esprit ou l’œuvre du démon ! » Ainsi s’exprimait à peu près l’
homme
du sanctuaire, près de celui qui allait cesser de
Les magnétistes doivent être fiers de posséder dans leurs rangs des
hommes
qui savent vivre et mourir ainsi, car ils prépare
tres surhumains capables d’opérer des choses excédant le pouvoir de l’
homme
, ces êtres, en produisant de tels effets, agissen
e, et que leurs actes sont tout aussi naturels que ceux que produit l’
homme
; d’où l’auteur aurait dû logiquement conclure à
ons. Ni la philosophie, ni la religion n’enseignent qu’en dehors de l’
homme
il n’y a que des anges et des démons, c’est-à-dir
de son action ; qu’il n’est pas une fonction concourant à la vie de l’
homme
qui ne soit réglée par une intelligence. L’immens
cordages, soufre, fer, phosphore, etc., dans tout ce qui constitue l’
homme
. Avertis cependant par les différentes combinaiso
La science des écoles est donc la plus vaine des sciences, car les
hommes
qu’elle a formés ignorent ce que la nature ne ces
s se trouvent assez curieusement décrites avec le détail succinct des
hommes
qui en furent les apôtres, et l’analyse d’un livr
guérit véritablement par l’imposition des mains; en 1772, apparut un
homme
connu sous le nom de toucheur, et qui s’appelait
e cnit doué de la même vertu. « Longtemps avant eux quelques autres
hommes
s’étaient dits possesseurs de cette précieuse fac
ea, in-8\ 11 regarda comme chose généralement reconnue, qu'il y a des
hommes
doués de la faculté de guérir certaines maladies
qtuï vitalis car-diaca microcosmica, conçue en ces termes : « Qu’un
homme
, étant à jeun et ayant purifié sa bouche, « souff
approcher ce monsieur et l’invitai à lui donner le bras. Bien que cet
homme
soit très-robuste , son bras fut étreint de telle
de la corne du cantonnier ; puis parfois il saisissait son siège, et
homme
et siège faisaient des cabrioles d’une extravagan
atteindre ma main qui s'éloignait de plus en plus. Un de mes amis,
homme
cligne de foi, m’assura l'avoir vu s'enlever de t
ui précèdent. Dans une de mes soirées, je plaçai, par la pensée, un
homme
à califourchon sur le cou du sujet, avec la volon
semblable appareil accuse la différence qui existe entre un cheveu d’
homme
et de femme, qui se refusera d’admettre qu’un som
17/i du Journal du Magnétisme. Comme je l’ai dit, la rotation de l’
homme
s’opère en vertu d’une véritable loi magnétique,
électricité vitale. M. Bruyas dit : « Nous croyons la rotation de l’
homme
possible; mais nous n’avons jamais pu obtenir dou
ets, le magnétisme animal est une force de ce genre, applicable par 1
homme
à ses semblables, et jusqu’à un certain point à d
int à d’autres êtres, même inertes, par extension du pouvoir qu’ont 1
homme
et les animaux d’agir sur ceux de leurs propres o
issait les médicaments ordonnés. Dans l’énumération des vertus de cet
homme
de bien, on a oublié celle-ci ; nous réparons cet
U POTET. BIBLIOGRAPHIE. COMMENT L’ESPRIT VIENT AUX TABLES; par un
homme
qui n'a pas perdu l’esprit. Broch. in-12. Paris
? Quand donc ne sera-t-il plus exposé aux ignorantes profanations des
hommes
, qui insultent, en lui, et au respect dû à la tom
cience et des idées religieuses soient réunies dans la tête d’un seul
homme
, et vous verrez que Newton nous ramène à Pythag
; son action diminue à mesure que l’intelligence s’élève ; et chez l’
homme
il ne joue plus qu’un rôle fort secondaire. C’est
AGNÉTIQUES CHAPITRE V. MÉDECINE SP11UTLALI5TE. — ILLUMINISME. L'
homme
primitif alliait inévitablement aux attributs d’u
ale, et ne rapporte qu’un amas confus d’erreurs et de déceptions. L’
homme
étant composé de deux êtres distincts, l'organism
elle atteint toutes les propriétés des corps qui sont accessibles à l'
homme
, et beaucoup d’autres qui lui sont inaccessibles,
ts de contact avec les sens. C’est donc un état intermédiaire entre l’
homme
sensitif et le pur esprit. « Toute personne, aj
nos idées, il y en a qui viennent de l’âme, de Dieu.... « Lorsqu’un
homme
s’est longtemps livré à des méditations profondes
n disparaît, et il se l'explique par les lois naturelles. Mais si cet
homme
vit à une époque où les apparitions d’esprits, de
nfluence du climat et des idées superstitieuses de chaque époque. Les
hommes
les plus éminents ont eu des hallucinations, sans
ombre d’heures à peindre, prenait les réverbères pour des arbres, les
hommes
et les femmes pour des buissons agités. » Tantô
ologie, la sorcellerie, la magie, la lycanthropie, le vampirisme, les
hommes
virent partout des diables, des sorciers, des vam
onsacra les idées platoniciennes relatives aux mages et aux démons. L’
homme
instruit raisonne ses convictions; l'ignorant ne
R. (La suite au prochain numéro.) CONTROVERSES. 1“ ENLÈVEMENT d’
HOMMES
. Celle expérience esl devenue familière et se r
me rendre compte de la loi qui régit ce phénomène. J’espère que îles
hommes
plus éclairés arracheront le bandeau qui couvre m
n si grand nombre de magnétistes : je veux parler de l’enlèvement des
hommes
. J’ai cherché à me rendre compte de la chose av
rimentant ont enlevé un poids de cent soixante livres, ce que pèse un
homme
déjà fort. Cette manière de considérer le phéno
produire. Puis, voulant confirmer ce résultat par le témoignage d’un
homme
qui vit au milieu de nous, il dit en terminant :
aine jeune fille de la commune avait des relations coupables avec des
hommes
; que d’autres étaient dans un état de grossesse
sentiel du règne végétal, et il est à ce règne ■ ce que l’âme est à l'
homme
. Presque toute la nature a plus « ou moins de cet
rce qu’on ne peut s'analyser soi-même. C'est « cet élément qui fait l’
homme
, qui le constitue un être in-« dividualisé et tou
corps physique. La fonction de cet élément est d’indivi-« dualiser l’
homme
, de donner à chacun des particularités; « il diff
animaux est positive quant aux animaux, et « négative à l'égard do l'
homme
; n 1,’Ame humaine est positive quant à l’homme,
ative à l'égard do l'homme; n 1,’Ame humaine est positive quant à l’
homme
, elle est « négative à l’égard de Dieu. .1 I.'h
son principe n inférieur. Le positif des animaux est le négatif de l’
homme
. n Ces trois qualités restent plus ou moins ave
uge Edmonds, qui par profession est habitué à peser le témoignage des
hommes
, est sans doute mieux que beaucoup d’autres à mêm
il formule quelques-unes de ses conclusions : L « L’existence de l’
homme
, après sa vie terrestre, est démontrée au delà du
toutes parts l’accord est parfait sur ce point. La mort n’est, pour l’
homme
sérieux, qu’un phénomène que l’on doit étudier et
nomène que l’on doit étudier et non un épouvantail à redouter. Pour l’
homme
de bien, elle n’est pas même une interruption de
sa vie terrestre, ni dans aucun autre état de sa future existence, l'
homme
n’est gouverné par miracle, mais seulement par de
et qui n’admettent point de détours; que, conformément à ces lois, l'
homme
, à la mort, ne passe pas à un étal immédiat de pe
les. La foi, l’espérance, la charité sont des conditions imposées à l’
homme
pour opérer des prodiges et parvenir à l’union in
e dissipèrent, et je vis clairement, au milieu d’une lumière vive, un
homme
assis dans le coin de la chambre, qui me dit d’un
’éclaircit peu à peu et je me trouvai seul. La nuit suivante, le même
homme
, rayonnant de lumière, se présentait, moi et médi
l)ieu,«le créateur et rédempteur; je t’ai choisi pour « expliquer aux
hommes
le sens intérieur-et spirituel des i écritures sa
conçoit et rapporte Swedenborg (I) : n Pour mieux comprendre que l'
homme
est véritablement esprit, quant à son intérieur,
érieur, voyons ce que l'expérience nous apprend, 1° I)e l'état de l'
homme
, lorsqu'il détache son esprit des choses sensible
ntier à l’objet que son corps va chercher. « Dans le premier cas, l'
homme
est dans une situation qui tient du sommeil et de
s, je voyais des palais, des bosquets, des rivières, des maisons, des
hommes
et beaucoup d'autres choses, et j’étais persuadé
insi pendant des heures entières, je revenais subitement à mon état d’
homme
ordinaire, avec l’usage de mes sens, et je voyais
ication chez les ' lairos du quiétisme et du martinisme. Selon eux, l'
homme
pourrait s’abandonner impunément aux plus honteux
e apologie de la débauche a lieu de nous surprendre, surtout chez des
hommes
dont la moralité n'a jamais donné prise à la moin
ersations. 11 admettait des puissances intermédiaires entre Dieu et l’
homme
, et croyait que celui-ci pouvait, par un effort d
dance à la stérilité, la lumière aux ténèbres, la vie à la mort, et l’
homme
métamorphoserait tellement ce qui l’environne, qu
celui de la vérité même. « La sagesse, dit il, tend à se réunir à l'
homme
, malgré sa souillure, elle circule autour de lui
viendra pas. » Vivant au milieu des émanations spiritualistes, les
hommes
sont des prophètes par leur nature; c’est leur fa
tré de nombreux apologistes parmi les écoles du spiritualisme, et des
hommes
d’une haute intelligence et d’une grande moralité
ait des entretiens avec saint Joseph sur l’union de J.••('.. avec les
hommes
(1). L’archange saint Michel, la Sainte Vierge et
intuition somnambulique, s’est propagée au loin; (1) Vintras est un
homme
illettré, ancien valet d'auberge. (*)Vov. Opusc
anisme. n 11 y a sans doute des relations entre l’intelligence de l’
homme
et le monde surnaturel des esprits. Ces relations
« Nous savions de plus cpie Dieu, dans son ineffable amour pour les
hommes
, « a recommandé chacun de nous à la vigilance de
sont ses amis et les princes du ciel, pour en faire les esclaves de l’
homme
; qu'il les eût mis aux ordres de notre indiscrète
ression dos mains? Nous avons bien lu flans l\s li-\ les sacrés que l’
homme
a été fait roi de la terre, ei qu’à ne litre il a
dans les choses humaines. Nous ne savons que trop qu’ils sont pour 1
homme
de méchants conseillers, qu’ils sèment sous ses p
t affaiblie, et qu’elle ne s’exerce plus d’une manière sensible sur l’
homme
régénéré que dans les circonstances rares que Die
t quelquefois de sa miséricorde. Pourquoi faut-il qu’il se trouve des
hommes
.assez imprudents pour essayer de relever l’empir
n quand elle s’exalte, et comment, sous l’empire de l’enthousiasme, l’
homme
le plus sincère devient facilement le jouet de se
uccès obtenu, il s’empare de celte disposition naturelle qui pousse l'
homme
vers tout ce qui est merveilleux, pour l'entraîne
de dès le commencement abuse de la faiblesse et de la simplicité de l’
homme
pour l’engager pas à pas en des voies ténébreuses
éduit à ceci : Soyez maudits, vous tous qui cherchez à éclairer les
hommes
; la lumière ne fut point faite pour leurs \ eux,
choses occultes, et assez de fermeté d’âme pour 11e rien craindre des
hommes
qui savent moins que moi. Salut à ce siècle pré
génies inspirés de tous les temps ! Vous avez éclairé la route où les
hommes
marchaient à tâtons et comme des aveugles. D’autr
es ; mais en dehors de ces dons, les somnambules peuvent avoir, comme
hommes
, comme êtres doués de la raison commune. connaiss
des travaux et des embarras nouveaux. J’appelais de tous mes vœux des
hommes
au cœur généreux pour élever ce monument à la glo
récier quelquefois par des insuccès une des plus utiles facultés de l’
homme
. Cependant, cette lacune nous semble avoir été
de soin, dit les avoir rencontrés constamment chez les chloroliques,
hommes
ou femmes, c’est-à-dire chez des individus dont l
du magnétisme. VIII. — Deux heures après avoir magnétisé ce jeune
homme
, je fus mandé chez M. Béga, rue Saint-.lntoine, n
e cette branche importante de la médecine développe dans le cœur de l'
homme
les sentiments d’humanité. Comment peut-il en êtr
jettent comme de viles épluchures que le diable ramasse. u Quand un
homme
donne à sa femme des conseils contre un homme en
e ramasse. u Quand un homme donne à sa femme des conseils contre un
homme
en particulier, c’est se créer un rival. 11 n’est
pas, je l'avoue, à voir marcher à la suite de MM. Moigno et Babinetun
homme
qui, avant comme après l’époque déjà si ancienne
Les preuves de la nécessité de la volonté dans tous les actes de l'
homme
surabondent. Enlevez la volonté à l’homme, qu’en
té dans tous les actes de l'homme surabondent. Enlevez la volonté à l’
homme
, qu’en faites-vous? Une matière brute sous forme
es pour le magnétisme; la plus importante, c’est qu’il démontre que l’
homme
peut imposer sa volonté aux objets inorganiques,
ne vivacité entraînante dans la discussion. On reconnaissait en lui l’
homme
d’étude et l’ancien homme d’armes. Jamais le ruba
ns la discussion. On reconnaissait en lui l’homme d’étude et l’ancien
homme
d’armes. Jamais le ruban de la I.égion-d' Honneur
gion-d' Honneur ne reposa sur une poitrine plus digne de le porter.
Homme
de bon conseil : c’était notre père. Depuis tro
s'était pas démenti? „ — 0 superstition!... hallucination!.... Les
hommes
à croyances mystiques voient l’invisible... ils s
ition pour adoucir les maux qui accablent l’espèce humaine. Est-il un
homme
qui puisse laisser succomber ses frères sous Je f
lité; que la puissance magnétique est une étincelle divine donnée à l’
homme
pour soulager son semblable; ils verront encore q
on semblable; ils verront encore que depuis plus d’un demi-siècle les
hommes
les plus distingués tant par leurs lumières que p
uel la jeune fille demeura privée de sentiment. Enfin, l’arrivée d’un
homme
de l’art calma les inquiétudes et prévint tout ac
je suis votre croisade contre la résistance ou l’inertie de certains
hommes
, qui semblent vouloir faire obstacle à tout ce qu
vient encore d’enlever à la cause magnétique un de ses défenseurs, un
homme
dont le nom a marqué par des écrits d’une grande
- mulgués avec autorité par «les cires supérieurs deva-t lesquels l'
homme
n’aurait qu’à s’incliner. Nous aurions beaucoup à
pécialité de notre Journal. L’auteur voulant établir qu'il y a en l’
homme
deux principes, l’àme et la vie, dit de cette der
i Le magnétisme, émission propre de l’àme vitale, a déjà donné à l’
homme
la faculté merveilleuse de suspendre la vie anima
sorte imposée par les exigences du principe. Nous reconnaissons qu’un
homme
de lettres ne peut s’assujétir à la rigoureuse ex
l «le nos connaissances. Prenons un exemple. Il est constant «|ue l’
homme
peut exercer une action magnétique sur son sembla
mettre le désordre dans toutes les facultés physiques et morales de l’
homme
. Certes, nous nous serions bien gardé d'éclairer
urments qu’elle éprouve depuis qu’elle a eu le malheur de connaître l’
homme
odieux qui exerce sur elle un empire absolu. Tout
s faits racontés par Mm" Anna Marie, s’ils étaient vrais, c’est qu’un
homme
prudent ne doit pas placer légèrement sa confianc
ptoirement que c’est une science terrestre, dont le secret est pour l'
homme
, c’est que l’homme terrestre la possède; elle n’e
t une science terrestre, dont le secret est pour l'homme, c’est que l’
homme
terrestre la possède; elle n’excède donc pas son
méthée de lui dérober, pendant son sommeil, des trésors interdits à l’
homme
. Mais nous ne pensons pas que M,ne Anna Marie, do
n crime de toucher à l’arbre de la science : dans l’âge historique, l’
homme
au contraire n’a pas de tâche plus sainte et plus
rte doucement, puis violemment; elle résiste, elle est fermée et deux
hommes
l’arc-boutent; quand soudain nous l'entendons gri
ers de personnes intelligentes et raisonnables sans que les sens de l’
homme
aient jusqu’ici réussi à découvrir, à la satisfac
hénomènes plus proche du miraculeux. J’espère former ainsi quelques
hommes
; déjà même j’en pourrais citer qui ont parfaitem
ues des progrès du magnétisme, c’est le nombre toujours croissant des
hommes
éminents en tous genres qui depuis quelque temps
sultes, des théologiens, des médecins, des militaires, en un mot, des
hommes
qui ont cultivé toutes les branches des connaissa
bien autrement imposante que la dénégation railleuse de savants ou d'
hommes
superficiels qui n’ont rien vu, ne veulent pas vo
la publication de l’ouvrage important de M. Noizet, général du génie,
homme
considérable, qui, par l’étude des sciences exact
endant, entre cette activité exubérante qui semble faire participer l'
homme
à une nature surhumaine, et le sommeil, que les p
de se manifester, et nous ne pouvons savoir ce qu’elle deviendrait. L’
homme
ne nous est connu qu’avec l’union de l’àme et du
’il n'y a pas d’enfer, que la religion naturelle suffît, que tous les
hommes
sont appelés au salut ; un grand nombre professen
bre de faits bien avérés, l'action d’êtres intelligents étrangers à l’
homme
, ou du moins aucune autre explication ne rend mie
demeurant à Paris, 36, rue aux Ours. Le Jury recherchant tous les
hommes
de mérite qui se dévouent à la cause du magnétism
ice qui devait en résulter pour lui. I)e si grands sacrifices pour un
homme
dont le temps est compté, ■lonl chaque heure pe
es, d’entendre le récit trop modeste d’œuvres sublimes opérées par un
homme
obscur ; celui dont je vais esquisser à présent l
r rappelle celle qu’a suivie M. Juffey, et si l’on considère ces deux
hommes
charitables, on trouve qu'ils se ressemblent non
Puységur et les amis n'unis de lu Société de Strasbourg, que ce grand
homme
présidait; 2» Parce qu’en popularisant un moyen
seulement la haute intelligence, le mérite transcendant, mais aussi l’
homme
simple et droit qui fait le bien toute sa vie.
nt reconnu, j’appellerai ce principe vital matière essentielle. « L’
homme
, par son organisation, possède la faculté de dist
nditions convenables, elle pourrait se mouvoir : mais les forces de l’
homme
sont bornées, et il faudrait une chaîne considéra
use, mais n’est pas moins facile à détruire. « Vous prétendez que l’
homme
possède la faculté de distribuer de loin comme de
as dans la nature certains corps qui pourraient servir d’adjuvant à l'
homme
dans ces opérations, qui augmenteraient sa force
es filles de la commune comme ayant eu des relations fntimes avec des
hommes
. » Fête de Mesmer. — On se prépare à célébrer c
t ce que la science a de plus élevé. A toutes les époques, certains
hommes
ont passé pour posséder le pouvoir de produire de
s sommes en droit de dire qu’on trouvera aussi dans le langage de ces
hommes
étranges, de précieuses vérités qui enrichiront l
s-unes des lois qui régissent le monde physique, ou à l’action dont l’
homme
dispose, ou bien si l’on ne peut l'expliquer que
rits; pour lui la cause des phénomènes appelés magiques réside dans l’
homme
. Il dit pouvoir tout expliquer par les lois natur
, et pour le déchirer il fait appel aux puissances divinatrices que l’
homme
possède en songe, dans l’extase et le somnambulis
éclat de rire eût accueilli, il y a quelques années, les paroles de l'
homme
qui aurait osé proclamer que quelques signes myst
son corps et ouvrir ceux de son âme ; en un mot, pour créer en lui un
homme
nouveau doué d’une vue céleste capable de connaît
vers le monde de la vérité, que l’on prête une oreille attentive à l’
homme
au cœur sincère, à l’intelligence supérieure, don
qu’il a opérés par un simple acte de sa volonté silencieuse, car tout
homme
n’a qu’à apposer avec foi la main sur le front d’
ère ne transperce la transparente lucidité du plus pur cristal. « L'
homme
, ayant dans tous les siècles été doué de mains qu
ce, dans ce cas, serait complicité ou niaiserie; il est temps que les
hommes
de cœur et d’intelligence qui cultivent avec dési
) ; non-seulement, me disais-je, M. Babinet est savant, mais c’est un
homme
d’esprit; non-seulement il a de l’esprit et du sa
u savoir, mais je connais de lui des traits qui prouvent que c’est un
homme
de cœur; il a donc moins que tout autre le droit
s un temps inappréciable un travail qui repré- sente la force qu’un
homme
pourrait développer dans un effort continu de hui
is plaisants présenter la conclusion sous cette forme grotesque : — l’
homme
ne sait généralement pas ce qu’il fait. Que cha
iu„.sSJUS,'qU1 ““""“issent pas l’action magnétique (car il estimpos-"
homme
de bonne foi de l'observer par sa propre expérien
. Nous rendons justice à la grandeur du génie humain incarné dans les
hommes
supérieurs; mais l'humanité, qui 110 regarde plus
s crainte de blesser un orgueil trop susceptible : nous croyons que l’
homme
n’est qu’un échelon inférieur de la série infinie
lles qui régissent le monde physique. Nous croyons que la mort de l’
homme
n'est qu’une transformation de son être, qui ne s
nts. Nous croyons qu’ils peuvent encore entrer en relation avec les
hommes
vivants de la vie terrestre. Nous croyons, en un
que soit l’origine do ces dictées, — et comme le groupe se compose d’
hommes
très-capables et très—intelligents , je ne vois p
savoir ignorer, » on doit espérer, pour ne pas dire être certain, qu’
homme
de bonne foi, persévérant et fin observateur, il
dre son heure nouvelle, et sur des points différents de la terre, des
hommes
s’assemblent en même temps pour fêter en commun l
monde, on vit sortir du milieu des générations humaines des groupes d’
hommes
animés des plus purs sentiments. Pénétrés d’une f
n de chaque jour et le vêtement des malheureux. « Dieu récompense l’
homme
qui travaille avec amour, il lui donne des joies
oit abriter le genre humain tout entier; car si l’erreur a divisé les
hommes
, la vérité doit infailliblement les réuuir un jou
rien en comparaison des miracles qui sortirent un jour des mains de l'
homme
; car, ayant les forces vires, il a la toute-puis
oire doit nous être chère. « Laforgue, le premier d’entre tous, cet
homme
plein de foi, et dont les mains étaient bénies, L
compagnons, le magnétisme touche à la prière : qui magnétise prie. L’
homme
que nous avons perdu, usant de cette formule, gué
es plaies de son âme ulcérée. n En nous rappelant la mémoire de cet
homme
éminent, sachons, Messieurs, que le bien console.
sont point dans nos rangs. « Puis, Messieurs, nous avons perdu des
hommes
moins illustres, qui furent pourtant instruments
talité. « Celui qui meurt en laissant un champ couvert d’épis est l’
homme
selon Dieu, il a bien rempli sa journée. Nous n’a
arger mon tableau, un cortège hideux, toutes les basses passions de l'
homme
et tout ce que la cupidité, l’ignorance, le fanat
ne foi unique, une croyance générale restera seule pour moraliser les
hommes
et les consoler. n Sans doute, Messieurs, nous
ncertitude et de trouble, qu’il n’y a point de lois morales, et que l’
homme
a pour seul guide sa raison. On ose ainsi, à ciel
e produit du hasard, un Dieu l’a créé, le soutient et le conduit. — L’
homme
, avec sa seule raison pour guide, périrait bientô
rsécuté, et que nous-mêmes, flétris par la haute raison de nos grands
hommes
, nous n’en sommes pas moins aujourd’hui, et à bon
attache aux vérités pour en empoisonner les fruits; nous montrons aux
hommes
la route où il faut marcher pour reconquérir ce
! « Croyez-le, chers collègues, la vie est belle et heureuse pour l’
homme
qui, marchant dans sa foi, ne voit devant lui que
’avenir nous réserve. Soyez-en certains, chers compagnons, beaucoup d’
hommes
au cœur généreux s’apprêtent à entrer dans nos ra
rs, « Cette assemblée présente un spectacle imposant, c’est celui d’
hommes
réunis par une foi commune pour glorifier leur sy
xquels des divinités bienfaisantes avaient révélé leurs secrets. Quel
homme
plus que Mesmer a jamais mérité de tels honneurs
er et d’en faire l’application. Dans tous les rangs de a société, des
hommes
éminents s’en font les champions. Dans toutes les
n usant île cette glorieuse prérogative, en commandant à la nature, l’
homme
s’élève au-dessus de lui-même et participe de l’e
ippocrate, Aristote et tous les plus grands génies de l’antiquité : l’
homme
, dans cet état, revêt des attributs transcendants
plus nombreux quand elle sera mieux connue , mieux dirigée, quand les
hommes
purs, désintéressés, n'ayant d’autre mobile que l
e heureuse inlluence on exercerait ainsi sur le perfectionnement de l’
homme
! Mais aussi quelle responsabilité prend sur lui
, et qui, Dieu merci, n’en a empêché aucune d’éclore et de grandir. L’
homme
étant libre, tout ce qui augmente sa puissance et
on en pourra faire. Et pourtant qui songe, sous prétexte d’empêcher l’
homme
de mésuser, à le dépouiller de la puissance acqui
ge que de chercher à l’étouffer, car ce serait chercher à amoindrir l'
homme
, ce serait agir contre la loi divine. «En ce jo
toutes. A l'horizon lointain, derrière les mers profondes, voyez ces
hommes
qui s’avancent d'uu pas ferme et hardi, leur nomb
ers eux nos pensées portées par ce fluide, frémissant qui trouve en l’
homme
sa source, qui s’élance d’un cœur pour aller frap
e du passé donne de graves enseignements, qui doivent être utiles aux
hommes
de nos temps. 11 est sur la terre d’Orient une. c
, comme dans la vieille Egypte; pour un temps limité et pour quelques
hommes
, vos œuvres appartiendront à l’éternité et au mon
recherche et l’étude des don6 admirables et jusqu’ici méconnus que l’
homme
tient de son créateur! Ah ! un jour viendra où vo
fortune et des honneurs ; de quelle hauteur il fera descendre tant d’
hommes
qui, dans leur estime, sont au-dessus de l’humani
, à cette étonnante faculté, à ce privilège presque divin accordé à l'
homme
de venir en aide à son semblable et de l’arracher
il allait l’étreindre à son tour. Il était là, languissant, abattu, l’
homme
fort, et sa constitution momentanément épuisée .o
ucteur une proie facile. A quelle assistance recourir ? Qui sauvera l'
homme
qui en a sauvé tant d’autres? Faut-il appeler à s
r le diable Qui passait comme un trait Devant le Paraclct. « Eh ! l’
homme
il la peau brune I Lui dit-il, sans rancune, Vi
, Est forcé d'accepter. Voilà juslement comme Dieu s'obéra pour l'
homme
Vis-à-vis Lucifer, Cet usurier d'enfer. Depui
est l’agent sévère Qui voit au plus profond repaire Des secrets de l'
homme
et dos dieux. A sa pénétrante clarté On peut re
e Qui pour brillants dans sa parure Porte des astres tout en feu, L’
homme
n'élait rien...; le seul être Qui pùt et comprend
Qui pùt et comprendre et connaîtra, Ne savait pas encor aimer; Et l'
homme
, quand son cœur est vide, Son âmo ignorante et ti
Et l'homme, quand son cœur est vide, Son âmo ignorante et timide, L’
homme
no sail pas exister ! L'hommo exista dès que sa
ière Du plus noble des animaux; Dès qu’à tout être il a pu dire : L'
homme
(c défend de lui nuire El lo soumet à ses travaux
le lis cl la rose. Il sèche le pré le plus vortj Le temps fit de l'
homme
un despolo, l)e la femme une pauvre ilote.... E
nte! origine du mal Qui brandit le tison des guerres I De ses mains l’
homme
8t les serres Dont il déchira son rival ; Des f
ion Têt ou tard surgit uno peine. Du jour où sur la race liumaino L'
homme
porta son action Et concentra toute sa force, L
vint sauvage, Le tigre plein de cruauté. Laissé libro à côlé de l’
homme
, Devenu la bête de somme, L'onagro apprit à viv
froido, elle oublie Ce qui fait palpiter les cœurs. II fallait à l’
homme
un chemin Pour marcher sans l’idéalisme; A déco
Ou l'agent de ses flots divers. Or, en ce vingt-trois mai parut Un
homme
qui dès son enfance Recherchait de toute existenc
Et pour découvrir une place D’où tout embrasser, tout savoir 1 Cet
homme
s’appelait Mesmer. En suivant toujours la natur
ui mit la science aux abois ; La force qui dompte la bêlo Lorsqu'un
homme
lui crie : Arrête' L'œil qui d’un orbe menaçant P
docile. Et d’un gigantesque reptile Un être doux el caressant. «
Homme
I un agent sourd de ta main. Étends-la sur le m
nt-Office de Rome Dit : « Tout lomnambuUteur a Est un très-malhonnête
homme
, o J’ai pour moi, touchant ce sujet, n Plutarque
accommode de tout. (Le Boufle et le Tailleur.) Lorsque je cite un
homme
De goût. Esprit fin qu'on renomme Partout, Sa
crologie a Quo je cherche vos progrès !.... a Avez-vous, disséquant l’
homme
, a Vu bien clair dans ce chaos? « Vous savez co
inscrire dans no3 archives, afin qu’un jour on sache quels furent les
hommes
de bien qui contribuèrent à fonder la science mes
t, d’un chimiste habile, d’un savant enfin. Tel est, effectivement, l'
homme
dont le mérite est proposé à vos suffrages. Ce
en montrant le magnétisme triomphant, a mis le comble au succès de l’
homme
distingué qui avait pris sa défense. En sorte que
AUSSADE, négociant, demeurant au Port-Louis (île Maurice). Quand un
homme
porte une industrie en pays étranger, on le regar
AGNET, ébéniste, demeurant à Paris, 205, rue Saint-Dénis. Lorsqu’un
homme
montre une tendance marquée pour l’étude, ceux qu
de départ d’une centralisation scientifique qui donnerait à certains
hommes
une grande recommandation dans la vie pratique. I
os mains. La joie pure et sincère que devait éprouver une réunion d’
hommes
distingués, n’ayant d’autres pensées que le bonhe
e est appelée à répandre sur la surface du globe, en rendant tous les
hommes
amis sans se connaître et frères sans parenté, po
ent extraordinaire? ne mérite-t-il pas l'attention des savants et des
hommes
spéciaux? Quel parti ne pourrait-on pas tirer de
touché une cravate qui avait appartenu au charbonnier, assura que cet
homme
Était mort, et qu’on trouverait son cadavre près
oyé à l’endroit désigné; mais après vérification, on reconnut que cet
homme
n’était pas le mari de la charbonnière. Celle-ci
ettre que je vous écrivais, au mois d’août 1853, sur l’enlèvement des
hommes
et le mode que je pratique (1). Je m’étais alors
isme. Pour que le lecteur puisse juger, citons la formule : « Cet
homme
est mort; il est sec comme un os, léger comme une
n’est-il pas reconnu en physiologie humaine que les neuf dixièmes des
hommes
ne peuvent analyser les sentiments qui les font a
ait été témoin de certains phénomènes magnétiques, ou avérés par des
hommes
de bonne foi, l’on ne risquera point une première
genre. L’alchimie a occupé, pendant plusieurs siècles, l’attention d’
hommes
éminents, mais il y avait quelque chose au fond d
s choses vulgaires, c’est ( tout, enfin on est propre à gouverner les
hommes
et à leur l'aire des lois. Les merveilles de la n
rissement était universel. Le pays bénira longtemps la mémoire de cet
homme
de bien. Baron DU POTET. BIBLIOGRAPHIE, MÉM
véritablement bonne, si elles y avaient été reçues, mais chez qui des
hommes
de bon ton ne se faisaient pas scrupule, parfois,
renaud, le sort qui l’attendait à l’armée. Tout supérieur que fût cet
homme
, il mit une haute importance aux prédictions de l
eu pour résultat de valoir à la doctrine de Mesmer la conversion d’un
homme
important par sa haute position sociale. D’un aut
e mesmérisme est une vérité et une force puissante inhérente à chaque
homme
, j’ai employé quelques heures de loisir à traduir
e, par ce petit livre, avoir réussi à appeler l’attention de quelques
hommes
sur le vrai chemin qui conduit :\ retrouver ce ha
ux, tant l'agitation de sa femme était grande. Aussi, nous disait cet
homme
, le magnétisme n’aurait-il produit que le retour
cela avec le plus grand désintéressement. Toutes les soirées de cet
homme
bienfaisant^ sont consacrées au soulagement des m
être incliné de mon côté pour regarder, il me répondit : « Je vois un
homme
maigre et pâle. — Est-il grand ou petit? — 11
-il grand ou petit? — 11 est grand. — Peux-tu me dire qui est cet
homme
? — C’est votre père, — me dit-il après avoir b
ait mouvoir la table, ce même sujet m’a dit voir une fois chez moi un
homme
; une autre fois, dans la maison d'un de mes amis
le sang lui montait à la tête. Le plus incrédule de cette réunion,
homme
d’environ trente ans, n’étant pas tout à fait con
udroyante réponse : « O superstition!.... hallucination I...... Les
hommes
à croyance mystique voient l'invisible ;..... i
ire et rationnelle de tous les faits produits ou contrôlés par tant d’
hommes
sages, instruits et sans préjugés, dont les témoi
gnages ont été enregistrés dans les pages mêmes de votre Journal. Ces
hommes
d’une intelligence supérieure et incontestée— tel
lâmerai ; mais comprendre dans le même anathème les charlatans et les
hommes
sincères et éclairés qui consacrent leur vie à la
cette première cérémonie eut duré quelque temps, il ordonna aux trois
hommes
les plus vigoureux de l’assemblée de saisir les p
n fera sortir de sa grossière enveloppe cette force vive qui est en l'
homme
, et celui-ci, en l'épurant, produira les plus mag
oie de la plus importante des découvertes modernes : l'influence de l'
homme
sur l’homme. Tout cela n’est pas absolument fau
us importante des découvertes modernes : l'influence de l'homme sur l’
homme
. Tout cela n’est pas absolument faux, mais c’es
epose pas que sur les effets ci-dessus énoncés : la magnétisation des
hommes
endormis, «les enfants au berceau et des animaux
le somnambulisme? C’est un mode particulier d’existence dans lequel l'
homme
jouit de facultés qui n’ont pas d’analogue daus l
nt fi, parce qu’aucun moyen de s’éclairer ne doit être dédaigné par l'
homme
qui a mission de guérir. Mais dans quelle limite
e leurs instruments ne dénotant d’électricité, ils en concluent que l’
homme
n’en émet point dans l’acte respiratoire. v C’e
observés; toujours est-il que Pfaff et Arhens, qui agissaient sur des
hommes
, ont autrefois obtenu des résultats contradictoir
de santé. Elle est plus souvent négative chez les femmes que chez les
hommes
; Gardini, eu effet, a trouvé l’électricité négati
erbe ! ! ! J’aime à les voir (car il faut bien rendre justice à ces
hommes
éminents) tourner un regard affectueux vers les e
ux vers les expériences tle Pfaff et d’Arhens, qui agissaient sur des
hommes
; et les expériences que j'ai faites {j’agissais a
hommes; et les expériences que j'ai faites {j’agissais aussi sur des
hommes
) sont entièrement analogues, quant aux résultats,
corollaire de ses études sur l'électricité animale, a fait un acte d’
homme
conséquent et logi- que, qu'on désirerait trouv
la puissance des infiniment petits. Grégoire de Tours nous parle d’un
homme
piqué par des abeilles, qui tout à coup possède l
des doctrines de Cos; car, si nous reprenons la pratique de ce grand
homme
, nous voyons qu’il agit spécialement sur les visc
aire pour atteindre à la sécrétion d’équilibre, l’idiot va devenir un
homme
intelligent. Car nous devons supposer, d’après le
nalogie, la parenté de ces deux fluides dans leur mode d’action sur l’
homme
; et quel mesmériste n’admettra l’existence du me
nes dans une salle où on n’en actionne qu’une (car, à bien prendre, C
homme
peut être considéré comme un seul nerf à sensatio
a-t-on pas le droit d’admirer la conformité d’acceptation de ce grand
homme
avec Cuvier et Humboldt, qui précisément ne confi
nous échappe, elle est en dehors du cercle des mathématiques. Si l'
homme
était une machine pure, le mesmérisme aurait eu s
ote est donc uu animal produisant de l’électricité à volonté, comme l’
homme
produit du mesmérisme, et quand on voit cet anima
contraction musculaire, on sent que les nombreuses expériences de cet
homme
sur les animaux électriques l’avaient placé à l'a
de nos mouvements ne peut s’exécuter sans dégagement d’électricité, l’
homme
devient un foyer d’électricité vitalisée; car il
es, pour expliquer la nature et l’origine du mouvement produit chez l’
homme
et dans l’univers. 11 voit dans l'éther un fluide
tes ; et, chose curieuse, si nous personnifions dans ces trois grands
hommes
les nations qui leur ont donné le jour, nous voyo
de l’impulsion volontaire, vers les extrémités! Si je puis charger un
homme
, comme une bouteille de Leyde, parle courant qui
vace ; et je dois vous dire, lecteur, pour votre édification, que mon
homme
est parti dans le golfe de Gènes tenter la chance
tte particularité singulière de montrer beaucoup d'affection pour les
hommes
et très-peu pour les dames. Si un homme lui passe
eaucoup d'affection pour les hommes et très-peu pour les dames. Si un
homme
lui passe la main sur le dos, elle manifeste immé
asse la main sur le dos, elle fait à peine un ron-ron; mais dès qu’un
homme
entre, elle court tout de suite se frotter contre
de sensation que produit le chatouillement d’une femme et celui d’un
homme
; ce dernier est nul et se borne à la sensation t
me des femmes, dans les conditions aussi monstrueuses par rapport aux
hommes
. Ces Êtres anormaux, en fait de sensualité humain
en, la paix ou la tourmente, la douleur ou le bien-être ; quand, de l’
homme
qu il a devant lui, il ne sait pas s’il va faire
s’exprimait ainsi, dernièrement, dans une occasion solennelle : n L’
homme
fait à l’image de Dieu a une mission grande et sa
l’affluence des malades excédant bientôt les forces ou le loisir des
hommes
charitables qui s’étaient voués à cette pratique
t obtint tout le succès qu’on pouvait attendre d’un pareil concours d’
hommes
. Chaque membre de la Société avait à magnétiser s
e suite, parce que la Société du Magnétisme, qui renfermait les seuls
hommes
capables de le mener à bien, refusait d’y partici
médecin à la tête : une clinique ne peut être bien dirigée que par un
homme
de l’art. Je repris alors mes idées, et M. du P
ue et ferment les yeux pour ne point voir cette nouvelle lumière, des
hommes
en grand nombre, mus par une croyance commune, ré
dit l’auteur, aux manifestations fluidiques des esprits ennemis de l'
homme
la stérilité des campagnes et les maladies qui on
ction que la force combinée de l’action intérieure et extérieure de l’
homme
, ne sont que la réaction matérielle de la concent
est servi suivant sa foi, suivant cc qu’il tire de lui-même. Mais l’
homme
qui croit à la puissance de son âme et de sa volo
s qu’on la trouvera, et qu’il en sera rendu gloire à Dieu et paix aux
hommes
. Ces pauvres tables et tout notre mobilier ont
gent mystérieux, que cette faculté magnétique dont la nature a doué l’
homme
, que cette puissance supérieure, enfin, invisible
outes les drogues que vous avez là sur la cheminée.... On donne à cet
homme
, me dit-elle après une pause, tout le contraire d
la première. Enfin, lorsque je quittai Châlon, un mois plus tard, cet
homme
avait repris ses occupations et se portait à merv
orter à la tête; puis, partant de cet aphorisme : que le souffle de l’
homme
est considéré comme principe de vie, j’ai recours
e quelque chose de surhumain, comme un merveilleux talisman donné à l’
homme
pour enfanter des prodiges, pour s’élever au delà
de la ventriloquie. Qui donc a tort ou raison parmi tous ces grands
hommes
? Ce qui nous afflige, c’est ce bon M. ScliifT :
ne récompense. L’Institut 11e doit point non plus laisser de côté l'
homme
à la poupée, il faut également lui ouvrir les por
chiff... on vous appellera partout pour montrer vos petits talents, l’
homme
à la poupée ne viendra désormais qu'après vous ;
ère de la phrénologie, n’a-t-il pas dit : « S’il était prouvé qu’un
homme
peut en mettre un autre en somnambulisme, ce sera
ne faut jamais abuser d’un pouvoir que Dieu semble avoir accordé à l'
homme
pour des choses plus utiles, et surtout plus dign
oupes; tous ceux qui formaient ces groupes étaient des musulmans. Les
hommes
étaient assis un peu à l’écart des femmes, sur de
re compte, comme un fait presque incroyable, qu’il était possible à l’
homme
de magnétiser à distance, et quelle que fût la
nt inspirer son témoignage, ses assertions, auxquels, j’espère, aucun
homme
sincère, exempt de systématiques préventions, ne
omme des sorites de physique et de chimie. Guidé par cet instinct des
hommes
supérieurs qui les illumine dans l'étude des myst
ué à juger les phénomènes avec la rigueur philosophique. Quand un tel
homme
, après une longue et consciencieuse étude du magn
rit la vie de Montrose. Quand M. Napier lui montra des lettres de cet
homme
célè- lire, elle ne fut pas mise sur sa trace,
s’est assise dans un creux et a jeté des cris. Peu de temps après, un
homme
l’a trouvée et l’a amenée chez lui. » « A ce mo
e viens de le dire, en avait apporté les premières nouvelles. « Cet
homme
était entièrement étranger pour M. Gaddock aussi
ssise dans un creux pour crier, avait été emmenée à un cottage par un
homme
qui avait en vain essayé, ainsi que sa femme, d’o
ais souvent il se produit des effets extraordinaires. Par exemple, un
homme
qui possède un grand pouvoir ines-mérique n’a qu’
plation et que je regarde comme un étal de clairvoyance éveillée. Cet
homme
peut acquérir la lucidité à l’état de veille en c
e sa grande sensibilité magnétique; car, en moins de deux heures, cet
homme
éprouva des effets très-prononcés, à la suite des
r l’efficacité de laquelle je 11e comptais guère ; car, pour moi, cet
homme
était condamné à une mort certaine. Mais je m’éta
n dirait qu’il 11’a jamais été malade. » Je m’empressai de voir cet
homme
, et je constatai, avec autant de surprise que de
es les parties du corps à la fois ; d’où il conclut que peut-être les
hommes
pourraient eux-mêmes entendre sans aucun organe a
effet, retenti des phénomènes surprenants dus à cette puissance de l’
homme
démesurément agrandie, par laquelle il communiqua
hallucinations. Quel horizon nouveau s’est ouvert dans l’étude de l’
homme
! Que de grandeurs seront découvertes quand, de c
andeurs seront découvertes quand, de ces ruines à peine aperçues, des
hommes
marqués par la Divinité sauront reconstruire l'éd
e l'édifice brisé ! Cette puissance que nous admirons, par laquelle l’
homme
jouit d’une action si profonde sur son sembable,
es savants effarouchés oseront enfin entrer pour tendre la main à des
hommes
de conviction, mais égarés dans les dédales de ph
res montant par d’innombrables degrés depuis l’atôme inerte jusqu'à l’
homme
, l’analogie nous découvre naturellement le monde
nous découvre naturellement le monde des intelligences s’élevant de l’
homme
jusqu’aux pieds du trône de Dieu. L’homme, à la f
ntelligences s’élevant de l’homme jusqu’aux pieds du trône de Dieu. L’
homme
, à la fois âme et matière, se trouve ainsi le poi
me déclarant divinitatem suam. (Ciceb., de Senect., ch. xx). u 2° L'
homme
n’est absolument ni ange ni bête, mais le malheur
enons de décrire n’en est que l’armature. M. de Morogues classe les
hommes
en deux grandes catégories : ceux qui ont la prop
ctériser cette faiblesse humaine, cette couardise des savants, de ces
hommes
qui reculent, par peur, devant l’examen d’un fait
de causes inconnues ; il ouvre un vaste champ à l’esprit de tous les
hommes
, et les recherches commencent MM. les académici
ne survivance de soi-même a cessé d’exister. La religion est morte, l’
homme
n'est plus qu’un animal mû par une sorte d’électr
ique, au contraire, 011 s’est livré à de nombreuses expériences ; des
hommes
graves, des magistrats, des savants, des artistes
esprits, que je crois devoir vous communiquer. Le premier concerne un
homme
et une femme mariés, tous deux âgés, gens très-re
froi la porte de leur chambre s'ouvrir lentement; puis entrèrent deux
hommes
portant un tréteau sur lequel était un cercueil n
près que les deux vieillards eurent contemplé l'inscription, les deux
hommes
enlevèrent le tréteau et se retirèrent lentement
e qu il était réellement mort. . « Je regarde le narrateur comme un
homme
très-vencti-que ; et, d’après des centaines de ca
ancienne. Un train de chemin de fer était prêt à partir. Une foule d’
hommes
et de femmes entraînaient de force Marthe. Ils l’
s’approcha ensuite du tambour et se mit à en battre aussi bien qu’un
homme
exercé à cet instrument, pendant que M. Koons jou
que je dois dire ; c’est lui que Dieu a préposé à ma garde. Chaque
homme
en a un comme moi ; mais il y a également un autr
N’est-il pas accablant pour la médecine de voir des char-latuns, des
hommes
à secrets, des gens enfin qui ne savent rien, réu
s’étant accrochée à un des boutons de son habit, le coup partit, et l’
homme
mystérieux tomba sur le parquet. Quelques insta
t le vénérable archevêque de cette ville, et compte dans son sein des
hommes
recommandables par leurs titres scientifiques et
autres 11e daignaient pas y faire attention. 11 ne se trouvait pas un
homme
qui osât s’en faire le champion devant les gens é
iablerie, ne sont que des mots; la force déterminante des prodiges, l’
homme
la possède dans la main et dans la pensée; ce qui
gélius. Trente ans auparavant il jouissait de la ré- pu talion d’un
homme
instruit dans sa partie; mais il était pauvre et
reste, il n’y avait dans Sé-gélius rien d’extraordinaire ; c’était un
homme
de belle taille, d excellent ton, avec des favori
de médecin, bien qu’il ne s’en occupât qu’avec répugnance et comme un
homme
qui n’aime pas à se déranger; mais quand il s’y m
ment de ses ennemis, car il leur arriva malheur à tous. Tel était l’
homme
étrange et mystérieux auquel, dans un accès de dé
cteur, lui dit-il en se jetant à ses genoux, vous voyez devant vous l’
homme
le plus infortuné de la terre. La nature m'a donn
il n’arrive mal qu’à celui qui use de détours. Tu es, je le vois, un
homme
ouvert et vrai, et tu mérites d'en être rt- com
amais. — Vous voulez rire, docteur Ségélius. — Nullement; je suis
homme
franc aussi, et ne veux rien avoir de caché pour
s, sauras et comprendras tout ? — Vous êtes le plus bienfaisant des
hommes
, monsieur Ségélius. — Tu acceptes donc? — Ass
un ordre donné par Ségélius à son valet de chambre, et s’étonna qu'un
homme
aussi élégant que le docteur portât un vêtement s
, une poussière imperceptible et qui n’existait pas pour le reste des
hommes
, devenait pour lui une cause de souffrance et lui
hirait son oreille. 11 voyait, comprenait tout; mais entre lui et les
hommes
, entre eux et la nature, il y avait toujours un a
te liberté de l’âme, ni la mort, ni le sommeil ne sont nécessaires. L’
homme
a la faculté de l’acquérir à force de se concentr
jeune homme gouvernait ces oiseaux avec une baguette, et trois autres
hommes
, dont il dépeignait les traits, semblaient lui se
iècle, il s’y rencontrait peu tle malades ; mais, chose rare chez des
hommes
forts, ils avaient presque tous, dans leur jeunes
vit ailleurs quelques années plus tard. La seconde fut une figure d’
homme
qui, chez son grand-père, passa devant elle dans
ux et aux autres matières qui nous semblent brutes, une âme comme aux
hommes
et aux bêtes. Leur électricité, invisible pour no
huit pieds, et resta en l’air jusqu’à ce que les efforts de ces deux
hommes
la contraignissent de rentrer dans son lit. Parei
contraignissent de rentrer dans son lit. Pareil fait est raconté d’un
homme
par Horst dans sa Hculéroscopie. Presque tous l
a lune, elle se sentait envahir par le froid. Pour elle, les yeux des
hommes
lançaient des rayons blancs ; ceux des femmes, de
les fois que M””' II... a regardé attentivement dans l’œil droit d’un
homme
, attention qui augmentait sa force visuelle et lu
au propriétaire de l’œil, et qu’elle prétendait être celle d’un autre
homme
résidant en lui, homme tantôt plus grave, tantôt
l, et qu’elle prétendait être celle d’un autre homme résidant en lui,
homme
tantôt plus grave, tantôt plus léger que lui. Si
grave, tantôt plus léger que lui. Si c’était sur l’œil gauche de cet
homme
que se fixait son attention, elle y voyait les or
ces rayons se prolongeaient jusques à son nez et à ses tempes. Aux
hommes
privés d’un membre, elle voyait ce membre comme s
ffet morts quelques jours après. Un autre jour encore, elle a vu un
homme
blessé, près de lui le Dr Kerner procédant à une
érir ainsi un blessé. Enfin, elle a vu dans la lune M. N..., et cet
homme
, plein de vie au moment de cette vision, est mort
que les intestins contenaient environ quatre litres de liquide. Cet
homme
n’ayant presque pas eu de déjections, ni par haut
e surabondante me semblait favorable au succès de mon expérience. l'
homme
et sur les animaux par MM. tes D” Rayer cl Bouchu
r le cabinet du secrétaire et une grande salle pour le traitement des
hommes
. Au premier étage se trouvaient deux grandes pièc
ole, preuve que tous étaient satisfaits. La salle du traitement des
hommes
était garnie d’un tapis de corde pour empêcher le
uite uu prochain numéro). VARIÉTÉS. Causerie». — On vit jadis des
hommes
, animés par la foi, aller, «le tous les points «l
ligions que la leur, puis des assassins et des voleurs ; rarement ces
hommes
de Dieu trouvaient un toit hospitalier. Et de leu
ou la mauvaise santé avait contraint de garder ses foyers. D’autres
hommes
, sans foi ni loi, vivant dans l’abondance et se c
s se partageaient à peu près également les malades. II y avait quatre
hommes
et autant de femmes pour faire ce service-car la
lui-même suivait ponctuellement les ordres du comité dirigeant. Les
hommes
m’ont paru plus attentifs que les dames, aussi ob
née. Les sièges pour les femmes étaient beaucoup mieux que ceux des
hommes
. C'était une sorte de pliant, recouvert de toile
e ces institutions n’avaient pas sous les yeux les écrits de ce grand
homme
. Je crois bon de reproduire ici quelques-unes de
serait sans cloute très-grande, si ce traitement était dirigé par des
hommes
sages et éclairés. On soulagerait beaucoup de mal
. , « Je suis persuadé qu’on trouverait facilement à Pans plusieurs
hommes
zélés qui feraient volontiers, chaque jour, le sa
précautions convenables, d’après les conseils et sous l’inspection d’
hommes
investis de la confiance publique. « En exposan
ans tous les cas. » Les D" Esdaile et Elliotson réunissaient, comme
hommes
de science, toutes les conditions exigées ci-dess
ces mouvements. d Tous ces faits m’ont été certifiés par M. Du Bay,
homme
très-respectable, dont la véracité ne peut être m
Nous avons blessé, il est vrai, sachant que nous blessions, tous ces
hommes
qui faisaient un vil trafic du somnambulisme, nou
Courrier de tu Vienne: « Il se trouve quelquefois dans la vie de l'
homme
des rapprochements tout à fait extraordinaires. E
i ès lui, doivent guider dans l’étude de la science, et auxquels tout
homme
d* bonne foi ne peut manquer d’applaudir : « Le
ans doute le magnétisme existait avant Mesmer; c’est une faculté de l’
homme
, elle doit être aussi ancienne qne le genre humai
ité, c’est d’avoir découvert et proclamé le principe de l’action de l’
homme
sur son semblable, et d'avoir enseigné qu’en diri
ibue les faits magnétiques à l’influence des choses extérieures sur l'
homme
et de l'homme sur lui-même, et nie qu’il existe u
magnétiques à l’influence des choses extérieures sur l'homme et de l'
homme
sur lui-même, et nie qu’il existe un principe par
ion. M. Bellanger objecte que le magnétisme n’agit pas sur tous les
hommes
, comme l'électricité cl les autres agents physiqu
parfois funeste, par une action normale et sa- lutaire. De môme un
homme
peut recevoir une action électrique de mille caus
son gré et qui ne peut être confondue avec les causes extérieures à l’
homme
, qui amènent parfois quelques effets semblables.
ient à la physiologie, puisqu’il comprend des facultés physiques de l'
homme
; il tient aussi à la psychologie, puisqu’il comp
gé ou refusé d’aborder l’examen des facultés les plus brillantes de l’
homme
, il a bien fallu que Mesmer et ses disciples, san
donc dans des régions inaccessibles non à la nature humaine, mais à l’
homme
tel qu’il est dans l'état ordinaire! Ils acquière
1 s’y montre, en plusieurs endroits, fort peu bienveillant envers les
hommes
qui ont consacré leur vie à l’étude , à la propag
imité d’individus extrêmement impressionnables. Nous regrettons qu’un
homme
aussi judicieux ait adopté à la légère une- telle
le résultat en a été aussi heureux que rapide. « Il s’agissait d’un
homme
qui, le 30 juillet dernier, était tombé îi la ren
Il y raconte qu'il s’est trouvé avec un medium, tanneur de son état,
homme
simple et n'ayant reçu qu’une éducation fort born
mulets, à peu de distance un grand arbre, et au-dessous le corps d’un
homme
qui paraissait mort. « Gela, dit M. Barlett, re
a « l’habitude d'y faire usage ; mais je ne puis savoir quel est n l’
homme
couché sous l’arbre. » M "'Laurie, qui est medi
impressionnable, dit: « Je reçois une impression qui me dit que cel
homme
est «mort de mort violente, et que son nom de bap
individu qui cherchait à se faire connaître. Il se le rappela pour un
homme
qui avait été attaché à la commission des limites
seignements étaient parfaitement exacts. 11 se rappela le surnom de l’
homme
qui était venu le visiter d’une manière si étrang
h ! si le sort des vérités dépendait des liens fragiles qui lient les
hommes
entre eux, aucune ne se serait établie sur la ter
blage de particules de la magnétique universelle, afin d’établir de l’
homme
à lui un rapport continu et sensible ; qu'enfin i
écieuses découvertes, que des facultés étonnantes apparaissent chez l’
homme
, et qu’une nouvelle lumière vient éclairer les my
ls faits, il faut se rendre et reconnaître avec M. de Gasparin, que l'
homme
, en se plaçant dans certaines conditions, dispose
e qu’en présence de fort peu de personnes. Mais M. de Gasparin est un
homme
grave, dont la parole a du poids. 11 affirme que
e soit pas dépouillé de ses préjugés religieux : il y a chez lui deux
hommes
, le croyant et le savant ; le premier se croit en
st des choses que nous ne pouvons recevoir que sur le témoignage de 1
homme
; il en est que nous ne devons recevoir que sur le
nous serons toujours dans une ignorance absolue ; mais à l’égard de l’
homme
, le surnaturel existe. Bien que la limite soit tr
ré du ton le plus tranchant qu’il était radicalement impossible que l’
homme
pût faire mouvoir sans contact un simple fétu ; M
éjugés religieux d’après lesquels on ne reconnaîtrait, en dehors de l’
homme
terrestre, que des anges, des démons, des élus et
és qui tous n’auraient la faculté de produire certaines actions sur l’
homme
qu’en vertu d'une dispensation spéciale de Dieu.
étendu que ces êtres fussent les seuls intermédiaires entre Dieu et l'
homme
, et ont permis par conséquent d’admettre au moins
vis. Or, de quelle intelligence émanent ces manifestations? « Qu’un
homme
, dit M. de Gasparin, dispose avec intelligence d’
fluide accomplisse les mêmes actes alors qu’il n’est dirigé ni par l’
homme
, ni par aucun esprit, c’est ce qu’il m’est imposs
travaux importants de M. du Potet. Nous sommes heureux de compter un
homme
aussi éminent que M. de Gasparin parmi les champi
un programme remarquable, et à la tète de laquelle se trouvaient des
hommes
de mérite et de savoir, animés des meilleures int
tion d’y consacrer ses instants, ses réflexions et ses veilles, qu’un
homme
peut satisfaire à ces exigences. « Ce n’est pas
ement les opinions exagérées de l’enthousiasme et du scepticisme. Nul
homme
de bonne foi, après avoir lu, pesé et mûri les te
sion, elle a besoin d’être secondée du concours d’un certain nombre d’
hommes
de bonne volonté ; mais la vérité a tant de parti
et. Elle apprit par là qu'il y avait eu effectivement à Wilmington un
homme
nommé Wylie Wilson, qu’il était mort, qu’il était
tent successivement à lui au fui- et à mesure qu’il écrit. Beaucoup d’
hommes
très-instruits ont examiné l’œuvre et jugent qu’e
ports de Dieu avec les créatures, la responsabilité individuelle de l’
homme
, son union avec Dieu au moyen des esprits, etc.
egrupU ajoute ce qui suit : u II m’est arrivé à moi-même de voir un
homme
à soixante-dix milles de l’endroit où il était, e
e sus depuis que c’étaient réellement les sentiments qu'éprouvait cet
homme
au même moment. » Nous pourrions ajouter bien d
aire pour me fâcher tout rouge. Je suis faible, il est vrai, comme un
homme
atteint par la vieillesse, et si des enfants mal
utes parts les environne. Mais déjà, pourtant, les mains débiles de l’
homme
ont saisi la foudre, et ce larcin, tu ne l’as poi
re, et ce larcin, tu ne l’as point puni. Est-ce donc qu’en disant à l’
homme
: Tout est à toi sur ce globe, — tu l’as laissé l
répandu sur les eaux. Que restera-t-il à la suprême majesté, si les
hommes
deviennent entièrement maîtres de leur destinée?
e nous vivons un instant, examinons pourtant ce curieux attribut de l’
homme
que nous avons découvert en lui, disons ce dont l
dire ni oui, ni non ; elle n’a point de caprice, point de volonté. L’
homme
, au contraire, pour tirer de lui-même quelque cho
contiennent sur ce sujet de précieux renseignements. La volonté de l’
homme
n’a d’ailleurs d’empire que sur la moitié de lui-
es, que fait l’intelligence de la veille, celle qui sert de guide à l'
homme
et qu’il accepte comme unique source de son savoi
raison et de cette intelligence parfois si misérable qui gouverne les
hommes
. Ce qu’il y a d’immortel en nous, c’est ce qui es
trouve souvent le doute qui se dresse devant la vérité ; je trouve l’
homme
rempli des erreurs que la science fausse a, dès s
du magnétisme envisagé comme influence naturelle des animaux et de l’
homme
. Arrivé aux temps modernes, il divise en sbc le n
' Gamin. 1 vol. in-8. Paris, 1854, Germer-Bailüère. C’est encore un
homme
de science, un médecin qui, sans s’inquiéter des
s, avec ou sans le secours des sens. — Qu’on ouvre les paupières d’un
homme
endormi : l’image des objets extérieurs viendra s
vec les autres en formant une chaîne ; si on n’oublie pas alors que l’
homme
est un foyer de vie, de force et de mouvement, qu
plus particulièrement dans les corps savants. En effet, c’est quand l’
homme
a jeté son feu qu’on le trouve propre à faire un
rits au point de leur ôter tout jugement? 11 y a là de quoi rebuter l’
homme
le plus entreprenant, le plus dévoué ! Comment se
isée, l’hésitation me paraissait un crime. En effet, ne pas sauver un
homme
en péril est une lâcheté; mais lors- qu’on peut
ité nouvelle — aient refusé ce soin à la découverte la plus utile aux
hommes
? Les Facultés de médecine et des sciences avaient
ursuivre de leurs sarcasmes ce qui seul peut véritablement éclairer l’
homme
, le moraliser et le soulager dans ses souffrances
leurs œuvres ; car presque toutes contiennent des outrages contre les
hommes
de cœur qui, confiants dans la justice de leur ca
qu’aujourd’hui l’on encense ; car le jugement de la postérité sur les
hommes
et les choses est impartial. Que les partisans
tisme rejettent donc loin d’eux ces petites rivalités qui abaissent l’
homme
au lieu de l’élever; qu’ils n’aient qu’un grand e
s voler. Les tribunaux en font justice. Nous avons une autre espèce d’
hommes
non moins dangereuse, quoique très-civilisée, qui
es de celle-là sont plus grands que ceux de la première. En effet, un
homme
est peu de chose comparé à la masse, et sa mort n
mefte, et l’immortelle découverte de Mesmer fut méconnue par ce grand
homme
. Les hommes qui mentent ainsi à la vérité au li
mmortelle découverte de Mesmer fut méconnue par ce grand homme. Les
hommes
qui mentent ainsi à la vérité au lieu de la reche
assages qtie nous allons citer feront voir sous un aspect nouveau des
hommes
et des choses qui intéressent vivement nos lecteu
M. de Cagliostro est un savant qu’il ne faut pas trai-« ter comme un
homme
ordinaire, ajouta-t-il; demeurez « quelques insta
je l’avoue, j’eus en ce moment un irrésistible désir de consulter cet
homme
, et la crainte de contrarier M. d’Oberkirch, dont
e nouveaux détails sur le même sujet, et apprécie les facultés de cet
homme
étrange. A propos d’une invitation à diner chez l
. Au détour d'nne rue, dans « 1’enfoncement d’une porte, j’aperçus un
homme
grand et * maigre, enveloppé d’un manteau, comm
il ne voyait personne. * — Comment ! tu ne vois pas à ma gauche un
homme
* en manteau, qui est là entre le mur et moi?
ngeai un peu le bras; en effet,;je sentis de la « pierre. Cependant l’
homme
était là, toujours marchant de « ce même pas de m
e-Place, entre le « pont de la Newa et le palais des sénateurs. « L'
homme
alla droit vers un endroit de cette place, où « j
fort souvent, M. de Saint-Martin, 1 auteur des Rapports entre Dieu, l'
homme
et l'nmvers. Ce livre a fait sensation dans les s
science de l’avenir. D'autres fois ils mettent, en le magnétisant, un
homme
en rapport avec une fille en état de somnambulism
out savoir. Si cette femme ne « m’aime pas, qui aime-t-elle? « — Un
homme
de sa nation, un misérable, un voleur. » « La s
se propager le plus possible. Je suis convaincue qu’elle rendrait les
hommes
meilleurs en leur donnant foi dans l’autre vie. J
peu de mots de quoi il s’agissait, et il prit place. Ce n’était ni un
homme
convaincu, ni même un homme bienveillant pour le
ssait, et il prit place. Ce n’était ni un homme convaincu, ni même un
homme
bienveillant pour le magnétisme. Le maréchal répé
sidérables en bestiaux, en bâtiments; mais il n y eut point de mort d’
homme
. Quand j’appris cette nouvelle, je fus altérée; t
3» M. Ch. LAFONTAINE, raagnél seur. demeurant à Genève. Tous les
hommes
qui se distinguent ne brillent pas par les mêmes
de fonction publique, n’ait pas voulu en avoir le cœur net, et qu’un
homme
sensé ait osé formuler une accusation et demander
fasse des prestiges ; Ni enchanteurs qui usent d’enchantements, ni
homme
« qui consulte l'aspect de Python, ni diseur de b
son maître en de-« vinant. « Elle suivait Paul en nous criant : Ces
hommes
sont des « serviteurs du Dieu très-haut, et ils v
« — Vous conviendrez que c’était un bon diable» qui criait que ces
hommes
étaient les serviteurs du Dieu très-haut. « — 1
à la Bible qui dit, Lévitiqne, chapitre xx, verset 27 : • Quand un
homme
ou une femme aura l’esprit de Py-• thon et sera d
vie, leurs rangs seront toujours garnis, car le mensonge corrompt les
hommes
, et la société préfère l'erreur à la vérité. Les
es. Le dédain , le mépris, quelquefois même le martyre, attendent les
hommes
qui, comme toi, cherchent à étouffer le monstre d
net; par M. Hébert, .416. Comment l'esprit vient aux Tables; par un
homme
qui n'a pas perdu l'esprit. Ecrit avoué par M. Ma
N. Il n’en est pas du magnétisme comme des autres découvertes que l’
homme
a pu faire; cclle-ci, outre l’attrait si puissant
Nul doute que toutes les inventions humaines peuvent être utiles à l’
homme
, contribuer à son bien-être, montrer son génie; m
t; un nombre considérable est sans espoir. Tout est décoloré pour l’
homme
qui souffre ; ce qu’il demande avant tout, c’est
son regard pour moins souffrir. Gardez-vous d'insister auprès de l’
homme
ainsi disposé, car il vous maudira, vous et vos i
du jusqu’à son cœur. Tout à l’heure vous étiet sans puissance sur cet
homme
; son oreille pour votre parole s’ôtait affaiblie
es ennemis que la vérité avait rencontrés; iis sont remplacés par des
hommes
nouveaux qui ont d^jà moins de prévention, et les
et le temps qui lui a fait «ubir son épreuve. Lutte curieuse pour l’
homme
attentif» propre à ellt seule à développer son es
us aujourd’hui besoin de prouver l’existence du magnétisme; grâce aux
hommes
qui nous ont précédé ou qui marchent avec nous, s
témoignage qu’elle refuse est au reste inutile), mais par une masse d’
hommes
suffisamment éclairés pour les bien observer. Il
C’est notre expérience que nous voulons transmet- tre à d’autrés
hommes
, c’est lo résultat de trente années d’études que
lissement successif de toute croyance et la dégradation physique de l’
homme
, il est doux de penser qu’une découverte s’est fa
outes choses. Nous espérons que nos efforts seront secondés par les
hommes
qui, comme nous, travaillent à généraliser la con
n’attaquions ce qui fait obstacle à la propagation du magnétisme. Les
hommes
qui vivent avec des erreurs se soucient peu de la
que celui de détruire des mensonges qui servent à l’exploitation de l’
homme
? Non, sans doute; et ceci nous donne l’espoir d’u
vant tout le bien que le magnétisme peut faire que nous amènerons les
hommes
à le pratiquer. Nous rechercherons le magnétism
Nous rechercherons le magnétisme dans l’antiquité, nous parlerons des
hommes
qui en possédaient la connaissance, mais nous nou
ne faisant voir aucune qualité qui serait étrangère à la nature do l’
homme
. « La nouvelle doctrine appartiendra par conséq
ure et mystique du sommeil et des songes , où la nature poétique de l’
homme
joue de sa cachette son rôle magique de tant de d
ocher et A les concilier entre elles. « Comme la nature élevée de l'
homme
perce lumineusement dans les phénomènes du magnét
ent que la science fait chaque jour un nouveau pas en avant, qu’à des
hommes
remplis d’ardeur, que le temps, dans sa course ra
a été franchie. Nous nous posons hardiment comme un de ces nouveaux
hommes
, et, quoique plein de reconnaissance pour nos anc
e, nous avouerons sans honte notre faiblesse. La supériorité d’autres
hommes
, lorsqu’elle nous sera démontrée, sera avouée et
ins, voyons d’autres preuves. Deuxième expérience, ACTION SUR DES
HOMMES
ENDORMIS. Le système nerveux d’un enfant pouvan
impressionné par des agents d’une faible puissance, essayons sur des
hommes
placés dans les mêmes circonstances, c’est-à-dire
tisme doit subir la loi de la plupart des agents de la nature, dont l’
homme
a, jusqu’à un certain point, la possibilité de co
te ou diminue d’intensité, malgré le repos du corps, car je suppose l’
homme
assis. Les pulsations ne restent pas au même degr
sentis, sachant que je faisais mal, car il m’avait repoussé; il était
homme
et libre, je n’avais nul droit sur sa personne.
Sa voix devint terrible et menaçante, ses imprécations celles d’un
homme
en délire ! La porte, fermée à clef, céda à ses p
ce fou, mais sur la responsabilité qui pouvait m’atteindre. Il était
homme
et libre ; il n’avait pas voulu consentir à être
e d’hébétement, trop faciles à prévoir. J’ai soupçonné depuis que cet
homme
faisait usage de préparations narcotiques, car l’
t point empêcher de faire des tentatives pour sauver un malheureux. L’
homme
qui se jette à l’eau pour retirer un infortuné qu
La nature offre un mo;en universel de guérir «t de préserver les
hommes
. L'iCTEÏB. AVIS AU PUBLIC S I" L’importance
once m’autorise et m’oblige à vous interpeller. C’est un droit de l’
homme
, également éternel et imprescriptible comme la li
avancer l’art de guérir vers sa perfection. Comme l’existance de l’
homme
, sa conservation ne doit plus être l’appanoge exc
r application. La nature, de môme qu’elle a gravé dans le cœur de l’
homme
les droits et les obligations pour le bonheur soc
ablir et confirmer l’harmonie dans l’œconomie physique et morale de l’
homme
. Ce seroit sans doute l’objet le plus digne d’ôtr
le de la religion et de la science se réunisse dans la tête d’un seul
homme
de génie ; l’apparition de cet homme ne saurait ê
réunisse dans la tête d’un seul homme de génie ; l’apparition de cet
homme
ne saurait être éloignée, et peut-être même exist
Si les phénomènes magnétiques et somnambuliques existent, si tant d’
hommes
ne se sont point trompés, no sommes-nous point à
fondons-nous cette opinion? Sur l’histoire, qui nous apprend que les
hommes
qui ont fait révolution dans les sciences sont ve
apparaîtra soit compris, et que tout d'abord sa doctrine trouve des
hommes
disposés à l’adopter et à vivre sous la loi qu’il
le ridicule qu’il vient de s’attirer avec ses dignes confrères sur un
homme
distingué par des talents et une science rares, s
uper. Ceux-ci, au contraire, vous sont venus de la classe même de ces
hommes
qui jusqu’ici se sont déclarés les ennemis de la
ssement, c’est bien certainement contre leur aveu. Honneur donc à ces
hommes
! ils se sont montrés supérieurs à ceux qui se di
hénomènes magnétiques que vous aurez produits, car il se trouvera des
hommes
très-savants qui prouveront que votre explication
ine. Je ne puis ici espérer être compris que d’un très-petit nombre d’
hommes
. C’est un travail curieux que de semblables magné
plus haute antiquité se répand dans la nation, grâce au zélé dévoué d’
hommes
convaincus du v bien qu’elle peut faire. Cette
tout pouvoir fort et éclairé se montre prévoyant; or, aujourd’hui un
homme
vous offre de consacrer sa vie à démontrer par de
nt, et dans l’avenir s’élèverait comme une charge terrible contre les
hommes
, qui, prévenus qu’une digue pouvait se rompre, n’
saura gré de n'aroir point réservé pour nous seul les pensées de cet
homme
célèbre. {Note du directeur.) jet de cel ouvrag
l’aimant. On traita d’insolence les premières annonces faites par un
homme
inconnu parmi eux On contesta ces prétendus phé
opérer dans l’art le moins avancé et pourtant le plus nécessaire aux
hommes
. On verra que ces découvertes ne sont pas une r
je vous en supplie ; quand il sera parti, je vous dirai ce qu’est cet
homme
. » A ma grande surprise, on sonna effectivement,
ait de ce que j’avais éconduit le visiteur. Elle me dit alors : « Cet
homme
est un empoisonneur; je le sens, je le vois. » Et
rsista dans ses aveux, et me pria surtout de ne pas permettre que cet
homme
l’approchât jamais. «Je lui dirais tout, disait-e
oute. Mais, à quelque temps de là, quelle ne fut pas ma surprise ! un
homme
du même nom que celui dont j’avais la carte fut t
rocura du sommeil. Je le magnétisai encore deux ou trois fois, et cet
homme
fut en état de reprendre ses travaux ordinaires.
eux et de boissons fermentées. Le désir de l'idéal est si fort chez l’
homme
qu’il tâche, autant qu’il est en lui, de relâcher
yais encore mes camarades à certains instants, mais difigurés, moitié
hommes
, moitié plantes, avec des airs pensifs d’Ibis d
sse dans ce but les réflexions suivantes. Emanation volontaire de l’
homme
, le magnétisme possède, comme agent thérapeutique
cl inévitable. Un seul fuit de celte nature, vu et vérifié par des
hommes
compétents, jurait dû suffire pour attitfér sur
a lumière pouvait briller pour tous, et nous avons pardonné quand des
hommes
, qui pouvaient devenir le flambeau de lu science,
ce. Les enfants en ont même une quantité suffisante pour agir sur dos
hommes
faits cl sur des animaux. La nature n’a point a
naissances sont nécessaires. Le commençant peut s'en passer. Tous les
hommes
n’ont pas la capacité de les bien saisir, et des
ience seulement. Les médecins devraient posséder la science, et des
hommes
sains, bien disposés de coeur et d'àme, avant suf
glent l’économie animale. La vie du monde n’est qu’une, et celle de l’
homme
individuel en est une particule. Toutes les pro
eau, Bussy, professeur à l’école de pharmacie; les autres étaient des
hommes
de lettres, des savants, des artistes. 11 y avait
une extrême rapidité. Un moment il offrit le singulier phénomène de l’
homme
double qu’on avait déjà constaté chez d’autres ex
quefois aux éclats; mais ces actions étaient tout au plus celles d'un
homme
fortement excité par une liqueur. Tout à coup il
ntourons; il parle de science, donne des définitions ; puis, comme un
homme
qui prélude et s’essaie, il prononce quelques mot
e du monde, sont visibles à nos yeux ; les images ou les pensées de l’
homme
ne le sont pas; mais je crois néanmoins que ces i
la volonté) de donner impulsion à ses créations, il est évident que l’
homme
pourra faire que ses pensées (étant des images su
y aurait prodige, au contraire, si elle ne les apercevait pas. A l'
homme
qui a celte croyance, le magnétisme animal, loin
int; plus tard je parlerai avec plus d’étendue de l’organisation de l’
homme
physique. Je viens de vous donner une explicati
agnétiques que je viens de faire connaître, mais de la généralité des
hommes
qui les ont ou peuvent les acquérir. Il ne s’agit
tique par l’assistance de témoins compétents. Il réunit donc quelques
hommes
de l’art, et procéda une seconde fois, avec le mê
s auront leur sanction. L’éducation est lente et difficile; placez un
homme
entre une vérité et des préjugés ou des erreurs,
a connaissance des facultés de l'âme Réflexions. Il n’y a point d’
homme
au monde qui n’ait changé de sentiment dans un te
reux dans différents dé-partemenis, M. Possin dit qu’il y a à Lyon un
homme
très-connu sous le nom de Joseph l’extatique. V
sous la présidence de M. Wiart, à Cambrai. Cette société, composée d’
hommes
actils et dévoués, publie ses travaux dans un rec
iamétralement opposées, parlant que la puissance magnétique de chaque
homme
n’est pas bornée à une maladie spéciale. Ce qui e
il n’entend pas par les oreilles; mais il voit et entend mieux que l’
homme
éveillé. — Il ne voit et n’entend que ceux avec l
x états sont aussi étrangers l’un à l’autre que si le somnambule et l’
homme
éveillé étaient deux hommes différents. » Puis,
s l’un à l’autre que si le somnambule et l’homme éveillé étaient deux
hommes
différents. » Puis, continuant, il ajoute : «
vertu de cette loi que je vous ai fait connaître, à savoir : que tout
homme
possédé syf- Jîsomment de force magnétique pour
ut l’observation, la pratique, que sais-je? le génie, peut-être! Un
homme
à qui l’on donne une palette, un pinceau, des cou
écrit imparfait, pâle reflet d’une vérité qui n’a encore trouvé aucun
homme
qui puisse faire sentir sa grandeur et scs bienfa
he et concerne. Sur quelques privilégiés : — Tout ce qui manque aux
hommes
et qui doit être l’attribut de l’âme dégagée de l
sorte d’illumination subite de votre esprit; vous n’étes plus le même
homme
que tout ô l’heure ; quelque chose de divin est s
cette sainte union! Le somnambulisme est contemporain des premiers
hommes
. Au commencement du monde, il a dû être permanent
est limitée. Il est le complément de la vie; c’est par lui seul que l’
homme
peut se connaître et remonter à son auteur, Diou;
rs d’années, et d’autres qui passaient les bornes de tout ce dont les
hommes
peuvent so souvenir. « Les circonstances les' p
vais trouvé par terre. Sa démarche était singulière; on aurait dit un
homme
à qui l’on aurait ôté ses os sans lui ôter ses mu
o l’antiquité et des temps modernes sur l’usage de cet organe? Chaque
homme
ayant sa manière de penser , les spirilualistes
Il est naturel de penser que ce viscère, siège de tout ce qui est l’
homme
, ne doit pas borner ses fonctions à ce qui nous e
et dont aucun auteur n’a jusqu’à ce jour indiqué la destination. Un
homme
studieux, un de ces génies dont la nature est ava
ide réuni dans cet organe qu’est duc la puissance qu’il, exerce sur l’
homme
et les animaux ? L’abbé Faria ne magnétisait que
nséquent de la vie elle-même, puisque, plus il y a de vitalité chez l’
homme
, plus il possède de fluide magnétique. Par indu
murmure. Déjà trente années de ma vie ont passé, et, semblable à cet
homme
antique, je vais sans songer au lendemain. 11 fau
que le génie; pourquoi donc m’effraierai-je? C’est cependant à des
hommes
de science que jo vais avoir affaire ; c’est à eu
hui d’avoir fait plus que moi. J’ai payé avec usure la dette que tout
homme
doit à son pays. Quitte envers lui, le reste de m
it le cœur’.’ Étais-je d’ailleurs le maître de choisir ma destinée? L’
homme
s’agite, etDieu le mène. C’est en vain qu’il se r
ma docilité m’a été favorable. Sans elle, aurais-je pu connaître les
hommes
, leurs préjugés, leurs erreurs? Comment aurais-je
onnez-moi si parfois je me suis plaint comme un enfant; on ne devient
homme
qu’à la condition de souffrir, mais longtemps jo
e amène le doute, le doute le mépris des choses saintes et sacrées; l’
homme
reniant son Dieu renie bientôt après la vertu.
ste et douloureux souvenir d’une vie passée dans une lutte contre des
hommes
animés par de mauvaises passions, faites place à
.i je ne le verrai pas ! Magnétisme ! souffle du Créateur, tous les
hommes
le possèdent, ils vivent par toi, et meurent quan
nd tu leur échappes! allons justifier de ton existence. Apprenons aux
hommes
à faire un noble usage de leur puissance, de ce f
c leurs yeux, mais ils voient avec l’âme, avec ce sixième sens dont l’
homme
jouira, a dit l'ourier, dans la période harmoniqu
it l'ourier, dans la période harmonique, c’est-à-dire à l’époque où l’
homme
aura acquis toute la perfection dont il est susce
la perfection dont il est susceptible. Les faits qui prouvent que l’
homme
jouit de facultés encore peu connues sc multiplie
ouvé et me prouvent chaque jour que l’électricité est cet agent que l’
homme
a la faculté de développer sur son semblable et d
elques préjugés religieux, il se contredit. Ce n’est plus Townshend l’
homme
, c’est Townshend le prêtre qui parle. C’est ici
on de l’esprit est ce qui constitue la différence essentielle entre l’
homme
et la matière en général, il suit que A + B — A =
» Pourma part je pense qu’une pensée sans penseur est chose que tout
homme
qui pense ne pourra concevoir. Si l’âme est un êt
e, à l’entrée de la rue des Vieux-Auguslins par la rue Montmartre, un
homme
alteinl d’une attaque d’épilepsie, et cet homme a
la rue Montmartre, un homme alteinl d’une attaque d’épilepsie, et cet
homme
a pu aussi continuer son chemin au bout de vingt
dinaire, ou môme recevoir des impressions étrangères à la naturo do l’
homme
. J’ai plusieurs fois observé, chez des femmes qui
Un célèbre chirurgien devait faire l’opération de la taille sur un
homme
dans la force de l’âge. Ce malheureux était fixé
rement avec le doigt l’endroit que devait parcourir l’instrument, cet
homme
expira instantanément. Une mort si prompto, h q
de physique du magnétisme. Ce qui me reste à dire devra confirmer les
hommes
dans cette idée : c’est que la plus grande des sc
qu’il avait déjà vus. « On le laissa seul; peu de lemps après, deux
hommes
d’un extérieur distingué arrivèrent; ils précédai
s mémoires le fait .suivant : « Les Makasses jouent avec frénésie :
hommes
libres, femmes, enfants, tous sont infectés de ce
une espèce de garde qui est spécialement chargée de les arrêter. Les
hommes
qui la composent sont armés d’une longue fourche
ou 11e veulent s’en séparer. Quelle sûreté avoir au milieu de tels
hommes
? Où porter nos pas sans les rencontrer ? car ils
e Dieu l’a ainsi faite, et. devons-nous expier l’ignorance qu’ont les
hommes
des lois de la nature? C’est donc en connaissan
le pour lui s’il revenait visiter la terre, ne souffriraient point un
homme
qui guérirait les malades en imposant les mains;
serait lapidé! Civilisation menteuse, tu n’as fait que corrortipre l’
homme
et lui ôter ce que la nature lui avait donné : Un
inslinft sûr! La science n’a jamais prêté »in appui secoura-ble aux
hommes
qui apportent des vérités, elle les rejette avec
is point les curieux édifices semés çà et là, mais je considérais les
hommes
qui habitent ces contrées immenses que je travers
qui possèdent une pensée pleine d’avenir il n’est point de repos; ces
hommes
que le destin conduit ne doivent jouir d’aucun pl
uvrir ce qui échappe au vulgaire, et contribuer au bonheur des autres
hommes
en payant un double tribut. Sur la môme route e
ur, seul, laissera une découverte que le-temps fécondera. Lorsque les
hommes
seront meilleurs et plus éclairés, ils se rappell
ines morales, épanchées au dehors, diminuent la tristesse de l’âme; l'
homme
souffrant aime à conter ses peines. Arrêtons-nous
a-t-il pas Iaffaiblir ou la détruire? Mais pourquoi cette crainte ? L’
homme
n’est-il pas un être à part? ne s'habitue-t-il pa
aits, je ne dirai ici et ne rendrai compte que de mes œuvres. Que les
hommes
honorables qui m’ont précédé dans la carrière ne
té pour être persécuté. Maintenant on comprend mieux ses intérêts. Un
homme
s’annonce-t-il comme possédant une découverte : a
et son caractère noble et généreux ne consentira pas qu’on frappe un
homme
qui n’a rien fait encore ; prévoyant pour vous to
us ne connaissez pas les formes expéditives du pays. La position de l’
homme
qui écrit ces lignes, ses tribula-lations ne vous
a vous être utile un jour. Pauvre novateur, tu n’es pas au bout. Un
homme
va s’attacher à toi, te suivre comme ton ombre; p
écouvert. Il est d'autant plus dangereux pour toi que ce n’est pas un
homme
vulgaire et qu’on croira ce qu’il affirmera, car
diplomate, je plaindrais le gouvernement qui aurait à ses trousses un
homme
semblable à vous. Toutes ses ruses seraient bient
aient connus. Les gouvernements 01^ quelquefois besoin do tromper les
hommes
pour les conduire, et c’est souvent entre les gra
quand on le fait résonner trop fort. C’est de même » que le cœur de l’
homme
; si on touche le ton cor-« respondant, il est ébr
t sur la route.... Un peu « après, je vois votre fils arrêté par deux
hommes
; ils l’em-« mènent; ils le font boire, mais je n
le merveilleux des paroles de la somnambule, la coïncidence des deux
hommes
arrêtés avec ce qu’elle raconte, échauffent toute
quitléson ami H... et se rendant à Wuissons, il a été arrêté par deux
hommes
qui l’onl fait boire. Depuis ce moment il ne se
ous avons déjà reproduits, indiquant qu’elle voyait Balicle avec deux
hommes
dont elle donna le signalement, etdaus un lieu qu
savants. Ces gens étaient sincères ; ilsavaienl une faculté utile aux
hommes
, mais on les repoussa en les traitant de charlata
de l’état d’un épileptique qu’il magnétise depuis trois semaines. Cet
homme
, chez qui les accès étaient provoqués par l’ivres
s effets produits par M. Simon sur une autre personne, M. Roche fort,
homme
de petite taille, nerveux, à l’air vif et à la pa
ège. M. Simon cesse de l’actionner et les effets se calment; mais cet
homme
est d’une sensibilité telle que la seule approche
à l’autre bout de la salle, le magnétise avec la main d’abord, et cet
homme
semble comme frappé de la foudre, ensuite avec le
passer. Le conseil supérieur de médecine a nommé trois commissaires,
hommes
distingués, pris dans son sein,, pour suivre les
’orgueil de posséder seul cette vertu ne s’empare pas de moi : tant d’
hommes
la possèdent à un degré supérieur et l’ignoreront
as assez; préférablcmenten plein air que dans un courant d’air. Les
hommes
qui paraissent avoil' profondément réfléchi sur l
d’iuiepince forte.... Dieu ! quel bruit, quelle mêlée.... — Pauvre
homme
, vous êtes blessé, dit Alexis en posant sa main s
ont j’ai parlé.... — Cherchons bien, cependant.... Oui, je vois notre
homme
, environ huit ans plus tard, à Paris, rue.... Sai
x tiennent lieu de pinceaux. Les nerfs optiques ainsi fermentés, un
homme
peindrait les saints ou les diables, et lout oc (
ue par des images; les rêves ont toujours une signification, mais les
hommes
ne comprennent point. Ilippocrate avait dit : Cel
vé le dernier, on lui assigna la plus mauvaise caserne, et huit cents
hommes
furent placés dans un local qui, dans les temps o
mbres à la fois, les mêmes cris de la veille se renouvelèrent, et les
hommes
qui avaient vu le môme chien leur sauter sur la
M. Topham dans les environs, je résolus de le prier d’essayer sur cet
homme
les effets du mesmérisme, dans le but non-seuleme
pour lui s’il revenait visiter « la terre, ne souffriraient point un
homme
qui guérirait les « malades en imposant les mains
ompie pas encore à Madrid, fi Barcelone, à Valence, à Porlo-Rico, des
hommes
aussi expérimentés que M. Du Poiei ; mais il n’en
re les maladies. » Il esi vrai que Ferdinand VII, influencé par des
hommes
qui, en Espagne comme en Franco, comme partout ai
par des leçons basées sur l’expérience, nous enseignerons aux autres
hommes
ce que nous savons en 1 art magnétique; heureux n
gonistes du magnétisme que des préjugés aveugles et do la routine des
hommes
en général. Pourquoi y aurait-il exception en not
un semblable travail n’apprendrait rien de nouveau : on snil, et les
hommes
ne se corrigent point par l’enseignement des sièc
nouveaux amants ne se refroidisse pas. Qu’importe pour la plupart des
hommes
que le magnétisme soit un agent curatif? Ils s’en
stants, la comtesse éprouve quelque douleur dans la région du cœur.
Homme
européen par sa fortune, Demidoff enfin, puisqu
erai faire bonne route, selon ma volonté. Ce secret est dans chaque
homme
qui sait vouloir. Essayez, vous ne réussirez poin
ché, j'ai trouvé, et vous dirai-je toute ma faiblesse? C’est un petit
homme
rougi■ , tout contre fait, marchant avec une béqu
herche à exécuter d’autres choses encore plus difficiles que le petit
homme
rouge fit avant de me quitter. J’espère qu’un jou
e humaine, légèreté impardonnable, vous existez dans tous les pays. L’
homme
se croit fort parce qu’il a des doutes, tandis qu
t raisonner sur les effets qu’ils produisent, satisfaire l’esprit des
hommes
qui désirent s’instruire, les initier à des princ
t wiiteaux savantes leçons de ces grands maîtres? Sans doute quelques
hommes
se sont distingués par des faits brillants et que
éjà, dit M. de Puységur (I), mis deux fois en crise magnétique (2) un
homme
de trente-trois ans, nommé / ouis Segar, de la pa
ns, nommé / ouis Segar, de la paroisse de ! uj, près de Soissons. Cet
homme
, fort et robuste, d’une taille de cinq pieds huit
nétiques. J’ai vu des personnes s’endormir promptement sous la main d’
hommes
qui se croyaient peu propres à devenir magnétiseu
cie avec un cœur reconnaissant le pouvoir que j’ai et qu’ont tous les
hommes
de venir en aide à leurs frères souffrants. Mais
dormait avec scs compagnons dans le \ieu qui leur est destiné ; deux
hommes
vêtus de blanc (c’est ainsi qu'il 1c racontait) v
naissait poinl le dépositaire! Cela esl pour nous évident. Quel esl l’
homme
, par exemple, qui, se livrant à des travaux d’ima
nétré de cette vérité nous la transcrivons ici. Pourquoi, encore, l’
homme
n’aurait-il pas en soi le germe ou le souvenir de
notre avis, l’exception. Nous poserons maintenant celle question : L’
homme
d’esprit, l’homme de génie plutôt, aidera-t-il à
eption. Nous poserons maintenant celle question : L’homme d’esprit, l’
homme
de génie plutôt, aidera-t-il à la formation de la
, vivifier nos forces abattues, et aussi, surtout, pour apprendre aux
hommes
à se secourir cl à s’aimer les uns les autres !
aux hommes à se secourir cl à s’aimer les uns les autres ! § ». •
Homme
, connais-toi I • Nous sommes presque toujours p
sants (el indépendamment sans doute des influences clinvaiériques), l’
homme
n’a réellement qu’un lypc vers lequel il tend tou
E DE LA MUSIQUE SUR I.ES MAGNÉTISÉS. 11 m’a toujours semblé que l'
homme
insensible aux charmes de la musique était privé
» L’idée d’un agent spécial appartient aux successeurs de ce grand
homme
. C'est une grande révolution dans la chose. Presq
elle de la sensibilité magnétique. Tous les jours, depuis le 4, cet
homme
n (MO magnétisé; ses veux vont de mieux on mieux
prochent davantage de leur guérison. M. Osleau magnétise ensuite un
homme
fort el d’une taille élevée. Après un certain bal
ouvoir (le résister à l’action qui l'envahit; inCine soutenu par Jeux
hommes
il ne peut se maintenir dans la station verticale
la santé près de cette source nouvelle? Comme vous connaissez peu les
hommes
! Tenez : une princesse souffre, languit, se meurt
magnétisme ridicule. Trompé par une parade magnétique, on dédaigne l'
homme
qui possède la science, et 011 s’en ira par une l
s telle est la sottise humaine. Ce général, à tort ou à raison, comme
homme
privé, n’inspire nulle confiance. Il faudrait, di
n’inspire nulle confiance. Il faudrait, dit-on, i/uü ce fut un autre
homme
pour qu'on appréciât le fait. Mais qu’importe l’h
ce fut un autre homme pour qu'on appréciât le fait. Mais qu’importe l’
homme
ici, c'est la chose qu’il faut voir!... Comment c
ent la science en en abusant. A qui s’en prit-on? n l’instrument, à l’
homme
vicieux? pas du tout. C’est à la découverte elle-
ous abandonne quand il s’agit de magnétisme ? Partout où il y a des
hommes
il y aura des vices et des abus. Mais est-il défe
nts; je sais qu’il va des exceptions très-lionoraldes, je connais des
hommes
dont le vaste esprit embrasse toutes choses; mais
t vraiment; ils sont comme des demi-dieux qui veulent qu’on les croie
hommes
. Dans ce pays, des gens simples (mougiks) saven
nous d’une force physique que nous avons appelée magnétique; car les
hommes
qui auraient pu redresser nos erreurs sur les cau
e écrivait môme qu’il fallait me jeter en prison, car je trompais les
hommes
, et main- tenant les opérations les plus graves
ent, je médite sur mon art. Je voudrais aussi contribuer à rendre les
hommes
plus heureux et les doter des moyens de sc conser
omme-Dieu mourant sur la croix a dit il y a deux mille ans : Tous les
hommes
sont frères; aimez-vous les uns les autres, c’est
phètes. Ces paroles et cette fin sublimes n’ont point élé oubliés des
hommes
; ils fraternisent chaque année pour les éterniser
ors est, nous le répétons, presque le même, qu’il se rencontre chez l’
homme
du monde d’aujourd'hui ou chez l’ascète prophète
abandon comateux, uu anéantissement tel qu’il ressemblait moins à un
homme
renversé qu’à un manteau noir déposé à terre. U
nt la raison, comment fixer un terme aux envahissements du génie de l'
homme
? Déjà il franchit la distance avec la vitesse de
ondes ! Qu'il esi splendide et grandiose l’avenir que présagent à l’
homme
ces miraculeuses découvertes, filles de son intel
ontrer! C'est lui qui donne aux éclairs qui jaillissent des yeux de l’
homme
courageux cet éclat fascinateur qui fait pâlir le
eur est le moyen d'action du calorique. Ces! par la volonté, a dit un
homme
qui a beaucoup étudié le magnétisme, qu’on met en
ux prosélytes, ses ardents avocats , ses persévérants apôtres, el les
hommes
les plus recommandablcs parleur moralité, les plu
Celte science nouvelle donne une immense extension aux facultés de l'
homme
, ci cela se conçoit; elle supprime le ministère d
ec la nature, avec les objets extérieurs, avec les idées intimes de l’
homme
! Voilà pourquoi pour le somnambule il n’y pas de
a songé à appliquer son principe â la transmission de la pensée de l’
homme
el que le premier télégraphe électrique a élé éta
gt;as ijd’îin moyen de errlaiucs substances un peut développer chez l'
homme
le plus robuste el le mieux portant des symptômes
ible ne saurait ni embrasser, ni concevoir ! 11 y a dans l’âme de l'
homme
une disposition continuelle qui le porte à s’élan
ier dut cesser sa lecture, qui n’était goûtée que d’un petit nombre d’
hommes
. Par une de ces hardiesses communes à nos adver
au milieu de celte jeunesse et mettre son Sme à l’unisson de celles d’
hommes
qui sc sont si bien fait connaître à lui. Kn «s
l d'aberration dans les rapports de l’âme avec les sens, en plaçant l’
homme
dans des conditions physiques el morales nouvelle
, le regardait comme dangereux aux progrès de sa découverte. Ce grand
homme
, appliquant au magnétisme ces mots célèbris de Ne
nt les somnambules. L'existence do ces êtres intermédiaires entre les
hommes
el la Divinité esl conforme aux saintes Ecritures
dieu de fabrique récente u’c-t que la déification d une facile .lue l’
homme
possède de rentrer péniblement eu possession d’un
pour les autres; il sc rappelai, sans doute qu'en s;.....a- lité d'
homme
rien de ce qui affeele l’humanité ne devait lu. C
gal, en opérant de la môme manière et dans des cas identiques, deux
hommes
d’une même nature en apparence obtiendront des ré
effets seront mauvais; quelquefois elle peut empoisonner. II est des
hommes
qui ont des propriétés malfaisantes; on ne les ap
défaire qu’en fuyant, qu’en changeant de lieu promptement. Quelques
hommes
et quelques femmes ont ce triste privilège d'inoc
oir, et ce n’est point une pure allégorie. J’ai connu dans ma vio des
hommes
supérieurs qui étaient les jouets de femmes indig
vaient se soustraire à cette domination qui les abrutissait. D’autres
hommes
, bien inférieurs, dominaient des femmes d’un espr
t dans le secret, obtenaient la preuve d’une prévision parfaite. Un
homme
de cinquante ans environ, ayant perdu la faculté
nfluen- cées, modifiées; c’est enfin l’agent de la nature donné à l’
homme
comme moyen de se guérir et de se préserver. Ne
ligence fera le reste. Dirigez-vous d’où vient la lumière. Il est des
hommes
qui veulent vivre et mourir dans les ténèbres, ne
oppe ses moyens, son instinct acquiert de la justesse, tandis que l’
homme
qui n’étudie point sc dégrade visiblement. DU C
t un devoir de continuer, et j’y cédai. Devais-je me fâcher contre un
homme
qui était de bonne foi, qui croyait au magnétisme
ire une action louable, sentait battre son cœur et voyait abaisser un
homme
qu’il eût voulu relever. Le magnétisme n’est pl
'éloquence de son auteur; mais ici c’est une pratique à la portée des
hommes
les plus bornés ; tous ont la puissance de l’exer
bornés ; tous ont la puissance de l’exercer, par cela seul quils sont
hommes
. » (La suite au prochain numéro.) ÉTUDES PRÉP
arquable. Nous n’avons qu’un regret à exprimer: c’est que lesauteurs,
hommes
dont le talent est si vigoureux, l’esprit si ency
es autres; il est douteux qu’on y puisa' réussir, même en prenant les
hommes
un à un. Les fails dont nous parlons sont d'une n
lle idée de croire qu’il {Riisse intéresser chacun au môme degré. Les
hommes
sont Irop partagés par la diversité de leurs goût
ité. On ne peut compter ici que sur les suffrages d’un petit nombre d’
hommes
, car lesmyslères dont sont enveloppés les phénomè
tacher si l'on veut eu faire sorlir une bonne théorie. Déjà même un
homme
qui s’esl fait un nom dans le magnétisme, s'occup
n’ont-elles pas payé leur tribut à l’ignorance contemporaine, et les
hommes
sont-ils changés de nature? Jusqu’ici le magnét
ont d’un ordre tout différent, et qu’appartenant à un autre état de l’
homme
ils ont leurs lois propres et distinctes. On ne v
es corps n’a pas. Le magnétisme compte au nombre de ses partisans des
hommes
les plus éminents par leur savoir, faisant môme p
toujours insister sur ce point, et nous en appelons au témoignage des
hommes
sincères et éclairés qui ont appris à connaître l
les abus; qu’autrement il n'y aurail rien de bon, puisqu’il y a des
hommes
qui abusent do tout, même des choses les plus res
dence ils seraient bien forcés d’y ajouter foi ; que tels étaient les
hommes
: ils ont de la peine à admettre des choses qui c
qu'en nia qualité do membre adhérent du congrès, qu’en aile d’honnéte
homme
et surtout de prêtre, je devais protester el dema
le digne prêtre qui nous a si bien compris; il sera l’ami de tous les
hommes
honnêtes, car il l’est lui-même de la vérité. B
jà connu par les exemples précités, elle le livre à la méditation des
hommes
que cette question préoccupe. Un jeune enfant e
t soumis à l'action de la pesanteur absolument comme un cadavre; deux
hommes
robustes essaient de la lever et de la maintenir
ssieurs, « Disciple, comme vous, do l'immortel Mesmer, (le ce grand
homme
qui nous a ouvert l’entrée de celte noble el inco
t s’agiter une question si palpitante d’intérêt et d’actualité.... Un
homme
, un seul homme se présente!... Les magnétiseurs c
question si palpitante d’intérêt et d’actualité.... Un homme, un seul
homme
se présente!... Les magnétiseurs comptent donc bi
toire se dessinait en faveur des adversaires du magnétisme, lorsqu’un
homme
, que personne n’avait encore remarqué dans l’ence
nte, s’élança â la tribune, et dans une chaleureuse improvisation cet
homme
, animé du feu sacré, vengea Mesmer et ses discipl
ous nous attendons à tout, el si notre mission n’était dé-clairer les
hommes
sans les dégrader, nous mettrions souvent au pilo
les dégrader, nous mettrions souvent au pilori de l’histoire le nom d’
hommes
tels que celui qui vient de déverser lanl d'injur
l existe autant de disposition au somnambulisme puységurique chez les
hommes
que chez les femmes. 2° La croyance au magnétis
t qu’elle ne se traduisît en actes, je savais faire rougir de honte l’
homme
sans morale qui avait conçu le dessein de me trom
ncore eu que deux opérations de ce genre faites en Angleterre sur des
hommes
robustes, l ime par le docteur Ward, le Ier octob
te jeune lilie n'avait jamais voulu consentir à une opération que les
hommes
les plus courageux n’envisagent jamais sans effro
et agent mystérieux et impondérable, échappe à l’observation ; et les
hommes
qui scsont livrés avec le plus d’ardeur à l’étude
I PSYCHOLOGIQUE AVANT RAPPORT Al) MAGNÉTISME. L’âme, l’esprit est l’
homme
parfait; l’homme spirituel, réceptacle de la vie,
VANT RAPPORT Al) MAGNÉTISME. L’âme, l’esprit est l’homme parfait; l’
homme
spirituel, réceptacle de la vie, existant premièr
éternelle, l’âme anime son enveloppe matérielle ; lorsque ce corps ou
homme
matériel esl lésé, le spirituel ne pouvant le fai
, le musicien laisse l'instrument brisé en l'une de ses parties. Si l'
homme
matériel est boiteux, iiveugle, sourd, manchot, l
accidents du corps, composé de molécules matérielles; aussi est-il l’
homme
parfait. Lorsqu'un homme esprit en magnétise un a
osé de molécules matérielles; aussi est-il l’homme parfait. Lorsqu'un
homme
esprit en magnétise un autre, sa volonlé lait éma
nsible le corps du magnétisé; plus il esl insensible, plus l’âme ou l'
homme
spirituel esl libre. Il n'a plus besoin des yeux
s sous les lois de l’espace et iu temps; ces notions si sensibles à l’
homme
matériel ne sont qu’une apparence pour l’homme sp
tions si sensibles à l’homme matériel ne sont qu’une apparence pour l’
homme
spirituel ; la vue à distance le prouve pour l’es
ensée, but et cause de l’elïel, reste imprimée en quelque sorte sur l’
homme
spirituel, el elle’est perceptible aux autres hom
elque sorte sur l’homme spirituel, el elle’est perceptible aux autres
hommes
spirituels lorsqu’ils sont en extase. Donc, lorsq
Donc, lorsque dans cet étal ils sont en rapport ou fixés sur un autre
homme
, ils peiçoivent scs pensées. L'extatique voit ses
est donc très-probable que c'est ce que l’on nomme ordinairement âme (
homme
spirituel). Les extatiques ou lucides de tous les
t sur celle lerre, avec leur physionomie. Ces vues, ces perceptions d’
hommes
sur une lerre entourée d'objets semblables à ceux
la preuve d’une région ou lerre spirituelle analogue à la nature de l'
homme
spirituel. Ces belles et sublimes expériences nou
étincelle de vie où ils n’élaienl pas assez lucides pour percevoir l’
homme
spirituel en sa forme, ils ne voyaient que le ray
que probable, il est môme plus que certain pour moi que la vie de l’
homme
spirituel ou âme se continue «près la mort dans u
hacun s’attend à un changement extraordinaire dans les fonctions de l’
homme
, comme si dans l'univers tout ne marchait pas par
rnel n'est pas précipité dans ses œuvres: n’a-t-il pas l’éternité ? L’
homme
spirituel se perfectionne, peu à peu il progresse
a sagesse, l’amour el la puissance mêmes; de lui sont émanés tous les
hommes
; ils reçoivent la vie complètement; leur intellig
e, non plus comme une erreur indigne de l’attention de tant de grands
hommes
, mais comme une découverte dont il faut s’emparer
car elle serait barbare. Il sera curieux de voir les mêmes classes d'
hommes
qui ont rejelé le magnétisme el chassé de leurs a
t faire, el, celte mission accomplie, nous attendrons le jugement des
hommes
impartiaux, de ceux que les préjugés n’aveuglent
alance de leur justice s’inclinera de noire côlé. llonle donc ù ces
hommes
qui, en plein congrès, jettent encore l’injure à
une maladie dont la nature s’est révélée spontanément â l’esprit des
hommes
exercés; mais un nouvel accès beaucoup plus inten
par la seule approche, la seule vue, un seul regard. 0 ignorance des
hommes
, quand cesseras-tu? Faut-il donc que les médecins
ir, contre toutes probabilités, par les seules forces de la nature. L’
homme
du monde dit, en voyant le résultat do vos effort
Si l’action, portant d’abord sur le système nerveux, le perturbe, en
homme
prudent vous arrêtez le développement des effets
rte, être la cause de la diminution des souffrances qui accablent les
hommes
, comme cette espérance s’empare vite de ses facul
yre; il s’élance au-devant des difficultés, il brave les opinions des
hommes
. Que lui importe leur résistance ; ne sait-il pas
ndra dans la lutte, car il croit qu’un Dieu s’occupe des affaires des
hommes
, et que ce qui esl juste et bon lui plait. L’àme
demi-savants, el la crainte de passer pour crédules empêche quelques
hommes
distingués d’assister à mes démonstrations; les s
lacer dans la situation la plus fausse, et faire reconnaître, par les
hommes
qu’ils ont raillés, que leur jugement n'avait pas
éhabilitation complète, et je faisais aimer la vérité et rechercher l’
homme
qui s’en était rendu le propagateur. L’envie, l'i
tuelle, rien n’y était changé; celte illumination soudaine éteinte, l'
homme
redevenait matière. Ne sait-on pas que Jésus lui-
ions à table chez un do nos confrères à l’Académie, grand seigneur et
homme
d’esprit. La compagnie était nombreuse et de tous
quelques plaisanteries sur notre bel enthousiasme : c’était Cazotle,
homme
aimable et original, mais malheureusement infatué
urez beau ne vous mêler de rien, a vous serez traitées lout comme les
hommes
, sans o aucune différence quelconque. — Mais qu e
me si je ne l’avais pas lu. — « Eh bien, Madame, pendant cc siège, un
homme
lit « sept jours de suite 1e lour des remparts à
us celte lumière qui se montre à l’horizon? Entendez-vous la voix des
hommes
dont les yeux en sont ravis? Les clameurs des gen
à chaque progrès humain, à chaque invention, à toute découverte, des
hommes
s’élever pour protester et pour mau- dire. Croy
loitant une industrie qui leur rapporte ou en vivant des préjugés des
hommes
, préjugés qu’ils ont avec habileté entretenus, pa
Souvent aussi on a vu des vérités méconnues ou persécutées par des
hommes
qui n’avaient rien à perdre à leur établissement.
er à la face du monde el proclamer le mesmérisme. Et savez-vous quels
hommes
ils avaient à combattre? Les Hailly, les Lavoisie
rs journaux de magnétisme, des expériences dirigées ou faites par des
hommes
éclairés nous parviennent tous les jours. Ces exp
ion rigoureuse par des faits. Nous avons vu naguère s’assembler les
hommes
contre lesquels nous luttons; réunis en grand nom
remier tribut de reconnaissance « est pour Mesmer, le bienfaiteur des
hommes
, et chacun de « nous doit contribuer à l’élévat
ont arrogé les médecins qu'ils se sont assemblés; c’est pour qu’aucun
homme
n'échappe à leurs tortures. Ne vous y trompez p
vous de faire entrer le magnétisme dans les familles, d’apprendre aux
hommes
bien portants comment ils peuvent, sansl’emploi d
tiseurs, que notre cause soit chaudement défendue, que nous ayons des
hommes
distingués à notre tôle, séparez-vous des charlat
Toulouse, Paris, comme toutes les grandes cités, voient ou ont vu des
hommes
se disant magnétiseurs, et qui n’en sont que le r
point ce que l’on méprise, et que vous n’avez rien de commun avec les
hommes
que la police surveille et que la justice attend.
rbourg sur mademoiselle D’Albanel, et une lettre de félicitations aux
hommes
qui ont enrichi la science de ce fait admirable.
dans un état cataleptiforme un bras seulement d’une jeune fille. Un
homme
robuste, magnétisé par M. Simon, ne parait rien é
clare, dans son sommeil, être parfaitement guérie. PROPHÉTIES. — Un
homme
qui a quelque temps habité Lyon, et qui joue aujo
t. 114 Action du magnétisme sur les enfants endormis. 23, 280 — —
hommes
endormis. 24 — — animaux. 25 — — magnétisés.
au but, nous nous sommes décidés à ouvrir une large voie, où tous les
hommes
sympathiques pourront s’engager ; et, par une pro
aire, indispensable, cette œuvre est digne des cœurs élevés comme des
hommes
convaincus. Noire journal devenant une propriét
t; ne contient-il pas des principes de morale propres à régénérer les
hommes
? N’est-ce pas aussi le lien (pii doit les unir, l
leur appui; afin que l’on sache un jour et le point de départ et les
hommes
qui ont travaillé pour étendre la lumière. S’il e
t rien pour elle; on ne leur doit pas même un souvenir. Sont-ce des
hommes
inconnus qui demandent voire concours? Non! ils o
une tribune du haut de laquelle la vérité descendra pour éclairer les
hommes
. Voici l’acte constitutif de. l'association que
de tâche, Messieurs, que de fonder une œuvre durable! Mais il est des
hommes
infatigables, que rien n’arrête; c’est le caractè
notre aide. Vous avez entendu notre appel et y avez répondu comme des
hommes
qui sentent la nécessité, l’urgence detendre l’ac
abri du soupçon de calcul cupide. Mais il est, en dehors de vous, des
hommes
qui ne nous rendent pas la même justice; j’ai vou
j’ai besoin d etre entouré plutôt de conseillers que de censeurs. Les
hommes
capables de remplir celte délicate mission ne m
prodiges du temple se produisirent sur les places publiques; puis des
hommes
forts arrivèrent à la science sans initiation. Le
aveugle, ou Dieu aurait-il voulu qu’il en fût ainsi pour montrer à l’
homme
qu’il est des bornes à sa puissance? Triste et do
quand il lui plaît les mondes qui roulent dans l’espace. Ainsi fait 1
homme
d’une fourmillière et de son édifice. Tout périt
a civilisation périrait-elle par la force des choses, c'est-à-dire, l’
homme
acquérant sans cesse finirait-il par avoir des éb
je vois qu’à notre temps il n’y a plus ni juste, ni injuste et aucun
homme
de foi. Et je dis avec assurance : Nous sommes pr
vos enfants me reverront; et, disparaissant aussitôt, il a laissé les
hommes
dans l’obscurité. Ceux qui les avaient guidés ces
sur ce mode de guérison : 1° L’application du magnétisme animal à l’
homme
n’est accordée qu’aux docteurs-médecins et chirur
e est en rapport avec les idées qu’un gouvernement absolu se fait des
hommes
et des choses. Heureux habitants d’Autriche et d’
régner. Nous savons qu’ici même, en France, le pays de liberté, les
hommes
d’Etat et nos académies sont tout disposés à se f
par la loi en projet sur la médecine, le but caché de tant de grands
hommes
est d’empêcher la vérité nouvelle de se produire.
t d’empêcher la vérité nouvelle de se produire. L’intérêt, mobile des
hommes
corrompus, oppose une barrière qu’il faudra détru
étions Autrichiens, nous braverions le .pouvoir toutes les fois qu’un
homme
souffrant serait en notre présence, car c’est se
cipes oubliés de la médecine antique, compagne des premiers âges de l’
homme
. Le Chloroforme. — L’année qui vient de finir •
toujours l'esprit eu lui faisant reconnaître ses erreurs. Beaucoup d'
hommes
sont pénétrés de ces principes, aussi nous voyons
t s’y confond avec les éléments. Après avoir ipaitrisc la foudre, l’
homme
la dirige et la force à transmettre ses pensées d
e verdure le sol jusque-là désolé. Mais, à côté de ces conquêtes, l’
homme
laisse voir sa faiblesse eu s’ignorant toujours l
e dans ces moments où elle ne s’est levée qu’à moitié. Tous avez vu l'
homme
demi-mort, peut-être que dans cet état existe une
qui nous sépare de Dieu peut paraître hasardeux. J'aimerais à voir un
homme
aller du connu à l’inconnu en laissant l'empreint
et par cet état je comprends encore le jeu nouveau des facultés de l’
homme
ainsi pincé. C’est ici seulement que je voudrais
as quitté ; je suis resté narrateur impartial, respectant Dieu et les
hommes
. C'est dans celle conviction que je suis, Mon
e dans la nature un fluide ou moyen simple de guérir et préserver les
hommes
des maladies; et que quand l'art manque, la natur
e vous écrire sans préalable connaissance. Mais tel est le destin des
hommes
de génie, qui embrassent avec ardeur l’apostolat
celte fermeté vraiment édifiants qui vous signalent pour éclairer les
hommes
. En attendant la votre réponse, agréez ce pauvr
yez-moi, chaque fois que l’incrédulité téméraire et l’ingratitude des
hommes
glacent mon cœur, je le réchauffe tout de suite e
leux; >> et, nul ne peut prévoir l’avenir, lorsque si peu » d’
hommes
sont assurés du présent. D’ailleurs, l’ave-» nir
t en faisant incliner la raison. Ecoutez sur ce sujet le langage d’un
homme
profond; il vivait avant Mesmer : on ne connaissa
s anticipées. Si notre industrie ne le peut, n’y a-t- il pas eu des
hommes
privilégiés à qui la connaissance de l’avenir a é
suflisamment constaté, et vous démontrerons sa possibilité à tous les
hommes
qui voudront bien suivre et se pénétrer de nos ré
ront bien suivre et se pénétrer de nos récits ? Est-il possible à l’
homme
, se contemplant lui-même, d’apercevoir le princip
trouvées. On se moqua de lui, on rit de son innocence, et nos grands
hommes
contents d’eux-mêmes ne se doutaient point qu’un
echei’ches sont faites, des résultats obtenus. Et si Dieu inspire les
hommes
, s'il leur a donné la faculté de connaître, est-c
prévoir ce qu’il leur importe de connaître, refuserait-on encore à l’
homme
la même faculté instinctive? Qu’elle ne se manife
ifeste point dans l’état actuel de la civilisation, sans doute; car l’
homme
a dégradé sa nature; mais dans le somnambulisme t
isme tout se retrouve, et il nous arrivera cent fois de prouver que l’
homme
est bien le roi de la création , car non-seulemen
chée, et le succès pour lui est le signal de leur défaite. Oh! grands
hommes
, le temps n’est plus pour vous. Pourquoi aussi me
de recevoir des infirmes, s’est transporté au domicile de ce digne
homme
, et en a chassé les malades, les menaçant de les
ien, etc. » Faire le mal, dans notre pays, est chose facile; mais l'
homme
bon et simple qui désire faire le bien rencontre
MAGNÉTIQUES. CONFÉRENCES MAGNÉTIQUES. Magie magnétique (suite).
Hommes
remplis de préjugés, ne venez plus devant moi éle
rça les Etats à lui confier l’autorité absolue. C’était d’ailleurs un
homme
éclairé, brave, fort attaché à la religion luthér
rir sur-le-champ les portes de la salle des Etats. La surprise de cet
homme
fut grande à cet ordre inattendu ; il s’habilla à
et la couronne en t ite, tenait un sceptre à la main; à sa gauche, un
homme
âgé, ou plutôt un autre fantôme, s’appuyait sur l
I. Ils marchaient la tête haute et le regard assuré. Derrière eux, un
homme
robuste, revêtu d’un justaucorps de cuir brun, te
ement présidé aux séances de magnétisme de la maison Audiguet, si des
hommes
honorables, intelligents, ne se sont pas de gai
n. » (Une assez longue agitation suit cette déposition faite par un
homme
évidemment convaincu. Peu à peu le silence se r
i me guidait en l’écrivant. On m’avait bien dit que vous étiez si bon
homme
, si droit et si inflexible que rien ne pouvait vo
une autorité pour lui. Et cependant, ai-je répondu, vous condamnez un
homme
à mort, sur la foi de deux témoins. Cetargument a
rop fortement purgés. Quanta moi qui ne veux pas laisser nos grands
hommes
flétrir tranquillement la vérité, je les frappera
«lu magnétisme; et il aurait pu en être ainsi, car ce qui frappe les
hommes
habitués aux choses positives, ce sont les faits
culté qui appartient à la nature humaine, puisque tous en sont doués,
hommes
et femmes, petits et grands, et que chacun peut s
i de nos facultés, de l’opinion, ou du caprice, ou de l’ignorance des
hommes
!.....Se mouvoir, parler, voir, entendre, penser,
e, à la sagesse, à la justice et à la bonté de Dieu. De même que tout
homme
qui a un esprit sain, doit, permettez-moi ce mot,
ans son adorable sagesse, et notre plus haute sagesse, à nous pauvres
hommes
, consistera à ne pas mépriser les dons que sa bon
e s’est réfugiée, pour se mettre à l’abri de tant d’injures, chez ces
hommes
honnêtes et droits qui se sont faits ses défens
était la voix de la vérité, et qu’y répondre était le devoir de tout
homme
de cœur, comme l’a si bien dit notre aimable poët
us de rivage en rivage ; Mais quand le pilote s'endort, C'est aux
hommes
de cœur, c’est à tout l'équipage A guider le navi
était empêché par des gens intéressés à soutenir le mensonge, par des
hommes
sans entrailles, qui préféraient voir souffrir le
euples. Tu pressentais les temps ; mais, comme il arrive toujours aux
hommes
avancés, tu ne fus point compris: reviens nous an
ulus des générations saines et robustes autant que vertueuses, et les
hommes
qui te flétrirent les amoindrissaient chaque jour
s ou ne voulant pas suivre le plan que tu avais tracé. Maintenant ces
hommes
ne trouveront plus d'ap- pui, il faut qu’ils s’
écond. Nos savants ne voulaient point de magnétisme, comme d’autres
hommes
point de liberté ; mais il sera bientôt partout p
s aurions courbé la tête quoique nous combattions pour affranchir les
hommes
. Que tous les magnétistes se préparent, il faut
chaire ou Von enseignera ses véritables lois, et les devoirs de- tout
homme
qui veut être son ministre. Assez de sang, asse
dans noire entreprise, frappez sur cc corps qui dispose de la vie des
hommes
; mais que ce soit pour l’appeler au partage de vo
is l’expérience à mon hôpital. Le‘23 février, je fis inhaler à deux
hommes
de l’éllier nitrique, n’en ayant pas d’autre sous
t, parce que je désirais avoir un témoin compétent de l’état de cet
homme
. Je trouvai M. Mouat qui voulut bien m’accompagne
ques parallèles. Je ne puis établir combien l’évanouissement de cet
homme
eût duré s’il n’avait été aussi violemment dissip
ement nauséeuse. Je suis satisfait que le moins affecté de ces deux
hommes
eût pu être opéré presque sans limites, non sans
sa plus grande intensité, et la respiration n’était pas troublée. Les
hommes
ne souffraient point après tout ce qu'ils avaient
tout ce qu'ils avaient subi. Je crois qu’on aurait pu torturer ces
hommes
à leur complet insu, mais il me répugnerait extrê
élhéreux, l’on a vu qu’il était tout à fait impossible à l’un de ces
hommes
, d’avaler, et que les stimulants appliqués à la p
ait aucun moyen d’arriver aux sources vitales. Or, / si la vie de cet
homme
avait dépendu de notre pouvoir de le rappeler pro
fluence aussi facilement que nous pouvons la mettre en action. Chez l’
homme
le plus affecté, le dixième de l’éther employé au
ette histoire est d observer comment les passions et les préjugés des
hommes
, servent non-seulement pour établir les vérités c
lle y ont en revanche trouvé un élément de progrès, et l’adjonction d'
hommes
capables. La société de la Nouvelle-Orléans, qui
use agissait, trouvaient une guérison qu’ils n’avaient pu obtenir des
hommes
. Ce fait qui d’après saint Jean eut lieu dans l
poussés par les sentiments du bien-être que la nature inspire à tout
homme
, ces malheureux osaient retourner à la bienfaisan
que et incompréhensible, sentiment qui d'ailleurs est partagé par des
hommes
intelligents et chari- labiés, et en l’assurant
omon, c est parce que chez les juifs il était permis aux anges et aux
hommes
doués de propriétés angéliques de soulager librem
x, tandis qu’en France cela est défendu, à moins que les anges ou les
hommes
doués de propriétés angéliques n’aient un diplôme
d œuvre, œuvre qu’il faut entendre autrement que ne l’ont compris les
hommes
modernes, c’est-à-dire le sys- tème qui fait un
us allons multiplier nos séances et nous convierons un grand nombre d’
hommes
à y assister. La science a besoin de liberté pour
aient cependant contraints de s’amoindrir pour ne pas effaroucher des
hommes
que le pouvoir avait rendus timorés. Libres de to
e. La nature offre un moyen universel de guérir et d£ préserver les
hommes
. Nous sonderons d’autres mystères dont se montr
Nous sonderons d’autres mystères dont se montrent effrayés tant d'
hommes
haineux autant qu’ignorants. N’avons-nous pas la
nos relations et l’importance qu’elles acquièrent par l’ad jonction d’
hommes
nouveaux, qui apportent des idées nouvelles aussi
e magnétique, nous obéissons à la loi naturelle qui commande à chaque
homme
de faire le bien dans la mesure de ses forces et
adémies ont nié l’existence du principe nouveau, elles ont flétri les
hommes
qui l’enseignaient, la peine attachée à* toute ac
rirons incessamment l’école que nous annonçons et nous inviterons les
hommes
qui désirent apprendre l’art de soulager et de gu
ux où le prêtre saint invoquait {'Eternel. D’autres dieux, d’autres
hommes
, d’autres temples I Retire-toi, vérité, on ne te
ndre ; retourne vers ton père. Ici le mensonge règne et gouverne, les
hommes
ne croient plus qu’aux fictions, la •véirité leur
cette terre, on nous tiendra compte un jour de notre labeur, car les
hommes
à coup sûr retourneront vers le passé. Nous lis
rne. Alors il entra dans le domaine de la science par les efforts des
hommes
d’observation, tels que Mesmer, Deleuze etPuységu
ptionnelle, pour enchanteurs, magi- ciens, astrologues, charmeurs d’
hommes
et d'animaux; ce sont les émirs à Constantinople,
sylles ou bajoiim, les bektaschys ou francs-ma-çons et les mogrcbins,
hommes
de l’Ouest. Presque tous appartiennent à quelque
ulier que de voir, pendant une heure, tourner, comme des to-tons, ces
hommes
graves, avec leur long bonnet de feutre gris et l
fants, la lettre clif, la première de leur alphabet. Aussi en Orient,
hommes
, femmes, enfants, jusqu’aux chevaux et aux chamea
et la verdure ; les fruits viendront après couronner le travail de l’
homme
. En sera-t-il de même pour les sciences ? Et lors
'une seule chose : établir le principe conquis, assurer le présent. L’
homme
se promet dès lors de grandes jouissances jusqu’a
en fût ainsi : tous les temps sont écrits, et lorsqu ils sont venus l’
homme
vulgaire croit qu’il conduit les événements, tand
ngère, vos sciences n’auront aucun but. Voyez la force qu’aurait un
homme
qui viendrait dire au peuple en parlant de vous :
? Rien, pas un » mot, pas un livre qui prouvent qu’ils aimaient les »
hommes
et qu’ils savaient quelque chose des lois » provi
er enfin, et de jouir de tous les moyens de bonheur qui dépendent des
hommes
assemblés en société. _ ^es jours du rassemblem
mères qui nourrissent des enfants occu» peront la première place d’
hommes
, et puis les vieillards îles deux sexes qui arriv
es du soleil. Ces fêtes seront spécialement consacrées au 4 âges de l'
homme
. La solemnité se fera dans le chef-lieu de chaque
s les tombeaux de Memphis. Ayant rencontré près de chez moi un de ces
hommes
dont les haillons bizarres et l’atroce figure com
voue humblement, je n’en ai pas eu le, courage : il eût fallu que mon
homme
, pour me communiquer le charme, me crachât dans l
s jusque-là. » Mais les véritables magiciens, ce sont les mogrhoby,
hommes
de l’Ouest, par rapport à la Mecque (de Mogrhob,
esse attirait près d’eux, pour s’instruire et pour les consulter, des
hommes
comme Pythagore, Platon et Porphyre; ce ne sont p
al, à la satisfaction des passions basses, à la soif de l’or. » Ces
hommes
, maintenant encore, comme les sorciers du moyen â
plus vaste encore que le connu, et ne reste-t-il pas à l’esprit de l'
homme
plus de choses à découvrir qu’il n’en sait déjà ?
ait nécessairement marquer les principaux événements de la vie do cet
homme
. Louis-Philippe est né en 1773; en additionnant c
1. Ces quatre dates additionnées de même se réduisent à 18 (1). Cet
homme
qui avait à ses ordres 1800 hommes de police, deu
e même se réduisent à 18 (1). Cet homme qui avait à ses ordres 1800
hommes
de police, deux fois 1800 gardes municipaux, deux
r les places publiques de la capitale; 18 citadelles, 3 fois 18,000
hommes
de troupes, fi fois 18 postes érigés en forteress
n’a pas eu 18 minutes à lui pour faire ses préparatifs de fuite; cet
homme
qui avait 18 millions de rente, n’avait pas 18 fr
ue peut l’aveugle raison contre la destinée? Que peut la volonté de l’
homme
contre la volonté de Dieu? L. Alp. Caiiagnet.
plasmes employés sans succès, — guérison parfaite en dix séances...
Homme
de 05 ans; attaque d’apoplexie nerveuse, langue p
e malade qui depuis jouit d’une très-bonne santé... En juillet...
Homme
de 40 ans, panaris depuis deux jours, avorté par
en un point noir sous la forme et de la grosseur d’une lentille...
Homme
de 50 ans, panaris formé depuis cinq jours; après
les oreilles ont rendu de l’eau mélangée de sang et de matières...
Homme
de 55 ans, douleurs atroces de névralgie sciatiqu
n eau fait bruit, 011 vient en chercher de trois et quatre lieues. Un
homme
de 40 ans, affligé de ces fièvres depuis plus de
eune personne, Julie Duvet, qui, à la suite d’une peur que lui fit un
homme
ivre en la poursuivant, fut atteinte d’une suppre
aire des recherches analogues le magnétisme irait bon train, mais les
hommes
éminents et sans préjugés sont rares. Nous consta
soldats de l’avenir; guerre aux abus, à l’ignorance. Arrière tous ces
hommes
corrompus qui, d* race en race, entretinrent parm
s de (on flambeau.... Ainsi s’écrient les âmes généreuses; mais aucun
homme
de science n’a encore répondu : leur lumière s’es
es? Lorsque de toutes parts les trônes sont renversés, quels sont les
hommes
marqués du sceau de la Providence destinés à gouv
cience elle-même ne peut offrir, dans ses milliers d’organes, un seul
homme
, un seul qui, plein des faits du temps, sache les
ls; il ne peut y avoir de liberté, d’égalité, de fraternité parmi les
hommes
à qui ces connaissances sont ignorées. Ce ne sont
s point fait assez de victimes ? N’est-ce point une honte de voir des
hommes
, ne sachant point se guérir et se préserver, s’im
es fruits sont empoisonnés; ces préjugés funestes qui ne laissent aux
hommes
que des alternatives d'angoisses et de désespoir.
digne de la liberté. Du Potet. Prévision. — Est-il impossible à l’
homme
de franchir l’horizon borné de la science; et, se
use nous échappe, mais il est si pénible d’avouer son ignorance que l'
homme
attribue au hasard tout ce qu’il ne peut comprend
ainsi qu’un nouvel art, une nouvelle médecine s’est établie parmi les
hommes
. Mais lorsqu’on veut savoir quelle est la nature
rait d’abord être très-versé dans les langues anciennes, et comme les
hommes
supérieurs d’alors cachaient sous des symboles to
onfus de cette première langue plus parfaite qu’entendaient jadis les
hommes
, langue dans laquelle toute la nature s’expliquai
cherche entre les choses (les corrélations qu’il n’est pas donné à l'
homme
de saisir? Je ne sais; mais je penche pour la pre
c dû on pourrait donc peut-être exister; mais c’est une langue dont l’
homme
aura perdu la clef en sortant de cet état supérie
sans doute, la nature parlait plus haut et plus clair à son esprit; l’
homme
concevait la relation cachée de tous les faits na
— Comment, lui dis-je, milady, honorez-vous si vite du nom d’ami un
homme
dont le nom et la vie vous sont complètement inco
monde, ni ce que vous avez fait pendant ([ne vous avez vécu parmi les
hommes
, mais je sais ce que vous êtes devant Dieu. Ne me
e tient, où tout s’enchaîne, des êires d’un ordre inférieur, connue l’
homme
, ne soient pas sous l’influence d’êtres supérieur
Dieu qui vous amène ici pour éclairer voire àme; vous êtes un de ces
hommes
de désir et de bonne volonté dont il a besoin, co
pour les œuvres merveilleuses qu’il va bientôt accomplir parmi les
hommes
.....» Après une longue conversation sur le mess
ce que vous voudrez, me dit-elle, vous n’en êtes pas moins un de ces
hommes
que j’attendais, que la Providence m’envoie, et q
ous la rejetez sur voire épaule gauche. Remerciez Dieu ; il y a peu d'
hommes
qui soient nés sous plus d’une éloile, peu dont l
p faible pour traverser voire mer et vos montagnes, et ici je suis un
homme
tout nouveau, un homme complètement inconnu, un n
voire mer et vos montagnes, et ici je suis un homme tout nouveau, un
homme
complètement inconnu, un nom jamais prononcé! Je
, mais que les révolutions, comme les vagues , rapportent souvent les
hommes
où elles les ont pris. Bien faire ce que la circo
t les grands noms, semblait révéler de loin à l'armée que de lous les
hommes
qui s’agitaient alors dans la révolution, celui-l
merveilleux, vanter ses effets, louer la bonté, la complaisance de l’
homme
généreux qui, sur une feuille de papier blanc, lu
ntaient, plus la raison et le bon sens diminuaient. Il n'est pas un
homme
supérieur qui ne se soit aperçu, dans la fréquent
uns ce qu’elle donne aux autres ; en un mot, le sot y gagne ce que l’
homme
d’esprit y perd. Ne vous est-il pas arrivé cent
raire, de sentir doubler vos facultés dans la conversation d’un grand
homme
et de sortir de chez lui avec une dose d’esprit e
esprit fait sortir l'esprit ; Avec un sot on devient béte, Mais l'
homme
gagne au tête à téte Quand il sait choisir ses am
des distractions de toute espèce laisse de temps à la réflexion. L’
homme
peut bien penser, se souvenir et sentir; mais il
, et signa le rapport si favorable de M. Husson. M. Guersent était un
homme
distingué, mais faible; l’académie ne voulait pas
e magnétisme et le somnambulisme, nous attendons du temps et d’autres
hommes
le triomphe de nos principes. PETITE CORRESPOND
r M. Beckeinsteiner, il ne faudrait rien en conclure relativement à l'
homme
. Les ennemis du magnétisme se sont emparés de que
e les magnétisés mouraient dans l’année, et mille autres folies que l'
homme
étranger à la science accueille souvent comme des
t des faits qui doivent émouvoir l’esprit et faire comprendre que l’
homme
peut exercer une terrible puissance. Nous termi
y opposais de toute la force de ma volonté, etc. » Physiologie de l'
homme
, à l'usage des gens du monde, par le docteur MARC
est connue que par les trois dimensions multipliées entre elles. Un
homme
, par exemple, en état de payer son logement mille
it pas non plus l’être, deux domestiquesdu sexe sont comptées pour un
homme
. Un domestique mâle payera 10 fr., deux payeront
isance, à l’abri de l'indigence et de la misère, ou enfin la classe d’
hommes
la plus nombreuse et la plus utile vivra heureuse
excès de la trop grande inégalité des fortunes, et de rapprocher les
hommes
de l’égalité possible, on termine par présenter d
: « La découverte philosophique et humanitaire de l’influence qu’un
homme
peut exercer sur un autre homme a été attaquée et
e et humanitaire de l’influence qu’un homme peut exercer sur un autre
homme
a été attaquée et combattue; ceux qui l’ont répan
foyer central de tous les travaux magnétologiques, et présidée par un
homme
dont le zèle, le génie, les talents et les soins
me au sein dos erreurs, fail voir la vérité. En vain de sa raison l'
homme
se glorifie ; Sans loi cette raison n'est, liél
inspiré. Au joug de l’ignorance on demeure enchaîné. Tout pour l'
homme
est obscur ; l'étude est chaotique, Le savoir est
inutile ; Le jet intuitif, le grand Ilot lumineux, N'édaire que l'
homme
sensible et vertuoux ; Par le rayon divin l'âme
ire de nombreuses découvertes. DU PoTBT. Prophétie d’Orval. — « L'
homme
est un dieu tombé qui se souvient des cieux. » En
es dates inexactes; mais ceci n’implique point la vérité du fait. L’
homme
voit donc ou peut voir l’avenir; et si aujourd'hu
d. Les Hauts abaissés reprennent force et font ligue pour abattre l’
homme
tant redouté; voici venir avec eux le vieux sang
siècles qui reprend place et lieu en la grande ville ce pendant que l’
homme
dit moult abaissé va au pays d’outre-mer (3) d’où
lune a relui sur maints guerroyers d'O-rient; la Gaule est couverte d’
hommes
et de machines de guerre : c’est fait de l’homme
aule est couverte d’hommes et de machines de guerre : c’est fait de l’
homme
de mer. Voici encorevenir le vieux sang(1^ de l
ues divisions ; lors un seul pasteur sera vu dans la céleste Gaule. L’
homme
puissant par Dieu s’assoycra bien, moult sages rè
ieu seul est grand. Les biens sont faits, les saints vont souffrir. L’
homme
du mal arrive de deux sangs, prend naissance. La
ès un nombre non plein de lunes, Dieu combat par ses deux justes et l’
homme
du mal a le dessus. Mais c’est fait, le haut Dieu
illantes, aux doléances hypocrites et stupides de cette même classe d’
hommes
. Réfuter de si grossières erreurs, ce serait perd
hysique et de la médecine. Nous nous bornerons donc au conseil. Que l’
homme
de science lise cette œuvre, et il en retirera lu
ois me borner à quelques cas assez graves pour justifier l’examen des
hommes
sérieux. Mais s’il est doux de rendre quelquefois
out un monde qu’on osait à peine soupçonner qui s’offre à la vue de l’
homme
. Voici la traduction, aussi littérale que possi
rait à un effort nécessaire pour leur prouver que, quant à présent, l’
homme
peut, par un pur exercice de sa volonté, impressi
nt de Trinculo. Bref, je ne fus pas longtemps à m'apercevoir que si 1
homme
doit être intellectuellement convaincu de sa prop
, comme vous l'entendez. Mais il y a des gradations de matière dont l’
homme
n’a aucune connaissance; la plus dense entraîna
es êtres en un, qui est elle-même. Cette matière est Dieu. Ce que les
hommes
cherchent à incorporer dans le mot Pensée, est la
pos, est approchant, autant que nous pouvons le concevoir, ce que les
hommes
appellent Esprit. Et cette faculté d’auto-mouveme
ue vous définissez la matière imparticulée? T • Les matières dont l'
homme
a connaissance échappent aux sens, à mesure que l
était nécessaire d’incarner des portions de l’Es-prit divin. Ainsi l’
homme
fut individualisé. Dépouillé de l’investiture cor
des portions incarnées de la matière imparticulée est la pensée de l’
homme
, comme le mouvement de l’ensemble est celui de Di
emble est celui de Dieu. P. Vous dites que dépouillé de son corps l’
homme
sera Dieu ? V. (Après quelque hésitation.) Je n
notes.) Vous affirmâtes que, dépouillé de l’investiture corporelle, l’
homme
serait Dieu. V. Et cela est vrai. L’homme ainsi
investiture corporelle, l’homme serait Dieu. V. Et cela est vrai. L’
homme
ainsi dégagé serait Dieu, il serait désindividual
on de Dieu retournant sur elle-même, une action futile et sans but. L’
homme
est une créature. Les créatures sont les pensées
pensée d’être irrévocable. P. Je ne comprends pas. Vous dites que l’
homme
ne pourra jamais rejeter son corps. V. Je dis q
l’exclusion des autres classes et des autres formes. Les organes de l’
homme
sont adaptés à la condition rudimentaire, et à el
rudimentaires ; y a-t-il d’autres êtres rudimentaires pensants que l’
homme
? V. La prodigieuse agglomération de matière su
face de mon problème, sur lequel j’aimerais à appeler l’attention des
hommes
capables de l’élucider. Pour mettre mieux sur l
x qui froissent, surtout publiquement, nos opinions, et que parmi les
hommes
qui ont la puissance en main, il n’y a que ceux d
rage. » Et M. Charpignon : « Ce qui est vrai triomphe toujours ; les
hommes
passent, et la vérité demeure. » Vous me demand
mme celle de M. Guizot, — un ministère connaissant de longue date les
hommes
et les choses ; une stratégie de Paris bien étudi
oomagnétlsmc. — Nous avons déjà cité plusieurs faits d’influence de l’
homme
sur les animaux (voyez t. m, p. 46 et 91), de nat
accord visuel de 7% qui est une sorte de fausseté dans la nature de l’
homme
, ou du moins une harmonie transitive, puisque nou
somnambulisme et le magnétisme qui soient capables de communiquer à l’
homme
les facultés ultra humaines; encore faut-il dire
ssaient les femmes, qu’ils considéraient comme les plus aptes, et les
hommes
faibles au sommeil puységurien. La proportion d
-elle pas acquises en filtrant par son esprit ? C’est le propre des
hommes
de génie de pénétrer l’avenir, de prévoir et de p
voir pour résultat de porter à la connaissance de tous l’histoire des
hommes
et des choses. Si petit que soit le secours qui n
tution purement libérale, philanthropique, humanitaire. Mais si les
hommes
dévoués sont rares, ils ont le mérite de ne recul
le gravât nos tristes pensées ; nous avons livré les travaux d’autres
hommes
, a peine si nous avons fait quelques réllexions s
’intelligence s’épand sur la France, à peine si déjà on distingue les
hommes
et les monuments. Comme des éclairs, de terribles
l'innocent sera frappé comme le coupable. Dieu ne distingue plus les
hommes
; ne sont-ils pas tous enfants de leur père, et n’
at de siège? Il n’y a point de loi si ce n’est le caprice de certains
hommes
. En attendant mieux, la proscription veille à not
iversel des 9, 14 et 17 juin contient un ballon d’essai, lancé par un
homme
aussi distingué par l'étendue de ses connaissance
M. Jobard, «pie nous avons publiées. — Le magnétisme rapproche l«;s
hommes
divisés par la politique; deux journaux de nuance
appelle magnétique. Cet agent fluidique, qui est plus parfait chez l’
homme
que chez les animaux, l’homme étant supérieur à c
fluidique, qui est plus parfait chez l’homme que chez les animaux, l’
homme
étant supérieur à ces derniers, plus positif qu’e
que leurs analogues, les actes de l’esprit à l’égard du corps chez un
homme
profondément absorbé. L’état magnétique ne déra
uveaux, peut-être serait-il utile de les porter à la connaissance des
hommes
qui se livrent aux recherches magnétiques, et qui
e, est fort extraordinaire; mon pauvre oncle qui, jusque-là, était un
homme
tranquille et ne s’occupant que de son travail, e
et conduite par une jeune fille; dans cette charrette se trouvait un
homme
étendu, amaigri et à la mine sinistre, qui chanta
l repassera guéri, mais demain ça recommencera. » En effet, le pauvre
homme
descendait de sa charrette dans un état pitoyable
aire. Ainsi, après quarante jours environ de traitement magnétique, l’
homme
qu’on destinait à aller augmenter dans un hospice
la divine Providence d’avoir bien voulu mettre à la disposition de l’
homme
une force avec laquelle on peut obtenir de sembla
force différente de toutes celles saisies jusqu’à ce jour; il rend l’
homme
presque divin. A quoi bon le jugement des savants
nveloppe, parler des attractions et des apparitions ; mais ces grands
hommes
écriraient dans leur bulletin qu’on doit nous ouv
i de la vérité, nous la voyons toute entière, et nous regretons qu’un
homme
aussi distingué n’en ait vu qu’une parcelle. Nous
me temps à la nature de l’âme; il est la propriété ou l’attribut de l'
homme
tout entier.de telle sorte qu’il est à la fois ph
es du magnétisme animal, que la loi de la Providence a tracé à chaque
homme
l’orbite où il doit se mouvoir dans l’univers, à
ue la formule des demandes était différente pour chacune d’elles. Cet
homme
à qui je fis part de mon observation m’avoua que
ire luire à ses veux : je le magnétisai. En moins de cinq minutes cet
homme
robuste, exerçant, je crois, la profession de cha
ljiUre de Deieuze. — Nous publions cette lettre comme souvenir d'un
homme
bien regrettable;puis parce qu'elle contient des
ppelle en cause, ce sont des observations de magnétisme faites par un
homme
honorable. Ces observations, elle les fait répéte
r, mais cela seul était décisif. Aussi est-il prouvé désormais à tout
homme
de science, non pas que le magnétisme animal est
ne, par voie d’enquête, d’enquête officielle, devant une commission d’
hommes
compétents ? Puisque l’exercice de la médecine es
lletons, on peut demander à juste titre, de la voir apprécier par des
hommes
dignes de foi, dans des documents officiels. D'ic
ur moi une raison d’admettre avec eux cette théorie, qu’il est pour l’
homme
une situation naturelle où les organes spéciaux d
qu’elle les avait entendu nommer comme des esprits éminents parmi les
hommes
de génie, et que cette circonstance avait suffi à
striels. Ce sera pour lui une grande conquête. .Mais à moins (pie des
hommes
de science ne soient rendus témoins des faits qu’
n’est-il pas lié, et est-il rien de plus important à connaître pour l’
homme
que le rapport qui l’unit aux intelligences de ce
oint le sein qui avait nourri les Bacon, les Descartes, les Leibnitz,
hommes
de science positive au même degré que de méditati
le bonheur, ou la prospérité publique, sont pris dans la nature de l’
homme
; de même doit-on chercher le remède contre ces f
udroit forcer le porteur à un agiot plus fort qu’un p. 0/0. 3° Tout
homme
ne possédant que 100* en nnmé-raire serait intére
r toutes les voix et former leur jugement sur les travaux de tous les
hommes
intelligents. En accueillant le travail de M. Cha
ns que nous pourrons lui faire. D’ailleurs elles seront faites par un
homme
convaincu comme lui. S'il est moins éclairé, le t
c.; Un examen superficiel suffit pour montrer combien la santé de l'
homme
est fragile, et combien sa vie est peu certaine,
pas de maladies ! ! La santé n’est-elle pas le levier sur lequel l’
homme
appuie toutes ces forces, pour atteindre l’idéal
ce levier lui fait-il défaut ! La santé est cet état dans lequel l’
homme
éprouve un sentiment de bien être qui n’admet auc
tement harmonique entre les trois éléments fonciers qui constituent l’
homme
(1) et les agents extérieurs. Or, la maladie es
is que de causes de souffrance ! que de manières d’être malade pour l’
homme
! combien d’existences traînées misérablement jusq
able de la mort, on voit se dresser l’art et la science de la (I) L'
homme
est uno unité trinaire décomposable en : 1" Ame,
jours, va souvent jusqu’à l’incrédulité. Pourtant en considérant l’
homme
à un point de vue philosophique, on reconnaît que
eu de blâmer le médecin, il faut le plaindre.....Mais à son tour, l’
homme
de l’art n’a-t-il jamais à répondre de la vie d’u
’étroite solidarité qui existe entre les trois éléments fonciers de l’
homme
en santé (voir la note page 1), a pu seul conduir
principe dominant et exclusif de doctrine un des éléments que chcz l’
homme
malade on trouve au nombre de quatre, puisqu’aux
le, aussi puissante que celle des organi--cistes, on voit figurer les
hommes
les plus remarquables. Laissant l’antiquité et le
éral. En 1790, Hahnemann observa que le quinquina produisait chez l’
homme
sain une fièvre intermittente très-analogue à cel
aient leur propriété spécifique que parce qu'ils développaient chez l'
homme
sain des phénomènes morbides semblables à ceux qu
on de dire notre pensée. D’ailleurs cet auteur est trop sincère, trop
homme
de bien, il croit si fermement à la réalité des v
seulement ceux-là disent qu’il y a des juifs, des mahométans, etc. L’
homme
, selon eux, a, dans le ciel, un choix immense d’o
les inspirés de tous les temps et de tous les lieux. On dit : aucun
homme
, aucujie àme, n’est revenu pour nous donner des p
es un travers de l’esprit humain, une hallucination, un rêve dont les
hommes
à l’âme tourmentée aiment à se repaître? Ou bien
ien cachent-elles une vérité profonde entrevue par plusd’un millier d’
hommes
.’ Je le crois, maisje crois aussi à la difficulté
gne d’entrer dans ce lieu de délices; et à ce bon temps encore où des
hommes
de bien, et il y en avait beaucoup alors, vous do
it à lui pour tout ce qui intéresse l’autre vie ? C’est ainsi que des
hommes
convaincus s’endormaient du dernier sommeil, berc
s’endormaient du dernier sommeil, berces par de doux songes. Où est l’
homme
qui dans tout cela nous dira : Ceci est vrai, cel
je raisonne en aveugle, je ne suis point voyant; mais j’ai connu des
hommes
très-avancés dont l’entretien sur les choses futu
faits nous avançons dans leur production, et nous rendons témoins les
hommes
honorables qui nous le demandent, de scènes de vé
luxueuse d’un savoir pédantesque qui vient classer les maladies de l’
homme
comme Linné ou Jussieuont faitpour les plantes et
et, dans cette pratique, j’ai appris des choses bien curieuses sur l’
homme
. Entre autres, j’ai appris qu’il se trouvait des
celle-ci même. Four expliquer cette manière d’agir, ils disent que I
homme
sain étant moins sensible que celui qui est malad
peler ces mots de Laubardemont : Donnez-moi une ligne de la main d’un
homme
, etje le ferai pendre? Assurément il faut savoir
ations qui ne s’y trouvent pas pour appliquer à la thérapeutique de l’
homme
des principes de géométrie et de physique. Les at
e de votre atténuation?Vous êtes impuissants, puisque pour agir sur l'
homme
sain il vous faut revenir aux teintures mères et
ence. Or, si la création a son moteur, son fluide vivificateur, l’
homme
, pensaient les anciens philosophes, doit aussi po
it une appréciation incomplète des différons éléments qui composent l’
homme
, et une fausse idée de la nature de la maladie.
se dans ses conséquences. C’est une erreur, en effet, de dire que l’
homme
est vivifié par le même fluide que les végétaux e
et alors de quels désordres la nature ne serait-elle pas agitée? L’
homme
est vivifié par une impondérable particulier : c’
’il a d’ailleurs exprimées dans son ouvrage (1). » Il manque ici un
homme
pour ranimer l'attention publique sur cet objet.
ces citations que le mesmérisme a tout à attendre du concours de ces
hommes
de l’avenir. L’auteur de Solidarité s’exprime a
nous occupe : « On a appelé magnétisme animal cette influence qu’un
homme
peut exercer sur un autre homme par l’action de s
gnétisme animal cette influence qu’un homme peut exercer sur un autre
homme
par l’action de sa volonté. Le magnétisme produit
n’est peut-être pas la seule que nous puissions observer. On voit des
hommes
qui paraissent jouir de facultés vraiment aromale
étiseurs, malheureusement trop nombreux, attribuant à la volonté de l’
homme
des effets que la nature refuse à produire, préte
herche ses mobiles d’action dans des forces hétérogènes à celles de l’
homme
. Mesmer avait donc pour lui l’apparence au moins
ction du fluide universel, étaient dus à celle d’un fluide propre à l’
homme
, soupçonné depuis longtemps par les physiologiste
nt donc des principes admis, mais cette influence du magnétisme sur l’
homme
est-elle de nature à pouvoir guérir scs maladies
is si extraordinaire, qu’on ne trouve plus dans l’état ordinaire de l’
homme
rien qui puisse y être comparé. C’est parmi ces
omme une base de pratique médicale la consultation somnambulique. Des
hommes
remarquables, surtout en Allemagne, tels que les
tre considéré comme un auxiliaire précieux, qui, entre les mains d’un
homme
sage et confiant dans sa puissance, peut procurer
ain génie; car pour être novateur, même d’une erreur, il faut être un
homme
hors ligne, et l’enthousiasme excité accueille av
avec les substances qui sont destructrices des animaux parasites de l’
homme
. Ainsi le camphre, l’alcool, le sel ordinaire, le
de systèmes n’est-il pas au contraire la preuve de l'impuissance de l’
homme
à découvrir une médecine qui, reposant sur des lo
nos efforts, frapper l’enfant comme le jeune homme; elle surprendra l’
homme
au milieu de sa course, laissant à ceux qu’elle é
et la science, et souvent ils ne révèlent que la science seule. Or l’
homme
de science est rarement progressiste, il ne croit
est courte ! » Charpignon, D. M. P. — Toute discussion éclaire l’
homme
; il semble qu’en fait de médecine c’est le contra
onger; si bien qu’on ne la reconnaîtra plus. Il restera seulement aux
hommes
la mémoire du mal qu’elle leur a fait et la honte
usse science et ceux qui en étaient les amants. Oui, il est vrai, l’
homme
peut soulager son frèresans posséder la science s
la base de toute thérapeutique, et le principal moyen employé par les
hommes
pour combattre leurs maladies. Si outre ces vertu
es, et faire jaillir la clairvoyance. 0 bonne et simple nature, les
hommes
ont méprisé tes lois! Est-ce que tu voulus jamais
us jamais soumettre tes créatures et leur conservation au caprice des
hommes
et à leurs fausses règles? Non: lu as donné à 1 h
au caprice des hommes et à leurs fausses règles? Non: lu as donné à 1
homme
un rayon de lumière, mais tu n’as pas voidu qu il
nifeste. Quoi ! les êtres souffrants appelleraient à leur secours des
hommes
qui ne savent ni se préserver ni se guérir? Ils s
'antiquité et ressaisir les traditions qui étaient venues de Dieu aux
hommes
par le souffle de son esprit, par les révélations
, par les révélations du sommeil, par l’amour enfin, qui fait que les
hommes
en se ^approchant, en s’aimant, se communiquent l
richesse vitale qui lui fnanque. J’aime à voir M. Charpignon et les
hommes
qui, comme lui, fouillent dans l'inconnu, avouer
doute rien des préjugés des écoles; mais Dieu m’a refusé ccqui fait l’
homme
supérieur : je n’ai point de génie. J’ai seulemen
ruire les organes avant le temps de la vieillesse ? Qui ne sait que 1
homme
souvent est son propre bourreau? Qui peut nier l'
étiers nécessaires pourtant à un peuple avancé, mais qui condamnent l'
homme
à périr aux deux tiers du chemin de la vie?C'est
lir la médecine des écoles; car les médecins ont fait plus de mal aux
hommes
que toutes les guerres ensemble. En attendant c
nt nous devons travailler à établir les vérités que Dieu a permis à l'
homme
de découvrir. Un sentiment secret pousse M. Charp
octeur Charpignon ne verra point en moi un censeur, mais seulement un
homme
simple que l'ainourde la vérité aura pu éblouir.
la physiologie et la psychologie sont éclairées de vives lumières; l'
homme
cesse d’être le jouet de l’ignorance; il apprend
e magnétisme n’est point un don mais une propriélé commune à tous les
hommes
, les élèves ont la certitude de produire les fait
ents. Et, quelle que soit la supériorité du génie, on trouve chez les
hommes
qui se sont distingués des dispositions identique
aire. Les plus grandes aberrations de l’intelligence peuvent saisir l’
homme
plein de raison; un mot, un fait mal compris, la
it avec passion, un roman, un sermon, les remontrances emportées d’un
homme
d’église timoré, suffisent souvent pour amener un
'impossible dans l'exécution de telles actions. La nature a donné à l'
homme
une grande puissance, sans doute, mais elle a des
té? Qu’est-ce qu'un faux jugement ? Une erreur de l’esprit. Que dit l’
homme
qui se trompe souvent? Que son esprit était absen
nager. Combattez avec tous les arguments possibles l’assertion de l’
homme
qui dit avoir un reptile dans les entrailles : il
tres que Dieu vous avait confiés ! Qui de vous a tenté d’affranchir l'
homme
des vaines craintes, tourments du premier âge, et
sez aujourd’hui de votre ouvrage. Vous avez reçu votre, récompense; l'
homme
est libre, mais il ne sait se conduire. Vous avez
ssance de la véritable cause de la plupart des maux qui affligent les
hommes
. On accuse la nature et Dieu, tandis que les seul
magnétisme. Heureux si nous pouvons agir sur l’esprit tic quelques
hommes
timides et peureux toujours disposés à s’exagérer
t, dont l'antiquité nous offre tant d'exemples surprenants. Dès qu’un
homme
vient annoncer au monde savant, ou plutôt au mond
même, el les masses ignorantes qui ne pensent que par le cerveau des
hommes
haut placés sur l’échelle scientifique s’empresse
ès lors sur ce que pouvaient faire des magnétiseurs criminels chez un
homme
qu’ils voulaient perdre, et dès ce moment je vis
ccablé de douleur et d’ennuis, il m’a fallu toute la force d’âme d’un
homme
bien trempé, d’un vieux militaire, d’un père chér
physiques que n’en spécifie ce malade ? Mais cherchez à persuader cet
homme
du vide de son accusation : il vous dira je sens,
des cerveaux qu’il fautguérir. C’est un service qu’il faut rendre aux
hommes
que de leur montrer les folies passées, et de dét
commun, sans épée, ayant cependant dans cet » habit simple l’air d’un
homme
de condition, ou, si » l’on aime mieux, d’un fina
ence malveillante. Sachez encore que la personne en question est un
homme
de trente-quatre ans, célibataire, habitant une d
monsieur, je suis obligé de m’imposer silence sur les noms propres d’
homme
et de localité, ce dont je désirais me dispenser
e, mais encore au choix des expressions. L’une semblait provenir d'un
homme
vulgaire, sans éducation; l’autre, au contraire,
arences m’étaient défavorables, mais encore que les intentions de cet
homme
m étaient tout à lait hostiles. Pouvais-je interp
juger des autres. J’ai déjà dit que le rapport qui m unissait à cet
homme
était si étroit que je sentais à distance ses mou
situa- lion, et je ne pouvais douter qu elle ne fût l’œuvre de cet
homme
infernal, puisque dans les conversations qu’il en
roduire moi-même. Je me berçais de l'espoir de secouer le joug de cet
homme
, songeant à me faire son égal pour recouvrer ma l
ns ses explorations scientifiques il marcha d’abord à tâtons comme un
homme
qui explore un terrain nouveau. 11 commit bien de
e analyse de cet ouvrage. (Voyez t. iii, p. 241.) Voilà donc deux
hommes
qui sans se connaître ont simultanément les mêmes
N’ayant pu atteindre directement la chose,on cherche à déconsidérer l’
homme
qui la représente. Ces arguments ad homincm son
vieux, et notre mémoire n’embrasse jamais qu’une partie des temps. L’
homme
acquérant d’un côté perd de l’autre ; si bien que
emier motde l’histoire du mesmérisme. Le jugement qu’il porte sur les
hommes
et la chose prouve qu’il ne s’est pas donné la pe
uittais immédiatement ma chambre pour me mettre à la recherche de cet
homme
, et parles moyens de direction que je possédais j
je voyais mon avenir brisé et mon sort irrévocablement enchaîné à cet
homme
pervers. Comment aurais-je pris goût à l’occupati
un certain travail d’esprit. Ils étaient donc portés à croire que cet
homme
ne pouvait suffire à tout. D’un autre côté, persu
ource ou puisé ses inspirations dans les pensées et le cerveau de cet
homme
, mais que dégagé de lui il agissait d’une manière
’ai donné l’analyse. Mais je répondrai à cela qu’en admettant que cet
homme
possède à son service un petit démon familier don
s intimement convaincu qu il n existe point d intermédiaire entre cet
homme
et moi. J’ai toujours reconnu son action immédiat
s, car c’est la conservation des êtres, le lieu qui doit limitons les
hommes
entre eux. VARIÉTÉS. Fatalité.—Un ouvrier de
es simuler et les travestir; mais une réalité saisissante attend tout
homme
qui, pénétré des règles, en essaie l’application.
qui caractérise la vie chez un être organisé, et spécialement chez l’
homme
. Soumis à des lois particulières, indépendantes
uvages, dont l’instinct s’émousse sous l’influence deladomesticité, l’
homme
semble perdre', suivant les progressions de la vi
eurs considère comme une réminiscence de la puissance adamique chez l’
homme
. (Discours fait à Notre-Dame de Paris, par leR. P
s physiques de nos habitudes ; aussi l’observons-nous rarement chez l’
homme
à l’état normal. Nous n’en retrouvons de traces q
ecoin- mande de no faire connaître ces procédés mystérieux qu’à des
hommes
de bien et d’une discrétion inviolable. 11 est
miration tous les assistants. > «Isis prend plaisir au culte des
hommes
, dit Diodore de Sicile ; elle s’occupe principale
s souffrances. Pomponace (de Incantationibus) aflirme qu’il y a des
hommes
doués de propriétés médicales; exaltées par la pu
journal ne me permettent pas d’invoquer ici le témoignage de tous les
hommes
distingués qui se sont livrés à l’étude des phéno
ela, repousser le plus beau privilège dont le créateur ait gratifié l’
homme
dans le but de soulager ses semblables. C’est à n
crois qu’on le décidera difficilement à entrer en pourparler avec un
homme
contre lequel il a nourri longtemps une haine sec
e dragons, la narration d’un fait qui confirme l’opinion qu’un jour l’
homme
domptera la plupart des animaux. L’auteur du li
de nos infirmités doit-elle nous surprendre, lorsque nous voyons des
hommes
d’un mérite incontestable reconnaître que chaque
e l’esprit, dit Deleuze (lmtruct. prat., p. 5i8), peuvent entraîner l’
homme
loin de la vérité, lorsque leur exaltation a dé
» (Walter-Scott., Ivanhoë. ) Rollin ( llist. ancienne ) parle d’un
homme
dont la vue s’étendait à deux cents lieues. She
cas, devrait être voilée, recueillie seulement par un petit nombre d’
hommes
capables de juger de la portée des choses. Ces
, que la vérité la plus grande n’a rencontré, pour s’établir, que des
hommes
étrangers à notre Institut, à nos Académies. En
preuve de l’existence d’un fluide particulier au système nerveux de l’
homme
, fluide que l’auteur différencie nettement de l’é
approfondie de la nature et des propriétés du fluide magnétique de l'
homme
, vient celle de l’action de cette force sur les ê
, vient celle de l’action de cette force sur les êtres organiques : l’
homme
, les animaux et les végétaux, et sur les êtres in
aux, et sur les êtres inorganiques. Les phénomènes magnétiques de l’
homme
, sur lui-même et sur son semblable, sont savammen
des citations toujours puisées dans sa pratique, l’auteur conclut en
homme
qui a bien jugé le pour et le contre, cl qui sait
mpense, il leur rappelle que l’histoire est le livre où les actes des
hommes
s’inscrivent pour être appréciés à leur juste val
qui s’était permis « une licence extraordinaire. L'histoire de cet «
homme
était à ce moment présente à mon esprit. « Je me
ci n’est pas dû à l’imagination, 011 peut montrer que non seulement l’
homme
, mais les animaux, mais même les plantes, sont in
e désespoir et l’abattement est bien connue. Les médecins ne sont pas
hommes
à déprécier l’influence du moral sur le physique.
une expérience sur un condamné au dernier supplice. Ils dirent à cet
homme
qu’ils avaient obtenu de le soustraire à la honte
s par notre fourberie. » Cette supposition absurde est indigne d’un
homme
raisonnable, intelligent.» Après une discussion
lheureux au milieu de ses biens mal acquis ? Comparez le calme d’un
homme
de bien, comme on en trouve encore quelques-uns,
procès qui s’instruit ; mais à quoi ne s’intércsse-t-il pas? C’est l’
homme
universel; il sait tout, il voit tout, entend tou
e par le magnétisme et le somnambulisme. Longtemps on a conduit les
hommes
avec cette pensée sublime : Dieu te voit; on dira
hommes avec cette pensée sublime : Dieu te voit; on dira bientôt : L’
homme
lui-même peut voir les actions de ses frères, et
me Y, page 25o de ce Journal. Les suites en furent déplorables. Cet
homme
est mort, il y a deux mois environ, après avoir d
breuses marques d’altération des fonctions cérébrales. La pensée de l’
homme
qu'il accusait de l’avoir magnétisé ne s’était pa
rsécuteurs. A ses yeux, si je n’avouais pas, c’est que je savais ; un
homme
comme moi ne peut pas ignorer ces choses, je suis
ice jusqu’au fond des entrailles. Elle entend des voix, elle voit des
hommes
armés prêts à la transpercer. Les hommes d’église
tend des voix, elle voit des hommes armés prêts à la transpercer. Les
hommes
d’église sont seuls accusés. D’où donc est née, c
ar croire à des possibilités qui n’étaient point dans leur nature. Un
homme
raisonnable doute du magnétisme en les entendant,
le ne peut donner l’idée de ce qu’est cc terrible élément. Ainsi de l’
homme
; pour le connaître il ne faut pas seulement l’ex
resque tous se sont trouvés en dehors de ce qui fait et caractérise l’
homme
raisonnable. Tous, sans doute, ne voient point se
vie, peut nous faire trébucher; et, comme des enfants, la plupart des
hommes
auraient besoin de lisières. Mais comment ce qu
en est de même de l’esprit; tout est muet quand nous interrogeons les
hommes
. A cette question les gens d’esprit cessent d’en
eur faiblesse et leur impuissance. Irai -je me perdre avec les grands
hommes
, moi, chétif embryon, qui n’ai fait encore qu’ent
longtemps elle fut stérile; et, plongé dans un océan de merveilles, l’
homme
avait seulement le sentiment de leur existence. L
e va donner les moyens de les voir et de les considérer; puissent les
hommes
conserver leur sang froid et ne point mêler à l
s de leur imagination! Une vue trop rapide nous trompe; et beaucoup d’
hommes
ne savent pas voir! C’est ainsi que la plupart de
umaine est peut-être ici, Qui donc osera sonder cette profondeur? L’
homme
lient au ciel par un lien invisible. Les astres a
une tâche trop grande, on le conçoit, pour être accomplie par un seul
homme
: aussi faisons-nous appel à tous les magnétiseur
mais c'est un embarras local dont il désire être débarrassé. C’est un
homme
grand et robuste, jouissant d’ailleurs d’une sant
affaissait sur lui. Cette inquiétude dura jusqu’au 25. « Le 26, cet
homme
approche de nouveau de l’insensibilité. » Un mo
lles par jour. C’est un nouvel exemple d’insensibilité intense chez l’
homme
en santé, et presque tous ceux que j’ai opérés ic
aussi plus satisfaisant en raison des difficultés survenues. « Cet
homme
, entré le 9 janvier 1847, Pr0‘ fondément influenc
nu et évité, on peut tout se permettre sans qu’ils bougent. Ainsi cet
homme
aurait pu être opéré dès le début, mais j’ai préf
rachidienne, le volume, le poids, la structure de ces organes chez l'
homme
et les animaux vertébrés ; l'histoire du système
st après en avoir conféré avec les meilleurs amis de Leuret, avec les
hommes
qui conservent un religieux souvenir de la scienc
me suis occupé de l'état psychique de chaque animal et de celui de l'
homme
. Mettant à profit les observations des auteurs qu
le tableau des facultés instinctives, intellectuelles et morales de l'
homme
et des animaux. Ayant ainsi réuni devant moi de
de cette collection ; mais, par une restriction inconcevable dans un
homme
aussi distingué, il m'a refusé l'autorisation de
tes ses ressources pour les consacrer au service de l'humanité. Peu d'
hommes
ont rencontré autant d'obstacles et sont parvenus
a oublié ces déjeuners du dimanche où les disciples, mêlés à d'autres
hommes
déjà distingués, étaient conviés, par la cordiale
urvu de toute fortune, enfant du peuple, comme le sont la plupart des
hommes
véritablement forts, n'a dû qu'à cette hospitaliè
déplorable erreur, et l'erreur devient crime quand il y va de mort d'
homme
. Il importe toutefois de constater que le présent
ue les colères politiques, qui passionnent les juges comme les autres
hommes
, avaient fait renfermer dans la geôle de Clairvau
ue, pour agir selon sa force, il faut répondre de ce qu'on exécute. L'
homme
fait pour répandre ses idées demeure souvent obsc
t. Ill, p. 498 et suiv.). 4 0. Sur un cas d'empoisonnement, chez un
homme
ivre, par l'acide hydrocyanique (Annales d'hygièn
spèces : c'est le système nerveux qui s'éloigne le plus de celui de l'
homme
, et il a même, au premier aspect, très peu d'anal
. T. Soemmering dans ses recherches sur le volume de l'encéphale de l'
homme
et des animaux vertébrés (1), comparé à celui des
s rapports avec les autres organes, ne serait pas reconnaissable de l'
homme
à la chauve-souris. La forme ne peut donc être pr
Weber, ont un volume inverse de celui de la moelle épinière ; chez l'
homme
, la moelle épi-nière est considérable comparative
es crevettes, que les pêcheurs n'en trouvent plus que de mutilés. Les
hommes
eux-mêmes ont été plus d'une fois victimes des cé
on le dit, qu'il y ait des céphalopodes assez grands pour manger des
hommes
, mais parce que, en enlaçant les pieds des nageur
1). Ce fait en rappelle un autre que l'on retrouve quelquefois chez l'
homme
.; je veux parler de la ressemblance des traits, d
s, c'est-à-dire douze ou quatorze nerfs de plus qu'il n'y en a chez l'
homme
. Dans la chenille du bois de saule, dans le grill
Histoire générale et particulière des anomalies de l'organisme chez l'
homme
et les ani-maux, Paris, i832-t836, 3 vol. in-8° a
ionaire du lombric de terre, au centre nerveux cérébro-rachidien de l'
homme
.Chez le lombric une colonne médullaire donnant à
en avant jusqu'à un double ganglion que réunit une commissure. Chez l'
homme
, une colonne semblable donnant aussi des paires d
pés dans le lombric de terre, multipliés et énormément grossis chez l'
homme
. L'anneau nerveux (véritable prolongation des fib
pour lui, la moelle rachi-dienne; mais il prétendait retrouver chez l'
homme
, à la naissance de chacune des paires de nerfs ra
, que faisons-nous de plus? La forme... est-ce par là seulement que l'
homme
diffère de l'animal? A ces difficultés, les uns o
onnables, mais qu'elles se servent de la raison, beaucoup mieux que l'
homme
. Philon, que l'historien Eusèbe appelle (3) ce vi
exception de la religion, il n'y a rien en quoi les bêles n'imitent l'
homme
. Pline (6) va plus loin encore, car il met la rel
overbes, ch. xn, 10. (2) Quod animalia hruta ratione utantur melius
homme
. Àmst, i654. (3) Hist, eccles. lib. il, cap. xv
ce matérielle, on l'appelait sensitive par opposition avec l'âme de l'
homme
, regardée comme une substance incorporelle (2). L
homme, regardée comme une substance incorporelle (2). La dignité de l'
homme
pouvait se montrer satisfaite de cette distinctio
théologiens regardaient l'âme des bêles comme inférieure à celle de l'
homme
; de la Grange lui même l'appelle sensitive- mais
est de ses facultés, il la place, en réalité, au-dessus de l'âme de l'
homme
, puisqu'il la compare à celle d'un ange ou d'un d
s qu'on ne le donne également au mobile de la plupart des actions des
hommes
. (I) Dict. historique, art. « L'ensemble de l
elles arrêtent les petits oiseaux et embarrassent même la marche de l'
homme
. Quand une mouche est venue se prendre dans la to
e, leur poison peut donner la mort à des oiseaux, et faire du mal à l'
homme
. Qui n'a entendu parler des effets attribués à la
ent qui les produit. » (1) Les araignées ont été consultées par les
hommes
qui se mêlaient de faire des prédictions. « Multœ
r serait départi quelque manière de sentir étrangère à la nature de l'
homme
. Quelque élevées que soient les facultés départ
nt tout évidentes qu'elles soient, on les a niées, afin de donner à l'
homme
une prééminence dont rien de ce qui vit sur le gl
ervir par elles. L'histoire des fourmis est en partie l'histoire de l'
homme
. Suivant de graves métaphysiciens, qui vivaient a
Suivant de graves métaphysiciens, qui vivaient au xvic siècle (1), l'
homme
est supérieur aux animaux, principalement en ce q
étaphysique, mais ce n'est pas seulement pour cela que nous mettons l'
homme
au-dessus d'eux, nous avons heureusement d'autres
résente assez bien, quoique au figuré, les rapports établis parmi les
hommes
,entre les courtisans et les souverains. Enfin, ja
eine des abeilles a une cour ; elle est entourée, de ce que parmi les
hommes
, nous appelons des respects et des hommages ; ell
apparence d'ordre à celui de l'intelligence, il n'y a qu'un pas, les
hommes
aimant mieux admirer qu'approfondir? « On convi
l'hirondelle au-dessous de la buse, le chien au-dessous du bœuf, et l'
homme
, combien n'aurait-il pas d'animaux supérieurs à l
issance de l'avenir, je l'accorde sans peine; mais sous ce rapport, l'
homme
a-t-il plus d'avantages que les abeilles? Non, as
t de trop, des effets de leur stupidité. » Mettons, pour un moment, l'
homme
riche ou économe à la place de l'abeille ; un vol
aines particularités relatives à leur féconda-lion, est-il beaucoup d'
hommes
qui n'en feraient pas des êtres très approchant d
que le chien, le singe et la plupart des animaux. » Cela est vrai, l'
homme
ne peut pas se mettre en rapport avec une abeille
chien ou un singe, mais est-ce la faute de l'abeille ou la faute de l'
homme
? Est-ce parce que les organes de l'abeille sont t
que les organes de l'abeille sont trop petits, ou parce que ceux de l'
homme
sont trop volumineux , que les rapports entre eux
nce toute matérielle, fût-elle seule, mettrait nécessairement entre l'
homme
et l'abeille une barrière infranchissable. Cond
ulgaire, n'est combattu que par les philosophes, c'est-à-dire par des
hommes
qui d'ordinaire aiment mieux une absurdité qu'ils
e vérité que tout le monde adopte. j Il admet qu'entre les bêtes et l'
homme
, la différence, pour ce qui concerne la pensée, n
urvus les animaux, il s'appelle instinct ; le plus qui appartient à l'
homme
, il l'appelle raison, ce Ce qui man- (i) Traité
elle n'a guère pour s'instruire que sa seule expérience, tandis que l'
homme
accumule sur les connaissances de ceux qui l'ont
entourées de respectueuses ouvrières? De pareilles actions, chez les
hommes
, n'indiquent-elles que des idées sen* sibles, ou
re tellement positive, qu'il va presque jusqu'à l'égaler à celle de l'
homme
. Les psychologistes qui refusent toute intellig
streintes dans d'étroites limites, l'immense variété des actions de l'
homme
, l'étendue et l'élévation de ses idées, et surtou
te, comme ils disent, tient au monde physique seulement, tandis que l'
homme
s'élève au monde intellectuel et moral. Les consé
el et moral. Les conséquences qu'ils tirent de ces faits, c'est que l'
homme
seul a conscience de ses actions, que seul il est
venir que leurs actes ne soient infiniment moins variés que ceux de l'
homme
, cependant ces actes ne sont pas tellement réglés
s et placé dans les mêmes condilions, poussé par les mêmes besoins, l'
homme
faisant usage de son intelligence n'agirait pas a
cuter et qu'ils exécutent en effet, sans jamais les avoir apprises; l'
homme
au contraire apprend une partie de ce qu'il doit
e peine, ils font dès le commencement de leur vie, plus que ne fait l'
homme
au commencement de la sienne : toutefois, je dois
éveloppement, et vous y trouverez la raison de cette différence. Si l'
homme
naissait avec des organes capables d'agir, il n'a
e ceux qui estiment l'intelligence des animaux à l'égal de celle de l'
homme
; je ne puis cependant m'empêcher de faire remarqu
é des animaux et la prééminence de notre espèce. Que l'on considère l'
homme
sous le point de vue moral, ou sous le point de v
, dans le même département, un même nombre de crimes exécutés par des
hommes
du même âge et de la même condition sociale que l
us efficacement, il faut quel'homme ait bien de la faiblesse! et si l'
homme
est tellement faible que, dans certaines conditio
ulsion capable de lui faire commettre des crimes, ouest sa liberté? L'
homme
est libre, pourtant, j'ai hâte de le reconnaître,
e, on ne tarde pas à se convaincre qu'ils sont une manifestation de l'
homme
interne, aussi souvent qu'un résultat de l'éduca-
ue sociale, Parjs, i835, a vol. in-8. tion. Dans lout ce que fait l'
homme
, il y a des choses qui tiennent à sa nature, d'au
es visions, les inspirations, les prophéties étaient révélées par des
hommes
hallucinés, c'est-à-dire par des hommes qui, atte
ties étaient révélées par des hommes hallucinés, c'est-à-dire par des
hommes
qui, atteints de sensations délirantes, racontaie
éprouvées. Si nos visionnaires rencontraient un assez grand nombre d'
hommes
ignorans et crédules, nul doute qu'ils ne devinss
mention, erreurs qui ont long-temps servi de règle à la conduite des
hommes
et de base à leurs institutions sociales. Beaucou
, cela est vrai, mais si elles sont acquises pour un certain nombre d'
hommes
, elles sont spontanées pour ceux qui les ont proc
ôt qu'à une aberration de leur entendement. Ainsi, là encore, c'est l'
homme
interne, et non pas les influences extérieures, q
lexion, l'intelligence; mais la faculté de réfléchir est innée chez l'
homme
, car l'homme réfléchit sans qu'il soit besoin de
elligence; mais la faculté de réfléchir est innée chez l'homme, car l'
homme
réfléchit sans qu'il soit besoin de le lui enseig
exemple, ne réfléchissent aussi? La différence intellectuelle entre l'
homme
et les animaux n'est donc pas là; elle existe, sa
indéfinie : c'est là un des caractères propres à l'intelligence de l'
homme
: celte intelligence n'est pas bornée à l'individ
l'abeille, elle s'accroît au contraire avec les générations ; aussi l'
homme
a-t-il une vie passée et une vie à venir, tandis
fre de nombreux caractères qui le rapprochent du système nerveux de l'
homme
. Est-ce donc qu'entre le système nerveux et l'int
ur acquérir son plus haut degré chez les mammifères, et enfin, chez l'
homme
. Le système nerveux principal, le seul dont il
n réalité aucun fondement. Les tubercules mamillaires du cerveau de l'
homme
sont la continuation directe des piliers antérieu
ce grise située précisément à l'endroit correspondant du cerveau de l'
homme
, où à la vérité elle ne forme aucune saillie; mai
t, proportion gardée, beaucoup plus gros que ceux de l'encéphale dé l'
homme
. lre Paire, nerfs olfactifs. Plusieurs anatomis
isement des pyramides. La cinquième paire de nerfs encéphaliques de l'
homme
, a aussi deux origines; mais ces origines y sont
omme également vrais pour l'adulte. Nous pouvons connaître l'âge de l'
homme
et celui des animaux que l'on élève sous nos yeux
tablir leur volume relatif. Soemmering et Tiedemann l'ont fait pour l'
homme
et quelques mammifères, et les conclusions qu'ils
'agit d'objets qui ont un volume considérable, comme l'encéphale de l'
homme
ou des grands mammifères, une erreur de quelques
a moelle épinière des poissons, qu'ayant à comparer cet organe chez l'
homme
et chez les animaux, j'ai créé un mot qui m'a par
exacte et facile. En parlant de la face antérieure de la moelle de l'
homme
, il m'aurait fallu ajouter, si j'avais voulu la c
ceux-ci, la face inférieure et pourla face postérieure de celle de l'
homme
, qu'elle devient chez eux, la face supérieure. La
nt de la moelle épinière, sont doubles chez les poissons comme chez l'
homme
: elles viennent l'une de la face fulcrale, l'aut
le rachidienne est, en général, très longue chez les poissons; chez l'
homme
au contraire, elle se termine au niveau des premi
se termine au niveau des premières vertèbres lombaires. Mais, pour l'
homme
, il n'en a pas été ainsi à tous les âges de sa vi
uve à l'appui du système en vertu duquel ils prétendent établir que l'
homme
, avant d'arriver à son état parfait, a été succes
serveraient d'une manière permanente une des formes transitoires de l'
homme
; les reptiles, une forme également transitoire,
Sylvius. 3. Presque tousles nerfs encéphaliques qui existent chez l'
homme
, se retrouvent chez les poissons. h. Parmi ces
oin possible, dans des conditions différentes d'âge et de sexe chez l'
homme
, les mammifères, les oiseaux et les poissons :
gélatineuse très limpide; mais qu'ayant répété cette expérience sur l'
homme
, le bœuf et d'autres animaux, il n'a pu apercevoi
n où elles rencontrent de la substance grise. La moelle épinière de l'
homme
offre celte disposition d'une manière très marqué
it rappelle tout-à-fait celui qui a lieu dans la moelle allongée de l'
homme
, entre les fibres des pyramides et celles du cerv
Je n'ai jamais rien vu de semblable dans la substance médullaire de l'
homme
, du bœuf ou d'autres animaux; c'est pourquoi je s
la carpe, et qu'il ne s'écoule pas de la même manière des nerfs de l'
homme
ou du bœuf ? Il faut que, chez la carpe, il ait p
f ? Il faut que, chez la carpe, il ait peu de cohésion, et que chez l'
homme
ou le bœuf, il soit dense. C'est précisément ce q
ils répandent. On raconte , et cela est malheureusement vrai, que des
hommes
appartenant à la race blanche, quand il se baigna
e ils disaient, la part du requin : atroce prévoyance qui rendait ces
hommes
complices de la cruauté du plus insatiable des po
mpu, quand l'empire romain tombait en pourriture, on leur donnait des
hommes
à manger ! Parmi les poissons doués d'astuce ou
d'observer des animaux qui, pour la plupart, habitent des lieux où l'
homme
ne pénètre jamais, limite le champ de nos recherc
tre jamais, limite le champ de nos recherches ; et les pêcheurs , ces
hommes
pratiques qui dans leurs courses ont tant d'occas
à présent et qui sera probablement toujours infranchissable, sépare l'
homme
des animaux invertébrés ; entre eux et lui, pas d
; entre eux et lui, pas de relation possible. Pour les mollusques, l'
homme
est comme s'il n'existait pas ; pour la plupart d
que, pour quelques reptiles, on dirait qu'il y a déjà entre eux et l'
homme
quelque relation possible. Les lézards s'approche
elation possible. Les lézards s'approchent des endroits habités par l'
homme
; ils le voient et paraissent se plaire à le rega
l'aspect, à la commissure molle des couches optiques du cerveau de l'
homme
. La surface en est lisse; cependant, au côté exte
de très nombreuses fibres médullaires, analogues à celles qui chez l'
homme
, traversent ce qu'on appelle le bulbe rachidien.
suffisante pour nous initier complètement à leur état psychique. Si l'
homme
résumait en lui toutes les manières de sentir don
it dans les phénomènes de la vie que des degrés d'une même échelle, l'
homme
, placé le premier dans la série animale, n'aurait
classes d'animaux. Mais quoique au-dessus de tous les êtres vivans, l'
homme
ne possède pas tout ce que ces êtres possèdent. C
ertains sens sont très développés chez plusieurs animaux, qui, chez l'
homme
, le sont beaucoup moins : or, un sens peu dévelop
ativement aux qualités de l'organe de l'ouïe considéré chez plusieurs
hommes
. La finesse de l'ouïe est loin d'être la même pou
er une grande variété de sensations. Ce que je dis pour l'ouïe de l'
homme
, doit s'appliquer à l'odorat des animaux : d'aprè
facultés d'une manière tout aussi certaine que les actions. Olez à l'
homme
le besoin de se vêtir, en couvrant sa peau d'éeai
me dans quelques-uns d'entre eux. quelque chose qui les attire vers l'
homme
. L'iguane, le basilic, le porte-crète, le caméléo
pour le manger ensuite. Ils ne craignent pas non plus d'attaquer les
hommes
, de grimper dans des barques de pêcheurs, ou de p
son scie, plusieurs cétacés. Maintenant, partout où ils existent, les
hommes
leur font la guerre; autrefois, en Egypte, on leu
de chair, souvent nous appelons doux ceux qui ne s'attaquent pas à l'
homme
ou aux grands animaux, et nous appelons féroces c
guerre seulement à ceux qui peuvent leur nuire. Il arrive souvent à l'
homme
de ne pas raisonner autrement que ne feraient, da
res, quoique privées de leur venin, ne devient timide et do^p3 avec l'
homme
, autant que les couleuvres. Les serpens à sonnett
ur guetter et saisir au passage les poissons, les oiseaux et même les
hommes
. Les plus grands et les plus forts des serpens,
des victimes sur ses autels. Long-temps, et dans plusieurs pays, des
hommes
lui ont immolé des hommes ! Une passion est, ch
ls. Long-temps, et dans plusieurs pays, des hommes lui ont immolé des
hommes
! Une passion est, chez les serpens, plus forte
s adroits, astucieux; on dirait qu'ils reconnaissent la présence de l'
homme
. 5. Les serpens sont, pour la plupart, supérieu
ptiles avalent leurs alimens avec gloutonnerie. 7. Relativement à l'
homme
, il en est de féroces et de pacifiques. 8. L'am
êt commun, se connaissent entre eux ; quelques-uns même connaissent l'
homme
, et ressentent pour tel ou tel homme en particuli
quelques-uns même connaissent l'homme, et ressentent pour tel ou tel
homme
en particulier, de l'affection ou de la haine.
e comparaison n'est pas non plus sans fondement; le perroquet imite l'
homme
autant que la différence de son orga -nisation lu
il explique ce fait par la situation des couches optiques, qui dans l'
homme
et les quadrupèdes font partie du cerveau, tandis
ntité très notable de substance grise ; chez les mammifères et chez l'
homme
, le nerf optique naît à-la-fois d'une triple émi
on, que Gall a été porté à regarder les tubercules quadrijumeaux de l'
homme
comme étant l'unique origine du nerf optique. Il
ez les oiseaux , développé chez les mammifères et considérable chez l'
homme
, la couche optique, ne concourt-elle pas aussi à
forme là une luette aussi bien développée comparativement, que chez l'
homme
. En incisant le cervelet, ainsi que je l'ai ind
ment de ce qui a lieu, sous ce rapport, dans les mammifères et dans l'
homme
. Je ne m'arrêterai donc pas à la décrire; je note
de la moelle allongée. Les couches optiques sont striées comme chez l'
homme
par les rênes de la glande pinéale; il existe un
parée de la substance blanche d'une manière aussi tranchée que chez l'
homme
. Cette circonstance indique dans le cervelet des
lle le corps rhomboïdal, placé dans l'intérieur de cet organe, chez l'
homme
. La distribution des fibres de la moelle épiniè
n relief au dehors de la moelle : c'est le cas des mammifères et de l'
homme
. Quelque chose d'analogue a lieu pour ce qui conc
es fibres venant des hémisphères pour se rendre au même point. Dans l'
homme
et les mammifères, le corps calleux a cette doubl
nent les grosses fibres de la moelle ? En parlant de l'encéphale de l'
homme
, je répondrai à ces différentes questions. Dans
tes l'une de l'autre dans le cervelet des oiseaux que dans celui de l'
homme
. 5. Il n'y a pas d'entrecroisement de fibres lo
paroles qu'on prononce devant elles. Beaucoup d'oiseaux connaissent l'
homme
; les uns s'attachent à lui, d'autres le fuient, e
ovœ Zelandice ), dévoraient en un clin d'œil le canard ou l'oie que l'
homme
de l'équipage avait laissé derrière lui, et leur
, dit-on, autant de poissons qu'il en faudrait pour nourrir plusieurs
hommes
. Le harle est aussi très vorace ; on le compare s
du tout. Les fous sont aussi utiles à la frégate, que le bétail à l'
homme
, que les pucerons, les cochenilles et les galles-
si complètement l'entrée du nid, que le moineau y resta enfermé. L'
homme
qui se dit le maître de la terre, possède souvent
cherche des alimens, ou la présence d'un ennemi et surtout celle de l'
homme
. Tous les voyageurs qui ont visité des pays rarem
Tous les voyageurs qui ont visité des pays rarement traversés par les
hommes
, ont été frappés de la confiance et de la sécurit
e plus empressés de fuir. Les oiseaux ont appris à leurs dépens que l'
homme
est à craindre pour eux'; aussi le distinguent-il
t il en a ordinairement plusieurs, car, chez les oiseaux comme chez l'
homme
, et même à ce qu'il paraît en plus grande proport
gner sous le nom de moqueur. Les oiseaux imitateurs de la parole de l'
homme
, et qui s'en font les échos, sont le perroquet, l
es idéologues et des théologiens qui ont pensé que ce serait avilir l'
homme
, si des animaux , des bêtes présentaient, sous le
ssent. Ils sont loin , assurément , d'avoir les mêmes aptitudes que l'
homme
; leurs idées se rapportent presque exclusivement
sontmoïns prudens que les vieux; les oiseaux qui ne connaissent pas l'
homme
se laissent tous approcher de lui sans aucune cra
, un grand contraste entre les perroquets et les pinguins. D'abord, l'
homme
a pu s'approcher des uns et des autres ; mais l'e
s l'expérience a profité aux perroquets, qui ont appris à connaître l'
homme
; les pinguins n'ont rien appris ; on peut les ab
chants qu'ils ont appris. C'est surtout dans leurs rapports avec l'
homme
, que les oiseaux se montrent attentifs et capable
premiers sous ce rapport, ceux qui ont le plus de ressemblance avec l'
homme
, sont sans contredit les perroquets. Ce sont, de
nt. Après le perroquet, les oiseaux qui sympathisent le plus avec l'
homme
et qui vivent avec lui dans une sorte de familiar
que les chasseurs racontent à ce sujet. « Si la pie voit entrer un
homme
dans une hutte construite au pied de l'arbre où
st son nid, elle n'entre pas dans son nid qu'elle n'ait vu sortir l'
homme
de la hutte ; si on a voulu la tromper en y ent
oigné de la reconnaissance et de l'amitié, en échange des soins qu'un
homme
avait pris d'elle. (1) L'éducation que l'homme
ange des soins qu'un homme avait pris d'elle. (1) L'éducation que l'
homme
donne aux oiseaux développe donc chez quelques-un
eux des vices étrangers à leur nature : ces vices sont ce que dans l'
homme
nous appellerions paresse, gourmandise, libertina
ction du domicile ; la faculté de reconnaître les autres oiseaux, les
hommes
, les lieux, de savoir les saisons et les heures ;
vrer; témoigner des regrets sur un mort ; entrer en communauté avec l'
homme
, vivre dans sa familiarité, comprendre quelques-u
s, égaux entre eux depuis le commencement des âges historiques (1). L'
homme
seul, dans la création, a dépassé cette barrière,
'il grandit aussi comme nation? La vie des peuples, comme la vie de l'
homme
, a son enfance, sa jeunesse et sa virilité; elle
mphe de la mort. Ce principe, quel est-il ? La raison du progrès de l'
homme
, celle du progrès social, où la chercher? Celle q
s oiseaux s'entr'aider et veni au secours les uns des autres. 13. L'
homme
est parvenu à faire partager à quelques oiseaux,
isent la plupart des bruits qu'ils entendent , et même la parole de l'
homme
. 15. Les vieux oiseaux sont plus expérimentés,
es uns pour les autres une véri table amitié. 19. L'éducation que l'
homme
donne aux oiseaux, procure à ces animaux quelques
pent le naturel des oiseaux, comme elles corrompent le caractère de l'
homme
. 21. L'analyse des phénomènes psychiques que To
que M. Tiedemann l'avait déjà établi pour les mammifères comparés à l'
homme
. J'ai mesuré le volume du cerveau et celui des ne
eau des oiseaux avec celui des mammifères, et surtout avec celui de l'
homme
. Les perroquets sont placés en tête du tableau et
ques, et de l'infériorité dans laquelle ils restent, relativement à l'
homme
, c'est sans contredit, la différence que présente
RVEUX CÉRÉBRO-spijnal des MAMMIFÈRES. Il sera ici peu question de l'
homme
, mais presque uniquement des., animaux que les na
rasistrate écrivait : Les circonvolutions sont plus nombreuses dans l'
homme
que dans les animaux, parce que l'homme l'emporte
s sont plus nombreuses dans l'homme que dans les animaux, parce que l'
homme
l'emporte sur les animaux par l'esprit et par le
des, dit-il, les circonvolutions sont en plus petit nombre que chez l'
homme
, et chez le chat, par exemple, elles ont une form
cérébrales du singe, dit qu'elles sont assez semblables à celles de l'
homme
, mais (i) De tisupartium, lib. S, rhap. l'i. (i
semblables dans tous les individus du même genre; tandis que, dans l'
homme
, il assure qu'elles ne sont ni symétriques des de
r, avait cependant assimilé le cerveau de l'orang-outang à celui de l'
homme
, et Vicq d'Azyr l'approuvait, mais ni l'un ni l'a
e manière. Or si, comme le prétend Vicq d'Azyr « dans le cerveau de l'
homme
, les circonvolutions ne sont ni symétriques des d
es varient en effet beaucoup ou plutôt qu'elles ne présentent, chez l'
homme
, rien de constant, se retrouve dans les planches
erres (3) a publiées depuis pour les animaux, el M. Vimont (4) pour l'
homme
. Soemmering a été plus exact dans la reproducti
la reproduction de quelques-unes des circonvolutions cérébrales de l'
homme
, mais la double preuve qu'il ne les a pas connues
s singes, d'après Cuvier, ont beaucoup moins de circonvolutions que l'
homme
, et surtout les sapajous : le lobe postérieur n'e
ombreuses el profondes. » Quant aux circonvolutions du cerveau de l'
homme
, Cuvier se contente de dire qu'elles sont les plu
contraire à la rendre de plus en plus obscure. Suivant eux, « chez l'
homme
, les circonvolutions cérébrales d'un côté diffère
e entre les uns et les autres. Dans la seconde catégorie , il place l'
homme
, les cétacés, le cheval, qui les ont cependant to
(1) C'est seulement en 1829 que les circonvolutions cérébrales de l'
homme
ont été connues et décrites. L'auteur de cette dé
cérébrales ; il avait établi leur similitude et leur constance chez l'
homme
, et il n'admettait, avec raison, aucune différenc
t du nombre des circonvolutions, aucun mammifère ne se rapproche de l'
homme
. Chez les carnassiers et les ruminans, je n'ai po
u nombre et au volume des circonvolutions, l'éléphant l'emporte sur l'
homme
: c'est un fait de la dernière évidence et dont o
se sont occupés de la description des circonvolutions cérébrales de l'
homme
et des animaux, c'est à peine si j'ai eu à citer
tirer parti de la découverte de Rolando. Les figures du cerveau de l'
homme
, publiées dans le grand ouvrage de Gall, manquent
ns». C'est là tout ce que M. Vimont rapporte des circonvolutions de l'
homme
. Pour ce qui concerne les circonvolutions des a
orme du cerveau présente , en masse, assez de rapport avec celui de l'
homme
; il est composé, comme chez lui, de deux hémisph
ter, il y a quelque exactitude 5 il n'y en a plus dans les cerveaux d'
homme
et notamment dans celui qui fait le sujet de la p
semblent, en quoi elles diffèrent des circonvolutions cérébrales de l'
homme
. J'ai entrepris cette élude qui m'a fourni les ré
et l'on peut dire le plus gros de tous ceux qui existent, celui de l'
homme
(pl. xvi, xvn et suivantes), celui de la baleine,
outes les sinuosités que l'on remarque à lu surface du cerveau de l'
homme
, par exemple, ont été appelés circonvolutions. Or
ie antérieure, des ondulations dont l'aspect rappelle le cerveau de l'
homme
, et dont nous n'avons pas vu l'analogue dans les
tions de Vile qui se trouve au fond de la scissure de Sylvius, chez l'
homme
. En arrière de cette ligne, et à la dislance de 1
fférencie les mêmes cerveaux de celui de l'éléphant, du singe et de l'
homme
. Quant à l'aspect général des circonvolutions d
ant quant à ses ondulations; mais c'est avec les circonvolutions de l'
homme
qu'elles ont le plus d'analogie, ainsi que nous l
ervelet, et forme là un large épanouissement, analogue à celui dont l'
homme
el le singe sont pourvus. Enfin, la troisième div
ne qui, en arrière, ressemble à la circonvolution correspondante de l'
homme
et du singe, tandis qu'eu avant elle ressemble à
remière vue rappelle les circonvolutions de l'éléphant et celles de l'
homme
. Observées de près et dans leurs détails, ce sont
ntrent chez l'éléphant et le singe; nous la retrouverons aussi chez l'
homme
. 4 La planche xm représente la face interne du
ulations des circonvolutions, elles sont très analogues à celles de l'
homme
et à celles de la baleine. 14e groupe. Les sing
aleine; aussi sembleraient-ils, au premier abord, être plus loin de l'
homme
que ces derniers ; mais une observation quelque p
ius, font de ce cerveau comme un embryon perfectionné du cerveau de l'
homme
, tandis que le cerveau de l'éléphant et surtout c
nom de sillon de Rolando, parce que cet anaiomiste l'a décrit chez l'
homme
, où il est encore plus développé que chez le sing
qu'à un certain point, être considéré comme une ébauche de celui de l'
homme
, le cerveau du maki est une ébauche de celui du s
tails. Chez le singe un lype encore plusparfait, plusrapproché de l'
homme
, mais inachevé et rudimentaire. Dans une même f
a sienne, le maki est tout-à-fait au bas, le singe est plus haut et l'
homme
fort au-dessus du singe. Cependant il y a de gros
ar les anciens, comme résultant de la réunion de trois cavités chez l'
homme
el le singe, et de deux cavités seulement chez le
la troisième, corne postérieure. Les deux premières sont communes à l'
homme
et aux mammifères ; la troisième appartient à l'h
nt communes à l'homme et aux mammifères ; la troisième appartient à l'
homme
, aux singes, aux phoques et aux marsouins (1). La
aussi cavité digitale, cavité ancyrotde, n'a été observée que chez l'
homme
, le singe, le marsouin et le dauphin; on y voit u
s rencontrée dans les mammifères, que les frères Wenzel ont vu chez l'
homme
56 fois sur 66, et que M. Cruveilhier regarde, je
s animaux, un autre ordre de fibres que M. Cruveilhier a vues, chez l'
homme
, se diriger verticalement en bas sur la partie la
hier (1) n'a jamais pu la voir chez (i) Op. cit., t. iv, p 07b. l'
homme
, je ne l'ai pas non plus observée chez les animau
part des organes dont je viens de parler, et ceux de l'encéphale de l'
homme
que je me borne à les indiquer ici, me réservant
i dit tout-à-1'heure, de les décrire quand je parlerai de celles de l'
homme
. En procédant d'avant en arrière, on trouve à la
haliques. Les nerfs encéphaliques des mammifères ont avec ceux de l'
homme
des caractères communs si nombreux, que je crois
e et celui de l'âge mûr, chez tous les animaux, aussi bien que chez l'
homme
, et si l'on compare deux encéphales appartenant à
ion n'avait pas été entreprise. Si l'on examine, dit-il, les crânes d'
hommes
et d'animaux châtrés jeunes, la place du cervelet
se retrouvent à chacune de leurs pages, mots très expressifs pour des
hommes
prévenus, mais qui, dans la réalité, n'ont le plu
partie du cerveau qui est la même chez tous les mammifères et chez l'
homme
; ce point trouvé, j'ai mesuré également la partie
endu que chez le mouton, et l'occipital vient recouvrir, comme chez l'
homme
, l'extrémité postérieure du lobe cérébral, à laqu
rales avaient dans leur aspect général de l'analogie avec celles de l'
homme
. Slukeley l'a vu également; les ventricules, le c
de l'éléphant serait supérieur à celui du singe, et même à celui de l'
homme
, car ce qui met le cerveau de l'homme au-dessus d
du singe, et même à celui de l'homme, car ce qui met le cerveau de l'
homme
au-dessus de celui de l'éléphant, ce n'est ni le
et de l'éléphant n'est pas couché au-dessous du cerveau, comme dans l'
homme
, ces deux organes étant séparés l'un de l'autre p
meaux de l'éléphant, avec les parties correspondantes du cerveau de l'
homme
, et il signale l'ample cavité qui se trouve dans
ostérieure des ventricules latéraux, dont la présence coïncide chez l'
homme
et chez le singe avec le prolongement en arrière
aussi riche en circonvolutions que celui de l'éléphant et celui de l'
homme
; mais, ainsi que je l'ai fait remarquer, il manqu
ux en sont, toute proportion gardée, plus considérables que ceux de l'
homme
, du singe et de l'éléphant; le ver ou lobe moyen
avec celle des lobes moyens du cervelet, est aussi complet que chez l'
homme
. La plus grande largeur du cerveau de la baleine
u cervelet est de 162; c'est, absolument parlant, beaucoup plus que l'
homme
dont le cervelet n'a guère plus de 100 millimètre
posé, est de 56 millimètres. Les dimensions correspondan tes chez l'
homme
, sont pour la première d'environ 25 millimètres,
ument el comparativement, une largeur beaucoup plus grande que chez l'
homme
. Le pont de varole de la baleine m'a offert des
-tonquin pour le sanglier, le chevreuil pour le bœuf, le singe pour l'
homme
. Les nerfs olfactifs du phoque sont très petits
'aspect qu'offrent les éminences dont je parle, dans l'encéphale de l'
homme
. Il faudrait voir ce qu'elles sont chez les anima
ogie qui existe entre la moelle épinière des mammifères et celle de l'
homme
m'obligea remettre au second volume de cet ouvrag
nt des circonvolutions dont les analogues ne se retrouvent que chez l'
homme
. 9. La présence et le développement des circonv
lant assez pour l'aspect général, aux circonvolutions cérébrales de l'
homme
. 14. Les cochons et les ours, chacun dans un mo
es circonvolutions qui lui sont communes avec le singe et même avec l'
homme
. 18. Les parties intérieures du cerveau et cell
est à 0, 54. 35. Le pont de varole est aussi complet que celui de l'
homme
, chez lous les mammifères dont les lobes latéraux
des En exposant la structure du système nerveux cérébro-spinal de l'
homme
, j'aurai soin d'indiquer les différences qui se t
uer les différences qui se trouvent entre ce système considéré dans l'
homme
et dans les mammifères, et je terminerai ce que j
en prenant des leçons les uns des autres, tantôt en les recevant de l'
homme
; ce sonl ceux qui sont capables d'entendre et de
bêtes, un degré d'intelligence que nous appelons instinct, et dans l'
homme
, un degré supérieur que nous appelons raison. » (
ce ce qui distingue surtout l'intelligence des animaux de celle de l'
homme
, c'est que les animaux sont dépourvus du sens int
le développement des circonvolutions le plus rapproché de celui de l'
homme
. Entre ces deux points, j'ai coordonné les cervea
nt sa jeunesse. Généralement, il se tient près des habitations de l'
homme
et surtout dans le voisinage des fermes ; quelque
armi les chiens domestiques, ceux qui vivent peu dans la société de l'
homme
, l'ont également. Le loup n'a pas de terrier, i
Le loup chasse la nuit plus souvent que le jour ; le voisinage de l'
homme
le rend très prudent : jeune on le prend sans bea
les tigres. Dans les pays barbares, ils se sont déjà rapprochés de l'
homme
el reflètent quelques-unes de ses qualités. Les v
lement; du reste, hargneux, voleurs et incorrigibles, se jetant sur l'
homme
et sur les animaux avec la férocité du loup (2).
es et par la délicatesse des sens ; mais le besoin de la société de l'
homme
(i) Leroy, op. cit., p. (a) The voyage of gov
nde, Ann, du Musée, t. xi, p. est déjà très marqué en eux ; c'est l'
homme
qui fait leur famille, et tous les individus de l
sont rien; leur dépendance ne va pas jusqu'à les soumettre à tous les
hommes
en général, comme quelques autres races. Aussi le
e vie auquel on le soumet, et les qualités physiques ou morales que l'
homme
est parvenu à lui donner, se transmettent, jusqu'
e plus de variétés. Il est de tous les animaux le meilleur élève de l'
homme
, et souvent il en est le meilleur ami. (i) Fr,
uelle les chiens entrent en communauté d'idées et de sentimens avec l'
homme
. Ils comprennent, non-seulement les choses qui so
us savons combien les chiens comprennent avec facilité la parole de l'
homme
, et nous avons tous vu les plus intelligens d'ent
u couvent; là, ce sont d'autres chiens exercés à retirer de l'eau les
hommes
en danger de se noyer; dans les bergeries, des ch
ls pas dû leur salut au courage et au dévoûment de leur chien? Et des
hommes
qui seraient restés enfouis dans des carrières si
rnassiers; dans les maisons, ils sont les compagnons et les amis de l'
homme
. On a vu quelques exemples d'amitié entre un ch
te d'un chien pour une truie; mais ces exemples sont rares; c'est à l'
homme
que le chien s'est donné, il aime son maître plus
et du chien par la facilité avec laquelle il se laisse approcher de l'
homme
; il vit avec les animaux de son espèce, et ne cha
famille; ils ne deviennent jamais domestiques, ne s'attachent pas à l'
homme
, et si quelques-uns d'entre eux consentent à vivr
sternent devant eux, et lorsqu'ils sévissent, c'est plutôt contre les
hommes
que contre les femmes, et ils ne se jettent sur l
Blessé à la patte, et guéri par Androclès, un lion aurait reconnu cet
homme
contre lequel on voulait l'exciter à combattre, e
ar». 16. atteint d'un abcès à la patte, et guéri par les soins d'un
homme
qu'il aurait rencontré depuis, se serait jeté à s
t pour ajouter foi à ces histoires qu'elles fussent racontées par des
hommes
moins amis du merveilleux, que ne le sont ceux qu
onceaux. Dans les déserts où il ne peut connaître la puissance de l'
homme
, le lion ne craint pas d'attaquer une nombreuse c
ges (1), parle, d'après le physicien Démétrius, de la rencontre qu'un
homme
aurait faite d'une panthère, et du service qu'il
ucune crainte, même à la lête, et, tant qu'elles sentent la main de l'
homme
, eyes restent immobiles, comme dans une sorte d'i
in. Le chat appelé domestique n'est rien moins qu'un serviteur de l'
homme
; il a quelquefois des complaisances pour son maît
et notamment les singes. Le raton se familiarise facilement avec l'
homme
; il a toute la ruse nécessaire pour se procurer l
s des Pyrénées; mais quelque habitude que l'ours prenne d'être avec l'
homme
et de lui obéir, jamais on ne peut être rassuré s
s arbres à fruits. L'ours est très bon observateur des actions de l'
homme
, et il apprend vile à en tirer parti. Un lion enf
nt les greniers à loin ou quelque autre dépendance de la demeure de l'
homme
, cependant le putois est loin d'être un animal do
un petit papier contenant de la viande qu'elle mangea. On a dit de l'
homme
qu'il est une intelligence servie par des organes
our la chasse, c'est le plus petit nombre, et ceux-là trouvent dans l'
homme
un ennemi qui les combat presque toujours avec av
en diffèrent par les habitudes, en ce qu'ils sont les parasites de l'
homme
dans l'habitation duquel ils se lo gent, et où
rat, peut-être parce qu'elle est plus faible, a pour ennemi, outre l'
homme
et le chat, tous les oiseaux nocturnes et la foui
xercices qui ont lieu de surprendre dans un animai aussi éloigné de l'
homme
par son organisation. (i) Parenl-Duchâtelet , M
mbour et sauter en cadence. On ne saurait dire qu'ils s'attachent à l'
homme
, car si, aidés du peu d'intelligence dont ils son
toute nécessité qu'une intelligence y préside. Dans les actions de l'
homme
, le premier mobile n'est souvent pas autre chose
ipe, cette action ait eu une cause aveugle. Ne croyons pas élever l'
homme
en niant que les animaux aient de l'intelligence
ur a assignée, nos systèmes n'y changeront rien. Ce qui importe à l'
homme
, ce n'est pas d'arranger les créatures d'après l'
dans l'état de nature, ils seraient obligés de chercher eux-mêmes, l'
homme
a presque aboli leurs facultés psychiques. Fr.
es ruminans et les solipèdes , il est des animaux qui s'attachent à l'
homme
, ou au moins qui lui obéissent. On les réduit pa
la castration, et, une fois habitués à vivre dans la dépendance de l'
homme
, ils donnent naissance à des petits qui deviennen
our y parvenir. Le degré d'intelligence de ceux qui sont soumis à l'
homme
dépend souvent de la manière dont on les traite ,
sprit entre le collier et l'appât. La chèvre, quoique vivant avec l'
homme
, ne se dégrade pas comme le mouton ; elle conser
it par suite d'une inclina-lion naturelle que la chèvre s'attache à l'
homme
, car même dans les pays inhabités, elle ne devien
familiers, niais ils s'habituent assez facilement à la présence de l'
homme
. ce Ils diffèrent des cerfs principalement en c
des animaux de toutes les classes, une perfection dont l'odorat de l'
homme
n'approche jamais. Leroy (1) fait remarquer que
docile, et qui, dans certains pays, en Laponie, par exemple, rend à l'
homme
des services journaliers. Ils sont très doux; en
u'élèvent les Hot-lentots. L'espèce entière du chameau appartient à l'
homme
, elle est esclave, et dégénère par l'effet des m
s et des privations qu'elle endure, Périra-t-elle? ce serait pour 1
homme
un malheur , mais un malheur mérité, L'onagga, le
n troupes nombreuses et ne s'apprivoisent jamais qu'imparfaitement. L'
homme
en peut retirer quelques services; mais il ne peu
s de l'Asie; l'histoire et la tradition nous le montrent assujéti à l'
homme
, depuis un temps immémorial. C'est un animal tran
des chevaux semblent dirigés par la musique et combinés avec ceux des
hommes
qui les montent, à tel point que l'homme et le ch
e et combinés avec ceux des hommes qui les montent, à tel point que l'
homme
et le cheval ne forment qu'un, qu'au moment où l'
el point que l'homme et le cheval ne forment qu'un, qu'au moment où l'
homme
se sépare du cheval, soit pour s'élancer en l'air
domestique, et, chose bien singulière! c'est précisément celui dont l'
homme
a pris soin. Le contraire a lieu le plus ordinair
ntraire a lieu le plus ordinairement, le voisinage et le contact de l'
homme
donneut aux animaux une activité intellectuelle q
en le revoyant, se montrait avide de caresses. Docile à la voix de l'
homme
, il savait se faire obéir de ceux dont il se rec
s ; enfin ils sont éducables et sont susceptibles de concevoir pour l'
homme
et pour les chiens, une véritable affection. Fr.
étant de tous les animaux sauvages, celui qui s'habitue le mieux à l'
homme
(i) Observations zoologiques sur les facultés p
se laisser apprivoiser, mais rechercher d'eux-mêmes la compagnie de l'
homme
et témoigner pour lui un vif attachement. Les l
, ch, 7«, raisonnable, el ils donnent le même nom au singe et à l'
homme
. Buffon dit que l'éléphant approche de l'homme au
me nom au singe et à l'homme. Buffon dit que l'éléphant approche de l'
homme
autant que la matière peut approcher de l'esprit,
n vengeait quand il en trouvait l'occasion. Ayant été trompé par un
homme
qui avait fait semblant de lui jeter quelque chos
ait fait semblant de lui jeter quelque chose à manger, il donna à cet
homme
un coup de sa trompe qui le renversa, et le bless
ence, l'éléphant qui a le sentiment de sa force et qui sait combien l'
homme
lui est inférieur à cet égard, n'obéirait pas à l
e rapport, je le présume du moins, il en est de l'éléphant comme de l'
homme
: l'aptitude varie suivant les individus. Les élé
l'on ne peut s'empêcher d'admettre que des animaux qui comprennent l'
homme
si facilement et si bien, aient les uns à l'égard
rapport»! (ij 11 fout bien remarquer que les facultés données par l'
homme
â l'éléphant, ne se transmettent pas, chez cet an
sse et promptitude quand ils sont poursuivis de près, se moquant de l'
homme
et lui lançant des excrémens au visage s'ils se s
les et très étendues. Le gardien de ces animaux, le sieur Daboncourt,
homme
intelligent et qui s'acquitte de son emploi avec
le ventre. Celte position leur donnant quelque ressemblance avec un
homme
qui lient les bras en croix, a fait dire à certai
'orang-outang dont quelques naturalistes ont presque fait l'égal de l'
homme
. La plupart des singes sont assez doux pendant
e sévérité. Comme ils jugent en général assez bien de la mimique de l'
homme
, s'ils voient que le gardien s'amuse de leurs esp
ges reconnaissent les femmes habillées, et sachent les distinguer des
hommes
; ils sont également lubriques en présence des uns
fermé dans sa cage ; tout châtiment lui était inconnu, et le ton d'un
homme
qui gronde et qui tient un bâton à la main ne pou
cheval et surtout le chien sont naturellement portés à s'attacher à l'
homme
et lui obéir. 3. Ils ont les uns et les autres,
en; ils ne vivent ni en troupe, ni en famille; ils ne s'attachent à l'
homme
que par égoïsme, et sans avoir jamais rien qui re
and ils sont jeunes que quand ils sont vieux. 25. Le voisinage de l'
homme
développe chez presque tous les animaux l'étend
chez les singes que chez les autres animaux. 28. Les qualités que l'
homme
a développées chez plusieurs animaux ou l'abrutis
s ont probablement des chefs; quand ils approchent de la demeure de l'
homme
, ils placent des sentinelles qui les avertissent
du danger. 33. Parmi les mammifères, il y en a qui s'habituent à l'
homme
, qui l'aiment et qui lui obéissent : il y en a d'
t les parens sont à craindre. 37. Le chien, élevé et instruit par l'
homme
, est le plus in-« lelligenl de tous les animaux :
le un organe pour chaque faculté, et que ce les facultés communes à l'
homme
et aux brutes ont leur siège dans les parties inf
t inférieures-antérieures du cerveau, tandis que les facultés, dont l'
homme
jouit exclusivement, ont leur siège au-dessous de
s les animaux ont la partie correspondante aux bosses pariétales de l'
homme
, plus élargie que la région frontale; la fouine n
'appui de ses idées. Le front du singe est plus étroit que celui de l'
homme
, le front du loup plus étroit que celui du singe,
s de celte classe d'animaux sont beaucoup moins larges que celui de l'
homme
, dans la région oûTorgane de la musique a son siè
dèle, que sur la planche qui doit représenter la base du cerveau de l'
homme
(3), il a, servile imitateur du burin de Gall, ré
ties cérébrales qui ne se rencontrent que chez les carnassiers et les
hommes
portés au meurtre, coïncident avec le penchant à
oit également rapporter au même organe, des actions analogues, chez l'
homme
. Or, les bûcherons, les jardiniers, les faucheurs
ation ; M. Dumoutier en a indiqué le siège précis sur le cerveau de l'
homme
; on le trouve sur une portion de circonvolution
arfaite avec l'organe de la vénération que l'on voit sur le cerveau d'
homme
, modelé par M. Dumoutier. J'ai opposé ce fait aux
animaux, le chien se fait remarquer par la vénération qu'il porte à l'
homme
, cet animal distingue parfaitement dans la maison
s faits, qu'elle est puisée dans l'anatomie comparée, il dit : ce L'
homme
est le seul qui ait un front développé, il est au
s déductions, il a fait représenter sur une même planche la tête de l'
homme
, celle du singe, du lion, de l'autruche, de la
iétal et à l'occipital, est regardé comme beaucoup plus étendu chez l'
homme
que chez les animaux: cet os diminu assure-t-on,
'occipital qui recouvre l'extrémité postérieure du lobe cérébral de l'
homme
et du singe, je concluerais, si je raisonnais com
rons dans le volume suivant, le singe serait aussi bien partagé que l'
homme
, et même quelquefois l'emporterait sur lui. Qua
convolutions les plus nombreuses et le plus approchant de celles de l'
homme
. La loi que nous cherchons , la trouverons-nous i
, sinueuses qui, au premier aspect, ressemblent le plus à celles de l'
homme
; elles appartiennent à tous les solipèdes et à t
caniche et des autres chiens qui vivent le plus en familiarité avec l'
homme
, ont encore le même type, mais on y rencontre que
fait analogue : le chevreuil vit en famille et non pas en troupe, l'
homme
n'en obtient aucune obéissance, aucun service, c'
animal sauvage; la chèvre au contraire s'apprivoise et s'attache à l'
homme
; elle vit dans la société des autres chèvres. Eh
de tous celui dont les ondulations ressemblent le plus à celles de l'
homme
, nous trouverons après l'éléphant, l'orang-outang
st l'animal qui a le plus de circonvolutions; il en a même plus que l'
homme
; mais, comme, relativement au volume du corps, le
au volume du corps, le cerveau du dauphin est moindre que celui de l'
homme
de la moitié environ ( t) Anatomie des systèmes
ins nombreuses ni moins profondes que dans les singes, et même dans l'
homme
. « 3° Les ouistitis, qui n'ont guère plus de ci
quelque sorte, le cerveau de trois espèces d'animaux, au cerveau de l'
homme
; cette addition coïncidant avec un degré supérieu
ù fau-dra-t-il placer leurs facultés nouvelles? Le genre de vie que l'
homme
fait suivre au chien modifie en même temps l'état
loutre, il est comparativement presque aussi développé que celui de l'
homme
. Le nombre des lamelles du cervelet n'est pas en
s, poursuivons notre étude : un grand problème nous reste, celui de l'
homme
. L'homme résume tous les animaux, il est au-dessu
ivons notre étude : un grand problème nous reste, celui de l'homme. L'
homme
résume tous les animaux, il est au-dessus d'eux,
une autre vie, la synthèse de sa vie. Apprenons donc à connaître l'
homme
; cherchons si, dans son organisation, se trouve l
l jouit; et jetant ensuite nos regards en arrière, nous comparerons l'
homme
aux animaux et les animaux entre eux, afin de sav
de quelques-uns des siens. Ce ne sont jamais 1 masses, mais quelques
hommes
de cœur seulement qui 01 vrent de nouvelles route
épris d’un enthousiasme inexprimable pour une science qui permet à l’
homme
de produire, parfois, avec si peu d’ef- i forts,
romains et au moyen-âge. Aujourd’hui encore , dans nos campagnes, des
hommes
simples , appelés toucheurs , qui n’ont pas la mo
gitation politique, r«ligieuse et sociale, où la partie animique de l’
homme
ap parut dans toute sa force, tendant à s’épanche
ts : puisse mon exemple entraîner dans cette voie de charité tous les
hommes
de bien I MENOUILLARD , Membre de la Société
oyons fermement que les maladies de l’âme tuent les cinq sixièmes des
hommes
. Par le magnétisme, par cette puissance mystérieu
ombien le magnétisme nous apparaît faible et languissant ! Bien peu d’
hommes
alors étaient initiés à cette science sublime don
uva bientôt assez considérable pour commander l’attention de tous les
hommes
jaloux de suivre les progrès de la science. Il se
es communications avec les esprits ultramondains à l’aide de certains
hommes
appelés médium. Cette doctrine, dont l’invasion e
oi-même, 011 est entré dans un monde nouveau , 011 a vu surgir chez l’
homme
des facultés étranges , et dont on ne soupçonnait
démies. il a pénétré partout, il n’est plus permis de l’ignorer, tout
homme
instruit doit en posséder au moins quelques notio
t fermé les yeux à la lumière ; mais aussi reconnaissons que bien des
hommes
de très-bonne foi ont dû être arrêtés par les dif
ience, puisque mille accidents imprévus peuvent la faire échouer. Les
hommes
ne sont lias tous aptes à recevoir l’action magné
ssion sur les spectateurs. Il sera toujours possible de convaincre un
homme
de bonne foi qui, sans parti pris, cherchera à s’
ec des instruments imparfaits. 3» Il n’existe aucune loi connue des
hommes
, par laquelle on puisse produire sur des objets p
e spirituelle, attendu que tous les moyens de connaître à l’usage des
hommes
ont été reconnus impuissants pour rendre raison d
u a répondu que les esprits n’étaient pas les instruments dociles des
hommes
, et que nous ne pouvions nous en faire obéir à no
s qu’elles ont lieu par des instruments matériels. On a répondu que l’
homme
ne connaît rien des esprits revêtus d’une forme t
eau CArctic. On a répondu que les esprits avertissent quelquefois les
hommes
des catastrophes qui doivent arriver. L’incendie
on des paroles attribuées au Christ ressuscité et ses apparitions aux
hommes
prouvent qu’il était revêtu de chair et d’os. Dan
vêtu de chair et d’os. Dans cet état, il a fait un appel aux sens des
hommes
et les a engagés à croire à l’immortalité, lui-mê
s de cette science, devant les préjugés et les passions mauvaises des
hommes
. Les savants poursuivaient de leurs sarcasmes ceu
Nos savants sont donc dans une grande erreur lorsqu'ils signalent ces
hommes
d’un autre âge comme des charlatans ou des impost
. Des écoliers, ameutés par de savants professeurs, précipitèrent cet
homme
par les fenêtres de sa maison , le dépecèrent et
Dieu a donc bien fait ce qu’il fit. Il était prévoyant ! Quand les
hommes
auront affiné leurs sens, ils verront les âmes ai
t sorti d’un cerveau d’illuminé. Pourtant il n’en est point ainsi : l’
homme
porte en lui le principe nécessaire à sa conserva
ents lobes du cerveau sont le siège des passions et des facultés de l’
homme
, que le développement de certains lobes est toujo
équivoques, plus faites pour amuser les oisifs que pour convaincre l’
homme
avide de s’instruire ; qu’ils séparent l’ivraie d
la nature vivante, et surtout à montrer qu’ils ne connaissent point l’
homme
, et que, dès lors, l’art de guérir leur est incon
gissent toujours comme s’ils en savaient plus que la nature. Quand un
homme
s’est décrotté, lavé, lorsqu’il a fait sa barbe,
te avec méliance , et qui, d’un jour à l’autre, ne valut plus rien. L’
homme
, habillé par l’art, a de la ouate dans ses habit
sans cervelle. La misère morale et l’orgueil sont des deux côtés. L’
homme
que la nature a doté d’un gros bon sens doit
folie de tous, c’est qu’ils ont chacun un système pour gouverner les
hommes
, les guérir et les préserver, et cela sans consul
le un agent secret qui lui troublera la cervelle pour apprendre à cet
homme
, qui a nié effrontément le magnétisme, que l’on p
vine est aujourd’hui proscrite par les académies. Récompense donc aux
hommes
de pharmacie et d’académie, et laissons subsister
la vérité régnera sur le monde. Ne voyez-vous pas déjà chez tous les
hommes
une tourmente d’un bon augure, car ce qu’ils ont
ain numéro.) en tondra. Une épée traverse, transperce le corps d’un
homme
. Une idée est plus aiguë que la pointe la plus ac
pt, mais ce qui purifie, et la preuve de cette douce croyance : que l'
homme
ne péril point tout entier, qu’il se survit et va
olas). Il y a environ quarante jours que j’ai eu connaissance que cet
homme
guérissait toujours. La quatrième de mes enfants
toujours. La quatrième de mes enfants tombait dans des accès que nul
homme
ne pouvait contenir : tout cela venait de frayeur
que nul homme ne pouvait contenir : tout cela venait de frayeur. Nul
homme
ne peut dépeindre ces malheurs, s’il ne les a vus
s ma surprise, lorsque, rentrant chez moi le soir, j’aperçois un gros
homme
qui, d’un seul signe devant la poitrine de l’enfa
états morbides, les mêmes procédés curatifs. Et pourtant, chez chaque
homme
, en raison de son idiosyncrasie et de circonstanc
les maux de l’humanité? Ce sera l’instinct, guide des animaux et de l’
homme
primitif, et dont les lumières se trouvent encore
ur au somnambule , et ceux qui le connaissent, savent qu’il n’est pas
homme
à se contenter d’un rôle accessoire ; appelé peut
le. Il est difficile de se contenter de si peu : par le contact, deux
hommes
se transmettent un fluide, la chaleur ; mais ils
’au mercredi des Cendres, son tombeau, il est en ce moment à Paris un
homme
qui a le privilège d’exciter une attention sérieu
erie, et qui s’appellent Robert Houdin ou Hamilton. Jl. Hume est un
homme
du monde, jouissant d’une position indépendante,
le des séances. Il a constamment refusé. C’est encore un très-jeune
homme
. Il appartient par sa mère à la terre classique d
cier. Voilà, je l’espère, des renseignements positifs. M. Hume est un
homme
de vingt-cinq à vingt-six ans, très-maigre, avec
ent, en sortant des séances de M. Hume, la conviction que ce diable d’
homme
a dû signer dans quelque forêt mystérieuse un pac
prend autant qu’elle nous afflige. Maintenant les appréciations des
hommes
qui, comme le collaborateur du Siècle, nient
lu en être témoin ; ils out convaincu une foule d’esprits éclairés, d'
hommes
sérieux, comme le respectable Carré de Montge-ron
est possible que tant d’outrecuidance puisse s’allier chez un pareil
homme
à tant de légèreté. Mais, disions-nous, Voltair
trations incessantes, irréfragables et ouvertement concluantes de cet
homme
honnête, simple et désintéressé qui s’appelle le
de l’immortalité de l’âme, malgré les dénégations, les railleries des
hommes
qui tranchent sur toutes les questions sans l
pression singulière sur les genoux ou sur les mains des dames et des
hommes
. « Une dame, la comtesse de L..., demande que l
pression singulière sur les genoux ou sur les mains des dames et des
hommes
; — 2° que l’esprit d’une personne morte depuis l
comme dans la soirée dont parle le collaborateur de l'Estafette, des
hommes
légers, railleurs, qui arrivent avec l’intention
n fut ainsi pour une foule d'autres, quand survint à la même place un
homme
qui, jusque-là, avait contesté l’existence du mag
ait contesté l’existence du magnétisme, de la lucidité somnambulique,
homme
à volonté forte, énergique, au caractère hautain
sa volonté agissait sur moi. » Questionné plus tard à ce sujet, notre
homme
finit par faire un aveu conforme au dire de la so
erait chercher à la résoudre; je me dirais : Tout ne finit pas pour l’
homme
avec la vie, tout rentre dans l'ordre à la mort.
apparitions surnaturelles qui ont ému les peuples et convaincu tant d'
hommes
de bonne foi. Ces hommes n’ont pas tous été, qu’o
qui ont ému les peuples et convaincu tant d'hommes de bonne foi. Ces
hommes
n’ont pas tous été, qu’on le croie bien, ce que n
précision manque quelquefois ; mais on peut—il être autrement? L’
homme
est-il o.ganisé pour s’élever si haut, et l’éclai
royons pas exagérés. La sixième est un choix d’horoscopes de grands
hommes
. La septième traite de la géomancie qui, selon
consul tant Abiathar, par le ai oy an de l’éphod, pour savoir si les
hommes
de Ceïla le livreront à Saül. Les commentateurs o
y démontrer la réalité de l'astrologie comme science. « Comment un
homme
ignorant de la science déclare-t-il absurdité et
u'ils étudient encore avec une persévérance infatigable? Tous les
hommes
adonnés à l’astrologie seraient-ils des gens d’un
t supporter la comparaison avec d’autres ? Et que dirait-on donc d’un
homme
tel que Claudia Ptolémée, le plus grand astrologu
eur du Te-trabilos, ou quatre livres sur l’influence des étoiles, cet
homme
, que sa science fit surnommer par les Grecs le pl
stème de philosophie céleste , par l’analyse de trente naissances des
hommes
les plus éminents de son temps. Est-il possible q
es des hommes les plus éminents de son temps. Est-il possible que des
hommes
tels que Flamstead, Galilée, lord Napier, lord Ba
ssés aller à croire à un tissu de chimères ? Non, cela n’est pas. Ces
hommes
étaient convaincus de la vérité de l’astrologie p
trer la futilité d’une telle ob- jeotîon. Cfest ainsi que, si les
hommes
étaient un pou plus familiarisés avec les questio
science à tous, au plus grand comme au plus petit, non ■seulement à l'
homme
, mais à tous les ordres inférieurs die la Créatio
un bien annoncé ou exagérer un mal. Dieu a accordé la prescience à l’
homme
, mais seulement dans de certaines limites, ei, da
ines limites, ei, dans tous les cas, suffisamment pour ses besoins. L’
homme
doit être content de ce qui lui a été accordé, et
s : Etudiez la science ; vous ne trouverez pas ses règles violées. Un
homme
dont l’horoscope montre qu’il est né pour une lon
rologie est la fatalité. Si les aslres règlent les destinées de l'
homme
, il n’est donc pas libre, ("est l’objection commu
ne tendance ; elle existe à ce titre ; mais ce n’est rien de plus : l’
homme
a reçu le pouvoir de la combattre et de la neutra
oy a fait un cours de chirognomonie (art de reconnaître le moral de l’
homme
d’après les formes de la main) ; ce cours, où le
. En 1856, il a été magnétisé au Waux-Hall 1149 personnes, dont 791
hommes
et 358 femmes ; sur ce nombre, il y a eu 871 pers
8 femmes ; sur ce nombre, il y a eu 871 personnes sensibles, dont 360
hommes
et 311 femmes. Il résulte de là que le rapport
ans acception de sexe, est des trois quarts ou 75 pour 100; celui des
hommes
sensibles est de 7 dixièmes ou de 70 pour 100 ; c
urs années. Toutefois, nous devons faire remarquer que la moyenne des
hommes
sensibles, qui a été donnée par M. Hébert à son c
mais les faits ont un caractère qu’il est impossible de mépriser. L’
homme
qui n’admet que la vue des yeux a une bien courte
te vue. Celui qui n’a point reconnu la vue de l’esprit ressemble à un
homme
qui, apercevant un livre fermé, ne cherche point
produit le bruit. L’infaillibilité est le plus grand mensonge que les
hommes
aient jamais pu adopter comme une vérité ; car la
énomènes, parfaitement constatés, ne trouventpàs parmi les savants un
homme
qui en cherche l’explication, un homme qui désire
ouventpàs parmi les savants un homme qui en cherche l’explication, un
homme
qui désire les voir et les produire ! Cela cache
ra de ces assertions, de la foi que nous avons. Ceci importe peu. Les
hommes
qui prédirent les plus grands événements ne furen
. par les faits. Quel est donc celui qui n’aurait pas traité de fou l’
homme
qui aurait annoncé, il y a un siècle, les clian-.
incontestable : tous réussissent , aucun n’est le seul nécessaire. L’
homme
de bien qui a la volonté énergique de soulager so
re un excellent guérisseur. Puységur nous atteste que son domestique,
homme
illettré, mais plein de zèle et de dévouement, op
fait magnétiser dans un but de curiosité , ne doit se confier qu’à un
homme
dont la moralité et la délicatesse lui soient bie
rettable d’une faculté qui ne devrait servir qu’à l’amélioration de l’
homme
, il s’ensuit néanmoins que les abus du magnétisme
que naturelle à l’usage de tout le monde, un'moyen universel pour les
hommes
de s’entr’aider ; quiconque a de la santé et un a
à apprécier tous les cas. Et d’ailleurs, il ne faut jamais mettre un
homme
entre son devoir et son intérêt. Dans mille circo
e. On ne s’attachera pas au titre ; car les mots ne sont rien, et les
hommes
qui obtiennent le plus de résultats n’ont pas bes
nt les malades sans diplôme, ils n’ont jamais fait poursuivre que les
hommes
bienfaisants dont les soins et les avis étaient c
sont ni plus ni moins malveillants pour les idées magnétiques que les
hommes
qui restent en dehors de ce cadre assez restreint
rement un membre de l’institut proclamer F influence mystérieuse de l’
homme
sur l’homme. Encore un qui professe nos princip
mbre de l’institut proclamer F influence mystérieuse de l’homme sur l’
homme
. Encore un qui professe nos principes. En accep
s races plus infimes, mais établir d'une façon générale l’action de l’
homme
sur l’homme par le simple rapprochement. La pre
infimes, mais établir d'une façon générale l’action de l’homme sur l’
homme
par le simple rapprochement. La première observ
e l’autre, chez des races très-diverses, cette action singulière de l’
homme
sur l’homme. C’est, du reste, un fait bien conn
hez des races très-diverses, cette action singulière de l’homme sur l’
homme
. C’est, du reste, un fait bien connu que les po
s-prononcé. Celui qui écrit ces lignes s’est occupé de l’étude de l’
homme
par les caractères de la main, et il a observé qu
ne ces locutions : — Je suis glacé d’épouvante ; — la présence de cet
homme
a glacé l’assemblée..., et autres qui. pour le pl
ns. Voici son hypothèse : Les miasmes, suivant lui, provenant des
hommes
accumulés dans un petit espace, des salaisons ran
unes sur les autres, il reste bien établi que la présence seule d’un
homme
occasionne, dans certaines circonstances, une imp
nne, dans certaines circonstances, une impression de froid à d’autres
hommes
, ce qui démontre en principe l’action d’un être s
l’on est forcé de savoir et ce qui suffit pour prendre rang parmi les
hommes
de sa caste , de sa robe ou de son métier. Pour q
'un côté attrayant, le côté merveilleux, auquel, il faut le dire, les
hommes
seront toujours un peu enclins. Ce n’est donc pas
oint, proverbe qui sera toujours vrai. Il viendra, au jour marqué, un
homme
qui fera révolution. Il apportera non l«magné
vants, faux savants, philosophes, académiciens de tout rang, tous les
hommes
enfin qui pensent ou croient penser, tous prendro
ère du soleil, effet merveilleux du temps et de la patience. Quelques
hommes
qu’on oubliera bientôt auront produit ces grands
point les grandeurs, l’élévation ne (latte que l’orgueilleux. Pour l’
homme
simple de cœur, les dignités de- mandent d’ex
andent d’excessives qualités. Ah ! si le clergé avait beaucoup de ces
hommes
divins, de ces génies bienfaisants, les liens des
t. Puissent-ils entendre ma voix et sauver d’une ruine certaine des
hommes
imprudents qui, par de faux calculs ou par ignora
droit. uDepuis cette condamnation, ils ont demandé le concours d’un
homme
de l’art. Divers médecins ont successivement assi
lvenda, auteur d’un commentaire sur la Bible, vit une nuit en rêve un
homme
qui, plaçant une main sur sa joue, lui annonç
le que l’authenticité de cette histoire repose sur le témoignage d’un
homme
éminent qui était trop ami de la vérité pour avoi
fait voir quels immenses résultats ont été obtenus par le génie de l’
homme
; il exalte le rôle magnifique qn’a joué la scienc
de reconnaître la réalité de cet agent merveilleux à l’aide duquel l’
homme
peut exercer une influence pliis ou moins considé
t-ce que l’impossible ? C’est ce qui n’est pas. La réalité est pour l’
homme
la seule mesure de la possibilité. Ne pouvant sav
rdinaires ; lorsque les Parisiens virent, le 2/i novembre 1783 , deux
hommes
s’élever dans les airs dans un globe de feu, ils
ne pouvait sauver, le salut a été dû à l’influence mystérieuse que l’
homme
possède, qui se manifeste sous l’empire de fo
ens différents, tout cela ne pourrait se concilier avec l’action d’un
homme
à la voix duquel l’ordre naturel serait intervert
humain. On voit là, au contraire, la mise en œuvre des facultés d# l’
homme
qui n’atteint son but qu’après une lutte opiniâtr
es guérisons qui, bien qu’é-tonnantes, ont été dues à l'action dont l’
homme
dispose : ces exemples, qui seraient stériles pou
e. Comment! va-t-on m’objecter, mais ce sont les plus instruits des
hommes
qui ont donné l’exemple des dénégations, ce sont
ensonge aussi bien clicz les savants que eboz les dévots, j’ai vu des
hommes
qui passaient pour avoir un jugement sain, une gr
’âme humaine, et c’est justement parce qu'il est pure essence que les
hommes
de science l’ont rejeté de leur sanctuaire comme
ignorants ou des fanatiques, )es magnétistes ont fait rire nos grands
hommes
, parce que ceux-ci pensaient qu’à notre tour nous
s terrains donne aux mêmes fruits des qualités différentes. C’est aux
hommes
nouveaux qu’il appartiendra bientôt de les distin
lons-nous que toujours la science fut considérée comme un mal par les
hommes
chargés de nous enseigner la morale, et enfin 11’
de vie dans le cœur, je vous rendrai cet hommage. Plût à Dieu que les
hommes
fussent tous aussi sensibles à votre voix que je
décembre 1857, je me trouvais avoir un cheval malade. Je fis venir un
homme
assez habile pourreconnaître et traiter la maladi
et tous les symptômes de la maladie annonçaient une mort prochaine. L’
homme
dont je vous ni parlé ci-dessus finit par me
éances. Craignant le ridicule, jè ne voulais pas trop me déc'arer à l’
homme
qui était avec moi. J’aurais désiré qu’il sortit,
re sortir le mal par derrière. J’étais heureusement bien tombé, car l’
homme
avec qui j’étais avait aussi eu quelques notions
Turin , qui nous en a donné connaissance ; car, avec ce mystère, les
hommes
bons et généreux pourront guérir beaucoup de maux
lacière, n. 8. VARIETES. ZOOMAGNETISME. On sait que plusieurs
hommes
ont exercé l’action magnétique sur des animaux et
tes qui avaient déployé une très-grande puissance en agissant sur des
hommes
, n’ont pu rien produire sur des animaux. Il est i
, de magnétiser les animaux; mais il vient ici, de temps en temps, un
homme
qui n’a besoin ni de gestes, ni d’efforts quelcon
arreaux rie leurs cages et recherchent avec avidité un regard rie cet
homme
pour lequel ils paraissent éprouver une vive affe
pourrait être et quel sera très-certainement un jour le pouvoir de l’
homme
sur les animaux delà création. En attendant, tout
M. Bonnemère a fait pressentir à ses lecteurs une grande vérité. L’
homme
est le roi de la création terrestre, et son empir
n que, dans le paradis terrestre, tous les animaux étaient soumis à l’
homme
, et plusieurs prophéties, notamment celle d’Isaïe
t voir dans ces mythes l’écho d’un sentiment instinctif qui avertit l’
homme
des prérogatives que doit lui conférer sa nature
s féroces, par la facilité avec laquelle ils se soumettent à certains
hommes
, font voir suffisamment qu’ils sont susceptibles
e ranger sous notre sceptre. S’ils ne s’attachent ainsi qu’à quelques
hommes
, c’est que sans doute ils reconnaissent chez eux
i journellement on voit, dans un groupe nombreux, un chien choisir un
homme
qu'il ne connaît pas, lui faire des caresses et d
u’il a reconnu chez lui une nature aimante. Souvent, au contraire, un
homme
dur, au cœur sec, à la conscience peu nette, quoi
ons rêves et qui pourraient bien être un état lucide de l’à ne dont l’
homme
, dans son ignorance, n’aurait pu encore se rendre
érieur, entre les morts et les vivants, à consoler et perfectionner l’
homme
en lui donnant une connaissance de plus en plus é
écuter mille tours incroyables. Malheureusement il fait son métier en
homme
habile, et il ne se prodigue pas; il ne joue pas
evant moi, je ne dirai pas seulement que rien n’est plus réel que cet
homme
, j'ajouterai que sa puissance ou son habileté son
cateur d’esprits frappeurs, si à la mode en ce moment. M. Hume est un
homme
de taille moyenne, ni gras ni maigre, ni brun ni
uliers et portant favoris et moustaches, vêtu comme tout le monde, un
homme
, une individualité comme il s’en rencontre dans t
le jour et où commence la nuit ? Et cependant il ne se trouve pas un
homme
assez borné pour en conclure qu'on ne puisse pas
t que ces pratiques sont autant de superstitions qui tendent à lier l’
homme
au démon par les chaînes d’un commerce et d’une s
providentiel ? Des esprits se manifestant par cet ordre même ? ou des
hommes
intéressés à détourner la science que Dieu veut r
raire, à l’insinuer pour ainsi dire goutte à goutte dans le cœur de l’
homme
matériel des premiers temps ; elles ne sauraient
n le nomme le magnétisme. Son culte est une œuvre d’amour, Pour L’
homme
habile à le comprendre; De l'adepte il veut, sa
que, c’est qu'alors il ne le fait qu’en engageant sa responsabilité d’
homme
de l’art, qui se trouve directement et principale
ses circonstances impliquent nécessairement la complicité légale de l’
homme
qui a ainsi prêté son concours. » Sur l’appel d
ivilège, mais sous la garantie de sa responsabilité personnelle comme
homme
de l’art, ait prescrit des médicaments et signé d
’est le somnambule qui se sert du médecin comme d’un prête-nom , d’un
homme
de paille. Le médecin ne peut plus alléguer son d
ien donner, et le pauvre est mal venu lorsqu'il adresse sa prière à l'
homme
dont la bourse est vide. Je pourrais étendre bi
ine la plus sublime, la plus consolante qui ait jamais été donnée à l'
homme
. « Deux de nos sociétaires se sont développés c
i sera en notre pouvoir. Ma fille me dit alors : « Mon père, iLy a un
homme
qui me soutient la tête. » Je lui dis de ne r
usique ; elle est renversée et adhère si fortement au plancher, qu’un
homme
a bien de la peine à la soulever ; elle est retou
squ’aux bruits les plus intenses, semblables à ceux que produirait un
homme
en frappant fortement sur la table. On entend ces
essayai aussi mon pouvoir magnétique sur le régisseur de notre terre,
homme
d’une grande taille, mais dont le système nerveux
ôt cette fille, naturellement très-tranquille, s’élance et frappe cet
homme
; je la calme aussitôt, et elle se confond en excu
, de temps en temps, de l’encens et de la poudre d’aloës. Cinq ou six
hommes
, vêtus de bournous, se penchèrent au-dessus du fo
sur le cerveau et à produire l’exaltation. « Tout à coup, l’un de ces
hommes
se redressa brusquement en poussant des cris gutt
te, se prit à sautiller d’un mouvement rapide, semblable à celui d’un
homme
qui court sous lui-même en hiver, afin de se réch
us avait pu vérifier son état ; cependant, après l’exercice, les deux
hommes
montrèrent leurs pieds et leur ventre qui n'étaie
’une lumière à l’autre, renversant sa tête pour se montrer mieux. Cet
homme
était hideux ! « Et tous les coréligionnaires,
omme s’il s’agissait de tours d’adresse bien exécutés. Toutefois , en
homme
de bonne foi, qui cherche sincèrement à. s’éclair
tes, telles que moiteur, etc., le l'eu ne brûle pas ; que la peau des
hommes
du midi, et surtout des nègres, est de beaucoup p
tout des nègres, est de beaucoup plus poreuse et suante que celle des
hommes
du nord ; que, dans 1 Amérique du Sud, cent fois
ération puisse s’exécuter comme une partie de plaisir, c est qu aucun
homme
dans l'état ordinaire puisse en faire un jeu habi
s prêts à braver tous les dangers et à endurer toutes les tortures. L’
homme
arrive ainsi artificiellement à un état d’exaltat
aussi bien chez le sauvage que chez le civilisé, a toujours averti l’
homme
qu’au-delà de la chair et du tombeau, il y avait
s, comme disait Jésus. La science ancienne va revivre et forcer les
hommes
du sacerdoce à en savoir quelque chose, mais chaq
forcer les hommes du sacerdoce à en savoir quelque chose, mais chaque
homme
aussi voudra connaître, ou du moins en rudiment,
du moins en rudiment, la science des anciens temples. Aujourd’hui, un
homme
salarie un autre homme aussi ignorant que lui pou
a science des anciens temples. Aujourd’hui, un homme salarie un autre
homme
aussi ignorant que lui pour le soin de sa santé.
ssi ignorant que lui pour le soin de sa santé. Il entretient d’autres
hommes
pour le salut de son âme, parce qu’il leur suppos
irez pas plus loin, elle a bien pu rompre les liens qui attachaient l'
homme
à la terre, et permettre îi son âme de prendre un
à la terre, et permettre îi son âme de prendre un peu son essor. L’
homme
, pendant longtemps, n’eut pas le sentiment de la
assions nouvelles naîtront des faits dont Dieu permet l’éclosion. Les
hommes
méchants et habiles se lèveront et chercheront à
anatisme semble avoir fait son temps. Jésus a dit qu’un jour tous les
hommes
seraient voyants. N’ayons donc nul souci de l’ave
miner mon sentiment. Revenons à, notre thème des esprits. Lorsqu'un
homme
approche de vous, vous voyez une masse charnue s’
vant les mêmes académiciens, soit dans toute autre réunion composée d’
hommes
marquants et capables de bien observer. Quand on
ntrerait pas les mêmes obstacles que quand il s’agit de l’action de l’
homme
sur l’homme. En effet, quand on agit sur des être
les mêmes obstacles que quand il s’agit de l’action de l’homme sur l’
homme
. En effet, quand on agit sur des êtres humains, l
orité. Je ne repousse pas l'action matérielle, puisque j’admets que l’
homme
étant corps et esprit agit sur le corps à l’aide
s, puisqu’il les résume toutes, existe une série ; non interrompue. L’
homme
est le chaînon qui unit les intelligences unies à
prêter à rire aux sceptiques, mais il fera mûrement réfléchir les
hommes
sérieux, s’il ne fait pas avancer rapidement la s
es précédentes, marquera dans nos annales par l’adjonction nouvelle d’
hommes
intelligents et dévoués. Les vastes salons de L
vous ne savez pas même où repose sa cendre, et c’est un étranger, un
homme
de la généreuse nation française, qui vient vous
. » Oui, chers collègues, j’ai tenu ce langage devant une réunion d’
hommes
où se trouvaient représentées la richesse et l’in
ent j’ai procédé pour vaincre les doutes, et amener au magnétisme les
hommes
de bonne foi. J’ai ainsi payé ma dette à la mém
lace parfois les plus fermes courages, il n’ôte rien à la pensée de l’
homme
de foi. La force peut disparaître, niais l’idée r
ue le diable, en devenant vieux, se ferait ermite, c’est-àjdire saint
homme
. Cet adage populaire n’était que l’éch«de la doct
nous n’ayons pas le désir de les voir continuer à la combattre. Un
homme
, grand par le cœur et par l’intelligence, un inve
ter ou anéantir ce qui se place entre eux et l’objet de leur désir. L’
homme
, l’être doué de raison, a, seul, l’instinct inné
une organisation en accord avec ses instincts. L’instinct propre de l’
homme
— le roi de la création — c’est le progrès, et
, 1 organe spécial qu’il a reçu pour accomplir sa mission. Mais que l’
homme
se rappelle que beaucoup d’animaux lui sont supér
ables dans le combat, mais toujours prêts à excuser l’aveuglement des
hommes
de bonne foi. Il ne peut être que passager. Que
toujours par avoir peur de l’inconnu. L’intelligence a été donnée à l’
homme
pour vaincre les obstacles s’opposant à sa volont
nyme d’honnête homme ; et, remarquez-le, Messieurs, c’est parce que l’
homme
qui a porté ce drapeau du magnétisme est l’incarn
, dans la Galice, la Catalogne et autres contrées, il y a beaucoup d’
hommes
éminents qui se sont voués à l’étude des vérités
: Au progrès des temps l'heure sonne Où chacun doit s’interroger. L'
homme
, ce sublime problème, Ce fils du ciel, qu'il a
Ministre aveugle, obscur symbole De l’Étre qui sait tout donner; L’
homme
a créé sa fausse idole (2) ; A l’homme de la dé
Étre qui sait tout donner; L’homme a créé sa fausse idole (2) ; A l’
homme
de la détrôner. Dieu seul est maître, etc. (1
évidente que le magnétisme peut devenir l’œuvre du bien et porter les
hommes
à la vertu. Des médailles de bronze ont été déc
e au rire moqueur, Ouvrant des luttes acharnées, Voulait briser l’
homme
de cœur I Les graines du savoir ancées En vain on
'admirons tous à la foisl Le voilà, elc. A MESMER. Gloire à cet
homme
de génie, A l’art, Seigneur, qu'il tint de vous
ple, M. Thurin, de Meaux. « Je m’empresse donc de rendre à ces deux
hommes
de bien, ainsi qu’à l’art bienfaisant qu’ils prof
nant de bonne source, des rapports três-circonstanciés, faits par des
hommes
de mérite et qui ont vu, de leurs propres yeux vu
urcillais-je pas trop devant cette dé-claration de Broussais : « Tout
homme
complètement orga-« nisé a le sentiment d’une cau
'avais autrefois essaye sur ce sujet, confessera mieux mes idées. L'
homme
, être faible, audacieux génio. Impatient de sa
urs de ce chef-d'œuvre immense Qui nous confond par sa sublimité, L'
homme
n’est pas la lettre qui commence, Kl moins cnco
evons point de frayeur. L’ignorant seul s’épouvante. A. En créant l’
homme
le roi du monde qu’il habite , Dieu l’a doué de c
sphère d'activité » tant visible que transitoirement invisible. Et l’
homme
, comme je le désigne, c’est toute la sphère d’act
petite création (celle de Ta Toute-Puissance et celle du pouvoir de l’
homme
) ; hiéroglyphes qu’il encadra d’un serpent (-1) e
utées surnaturelles, qui ont lieu en Chine. Il serait à désirer qu’un
homme
, exempt de préjugés, se livrât, dans l’intérêt de
la vie. Une étincelle de ce feu universel et divin ; voilà l’âme de l’
homme
. (1) C'est par suite d'une erreur typoliraphiqu
expire presque toute vie avec tout mouvement (1). « Qu’est-ce que l’
homme
? Une organisation qu’anime une étincelle du feu
ause des actions que Dieu leur donne à dispenser. « La volonté de l’
homme
opère au monde ; elle peut atteindre le bien et s
la personnification du sacerdoce égyptieü, et non l'ouvrage d’un seul
homme
. On en dit autant des œuvresd’Homère et d'Hippocr
de la nécromancie... « Après la mort, l’esprit divin qui animait l’
homme
retourne seul au ciel, et laisse sur la terre et
paroles qui sont écrites au livre de la lumière vitale. « Lorsque l’
homme
a bien vécu , le cadavre astral s’évapore comme u
mme un encens pur en montant vers les régions supérieures ; mais si l’
homme
a vécu dans le crime, son cadavre astral, qui le
logique, p. 366. « L âme qui vit après l«a mort est l’esprit de l'
homme
, qui, dans 1 homme, est l’homme lui-même ; et, da
« L âme qui vit après l«a mort est l’esprit de l'homme, qui, dans 1
homme
, est l’homme lui-même ; et, dans l’autre vie, ell
vit après l«a mort est l’esprit de l'homme, qui, dans 1 homme, est l’
homme
lui-même ; et, dans l’autre vie, elle apparaît au
ans l’autre vie, elle apparaît aussi en parfaite forme humaine. « L
homme
peut parler avec les esprits et les anges ; et le
réquemment avec eux. Mais aujourd’hui c’est dangereux, i\ moins que l’
homme
ne soit dans la véritable foi. « La vie de chac
sus et le dessous ne se donnent la main. Interrogez la sagacité d«ces
hommes
pratiques, ils vous répondront : « La terre et
dans les régions d’où l'extrême rareté de l’air tiendra toujours les
hommes
éloignés, et surtout qu'en dehors d«l'atmo» g
ssante et Suprême, fut réellement l'œuvre d’un Sauveur. Et, puisque l'
homme
, intelligence supérieure dos créatures d«la terre
« Et cette phrase puissante : Délivrez-nous, pbéseuvez-socs du mal I
Hommes
, comprenez bien !... cl vous aimerez intelligemme
qu’à présent que de l’ironie et de mauvais compliments de la part des
hommes
qui auraient dû le plus encourager mes efforts.
e charlatanisme et de jonglerie, m’ont tout au moins regardé comme un
homme
assez simple pour se laisser abuser, assez niais
, pour établir que je n’appartiens pas exclusivement à cette classe d’
hommes
, fort estimables sans doute, mais souvent fort ig
Ces personnes, parmi lesquelles des magistrats , des professeurs, des
hommes
de lettres, diraient comme moi combien ces conver
eneno. » (Phars.,1. 6.) Le serpent meurt au souffle empoisonné de l'
homme
(3). Un autre poète a dit en parlant des maléfi
ie Le tigre et le serpent contraints de s’arrêter (*'). Ce que tout
homme
bien constitué ferait certainement, affirment C'e
son dans la gamme; elle est uu peu différente chez la femme et chez l'
homme
, du jeune au vieux, du sanguin au colérique , che
et chez l'homme, du jeune au vieux, du sanguin au colérique , chez l’
homme
sain et le malade; elle diffère encore entre les
clarera qu’il vous voit vous-même. Tantôt vous lui semblerez comme un
homme
de neige informe, tantôt cuirassé, un haut casque
role écrite lui projetait des esprits qui l’agitaient. Les yeux des
hommes
lui lançaient des rayons blancs ; ceux des femmes
merveille de ce genre, lors de notre première époque impériale. Un
homme
, admis devant l’empereur et l’impératrice, ouvrit
tes par la trace an.mée des insectes. Le fit du prestige, c'est que l'
homme
cachait en sa main la rein» abeille, que suivait
t toute la fâcheuse influence de ces dissolvantes promiscuités. « L’
homme
qui veut consulter un oracle doit s’imposer de l'
Il y a un an nous annoncions à nos lecteurs qu'un de nos collègues,
homme
de mérite et de sens ( Voir p. 37(5 du précédent
ricain nous est personnellement connu depuis plus de dix ans comme un
homme
sérieux et parfaitement estimable. Il compte, dan
ande nation, et dont certains même sont tenus en haute estime par les
hommes
éminents de tous les pays. Nous avons à nous en
ITUALITE(t). Quatrième et dernier article. D. — Sur la parole des
hommes
sérieux qui se sont occupés de ce sujet, si l’on
e à l’autre. Elle donne d«très-grands aperçus sur la condition a de l’
homme
primitif, et s’en approche autant qu'il est permi
pervertie et dégradée, l-'étal lucide n'est qu'un état naturel d«a l'
homme
, et porte l’initiative d«son indestructibilité. »
visilcur familier. trame de fantasmagorie universelle , puisque l’
homme
en a confesse d'avance et hautement (car je ne
qu’ils suspendent un moment leur décision, et, s’il est entre eux des
hommes
qui veuillent déchiffrer la loi physiologique de
e et d«l’histoire, « du passé, du présent et de l’avenir, créée par l’
homme
à son éternelle «gloire et pour son usage. « Au
s pour chacune des lettres « dont elle avait besoin, nous étions cinq
hommes
dont aucun ne s'est as-a sez occupé de sciences p
anément.) J'emploierai vingt-deux mots : Connaître « l’organisme de l'
homme
, ses sensations , scs phénomènes physiques et « m
ctro-types de la marche et du progrès des temps. 9’ Le pouvoir de l'
homme
d’y semer et d’y puiser, dans des limites et des
d'un initiateur. Imaginer, t 'est procréer. El l'intelligence de l'
homme
n'a-t-elle pas déjà colonisé sur notre globe les
gide, on reste sans crainte comme sans désespoir. Rt cette égide, l’
homme
a l’obligation de s’en revêtir. Il est le chef de
soit le rang où l’on ait sa place. Pour cela, le premier soin de l’
homme
digne de ce nom doit être d'élendre le plus possi
ants. Mais la science, « qui n’est que l’application de l’esprit de l’
homme
à l’his-« toire des œuvres de la nature, ne peut
e (1). » (1) Le docteur Bourgery, Traité complet de l'anatomie de l'
homme
, t. 5, p. 34. Paris, 1844. « J«viensd«tracer, d
oignage réciproque et les concordances de toutes les no-« tions que l'
homme
possède, l'âme assurément est un principe, et un
n les appellera monnaie a du cœur humain, les plus vrais trésors de l'
homme
, le sanctuaire de son u bonheur et de sa tranquil
urs un sens profond « touchant la nature des êtres et la destinée d«l’
homme
. « A l'âge de trois ans, Tsong-Kaba résolut de
re des dix mille images nous parut très-vieux; son tronc, que trois «
hommes
pourraient à peine embrasser, n’a pas plus de hui
mbre pour voir d’en haut, par une ou-« verture du linceul, ce que cet
homme
faisait, et j’aperçus n que, se coupant la chair
Ailam, sons conservé par !a version samaritaine, ne sign i lie pas l’
homme
, mais l'cire universel. « Moïse, dit Fabr«d’Oli
vent sortir en quelques instants de simples mouvements émanés de tout
homme
qui a quelque connaissance des procédés du mesmér
s procédés du mesmérisme. Faute d’avoir eu recours à ces procédés, un
homme
allait être tiré de la Morgue et enterré tout viv
’est avec peine qu’il parvient à s’en dégager. « Plus de doute, cet
homme
vivait encore ! Aussitôt on l’enlève, 011 le tran
férent. Depuis plus de quinze ans nous avions entendu parler, par des
hommes
sérieux et dignes de foi, des phénomènes curieux
elle, se manifestant par l’écriture, se révélant dans des réunions d’
hommes
par les faits les plus étonnants de divination, d
Nous révoquions ces forces en doute, même contre les affirmations des
hommes
les plus convaincus, les plus sincères, qui nous
négations; nous nous disions, le sourire sur les lèvres: (les pauvres
hommes
sont des hallucinés ; ils sont atteints de la mal
e, sont aujourd’hui passés à l’état de choses simples et vulgaires! L’
homme
lui-même se connaît-il? a-t-il résolu le problème
er les phénomènes les plus merveilleux, nous furent certifiés par des
hommes
dignes de foi qui avaient vu ou qui étaient en re
la presse a rendu compte des faits étranges qui ont fait de M. Hume l’
homme
le plus à la mode de Paris. Aujourd’hui un jour
devint de plus en plus distincte, jusqu’à ressembler à un très-jeune
homme
blond. Puis, la mère entendit ces paroles, doucem
st son air de sincérité enfantine, de bonne foi naïve. La plupart des
hommes
qui se donnent pour posséder des facultés surnatu
t, pour la première fois, le soir, chez madame de K... Il y allait en
homme
du monde faisant une visite, et non point en médi
ce n’est rien ! Et faisant un grand effort, il s«secoua comme un
homme
qui chasse une vision, essuya son front, saisit s
’entends encore... J'entends les soupirs étouffés, les râlements d'un
homme
étendu par terre, et en proie à une douleur viole
l ! je suis sûr que dans cette pièce, à la place que j’ai montrée, un
homme
esh mort de mort violente... et, chose affreuse,
5, le fervent illuminé dînait dans une auberge. Il vit tout à coup un
homme
au milieu d’une vive lumière, qui lui cria d’une
tendant leur victime, cachés dans un endroit où tu me soutenais qu’un
homme
ne pouvait se placer, tandis qu’il y en avait tro
tisme un rôle fort important, en en faisant une des voies données à l’
homme
pour découvrir la vérité, la voie de la foi, dcï
e croûte; la vie a reparu, de nouvelles espèces ont surgi, et enfin l’
homme
, père de l’humanité actuelle. La nouvelle humanit
es classes d’animaux se sont succédé et ont précédé l’apparition de l’
homme
. Mais, quant à ce qui a précédé la période d’inca
se quelle confiance il mérite quand il s’agit de faits antérieurs à l'
homme
, ou même de faits humains, mais séparés de l’aute
galement être cru dans celui du paradis terrestre et de la chute de l'
homme
. Malgré les citations pompeuses empruntées à des
mettre en pratique une conquête delà science, la connaître à fond, l’
homme
n’aurait jamais pu s’élever au-delà de la brute :
tionner et d’écarter les inconvénients qu’ils présentaient d’abord. L’
homme
a dû agir avec audace et s’élancer dans la voie d
ui ont appris à s’en préserver. En accomplissant cette noble tâche, l’
homme
a évidemment rempli une mission providentielle, c
çonner, l’approprier à ses besoins; l’harmonie doit être l’hymen de l’
homme
et de la nature. Nous ne pensons pas que les lugu
e d’étudier, et traiter effrontément de jongleurs, de charlatans, des
hommes
honorables par ce seul fait que les phénomènes qu
eur entendement? Combien, d’un autre côté, n’y voyez-vous pas aussi d’
hommes
que le hasard et les circonstances ont rendus tém
yer ces affirmations sur une base positive, inébranlable, apparaît un
homme
simple, honnête, désintéressé, qui élève ces expé
du à un besoin irrésistible et rempli une grande et sainte tâche, cet
homme
ne sera qu’un charlatan, un jongleur il’outre-mer
n avez été témoin, votre devoir est de dire et prouver en quoi tant d’
hommes
sérieux et honorables ont été des dupes, et en qu
rd ! arrivé aux portes du tombeau, à cet âge où se dépouille le vieil
homme
pour faire place à une enveloppe plus austère, l’
ntes avaient dans ces apparences, c’est le sang-froid avec lequel des
hommes
de bon sens admettent que l’on peut, sans sacrilè
eilleux appartient à ce qu’il y a de plus bas, de plus fragile dans l’
homme
, à cette partie de lui que travaille la fièvre du
al qu’avait excité le médium américain , voyant qu’il était devenu un
homme
à la mode, il s’est tout à coup ravisé, et, pour
rit frappeur? M. Paul d’Ivoy s’étonne du sang-froid avec lequel des
hommes
de bon sens admettent que l’on peut sans sacrilèg
qu'ils s’adonnent à ce qu’il y a de plus bas, de plus fragile dans l’
homme
, à cette partie de lui que travaille la fièvre du
ns jamais laissé dire que c’était ce qu’il y avait de plus bas dans l’
homme
. Et d’ailleurs qu’est-ce que cette assimilati
mmun entre ces deux genres d'affection, dont l’une est le propre de l’
homme
physique et l'autre touche de si près à l’homme m
ne est le propre de l’homme physique et l'autre touche de si près à l’
homme
moral, dont l’une provient si souvent de l’action
les ruines des intelligences. Les ruines d’une intelligence clans un
homme
font supposer qu’une intelligence y a existé. Doi
gue et montre leurs misères, et quand on tient à passer pour un grand
homme
, on flatte d’abord ses collègues, puis on cherche
s, prouvées jusqu’à l'évidence la plus irrésistible , par une foule d’
hommes
qui, pour le moins, nous valent, par des hommes o
ble , par une foule d’hommes qui, pour le moins, nous valent, par des
hommes
occupant une position telle que personne n’oserai
ts, des ministres de l’Evangile, des journalistes , des artistes, des
hommes
d’affaires, des hommes de science et de littératu
Evangile, des journalistes , des artistes, des hommes d’affaires, des
hommes
de science et de littérature, qui viennent par mi
s sont en réalité ce qu’elles-mêuics sc disent être, c’cst-à-dirc des
hommes
et des femmes que lu mort a transfigurés. Eli !
ls eux-mCmes les coupables? Dans ce cas, il faudrait supposer que des
hommes
placés au faîte des honneurs et de l’estime publi
onnus pour avoir quitté depuis longtemps ce bas monde, d’ascensions d’
hommes
dans les airs, etc., etc. Or, je vous prie tout d
que ou des tours d’escamotage ont pu en imposer à plus d’un million d’
hommes
jusque-là réputés sensés au point de bouleverser
une direction toute nouvelle à leur conduite, ont pu en imposer à des
hommes
d’Etat que l’on croyait en garde contre toute esp
e toutes les doctrines religieuses qui prétendent à la direction de l’
homme
devront désormais prouver leur valeur et leur sup
chez la malade, qu’un faux rayon de vie errant par intervalle. Trois
hommes
de cœur se regardaient alors avec une sorte d’eff
aient-ils alléguer? La pureté de leur conscience? Riais, aux yeux des
hommes
qui eussent été appelés à se prononcer dans une s
l malheur aurait-on eu à se reprocher si l’on n’eût pas fait venir un
homme
compétent pour corriger la dose ! — M. O. a rappo
Pourquoi l’état somnambulique se présente-t-il plus rarement chez les
hommes
que chez les femmes? « Parce que les muscles so
chez les femmes? « Parce que les muscles sont plus forts chez les
hommes
, et que, par suite, le lien qui unit l’esprit au
nts qui ont le plus contribué au progrès de l’histoire naturelle de l’
homme
, cita lliolan comme le médecin le plus instruit d
ourtant, il y a peu d’années, on traitait de fous ou d’imposteurs les
hommes
qui annonçaient ces merveilles. Il en est ainsi d
les essais ou les effets de cette puissance magnétique dont quelques
hommes
sont doués. Aujourd’hui le magnétisme offre deu
ir enfin au-delà de la tombe? Laissons résoudre ces questions par les
hommes
sincères qui les traitent, et attendons patiemmen
s au trentième. J'ai conservé tous ces lombrics comme preuve pour les
hommes
de bonne foi, delà puissance du magnétisme. L’enf
proposa au docteur le magnétisme: scandale incroyable : proposer à un
homme
sensé une chose stupide, acceptable seulement par
acontée dans tous ses détails, une cure assez extraordinaire pour des
hommes
insensés. Permettez-moi, maintenant, de vous re
ue vous avez bien voulu m’accorder de faire partie de cette société d’
hommes
dont les études et les efforts ont rendu déjà et
atigue. La peur a mis des armées en déroute; c’est une estam-pada d’
hommes
! •Te trouve encore, dans le même tableau, les
de soulager son semblable et le punir, c’est comme si on punissait un
homme
pour avoir éteint un incendie sans diplôme de pom
si le (Iode ne s’y opposait pas; le seul changement apparent entre l’
homme
d’autrefois et l'homme d’aujourd’hui, c’est l'hab
osait pas; le seul changement apparent entre l’homme d’autrefois et l'
homme
d’aujourd’hui, c’est l'habit: nous avons des tigr
. La nature de tous les animaux reste la même , pourquoi relie de l’
homme
changerait-elle? Laissez-le avoir faim, et il m
ur en jour plus délicate, attendu que les paroles et les actes de cet
homme
ne pouvaient que démontrer son irresponsabilité m
nce, des nombreux indices de folie que nous «avons remarqués dans cet
homme
, nous sommes restés « convaincus du dérangement d
ue de ces seuls faits, et ait pour un si mince motif déféré le pauvre
homme
aux tribunaux. Il est plus que probable que, comm
poursuites de l’inquisition autrichienne. Nous le disons, pour cet
homme
comme pour tant d’autres de son espèce, comme pou
enquête à faire, de plus amples renseignements à prendre de la part d'
hommes
initiés à b science magnétique. v.. piérart. MA
ne dame d’expérimenter sur sa personne. L’offre est acceptée; notre
homme
se met à l’œuvre, et, au bout de vingt minutes, l
rieux n'est pas sans précédents. Franklin raconte l'histoire d'un
homme
qui, pincé sur le seuil d'une maison, v it la fou
foudre tomber sur un arbre vis-à-\ is de lui. Sur la poitrine de cet
homme
, 011 remarqua la contre-épreuve de l'arbre foudro
ât de misaine un fer de cheval. Au moment où éclata la foudre, un des
hommes
du bord était assis au pied du mât de misaine; il
ures de ces princes de la science médicale, figurent aussi les noms d’
hommes
illustres dans la littérature ou la politique ; t
ire aux siennes; on ne parvint pas à s’entendre. Devant ces faits, un
homme
de bonne foi, le docteur Berna, proposa, au nom d
es brouillards et des marécages, où surgirent pourtant tant de grands
hommes
, où s’élaborèrent tant de fécondes idées et qui f
de ironiquement si l’on peut admettre que les esprits des plus grands
hommes
de l’antiquité étaient constamment aux ordres du
nt à l’Ambigu-Comique un drame fantastique intitulé : la Légende de l'
homme
sans tête, où le magnétisme joue un grand rôle ;
es devant la vérité? Quelque temps d'arrêt, quelques luttes, quelques
hommes
sacrifiés, voilà ce que peut le vertige insensé,
pèse cela dans l’éternité?... Ce qui est vrai triomphe toujours ; les
hommes
passent et la vérité demeure. » i Citons encore :
pas de cet avis, et nous pensons, au contraire , que l’affirmation d’
hommes
comme Al: Petit d’Ormoy et comme tous les magnéti
si lugubres lamentations?... L’erreur est toujours mauvaise en soi; l’
homme
est fait pour connaître et aimer la vérité, et to
isman pour se rendre invisible, dominent peut-il se trouver encore un
homme
de cœur qui s’apitoie sur la décadence des croyan
paraît inexplicable ; c’est vraiment vouloir déraisonner à plaisir. L’
homme
ne connaît qu’une bien faible partie des lois de
ur faire du magnétisme quelque chose de surnaturel. Nous savons qu’un
homme
agit par sa volonté sur son semblable et parvient
ont trop souvent détournées de leur but par la perversité de quelques
hommes
. De ce qu’une chose peut être employée à mauvaise
nditions qui ne paraissent pas contraires au salut, à être utiles à l’
homme
(tome i, p. 447). » Ceci établi, quand même M. de
public n’admettra jamais que le mal puisse être l’auteur du bien. Les
hommes
dévoués qui, «à l’exemple des Puységur et des Del
hique el venant de forces intelligentes existant dans l’espace. Aucun
homme
ne pourrait produire quelque chose de semblable p
e magnétique ; à dater de ce moment, je n’étais plus pour la mère cet
homme
loyal qu’elle avait connu pendant six mois au che
ns zooma-gnétiques : n La modification magnétique ou l’influence d’un
homme
sur un autre, de manière à le plonger dans un éta
u’ils rencontrent, poussés, comme j’ai dit, par de grands courants, l’
homme
qui sur tous les animaux possède dans le dernier
vif éclat du temps de Puységur ; c’est là qu’une société, composée d’
hommes
dévoués, se livrait à une propagande active, appl
quer ni la rattacher à leurs systèmes. M. Chalin énumère les noms des
hommes
éminents qui professent ou pratiquent le magnétis
nne. La nature offre un moyen universel de guérir et de préserver les
hommes
. La chirurgie y a eu recours plusieurs fois dans
méconnu l’existence. La morale montrera les liens spirituels que les
hommes
ont entre eux, et les rapports de leur âme avec D
t entre eux, et les rapports de leur âme avec Dieu.... En dévoilant l’
homme
dans tonies ses passions, il aide à faire con
les de la nature, nous montrent par quelles voies organiques certains
hommes
ont pu exercer une grande influence propice ou fu
s ont pu exercer une grande influence propice ou funeste sur d’autres
hommes
, comme ils ont pu les faire vouloir ce qu’ils vou
fs, c’est travailler enfin au profit de la plus grande puissance de l’
homme
. » Une appréciation si judicieuse nous dédommag
ation apparente au merveilleux , catholique exclusif, mais d’ailleurs
homme
d’instruction et de caractère. Nous fûmes introdu
’a été donné d’entendre. Cet orateur, M. Thomas Gales Forster, est un
homme
de quarante-cinq à cinquante ans, ancien officier
pliments revenaient à un autre que lui, qu’il n’était lui— même qu’un
homme
de paille, dont l’organe de la voix venait d’être
simplicité de ses manières d’homine du peuple, son air de parfait bon
homme
, et son peu d«tenue devant le public, nuisent au
ation nuisent certainement plus à l’avancement des sciences , que les
hommes
auxquels on peut reprocher une trop grande crédul
rris, Ges savants qui, comme des rais d’église,vivent de miettes* ces
hommes
qui, sans instinct, sans génie, laissent, sans en
paires du matérialisme 3 cette gangrène qui ronge le cœur de tous les
hommes
. V enez, aidez-nous, vous tous qui comprenez l’
maigre. Sa physionomie exprime une vive souffrance morale. « Un bel
homme
, dans la vigueur de l’âge, se tenait assis sur un
recueillir) , a pris possession d’elle. Louna ajoute que l’âme de cet
homme
lui parle. On la voit, en effet, entrer en conver
rte de sa raison ? Voilà des questions que je livre à la sagacité des
hommes
compétents. » On lit dans C Ami des sciences du
; il vient à peine de fermer la porte qu’il voit de loin un groupe d’
hommes
qui se dirigent vers lui. Ces hommes approchant,
e qu’il voit de loin un groupe d’hommes qui se dirigent vers lui. Ces
hommes
approchant, il reconnaît qu’ils portent un blessé
nt. Il s’écoula une heure avant l’arrivée du docteur qui trouva notre
homme
semblable à un moribond, présentant les symptômes
devilles de MM. Clairville et consorts. Toutefois, on conçoit que des
hommes
de cœur, pénétrés de la vérité de la doctrine don
ur, a fait ressortir toute la gravité du sujet et a fait un appel aux
hommes
de bonne foi. Il commence par prouver qu’on ne
, des cerveaux fêlés , dupes de folles imaginations. Quand de pareils
hommes
reconnaissent l’existence de tout un ordre de fai
eux qui se laisseraient ainsi paralyser par l’incrédulité de quelques
hommes
, et le but des esprits devant être de convaincre
e, celle de propager le plus possible les moyens de faire du bien aux
hommes
. Son livre est l’œuvre d’un homme de bien, et sa
le les moyens de faire du bien aux hommes. Son livre est l’œuvre d’un
homme
de bien, et sa conviction a quelque chose de comm
s, plutôt que dans le premier, à l’elfet de retirer momentanément à l’
homme
quelqu’une de ses facultés. Il est plus rationnel
lacause et la nature des maladies qu’il a traitées, il a prouvé qu’un
homme
de bien , tout en menant à bonne fin d’excellente
tent pas du domaine des faits naturels et sont dues à l'action dont l'
homme
dispose, 169. Corps (les) savants et la science
6, 549. Zoomagnétisme. Aperçu concernant l'influence naturelle de l'
homme
sut les animaux, par M. Morin, 184. Somnambulis
USES DE LA SCIENCE NOUVELLE. Lorsque, par un effort de son génie, l’
homme
a trouvé une vérité importante, il a fait beaucou
PREMIÈRE PARTIE. — h — Il y a, Messieurs, au fond du cœur de l'
homme
des passions mauvaises qui ne changent pas, qui n
lorsque des principes scientifiques se sont généralisés, lorsque des
hommes
sont en possession des faveurs de la fortune et d
ont-ils avec plaisir ce qui doit les déposséder en faisant surgir des
hommes
nouveaux qui apportent des principes différents,
fibres bien sensibles : je vais, portant mon regard sur la conduite d’
hommes
honorables et qui acquirent une réputation scient
vie nouvelle et inconnue qui apparaît avec toutes ses merveilles ; l’
homme
n’était connu que par ses actions et ses facultés
’abord je prenais pour un produit de mon imagination ou de celle de l’
homme
qui avait voulu m’initier à de profonds secrets.
nce de sommeil des sens, une espèce de coma, qui saisit quelquefois l’
homme
le plus robuste lorsqu’on fait pénétrer dans son
er dans son organisation l’agent magnétique en suffisante quantité. L’
homme
n’est plus le maître alors de briser ce lien invi
ntrent des facultés merveilleuses qui remplissent d’enthousiasmeles
hommes
qui les étudient et les constatent sans les compr
, bouleversera à coup sûr pendant longtemps la cervelle de nos grands
hommes
. Cette vie double présentant deux natures distinc
sans craindre aucune persécution. Mais on se demande : Comment les
hommes
si attentifs et qui firent dans tons les temps un
ui firent dans tons les temps une étude si profonde des facultés de l’
homme
, ne reconnurent-ils pas cette force dont je vous
-vous pas le rudiment de toutes ces facultés dans l’état naturel de l’
homme
? Cabanis ne vous a-t-il pas dit qu’il avait vu d
e l'usage répété leur ait ouvert l’esprit, et sur ce point il est des
hommes
qui ne vieillissent jamais. Etonnez-vous donc de
emps? Depuis que l’on fait du feu, on a vu de l'eau bouillir et aucun
homme
n avait songé qu’il y avait là une force puissant
temps qu’il m est à moi démontré que dans tous les siècles passés des
hommes
étaient en possession des secrets que Mesmer a eu
lus de lumière, il y avait moins à craindre pour lui, car malheur à l’
homme
qui, dans les temps d’ignorance, eût osé produire
ilence calculé faire reculer la vérité? Crois-tu qu’il n’y aura nul
homme
généreux qui osera démasquer ton hypocrisie et fa
nsation qu’elle a reçue. Prenons un autre exemple : supposons qu’un
homme
, pendant un sommeil incomplet, soit soumis à l’in
a lumière, aller à l’armoire et se mettre à remuer tout le linge. Cet
homme
lui demanda ce qu’elle faisait, et elle lui répon
le démontre assez clairement la seconde observation, immédiatement l’
homme
revient à lui. On est ainsi conduit à penser qu
mettre. Je les regardai, ils étaient sérieux et impassibles comme des
hommes
qui attendraient la visite d’un hôte ou plutôt du
du doigt une pointe. — Etes-vous convaincue que la blessure de cet
homme
est réelle? me dit-il ensuite. — Je n’en doute
ui approchât de ce que je venais de voir. J’avais affaire ici à des
hommes
ignorants cl simples à l'excès ; leurs tours auss
tions spiritualistes. Je prouverai que, par le moyen des coups, des
hommes
et des femmes acquièrent la connaissance de faits
égné sur la terre ; l’aurore d’un beau jour s’est enfin levée sur les
hommes
. Lorsque la nuit laisse peu à peu sa place au jou
commencer à blanchir l’horizon; c’est le magnétisme qui a annoncé aux
hommes
que le jour se préparait à venir ; bientôt, sa lu
aisons pécuniaires, que Dieu envoie de telles choses. — Non, non, les
hommes
qui devaient être toujours soumis à ses lois, s’e
de la nature, en attendant qu’il envoie lui-même son esprit incréé. —
Hommes
, encore une fois préparez-vous ; que la persuasio
es passions comme la barque par les flots, que l’esprit fait voir à l’
homme
sa puissance inconnue pendant si longtemps, mais
uille à distance par une décharge électrique dirigée à sa volonté, un
homme
peut bien renverser certains crapauds comme on es
e du règne animal, et de l’intelligence quand il part du cerveau de l’
homme
, vous aurez la clef des arcanes qui ont été jusqu
r. Le directeur-rédacteur, M. le professeur Francesco Guidi, est un
homme
dont le nom n’est pas nouveau en magnétisme. 11 s
s plus savants maîtres de la science merveilleuse de l’influence de l'
homme
sur l’homme. Soldat de la vérité, aussi éloigné d
ts maîtres de la science merveilleuse de l’influence de l'homme sur l’
homme
. Soldat de la vérité, aussi éloigné de la servili
voyant mes croyances aux communications spirituelles partagées par un
homme
aussi éminent et aussi judicieux que vous et par
est tout entière incarnée dans le révélateur. Selon l'expression d'un
homme
de génie qui n'avait probablement pas encore la c
ous les vrais poètes, un grand philosophe : ... i.'id«e... So bit
homme
, grandit, tombe, creuse un sillon. Nous ne pouv
t de la phase embryonnaire. De tous les êtres que nous connaissons, l’
homme
est celui dont la basse enfance exige le plus de
ype humain un microcosme, univers en petit; parce que, suivant eux, l’
homme
renferme foncièrement l’universalité de la créati
n des aimants les plus forts, attire ou repousse... môme sans que l’
homme
s’en doute ! Cette apostrophe me frappa d’un tr
logiquement à notre simulacre humain le privilège de la produire. L'
homme
interne (l'âme) possède une puissance intelligent
te ternis aussi la mienne. Ami, que dis-tu de ces phénomènes que les
hommes
trouvent nouveaux ? J’en aurais long à te conter
nce, viennent de l’ignorance douteuse et incertaine dans laquelle les
hommes
travaillent aujourd’hui. Le tort enfin est tout e
hommes travaillent aujourd’hui. Le tort enfin est tout entier (Luis l'
homme
de science! Il se tue lui-même 1... Il étouffe, d
e t’élever jusqu’à la puissance nécessaire pour bien comprendre que l’
homme
a tout en lui, et qu il serait effrayé de lui-mêm
ur ; et de ces hautes régions, régions lumineuses, elle éclairera l'
homme
. 11 sera alors dans le sentier du vrai. 11. de
après cela. C’est moi qui te convie d’abord à une première réponse. L’
homme
ne doit pas parler, c’est la science seule ; si e
aida, comme toi, à comprendre un peu ces phénomènes mystérieux dont l’
homme
est étonné chaque jour. Voilà ce qui me reste de
t presque fait oublier, ingrats que nous sommes... quand nous restons
hommes
... et rien qu'hommes ! qu’en ui tes-vo us » ))
r, ingrats que nous sommes... quand nous restons hommes... et rien qu'
hommes
! qu’en ui tes-vo us » )) — Soit ! M"' Octavi
ue. Nous avouons humblement ne pas comprendr e comment, aux yeux d’un
homme
sensé, un ordonnance en elle-même peut'être taxée
ne paraissent pas dépasser la limite des forces intellectuelles de l’
homme
, et souvent elles restent au-dessous de la médioc
demment dans cette route dangereuse. Nous comptons parmi nos amis des
hommes
intelligents, de bons et braves cœurs, dont la ra
apporter dans l’étude des phénomènes du spiritualisme est celle d’un
homme
susceptible d’enthousiasme , cependant capable d’
un apprécie l'importance; mais il n’est point indispensable d'être un
homme
de génie pour se livrer avec fruit à aucune étude
qui pourraient conduire à démontrer le commerce des esprits avec les
hommes
, il pourrait y avoir dans les communications elle
expériences ont été faites, une foule d’ouvrages ont été publiés, des
hommes
du plus grand mérite ont pris part aux débats sou
équemment des séances publiques d’expérimentation. Est-il permis à un
homme
désireux de s’instruire de faire abstraction de c
qu’il n’est pas permis d’ignorer quand on s’occupe de la science de l’
homme
. Les conclusions (citées dans la lettre deM. Derr
r devant elles et accepter le magnétisme de confiance, sans examen. L’
homme
ne doit admettre que ce qui lui est démontré, et
présenté des phénomènes très-variés, ont opéré non seulement sur des
hommes
, mais aussi sur des animaux ; et, certes , quant
re mesurer toute l’étendue de la misère humaine; il est fâcheux qu’un
homme
aussi instruit s’applique volontairement les écai
leur esprit de routine et d’immobilisme, sont en général composées d’
hommes
dont l’opinion est loin d’être à dédaigner, et do
olonté pour la mettre en jeu? Certes, il est parmi les médecins des
hommes
que leur intérêt personnel ne ferait pas reculer
mense quantité d’observations qui ont été recueillies sans ordre, des
hommes
studieux, pourront sans aucun doute trouver la ba
el de la science, se présente devant une commission libre, composée d’
hommes
intelligents, pris hors de la science officielle,
ingénieurs, dos architectes, dos jurisconsultes, des négociants, des
hommes
de lettres seraient-ils moins compétents, lorsqu'
tant de probabilité à la négation qu’à l’affirmation (ce qui, pour un
homme
intelligent, suffit pour décider à un examen séri
solution est aussi facile qu’urgente : il ne faut qu’un petit noyau d’
hommes
de bonne volonté qui aient du temps à consacrer a
ité sur tous ceux qui veulent ouvrir les yeux pour voir, sur tous les
hommes
de bonne volonté. Mais qu’elle agisse avec pruden
r à l'amélioration physique et morale de l’humanité ; il a flétri les
hommes
qui déshonorent le magnétisme par des expériences
laisse rien à l’envie, il a besoin d’être secondé et de connaître les
hommes
modestes, dévoués et bienfaisants qui ont accompl
cre le lecteur. On l’a redit nombre de fois depuis M. deBonald : «L’
homme
est une intelligence... servie par des organes. »
é du monde visible au monde invisible, le moyen de communication de l'
homme
avec les êtres supérieurs, le souvenir et la prom
constate qu’ils sont de tous les temps et de tous les lieux; que les
hommes
y ont toujours cru; qu'ils ont exercé une action
t le doigt de Dieu, comme si les envoyés de Dieu cessaient d'être des
hommes
, les hommes d'un certain temps et d'un certain li
e Dieu, comme si les envoyés de Dieu cessaient d'être des hommes, les
hommes
d'un certain temps et d'un certain lieu, et comme
ns les plus évidemment providentielles, les erreurs qui viennent de l'
homme
se mêlent è la vérité qui vient de Dieu. L’être i
uelles il résista obtinément. Alors parurent une autre femme et trois
hommes
qui furent bientôt réunis dans la grande chambre,
mme le diable de nos vieilles légendes. Il parait cependant qu’un des
hommes
de l'équipage appliqua un coup do bâton fort peu
mps après, on entendait des voix dans l’eau, à l’arrière, et que deux
hommes
ont suivi le navire à la nage sans l’aborder. Du
s prairies, des arbres, des instruments do musique, des théâtres, des
hommes
de statures et de formes diverses, revêtus de cos
effectivement que les âmes hors de la vie terrestre, pas plus que les
hommes
parmi nous, ne sont des jouets condamnés A la mer
’esprit de son père. « Mon fils, en vous parlant des destinées de l’
homme
, je tâcherai, suivant l’étendue de ma capacité e
. La région adjacente à la terre , scène première de l’existence de l'
homme
, est connue sous le nom de sphère rudimentaire.
t pour nous l’éternité. Dans la sphère rudimentaire, les pensées de l’
homme
, [soumises aux conditions du temps et de l’espace
les du ciel et de la terre, à tout ce qu’il est donné à l’esprit de l’
homme
de concevoir et d’embrasser. Ces travaux, en exer
nde sera-t-il marié dans le ciel? — Je réponds : Oui, certainement. L’
homme
n’a pas été créé pour vivre seul sur la terre et
tique dont les courants vivifiants pénètrent l’organisme spirituel. L’
homme
, dans l’état rudimentaire, se compose de trois pa
rapports de l'esprit et de la matière seront mis ii découvert, et les
hommes
deviendront des êtres pensants et rationnels. Par
l’amour de Dieu et du prochain seront reconnus et mis en pratique. L’
homme
acquerra une idée infiniment plus élevée de Dieu
enser les lecteurs du journal de Strasbourg ? Il nous entretient d’un
homme
que nous ne connaissons pas, qui n’est accusé en
e d’un fait arbitrairement qualifié de crime par le législateur : cet
homme
passe pour jouir d’une clairvoyance extraordinair
s’il y a un peu de vrai dans tout ce que rapporte la renommée sur cet
homme
extraordinaire? Pour qu’il se soit acquis une tel
ururent tous les chemins des environs et surprirent ces dames et deux
hommes
avec une charrette sur laquelle on transportait l
’éclectisme (1) : Vérité, manifestation divine, quand il provient des
hommes
célèbres, ou des personnages de l’Ancien et du No
et celui d’un somnambule, improvisa ce vers: > Le somnambule cil
homme
, ot l'Eupril n’est p«s Dieu ! . — Quelle serait
tion pour améliorer l'humanité ? lui demanda-t-on. — « Dépouiller l’
homme
des langes de la misère; car cllene produltquo la
t congé do nous, finissait ainsi : « La plus pure jouissance pour l’
homme
, sur la terre, cstdanslo sentiment du devoir acco
e autant que vous le pouvez, n’est que de l’organisme. Un excellent
homme
, M. A..., possède une jeune lucide, d’autant meil
a discussion, c’est de la physiologie, toujours de la physiologie : l'
homme
est un Cire affectif par excellence ; où ses simp
inée et des couleurs; devant, par conséquent, être visibles pour tout
homme
ayant des organes de la vue bien conformés, ne pu
quée par le magnétisme animal. Paris, 1S26.) dérobent au commun des
hommes
. » Cette critique n’est-elle pas un peu légère? N
ature. Si les organes de La Spiritualité, ces ailes terrestres de l’
homme
interne, occupent les caps avancés de l’orient et
la chronologie traditionnelle, c'est le Monde avant la Création de l'
homme
, par le Dr W. F. A. Zimmekhass. Paris, 1856. (2
se passent au-dedans de nous-mêmes, sans que 1 immense généralité des
hommes
en aient conscience. Alors ces forces agissent en
je suis dans le vrai, la conversion que je tente est capitale ; car l’
homme
qui prend charge de répandre la parole ne doit, à
e le gué de Jaboc, y fut demeuré seul : « Il parut en même temps un
homme
qui lutta contre lui jusqu’au matin. « Cet homm
t en même temps un homme qui lutta contre lui jusqu’au matin. « Cet
homme
voyant qu’il ne pouvait le surmonter, lui toucha
t : Je ne vous laisserai point aller que vous ne m'ayez béni. « Cet
homme
lui demanda : Comment vous appelez-vous? 11 lui r
s appelez-vous? 11 lui répondit je in'apiK'.lle Jacob. o Et le même
homme
ajouta : On no vous appellera plus à l'avenir Jac
avez été fort contre Dieu, combien lo serez-vous davantage contre les
hommes
? « Jacob lui fit ensuite cette demande : Dilcs
e religieux, je veux dire l’irrékbagabilitè d'un lies prédestiné Je l'
homme
à la cause absolue qui: nous appelons Dieu (•), d
s ultérieurs dépasseront peut-être les étoiles. Ko! de la création, l'
homme
, en ses destinées, doit conquérir l’univers. (2
autres sous un masque hypocrite; cet agent lâche et menteur, c'est l’
homme
ici-bas... et dans ses inlimes engeances, n’impor
te où. Mais, nous le savons, et nous le répéterons d’àge en âge : l’
homme
, pur ses /¡nulles virtuelles, est un des plus for
éril, si, renonçant à notre libre arbitre, le plus noble apanage de l’
homme
, nous inféodions ces impulsions étrangères au gou
e et la qualité de l’arbre. Le plus fort extatique de notre époque,
homme
sincère et sans antipathie contre les chercheurs
s'étonner que nous restions indifférents, même lorsqu’il nous appelle
hommes
de peu de foi? Ilélas! que vou-lez-vous que nous
hisie pulmonaire, dont il ne s’est jamais cru atteint. Ainsi voilà un
homme
qui enseignait à guérir les autres, et qui, loin
l’Académie, ont cherché à expérimenter, toutes les fois enfin que des
hommes
sérieux, impartiaux et de bonne foi, ont tenté de
dhésions d’une aussi grande valeur, ose-t-il encore soutenir qu’aucun
homme
sérieux n’a pu se convaincre de la réalité du mag
ou moins d’exercice , à la stupéfaction des magnétologistes. Que des
hommes
jeunes encore, avec des sens intègres, répètent c
e tous les magnétistes, parmi lesquels nous comptons avec orgueil des
hommes
éminents dans tous les genres. Quand on ose formu
sme, et nous sommes heureux de signaler cette adhésion éclatante d’un
homme
aussi éclairé, d’un juge aussi compétent. Il cite
stinctes qui leur ont été attribuées par Dieu depuis la création de l’
homme
; ils ne peuvent pas plus se remplacer les uns le
’est ce qu’il est le plus souvent fort difficile de discerner. Pour l’
homme
éveillé, il y a un critérium souverain, c’est le
: HÉBERT (de Garnay). CURES MAGNÉTIQUES OPÉRÉES A DISTANCE. Les
hommes
qui exploitent cette science en faveur de l’espèc
es très-honorables confrères ? Le 3 août 1853, j'écrivis à ces deux
hommes
de Dieu pour leur recommander M. Pierre B......
c le seul magnétisme exercé sur lui médiatement ou à distance par des
hommes
de bien que l'on traque comme des bêtes fauves, p
de mes canonniers me dirent qu’il y avait dans la ville de Béthune un
homme
qui avait guéri, quelque temps auparavant, le mar
possible d’appuyer mon pied par terre , tant je souffrais. Ce brave
homme
, qui avait la mine d’un ouvrier, se fit apporter
ajor d’un régiment de ligne étant venu passer la revue de santé à mes
hommes
, je lui fis part de mon événement. Il me dit que
. Voit-on jamais de pareils accidents sur des malades soignés par ces
hommes
de bien ? Non, jamais. Ceux qu’ils ne guérissent
aignons bien qu’elles ne provoquent que le dédain. Comment! voilà des
hommes
graves que l’on croyait tout dévoués à la science
édecine doit trouver sa régénération ? Le magnétisme développe chez l'
homme
de nouvelles facultés , introduit de puissants mo
’âme, que l’âme émane du Créateur qui l’a laite à son image, et que l’
homme
a beau s’agiter, c’est toujours en définitive Die
qui n’apportent qu’une attention intermittente au phénomène. Ainsi un
homme
fait, aidé de deux jeunes collaborateurs dociles
udra donner d’un phénomène encore inexplicable, l’esprit de plus d’un
homme
distingué s'y perdra, mais nous manquerions à not
Nous touchons au merveilleux, la force miraculeuse est aux mains des
hommes
, c’est plus que la science vulgaire qu'il faut po
se tint tranquille.» Thomas Say.—« Thomas Say, quaker distingué et
homme
excellent, naquit à Philadelphie en 1700. A plusi
’il avait eu des visions béa-tifiques, qu’il avait entendu des voix d’
hommes
, de femmes et d’enfants qui chantaient de la mani
de Dieu. Il ajouta que pendant son extase, il avait vu mourir trois
hommes
, et il rapporta les diverses circonstances de leu
l, n’y ayant jamais été, et enfin qu’elle ne connaissait aucunement l’
homme
en question. Son donneur d’avis la quitta, puis i
int de vue, il nous semble que l'influence jusqu’ici mystérieuse de l’
homme
sur la brute mériterait une investigation scienti
la remarquable composition, de plus, ayant pour rédacteur en chef un
homme
aussi habile que le professeur Guidi, avec des co
ave et sereine, de ce concours si spontané et si compacte cependant d'
hommes
de tous les âges, de toutes les religions, de tou
ns, de toutes les conditions et de toutes les classes de la société ,
hommes
dont beaucoup inconnus les uns aux autres, se tro
ux, administrateurs, médecins, littérateurs, industriels, négociants,
hommes
de labeur ou de loisir, tous, mus par la même pen
je saurais mieux qu'aucun autre magnétiste rappeler à votre mémoire l’
homme
de génie dont nous célébrons aujourd’hui la fùte,
fin un nouvel art : celui (le guérir les maladies et de préserver les
hommes
. « Messieurs, Mesmer n’était pas seulement un s
ce elle-même? « Mesmer ne voulait-il point enfin établir, parmi les
hommes
, une harmonie universelle, propre à entretenir la
r les erreurs de cette fausse science et à faire connaître à tous les
hommes
une des lois de la nature inscrite dans son code
nous d’un agent immatériel ayant la toute-puissance, puissance que l’
homme
n’a pu se donner et qui vient certainement de Die
un jour, bientôt, résulter de cette pensée émise autrefois et que les
hommes
de nos jours ont trop oubliée ? Dieu te voit ! Vé
re vérité. Non seulement, dirons-nous désormais, Dieu te voit, mais l’
homme
peut te voir; ta vie, tes (tétions, quelque secrè
dévoilées. Voyez-vous le mal moral obligé de s’avouer vaincu, et les
hommes
méchants forcés de revenir à la vertu ? « Voyez
vent la guerre civile et étrangère. La vérité, au contraire, rend les
hommes
pacifiques, elle n’a besoin ni du glaive, ni du b
’huile pour alimenter le flambeau qui doit un jour guider les pas des
hommes
les plus illustres à travers les ténèbres qui env
e Piémont a déjà commencé depuis longtemps son œuvre magnétique ; des
hommes
généreux et instruits montrent surtout la vérité
ttaques. Evitons les pièges tendus à notre bonne foi; puis, comme des
hommes
laborieux dont la journé a été bien remplie, lais
dans ce qui est matériel la satisfaction île ces grossiers désirs , l’
homme
se couvre tout vivant d’un linceul, et, comme la
« Messieurs, dans ce monde, chacun a son destin ; du ciron jusqu’à l’
homme
, tout obéit à une loi mystérieuse, mais l’instinc
é en reconnaît, en conçoit l’existence, et, tout en s’y soumettant, l’
homme
seul a le secret pouvoir de se soustraireà cette
e nous montre ses divines harmonies. f Non, le véritable génie de l’
homme
ne lui vient point de ce qui part d’en bas ; pour
a pro- pagation et l’application des grandes vérités révélées par l'
homme
de génie dont nous célébrons aujourd'hui la mémoi
e savant qui a enrichi l’humanité du fruit de scs méditations , que l'
homme
de labeur qui, dans une sphère plus modeste, a mi
n éclatante, et parmi ceux qui sont fiers de la porter, on compte des
hommes
éminents dans tous les genres, des écrivains, des
t injustice à ne pas accorder un solennel témoignage d’admiration aux
hommes
estimables qui, par de longs travaux et des sacri
es s’élancent au-delà des limites assignées jusqu'ici au pouvoir de l’
homme
. « Des guérisons qu’on serait tenté d’appeler m
, mais aussi comme un pas définitif dans la voie merveilleuse que cet
homme
, à jamais célèbre, a indiquée à ceux qui veulent
otet, se rappelant, après l’appellation des noms, quelques-uns de ces
hommes
méritants, mais dont le jury n’avait pu encore s’
issance et d’admiration les appelle à se présenter tous comme un seul
homme
. Nous tiendrons nos lecteurs au courant de ces co
laissant derrière elle le reste de la société. Notre hôte, qui est un
homme
instruit et fort distingué, observa tous ces phén
ue M. Hume partit pour l’Angleterre. Je pense qu’il est du devoir des
hommes
intelligents de chercher une explication plutôt q
tre peintre, à qui nous devons tant 1 Ce qui m’afflige, c’est que des
hommes
de mérite aient été appelés à figurer dans une pa
angage et une grande sincérité de raisonnement. « Le style, c’est l’
homme
, » a dit Buffon, et si cette appréciation est d’u
son mode sensitif que, dans ce premier et simple stade, nous voyons l’
homme
déjà plus grand que lui-même, c’est-à-dire doté d
minent suivant les besoins de son organisation particulière, et que l’
homme
seul a perdu par suite delà dégénération et de la
, se guérir soi-même. Mais ce n’est pas tout. Malade ou en santé, l’
homme
peut encore, dans cet état. servir de médecin à s
des écoles. Quoi donc d’étonnant si, dès sa première apparition, les
hommes
d’académie s’efforcèrent de tout leur pouvoir de
l’étendue du mot, ce que c'est que le magnétisme. Qu’entend-on par
homme
de génie? N’est-ce pas l’individu doué d’une gran
mettre qu’un idiot, convenablement magnétisé, peut être transformé en
homme
de génie, résoudre les questions les plus ardues
hologie, car l’âme qui pense et qui raisonne est ce qui distingue l’
homme
de la brute, et le génie est son apanage exclusif
ts observés par des personnes comme celles dont je parle. Ce sont des
hommes
de science et de froide raison, qui, pour tout au
ant une réponse, et elle me dit qu’elle voyait sous la table un petit
homme
vieux, dans un costume militaire qu'elle dépeigni
tié du cerveau. Plus encore, comme il a été prouvé que la plupart des
hommes
ne font usage habituellement que d’un œil, de sor
unications des esprits, et que, parmi ces croyants, il y a beaucoup d’
hommes
d’une intelligence supérieure, qui ont été forcés
qui, dans sa bonté, n’a pas donné cette précieuse faculté à tous les
hommes
pour qu’elle devienne le monopole de quelques-uns
reconnu par les corps savants; faisons qu’avant ce moment redouté des
hommes
sensés, il se soit infiltré partout, qu’il soit a
I S’OCCUPAIT DES MALADES, mais « celui qui transporte l’esprit de l’
homme
dans les régions « surhumaines. Prévisions, divin
’autre monde. De là le désir de l’imitation, « de la simulation, et l’
homme
trouva les moyens de si bien « imiter certains ph
les mettre au grand jour, le monde magnétiste a été uni comme un seul
homme
, mu qu’il était par la louable émulation d’en pro
toutes ses forces les théories et les systèmes!... Car Puy- ségur,
homme
de bien par-dessus tout, avait compris tout d’abo
el, non seulement aux magnétistes do tou» les pays , mais il tou* les
homme
* vrai-mont philnntropes du monde entier, afin quo
aits, et que, lorsqu’il est assez heureux pour guérir ou soulager, un
homme
, ami de ses semblables, n'a rempli que la moitié
aits, et que, lorsqu’il est assez heureux pour guérir ou soulager, un
homme
, ami de ses semblables, n’a rempli que la moitié
raversent l’Atlantique et viennent frapper d’étonnement en Europe des
hommes
sérieux, intelligents, des savants sincères qui à
e de la guérisseuse. J’en fus pour ma course : je 110 trouvai pas mon
homme
, qui ne devait rentrer (pie plus tard. Je m’éta
e de compression. J’arrivai à l’adresse indiquée, et là je trouvai un
homme
de manières très-simples, l’air bienveillant, qui
quelque temps, la Lombardie et la Toscane, grâce au zèle de quelques
hommes
généreux, sont entrées, à l’égard du magnétisme,
et Mo««, 17, quai de. Augustin». LE SPIRITUALISME EN AMÉRIQUE. L’
homme
se meut dans un labyrinte dont l’issue lui reste
oit quelquefois autant d’avis différents. 11 n’en conclut pas que ces
hommes
sont des menteurs ou des méchants ; mais il recon
der avec la même réserve; car les esprits ne sont, eux aussi, que des
hommes
que notre préjugé a follement doués de connaissan
ères d’attraction, bien variées sans doute, comme nous voyons ici les
hommes
se grouper en raison des goûts, des professions,
eçoit des témoignages d’affection plutôt que de véritables regrets. L’
homme
qui cherche à satisfaire un intérêt mesquin ne pe
» Nouvello-Orléans, 14 mai 185G. Un de nos honorables collègues,
homme
de mérite et de sens, vient de partir pour les Et
honoraires et correspondants au nombre de 40 sont également tous des
hommes
non moins distingués par leurs lumières et leur p
éussi à découvrir le nom de ce nouveau génie dans le Dictionnaire des
hommes
illustres de la vieille Europe, nous avons dû, av
édecins « sont infaillibles, et que, sans un diplôme de médecin , « l’
homme
ne peut retirer aucun fruit des meilleures étu-«
rassemblé tous les ouvrages écrits sur cette matière et recherche les
hommes
éminents qui peuvent lui donner le dernier mot de
et ce dontsont susceptibles l’intelligence et la sensibi- lité de l’
homme
. 11 fallait, il faut encore étudier ces phénomène
nt et vite. Arrière ces inutiles prétentions! La science qui étudie l’
homme
est complexe et la médecine est loin d’être nulle
e est pratiqué avec tant de publicité, d’éclat et d’avantages par des
hommes
aussi distingués que les docteurs Dugnani, Vandon
peut être obtenu par des modifications de l’activité nerveuse. à. L’
homme
par son action mentale peut produire sur son syst
ème nerveux toutes les modifications possibles d'activité. !>. L’
homme
peut dans sa mémoire trouver le souvenir des moye
nts d’anatomie ne seraient pas familiers. L’appareil nerveux dans l’
homme
et dans tous les animaux supérieurs se compose de
issant pour soutenir le système de la spécialisation nerveuse chez, l’
homme
qui sert de base à tout l’ouvrage de M. Philips.
z, l’homme qui sert de base à tout l’ouvrage de M. Philips. VI. L’
homme
, par son action mentale, peut produire sur son sy
de la. vio végétative conduisent à priori M. Philips à admettre que l'
homme
subit une sensibilité interne et possède une acti
t en sous-œuvre certains mouvements volontaires. 11 admet donc chez l’
homme
trois ordres d’âme bien distincts. L’AME HUMAIN
ue l’être supérieur est le résumé de tous les êtres inférieurs, que l’
homme
est un microcosme, — comment ne proclamez-vous pa
ssance de leurs facultés ; » vous mettez sur la même ligne l’âme de l’
homme
et celle de la monade! Plus de loi en ce cas qui
z la persistance de l’individualité animique, même après la mort de l’
homme
: « Quand nous désignons le corps par le nom de
ablissement des bains Deligny, lorsqu’il vit apporter sur la berge un
homme
jeune encore ne donnant plus signe de vie, et don
et dont les traits décomposés avaient une apparence cadavérique. Cet
homme
s’était affaissé sur lui-même un peu après sa sor
conscience de l’activité du système cérébro-spinal sur l’organisme. L’
homme
ne connaît pas les limites de son action nerveuse
de généraliser la conclusion, et de formuler cette proposition : L’
homme
par son action mentale peat produire sur son syst
t où nous en sommes parvenu, il suffirait d’énoncer le principe : L'
homme
peut dans sa mémoire trouver le souvenir des moye
nscience de l’impression, de sorte que nous ne pouvons admettre que l’
homme
sache, au besoin, se rappeler comment telle ou te
urement pratiques de l’art des impressions mentales, la présence d’un
homme
expert étant indispensable pour diriger les comme
e, en voici un des plus singuliers. « Une jeune personne, mariée à mi
homme
quelle aimait peu , fut prise de catalepsie huit
à ma vue. « Un des marins m’adressa la parole, et quoique ce fit un
homme
de peu d’éducation , ainsi que ses camarades, il
ts à bord du vaisseau par celui qui nous avait parlé le premier ; cet
homme
s’était emparé du commandement et avait dirigé to
te et l’avait trouvée d’accord avec la raison et les aspirations de l’
homme
, et avec ce qu’il avait étudié de la nature (et c
l avait étudié de la nature (et ce n’est pas peu dire, car c’était un
homme
fort instruit). 11 se trouvait sur le vaisseau, v
grande doctrine du progrès dont la révélation se fait maintenant à l’
homme
. Je leur rappelai que depuis leur naissance leur
feste non seulement par l’expression, mais par les efforts actifs des
hommes
pour se faire du bien les uns aux autres. C’est c
à leur enseigner les vérités saintes qui vont aussi être révélées à l’
homme
sur terre, et à leur indiquer le chemin des séjou
t toot à la fois la prescience infaillible de Dieu et la liberté de l’
homme
: bien que ces deux dogmes soient difficiles à co
ne soit libre. Quand on descend de la prévision de Dieu à celle de l’
homme
, non seulement les mêmes motifs de conciliation e
’évanouit. En effet, Dieu seul prévoit avec une certitude absolue ; l’
homme
ne prévoit qu’avec une probabilité plus ou moins
qui poursuivait deux enfants. L’accident sembla fort sérieux, et cet
homme
fut relevé et transporté en voiture à. Ste-Mary’s
ser à l'hôpital de la Maison de travail. Le jour suivant, comme cet
homme
s y rendait, il y rencontré dans la rue par une p
ita alors à marcher dans la chambre, ce qu’à son grand étonnement cet
homme
put exécuter sans le secours de ses béquilles. Qu
a brièveté du temps qui avait suffi pour produire tant de bien. Cet
homme
est maintenant un des employés de la paroisse et
IE. Les Américains appellent ainsi l’art de mesurer les esprits des
hommes
. 11 semble bien difficile, pour ne rien dire de p
ence. Comme moyen de connaître et de mesurer les qualités morales des
hommes
, ce n’est qu’une application de la phrénologie, e
faire pour être en état de nous donner avec certitude la mesure de l’
homme
. 11 n’y avait donc aucune nécessité de forger le
noise a recueilli à dix milles à l’est de Tavoy. Les aventures de cet
homme
méritent de vous être contées. 11 y a sept mois
s de cet homme méritent de vous être contées. 11 y a sept mois, six
hommes
de Tavoy s’embarquèrent pour aller dans celle des
é de la récolte à l’expédition arrivée la première sur les lieux. Les
hommes
de Tavoy étaient depuis un jour ou deux à Bundur,
s, leurs prétendus amis les attaquèrent h. coups de mousquet. Des six
hommes
de Tavoy, trois étaient dans l’eau, les trois aut
d’en sortir. Mais toutes les embarcations avaient été prises par les
hommes
de Moulmein. Une nuit, le nou- veau Robinson rê
ant le 1" semestre de 1856. Sur 458 personnes magnétisées, dont 328
hommes
et 130 femmes, on compte 350 personnes sensibles,
130 femmes, on compte 350 personnes sensibles, et sur ce nombre, 234
hommes
et 116 femmes. Enfin, sur ce nombre de 350, ou
ce nombre de 350, ou en compte 47 très-sensibles, parmi lesquelles 25
hommes
et 22 femmes. Baron DU POTET. Le Gérant : HÉB
e des gens qui diront que les chats y voient la nuit, et que certains
hommes
peuvent avoir des yeux de chat. Passe pour cette
t. Cette conclusion me semble irréfutable, et l’opinion contraire d’
hommes
d’ailleurs très-savants, mais qui n’ont pas suffi
loppes. La somnambule continuant annonce que ce sont des cheveux d’un
homme
brun ; un oui fut répondu par le général. Mmc Ogi
! (Oui). — Il y a déjà longtemps ; géné-néral, vous l’avez connu, cet
homme
? Il était de taille moyenne, il avait le cou cour
montre que, sur des points différents et sans s'être communiqués, des
hommes
qui sont étrangers l’un à l’autre peuvent se renc
on , j’ai marqué mon pas peut-être sur le sable, car je vois déjà des
hommes
cherchant à en effacer la trace. Peu m’importe ;
t de bons fruits ; mais que la vérité soit connue pour le bonheur des
hommes
. Celle-ci est téméraire, remplie de dangers, voil
avant leur temps. Divulguer l’avenir n’est pas un bien pour tous les
hommes
: c’est les faire souffrir deux fois, c’est les m
s’y préparent, et que la résurrection d’une chose antique trouve les
hommes
forts du passé pour en tirer ce qu’ils savaient d
es villes , des édifices, des campagnes, des animaux , et surtout des
hommes
avec lesquels l’opérateur parle, et ceux-ci répon
les sciences qui s’y attachent, et pouvoir apprécier les travaux des
hommes
éminents qui ont consumé leur vie à la recherche
son habitude, il aurait dû au préalable étudier avec plus de soin les
hommes
et les choses qu’il soumet à sa critique. La mani
r des vieilles mythologies d’après lesquelles Dieu aurait départi à l’
homme
de brillantes facultés en lui défendant de les ex
our que ta destinée soit ainsi tourmentée 1 II est vrai que parmi les
hommes
qui ont voulu paraître servir le magnétisme, un t
ure du particulier au général ? Et que pense M. l’abbé Rohrbacher des
hommes
qui traitent la religion catholique d’une grande
istoire et la doctrine du magnétisme, M. l’abbé s’est rangé parmi les
hommes
sans logique et parmi les paresseux pour n’avoir
? Dire que c’est la somnambule seule qui agit, n’est possible qu’à l'
homme
de mauvaise foi ou à celui qui n'a point expérime
nce sur moi fut quelque chose d’inexplicable. Je n’étais plus le même
homme
, quelque chose d’un autre monde avait passé en mo
que dépourvu de tout intérêt mercantile et désigné uniquement par des
hommes
préoccupés de l'avancement do la science et de l'
icains. C’est précisément le contraire qui a lieu. En France, des
hommes
d’une haute intelligence, de-profonds penseurs, s
’esprit de son père. ; Mon fils, en vous parlant des destinées de l’
homme
, je tâcherai, suivant l’étendue de ma capacité et
« La région adjacente à la terre , scène première de l’existence de l’
homme
, est connue sous le nom de sphère rudimentaire.
du ciel et de la terre ; à tout ce qu’il est donné à l’esprit de l’
homme
de concevoir et d’embrasser. Les sciences sublime
nde sera-t-il marié dans le ciel? Je réponds : Oui, certainement. L’
homme
n’a pas été créé pour vivre seul sur la terre et
tique dont les courants vivifiants pénètrent l’organisme spirituel. L’
homme
, dans-l’état rudimentaire, se compose de trois pa
ues instants est parfois développé à un très-haut degré chez certains
hommes
, surtout chez ceux que distinguent la force du te
près saint Médard, vécurent ;\ l’abbaye de Lobbes , eu Belgique, deux
hommes
non moins célèbres par leurs vertus curatives, et
démie des Gaules, que distinguèrent ses richesses, la foule de grands
hommes
qu’elle a produits, s’élevait non loin de nos fro
urs, les abbés saint Urs-mer et saint Erme. (iUrsmer surtout fut un
homme
fort remarquable, comme on peut le voir par sa vi
Tlié-baïde, des fakirs de l’Inde et d'une foule d’ascètes, de saints
hommes
, montrent que quand un pareil détachement de la v
lieu (1) Voy. la vie de ce saint dans les Bollandiitei. citez des
hommes
éclairés, d'une foi vive , etc. , il donne à leur
n plus puissant ascendant moral sur le vulgaire. Ursmer fut un de ces
hommes
, et la légende a enregistré les nombreux miracles
enri, évêque de Cambrai, ou Gilles Nettelet, n doyen de la cathérale,
homme
de toute vertu, se présentait « pour les exorcise
t vers M. Gilles Nettelet, licencié en théologie, doyen « de Cambrai,
homme
fort dévôt, lequel avec M. Nicol Go-« nor, docteu
ite à quelques lieues de là, près'de la petite ville de Beaumont. Cet
homme
, appelé Jacqûis, est un vieillard d’un esprit tou
e étant le remède le plus approprié à la circonstance. • A quoi cet
homme
doit-il cette faculté étonnante, aujourd’hui parf
admette. Sa démonstration raisonnée viendra peut- être plus tard. L’
homme
est bien loin de tout connaître, il ne fait que m
s bien de ces hypothèses hasardées. Gardons-nous surtout d’imiter ces
hommes
pleins de suffisance, et d’un systématique scepti
és est passé. C’est ce qu’il importe de rappeler avant de parler d’un
homme
qui exerce une attraction puissante sur une multi
homet et des Jo. Smith. D’ailleurs, ce n’est ni d’une apologie de l’
homme
, ni d’une justification de son système, ni même d
envoyé spécial de la Divinité. Bien loin de là, il passe en revue les
hommes
qui se sont prétendus investis d’une pareille mis
t des êtres par des lois nécessaires de l’innocence primitive de tout
homme
, du perfectionnement social et de l’immortalité p
indifférence respectueuse. Mais la neutralité ne saurait convenir aux
hommes
. Quand ils cessent d’admettre un symbole religieu
uérie. — C’est impossible, lui dis-je, le mal est trop sérieux- —
Homme
de peu de foi, reprit-elle, heureusement que le m
blement abrégée : Preuves d'immortalité. —Rien n’intéresse autant l’
homme
que de savoir s’il doit mourir à la dissolution d
ure ont été en si petit nombre et si obscures, qu’il n’y a guère eu d’
hommes
intelligents qui ne se soient préoccupés avec anx
it en avoir été les témoins, il a été insuffisant pour la plupart des
hommes
, car, disent-ils, si le retour d’un esprit est un
hrist. Mais on affirme que celui-ci était quelque chose de plus qu’un
homme
; et si cela était vrai, nous ne serions guère aut
leurir et porter leurs fruits dans une vie éternelle. Considérons l’
homme
et les faits, et supposons une expérience : voici
sidérons l’homme et les faits, et supposons une expérience : voici un
homme
vivant, et dans le parfait exercice de ses facult
us recourons aux procédés chimiques et à tous les moyens connus, et l'
homme
physique se trouve là tout entier. Le savoir huma
er. Le savoir humain ne va pas jusqu’à découvrir ce qui constituait l’
homme
réel : on constate seulement qu’il n’est plus là.
nces de chimie, de mécanique, d’optique, ne peuvent faire découvrir l'
homme
essentiel. On en poursuit l’ombre en arrière, et
ans la terre et dans l’atmosphère. Et voilà quelle serait la fin de l’
homme
d’après les sciences acceptées ! Et c’est ainsi q
elle accepte tout ce qui a été connu jusqu'ici, et elle montre que l’
homme
réel, dans la vie terrestre, est l’esprit, qui do
matière et se retrouver au-delà de la tombe. La double nature de l’
homme
est évidente. Quand non* avons commencé l’exame
ions. Et puisque tous les éléments appréciables par la science dans l’
homme
vivant se retrouvent dans le corps inanimé , la d
me vivant se retrouvent dans le corps inanimé , la double nature de l’
homme
est évidente : la conscience, l’intelligence, le
dans les creusets, ni retrouver par d’autres moyens scientifiques L’
homme
réel a donc quitté le corps. Tout ce qui s’est
spire de la vie. Ces paroles du Christ : u Dieu peut faire sortir des
hommes
de ces pierres » renfermaient une grande vérité :
l’analogie, est-il raisonnable de nier la continuité d'existence de l’
homme
? On 11e distingue pas mieux les lignes de démar
formes de la vie, dans les minéraux , les végétaux , les animaux et l’
homme
, que l’on ne précise la séparation des couleurs d
résulter de la combinaison de lous les éléments, comme il en est de l’
homme
avec les éléments connus jusqu'ici. 11 ne s’ens
ivent être appréciables à nos sens. L’œil ne peut pas tout voir, ni l’
homme
tout savoir : ses capacités sont relatives à la s
llement raffinés, qu’ils dépassent de beaucoup les appréhensions de l’
homme
ici-bas. U est très-probable, pour ne rien dire d
’homme ici-bas. U est très-probable, pour ne rien dire de plus, que l’
homme
, dans sa condition immédiatement supérieure, ne p
ose est sorti du corps humain que nous avons examiné, ou plutôt que l’
homme
a quitté le corps. II nous faut maintenant tâcher
r à l’obsession de ces compagnes invisibles. Vous comprenez qu’un tel
homme
doit être à la mode, et c'est à qui le recevra, l
imal est une manifestation passagère de la domination originelle de l’
homme
sur la matière, un retour d’un instant à la royau
chée de la Providence , est, sans nul doute, la matérialisation que l’
homme
fit subir à son essence en transportant la vie de
itions mythologiques. Rien n’est moins démontré que la déchéance de l’
homme
. L’histoire nous enseigne au contraire qu’il n’a
st encore l’état des peuples restés en dehors du mouvement général. L’
homme
civilisé n’a rien à envier à l’homme primitif, et
n dehors du mouvement général. L’homme civilisé n’a rien à envier à l’
homme
primitif, et, comme l’a dit Fourier, F Age d or,
e. En s’en tenant même aux textes sacrés, on ne voit aucunement que l’
homme
, avant sa sortie de l’Éden , ait joui de facultés
ous explique pas en quoi consistait cette royauté. La domination de l’
homme
sur la matière s’exerce actuellement par l’indust
lui demandèrent si cette infirmité avait pour cause les péchés de cet
homme
ou de ses parents ; Jésus leur répondit que ce n’
re. La religion enseigne que ce n’est pas en ce monde terrestre que l’
homme
de bien doit attendre la récompense de ses bonnes
n d’une grande vérité qu’il a reconnue , c’est « qu’il existe entre l’
homme
et la matière sur laquelle il a reçu le don d’exe
le solidarité de bonne ou de mauvaise direction. » Oui, sans doute, l’
homme
est appelé à façonner, à embellir et améliorer le
ique ; ce sera là, suivant lui, la médecine de l’avenir ; par là «. L’
homme
fera rayonner sa vie sur ceux de ses frères qui,
s en dehors du cours ordinaire des lois qui régissent l’humanité; les
hommes
qui, de loin en loin, exécutent des œuvres transc
f est un des mille bienfaits apportés sur la terre par le Sauveur des
hommes
(page 151), pourquoi sera-t-il interdit de ranger
mps double , triple, décuple , etc., la distance qui sépare Dieu de l’
homme
, l’infini du fini. I)e ce qu’un homme s’élèvera à
a distance qui sépare Dieu de l’homme, l’infini du fini. I)e ce qu’un
homme
s’élèvera à un degré que je ne puis atteindre, je
que les miennes, mais je ne pourrai conclure, ni qu’il est plus qu'un
homme
, ni que ce qu’il fait soit contraire aux lois de
est inoculer son essence vitale dans les membres de son sujet; chaque
homme
a un rayonnement spécialisé par son individualité
nt possède une vertu d’une bienfaisance d’autant plus puissante que l’
homme
est plus vertueux. » D’où il conclut que les guér
empresse de détruire ce qu’il vient d’édifier, en ajoutant : « Plus l'
homme
se rapprochera de Dieu par l'amour et la prière,
me une longue lettre de M. Ch. W. Cathcart, ancien membre du congrès,
homme
fort recommandable, qui nous raconte comment il a
médium fit uu long ei beau discours; il s’éleva avec force contre les
hommes
qui se disent seuls religieux , seuls vrais chrét
de vous satisfaire et peut-être de vous convaincre, si tant est qu’un
homme
convaincu par l’expérience répétée, vérifiée et c
nt une électricité correspondante produite par la pile cérébrale de l’
homme
; cette électricité de l’âme, cet éther spirituel
de mal. Enfin Mesmer est venu. Ce phénomène est aussi ancien que l’
homme
, puisqu’il lui est inhérent. Les prêtres de l’Ind
répercute leurs rêves et quelquefois l’état de leur conscience. t L'
homme
, en se regardant au miroir de la table, « S'y v
us ne faisons que répéter ici, sans plus espérer qu’on l’accepte. L’
homme
est un microcosme 011 petit monde ; il porte en l
vivons dans un milieu ambiant, intellectuel, qui entretient dans les
hommes
et les choses une solidarité nécessaire et perpét
u’elle éleva avec soin. Jeanne était aussi distinguée par son curé,
homme
instruit et bon Français, qui l’entretenait sans
ans. Le récit des malheurs de la France, des campagnes dévastées, des
hommes
et des femmes assassinés par les Anglais et les B
es filles les desseins qui ordinairement ne sont exécutés que par des
hommes
. Le Parlement, à qui le roi renvoya l’inspirée, f
siasme d’une inspirée et la valeur d’un héros. Jeanne d’Arc, vêtue en
homme
, armée en guerrier, prend le commandement de l’ar
é leur3 affreuses persécutions, et naguère encore il s’est trouvé des
hommes
* rpii ont applaudi au supplice d’Urbain Grandier,
médecins sam médecine. Elle commence ainsi ; « Est-il possible à des
hommes
doués d’une secrète influence magnétique, posséda
ntin Greatrakes, de Gassner et d’un Belge, nommé Driesken Nypers. Ces
hommes
extraordinaires ont pratiqué le magnétisme sur un
s en suivant leur instinct naturel donnent la mesure de ce que peut l’
homme
quand il voudra employer pour le bien de ses semb
, est contagieux en ce qu’il peut frapper et porter à l’imitation des
hommes
prédisposés déjà par une faible organisation. S
ement examiné tout ce qui leur a été rapporté de divers côtés par des
hommes
dignes de foi, touchant la pratique du magnétis
ciences physiques, comme cela devrait se faire, mais pour séduire les
hommes
, avec la persuasion que l’on peut découvrir les c
ortée à ce point, qu'abandonnant l’étude régulière de la science, les
hommes
voués à la recherche de ce qui peut satisfaire
fin que le troupeau du Seigneur soit défendu contre les attaques de l’
homme
ennemi, que le dépôt de la foi soit gardé sauf et
C’est-à-dire que pendant des semaines entières, des mois entiers, des
hommes
sérieux, appartenant au barreau, à la littérature
vements convenus ; soit que ces esprits, inférieurs ou supérieurs à l’
homme
, aient une existence propre, en dehors de l’human
tellites, s'amuserait — ici le mal est bien à sa place — à offrir aux
hommes
une récréation nouvelle, propre à les induire en
e, ce n’est pas l’incroyance de tel philosophe, de tel savant, de tel
homme
d’esprit qui l’empêchera d’exister ; soit. Aussi
specter toutes les croyances ; elles sont une affaire entre Dieu cl l’
homme
. J’avouerai môme que les expériences des tables p
roit, mais encore dans la vraisemblance. C’est aux savants, c’est aux
hommes
instruits et lettrés de nous proposer et de nous
s attendons. Mais quoi ! à quelques exceptions près, les savants, les
hommes
instruits et les hommes de lettres nous prennent
à quelques exceptions près, les savants, les hommes instruits et les
hommes
de lettres nous prennent en pitié ! Les savants v
se contentent de hausser les épaules, et ils passent leur chemin. Les
hommes
instruits et les hommes de lettres ne sont guère
les épaules, et ils passent leur chemin. Les hommes instruits et les
hommes
de lettres ne sont guère plus traitables. Dans le
e. Pauvres savants ! pau~ — flùâ — vres tommes instr»!*»1 pauvres
hommes
de lettres! Vous n’avez pas vu, vous n’avez pas e
u es ici?___Oui. — As-tu fait un long trajet pour venir? — Non. — L’
homme
peut donc t’évoquer? — Oui. — N’y a-t-il que les
de scruter les mystères de la seconde ? » J’ai entendu dire par des
hommes
graves : « Mais à quoi bon ? où cela vous mènera-
conclusion , fût-ce à cette dernière. Dieu n’a-t-il pas autorisé les
hommes
à discuter entre eux les merveilleux secrets de l
erflue. Mais ce serait une qualification bien indulgente. Si quelques
hommes
timorés avaient des scrupules sur l’emploi des ma
ement que ceux qui se livrent à toute autre opération du domaine de l’
homme
, sans que l’erreur frappe nécessairement leur tra
e, ne peut donc jamais produire rien de surnaturel. Les facultés de l’
homme
ne peuvent ôtre que naturelles : donc l’applicati
pourquoi, de femmes au tempérament débile, bien qn*un grand nombre d’
hommes
soient mis journellement en som--Dambulisme et jo
te si la condamnation est applicable au cas où l’on n’emploie que des
hommes
. On s’élève contre ceux qui « prétendent voir t
même quand la confiance est mal placée; sa position est celle de tout
homme
qui cherche à s’instruire et qui s’adresse aux pe
; ce que fait le clairvoyant pour le myope, le lucide le fait pour l’
homme
ordinaire. Découvrir les choses éloignées, c’es
st-ce parce qu’il est dû à des facultés que ne possèdent pas tous les
hommes
î 11 y a là un vice de raisonnement palpable ; ca
ous les hommes î 11 y a là un vice de raisonnement palpable ; car les
hommes
sont doués inégalement par la nature, et quelques
seurs des juges qui ont condamné Galilée. Les découvertes de ce grand
homme
importunaient 1*Eglise et paraissaient inconcilia
nt inconciliables avec l’orthodoxie ; aussi on les anathématisa, et l’
homme
de génie contraint par la violence à les désavoue
anf. savant. ... Le secret que je possède pour communiquer avec les
hommes
, c’est le magnétisme. Certains animaux comme cert
avec les hommes, c’est le magnétisme. Certains animaux comme certains
hommes
sont doués d’un fluide qui développe un état myst
onde inconnu. Les femmes sont plus généralement somnambules que les
hommes
, de même les hommes sont plus généralement magnét
femmes sont plus généralement somnambules que les hommes, de même les
hommes
sont plus généralement magnétiseurs. Vous ne vous
société : il s’y trouve des médecins, des savants, des artistes , des
hommes
versés dans toutes les branches des connaissances
es branches des connaissances ; il s’y trouve aussi des artisans, des
hommes
de labeur, aux vêtements plébéiens, aux mains e
amment à la propagation du magnétisme ; elle compte dans son sein des
hommes
de cœur,, dévoués; et intelligents, dont le conco
moindre soupçon de charlatanisme. II s'agit seulement de trouver des
hommes
experts dans cette nouvelle branche des sciences
aits constatés, nous ne pouvons jamais affirmer que la puissance de l’
homme
ne parviendra pas à franchir la ligne qui jusqu'i
organisations les plus parfaites, et qu’il n’est pas au pouvoir de l'
homme
de faire jaillir à son gré ; elle n'éclaire qu’un
a cause du mouvement des tables est le fluide vital à l’aide duquel l’
homme
peut mouvoir sans contact les corps inanimés; c’e
uire, 253. Psychométrie, ou art prétendu de mesurer les esprits des
hommes
au moyen de rapports sympathi- CONTROVERSES.
rit de Mesmer sur les merveilles par lesquelles Dieu se manifeste aux
hommes
, afin de les ramener au bien, 30. Monde (le) de
S POSSÉDÉES DE LOUWE&S.' ' 1 Les sceptiques, les railleurs, les
hommes
légers qui jugent de tout sans connaître , traite
ssibilité d’en faire presque des anges. C’était, dit la chronique, un
homme
d’une démarche grave et mesurée; ses yeux baissés
importait peu do s'abandonner ou non aux souillures du corps ? Tant d'
hommes
en délire, mais dont la ferveur était sincère, do
ra le jouet de forces inconnues, extraordinaires ou de la volonté des
hommes
de leur entourage, qui par la fascination magnéti
lait pas qu’elle révélât rien de « ce qu'il lui disait, parce que les
hommes
ont des con-( naissances trop basses pour compren
un bouquet * de myrte et sur son bras comme un cachet; malheur n à l’
homme
qui se confie à l’homme : dès qu’on recherche « l
t sur son bras comme un cachet; malheur n à l’homme qui se confie à l’
homme
: dès qu’on recherche « l’approbation de l’homme,
me qui se confie à l’homme : dès qu’on recherche « l’approbation de l’
homme
, Dieu s’éloigne : c’est un maître « qui ne veut p
ares épouvantables dans les cheminées et des sons de plusieurs voix d’
hommes
dans les dortoirs. Une sœur plusieurs fois fut en
reux fit venir, au monastère le provincial des capucins de Normandie,
homme
très-expert en matière de conjurations, prédicate
ultat de quelque maladie, ils prirent la précaution de s’adjoindre un
homme
de l’art dont les lumières pussent les guider. Ce
adjoindre un homme de l’art dont les lumières pussent les guider. Cet
homme
de l'art fut le sieur Ivelin, médecin ordinaire d
mmés par la reine. Nous reproduirons leur rapport, attendu qu’émané d’
hommes
de l’art, il offrira un caractère d’autorité que
feuille de papier. Ce que l’on a essayé plusieurs fois à l’ayde de 6
hommes
toujours inutilement : et incontinent après se re
torture. Mais cela ne prouva rien aux juges ; selon de Bosroger, cet
homme
avait reçu le don de taciturnité. Mais, malgré so
on silence obstiné, il n’en fut pas moins déposé contre lui : Ou’un
homme
harassé de fatigue, se trouvant encore à plus •d’
a et arriva presque aussitôt et sans se donner de peine ; que le même
homme
s’étant plaint à lui ■ desobstacles qu’il éprouva
la curiosité, l’intérêt se mêlaient à une certaine frayeur que tant d’
hommes
, de femmes et d'enfants entourèrent le bûcher qui
s, cette grande vérité était étouffée dans la flamme des bûchers. Les
hommes
qui avaient découvert le secret de cet agent form
dérer comme des démons, comme des puissances ennemies éternelles de l’
homme
et en lutte continuelle avec Dieu. Eh bien! cette
s, des femmes nerveuses, atrabilaires, exaltées. Et voilà comment les
hommes
de l'école sceptique écrivent l'histoire, nient l
rêtre David, directeur primitif du couvent. Pour lui, le témoignage d'
hommes
honorables et do bonne foi qui ont vu, minutieuse
qui n’a rien vu, il prélend en savoir plus que des témoins oculaires,
hommes
honorables et désintéressés. Cependant il convien
eur de tout ce qu’on lui avait imputé, Laugooi* assure que c'était un
homme
pieux et éclairé, et il cite à ce sujet des ouvra
ces deux arbres, il y a de l’or. Voici un rivage désert, il y a un
homme
assis qui parait fort triste, il est seul... Ah !
ndistinctement des mots âme ou esprit, connue on le fait souvent. L'
homme
, selon moi, est composé d’une âme, d’un corps org
rveau pour penser et connaître, à cause de la situation complexe de l’
homme
. Mais, sous l’influence magnétique, il y a engour
ur deux ; il serait bien malheureux qu’ils se trompassent toujours. L’
homme
, dans son état ordinaire, est sujet à l’erreur, e
l'unisson Le personnel de la maison. Quand cette folie agrippe son
homme
, Il faut qu’on le lie ou bien qu'on l'assomme;
tinguée par ses qualités personnelles et veuve d’un des plus célèbres
hommes
d’Etat de l’Amérique, paraissait ne compter que d
s célèbres hommes d’Etat de l’Amérique, paraissait ne compter que des
hommes
d’un parfait savoir-vivre, offrait néanmoins une
piano fut agité d’un mouvement de bascule très-violent. Le poids d’un
homme
placé sur le meuble ne put le retenir... » 0 mo
ce de la retenir ; balancement violent d'un piano avec la charge d’un
homme
par-dessus; symphonie d'instruments!... tout cela
é à mettre en doute 1e. bonne foi du professeur. Que voulez-vous, cet
homme
est lui-même une victime plus à plaindre encore q
rnières années* été constatés en différents lieux par des centaines d’
hommes
d’intellig;euce, j» me sens disposé à répéter hum
firmée par serment devant moi, « Henri Chapin, juge de paix. » Un
homme
dont le nom, respecté de tous les savants du glob
entricités de la table. Tout à coup une force invisible les enlève, l’
homme
et la chaise, et les balotte dans l’espace, l’un
nne de sorcière, et vous les voyez sourire de ce sourire maladif d’un
homme
qui a vu un revenant. Ils croient fermement au sp
ertificats un total de seize personnes.) Un médecin très-estimé, et
homme
fort grave, M. le docteur Neidhard, de Philadelph
Monmouth, à cinq milles de la petite ville maritime de Red-Bank. Cet
homme
n’est point spiritualiste, dans ce sens qu’il est
/est pas incompatible avec celle du magnétisme. Om . >f i■ / « L'
homme
, disait Pascal, n’est absolument ni ange, ni bôte
absolument ni ange, ni bôte, pensée que j’interpréterai en disant : L’
homme
est rai composé d’une substance spirituelle, Ame
n. Un rapport substantiel, vital et intime s’établit entre l’âme de l’
homme
élevé à cet état particulier que le magnétisme pe
corrigée par l’expérience. Ce nouveau travail, de l’avis que tous les
hommes
compétents ont ¿mis, est bien supérieur à son aîn
ême main eurent été actionnés, elle dit entendre un concert de voix d'
hommes
et de femmes, qui exécutaient divers morceaux, et
voir de a lui-ci, quand le médium fut entrancé, on lui amena le jeurt
homme
. Œil-de-Pigeon déclara qu’il avait des accès, et
excellente santé. « Si la connaissance n’a pas été communiquée aux
hommes
par les esprits, d’où vient-elle? « Beaucoup de
n’autorise à recourir à une pareille intervention. Nous savons que l’
homme
peut exercer sur son semblable une action salutai
doute est né dans mon esprit? Est-ce que je ne dois pas la vérité aux
hommes
qui croient en ma sincérité et en ma prudence ?
contre le scepticisme que nous avait légué le dix-huitième siècle : l’
homme
a besoin de croyances religieuses, il ne peut se
certifie avoir obtenu des mouvements sans contact ; la relation d’un
homme
aussi distingué, aussi recommandable, a produit u
s faits semblables et même de plus étonnants ; mais chaque fois qu’un
homme
doué de quelque sagacité pénètre dans ces cénacle
aites, et ce sera, je crois, la conclusion à laquelle s’arrêtera tout
homme
de bon sens, tant que denouvelies expériences, fa
Mirabeau, Châteanbriand', etc., et les écrits immortels de ces grands
hommes
. Cette disparité si choquante devrait suffire pou
obtienne le succès que devrait lui assurer le mérite de l’auteur. Les
hommes
de science y verront un livre de dévotion et regr
Cette précaution était d’autant plus opportune que, signé du nom d’un
homme
qui a souvent encadré un fond historique dans les
fait tenir à ses dieux pour délibérer sur les actions de ses héros. L’
homme
, selon sa nature particulière qu’il a puisée dans
. Dans l'état actuel des choses, nous croyons qu'aux yeux de tout
homme
un peu adonné aux expériences de la magie, l'inte
point commis de crimes, Monsieur, mais seulement des « fautes. Comme
homme
, j’ai abusé des voluptés de la chair, « mais je m
Pour satisfaire des passions auxquelles il ne sut pas résister, cet
homme
n’avait-il pas craint de troubler le monde surnat
deaux fournit encore un nouveau directeur à ce cornent. Ce fut Surin,
homme
d’une ardente charité, d’une piété évangélique, s
dente charité, d’une piété évangélique, surnommé par les biographes l’
homme
de Dieu, qui fut désigné pour remplir le poste va
et qu’on ouvrait la porte, on trouvait le cheval couché par terre, l'
homme
étendu à côté de lui et jouant avec lui comme 111
n d’une des plus difficiles épreuves par lesquelles l’habileté de cet
homme
ait eu à passer. Il s’agissait d’un cheval qu’on
aître. On examina le cadavre. Pain t de cicatrice au genou! — Cet
homme
ressemble étonnamment à Jules ; mais ce n'est pas
its et à la possibilité où ils se trouvent de guérir par ce moyen les
hommes
avec lesquels ils sont ou ont été mis en rapport.
itualisme, mais on y-arrivera quand on y sera plus familiarisé. L’
homme
en magnétisant exerce une action sur son semblabl
elle ou artificielle sinon sur tous, au moins sur un certain nombre d’
hommes
. On peut donc être conduit à conclure, par analog
onc être conduit à conclure, par analogie, qu’ils pourraient* sur ces
hommes
, amener des modifications en bien et eu mal, des
ve, bien que je n’aille pas jusqu’à dire, comme on l’a fait, autant d’
hommes
, autant de sentiments. Le sens commun consiste da
commun consiste dans l’ensemble des idées admises par la majorité des
hommes
; il change donc aussi avec les généraiions et ave
ceux de l’ordre spiritualiste, n’étant admis que par la minorité des
hommes
, étant surtout peu compris et encore moins expliq
Qu’est-ce que c’est qu’une femme qui a la clef de l’appartement d’un
homme
dans sa poche, qui va ;'i toute heure chez lui ?
esser des prières ferventes à l'E-ternel de vouloir bien indiquer aux
hommes
un moyen infaillible de raffermir la foi en l’imm
e magnétisme n’envisageant que les forces naturelles propres à chaque
homme
, dont son côté est le principe ou le foyer, la ma
que de ses élans audacieux et de ses généreux enorts. Cest si peu un
homme
ordinaire que, ne sachant pas écrire, Il a encore
t un cultivateur américain, qui n’a jamais eu la prétention d’être un
homme
de cheval, comme on dit dans la langue du sport.
rquable de M. Jourdan, sur le livre intitulé Clef de lu Vie, que deux
hommes
de lettres ont offert au public comme ayant été d
était ministre de Russie à Stuttgardt, il rêva que son cuisinier, —un
homme
illustre, Gruyère, qui est oncore au service du p
Russie, ayant un écusson sur le cœur au lieu d’une barde de lard. Un
homme
en habit tout brodé, un crêpe au bras, avait remp
uisine et vit avec terreur que le récit était exact. A son arrivée, l’
homme
en habit brodé se leva. Le prince reconnut M. de
de lui-même, voit, sent et dit des choses qu’enfermé dans son âme, l’
homme
ne connaît pas. Ainsi, l’esprit du somnambule mag
ense destiné à guérir la plupart des maux de l'humanité; mais comme l’
homme
est un être borné, il en abusera, ("est un lien d
he qui conduira plus docilement la pensée des esprits à la pensée des
hommes
; car le meilleur magnétisé, se trouvant presque
s grand des exorcistes. Il est fâcheux qu’il ne se soit pas trouvé un
homme
comme moi pour mettre à la raison tous les diable
aite, non à des esprits incorporels d’un ordre quelconque, mais à des
hommes
terrèstres, et a le grave [inconvénient de leur i
membres sur les membres correspondants de cet enfant, j’ai jugé que l’
homme
de Dieu est appelé, aussi bien que le médecin, à
on verra que le spiritualisme a déjà de profondes, racines et que les
hommes
de sciences sont tout prêts d’accueillir les nouv
des organes ; qu’on ne peut constituer véritablement la science de l'
homme
sans admettre la dualité du dynanisme humain, de
t pas. celui de la science. « Il nous suffit de montrer que; dans l’
homme
, la vitalité organique et les déterminations de l
ien découvrir et de se rendre compte de ce qu'ils entendaient. « Un
homme
de service à l’hôpital, soupçonné d’être l’auteur
ualiste. A quoi comparerai-je le magnétisme ? Je le comparerai à un
homme
. Les faits physiologiques sont comme les membres
is c’est un fait doublement grave quand il se produit de la part d’un
homme
qui occupe dans la science magnétique une positio
une importance majeure. Si le tabulitme est devenu une religion, si l’
homme
a mis ses dieux dans de9paniers, est-ce aux table
humaine (imbecillittts kwnana, comme dit un ancien) ; quand je vois l’
homme
fermer l’oreille aux choses vraies qui lui sont c
aissances certaines sur toutes choses qu’ils sont éloignés d’avoir. L’
homme
aussi est un esprit, combien n'a-t-il pas bâli de
11 ouvre la porte... Mais, au lieu d’entrer, il recule à la vue d’un
homme
qui, dans le simple appareil..., dort tranquillem
assis sur la banquette du fond. Le sacristain appelé reconnaît notre
homme
. C'était tout simplement, à ce qu’il paraît, un s
l’action du magisme ; je veux bien le croire sur votre parole, car un
homme
qui a été au Brésil, et qui cite le Ko-ran, doit
ue «Dieu seul accorde la science et la connaissance des choses à tout
homme
de bien qui, par la prière, ne la demande que pou
caractères. Mais il est une autre catégorie d’individus. Voyez cet
homme
plein de force, de joie, d’enthousiasme ; la vie
naient de naître. Il est bien remarquable que la plupart des grands
hommes
n’ont pas fait leurs études dans les collèges, ou
es, des fous, car chez nous le génie est la suprême folie (1). Mais l’
homme
intelligent reconnaîtra le cachet des hommes d’él
suprême folie (1). Mais l’homme intelligent reconnaîtra le cachet des
hommes
d’élite, les seuls capables de grandes choses. Ce
sont les seules capables de fairelesgrands scélérats comme lesgrands
hommes
de bien. Depuis l’individu qui est le moins bon
e de la religion et de la science les réunisse dans la tête d’un seul
homme
de génie : l’apparition de cet homme ne saurait ê
réunisse dans la tête d’un seul homme de génie : l’apparition de cet
homme
ne saurait être éloignée et peut-être existe-t-il
nous sommes d’accord. C'est-à-dire que les facultés instinctives de l’
homme
, développées spontanément ou sous l'influence des
lentes et à distance qui guérissent ou modifient l’état maladif de l’
homme
. C'est que ces deux choses sont inhérentes à la n
deux choses sont inhérentes à la nature humaine et qu’elles suivent l’
homme
dans tous les lieuj et dans tous les temps. Voilà
a complètement ce quirelevait de l’intuition et des forces vives de l'
homme
, en sorte qu'aujourd’hui-la séparation est telle
terre ont des propriétés qui modifient profondément 1’éco.iomie de l’
homme
; témoins : le pavot et la belladonne qui donnent
rer les effets produits par certaines substances sur l'organisme de l’
homme
, de tirer des déductions positives sur le rapport
par une nouvelle création, pouvoir au-dessus des forces limitées de l’
homme
? Les moyens dont le médecin peut disposer étant
le a reconnues. Elle nie les deux forces vives qui donnent la vie à l’
homme
, forces dont il peut disposer dans certaines mesu
le même objet pour étude et pour application pratique, c'est-à-dire l’
homme
. Sans doute la génération médicale actuelle recev
nous sans doute, mais notre œuvre nous survivra, car ce n’est pas des
hommes
que nous devons nous préoccuper, mais bien de la
Or, il faudra nécessairement que ces deux parties de la science de l’
homme
se retrouvent, après avoir été séparées durant ta
euvent faire alliance, comme sciences, en peut-il être de même pour l’
homme
? c’est-à-dire le médecin et le magnétiseur peuven
uage s’épaisissant davantage produira bientôt la nuit de l'esprit ; l'
homme
rendu bêle, c’est le meurtre et l’incendie; c’est
a vieillesse des traditions, les soupiraux de l’âme s’oblitèrent et l’
homme
ne voit plus que la terre. La science physique
'amour de l’or remplace l’amour de l’humanité, ce qui doit relier les
hommes
est sans force, ce qui les divise a la toute-puis
ar le titre ; selon lui, le magnétisme est une action, produite par l’
homme
revêtu du corps tcrroüUv, ¡c spiritualisme cs
oüUv, ¡c spiritualisme csl une action d.' mémo nature, produite par l’
homme
dégagé de son corps. Los faits de sorcellerie et
de ces catégories, et appartiennent à l’ordre naturel, l’action de l’
homme
dégagé du corps étant tout aussi naturelle, tout
t aussi conforme aux lois universelles et immuables que l’action de l’
homme
corporel. Cette identité des phénomènes du spirit
ssent la tête. Or, un léger frôlement répété, exercé par la main de l’
homme
sur ces muscles, exactement sur le sommet de la t
a guérison de ma Glle, puisqu’après avoir été traitée en vain par les
hommes
de l’art les plus éminents, je la croyais sourde
ru-net de Ballans, et m'empresse, par ces présentes, à rentlre à. cet
homme
de bien, ainsi qu’à l’art bienfaisant qu’il profe
r mot de la création ; il y a quelque chose d’inconnu entre Dieu et l’
homme
, et la dignité de celui-ci, sa science, son bonhe
il se tourmente sur sa couche * et, ne trouvant aucun but à la vie, l’
homme
, à force de rêver, devient semblable au fou. Il n
, il tue : voilà son existence et le bonheur dont il jouit ! Pour l’
homme
rassis, quel affreux spectacle que ce dérèglement
Il voit chaque nation avoir son Dieu, ses saints, son paradis, chaque
homme
prendre ses visions pour des réalités. Ne lui sem
in du,spiritualisme, nous n'avoua qu'un ImU, éveiller l'attention des
hommes
forts et,la porter succès dioses nouvel les ipour
ux de l’humanité et démontrent qu’il y a là quelque chose d’utile à l’
homme
. Attachons-nous à ce bien, et quantà la cause, el
igion est uu ensemble de préceptes et de moyens j à l'aide desquels l’
homme
parvient à rr-Uer (rvliyurc) avec Dieu et les êtr
apprend son immensité. Or, que nous a-t-elle appris ? Le voici : L'
homme
est un composé trinaire : puissance animique, ess
matière. Par la fusion de l’essence de la vie, il s’établit entre l’
homme
et ses semblables une communion intime. Des fac
fois et par intervalles les faits enveloppés dans la nature même de l'
homme
, les peuples les rattachaient à des causes divers
facultés humaines, àcause de l'ignorance relative de la science de l’
homme
, proscrivit ces faits et principes comme antipath
t depuis l’origine du monde. Voyez en eflet cette concordance : i L’
homme
est âme, esprit et corps. Anima spiritus et corpu
est âme, esprit et corps. Anima spiritus et corpus. (Saint Paul.) L’
homme
a possédé des facultés supérieures à celles dont
Au-dessus de lui, il existe une hiérarchie d’ètres avec lesquels l’
homme
peut continuer selon certaines conditions inconnu
a prière , la sainteté et la charité sont les vertus par lesquelles l’
homme
obtient le secours direct, la grâce divine, le ra
roduisons. Vous trouverez une analogie, parce que, encore une fois, l'
homme
possède des facultés qui sont l’image de celles q
rendrez la sagesse, la puissance ties sacrements, qui infusent dans l’
homme
la rie divine déposée dans des signes sensibles;
pour la vérité; ce sont ces abus, ces déviations de la puissance de l'
homme
sur son semblable; ce sent ces invocations et con
. Bien qu'il existe déjà quelques-uns de ces traités composés par des
hommes
d’un grand mérite, M. Berjot a cru avec raison qu
Mesmer, nous félons, dans un banquet fraternel, l'anniversaire de cet
homme
illustre, de ce génie bienfaisant qui jeta sur la
ière fête se distingue de ses aînées par une réunion plus nombreuse d’
hommes
éclairés et vrais amis du magnétisme: là, était l
Mesdames et Messieurs, Dans ce moment en cent lieux différents, des
hommes
honorables sont réunis pour fêter en commun l’ann
ine l’éclosion ; phénomènes qui font jaillir, dans l’esprit de chaque
homme
, des explications diverses d'une cause unique pou
s premières; l’harmonie pourrait bien être dans les contrastes , et l’
homme
serait contraint d’admirer sans jamais comprendre
ité. Repoussés par les savants, nous sommes accueillis par tous les
hommes
de sens et de raison. En faut-il davantage? (.'es
les quelques voix criardes qui s’élèvent encore viennent d’embryons d’
hommes
et ne méritent point que nous nous arrêtions pour
la marche de toutes les autres découvertes, car ce n’est qu’à coup d’
hommes
et à coup de générations qu’une science se fonde.
t de l’honnêteté dans la pratique. Aujourd’hui on ne choisit plus les
hommes
, on ne leur demande plus qui ils sont, on leur di
r ces divins secrets. Sans doute , les mauvaises passions de quelques
hommes
, turbuleuts et mal élevés, furent combattues ; ma
ue le principe nouveau a opéré en Amérique... Là, nulle contrainte, l’
homme
est libre, et nul ne peut s’opposer à l’émission
omènes nouveaux ont de puissants organes pour se faire valoir, et les
hommes
les plus considérables sont à la tète de ce mouve
voulu le bien. Je laisserai la vérité assez établie dans le cœur de l’
homme
, pour être à tout jamais impérissable ; et s’il n
e n’ai quitté le travail qu’à la fin de ma journée. Gloire donc aux
hommes
qui nous enseignèrent le dévouement à la vérité c
vin qu’on appelle Magnétisme. Je porte un toste à la mémoire de cet
homme
de bien, — A MESMER. Ce toste fut chaleureuseme
pour toute réponse lui jetaient outrageusement le mot impossible. L’
homme
de génie dont nous fêtons aujourd’hui l’anniversa
t pas s’attendre à un meilleur sort. Quand Mesmer vint annoncer que l’
homme
peut, par sa volonté, influer sur son semblable,
veries, utopies, folies ! Cela ne mérite pas même l'exa- nien des
hommes
sérieux qui par dix aus d’études ont conquis avec
s, déifiés. Que l’hommage de sa muse nous dédommage des sarcasmes des
hommes
raisonnables qui ont juré de nous guérir ou de no
tendant à établir des principes que l'on croit vrais et qui portent l'
homme
à la recherche de vérités morales. La parole fu
e intellectuel, c’est là qu’il faut chercher la véritable gloire d’un
homme
; car, avant de mourir, c’est là que nos beaux
du ciel, l’harmonie en a conservé la clef. C’est en la perdant que l’
homme
a perdu la puissance qu'il tenait de son origine;
on sublime, apanage du nouvel Adam ! Mais, dans tous les temps, des
hommes
se sont prévalus d’observer la loi plus exactemen
sont prévalus d’observer la loi plus exactement que Iss autres ; ces
hommes
, égarés par un zèle excessif et mal entendu, ont
l’incroyance générale aux phénomènes extraordinaires obtenus par des
hommes
d’honneur et de raison, ne nous targuons jamais d
es mêmes idées que celles de M. de Maldigny, idées tendant à élever l'
homme
dans des régions supérieures, où, nous devons le
a vie avait été méritante, les louanges serviraient d’exemple aux
hommes
qui parcourraient le môme chemin et deviendraient
descendre la foi des voûtes du ciel bleu ! Ce fut pour consoler les
hommes
, Nos voisins et ceux d’outre-iner Que Dieu, du
les magnétiseurs ; l’elfet en fut immense : on aimait à entendre cet
homme
qui a tant souffert, résumer en quelques strophes
he de miel, Cherchons, fertilisons ensemble Les dons du Ciel. A l'
homme
, en lui complétant l'être, Esprit partout dissé
tc. Le front dans une nuit extrême, Abîme de notre splendeur, L’
homme
, tombé du rang suprême,. Avait ruiné sa grandeu
u flaire L'intention, l'esprit, le ca-ur, le caractère, Caressant l'
homme
bon, poursuivant le brutal, C'est un thermomètr
e, Gros-Jean, Ce méchant roquet a la rage! Ce mot lâché, le saint
homme
s’enfuit En se disant, la calomnie Aura bientôt p
e, « S’enfle, grandit, gronde comme un tonnerre, « Et foudroyé un
homme
de bien « Tout aussi lestement qu’un chien. » N
ie que nous avons constaté le progrès que le magnétisme fait chez les
hommes
intelligents. Bon nombre de nos amis, pourtant, m
s de leurs ennemis, croyant (fue la lutte est finie ou près de finir.
Hommes
candides, ils ne voient point que la lutte ici do
humanité ne s’est jusqu’ici soutenue que par les efforts incessants d’
hommes
dévoués, dont Dieu fait des soldats pour soutenir
nifique dénombrement des manifestations et des relations de l’étre, l’
homme
tient le sceptre. Armé de son complet unitéisme,
), de longue date, et presque malgré vous aujourd’hui, je le présume;
hommes
d'intelligence réfractaire à l’acceptation des ph
'onl donné, comme il suit, la « Mathématique de l'iiarmoxie : « L'
homme
, dans sa raison, doit-il jamais sc plaindre? «
gt; (trie. et les instruments, lis lurent le privilège du premier
homme
, c’est-à-dire du proto-type de la race hominaie,
ssantes, ne respireront que la douce haleine de la réintégration de l’
homme
. Animé de cette confiance et guidé par la justi
0 mes amis! imaginez une doctrine qui soit « autant indispensable à l'
homme
, et je parierai qu’elle est « vraie. » (Phédon, d
alheureux, s’écrie Caldéron (et j’atténue l’indignation du poëte!), l’
homme
qui, captif du brut désir, y rive ses liens, et q
a aujourd’hui 12/i ans. Je dis : a aujourd’hui 12h ans, car pour un
homme
de cette valeur la mort est bien plutôt le réveil
r le bonheur du genre humain. Quatre-vingt-un ans! c’était pour les
hommes
un grand âge; et cependant l’exemple de cette ver
espèce humain ? au déclin de ses ans, n’a point donné a réfléchir aux
hommes
de son temps. .Ils n’ont pas compris que cette fi
celui de M. le comte Pet-torelli, de Florence ; le jury a vu dans cet
homme
de bien un soutien, un appui pour le magnétisme,
t trouvés des médecins, des littérateurs, des savants distingués, des
hommes
appartenant à des professions diverses, et qui, u
vec d’autant plus d'efficacité, qu'elle ne sera plus entravée par ses
hommes
légers et turbulents, impropres aux études sérieu
es diffèrent énormément par leur but et surtout par leur méthode. Les
hommes
positifs ont payé pour les songe-creux. Les séanc
iques du temps de la Restauration ; elles ont eu dans leurs rangs des
hommes
éminents dont plusieurs seront comptés parmi les
s déjà signaler comme un progrès la reconnaissance de cet état par un
homme
de science. Il se trouve encore des docteurs, des
veut étudier plus à fond cette branche si curieuse de la science de l’
homme
, il trouvera les attestations les plus satisfaisa
lent éclater des connaissances et une pénétration refusées aux autres
hommes
. Vous fierez-vous à ce pauvre malade et à ce fou,
a 1" : 1“ définition du sorcier ; 2° association des esprits avec les
hommes
; 3“ différence d'entre les bons et les malins es
les dénions ; 6° lycanthropie, et si les esprits peuvent changer les
hommes
en bêtes ; 7° si les sorciers ont capitulation av
peuvent envoyer les maladies, stérilités, grêles et tempêtes, et sur
hommes
et bêtes. Livre 3 : 1° moyens licites d’obvier
rmes et sorcelleries; 2° si les sorciers peuvent assurer la santé des
hommes
allègres et donner guérison aux maladies ; 3° si
recommencent plus éclatants qu’à aucune époque de l'histoire. Si l'
homme
11e meurt pas tout entier, si son esprit lui surv
a eus ici-bas; et que, de même qu’il y a des ho 1 mes vertueux et des
hommes
vicieux, il y ait aussi des esprits, les uns bons
s autres mauvaises, se livrant une lutte perpétuelle pour diriger les
hommes
doués de libre arbitre, mais seulement comme une
sibles sont par la prière, parles conjurations, à la disposition de l’
homme
qui peut en faire un instrument puissant de progr
aratifs et me dit de chercher un compagnon ou deux. Il s’adjoignit un
homme
de Pistoia, qui s’occupait lui-même de nécromanci
s le talisman, s écriait avec épouvante qu’il apercevait un million d
hommes
terribles qui nous menaçaient et quatre énormes g
vint exprès à Paris pour me confier sa position et me consulter. Cet
homme
m’était tout à fait inconnu, il occupait une plac
et cornu tout noir, accompagné de deux femmes, et tout aussi tost un
homme
habillé en prêtre. Le bouc s’étant enquis de l’it
rits malfaisants qui viennent, pendant la nuit, troubler le repos des
hommes
. » L’auteur poursuit ses recherches chez les pe
rsuit ses recherches chez les peuples anciens, il retrouve le bouc en
homme
chez les Egyptiens, dans les lupercales, dans les
ourir à l’intervention d’esprits, il les attribue à la puissance de C
homme
collectif même sur la matière inanimée; s'appuyan
er en son nom, il sera au milieu d’elles, l’auteur en conclut que les
hommes
, en unissant religieusement leurs pensées et leur
en de l’union et de la fraternité de tous , à une époque surtout où l’
homme
, absorbé par ses préoccupations matérielles, ayan
es proportions beaucoup plus considérables. , D’un autre côté, si l’
homme
agit sur la matière au moyen d'un fluide dont il
us variés et se joue des lois de la . nature ; aussi n’est-ce pas à l’
homme
que la fantaisie des conteurs attribue un tel pou
, qui se traduit par la relation des tables , appartient surtout aux
hommes
de l'idée, c’est-à-dire aux personnes éminemment
rte d’un moteur nouveau, d’une force physique ajoutée à celles dont l’
homme
dispose, les hymnes d’allégresse sont au moins pr
donc jusqu’ici à voir dans ces faits le présage d’une domination de l’
homme
sur la matière. 11 ne parait pas non plus que dan
de M. Bertrand sur la puissance de l’être collectif. Sans doute, l’
homme
est appelé à régir le globe, à le dominer, à l’em
et qui a de plus, sur cette dernière, l’avantage de l’innocuité. Un
homme
dont la bouche était remplie de chancres s’en est
bre par le fruit qu’il produit, et le spiritualisme a converti plus d’
hommes
au bien dans ces dix années de son existence, que
sonnes assises autour d’un guéridon. 11 y avait six dames et autant d’
hommes
; les messieurs, en entrant, avaient accroché leu
rité si grande, en comparaison de notre terre, que l’imagination de l’
homme
ne peut s'en faire une idée... Nous sommes instru
univers. Gloire à Mesmer 1 gloire à vous ! digne apôtre de ce grand
homme
. Gloire à tous les suivants de cette science divi
is qu’il est même plus bête que son père. Je regrette de voir qu’un
homme
de l’esprit de M. A. S. Mo-rin soit si conlraire
bonnes sciences. » Nous avons enregistré avec joie cet aveu d’un des
hommes
les plus savants de notre époque, et nous croyons
que le magnétisme constitue, d’après ses partisans, l’influence que l’
homme
exerce sur ses semblables, sans l’emploi des moye
uivantes que je regarde comme dignes d’attention, dans la bouche d’un
homme
si expert dans les choses de la science et qu’on
tel autre ne les entend pas du tout ; et il devient aviré que cetains
hommes
, avec des organes parfaitement sains, n’entendire
jectures naturelles et bien dignes d'un examen expérimental : les
hommes
ne voient pas tous par les mêmes rayons ; des dif
. Depuis lors, nous avons eu occasion de soumettre la question à un
homme
dont l’autorité ne saurait être méconnue, à M. De
ant, ne savent ou ne veulent pas se dépouiller d’opinions préconçues.
Homme
de savoir, il nous paraît avoir voulu montrer aux
le sanctuaire de* vérités les plus hautes et les plus nécessaires à l’
homme
. Quand les sciences profanes touchent aux sujets
ière inerte, des facultés plus transcendantes que celles dout jouit l’
homme
à l’état lucide. Oui, certes, le phénomène des
, conservera toujours avec respect et reconnaissance le souvenir de l’
homme
de bien qui l'a organisée, et son nom sera béni p
aignent de se compromettre en adhérant publiquement à notre doctrine.
Homme
d’énergie et de conviction, toujours prêt à la lu
poussière incommode. Mais que dire de ceux qui n’aperçoivent dans l’
homme
vivant qu’uue machine inconsciente, dont les orga
ne différence entre l’âme animante et l’être animé? cpii confondent l'
homme
avec l’animal, et qui, dans leur système immoral
obants? Nous avons dans notre vie rencontré nn millierdeMM. Mabrus, d’
hommes
de ce tempérament, membres d’académie, lauréats,
isse le jugement et la raison et n’en sort que revêtu d'un stygmate d’
homme
partial et de faux jugement. Baron du Potet.
ait en termes presque impertinents son incrédulité systématique. Un
homme
de cinquante ans environ, d’un extérieur grave et
e prêcher l’Evangile du magnétisme; je ne suia pas un apôtre, mais un
homme
sincère, qui pense devoir dire ce qu’il sait et c
nt publiée •en vetUwd’im commandement divin, pour te bien de tous (es
hommes
, par John Wright, serviteur de Dieu, et par un de
tait charpentier à Leeds, dans le Yorkshire (Angleterre) ; «’était un
homme
fort pieux et porté au miyefii-cisme. EnÜ7B8, il
furent surpris de trouver une porte ouverte , à laquelle se tenait un
homme
qui parlait anglais, qui venait d’arriver d’une c
posé à aller recevoir quelques douches dans un asile d’aliénés. Cet
homme
vient de se trouver ; ce n’est pas seulement au p
ci son livre imprimé, et dont les:éditions s'épuisent facilement. Cet
homme
n’est pas le moins du. monde un insensé ; c’est,
mme n’est pas le moins du. monde un insensé ; c’est, au contraire, un
homme
grave et réfléchi ; c’est un homme placé- dans ut
insensé ; c’est, au contraire, un homme grave et réfléchi ; c’est un
homme
placé- dans ute haute position sociale, et qui sa
s vices et les excès, par les exhalations partant de ces chenils où l’
homme
a fait son nid. Non, il ne fait pas bon vivre là
nils où l’homme a fait son nid. Non, il ne fait pas bon vivre là où l’
homme
grouille, là où sont la paresse et l’oisiveté. L’
se porte communément sur des choses pour lesquelles les organes de l’
homme
n’étaient point faits. Les animaux se lustrent,
t point faits. Les animaux se lustrent, se nettoient, se lèchent, l’
homme
conserve sa sueur, il en accumule les couches dan
p- Toiie XVII. _ n°. »0 — 2e Série. — 25 ooûl 1858. 15 pelant l'
homme
, lui dire : « Purifie-toi avant d'entrer dans le
l’ordure et la crasse ; n’a-t-elle pas scs besoins, ses instincts, l’
homme
no peut-il donc la chasser de lui-même sans se pa
verrez point vivre sur certains malades les espèces qui vivent sur l'
homme
en santé, elles s’éloignent bien vite d'une parti
re chose , je ne sais si celle de Dieu sera plus sévère que celle des
hommes
. Pour tuer un homme , il faut si peu de chose , l
si celle de Dieu sera plus sévère que celle des hommes. Pour tuer un
homme
, il faut si peu de chose , la piqûre d’un insect
anterne à la main , mais il cherchait seulement un honnête homme , un
homme
complet ; s’il eût cherché autre chose, on aurait
pandre la lumière au milieu des ténèbres de ce monde,! Oui, quand les
hommes
le voudront, les douleurs ne seront plus que pass
ront avec plaisir qu’il est l’objet d’une étude sérieuse de la part d’
hommes
dont le nom était peu connu en magnétisme. Il y a
de loutes les découvertes rares, et s'il est arrivé quelquefois que l'
homme
ail donné son assentiment à des fables grossières
tion humaine, parce que, d’un côté, nous ne la considérons que dans l’
homme
, et que, de l'autre, nous croj ons pouvoir enjche
’effets ou phénomènes insolites, et par-là même extraordinaires que l’
homme
développe sur un autre homme avec plus ou moins d
es, et par-là même extraordinaires que l’homme développe sur un autre
homme
avec plus ou moins de succès, selon les dispositi
e ce principe, et en mettant decôté l’expérience personnelle que tout
homme
peut avoir en tout temp3 sur cette question, nous
alisme, etc. ; en p lysique, dans les lettres, par u i grand nombre d
hommes
et d'ouvrages remarquables; vouloir en contester
ommeil ne diffère en rien, du moins extérieurement, de celui que tout
homme
éprouve par suite des fatigues de la journée, et
ble, .d’être sérieusement étudiés. Et qui ne voit que l’esprit de l’
homme
rappelle évidemment ici la grandeur d’où il est d
e que fût sa position. Le pouvoir de guérir est naturel chez certains
hommes
, et, par défaut de pratique, chez beaucoup il res
ent sont des saints; mais plus souvent on accuse de charlatanerie ces
hommes
d’élite. Quoi qu’il en soit des louanges ou des p
persécutions, le principe est trouvé, la loi est découverte, tous les
hommes
sont prévenus; qu’ils imposent les mains et les m
t le couvent de Sainte-Marie-dc-Jésus, il se trouva plus de dix mille
hommes
, depuis le vice-roi jusqu aux artisans, qui venai
qu’il avait été en Espagne, simple, ouvert dans ses rapports avec les
hommes
, austère envers soi-même, passant les nuits en pr
s des esprits. 11 paraîtrait donc qu’il y a plus de deux siècles, les
hommes
étaient déjà presque aussi crédules qu’aujourd'hu
vers son grabat, et s’arrêter à la hauteur de son chevet. C’était un
homme
d’une cinquantaine d’années, dont les clie-veux g
roles étranges : « Je te connais, tu es soldat comme moi, comme moi
homme
île cœur et incapable de manquer à ta parole. Je
e menaçant. 'Je m’étonne et je m’afflige, dit le fantôme, de voiruu
homme
comme toi se parjurer et faillir à son devoir. J’
e. Devant lui, à l’extrémité de la galerie, sc tenait le fantôme de l’
homme
assassiné; le fantôme, qui ne prononça aucune par
quelque clioso de surnaturel. Nous niions ici laisser parler quelques
hommes
, dont le caractère et l'autorité personnelle sont
ie et du compérage, mais il en est d’autres qui sont attestés par des
hommes
dont on ne peut mettre en doute ni les lumières,
asse organique qu’on appelle le rorps, on doit encore admettre dans l’
homme
une troisième substance, connue généralement sous
la sensibilité. Non-seulement l’existence du fluide nerveux dans l'
homme
est un fait peu contestable, mais encore et toujo
ns, reproduit les mêmes phénomènes vitaux que nous remarquons dans un
homme
vivant. Ainsi, des cadavres soumis à cette expéri
le tableau des plus cruelles souffrances. Or, nous le demandons aux
hommes
de bonne foi, peat-on-reconnaître une identité si
e nos jours. Non-seulement le fluide vital ou nerveux existe dans l’
homme
, non-seulement il doit être regardé comme identiq
e avec le fluide électrique, mais encore ce même fluide existe dans l'
homme
à l’état libre, c’est-à-dire que l’homme peut le
ce même fluide existe dans l'homme à l’état libre, c’est-à-dire que l’
homme
peut le communiquer à son gré par contact et à di
er notre assertion : 1° 11 est à peu près unanimement reconnu que l’
homme
envoie de son cerveau, que nous comparons à un ap
de nos machines? 1° Nous ne voyons pas pourquoi l’on refuserait à l’
homme
le pouvoir de transmettre à un autre individu ce
certaine énergie, que doit augmenter prodigieusement la volonté de l’
homme
, et qui forme ainsi un rayonnement nerveux ou une
le nous parait définitivement résolue par l’expérience. Le corps de l’
homme
peut être considéré comme une machine sécrétant d
11 nous paraît difficile à expliquer et dangereux de prétendre que l’
homme
ait le démon à ses ordres pour l’appeler et le fa
sumer comme naturel. » Si la puissance électrique est naturelle à l’
homme
, quelle est donc la valeur morale qu’il convient
xiste aucune loi certaine qui l’enchaîne , il est incontestable que l’
homme
est maître de ses actes et peut se considérer com
ur les rendre dignes de plus d’attention que ne leur en accordent les
hommes
de science. Or, pensant en moi-même que la magnét
magnétisme doit être étudié plus qu’il ne l’a été jusqu’ici; que les
hommes
de science n’aient pas l’arrogance de nier ce qu’
n effet, M. Zambianchi s’est trouvé fort heureux de trouver un de ces
hommes
pour le tirer d’embarras ; le docteur avait commi
rent la per-s:nne qui les détraque et les empoisonne. J’ai connu un
homme
qui jouissait d’une singulière pro- priété, j
vous montrer que mes clients ne sont pas des charlatans. Ce sont deux
hommes
qui, loin de tromper, cherchent à s’éclairer sur
une science vers laquelle aujourd’hui semble attirée l’attention des
hommes
les plus considérables et les plus éclairés de no
le manière ils s’en sont occupés, c’est-à-dire en gens du monde et en
hommes
convaincus. Ils ont traversé, en quittant leur pa
tions législatives qui permettent de poursuivre et condamner même les
hommes
les plus utiles, comme l’a été, le vénérable Lafo
s poissons pour leur soutirer ce qu’il leur faut pour vivre. Certains
hommes
, certaines femmes sont malheureusement ainsi orga
ur s’informait toujours, avant de confier une mission importante à un
homme
quelque distingué qu’il fût, s’il était heureux.
ais, nous les devinons sans pouvoir les expliquer. N’est-il pas des
hommes
qui gagnent souvent au jeu sans que l'on puisse l
vous rien apprendre des merveilleuses puissances de la nature et de l’
homme
. Oui, les écoles officielles sont au suprême degr
sition des mains par le médium. Si j’avais destiné cette lettre aux
hommes
de ma profession, j’aurais décrit minutieusement
ule de circonstances, provoquées par l’exercice du libre arbitre de l’
homme
, peuvent les contrarier et dérouter le cours des
e camp du comte d’Estaing avait fait la campagne d’Amérique. Il était
homme
instruit et de manières polies et réservées. Nous
ère dans la chambre d’un nommé Bunel, conventionnel, mais tout à fait
homme
de bien qui, durant un assez long séjour dans l’I
lc d’êtres animés qui ne tombaient pas sous nos sens, et tenait que l’
homme
était encore bien loin de la place qu’il pouvait
ent pour tout le monde; l’enfant s'écrie qu’il voit. 'iQuoi? Deux
hommes
qui se battent. —Qui sont-ils? — Je ne sais pas.
que tout ceci ait été une scène de compères. L’aide de camp était un
homme
sérieux, trop honnête pour s’être permis une plai
examiner résolument ce qui appartient à Dieu ou ce qui appartient à l’
homme
. Le magnétisme pourrait servir de flambeau et j
est inconcevable, et porte en elle-même un rudiment de vitalité que l’
homme
peut fairecirculer et passer comme un fluide à tr
e. La force humaine la plus grande s’annihile devant lui, il courbe l’
homme
le plus fort, le relève ou plutôt l’enlève sans q
ez M. Dewey, à plusieurs ilets de distance) répétant toujours : « Lui
homme
puissant ! beaucoup de force magnétique ! » etc.,
au plus grand nombre que, bon ou mauvais,Teaprifcqui##!»- duit l’
homme
est bien une réalité et ne doit pas être confondu
ans le monde ni chimiste ni physicien qui se refuse à admettre dans l’
homme
une double nature, une âme immatérielle unie à un
ns, voulant interpréter ces faits, ont traité de fous les plus grands
hommes
. Ainsi, un esprit qu’on doit prendre au sérieux
ence la supériorité du pouvoir spirituel sur le pouvoir physique de l’
homme
; il aurait été curieux de les voir rosser le guet
confiance dans le témoignage de M. Auguez que nous connaissons comme
homme
d’honneur. Mais, pour le public, il faut autre ch
le monde. M. Auguez voudrait qu’on n’initiât au magnétisme que les
hommes
généreux et compatissants ; mais comment les dist
er comme acquis à la science. ,, Si, dit-il, vous altérez chez un
homme
la cavité du cerveau qui remplit les fonctions de
peut être l’effet d’une maladie. Artifice ou maladie, prenez ce même
homme
, plongez-le en somnambulisme magnétique , appelez
tions détaillées et authentiques, d’expériences suivies en présence d’
hommes
compétents pour apprécier les lésions des cavités
me est une force, qu’il est enfin quelque chose à la disposition de l’
homme
, celui-ci peut en abuser. Parmi les propriétés
sa sanction et sera accueilli comme une évidente vérité, lorsque les
hommes
auront appris à diriger avec plus de rectitude ce
indiqueraient les propriétés irrécusables de cet agent, laissant aux
hommes
de l’avenir à en découvrir davantage. A tous ce
e des faveurs de Dieu par une bonne conduite envers lui et envers les
hommes
. Il prétend que la lucidité du somnambule vient e
ase bien curieuse à ce sujet ; elle fut écrite et signée par l’un des
hommes
les plus savants de ce siècle, et vous verrez com
**- que je suis un apôtre du magnétisme, un associé de somnambule, un
homme
enfin intéressé dans le débat et plaidant sa prop
t ce qu’il détruit. Courage et persévérance , honneur et gloire aux
hommes
de dévouement qui marchent en avant sans se laiss
ntestable, ne pourraient jouir que d’une autorité relative, et chaque
homme
serait en droit de les soumettre au jugement de s
es menteurs soient en majorité (comme il arrive quelquefois parmi les
hommes
) ; une erreur aura beau être répétée des milliers
rare que, parmi ces grandeurs de convention, il ne se trouve quelques
hommes
qui, flattés par le titre nouveau , ne donnent la
séjour enchanté -, en ce moment, vous vous trompez de route , grands
hommes
, ce que vous apercevez au loin n’est pas ce que v
odés sont passés, je rebrousse chemin, je m’adresse aux flâneurs, aux
hommes
qui ne cherchent rien, ou qui, blasés des choses
ènes. (La fin au numéro prochain.) DE LA SPÉCIALITÉ DE CERTAINS
HOMMES
. Pourquoi ne croirions-nous pas que chaque homm
ALITÉ DE CERTAINS HOMMES. Pourquoi ne croirions-nous pas que chaque
homme
possède une spécialité, une particularité môme ?
e instant, clans tous les métiers, industries, arts ou vocations, des
hommes
acquérir une réputation qu’ils n’auraient jamais
pas seulement une puissance, une faculté individuelle caractérisant l’
homme
et le plaçant au-dessus des animaux, elle est aus
ent. En un mot, tous les maux cèdent aux passes et aux prières de cet
homme
de bien dont le ministère est gratuit; aussi sa c
t dans le monde une vérité qui, par son influence sur le physique des
hommes
, peut opérer des changements inouïs. » Peut-on
Si M. Mabru lit cette lettre, il dira : « Que m’importe ! c’est un
homme
du monde qui parle. Or, que me fait à moi, que fa
ui parle. Or, que me fait à moi, que fait à la science l’opinion d’un
homme
du monde? » Soit, et puisqu'il vous faut des sa
docteur Georget qui, dans son testament, demanda pardon à Dieu et aux
hommes
de sa longue incrédulité au magnétisme ; puis, po
el antre ne les entend pas du tout., et il devient avéré que certains
hommes
, avec des organes parfaitement sains, n’entendir
conjectures naturelles et bien dignes d’un examen expérimental : les
hommes
ne voient pas tous par les mêmes rayons ; des dif
!ors comme actuellement, les esprits ne savaient rien de plus que les
hommes
qui les appelaient. M. Dumesnil introduit en
chauffe et nous remplit de sa puissance quand il se montre, de même l’
homme
peut agir sur l’homme. — Il doit se mettre en fac
t de sa puissance quand il se montre, de même l’homme peut agir sur l’
homme
. — Il doit se mettre en face dans un lieu sombre
eur. Ce ne fut que petit à petit que je parvins à déterminer quelques
hommes
instruits «i s’approcher de moi ; mais les dénéga
de l’Académie. Un magnétiseur ne sortait jamais desmains de ce savant
homme
sans avoir été écorché tout vif. Mais j'en passe
ambulisme, les cures magnétiques, l’insensibilité, etc.... Tous ces
hommes
illustres sont morts aujourd’hui, mais ils ont la
it un jour agir si puissamment sur les destinées humaines. Tous ces
hommes
, que je signale, eurent sans doute, dès leur débu
est moi qui erre en ce moment. Que leur manqua-t-il à tous ces grands
hommes
? Rien. Ils eurent tout ce qui peut satisfaire l’
s et de discerner le vrai du faux, c’est de faire un appel à tous les
hommes
de bonne foi et de charger des personnes judicieu
naissances en physique et en littérature, et le présentèrent comme un
homme
incapable de se prêter à aucune fraude. M. Collye
puis, passant de nouveau sa main sur ses yeux, il les frotta comme un
homme
qui n’est qu’imparfaitement éveillé ; il retourna
ns sur la figure, se frotte les yeux, puis étend les membres comme un
homme
qui sort d'un profond sommeil. Il avait dormi une
gnétisme minéral. « Il ne peut, dit-il, y avoir de contact entre deux
hommes
, sans qu’il en résulte nne influence réciproque d
sieur, l'Académie impériale do médecine serait donc une sotte; tant d’
hommes
de génie, qui ont certifié, jugé que tout dans le
vous vouliez bien me le dire. — D'une femme? — Non, madame, d’un
homme
. — Ah ! oui, c’est vrai, je le vois. Il est jeu
avi, enchanté... — Ah! j’en suisfovt aise, et que vous ont appris ces
hommes
cCélite sur la nature et sur vous ? — Ma foi, je
préceptes et à vouloir pourtant les imposer aux autres. Il est de ces
hommes
qui ont, j'en conviens, une grande foi: ils devie
celui qui vous conduirait dans la route du vrai ; mais où trouver cet
homme
? la plupart des révélateurs même mentent ou se t
pourrons-nous la découvrir tout entière. Dieu n’a-t-il pas mis dans l'
homme
une clarté divine, une science innée ? ne l’aperc
leur maladie tout ce qui tue en pleine santé. Ces autres fous, ces
hommes
noircis d’encre, au chapeau rabattu. ces tourment
il produisait, croyait d’abord reconnaître l’action de l’aimant sur l’
homme
, le phénomène hybride, suivant lui, ayant sa sour
les ont paru. Depuis , ce savant professeur a publié deux volumes : L'
Homme
sen-sitif et ses rapports avec t’Od; puis , deux
arler plus exactement, certains organismes humains privilégiés. Les
hommes
se diviseraient donc en deux classes : les sensit
les expériences odiques ne tendraient pas seulement à établir chez l’
homme
l’existence d’un rayonnement fluidi-que. Elles ju
Ces pôles, que nous voyons se manifester à droite ei â gauche chez l’
homme
, se manifesteraient parles mêmes propriétés dans
'ont pas souvent la bonne fortune de rencontrer, sur leur chemin, des
hommes
impartiaux et de bonne foi. Pour les académiciens
'institut homœopalhique de G ènes. SUPERSTITION. il n’est aucun
homme
qui ne soit troublé par instants, sans que sa rai
-ier.ee en nous d’un être immatériel. Il est diflicile d’étu-dier les
hommes
; pour les comprendre il faudrait connaître leurs
le psychologistc doit enregistrer avec soin, car celte étude montre l'
homme
sans masque, tel que la nature l’a fait, c’est-à-
ils font concevoir la naissance d’une doctrine qui tirera bientôt les
hommes
de leur affreux matérialisme. Le magnétisme doit
our à Berlin. Pdri», 18i6, in-8°, tomcV, p. 405. (2) Biographie des
hommes
célèbres du département de l'Ain, par Depery. Bou
« Je voudrais savoir s’il passe quelquefois dans les cæurs des autres
hommes
des puérilités pareilles à celles qui passent que
les plus risibles, et pour lesquels je ferais volontiers enfermer un
homme
si je lui en voyais faire autant, lin jour, rêvan
t ce trait, si je dois rire ou gémir sur moi-méme. Vous autres grands
hommes
, qui riez sûrement, félicitez-vous ; niais n’insu
lui d’un sorcier. Ce dont je suis positivement certain, c’est que cet
homme
si spirituel était superstitieux et qu’il croyait
ssent la tête. Or, un léger frôlement répété, exercé par la main de l’
homme
sur ces muscles exactement sur le sommet de la tê
usseau disait : « Si les savants ont moins de préjugés que les autres
hommes
, ils y sont plus attachés ; » et madame de Linang
découverte, toute méthode nouvelle ; car il s’agit ici de la vie des
hommes
. Mais une Ibis reconnue bonne et utile, toute idé
s ; il croit que le dosage est une chimère. Ainsi, de l’aveu même des
hommes
les plus compétents , la chloroformisation offre
e , et pourtant que d’ennemis s’acharnent vainement à ridiculiser les
hommes
qui vouent leur temps et leur intelligence au pro
enfants par les ruses les plus grossières ! Une commission composée d’
hommes
habitués aux recherches scientifiques offrira cer
rey, 141 ¡—divers, 221, 643. Faiblesses d’esprit de quelques grands
hommes
, 633. Histoires de revenants, 409, 441, 494, 55
me prêter appui ou m’honorer de leur sympathie ; voici la lettre d'un
homme
qui est toujours prêt quand il y a des sacrifices
1852. (Suite— Voyez tomo XIII, page 715). 4° M. Th.-C. HARTSHORN,
homme
de lettres, demeurant à Providence (États-Unis).
xiste. Voilà pourtant comment s’exerce parfois la reconnaissance : un
homme
rend un service au public, et le seul témoignage
rant, tandis que s’il galvanisait en apparence de la même manière les
hommes
les plus forts, ceux-ci ne pouvaient supporter un
rsonnes se prononcer d’une manière fort douteuse sur le bon sens d’un
homme
qui proposait des expériences si insignifiantes.
èles, parmi lesquels un rédacteur d’une feuille d’annonces, et pas un
homme
de science. C’est dans cette feuille que ces huit
atteindre. Vous riez surtout de l’ignorance humaine, qui n’exige de l’
homme
chargé du soin de la santé qu’une capacité de con
rit ou soulage les maux, publiez bien haut vos faits, rendez tous les
hommes
témoins de vos miracles. Laissez de côté les Es-c
éloquence. A la fin ses idées sur les esprits et leur commerce avec l’
homme
avaient altéré manifestement sa raison. Revue d
établit l’union entre la terre et le ciel. Entre ces deux extrêmes, l’
homme
de science cherchera la vérité. A.-S. MORIN.
ent même inaperçues; ce n’est que quand le tourbillon a cessé que les
hommes
spéciaux trouvent quelques-uns de ces ouvrages et
mirable formule une fois comprise, il est aisé de concevoir comment l’
homme
peut infiltrer sa vie, son essence, sa force, dan
s et en faire un instrument docile de ses fantaisies. Non-seulement l’
homme
peut animer de sa vie un être vivant, mais encore
ratique. Le seul avantage qu’ils auront, c’est de faire connaître aux
hommes
l’une des propriétés de l’esprit qui les anime et
i n’a aucune efficacité, etc. » La société est donc enlacée par des
hommes
dont la profession est respectable, imposant leur
s n’êtes rien! Divines clartés de l’âme, ne venez plus inspirer les
hommes
et leur révéler le vrai des choses II y a profit
voit les malades aller souvent demander la guérison de leurs maux aux
hommes
qui ne savent point se débarrasser des leurs prop
ladies ; il soulage les maux que la nature refuse do guérir. Tous les
hommes
peuvent être médecins sans aller aux écoles de no
ils peuvent en empruntant à la nature ce puissant agent nouveau, tout
homme
peut, nous osons l'affirmer, défier publiquement
; car alors ils seront plus forts, plus puissants que tous les autres
hommes
. Ce moment venu, les magnétiseurs sans science n’
n des âmes, il a usé largement du merveilleux et a fait communiquer l’
homme
avec les êtres supérieurs. Dans la Bonne aventure
a de profondément grave dans ce sublime sujet. Est-il au pouvoir de l’
homme
de pénétrer les secrets de l’avenir? Existe-t-il
assons pas de chercher. Il y a un ordre de faits à l’égard duquel l’
homme
voit incontestablement l’avenir, bien que d’une m
-là suffisent pour prouver que la faculté de prévision appartient à l’
homme
. Peut-elle s’exercer sur des faits qui dépenden
t négligeables. Celte faculté de prévision qui existe chez tous lea
hommes
à un degré plus ou moins élevé, peut se développe
Chez tous les peuples et à toutes les époques, il s’est trouvé des
hommes
qui ont passé pour jouir de cette magnifique prér
on eut recours. La devineresse y vit que la consultante épouserait un
homme
veuf, d’un âge mûr et ayant une petite fdle ; qu’
auteur met dans la bouche du docteur qui joue dans le roman le rôle d’
homme
de la Providence : « Les divinations des somnam
roquement des distractions involontaires. Ainsi une chaîne composée d’
hommes
et de femmes étrangers les uns aux autres, doués
le mouvement rotatoire.................... « Cela prouve donc que l’
homme
peut communiquer à la matière insensible une part
terprète. « Je crois, dit-il, avoir suffisamment démontré, pour des
hommes
sensés du moins, que l’influence musculaire est c
ables connus. « D’après ce qui a été constaté par un grand nombre d’
hommes
spéciaux, il n’est pas possible de méconnaître la
a religion le mot de l’énigme? Ne valait-il pas mieux chercher dans l’
homme
la source de cette intelligence? S’il donne le mo
explorer la nature humaine en tous sens et épuiser la mine. Quelques
hommes
seuls ont compris la nécessité de cette recherche
Bref, en me quittant, il appela tous ses commis pour leur montrer un
homme
qui croyait avoir vu, et me dit r « Vous voyage
s obtenus par le magnétisme, je ne suis heureux qu’à demi. Beaucoup d’
hommes
seraient satisfaits et s’inquiéteraient peu de l’
son, elles croyaient faire preuve d’une grande sagesse en insultant l’
homme
qui cherchait à débarrasser leurs yeux de la cata
un odieux trafic. C’est que la vérité n’est point saisie d’abord, les
hommes
tournent tout autour sans vouloir la reconnaître
lus relevé : c’est d’être l’initiateur d’une vérité si sainte. Oui, l’
homme
porte en soi ce qui doit à jamais le distinguer d
ingués de France , mais encore un ami du mesmérisme, ce qui veut dire
homme
de progrès et de science humanitaire.... Si les p
t à nourrir les indigents pendant l’hiver, etc., etc. ; en un mot cet
homme
est comme le quinquina, il cache sous une écorce
ier jour où j’eus le bonheur de le connaître. Ceci étant dit pour l’
homme
de bien, apprécions le savant par quelques passag
fer doux, plongée dans le nerf crural ou dans le nerf sciatique d’un
homme
vivant, s’aimantait comme si elle était traversée
écouvrir l’électricité négative à l’état de tension dans la peau de l’
homme
sain , en quantité d’autant plus considérable que
s son Se-pulchrctum, nous raconte qu’il vit à Neufchàtel, en 1656, un
homme
à qui il survenait de temps à autre un gonflement
rouvé en effet qu’une aiguille de fer doux, plongée dans un nerf d’un
homme
vivant, s’aimantait comme si elle était traversée
ourant électrique ; celles de mon frère ont démontré que la peau de l’
homme
vivant contient toujours de l’électricité négativ
l’électricité produit par les nerfs de la grenouille ou par ceux d’un
homme
mort récemment de mort violente, et qui sont la r
ombières, et a cherché à faire une con- currence peu édifiante à un
homme
aussi savant et aussi convaincu du magnétisme que
sont la seule récrimination du docteur Turk. C’est la vengeance d’un
homme
de bien et la condamnation des charlatans, qui ne
er en face des préjugés et des erreurs de la foule et dire à tous les
hommes
: i Venez ! Soyez témoins de faits qui attestent
ablir sur la terre un art providentiel qui doit un jour unir tous les
hommes
entre eux. >i Cette mission, que vous vous ê
t, exige un dévouement sans bornes, une patience peu commune; car les
hommes
sont aveugles. Ils vous méconnaîtront d’abord! Il
e public, qui juge en dernier ressort, finit toujours par traiter les
hommes
selon leurs mérites. Les médecins regagneront l
déroute devant un magnétiseur ! Citons un autre exemple. Voici un
homme
affecté d’une maladie nerveuse ; il est fou ou co
efforts. Il tombe alors dans des convulsions affreuses, et plusieurs
hommes
sont impuissants à le tenir. Il sort de ces crise
s douches, etc., etc. Rien ne le guérit, rien ne le soulage. Voilà un
homme
dans la force de l’âge que l’on doit séquestrer,
Je n’avais donc garde d’y manquer, et au bout de quelques jours, cet
homme
, qui ne pouvait sortir de chez lui sans être acco
it sortir de chez lui sans être accompagné de plusieurs gardiens, cet
homme
, pris de délire à chaque instant, jouit, au bout
cience n’en prend nul souci. Son devoir n’cst-il pas d’étre utile aux
hommes
? En dénonçant cette conduite coupable, nous esp
, ils lui nommaient ses amis particuliers. Enfin ils lui dirent que l’
homme
qui, en ligne, était le plus près de lui venait d
le veut. Ainsi nous avons vu un des sujets hypnotises de M. Braid, un
homme
remarquable pour la pauvreté de son développement
s’il avait eu la pratique d'un tel tour de force, tour que, même les
hommes
les plus forts, ne pourraient exécuter sans exerc
ar l’attente qu’il sera produit certainement, et par l’assurance d’un
homme
à volonté ferme, déclarant qu’il est impossible d
ène si controversé déjà quoique né d’hier, n’ai-je pas entrepris, moi
homme
de labeur, une tâche au-dessus de mes forces ? Ce
infaillible. Jésus est Dieu pour les uns ; pour les autres, c’est un
homme
qui a reçu une mission divine. Je connais un je
livre intitulé Lumière, affirme qu’il n’en existe pas. Il admet que l’
homme
a deux âmes (il est généreux) ; que l’amour, la f
ger, dans une note qu’il a mise à mon travail : « Les facultés de l'
homme
sont inconnues dans leur dynamisme essentiel, et
ant à la jeunesse qui l’environne, qu’il n’y a rien de risible à ce l’
homme
recoure aux actes religieux dans les circonstance
visé en trois chapitres principaux : le 1", delà Nature; le 11“, de l’
Homme
; le 111°, de Dieu. Passant rapidement sur ce qu
ni de rapports dus à cet élément dynamique : Dieu seul les connaît; l’
homme
les ignore communément, et voilà pourquoi les déc
uvelle, qui, tombant dans le domaine des sciences, fait connaître à l'
homme
les rapports qu’il ignorait naguère, lui met eu m
s. Et cette découverte récente, fécondée à son tour par le génie de l'
homme
ou par de nouvelles inspirations d’en haut, devie
res que le ciel nous cache derrière ses voiles impéné- trahies. Los
hommes
, il est difficile de le nier, el un certain nombr
in nombre de monuments échappés à la faux du temps le confirment, les
hommes
des temps qui ont précédé le Christ paraissent do
endons par électrisation humaine l’influence physique et morale que l’
homme
exerce sur son semblable, sur lui-même, sur les a
effets ou phénomènes insolites, et par là même extraordinaires, que l’
homme
développe sur un autre homme avec plus ou moins d
s, et par là même extraordinaires, que l’homme développe sur un autre
homme
avec plus ou moins de succès, selon les dispositi
e ce principe et en mettant de côté l’expérience personnelle que tout
homme
peut avoir en tout temps sur cette question, nous
ts décisifs : « Par conséquent, si, animé d’une intention droite, l’
homme
a de justes motifs d’user de ce moyen comme d’un
l'abbé Guillois ; mais il « en est d’autres qui sont attestés par des
hommes
dont on « ne peut mettre en doute ni les lumières
. » « Oui, disait, en 18A6, à Notre-Dame, le R. P. Lacor-« daire, l’
homme
plongé dans un sommeil factice voit à tra-« vers
r, que j’ai lue avec beaucoup de plaisir. Les plus bienfaisants des
hommes
sont les magnétiseurs qui se sont consacrés corps
e-même. Quand je dis magnétiseurs, je n’entends point parler de ces
hommes
qui endorment un somnambule ou magnétisent un meu
ir des réponses puériles et frivoles. Par magnétiseurs, j’entends ces
hommes
vertueux, amis du bien et de la sagesse, qui ne c
llah-Me-Cani, et qui me paraissent mériter d’être répandues parmi les
hommes
. Vous trouverez dans ses réponses les preuves de
é sur un cheval et couvert de sang. Abdallah se montre à moi comme un
homme
et un ami fidèle. D’autres esprits se manifeste
ferai part à vous seul quand l’occasion s’eu présentera. Depuis, cet
homme
n’a plus voulu être magnétisé. Telle est l’incons
e jeu compliqué de la vie? Dans cette hypothèse toute matérialiste, l’
homme
ne serait qu’une machine électrique perfectionnée
qui m’a été raconté, il y a peu de temps encore, par un vieux parent,
homme
d’un jugement très-sain, très-droit, et dont il m
llons, monsieur, faire beaucoup rire les savants qui nous liront, ces
hommes
forts vont se tenir les côtes. 11 faut bien se ga
ition, m’a paru mériter d’être traduite. « Il y a quelque temps, un
homme
de cette ville fut atteint de convulsions épilept
permis de relater ici. Ces démonstrations pratiques, consacrées aux
hommes
de l’art, et dans lesquelles le somnambulisme jou
ecteurs. HÉBERT (de Gornay). VARIÉTÉS. Nécrologie. — Beaucoup d’
hommes
, en ce monde, travaillent pour eux seuls; ils che
rien ne descend; la société reste ce qu’elle était. Mais lorsqu’un
homme
à forte pensée, lorsqu’un songeur profond dispara
ressens aujourd’hui sera certainement partagée par un grand nombre d’
hommes
, et c’est un tribut que nous payons ainsi à notre
tabli ce critérium ont pensé, avec quelque apparence de raison, qu’un
homme
ne peut parler une langue qu’il n’a pas apprise,
i s’est passé récemment à Paris et que je tiens d’un témoin oculaire,
homme
grave, digne de foi et écrivain distingué. Une de
te la grandeur de ce principe par lequel Dieu, dans sa bonté, élève l’
homme
presque jusqu’à lui en permettant à son âme de ma
aillir la lumière à nos yeux. Je fus appelé à donner des soins à un
homme
, somnambule naturel, atteint d’une affection de p
aturel, atteint d’une affection de poitrine. A certaines époques, cet
homme
était atteint de somnambulisme, sortait la nuit d
je réussis à démontrer tout le danger qui pourrait résulter pour cet
homme
de lui faire connaître qu’il était atteint d’une
le malade devant lui, et quel ne fut pas notre étonnement de voir cet
homme
, après environ quinze minutes de passes magnétiqu
fallu que chacun passât par ces différentes étamines de l’esprit de l’
homme
qui forment comme les phases de la période vitale
urs écrits un fait ou une pensée, nous nous disons qu’il faut que ces
hommes
aient reconnu que ce fait, cette pensée, étaient
l’autre, qui ne repose plus, dès lors, sur rien de sensible; et de l’
homme
, sujet qui seul peut fournir l’élément de cette
nous dise où est l’action psychologique ? Où est cette action chez l’
homme
endormi? chez l’enfant qui vient de naître ? Et t
s ne lui demanderons donc pas non plus où se trouvera la foi chez cet
homme
qui n’aura jamais entendu prononcer le nom de mag
et, parmi les inspirés des Cévennes, il y avait plus d’enfants que d’
hommes
faits. Enfin le mysticisme, seul entre toutes les
pas. Aucun des sens ordinaires qui fonctionnent pour l’existence de l’
homme
à l’état de veille ne sert à l’homme enlevé par l
nctionnent pour l’existence de l’homme à l’état de veille ne sert à l’
homme
enlevé par le magnétisme à la vie matérielle, et
ques-uns, il les a recueillis et interprétés subtilement ; mais qu’un
homme
, même endormi, puisse lire directement la pensée
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
t, les grandes découvertes qui choquaient la raison ou la science des
hommes
aux époques où elles ont pris naissance ; que c’e
prévision chez le somnambule est parfaitement identique à celle de l’
homme
qui, ayant fortement attaché à l’idée d’une époqu
s quand ils voulaient analyser physiquement leur théorie. Après ces
hommes
célèbres, Haller, le créateur de la physiologie e
icité et l’éther sont distincts entre eux. » Après Haller, un autre
homme
de génie, Barthez, sut restreindre le rôle de l’a
l'organisme. Ainsi il dit à la fin de ses Éléments de la science de l'
homme
: «Lorsque l’homme meurt, son corps est rendu a
dit à la fin de ses Éléments de la science de l'homme : «Lorsque l’
homme
meurt, son corps est rendu aux éléments matériels
fausse; le magnétisme, dis-je donc, doit achever de faire connaître l’
homme
. Les faits qui éloignent les savants académiciens
et ont été pratiqués bien avant moi, dans des cas semblables, par des
hommes
dont le nom fait autorité dans la science. Il dev
ites, ne laissent pas le résultat douteux > résultat dans lequel l’
homme
pourra trouver jusqu’à l’accomplissement de sa de
ou fluide magnétique, est le fluide vital ou nerveux, qui, émané de l’
homme
, participe de sa chaleur, du principe de sa vital
qu’il dit au sujet de la volonté : « Ce levier, le plus grand que l’
homme
ait à sa disposi-sition, est peut-être lui-même à
n des différentes catégories des états si variés où peut se trouver l’
homme
par suite de l’action magnétique, et cette classi
étudié ensuite dans ses conséquences physiologiques. M. Ragon est un
homme
trop savant et trop sérieux pour avancer à la lég
al gagnant journellement du terrain, nous paraît mériter l’examen des
hommes
de science. Je comprends parfaitement qu’un médec
les : La volonté des dieux ou de la nature exprimée par la bouche des
hommes
. Ici une prêtresse convulsionnaire servait de com
uingnctica di Torino. Nous connaissons un brave monsieur, excellent
homme
du reste, mais auquel il ne nous a jamais été pos
. De là à l’assimilation du magnétisme de l’aimant au magnétisme de l’
homme
, il y avait si peu, que Mesmer tomba lui-mCme dan
ume de M. Allix, le véhicule incontestable de la volonté humaine. « L’
homme
, dit-il, employant à son gré cet agent, s’en sert
dra jamais à la pensée de qui que ce soit de comparer l’aimant avec l’
homme
, d’établir un rapport d’identité entre l'attracti
eter quelque jour sur les relations qui existent entre la pensée de l’
homme
et les êtres qui l’environnent. A ces conditions,
s rend si glorieux, et qui pourtant encore laisse tant à désirer? Les
hommes
ne manquèrent point; mais le génie n’apparaît qu’
es salons de Lemardelay recevaient tout ce que le magnétisme compte d’
hommes
d’élite parmi ses défenseurs. Tous étaient venus
ient venus au premier appel? Est-il besoin le réclame pour réunir les
hommes
qui se connaissent et s’estiment? N’est-ce point
ation d’un temple, et pour prêtres les plus parfaits d’entre tous les
hommes
; voilà notre désir, et ce que le temps doit seul
e contemple avec orgueil et ravissement les productions du génie de l’
homme
, productions recueillies sur le globe, et rassemb
mmes assemblés sans bruit, sans éclat, pour honorer la mémoire d’un
homme
dont le génie fut méconnu, d’un homme dont le des
t, pour honorer la mémoire d’un homme dont le génie fut méconnu, d’un
homme
dont le destin pourtant placera le nom bien au-de
ue instant voit naître une invention , une découverte; à peine si les
hommes
ont le temps de respirer, tant les yeux sont éblo
moral, elle s’est faite industrie ! « Est-ce qu’il n’y a pas dans l’
homme
d’autres besoins, d’autres aspirations; est-ce qu
des rouages, des poulies et des cordages ; est-ce que la science de l’
homme
est complète ; est-ce qu’en ceci il n’y a plus à
ie a pris leur masque; les arts perdent chaque jour de leur poésie. L’
homme
ne sait plus rien des choses divines; tout se réd
à un mercantilisme fiévreux, l’amour de l’or s’est emparé de tous les
hommes
, et les sciences spéculatives n’existent plus que
; assemblage confus d’idées fausses et mensongères sur la nature de l’
homme
et sur ses destinées. Des maximes propres à faire
elïorts redoublés d’une philosophie mensongère, Dieu inspire quelques
hommes
, il révèle à leur esprit de grandes vérités caché
ssage ; mais cette colère des éléments peut être comparée à celle des
hommes
, elle est nécessaire au rétablisssment de l’équil
jour nous aurons cet honneur insigne d’avoir été les instituteurs des
hommes
, et supérieurs en vraies lumières à tous les corp
endus monstrueux par l’exagération et le besoin qu’éprouvent certains
hommes
de montrer une grande puissance. Abandonnons à eu
ous montrent les ténèbres. Répétons-leur ce que disait un barbare, un
homme
des anciens temps, qui voulant faire tenir debout
sont chers ! Placez en regard de ces noms que nous vénérons, ceux des
hommes
qui du haut de leur tribune, ou dans leurs écrits
e se soit plue à déposer en toi son essence et son activité, et que l’
homme
puisse, avec ton concours, non s’égaler à Dieu, m
fécond aphorisme qui nous sert de devise : h La nature a donné à l’
homme
un moyen universel de « préserver et de guérir. »
monde. « Il y forme bientôt un petit cercle d’adeptes, un cénacle d’
hommes
choisis, la plupart distingués par leurs talents
euse de sa découverte ; il goûtait l'ineffable félicité que cause à l’
homme
vertueux le sentiment du bien qu’il produit ; il
errestre univers, Et qu’il peut dominer, par des moyens divers, L’
homme
blanc, rouge ou noir, portant ou non du linge,.
a mode auprès des lionnes de l’endroit ; c’était, il faut le dire, un
homme
fort beau de visage, de grande taille, très-éléga
qu’ils m’avaient tous condamnés et disaient hautement que j’étais un
homme
perdu ; et cependant me voilà devant vous, messie
près cette série, en est arrivée une seconde composée d’épileptiques,
hommes
et femmes, et quelques jeunes filles hystériques.
nous ont pas encore été révélées, indique assez que M. Segond est un
homme
qui aurait tout le pouvoir et tous les droits néc
l’imagination fut ruinée du jour où la magnétisation pratiquée sur l’
homme
endormi, sur l’enfant au berceau, sur le malade p
eproduire des phénomènes parfaitement semblables à ceux obtenus sur l’
homme
à l’état de veille et jouissant de toutes ses fac
, traité par M. Segond avec un sans-façon un peu trop médical, est un
homme
d’une éducatioo parfaite, d’une instruction remar
êle. C’est à moi de donner. Je donne avec toutes les précautions d’un
homme
exercé aux finesses de son art. Précautions inuti
cine, peu importe. 11 admet l’action de l’agent magnétique ; c’est un
homme
jugé. Quiconque peut ajouter à sa signature le d.
t Marc, chap. 7, vers. 32-33. Et quelques-uns lui ayant présenté un
homme
qui était sourd-muet, le suppliaient de lui impos
les Baisons qui motivent mon opinion. «La faculté Magnétique dans l’
homme
ne pouvant s’exercer qu’à l’aide et par le secour
tantd’entravesà la Reconnaissance universelle d’un Magnétisme dans l’
homme
et à l’évidence de ses salutaires effets, comment
der; telles sont toutes les questions relatives aux divers cultes des
hommes
envers la Divinité, tous ;les systèmes des Spirit
s s’iinmiser de juger ou de condamner la croyance ou les opinions des
hommes
sur lesquels ils la doivent indistinctement exerc
e se manifester aujourd’hui contre l’existence d’un magnétisme dans l’
homme
soumis à l’empire de sa volonté devraient leur êt
e mon frère m’avait tenu ce langage, que la somnambule me dit voir un
homme
avec mon frère, et, par le signalement qu’elle m’
e jour. Les premiers phénomènes se montrent infailliblement chez tout
homme
fatigué et qui a besoin de dormir. Tous les autre
n’est pas tout. Une fois lancé en si beau chemin, M. Segond n’est pas
homme
à s’arrêter. La volonté est un agent d’un autre g
de cette année fatale à laquelle il s’attache avec l’opiniâtreté de l’
homme
qui se noie, de même qu’il s’obstine, par une con
comme le chef-d’œuvre de la raison. Aujourd’hui, comme .autrefois, l’
homme
accueille avec la même satisfaction, la même créd
vis-à-vis de l’enfant, vis-à-vis du malade insensible, vis-à-vis de l’
homme
endormi? Que dire quand le magnétisme est pratiqu
elle est celle que doit suivre le médecin digne de porter ce titre, l’
homme
qui a voué sa vie entière à la conservation de se
mme qui a voué sa vie entière à la conservation de ses semblables ; l’
homme
dont le cœur ne bat que pour les généreuses pensé
leurs auteurs que la haine ou le mépris. C’est que, je l’ai dit, l’
homme
est niveleur de sa nature ; il prend en défiance
guider dans leurs courses. Oh ! pourtant, dussent-ils se tromper ces
hommes
, vous leur devez quelque reconnaissance, au moins
liquer que ceux qu’on refuse d’admettre. Or, je le demande, est-il un
homme
au monde qui puisse dire qu’il satisfait pleineme
fallait en présenter une explication tant soit peu satisfaisante. Un
homme
est tourmenté de longues et pénibles insomnies; q
tre en doute de telles causes et de tels ellets, qui osera dire que l’
homme
est un simple agrégat de molécules, arrangées de
ne circonstance, de modifier, n’importe comment, l’état habituel de l’
homme
qui lui est soumis? S’il est vrai que l’aiguill
rre, les éruptions volcaniques, les aurores boréales, pourquoi donc l’
homme
, ce petit monde des anciens, l’homme sur lequel l
urores boréales, pourquoi donc l’homme, ce petit monde des anciens, l’
homme
sur lequel l’électricité, le galvanisme, ont une
eptible, dans des circonstances particulières, de recevoir d’un autre
homme
un ébranlement, une modification tels qu’il en ré
effets eux-mêmes, en rejetant tout ce qui n’a pas été observé par des
hommes
dignes de foi, tout ce que le charlatanisme a tro
i de magnétisme animal ? 2“ Ces phénomènes sont-ils produits par un
homme
su autre, sans intervention d’agents matériels vi
une telle importance, que nous appelons de tous nos vaux l’examen des
hommes
sérieux sur les questions qui précèdent. Ce ne so
onnaître la fécondité, se trouve exclusivement entre les mains de ces
hommes
que, sans distinction ni exception, vous ne craig
avons vu M. Segond, enveloppant dans une injure générale une classe d’
hommes
, égarés peut-être, suivant lui, dans une voie qu’
Or, à l’article Magnétisme de cette première édition (1) écrit par un
homme
dont le nom fait loi dans la médecine, dont le sa
, dont le savoir est profondément considéré même à l’Académie, par un
homme
qui est votre supérieur dans la chaire, comme par
sont très-précises, et nous pourrions nous dispenser de lui nommer l’
homme
dont nous invoquons le puissant témoignage; mais
é la sagesse, bien qu’ils fussent en contradiction avec l’opinion des
hommes
les plus expérimentés, et bien qu’on ait été fond
e qu’elle a manifesté des facultés supérieures à celles du commun des
hommes
, s’ensuit-il qu’elle les devait à une interventio
t matière en présence du fait suivant : «Je cheminais un jour avec un
homme
« d’une haute intelligence qui me charmait par se
cet esprit, cette élocu-« tion, qui me charmaient, ont disparu ; cet
homme
balbu-« tic, divague et ne me reconnaît plus. Une
ialisme tombera comme le nôtre est tombé, comme tombera celui de tout
homme
consciencieux qui désire s’éclairer. P.-C. ORDI
appartient à l’ordre prophétique. Plongé dans v un sommeil factice, l’
homme
voit à travers les corps « opaques, distingue c
r davantage en restreignant la proportion, l’action de l’honnne sur l’
homme
s’opère matériellement sur le corps, ou moralemen
nt, les uns sur les autres, et, pour maintenir notre restriction, les
hommes
agissent sur leurs semblables par un mode qui par
iptive, Monge s’est acquis, sans conteste, la réputation méritée d’un
homme
de génie. Quelle que soit leur intention, ceux-
e. Par conséquent, sous le rapport de l’éducation et du traitement, l’
homme
moral et intelligent, l’homme, en tant qu’être pe
port de l’éducation et du traitement, l’homme moral et intelligent, l’
homme
, en tant qu’être pensant, n’est point étranger à
j’ai senti une force s’échapper do moi. >* Le langage est pour l'
homme
un moyen naturel de communiquer sa pensée, parce
quer sa pensée, parce que le langage est une faculté naturelle chez l’
homme
; parce que, partout où l’on trouve l’homme, à to
faculté naturelle chez l’homme ; parce que, partout où l’on trouve l’
homme
, à toutes les époques, on trouve un langage. Iron
’art oratoire n’empêche pas le langage d’être une faculté naturelle l’
homme
. Le geste, et le jeu physionomique qui est comp
eu physionomique qui est compris dans le geste, sont aussi naturels l’
homme
; et, bien que la mimique constitue un art, le ge
nnu des nourrices, parce que, dans les races très-domestiquées — et l’
homme
civilisé est dans ce cas, — c’est surtout pendant
aux privilégiées entre toutes, la poignée de main n’appartient qu’à l’
homme
et se retrouve chez tous les peuples symbolisan
cet acte ainsi défini est si bien instinctif, ou du moins naturel à l’
homme
, qu’il se trouve partout, à toutes les époques ;
hez qui le feu symbolise toujours l’amour : « 11 faut brûler le vieil
homme
. » Nous considérons plutôt ici la magnétisation
t non une sympathie aveugle et déraisonnable, — vous pourrez faire un
homme
d’Etat célèbre, un juge irréprochable, un négocia
ue votre contact involontairement hostile. Nous le demandons à tout
homme
de bonne foi, à tout homme de sens, — cette concl
rement hostile. Nous le demandons à tout homme de bonne foi, à tout
homme
de sens, — cette conclusion, déduite des principe
en possession de secrets pour la guérison de tel ou tel mal, soit des
hommes
, soit du bétail.—Nous sommes convaincu que si le
os des communications spirituelles (1). —Nous croyons au lien entre l’
homme
et des êtres extérieurs à l’humanité, et ce lien
qu'il midi, il mourut. f 21. « Elle monta ensuite(à la chambre de l'
homme
de Dieu.—Addition de Le Maistrc de Sacy), et elle
un de vos serviteurs, et je prendrai l'ânesse pour courir jusqu'il l’
homme
de Dieu ot m’en revenir. >*■ 23. « Son mari
ous ordonne. ÿ25. « S’élantdonc mise en chemin, elle vint trouver l'
homme
de Dieu sur la montagne du Cartnel: et l’homme de
n, elle vint trouver l'homme de Dieu sur la montagne du Cartnel: et l’
homme
de Dieu l’ayant aperçue qui venait il lui, dit à
Elle lui répondit : Tout est bien. f 27. o Et étant venue trouver l'
homme
de Dieu sur la montagne, elle so jeta à ses pieds
on peut en abuser, comme de toutes les forces qui ont été données à l’
homme
. Nous sommes donc loin de nier qu’on puisse nui
ère dont sont revêtus les exorcistes (1), — ils ne cessent pas d’être
hommes
, et à ce titre leur action doit être étudiée au p
t qu’il s’agit de soulager ; mais que l’on considère la position d’un
homme
à qui nous supposons la foi, qui pense être en pr
pposons la foi, qui pense être en présence de l’ennemi de Dieu et des
hommes
, et qui se croit appelé à le combattre comme en u
e la haine et de l’imprécation, et l’on sera convaincu que bien peu d’
hommes
étaient capables d’ètre à la fois bienveillants p
nt à la mode. Or, si à une femme impressionnable ainsi préparée, un
homme
qui a sur elle une influence immense antérieureme
l de la médecine, — c’est-à-dire — qui demandent que l’on condamne un
homme
sous prétexte qu’il guérit ; car on n’a jamais pu
e plus grand respect pour les lois en général, bien que, — venant des
hommes
, — il soit possible, à la rigueur, qu’elles ne so
portant dans line certaine maison située sur le chemin de Gentilly. L’
homme
qui l’habite avec sa femme est attaqué, ainsi que
vitales non renouvelées par le sommeil, il a été impossible à quatre
hommes
robustes de la contenir dans un de ses accès. L
résente bien des faits qui peuvent éclairer cette question ; mais les
hommes
spéciaux en dédaignent l’étude, en sorte qu’ils s
produit que dans le désert, tandis qu’il se produit partout, quand C
homme
est dans /es conditions physiologiques voulues. J
es qne celles de la vue, atteignent surtout ceux qui sont à jeûu, les
hommes
voués à l’état monastique, les voyageurs soumis à
le sens de ces préoccupations du moment. Des aspirations naturelles d’
hommes
de la même race ayant reçu la môme éducation ne s
Pyramides pour donner des soins à un voyageur grièvement blessé. Cet
homme
était sous l’influence d’un sommeil profond quand
il, accablé de fatigue; mes sensations res-« semblaient à celles d’un
homme
ivre. Tantôt je croyais en-« tendre des voix qui
des voix qui m’appelaient, tantôt je voyais des luit mières, puis un
homme
, puis deux, puis trois, dix hommes « montés à dos
je voyais des luit mières, puis un homme, puis deux, puis trois, dix
hommes
« montés à dos de dromadaire envoyés à ma recherc
ue k butte de sable devenaient pour moi un chameau, un mou-ci ton, un
homme
, un être animé courant çà et là. » « Dans les t
ou il se traînait jusqu’à ce que ses forces vinssent à le trahir. Cet
homme
ne dormait point, il n’était Eoint le jouet d’u
uillé de toute humidité. Eh bien ! voici comment : « La peau de cet
homme
était brûlante, sa langue était couverte d’un end
quelques circonstances, non. Généralement, on emploie un paysan. Cet
homme
, souvent fatigué des travaux de la journée, est r
sous l’influence de la crainte et des menaces qu'on lui a faites, cet
homme
marche, il se trompe, il s'égare sans la moindre
. « Voici, reprend l’auteur, à peu près comment onpeut savoir qu’un
homme
a le ragle : « Si on le voit étendre les bras e
ns motif apparent. S’il est à pied, quand on le voit marcher comme un
homme
ivre, entendre des bruits imaginaires et les écou
emin. « Dans ce pays, les Arabes sont moins sujets au ragle que les
hommes
du nord. Ce sont des hommes qui habituellement do
Arabes sont moins sujets au ragle que les hommes du nord. Ce sont des
hommes
qui habituellement dorment peu et sont brisés à t
ui passent des mois sans dormir. « Le ragle précède le sommeil de l’
homme
et. en marque la fin. C’est pendant cet état de s
leur d’après toutes les circonstances que nous connaissons? Voici des
hommes
qui, depuis quelque temps, voient se passer autou
omacale (Des Esprits, chap. IV, — Question des Esprits, p. 73). Des
hommes
commettent des forfaits exécrables; peut-être che
é à partir duquel il faut reconnaître l’action du démon et absoudre l’
homme
qui ne sera coupable qu’en apparence? Il résulter
able, vous dis-je ; et toujours le diable. Le magnétisme enrichit l’
homme
de facultés nouvelles, lui permet de guérir ses s
helle des êtres, qui s’élève depuis la molécule inorganique jusqu’à l’
homme
, ne se borne pas à cet échelon, mais qu’elle se p
aves diss emblances, et d’agir envers eux comme nous ferions avec des
hommes
dont nous ne connaîtrions que la correspondance,
ue nous ne serions fondés, d’après la conduite bonne ou mauvaise d’un
homme
, à le déclarer ange ou démon. La raison nous dit,
oit un démon ; car s’il est menteur et méchant, l’exemple de certains
hommes
ne nous prouve-t-il pas qu’on peut l’être à un tr
, et se faire un malin plaisir de nous effrayer. N’a-t-011 pas vu des
hommes
aussi qui jouaient au diable, au revenant, au lou
’entraîne une telle manière de procéder? Nous faisons un appel \ tout
homme
de bon sens : où est la connexion entre la cause
on frappée des démarches qu’avait faites pour être leur confesseur un
homme
élégant, aux belles manières, au regard fascinate
maladif; elles voient en lui un sorcier redoutable; et, parce que cet
homme
a envoyé un bouquet qui probablement n’avait qu’u
volontiers le titre de protestant, et nous aurons pour nous tous les
hommes
éclairés qui se livrent à l’étude et à, la pratiq
s qui n’est que spécieux, l’influence de la volonté. On a dit que des
hommes
avaient subi l’amputation d’un membre sans montre
Tome X!V. — **!). — 25 septembre 18S5. 18 fait s à Paris sur dos
hommes
connus. luis que M. llaspail fils et quelques aut
est le rapport du docteur Elliotson. Ecrit simplement et émanant d'un
homme
dont le nom fait autorité, le récit du Zoist ne l
jongleur, et qui pourrait, par les diartnes, guérir celte jument. Cet
homme
fut appelé, et il dit qu’il pouvait guérir la bêt
tique. Gomment ne pas reconnaître cet ascendant que la volonté d’un
homme
peut exercer sur les sens, la matière et la volon
homme peut exercer sur les sens, la matière et la volonté d’un autre
homme
? Comment ne passe rendre entièrement à l’éviden
, fournir un concours précieux dans les recherches sur la nature de l’
homme
. 11 faudrait que le somnambule fût formé par un m
fatigable patience à provoquer de toutes les manières 1’ ttention des
hommes
sérieux sur les faits magnétiques. 11 critique av
011 aimerait à avoir les opinions, les conjectures, si l’on veut, des
hommes
judicieux et éclairés comme l’est M. Bersot. «
s qu’on leur fait. Si nous nous rendions compte, dans notre orgueil d’
hommes
et de civilisés, du peu que nous savons, 011 nous
oit des faits semblables ii celui |itc nous allons rapporter et qu’un
homme
, un savant comme M. Thury, appuie de son témoigna
: dans toutes les villes d’une certaine importance, un grand nombre d’
hommes
éclairés et recommandables à tous égards s’occupe
et cpie, maintenant, grâce à la persévérance infatigable de quelques
hommes
de bien, 11 a conquis une position des plus flori
ence d’un principe immatériel, complètement indépendant du corps de l’
homme
et vivant d’une vie qui n’a pas besoin des organe
magnétisées de proche en proche se mettaient en marche comme un seul
homme
. Qu'on ne nous taxe plus d’exagération, quelque
e résistance pour se confondre dans l’harmonie d’une autre volonté? L’
homme
est une puissance qui peut rester sa maîtresse en
eur à une tribune ; en face de lui, autour de lui est une assemblée d’
hommes
considérables, passionnés, la plupart intelligent
ger son opinion. Or cette assemblée lui est généralement hostile. Ces
hommes
savent d’avance ce que cet autre homme va leur
t généralement hostile. Ces hommes savent d’avance ce que cet autre
homme
va leur dire. Il n’y a point d’habileté de langag
utent pas et dans lequel tous tombent sans l’apercevoir. En ellet cet
homme
parle, et ses adversaires peu à peu ébranlés, ému
eterre que des cures extraordinaires opérées par Valentin Greatrakes,
homme
simple et pieux que personne n’a ja- mais taxé
n avec Al. Aubin Gauthier pour savoir si tout ce qu’on raconte de cet
homme
était du magnétisme (1) sans théorie, sans princi
on des mains. Mais Gassner, dit M. Gauthier, ne ressemblait pas à cet
homme
si simple; il croyait au diable, et, pour opérer
’il y a de surprenant, ajoute M. Gauthier, c’est que de Haën était un
homme
fort instruit, et, en admettant qu’il ne pût pas
nce concluante ne peut être invoquée à l’appui de cette affirmation d’
hommes
qui ne sont plus. Laissons là les tables pour n
rofanes ayant été entretenus du fait, il est juste qu’à leur tour les
hommes
de sciences soient mis à même de se former une op
resse ni à négligence d’un élément bien précieux pour la science de l’
homme
et pour l’humanité. » On le voit, M. Cérise ne
s efforts; la religion même en bénéficiera, car tout ce qui éclaire l’
homme
le rend meilleur et entre par conséquent dans les
rands esprits, de nos sceptiques, et mettre en émoi tout une classe d’
hommes
, où nous comptons pourtant beaucoup d’amis; ils.
comprendre ! Je n’accepte point la vie comme l’accepte le commun des
hommes
; je veux savoir ce que renferme le vase humain, e
belle partie du savoir humain est en dehors des académies, et que des
hommes
de rien sont plus près que vous de la nature et d
ue toutes nos facultés procèdent fondamentalement de l’organisme de l’
homme
, auteur exclusif de ses découvertes dans les supé
) Malgré lo fastidieux de scs détails, je la transcris, parco que les
hommes
compétents ne seront pas tâchés de la parcourir.
tion, par les trois règnes naturels, l’action de la force vitale de l’
homme
. Au reste, là n’est point le débat. 11 s’agit d
passage des limbes au sanctuaire divin! C’est l’œuvre de la foi! Les
hommes
, trop entiers encore dans leur nature première, c
ier de cette chaîne de confraternité qui doit relier un jour tous les
hommes
. Le fruit de cette sainte union, l’accord de leur
oduira un encens qui, en s’élevant vers Dieu, deviendra amour ! « L’
homme
alors jouira avec amour, dans cet amour, et compr
le docteur ***. Un second visiteur arrive, M. G..., ancien banquier,
homme
de raison froide et rassise, n’acceptant l’inconn
truction , les plus nobles facultés et les plus chers sentiments de l’
homme
, dans la dépouille de ses larves infimes. Ces p
est à même d’écouter ou de repousser) , peut déterminer chez d'autres
hommes
, en des occurrences particulières, des actes dont
otte, ancien chef d’escadron de la gendarmerie d’élite, a pensé qu’un
homme
de cœur devait, avant tout, avoir le courage de s
r qu’avec la plus grande réserve. en les soumettant ail contrôle d'un
homme
compétent, mé- decin ou magnétiseur. Pour notre
avons en saisir le mécanisme, en dévoiler le mystère; mais beaucoup d’
hommes
ont peur, Tome XIV. — N° ‘4%%, — 23 Novembre 18
ui ne furent pas continués à cause de l’état peu fortuné du père (cet
homme
, ouvrier fileur chez M. Paul Sevaistre, deux fois
dire du palais de l’Exposition, où le Travail, aidé par le Génie de l’
homme
, étale à l’admiration de tous tant de grandeurs e
que. Ces secousses étaient telles que les forces réunies de plusieurs
hommes
suffisaient à peine à contenir la malade. Souvent
ccès hystériques ont plus de force, de fréquence ; à ce moment quatre
hommes
entrent pour veiller la nuit, comme cela se prati
le nom de marchand, de même aussi à parler soit de Dieu , des saints,
hommes
ou choses ayant rapport à la religion catholique,
it de ces dires et de ces faits, l’enfant dans son délire accusait un
homme
lui ayant fait peur vers le milieu de l’hiver der
déshabiller, coucher dans des draps, veiller par son frère et un seul
homme
: sommeil de dix heures. Le dimanche 7, au matin,
umeur par un événement qui mettait toutes les têtes en ébullition. Un
homme
était apparu, un pauvre diable de garçon de ferme
nt à préparer le lin, honnête au fond, naïf et bon de caractère ; cet
homme
faisait des merveilles, il faisait ce que des méd
allait voir Driesken Nypers (c’est le nom et le surnom familiers de l’
homme
) poursuivi dans toutes les rues par des piétons e
Pierre Pomponace, ne fait aucune difficulté d’admettre qu’il y a des
hommes
dotés par la nature de la puissance de guérir des
ixum desiderium. Ces dispositions ne se rencontrent pas chez tous les
hommes
. Pomponace ne cite personne en particulier, mai
es, des faits dont il aurait été témoin ; et Pomponace n’était pas un
homme
crédule, car il a composé le livre dont nous fais
concluant. 11 faut arriver au dix-septième siècle pour rencontrer un
homme
qui présente des phénomènes analogues à ceux que
ues à ceux que l’on nous dit être produits par Driesken Nypers. Cet
homme
, nommé Valentin Greatrakes, était une espèce de g
en 16(37 et mourut oublié en 1680. Le siècle suivant vit naître un
homme
qui fit bien plus de bruit que Greatrakes et qui
occupa pendant plusieurs années l’attention publique en Europe. Cet
homme
, nommé Jean-Joseph Gassner, était né à. Bratz, su
aucun de ces procès-verbaux, auxquels concouraient des médecins, des
hommes
de science attirés par la curiosité, ne contient,
aut-il pas conclure quelque chose en faveur de Driesken Nypers? Cet
homme
simple, entièrement illettré, n’a jamais entendu
lagement notable opéré en quelques minutes par Driesken hypers sur un
homme
atteint d’un violent rhumatisme. Ce sont là des q
nce de ses mouvements instinctifs; et, d’ailleurs, si l’instinct de l’
homme
peut déterminer quelques mouvements appartenant à
s plus favorables pour ¡échapper à la contagion morale; c’étaient des
hommes
positifs, d’un jugement froid et sévère; ils deva
répandu avec le plus de succès ; il compte parmi ses sectateurs des
hommes
de science, des médecins distingués, des écrivain
rance; il combat avec force l’incurie et l’obstination déplorable des
hommes
qui, manquant à leur haute mission , ont refusé d
la médecine ordinaire est impuissante, sont indignes de l’attention d’
hommes
qui font profession de guérir. a. s. MORIN. I
nes du sexe à qui il pourrait répugner de se faire magnétiser par des
hommes
. Tout malade qui désire obtenir l’insensibilité p
RIENCES. LE SPIRITUALISME EN AMÉRIQUE. (Suilc.) La Journal de i
Homme
(Buchanan’s Journal of Man), recueil mensuel publ
a l’assentiment du docteur, qui répondit : — Soit, si la venue de cet
homme
peut consoler la famille, qu’on aille le chercher
dans cette circonstance, la fascination avait été réciproque entre l’
homme
et l’animal. Chacun d’eux était immobile et comme
tait le regard. L’issue en était douteuse ; il semble cependant que l’
homme
commençait à faiblir, et il aurait bien pu succom
succomber sans l’intervention brutale des soldats. Le Journal de l’
Homme
rend compte avec éloge de l’ouvrage du professeur
édiums. Le bruit de ces phénomènes singuliers se répandit au loin. Un
homme
très-recomman-dable de notre connaissance fit le
ans ces sortes d’imputations. Dès la plus haute antiquité, certains
hommes
ont passé pour posséder des secrets merveilleux d
conçoit comment l’esprit a été porté à les unir. Par le magnétisme, l’
homme
peut exercer sur son semblable une influence cons
luence est ordinairement bienfaisante, on a pensé que, delà part d’un
homme
méchant, elle pouvait être malfaisante, que le ma
ule d’autres semblables, l’aiTirmation manque entièrement de base. Un
homme
souffre et il déclare que sa souffrance est due à
aucun lait, aucune circonstance qui puisse autoriser à croire que ces
hommes
s’occupent de lui. Ainsi, non seulement son asser
ue doit-on penser de ceux où il est employé? Faut-il admettre qu’un
homme
puisse, par sa volonté et sans l’emploi d’un agen
cun motif suffisant pour se prononcer en faveur de l’affirmative. Les
hommes
sont naturellement portés au merveilleux et ne ve
tu d’une opération mentale du patient sur lui-même. Ainsi, prenons un
homme
au caractère faible, à l’imagination impressionna
tiques mystérieuses dirigées, selon toute apparence, contre lui ; cet
homme
se croit perdu, il voit déjà les puissances infer
les précautions que je viens d’indiquer. Je connais un magnétiseur,
homme
charmant, instruit et spirituel, qui a le travers
lui un nouveau pouvoir. 11 arrivait ainsi à dépasser les forces de l’
homme
et à faire des prodiges. Si au contraire il se pr
nous et nos lecteurs, s’honorent de marcher dans la voie que ce grand
homme
a ouverte et ont voué le culte de la reconnaissan
e douleur si vraie et si juste. Qu’on se représente par la pensée cet
homme
d’une si liante intelligence, d’un savoir si ét
elligence, d’un savoir si étendu, d’une imagination si énergique, cet
homme
qui a la conscience de ce qu’il vaut et de ce qu’
t une curiosité littéraire, mais comme une touchante relique du grand
homme
méconnu et du plus illustre bienfaiteur de l’huma
guide, ne serait-ce qu’un chien ! Voyez ce qu’ont fait les ans de cet
homme
valeureux, de ce hardi soldat : maintenant, voula
sectes, des membres du congrès, des jurisconsultes distingués, des
hommes
de toutes les professions, et que les progrès rap
ablies relativement à l’organisation de l’esprit et aux rapports de l’
homme
avec le temps de l’éternité, ainsi que les soluti
IS, PAR UN KOU. Il est évidemment contradictoire d’admettre que l’
homme
a une âme, un esprit immortel, et de nier l’exist
a que de mauvais. C’est comme si 011 interdisait le commerce avec les
hommes
qui sont des esprits incarnés, sous prétexte qu’i
ce qui a été écrit jusqu’ici de plus vrai sur les esprits. Tant que l’
homme
sent son corps, l’esprit ne le quitte pas, parce
ont les monuments historiques nous ont conservé le souvenir, certains
hommes
ont passé pour posséder une science mystérieuse r
et fait succéder la dérision à l’effroi. Il s’est trouvé depuis des
hommes
aussi consciencieux qu’érudits, qui n’ont pas reg
u-dessous de la vérité... Oui, il existe une science qu i confère à l’
homme
des prérogatives en apparence surhu- uiaines___
cience universelle; il connaît à la première vue le fond de l’âme des
hommes
et les mystères du cœur des femmes; il force, qua
en autrement puissante que la vapeur, et au moyen de laquelle un seul
homme
qui pourrait s’en em- !>arer et saurait la d
mainement, c’est-à-dire d’une manière qui passe la portée commune des
hommes
. » 11 divise son ouvrage en deux parties : le d
depte. Les conditions morales sont fort rigoureuses : on exclut « L’
homme
esclave de ses passions ou des préjugés de ce mon
t « L’homme esclave de ses passions ou des préjugés de ce monde ; l’
homme
qui aime ses idées et qui a peur de les perdre, c
el... Je considère uniquement ma vision comme le rêve volontaire d’un
homme
éveillé. » L’auteur avoue donc qu’il n’a réussi
des révélateurs (t. I, p. 272). — C’est là un cercle vicieux : car un
homme
de bon sens ne peut accepter que ce qui lui est d
ipses, en prenant comme exemples les époques de naissance de quelques
hommes
connus, et en prouvant que les événements de leur
rer ? Dans plusieurs chapitres, M. Constant traite du magnétisme en
homme
qui l’a étudié à fond; il présente à ce sujet des
ignorants ; mais comme il n’existe guère de science absolue parmi les
hommes
, le miracle peut encore exister, et il existe pou
ue son ouvrage occupera une place distinguée dans la bibliothèque des
hommes
studieux. A. s. MORIN. VARIÉTÉS. ATTRACTION
sical ; rapport de M. le Dr Bégué, 417. Fascination réciproque d'un
homme
et d’un tigre, 619. Guérisseurs indiens. 618.
ment, s’avancent vouloir predire les bonnes et mauvaises fortunes des
hommes
, aussi les saisons du temps à venir ; voire par a
re comme ils disent, Cures supernaturelles miraculeuses, tant sur les
hommes
que sur les bestes, de quoy toutefois la fin (■n
ion tels meschans pes-chez condamnez en premier de Dieu, et après des
hommes
, procédant seulement, comme dit est, de l’inventi
ie exemptes de toute sotte plaisanterie. « Eh bien ! la parole d’un
homme
qui n’a point fait divorce avec le bon sens, la l
e, ceci en vertu de la propriété que possèdent les pointes. 6° Tout
homme
dans son état normal peut produire l’effet magnét
complètes? » Ce qui, en d'autres tenues, peut se traduire ainsi : L’
homme
est il capable, par les efforts de sa volonté, il
es êtres invisibles acquièrent momentanément des formes apparentes? L’
homme
peut-il, en un mot, par son seul arbitre, créer e
t cette boutade d’Alphonse Karr : Que de tous les sens attribués it l’
homme
, le plus rare est assurément le sens commun...
cile, cette idée est par trop incompatible avec les mœurs d’un galant
homme
pour qu’elle nous lut jamais venue à l’esprit.
essairement tirer cette double conséquence. — Ou bien Y esprit de l’
homme
, l'âme, humaine, possède !" don Yubi/uité ? — O
de l’homme, l'âme, humaine, possède !" don Yubi/uité ? — Ou bien l’
homme
est doué de plusieurs âmes ? Notre personnalité
ertu de cela, je ne suis engagé nullement au rôle de contro-versiste.
Homme
d’utilité pratique, autant j’honore tous les nobl
C’était encore le somnambule qui parlait. Edgar Poë, ce malheureux
homme
de génie qui s’enivrait, a décrit d’une manière t
Anglais, très-raisonnable d’ailleurs, qui croyait avoir rencontré un
homme
aveclequel il avait l'ait connaissance, qui l’ava
l’ivresse; la folie a d invincibles attraits pour la folie. Lorsqu’un
homme
suc- combe au sommeil, il a en horreur tout ce
es squelettes retournés, convulsés, tordus, et l’on a dit : Voici des
hommes
qui ont été enterrés vivants. On se trompait souv
l'intelligence ne puisse constamment briller dans le même lieu : l'
homme
acquiert des connaissances n ou velles, tandis
s, et pour moi, je préfère rencontrer sous mes pas un incrédule, mais
homme
sérieux. Oh ! si le magnétisme était pratiqué sel
pothèse d'une autre vie, se changeant tout à coup alors en réalité, l’
homme
retrouvera incontinent toute la pureté de son ess
t les spiritistes changer ainsi la face du monde pour le bonheur de l’
homme
! En attendant cette grande, cette sublime réno
personne, cette dame, avec beaucoup de douceur cependant, menace cet
homme
de porter bientôt plainte contre lui. « A qui vou
« N’en soyez pas surprise, madame, lui dit son interlocuteur : cet
homme
ne m’a point vu. — Comment, il ne vous a point
s, qu’au moment où j’écris ces lignes un procès est entamé entre deux
hommes
qui se disent être l’un et l’autre la même person
arrive, du reste, d’ordinaire dans les cas de somnambulisme. Notre
homme
fut mis au lit et saigné bientôt après par un hom
mbulisme. Notre homme fut mis au lit et saigné bientôt après par un
homme
de l’art appelé pour lui donner des soins. On lui
ers n’entretiennent que l’ignorance et conséquemment le mal. Plus l'
homme
s'élève et s'amende, Plus il complète son espri
us il complète son esprit : Partout la natnre est si grande. Et l’
homme
encore est si petit. Je renouvelle mon toste à
soixante ansl... c'est l'heure d'ètre sage : A tant d'orgueil que l'
homme
soit enclin, Sur ce bas monde où nous avons pas
u'elle apparût enfin telle qu’elle esl à tous ceux qui gouvernent les
hommes
ou qui ont mission de leur faire du bien I Celle
s Collègues, L’époque où nous vivons a cela de remarquable, que le»
hommes
d’intelligence cherchent avec ardeur la vérité, l
s portons les éléments de la lumière, celle-là môme que cherchent le3
hommes
avancés; car ils voient l’affaiblissement de tout
ques ont progressé, que tout s embellit ou fructifie par la main de l'
homme
; mais ils voient aussi que l'aliment essentiel,
te ce qui nous manquait, ce que les savants cherchent, ce qui relie 1
homme
à son Créateur, ce qui inspire le dévouement et i
at«, nous devons regretter ces pertes et conserver le souvenir de ces
hommes
de bien ; nos moyens d’action ont ôté rétrécis pa
ort ont été bientôt comblés; et, à défaut de tribune, la propagande d’
homme
à homme ou par les livres s’est faite sur une si
été bientôt comblés; et, à défaut de tribune, la propagande d’homme à
homme
ou par les livres s’est faite sur une si vaste éc
se croyait au sommet et nous montrons à ces savants éminents que des
hommes
placés bien au-dessous d’eux peuvent, sans user d
e vue notre rôle estencore magnifique. Soyonstolérantsenvers tous les
hommes
tout en plaignant leurs erreurs; formons des vœux
umains pour détruire l'abus «les remèdes matériels, pour rappeler les
hommes
aux principes sans lesquels le magnétisme ne peut
gnétisme de Paris, repousse ce qui est accepté comme avéré par tant d’
hommes
que nous vénérons, et dont la plupart sont nos ma
s maîtres ? Non, Messieurs, mais qu’on ne l’oublie pas, il y a deux
hommes
en nous; d’abord des chefs de société, qui ne doi
traînement. Mais interrogez-nous maintenant comme particuliers; comme
hommes
libres de penser et de croire à notre guise, sans
nous ne sommes pas matérialistes! car nous sentons que la pensée de l’
homme
n’a rien de la terre, et nous répugnons à l’idée
somnambulisme nous défend de l’être. Ce nouvel état intellectuel de l’
homme
n'est pour nous que le prélude d'une merveilleuse
ités de sa clairvoyance, que nous voudrions limiter les facultés de l’
homme
nouveau; non! S'il a déjà grandi notre sphère, ri
les besoins de nos études, d’un autre côté, pour le besoin que chaque
homme
apporte en naissant de découvrir et d’espérer san
d’un voyage en voiture, M"' de Puységur ayant fait demander quelques
hommes
de bonne volonté pour le transporter, tout le vil
uelques hommes de bonne volonté pour le transporter, tout le village,
hommes
et femmes, vinrent le chercher, chacun se disputa
malheureux. Une telle fin, Messieurs, est le plus bel éloge de cet
homme
qui, plus heureux que beaucoup d’autres, ayant to
de qui 011 ne saurait trop ni même assez recommander la lecture, cet
homme
dont les lumières et les vertus privées exerçaien
ouvertes des temps modernes. Quels modèles, Messieurs, que ces deux
hommes
dont, sans celui dont nous félons aujourd’hui l’a
ades qu'il faut boire. On me dit qu'il existe en France Un groupe d’
hommes
insensés, Apôtres de l’intolérance, Zclés prône
mènes du magnétisme, et voilà que dans le camp même du magnétisme des
hommes
fanatiques viennent ressusciter cette chimérique
ifique qui prouve le naturel et la spontanéité de ces facultés chez l'
homme
? Faut-il reconquérir avec vous autres, le natural
s enfin le principe et les faits prendront place dans la science de l’
homme
. Certes, ce ne sera pas par des théories et des f
urs de table! Ils sont d’ordre inférieur ! Ils veulent convaincre des
hommes
de leur existence, et ils lui bouchent les yeux !
yeux ! Vraiment ils sont petits d’intelligence s’ils croient que l'
homme
va leur donner sa foi en abdiquant un sens sur le
eu de : ne ressemblent aux marchands d'orviétan (t), lisez : sont des
hommes
(¡raves, etc. Page 277, ligne 1", après ces mot
n soit encore à ces doutes honorables, qui précèdent toujours, chez l’
homme
intelligent et de bonne foi, le moment où il va s
,]! est impossible de nepas tenir grand compte des efforts que fait l’
homme
convaincu pour vulgariser ses convictions, et pou
qui fait l’objet de la critique que l’on vient de lire, représente un
homme
couché sur un lit, et une femme ou un jeune homme
rs monuments égyptiens; mais il représente quelquefois une momie et l’
homme
qui travaille à la préparer, ainsi que le fait ob
pas captivé dans tous les temps l’attention d’un très-grand nombre d’
hommes
célèbres dans les sciences et la philosophie? De
ont pu encore être fixées. « L’humanité doit atteindre un but, et l’
homme
, sans avoir toujours conscience de la part qu’il
ignez au pénible office de vous imposer le respect de la réputation d’
hommes
sincères, si vous voulez que, dans une occurrence
te ? Docteur Charpignon, revenez à la tolérance, à la patience de l’
homme
plus imbu de son actuelle infimité que de l’excès
et que, par un travail sérieux, elles procèdent au rapprochement des
hommes
, à l’extinction des haines. Ce n’est point en cou
e qui existent îi Paris; mais nous avons considéré la valeur des deux
hommes
qui soutenaient un même fait, sans pouvoir se con
travail de la végétation, les forces instinctives et magnétiques de l'
homme
augmentent et s’exaltent; les fortes exhalaisons
sur les chevaux en les fouettant de leur longue queue. Ces visions d’
hommes
éveillés sont réelles et terribles, et il ne faut
e prodigieuses distances des bruitsrévélateurs, on voit la pensée des
hommes
sur leur visage, on est frappé soudainement du pr
ar de nombreuses expériences : « 1* Que l’influence magnétique de l'
homme
dirigée par sa volonté, s’attache à des objets qu
ent fixe, acharnée et invincible comme celle des fous. « .V Que les
hommes
seuls à cause de leur libre arbitre peuvent rés
es élémentaires, il faut une grande moralité et une grande justice. L’
homme
qui fait un digne usage de son intelligence et c'
rand art de la cabale, les bêtes féroces respectent naturellement les
hommes
, et ne se jettent sur eux que lorsqu’ils les pren
ués d’une intuition particulière pour voir le médiateur plastique des
hommes
sous la forme que lui a donnée l’exercice habitue
e prophète Isaïe, quand la justice régnera sur la terre, et quand les
hommes
élèveront leur famille dans la véritable innocenc
CAUSERIES MAGNÉTIQUES. PROCÉDÉ MÉDICAL INFAILLIBLE POUR JETER UN
HOMME
PAR TERRE. On prend un homme, le premier venu;
CÉDÉ MÉDICAL INFAILLIBLE POUR JETER UN HOMME PAR TERRE. On prend un
homme
, le premier venu; par exemple, un homme qui a bea
OMME PAR TERRE. On prend un homme, le premier venu; par exemple, un
homme
qui a beaucoup travaillé, dont la tète est échauf
ixième saignée, et lorsque le sang n’est plus que séreux, on plonge l’
homme
dans un bain, et le tour est fait. Mais la galeri
isations auraient produit infailliblement le dégagement du cerveau, l’
homme
se serait remis sur pied et se serait trouvé plus
s morales, c’est ce besoin impérieux, cette force qui pousse certains
hommes
à combattre ce qui est faux et mensonger, lorsque
st ce sacrifice volontaire que font de leur tran- quillité certains
hommes
afin d’éclairer la société et faire triompher la
principe vital de la mer, malgré sa grande analogie avec celui de 1
homme
, n’est pas d’une identité et d’une puissance d’ac
que scs propriétés ne sont pas soumises à l’empire de la volonté de l’
homme
, ce sont les malades et surtout leurs médecins qu
ité encore : le magnétisme humain, divine et immortelle faculté que l’
homme
a reçue de son créateur; je combattrais pour cett
ain et ils verront leurs maux promptement disparaître. S’il y a des
hommes
qui consacrent tous leurs instants au triomphe de
es que par toute autre doctrine. Mais je me trouve conduit à rendre l’
homme
libre de toutes les entraves dont on a toujours e
oint souffrir de ce déni de justice, quoiqu’il blesse la dignité de l'
homme
et surtout ilu savant; mais en jugeant ses conséq
el est leur langage. Un de ces princes de la science répondait à un
homme
considérable qui lui affirmait les faits du magné
s êtes tenté de jeter le manche après la cognée et de vous écrier : l’
homme
est bien misérable, il est la propre cause de ses
A ce métier, on devient centenaire, on évite des ennuis, on est même
homme
d’esprit par ses livres; mais n’a-t-on point quel
pas été utile à ses semblables, en tenant la main aussi serrée? Un
homme
réellement sérieux, et qui a le moindre souci de
t, l'une que l’on sait difficile, non sans danger, et l’autre que des
hommes
graves et sérieux signalent comme plus facile et
niquement par une sorte de fétichisme pour la première? Est-il d’un
homme
sage de dire alors en un quiétisme stupide : que
xer qu’à l’aide d’un examen consciencieux. La raison a été donnée à l’
homme
pour qu’il dépassât plus ou moins l’instinct de l
t muni d’une recette, on réveille le somnambule, et le dieu redevient
homme
. Une scène assez curieuse se passe alors : celu
t appliqué tics sangsues... et le succèsde ce traitement officiel : l'
homme
des bois après quelques grimaces, bien justifiées
sineux de l'instrument produit de belles flammes bleues et ronges. Un
homme
électrisé placé sur l’isoloir est vu entouré d’
vérité comme les médecins. Il y a trente aus, après Jussieu, Deleuze,
homme
éminemment instruit, écrivait ses observations su
de transcendant et qui marque son temps. On trouve bien parmi eux un
homme
comme M. Maury, de l'institut, qui ressasse les f
taient de l’ordre physique, ils n’ont pas pu les nier : chacun de ces
hommes
distingués a ou a eu des rapports avec des person
e généralement clans le monde officiel, de 1 étendue du pouvoir que l'
homme
peut exercer par le moyen du levier invisible que
ose secondaire ou inopportune. On comblera d’honneurs et de fortune l'
homme
qui découvrira un astre douteux et dont la réalit
erait aucune influence sur les destinées humaines. On encourageia les
hommes
d’industrie, et ceci est très-utile, mais n'a qu’
rend illustre. Les destinées humaines ne peuvent être abandonnées aux
hommes
qui n’ont point d'idée morale, et qui ne comprenn
le, et qui ne comprennent rien aux mobiles secrets qui conduisent les
hommes
vers leurs fins dernières. On laisse démolir pièc
pour juges, on eût nommé des gens désintéressés dans la question, des
hommes
de bon sens qui n’eussent point eu de parti pris,
rait tomber réellement soi-même dans l’absurde, vu qu’aujourd’hui des
hommes
éminents en Europe s’occupant de magnétisme anima
ux... Depuis quand, et comment ce monde occulte s’est-il révélé à l’
homme
? Depuis que l’homme a cherché à reconnaître la ca
, et comment ce monde occulte s’est-il révélé à l’homme? Depuis que l’
homme
a cherché à reconnaître la cause cachée de plusie
onnues aujourd’hui ont toujours été du domaine des connaissances de l’
homme
, surtout le magnétisme animal, véritable cause de
tte tradition, ainsi que toutes celles dont l'action est de nuire aux
hommes
, aux animaux par des opérations magiques, s’est r
oup plus la force occulte du fluide magnétique qui, à la volonté de l’
homme
, peut amener un trouble dans l’économie animale (
et affirme qu’on apportait, souvent dans l’atelier les lunettes d’un
homme
âgé de 55 ans, pour les faire polir, parce que le
l’iris, et celle tache provenait de la force occulte des yeux de cet
homme
... L’horloger assure les avoir polis lui-même plu
loger assure les avoir polis lui-même plusieurs fois. Les yeux de cet
homme
, dit-il, étaient d'une couleur verl-bleu-violette
mélange métallique qui, recevant le fluide provenant des yeux «le cet
homme
, se décomposait et formait au centre celle tache
e-ci est, à ce qu’on voit, le nazar-boundjek naturel. Il paraît que l’
homme
a toujours été inspiré à lancer, pour se préserve
azar. Ainsi, dans le Levant, quand quelqu’un se trouve en compagnie d’
hommes
inconnus ou entre ses ennemis, pour se préserver
ie, on la répète trois ou sept jours successivement. En Orient, les
hommes
ainsi que les femmes exercent également le magnét
e animée. Bien des motifs connus déjà autoriseraient à penser que l’
homme
est une source riche et permanente de substance o
erme se développera, et tels à peu près que nous les avons vus dans l’
homme
et dans la plante. Dans les animaux, en effet,
e odique n’est point égale sur toute la surface du corps, et, comme l’
homme
, ils ont le côté gauche imprégné de lumière rouge
x en jets resplendissants ou en étincelles brillantes. Elle donne à l’
homme
en colère un aspect des plus repoussants, et c’es
hiller a pu dire que « de toutes les choses la plus horrible, c’est l’
homme
dans sa colère. » De cette dernière observation,
ture une idée qui n’est pas précisément celle que professent tous les
hommes
. » Grâce aux recherches de M. Reichenbach, nous
n état de somnambulisme. Bientôt 011 a vu apparaître derrière elle un
homme
que l’on a dit être son père, et qui s’est mis à
organisme; les eût-on fabriqué tous, il n’est aucunement prouvé que l’
homme
en fût le résultat synthétique. C’est que, pour q
uvé que l’homme en fût le résultat synthétique. C’est que, pour que l’
homme
existe, il faut autre chose que ces composés chim
rticulièrement du ressort de notre livre. Les puissants, pour qui les
hommes
sont des machines et les événements des parties d
se de vues de ces médecins matérialistes qui nient l’existence dans l’
homme
d’un principe immatériel, parce qu’ils ne le renc
ritérium et jusqu’aux errements actuels de notre langage, inviter les
hommes
réfléchis à vouloir ibien suivre logiquement le c
me ce rayonnement l'On. corps (3) ), communiquent avec les âmes des
hommes
. « Uicn n’est plus soudain que l'incorporel; ri
ue par comparaison avec le corps mortel; elle conserve la figure de l’
homme
, afin qu'on la reconnaisse. » Saint Irénée. « L
de l’homme, afin qu'on la reconnaisse. » Saint Irénée. « L’âme des
hommes
est composée de plusieurs parties. » Catien. «
e, que la mutilation du corps matériel n'affecte pas l'intégrité de l'
homme
fluidique, l'homme essentiel (voirie n° 93, 2* sé
n du corps matériel n'affecte pas l'intégrité de l'homme fluidique, l'
homme
essentiel (voirie n° 93, 2* série, du Journal du
sieur et très-honoré confrère, On peut dire de vous que vous êtes l’
homme
du progrès dont l’orgueil et le sot amour-propre
amour-propre ne sont pas les guides ténébreux. J’aime, je vénère, les
hommes
tels que vous qui ne craignent pas de désavouer d
m’en avertir, daas le cas où il en aurait été ainsi. Or, lorsqu’un
homme
tel que vous, dont les opinions font poids dans l
la destruction des livres, et, si je ne croyais au libre arbitre de l’
homme
, je dirais qu’il est poussé à de pareils actes pa
êtes passé du vestibule au sanctuaire ? Et cela ne m’étonne pas d’un
homme
doué de votre énergie et surtout de cet amour de
ualiste, ce qui ne veut pas dire spiritistc ou pneumatiste, mais bien
homme
de bon vouloir, ayant peut-être déjà mis un pied
supposer que la justice distributive de Dieu ait inégalement doué les
hommes
sous le rapport animique (ou du moi spirituel).
e, ne doivent plus vous étonner et vous les admettez en principe? Les
hommes
éclairés qui, depuis, ont étudié physiologiquemen
magnétisme a rendu raison, et une raison logique, sans bandeau ; ces
hommes
qui ont justement jeté le blâme sur le fanatisme
ttention notamment sur ce passage de l’Évangile, où il est parlé d’un
homme
possédé par un Esprit qui s’appelle Légion (1).
rs devaient faire un drôle de remue-ménage dans le corps de ce pauvre
homme
, les Esprits inférieurs étant doués de toutes les
ppellera de ce qu’il a dit et vu, aussi longtemps que la mémoire de l’
homme
peut conserver un souvenir? Ainsi, moi, magnéti
Après ces trois opinions, il peut en surgir une quatrième, celle d’
hommes
qui se demandent et cherchent s’il n’y aurait pas
goutte faute d’avoir le libre usage des organes que Dieu a donnés à l’
homme
pour voir; une force intelligente, peut-être, mai
orer jusqu’à présent Je reviens à la quatrième opinion émise par un
homme
qui a,coopéré aux expériences de M. Squire et qui
pouvait être faite par les moyens purement matériels; on mettait les
hommes
d'une vigueur physique incontestablement supérieu
propriétaire-gérant. CAUSERIE MAGNÉTIQUE. Il fut un temps où des
hommes
traçaient pour les nations une règle de conduite
truites. Nous luttons, comme nos pères, contre le despotisme d’autres
hommes
qui ont aussi leur code et qui refusent les innov
ment découvertes, l’usage commande de les soumettre à la sanction des
hommes
de la tribu des savants. Leur sort dépend un peu
1861. des masses, et que, surtout, l’art de guérir les maladies des
hommes
est ce qu’il y a de plus incertain : on a fait ce
es médecins ont fait de grandes découvertes dans la connaissance de l’
homme
physique : si tous les ressorts de la machine hum
surprendre la nature en travail dans son laboratoire. Mais aucun des
hommes
capables de bien observer ne veut suivre nos indi
s indications, car bien observer est chose difficile, qui demande des
hommes
spéciaux ayant plus quede l’intelligence en parta
veux diminuer en rien la somme de bien qu’ils ont fait. Il est des
hommes
dont je déteste la conduite et l’opiniâtreté; mai
est des hommes dont je déteste la conduite et l’opiniâtreté; mais ces
hommes
eussent donné un corps à la vérité, et l’opinion
es, attestaient l’amour le plus grand de la vérité. Mais admirons les
hommes
de notre temps! Ils ont un médecin qui les empois
parfaitement ignorants des destinées humaines. Diogène cherchait un
homme
et ne le trouvait point,_ le magnétisme cherche
manité, capable lorsque tout croule de constituer un monde nouveau. L’
homme
inspiré viendra-t-il? Je n’en sais rien; mais ce
ales enseignées par nos Facultés, parce qu’elles font plus de mal aux
hommes
qu’elles ne leur font de bien; ce que je puis aff
vine bien distincte de la matière. Je sais que je ne sais rien, dit l’
homme
le plus avancé dans les sciences, et beaucoup pen
eau d’omnibus où s’inscrivent ceux qui veulent voyager en compagnie d’
hommes
aussi bien disposés pour la vérité, — je craindra
le synonyme de l'àme. C'est le principe actif de l’intelligence de l’
homme
. « L’esprit est l’unité intelligente... Une sub
loppe pour ainsi dire comme la lumière du soleil. Cet esprit dans les
hommes
est dieu. C’est pourquoi plusieurs d'entre eux so
ie. Une étincelle de ce feu universel et divin : voilà l'àme (1) de l’
homme
. » Héraclitb. « Les choses incorporelles sont m
ion de la matière, celte modification reprend la qualité lu- Dans l’
homme
, on lui donnait le sang pour siège principal. Che
e change pas; elle conserve toujours la « La matière restreint en l'
homme
la puis- nifcsle sa présence sance divine. » De F
tés magiques, etc. « S’il considère les mondes du grand omnivers, l’
homme
se voit humble et infiniment petit dans ces monde
ne l'àme humaine à sa sortie du corps, lors de la transformation de l’
homme
. » Louis Michel, de Figa-nières, Var. ( Vie Unive
romaine, dont le regard sévère s'attachait sur lui. La figure de cet
homme
s’éclairait d’une lumière particulière assezsemhl
UR EN MÉDECINE. — SA DIRECTION. * Plongé dans un sommeil factice, l'
homme
voii à travers des corps opaques à de certaines d
hir en présence des merveilleuses facultés des somnambules lucides, l'
homme
sage n’hésitera pas un instant, et la manière de
e rien au malade; — les médecins le savent bien. Et ce sont les mômes
hommes
qui repoussent avec insolence et mépris la vérité
âtrent à marcher dans les mêmes sentiers, et alors il ne faudra qu’un
homme
de cœur pour jeter àb as leur édifice. Baron du
position n’en eût pas moins été adoptée sans la fermeté du président,
homme
énergique et loyal, le D' Guépin, de Nantes, dont
r des deux petits chiens et aller les jeter dans l’Oise. « Le jenne
homme
les emportait dans le pan de sa blouse, lorsqu au
corps. « La pensée est d'essence divine, c’est pour-qHoi, chez les
hommes
, elle devient un dieu. « La pensée et la vie ac
(’Antiquité ne voulait confier le ministère de telles études qu’à des
hommes
éprouvés et choisis, et devant se consacrer à l’a
. Pope... a D'après Lelianteka, la vie perceptive et dynamique de l’
homme
se décompose en trois sphères concentriques. La p
ne sépare les intelligibles. » Hermès. « C’est par la pensée que l’
homme
s'élève au rang de membre de la Cité de Dieu. «
olée. Une fois dans 1’« étal céleste, » si l’on examine le corps d’un
homme
malade, on aperçoit ce fluide errant sous forme d
n l’a toujours reconnue et appréciée ; elle se développe plus chez un
homme
que chez un autre. » A. Skider. (Les Émanations,
clairvoyant de tous les sentiments que Dieu ait mis dans le cœur des
hommes
, même les moins bien doués en élans de tendresse.
r elle la prière des agonisants, ce qu’on fit d’un mouvement unanime.
Hommes
et femmes, maîtres et domestiques tombèrent à gen
dir-Zeb en promenant un regard ferme, mais calme, sur l’assemblée, en
homme
qui ne cherche pas à cacher qu'il prélude peut-êt
que tout était fini, car la tête et les yeux de l’animal exécré de l’
homme
depuis le premier jour de la création disparurent
ra-t-on de salon en salon. Oh ! — La donner à un esclave ! — A un
homme
d’un autre sang ! — A un tigre ! disaient d’aut
t par conséquent sans mémoire. Pour concevoir l’animal, il suffit à l’
homme
de faire abstraction de sa volonté, cl de se rédu
agination. Tout ce qui n’est pas volontaire en nous est animal ; et l’
homme
retombe & l’état d’animalilé lotîtes les fois
lotîtes les fois qu’il abdique l'empire de lui-même. Comme beaucoup d’
hommes
sommeillent pendant la veille ordinaire ; ainsi n
este, le problème de la liberté morale est des plus compliqués. « L’
homme
n'agit des observateurs éclairés et de bonne fo
hacun cède à sa passion. « Toute passion opère (1). » Hebmês. « L'
homme
fait toutes choses qu'il a voulues, (la résultant
nséquent cet organe devient le dominateur, et toutes les actions de l'
homme
ainsi organisé se ressentent de l'influence de la
eur influence ?..... Comment la part d’indépendance qui revient à l’
homme
s’accorde-t-elle avec l'économie générale de mond
» « La volonté est la première des puissances. » Van Helmont. « L'
homme
est en contact avec l’univers, tant sont grandes
Paris, maître de conférences à l'Ecolenormalc supérieure. «JPour l’
homme
, toul est sensation, et donne un mouvement plus o
vention des membres (1). » Le docteur A. J. P. Philips. vraiment un
homme
qui sache, mémo avec une longue expérience déjà,
st une substance. « Le mouvement est son essence. » Ciiardel. « L'
homme
véritable est né de la lumière. « La vie est la
La vie est la lumière et la lumière e^t un dieu; c’est le père dont l'
homme
est né. Si tu comprends que tu es vie et lumière
s principes. a II faut que le même rentre dans le même. « Que les
hommes
sensés apprennent à connaître ce qu'ils sont, car
les hommes sensés apprennent à connaître ce qu'ils sont, car tous les
hommes
n'en ont pas le jugement. » Hermès. La substanc
é, lorsqu'il y a entre eux des rapports intellectuels intimes. « Un
homme
instruit qui s’occupait beaucoup de la lecture de
se risqua et devint acquéreur du champ. « Le lendemain matin, notre
homme
, la bêche sur l’épaule, se rendait en chantant à
ara que le père G... lui avait jelé un sort. Le médecin fit venir cet
homme
, et, en présence du maire de la commune, il l’int
on courut chez le charron, dont la demeure était près de là. Mais cet
homme
était malade au lit, et l’on fut obligé d’aller c
la superstition. La pensée est une source de puissance octroyée à l’
homme
par le Créateur : c’est la « divine fontaine » d’
vérité de cette asser- conliance encore dans la prière de ce brave
homme
qu’en la mienne. Permettez qu’il coopère à l’œuvr
et respectueuse à la fois, qu’elle était décidée à ne point épouser l'
homme
de leur choix. Depuis, il n’eu fut plus question.
ous décoche ce mot d’Alphonse Karr : « Do tous les sens attribués à l’
homme
, le plus rare est le sens c-onimun...» J’en cit
t à consigner les observations. « La société, disait Pascal, est un
homme
qui apprend toujours. « Nous ne savons pas ce q
caments répugnants dont la médecine ancienne était si prodigue. Cet
homme
était Mesmer, et sa doctrine, le Magnétisme anima
, mais ce n’étaient pas des succès de ce genre que venait chercher un
homme
comme Mesmer : c’était l’approbation des corps sa
oque où il fut publié, il n'avait rien d'extraordinaire et trouva des
hommes
instruits tout disposés à le soutenir. De nos jou
inutilement. Il s’avance alors vers la porte de la cabine et voit un
homme
assis à la place du capitaine et écrivant sur son
ord-ouest. Ayant fait écrire les mêmes mots par Bruce et par tous les
hommes
de l’équipage sachant écrire, il constata que l’é
irection et navigua vers le nord-ouest, après avoir placé en vigie un
homme
sûr. Vers les trois heures, un glaçon fut signalé
çon fut signalé, puis un navire démâté sur lequel on voyait plusieurs
hommes
. En approchant de plus près, on sut que le navire
, M. Bruce, à sa grande stupéfaction, reconnut parmi ces malheureux l’
homme
qu’il avait vu dans la cabine du capitaine.’ Auss
que ce n’est pas un Esprit que j’ai vu aujourd’hui; il est vivant; l’
homme
qui écrivait sur votre ardoise est un des passage
jo le jurerais devant la justice. «Le capitaine étant allé vers cet
homme
, l’invita à descendre dans la cabine et le pria d
u’un instant. « Le capitaine du navire naufragé, questionné sur cet
homme
et sur ce qui aurait pu se passer d’extraordinair
un des aimants les plus forts, attire ou repousse... même sans que l’
homme
s’en doute ! « Cette apostrophe me frappa d’un
cevais du médecin major du 10' de cuirassiers, M. le docteur Camus, —
homme
entièrement étranger aux expériences des tables p
veloppant, se diversifiant, se transmuant pour offrir à l’esprit de l’
homme
sa propre image et un spectacle analogue dans l’é
t des clartés inattendues pour tous les problèmes qui intéressaient l’
homme
, l’humanité, qui avaient des solutions aussi bril
cette puissance universelle qui avait été mise ;V la disposition de l’
homme
pour témoigner de sa liberté : ¿est le Pantliée,
tion générale glaça les premiers initiés d’ëlîhn: ils savaient qtie l’
homme
n’accepte le bien, lemièti* qu'autant qu’on le lu
s grossiers, mais vrais. lis restèrent ainsi les premiers d’entrë les
hommes
; niâis les peuples soumis à leur direction furen
u comme se reposant dans sa grandeur, sanS s'occuper des affaires des
hommes
. 11 fallait que la seconde face de Chons, dieu pl
risse d’Avennes, ce dieu était spécialement chargé d’agir auprès de l'
homme
qui guérissait les maladies et chassait les mauva
al a pénétré 1 dans sa substance; que ta Majesté veuille envoyer un
homme
connais- sant la science pour l’examiner. « l
eler pour entendre ce qu’on me demande ; indiquez-moi parmi vous « un
homme
au cœur intelligent, un mal/re aux doigts habiles
re de partir pour Hachtan, avec l’envoyé du prince. * 17. Lorsque l'
homme
sachant toutes choses, fut arrivé au pays de « Ba
e autant qu’elle le peut, et la puissance et le travail. Pour elle, l’
homme
n’est qu’une machine, une horloge qu’on nettoie e
cun de régler sa vie et de s’instruire... C’est dire en présence d’un
homme
qui se noie : laissez-le se noyer, c’était à lui
t de la puissance : l’animal qui a froid recherche le calorique, et l’
homme
malade, qui sent sa défaillance, jetant les yeux
il ne voit rien autour de lui qui’soit empreint de sagesse et pas un
homme
qui sache quelque chose. Mais nous, nous dirons
représentants, M. Jobard, directeur du Musée industriel de Bruxelles.
Homme
de progrès, Jobard avait l’esprit d’investigation
et et nous rend sa perte plus douloureuse. Il semble que, lorsque les
hommes
approchent de la vérité, qu’ils vont enfin la sai
célébrés est le Dr. Newton, à Boston. II a guéri, dans une heure, un
homme
aveugle depuis quinze ans. On voit, dans la maiso
exaltation fébrile; pourtant, cette excuse n’est que provisoire, et l’
homme
de cœur saura s’honorer lui-même parla noblesse d
osophie affirme que c’est « annuler la physique et la physiologie des
hommes
» pour les remplacer par des agents absurdes et de
je crois que c’cst une prescription de délicatesse, une loi de galant
homme
, d'en répandre ces lignes, honorables pour leur a
e surnaturel ? Parce quelles sont indispensables pour la science de F
homme
et pour la connaissance de son état véritable...
ais « suivant l'Esprit. » « Le Messie, écrit l’auteur, n'est pas un
homme
, il n’a pas un corps de chair ; c’est un type div
champ de la volonté puissante, et vous venez par vous-mêmes combien l’
homme
de nos jours paralyse et condamne son pouvoir.
s animaux entre eux; 5° Enfin, magnétisme humain, ou influence de l’
homme
sur son espèce et aussi sur les autres corps terr
parler que du globe terrestre, car c’est le seul qu’il soit donné à l’
homme
de pouvoir fouiller el analyser pour y découvrir
t beaucoup même peuvent être attribuées à l’esprit de domination de l’
homme
, esprit qui le porte trop souvent à dénaturer des
gorique sous lequel ils sont cachés, se révèlent à l'entendement du l'
homme
et lui font faire un pas de plus vers le progrès.
des globes groupés autour d’eux. Le système solaire, le seul que l’
homme
ait put étudier jusqu’à présent, se compose du so
n’auraient aucune portée scientifique, puisqu’il n’est pas donné à l’
homme
, constitué tel qu’il l’est, de pouvoir leur assig
que ma pensée embrasse l’univers, et que l’univers étant l’infini, l’
homme
ne peut le concevoir que par la pensée, car même
uvons préjuger de l’avenir, je dirais qu6 jamais il ne sera donné à l’
homme
de pouvoir sonder l’infini; mais, comme nous ne s
ique, j’aurai nécessairement l’occasion de dire ma pensée, et sur les
hommes
et sur les choses. Mon expérience et mon droit ne
ne s’associe à celte récompense; elle fait le plus grand honneur à l’
homme
charitable et dévoué, qui consacre avec tant de b
s physiques dans leur quiétude, ni mieux que lui non plus montrer aux
hommes
, en soulevant un coin du voile du passé, combien
e « la i nature offre un moyen universel de guérir et préserver les «
hommes
(1). » Cet opuscule fut rendu public, après tou
u magnétisme animal, dans laquelle il traite Mesmer de thaumaturge, d’
homme
plein d’artifice et d’adresse, et même de voleur.
pièces, dites chambres à crises, matelassées, capitonnées àhauteur d’
homme
, permettaient aux personnes prises de convulsions
es ennemis du magnétisme n’en profitassent pas; mais il suffisait aux
hommes
éclairés et convaincus comme d’Eslon et Le Roy (2
u nouvel agent curatif, « prit une espèce de consistance. Bientôt des
hommes
et des femmes, dont l’ennui et la satiété des pla
du moins ils trouveraient chez d’Eslon, dans une société de quelques
hommes
et de quelques femmes à esprit, une sorte de dist
un novateur ou un écrivain que la conspiration du silence; aussi des
hommes
d’esprit, tels que Mesmer et d'Eslon, se voyaient
: critiqués dans les journaux, ils se virent chansonnés. Combien d’
hommes
obtiennent un pareil succès? Voici quelques cou
us reculés jusqu’au seizième siècle, et la presque universalité des
hommes
admettait la réalité des moyens surnaturels dont
gine, les sciencesse liaient toujours plus ou moins à la magie, car l’
homme
qui possédait quelques connaissances cherchait à
datée du 7 mars 1699, apprend que ce miroir a jadis été saisi sur un
homme
de Val-ladolid, accusé de magie et de sorcellerie
eur du miroir des horreurs de l’auto-da-fé. M. Terceral, qui est un
homme
éclairé, ajoutait peu de confiance à la note de s
faits extraordinaires étaient attribués à cette science : les grands
hommes
étaient transformés en magiciens. Jusqu’à l’appar
u livre célèbre de Gabriel Naudé, intitulé : Apologie pour les grands
hommes
accusés de magie, on imputa a ces opérations diab
de l’émission proprement dite. 11 est vraiment curieux de voir les
hommes
abandonner les théories si simples de la nature p
e, laisse une empreinte qui justifie l’opinion qu’ont de moi quelques
hommes
. Heureux, je serai, si mes intuitions magnétiques
ate, mais qui n’est pas encore sans difficulté, en les assurant que l’
homme
qui a fait le bien et qui a combattu pour la véri
e. Maux passant du magnétisé au magnétiseur, 261 ; — d’un malade à un
homme
bien portant, qui en meurt, 264. Dédoublement d
2, 496, 641. Histoires de revenants, 94, 108, 160, 265, 461. 526.
Homme
(l’) des bois. Curieux détails sur un orang-outan
l’humanité est ordinairement sacrifié à l’intérêt personnel. « Les
hommes
de tous les siècles et de tous les lieux, dit le
disent-ils aussi, n’obtenez-vous pas les mêmes résultats sur tous les
hommes
, ou pourquoi votre fluide n’est-il pas sensible s
stes, n’avons-nous pas le droit d’en créer une (1) Aride Perfecl. l’
homme
, t. Il, p. 324. aussi pour expliquer les phénom
p. 324. aussi pour expliquer les phénomènes de la physiologie de l’
homme
. a Yous créez par hypothèse une force, et vous
du magnétisme. Il faut renoncer à faire partager nos convictions aux
hommes
qui se font un mérite d’un scepticisme aussi dépl
orable; mais nous avons l’espoir de recruter sur notre route quelques
hommes
de bien qui, par un jugement sévère et impartial,
âme du monde, qu’ils appelèrent force productrice de l’univers (3). L’
homme
, disait ce philosophe, est formé de trois substan
aits qui paraissent supérieurs à la nature, exaltent quelques-uns des
hommes
qui les considèrent, et les portent à d’autres re
nait sa racine dans les faits transcendants du magnétisme. Quelques
hommes
, dont nous croyions la raison assez forte, se son
ugle qui, sous l’apparence d’une grande sincérité, cache un piège aux
hommes
trop confiants, qui aiment à se repaître d’illusi
rares, à peine si aujourd’hui l’attention se porte un instant sur les
hommes
distingués. Dans les siècles passés, celui qui vi
comber eût été canonisé ; on l’eût mis dans la légende. Ne fut-il pas
homme
de bien, et sa vie ne présente-t-elle point des œ
onquête d’un médecin français; il est vrai que ce n’est pas un de ces
hommes
qui nient sans connaître. Je lui ai donné le goût
rencontra de nombreux contradicteurs parmi les savants; mais quelques
hommes
consciencieux se livrèrent avec ardeur et persévé
ravaillant à propager cette découverte. Son exemple fut suivi par des
hommes
instruits, qui sont parvenus, par leurs travaux e
le fluide élec- trique, à sc mettre en équilibre dans les corps. L’
homme
seul paraît posséder la faculté de le mettre en m
s de la substance cérébrale (2). M. Azaïs (3) affecte au corps de l’
homme
et des animaux un concert d'organes disposés et c
piriques, 4’infâmes charlatans, des imposteurs, des mystago-gues, des
hommes
sans honneur et sans probité, des fanatiques, des
gues. Nous sommes heureux de constater que le plus grand nombre des
hommes
distingués qui se sont (1) Art de Perfecl. l’ho
rand nombre des hommes distingués qui se sont (1) Art de Perfecl. l’
homme
, t. I, p. 1G. (2) Tcratoscopie du fluide vital,
ossibilité de faire dévier une aiguille astatiqué par la volonté de l’
homme
(i); soyons résignés dans nos déceptions, et form
l, a réussi à faire dévier une aiguille asiatique par la volonté de l’
homme
, c’est-à-dire par ie courant électrique que produ
uscles.........L’expérience qui constate l’effet de la volonté de l’
homme
raidissant alternativement les muscles des deux b
nsentent à avouer leur défaite, que ce sera un encouragement pour les
hommes
timides, qui, craignant la censure, ou retenus pa
Phénomènes du Magoét. animal, p. S. (2) Recherches physiolog. sur l’
Homme
, p. 36. (3) Voyez ses Mémoires. * pdUt- cdnst
tire et *e communique; c’eit un ôlre spirituel *»ns intely ligençe. L’
homme
en possède U°^ quantité suffisante pour ÇQ» exist
ontre dans tout ce qui existe dans la ria* turej ipais il n’y«a que l’
homme
qui le connaisse et qui sache l’employer ; il ne
es animaux obéissent à sa loi et sont immuables dans leur destinée. L’
homme
, au contraire, innove sans cesse, et c’est par qu
sa source, la même impossibilité existe pour les générations. Pour l’
homme
, le repos de l’esprit, c’est la mort morale ou l’
mutilant ou en le décapitant. C’est contre cette loi divine que les
hommes
mêmes se révoltent. Un novateur ne fait donc qu’o
ts. Si je soutenais qüe la médecirie est mensongère, qu’elle fait aux
hommes
plus de mal qiië dé bien , je rëncdütre-rais les
devine qu’il est un autre état que le sien : il réclame la liberté. L’
homme
libre cherche h s’affranchir du joug honteux de l
trop bien pourtant qu’il a tout à gagner en flattant les passions des
hommes
, comme tout à perdre en leB combattant. Ce que
nérations se éuccèdent sans se ressembler £ ëàr il BUfHt souvent d’un
homme
pour tout Changée Crime irrémissible dü génieI Il
ain. Est-ce donc à l’ignorance seule qu’il appartient de guider les
hommes
? Et, lorsque la lumière luit dans les ténèbres, d
roient sans voir sont des insensés. Mais c’est ainsi-qu’on a mené les
hommes
, et,1 le jour se faisant enfin, ils confondirent
ce que l’esprit a conçu. ; : 1 •i Voyez, que d’innovations déjà! L’
homme
a com-i mencé par détruire les animaux cruels qui
guider d’aussi nobles efforts, on tourna les forces humaines contre l’
homme
lui" même; dans un frère, on lui fil souvent voir
tout au moins en ternir l’éclat? N’entendez-vous point blasphémer des
hommes
qui se disent chrétiens, mais n’en ont que l’appa
l’apparence# car ils sont remplis de fiel? Que tëulenâ-il» donc, ces
hommes
cruels? Q»e le monde infligent s’arrête. Qu’ils v
able ? Ne pouvant innover et chercher ce qui est le bien suprême, les
homme
» retournent à l’animalité, et les vice» les dévor
gnétique avant de 9e prononcer. Dü POTEf. Lettre de Mesmer. — Les
hommes
intéressés à l’échec du magnétisme, s’entendirent
croisade infâme. Après avoir nié l’agent, ils cherchèrent à flétrir l’
homme
en le représentant cortime un être cupide. Toutes
enthousiasme de quelques prosélytes, et l’opposition systématique des
hommes
intéressés à ne pas l’admettre de.bonne foi. Pour
ttre les ennemis de cette science qui naît à peine, qui révèle dans l’
homme
un nouveau degré de grandeur, de puissance et de
ne à se faire accepter, parce que souvent elle dérange le système des
hommes
du jour, et qu’elle nuit à leur crédit. Depuis
édecine trop longtemps exilée de la famille par la fausse science des
hommes
, qui, comme un sacerdoce divin , puise dans les i
s remèdes dans des matériaux étrangers, et nous ignorons encore qup l’
homme
, qui est un assemblage parfait de presque tous le
e dévouement qui doivent distinguer le magnétiseur-médecin des autres
hommes
. C'est pourquoi il y en aura malheureusement touj
de nos organes mis en jeu par la volonté. Pourquoi refuserait-on à l'
homme
, ce chef-d’œuvre de la nature, des vertus que nou
ersel qui nous est offert par la nature de guérir et de préserver les
hommes
. D'autre part, un champ immense est ouvert à no
ent constituent la gloire de Mesmer. Le silence, sur ce sujet, d’un
homme
aussi scientifique que Swedenborg est bien extrao
en partie les origines. Le mysticisme, cette disposition iunée de l’
homme
à dépasser les objets de }a religion naturelle et
ssance religieuse, et aboutit quelquefois à la folie, ou à ce que les
hommes
appellent folie. « Tel est aujourd’hui le christi
aut chercher les plus anciennes traces historiques du mysticisme. Cet
homme
qui eut tant d’influence sur la science de l’anti
vait pour grave défaut les extases religieuses les plus mystiques : l’
homme
ne tenait plus à la terre. Pic de la Mirandole,
uns sur les autres; par l’action des astres; et par l'influence de l'
homme
iur l’homme, à Caide fun fluide, esprit ou vapeur
autres; par l’action des astres; et par l'influence de l'homme iur l’
homme
, à Caide fun fluide, esprit ou vapeur (i). Le n
ant toujours leur école et faisant surgir, de temps à autre, quelques
hommes
éminents. En Italie, Zorzi ; en Allemagne, Agripp
un antagoniste, et que nous ne désavouons pas, prouve le savoir de l'
homme
, mais nullement l’origine céleste de ses révélati
, mais seulement jusqu’à une certaine image de ceilc-ci. Cependant, l’
homme
chez lequel la sphère spirituelle est ouverte, ar
aveugle confiance. Lcs^oici : a Quand les esprits viennent vers l’
homme
, ils pénètrent dans sa mémoire, et y réveillent t
(Earths in Universe, i3.) « Les esprits qui sont en rapport avec l’
homme
, pénètrent dans sa mémoire et dans toutes les sci
énètrent dans sa mémoire et dans toutes les sciences de mémoire que l’
homme
possède. Ils s’approprient ainsi toutes les chose
sède. Ils s’approprient ainsi toutes les choses qui appartiennent à l’
homme
, jusqu’au point d’ignorer si ces choses sont â eu
t d’ignorer si ces choses sont â eux. Il en résulte que tout ce que l’
homme
pense, ils le pensent; tout ce qu’il veut, ils le
ous dirons quelque chose concernant les entretiens des esprits avec l’
homme
.... L'esprit qui parle est dans tes mêmes princip
es exalte et les fortifie par son désir qui est conforme à celui de l’
homme
. De là il est évident qu’aucun esprit, autre qu’u
er cela par des expériences répétées. » (Apocal. revel. j 182.) « L’
homme
ignore la qualité de sa propre inclination; si el
’une pareille inclination, soutient les pensées ou les principes de l’
homme
; alors, l’un conduit l’autre comme un aveugle con
dis'qüë les esprits, causant avec mol, croyaient réelleiüent être les
hommes
, sujets de lapénéée. Comme hîèr’et iüjôürd’huique
is remis dans mon premier état, et dans la pensée natureUe propre à l’
homme
, et que je désirais me rappeler «e que j’a- va
i le temps ne nous manque, nous l’appuirons par de nombreux faits : L’
homme
, pétri d’un limon grossier, possède en lui les vé
comme article de foi. Je n’ui donc pu communiquer à mes somnambules,
hommes
et femmes, ainsi qu’on pourrait me l’objecter, un
t sur ces fondements imaginaires; il n’y a donc rien de changé dans l’
homme
; c’est le même être depuis la création; toujours
as! tous les enfants sortant du catéchisme diront : Oui ; une foule d’
hommes
faits sont prêts à répondre de même; mais, si vou
aîtres absolus. Pourquoi les détromper, si l’erreur les contente? L’
homme
privé de ses yeux, supplée par un développement d
ants pour suppléer à votre défaut de lumières ; vous ressemblez à ces
hommes
qui créaient des dieux d’argile ou de marbre, et
sobres dans vos assertions, comme dans vos explorations ; et, si des
hommes
ayant un bandeau sur le» yeux, vous disent: Voyez
Est-eé que toute une société peut être illmpinéa soudainement ? Un
homme
parfois parvient à comprendre, et lorsqu’il veut
ils seront impuissants. Ahl ce n’est point ainsi qu'agissaient les
hommes
du passé! Bien avant le bienheureux Swedenborg, i
nous. Ainsi, il y a quelques années, un médecin de notre ville (i) '
homme
recomnandable sous tous les rapporls, dévoué à la
bien même elle n’aurait pas dormi), pour détruire la réputation d’un
homme
qui n’a d’autre but que de guérir ou de soulager
r et de volonté pour guérir, et d’être condamné par l’incrédulité des
hommes
à une inertie presque complète ! Ne serait-il d
nt, un démenti formel, une négation complète; et, sans égard pour les
hommes
éminents, consciencieux et dévoués, nous avons to
e faire fortune. Cela est triste à dire, mais il fautbjen prendre les
hommes
comme la société les fait, et les attaquer par où
lus d'erreurs. L’espaco et le temps onl une valeur très-réelle pour l’
homme
éveillé, mais pour le somnambule il semble qu’il
e là maîtresse du logis, qui aime à soutenir des discussion» avec les
hommes
de l’art. Mais le docteur en question semblait ou
’induction électrique puisse s'établir'’ de Ilipmmë qui mesmérise à l’
homme
qui est mS mérisé, ie veux bien l’admettre; mais
e. Il n’y a aucune partie de la science de l’être en général, et de l’
homme
en particulier, à laquelle le magnétiseur doive r
diction nuptiale. « Une douzaine de régiments formant environ mille
hommes
; les princes et princesses du sang ; les ducs, c
is de leur maison, seuls, sans gardes,' accompagnés seulement par les
hommes
ayant foi dans les cérémonies du Yaudoux L’impéra
gérations et la chailatanerie, avec les assertions sérieuses venant d’
hommes
convaincus. Scs préventions, à cet égard, sont dé
; car jamais paréillë chose n’était arrivée; !ét M. Plétain, le digne
homme
, ne' savait pomment s’excuser auprès de moi. « Vo
ndis-je. Gomment, même étant doué « de la plus grande incrédulité, un
homme
d'hori-« neur oserait-il avoir une pareille pensé
ent la théorie psychologique de ma cri-siaque : Les bêtes comme les
hommes
sont dirigés par des intelligences qu’on nomme âm
Le polype présente la plus inférieure des âmes unies à la matière, l’
homme
possède la plus élevée. Au-dessus de l’homme se
unies à la matière, l’homme possède la plus élevée. Au-dessus de l’
homme
se place la somnambule lucide, que l’on pourrait
la cri9Îaque tient à l’humaine espèce et à l'ange. L'ange tient aux
hommes
et à Dieu, qui est le foyer, la concentration , l
La chaîne qui unit le polype à Dieu n’est donc pas interrompue ; l’
homme
est le chaînon qui unit les intelligences matér
du chien de chasse sur la perdrix ; nous connaissons l'influence de l’
homme
sur les animaux; l’influence de l’homme sur l’hom
connaissons l'influence de l’homme sur les animaux; l’influence de l’
homme
sur l’homme : nous ignorons encore l’influence de
l'influence de l’homme sur les animaux; l’influence de l’homme sur l’
homme
: nous ignorons encore l’influence des esprits ,
mme : nous ignorons encore l’influence des esprits , des anges, sur l’
homme
et les animaux. L’influence des esprits ou ange
sur l’homme et les animaux. L’influence des esprits ou anges sur l'
homme
se révèle ostensiblement dans le somnambulisme lu
ertus, ses facultés, ses harmonies, ils peuvent imprimer â l'âme de l’
homme
une partie des facultés dont ils jouissent, lorsq
ée qu’on nomme l'instinct. Les âmes naissent d’abord simples chez l’
homme
; mais elles sont susceptibles de perfection, parc
l'immatérialité, et de faire partie du monde des esprits. Une âme d'
homme
, ou masculine, peut passer dans un corps de femme
ette, les George Sand. Une âme de femme peut passer dans un corps d’
homme
, et vous avez ces hommes faméliques n’avant aucun
Une âme de femme peut passer dans un corps d’homme, et vous avez ces
hommes
faméliques n’avant aucun des goûts, des penchants
est l'attraction sympathique de deux âmes de nature différente. Un
homme
peut aimer un autre homme, parce que son âme est
que de deux âmes de nature différente. Un homme peut aimer un autre
homme
, parce que son âme est attirée par une âme de fem
une autre femme, parce que l’une de ces deux femmes possède une âme d’
homme
. La preuve que les âmes peuvent ré véler, dans
hes, M"' M____admet queviceset vertus viennent de l’âme, et que l’
homme
peut offrir non seulement des idées, mais des sci
périeurs. Revenant à l’influence de ces esprits sur les âmes tic?
hommes
, elle m’oxpliqua «nmmont elle était médicale, com
prit (l’ange gardien de 1’Kvangile). C’est cet esprit qui encourage l’
homme
vertueux, qui présente à l’assassin l’ombre pâle
l’assassin l’ombre pâle cl menaçante de sa victime, la vengeance des
hommes
, et pour châtiment le bagne et l’éohafaud. Il n’e
sans remords, ou si vous préférez, sans effroi; comme il n’est pas d’
homme
vertueux sans satisfaction intérieure. C’est grâc
é peur moi le plus beau livre de; philosophie qu’il soit donné à un
homme
de parcourir. J’ai retrouvé les mêmes facultés
des prophètes, le démon familier de Socrate , le génie de nos grands
hommes
. P. C. ORDINAIRE, Docteur-médecin. VARIÉTÉS
ination par le merveilleux. Il faut bien le reconnaître, le cœur de l’
homme
a besoin de croyances, et, si vous détruisez sa f
ne peut pénétrer qu’avec beaucoup de peine dans le prétoire. C’est un
homme
de petite taille ; il porte les cheveux longs ; u
ratiqué le magnétisme. Le magnétisme, c’est l’influence céleste que l’
homme
peut obtenir quand il se conduit bien. C’est la s
le de faire partie d’une réunion qui a pour but la glorification de l'
homme
à qui l'on doit la connaissance du magnétisme, no
mérites du l)r Esdaile sont transcendants. Je le regarde comme un des
hommes
les plus éminents de notre profession. Il surpass
Toutes les actions du Dr Esdaile, ainsi que ses écrits, dénotent un
homme
supérieur. Son savoir est vaste et profond, son e
d’hui leurs erreurs de la manière la plus digne d’éloges. Agissant en
hommes
honnêtes et courageux, ils re- tournent contre
ses recherches sur ce mystérieux sujet, désignent M. Esdaile comme un
homme
qui mérite la plus haute considération. Ce choix
ir que ce sentiment ne lui a pas fait défaut. « Plus la position d’un
homme
est élevée, et plus il lui est difficile d'agir s
est si profondément intéressée. « Les gouverneurs délégués sont des
hommes
très-capables, mais leurs actions, bonnes ou mauv
ques d'une personne décédée hier, lorsqu’au milieu de la cérémonie un
homme
est arrivé tout effaré. 11 a déclaré qu’il était
ès-lucide, il venait avertir les pareils du décédé qu’on enterrait un
homme
parfaitement vivant. On s’est empressé, après avo
savants, et qu’un pouvoir bienfaisant ou terrible existe dans chaque
homme
. Qu’importe au peuple l’anachronisme qui fait d’U
et de la poudre? Où est la vigie qui signale le danger? Où sont les
hommes
de science qui, connaissant les principes nouveau
rire? C’est en vain que vous feriez appel aux lumières du temps : ces
hommes
ne savent rien. Pour eux le magnétisme n’existe p
e réellement malheur à ses partisans. Qui aurait cru, en effet, qu’un
homme
aussi grave que le professeur américain eût pu de
scination qu’il a exercée sur G. Bush. Nous serons étonnés de voir un
homme
aussi instruit dans la science de Mesmer, se lais
seule, mais qu’elle s’étend jusqu’à des mondes innombrables; et que l’
homme
, si son intérieur est assez ouvert, peut s’instru
iel etdt T Enfer, il ajoute : « On m’a dit que le premier langage des
hommes
sur noire terre s’accorde avec le langage angéliq
ge, dans la bouche d’un savant mesmériste, d’un logicien habile, d’un
homme
droit, eût été convenablement placé; mais il s’es
quel abaissement pour lui, s’il se fût cru réduit à n’être plus qu’un
homme
distingué par des capacités, un grand savoir et u
rtifier sa vérité religieuse, sur le témoignage d’un adversaire, d’un
homme
qui la rejette et professe des doctrines contrair
énètrent dans la mémoire et dans toutes les sciences de mémoire que l’
homme
possède; et ils se les approprient tellement, qu’
ment, et tel qu’il était écrit dans le livre de la Loi ; afin que les
hommes
puissent marcher dans vos voies, et vivre jusqu’à
aits, et tu en diras d’autres en secret aux sages. — Je pris les cinq
hommes
comme cela m’avait été ordonné, el nous allâmes d
ervait la mémoire. — Le Très-Haut donna aussi l'intelligence aux cinq
hommes
, et ils écrivirent les choses merveilleuses qui l
i donne l’intelligence et la sagesse, et qui exalte les facultés de l’
homme
, ne peut détruire l’une des plus vivaces, la mémo
aux cinq scribes. Le Très-Haut donna aussi l'intelligence aux cinq
hommes
. Evidemment, cela veut dire qu’ils furent mis dan
rnier coup de pinceau vient parfaire la ressemblance de l’état de ces
hommes
, avec celui des sujets lucides. Nous savons tous
qui parle tout le jour et toute la nuit, doit être nécessairement un
homme
qui n’écrit ni la nuit, ni le jour. Que faisait-i
loi. Dieu a voulu que les vérilés fussent immortelles. Il a donné à l’
homme
la faculté de les distinguer de l’erreur . et de
las qui saisit d’épouvante le criminel endurci. Tremblez vous tous,
hommes
parés d’un vain titre! Yous tous, fêlons de la sc
e plus grand des crimes, c’est de celer les vérités , et de tenir les
hommes
dans l’ignorance. Un jour, bientôt, on saura que
plus cruels que l’inquisition ; car elle , au moins , en détruisant l’
homme
, faisait cesser ses tourments, et son âme dégagé
de nos esprits, celle que donne la vérité. Oh! Messieurs, si tous les
hommes
étaient persuadés que nos maux viennent de notre
t le remède. « Ne venons-nous pas aujourd’hui, Messieurs, honorer l’
homme
, le vrai philosophe qui posa les bases d’une scie
bilité; mais de celle mille fois plus précieuse entre les forces de l’
homme
, qui donne à tous la santé. « La santé est le p
t à la remplir d’amertume. « La santé, Messieurs, dispose lame de l’
homme
à sentir son créateur; elle fait que le corps est
samment modifier l’humanité. Le monde commence à nous comprendre; les
hommes
de bien se tournent de notre côté. Le magnétisme
ent en exagérant la portée de certains faits? Ces illusions partent d’
hommes
convaincus; elles tomberont d’ellcs-mêmes par un
que nous sommes dans le vrai; car c’est l’erreur seule qui divise les
hommes
; la vérité a ce double avantage : elle les force
raliser et instruire, selon la méthode du passé, nous venons dire aux
hommes
: En vous est une arme remplie de vertus; ses att
temps; mais ce que nous représentons est d’essence immortelle ! « L'
homme
des champs foule du pied les mauvaises herbes que
te, Jésus et quelques autres ont rendu leur mémoire impérissable. Les
hommes
se vengent ou récompensent ainsi. Nous devançons
os bouches ainsi que de nos cœurs : A MESMER ! AU BIENFAITEUR DUS
HOMMES
, A CELUI QUE DIEU INSPIRA, ET QUI RÉPANDIT SUR NO
les parties du mondc(i), communier ici fraternellement ; c’est à des
hommes
comme nous venons d’en entendre, et comme nous en
voir généraliser l’usage. Son concours est acquis d’avance à tous les
hommes
d’intelligence et de bien qui font des efforts po
n franche et complète aux principes qui réunissaient en ce moment des
hommes
de tous les partis et de tous les pays, valut à l
de reconnaissance et de respectueuse sympathie à quelques-uns de ces
hommes
d’élite qui ont propagé et développé la doctrine
agement de l’humanité et à l’accomplissement de tous le* devoirs de l'
homme
de bien et du véritable philanthrope. « Honneur
si éclatant qu’il est pur, offert dans cette belle réunion â tous ces
hommes
qui honorent et propagent le magnétisme, vous fai
par M. Hureaux , dans le n° 112 du Journal du Magnétisme; imitons cet
homme
sage et fort, que je n’ai pas le bonheur de conna
alors complet. Vous exercerez une fonction qui vous rendra égales à l’
homme
; et vous serez, parles nobles facultés dont la na
en vain parmi vous non pas seulement ces deux qualités, mais un seul
homme
de cœur, et nous ne le trouvons poiut. Magnétis
nts et les faux sages. Vous éliez dangereux lorsque la généralité des
hommes
était dans l’ignorance ; maisaujourd’hui vous n’e
me chose de peu de valeur, inspire les vertus les plus belles; et des
hommes
se trouvent honorés rien qu’en les récompensant.
de vous, c’est la science réelle, destinée à faire autant de bien aux
hommes
que vos systèmes leur ont fait de mal. « Enfin,
s allons honorer, aulatit qü’ll est etl ndus do pouvoir le faire, les
hommes
qui se sOni distingués. C’est la première liste
.le suis ce feu sacré qui mène aux étendards, L'émoi plus doux des
hommes
qui s'entr'aiment, Les noirs soucis que les disco
oureur se courbe ou cimeterre; Tout fer devient une arme et tout un
homme
soldat ; J’évoque la fureur, j’excite le combat ;
’avenir, c’est moi : C’est le pays, la patrie et la foi ; C’est l’
homme
fort, qui toujours marche au faite j Toujours; ju
ts. Qu’il progresse, mais qu’il ne divague pas; qu’il marche comme un
homme
fort, non comme un ivre; que le charlatanisme en
t n’abandonnons pas la chair pour son image. Pour rêver des folies, l’
homme
n a pas besoin du mesmérisme, qui doit le guider,
ela à la fois; et qu’on ne s’y trompe point, le magnétisme, pour tout
homme
qui réfléchit un instant, porte en lui l’avenir.
rale, c'est la découverte d'une loi delà nature, et l’initiation de l'
homme
aux mystères de la création des êtres. Riez, sc
le de l’équipement. Quand l’officier chargé de visiter les sacs des
hommes
entra dans l'une des chambres, un soldai sortit d
utre que l'émanation vitale appartenant aussi bien aux cnimaux qu’à l’
homme
. Que le magnétiseur met enjeu son âme, sa volon
frère l’électrique. Mais la science se rit de la susceptibilité des
hommes
et de leurs transactions ; elle marche toujours ,
mer, et qui a pour base l’étude physique, moraleel physiologique de l'
homme
. « L’Athénée troyen est une école scientifique
l tient à Dieu par des liens éternels, par des lois immuables que les
hommes
ne peuvent modifier; ferme dans des principes, no
R0SD1N (Hypolite). VARIÉTÉS. Le Vrai et le Faux. — Les vues de l'
homme
sont incerlaines; et, ses desseins, traversés par
bien souvent, loin du jour espéré. Toutes les fois que le génie de l’
homme
a fait jaillir de l’inconnu un progrès dont l’app
causes d’arrêt une influence occulte qui déconcerte les projets de l'
homme
novateur et remet à des temps ultérieurs la réali
re ; il semble que pour atténuer le mal produit par cette inertie des
hommes
d’intelligence et aussi pour contrebalancer l’ard
la science du magnétisme. 11 faut que les idées mûrissent, que des
hommes
sérieux, capables et puissants soient venus pour
iétés de magnétisme, si puissantes alors par leur richesse et par les
hommes
influents qui en faisaient partie, n'eussent-elle
i qui s’occupait des malades, mais celui qui transporte l’esprit de l’
homme
dans les régions surhumaines. Prévisions, divinat
’autre monde. De là le désir de l’imitation , de la simulation , et l’
homme
trouva les moyens de si bien imiter certains phén
er la vérité de leur science! En voici un qui s’appuie sur les grands
hommes
, tels que César, Napoléon, Lamartine, qui ont cru
événement arrivé dans le cours de leur vie! C'est vrai, répondent ces
hommes
, et plus ou moins de spectateurs ébranlés et atti
leur débite avec adresse des généralités qui arrivent à la moitié des
hommes
!... Il n’est pas jusqu’au fameux miroir magiqu
émotions d’un ordre nouveau, ces profonds mystères de la science de l’
homme
? Les intelligences de tous peuvent elles être ass
i eût été évité si le vœu de Mesmer eût été réalisé. Voici ce que cet
homme
illustre disait : « Je cherche un gouvernement
ans le monde une vérité, qui, par son influence « sur le physique des
hommes
, peut opérer des clian-« gements, que dès leur na
ieux. La protection, la considération faisant complètement défaut aux
hommes
consciencieux, nul d’entre eux ne peut se livrer
ent elles ont été accueillies, et l’effet qu’elles ont produit. Les
hommes
à qui vous avez décerné des médaille» TOMB IX.
urnaliste, explique l'incohérence de ses œuvres : le temps manque à l’
homme
dévoué au bien public. Mais, abstraction faite de
Charpignon est, pour ainsi dire, le continuateur des doctrines de cet
homme
à jamais regrettable. Possesseur de connaissances
e le signaler à votre esprit de justice. Ne choisissez-vous point les
hommes
de mérite ; ne voulez-vous point honorer ceux qui
rner une médaille de bronze. y. — M. JOBARD. Messieurs, lorsqu’un
homme
comme M. Jobard prête le concours de son talent à
cile, vous le savez trop bien , Messieurs, comme de faire adopter aux
hommes
que la routine conduit, une invention, une méthod
dans cette ville, s’étaicnt distingués. Maintenant que de nouveaux
hommes
se sont livrés à l’étude, le Comité aura à s’enqu
s hôpitaux. Un fait qui suffirait seul à lui assurer l’admiration des
hommes
compétents, a surtout fait pencher la balance en
, comme agent et comme théorie; mais ces travaux-là ne servent qu’aux
hommes
convaincus. Dans la carrière militante, le conc
la Nouvelle-Orléans. Cette prépondérance lui vient certainement de l’
homme
capable, zélé, qui la préside; car, placés dans d
ique : « J’aborderai bientôt une question fort controversée par les
hommes
de l’art; mais comme tout médecin , chirurgien ou
rait que d’après les conseils du médecin. Quand ce jour sera levé, l’
homme
fera, dans l’intérêt de ses semblables , un-usage
n jour de fête, un jour de communion magnétique, sinon entre tous les
hommes
, du moins entre les magnétiseurs de tous les pays
e souffrance, Si l’acier dans sa chair doit mordre et pénétrer. L’
homme
, avec mon secours, fait presque des miracles, Tie
mmes raffolent de moi, etc. Le fou, le charlatan Guérit-Tout est un
homme
extraordinaire, un génie, un être mystérieux, un
que la fausse science, sans responsabilité, continue d’é-treindre les
hommes
, la justice est trompée. Ah , médecins ! nous
trouverions des renseignements bien piquants sur les grands et petits
hommes
de l’antiquité. Voici cette réponse; elle vaut
ndrez raison, s’écrie-t-elle. — Madame, voici mon adresse, je suis un
homme
d’hon*-ncur. — Mais qui a pu dire une semblable h
ges. Prenez des renseignements sur moi, et vous verrez que je suis un
homme
très-honorable , exerçant ma profession de la faç
lle, mi-plaisante, ini-sérieuse du magnétisme depuis quelques années.
Hommes
et choses y sont appréciés tour à tour par la lou
es, tout insolites qu’ils paraissent, sont inhérents à la nature de l’
homme
; ils doiven t avoir leur loi physiologique; mais
jecter que ce qui se passe dans la grenouille peut ne pas être pour l’
homme
; mais si les nerfs des animaux sont reconnus comm
ticulier, certes, l’analogie doit faire admettre la même chose pour l’
homme
. Mais en attendant d’autres travaux démonstrati
viens de citer le nom. Quand on réfléchit â ce qui se passe dans l’
homme
à la suite d’une longue fatigue physique, ou d’un
le travail intellectuel, on se demande s’il n’est pas évident que cet
homme
a perdu de lui-méme quel-que chose, comme la lamp
t, et dont la lumière s’éteint s* l’on ne remet de l’huile? Or chez l’
homme
fatigué, il faut un arrêt de dépense de force, et
eux, comme le foie prépare la bile el les reins l’urine (i). Dans l’
homme
comme dans l’animal de haute série* toutes les fo
, ont donné le dernier mot de cette importante fonction. En résumé, l'
homme
convertit et exhale en une heure 10 à i5 grammes
chine à vapeur qui parcourt la même distance dans le même temps qu’un
homme
qui marche, dépense 33 fois plus de charbon que l
st-à-dire le poids propre de l’individu. Quel avantage en faveur de l’
homme
! C’est qu’il a, lui, à son service, d’autres forc
e analogue, mais nullement identique à l’électricité. Maintenant, l’
homme
peut-il émettre hors de lui cette force ; peut-il
s doute, mais que je ne puis examiner ici. Il me paraît évident que l’
homme
peut étendre hors de lui son atmosphère nerveuse
e FRANCK. On lit dans la l'ribune lyonnaise : Grâce au concours d’
hommes
éclairés et convaincus, le magnétisme arrive à ce
etc. Ce beau résultat sera dû aux efforts persévérants de quelques
hommes
qui n'ont pas craint d’affronter les préjugés. En
hommes qui n'ont pas craint d’affronter les préjugés. En tête de ces
hommes
d’élite, et après avoir placé le premier de tous,
. » Nous applaudissons d’autant plus à ces paroles, qu’émanées d’un
homme
compétent, elles sont la confirmation de ce que n
où parlent des rayons lumineux. Aussi, a-t-on dit avec raison que les
hommes
réunis s’élec-trisaient ; c’est encore de là que
d’expansion telle, que rien n’y résiste. 11 est donc utile, et chaque
homme
a cette mission, il est utile d’avoir la volonté
ivine. Oui, la Providence de Dieu gouverne, par des lois fatales, les
hommes
et les peuples pris collectivement, tout en laiss
es peuples pris collectivement, tout en laissant le libre arbitre aux
hommes
et aux peuples pris individuellement. Un peu de p
ppartient à l’ordre prophéti-« que. Plongé dans un sommeil factice, l’
homme
voit « à travers les corps opaques à distance ; i
que où le magnétisme était à peine connu de nom par un petit nombre d’
hommes
épars, et où les prodiges du somnambulisme lucide
n grand nombre s’obstinent à les méconnaître), il ne dépend point des
hommes
d’empêcher qu’elles se révèlent par des phénomène
des milliers de protestants. 11 en sera de même du magnétisme, si les
hommes
fermes et convaincus savent opposer l’énergie de
à la piété filiale, «i l’amitié dévouée et à la compassion! Quoi! à l’
homme
qui souffre des angoisses et qui a épuisé sans su
el moyen pourrait-on empêcher celle opération de l’esprit qui élève l’
homme
au-dessus des autres êtres? Et quelle puissance p
ons en une seule : l’humanité. « Nous faisons donc appel û tous les
hommes
sincères et consciencieux , à tous les partisans
à l’humanité, qu’elle peut rendre la vie â la société , la santé aux
hommes
, la foi, l’espérance et la charité aux nations; t
ustes dont elle pourrait être l’objet; vous qui aspirez à relever les
hommes
qui la pratiquent honorablement, en vous attachan
ce des Vosges, 20. BEI.LOT, ministre, rue de Rivoli, 34. BEAUDOT,
homme
de lettres, à Bar-le-Duc. BERGUE (de), filaleur
e à M. Mongruel ; et, par les mêmes motifs qui lui firent repousser l’
homme
, elle refusa tout concours à la chose. Celle du
aire le procès à la vérité puissante, découverte par Mesmer; car si l'
homme
se sert souvent des éléments pour détruire son se
loi punit le crime ; elle est faite pour cela, et c’est en vain que l’
homme
coupable de méfaits magnétiques espérerait se sou
toutes les époques de l’histoire, les chefs secte qui ont imposé aux
hommes
tant de vérités et de tant d’erreurs ; mais, pour
buer les actes extraordinaires qui se produisent quelquefois chez les
hommes
à quelque excentricité de la force nerveuse, à qu
mystères du sentiment et les miracles de la pensée; il révèle ainsi l’
homme
moral tout entier, détermine ses besoins, et trou
opinions, à ces divergences perpétuelles, qui font que la plupart des
hommes
se demandent s’il y a réellement des phénomènes m
nomènes magnétiques, une foule de fables ; sans doute on a trompé les
hommes
; le mensonge et la cupidité ont fait des dupes, q
de leur noble science aux mains indignes qui s’en sont emparées. L’
homme
en possession de la vie se trouve alternativement
impossible de déterminer avec précision le mécanisme ou la cause. L’
homme
peut encore se trouver, mais cela arrive rarement
naires, en apparence surnaturelles. Ce n’ost point un étal de rêve; l’
homme
qui rêve perçoit bien des impressions, il saisit
r a beaucoup excité l'attention, la curiosité, et même la frayeur des
hommes
dans les temps d’iguorance ; on a cherché dans le
erstition ou refusait de croire; il était superstitieux ou incrédule,
homme
simple ou esprit fort. Si le monde matériel nous
u moins la loi de ces phénomènes que nous ne voulions pas croire. Les
hommes
ont cru, pendant des siècles, que la foudre annon
taire, ils seront l’œil toujours ouvert da la justice et l’effroi des
hommes
coupables. (Illustration.) Cet article, publi
nné une preuve de courage assez rare, car nous connaissons beaucoup d’
hommes
éminents dans les sciences et parfailement convai
donné la reproduction intégrale dans notre précédent numéro , est un
homme
très-capable, trop habile. Les personnes qui l’on
témoin. J’ai dû y renoncer ; quand je les employais, il fallait deux
hommes
pour me soutenir. M. lf. Président. Votre état
Le témoin. Oh ! oui, je ne peux plus marcher sans être soutenu par un
homme
. M. le Président. Alors il s’est empiré. Mme
s duré moins de deux heures. 11 a parlé des phénomènes magnétiques en
homme
initié de longue date, et avec une chaleur d’expr
d’imposture. Le discernement étant le privilège d’un petit nombre d'
hommes
, la masse confond la vérité et l’erreur; ses juge
ls frapperont sur nous tous, sans distinguer le sincère du perfide, l’
homme
éclairé de l’ignorant. Ils diront aux gens créd
le pourrait-on envers une vérité physique, contre une propriété de l’
homme
, qui peut se manifester par la simple volonté, qu
ette volonté. Il faudrait proscrire d’ailleurs toutes les relations d’
homme
à homme : la tendresse des mères, détruire enfin
onté. Il faudrait proscrire d’ailleurs toutes les relations d’homme à
homme
: la tendresse des mères, détruire enfin tous les
entrants et sortants(i).» Cet agent, inhérent à l’organisation de l’
homme
, était regardé par Mesmer comme le principe conse
ssence qui a la vertu de fortifier et de renouveler pour ainsi dire l’
homme
; c’est pourquoi on peut l’appeler le plus grand a
lle habite aujourd’hui l’Allemagne, et rend de précieux services à un
homme
d’État de notre connaissance (i). On nous dira
magnétisme appliqué à l’économie sociale 011 à l’art de gouverner les
hommes
. Ils font également comprendre aux magnétiseurs h
occultes, dont il ne veut confier le secret qu’à des adeptes ou à des
hommes
de bien. Il insiste particulièrement sur la néces
(i), il existait dans cette ville, vers la fin du sixième siècle, un
homme
appelé Didier, qui passait pour guérir tous les m
cine par friction , appuyée, dans tous les temps , sur l’autorité des
hommes
les plus recoinmandables, se soit arrêtée tout a
ations; mais nous croyons, d’après cet exposé, que le scepticisme des
hommes
loyaux et désintéressés s’évanouira devant des té
udes, leurs résultats, et comment je suis arrivé au but sans qu’aucun
homme
m’indiquât la route. Je donne ici les quelques
ité. § I. SXF.WCE. On recherche quelquefois les premiers pas d’un
homme
dont la vie ou les œuvres ont eu quelque retentis
Le sage cache sa vie, l’orgueilleux la dissimule tant qu’il peut, l’
homme
simple, et qui n’a aucune prétention à la renommé
u catéchisme ; je m’y prêtais forcément ; mais, en entendant le saint
homme
me demander gravement : « Le Père est-il Dieu? Je
es ; les savants que je voyais me paraissaient faits comme les autres
hommes
. Je comprenais le chant des oiseaux, et je le pré
ien : ils seraient d’habiles espions. On dit qu’une certaine classe d’
hommes
utilise parfois leurs petits talents, et en tire
e une grande partie de sa fortune, et je devenais un embarras. D’un
homme
qui ne sait rien, que fait-onî Un soldat ; je n’a
it-onî Un soldat ; je n’avais point de goût pour ce métier de tueur d’
hommes
. Mais, quoique ignorant, je serais entré comme no
e faire battre mon cœur. C’est alors seulement que je compris que l’
homme
doit posséder dès son enfance l’histoire des temp
ire par l’imagination , pouvoir encore inconnu; mais ce fut de voir l’
homme
ou l’enfant endormi, subir mon influence, et, plu
ne vérité? Ils ne s’émeuvent point d’aussi peu de chose; mais, pour l’
homme
qui sent, c’est sa vie qu’il doit désormais défen
er. Je rencontrai chez lui les notabilités delà science nouvelle, les
hommes
qui avaient survécu au temps et à la tourmente ré
Je brûlais donc d’impatience de me trouver en présence .le quelques
hommes
de valeur. Ilélas ! lecteurs, c’est ici que mes v
sans doute, d’entre elles, seront mises en doute jusqu’au jour où un
homme
plus éclairé, ou plus entreprenant, les jetera av
un rêve; elle a ses réalités cruelles, qui glaceraient d’épouvante l’
homme
le plus hardi, s’il les apercevait dès ses premie
e multitude!.... Cependant on dira un jour que ma vie fut utile aux
hommes
, que je leur ai fait quelque bien. Je me console
moins de paraître résolu; me voilà, moi, enfant encore, en présence d’
hommes
propres à inspirer de l’effroi au plus entreprena
t reproduit sans cesse. Mais quel est le but de cette incitation de l’
homme
? Sans doute, afin qu’il cherchât sans relâche à c
onçoit, dès lors, mon inquiétude; car, ne me regardant point comme un
homme
privilégié de la nature, ce que j’avais produit,
and médecin sans le savoir, j’acquis la certitude que l’ignorance des
hommes
élait profonde, que la mienne ne l’était pas moin
faisant des expériences publiques. Ces temps sont déjà loin, et ces
hommes
pleins de zèle et de foi sont descendus dans la t
les recherches et les efforts de tous ses partisans. Et si les mêmes
hommes
, dont nous déplorons la perte aujourd’hui, l’avai
de même, invoquent leurs dieux et leurs demi-dieux; partout, enfin, l’
homme
cherche la vérité en dehors de lui-même, il se
re; recevons sa lumière et sa chaleur, préférons-les à celles que les
hommes
produisent, comme nous préférerons bientôt la méd
s’ils ne détruisaient, toute cause d’erreur. Comme un arbre, qu’aucun
homme
n’a ni greffé, ni écussonné porte des fruits de s
eurs reconnues comme des vérités. Ne voulant point tromper les autres
hommes
, j’évitais, autant que possible , de l’être moi-m
, de l’être moi-même. Je savais que l’obscurité est la compagne de l’
homme
sur la terre, et, ce qui est non moins vrai, que
n au contraire, plus l’erreur est monstrueuse, et plus elle plaît aux
hommes
: le tribut qu’ils lui paient est presque incalcu
¡la superstition et la sottise humaine, je serais aujourd'hui un des
hommes
les plus riches et les plus considérés; peut-êlri
upplique à votre adresse, pour que vous me distinguiez comme un saint
homme
: je ne crois pas à la sainteté; mais je crois aux
justice suprême; ils seront plus sensibles à celle s’exerçant par les
hommes
: ici c’est une certitude qui manque rarement son
celte compagnie les mêmes outrages quelle adressa à Mesmer, comme aux
hommes
qui se dévouèrent à sa cause avant moi, j’ai appr
té. Lecteurs, vous serez témoins de ce duel en champ clos, où un seul
homme
défiera des milliers d’ennemis; mais, avant de me
t-ce toi, qui, de ton palais inabordable, as déversé l’injure sur des
hommes
sincères, et, pour masquer ton ignorance, les tra
eux holocaustes, plus cruels cent fois que ceux du moyen-âge , où des
hommes
aveuglés, mais passionnés, jetaient sur le bûcher
tendue. La vérité a ce caractère, c’est qu’elle change la nature de l'
homme
, elle lui donne plus que le courage : la certitud
la vie, elle l’a étudiée elle-même sans comprendre. Vous allez voir l’
homme
actif, ce chef-d’œuvre de Dieu, reprendre son ran
que du magnétisme à quiconque n’est pas médecin ; or, comme les seuls
hommes
à qui cette pratique soit loisible, refusent préc
tir, en considération générale, que l’Espagne, plus féconde en grands
hommes
qu’aucune autre nation, ne sait que rebuter et ch
uvait être le sommeil ordinaire, commun à tout le règne animal; car l’
homme
, en cet état, ne pourrait supporter cette opérati
on ennemi ce clignotement particulier des paupières qui dénoie chez l’
homme
les premières influences de l’action magnétique.
ans l’attituded’un m agnéliseur (4). (1) Recherches physiques sur l'
Homme
, chap. 3, p. 67 el 68. (2; Le lires sur le Magn
C’est par l’imposition des mains que le sacerdoce était conféré à dos
hommes
qui réunissaient aux fonctions ecclésiastiques le
cclésiastiques le monopole de la médecine. (1) Art de connaître les
Hommes
, p. 380. (2) Tome II, p. 250, 530; et t. V, p.
uillaient sur eux pour les guérir. Origène rapporte (4) qu’il y a des
hommes
qui produisent des cures merveilleuses par Y in
hommes qui produisent des cures merveilleuses par Y insufflation. «
Hommes
morbos exsuillantes. » Les charlatans, disent Cel
on peut favoriser l’avortcmcnt par Vinsufflation. « Le souille de l’
homme
, avance Pierre Le Loyer (4), repousse l’esprit et
nétisme doit raisonnablement en revendiquer sa part. La tendance de l'
homme
à rattacher les faits à son système, l’a presque
pourquoi ces diatribes contre les corps savants, les Académies et les
hommes
éminents dans les sciences physiques el médicales
pas moins environnés de l’estime publique et de la considération de»
hommes
éminents qui concourent à l’administration de la
et les petits théâtres furent plus puissants que la haute raison des
hommes
éminents que le roi avait nommés commissaires.
modérés concèdent 1” qu’un acte de la volonté suffit quelquefois à un
homme
pour exercer une certaine influence sur un autre
elquefois à un homme pour exercer une certaine influence sur un autre
homme
, et 2° que le sommeil magnétique est un état très
e tous ces jugements, de toutes ces opinions livrées aux disputes des
hommes
, il est un point sur lequel il y a une incon- t
ience doit-elle à Mongruel? Est-ce que la science était le but de cet
homme
adroit à enlacer ses victimes, mais aussi ignoran
ratique Mme Mongruel, est inconcevable, dites vous. Mais est-ce que l’
homme
n’est pas entouré de mystères impénétrables? Dile
x qui, ramenés à la surface, éblouissent et fascinent les regard» des
hommes
? « Et le calorique, et l’électricité, el toute
ller. produites par un grand nombre de prêtres, de philo* sophes, d'
hommes
de; tonies conditions même, dont la postérité a g
cessé d’être trans mis par les études et les méditations de tous les
hommes
qui se sont occupés de sciences naturelles. Mais
traitèrent de visionnaire et d’insensé; craignant la persécution des
hommes
influents qui avaient déchaîné l'opinion contre l
rtant une vérité utile bouleversant les habitudes el les intérêts des
hommes
en crédit. « 11 faut lire, dans les ouvrages du
uit de ses cures et de ses étranges procédés agita tout Paris; jamais
homme
n'eut une vogue semblable. Ce n’était pas lù ce q
é ; il voulait avant tout faire subir à sa découverte le contrôle des
hommes
spéciaux. Quelques-uns l’accueillirent avec bonté
ne véhémence bien naturelle de l’indifférence et de l’aveuglement des
hommes
de science. « Abreuvé de dégoûts, il se prépara
e s'accroître par l’engouement de la ville, Mesmer avait rencontré un
homme
courageux, indépendant , qui avait hautement pris
athique qui se trouvent tout aussi bien chez les animaux que chez les
hommes
. « Ce fut la lionne qui, la première, éprouva l
ait les mêmes faits, les mêmes résultats positifs. Je signalais les
hommes
honorables, tels que Jus-sieu, Desion, Bergasse,
re eût été trop forte pour des esprits prévenus. Je citais des noms d’
hommes
respectés dans les sciences, en puisant dans leur
rtrand aussi l’avait aperçue. Je montrais que ces opinions venaient d’
hommes
vivants qu’on pouvait consulter; puis c’é- taie
plomb. Je juge mieux maintenant des renommées; j’ai vu tant de grands
hommes
en robe de chambre, qu’ils ne m’imposent plus. La
té devait à la fin me rendrefort.il y a donc quelque chose qui mène l’
homme
à des fins prévues, car maintenant je me prends à
n prenait l’envie. Je n’aurais point à me torturer l’esprit. Ah ! les
hommes
ignorent quand doit venir l’inspiration! la plupa
veux poursuivre mon œuvre commencée, il me remplit de terreur. Les
hommes
peu réfléchis ne comprendront rien à mon langage;
cheval, celui-ci sait d’où vient le fouet : il connaît son maître. L’
homme
sent mille aiguillons intérieurs : est-ce la chai
absolument rien. Quelquefois même une inspiration subite donne à l’
homme
la double vue; il pressent, ou plutôt voit ce que
rrogé souvent à ce sujet, et me suis dit : Si, dans l’antiquité , les
hommes
qui possédaient des secrets nous les eussent révé
t pas pour rester enfoui ; c’est pour la race entière. Sans doute l’
homme
abuse d’abord , comme il est tenté d’abuser toujo
onc un libre cours à nos pensées, nous offenserons peut-être certains
hommes
, mais jamais la divinité. § V. OUVRAGES. Je d
nnaî- Ire les travaux et les découvertes des magnétiseurs. Si aucun
homme
ne se présente, on excusera ma faiblesse, 011 par
plus de soin les faits dont je devais plus lard rendre compte. Aucun
homme
ne fut jamais mieux placé pour observer, puisque
eims, Bordeaux, Montpellier, Béliers ; j’enseignais le magnétisme aux
hommes
studieux de Metz, Nancy, Dijon, Besançon, Gray, V
ournal du Magnétisme, mais, cette fois, en collaboration de plusieurs
hommes
très-versés dans les connaissances magnétiques. C
ervées par ma mémoire. Je n’ai point la passion qui pousse certains
hommes
à écrire, à traduire leurs pensées ; ce n’est que
lume; je sais qu’elle serait mieux placée en d’autres mains ; mais un
homme
laborieux, voyant un champ sans culture, s’en emp
mme Dieu ! tu es destinée à remplir d’admiration l’univers ; mais les
hommes
de ce temps ne songent qu’à la politique, ils ne
’astre du jour, tout rayonnant de clarté, les tire de cette erreur.
Hommes
malheureux , vous vivez un instant sans vivre; ar
t à la fois la finesse d’analyse du médecin et le jugement élevé de l’
homme
du monde. Nous remercions donc le comte Nani du s
e l'expérience acquise, un dévouement tout spécial, et la plupart des
hommes
sont trop insouciants ou trop préoccupés, pour ét
de mettre tout le monde à l’aise, il est donc essentiel que quelques
hommes
fassent du magnétisme leur profession, et c’est à
er les yeux. « Si maintenant 011 nous demande s’il est vrai que ces
hommes
ont, pour faire le mal, la puissance qu’011 4eur
e, sous un point de vue qui mérite peut-être de fixer l’attention des
hommes
sérieux. Selon nous, ces sectaires produisent bie
pour ceux qui vi-« sitent l’établissement, de voir une compagnie « d’
hommes
à l’ouvrage, dont la moitié est endor-« mie, malg
ain aux horloges. Un des ouvriers désira « faire l’expérience sur cet
homme
; 011 le mit à « compter et à battre fie la mai
es rayonnements de l’âme avec le marc de café} car il me semble que l’
homme
amoindrit son intelligence, dégrade sa dignité, a
el de nos connaissances , que le magnétisme n’existe pas, refuser à l'
homme
cette électricité vitale que vous reconnaissez ch
évalut. Ainsi, un corps veut marcher et l’autre rester immobile; un
homme
s’avance, un autre le relient. Eli ! Messieurs, i
des rêveurs; vous n’êtes point sur la route où vous croyez marcher. L’
homme
qui sait dit peu ; mais it fait voir beaucoup. J’
Je n’avais imité personne. Prenais-je, pour justifier mes œuvres, des
hommes
aveuglés par la foi ? Non ; je m’adressais souven
urai sa chair, pourtant sans la toucher, et je forçais ainsi tous ces
hommes
, jusque-là rebelles, à s’incliner devant la vérit
ide indifférence. Un bon génie m’a préservé dans mon jeune âge, aucun
homme
ne m’a inoculé son poison, et voilà pourquoi aujo
ni à me débarrasser du linceul de plomb que portent avec eux tons les
hommes
. Comme une plante rebelle à toute culture, mon
r mensonge et imposture; et je me disais: Ce sont les précepteurs des
hommes
qui font tous leurs malheurs. lit ce n’est pas as
acerons du courroux des dieux. Je ne m’étonnais donc plus si tant d’
hommes
ne pouvaient comprendre la vérité nouvelle : elle
trembler. J’ouvris de nouveaux cours pour un petit nombre dejeunes
hommes
. Mon langage devint moins obscur, et donnait à ma
écarts de ma raison ; mais l’ouvrage prenait une date, caria vie de l’
homme
est échelonnée, elle se marque par des périodes d
vidents des croyances anciennes; le magnétisme y est pratiqué par des
hommes
qui, hélas ! ne savent plus l’origine et les élém
ue nos Instituts sur tout ce qui tient à la nature et au pouvoir de l’
homme
. Yoilà soixante-dix ans que les magnétistes rép
Le premier sujet traité par J. Davis est le thème de la création de 1
homme
, qu’il prétend être le développement progressif d
ation et dans la condition de ce qui la subit ; de même, la mort de l’
homme
, par rapport au monde extérieur, est un changemen
isation ou principe humains. C’est seulement le mode d’existence de l’
homme
qui est changé par la mort; et ce mode, suivant l
pays, à ce moment il mot un pied sur notre terre, l’esprit redevient
homme
et nous avons le droit de le juger à ses paroles,
lins ,47. — Paris, 1835. Le magnétisme a exercé la pensée de tant d’
hommes
illustres, partisans ou adversaires, qu’il n’est
s Cases rapporte ainsi, t. Ier, page 519, l’entretien dans lequel cet
homme
extraordinaire formula son opinion sur le sujet q
simple pour-« tant : tout cela peut être ; mais cela n’est pas. « L’
homme
aime le merveilleux, disait-il. Il a pour « lui u
« qu’elle nous dise quelque chose de neuf. Dans det a cents ans, les
hommes
auront fait bien des pr( « grès; qu’elle en spé
e assister à l’introduction de la mer dans le bassin de Cherbourg, un
homme
qui s’était acquis de la célébrité à Paris comme
rts avec le roi. De ce silence il est permis de conclure que ces deux
hommes
ne se connurent pas et qu’ils ne communiquèrent q
impiété ; car on ne peut admettre que Dieu aurait accordé à quelques
hommes
des facultés éminentes qu’il n’aurait pas départi
hommes des facultés éminentes qu’il n’aurait pas départies à tous les
hommes
. C’est une impiété : car si le somnambulisme exis
e la prévenue, qui n’a rien fait pour mériter un tel privilège. Aucun
homme
sensé ne peut admettre qu’un individu puisse voir
s pérégrinations. On ne peut admettre que Dieu ait donné à quelques
hommes
le pouvoir de guérir les maladies; il aurait été
nter à ce sujet quelques considérations générales. De tout temps, l’
homme
a cherché à s’élancer au-delà de l’actualité vers
ne chose impossible par cela seul qu’elle diffère des idées reçues. L’
homme
ne peut assigner les limites du possible ; ce qu’
dérés concèdent : 1“ qu’un acte de la volonté suffit quelquefois à un
homme
pour exercer une certaine influence sur un aulre
elquefois à un homme pour exercer une certaine influence sur un aulre
homme
; et 2“ que le sommeil magnétique est un étal trè
gnétisme, et qu’il a écrit contre le somnambulisme , alors que pas un
homme
considérable n’aurait osé s’en avouer partisan, d
Dictionnairé de Médecine ; il y établit entre autres choses, 1° qu’un
homme
peut, à distance, et par le seul effort de sa vol
C’est, dit-on, uue impiété de supposer que Dieu accorde à quelques
hommes
privilégiés des dons qu’il ne départirait pas à t
lques hommes privilégiés des dons qu’il ne départirait pas à tous les
hommes
indistinctement. Et depuis quand pouvons-nous fix
e ? Est-il tenu, pour s’accommoder à nos idées, de soumettre tous les
hommes
à une espèce de communisme, et de les tailler sur
vidus doués de la lucidité somnambuliquc s’appliquerait également aux
hommes
exceptionnels doués de talents hors ligne. D’aill
t; les qualités admirables dont ils sont doués existent chez tous les
hommes
, mais y sont inégalement développées : chez les u
sse en dire autant. Mais, nous dit-on, si Dieu accordait à quelques
hommes
des dons supérieurs, il n’en gratifierait que des
Dieu la règle suivant laquelle il devra distribuer les aptitudes aux
hommes
? Nous savons que les talents les plus remarquabl
as toujours accompagnés des mœurs les plus pures, que bien des grands
hommes
ont fait un usage déplorable des bril- tantes q
S. Jean, III, 8), que le don de prophétie a été parfois accordé à des
hommes
fort méprisables, tels que Balaam (Nomb. XXII) et
’ont fait à cet égard que marcher plus avant dans la voie où tous les
hommes
font quelques pas. L’observation de la nature nou
dit encore qu’il est impie d’admettre que Dieu ait donné à certains
hommes
le pouvoir de guérir les malades, car il ei'il ét
ce double don. N’est-il pas absurde, nous dit-on, d'admettre qu’un
homme
puisse voir ce qui sc passe à vingt lieues ? Faud
n aliment pour la curiosité. Mais la Providence n’avait pas donné à l’
homme
d’aussi admirables facultés sans leur assigner un
e serait jugée digne des flammes éternelles : nous parlons devant des
hommes
du monde qui savent excuser quelques faiblesses ;
livré à quelques expériences, l’a-t-on soumise à l’examen de quelques
hommes
spéciaux ? Nullement ; il semble qu’il suffise d’
me office, et qui certes jouit d’une réputation incontestée d’honnôte
homme
. M. I.esage, qui n’eût pu être dupe d’une fourber
on contenu, et a découvert les circonstances du vol. M. Lesage est un
homme
digne de foi : ce n’est point un enthousiaste ave
t prête à se soumettre à toules les épreuves que pourront désirer les
hommes
de bonne foi, en restant, bien entendu, dans les
bules ne doivent être acceptées que sous bénéfice d'inventaire, cl un
homme
prudent, avant de s’y conformer, doil s’entourer
arpentage, une pesée, une analyse chimique, vous vous adresserez aux
hommes
les plus compétents, et vous aurez plus ou moins
térêts l’organe de la société viendra-t-il faire entendre sa voix ? L’
homme
guéri paie avec joie le salaire de son sauveur, e
use. Sous ce rapport, les somnambules médicaux, comme tous les autres
hommes
utiles, seront appelés, si vous voulez, des envoy
es, comme celles que le génie poétique des Grecs décernait aux grands
hommes
. Mais en définitive, les partisans les plus entho
ts magnétiseurs, comme dans les somnambules les plus lucides, que des
hommes
, c’est-à-dire des êtres faibles, bornés, soumis à
rceau de la réforme; Genève, où naquirent J.-J. Rousseau et plusieurs
hommes
éminents dans les sciences et les arts, était enc
l’opposition des pôles, dit Mesmer (aphor. 239), il faut considérer l'
homme
comme partagé en deux par une ligne tirée de haut
sont plus susceptibles en raison de leur plus grande analogie avec l’
homme
, et de la ténuité de leurs parties ; il suffit de
avant eux par les premiers anatomistes, qui divisaient le corps de l’
homme
en trois parties distinctes : la tête, la poitrin
ne des effets de l’aiguille aimantée. Pa-racelse (2) admettait dans l’
homme
un axe polaire, et (Nicolas de Locques(3)croyait
t dans l’homme un axe polaire, et (Nicolas de Locques(3)croyait que l'
homme
possédait, comme le grand monde, son axe , ses pô
rétions aux reins, et celle des esprits au cœur. On désignait alors l’
homme
sous le nom de petit monde, ou microscome; la bou
avec les lois de la philosophie naturelle, expose que les pôles de l’
homme
, conformes à ceux de la terre, engendrent deux co
des anciens philosophes, Pythagore, Platon, Aristote, soutient que l’
homme
, pour conserver une position magnétique salutaire
r à cette sensation particulière le nom d’exploration. « Il y a des
hommes
, dit M. Mialle (2), qui ont la faculté non seulem
(1) Du Magnétisme animal, p. 48. (1) Recherches physiolog. sur l’
homme
, p. I l- seur et celui du magnétisé; lequel fl
un sot aveuglement ne fera pas préférer une médecine inventée par les
hommes
vains et orgueilleux, à un moyen simple et univer
ffert annuellement, par la Société, une médaille d’or au magnétiseur,
homme
ou femme, qui aura opéré la plus belle cure par l
et qu’il s’imagine toujours être sur le point de saisir, le cœur de l’
homme
, altéré de lin-fini, dédaigne le trône de la créa
ives, ainsi qu aux sens et à la pensée, entraînent irrésistiblement l’
homme
, après l’avoir soustrait à l’influence de ses con
e terrain que le sien, mais elle ne le détruit pas, et ce que croit l’
homme
ou ce qu’il espère reste toujours debout à la pér
s. La foi, à son tour, s’emparant de toute l’activité intérieure de l’
homme
, lui fait un besoin passionné, ainsi qu’un devoir
s de la destinée humaine qui préoccupent si impérieusement l’âme de l’
homme
, et qu’il veut absolument résoudre, ont leur solu
de la solution de ce problème. De nos jours, des novateurs, ou des
hommes
qui pensent l’être , ont proclamé de nouvelles do
nir un aliment à la curiosité bien légitime qui s’est éveillée sur un
homme
qui joue un rôle si important parmi les spiritual
org, p. 169. atteindre les facultés intellectuelles et morales de l’
homme
au point de vue du mesmérisme. Cependant les résu
également Davis. Par le mot doctrine, nous entendons résumer ici l’
homme
et ses facultés; ses prétentions à une mission di
e au voyant suédois, Em. Swedenborg, nous mettrons en regard ces deux
hommes
, célèbres à des degrés différents ; et, les exami
ses que tous les miracles; mais cette faveur n’a été accordée à aucun
homme
, excepté moi, depuis la création. » (/lobart’s Li
p moins ambitieux, ne s’attribue que la simple mission d’éclairer les
hommes
, lit nous n’opposerons pas de sérieuses objection
, saisissables pour propager notre opinion en la faisant partager aux
hommes
sérieux. Davis, clans son Greal llarmonia, dont
vres mystiques qu’il fallait leur demander de reproduire; c’était ces
hommes
qui ont préparé le berceau dé l’antique civilisat
rroger ! Voilà des explorations scientifiques dignes de l'intérêt des
hommes
! Quant aux révélations de Swedenborg, elles lu
a mis dans la bouche de Solon. « La mort, dit-il, est pour certains
hommes
un mal qui les frappe d’une profonde terreur. C’e
is pigeons. Ce procédé n’est ni délicat ni généreux de la part d’un
homme
qui a constamment sous les yeux l’exemple de tant
e Moolravel, p. 4i. enlre eux (1). « Outre la force propre à chaque
homme
, prétend Deleuze (a), il est encore une force rel
L’époque de la vie la plus favorable pour magnétiser est celle où l’
homme
a atteint tout son déve-veloppement. On a affirmé
x jours où, dans cent lieux différents, on glorifiera la mémoire de l’
homme
illustre qui découvrit la loi magnétique. Que les
Temple, la foule des mesmériens joyeux. Ce n’était plus ces quelques
hommes
obscurs dont la ferveur était le seul mérite; mai
uts fonctionnaires, de prêtres et de littérateurs d’élile; un choix d’
hommes
, enfin, dont la présence assure la considération
réjouissez-vous; voici la découverte qui devait suivre les vôtres. Un
homme
que Dieu favorisa comme vous, a trouvé dans la na
é, en détruisant les erreurs de la science et les fausses idées que l’
homme
s’est forgées sur la nature et Dieu. « Voyez, M
, quel chemin nous avons fait déjà. Nous démontrons aujourd’hui que l’
homme
a double vie : l’une, mystérieuse encore, dans la
est encore inconnue des savants, et pourtant ils croient connaître l’
homme
en en ayant seulement étudié la surface. « Pour
avers duquel l’intelligence ne saurait pénétrer. Science indigne de l’
homme
, fatale à l’humanité, ou chaque apôtre est réduit
et à choisir pour règle son propre instinct, s’il veut être utile aux
hommes
. « Et nous venons à tous offrir nos trésors; no
nous envoyer leurs vœux et leurs espérances. « L’erreur divise les
hommes
, les place en catégories, les rend ennemis ; la v
reuve visible de notre progrès, malgré la difficulté des temps. « L’
homme
marche à pas lents dans la voie du progrès; il tr
ci du lendemain; l’humanité n’a plus de guide qu’elle-même, et chaque
homme
est obligé de sonder les écueils. « Ne vous aff
rs appartiennent encore à la même école; ils adorent le même dieu : l’
homme
est donc libre. Et voici à l’horizon une nouvelle
e. Comprenez bien, Messieurs , notre destinée, nous allons élever les
hommes
au-dessus d’eux-mêmes et les rapprocher de Dieu.
r toute loi humaine est impuissante contre la nature ; la justice des
hommes
, lorsqu’elle est menteuse, n’est que temporaire,
oix; pour nous, Messieurs, regardons-le comme un des bienfaiteurs des
hommes
que Dieu inspira. « Puisse-t-il reconnaître en
viendront; mais d'abord, Que chacun fasse un effort 1 Par l’accord L’
homme
est fort.... De loin j’aperçois le port.....
nt au but de cette réunion, celui de rendre hommage à la mémoire d’un
homme
qui a non-seulement honoré son siècle par ses tal
elle nous a été transmise : le Jury magnétique, d’un côté, ce foyer d’
hommes
d’élite, et de l’autre, son digne président, celu
igne président, celui qui a tant de droits aux sympathies de tous les
hommes
de bon vouloir, celui qui, en un mot, a tant écri
et son (lambeau , La nature est en deuil et la vie un tombeau. L
Homme
qui, toujours \ rai, n’est jamais fanatique, L'
n tombeau. L Homme qui, toujours \ rai, n’est jamais fanatique, L'
homme
qui, pénétré de la foi sympathique, Veut aider
donner à une œuvre les proportions qu’elle pourrait atteindre. « Un
homme
conçoit, une assemblée édifie. « I.a raison, is
des belles actions, d’ailleurs, tout en payant un tribut légitime aux
hommes
qui les ont faites, n’en engendre-t-elle pas dépa
A M. CLAPIER, cultivateur il Sainte-Amélie (Algérie). A M. MIALLE,
homme
de lettres à Paris. • —j A M. le haron VON REIC
i, le magnétisme existe; mais, comme lout ce qui existe et vient de l’
homme
ou auquel l’homme sert de conducteur, il n’est
xiste; mais, comme lout ce qui existe et vient de l’homme ou auquel l’
homme
sert de conducteur, il n’est pas infaillible. M
aits constatant l’existence d’un fluide idéo-sympathique, qui met les
hommes
en rapport de solidarité, comme le sont tous les
nouvelle. Des réquisitoires, cependant , ont été prononcés contre des
hommes
coupables de simples passes magnétiques, et des j
de notre existence, des phénomènes incompris, et bien rares sont les
hommes
ayant conscience des mystères sans nombre au mili
s aux magnétiseurs, nulle poursuite ne pourra être dirigée contre le9
hommes
de bonne volonté qui, armés de cette force vive q
nce renfermée dans des milliers de volumes, confessée par uue foule d’
hommes
d’intelligence et d’honneur, constatée par le rap
ls du magnétisme ils l’auraient tué si une vérité pouvait mourir. Les
hommes
de bien pourront sans inquiétude se livrer à l’ét
ns faits, s’il y a eu des défaites, la responsabilité retombe sur les
hommes
qui se sont abrités derrière le magnétisme, la sc
nt. On doit remarquer le grand âge qu’ont atteint jusqu’à présent les
hommes
qui se sont occupés du magnétisme. M. Koreff avai
qui les éprouvent. Les femmes ont semblé y être plus sujettes que les
hommes
, mais avec bien moins d’intensité. Ces effets c
rrespondent au toucher qui me frappe.... : c’étaient deux petits bons
hommes
à tête blonde, agenouillés comme leur mère, qui c
nue à elle, me salue avec une tranquillité étonnante; les petits bons
hommes
s’apprêtent à se coucher, comme si de rien n’étai
es pensées !... mais je ne pensais pas, j’étais abasourdi, j’étais un
homme
pour les gens que je heurtais en passant; mais po
is pas que je m’appartenais à ce titre, en tout cas je n’étais pas un
homme
libre! J’avais devant les yeux une étendue où tan
toujours morte, quand elle est stérile..... « Vous, aimez-moi ; l’
homme
à qui l’intelligence de ce que je dis est révélée
ent rampera sur le globe; détruis les serpents, et le tigre deviendra
homme
; mais le serpent sc cache sous la mousse, il aura
pied que lu ne l'auras pas encore vu; il sc cachera sous des habits d’
homme
, et tu croiras parler à un homme, et son œil, omb
vu; il sc cachera sous des habits d’homme, et tu croiras parler à un
homme
, et son œil, ombragé par des sourcils humains, le
ra contre les serpents et il t’en fera justice !..... « Songe que l’
homme
est pétri de bien et de mal, en tant qu’esprit et
l’homme est pétri de bien et de mal, en tant qu’esprit et matière : l’
homme
est tigre et serpent ; il est colombe quand il s’
celle de l'intelligence.....L’humanité est-elle autre chose que l’
homme
collectif? Eh bien! tant que l’intelligence pure
malheur s’élever contre moi, si je contrevenais aux vœux de ce pauvre
homme
qui, peut-être, est perdu dans les déserts de l
/cnthousiasmc était spontané, unanime. Et cependant il y avait là des
hommes
de toutes classes et de toutes professions , amen
ieux, pour célébrer la fêle anniversaire de la naissance de Mesmer, l’
homme
au baquet. « Des notabilités magnétistes et mag
es naturel et artificiel. Nous ne cessons d’appeler l’attention des
hommes
sérieux sur cette double vie. Qui sait si ces deu
us parfait après cette triste vie. Nous appelons donc à l’étude les
hommes
d’intelligence, et nous leur disons : Ici est une
. Propagande. —Nous apprenons chaque jour que, de toutes parts, des
hommes
de science, qui n’ont en vue que le progrès, adhè
; malgré cela, cette science compte un grand nombre de partisans. Des
hommes
spéciaux s’en occupent sérieusement, et le mesmér
un chemin qui borde la rivière; s’élant endormi, la voiture versa, et
homme
et chevaux furent noyés. Au bout de trois ou qu
de « lumières. Je regardais autour de moi, et je voyais « affluer des
hommes
de différentes régions de la « terre, de tous les
de « sublunaire, des riches aussi bien que des pauvres. « Un essaim d’
hommes
tel que celui qui entrait, et « qui fourmillait s
sensés seuls peuvent élever des doutes , et que la volonté ferme d’un
homme
bienveillant fait affluer dans le corps d’un mala
ne tout entière, qui porte le nom de somnambulisme,état dans lequel l'
homme
, soustrait au monde des sens, semble appartenir d
fût un grand génie, les magnétiseurs ne le contestent point; mais un
homme
n’a pas pu savoir tout : ars long a, vila brevis.
que Hahnemann s’est trompé, comme il arrive nécessairement à tous les
hommes
entichés d'un système. Il n’est pas logique de vo
les cas appropriés. Vous nous renvoyez aux faits, M. J. B.,mais quel
homme
, plusqu’Hahne-mann , a subordonné à leur puissanc
comparable en Jésus-Christ, existe à un degré inférieur chez tous les
hommes
, et chaque fois que le magnétiseur impose les mai
« llahnemann s’est trompé, comme il arrive nécessairement à tous les
hommes
entichés d’un système. » llahnemann s’est tromp
l’atténuation des doses , quelle que fût la puissance magnétique de l’
homme
dont le simple contact de la robe avait suffi pou
sme n’était point en question, lin effet, il n’y a pas aujourd’hui un
homme
de quelque sens qui doute. Il ne s’est agi que du
faire précéder son emploi de la connaissance de scs effets purs sur l’
homme
dans l’élat de santé. Mais depuis longtemps la
ua et devint acquéreur du champ. Le lendemain de grand matin, notre
homme
, la bêche sur l’épaule, sc rendait en chantant à
lara que le père G... lui avaitjelé un sorl. Le médecin fit venir cet
homme
, et, en présence du maire de la commune, il Tinte
on courut chez le charron dont la demeure était près de là ; mais cet
homme
était malade au lit, el l’on fut obligé d’aller c
Tel naît obscur dans une étable. Sans feu ni lieu, Qui devient un
homme
adorable Et même un dieu ; Tel autre naît au so
du magnétisme, quoique j’eusse plusieurs amis, non pas médecins, mais
hommes
de science, de littérature ou de connaissances gé
ont paru en Angleterre n’ont pas, pour la plupart, été écrits par des
hommes
qui eussent des connaissances scientifiques, et i
lire ce que j’en ai consigné dans mes Lcllrcs, car M. Lewis est un
homme
vraiment remarquable. Je vous indiquerai aussi le
’une manière bien étonnante. Dans ces visions, il a tracé et suivi un
homme
qui, très-probablement, n’existe plus; et je ne c
mes des médecins sceptiques. Ce n’est pas que M. Bennett ne soit un
homme
très capable et très-instruit dans la médecine et
ntres Universités ; mais comme je n’ai rien dit qui soit indigne d’un
homme
de science; comme j’ai raisonné logiquement sur d
intérêt pratique, sans avoir égard aux opinions ou à la moralité de l’
homme
. Les rivaux du Dr Williams ne disent rien de mi
tte grande distance; il produit des hallucinations, et persuade à ses
hommes
qu’ils voient dans un mouchoir un petit enfant, d
xpériences amusantes autant qu’étonnantes. Nous engageons surtout les
hommes
compétents à aller assister à ces expériences; on
il y a de plus remarquable, c’est que tout individu, quel qu’il soit,
homme
ou femme, peut apprendre en une heure ou deux, au
samment instruit dans cette importante branche de la philosophie de l’
homme
. Les élèves qui ont suivi mes deux cours (et pa
courir certains bruits injurieuxpour lecapitaine Forno, relatifs à un
homme
ivre amené par moi à Armory Hall, lundi dernier,
par le Dr Fiskc, il élait à peu près ce qu'on appelle icre-mort. Cet
homme
n’ayant poinl encore été conduit devant le juge,
faisait son cours. Le sujet était tellement ivre, qu’il fallut quatre
hommes
pour le faire monter. Lorsqu’il parut dans la sal
olument le renvoyer; je m’avançai el je lui dis que j’avais amené cet
homme
dans le but de mettre sa puissance à l’épreuve. I
à deux de mes amis de prier Al. Fiske de permettre qu’on fit porter l’
homme
ivre dans une pièce voisine, pour expérimenter su
ateurs après la séance, je priai ceux que je connaissais d’observer l'
homme
ivre ; plusieurs personnes s’emparèrent de lui et
minutes d’attente, le Dr Fiske ne paraissant pas, je lis reconduire l’
homme
à la walch house dans un cabriolet, dans le même
sser les effets, et c’est ainsi qu’il dégrise à l’instant, dit-il, un
homme
ivre-mort, il donne une forte tape, ou même plusi
de Lafayetle, pour assister au départ du vaisseau à vapeur 1 Ohio. Un
homme
tomba à terre au milieu de la foule, saisi d’une
pensait également, d’après son expérience de cas semblables, que cet
homme
11 avait pas une minute à vivre. Le docteur, qui
docteur, qui était plaisant, jugeant qu’une petite expérience sur cet
homme
ne pourrait pas faire de mal dans ce cas désespér
t reconnus; que les nouvelles vérités se font jour lentement; que les
hommes
se défient habituellement de ce qu’ils ne peuvent
la nouvelle science doitélre considérée aussitôt comme anéantie. L’
homme
qui pense ne rejette rien sans examen, et ne cont
mal. Mais nous ne pouvons pas plus mettre en doute la puissance que l’
homme
peut exercer sur le mouvement des muscles, sur le
p;it perplexe; et plusieurs des témoins avouèrent franchement que nul
homme
, jouissant du plein exercice de tous ses sens, ne
2 de ce volume. (2) Je crois avoir laissé assez de temps a tous les
hommes
qui prétendaient connaître la magie, pour en obte
e connaissent pas l’objet. Ils ne croient pas vrais les faits que des
hommes
laborieux, consciencieux et désintéressés leur an
impossible qu’elle est insignifiante par elle-même, son action sur l'
homme
sain doit être le critérium de son application au
a faculté qu’ils possèdent d’engendrer de semblables phénomènes sur l'
homme
sain? Maintenant, s’il est vrai que les re- mèd
en connaître, au préalable, l’action par l’expérimentation pure sur l’
homme
dans l’état de santé. Telle est la règle absolu
aculté analogue, alors il ne répugne plus à l’esprit d’admettre que l’
homme
, qui occupe le sommet de l’échelle animale, a été
ement égale à celle des animaux, mais supérieure. La raison dit que l’
homme
doit avoir cette faculté que nous appelons magnét
qu’il la possède en effet. Mais, en raison même de sa supériorité, l’
homme
est tenu d’en faire un plus noble usage : il ne l
n ne la tente, une notion complète, entière, de ses effets purs sur l’
homme
sain, ainsi qu’il en est de toutes les substances
sidéré au point de vue médical, peut donc être défini : l’aclion de l'
homme
sur son semblable, non seulement par contact ou r
bbé Loubert, s’exprime sur l'influence magnétique: « . . . . Quand un
homme
dirige sur un autre homme l’action magnétique, il
l'influence magnétique: « . . . . Quand un homme dirige sur un autre
homme
l’action magnétique, il emploie envers son sembla
rce ; et c’est d’aulant plus étonnant que ces mots sonl écrits par un
homme
qui semble avoir compris l'identité de la matière
mployer le magnétisme comme remède, que lorsque ses efiels purs sur l’
homme
à l’état saiu seront, au préalable, connus. Vou
usivement au magnétisme : nous pensons qu’il y a du bon partout, et l’
homme
sage le prend où il peut le trouver. Les médecins
fet aussi heureux et prompt qu’inespéré; mais nous devons laisser aux
hommes
de cœur qui ont eu le mérite de la chose, celui d
s la médecine encore, sans être plus heureuse qu’auparavant. Certains
hommes
diront que le magnétisme n’a fait que soulager, m
« croire au magnétisme que lorsqu’il remettra une jambe cassée. » Ces
hommes
sont des erreurs de la Faculté qui leur a donné u
substance médicinale ne fût spécialement administrée que par un seul
homme
de l’état. Il n’y a d’honorables, pour vous, que
ait de sa présence, car c’est une faveur insigne que le concours d’un
homme
aussi distingué. Un autre confrère honorable, aus
-vous causé de celte affaire, hier, avec « plusieurs porsonnes? Votre
homme
aura pris l’éveil. « Mais, attendez donc!... le v
un travers de l’esprit; il n’existe point d’agent magnétique, et les
hommes
qu’il a cités, comme les Deleuze et lesPuységur,
t bon, comme enseignement, que la génération actuelle juge ces grands
hommes
, et qu’elle sache que l’Académie se résume en Flo
et admis en lui. Lorsque je serai élevé de la terre, j’attirerai les
hommes
à moi. Cette magie divine est en rapport avec la
t dans les appétits, désirs et passions des facultés inférieures de l’
homme
. Il peut y avoir aussi une magie angélique, saint
ues mélangées. Tels furent aussi les sages d’entre les Egyptiens. Ces
hommes
-là avaient tous les aperçus el toutes les combina
crurent l’expliquer et la rendre de sensible. Admettant la chute de l'
homme
, ils dirent : c’ « L’homme, privé de l’esprit de
endre de sensible. Admettant la chute de l'homme, ils dirent : c’ « L’
homme
, privé de l’esprit de Dieu, est aveugle, « tâto
, moins céleste, qui l’allume et 1 cc qui l’éclaire. C’est ce que des
hommes
profonds ' cc appellent Y Esprit astral, ou feu o
s pandus dans tous les corps du monde. Par cette der-t nière partie l’
homme
tenait aux animaux, par la pre-i mière il tenait
a forme d’une lumière toute brillante; elle parut sous la ligure d’un
homme
. L’hérésiarque Simon avançait que le Dieu suprê
sur la réalité de cette lumière soupçonnée ou vue par tant de grands
hommes
, c’est que là est notre secret, comme celui de to
et Jésus-Christ n’a-t-il pas dit : Je suis la lumière du monde ? O
hommes
aveugles ! et, par cet aveuglement, malheureux! p
st le souffle de la lumière immortelle. » Le Verbe, en sa qualité d’
homme
, en a montré et le modèle H l’espérance dans la
où elle apparaissait, souvent aussi on fil mourir de mort cruelle les
hommes
qui osèrent la révéler. Socrate but la ciguë, Jés
que serail-ce donc si des mystères plus grands étaient révélés à ces
hommes
indignes? Qu’en feraient-ils, grand Dieu S J’ai p
point les temps, marche seul dans le chemin que tu as découvert ; les
hommes
intelligents te suivront bientôt; attends qu’ils
a semence jetée ait germée dans leur cœur ; laisse dire et penser les
hommes
de science, ils sont loin delà vérité, et leur ju
subit. Les femmes ne sont pas seules accessibles à celle action, des
hommes
ù la fleur de l’âge ressentent distinctement la m
et scs déclarations sont ainsi dégagées de toutes préventions. Les
hommes
el les femmes d’une consli tu lion vigoureuse, et
dentaires, nonobstant l’apparence de bonne santé : principalement les
hommes
qui écrivent et les femmes qui cousent continuell
saines aux somnambules, les sen-sensitifs forment une chaîne dont un
homme
robuste et une somnambule débile occupent les deu
e guérir ne me paraît point une science, c’est un sixième sens dont l’
homme
a toujours été doué et dont il avait perdu l’usag
que tôt ou tard nous convaincrons les plus incrédules et surtout les
hommes
savants. Agréez, etc. G. JOLY. N. B. Le plu
phorisme de la physiologie de l’école qui pose : « que, sans l’œil, l’
homme
ne «peut prendre connaissance des choses extérieu
me qui se déballait dans d’horribles convulsions, sur un lit où trois
hommes
avaient grand’ peine à le retenir; ¡’essayai le m
’enfant est restée sourde et muette. » Je ne pus persuader ce brave
homme
du tort qu’il avait eu de couper une si heureuse
je viens de payer mon tribut à celte loi de la nature qui veut que l’
homme
subisse à divers âges, de ces révolutions organiq
is la vérité vraie échappera longtemps encore aux investigations de l’
homme
. — Comment expliquez-vous l’état dans lequel vo
principe ; il manque au crétin le troisième principe constitutif de l’
homme
, l’âme. Le crétin n’est donc qu’un animal, encore
ucun intérêt individuel. Ne voulant pas s’écarter du respect que tout
homme
de lvien entretient pour ceux dont la bienfaisanc
té a également le pouvoir d’élire gouverneur honoraire tout individu,
homme
ou femme, ayant rendu des services importants à l
s. « Quatre-vingt-onze malades ont été mesmérisés, cinquante-quatre
hommes
et trente-sept femmes : il y en a encore sur les
mes : il y en a encore sur les registres vingt-neuf, dont dix- neuf
hommes
et dix femmes. La plupart des maladies traitées o
d jusqu’à Tottcrham-Court Road. Il est encore en traitement. | « Un
homme
affecté d’hypocondrie, et livré aux plus terrible
onnue, 011 ne doit pas hésiter plus longtemps à poser devant tous les
hommes
et en toute circonstance, la cause de la charité
oduit une vive impression . il a porté un losle à la mémoire de trois
hommes
qui, dans la sphère de la science, constituent un
ans la société, le magnétisme n’en esl pas moins une réalité pour les
hommes
sérieux partout où les magnétiseurs ou amis du ma
ans la société, le magnétisme n’en esl pas moins une réalité pour les
hommes
sérieux partout où les magnétiseurs ou amis du ma
ainsi de leurs maladies, il ne serait pas raisonnable de penser que l’
homme
ait été privé d’une faculté analogue, et qu’il lu
somnambules étrangers. Il y a quelque temps on nous consulta pour un
homme
de trente ans, malade depuis plusieurs années, et
. Voici cetteohservation; elle est rapportée par M. Victor Meunier,
homme
sérieux et éclairé, qui rédige la partie scientif
laît. On rapportait dans le pays des fails si extraordinaires sur cet
homme
, et tant de personnes respectables en garantissai
er cette étrange expérience sur plusieurs points de l’Inde. Parmi les
hommes
graves et dignes de foi qui en rendent témoigna
de soins, le fakir se releva el se mit à marcher en souriant. « Cet
homme
vraiment extraordinaire raconte que durant son en
des Ar-dennes, ils avaient commencé par acheter un peu de bien, que l’
homme
cultivait de ses propres mains. Seulement, les
ni aucun sorcier, ni d’en-« chanteurs qui usent d’enchantements, ni d’
homme
« qui consulte l’esprit de Python, ni de diseur d
la nature; aussi la science marche dans les ténèbres et entraîne les
hommes
à sa suite, elle voit tout sans lumière; donnez-l
pour m’accuser, et on dira de moi : « Oh ! le coquin, le scélérat, l'
homme
abominable! il enseigne les moyens de nuire, d’as
rquoi nous disons : Heureux ces temps de tolérance qui permettent aux
hommes
de dire leur pensée sans craindre les bûchers ou
’établir sur la terre. Science, science vraie, c’est toi qui fais l’
homme
! car, sans toi, il n’est rien qu’une brute, obéi
hie qui donnait la connaissance des causes et par cela même élevait l'
homme
à la hauteur de la création? Nous l’avons dit, da
issance des choses divines et naturelles était le but final. Rendre l’
homme
meilleur en éclairant son esprit, en développant
ps de lancer l’anathème, trop de lumières s’étaient faites, et trop d’
hommes
avisés l’avaient aperçue. Est-il sage maintenant
qui cherche à prouver que tout individu d’une espèce différente de l’
homme
« devra, par la communication de son mouvement, t
able. Sans vouloir apprécier ici l’action du fluide des animaux sur l’
homme
, nous agirons avec une sage réserve en nous abste
rience des magnétiseurs qui ont eu recours à celte méthode. « Après l’
homme
et les animaux, dit Mesmer (i), ce sont les végét
regardait les maladies dont la cause échappait aux investigations des
hommes
, (1) Dr Despine, ouvrage cité, p. 61, 64, 69.
rablement contre le magnétisme. 6° Par la salive. I.a salive de l’
homme
a joui pendant longtemps d’une grande réputation
buait la propriété de faire périr ces animaux. Pline assure (3) que l’
homme
porte le contre-poison des serpents, qui redouten
ressortir l’action des différents accords sur le système nerveux de l’
homme
. Bodin (9) rapporte que la musique (1) Philosop
; mettez votre confiance en Dieu, et dans les efforts énergiques de l’
homme
qui se dévoue pour vous sauver! » Depuis six an
peu de bien pour beaucoup de maux me fût ouverte, que la justice des
hommes
sortît de son prétoire et fût rendue dans une a
dérer que les faits et les témoignages qui les appuient, et un jury d’
hommes
sensés, non médecins , est aussi capable de bien
e veux des faits, et non des paroles, » sera toujours la réponse d’un
homme
sensé aux objections dogmatiques les plus ingénie
tution remonte à quatre ans environ. Vers le milieu de 1847, quelques
hommes
désireux de savoir, par leur propre expérience, s
ma sœur, qui a dix-sept ans; elle me dit que ce sont des cheveux d’un
homme
de quarante-cinq ans. Je lui dis qu’elle se tromp
loin de compte. Alors, elle me dit : « Ce qui me trompe, c’est qu’un
homme
de quarante-cinq ans a touché ces cheveux. » Elle
prend les cheveux d’une jeune personne de dix-sept ans pour ceux d’un
homme
de quarante-cinq. Le sieur Lolmède. C’est que l
inq. Le sieur Lolmède. C’est que les cheveux ont été touchés par un
homme
de quarante-cinq ans. Le prévenu est interrogé
nétique, vit et leur raconta les circonstances du vol, désignant deux
hommes
dont elle donna le signalement comme l’ayant comm
que du Port-Louis (île Maurice). Médaille d'or à décerner à l’auteur (
homme
ou femme) do la plus belle cure obtenue par l'emp
, intelligences supérieures, âmes des trépassés communiquant avec les
hommes
. Esprit de Solon. le législateur d’Athènes, racon
MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'
HOMME
Kl DES PRIMATES, PAR M. PIERRE GRATIOLET,
r, séduits par ce qui brille, enchaînés aux habitudes des sens, les
hommes
se laissent, en général, attirer aux surfaces bie
ment la ressemblance singulière du cerveau des singes avec celui de l'
homme
donnait à cette étude un attrait tout particulier
à certains égards, ces lacunes. Ainsi, dans cette grande chaîne de l'
Homme
aux Hapalinés, j'ai pu étudier l'arrangement des
r, en examinant dans notre pl. 12 la série comparative des cerveaux d'
Homme
et de Singes, l'analogie singulière que présenten
t, dans tous ces êtres, les formes cérébrales. Le cerveau plissé de l'
Homme
et le cerveau lisse du Ouistiti se ressemblent pa
latéral. Ces caractères ne se rencontrent simultanément que dans l'
Homme
et dans les Singes. Dans tous les autres animaux,
entral. Ainsi, il y a une forme du cerveau propre aux Singes et à l'
Homme
, et il y a en même temps dans les plis du cerve
res. Cette uniformité dans la disposition des plis cérébraux dans l'
Homme
et dans les Singes est digne, au plus haut point,
Nous osons espérer que ces recherches seront de quelque utilité aux
hommes
que l'étude du cerveau intéresse. Je serais heure
ux bontés dont il m'honore. MÉMOIRE SUR LES PLIS CÉRÉBRAUX DE L'
HOMME
ET DES PRIMÂTES. PREMIÈRE PARTIE. § Ier L'i
des plis que le cerveau des brutes présente aussi bien que celui de l'
homme
. Th. Bartholin résume fort bien cette opinion : S
miste, avant la fin du dernier siècle, n'a essayé de découvrir dans l'
Homme
la loi de leur arrangement. La nature capricieuse
ort convenable; mais il ne s'applique parfaitement qu'au cerveau de l'
Homme
parmi les Primates. A ces dénominations fausses o
é. Si maintenant nous essayons la comparaison entre le cerveau de l'
Homme
et celui des Singes, nous retrouvons les mêmes re
y a plus de simplicité dans les Singes et plus de complication dans l'
Homme
. Or, à cause de ces analogies si évidentes, la
e dessein de m'élever ainsi à la connaissance des plis cérébraux de l'
Homme
(1). (1) Les résultats auxquels je suis arrivé
exemple de Malacarne, procès entéroîdes, sont plus compliquées dans l'
Homme
que dans les animaux. Malgré cette complication,
cette collection , si savamment ordonnée , sera appréciée de tous les
hommes
auxquels sont chers les intérêts de l'histoire na
cription que M. Cruveilhier donne des circonvolutions cérébrales de l'
Homme
. Cette description est bien comprise, et telle qu
uste, quon retrouve dans les circonvolutions du cerveau de tous les
hommes
un type commun, quand on ne s'attache qu'aux disp
autions préalables. Cet anatomiste donne, d'ailleurs, du cerveau de l'
Homme
et du Papión des figures fort remarquables. M.
on devait s'y attendre, et en effet il est impossible qu'un si habile
homme
ait pu mal faire. Toutefois il a peu ajouté à ce
er savant, et qui est plus évidente encore dans les Singes que dans l'
Homme
, ne l'a pas occupé un seul instant. On remarquera
le à celles qu'on avait précédemment données des circonvolutions de l'
Homme
, pour voir avec quelle sagacité cet habile anato
les faits que fait ressortir la comparaison des circonvolutions de l'
Homme
avec les plis cérébraux des Singes. § "V. Si
de l'anatomie est riche en travaux relatifs aux circonvolutions de l'
Homme
, il n'en est pas de même en ce qui touche aux cir
s dernières descriptions qui ont été données des circonvolutions de l'
Homme
sont, en général, si parfaites, qu'il me paraîtra
sont les limites naturelles des groupes principaux que forment dans l'
Homme
, les circonvolutions cérébrales, et, en second li
Chauves-Souris et des Insectivores. Dans cette double recherche, l'
Homme
ne peut servir de point de départ. Il en est de m
idérer séparément. Une grande scissure médiane divise, comme dans l'
Homme
, la masse cérébrale en deux moitiés symétriques ;
al. M. Arnold a également distingué quatre lobes dans le cerveau de l'
Homme
, mais il n'en a point indiqué les limites. Les
eux plis sont beaucoup moins prononcés dans le Callitriche que dans l'
Homme
; ils ne sont bien visibles qu'en arrière. En se
met de la scissure, forme avec elle ce que M. Foville a appelé dans l'
Homme
la circonvolution d'enceinte de la scissure de Sy
la pariétale sont-elles relativement très-grandes chez le fœtus. L'
Homme
présente une exception remarquable quant à l'époq
telligent. De même que, quel que soit le degré de son intelligence, l'
homme
adulte devient souvent grave, morose, allier, de
soudent de fort bonne heure, demeurent distinctes et complètes chez l'
homme
pendant la plus grande partie de sa vie ; cela ne
i les sutures s'effacent plus rapidement chez les idiots que chez les
hommes
doués d'une intelligence normale; 2» Si l'ossif
ombés en démence que chez les autres, et si elle arrive plus vite aux
hommes
adonnés à la crapule et à des occupations grossiè
ux hommes adonnés à la crapule et à des occupations grossières qu'aux
hommes
•jui pendant toute leur vie travaillent au dévelo
ideux, où, comme l'a remarqué Buf-fon, un reste de resemblance avec l'
homme
rend plus odieux encore les signes d'une dégradat
rons comment, les naturalistes ayant été portés à les rapprocher de l'
Homme
, ces Singes se sont naturellement trouvés, dans l
es réels en anatomie comparée. Ils sont fort semblables à ceux de l'
homme
. Le pli du corps calleux, qu'on rencontre dans to
nterne (pli de l'hippocampe) est simple, ainsi que cela a lieu dans l'
homme
; mais l'inférieur, très-développé dans l'Homme, e
que cela a lieu dans l'homme; mais l'inférieur, très-développé dans l'
Homme
, est très-simple dans VOrang. Si nous rapprocho
îtra certainement plus grand et beaucoup plus puissant que celui de l'
Homme
. Ce grand Singe, désigné par les naturels sous le
brale, qui chez ces animaux, de même que dans VOrang-Outang et dans l'
Homme
, sont si pressés, et à tel point condensés sous l
it, au commencement des choses, l'Inde supérieure à l'Afrique par ses
Hommes
, par ses Primates, par ses Éléphants, par les pre
ant que l'observation de ces animaux sera l'œuvre presque exclusive d'
Hommes
sauvages ou d'Européens nomades, l'étude métaphys
que type aurait ainsi son summum de réalisation et s'élèverait vers l'
Homme
, mais dans des directions différentes. Si ces v
et du cerveau du Chimpanzé, lequel est le plus semblable à celui de l'
Homme
? Nous conclurons dans le sens de la proposition
umain les plus grandes analogies. § XXIV. des plis cérébraux de l'
homme
. On connaît la forme du cerveau de l'Homme. La
des plis cérébraux de l'homme. On connaît la forme du cerveau de l'
Homme
. La hauteur singulière, la largeur du lobe fronta
, naît au-dessus du coude de la scissure de Sylvius, commence, dans l'
Homme
, % centimètres environ en arrière de ce point.
fort simple et à peine flexueux dans la Vénus hottentote, est, dans l'
Homme
, blanc, large, flexueux, chargé d'incisures secon
étrie sont ici choses corrélatives. Je possède un cerveau curieux d'
Homme
blanc, dans lequel l'insula du côté gauche est re
s par arrêt de développement cérébral. Plis du lobe pariétal dans l'
Homme
. Plis ascendants. — Les plis ascendants du lobe
scissure de Sylvius. Le pli marginal, dans ce point, présente, chez l'
Homme
, de nombreux replis dont la masse forme un lobule
ssez grand, qui remplit cet intervalle. Ce lobule est particulier à l'
Homme
, et ne se retrouve ni dans VOrang ni dans le Chi
rieur de la scissure de Sylvius est, relativement, assez grêle dans l'
Homme
et médiocrement flexueux. En revanche, l'étage
oniine à la branche descendante du pli courbe, en est séparée, dans l'
Homme
, par un grand intervalle. Cet intervalle est l'
des particularités les plus remarquables que présente le cerveau de l'
Homme
. Il est comblé par quatre plis épais et flexueu
périeur, jusque vers l'extrémité postérieure du cerveau. Or, dans l'
Homme
et dans les Singes, ce prolongement en arrière du
ue dans les Singes. Enfin, et c'est là un caractère essentiel, dans l'
homme
tous les plis de passage sont superficiels. C
Ce fait, au point de vue de la comparaison des plis cérébraux de l'
Homme
et de ceux des Singes, est au plus haut point sig
ent des philosophes. Plis de la face interne de riiémisphère dans l'
Homme
. Afin de compléter ce qui doit être dit, en gén
ans les Singes, domine à la face externe de l'hémisphère, est, dans l'
Homme
, développé, surtout à la face interne. Plis du
eur, simple dans les Singes, est, en général, fort compliqué dans l'
Homme
, flexueux et formé de deux plis bien distincts en
la circonvolution crêtée et le pli unciforme semblent former, dans l'
Homme
, un arc continu bordant la grande ouverture de l'
grande ouverture de l'hémisphère. Cette disposition, particulière à l'
Homme
, est une anomalie, si l'on envisage l'ordre entie
s frappés de deux faits que je ne dois pas omettre ici. Ainsi, dans l'
Homme
, 4° Les plis cérébraux de la face interne sont
ssortir l'importance relative de la région frontale du cerveau dans l'
Homme
; ils correspondent bien avec l'opinion des poète
aux caractères qui distinguent ou rapprochent les plis cérébraux de l'
Homme
de ceux des Singes. Disons maintenant quelques mo
spèces humaines. Je dis espèce, car l'unité de Vespèce est, parmi les
Hommes
, beaucoup moins apparente, à mon sens, que l'unit
stion qui nous occupe. J'ai figuré, dans mes planches, un cerveau d'
Homme
blanc d'une intelligence probablement fort ordina
nus hottentote accusent un développement horné inférieur à celui de l'
Homme
caucasique normal. Ces conclusions, tirées de l
u crâne; la mollesse de ce viscère est telle et son poids est, dans l'
Homme
, si considérable, que, dépouillé des enveloppes q
lligence suffisante, bien qu'assez faible. Un cerveau pareil, dans un
Homme
blanc, ne pourrait se concilier qu'avec l'idiotie
eau, quel qu'il fût, était le terme d'un développement achevé. Dans l'
Homme
blanc, au contraire, un cerveau pareil est un avo
'est qu'un signe d'infériorité; c'est un signe de dégradation dans un
Homme
blanc. Ces faits soulèvent immédiatement les qu
espèces, à des races différentes. Réduisons, en effet, un cerveau d'
Homme
au volume et au degré d'un cerveau de Chimpanzé o
éressent; en un mot, ils ne sont point idiots. Cependant un cerveau d'
Homme
, ramené à ce degré, serait celui de l'idiot le pl
rmuler la proposition suivante : « Deux cerveaux appartenant à deux
hommes
de races différentes sont également développés. L
doute , sous le nom d'Azlecs. Quoi qu'il eu soit, ces Aztecs sont des
hommes
en miniature , et le volume de leur tête n'excède
t dans Tintérieur de l'Afrique (au sud du Soudan) plusieurs espèces d'
hommes
caractérisées par des formes exceptionnelles. Les
ple de Pyg-mées; d'autres plus incroyables encore parlent de certains
hommes
pourvus d'une véritable queue. Voilà sans doute d
mmes pourvus d'une véritable queue. Voilà sans doute des bruits qu'un
homme
sage ne peut immédiatement accepter, et à l'égard
e Castelnau, Renseignements sur VAfrique centrale et sur une nation d'
hommes
à queue qui s'y trouverait. Paris, J. Bertrand, 1
anger à soulever cette idée au sujet des animaux; mais il s'agit de l'
Homme
, et on va crier au blasphème. De pareilles propos
invoque, avec Tyson, une similitude imaginaire entre le cerveau de l'
Homme
et celui du Troglodyte Chimpanzé, ne semble-t-il
à articuler la pa-« role, étaient entièrement semblables à ceux de l'
Homme
et beaucoup plus que ceux de la main, dont néanmo
Ce qui fait voir que la parole « est une action plus particubère à l'
Homme
et qui le distingue davantage des brutes que la m
ristote et Galien ont estimée être l'organe que la nature a donné à l'
Homme
comme au plus sage de tous les ani- f maux, peut-
gions orbitaires du cerveau étaient beaucoup plus excavées que dans l'
homme
, ce qui méritait bien d'être compté pour quelque
ures qu'extérieures, sont si parfaitc-« ment semblables à celles de l'
Homme
, qu'on ne peut les comparer sans admiration et sa
e, la langue et tous les organes de la voix sont les mêmes que dans l'
Homme
, et cependant FOrang ne « parle pas. Le cerveau e
t tome VII du supplé-n;ent, pl. I, sont de ridicules caricatures de l'
Homme
, bien inférieures, à tous égards, à la figure que
dans lequel l'âme règne pour un temps au delà duquel l'histoire de l'
Homme
et des animaux échappe au domaine de la science?
ent inégaux appartiendraient cependant à un même genre : ils seraient
Hommes
, doués de la parole, intelligents, et par conséqu
charité. Nous avons successivement analysé les plis cérébraux de l'
Homme
et des Primates de l'ancien continent, passons ma
ieure. 5° Le pli courbe est fort remarquable. Il naît, comme dans l'
Homme
, un peu en arrière du sommet de la scissure; mais
dans l'espèce humaine, et couvert d'incisures. De même que, dans l'
Homme
, les plis de passage internes sont cachés et rédu
la disposition des plis de passage externes, qui, pareils à ceux de l'
Homme
, sont tous superficiels. § XXVHL CERVEAU DU L
possible avec un certain âge du cerveau des Singes supérieurs et de l'
Homme
, étudiés pendant la période fœtale. Il y a, en ef
humain n'a point de plis; sa surface est alors unie. Le cerveau de l'
Homme
serait-il, à cette époque, la représentation d'un
plus ni un squelette, ni un cerveau, ni un poumon de Reptile ? qu'un
Homme
chez lequel le cœur est demeuré incomplet par arr
bdivise dans les Primates les plus élevés de chaque groupe, et dans l'
Homme
blanc il se décompose en trois plis larges et fle
omme dans les Guenons, les Semnopithèques, les Gibbons, les Orangs, l'
Homme
et les Atèles. Tantôt le premier pli manque, co
endiculaire est alors complètement oblitérée, ce qu'on observe dans l'
Homme
, et par une exception unique, parmi les Singes, c
andes difficultés que soulève la comparaison générale du cerveau de l'
Homme
et du cerveau des Primates. § XXXIV. Des divi
e sont, en général, très-simples; ils ne sont bien marqués que dans l'
Homme
, l'Orang, le Chimpanzé et les Atèles, encore les
hippocampes. Ces deux plis présentent de nombreuses variétés. Dans l'
Homme
, un pli fort large unissant l'angle antéro-inféri
onvolution crochue, de circonvolution de romiet. Mais le cerveau de l'
Homme
fait à cet égard exception, et peut-être jugera-t
is peut-être sera-t-il utile de rechercher quels plis dominent dans l'
Homme
et quels autres plis l'emportent dans les animaux
ent dans l'Homme et quels autres plis l'emportent dans les animaux. L'
Homme
étant le sommet de cette série, nous attribuerons
de grandeur absolue et plus de richesse relative. Mais c'est dans l'
Homme
surtout que ce lobe atteint ses plus vastes propo
s, et dans ce lobe c'est l'étage supérieur qui s'accroît davantage.
Homme
. — Enfin, dans l'Homme, cette prééminence de l'ét
t l'étage supérieur qui s'accroît davantage. Homme. — Enfin, dans l'
Homme
, cette prééminence de l'étage supérieur du lobe f
nus hottentote, il est subdivisé en deux plis bien distincts 5 dans l'
Homme
caucasique, le pli supérieur se subdivise encore,
érable dans le cerveau de la Yénus hottentote que dans les cerveaux d'
hommes
caucasiques. Ce moindre développement dans les Si
siques. Ce moindre développement dans les Singes supérieurs et dans l'
Homme
, et d'autre part son universalité presque absolue
lées. Le développement simultané de tous les plis de passage dans l'
Homme
oblige de leur accorder un haut degré d'importanc
emporaux de la face interne sont, d'ailleurs, couverts de plis dans l'
Homme
; mais ces plis sont, relativement, peu profonds.
ttaché surtout à bien déterminer, sur la surface des hémisphères de l'
Homme
et des Singes, les points homologues. Cette déter
ogiste promène ses doigts sur les bosses occipitales supérieures d'un
Homme
et d'un animal (je suppose, pour un instant, ces
ement du lobe occipital et du lobe pariétal. C'est ainsi que dans l'
Homme
, où le lobe occipital est très-petit, la saillie
férences? Et, si de pareilles variations existent dans le cerveau des
hommes
, combien cette difficulté, que dis-je? cette impo
elle mériterait à peine lexamen sérieux ijueii ont fait de savants
hommes
, si les erreurs les plus grossières n'étaient pas
ères n'étaient pas redoutables sur cette pente fatale qui conduit les
hommes
à toutes les superstitions. La doctrine de la plu
à la grandeur de l'acte, à l'étendue des conséquences. Ainsi, de deux
hommes
dont la force actuelle, dont la légèreté sont éga
ui s'attache à la mort ne permettent pas de recueillir le cerveau des
hommes
que des aptitudes spéciales ont distingués pendan
ail devrait être fait sur les animaux qui se rapprochent le plus de l'
Homme
, sur les Primates. 2" En invoquant le secours d
uant le secours de la physiologie expérimentale, j'observe ici que, l'
Homme
n'étant point le sujet de la physiologie expérime
r à quelque certitude, est-il nécessaire de choisir, relativement à l'
Homme
, des animaux où les points cérébraux homologues s
anisation, prendre la direction du mouvement, étaient, comme tous les
hommes
de foi, entiers et absolus, peu tolérants. Ils av
ns qui se livre à leur faux instinct, court un risque certain. Si les
hommes
réfléchissaient un instant sur le peu de valeur
nous llétrirentautant qu’ils le purent et signalèrent au pouvoir les
hommes
inolFensifs et sincères qui leur avaient apporté
-être pas assez occupé, et qui mérite cependant toute l’attention des
hommes
sérieux. Quant à moi, jo crois l’avoir envisagée
tait la première fois que, sous mon innuence, je voyais s’endormir un
homme
qui était pour le moins septuagénaire , le cas me
gaériHant l’aveogle d« Jéricho. 1« CoiDme Jésaa pastait, il vit nn
homme
aveugla dè« sa oaigMOce.. 2«......5».....*®....
nseigne une barque ballotée par les flots en courroux, on y voyait un
homme
accroché à un m&t, il semblait implorer la cl
, une perte regrettable ; mais la compensation viendrait un jour. Les
hommes
apprendraient enfin que lorsque la montagne ne vi
idence de Dieu, elle est pour le pauvre et le riclie, elle est pour l'
homme
en bonne santé et pour celui qui souffre : le Mag
s sur des vérités qui, connues uu jour de tous, doivent rallier les
hommes
vers des centres communs; les divisions n’exister
ehors des besoins de la civilisation et exaltera celles qui portent l’
homme
au bien, en lui faisant comprendre ses deslinées
iut énumérer. Le nombre des professions deslinées à venir en aide à l’
homme
par des instruments, par des mécaniques, des orga
considérable qu’il exigeraitpoiir être décrit un livre tout entier. L’
homme
paye ainsi pour se conserver un ti’ibut qui dépas
hicaires, handagistes, dentistes, oculistes, pédicures, etc... Et l’
homme
, dans son fonds de stupidité, trouve le moyen de
; les écrivains même des feuilles publiques ont ce mot stéréotypé, Un
homme
se casse-t-il un bras, perd-il une jamhf’. la vie
e peut-être entendue et jë vais même plus loin encore, je pense que l'
homme
a pouvoir sur les éléments et qu'il peut, jusqu’à
faire ilécbir les lois rigoureuses de la nature. Je fort bien que l’
homme
peut, au dedans de lui comme en dehors, faire app
ux présententsans doute moins d’intérêtque celles qui s’adressent ü l’
homme
; mais, d’un autre côté, le phénomène est plus co
tantanément l'état de sommeil nerveux, cliez les animaux comme chez l'
homme
, à l'aide d’un moyen qui parait tenir de l'enchan
e extérieure matérielle. Toutes ces opérations en action tiennent l’
homme
éveillé j mais quand l’œil est convulsé, ou que l
gue à l’aventure, ce qui s’exprime asanz bien par ces locutions : cet
homme
ne se possède plus, il n’est plus maître de lui,
lus maître de lui, il est hors de lui. Quand vous êtes en face d’un
homme
dont les yeux écar-quillés regardent vos deux ore
de frapper les inavis d’impuissance. On suppose assez souvent que ces
hommes
redoutables emploient des procédés magiques, pron
é , se risqua et devint acquéreur du champ. Le lendemain matin, notre
homme
, la bêche sur l'épaule, se rendait en chantant à
présente pourtant un enchérisseur que séduit le bon marché ; mais cet
homme
, chez lequel l'appât du g.-iin a lutté contie la
il croit voir le fantôme sous l’aspect traditionnel, c’est-à-dire un
homme
à figure lugubre et drapé d’un long manteau blanc
en là qui justifie l’opinion deM. Macario sur le pouvoir qu’aurait un
homme
d’en malêficier un autre à distance, sans agir su
de lui faire entendre des voix à une distance où, pour le commun des
hommes
, la voiï humaine ne peut être transmise. Que fa
e faudrait-il donc pour donner raison à ce système? il faudrait qu’un
homme
pût agir sur un individu qui ne se douterait pas
les plus hoüorables de l'époque s’accordent à le représenter comme UD
homme
simple, aimable, pieux et étranger à toute fourbe
sont diiïérents pour chaque guérison, et ce sont presque toujours des
hommes
que leur profession, leurs préjugés, leur intérêt
ent ouvrier qui organise et soutient noti’e édifice. Voyez-vous cet
homme
qui se noye, il suffoque, il va disparaître,... r
ts de l'hypnotisme. Cl Les médecins donnent à cet état anormal de l’
homme
le nom de sommeil nerveux. 11 eût été aussi bien,
e, mais est-ii bien scientifique? 11 est pet'inis d'en douter. Si les
hommes
ne devaient admettre comme démontrés que les fait
riorité, et c’est ce qui, depuis Ibrigtemps, aurait dù déterminer les
hommes
qui se jiifjuerit descie’nbéà s'en occuper et à é
eut. Cetle étiide lëür aurait probablement révélé l'existeface dans l'
homme
de facultés morales et pliysiques très-extraûrdin
rfaitement et peut-être pas du tout, les phénomènes qui constituent l’
homme
immatériel. Jamais ils n’embrasseraient un systèm
s les classes de la société prouve, d’une nianièi'e certaine, que les
hommes
mettent un entêtement ridicule k repousser ce qui
s lorsqu’on se inet sérieusement à penser que, malgré tout ce que les
hommes
ont fait jusqu'atijourd’hiii, ils ne sont que des
s novateurs. Jamais leurs mains n’ont souillé les ouvrages des grands
hommes
c{ui se sont occupés de magnétisme; cependant, co
as encore dit qu’il y a un intervalle immense, infini entre Dieu et l’
homme
matériel, que partout, à chaque pas que vous fait
s inconnue. Aujourd'hui même, au sein de nos académies, au milieu d'
hommes
les plus savanU, on s’extasie devant les chefs-d’
encore, après trois mille ans, trouver de rivaux , si tous ces grands
hommes
sont parvenus à atteindre une si haute perfection
este accident est arrivé samedi dernier àla gare du chemin de fer. Un
homme
âgé de soixante-deux ans, le sieur Jardin, était
uelques heures après, il l'endait le dernier soupir. La mort de cet
homme
a fait révéler in»« histoire des plus extraordina
surer de l’existence d’un agent que de magnétiser des êtres endormis,
hommes
, femmes, enfants, animaux mêmes : on troublera bi
et rejetée comme une chimère, malgré les efforts d'un grand nombre d’
hommes
de mérite qui cherchèrent & diriger les espri
ntjeterde si grandes lumières sur la connaissance que nous avons de l’
homme
, ont été mises de côté comme ne méritant pas un s
ant la charité el développant les facultés de l'âme, j)eul donner à l’
homme
un pouvoir divin ; mais nous pourrions acciiseï'
naissance et montrer les litres falsi-liés dont so servent nos grands
hommes
pour s’approprier la vérité.. Baron nu Potet. H
s émotion. S'il en était ainsi, nous dirions au docteur Philips qu’un
homme
tel que lui n'a rien à redouter des juges qui ne
Accès conwUifs et paralysie incomplète, avec ¡rouble intellectuel.
Homme
de quarante ans, violemment contusionné à la tête
a raison du savant de notjre tempe, dit non, mais chez la plupait des
hommes
la raisop est une girouette qui tourne à tous les
ne tempôte seule lui rendrût le mouvement! Cc sont scuUuAent queiLqws
hommes
, quelques grands esprits, qu conduisent les patio
rice sans doute, il sortit de quelque part!... Oui, ces générations d’
hommes
qui dorment sous les herbfts, dans ces contrées a
ure, vous ne déchiffrerez point cette énigme. Voyez-vous là-bas cet
homme
à tête de serpent, cet autre à tête de bœuf, de l
de singe, de grenouille, etc.,... tout ce qui est dans la création, l’
homme
le représente. La tendre fauvette, le doux rossig
corneille et la pie, vous trouverez tous ces caractères divers dans l'
homme
et dans la femme. Le voleur, le brigand, l’assass
i ne vit que pour manger et dormir, vous le l'etrou-vez dans quelques
hommes
; il en est même qui ont en eux le venin de la vi
’on voit dans les vidlle.? églises, vous le retrouverez oncorp dans l’
homme
si vmts examinez. Celui-ci grimpe, celui-là saute
anciens temps qui de son manoir fondait sur les pas* sants. Voici des
hommes
, âne ou cheval, ils portent conve~ nablement le b
i à chaque inst^t cliaage de couleur, n’offre-t-il pas l'image de ces
hommes
toi^jours prêts à changer de drapeau 1 Choisiss
l s'est ^i de prouver la lucidité d’une somnambule. Consultez pour un
homme
qui a des maux d'estomac ou une gastrite chroniqu
du 6 novembre 1838). En voici un Iragmeut : c( Est-il juste, quand un
homme
est entré dans une carrière, qu’il s'arrête ou bo
nt la palpable évidence doit frapper tous les esprits, je demande aux
hommes
, qui ne sont point tout à fait relégués au bas de
talement le magnétisme, lorsque le magné- tisme est affirmé par des
hommes
tels que les Orfila, les Adelon, Husson, etc., et
que les Orfila, les Adelon, Husson, etc., etc., et une foule d’autres
hommes
d’une aussi grande valeur. « Ces idées d’une ju
qu’à leur conscience et à Dieu, et aussi parce qu’il s’agit de vie d'
homme
. Un seul médecin devrait-il ignorer les célèbre
e médecins fut nommée. Jamais commission plus nombreuse et composée d’
hommes
plus compétents. représentant d’ailleurs les opin
rsque les journaux spéciaux de tous pays sont replis de faits que des
hommes
de toutes coodition», et des médecins eucc-tnémes
aits aussi patents, ou biea du désir que nourrissent encotie certains
hommes
de laisser s'éteindre, sous le boisseau, la lumiè
ompris même les causes perturbatrices quelles qu'elles soient. Pas un
homme
de sens n’élèvera le moindre doute à cet égard.
firmer, parce qu’elle ne l'avait pas surabondamment observé, d’autres
hommes
, appartenant à toutes les classes de la société,
coins de l'horizoD. D’après cequipréctdc, peut-on supposer que des
hommes
d’un mérite aussi éminent, qu'un corps savant du
se tromper en si bonne compagnie et à partager la croyance de pareils
hommes
. Bien coupables ont été ceux qui ont dit, redit
dans les foires, et sous la terrible responsabilité qui pèse sur les
hommes
qui l'ont livré & de telles mains impures.
Aussi la postérité, toujours juste, marque du doigt le front de ces
hommes
qui ont obstinément et systématiquement voulu fer
mais le temps approche où la vérité sera généralement connue, et les
hommes
apprendront alors que la nature oITre un moyen un
n universel, c’est la devise do Mesmer, de guvrir cl de préserva' íes
hommes
. Mais pour que cette loi soit efficace, il ne fau
ate, n’a pu s’en rendre compte que par la vision, absolument comme un
homme
qui, fermant les yeux, voudrait par le toucher re
e mode d'action est tellement controversé aujourd’hui. Depuis que l’
homme
, commençant à faire usage de 9a raison, a cherché
trop pour ne pas croire à rÂaunçtrt^té. C'est aussi pour cela que l'
homme
saisissant avec avidité la consolante hypothèse d
roire que nous avons tranché le nœud gordien, nous nous adressons aux
hommes
graves qui voudraient bien nous éclairer de leurs
neige. Si, soldat,...vous pouvez encore parvenir, plus vous tuerez d’
hommes
, plus votre mémoire en sera grande; la fortune en
econdaire d'intelligence ; qu’il ne s’avise point de faire de vous un
homme
de génie, afin que votre âme tranquille et quiète
r tout un régiment, il règle son pas, et le conduit. Le mérite de cet
homme
est dans sa haute taille, chacun le regarde etl'a
pour moi la fortune, et avec la fortune la considération de tous les
hommes
. Vous le voyez, jeunes gens ; que mon triste sort
attirer sur vous la médisance publique. Elle s'attache toujours à l'
homme
qui sort du champ où il est parqué et qui brise s
les degrés entre ie crapaud, le serpent el ia pile, et, chez certains
hommes
, il s'élève à une émission suprême à la fois diss
ission suprême à la fois dissolvante, épura-trice et fortifiante. Ces
hommes
sont les vrais mire, les nobles TisTE des vieu.T
'abord à domi-aer l'adversaire par le regard ; il en est de même ties
hommes
. Cet arrêt instinctif, observé par les premiers s
amour et dévouement, on parvint à soulager ses souffrances. Certains
hommes
puissamment magnétiques, se sentirent entraînés k
des pas&es. Alors ce moyen curatif se transforma en science. Les
hommes
moins bien doués, mais pui's, obsei'vèrcnt et not
pour chaque citoyen le droit de faire soigner son corps à sa guise. L’
homme
tient & la vie : on ira , la chose est certai
up de mal au magnétisme, il se trompe. On ne tue pas la vérité ; et l'
homme
que! qu’il soit, qui s’opposeàson développementou
progrès perd de sa considéj'ation, car tôt ou tard le public juge les
hommes
et les choses. Donc la page qu’a écrite Al. le do
de l’enfance. Courage et persévérance, magnétistes. Dieu est avec les
hommes
de vérité; il abandonne visiblement ceux qui dans
s à diverses reprises dans votre journal, et que peuvent observer les
hommes
qui pratiquent le magnétisme, surtotit pour guéri
avait été magnétisé, ni même eu connaissance du magnétisme. C’éiaitun
homme
nouveau en pareille matière ; c’est ce qui contri
e réussira pas, k moins qu’il n’y ait dans ce corps respectable aucun
homme
de cœur, aucun ami de l’humanité. Mais n’en doute
ue, trois mots, trois syllabes soufflées inopinément à l’oreille d'un
homme
, mainte fois ne l’ont-elles pas foudroyé, ne l’oi
pas été prévu et réalisé plus tôt. Mais un pouvoir aussi absolu de l'
homme
sur son semblable n'cst-il pas un formidable dang
(1 Que V idéoplustie soit donc la bienvenue, car elle se présente aux
hommes
les mains pleines de vérités, de consolations et
un fleuve, on le peut ; tous les travaux d’Hercule sont possibles, l’
homme
y réussirait ; tout cela ne sort point du domaine
point du domaine de la science et n’est pas au-dessus du courage de l’
homme
résolu? Écoutez-moi donc bien : Si l’un devons
que justice ait été rendue : nul ne sait aujourd’hui même le nom des
hommes
qui constatèrent les premiers ce fait inouï. C)
une destinée semblable. Ah I j'ai hoDtede proclamer ces vérités! L'
homme
est donc bien méchant, s'il ne peut reconnaître q
ui défend sa peau et la vérité passe communément pour être un méchant
homme
. Ceci n’est rien encore. Je pourrais multiplier
er h l'infini les exemples de mansuétude et d’aveuglement de ces bons
hommes
de savmils; car chaque nation a dans ses archives
ait la fantaisie de déclarer et de soutenir que Mesmer était un grand
homme
, un puissant génie, et que vous, ayant reconnu l'
tes, qm braventles flotsen courroux,qui semblent nés pour montrer aux
hommes
une nature indomptable, qui même ne cè- dent ri
ts par leurs calomnies, par leurs sarcasmes otit blessé à mort tant d’
hommes
d'éülc qui, s’étant élancés dans les régions de l
rait Milievoyo, incline leclief, invoque le Dieu, prescrit....... L’
homme
croit à la médecinc ou au médecin, on y tâche.
basse-cour et le verger, prépare enfin un repas (le Luculhis. Notre
homme
se met à table. 11 boit, il mange, il félicite so
en vue du bien ; c’est la ferme croyance que tout ne finit pns pour l’
homme
à la mort ; qu’il ne s’engloutit pas tout entier
opres forces ou par une force étrangère appartient plus à Dieu qu’aux
hommes
, et il peut ainsi subir les plus grands tourments
é du monde visible au monde invisible, le moyen de communication de l’
homme
avec les êtres supérieurs, le souvenir et la prom
onstate qu'ils sont de tous les lenips et de tous les lieux ; que les
hommes
y nnt toujours cru, qu’ils ont exercé une actimi
t le doigt de Dieu. Comme si les envoyés de Dieu cessaient d’être des
hommes
d’un certain temps et dun certaiu lieti, et comme
ions les plusévidemmentprovidentielles, les erreurs qui viennent de l’
homme
se mêlent àla vérité qui vient de Dieu, L’Etre in
thies des médecins et des membres de l’Université, ces deux classes d’
hommes
peuvent beaucoup pour l’avenir du magnétisme. Fai
t avec dis contes. N’offrez point de montrer des choses divines à ces
hommes
pleins d’orgueil et de vanité, votre temps serait
s nous viennent d’ailleurs d’une source d’où la vérité coule, et d’un
homme
habitué à bien observer. Baron dd Potet. Dans
fait illusion en te rapportant ce que j'ai appris de la grandeur de l'
homme
, eten te montrant ce que beaucoup appelleront com
son esprit, sa tournure et ses imnienscR connaissances en faisment un
homme
extraordinaii'e; il avait la science de Mesmer, l
et quant aux marques extérieures de ceue complexion tempérée dans les
hommes
, c’est loi'sque leur teint est composé de blanc e
qu'en quantité, quand les songes sont agréables, la physionomie de l'
homme
est aussi gaie que préve-naatd, et que s’il se re
contagieuses pour ses semblables, elles s’étendent rarement jusqu'À l’
homme
« mais l'infirmité de l'homme passeà l'hnpime, aio
les, elles s’étendent rarement jusqu'À l’homme« mais l'infirmité de l'
homme
passeà l'hnpime, aioai que la santé, en partant d
naient. Celte imE^e vous apprendra, lecteurs, comment on traitait les
hommes
qui parlaient avec franclûse. On les brûlailbel
qui agissent en eux nous seront à jamais impénétrables, Lorsque des
hommes
, choisis par Dieu, parviennent à pé- nétrer le
ogie. Le somnambulisme, voilà la pierre de touche, voilà ce que les
hommes
de science ont toujours négligé. Comment donc des
ulevé souvent bien des objections; mais que peuvent les jugements des
hommes
contre l’évlUetice des faits ? 11 y a peu de ma
u’elle n’ait rendu à l’instant le caloie et le bien-être. Lorsque l'
homme
plongé dans la méditation voit, comme à travers u
ques davantage delà vérité et de l'importance de la découverte de cet
homme
immortel ; mais mon eiiibarras n’était pas moindr
dans mou récit, de mes diverses expériences magnétiques. Un jeuiie
homme
, R. C.,âgé de seize ans, fut le premier sur leque
nt fût médecin ou accompagné d’un médecin magnétiseur. Un autre qu’un
homme
de cette profession peut-il être au courant de to
tiseur et la somnambule ; mais ces idées sont un faible mobile pour l'
homme
consciencieux qui veut donner des soins à un mala
Du Bois Reyniond a démontré que la contraction des muscles, chez l'
homme
, donnait lieu à un dégagement d'électricité. lin
te nomme dessensitifs, il résulte, dis-je, de ces expériences : que l’
homme
peut Don-seubment être assimilé à une espèce de p
est d'une nuance bleuâtre, tandis que la gauche eüjaunerouge. Donc l'
homme
est vé-ritablement;»o^rij(’;la partie droite du c
i sur fo mesure des limites de lasensi-bililé nervo-musculaire chez l'
homme
, étudiée comparativement à sa force mxtsculaire.
cience. D'un autre côté, M. Zantedesclii affirme positivement que l'
homme
est une espèce de pile vivante isic). Je poun-a
ndu partout dans la nature, suivant des proportions équilibrées. Tout
homme
possède donc en lui-même une certaine dose de flu
e, ceci en vertu de la propriété que possèdent les pointes. 6” Tout
homme
, dans son 6tat normal, peut produire l’elFet magn
c^-ci tua ac> cord extraordinû« des facultés qui font la force. Un
homme
d'intarissable verve ; un faonune? Non, un élémen
erai'de vous l’expliquer en philosophe. «Lorsque la nature a créé l’
homme
et lafemme.ellen’a pas, toute prévoyante qu’elle
lois qui régiraient les sociétés humaines ; avant de songer à créer l’
homme
et la femme, elle avait, comme daos les autres es
re les lois sociales, de là enfin la pnissance d’as-eerviüsement de l’
homme
sur la femme, et d’attraction de la femme vers l’
viüsement de l’homme sur la femme, et d’attraction de la femme vers l’
homme
. £li bien I un des mille moyens employés par la n
je ne croirai jamáis aux étranges phénomènes du magnétisme, quand un
homme
de la valeur de M. le professeur Rostan a écrit [
pour crier :« Non, je n'irai pas en prison I je n’ai rien fiût I » Un
homme
de soixante-cinq ans, dont le somnambulisme, de d
de son lit, et, debout au milieu de sa chambre, prend l'attitude d'un
homme
en garde contre un ennemi qui se dispose à l'assa
vaient réunies; on pouvait y compter dix ou douze médecins, plusieurs
hommes
de lettres, des artistes, d’anciens el honorables
sur l’organisme humain et de guérir ses affections diverses ; là, des
hommes
de science qui croient y voir la synthèse de tout
Dans un discours très-rapide, il dit à l'assemblée ce que tous ces
hommes
avaient présenté de remarquable et combien ces pe
e en heure pourrioDS-oous dire, le travail que l’Eternel a imposé à l'
homme
pour le rendre supérieuràTanimalité pure. Que cet
tière pour nous. Ayons le calme de la force : le monde appartient aux
hommes
qui marchent en avant, car en eux est le progrès,
ront fait le plus de bien, les savants récompenseront à leur tour les
hommes
dont le génie, remontant jusqu’au monde des cause
mais de le prouver encore, il n’est pas inutile ; à cc pr6cepte-là, l'
homme
n’est point docile; ill’admire, il le prône et ne
e qu'on obtient sur notre pauvre terre, Si haut qu'en ses eiïorts l'
homme
suit parvenu. Je suis, dans ma raison, ceriain
sique avec laquelle il étudie les êtres surhumains ; or. Messieurs, l'
homme
n’est pas le dernier terme de la créa-tion, et en
ieurs, l'homme n’est pas le dernier terme de la créa-tion, et entre l’
homme
et Dieu il y a certainement d'autres êtres intell
ivent tontes se concentrer vers la grande synthèse de la science de l'
homme
. Voilà pourquoi je vous engage à porter le toas
mpossible que des vérités qui convergent au même but, la science de l’
homme
, restent toujours opposées, l'aliiaDce doit se fa
rre et du soleil ; et enfin, pénétrant dans un domaine occulte, que l’
homme
le plus résolu n’aborde pas sans crainte, a mérit
r eux..... Loin de nous la pensée de jeter un blâme injuste sur les
hommes
qui ont fait notre immortelle révolution. Ils se
à l'œuvre de leur temps. L’encyclopédieattcste ce que valaient ces
hommes
, dont quelques-uns furent disciples de Mesmer...
eprenons avec courage l’étude des traditions, et avec tous les grands
hommes
de la légende religieuse, avec les esprits exempt
tes d’esprits, autant d’espèces et de variétés, qu’il V â Së sortes d’
hommes
incarnés dans les globes infinis qjul colùi^'sent
s, M!s frères et compagnons, M’est avis que nous devons Mettre un
homme
en curatelle Sitôt qu'il perd la cervelle, S'ap
iscours Digne de polichinelle. Ne Toit-on pas tous les jours Huer l'
homme
de science * Uui commet l'inconséquence D'expli
ux cette opération qu’ils déciivent ainsi : On fait venir un de ces
hommes
de la classe des parlas oti des cliameliers habit
s plus avancés dans l'échelle intellectuelle, par leur contact avec l'
homme
. Ob doit au contraire opérer sur les plus Miiér
et qu’elle s’en sert actuellement tout comme de l'autre. Ce pauvre
homme
logeait chez l’un de ses amis, et il y a dix ou d
rs qu’élant à une porte où il voulait entrer, il fut attaqué par deux
hommes
: il reçut un coup d'épée qui, heureusement, n’a
qu’ils ont obtenu, diins leur pays, d'étre toujours accompagnés d’un
homme
de la maréchaussée quand ils vont d’un lieu à un
é que les premières religions n’eurent d’autre autel que le cœur de l’
homme
, ni que les formes liturgiques du culte ne furent
erait complètement démonétisé. J’allaii un jour 6ù Ic^eait ce jenne
homme
, les dames dé-Fen-droit me dirent qu’il était sur
nnes pour lesquelles la joie de leur pro-eb^n est un tourment. Mais l’
homme
aux intentions droites, au cϟr bienfaisant, lais
le fruit île leurs patientes observations et de leur expérience. Les
hommes
de science émettront jeurs avis, hasarderont quel
ité. La science, qnelle qu’elle soit, n’est l'œuvre, ni d’un seul
homme
, ni d'an jour, sachons-le bien ; elle est fille d
sueur du front de bien des généraiions et h l'aide d'une succession d'
hommes
de génie suivis eux-mêmes et assistés d’une infin
? — Pourquoi, dès son enfance, le magnétisme a-t-il trouvé parmi les
hommes
de science tant de détracteurs? Parce qu'il n'a p
opathie se trouve mêlée au magnétisme. Comme il s’agit encore de deux
hommes
honorables (1), nos lecteurs n’auront qu'à gagner
aconnicns, etc., aux leçons des rhéteurs de l’Agora. Paris attire les
hommes
d’élite de toutes les provinces de la France et d
outcequi gravitait dans leur sphère magnétique est repoussé. Si les
hommes
d’Etat étaient imbus de ces vérités, ils sauraien
uge, désagrégeant, en courant centripète} car comme il est vrai que l'
homme
s'agile et que Dieu le mène, il n'est pas moins v
son libre arbitre, quant à la direction qui dépend de ses ciiefs. L’
homme
ne doit et ne peut jamais accuser Dieu du m(d, qu
peler des femmes, car elle avail honte de se trouver ainsi devant des
hommes
. Son désir fut aussitôt satisfait; on apporta du
mure de Versailles ; l'autre, M. Chaseray, que je connais intimement,
homme
de mon âge et s’occupant, par goût, d’études du d
t spécial corrobore aussi mon opinion. D' Clever de Maldigny. ())
Homme
d’une propriitd Itis-graade. ot qui n’avait, galâ
érité, soit en publiaut les opinions et les faits de nos maîtres, ces
hommes
si célèbres et vénérés par leur sagesse, soit en
nt le culte n’aurait eu d'autre objet que la commémoration des grands
hommes
dont s'honore l’humanité et dont les noms devaien
er dans son calendrier; mais, en attendant, les disciples de ce grand
homme
savent honorer sa mémoire d’une manière digne de
mement sous la puissante invocation du nom de Mesmer. En voyant des
hommes
de toutes les classes, et peut-être üe tous les
t daus l'échelle de la vie spirituelle, depuis l’instinct obscur de l’
homme
abruti dans les passions matérielles, du savant q
t, nous surtout, disciples de Mesmer, qui avons reçu des mains de cet
homme
célèbre le flambeau qui a déjà si bien servi pour
, et alors peut-être une croyance générale s'établira et ralliera les
hommes
à un principe unique propre à les rattacher à Die
n, imrtyr de ses propres colères. » u ilemo (4) in urtum. » « Que l’
homme
recouvre son unité. » H Domine, tu t» nos, jwœs
rtifie exemptes de toute sotte plaisanterie- Eh bien ! la parole d’un
homme
qui n’a point fait divorce avec le bon sens, la l
andis qu’on lui donnait des explications, un chien de chasse dont cet
homme
était accompagné se faufila jusqu’à la chambre où
ttirer l'attention des magnétiseurs. C’est déjà un grand fait qu’un
homme
qui, par état, s’est consacré à écrire sur la sci
eux qui parlaient dans l’inspiration, dit positivement que ce méchant
homme
étflit venu pour nous vendre et qu’on en serait c
cise. « Je K te déclare, mon enfant, qu'il y a dans cette maison un i
homme
qui a vendu mon serviteur pour une somme d’ar-« g
té constaté de nos jours, 'par milh expériences î&\\&3\>ax
hommes
consciencieux et sur des personnes de bonne foi q
M voudriÂt pouvoir pardr», loisqua tant da tr«vauit sérieus« volant d’
hommes
honorables, suffisent pour relever la décou,v«l*
l’accuser d’erreur, de caprice ou d’imprévoyance. Enfin il a créé l’
homme
libre I mais il l'a organisé de telle sorte que s
té progressant sans cesse, confirmrnt cette loi de la nature. (2) L’
homme
habile qui conçoit et exécute la macliincà faire
yens actuels d'investigation. On doit conclure de ces faits que les
hommes
, ne pouvant échapper à la loi universelle qui sol
ble règne dans tous les ouvrages qui traitent de l’anthropologie. L'
homme
est composé de trois éléments : la vie, le coq)s
cette déperdition de force par le ralentissement du pouls qui, chez l'
homme
, fournit lûO pulsations par minute dans la premiè
té oude la sensibilité générale. {Muller, Traité de physiologie.) L’
homme
vivant peut être comparé i une machine en mouveme
lation qui existe entre les divers phénomènes de la nature, donne à l’
homme
un puissant moyen pour fonder les sciences, pour
nd pas le bruit qui l’abasourdirait s’il était moins occupé. Quand un
homme
écoute avec une grande attention, sa mâchoire tom
lation d’une intelligence étrangère. Au surplus cette influence des
hommes
les uns sur les autres se remarquent ailleurs que
it Van Helmont, de dévoiler un grand mystère : c'est qu’il y a dans l’
homme
une énergie telle que, par Sii seule volonté et
contraires & celle du magnétiseur. La passiveté de l'âme met l’
homme
dans une singulière dépendance des autt%8. Si, aa
môle à toute sa masse pour la mouvoir. C'est de lui que naissent lex
hommes
et tes différents genres danimmix, les qnadrapède
bles. Certes, la puissance de la pensée, du côté du patient et de l'
homme
de l’art qui le traite (i), est d’une haute valeu
les autres cnrpB créés ; mais qu'elle est Uani ces corps coinme un B
homme
qui habite une inaiBon, et que la maison est diff
pas « des singularités frappantes» dontla hitarrerie « atteste que l’
homme
peut se retourner comme un gant, et rappeler toul
port avec l'émission déterminée et la pureté des effluves émises. L’
homme
s’étonne à la vue de faits exceptionnels; il en c
ns une sorte de pitié lorsque nous les voyons honorés comme de grands
hommes
, tandis qu’ils auraient tous besoin d'aller à l’é
oit à toute notre aprobatioD ; ainsi, lorsqu’il dit : « Dieu a créé l’
homme
libre, mais il l’a organisé de telle sorte que se
stinée. » H avance une grande vérit(?. Fourrier a écrit avant lui : L’
homme
a reçu des besoins et des passions pour les satis
ral ou animique. M. W'ailomont fait une intéressante comparaison de l’
homme
à un appareil télégraphique. U pile elles réophor
nstinct, c’est nier les progrès de l’esprit humain, c’est assimiler l’
homme
à la bête. —L’âme est essentiellexneiit^it-r/ir-t
s jours après, il est faible, pâle, a peur de tout ; ce n’est plus un
homme
, c’est une femmelette ; quelques ulcérations de l
velle du magnétisme n’est pas anatomiste lorsqu’il éciit : i Quand un
homme
écoule avec une grande attention, sa mâchoire i
g afflue au cerveau, et cependant un ancien adage dit en parlant d’un
homme
studieux : « Il pâlit sur ses livres, u Nous cr
tence d’un agent suijtil, d’un (luide impondérable dans le corps de l’
homme
. Le lecteur dtiduira ensuite lui-même les consé-q
onomes, des mathématiciens, etc......mais pas un philosophe, pas un
homme
profond, pas un (lambeau quand l’obscurité se m
lieues, un rebouteux jouissant d'une grande vogue. On lui amène un
homme
de cinquante ans, plié en deux, la lête dans les
; à cette vue, M. B... se croit attrapé, ne pensant pas qu’un pareil
homme
puisse le soulager; pourtant il lui donna son pie
près plusieurs passes sur les reins, lui dit de se lever ; aussitôt l'
homme
se dresse debout eu disant que la veille, pour le
grand profit, peuvent hypnotiser ou magnétiser des animaux et môme l’
homme
; la peur, l’elTroi hypnotisent ; la loi est la m
voir des enfants jouant avec des cerfs-volants affecter le sérieux d’
hommes
mûra et de savants. Il est tout aussi risible de
tant former l’esprit national touchant des questions si élevées qu’un
homme
complet n'ose les aborder sans crainte de devenir
ui s’agit« en ce momenl n’est pas neuve, tant s’en faut. Toujours des
hommes
éminents ont cherché à la résoudre; mais il sembl
rt, la base de l’édifice qu'on s’efforce d'élever, et nous voyons les
hommes
actuels qui cherchent à le construire bien faible
qu’un berger de bêtes à corne et à laine. Ail! dira-t-on, il a fait l’
homme
, cetouvragc n’est-il pasassez glorieux? A-t-il pu
s s’écarter d’une saine raison d'oser môme le penser? Qu’est-ce que l’
homme
, sinon un animal fol et malin, et plus misérable
la loi, les supplices et la crainte même peuvent-ils en détourner les
hommes
. Nefaut-ii pas les contraindre et les forcer même
r tant de maux. a Ah ! s’il n’est pas d'animal plus excellent que l'
homme
, que serait l’auteur delà nature ? Il deviendrait
e ! le grand et admirable royaume ! Oh I les jolis compagnons que les
hommes
pour un si grand autour ! Ecoutez leur amour-prop
es (1) ? Quoi ! un lieu si petit et si vil sera peuplé de poissons, d'
hommes
, d'animaux, d'oiseaux, de bètes féroces, etc., ta
e la terre est la deiniérc des habitations encore trop bonne pour les
hommes
et les bêtes. Mais l’au- supérieur aux nues est u
t désert, qu’il n’a point de citoyeus, et que Dieu ne commande qu’aux
hommes
et aux bêles, qui sont de si petits, de si miséra
es lois qui président à ses inépuisables combinaisons. La nature de l'
homme
est double aussi, homo duplex; elle est matériell
aveu de la nature toujours prête à se révéler aux investigations de l'
homme
. « Le mngnétlsme animal consiste dans l’art d’e
S |>ar le peuple chinois. u La loi naturelle, qui dit à tous les
hommes
d'être justes et indulgents, fut son seul et uiii
ile. 11 passa soixante ans de sa vie à penser et à dire que moins les
hommes
ont de préjuges, plus ils ont de vertus; plus ils
mes, sans lesquelles la murale des gouvernements et de la plupart des
hommes
serait sans éiai : • Nulle tociélé ne peut 4C s
oir, ne clevaienl pas uu jour se coucillcr toutes poulie honheuv tles
hommes
. Un magnétiste généreusement animó, je n’en dou
ités vivent dans de semblables proportions. A® Sur notre globe, les
hommes
ont le plus noble organisme de tous ceux des crén
i' propenî.iün et de ciiHiii'ed’intelli-gencp, etc. : I)i>m; les
hommes
, dans l'invisible, sont organisés et réu-iiis?!en
me but : Donc il n’est pas irrationnel de présumer qu’une réunion d'
hommes
, en communion de sympathies et de volontés, parvi
re. et, dans Ws deui ordres de choses i(ue nous distinguons, nous les
homme
!:, tout eil ¿galemint naturel aux yeux de Dieu, l
ue profondeur les condilions cosmogoniques, toul paraîl iiidiquer anx
hommes
la loi tle celle allernalive pérennienns : sorlir
sanctuaires, quLdéfèie une puissance divine aux mondes ainsi qu’il l’
homme
. 1 Donc les dieux apparurent aux astres selon l
ir d’apprendr.T à les connaître. C’est pourquoi nous osons le dire, l’
homme
terrestre est un tiieu mortel, et ce dieu vit imm
le destin de la plaoète, est ici clairement exprimée. Et comment l’
homme
, ce dieu terrestre, d’accord avec ses consorts ch
comment l’homme, ce dieu terrestre, d’accord avec ses consorts chez l’
homme
de la nature invisible, arrivc-l-il à ses fins?
ent pour toutes ses teuvres dc l’univers, mais elle n’est déférée à l’
homme
ici-bas que pour les choses de la terre ; parce q
ère de soleil. En nous cette pensée est Dieu (c’est pourquoi quelques
hommes
sont dieux, dans une humanité quasi divine. » (Le
choses cunsiste en vie el lumière, et que c'est par Lui qu’est créé l'
homme
. — Tics-iiien ! lumière et vie, viiilà Dieu, voil
lie Pimandre, chap. la, sect 14.) n N'as-tii pas souvenance que ci;l
homme
intérieur, mis en loi-même, esl riispril de Die
du Pimanz/rf.} » Celte lumière était la véritable, qui éclaire hml
homme
venant au momie. u Elle était an monde, et le m
ton fils te gloriiic ; « C'immeiu lui as donné pouvoir sur tons les
hommes
, alinqu il donne la vie éternelle à tous ceux que
» aux conlradtcliont ntimalncs. Avec cette épigraphe ; l’humaniU el l'
homme
n'oni encore de sérieux que leur avenir. Paris, I
séquemment, plus riche, plus active en ses résultats. « Dieu dota 1
homme
de deux privilèges au-dessus de toutes vaines cho
sait cette question : — Chien, qne cherclies-tu ? — Je cherche un
homme
qui soit véritablement digne de ce nom, répondait
erveau pour élucider cette science profonde. Une foule de penseurs, d’
hommes
sérieux s’occupent en ce moment à résoudre ce pro
rr a émis quelque pari ce précepte : « De tous les sens attribués à l'
homme
, le plus rave est assurément le sens commun. Cet
, le rôle des fibres nervales, l’influencc céixibralc à distance cVun
homme
sur un autre, etc. h° 11 a un caractère plus sy
recommande comme une grande vérité cette proposition : «Dieu a créé l’
homme
libre (1), • (1) Si l’on a bien saisi ta théo
rie de la plasticité des idiei, on doit reconnaître que l’esprit de l’
homme
est subordonné à la nature au milieu de laquelle
iqueselonlui, en faisant intervenir la matière éthé-rée pour mettre l’
homme
en rapportavec le monde extérieur. — Est-ce à n
es de connaître son action. La comparaison que j’ai établie entre l’
homme
et un télégraphe plaît à M. Ordinaire, mais ü la
soit supérieure à celui-là, puisque tous les animaux sentent et que l’
homme
seul est doué de véritable raison. Soyez donc log
mpte à recevoir les empreintes de l’enseignement de la nature et de l'
homme
, sufût pour en rendre raison. Parmi les cent mill
que la justice distributive de Dieu ne permet pas de supposer que les
hommes
aient été inégalement doués sous le rapport ani*
e animal, cesse-t-il d'être une puissance formidable dans la main des
hommes
7 CoQvenons-en : les faits parlent plus haut qu
is sur l’explication qu’il donne de la chute de la mâchoire lorsqu’un
homme
écoute avec une grande attention. Ce signe d’ébah
être une substance pondérable. Si le néant était à la disposition des
hommes
, le poids de l'élher serait blentAi constaté, com
sité comme il le prétcml. Ot> cnnroit, et je l’ai démon-tr6, que l’
homme
puisse modifior ¡'état vibratoire de son propre s
iv et l’introduire dans un corps ou l'en soutirer à son gré. Quand un
homme
s’échauflc par un exercice violent, il ne crée pa
nder|quellc sera, dans cinquante ans, le plus tard, la puissance de l’
homme
armé de cette force diyijie, Je Caisais croire
ser du rez-de-cliaus-îée au premier étage, il fil les mouvements d'un
homme
qui monte lea escaliers. Malgré tout cela, sa cla
acquiert une vivacité prédominante. » i. C. E^kkï Cbos. {Théorie de l'
homme
inlelleoluel et moral.) Pour compléter ces défi
). Vi-RKT, officier de sanliS tn chef, etc.) l.’Ari tc perffcUonntr l’
homme
, ou fa midecint spiriiuelle H morale, l’aris, 180
, ont montré qu'ils ne connaissaient à fond ni le Christianisme, ni l'
homme
, et c'eat pourquoi ils imputent à l'un ce qui n’e
nde. L'Evangile »'a jamais dit que les deux natures qui constituent l'
homme
soient ennemi« entre elleii, apposées dans leur e
vers de la créature, qui a détruit l’harmonie des deux natures dans l’
homme
et hoi-s dü l’homme, en enfreignant la loi divine
qui a détruit l’harmonie des deux natures dans l’homme et hoi-s dü l’
homme
, en enfreignant la loi divine; si, en un mot, on
l'a suivi, il est impossible de rien Comprendre à l'état actuel de l’
homme
et du monde... La doctrine cvan-gclique dit ; Les
e corps s'est élevé contre l’âme, etc... Tant que dure ce désordre, l'
homme
est dégradé, puisqu'il n'est pas dans sa loi Türi
ans leur équilibre individuel (‘) ). Ainsi l’être humain est vraiment
homme
, ou le dnminateur bienveillant de tous lesètres s
er les bornes de l'intelligeoe« bu> maine, et assurer que jamais l'
homme
n'acquerra telle connaissance ou ne pénétrera tel
*. Je crois, malgré cela, que tout ami sincère de la vérité, que foui
homme
palient, capable d observer, de rassembler les fa
it de Rzadskinski, l'auteur d’une histoire naturelle polonaise, qu'un
homme
auquel on avait tranché la tête, put encore mouvo
3, Animie tedei.) Struve fut ‘imoin de cette scène saisissante : un
homme
, auquel on venait de couper la tète, se frappa la
paya, y jetèrent les bases religieuses de la civilisation ; tous ces
hommes
extraordinaires, trempés par l’étude (1) longue e
& celui qui' la contracte, une supériorité marquée sur les autres
hommes
. Nous ne savons point jusqu'à quel degré nous p
qui suivent la voie des sens. • J. J.ViaBi. [L'Arl de perfectionner l'
homme
, /e.| Vuilft comme nous nous contredisons au jo
ls étaient perdus. 0 11 y avait en ce temps-là parmi les Druides un
homme
savant et vertueux, mais dont les sciences et les
s et les vertus paisibles avaient été peu remarquées jusqu’alors. Cet
homme
, encore dans la fleur de 1^^, gémissait en secret
forte t'appelait par son nom. Il crut s’éveiller et voirdevant lui un
homme
d'une taille majestueuse, revêtu de la robe des D
ses se répandit au loin, etc. » r*nRE o'Olivet. (üe CEial toeial tU l'
homme
, ou yuet fMlotophique» iiir rAi'»loire dv genre h
hez les Égyptiens, c’est Foé ou Boudba chez les Hiiidous. — Ces trois
hommes
qui partent également de la même vérité, mais qui
ts essentiels de sa doctrine *e réduisent aux suivants : Les âmes des
hommes
et des animaux sont de même essence (•) ; elles
une École et des sociétés secrètes dont «ont sortis nombre de grands
hommes
. 11 sait la longue préparation qu'exige l’étude s
Amida, le principe du Bien, qui règle les rangs selon la sainteté des
hommes
, elc. « Le lieu réservé à la punition des mécha
e l'unitéisme humain. C’est Socrate, désigné comme le plus sage des
hommes
, et dit par quelques Pères de l’Église : « le mar
système, se base sur un million de faits, observés par des milliers d'
hommes
éclairés, posant leur jugement sans passion. La s
ée disposée à voir plus que ce qu’elle avait vu, si ce u’est quelques
hommes
d’élite qui eussent bien voulu me voir aller plus
ant des rapports équilibrés, ainsi que je l’ai dit précédemment, tout
homme
possède en lui-môme une certaine dose de fluide (
, qui parle assez de lui-même en prouvant une fois de plus ou que 1
homme
n est pas tout matière, ou que ses sens peuvent,
où étaient seuls d’augustes vérités et de divins principes, tous ces
hommes
si remarquables, (lisons-nous, seront réhabilités
de secrets divins ; on peut prévoir qu’ils ne seront confiés qu'à des
hommes
d’éliie, ce qui nécessitera alors la création, no
e peut avoir lieu. Cette affirmation est aussi logique que celle d’un
homme
& qui on montrerait le soleil et qui nierait
fluides plus ou moins salutaires, qui émanent à leur insu de tous les
hommes
. Si on ne prend pas cette précaution, et si on ne
bourg ne se composent que de trois volumes; celles de Puységur et des
hommes
d’élite qui composaient sa société s’arrêtent au
: les Mirville, les Gougenot-Desmousseaux nous ont offert l’exemple d’
hommes
de parti pris, qui, pour arrêter l'essor d’une vé
pôtres. Le magnétisme eut contre lui encore l’ignoble charlatanisme d'
hommes
sans consistance, qui traînèrent dans la bouc l’A
infirmité, et qui se font payer pour n’en pas débarrasser les autres
hommes
; vous avez en main l’art naissant, une portion d
ance. Que vos efforts soient incessants pour établir la vérité. Les
hommes
ne valent guère ; mais ce n’est pas en vue de leu
forts, que toutes nos démonstrations semblent n'émouvoir aucun de ces
hommes
, et que la Tous XIX. - 06. — 3« s&nib.- 29 Dl
e I8G0. vérité que nous possédons n’excrcc aucun empire. Couimc cet
homme
qui criait : • Jérusiileni! Jérusalem 1 devons-uo
ations successives. 11 semble que nous n’ayons eu aucun savant, aucun
homme
profond, et que l’âme humaine n’ait fait jdllir,
s’empare de moi, car j’ai senti toute ma vie qu’il était possible à l'
homme
de franchir le cercle tracé autour de lui et de r
quons, s’il se peut, le chemin nouveau que doivent suivre un jour les
hommes
de science, lorsque leur aveuglement aura' cessé.
nt : la crainte, la stupeur s’emparent ü l’instant de tous les grands
hommes
, ce qui pourrait faire présumer qu'ils ne sont vé
isseurs et les directeurs des sociétés humaines 1 C’est, avec de tels
hommes
, à désespérer d’un progrès véritable, et c’est ce
sprits, r Quand les homœopathes ouvrirent leur boîte devant les mômes
hommes
, la peur de ceux-ci fut moins grande, il leur (
cela pour occuper ma vie 1 Loin donc de me préparer des loisirs, — un
homme
qui, comme moi, embrasse la défense d’un nouveau
4, 309, 337, 443. — Voy. aussi Ma gnétisme mystiaue. Hallucination.
Hommes
se croyant changés en animaux et agissant comme s
des sujets hypnotisés, 36. — Expériences diverses pratiquées sur des
hommes
, 20 ; — sur des gallinacées, 41, 110. Influence
écessaire pour augmenter l'aspect de combativité de ces conducteurs d'
hommes
. Les chasseurs civils montrent, d'instinct, le
essaire pour augmenter l'aspect de combativité de ces conducteurs d'
hommes
. Les chasseurs civils montrent, d'instinct, le
llerie dans laquelle on faisait passer les cuirs au sang de bœuf. Les
hommes
ainsi équipés, bien entraînés d'ailleurs, produis
x souligner l'effet de frettage, tout en convenant parfaitement à des
hommes
dont la principale mission est de faire exécuter
l était venu à nous avec sympathie, heureux de se rencontrer avec des
hommes
dont il partageait les sentiments. Atteint de la
s. 2° Au sujet de l'éducation des imbéciles, crétins, arriérés, des
hommes
éminents ont préconisé des méthodes remarquables
se grouper sous l'autorité de celui qui a les qualités d'un manieur d'
hommes
. Dans la « Psychologie des foules », Gustave Le B
, incapables de s'instruire et qui plus. tard sont devenus des grands
hommes
, justement honorés pour leurs découvertes et pour
t apprendre aux enfants : « Ce qu'ils auront à faire quand ils seront
hommes
», répondit-il. A ce compte, l'école actuelle ser
it plus guère qu'un perpétuel recommencement. C'est pour cela que les
hommes
de science doivent se réunir et constituer un bie
de l'accident, le malade était menacé de poursuites judiciaires. Cet
homme
n'avait pas présenté de manifestations d'hystérie
du ciel et l'intérêt que les dieux semblaient prendre à ce prince. Un
homme
du peuple, connu pour avoir perdu la vue, se jett
er les passages les plus saillants : « Wetterstrand, dit-il, est un
homme
de taille moyenne, blond, commençant à grisonner,
C'est là un écueil qu'il faut éviter lorsqu'il s'agit de costumer les
hommes
qui doivent concourir à la défense nationale. L
oignée d'une vareuse à soufflets, admirablement adaptée au corps de l'
homme
, avec l'agencement fort ingénieux des courroies f
e effet. L'excitation rouge peut donc aller jusqu'à déterminer chez l'
homme
, aussi bien que chez l'animal, des fureurs et des
irait des effets exagérés qui sont à rejeter absolument. Voit-on un
homme
uniformément habillé de la tête aux pieds de roug
différentes parties métalliques dans l'équipement. Mais à côté de l'
homme
, il y a l'armement, canon, fusil ou sabre. Le m
se de plus de bois que d'acier. Il faut que dans l'association de l'
homme
et de l'outil, il y ait production complète d'har
mplète. Quand on aura su affirmer le caractère dans le costume, nos
hommes
comprendront mieux que par le passé pourquoi et c
Ce que nous avons essayé de démontrer, c'est que, si autrefois les
hommes
surent intuitivement se composer des vêtements de
essai à tenter, avec des résultats certains. Elever le moral de l'
homme
est notre tâche la plus belle, la première de tou
t ce. d'après Ebel, pour que la vue de ces belles choses endurcit les
hommes
à subir de pareilles contemplations sans que fût
ent ignorée. Les quelques ouvrages qui leur ont été consacrés par des
hommes
dévoués ne contiennent que des faits isolés et de
e stérilité sont excessivement variées ; elles peuvent exister chez l'
homme
comme chez la femme mais elles sont beaucoup plus
érilité due à des causes incurables. Ces causes se rencontrent chez l'
homme
comme chez la femme. Ces causes sont d'abord le m
qui sont une cause de stérilité. Le trouble de la circulation chez l'
homme
peut aussi être la cause qui rend la fécondation
n qui rend l'érection incomplète. Ce trouble de la circulation chez l'
homme
est le plus souvent absolument indépendante de la
use de la stérilité. Ces troubles peuvent aussi se présenter chez l'
homme
comme chez la femme. Chez l'homme, un appauvris
peuvent aussi se présenter chez l'homme comme chez la femme. Chez l'
homme
, un appauvrissement quantitatif et qualitatif de
crétion orchitique. La spermatorrhée est aussi une cause qui chez l'
homme
peut être rattachée à un trouble des sécrétions ;
causes de la stérilité ; ils sont beaucoup plus fréquents que chez l'
homme
. Il peut y avoir anomalie qualitative ou quantita
es causas de stérilité dues au système musculaire ou moteur. Chez l'
homme
, nous trouvons l'atonie des enveloppes crémastéri
ciale, momentanée, ou habituelle. Les troubles de cet ordre, chez l'
homme
comme chez la femme, ne sont presque toujours en
s les plus nombreux. Tout d'abord nous trouvons l'érotomanie chez l'
homme
et la nymphomanie chez la femme. Si nous voulons
glande thyroïde, normalement plus développée chez la femme que chez l'
homme
, augmente de volume pendant la menstruation et pe
ttacher au licol, en la pliant, une des jambes de devant. Alors, deux
hommes
se lancent à l'improviste sur le même flanc du zè
u d'un choc, même léger, suffit pour provoquer chez un grand nombre d'
hommes
une véritable suspension des facultés intellectue
is inopinatum sit. Le zèbre a de commun avec la grande majorité des
hommes
qu'il ne connaît pas Sénèque, il a sur eux une su
raté, il ne servira à rien de recommencer l'épreuve. L'approche d'un
homme
suffira pour qu'il cligne de l'œil et se tienne s
ris l'anglais, l'arabe et une des langues de l'Inde anglaise était un
homme
à l'esprit ouvert. C'était un ami des Européens.
mot signifie aussi convulsions, attaques de nerfs. (15) Esprit d'un
homme
mort de mort violente ( ?). (16) Cet esprit, so
ient en quelque sorte le père ou la mère du Polong selon que c'est un
homme
ou une femme. Tous les jours il faut ainsi le n
ent. Soit, par exemple, quelqu'un qui hait un de ses semblables ; cet
homme
va, en secret, trouver celui qui prend soin d'un
ssédée du Polong, que ce soit une jeune fille, une femme mariée ou un
homme
, crie sans savoir pourquoi. Elle déchire et jette
à part, extérieurs à nous, se manifestant du dehors, influençant les
hommes
et les choses, interprètes et commissionnaires en
III. Grands phénomènes .de la nature déifiés. IV. Esprits que les
hommes
eux-mémes peuvent-créer. Joignez à cela les cha
dans les régions inconscientes de notre personnalité ; il est dû à l'
homme
interne... Sans y penser et le vouloir, les médiu
i compte, celui de notre caractère et de notre grandeur intime ». L'
homme
doit être surpassé, disait Nietszche. « Travaille
sicut dit, pareils à des dieux, ou, pour parler plus simplement, des
hommes
maîtres d'eux-mêmes et la tête au-dessus du troup
. « Le premier inconvénient de ce recrutement c'est qu'il élève des
hommes
dont la valeur n'est pas toujours à la hauteur de
ncus. Ils ne se relèvent jamais de leur échec et constituent autant d'
hommes
sacrifiés, destinés à végéter dans une situation
mbreux seront les amis qui conserveront pieusement le souvenir de cet
homme
de bien, dévoué à ses amis et sachant allier un g
e reconnaître l'ami sûr qui veut et peut le guérir et le démêler de l'
homme
de science et de strict devoir, sans plus. Si l
e nom doit savoir calmer, consoler et encourager ; il doit se montrer
homme
de cceur et de tact, posséder un fonds illimité d
la frénésie gagnait toute l'assemblée. « L'esprit opère ! » criaient
hommes
et femmes, et tous se jettaient sur le sol, batta
tation de l'esprit divin. Puis la frénésie saisit toute l'assistance.
Hommes
et femmes comme dans un accès se jettent sur le s
meurs d'une voix déchirante. Puis ce sont les conversions subites. Un
homme
se débarrassse de son col et de ses manchettes et
inuant, le nombre de ses aliénés et de ses criminels, lui créeraitdes
hommes
et des travailleurs ; il faut donc élever, dans d
r l'état psychique à son taux normal. Rappelez-vous l'histoire de cet
homme
qui guérit au moment même où on lui annonce un hé
usieurs des hypnothérapeutes les plus importants de nos jours. « Un
homme
comme Van Renterghem, d'Amsterdam, écrivait, aprè
x qui se sont trouvés en contact avec lui garderont l'impression d'un
homme
de haute valeur et d'une personnalité pleine de c
bent les tombes, des groupes forment des cercles. Au premier rang des
hommes
, tout de noir vêtus, le dos à nu, la tète entouré
e lorsqu'elle sera combattue, comme dans la circonstance, par des
hommes
tels que Grasset, Régis, Mairet, Francotte, Vallo
17. — Ne fais point de contorsions avec ta bouche par dédain pour les
hommes
; que ta démarche ne soit pas orgueilleuse, car Di
es; que ta démarche ne soit pas orgueilleuse, car Dieu n'aime point l'
homme
présomptueux, vaniteux. Verset 10. — Cherche à
n front pour la religion, c'est la nature avec laquelle Dieu a créé l'
homme
, la création de Dieu ne saurait être changée. C'e
angée. C'est celle-là qui est la religion solide, mais la plupart des
hommes
ne l'entendent pas. » Dieu nous fait savoir l'i
as. » Dieu nous fait savoir l'inaltérabilité du caractère inné de l'
homme
, et traite, dans son livre saint, de téméraire et
térabilité. De son côte, le prophète nous déclare ce qui suit : « L'
homme
nait avec le caractère dont la nature l'a pétri e
l-Arab, de Chen-Féra, compose avant l'islamisme. Ce poème inspire à l'
homme
l'indépendance, la résolution, la vigilance, le c
procéder à l'éducation des enfants amènerait de fâcheux résultats « l'
homme
, disait-il, à ce propos, n'a pas le droit de puni
i la met dans l'impossibilité de marcher et de se tenir debout. Notre
homme
éprouve un jour une certaine fatigue, une faibles
ément-, d'une partie des cas d'impuissance virile, survenant chez des
hommes
qui ont cherché à réglementer et régulariser leur
roit » ? Tantôt vous écrivez : « C'est au philosophe à décider si l'
homme
est libre ou ne l'est pas » ; et, ailleurs : « Il
se, de rappeler cette parole de Leibnitz : « Il y a longtemps que les
hommes
s'entendraient sur les choses, s'ils-voulaient bi
il n'y a pas, à proprement parler, de certitude, inais seulement des
hommes
certains ; deux individus peuvent être psy- -chol
oique ayant, sur le même sujet, des opinions discordantes ; et chaque
homme
, dans une certaine mesure, collabore à la vérité
iquées par des gens incompétents. » Comment pourrait-on reprocher aux
hommes
politiques leurs variations d'opinions, lorsque l
hommes politiques leurs variations d'opinions, lorsque l'on voit des
hommes
de science se contredire, c'est-à-dire démolir eu
des sourcilières très saillantes qui les font ressembler à un crâne d'
homme
préhistorique, type de Néandertha ou mieux d'
ux psychiques est partout confié à des instituteurs particuliers,
hommes
et femmes, collaborant étroitement' avec des méde
uvertes scientifiques, n'est-elle pas un droit primordial auquel tout
homme
peut légitimement prétendre ? Telle est la questi
s, il était facile de mettre en lumière l'ascendant que des groupes d'
hommes
ont exercé sur d'autres groupes d'hommes. Il sera
'ascendant que des groupes d'hommes ont exercé sur d'autres groupes d'
hommes
. Il serait aussi facile de trouver l'explication
temps de réagir énergiquement ; car, aujourd'hui plus que jamais, les
hommes
de tous les pays, ceux qui exercent une professio
songer à éduquer physiquement et moralement sans songer à former des
hommes
d'action » (commandant Lefébure) Les fondateurs
e nécessitent normalement un développement physique parallèle ! « L'
homme
est une intelligence servie par des organes », a
l'esprit, ni le corps, car ces deux éléments sont inséparables dans l'
homme
, et l'homme doit être également maitre de l'un et
le corps, car ces deux éléments sont inséparables dans l'homme, et l'
homme
doit être également maitre de l'un et de l'autre.
de toutes les manières : vicieuse parce qu'elle ne fait acquérir à l'
homme
que des connaissances qu'il ne tarde pas à perdre
u'il coure, qu'il crie, qu'il soit toujours en mouvement ; qu'il soit
homme
par la vigueur, il le sera bientôt par la raison.
« Voilà comment une nation forme non seulement des érudits, mais des
hommes
et des caractères, des volontés et des énergies.
e humaine. Les mêmes sensations produisent chez les animaux et chez l'
homme
les mêmes réactions réflexes * CHRONIQUE ET C
professeur. Objet du cours : Le cerveau, organe de la pensée chez l'
homme
et chez les animaux. Les mercredis à cinq heure
e la volonté, qui a contribué à créer le type moderne de l'Américain,
homme
d'action, aux décisions rapides, aux vues nettes
charge de l'avenir. » Et, quelques pages plus loin, il ajoute : « L'
homme
qui aime l'exercice finit tôt ou tard par concevo
criminel condamné à mort, qu'on livra comme sujet d'expériences à des
hommes
de science. Ils lui dirent qu'il serait saigné ju
tre le premier objet de l'enfant. Carlyle a raison de dire qu'aucun
homme
ne peut accomplir une œuvre élevée s'il ne met la
accomplir une œuvre élevée s'il ne met la crainte sous ses pieds. L'
homme
qui se retire des affaires à 70 ou 75 ans, sous l
mence à assembler les planches de son propre cercueil. Il y a peu d'
hommes
dans le monde qui aient une vitalité suffisante p
ister au choc et à la tension qu'un tel changement de vie entraine. L'
homme
devrait plutôt s'ingénier à écarter ce qui peut t
90' année. • Gladstone eut les plus grands triomphes politiques comme
homme
d'Etat et comme chef du Parlement quand il avait
nce, à 85 ans. Albert Hubbard m'écrit : « Mon père, à 87 ans, est l'
homme
le plus robuste mentalement et physiquement que j
llesse commence et la jeunesse disparait. Il n'y a pas d'âge auquel l'
homme
devrait cesser d'être actif et utile. La race dev
de l'individu s'il n'atteint pas un siècle d'existence, âge auquel l'
homme
a droit comme l'affirmait Brown Sequard. Le d
pu faire, vingt ou trente ou cent suggestions le font faire. Pour l'
homme
, même mécanisme. Certains hommes reçoivent des
suggestions le font faire. Pour l'homme, même mécanisme. Certains
hommes
reçoivent des suggestions nombreuses et réitérées
s, les soldats de leurs sous-officiers. Mais il est une catégorie d'
hommes
qui ne reçoivent pas de suggestions réitérées ou
lesse et une sensibilité de réactions nerveuses particulières. Or l'
homme
veut bien faire son devoir, mais, comme l'enfant,
suffisante pour faire ce devoir. Et personne n'est là pour donner à l'
homme
la suggestion vingt fois ou cent fois réitérée :
ccomplir l'acte, pour faire le devoir. C'est l'auto-suggestion. L'
homme
qui pratique l'auto-suggeslion se donne à soi-mêm
suggestion vingt fois ou cent fois renouvelée de faire le devoir. L'
homme
qui pratique l'auto-suggestion et qui reçoit de l
e devoir renouvelle cent fois ou mille lois un effort de volonté. L'
homme
par l'auto-suggestion fait mille efforts successi
t où mille efforts de volonté sont suffisants. Le devoir se fait, l'
homme
fait son devoir. Si dix mille efforts de volont
de l'individu, son initiative, sa décision. Par l'auto-suggestion l'
homme
est l'auteur de son propre développement, l'homme
l'auto-suggestion l'homme est l'auteur de son propre développement, l'
homme
augmente lui-même sa volonté, l'homme exerce et f
de son propre développement, l'homme augmente lui-même sa volonté, l'
homme
exerce et fortifie sa volonté, l'homme s'apprend
ugmente lui-même sa volonté, l'homme exerce et fortifie sa volonté, l'
homme
s'apprend à lui-même à vouloir, et à exécuter sa
à vouloir, et à exécuter sa volonté. Par la suggestion étrangère l'
homme
reste soumis, obéissant, ayant toujours besoin de
'encouragement et de suggestion. Tandis que par l'auto-suggestion l'
homme
est indépendant, il est une volonté libre, il est
t état d'esprit que nous venons de viser est particulier à beaucoup d'
hommes
. Il dure ordinairement toute la vie. Mais il es
'amour déçu, l'amour contrarié, l'amour non satisfait. L'amour de l'
homme
pour la femme, quand il s'est développé sous form
aimer. ... Si l'impression première, la présence de la femme pour l'
homme
est nécessaire, cette impression est grandie, aug
nces. — Psychologie comparée; l'hypnotisme chéz les animaux et chez l'
homme
, par M. le Dr Bérillon, professeur à l'Ecole de p
s notre Comité de patronage, où il fera très belle figure, à côté des
hommes
qui nous honorent de leur sympathie, nous éclaire
largement, dès cette première leçon, tout le crédit que méritent des
hommes
laborieux et désintéressés, chercheurs conscienci
, chercheurs consciencieux, amoureux du vrai et, par-dessus tout, des
hommes
de bonne volonté. Le désaccord entre la moral
e de venir en aide aux chrétiens d'Orient opprimés par la Turquie, un
homme
sage présidait à la destinée de ce grand empire,
uad-Pachas, tous les deux élèves de l'école de Rechid-Pacha. Ces deux
hommes
d'Etat étaient des amis de la France et de la civ
au aux prises avec la Russie, à la rancune que lui avaient gardée les
hommes
politiques qui lui avaient confié-leurs économies
On le condamnait également pour avoir voulu maintenir au pouvoir des
hommes
corrompus, dont l'indignité était une cause de ru
fut appelé au pouvoir. Le ministre de la guerre Hussein Avny-Pacha,
homme
redoutable par Son autorité, et aussi par la
lées ci-dessus, je préconise la boxe, la canne, le bâton et, chez les
hommes
faits, l'escrime. Il me reste à parler d'un der
des hercules capables d'efforts violents et de courte durée, mais des
hommes
équilibrés, capable d'une grande activité intelle
hommes équilibrés, capable d'une grande activité intellectuelle ; des
hommes
en équilibre musculaire ou anatomique, et aussi e
se consiste à bien placer ses affections, son amour, ses amitiés. L'
homme
doit aimer la femme, c'est la loi de l'humanité.
e travail de l'intelligence, plus récent en date dans l'hérédité. L'
homme
qui s'adonne au travail de l'intelligence et qui
à satisfaire la faim et la soif dans une juste mesure. Pour cela l'
homme
travaille tous les jours. Il gagne sa vie. Ce t
et régulière la faim et la soif qui président à sa conservation. L'
homme
doit savoir se servir des aliments. L'homme qui
à sa conservation. L'homme doit savoir se servir des aliments. L'
homme
qui s'adonne aux travaux de l'intelligence doit s
intelligence doit surveiller son alimentation et la bien diriger. L'
homme
qui travaille de ses muscles, l'ouvrier, le porte
asionnée par cette maladie opère le même résultat que le jeûne chez l'
homme
sain. La tuberculose favorise le génie. Un air
an, deux ans. dix ans, à être solide, ferme, robuste, inébranlable. L'
homme
est vraiment un homme. L'expertise médico-légal
à être solide, ferme, robuste, inébranlable. L'homme est vraiment un
homme
. L'expertise médico-légale et la question de la
des milieux juridiques. Je n'en veux pour preuve que l'affluence des
hommes
qui m'ont fait l'honneur d'entendre mon cours de
taphysique. M. Farez répond : ce sera le médecin, parce qu'il est l'
homme
éclairé et que le magistrat compte sur ses lumièr
nvestiture spéciale. A aucun prix je n'en voudrais. Mais s'il est des
hommes
qui se sentent en mesure d'accomplir une aussi re
l'hôpital. Chacun en a pour son compte. En vérité je m'étonne que les
hommes
distingués qui ont imaginé ce système un peu puér
ion. Punissabilité suppose, quoi que vous en ayez, responsabilité. Un
homme
, capable de recevoir une punition est, par défini
é. Un homme, capable de recevoir une punition est, par définition, un
homme
jugé capable d'apprécier ses actes et par conséqu
c'est qu'on est dans l'erreur. Allez-vous réserver un châtiment à un
homme
quis'est trompé ? Et puis si vousadmettez l'insuf
us faut, reprend M. Dupré. Mais qui peut faillir, sinon un faible, un
homme
qui par définition ne jouit pas de la plénitude d
r définition ne jouit pas de la plénitude de son libre arbitre ? Et l'
homme
qui n'est pas libre est-il responsable ? Encore l
me les déterminer » ! Maisje voudrais bien que l'on me montre un seul
homme
qui puisse se targuer d'avoir, une seulefoisdans
n estrien. Quand tíous disons « responsable » nous pouvons envoyer un
homme
à l'ëchafaud. Quand nous disons « responsabilité
isons condamner un Minus h&bens à 5 ans au lieu de 10. Il y a des
hommes
qui reculent devant ce rôle à jouer. Ah ! je conç
et je crois que la pratique n'a rien à y voir. Eh quoi ! c'est à des
hommes
si peu sûrs de leur science que vous demanderez d
ons notre rôle d'éclaireur, celui qu'on accorde en général à tous les
hommes
qui cultivent la science. C'est un beau rôle que
x prêtres et aux lévites de sa tribu. Il existait bien, chez eux, des
hommes
habiles en l'art de guérir, qui connaissaient la
es membres de la Société seront fort touchés de l'hommage rendu à cet
homme
d'un caractère si noble et si élevé. Membre de l'
e, ou par un sentiment de complaisance à l'égard d'adeptes zélés, des
hommes
de science acceptent d'assister à des séances de
Crête et de Chypre, la Bulgarie et la Roumélie orientale. Tous les
hommes
intègres qui ont voulu mettre obstacle à ses capr
ité mon seul crime était d'avoir cité un vers qui explique que chaque
homme
est maître chez lui. C'est l'équivalent de votre
s'imaginer le nombre d'occupations qui sont interdites en Turquie. L'
homme
qui met son front sur sa main pour méditer est su
rme qui exprime le mieux l'esprit du fondateur de l'Islam : Pour tout
homme
instruit, Mahomet doit être considéré comme un ph
qui avertit et qui prévoit. Mahomet a proclamé l'égalité entre les
hommes
. Il a dit textuellement : » Il n'y a pas d'autre
ent des limites de la loi, opposez-vous et cessez d'obéir ». Tous les
hommes
, pour lui, aussi bien les chrétiens que les musul
es pays, ont proclamé comme un droit primordial la liberté, pour tout
homme
, de cultiver son intelligence de se tenir au cour
cause * tant sont nombreuses, dit-il, les calamités qui frappent les
hommes
». Cambyse épouvanta l'Egypte par ses cruautés.
ressant pour être signalé, même s'il est déjà connu. Il s'agit d'un
homme
, âgé de 50 ans, tabétique et souffrant depuis que
pinions puissantes. II a rendu à notre Université, comme le disait un
homme
d'esprit l'inestimable service d'immoler la métap
u'ils avaient acceptée jusqu'à présent. Le médecin, en effet, est l'
homme
le plus qualifié dans notre société pourapprécier
ges reçus à la Revue Df Paul Jacoby : Etude sur la sélection chez l'
homme
.— In-8-, 600 p. — Alcan, Paris, 10 francs. D' G
aroger, élève de l'Ecole des hautes études orientales ; M. Toussaint,
homme
de lettres, etc. Parmi les premiers adhérents q
lin, membre de la mission Brazza ; M. Christmann ; M. Jules Bois,
homme
de lettres ; M. le Dr Bahaddin-Chakir bey, de Con
admission n'a eu a déplorer que 3 suicides sur plue de 20,000 malades
hommes
, et pas un seul parmi un nombre égal de femmes al
même pas d'affirmer que la proportion de ceux qui se sont révélés des
hommes
réellement supérieurs dépasse de beaucoup celle q
et sur la France. Ainsi, il serait difficile de trouver une pléiade d'
hommes
plus remarquables que l'ont été les sultans Osman
aux arts, sont célébrés par les historiographes. Mais au règne de ces
hommes
vertueux, dont le principal souci fut d'assurer à
idées du présent. Beaucoup de rois peuvent nous apparaître comme des
hommes
autoritaires, cruels ou défiants, sans qu'aucune
le) Dan . la loi de Mahomet, les droits et les devoirs sociaux de l'
homme
devant être conformes à sa capacité, le manque de
sens physiques et moraux supprime les devoirs et prive des droits. L'
homme
qui ne remplit pas ses devoirs en est responsable
oits. L'homme qui ne remplit pas ses devoirs en est responsable. Tout
homme
a le devoir de respecter les droits des autres.
culté de distinguer entre ces choses. L'aliénation mentale dégage l'
homme
de tout devoir, comme de toute responsabilité.
atières de la foi, soit dans les pratiques de dévotion, surcharger un
homme
plus que ne le comporte sa capacité morale et mat
n émane de source divine, tous les droits et les devoirs sociaux de l'
homme
deviennent donc des obligations coraniques. Se co
utent la question logiquement. La raison étant l'œil intérieur de l'
homme
, rendra responsable un homme qui n'a pas la raiso
. La raison étant l'œil intérieur de l'homme, rendra responsable un
homme
qui n'a pas la raison serait tout à fait rendre u
ence musulmane, qu'un des juristes disait que la folie, pour rendre l'
homme
irresponsable de ses crimes, doit, au moins, dure
u moins, durer vingt-quatre heures. L'existence de la raison chez l'
homme
ne s'aflirme que par sa volonté que les philosoph
il y a une catégorie de théologiens qui n'admet point de volonté en l'
homme
et qui nie ainsi le libre arbitre. Ils disent qu'
bilité ne peut pas exister, à cause du manque de libre arbitre chez l'
homme
en général. Les juristes méthodiques ne discutent
i vous êtes irrésistiblement déterminé à accomplir vos actions, nous,
hommes
comme vous, nous sommes également déterminés àfai
— des moustaches d'abord, de la barbe, des cheveux ensuite — chez un
homme
de 90 ans qui blanchit très tôt. Monolakis cite l
r la vie. Citons encore un cas du Dr G. Lomer. Dans sa jeunesse, un
homme
tomba d'une hauteur de dix mètres et fut blessé a
nt héréditaire dans deux générations. Des cinq enfants vivants de cet
homme
, trois ont des mèches de cheveux blancs à la même
884, ? 23). M. V. rencontra dans un compartiment de chemin de fer, un
homme
dont les mains attirèrent son attention ; elles é
te ne le quitta pas tout le long de son voyage, malgré le départ de l'
homme
malade qui descendit bientôt de voiture. Involont
trouver un sujet pour réaliser cette expérience, parce que, chez les
hommes
à peau blanche, cette maladie est peu apparente,
tan le nom de pièss et qui n'est autre chose que le a vitiligo ». Cet
homme
suivit M. Smirnoff, car il ne voulait pas rester
sulman ; les prières spéciales réservées aux morts sont refusées à un
homme
qui meurt en tombant d'un tel cheval (*). Le ma
s conditions très particulières. D'apparence saine et vigoureuse, cet
homme
émotif, très impressionnable, vit un jour un chie
e grande peur d'être étranglé par les aliments s'était emparée de cet
homme
. Depuis cette époque — il y aura bientôt cinq ans
peut parfois diminuer ce spasme et déglutir plus facilement. . Cet
homme
a une santé excellente, etneparaitavoir aucun org
phénomène qui nous occupe, il n'est pas possible de déceler chez cet
homme
, aucun autre phénomène qui puisse être mis sur le
rieux, utile et sage apprentissage de la vie, que cela seul trempe un
homme
; que, le lendemain d'une déclaration de guerre,
et le prophète. De plus on désignait encore le nabi sous le nom d'«
homme
de l'esprit » ; ce qui veut dire qu'il est dirigé
nsidérée, chez les Hébreux, comme une maladie, mais comme l'état de l'
homme
possédé par une divinité. Souvent les prophètes
quelques mendiants qui devenaient riches, ou les cadavres de quelques
hommes
mis à mort. Sa générosité, sa bravoure et ses act
dans le bas-peuple. En dépit de cela, il lui arrivait de se montrer l'
homme
le plus modeste et le plus équitable que l'on pût
temps ; il composa quelques bonnes poésies, et fut le protecteur des
hommes
de lettres. Ses lettres, en arabe et en persan, m
Il ne se passait pas une semaine sans qu'il fit mettre à mort un des
hommes
savants ou saints qui l'entouraient ou quelques-u
trois jours. Les éléphants du sultan avaient été dressés à lancer les
hommes
en l'air, et à les rattraper avec leur trompe, à
t ceux qui se cacheraient. Ses esclaves trouvèrent dans les rues deux
hommes
, l'un paralytique et l'autre aveugle. Us les amen
agnards, de la famine et de la saison pluvieuse, il revint à peine un
homme
. Seuls les soldats laissés en garnison dans quelq
hez les dégénérés à la réalisation d'une impulsion irrésistible. Un
homme
d'un rang élevé parmi les Hindous prétendit que l
acontés, il convient de citer la lutte qu'il eut à soutenir contre un
homme
qui n'avait pour sa défense que son courage et la
que son courage et la force de son caractère. Chihab u din était un
homme
renommé par ses vertus. Il avait l'habitude de je
don et leur •rémission à ce prince, en présence des saints et savants
hommes
de ce temps, dont les signatures et les sceaux, c
talent particulier et un grand suedès. Les cas de la guérison de l'
homme
à la « main sèche » est décrit uniformément par t
sabbat dans une fosse, ne la prenne et ne l'en retire? Et combien un
homme
ne vaut-il pas mieux qu'une brebis ! Il est donc
tion et étant affligé de l'endurcissement de leur cceur, il dit à cet
homme
: Etends ta main. Et l'homme étendit sa main qui
durcissement de leur cceur, il dit à cet homme : Etends ta main. Et l'
homme
étendit sa main qui devint saine comme l'autre. »
de Galilée, de la Judée et de Jérusalem. On apporta au guérisseur un
homme
perclus sur son lit. La foi dans le pouvoir guéri
uérisseur de Jésus existait sans doute et chez ceux qui apportèrent l'
homme
et chez le malade. La foule est si compacte qu'il
ction, comme s'il sondait le terrain... Ayant vu leur foi, il dit à l'
homme
: ¦ 0 homme ! Tes péchés te sont pardonnes » (Luc
s'il sondait le terrain... Ayant vu leur foi, il dit à l'homme : ¦ 0
homme
! Tes péchés te sont pardonnes » (Luc, V, 20). Ce
u'il guérissait le lépreux consistait en une simple déclaration que l'
homme
était pur, en un simple accomplissement de rite.
comme il suit : « Comme Jésus était dans une ville de la Galilée, un
homme
, tout couvert de lèpre, l'ayant vu se jeta la fac
ge » (Luc, V, 12-14). Marc dit aussi : « La lèpre quitta aussitôt cet
homme
et il fut nettoyé » (Marc, 1,42). Mathieu (VIII,
, où elle s'impose si manifestement à l'attention sur la peau brune d'
hommes
à moitié nus. Nous sommes en droitde supposer q
ille avec le monde extérieur, c'estactucllement dans la lecture que l'
homme
instruit va chercher ses inspirations. L'homme mo
dans la lecture que l'homme instruit va chercher ses inspirations. L'
homme
moderne tend donc de plus en plus à devenir un vi
gés dans l'habitude qu'ils ont contractée. Au moins 90 0/0 deux, tant
hommes
que femmes évitent le commerce des personnes qui
ale de l'individu. La cigarette surtout est un des pires ennemis de l'
homme
. L'inhalation de sa fumée donne aux poisons volat
Méridionaux), dans celle des femmes du demi-monde, dans les rangs des
hommes
d'affaires, des prêtres, des médecins surmenés.
t doués d'un état mental normal. Seize se sont même révélés comme des
hommes
d'une valeur réellement supérieure ; c'est à just
eur règne ne fut pas inférieur en gloire et en- prospérité à ceux des
hommes
remarquables qui avaient assuré la grandeur de l'
cune famille royale d'Occident, on ne trouve d'aussi longues séries d'
hommes
réellement supérieurs, au pointdc vue de l'intell
Tant que les sociétés furent peu étendues, et que les besoins de l'
homme
furent peu compliqués, il est notable qu'il y eut
tion délétère de la flatterie. Combien peu, même lorsqu'il s'agit des
hommes
les plus énergiques, peuvent se vanter d'échapper
de psychologie. Elle enseigne qu'il n'est pas prudent de confier à un
homme
, quels que soient ses mérites, une autorité sans
nistères. La possession du pouvoir absolu a pu permettre à quelques
hommes
de génie de contribuer à la marche en avant de la
t des études qui permettent de comprendre par quel mécanisme certains
hommes
exercent une action directrice si marquée sur l'e
ommes exercent une action directrice si marquée sur l'esprit d'autres
hommes
. C'est là l'objet principal de vos études. Je ne
x de l'occasion qui m'était offerte d'apporter ma collaboration à des
hommes
animés de l'amour du progrès et qu'un même idéal
, également d'une bonne santé, est employé de chemin de fer. C'est un
homme
sobre et tranquille, à existence régulière. Le
e vous avez en vos mains la vérité la plus essentielle au bonheur des
hommes
; qu’il s’agit pour eux de la santé et de se soust
nt des malades les dons naturels que la na tu ne a départis à «rosies
hommes
, contre lui tout était bon : la dénonciation et l
ncères, que prouveraient-elles? que le globule n'a pas d’action sur l'
homme
à Ictat sain? D'accord. Donnez un petit verre d’e
homme à Ictat sain? D'accord. Donnez un petit verre d’eau-de-vie à un
homme
bien portent, sa santé n'en souffrira pas; mais q
jamais — que notre corps est peu de chose et que Molière est nn grand
homme
. Tetit-Jeah. C'est amusant ponr la galerie, n
vous avez guéri vous oublie rapidement ; offensez légèrement le môme
homme
, il s’en souviendra toute sa vie, et pourtant la
la civilisasion et aux livres ; c'est elle qui marque les temps, et l'
homme
ne vit moralement que par elle; ôtez-la-lui, il n
hez-lui la vue, l’ouïe, qu’importe, si vous lui laissez la mémoire? L’
homme
est là tout entier. Réservoir de toute connaissan
t en travail, l’incubation des plus grandes choses se faisait par des
hommes
de rien, et la divine éclosion ne se fit point at
n’irai pas jusque-là. Cependant, vous le dirai-je, j’avais rêvé que l’
homme
qui plus d’une fois s’est hardiment opposé, seul,
ns la tête qui me force à parler, et sans m’inquiéter du jugement des
hommes
, je parle, je parlerai. ii D’ailleurs, peut-ê
s que les médecins qui avaient de l'esprit en savaient assez pour les
hommes
, et que ceux qui avaient de belles manières étaie
rai mérite à apprendre l’un que l’autre. « B. Est-il juste quand un
homme
est entré dans une carrière, qu’il s’arrête où bo
nt la palpable évidence doit frapper tous les esprits, je demande aux
hommes
qui ne sont point tout à fait relégués au bas de
imentalement le magnétisme, lorsque le magnétisme est affirmé par des
hommes
tels que les Orfila, les Adelon, les Clm/url, les
n’est qu'au cimetière, et n'est que là : lu mort seule met tous les
hommes
de niveau. les paroles les plus douces sont v
ent de môme et n’en savaient pas plus que lui. 11 est certain qu’un
homme
qui avoue avoir pendant longtemps joué le rôle de
ne tromperaient pas même un enfafit. Que conclure? C’est que quand l’
homme
fait usage de sa raison , il apprécie sainement c
être ? Vous êtes dans l’erreur. Si j’admettais votre raisonnement, un
homme
peut mettre le feu à sa maison et dire ensuite qu
Cette question est résolue par le témoignage affirmatif d’une masse d'
hommes
instruits et honorables qui emploient journelleme
loi thérapeutique proclamée par le génie de Hahnemann. Je prie les
hommes
dévoués qui tenteraient ces expériences d’en fair
rmet pas de leur opposer une sorte de fin île non rerevoir. Pour tout
homme
sensé, si des sujets magnétiques — même exception
M. llegazzoni de la baguette magique des bateleurs, très-bien ! Tout
homme
sérieux doit chercher à détruire le charlatanisme
nt jusqu’à nos jours, a compté de nombreux adeptes dans les rangs des
hommes
scientifiques les plus éminents. Tantôt oublié, t
e étranges qu'ils soient, surtout lorsqu'ils sont attestés par tant d’
hommes
dont le caractère scientifique est si bien établi
tantôt que le magnétisme avait compté île nombreux adeptes parmi les
hommes
les plus éminents : écoutez plutôt Al. Mabru clan
es noms qu’il.faut à la science, ce sont des faits ; comment donc ces
hommes
se seraient-ils créé une conviction si ce n’est e
icule qui s'v attache ; c’est à cause du sarcasme dont 011 couvre les
hommes
qui s’en occupent. C’est ce qui a arrêté et ce qu
iment personnel, » ce qui peut être pris tout différemment. Si donc l’
homme
, qui est l’autorité la plus puissante en fait de
a porte d’entrée de la maison. Aux cris et aux coups redoublés de cet
homme
charitable, les frères vinrent ouvrir la porte et
nt inusité, et les domestiques nous répondirent que la mère du jouitc
homme
était, depuis une heure , dans un état de crise v
n suivant : « Je fus appelé (le soir du l(i décembre 1857) près dun
homme
de trente ans, M. Nicolais, affecté d’une névralg
esser de le reconnaître, une dissertation intéressante, écrite par un
homme
érudit et qui résume assez bien les opinions des
page 393) : a II n'est pas démontré qu aucune influence physique d’un
homme
sur un autre intervienne jamais pour produire le
é extérieure; c’est un fou d une folie passagère, que la volonté de l’
homme
, qui tient sa .puissance de la nature ou de la co
t matérielle ; seulement il faut des sens plus raffinés que ceux de l'
homme
éveillé pour l’apercevoir. Et en effet, pour les
ge mobilité, d’une sensibilité inouïe d’attraction que peut exercer l’
homme
par la seule volonté. C’est ce que les anciens sa
les mystères du sommeil. 11 remarque (t. I, p. 182) qu’il y a dans l’
homme
, selon l’expression de Syndenham, un autre homme
82) qu’il y a dans l’homme, selon l’expression de Syndenham, un autre
homme
intérieur, doué des mômes facultés, des mômes aff
ositions secrètes et représenter en quelque sorte les opérations. Cet
homme
intérieur, c’est l’organe cérébral. Mais il faut
de l’existence des mauvais esprits et des dangers qu’ils offrent à l’
homme
, tout en repoussant cependant d’un autre côté l’é
uns et le fanatisme des autres. La nature des esprits avec lesquels l’
homme
est en relation et par suite la condition de ses
sujet, hâtons-nous d’y rentrer. La communication des esprits avec l’
homme
a lieu principalement vers le matin; Théocriteet
La forme du langage adopté par les esprits pour communiquer avec l’
homme
semble varier selon le degré de pureté de l’esprk
n œuf dans son lit; il creuse, il fouille et trouve un trésor. Un
homme
, dit Galien, qui croyait aux songes, rêve qu’une
nétisme et le somnambulisme sur la personne d’un ouvrier pauvre, mais
homme
estimable et digne de foi. Je joints à ma lettre
accord sur la route que nous voulons suivre. Nous appelons à nous les
hommes
de science, cherchons d’abord à rameuer à un prin
gitation, persuadé que Robert-Houdin ou un autre a coupé la tête à un
homme
ou rendu invisible sa femme 1 « Mais où m’empor
durée. La nature est jalouse de ses mystères, et n’accorde jamais à l’
homme
de les pénétrer entièrement. A peine suis-je arri
d’un contrôle facile, pourrait paraître digne de soutenu-l’examen des
hommes
de la science. « Les causes auxquelles on a alt
? Si le fluide est nerveux ou humain, il ne peut que se transmettre d’
homme
à homme, ou d’un système nerveux à un autre, mais
fluide est nerveux ou humain, il ne peut que se transmettre d’homme à
homme
, ou d’un système nerveux à un autre, mais non se
r sur un objet inerte, etc. —La seule volonté. S’il en était ainsi, l’
homme
doué de la plus énergique volonté devrait opérer
rait impossible de ne pas trouver absurde la plainte que porterait un
homme
contre une pierre qui, venant on ne sait d’où, au
là , je ne tiens pas à ce qu’ils me lisent, je ne m’adresse point aux
hommes
qui ne voient dans le magnétisme qu’un passe-temp
é, et il déplore que, dans les cas semblables, il ne se trouve pas un
homme
raisonnable qui, en s'emparant du sujet, en donna
plus ignare et la plus attardée des populations, mais aussi quelques
hommes
instruits, amoureux de paradoxe, et auxquels une
les plus extravagantes et les plus funestes. On a admis que certains
hommes
peuvent servir d’instruments à (les Esprits b
ns de déboires cependant que quand, ensuite., j’ai eu à combattre des
hommes
qui se targuaient du nom desavants. Aussi» à forc
a thérapeu- tique allopalhique et homieopathique, à l'adresse des
hommes
de loi et des médecins... L’auteur traite aussi d
consiste dans une sorte d’influence à la fois physique et morale de l’
homme
sur l’homme par la puissance de la volonté. Cette
s une sorte d’influence à la fois physique et morale de l’homme sur l’
homme
par la puissance de la volonté. Cette influence,
usement ? N’est-ce rien que citer les plus grands noms parmi ceux des
hommes
qui ont ajouté foi à ces sciences ? Et pour n’en
l’immense érudition et la profonde sagacité) ; mais, en revanche, les
hommes
de sentiment ont compris au premier mot et savent
de cette doctrine des miracles éclatants, à l’évidence desquels tout
homme
de bonne foi doit se rendre... Puis, quand vous v
dans la direction qu’il me plaisait de choisir. Deux personnes, deux
hommes
, se trouvant placés près de mes magnétisés, éprou
— u II faut le faire rncllrc en colère, il ne pourra plus rien. « Ces
hommes
de métier, à passions mauvaises, selon leur antiq
, trois divisions : ceux de la vie animale, ceux de la vie propre à l'
homme
, ceux de la vie spirituelle. La mort du juste est
ion soient comme absorbées par la vie, purifiées par le feu. Que si l’
homme
se livre au péché et s’il accepte l’état faux , l
« Selon nous, cet ensemble de sentiments constitue l'état vrai de l’
homme
: état très-rare pour nous, qui parlons ici, et r
qui parlons ici, et rare aussi, nous le croyons, pour la plupart des
hommes
. Les retours de ce sentiment intérieur constituen
l’âme subsiste, quelle que soit la forme physique, il y a dans tout l'
homme
grâce ot attrait. Si les deux se rencontrent. c:e
« C’est en Dieu, c’est en ce centre, dit Fénelon, que se touchent les
hommes
de la Chine et ceux du Pérou. » — Déjkla science
nsibles. «Mais certains grands mouvements passionnés d'une niasse d'
hommes
emportent parfois l’individu comme un grain de po
nière à ce que l’impression soit sentie, et occupe de son influence l’
homme
entier jusqu’à faire connaître à l’esprit sa caus
r le chapitre de la volonté, et traiter des effets de la volonté d’un
homme
sur l’autre, du mode et des conditions de sa tran
e nous ne devons pas examiner ici, de provoquer une sensation chez un
homme
, en fixant avec force notre pensée sur lui, il se
ndent des Esprits , c’est-à-dire d’être intelligents et libres dont l’
homme
ne peut disposer à son gré. C’est là le motif all
DAMNATION ET UN ACQUITEMENT. Le magnétisme est-il une science que l’
homme
n’a pas encore suffisamment étudiée, et à laquell
, i«ie si vive lumière sur les erreurs qui rassemblent tant de grands
hommes
, doit l’emporter, sinon par le nombre, du moins p
n. « Il en est de même de ces états sublimes de l’intelligence où l’
homme
, éclairé par une lumière supérieure, aperçoit des
piration. 11 y a une espèce de transport, de ravissement qui enlève l’
homme
à lui- même pour l'unir momentanément à quelque c
vive, profonde, elle présente toujours ce caractère qu'elle enlève l’
homme
àlui-môms, le transporte, suspend la réflexion et
lexion et même la conscience; et plus l’esprit propre se perd, plus l’
homme
s’oublie et cesse de se voir, plus aussi il se ra
e la situation. Dans celte manière d’être, la partie spirituelle de l’
homme
semble plus dégagée du corps, exaltée au-dessus d
capacité de réfléchir, de penser, de vouloir ; et, tant qu’il dure, 1
homme
est abandonné à l'impulsion des instincts de la b
a plus ni conscience, ni pensée, ni action suivie, ni souvenir. « L’
homme
peut encore perdre la conscience du moi, ou être
re qu’elle soit, poétique, morale ou religieuse, enlève l'esprit de l’
homme
, le ravit, le transporte. Aussi, le premier effet
ulons seulement constater le progrès (pie le magnétisme fait chez les
hommes
qui nous furent d’abord le plus opposés. B°° DU
peines. « Cette vie est-elle l’unique épreuve qu’il soit donné îi l’
homme
de traverser? L’arbre demeure-t-il éternellement
st pas l’être, mais le devenir éternel. Quoi qu’il en soit de Dieu, l'
homme
, d’après les spiritualistes parisiens, n’a pas d’
nd possible tant d’extravagance ; c’est la légèreté avec laquelle des
hommes
, d’ailleurs estimables, accueillent ces révélatio
ps où nous vivons. Le spiritualisme a enrôlé déjà un certain nombre d’
hommes
parmi lesquels plusieurs sont honorablement connu
art de l’escamotage. Néanmoins il est des faits qui, aux yeux de tout
homme
judicieux, dépassent évidemment la puissance du f
ôtait important pour la cause du magnétisme d’avoir le suffrage d’un
homme
aussi expert que M. Robert Houdin eu stratagèmes
s des tampons d’ouate, puis deux mouchoirs superposés ; en un mot, en
homme
qui a l’habitude de bien des ruses et qui sait le
spect du cabinet de l'expéditeur. Puis il ajouta : Défiez-vous de cet
homme
, car il vous trahit. Je me récriai vivement et as
Je me récriai vivement et assurai à Alexis qu’il se trompait, que cet
homme
était mon meilleur ami, qu’il méritait toute ma c
re, ou dans l’immensité. — Nous faisons de nouveau appel à tous les
hommes
de cœur et partisans du progrès naturel, pour qu’
imminente du malade, quelque temps après ressuscité. Avril 1858. Un
homme
inconnu d’environ 30 à 35 ans. 3’emprunte les:d
, vers une heure de l’après-midi, sur la chaussée'de Bockenheim. — Un
homme
qui, à en juger d’après son costume,'devait être
se montre à la portière. Sur un-ordre donné, la voiture s’arrête, un
homme
élégamment vêtu en descend ; .d’un bond il fend l
mo- - ment, se tordait au milieu' des convulsions. « Laissez cet «
homme
, dit-il, et écartez-vous. » En même temps il se c
tour merveilleux, qu’on le relève. » lit en effet, au môme instant l’
homme
était debout et s’apprêtait ¡à remercier celui qu
endant qu’elle s’éclaircisse, les clients continuent d'affluer chez l’
homme
qui, au prestige de 1 étrangeté, réunit la bonne
seraient reconnues efficaces, seraient recommandées par lejugement d’
hommes
compétents qui, s’appuyant sur des faits authenti
et qui recule devant des épreuves positives, ne mérite pas le titre d'
homme
de science. Il est encore un genrede remèdes do
solennelle. La médecine, en s’enquérant du spécifique annoncé par un
homme
non diplômé s’est départie de sa morgue habituell
nous. Enfin, il y a là l’usage d’une faculté quC Dieil a accordée à l’
homme
, la mémoire, au moyen de laquelle-'l’àme conserve
Mai 1859. 10 écoles officielles. Nous n'avons point à blâmer les
hommes
d'ailleurs recommandables, qui, obéissant à leur
a philosophie, de la fausse science et des croyances -, elle ramène l’
homme
aux vérités méconnues qui seules sont capables de
il s’agit ici, non de ma personne, mais d’une vérité utile à tous les
hommes
et d’une puissance plus certaine, qui chercha
rent l'onde et les airs, les animaux couvrirent le globe , et enfin l’
homme
, le roi de la terre, vint compléter l’œuvre de l’
s qu’autant qu’on prendra un objet quelconque, la libre nerveuse de l’
homme
, par exemple, pour terme de comparaison. Nous a
corps, soit simple, soit composé, présente au regard et au tact de l’
homme
doué de sensitivité une impression diverse suivan
dans ses rapports avec les corps organiques et principalement avec l'
homme
, il prendra le nom de Biod; c’est par ce dernier
ue la médecine n’existe pas. La science est d’essence divine ; mais l’
homme
, qui la reçoit et l’applique, est borné et incomp
opérations sont même accompagnées des plus grands dangers ; car si l’
homme
manque d’énergie, s’il cesse un instant d’êtr
e beaucoup de mal. «Les mauvais Esprits peuvent même s’emparer de l’
homme
, et c’est là l'histoire des possessions ; mais l'
s’emparer de l’homme, et c’est là l'histoire des possessions ; mais l'
homme
de bien , qui, rempli de confiance en Dieu, leur
lieu ce malheureux livre tant incriminé; il déplore l’obstination des
hommes
de lettres et des journalistes que n’a pu séduire
e Garden, admettent la faculté stupéfiante des ophidiens jusque sur l’
homme
, mais elle est niée par Vosmaêr, Stedman , Pennan
Vosmaêr, Stedman , Pennant et beaucoup d’autres. En ce qui touche l’
homme
, les partisans de la négative semblent plus fondé
ns de la négative semblent plus fondés que leurs contradicteurs. Si l’
homme
a une horreur naturelle des serpents et les fuit
regards. La tradition et les voyageurs prouvent, au contraire, que l’
homme
peut suspendre la fureur, abattre les forces et r
qui pourraient le faire avec le plus d'avantage, attaquent rarement l'
homme
sans être provoqués. Les savants qui admettent
à sa proie qu’elle lie semblait nullement remarquer la présence d’un
homme
. Notre voyageur, qui était armé, aurait donc pu v
et cette fois le sacristain 1 enteud très-distinctement. « Ces deux
hommes
appellent les personnes encore présentes. On reti
i-que : Ne ferait-il que cela, qu’il mériterait là reconnaissance des
hommes
et surtout des médecins ! A force de frapper, on
sceptique qui aujourd’hui encore ignore et renie même son plus grand
homme
et rejette dédaigneusement sa doctrine si consola
mbattons contre les préjugés, le mauvais vouloir et l’incrédulité des
hommes
, la plupart de nosfrères en croyance, à commencer
si chère à. tous! Resserrons nos phalanges et comptons nos forces. Un
homme
ayant foi en une idée peut lutter sans désavantag
andant les capitaines (les planètes), commandant les lieutenants (les
hommes
), commandant les animaux, soldats plus ou moins d
u de bonté, d’amour et de charité. 11 n’en est pas moins vrai que l’
homme
est officiellement le maître des animaux et de to
nimule de nature divine qui les sépare des animalcules d’autant que l’
homme
est séparé des animaux proprement dits. L’homme
ules d’autant que l’homme est séparé des animaux proprement dits. L’
homme
, ayant une mission et un avenir d’immortalité et
lité indéfinie , les hominicutes ont également la leur. De même que l’
homme
qui s’élève en faisant son devoir, l’hominicule s
sa puissance (le guérir, qui deviendra d’autant plus active que l’
homme
comprendra mieux ce qu’il fait et ce qu’il peut ;
ement de ses semblables et au sien propre. On l’a souvent répété, l'
homme
ignore encore la puissance de commandement qui lu
l'unisson Le personnel de la maison, Quand cette folie agrippe son
homme
, 11 faut qu'on le lie ou bien qu'on l'assomme;
ne .nous le dissimulons pas, pour arriver à une telle conclusion, des
hommes
aussi grands qu’éclairés, des hommes qui ne se la
iver à une telle conclusion, des hommes aussi grands qu’éclairés, des
hommes
qui ne se laissent point entraîner par l'amour du
es qui ne se laissent point entraîner par l'amour du menreiUeux ; des
hommes
enfin qui, sans être matérialistes ni spiritualis
peuvent quelquefois découvrir des secrets qui échappent au commun des
hommes
et manifester des facultés merveilleuses, souvent
ue cette précaution était blessante pour sa dignité. Aux yeux de tout
homme
de bon sens, il n’en faut pas davantage pour ôter
mêmes ces faits singuliers, et nous sommes persuadé que le concours d’
hommes
éclairés et consciencieux ne pourra manquer de co
les docteurs Guislain , Van Meldert et Blariau, qu’on ne taxera pas d’
hommes
exclusifs ou amis du merveilleux , ont également
(1) • » «... Je n’ai point écrit l’observation qui précède pour les
hommes
qui aiment le merveilleux et les histoires fantas
m’instruire, et avaient mis entre mes mains « un trésor, tel que nul
homme
n’oserait en espérer de sein-« blable. » « Ce t
d’un miroir magique. Quant à l'avenir, le libre arbitre, dévolu à l’
homme
dans une certaine mesure, lui donne toujours un g
u à notre insu, c’est-à-dire selon des lois supérieures inconnues à l’
homme
. Ainsi il ne dépend pas de nous de déterminer
i sont étrangères, c’est là le sens divin ou spirituel qui rattache l’
homme
à Dieu et aux esprits, et qui a sa plus grande li
s de la danse la partie la plus jeune de l’assemblée, pendant que les
hommes
graves fumaient leurs cigares en jouissant du spe
e vous pouvez faire de plus juste et de plus utile en votre qualité d’
homme
d‘Etat. J'ai eu occasion de revoir cette dame e
é dans le somnambulisme. « Pour ce qui est de sa personne, c’est un
homme
de cinquante ans environ, fortement constitué, d’
lucidité. « Je dois ajouter ici, chose assez remarquable , que cet
homme
, ancien soldat, avait été blessé à la poitrine, e
acte de piété filiale qui nous étonna d’autant plus de la part de cet
homme
, que ses principes en général n’étaient guère bas
notre économie. u Tel fut, presque mot pour mot, le langage de cet
homme
qui, éveillé, n’aurait jamais pu trouver une seul
rsel de ces visions superstitieuses et la grave relation faite par un
homme
instruit du jour, sont étrangement caractéristiqu
i anime toute chose ; mais raffiné, élevé en valeur à la hauteur de l'
homme
dans la nature... L’homme est plus apte que la fe
raffiné, élevé en valeur à la hauteur de l'homme dans la nature... L’
homme
est plus apte que la femme à exercer la puissance
onsulter pour connaître l’auteur du vol : elle lui dit que c’était un
homme
avec lequel il avait bu au cabaret ; elle l’engag
s. Le consultant se borna à répandre dans le voisinage le bruit que l'
homme
indiqué était son voleur; et finalement il n’y eu
n se croirait souillé par son contact. Mais, nous le demandons à tout
homme
de bon sens, cette réprobation s’applique-t-elle
lucidité des somnambules découvre des secrets que ne peut atteindre l’
homme
dans l'état ordinaire ; il y a donc dans l’art di
ils sont deux : le corps et l’âme. (De Bonald.) — Du moment qye nul
homme
n’est à même de distinguer par les sens, d’un fil
p plus étonnantes et surtout beaucoup plus nécessaires au bonheur des
hommes
? Oui, il en existe, et la nature a parlé depuis
ge en âge et elle brille aujourd’hui sur le front d’un grand nombre d’
hommes
de lettres, de philosophes et de véritables savan
la chaire de Notre-Dame, a prononcé ces remarquables paroles : « L’
homme
, dit-il, plongé dans un sommeil factice , voit à
ourd’hui sur l’existence ; celui qui ose soutenir le contraire est un
homme
à connaissances bornées. Le magnétisme animal est
erreur, si réellement rien n’existe de ce qu’on avance, si les grands
hommes
qui se sont occupés et qui s’occupent encore séri
orance et aux préjugés qui se déracinent si difficilement du cœur des
hommes
? Le stygmate du ridicule que les charlatans lui o
jeu de cartes , soit celles du domino , un grand nombre de prénoms d’
homme
et de femme , des chiffres et des mots tels que :
seau répond lorsqu'on lui demande « qui le fait agir » : Volonté. A l'
homme
de se dire : Volonté de qui ? « L. Ernest Daidé
résultats réunissant une somme de faits suffisante pour établir que l’
homme
possède sur les oiseaux une action magnétique d’u
es portant des lettres de l’aphabet, des chiffres, des noms propres d’
hommes
et de femmes, des cartes à jouer, des points de d
ologistes sont ma-« térialistes, parce qu'ils ne reconnaissent dans l’
homme
que « la matière et la force vitale ; tandis que
moment, — nous dirons que si deux substances distinctes constituent l'
homme
, l'une matérielle et l’autre immatérielle, ce que
surtout de nous faire comprendre de nos honorables collègues. «Deux
hommes
sont en présence, l'un agissant magnétiquement su
l’âme aussi bien universelle qu’individuelle est différente en chaque
homme
, nous nous empresserons de répondre qu’elle n’en
l’âme de l’animal ne pouvant être entièrement identique à celle de l’
homme
, et cette dernière encore moins à celle de la pla
néral. Et cependant chacun de nous connaît le pouvoir magnétique de l’
homme
sur l’animal, sur la plante et même sur le minéra
et confondre notre esprit, et que, par exemple, pour ce qui est de l’
homme
à l’égard de son semblable, une âme dure, cruelle
oir n ous enseigner que l’esprit est un, et, qui plus est, que chaque
homme
en a reçu la même dose, le crétin comme le plus g
de l’admirable phénomène de la mémoire. « On sait que le corps de l’
homme
, jusqu’à un certain âge, se renouvelle entièremen
-être. Certaines contrées ont été ainsi métamorphosées et bénissent l’
homme
de bien qui les a dotées de pareils trésors. On s
vertu du grimoire et des talismans. D’autres, admettant que certains
hommes
jouissentde facultés transcendantes qui leur perm
manité la reconnaissance des populations doive être unanime, et qu’un
homme
qui ne s’est signalé sur son passage que par des
ent se compléter. Nul savant n’a osé aborder cette étude ; très-peu d’
hommes
môme osent parler de leurs rêves, et pourtant ils
t de la capacité de l’humanité actuelle? Il faut, sur le nombre des
hommes
pensants, les trois cinquièmes de magnétiseurs éc
és, quelques tiraillements suffiront; la vieille croûte tombera, et l’
homme
apparaîtra sous son écorce véritable. Le papill
véritable. Le papillon sortira radieux de la chrysalide, Dieu et l’
homme
se verront (1). C’est le but de la Divinité qui s
si la guerre ost encore nécessaire, — vue de Dieu. ‘ Il n’est pas d’
homme
qui ne soll disposé à faire tous les sacrifices,
r que vous ayez jamais ressenti. Oui, j’ai vu Dieu, en 18«, comme l’
homme
vivant peut le vçir. Je crois ■nutHe dî dire >
le peintre, pour le musicien, pour l’utopiste, pour le savant, pour l’
homme
de cœur. On végète dans le reste du monde, on ne
mollissement du cerveau, et que quatre médecins avaient condamné. Cet
homme
, ayant reçu un coup de barre de fer Sur la partie
ÉCROLOGIE. La mort vient de nous ravir un ami dévoué au magnétisme.
Homme
d’un beau savoir, d’une éloquense persuasive, M.
e le sait-on pas d'ailleurs, Ibs vérités ne s’établissent qu'à coup d’
homme
et de générations : ceux des ouvriers qui succomb
eure se ferme, tout disparaît, tout s’efface, et il ne reste plus à l'
homme
, de tout cet univers, que la personne avec laquel
r le ridicule. Quand on jette un coup d’œil sur le grand nombre d'
hommes
marquants qui, depuis quelques années, ont reconn
sposées à accepter une doctrine quand elles la verront suivie par les
hommes
les plus éclairés. Et quand on devrait s’y pren
le dernier terme de la création, et que comme, entre le minéral et l'
homme
, il y a une série d’êtres graduellement croissant
ants en propriétés, facultés et intelligence, de même entre Dieu et l’
homme
, il y a une série d’êtres graduellement croissant
d’arithmétique le plus simple, le plus banal, arrêtait mon élève (un
homme
; jamaisun adulte ni un enfant), je voulais l’aid
trembler l’oiseau, qui n’a pas même la force de fuir, et certains
hommes
en forcent d’autres à baisser les yeux : ne serai
te-huit heures que le corps était dans cet état, quand le grand-père,
homme
très-âgé, vint de Lannington à Nuneaton pour voir
il s’en trouva très-affaibli ; il perdit ses forces, et, au lieu d'un
homme
plein de la vigueur de la jeunesse, on n’eut bien
à un médecin qui suivait quelquefois sa visite et le désigna comme un
homme
perdu. Chaque fois qu'il passait devant cette lig
nt inaperçu , un changement complet s’était fait remarquer dans notre
homme
. La suppuration avait fini par se tarir peu à peu
remarquer le changement survenu : « Vous rap-pelez-vous, dit-il, cet
homme
qui était si malade? Hé bien , le voilà? » Oui, c
être vrai au point de vue magnétique; car, en la formulant ainsi : L'
homme
, dans de certaines limites, peut-il imposer sa vo
utefois sans quelques restrictions jus-qu’à plus ample informé, que l’
homme
, après avoir imposé sa volonté à un animal quelco
aisonné, qui sait alors si l’animal ne fera pas quelquefois honte à l'
homme
? « Recevez, Monsieur le baron, l’assurance de
magnétique, éprouve tout à coup un malaise indicible à l’aspect d’un
homme
qui passe à côté d'elle, mais qu'elle ne connaît
ltération subite de ses traits. « — Je ne sais ; mais la vue de cet
homme
qui vient de passer m’a fait mal. Le connaissez-v
justement parce quenoussommesspiritualistes que nous avertissons les
hommes
trop confiants dans les médiums, qu’il y a parmi
nt simulé ce dernier élat et le simulent encore. Nous connaissons des
hommes
dont la crédulité va jusqu’à la folie, ils n’ont
irmation dans un ouvrage du docteur Moreau de Tours, où il traite les
hommes
de génie, tous plus oumoinsvoyants.de fous; et il
e. Pendant ce temps, il doit s’interdire toute communication avec les
hommes
, et s’imposer le silence le plus absolu. Quand le
plus ou moins analogue au magnétisme terrestre, se développant dans l’
homme
, sous l'influence de passes, d’attouchements, etc
a jamais été sciemment démontrée. Loin de là, toutes les fois que des
hommes
difficiles à tromper, des membres de l’Académie d
ême élat, et qui, ayant été guéri sans moyens médicaux, est devenu un
homme
distingué dans la profession qu’il a embrassée.
miraculeuse de Mesmer! Mesmer est grand comme Prométhée, il donne aux
hommes
le feu du ciel, que Franklin n'avait'su que détou
me pas au thaumaturge l’honneur d’examiner sa découverte, et le grand
homme
dut se résigner à passer pour nn adroit charlatan
atan. « Les savants seuls n'étaient pas hostiles au mesmérisme, les
hommes
sincèrement religieux s’alarmaient des dangers de
us au monde l’empire et la gloire de Dieu ! » (P. 416.) « Parmi les
hommes
vraiment sérieux qui s'occupent de magnétisme, no
fluence plus redoutable sur le cerveau. « M. du Potet est un de ces
hommes
fortement convaincus qui supportent courageusemen
t dans le magnétisme — ce furent ses expressions — la présence de cet
homme
vénérable redoubla la ferveur de mes somnambules,
evait naturellement chercher à s'éclairer en recourant aux lumières d'
hommes
réputés compétents pour déterminer si, dans l’éta
indépendante de la réalité du magnétisme). 11 ajoute que, « quand des
hommes
difficiles à tromper, des membres de l'Académie d
tes dans les hôpitaux de Paris, en présence de médecins éminents, des
hommes
les plus difficiles à tromper ; il ignore que, lo
n’ait pas jugé à propos d’appeler un expert ea’magnétisme, un de ces
hommes
qui ont consacré leur vie à magnétiser, qui ont t
s les phénomènes que peut produire cet agent puissant : il est de ces
hommes
que recommande la renommée de leurs travaux, de l
àist-Fêlix. 1 petit vol. Paris, Hachette, éditeur, 1854. Il y a des
hommes
qui, après avoir joui d'une immense réputation.,
s êtres invisibles, à exécuter des prodiges admirables. Anx yeux de l’
homme
religieux et timoré, ce sont des magiciens perver
r l’élite de la société, par des grands seigneurs, des savants et des
hommes
de lettres; qu’il a eu auprès d’eux un très-grand
rt vraisemblable. Il en ré- suHeraitque Cagliostro n’étail pas un
homme
ordinaire. Peut-Être s’est-il entouré d’un presti
es secrets de l'ordre ma- çonnique. Des qu’il ne se trouve pas un
homme
d’honneur qui atteste le fait par sa signature, c
mais il n’a pas dissipé les ténèbres qui environnent la mémoire de l’
homme
extraordinaire dont il s’est fait le biographe, e
irme tenir d'une personne de New-York parfaitement digne de foi. Un
homme
âgé mourut dernièrement après avoir passé huit an
resbytériens, était très-ferme dans sa foi, et était regardé comme un
homme
de bien et comme un saint. Aussitôt après sa mort
oir, non-seulement le défunt, mais en outre deux autres personnes, un
homme
et une femme, se tenant à ses côtés. Et pourtant
ez les catholiques, on commit les mômes atrocités. Enfin, en 1631, un
homme
d’un noble cœur, le comte Frédéric Stain, apparte
nts toujours faciles à faire cesser et qui prouvent la puissance de l'
homme
: lorsque le corps se laisse pénétrer par cet age
que ce que h nous voyons de l’homine n’est pas à proprement parler «l’
homme
. » Si les systèmes de la plupart des philosophe
levèrent, par la force de leur génie, plus haut que le commun des
hommes
, mais malheureusement, le plus grand nombre fit e
par l’évidence, qui est le critérium de la vérité. Plus de doute, l’
homme
est double, et son essence immatérielle étant de
un autre corps ici-bas. Nous voyons que depuis le zoosperme jusqu’à l’
homme
, la nature tend toujours vers la perfection, et q
e vers ce but, et elle serait bien impuissante si elle s'arrêtait à l’
homme
. Voici à ce propos ce que pense Lamennais dans
ie ne lui prête au moins un haut degré de vraisem-« blance. Lorsque l’
homme
vient à se considérer tel qu’il est, « relégué da
opes « sens et parles instruments dont la science a doué l’œil de « l’
homme
; l’autre nous est révélée par la foi et aussi pa
pouvons former que des conjectures. L’analogie seule conclut que si l’
homme
est l’être le plus parfait sur cette terre, il ne
Dieu, quiajetétousces mondes dans l’espace, et qui les a créés pour l’
homme
, les lui montrerait de loin , en lui en interdisa
remble d’entrer dans son domaine. Mais qui peut nous affirmer que les
hommes
ne parviendront pas un jour à pénétrer dans ce té
rcée l’enfance, on se demande s’il est un moyen de les réaliser, si l’
homme
, par un sublime effort, peut commander à la natur
t éclairer la question si ardue du vampirisme. Depuis long-temps, les
hommes
sensés avaient relégué les vampires avec les ogre
a botte, et il en résultait une secousse qui entraînait la botte et l’
homme
précisément à une distance de sept lieues. La cit
e pas.... Voilà dans quel abîme on tombe quand on ose interdire à l'
homme
l'usage de sa raison, c’est-à dire de la plus nob
qui dévore les cadavres, les chairs putréfiées, c’est le symbole de l'
homme
, qui. au heu de se nourrir de la vérité qui est l
ce sentiment, je laisserai aller les choses et n’en voudrai point aux
hommes
honorables qui ne croiront point aux œuvres magiq
, et ne traiterons ici que du règne animal, et même spécialement de l’
homme
; car c’est en lui, c’est dans sa fibre nerveuse q
, le baromètre pour la densité de l’air, la boussole pour l'aimant, l'
homme
doué de sensitivité l’est aussi pour l’od ; c’est
smise par la génération d'individu à individu et développée jusqu’à l’
homme
par une succession non interrompue et de plus en
qui nous importe, c’est d’aborder l’exposition des phénomènes dans l'
homme
. Nous avons déjà dit précédemment que dans les
rce positive. L’organe qui chez ces êtres, et particulièrement chez l’
homme
, représente celle force, c'est le cerveau et en g
buer à l'équilibre général qu’elles ont pour but de maintenir, dans l’
homme
à l'état de santé. Nous trouvons ces polarités
est de les voir confirmés par tous les magnétistes sérieux et par les
hommes
de science, j'indiquerai un peu plus loin des moy
i aux réflexions des personnes , aux expériences et à la critique des
hommes
de science, a pour lui cet immense avantage qu’av
s également sa présence. Tout le monde sait que la circulation de l’
homme
et des mammifères consiste dans le mouvement ince
cordé d’approfondir un mystère que les travaux infatigables de tant d'
hommes
de génie n’ont encore pu parvenir à pénétrer : ce
pour lui le mérite de la simplicité. Nous avons vu plus haut que l’
homme
présente dans son axe longitudinal une polarité.
e des lois que j'ai posées en parlant des diverses polarisations de l’
homme
. A ceux qui n’y voient encore qu’une simple hypot
me contenter de répondre que la plupart des vérités admises parmi les
hommes
n’ont pas en général de fondement plus assuré que
m’ont entraîné l’exposition des principaux centres de polarité dans l’
homme
, m’obligent de différer, jusqu'au prochain articl
ffira pour cela d’avoir à sa disposition un odoscope, c’est-à-dire un
homme
doué de sensitivité. Un pareil instrument n'est m
les et de tout ce qui tient aux rapports du physique et du moral de l’
homme
. Le magnétisme devait nécessairement appeler son
facultés merveilleuses du somnambulisme artificiel. On voit que les
hommes
de science s’inquiètent fort peu des anathèmes de
mentations inconsidérées?... Témoin chaque jour du délire de certains
hommes
, et la liste en est nombreuse, nous nous affligeo
ce, nous qui, le premier, avons levé l'étendard nouveau et appelé les
hommes
de noire époque à l’étude de forces et d’agents i
nu méconnaissable dans vos théories ? Nous jugeons mieux que vous des
hommes
de notre époque , et si nous nous taisons, c’est
s dans l'individu. Voici mes expériences etmes procédés : Si c'est un
homme
âgé, j’exerce ma puissance sur les facultés que j
uissance et la force de produire ce que je désire. J’ai essayé sur un
homme
de 60 ans ; il avait la tête déprimée et bosselée
réflexion que toutes les mains ne seraient pas bonnes pour agir. Les
hommes
à passions, les hommes légers doivent être mis de
es mains ne seraient pas bonnes pour agir. Les hommes à passions, les
hommes
légers doivent être mis de côté ; il fautpour opé
, les hommes légers doivent être mis de côté ; il fautpour opérer des
hommes
vertueux et animés du vrai désir de faire le bonh
chantier, progresse bien lentement malgré la persévérance de quelques
hommes
de cœur répétant tout bas la profession de foi se
u m’accompagner. « La réunion était nombreuse, 40 personnes environ
hommes
et dames. Néanmoins je me divertissais peu ; M. E
ti du néant, et que la lumière s’est faite pour permettre ensuite à l’
homme
de voir et d’admirer les merveilles de la créatio
péculations de l’esprit humain, puisque les efforts réunis de tousles
hommes
et de tous les temps ne sauraient soulever le voi
vrai, la sphère de nos connaissances s’élargit de jour en jour; et l'
homme
, ce roi de la création, par la seule force de son
es efforts redoublés, nous arrachons de temps en temps à la nature, l’
homme
ne peut se connaître lui-même : il ne sait ni ce
malheureusement insoluble : Que mis-je cl que serai-je ! Eh bien !
homme
, il est peut-être un moyen de satisfaire ta légit
ardien. — Par notre ange gardien ! Est-il donc bien vrai que chaque
homme
en ait un? — N’en doutez point; et c’estau vôtr
car pour remplir une pareille fonction, c’est-à-dire pour guider les
hommes
en ce monde, il faut absolument y avoir passé
uissent approcher du trône de l’Ètre suprême, nous nous adressons aux
hommes
sensés et graves, c’est-à-dire à ceux de nos coll
émique ardente et longtemps prolongée, à laquelle ontpris part tant d’
hommes
intelligents, est-il sorti une théorie qui rende
ce surnaturelle, pas plus qu’on n'attribue de pareille assistance aux
hommes
qui s’élèvent au-dessus de la foule par des quali
nnaît au toucher une foule de substances qui ne causent au commun des
hommes
aucune sensation particulière, et qui produisent
ne d'urbanité et de convenance, et telle qu’on devait l’attendre d’un
homme
de bonne compagnie. On devait croire cette polémi
tôt cette grande colère tombe, et l’accusé redevient le plus doux des
hommes
; mais rien ne peut ébranler sa foi robuste dans
es sorcières, Dieu vous en préserve ! » Nota. On eût jadis loué cet
homme
et brûlé la sorcière ; il n’y avait alors ni scie
ne digne de foi, et sur lequel il appelle avec raison l’attention des
hommes
scientifiques. Voici le récit de notre confrère c
n mystère?» (P. 145 à 147.) Après avoir cité les noms de beaucoup d’
hommes
illustres qui ont reconnu la réalité du magnétism
ertaines circonstances se produire une action directe, immédiate de l’
homme
sur l’homme; qu’il y a enfin un état somnambuliqu
constances se produire une action directe, immédiate de l’homme sur l’
homme
; qu’il y a enfin un état somnambulique qui n’est
luide électrique. 11 admet que, par le seul effort de sa volonté, l’
homme
peut agir, même à de très-grandes distances sur s
que le somnambulisme est toujours provoqué par l’action secrète de l’
homme
sur l’homme ; que c’est la volonté du magnétiseur
ambulisme est toujours provoqué par l’action secrète de l’homme sur l’
homme
; que c’est la volonté du magnétiseur qui est tra
le but que l’on veut atteindre, sans distraction d'aucune sorte. « L'
homme
veut, et le somnambulisme naît. » (P. 177.) En ac
davantage, et auxquels cependant nous croyons. 11 n’est pas donné à l’
homme
d’expliquer ni de comprendre ce qui est de sa nat
peine à reconnaître, tant elle nous parait au-dessus du pouvoir de l’
homme
. M. Maoario ne fait pas difficulté de l'admettre
ario, en définitive, donne à la cause du magnétisme le concours d’uti
homme
instruit et consciencieux. Son livre a surtout un
n livre a surtout une haute importance, en ce qu’il fait voir que les
hommes
de science ne craignent pas de braver les anathèm
traiter à fond les questions concernant le physique ou le moral de l’
homme
, sans aborder le magnétisme et le somnambulisme.
découvertes utiles, >> et il tendra une main amie « à tous les
hommes
sérieux qui pratiquent consciencieusement le magn
al, gagnant journellementdu terrain, nous paraît mériter l’examen des
hommes
de science. Je comprends parfaitement qu’un médec
et cette science ténébreuse pourrait alors se vanter d’être utile aux
hommes
: jusqu’ici elle leur a fait plus de mal que de b
ai prouvé ainsi que toutes mes pensées ont eu pour but d’éclairer les
hommes
sur des vérités sublimes que les savants s’obstin
quable ?... Que dire de l’intelligence ou plutôt de la conscience d’
hommes
pour qui ce même fait est resté si longtemps inap
u d’inventions de systèmes ; ils veulent tout briser du premier coup,
hommes
et choses : si vous vous permettez le moindre dou
ut à son aise ergoter, nier et plaisanter. Mais le regardant comme un
homme
de cœur, de franchise et de capacité, reconnaissa
talent, de connaissances variées et d'urbanité, que je l’appelle 1111
homme
honorable, estimable, de bonne compagnie, dont j'
tre, dans un accès prétendu de somnambulisme naturel, 50; — contre un
homme
qui avait battu sa mère, parce qu'il la considéra
ction de M. Albert Léry. Mention et annonce, 615. Science (la) de l'
homme
, par Enfantin, simple mention, 84. Siècle (le)
mpatibles avec la réalisation de l'hypnotisme. Chez la plu pari des
hommes
, sous l'influence de la plus faible dose de vin p
fort peu d'importance aux titres officiels, et que nous estimons les
hommes
, non d'après le rang qu'ils occupent dans la hiér
e leurs collègues de ce sentiment de sympathie qui unit iorcément des
hommes
qui se comprennent, parlent la même langue scient
américaine qu'il nous envoya son adhésion. En effet, Hamilton Osgood,
homme
au cœur vaillant et généreux, ne connaissait
qu'elle soit, ne doit effrayer celui qui s'est voué à la science de l'
homme
, et le ministère sacré du médecin, en l'obligeant
efois mes observations personnelles me portent à croire que, pour les
hommes
, on peut en Allemagne accepter 1/4 % comme chiffr
evés. Dans l'art et la science ils ont fourni à l'humanité des grands
hommes
comme vous l'apprendra la conférence que nous fer
schfeld, Raffolovich, Lacassagne nous citent des cas nombreux, où des
hommes
homosexuels aimaient à s'habiller en femmes et à
et de leur caractère féminin, de. véritables romans d'amour avec des
hommes
hétérosexuels. Témoin ce jeune professeur sil
1res intime le délivra de sa future, en lui prouvant qu'elle était un
homme
et, par surcroit, un homme homosexuel. Quelles
a future, en lui prouvant qu'elle était un homme et, par surcroit, un
homme
homosexuel. Quelles sont maintenant les relatio
bles et avec les hétérosexuels ? Considérons d'abord le moment où l'
homme
ou la femme homosexuels deviennent conscients de
uelle aussi chez la femme, mais le pourcentage est moindre que chez l'
homme
. Nous possédons, il est vrai, peu de statistiques
maints habits noirs, des travestis très riches et surtout quantité d'
hommes
en costumes féminins. Sans doute des prostitués m
partie essentielle de cet article, publié sous ce titre « Le bal des
hommes
» : « ... Un ami nous avait procuré une invitat
urgstrasse. La salle est déjà bondée. Il y a là plusieurs centaines d'
hommes
tous très corrects et tous en habits. Quand nous
e avec la modestie ¦d'une jeune fille. Un monsieur s'approche dujeune
homme
. 11 semble appartenir à la classe la plus élevée
une valse. Un vingtaine de couples se mettent à •danser, rien que des
hommes
entre eux, naturellement puisqu'il n'y a pas
x, naturellement puisqu'il n'y a pas une femme dans la salle. Les
hommes
qui tiennent le-rôle de la femme sont des jeunes
oi de beauté et de grâce, la victoire demeura incontestablement aux «
hommes
femmes ». - « Nous assistâmes, en outre, à des as
ouples d'invités. Les femmes y étaient seulement représentées par des
hommes
vêtus de très élégantes toilettes féminines. La p
s punit de la façon la plus draconienne les relations sexuelles entre
hommes
et femmes homosexuels. Le procès •dOscar Wilde no
stinctive, que j'ai quelque peine à dominer. » Voilà 1'opinion d'un
homme
droit, fier et combatif. Comme lui pensent la maj
M. le Pr. Dieulafoy a rapporté l'histoire a l'Académie de médecine. L'
homme
en question qui était intelligent, cultivé, sans
lui des aveux complets. Quelle place doit occuper la maladie de cet
homme
dans le cadre uosologique. et quelle dénomination
. Mais le cas le plus typique est celui, rapporté ci-dessus, de cet
homme
qui se laissa couper le bras sans dévoiler son se
homosexuel. J'ajoute que cet instinct est infiniment répandu chez les
hommes
et chez les animaux. Nous allons examiner ce qu
encore faut-il tenir compte que beaucoup sont tuberculeux ; or chez l'
homme
la tuberculose semble être an facteur d'excitatio
nt, en tenant compte du perfectionnement successif des animaux dont l'
homme
évidemment n'est que le plus haut degré et en se
sexes, admettre que las-sexes successivement transformés, même chez l'
homme
, aient pu se transmettre des dispositions instinc
ins au cours de longs voyages, et encore et peut-être surtout sujets,
hommes
ou femmes, vivant dans un milieu particulier et d
. Le vagabondage spécial même, ou métier de souteneur, comprend des
hommes
favorisant la prostitution d'autres hommes et en
de souteneur, comprend des hommes favorisant la prostitution d'autres
hommes
et en tirant profit. Le meurtre même est plus fré
s de grades différents en raison de la suspicion de pression. Entre
hommes
, sous-officiers ou officiers du même grade. les s
cerne l'onanisme, car l'onanisme, avec la représentation mentale de l'
homme
, fixe et consolide l'inversion. Par conséquent, i
iles d'aliénés Une analyse attentive, portant sur un grand nombre d'
hommes
, m'a démontré que ceux qui accordent à l'instinct
ut, qui est le principal stimulant de leur excitation génési-que. L'
homme
normal n'échappe pas à cette loi générale; l'infl
ans l'évocation des images capables de stimuler son appétit sexuel, l'
homme
est olfactif et gustatif ; la femme, au contraire
ermination sexuelle, est visuelle et tactile. Or, tandis que chez l'
homme
dont la conduite est normale au point de vue des
plusieurs communications ultérieures. rations sexuelles, comme l'
homme
normal dont l'excitation sexuelle est mise enjeu
pressionnent favorablement leurs centres visuels. En résumé : pour un
homme
, la déviation de l'instinct gé-nésique a son poin
te, forment plutôt une exception, que peut écrire le compositeur. L'
homme
, en possession de toutes ses facultés psychiques
facultés au point de vue individuel comme au point de vue social. L'
homme
est susceptible de se perfectionner, et la civili
un obstacle dans la distraction, et dans la disposition naturelle à d'
homme
d'obéir à la loi du moindre effort ; on sait qu'u
éviter l'effort mental que nécessite toute application. Pour que l'
homme
s'applique, il lui faut un but; pour que son appl
enfant seul (qui lui non plus n'est ni ange ni bête) alors que tant d'
hommes
faits sont soutenus uniquement par l'appât d'une
tion, le progrès est impossible. On peut même dire que la valeur de l'
homme
se mesure à sa capacité d'attention, à sa puissan
esure à sa capacité d'attention, à sa puissance d'application. Plus l'
homme
devient capable d'une attention soutenue, plus il
avons connu il y a quelques années). Dans ce travail, en commun. les
hommes
apportent des idées plus larges, plus de méthode,
lamait un peu plus de clarté ou un peu plus d'obscurité ». « ... Un
homme
— on ne sait pourquoi, mais on ne pouvait douter
homme — on ne sait pourquoi, mais on ne pouvait douter que ce fût un
homme
grand, et qui paraissait jeune, sortit du cabinet
alisé dans une nature d'élite, il évita recueil si dangereux pour les
hommes
d'avant-garde et qui. fait qne l'on perd de vue l
parence la plus banale, l'idée d'une loi originale et importante. *
Homme
de combat, il a véritablement été l'introducteur
s-sur-Moselie) rapporte un fait qui date à peine de quelques mois. Un
homme
de 34 ans devait être opéré d'une hernie ; il s'a
'est nn cadavre que. paraît-il. on guillotina. Hack-Tuke parle d'un
homme
à qui l'on accorda un sursis au moment où il avai
(Cooney). Un incendie se déclare dans une boutique de vannerie. Un
homme
de cinquante-huit ans aperçoit la fumée ; affolé,
ossements de son père qu'il avait fait exhumer. J. L. Petit a vu un
homme
, blessé à la main, qui mourut subitement en voyan
venant de son travail, le soir, ' longe le cimetière de Deptford ; un
homme
enveloppé de blanc s'élance vers elle : apeurée,
gne, « Lucullus, Ca?sar, Pompeïus. Antonius. Caton et d'autres braves
hommes
, furent cocus, et le sceurent. sans en exciter tu
a déshonorante victoire de Chéronée, fatale à la liberté, qui tua cet
homme
éloquent. » « Diodorus le dialecticien mourut s
bitement en apprenant que Louis XIV l'avait rendu à la liberté. TJn
homme
politique anglais attend avec anxiété le résultat
este une joie exubérante, se lève et tombe mort sur le plancher. Un
homme
de 51 ans reçoit d'un notaire de Paris une lettre
ssant une somme de 600.000 francs. En apprenant cette nouvelle, notre
homme
pousse une exclamation, porte les mains à sa poit
ne chaloupe à la mer ; matelots et officiers voient déjà des masses d'
hommes
s'agiter, tendre les mains et quand ils arrivent
roisième jour, la douzième, la notre, n'a gardé que trois canons, six
hommes
et un seul officier, moi. Voilà vingt heures que
parce qu'elle excite la crainte. « qui déprime l'esprit et conduit l'
homme
au ser-vilisme », ou à hi révolte. Puis elle est
re développement de leur vocation. Un savant n'est pas seulement un
homme
qui sait ; un vrai savant doit joindre au savoir
ollicitude à l'égard des animaux et de la valeur des rapports entre l'
homme
et l'animal : dans l'armée, par exemple, on a — e
e, n'est-ce pas enfin s'élever vers un état de beauté, la beauté de l'
homme
a cheval — point de vue esthétique, sans doute, m
êt de l'enseignement et de l'éducation réside dans les aptitudes de l'
homme
qui professe. C'est en y mettant toute son âme, e
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
par M. le D1 Bcaiixos, professeur ft l'Ecole de
. L'éléphanteau chargera ce téméraire et souvent le culbutera : que l'
homme
se relève, saisisse l'adversaire par l'organe pré
olfaction chez les mammifères quadrupèdes, beaucoup mieux doués que l'
homme
sous ce rapport : « Bs ont le sens si parfait,
. Le limier lancé sur une piste la suit avec autant de sûreté qu'un
homme
suivrait la trace de pas laissés sur le sable ; i
es sentiments. Elle constitue une des qualités les plus hautes de l'
homme
, parce qu'elle lui permet de s'affranchir de la t
antais l'internationale..... Pour éviter les manœuvres en 1905, 478
hommes
se présentèrent à la visite. Le départ du 17e fut
des chefs n'est pas seule responsable de ces fautes ; la plupart des
hommes
étaient entretenus dans leur inconscience de leur
leur énergie et l'influence de l'action sur le maintien du moral des
hommes
. » Les obus continuaient à pleuvoir. Comme le r
, regardait frémissant, sentant derrière lui monter la panique de ses
hommes
. — Tout le monde sait que nous sommes vendus, r
ce travail mécanique fail avec sang-froid qui maintenait le moral des
hommes
. » L'affaiblissement de la volonté pent aller j
illade terrible. « Dieu lui-même, dit Kœnig, n'aurait pu porter les
hommes
en avant. » L'accablement physique et moral de ce
en retraite, au pas, sous le feu de la division française, et que 300
hommes
, incapables de remonter l'escarpement du ravin, f
t leur service très exactement, très ponctuellement- et voilà tout. L'
homme
, évidemment ne peut disposer que d'une certaine s
de de brigands ». Je laisse maintenant, Messieurs, à deux illustres
hommes
de guerre, la tâche de me disculper, à vos yeux,
opre. Une fois qu'il a conscience de ce qu'il est capable de faire, l'
homme
doué d'amour-propre met son ardeur, sa volonté à
, c'est atteindre le but de la vie. » Or, c'est par l'émulation que l'
homme
est amené à donner ce maximum d'effort. ?amour-pr
s use par frottement sur un corps dur ou les rogne avec ses dents. Un
homme
privé de canifs ou de ciseaux peut, sans être tax
traité avec succès, en trois séances, par la suggestion hypnotique un
homme
de cinquante-six ans. Il n'avait rien négligé pou
ue pour les accidents. Il en est qui peuvent guérir, même à distance,
hommes
et bêtes, et sans les avoir vus. C'est un don, qu
de songer ft réformer les programmes, II faut songer ft réformer les
hommes
et les institutions. Nous sommes régis par nn déc
, le cas particulièrement intéressant d'un commerçant figé de 51 ans,
homme
vigoureux et sain, qui commença a souffrir en 190
commença a souffrir en 1901 d'une somnolence tonte particulière : Cet
homme
s'endormait partout : a l'hôtel, eu voiture et se
bli de l'enseignement de la morale particulière aux diplomates et aux
hommes
de gouvernement. M. Bayet, au nom des délégnés
nommait Karl Heinrieh Ulrichs. Substitut dans le Hanovre, c'était un
homme
très érudit, n'offrant aucune apparence de désord
qui eurent un grand retentissement, il soutenait qu'un grand nombre d'
hommes
(1 sur 500 environ), du fait d'une constitution n
viron), du fait d'une constitution native, sont poussés à l'amour des
hommes
exclusivement, que leurs sentiments à l'égard des
des femmes sont l'indifférence ou une insurmontable repulsion. Ces
hommes
, Ulrichs les appelait timings, sans doute par all
une raillerie de la nature ; son organisation physique est celle d'un
homme
; mais ses instincts sont ceux d'une femme. « Les
culines, dit-il, nous ont été données artificiellement. Nous jouons l'
homme
seulement ; nous le jouons comme les femmes le jo
se trouvaitincluse, en quelque sorte prisonnière, dans le corps d'un
homme
: anima mntiebris in corpore virili inclusa, et c
ines catégories d'individus dont il célèbre la pureté. « C'est vers l'
homme
maie, dit-il, que les attire invinciblement le be
t partir». Son amour * s'écroula sous une inexprimable douleur ». Cet
homme
lutta alors contre sa passion, se faisant les plu
e un éclair qui fit tomber les écailles de mes yeux. J'étais comme un
homme
qui retrouve sa propre estime. » Alors il raisonn
hasard nous met en présence, le vieil incendie se rallume. » Ces deux
hommes
occupent dans la société allemande des postes éle
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
(l) par M. le D' Bkbillox, professeur à l'Ecole
, qu'un couple amoureux est forcé de se séparer pour quelque temps, l'
homme
et la femme, échangent des pièces de linge dont i
ées se rapportant h la première sensation fortement ressentie. Chez l'
homme
normal, qui, comme je le disais dans une récente
pins : « ... Nous ne sommes pas des lapins. C'est la peur qui, chez l'
homme
, constitue le plus gros danger. Le lapin lui n'a
de nouveau en évidence, il est d'autant plus donloureux de perdre des
hommes
comme Liégeois, qui se distinguent par la clarté
nnaît les erreurs de diagnostic, commises à propos de quelques grands
hommes
, de Napoléon par exemple,. A l'école militaire de
la justice de vouloir faire de l'école,où l'enfant, plus faible que l'
homme
a besoin d'être soutenu et encouragé, * un asile
gnance à l'égard de toute comparaison, « de tout classement entre les
hommes
ne parte pas d'une fausse idée de « l'égalité hum
iorité, même fondée en raison '? Si les droits sont égaux entre les «
hommes
, les mérites ne le sont pas. Vouloir traiter de l
in) Une difformité, également très répandue, ce sont les verrues.
Hommes
et femmes s'efforcent à les faire passer, employa
saluer l'entrée au College de France d'un psychologue eminent et d'un
homme
de bien. TRAVAUX ORIGINAUX Uranisme et uni se
conque qui comporte le célibat et le courage de bien faire. Quant à l'
homme
de génie on d'action, il n'y regarde pas de si pr
e avant tout la vérité, la véracité, la sincérité, si l'on veut que l'
homme
sexuel, hétérosexuel ou unisexuel ne trébuche pas
iens ; Caligula, un sadique et un sanguinaire ; et enfin. Don Juan, l'
homme
au mille et une. Elle est bien bonne, et je trouv
ril de dix-huit à vingt-cinq ans (à partir de cet âge, d'après lui, l'
homme
commence surtout à attirer la femme), amour qui,
ies principales. Qnelle fut la nature de l'amitié qui unit ces deux
hommes
: Antinous et Adrien '? Antinous futril simplemen
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
(2) par M. le D' Bekillox, professeur à l'Ecole
aines impressions olfactives peuvent exercer sur les animaux et sur l'
homme
de véritables effets de fascination se retrouve c
haleur. Ce fluide passait pour avoir la propriété de provoquer chez l'
homme
, au même degré que chez les chevaux, la folie amo
osition des philtres destinés a faire naître l'amour dans le cœur des
hommes
et h fixer leur attachement. Voltaire, qui parle
est celle de la « jeunesse, de l'amour ! « Quelle n'est pas chez l'
homme
, l'impression électrique que produit, surtout dan
odorat exerce sur les sentiments humains, quand il affirme que chez l'
homme
, il est le sens des sensations douces et délicate
dans « l'éveil du désir vénérien chez quelques personnes. Il est des
hommes
« qui trouvent dans l'influence exercée par l'ode
itation sexuelle des môles. Chez les singes, ces proches parents de l'
homme
, cette influence a été fréquemment mentionnée.
à tout age, même dans l'enfance. Les femmes en souffrent plus que les
hommes
. Les Malaisiens regardent le » Latah » comme infe
vec beaucoup de dureté la conduite des jeunes filles qui ont avec les
hommes
des relations un peu libres ; leur indignation es
plique-t-elle, avec conviction, quoique je ne connaisse de près aucun
homme
et que je n'aie eu de relations intimes avec aucu
ne fille qui n'osait aller aux cabinets parce qu'elle craignait qu'un
homme
n'y fût allé avant elle et qu'à la suite de cela
uelles ils déduisent tout de même, qu'il y faut la participation d'un
homme
et d'une femme. Certains s'imaginent alors qu'il
a Société française de la médecine, salua son cercueil. ¦ Lorsqu'un
homme
comme le professeur Ernest-Théodore Hamy disparai
a clinique dé Psychiatrie et de Neurologie de la Charité à Berlin, un
homme
dont la situation médicale est considérable en Al
t tout, et qui est le maître absolu des événements, des choses et des
hommes
. Sa puissance est infinie. De lui, on peut tout o
itée. Jadis, le gouvernement créait des chaires a la Faculté pour les
hommes
qui honoraient la science et la médecine français
, il se montra le digne successeur de Benjamin Bail. Joffroy était un
homme
d'un grand savoir, mais sa modestie ne permet-lai
eur Régis vient de présenter k la Sociélë de Médecine de Bordeaux, on
homme
de trente ans d'une Impresslonnabillté- très gran
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
(1) par m. le D' Bebillox, professeur k l'Ecole
k l'Ecole de psychologie. (Suite) m. L'Olfaction comparée chez l'
homme
et chez la femme. Chez les animaux, les sensati
est demandé s'il y avait une différence entre l'acuité olfactive de l'
homme
et celle de la femme. Brillât-Savarin, auquel o
on peut en inférer à priori, que la femme est moins bien douée que l'
homme
au point de vue de l'olfaction, car sa sensibilit
té. La qualification de gourmet est également l'apanage exclusif de l'
homme
et je gage que personne n'a jamais eu l'idée, en
la vivacité de son regard. Paut-il conclure de ce qui précède que l'
homme
, gourmet, plus délicat et dégustateur plus habile
aturelle, en se guidant par l'odorat. Des expériences faites sur 44
hommes
et 38 femmes de toutes les conditions, il ressort
r 44 hommes et 38 femmes de toutes les conditions, il ressort que les
hommes
ont un odorat deux fois plus fin que les femmes.
es femmes. L'essence de citron dissoute dans l'eau fut perçue par les
hommes
à une solution de -—^ ; par les femmes dans une s
ur, n'était plus senti par aucune femme, pendant que presque tous les
hommes
le sentaient dans un volume cent mille fois supér
aboratoire de Lombroso, sur l'odorat et le goût de 15 femmes et de 20
hommes
, ont donné des résultats plus concluants : Odor
s et de 20 hommes, ont donné des résultats plus concluants : Odorat
Hommes
. Femmes. Sensation générale : Solution a l'huile
ur le sucre), et la finesse de l'odorat, sont plus développées chez l'
homme
que chez la femme. Je dois le reconnaître, mes
urs aptitudes olfactives. On peut dire, d'une façon générale, que les
hommes
, aune grande majorité, déclarent qu'ils sont fort
ormité avec l'observation générale. L'examen de plusieurs centaines d'
hommes
et d'un nombre à peu près égal de femmes, dont le
ormales, nous a appris qu'au point de vue de l'odorat et du goût, les
hommes
étaient sensiblement plus favorisés que les femme
nous a également démontré que les altérations du sens olfactif chez l'
homme
ne constituaient pas des faits indifférents pour
us inattendues. En particulier (1) Tandis qne le nerf olfactif de l'
homme
éprouve » l'égard de l'odeur de la naphtaline et
ui dit avec autorité: — * Mais vous n'êtes pas syphilitique ! » Notre
homme
en éprouve une sorte de traumatisme psychique.
nfiance illimitée, comme me voilà déçu ! J'admets difficilement qu'un
homme
si eminent se soit trompé. Mais il m'a examiné si
Louis Philippe et sous le second Empire. Les maisons j ubliques pour
hommes
masculins tlorissaient. On connaissait surtout ce
us adressant, de préférence, aux animaux comme à des précurseurs de l'
homme
, parce qu'on doit pouvoir trouver chez eux le ger
germe et peut-être l'explication des facultés qu'on rencontre chez l'
homme
en état d'hypnose. TJne faculté qui sortirait d
nos jours n'a pas. en effet, à se garer des périls qui entouraient l'
homme
primitif et surtout l'animal des époques antérieu
région. C'est la défense suprême des faibles et des vaincus : chez l'
homme
et surtout chez la femme, elle est souvent la sui
personnes versaient d'abondantes larmes, déplorant la perte du saint
homme
dont la seule parole guérissait leurs maladies. I
que vous Save*. Aussi Victor Durny. un ministre qui se connaissait en
hommes
, nomma, en 1865, Jules Liégeois à la Faculté de D
e. Pen Importe ' Jules Liégeois était, ce qui est donné à bien peu, l'
homme
d'une idée, et d'nne idée qui restera dans la sci
du Cœur humain. L'auteur, en effet, les déclare mieux douées que les
hommes
pour l'observation psychologique, et il explique
professeur. Objet du cours : Le cerveau, organe de la pensée chez l'
homme
et chez les animaux. Les mardis à cinq heures,
d'être l'objet En comprenant dnns la dernière promotion les noms d'
hommes
aussi estimés et aussi méritants que le sont les
nt engagés. Nous vivons une époque de gloire où le sang de milliers d'
hommes
est répandu pour l'honneur des armes. Les Princes
s forteresses et maintint sons les armes une armée de plus de 600.000
hommes
. Son grand Maréchal, le fameux Li-Sse fut un héro
dres du Général Moung-T'ien avec l'aide d'un corps d'armée de 300.000
hommes
. Elle était destinée à servir de barrière aux env
revint en Chine en 126 A. D. ; mais en 122 A. D.,à la téte de 800.000
hommes
il revint soumettre tont l'Empire des Huns. Ce fu
fût dans le même siècle que le grand général Sse-Ma-Vi réunit 880.000
hommes
sur les bords du Tang-Tsé ou plus de 1.500.000 ho
réunit 880.000 hommes sur les bords du Tang-Tsé ou plus de 1.500.000
hommes
se mesurèrent jusqu'à la victoire complète de Sse
skan est célèbre en Chine par sa grande bataille de Tangut où 700.000
hommes
se ruèrent pendant deux jours contre les Kin, prè
deux jours contre les Kin, près de la ville de K'aï-Fong-Fou, 200.000
hommes
périreut. H rebroussa chemin après un pacte d'ami
ement au Japon, cette Armada périt dans un typhon avec plus de 80.000
hommes
. Une période de calme semblait régner depuis qu
e tinrent pas pour battus, Young-Tsong en 1436 perdit plus de 300.000
hommes
contre eux. Sous l'Empereur Ouang-Li (1573-1620)
0.000 hommes contre eux. Sous l'Empereur Ouang-Li (1573-1620) 200.000
hommes
et 50.000 cavaliers se trouvèrent engagés à la ba
bestes sont plus odorantes et ont le sens meilleur de odourer que les
hommes
». ^U) Laycock : a chapter on some organic laws
ssicourt a observé une jeune dame qui distinguait à l'odeur seule les
hommes
et les femmes ; elle ne pouvait supporter de sent
crs décrit un cas d'excitabilité exagérée du sens de l'odorat chez un
homme
qui était connu sous le sobriquet de « Fia ire-vo
as fut l'objet d'une expertise médico-légale, laquelle révéla que cet
homme
dépistait les voleurs sans autre guide que l'odor
blanc de celle d'un noir. Dans d'autres conditions l'odorat chez l'
homme
est susceptible d'acquérir une finesse extraordin
raisons de remplir de la manière la plus irréprochable, ses devoirs d'
homme
et de citoyen. Tenté par Alcibiade, Socrate lui r
"Walters, à Melbourne, sous celle du révérend docteur Charles Strong,
homme
plein d'intelligence qui se sépara de la secte pr
au développement et au progrès de l'espèce humaine ; il lui montre l'
homme
primitif, faible, isolé, menant une vie précaire,
s'intéressent aux questions qui touchent à l'humanité tout entière, l'
homme
finira par se rendre compte de ce qui fait la bea
pes dont nous parlons, il y a place pour des réunions particulières d'
hommes
, de femmes et d'enfants dans des dépendances dn t
s femmes, de leur côté, forment des groupes d'assistance sociale. Les
hommes
se réunissent pour étudier les réformes sociales
urut subitement vers I860. Elle épousa, quelques années plus tard, un
homme
divorcé, avec lequel elle avait eu déjà des relat
ue, en Australie, en Arabie et à Madagascar ! Nous eûmes des levées d'
hommes
par voie de conscription, même le service militai
n drapeau. Tous ces sentiments reprennent leur force d'autrefois. Nos
hommes
de guerre ne sont plus les mêmes ; l'armée n'est
uerrier remarquable avec des qualités rares. Tous ceux qui ont vu ces
hommes
au feu. au Tonkin, en Corée en 1900, sont unanime
beau titre : « Armée toujours victorieuse » ; quel stimulant pour les
hommes
! Et combien d'autres exemples à citer : il faudr
amiliale que tout Chinois respecte profondément. Nous obtenons de nos
hommes
tous les réflexes qui correspondent à des ordres
ueil national. On admire le militaire, car il devient un savant, un
homme
de science. Notre grand Etat-Major de Lien-Ping-T
en deux ou trois ans à peine reconstitué une aimée de près de 300.000
hommes
, qui ont été remarqués et'appréciés dans nos dive
L'embarquement, par voies ferrées, d'un corps d'armée de vingt mille
hommes
fut exécuté avec une rapidité, une science et une
ont eu conscience de la force que donne l'organisation militaire. Ces
hommes
que l'on se représente très volontiers comme abso
s que fastidieuses. , On a beaucoup discuté sur la guerre, Tous les
hommes
d'esprit réfléchi sont d'accord pour la considére
se; il a donc toutes les qualités requises pour être un bon soldat. L'
homme
qui fait preuve de courage au travail sera courag
Cela prouve que sous toutes les latitudes, le fonds de l'esprit de l'
homme
reste le même. S'il est possible de l'égarer pend
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
(1) par M. le Dr Bsrillos, professeur à l'Ecole
la marche de la civilisation, tel psychologue déclarait naguère que l'
homme
obtenait les impressions du monde extérieur non p
ffranchir brusquement de l'esclavage du tabac. Et c'est en vue de ces
hommes
de bonne volonté, mais dominés par la passion : c
une apparence cachectique. Tous les matins, vers huit heures, cet
homme
est pris d'une crise de toux sèche, avec dyspnée,
a publié l'observation d'un cas de guérison de tabacoma-nie, chez un
homme
de quarante-cinq ans qui, grand fumeur de cigaret
3 chapitres dont voici la nomenclature : Morale, Nature humaine, Moi,
Homme
. Sagesse, Vertu, Vanité. Action. Vie, Jeunesse, V
faisant œuvre d'éducation, en cherchant à éclairer mon malade sur les
hommes
et les choses, bref, en lui apprenant à connaître
a cause et l'avenir ; que ce n'est pas un mal ; qu'il dépendrait de l'
homme
que ce fut un bien : qu'il lui appartiendrait de
e et nous aide à conquérir le bonheur relatif, le seul accessible à l'
homme
. Séance du 16 février 1909. — Présidence de IL
série de raisonnements, de déductions, de syllogismes tels que : Tout
homme
est mortel, or je suis homme, donc je suis mortel
ductions, de syllogismes tels que : Tout homme est mortel, or je suis
homme
, donc je suis mortel, dont la sécheresse glace l'
upiscence de l'esprit ». Et Malebranche écrivait à son tour : « Les
hommes
ne sont pas faits pour considérer des moucherons
érudit, ni le clinicien subtil, ni le maître sûr et affectueux, ni l'
homme
de bien, ni l'homme de cœur qu'est M. Jules Voisi
cien subtil, ni le maître sûr et affectueux, ni l'homme de bien, ni l'
homme
de cœur qu'est M. Jules Voisin, pour ne pas se re
ueuse affection. Jamais certes distinction n'aura été portée par un
homme
de cœur plus élevé, de plus haute probité, de plu
n les épileptiques et les idiots qui entrent à l'hôpital. Ce sont les
hommes
au génie bienfaisant tels que le Dr Jules Voisin,
Léon de Rosny, son illustre fondateur et président et de sa pléiade d'
hommes
de science qui me délèguent ce soir à ce banquet
tion du terme, l'image la plus parfaite du médecin, c'est-à-dire d'un
homme
qui a consacré sa vie h la recherche désintéressé
de l'olfaction : La fascination olfactive chez les animaux et chez l'
homme
(1) par M. le D' Bebillos;, professeur à l'Ecol
it pas la poutre qui est dans le sien ». Il aurait pu ajouter que l'
homme
n'est pas moins injuste, ni moins susceptible en
pnotisme, septembre et suir.. 23• aimée. (2( Cari Vogt : Leçons sur l'
homme
P. 112. 1878 ni délicate ©t dont la recherche
g en Europe les y fait s'y habituer ; ils ne sentent plus l'odeur des
hommes
et celle des femmes leur provoque des idées volup
de certaines odeurs corporelles ne se manifeste pas seulement chez l'
homme
, il existe au plus haut degré chez les animaux. I
jusqu'alors étroitement unie. Dans un autre cas il s'agissait d'un
homme
du monde, qui pour redorer son blason, avait épou
, puisqu'il joue un rôle prépondérant dans l'excitation sexuelle de l'
homme
. Il n'a pas une valeur sociale moindre au point d
nt oublié de dire qu'ils avaient parqué dans des camps plus de 80.000
hommes
, sans aucune femme, avec interdiction absolue de
la mission idéale qui consiste à élever les enfants et à en faire des
hommes
sans contraindre leur nature et à leur faire aime
lièrement pour le Patronage des aliénés convalescents. On a célébré l'
homme
de science, le psychologue, l'éducateur, le médec
e de science, le psychologue, l'éducateur, le médecin légiste ; comme
homme
de cœur et philanthrope M. Jules Voisin n'est pas
s ces deux domaines ouverts à l'intelligence et à la sensibilité de l'
homme
, de remédier, dans la limite des possibilités hum
e. Assez longtemps vous avez été à la peine — si toutefois, pour un
homme
tel que vous, c'est C-tre à la peine que d'être a
enir, il a fallu qu'il se trouvât à la tête du gouvernement, un grand
homme
d'Etat doublé d'un médecin. Et lorsque tes amis s
n oubli immérité et à te donner.de suite, la juste récompense due à l'
homme
qui, depuis quarante-quatre ans, remplit avec la
areil d'horlogerie remonté à cet effet. Il est certain que certains
hommes
ont le don singulier d'exercer une action personn
'on puisse, avec la plus grande facilité. inteiTompre le sommeil de l'
homme
et des animaux. Les excitations périphériques q
le même fait s'observe lorsque survient une éclipse. Généralement, l'
homme
endormi se réveille en sursaut, lorsqu'une lueur
n jour, et bientôt ne troublera plus son sommeil, tandis que pour les
hommes
de l'équipage appelés ainsi au travail, il conser
n interruption. Ainsi il sera plus facile de provoquer le réveil d'un
homme
si on l'appelle par son nom. Carpenter, dans son
à nn objet différent. Ces divers exemples confirment l'opinion que l'
homme
plongé dans le sommeil est moins indifférent aux
on seulement le réveil, mais aussi le maintien de l'état de veille. L'
homme
, dont le centre du réveil serait altéré, serait a
ré, serait autant dans l'impossibilité de se maintenir éveillé, que l'
homme
frappé dan* 1« pied de sa troisième circonvolutio
sulterait que, l'excitation d'où résulte la veille étant supprimée, l'
homme
s'endormirait successivement. . L'hypnotisme ne s
s de l'existence et l'éducation ont déterminé progressivement, chez l'
homme
, l'évolution du centre du réveil vers un fonction
ritation particulière —. superficielle ou profonde, aussi bien chez l'
homme
que chez la femme, c'est-à-dire localisée à l'ext
le se propose d'instruire et de plaire, même quand elle s'adresse aux
hommes
faits. On publie actuellement des cartes illustré
s ses écrits. Nicole dit dans « l'Art de conserver la paix avec les
hommes
». € La vérité n'est pas suffisante, il faut la f
classe, tantôt par plusieurs (l). Carlyle disait : « Donnez-nous l'
homme
qui chante en travaillant, il fera plus dans le m
e. En conduisant nos élèves dans les usines, nous leur montrerons les
hommes
qui peinent pour donner à tous plus de bien-être
de l'attention et l'observation personnelle,* faculté sans laquelle l'
homme
le mieux doué ne sera jamais dans notre milieu so
e l'homme le mieux doué ne sera jamais dans notre milieu social qu'un
homme
médiocre » — E. Caustier. L'enfant guidé, non con
es. il exprime, en termes positifs, le dédain que doit professer tout
homme
(Il Dans tons les traités classiques,quelqiies
ades, leur consacrant touteS'Ses journées. Enfin un jour vint où un
homme
d'un esprit élevé, Dumontpallier, alors médecin d
quel les élèves caporaux font fonc-tiou d'instructeurs. a) Chez les
hommes
qui prennent goût à l'exercice : dilatation plus
nt goût à l'exercice : dilatation plus ou moins grande. b) Chez les
hommes
que l'exercice ennuie : aucune dilatation. 4° A
ustrer ce jeu du frein. Hilger se sert de la comparaison suivante : L'
homme
éveillé ressemble au visiteur d'un tableau-panora
cilement distinguer le réel de l'irréel. A la nuit tombante ? quand l'
homme
se trouve en état de sommeil) la lumière est diff
on lit ; celle anssi d'observer certains signaux qui tantôt portent l'
homme
à s'éveiller pour procéder à quelque acte, et qui
rmédiaires entre les deux extrêmes de la veille au sommeil complet. L'
homme
en état de sommeil partiel reste en certain rappo
ur se posant la question : Comment peut-on produire le sommeil chez l'
homme
? Cherche à résoudre ce problème en recourant à l
ant à l'étude des symptômes accompagnant l'entrée du sommeil. Quant l'
homme
se trouve en état d'excitation : tels le soldat d
a que l'utopiste qui puisse aspirer à une telle liberté. Xous restons
homme
et tenus à obéir aux lois de la nature, mais pour
qu'il veille à sa santé et pourvoir aux besoins de sa famille. Si l'
homme
obéit à la loi morale, si les idées dominant dans
oser du libre arbitre. Cette qualification ne revient de droit qu'à l'
homme
qui sait maîtriser ces réflexes en opposant avec
at de poui'suivre seul ses études, l'éducation morale doit conduire l'
homme
à l'éducation de soi-même. Des difficultés cepend
ltés cependant peuvent se présenter quelquefois insurmontables pour l'
homme
isolé réduit k ses propres ressources, qui grâce
nstituer réclame la dérivation de l'attention du trouble morbide. L'
homme
à le pouvoir de détourner ses pensées d'une sensa
oudra bien tenir compte de l'opinion qui vient d'être exprimé par les
hommes
compétents qui constituent la Société d'hypno-log
s de l'empereur Claude. Ses historiographes l'ont représenté comme un
homme
d'une timidité poussée à l'extrême. Il se laissai
remettait de lui-même au joug. Louis XIII fut le type parfait de l'
homme
incapable de résister à l'intimidation de ses fam
yant, l'autre lui répondit de même. Cela surprit le roi, comme si cet
homme
eût voulu se moquer de lui. Voyez quelle apparenc
d le domestique lui ouvre la porte, il trépigne et gesticule comme un
homme
excité qui ordonne à quelqu'un de se dépêcher. Le
as leurs occupations et guérissent toujours rapidement si ce sont des
hommes
. Quant aux dames, les unes guérissent rapidement,
omplets ascenderait à 15 à 20 % chez les dames et à 2 ou 3 % chez les
hommes
. Aussi' ne puis-je admettre, sans de plus amples
tomba subitement évanouie, puis, se réveillant au milieu de quarante
hommes
qui l'entouraient, elle tendit les bras, poussa u
ent, elle tendit les bras, poussa un cri et s'évanouit à nouveaux. Un
homme
examina alors ses mains et prétendit y lire : « J
r le calvaire et avait entendu d'étranges nouvelles. A ce moment, l'
homme
qui avait lu la veille dans les mains de la u fem
vous avez fait preuve. Je dirai tout simplement que vous avez été un
homme
admirable à tous les points de vue. Lorsque v
s que des amis. Mais je suppose que. comme la plupart des oseurs, des
hommes
d'initiative, des créateurs de milieux nouveaux e
d'initiative, des créateurs de milieux nouveaux et par conséquent des
hommes
de valeur, il pourrait bien avoir, quelque part,
e est bien la caractéristique de Bérillon. Mais croyez-vous que des
hommes
de cette trempe naissent par génération spontanée
ctère le plus admirable que l'on puisse observer chez les enfants des
hommes
est celui dont l'éducation a été faite par un pèr
de de la volonté et de l'éducation du caractère et de faire ainsi des
hommes
utiles à leur pays et à l'humanité ? N'est-ce p
rête, j'ai essayé de vous faire comprendre, par son père et sa mère l'
homme
que vous connaissez-tous. Et c'est là, la touche
ur but de l'opposer, comme on le fait souvent à tort.au caractèrede l'
homme
officiel. I! y a des médecins et des savants chez
r comme un éloge et comme un compliment. Il signifie que vous êtes un
homme
de principes fermes et que vous avez le courage d
ple au Muséum d'histoire naturelle. Partout, nous avons connu le même
homme
passionné pour l'étude des animaux. Qui pourra as
nimaux. Qui pourra assez éloquemment retracer le bien réalisé par cet
homme
d'esprit si puissant, si large, si bon, si génére
son chef qui haussa les épaules et sourit sans y croire mais qui, en
homme
pratique, engagea son assistant à suggérer chaque
l'hypnose. » J'avais été satisfait de trouver cette phrase chez un
homme
qui n'est pas précisément" ae notre bord et qui a
et d'une autre devenue enceinte après avoir été hypnotisée par un
homme
qui voulait abuser d'elle. Des médecins m'ont aff
les armées d'une nation s'unissaient sur le champ de bataille. Douze
hommes
fatigués, unissant leurs efforts, ne soulèveront-
ergie calorique latente emmagasinée dans les aliments absorbés par un
homme
adulte par jour est de 3.500 calories. Une notabl
ussie des superstitions d'une extrême ténacité, au point que même des
hommes
éclairés, ayant passé par l'Université, ne peuven
rsité pour y faire son droit, sa médecine, etc., mais, pour former un
homme
instruit, on se contente de l'envoyer au collège.
à l'Industrie. En même temps, l'Université est faite pour mettre les
hommes
qui n'ont pas d'ambitions scientifiques, mais qui
tre leur dédain des choses scientifiques. 11 a évoqué le souvenir des
hommes
éminents qui ont immédiatement apporté un concour
tement apporté un concours dévoué et précieux à l'œuvre nouvelle. Les
hommes
du moment n'ont pas moins fait, et M. le Préfet a
caractère, c'est le courage. Ce qui permet de distinguer rapidement l'
homme
de caractère de celui qui en est dépourvu, c'est
e seule et même science: la physio-pathologie du système nerveux de l'
homme
ou neurobiologie humaine ». Tous les hommes de
du système nerveux de l'homme ou neurobiologie humaine ». Tous les
hommes
de bon sens applaudiront aux paroles si sensées d
n me donnant la parole dans cette assemblée, où se sont réunis tant d'
hommes
éminents. Mais, bien que je n'ai aucune prétentio
s de convention qui portent si souvent nos compatriotes à estimer les
hommes
non par la valeur de leurs travaux, mais pour les
le sait. Un des orateurs qui m'ont précédé a rappelé la mémoire de l'
homme
vaillant que fut le père du Dr Bérillon. Moi auss
es études psychologiques n'intéressent pas seulement le médecin ; les
hommes
politiques peuvent en tirer de multiples enseigne
seignements. Lorsque vous analysez les procédés par lesquels certains
hommes
exercent une influence si considérable sur d'autr
s certains hommes exercent une influence si considérable sur d'autres
hommes
, vous ne faites pas seulement œuvre médicale, vou
ormé aux principes du Gouvernement républicain, puisqu'il a décoré un
homme
de mérite, sans s'occuper de ses attaches officie
er sans doute que les autres ne sont que de qualité inférieure. Des
hommes
, qui sont l'honneur de la presse médicale françai
la situation. Beaucoup de félicitations lui ont été adressées par les
hommes
les mieux placés pour avoir une opinion juste sur
surgirait et fournirait une pépinière de chercheurs, de savants et d'
hommes
éloquents, parmi lesquels se recruteraient fa
logie et de psychologie que j'avais le grand honneur de présider. L'
homme
que vous avez devant vous, le chevalier sans peur
ée comme un acte de justice, de tardive justice par un petit nombre d'
hommes
d'élite et de savants illustres qui connaissaient
mais en dehors des chaires et des laboratoires officiels, il y a des
hommes
de haute intelligence qui cherchent, eux aussi, l
sommes tous deux enfants de cette terre de Bourgogne, qui produit des
hommes
fiers, au franc parler et à l'intelligence libre.
ux, j'ai constamment été soutenu par l'approbation et le concours des
hommes
du plus haut mérite. Il est vrai qu'une aversion
nt intéressé par les curieuses expériences de Mesnet, qui plaçait des
hommes
vigoureux dans l'état de fascination et les trans
ensibles à la critique, « genus irritabile vatum », a dit Horace, les
hommes
de science n'échappent pas à cette disposition d'
besogne ». La veille, j'étais un étudiant obscur; le lendemain, un
homme
de grand caractère mettait à mon service les inst
L'amitié de Dumontpallier fut pour moi tutélaire. Les exemples de cet
homme
si grand par le caractère, par la volonté et par
. Elle put compter, dès la première heure, sur la collaboration des
hommes
les plus éminents tels que Dumontpallier, Mesnet,
fisait pour neutraliser ces tentatives malveillantes. Chez tous les
hommes
, même chez ceux qui sont le plus absorbés, il y a
à mes lecteurs leur avis sur l'utilité de réunir dans un congrès les
hommes
qui poursuivaient des recherches scientifiques su
e du plus aimé des maîtres. M. Jules Voisin nous donne l'exemple d'un
homme
dont tous les sentiments sont animés par la plus
ner à bien ses entreprises quand on les poursuit sous l'égide de tels
hommes
! Je ferais preuve d'ingratitude si, aux noms de
sentent l'Université dans le bureau de la Société. Le concours de ces
hommes
éminents a considérablement élargi le programme d
e de ses parrains. Je me fais donc un devoir de rappeler les noms des
hommes
éminents qui dès la première heure ont donné leur
que rien ne la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les
hommes
de science et de bonne volonté se réunissent, com
l m'a remis les insignes de la Légion d'honneur. En approchant de cet
homme
dans lequel tant de savoir s'associe à tant de bo
ssent également les miens. A ce sujet, je lui disais : « Vous êtes un
homme
vraiment extraordinaire il n'est pas rare de renc
qui le connaissent bien disent de lui : « Bienvenu-Martin est un
homme
politique qui ne manque jamais à sa parole. » (Ap
s efforts pour arriver à l'amélioration intellectuelle et morale de l'
homme
. Un jour prochain viendra où nous aurons l'honneu
es : (1) De la Cause du Sommeil Lucide, ou Etude sur la Nature de l'
homme
, par l'abbé José Cuslodio de Faria. Réimpression
l'interrogatoire direct si scrupuleux soit-il, ne peut rien donner. L'
homme
ne sait pas son âge, il se lève la nuit et se pro
son livre : De la cause du Sommeil lucide, ou Etude de la Nature de l'
Homme
; et Braid, le médecin, intitule le sien : Neurypn
éraisonnable puis qu'il se lève et qu'il marche. Quand je prends un
homme
qui a une phobie et qui n'ose aller dans tel ou t
considérable. « L'enseignement médical deviendrait pour beaucoup d'
hommes
de valeur une carrière définitive, et l'on ne pou
Dans l'armée, c'est la droite qui sert de base de formation. Chez l'
homme
. c'est la main droite qui joue le rôle principal.
de chose et tâ'cher de reconstituer le foyer familial. Il faut que l'
homme
seul puisse par -son salaire assurer l'existence
gnerai par une lettre arbitraire, sans même préciser s'il s'agit d'un
homme
ou d'une femme. T... concourt pour la seconde f
de suite que ce moyen n'est que l'effet d'une suggestion faite par un
homme
convaincu de l'efficacité de son procédé. La
tion publique, veuille bien écouter la voix de l'opinion générale. Un
homme
de sa haute valeur ne peut se méprendre sur l'imp
rissable, s'il réalise ce vœu qui recueille l'approbation de tous les
hommes
de progrès et qui est simplement : fa séparation
ursuivons. Ce serait peut-être pousser trop loin l'analogie entre l'
homme
et les animaux que d'admettre chez ces derniers,
variable, mais allant jusqu'au sommeil profond, sont la règle chez l'
homme
. Sans doute, elles ne permettent pas, à elles seu
ie et leur signification pathologique sont-elles les mêmes que chez l'
homme
? • * • Messieurs, vous le voyez, je viens p
des lésions internes; j'ai assisté ainsi à une mort soudaine chez un
homme
que la mer avait rendu très malade. Dr Damoglou
istance nerveuse des animaux soit de beaucoup inférieure à celle de l'
homme
. La douleur et la peur les dépriment à un degré t
e le plus complet et seulement écouter. Les enfants, même devenus des
hommes
, n'ont pas le droit d'assister aux réunions où se
ingt-six ans et appartient à une famille noble de province. Son père,
homme
lettré, lui défend d'assister aux réunions où lui
n 1664 que ces habitudes, devaient être comparées à l'habitude qu'a l'
homme
de fumer ou de priser. En effet, dans les deux ca
ystème nerveux impressionnable. II se rapproche de certains tics de l'
homme
, action de balancer une jambe pendant la station
pourraient être comparés à ces contractions que l'on rencontre chez l'
homme
dans les mêmes conditions et avec les mêmes étiol
s mêmes étiologies. Nous n'ignorons pas cependant qu'il existe chez l'
homme
un certain nombre de mouvements, de contractions
nt pas être attribuée à la danse de St Guy, mais à des habitudes, tel
homme
par exemple soit par limiditc, soit pour éviter l
abitude vicieuse, un véritable tic. On en rencontre d'ailleurs chez l'
homme
quelque chose d'analogue chez ces mendiants qui,
travail dont nous extrayons les passages suivants : « Les tics de l'
homme
ont été considérés longtemps comme une maladie de
éressante qu'elle paraissait incurable. On sait que le trouble de l'
homme
est un trouble psycho-moteur, « une cérébropathie
La monographie que MM. Meige et Feindel ont consacrée aux tics de l'
homme
et à leur traitement peut servir de point de comp
des tics cliniquement comparables et d'origine identique à ceux de l'
homme
. Comme nous le disions dans une précédente étude,
m de tics reconnaissent mômes causes et même pathogénie que ceux de l'
homme
. De fait, nous avons pu constater déjà que le t
me particulier) qui sont précisément la caractéristique des tics de l'
homme
. Le tic de l'ours et les tics du léchage du cheva
il est de tous points comparable à celui des tics d'imitation chez l'
homme
. Un supplément d'enquête vérifiera peut-être les
ice initiale qui se trouve aussi à l'origine de beaucoup de tics de l'
homme
. Une question très importante, enfin, serait de
voir si un mode de traitement analogue à celui qui est employé chez l'
homme
pourrait être applicable à l'animal. L'idée de so
cher, comme nous l'avons fait précédemment, l'étiologie des tics de l'
homme
et celle des tics des animaux. Quant au traitemen
Quant au traitement, ils se demandent si celui qu'on applique chez l'
homme
et que vous qualifiez de rééducation et de discip
serait évidemment plus délicat, plus difficile à appliquer que chez l'
homme
, surtout lorsqu'il s'agit des gros animaux qui ne
oliques, Bruxelles. D' Georges Rouhet : L'entraînement complet de l'
homme
, 542 pages, grand in-S, avec figures, Feret, Bord
e, D'Lux, médecin principal, M. Gallia, professeur, M. Xavier Privas,
homme
de lettres ; Dr de Torres (de LuchonJ, Dr Hotleni
a psychologie de l'enfant normal ou anormal. 5* La psychologie de l'
homme
anormal. 6° La psychiatrie. 7* La psychologie
ines scientifiques. La présence à la présidence de cette réunion d'un
homme
d'Etat éminent est le gage de l'intérêt que les p
dans cette étude Pataraxie absolue dont ne doit jamais se départir l'
homme
de science. Et vraiment. Messieurs, comment un
se départir l'homme de science. Et vraiment. Messieurs, comment un
homme
de science pourrait-il se montrer intolérant ?
s interdirait, en dehors de toute autre considération, de traiter ces
hommes
avec mépris ou avec haine. Mais n'est-il pas in
zareth ? Cette étude n'a-t-elle pas été faite maintes fois et par des
hommes
de valeur? Les noms de Strauss et de Renan ne suf
? Non, Messieurs, car si haute que soit la valeur personnelle d'un
homme
, il ne peut disposer que des moyens de son époque
rne sous l'œil d'un plus humble chercheur. Que dis-je? L'œuvre d'un
homme
est l'œuvre de tous les temps. Tous les hommes y
ue dis-je? L'œuvre d'un homme est l'œuvre de tous les temps. Tous les
hommes
y collaborent. Nul ne peut se vanter d'être le fi
euls, et, depuis eux, les collaborateurs anonymes et innombrables des
hommes
de génie ont travaillé sans relâche. La science a
s religieuses. — Au surplus, s'il y avait deux manières d'étudier les
hommes
, l'une destinée au vulgaire, l'autre réservée aux
te de méthode que les théologiens. Ils ont affirmé que Jésus était un
homme
supérieur, sans s'être demandé s'il avait réellem
si que, négligeant toute enquête préalable, Ernest Renan en fait un «
homme
divin », Paul de Régla le plus divin des révoluti
Paul de Régla le plus divin des révolution- naires, Jules Souryun
homme
de génie. — Aussi ces auteurs s'égarent-ils, comm
rbe encore plein d'actualité en Syrie : « Le mensonge est le sel de l'
homme
». La vérité est que ces divers auteurs, soumis
de poème, un personnage de roman. Certes il n'est pas interdit à l'
homme
de science d'être un artiste à ses heures, mais,
a Nul plus que moi, Messieurs, n'admire Ernest Renan. C'était un
homme
d'une vaste érudition et d'une intelligence supér
ien précis et clairvoyant, lorsque l'artiste en lui n'étouffait pas l'
homme
de science, un styliste qui n'ignorait rien des d
gnorait rien des délicatesses de la langue française. Mais quel grand
homme
n'eut â souffrir de son éducation? Ernest Renan,
exégètes laïques furent aussi victimes de leur sentimentalité. Or, l'
homme
de science, pendant le temps qu'il s'emploie à la
d'une minorité; alors que la vérité est, pour l'immense majorité des
hommes
, la condition indispensable du bien-être et du bo
euve du contraire : i" S'il n'est pas établi que l'historien est un
homme
de mauvaise foi ; 2° Si ce fait n'est pas en co
, la personnalité de Jésus. Un autre fait d'observation est que les
hommes
capables de dominer leur imagination, leurs senti
oierai à la faire, et aussi avec l'indulgence à laquelle a droit tout
homme
qui s'efforce, d'un esprit courageux et d'un cœur
c'est aussi grâce à l'appui moral d'un comité de patronage composé d'
hommes
éminents, et à la tète desquels nous trouvons l'i
s l'influence d'un exercice corporel régulièrement pratiqué. Chez l'
homme
, l'état d'enlrainement se produit souvent sans qu
recherche de cet état est l'unique objectif du travail corporel que l'
homme
s'impose volontairement. C'est ce qui arrive quan
re générale, que la pratique habituelle des exercices du corps rend l'
homme
plus fort et plus résistant à la fatigue. Ce sont
incipaux qu'apporte l'entraine-ment dans les aptitudes physiques de l'
homme
. Ils se produisent très rapidement, quand l'exerc
progression régulière. Pour fixer les idées, prenons l'exemple d'un
homme
bien portant et bien constitué, qui n'aurait jama
fait même de son travail, explique l'augmentation de sa force chez l'
homme
entraîné. Mais ce n'est pas tout. L'homme entra
tation de sa force chez l'homme entraîné. Mais ce n'est pas tout. L'
homme
entraîné n'est pas seulement devenu plus fort, c'
admettre qu'ayant à sa disposition une plus grande somme de force, l'
homme
entraîné puisse l'utiliser à faire un plus grand
utres conditions qui peuvent la provoquer. Voici, par exemple, un
homme
qui court à toute vitesse. Chez celui-là ce n'est
ue vient donc souvent du manque de souffle. Or, l'entraînement rend l'
homme
plus résistant à l'essoufflement, aussi bien qu'à
exposé du mécanisme de l'essoufflement nous permet de conclure que l'
homme
y résistera d'autant mieux que la capacité foncti
nnemeni d'ordre purement matériel. Nous trouverions de même, chez l'
homme
entraîné, des modifications organiques capables d
rimée à toutes les fonctions de nutrition, expliquent l'immunité de l'
homme
entraîné pour la fatigue tardive, celle qu'on voi
ire souvent en plein repos, le lendemain d'un exercice violent chez l'
homme
qui n'y est pas habitué. Au lendemain d'une march
rée des tissus vivants sous l'influence de l'excès de travail. Chez l'
homme
entraîné, les tissus vivants résistent mieux au t
rfectionnement de toutes les aptitudes physiques qu'on observe chez l'
homme
entrainé. Mais, si on y regarde de près, on aperç
Et d'abord l'augmentation de volume et de densité des muscles chez l'
homme
entraîné n'explique pas toutes les particularités
elle d'un agent physique et provoquer chez un animal, ou même chez un
homme
, des mouvements involontaires au moyen de l'élect
; mais il importe de remarquer que, dans les conditions ordinaires, l'
homme
est loin de pousser jusqu'aux dernières limites l
es apparences, la somme totale que chacun possède varie très peu d'un
homme
à l'autre. Ce qui varie beaucoup, c'est la facult
n voisin a été attiré dans un guet-apens, à 9 heures du soir, par des
hommes
masqués qui lui ont coupé le cou. La vérité était
à un enseignement donné sans enthousiasme et sans conviction par des
hommes
qui se préoccupent avec raison de ce qu'ils devie
voir que l'agrégation n'a jamais servi à mettre en relief la valeur d'
hommes
supérieurs, ni contribué à la gloire de la scienc
es grandes étapes de la science médicale a été marquée par des noms d'
hommes
qui ont été rejetés par les concours, ou qui, mie
ginaux sortis de l'Institut Pasthur, on verrait qu'ils sont dus à des
hommes
qui, comme Nocard, Chamber-i.and, Metcunikoff, Ye
ainsi ressortir un des plus grands inconvénients du concours : « Tel
homme
, disait-il excellemment, médiocre en apparence ju
douloureux sacrifices, sa résistance impassible aux affronts. « Peu d'
hommes
, disaient-ils, ont, au même degré, abdiqué leur s
d'éducation que l'entraînement agit pour augmenter la résistance de l'
homme
à la fatigue. L'état de fatigue est caractérisé
diminution des forces ; 2° un symptôme subjectif que, seul, perçoit l'
homme
fatigué, c'est un malaise particulier, une sensat
donne conscience ne nous en donne pas toujours la mesure exacte. Un
homme
qui, au cours d'une longue étape, s'arrête et se
qui, livré à lui-même, cesse de trotter et ralentit son allure. Sur l'
homme
fatigué, une forte émotion, une excitation de col
mbes, que les muscles avaient encore de la force en réserve. Chez l'
homme
entraîné, la sensation de fatigue se produit beau
résister plus longtemps sans interrompre son travail. Il semble que l'
homme
entraîné sache obtenir de ses muscles fatigués, p
ion qui le « galvanise *. Si la fatigue se produit plus tard chez l'
homme
entraîné, c'est pour deux causes très distinc
ésulte une aptitude à moins se fatiguer en faisant un même travail. L'
homme
entraîné se fatiguera moins en marchant, non seul
La forme de fatigue qu'on appelle l'essoufflement s'atténue chez l'
homme
entraîné, non seulement parce que son poumon et s
t de la force, mais parce que ses organes ont appris à fonctionner, L'
homme
qui s'entraîne apprend à augmenter le rendement d
. Et ce sont justement ces caractères qu'acquiert la respiration de l'
homme
entraîné : il s'est habitué progressivement à lut
ndérant de l'éducation des organes, pour augmenter la résistance de l'
homme
entraîné à toutes les formes de la fatigue. Quand
stance de l'homme entraîné à toutes les formes de la fatigue. Quand l'
homme
lutte contre la sensation de fatigue, sa volonté
a volonté est devenue plus forte et ses sensations moins vives, que l'
homme
entraîné arrive à soutenir son effort plus longte
lus longtemps. Mais lorsqu'il continue son exercice alors qu'un autre
homme
serait obligé de s'arrêter, il n'est pas tout à f
e, la sensation de fatigue perd presque complètement son empire sur l'
homme
. II en résulte alors la suppression d'un avertiss
alors la suppression d'un avertissement prévu par la nature ; et si l'
homme
continue son exercice intensif, il risque de tomb
l d'alarme ne fonctionne plus, alors qu'il fonctionne trop tôt chez l'
homme
qui n'a aucune habitude de l'exercice corporel, a
s des exercices de vitesse ou de force. Plus fréquemment, on voit des
hommes
surentraînés devenir dangereusement malades, pour
dispensable à l'équilibre vital. Il n'en reste pas moins vrai que l'
homme
sagement entraîné conserve, sur l'homme qui manqu
en reste pas moins vrai que l'homme sagement entraîné conserve, sur l'
homme
qui manque d'entraînement, une supériorité qui s'
qu'un esprit de décision, qui sont les caractères psychologiques de l'
homme
bien entraîné. A côté de toutes ces modificat
urs rapide et quelquefois instantanée vient, à chaque instant, chez l'
homme
entraîné, renforcer les résultats obtenus lenteme
timent de l'augmentation des forces. Il se développe très vite chez l'
homme
qui commence à s'entraîner et favorise, dans une
connu les auteurs. On pourrait en citer mille autres semblables. Un
homme
parcourt, la nuit, à bicyclette, une route accide
. 11 en explique une foule d'autres qu'on observe journellement sur l'
homme
en état d'entraînement. Le souvenir 1 un effort c
n de confiance en soi-même peut avoir une portée incalculable. Chez l'
homme
bien portant elle sera l'origine de la hardiesse,
pacha, son docteur, n'a pu l'éloigner de son vice. Jadis aimable et
homme
du monde, il est devenu grossier et indélicat; se
ble, il nous avait tracé le but philosophique auquel doit tendre tout
homme
doué d'intelligence et de volonté. Tout récemment
ont autorité. Alors qu'elle n'avait que l'embarras du choix parmi des
hommes
du plus haut mérite, la Faculté de Paris préféra
e et il y dirigeait les dissections de quatre-vingts élevés, Ce grand
homme
, dont la statue décore la cour de l'Ecole de Méde
venir le foyer d'une grande activité scientifique. Depuis lors, les
hommes
qui ont le plus contribué en France au progrès de
on se résignait à des demi-satisfactions. On nous montrait tantôt des
hommes
dans des vêtements étriqués, aux combinaisons de
pays sans histoire, où la guerre est encore de tous les jours, où les
hommes
vivent continuellement dans d'immenses espaces à
couleurs elles mouvements. • Aux premières époques guerrières, les
hommes
se préparant à combattre n'ont pas connu de théor
e la forme et de la couleur sont doubles ; ils agissent d'abord sur l'
homme
— autosuggestion — ensuite par l'homme — suggesti
s ; ils agissent d'abord sur l'homme — autosuggestion — ensuite par l'
homme
— suggestion sur les voisins, camarades, alliés o
ens dans la conversation. C'est le contraire qui se présente chez l'
homme
correctement habillé ; il y a donc ici suggestion
ctement habillé ; il y a donc ici suggestion du vêtement. De même l'
homme
qui se sent revêtu d'un uniforme seyant, brillant
uadant que si quelqu'un peut, à la rigueur, prétendre à se passer des
hommes
, nul ne peut se vanter d'être inutile aux autres.
les concours de l'agrégation ne peuvent aboutir qu'à un recrutement d'
hommes
médiocres, dépourvus d'éloquence, de caractère, d
nt acquis la ressource de faire plus sagement de la psychothérapie. L'
homme
qui a le plus contribué à effectuer cette révolut
érité profonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable
homme
de science. Dans un Etat bien organisé, une cha
us considérés par les pouvoirs publics, que les inventeurs et que les
hommes
d'initiative. Si l'on prend à la lettre la défi
s d'élèves que beaucoup des professeurs les plus en vue. II y a peu d'
hommes
auxquels autant de médecins cminenls français ou
possible que nous lui pressentons, est l'expression même de la vie. L'
homme
lui-même en donne personnellement la preuve : tan
bre par tous ses points et rien en elle ne laisse deviner l'action. L'
homme
couché, endormi, ou mort, donne une juste idée de
e éducation tend il est vrai à enrayer le geste, à le supprimer, et l'
homme
suffisamment maître de lui arrive à exprimer ses
une joie inattendue, le plus fin diplomate ne se distinguera pas de l'
homme
le plus fruste, dans l'expression spontanée, par
ne nouvelle ou d'une surprise agréables, d'un étonnement joyeux, tout
homme
en état de sentir et de vibrer, lèvera spontanéme
connue et employée des Egyptiens. Napoléon Ier, ce grand manieur d'
hommes
des temps modernes, initié déjà par Champollion e
e horizontale pouvait représenter d'inactif et de mort. Depuis, nos
hommes
ne mettent plus sur l'oreille leurs képis à visiè
rencontré de régiment qui surpassait le 23e chasseurs. « [-'espèce d'
hommes
qui le composait, dit-il, était superbe et proven
des caractères tient surtout à sa toiture, à son couronnement, chez l'
homme
, et en particulier chez le soldat, c'est la coiff
d'une époque, depuis les salades à bords rabattus des archers et des
hommes
d'armes de Philippe VI et de Charles VII, les cas
ne vous tourmentez pas du tout, car celui qui est devant vous est un
homme
comme vous, et il ne faut pas avoir peur; avec un
s qui ont traita la vieillesse; on lit enfin dans les biographies des
hommes
célèbres ou dans les critiques de leurs œuvres de
un personnage, il nous fait connaître que le roi Lear fut toujours un
homme
anormal et mal équilibré. Voilà en quoi consiste
ùment paternel le plus stupide et le plus émouvant et qui fait de cet
homme
un ridicule et un martyr, tout cet ensemble nous
u montant de la porte, il redevenait l'ouvrier stupide et grossier, l'
homme
incapable de comprendre un raisonnement, insensib
rendre un raisonnement, insensible à tous les plaisirs de l'esprit, l'
homme
qui s'endormait au spectacle, un de ces Dolibans
entière, mais qui aurait eu le malheur de vivre très longtemps? Tout
homme
à la longue et dans un âge très avancé tombe dans
u-dessus de la moyenne normale, il y aurait la classe privilégiée des
hommes
jouissant de leurs facultés intellectuelles à un
lissement psychique atteignait au môme degré toutes les facultés de l'
homme
vieilli, la psychologie de la vieillesse n'aurait
e n'aurait aucune raison de nous occuper ; elle aurait été celle de l'
homme
adulte, affaibli. Pourtant cette irrégularité n'e
é pour faire cette enquête ne Test pas en réalité. A un âge avancé, l'
homme
est incapable de s'observer et de fixer les chang
le rapproche de l'enfant; elle est symptomatique de la décadence de l'
homme
. La psychologie de la vieillesse sur laquelle j
ujours un facteur qui frappa mon attention : la joie qu'éprouvent les
hommes
, surtout les primitifs, par l'état d'extase, fait
ort étroit ; et l'extase même et la joie qu'elle produit poussent les
hommes
vers les cérémonies religieuses. Qu'entendons-n
. le Docteur Mercier relate dans le journal Lancet l'observation d'un
homme
qui, depuis plusieurs années, présentait à un deg
égation : o De l'aveu de tous, l'étranger nous devance; pour quelques
hommes
de valeur dont nous pouvons encore nous glorifier
e de l'Instruction publique tiendrait compte d'un vœu exprimé par des
hommes
animes d'un sincère amour du progrès. Depuis long
ocratique Berlin, on se préoccupe plutôt de favoriser l'accession des
hommes
de valeur aux chaires de l'Enseignement supérieur
ps considérable. L'enseignement médical deviendrait pour beaucoup d'
hommes
de valeur une carrière définitive, et l'on ne pou
en eux, comme il réside en toute l'humanité; seulement la plupart des
hommes
et des femmes le laissent sommeiller en des profo
'épi-derme le remplissage et le recouvrement. On peut même dire que l'
homme
est le prototype de l'architecture. Puisque tou
ute ossature — ou tout squelette — représente en construction, chez l'
homme
et les animaux, la partie la plus solide de tout
tte surtout, les os de la clavicule. On n'a qu'à comparer entre eux l'
homme
dépourvu de cet accessoire et celui qui le ]>o
vrir un autre. Nos fantassins en tenue d'hiver présentent un aspect d'
hommes
d'allures peu dégagées, peu martiales. Dans le
ementerie n'est du reste plus absolument nécessaire, surtout pour des
hommes
à pied. (Les cavaliers aussi combattent plus fréq
if nécessaire, urgent. On n'a qu'à contempler quelques instants des
hommes
revêtus d'un pantalon uni (la majorité chez nous)
ainsi que de MM. Barthe, médecin vétérinaire en premier, et A. Vogel,
homme
de lettres. Ces candidatures sont adoptées à l'un
t, de la vogue dn monde médical. Je dois dire qu'il a pour parrain un
homme
considérable, le grand Trousseau, dont les Cliniq
inicien Trousseau comme répondant ; mais le respect que l'on doit aux
hommes
éminents ne va pas jusqu'à accepter, sans sourcil
ume, toutes les fois que j'en ai l'occasion, contre cette erreur d'un
homme
de génie et j'estime que la belladone, surtout au
suffit à provoquer des troubles cérébraux. Il y a quelques mois, un
homme
âgé de 36 ans, entrait dans mon Etablissement. Ce
rs membres de la secte se roulent sur le parquet comme des clowns. Un
homme
taillé en Hercule, se tient debont au milieu de l
une balle et qu'ils voulussent l'extraire, tandis qne. devant eux, un
homme
pousse un cri aigu qui semble celui d'un chat sau
: Si tu ne fais pas plus de bruit, mon frère, tu seras perdu ! » Un
homme
d'environ 40 ans est étendu sur le parquet, immob
r la tête de son frère agenouillé ; l'effet est subit, miraculeux : l'
homme
, en proie à son paroxysme, rentre subitement dans
ppel Messieurs. « On a besoin, disait un écrivain, pour louer les
hommes
vulgaires d'emprunter les ornements de l'éloquenc
que. Mais il devait retrouver dans la capitale de la Lorraine, deux
hommes
avec lesquels il se lia vite et qui eurent tôt fa
e, je répondrai que le caractère et la probité professionnelle de ces
hommes
me sont garants de leurs doctrines. Le livre de
heures d'horloge, Liégeois, avec la calme et robuste conviction d'un
homme
de l'Est, avec sans doute cet accent un peu rude
odalités de l'hypnose : puis, se souvenant enfin qu'il est surtout un
homme
de droit, qu'il se propose de fournir au juge des
ter par l'hypnotisme afin de le guérir de sa neurasthénie. C'est un
homme
d'une trentaine d'années, d'une très grande activ
onne voie de guérison. Je ferai remarquer ici que M. F., qui est un
homme
très intelligent, s'intéresse aux j hénomènes hyp
inhibition hypnotique. Pour que cette inhibition se produise et que l'
homme
, devenu indifférent au milieu extérieur, tombe de
facilité avec laquelle l'attention se monoidéise, on peut dire que l'
homme
justifie la définition suivante que. pour ma pari
uivante que. pour ma pari, je suis souvent tenté de lui appliquer : L'
homme
est avant tout, un animal hypnotisable ». En effe
avec les. psychologues les plus compétents. « Chez la plupart des
hommes
, a dit mon éminent confrère le Dr « Bérillon. sou
nt s'interdire de diminuer en l'analysant, ce sentiment, ce credo des
hommes
religieux que cultiver la douleur c'est pour la c
ont nous avons déjà parlé dans une étude antérieure (1). « Ce saint
homme
, nous dit Sle Thérèse, avait passé quarante ans s
nce peu connu mais bien périlleux ; cet abbé, fondateur de l'abbaye d'
hommes
et de femmes de Fontevrault, « entrait (2) courag
« ventre par une longue corde a nœud coulant, tirée par un groupe « d'
hommes
pendant que le patient secoue toujours la tête qu
tions qui. suivant le mot de Benjamin Constant, est dans le cœur de l'
homme
, s'est toujours associée à l'idée religieuse, l'u
développer les qualités de prudence, de réflexion sans lesquelles un
homme
reste incapable de se diriger sainement dans la v
és intellectuelles, etc. Chervin a eu la bonne fortune de trouver des
hommes
extrêmement compétents et impartiaux pour répondr
d'un accident d'automobile qui enleva h sa famille et à la science l'
homme
d'élite, de vaste savoir, de noble cœur qu'était
ement a votre mémoire ses titres et qualités sous le triple rapport d'
homme
de bien, de savant et de novateur ! A l'âge de
au recteur de l'Université de Nancy, M. Adam. Après ses qualités d'
homme
dé bien et de savant, il convient d'exposer ses t
n départ laisse un ineffaçable souvenir dans le monde scientifique.
Homme
d'une loyauté remarquable, Liégeois a passé sa vi
us avec les phénomènes de l'hypnotisme et de la suggestion. De tels
hommes
sont rares, et heureuses les doctrines nouvelles
heureuses les doctrines nouvelles qui trouvent, pour défenseurs, des
hommes
d'une science aussi profonde et d'un aussi noble
ux visiteurs, à ses admirateurs, a ses nombreux amis le souvenir de l'
homme
de bien et du grand savant que fut le professeur
e Janet lorsqu'il donnait le nom de suggestion à cette influence d'un
homme
sur un autre qui s'exerce sous l'intermédiaire dn
nement des professeurs, la vibration des tragédiens, la séduction des
hommes
d'affaires et l'évangélisation des pasteurs. Il e
hommes d'affaires et l'évangélisation des pasteurs. Il est encore des
hommes
qui s'imaginent avoir des convictions, une opinio
portes, mais aussi tous les cerveaux. Comme me le disait récemment un
homme
d'esprit de mes amis : « La suggestion, mais c'es
i cette définition était exacte il faudrait selon l'expression d'un
homme
d'esprit, nommer suggestion la démonstration par
celui d'acte. S'il fallait énumérer par le menu tous les actes qu'un
homme
accomplit depuis son lever jusqu'à son coucher, o
uche, puis il dira quelques paroles. Si j'en crois l'universalité des
hommes
, il y a antinomie complète entre le fait de parle
es, passons aux actes. * Il parait que tout cela est changé. Quand un
homme
parle dans l'inteution de suggérer son prochain,
telle que l'a définie l'enseignement scolastique. La plupart des
hommes
qui ont reçu quelques notions des sciences modern
t qu'un livre sacré relate des événements miraculeux, il suffit qu'un
homme
religieux, sous une forme quelconque, retrouve la
besoin qu'il a de voir dans les grands événements et dans les grands
hommes
quelque chose de divin, crée après coup les légen
Ce même sentiment a été exprimé par St Augustis : « Pourquoi donc « l'
homme
trouve-t-il quelque attrait à regarder les événem
a tristesse est le sentiment le plus agréable « que puisse avoir un
homme
, dans le temps qu'il n'a pas le bien qu'il « so
nt que mon cœur se sent vivre, Ma force est dans mon désespoir. L'
Homme
intérieur, xxvi. * * Jean Moréas : O mer, o
ance des modifications apportées dans le fonctionnement cérébral de l'
homme
par l'hypnotisme et par les états analogues. Av
sulte la démonstration de ce fait gros de conséquences sociales que l'
homme
si disposé à la discussion, à la contradiction, à
actère. * * Liébeault a eu des détracteurs, comme tous les grands
hommes
; mais ce n'est point de leurs écrits que lui son
édain des jugements superficiels. Mais il est un spectacle auquel l'
homme
de science, malgré la sérénité de sa philosophie
sagrègent les doctrines scientifiques les micnx établies. Lorsqu'un
homme
, par une longue concentration d'esprit, qui est l
collaboration et réconforté -de leur amitié. Au premier rang de ces
hommes
intègres fnt toujours Liégeois. Le buste que nous
Jules Liégeois enveloppé dans les plis de sa robe professorale. Les
hommes
de devoir et d'étude qui ont suivi pendant tant d
let, août et septembre 1909). Mais cette proposition émanait d'un
homme
investi de fonctions universitaires officielles e
malgré son caractère indéfini, son influence est familière à tous les
hommes
, et que, depuis l'antiquité, la langue vulgaire l
spécifiques. Il suffit de comparer entre eux le fœtus, l'enfant et l'
homme
fait pour voir qu'au cours du temps l'individu ne
psychologiques. Pascal l'avait dit avant nous : « Toute la suite des
hommes
, pendant le cours de tant de siècles, doit être c
ndant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un même
homme
qui subsiste toujours et qui apprend sans cesse.
tout l'esprit de notre livre : « L'appétit est l'essence « même de l'
homme
, de laquelle découlent nécessairement toutes les
ain, qui peutêtre n'existe pas encore, mais que l'effort associé de l'
homme
et de la nature saura réaliser plus tard. Nous
et des bas non moins considérables que les espoirs et les actions des
hommes
. A cet égard le microbe et le diplodocus symbolis
s, de ses incertitudes et de ses créations infatigables, l'espoir des
hommes
comporte également des produits extrêmes. Tantôt
igeances de l'analyse mathématique ou littéraire. Car telle œuvre des
hommes
ou de la nature, qui était légitime a son époque,
nt des publics si différents et si opposés de tendances a celles de l'
homme
de l'art chez lequel Ils accourent chercher soula
un qui en a l'idolâtrie. En effet, nous lisons, à la page 52: « L'
homme
à qui l'on confère le diplôme de Docteur en médec
contraire a la logique et. pour parler net, un sophisme. Il se dit
homme
de science et il superpose aux recherches puremen
e de poser un problème de métaphysique ; il doit l'ignorer. Mais, l'
homme
de science, une fois sorti de sa spéculation, se
. — en dehors de toute métaphysique scientifique ou religieuse. — les
hommes
de science, une fois rentrés dans la vie pratique
— les hommes de science, une fois rentrés dans la vie pratique. Si l'
homme
a le pouvoir de rendre certaines représentations
e terrain phénoménal de la psychologie concrète, ce serait arracher l'
homme
de science aux passions politico-religieuses !
ntir l'esprit religieux. Comme citoyen, c'est son droit strict; comme
homme
de science, il n'a nul droit de mobiliser telle s
se, à propos d'un problème qui m'intéresse autant que lui, en tant qu'
homme
et que philosophe. Au cours de cette trop longue
ychologie et la médecine (1) Il n'en fut rien. Ce fut en vain que des
hommes
à l'esprit élevé, comme Azam ide Bordeaux) Velpea
ion. Son livre sur le Sommeil (6) consacre le point capital, que si l'
homme
dispose, à l'état de veille, d'un pouvoir de cont
i. Liébeault donnait à cette intervention psychologique exercée sur l'
homme
hypnotisé, ou placé dans un état passif, le nom d
cientifique. Comment se fait-il que. dans ce domaine ou les travaux d'
hommes
d'une si haute valeur scientifique avaient apport
de peine à dégager l'hypnotisme et la psychothérapie est le fait d'un
homme
qui a cru que son titre de professeur devait suff
s qui heurtent notre entendement le plus difficile à comprendre « L'
homme
à qui l'on confère le diplôme de docteur en médec
gés de classe, de caste, de famille, tout ce que l'éducation met en l'
homme
de fatalité ; ils y apportent cette obstination,
ne pas me dire, écrivais-je encore : « Le suggestionné, le croyant, l'
homme
de foi c'est vous ! Vous nous reprochez d'avoir l
rompent pas. Voici le commentaire de mon ami courroucé. « Il se dit
homme
de science et il superpose aux recherches puremen
n motif ou un mobile déterminant. Les circonstances dans lesquelles l'
homme
pourrait se déterminer pour l'un ou pour l'autre
s de bons observateurs ? — Il s'en faut bien. Presque tous furent des
hommes
ignorants, imbus de grossiers préjugés populaires
vons parlé ne suffit même pas pour obtenir de bonnes observations. Un
homme
bien doué et bien entraîné fera des mauvaises obs
s utiles. C'est ce qui a été observé chez un certain nombre de grands
hommes
et en particulier chez Ch. Darwin qui. tout enfan
a division parcellaire, l'affaiblissement de l'esprit, diminue dans l'
homme
la plus noble partie de lui-même et la rejette da
e partie de lui-même et la rejette dans l'animalité. Dès ce moment, l'
homme
déchu travaille en brute ». C'est également la co
ait chez autrui aucune intention de provoquer cet état. En un mot, un
homme
peut s'auto-hypnotiser involontairement et sponta
torité naturelle ou auxquelles on attribue quelque prestige. Certains
hommes
sont doués naturellement de ce pouvoir d'intimida
n'ai plus rien pu en faire. 31. Dacbiac rapporte l'observation d'un
homme
de 35 ans qui était sujet à des crises d'agorapho
e, ni aucune sensation nette de cuisson. L'idée me vint alors que cet
homme
simple n'avait, probablement, jamais connu le sin
re catégorie : Celle comprenant tous les animaux qui vivent près de l'
homme
, en une liberté relative, qui sont capables d'un
ses services, est depuis presque toujours, adapté aux exigences de l'
homme
; il l'aide dans ses travaux, le sert dans ses pl
es autres. Donc pour obtenir du cheval, la docilité nécessaire, l'
homme
a dû employer autre chose que la force purement m
consentement organique — recherché par nos collègues les médecins des
hommes
, comme nécessaire à toute suggestion. D ne s'ag
e du DT Callamond snr les mémoires extraordinaires de certains grands
hommes
m'a rappelé le cas d'un vieillard nommé Jules Zos
sommets de ta hiérarchie professorale ; d'autant plus que chez Ini l'
homme
était encore supérieur nu professeur. C'est ce qu
universitaires, a donner ainsi l'appui de son autorité n nn groupe d'
hommes
indépendants, n'ayant pour toute recommandation q
te dans les milieux officiels, il me répondit : « Détrompez-vons, les
hommes
d'esprit indépendant ne sont pas si rares que vou
par suggestion pendant une opération chirurgicale. Il s'agissait d'un
homme
de vingt-six ans sur lequel M. le Pr Le Port deva
vant la plus complète immobilité, peut-être même ne pensant plus, cet
homme
n'a qu'un seul souci pendant la durée du long hiv
yer des locomotives sur la voie ferrée de Liverpool a Manchester, des
hommes
instruits se firent fort de prouver qu'il était i
concevoir. Si jusqu'à présent la psychologie n'a guère été pour les
hommes
politiques qu'un bagage inutile, la faute doit en
gler sa conduite politique sur la proposition de Nassau Senior! «Tout
homme
désire augmenter sa richesse avec aussi peu de sa
menter sa richesse avec aussi peu de sacrifices que possible '? » Les
hommes
se ressemblent, mais ils ne sont pas tous identiq
elle a énoncés ont été depuis longtemps contredits par les faits. L'
homme
est un animal raisonnable, mais bien souvent il e
retrouvent chez tous les humains et leur nature ne change guère d'un
homme
a l'autre. Ce qui change, ce sont les objets exté
électeurs que la haine de la race jaune. En dépit des apparences, les
hommes
sont des êtres merveilleusement divers. Le poli
ptif renfermera les faits qui se rapportent an milieu où sont nés les
hommes
étudiés et à l'influence de ce milieu sur leurs i
temps de faire pénétrer dans le peuple les résultats de l'étude de l'
homme
, poursuivie d'année en année par des centaines de
u'elle ne causerait sans doute aucun grand conflit international. Les
hommes
s'accoutument an fait que leurs voisins ne leur r
ion des .procédés de l'analyse quantitative à tous les sujets dont un
homme
d'Etat peut se préoccuper? Seraient-ce les deux c
hénomènes de la pensée. Cette étude serait aussi vaine que celle d'un
homme
qui après un repas s'analyserait avec le projet d
e doit connaître la physiologie des divers organes. La mentalité d'un
homme
n'est pas celle d'une femme, personne n'ignore qu
nfort et pour nous une immense sympathie pour la malheureuse race des
hommes
en proie à tant de misères et dont les peines phy
lées — excusez la . vulgarité de l'expression — pour des idées ou des
hommes
qui étaient censés les représenter. Il s'agit de
eurs semblables. Nous éprouvons la plus vive admiration, non pour les
hommes
qui chantent les premiers vers de la Marseillaise
dèles au culte de l'équité ? En M. Cruppi, je salue non seulement l'
homme
d'Etat éminent dont le passage a laissé au pouvoi
1» Cour d'appel, professeur a l'Ecole de psychologie. En France, un
homme
condamné par une Cour d'Assises ou par un Tribuna
ndamné par une Cour d'Assises ou par un Tribunal Correctionnel est un
homme
déshonoré. Il est marqué au front, pour ses conte
l'échafaud qui fait la honte et non pas le crime. Le monde a pour des
hommes
aux mœurs inavouables, pour d'autres vivant presq
est le suivant : on ferme les yeux Comme les statues des psaumes, les
hommes
ont des yeux ¡»mine pas voir, des oreilles pour*
nances de s'asseoir au banc des accusés pour s'entendre condamner Les
hommes
rattaperont alors le temps perdu ; d'indulgents i
rrompre fâcheusement la prescription de l'oubli. Cette sévérité des
hommes
, pour ceux qui eurent des démêlés avec la justice
is nous nous réjouissons presque si cette sévérité peut contraindre l'
homme
franchement criminel à une vertu fille de la prud
anchement criminel à une vertu fille de la prudence. Si le mépris des
hommes
pour le condamné peut nous sauver la vie, nous co
stinées exceptionnellement malheureuses n'en sont que plus atroces; l'
homme
qui serait seul à inourir partirait inconsolable.
ont d'assurer votre salut. Que la force inconnue qui crée le sort des
hommes
écarte de votre procès la femme hystérique, l'enf
gestion a l'état de veille ou pendant le sommeil, la volonté d'autres
hommes
! Pendant toutes les péripéties du drame, dont
ent a main levée en une seule séance les réformes indispensables. L'
homme
d'Etat et le grand avocat qui a bien voulu présid
de lait et de l'avoir bue. ouvrit d'un coup de yatagan le ventre do l'
homme
et pût constater ainsi qu'il en sortait du sang m
rs du procès : voila notre innocent condamné ! La condamnation d'un
homme
qui n'est pas coupable contient tout ce que l'ima
plexe des foules s'attendrira peut-être et trop tard sur le sort d'un
homme
dont la culpabilité lui parait moins certaine, de
de sa Majesté, diffère sensiblement, sans doute, de la mentalité d'un
homme
de condition modeste, injustement condamné à rame
e, quand cette erreur entraîne la flétrissure et la condamnation d'un
homme
, cela ne se conçoit pas. Si une énergie prodigi
voir été condamné l'a diminué malgré tout pour toujours. Il restera l'
homme
qui a été en prison, qui a été aux travaux forcés
x travaux forcés ; il représente une victime de la fatalité et si les
hommes
sont attirés par le succès et la chance comme cer
e sa seconde vie, comme le suppose Léon Dierx. dans son beau poème, l'
homme
que la mort avait frappé, à qui elle avait fait c
aquelle il aspire. A tous ceux qui participent à la condamnation d'un
homme
nous devons montrer quelle grave mission leur inc
rir les auteurs. L'acquittement d'un coupable ne déterminera jamais l'
homme
franchement honnête à renier son passé ; c'est da
e l'éducation et surtout de la tendance, si fréquente chez beaucoup d'
hommes
, a se complaire dans l'inaction. C'est dans ce
mi. « Faire la dormeveille », signifiait se donner l'apparence de l'
homme
plongé dans un demi-sommeil. C'est ainsi qu'au
. Des Brahmes. (3) Cabanis : Rapports du physique et de mental de l'
homme
. Influence du régime sur les habitudes morales.
longée, intermédiaires entre la veille et le sommeil, dans lesquels l'
homme
se complalt parce qu'ils ne sont pas dépourvus de
uiet, l'idée de son malade le poursuit. On pourra penser qu'un pareil
homme
n'a pas les qualités requises pour faire un bon c
e d'ailleurs ne réside-t-elle pas davantage dans le .fait de Juger un
homme
sur une composition, d'après l'étude d'une heure
ppui sérieux soit la religion on la philosophie ; et encore, que tout
homme
est tenu d'offrir constamment a ses facultés supé
s êtres et qui continuent leur assistance, la faculté mal-tresse de l'
homme
, c'est-A-dire sa tendance indéfinie vers le mieux
l'allure individuelles prennent un caractère animal et rétrograde. L'
homme
essoufflé n'est plus un homme. Pour le fait mêm
nt un caractère animal et rétrograde. L'homme essoufflé n'est plus un
homme
. Pour le fait même que la tendance normale des
chez les serpents, ce caractère se reproduit transitoire ment chez l'
homme
, en tant que phénomène de régression pathologique
ive et fondamentale, de tous les organismes, depuis l'amibe jusqu'à l'
homme
». (2) Schopenhauer a exprimé la même pensée lors
ques et moraux — de toutes les civilisations dont se sont honorés les
hommes
. Quelques défaillances humaines. — Leur étude p
ui lui fait taire toute allusion à ces sortes de sensations. Chez l'
homme
, l'acte sexuel est considéré surtout an point de
, au contraire, cequidomfnehabituellement, c'est l'amour pour un seul
homme
. Dans l'acte sexuel accompli avec cet homme, elle
'est l'amour pour un seul homme. Dans l'acte sexuel accompli avec cet
homme
, elle atteint le point culminant de l'amour. Auss
sans vergogne et va rapidement de mal en pis. Il est utile que les
hommes
de science prennent avec soin l'observation des c
tant dans la vie psychique de la femme. En effet, qu'il s'agisse de l'
homme
ou de la femme, l'effort constant pour réaliser u
tôt ou tard, l'équilibre moral. Quand il y a trouble sexuel chez l'
homme
, des symptômes mentaux et psychiques très nets so
istinguer celles qui viennent de la femme et celles qui viennent de l'
homme
. Du côté féminin, ce qui joue un rôle important
rapprochement est ordinairement plus tardif chez la femme que chez l'
homme
; par conséquent il n'est pas ordinairement attei
naires C'est surtout parmi les gens d'Eglise que l'on rencontre des
hommes
doués de mémoires extraordinaires. Clément VI, qu
fois, avait environ trente ans. Elle était mariée avec un très galant
homme
qu'elle aimait beaucoup et dont elle avait eu deu
e veux m'occuper ici que de ces derniers, parmi lesquels figurent des
hommes
illustres et vous dire tout de suite que la graph
dans son œuvre immortelle, en déclarant que la valeur cérébrale d'un
homme
se révèle par les mouvements de son corps et part
les de m'aider à déchiffrer les énigmes accumulées dans l'esprit de l'
homme
, cet être complexe que Carlyle considère comme le
er h faire ce bon placement et à perfectionner son herborisation. L'
homme
qui porte dans son organisme les stigmates de la
amortir leurs malencontreux effets. S'il se trouve en présence d'un
homme
avancé en âge, sa mission devient plus délicate ;
e souvenir de ses années disparues. Xous savons tous, en effet, que l'
homme
peut réellement recommencer sa vie. alors même qu
e période de 28 ou de 23 jours (1), minute par minute.... La vie de l'
homme
se meut comme dans une spirale. Si nous menons te
ellement à cette spirale ane ligne droite parallèle à son axe, chaque
homme
peut être, à chaque point de cette ligne ce qu'il
eur état de santé (2i ». Et ailleurs : « A tout moment de la vie d'un
homme
il est des souvenirs qui renaissent : L'homme est
t moment de la vie d'un homme il est des souvenirs qui renaissent : L'
homme
est une incessante reproduction de ce qu'il a déj
le passé sont continuellement en lutte. Chaque instant de la vie d'un
homme
est caractérisé par le rapport entre le vieux qui
vec l'âge du Seigneur crucifié, c'est-à-dire avec la stature d'un
homme
d'environ trente quatre ans. Cette opinion émise
sommeil, ce qui signifie la grâce du Saint-Esprit : en l'absorbant l'
homme
dort, étranger au monde qu'il méprise, ne s'occup
ffrant, mais d'une façon bien douce. CHAPITRE C.XXIII De l'Etat des
hommes
divers Elle vit.....les mauvais prêtres étaient
main de Dieu s'étendit sur elle ; dans une vision lui apparurent des
hommes
complètement nus qui étaient des religieux. Elle
gage symbolique et ses phobies disparaissent d'elles-mêmes. Ainsi, un
homme
qui parle mal une langue étrangère, cesse d'en us
son veuvage elle était encore tout a fait indifférente vis-à-vis des
hommes
. La malade souffrait d'une endométrite chronique
le bien-fondé de ses appréhensions. Elle commence a s'intéresser aux
hommes
, et, sans s'arrêter devant le scandale, se lie av
r imminent, exprimées par la malade. Celle-ci redoute qu'en perdant l'
homme
aimé, sa santé se trouve irrémédiablement détruit
t pu arriver que dans un autre milieu cette femme rencontrât un autre
homme
et eût par hasard avec lui des rapports normaux.
ux inconvénients. Monsieur X... cultivateur, figé de 56 ans, est un
homme
de forte constitution, dont les antécédents héréd
que le mauvais temps venait gêner ses travaux champêtres, c'était un
homme
perdu. En 1900, sans raisons apparentes, il fit
démentie un seul instant et l'on peut dire que ce n'est plus le même
homme
tant au physique qu'au moral : ses compatriotes q
ngue des tsiganes. Malgré son érudition, il ne passa Jamais pour un
homme
de grande valeur. Son exemple aurait pu contribue
iracle était au-dessus des Jorces humaines. La limite du pouvoir de l'
homme
se trouve dans Vhypnotisme. Il ne saurait aller a
me par le Dr Bêrillox, professeur h l'Ecole de psychologie Chez l'
homme
, aussi bien que chez les animaux, l'audition sans
e d'Orphée. Le mythe qui nous-apprend, qu'aux accents de sa lyre, les
hommes
farouches et les bêtes sauvages elles-mêmes s'att
toutes les époques,, les bruits cadencés de la mer ont exercé sur les
hommes
une influence captivante. Le bercement du navire
ie u. Thérapie neuraliseher symptôme, 1907. ni psychique C'est un
homme
très intelligent, travailleur, un véritable self-
aison avec les précédents, cet accès fut très léger ; notre jeune
homme
n'eut pas d'idées de suicide et il ne m'en parla
iqué, passe pour plus intelligent. A la vérité, il vit plus près de l'
homme
et souvent presque dans son intimité et il semble
ent perçante. A la chasse il distingue souvent le gibier, avant que l'
homme
l'ait aperçu. Malgré les qualités de ses sens,
n. Quand on constate combien ces facultés sont peu développées chez l'
homme
, je trouve qu'il ne faut pas se montrer trop sévè
— ces projections de machines. Là dedans on voit — incrustés — des
hommes
. On leur sait produire une dépense nerveuse extra
œil froid et satisfait, en comptant flegmatlque-ment les coups, deux
hommes
— ordinairement un blanc et un noir -, qui s'envo
t d'apathie favorable à un bon équilibre. Il est curieux, de voir l'
homme
rechercher avec frénésie tout ce qui est suscepti
de décembre dernier, entrait à la Maison de Santé d'Epinay (Seine) un
homme
âgé de 36 ans, atteint de mélancolie anxieuse, av
. Le nombre des idiots complets est à peu près équivalent à celui des
hommes
dont le génie est incontesté. Dans l'urne élector
enne. Les suffrages de quelques idiote, pas plus que ceux de quelques
hommes
de génie ne sont capables d'influencer cette moye
s ici, comme en tous lieux, la femme a une action prépondérante sur l'
homme
, par le prestige de la beauté, la finesse de l'es
r quasi-occulte qu'elle soit, n'en est pas moins très réelle et peu d'
hommes
y échappent. Plus la famille est indivise, plus l
ont elle fait l'éducation première, a une tendance à l'immobilisme. L'
homme
, plus à même d'acquérir à l'extérieur des aptitud
procède toujours avec autant do sagacité que do sagesse. « C'est un
homme
d'apparence encore jeune, doué d'une agréable et
prendre pue toute maladie a sa répereution dans l'organe psychique. L'
homme
est vulnérable de deux côtés et le côté psychique
a science ». La clinique moderne pent être fi ère de se réclamer d'un
homme
qui a compris la médecine sous son vrai jour, en
levées de la médecine. Aussi ne comprend-on pas le dédain de quelques
hommes
de science, de faux savants peut-être, pour les c
le directrice de sa conduite. Or. on ne peut guère le contester, tont
homme
qui travaille au progrès de la connaissance affir
t synergique du devenir individuel et collectif. Nous voyons tous les
hommes
se conformer à cette tendance, et d'après la form
entent les chiffres ou les mots. A peu près vers la même époque, deux
hommes
d'un génie presque égal, Lamarck en France et Heg
passagers, l'espoir d'une destinée meilleure tend constamment chez l'
homme
à triompher du pessimisme et de la peur, confirme
sassin présumé, et me demandait de faire l'étude psychologique de cet
homme
par la graphologie, H est à noter d'abord que j
dit sur lui. Je résume : F., d'après ce que l'on disait, doit être un
homme
instruit, intelligent, travailleur, très calme et
ue de F. — Je vous dirai d'abord que l'écriture ne peut révéler si un
homme
a commis nn crime, s'il est un assassin ou non. O
peut nous dévoiler un fait, comme un crime, un vol, nn assassinat. L'
homme
dont nous avons l'écriture sous les yeux, s'il es
une série de déduotions, nous pourrons arrivera connaître ce que cet
homme
a pu faire dans le cours de son existence, et mêm
ent que cela ne peut pas toujours être pris en mauvaise part. Chez un
homme
supérieur et honnête, par exemple, cette habileté
ale, une diplomatie loyale ; mais si nous avons à appliquer cela à un
homme
d'une imagination désordonnée, faible de volonté
ions, nons devons conclure au mensonge effronté, à la fourberie, à un
homme
dangereux. Nous devons donc chercher d'autres i
a dissimulation, au mensonge. Nous avons donc affaire évidemment à un
homme
qui manque de franchise, à un caractère concentré
c ces tendances, l'état physiologique de notre sujet. C'est hélas, un
homme
plutôt faible, nerveux et impressionnable. Il est
J'entends dire partout qu'il était doux, mais je serais étonné si cet
homme
doux n'avait pas parfois de violents accès de col
pas été habitué à se dominer. Ce n'est pas ce qu'on peut appeler un
homme
foncièrement méchant et profondément égoïste ; ma
rime. Alors on recherche tous ces antécédents, et l'on trouve que cet
homme
, qui avait été dépeint comme si doux et si calme,
nt évoqués. Pins tard on lui découvre des aventures galantes et cet
homme
sentimental, homme d'instinct, trompait sa femme,
tard on lui découvre des aventures galantes et cet homme sentimental,
homme
d'instinct, trompait sa femme, était un jouisseur
tout cela. Les faits parlent d'eux-mêmes ; l'étude psychologique d'un
homme
, par la graphologie scientifique, nous a permis,
rniers individus, visités par le garçon de recettes disparu, était un
homme
fourbe, dissimulé, menteur, dolent, sans frein, c
discnssion doivent être poursuivies. Elles gagneront à l'être par des
hommes
de sciences. M. PATri, MjlGsin. — Les aliéniste
port d'une dot n'étant imposé, par la loi et les usages reçus, qu'à l'
homme
seul, celui qui vit exclusivement du travail de l
t rien n'annonce qu'elles doivent changer prochainement. 4e Malade (
Homme
de 39 ans). Un quatrième malade est introduit d
39 ans). Un quatrième malade est introduit dans la salle, c'est un
homme
d'une quarantaine d'années, d'origine polonaise,
up rapidement. Autrefois, vers l'âge de quatorze ou quinze ans, notre
homme
n'avait que ce tic-là; aujourd'hui, comme vous
Le premier malade que nous allons étudier ensemble aujourd'hui est un
homme
de 33 ans, un pauvre hère s'il en fût, dénué de t
concert et se donnant la main. Mais il s'agit d'en revenir à notre
homme
; le voilà complètement nu ; notre salle est just
cette même déformation que je veux vous faire reconnaître chez notre
homme
, observée cette fois sur deux autres sujets attei
intenant les caractères, en consultant tour à tour les dessins puis l'
homme
nu, cette déformation, dis-je, est bien remarquab
tions que je viens de vous fournir à admettre qu'il s'agit chez notre
homme
d'une sciatique gauche. Eh bien, actuellement i
ier de la sciatique. En dehors de cela, tout est classique chez notre
homme
et chez lui les points douloureux spontanément ou
nom de Ylschias arthritica. L'attitude spéciale que présente notre
homme
et sur laquelle j'appelais votre attention en com
nifestèrent les premiers symptômes de l'affection nerveuse dont notre
homme
souffre actuellement à un haut degré et que je ve
devrait donner au moins 80°. Il y a donc à signaler déjà chez notre
homme
une véritable asthénie neuro-musculaire. — Voici
conduits bien loin de notre point de départ; au premier abord, notre
homme
nous paraissait placé uniquement sous le coup d'u
rencontre nécessairement dans la neurasthénie et dans l'hystérie de l'
homme
avec ou sans l'intervention quelconque d'un traum
aire fôtrangeté apparente du terme hystérie, lorsqu'on l'applique à l'
homme
, ne soit une des causes qui empêchent les observa
ie rien, et peu à peu vous vous habituerez à parler d'hystérie chez l'
homme
sans penser le moins du monde à 1'« utérus ». Ne
u contraire résiste depuis bien longtemps aux injures du temps et des
hommes
. C'est là incontestablc-mentune marque de vitalit
). Eh bien, messieurs, nous avons justement sous les yeux un pauvre
homme
chez qui l'affection nerveuse dont il souffre act
elle je faisais allusion tout à l'heure. Notre malade, donc, est un
homme
de soixante-trois ans, assez vigoureux autrefois.
oute raison de croire, d'un autre côté, que P...on, a toujours été un
homme
sobre, nullement porté aux excès alcooliques ou a
enant, c'est que la sensibilité cuta- Pig. 13. Hémiplégie chez un
homme
intoxiqué par le sulfure de carbone. née est pr
st à peu près jamais atteinte au degré que nous constatons chez notre
homme
. Nous relèverons de plus chez lui, un contraste
nnaître qu'il s'agit ici d'hémiplégie hystérique. Est-ce donc que cet
homme
à la barbe inculte, portant la marque d'une sénil
nouveaux venus. Les autres savent ce qu'il en est de l'hystérie de l'
homme
et sous quel aspect elle se présente à chaque pas
réalable, nous devons nous appliquer encore à bien établir chez notre
homme
le diagnostic hystérie. Nous ne reviendrons pas
à l'hémiplégie motrice, de telle sorte qu'il ne s'agit pas chez notre
homme
d'hémiplégie proprement dite, mais bien de monopl
nouveaux développements sur ce sujet. Certes, il existe chez notre
homme
une légère déviation de la commissure labiale dro
rmer le diagnostic hystérie, de chercher ailleurs. Sans doute notre
homme
n'a pas d'attaques convulsives ; on ne rencontre
r bien des fois déjà qu'il ne faut pas s'attendre à rencontrer chez l'
homme
, ce brio morbide, fréquent en réalité chez la fem
ont, bien à tort, un caractère constant de la névrose hystérique. Les
hommes
hystériques de la classe ouvrière, qui, ainsi que
'accident survenu dans la cuve au sulfure de carbone. Autrefois notre
homme
n'était pas gai à proprement parler, mais il supp
ditions de dépression mentale vous les retrouverez fréquemment chez l'
homme
hystérique ; chez lui également, vous aurez l'occ
Après avoir montré que tous les accidents nerveux relevés chez notre
homme
appartiennent sans exception à l'hystérie, plus o
n reviens aux circonstances de l'accident déjà signalé. Donc, notre
homme
, qui alors comptait seize ans à peine, — c'était
ndiquer à propos de de l'accident dont notre malade a été victime. Un
homme
présente le tronc incliné en avant, l'agresseur l
s de Müller. Hémisection gauche de la moelle épinière. Chez notre
homme
le coup de couteau a frappé à droite de l'épine,
suite de montrer que ces caractères-là se trouvent représentés chez l'
homme
avec une exactitude parfaite dans les cas où une
sieurs des données qui vont suivre sont empruntées à la clinique de l'
homme
, postérieure, sur ce point, aux études expériment
ègue, sont d'abord les anomalies que présente actuellement chez notre
homme
, sur certains points, le syndrome hémiparaplégie
que tous les phénomènes d'hémiparaplégie spinale survenus chez notre
homme
se sont développés chez lui par le mécanisme de l
ntendu parler des symptômes liés à l'hémiparaplégie spinale que notre
homme
a créé psychiquement et réalisé objectivement tou
nc pas à admettre que l'élément hystérique soit représenté chez notre
homme
, mais très certainement, tout n'est pas hystériqu
l s'agit, vous le reconnaissez aux reliefs que font les muscles, d'un
homme
d'une vigueur peu commune, d'une sorte d'athlète.
ous les yeux. L'histoire de l'affection articulaire qui, chez notre
homme
, a été la cause de tout le mal, est fort intéress
raiment minime. Voilà deux ans queda maladie a commencé et chez notre
homme
elle laisse subsister des traces profondes ; l'at
isamment significatifs ? 5e Malade. On introduit dans la salle un
homme
de 54 ans exerçant la profession de forgeron. M
s démesurément. Vous voyez ce 13 caractère se produire chez notre
homme
: à chaque pas il fléchit plus que cela ne se fai
ur la majeure partie du moins, le phénomène du steppage. Chez notre
homme
vous constatez aisément, lorsqu'il est assis, cet
». Cela s'appelle : La Muse aux yeux verts. 1er couplet Voyez cet
homme
à la face blèmie, Dont le regard semble à jamais
regard semble à jamais éteint ; Par la boisson il abrège sa vie : Cet
homme
, ami, est son propre assassin. D'un vert poison
mènes qui peuvent être rapportés à l'alcoolisme, dans le cas de notre
homme
. Mais ainsi que je vous l'ai annoncé, il s'agit c
j'ai dit au moment où je décrivais la paraplégie alcoolique de notie
homme
. « Il ne s'agit pas ici, vous disais-je, d'une
le répète, il ne nous paraît pas impossible de reconnaître chez notre
homme
, même aujourd'hui, ce qui appartient à la lésion
ent si nous ne trouvons pas, dans les antécédents de famille de notre
homme
, quelques particularités dignes d'êtres relevées
tif à l'extrême violence des cris et des mouvements convulsifs chez l'
homme
. Trois ou quatre hommes ne sont pas de trop pour
e des cris et des mouvements convulsifs chez l'homme. Trois ou quatre
hommes
ne sont pas de trop pour maintenir B... quand il
s abus alcooliques sur le développement de l'hystérie, surtout chez l'
homme
, est. on le sait aujourd'hui un fait de connaissa
ies dites organiques. Vô Telle est en particulier l'hystérie de l'
homme
, surtout celle de l'homme adulte, et pour ce qui
Telle est en particulier l'hystérie de l'homme, surtout celle de l'
homme
adulte, et pour ce qui est spécialement du sujet
. Comme cela arrive dans la plupart des cas de grande hystérie chez l'
homme
l'hypnotisa-tion dans ce cas n'a pas été praticab
alysie faciale périphérique de date récente. Le premier concerne un
homme
d'une trentaine d'années qui, il y a huit jours a
avez vous pas manqué de le remarquer, messieurs, qu'il y a chez notre
homme
autre chose encore qui mérite bien d'être relevé,
ppelé l'attention et dans lesquels on voit l'hystérie survenir chez l'
homme
à la suite de l'intoxication saturnine (1).[I1 vo
ions radicales. Voici le cas : il s'agit, comme vous le voyez, d'un
homme
de 28 ans assez 4.*Voir la leçon sur Yhëmianesl
ur myopie avec choroïdite chronique ; après cela il a travaillé comme
homme
d'équipe au chemin de fer de l'Est pendant sept m
les modifications qui se sont produites dans le caractère chez notre
homme
, depuis qu'il est devenu hystérique. Autrefois
un fait de première gravité; les accidents nerveux dont souffre notre
homme
se montrent cependant chez lui sous une forme ass
epuis longtemps la fonction de chef de train. C'est, vous le voyez,un
homme
d'apparence robuste, trapu, — râblé comme on dit
ès marquée delà force de pression dynamomé-trique. Ainsi tandis qu'un
homme
vigoureux de son espèce, et tel qu'il l'était,
r, messieurs, que les désordres produits par le shock nerveux chez un
homme
robuste, exerçant les fonctions de chef de ' trai
es points de ceux déterminés dans des circonstances analogues chez un
homme
cultivé, vivant surtout des choses de l'esprit, c
ernel cette fois, est faible d'esprit, presque idiot ; le père est un
homme
excitable, très emporté, il se met très souvent d
ent, certains détails relatifs au côté intellectuel et moral de notre
homme
. Nous ne voudrions pas vous le présenter comme un
ne gêne. Toutes ces particularités vous les pouvez constater chez cet
homme
sain que j'ai, pour permettre la comparaison, fai
commencer à se dévoiler. Il n'est pas nécessaire en effet chez notre
homme
pour provoquer la douleur rachiclienne d'exercer
fait jusqu'ici la distribution de l'hyperesthésie cutanée chez notre
homme
. La région hyperes-thésiée forme comme une large
mouvantes au milieu desquelles l'hystérie s'est manifestée chez notre
homme
. Ce sont les douleurs rachialgiques qui ont paru
esoin de légende. Depuis quelques jours, il se manifeste chez notre
homme
une certaine tendance à l'amélioration; les attaq
des trois principales d'entre elles. La première est relative à un
homme
âgé de 49 ans. Pas de syphilis antérieure. Les do
e qui est advenu chez les autres. Premier malade.— Voici d'abord un
homme
vigoureux, âgé de 50 ans, le nommé D... elay, qui
quels nous tenons à insister particulièrement. Dans un cas, chez un
homme
de 55 ans, athéromateux,nous avons vu survenir ap
ssé rapidement, d'ailleurs,après la suspension des séances. Chez un
homme
âgé de 51 ans, tabétique confirmé ne présentant a
plus attentive que nous allons entreprendre actuellement. C'est un
homme
fort vigoureux, âgé de 55 ans environ, et qui exe
raison de l'apparition d'une paralysie faciale transitoire chez notre
homme
dans les circonstances que nous venons d'indiquer
ndant une quinzaine de jours. Pendant cette longue période, le pauvre
homme
n'a pas cessé, pour ainsi dire, jour et nuit de s
labyrinthe et dans la caisse (1). A cela, je puis répondre que chez l'
homme
, je n'ai jamais vu se produire rien de semblable,
signalés, concernant la maladie dont il s'agit. I. Voici d'abord un
homme
âgé de 43 ans, exerçant la profession d'employé d
déjà là une marque qui contribue à le caractériser. Ainsi, chez notre
homme
, qui représente le type à cet égard, ce trembleme
abord chez un sujet atteint de tremblement mercuriel, puis chez notre
homme
,qui représente ici le type parfait du tremblement
us loin si elle ne comporte pas des exceptions, — il n'y a chez notre
homme
, malgré l'accélération à peu près permanente du p
nnaître que c'est l'ataxie tabétique qui est en jeu. Le sujet estun
homme
de 45 ans, nommé Mes... mann qui, il y a sept ou
. — Un cas de Neurasthénie et deux cas d'Hys-téro-Neurasthénie chez l'
homme
. Messieurs, A côté des bienfaits de l'hypnoti
il semble qu'aujourd'hui encore on ait presque exclusivement en vue l'
homme
des classes privilégiées, amolli par la culture,
é des douleurs assez vives qu'il ressentait dans le bras droit, notre
homme
prenait patience ; il espérait que la morsure ser
t les yeux ont été examinés. Sur ce nombre, il y a eu 49 femmes et 30
hommes
. (Compte rendu du service ophthalmoscopique de M.
ce même état neurasthénique que nous avons vu s'installer chez notre
homme
sans culture, à la suite des événements que vous
nts, les gens de lettres au labeur acharné, chez les politiciens, les
hommes
d'affaires qu'écrasent de lourdes responsabilités
reff..., âgé de 31 ans, exerçant la profession de boulanger; c'est un
homme
d'apparence vigoureuse. Il gagne environ 7 francs
55. Dyspepsie flatulenle. Il est intéressant dans ce cas de voir un
homme
vigoureux, mais à la vérité prédisposé par hérédi
que. III.—Le dernier malade que nous examinerons aujourd'hui est un
homme
âgé de 48 ans, nommé Laf...cque, exerçant depuis
ostration. Rien n'est plus frappant que l'aspect et l'allure de cet
homme
. Il paraît, passez-moi le terme, « complètement a
bétique. 3e et 4e Malades. — Deux cas d'hystéro-neurasthénie chaz l'
homme
faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente l
on a compté cinq hystériques mâles, dans un seul service de 40 lits d'
hommes
. La proportion a été à peu près la même dans la p
un magistrat ; il oubliait tout au moins que pour le médecin tous les
hommes
, quels qu'ils soient, sont égaux devant l'artet o
ù vous allez les voir. i. Le premier que nous allons étudier est un
homme
âgé de 32 ans, d'apparence vigoureuse, nommé Tr..
, vers le milieu de décembre, sans cause connue, l'on voit chez notre
homme
la situation empirer tout à coup. Aux phénomène
depuis bien longtemps, M. Richer et moi, signalé chez les hystériques
hommes
ou femmes, ces « rêves d'animaux » qui rappellent
te s'ensuive (1). Il y a d'autres cas, et ceci se voit surtout chez l'
homme
, où la crise est constamment représentée par l'au
certain degré, et si vous y joignez les résultats obtenus chez notre
homme
par la recherche des stigmates, toujours présents
rès et pour arriver à la guérison il reste encore beaucoup à faire. L'
homme
, — et l'on peut dire l'homme vigoureux surtout —
ison il reste encore beaucoup à faire. L'homme, — et l'on peut dire l'
homme
vigoureux surtout — lorsqu'il est tombé dans l'hy
cidents nerveux d'ordre neurasthénique qui seuls ont régné chez notre
homme
pendant une période de plus de douze mois. Il sem
que personnels qui le concerne. Il est établi que Gon.. .ns était un
homme
vigoureux, robuste, d'un bon moral, avant l'époqu
s un tableau synoptique les principaux faits de l'histoire des quatre
hommes
hystéro-neurasté-nique étudiés dans la séance d'a
ais en commençant. En matière d'hystéro-neurasthénie survenant chez l'
homme
vigoureux, voué aux travaux manuels, la forme nos
e qu'au point de vue de la clinique, sont exactement les mêmes chez l'
homme
hystérique. noms et professions age antécéden
onscient ou pour le moins subconscient, se conduire à la manière d'un
homme
éveillé, tranquille, sain d'esprit, agissant de p
alheur ne vient jamais seul. » En effet, dès son retour, notre pauvre
homme
a été « remercié » par son nouveau patron, qui ne
facile à saisir, les grands faits de l'histoire pathologique de notre
homme
. ANNÉE 1887 ANNÉE 188b avril novembre janvi
anomalie est que l'automatisme ambulatoire ne paraît être chez notre
homme
précédé par aucun des phénomènes qui signalent ha
e, son regard ne présentent rien de particulier qui le distingue d'un
homme
parfaitement éveillé et à l'état normal. Il est s
continue sa marche et voici qu'en passant sur le pont National notre
homme
, qui occupait une place à l'impériale, se précipi
août et. septembre se passent sans qu'on ait pu remarquer chez notre
homme
aucun accident nerveux. Il avait repris toutes se
rs fois on l'a rencontré l'après midi dans Cheapside, avec l'air d'un
homme
fort préoccupé, se frayant cependant la voie avec
nt passées dans l'observation que nous avons en vue d'éclairer. Notre
homme
dans ses fugues inconscientes, et c'est là un car
t maintenant du bruit que l'échelon a produit en se brisant. Mais cet
homme
qui, jusque-là, n'avait jamais été un épileptique
e à une autre session et nous commet, dit M. Motet, pour examiner cet
homme
dont nous n'avons pas eu grand'peine à démontrer
s doute pensé au somnambulisme. En effet, lorsqu'on entend dire qu'un
homme
se promène dans les rues inconsciemment, se condu
naturel s'observe beaucoup plus fréquemment chez la femme que chez l'
homme
, beaucoup plus rarement chez l'adulte que chez le
eil) de plusieurs heures sur la terre humide. 1er Malade Voici un
homme
dans la force de l'âge — il est âgé d'environ 37
'alimentation à peu près impossible ; de plus, les crises, chez notre
homme
, s'éloignent encore du type par la présence fréqu
re. En dehors de ces particularités les crises gastriques, chez notre
homme
, rentrent nettement dans la règle en particulier
esquels je veux appeler votre attention. Vous voyez qu'il s'agit d'un
homme
bien constitué, solide d'apparence, fatigué seule
ns espérer qu'elles ne se reproduiront pas. Certes, voilà un pauvre
homme
chez lequel la terrible maladie tabétique, semble
tares nerveuses plus ou moins accentuées. Il n'en est rien chez notre
homme
; l'étude de sa famille ne nous a rien appris. Il
tes ces pérégrinations singulières parce qu'elles révèlent chez notre
homme
, si je ne me trompe, un état psychique particulie
sur pied de partir pour le Brésil. Il est remarquable que, chez notre
homme
, on ne rencontre pas de symptômes neurasthéniques
c'est d'un fait rentrant dans cette catégorie qu'il s'agit chez notre
homme
. J'imagine que le contact prolongé des membres dr
observe daas le somnambulisme provoqué par hyp-notisation.Chez notre
homme
il se sera développé en conséquence de la débi-li
rons conduits à nous attacher, après discussion. I Il s'agit d'un
homme
âgé de 41 ans, nommé Ro...el, employé dans une im
prestesse tous les mouvements prescrits. Ainsi, Messieurs, voici un
homme
qui couché, assis, est tout à fait libre d'exécut
, alors que le sujet voudrait garder le repos, tandis que, chez notre
homme
, c'est exclusivement lorsqu'il veut se déplacer e
qui est propre à cet acte physiologique. Ainsi, Messieurs, voilà un
homme
qui ne sait plus marcher, du moins, comme on marc
sir. Mais voici maintenant un dernier trait bien remarquable. Notre
homme
, je le répète encore une fois, ne peut pas marche
nes. Évidemment, quelque chose de ce genre s'est produit chez notre
homme
; nous possédons d'ailleurs à cet égard des rensei
é d'une échelle dressée de l'autre côté. Sur l'échelle se présenta un
homme
, au visage ensanglanté, portant dans ses mains un
raille se dressait sur sa gauche, puis apparaissait l'échelle, puis l'
homme
à la face couverte de sang, et enfin le pavé vena
ze jours. Elles ne durent pas plus de vingt-quatre heures. C'est un
homme
intelligent ; bien qu'il n'ait fréquenté l'école
mplètement bouleversée ; depuis lors, dit-il «je ne suis plus le même
homme
qu'autrefois ». De fait il est devenu morose et c
— il se rencontre dans la rue, sur un trottoir, face à face, avec un
homme
qui marchait en sens inverse. Il s'arrêta tout à
fiants qu'ils aient pu vous paraître, qui se sont produits chez notre
homme
à partir du jour où a eu lieu l'asphyxie. Par là
de l'histoire naturelle de l'incoordination motrice abasique, notre
homme
doit guérir et peut-être guérira-t-il promptement
toujours de faire, en pareille matière, surtout quand il s'agit de l'
homme
— je le répète une fois de plus devant lui, dans
ro-tendineuses. 3e et 4e Malades. — Hystérie et dégénérescence chez l'
homme
. Messieurs, Je vous présente de nouveau le su
asie trépidante, qui a fait l'objet de la leçon de mardi dernier. Cet
homme
guérira, vous disais-je, ou, pour parler plus exa
vous pouvez le constater, et cela date de quelques jours déjà, notre
homme
peut marcher normalement ou peu s'en faut ; la pr
il se dit « artiste ». La vérité est que son art consiste à faire « l'
homme
sauvage » dans les baraques de foire; l'autre gag
mentale plusieurs travaux inspirés par m. le dr Ballet: —Marquezy : L'
homme
hystérique, Bulletin médical, août. — Tabaraud. D
me on l'a prétendu jusqu'ici, plus fréquente chez la femme que chez l'
homme
(1)? Toujours est-il que,quelleque soit la soluti
nt qu'une « suffocation utérine ». I Occupons-nous d'abord de « l'
homme
sauvage ». C'est un nommé Lap.. sonne: il est auj
e que j'ai faite des documents qu'il m'a fournis, l'histoire de notre
homme
, telle que je vous propose de l'admettre. Il af
s pu le dire. Je signalerai encore, sur le bras droit, le dessin d'un
homme
« en costume de mousquetaire » destiné à représen
neur de la colonie pénitentiaire, et un peu plus bas celui d'un autre
homme
en costume « d'Ecossais » ? J'aurais à signaler e
quelque sorte partie de la caractéristique de l'état mental de notre
homme
. Il avait environ trente-cinq ans lorsqu'il fut
dans le cours des dernières années c'est surtout, dans le rôle « de l'
homme
sauvage » qu'il paraît dans les foires des enviro
eignements que nous avons recueillis auprès du malade lui-même, notre
homme
aurait de temps en temps alternant avec les précé
vous l'avez compris, d'hystérie et d'épilepsie coexistant chez notre
homme
, mais vivant chez lui en quelque sorte séparément
énérescence mentale, telle que Morel l'a comprise. Vous avez vu notre
homme
, pendant une bonne partie de son existence,placé
ieux sera, je pense,de chercher à obtenir l'admission dumalheu-reux «
homme
sauvage » dans un asile où il trouvera protection
1° Amyotrophie spinale progressive survenue à l'âge de 34 ans chez un
homme
qui à l'âge de 2 ans, avait été atteint de paraly
2 ans, avait été atteint de paralysie spinale infantile. 2° Chez un
homme
de 24 ans : Epilepsie, Hystérie majeure et Morphi
-agitante ou maladie de Parkinson. Ajoutons qu'un des frères de notre
homme
est épi-leptique. Ces faits, vous l'avez compris,
que trois fractures se soient produites à diverses époqueschez notre
homme
, la première à l'âge de 14 ans portant sur les de
s les détails, je dois vous prévenir que l'histoire clinique de notre
homme
figure déjà dans la science deux fois, comme s'il
orte de relever en terminant ce bref exposé de l'état actuel de notre
homme
que les réflexes tendineux nuls chez lui aux geno
ue la maladie qui s'est manifestée pour la première fois chez notre
homme
il y a un peu plus de quatre ans, peut être appel
i les amyotrophies de cause spinale qu'il faut ranger le cas de notre
homme
. Mais ici.il y a de?, distinctions à établir. S'a
est bien là l'ensemble des faits que nous a révélés l'examen de notre
homme
. Il est cependant un point par lequel la symptoma
rer comme constituant une différence capitale ce fait que, chez notre
homme
, l'apparition de l'amyotrophie a été plus tardive
accès étaient suivis d'un accroissement de la quantité de l'urée. Un
homme
urine, par exemple, 25 grammes d'urée; après une
t l'hystéro-épilepsie même à crises mixtes. Ce qu'on doit dire de cet
homme
, c'est qu'il est à la fois hystérique et épilepti
ls sont la reproduction de photographies instantanées représentant un
homme
en proie à une attaque d'hystéro-épilepsie. (1).
n n'a pas encore eu l'occasion de faire l'analyse des urines de notre
homme
lors de ses attaques hystéro-épileptiques, mais n
, importe assez peu, — alors va commencer une scène lamentable. Notre
homme
d'aujourd'hui est morphinomane à 30 centigrammes
devenue morphinomane : elle n'avait pas autre chose. Quant à notre
homme
, il présente tous les phénomènes du morphinisme a
fort que ces trois éléments morbides qui se sont développés chez cet
homme
ne continuent à vivre côte à côte encore pendant
n particulier pour le neuropathologue, de pouvoir étudier à loisir un
homme
intelligent, sincère, qui a vu la foudre de près
Annales d'Hygiène publique, Paris, 1855. 59 peut produire chez l'
homme
, on a signalé des troubles nerveux divers et plus
u'un débile, un pusillanime. Certes, dans ce temps-là, il n'était pas
homme
à prendre peur de l'orage. Dans cette série d'ave
: « Vous avez eu bien de la chance ,il y a eu, à ce qu'on m'a dit, un
homme
de tué.. » Alors M. D...cy a eu comme une crise d
e que nous ont appris, relativement à la foudre et à ses effets sur l'
homme
, les observations colligées par les auteurs compé
inspirer. A ce propos, ilimporte de relever tout d'abord que notre
homme
reconnaît volontiers le vague de ses souvenirs, r
on corps et assiste en un mot à toutes les phases de l'accident. « Un
homme
observé par leDr Gabard fut très grièvement bless
lobe. Ces derniers météores ont une évolution relativement lente et l'
homme
peut, avant d'en être frappé, les voir quelquefoi
ement sulfureuse, parfois tellement épaisse, qu'elle semble menacer l'
homme
de suffocation. Au moment où une boule de feu des
e cette interprétation, on arguera peut-être de l'absence, chez notre
homme
, de toute marque de fulguration imprimée soit sur
a été constaté entre autres, par M. le professeur Tourdes (3), sur un
homme
foudroyé à 1. S:i=tiei' t. I. p. 152. 2. J. G
le 18 juillet 1873, mort sur le coup : on a trouvé seulement sur cet
homme
une petite déchirure à peine roussie du pantalon,
nt qu'un choc beaucoup moins violent, aura pu se produire, chez notre
homme
sans laisser de traces aucunes, même sur les vête
eurs fois, la foudre globulaire a pu paraître presque au contact de l'
homme
et le toucher même, assure-t-on, sans produire au
chute de la foudre en globe. « D'ailleurs les lésions produites sur l'
homme
, par la foudre en globe, ne diffèrent pas, ajoute
a est rendu fort vraisemblable, d'un autre côté, parce fait que notre
homme
s'est réveillé ayant uriné sous lui, circonstance
e au moment où la foudre a éclaté... Singulière préoccupation chez un
homme
qui se croit avoir un pied dans la tombe. Ceci co
de la rue, devant une maison où se trouvaient plusieurs personnes. Un
homme
qui était au 2e étage de la dite maison, se senti
souvent à des actes bizarres constituant un véritable délire. «Quatre
hommes
s'étaient réfugiés sous un appentis, au moment où
effets de la foudre, et sont souvent tués dans des circonstances où l'
homme
ne reçoit qu'une commotion (3). Mais ce sont su
ais ce sont surtout, vous l'avez compris, les kerauno-paralysies de l'
homme
qui nous intéressent plus particulièrement. Bien
ie s'étend bien au-delà du point frappé par la foudre; ainsi, chez un
homme
qui portait une toute petite plaie sur la cuisse
en somme, par les grands côtés, les paralysies par fulguration chez l'
homme
et celles artificiellement produites chez les ani
a parésie — car il s'agit là d'une forme légère — observée chez notre
homme
, appartient au type que nous venons de décrire. E
lte donc de l'observation du cas, messieurs,que la paralysie de notre
homme
qui n'était pour ainsi dire qu'ébauchée après le
s, électrique dans l'autre, En somme, nous trouvons réunis chez notre
homme
, tous les éléments fondamentaux de ce comple-xus
urd'hui. « Mais comment admettre que l'hystérie soit en cause chez un
homme
robuste ? A peine est-il besoin d'émettre cette h
rait,assurément,que c'est bien de l'hystérie qu'il s'est agi chez cet
homme
, au moins dans le second épisode de son histoire.
icale française et étrangère, n° du 19 mars 1881 (1); Le sujet est un
homme
de 28 ans exerçant la profession d'infirmier à l'
on des orages. Mais « peut-on songer,dit l'auteur,à l'hystérie chez l'
homme
! » Plutôt que de s'arrêter à cette interprétatio
3e, 4e et 5e Malades.— Cas d'abasie : 1° Abasie paralytique chez un
homme
de 44 ans ; 2° Abasie trépidante chez un homme de
ie paralytique chez un homme de 44 ans ; 2° Abasie trépidante chez un
homme
de 49 ans ; 3° Même forme chez un vieillard de 75
re que je vais actuellement appeler votre attention. Il s'agit d'un
homme
âgé de 44 ans, nommé Cher...ni qui exerce la prof
Voici maintenant ce qui concerne les antécédents personnels de notre
homme
. Jusqu'à l'âge de 34 ans, il n'avait jamais été m
en particulier — l'impuissance motrice n'est pas relative, chez notre
homme
, à tous les modes de station ou de progression: a
hez l'adulte, et je vous ferai remarquer, à ce propos, que chez notre
homme
, elle dure déjà depuis 8 mois et ne paraît pas pr
sitivo-sensoriels ou d'attaques (1). Il n'en est pas ainsi chez notre
homme
; chez lui, d'abord, les attaques avec aura caract
une diminution du goût et de l'odorat, sur la moitié droite. Notre
homme
est donc manifestement un hystérique, tout ce que
nt bien que mal, se tenir debout et marcher tout en titubant comme un
homme
ivre et alors le diagnostic est en général facile
s, de l'abasie trépidante qu'il s'agit. Le premier est relatif à un
homme
de 49 ans nommé Sal...ès, autrefois contremaître
enfin décidément, à un moment donné, le dessus D'ailleurs, chez notre
homme
, vous retrouvez cette facilité à progresser à qua
nt. Or c'est justement ce qui se sera produit, je pense, chez notre
homme
; l'abasie figure chez lui, je le suppose, comme
s l'ai annoncé,le syndrome abasie trépidante. Le sujet est ce brave
homme
, âgé de 75 ans, nommé Cr...t, que je viens de fai
en 1882. « J'ai toujours eu, dit-il, une santé magnifique. » C'est un
homme
régulier, marié, père de deux enfants ; il n'a co
s au même degré, s'opèrent au contraire réguliè rement. Ainsi notre
homme
, qui a été militaire,, n'a pas oublié le pas marq
damment des autres faits cliniques qui s'y observent, le cas de notre
homme
, en ce qui concerne la netteté, l'originalité du
dire à titre provisoire, vous pro-poseraî-je d'admettre que ce brave
homme
est,sans le savoir et sans le paraître, un névrop
ogie et enfin le diagnostic. Elle paraît être plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme; c'est de 15 à 25 ans surtout q
nt bien la disposition qu'affectent à la surface du corps, chez notre
homme
, les divers modes de l'anesthésie. Je vous ferai
que, il travaille comme veilleur de nuit à l'usine Eiffel. — C'est un
homme
vigoureux, solide. Jamais il n'avait été atteint
uger. Vous voyez comment à la main droite les mouvements chez notre
homme
sont, au poignet comme aux doigts, paralysés auss
syringo-myélie. La dissociation de la sensibilité observée chez notre
homme
non plus que l'œdème,d'après ce que nous en avons
use et n'altérèrent en rien sa santé générale. Il a toujours été un
homme
sobre, nullement porté aux excès alcooliques ou a
on entrée à la Salpê-trière. Etat actuel (3 juillet 1889). C'est un
homme
de taille moyenne, bien musclé et d'aspect assez
tous ses mouvements (1). APPENDICE ¹ 3 Hystérie provoquée chez l'
homme
par la peur de la foudre (2). Voir la Leçon 19, p
ation qu'on va lire offre un bel exemple d'hystérie développée chez l'
homme
par suite du saisissement ressenti au moment où l
é, âgé de 51 ans, se présenta à l'hôpital Necker, le 8 août 1887. Cet
homme
se plaignait d'être paralysé du côté gauche et il
Antécédents personnels. —Par contre les antécédents personnels de cet
homme
présentent quelques particularités dignes d'être
constances il a été frappé d'hémiplégie. Le 30 juillet dernier, cet
homme
travaillait rue Vavin, dans un atelier couvert en
a ; 1889, n°l, t.Ior, 2esérie, Lisboa). L'observation est relativeàun
homme
de 30 ans, ancien militaire. ISI1 . NOIZETlE, 8
6 Tableau synoptique des antécédents et des symptômes chez quatre
hommes
hystéro-neurasthéniques............. 298,299 Ta
— Un cas de neurasthénie et deux casd'hys- téro-neurasthénie chez l'
homme
............ 256 TREIZIÈME LEÇON Pages. 1er
...... 277 3e et 4e malades.—Deux cas d'hystéro-neurasthénie chez l'
homme
, faisant suite aux cas 3e et 4e de la précédente
°. Amyotrophic spinale progressive survenue à l'âge de 34 ans chez un
homme
qui, à l'âge de 2 ans, avait été atteint de par
atteint de paralysie spinale infantile......... 407 G) *° Chez un
homme
de 24 ans : épilepsie; hystérie majeure et morp
3% 4° et 5e malades. — Cas d'abasie : 1° Abasie paralytique chez un
homme
de 44 ans; 2° Abasie trépidante chez un homme de
sie paralytique chez un homme de 44 ans; 2° Abasie trépidante chez un
homme
de 49 ans; 3° Même forme chez un vieillard de 7
......... 381 3e et 4e malades. — Hystérie et dégénérescence chez l'
homme
392 VINGT ET UNIÈME LEÇON Pages. 1er et 2e ma
bot hystérique)...... 535 Appendice n° 3.—Hystérie provoquée chez l'
homme
par lapeur de la foudre........................
ations avec Liébeault. Il a retracé l'existence simple que menait cet
homme
aussi savant quo modeste, dans sa clinique de la
tombe qui vient de se fermer. Ce respect dû aux morts, M. Motet, l'
homme
foncièrement bon, que sa souffrance n'a point ren
un ambitieux. • Je ne crois pas qu'on ait le droit de reprochera un
homme
laborieux les efforts qu'il fait pour arriver plu
r. Le livre est rempli de sujets figurant des individus anormaux, des
hommes
doués d'aptitudes extraordinaires, des événements
Pourquoi as-tu de la barbe? Cela ne conviant qu'à la chèvre et à l'
homme
; Malgré la barbe, tu ne pourras jamais être un ho
la chèvre et à l'homme; Malgré la barbe, tu ne pourras jamais être un
homme
, mais lu peux être une chèvre. Souvent ton conjoi
a circonstance, que l'apparition de la barbe n'a pu la transformer en
homme
. (A suivre.) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCH
1903, c'est-à-dire en six mois, 387 malades ont clé traités, dont 347
hommes
et 40 femmes. D'après le genre de leurs occupatio
versité. Il s'est mis â boire à Saint-Pétersbourg, s'est lié avec des
hommes
de mauvaise vie et est devenu maintenant un alcoo
i l'on consent à lui chercher une explication rationnelle. Voilà un
homme
primitif, ignorant, qui, dans un rêve, voit appar
nt, cette idée qui ne s'est développée ni en un jour, ni chez un seul
homme
, mais par une lente élaboration dans une série de
tous, il commente l'idée que le sentiment le plus réconfortant pour l'
homme
de science, c'est celui de l'amitié qu'il constat
s expressifs qu'il soit donné de créer pour perpétuer la mémoire d'un
homme
illustre. Qu'un homme arrivé à la notoriété par
donné de créer pour perpétuer la mémoire d'un homme illustre. Qu'un
homme
arrivé à la notoriété par ses travaux et par le h
spéculatif; 2* les thaumaturges qui n'eurent pour successeurs que des
hommes
ignorants, les magiciens et les sorciers, plus ap
ins ont continue n se faire sentir pendant quatre jours de suite, cet
homme
va, depuis, très régulièrement à la garde-robe to
ent disparu. Chose très étonnante, après six jours de traitement, cet
homme
pesait 70 kilogs, c'est-à-dire qu'il gagnait un p
de la jambe gauche d'origine syphilitique. Mon second malade est un
homme
âgé de 3ô ans. II y a dix ans, il a contracté la
sez considérable. La marche s'est aussi grandement améliorée; car cet
homme
qui, avant le traitement, ne pouvait faire un pas
t de onze ans. — Guérison complète par la suggestion hypnotique. Un
homme
âgé de 46 ans, présente depuis onze ans, à la sui
ffi à faire disparaître complètement tous les symptômes morbides. Cet
homme
qui a consulté à tour de rôle tous les médecins d
la peau qui sont l'effet de la brûlure. L'idée me vient alors que cet
homme
du peuple ne s'est peut-être jamais appliqué de s
Naturalistes de Saratow, où je faisais mon rapport, j'ai présenté cet
homme
et j'ai formulé l'hypothèse que si l'on réussit a
'être de notre jeune homme, il s'agit d'une sorte de transformation d'
homme
en femme. Cette transformation n'est pas du tou
en petite tille de 8 ans, mais consciente de ce qui se passait, et un
homme
qui entamait une lutte imaginaire avec des indivi
e donner toutes sortes de maladies. Notre jeune fille connaissait cet
homme
et son prétendu pouvoir. Au grand élonnement des
mps lorsqu'en 1873 l'exhibition de gens velus, désignés sous le nom d'
hommes
chiens, remit sur le tapis la question des systèm
même si elle ne réalisait pas lo type intermédiaire si désiré entre l'
homme
et l'animalité. Darwin s'intéressa aussi à clic,
avait trouvé un être représentant l'intermédiaire tant désiré entre l'
homme
et le singe. Bientôt, ïl fallut en rabattre. L'op
ge d'un des animaux qui figurent dans la généalogie phylogénique de l'
homme
. Voici à ce point de vue ce que j'ai observé. c
gouverneur généra! de l'Indo, observa à la cour du roi de Birmanie un
homme
de trente-cinq ans. nommé Shwe-Maong, né dans le
ille de cinq pieds six pouces, qui correspond à la taille moyenne des
hommes
en Birmanie. Tout le corps, les pieds et les main
étaient d'ailleurs saines et déjà réduites de volume par usure. Cet
homme
, qui était considéré dans son pays comme un phéno
aux deux mâchoires; pas trace de canines ni de molaires. Mariée à un
homme
qui ne présentait rien de particulier, elle avait
lement aux études de psychologie. Nous désirons seulement envisager l'
homme
au point de vue qui nous intéresse particulièreme
n'admet que le témoignage des faits, et rejette absolument celui des
hommes
. » ¦ Peut-être nous trouverons aussi des person
e virilité que les femmes à barbe sont souvent soupçonnées d'être des
hommes
déguisés en femmes. En cfTet, la structure généra
ommes déguisés en femmes. En cfTet, la structure générale de certains
hommes
pourrait faciliter une supercherie de cette natur
considérer que la téte, on aurait certainement cru avoir affaire k un
homme
. Le thorax est fortement développé ; la partie an
ssi développés que ceux qu'on observe habituellement sur les bras des
hommes
adultes. A tous les autres points de vue, J. B. n
ueoup supérieures à celles que présentent la barbe et les favoris des
hommes
de race anglaise. Les poils s'étendaient sur les
29. policier trop zélé n'eût pas l'idée de la considérer comme un
homme
habillé en femme. Des poils assez clairsemés ex
ulaire; ils étaient un peu plus longs que ceux qu'on observe chez les
hommes
dans les mêmes régions. Il y avait aussi sur les
ils, mais ils étaient analogues à ceux que portent habituellement les
hommes
de son âge. Les régions thoraciques et prœ-aterna
. Les mains et les pieds étaient de petites dimensions. Habillée en
homme
, rien n'aurait pu trahir son véritable sexe. Cepe
, longue d'environ quatre pouces, épaisse et fournie comme celle d'un
homme
. Madame Fortune est originaire de Genève et a reç
voix mélodieuse, son visage est, par la barbe qui l'orne, celui d'un
homme
. > Quelques jours après, on trouva, un matin
dans une des chambres de l'hôtel, le cadavre d'un individu habillé en
homme
. C'était celui de la femme à barbe qui, réduite à
co-allemande, et, utilisant la faculté qu'elle avait do s'habiller en
homme
et en femme, elle avait rempli des missions péril
gne de celui qui fut un grand savant, un grand thérapeute et un grand
homme
de bien. Aussi votre bureau vous propose-t-il de
ut leur accorder ce qu'ils demandaient. Le roi qu'il choisit fut un
homme
qu'il rencontra par hasard, et pour lequel il épr
lsif : « Dès qu'il vil Schaoul, Iahvé lui lit savoir ceci : * Voilà l'
homme
dont je t'ai « ainsi parlé : celui-ci dominera su
s. Mais ta puissance ne se tiendra pas debout, car Iahvé a cherché un
homme
selon son cœur, qu'il a établi chef de son peuple
Guibéâ de Beniamin. Evidemment il avait déjà songé à remplacer par un
homme
sans gloire le vainqueur de Moab, des Bénè-Ammon,
voue tout ce qui est à lui sans t'en rien épargner. Massacre depuis l'
homme
jusqu'à la femme ainsi que l'enfant et le nourris
Vérité d'Israël ne ment point ni ne se repent, car ce ne n'est pas un
homme
pour se repentir. » — • Oui, j'ai péché, reprit
adressait la parole, et qu'il était son ministre sur la terre, lut un
homme
orgueilleux, sujet à violentes colères et a des i
ipletdela grande crise classique telle que Charcot l'a décrite. Cet
homme
, lui, présente un grand tremblement transversal,
de lésion organique. S'agit-il d'un tremblement parkînsonien? Notre
homme
ne présente aucune raideur musculaire et son visa
ent par un ouvrier qui passe; subitement roulé dans ce tonneau, notre
homme
perd connaissance. Quand il revient à lui, l'usin
taches et la barbe recouvrent exactement les mêmes régions que chez l'
homme
. Les poils de la moustache ont un demi-pouce de l
nui était de me mettre en maillot. Il me semblait que les regards des
hommes
m'offensaient et à 1 idée qu'ils regardaient mes
e l'avais voulu, j'aurais-acquis une fortune assez rapide. Beaucoup d'
hommes
me trouvant intéressante à cause de ma barbe, m'o
uvelle impulsion ; on ne s'aperçoit pas qu'il manque par ci par là un
homme
dans un village. Ceux qui ont été désignés pour p
'est l'obsession de a l'a quoi bon ». En leurs lourds cerveaux, ces
hommes
résignés ont l'intuition que cette Mandchou rie n
ère avait ce don : impression paternelle. Qu'étant Mlle d'un pareil
homme
elle pouvait et devait guérir par l'exercice d'un
derà l'hystérie le droit d'oxis-tence dans la nosologie générale de l'
homme
de troupe, avec les conséquences médico-légales d
aient alors le cycle complet de ce que l'éducation doit apprendre aux
hommes
. D'une part, rythme et belles-lettres, de l'autre
on savante, le développement simultané de tous les dons naturels de l'
homme
, cultivés et mis en valeur par une main habile. C
'éteindre bien vite et souvent de la plus triste façon. h 9 # L'
homme
parfait, type idéal d'anatomie et de physiologie
: l'exagération saute aux yeux. On aura beau faire remarquer que les
hommes
d'action, les penseurs, les écrivains cclèbresou
. Il est certain, sans qu'il y ait lieu de s'en étonnor, que nombre d'
hommes
marquants sont la proie de névroses considérables
loi vraiment excessive. Les maîtres par la pensée ou par l'action,
hommes
de génie, personnalités distinguées ou simplement
hysique sur le moral et réciproquement nous autorise â penser que les
hommes
d'un mérite exceptionnel auraient plus qu'un droi
ement catégorique lorsqu'il proclamait comme vérité axiômatique que l'
homme
est ce qu'il mange ». Et dernièrement encore, une
a diversité de nos jugements sur une même question tient à ce que les
hommes
sont assez généralement portés à formuler leur op
té Toujours est-il, n'en déplaise au philosophe allemand, que les
hommes
nés pour être supérieurs ont assez souvent des or
t les tribulations de la foule ignorée. Ne croyons donc pas que les
hommes
supérieurs sont plus maltraités par la nature que
, de toutes la plus terrible pour le système nerveux, au moins chez l'
homme
, le tableau est complet et presque sans remède :
sto français; il est aussi un grand penseur ot un profond philosophe.
Homme
d'Etat, ministre de l'Instruction publique, membr
ardez-vous de croire que la science dessèche le cœur et n'inspire aux
hommes
qu'une austère et égoïste vanité. Ce qu'elle insp
et, mais le souvenir des services que nous avons pu rendre aux autres
hommes
! » Dans ces paroles se trouve tout le programm
musclées. En ne voyant que leur visage, on les aurait prises pour des
hommes
. • Miss Léo Hernandez est née à Bracken Count
s'y rattachent, p. 595. 1885. « Dernièrement, Vhomme tortue ou l'
homme
mosaïque, a épouse" la femme à barbe, Miss Léo He
emme. Comme elle était orpheline, elle a été conduite à l'autel par l'
homme
incombustible, faisant fonction de père de famill
le. Les garçons et demoiselles d'honneur étalent le garçon obèse et l'
homme
caoutchouc, la fille flûte et la femme poisson.»
personnes de son sexe, et se trouvait heureuse de converser avec des
hommes
très bien élevés. Son amitié avec Eva. S... fut e
e ; de l'autre, haine mortelle. Si, avec intensité, le cerveau d'un
homme
se trouve soumis à une dos influences ci-dessus,
outenir certaines colonnes d'assaut dans leur course à l'abîme. Les
hommes
courent, crient, s'élancent droit devant eux, les
mment et spécialement préparé pour inciter au mouvement en avant. Les
hommes
en absorbent, mais il est interdit aux officiers
front de l'armée. » C'est une vraie sélection, qui ne prend que les
hommes
ayant acquis par une lente auto-suggestion, une v
e des troupes, et à voir l'empire qu'ont les chefs japonais sur leurs
hommes
, on sent qu'ils emploient une — méthode de persua
d'un sommeil plus long, plus régulier et plus complet que les autres
hommes
. Chez eux, ladépense d'énergie, de beaucoup supér
titieuses ne sont pas rares chez ceux que nous rangeonsparmllesgrands
hommes
: les esprits d'élite, absolument comme les autres
mains, peuvent avoir leurs faiblesses, leur coté faible et, parmi les
hommes
les plus courageux, les plus ardents et les plus
César Auguste, qui fut tout à la fois un grand général et un grand
homme
d'Etat, un grand orateur et un écrivain élégant,
tés physiques ne sont rien à côté des inquiétudes morales de certains
hommes
célèbres : Rossini, par exemple, l'illustre Rossi
ter plus longuement, Messieurs, nous voyons quelle peut être, pour un
homme
de troupe, une situation pareillement intolérable
et, en particulier, le passage du portique, constituent pour quelques
hommes
, un véritable supplice. Pour d'autres, le tfr
tellement considérable qu'on est véritablement émerveillé qu'un seul
homme
ait pu l'accomplir. Chimiste, M. Berthelot conç
dement logique, inébranlable, de la morale sociale et individuelle.
Homme
d'Etat, M. Berthelot fait toujours abstraction de
rsonne; tous ses actes lui sont dictes par le plus pur patriotisme.
Homme
politique, s'il emploie son talent d'écrivain et
D' Liébeault s'est elei.it à Nancy dans sa 81* année. L'éloge de cet
homme
de bien a paru dans la Revue de l'Hypnotisme. Le
à fait insuffisante ; il faut, pour contrôler cette observation de l'
homme
par lui-même, une observation inverse et, dans ce
ne me semble que juste de nommer mon vieil ami Bérillon. Elevé de l'
homme
indépendant qu'était notre commun et regretté maî
Dans les circonstances ordinaires de la vie, la grande majorité des
hommes
se montre douée des aptitudes nécessaires pour re
es devoirs. La sélection naturelle et l'éducation courante ont doté l'
homme
actuel de freins psychologiques capables de régle
ves dans ce qu'elles ont de contraire aux conventions sociales. « Les
hommes
, fripons en détail, dit Montesquieu, font en gros
soient les circonstances, un acte formel, réfléchi et raisonnable, l'
homme
se révèle doué de fonctions mentales supérieures:
, et celui qui le présente ne seconlond plus dans la masse des autres
hommes
. Caractère, d'après l'élymologie grecque du mot
. ment le philosophe médecin Beauchéne lorsqu'il disait: « Tous les
hommes
ont un caractère, mais très peu ont du caractère
formule d'Epictète:» Il faut, écrivait-il, que tu ne sois qu'un seul
homme
, ou bon ou mauvais ; que tu t'appliques au gouver
s ou les biens extérieurs : en un mot que tu sois un philosophe ou un
homme
du commun ». Kant pensait également que la disp
plusieurs littérateurs du xviit' siècle. Après Duclos, disant que les
hommes
sans caractère sont des visages sans physionomie,
les termes suivants : « Quiconque n'a pas de caractère, n'est pas un
homme
, c'est une chose. » Lea poètes aussi s'en sont
davantage lorsqu'il porte sur la nation à laquelle on appartient. «L'
homme
, en France, — écrivait Goethe il y a cent ans, —
penser ou ose agir d'une manière différente de tout le monde, est un
homme
d'un grand courage ». La mémo ideo a été exprim
« Le défaut de volonté devient de plus en plus frappant chez les
hommes
, même chez les hommes de talent; le caractère se
é devient de plus en plus frappant chez les hommes, même chez les
hommes
de talent; le caractère se fait rare. Cette faibl
s, les défaillances morales que l'on constate si fréquemment chez les
hommes
dépourvus de caractère, ne constituent que des fa
donner une définition. Seule une analyse plus complète des actes de l'
homme
lorsqu'il se trouve en présence d'événements impr
river. Comme nous le disions plus haut, ce qui caractérise certains
hommes
, c'est qu'ils sont frappés d'Impuissance dans les
it une pierre de touche qui nous permettra de distinguer rapidement l'
homme
doué de caractère de celui qui en est dépourvu. C
ourvu. Cette pierre de touche, c'est tout simplement la façon, dont l'
homme
réagit contre la peur. Noire définition compo
ube donne l'impression vivante de cette vigueur du caractère, chez un
homme
que les raffinements de la civilisation n'ont pas
strie et les arts ; car c'est surtout pour éviter la souffrance que l'
homme
s'est ingénié à perfectionner les inventions et h
du courage et la formation du caractère. Ce qui revient à dire qu'un
homme
aura d'autant plus de mérite à être brave, que so
llance morale. C'est un avertisse* ment de notre instinct. Tous les
hommes
courageux reconnaissent qu'avant d'arriver à l'ac
s invite û organiser une résistance contre les réflexes. En somme, un
homme
non prévenu est excusable d'être inquiet. Mais lo
uation se représente il doit justifier la légitimité du proverbe : Un
homme
averti en vaut deux. Se mettre en garde contre
ait extrêmement valeureux dans les combats. Turenne, qui fut un des
hommes
les plus courageux de son temps, éprouvait les mê
orsque l'action de la frayeur est portée a son degré le plus élevé, l'
homme
peut se trouver dans l'incapacité absolue de se m
n d'activité de groupes plusou moins étendus de cellules nerveuses. L'
homme
, dépourvu de tout pouvoir de contrôle, se trouve
. C'est ce qu'on constate dans toutes les grandes catastrophes où des
hommes
de toutes les conditions, cédant à des impulsions
sphère morale. Bien que la conscience reste vigilante, la valeur de l'
homme
n'en est pas moins diminuée, puisqu'il manifeste
nifeste une profonde défaillance du sens moral. II est, en effet, des
hommes
chez lesquels la fuite est voulue et résulte d'un
ns la limite du possible, le danger souvent difficile à éviter. Tout -
homme
doué de volonté réfléchie, se comportera de même.
aleur de son caractère et méritera d'être rangé dans la catégorie des
hommes
doués de courage et sur lesquels on peut compter.
e père malhonnête ». Dans un autre de ses drames, il dit encore : « D'
hommes
bons, naissent des fils également bons ; de mauva
iquement l'influence de l'hérédité sur le moral. Pour Locke, sur cent
hommes
, H y en a quatre-vingt-dix qui sont bons ou mauva
entre eux. Ilelvétius est allé plus loin encore : Selon lui, tous les
hommes
naissent égaux et avec des aptitudes égales, et c
r des procédés employés puisqu'il prévoit l'arrivée d'un temps où * l'
homme
deviendra si organiquement moral qu'il accomplira
pour la ¦ science pure livresque », estimant que la fréquentation des
hommes
était la seule manière de former le caractère.
fruits sauvages. Leurs éducateurs étaient choisis avec soin parmi les
hommes
les plus braves et les plus vertueux. Le courag
es que nous considérons comme autant de vérités fondamentales : « L'
homme
qui a conscience d'avoir du caractère dans ses fa
pas de raisonnements qui soient capables de transformer un poltron en
homme
d'action. SUPPLÉMENT A LA REVUE DE L'HYPNOTIS
on dont parle Kant n'est ressentie que par une très faible minorité d'
hommes
, cela tient à ce que ce philosophe ne considérait
ue ce philosophe ne considérait que l'action directrice exercée par l'
homme
sur lui-même. Kant s'était rendu compte de toute
s bienfaits de la suggestion peuvent être étendus à un grand nombre d'
hommes
. Elle devient le moyen pratique de porter dans to
rincipe dominateur qui a décidé de la vocation et de la destinée d'un
homme
a été déposé dans son esprit par une simple parol
moment une nouvelle personnalité s'est substituée à la première et un
homme
doué de caractère s'est révélé. Je n'en citerai q
era une idée très nette de la puissance de suggestion par laquelle un
homme
peut exercer une action directrice sur le caractè
homme peut exercer une action directrice sur le caractère d'un autre
homme
: ¦ Dans les relations ordinaires, le maréchal
crispaient, mais 11 faisait ses observations avec tout le calme d'un
homme
flegmatique. » Pour redresser dans le caractère
certain que s'il fallait compter sur la rencontre inopinée d'un grand
homme
pour recevoir une leçon de caractère, les occasio
té sera toujours de recourir à la méthode qui consiste à observer les
hommes
isolément. En effet, étudiez la psychologie des
rconstances réalisées par la rude école de la guerre. Chez tous les
hommes
de caractère, des événements fortuitB ont provoqu
e le spectacle de certaines lâchetés ait suffi pour éveiller chez les
hommes
, jusque là irrésolus, le sentiment d'une révolte
de ces freins psycholgiques, de ces crans d'arrêt, qui confèrent à l'
homme
le pouvoir de dominer ses réflexes, de neutralise
pourvus de raison, II est évident qu'on le peut encore mieux dans les
hommes
et que ceux qui ont les plus faibles âmes pourrai
ble sentiment, celui d'avoir accompli son devoir vis-à-vis des autres
hommes
, et de le poursuivre en souriant avec bonté à l'e
«utralnements comme à nos ambitions. C'est ainsi qu'où distingue l'
homme
de caractère, trop souvent différent de l'homme d
nsi qu'où distingue l'homme de caractère, trop souvent différent de l'
homme
d'esprit, de science el même de génie. Notre sa
'il soit convaincu que. à partir d'un certain degré de sang impur les
hommes
méritent ou bien ne méritent plus le nom d'hommes
é de sang impur les hommes méritent ou bien ne méritent plus le nom d'
hommes
!... Or, d'après la loi des croisements successifs
prétexte... Il s'agit de savoir... dans quelles limites l'esprit de l'
homme
peut savoir... Admettons que les infortunés Par
toujours à l'ingéniosité du Devin une énorme latitude : « Tant vaut l'
homme
, tant vaut la chose 1 » — A cet égard la psycholo
ls noirs d'un centimètre de longueur, comme en ont habituellement les
hommes
bruns. La barbe, la moustache, les favoris sont
eut dire que, en ce qui concerne le visage, elle représente un type d'
homme
vigoureux. Mais ses boucles d'oreilles, son brace
étail de la toilette féminine. Il lui arrive parfois de s'habiller en
homme
, mais c'est pour pouvoir se livrer avec plus d'ai
une voiture attelée d'un joli poney. Lorsqu'elle est habil- lée en
homme
, l'illusion est complète. Mais ce ne sont jamais
gèrent les uns les autres. Grande est la suggestion qui s'exerce de l'
homme
aux animaux et réciproquement des animaux à l'hom
qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'
homme
. Il y a là tout un chapitre de psychologie compar
du fait et de l'efficacité du procédé mis en œuvre. Il s'agit d'un
homme
de 25 ans, marié, d'une constitution moyenne et d
corriger, à force de soins affectueux. Mais, après son mariage, notre
homme
continue à boire. Chaque jour, il absorbe, en out
aturel ont lieu, dans le début, quatre à cinq fois par semaine. Notre
homme
ne s'en doute pas; il ne résiste donc pas. L'amél
d'Instruction militaire. Pendant les années 1901, 1902, 1903, notre
homme
ne va plus au café, il ne boit plus de vin du tou
river à l'abstinence absolue de toute boisson alcoolique. Enfin notre
homme
se sent relevé à ses propres yeux; il est persuad
de ses théories. A ce sujet notre érudlt confrère le Dr Baudouin, l'
homme
le plus documenté sur toutes ces questions, publi
losse avec la plus grande philosophie. Le précepte qui enseigne que l'
homme
doit manger pour vivre cl non point vivre pour ma
arbue, qui, malgré «on costume féminin, avait l'aspect extérieur d'un
homme
. Berthe Akaira, tel était le nom de ce sujet, a
i accordèrent. Depuis, elle s'est tellement habituée à vivre comme un
homme
, qu'elle en a pris toutes les Ytg. 47. Derme Ak
in, elle y parait mal à son aise et donne nettement l'impression d'un
homme
qui se serait déguisé en femme. Le cas de Berlh
été obtenu en dehors de toute influence suggestive. Il s'agit d'un
homme
de 55 ans, qui, au début du traitement hypnotique
soirs pendant toute la durée de la traversée. Le jour suivant, cet
homme
vint me trouver, plein d'enthousiasme et disa
pharospasme psychasthénique (') par m. le Professeur Raymond. Cet
homme
est âgé de 46 ans. Quand il marche, il tient la t
la sensibilité ; le spasme n'est donc pas de nature hystérique. Cet
homme
est un nerveux, Dis de nerveux ; hésitant, Indéci
nterjections navrées, des apostrophes partent du tous tes coins ; les
hommes
et lus fommes, dans des postures désolées, abando
ong en Europe les fait b'y habituer ; ils ne sentent plus l'odeur des
hommes
, et celle des femmes leur provoque des idées volu
pu démontrer les relations qui existent entre les superstitions de l'
homme
préhistorique et celles des habitants de l'Italie
ologie, a présenté également une Intéressante étude sur l'action de l'
homme
sur les êtres vivants. L'Ecole de psychologie é
ait aussi retourner par ses aptitudes mentales au type ancestral de l'
homme
. Dans ces conditions elle se rapprocherait par so
u'elle s'est montrée à l'âge où elle apparai! habituellement chez les
hommes
. Fig. 53. Sarah Danton, femme à barbe, âgée de
ns de son entourage prenaient ses forces et ('épuisaient. La nuit des
hommes
la tourmentaient et elle disait qu'elle voyait de
des hommes la tourmentaient et elle disait qu'elle voyait des yeux d'
hommes
qui la guettaient. Il lui arrivait souvent de voi
e accidentel, dans un grand nombre de cas, se développe même chez les
hommes
tout à fait sains par la coutume traditionnelle d
, etc., tous ces événements sont accompagnés toujours de libations. L'
homme
qui, ne buvant jamais d'alcool, n'a aucun penchan
ne tristesse qui n'a pas de cause apparente s'empare d'eux. Comme les
hommes
sont peu inclins à s'analyser eux-mêmes, nous pou
tané de la crise, nous verrons qu'ils ont cette origine commune que l'
homme
ne trouve pas en lui assez de force pour lutter c
re qu'elle peut se trouver une consolation dans l'amour pour un autre
homme
qui lui sera sympathique ; le sort de ses enfants
ort peu; elle n'a pas d'affection pour les enfants qu'elle a eus d'un
homme
qu'elle n'a pas aimé. Une autre, blessée dans ses
2. Les aliénés indigènes en Tunisie. M. Louis Favre : L'action de l'
homme
sur les êtres vivants. La psychologie de l'an
dû acquérir une prédominance sur l'autre. Chez la grande majorité des
hommes
, cette prédominance incombe a la main droite. Il
est devenu synonyme d'habileté ot d'agilité. Cependant, chez quelques
hommes
, la dextérité réside dans la main gauche. Tel éta
tronc pourrait donner, à priori, l'illusion qu'il s'agit d'une tète d'
homme
. Le cas s'est présenté à Berlin : une létc, dont
jets de sexe différent. En effet, rien ne ressemble plus à une tète d'
homme
qu'une tète de femme à barbe. Tandis que tous les
es appréciables entre toutes les parties du tronc et des membres de l'
homme
et de la femme, ils n'en indiquent aucune en ce q
le fait que des poils couvrent la partie inférieure de la face chez l'
homme
et que la femme en est dépourvue. Evidemment, ils
e antérieure du cou. Cette saillie est beaucoup plus prononcée chez l'
homme
que chez la femme. C'est d'ailleurs à cette parti
doit le nom de pomme d'Adam. La saillie du cartilage thyréoïde chez l'
homme
constitue un des caractères distinctifs les plue
). Leur première impression fut qu'ils se trouvaient en présence d'un
homme
déguisé en femme. Cette femme fui conduite devant
e devant les (I) La téta do la femme est plus petite que celle de l'
homme
et cette différence est assez prononcée pour reco
indiquant ces différences. A quarante ans, le poids moyen du crâne l'
homme
serait de 647 grammes ; chez la femme il ne serai
e considère que les cerveaux adultes, on trouve pour l'encéphale de l'
homme
un poids moyen de t.30) grammes et pour la femme
isseuse et logeait dans sa maison plusieurs ouvriers. Un jour que ces
hommes
rentraient pour partager le dincr qui était déjà
es arts, les doctrines religieuses ont exercé sur les sentiments de l'
homme
, et en particulier sur l'amour, dans l'antiquité.
l'amour et le sentiment du beau revêtirent souvent dans l'esprit de l'
homme
des formes étrangères a la femme. Cela prouve que
rtent sur les manifestations instinctives. C'est ainsi que beaucoup d'
hommes
subissent sans s'en douter l'influence de la mode
lus haut. Nous affirmons qu'elle existe a l'état normal chez tous les
hommes
et que, par suite, sa privation, rend infirme.Nou
méconnaître. C'est à ce titre que je mentionne, dit-il, le cas d'un
homme
qui m'est arrivé récemment a l'hôpital Dcsgcncttc
12 ans, et depuis, employé en divers pays comme garçon boulanger, cet
homme
était bien connu par ses accès de sommeil : il s'
ion mathématique, in-8, 44 p. — Brochure, 1905. E. Maillet. — Sur l'
homme
de génie, de M. Lombroso, et la faculté inventive
cinquante membres français et étrangers et comprend dans son sein les
hommes
les plus universellement estimés pour leurs reche
férieurs et désigné à cause de cette particularité sous le nom de « l'
homme
tronc ». Us comparent ce sujet à d'autres privés
, John Valérius (du Palatinat} et Mattliew lîurgra-vius, dit le petit
homme
de Nuremberg. Kobelkoffest le quinzième de. seize
encore cette admiration du merveilleux, de l'incompréhensible, que l'
homme
actuel tient de ses ancêtres, héritage dont il fa
e sévères punitions. On allait en tremblant à la leçon de ce terrible
homme
. Ses dictées cependant étaient quelquefois interr
ne doit raisonnablement faire reproche ni au corps enseignant, ni aux
hommes
chargés de l'administration des établissements un
tions analogues, méritaient de retenir l'attention. Il semble que les
hommes
chargés par leurs fonctions du développement inte
TJn cas d'hystéro-traumatisme {') Par m. le professeur Raymond L'
homme
que je vous présente est un ouvrier terrassier, â
icamenteuse, celle du genou augmente de jour en jour et empêche notre
homme
de se lever. Un médecin fait d,cs pointes de feu,
er. Si je plante une épingle dans la peau de la jambe gauche de cet
homme
, non seulement il n'éprouve aucune douleur, mais
sme et par une certaine sommo d'hérédité. Survient l'accident : notre
homme
est enseveli jusqu'au cou et perd connaissance; a
ngereux : jadis, à la Charité, dans le service de Trélat, on amena un
homme
atteint de paraplégie des membres inférieurs avec
l'identité était absolue sous un verre grossissant. Or, le malade,
homme
d'un tempérament très nerveux, avait l'habitude'
oit; M. Brocard, avocat à la Cour d'appel, MM. Séghers et Jules Bois,
hommes
de lettres, M. Lépinay, médecin vétérinaire, M. l
82 et 1383 du Code civil : Art. 1382. — « Tout fait quelconque de l'
homme
, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par
contestable, que l'influence de l'hypnotiseur est telle que certains
hommes
peuvent être endormis contre leur volonté et malg
répondrai que l'inégalité d'intelligence et de volonté des différents
hommes
est un fait en présence duquel le législateur se
ur application, nous ne pouvons que constater l'ascendant de certains
hommes
sur leurs semblables. Nous arrivons à une quest
i-même, car celui-ci sera l'œuvre de l'hypnotiseur, c'est-à-dire d'un
homme
essentiellement maître de ses facultés. Nous cr
s synthèses psychiques du cerveau de ce... bienheureux : « Ce saint
homme
avait passé quarante ans sans dormir plus d'une «
b, devaient s'élever deux renommées qui s'imposèrent à la mémoire des
hommes
. A l'immortel tortionnaire de Santa-Cruz, Thoma
que l'on commet ; c'est en réalité le vrai suicide. C'est celui de l'
homme
qui s'asphyxie avec un poêle et attend la mort.
êtée de mourir. Cette mort par désespoir pourrait s'observer chez l'
homme
, en certains cas de nostalgie, de perte d'un être
d'un être chéri, etc. 3° Je placerai ici le suicide inconscient. Un
homme
est pris de vertige dans les montagnes ou au somm
ez les fous. J'ai soigné ainsi en 1887, à l'hôpital Saint-Antoine, un
homme
qui, malgré lui, avait envie de se couper la gorg
es divers modes de suicide, qu'on l'étudié chez les animaux ou chez l'
homme
: la psychogénic en est entièrement différente. C
es lampes brillantes, aux verres blancs, verts, jaunes et rouges. Les
hommes
étaient couchés en rang sur des nattes, pieds nus
la première rangée de colonnes, se tenaient les anciens, les premiers
hommes
de la tribu par la sainteté ou la richesse, et le
otes très aiguës, chantée par une voix nasillarde. « Cependant, des
hommes
en burnous se levaient un à un de tous les coins
urait toujours; aux bruits des tambourins frappés par intervalle, les
hommes
se prosternaient; de temps en temps, un Arabe, pl
et deux dans la poitrine. Pendant cinq minutes, le marabout promena l'
homme
ainsi lardé, puis lui enleva les aiguilles; l'hom
arabout promena l'homme ainsi lardé, puis lui enleva les aiguilles; l'
homme
aussitôt s'échappa, et se jeta parterre tout de s
r l'imposition des mains sur les côtés de la poitrine et du ventre; l'
homme
tomba comme mort; au bout de deux minutes, il éta
tions relatives à Vaction-intennentale et à l'influence exercée par l'
homme
sur son semblable, avait chargé une délégation, c
une réglementation étroite de l'hypnotisme, admet « volontiers qu'un
homme
de science, qu'un naturaliste, qu'un philosophe i
erdiction des spectacles publics, du servage le plus absolu auquel un
homme
puisse être réduit par son semblable.....L'hypn
es phénomènes aussi graves. Il n'est pas convenable de donner ainsi l'
homme
en spectacle, le découronnant vis-à-vis de tous e
nts. Tantôt prince, tantôt simple ouvrier, soldat ou paysan, poète ou
homme
du monde, il faut qu'il représente les qualités e
uvrière habituée aux rudes travaux et aux privations ; le savant et l'
homme
des champs, la princesse et la petite bourgeoise.
l'une de nos trois grandes variétés cliniques ; témoin le cas de cet
homme
. Il a 37 ans. Jadis marchand de vins, il est ma
s dans la même nuit. Notez qu'il n'y a pas d'amnésie consécutive. Cet
homme
sait et raconte très bien tout ce qui lui arrive.
usque ; elle commence par de petites contractions musculaires ; notre
homme
sent des coups dans la nuque, voit des ombres dev
ugue, on le voit, se rattache à l'épilepsie. Ce n'est pas tout. Cet
homme
est hypnotisable, au moins dans une certaine mesu
ui et ne pense plus à ses chagrins d'antan et qu'il veut redevenir un
homme
, etc. A son réveil, il parait de plus en plus heu
provocateurs sont chez les animaux presque aussi nombreux que chez l'
homme
. Nous allons les passer rapidement en revue. Em
en utiles et apporteraient à nos éminents collègues les médecins de l'
homme
, des aperçus qui, j'ensuis convaincu, aideraient
e serpent dresse sa tète et la balance selon la mesure indiquée par l'
homme
; dès que le reptile commence à s'engourdir, l'hyp
taques pouvaient revenir : ¦¦ lorsqu'un esprit immonde est sorti d'un
homme
, il va par des lieux arides, cherchant le repos e
promenait était tombé mort. Il s'approcha, et après avoir examiné cet
homme
, il se fit promptcmant apporter des baguettes qu'
mblée les regardait comme des fous, mais au bout d'un quart d'heure l'
homme
que l'on croyait mort commença a se remuer, il re
connaissais pour un excellent médecin, mais je ne vous croyais « pas
homme
à ressusciter les morts. — J'avoue que j'entends
estement : L'expérience vaut mieux que le médecin, mot profond, qu'un
homme
de vrai mérite et dédaigneux des suffrages de la
is (II-VI) : Or,- Naaman, chef de l'armée du roi de Syrie, était un
homme
puissant auprès de son seigneur et fort honoré, p
parce que l'Eternel avait délivré les Syriens par son moyen; mais cet
homme
fort et vaillant était lépreux. Et quelques troup
cendit et se plongea dans le Jourdain sept fois, selon la parole de l'
homme
de Dieu; et sa chair lui revint semblable à la ch
ction. Mais Elisée lui dit : mon esprit n'est-il pas allé là où cet
homme
a quitté son char pour venir à ta rencontre? Est-
ouveau Testament sont décrits d'une manière moins explicite. C'est un
homme
tout couvert de lèpre, qui veut être rendu net (L
43). On peut rapprocher ce fait d'autres cas nombreux de précocité d'
hommes
de génie. Pendant un jeûne de 40 jours, il fut
, ce n'est pas faire de la clinique. Allons au fond des choses. Cet
homme
est très impressionnable à cause de son hérédité
hercher quelqu'un pour « décrocher son père » ; il y court et voit un
homme
se balancer au plafond. Six mois après, par un be
c'est un tablier qu'on y a suspendu pour le faire sécher; mais notre
homme
croit revoir son pendu ets éprouve une nouvelle é
brer son émotivité l'a amenée à l'état d'équilibre instable. Chez l'
homme
de tout à l'heure, l'angoisse était d'origine hys
ractérisée et tourmenté par des phobies diverses ; c'est du reste, un
homme
intelligent, n'ayant aucune idée délirante, se re
ls, jadis maître des Requêtes. Il étoit un chef du parti janséniste ;
homme
fort sage, fort dévot et fort réglé. Il a tant je
ette époque, car le miraculé répond aux questions qu'on lui fait: cet
homme
qu'on appelle Jésus a fait de taboue, il en a oin
Jésus dit : « En vérité je n'ai trouvé une aussi grande foi chez nul
homme
en Israël » (Mat. VIII, 8]. Jésus avouait d'ail
ndre pour opérer le miracle que celui qui l'implorait ait la foi. tin
homme
avait amené son fils possédé d'un esprit muet et
es, la Judée présentait le spectacle d'une eom-munautéde plusde 4.000
hommes
, célèbre sous le nom d'Essées ou d'Essènes, établ
rticularistes. Sous le joug de Rome, on commença à comprendre que les
hommes
étaient frères, ils devaient donc avoir le même D
un moment de grands progrès. Le christianisme affirmait l'égalité des
hommes
, il prêchait l'amour et le communisme, ce n'était
que Jésus fît des miracles. Car les Juifs exigeaient des signes de l'
homme
en qui ils devaient avoir foi (Paul, épître aux C
que Pierre après la descente du Christ (Actes II, 22) l'appelle « un
homme
accrédité auprès des Juifs, parles eflets de puis
es mains tremblent, les objets s'éloignent ou se rapprochent et notre
homme
est pris d'une faim vorace, bien que, d'ordinaire
ailleurs, le délire est en raison de l'hérédité. Parvenu à l'âge d'
homme
, il se tourmente de tout et s'exagère ses sensati
des causes finales; perpétuellement il se demande ce que c'est que l'
homme
, pourquoi il est venu sur la terre; ce qu'il devi
mme nous ne pourrons jamais vous parler des fonctions du cerveau de l'
homme
sans nous ins-' pirer des enseignements de ce
que rien ne la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les
hommes
de science et de bonne volonté se réunissent, com
e d'intéresser à sa cause, c'est-à-dire à son succès, M. Berthelot, l'
homme
de génie qui, reculant la limite des puissances t
ie et de la philosophie contemporaines. Les noms et les travaux des
hommes
éminents qui assurent, avec mon ami M. Bérillon,
diges pour noter la différence qui existe entre Philostrate, le latin
homme
de lettres fin et sceptique qui les a écrits, et
s, et qu'il fallait verser la libation du côté de l'anse, parce que l'
homme
ne boit jamais de ce côté : à ce moment le jeune
vre les impulsions d'un démon ; et, comme il venait de se conduire en
homme
ivre, les assistants le croyaient ivre. Mais, Apo
laudissements qui éclatèrent alors, je renonce à les décrire. Lcjeune
homme
parut sortir d'un profond sommeil : Il se frotta
nombre des vivants, on admirait son changement d'existence, et pas un
homme
n'osait prétendre qu'il ne fut pas immortel. Comm
xplication très simple que la science donne do ce genre de faits. L'
homme
est un complexus de phénomènes plus ou moins indi
brûlant problème. Robert d'Arbrissel, abbé fondateur de l'abbaye d'
hommes
et de femmes de Fontevrault, entrait courageuseme
lui laisser le « choix des femmes pendant qu'ils se chargeraient des
hommes
. « On eut beau représenter à notre Robert le pé
. Il a voulu connaître l'opinion que professent sur ces questions les
hommes
les plus autorisés par leur compétence ou leurs r
l'illusion du rêve éveillé, cette puissance de suggestibilité que l'
homme
équilibré possède à la dose normale. Si nous de
a théorie et la pratique rituelle de la suggestion nous viennent d'un
homme
de génie, peut-être aussi grand, en tout cas plus
été rapportés à leur véritable cause. Cette cause n'est pas hors de l'
homme
, elle est en lui, dans son cerveau, elle prend se
u cerveau pensant et tel qu'il fonctionne normalement. 5° Comme les
hommes
sont insatiables de bonheur — ils en ont si peu!
e ne les pourra jamais détruire, parce qu'il y aura toujours pour les
hommes
des Inconnues à chercher ei de l'inconnai&sab
maturément, car à mon avis, si Ton peut avec raison dire que tous les
hommes
— et même les animaux —ont une conscience sublimi
ameux, M"* Piper ou Eusapia Paladino, par exemple, et celle de M. X.,
homme
d'une cinquantaine d'années ayant assez d'instruc
on, de synthèse (production et contrôle de fonctions organiques que l'
homme
ordinaire est incapable d'exercer ou d'influencer
ensité. Or, ces expériences, M. Brémaud les a faites sur des sujets
hommes
et, en apparence au moins, parfaitement sains. Il
ehors des enfants, des jeunes filles, des femmes adultes, et même des
hommes
faits, l'hystérie peut encore, en dépit de l'opin
le traitement doit être, pardessus tout, moral et suggestif. Cet
homme
est charretier. II y a 20 mois, il était sur le b
ites, le médecin de l'assurance affirme l'hystérie et considère notre
homme
comme un simulateur. Vous le voyez, il a un tre
jambe droite dont les muscles sont même un peu atrophiés. Chez cet
homme
il y a immobilisation de la hanche par contractur
l'illustre médecin et philosophe allemand Louis Biiehner, auteur de Y
Homme
selon la science, de Force et Matière, etc., et d
pouvoirs mystérieux ?..... Quand nous constatons une faculté chez l'
homme
ou chez les animaux, nous nous demandons ordinair
ation d'une manière inconnue? .... C'est un fait général que dans l'
homme
et les animaux supérieurs, l'accroissement dans l
du labyrinthe cérébral qui représente les goûts et le caractère d'un
homme
, les processus spéciaux qui arrêtent une tentatio
ets avec Myers l'existence d'une conscience subliminale chez tous les
hommes
, même chez les animaux (du moins ceux qui rêvent)
qui, comme la télesthésie, la télékinésie rendront le successeur de l'
homme
aussi supérieur à l'homme que celui-ci l'est aux
la télékinésie rendront le successeur de l'homme aussi supérieur à l'
homme
que celui-ci l'est aux animaux. .....Mais laiss
qu'en se respectant soi-même, en se connaissant, en se contrôlant, l'
homme
peut devenir le maître de son propre esprit et l'
ale) dans tous pes modes. L'idée d'ailleurs n'était pas neuve et un
homme
qui connaissait à fond toutes les questions se ra
ute ma vie, -j'ai eu horreur de parler de ces choses-là, surtout à un
homme
, comme - aussi d'aller aux cabinets ailleurs qu
se erreur •de diagnostic, si l'on n'y prenait pas garde. z . C'est un
homme
âgé de 35 ans ; jusqu'à il y a quelques mois, méc
bandonnes .... » Mais alors, il a donc une liaison en ville ! Notre
homme
sort, va mettre sa lettre à la poste, revient che
nésie rétro-antérograde pour une période de cinq à six jours. Notre
homme
se remet à manger, à dormir, à vivre comme par le
autre personnalité; ils sont la manifestation d'un état second. Notre
homme
, jusque-là intelligentetactif, est victime d'un a
it mois, en était arrivé à oublier le nom de sa rue. D'autre part, un
homme
et une femme décident de se suicider par l'oxyde
se disculper. Dans un cas de Raffegeau et Boucherot, il s'agit d'un
homme
qui avait toujours été très actif et très propre.
nes. On incline à porter le diagnostic de paralysie générale ; or cet
homme
a très bien guéri. Il est important de dire que
eine, et nous aurons ce don physique que V Éclair attribue à certains
hommes
, à l'exclusion des autres. Quant au don moral qui
u Congrès du magnétisme de « 1897. Eh bien, malgré cette opinion d'un
homme
si bien placé pour « interpréter la loi, Mouroux
a Elles ne souffrent, dit-il, jamais de maux d'estomac tandis que les
hommes
sont atteints de toutes sortes de dyspepsies. »
nce criminelle. La plupart croient que la science qui s'occupe de l'
homme
criminel n'est que l'étude de la pénalité qui att
quantité, plus ou moins lourde, de prison. II faut savoir pourquoi l'
homme
devient criminel, pourquoi on commet des crimes.
t la résultante des différentes forces qui agissent sur le corps. L'
homme
est toujours comparable à ce corps sous la pressi
ections. Il obéit, comme le corps, à la résultante. C'est ainsi que l'
homme
est poussé au crime ou éloigné de lui par plusieu
e la grande sève de la pensée humaine. Partout vous trouverez que l'
homme
a cherché la vérité avec deux systèmes, deux arme
que de reconnaître les faits qui, par milliers, nous démontrent que l'
homme
n'est que le résultat le plus brillant et le plus
le. Dans les sciences qui étudient les sentiments et la pensée de l'
homme
, c'est-à-dire dans les sciences psychologiques, v
udier dans la chair palpitante le système nerveux de l'animal et de l'
homme
, ceux qui ont la prétention d'étudier la pensée d
al et de l'homme, ceux qui ont la prétention d'étudier la pensée de l'
homme
sans avoir étudié d'abord l'homme lui-même, — ceu
prétention d'étudier la pensée de l'homme sans avoir étudié d'abord l'
homme
lui-même, — ceux-là, dis-je, affirment que la pen
e zoologique, — depuis les formes primitives et inférieures jusqu'à l'
homme
. Il faut bien reconnaître que le positivisme a
science qui, comme la science criminelle, avait pour but l'étude de l'
homme
criminel, eût ferméles yeux devant les découverte
ait et la plaie saignait. Un prodige exhibé chez Barnum, Tomasso, l'
homme
pelote d'épingles, montre des phénomènes de même
uelles son état s'est constitué sont intéressantes. Son père était un
homme
nerveux qui avait de la tendance à parler seul, c
ion à ce point que, jadis, on lui a enlevé son utérus ; j'ai connu un
homme
de 30 ans, avec état mental semblable au sien et
irium tremens. Appelé le lendemain auprès du malade que deux ou trois
hommes
maintiennent difficilement depuis la veille, j'ad
eut pas se passer des autres sciences qui étudient, d'après nature, l'
homme
même. Tout acte de présomption scientifique com
ristes, enfermés dans leurs théories abstraites, ne connaissant que l'
homme
réel et vivant rien de positif, ne pouvaient pas
mérique lorsque, pour la première fois, ils virent les bateaux et les
hommes
de Christophe Colomb. Il s'agissait, en effet,
ontraire, ils redoublèrent leurs efforts, et quand surgirent d'autres
hommes
qui, avant de se dédier au droit pénal, jugèrent
, de la psychiatrie et d'autres sciences naturelles, et elle étudie l'
homme
criminel avec la méthode expérimentale, en se ser
à la psychologie expérimentale qu'à la psychiatrie. Tout acte de l'
homme
, soit intérieur, soit exténeur, n'est que le résu
r, n'est que le résultat nécessaire de la constitution organique de l'
homme
et du milieu, soit social, soit physique, qui agi
tion organique et psychologique, tout à fait différent des autres
hommes
. Toutes ces différences constituent des phénomène
ortent ces deux théorèmes scienlifiques dans l'étude du crime et de l'
homme
criminel. En disant que tout acledc l'homme n'est
l'étude du crime et de l'homme criminel. En disant que tout acledc l'
homme
n'est que le résultat nécessaire de la constituti
ue) qui agit sur lui, — on dit que ce n'est pas la libre volonté de l'
homme
qui guide ses actions, mais la constitution organ
rganique du criminel est différente de la constitution organique de l'
homme
normal, on dit qu'on devient criminel parce qu'on
dans sa constitution organique des stigmates de dégénérescence que l'
homme
normal n'a pas. Le crime n'est donc pas le fils
e criminel a vécu. L'école classique, qui s'est refusée à étudier l'
homme
, sa psychologie, son cerveau, sa constitution org
mes et des peines, d'un principe tout à fait opposé. Elle a dit : L'
homme
criminel commet son crime parce que son libre arb
la quantité de son libre arbitre. Si son libre arbitre est complet, l'
homme
criminel est responsable complètement ; si l'homm
tre est complet, l'homme criminel est responsable complètement ; si l'
homme
criminel ne jouit que d'un libre arbitre moins co
'un libre arbitre moins complet, je diminue sa responsabilité; — si l'
homme
criminel, enfin, n'est pas libre du tout, je ne l
nt chargées de prouver sa fausseté, en démontrant que, tout acte de l'
homme
ne dépend pas de son libre arbitre, mais qu'il es
tution organique, soit du milieu physique et social dans lequel l'
homme
vit. Je dis, aussi, que ce principe est illogiq
la psychologie expérimentale, laquelle a démontré que tout acte de l'
homme
est le résultat de la constitution organique et d
e la constitution organique et de la pression du milieu dans lequel l'
homme
vit, — mais qu'il est aussi combattu par une mult
hique en général (tel le climat, la latitude, l'altitude, etc.) sur l'
homme
. Pour l'étude des causes individuelles du crime,
ts entre le climat, la latitude, l'altitude, le milieu telluriqueet l'
homme
criminel); Causes individuelles. — {Anthropolog
trefois actif, audacieux et même téméraire, il parut transformé en un
homme
hésitant, timoré et presque dépourvu d'initiative
t et devient son amant. Voilà donc cette femme prise entre ces deux
hommes
, chacun d'eux lui faisant la suggestion de ne plu
an ('), au sein môme de cette Société, nous déplorions la perte d'un
homme
éminentdont la disparition mettait en deuil la sc
ctoire avec l'action la plus énergique, le vouloir le plus résolu : l'
homme
doit donc s'appliquer à raisonner, délibérer, vou
es espérances d'amélioration, de perfectionnement et de relèvement. L'
homme
a le pouvoir et le devoir de s'élever par sa volo
gare la casse ! Et entre temps ce serait le chômage universel. Mais l'
homme
ne supporte pas longtemps le jeûne : affamées et
ion sociale, tant qu'on n'aura pas à mettre à sa disposition d'autres
hommes
que ceux que nous sommes. Il faut nous réformer,
Il faut nous réformer, il faut faire peau neuve..., il faut faire des
hommes
, non des hommes à l'image de la présente société,
ormer, il faut faire peau neuve..., il faut faire des hommes, non des
hommes
à l'image de la présente société, antagonique, in
age de la présente société, antagonique, inique et méchante, mais des
hommes
faits pour vivre dans un milieu de paix, de b
seur agrégé de philosophie au lycée de Bordeaux. m. Parodi y étudie l'
homme
et le philosophe ; il rend à ce ferme et puissant
égime appliqué aux condamnés s'inspire uniquement de cette idée que l'
homme
qui fait le mal est un malade le plus souvent gué
m'avait été remise pour lui à New-York. Je me trouvai en face d'un
homme
jeune, paraissant à peine trente ans, d'une physi
nnier ». C'est le a réformatoire » avec ses o habitants ». Seuls, les
hommes
y sont admis au nombre de 1.500 environ. Ils ne p
oi d'un condamné à Elmira. Si vous le voulez bien, nous suivrons un
homme
arrivant au « réformatoire » avec une peine de vi
d'éliminer ce qu'il a en excès. En un mol, on en fait d'abord un
homme
résistant. Quand le médecin juge qu'il est en éta
ande s'il a une préférence marquée pour un métier quelconque. Notre
homme
désire-t-il. par exemple, être maçon : il sera en
et à sa disposition, au réformatoire d'Elmira, le moyen de devenir un
homme
utilisable et régénéré. Il convient de dire que,
méricains ont imaginé pour l'amélioration de leur état moral. Notre
homme
, je l'ai dit, a été. dès son arrivée, revêtu d'un
s avec des galeries en fer pour assurer la circulation. Au réveil les
hommes
se lèvent, se lavent et viennent se poster devant
indienne à leurs travaux. En dehors des ablutions journalières, les
hommes
prennent tous les huit jours une douche. En enten
ouches tièdes, le directeur me disait : — Comment voulez-vous qu'un
homme
recherche la propreté si cela lui est désagréable
ientifiques ou autres, de tout, en un mot, ce qui peut intéresser des
hommes
. On n'expurge que tout ce qui a trait aux crimes
Le prophète de l'Avenue des Gobelins. Phtisiques, écoutez!... Un
homme
extraordinaire habite avenue des Gobelins. Un jou
se de 60 lits, à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les
hommes
. Je ne saurais trop remercier M. Quentin de l'emp
n scientifique en pathologie, et sans cette base, la physiologie de l'
homme
malade ne serait qu'un vain mot. S'il fallait,
en possession d'un certain nombre de faits fondamentaux, relatifs à l'
homme
, contre lesquels les données fournies par la vivi
m, il est retombé dans la verticale. Or, ce sont là des limites qu'un
homme
vigoureux, essayant de garder la même position, p
ladie, les symptômes si Fig. S. — Schéma des tracés obtenus ches un
homme
qui essaye de maintenir l'attitude cataleptique
ent comment se présente cette maladie, quand elle se développe chez l'
homme
, et plus spécialement chez l'enfant. Mais, avan
s les régions ovariennes, chez la femme, à la région inguinale chez l'
homme
; en arrière {fig. 13), entre les deux épaules, q
ombaire, à droite ou à gauche de la ligne médiane, au coccyx ; chez l'
homme
, il n'est pas rare de voirie testicule, surtout s
de partie de ces caractères peuvent se retrouver dans l'hystérie de l'
homme
. — L'hystérie existe donc chez l'homme? A cette
retrouver dans l'hystérie de l'homme. — L'hystérie existe donc chez l'
homme
? A cette question de savoir si l'hystérie attei
Ollivier, M. Klein1, n'a pas réuni moins de 77 cas d'hystérie chez l'
homme
. La proportion serait, du reste, d'après Briquet,
e chez l'homme. La proportion serait, du reste, d'après Briquet, de 1
homme
pour 200 femmes. Ce chiffre est, sans doute, un p
rmet d'affirmer que l'hystérie peut se présenter assez souvent chez l'
homme
, et qu'on l'y rencontre avec tous les caractères
uérison. Mais l'hystérie grave ne se rencontre pas seulement chez l'
homme
et l'adolescent, on la voit encore chez l'enfant,
d'après^ M. Klein, que la plus grande fréquence de l'hystérie, chez l'
homme
, s'observe vers 24 ans ; je crois que le fait mér
ique. — Deux observations rela" tives l'une à une femme, l'autre à un
homme
. — Hérédité. — Griffe cubitale : étude expériment
sexe féminin, comme c'est la règle, l'autre, au contraire, concerne l'
homme
, et c'est là une circonstance qui, incontestablem
a simulation de la catalepsie et de la contracture. — Hystérie chez l'
homme
, fréquence, hérédité, âge adulte. — Formes fruste
d'une jeune fille âgée de 16 ans, tandis que dans le second, c'est un
homme
vigoureux, un forgeron âgé de 35 ans, marié et pè
saisis avec empressement l'occasion qui se présente de soumettre cet
homme
, devant vous, à un examen approfondi. Je SfTl^ê
il reprendlaposition verticale suivantles lois delà pesanteur. Or, un
homme
vigoureux essayant de garder la même position peu
lle se présente dans le sexe masculin. I/hjLsJjéjde-^^ot^^ per chez l'
homme
! Oui, incontestablement, et elle s'y voit TîTuT
ncé que pour 20 femmes hystériques on rencontre, à Paris du moins, un
homme
atteint de la même affection. Ce chiffre, je l'av
respectable de 80; d'où il faut conclure, tout au moins, que, chez l'
homme
, l'hystérie n'est pas vraiment une affection très
mière par le même travail ; c'est que lorsqu'elle se développe chez l'
homme
, l'hystérie est le plus souvent héréditaire ; cet
ison de ces observations, c'est que les accidents hystériques, chez l'
homme
, apparaissent le plus souvent, conformément à l'o
hystérie de l'adulte est plus commune. Et, autre point à relever, ces
hommes
adultes en proie à la névrose hystérique ne prése
tères du féminisme ; ce sont, au moins dans un bon nombre de cas, des
hommes
robustes, présentant tous les attributs du sexe m
xe mâle, des militaires, des artisans mariés et pères de famille, des
hommes
, en un mot, chez lesquels on pourrait s'étonner,
mme exclusivement propre à la femme. Enfin, j'ajouterai que, chez l'
homme
comme chez la femme, la névrose se manifeste sous
e), l'hémianesthésie hystérique, en un mot, peut se rencontrer chez l'
homme
comme chez la femme. Il n'est pas jusqu'au rétréc
arie, un des symptômes fréquents de l'hystérie féminine manque chez l'
homme
; mais chez lui, dans quelques cas au moins, l'irr
e ou arrête 1'allaque. 3° A défaut d'ovarie, nous retrouvons chez l'
homme
les points hystérogènes, avec leurs mêmes caractè
de la grande attaque hystéro-épileptique se retrouve également chez l'
homme
(voir entre autres les cas de MM. Bourneville et
stérie qu'il s'agit, et rien que de l'hystérie. Notre malade est un
homme
de 3i ans, forgeron, père de quatre enfants, asse
e malade. Il est certain, en tout cas, qu'on ne saurait imaginer un
homme
capable de la maintenir pendant le sommeil profon
endre témoins. Aujourd'hui,la contracture persiste seule chez notre
homme
, l'hémianesthésie a complètement disparu ; il exi
ense, de l'exposé dans lequel j'entre immédiatement. Il s'agit d'un
homme
âgé de 40 ans, assez vigoureux, bien constitué, v
27 à 36 ans, alors qu'il était occupé à la livraison des bières, cet
homme
a commis de nombreuses débauches alcooliques; il
ons étudier. Le 28 décembre 1881, dans l'atelier de menuiserie où cet
homme
travaille, un madrier de 3 m. 30 de long et termi
ntrales diffuses. Appliquons maintenant ces données au cas de notre
homme
. L'examen des divers muscles affectés fonctionnel
senter, dans les conditions pattmjo^if^ues., la faculté que possède l'
homme
d'exprimer sa pensée par des signes (facilitas si
il était employé principal dans une maison du môme genre. C'est un
homme
d'une culture moyenne, son éducation ayant surtou
j'appellerai votre attention, dans une prochaine leçon, sur un autre
homme
aphasique que je vous présente aujourd'hui, et qu
épingle parterre. Ce qu'il y a de plus invraisemblable, c'est que cet
homme
ne peut lire ce qu'il écrit très correctement. »
ve, et déterminer si ces résultats sont véritablement applicables à l'
homme
. Quoi qu'il en soit, les données fournies relativ
, les données fournies relativement à l'hémianopsie cérébrale, chez l'
homme
, pourraient servir à nous faire comprendre commen
e in extenso*. M. K..., négociant à A..., est né à Vienne; c'est un
homme
1.Francis Galton. — Inquiries into human Facult
ut ce que sont les choses dans la réalité. » Le profil d'une tête d'
homme
que trace M. X... sur notre invitation, serait l'
chez les animaux, dans le laboratoire, mais encore et surtout chez l'
homme
, par les procédés de la méthode anatomo-clinique.
remblement hystérique. Nous avons actuellement, dans nos salles, deux
hommes
qui en sont affectés. Chez l'un, le nombre des os
nfants. Elle est d'un caractère irritable, mariée à un ouvrier, brave
homme
d'ailleurs, mais dont les fréquentes incartades s
convulsivement : Paul ^iHiJ^â^—^a_raphe. L'écriture était celle d'un
homme
; le P et le D présentaient, en outre, des caractè
de notre Clinique; les deux garçons s'en furent dans l'unique salle d'
hommes
que nous possédions à celte époque. L'isolement r
êtrière. DIX-HUITIÈME LEÇON A propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
1. Sommaire. — L'hystérie chez le mâle n'est pa
Relation de trois cas typiques et complets d'hystéro-épilepsie chez l'
homme
. — Ressemblance frappante de ces trois cas entre
Messieurs, Nous nous occuperons aujourd'hui de l'hystérie chez l'
homme
, et pour mieux circonscrire le sujet, nous consid
nts ou de la force de l'âge en pleine maturité, c'est-à-dire chez des
hommes
de 20 à 40 ans, et, en outre, nous envisagerons s
faisant, des symptômes de la grande hystérie chez la femme et chez l'
homme
, partout nous aurons à relever les analogies les
à fait secondaire. D'ailleurs, cette question de l'hystérie chez l'
homme
est, en quelque sorte, à l'ordre du jour. En Fran
l a été soutenu cinq dis-sertations inaugurales sur l'hystérie chez l'
homme
, et M. Klein, l'auteur d'une de ces thèses faites
ient mieux appelés Railway-Brain, sont, en somme, qu'il s'agisse de l'
homme
ou de la femme, simplement des manifestations hys
inq ans M. Klein, dans sa thèse, avait réuni 80 cas d'hystérie chez l'
homme
; voici qu'aujourd'hui M. Batault qui prépare, da
re obstacle à la diffusion des maladies relatives à l'hystérie chez l'
homme
: c'est l'idée relativement fausse que l'on se fa
carac- ' 1, E. Batault, Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'
homme
. léristique de l'hystérie, c'est l'instabilité,
emarquer seulement que la permanence des symptômes hystériques chez l'
homme
, leur ténacité empêchent souvent de les reconnaît
a femme elle-même, présenter une ténacité remarquable, et que, chez l'
homme
, il en est très souvent ainsi ; 2° Que chez le mâ
érences qui existent entre les phénomènes hystériques observés chez l'
homme
et ceux que nous reconnaissons chaque jour dans l
ystérie considérée dans le sexe masculin. Mais avant d'en venir à l'
homme
, je voudrais vous rappeler sommairement, par deux
ntré à la Salpêtrière, le 12 mai 1884, il y a bientôt un an. C'est un
homme
grand, fort, bien musclé ; il a été autrefois ton
rencontrerez fréquemment, Messieurs, ces conditions d'hérédité chez l'
homme
b}^slérique, plus accentuées peut-être encore que
a and hysUria. (New-York médical Record. 6 déc. 1S84. Obs. III. — L'
homme
que vous avez sous les yeux est un nommé Gui...,
assi que. Mais nous n'en avons pas encore fini avec l'hystérie de l'
homme
. Nous la retrouverons dans la prochaine leçon, to
linique. DIX-NEUVIÈME LEÇON A propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
(Suite. l) Sommaire. — Formes anormales de l'at
ite. l) Sommaire. — Formes anormales de l'attaque hystérique chez l'
homme
. — Relation d'un cas dans lequel les attaques ava
riques. L'attaque convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l'
homme
. — Description d'un cas de monoplégie brachiale,
e de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie brachiale, chez un
homme
de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnosti
és jusqu'ici, en ce sens qu'il s'agit d'un adolescent et non pas d'un
homme
fait. 1. Leçon recueillie par M. Georges Guinon
constitutifs de l'hystérie, rappelant ce qui s'observe souvent chez l'
homme
. Ainsi que vous l'avez pu remarquer, chez notre j
a été question précédemment, la grande hystérie est survenue chez cet
homme
, à la suite de l'affaiblissement causé par une ma
mblance vraiment saisissants qui rapprochent l'hystéro-épilepsie de l'
homme
de celle de la femme, alors même que, cessant de
or, les attaques peuvent également faire défaut dans l'hystérie de l'
homme
. Le cas que je vais vous montrer maintenant, lors
me bornerai à relever, en terminant, une fois de plus, que, chez cet
homme
, comme chez ceux qui l'ont précédé, la grande hys
cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause traumatique, chez l'
homme
l. — Monoplégies hy stér o-traumatiques. Sommai
monoplégie brachiale droite, survenue, il y a quelques mois, chez un
homme
de 25 ans, à la suile d'une chute sur l'épaule, m
t donné, ne puisse trouver son application pratique. Il s'agit d'un
homme
de 25 ans, nommé Porcz..., exerçant la profession
tre second malade, dont voici l'histoire en abrégé Le nommé Deb...,
homme
très vigoureux, âgé de 31 ans, terrassier, avait
cas de monoplégie brachiale hystérique, de nature traumatique, chez l'
homme
(Suite)l. — Monoplégies hystéro-traumatique s.
avec vous un cas remarquable de monoplégie brachiale survenue chez un
homme
de 25 ans, à la suite d'une chute sur l'épaule, n
e quelques symptômes apoplectiques, ce qui n'a pas eu lieu chez notre
homme
. J'ajouterai qu'une monoplégie brachiale pure, te
es localisations motrices dans Vécorce des hémisphères cérébraux de l'
homme
. [Revue de médecine, 1883, n°s 5, 6, 8 et 10.)
bservation vient démontrer qu'elle peut faire défaut également chez l'
homme
et même, si j'en juge d'après ce que j'ai vu, ell
onoplégie brachiale hystérique, de cause traumalique, observés chez l'
homme
; telle sera la conclusion de tout ce qui précède
tout ce qui précède. Je crois vous avoir démontré que chez les deux
hommes
atteints de monoplégie brachiale, qui ont fait l'
ier l'influence de la physionomie sur le geste, 1. Ue la Mettrie, L'
homme
machine, Œuvres philosophiques, T. I. Amsttr-4am,
e, Œuvres philosophiques, T. I. Amsttr-4am, 1763. Voir aussi T. II, L'
homme
plante. L'homme plus que machine. Charcot. Œuvr
ophiques, T. I. Amsttr-4am, 1763. Voir aussi T. II, L'homme plante. L'
homme
plus que machine. Charcot. Œuvres complètes, t.
lle que nous avons observée, dans nos dernières leçons, chez nos deux
hommes
hystériques, Porcz... 1. D'autres sujets se sou
ME LEÇON o Sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'
homme
(Suite) l. Sommaire. — Production d'une monoplé
me naturel et permanent. Considérations sur le traitement chez deux
hommes
atteints de monoplégie brachiale : hydrothérapie,
on, l'imitation parfaite de la monoplégie, déterminée chez nos deux
hommes
par un mécanisme en apparence bien différent, l'a
éludes d'aujourd'hui. Vous avez reconnu que la monoplégie de nos deux
hommes
, Porcz... et Pin... et celles que nous avons prod
l'avez compris, au mode de production de la paralysie. Chez nos deux
hommes
, vous ne l'avez pas oublié, la monoplégie reconna
ssante, même sous le rapport pathogéni-que. Sans doute, chez nos deux
hommes
— chez le cocher, dans sa chute de voiture, chez
d'impression-nabilité des sujets. Sans doute, ajouterai-je, ces deux
hommes
n'étaient pas en état de sommeil hypnotique au mo
tre produite an même degré et avec les mêmes caractères chez nos deux
hommes
en conséquence de la chute sur l'épaule, cette se
posés, dans la production des manifestations hystériques, même chez l'
homme
. fixée dans l'esprit et y régnant seule, sans c
1. En ce qui concerne les sensations produites par le choc, nos deux
hommes
sont incapables de nous renseigner. L'un d'eux, P
ntatives diverses d'hypnolisation que nous avons faites chez ces deux
hommes
, et qui, si elles eussent réussi, auraient, sans
olontaire de ce mouvement. Or, il est vraisemblable que chez nos deux
hommes
, les conditions organiques qui président normalem
ques progrès qui, depuis huit jours, se sont accomplis, chez nos deux
hommes
hystériques, en conséquence du traitement que nou
EÇON Sur tin cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez l'
homme
!. Sommaire. — .^X^ayaux de Brodie et d'autres
urs, La leçon d'aujourd'hui sera consacrée à vous démontrer que cet
homme
vigoureux placé devant vous est un hystérique, qu
C'est qu'en effet ceux-là savent que l'hystérie peut exister, chez l'
homme
adulte même vigoureux, chez l'artisan non énervé
rique de la coxalgie dont il souffre depuis bientôt 3 ans. C'est un
homme
de 45 ans, nommé Ch..., père de sept enfants, qui
sujet. Nous nous en sommes assurés en faisant placer à côté de notre
homme
un individu sain, habitué à poser pour les peintr
Brodie : Si nous considérons, en premier lieu, Yétat général de cet
homme
, nous voyons que, depuis deux ans et demi qu'il e
aturellement à supposer qu'un examen plus at- 75. tentif de notre
homme
et conduit dans une certaine direction, nous perm
nterprétation ; car nous savons par nos études antérieures que chez l'
homme
, plus peut-être encore que chez la femme, un choc
elle et rien, absolument rien, ne saurait nous autorisera taxer notre
homme
de simulation. Toujours est-il, Messieurs, vous
EÇON Sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumati-que chez l'
homme
(Suite). Sommaire. — Résultats de l'examen prat
evra servir à ces études, mais bien, ainsi que vous l'avez compris, l'
homme
lui-même placé dans les conditions mentales spéci
he pendant une attaque. Vous n'avez pas oublié, Messieurs, ces deux
hommes
, Por... et Pin..., que je vous montrais tout réce
gager à en faire l'objet de vos méditations. Pour retourner à notre
homme
atteint de coxalgie hystérique, vous avez parfait
qui peut-être nous fourniraient ici un puissant moyen d'action, noire
homme
ne veut absolument pas en entendre parler. Depu
. Cette circonstance est la suivante : l'affection dont souffre cet
homme
a, comme je vous l'ai dit, été contractée au serv
s'applique à un sujet hystérique que le massage a produit chez notre
homme
des résultats aussi accentués ; on pourrait dire
cas de contracture spasmodique d'un membre supérieur survenue, chez l'
homme
, en conséquence de l'application d'un appareil à
a être l'objet de la leçon d'aujourd'hui est, comme vous le voyez, un
homme
d'une apparence vigoureuse; il présente un nouvel
ir, une ample moisson de résultats d'un grand intérêt pratique. Cet
homme
offre, comme vous le voyez, une contracture du me
Yoici, en quelques mots, l'histoire clinique de ce malade : C'est un
homme
de 30 ans, nommé Dum..., né dans la Dordo-gne et
très vraisemblable que les phénomènes qui se sont produits chez notre
homme
, à cette époque, dans le membre soumis au traumat
les parties ischémiées, dans l'expérience de Stenon ou encore chez l'
homme
à la suite de la ligature de l'artère principale
tte année, à l'étude de la claudication intermittente produite chez l'
homme
par oblitération artérielle2, que la contracture
voir présente à l'esprit la question que voici : Pourquoi, chez notre
homme
, la monoplégie avec flaccidité produite par le tr
dernier mois, sur un total de 70 sujets hystériques (43 femmes et 27
hommes
), les uns actuellement en traitement, dans le ser
n particulier sur la contracture produite sur les sujets hystériques (
hommes
et femmes), par l'application d'une ligature. (Pr
echerches nous ont permis de déterminer, et dont la fréquence, chez l'
homme
comme chez la femme, est beaucoup plus grande qu'
se développer vingt ans plus tôt, etnous connaissons des hystériques
hommes
de 40 ans et plus. Mais, j'insisterai sur le débu
DICE I. Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'
homme
, fragments d'une leçon de M. Cuarcot (1886), recu
'ailleurs singulièrement suivant les sujets. C'est ainsi que, chez un
homme
vigoureux, bien équilibré, un coup de poing d'une
n doute, l'explication qui vient d'être proposée. On sait que, chez l'
homme
, une émo- l. Sur les paralysies émotives, voir
ompliquée autrement. Les phénomènes qui relèvent de l'hystérie chez l'
homme
sont, par eux-mêmes, souvent fort sérieux, surtou
tamponnement » ayant porté sur l'épaule1. Le nommé Mouil...2 est un
homme
robuste, vigoureux, bien musclé. Il est âgé de 25
nent évidemment à la même catégorie. Eu égard au nombre de malades,
hommes
et femmes, atteints d'hystérie, on peut dire que
Obs. V. — Gué..., entré à la Salpètrière, service de M. Charcot.
Homme
, âgé de 30 ans. La première attaque nerveuse eut
Revue de la Suisse romande, 1883 ; obs. 2 du mémoire de Revilliod). —
Homme
de 48 ans, admis à l'hôpital cantonnai, comme sou
que. — Deux observations reía tives l'une à une femme, l'autre à un
homme
. — Hérédité. — Griffe cubitale : étude expériment
a simulation de la catalepsie et de la contracture. — Hystérie chez l'
homme
, fréquence, hérédité, âge adulte.— Formes frustes
... 238 DIX-HUITIÈME LEÇON. a propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
. Sommaire. — L'hystérie chez le mâle n'est pas
Relation de trois cas typiques et complets d'hystéro-épilcpsie chez l'
homme
. Ressemblance frappante de ces trois cas entre eu
Suite). Sommaire. — Formes anormales de l'attaque hystérique chez l'
homme
. — Relation d'un cas dans lequel les attaques ava
riques. L'attaque convulsive peut faire défaut dans l'hystérie de l'
homme
. — Description d'un cas de monoplégie brachiale c
ie de l'homme. — Description d'un cas de monoplégie brachiale chez un
homme
de 19 ans, hystérique. — Difficultés du diagnosti
x cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause traumatique chez l'
homme
: monoplégies hystéro-traumatiques. Sommaire. —
as de monoplégie brachiale hystérique, de nature traumatique chez l'
homme
(suite); — monoplégies hystéro-traumatiques. So
XIÈME LEÇON. sur deux cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'
homme
(Suite). Sommaire. — Production d'une monoplégi
isme naturel et permanent. Considérations sur le traitement de deux
hommes
atteints de monoplégie brachiale : hydrothérapie,
iÇON. sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez l
homme
. Sommaire. — Travaux de Brodie et d'autres aute
EÇON. sur un cas de coxalgie hystérique de cause traumatique chez l'
homme
(Suite). Sommaire. — Résultats de l'examen pr
cas de contracture spasmodique d'un membre supérieur survenue chez l'
homme
en conséquence de l'application d'un appareil a f
....... 399 VINGT-SIXIÈME LEÇON. cas de mutisme hystérique chez l'
homme
. Sommaire. — Description du mutisme hystérique.
ICE. I. — Deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'
homme
; fragment d'une leçon de M. Charcot, recueillie p
ine organique, 411. Coxalgie hystérique de cause traumatique chez l'
homme
, 370; — ses caractères, 374; —provoquée par l'hyp
1^2. Epidémie d'hystérie, 229. Epilepsie partielle (Hystérie chez l'
homme
avec attaque à forme d'), 283. f Face, Tic
le développement de l'hystérie, 226; — son traitement, 234; — chez l'
homme
, 114, 249; — Historique, 250; — Fréquence, 251 ;
, 289; — chez Vado-lescent,21. — Diilérences d'avec l'hystérie chez l'
homme
fait, 281. Hystérique (Contracture), 37, 80, 97
'atrophie musculaire progressive, 199. Stigmates hystériques chez l'
homme
, 253 ; — leur importance pour le diagnostic des p
edow, 413. Zones hystérogènes, .85 ; — chez la femme, 232; — chez l'
homme
, 260. FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE. Chûtcaurouï
sur- veillance de leur nourricière, les enfants retombent plus L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE. 13 volontiers sous
ucation dans la mesure où nos moyens le permettent. PSYCHOLOGIE L'
homme
est-il symétrique ou double ? Réponse de M. C.
qu'il en donne.Le Du- plicisme est une doctrine suivant laquelle l'
homme
est composé de deux co-êtres longitudinalement
re. C'est donc une théorie biologique. Quels sont vos titres en L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE. 15 biologie. Quell
la biologie. Voici comment : Comme sociologiste je crois : 1° Que l'
homme
est fait pour vivre en Société ; 2° Que la Soci
en nous. Je me" disais à l'appui de cette opinion libéraliste : les
hommes
de tout temps et de tout pays ont tenu leurs se
sponsabilité là où il n'y a pas de liberté. C'est donc que tous les
hommes
ont toujours cru à la liberté, et se sont prati
sentiment de la liberté est une politesse que la Nature a faite à l'
homme
«.Etrange raisonnement qui oblige qu'on imagine
qui oblige qu'on imagine la Nature humaine comme autre chose que l'
homme
; qui place celle-là en dehors et en face de ce
ctrine repose sur un raisonnement. Ce raison- nement le voici : « L'
homme
est un. Dans un milieu un, on ne con- çoit pas
s différents d'origine et de ten- dance. Les motifs intérieurs de l'
Homme
ne le détermineront donc 1Ci PSYCHOLOGIE jama
liberté. Que si les impulsions viennent des forces extérieures à l'
Homme
.ces forces en le frappant dans son unité essent
agissant sur un même plan : une résultante unique qui sera pour l'
Homme
son unique motif..., d'où encore ni option, ni li
ne suis-je deux ! Comme la science sociologique s'éclairerait si l'
Homme
n'était pas un, et si n'étant pas un, il retrouva
retrouvait de- vant la logique le droit d'être libre ! Il y a deux
hommes
en moi, disait Saint-Paul. L'indécision, les co
me tout s'expliquerait aisément si effectivement, il y avait deux
hommes
en chacun de nous ! Pourquoi faut-il que la biolo
ce dont la Religion de son côté veut nous persuader : l'Unité de l'
Homme
! Mais au fait : cette Unité est-elle démontrée
ubit m'en vint ; et sur la table de dissection je revis en pensée l'
Homme
avec ses deux hémisphères,ses membres et ses or
méridien, la division blastomérique. Eh mais,serait-il possible ? L'
homme
serait-il biologiquement double ? Tout au moins
tion du Duplicisme, c'est seulement de me permettre de douter que l'
Homme
soit essentiellement un. Après la lecture atten
âce à cette for- mule que la discussion tend plutôt à confirmer : l'
homme
est com- posé de deux individualités conjuguées
'est précisément dans le conditionnement de cette conjugaison que l'
Homme
prend conscience de son Unité. Ah ! je sais b
nais des biologistes, de bien authentiques, de ceux qui ont été L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 17 consacrés ; il
LE DES DEUX CERVEAUX. Prétendre, dit M. Bonne en substance, que l'
Homme
est formé de deux parties distinctes, gardant d
ons, toutes récentes et très formelles, de Bleurlet et d'Abraham. l'
homme
EST-IL symétrique ou double ? 19 §. 2. CONNEXIO
rté a été ren- due possible, par un dualisme physiologique, quand l'
homme
a besoin de cette liberté. Que dans le sein de
été simple ou double, je puis le tenir pour indifférent. Or, chez l'
homme
,pleinement formé, la dualité anatomique du cerv
, voici ce que je crois : je crois jusqu'à plus ample informé que l'
homme
(et avec lui les Artiozoaires) est dou- ble :
e pures convenances biologi- ques. Ils ne s'expliqueraient pas si l'
Homme
était un et homogène L'HOMME EST-IL SYMÉTRIQUE
ques. Ils ne s'expliqueraient pas si l'Homme était un et homogène L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 21 et si son déve
Par contre, la théorie dupliste intégrale, celle qui voit dans l'
Homme
l'union de deux individualités originellement dif
est manifestement double chez les oiseaux (poulet) ; et si, chez l'
Homme
, on ne parle que d'un seul canal thoracique cel
a « On est alors tenté de rapprocher cette conformation bilaté- l'
homme
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? a 23 raie primiti
t constaté ; elle se laisse induire par analogie, d'autant plus L'
HOMME
ES1'-IL SYDIÉI'121QU1; OU DOUBLE ? 't 2. qu'en
femme donneront naissance aux grandes lèvres et aux bourses chez l'
homme
. Que reste-t-il à mentionner ? Le canal de l'ur
épens du sinus uro-génital (portion antérieure du cloaque) ; chez l'
homme
son segment profond a la même origine, tandis que
cloacal. C'est donc à cet épithélium cloacal, prolongement de ce L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? ` ? 27 tube diges
j'avais simplement besoin de démontrer que les deux co-êtres dans l'
homme
pleinement formé constituent des êtres ' morpho
oit qu'elle puisse résister à l'action uniformisante que pourrait l'
homme
EST-IL SYMÉTRIQUE OU LOUBLE ? 29 entraîner la c
ts, dont ils ne diffèrent à l'origine qu'en ce que la moitié gau- l'
homme
EST-IL symétrique OU DOUBLE ? P 33 che du corps
e l'oeuf contient deux individus. Si je raisonne de l'Asci- die à l'
Homme
, je conclurai que l'oeuf humain contenant deux in
Homme, je conclurai que l'oeuf humain contenant deux in- dividus, l'
Homme
est double. Que je vous remercie donc, Mon- sie
(les deux premiers blastomères) ont la arme d'ovoïdes simplement L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 35 juxtaposés, ta
tinct universel qui a rendu le despotisme toujours dou- loureux aux
hommes
. b) L'homme ne peut vivre qu'en société ; mais
qui a rendu le despotisme toujours dou- loureux aux hommes. b) L'
homme
ne peut vivre qu'en société ; mais la société ne
un certain nombre de règles de conduite régissant les rapports des
hommes
entr'eux. Ces règles elles-mêmes sont vaines si
écessaire au fonctionnement de la nécessaire Société. c) Tous les
hommes
, d'ailleurs, ont toujours cru, y compris ceux q
n, même quand ils raisonnaient contre elle, à la liberté des autres
hommes
, puisqu'ils ont toujours tenu pour responsa- bl
nécessaire de la nécessaire Société, cette liberté en qui tous les
hommes
ont toujours cru. cette liberté se heurte à un
e heurte à un raisonnement de pure logique qui est irréfutable si L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 37 l'Homme ne peu
qui est irréfutable si L'HOMME EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 37 l'
Homme
ne peut au même instant être impulsé que par un m
dentique et homogène. Au contraire, ce raisonnement s'effondre si l'
Homme
est double, -et si entre ses deux co-êtres impu
est ainsi que le raisonnement sociologique conduit à la notion de l'
homme
double (1). Preuves psychologiques. lrc preuv
l'homme double (1). Preuves psychologiques. lrc preuve. Tous les
hommes
ont eu l'occasion de dire : je délibère en moi-
circonstance inconciliable avec l'unité essentielle et absolue de l'
homme
. L'hésitation. l'incertitude vont parfois jusqu
et nous avons eu tous occasion de dire nous-mêmes : « Je sens deux
hommes
en moi ». 2° preuve. Toutes nos facultés psyc
ogie, preuve tirée de l'existence d'une solidarité morale entre les
hommes
, celle tirée du pouvoir et des conditions de l'
donc concevoir l'oeuf que comme le milieu dans lequel vont se dé- L'
HOMME
EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? 39 velopper deux
veulent savoir comment par le Duplicisme la vie psychologique de l'
Homme
et aussi ses états psychologiques anormaux,sa lib
efforcé de donner un sens à ses premiers raisonnements : « Double l'
homme
: double le pou- mon, double le coeur etc. ». I
organes » soit « constatée chez l'être pleinement formé... quand l'
homme
a besoin de la liberté » (pl. 20). Or, au temps
t en effet indispensable à l' âpreté des combats intérieurs » que l'
homme
ait deux narines, deux poumons et « deux coeurs »
(Neurol. Ctrbl. XXV, f. 7, p. 291, à 293, 1er avril 1906.) Chez l'
homme
sain une compression forte du tendon d'Achille
dégénération diffuse très légère des deux cordons postérieurs. 3°
Homme
de 38 ans; les réflexes patellaires varient d'abo
berg. (Neurol. Centralbl. XXV, 16. p. 748 à 753, 16 août 1906.) ,
Homme
de 75 ans, nombreuses lésions viscérales, profond
ère dans la proportion de 40 %. 2° Compression des carotides chez l'
homme
. Kussmaul et Ten- ner ont comprimé les deux car
omme. Kussmaul et Ten- ner ont comprimé les deux carotides chez six
hommes
. Chez deux seulement, et ces deux là, disent-il
e, suivie de vérification et rapportée comparativement par l'A. -
Homme
, 43 ans; pendant trois ans au moins présenta plus
lin. (Neurol. Centralbl. XXV, f. 16, p. 738 à 741, 16 août 1906.)
Homme
mort en crise en 36 ans, observé depuis l'âge de
. (Neurol. Centralbl. XXV, fasc. 16, p. 753 à 755, 16 août 1906.)
Homme
. Paralysie spinale infantile à droite, à 4 ans :
se et L>;vY. (Nouv. Icon. Salp., 1906, n° 5.) Observation d'un
homme
de 26 ans présentant de l'amyotrophie des membr
de 'a Soc. de méd. ment, de Belgique, 1906, n° 129.) Il s'agit d'un
homme
de 45 ans qui a succombé à une paralysie généra
plus souvent liées étroitement aux images mo- trices phémiques. -
Homme
18 ans, interné pour tentative de suicide effectu
st communique à l'Académie des sciences morales le cas d'un jeune
homme
condamné pour escroqueries faites en état de vi
re extrêmement susceptible et difficile. Mariée depuis dix ans à un
homme
bien équilibré, mais peu sentimental et peu culti
ine, m'attire. Un ! quelle lâcheté ! souffrir les in- « famies d'un
homme
qui s'appelle mon mari, les horreurs d'un « bon
" moi vendredi vers 3 heures ? Comment cela se fait-il que les «
hommes
me répondent à ces questions que j'ai mis le (eu
n'admet pas la liberté, il n'y a pas de véritable causalité et l'
homme
ne peut être responsable qu'en tant qu'il est con
s fâcheuses ; on a pu dire, en effet.que si le médecin pensait tout
homme
privé du libre arbitre et aliéné du fait même q
de vue de la lutte, ils puissent être placés sur le même pied que l'
homme
normal ; leur responsabilité par rapport à cell
» Oui, quand un chien est enragé, on le tue, tandis que, quand un
homme
est enragé, on le soigne, même s'il a déjà mordu
s sur les sujets suspects de folie : « De bonne foi, il n'est aucun
homme
d'un jugement sain qui n'y soit aussi compétent
ns un tel abîme, comme tout ceci l'implique. Nous sentons que les
hommes
honnêtes et bons de cette noble profession ne v
sion. Ils ne sont ni faux, ni malhon- nêtes, et tous, comme un seul
homme
, ne consentiraient pas qu'un tel état de mépris
s à raison d'une compensation et ceci ne doit pas être attribué aux
hommes
de science, mais à des experts-méde- cins corro
pas de valeur du tout, quand les honorables commerçants et éminents
hommes
dans cette branche les estimaient à D. 4.000, à
dans la loi, sur les valeurs contestées. Le contrôleur connaît ces
hommes
.Leurs noms sont inscrits dans ses livres, et pe
ême de Vermont ont consenti à faire partie de ce comité. Quelques
hommes
éminents du tribunal de la Cour su- prême de pl
gislations des différents Etats, les Associations du bar- reau, les
hommes
célèbres des deux professions de droit et de mé
quise, que la zone motrice corticale occupe chez le singe et chez l'
homme
la région ro- landique, à savoir les circonvolu
hez le singe, par les expé- riences de Vogt, de Brodmann, et chez l'
homme
, par l'exci- tation faradique unipolaire du cor
ntaux en montrant qu'il existe, aussi bien chez le singe que chez l'
homme
,des différences cytologiques nota- bles entre l
e là est née une nouvelle doctrine qui tend à admettre, que, chez l'
homme
aussi, contrairement à la doctrine clas- sique,
idale, et, par- tant, la zone motrice corticale, se trouvent chez l'
homme
presque exclusivement limitées dans Fa. Nous di
use. L'expérimen- tation animale, le thyroïdisme alimentaire chez l'
homme
, la clinique, permettent de rattacher l'état de
le lendemain les membres du Congrès. On ne peut vraiment juger un
homme
qu'à condition d'a- voir le plus d'éléments pou
ermet la patine du temps, l'al- lure physique et physiologique de l'
homme
des siècles pas- sés. Dans les deux cas il fait
des racines postérieures. M. Long (de Genève). - A l'autopsie d'un
homme
mort à soixante-trois ans et tabétique depuis l
région lombo- sacrée. J'ai constaté la même particularité chez un
homme
devenu tabétique à soixante-cinq ans (chancre à
cytogénèse, certaines notions acquises par l'étude du cortex de l'
homme
et des animaux supérieurs ; par exemple, le balan
RAPHIQUE TIIIYET -Rapport médical sur le service de la division des
hommes
. Imprimerie Daix et Thiron, il Clermont (Oise).
ant sur lui à fond de train et dans la- quelle se trouvait un petit
homme
coiffé d'un bonnet rouge. En effet, lorsqùe l
aître. C'est ainsi qu'une de nos malades se voit poursuivie par des
hommes
habillés de bleu, de blanc, de rouge. ' On tr
ade présentait des abberrations visuelles, de la macropsie, car les
hommes
prenaient des dimensions gigantesques ; il voya
e spasmodique familiale. M. Courtellejiont (Amiens). Il s'agit d'un
homme
de 51 ans. Les symptômes de paraplégie ont débu
une telle pureté, dans lesquelles ils ne se manifestent pas chez l'
homme
normal. Comme le fait remarquer un des rapporte
TCII, de \'cw ? ol,l : · Dans une étude de 74 biographies de grands
hommes
, il n'y en a que 10 de premier-nés. Ces 74 biog
(BRAHMS et ANTOINE R UBIN STEIN) sont des premier-nés. Les grands
hommes
sont rarement des produits de jeunes pa- rents.
sont rarement des produits de jeunes pa- rents. La mère d'un grand
homme
est, dans la majorité des cas entre 25 et 35 an
re entra 30 et 45 ans, que d'un âge moins avancé. Quand les grand
hommes
sont des premier-nés, leurs parents sont. dans
, Vol. VII, N° 5), j'ai souligné le fait que les parents des grands
hommes
sont d'un âge mûr au mo- ment de la conception
peut le juger des faits présentés dans mon étude ; parmi 74 grands
hommes
.46 étaient autres que premier-nés, contre 10 d
s gens doués, leurs premier-nés seuls ont des chances d'être grands
hommes
. Ainsi le père de BEE- thoven était un alcooliq
ur d'éponges. Le sujet qui fait l'objet de cette observation est un
homme
de 25 ans, éthylique,qui présenta brusquement d
on, 25 février 1907. in Lyon méd., 28 avril 1907.) Il s'agit d'un
homme
exerçant la profession de comptable, ne présent
sants. » - V. Rapport médical SU1' le service de la division des
hommes
de l'asile de Clermont-de-l'Oise, par le D 7'HI
des modifications qu'il convient d'introduire dans la division des
hommes
de l'asile de Clermont, 1\1. Thivet s'exprime a
ys,à l'humanité ; il a été le type accompli du grand savant et de l'
homme
de bien : son nom mérite d'être conservé.Nous o
ion de l'esprit divin. Bientôt la frénésie gagne toute l'assemblée.
Hommes
et femmes se jettent sur le sol en battant des
ameurs. L' esprit » opère. Puis ce sont des conversions subites. Un
homme
se redresse, enlève son col et ses manchettes e
é à éprouver le désir de plaire et às'in- téresser à la société des
hommes
mais elle n'éprouvait pas les tendances sexuell
d'admirateurs et elle a remar- qué qu'une déclaration d'amour d'un
homme
désagréable et même dégoûtant provoquait chez e
taux (sensation de chaleur el de chatouillement). A la pensée qu'un
homme
« dégoûtant» » vienne lui faire une déclaration
est évident pour elle-même. Le principe de sa domination sur l' cet
homme
ou, au contraire, de sa soumission à cet homme ne
omination sur l' cet homme ou, au contraire, de sa soumission à cet
homme
ne joue, comme il semble, aucun rôle pour la ma
qui a une importance. L'idée d'avoir des rapports sexuels avec un «
homme
dégoû- tant « ne vient jamais à la malade et la
pect des « femmes dégoûtantes » ne l'excite pas non plus. Parmi les
hommes
de sa connaissance quelques-uns lui plaisent pl
t rien de commun avec ceux qu'elle éprouve en se représentant les «
hommes
dé- goûtants ». La malade affirme catégoriqueme
anisme et qu'elle n'a jamais eu de rêves érotiques. Son mari est un
homme
assez fort et doué de rigueur sexuelle ; il fau
e éprouve un sentiment sexuel agréable, en voyant les objets et les
hommes
dégoûtants, mais elle n'a pas d'as- pirations v
esse de ses nerfs» de laquelle profitent 262 CLINIQUE MENTALE les
hommes
; une autre fois elle dit qu'elle considère les ab
reur de la matrice », qu'elle provoque (,ou- jours presque tous les
hommes
et même ne peut pas se défendre de séduire les
. sont extrêmement fortes, qu'elles s'adressent exclusivement aux
hommes
et qu'elles ne peuvent être satisfaites que pour
peuvent être satisfaites que pour une cour- te durée. L'aspect d'un
homme
et son approche excite presque toujours notre m
tisfaction sexuelles non pendant le colt, mais en voyant de près un
homme
très excité sexuellement. Ce n'est que dans ces c
ule chose, c'est-à-dire à un besoin très vif de voir près d'elle un
homme
excité, de considérer l'expression caractéristiqu
r l'expression caractéristique de la physionomie et des yeux de cet
homme
. C'est le vrai but intime de ses tendances sexu
C'est le vrai but intime de ses tendances sexuelles. La nudité de l'
homme
no l'ex- cite pas. Dans ses rêves érotiques acc
ques accompagnés de « pollutions » nocturnes elle voit toujours les
hommes
excités ; ces rêves se produisent surtout après
lle complète non pas dans le coït normal,mais à la vue seule d'un
homme
très excité sexuellement et se trouvant près d'
on visuelle complète et d'un caractère très précis (l'aspect d'un
homme
excité). 264 CLINIQUE MENTALE. Par conséquent
du senti- ment sexuel. Comme je l'ai dit plus haut, l'aspect d'un
homme
excité est, pour la malade, le vrai but de ses te
res différentes ayant pour but d'exciter le sens génésique chez les
hommes
et de les attirer à elle, en d'autres termes, l
enus parla coquetterie même - l'état d'excitation se- xuelle chez l'
homme
- donnent à la malade la satisfac- tion complèt
-qu'il était forçat lui-même et qu'il éprouvait les sensations d'un
homme
mis aux fers.... Lorsque le ma- lade lisait une
les femmes garottées qui excitaient le malade beaucoup plus que les
hommes
. Les récits, la lecture et surtout les gravures
au garrottage de cette aristocrate,séparée par un abîme profond des
hommes
ordi- naires. La différence de position sociale
sociale entre cette dame très chic , jouissant de la liberté et un
homme
de basse origine mis aux fers décuplait le plai
'il a éprouvé avec sa compagne et pense à ce que doivent sentir les
hommes
et les femmes au cours des manoeuvres, ana- log
ade voit CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERSIONS SEXUELLES 271 les
hommes
et les femmes garrottés. Une fois, il a eu une po
es ten- dances sexuelles et la satisfaction normale chez un jeune
homme
ayant le sens génésique prématurément et peut-
; la représentation de l'abîme profond séparant une aristocrate des
hommes
ordinaires mis aux fers, décuplait le plaisir d
1907, 1. II. 1S 274 CLINIQUE MENTALE. l'acte d'accouplement d'un
homme
avec une femme. Ainsi toutes les représentation
connaître dans notre cas l'élément homosexuel, quoique l'aspect des
hommes
garrottés ré- veillât chez le malade le sens gé
auté à nous attribuer légalement le droit à l'exercice. Voilà des
hommes
auxquels l'État reconnaît, par l'intermédiaire de
en des situations ad- ministratives. qui appellent à collaborer des
hommes
diver- sement spécialisés. On raconte qu'il a
est vraisemblablement total. D'après de nouvelles Iecherches sur l'
homme
, le singe, le chat, le lapin, le rat, B. confir
voir aucun effet sur les cellules du noyau de ce nerf ; que, chez l'
homme
, après énucléation d'un oeil, il constata lui-
e paralysie durable du sphincter et de l'accommodation, soit chez l'
homme
, soit chez les 300 REVUE D'ANATOMIE ET de PHYSI
ofondi permettrait, dit l'auteur, non seu- lement de traiter chaque
homme
suivant son nheau mentai,mais encore d'éliminer
pour lutter contre son impulsion sont les memesqueceuxdontse sert l'
homme
normal contre les mo- biles qui l'entraînent.
és soit en eux-mêmes, soit par rapport aux mobiles qui entraînent l'
homme
pourqui ils constituent à l'état normal des moy
a division des femmes et où ils vont commencer dans la division des
hommes
, je considère comme urgent de proposer à la Com
c'est-à-dire en 1908, et ensuite en quatre ans dans la division des
hommes
, c'est- à-dire en 1912. A l'époque où le cons
al actuel, il y aurait deux services, le service de la division des
hommes
et le service de la division des 316 CORRESPOND
et gardant son rang dans le cadre, exercerait dans la division des
hommes
et y remplirait les fonctions de médecin en che
in vers onze heuies de son do- micile, lue Saint-Georges, lorsqu'un
homme
correctement vêtu, qui stationnait depuis quelq
seur, qu'il maîtrisa et conduisit au bureau de police voisin. Là, l'
homme
a déclaré se nommer Victor Barbier, quarante- q
à l'Ile du Diable, et l'impression d'une grande souf- france. « Cet
homme
souffre trop, est innocent» pense-t-elle. Une d
i ne me l'aviez vous pas dit ? ». En octobre 1903, un grand jeu- ne
homme
, très distingué, se fait remarquer pas ses déguis
stre radical les encourage ; il tient en main un chapelet rouge, un
homme
fait le coq pendant la messe. etc. De sa chambl
lui là se contenue de chauffer la tête, et d'exhaler des « odeurs d'
hommes
», elle doit coucher la fenêtre ouverte : c'est
« Oui madame, pardonnez-moi ». A Saint-Roch, j'étais suivie par un
homme
âgé, à qui j'avais souvent donné des pièces de
ait une voix, quelque chose me parlait à l'oreille comme une voix d'
homme
, on énonçait ce- que j'allais faire, ou ce que
amment sérieuse. La même année 1906, placée chez deux vieillards, l'
homme
et la femme, rue de la L.,n° 8, elle exécute là
'elle *e apprécie d'une façon toute particulière. Ainsi, un jour, l'
homme
Archives, 3' série, 1907, l. II. S3 354 PATHO
le raconte. Néanmoins, était-ce à elle à faire cette besogne ? Cet
homme
était retroussé jusqu'au dessus des genoux. N'éta
s ne le pouvaient ni l'un ni l'autre, ils n'avaient qu'à prendre un
homme
pour ce travail ; mais ils ne devaient pas dema
C'était pour lui faire comprendre qu'elle aurait dû s'adresser aux
hommes
de loi lors de la vente de sa maison. Dernièrem
ndu la voix de son mari dans une de ses places ; elle a entendu des
hommes
sur le trottoir dire qu'elle avait un mauvais c
gnore ce qu'il a dit. Elle ne l'a jamais entendu d'autres fois. Les
hommes
étaient sur le trottoir, à causer, tout le mond
n- bahn des Menschen (Développement des n. dans la voie pyr. de l'
homme
, par GIERLICII, de Wiesbaden. (Ctrbl. f.Nervenla
Nervenh. u. Psychi., XXIX, f. 216, p. 534 et 535, 1" juillet 1906.)
Homme
34 ans; début brusque par vomissements, céphalée,
ticulation du genou, l'auteur a pu produire artificiellement chez l'
homme
l'exagération unilatérale du réflexe rotulien ; b
u Prof. Déjérine et atteinte de contractures multiples, l'autre, un
homme
, atteint d'astasie-abasie. On doit éviter de con-
r relate les observations de deux sujets, une femme de 26 ans et un
homme
de 28 ans, qui ont été atteints de fièvre hysté
à l'ergographe) chez deux sujets atteints de névrose traumatique.
Homme
de 64 ans, présentant, consécutivement à un accid
on niveau originel. C'est en somme une courbe à peu près normale.
Homme
de 48 ans, maladif; consécutivement à une chute,
l. f. Nervenh. u. Psy- chi., XXIX, f. 218, p. 605, 15 août 1906.)
Homme
40 ans ; biopsie du biceps gauche, particulièreme
tantôt unilatéraux,tantôt bilatéraux de la maladie de Basedow. I.
Homme
32 ans, début brusque par sueurs profuses et faib
f. Nervenh. u. Psychi., XXIX, f. 213, p. 386 à 394, 15 mai 1906).
Homme
, 27 ans ;trauma violent; alitement de 4 semaines
voir une réelle importance. Les auteurs relatent l'observation d'un
homme
qui se plaignait d'accès d'amblyopie passagère,
arrivés à un certain âge, ils sont tout de même moins ridés que les
hommes
ordinaires, parce que, n'ayant pas leurs yeux à p
it ressortir l'immense rôle que joue, soit dans la vie sociale de l'
homme
, soit dans sa vie individuelle, le sentiment, a
t comme en de- hors de ses sentiments,rien ne nous intéresse dans l'
homme
, nous pouvons aussi dire que dans tout l'homme,
ous intéresse dans l'homme, nous pouvons aussi dire que dans tout l'
homme
, nous ne connaissons el ne nous occupons que de
ons affectives, cérébrales. L'extension de la vie individuelle de l'
homme
, dans son atmos- phère sociale, contribua à int
h). L'imagination passive, que Voltaire considère comme commune aux
hommes
et aux animaux, joua un grand rôle dans l'influ
o-physiologique, par A. 1\IAIRRT, 1 vol. 133 pag. Masson, 1907. L'
homme
normal est responsable; non parce qu'il porte en
morale; 5° détermination et vouloir. Et les moyens dont se sert "l'
homme
normal pour lutter et sur lesquels reposesa respo
e chez les impulsifs. Mais ces moyens seraient insuffisants, et l'
homme
ne reste libre que s'il peut opposer une volonté
aboutissant à une volonté : 11 s'agit maintenant de démontrer que l'
homme
peut exercer cette fonction, qu'il est responsa
es cérébra- les, dont l'action est déterminée. Pour démontrer que l'
homme
est responsable, c'est-à-dire qu'il possède les
, dit l'auteur, puisque l'impulsif peut résister à son impulsion, l'
homme
normal le peut de même, et ainsi se trouve réso
insi se trouve résolue par l'affirmative la question de savoir si l'
homme
est responsable. On nous permettra cependant de
naît lui-même que seul, l'impulsif avec lutte est com-. parable à l'
homme
normal ; il admet donc que les autres im- pulsi
tre ne saurait être établi qu'a- natomiduement, par la preuve que l'
homme
peut gouverner ses centres moteurs par ses cent
mme les Polynésiens, s'enorgueillir d'avoir tué ou mangé beaucoup d'
hommes
; les règles morales seraient les mêmes sur la
cembre) de la Garonne, près de la passerelle du Midi, le corps d'un
homme
paraissant àgé d'une trentaine d'années ; dans
1). Dans cet ouvrage, basé sur l'examen anatomique de 120 mains d'
hommes
et 32 extrémités antérieures de diffé- rents an
au superbe palais Crivelli, l'un pour les femmes, l'autre pour les
hommes
et une autre maison champêtre en contrebas. Le
é- lioration, et une mortalité de 10 %0' 1 Le nombre des entrants
hommes
est d'un quart supé- rieur à celui des femmes.
écembre 1906.) Mal perforant plantaire d'origine myélitique chez un
homme
de 35 ans, cultivateur. Le traitement par le re
es et leurs conséquences mentales tant chez les femmes que chez les
hommes
. Chez ces derniers, j'ai constaté une potable a
brusque que je signalais l'an dernier. bibliographie. ! 73 « 1G
hommes
terrassés par l'alcool sur 42 entrants donnent un
livrés il la boisson, d'une façon avérée et prolon- gée, 3 malades
hommes
entrés dans le cours d'une paralysie gé- nérale
femmes, situation au 1 cr janvier ¡vomi ; 2° Même tableau pour les
hommes
; 3° Alcoolisme compli- qué de dégénérescence o
ilité mentale ou d'hérédité al- coolique ; 4° Même tableau pour les
hommes
: jo Intoxication alcoolique cause déterminante
des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau pour les
hommes
. Dans tous ces ta- bleaux, M. Déricq indique la
façon suivante, écrit 11. ulonesLier : " Pensionnat et section des
hommes
, médecin-traitant : le di- recteur-médecin ; ll
l'n51- le de Clermont, par Boiteux, p. 240. sur le même sujet (
hommes
), par Tllivet, p. 241. de l'asile d'aliénés de
le. Superstitions japonaises, par Lingbeek, p. 471. Symétrie. L'
homme
est-il symé- trique ou double, par Sabatier,
grès de l'hypnotisme expérimental et thérapeutique. Par la valeur des
hommes
qui ont adressé leur adhésion, par l'intérêt que
atisme sont uniquement dus a la faiblesse, its doivent exister chez l'
homme
normal comme chez le malade; mais, au lieu d'être
à le pain et l'eau du pauvre, mais il o encore autre chose en plus; l'
homme
bien portant possède l'automatisme du malade, quo
éditeur.) pour se manifester par un mouvement bien complet chez un
homme
qui n'est pas accoutumé a remuer ses membres par
ique (2). « « Il y a peut-être dans la moelle de l'épine dorsale de l'
homme
des cires réels d'une plus grande valeur spiritue
ux de l'instinct, de l'habitude et de la passion. Nous disons qu'un
homme
est distrait quand il ne voit pas ou n'entend pas
ait pas consenti à accomplit s'il les avait connus complètement. Un
homme
préoccupé chassera une mouche de son front sans l
alés chez les malades. Seulement, la distraction peut provenir chez l'
homme
bien portant de raisons diffé-remes: tantôt elle
ent aussi un rôle considérable dans l'attitude et la physionomie de l'
homme
le plus normal. C'est à des activités de ce genre
u'il faut rattacher les actes instinctifs qui sont assez rares chez l'
homme
, tandis qu'ils jouent un rôle important chez l'an
ême la totalité de son esprit, presque toujours subconscientes chez l'
homme
dont l'esprit est rempli par des phénomènes plus
nes plus élevés (1). L'activité automatique s'est concentrée chez l'
homme
dans les phénomènes d'habitude ou de mémoire. Nou
r nous. « Ainsi, dit-il, il y a en quelque sorte deux moi dans chaque
homme
: le moi d'habitude et le moi de réflexion; c'est
ui se développent automatiquement dans l'habitude ne sont pas. chez l'
homme
normal, groupés et synthétisés de manière à forme
La plds curieuse manifestation de l'automatisme psychologique chez l'
homme
normal est la passion qui ressemble, beaucoup plu
tes, 1778, III. 553). passion proprement dite, celle qui entraîne l'
homme
maigre lui. ressemble tout à fait à une folie, au
ulière. On dit ordinairement que l'amour est une passion à laquelle l'
homme
est toujours exposé et qui peut le surprendre à u
quinze ans jusqu'à soixante-quinze. Cela ne me paraît pas exact et l'
homme
n'est pas toute sa vie, à tout moment, susceptibl
ute sa vie, à tout moment, susceptible de devenir amoureux. Lorsqu'un
homme
est bien portant au physique et au moral, qu'il a
uvera pas. Les désirs seront raisonnes et volontaires, n'entraînant l'
homme
que jusqu'où il veut bien aller et disparaissant
disparaissant dès qu'il veut en être débarrassé. Au contraire, qu'un
homme
soit malade au moral, que, par suite de fatigue p
n'est pas dans la conscience personnelle. Quelle est la surprise d'un
homme
d'esprit quand il se retrouve piteusement sous te
a là un des grands avantages du Congrès que de mettre en présence des
hommes
qui s'occupent journellement des mêmes études et
éphale de janvier 1889 : Em. Laurent. De l'hystérie pulmonaire chez l'
homme
. passe devant ses yeux ; son oreille droite est
mianesthésique, que c'est le plus inconstant et le plus versatile des
hommes
, qu'il est porté à des mouvements de violence qui
aques, revient identique pendant l'état de somnambulisme. Il revoit l'
homme
armé d'un couteau et il l'invective comme dans sa
ujet aux mêmes attaques. Il est incontestable que la volonté de cet
homme
était dans ma main et que j'étais absolument maît
ge et la gouverne. J'aurais pu faire tout avouer ou tout nier à cet
homme
; j'aurais pu le faire jurer la main sur un brasie
voila autant de stigmates de nature a assurer le diagnostic. Or, cet
homme
qui avait embrassé la profession de peintre en bâ
couleurs, hérédité (mère nerveuse, frète épileptique). « Donc, cet
homme
, conclut Rendu, qui l'a eu longtemps sous les yeu
hui l'influence métallique comme capable d'éveiller l'hystérie chez l'
homme
. » A tout prendre, le cas est typique, et. à ce t
et peut-être de faire connaître a vos lecteurs : « L'éducation de l'
homme
peut même se faire au moyen d'un sens unique. On
'en est pas une qui n'ait rendu de réels services en permettant à des
hommes
éminents, venus de tous les points du monde, d'éc
nous pourrons redire une fois de plus que nous avons retrouvé ici des
hommes
sympathiques, intelligents, instruits, attentifs
, après Charcot, Gilles de la Tourelle ci Berbez en citent un cas, un
homme
doué d'un constitution névropathique prend la syp
émie svphilitique etc) l'hystérie, latente, jusque là, se décèle. Cet
homme
alors aura bien Je la céphalie, ainsi qu'y sont e
un certain retentissement dans le monde savant. C'était en 1876. un
homme
, oui croyait sa fin prochaine, écrivit à notre gr
ontanée et expérimentale. N'oublions pas non plus de rappeler qu'un
homme
qui n'est plus, le professeur Bouley, ce vulgaris
tes de l'Académie des sciences. Avec l'appui et le concours de tels
hommes
, la cause de l'hypnotisme était gagnée en France.
ogrès et ne prenons pas souci de l'indifférence et du scepticisme des
hommes
qui ne veulent ni étudier, ni voir, ni entendre.
ardeur et n'a pas tarde a se faire des adeptes. Cette formule, les
hommes
de sciences ne sauraient l'adopter, et cela préci
nous médecins, c'est le malade, c'est le sujet, c'est l'hypnotisé. l'
homme
lige obscur de brillant magnétiseur. C'est en sa
ime, dit-il, est une matière sociologique et non physiologique, car l'
homme
est un instrument mis en jeu par un milieu infini
lieux révolutionnaires. Jamais en effet Athènes ne produisit autant d'
hommes
de génie qu'au temps de ses révolutions. Dr. Em
ez les individus normaux. Elle a recueilli 2.o38 réponses, dont 945 d'
hommes
et 1.093 de femmes, sur lesquelles 1.7o6 sont nég
genre a été commencée; sur 345 réponses, dont 113 de femmes et 232 d'
hommes
, il en est 70 de positives. M.Pierre Janet (du
-à-dire plus développé. La concentration de l'attention joue chez l'
homme
le rôle de la violence extérieure, douce et conti
bles. Ainsi, une simple préoccupation d'esprit « peut empêcher chez l'
homme
des érections, comme une simple « crainte d.une g
plus dans l'idée que son réveil est difficile, jusqu'à ce qu'arrive l'
homme
dans lequel il a confiance ou qui agit simplement
— de lever mon verre en son honneur et de , boire à la tante d'un des
hommes
les plu» distingués par le poste éminent qu'il oc
s m'empêcher, il y a quelques jours à peine, de comparer te sort de l'
homme
préhistorique au sort de nos contemporains, de me
it que représentant de la Grèce, ce pays qui fut si fertile en grands
homme
», qui fut si longtemps le centre de la civilisati
tidien, d'autres qualités du médecin se révèlent et le caractère de l'
homme
apparaît ; je ne relèverai en ce moment qu'un seu
rès la mort de Cyrus-le-Grand, qui possédait un nez phénoménal, qu'un
homme
qui fut pourvu d'un appendice préfacial de même d
voir représentés à travers les âges et jusque dans nos temps par des
hommes
illustres dans les arts, les sciences ou la poli-
marquablement pourvus sous ce rapport ! Parmi les Anciens, certains
hommes
devinrent aussi célèbres, aux yeux de leurs conte
me de son nez; Zopire considérait comme étant enclins à la luxure les
hommes
à nez aquilin ; Plutarque voyait dans les nez ret
oder aux circonstances et aux milieux. C'est le plus opportuniste des
hommes
. Honnête, en apparence au moins, au milieu des ho
selon la parole d'un docteur de l'église, il aura dépouillé le vieil
homme
et fait peau neuve. Et ce ne sera point un dévôt
il aura pris le langage, les goûts et les habitudes de la maison. Cet
homme
qui vient pour la première fois en prison, est de
n rapport du docteur Garnier amena l'acquittement. Malgré tout, cet
homme
est doux et bon, sympathique même, capable de sen
us couvrait d'injures grossières. De plus, je viens de le dire, cet
homme
était facilement hypnotisable et les suggestions
. EXTRACTION D'UNE LOUPE PENDANT LE SOMMEIL HYPNOTIQUE SUR UN JEUNE
HOMME
DE VINGT ANS Par le docteur J.-A. FORT, (1) A
elle-même, prouve qu'on peut également pratiquer des opérations sur l'
homme
hypnotis, et qu'il n'est pas nécessaire d'avoir
éclard étaient convaincus de la valeur réelle de la métalloscopie, un
homme
, dont le nom fait autorité dans la science autant
ar sa propre puissance, lorsqu'une première impulsion a été donnée. L'
homme
devient le collaborateur de ceux qui suscitent en
ourt Hystérie tabagique M. Gilbert. — Je présente à la Société un
homme
de 62 ans, employé depuis 40 ans dans une manufac
arcot ayant pu étudier une série de troubles nerveux survenus chez un
homme
de quarante-cinq ans a la suite de la fulguration
hamp visuel, etc., n'y a-t-il pas là de quoi lever tous les doutes? L'
homme
observé est donc un hystérique ; et l'hystérie s'
par un surmenage récent, l'hystérie s'est bientôt développée chez cet
homme
sous l'influence de la commotion physique et de l
troisième cas datait de quatre ans quand j'en ai eu connaissance. Un
homme
qui venait d'être réformé du service, et qui viva
ion parce qu'elle est propre i favoriser le diagnostic. L'état d'un
homme
qui. pouvant rendre un compte exacte de ses parol
ris, 1887. Marès et Hellich: L'abaissement de la temperature chez l'
homme
après perte de la sensibilité pour le froid et
m'endors en conservant la conscience de moi. Je rêve que je vois des
hommes
noirs, couverts de chapeaux à grands bords rabatt
tages intellectuels qu'il pouvait en retirer. Son penchant pour les
hommes
était fortement développé chez R... depuis la pub
a réflexion entrèrent en lutte ; des rêves lascifs, dans lesquels des
hommes
jouaient le principal rôle, augmentèrent ce troub
ement dirigé contre la perversion sexuelle. L'indifférence pour les
hommes
et la faculté de résister furent d'abord promis a
au moins ne se ser.tait-il plus dans la même dépendance à l'égard des
hommes
. Néanmoins, il lui resuit des tentations fréquent
t due à la différence de l'éducation », et Locke assure que c de cent
hommes
, il y en a plus de quatre-vingt-dix qui sont ce q
le milieu social sur les unités qui le composent Et il ajoute : « Les
hommes
sont bien ce que les ont faits les milieux par eu
de reproches. Jeanne a dix-sept ans. Son père était un ivrogne, un
homme
violent et emporté, se livrant dans son ménage â
pût s'accomplir. Elle resta ensuite environ trois mois sans revoir d'
homme
. Puis, sa soeur lui ayant présenté le frère de so
vivre de prostitution. C'est une fille d'humeur douce, subissant l'
homme
plutôt qu'elle le recherete, se prostituant avec
jamais revu depuis. La mégère se remit alors en ménage avec un autre
homme
, un individu ivrogne et brutal. Andréa, qui couch
seulement sur l'enfant et l'adolescent. Elle agit aussi sur certains
hommes
peu courageux qui trouvent dans ces milieux un en
tre pris et fut condamné à cinq ans de réclusion. C'est maintenant un
homme
à jamais perdu. Tous les criminologistes se son
es du vice, la plus dangereuse est sans contredit la prison, Ouand un
homme
a fait deux ou trois séjours dans les prisons de
ectuel quelconque, les heures lui paraissent des siècles, j'ai vu des
hommes
à la figure énergique pleurer et demander à genou
serai en centrale, je ne mourrai pas de faim; je choisirai mon petit
homme
. » »Il avoue que, lorsqu'il était dehors, il racc
etit homme. » »Il avoue que, lorsqu'il était dehors, il raccolait les
homme
» place au Chatelet ou sous les ponts. «Je trouvai
eçon, des fous en liberté, à propos d'un fait assez remarquable. Un
homme
des plus honorables et d'ailleurs très intelligen
fut expédié A l'asile Sainte-Anne, où il est depuis quatre ans. Cet
homme
est encore à l'asile, mais il est parfaitement gu
outes les fois du noms que cette profession, comme celle d'artiste, d'
homme
politique, de savant, ou simplement d'« homme occ
omme celle d'artiste, d'homme politique, de savant, ou simplement d'«
homme
occupé ». d'« homme distingué ». a exigé une dépe
, d'homme politique, de savant, ou simplement d'« homme occupé ». d'«
homme
distingué ». a exigé une dépense nerveuse trop co
omme le reconnut lui-même ultérieurement le directeur de cette Revue,
homme
de parfaite bonne foi. A la Saloetrière, une so
er, purcequ'ils défient la simulation. Depuis longtemps, j'observe un
homme
hystérique qui, à plusieurs reprises, a présenté,
uite de l'anglais par le dr Edgak bérillon. Du berceau à la tombe,l'
homme
a besoin de l'assistance de son espèce. Seul, il
eut centupler sa force en prenant la direction de la force des autres
hommes
. A la fois le plus puissant et le plus asservi de
nir dans sa main un sceptre qui règle le sort de plusieurs millions d'
hommes
, ou bien être si complètement esclave de la force
ent la richesse du monde. Même s'il n'est pas l'esclave né d'un autre
homme
, partout quelqu'un viendra le chasser et lui dire
du pouvoir, sont universels ; mais la compétition constante d'autres
hommes
met obstacle à la réalisation complète des désirs
réalisation complète des désirs de tous. Il arrive ainsi que quelques
hommes
acquièrent une situation si prépondérante et une
r le caractère peut intéresser un observateur de la nature humaine. L'
homme
dont chaque fantaisie est immédiatement satisfait
te réalisation de ses désirs à peine formes, et les droits des autres
hommes
sont regardés par lui comme rien. Le premier ef
cates. Le pouvoir n'est rien s'il est conciencieusement appliqué. L'
homme
qui récompense seulement celui qui le mérite, qui
n pouvoir. Un sens impérieux du devoir règle sa voie. Au contraire, l'
homme
qui n'obéit qu'aux entraînements de la nature pré
façon inconsciente. absout le coupable ou condamne l'innocent. Si les
hommes
étaient les serviteurs du devoir et connaissaient
tteint sont désireux de l'abandonner, et le seul moyen d'empêcher les
hommes
d'en abuser est de ne leur en confier qu'aussi pe
si peu qu'il est nécessaire. La crainte de perdre le pouvoir rend les
hommes
circonspects, attentifs dans la manière d'en user
le droit chemin. Comme Machiavel l'a sagement observé : « Souvent les
hommes
s'attirent autant de haines en faisant le bien qu
s sont corrompues. La seule chose qui ait de la valeur réelle dans un
homme
, c'est sa raison, qui, lui montrant les limites d
arts de son imagination. Au-dessus de la conscience et du cœur d'un
homme
, en face de son propre égoïsme, sont les conscien
e de son propre égoïsme, sont les consciences et les cœurs des autres
hommes
. Leur désapprobation le met mal à l'aise, il est
r est très grand, ces obstacles qui pourraient peut être retenir un
homme
dans les liens de la raison et de la modération s
ourage de flatteurs peut dissimuler l'opinion publique et conduire uu
homme
dans une voie dangereuse par des suggestions mauv
quelques mendiants qui devenaient riches, ou les cadavres de quelques
hommes
mis à mort. Sa générosité, sa bravoure et ses act
lui ont valu une notoriété parmi le peuple. En dépit de cela, c'est l'
homme
le plus humble et le plus équitable. Les cérémoni
s.London; 1829, PP.410,411 LA FOLIE DE MOHAMMED TOCIU.AK teur des
hommes
de lettres (i). Ses lettres, en arabe et en persa
mps, et habile dans la guerre, il aimait la science et la société des
hommes
instruits. Il étudia l'histoire quand il devint p
que ceux du régne d'aucun « autre Indien ». Ferishta nous dit que cet
homme
« qui établit des hô pitaux pour les malades et d
e semaine ne se passait pas sans qu'il mît à mort un ou plusieurs des
hommes
savants et saints qui l'entouraient, ou quelques-
osés trois jours. Les éléphants du sultan avaient appris à lancer les
hommes
en l'air, et a les rattraper avec leur trompe, à
t ceux qui se cacheraient. Ses esclaves trouvèrent dans les rues deux
hommes
, l'un paralytique et l'autre aveugle. Ils les ame
le moins sérieux du caractère étrange et de l'égoisme excessif de cet
homme
. « Sur le chemin de Donlatabad. il fut affligé d'
nards, de la famine et de la saison pluvieuse. il revint à peine un
homme
, sauf les soldats laissés en garnison dans quelqu
prit est en repos, car je sais que vous vous plaisez avec moi. » Un
homme
d'un rang élevé parmi les Hindous prétendit que l
ée deux ans avant pour cause d'adultère. Un jour, il ordonna à deux
hommes
instruits dans la loi d'aller dans une certaine p
vince, avec un Turc qui exécuterait leurs ordres. Soupçonnant que cet
homme
était envoyé comme espion, ils répondirent : « Il
ersonnages du district. Quand le monarque vit la liste, il dit: « Cet
homme
désire la destruction de la ville ; » et s'adress
et fut fait inspecteur des jardins impériaux. Chihab u din était un
homme
renommé par ses vertus. Il avait l'habitude de je
eillant ce sentiment si profondément gravé dans le cœur humain, qu'un
homme
sera jugé d'après ses actes. Ibn Batuta, qui av
ers qu'il ne venait pas pour chasser les bêtes, mais pour chasser les
hommes
; et sans aucune raison connue, il commença à mas
mal aussi étendu soit accompli par le mauvais gouvernement d'un seul
homme
. » Nous n'entendons parler d'aucun complot dans l
sinon impossible. Les espions du sultan étaient partout. Ce que les
hommes
disaient à leurs femmes dans l'obscurité de la nu
qui lui furent données par le vizir. « J'en donnai une, écrit-il, a l'
homme
qui les amena ; mon compagnon en prit trois des p
s : les crimes doivent être punis. Vous êtes un grand historien et un
homme
instruit dans la loi, dites-moi en quelles circon
rdon et leur rémission à ce prince, en présence des saints et savants
hommes
de ce temps, dont les signatures et les sceaux, c
oite et déposé dans le caveau où Mohammed Toghlak est enterré ». Un
homme
semblable a Mohammed Toghlak serait dans la vie p
Un homme semblable a Mohammed Toghlak serait dans la vie privée un
homme
intelligent et plein de vigueur, courageux et hab
nner à ceux qui l'offenseraient quand sa fureur serait passée. Un tel
homme
aurait bientôt dissipé sa fortune et s'abandonner
euse se réveilla et, ouvrant les yeux, elle s'écria avec effroi ; « L'
homme
aux yeux terribles est-il encore là ? » On la ras
sans inconvénient. Car il ne faut pat oublier que, entre des mains d'
hommes
prudents et possédant les connaissances médicales
t-ce qu'à titre documentaire, de reproduire les paroles prêtées à des
hommes
dont la compétence, sur les questions d'hypnotism
avis de la Providence et ont fini par la marier, en avril 1889, à un
homme
plus jeune qu'elle et pour lequel elle n'avait au
e du 13 janvier 1890.— Présidence de M. Brouardel. État mental d'un
homme
arrêté pour avoir coupé des nattes de cheveux à d
haut degré, le syndrome dit « recherche angoissante des mots. » Un
homme
, dans ces conditions, est évidemment malade Il re
ont été étudiés et analysés avec soin. Le plus connu est celui de cet
homme
, d'une intelligence distinguée, d'une vaste érudi
térie, la folie, l'état vicieux ou dégénéré. » Nous sommes avec ces
hommes
distingués, qui reçoivent les épaves » accumulé
idée de rédiger des circulaires conçues dans un tel esprit. Les mêmes
hommes
, qui, hier encore, niaient la réalité de l'hypnot
Il n'est au pouvoir d'aucune circulaire ministérielle d'empêcher les
hommes
instruits que renferme le corps de santé militair
'on rencontre si fréquemment chez les femmes et même parfois chez les
hommes
, l'Eglise le permet! » Eh bien! ce que l'Eglise
lles vous avez assisté, soulèvent les questions les plus graves que l'
homme
puisse se poser! Libre arbitre, responsabilité, t
elle et que votre intention n'est pas d'empoisonner sa mère. Voilà un
homme
auquel vous donnez un couteau de papier pour tuer
endormi : « Voici un pistolet chargé. A votre réveil, vous tuerez cet
homme
. » Au réveil il tire sur lui. Pourquoi? L'autre l
as spontanément me prêter son concours. Je puis lui dire : « Voici un
homme
qui a séduit votre femme. Quand vous vous réveill
et tous les hypnoti-seurs ne sont pas des criminels. D'ailleurs si un
homme
versé dans la question de l'hypnotisme avait abus
prier à la Madeleine, puis, froidement, sans émotion, elle conduit l'
homme
qu'elle a aimé à son mari qui l'assassine. Aucun
lusieurs personnes de rencontre. Finalement elle tombe dans ceux d'un
homme
intelligent qui s'intéresse à elle, qui la captiv
er son rôle; elle ne se charge pas d'abord : elle invente, d t-on, un
homme
à barbe blonde et lui endosse sa propre responsab
complètement dans l'état II, la malade est devenue un automate : « l'
homme
machine. » L'inhibition des actes psychiques es
pour le sexe féminin, mais il a une inclination très marquée pour les
hommes
. Le malade voudrait bien se marier, mais dans les
ing lui suggère d'avoir dès aujourd'hui la même indifférence pour les
hommes
qu'il l'avait pour les femmes. Cinq jours après
que le suicide s'accroît avec l'âge. L'accroissement s'arrête pour l'
homme
de 71 à 80 ans; il continue pour la femme jusqu'à
ypochondrie et la mélancolie, et cela se conçoit d'autant mieux que l'
homme
avancé en âge réagit moins contre les états de do
brietatem. Car il est démontré, dit-il, que dans bon nombre de cas, l'
homme
n'est pas libre de ne pas boire. Il se rallie à l
1'humanité : l'amour de la parure. « C'est cet instinct qui guide l'
homme
le plus sauvage des Iles Marquises lorsqu'il se s
.1889. Aux colonies, la population renferme à côté d'une minorité d'
hommes
blancs une masse numériquement prédominante d'hom
d'une minorité d'hommes blancs une masse numériquement prédominante d'
hommes
de couleur, qui emprunte à son origine africaine,
viole, tue et calomnie une femme innocente, mais l'impression d'un
homme
franc, sans cœur et sans préjugés, étranger à tou
onté est moins arrêtée. Dans cet état Félida se laisse séduire par un
homme
qui l'a épousée depuis : elle devient grosse et p
mple, plus facile, plus lucratif ! Ce n'était pas, quand on le vil, l'
homme
aux proportions gigantesques qu'on aurait supposé
pro- posait d'étudier chez ses enfants les instincts primitifs de l'
homme
. Mal-heureusement l'affaire a été ébruitée et l'e
ireur continuait a faire feu. Alors commença une véritable chasse a l'
homme
. Rendu furieux par les blessures faites par cet h
able chasse a l'homme. Rendu furieux par les blessures faites par cet
homme
, les soldats déchargèrent leurs fusils contre lui
majorité de ce conseil supérieur, mais je veux croire que ce sont des
hommes
qui après avoir été élevés dans l'isolement, pour
ai- 320 REVUE DE L'HYPNOTISME nement point des pédagogues , ces
hommes
n'ont point de famille, ils n'ont jamais vu d'enf
nt été recueillies dans mon service, et comprennent deux femmes et un
homme
. L'ensemble de ces observations présente un air
es il lui imprimait pour établir sa possession ! Ce qui conduit les
hommes
à cet abîme. — dit Nicolas Remy. procureur généra
démon attentif aux faiblesses humaines, sans cesse à la recherche des
hommes
lâches que la pauvreté réduit au désespoir, que l
ent évidemment un certain degré de féminisme dans le caractère de cet
homme
. Il se présente à nous, le bras droit allongé l
en pareil cas. Les recherches que j'avais faites sur la peau de cet
homme
pour explorer ses sensibilités à l'aide d'une épi
porté pour le premier groupe sur dix hvstériques: sept femmes, trois
hommes
; elles nous ont démontré que chez eux la nutritio
de comédiens, que dii-|c, on y a vu, A ces expériences publiques, des
hommes
politiques et même des femmes! Eh bien! Messieu
uteurs qui se sont occupés de l'hypnotisme constatent que les sujets,
hommes
ou femmes, sont au début récalcitrants a l'inlïun
s le détail d'expériences techniques qui ont lieu sous la direction d'
hommes
de science respectés de tous. Je ne suis pas surp
é, les intéressés s'en sont émus ; â telles enseignes que l'un d'eux,
homme
considérable, très indépendant d'esprit et de car
l n'en est pas encore là. tout le monde le sait. Encore une fois, nos
hommes
ne sont pas des bêtes à expériences et nos hôpita
t il ne doit même pas songer à un traitement qui, entre tes mains des
hommes
les plus autorisés, a donné dans des cas analogue
ule dans son traité de neurypnologie. Puis vient la liste de tous les
hommes
qui ont conquis à cette science nouvelle le droit
ontrent, sans contredit, l'in-flucnce magnétique ou fascinatrice de l'
homme
sur le cheval. Voici a titre de spécimen l'un d
les, restera-t-elle toujours la même. Mais s'il en est ainsi pour l'
homme
, il en est tout autrement pour l'animal, et. comm
m interne à 1 lat----r - rentrai* d-« prlaona d- Parii. € Lorsque l'
homme
tait son apparition dans le monde, le sommeil don
its plats succulents que préparait la mère, bonne ménagère, deviendra
homme
: il quitterra les siens pour vivre dans un milieu
satisfaites et même délicieusement impressionnées. Ainsi procède l'
homme
intelligent. C'est de l'auto-suggestion. VI C
e les suggestions contradictoires venues du sujet lui-même. VII L'
homme
intelligenl finit par accepter à peu près tous le
existence. Le débauché ne vit que pour le bas-ventre: le poëte ou l'
homme
de science pour l'idée : le peintre pour le color
blanc. le jasmin. l'YIan-Ylan, cl ces odeurs grisent, parait-il. les
hommes
qui frisent l'âge ingrat. Les demi-mondaines préf
rait-il la conséquence exclusive de la misère psychologique? Tous les
hommes
à ce point de vue sont misérables, si l'on compar
chaque fonction physiologique. Peut-être y a-t-il dans la moelle de l'
homme
des êtres d'une plus grande valeur spirituelle qu
degré du sommeil provoqué comme nous le décrit M. Liébeault. Voila un
homme
commodément installé dans son fauteuil, fermant s
acilement dans le cerveau hypotactique du dormeur que dans celui d'un
homme
éveillé. Nous touchons maintenant, messieurs, a
suivantes: 1° La suggestion hypnotique ne sera appliqué que par les
hommes
légalement autorisés et suffisamment experts en s
une). 03. Épilepsie procursive, par Ladame. 190. État mental d'un
homme
arrêté pour avoir coupé des nattes de cheveux i d
e déraciner une erreur que do propager une vérité, aussi les premiers
hommes
qui se sont occupés scientifiquement de l'hypnoti
bleu, bleu-violet, violet et les couleurs foncées sont préférées des
hommes
; les femmes, passionnées pour la force et l'énerg
ante de la lumière bleue, soit sur des chevaux emportés, soit sur les
hommes
. M. RalTegeau dit enfin avoir constaté que la lum
ée uniquement en rouge, ils se mettaient a chanter, à gesticuler; les
hommes
faisaient la cour aux femmes, et maintenant que n
-phobique traité aussi par la suggestion hypnotique. Il s'agit d'un
homme
, Victor L..., Agée de 52 ans. Son père très nerve
'église, il fut terrifié d'entendre l'orgue ; en d'autres termes, cet
homme
présentait de l'agoraphobie et en même temps de l
côté du foie ou de l'estomac. Sa physionomicmonlre l'expression d'un
homme
intelligent. Comme stigmates physiques de dégénér
gués du barreau de Paris à lui donner mon avis sur l'état mental d'un
homme
de 32 ans, marié, père de famille, inculpé d'outr
ulpé d'outrage public à la pudeur. Les conditions dans lesquelles cet
homme
, de conduite jusqu'alors irréprochable, s'était l
e 2g Novembre, jour de la Saint-André, la jeune fille verra en rêve l'
homme
qu'elle doit épouser si en se mettant au lit, ell
s. Tous les gens, vivant Entre le ciel et la terre A l'exception de l'
homme
Qui devra m'épouser. Dans quelques provinces la
es de leur réalisation. Ne les ayant jamais observées, la plupart des
hommes
sont disposés à les déclarer d'avance invraisembl
lle ces vérités à la fois éclatantes et cachées à côté desquelles les
hommes
passent depuis des siècles sans les voir. De qu
. — J'applique l'aimant sur la tête à la région pariétale gauche d'un
homme
sain. Au bout de quelques minutes, la main droite
. — J'applique un aimant au niveau de la région temporale gauche d'un
homme
. Au bout de quelques minutes, on voit battre les
ne nulle i m-pression à la grande surprise de ses parents. II. — Un
homme
était atteint de crises dont le point de départ s
travail. Elle fui guérie par trois applications d'aimant. IV. — Un
homme
se plaignait de douleurs très violentes dans le b
et, depuis quinze jours, elles sont devenues insupportables. C'est un
homme
énergique, mais il ne peut s'empêcher de se plain
Le bon Dieu et saint Jean passaient par une ville : ils trouvèrent un
homme
(ou une femme, garçon...) qui était brûlé ; et le
était brûlé ; et le bon Dieu dit à saint .'ean : bulle (souffle) cet
homme
(ou femme...) trois fois i'haleine de ton vent. T
s le touchëur fait le signe de la croix et souffle trois fois), cette
homme
sera guéri. — Pour le mal de gorge. — Mal de go
ôle que dans l'éclosion des autres psychoses. Pour le jaloux tous les
hommes
qui approchent de la maison sont les amants de sa
des membres au milieu. Il recherche cette influence du milieu sur l'
homme
et prouve que les races subissent l'influence du
gique. Dans l'Aveyron, sur le terrain siliceux, le seigle nourrit des
hommes
petits à ossature grêle, les hommes des terrains
n siliceux, le seigle nourrit des hommes petits à ossature grêle, les
hommes
des terrains calcaires ont une taille supérieure
, les citadins sont en majorité dolichocéphales ou à tête longue. L'
homme
si modifiable n'est pas un être irréductible, cha
astique du Père Morel, et celui de théologie positive du Père Duguet,
homme
éloquent, d'un langage délicat et orné, auteur du
ientifiques qu'un Dieu puissant et juste ne présenterait pas à tant d'
hommes
si elles étaient fausses avec les plus hautes qua
fictions d'art pur n'ayant pour but que la volupté psychique? Quel
homme
n'eût pas été Biaise Pascal, s'il fût resté l'adm
oit plus, on verra bien des malaises sociaux disparaître. On fera des
hommes
disposés à porter la réflexion cn toutes choses,
mporté comme tout le monde. Legrand du Saulle raconte l'histoire d'un
homme
sujet à ces manifestations d'automatisme ambulato
un état second/page> page n="87"> était une hystérique ; l'
homme
de Legrand du Saulie qui fait un voyage à Bombay
tre diagnostic. Ainsi quo je vous l'ai dit dernièrement à propos d'un
homme
de quarante ans devenu malade deux ans plutôt, l'
e Philadelphie), The journ. of New. and Ment. Disease juin 1899. Un
homme
âgé de 43 ans, alcoolique, n'ayant aucune hérédit
ultés qu'ils diffèrent ; or, comme ces facultés sont latentes en tout
homme
, vous pouvez, par la réunion des hommes, obtenir
facultés sont latentes en tout homme, vous pouvez, par la réunion des
hommes
, obtenir l'assemblée ou la foule, selon que vous
e fait suivant au dernier Congrès dcsaliénlstcs et neurologistcs. —Un
homme
parfaitement sain, chargé à un moment donné de ra
ion consécutives ou combinées, signalés chez les animaux comme chez l'
homme
par divers auteurs (Yong et Tompson). B... est un
hysiologie générale : « il a opposé à l'opinion,.... qui arrêtait à l'
homme
les lois de l'animalité, la notion plus large de
lus large de la généralité essentielle des phénomènes de la vie, de l'
homme
à l'animal et de l'animal à la plante ». Il est
ème (création et développement dés pathologies spéciales). Tous les
hommes
de cette grande École médicale contribuèrent puis
le nom de Théorie histologique du sommeil. Pour Mathieu Duval, chez l'
homme
qui dort, les ramifications cérébrales du neurone
xcitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquent, chez l'
homme
endormi, des réactions réflexes, mais ne passent
, dans ce cas, les applications doivent être faites avec de l'urine d'
homme
. » Et le D* Bidault conclut que, même quand les
turel existera toujours, la crédulité ne disparaîtra pas du cœur de l'
homme
, et le Morvandiau serait-il instruit et plus civi
le Morvandiau serait-il instruit et plus civilisé, qu'Usera toujours
homme
. » VARIÉTÉS Le sommeil de l'enfant. par M.
générale, il esladmis que le sommeil esl le « meilleur cordial « de l'
homme
, ainsi que l'appelait le philosophe anglais Locke
glais Locke, cl qu'il est plus indispensable encore ? l'enfant qu'à l'
homme
fait. Cbez lui cn effet, les mutations nutritives
lte dans les mêmes conditions de vie se contente de sept heures, et l'
homme
fait, de moins de six, heureux encore quand les s
la table de famille, une ou deux heures après le dîner; l'adulte et l'
homme
mûr autant que possible avant minuit, afin d'avoi
se présente jamais sera forcément très rare, car il faudra d'abord un
homme
connaissant à fond l'hypnotisme et habile à manie
suggérée sous la ferme d'un simple interrogatoire. C'est ainsi qu'un
homme
placé dans les conditions d'un simple Interrogato
phe a écrit, en allemand, la Comédie du sentiment, où il montre que l'
homme
est toujours et fatalement roulé par la femme. Il
actif d'Habert avec l'idéaliste Eyn-hardt. Le premier réussit, est un
homme
utile. Le second, qui a Pacte enadversion, dispar
ur prétend reproduire fidèlement la manière de voir de la plupart des
hommes
instruits de son époque. Malgré cela il s'attend
énérés. Mais tandis que Lombroso cherche ses preuves dans la vie de l'
homme
, Max Nordau les prend dans leurs œuvres. Il ne lu
ite dans l'état d'hypnotisme. Tous les asthmatiques, vieux ou jeunes,
hommes
ou femmes, riches ou pauvres, exagèrent leurs sou
éte d'un serpent : crâne, bouche, yeux, sont comme dessinés de main d'
homme
. Les graines de buglossc ayant vaguement la for
rossièrement tailié qui se dévore la poitrine (Giliaks). Ou encore un
homme
au ventre ouvert est souverain contre les dévoiem
l'Histoire, non sans esprit : « la certitude est si peu naturelle à l'
homme
qu On doute môme des choses qu'on a vues de ses y
e leur promenade dans le feu, qu'ils traversent à plusieurs reprises,
hommes
du peuple, enfants, gens de marque. . Certains
qui intéressent tous des neurasthéniques. Voici le plus typique. Un
homme
qui présentait des crises neurasthéniques se mari
ments cessent. Mais des qu'approche le terme do la grossesse, ce même
homme
se plaint de douleurs lombaires et d'affaiblissem
disait cette malade; une hystérique est une femme qui court après les
hommes
; or,moi,je me suis toujours bien conduite, j'ai t
inion publique a pris l'habitude de se le représenter comme un de ces
hommes
à système, qui traitent toutes les maladies par l
dénoncés par crainte de vengeance. L'état mental du vagabond et de l'
homme
errant ne tarde pas aie mettre au niveau de la bo
as aie mettre au niveau de la bote fauve, avec cette différence que l'
homme
errant est beaucoup plus dangereux. Homo errans J
Jera errante péjor, tel est le titre fort justifié d'un chapitre de l'
Homme
gui rît de Victor Hugo. — Pourquoi les pouvoirs p
J'ai donné, dans mon Histoire, des renseignements sur 103 dévots, 54
hommes
et 49 femmes. Ces renseignements, empruntés pou
, suffisent à se faire une idée du type dévGt. Je trouve, parmi les
hommes
, dont 6 seulement, paraissent s'être mariés, et d
tion-nentpas à!eurtour,sembIentêtrereprésentés dansmonHistoire par 30
hommes
et 36 femmes. Cette classe comprend la majorité d
nnent à leur tour, sont représentés dans mon Histoire au moins par 24
hommes
et 13 femmes. Les créateurs-suggestionneurs étant
x, les propagandistes, sont, au point de vue du caractère, tantôt des
hommes
onctueux et prenants, comme Jean Guillebert, tant
ôt des hommes onctueux et prenants, comme Jean Guillebert, tantôt des
hommes
unissant la force et la douceur, comme Claude de
soit directement soit indirectement. D'après le Dr Bernheîm, chaque
homme
possède une certaine quantité de force nerveuse o
scites là où ils semblent irrémédiablement éteints chez les pires des
hommes
: les alcooliques, les vicieux, les désorientés./
s travaux pour que j'insiste; mais je me dois de leur apprendre qu'un
homme
de lettres y a trouvé une voie pour une littératu
e lent phénomène d'attraction créée par la femme se transforme chez l'
homme
en irrésistible désir. Peu repoussent ces envahis
échéance. Après le déchirement qui suit la crise de rupture, quand l'
homme
se reprend, il constate que cette jeune femme ava
l'hypnotisme qui nous a permis de vérifier, expérimentalement, que l'
homme
n'était jamais ou presque jamais perdu, même quan
. tenu ù Lille, 28 juillet-!" août 1899; Sem. mêd., 9 août 1899. Un
homme
âgé de 45 ans, issu de parents tuberculeux, guéri
agés àfond : M. Myers, professeur à l'université de Cambridge, un des
hommes
les plus, énii-nents d'Angleterre, non seulement
it par trouver un jour un moyen commode et facile d'agir sur tous tes
hommes
et à volonté, sur l'intelligence comme sur les se
moin est véritablement suggestionné, c'est-à-dire que ce n'est pas un
homme
à qui l'on a persuadé une chose, qui s'est laissé
aculté de Rire a été étroitement départie, exclusivement accordée à l'
homme
et si, par extraordinaire, il n'y aurait pas, par
ns la région du diaphragme. « Or, dit-il, la cause pourquoi le seul
homme
entre tous animaux soit ¦ chatouillé est la mince
l'animal à quatre pattes ! Ou a beau l'appeler le «: rire-chien », l'
homme
s'en sert aussi, et celui aux dépens de qui il l'
n de rire ». Cela fait au moins une espèce de rire à la portée de l'
homme
et de l'animal î Si celui-ci n'a pas toute la gam
"211"> aultre remède ». Pour ne pas pleurer tout-à-fait comme un
homme
, il n'en verse pas moins de grosses larmes 1 La
surtout aux yeux; il trouve très «raisonnable que l'acte propre à t l'
homme
, qui le fait évidemment différer de tous les autr
les autres animaux, c soit logé en la partie qui est particulière à l'
homme
, à parler propre-ß ment ». L'argument n!est pas
près une esthétique particulière, il y aurait, convenez-en, pas mal d'
hommes
â éliminer, soit pour la forme, soit pour la coul
ressortir par des coups de crayon saisissants, — combien de visages d'
hommes
se rapprochent du faciès d'un animal, chien, chev
énomène de reviviscence partielle, faire retrouver dans une famille d'
hommes
des types oubliés, des ancêtres méconnus de la li
re autorisé à dénier le rire aux animaux, même â ceux de laséric où l'
homme
prend ses utiles serviteurs, par celte considérat
yeuseté étant, d'après Aristole et Pline, au diaphragme, « chez t les
hommes
le péricarde est attaché au diaphragme d'une gran
r-« geur, fort différemment deà bétes ; de quoi nous coÎligeons que l'
homme
« seul rire ». C'était la conclusion à laquelle
dans son Traite De Anima, et Vita (1. Ill) : c de tous les animaux, l'
homme
eut le seul qui rit, parce « que seul il a un vis
s ; ce n'est pas qu'ils « ne soient portés, plus fortement mémo que l'
homme
, à éprouver les/page> page n="212"> « s
rentiels entre l'instinct dévolu â l'animal et la raison apanage de l'
homme
. J'nnalyse rapidement la controverse. C'est Des
, p. 44./page> page n="213"> aucun point de coniact entre l'
homme
et l'animal. Leur sentiment conduit quelques ouir
rivains, pour d'autres raisons que la supérxoriiê providentielle de l'
homme
, pensent, avec Spencer, par exemple, que l'instin
igence raisonnes et pleine possession de lui-même: il existe, entre l'
homme
et l'animal, ce trait commun, un certain a état d
'appétit primitif s'est transformé. Aussi le rire a-t-il varié pour l'
homme
dans certaines conditions de milieu, de culture,
rhomme,qui, tout en évoluant dans un plan bien inférieur à celui de l'
homme
, participe dans une certaine mesure â la transfor
ontractions particulières de la face. Vivant dans la familiarité de l'
homme
, il a insensiblement perfectionné ses moyens de p
autrefois, prouvé par l'histoire de ses lézards familiers (t}, que l'
homme
a, peu à peu, moyennan! une certaine méthode d'en
ophtalmie passée à l'élat chronique? L'animal placé au contact de l'
homme
, dans sa sphère d'influence, ne reste pas étrange
oste de Lagrave aappeté « de l'hypnotisme inconscient » s'exerce de l'
homme
à son compagnon à quatre pattes. L'influence de
n effet, à sa manière, qui correspond à l'une des façons de rire de l'
homme
lui-même. Après avoir décrit le mécanisme intim
ont eux-mêmes éprouvé. Rabelais a dit qup « rire est le propre de l'
homme
, s On voit dans quel sens cette proposition trop
s réfléchi, plus conscient, d'autant plus que le ' moi supérieur de l'
homme
dans la familiarité de qui l'animal vit est doué
ontracté l'habitude de dormir tout en marchant. Qu'est-ce à dire? Cet
homme
, sans cesser de dormir, exécute d'une manière aut
sait 2.200, soit 70 grammes de plus que le fis/veau lo plus lourd des
hommes
de génie, par exemple do l'écrivain russo Tourgii
droit, fera une conférence sur : Le race à É'étai de veille chez les
hommes
de lettres. Jeuci Î5 Février, à huit heures et
primé, je rappellerai la suggestion d'Andiiiy par la Reformation de l'
homme
intérieur de Jansen; celle d'Antoine Arnauld par
s; pendant que vous attendiez M. C... dans son salon, vous avez vu un
homme
qui s'y trouvait, ou qui y est entré? R. — (X..
nsables et d'une mentalité qui ne pouvait être comparée à cc-llc d'un
homme
sain. Dans un procès d'assises récent, •n'a-t-o
es convulsions très atténuées du membre supérieur droit. En outre cet
homme
a pu reprendre son travail. Etat mental des hys
droit, fera une conférence sur : Le rêce ît Vêtat de veille chez les
hommes
de lettres. Jeudi 15 Fstmrr, à huit heures et d
examinerons l'auto-suggestion naturelle telle qu'elle a lieu chez les
hommes
qui s'en servent avec de bons résultats. Pour m
ir en entier, mais nous en examinerons quelques parties. Vue. Les
hommes
qui pratiquent l'auto-suggestion de la vue sont l
rai qu'à mon tableau, et je trouverai ma récompense dans l'estime des
hommes
. » Tout ce travail de l'esprit constitue la pra
Mon œuvre persistera dans les siècles. Elle sera admirée par tous les
hommes
et trouvera sa place dans un musée qui la protége
u que tous ceux qui existent. La façade frappera d'admiration les
hommes
venus de toutes parts pour la voir. Les côtés s
acte, le compositeur entendra la chanson d'amour. Ce sera une voix d'
homme
ou une voix de femme. La voix sera entendue seu
it pas pleurer lui-même. Le Mathématicien. Le mathématicien est l'
homme
qui emploie avec le plus de perfection l'auto-sug
. — Sur les 37 suggestionneurs avérés de mon Histoire, j'ai relevé 24
hommes
et seulement 13 femmes. L'élément masculin l'em
volupté sexuelle. 4. La sureraintivité. — D'Holbach écrivait : « L'
homme
n'est superstitieux que parce qu'il est craintif»
ns le langage mystique, presque l'équivalent de croire? Et pour qu'un
homme
naturellement craintif tourne à la dévotion, il s
malades d'abord, et aussi parce qu'ils comptent dans leurs range dos
hommes
vraiment supérieurs d'autre naît. (2) Nécrologe
rit et l'ignorance sont plus fréquentes ou plus prononcées que chez l'
homme
. 8. Le jeune âge. — Ces caractères psychiques s
Dr J. Crocq, Journal de Neurologie de Bruxelles, 1899, IV, p. 70. Un
homme
, âgé de 44 ans, présente des mouvements coniques
hermique, a complètement perdu la sensibilité à la douleur. Or, cet
homme
est machiniste au chemin de fer; huit mois aupara
ves problèmes suivants : « D'un blanc, d'un noir ou d'un Indien, d'un
homme
ou d'une femme, qui a la mémoire la plus longue ?
toute couleur; 4.65tJ ont répondu. De ces réponses il résulte que l'
homme
blanc ou rouge garde mieux lo souvenir des jours
p., G. Gounouilhou, Bordeaux, 1899. W. Tesicheff. — L'Activité de l'
homme
, 261 p., Cornély, Paris, 1898. Albert Coutaud.
Prof. Raymond, Journ. de méd. et de chir. praliq., 10 janv. 1900. Un
homme
de 32 ans reste assez calme quand on le laisse au
nt impossible. Il y a dix ans, à la suite d'une émotion violente, cet
homme
présenta une agitation du même genre : ses mouvem
ts d'admiration se rencontrent en grand nombre autour de nous, mais l'
homme
peut aussi en créer lui-même par les arts. Une
nt et l'admiration sont les conditions essentielles du plaisir. Les
hommes
, dit-il, ont recours, instinctivement, à ces troi
les moyens naturels leur font défaut. Kt ce sont les productions de l'
homme
pour remplir ces conditions qui constituent les ?
gement correspond un système d'ondulations nerveuses. Le cerveau de l'
homme
est un monde. On peut le comparer à un beau ciel
re rare, n'est cependant pas exceptionnelle. Elle atteint surtout les
hommes
. Son début est tantôt brusque et tantôt insidie
y Par m. le dr Henri Stadelmann (de Wurl/.bourg) ' Il s'agit d'un
homme
âge de trente ans, de bonne constitution, sans ta
lendemain, il retourne en toute hâte auprès de la maison et décide un
homme
à monter sur le toit à l'aide d'une échelle, pour
repos. Depuis mon traitement, il s'est écoulé quinze mois et notre
homme
demeure délivré de ses phénomènes morbides. Sans
lever une tare quelconque et il n'est, pour ainsi dire, pas de grands
hommes
qui n'aient eu leurs manies,leurs phobies et leur
alpetrière./page> page n="336"> Notre premier malade est un
homme
qui, il y a plusieurs années, a déjà fait une fug
la cause occasionnelle, il faut la chercher dans le surmenage ; notre
homme
, en effet,/page> page n="337"> s'est ép
on amène les malades à le raconter en détail. Malheureusement, notre
homme
s'est montré réfractaîrc a toute tentative d'hypn
fugue un an après. Pendant cette fugue, elle lie connaissance avec un
homme
qui l'emmène au restaurant, puis dans sa chambre
dinaire, un goût très modéré pour les mathématiques. Inversement, des
hommes
qui n'ont jamais eu le sens des chiffres, tc'.s G
ruction par la parole et l'éducation les placent au niveau des autres
hommes
. » Mais quand cette éducation patiente, quand c
expériences auxquelles il s'est livré- Orateur violent, il excite les
hommes
: beau parleur sentimental, U est très écouté et t
rce sur les uns et sur les autres une véritable puissance hypnotique.
Hommes
et femmes l'accompagnent, lui font cortège dans t
res, par des personnages qui ont fait une profonde impression sur les
hommes
de leur temps: Corneille Jansen, du Vergier de Ha
fond des choses. Pour ce qui est de la pensée, on peut diviser les
hommes
en deux classes : les transmetteurs et les transf
sont la foule, le vulgaire. Les transformateurs sont l'exception, les
hommes
de génie, ceux qui, recevant plusieurs systèmes d
5"> phénomènes est fonction d'une loi simple. Ce qui distingue l'
homme
de génie dans la science, c'est avant tout la sim
la vie universelle apparaît dans son ensemble! Quel pas de géant ces
hommes
ont fait faireà l'humanité 1 Aussi bien c'est par
ansformateurs, c'est l'indépendance. Le jour où nous aurons guéri les
hommes
de la suggestibilité, nous aurons multiplié à l'i
les hommes de la suggestibilité, nous aurons multiplié à l'infini les
hommes
de génie (')¦ Voici l'énumération des doubles t
gant neuf donné à l'exécuteur et que la truie fut exécutée en habit d'
homme
sur la place de l'église de Falaise. Une fresque
s. En 1546, une vache est condamnée à être pendue et brûlée avec un
homme
. En 1552, le 2 mars, le Chapitre de Chartres, a
uer qu'il n'était nullement établi que la maladie fut transmissible d'
homme
à homme par morsure ou/page> page n="375">
l n'était nullement établi que la maladie fut transmissible d'homme à
homme
par morsure ou/page> page n="375"> égra
t montrée fîère de cet attribut, qui en faisaitl'égale apparente de l'
homme
, et ne pouvait que concourir à assurer son autori
ons de l'historien Strada, elle semblait, dans ses habits de femme un
homme
en jupons. Pour ajouter à l'illusion, la nature l
temporain, ni la barbe, ni le courage qui lui manquaient pour être un
homme
. Elle fut prise à la bataille de Pultawa et amené
siècle, native d'un village près de Lille, en Flandre, se déguisa en
homme
, poussée à cela sans doute par la barbe qu'elle a
it a le devoir d'en faire bénéficier ceux qui en sont privés, comme l'
homme
riche a le devoir de donner la moitié de son pain
sens était comme le plus souvent du bon côté. Le joueur est donc un
homme
privé de bon sens, c'est un homme qui se gris
u bon côté. Le joueur est donc un homme privé de bon sens, c'est un
homme
qui se grise nu jeu comme l'alcoolique qui se
tous les jeux, on y gagne quelquefois à la Bourse ; je suis un habile
homme
, je suis un fin politique, s'écrie alors le joueu
Kinso, formule le précepte suivant : « Sortez-vous ? sortez comme un
homme
qui ne doit pas rentrer ; ainsi vous serez prêt à
ause un véritable désastre intime à tous ceux qui aimaient en Tarde l'
homme
complet et véridique. ¦ Quiconque l'a vu et l'a
ier, une certitude sur cette similitude préalable qu'il y a entre les
hommes
que doit unir un acte juridique : similitude ou r
est ouvert ù toutes tes questions qui permettent de mieux connaître l'
homme
, et qui puisent dans ces études les fondements d'
t selon les besoins de l'époque. En réalité, dans tous les temps, les
hommes
ont façonné les images de leurs divinités d'après
lieu. Le rôle que joue Aphrodite comme inspiratrice des passions de l'
homme
est un lieu commun de la littérature grecque. A C
ces figurations de l'Isis barbue, à la fois femme par sa maternité et
homme
par la virilité de son visage. (I) Actuellement
s'organisa le culte de Cybèle, déesse de la terre et mère commune des
hommes
et des dieux. En effet, d'après Strabon, l'idée d
in-4", avec un atlas de 31 planches. barbue, avec la stature d'un
homme
habillé en femme, et tenant un sceptre à la main.
e même que, pour reconnaître en Vénus ce double caractère sexuel, les
hommes
s'habil- Fig. 86. — Statue trouvce;dans l'ile d
le corps et l'habillement d'une femme, un sceptre et la stature d'un
homme
(4). (1) Signum etiam r-jus (Veneri*) est Cypro
r, cité par Hésychius, affirmait que Venus était représentée comme un
homme
, c'est-à-dire avec de la barbe. Sur la foi de t
façon des gens de science, par l'expérience. Mais l'expérience sur l'
homme
est trop complexe; et, dans les effets observés l
r méthodiquement dans quelle mesure l'application peut être faite à l'
homme
. Dans mes expériences, les choses se sont passé
hèse finaliste soit reléguée dans les réglons de la métaphysique où l'
homme
de science digne de ce nom doit éviter de s'égare
t qu'il a résumées dans son Système analytique des Connaissances de l'
homme
, publié en 1828. Je voudrais cependant rappeler l
Pour « avoir compris qu'il n'est lui-même qu'un phénomène naturel, l'
homme
doit « renoncer à philosopher sur les phénomènes
nnus de lui. Pour tout savant convaincu de l'origine évolutive « de l'
homme
, la métaphysique n'est qu'un ramassis de mots vid
s ont amenées dans notre conception des facultés intellectuelles de l'
homme
considéré comme le terme le plus élevé d'une séri
ive des deux sexes. La partie supérieure de la statue représentait un
homme
et l'inférieure une femme. Selon Codin et Suida
elle et qu'ils lui donnaient de la tôle à la ceinture les formes d'un
homme
, et de la ceinture aux pieds celles d'une femme.
ses ambitions. Les lares de l'empereur Mare-Aurêle étaient les grands
hommes
dont les œuvres avaient contribué à former son ca
indique que l'artiste a voulu mettre en évidence un sein qui, chez un
homme
, serait de dimensions anormales [fig. 77). L'abse
t même qui affirment que le diable n'hésite pas, pour mieux duper les
hommes
, à se dissimuler dans le corps de la femme. C'est
enceaux se retrouve dans des proverbes populaires fort expressifs :
Homme
roux et femme barbue De trente pas loin les salue
able qu'elle n'y soit forcée par quelque occasion. C'est pourquoi les
hommes
, qui la doivent imiter comme une savante maîtress
u'employaient les gnostiques auprès des gens simples. » Pig. SI Eon
Homme
avec des seins et un visage de femme (M. du Ham
eins et un visage de femme (M. du Hamnier). Fig- 81. Eon gnoslique.
Homme
avec des seins de femme. (M. de Uammer). Ils av
nier la suggestion musicale. Elle s'exerce non seulement sur tous les
hommes
, ou à peu près, mais aussi sur beaucoup d'animaux
a mère une description détaillée de la catastrophe et de l'aspect des
hommes
qui y avaient péri, ce qui émut profondément la p
s de la guerre dans « le camp de la mort » exposent l'imagination des
hommes
à une grande épreuve. Or ne semble-t-ii pas qu'on
rs descendants ! Port-Arthur a succombé!... « Des ombres et non des
hommes
» sortirent de leur prison. Les soldats exténués
citer le cas suivant où j'ai réussi. J. T... âgé de 43 ans, est un
homme
de bonne éducation et qui a beaucoup voyagé. Il a
-Zélande. Il est aussi auteur de contes populaires, et enfin c'est un
homme
de talent et de ressource. Sa vie avait été empoi
criminelle. Son expression était anxieuse et ressemblait à celle d'un
homme
poursuivi. Ayant vu, dans une revue médicale amér
seul autre cas de nature analogue que j'aie rencontré fut celui d'un
homme
mùr. Il y a dix ans. qu'il dut fuir sa maison et
par des sociétés secrètes, assez nombreuses au Moyen-Age, composées d'
hommes
qui avaient fait pacte avec le diable. D'après M.
si elle ne se remariait pas, il lui viendrait de la barbe comme à un
homme
. C'est ce qui arriva en effet. Celte pieuse dame
t. Condamné à mort pour le prétendu vol de cette pantoufle, le pauvre
homme
demanda à être conduit devant la sainte. On accéd
sa paroisse, se prit un jour d'un bel amour pour son curé. Celui-ci,
homme
d'une grande dignité de manière, d'une réputation
nant chez chaque malade. Le premier sujet de cette catégorie est un
homme
de 45 ans, atteint depuis quelques mois de neuras
générale, se présente d'une façon bien différente. Voici d'abord un
homme
d'une quarantaine d'années, malade depuis huit mo
Main droite + 4° Main gauche -{- 22». Le second malade est aussi un
homme
très intelligent, âgés de 48 ans, très surmené pa
sises scientifiques et leur influence sur le rapprochement amical des
hommes
de science. Dans le second, nous avons applaudi
de, fille de Guillaume d'Eu [*), et en eut quatre garçons : Yves III,
homme
prudent et fidèle qui, en 1146, étant sur le poin
. Il était de plus bon calculateur. Il se montrait dans ses propos,
homme
d'un jugement sain et savait supporter son sort a
" La psychologie de l'enfant; 5° La psychiatrie et psychologie de l'
homme
anormal ; 6« La psychologie sociologique ; 7° La
déjuger la valeur et l'utilité d'une institution due à l'initiative d'
hommes
absolument indépendants. La Bibliothèque de l'E
teur et Henry Bouley, que les maladies contagieuses sont communes à l'
homme
et aux animaux, la médecine humaine et la médecin
eau, de l'Institut, compte au nombre de ses membres un grand nombre d'
hommes
émlnents, parmi lesquels nous citerons MM. les D"
hommage qui sera rendu à la mémoire de ce grand psychologue et de cet
homme
de bien. Les grands exorcismes du XIXe siècle
es poings et développait dans ses mouvements une telle force, que six
hommes
ne pouvaient la maintenir. Entre temps elle parla
malade criait toujours : « Ça ne sert à rien. Il faut qu'il vienne un
homme
avec une haute coiffure pour me délivrer. » Alors
n coin de la chambre dans un autre en entraînant avec elles les trois
hommes
, qui étaient cependant de solides gaillards. Les
de la possédée. La contagion psychique peut seule expliquer, qu'un
homme
intelligent, comme Mgr Laurent, ait pu se prêter
les suffrages d'un certain nombre de Juifs. C'est ce qui arriva à un
homme
de la montagne d'Ephraïm, Michas, dont le Livre d
eproche, ayant chez lui un prêtre de la race de Lévi ; mais six cents
hommes
de la tribu de Dan, ayant envahi le pays, enlevèr
pas une femme que vous me demandez d'accoucher, disait-elle, c'est un
homme
. ¦ Il lui fallut bien se rendre à l'évidence. M
ièrement, sans diminution de salaire, alors qu'on avait pu croire cet
homme
à tout jamais incorporé parmi les invalides du tr
itude chez un éthylique (*). Par M. le Professeur Raymond. Voici un
homme
de 59 ans, dont le cas prêterait facilement à une
rrain évolue-t-il, quelle affection faut-il voir derrière lui ? Cet
homme
a beaucoup bu. Il y a 17 ans, il a été paralysé d
e de l'Ecole de psychologie dont le but est non seulement d'étudier l'
homme
envisagé comme être moral et comme être pensant,
médecins et des vétérinaires, pour l'étude des maladies communes à l'
homme
et aux animaux, peut seule permettre de résoudre
enfant rageait et écumait; il était doué d'une telle force, que trois
hommes
ne pouvaient le dompter. Les Pères disaient la be
ne telle rage que le Père et l'enfant tombaient à terre et que quatre
hommes
parvenaient à grand'-peine à le maîtriser. Nous l
me Pilou, qui était couchée avec elle, lasse des barguigneries de cet
homme
, mit la tête à demi hors du lit, et dit : « Allez
s détaillée. (>) Au centre du tableau, l'on voit une tête de vieil
homme
, à barbe noire, surmontant le corps d'une femme q
monte jusqu'aux joues, par ses mains épaisses et fortes, elle est un
homme
; par l'étalage de sa maternité, par les symboles
le fait à la fois le plus évident et le plus remarquable. Il a chez l'
homme
la valeur qui s'attache à la crinière chez le lio
lorés chez la plupart des oiseaux. La barbe est donc l'apanage de l'
homme
et on la considère comme l'ornement naturel d'un
oilà une plaisante raison pour que j'aie un maître! quoi! parce qu'un
homme
a le menton couvert d'un vilain poil rude, qu'il
que je lui obéisse très-humblement? Je sais bien, qu'en général, les
hommes
ont les muscles plus forts que les nôtres, et qu'
guer des mères dévouées. Loin de vouloir se faire passer pour des
hommes
, elles revendiquent hautement le titre de femmes.
. Elles mettent tout leur amour-propre à en fournir la preuve. Si l'
homme
peut prétendre à quelque supériorité, Voltaire a
rbe leur est apparue, à l'âge où elle se dessine d'ordinaire chez les
hommes
, leur éducation féminine était complètement termi
ne à ceci : » Toi, tu n'es pas une femme, tu as de la barbe, tu es un
homme
. » Comment répondre à cette affirmation ? Il n'
osséder. Elle se montrera d'autant plus heureuse de la recherche de l'
homme
qu'elle aura redouté d'en être dédaignée. Quand
aux représentants du beau sexe qui, tout en admirant la barbe chez l'
homme
, la repoussent pour elles, il reste cette consola
ies génitales à Guillaume Giroie d'Echaus-son ; Yves, évéque de Séez,
homme
« d'une belle prestance, sçavant, fin et éloquent
deux tilles et trois garçons dont Geoffroy II, vivant en 1066, « bel
homme
, vaillant, sage, pieux, de bonnes mœurs, craignan
rée, nous servir des admirables travaux faits sur l'hypnotisme chez l'
homme
. Pour pouvoir faciliter notre étude nous avons
r endormir un animal, avec les moyens appliqués habituellement chez l'
homme
, ne réussissent pas ; en somme si l'on veut fixer
mme si l'on veut fixer les yeux d'un animal, comme on les fixe chez l'
homme
pour produire l'état d'hypnose, on n'obtient rien
des animaux une méfiance que l'on doit certainement retrouver chez l'
homme
qui ne consent pas à se laisser hypnotiser. Veu
roduite par les instruments dont vous vous servez pour hypnotiser les
hommes
, tels que les miroirs, les prismes, les sonneries
aux les fonctions psychiques ont été peu étudiées, les utilités que l'
homme
recherche chez eux sont, en effet, d'ordre exclus
les autres vaches se laissaient faire ; ces mêmes vaches qui, avec un
homme
du métier, retenaient leur lait, le donnaient vol
le cheval, l'hypnotisme s'exerce assurément. L'ascendant de certains
hommes
est évident. Les chevaux méchants, dans la grande
méchants, dans la grande majorité des cas, se laissent manier par un
homme
, cocher ou palefrenier, qui a pris sur eux ce qu'
Cet empire n'est jamais l'effet de la brutalité ou de la violence ; l'
homme
qui l'exerce est généralement doux, mais énergiqu
Par exemple, pour faire lever la première fois le pied d'un cheval, l'
homme
caressera l'animal et lui fera comprendre au moye
ce qui concerne le cheval, comme beaucoup d'autres animaux, tous les
hommes
ne sont pas également capables d'obtenir les résu
sse pour tous un fait curieux, que vous nous avez déjà signalé chez l'
homme
. Vous avez à dresser ou redresser un humain, (c
os entraînements comme à nos ambitions. C'est ainsi qu'on distingue l'
homme
de caractère, trop souvent différent de l'homme d
nsi qu'on distingue l'homme de caractère, trop souvent différent de l'
homme
d'esprit, de science et même de génie. » Par ces
l'Ecole de Psychologie pouvait compter sur le concours des véritables
hommes
de science, ennemis de la routine et portés, par
es neuves, vraiment originales. Connaissant l'esprit scientifique des
hommes
qui la dirigent ils se sont empressés de répondre
gèrent les uns les autres. Grande est la suggestion qui s'exerce de l'
homme
aux animaux et réciproquement des animaux à l'hom
qui s'exerce de l'homme aux animaux et réciproquement des animaux à l'
homme
. Il y a là un chapitre de pathologie comparée des
dans une langueur continuelle, et mourut le 19 juin 1650. C'était un
homme
sincère, probe, désintéressé, fidèle. A la mort d
qu'il semble pour obéir aux règles de la morale religieuse que cet
homme
qui. au dire des médecins du temps, avait réfréné
ice Macquère, théologal, archidiacre et grand vicaire de son diocèse,
homme
extrêmement pieux qui, plus tard, fut élu prieur
liberté aux pensées humaines, en rappelant plus souvent l'esprit de l'
homme
à la parole de Dieu » - . Il récitait à genoux to
te à lui-même de leur absence»^) «Enl656, il ordonnal'exhumation d'un
homme
de la paroisse (1) Idée de la vie et de l'espri
e ceux qui avoient fait cette inhumation » (*) ¦ L'année suivante, un
homme
de la paroisse de Saint-Sauveur de Beauvais, qui
atigue suggérée viendra s'ajouter à la fatigue physiologique et notre
homme
peinera autant pour faire 30 kilomètres sur route
her l'essoufflement, ont l'avantage incontestable « d'entraîner » les
hommes
. fa Il en est de même de l'allocution énerg
récis est écrit dans un style clair, et sera lu non seulement par les
hommes
de science, mais par les gens du monde qui s'inté
des animaux, M. Paul Mounet, de la Comédie française, M. Jules Bois,
homme
de lettres, M- le Dp Le Menant des Chesnais, secr
dans l'honneur que vous faites à la mémoire du penseur original, de l'
homme
de cœur auquel nous devons la conception et la pr
associerai du moins en pensée aux hommages rendus à la mémoire de cet
homme
admirable. Professeur Flournoy. Bruxelles.
ssister à la belle cérémonie où justice sera rendue à la mémoire de l'
homme
de bien et du savant modeste dont notre famille s
exprimer si heureusement dans son hymne à Liébeault, les vertus de l'
homme
et la gloire du savant. M. Paul Mou-net, l'éminen
C'est avec un grand plaisir que je salue la présence à mes côtés des
hommes
éminents, qui comme M. le professeur Giard, membr
notre invitation. Ils ont pensé que rendre hommage à la mémoire d'un
homme
dont la vie tout entière a été consacrée au culte
Liébeault, Ambrolse, Auguste, docteur en médecine, médecin modeste et
homme
de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux sciences
ujourd'hui la gloire. Liébeault nous a montré la révolution qu'un
homme
peut à lui seul accomplir dans l'évolution des id
t leur admiration a ceci de particulier qu'elle ne s'adresse pas à un
homme
célèbre par les fonctions qu'il a occupées. Elle
, il exprimait, en termes positifs, le dédain que doit professer tout
homme
de caractère à l'égard des jugements superficiels
liée en*î889. « M. LiébeauK, qui a aujourd'hui 65 ans, est un petit
homme
, aux allures vives, au front profondément sillonn
on devant toutes les injonctions impératives ; la grande majorité des
hommes
se montre plutôt disposée à se laisser alauguir e
l'on ne se berce que d'une idée, dormir. Et ce n'est pas seulement l'
homme
qui entre ainsi dans le sommeil, les animaux à sa
seul traitement physique ou mécanique de la bète, elle s'adresse à l'
homme
tout entier, tel qu'il est, avec ses passions, se
plus étendue que celle de multiples applications à la médecine. Deux
hommes
éminents, MM. les professeurs Liégeois et Beaunis
été rapportés à leur véritable cause. Cette cause n'est pas hors de l'
homme
, elle est en lui, dans son cerveau, elle prend se
s du cerveau pensant et tel qu'il fonctionne normalement. Comme les
hommes
sont insatiables de bonheur — Us en ont si peu !
e ne les pourra jamais détruire, parce qu'il y aura toujours pour les
hommes
des inconnues à chercher et de l'inconnaissable,
, ils ont acquis l'art de faire plus sagement de la psychothérapie. L'
homme
qui a le plus contribué à cette révolution scient
érité profonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable
homme
de science. Il y a quelques années, M. le profe
us considérés par les pouvoirs publics, que les inventeurs et que les
hommes
d'initiative. Si l'on prend à la lettre la défi
s d'élèves que beaucoup des professeurs les plus en vue. Il y a peu d'
hommes
auxquels autant de médecins éminents, français ou
aisaient se lever, libres des anciens fers 1 Et comme au temps de l'
Homme
Exquis de Galilée, Les aveugles voyaient; — et l'
ux psychothérapies. « On sait, dit-il, qu'il faut distinguer chez l'
homme
la fonction psychique supérieure et la fonction p
tion de freins psychologiques, de ces crans d'arrêt qui confèrent à l'
homme
le pouvoir de dominer ses réflexes, de neutralise
te l'attaque se déclara. Elle criait et grimaçait horriblement. Trois
hommes
robustes étaient obligés de la tenir. Le père Jea
on lui parle fort, si on le remue, il se réveille exactement comme un
homme
endormi du sommeil naturel. Si on le pique et si
tout d'abord, puis de plus en plus difficile. Maintenant ce jeune
homme
sort à toute heure, sans crainfe, et je vais, séa
me et tremblement hystérique (') par M. le Professeur Raymond Cet
homme
est âgé de 35 ans ; il a un tremblement, très net
is on constate un point hystérogène. Lorsqu'on presse ce point, notre
homme
devient alternativement pâle et rouge ; ses yeux
ychothérapie donne de véritables succès ; mais nous n'avons pas notre
homme
sous la main ; il ne vient nous voir que de loin
réalisé sur un sujet par un hypnotiseur et celui qui apparaît chez l'
homme
intimidé, c'est que dans le premier cas, il s'agi
r par autrui, est une des causes principales de l'inégalité entre les
hommes
. L'étude de la timidité, envisagée comme fait soc
effets dune éducation incomplète ou défectueuse. Chez beaucoup d'
hommes
, la disposition à la vénération a élé trop cultiv
trop cultivée. Dès l'enfance, on leur a inculqué l'idée qu'il y a des
hommes
extraordinaires par leur puissance, par leur rich
gard de la richesse que se manifeste cette admiration. La plupart des
hommes
sont pénétrés d'un profond sentiment de respect à
nt de respect à l'idée d'être mis en présence d'un millionnaire, d'un
homme
dont on vante l'étendue de la fortune. Certaine
mtimide se dégage surtout des tribunes, des orateurs célèbres el des
hommes
investis de hautes fonctions publiques. Dans la m
ls se trouvent en présence de hautes personnalités, un grand nombre d'
hommes
ressentent les effets de l'intimidation. L'admira
d'attente essentiellement favorable à la production de l'hypnose. Un
homme
plongé dans l'étal admiratif est par cela même, d
n raisonnable est appelée à tirer les meilleurs résultats. Tous Les
hommes
bien élevés reconnaissent que dans leur enfance,
mettait à leur aise et qu'on les accueillait avec bienveillance. L'
homme
qui évolue normalement, à partir d'un certain âge
à l'occasion d'un événement d'une circonstance fortuite, imposant à l'
homme
la manifestation de sa valeur personnelle. Mais
du Correspondant (Correspond. Bl. fur Sehweizer Aerzte) il écrit: « L'
homme
ne devrait être accessible qu'aux suggestions rai
et au. sens actuel de ce mot. Au surplus, il est étonnant de voir un
homme
qui veut combattre la suggesiion n'en pas donner
idés. Si nous considérons comme une Umidite normale, celle que tout
homme
peut ressentir dans des occasions capables de la
nouveau chez un sujet, tous les effets de l'émotion déjà ressentie. L'
homme
qui s'intimide lui-même par l'effet dune représen
considérable, tous les ressorts de la puissance morale. Elle prive l'
homme
de la meilleure partie de ses talents et de sa va
s de ces timidités douloureuses. Un des plus frappants est celui d'un
homme
d'Etat émi-nent, M. Waldeck-Rousseau. La descript
angers de l'hypnotisme. Il nous suffit pour le moment d'entendre un
homme
qui n'est pas entièrement de notre bord, affirmer
: par des contacts légers, un mot glissé à l'oreille, on détourne un
homme
distrait (par une pensée ou une conversation) sur
mmeil naturel. Si on élève un peu la voix pour donner un ordre à un
homme
en sommeil naturel, il s'éveillera au lieu d'obéi
ul Magnin. —Sans doute; aussi, c'est à la fois comme médecin et comme
homme
que, par exemple, je n'hésite pas à interdire le
on la qualité de l'individu qui vous consulte. S'il s'agit d'un grand
homme
, dont les travaux sont précieux pour la société,
a vitesse éveille en nous des idées et des sentiments particuliers. L'
homme
qui dirige un moteur vivant ou mécanique et qui n
pénètrent tout entier, déprimant ou exaltant ses forces morales. L'
homme
qui va vite rapporte toutes ses facultés, si je p
là gonflé de l'importance d'un titan. Faites place, je vous prie, à l'
homme
qui va vite! Son visage peut rester impassible, m
iculière, inusitée, à ses instincts : attention! C'est un monstre, un
homme
primitif, c'est un « écraseur » qui passe ! La
a combativité. Que le plus petit obstacle se présente sur sa route, l'
homme
, emporté par cette fièvre, a peine à contenir sa
e est assez souple pour faire un retour sur elle-même ! » a ¦ L'
homme
qui va vite est plein d'orgueil. Mais ce sentimen
l, dans un livre très savant, a montré que l'oiseau est supérieur à l'
homme
en ce sens que l'oiseau peut s'élever dans l'air
r à l'homme en ce sens que l'oiseau peut s'élever dans l'air et que l'
homme
ne le peut point. Or une automobile confère, par
e son confrère qui ne possède qu'une modeste voiture hippomobile. L'
homme
qui va vite, sur un beau cheval ou dans une belle
plendissant, ils se prosternèrent spontanément devant leur roi? Les
hommes
à cerveau cultivé dégustent, eux aussi, la griser
s dirigeantes ! » Il y a de braves gens qui admirent, bouche bée, cet
homme
bruyant et empaqueté. Par contre quelques farceur
heur de dents. » Une forme très intéressante de l'orgueil, chez l'
homme
qui va vite, est l'orgueil sexuel. A la campagn
re le siège du cocher, attirée là par les claquements du fouet de cet
homme
qui va vite. Il y a, dans la vitesse, une mâle br
siaque de la vitesse chez les romanesques. La femme cultivée aime l'
homme
qui expose sa vie car. par un retour d'amour-prop
sa vie car. par un retour d'amour-propre égoïste, elle se dit que cet
homme
aurait pu se sacrifier pour elle ; elle est dispo
fier pour elle ; elle est disposée à admirer, c'est-à-dire à aimer, l'
homme
qui va vite et qui, pour le plaisir de la bravade
volupté de cette femme qui, ayant peur, se réfugie dans les bras d'un
homme
qu'elle croit tout-puissant, parce qu'il brûle le
ouvent l'impériale. ¦ L'effet psychologique de la vitesse, chez l'
homme
qui peut la faire varier à sa volonté, est une gr
es jarrets des plus forts. La sensationde la vitesse ne déprime que l'
homme
craintif; ses effets ressemblent en somme, à ceux
le fait suivant. Un automobiliste, au sortir d'un village, écrase un
homme
sans s'en apercevoir et continue sa route à toute
du sommeil normal. Voici un exemple de l'un et de l'autre cas. Un
homme
, âgé de 40 ans, va Être envahi par le sommeil som
es d'or les petits miroirs multicolores aux facettes brillantes. Un
homme
de 32 ans voit, au moment où le sommeil somnoform
l'affection pour laquelle le malade vient se faire soigner. Ainsi, un
homme
que je traite pour une impuissance génitale f
évoqué, selon les lois de la ressemblance ou de l'analogie. Ainsi, un
homme
a été jadis, aux colonies, trois fois chloroformi
recommander à la malade d'accepter en tous points ma direction. Un
homme
est atteint de phtisiophobie. Il craint que les g
stincts, des plaintes, des gémissements, comme, par exemple, chez cet
homme
qui croit être une quatrième fois chloroformisé p
a légende, des bras aussi longs que ceux des singes; elle dut aimer l'
homme
mystérieux qui lui parlait de l'au-delà et qui pa
ptiques. Il consulte le fakir : — Quand aurai-je un héritier? L'
homme
du silence hoche la tête comme s'il pouvait lire
s ennemis plus redoutables que l'ivrogne et l'alcoolique. Ce sont des
hommes
de toutes classes, plutôt de la moyenne, qui, par
l'action du poison qui les engendre. « Qui donc oserait dire si ces
hommes
qui, du haut en bas de l'échelle sociale, jouent
uble, il est agité de cauchemars ; la personnalité diminue, rendant l'
homme
incapable de vouloir bien ce qu'il doit vouloir.
in, mais en attendant, il est désormais, au point de vue cérébral, un
homme
dangereux. Dangereux, cent fois plus que l'ivrogn
par son intoxication primitive. ß Ici, j'en reviens à mon début. L'
homme
dont je vous parle, vous le connaissez bien. Dans
mple suggestion verbale suffit à juguler immédiatement la crise. Un
homme
a subi, pendant le sommeil somnoformique, les sug
— par avarice, mais ils y viennent tous. En réalité, il n'est pas un
homme
qui ne crie « au secours » quand il est terrassé
ui leur demanderait s'il peut en toute sécuri té donner sa fille à un
homme
qui va la souiller au premier contact, ils désobé
ent à la loi et répondraient : « Non, ne donnez pas votre fille à cet
homme
». Le professeur Brouardel lui-même, qui est un
eurs préférences et leur tournure d'esprit; ils jugeraient en tant qu'
hommes
et non plus en tant que savants; il en résulterai
e de sa famille qui, élevé au sein tétait fort bien et qui, plus tard
homme
fait, s'exprimait avec beaucoup de facilité. Cepe
de mal ni aux autres. On donne en Sicile le nom de saint Paul à un
homme
éloquent; et celui de langue de saint Paul à un h
saint Paul à un homme éloquent; et celui de langue de saint Paul à un
homme
de paroles médisantes D'une personne qui parle be
Humane miserie, I., n. 301, ouvrage du ???. Ce qui veut dire : L'
homme
en naissant prend à l'abeille son premier aliment
use et syncopale. D'autre part, les renseignements recueillis sur cet
homme
ont appris qu'avant d'entrer au régiment, il avai
r M. A. Souques, à la Société médicale des hôpitaux. Il s'agit d'un
homme
de vingt-sept ans qui, depuis une quinzaine d'ann
certain temps, plusieurs fois dans la même journée. L'examen de cet
homme
ayant révélé, dans son passé et dans son état act
t encore pour ces questions. On ne saurait concevoir à quel degré des
hommes
qui s'arrogent le droit d'apprécier et de définir
nt stériles, puisque nous voyons se rallier ainsi à nos opinions, des
hommes
qui n'avaient pas toujours attaché autant d'intér
des canapés, les autres s'asseoient sur des fauteuils ou des chaises—
hommes
et femmes, quelle que soit leur condition sociale
nt les cinq dernières années chez le docteur Rybakoff comprennent 250
hommes
. Parmi eux il y a : 58 alcooliques accidentels
t numériquement ainsi qu'il suit : Sans prédisposition héréditaire 70
hommes
ou 28,0 % Avec prédisposition héréditaire 143 — 5
dire le complice du crime est aussi mauvais que l'opérateur et môme l'
homme
qui lit des choses concernant l'hypnotisme est un
et Renan et dit qu'ils doivent être mis, l'un et l'autre, au rang des
hommes
qui ont eu l'influence la Une leçon de Charcot.
euples avait, de tous les temps, attribués à un pouvoir au-dessus des
hommes
. La rencontre est ici bien frappante entre le g
der de tout commentaire hasardeux. Psychologiste ou sociologiste, l'
homme
de science ne doit avoir qu'un but : recueillir d
abbaye de Morigni, et fut enterré au prieuré (1) de Gournay; Etienne,
homme
orgueilleux, ambitieux et cruel, successivement é
de Montfort III, dit le Fort ou le Macchabée, né vers 1150, était un
homme
a d'une riche taille » (3), d'une figure belle et
209, pendant la guerre contre les Cathares, il fut choisi, en tant qu'
homme
« selon le cœur de Dieu » (3), par l'abbé de Cite
ntmorency V donna aux religieux de l'ordre de Grandmont dits les Bons
Hommes
, le fond où était bâti le prieuré du Mesnel dit d
par un nombre, à peu près constant aujourd'hui, de un demi-million d'
homme
en service actif. Il n'est pas très certain que
ne, des peintres de valeur, des historiens, des poètes, de véritables
hommes
de lettres, enfin et — pourquoi non? — jusqu'à de
dans l'armée et dans « nos communes rurales un si large contingent d'
hommes
utiles à la ¦ pratique de l'art, a Officiers de
érant la responsabilité matérielle et morale, à ne plus relever que d'
hommes
compétents et de ses supérieurs naturels. C'est
ris evenire solet », lisons-nous dans Galien, a cela aussi arrive aux
hommes
», opinion plus tard adoptée et défendue par Thom
militaire, s'il ne parvenait pas à se guérir. L'année suivante, notre
homme
se présenta de la même manière, avec les mêmes ac
ite d'être reproduit: On vient raconter au médecin de service qu'un
homme
a perdu connaissance, a roulé à terre; tel camara
re régulièrement effectuée, mettent sur les rangs un certain nombre d'
hommes
, dont l'aptitude militaire n'est ni parfaite ni m
ux, les nostalgiques, neurasthéniques ou hystériques sont souvent des
hommes
dont l'état n'est pas absolument incompatible, av
s les orateurs, les professeurs, les journalistes, les marchands, les
hommes
d'affaires comme autant de suggestionneurs, nous
uniquée. Ces considérations théoriques nous amènent à envisager nos
hommes
au point de vue spécial que nous voudrions, en l'
ans à coups, sans brusqueries maladroites, est de mise à l'égard d'un
homme
, dont la suggestibilité nous apparaît probable, q
pendant un certain temps, s'occuper tous les jours, et souvent de cet
homme
. L'autorité, dont il est le représentant —, le ga
aux considérations d'aspect et de constitution que peut présenter un
homme
d'apparence souvent robuste et vigoureuse, bien q
t, autre tableau : les motifs à punition ne se sont pas reproduits; l'
homme
se tient mieux ; il relève la tête ; il semble re
ilibré dans son axe naturel. D'un être perdu, désemparé, il a fait un
homme
confiant et sûr de lui. Cela, Messieurs, je l'a
eler du jugement général, qu'il estimait prématuré : a Donnez-moi cet
homme
, avait-il dit ; ne vous occupez plus de lui : j'e
pathique indifférence aboutissant au désastre, un aboulique devenu un
homme
plus énergique, plus attentif, plus intelligent e
ques dulieu. (3) Mesure de terre jugée nécessaire pour faire vivre un
homme
et sa famille, environ 40.000 mètres carrés. (1)
filles, parmi lesquels, Robert, mort sans alliance après 1226; Simon,
homme
ambitieux, avide, irritable, dévot, vivant en 122
e partie des réflexes. En somme, si l'on veut bien tenir compte que l'
homme
n'entre en état d'hypnotisme parfait qu'autant qu
heval. On emploie, en pareil cas, des moyens d'ailleurs usités pour l'
homme
. Notre savant Secrétaire général, le Dr Bérillon,
nose, dans un état passif qu'il appelle à ce moment le charme. Chez l'
homme
aussi on a appelé, pendant longtemps, l'état part
imables travaux. Uniquement préoccupés de rapprocher les animaux de l'
homme
au point de vue psychologique, ils ont, si l'on p
ble, «l'âme» animale, matérielle et sœur de « l'âme d matérielle de l'
homme
. En le faisant, ils ont cru, comme les anciens ad
t plus trouver que des preuves objectives de la conscience des autres
hommes
et des animaux supérieurs (car le langage humain
e humain lui-même est une suite d'actes matériels). Nous disons qu'un
homme
qui parle raisonnablement et qu'un homme muet qui
atériels). Nous disons qu'un homme qui parle raisonnablement et qu'un
homme
muet qui agit raisonnablement sous nos yeux sont
la raison est que cette faculté permet à certains animaux, comme à l'
homme
, de s'adapter immédiatement à un cas contingent,
ns, plus libre. A côté de l'intelligence et coexistant avec elle, l'
homme
constate chez lui-mémo l'existence d'une autre fa
ustifier son opinion. Il admet donc une analogie entre l'hypnose de l'
homme
et l'état de torpeur provoqué chez les animaux.
jettent en torpeur. Il cherche l'analogie dans ce qui se passe chez l'
homme
: la peur arrête souvent chez lui les mouvements.
e dernier nom, parce que son église conserve précieusement un doigt d'
homme
, qui provient, dit-on, de la main de Jean-Baptist
la valeur de ce témoignage : et nous n'hésitons pas à le récuser, cet
homme
a vu le doigt... avec les yeux de la foi ! Une
, sans méfiance à l'égard des compétitions et des embûches des autres
hommes
, il ne connaît ni la ruse, ni l'astuce, démontran
fin celui de Rivière, dont je m'honore d'être l'ami. A l'âge où les
hommes
se montrent uniquement préoccupés de la réalisati
ensemble de qualités supérieures qui caractérisent le gentleman et l'
homme
d'honneur. Charlatanisme et suggestion aux État
un nouveau cours, celui de Psychiatrie, qui sera professé par un des
hommes
les plus compétents en la matière, M. le Dr Legra
ue Czermak, il considère cet état comme comparable à l'hypnose chez l'
homme
; les animaux, il est vrai, échappent à la sugges
mes de plus en plus compliquées chez les animaux supérieurs et chez l'
homme
. Il a étudié l'hypnotisme animal surtout chez la
rtaines anomalies psychiques, comme caractériques de l'hypnose chez l'
homme
. Le grand intérêt des recherches de Danilewsky
ervée même chez les oiseaux (pigeons) (2). II. Observations sur les
Hommes
. Dans ces cas, ou bien les enfants d'un second
abitude portait sur le bras droit. Girou de Buzareingues a connu un
homme
qui avait l'habitude de dormir sur le dos, croisa
ive, etc.). 4° La psychologie de l'enfant. 5° La psychologie de l'
homme
anormal. 6° La psychiatrie. 7e La psychologie
a torpeur; sa démarche alors est incertaine et ressemble à celle d'un
homme
ivre : sa parole est lente, hésitante, difficile.
sance de synthèse mentale. Vous avez tous rencontré dans le monde cet
homme
très corpulent et très gros mangeur ; à la fin d'
En m'appelant pour un instant au fauteuil de la présidence, après les
hommes
éminents qui m'y ont devancé, MM. Bérillon et Mag
s, se préoccupent des graves problèmes relatifs à la psychologie de l'
homme
et des animaux. Les maîtres éminents, autant qu
e et les croyances philosophiques auxquelles se trouvent conduits les
hommes
de bonne foi sont accueillies, sinon comprises, a
chologie a conduit à la médecine? Une telle évolution, chez de tels
hommes
, n'est-elle pas saisissante? Elle démontre, mieux
d'immobilité chez les animaux ne peut être comparé à l'hypnose chez l'
homme
, avec laquelle il n'a qu'une ressemblance puremen
grenouille. En est-il de même chez les vertébrés supérieurs et chez l'
homme
? C'est aux recherches futures d'y fournir une rép
alades, l'un une jeune fille atteinte de maladie des tics, l'autre un
homme
de quarante ans qui, à la suite d'un choc moral,
1904. Nous n'entreprendrons pas aujourd'hui d'exposer l'œuvre de l'
homme
dont les travaux ont eu pour principal résultat d
Nous leur demandons.de nous aider à faire revivre la physionomie de l'
homme
de bien et du savant que fut Liébeault. Nous souh
r la suggestion pendant la narcose éthyl-méthylique. Il s'agit d'un
homme
de 30 ans, exerçant avec distinction une professi
il a connue dans le monde, l'inhibition est complète. Cependant notre
homme
n'est pas d'une timidité exagérée; il n'a pas. à
umilié : l'opinion masculine, et aussi féminine, n'est-elle pas qu'un
homme
doit être, en toutes circonstances, semper paratu
nce et tout s'accomplit normalement. Cette victoire produit sur notre
homme
un effet normal des plus salutaires. Peu de tem
ccès sur toute la ligne ! » La suggestion n'a pas seulement mis cet
homme
en état de contracter le mariage qu'il désirait
parents de relever le moral du malade qui ne doit jamais se sentir un
homme
perdu ou méprisé des siens. Le malade écrit lui
d'un praticien. On comprend que la mise en scène a été réglée par un
homme
compétent, tout à fait au courant des études sur
r à ce savant, aussi modeste qu'original, un superbe objet d'art. Les
hommes
de science qui s'étaient groupés autour de lui à
urs, même à ses élèves les succès de sa carrière, ïl a été surtout un
homme
heureux, dit-il, et il est confus de tous les hom
et on s'est retiré en se disant que si M. Pitres a été réellement un
homme
heureux, il n'a eu que les honneurs et le bonheur
a rappelé les nombreuses anecdotes qui ont trait aux habitudes de cet
homme
de génie. Levé exactement à cinq heures moins cin
Ainsi, le beau et le bien veulent tous deux augmenter le bonheur de l'
homme
et ont donc l'eudémonisme en commun. De là vient
s, on oublie qu'un contraste entre ce qu'est l'artiste et ce qu'est l'
homme
n'est point une contradiction logique, mais qu'il
'est point une contradiction logique, mais qu'il provient de ce que l'
homme
et l'artiste sont deux formes diverses de la mani
pas juste de condamner l'œuvre parce qu'on est obligé de condamner l'
homme
, ne réussit pas à vaincre la répugnance qui s'est
de quelque idéal moral, lorsqu'il met sous une forme visible devant l'
homme
la signification de son existence, le but et la v
d'exciter les sens, spéculant en ceci sur les mauvaises passions des
hommes
. Il commet alors la grande faute de poursuivre un
té. D'autre part, les constatations recueillies dans l'hypnose chez l'
homme
appuient cette manière de voir : on a observé que
s des boissons et les excès de tout genre facilitent l'hypnose chez l'
homme
. L'hypnose chez les animaux et notamment chez l
de biologie, S3 mars 1S8Ï, p. ?0. les est comparable à celle de l'
homme
. Ses manifestations sont simples chez la grenouil
mples chez la grenouille, compliquées et délicatement nuancées chez l'
homme
et surtout chez les hystériques. Mais les traits
eures du matin, en son domicile, rue de Bellevue, 4. C'est un grand
homme
de bien, c'est une noble figure, dans sa modestie
des anciens âges, honoraient en lui un maître incontesté. Tel fut l'
homme
qui, après avoir éclairé de lumière vibrante l'in
moment où l'actualité est toute à la guerre et à l'extermination des
hommes
? — fut un bienfaiteur de l'humanité, une sorte de
ous sauront gré d'avoir fait revivre sous leurs yeux le souvenir de l'
homme
dont les travaux les ont inspirés. COURS ET C
vance qu'à regarder autour de moi. De tout temps individuellement l'
homme
a secouru son semblable, mais ce n'est que depuis
s et nos asiles sont au complet. L'alcool n'attaque pas seulement l'
homme
qui en fait usage, il entraine encore la dégénére
résistance. Les grands secrets du Yiujutsu ne sont révélés qu'à des
hommes
d'esprit pondéré et de moralité irréprochable. Ce
pondéré et de moralité irréprochable. Cet art entre les mains de ces
hommes
est plus puissant que l'hypnotisme. En effet, p
cipline dans les rangs et de l'audace et de la jactance de ces petits
hommes
aux yeux obliques. La supériorité que lui donne
s socialistes, celles des pédagogues moralistes autres que celles des
hommes
politiques, celles des économistes autres que cel
e que l'art ne se met pas au service des divers intérêts auxquels les
hommes
s'attachent, il s'élève au-dessus des opinions pe
le courage, le dévouement, le patriotisme. Le travail spécialisé de l'
homme
moderne ne fait point appel à toutes ses facultés
he se complaît au spectacle du monde des petits et des souffreteux; l'
homme
de conduite austère au déroulement d'aventures am
ie de l'âme. Ce qui a de l'importance dans la vie des sentiments de l'
homme
est formé d'éléments qui, pour une part, pris en
lorsqu'il s'agit de traiter des malades que lorsqu'on s'adresse à des
hommes
de sport et à des soldats entraînés. c) En grad
ement la puissance ou faculté d'investigation et d'analyse qui mène l'
homme
à la vérité. Les images ont la puissance ou fac
près tout, le rire n'est-il pas hygiénique, et aussi t le propre de l'
homme
», comme l'a dit Rabelais? Séance du mardi 9 dé
ui dites. Nous nous sommes demandés, si, en restant silencieux, cet
homme
ne se conformait pas à quelque vœu. Parmi les nom
dire un mot. Il semblerait, au premier aspect, que le mutisme de cet
homme
ait quelque analogie avec celui des sectateurs ru
c celui des sectateurs russes dont je viens de parler. Bien que cet
homme
n'accomplisse pas d'actes illogiques, dépourvus d
longue et douloureuse maladie. La ville de Xancy perd en lui un des
hommes
qui l'ont le plus honorée, par les grands service
anormaux. En faisant ressortir l'importance que présente l'étude de l'
homme
anormal au point de vue des investigations psycho
aire, c'est la volonté. La volonté impérieuse et puissante domine les
hommes
, paralyse leurs résistances et dirige leurs actes
compris l'hypnotisme et quand j'ai exercé une influence sur d'autres
hommes
, j'ai agi par hypnotisme. » Et il ajoutait : « Il
de certains faits. Elles nous ont aidé à comprendre pourquoi certains
hommes
dédaignaient l'hypnotisme. Comme Stanley le disai
ouvoir d'hypnotiser. Toute la vie de Stanley fut celle du véritable
homme
d'action. Après avoir, comme explorateur, réalisé
dée de beauté que conçoit un architecte s'il s'agit d'un bâtiment, un
homme
de guerre s'agit d'une arme, un cavalier s'il s'a
gît dans notre conception de ce qui fait le bonheur et le malheur des
hommes
, de sorte que les jugements esthétiques et éthiqu
i : on a entendu dire que c'était de bon goût, qu'on avait l'air d'un
homme
et que. de plus, c'était un passe-temps très agré
ont plaisanté, on lui a répété sur tous les tons qu'il n'était pas un
homme
, si bien qu'il a recommencé. A chaque tentative n
t indiffèrent, il l'a supporté sans aucun malaise. Voilà donc notre
homme
qui. grâce à l'influence toute-puissante de l'imi
re déchéance. Il est anéanti, incapable de lutter désormais. C'est un
homme
qui se noie et qui appelle au secours. N'allez-vo
rouva dans son étable. devant sa mangeoire, à Gibraltar. IV. CHEZ L'
HOMME
. L'homme lui-même, comme le fait bien remarquer
son étable. devant sa mangeoire, à Gibraltar. IV. CHEZ L'HOMME. L'
homme
lui-même, comme le fait bien remarquer M. Houzeau
es. Ainsi, je lui parle devant vous d'une lutte survenue entre deux
hommes
et dont il est témoin. Ces deux hommes se sont do
'une lutte survenue entre deux hommes et dont il est témoin. Ces deux
hommes
se sont donné des coups de couteau. Son visage ex
il est tué.....cela n'est pas fort.....C'est malheureux de tuer un
homme
pour si peu... . Ce n'est pas drôle de mourir com
l est le rapport entre un signe et la faculté qu'il représente? » L'
homme
, quand il écrit, se trouve tout entier dans sa pl
s de cette préparation à la dose déjà indiquée, administrée, soit à l'
homme
sain. soit à l'homme malade. El d'abord, peut-c
n à la dose déjà indiquée, administrée, soit à l'homme sain. soit à l'
homme
malade. El d'abord, peut-cn comparer le haschis
qui me parait résulter de toute une série d'observations faites sur l'
homme
sain et sur l'homme malade. Quoi qu'il en soit,
er de toute une série d'observations faites sur l'homme sain et sur l'
homme
malade. Quoi qu'il en soit, messieurs, de cette
ont la pensée hante son cerveau. Il lutte d'abord avec l'énergie de l'
homme
qui sent sa raison lui échapper, puis, finalement
à ce paroxysme du transformisme vital, le haschischéen n'est plus un
homme
, un sujet: c'est l'être ou la chose qui, victorie
iens de vous parler. Ainsi soumis à ce délire de son imagination, l'
homme
, ou le sujet, est-il endormi ? Est-il même dans c
on, c'est celui de la dégénération de la faculté d'orientation cbez l'
homme
civilisé. Cette dégénération, déjà énorme lorsq
50 kilomètres pour le pigeon correspondent bien à 4 kilomètres pour l'
homme
, et l'énigme est expliquée. Qu'on fasse l'expér
Quant aux pieds, imaginer.- tous donc une séance où les pieds de deux
hommes
ne cessent pas de reposer sur ceux d'une dame ass
de forces libres variables, énergie cosmique, fluidique, pénétrant l'
homme
droit, Od des anciens, s'extériorant par l'homme
uidique, pénétrant l'homme droit, Od des anciens, s'extériorant par l'
homme
gauche, 06. dont les proportions expriment la ten
nt au point de vue physiologique que thérapeutique, de concevoir en l'
homme
, à cote du corps matériel mesuré par le poids, un
non sans raison. C'est pourtant à la galvanisation de la tête chez l'
homme
qu'est due l'origine des recherches de Hitzig sur
ogique du système nerveux central : la suggestibilité. Mais combien d'
hommes
, dont l'excitabilité réflexe est naturellement ex
e, tout, jusqu'à la mode, est réductible à cette propriété. Définir l'
homme
, un animal raisonnable, c'est ne pas dire grand'c
èse à ratiocina lions, prétexte a développements oratoires. Définir l'
homme
, un animal suggestible, voire hypnotisable, ce se
n de ses maîtres les plus éminents. Il associe dans ce toast les deux
hommes
dont le nom est inséparable : Liébeault, l'initia
par l'influence du magnétisme; que le docteur Branche, entendu comme
homme
de l'art par le Tribunal, a déclaré de son côté q
vaux et des communications de médecins des pays les plus lointains, d'
hommes
convaincus d'avoir trouvé dans la suggestion une
e sociale une valeur analogue à celle do la sexualité homogène chez l'
homme
, mais encore parce que. vu la rareté de ces anoma
vec paraplégie. Guérison par les miroirs rotatifs. Le malade est un
homme
de quarante ans, qui entre à l'hôpital atteint de
our-là de la plaraplégie et Qs reconduire le malade à son lit par les
hommes
qui l'avaient amené. Le lendemain, le malade fu
ule nerveuse. III. Psychologie comparée, c'est-à dire rapports de l'
homme
au point de vue intellectuel avec les autres être
ale, de l'éducation. Qui sait même si le développement psychique de l'
homme
ne pourra pas être étudié? On ne peut pas admettr
us vaste champ à parcourir. L'avenir de l'humanité dépend de ce que l'
homme
saura de la partie la plus noble de ton être, l'i
ez tous les peuples civilisés, les législateurs, tes philosophes, las
hommes
de science et les jurisconsultes. Dû l'apprécia
ne varie point pour cela. — L'étude de cette loi psychologique chez l'
homme
sain est entachée de très grandes difficultés, vu
loi parallèle de Fechner. Dans une série d'expériences faites sur l'
homme
sain, chez lequel je provoquais artiticiellement
plusieurs heures sur le bord de son lit, dans celle atti-ludo, que l'
homme
le plus fort n'eùt pu garder un instant seulement
tantes ou successives parfaitement distinctes ; en un mot. qu'un même
homme
peut être a la fois plusieurs personnes. Ces fait
ladie nous obligent souvent à contraindre le dormeur à des actes d'un
homme
éveillé. On fait parler les bègues pendant le som
ité. Avec un peu d'éducation, on peut dédoubler la vie psychique d'un
homme
et faire de lui un être à deux personnalités diff
nsionnaires d'hôpital seuls. C'est un sentiment très raisonnable de l'
homme
que celui de ne pas vouloir être commandé, qui s'
une question d'autorité, et parce que, de droit, dans leur qualité d'
hommes
indépendants, ses membres ne veulent pas être com
res espérances. Nous devons souhaiter et attendre que la majorité des
hommes
devienne civilisée et indépendante. La théorie de
rt du temps qu'un affaiblissement insignifiant et de courte durée, un
homme
indépendant n'en veut pas même pour quelques inst
pouvoir, la médecine s'égare. Elle n'apprendra jamais à connaître l'
homme
à fond et jamais elle ne pourra le soulager série
pensé à éliminer l'élément suggestion dans les experimentations sor l'
homme
. Du moment qu'il se produisit de l'amélioration,
hache à la main. Il entend la sonnette du cheval, se précipite sur l'
homme
et le tue. Puis, la ceinture prise, il porte le c
nt ans ? » Mais le président le menace de faire venir le songeur, cet
homme
qui fait parler les gens malgré eus. Matins prote
es gestes, ces emportements ne peuvent vous être utiles. Vous êtes un
homme
bien rusé. Mathis. — Non, monsieur le président
n homme bien rusé. Mathis. — Non, monsieur le président, je suis un
homme
simple. Le président. — Vous avez su choisir le
aire pareille. Je ne regarde pas à la dépende. Je suis calme comme un
homme
qui n'a rien a se reprocher. Je n'ai peur de rien
à Ribeauvillé. Le président, ou songeur. — Pouvez-vous endormir cet
homme
? Lb songeur, regordant Mathis. — Je le puis. Se
jà décidé à l'attaquer ? Mathis, après un instant de silence. — Cet
homme
est fort... il a des épaules larges... Je pense q
elle est rouge sur la côte !... (Bas, se partant à lui-même.) Tuer un
homme
... tuer un homme... Tu ne feras pas ça, Mathis...
r la côte !... (Bas, se partant à lui-même.) Tuer un homme... tuer un
homme
... Tu ne feras pas ça, Mathis... tu ne feras pas
tour de la table du tribunal, les reins courbés, le pu lourd comme un
homme
plogant sous un fardeau.) Le songeur. — Où alle
s de sa longueur. L'on ne serait pas moins étonné de la notoriété des
hommes
que la morphinomanie a brusquement arrêtés dans l
l'orateur d'après l'impression qu'il sait communiquer aux esprits. Un
homme
qui se connaît en éloquence n'a souvent besoin, p
'une manière notable : ainsi quand nous faisons partie d'une foule. L'
homme
des foules est un être particulier, dont on doit
s paroles de haine. Prenez les assistants un à an. vous trouverez des
hommes
de sens assez rassis et de moeurs paisibles, peu
estions d'art, le savant en matière de vérité scientifique, l'hunnête
homme
en morale. Mais nous ne critiquons pas ainsi son
orique. 1. I, ch. 1. Tout ce qui n'est donner plus de prestige à un
homme
augmentera son autorité. « Si celui qui parle s'é
e agréable dans ses périodes, s'il a l'air d'un honnête homme et d'un
homme
d'esprit, si c'est une personne de qualité, s'il
e mystérieuse dont nous subissons l'influence est l'énergie morale. L'
homme
de volonté s'impose. Quand il nous parle, il ne n
oir, par suggestion mentale immédiate? Est-il sûr que la volonté d'un
homme
ne puisse pas agir, sans l'intermédiaire d'aucun
ns l'intermédiaire d'aucun signe conscient, sur la volonté d'un autre
homme
? l'art de persuader Maintenant, mettons l'ora
usquement d'une conviction à la conviction inverse. Jamais on a vu un
homme
abandonner un préjugé invétéré pour un mot qu'on
en juger, connaître tout ce qui se passe dans le plus intérieur de l'
homme
, que l'homme môme ne connaît presque jamais (1) »
nnaître tout ce qui se passe dans le plus intérieur de l'homme, que l'
homme
môme ne connaît presque jamais (1) ». Cela est fâ
est fâcheux, sans doute, mais l'orateur est bien obligé de prendre l'
homme
tel qu'il est. Toutes les idées que Ton voudrait
a que son intérêt lui conseillerait plutôt d'adopter cette thèse; i l'
homme
de cœur qu'elle est généreuse et belle. Au cours
ir machinalement l'impression de l'image qui les agite. Car enfin, un
homme
qni est pénétré de ce qull dit en pénètre ordinai
et la manière se font sentir et agissent ainsi dans l'imagination des
hommes
pins vivement que les discours les plus forts qui
d on se met avec elle en communication physique. Prenons la main d'un
homme
et demandons-lui quelque chose : pour dire non, i
u sérieux les scènes représentées; mais si nous voyons devant nous un
homme
qui a l'air de croire que tout cela est arrivé, q
e nous en mettait pas sous les yeux une image matérielle. La vue d'un
homme
qui regarde dans le vide avec des yeux dilatés pa
purement dynamique, sans lésions organiques. Mon second malade est un
homme
adulte, nerveux, très impressionnable, qui reçut
t été successivement employés sans le moindre succès quand je vis cet
homme
pour la première fois. Un examen attentif m'ayaut
ndre les mêmes places. Cette fois, les officiels, pour rassurer leurs
hommes
, veillèrent dans la salle même. A la même heure q
l eût été constaté par les officiers qui étaient bien éveilles, les
hommes
endormis furent repris de la même hallucination.
nécessairement leur activité propre pendant Le sommeil. Ainsi, sur l'
homme
profondément endormi, incapable d'éprouver la moi
variés j'ai faits pour reproduire les résultats de l'expérience sur l'
homme
à l'état de veille. Dominé pendant longtemps par
de à la perception du vert qui se réveille la première ; 4° Aussi l'
homme
endormi près dune fenêtre, laissant arriver la lu
us complètement le sujet n'ayant été vu qu'une fois. Il s'agit d'un
homme
de quarante-six ans. ancien syphilitique, neurast
rités émises ça et là. ainsi que les aspirations les plus hautes, des
hommes
supérieurs de son temps ! s Tout un monde se ré
f seulemeot que Jésus s'adresse; c'est à toute l'humanité, à tout les
hommes
. « La révolution sociale qu'il prêche, il la pr
ns son cabinet, seul, face à face dans sa conscience avec Dieu, que l'
homme
doit prier. « C'est dans les mêmes conditions d
une parole, et mon serviteur sera guéri, car quoique je ne sois qu'un
homme
¦ soumis à la puissance d'autrui, j'ai sous moi d
'hésite pas un instant à reconnaître combien est active la foi de cet
homme
qui. par ses fonctions et sa nationalité, doit êt
s résultant do l'action des agents physiques à l'influeace desquels l'
homme
est soumis. Ceite similitude des conditions physi
pas réussi avec vous. Ils n'ont pas songé qu'ils avaient A foire à un
homme
de haute intelligence sur qui ces moyens vulgaire
cène avait précisément pour effet de vous mettre eu défiance. Avec un
homme
comme vous, de votre situation, de votre instruct
cher à m'appuyer sur une foi qu'il n'avait pas. Voici maintenant un
homme
qui abuse du tabac, un enfant qui ronge ses ongle
mbre et ayant également cette attitude harassée et un peu abrutie des
hommes
de la terre, Ça et la, ou voit aussi de pauvres p
incohérence devient cohésion, ce bruit devient voix, cl ce millier d'
hommes
presses ne forme bientôt plus qu'une seule et uni
ce pas l'imitation qui, dans les assemblées légiférantes, conduit des
hommes
, d'esprit pondéré et ?éfléchfi, quand on les pren
ile, même à de mauvaises actions ». Alors, d'après celte théorie, l'
homme
deviendrait assassin parce qu'il voit tuer! Evi
penser qu'il faut que le terrain soit prédisposé. Le plus souvent, l'
homme
que protège son éducation native s'arrête aux con
Taine, . un vin trop fort pour la nature humaine; le vertige vient, l'
homme
voit rouge el son délire s'achève par la férocité
e, les passions et toutes les formes de l'activité cérébrale de « l'
homme
, il en est encore une à faire, répondant à un bes
'entre qu'autant qu'il est indispensable, nécessaire à tout acte de l'
homme
. Prenons un exemple : les vêtements ont une cer
e, ne peut être distraite de la science elle-même. C'est celle de l'
homme
; c'est l'étude de l'organisme humain, dans son év
nisme naît, se développe, décline et meurt. L'histoire naturelle de l'
homme
comprend toutes ces phases; elle étudie toutes le
adie, la physiologie et la pathologie. Et voilà pourquoi l'étude de l'
homme
malade, science appliquée, est intimement liée a
, science pure. Sans doute, les autres facultés s'occupe aussi de l'
homme
; mais plutôt de l'homme considéré en dehors de lu
oute, les autres facultés s'occupe aussi de l'homme; mais plutôt de l'
homme
considéré en dehors de lui-même, objectivement, p
sse, afin que celle parole aussi éclaire et agrandisse la pensée de l'
homme
. Les lettres étudient l'humanité collective, fo
de l'âme ; la psychologie est un domaine sur lequel se rencontrent l'
homme
de lettres et le médecin. Les sciences exploren
squelles s'établit l'association des êtres humains, sans lesquelles l'
homme
, réduit à ses propres forces, ne vivrait pas ou v
règles, les principes, les procédés artificiels à l'aide desquels les
hommes
, réunis dans un intérêt collectif, sont constitué
e garantir. Tout cela est de l'humanité. La médecine seule étudie l'
homme
complet en lui-môme, l'homme subjectif, l'être hu
e l'humanité. La médecine seule étudie l'homme complet en lui-môme, l'
homme
subjectif, l'être humain qui a élaboré tous ces p
dont les autres facultés vous ont livré le secret. Qu'est-ce que l'
homme
? Il se trouve sur ce globe avec d'autres êtres
Bible dit : « Dieu prit de la terre, la pétrit, en fil le corps de l'
homme
el lui insuffla une âme ». Poussière terrestre an
imée par le bouffie divin ! Depuis l'origine mystérieuse du premier
homme
, les autres procèdent d'un œuf fécondé qui appara
néaments de l'être humain. D'abord greffé sur l'organisme maternel, l'
homme
mûrit, naît cl commence sa vie indépendante. Vo
es dont l'essence nous échappe, chez le végétal, chez ranimai, chez l'
homme
. C'est la vie végétative qui se révèle a nous; el
'homme. C'est la vie végétative qui se révèle a nous; elle est chez l'
homme
comme elle est chez la plante. Physique, chimie
phénomènes de l'esprit ou de l'Ame, les phénomènes psychologiques. L'
homme
a conscience d'être; il seul, il pense, il a une
us des animaux comme eux? Des savants l'ont dit avec modestie : « L'
homme
, disent Littré et Robin, est un mammifère de l'or
ammifère de l'ordre des primates, de la familles des bimanes s. « L'
homme
, dit Charles Richet, est le roi des animaux. »
me, dit Charles Richet, est le roi des animaux. » Est-il vrai que l'
homme
n'est qu'un animal au sommet de l'échelle et que
e notre vie psychique ressemblent à la leur. Il y a de la bête dans l'
homme
. Elle a été étudiée, éventrée, disséquée dans tou
la structure matérielle de la machine qui établit la prééminence de l'
homme
sur tes animaux, ou. si l'on veut, sur les autres
ut dire de lui que l'esprit n'est la que pour servir les organes. L'
homme
a une ame perfectible dans l'individu comme dans
épare des astres, arpenter les mondes lointains; quand on pense que l'
homme
qui n'est rien embrasse tout avec son esprit, qua
e de cette petitesse avec celle immensité ! On peut presque dire de l'
homme
: C'est un esprit servi par des organes ! « Oui
scrutant la matière et négligeant l'esprit, veulent établir entre l'
homme
et la bête! Que dans lm collections zoologiques,
me et la bête! Que dans lm collections zoologiques, le squelette de l'
homme
figure parmi les objets du lègue animal, je le co
tériel est un animal. Mais, parmi les animaux de La nature rivante, l'
homme
avec son esprit réclame une place à part, si l'es
s aussi, dit ce dernier, avec ses mœurs, ses pas-dons, ses misères, l'
homme
ne meurt pas, il se tue. » Le plus souvent, en ef
déterminer La spontanéité de la vie de relation, de la rie animale. L'
homme
manifeste son activité, se démène et s'agite, tra
ers. Mens agitat molem et magno se corpore miscet ! Mens, c'est l'
homme
! «.Substance, dit Descartes, dont toute l'essenc
, dit Descartes, dont toute l'essence ou la nature est de penser ». L'
homme
pense : la machine automatiquement obéit et réali
a machine, l'esprit en a la clef et peut les déterminer. Voyez chez l'
homme
sain l'idée suggérée au cerveau, son instrument,
ui-même des émotions, des illusions, des hallucinations! Voyez chez l'
homme
malade, la simple parole, c' est-a-dire l'idée qu
ncore, elle éclaire bien des questions obscure ? dans l'histoire de l'
homme
et de l'huma- nité ; elle dépouille bien des my
s, j'entends une question qui impérieusement se dresse devant moi ! L'
homme
est une machine qui pense. Matière et esprit ! Êt
est subordonnée ; mais lui-même est prisonnier de la matière. Chez l'
homme
vivant, la vie psychique est liée à l'organe ; no
sollicitent avec obstination notre curiosité inquiète et impuissante.
Hommes
de science, sachons rester dans le domaine qu'il
s que lui n'a été tourmenté et déchiré par les événement ? et par les
hommes
; mais nul n'a été plus fécond ; nul dans sa doul
lire au milieu des gémissements et des exclamations : « Un si saint «
homme
! Ne nous abandonnez pas! Revenez-nous! etc. » «
s cordes et des piquets. II y a là, nous semble-t-il, des centaines d'
hommes
, de femmes cl d'enfants, les bras en croix, sugge
YPNOTISME EXPÉRIMENTAL,ET THÉRAPEUTIQUE LA FOLIE COMMUNIQUÉE DE L'
HOMME
AUX ANIMAUX (1) Par M. Dr Cs. FÊRÉ. médecin de
e Bicêtre. L'intelligence des animaux ne se distingue de celle de l'
homme
que par des degrés (2) ; leurs passions sont comp
les anomalies et les maladies intellectuelles qui s'observent chez l'
homme
. La folie se montre dans certaines espèces avec
pas avoir beaucoup fixé l'attention : à la contagion de la folie de l'
homme
aux animaux. Depuis le mémoire de Lasègue et Ju
aux. Depuis le mémoire de Lasègue et Jules Falret, on décrit chez l'
homme
sous le nom de folie communiquée, un délire ident
. med. centr. Zeit.. Berlin, 1884, L. III, p. 569.) (2) Lomhroso. L'
homme
criminel, 1887, ch. I. — Lacassagne. De la crimin
. Cette contagion des intolérances sensorielles n'est pas rare de l'
homme
aux animaux qui vivent en communauté avec lui. et
es artificiellement dégénérées. Les relations étroites qu'il a avec l'
homme
(1) et son aptitude à l'imitation sont les princi
contracter certaines émotions morbides qui paraissaient réservées à l'
homme
, et que l'imitation peut jouer un rôle important
, âgé de 32 ans, me fut envoyé par M. le Dr Dreu-mont, de Caudry. Cet
homme
, de complexion très robuste, doué d'une force mus
urais pu formuler, avec quelques apparences de raison, l'idée que cet
homme
n'était pas hypnotisante. Je me serais trompé, ca
M- le Dr Pro-zorom, pour tenter le traitement hypnotique. C'était un
homme
d'uue qunran-taine d'années, qui, autrefois, mena
qu'à la fin do mars M. le Dr Korneitzik-Servastjanow me l'envoya, cet
homme
de moyenne force, très affaibli, se plaignait d'u
7° Résultats obtenus. 1° État du malade à son entrée à l'hôpital. —
Homme
de vingt-trois ans, d'apparence vigoureuse, physi
que nous relevons dans en interrogatoire : a Bien sur, il but que cet
homme
-la t'ait magnétiséé pour que tu l'aies aimé aussi
un sentiment incexplicable, la belle-mère au sentiment d'avarice d'un
homme
qnine voulait rien dépenser pour son enfant (véri
ma fait comprendre tout ce que la masturbation avait d'odieux pour un
homme
dans ma position. Je sois résolu à faire mon poss
inq mois de suggestions journalières, l'aspect de E... est celui d'un
homme
de tempérament très calme. Mais la facilité avec
tituée par un de ces pénis, pris par mon confrère sur le cadavre d'un
homme
issu d'une des tribus dont je viens de parler. (R
et tout désir d'onanisme. 2° Plus tard, chez l'adulte, où le jenne
homme
, pour lequel se Lève I aurore des plaisirs du coï
e moment. J'ai entre les mains un névropathe par hérédité. C'est un
homme
dans la trentaine, grand, fort et beau, marié, da
éez, mon cher directeur, etc. J. Delebœuf. ÉLOGE DU CHOLERA « L'
homme
est, de tous les animaux, le plus ingrat, sans co
et honneur ? « Mais si le sort de ces victimes de l'ingratitude des
hommes
doit toucher nos cœurs accessibles à In tendre pi
6 pauvre fléau vilipendé, l'amertume oh doit te plonger la bêtise des
hommes
, parmi ' lesquels tu comptes si peu d'amis pour t
é, redouté a l'égal des maux les plus terrible». a On effraie lus
hommes
avec ton nom, comme les enfants avec Croquemi-
taché. Sur la tombe, des discours éloquents retraçant la vie de cet
homme
de bien ont été prononcés par MM. les Dr Kuhff V
et en sentourant do toutes les lumières que pouvaient lui fournir les
hommes
compétents. Valroff fut amené à Paris et soumis à
, 83. Amour lesbien (l'), 224 Animaux | la folie communiquée de l'
homme
aux|, par Féré, 257. Applications inopinées de
oignage suggéré devant la Justice (un), 128. Folie communiquée de l'
homme
aux animaux (la), par Féré, 257. Folie passag
nées : telle est l'illusion propre au somnambule, et. aussi bien, à l'
homme
social. Pour reconnaître l'exactitude de ce point
ute société ancienne un développement d'autorité exercée par quelques
hommes
souverainement impérieux et affirmai! fs. Est-ce
bas âge, sont indifférents, insensibles à tout ce qui ne touche pas l'
homme
et l'espèce d'homme qui leur ressemble, l'homme d
érents, insensibles à tout ce qui ne touche pas l'homme et l'espèce d'
homme
qui leur ressemble, l'homme de leur race et de le
e qui ne touche pas l'homme et l'espèce d'homme qui leur ressemble, l'
homme
de leur race et de leur tribu Le somnambule ne vo
sation inconsciente de l'amour et de la foi. Mais combien de grands
hommes
, de Ramsès à Alexandre, d'Alexandre à Mahomet, de
la fixation prolongée de ce point brillant la gloire ou le génie d'un
homme
, a-t-elle fait tomber tout un peuple en catalepsi
n objet aussi brillant, aussi éclatant que la gloire ou le génie d'un
homme
pour nous fasciner et nous endormir. Non-seulemen
urs plus fatigant que penser par autrui. Aussi, toutes les fois qu'un
homme
vit dans un milieu animé, dans une société intens
ont je parlais tout-à-l'heure, n'est que l'exception. D'ordinaire, un
homme
naturellement prestigieux donne une impulsion, bi
nt même son prestige, en vertu duquel ils agissent sur des millions d'
hommes
inférieurs. Et c'est seulement quand cette action
, en temps démocratique, l'action inverse se produire, les millions d'
hommes
fasciner collectivement leurs anciens médiums et
de l'autorité sociale que les déviations du courant des exemples.. L'
homme
du monde qui reflète l'argot et le débraillé de l
dule et docile, et l'être au plus haut degré comme le somnambule ou l'
homme
en tant qu'être social, c'est donc avant tout êtr
e récente, heureusement reconnue grâce à la généreuse initiative d'un
homme
de bien. le sénateur Marcou, rappelle l'attention
la première séance d'hypnotisme, le commerce homo-sexuel a paru à cet
homme
, âgé de vingt-huit ans. être le seul mode de sati
de vous donner de mes nouvelles. Quant à ma position à l'égard des
hommes
, ma force de résistance est restée absolument la
que cela m'en coûtât beaucoup, des offres de commerce sexuel avec des
hommes
auxquels je n'aurais pas pu résister avant. J'ose
n'ai jamais plus recherché les occasions de commerce sexuel avec les
hommes
, n'en sentant point la nécessité, tandis qu'avant
ttre en vous assurant que je suis devenu intérieurement un tout autre
homme
et que ce changement m'a rendu l'équilibre psychi
suivit, et depuis, je crois suffire à tout ce qu'on peut exiger d'un
homme
normal. De plus, j'ai la conviction que l'harmoni
— 10 franc. Il aura certainement, chez nous, le même succès que L'
Homme
criminel de Lombroso en Italie, bien qu'il soit c
isaient-ils d'abord, est un sauvage égaré dans notre civilisation, un
homme
des époques préhistoriques, né tout-à-coup parmi
de ces premiers âges. Ils ont dit ensuite que le criminel-né était un
homme
pathologique et Lombroso a définitivement avancé
Laurent, la plus dangereuse c'esT sans contredit la prison. Quand un
homme
a fait deux ou trois séjours dans les prisons de
it tenir en échec les mauvais instincts et les mauvais penchants de l'
homme
criminels. La pénalité vient au secours du miséra
nt très défectueuses, des établissements ou colonies, dirigés par des
hommes
spéciaux, ou seraient traitées les formes sérieus
dit le docteur F. Buret (1). Pour lui elle date de la création de l'
homme
. Et, dans une étude curieuse et documentée, il
s à ossements, des cavernes ou des dolmens celtiques. les débris de l'
homme
primitif épargnés par le grand cataclysme. L'anth
le que notre race a traversé les siècles. » C'était l'héritage de l'
homme
antédiluvien : celui-là nous est parvenu intact.
e lui dis : — « Est-il raisonnable de me faire arrêter, tout seul, un
homme
muni d'une épée et de deux pistolets chargés. » E
eux convergeait vers cette idée: les autres, en se dressant en face d'
hommes
en vue à qui ils ne voulaient en réalité aucun ma
'a bien voulu me commu-niquer le Dr Deny de Bicêtre Mariotti est un
homme
âgé de soixante-trois ans. qui a exercé tous les
it habilement grisé sa fille, puis qu'on l'avait conduite habillée en
homme
, chez le payeur, et que là on l'avait assassinée.
prison les mois dernier, son premier acte n'a guère été l'acte d'uun
homme
raisonnable. IL a écrit à Mme Carnot pour l'inf
athologiques. L'ILLUSION DE LA MATIÈRE Par M. A. de ROCHAS. L'
homme
qui se contente du témoignage de ses sens pour ap
iver â cet état contradictoire : mobilité et idées fixes. Ce sont les
hommes
les mieux prédisposés aux habitudes, aux passions
r le délire, et celui-ci va éclater à la première occa- 1 sion. Notre
homme
fait connaissance d'une serveuse de bocks dans un
ètement que possible. OBSERVATION 1 M. M... âgé de 35 ani, est un
homme
doué d'une constitution robuste, il est d'une tai
plus complètement abstenu de fumer. Cette attitude nouvelle chez un
homme
qui depuis quinze ans n'avait cessé de s'adonner
emière de ces 17 années (187:2) donne un total de 3,532 aliénés (1695
hommes
, 1,837 femmes), et que le total de la dernière du
al de la dernière du tableau (1888) est de 4,449 aliénes, soit 2, 549
hommes
et 1,900 femmes. L'accroissement a presque toujou
heureusement de la vie et de ma profession, honoré à jamais parmi les
hommes
; si je le viole et que je me parjure, puissé-je a
ur un bobo voilà toute la maisonnée sens dessus dessous ! — Est-ce un
homme
qui voit noir? — Peut-être : certains esprits por
ir; il distrait, rassénère, fait rire. On dii de lui : « Quel aimable
homme
1... » à moins qu'on ne dise aussi: «Qu'il est lé
u bout du doigt, on peut être plus court ; on ne peut pas exiger d'un
homme
très occupé qu'il se prête à des causeries inutil
ations graves et les cas sérieux. Il n'est pas, paraît-il, de grand
homme
pour son valet de chambre, et le bon bourgeois à
er à un Club politique ; qui dit politique dit division — et il est l'
homme
de tout le monde: les maladies ne sont d'aucun pa
les maladies ne sont d'aucun parti ni d'aucun culte. Sans doute tout
homme
a ses devoirs de propagande du bien à exercer aut
rvenue au cours d'une fièvre typhoïde. Vous voyez d'ici la scène; cet
homme
gai (!!) tombant dans une famille en pleurs! Croy
à fera ma réputation... en avant! » Risquons tout est un malhonnête
homme
: il joue un argent qui ne lui appartient pas. la
ces que la suggestion hypnotique fournie à la thérapeutique-Un sujet,
homme
, lui a servi" a démontrer expérimentalement les t
tentif et certainement très impressionné. Nous avons ainsi vu le même
homme
atteint successivement de monoplégie hystéro 'rau
e Frank a demandé que l'on n'épuise pas chez l'enfant les forces de l'
homme
avenir. DE LA DIPSOMANIE ET DE SON TRAITEMENT P
'est pas de les soumettre à des lois d'exception, mais d'en faire des
hommes
soumis à la règle commune, c'est à dire à la resp
médecin sont de véritables suggestions; un échange de pensées avec un
homme
intelligent et revêtu, par sa profession, d'un ca
école de Nancy, qui n'offre aucun danger si elle est employée par des
hommes
compétents- Il conclu en disant que ses propres e
a ces faits depuis plusieurs années, il ne peut comprendre comment l'
homme
de talent refuse d'apprécier leur valeur et leur
mentaux tabagiques M. Kjellberg (d'Upsal).— La nicotine est pour l'
homme
un poison énergique. Après une courte excitation,
t elle d'actes in- délicats, ou lorsqu'elle se trouve devant certains
hommes
de sa position, amis de son mari, dont on pourrai
malades peuvent être divisés en trois classes : Femmes . - . 265
Hommes
. . 50 Enfants. - . 45 Total . 360 Le nombr
qui varie naturellement de l'enfant a l'adolescent et de celui-ci à l'
homme
fait. « Pour ce qui est de la suggestion, on co
atives de suicide. Parmi ces onze malades, on compte dix femmes et un
homme
. L'homme était un hystéro-neurasthenique complexe
suicide. Parmi ces onze malades, on compte dix femmes et un homme. L'
homme
était un hystéro-neurasthenique complexe dont il
ix tentatives de suicide. Mariée à dix-huit ans. elle avait épousé un
homme
violent, .ivrogne et liber;:-. Après des scènes d
bon. Puis elle oublia ses amours précoces et devint la maîtresse d'un
homme
qu'elle aimait beaucoup. Après une querelle avec
iers, maisne mourut pas. Enfin, il y a un an, elle se maria avec un
homme
qui la rendit très mal-heureuse. Apres une querel
quitte depuis deux ans la maison paternelle pour vivre avec un j;une
homme
qu'elle aimait beaucoup. Elle avait fait avec lui
M. Liébeault se joindront a eux pour donner à ce grand penseur, à cet
homme
de bien, témoignage de leur reconnaissance et de
fférence entre la possession et l'obsessioni. On disait souvent « cet
homme
n'est pas possédé, il n'est qu'obsédé. » 2° Un
st fusille parce qu'il avait appris que sa femme avait connu d'autres
hommes
avant son mariage. Un autre frère s'est noyé dans
être laissé dépasser par un Indien, il faut qu'il ait eu affaire à un
homme
vraiment fort. Le bonheur engendré par la morph
bien et effet de l'intoxication morphinique. A chaque instant, tout
homme
appelé à voir des malades devant les tribunaux se
es magasins pendant une quinzaine d'années et j'ai pu prouver que cet
homme
plaidait la monomanie pour se soustraire à la jus
période de sommeù qui suit immédiatement h piqûre, on constate chez l'
homme
une impuissance absolue. Mab» lorsqu'il se réveil
ême de l'identité entre l'extase des serpents et l'hypnotisation de l'
homme
sous l'influence de sons lents et monotones. L'ho
pnotisation de l'homme sous l'influence de sons lents et monotones. L'
homme
hypnotise, comme le serpent, prend des attitudes
ècrevisses. les papillons, les chauves-souris, les oiseaux et même l'
homme
. Il suffit parfois de mettre en présence d'un mir
eur proie, il conclut que la même fascination peut être exercée sur l'
homme
. Le DP Brémand a. le premier, produit chez des
jj de la pcmio-i de M. le D Mai-Simon, médecin ta eOef du tcriic* le»
homme
» a laStsV^j Pron. Kn émettant ce vote, '.e Consei
amnésie au réveil. Et, cependant, l'automatisme n'est pas complet: l'
homme
n'est jamais automate : la conscience est toujour
nces si intéressantes ont soulevé les questions les plus graves que l'
homme
puisse se poser. Les grands problèmes du libre ar
ole de Nancy se rattache un nom qui •• ivra dansja reconnaissance des
hommes
; c'est le nom d'un médecin modeste et d'un homme
reconnaissance des hommes; c'est le nom d'un médecin modeste et d'un
homme
de bien, j'ai nommé le Dr Liébeault. SUGGESTION
définition de l'article 64. car c'est la seule qui mette réellement l'
homme
dans l'impossibilité de résister ; cependant tous
nelles, de rappeler les opinions émises à différentes époques par des
hommes
dont l'autorité en la matière est des moins discu
ste qui viendra éclairé la justice et faire soupçonner d'innocence un
homme
qui n'aura jamais montré de signes de folie, qui
Charles, à l'Hôtel-Dieu, service de- M. le professeur Proust (1). Cet
homme
avait été apporté la veille à l'hôpital. On l'ava
te d'une hémorrhagie cérébrale. L'aspect du malade était celui d'un
homme
dormant d'un sommeil calme et tranquille. Li resp
dont le cas fit quelque bruit dans la presse extra-scientifique. Cet
homme
avait été interné à l'hospice de Bicêtre, et l'on
son service, Legrand du Saulle trouva le malade dans l'attitude d'un
homme
profondément endormi. « Il était placé dans le dé
, la contraction de ses muscles, etc., indiquent suffisamment que cet
homme
ne dort pas d'une manière continue. L'on ne peut
ce qui fait qu'un individu *st lui et non pas un autre (Littré). L'
homme
sain de corps et d'esprit a la notion très nette
Batcman croit que le langage articulé est l'attribut distinctit de l'
homme
, thèse qu'il a soutenue dans son livre : Dartct-n
ire, C est l'égout par lequel s'écou-:lent les brutales passions de l'
homme
. ICI le est utile a la société comme un systems d
ce de tous les vices sociaux. Les criminalogistes affirment que les
hommes
commettent quatre ou cinq fois autant de crimes q
ques que le crime établit, par cela même une juste balance entres les
hommes
et les femmes. L'œuvre du D' Tarnowski contient
renseignements scientifiques sur la classe des prostituées. Quant aux
hommes
débauches, sur 150 la proportion est la même rela
nous allons nous efforcer de résumer les débats : Deux criminels, an
homme
et une femme, se sont associés pour commettre un
â peine prononcé que les reporters étaient déjà en campagne. Tous les
hommes
compétents sont intenwiévés. Des opinions contrai
suggestions criminelles. Elle eût pu taire appel au concours d'un des
hommes
compétents, médecins des hôpitaux ou professeurs
et se modifient incessamment comme ceux qui composent noire corps. Un
homme
, 1 quarante ans, n'a plus les mêmes idées, les mê
s. Les deux (1) J. Voisin.Note sur un cas de grande hystérie chez l'
homme
avec cdédoublement de là personnalité. Archives d
développements dans la thèse de M. Berjon : La grande hystérie chez l'
homme
thèse de doctorat. Bordeaux observations se com
e spécial de vibrations de l'étber n'est pas perçu par la plupart des
hommes
. II a cela de commun avec une inanité de radiatio
tres. Actuellement, il y a quarante-six personnes en bonne santé, des
hommes
pour la plupart, à qui j'ai posé des questions au
vril 1890). verront que je n'ai pas dit cela. Examinant le cas de cel
homme
qui, sans antécédents mauvais jusque-là, accompli
nolismt. seront étonnés d'apprendre comment on traite en France les
hommes
de science qui recherchent la vérité, quand cette
vois pas pourquoi on ne ferait pas croire à un médecin légiste que l'
homme
vivant qu'il a devant lui est un cadavre dont il
un cadavre dont il doit frire l'autopsie, ou à un boucher que ce même
homme
est un bœuf qu'il faut assommer. (Voir mon livre
érêts. Si quelque chose m'a profondément attristé, c'est de voir un
homme
de la valeur de M. Liégeois, hautement considéré
ublic de Paris, enclin à la gouaillcrie cl hypnotisé lui-même par les
hommes
delà Salpélrière; devoir cet homme, donll'amitié
rie cl hypnotisé lui-même par les hommes delà Salpélrière; devoir cet
homme
, donll'amitié m'honore, devenir un objet .univers
exacte — que par l'étude et 1a pratique. Le désaccord des écoles et d'
hommes
comme MM. Charcot et Beraheim en est la preuve. Q
notisé environ vingt fois et s'en trouva toujours très bien. C'est un
homme
exceptionnellement fort, courageux et intelligent
ne cristalline de a pieds de longueur, c'est-à-dire de la taille d'un
homme
. Plus on ajoutait d'éléments à cette série, pins
parler d'Écoles ; il est nécessaire de s'entendre. Depuis 1860, un
homme
éminent, dont nous sommes fier d'être l'élève, a
exposes sans interpretatum théorique. Singulière appréciation pour un
homme
inféodé, loi aussi, nous l'espérons, à la science
e fois que l'hypnose a été portée devant les tribunaux, ses victimes,
hommes
et femmes, étaient tous des hystériques caractéri
ques, des femmes; la plupart de rues observations se rapportent à des
hommes
que j''ai choisis à dessein pour répondre a cette
re a cette objection. » (De la suggestion, 2e éd. I888). Comme si les
hommes
ne payaient pas un lourd tribut à l'hystérie Quo
sons donc ces faits probants. Us sont au nombre de 150, comprenant 61
hommes
et 44 femmes, et se répartissant ainsi qu'il suit
st naturellement développée. Elle s'est donnée corps et ime à Evraud,
hommes
d'affaires vermoulu, beaucoup plus âgé, vivant d'
ontre qu'elles n'ont pas démérité : « La bienfaisance, vertu ches les
hommes
, cesse d en être une chex elles, tant elle leur e
ù paraissait le livre de Pdtelin sur celle question. Petelin était un
homme
d'un grand caractère, de beaucoup d'esprit, et il
puis l'empereur Jehangir et quelques-uns des plus fameux généraux et
hommes
d'Elat de ce temps mémorable. Les jésuites missio
il réveille aussi parfois des excitations instinctives qui livrent l'
homme
, (1) Leçons professées a la Clinique des maladi
des médecins et des magistrats qui l'entouraient. Presque tous les
hommes
qui ont eu l'occasion d'expérimenter sur des suje
nde chambre ; dans cette chambre il y a un lit, dans ce lit il y a un
homme
: c'est le roi d'Angleterre ; à coté de ce lit un
un revolver; vous vous en saisirez et vous tirerez trois coups sur l'
homme
au lit ». A l'heure dite, l'homme arriva; toute l
z et vous tirerez trois coups sur l'homme au lit ». A l'heure dite, l'
homme
arriva; toute la scène se déroula ainsi qu'elle v
similitude sociale entre les deux personnes. Si l'état ordinaire d'un
homme
n'est en rien semblable à l'état ordinaire de la
toujours impuissante, sauf la très rare exception de quelques grands
hommes
, à changer le versant de son cœur. 11 y faut l'ai
ose et répondent au petit bonheur, même quand ils jouent la tête d'un
homme
. Mais il faudrait des magislrals spéciaux et, ave
s. Accoutumés, par le genre de leurs études, à faire abstraction de l'
homme
, ils ne s'occupent que de formules. ¦ Nous ne dev
dience correctionnelle a Paris? Ça n'a rien d'imposant du tout. Trois
hommes
noirs, alignés corn mes ces pantins qu'on s'amuse
inamovible qu'un ministre, et, une fois le directeur général parti, l'
homme
de science qui en restera tiendra bien peu de pla
, MM. Masoin et Schoofs n'avaient pu nullement obtenir. N'étant pas
homme
à me lier à ma seule expérience, j'engageai le D'
891. - Prix :7 fr. 50. Damlkwsky (?.). — L't'nité de (Hypnotisme de l'
homme
et des animaux (en russe), discours fait au Congr
tions les plus variées. La première observation s'applique à tous les
hommes
; ¡1 s'agit des doigts; c'est la plus proche de no
proche de nous, la plus commode et la pins expressive. Chez tous les
hommes
, les doigts laissent, pour ainsi dire, bouillonne
uillonner abondamment la Lohée : l'effluve est plus puissant chez les
hommes
, plus faible chez les femmes; plus haut chez les
que de 1 à 2 lignes; chez les adultes, il s'élève de 4 à 6 ; chez les
hommes
vigoureux et actifs, à 8, 12, 20 lignes et plus.
es Lobées grandissaient à chaque adjonction, et, avec cinq personnes,
hommes
et femmes, on obtenait des Lobées qui, s'élevant
uneau. (i) Recherches sur [élimination de [acide phosphorique che: [
homme
tain, [aliéné, [épileptique et [hystérique, in-S"
oit 51 %. furent trouvés vivants. Sur 382,109 appelés en 1884, 71,697
hommes
, soit 19 */., furent trouvés à l'examen médical,
a faire avec succès, s'il vent bien s'exercer, sous la direction d'un
homme
expérimenté; tout le monde peut arriver, dans un
t dites et l'inversion du sens génital. Dès la plus tendre enfance, l'
homme
est porté vers l'homme, la femme vers la femme.
du sens génital. Dès la plus tendre enfance, l'homme est porté vers l'
homme
, la femme vers la femme. A" Les cérébraux antér
s, idées et tentatives de suicide. Antécédents héréditaires : Père,
homme
sobre, rangé. Un oncle paternel était « rfn peu b
le désir de défendre la société, car accepter l'irresponsabilité d'un
homme
qui aurait commis un acte criminel sous l'influen
assez fréquent dans l'hystérie chez la femme, mais assez rare chez l'
homme
. Elle a, en outre, des attaques d'hystérie de tem
se Saint-Merry.- Ces conférences s'adressaient particulièrement aux
hommes
, mais les dames n'en étaient pas exclues. Voici
étais juge d'instruction et qu'après son retour à la connaissance, un
homme
qui aurait été battu accusât un autre homme, et e
our à la connaissance, un homme qui aurait été battu accusât un autre
homme
, et entrât dans les détails do l'événement, j'aur
les détails do l'événement, j'aurais des doutes, certain que, si cet
homme
avait perdu connaissance, il devrait avoir oublié
t Intitulé : • Contribution à l'élude de la paralysie générale chez l'
homme
et plus particulièrement dans ses rapports avec l
e, 1891. Delbeuf. — Les Fites de Montpellier, Promenade à travers les
hommes
et les idées, In- 8°, 75 pages. — Félix Alcan,
re et la meoiiauon s'imposent à celui qui a pour mission de juger les
hommes
et d'appliquer les lois. Hommages soient donc r
st ensuite exprimé dans les termes suivants : Messieurs, collègues,
hommes
de science Tenus de tous les pays pour participer
la muanthropie. Mais, disons-le franchement, peut-on se figurer un
homme
moins acerbe, moins misanthrope que le vénéré M.
mphe de la vérité. Voilà des qualités que l'on ne trouve que chez les
hommes
d'un caractère exceptionnel. Cette même patienc
son œuvre. C'est pourquoi nous sommes venus pour honorer Liébeault,
homme
d'an mérite vraiment exceptionnel 1 Kl nous som
re. En formulant ce principe, il nous apprend que les maladies de l'
homme
peuvent être combattues par l'âme, par l'organe p
que de réparer un grand tort, que de témoigner sa reconnaissance à un
homme
auquel nous devons personnellement une belle carr
ience e*t redevable d'une grande idée, et enfin que de fêter un grand
homme
qui est la modestie en personne ? Mais d'être a
ment rapide de la ; hysioi >gie, ?'? répété souvent qne J'éiais un
homme
heureux. C'était vrai. Le bonheur queje ressent
d'art et, après le* toasts qui viennent de m'ètre portés, je suis un
homme
plus qu'heureux. El en voyant ici, surtout, M.
vous répéter de nouveau combien je suis fier et reconnaissant que de?
hommes
, ayant rang parmi les plus distingués de la scien
bien portant, sa mère a abandonné le domicile conjugal avec un autre
homme
; elle a quatre frères et sceurs bien portants; el
seul symptôme subjectif. Des cas analogues ont été observés chez l'
homme
dans le tabès et dans la paralysie générale. Trou
crises clitoridiennes de la sclérose des cordons postérieurs. Chez l'
homme
, d'ailleurs, le satyriasis ou mieux le priapisme
on quartier général on rencontre les femmes les plus élégantes et les
hommes
les mieux mis. Non seulement la congrégation es
a congrégation est bien habillée mais elle comprend en outre quelques
hommes
et quelques femmes qui se sont fait un nom dans l
t des cors aux pieds, des oignons et autres infirmités. J'ai connu un
homme
qui avait l’esprit tellement étroit que ses pieds
en Angleterre l’année dernière, il y eut deux constatations de mort d'
hommes
à ce sujet. Un des cas était celui de Harold Fréd
urait été sauvé s'il avait été convenablement soigne. Je connais un
homme
qui a failli perdre la vie pour avoir persisté à
'en est pas moins vrai qu’ils sont à la mode et que des femmes et des
hommes
de haute culture et de haute situation, lisent et
n de Conseil de guerre. Il a lu, en effet, dans les journaux, que des
hommes
en pareille situation sont morts de maladie ou se
l se rend auprès du médecin-major et lui dit qu’il y a à la prison un
homme
très malade. On amène le prisonnier qui affirme s
y suis pas trompé et je vous l’ai amené. » Le médecin déclare que cet
homme
n’est pas malade et qu’il faut le réintégrer dans
à l'égard de tous les officiers qui laissaient, disait-il, crever les
hommes
en prison, etc. » Il s’agit donc d’une illusion
agit donc d’une illusion visuelle d’origine onirique survenue chez un
homme
dont l’intelligence, diminuée peu à peu par l’alc
ion fut levée, mais aussi qu'on lui enlevât son grade. En effet, un
homme
dont l’alcool a fait ainsi déchoir la mentalité n
e Par M. le docteur Paul Farbz Parmi les phénomènes divers dont l'
homme
est le théâtre, les uns apparaissent comme coexis
uves variées. Au polyzoïsrne qui démontre la pluralité animale de l’
homme
, se superpose le polypsychisme. D'après cette t
on aboutit à un résultat fatal, à un acte déterminé à l'avance. Les
hommes
sont tous suggestionnâmes à des degrés divers, il
de l’hypnotisme nous montre qu’il est une force, mise en œuvre par un
homme
et capable de modifier profondément l’état physio
a guérison si curieuse obtenue par un Américain, Edward L. Munson. Un
homme
, après une ivresse de huit jours, vient échouer à
de ses dernières leçons du mardi, le professeur Raymond présentait un
homme
chez lequel une alcoolisation lente mais continue
oolisation lente mais continue avait créé un besoin irrésistible. Cet
homme
est dégoûté de l’alcool, il comprend toute l’horr
me chez le marchand de vin, car je ne puis m’empêcher de boire. » Cet
homme
a, sans aucun succès, essayé du sérum antiéthyliq
s, par M. le Dr Ch. Fkuk, Belgiq. médic., 1900, n°3. Il s’agit d'un
homme
âgé de 58 ans. A l'âge de 22 ans, il a contracté
rises paralytiques le matin, à chaque nouvelle lune. Entre temps, cet
homme
présente parfois de l’obnubilation intellectuelle
émouvoir outre mesure les journalistes américains. Le nez, c’est l’
homme
. Le gros nez est très répandu parmi les épicier
e gros nez finissant en poire appartient aux marchands heureux et aux
hommes
en place. Le'gros nez boursouflé, aux limonadie
à la Pitié ses expériences passionnantes qui eurent pour témoins des
hommes
comme Pasteur, Chevreul, Milne-Ed-wards, Faye, Pa
voulut remettre sa succes- Julcs Voisin sion présidentielle à un
homme
capable de maintenir toutes les nobles traditions
r vœu de notre maître regretté et d’exprimer notre reconnaissance à l'
homme
, au savant, au médecin qui voulait bien combler l
iculière. Citons nu hasard ses articles sur la grande hystérie chez l’
homme
, le dédoublement de la personnalité, la mélancoli
squ'à la flnde 1898, j’ai trouve vingt-huit autres cas, dont dix-huit
hommes
et dix femmes. Les résultats obtenus sont sensibl
blement les mêmes que ceux de la première série d’expériences. Sept
hommes
et trois femmes se corrigèrent et restèrent tempé
ils sont dégrisés ont le désir de se guérir ; mais j’ai rencontré des
hommes
et des femmes qui n’ont jamais un seul moment, mê
te, la difficulté à le maintenir sobre sera énorme et à moins que cet
homme
ne soit d’une grande force de caractère il succom
in dans l’alimentation; mais il est, en général très imprudent pour l’
homme
ou pour la femme qui a été alcoolique de toucher
de nos autorités médicales en Angleterre; j’ai entendu soutenir que l’
homme
auquel on permet une petite quantité de vin léger
six ans, une institutrice, de constitution forte et vigoureuse, et un
homme
de trente-sept ans vigoureux et taillé en athlète
quelle que soit la religion considérée, des attentats auxquels aucun
homme
instruit des lois de la suggestion et de la sugge
ie et suggestion hypnotique (I). I'ar M. le professeur Raymond. Cet
homme
présente une série de phénomènes qui relèvent de
reste parfois plusieurs semaines sans boire. J'ai connu autrefois un
homme
qui faisait a sa neuvaine ». Je sais uu homme qui
J'ai connu autrefois un homme qui faisait a sa neuvaine ». Je sais uu
homme
quia une chambre en ville, y va de temps en temps
l, rentre dans su iainille cl reprend ses affaires. Le cas de notre
homme
ne doit pas être séparé de la dipsomanie ; rhabit
ue le dipsómano proprement dit ne boit que do temps en temps. Notre
homme
a pleine confiance dans la suggestion hypnotique
ns ces indications, elles nous aideront à comprendre comment tous les
hommes
, lorsque chaque père de famille exerçait dans la
des et réponses sortant, bien entendu, de la même bouche. Comment les
hommes
n'auraicnt-ils pas, du la même façon, fait parler
es traces si manifestes, se retrouvent encore chez les primitifs. L'
homme
qui interrogeait un ancêtre faisait lui-même les
elles conversent avec des êtres imaginaires; et, dans ses réponses, l’
homme
prenait naturellement, pour mieux se convaincre e
ent, évident, qu’à l’aide de la ventriloquie, qui a imposé à tous les
hommes
la croyance à la conversation avec les morts, les
ou dualistes les plus transcendants. El voilà comment les premiers
hommes
firent tous de la ventriloquie sans le savoir, Co
M. le Dr Dkjerine, médecin de la Salpêtrière. M. Desbeaux (Emile),
homme
de lettres, Paris. M. le Dr Deschamps, à Rennes
prise, mais, malheureusement, la mort impitoyable vint nous ravir cet
homme
de bien et de science, dont l’esprit si fin et si
té des Sciences et des Lettres. Avec l’appui et le concours de tels
hommes
, l’hypnotisme, qui est une science d’expérimentat
consciente. Cependant, Hofmann (2j rapporte un cas dans lequel ni l'
homme
ni la femme n’auraient eu souvenance de l’acte ac
ltiples qu’impose ce traitement spécial ; j’ai voulu enfin, honorer l’
homme
de bien,le modeste et noble médecin de campagne,
ger. (3) Pendant l’année 1878, un dentiste du nom de Lévy, fort bel
homme
, vint à plusieurs reprises exercer sa profession
ngé dans l’atmosphère hébétante de la servitude, de telle sorte qu’un
homme
, même moyen, peut s’imaginer qu’un acte aussi odi
e pouvons aujourd’hui exposer dans toute son ampleur l’œuvre d'un tel
homme
; ce pieux devoir sera rempli prochainement par q
oir la conspiration de l’inertie et Pétouffement parle silence. Des
hommes
moins bien trempés auraient pu se laisser abattre
mes à la main. Après avoir quelque peu désespéré de- la justice des
hommes
, Durand de Gros vit enfin , il y a quelques année
ndra à chacun selon ses œuvres, dira que Durand de Gros est un de ces
hommes
supérieurs dont s’honore un pays et l’humanité to
des émotions (mouvements, cris) qui constitue un langage naturel. L’
homme
en possède un bien plus complexe dans le geste, l
cérébration est machinale, il n’y a point place pour la volonté. Les
hommes
sont tous suggestionables mais à des degrés très
u’on leur tire la queue. L’esprit d’opposition existe chez tous les
hommes
, mais il est rarement poussé à un si haut degré.
t de la périphérie. La léthargie spontanée étudiée par Charcot chez l’
homme
ne diffère en rien de la léthargie expérimentalem
ience; nous tendons, au contraire, de plus en plus à admettre, chez l’
homme
, l’intervention du cerveau dans l’accomplissement
e théorie dont il ne reste rien ou presque rien aujourd’hui. Et si un
homme
de la valeur de Charcot a pu se tromper, quels da
hypnotiques auxquels les animaux peuvent être soumis de la part de l’
homme
ou des autres animaux, il faut distinguer: 1° La
ner un état normal dit d'hibernation qui rappelle la léthargie chez l’
homme
et en présente les mêmes symptômes (2). (1) On
ous avions la douleur d’apprendre la mort de Durand de Gros- Ces deux
hommes
nous paraissent présenter de nombreux points de r
nt pour bien portants, susceptible enfin clc faire « des pépinières d’
hommes
et non des parcs d’esclaves. » Le système nerve
des connaissances telles que, pour ma part, je me demande si un autre
homme
que M. Soury eût été capable d’un pareil effort.
es époques, comme de nos jours, la grande curiosité scientifique de l’
homme
sur l’origine et la nature de ses sensations et d
on et commissurales. Le chapitre consacré à l'écorce cérébrale chez l'
homme
et chez les animaux est des plus remarquables. J’
plus tard (professeur Dewar) (*). Le sommeil hibernal existe chez l’
homme
. En cas de famine, les paysans russes passent l
ne autre ; arrivé à terre, il continue à dormir (4). De même chez l’
homme
, la léthargie profonde du fakir ne diffère en rie
ne (1) J’ai mentionné tous ces faits et rapproché la léthargie de l’
homme
(le celle des animaux, dans mon livre Hypnotisme
blement due à une vaso-constriction périphérique. La léthargie de l’
homme
devrait être étudiée au point de vue physiologiqu
’elle l’aveu suivant: à l’âge de onze ans, elle a été endormie par un
homme
qui voulut la violer ; pendant que celui-ci abusa
pu neutraliser l'action hypnotisante de cette femme et affranchir cet
homme
d'une telle sujétion. M. Paul Magnin. — Jadis,
une page d’histoire qui perpétuera à jamais ce que fut le médecin, l'
homme
et le savant.» Nous reviendrons prochainement s
ette maladie spéciale au sexe féminin; il suffisait qu'ii s’agit d’un
homme
pour qu’on se crût autorisé à l’éliminer. Aujourd
eux sexes; certains prétendent même qu'elle est plus fréquente chez l'
homme
où elle se présente avec des caractères spéciaux.
fais que payer une dette de reconnaissance en rappelant les noms des
hommes
éminents qui, dès la première heure, ont bien vou
ive, etc.) ■\° La psychologie de l’enfant. 5° La psychologie do l’
homme
anormal. C° La psychologie sociologique. 7» L
nt signalé sa puissance créatrice chez la plupart des artistes et des
hommes
de génie, au moment de la conception de leurs œuv
de Pitteurs, docteur ès-sciences. Dans le premier cas, il s’agit d’un
homme
atteint de phtisie depuis deux ans ; il n’a pas é
, avec hallucinations, cris, mouvements désordonnés. — Il fallut sept
hommes
pour le maintenir. On le ligota et on le conduisi
on, toutes nos félicitations. Troubles visuels hystériques chez l’
homme
. M. Wettendorfer en rapporte deux observations
e l’hystérie est un exemple de la manière lente et progressive dont l’
homme
arrive à la possession de la vérité. Pour les a
’hystérie n'a acquis de la précision et de la clarté que grâce à deux
hommes
, dont l’un a apporté en clinique la sagacité du p
rones des cornes antérieures de la moëlle du lapin, du cobaye et de l’
homme
par Robert Odier(7); 4° Pour les neurones olfac
la confiance, comme la foi est très suggestive. On reconnaît que l’
homme
qui s’est approprié les forces de la nature à son
le front ruisselant de sueur. M. Forel me fit remarquer que tous ces
hommes
qui s’abstenaient complètement d’alcool suaient à
de confirmer un diagnostic. _ Les observations d’épilepsie sur les
hommes
de génie, et notamment sur Gustave Flaubert, ont
nt été, jusqu'à présent mal prises, Par le DJ Félix REGNAÜLT. Les
hommes
de génie sont fréquemment atteints de maladies ne
pitaux; chez tous, cette maladie prenait une forme nerveuse grave. Un
homme
de génie, atteint de syphilis, a quelque chance d
, par ce fait même, amoureux du nouveau, philonéistes. Bien souvent l’
homme
sain hait la nouveauté, et cela l'empêche de voir
ien les diagnostics qu’on a faits jusqu’à présent sur l’épilepsie des
hommes
de génie reposent sur des bases peu solides. Tout
eux examiner les documents qu’ils nous fournissent. Il suffit qu’un
homme
de génie ait eu des crises convulsives pour qu’au
dans mon âme et mon âme passait dans la leur. » C’était le rôve d’un
homme
éveillé. Ce réve poursuit le génial au point de
cause des états affectifs. Ace sujet, M. Ribot s’exprime ainsi : « L’
homme
, comme l’animal, ne prête spontanément-son attent
t degré les qualités capables d’inspirer la confiance. Par contre, un
homme
doué d’un caractère antipathique éprouvera toujou
e de bien des névroses et de bien des psychoses; témoin le cas de cet
homme
, âgé de 40 ans, lequel, sous le coup d’idées obsé
dispute cinq fois, dix fois par jour, quelquefois plus encore avec un
homme
qu’il n'a pas vu depuis 12 ans. Jadis, en Russi
dée passe à l’acte, la lutte imaginée devient lutte véritable ; notre
homme
objective ce qui se passe en lui subjectivement.
ir comme ici reproduire l’enchaînement des phénomènes morbides. Notre
homme
était un scrupuleux, fils de scrupuleux ; toutefo
o-sclérose en plaques (*)• Par M. le Professeur Raymond. Voici un
homme
âgé de 28 ans, mégissier ; il tremble et parle di
jours être mis sur le compte de l’hystérie. Dans le cas actuel, notre
homme
a eu une très grosse émotion. Son petit enfant ét
s en plaques, comme dans le cas actuel. Ici nous expliquerons à notre
homme
comment les choses se sont passées, nous agirons
pour qu’on s’aperçut en Espagne de la haute valeur scientifique de l’
homme
. L’Etat lui a aussitôt assuré des fonctions rémun
dans un corps de femme, car on sait que la femme est en retard sur l'
homme
dans le mouvement d’évolution, et qu'elle ressemb
ments des cornes antérieures de la moelle du lapin, du cobaye et de l’
homme
après électrocution, et Jean Demoor la rétraction
guïté existe entre le neurone c'p et le neurone de sensations, chez l’
homme
normal éveillé. Mais il n’en est plus de même c
certain nombre de neurones de sensation peut se produire aussi chez l’
homme
normal et à l’état Schéma I. sp, protoneurone
itquelque chose à se reprocher. Cela ne lui arrive qu'en présence des
hommes
, sans qu’il s'y mêle aucune mauvaise pensée, s’em
vie dans le corps d'Adam par son index étendu vers ¡’index du premier
homme
. i° Catherine en extase reçoit les stigmates pa
. Audry (de Toulouse), Société de dermatologie, 23 avril 1900. Un
homme
de 30 ans présente un psoriasis nummulaire généra
ni sa femme n’ont jamais eu la moindre efflorescence sur la peau. Cet
homme
est meunier et jouit d’une excellente santé. Il y
M. Besnier a éga- lemenl observé un cas analogue. Il s'agit d’un
homme
qui, huit jours après un accident de chemin de fe
riasis émotif, prise jadis dans le service du professeur Pournier. Un
homme
âgé de 44 ans éprouva un choc moral d’une extrême
rseoir à l’exécution arriva quand il était déjà près du mur. Un autre
homme
, retenu pendant dix-huit mois captif dans une for
tc. Tous ces troubles sont survenus après une violente disputé de cet
homme
avec sa femme : ils se rattachent à l’hystérie, e
sif du sexe féminin; M. Grand-Clément les a observés parfois chez les
hommes
, et ils sont apparus généralement alors comme rés
imé du Dr L. Fuster: Troubles physiques et psychiques observés chez l'
homme
dans le cocaïnisme aigu expérimental. M. le Sec
tains individus qui s'exhibaient dans les foires: tel est le cas de l’
homme
protée, de James Wilson dit l’expansionnist', et
nerveuses, et peut-être enfin, le besoin de vivre vile en rendant les
hommes
toujours pressés a-t-il fait oublier à ceux-ci qu
ous ne retrouvons pas chez les animaux les variétés des suicides de l’
homme
. Il faut réfléchir que les animaux ne peuvent, po
instinct de conservation ; et l’idée de suicide ne vient à ces êtres,
hommes
ou animaux, que lorsqu’il y a inhibition des cent
parmi des animaux ne passant pas pour les plus intelligents. Chez l’
homme
, le suicide n’est pas toujours le résultat d’une
, et c'est une heureuse recrue pour la savante Compagnie que ce brave
homme
de bon sens, qui sait parler — il Ta souvent prou
nt ou s’ils déprisent avec tant de force ce qui laisserait tout autre
homme
indifférent, c’est qu’ils ont momentanément oubli
u’il semble dans l’hypnose et dans le sommeil. Si l’on estime qu’un
homme
est endormi lorsque un grand nombre de ses neuron
r. Aussi bien le contraire ne saurait se concevoir. Se figure-t-on un
homme
qui, dans le même moment, éprouverait toutes les
n jour donné, un peu différent de la veille ? Mais alors que chez l'
homme
normal la personnalité évolue d’une façon à peine
Schème 9. CP.N.N’. n, cr, comme dans lalig. précédente. chez l’
homme
normal soumis à l’action d’un anesthésique généra
ai porté pour Gustave Flaubert. L’observation que j’ai prise de cet
homme
de génie l’a été avec tout le soin et toute la ci
eptoide du génie, et je fais dès maintenant une distinction entre les
hommes
totalement supérieurs et les géniaux, monstruosit
es. Mais il n’en est rien et si cela est vrai pour ceriains sujets (
hommes
surtout), avec lesquels il faut beaucoup de patie
reur profonde, c’est un langage qui a lieu d’étonner dans la bouche d’
hommes
aussi éminents et qui semble indiquer, de la part
e Psychologie, p. 226, 282. Epilepsie (Les observations d') sur les
hommes
de génie, et notamment sur Gustave Flaubert, ont
ns de la psychothérapie aux), par Bourdon, p. 365. Nez (Le) c’est l’
homme
, p. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des
du), par Paul Farez, p. 193. Visuels (Troubles) hystériques chez l'
homme
, p. 253. FIGURES ET PORTRAITS CONTENUS DANS LE
ais il me les a pris. » Voici un autre fait : V..., Louis, est un
homme
de 37 ans, tuberculeux depuis 1872; ses deux somm
lègue, M. Victor Parisot, étant avec moi au service, je dis à cet
homme
sans l'endormir : « Vous connaissez ce monsieur?
arrivé. Ils n'ont pas médité cette parole de Claude Bernard : « Les
hommes
qui ont une foi excessive dans leurs théories ou
si récente. Cette expérience avait besoin d'être renouvelée par un
homme
de l'art. Mon éminent collègue, M. Von Winiwarter
e le fait du Malin, qui, comme chacun le sait, se plait à induire les
hommes
en tentation et la menait ainsi au suicide, genre
NOTISME D'UN DÉLIRE ALCOOLIQUE Par M. le Docteur BRÉMAUD M. D...,
homme
fort, vigoureux, âgé de 40 ans environ, riche pro
ccidentel de la sensibilité physique et morale qui ne laisse plus à l'
homme
sa liberté d'action, où l'individu qui avait anté
hode en peu de jours. Le malade dont j'ai parlé à Grenoble était un
homme
âgé de trente-cinq ans qui m'avait été amené de R
l'exercice à quiconque n'a pas qualité pour le pratiquer ; seuls, les
hommes
de l'art devraient être autorisés a en faire usag
à celle qui prend sa place. Les autres, au contraire, s'adressent à l'
homme
éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre,
endre. L'objection n'a qu'une valeur apparente. En effet, lorsque l'
homme
fait son apparition dans le monde, le sommeil don
s entre les suggestions des milieux et les suggestions hypnotiques. L'
homme
roule les idées, ou plutôt il est roulé par les i
d'autre doivent être presque identiques. Ils le sont, en effet. Les
hommes
sont bien ce que les ont faits les milieux par eu
es de lutter et de réagir. L'histoire nous dirait le nom des grands
hommes
qui, après s'être soustraits eux-mêmes a la conta
nétiseur, dans le corps du sujet qui sert d'intermédiaire, qu'il soit
homme
ou animal. Nous la voyons s.-propager le long de
échi du corps du sujet neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (
homme
ou animal) ou dans la substance d'un objet quelco
s une psychologie humaine, c'est-à-dire limitée à l'intelligence de l'
homme
; puis une psychologie comparée, où sont analysés
ctuels observés chez les animaux et rapprochés de ceux que présente l'
homme
même: une psychologie pathologique, qui décrit et
la psychologie générale s'étend de l'animal le plus infime jusqu'à l'
homme
. M. Richet ne craint pas d'affirmer que c'est là
ature des intelligences ou forces conscientes analogues à celles de l'
homme
, jamais, jusqu'ici, elles n'ont pu se manifester
'on puisse reconnaître, par l'examen direct, celui qui appartient à l'
homme
fuit et celui qui appartient à l'adolescent.
se actuelle, au nom des idées de progrès qui entraînent l'esprit de l'
homme
, ont un grand devoir à remplir vis-à-vis des jeun
point, combien l'activité cérébrale de l'enfant diffère de celle de l'
homme
adulte, chez lequel les régions émotives sont tou
motives sont toujours associées à la mise en action de l'esprit ! — L'
homme
qui travaille dans la lutte de la vie ne le fait
nsable, au nom de l'hygiène bien entendue du cerveau, de signaler aux
hommes
compétents ce que cette méthode offre d'inconvéni
, les cléments de perfectionnement que porte en germe le cerveau de l'
homme
. (Très bien.!) Finalement, après une interventi
rrible drame a été accompli le 9 juillet, près de Rathfriland, par un
homme
qui était depuis un an dans un asile d'aliénés. I
ns : Principes de mécanique animale, ou étude de la locomotion chez l'
homme
et les animaux vértèbres, Paris, 1858; — Physiolo
commission, en dehors de M. le professeur Charcot, ne renferme aucun
homme
ayant prouvé qu'il ait acquis, sur les questions
ts sur le système nerveux, analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'
homme
sain, Ils amènent l'ivresse plus ou moins rapidem
belladone, à la suite de l'application d'un emplâtre. Il s'agit d'un
homme
de quarante ans, très robuste, qui fut pris de dé
u'ils tussent, ont eu la bonne fortune de fixer l'atten- lion des
hommes
les plus autorisés qui ont bien voulu nous faire
saisi de nombreuses analogies. Nous avons rappelé que les animaux, l'
homme
lui-même, étaient parfois l'instrument d'actions
re à l'instinct d'imitation qui est merveilleusement développé chez l'
homme
. Il y a en effet des maladies épidémiques sur l'e
n qui lui souffle le mal. Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'
homme
est possédé; quelquefois même il se donne volonta
d'exemple de délire subit envahissant soudainement toute une classe d'
hommes
, comme cela est arrivé si souvent aux seizième et
es. Les conclusions sont que l'alcool n'est donc pas nécessaire à l'
homme
malade, et il ne l'est pas davantage à l'homme sa
onc pas nécessaire à l'homme malade, et il ne l'est pas davantage à l'
homme
sain; n'y a-t-il pas des races entières, des mill
age à l'homme sain; n'y a-t-il pas des races entières, des millions d'
hommes
, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tou
orme? Tout porte a croire, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'
homme
sain qu'à l'homme malade, et c'est cette convicti
croire, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme sain qu'à l'
homme
malade, et c'est cette conviction qui a poussé un
nt très particuliers et s'écartent plus ou moins de la généralité des
hommes
, pour entrer dans cette classe si intéressante à
le Morel et Magnan ont donné le nom de dégénérés. Chaque fois qu'un
homme
se singularise par un stigmate physique quelconqu
e parmi les criminels. Le Dr Marre a trouvé chez les délinquants nés (
hommes
) 13,9 p. 100 ce gauchers, et. chez les femmes, 22
s de race primitive qui soit exclusivement droitière ou gauchère. L'
homme
doit se servir alternativement ou simultanément d
ses deux mains. Il est regrettable qu'il se soit créé par atavisme un
homme
droit L'asymétrie, quoi qu'en dise Broca. n'est p
iorité, non plus qu'on ne doit considérer comme un fait favorable à l'
homme
la disparition des dents de sagesse. Nous sommes
s sommes d'un avis diamétralement opposé. La civilisation a éloigné l'
homme
de sa destinée naturelle, et c'est en vertu d'une
ble que l'on a considéré exclusivement le développement cérébral de l'
homme
comme la mesure unique de sa supériorité. Pourr
e l'enfant nouveau-né puisse être considéré comme se rapprochant de l'
homme
primitif, il faut en profiter pour en faire un am
) Lucas Championnière : Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'
homme
. Troubles de la sensibilité chez les Orientaux. L
CHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état mental des épileptiques. (L'
Homme
, août 1887.) Emminghaus : Die psychischen Storu
u des résultats très remarquables. Il hypnotisa entre autres quatre
hommes
de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme chronique a
t les conséquences sont incalculables dans les habitudes futures de l'
homme
adulte. Il en fut certainement ainsi chez notre m
e pôle négatif, et ont un rayonnement négatif. Les êtres vivants, l'
homme
, les animaux et les végétaux possèdent les deux m
ifs par certains points de leur surface (nous l'avons déjà dit pour l'
homme
) et négatifs par d'autres. Les animaux, comme 1 h
déjà dit pour l'homme) et négatifs par d'autres. Les animaux, comme 1
homme
, sont positifs sur la moitié gauche du buste et s
et devant les membres du Congrès. Mais les membres et le buste de l'
homme
se comportent comme des aimants à l'égard des sen
e trouvaille scientifique. Il ne faut donc pas se hâter d'accuser des
hommes
de bonne foi qui n'ont eu d'autre souci que la vé
ions, il soit de règle de ne jamais tenir compte de la compétence des
homme
.; appelés a en faire partie. Société médico-psy
pposiùon. 11 n'en fut rien, et nous eûmes la satisfaction de voir des
hommes
d'un esprit élevé, comme MM. Liégeois, Liébeault,
raison contre cette terreur mystérieuse que l'hypnotisme inspire aux
hommes
les plus éclairés, il y démontrait notamment que
cellente santé. M. le docteur Bremaud a démontré qu'un grand nombre d'
hommes
robustes, des marins et des soldats, par exemple,
.. » Evidemment, dans tous les temps, l'action intellectuelle des
hommes
les uns sur tes autres a existe. Mais ce que n'a
expose' les résultats fournis par les rares autopsies faites sur des
hommes
devenus célebres par la facilité de leur parole e
Bertillon : « II y a quelques années, disait-il, un petit groupe d'
hommes
, tous » dévoués de longue date au progrès scienti
ensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très nerveux d'
hommes
dont on a bien connu l'activité mentale. Or » l
n éloge.» Qui pourrait blâmer M. Methias Du val d'avoir rappelé aux
hommes
exempts de préjugés qu'ils ont. môme après leur m
a plus sévère dans ses dogmes, n'interdit de disposer des restes d'un
homme
dans l'intérêt d'une cause juste. Les reliques de
nt la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la science de l'
homme
, qu'il soit éveillé, endormi ou mort, ne saurait
nces pouvaient laisser planer des doutes sur la responsabilité de cet
homme
, je promis à Me Arcis de venir expliquer devant l
ie ou une hémi-parésie de tout le côté gauche. C'est ce dément, cet
homme
si profondément atteint, qui a été jugé les 6 et
on de l'ouïe et d'affaiblissement intellectuel. Depuis ce moment, cet
homme
est un cérébral, les vertiges èpilep-tiques sont
aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion mentale. Des
hommes
très éclairés et très honorables ont observé des
mières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne connaît pas l'
homme
dont le cadavre est devant elle, qu'elle l'a reçu
s'il n'a pas une folle devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'
homme
assassiné une lettre par laquelle Berthe lavait a
récit, conduit d'ailleurs avec la dextérité qu'on peut attendre d'un
homme
qui ne compte plus ses succès, a l'allure pressée
appliquer la méthode à toutes les habitudes vicieuses qui dégradent l'
homme
et le poussent rapidement à la dégénérescence.
ts varieront singulièrement selon les sujets. C'est ainsi que chez un
homme
vigoureux, bien équilibré, un coup de poing d'une
e d'observations rendant indéniable, désormais, l'authenticité chez l'
homme
de la névrose. Sans qu'il soit possible encore de
nouvelés pour montrer à quel point — à notre époque tout au moins — l'
homme
est exposé à ses atteintes. Pour n'en citer que
de sa clinique à l'étude de six cas d'hys- térie observés chez l'
homme
dans l'adolescence et l'âge mûr. c'est-à-dire de
manifeste ». Dans la même séance. Debove appelait l'attention sur un
homme
de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'ex
tuels profonds , manie hystérique . L'année suivante, à propos d'un
homme
de 33 ans, Charcot appelait l'attention de ses él
l Necker, en fait foi. Un fait rapporte par Moricourt et relatif à un
homme
de 3o ans affecté, à la suite d'une frac-turc des
mation. Les deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'
homme
qui, au commencement de l'année 1887, ont été pou
er. Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'
homme
sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c
élie, Victoria sont presque les seuls points du pôle antarctique où l'
homme
ait atterri jusqu'ici. Le premier qui osa s'avent
mis. Quant au chien, il n'a cessé d'être l'inséparable compagnon de l'
homme
dans ses pérégrinations les plus lointaines et le
s. » A moins d'être poussé par un but commercial ou scientifique, l'
homme
, sauf exception, s'arrête au 70e degré de latitud
la Jeannette eut à parcourir, mourant de faim, des marais glacés. Les
hommes
marchaient sans avoir conscience de la résistance
inaire de la conversation, à la distance d'un mille, et j'entendis un
homme
chanter sur le rivage, quoique fen fusse encore b
ppropriés, 3° d'une hygiène physique et intellectuelle scrupuleuse, l'
homme
peut parcourir les régions polaires et même y séj
lisme ? Est-il logique de transporter à l'esprit et à la volonté de l'
homme
sain des aberrations exceptionnelles obtenues sur
, le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qui supposent, chez l'
homme
, la possession de lui-même? Nous ne nous arrête
ra par trouver un jour un moyen commode et facile d'agir sur tous les
hommes
, et, à volonté, sur l'intelligence comme sur les
us dans cette dernière catégorie (le côté thérapeutique), soit chez l'
homme
, soit chez la femme, ont été moins heureux que ce
genre. » Un tel aveu prouve une fois de plus que Charcot est un grand
homme
. A ce moment où la thérapeutique suggestive fai
laquelle le diagnostic porté est: sclérose en plaques. Il s'agit d'un
homme
Sgé de 5o ans qui, en l'espace de huit ans, souff
'œl ou d'autre membre quel quil soit de boiteux : et especialement de
homme
esbarbe cest qui na point de barbe : car tels son
ez de quelque notable marque est venu le proverbe : Garde-toy de tout
homme
marqué. » Finablement (ainsi que dit Didymus) c
e demande des lumières et des renseignements à tout le monde : I. L'
homme
fascine-t-il plus que la femme? II. Celui qui p
scariote avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'
homme
rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s
ce jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un
homme
rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un pr
age, Muswell, près du palais d'Alexandre. M. Loader est un grand, bel
homme
, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lu
assé après être monté dans le compartiment ? — Je me sonviens que l'
homme
me fixa d'un regard persistant : son œil avait un
nt de vue, a dit M. Peter. Il s'agît d'un hystérique, d'un hystérique
homme
et d'un hystérique historique, car il a servi de
Rochefort, sur l'action des médicaments à distance. Non seulement cet
homme
est un sujet historique, mais aussi un misérable.
omme avant déterminé volontairement la mort d'un malade de ma salle d'
hommes
, un hystérique également, auquel elle aurait donn
de laudanum, et qui aurait succombé. Ce qui est vrai, c'est que cet
homme
est mort en effet, mais, ainsi que l'autopsie l'a
e, ce qui est encore vrai, c'est qu'il est un sujet historique. Cet
homme
est entre à l'hôpital, il y a quatre mois environ
ndre objet en or sans qu'ils le brûlassent vivement. Dernièrement cet
homme
tombe sur le sol. la surveillante cherche a le re
teuses, mais sont-elles bien produites par le contact au métal? Cet
homme
, simulateur forcené, ne se les serait-il pas fait
M. le docteur Caron, chef de mon laboratoire, a percuté le dos de cet
homme
, principalement dans les points qu'avec la main,
tact n'a rien produit, ni douleur, ni brûlure. Voilà donc, cher cet
homme
, un fait absolument acquis, absolument incontesta
ntenu. Et dix minutes à peine s'étaient écoulées que la figure de cet
homme
se couvrait de sueurs profuses en même temps qu'i
rience de l'action des médicaments à distance qui ait réussi chez cet
homme
, car l'alcool, non plus que l'opium, n'ont rien p
homme, car l'alcool, non plus que l'opium, n'ont rien produit. Cet
homme
est un hystérique, et, comme tous les hystériques
e froid. Par — 36°6, dit Payer, la volonté est comme paralysée. « Les
hommes
, par leur démarche incertaine, leur bégaiement et
son côté, Moty fait suivre une curieuse observation d'hystérie chez l'
homme
, qu'il a recueillie à l'hôpital militaire de Cons
e sont pas éclairés, c'est un malheur public. Les superstitions des
hommes
instruits sont plus fatales que celles des ignora
polarité dans l'aimant et dans le corps humain. M. Ch. Dècle était un
homme
des plus aimables, et sa mort laissera des regret
faciles à hypnotiser et à influencer car la suggestion, et cela, les
hommes
aussi bien que les femmes. » Quant aux trois cé
n'était plus aussi compacte; beaucoup s'étaient retirés. Cependant un
homme
vint encore offrir sa tête et alla rejoindre ses
aux expériences. Car il ne faut pas oublier que si entre des mains d'
hommes
prudents et possédant les connaissances médicales
s ou de cuivre; il s'agit de bien autre chose ici : on peut y voir un
homme
qui se joue, nous dirions presque qui joue de la
Mais aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des
hommes
nerveux, des femmes hystériques ou sur le point d
e des phénomènes si graves. Il n'est pas convenable de donner ainsi l'
homme
en spectacle, le découronnant vis-à-vis de tous e
essaires pour la constituer faisaient totalement défaut. Groupant des
hommes
de professions diverses, mais tous animés d'un zè
gnétiseurs ont retardé le mouvement scientifique. Ils ont inspiré aux
hommes
sérieux le désir de n'avoir rien de commun avec c
châtiment corporel est appliqué, il révèle un reste de barbarie. Des
hommes
célèbres ont déclaré que sans le fouet on n'aurai
qui, croyons-nous, se calomnient, nous pourrions opposer la foule des
hommes
célèbres qui sont d'un avis contraire. Ceux mêmes
e : s'il est irrité, il donne à l'enfant le déplorable spectacle de l'
homme
en colère: s'il est calme. il remplit un rôle odi
n animal raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison ? Traiter l'
homme
en animal, c'est « priver du précieux concours de
tc. La réalité de ces faits ayant été confirmée par les témoignages d'
hommes
dont la compétence est indéniable, tels que MM. B
centrale avec une substance mystérieuse et puissante qui priverait l'
homme
de sentiment et de mouvement, qui lui enlèverait
s, même les abus des meilleures choses- Aussi longtemps qu'il y a des
hommes
, on verra des abus. Ce qui n'empêche qu'on doit e
toujours, une large place dans les recherches et les méditations des
hommes
de science. Mais même dans les conditions les p
rudemment et, si l'on n'est pas médecin soi-même, prendre l'avis d'un
homme
compétent » En nous ralliant à ces derniers mot
tation exclusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un
homme
de science, qu'un naturaliste, qu'un philosophe i
un corps, supprimer une volonté, éteindre la mémoire, transformer un
homme
en automate pour en faire le jouet de toutes les
es plus marquantes et les moins suspectes de la science, même par des
hommes
éminents qui ont usé, pour ne pas dire abusé du m
soulevé et qui soulève encore tant de passion, même chez quelques
hommes
de science, au point qu'ils semblent en faire une
en effet le trait caractéristique des aptitudes du genre homo. Sur l'
homme
, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de mal,
par de prudents essais aux émotions plus ou moins vives auxquelles l'
homme
le plus heureux, d'ailleurs, est nécessairement e
ui suivent : M. Dagonet (Henri), médecin en chef de la division des
homme
» à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est a
'aliénés de Sainte-Anne, est nommê médecin en chef de la division des
hommes
dudit asile, en remplacement do docteur Henri Dag
ais il me les a pris. » Voici un autre fait : V..., Louis, est un
homme
de 37 ans, tuberculeux depuis 1872; ses deux somm
lègue, M. Victor Parisot, étant avec moi au service, je dis à cet
homme
sans l'endormir : « Vous connaissez ce monsieur?
arrivé. Ils n'ont pas médité cette parole de Claude Bernard : « Les
hommes
qui ont une foi excessive dans leurs théories ou
si récente. Cette expérience avait besoin d'être renouvelée par un
homme
de l'art. Mon éminent collègue, M. Von Winiwarter
e le fait du Malin, qui, comme chacun le sait, se plait à induire les
hommes
en tentation et la menait ainsi au suicide, genre
NOTISME D'UN DÉLIRE ALCOOLIQUE Par M. le Docteur BRÉMAUD M. D...,
homme
fort, vigoureux, âgé de 40 ans environ, riche pro
ccidentel de la sensibilité physique et morale qui ne laisse plus à l'
homme
sa liberté d'action, où l'individu qui avait anté
hode en peu de jours. Le malade dont j'ai parlé à Grenoble était un
homme
âgé de trente-cinq ans qui m'avait été amené de R
l'exercice à quiconque n'a pas qualité pour le pratiquer ; seuls, les
hommes
de l'art devraient être autorisés a en faire usag
à celle qui prend sa place. Les autres, au contraire, s'adressent à l'
homme
éveillé, disposant de toutes ses facultés, libre,
endre. L'objection n'a qu'une valeur apparente. En effet, lorsque l'
homme
fait son apparition dans le monde, le sommeil don
s entre les suggestions des milieux et les suggestions hypnotiques. L'
homme
roule les idées, ou plutôt il est roulé par les i
d'autre doivent être presque identiques. Ils le sont, en effet. Les
hommes
sont bien ce que les ont faits les milieux par eu
es de lutter et de réagir. L'histoire nous dirait le nom des grands
hommes
qui, après s'être soustraits eux-mêmes a la conta
nétiseur, dans le corps du sujet qui sert d'intermédiaire, qu'il soit
homme
ou animal. Nous la voyons s.-propager le long de
échi du corps du sujet neurisateur dans celui du sujet intermédiaire (
homme
ou animal) ou dans la substance d'un objet quelco
s une psychologie humaine, c'est-à-dire limitée à l'intelligence de l'
homme
; puis une psychologie comparée, où sont analysés
ctuels observés chez les animaux et rapprochés de ceux que présente l'
homme
même: une psychologie pathologique, qui décrit et
la psychologie générale s'étend de l'animal le plus infime jusqu'à l'
homme
. M. Richet ne craint pas d'affirmer que c'est là
ature des intelligences ou forces conscientes analogues à celles de l'
homme
, jamais, jusqu'ici, elles n'ont pu se manifester
'on puisse reconnaître, par l'examen direct, celui qui appartient à l'
homme
fuit et celui qui appartient à l'adolescent.
se actuelle, au nom des idées de progrès qui entraînent l'esprit de l'
homme
, ont un grand devoir à remplir vis-à-vis des jeun
point, combien l'activité cérébrale de l'enfant diffère de celle de l'
homme
adulte, chez lequel les régions émotives sont tou
motives sont toujours associées à la mise en action de l'esprit ! — L'
homme
qui travaille dans la lutte de la vie ne le fait
nsable, au nom de l'hygiène bien entendue du cerveau, de signaler aux
hommes
compétents ce que cette méthode offre d'inconvéni
, les cléments de perfectionnement que porte en germe le cerveau de l'
homme
. (Très bien.!) Finalement, après une interventi
rrible drame a été accompli le 9 juillet, près de Rathfriland, par un
homme
qui était depuis un an dans un asile d'aliénés. I
ns : Principes de mécanique animale, ou étude de la locomotion chez l'
homme
et les animaux vértèbres, Paris, 1858; — Physiolo
commission, en dehors de M. le professeur Charcot, ne renferme aucun
homme
ayant prouvé qu'il ait acquis, sur les questions
ts sur le système nerveux, analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'
homme
sain, Ils amènent l'ivresse plus ou moins rapidem
belladone, à la suite de l'application d'un emplâtre. Il s'agit d'un
homme
de quarante ans, très robuste, qui fut pris de dé
u'ils tussent, ont eu la bonne fortune de fixer l'atten- lion des
hommes
les plus autorisés qui ont bien voulu nous faire
saisi de nombreuses analogies. Nous avons rappelé que les animaux, l'
homme
lui-même, étaient parfois l'instrument d'actions
re à l'instinct d'imitation qui est merveilleusement développé chez l'
homme
. Il y a en effet des maladies épidémiques sur l'e
n qui lui souffle le mal. Parfois, le malin esprit triomphe: alors. l'
homme
est possédé; quelquefois même il se donne volonta
d'exemple de délire subit envahissant soudainement toute une classe d'
hommes
, comme cela est arrivé si souvent aux seizième et
es. Les conclusions sont que l'alcool n'est donc pas nécessaire à l'
homme
malade, et il ne l'est pas davantage à l'homme sa
onc pas nécessaire à l'homme malade, et il ne l'est pas davantage à l'
homme
sain; n'y a-t-il pas des races entières, des mill
age à l'homme sain; n'y a-t-il pas des races entières, des millions d'
hommes
, qui n'en prennent jamais, sous aucune forme? Tou
orme? Tout porte a croire, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'
homme
sain qu'à l'homme malade, et c'est cette convicti
croire, au contraire, qu'il est aussi nuisible i l'homme sain qu'à l'
homme
malade, et c'est cette conviction qui a poussé un
nt très particuliers et s'écartent plus ou moins de la généralité des
hommes
, pour entrer dans cette classe si intéressante à
le Morel et Magnan ont donné le nom de dégénérés. Chaque fois qu'un
homme
se singularise par un stigmate physique quelconqu
e parmi les criminels. Le Dr Marre a trouvé chez les délinquants nés (
hommes
) 13,9 p. 100 ce gauchers, et. chez les femmes, 22
s de race primitive qui soit exclusivement droitière ou gauchère. L'
homme
doit se servir alternativement ou simultanément d
ses deux mains. Il est regrettable qu'il se soit créé par atavisme un
homme
droit L'asymétrie, quoi qu'en dise Broca. n'est p
iorité, non plus qu'on ne doit considérer comme un fait favorable à l'
homme
la disparition des dents de sagesse. Nous sommes
s sommes d'un avis diamétralement opposé. La civilisation a éloigné l'
homme
de sa destinée naturelle, et c'est en vertu d'une
ble que l'on a considéré exclusivement le développement cérébral de l'
homme
comme la mesure unique de sa supériorité. Pourr
e l'enfant nouveau-né puisse être considéré comme se rapprochant de l'
homme
primitif, il faut en profiter pour en faire un am
) Lucas Championnière : Contribution à l'étude de l'hystérie chez l'
homme
. Troubles de la sensibilité chez les Orientaux. L
CHIATRIE - NEUROLOGIE Collineau- : L'état mental des épileptiques. (L'
Homme
, août 1887.) Emminghaus : Die psychischen Storu
u des résultats très remarquables. Il hypnotisa entre autres quatre
hommes
de 30 à 40 ans, atteints d'alcoolisme chronique a
t les conséquences sont incalculables dans les habitudes futures de l'
homme
adulte. Il en fut certainement ainsi chez notre m
e pôle négatif, et ont un rayonnement négatif. Les êtres vivants, l'
homme
, les animaux et les végétaux possèdent les deux m
ifs par certains points de leur surface (nous l'avons déjà dit pour l'
homme
) et négatifs par d'autres. Les animaux, comme 1 h
déjà dit pour l'homme) et négatifs par d'autres. Les animaux, comme 1
homme
, sont positifs sur la moitié gauche du buste et s
et devant les membres du Congrès. Mais les membres et le buste de l'
homme
se comportent comme des aimants à l'égard des sen
e trouvaille scientifique. Il ne faut donc pas se hâter d'accuser des
hommes
de bonne foi qui n'ont eu d'autre souci que la vé
ions, il soit de règle de ne jamais tenir compte de la compétence des
homme
.; appelés a en faire partie. Société médico-psy
pposiùon. 11 n'en fut rien, et nous eûmes la satisfaction de voir des
hommes
d'un esprit élevé, comme MM. Liégeois, Liébeault,
raison contre cette terreur mystérieuse que l'hypnotisme inspire aux
hommes
les plus éclairés, il y démontrait notamment que
cellente santé. M. le docteur Bremaud a démontré qu'un grand nombre d'
hommes
robustes, des marins et des soldats, par exemple,
.. » Evidemment, dans tous les temps, l'action intellectuelle des
hommes
les uns sur tes autres a existe. Mais ce que n'a
expose' les résultats fournis par les rares autopsies faites sur des
hommes
devenus célebres par la facilité de leur parole e
Bertillon : « II y a quelques années, disait-il, un petit groupe d'
hommes
, tous » dévoués de longue date au progrès scienti
ensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très nerveux d'
hommes
dont on a bien connu l'activité mentale. Or » l
n éloge.» Qui pourrait blâmer M. Methias Du val d'avoir rappelé aux
hommes
exempts de préjugés qu'ils ont. môme après leur m
a plus sévère dans ses dogmes, n'interdit de disposer des restes d'un
homme
dans l'intérêt d'une cause juste. Les reliques de
nt la Société d'autopsie, car rien de ce qui touche à la science de l'
homme
, qu'il soit éveillé, endormi ou mort, ne saurait
nces pouvaient laisser planer des doutes sur la responsabilité de cet
homme
, je promis à Me Arcis de venir expliquer devant l
ie ou une hémi-parésie de tout le côté gauche. C'est ce dément, cet
homme
si profondément atteint, qui a été jugé les 6 et
on de l'ouïe et d'affaiblissement intellectuel. Depuis ce moment, cet
homme
est un cérébral, les vertiges èpilep-tiques sont
aussi les faits de transmission de pensée ou suggestion mentale. Des
hommes
très éclairés et très honorables ont observé des
mières questions du commissaire en déclarant qu'elle ne connaît pas l'
homme
dont le cadavre est devant elle, qu'elle l'a reçu
s'il n'a pas une folle devant lui ; mais il trouve dans la poche de l'
homme
assassiné une lettre par laquelle Berthe lavait a
récit, conduit d'ailleurs avec la dextérité qu'on peut attendre d'un
homme
qui ne compte plus ses succès, a l'allure pressée
appliquer la méthode à toutes les habitudes vicieuses qui dégradent l'
homme
et le poussent rapidement à la dégénérescence.
ts varieront singulièrement selon les sujets. C'est ainsi que chez un
homme
vigoureux, bien équilibré, un coup de poing d'une
e d'observations rendant indéniable, désormais, l'authenticité chez l'
homme
de la névrose. Sans qu'il soit possible encore de
nouvelés pour montrer à quel point — à notre époque tout au moins — l'
homme
est exposé à ses atteintes. Pour n'en citer que
de sa clinique à l'étude de six cas d'hys- térie observés chez l'
homme
dans l'adolescence et l'âge mûr. c'est-à-dire de
manifeste ». Dans la même séance. Debove appelait l'attention sur un
homme
de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'ex
tuels profonds , manie hystérique . L'année suivante, à propos d'un
homme
de 33 ans, Charcot appelait l'attention de ses él
l Necker, en fait foi. Un fait rapporte par Moricourt et relatif à un
homme
de 3o ans affecté, à la suite d'une frac-turc des
mation. Les deux nouveaux cas de paralysie hystéro-traumatique chez l'
homme
qui, au commencement de l'année 1887, ont été pou
er. Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'
homme
sujette à l'hystérie. A l'âge de la nubilité, c
élie, Victoria sont presque les seuls points du pôle antarctique où l'
homme
ait atterri jusqu'ici. Le premier qui osa s'avent
mis. Quant au chien, il n'a cessé d'être l'inséparable compagnon de l'
homme
dans ses pérégrinations les plus lointaines et le
s. » A moins d'être poussé par un but commercial ou scientifique, l'
homme
, sauf exception, s'arrête au 70e degré de latitud
la Jeannette eut à parcourir, mourant de faim, des marais glacés. Les
hommes
marchaient sans avoir conscience de la résistance
inaire de la conversation, à la distance d'un mille, et j'entendis un
homme
chanter sur le rivage, quoique fen fusse encore b
ppropriés, 3° d'une hygiène physique et intellectuelle scrupuleuse, l'
homme
peut parcourir les régions polaires et même y séj
lisme ? Est-il logique de transporter à l'esprit et à la volonté de l'
homme
sain des aberrations exceptionnelles obtenues sur
, le mérite et le démérite, et la vertu, enfin, qui supposent, chez l'
homme
, la possession de lui-même? Nous ne nous arrête
ra par trouver un jour un moyen commode et facile d'agir sur tous les
hommes
, et, à volonté, sur l'intelligence comme sur les
us dans cette dernière catégorie (le côté thérapeutique), soit chez l'
homme
, soit chez la femme, ont été moins heureux que ce
genre. » Un tel aveu prouve une fois de plus que Charcot est un grand
homme
. A ce moment où la thérapeutique suggestive fai
laquelle le diagnostic porté est: sclérose en plaques. Il s'agit d'un
homme
Sgé de 5o ans qui, en l'espace de huit ans, souff
'œl ou d'autre membre quel quil soit de boiteux : et especialement de
homme
esbarbe cest qui na point de barbe : car tels son
ez de quelque notable marque est venu le proverbe : Garde-toy de tout
homme
marqué. » Finablement (ainsi que dit Didymus) c
e demande des lumières et des renseignements à tout le monde : I. L'
homme
fascine-t-il plus que la femme? II. Celui qui p
scariote avec une barbe rouge. « Ne te place jamais entre le roc et l'
homme
rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un homme rouge s
ce jamais entre le roc et l'homme rouge », « Ne laisse pas l'œil d'un
homme
rouge s'arrêter sur toi » sont, en Irlande, un pr
age, Muswell, près du palais d'Alexandre. M. Loader est un grand, bel
homme
, puissamment bâti et bien élevé. Le reporter lu
assé après être monté dans le compartiment ? — Je me sonviens que l'
homme
me fixa d'un regard persistant : son œil avait un
nt de vue, a dit M. Peter. Il s'agît d'un hystérique, d'un hystérique
homme
et d'un hystérique historique, car il a servi de
Rochefort, sur l'action des médicaments à distance. Non seulement cet
homme
est un sujet historique, mais aussi un misérable.
omme avant déterminé volontairement la mort d'un malade de ma salle d'
hommes
, un hystérique également, auquel elle aurait donn
de laudanum, et qui aurait succombé. Ce qui est vrai, c'est que cet
homme
est mort en effet, mais, ainsi que l'autopsie l'a
e, ce qui est encore vrai, c'est qu'il est un sujet historique. Cet
homme
est entre à l'hôpital, il y a quatre mois environ
ndre objet en or sans qu'ils le brûlassent vivement. Dernièrement cet
homme
tombe sur le sol. la surveillante cherche a le re
teuses, mais sont-elles bien produites par le contact au métal? Cet
homme
, simulateur forcené, ne se les serait-il pas fait
M. le docteur Caron, chef de mon laboratoire, a percuté le dos de cet
homme
, principalement dans les points qu'avec la main,
tact n'a rien produit, ni douleur, ni brûlure. Voilà donc, cher cet
homme
, un fait absolument acquis, absolument incontesta
ntenu. Et dix minutes à peine s'étaient écoulées que la figure de cet
homme
se couvrait de sueurs profuses en même temps qu'i
rience de l'action des médicaments à distance qui ait réussi chez cet
homme
, car l'alcool, non plus que l'opium, n'ont rien p
homme, car l'alcool, non plus que l'opium, n'ont rien produit. Cet
homme
est un hystérique, et, comme tous les hystériques
e froid. Par — 36°6, dit Payer, la volonté est comme paralysée. « Les
hommes
, par leur démarche incertaine, leur bégaiement et
son côté, Moty fait suivre une curieuse observation d'hystérie chez l'
homme
, qu'il a recueillie à l'hôpital militaire de Cons
e sont pas éclairés, c'est un malheur public. Les superstitions des
hommes
instruits sont plus fatales que celles des ignora
polarité dans l'aimant et dans le corps humain. M. Ch. Dècle était un
homme
des plus aimables, et sa mort laissera des regret
faciles à hypnotiser et à influencer car la suggestion, et cela, les
hommes
aussi bien que les femmes. » Quant aux trois cé
n'était plus aussi compacte; beaucoup s'étaient retirés. Cependant un
homme
vint encore offrir sa tête et alla rejoindre ses
aux expériences. Car il ne faut pas oublier que si entre des mains d'
hommes
prudents et possédant les connaissances médicales
s ou de cuivre; il s'agit de bien autre chose ici : on peut y voir un
homme
qui se joue, nous dirions presque qui joue de la
Mais aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des
hommes
nerveux, des femmes hystériques ou sur le point d
e des phénomènes si graves. Il n'est pas convenable de donner ainsi l'
homme
en spectacle, le découronnant vis-à-vis de tous e
essaires pour la constituer faisaient totalement défaut. Groupant des
hommes
de professions diverses, mais tous animés d'un zè
gnétiseurs ont retardé le mouvement scientifique. Ils ont inspiré aux
hommes
sérieux le désir de n'avoir rien de commun avec c
châtiment corporel est appliqué, il révèle un reste de barbarie. Des
hommes
célèbres ont déclaré que sans le fouet on n'aurai
qui, croyons-nous, se calomnient, nous pourrions opposer la foule des
hommes
célèbres qui sont d'un avis contraire. Ceux mêmes
e : s'il est irrité, il donne à l'enfant le déplorable spectacle de l'
homme
en colère: s'il est calme. il remplit un rôle odi
n animal raison-nable, si l'on n en utilise pas la raison ? Traiter l'
homme
en animal, c'est « priver du précieux concours de
tc. La réalité de ces faits ayant été confirmée par les témoignages d'
hommes
dont la compétence est indéniable, tels que MM. B
centrale avec une substance mystérieuse et puissante qui priverait l'
homme
de sentiment et de mouvement, qui lui enlèverait
s, même les abus des meilleures choses- Aussi longtemps qu'il y a des
hommes
, on verra des abus. Ce qui n'empêche qu'on doit e
toujours, une large place dans les recherches et les méditations des
hommes
de science. Mais même dans les conditions les p
rudemment et, si l'on n'est pas médecin soi-même, prendre l'avis d'un
homme
compétent » En nous ralliant à ces derniers mot
tation exclusive de ce vaste domaine. Nous admettons volontiers qu'un
homme
de science, qu'un naturaliste, qu'un philosophe i
un corps, supprimer une volonté, éteindre la mémoire, transformer un
homme
en automate pour en faire le jouet de toutes les
es plus marquantes et les moins suspectes de la science, même par des
hommes
éminents qui ont usé, pour ne pas dire abusé du m
soulevé et qui soulève encore tant de passion, même chez quelques
hommes
de science, au point qu'ils semblent en faire une
en effet le trait caractéristique des aptitudes du genre homo. Sur l'
homme
, l'enseignement peut beaucoup ; beaucoup de mal,
par de prudents essais aux émotions plus ou moins vives auxquelles l'
homme
le plus heureux, d'ailleurs, est nécessairement e
ui suivent : M. Dagonet (Henri), médecin en chef de la division des
homme
» à l'asile public d'aliénés de Sainte-Anne, est a
'aliénés de Sainte-Anne, est nommê médecin en chef de la division des
hommes
dudit asile, en remplacement do docteur Henri Dag
ore fort obscure. Son existence, admise sans contestation par des
hommes
d'une autorité considérable à une époque déjà é
ce dont il éprouva une grande peine. Quelque temps après, il vit un
homme
s'enfuir par-dessus le mur du jardin attenant à
ements cérébraux anciens, de lésions traumatiques du cerveau chez l'
homme
, ont été soumis à son exa- men. Nulle part, il
par H. STATOR. (Arch. f. Psych, XIII, 3.) L'observation concerne un
homme
de trente-neuf ans ayant subitement présenté un
trente-cinq points. Les échecs se ren- contrèrent surtout parmi les
hommes
; on pouvait les attribuer surtout au manque d'é
de trois malades servant de base à chacune des compositions; trois
hommes
et cinq femmes prirent part à ce petit concours
e résultat des examens fut très satisfaisant; cinq femmes et quatre
hommes
obtinrent un certificat de première classe; une
mmes obtinrent un certificat de première classe; une femme et trois
hommes
un certificat de seconde classe. Un autre rés
vait aune époque où on croyait à de fréquentes communications des
hommes
avec les esprits : toute la difficulté se réduisa
atif de ces cas est celui dont voici le ré- sumé : Il s'agit d'un
homme
qui fut examiné par cinq médecins, au nombre de
et il ne fut ni demandé, ni donné de certificat. Le malade était un
homme
du monde, que M. Wilks connaissait fort bien de
ait chevaux, voilures, domes- tiques, etc.; il menait le train d'un
homme
riche, et on lui attri- buait en effet une gran
e, et on lui attri- buait en effet une grande fortune. Un jour, cet
homme
se met au lit, refuse de manger, maigrit, souff
observations à l'asile d'E- berswalde. Tous les sujets étaient des
hommes
qui avaient été exposés pendant des années à un
femmes sont aussi fréquemment atteints d'aliénation mentale que les
hommes
; que presque toujours les aliénés cri- miuels
à ménager autant que possible, on doit aussi le considérer comme un
homme
dangereux, de par sa propre faute, ou, de par s
s graves ne se transmettent pas aussi communément, en revanche, les
hommes
en apparence bien portants ne sont pas normaux;
nt que la destruction de la région motrice empêche également chez l'
homme
les convulsions dans les territoires musculaire
que; par S.-Th.STEtN.(C<'H<m/6<. ? Ve)'ccH/t6t ? 4883.) Un
homme
de vingt-six ans, vigoureux, indemne de toute att
ésente des particularités qui méritent d'être notées. S... est un
homme
de trente-deux ans; il nous a été impossible d'ét
ses yeux s'arrêtèrent sur l'une d'elles qui repassait une chemise d'
homme
, il la voit introduire sa main dans la manchette
tuelle est complète. M. Magnan, qui le voit alors se demande si cet
homme
n'est pas un et s'il n'est pas dans un état de
est, d'ordinaire, c'est que nous manquons de renseignements sur cet
homme
. Il s'est passé pour lui ce qui se passe trop sou
ancien, profond, irrémédiable. Telle est la condition de S... ; cet
homme
est un aliéné irres- ponsable d'un acte tout en
en médico-légil. G... est prévenu de coups et blessures; c'est un
homme
de soixante ans, bien portant; rien, au premier
tant; rien, au premier abord, ne trahit le trouble profond dont cet
homme
est atteint; il prétend être un propriétaire malh
es premières données, on seiait tout disposé à ne voir en lui qu'un
homme
poussé à bout, arri- vant au paroxysme de la co
res, et c'est lui qui crée les difficultés dont il se plaint. Cet
homme
, aux allules si calmes dans la prison, au langage
jugeons inutile de prolonger un examen déjà trop significatif. Cet
homme
, qui a passé successivement par les phases classi
es centripètes, soit aux fibres centrifuges. M. LICllTIIGI)I. « L'
homme
observé par moi présentait un trouble paraphasi
érience. Dans ces conditions, on trouve, que chez un grand nombre d'
hommes
, la sensibilité cutanée de régions identiques e
r nettement et facile- ment les allures des réflexes tendineux d'un
homme
, il est, par contre, toujours difficile, généra
lorsqu'on songe que le tonus réflexe des muscles du squelette d'un
homme
normal peut se présenter à l'état de contrac- t
« ? Les alté- rations primordiales de la myélite aiguë sont chez l'
homme
à peine connues, nos connaissances sur les stad
que sur des expériences physiolo- giques. Or, voici l'autopsie d'un
homme
mort trois jours après une lésion de la colonne
it été interdit. Les troisième et quatrième cas avaient trait à des
hommes
de quarante ans qui, à plusieurs reprises, pendan
1806 passait à travers un village, dans une province voisine, un
homme
convenablement vêtu ; à l'entrée de ce village, i
ution psy- chique de nature épileptiquc. L'observation porte sur un
homme
de trente-six ans libre de toute tare héréditai
ur lui faire endurer mille tortures. Souvent il se dispute avec dos
hommes
qu'il prend pour des enchanteurs. M. SNELL appe
intime qui existe entre l'ovaire et les centres nerveux; et pour l'
homme
, il assigne comme siège nosofogiquo à l'affecti
ux et sur l'excitabilité électrique des muscles et des nerfs chez l'
homme
; parle Dr J. 0[tscH.sKY.(Cttarkoii', 1884.) L'a
ine de Lilie pour son livre intitulé : Anomalies musculaires chez l'
homme
expliquées par l'anatomie comparée ; leur impor
ux, le mécanisme de la mort en eût été mieux connu ? L'autorité des
hommes
sous le nom desquels ces faits ont été produits
un autre cas qui a les plus grandes analogies avec celui-ci : un
homme
de cinquante-quatre ans, en sautant à travers u
lles dans lesquelles l'étio- logie ressort le plus clairement. Un
homme
, observé par Bergmann ', de bonne santé, sans a
sur le dos, enfin une observation de Lockhart Clarke, relative à un
homme
de quarante-deux ans qui après une violente con
im- portance intrinsèque, par leur nombre et par l'auto- rité des
hommes
qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE
renne que la maladie sévit aussi sur les Malaises. Néanmoins, les
hommes
fournissent et de beaucoup, à ce qu'il semble,
nenous parle pas des femmes qui, nous le savons, peuvent, comme les
hommes
, être affectées. Malgré cela, nous croyons que
CLINIQUE NERVEUSE. autant de fois qu'on les répétait... 'C'était un
homme
de moyenne taille, de bonne mine, plutôt intell
ons la rive pour nous embarquer sur le ba- teau à vapeur, un de nos
hommes
poussa un cri et jeta son béret à terre. Observ
les concerne ; et d'ail- leurs ce sont les troubles observés chez l'
homme
qui nous intéressent exclusivement. Au point
er des conclusions de recherches faites dans cette direction chez l'
homme
ma- lade, il faut connaître la nutrition du sys
nos connaissances relatives à la nutrition du tissu nerveux chez l'
homme
sain ne sont pas plus avancées que celles relat
vancées que celles relatives à la nutrition de ce môme tissu chez l'
homme
malade. Par suite tout travail ayant pour but d
est lié à la nutrition de ce tissu ? Par l'examen des urines. . L'
homme
rend chaque jour par les urines une certaine qu
moi-même, etc., démontrent que, soit chez les animaux, soit chez l'
homme
, la suppression de l'ali- mentation diminue, ma
: Recherches sur l'élimination de l'acide pliosphoi-lqite chez l'
homme
sain, l'aliéné, l'épileptiqcce et l'hystérique (G
rches de Bischoff', Zuelzer " et Sievert 3 sur les animaux et sur l'
homme
. Plus l'alimen- tation se rapproche par sa natu
ure de l'alimentation ordi- naire de l'animal en expérience ou de l'
homme
, plus se ré- gularise l'élimination de l'acide
es dans les deux cas. Ces conditions sont faciles à réaliser chez l'
homme
sain et elles l'ont toujours été dans nos expé-
r et si le lecteur veut bien se reporter à nos recherches ' 1 sur l'
homme
sain placé dans les conditions ordinaires de la
, 1883 r.) Examen de vingt-six cas de tabes portant sur vingt-trois
hommes
et trois femmes. Dans ce nombre dix avaient cer
à des observations anatomo-pathologiques et cliniques, pris chez l'
homme
. Elle n'est pas encore entièrement publiée. P.
», en tenant le plus de compte possible DES essais entrepris chez l'
homme
ET DES observations pathologiques ; par Ch. Ros
263 extrême, l'auteur cite le cas d'un imbécile qui, trouvant un
homme
endormi, lui coupa la tête, pcpsant qu'il serait
psychopathes que dans l'ensemble de la po- pulation, et que chez l'
homme
sain. Sur 75 femmes révélant des signes de dégé
s années, et il n'a jamais eu avec elle de coït normal. Tel autre
homme
très bien, très rangé, père de famille, etc., a d
s'est passé. Une troisième (observation de Kowalewsky) concerne un
homme
de quarante ans, toujours bien portant, qui apr
n qu'ils avaient justement méritée. Ces cas se rencontrent chez des
hommes
de science, des litté- rateurs et des hommes po
e rencontrent chez des hommes de science, des litté- rateurs et des
hommes
politiques. Dans la classe des commerçants qui
iste une sénilité précoce sans maladies, sans troubles mentaux. Les
hommes
qui en sont frappés savent vieillir, comprendre
n'a pas moins fallu que des efforts énergiques et persévérants d'
hommes
absolument convaincus, en tête desquels nous devo
a donné que des résultats avantageux. VARIA. 285 Le service des
hommes
n'élait pas directement intéressé dans la quest
et physiologiques. La physiologie, par exemple, vous apprend que l'
homme
ne peut pas vivre sans respirer, que la respira
au moyen d'or- ganes qu'on a désignés sous le nom de poumons; que l'
homme
a besoin pour respirer de dix mètres cubes d'ai
attentivement surveillée, il en est de même de l'alimentation. L'
homme
perd au repos pour l'entretien de sa vie une cert
sorber I kilogr. de'pain et 300 gr. de viande. Voilà la ration de l'
homme
au repos. Mais s'il travaille, les mêmes calcul
clusions pratiques. il. Duhamel, interne eu médecine du service des
hommes
de l'asile Saint-Anne, a fait avec le plus gran
cours, commencé au mois de mai, a été fait en quatorze séances. Les
hommes
ont été les moins nombreux; mais, en'revanche,
us grand nombre ; mais, à l'inverse de ce qui se passait chez les
hommes
, on remarquait l'absence des anciennes élèves. Il
, pour cette partie de renseignement, étaient-elles inférieures aux
hommes
, tandis qu'elles étaient de même force pour les
es à une femme bien portante, n'eut pas d'enfants. Au contraire, un
homme
sain, marié à une femme idiote, eut trois enfan
s d'élongation du plexus brachial chez un garçon de seize ans et un
homme
de trente-cinq ans, qui tous deux avaient été p
plégie et de crampes très douloureuses, mais sans succès. Clin',
homme
de trente-huit ans, luxation compliquée de la p
supérieure occasionnée par un violent traumatisme du coude, chez un
homme
de vingt-quatre ans; amélioration. Duplay' (187
: Névralgie du nerf cubital par compression d'un fibrome chez un
homme
de vingt-six ans, l'élongation du nerf 1 Gillet
(1879) : Parésie et atrophie de l'avant-bras et de la main chez un
homme
de vingt-six ans; élongation du nerf ulnaire; l
élon- gation en étirant le nerf médian et ensuite le cubital à un
homme
de trente-neuf ans, qui accusait des crampes do
s augmentèrent. Elongation du nerf médian. Callender3 (1874) : Un
homme
de quarante-cinq ans endurait de violentes doul
nerf médian, le malade mourut, La deuxième observation concerne un
homme
de qua- rante-huit ans auquel on amputa le pouc
L'élongation du nerf médian amena du soulagement. Estiander' : Un
homme
de vingt-sept ans souffrait à l'extrémité supér
t broyé sur une sonde cannelée; convulsions, mort. Smith (1880) :
Homme
de cinquante-quatre ans, auquel on ouvrit un ab
TÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 297 l'extrémité supérieure chez un
homme
de vingt-neuf ans, qui avait été blessé; élonga
Putnam 2 (1880, à Boston) : Spasmes cloniques de la face chez un
homme
de vingt-cinq ans, élongation dunerf facial. In
au. Higgens7 (1875) étira les nerfs sus et sous-orbitaires, chez un
homme
de soixante-deux ans, qui souffrait de violente
ons sur l'élongation du nerf sus-orbitaire; la première concerne un
homme
de soixante-trois ans, guériosn. Dans la second
fut le tour du nerf mentonnier. Guérison. Rocher' guérit en 1879 un
homme
de trente-deux ans qui souffrait depuis quatorz
oncernent l'ataxie. Patruban' (1873) étira le nerf sciatique à un
homme
souffrant d'une sciatique rebelle; améliora- ti
) pratiqua l'élongation des deux nerfs sciatiques et du crural à un
homme
de trente- cinq ans, atteint de paralysie et de
Journ., 1876, november. 302 PATHOLOGIE EXPERIMENTALE. (1876) : Un
homme
de vingt-six ans est pris de tétanos après une
ique. lliasin5 fit une traction bilatérale du nerf sciatique à un
homme
de trente-sept ans, qui accusait, depuis sept a
amélioration. Morton0 pratiqua une traction du nerf sciatique à un
homme
de cinquante-deux ans, souffrant depuis onze an
, guérison. Crabbel g : Tétanos à la suite d'un traumatisme chez un
homme
de quarante-deux ans; traction du nerf sciatiqu
Névralgie et atrophie musculaire dans la région sciatique, chez un
homme
de trente-neuf ans ; traction du nerf correspon
dement après l'élongation du nerf sciatique. Robertson' (1880) : Un
homme
de quarante-cinq ans souffrait depuis huit anné
ies. Norman Mackintosh3 (1881) : Traction du nerf sciatique chez un
homme
de quarante et un ans souffrant d'une névralgie
ps; il admet, par suite, que les centres thermiques du cerveau de l'
homme
se trouvent à proximité des centres psycho-mote
t ce terme, l'étude de l'élimination de l'acide phosphorique chez l'
homme
sain peut seule nous le donner. Et comme beauco
incurables, c'est avec l'élimination de l'acide phosphorique chez l'
homme
sain en général que nous devrons comparer l'éli
s oscilla- tions quotidiennes que les auteurs ont constatées chez l'
homme
sain, envisagé d'une manière générale. Il est
Pour cela, prenons un exemple parmi plusieurs autres. TABLEAU V.
Homme
bien portant (22 ans) soumis aux conditions ord
iser. La première l'est tout natu- rellement puisque c'est pour des
hommes
sains vivant comme nos malades à l'asile que no
s éloi- gnés, du mois d'octobre 1879 au mois de janvier 1881. Cet
homme
, qui est resté placé pendant toute la durée de no
ndre comme terme de comparaison l'élimination de cet acide chez l'
homme
sain en général. (Voir les recherches consignées
ib... est un lypémaniaque qui s'imagine qu'on va le tuer : chez cet
homme
, l'aliénation mentale est restée très longtemps
. 379 Tableau IX. 380 REVUE CRITIQUE. avec ce qui existe chez l'
homme
sain en général, nous voyons que : l°La quant
o- chons-les de celles que produit le travail intellectuel chez l'
homme
sain. Nous synthétisons dans le tableau suivant c
n degré d'affaiblissement intellectuel. Nous avons étudié, chez ces
hommes
, l'élimination de l'a- cide phosphorique en deh
ant par des paralysies. M. Charpentier. M. Lunier m'objecte que l'
homme
à idée fixe, tombe rarement en démence, cette o
ophe les amenant devant lui; il s'agissait, dans son esprit, de ces
hommes
qui, arrivés à un âge avancé, compromettent leu
e les con- damner. On ne doit pas voir en eux des séniles, mais des
hommes
tombés, parce que n'ayant pas une fortune suffi
oir l'importance de la malformation crâ- nienne et cérébrale de cet
homme
, et protestait hautement contre la prétention s
gulière, un impulsif dangereux, il déclarait aliéné irresponsable l'
homme
qui avait tué dans un accès de fureur pathologi
'état d'Inisdea dans la journée du 13 avril. 11 est certain que cet
homme
avait bu du vin, du rhum à plusieurs reprises d
de vouloir subs- tituer sa propre appréciation aux témoignages des
hommes
qui ont fait de l'étude de la folie l'objet des
scientifiques sur les- quelles j'ai essayé d'arracher à la mort un
homme
que je croyais irresponsable. Jugez-moi à votre
un, observé l'an dernier à l'asile de llildesheim. Il s'agit d'un
homme
de trenle-cinq ans, indemne de prédisposition psy
ignait au chiffre de 1,642 aliénés dans le domaine entier, dont 806
hommes
et 836 femmes. Le chef-lieu seul, la ville de G
imum 80 malades; le jour de la visite deM. liesse, il y avait là 31
hommes
et 24 femmes sous la surveillance de cinq gardi
ctorium2, il est tiii)exé à l'asile fermé à titre d'essai, pour les
hommes
des classes sociales inférieures auxquelspareil t
e fermé. Sur ceux qui vivent dans les familles, il y a deux tiers d'
hommes
, un tiers de femmes. Selon l'occupation et l'ap
gle, guillotine, égorge, fusille toutes les nuits un grand nombre d'
hommes
et que les cadavres sont enlevés soit avec des
M. R ! CHTER'(de Dalldorf) a observé de la surdité verbale chez un
homme
dont, à l'autopsie, lapremière temporale gauche s
its de paramyoclonus de Friedreich dont l'observation concernait un
homme
de cinquante ans ayant été, à la suite de fraye
grises. Présentation de malade par M. BERNHARDT. Elle a traita un
homme
en proie à une paralysie partielle de Irt sensibi
de éprouvant des symptômes qui font supposer de la syringomyélie. L'
homme
dont il s'agit, âgé de trentre-deux ans, n'est
anormaux en avant du sillon de Rolando. L'hé- misphère gauche d'un
homme
affecté de démence sénile, était doté de trois
ne d'elles n'était syphilitique, partout il s'agissait d'individus (
hommes
ou femmes) mariés, 4 femmes avaient eu des enfa
e de la pupille), 2 présentaient de l'atrophie du nerf optique. Les
hommes
tabé- tiques se répartiraient en trois tableaux
, on arrive simplement à 48 p. 100. L'inspection comparative de 100
hommes
affectés de tuberculose pulmonaire et certainem
ne constituent pas les phases ultimes, ainsi que cela a lieu chez l'
homme
? Ceci résulte de la différence de distribution d
ation est destinée à la Deuts- che medicinische Woche7zsclarift. Un
homme
de trente-un ans était hanté par l'obsession qu
. D'après ses observations, il y aurait lieu d'établir que, chez un
homme
complètement sain, pur de toute tare héréditair
sants et dignes d'être consultés sur l'épilepsie, l'hystérie chez l'
homme
et l'idiotie. P. M. INDEX bibliographique Con
employé depuis plusieurs années aux ateliers, et considéré comme un
homme
inoffensif. Nous sommes heureux d'apprendre du
ques, 53. Excitabilité électrique des muscles et des nerfs chez l'
homme
(iu- 454 1 TABLE DES MATIÈRES. fluence du tra
e diagnostic a été confirmé et maintenu. Le nombre des paralytiques
hommes
y étant très élevé, nous n'avons pu les examine
nce alcoolique. Nous avons observé de cette façon 24 femmes et 33
hommes
atteints de paralysie progressive : 28 8 CLINIQ
parole. Iné- galité pupillaire. Contusions multiples. » C'est un
homme
petit, brun, apathique et indifférent. Il a des
ssement intellectuel et physique. Embarras de la parole. » C'est un
homme
de petite taille, bien musclé, apathique et ind
Toutes nos observations ont été prises dans les services de Vallon (
hommes
) et Briand (femmes) à Villejuif. Archives, 2e s
e particulier dans ses antécédents. Ni syphilis ni alcool. C'est un
homme
de taille moyenne. Grand bavard; il énumère d'u
Tout dernièrement,- à propos d'un cas de zona ophtalmique chez un
homme
de trente ans qui présentait six mois après des
s quel- quefois aussi aux troubles trophiques. Les deux services (
hommes
et femmes) de Villejuif, où nous avons étudié n
Dans le service de notre éminent maître M. Magnan, nous avons vu-un
homme
de quarante-six ans, atteint de « porencé- phal
somnie. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » C'est un
homme
de taille moyenne. La voix est basse, hésitante.
II. SUR LES terminaisons NERVEUSES dans la dure-mère cérébrale DE l'
homme
; par V. ACQUISTO et E. PUSATERI. (Riv. di. pat.
er, l'auteur constate quatre fois l'hétérotopie de la moelle chez l'
homme
. Il s'agissait de trois déments séniles et d'un
à la commissure postérieure ; ces dernières, peu développées chez l'
homme
, sont des plus nettes chez le chien, le lapin,
bl., XV, 1$96). Koelliker prétend que chez les mammifères et chez l'
homme
il \ y a dans le chiasma entre-croisement total
iques dans le chiasma. Il est problable qu'il en est de même chez l'
homme
(Schmidt-Rimpler. Deutsche medic. Wochcnschrift
rieure, en sorte qu'on la peut définir : VHistoire naturelle de' l'
homme
délinquant. Pour cette étude, elle puise des méth
t au 80 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. suicide, est la suivante : « Un
homme
étant atteint du désir de se suicider, comment,
de la prophylaxie individuelle et sociale ? Devons-nous laisser aux
hommes
cette idée qu'il est inutile de nous consulter
droit, et dans la couche optique du même côté. Deuxième cas. - Un
homme
, AL ? iî;é de trente-six ans, entra à l'hôpital
les artères, il y avait des thrombus rouge foncé. Deuxième cas. Un
homme
de quarante ans fut placé à l'hôpi- tal à cause
attribuée la différence de durée des paralysies générales chez l'
homme
et chez la femme ? Quant aux terminaisons, on l
ux terminaisons, on les trouve aussi sensiblement différentes : les
hommes
, par exemple, succombent plus fré- quemment que
- lysie générale soit beaucoup plus rare chez la femme que chez l'
homme
alors que les syphilitiques ont autant, si ce n
ilis est, d'une façon générale, plus grave chez la femme que chez l'
homme
; la femme est plus sujette aux gommes, aux néc
a syphilis étant habituellement plus grave chez la femme que chez l'
homme
, il est assez singulier que la para- lysie géné
est réellement d'origine syphilitique, ait une durée moindre chez l'
homme
que chez la femme ; 5° La plupart de nos collèg
ances aggravantes. N'est-ce pas parce qu'il y a plus souvent chez l'
homme
association de circonstances, de causes aggrava
ombreuses à une cause prédominante que la paralysie géné- rale de l'
homme
est habituellement de plus courte durée que cel
est une description faite par le malade lui-même. Il s'agit d'un
homme
de trente ans, vigoureux, bien constitué, qui d
définir mon état qu'en disant que je suis une femme dans un corps d'
homme
. Aussi loin que je puisse me rappeler, je n'ai ja
itais toujours un miracle qui puisse me transformer ! » La vue d'un
homme
beau 136 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. et fort
s ordinaire, ce malade a toutes les habitudes et les instincts d'un
homme
, avec un certain degré d'inappétence sexuelle, ta
les femmes saines d'esprit; puis pourquoi les organes génitaux de l'
homme
ne seraient-ils pas aussi accusés ? C'est que p
plus intense. Les femmes en souffrent beaucoup plus souvent que les
hommes
. Lorsque le début est pré- coce, on l'observe o
cas dont il s'agit est une exception à la règle. Le malade était un
homme
de trente- neuf ans chez lequel les symptômes e
aralysie générale. 3° Cette ten- dance est surtout marquée chez les
hommes
où son accroissement est dix-neuf fois plus con
t dix-neuf fois plus considérable que chez les femmes. 4° Parmi les
hommes
, cet accroissement est deux fois plus fort chez
uante-cinq ans. 6° Cet accroissement atteint son maximum chez les
hommes
mariés, où il est cinq fois plus fort que chez le
plus du reste que le criminel passionnel, un malade. En effet tout
homme
possède en lui un élément endogène qui peut en
des différents processus psychiques sur la pression du sang chez l'
homme
, par Binet et Vaschide; -Période réfractaire da
par les mains ou suffocation; par A. Lacassagne. Il s'agit de cet
homme
trouvé mort dans une malle appartenant à sa maî
ibles. Hésitation de la parole. Tremblement des mains. » C'est un
homme
bien musclé, d'une physionomie apathique. La pa
ion. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. > C'est un
homme
petit, satisfait, content de vivre, parlant de se
ifférente, qui conserve quelques idées confuses de persécution : un
homme
, dont elle a fait la connaissance, s'est introd
. Très légère inégalité pupil- laire. » (Dr Ch. Vallon.) C'est un
homme
grand et maigre, apathique ; il n'a aucune idée
cohérentes de satisfaction. Hési- tation de la parole. » C'est un
homme
grand, blond, bien musclé. Les pupilles sont in
de la mala- die actuelle remonte au mois de juillet 1896. C'est un
homme
gros, congestionné, apathique et inconscient. I
sfaction. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » C'est un
homme
de taille moyenne. Figure apathique et indiffér
action. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » C'est un
homme
grand et maigre. Il nous parle, le sourire aux
ité pupillaire. » Il a eu la fièvre typhoïde à vingt ans C'est un
homme
petit, maigre, apathique et indifférent. Il a q
arole. Inégalité pupillaire. Brûlure à la cuisse droite. » C'est un
homme
de taille moyenne, d'un faciès apathique. Il est
intellectuel et phy- sique très prononcé. Est gâteux. t C'est un
homme
de taille moyenne, gros, bien musclé. Sa figure
ence des fractures chez les paralytiques géné- raux. Il s'agit d'un
homme
de 43 ans, ancien alcoolique, depuis six mois a
s plusieurs examens. Nos malades étaient au nombre de 87, dont 33
hommes
et 24 femmes. Neuf d'entre eux n'ont présenté a
es troubles trophiques de la paralysie générale. Elle existe chez l'
homme
sain, il est vrai, mais d'origine congénitale e
féminin, de même que le diamètre bi-acromial n'est pas celui d'un
homme
de sa taille. Les mains, d'autre part, sont énorm
de rentre-croisement partiel du nerf optique dans le chiasma de l'
homme
et des mamifères supérieurs. Les expériences mult
lement, la décadence de la vieil- lesse, déformant le portrait de l'
homme
et de la femme, efface les signes distinctifs d
ligence et de sentiments puériles; l'efféminé a ceux de la femme; l'
homme
homosexuel est bigot, vain, capricieux, théâtra
'observe pour l'hybride féminin. Les différences psychiques entre l'
homme
et la femme dépendent donc des caractères sexue
pation des femmes, que la femme de cette espèce n'a pas besoin de l'
homme
et qu'elle peut arriv er à s'acquit- ter de tou
et la satisfac- tion érotiques auprès des femmes et non auprès des
hommes
. C'est là un côté extrêmement dangereux de l'ém
elles du prolongement voisin. Des oiseaux au chien, et du chien à l'
homme
, les ramifications en question sont plus nombre
ticales colorables en totalité progresse des animaux inférieurs à l'
homme
. La même méthode rend très distincts les noyaux
de du faradomètre d'Edelmann comparativement chez 682 femmes et 400
hommes
. 1. La sensibilité à la douleur existe au même
s. 1. La sensibilité à la douleur existe au même degré que chez l'
homme
, mais la femme présente une appréhension exagérée
hyperexcitabilité, ou plutôt par l'hyperirrifabilité. Comme chez l'
homme
cette sensibilité est soumise à bien des modifica
Dans l'ensemble on trouve que la femme sent moins la douleur que l'
homme
; elle y résisiste très souvent beaucoup plus q
nt ce mode de la sensibilité. Rien de sem- blable ne se voit chez l'
homme
normal. IL La sensibilité générale subit aussi
Elle se développe plus promp- tement chez la femme aisée que chez l'
homme
; après dix-neuf ans, elle est également dévelop
entmclbl. f. Nervenheill ? XVIII, N.'F. vi, 189ï.) Il s'agit d'un
homme
de trente ans, se croyant persécuté par les fra
os A frigore. GUÉRISON; par A. Rives. (Siglo medico, mai 1897.) `
Homme
, trente ans, pas d'antécédents à noter, après un
, juin 1897.) Cas d'anémie pernicieuse primitive survenue chez un
homme
de vingt-six ans jusqu'alors très bien portant
ectus, est rigoureusement vrai, on com- prend le zèle incessant des
hommes
de science et des sociologues pour la recherche
puisque la raison et la logique ne sont pas toujours le propre de l'
homme
enclin à toutes les faiblesses passionnelles, il
Ce serait une conséquence fatale, mais passagère, de la lutte que l'
homme
se voit obligé de soutenir entre les exigences
ns de l'appliquer. Nous le savons fort bien depuis longtemps : tout
homme
qui boit de l'alcool, croyant qu'il s'alimente,
cool ? L'alimentation phosphato-azotée est à la disposition de tout
homme
qui peut dépenser deux sous pour un verre d'eau-d
n jusque parmi les malades que l'asile devrait protéger. Quel est l'
homme
énergique qui fera des décombres de ces bâtisses-
des spiritueux dans l'organisme humain. Si les économistes et les
hommes
politiques avaient bravement emboîté le pas des h
istes et les hommes politiques avaient bravement emboîté le pas des
hommes
de science, et instruit, au point de vue social
ires est artificielle. D'ailleurs, une passion pousse l'autre. Si l'
homme
n'avait pas l'alcool, qui dit qu'il ne chercher
il est basé sur les sentiments de satisfaction que pro- curent à l'
homme
les moyens de jouissance que peut lui offrir la
eurs défauts et leurs vices et marcher avec la moyenue générale des
hommes
. Il ne faut pas oublier que ceux-là seuls sont
nous commençons à nous entendre'. N'était-ce pas à prévoir, avec un
homme
de votre sens et de votre valeur ? J'ai le regr
us sur des graphiques ont été des plus frappants ! Bien plus, si un
homme
à jeun développe, par exemple, dans une expérie
s de moins en moins, au sur et à mesure que la fatigue survient, un
homme
sous l'influence de l'alcool fournira 7 kilogra
la liberté morale comme un attribut naturel de l'organisation de l'
homme
, suscep- tible d'èlte développé par l'éducation
lité ? « S'il doit être admis que le principe du libre arbitre en l'
homme
est bien une réalité, il ne saurait être que ra
'en faire son critérium suffisant, de ne point porter atteinte en l'
homme
à ce sentiment de ses responsabilités d'où dérive
teste contre l'hypothèse de l'exis- tence de « types criminels », d'
hommes
criminels se distinguant tous physiquement des
riminels », d'hommes criminels se distinguant tous physiquement des
hommes
normaux. Il proteste en consé- quence aussi con
t-il, d'après mon idée, que dans une commu- nauté de loups et non d'
hommes
civilisés que la pénalité peut être basée uniqu
fixent et conservent un plus grand nombre d'images que le reste des
hommes
. Ils évoquent également plus facilement et plus r
le. L'existence de l'inversion sexuelle telle qu'on l'entend chez l'
homme
ne peut pas être prouvée chez les animaux ; il
guère douteux que les conditions différentes de la sélection chez l'
homme
et chez les animaux soit capable d'expliquer ce
sexuelles acquises les animaux se laissent rarement dépasser par l'
homme
. Le plus grand nombre des perversions sexuelle
armi les uranistes virils des catégories, les uns qui recherchent l'
homme
pour ses qualités viriles, soit au point de vue
ent dans un autre mâle une sensibilité plus délicate que celle de l'
homme
oude la femme, d'autres enfin qui aiment le mâl
aît comme morbide ou comme hors de la loi naturelle, peut être un
homme
non seulement inoffensif, mais un homme utile.
loi naturelle, peut être un homme non seulement inoffensif, mais un
homme
utile. ' M. A. Raffalovich. Uranisme et unisexu
sert pas seulement la société en lui donnant des enfants : nombre d'
hommes
des plus utiles à l'humanité ont vécu dans le c
u'en puisse dire cet auteur, il y a une distinction absolue entre l'
homme
hétéro-sexuel et l'homme homo-sexuel, au moins
ur, il y a une distinction absolue entre l'homme hétéro-sexuel et l'
homme
homo-sexuel, au moins au point de vue des chanc
En admettant que l'inversion sexuelle soit aussi fréquente chez les
hommes
remarquables qu'on veut bien le dire, on ne peu
nt chacune des enfants normaux comme elles. Quant au père, c'est un
homme
remarquable autant au point de vue inorpliolo-
de vue inorpliolo- gique qu'au point de vue fonctionnel ; c'est un
homme
d'une intel- ligeuce supérieure. On ne connaît
vées jusqu'alors. Dès l'âge de six ans, il avait plaisir à voir les
hommes
, principa- lement les hommes munis des caractèr
e six ans, il avait plaisir à voir les hommes, principa- lement les
hommes
munis des caractères sexuels accessoires bien m
us, à voix forle ; plus tard, il recherchait l'occasion de voir des
hommes
nus, et ses premières excitations génitales se
ifestés dans plusieurs circonstances où il fut en relation avec des
hommes
dont l'aspect correspondait à ses préférences;
riage, si on ne l'avait pas encouragé à vaincre son instinct. Cet
homme
, qui a quarante-six ans, a tous les attributs de
s de favo- riser l'accomplissement de l'acte sexuel, a été pour cet
homme
une cause de maux irréparables liés à l'infirmi
tion de groupes qui, par la variété de leur délinquence, ont chez l'
homme
plus de chances de frapper l'attention. Obser
on remarquait qu'elle manifestait un éloignement marqué pour les
hommes
jeunes, tandis qu'avec les jeunes filles elle se
règles, qu'elle a commencé à éprouver vis-à-vis des garçons ou des
hommes
jeunes, une gêne pénible, puis une répulsion in
uis une répulsion invincible qu'elle ne sentait nullement en face d'
hommes
plus âgés et en particulier en face d'hommes qu
it nullement en face d'hommes plus âgés et en particulier en face d'
hommes
qui avaient atteint l'âge de son père. Vers la
'est produite au contact de 4 personnes différentes. Le contact des
hommes
lui ÉTUDE DE LA DESCENDANCE DES INVERTIS. 285
le ne s'était jamais senti d'impulsions de ce genre. Comme chez l'
homme
de l'observation précédente, la conscience d'un
droit de s'accoupler suivant leur instinct, ' C'est actuellement un
homme
de soixante-cinq ans, paraissant plus jeune que
re. Père, mort à quarante-cinq ans de tuber- culose pulmonaire. Cet
homme
, très forl, exeiçait la profession de marchand
lée d'un côté par l'industriel, intéressé à la cristallisation de l'
homme
simple et confiant au sein d'une gangue d'erreu
erreurs, héritage d'un vieux passé ; tiraillée d'autre part par les
hommes
éclairés pétris d'al- 1 Voir Archives de Neurol
'est à désespérer, en effet, des enseignements de l'expérience si l'
homme
de l'art, qui passe sa vie au milieu des victim
remier rang dans l'oeuvre patriotique de la tempérance ? Un brave
homme
de prêtre belge, abstinent convaincu d'ailleurs,
ysiologiques, la nutrition et la repro- duction, qui exigent chez l'
homme
une satisfaction complète et dont l'accomplisse
u'elle devenait inquiétante pour ma liberté de conscience. Le brave
homme
mettait pour condition sine qud non de son con-
ition sine qud non de son con- cours ma conversion à ses idées. Cet
homme
incarnait l'esprit et les tendances de tous ses
? Parce que le pasteur protestant est une indi- vidualité, c'est un
homme
à qui sa confession a permis de rester libre et
tre on lui saurait gré. L'alcoolisme n'a nipatrie ni religion; tout
homme
de coeur doit s'imposer de contribuer à son exter
et ne trouve, pour le discuter impartialement, qu'une collection d'
hommes
à la merci d'électeurs intéressés à l'insuccès
stion de l'alcoolisme pour voir immédiatement surgir une légion d'
hommes
en mal d'écrire ou des amateurs de réclame qui no
'est une grande révolution à accom- plir, celle qui doit amener les
hommes
à parler pour dire quelque chose, à conformer l
it à point pour donner une orienta- tion bien déterminée à tous les
hommes
de bien qui depuis quelques années, émus des pr
té, de son développement et de son entou- rage. Si l'on examine l'
homme
vivant dans les états variés de la société, on
et quarante ans et l'affection est huit fois plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme. Les causes ordinaires d'affa
ir discute des expé- riences qu'il n'a pas contrôlées, a refusé aux
hommes
de science l'aptitude pour les investigations h
On sait que l'absinthe, prise à forte dose, produit parfois chez l'
homme
des convulsions épilepliformes et, injectée aux a
ux qu'elle puisse venir en affirmer sous serment la réalité ? 4° Un
homme
peut-il courir des risques d'être accusé d'acti
u'au 13ritisli Muséum. Une notion meilleure des travaux de ce grand
homme
eût évité, selon l'auteur, bien des erreurs à l
n présente, des plus complètes autant qu'intéressante, a trait à un
homme
de vingt-cinq ans qui, jusqu'à l'exposition de
MAYER. Le réflexe abdominal existe à peu près constamment chez l'
homme
sain. Dans les maladies autres que celles du sy
cellerie dans les différentes races humaines. (Les amulettes chez l'
homme
fossile. La sorcellerie dans la race noire. La
méthode anatomo-dinique, viennent corroborer ces résultats. Chez l'
homme
, comme chez le chien, dans les lésions de la zo
, p. 239. ' Séglas. Loc. cit. - LE DÉLIRE MÉLANCOLIQUE. 365 L'
homme
, comme dit Leuret, y perd son unité ; il connaît
e zone marginale, d'environ 10 de largeur, très développée chez l'
homme
, claire, dépourvue de blocs tigroïdes. De même en
substance fondamentale des cel- lules des ganglions spinaux, chez l'
homme
et chez d'autres mam- mifères, Lenhossék, aujou
aire, il présente une st2,iatioz fibrillaire des plus fines. Chez l'
homme
, von Lenhossék n'a pu réussir à poursuivre cett
ar la grosseur considérable de son nucléole, toujours unique chez l'
homme
. Le noyau a, en moyenne de 16 à 20 p.; le diamè
du prolongement. Les cellules des gan- glions spinaux sont, chez l'
homme
, en majorité unipolaires ; leur prolongement à
et en une branche centrale. Les cellules des ganglions spinaux de l'
homme
sont fortement pigmentés. Ces accumulations de
istinctes, considérées dans les deux sexes et en particulier chez l'
homme
, mémoire qui renferme plusieurs observa- tions
écia- tions pronostiques trop sévères. Il ne faut point dire : e Un
homme
qui a la moitié de la moelle sectionnée est un
nt dire : e Un homme qui a la moitié de la moelle sectionnée est un
homme
paralysé pour le restant de ses jours, mais bie
tement indépendant aussi daus la syphilis cérébrale. Il s'agit d'un
homme
de trente-sept ans, sans prédisposition psy- ch
général. Muller de Munich n'a retrouvé la syphilis que 23 fois (17
hommes
et 6 femmes) chez 142 paralytiques généraux (77
23 fois (17 hommes et 6 femmes) chez 142 paralytiques généraux (77
hommes
et 65 femmes). Que les paralytiques généraux so
6 janvier 1898.) Le meurtrier a été arrêté le lendemain. Puy est un
homme
de trente-cinq ans environ, de fortune aisée, d
la première dor- sale chez l'animal, par la première dorsale chez l'
homme
(11 ? Déjerine-Ilumpke).lVlais on discute encor
orte à la discussion un élément qui a l'avan- tage de provenir de l'
homme
. Si l'on jette un coup d'oeil sur la figure ci-
ngénieuse, basée sur la 9)iéta- mérie originelle (des ancêtres de l'
homme
dans l'ordre phylo- génique, de l'embryon dans
ge automatique que se ramène la suite de notre étude. « Lorsqu'un
homme
, dit Albert Maury, est poursuivi par la crainte
nt sur l'esprit et par contre- coup sur les nerfs sensitifs ; notre
homme
craint de voir, d'entendre, de sentir le diable
céphalique des nerfs sensitifs, et tout à coup, un beau jour, notre
homme
voit le diable en personne et entend son ricane
et désignent constamment l'épigastre. « Dans les cas de ce genre, l'
homme
perd la conscience de son unité intellectuelle
pris domicile dans son ventre sous forme d'un gros serpent. a Cet
homme
pousse de temps en temps des cris bizarres, il
rle dans la poitrine, lui indique quelquefois d'avance. Richet. - L'
homme
et l'intelligence, p. 5a0. LE DÉLIRE MÉLANCOLIQ
erve que la non-équivalence des hémisphères cé- rébraux distingue l'
homme
de tous les autres animaux. A. FENAYROU. LXXX
aires. Tout récemment, un auteur anglais, Hunter, a confirmé chez l'
homme
la présence de ces lé- sions cellulaires. Chez
t la même dansles cellules de l'olive et de l'olive accessoire de l'
homme
, et celles de l'olive inférieure du chat. Parfois
ie du tact ; par DUMERS. ' (z\Tettrolord. Centrulbl., XVI, 1897.)
Homme
de cinquante-un ans, ayant reçu, en 1870-71, à la
XVI, 1897.) Le sujet de cette observation est un médecin. C'est un
homme
de soixante-quatre ans, qui, sel la suite d'une
commissaire lui demanda à voir son ordre d'appel. Tout à coup cet
homme
se jeta sur lui, le renversa et lui appliquant un
ose sur la table; mais celle-ci retombe d'elle-même. Effrayé, notre
homme
appelle les voisins à son secours. Ceux-ci cons
Car non seulement ce penchant leur est naturel, maisle contact des
hommes
et la civilisation le dévelop- pent à un degré
soin nous fournir quelques détails complémentaires. Il s'agit' d'un
homme
de 30 ans autrement bien portant. Employé du ch
e vous résumer ;'1 grands traits l'histoire du malade. - C'est un
homme
de 24 ans qui exerce, il Paris, depuis deux mois
n qualité de « leveur de boîtes ». Depuis son séjour à Paris, cet
homme
avait pris l'habitude intermit- tente de dormir
n arrière étaient à peine ébauchés. Enfin, détail significatif, cet
homme
éprouvait une grande difficulté à in- troduire
dant son sommeil. Ce n'était cependant pas la première fois que cet
homme
s'endormait dans cette attitude singuliè- re. S
même par une attitude forcée des deux membres su- périeurs, chez un
homme
ayant vraisemblablement les nerfs circonflexes
tendent, si je puis m'exprimer aussi, vers la régression. Bref, cet
homme
, déjà très amélioré, n'est pas loin de la guéri
e malade avait lui-même remarqué que la nuit il chancelait comme un
homme
ivre. Le signe deJRomberg était très manifeste
5). En général elle est plus intense chez les fem- mes que chez les
hommes
(de 0,05 à 0 mm. 2). Les plus petites surfaces
s cultures pures d'une espèce carac- téristique avec du sang de cet
homme
recueilli après la mort (2). Elles ont été inoc
réveiller plusieurs fois le malade. État actuel (25 octobre 1894).
Homme
de petite taille, très musclé, d'as- pect très
ns dans ses poches et surtout il les en sortir. Lorsqu'on dit à cet
homme
d'essayer de lever ses bras, on ne sent pas sou
e cette opinion (2). .... x La fusion des formes corporelles de l'
homme
avec celles de la femme chez un même personnage
ient voulu faire une image nou- velle participant de la nature de l'
homme
et de celle de la femme. Ils auraient composé u
ément. Tel être, qui par ses attributs sexuels mérite d'être appelé
homme
, aura les formes corporelles propres au sexe fémi
r trop générale. Avec plus de précision, Ahlfeld déclare que : « Un
homme
à seins développés, présentant les apparences d
is volumineux prend grossièrement les apparences d'un pénis, ou les
hommes
chez qui, par suite d'une malformation uréthrale
la femme se trouvaient harmonieusement confondues avec celles de l'
homme
. Nombre d'Hermaphrodites, de Bacchus, d'Apollon
TTAILLE ET C" Éditeurs DEUX CAS D'HERMAPHRODISME ANTIQUE 61 Cet
homme
parlait mal le français; était d'une intelligence
age d'un adulte, mais c'est celui d'une femme plutôt que celui d'un
homme
. Enfin la disposition des poils el de la graiss
auté hybride. Les lignes du corps tiennent à la fois de celles de l'
homme
, de celles de la femme et de celles de l'enfant
observation figure dans les leçons du mardi (1888-1889). C'était un
homme
de 24 ans, qui éprouvait des douleurs très vives
quelques mots, je vous aurai mis au courant de son histoire. Cet
homme
a 27 ans; il a été quartier-maître bord d'un. tor
dans l'étude de la pathologie nerveuse auront déjà reconnu que cet
homme
a été atteint d'une poliomyélite aiguë lombaire
trouvé réalisé chez nos deux premiers malades. Voici par exemple un
homme
qui présente une forme particulière de polynévr
ulière de polynévrite, d'origine indiscutable- ment alcoolique. Cet
homme
avoue qu'il a fait des excès de boisson. Il a d
fs que nous avons constatés chez nos deux premiers malades. Bref, l'
homme
que vous avez devant vous réalise un exemple de
bles trophiques, certains trou- bles des fonctions génitales chez l'
homme
, certaines modifications des re- flexes tendine
habituellement inaperçus, pour des raisons faciles à saisir. Chez l'
homme
, on peut observer la dimi- nution, voire la sup
stérie. Nous ne connaissons pas d'exemple de sein hystérique chez l'
homme
. L'affection hystérique du sein n'est pas très
ion du muscle, sa contraction expérimentale sur les animaux, ou sur l'
homme
, sous l'influence d'excitants variés, autres qu
réciser, cette (1) Extrait d'un ouvrage Physiologie artistique de l'
homme
en mouvement par le Dr Paul Richer, qui doit pa
u muscle, le relâchement, la contraction et la distension. 1° Sur l'
homme
vivant, le relâchement musculaire se traduit exté
i bien exister avec son allongement et son amincis- sement, Sur l'
homme
vivant, il faut donc distinguer la contraction qu
dans un milieu aussi dense que lui. Elle est presque exacte pour un
homme
plongé dans l'eau, pour un nageur par exemple.
st d'un usage extrêmement fréquent dans la mécanique humaine. Que l'
homme
se penche en avant, en arrière ou sur le côté,
fférents modes de réagir des antagonistes peuvent s'observer chez l'
homme
dans le jeu régulier des divers mouvements. Nou
térieurs. Sur des photographies instantanées, qui repré- sentent un
homme
abaissant un. bras pendant que l'autre s'élève et
es, après tant d'autres, que la physiologie du système nerveux de l'
homme
diffère, au moins par certains détails de la ph
ructif. Laissez-moi vous l'exposer briè- vement. ' Il s'agit d'un
homme
de 35 ans, maçon de son métier, indemne de tout
r davantage et j'arrive au fait. Un jour du mois d'août ')8M, noire
homme
était en Irain de ramasser des fruits sons un a
gion des lombes. J'avais oublié de vous dire que, dès le début, cet
homme
avait été pris de constipation et de rétention
se rendre àpied de la Salpêtrière il Courbevoie. En avril 1894, cet
homme
quitte l'hospice et rentre dans son pays. Malgr
rangement avec l'intégrité de la motilité. Vous allez en juger. Cet
homme
se plaint de douleurs subjectives, localisées à
ue l'éjaculalion a eu lieu. En somme, le passé pathologique de cel.
homme
comprend deux pha- ses distinctes. Je neveux pa
uel autre processus pourrait être soupçonné, dans l'espèce, chez un
homme
vigou- UÉMAT0MYÉL1E DU CONE TERMINAL 155 reux
e mesure ]'IL- titude courbée, fatigante et prolongée, qu'avait cet
homme
en ramassant des fruits, peut-elle être incrimi
e spontanément. D'autre part, Schultze (1) rapporte l'histoire d'un
homme
qui; consécutivement à un traumatisme, avait pr
présenté une eschare, de la cystite et de la pyélo-né- pyrite. Cet
homme
succomha sept semaines après l'accident. Or, à l'
te qu'auparavant. Le 11 décembre il entre il l'hôpi- tal. Stalos.
Homme
vieilli, coloré, couperosé, étendu en décubitus d
ite par ). le docteur Tilger, assistant a l'Institut pathologique.)
Homme
de taille moyenne, dont la musculature et le tiss
Par exemple le musée Boymans, à Rotterdam renferme un Portrait d'
homme
(1) signé Carel Fabrilius, qui longtemps fut attr
1L cel intérieur un peu froid : /unë jeune femme, la,nialadcr et un
homme
entre deux'ages,' le 'mé- c1eci11 - debout derr
et la physio- nomie d'un personnage ligoité qu'emportent plusieurs
hommes
, et qui mérite d'être rapproché des figurations
roi entra ensuite pour voir ceux qui étaient il table; et il vit un
homme
qui n'était point revêtu de la robe, nuptiale...
i, comment êtes vous entré ici sans avoir la robe nuptiale ? Et cet
homme
ne répondit rien. 13° Alors le roi dit il ses s
agencement heureux et d'une belle couleur. Au premier plan, deux
hommes
vigoureux, l'un le dos complètement tourné et l
loignés sont vus de face, les autres de dos. Parmi ces derniers, un
homme
pauvrement vêtu se retourne d'un air maussade v
al cependant la nécessité de faire lier les bras et les jambes d'un
homme
pour le mettre il la porto, quand une dizaine de
Or, « le roi étant entré pour voir ceux qui étaient à table, vit un
homme
qui n'était pas revêtu de la robe nuptiale » -
ble, vit un homme qui n'était pas revêtu de la robe nuptiale » - un
homme
qui n'avait rien fait pour mériter le royaume d
ages révolus d'habits magnifiques, il en est d'autres, - tels que l'
homme
qui se retourne brus- quement et sa voisine, la
Nouvelle Iconographie de la Salpêtriè1'e (1). Il s'agissait d'un
homme
de 49 ans exerçant la profession de mégissier,
juin 1894, nous faisions une deuxième autopsie. Il s'agissait d'un
homme
de 59 ans chez lequel la maladie était cliniqueme
trophiques congénitales. L'infantilisme a été surtout décrit chez l'
homme
où il est plus facile- ment reconnaissable. I
s caractères sexuels secondaires qui appar- tiendront en propre à l'
homme
ou à la femme sont chez lui confondus et resten
les saillent au-dessous d'elle, la ,voix devient forte et grave. Un
homme
naît de ce corps indécis. 1 Inversement, si c
éminin participe à la fois des formes de la femme et de celles de l'
homme
, ou plus exactement de celle de l'ado- lescent
lisme chez la femme n'est pas aussi connu que l'infantilisme chez l'
homme
. Il ne semble pourtant pas qu'il soit moins fréqu
e peut exister isolé- ment chez la femme, comme on l'observe chez l'
homme
, en dehors d'au- tres troubles du développement
s caractères se- condaires du sexe masculin (1). Un tel être est un
homme
, un homme (t) Tel un cas rapporté par le Dr Gue
es se- condaires du sexe masculin (1). Un tel être est un homme, un
homme
(t) Tel un cas rapporté par le Dr Guermonprez (
caractérisé par la présence des caractères sexuels secondaires de l'
homme
chez un individu du sexe féminin : largeur des ép
.. L'étude de ces anomalies cllez la femme aussi bien que chez l'
homme
a un double intérêt. Elle conduit à rattacher
re elles une classification. L'intérêt peut porter uniquement sur l'
homme
de l'art : médecin, chi- rurgien, dentiste, apo
lements, de ses larmes même, quand il confie sa mâchoire à l'habile
homme
qui se l'ait fort d'extirper la cause du mal sa
l à lame courbe vers le front de son client. Ce doit être un habile
homme
, car il opère à distance, et à main levée. 11 f
sa tète est planté un grand bonnet mou. L'opéré est un gros petit »
homme
à ventre tout rond, et courtes jambes. Il est a
cle) L. BATTAILLE ET C" LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 249 Ge petit
homme
, bien calé dans son fauteuil de bois, ne semble a
mment, il en parle avec compétence et il obtient l'assentiment d'un
homme
vêtu et capuchonné de vert qui se penche pour reg
ose, avec un bonnet vert, attache un bandage autour de la tête d'un
homme
à barbe rare. Celui-ci, vient de subir une opér
un énorme scalpel, fait une incision sur la tète d'un vieillard. Un
homme
et une femme ridiculement accoutrés assistent à l
l le nom d'un village des environs d'lnvers.- (2) Un bon portrait d'
homme
signé de son nom et daté de 1552 se trouve dans l
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE de l'originalité dans les figures d'
hommes
ou de vieillards, une grande douceur dans les e
ins tels que Van Hemessen a cou- tume de les traiter. Ici, c'est un
homme
, et un vieil homme. Reste à comprendre son atti
messen a cou- tume de les traiter. Ici, c'est un homme, et un vieil
homme
. Reste à comprendre son attitude. Il est possib
sensible qui ne peut rete- nir ses larmes. Van Ilemessen a peint un
homme
prêt à tomber en pâmoi- son, sans doute pour mi
à pignons en escalier et un clocheton. Sur les bords des fossés des
hommes
se promènent en causant, des fem- mes transport
à Anvers où il travailla sous la direction de Pierre Coecke, un des
hommes
les plus érudits de son siècle, peintre, sculpteu
Le Doyen de Ronse, en Flandres (1). Derrière ce haut personnage, un
homme
, à moitié caché, se précipite pour prêter main
peau de l'autre et découvre une tumeur sur son front. « Ah ! pauvre
homme
, semble-t-il dire, qu'avez-vous là ? vite, opér
faute de mieux. De ses cris, le chirurgien n'a cure. C'est un petit
homme
à l'air décidé, vêtu d'une longue houppelande l
ison d'avoir LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 2C3 confiance en l'habile
homme
qui a si merveilleusement réussi cette triple e
un pansement plus complet. Pour se dis- traire, il regarde le gros
homme
qui se débat, sous la tenaille, et il sourit. C
large courroie de cuir qui le fixe au dossier de son siège : avec un
homme
, inutile d'employer un lac rembourré. L'opérate
ntre précipitamment, saluant avec l'air d'un heureux ra- coleur, un
homme
sur le dos duquel est juché un gros moine à figur
e nerveux central. Des lésions analogues ont été rencontrées chez l'
homme
, à la suite de ma- ladies infectieuses. Assurém
dans une leçon faite à l'Hôtel-Dieu, le même auteur (3) étudiant un
homme
de trente-deux ans atteint d'une affection convul
. HA\MOND, Névrose convulsive et rythmique à forme de tétanie chez un
homme
de 32 ans. Progrès médical, nos 6 et 7, 1883. -
x, chutes dans des précipices. Enfin elle se marie à 20 ans avec un
homme
jouissant d'une bonne santé, d'un tempérament c
mes enveloppées de mantes avec des cornettes grotesques et un petit
homme
qui s'empare d'un des pots. Une des fem- mes, d
e en effet un client bien malade : il ne peut même plus marcher. Un
homme
et une femme le transportent à grand'peine, il
la tête, face au public. Chacun peut voir alors sur le front de cet
homme
une tumeur bien ronde et hien saillante dont il
Il n'est pas d'ailleurs le seul comparse de la parade : Un autre
homme
, dissimulé sous la table, puise dans un panier le
anurge. Ne suffit- pas souvent d'un grelot bien attaché au cou d'un
homme
pour entraîner à sa suite toute une foule aveuglé
la paralysie faciale. Une femme arrive, juchée sur les épaules d'un
homme
, hurlant de lou- LES OPÉRATIONS SUR LA TÈTE 297
u loin, les villageois continuent leur vie journalière; plu- sieurs
hommes
transportent des sacs de blé dans un moulin au bo
celles que le charlatan garde en réserve dans ses paniers. Un petit
homme
semble très effrayé de ce spec- tacle et se sau
r la nouvelle venue. - Une vieille femme assise à côté de ce pauvre
homme
lui tient des pro- pos consolants. Elle a dans
ointu, est vêtu à la façon des charlatans du XVII" siècle. C'est un
homme
entre deux âges, portant la barbe en pointe et
loriste incomparable. On a dit de lui qu'il était la peinture faite
homme
. C'est qu'en effet il étonne par la simplicité
du moins ce qu'il importe de laisser croire au patient. ¡ Ce savant
homme
est vêtu d'une grande robe grise, à collet et à l
parfaitement réussi. Il est curieux de comparer le visage de cet
homme
, défiguré par les cris et les contractions doul
osses mains de ' paysans déformées par le travail. Adroite, trois
hommes
. Un debout, au milieu, bien en lumière, coiffé
fait chauffer un emplâtre au-dessus d'un réchaud. Dans le fond, un
homme
sort par une petite porte, emportant un grand p
LA SALPÊTRIÈRE coiffé d'une toque, opérant sur la tempe droite d'un
homme
qui crie très fort et cache ses deux mains dans
ntéressante langueur, avec un si malicieux sourire à l'adresse de l'
homme
de impuissant il deviner la vraie cause de la m
s : ce sont les ho- uoraires du cluirlatau. Pour voir cet. habile
homme
et ses acolytes, les gens du village viennent e
s acolytes, les gens du village viennent en foule. Deux malades, un
homme
, l'oeil couvert d'un bandeau,'et une vieille, t
avec le traditionnel crocodile pendu au plafond. Le médecin est un
homme
âgé, à la figure sévère, coiffé d'un haut bonnet,
tion, et deux jeunes gens qui s'en amusent fort. Le médecin est un
homme
âgé : il n'a presque plus de cheveux, et sans d
lui, hormis le patient qui hurle cle toutes ses forces. Ce pauvre
homme
en effet s'imagine subir une opération terrible :
Le patient semble en avoir un tombereau dans le crâne ! C'est un
homme
du commun, les vêtements en désordre, un linge bl
verte, des badauds qui regardent, s'amusent à peu de frais. Un gros
homme
accoudé rit en fumant sa pipe; deux autres et u
paru mériter d'être publié. Résumé : Atrophie musculaire chez un
homme
de 44 ans avec déformation. Début il y a 18 moi
) au sujet de l'inclinaison des différents segments du corps chez l'
homme
sain dans la sta- tion verticale droite et symé
aine des modifications très notables. On peut diviser le corps de l'
homme
sain en qua- tre segments : tête, cou, tronc et
par la verticale éle,'éedecedernier pointj usqu'au vertex. Cher,l'
homme
normal, 1 axe de la tète est vertical, celui du c
peu en arrière le troncetla tète. Le schéma obtenu en traçant sur l'
homme
sain les axes des différents segments du corps,
gueur dé la distance en question, mais dans le même sens que chez l'
homme
sain (Fig. 71). Fic;. 11. Il ne faut pas oubl
être mortelles. « Pour ma part, dit-il, j'ai vu jusqu'à ce jour six
hommes
dont une notable partie de la substance du cerv
malade en traitement : « or Aristote dit que de tous les animaux, l'
homme
est FIG. 86, 8 i, 88. Les instruments de la tré
otre curiosité en suspens, je vous dirai de suite qu'il s'agit d'un
homme
qui a reçu, il y a quelques mois, un coup de co
Il y a donc lieu de supposer que l'attentat dont a été victime cet
homme
a eu pour conséquence une hémi- section de la m
ection-de la moelle, chez les mammifères; D'avoir montré que chez l'
homme
, les lésions, traumatiques ou autres, qui about
ct, de chatouillement, de douleur, etc. Journal de physiologie de l'
homme
et des animaux, 1863, t. 6, p. 124, 232 et 581. .
ui constituent un tout si caractéristique, vous les observez chez l'
homme
, lorsqu'une moitié de la moelle est interrompue
au triple point de vue déjà mentionné. 4 F. RAYMOND Messieurs, l'
homme
que vous voyez couché sur ce lit, est âgé de 28 a
parfaite ressemblance qui éclate entre le syndrome présenté par cet
homme
, et le syndrome, dont je vous énumérais tout à
N'est- ce pas le cas de dire que l'attentat dont a été victime cet
homme
équivaut à une véritable expérience de physiolo
teté, il la suite d'une hémisection traumatique de la moelle chez l'
homme
. A ce propos, laissez-moi vous signaler une err
i attiré l'attention il y a deux ans sur l'existence fréquente chez l'
homme
sain d'une inflexion latérale droite de la colo
sans squelette. Fig. 2. - Amèle imparfait (musée de GoeUingen) :
Homme
privé de mem- bres ; les deux inférieurs sont r
a figure 2, dessinée d'après une planche de Forster, il s'agit d'un
homme
d'un certain âge, privé totalement de bras mais
conformation squelettique des anomalies digitales. Il s'agit d'un
homme
de 31 ans, employé à ]'Hospice de la Salpêtrière,
a moin- dre gêne. D'ailleurs, la symétrie est si parfaite que cet
homme
semble normal dans son anomalie, et, si l'on n'
Recherches sur quelques conformations monstrueuses des doigts de l'
homme
, C. n. de l'Acad. des sciences, p. 13î, 1770. 4
ois : . « Il se fit une quatrième guerre à Geth, où il se trouva un
homme
d'une taille' extraordinaire qui avait six doig
vingt'-quatre doigts, et qui était de la race d'Arapha (1). i Notre
homme
de la Salpêtrière pourrait, à la stature près, ri
intérieur d'Etuve au XVIe siècle (3). « Dans une salle de bain, un
homme
nu, couvert d'ulcères et d'emplâ- (1) Voy. Hist
Allemagne, jusqu'au XVII° siècle, aucun artisan ne prenait un jeune
homme
en apprentissage sans une attestation portant qu'
lier la momie oumumie, la salive, l'urine, le sang, la graisse de l'
homme
, et jusqu'à ses excréments ! On imagine aisémen
etenons que les détails originaux de ce document. Le Barbier est un
homme
encore jeune, à cheveux noirs, longs et bou- cl
s sont groupés. Ici l'on rase et l'on taille barbe ou cheveux. Un
homme
assis, le haut du corps entouré d'une serviette,
x ; une écharpe passée au- tour du cou soutient le membre malade. L'
homme
attend son tour de barbe : sa visite était à de
en vedette sur son perchoir. Au-dessus, par une petite lucarne, un
homme
passe la tête et regarde curieusement. C'est un
r'ouverte nous laisse voir l'intérieur d'une arrière-boutique où un
homme
, tournant le dos, semble occupé à piler des drogu
e Buda-Pest se retrouve chez le Pédicure de Brouwer, à Vienne, et l'
homme
, vu de dos, qui pile des médicaments dans l'arr
E 69 « Un chirurgien de village fait une opération sur le pied d'un
homme
âgé. Une vieille femme et un jeune garçon regar
t sa jambe entre ses mains croisées et se penche en avant. C'est un
homme
âgé, rasé de frais, la figure creusée de rides,
a maison qu'il introduisit souvent dans ses parodies, rhabillant en
homme
, le faisant peindre ou jouer du violon. Nous re
atisfaction opératoire. , Voici l'histoire du cas : M... était un
homme
robuste de 28 ans, exerçant facilement son métier
ale... quelque kyste peut-être ? . La céphalée persistante dont cet
homme
se plaignait n'est guère le fait de l'épilepsie
uvait suspecter aucune altération thoracique ou pulmonaire chez cet
homme
robuste et sain. Et de fait, les viscères étaient
ontracture hystérique survenue à la suite d'un traumatisme, chez un
homme
fort et vigoureux, jusque-là bien portant,et si
ne et de mobilité nous n'avons relevé aucun détail intéressant. Cet
homme
n'a jamais été malade. Il n'a jamais eu de mala
et de la dyspnée. Durant le premier mois qui suivit l'accident, cet
homme
éprouva un peu de gène dans la marche. Cette gè
la douleur dorsale et a l'attitude vicieuse du tronc. Lorsque cet
homme
vient, en mars 1895, consulter à la Salpêtrière,
ars 1895, consulter à la Salpêtrière, on constate qu'il s'agit d'un
homme
vigoureux, bien musclé, ayant toutes les appare
manifestement tendus et raidis. Les muscles abdominaux qui, chez un
homme
normal, dans l'attitude du malade seraient dans
, se trouve un Pédicure de Brouwer traité un peu différemment. Un
homme
à cheveux rouges, assis sur une chaise boiteuse,
à droite, par une porte entr'ouverte, on voit un laboratoire où un
homme
, gros et court, tournant le dos, prépare des drog
s objets de pansement. « Au fond et à gauche, dans une officine, un
homme
vu de dos pile des drogues dans un mortier. »
ssuré qu'il ne s'arrêtera pas pour si peu dans sa besogne. C'est un
homme
entendu, portant le petit bonnet bordé de four-
n oignon, au'niveau de la racine du gros orteil. Le malade est un
homme
entre deux âges, solide et vigoureux, de mise s
um, Amsterdam. ; « J'ai vu autrefois, écrivait Dionis vers 1707, un
homme
, à Paris, qui, se promenant toute la journée da
222. LES PÉDICURES AU XVIIe SIÈCLE 141 Voici l'art véritable de l'
homme
Qui peut extraire les cors aux pieds et les dur
nnages sont copiés sut' la réalité, mais ici l'animal a supplanté l'
homme
. A gauche, au premier plan, un singe, vêtu de r
rarement. Les singes, en particulier, par leur ressemblance avec l'
homme
, se prêtent merveilleusement à ces fan- taisies
de l'intervention. Nous avons ensuite opéré sur l17 ataxiques : 39
hommes
et 8 femmes. Disons, tout d'abord, que nous n'a
t-André de Bor- deaux dans le service de M. le Dr Rondo ! . " Cet
homme
, âgé de 37 ans, mordu le 22 février 1896, traité
iques, après une incubation de 15 jours. La moelle cervicale de cet
homme
a fait l'objet de nos recherches. Après fixatio
que les lésions soient beaucoup plus accentuées dans la moelle de l'
homme
que dans celle des animaux. Dans notre cas, la
vite saisir l'intérêt est relative à l'expression clinique : chez l'
homme
, victime d'un attentat, comme chez l'animal uti
rome classique. Voyons donc comment les choses se présentent chez l'
homme
. Pour vous édifier à cet égard, je vais passer
ui où la lésion occupait le niveau le plus bas. Le fait concerne un
homme
qui avait reçu un coup de couteau dans le dos à u
peut être mise en parallèle avec la précédente. Elle se rapporte à un
homme
qui avai été atteint d'un coup de sabre, entre
rmi (1) à mettre en parallèle avec la précédente : Elle concerne un
homme
qui avait reçu un coup de couteau 4 4 centimètr
précieux sur le degré d'alimentation dont sont susceptibles, chez l'
homme
, les troubles sensitivo-moteurs consécutifs à u
é se sont dissipés relativement très vite. Au bout de sept mois cet
homme
était complètement rétabli, à cela près qu'il t
ont pas été envahis parles troubles sensitivo-moteurs qui, chez cet
homme
, se sont montrés à la suite de deux entailles qui
ipée la paralysie de la vessie. Vingt-cinq ans après l'attentat cet
homme
a fait l'objet d'un examen mé- dical minutieux
ofesseur Erb, le D'' Hoffmann, de Heidelberg (2) ; elle~concerne un
homme
de 50 ans chez lequel, jours après l'attentat,
moelle. L'autre observation, publiée par Albanese (2), concerne un
homme
de (1) Vix. Correspondenzblatt der oel'zllichen
e à pro- voquer une étude palhogénique intéressante. Observation.
Homme
de 50 ans, de bonne et robuste constitution, ha
'aspect général est celui de la main que creuse volontaire- ment un
homme
qui veut y recueillir un liquide, sont tendus et
ral. C'est la position du foetus dans l'oeuf'; c'est la position de l'
homme
fatigué, courbé sous le poids d'un fardeau, d'u
qui s'est basé surtout sur des cas de fractures cons- tatées chez l'
homme
et ayant été suivies de paralysies. Dans le table
C). Le malade se trouve ainsi dans la posture, assez bizarre, d'un
homme
qui fait effort pour soutenir et soulever un fa
caractériser la forme bénigne de la névrose tiqueuse. Donc, notre
homme
n'est atteint ni de chorée de Sydenham, ni depara
rre le Grand dont Frédéric de Prusse disait qu'il était un des deux
hommes
les plus singuliers de son siècle. » Le mouve
tre atteint ni de chorée de Sydenham, ni de maladie des tics, notre
homme
présente cette variété de mouvements choréiques q
nnées à notre cas particulier et tâchons de classer le tic de notre
homme
. Ce n'est pas un simple tic bulbomédullaire, ca
us avons bien mis la chose en évidence chez notre malade. Quand cet
homme
veut supprimer son tic, il y arrive dans beaucoup
sept à. huit kilos sur le même dynamomètre. Volontairement, notre
homme
maintient sa tète avec une force de un demi-kil
notée de sept à huit kilogrammes sur le dynamomètre. Donc, notre
homme
a bien un tic que Brissaud qualifierait de mental
e maladie de l'habitude (Gewolm- heitskrankheit). ' Comment notre
homme
a-t-il pu prendre l'habitude de faire le mouve-
fférent à la forme du tic. rc 1 Il est en effet curieux que notre
homme
réalise précisément dans son tic le mouvement q
d il voudra le faire, pour soulever son far- deau, tandis que notre
homme
qui présente un spasme post-professionnel, fait
ient été la cause exclusive ou seulement principale du tic de notre
homme
, il se serait développé au TIC DU COLPORTEUR 23
e été jusqu'à prétendre que les eunu- ques sont plus grands que les
hommes
entiers. Voilà une pure fantaisie. Ceux qui l'o
ATEUX 251 et qu'il avait déjà en 1891 émis l'hypothèse que certains
hommes
« à type infantile » étaient à tout prendre des
e sur un appareil spécial. 2° Juvénilité persistante, telle qu'un
homme
de 30 ans paraîtra n'en avoir que 18 ; 3° Var
. 10). Ce garçon de 17 ans que j'ai fait photographier il côté d'un
homme
de 29 ans, est, comme vous en pouvez juger du pre
nomme lui-même mais non plus un enfant. Il n'a pas la taille d'un
homme
et il est proportionné comme un hom- me. Il n
avec la pre- mière : c'est une juvénilité persistante, telle qu'un
homme
de 30 ans pa- raitra n'en avoir que 18. Voici
n homme de 30 ans pa- raitra n'en avoir que 18. Voici, non pas un
homme
, mais une femme de 30 ans qui a conservé les ap
activité génitale ; voilà tout. Et il en est exactement de même des
hommes
chez qui le prétendu infantilisme en question ne
a glande. Il y a mieux encore. Nous savons que glande thyroïde de l'
homme
se compose de deux tissus, l'un thyroïdien, l'a
es et les .1J(t1'athyroides. Les deux tissus sont juxtaposés chez l'
homme
etpeut-être même si com- plètement mélangés que
ueux développé sur le trajet du huitième nerf intercostal gauche.
Homme
âgé de 30 ans, bien constitué, ne présentant aucu
. 3° Enfin un petit groupe isolé légèrement supérieur. Chez cet
homme
le naevus suit nettement le trajet des deux filet
ur la branche récurrente latérale . du 7e nerf intercostal droit.
Homme
de 28 ans. Bonne constitution ; aucune autre anom
52 cas publiés, réu- nis par Galewsky et Schlossmann, on trouve 23
hommes
et 22 femmes. Dans la même statistique, on voit
contre chez des dégénérés (4). 1) Ch. Darwin. La descendance de l'
homme
, 1873, t. I, p. 21. (2) Cu. Fritz. La famille n
ante de l'épaule ; atrophie musculaire. Pic..., soixante-dix ans,
homme
, hôpital Hérold, salle B, ne 23. Aphasie. Monop
de l'épaule et du poignet. Atrophie musculaire (PI. XXX). Cho...,
homme
, soixante-deux ans, hôpital Hèrold, salle A, n° 1
tions du membre supérieur. Atrophie musculaire ; adipose. Luc...,
homme
, soixante et onze ans, hôpital Hérold, salle C, n
ymptomatologie de 1 hémisection -- traumatique de la moelle, chez l'
homme
. Vous avez acquis cette convic- tion qu'à quelq
stance, dans les cas d'hémisection traumatique de la moelle, chez l'
homme
. D'autre part, considérés au point de vue de l'
t que, clans un cas d'hémisection traumatique de la moelle chez ! :
homme
, le syndrome de Brown-Sequard peut ne se consti
vations contenues' dans le mémoire de Neumann (1). Elle concerne un
homme
qui avait reçu un coup de couteau à la nuque et
avait de plus en plus de peine à mouvoir. Peu d'instants après, cet
homme
succomba aux suites d'un oedème pulmonaire. L'a
- per grossièrement, si vous vous représentez les choses ainsi : Un
homme
SUR UN CAS 1)'IIÉMISECTION TRAUMATIQUE DE LA MO
E DE LA MOELLE 309 - qui a la moitié de la moelle sectionnée est un
homme
paralysé pour le restant de ses jours. Non pas.
d'un certain nombre d'exem- ples d'hémisection de la moelle chez l'
homme
, vous avez été frappés, Messieurs, de ce que l'
61. (9) Chomel, Observation sur la coloration noire de la peau d'un
homme
naturelle- ment blanc. Bull. de la faculté de m
t du genou, oedème du membre inférieur masquant l'atrophie. Ler...,
homme
, soixante-seize ans, hôpital Hérold, salle B, n°
em- bres supérieur et inférieur avec atrophie généralisée. Perr.,
homme
, soixante-sept ans, hôpital Hérold, salle B, ne 4
au lit, arthrite de la hanche et du genou, amyotrophie. E. Laq...,
homme
, cinquante-cinq ans, hôpital Hérold, salle B, n°
membre. Absence d'ankylose et d'atrophie. Cor..., trente-neuf ans,
homme
, hôpital Hérold, salle A, n° 1. En 1879, si- ph
atrophie ni arthrite. Mobilisation du membre supérieur. Chai...,
homme
, soixante-cinq ans, hôpital Hérold, salle 6, n° 8
e, atrophie du premier espace interosseux et du thénar. Mart. M...,
homme
, soixante-cinq ans, hôpital Hérold, salle A, n, 5
écentes auraient amené la découverte de six nouveaux cadavres, deux
hommes
, une femme, et trois enfants. Kovalioff nie les a
leur naissance, non seu- lement les protégea contre les injures des
hommes
, mais leur permit de se livrer aux pli", exacti
it l'âge d'or des poux. Cependant, dès la plus haute antiquité, les
hommes
ont déclaré la guerre aux poux. Au Moyen Age, l
piedz. Et sans doubte cestuy mauvais ver est créé de la chair de l'
homme
: mais toutesfois c'est invisiblement, et sont au
yent pas souvent. - « LES opérations DU POUIL. » » HALY. -Quant l'
homme
pèlerin ou autre aura des pouilz,soit vif ar- g
se.chauffent trois paysans. Au premier plan, dans la lumière, un
homme
assis pouille un tout jeune enfant, qui se tien
t de rendre Famé. Et, le sourcil froncé, pinçant fort les lèvres, l'
homme
s'apprête à occire un nouvel ennemi (Fig. 4). '
plète qu'aux mains seulement. Il est curieux de re- marquer que les
hommes
seuls héritaient de cette anomalie : toutes les
bsence d'atrophie, la diminution de la puissance génésique chez les
hommes
, l'aménorrhée chez les femmes, la torpeur intel
laissant toutefois de 20 centimètres plus grand que la moyenne des
hommes
de son pays. Gigantisme d'abord, acromégalie en
o Breyner. A côté, nous avons fait figurer le contour.delamain d'un
homme
de très grande taille (1 m. 93), âgé de 32 ans,
ain du géant acromégale de Lisbonne (tig. 1). Fig. 3. Main d'un
homme
de très grande taille (1m93). Fin. 4. Main
Main d'un homme de très grande taille (1m93). Fin. 4. Main d'un
homme
de taille moyenne (lm70). DE L'ARTHROPATHIE N
elle à l'envers ». Ajoutons que ces fugues de l'imagination chez un
homme
instruit et intelligent avec retour immé- diat
ental, c'est-à-dire qu'il a des caractères de « psychisme». « Notre
homme
,ajoute M.Grasset, a bien un tic que Brissaud qu
n troisième malade adressé à M. Brissaud par M. Chauffard, était un
homme
de 32 ans névropathe à antécédents héréditaires e
TRAITEMENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 4H canes de famille ; notre
homme
en fut très affecté... et il but davantage ; sa
'un certificat d'in- firmité qu'il est venu nous demander. C'est un
homme
de forte taille, 1 m. 95. On remarque tout d'ab
avancé' sans être forcé de s'arrêter. l' .. Socialement c'est un
homme
dépourvu de toute espèce de propriété. Il dit l
reux, en souvenir de cette parabole de l'Évangile où Jésus parle d'un
homme
du nom de Lazare qui venait à la porte du mauva
Lèpre étant regardée comme l'affection la plus re- doutable pour l'
homme
, comme le mal devant qui les plus pitoyables hési
tiée, et enveloppée d'une bande, un enfant aux bras atrophiés qu'un
homme
porte sur ses épaules : figuration probable d'un
inerte, les yeux convulsés : image de la léthargie hystérique, - un
homme
qui lève en l'air son bras au bout duquel la ma
x, pauvre misérable, honni, redouté, méprisé, abandonné de tous les
hommes
, et ne pouvant conserver d'espoir qu'en un miracl
sant des aumônes aux pauvres. Aux pieds des Apôtres est couché un '
homme
qui semble inanimé ; derrière, au 2e plan, un vie
tre,pres- que caché, s'appuyant sur un bâton. Au premier plan, un
homme
en vêtement bleu est à demi étendu par terre,
une homme à demi-nu semble plutôt un vieillard, ou tout au moins un
homme
d'âge mûr, chauve prématurément. Les deux fidèles
aux malades et aux pauvres. Sur l'une de ces fresques est figuré un
homme
presque entièrement nu, vu de dos, auquel un per-
utanée qui est peut-être la Lèpre. Derrière ce malade, à droite, un
homme
presque chauve, mais pourvu d'une large barbe,
portant d'autres pains et un broc rempli de boisson. A gauche, un
homme
de belle allure se tient debout sur les marches
des- cription-de la peinture est un peu inexacte. « En outre d'un
homme
barbu, dit-il, dont le visage, et principale- m
Celui-ci que Virchow croit à tort être du sexe féminin, est bien un
homme
d'un âge mûr, dont la tête est en effet recouvert
linge ou d'un emplâtre. Derrière lui, on distingue la figure d'un
homme
barbu à la chevelure hirsute, le front garni de
lieu au bubon pesteux. 460 HENRY MEIGE Derrière cette femme, un
homme
est debout, le torse presque nu. Une écharpe pa
lheureux : une femme décharnée tenant un enfant entre ses bras ; un
homme
demi-nu, la face et le crâne couverts de plaies s
un dessin en couleur, datant de l'année 1523, représentant un jeune
homme
d'environ 20 ans, vêtu suivant la mode de l'époqu
s prison- niers. Parmi les mendiants qui reçoivent des habits, un
homme
est vu de dos, à demi-nu ; il a perdu le pied d
: une femme qui tient entre ses bras un enfant presque nu, et deux
hommes
dont l'un, assis par terre, vu de dos et musclé
que rien ne la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les
hommes
de science et de bonne volonté se réunissent, com
es. Je te conjure par la vertu et sagesse de l'adorable Jésus Dieu et
homme
tout ensemble, et qui a souffert mort et passion
le. Les nègres reconnaissent à l'empreinte du pied s'il s'agit d'un
homme
ou d'une femme, si la personne est jeune ou vieil
Le courage, est, en effet, très estimé dans ces pays au point qu'un
homme
qui n'est pas courageux est indigne du mariage. U
ses de toux répétées, incessantes, qui sembleraient devoir fatiguer l'
homme
adulte le plus vigoureux. C'est là un caractère q
nt d'une voix aiguë et inharmonieuse les couplets de l'Ave Maria. Des
hommes
des champs, endimanchés, les accompagnent, encadr
e, les membres décharnés, incapable de faire un mouvement et que deux
hommes
soulèvent avec d'infinies précautions. Puis, c'es
âge et quelque néoplasme abdominal. Mais la foule s'écarte devant six
hommes
qui portent en cadence, à pas lents et comptés, u
côté de la statue de la Vierge. Arrivent encore des retardataires, un
homme
dont tout le bras gauche est oedématié par quelqu
e? Dans d'autres rêves, ce sont les dieux de l'Olympe ou les grands
hommes
divinisés qui apportent ces révélations, ainsi qu
es. • Passons maintenant au contenu de celte sorte de rêves. Un
homme
a, il y a quelques années, payé une forte somme q
ux grands suisses et un porte-bannière, débouche une double colonne d'
hommes
portant des cierges allumés : les uns passent à g
illet. droite, le long des malades, lentement, tous chantant. Les
hommes
succèdent aux hommes : des centaines s'écoulent.
long des malades, lentement, tous chantant. Les hommes succèdent aux
hommes
: des centaines s'écoulent. Et puis ce sont des p
e blanc. Ils s'avancent au milieu de l'esplanade, suivis de groupes d'
hommes
portant les bannières et les drapeaux, pendant qu
encensoirs d'or. Les ombrelles se ferment, les chapeaux s'ôtent, les
hommes
avec leurs cierges, les prêtres en soutanes, les
es comptes rendus du Congrès de l'hypnotisme auquel ont collaboré les
hommes
les plus compétents sur la question de l'hypnotis
que que nous avons été particulièrement heureux d'apprécier chez deux
hommes
qui représentent avec autorité la psychologie dan
comme avec les variabilités individuelles ; aussi contemple-t-il les
hommes
et les choses d'un œil équitable et tolérant. I
iaient qu'une chose, c'est que leur situation était un peu celle d'un
homme
qui tenterait de s'enlever lui-même; en prenant s
nce de la physiologie animale avait déjà rendus à la physiologie de l'
homme
, et nous voyons maintenant le muséum d'histoire n
est notre maladie naturelle et originelle... « c'est par vanité que l'
homme
s'attribue des conditions divines, « qu'il se tri
hose publique, à l'administration d'un pays, à l'art de gouverner les
hommes
, puissent prendre ici des leçons. A l'heure où
Par M. le Dr Wynaendts Francken, de la Haye. Ce n'est pas chez l'
homme
seul que se manifestent les phénomènes de l'hypno
ent déjà connus longtemps avant que l'on eût fait de l'hypnose chez l'
homme
, l'objet de recherches scientifiques. Quelques sa
gard du dompteur arrêté sur les bêtes féroces ; de même il arrive à l'
homme
de se sentir paralysé par la crainte, au point de
lepsie et l'hypnose. Par exemple, il avance que l'hypno-tisation de l'
homme
devient plus facile si on la répète, tandis que s
la très grande complication du mécanisme psycho-physiologique chez l'
homme
. Il fit remarquer que l'élément de l'angoisse ou
mont - (1577-1644) (1) Par M. le Dr Meunier, de Pontoise I. — L'
homme
;Neurasthénie et Hallucinations . Jean-Baptiste
lira Paracelse, qu'il trouvera très obscur, mais qu'il admirera comme
homme
, dont il subira l'influence, tout en combattant s
nous permettra d'apprécier plus loin. Pour le moment, revenons à l'
homme
, à son état nerveux, à ses crises, à ses hallucin
e hystérique. Nous allons maintenant examiner ce que l'œuvre de cet
homme
présente de plus saillant, ce qui l'a recommandé
LIÉBEAULT, Ambroise, Auguste, docteur en médecine, médecin modeste et
homme
de bien, qui ouvrit une ère nouvelle aux sciences
ui bat la chaise parce « qu'elle lui a fait mal ». On ne rit pas de l'
homme
adulte quand il parle de l'esprit qui fait tourne
cin et non les Ecoles. Le médecin est l'intermédiaire entre Dieu et l'
homme
. Le médiateur entre le principe de la vie et la m
ad. Littré, I, 4) : « Mais les choses sacrées ne se révèlent qu'aux
hommes
sacrés, et il est interdit de les communiquer aux
l'artiste fit chastement nu, fut adoré dans cet état par la foule des
hommes
. Alors chacun pouvait admirer la déesse dépouillé
terreur de l'enfer la préoccupe, elle verra des Démons effrayants. Un
homme
voluptueux verra des tableaux érotiques, par exem
nte de la mort, (1) Définition de l'hallucination par Esquirol : un
homme
qui a la conviction entière d'une sensation actue
amant. Une jeune fille est réveillée souvent pendant la nuit par un
homme
qui abuse de son corps; elle ne l'entend jamais v
ins ouvrant l'organe génital, on la voit soupirer et se pâmer sous un
homme
qu'elle nous dit sentir; notre présence ne la tro
cier y fraternise avec un berger, et c'est un archer, c'est-à-dire un
homme
de la police qui groupe tout ce monde. Ici comm
dans l'obscurité pendant sept jours. Chez les juifs, à Marrakesh, l'
homme
qui a été mordu doit, après avoir écrit sur la pe
lade, après avoir gardé quelques instants la môme attitude immobile d'
homme
endormi, ouvre les yeux avec une impression d'éto
Ajax se déclarant indigne désormais de l'assistance des dieux et des
hommes
, cette tristesse farouche va aboutir, comme c'est
, pour hériter de ton pouvoir et de ton palais. Voilà ce que dira cet
homme
irascible, ce vieillard morose q'un rien fait ent
ourait sa demeure en tous sens. Se précipitant dans la chambre où les
hommes
prenaient leur repos, il dit qu'il est arrivé dan
dent Loubet ? A part cette frasque c'était probablement un très brave
homme
. En fait, le vrai collectionneur n'est pas « Mo
aller cacher « dans quelque solitude, mais la crainte d'y trouver des
hommes
me « retenait. J'offrais à la Sainte Vierge la pe
ssa. Jésus me dit : « mon divin cœur est si rempli d'amour « pour les
hommes
et pour toi en particulier, que ne pouvant plus c
scolastique. Il est temps que les juristes sachent aussi ce qu'est l'
homme
, ce qu'est l'homme criminel et ce qu'est l'aliéné
t temps que les juristes sachent aussi ce qu'est l'homme, ce qu'est l'
homme
criminel et ce qu'est l'aliéné. Ce n'est qu'alors
justice deviendra vraiment scientifique, lorsque la connaissance de l'
homme
et des données scientifiques et naturelles seront
re, plus généreuse à leur égard qu'elle ne l'est à l'égard des autres
hommes
et en particulier des médecins, vont encore plus
otisme et la suggestion ». Ils ne sont pas mieux doués que les autres
hommes
, mais certains de leurs malades comme certains de
roit. Comment interpréter ces faits? Beaucoup vous diront que cet
homme
n'est aussi facilement hypnotisable que parce qu'
es Papous et les Canaques comme le premier chaînon de la bête et de l'
homme
; leurs chefs guerriers furent des suggestionneur
Lampes. A ces solennités on a vu, suivant Hérodote, plus de 700.000
hommes
et femmes, sans compter les enfants ; on s'y rend
t femmes, sans compter les enfants ; on s'y rendait en foule par eau,
hommes
et femmes péle-mèle et chaque famille dans sa bar
ance du rythme qui domine: des femmes font résonner des crotales, des
hommes
accompagnent de la flûte et le reste de la multit
n certain orgueil, les exploits de son fils soulevant des poids qu'un
homme
mûr aurait eu beaucoup de peine à remuer. Je pr
'alimentation. Inversement, le manque d'aliment (faim) produit chez l'
homme
sain certains troubles légers; chez certains dysp
certains animaux une apparence moniliforme très significative. Chez l'
homme
, elle peut être considérée, dit Debierre, comme f
t Parisien que cet état se développa. La secousse fut si vive que cet
homme
tomba à terre et ne put se relever qu'à l'aide de
nous constatâmes à notre visite : Intelligence peu développée, — cet
homme
sait à peine lire et écrire. Il est manœuvre, il
and nombre de femmes jeunes ou vieilles, et aussi à un grand nombre d'
hommes
atteints de la même maladie. Ce que l'on raconte
certains ouvrages du commerce secret des incubes avec des filles, des
hommes
, des chérubins avec des dévotes, des génies avec
ie et tremblement hystériques (1) par M. le professeur Raymond. Cet
homme
est âgé de 38 ans. Son père était un alcoolique q
un alcoolique qui a présenté des accidents paralytiques. Lui, est un
homme
replet, avec un gros ventre; il a été refusé au s
térique. Ces attaques sont des attaques d'apoplexie hystérique. Cet
homme
perd entièrement connaissance ; il est brutalemen
leur force musculaire et les réflexes sont normaux. Pour guérir cet
homme
de son tremblement il faudra rééduquer sa motrici
ns nos recherches sur l'hypnotisme et sur l'influence qu'exercent les
hommes
les uns sur les autres, nous sommes amenés à cons
e de ses parrains. Je me fais donc un devoir de rappeler les noms des
hommes
éminents qui, dès la première heure, ont donné le
que rien ne la rebute. Souhaitons que cet exemple soit suivi, que les
hommes
de science et de bonne volonté se réunissent, com
ans son curieux Livre de la jungle nous fait presque regretter d'être
homme
par les beaux récits qu'il est allé chercher au c
trer la nature des animaux, nous cherchons leurs ressemblances avec l'
homme
, nous nous appliquons à découvrir chez eux une in
i que l'on arriverait à mieux comprendre ce qu'il y a d'animal dans l'
homme
, bien mieux en tout cas que par l'étude exclusive
sances et les idées sont de beaucoup supérieures à celles de certains
hommes
. » Ou bien encore : « J'ai vécu pendant longtemps
on, et j'ai vu que la morale des loups pouvait éclairer sur celte des
hommes
, » Par tous les faits qu'il observe avec tant d
e et du sens moral des animaux. » Voilà donc un fait observé par un
homme
de haute valeur, mais qui n'en reste pas moins un
tie de la psychologie : c'est que l'animal n'est pas plus séparé de l'
homme
par son esprit que par son corps; c'est que la pe
quence singulière, nous som-mes conduits, en outre, soit: étendre à l'
homme
l'automatisme des bètes, soit à chercher dans les
s, dans une forteresse où d'ailleurs elles ne gêneront que bien peu d'
hommes
de science. Mais, d'une façon générale, affirme
e qui nous touche de plus près, la vie, la nature et la destinée de l'
homme
, ses origines et ses fins dernières. Vous le sa
nier l'existence, tant le merveilleux a toujours séduit le cœur de l'
homme
! C'est par un semblable processus mental que l
nomène remarquable et qu'on retrouve dans la colonne neuronienne de l'
homme
. (à suivre) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHO
e bons états psychologiques pour étudier l'activité automatique. Un
homme
est distrait quand, à un moment donné, il pense à
ent « son rêve : « le rêveur n'est pas plus libre que l'aliéné ou « l'
homme
ivre » (Maury). Comme les actes du distrait, le
C'est l'idée que lance Mathias Duval (4), l'année suivante : « Chez l'
homme
qui dort, les ramifications cérébrales du neurone
xcitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquent, chez l'
homme
endormi, des réactions réflexes, mais ne passent
chaleurs, il suffit du galop d'un cheval sur une route ou du pas d'un
homme
passant près de la plante, pour en provoquer le s
ail chez autrui aucune intention de provoquer cet état. En un mot, un
homme
peut s'auto-hj'pnotiser involontairement et spont
torité naturelle ou auxquelles on attribue quelque prestige. Certains
hommes
sont doués naturellement de ce pouvoir d'intimida
l'état de veille. En réalité, cet enfant se trouvant en présence d'
hommes
très graves et très solennels a été d'abord profo
La suggestion, c'est l'action, c'est la lutte; c'est la vie; c'est l'
homme
et l'humanité tout entière... » La suggestion,
es apparaissent comme n'ayant plus rien d'« anormal en soi. » Entre l'
homme
raisonnable, conscient et responsable et le fou,
'ordinaire ; de même le neurasthénique. Les passions abandonnent leur
homme
, plus d'amour, l'ambition met une sourdine à ses
ste douteuse. Etant donné l'âge (51 ans), et l'embonpoint marqué de l'
homme
, il semblait s'agir d'une cardiopathie artérielle
'un des grands noms politiques de la troisième République. C'était un
homme
énergique et rude et qui après avoir réuni sur so
frisson d'épouvante glaça le cercle des assistants. C'était la fin. l'
homme
d'Etat n'était plus. La volonté, chez lui, av
n prennent le dessus, plus désespérés que jamais. Les cardio-scléreux
hommes
deviennent sensibles, pleurent comme des femmes J
erait en réalité l'utilisation pratique du proverbe qui affirme qu'un
homme
averti en vaut deux et qu'on pourrait transformer
un homme averti en vaut deux et qu'on pourrait transformer ainsi : Un
homme
bien suggéré en vaut deux. Les anciens connaiss
e automatique non hystérique (1). Par M. le professeur Raymond. Cet
homme
a 45 ans : il était, il y a quelques mois, gardie
re ! Mme Marie M... est une tireuse de cartes ; elle découvre à cet
homme
une étonnante faculté pour interroger les esprits
ent intacte et il n'existe aucun signe somatique de l'hystérie. Notre
homme
a conscience de tous les mouve- (1) Présentatio
es. Ces troubles psychiques évoluent sur un terrain alcoolique. Cet
homme
guérira si on le place dans de bonnes conditions,
es comptes rendus du Congrès de l'hypnotisme auquel ont collaboré les
hommes
les plus compétents sur la question de l'hypnotis
it est la source de tout bien et de tout mal. pour le corps et pour l'
homme
tout entier... ; c'est donc à l'esprit d'abord qu
animal peut éprouver de la curiosité et s'étonner au même degré que l'
homme
. Mais son étonnement ne dure pas, tandis qu'il pe
'homme. Mais son étonnement ne dure pas, tandis qu'il persiste chez l'
homme
. Pour se satisfaire, celui-ci imagine une explica
faire rétrospectivement. On l'a d'ailleurs porté sur tous les grands
hommes
qui ont eu des convulsions, bien que celles-ci pu
rotte du mont Hira, Gjuand l'ange Gabriel lui apparut sous forme d'un
homme
et lui dit : « lis » ; mais il répondit : « Je ne
el lui dit enfin : parle au nom du maître de la création qui a fait l'
homme
de sang condensé. L'idée monothéiste apparaît d
ts du prophète s'altéraient subitement et il tombait à terre comme un
homme
ivre ou vaincu par le som- meil. Même dans la
omeiste, s'attaque aux religions établies, du prêtre chargé du culte,
homme
instruit et conservateur. On le distinguera aus
el. « Il donne des fruits dans chaque saison. Le Seigneur parle aux
hommes
en paraboles, afin qu'ils réfléchissent. « La p
sy, de Bayard. de François I". de Napoléon et de bien d'autres grands
hommes
, en particulier de poètes comme Lamartine et de V
andais (1), un des hémisphères cérébraux serait seul en action chez l'
homme
qui rêve, par suite de la différence de circulati
ses assertions sur des observations qu'il publie, d'une part, chez un
homme
170 rêves en 46 nuits et 265 chez une femme pour
et d'écouter tout ce que pouvait suggérer l'incrédulité naturelle à l'
homme
et ordinairement plus éclairée dans les gens de c
me hystérique sans agraphie (1) par M. le professeur Raymond. Cet
homme
entend et comprend ce qu'on lui dit, mais il lui
e et en surface ; elle présente de plus quelques ulcérations. Notre
homme
est malade depuis huit jours; le matin, après le
. C'est de mutisme hystérique sans agraphie qu'il s'agit ici. Notre
homme
a seulement perdu le souvenir des images motrices
re jamais arrivé, nous disait-il, mais je suis dans la situation d'un
homme
qui redoute toujours un accident. » Nous pourri
il n'a pas perdu son temps, car il a dû payer, et le Yankee n'est pas
homme
à donner son argent contre rien en échange. Son
r devant vous le tableau de presque tous les troubles psychiques de l'
homme
. Quelques-uns l'ont essayé, et les innombrables d
e. 3° Perception par l'encéphale. On dit parfois qu'un fou est un
homme
ayant la tête à l'envers; on pourrait dire avec p
ête à l'envers; on pourrait dire avec plus de raison qu'un fou est un
homme
ayant les sensations à l'envers. Je m'explique
ces paroles: « Je ne veux plus que tu aies de conversations avec les
hommes
, tu n'en « auras plus qu'avec les anges ». Ces pa
ewicz, Higier, et Watraszewski ; MM. Glowacki, Kraus-kar, Gawalewicz,
hommes
de lettres ; M. Szadkowski, avocat. 2, qui, tou
, qui est debout, exécute quelques mouvements involontaires, comme un
homme
qui se garde de tomber. » (2) M. Matuszewski fait
tropiée, puis graduellement à formes finies d'une assez grande main d'
homme
. Une fois se montre une autre main, beaucoup plus
côté droit d'Eusapia, lentement et horizontalement, une main gauche d'
homme
, serra ma main de ses trois doigts, tira légèreme
everi que je lâcherai d'enfermer en ce moment. Le nombre d'aliénés (
hommes
), que nous avons pu examiner à l'Asile public de
e Ville-Evrard était son château. Idées mystiques et érotiques Un
homme
âgé de 55 ans hémiplégique persécuté a des idées
Dégénéré alcoolique arrêté à la suite de tentative d'assassinat. Un
homme
de 50 ans s'est fait tatouer à 16 ans, une femme
t encore plus caractéristique au point de vue professionnel. C'est un
homme
instruit capable d'aborder dans une conversation
lus dures épreuves, ne devient jamais neurasthénique; par contre, tel
homme
normalement constitué le deviendra pour peu que l
ées. Aurait pu le faire, et nécessairement à l'aide de deux mains, un
homme
qui aurait non seulement une grande liberté des m
nt quelques secondes un rond faiblement luisant, grand comme un œil d'
homme
; la lumière avait la forme de spirale plate » (S
ives dans un membre amputé chez un sujet en état d'hypnotisation. Cet
homme
, âgé de vingt-huit ans, menuisier, a subi, il y a
la valeur explicative de ces expériences : 1° qu'il est possible à un
homme
de lever le pied à la hauteur des hanches, et mêm
abstraire de toute autre impression extérieure. II a donc pris cinq
hommes
et deux femmes qui ont bien voulu se prêter à ces
s, comme Mahomet conquit militairement Vautre moitié avec trois cents
hommes
tout d'abord. Or, s'il est vrai que l'anarchie
on. » I On appelle veille, l'état actif de l'esprit dans lequel l'
homme
sain se trouve, lorsqu'il se met en relation avec
ropose d'atteindre. Tout le [temps de la vie active de la veille, l'
homme
est en perpétuel effort, soit pour recueillir des
à la suite du surmenage du corps qui obéit à l'esprit, il arrive à l'
homme
de perdre de la force nerveuse, malgré les apport
attention dans l'exercice de la pensée. En plus qu'avec elle seule, l'
homme
, grâce à la volonté, a le pouvoir de peser ses mo
olu de faire ou de ne pas faire. Arrivé à ce haut degré d'activité, l'
homme
qui a une forte volonté peut, par la pensée, diri
lui qui s'y livre. A la suite de la grande activité avec laquelle l'
homme
a employé ses facultés de sensibilité, d'intellig
quelques heures ou de quelques jours. Un patient, qui croyait être un
homme
riche avec des biens étendus et dont on rechercha
rva ces dignités que pendant quelques jours, pour redevenir ensuite l'
homme
riche. Le rêve agit comme autosuggestion. Les fai
ès connues et qui se produisent pendant la veille chez la plupart des
hommes
. Ce sont, d'un côté, les sentiments de surprise,
e fixe non accompagnée de l'élément émotionnel. On cite cependant des
hommes
, assez bien équilibrés du reste, qui, malgré leur
ments inconscients, qui sont étroitement liés avec la conscience de l'
homme
, et le fait que, dans l'état mondidêique chez un
usquement et frappe à tort et à travers sans pitié, sans merci... L'
homme
sort à reculons ne quittant pas du regard les bèt
l'a renvoyée sur la terre. Dans un autre récit d'origine taciste, un
homme
revient sur la terre après avoir été sévèrement r
des viandes et des gobelets de vin, une jeune femme soutenue par deux
hommes
se livre à une danse particulière. Elle ne tarde
rveux et impressionnables. Il suffit, rapportent les voyageurs, qu'un
homme
se croie ensorcelé pour en perdre le boire et le
adorer une statue en terre de leurs Dieux. A la fin de la cérémonie,
hommes
et femmes tournent autour de l'idole, dans une co
cérémonie se passe dans le pays, toujours, nous a-t-on dit, quelques
hommes
et femmes tombent alors en convulsions. Ce sont l
s une partie de la forêt où l'on retrouva les corps déchirés des deux
hommes
qu'il avait tués dans un accès d'hallucination mo
: il voit avec épouvante défiler devant lui des figures imaginaires d'
hommes
et d'animaux qu'il prend pour des apparitions d'e
' Callaway. Il rapporte des symptômes accusés par un de ces devins. L'
homme
appartenait à une famille très nerveuse et dont p
endormit cependant et vit en rêve saint Joseph « en forme et figure d'
homme
, ayant le visage plus resplendissant que le solei
a séance, lorsqu'Eusapia, à demi-éveillée, se jette dans les bras des
hommes
qui lui sont sympathiques, les embrasse et manife
et ne pas demander à la lune de s'approcher de la terre pour que les
hommes
voient mieux sa face. M. Ochorowicz a fait dans c
magiques ; il a même découvert, parmi les paysans de son village, un
homme
et deux femmes doués de grandes facultés médianiq
vieillard de soixante-douze ans, une dame de cinquante-six ans et un
homme
de cinquante-six ans qui, depuis leur enfance, n'
i avait mis fin à ses préoccupations et à son excessive activité. Cet
homme
vint en Europe guéri ; il alla faire une cure à C
en somme fréquente, et, chose remarquable, s'observe sur- tout chez l'
homme
, prédominance qui peut s'expliquer par l'influenc
e partie sa destinée actuelle. Passant sous silence les vertus de l'
homme
privé, la vie patriarcale qu'il a menée au sein d
oque, de Strümpell. Son rôle en médecine a été à la fois celui d'un
homme
d'avant-garde, d'un novateur de génie et d'un che
la neuropathologie, on est sûr de trouver parmi ses représentants des
hommes
qui ont fait ou complété leurs études à la cliniq
errain, est évidemment aller trop loin. Le jury est constitué par des
hommes
estimables, dignes de tout notre respect, et si
s se reproduisent à la suite de chaque concours, ce n'est pas sur les
hommes
qu'il faut en faire, retomber la responsabilité,
'agrégation aboutit à un enseignement donné sans enthousiasme par des
hommes
qui se préoccupent, et avec raison, de s'assure
es grandes étapes de la science médicale a été marquée par des noms d:
hommes
qui avaient été rejetés par les concours ou qui,
ginaux sortis de l'Institut Pasteur, on verrait qu'ils sont dus à des
hommes
qui, comme Nocard, Chamberland, Metchnikoff, Yer-
ainsi ressortir un des plus grands inconvénients du concours : « Tel
homme
, disait-il excellemment, médiocre en apparence ju
ne de Boulogne, de Trifier, d'Apostoli et de d'Arsonval. Aucun de ces
hommes
de grande valeur n'a jamais eu l'idée d'affronter
t acquis la ressource de faire plus sagement de la psycho-thérapie. L'
homme
qui a le plus contribué à effectuer cette révolut
érité profonde, de cette largeur de vues qui constituent le véritable
homme
de science. M. le Dr Liébeault a formé plus d'élè
à Nancy, que beaucoup des professeurs les plus en renom. Il y a peu d'
hommes
auxquels autant de médecins éminents, français ou
la peine. De l'aveu de tous, l'étranger nous devance ; pour quelques
hommes
de valeur dont nous pouvons encore nous glorifier
de compléter l'œuvre à laquelle depuis longtemps se sont voués tant d'
hommes
éminents, et parmi eux « l'un des collaborateurs
ps considérable. L'enseignement médical deviendrait pour beaucoup d'
hommes
de valeur une carrière définitive, et l'on ne pou
and Bourriette fermait l'œil gauche, il ne pouvait plus distinguer un
homme
d'un arbre. Cet ouvrier applique de l'eau de la g
ison fut constatée le surlendemain par le Dr Dozous, qui traitait cet
homme
depuis l'accident, et vérifiée par le Dr Verger,
lors il faut renoncer à rien comprendre, difficulté absolue pour tout
homme
sain d'esprit; ou une impulsion surnaturelle, et
out voulu dans son acte unique, ne change pas, il ne tombe pas avec l'
homme
dans le temps qui est sa créature comme l'atome (
puis de longues années chez certaines personnes : Mon premier cas :
Homme
âgé de 63 ans, fumeur acharné, commençant à fumer
e raison pour qu'elle ne soit pas définitive. Mon second cas est un
homme
de 46 ans, fumant en moyenne vingt cigarettes par
sant l'histologie, l'anatomie, la psychologie du système nerveux de l'
homme
et des animaux, la pathologie mentale et nerveuse
sa mère, et elle s'y dirigea, en pleurant, il est vrai. Eh quoi ! un
homme
sain d'esprit jusqu'alors, entend une voix qui, p
te qui viendra éclairer la justice et faire soupçonner d'innocence un
homme
qui n'aura jamais montré de signe de folie, qui a
allez faire. C'est un vol, et vous risquez de vous faire punir. » L'
homme
, réveillé, cherche visiblement à rassembler ses i
! (1) Le père Goriot. Voyons donc la suite de l'expérience. Notre
homme
a mis l'orange dans la poche de son pantalon, et
être. C'est que je n'oserais jurer de l'indélicatesse foncière de cet
homme
. N'était-ce pas de sa part une manière de disculp
erait ce que j'appellerais la théorie histologique du sommeil. Chez l'
homme
qui dort, les ramifications cérébrales du neurone
xcitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquent, chez l'
homme
endormi, des réactions réflexes, mais ne passent
te (pour les femmes), Antum sperantum et super sperante tum (pour les
hommes
). Je ferai remarquer en passant que le guérisse
ut sans tarder placer à la vulve un grand nombre de bonnets de nuit d'
homme
; l'odeur d'homme attirera la matrice à sa place.
cer à la vulve un grand nombre de bonnets de nuit d'homme ; l'odeur d'
homme
attirera la matrice à sa place. * Êtres fanta
l'ours qu'on représente enchainé). On y parle aussi du Pakkeman (l'
homme
qui prend). Le Slokkebeer se retrouve également d
et qu'il ne veut pas aller se coucher, on le menace du Slokkemann (l'
homme
qui mange, avale ses enfants). C'est le Manducus
pareille ; Avant le dernier son Toujours l'enfant sommeille. Le petit
homme
va son chemin, Dormez, dormez jusqu'à demain. L
petit homme va son chemin, Dormez, dormez jusqu'à demain. Le petit
homme
en passant Vous jette sa poussière ; C'est un cha
ussière ; C'est un charme puissant Enfant sur ta paupière. . Le petit
homme
va son chemin. Dormez, dormez jusqu'à demain. C
condamné à ne point dormir par les Carthaginois. Combien de jours un
homme
peut-il volontairement rester dans l'insomnie? A
e notre voisinage. Dans l'été de 1887—j'étais justement absent — un
homme
vint pendant la nuit rôder dans le jardin et tâto
serrure. Les chiens aboyant, J... s'éveilla, ouvrit la fenêtre, vit l'
homme
, prit le revolver et descendit dans le vestibule,
s le vestibule, épiant le moment de tirer sur ce visiteur nocturne. L'
homme
, entendant du bruit, s'esquiva au plus vite. En
n assez puissante pour lui faire pratiquer l'incision cruciale sur un
homme
vivant? Pourrait-on faire croire à un boucher qu'
opos qu'on songa à la première histoire. Pour moi, je pense que cet
homme
— et combien n'y en a-t- il pas de cette trempe?
tun de soutenir que c'est la première suggestion qui a inculqué à cet
homme
le goût du vol. VIII. Je résume d'un mot cett
tentative d'explication, et secouèrent la torpeur intellectuelle de l'
homme
. » Attribuer des faits que l'on ne comprend pas à
phénomènes hystériques furent des plus importants pour faire sortir l'
homme
primitif de son indifférence. Les actes qui se ré
, ces esprits, ces lutins, ces mauvais génies agissaient comme agit l'
homme
. Ainsi le raisonnement par analogie tendait déjà
rs de pathologie interne, par le professeur Debove) Chez Charcot, l'
homme
et le savant étalent confondus aussi bien que le
s n'étaient pas les premières venues, c'étaient des amis intimes, des
hommes
éminents. Heureusement il ne se laissa pas sugges
Je voudrais vous montrer Charcot dans sa famille, vous dire combien l'
homme
privé fut digne du savant, combien il aima les si
lgaires petits soucis quotidiens. Par le fait de cette existence, cet
homme
si instruit, si génial, était même ignorant des p
et guérit encore. Est-il possible, me demandait le P. Norguès, qu'un
homme
jugé malade pendant six ans par les sommités de l
ment claire. Il est certain qu'on a été d'accord pour reconnaître aux
hommes
de science qui veulent étudier le magnétisme et l
Voilà déjà que la troupe des farceurs, qui n'a aucun rapport avec les
hommes
de science et de bonne foi attachés à l'étude des
. Ce serait d'abord, avec la naïveté et la crédulité naturelles des
hommes
, un coup terrible porté à l'exercice déjà si diff
end hommage au travailleur infatigable, à l'observateur attentif, à l'
homme
de science qui a disparu en Brown-Sequard. Des ap
Galice qu'il venait de recevoir d'Espagne. Il y était raconté que cet
homme
, nommé Manuel Blanco, sous l'influence de l'idée
domaine de la science, proposer de rendre fou presque subitement des
hommes
sains d'intelligence et de volonté, dans le but d
us soufflé mot de cette affaire qui promettait un grand intérêt aux
hommes
de loi et aux médecins? Par quelle influence occu
r que d'une seule forme de changement de ce genre, ne voit-on pas des
hommes
qui, à force de caresser des idées, des actions q
énéral. C'était une sorte de Don Quichotte à peu près inoffensif, bel
homme
et chevaleresque, qui, avant d'être interné à l'a
e sa coupable passion, elle venait me demander d'entreprendre sur cet
homme
un traitement occulte. Je m'y refusai pour des
rlé à ses parents de ce qui lui était arrivé, ceux-ci dénoncèrent cet
homme
à la justice. On s'empara de lui : dans l'instruc
t autres thaumaturges. Cet Américain, peu respectueux de la dignité d'
hommes
de ces nègres, affirmait d'un côté, aux uns, qu'i
en connaître qu'il reste des rapports intimes : entre la veille, où l'
homme
pense et agit avec une liberté complète de toutes
c une pénétration réciproque, un enchevêtrement de leurs fonctions. L'
homme
qui est parvenu dans le sommeil au plus haut degr
u par suggestion, comme la pierre qui tombe. Ce n'est que lorsque cet
homme
est rentré dans un sommeil de plus en plus léger,
s qui démontrent que, pendant ce sommeil, s'il est surtout profond, l'
homme
jouit de si peu de liberté qu'il lui est impossib
dent leur raideur et dont la malade peut alors se servir. 4' Cas. —
Homme
de 60 ans. Présente un eczéma rubrum très prononc
n est rien. M. T... n'est ni joueur, ni fumeur, ni impulsif. C'est un
homme
calme, ayant supporté avec assez de fermeté et de
rite, à plus d'un titre, de retenir notre attention. Il s'agit d'un
homme
âgé atteint d'onychophagie à qui le docteur Bé-ri
qu'intéresser tout le public, savant ou non. C'est de plus un galant
homme
et un causeur charmant. Je restais donc avec mo
elle pensée ; ce sont instruments de communication indispensables aux
hommes
pour se comprendre ; ils constituent les moyens u
t sa formule endo-physique ? On sait que Charcot a découvert que tout
homme
lisait, entendait ou parlait les mots de ses pens
r démontré(2) qu'il n'y a pas de types nets, et que, en majorité, les
hommes
se rapportent à des types mixtes comme celui de l
L'observation qui fait le sujet de cette communication concerne un
homme
de 35 ans qui, à la suite d'une frayeur, fut atte
ne, à la réunion des médecins suisses, à Lausanne. Il s'agit d'un
homme
dans la force de l'âge atteint de crises soranam-
ses malades qui succomba à la suite d'une séance d'hypnotisation. Cet
homme
,âgé de 37 ans, était entré dans son service pour
'une amie intime qui mourut de phtisie, enfin elle vit dans la rue un
homme
écrasé par une voiture. A la suite de ce dernier
une attention énergiquement soutenue et concentrée, comme celui d'un
homme
qui dans une foule de menues impressions venant d
s que l'on est réduit de supposer, sont toutes imperceptibles pour un
homme
à l'état normal de conscience. Pour qu'il puisse
rons prévoir à la suite une nouvelle forme de communication entre les
hommes
. Si cette supposition est purement fantaisiste, c
crit aux bureaux de l'Association de la Presse médicale. Les petits
hommes
. Le Dr Lombroso a fait une statistique assez co
atistique assez complète, dans laquelle il a montré le grand nombre d'
hommes
petits qui se sont illustrés en tout genre. Voi
umer par la suggestion (suppression de l'), par Hugenschmidt), 217.
Hommes
(les petits), 379. Hyperhydrose localisée traitée
inge à besoin de 54 jours au moins pour acquérir l'immunité. Chez l'
homme
l'immunité, assez forte à la suite des accident
val lèse surtout les épiphyses tandis que l'ostéite déformante de l'
homme
frappe surtout la diaphyse de l'os : ne s'agira
zte, 30 mai 1902. (5) BAa1'HÉLEItT, Maladie osseuse de Paget chez l'
homme
et maladie du son chez le cheval. Thèse de Lyon
s et n'a jamais présenté aucun phénomène morbide. Son mari est un
homme
très vigoureux, athlétique et meunier de son état
espiration se fait par le type abdomi- nal tout a fait comme chez l'
homme
. Dans l'inspiration forcée l'on remarque que le
oir la dernière édition du Traité de LI'CIANI sur la physiologie de l'
homme
. 56 BERT0L0TTI pendant trois jours à la suite
Voici le résumé du cas très intéressant illustré par cet auteur. Un
homme
de 57 ans, intelligent, photographe de sa profe
ême façon pour l'innervation de la branche interne du spinal chez l'
homme
. A ce propos il faut citer la contribution clin
e 1908). Observation Il, résumée (Kronenberg). Il s'agissait d'un
homme
de 30 ans, employé de bureau, qui n'ayant eu ju
ngtemps par les vétérinaires chez le cheval, décrite ensuite chez l'
homme
en 1858 par Charcot, est souvent signalée par-
cette obser- vation. Observation VI (Féré). Il s'agissait d'un
homme
de 38 ans, travaillant dans une maison d'assu-
sordonné de l'aliéné, en état d'agitation ma- niaque, de celui d'un
homme
qui, sous l'empire d'une terreur ou d'une colèr
ent la paralysie du nerf de celle de la mimique proprement dite, un
homme
' pouvant contracter ses muscles faciaux sans p
cter ses muscles faciaux sans pouvoir arriver à rire ou pleurer, un
homme
pouvant rire ou pleurer quoique porteur d'une hém
s inintelligibles et est alors dans la situation physiologique de l'
homme
normal qui contracte tous ses muscles pour pous
xplication qui soit rigou- reusement valable. Le malade, qui est un
homme
intelligent, assure que tous les phénomènes act
oportions supérieures à celles de la moyenne. 138 ETTORE LEVI des
hommes
; la verge est longue et bien conformée ; les tes
ultes mâles qui ont été décrits jusqu'à aujourd'hui ; le plus petit
homme
achondroplasique connu est celui qui a été décrit
tion des cartilages épiphysaires est partout complète comme chez un
homme
normal du même âge ; la proportion relative du ti
s génitaux sont bien conformés et même plus déve- loppés que chez l'
homme
normal ; notre nain n'estpas cependant un liber-
pondant aux différents degrés de ce perfection- nement. Au début, l'
homme
qui, dans son ignorance générale, a pris d'abord
humain progresse. Au milieu de l'ignorance générale surgissent des
hommes
d'une culture plus haute et qui taxent d'enfantin
l'explication ait été tentée dès l'enfance de l'humanité ou par des
hommes
dont l'ignorance, sur ce point particulier, est
e s'est enlisée.Le degré le plus élevé de perfectionnement auquel l'
homme
puisse atteindre est de ne plus faire corps ave
'en sommes pas là encore et les idées meurent en même temps que les
hommes
qui les défendent et dont les illusions n'ont pu
le de reconstituer le mécanisme cérébral sur une base analogue. L'
homme
est le roi de la terre. Dans le cours des âges, i
mécounaître ses défauts ? Il ne s'est trouvé personne pour juger l'
homme
qui, lui, appréciait toutes choses, et la croyanc
ment de ses attaches humaines et s'élever assez haut pour juger les
hommes
avec une superbe indifférence, comme si c'étaie
: Il existe une remarquable différence de poids entre le cerveau de l'
homme
normal et celui des idiots. . La fonction int
us pas cette prétention complètement ridicule ? Si vous aviez sur les
hommes
une supériorité égale à celle que ceux-ci possè
n idéaliser, diviniser pour ainsi dire leurs facultés spéciales ? L'
homme
n'étant pas une exception dans la nature, ne doit
qu'on entreprend l'étude dé la cérébration, de ne plus considérer l'
homme
tout entier, mais exclusivement l'axe cérébro-s
mais exclusivement l'axe cérébro-spinal qui en est le substratum. L'
homme
est constitué par une agglomération d'organes d
onctionnements divers. On ne dit pas dans le langage habituel que l'
homme
élabore de la bile ou qu'il projette le sang dans
ve et qui a été néfaste dans ses conséquences que l'on attribue à l'
homme
des manifestations intellec- tuelles qui consti
produit de l'activité exclusive d'un de ses organes. Ce n'est pas l'
homme
qui pense, c'est le cerveau, et le fait est si vr
aborde l'étude des opérations intellectuelles, ce n'est donc pas l'
homme
qu'il faut avoir sous les yeux, mais le cerveau.
nction physiologique quelconque. Quel est le médecin qui envisage l'
homme
tout entier quand il s'occupe de l'élaboration
qu'une complexité trop grande cache à l'oeil le plus perspicace. L'
homme
est, sans conteste, un être extrêmement compliqué
t de parties plus simples. Si l'on ne veut pas tenir à l'égard de l'
homme
des rai- sonnements exceptionnels, il faut adme
molécule et plus tard cette cellule furent la première ébauche de l'
homme
, du règne animal et végétal. Je ne me propose p
ncore ni au règne animal, ui au règne végétal, mais qui est déjà un
homme
en puissance, a été entièrement constituée par
un ensemble d'actions et de réactions. Le protoplasme cellulaire, l'
homme
n'est qu'un organe de réaction vis-à-vis du mil
son évolution, aucune des parties constituantes de notre ébauche d'
homme
n'était différenciée et que toutes étaient égal
e inanimée, à une ancre par exemple, la volonté et les pouvoirs des
hommes
. Et notez que ces raisonne- ments de sauvages s
milieu am- biant par le corps excité et réagissant. L'épiderme de l'
homme
n'est pas une cuirasse qui arrête les forces na
s. En suivant ainsi, à grands pas, l'évolution des précurseurs de l'
homme
à tra- vers les espèces animales, nous arrivons
ir, à se re- produire, à lutter,pour l'existence. Il y a beaucoup d'
hommes
qui n'ontjamais fait autre chose que de se livr
s comme des opérations intellectuelles lorsqu'on les-observe chez l'
homme
. Comme on rencontre déjà dans les espè- ces inf
tante du poids du cerveau et qui atteint son maximum non pas chez l'
homme
tout court, mais chez l'homme très intelligent,
ui atteint son maximum non pas chez l'homme tout court, mais chez l'
homme
très intelligent, nous observons, dis-je, l'app
auche, chez les animaux, mais atteint sa plus grande étendue chez l'
homme
instruit et intelligent. De ce dernier aux mammif
e- connaître la supériorité intellectuelle de l'animal sur certains
hommes
, sur les idiots par exemple. L'apparition, au
uelques-unes des manifestations qui se passent en dessous d'elle. L'
homme
est' une bonne machine avec ou sans conscience,
nviction profonde les trois propositions suivantes : 1° même chez l'
homme
, dans l'exer- cice des facultés, le rôle de la
ment s'y prendre pour lui faire produire ce qu'il désire. Comment l'
homme
peut-il émettre la prétention justifiée d'agir
e comme la bile ou la salive est certainement élaborée par elles. L'
homme
se place, sans le sa- voir, dans des conditions
estations intellectuelles ne doivent pas reconnaître d'autre cause. L'
homme
est un point dans l'espace où circule l'énergie
cte est un équivalent énergétique de la chose pensée. En pensant, l'
homme
obtient des effets qu'il désire et d'autres qu'
gentes qualifiées d'intellectuelles, lorsqu'on les rencontre chez l'
homme
; non seulement il nous a paru apte à produire,
rie de transformations iéquivalen- tes de l'énergique extérieure, l'
homme
n'a fait que refléter l'ambiance. Lors- qu'il a
ue mot, associer le geste à la parole, les communications entre les
hommes
seraient bien lentes et difficiles. Alors si ce n
au moyen de mots et de gestes c'est-à-dire d'énergies mécaniques. L'
homme
est un milieu au séin duquel se passent des act
découvrir des impossibilités, il faut connaître les possibilités. L'
homme
est éminemment suggestible ce qui démontre son ob
équilibre s'établit entre les milieux exté- rieur et intérieur. L'
homme
est avant tout un être réflexe, car il est extrêm
ce dans les organisations intérieures vivantes et réagissantes. L'
homme
peu sensible à la valeur des arguments est,en rev
ter, les fasciner .[Contrai- rement à ce que l'on croit et écrit, l'
homme
est un être fort peu raisonnable. L'histoire es
ure appelle l'injure et le coup la riposte, toutes choses égales. L'
homme
conserve toujours une tendance as- sez marquée
ndance à réappa- raître, lorsque, la pression devient plus forte, l'
homme
à un moment donné de- vient capable de réflexio
position est déjà démontrée à priori par le fait que ce n'est pas l'
homme
qui pense, mais le cerveau, et que n'ayant aucune
obligé d'en subir les pro- ductions ou raisonnables ou folles. Si l'
homme
avait la faculté et le pouvoir de déterminer se
liberté. Aussi bien physiquement qu'au point de vue intellectuel, l'
homme
est dé- terminé, comme tout être vivant par l'h
ans un sujet aussi nouveau et aussi ardu, en ne signalant pas que l'
homme
élevé dans ces conditions d'isolement jouirait ce
'est une conscience animale. Eu résumé et c'est le premier point, l'
homme
subira complètement son hérédité aussi longtemp
moin et qu'il réunit eu lui seul tout ce qu'il y a de pensée dans l'
homme
. C'est le motif pour lequel les fous en général n
t si l'on a toujours bien présent à l'esprit la pensée non pas de l'
homme
, mais de son organe intellectuel, on remarque imm
e interfère avec celle de l'hérédité. Le résultat se traduit chez l'
homme
par une diminution de l'impulsivité originelle, p
ui se trouvent réalisées à l'insu des individus qui en profitent. L'
homme
n'ayant pas plus d'action sur son cerveau'que s
cérébration at- tente à la dignité humaine, qu'elle fait déchoir l'
homme
et le place sur le même rang que l'animal. Une
opinions sur la nature humaine sont conventionnelles et creuses. L'
homme
est une produc- tion naturelle et cet état ne c
la théorie en disant qu'elle a pour consé- quence la déchéance de l'
homme
, mais on en montre indirectement la valeur, car
de crampe des télégraphistes se sont multipliées de- puis Onimus ;
hommes
et femmes en sont égalements atteints. Le travail
e ce genre ; il l'appelle le trac des coiffeurs. Il s'agissait d'un
homme
de 30 ans, très impressionnable, qui, il y a de
n débute à 4 ans par les membres inférieurs. Actuellement, c'est un
homme
de petite taille. Il peut marcher assez facilemen
ctuellement, il peut encore se mouvoir avec des béquilles. C'est un
homme
très grand,gros, presque ohèoe,Cet embonpoint s
élite. Il faut noter que, à cette époque, notre malade était un bel
homme
, bien portant et très bien constitué ; sa taill
t des palpitations faciles au moindre effort. Etal actuel. C'est un
homme
de petite taille, un peu bossu, qui paraît plus
rait à un malade du Professeur Bozzolo de Turin. Il s'agissait d'un
homme
de 63 ans, où les troubles du squelette avaient
indications sur l'hérédité se manifestant à l'âge moyen. Chez un
homme
, ditSedjvick, le petit doigt commença à se courbe
ac- térise chez l'animal sain normal ou après section simple chez l'
homme
: dans noire cas la croissance des cylindraxes
nal. (1) et de MARINESCO (2), sur la régénération des nerfs. Chez l'
homme
, à la suite de poussées morbides ayant amené la d
nerveux dans la syphilis médullaire. Histoire clinique (résumée).
Homme
, 44 ans. Syphilis il y a dix ans, ALQUIER. LA G
au conseil de révision, il mesurait 1 m. 87 et était de beaucoup l'
homme
le plus grand de son régiment. Pendant son serv
mégalie. Le cas d'Otto vient à l'appui des idées de Brissaud. Notre
homme
a bien quelque chose de l'acromégale : il a de
incomplet. Au lieu d'attribuer à l'acromégalie le gigantisme de cet
homme
grand, n'est-il pas plus vraisemblable d'attrib
Résumé clinique (PI. XLIX et L). Gigantisme acromégaliqne chez un
homme
de 66 ans ; haut de 199 cen- timètres, probable
l avait été syphilitique. Il appartenait à la bourgeoisie, était un
homme
intelligent et artiste d'une certaine renommée.
lleurs aucun délire de grandeur; il dit n'avoir jamais rencontré un
homme
aussi grand que lui, mais il ne se refuse pas à c
omme aussi grand que lui, mais il ne se refuse pas à croire qu'un tel
homme
existe. En résumé Mario Palazzi ne présente a
t palpable. Thorax. - Le thorax est ample relativement à celui d'un
homme
normal, mais il est au contraire petit si on le
mou- vement actif est minime et de beaucoup inférieure à celle d'un
homme
normal du même âge. A celte imposante hyposth
oportions beau- coup plus notables (surtout en longueur) que chez l'
homme
normal. Les mêmes faits sont visibles aux pieds
aits il entre dans la clinique le 27 janvier 1909. Examen objectif.
Homme
d'une constitution squelettique irrégulière par
agnostique. Contre l'ostéomalacie on peut rappeler sa rareté chez l'
homme
(il s'agirait ici d'une forme d'ostémalacie sén
Antécédents héréditaires. Le père du malade est encore vivant. Cet
homme
semble présenter un certain degré de déséquilibre
acromégaliques de ce canal cranio-pharyngien qui s'oblitère chez l'
homme
normal entre ledeuxiè- me et le troisième mois
endant que ces interventions ont la valeur d'une expé- rience sur l'
homme
et que leurs résultats définitifs pourront avoir
liclinico, 1907, ne 6. CIVALLERI. - L'hypophyse pharyngienne chez l'
homme
. Comptes rendus de l'Ass. des anatomistes. X° r
u spécial des prisons et des pénitenciers. J'ai également connu des
hommes
et des femmes du meilleur monde qui étaient tat
es sujets détenus dans les ate- liers de travaux publics et sur des
hommes
envoyés dans les compagnies de discipline. Sur
à se singulariser, à se différencier en quelque sorte du reste des
hommes
d'une manière permanente et visible. Les obse
e du cou démontre que le régime pénitentiaire, loin d'améliorer cet
homme
, n'en fit qu'un révolté. La flèche incurvée sur
a tête et les épaules sont encadrées d'un serpent, et de l'autre un
homme
et une femme qui s'embrassent sur les lèvres. A
II. - (Tatouage n° 12.) J..., pupille de l'assistance publique. Cet
homme
, complètement illettré, a été interné dans une
amies. 594 B01GEY Observation XIII. (Tatouage n° 13.) D... Cet
homme
est détenu à l'atelier de travaux publics pour re
tiques. Ce n'est pas là le fait de l'homosexuel dégénéré qui aime l'
homme
pour l'homme parce qu'il est dégoûté de la femm
est pas là le fait de l'homosexuel dégénéré qui aime l'homme pour l'
homme
parce qu'il est dégoûté de la femme et parce qu
. Les uns les plus vigoureux ou les plus entrepre- nants - sont les
hommes
; les autres que leur petite taille, leur figure
té qui détermine les rapports homosexuels dans les agglomérations d'
hommes
prison niers. Dans la masse des détenus se trou
squetaire. J'ai trouvé un grand nombre de mousque- taires parmi les
hommes
tatoués à Toulon. Ce tatouage doit être un signe
des renseignements précieux sur la mentalité de S... Il s'agit d'un
homme
essentiellement dangereux et vindicatif, dépouv
sque totalement aboli. Observation XV. (Tatouage n° 16.) B... Cet
homme
a été condamné pour vagabondage spécial et incorp
vant-bras supportent un palmier qui surplombe une maison arabe. Cet
homme
s'était adonné au tatouage et il en fit de remarq
e pour rejoindre en Belgique deux chanteuses de café-con- cert. Ces
hommes
~appartiennent 1 d'excellentes familles. Ils n'ont
XXI. (Tatouage ne 22.) C..., pupille de l'Assistance publique. Cet
homme
a passé son certificat d'étu- des et a été clas
ne et connu parmi ses camarades sous le sobriquet du « tigre ». Cet
homme
né à Paris, est poète à ses heures, ce qui ne l
pris de querelle avec un sergent et l'avait frappé brutalement. Cet
homme
, dont l'hérédité était très chargée (père alcoo
Eiselsberg et von Frankl-Hochwart (2) ont publié le cas d'un jeune
homme
âgé de 20 ans, atteint d'une tumeur de l'hypophys
une année de maladie. A cette occasion Nonne rappelle le cas d'un
homme
de 46 ans, d'aspect bien viril et qui s'est fém
a tuberculose (Quinquaud). Ces atrophies sontplus fréquentes chez l'
homme
que chez la femme, et cela est dû à la circonstan
ale des deux humérus. Observation (Pl. LXX, LXXI). Il s'agit d'un
homme
de 18 ans, Charles E..., bouclier de profession,
ice brachial (rapport du radius à l'humérus X 100) est de 74 chez l'
homme
blanc, 79 chez le nègre, 80 chez le gorille, 85
chez le gorille, 85 chez l'orang, 90 chez le chimpanzé. Chez notre
homme
les proportions sont ren- versées ; les avant-b
de n'avoir pu prendre de mensurations directes sur le vivant, notre
homme
ayant brusquement quille le service peu après son
t plus aussi unanime, je pense, lorsqu'il s'agit de faire rentrer l'
homme
dans la loi commune. On rencontre encore, sur-
m'attarder à modifier leurs convictions. Pour tenir vis-à-vis de l'
homme
des raison- nements exceptionnels, elles ne bas
lement m'adresser aux personnes qui en sont venues à pen- ser que l'
homme
à dû subir le sort commun et faire ressortir la v
eurs écrits toutes les désuètes in- terprétations de la nature de l'
homme
qui ne portaient pas directement sur la questio
flexe et qu'en conséquence la réflexion est elle-même un réflexe. L'
homme
ne réfléchit qu'aux réflexions déjà faites et c
éveloppement humain s'est produit d'après les lois naturelles, si l'
homme
a été façonné par la nature et n'est pas sorti de
n relevant d'éléments matériels, la spontanéité ne dépend plus de l'
homme
, mais d'un de ses organes et des forces intérie
eures ou extérieures qui animent celui-ci. S'il faut considérer les
hommes
comme des productions naturelles, il ne peut plus
onception scientifique de l'espèce humaine, il faut raisonner sur l'
homme
comme s'il n'était pas un être pensant, car la
ence, mais seulement des faits conscients. Il faut se représenter l'
homme
comme inerte, passif dans le 696 LEFÈVRE cour
a texture des fleurs varie avec les milieux, de même les idées de l'
homme
doivent se modifier comme les circonstances qui
la civilisation, la conception scientifique de la nature humaine. L'
homme
n'est pas ce que nos pères avaient rêvé et toutes
us importants sont peut-être la loi de Darwin et la conception de l'
homme
comme simple production natu- relle. En les méd
renait ses racines dans leur coeur et non pas dans leur raison. Les
hommes
sages et prévoyants comprennent qu'il n'y a rien
ain degré de perfectionnement physique, intellectuel et moral. De l'
homme
le mieux doué à l'organisation animale la plus ru
t les unifient, j'estime qu'il est bien préférable d'animaliser les
hommes
et de faire voir que leurs facultés ne sont que
érences de nature dans la série des êtres. Au lieu de montrer que l'
homme
est déjà dans l'animal, proclamons que tout est
rentes pour caractériser le développement mental des animaux et des
hommes
, et comme les termes biologiques et physiologiq
l'accomplissement de ses fins naturelles. I La matière vivante,
homme
, animal ou plante, est formée par des com- bina
els nous font désirer l'oeuvre de la chair. On ne connaîtrait pas l'
homme
si on ne parlait de cette importante fonction. Il
ment des actes instructifs. Le cerveau n'est, primitivement, chez l'
homme
, l'être le plus perfec- INSTINCT, HABITUDE, AUT
sur et à mesure de leur manifestation. Ne percions pas de vue que l'
homme
n'est qu'une production naturelle et qu'il faut
es instinctifs ont fait impres- sion sur les organes des sens que l'
homme
en a pris connaissance. La pre- mière idée qu'i
mportance permet de négliger et celles de la matière vivante dont l'
homme
est constitué. Mais celle-ci est composée d'éléme
olo- gique. La cellule est l'organisation vitale élémentaire et l'
homme
n'est qu'un entassement de vies cellulaires. El
ie et qu'on ne retrouve pas dans l'individu complet. Ce n'est pas l'
homme
, mais l'estomac seul qui a l'instinct de la sécré
ndre la vie compatible avec de grandes masses de tissu. La vie de l'
homme
n'est que l'expression des vies partielles dont i
organes et les individus sont des êtres complets. L'existence de l'
homme
n'eût pas été possible, si les lois naturelles ne
e eux. Pour celui qui prend les choses de très haut, ce n'est pas l'
homme
qui est l'individu complet, mais la société don
de toutes les forces pouvait varier ses adaptations à l'infini. L'
homme
n'est pas un but, mais un résultat qui possède co
naît que peu ou pas les rouages. 'l'el que nous le connaissons, l'
homme
n'est pas nécessairement parfait et d'autres or
e les forces évolutionnaires ne tendent à rendre les animaux et les
hommes
déplus en plus intelligents en accroissant lentem
source dans la vie d'une matière qui n'est pas du tissu nerveux. L'
homme
pourrait être dépourvu de facultés intellectuel
ifiques. Le plus infime des représentants du règne animal jusqu'à l'
homme
inclusivement nous apparaît comme doué d'instin
ir contrairement à ses impulsions naturelles. Tel serait toujours l'
homme
, si le cerveau en se développant dans le cours
tes se re- produisent toujours identiques à eux-mêmes chez tous les
hommes
de tous les temps et de tous les pays, on peut
t rien de commun avec l'idéation, les mouvements instinc- tifs de l'
homme
peuvent être comparés à ceux des plantes qui vive
urnir le même résultat par d'autres moyens. Donc, originellement, l'
homme
boit, mange, recherche la femme de la même faço
ce entre les deux réside dans ce fait qu'une partie du cerveau de l'
homme
s'est développée sous l'action des forces naturel
ement lorsque cette partie du cerveau est suffisamment organisée, l'
homme
sait qu'il a posé un acte ins- tinctif, parce q
pport des mouvements instinctifs, la différence essentielle entre l'
homme
et la plante, c'est que le premier possède des ye
la fourmi ne se comporte pas comme un castor, ni celui-ci comme un
homme
. Le résultat final est le même ; ilsont vécu et s
rrait soutenir avec beaucoup de raison que les fins naturelles de l'
homme
sont celles qui lui sont imposées parla nature
parla nature de la constitution léguée par ses ancêtres. Or, pour l'
homme
qui possède un cerveau musical, méchant ou arti
lus ou moins parfaite avec l'action réflexe. En expérimentant sur l'
homme
, on a obtenu des résultats analogues à ceux qui
e spontanéité intelligente primitive quelconque. Il s'opère chez, l'
homme
, par le seul fait du fonctionnement de la matiè
réalisés par voie réflexe. Comme eux, ils se produisent sans que l'
homme
les commande et même sans qu'il y pense. Ce son
e d'ex- citations physiques ou chimiques, des manifestations dont l'
homme
est le support sans en être l'auteur. Enfin,
isme relève de différents moyens que l'on peut observer même chez l'
homme
concurremment avec le mécanisme réflexe. INSTIN
contre pas seulement au bas de l'échelle animale, mais aussi chez l'
homme
et les animaux supérieurs dont les leucocytes par
et, par conséquent, elle ne s'apprend ni ne s'oublie. En effet, les
hommes
reproduisent l'instinct de leurs ancêtres, sans
ement. Les per- sonnes qui ne savent pas se résoudre à considérer l'
homme
tel qu'il est et tendent à lui accorder une sup
attue par la raison est donc raisonnable. L'instinct, même chez l'
homme
, dans le jeune âge au moins, est irréflé- chi,
ans l'accouplement. Ce n'est pas, du reste, dans ce do- maine que l'
homme
se flatte de faire preuve de raison et de réflexi
chevée que vers le neuvième mois. La différence essentielle entre l'
homme
et les animaux consistant en un développement b
ins gentil pour cela. N'ayant pas encore acquis la supériorité de l'
homme
, il n'est pas absolument rationnel de lui en conf
dominer les sentiments. Les plus belles victoires sont celles que l'
homme
remporte sur lui-même. C'est en en rem- portant
n se place non seulement au-dessus de l'animal, mais au-dessus de l'
homme
. Celui qui n'en a pas encore rem- porté et ne c
les lui soient envoyées du monde extérieur. Quand l'enfant devenu
homme
a acquis un développement intellectuel complet,
simples et les plus évidents il a fallu, pour supposer au fond de l'
homme
parfois peu intelligent une intelligence capabl
e règne végétal 'et l'élément « idée » qui s'ajoute au moins chez l'
homme
après la naissance et qui lui-même dérive d'un
xiste donc avec ses propriétés, ses instincts. Si l'on ampu- tait l'
homme
de tout le substratum de l'intelligence, de la vo
ment celle des autres et, pour déterminer la date de la mort chez l'
homme
, on a dû adopter un moment conventionnel, celui
ces de la matière organisée se suffisent à elles-mêmes, même chez l'
homme
, dans l'accomplissement des fins natu- relles d
és vont se voir obligés de souscrire. D'après eux, il existe chez l'
homme
une force, un principe immatériel, quelque chos
forces de la matière organisée, puisqu'ils. n'ont pas d'esprit. L'
homme
est supérieur aux animaux, c'est entendu. Il parl
ris, des pigeons, des poulets, etc., et l'on conclut de ceux-ci à l'
homme
, toutes choses égales. La matière et même les org
tant sen- siblement les mêmes chez les animaux supérieurs et chez l'
homme
, qui oserait prétendre qu'ils perdent quelques-
étés vitales en passant chez le second ? Qui oserait soutenir que l'
homme
supérieur à l'animal par l'intelligence lui est
secondaire ? Je crois donc que je suis autorisé à conclure que si l'
homme
utilise sor esprit dans l'accomplissement de se
ans les cellules. Si tout s'arrêtait dans la nature, la pensée de l'
homme
se tairait également, parce qu'elle ne recevrait
es courants d'opinions, penser à la pluie quand il pleut, tel est l'
homme
, tels sont les hommes. A telles impressions ext
s, penser à la pluie quand il pleut, tel est l'homme, tels sont les
hommes
. A telles impressions extérieures, tel état de
? Il y a impossibilité matérielle, phy- sique. Le feu doit brûler l'
homme
et les vibrations de l'éther, équivalents mécan
itent ses cellules et changent leur équilibre physico-chimi- que. L'
homme
n'est qu'un atome secoué par les forces cosmiques
qu'elles se reprodui- sent dans les mêmes circonstances. Etudier l'
homme
scientifiquement, c'est donc a priori chercher
ments d'ordre scientifique sur lesquels je pourrais les appuyer ? L'
homme
qui sait ainsi opérer un retour sur lui-même pe
le premier venu. 728 LEFÈVRE On ne saurait assez conseiller à l'
homme
de sortir de temps en temps du cercle étroit de
, tout en restant elle-même susceptible d'erreur. Plus éloignée des
hommes
, elle est moins sujette à subir leur influence
le, que la crise se produise, douloureuse. Elle sera salutaire et l'
homme
en sortira grandi, ennobli, seulement homme. A
lle sera salutaire et l'homme en sortira grandi, ennobli, seulement
homme
. A se perfectionner ainsi, l'homme y ga- gnera
rtira grandi, ennobli, seulement homme. A se perfectionner ainsi, l'
homme
y ga- gnera à tout le moins, une sérénité d'âme
âme qui le laissera indifférent à la sottise et à la méchanceté des
hommes
. En pensant à de plus grandes choses, on oublie
La folie simulée L'ODYSSÉE D'UN DÉLINQUANT SIMULATEUR. 3 par cet
homme
avait été successivement la grande hystérie ave
i délicate -que nécessaire. Tout d'abord, pour bien con- naître cet
homme
, il était indispensable de fouiller dans son pa
e très développée, car il avait amassé une foule de détails sur les
hommes
et les choses, dont il savait tirer parti à un
été suffisant déjà à ébranler, sinon à détruire, l'opinion que cet
homme
avait été fou, mais je préférai rester sur le t
vait été revêtu. Mais, aurait-on pu dire, la simulation même de cet
homme
, en l'admettant comme prouvée, venait à l'appui
is qu'il ne l'avait jamais été et qu'il était temps d'enlever à cet
homme
24 ik MÉDECINE LÉGALE. la qualité de malade.
forme, l'auteur montre que la folie n'est qu'une exception chez les
hommes
de génie : 2 à 2 1/2 p. 100 environ. Chez onze
les hommes de génie : 2 à 2 1/2 p. 100 environ. Chez onze grands
hommes
aliénés dont l'histoire est analysée, toujours
u moins lucide : et la preuve faite pour, les génies s'applique aux
hommes
de simple talent. Le génie sera toujours une én
s imbéciles, les fous complets et les fous moraux ; au som- met les
hommes
de génie, les héros de l'humanité, dont l'organi-
s haut degré de perfection, on ruine du même coup la théorie de « l'
homme
de la nature ». Ainsi que par le passé l'avenir
a nature ». Ainsi que par le passé l'avenir appartient aux grands
hommes
, et non, comme le prétendent les Tolsloïciens, au
ue ; par le professeur BERKLEY. Dans un premier cas, il s'agit d'nn
homme
de vingt-huit ans, syphilitique qui, huit mois
équente de la folie post-opératoire. Il rapporte l'observation d'un
homme
de soixante-quatorze ans, qui a été atteint de
t presque neuf paralytiques générales. Soit un paralytique pour six
hommes
; une paralytique générale pour onze femmes. Ac
est plus lente, plus paisible et par suite, plus longue que chez l'
homme
. Conclusions. 1° Les femmes paraI} tiques génér
ales ont beau- coup augmenté de nombre et relativement plus que les
hommes
paralytiques ; 2° le rapport numérique de la pa
alytiques ; 2° le rapport numérique de la paralysie générale chez l'
homme
et chez la femme dépend d'une série de conditions
ite, être partout le même ; 3° la femme tend à devenir l'égale de l'
homme
surtout dans les classes inférieures et chez qu
z quelques sujets des classes moyennes. Cela a été l'inverse pour l'
homme
; aussi chez lui la paralysie générale a-t-elle
tenant, les classes moyennes. Maladie d'abord aristocratique chez l'
homme
, elle devient plus ou moins démocratique; c'est
raux ; 5- les causes de la paralysie générale sont les mêmes chez l'
homme
et la femme ; chez cette dernière, elles parais
re de la population. Cela est évident pour la femme, car pour 3,5-4
hommes
, il y a maintenant une femme paralytique. 5°
ration extrême de la paralysie générale chez l'enfant ou le jeune
homme
au-dessous de vingt ans (voy. A 1'chiv f. Psychyi
la Soc. de Méd. mentale de Belgiitte, juin 1899.) Il s'agit d'un
homme
de quarante-cinq ans, sans antécédents hérédita
lleurs, le tatouage est donc bien plus rare chezla femme que chez l'
homme
, etil consiste le plus ordinairement en lettres
ncer à entreprendre l'ana- lyse de l'esprit d'autrui. L'esprit de l'
homme
est pour lui-même un océan d'illusions. Nos act
loisir'indispensable à la satisfaction des besoins supérieurs de l'
homme
. Il constate l'action funeste du poison psychique
cteurs qui influencent sa marche. Sur les 24 cas étudiés, il y a 18
hommes
et 6 femmes. L'hérédité directe a été constatée
New l'orle Médical Journal, 15 oc- tobre 1808.) Observation I. -
Homme
de vingt ans, né à sept mois. Père REVUE DE THÉ
. - lI. COUYELAIRE présente des pièces provenant de l'autopsie d'un
homme
chez lequel M. Pierre Marie avait fait le diagn
encore insignifiantes. En somme, résultat très satisfaisant ; 2°
Homme
trente-six ans, horticulteur, variqueux. Crises m
e la face et des modifi- cations de la physionomie; au contact de l'
homme
, l'animal a affiné son émotivité et perfectionn
gène, ni glucose. Des constatations semblables ont été faites sur l'
homme
. Le foie des suppliciés fut trouvé rem- pli de
ate à chaque coup. Après 20 à 30 coups, Prokhorow marmotte comme un
homme
ivre ou délirant : « Je suis un homme malheureu
, Prokhorow marmotte comme un homme ivre ou délirant : « Je suis un
homme
malheureux, je suis mort. Pouiquoi me punit-on
s relatifs aux idées de suicide. Observation XXIV. Il s'agit d'un
homme
de soixante et un ans, ancien soldat, puis gend
ive. Cet auteur rapporte 3 observations dont la seconde concerne un
homme
de soixante-lrois ans, atteint de mélancolie av
tion d'idées ou de tentatives de sui- cide. La première concerne un
homme
de quarante-sept ans, choréique, qui chercha à
es. Quant au troisième cas (Obs. IV), il est dit simplement qu'un
homme
de soixante-deux ans, atteint de chorée dégé- n
et du lobe occipital. On sait que ce qui distingue le cerveau de l'
homme
de celui des singes anthropomorphes c'est une c
comme les individus normaux et ils laissent comme la plupart des
hommes
une famille dont il faudra plus tard suivre la tr
n tout cinq cents places. : trois cents places pour la division des
hommes
, deux cents pour la division des femmes. Les
deux cents pour la division des femmes. Les trois cents places d'
hommes
se décomposeront en : 108 pour la section de tr
lonie tout hôpital qui occupe actuelle- ment une ville. ' Les 108
hommes
et les 88 femmes qui relèvent de la section de
ades propres à l'assistance coloniale seront au nombre de 304 : 192
hommes
, 112 femmes. S'il y a des inconvénients écono-
capables de contenir chacun 25 à 30 individus, soit 6 à 7 pour les
hommes
, 4 à 5 pour les femmes. On élèvera une cuisine
en deux par- ties ; une partie pour les femmes, une partie pour les
hommes
; chaque partie formera deux chambres d'isoleme
ndant le va-et-vient du wagon et ne fait que quelques pas ça et là.
Homme
vigoureux de quarante- neuf ans, non nerveux. D
- mens pratiqués par l'auteur au moyen de sou algésimètre. Chez l'
homme
tout à fait sain, il y a des oscillations de la s
.... Dessins et tableaux établissant les détails des régions chez l'
homme
et la femme. La sensibilité tactile n'est pas p
naire et au gyrus crucial antérieur et postérieur (ascendantes de l'
homme
) ; 2° de la bandelette olfactive ; 3° du trigon
es, entrecroisées ou non, peuvent occuper le cordon latéral, chez l'
homme
, les fibres, qui ne s'entrecroisent pas, se sép
la moelle cervicale du chien a pu produire, dans le point où chez l'
homme
existe une dégénérescence du cordon antérieur des
Il est donc possible que ces faisceaux, intersegmen- taires chez l'
homme
et quelques mammifères, se transforment au moin
u'il est actuellement impossible de préciser : mais l'avenir de cet
homme
.sera intéressant à étudier. R. de Musgrave-Cla
quelques tableaux. Il a trouvé un poids moyen de z47 grammes chez l'
homme
et de 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. 1089 chez la fem
, qui est de 13l grammes est beaucoup trop élevée, surtout pour les
hommes
, ce qui tient à ce qu'elle n'est basée que sur
cas et que dans 7 autres il était augmenté de 20 à 69 gr. Chez 150
hommes
ce poids était diminué de 69 grammes à 443, se
é des hémisphères existait 53 fois chez la femme et 124 fois chez l'
homme
. Le gauche auquel quelques auteurs attribuent u
x qu'à l'état normal (l'auteur l'a constaté 21 fois), la femme et l'
homme
dont l'encéphale était le plus lourd, avaient,
époques, comme de nos jours, la grande curiosité scientifique de l'
homme
sur l'origine et la- nature de ses sensations e
emeurera dans l'histoire des sciences comme le monument de ce que l'
homme
aura su de la structure et des fonctions du név
consommation augmente chaque année. On m'a assuré qu'en dehors des
hommes
, il y avait une trentaine de femmes qui étaient
onne moitié des enfants arrivaient à l'école en état d'ébriété. Les
hommes
boivent chez eux et au cabaret, presque tous on
Les agents profitèrent du moment et s'emparèrent sans retard de l'
homme
; mais il fallut le ligoter pour le conduire aux
ses voisins. M. Truy avait à peine pénétré dans le domicile de cet
homme
que le fou, qui s'était tapi au fond de sa cham
ruy réussit à désarmer Omer Lesnes et à le maîtriser. Le malheureux
homme
a été envoyé à l'infirmerie du Dépôt. (Le Temps
es boissons alcooliques. Etat actuel le 15 décemb1'e. - M... est un
homme
de taille moyenne mais d'aspect robuste, nullem
symptômes, la polyurie et la pollakiurie. Notre polyurique était un
homme
et un adulte. C'est la règle : de très rares ca
nts, la pollakiurie et la ténacité des accidents hystériques chez l'
homme
. La pollakiurie est, en pareil cas, signalée pa
inations de la vue durant plus ou moins longtemps ; elle voyait des
hommes
sous son lit, croyait qu'ils voulaient soulever
r des renseignements sur ce qui est advenu après l'opération. Cet
homme
, vigoureux et fortement constitué, est âgé aujour
puisés près des infirmiers et des voisins de lit du malade : notre
homme
pousse un cri unique ; le bras droit se contractu
chez notre malade, nous serions partisan d'une intervention. Cet
homme
a des crises fréquentes, au moins toutes les sema
s souvent à la période moyenne. La femme est plus prédisposée que l'
homme
à cette forme de psychose, surtout à cette époq
e des vingt-quatre heures a été de 1.125 centimètres cubes pour les
hommes
et de 1.020 cen- timètres cubes pour les femmes
- trémité droite est ordinairement la plus longue, surtout chez l'
homme
; chez l'adulte la symétrie parfaite est rare, et
par C.-E. IDE. (The New York Médical Journal, 9 septembre 1899.)
Homme
de cinquante et un ans, très bien portant, pas al
re précisément à quel point la dé- chéance mentale rabaisse alors l'
homme
au niveau de l'animal. On se demande souvent, e
s présente les radiographies parait incontestable. Il s'agit d'un
homme
de trente ans, d'une santé magnifique qui, Arch
nds, mais pas . SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 d'épilepsie. Il y a chez l'
homme
une prédisposition héréditaire à présenter tell
dans la tête ; mais, les blessures étant insignifiantes, le jeune
homme
ne resta que quelques jours à l'hôpital, et on le
t morte au cours d'une crise de cette terrible maladie. (Le lion-
homme
Normand, 14 décembre 1899.) Le rédacleur-geranl
mais aussi chez divers invertébrés; nous en avons rencontré chez l'
homme
, le chien, le chat, le cobaye, 4 Du laboratoire
niliforme, tant soit peu répandu, des dendrites cor- ticales chez l'
homme
doit correspondre à un tableau clinique de déme
- Les nouvelles idées sur la structure du sys- tème nerveux chez l'
homme
et chez les vertébrés. 1894, Paris. Cent (Carlo
ATHOLOGIQUE. Van GEHUCHTEN (A.). Anatomie du système nerveux de l'
homme
. Louvain, 3e édition. Golgi. (Camillo). Ueber d
tatuette de la Vierge dans la bouche. En 1892, j'ai soigné un jeûne
homme
qui, dans une crise délirante, assomma presque
vingt-neuf ans, célibataire, est admis le 7 novembre 1892. C'est un
homme
de petite taille, d'un tempérament névropa- thi
cervelet, les prolongements cellulaires de l'écorce du cerveau de l'
homme
, les cornes antérieures et la substance blanche d
par J. CROCS. (Journ. de Neurologie, 1899, n° 17.) Il s'agit d'un
homme
de vingt ans dont les antécédents hérédi- taire
servé. un fait de ce genre tout à fait probant. Il est relatif à un
homme
de quarante-deux ans qui lorsqu'il vint me voir
M. Souques dans une thèse sur ce sujet a publié l'observation d'un
homme
tombé sur la région lombaire et ayant conservé un
augmenté de 20 individus, s'est élevé de 591 à G17, comprenant 297
hommes
et 320 femmes. Les admissions comptent 147 admi
de 1e,37 p. luO par rapport à la population moyenne; H,02 pour les
hommes
40,86 pour les femmes. Elle a été de 9,47 p. 10
aux prises parfois avec de grosses difficultés, il avait acquis des
hommes
et des choses une expé- rience qui lui a été de
« les services, écouté les leçons et profilé des conseils de ces «
hommes
distingués ». Puis en une phrase où débordait tou
eaucoup plus autorisés et plus compétents, vous diront ce que fut l'
homme
de science et ils vous rappel- leront ses mérit
anéité, étaient le plus bel hommage rendu à la bonté familière de l'
homme
de coeur autant qu'au médecin. A ces retours de
juste, de l'intelligence bien faite, du spécialiste exercé et de l'
homme
de bien qu'était notre honoré collègue. Discour
aviez vraiement le don de vous faire aimer, c'est que vous étiez l'
homme
de bien, l'homme de coeur. Aussi le vide que vo
le don de vous faire aimer, c'est que vous étiez l'homme de bien, l'
homme
de coeur. Aussi le vide que vous laissez parmi
seulement un travailleur infatigable et le plus cons- ciencieux des
hommes
, mais que vous avez été aussi un patriote. Pend
s pieusement la mémoire de l'ami excellent, du médecin dévoué, de l'
homme
de bien, du patriote, que fut le Dr Bouchereau.
lieuse du service rendu. Sous des apparences parfois trompeuses cet
homme
de devoir devenu, par profession, le confident
dépenses, la femme, conclut-il, montre plus de délica- tesse que l'
homme
dans la façon d'assister le malheureux, de soig
z, quand vous écrivez que la femme montre plus de délicatesse que l'
homme
dans sa façon d'assister les malheureux. Quel e
'assister les malheureux. Quel est, en effet, le plus délicat, de l'
homme
qui invoque ce touchant argument, pour solliciter
l'honneur de rappeler en quelques mots, devant vous, ce que fut cet
homme
de science, ce que fut surtout cet homme loyal
ant vous, ce que fut cet homme de science, ce que fut surtout cet
homme
loyal et bon. Quoique j'aie, personnellement, p
Seine. Nous nous sommes ainsi rencontrés. Mes souvenirs évoquent un
homme
BOUCHEREAU. 379 sympathique et simple, mes im
Dr BoucnEREAU ne fut pas seulement savant et brave; il fut vraiment
homme
en ce qu'il fut bon, et en ce qu'il eut l'intui
ria. zig1 J Ainsi donc, Messieurs, le Dr Bouchereau fut un de ces
hommes
, trop rares peut-être, dont la vie s'est toujours
lus beau des rêves, et nous est-il, en vérité, permis de plaindre l'
homme
qui le vit se réaliser ? Il sera mieux que nous
avons vu un cas semblable dans le service de il. Magnan. C'était un
homme
adulte, alcoolique forte- ment halluciné. Il su
rne réveillaient et exagéraient les hallucinations de l'ouïe. Les
hommes
, cachés pour le tuer, parlaient plus haut. Cela
lconque, et lui dire d'un ton affirmatif : « regardez, voyez-vous l'
homme
qui est là. » Le malade qui contait son histoir
ître halluciné, hésite un instant, puis avoue en effet apercevoir l'
homme
qui « lui fait des gri- maces ». On peut à l'in
nt au milieu de la nuit, criant qu'on voulait l'assassiner, que des
hommes
étaient dans sa chambre. Après le départ de son
oujours pendant son sommeil. On entre chez elle pour la violer, des
hommes
lui tiennent les bras, d'autres les jambes et l
cesse braqués sur elle, pour observer ses moindres mouvements. Des
hommes
qu'elle appelle des sténographes, entrent chez
infirmerie spéciale du Dépôt. Nous nous trouvons en présence d'un
homme
bien constitué, normalement musclé, de taille m
, quelle que soit l'excitation. Transféré à l'Asile clinique. Cet
homme
, L..., a une légère tare, mais une tare hérédi-
rère. Comme lui, il doit être crucifié pour racheter les péchés des
hommes
. Conduit au commissariat de police, il est de l
ion, et il est capable de répondre aux questions posées. C'est un
homme
encore robuste pour son âge, assez grand, la fi
onnées anamnestiques se rapportent en majorité, aux vieillards, aux
hommes
de la génération précédente dont l'organisme ét
es jours un bain chaud. Use porte aussi bien, que peut se porter un
homme
de son âge. Il va sans dire que si le malade es
é, alors toutes ces manifestations donnent l'image assez vraie d'un
homme
qui souffre du tabès dorsalis ataclica. De ce t
liques sur 40 que nous avons examinés à ce point de vue savoir : 29
hommes
et 11 femmes. Chez les 29 hommes nous l'avons c
inés à ce point de vue savoir : 29 hommes et 11 femmes. Chez les 29
hommes
nous l'avons constaté 26 fois ; chez les 'H fem
utres auteurs, et d'après des expériences personnelles faites sur l'
homme
sain, l'au- teur émet les conclusions suivantes
ve, somnolence, fai- blesse physique générale. Ce malade était un
homme
solide, aux traits forts et aux extré- mités gr
e la Soc. de méd. ment, de Belgique, 1899, n" 94.) 11 s'agit d'un
homme
de vingt-trois ans, qui, à la suite de liba- ti
un souvenir des actes accomplis pendant la période délirante. Cet
homme
n'étant ni un buveur d'habitude, ni un dégénéré,
rempli sa mission. Un détail à noter : au début, il n'y avait pas d'
homme
dans la 'maison et on souleva dans la presse la
i les malades du sexe masculin ne devaient pas être soignés par des
hommes
. Les infir- mières s'acquittaient si bien de le
dont le malade a pleinement conscience. Il cite l'observation d'un
homme
de trente ans qui, de- puis la puberté, était t
r une tare quel- conque et il n'est, pour ainsi dire, pas de grands
hommes
qui n'aient eu leurs petites manies. Souvent l'
lexe, il aborde ensuite les ano- malies de l'instinct sexuel chez l'
homme
, inversion, perversion, etc. Il en cherche l'ex
t qu'il avait affaire à un fou, il l'éconduisit doucement. Alors, l'
homme
, tirant un couteau de sa poche, s'en porta un cou
le et tranquillement gagner la rue Jacob. Lorsque l'agent revint, l'
homme
avait disparu. On le chercha vai- nement toute
dre; Dr Dubuisson (Paul-Émile), médecin en chef à l'Asile clinique (
hommes
) passe en la même qualité au ser- vice des femm
f à Villejuif (Seine), passe en la même qualité à l'Asile clinique (
hommes
), en remplacement de Dr Du- buisson ; - Le De M
ès y être entré; il était resté au lit, tout ce temps. C'était un
homme
vif, à caractère bizarre ; il s'emportait facile-
et des coups de poing. Il dit se défendre ainsi contre cinq ou six
hommes
qui le poursui- vent et veulent le tuer. Il est
pourquoi il fixe continuellement la fenêtre : « c'est qu'il y a des
hommes
, répond-il, qui lui font des signes derrière le
externe, réveillent et exagèrent les hallucinations de l'ouïe. Les
hommes
, cachés pour le tuer, parlent plus haut. Ils di
er... « Ah ! il n'y est plus. » " Par le même procédé, il voit un
homme
avec un rasoir, il va pour le désarmer, « il en
epntunn le malade voit « des étoiles..., une bande d'individus, des
hommes
de toules sortes, ils se promènent, lui font des
t sensible à l'excès : s'évanouit à la vue du sang, ne peut voir un
homme
saigner du nez. Il a des doutes : quand il met un
merie du Dépôt le 14 mai. Nous l'examinons le lendemain. C'est un
homme
de taille moyenne, brun, traits réguliers et sy
du cerveau du chat qui correspondent à la pariétale ascendante de l'
homme
, h en serait de même des faisceaux bien plus ri
roisement partiel dans le chiasma des mammifères supérieurs. Et l'
homme
? Il y a majorité écrasante des cliniciciens en f
s pyramides; par Pu. Zenner,. (Neurolog. Cenlrnlbl., XVII, 1898.)
Homme
de trente ans. Le 18 mai 1896, on constate une hé
le inférieure issue de la partie ventrale du groupe moyen. Chez l'
homme
, la configuration générale du noyau du facial et
an Gehuchten. (JOUI ? de Neurologie, 1899, n° 19.) Il s'agit d'un
homme
de trente-trois ans qui était atteint d'une par
par F. SANO. (Jozirn. de Neurologie, 1899, n° 15.) 11 s'agit d'un
homme
de vingt-neuf ans, ayant eu des abcès gan- REVU
rtissent à peu près également. On a observé ces affections chez les
hommes
, mais elles suivent assez exactement la propor-
emmes et quel- 528 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. quefois chez les
hommes
, que la perte de la vision est complète et pres
reprendre la vie commune, il l'a tuée d'un coup de fusil. (Le Bon-
homme
Normand du 17 au 23 novembre 1899.) SOCIÉTÉS SA
nt particulièrement intéressants au point de vue neurologique : 4°,
Homme
de trente- deux ans ; à vingt-deux , légère ble
e a augmenté de 17 kilos, chasse, a des éjacula- lations. etc. 2°
Homme
de vingt-neuf ans. Sans antécédents. Première cri
inquiétudes du lendemain.» Etde ce jour Commença « la lutte de tout
homme
aux prises avec la fortune adverse. Depuis la m
tifique du médecin, je leur dirais que je me suis borné à décrire l'
homme
, tel que je l'ai connu, tel que je l'ai aimé. R
r Bouchard, dans ses magistrales leçons sur les auto-intoxications, l'
homme
assiégé palles microbes les plus dangereux, envah
le peut aussi revendiquer quelque chose dans cette question. Chez l'
homme
les usages des ongles sont de protéger l'extrémit
stes avaient une influence réelle sur la santé, la vie et le sort des
hommes
; ils avaient la prétention de lin- leur destinée
garisation doit être, scion moi. étroitement rivée â la tradition des
hommes
séculaires, pour employer la Iwlle expression de
es plus sérieux obstacles à l'avènement de la vraie science, ce grand
homme
range en première ligne : derisio vêtent M. Quell
urs île force se dérobaient. Enfin. un jour, le 12 septembre 1837, un
homme
avisé, M. Bardin. pensa qu'il était temps de mett
été d'hypiiologie et de psychologie l'avait placé au premier rang des
hommes
dont elle reclamait le patronage. Des paroles aut
es témoignages d'admiration qui lui sont dus. Comme Ions les grands
hommes
. M. Charcol avait des courtisans. Quelques-uns. p
nt loin de briller par l'esprit, ou d'être des anges de vertu, ou des
hommes
d'initiative et de volonté-. A TRAVERS LES ETAT
opposés et de cette dissociation consécutive de l'action pensante, l'
homme
qui dort, faute d'en pouvoir prendre encore l'ini
s qu'ils rêvent, ils restent ordinairement isolés du monde extérieur,
hommes
et choses. et sont exclusivement concentrés sur l
mystique produit par influencé sympathique; sans hallucinations, dun
homme
sur une femme, uic rappelle le ras absolument ide
e devant nous. Depuis cette rencontre, en effet. I influence de cet
homme
n'a cessé île peser à toute heure sur tons les ac
é île peser à toute heure sur tons les actes ile sa vie. « C'est un
homme
puissant, disait-elle, qui commande â toutes chos
l la dirige dans sa conduite. Elle dépeint le nommé Louis connue un
homme
inspiré. quii l'aurait magnétisée et qui. depuis
nous n'avons trouvé dans l'antichambre du directeur de l'Opéra qu'un
homme
.à figuée réjouie, portant d'une façon laint ordi
enl- de cet entretien dans les bureaux de l'Opéra, et reconnaît â cet
homme
de ! l'influence . sur sa conduite quotidienne.
extrayons le passage suivant : « M. Louis B... se plaignait que 1rs s
hommes
dédaignaient les femmes rouges, et îl 'a promis d
i louchant le caractère des animaux, des nations, des individus, de l'
homme
sain et de l'homme malade. Cette question-là n'av
tère des animaux, des nations, des individus, de l'homme sain et de l'
homme
malade. Cette question-là n'avait jamais donne li
dans le domaine si mouvant, si varié et si ténébreux de l'esprit de l'
homme
endormi. Il suflil pour que le rêve de seconde
nt ileux fois. Toujours, ilnns mes rêves, ma pensée a marché comme un
homme
ivre, et ces rêves ont toujours échappé à ma dire
rès excitables, dont les fonctions digestives sont délicates; que des
hommes
énervés par un tra 'vail agaçant, ne doivent souv
• C'est là tpl'esl la contradiction ; car il s'aperçoit que tous les
hommes
• oui même désir et qu ils sont prêts à se disp
se lon-dre pour donner naissance à la philosophie de l' autour. L'
homme
croit trouver le bonheur dans l'amour. là encore
est la raison, principe éternel qui gouverne à la fois la nature et l'
homme
, qui viendra démontrer l'inanité de la vie indivi
e la vie infinie, la vie éternelle. Quand son œuvre sein accomplie, l'
homme
, aura trouvé le bonheur qui est de vivre pour les
ou du moins avaient leur raison d'être, c'étaient des tentations d'un
homme
sain d'esprit: tout à coup le même sentiment en c
is il ne s'amuse pas avec ses camarades; à 14 ans il a les goûts d'un
homme
de 40 ans ; au lieu de jouer il s'occupe de quest
t pris naissance. Il v a donc, chez le dormeur, aussi bien que chez l'
homme
éveillé, une véritable inconscience, une conscien
i a un autre pnysan: comment faut-il s'y prendre pour empoisonner cet
homme
? Il désignait quelqu'un qui se trouvait plus loin
re, ma déclaré avoir tué plusieurs personnes en rêve.....En rêve, l'
homme
se révèle tout entier à soi-même dans sa nudité
udiques, il y a quelques jours, perdent toute chasteté; ainsi que des
hommes
pieux deviennent fanatiques, et tuent leurs propr
reprendre un crime par elle-même, et par conséquent pour entraîner un
homme
résolu comme Eyraud ; elle démontre implicitement
soutenir l'utilité quand elles sont faites avec discernement par des
hommes
compétents. Des garanties sérieuses d'aptitude so
, je pense, de lui demander compte. M. Thiry. — Si l'on permet à un
homme
qui ne connaît pas la médecine de pratiquer l'hyp
M. Thiry.— Si des principes semblables pouvaient être admis par des
hommes
aussi intelligents quelles ministres et des membr
nstances, le Gouvernement accorde des autorisations de-l'espèce à des
hommes
qui offrent des garanties suffisantes d'honorabil
Commission médicale ? M. Masoin. — Croyez-vous d'ailleurs que cet
homme
pratiquera l'hypnotisme sans l'assistance de méde
Brunon vient de publier dans la Normandie médicale : Il s'agit d'un
homme
non alcoolique, qui se présenta il l'hôpital en d
En effet, le membre supérieur gauche est très affaibli, de plus, cet
homme
a de l'hémianesthésie avec insensibilité du la co
édent pouvant expliquer la névrose, Un examen attentif révéla que cet
homme
était sous l'influence du sulfure de carbone et q
me par exemple dans l'expérience suivante : M. H.... âgé de 50 ans.
homme
très instruit, auteur bien connu, descend d'une f
obie. Par M. le Docteur Gelineau. On peut poser en principe que l'
homme
civilisé a, par un sentiment instinctif, l'horreu
s, on peut établir en règle générale que chez les races civilisées, l'
homme
a de I horreur et du dégoût pour le sang versé au
n de voir, du moins de réfléchir; dans l'ivresse du combat, les mêmes
hommes
ne foulent-Îls pas aux pieds, ne brisent-ils pas
atiquer l'hypnotisme, accordée à M. A. Denis, de Verriers, qui est un
homme
très honorable et désintéressé. Certains faits
isme par occa-«ion et de diriger un journal à ses moments perdus. Les
hommes
les plus distingués y ont échoué et la direction
distingués y ont échoué et la direction d'un grand journal absorbe un
homme
tout entier. Le journal de mrderiue. comme du res
t est de faire de la réclame à son auteur ou pour le livre bâclé de l'
homme
arrivé, qui ne se donne plus la peine de travaill
faits recueillis par M. Horwîtz viennent confirme cette opinion. Un
homme
, à la suite d'une uréthrotomie interne, est pris
oreille du même coté. Deux jours après, il ne restait plus rien. — Un
homme
âgé se fait une petite blessure à l'occiput : peu
e, inédcriu de l'Hùtct-Diea. I.e somnambulisme provoqué osi. chez l'
homme
comine citez les animaux. Ic résultai d'un choc,
re une machine humaine obéissante, ne serait-ce pas tout bonnement un
homme
d'une intelligence aiguisée qui fait à sa manière
ux expériences faites, l'autre jour, chez M. le docteur Ilérillon. Un
homme
qui n'est qu'un homme m'intéresse tout autant, et
l'autre jour, chez M. le docteur Ilérillon. Un homme qui n'est qu'un
homme
m'intéresse tout autant, et même plus, qu'un homm
me qui n'est qu'un homme m'intéresse tout autant, et même plus, qu'un
homme
qui serait une mécanique. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE
distance et qui termine le livre de M. Ribot : « La volonté chez, l'
homme
raisonnable est une coordination extrêmement comp
uivant où est expliquée fort bien l'illusion du libre arbitre. « Un
homme
, dit Spencer, qui, après avoir été soumis à une i
chiques qui constituaient l'antécédent de l'action, constitue aussi l'
homme
même a ce moment. Il est également vrai que c'est
dont la spécialité était île traiter les affections des oreilles. Cet
homme
, en cherchant à extraire le corps étranger au mov
rer que cet objet n'était plus â la place qu'il avait occupée ! Ces
hommes
de science, d'accord entre eux. d'une manière si
n, montrèrent ici. dans leur conduite, ce que presque tous les autres
hommes
font dans des circonstances analogues : par exemp
la d'une manière irréfutable, des faits qui étaient contestés par des
homme
» très rccommandahles â tous égards, mai» qui n'on
le; et il est vraiment bien juste de remarquer qu'avant l'u-uvre d'un
homme
que je vénère. M. le docteur l.iébeault. œuvre qu
de volonté. Cela signifie que la somme des motifs qui engageaient cet
homme
a ne pas fumer s'est accrue comme nombre ou comme
e entre des forces contraires dout l'une est devenue victorieuse. L'n
homme
qui doit se lever île grand matin entend sonner l
ble de ces motifs ayant constitué une force motrice suffisante, notre
homme
saule en bas du lit. bien convaincu qu'il a élé t
(I). Chacun peut la contrôler par l'observation de soi-même, car tout
homme
passe par les deux états en question qui se produ
'obsédait, peut-être par une sorte de fatalité héréditaire (son père,
homme
fort honorable d'ailleurs, s'était {I) M. I.Las
elle t'engage à entrer. Est-ce la l'attitude d'une femme qui attend l'
homme
avec qui elle a projeté de s'enfuir.' Mais cette
poncho) à propos de l'hystérie mile-La névrose se rencontre chez des
hommes
de constitution vigoureuse et d'aspect absolument
int; il dut se risquer. Il était dune telle pâleur, titubant comme un
homme
ivre, que sa chute était prévue. L'n de ses camar
e malade, l'iuftucuce héréditaire est très manifeste. Son père est un
homme
irritable, de relations difficiles Uu de ses oncl
e sujet que sa phobie, il raisonne juste. Il peut même passer pour un
homme
d'une moralité presque exemplaire, puisque protes
lle ! » Au reste, il a fort bonne mine et, sans être encore un maître
homme
eu sa partie, il n'est point un sot. Il a fort
ous les adjectifs qui peuvent servira définir le caractère moral d'un
homme
et qui ressort cul soit de sa conduite, soit de s
rait une volonté, vive de pencher du premier côté. On dît de certains
hommes
qu'ils ont une volonté ferme. C'est en grande par
ils ont une volonté ferme. C'est en grande partie parce que. chez ces
hommes
, l'homogénéité d«s l'éducation et les conditions
serait immédiatement écartée par la somme des motifs contraires. Cet
homme
est dit avoir une volonté droite et ferme dans «l
ntaires, au sens strict du mot. est bien petit. Pour la plus part de»
hommes
l'imitation suffît ; ils »e cootenlenl de ce qui
ous n'avons pas d'autres indices de l'état intellectuel et moral d'un
homme
que ses actes, c'est-à-dire que ses volontés dans
rès la vente du bénin sirop antisrorbutique) — fait remarquer que les
hommes
d'un caractère gai. d'un naturel content, sont mo
ai. d'un naturel content, sont moins atteints par l'affection que les
homme
» tristes et mélancoliques. Mon excellent maître
Mon excellent maître, le professeur Fonssagrives. qui n'était pas un
homme
folâtre — il s'en faut de beaucoup — a écrit sur
rapidement ver» la guérïson. Extraction des corps étrangers. — l'n
homme
avait un hameçon dans la gorge, l'extraction en s
Notre bon Reveillé-Parise s'en est expliqué ainsi dans son Etude de l'
homme
: « Un de mes confrères, dit-il. âgé de 83 ans. r
s projets los plus importants a l'ordre du jour. Dans ce concours d'
hommes
de sciences nous devons mettre au mieux en éviden
sertions de Seeligmiiller ont été combattues et rejetées par tous les
hommes
compétents sur la question, en Allemagne même et
té de biologie, 28 février 1893. 3 Rapprochons le fait suivant : un
homme
marie, chaque fois que sa femme avait ses règles,
Au contraire, on reste toujours péniblement surpris lorsqu'on voit un
homme
jusque-là honnête, d'une conduite irréprochable,
un contrôle scientifique plus rigoureux. Savant de goude valeur,
homme
loyal, ami sur. Pouchel sera vivement regrette de
cheur aussi infatigable qu'original laisse cet exemple très rare d'un
homme
ayant gardé la jeunesse du ru-ur et de l'esprit j
ocipède, exercices qui me semblent particulièrement dangereux pour un
homme
que la vue du moindre accident peut renverser inc
nde littéraire en raison des jugements sévères qu'il contient sur des
hommes
de lettres et des artistes célèbres, pour la plup
de les discuter, mais il importe qu'on les connaisse — comme tous les
hommes
demeurés sains, il aime les romani de M. Georges
sure cependant, car notre critique admet que le dégénéré peut être un
homme
de génie. Mais alors on en revient au mot de Lasè
Affirmation imprudente, s'écrie M. Nordau. Il y a des génies sains. L'
homme
de génie sain, dit-il, a une faculté intellectuel
que pour M. Xordau ce point de départ ne saurait etro discuté par un
homme
: sain. En tous cas on voit que l'auteur a eu ra
ls étranges, ces poésies sans queue ni tète qui mettent au Mipplice l'
homme
sain. II y a là à notre avis une explication tr
les phénomènes », c'est ce qu'on a appelé l'altruisme. Pendant que l'
homme
s'occupe du non moi, il ne songe pas à son moi et
portance et celle do tous ses actes, et à so figurer que le reste des
hommes
partage sur ce point son sentiment. Il n'hésite p
de déplaisir, l'égotistc doit nécessairement souffrir du monde et des
hommes
ui éprouver de la haine contre la nature et la so
ordau. le pessimisme n'est pas une philosophie mais un tempérament. L'
homme
sain serait optimiste, le neurasthénique et le dé
C'est là une vue bien superficielle, compréhensible chez un brave
homme
qui se retira du commerce après fortune faite el
tagent déjà ses idées ? Les remèdes seraient : une Ligue formée des
hommes
les plus qualifiés qui se constituerait gardienne
artistes et des autres degenere-. C'est tout. M. Nordau, qui est un
homme
positif, est persuadé de l'efficacité de ces re
lle de cotte lin de siècle. Et maintenant, sans vouloir offenser un
homme
de grande valeur, mais seulement pour marquer le
Ainsi les premiers éléments du caractère sont les inclinations que l'
homme
apporte en naissant et qui varient suivant les te
ergique; ceux qui pensent beaucoup, les meditati fs sont rarement des
hommes
d'action ; l'habitude d'envisager longuement les
ts principaux le plus répandu, car on peut dire qu'il domine tous les
hommes
à des degrés et sous des formes différentes, c'es
dirais que mon client me parait a l'heure qu'il est dans l'état d'un
homme
qui n'aurait jamais pris de morphine, sommeil, ap
étaient gravées : Voici deux des histoires quelles racontent: Un
homme
, natif de Toroné en Macédonic, avait une bellc-mc
rut, le front do Pandaros était aussi net qu'une plaque d'ivoire. Cet
homme
alla trouver un de ses amis, nommé Echégore, qui
e de rencontrer, soit le sentiment, soit la pensée, à l'état isolé. L'
homme
normal n'offre rien de semblable, mais la maladie
voir brasser un lit de plumes. I.esmédccins.pas plus que les autres
hommes
ne sont exempts de ces pseudo-phobies. Ainsi un m
de main et cette humeur pittoresque qui le caractérisaient ; c'est l'
homme
aux petits papiers. 11 en a les poches pleines ;
est si faible qu'ils sont frappés et sidérés aussi promptement qu'un
homme
atteint par la foudre. En adoptant ce genre « l
es cités par plusieurs de nos con-fi-éres, Bouveret, entre autres. Un
homme
fort intelligent, neurasthénique par excès de tra
nt peur de se confesser au médecin » cl cependant quelques-uns de ces
hommes
sont à la tête d'établissements commerciaux d'une
la peur lui revient la marche ataxique apparaît, il chancelé comme un
homme
ivre, il devient anxieux il ferme vivement son pa
disent les auteurs à cet égard : Classiquement, on admet que chez l'
homme
la morphine excite la sécrétion sudorale, mais di
uée onze heures après l'accident. Chez le quatrième malade, le seul
homme
de cette série, bien qu'il fut très affirmatif su
nous observons que ce n'est point une perfection due à la nature de l'
homme
qu'il ait toujours actuellement l'usage do la rai
dit et de ce qu'il fait: nous observons encore que ce n'est point à l'
homme
une perfection due, qu'en toute chose et toujours
acte de clairvoyance parfaite que d'obéir aveuglement : enfin, que l'
homme
, parce qu'il se confie, ne se livre pas. Dès lors
se confie, ne se livre pas. Dès lors, nous ne voyons plus pourquoi un
homme
qui voudrait se faire hypnotiser et un autre qui
s détails. Voici l'observation très résumée de mon malade. C'est un
homme
de quarante et un ans. exerçant la profession
ie toute spéciale à la névrose. C'était la profession d'acteur. Cet
homme
se jouait véritablement à lui-même ia comédie de
ations, je modifiai complètement ma ligne de conduite : « Puisque cet
homme
, me dis-je, se joue une comédie de maladie, il fa
erveux, les bobos, les vapeurs, laissons cela aux femmes ; mais que l'
homme
soit ferme, énergique et courageux. » Et je forti
héros du répertoire depuis Eschyle jusqu'à Victor Hugo, « Et c'est un
homme
comme ceux-là qu'il faut devenir! * Dans lu deu
témoin des échanges vibratoires qui se passent réciproquement entre l'
homme
et l'univers : elle ouvre pour ainsi dire un mond
ions communes à fa vie universelle et à la vitalité particulière de l'
homme
dans cette zone qui nous entoure et nous met en r
des vibrations humaines, enregistrées dans l'obscurité, montre que l'
homme
est un centre de consommation non seulement d
; il y voit encore a une période cette confiance en soi » qui,chez l'
homme
normal, est le fruit de l'éducation et de l'habit
norme puissance étaient couramment employés à des expériences sur des
hommes
et sur des animaux. Un jeune chien fut ainsi soum
cellc-ci, paralysant apparemmentles plus hautes conceptions, rend les
hommes
vantards, impudiques et querelleurs ; celle-là, p
ublait point. Tout autre était la situation quand elle recevait des
hommes
appartenante sa position sociale, des amis de son
raisonnement suivant : On m'a vu rougir ; donc on va supposer que cet
homme
est mon amant, et lui-même, cet homme, va conclur
r ; donc on va supposer que cet homme est mon amant, et lui-même, cet
homme
, va conclure de mon état que si je me trouble ain
m'a regardée et cela m'a fait rougir ; cette enfant va croire que cet
homme
est mon amant et ma fille va être scandalisée sur
peine de veiller à leur conservation. L'imitation permet aussi aux
hommes
réunis en société de profiter de l'expérience des
n raisonnable. La théorie de l'histoire, concentrée dans los grands
hommes
, explique de cette manière le progrès. Les clas
urs voulu étudier l'histoire d'une nation d'après celle de ses grands
hommes
, sans s'inquiéter de celle du peuple. Max Nordau
rgument de la suggestion au concept de ces historiens: Ces grands
hommes
façonnent le peuple, forment leur caractère, leur
s suivre passivement, son histoire se résume donc en celle des grands
hommes
. C'est pousser bien loin le rôle de l'imitation
t nombreuses. Faisons pour la société ce que nous avons fait pour l'
homme
et examinons successivement les causes des actes,
certains peuples obéissent avec fougue aux suggestions de ses grands
hommes
, les autres non. Mais, il s'agit bien là de carac
ar une nouvelle idée. En d'autres termes, la nation fait les grands
hommes
et ceux-ci ne peuvent influer sur elle que s'ils
on et nous pouvons l'assurer qu'il a obtenu l'approbation de tous les
hommes
de cœur. {Note de la Rédaction.) A Monsieur le
es. Je serais aussi très heureux si l'on pouvait l'aider à devenir un
homme
intelligent et utile à la Société. J'ajoute que l
concentrés sur la pathologie du système nerveux cérébro-spinal chez l'
homme
et sur l'anatomie comparée du système nerveux cen
tre savant confrère le Dr Cabanes, a recherché si quelques grands
hommes
n'avaient pas été atteints de l'habitude de se ro
it souvent les ongles, légèrement, il est vrai. C'était chez le grand
homme
presque toujours un signe d'impatience ou de préo
Sa conclusion est la suivante : Il serait prudent que toute personne,
homme
, femme, jeune fille, sût exactement à quoi s'
Pour cela, il faut essayer de se faire mettre en somnambulisme par un
homme
compétent. Si l'on arrive alors au somnambulisme
toute vérité est bonne, par essence; mais toute puissance donnée à l'
homme
peut être tournée au bien ou au mal. Nous devons
d'entcntre l'éloge, « qui tout en restant par l'esprit de corps, un «
homme
du passé, fut souvent en avance sur les idées de
'ordinaire il apparaît comme sérieux et grave, ainsi que le serait un
homme
mûr; il n'est ni expansif, ni cependant trop conc
nt dit sénile ? Sans doute, celui-ci peut bien se rencontrer chez les
hommes
jeunes, mais, d'ordinaire, il affecte de préféren
ent, je commençai à hypnotiser en mai 1889. Mon premier malade fut un
homme
de bonne éducation qui souffrait d'une fistule ur
illie et perfectionnée après lui, grâce à la sagacité pénétrante d'un
homme
modeste, dont le nom vivra à côté de celui de Bra
e des foyers organiques dont le but suprême est, en ce qui concerne l'
homme
, de concourir â la fabrication des facultés intel
)• W. Van Renterghem (d'Amsterdam), Le malade dont il s'agit est un
homme
de 42 ans, de sauté robuste, bien constitué, non
grandes variétés individuelles. Chez les animaux, de même que chez l'
homme
, ces dispositions évoluent entre ces deux termes
station de la dégénérescence héréditaire. En réalité, pas plus chez l'
homme
que chez les animaux, la méchanceté n'est l'apana
gueur générale en même temps que le poids. . Tous les êtres, sauf l'
homme
, sont gouvernés par un instinct naturel. Ceux
vorable s'est dessiné. Nous avons vu successivement venir à nous, des
hommes
qui, comme MM. Marion, Buisson, professeurs à la
considérable mise enjeu par un individu et déterminant dans un autre
homme
des troubles profonds, des modifications importan
t pas toujours commode, parce que, à l'inverse ce qui se passe chez l'
homme
qui a conservé la plénitude de ses facultés intel
développée. Nous voulons parier de l'idée que des animaux possèdent l'
homme
; cette conviction fort en vogue au moyen âge, che
le cas des malades dont je viens vous entretenir. Le premier est un
homme
de soixante ans, mécanicien, doué d'ap-tudes musi
sens de la résistance à l'impulsion. Le deuxième cas est celui d'un
homme
tres estimable, qui fut pendant de longues années
iencieux. Quant à nous, nous gardons un souvenir respectueux pour l'
homme
dont la vie entière fut consacrée à l'étude de la
upon entre les bras de Th.., et je lui suggère qu'il est, non plus un
homme
, mais une nourrice. Aussitôt, il prend son rôle a
re le but qu'une volonté supérieure lui a assigné. Tout lo reste,
hommes
et choses, idées et faits, émotions et sentiments
une seule qu'il tranformera en acte, — comme le somnambule naturel, l'
homme
à idée fixe, l'aliéné! Pourquoi, avez-vous ajou
t toute sa valeur, la suggestibilité ne perdrait rien de la sienne. L'
homme
continuerait à être suggestible et on pourrait lu
Bernheim et son élève savent aussi bien que moi qu'il est des sujets,
hommes
, femmes ou enfants qui dans l'état de sommeil pro
t sous la voûte du bâtiment de l'infirmerie, il a été assailli par un
homme
dissimulé derrière un pillîer. L'agresseur lui a
us simple et plus facile pour lui que de démontrer l'innocence de cet
homme
. Cette démonstration, qu'il fut permis par M. le
s études les plus curieuses que Mesnet ait publiées, c'est celle de l'
homme
dit : Le Sauvage du Var. En 1864-1865, Mesnet, po
une indépendance absolue, aflranchi de toute obligation vis-à-vis des
hommes
, s'était proposé « de ne rien devoir qu'à la terr
sans abuser d'elle, sans la fatiguer par une culture exagérée ». Cet
homme
poursuivait, sans se laisser distraire, un but fi
ns se laisser distraire, un but fixé dès longtemps. Il voulait être l'
homme
de la nature, et c'était à elle seule qu'il voula
essante communication de Mesnet, terminait ainsi son rapport: « Cet
homme
doit son bonheur, sa force, sa santé, sa paix ina
s n'étaient pas absolument arrachés au monde réel (Delbceuf). » « L'
homme
, dit Liébeault, qui est parvenu dans le sommeil a
u par suggestion, comme la pierre qui « tombe. Ce n'est que lorsque l'
homme
est rentré dans le sommeil de « plus en plus lége
ce et la « vertu. A certaines heures de la journée, le plus juste des
hommes
» commettra sans remords les plus abominables for
gent des pins parasols, y donne accès : — la villa Gahrielli pour les
hommes
; pour les femmes, la villa Barberini et la Casa
rps inerte ; dans certaines occasions sa furie est terrible et quatre
hommes
ne peuvent le contenir et doivent l'attacher parc
mblances futiles. Tels ceux qui ont bonne ou mauvaise impression d'un
homme
d'après son habit, la manière de se présenter, et
, car on ne rencontre plus par les rues qu'hypnotiseur ou hypnotisés,
hommes
et femmes, enfants et vieillards. La cause immédi
e celle-ci l'a invitée à reprendre ses habitudes alcooliques (4) ; un
homme
rêve la nuit qu'il est un voleur et, au réveil, i
anglé I DE LA CRÉDIVITÉ I. LES SENSATIONS ET LA CROYANCE. Les
hommes
ont une inclination native à croire, et croient,
de la raison nous sont fournis par le cœur. La vérité, c'est que l'
homme
doit au sentiment un grand nombre de sescroyances
t au sentiment un grand nombre de sescroyances. « Tout ce qu'il y a d'
hommes
sont toujours emportés à croire, non par la preuv
évidence des croyances sentimentales est, pour l'immense majorité des
hommes
, très inférieure aux autres évidences. Dès qu'un
majorité des hommes, très inférieure aux autres évidences. Dès qu'un
homme
normal et libre perçoit et raisonne, il n'hésite
paresse du raisonnement, soit par impuissance de vérifier, beaucoup d'
hommes
croient une chose par cette seule raison qu'un au
eaucoup d'hommes croient une chose par cette seule raison qu'un autre
homme
la leur déclare vraie. Celte croyance procède des
éclare vraie. Celte croyance procède des inductions suivantes : « Cet
homme
fut véridique auparavant ; donc il l'est encore »
mme fut véridique auparavant ; donc il l'est encore » ; ou bien a Cet
homme
présente tel ou tel signe que présentaient des ho
; ou bien a Cet homme présente tel ou tel signe que présentaient des
hommes
savants et sincères ; donc, il est savant et sinc
culté de la recevoir rentre dans cette disposition commune à tous les
hommes
par laquelle le système nerveux central de chacun
s humains et de tous les instants. Pascal l'a constatée lui-même. « L'
homme
est ainsi fait, dit-il, qu'à force de lui dire qu
(4) De la suggestion sans hypnotisme. (5) Pensées. En fait, les
hommes
qui constatent, qui raisonnent, qui ne s'émeuvent
es individus. Elle paraît un peu plus grande chez la femme que chez l'
homme
. Elle est au maximum chez l'enfant, dès qu'il peu
nce, comme les militaires. Dès que la volonté et le raisonnement d'un
homme
s'affaiblissent, sa suggestibilité augmente. La s
ité. Elles furent d'abord fétichistes, polydémo-nistes, naturistes. L'
homme
, assimilant toutes choses à lui-môme, attribuait
et toutes les métaphysiques, idée qui passe dans l'esprit de tous les
hommes
, est celle de l'existence d'une ou de plusieurs f
l écrivait en tête de son Histoire naturelle de la superstition : « L'
homme
n'est superstitieux que parce qu'il est craintif,
famille, il vit avec son médium, dont il a eu un enfant. C'est à cet
homme
, qu'elle ne connaît d'ailleurs en aucune façon, q
é l'intolérance de leur temps, déclarent trouver dans la volonté de l'
homme
l'origine de ses maladies et de ses cures, et rec
les obsessions et les maladies, augmentent la tension vitale chez les
hommes
et les femmes atteints par la vie à outrance de n
écarter de la Société de médecine de Nancy. Il est naturel que tout
homme
qui apporte une formule nouvelle soit mis en susp
i fondaient l'ordre des Visilandines. Enfin Vincent de Paul, avec des
hommes
de basse condition, la Congrégation des Lazariste
r ces idées religieuses, qui étaient celles de la foule et celles-des
hommes
qui en imposaient par leur situation et leur rich
s, Sire, si vous aviez vu dans vos pays de Guyenne et d'Auvergne, les
hommes
paitre l'herbe à la manière des hôtes?» avait dit
e Pascal. Loe. cit. (2) Souri - . La suggestion dans l'art. (3) L'
homme
et l'intelligence. A. de Rochas obtint l'exta
aura plus devant lui des fidèles, mais à vrai dire des esclaves. Un
homme
volontaire, énergique, raisonnable, élevé dons l'
s légendes offertes. Quelle ne sera pas l'impression" produite sur un
homme
antérieurement suggestionné, sur un homme Imagina
impression" produite sur un homme antérieurement suggestionné, sur un
homme
Imaginatif, émotif, sentimental, sur une femme, s
es: Il serait de la prudence la plus élémentaire que toute personne ;
homme
, femme, jeune lille, sût exactement jusqu'à quel
égard que si l'on a essayé de se faire mettre en somnambulisme par un
homme
honnête et compétent. Si l'on arrive alors à l'ét
l puisse exister des vérités malfaisantes. Tonte puissance donnée à l'
homme
peut être tournée au bien ou au mal. C'est donc à
'aurais eu tort de la combattre jadis et « je ne serais pas un habile
homme
»; — « or, Heureusement, à côté de ces advers
MM. Dufour, Repoud et Bérillon, ainsi que M. Aug. jo suis un bahile
homme
¦ ; — donc la psychothérapie u'est pas légitime.
essaire de donner un aperçu du caractère et des ouvrages de ces trois
hommes
dont parle Gilberte. Corneille Jansen, dit Jansen
hèse:«Depuis le péché originel, le libre arbitre n'existe plus pour l'
homme
, qui est par lui-même impuissant à produire autre
La Roche-Pozay, évéque de Poitiers, s'était pris d'affection pour cet
homme
taciturne, orgueilleux, turbulent, farouche, infl
lergé de France, où il déclarait que Dieu ne veut pas sauver tous les
hommes
, que les bonnes œuvres de ceux qui sont hors l'Eg
gustin, expliquée dans son livre Augusti-nus. On voit que ces trois
hommes
, Jansen, Du Vergier de Ilauranne et Antoine Arnnu
'avoir fait tant de frais pour une si légère récompense, rappelle cet
homme
, lui ajoute qu'il y a quelque chose qu'il ne lui
de gaieté de temps à aulrc.et te guérit radicalement, au point que l'
homme
est comme à son ordinaire. Les docteurs moroses
scientifique, s'est concilie la sympathie et l'admiration de tous les
hommes
de bonne foi. Nous sommes heureux de reproduire
t asile, dans des laboratoires admirablement aménagés, à une légion d'
hommes
qui n'ont qu'un but, celui d'aller plus avant dan
e de la foi et du raisonnement II ajouta que Jésus-Christ n'était pas
homme
de la même façon que nous, qu'il n'était pas un a
ère seule étant efficace. La grâce du salut était égale pour tous les
hommes
. La grâce du ministère était inégale ; elle n'éta
'avisèrent que de telles idées constituaient un danger public chez un
homme
qui s'occupait d'instruire la jeunesse. Ils l'en
aordinaire, du déjà célèbre Biaise Pascal. Remarquons ici qu'en lui l'
homme
de science n'avait pas encore disparu, et qu'il u
ples, et suivit ses conseils pour la direction des âmes. C'était un
homme
humble, timoré, intelligent, opiniâtre, d'une tim
taphe, tout occupé de Dieu et fécond à lui engendrer des saints o, un
homme
a qui possédoit parfaitement le don de la persuas
s fidèles conduire les âmes à Jésus-Christ('] », en un mot, un de ces
hommes
inappréciables quand ils possèdent la vérité et s
ès des médecins des différents pays, c'est la méthode inaugurée par l'
homme
éminent qu'est M. Liébeault; c'est à M. Liébeault
yons-nous, d'être publiée comme document anatomique. Il s'agit d'un
homme
de trente-deux ans, à l'au- topsie duquel nous
accrue par la compression du côté gauche du crâne. De plus notre
homme
commença à ressentir dans l'oeil droit les mêmes
4 février, nous notâmes l'état suivant : ' Etat actuel. C'est un
homme
dans la force de l'âge, qui frappe de suite, pa
t pas la même et la terminaison en est différente aussi. Mais cet
homme
distingué n'avait pas attiré l'attention des prat
, dans les hospices, ne comprennent pas de bâtiments à étages. Un
homme
épileptique, ayant des accès fréquents, ne peut
eux sexes on ne note l'absence de troubles pupillaires que chez 17 (
hommes
13,4; femmes 33,9 p. 100). Ces troubles sont mo
intes (le mari se hâte décoller); et celle, non moins épineuse, des
hommes
aliénés en congé qui ont immédiatement des rapp
ce, au développement plus accentué des muscles du côté droit de cet
homme
qui est chaudronnier. P. K. XII. CONTRIBUTION A
tre de Fleischl. Pyknomètre capillaire de Schmalz. 138 malades (104
hommes
, 24 femmes). Cinq observations dans le texte.
pression signifie que le coït des animaux entre eux provoque chez l'
homme
le désir de coïter avec une personne d'un autre
x, généralement faute de mieux. Voici maintenant l'observation d'un
homme
qui éprouve la jouissance génésique quand il es
chez lui des érections, mais il ne peut coïter avec une femme. Cet
homme
a guéri.. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 45
2" peur de conditions spéciales qui n'inspirent pas la crainte à l'
homme
sain, comme les phobies de la locomotion. Le
ns la localisation systématique caractéristique du tabes. Exemple :
Homme
syphilitique depuis douze ans. L'affection débu
ences sur les animaux), il est probable qu'il en est de même chez l'
homme
. On sait que Charcot a relaté d'assez nombreux
me pour demander son admission. S..., en dehors de ses accès est un
homme
« comme tout le monde, affectueux pour les sien
s ce n'est pas ici le lieu de disserter sur la criminalité ou sur l'
homme
criminel. Au point de vue psychique, S... ne pr
ongénitale : par IJEIINHARDT, (Neurolog. Centralbl., Xlll, 1894.)
Homme
de vingt-quatre ans. C'est deux semaines a près s
achyméningite cervicale hypertrophique de Charcot et de Joffi oy.
Homme
de trente-neuf ans, hérédité nerveuse assez lourd
velle Iconogra- phie de la Salpêtrière, 1894, n° 3.) Observation.
Homme
, vingt-sept ans, tare héréditaire légère, mais
onner une idée. Il est incroyable qu'avec une telle conformation un
homme
.puisse se tenir debout et marcher. Bassin fléc
membres inférieurs sont éléphantiasiques. Troisième observation.
Homme
, quarante-six ans, hérédité névropathique, syph
ut de l'affection, elles peuvent être multiples et bilatérales, les
hommes
y sont plus sujets que les femmes. Leur apparitio
survenant par .accès, et qui se rattache à la migraine ophtalmique.
Homme
, trente ans, père tabétique. Début de l'affecti
ues. (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, 1895, n° 1.) Observation. -
Homme
, vingt-quatre ans, très fortement musclé, non h
omme, vingt-quatre ans, très fortement musclé, non héréditaire. Cet
homme
a, depuis quelque temps, l'habitude de dormir d
t pro- bable qu'il s'agit de tuberculose. Deuxième observation. -
Homme
, vingt et un ans. Hémiphégie com- plète droite
ant. Prix Bellzonzme. - Sur le rapport de M. SOLDER, le prix Bel-
homme
est accordé à M. BoYER professeur à l'Institut mé
ie de l'établissement. Le nombre des paralytiques a été de 126 (119
hommes
et 7 femmes), c'est-à-dire du quart des entrées
sujets atteints de psychoses simples ont été au nombre de 342 (175
hommes
, 154 femmes). La plus grande partie des hommes
u nombre de 342 (175 hommes, 154 femmes). La plus grande partie des
hommes
rangés dans cette catégorie étaient atteints de
E 126 asiles d'aliénés. 87 de l'encéphalite interstitielle chez l'
homme
que chez la femme, rareté de la maladie chez le
peuvent payer un remplaçant qui saute à leur inten- tion ; un seul
homme
a le droit de remplacer plusieurs malades à la
sement sa conduite n'ajamais été bonne. » Elle travaillait comme un
homme
et en avait la liberté de propos et d'allures.
tient des propos obscènes à ses compagnes et se jette sur tous les
hommes
, même les détenus. Une autre fois elle menace sub
é, pour ainsi dire.-de ce besoin instinctif qui poussa les premiers
hommes
à se constituer en société. Sous l'influence de
x et de folie furieuse. Chez ce même malade ainsi que chez un autre
homme
ces mêmes phéno- 122 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE.
s DE l'excitabilité électrique du système nerveux PÉRIPHÉRIQUE DE L'
HOMME
DANS LE JEUNE AGE ET SES RAPPORTS AVEC LA STRUC
du sillon orbitaire externe. Il y aurait donc une parenté entre l'
homme
né pour le crime et celui qui en naissant prése
ez de matériaux pour qu'on puisse conclure avec certi- tude D ; « l'
homme
de génie est-il, tout comme le criminel et l'alié
XIII. DES FIBRES NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORCE DU cerveau de l'
homme
; par Th. KAES. (Neurolog. Cent1'ltlbl" XIll, 1894
ltlbl" XIll, 1894.) Nouvelle numération des fibres sur 3 cerveaux d'
hommes
de quarante-deux, quarante-cinq, cinquante-troi
ir la simulation. P. K. XVI. DES différents modes DE station chez l'
homme
sain ; par M. Paul Richer. (Nouv. iconog. de la
l'auteur pour déterminer le lieu précis du centre de gravité chez l'
homme
en station verticale. La tête en' station sur l
il analysé dans ce journal : Des différents modes de station chez l'
homme
sain, M. Paul Richer fait voir successivement :
re chez elle. Chez l'enfant, elle descend au même niveau que chez l'
homme
adulte, sans différence sexuelle. Chez le nouve
'un être qui serait à la fois, anatomiquement ou physiologiquement,
homme
et femme. En revanche, on rencontre des individ
auté hybride. Les lignes du corps tiennent à la fois de celles de l'
homme
, de la femme et de l'enfant. Les deux sexes sont
la dépression mentale. Sur les 250 malades observés, on trouve 138
hommes
et 112 femmes.- En ce qui touche l'âge auquel l
), la mélancolie a paru plus fréquente chez les femmes que chez les
hommes
; 4° dans les cas de mélancolie traités à l'asile
de Garlands, la proportion des guérisons a été plus élevée chez les
hommes
que chez les femmes, et la proportion totale des
de la mortalité dans la mélancolie a été un peu plus élevé chez les
hommes
que chez les femmes : la cause de mort la plus
araissant d'ordinaire chez la femme à un âge plus avancé que chez l'
homme
, il en résulte naturellement que, dans un grand
inversion sexuelle n'ont pas la même horreur du coit normal que les
hommes
atteints de ce même vice et sont assez fréquemm
particulièrement sur l'anatomie pathologique. Hayem * cite chez un
homme
de trente-sept ans un cas de tubercule solitair
de méd., 1886.) 182 CLINIQUE NERVEUSE. Hellich' a décrit chez un
homme
de quarante-deux ans un cas de tuberculose soli
lle a souvent depuis des années des rêves bizarres, où elle voit un
homme
avec une tête d'animal. Elle a des pressentimen
nes et vous voulez jouer. » Ce soir-là, à peine couchée, je vois un
homme
qui vient à moi tendant les bras comme un déses
ntations obscènes, une autre réclame dans son lit la compagnie d'un
homme
. Celle-ci se livre à la masturbation, celle-là
iolo- gistes. Peut-être répondraient-ils que jamais l'injection à l'
homme
ou à l'animal de suc thyroïdien, quels que fuss
es et constants que provoque l'in- gestion du corps thyroïde chez l'
homme
dans le cas de myxoedème. « La greffe, que nous
stion de lobes ou injections d'extrait. « S'il est vrai que, chez l'
homme
, les symptômes observés dans la maladie de Base
6 SOCIÉTÉS SAVANTES. Tout d'abord, nous devons rappeler que, chez l'
homme
, le trai- tement thyroïdien intensif dirigé con
mort. Ce fait est en contradiction apparente avec les cas où chez l'
homme
on a provoqué par ingestion en excès de corps thy
VANTES. perthyroïdisation provoque dans la glande elle-même, chez l'
homme
, les lésions de Renaut. Les causes morales, inf
lles sont également ingénieuses, défendues l'une et l'autre par des
hommes
également éminent ? . Il y aurait donc quelque
as ? ils sont excités. Les centres moteurs le sont aussi, puisqu'un
homme
qui souvent, à l'état normal, se fatiguait très v
de par l'intervention de la science, il n'en est plus de même. Les
hommes
de la génération de 1792 : Pinel, Esquirol, ill
tion de l'asile, elle en est digne; elle renferme dans son sein des
hommes
qui cherchent le mieux par la science. Pourtant
uarante- 'cinq à cinquante-cinq ans; elle est plus fréquente chez l'
homme
. - Elle coïncide avec un athérome généralisé. L
résente un endo- carde sain. L'aorte est relativement saine pour un
homme
de cet âge. - Les reins sont normaux (400 gramm
eau ou névrose; parTHOMSEN. (Allg. Zeitsch f.psychiat. Li, 4.) Un
homme
de quarante-cinq ans chez lequel on n'a pu consta
de Neurologie de Moscou, M. Tambourer vient de relater le cas d'un
homme
de vingt-cinq ans qui, dans le cours d'une blen
(The New-York Médical Journal, 16 fé- vrier 1895.) Il s'agit d'un
homme
de vingt-trois ans, apporté à l'hôpital en état
894.) L'observation de ce cas intéressant peut se résumer ainsi :
Homme
de soixaate ans, conducteur de chemin de fer : pa
rhumatismes, pas d'athérome artériel. Coeur et poumons sains. Cet
homme
ressent depuis trois ans, au côté droit de la têt
cérébrale ; . par Lewis BRUCE. (Brain, part. LXIX, 1895, p. 54.)
Homme
de quarante-sept ans présentant des symptômes de
t pour les médecins chargés d'en apprécier la responsabilité. Les
hommes
d'affaires, les magistrats, et parmi eux surtout
nt par honte, ne voulant pas avouer qu'elles se croient aimées d'un
homme
placé dans une situation supérieure à celle qu'
ue chez un trépané atteint de crises épileptiques jachsoniennes. Un
homme
frappé d'un coup de canne plombée sur le côté d
balnéaire, aux beautés naturelles complétées par les tra- vaux de l'
homme
. Il boit à la prospérité de Royan, à son distingu
ctuellement quatre-vingts malades, soit 19 p. 100 de l'effectif des
hommes
, sont em- ployés à des travaux agricoles sur un
d'avenir ». En 1868, l'asile de Colditz (Saxe) emploie 329 malades
hommes
, soit 33 p. 100 de l'effectif de la division de
329 malades hommes, soit 33 p. 100 de l'effectif de la division des
hommes
, sur le domaine de Zchsadrass (91 hec- tares) :
cès par l'extrait thyroïdien; par le Dr J. HAROLD. Il s'agit d'un
homme
de cinquante et un ans, sans antécédents hérédi
autres aliénés sont sensibles aux doses de 2 à 3 milligrammes et un
homme
actif et intelligent à la dose de un milligramm
le résultat de la force de l'exci- tation. Il en résulte que chez l'
homme
, un très petit nombre d'attaques épileptiformes
.) Les recherches de l'auteur portent sur 830 autopsies, dont 656
hommes
el 174 femmes. Kroemer, sur 196 cas, n'en a trouv
ânienne. -L'auteur l'a trouvée augmentée de poids dans 192 cas (140
hommes
, 52 femmes), ce qui donne un total de 21,3 p. 1
28 cas, ce qui donne une pro- portion de 3,3 p. 100. La plupart des
hommes
étaient des alcooli- ques. Le diploe a été exam
28,1 p. 100 ; les femmes le présentaient plus fréquemment que les
hommes
. La méningite chronique simple existait dans 85,9
tricule dans 0,2p. 100. Les ventricules étaient très étroits chez 4
hommes
, donc dans une proportion de 0,4 p. 100, dilaté
p. 100. Des lésions localisées ont été trouvées dans 70 cas dont 54
hommes
et 16 femmes, dans une proportion ainsi de 8,2
n de 36,9 p. 100. Les lésions sont plus souvent localisées chez les
hommes
dans les cir- convolutions de la convexité droi
p. 100), le centre ovale, etc. Les tumeurs n'existaient que chez 5
hommes
, les cysticerques chez 14. Le poids du cerveau
osco- piquement dans une proportion de 38,5 p. 100, dont zip. 100
hommes
et 36,2 p. 100 femmes. Les pachyméningites spin
p. 100. Hématomyélie dans 1 cas, dilatation du canal central chez 3
hommes
. ' Paul SÉRIEUX. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
'ont sur les mouvements qu'une action indirecte. La cerveau. de l'
homme
l'emporte sur celui de l'animal par l'extrême d
'association qui constituent finalement l'acquisition spéciale de l'
homme
et affluent de toutes les parties du- cerveau.
LE. . En 1860 le rapport entre le nombre des paralysies générales
hommes
et femmes était dans les asiles d'aliénés de 8 co
dépense nerveuse sont encore plus actives. Enfin, alors que jadis l'
homme
travaillait seul et la femme ne vaquait qu'aux
ces classes un fort contingent de paralytiques est fourni pour les
hommes
par les officiers, les médecins, les ban- quier
société élevée, par rap- port à l'existence remplie d'activité de l'
homme
. Il faut aussi tenir compte au point de vue de
e ans après l'infection syphilitique et comme la majeure partie des
hommes
contracte la syphilis de vingt à trente ans, on
us d'opium. En tout cas cette maladie n'a été observée que chez les
hommes
. Amnésie consécutive. Durée : quelques heures à
la Charité de Berlin. Il est entré une para- lytique femme pour 3,5
hommes
atteints de la même maladie. En quinze ans le n
nte ans. Evolution analogue à celle de la paralysie générale chez l'
homme
; la démence cepen- dant domine. Durée moyenne d
stives; celles-ci ont été observées dans 59,33 p. 100 de cas chez l'
homme
et 60,38 p. 100 des femmes. P. K. XLVI. DE LA
dans l'asile berlinois de IIerzberge la proportion des alcooliques
hommes
s'est élevée à 70 p. 100. Au point de vue théra
simulés sous les symptômes de l'alcoolisme ou du saturnisme. Sur 60
hommes
hystériques, l'alcoo- lisme a joué chez 18 d'en
vation de Lusche sur la fréquence plus considérable, en France, des
hommes
de génie dans les régions peuplées par la race
itique ethami- tique. Les femmes sont plus souvent frappées que les
hommes
. Le diabète est fréquent chez les Israélites; l
pereur s'occupent 'de son affaire. Elle considère son mari comme un
homme
borné qui doit lui obéir en tout. Elle se recon
ue au service et surtout depuis un traumatisme crânien. W... est un
homme
intelligent, vif, d'une grande mobilité : il se
diction. « Au regard de cette puissance de l'imagination, dit-il, l'
homme
n'est plus qu'un automate, un pantin, dont la v
ion qu'elles comportent. » Voyez-vous la science - c'est-à-dire des
hommes
de savoir, de haute probité, de conscience élev
u'ils hospitalisent, dispositions à ce point caractéristiques qu'un
homme
du métier en les parcourant dira avec certitude :
tirer au sort de quel. côté seraient les femmes et de quel côté les
hommes
, qu'à tirer également au sort les quartiers à a
incapables de lever la jambe; ceux-là, il faut les porter à dos d'
homme
et, comme ils sortent de table, cette opération,
opulation; elle est comme il suit à Ville-Evrard en ce moment : aux
hommes
de 13 p. 100 (tJ : 2 sur 395) faux femmes de 16
un même établissement. En ce moment, à Ville-Evrard, elle est aux
hommes
de 6 p. 100 (24 sur 395), et aux femmes de 8 p.
nt. Sa population à Ville-Evrard repré- sente en ce moment pour les
hommes
la proportion par rap- port au chiffre total de
e que j'ai à regretter depuis sept ans que je dirige le service des
hommes
à Ville-Evrard s'est produit quartiers spéciaux
ide est bien plus con- sidérable du côté des femmes que du côté des
hommes
.. Ainsi, en ce moment, à Ville-Evrard, la propo
t une surveillance continue, est bien plus considérable du côté des
hommes
. Je crois donc qu'en comptant pour les deux sex
mati- vement ils comportaient soit pour les femmes, soit pour les
hommes
, nous avons omis d'indiquer le nombre de chambres
liniques SUR l'étiologie ET la nature DE l'épilepsie tardive chez l'
homme
; par le D"' nlAU1'.1TÉ. L'auteur considère comm
R LA SIGNIFICATION ONTO-PH7LOGÉNIQL : E DU PROCESSUS FRONTAL chez l'
homme
; par pE\T.1. (Annali di nevl'ologia, fasc. I, 189
LXXVIII. RECHERCHES expérimentales SUR la fatigue des muscles de l'
homme
sous l'action des poisons nerveux, par Rossi. (Ri
Breslau) fait connaître un cas de vertige unilatéral. Le malade, un
homme
de trente-un ans, est devenu dur d'oreilles à la
. Dans l'observation qu'il commu- nique actuellement il s'agit d'un
homme
de trente-huit ans, sans antécédents syphilitiq
M. Heilbronner (de Breslau). Un cas d'asymbolie. - Il s'agit d'un
homme
de quarante-trois ans, buveur. Le début de la mal
tion du malade qui a récemment commis sur lui un attentat. C'est un
homme
de vingt- huit ans qui, employé dans le bureau
érieures de la moelle et des cellules de Purlcinja du lapin et de l'
homme
. Présentation de préparations : chez un alcooliqu
ibéral qui l'a pré- senté ; Norwège, attribution au vote populaire (
hommes
et femmes) dans chaque commune du droit de supp
oins inoffensive. Si elle produisait des inconvénients, c'est que l'
homme
en abusait. De là est venue la doctrine de la m
âcheuse sur l'organisme vivant. Il faudrait, conclut-il, que chaque
homme
se convainquit person- nellement des dangers de
iminuer à l'insu de celui qui l'absorbe la capacité de travail de l'
homme
; deux décilitres de bière suffisent déjà pour d
s instructifs encore. Qu'on vienne à disséquer le corps d'un de ces
hommes
jeunes, auxquels l'alcool donne les apparences
on en trouve dans toutes les classes de la société, même parmi les
hommes
de science et de haute culture intellectuelle.
ramer,les auteurs ont entrepris des recherches sur 100 paralytiques
hommes
, et 25 paralytiques femmes, d'une part, et sur
00 aliénés non paralytiques, d'autre part. Sur les 100 paralytiques
hommes
, la réaction à la douleur a suivi la pression d
e alcoolique (avec présentation de préparation,,), - Il s'agit d'un
homme
âgé de cinquante-deux ans, buveur, qu'un état de
it, dans les asiles d'aliénés néerlan- dais, G,SS` ? malades (3,269
hommes
et 3,313 femmes). Le nombre des admissions s'es
et 3,313 femmes). Le nombre des admissions s'est élevé à 1,444 (741
hommes
et 703 femmes). Le chiffre des guérisonsa été d
4 (741 hommes et 703 femmes). Le chiffre des guérisonsa été de 504 (
hommes
: 260; femmes : 30r). La proportion des guériso
risons, par rapport au nombre des admis- sions, a été de 39 p. 100 (
hommes
: 35 ; femmes : 43,2). Total des malades soigné
0 (hommes : 35 ; femmes : 43,2). Total des malades soignés : 8,026 (
hommes
: 4,010 ; femmes : 4,016). Décès : 519 (homme
s soignés : 8,026 (hommes : 4,010 ; femmes : 4,016). Décès : 519 (
hommes
: 272; femmes : 247). Proportion des décès, sur
femmes : 247). Proportion des décès, sur lOD malades traités : 6,4 (
hommes
: 6,7; femmes : 6,1). Sorties de malades non gu
(hommes : 6,7; femmes : 6,1). Sorties de malades non guéris : 210 (
hommes
: 10'r; femmes : 106). Etat de la population le
at : elle fut déçue et mécontente. C'est toujours ainsi. Quand deux
hommes
se menacent du geste, de la parole ou de la plu
ce, 319. Ecorce. Fibres nerveuses à myé- linedel'-du cerveau de l'
homme
, par Kaes, 144. Electrique. Excitabilité - du
mcursifs et rotatoires de l'- par Mingazzini, 466. tardive chez l'
homme
par Maupâté, 474. Epileptiques. La conscience d
aliénés par Gianeli, 471. Station. Des différ. modes de chez l'
homme
sain, par P. Bicher, 146. SUGGESTION à l'état d
ais maintenant, tu restes je ne sais pas pour- quoi : je sais qu'un
homme
qui s'appelait le D'' Marie te reçut de la femm
la permission de L'habiller... et qu'il ne le demande rien tu es l'
homme
... « Enfin dis au docteur qu'il y a probablemen
ellement. penchant de temps en temps l'oreille dans l'attitude de l'
homme
qui écoute contre sa poitrine, succombe le 25 d
personne, une femme lui dit par sa propre bouche : « B... tu es un
homme
foutu, tu n'avais aucune raison de venir avec c
s relatives cette fois à son tube digestif., n'est plus seulement l'
homme
le plus riche de la terre, mais encore le plus
un délire génitaux très intenses; il se plaignait vivement qu'un
homme
venait le toucher et se livrer sur lui à la pédér
ue relatif aux organes génitaux. HalL.. se plaint de n'être plus un
homme
; il prétend que le traitement à l'asile lui a sup
de nos recherches, les conclusions sui- vantes relatives aux seuls
hommes
puisque, quoique ayant un service immense, nos
çons sur la Structure des organes du système nerveux central de l'
Homme
et des Animaux', de ses nombreux mémoires d'ana
ine chez les poissons jusqu'à l'organe énorme des hémisphèl es de l'
homme
, le développement si extraor- dinaire de cette
m- boles Toutefois, dès que les phénomènes s'ordonnent en lois, l'
homme
en acquiert une intelligence scientifique; c'est
dit-il, tacitement admis que ce que nous nommons conscience chez l'
homme
n'a pu apparaître tout à coup et que pour celte
progressivement dans la série jusqu'à ce qu'elle atteigne chez l'
homme
le plus haut développement connu. » Abstraction
n'est pas scientifique d'inférer priori que ce qui s'observe chez l'
homme
, dans les mêmes circonstances, doit se passer c
e névropathe dégénérée. Elle était mariée depuis quinze ans avec un
homme
dont elle avait été la maîtresse pendant dix-hu
(3,43 p. 100 des parai, géné- raux), se développant surtout chez l'
homme
, de préférence entre 30 et 40 ans et dans les c
par G. FERON. (jours. de Neurologie, 1900, n° 7.) 11 s'agit d'un
homme
de trente-huit ans qui présentait une abo- liti
par F. Sano. (Joum. de Neurologie, 1901, n° 8.) Observation d'un
homme
de trente-un ans chez lequel on cons- tate tous
- Lile WtTFR. (The New I'o· ! c Médical Journal, G novembre 1897.)
Homme
de trente-neuf ans : père et grand-père paternel
: un tel malade au point de vue médico- légal, en supposant que cet
homme
ait commis un crime grave, un meurtre par exemp
ue de Kant est un « vieux reste du Décalogue » il est certain qu'un
homme
ne peut se sentir responsable qu'au- tant qu'il
nt au point de vue physique qu'au point de vue psychologique. Les
hommes
de science trouvent difficile d'admettre la folie
ux, les favoris d'un peuple, les capitaines célèbres, et les grands
hommes
d'Etat, enfin les publicistes en renom, tiennent
P. KEDAVAL. ASILES D'ALIÉNÉS. I. Les soins des femmes auprès des
hommes
aliénés ; par N.-A. Joaaiaw. (06oréaié psichiat
ns du surveillant et de son aide. Les soeurs de service aux agités-
hommes
sont relevées, au moment des repas, par les soe
ieux à ce genre de soins, mais en leur associant, dans les salles d'
hommes
, des serviteurs chargés de les aider, pour les
de femmes les fonctions des aides-surveillants dans les quartiers d'
hommes
. Evidemment les aides-surveillants élèvent le t
'apparition des lésions cadavé- riques dans l'écorce cérébrale de l'
homme
, méthode de Nissl. (Ti avait du laboratoire de
ersonnes d'àge moyen, plus fréquemment chez des femmes que chez des
hommes
, principalement chez des personnes instruites,
ce stable et acquise, caractérise ce nouveau travail. On sent que l'
homme
qui l'a écrit, versé à fond dans le sujet qu'il
tranquillement chez lui. (Rappel de l'Eure, 9 février 1901). Cet
homme
« ne jouissant pas de toutes ses facultés men-
sté au delà des limites signalées jusqu'à présent. Il s'agit d'un
homme
de cinquante-quatre ans, ébéniste, entré ,dans
ans le service de M. Magnan où nous pûmes l'examiner. IL.. est un
homme
grand; bien musclé, un peu gras, sans vice de c
us= a présenté au congrès de psychologie de 1900 l'observation d'un
homme
atteint de syphilis cérébrale chez qui à la sui
t ensuite, chez les oiseaux, à ces territoires du manteau. Chez l'
homme
encore, Edinger a pu retrouver quelques-unes de
urs sta- tions intracéphaliques. Mais, entre un anthropoïde et un
homme
, un hamster ou un chien, un oiseau, un reptile ou
céphale des poissons, des reptiles et des oiseaux, à Edinger, que l'
homme
devra de connaître enfin les origines, et parta
quelque moment donné, par l'effet de sensations perçues ». Chez l'
homme
, notre connaissance des connexions de l'écorce
inger révèle pourquoi, en dépit des efforts séculaires us grands
hommes
, la psychologie est une discipline si peu avanc
commencer par les vertébrés les plus inférieurs, qui, comparés à l'
homme
et à d'autres mammifères, sont d'une admirable
erveau d'un lézard, par exemple, lui est mieux connu que celui de l'
homme
. » Et c'est de la connaissance de ces structure
. des désirs, des sentiments plus ou moins semblables à ceux de l'
homme
. Voilà du moins ce que postule Edinger. Ainsi,
on appellerait doulou- reux s'ils étaient perçus avec conscience, l'
homme
n'en garde aucun souvenir s'il les a traversés
trom- peuses : les mouvements de fuite ou de défense qui, chez l'
homme
» et les animaux supérieurs, accompagnent les lé
nt la nar- cose ; il est plus significatif encore de rappeler qu'un
homme
dont la moitié inférieure du corps est anesthés
ifestations psychiques des animaux des procédés de conscience que l'
homme
peut seul connaître directement, indique qu'on
au- tres termes, il faut, en psychologie, non plus descendre de l'
homme
à l'animal, mais remonter des animaux à l'homme.
plus descendre de l'homme à l'animal, mais remonter des animaux à l'
homme
. L'anatomie du système nerveux central et la ps
M13E. (The Journal of Mental Science, octobre 1899). Il s'agit d'un
homme
de trente-neuf ans, admis à l'asile en février
re suivante : il est com- mode de considérer la partie mentale de l'
homme
, ou le moiT comme composé de sentiment, de volo
ner de la diversité dans les dispositions que l'on observe chez les
hommes
, et 6) d'empê- cher les hommes de se comprendre
spositions que l'on observe chez les hommes, et 6) d'empê- cher les
hommes
de se comprendre d'une manière satisfaisante, e
ement la langue qu'il traduit et celle dans laquelle il traduit : l'
homme
fait qui essaye de connaitie la men- talité de
sées d'expériences, il a des connexions intimes et enchevêtrées : l'
homme
qui prononce ce mot ou qui l'entend pro- noncer
s les plus ingénieuses et les plus délicates L'auteur conclut que l'
homme
est un ensemble trop vaste, trop complexe et tr
huchten il ne serait pas l'homologue du réflexe crémastérien chez l'
homme
, et pourrait s'observer dans les deux sexes. Af
par M. DECROLY. (Journ. de Neurologie, 1901, n° 8.) Il s'agit d'un
homme
qui eut le coude droit brûlé par un cou- rant é
BROTWORSKY (00 : )'eHt<'pt'cAtUt)'t't, IV, 1899). Il's'agit d'un
homme
de vingt-huit ans, alcoolique chronique, qui, r
entre les mains une cuiller, il exécute les mouvements propres à l'
homme
qui mange, quoiqu'il n'ait rien à manger devant
en soi, mais né- cessaire et continue, on veillât aux besoins d'un
homme
qui travail- lait pour l'humanité. A diverses r
, avec qui la vie , parait être devenue impossible, au moins pour l'
homme
qu'il était, et c'est deux ans après que l'on v
femme qui ne parait pas avoir été une créature supérieure et cet
homme
, qui, lui, était supérieur, mais qui ne connaissa
losophiques. Auguste Comte n'était pas un esprit universel, car nul
homme
ne peut être maître de toutes les sciences : en
connaître la nature humaine : il essayait de préparer le salut des
hommes
sans vouloir consentir à tâter le pouls au mond
de vue histologique c'était un sarcome alvéolaire. Deuxième cas.
Homme
de 39 ans, venu à l'hôpital avec le diagnostic
s : Carmin, Weigert, Nisol, Marchi., / · Résumé du deuxième cas :
Homme
bien portant subitement pris de faiblesse des j
quée, et la guérison se fit incomplète. Résumé du troisième cas :
Homme
bien portant, jeune, est subitement pris de fai
s légers (idées vagues de persécution, crainte de devenir fou), cet
homme
fut renversé par un omnibus et eut un ictus à l
154 SOCIÉTÉS SAVANTES. ' Sclérodermie. M. Brissaud présente un
homme
qui a eu aux deux mains et présente encore à la
de tels cas. , 1 Tic et Paralysie. M. Ballet rapporte le cas d'un
homme
de soixante-dix ans qui avait un tic vulgaire n
samment Swedenborg on est porté à croire qu'il ' y a eu en lui deux
hommes
bien distincts et que cette manière de dédouble
re part au moment même où il aurait vécu en pleine hallucination, l'
homme
de science, le parlementaire disert et l'homme
ine hallucination, l'homme de science, le parlementaire disert et l'
homme
du monde auraient persisté intacts, à côté du d
actes, à l'as- tronomie, à la géologie, à l'histoire naturelle et l'
homme
mûr il la métaphysique jusqu'en 1736. publiant
curables environ 60 0/0. D'après le sexe on aurait : femmes 52 0/0,
hommes
48 0/0. Un tiers des aliénés est à la charge de
taient relati- vement limités, et que dans les milieux mêmes où les
hommes
vivent en collectivité, les uns étaient décimés
un ser- pent qui projette son dard pour la piquer. Elle voit des
hommes
qui vont se jeter sur elle, entend leurs voix qui
d'in- tensilé que si ces tourments étaient réels et actuels. Les
hommes
qu'elle ne faisait naguère que voir et entendre,
si c'était là, que je ne peux pas croire que ce n'est pas vrai. Ces
hommes
je les vois et je les en- tends aussi bien que
ouïe, de la. sensibilité géné- rale ; elleivoit une guillotine, des
hommes
avec des. haches, on dresse un-bûcher, on. lui.
De la paralysie des sphincters, de la vessie, et du rectum. Chez l'
homme
, les lésions de la queue de cheval et du cône m
. ( 7'Ae New l'oi-1; Médical Journal, 17 mars 1900.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-huit ans, ni fumeur, ni buveur, ma
ulose en octobre 1899. A l'autopsie le corps parait être celui d'un
homme
de soixante-dix ans au moins (il en a cinquante-
uait en vous « il la fois les 234 sociétés savantes. savants, les
hommes
de coeur dont les fonctions constituent un véri
it qu'il serait bien ici. Limoges est accueillante à tous ceux qui,
hommes
ou collectivités, se présentent à elle sous la
époque artis- tique en ce pays. Et ce ne sont pas vos seuls grands
hommes
. Monsieur le Directeur de l'Ecole de médecine,
, nous nous faisons une science à notre goût. « car la vérité que l'
homme
reçoit la plus volontiers c'est celle qu'il dés
s c'est celle qu'il dés're ». Et longtemps, il faut bien le dire, l'
homme
semble avoir désiré ne pas voir clair. Considér
L'alcool, l'éther, le pétrole, la cocaïne, etc., provoquent chez l'
homme
des manifestations délirantes sinon absoiument
de purpura. Bien que nous ayons vu un grand nombre d'épileptiques,
hommes
et femmes, adultes et enfants, nous n'avons que
ises revêtant les caractères des accès épileptiques. 11 s'agit d'un
homme
, sans antécédents héréditaires et personnels, q
à différencier nettement le criminel ou les divers dégénérés, de l'
homme
normal et sain d'esprit, sont peu nombreuses, c
stigmates physiques peuvent se rencontrer même fréquentes chez cet
homme
normal. Mais les anomalies du pavillon peuvent
ie générale sur 50 alié- nés, encore ne s'agit-il que des religieux
hommes
, car chez les religieuses, la paralysie général
ut de lui et, solidement garrotté, il fut amené à la gare pàr trois
hommes
vigoureux qui avaient mission de le conduire à
rasoir de sa poche et en porta un terrible coup à la tête d'un des
hommes
qui l'accompagnaient. Les deux autres se portai
l'alcoolisme · Contrairement à l'opinion émise par certains de nos
hommes
politiques qui prétendent que, pour bien travai
rvelle. Il n'a réussi qu'à se faire une horrible blessure. (Le Bon-
homme
Normand, du il au 17 janvier 1901.) Dans un caf
\1. Resnikow. (Obozrénié psichiatrii, IV, 1899.) Observation d'un
homme
de quarante-neuf ans. A. Phénomènes généraux :
dernière forme elle est environ trois fois plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme : les symptômes de la syphilis
ystérie, mais depuis qu'il a été constaté qu'on n'observait, chez l'
homme
du moins, aucune augmentation de longueur des d
ït réservé ou interrompu ont souvent été suivis aussi bien chez l'
homme
que chez la femme d'un état syndromique d'angoiss
s muscles volontaires et exagère le to- nus des phincters; Reliez l'
homme
,les lésions transversales complètes de la moell
us sphinctérien se maintient comme chez le chien (fig. 3) 4° chez l'
homme
, les voies longues sont seules chargées de tran
prolongée des réflexes tendineux et cutanés (fi : ]. 7); 5° chez l'
homme
, la section complète de la moelle, à la région
I% i. 8. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 323 les voies courtes; 4° chez l'
homme
, les centres des réflexes tendi- neux sont basi
nent lieu, au contraire, à des contractures chez le singe et chez l'
homme
, chez lesquels le mécanisme du tonus dépend de
par des lésions incomplètes non irritatives de la zone motrice de l'
homme
. La distinction entre la contracture vraie et la
poser des conclusions définitives de physiolo- gie nerveuse chez l'
homme
. Conclure de la série animale à ce der- nier es
e nous possédons sur le fonction- nement de ce même appareil chez l'
homme
: de pareils ouvrages SOCIÉTÉS SAVANTES. 325
r contenu. Pour en revenir à la physiologie du système nerveux de l'
homme
, il nous semble que, seule,' la méthode anatomo
on cérébrale exclusive des réflexes chez certains animaux et chez l'
homme
ne me parait être conforme ni aux faits physiol
le voya- geur, en prenant des aspects grotesques ou menaçants. Un
homme
, au repos sous un arbre, distingue, dans un bouqu
ivinité d'ordre inférieur qui avait la puissance d'appa- raitre aux
hommes
, sous toutes sortes de formes, soit pendant le
n, surtout rénale. O&Mt'uah'O) ? Le malade dont ils'agit est un
homme
de vingt-qua- tre ans, sans profession, sans hé
la question. La blennorragie avec ses diverses complicatiuns chez l'
homme
et chez la femme, le chancre mou, la syphilis a
éré, il avait plusieurs fois parlé d'en finir avec la vie. (Le Bon-
homme
Normand du 19 au 2a avril 1901.) Brûlé par l'al
onze ans, qui avait perdu son père et sa mère, s'est pendu. (Bon-
homme
Normand du 16 au 22 août.) Sous le titre : Jeun
nstatation semble indiquer que l'alcool et le tabac n'apportent à l'
homme
aucune satisfaction puisque le plaisir est inti
ue ces deux ' Ch. Féré. Études expérimentales sur le travail chez l'
homme
et sur quelques conditions qui font varier sa v
) - L'excitabilité comparée des deux hémis- phères cérébraux chez l'
homme
. (Ibid., p. 143.) De l'influence de Archives, 2
sont pas plus heureux sur le travail des animaux que sur celui de l'
homme
*. Les différences relativesaux effets immé- méd
ces deux aliénistes et nous n'ayant eu à leur disposition que des
hommes
. Si le sexe féminin fournissait un contingent b
orts si méritoires de Seguin et relate brièvement l'histoire de cet
homme
remarquable, qu'il a eu, dit-il, l'honneur de c
ersonnel secon- daire, en dehors des infirmiers, je ne trouve qu'un
homme
, sur 32, entré en 1901, c'est-à-dire dans l'ann
nte ans et plus de services dans le même établissement. Ce sont des
hommes
qui ont échappé au vice de l'ivrognerie, et se
té réside dans le recrutement des infirmiers, parce que ce sont des
hommes
qui n'ont pas de métier et, s'ils n'ont pas de
au Congrès d'approuver l'emploi de femmes dans certains services d'
hommes
. Il ajoute qu'il a toujours vu, depuis 1860, de
rangers on a déjà substitué dans plusieurs quartiers des femmes aux
hommes
. M. DOUTREBENTE fait remarquer que c'est contra
rneville. Il emploie sans inconvénient des femmes dans le service d'
hommes
qu'il dirige dans la colonie à laquelle il est
otamment en ce qui concerne l'emploi des femmes dans le service des
hommes
. Le 4 août, à 9 heures du soir, la ville de Lim
ories ci-dessus énoncées est très peu élevé. Au contraire, pour les
hommes
, il fallait pré- voir le chiffre de 48 places ;
tué à cent mètres environ du quartier des agités de la division des
hommes
de l'asile. Il en est séparé par des plantation
observation en miniature et donne les plans d'un pavillon pour cinq
hommes
et cinq femmes, et d'un bâtiment comprenant 10
en premier lieu : 1° la période de seize à vingt ans, à laquelle l'
homme
doit, seul, subvenir à ses besoins; 2° la période
sme est rare- ment relaté. « Eu égard au grand nombre de malades,
hommes
et femmes, atteints d'hystérie, dit Cartaz dans s
suite d'une victoire dont on lui refusait injustement le prix, cet
homme
fut si indigné qu'il proféra tout à coup d'amèr
ressante pour que nous la rapportions intégralement. Il s'agit d'un
homme
atteint de surdi-mutité hystérique, affection t
t trop admirer les ouvrages du Tout-Puissant au sujet du corps de l'
homme
; car s'il est sujet à des maladies nom- breuse
te ans, appelé Gilbert, était devenu sourd et muet. Comme ce pauvre
homme
n'était pas fainéant, une veuve qui avait l'ore
ure du soir. D'après l'auteur, il était im- possible de tromper cet
homme
par la transposition arbitraire des heures sur
veille un matin en criant : A )Mj ! t ihe·ive·; il avait rêvé qu'un
homme
était tombé dans 1- rivière et le choc mental p
servations faites à cet égard. On a également tenté d'appliquer à l'
homme
les cons- tatations faites chez les animaux sou
ible à tous de la cellule nerveuse et de la névroglie. C'est chez l'
homme
et non chez les animaux qu'il faut faire des. tra
t par diverses méthodes. Le malade porteur de cette tumeur était un
homme
de cin- quante-six ans, héréditairement prédisp
mme atteinte de polynévrite du membre inférieur gauche et chez un
homme
atteint de paralysie spinale syphilitique de Erb.
e ce travail, les réflexes rotuliens 'et achilliens auraient chez l'
homme
un rôle plus important que celui de proté- ger
tions. Ces réflexes mettent en cause les muscles dont dépend chez l'
homme
l'équilibre de tout le corps dans la sta- tion
'animal, dont l'équilibre est infiniment plus stable que celui de l'
homme
, ces réflexes jouent un rôle beaucoup moins imp
ie lui semble cependant en contradic- tion avec le fait que, chez l'
homme
aussi bien que chez l'animal, le pouvoir réflex
ur a constaté au cours d'une vingtaine de chloroformisations chez l'
homme
, que les réflexes cutanés, surtout l'abdominal
que la température maxima moyenne dans les cas recueil- lis sur des
hommes
était de 9906; 7° L'amélioration physique s'ob-
inct, si l'instinct existait d'une façon précise et parfaite chez l'
homme
. Il ne reste donc pour constituer la majeure pa
e ci forme mélancolique. M. Vigouroux communique l'observation d'un
homme
, ayant succombé à une méningite tuberculeuse et
par La Bonnar- dière, 72c Aliénés. Soins des femmes auprès des
hommes
, par Jurmann, 48. Soins donnés aux dans l'Et
aspects en nous basant sur l'observation des faits. Avant tout, un
homme
qui a une idée fixe n'est point par cela même u
insi font, chacun dans sa sphère, les enfants, les jeunes gens, les
hommes
qui ambitionnent l'exercice d'une profes- sion
onsacrer tout entier à la fougue de son ima- gination créatrice, en
homme
supérieur qu'il se croyait, il avait, sans moti
ement claires quand il s'agit de séries d'idées qui peuvent, pour l'
homme
, devenir des motifs d'action. C'est par elles q
uelle est la première origine matérielle de sa genèse ? `l Voici un
homme
normal, qui pense sans cesse à plusieurs choses
e l'idée en question et.les con- ceptions opposées chargées, chez l'
homme
physiologique, de corriger graduellement une pr
une conception juste n'est toujours présente dans le cerveau d'un
homme
normal ; elle peut devenir latente, au moins temp
proclame sa découverte du mouvement perpétuel. Or, l'erreur d'un
homme
normal s'expliquerait par son ancienne manière
ntiments; l'affectivité devient pré- dominante. L'idée erronée de l'
homme
normal n'a pas ce caractère ; ses croyances mys
n Moi, de sa personne. L'aliéné reste insensible à la discussion. L'
homme
normal est accessible à la rectification au moy
emple de dégénérescence acquise. Observation IL - Idée fixe chez un
homme
affaibli matériellement. Revendications contre
z un homme affaibli matériellement. Revendications contre l'Etat.
Homme
de cinquante-huit ans. A fait les campagnes de 64
erses études qu'il lui a fallu faire, et' il a fourni des travaux d'
homme
fait. Il apprend encore facilement et s'assi- m
es'. « Primus in orbe deos fecit limon » dit Pétrone. En effet, l'
homme
divinisa d'abord l'objet de ses terreurs, et le
a d'abord l'objet de ses terreurs, et le culte naquit de la peur; l'
homme
apprit à craindre ses dieux, avant de les adore
e; il faut des victimes, des sacrifices, et pour épargner sa vie, l'
homme
immole celle des animaux ou même de ses semblab
aret. MYSTICISME ET FOLIE. 35 La période naturaliste prend fin, l'
homme
a pu abstraire et dégager la propriété essentie
xprimant telle qualité de la divinité, mais le corps est celui de l'
homme
ou inversement (Egypte, Assyrie, etc.). L'anthr
imparfaite; les dieux capricieux ne sont pas toujours propices à l'
homme
. Aussi les peuples adoptent-ils de préférence t
héisme vrai, à la croyance en un seul Dieu tout-puis- sant ami de l'
homme
. Les spéculations philosophiques se dégageant d
une cause indépendante des organes, existant tantôt en dehors de l'
homme
(action divine ou démoniaque), tantôt dans l'homm
t en dehors de l'homme (action divine ou démoniaque), tantôt dans l'
homme
supposé double (corps et aime) ou triple (corps
nt pris la place des dieux dans les conceptions déraisonnables de l'
homme
et la singularité du délire des cloîtres, du dé
disposés la pierre d'achoppement est toujours là. 1 Cil, Iticlrt. L'
homme
cl l'intelligence, p. 550,553 ? ¡ 38 PATHOLOGIE
onfession différente. J'ai vu, il y a quelques années, dit Bail, un
homme
fort intelligent et d'un esprit cultivé. Il s'é
gues allemands. Il semble, dit M. Richet, que l'intelligence de l'
homme
, toutes les fois que ses fonctions sont pervertie
ceptions morbides, les considère comme innées, immanentes chez l'
homme
normal, à l'état inconscient. Elles apparaissent
us parfaite s'al- tère, les couches sous-jacentes reparaissent et l'
homme
ainsi diminué devient absolument l'analogue de
tabes; par M. E. Touche. (Presse médicale, 15 mars 1899.) Sur 23
hommes
tabétiques soignés à l'hospice de Brévannes, M.
Berlin, 1895). La ma- ladie s'est développée, il y a un an, chez un
homme
de trente ans, arthritique, exposé par sa profe
ent disposés à l'intérieur, qu'il s'agisse de l'hospitalisation des
hommes
ou des femmes, n'a été pendant longtemps qu'une
suite d'obsessions hypochondriaques. L'imagination, qui déjà chez l'
homme
sain est un élément de dépression si accusé en
ommage ému à la mémoire de l'ancien directeur-médecin. Un choeur (
hommes
et femmes) composé de pensionnaires de l'établi
e grâce. On a remarqué la nouvelle infirmerie pour la section des
hommes
, l'installation récente également des bains-douch
nait depuis un certain temps. Le monument érigé à la mémoire de cet
homme
de bien n'est qu'une réparation qui élait due à
l de la dangereuse boisson eut opéré son effet, voici que les trois
hommes
se lèvent poussant des cris inco- hérents, lanc
rvation V. Mélancolie avec idées de suicide. (SELLE, loco cildo.)
Homme
de quarante-deux ans, dépourvu de tare héréditair
eu une blennorrhagie en 1890. Très sombre, il se considère comme un
homme
très coupable et fait des tentatives de suicide.
fait inévitable. Elle ne peut pas s'expliquer la double nature de l'
homme
, ni sa tromperie. Malgré toutes les déconve- nu
raînée il tromper son mari un jour ou l'autre. Elle ne peut voir un
homme
sans lui prêter la pensée de songer à elle. Ell
er paraître de son trouble. Aussi, appréhende-t-elle de recevoir un
homme
quand elle est seule, et pourtant elle n'a jama
lus avoir un instant de repos, craignant, dès qu'elle était avec un
homme
, de subir des propositions et d'être entraînée
l'adolescence, il se fit remarquer par ses excen- tricités. Devenu
homme
, bien que très intelligent et muni d'une bonne
er il a changé de religion et embrassé la reli- gion protestante. L'
homme
au masque de fer est son père, et il écrit aux
descendait certainement des Bourbons par Henri IV, Louis XIII et l'
homme
au masque de fer, le frère de Louis XVI (d'une
n intense de l'émotivité, l'obsèdent et assiègent son idéation. Cet
homme
a été il y peu de temps blessé à la tête; il es
et l'idée entra dans sa tête qu'un jour il aurait la preuve que cet
homme
avait été assassiné. A quelque temps de là, dan
mort de mon père, par Vidée fixe qu'un jour je saurais pourquoi cet
homme
était mort, j'en conclus par la suite, que le p
nsulte incessamment de Hollandais, de Prussien, de bête habillée en
homme
. Les hallucinations ont envahi les autres sens
e. Wernicke, in G ? 'lll1- driss der Psychiatrie.) Il s'agit d'un
homme
de soixante et un ans, qui se dit il l'asile à
qui a autrefois lâché la jeune fille. » On ne trouve pas chez notre
homme
d'autres symptômes psy- chotiques. Mais il est
upé, il s'est offusqué d'un regard, de l'attitude expec- tante d'un
homme
qui connaissait sa conduite, et il en a, par l'
et à bas les crapules ? « Alphonse D... « Arrière nelil-lils d'un
homme
qui ne s'appelait pas Il.... » Les différentes
ifié ainsi. De ces voix, l'une grave, me disait : « prends autant d'
hommes
que Napoléon, » l'autre, voix de femme, s'écria :
je l'ai eu dans l'idée, il est possible que l'on donne une forme d'
homme
à un animal tel que porc ou autre, et que je su
ouvelles directes du fugitif, elle s'est mise à douter qu'il fût un
homme
d'honneur. Elle a dû reconnaître que sa manière
vis-à-vis de lui a pu le détacher; mais elle s'est dit que lui, en
homme
loyal, eût dû s'expliquer. Pénétrée et outrée d
ce que sa femme lui avait apporté en mariage ( ? ). Voilà donc un
homme
d'abord simplement défiant et ombra- geux, arri
e. Chen... a été réformé le 2S mai 1898. Il s'agit en résumé d'un
homme
qui, des suites d'une affec- tion nerveuse aigu
resse médicale, 15 mars 1899.) L'auteur rapporte l'observation d'un
homme
de quarante-deux ans, sans aucune tare nerveuse
ion. Folie morale chez une héréditaire dégénérée. Observation IV.
Homme
de soixante-deux ans, très méritant, ayant une
L'assassin, à l'instruction, dit qu'il a tué \1. G... parce que cet
homme
ne lui plaisait pas, « parce que, nommé par les R
d'aliénés, relevé dans cette statistique, fut de 2.06, dont 1. t74
hommes
et 852 femmes. Quand on groupe ces malades d'ap
ales qu'on observe chez les animaux ne sont pas obligatoires chez l'
homme
. M. Moltciianoff regrette que M. Rjbakoff n'ait p
d il a vu arriver le garde du square que j'étais allé prévenir, cet
homme
a pris la fuite. D'autre part, Mme S... dépos
connaître, je me suis assise sur un banc et je ne regardai plus cet
homme
qui, cinq minutes après, vint s'asseoir près de
intermittente douloureuse. M. Brissaud rapporte l'observation d'un
homme
de lettres, russe, âgé de soixante ans, goutteu
on est délicate. Voici un cas qui pourra servir à la résoudre. Un
homme
de quarante-trois ans, épileptique avéré, subit i
est assez difficile de localiser une lésion protu- bérantielle. Un
homme
est atteint d'une hémiparésie gauche avec intég
M. Lépinay rapporte une série de phobies qu'il a observées sur un
homme
de trente ans, telles que la peur de traverser le
ès avoir signalé, comme principale conséquence de l'hérédité chez l'
homme
israélile, le neuro-artbritisme, l'auteur passe e
us fréquente. Ce travail rendra donc de féconds services à tous les
hommes
d'études par son fond si subs- tanciel où il y
une. » Observation IV (Grasset, in Leç. cliniques, 1898, p. 494).
Homme
de quarante-cinq ans, entré le 9 décembre 1896 au
s, le goût est conservé, la sensibilité de la face aussi. - Notre
homme
présente de la dysphagie ; s'engoue facilement.
(Charité 11nna- ¡en, 1897). Dans le premier cas, il s'agissait d'un
homme
de soixante-cinq ans atteint de paralysie pseud
Où me conduisez-vous 1 » A la visite, on se trouve en présence d'un
homme
qui ne peut se faire comprendre verbalement. Il
atées chez le lapin, à la pathogénie humaine. L'hyperthermie chez l'
homme
est très souvent, sinon toujours, in- REVUE D'A
ui constituent les éléments cbromatophiles est plus grande chez l'
homme
que chez le lapin. En outre l'âge de l'individu p
riles. L'étude attentive des lésions produites par la fièvre chez l'
homme
permet à l'auteur d'émettre les conclusions suiva
a physiologie et à la physiologie pathologique du labyrinthe chez l'
homme
; par M. EGGER (Cellt2'ctlbl. f. Ne1'- venheilk
indépendants et fonc- tionnent alors d'une façon irrésistible. Cet
homme
étant dépourvu de pouvoir modérateur, son contr
u poids de l'encéphale nous a demontré que les différences pour l'
homme
et la femme étaient moins que significatives. » 1
que le cerveau de la femme est relativement supérieur à celui de l'
homme
. M. Foveau de Courmelles s'étonne aussi que cer
aines opinions manifestement erronées. Ainsi (page 89) on lit : « L'
homme
qui actionne son cer- veau est dolichocéphale a
es médecins actuellement ou députés ou sénateurs sont vraiment .des
hommes
de science : je crois qu'on en trouverait peu à q
vez pas pu comprendre la valeur que prenaient, en s'appliquant à un
homme
de science, les expressions par vous employées.
à eux. « Mais ne savez-vous pas, Monsieur l'Évêque, ce qu'est un
homme
de science; quel culte ardent et sans partage il
soldat ? Non, à coup sûr, vous n'êtes pas accoutumé de parler à des
hommes
de science. » (La Morale des Jésuites, par PAUL
nté, ou même en dehors de lui. Étant donnée la fréquence chez les
hommes
de talent et de génie du somnambulisme et de la
BIBLIOGRAPHIE. 21 ï retrouver avec une grande fréquence chez les
hommes
de talent et de génie, et que chez beaucoup, il
es de l'esprit humain. Elle établit aussi que la per- sonnalité des
hommes
de talent et de génie, si diversement inter- pr
ant avenue de la Gare, s'est suicidé en absorbant de l'arsenic; cet
homme
était alcoolique. (Petit Parisien, 11 août.)
mes, il se trouva toujours, en cette situation, le plus heureux des
hommes
. Il ne regretta qu'une chose : c'est que l'in-
ter pour l'emmener avec lui en Enfer ; le Démon avait la forme d'un
homme
noir; il n'en avait pas peur, au contraire il é
'a injurié maintes fois. Un jour, il a vu une espèce de sang ; d'un
homme
, on voulait en faire deux ; son fils était là p
M... a, malgré les apparences, les organes génitaux exter- nes d'un
homme
; les testicules sont même faciles à recon- naît
ipalement : 1° F. Guyon. Vices de conformation de l'urèllhre chez l'
homme
('thèse d'agrégation, 18G5) ; 2° S.Pozzi. Trait
iales des organes génitaux dans le développement de la folie chez l'
homme
(Thèse de Paris, 1884) ; 4° Bourneville et Soll
par M. Sano. (JOli1 ? de Neurologie, 1899, n° 5.) Il s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans, qui au septième jour d'un
décrit les divers accidents que l'abus du vin peut provoquer chez l'
homme
. Parmi ces accidents, M. Delpeuch mentionne spé
main et du pied (photographies et radiographies). Le malade est un
homme
robuste d'âge moyen. L'auteur estime qu'il y a
F. Holzinger. (Neurolo. Centralblatt, XVIII, 1899.) Il s'agit d'un
homme
de soixante ans, de la tribu de l'Oromo dans le
s. - 1° Elles représentent 7 p. 100 des paralysies faciales; 2° Les
hommes
en paraissent plus fréquemment atteints que les
lus rares sont les troisième et quatrième réci- dives ; - 8° Chez l'
homme
une seule récidive est plus fréquente que chez
9° Une seconde récidive est plus fréquente chez la femme que chez l'
homme
; - 10° Une seconde et une troisième récidives o
e et une troisième récidives ont lieu à égalité de fréquence chez l'
homme
et chez la femme; 11° Les premières récidives c
tion de l'iris. Mais on n'a point fait d'essais sur ce sujet chez l'
homme
, dans les paralysies de l'oculomoteur commun. Pan
existence. 3° Examen d'un cas de paralysie générale. Il s'agit d'un
homme
de quarante-neuf ans, ayant eu sept semaines av
gr. 50 de plus que la limite extrême de destruction dont dispose l'
homme
sain. Ces expériences très soigneusement .menées
ent qu'avec le temps; malgré leur déséqui- libration fréquente, les
hommes
de génie sont en progénéres- cences et non des
par E. DevEn (Ccnlralbl. f. Nervcnheil/c, XXI, N. 1 ? IX, 1898.)
Homme
de cinquante-sept ans, apporté à l'hôpital totale
eux courants d'idées directeurs, par un ou deux éléments qui chez l'
homme
normal sont réduits à un rôle secondaire, à cel
es. cas immédiatement au-dessus du cône médullaire. Oburvation I.
Homme
âgé de quarante-cinq ans. Chute d'une hauteur d
dans ce cas d'une lésion de la queue de cheval. \ Observation II.
Homme
âgé de trente-deux ans. Chute d'une hauteur de
la première et de la deuxième racines sacrales. Observation 111. -
Homme
âgé de trente-cinq ans. Chute de la hauteur du
trale immédiatement au-dessus du cône médullaire. Observation tV.
Homme
âgé de dix-huit ans fait un faux pas et tombe.
ence de la première et de la deuxième racine sacrée. Observation V.
Homme
âgé de dix-neuf ans, tombé d'une hauteur de 14
une partie de bouillon et une partie de liquide de l'hydrocèle de l'
homme
), chauffées à 70° C. pendant un quart d'heure.
l'escalier un de ses voisins, Jacques Drient, âgé de quarante ans,
homme
de peine. Ce dernier, alcoolique invétéré, sort
danger, tua son père d'un coup de couteau. 11 a été arrêté. (boit-
homme
Normand, 24 août.) - Accident en ivresse. A Cro
actuelle. Des parents nous ont appris ultérieurement que c'était un
homme
sobre, rangé, non alcoolique, jouissant d'une e
naissait point de tare ni de maladie antérieure. A son entrée. -
Homme
d'aspect robuste, grand, bien constitué. Faciès
apporte une observation qui lui fut communi- quée par Charcot, d'un
homme
de quarante-cinq ans, non aliéné, ayant depuis
ndait distinc- tement par ses deux oreilles une ou plusieurs voix d'
hommes
, de femmes qui lui faisaient des reproches : «
sont moins nombreuses. Elles sont au nombre de trois, dont une d'
homme
, une bonne celle-là qui la protège contre les deu
sse dans la poitrine. Hallucinations de la vue. 11 croyait voir des
hommes
, des as- sassins-derrière la porte. Idées de
clinique le 1-j mars 180T, nous l'examinons le lendemain. C'est un
homme
de taille moyenne, bien musclé; pas de signes a
étant enfant. A été à l'école pendant sept ans. C'était un jeune
homme
silencieux, concentré, causant peu avec ses camar
ervice le 21 au soir, nous le voyons le lendemain matin. C'est un
homme
petit, maigre, brun; légère asymétrie faciale.
fois, on me cause dans la tête, je ne puis dire si c'est une voix d'
homme
ou de femme, ça n'a pas de timbre. « Cette voix
ité qui veut ça. » Hallucinations de l'ouïe. - Il entend des voix d'
hommes
qui lui disent que sa femme a couché avec tel o
e a couché avec tel ou tel individu, où elle est, où elle va. « Cet
homme
, lui dit-on, est allé avec ta femme chez le mar
délirants, des hallucinations nocturnes et diurnes ; il voyait des
hommes
autour de lui, des femmes, et même sa femme dans
hommes autour de lui, des femmes, et même sa femme dans les bras d'
hommes
. Il voyait également des animaux. B... avait en
, nous le voyons le troi- sième jour de son arrestation. C'est un
homme
petit, maigre, hàlé par le soleil, miné par l'i
t des fibres des racines postérieures dans la moelle cervicale de l'
homme
; par K. Sciiafter. (Neurolog. Centrcalbl., XVII
hullze est superflue. Dans la lésion transversale de la moelle de l'
homme
, les racines postérieures sont toujours simulta
e constatation les psychoses polymorphes de l'intoxication chez l'
homme
, explicables par les dégénérescences cellulaires
médicale, 14 juin 1899.) Les auteurs rapportent l'observation d'un
homme
de trente- sept ans, fils et frère de névropath
bli que l'on peut introduire dans le liquide céphalo-rachidien de l'
homme
, par la voie lombaire, des sérums ou des substa
onis vemalis aux bromures. Il donne une observation qui concerne un
homme
de vingt-quatre ans pour lequel on réclamait la
rassé que des clans familiaux, embrassent des nations de millions d'
hommes
. On peut être séduit par la clarté et la simpli
on descendit de voiture, et, immédiatement, on en vint aux coups. L'
homme
eut le dessus. Il terrassa la femme, la saisit pa
hallucinations visuelles terrifiantes : se voit poursuivie par des
hommes
.. RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES PSYCHIQUE
es excès 0 cénitaex-ét' alcooliques. » î'-v Au physique, c'est un
homme
petit, amaigri offrant de no)Q' breux stigmates
es murs de sa cellule lui semblent des caveaux remplis de têtes d'
hommes
; il veut construire des maisons jusqu'aux nuages
nt du bord supérieur du couturier et des adducteurs. Nette chez les
hommes
musclés, elle l'est moins chez les femmes grass
ois plusde fibrine qu'à l'état normal ; il en était de même chez un
homme
hystérique. C'est pourquoi M. Biernacki a étudi
. (Neurolog. Cet'ft ? XVII, 1898.) Observation purement clinique.
Homme
de soixante-dix ans ayant été l'objet de plusie
une cécité bilatérale. Malade suivi pendant nn an. Il s'agit d'un
homme
de trente-huit ans, qui, à la suite d'une émoti
? RD.1. ( ! \'el( ? '010g. Centralbl., XVI, 1897.) ' Il s'agit d'un
homme
de vingt-trois ans neurasthénique. Une pérityph
M. Lapinsky. (Neurol. 1. Ceii tî ? X VI], 1898.) Il s'agit, chez un
homme
de vingt-deux ans, d'accès douloureux le long d
ement une paralysie par compression, du type qu'on observe chez l'
homme
. M. JOFFROY fait remarquer que l'expérimentatio
t repro- duire toutes les conditions pathologiques réalisées chez l'
homme
(intoxications diverses, surtout alcoolique ; i
par certains caractères, ressemblait à la paralysie radiale de l'
homme
, mais les phénomènes étaient très transitoires, d
inson. Surdité verbale mentale. Observation détaillée concernant un
homme
de quarante ans, présentant des stigmates de dé
porte l'observation et des photographies de pièces, concernant un
homme
de son service ayant présenté les signes d'une mé
Calés s'est mon- tré, en même temps qu'administrateur intelligent,
homme
bon et dévoué au plus haut point ; aussi avait-
, une con- gestion pulmonaire l'emportait. Cales fut à la fois un
homme
aimable et un homme de bien. Tous ceux qui l'on
pulmonaire l'emportait. Cales fut à la fois un homme aimable et un
homme
de bien. Tous ceux qui l'ont connu resteront fi
t Var, 24 septembre 1899.) Un fois. - Hier matin, à sept heures, un
homme
élégamment FAITS DIVERS. 527 vêtu, coiffé d'u
n à la phy- siolonie et à la physiologie patho- logique du chez l'
homme
, par Egger, 224. Lèpre et aliénation, par Iio
trajet des fibres des racines postérieures dans la ceivicale de l'
homme
, par Schaffer, 406. Circulation Iympha- tique
vembre 1899 on amenait il l'IIrilel- Dieu, salle Saint-Augustin, un
homme
sans connaissance, parais- sant âgé d'une soixa
ouche, je dirai que j'écris dans un journal scienti- fique pour des
hommes
de science, et que dans ces condi- tions : honn
gé de quelques jours, car lors des visites, elles reçoivent de leur
homme
, plus d'une confidence sur ce sujet. Il importe
les fonctions génésiques sont assez souvent modi- fiées ; chez les
hommes
, on observe de la frigidité et de l'im- puissan
un processus morbide essentiellement différent. Le malade est un
homme
de trente-neuf ans ayant eu une syphilis peu in
de psychologie clinique et thérapeutique, novembre 1899.) Chez l'
homme
, comme chez la femme, se produisent souvent ent
E. 47 peur consécutive à un accès de manie et enfin chez un jeune
homme
de vingt ans présentant de la stupeur simulant la
s mais assez rap- prochés pour que le travail agricole et autre des
hommes
profite à l'exploitation de l'asile des femmes
il des femmes (lavage, cuisine, racommodage), profile à l'asile des
hommes
. Il faut enfin enlever à la détention dans ces
ion minima de 56 p. 100, c'est-à-dire plus de la moitié des malades
hommes
, qui ne doivent ingérer aucune boisson alcooliq
rofondément faite par une femme ; elle saura mieux distinguer qu'un
homme
ce qui en reste. Elle se pénétrera mieux de ce qu
t travail, Cet asile a été ouvert eu juin 1892 avec 131 malades (80
hommes
et 51 femmes). 11 est très bien organisé, ses c
iblement bien soignés. Le personnel se com- pose de 17 employés (10
hommes
et 7 femmes), le directeur non compris, et de 7
mes et 7 femmes), le directeur non compris, et de 70 serviteurs (18
hommes
et 52 femmes). Les ate- liers sont consacrés à
de blanchissage et de tricot. Lille Mosegaard. C'est l'asile des
hommes
, situé à peu de distance du précédent. Les mala
la seconde est une preuve manifeste de la solidarité qui unit les
hommes
entre eux. Tout fait physique ou psychique, si
la parole de Sénèque : je suis devenu un ami de moi-même, et un tel
homme
, sois-en sûr, est l'ami de tous les hommes. Cet
mi de moi-même, et un tel homme, sois-en sûr, est l'ami de tous les
hommes
. Cet effort continuel contre le mal, nous fait
pas la Révolution avec des ivrognes. On fait la Révolution avec des
hommes
de sang-froid, maîtres de leur raison et de leu
s, âgé de huit ans et demi, le pauvre petit en est mort. (Le Bon-
homme
normand, 10 mai.) On ne saurait trop faire conn
urde démarche d'un paysan ou même aux pas inégaux et hésitants d'un
homme
voûté par une vie trop sédentaire. On peut donc
exemple dans le service de notre maître, le pro- fesseur Raymond :
homme
atteint dans l'enfance d'une hémi- plégie céréb
arinesco, et le cas de Dinkler est particu- lièrement intéressant :
homme
syphilitique présentant des troubles pupillaire
agne 50 centimes par jour. La mère qui vit depuis dix ans avec un
homme
âgé aujourd'hui de-soixante-cinq ans, sobre et la
eur, en collaboration avec Staderini. Ces dernières ont porté sur l'
homme
, les autres sur différents mammifères. Toutes c
ébrale avec autopsie; par G. L. WALLON. (Brain, vol. XX, p. 109.)
Homme
cinquante-trois ans ; troubles présentant d'abord
mann l'aurait installé sans grandes difficultés dans le service des
hommes
. L'alitement n'exige par son procédé ni mise en
on : '( Obozrénié psichialrü , no8 4, 5, 6, 1899.) Le service des
hommes
de l'hôpital des aliénés du Zemslwo de Samarsky
tre prolongé. Etude comparative de la mortalité dans le service des
hommes
(alités) et dans le service des femmes (non ali
st réduit au minimum : 4 cellules suffisent, et au delà, pour 220
hommes
; et encore n'en occnpe-t-on que deux, de plus non
'it, n° 3, 1899.) Lorsque la volonté est à ce point affaiblie que l'
homme
ne puisse se défaire de ses mauvaises habitudes
Il. B. Montgomery. (The Journal or Mental Science, juillet 1847.)
Homme
de quarante-deux ans, marié, boxeur renommé, gran
ut intéressant par le développement d'accidents hystériques chez un
homme
de 45 ans, menant une vie très active et qui se
aLr y ALDAIHLDE. (Académie , medico-eliiruryicule espagnole.) .Un
homme
de vingt ans, ayant subi un traumatisme, s'endort
aussure à talon élevé. La seconde observation concerne également un
homme
. Un beau jour, en tirant sa botte gauche au moy
ont un peu plus fréquents chez les femmes paralytiques que chez les
hommes
atleints de la même maladie. B. En ce qui conce
ées, il y en a de même dans les fibres de projections et que chez l'
homme
aussi, les centres corticaux tard myélinisés, s
te dans le processus de la myélinisation chez les animaux et chez l'
homme
. Les régions tard myélinisées dans les fibres d
s une ne peut constituer un pur centre d'association, même chez l'
homme
, malgré l'opinion de Flechsig. Les figures nombre
un corps à corps des plus émouvants qu'on arrive à s'emparer de cet
homme
. On le transfère provisoirement à la maison d'a
nt également démonstratifs à divers égards. Le crime d'un fou. Un
homme
d'une vingtaine d'années, très surexcité, se pr
. Arrêtez-moi avant que j'aie le temps de commettre ce crime. » Cet
homme
fut envoyé l'infirmerie du Dépôt et de là à l'a
uer, vint raconter il t84 VARIA. M. Rousselot que la folie de cet
homme
était simulée et qu'il était le complice de Fra
deux gendarmes ont immédiatement coupé le lien et ont transféré cet
homme
au poste de la Permanence. Ils étaient arrivés
« mais comme une maladie de l'esprit, un péché ». «... Dire que l'
homme
ne deviendra jamais aliéné, s'il a toute sa vie
me de s'en attribuer qu'ils n'ont jamais com- mises ; avancer que l'
homme
a une puissance morale qui ne peut être vaincue
le occurrence, deux camps sont en présence : l'un, comprenant les
hommes
fidèlement attachés aux traditions anciennes, mai
ire de photographie ; 4° le cabinet du pro/'es- t1. lJtt : r'tr des
hommes
, 3o CcGr. 13 JJ¿VZ.J'ÍlHl/ de.J;.fimm £ J; 3o Z
esque permanente. En particulier, dans la salle de surveillance des
hommes
, les mesures nécessaires sont prises pour que,
mes, 32 femmes). - Nombre des admissions en 1897 : 220 malades (98
hommes
, 122 femmes). -Pei-sonnel médical : le professeur
premier et du deuxième assistants, chargés l'un de la division des
hommes
, l'autre de celle des femmes, sont situés au re
re de sujets atteints de, maladies nerveuses. " Chaque division d'
hommes
et de femmes comprend quatre villas destinées c
assistant (chez les femmes), de l'assis- tant volontaire (chez les
hommes
), une grande-salle de surveillance continue pou
ls installés dans le sous-sol d'un des pavillons de la division des
hommes
. Eau chaude et eau froide à volonté dans chaque
mpté 184 entrées. - Population (Ie1' janvier 1898) : 56 malades (26
homme
, 30 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 15
ades (26 homme, 30 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 154 (76
hommes
, 78 femmes). Il importe de faire remarquer en
n de l'établissement était, au FI' janvier 1890. de tC8 malades (91
hommes
, 77 femmes). Nombre des admissions en 1889 : 20
es (91 hommes, 77 femmes). Nombre des admissions en 1889 : 203 (148
hommes
, Il : ) femmes).- Le nombre des lits disponible
ies mentales. - Population, le l01' janvier 1898 : 198 malades (100
hommes
, 98 femmes). - Nombre des entrées en 1897 : 520
es (100 hommes, 98 femmes). - Nombre des entrées en 1897 : 520 (305
hommes
, 215 femmes). - . - . ' - (A suivre.) PHYSI
LAUD. XXVM. Un cas de poliomyélite antérieure aigue chez un jeune
homme
de dix-sept ans; par \V ARTUN StNKmn. (The Journa
um, de Neurologie, 1900, n° 8.) Le sujetde cette observation est un
homme
de trente-six ans, qui se fit une plaie contuse
an Gehuchten. (JUZl1')t. de Neurologie, 1900, n° 9.) 11 s'agit d'un
homme
de vingt-huit ans qui a été atteint pendant prè
rapporte un cas de tabes survenu après une chute de voiture chez un
homme
de trente-trois ans, qui n'était ni syphilitiqu
, (The Journal of Mental science, janvier 1898.) , Il s'agit d'un
homme
entré en juin 1895 à l'asile où il est mort en
une origine sexuelle et se produirait chaque fois qu'il y a chez l'
homme
ou chez la femme surexcitation sexuelle inapaisée
lus noble de toutes les branches de l'hygiène, celle qui envisage l'
homme
en tant qu'être pensant et agissant. Notre comm
ous, les Boxers, je vous attends ! » Il n'a pas fallu moins de huit
hommes
pour s'emparer du pauvre fou et le con- duire à
avorter avec le con- cours d'un médecin célèbre, qui est à la fois
homme
politique et membre de l'Académie de médecine.
uberculeux '. Notons enfin que ces troubles sont survenus chez un
homme
qui ne semble pas avoir eu de goitre antécédent.
n'a pas été sans présenter des conséquences assez sérieuses pour l'
homme
qui était vic- time, et sans entraîner, notamme
e Basedow, et il est à craindre que l'existence ultérieure de cet
homme
n'en demeure fort gênée. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQ
lement des malades on se fatigue davantage qu'en surveillant des
hommes
renfermés en cellules ou même enchaînés ; 7° Le
la Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière, cet
homme
réalisait l'association d'une hémiplégie sensit
ritoires corticaux à évolution succes- sive, que l'on trouve chez l'
homme
(Dhllkenl. De 18 à 20 des champs corticaux que
(Dhllkenl. De 18 à 20 des champs corticaux que l'on observe chez l'
homme
sont absolument impossibles à déceler chez le c
ution successive, que les documents pathologiques recueillis chez l'
homme
. L'anatomie du cerveau normal adulte ne fournit
ants; chaque fois qu'il mange ou qu'il se retourne dans son lit, un
homme
est exécuté, etc. Il veut être fusillé, guillot
lus de chemin de fer, plus de villes, plus de méde- cins : tous les
hommes
sont morts, sont brûlés ; le malade n'a pas de
ns aux premières années de la soixantaine : dans cette période, les
hommes
devien- nent rarement mélancoliques, tandis que
lver et se mit en observation. Bientôt un individu lui apparut. L'
homme
s'arrêta à l'avant- dernier échelon. Sans hésit
et tira. Les vitres volèrent en éclat. Atteint par le projectile, l'
homme
poussa un sourd gémissement, battit l'air de se
honneur, à lui, Legrand, simple cocher de corbillard ! Le pauvre
homme
en perdit encore un peu de la raison qui lui rest
arrivée à Paris, dans la plus effroyable misère. 3 48 VARIA . L'
homme
se mit à boire, tandis que sa compagne, plus cour
ullours, a mis fin à ses jours en se pendant. Depuis longtemps, cet
homme
était atteint d'épilepsie et manifes- tait l'in
main, d'autant plus que l'hémiplégique a plus besoin des soins de l'
homme
compétent, que n'importe quel autre malade, ne
empiriques, est de beau- coup inférieur à celui qui est fait par l'
homme
de l'art. Le massage méthodique au raisonné ren
l, fait dans la clinique du professeur Raymond, que, normalement, l'
homme
porte un pied devant l'autre, en formant ainsi
considérable. En 1898, le nombre des malades s'élevait à 145 (75
hommes
, 70 femmes); 25 lits sont réservés aux sujets att
ont été installés dans le sous-sol des bâtiments de la division des
hommes
(cordonnerie, vannerie, bourrellerie). Il exist
mbre total des cas traités en 1895, on a relevé 562 pa- tients (291
hommes
et 271 femmes) atteints de maladies mentales pr
iques ou hystériqnes, imbécillité, idiotie, crétinisme); 88 cas (83
hommes
et 5 femmes) de délire alcoolique, et 40 sujets
as (83 hommes et 5 femmes) de délire alcoolique, et 40 sujets (26
hommes
et 14 femmes) non aliénés (maladies nerveuses).
es bras libres. Population, le 1er janvier 1898 : ICI malades (85
hommes
, 76 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 58
mes, 76 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 580 malades (358
hommes
, 222 femmes). Université de Halle (Prusse, prov
de malades ayant un premier étage. Dans le sous-sol de la villa des
hommes
(hauteur 3 m. 30 c.) sont des locaux d'habitati
en chef pour 56 malades femmes. Mêmes chiffres pour la division des
hommes
. Les appointements des infirmières varient de 2
masse de substance cérébrale qui constitue les lobes frontaux de l'
homme
. Expérimentalement, il insiste sur la déchéance
ion de la clinique était la suivante : Population : 123 malades (63
hommes
, 60 femmes) ; Personnel médical : le Directeur
tion avait été, pour l'année 1897, de : Entrées : 6cJ5 malades (395
hommes
, 300 femmes). Sujets traités : 810 malades (461
malades (395 hommes, 300 femmes). Sujets traités : 810 malades (461
hommes
, 319 femmes). Sorties : 651 malades (368 hommes
: 810 malades (461 hommes, 319 femmes). Sorties : 651 malades (368
hommes
, 283 femme's). Décès : 36 (30 hommes, G femmes)
s). Sorties : 651 malades (368 hommes, 283 femme's). Décès : 36 (30
hommes
, G femmes). Université de Bonn (Province Rhén
, est de 600 malades Population réelle (1er janvier 1890), 507 (232
hommes
, 275 femmes). Nombre des admissions (année 1889
trois assistants. Population (le,' janvier 1898) : 601 malades (26G
hommes
, 335 femmes). Nombre des admissions (1897) : 45
arlerons que du régime des aliénés indigents. Pain : 500 grammes (
hommes
) ; 400 grammes (femmes). ~ Déjeuner : café au l
e celle du corps. Population le ter janvier 1898 : 530 malades (253
hommes
, 285 femmes). 1 Ce bouton, dû au Dr Ilôrinaii
ONS PSYCHIQUES. 395 Nombre des admissions en 1897 : 22 malades (124
hommes
, 100 femmes). Actuellement (1899) le professe
ité sous forme voltaïque ou statique convenablement appliquée sur l'
homme
donne naissance à une augmentation considérable
delssohn sur les Variations de l'état électrique des muscles chez l'
homme
sain et malade. Partant de ce fait parfaitement
et les phénomènes mécani- ques de la contraction musculaire chez l'
homme
il existe un paral- lélisme complet. Dans les
un peu en arrière de l'ulcération. Ce traitement appli- qué chez un
homme
de trente-deux ans, atteint depuis deux ans d'u
e plus tôt que Flechsig ne l'a prétendu ; 4° il est vrai que chez l'
homme
la myélinisation commence par les centres primor-
icale, identique, du moins dans les grandes lignes, avec celui de l'
homme
; 9° contrai- rement à l'enseignement de Flechs
imites moins nettes qu'on ne l'a enseigné jusqu'à maintenant pour l'
homme
; mais on a tout droit de conclure, de cette ob
onclure, de cette observation sur l'animal, à leur'existence chez l'
homme
, niée par -fl1. Flechsig; .13° Aussi bien que che
chez l'homme, niée par -fl1. Flechsig; .13° Aussi bien que chez l'
homme
, chez les animaux, la structure fixe des différen
ntrairement à ce que dit 11. Flech- sig, les animaux non plus que l'
homme
ne montrent une structure SECTION .DE NEUROLOGI
coupes, dans les différentes directions, des cerveaux normaux de l'
homme
et des principaux animaux. Ces dessins pourront
s par cette méthode ne peuvent pas être directement appli- qués à l'
homme
. La structure constatée chez les animaux ne doit
statée chez les animaux ne doit pas seulement être retrouvée chez l'
homme
, mais être étudiée dans les particularités cara
MM. Gvrnier et COLOUAN. La méthode de l'alitement ne vaut que par l'
homme
qui l'applique. Avec cette méthode il faut la pré
rd donc, à peu près, ses droits en tant qu'être destiné à charmer l'
homme
, à le solliciter à l'acte où tend l'espèce dans s
l'excitation sexuelle. VI. Sadisme ET S.\DI-FÉTICIllSIE, - A, Si l'
homme
qui apporte dans l'accomplissement des rapports
es résultats montrent ce que peut l'énergie et la persévérance d'un
homme
qui a consacré toutes ses forces au traitement
accompagna. Ce n'est pas ici le lieu de raconter l'histoire de cet
homme
; j'en parlerai plus loin, avec tous les détail
s à l'exercice. L'imitation est un levier si puissant, même sur les
hommes
les plus paresseux et les plus obstinés, que j'
es-uns d'entre eux sont universellement considérés comme des grands
hommes
. D'ailleurs la gratuité clans les asiles d'alié
e de Berlin. En 1893, le nombre des malades admis a été de U47 (669
hommes
et 478 femmes). La durée moyenne du séjour est,
669 hommes et 478 femmes). La durée moyenne du séjour est, pour les
hommes
, de 20 jours, et, pour les femmes, de 21 jours.
ychiatrische Klinik.) Population (le, janvier 1898) : 4 malades (21
hommes
, 24 fem- mes). - Nombre des admissions en 1897
(21 hommes, 24 fem- mes). - Nombre des admissions en 1897 : 48 (24
hommes
, 24 fem- mes). Le professeur, Ut' IL Arndt, e
pour 10 ma- lades (1888) et de deux quartiers de surveillance pour
hommes
et femmes (1897). Population (31 mars 1890) :
our hommes et femmes (1897). Population (31 mars 1890) : 392 (235
hommes
, 157 femmes). Personnel médical : le professeur
cinq assistants '. Population (ter janvier 1898) : 315 malades (206
hommes
, 139 femmes). 1\Tom6nn, des admissions (en 1897
139 femmes). 1\Tom6nn, des admissions (en 1897) : 138 malades (82
hommes
, 56 femmes). Université de Tûbingen (Royaume de
891 et ils9 : >, comptait, au le" janvier 1898, 704 malades (403
hommes
, 361 femmes;. Le nombre des admissions dans le
res (Volontirür4te). Population (1° janvier 1898) : 116 malades (00
hommes
, 56 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 28
mes, 56 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 280 malades (153
hommes
, 127 femmes). M. Kraepelin, qui considère les q
re de lits : 300. Population au ler janvier 1898 : 2t7 malades (111
hommes
, 13G femmes). Nombre des admissions (année 18
3G femmes). Nombre des admissions (année 1897) : 228 malades (114
hommes
,. 114 femmes). 480 0 ENSEIGNEMENT. Personne
e des lits est de 90. Population (1° janvier 1S90) : 94 malades (39
hommes
et 55 femmes). Nombre des admissions en 1889
1889 : 121 malades. Population (fer janvier 1898) : 113 malades (18
hommes
, G3 femmes). Nombre des admissions en 1897 :
mmes, G3 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 134 malades (81
hommes
, 73 femmes). Le personnel médical se compose,
unicipal d'aliénés. Population (ICI' avril ils(0), 199 malades (103
hommes
, 96 femmes). Séjour moyen des malades, 70 jou
decins assistants. Population (1 ? janvier 1808) : 215 malades (107
hommes
, 108 femmes). ' D'après Buffet, Voyage il tra
YCHIATRIQUES. li 81 Nombre des admissions (1897) : 766 malades (532
hommes
, 234 femmes). Université de Strasbourg (Alsac
TIONAL DE MÉDECINE. Population (1° janvier 1898) : aliénés : Ci (23
hommes
, 38 femmes); nerveux et épileptiques : 28 (16 h
iénés : Ci (23 hommes, 38 femmes); nerveux et épileptiques : 28 (16
hommes
, 12 femmes). Nombre des admissions en 1897 : al
avec cette substitution qui fait de lui une femme dans un corps d'
homme
, suivant une expression caractéristique, dont les
exes dépendent en grande partie des influx cérébraux, et que chez l'
homme
ils ne peuvent même pas exister sans ces influx
, avec lésion corticale circonscrite ; par lAG.ILIBÈS (de Porto).
Homme
de soixante-dix-huit ans, devenu aphasique après
Schuler a trouvé la flexion réflexe des orteils chez 80 p. 100 des
hommes
et des femmes normaux, l'extension très raremen
elques, auteurs comme des organes de contact. Six observations (2
hommes
et 4 femmes) concernent des individus tout à fa
nsion de l'appareil musculo-tendineux excité. C'est pourquoi chez l'
homme
sain, dont la tonicité musculaire est normale,
l'on donne au tendon, dans des limites données bien entendu. Chez l'
homme
516 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
exagérée, un coup très faible provoque un réflexe très fort. Chez l'
homme
dont l'arc réflexe est altéré ou qui possède un
cié à une rétinite du côté opposé. M. I\LIPPEL rapporte le cas d'un
homme
de quarante-huit ans, qui pendant la convalesce
fourmis des insectes, etc. Le sommeil hibernal existe aussi chez l'
homme
, par exemple, dans certains districts russes qui
neutraliser l'action hypnotisante de cette femme et affranchir cet
homme
d'une telle sujétion. M. Jadis, à la Pitié, une
fit lâcher prise'et l'envoya rouler sur la chaussée. En tombant, l'
homme
laissa échapper son poignard. On réussit alors
péciale du Dépôt. (Le Malin, 27 septembre 1900.) 526 6 VARIA. ! L'
homme
au chien. Un monsieur extrêmement correct se ren-
da pas à expirer. (Journal de Scine-et-Oise, 20 octobre 1900.) Un
homme
âgé d'une trentaine d'années avait assailli, à
lequel la maladie survint après une frayeur causée par la vue d'un
homme
épileptique. Trousseau, dans sa clinique, rappo
anesthésie du côté gauche. Observation V. M. X..., trente-deux ans,
homme
de lettres, nous est adressé le 3 juin 1883.- A
t de par son origine. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HYSTÉRIE CHEZ L'
HOMME
. - TROUBLES DE LA'SENSIBILITÉ CHEZ LES ORIENTAU
Depuis quelques années, on a beaucoup étudié l'hys- térie chez l'
homme
, et on l'a bien étudiée. Dans l'ar- deur des no
e maladie propre à la femme. Il affirmait qu'elle existait chez l'
homme
; il la décrivait avec soin; il montrait les phé-
t avec soin; il montrait les phé- nomènes communs à la femme et à l'
homme
, établis- sant l'identité des manifestations mo
sonattention. Il montrait comment on rencontrait l'analgésie chez l'
homme
comme chez la femme. Puis, avec l'esprit ingéni
évola. Il estimait, avec toute apparence de raison, que l'acte de l'
homme
qui fait lentement brûler sa main sans manifest
c ce nom de Beau, ses études très complètes sur l'hystérie chez l'
homme
, j'observais avec intérêt tout ce qui touche à
. J'ai d'abord reconnu, comme le disait Beau, que l'hystérie chez l'
homme
n'est pas rare, avec cette réserve peut-être qu
les grandes manifestations de l'hystérie sont moins communes chez l'
homme
que chez la femme. Toutefois, j'en ai observé l
premier cas, que j'ai observé le moins longtemps, était celui d'un
homme
qui s'est présenté à mon observation en 1875. C
n 1875. C'était un jeune homme d'une trentaine DE L'HYSTÉRIE CHEZ L
HOMME
. 17 d'années, qui avait un petit paquet d'hémor
l'accorde, et ne diffèrent pas de ce que l'on DE L'HYSTÉRIE CHEZ L'
HOMME
. 19 observait en général chez les femmes. Si j'
que la dou- leur du ventre, dite douleur ovarienne, existe chez l'
homme
comme chez la femme, A la Société médicale des
aire chez la femme. Selon M. Debove, la présence de ce point chez l'
homme
était une preuve que, chez la femme hystérique,
nstances, comme je le dirai plus loin, la douleur abdominale chez l'
homme
. Cela ne me paraît pas démontrer du tout que la
eur se localise dans le moignon ou en un point plus élevé. Chez l'
homme
elle se fixe, dans les plexus de l'abdomen. Tou
impossible de les distinguer l'une de l'autre. Si l'hystérie de l'
homme
s'observe si nette, si com- plète, on doit pens
t jamais été fait, mais je suis bien convaincu DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 21 qu'on trouverait parmi eux des gens à rappr
pes si bien étudiés par M. Charcot, qui a montré, chez l'hystérique
homme
, l'insensibilité au chaud, au froid, à la doule
on morale vive suspend la sensibilité; je fais DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 23 remarquer aussi qu'il y a des sujets prédis
pour quelques instants. Pourobserverdesaccidents hystériques chez l'
homme
ou simplement pour observer des troubles remar-
es du nord de l'Afrique etbeaucoup d'Orientaux DE l'hystérie CHEZ L'
HOMME
. 25 s'accordent à dire que la douleur est suppo
Il ya là une grande distinction à faire de ce cas et de celui de l'
homme
courageux qui ne veut laisser surprendre les ma
s grossiers et qui me semblait forcément douloureuse et longue. Cet
homme
, qui était fort in- telligent, qui avait répond
si excitable est encore à la merci d'une ali- DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 27 mentation qui n'est même pas comparable à c
ntéressant de savoir d'une façon exacte si chez eux l'hystérie de l'
homme
est pluscom- mune que chez nous. D'après quelqu
sisme, et chose très remarquable, il s'adresse exclusive- ment à l'
homme
. Dans cette religion, la femme ne joue aucun rô
écart et marquée de quelque signe qui rappelle son infériorité. A l'
homme
la religion réserve^ toutes ses épreuves. L'asc
produisent guère qu'à la fin de la séance. Au DE l'hystérie chez l'
homme
. - 29 début, on en fait peu à la fois; à la fin
vent beaucoup plus, les exercices commencent. DE 1, hystérie CHEZ L'
HOMME
. 31 Mais d'autres éléments de préparation parai
t, choisit des exercices, parle même aux spec- DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 33 tateurs. Toutefois, il arrive très souvent
ec le fer rouge, très effrayants pour le public, très appréciés des
hommes
et surtout des femmes indigènes, sont entourés
ils font courir sur le thorax ou sur la peau DE L'HYSTÉItIE CHEZ l'
homme
. 35 du ventre une sorte de masse armée de grand
r vous envelopper, vous entraîner, vous donner DE l'hystérie chez l'
homme
. 37 une sorte de vertige contre lequel il faut
ls vous signalent les progrès des gens qui ont DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 39 débuté depuis peu. J'ai eu, à cet égard des
nt dire cela. D'abord la suppression de la douleur est évidente. Un
homme
vaillant peut à la rigueur, supporter sans réac
de vue de leur invulnérabilité, que valent les DE l'hystérie CHEZ l'
homme
. 41 exercices des serpents et du scorpion ? Ils
vendait des poteries, etc., etc. Seulement, on de l'hystérie chez l'
homme
. 43 rencontre dans le même groupe plusieurs mem
On les retrouve en plusieurs contrées. En eau- DE L'HYSTÉRIE CHEZ L
HOMME
. 45 sant avec le regretté Bastien Lepage d'une
en probable que si on les étudiait en leur pays comme on étudie les
hommes
ou les femmes à la Salpêtrière, on arriverait à
on compléterait d'une étonnante façon l'étude de l'hystérie chez l'
homme
. On expliquerait ainsi bien des faits singulier
atique. D'autre part, les recherches psychophysiques faites sur l'
homme
malade présentent un très grand intérêt non seu
en- DE L'ÉPILEPSIE procursive. 55 tielle du sens de la vue chez l'
homme
sain et malade, en particulier dans les maladie
courait durant tout le paroxysme (voir p. 57); et l'épilepsie d'un
homme
des environs de Leipsick qui ne faisait que pir
médecine spéciale de Michel Etmiillel' sur les maladies propres des
hommes
, des femmes et des petits enfants, etc. Lyon, 1
de soixante-cinq ans, ne marchait pas, il courait, ayant l'air d'un
homme
qu'on poursuit et qu'on force à courir; sa déma
tion abondante d'urine consécutifs. Nouveaux accès procursifs. Un
homme
de cinquante ans était en voyage et venait de q
rvant toutes ses forces et ses facultés mentales. Observation XI.
Homme
de soixante ans, sujet depuis quelque temps à d
Serres parle, à propos des maladies de la protubé- rance, de deux
hommes
observés l'un en 1822, l'autre en 1825, qui, «
avec perte de connais- sance. - Hémorrhagie protubérantielle. Un
homme
étant à travailler se plaint tout à coup d'un bou
Romberg' dans son Traité des maladies nerveuses. Observation XV.
Homme
de soixante-onze ans. - Cépha- lalgies et verti
sule interne avec irruption dans le ventricule latéral gauche. Un
homme
de soixante-onze ans, qui avait souffert aupara-
il se livrait à ce singulier exercice, il fut surpris par plusieurs
hommes
, saisi et maintenu malgré les efforts déses- pé
été entrepris et auront eu leur pénul- tième dénutrition. Chez l'
homme
qui fait, aujourd'hui, le sujet de mon obser- v
s animaux inférieurs, mais le fait de convulsions localisées chez l'
homme
, lors d'irritation de l'écorce, font bonne just
L'observation qui constitue la base de ce travail est celle d'un
homme
de quarante et un ans, sans antécédents héréditai
nce de M. Magnan. Présentation de malades. M. CIIAMBARD présente un
homme
de vingt-trois ans, ancien alcoolique, débile,
ale avec délire hypochondriaque et attaques hystéri- formes chez un
homme
. L'individu était un héréditaire ; il entrait à
d'aliénés était, d'après la statistique de 1886, de 1,662 dont 995
hommes
et 667 femmes. La grande majorité de ces ma- la
r pour but non seulement de prévenir la possibilité de traiter un
homme
sain comme un aliéné, mais aussi de mettre à la p
int-Dominiyue, il Sienne. -SÉNAT. 13."> même qui s'empare de l'
homme
, qui entre en communion intime avec lui ; mais
plus en plus. Aliéné ! Mais qu'en savez-vous ? Com- ment ! voilà un
homme
qui n'a pas ces mouvements désordonnés 'qui app
d'une chaleur et d'une sécheresse extrêmes, telles que de mémoire d'
homme
, on n'en avait encore jamais vu. Aussi, le sing
tal et que je procédasse sur-le-champ à son examen. On fit venir un
homme
habitué à la garde des malades. Il se nom- mait
es faits prouvent que ceux qui préten- dirent qu'un jour à Rome, un
homme
avait vécu de l'hu- meur bilieuse, se sont gran
sire également pour moi, qui, avant d'avoir examiné ce cas, étais l'
homme
le plus incrédule du monde, et aujourd'hui ne l
isé en deux parties par un couloir et l'escalier. A droite sont les
hommes
et à gauche les femmes. Le rez-de-chaussée comp
e hystérique traumatique. Tl.1886. Quinqueton. De l'hystérie chez l'
homme
, 1886. 3 Bataille. Traumatisme et névropathie,
, 2. p. 458 et Berbez, obs. XXVI de la thèse), il s'agissait d'un
homme
de peine tamponné à l'épaule entre un wagon et
encore plus instructive. En voici le résumé : Observation VI. Un
homme
de quarante et un ans, d'une bonne santé habitu
NTALE RECHERCHES SUR L'ÉTIOLOGIE DE LA. PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ L'
HOMME
; Par le Dr Jules CHRISTIAN, Médecin dc In Afa
ayant fait que je n'aie jamais été placé qu'à la tête de services d'
hommes
, j'ai cru devoir laisser complètement de côté t
bord que la paralysie générale entrait pour -^- dans le chiffre des
hommes
reçus dans les asiles d'aliénés, il avait fini
s admis- sions n'a pas varié non plus. En effet, en 1879, sur 122
hommes
admis, il y avait 37 paralytiques; en 1886, sur
ur 122 hommes admis, il y avait 37 paralytiques; en 1886, sur 119
hommes
admis, il y avait 35 paralyti- ques. Dans l'int
rvient pas dans la période la plus orageuse de la a vie, celle où l'
homme
, entraîné par la violence de « ses passions, se
l est resté inconnu. La maladie frapperait donc de préférence les
hommes
mariés, ce qui vient à rencontre de l'opi- nion
igés d'admettre que «la paralysie générale frappe de préférence les
hommes
mariés ». A vrai dire, ce résultat n'est pas po
ralement reçue, que la paralysie générale n'est pas exclusive aux
hommes
des classes élevées, instruites, et même qu'ell
ds un peu élevé de cet organe. Le poids moyen est, en effet, chez l'
homme
adulte de 143 gr. pour le cervelet, 23 gr. pour
absences ont persisté, on avait été obligé de placer près de lui un
homme
pour le garder parce qu'il lui arrivait souvent
marcher vite, court même quelquefois, mais avec la démarche d'un
homme
ivre. Voici le tableau des accès : ' Il gâte pa
tre le vrai Messie attendu et annoncé depuis la première faute de l'
homme
créé à son image. Gloria, Gloria, Glo- SOCIÉTÉS
cusables. Mais sans autre argument que celui-ci : « On a enfermé un
homme
qui n'était pas fou, s'il l'est aujourd'hui, c'es
ical disant tout simplement, comme le vou- drait M. Gaillard, qu'un
homme
est atteint d'aliénation mentale, nous paraîtra
ladie le nom de délire des persécutions de Lasègue en souvenir de l'
homme
qui a décrit le premier lapériodeprédominante d
rser ; il parle de l'affection cérébrale dont il a subi le choc, en
homme
qui a la perception des désordres qui en ont été
état mental ne saurait être tenu pour normal. Connu jadis pour un
homme
d'un esprit solide, d'une raison éprouvée, ce qui
- tisme périodique. Deux exemples en ce moment à Hildeslieim.- I.
Homme
de trente-sept ans de l'est de la Prusse, incendi
parler; et s'exprime alors par signes : c'est un ordre de Dieu.-II.
Homme
de trente ans, dans les premiers mois de 1884,
t exigent diver- ses substances colorantes. L'écorce cérébrale de l'
homme
adulte est magnifiquement colorée par le rouge
comparaison avec un cerveau pathologique, un cerveau provenant d'un
homme
sain d'esprit et de corps, âgé de trente-six an
es environnants. Jusqu'àprésent, on n'a confié aux familles que des
hommes
aliénés et pas plus de deux par famille. Chaque
tte manière quatre-vingt-dix malades, aussi bien des femmes que des
hommes
. Suivant le travail que fournis- sent les malad
pas les accusations dont elle a été l'objet. » Voilà ce que dit un
homme
singulièrement compétent. Je sais bien qu'il y
y a des réserves. Mon Dieu, nous connaissons ces réserves-là ? Les
hommes
sont si faibles. M. le PRÉSIDENT. Monsieur de G
r elle une main téméraire... (Réclamations à gauche.) Mais oui ! Un
homme
compétent a dit que la loi de 1838 ne méritait pa
ntre), et vous avez déclaré que vous en faisiez. M. DE Gavardie. Un
homme
d'Etat anetais, dont l'autorité n'a pas besoin
é deux fois à l'ordre... M. de Gavardie... et je l'explique. Un
homme
d'Etat qui, je crois, a une autorité assez grande
recherches personnelles, pour arri- .ver à mieux connaître le grand
homme
dont je devais prononcer l'éloge, m'amenèrent à
je pensai que le succès obtenu était peut-être dû en par- tie à cet
homme
qui, en prodiguant à tout instant, à ces malheu-
, le dévouement de tous les jours : vertus naturelles chez certains
hommes
, et qui, dans votre profession, sont des qualités
urable, comme dans la plupart des autres pays. On doit demander des
hommes
préposés à la garde des aliénés un grand nombre
moindres détails. Le rapporteur remarque combien dans la région ces
hommes
sont rares à trouver, et quel changement incess
, quelques troubles de menstruation, un mariage (très jeune) à un
homme
qu'elle n'aime pas, un grand nombre de gros- HI
hermanesthésie de la main gauche. Etat actuel. - Le malade est un
homme
robuste, bien fait, au teint clair. - La peau d
'intérieur DU tubercule ; par M. Sigaux. (Lyonmèd" 1886, t. lui.)
Homme
de quarante-trois ans qui, à la suite d'une paral
ier. (Loire médicale, 1886.) Le sujet de colle observation est un
homme
de vingt-six ans, peintre-plâtrier, qui était s
ides en mouvement comme ceux qui occupent l'intérieur du crâne de l'
homme
vivant. Il rappelle son expérience ? Un tube él
ain. On y rencontre trois espèces d'organes : les vraies pyramides (
homme
, carnassiers, rongeurs, chauves-souris), la cou
Chambre de 1837 et 1838, et dans lesquelles on a vu aux prises des
hommes
tels que Salverte, Isambert, 426 SÉNAT. Odilo
tionnaire de l'Etat et d'une compétence éprouvée, à un ou plusieurs
hommes
de loi dans une situation d'indépendance et d'h
e au médecin chargé de veiller sur l'état mental de l'aliéné et à l'
homme
de loi chargé de l'administration provisoire de
administrative pour tous les aliénés qui ne sont pas interdits : l'
homme
de loi. Quelles étaient, en effet, messieurs, l
iduelle de l'aliéné lorsque intervenait le placement définitif. Les
hommes
compétents qui discutèrent celte loi, les deux
de plus intime et de plus sacré dans la famille. Voilà pourquoi les
hommes
honorables et pratiques plus pratiques que les av
délégués du ministère de l'intérieur, - voilà pourquoi, dis-je, ces
hommes
n'intervenaient que dans de très rares circonst
ez la commission de surveillance de l'hospice, qui était composée d'
hommes
si honorables, si dé- voués, si pratiques, si i
avez une législation qui a fait ses preuves, et le docteur Blanche,
homme
des plus compétents, déclarait dans un rapport qu
; il y a la une inconséquence naturelle, en quelque sorte, chez des
hommes
qui n'ont pas été mêlés aux fonctions publiques
us qui avons occupé des si- tuations diverses. Je comprends qu'un
homme
qui n'a pas été mêlé à ces compli- cations infi
es lois ont toujours besoin; pour leur application, du concours des
hommes
. Faites donc choix de bons directeurs; toutes l
uvenir d'une existence passée à laquelle se ratta- che avec force l'
homme
prêt à recouvrer la raison. - C'est dans ce con
u'il a prononcée à cette occasion M. le préfet nous apprend que cet
homme
de bien recevait, pour tout salaire de ses serv
ots de LEARSDEN. - L'établissement est fait pour 2,000 malades, 900
hommes
et 1,100 femmes. Le coût, par tête, comprenant
us bien organisés. - Les plus intelligents et les plus capables des
hommes
FAITS DIVERS. 455 et des femmes sont employés
s) , par Chambard,117 ; - recherches sur l'étiologie de la chez l'
homme
, par Christian, 205. Paralysie infantile (tub
un fils. Je l'ai fait photographier il côté de son frère. C'est un
homme
maigre, très pâle, et passablement musclé, qui me
a mère. » Antécédents personnels, - José est venu au monde, dit cet
homme
, après un accouchement facile et normal. Dans s
exagérée. D'après le canon égyptien de Lepsius, on voit que chez l'
homme
normal la longueur des membres inférieurs, à part
e l'emporte, donc, ur la taille de 55 millimètres - le géant est un
homme
aux bras longs (3). Dans l'appréciation de cette
n per- ceptible à la palpation, n'est pas plus grand que celui d'un
homme
normale- ment développé ; il parait même au-des
moyenne. C'est surtout la face qui est plus développée, que chez l'
homme
normal; les chiffres de la mensuration que nous
s os de l'avant-bras a lieu, pour le cubitus de 21 a 25 ans (chez l'
homme
), et pour' le radius de 20 à 5 ans. Quant à la
pants de l'infantilisme, il n'est pas essentiel. Il y a de « petits
hommes
» et de « grands enfants ». Les adultes, comme
i, oui ; mais, chose essentielle, il ne s'est pas métamor- phosé en
homme
, puisqu'il garde, à l'âge de 37 ans, les attribut
ns) et devint gigantesque; mais il n'a pas pu se méta- morphoser en
homme
, puisqu'il garde, lui aussi, les attributs morpho
grêle, et le corps thyroïde semble un peu petit. Bref, il est un
homme
par son âge (presque 21 ans), un géant par sa t
l préférait la société des enfants de 8 il 12 ans, à la société des
hommes
de son âge. En somme : faiblesse d'intelligence
ette chez les nains, chez les infantiles de petite taille, chez les
hommes
petits, trapus; GIGAN'IISME, INFANTILISME ET AC
, faiblesse musculaire, diminution de la puissance génésique chez l'
homme
et l'aménorrhée chez la femme, céphalalgie, tor
ien entendu,dit Meige,qu'une lésion, rigoureusement la même, chez l'
homme
adulte ou chez l'enfant, produit des effets dystr
t volume d'un poignet. Dans le cas de Hoenicke (10), il s'agit d'un
homme
de 47 ans ayant un père aliéné et qui souffre d
insi que Scholz (55) en étudiant l'action du corps thyroïde chez un
homme
sain et chez un basedowien a trouvé que le chlore
influencé. Mais le phosphore des fèces augmentait de 25 0/0 chez l'
homme
sain. Chez le basedowien cette augmentation était
que cette opération dans le jeune âge chez les animaux comme chez l'
homme
, on observe la persistance prolongée du cartilage
40 ans,le nombre de femmes acromégales est dou- ble par rapport aux
hommes
atteints du même syndrome. Or c'est vers cette
), Becker (101), Pelikan (102), Merschejewski, Pitard (103), chez l'
homme
ainsi que les recherches expérimentales de Selh
l-,vatiofl*, Giesen, l8j6. ' 103. E. Pittabd. La castration chez l'
homme
el les modifications qu'elle ap- porte. C. R. d
lt;'omalac,e. Arch. de physiol., 1874; HOULE)', De l'OStiOM. chez l'
homme
et chez les animaux. Thèse de Paris, 1874. 151.
vent le sexe féminin ; selon Siegrist on trouve i'1 femmes contre 6
hommes
seuls. L'âge de l'ap- (1) Pour la bibliographie
duction de la main sur l'avant-bras sont limités. Le patient est un
homme
très fort, de taille moyenne, bien nourri, au t
echerches sur quelques conformations monsstueuses des doigls dans l'
homme
. Histoire de l'Académie des sciences, 1810, p. 13
neuf généra- tions (3). Devay raconte que dans le village d'Eycaux
hommes
et femmes avaient presque tous un doigt surnumé
malies en question chez les pentadactyles, et par conséquent chez l'
homme
, toute signification réversive(l). Grônberg,
C'est Monsieur le Directeur. « Quelques patientes prennent pour des
hommes
d'autres femmes malades. Elles ignorent la date
vaise »,« La mémoire ne veut plus rien savoir ». « Je suis un vieil
homme
et ne m'occupe de rien ». Certains malades se s
oiseaux ; d'autres trouvent des vipères dans leur lit, entendent, des
hommes
chuchoter, se disputer dans l'escalier, et reco
et, si on lui fait remarquer la contradiction : « Après 40 ans, les
hommes
ne doivent plus compter », répond-il, en souria
corps est tombé l'eau ». Son deuxième mari a été tué par le même
homme
: « il l'a pendu dans l'es- calier, après avoir
souriante, demande il sortir : « Ce sera pour aller coucher avec un
homme
. » Désorientée, ignore le jour, le mois, l'anné
'opposer au rêve, et à le rapprocher de la rêverie. Dans le rêve, l'
homme
qui dort ne communique plus avec le monde extér
cédée aucun souvenir précis ou s'installe d'emblée. La rêverie de l'
homme
éveillé remplace le rêve de l'homme endormi.
talle d'emblée. La rêverie de l'homme éveillé remplace le rêve de l'
homme
endormi. Dans certains cas, le presbyophrénique
tant et les arrangeant, comme il est d'ailleurs nurmal, même chez l'
homme
sain qui raconte un rêve. Il est souvent très dif
sont de véritables diminutifs du type humain moyen (2). Les petits
hommes
ou les petites femmes « ressemblent à des adult
les miniatures humaines les plus célèbres on peut citer le gentil-
homme
Borulawski et la reine des fées. J'en rapprochera
ulawski et la reine des fées. J'en rapprocherai volontiers le petit
homme
et la petite femme représentés dans la planche XI
plaideur. Chez la femme naine,le vêtemenl parvient mieux que chez l'
homme
à dis- simuler les difformités On peul toutefoi
te fameuse cité de Londres, la rareté de l'univers, c'est-à-dire un
homme
de la plus petite stature qui ait jamais été vu
it s'embarquer. La planche qui servait de passerelle se rompit et l'
homme
qui le portait tomba à l'eau avec son fardeau. Le
pais,il se faisait remarquer par sa force, portant à la fois quatre
hommes
, deux sur chaque bras. Il alla de ville en vill
un individu ordinaire, alors qu'elle lui a accordé la force de deux
hommes
». Mynhere Wybrand Lolkes peut être considéré c
ement morose et très vaniteux. « Mynhere Wybrand Lolkes, le célèbre
homme
en miniature, de la Frise Occidentale et Madame
aladie se rencontre presque exclusivement dans le sexe masculin (13
hommes
et 1 femme). La littérature ne signale, à notre
sque, On cas de maladie de Dercum à rémissions passagères^, chez un
homme
. Bull. méd., 28 avril 1906.. 1 Il(; MARCHAND ET
ésie droite et aphasie motrice. Ces dernières constatations chez un
homme
de 29 ans firent penser à la syphilis et prescr
beck (ou Grûnepeck) (1496) où sont repré- sentées deux femmes et un
homme
montrant une éruption confluente de pustules sy
pustules syphilitiques, et celle de Steber (1497) représentant deux
hommes
et une femme. La première a été reproduite par Ri
eaux et les cartilages dudict palays, qui font parler le patient en
homme
qui a huyé le loup en trompette percée et nasar
'oedème nulle part. En plus de ce demi-coma, ce qui frappe chez cet
homme
, c'est un rythme très net de Cheyne-Stokes, ave
ssible à affirmer en raison des mouvements de défense faits par cet
homme
. Incontinence des sphincters et commencement d'
tre cysticerque. Atrophie excessive des os du crâne. Il s'agit d'un
homme
de 30 ans, dément (mélancolie avec idées de per
, peut-être de nature tuberculeuse. Dans son 2e cas, il s'agit d'un
homme
de 19 ans, qui présenta une céphalée intense, d
ylvius, el susceptible de guérison. Mocquin (2) A l'autopsie d'un
homme
de 32 ans ayant présenté des signes d'hypertens
ventricule : lel celui, souvent cité, de Mayer (3) : il s'agil d'un
homme
de 20 ans, qui avait eu, à Page de 1-li ans, un
epllalus » hydrocéphalie par stase, dans lequel on constata chez un
homme
de 21 1 ali ? des céphalées, vertiges, vomissem
e entre eux est augmentée, et le malade même, qui est d'ailleurs un
homme
intelli- gent, interrogea ce propos, dit avoir
e malade et, pour comparaison, des préparations microscopiques d'un
homme
normal de même âge que notre malade et mort d'une
s (l'ankylose du rachis LA SPONDYLOSE nI11Z0111hLIQUF 249 chez un
homme
de 37 ans ; ce cas diffère du type P. Marie et St
souvent entre 40 et 50 ans et plus souvent chez la femme que chez l'
homme
; elle attaque d'ordinaire la classe pauvre de
crétion interne. Anglade et Ducos ont examiné quelques glandes de l'
homme
; ils concluent qu'il existe toujours de la névro
détaillée la glande pinéale chez les différents vertébrés ; pour l'
homme
, il donne surtout un résumé histori- que et sem
hnique. Nos matériaux se sont constitués par 100 glandes pinéales d'
hommes
ou de femmes de l'âge de 14 à 92 ans. En outre
chez les enfants. 53 des glandes ont été prises sur des cerveaux d'
hommes
morts à l'Hos- pice de Bicêtre ; presque tous é
me groupe à granulations irrégulières. SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'
HOMME
259 sies faites de5 à 20 heures après la mort;
es boules comme des vacuoles. Parmi les 100 glandes pinéales de l'
homme
adulte que nous avons exa- minées, nous n'en av
xistence de cellules névrogliques dans SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'
HOMME
263 3 la glande pinéale ; ensuite Weigert a exa
chyme communiquent de sorte que la construction de la glande chez l'
homme
adulte n'estpas folli- culaire. Par la colora
ive- ment minces. .' le 1 t\'" ` SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'
HOMME
11< 265 ... Mil 2) On voit quelquefois des
ncechez le hoeuf) qu'on pour- ra en trouver sans doute aussi chez l'
homme
. Contre cette opinion nous objectons que, si l'
GLANDE PINÉALE CHEZ l'hOMME zoo clusion que la glande pinéale de l'
homme
adulte et sénile est un organe complètement dég
une certaine fonc- tion ? Il n'y a pas de doute qu'on trouve chez l'
homme
adulte des signes certains d'involution. Les au
dices qui conduisent à supposer que la glande a une fonction chez l'
homme
adulte. Ce qui nous a frappé le plus c'est l'in
nous les plus grandes chances d'abou- SUR LA GLANDE PINÉALE CHEZ L'
HOMME
271 tira une solution, sont celles de la pathol
ée par un grand nombre d'auteurs dans les ganglions rachidiens de l'
homme
et des vertébrés. Ces cellules se rencontrent d
cent. trouvés, puisque d'après le canon égyptien de Septuis chez l'
homme
normal, la longueur des membres inférieurs à pa
aine souplesse qu'on pourrait s'attendre à ne pas trou- ver chez un
homme
aussi solidement bâti. Les épaules sont larges
rt que le droit. Etat mental. - Notre malade n'est pas seulement un
homme
aux grands pieds et aux grandes mains. Il n'est
cotyloïde involontairement, contrairement à ce qui se passe chez l'
homme
normal, où elle ne glisse que seulement d'après s
ris les ligaments et la capsule péri-articulaire, présentent chez l'
homme
normal une telle consistance, une telle tonicit
onicité, que la tête du fémur ne peut bouger que dans le sens que l'
homme
désire ; par conséquent c'était, chez l'ataxique,
exemple précédent. En étlfet, si on observe ce qui se passe chez un
homme
normal, on voitque tous les muscles pendant l'exé
tant de la réunion de plusieurs mouvements simples. Certes, quand l'
homme
est debout, toutes les articulations du bassin
ntra-articulaires sont maintenues bout à bout immobiles. Pour que l'
homme
, étant debout, puisse rester immobile, il faut ab
r se relever, comme un mouve- ment coordonné ? Certes, pour que l'
homme
sain ou le malade puisse s'asseoir ou se releve
Le mécanisme des mouvements coordonnés est plus délicat. Pour que l'
homme
puisse les exécuter, il a fallu les apprendre, et
e, il faut toujours se rendre bien compte de ce qui se passe chez l'
homme
normal. ' xxiv 23 35 i NOICA Nous observons
ez l'homme normal. ' xxiv 23 35 i NOICA Nous observons, quand l'
homme
sain soulève lo membre inférieur en totalité, l
tés en même temps. Et voilà sur quoi nous nous basons. 1° Quand l'
homme
normal soulève la cuisse en l'air, dès le début o
uer pourquoi celle contracture diminue à ce moment-là : parce que l'
homme
n'a plus besoin d'un grand effort, car dans cet
le muscle est tout le lemps mou. 2° Si maintenant nous disons à l'
homme
normal de relever le membre en l'air, pendant q
d nous lui baissons passivement la cuisse sur le bassin. 3° Quand l'
homme
normal soulève le membre- inférieur en l'air, nou
puis se décontractent quand l'effort n'est plus nécessaire. Si l'
homme
abaisse maintenant lentement le membre, la masse
u mouvement ils se contractent de nouveau, probablement parce que l'
homme
croyant qu'il a abaissé trop vite le membre, il
es modernes n'ont jamais voulu accepter le fait que pen- dant que l'
homme
exécute un mouvement avec certains muscles, les
contracte lui aussi. Si nous reprenons l'exemple précédent, quand l'
homme
soulève le membre infé- rieur en l'air, nous av
nt eux aussi, en même temps que les muscles antérieurs, parce que l'
homme
, sachant qu'il doit faire un effort pour releve
la descente du membre, se sont contractés eux aussi à la fin, car l'
homme
craignant d'avoir abaissé trop rapidement son mem
alité des faits, et on com- prend très bien, maintenant, pourquoi l'
homme
normal, en soulevant le membre inférieur étendu
grands efforts volontaires et de beaucoup d'attention, tandis que l'
homme
normal maintient longtemps le membre en l'air,
ité, et ne font plus cette cuirasse partout résistante comme chez l'
homme
normal. Et s'il survient des contractions, incons
LA MOELLE ÉPINIÈRE 361 C'est à l'âge de 18 ans, en 1878, que notre
homme
s'infecta de syphilis et déjà, deux ans plus ta
ens qui, en seconde ou même en troisième, paraissent déjà de petits
hommes
: précocement barbus, il sont de la taille de leu
T DELMAS différences d'attitudes qu'impose aux grands el aux petits
hommes
la différence de leur taille. Chacun d'eux pour
e se retrouve plus fréquemment chez de pareils malades que chez les
hommes
au psychisme normal. Plusieurs auteurs ont insi
lent au moins pour la nature pathologique de la polydactylie chez l'
homme
. En admettant que le trouble thyroïdien a pu av
ondi- tions essentielles qu'on peut demander à l'observation. Les
hommes
ont en général fait leur service militaire. A ce
ement d'une grossesse sont des preuves abondantes, on n'a, pour les
hommes
, que leurs récits. Or ceux-ci sont obtenus à un
nt dans les observations cette mention : était un beau mâle, un bel
homme
. . Il est évident enfin que les hommes sont bie
était un beau mâle, un bel homme. . Il est évident enfin que les
hommes
sont bien plus souvent frappés. Bref, il est in
4111 CORDIER ET REBATTU photographie II, que l'on a devant soi un
homme
de 35 ans qui présente les caractères d'un jeun
dans un étal mixte participant également des caractères sexuels de l'
homme
et de ceux de la femme. Outre que ses seins se
t admis peut-être sans preuves suffisantes que la castration chez l'
homme
adulte n'amène que des troubles insignifiants.
cluons donc que les deux processus de féminisme par castration de l'
homme
adulte et d'infantilisme par atrophie testiculair
ntérieurement éta- bli, l'action des centres psychiques liés chez l'
homme
de façon si intime au fonctionnement de l'appar
cipe à l'atrophie. « Lorsque, les deux testicules sont atrophiés, l'
homme
est privé des facultés génératrices, et il en e
ré- formé. » Observation Il (Coffin et LEREBOULLET, résumée).-
Homme
de 27 ans. Au service militaire, il a les galons
orps. Faiblesse musculaire. Observation III (Rumpell, résumée).
Homme
de 36 ans. Typhoïde à 15 ans ; blennorrhée à 24;
dienne. 432 CORDIER ET REBATTU Observation V (DALCHË, résumée).
Homme
de 36 ans. Syphilis il 20 ans ; orchite à 30 ans.
as modifié l'impuissance. Observation VI (Pierre Marie, résumée).
Homme
de 63 ans. Compression testiculaire traumatique v
e de la glande thyroïde. Observation VII (DjEMtL-PACHA, résumée).
Homme
, 18 ans. Pas de crétinisme dans sa localité. Depu
ESSIF OU tardif 433 Observation VIII (Sainton et DUPRÉ, résumée).
Homme
, 45 ans. 4 ans de service militaire en Tunise. 6
Urémie gastro-intestinale. . Observation IX (GANDY, 1, résumée).
Homme
de 33 ans ; entré pour ictère léger; dans les ant
laire avec oedème cérébral. - Observation X (GANDY, II, résumée).
Homme
de 46 ans ; 4 ans de service militaire. Erysipèle
normales ; pas de traitement. Observation XI (GALLIARD, résumée).
Homme
, 57 ans, employé. Une blennorragie sans orchite.
tement thyroïdien. Observation XII (Achard et Démanche, résumée).
Homme
, 68 ans, maçon, entré à l'hôpital pour de l'hypos
d'une jeune fille. Observation XIV (CLAUDE et GOUGEROT, résumée).
Homme
de 49 ans ; père alcoolique, mère hystérique ; ni
rrénale et hypophysaire. Observation XV GOUGEROT et Gy, résumée).
Homme
, 52 ans, fièvre typhoïde à 20 ans ; 3 ans de serv
mentation du front, des mains et des pieds. Pouls à 75. Tension 12.
Homme
courbé en deux, avec une spondylose rhizomélique
N et Rebattu) (Pl. LXVI). (avec détails complémentaires inédits).
Homme
de 26 ans,' matelot. A fait un premier séjour à l
) (1) (PI. LXVII à LXIX), (avec détails complémentaires inédits).
Homme
de 35 ans, étudié à trois reprises : une première
ept mois après sa première observation. A l'entrée (octobre 1911) :
Homme
de 34 ans, qui, soit debout, soit au lit, n'en
s typique : Il y a quatre ans, je voyais entrer dans mon cabinet un
homme
de trente ans environ, d'une pâleur d'anémie gr
isme plus ou moins avorté. Observation XIX (GANDY, III, résumée).
Homme
de 42 ans; 3 ans de service militaire ; a eu de d
e tuberculose pulmonaire. Il est difficile de donner un âge à cet
homme
de 42 ans ; le teint est pâle, d'un jaune cireu
i polyurie, urines normales. Observation XX (Cordier, inédite).
Homme
de 29 ans; ses parents et sou frère sont bien por
pports. Depuis un an, l'état est à peu près le même. A l'exa.nen.
Homme
semblant vigoureux, sans surcharge graisseuse; le
a été suivie de longs mois et l'autopsie a pu être complète. Cet
homme
a été vigoureux jusqu'en 1904, peut-être pourtant
son état de faiblesse. Histoire de la maladie. C'était autrefois un
homme
fort et vigoureux porteur aux Halles, se vantan
le service du Professeur Brissaud, le 30 mai 1908. En résumé, cet
homme
a été vigoureux et normal jusqu'en 1904. Il est
gravé la mar- che de la maladie. Etat en mai 1908 (1). - C'est un
homme
voûté, qui marche difficilement, courbé eu avan
uf- frances ainsi qu'en témoignent les cris et les larmes du pauvre
homme
. Les troubles généraux et locaux s'accentuent.
détail, six cas de micromélie humérale congénitale, quatre chez des
hommes
et deux chez des femmes, dans le dessein d'atti
ques. Observation I (publiée dans la thèse de Sans) (PI. LXXIII).
Homme
de 30 ans, vigoureux, tombe d'une hauteur de2m. 5
dans les six mois qui ont suivi. Observation II (PI. LXXIV). Un
homme
de 54 ans fait en avril 1907 une chute d'une haut
e même avec les yeux ouverts beaucoup de mouvements nécessaires à l'
homme
sont troublés chez notre ma- lade, à cause de c
avec les jambes étendues est relativement difficile, même pour les
hommes
normaux avec un peu d'em- bonpoint). Si je lui
soulève le membre infé- rieur trop brusquement, et plus loin que l'
homme
normal le fait, cette brus- querie et cette exa
ait renverser passivement le membre sur l'abdo- men plus que chez l'
homme
normal, les muscles de la partie postérieure et
Nous avons vu dans la première partie de notre travail, que chez l'
homme
normal, quand on soulève volontairement le mem-
ndant arriver à se sou- lever. Ce phénomène ne se voit pas chez l'
homme
normal, ni même chez le ma- lade dont .l'observ
érente de celle d'une per- sonne normale qui se trouve en marche. L'
homme
sain se lève déjà sur la pointe du pied qui est
vant l'autre. Pourquoi le malade ne fait-il pas la même chose que l'
homme
sain ? Parce que le malade a peur qu'en s'appuy
sme et acromégalie ' (4 pl.), par Lemos, 1. Glande pinéale chez l'
homme
(1 t pl.) , par lltE13E, 257. Glandes endocri
entriculaire (2 Pl.), 199. ){nluDE Stit1-i gliiide pinéale chez l'
homme
(1 pl.), 257. Lvfon (Cu.) et AK 1 (P.). Maladie
11éde- cine (rri.tn), XXXIX. Cellules de la glande pinéale chez l'
homme
tIW .wue), \L. Démence précoce et déformation
inspiré les admirateurs du vénéré Dr Liébeault. Il appartenait à l'
homme
intègre qui, dans des circonstances difficiles, e
irmation ou votre injonction suggestionnelles du ton et de l'air d'un
homme
qui ne pense pas un mot de ce qu'il dit et qui en
lant d'une manière admirable l'action volontaire et intelligente de l'
homme
, tel, par exemple, que pourrait le faire l'automa
MOI, c'est-à-dire non pas seulement aux bêtes, mais aussi aux autres
hommes
, et à ne voir dans ceux-ci que de pures machines
finiment probable, et, partant, me détermine à croire que, les autres
hommes
étant organisés entièrement comme je le suis dans
bre égal à celui des centres nerveux. Il y a quarante et un ans, un
homme
affirmait, dans un gros livre, que l'organisme de
yzoïque, et, partant, polypsychique des Vertébrés, sans en excepter l'
Homme
, bien que produite et reproduite à satiété dans n
s tout le long de l'axe cérébro-spinal. Aujourd'hui la science de l'
homme
ne peut plus hésiter à ' mettre à son ordre du jo
es, en certaines circonstances, un caractère plus décidé que chez les
hommes
, c'est qu'elles obéissent plus facilement à leurs
e peut être mise en lumière que par des démonstrations faites par des
hommes
habitués à les utiliser. C'est pour cela que l'In
l'esprit humain. II était en réalité, sous des abords un peu rudes, l'
homme
le plus serviable et le plus dévoué à ses amis. L
us partageons la douleur, l'expression de nos vives sympathies. Les
hommes
vigoureusement trempés comme M. Delbœuf sont rare
es psychologiques qui résultent de l'action exercée directement sur l'
homme
par l'homme et par le milieu. Les questions d'h
iques qui résultent de l'action exercée directement sur l'homme par l'
homme
et par le milieu. Les questions d'hypnotisme et
quelque sorte, le moi en qui se concentre la personne collective de l'
homme
, de même que la personne collective de l'Etat se
endant il a en tout cas une valeur relative considérable, venant d'un
homme
qui doit être intelligent et instruit. Or, le suj
mpagne, dont les prétentions surnaturelles devaient faire sourire cet
homme
éclairé, et aux pratiques superstitieuses de laqu
le traitement des maux qui affectent le moral comme le physique de l'
homme
, trouvera dans l'avenir, espé- rons-le, de pl
écharges d'artillerie. Or, je connaissais dans ce café un vieux brave
homme
appelé La Pommeraye ; c'était le frère du confére
mme juste en ce moment un second éclat de la foudre éclata, le pauvre
homme
, terrifié, paralysé, emplit ses culottes de ce qu
res assiégeant la partie de son individu reposant sur la selle, notre
homme
se résolut à aller à Paris, parler de son affaire
nt de fois affronter le feu sans sourciller ? N'ètes-vous donc plus l'
homme
d'Anvers (1) ? — Si fait bien, et tant que mes
e même grade, dans le service des places. — Triste carrière pour un
homme
de votre valeur, capitaine,... pas d'avancement p
re- capitaine... une recette merveilleuse, on le voit, pour abrutir l'
homme
Je mieux trempé. Mais, en échange, il n'avait p
n pressant. Pivot ne voulant ni quitter son poste, ni-empoisonner ses
hommes
, grimpa sur la revers du fossé et montra en signe
us dire que vous êtes ce soir l'hôte d'une élite de travailleurs et d'
hommes
guidés avant tout par les préoccupations du progr
opose de porter en son honneur est un témoignage d'admiration pour un
homme
dont tous les instants sont consacrés à la libre
des psychologiques qui résultent de l'action suggestive exercée sur l'
homme
par l'homme et par le milieu. REVUE DE L'HYPN
giques qui résultent de l'action suggestive exercée sur l'homme par l'
homme
et par le milieu. REVUE DE L'HYPNOTISME EXP
ont indiquées dans ses Recherches sur l'acidité du suc gastrique de l'
homme
(Comptes rendus de l'Académie des sciences, 1877-
ur les Propriétés chimiques et physiologiques du suc gastrique chez l'
homme
et chez les animaux, publié dans le Journal de l'
tait les recherches précédentes dans un volume paru sous ce titre : L'
homme
et l'intelligence (1). Là, insistant sur la possi
ique. En sa qualité de secrétaire général, il dut (i) Ch. Richet, L'
Homme
et l'Intelligence. 1881. Félix Alcan, Paris.
tier. Legrand du Saule en a observé une qui avait volé 300 cravates d'
homme
. J'ai eu à examiner une bonne bourgeoise qui avai
comporte environ 800 noms de personnes aisées, et très peu de noms d'
hommes
, une dizaine. Quand un marchand constate la dispa
es ordinaires. Nous avons eu cependant à examiner un certain nombre d'
hommes
. Les uns et les autres, parfois dans une position
plus ou moins avouables. II faut encore ajouter à cela que, lorsqu'un
homme
intelligent et de bonne foi veut aller au fond de
ainsi la question : « C'est d'abord avec une répulsion profonde que l'
homme
accueille les relations de ces drames journaliers
ement devant une chambre européenne et nous devons remercier les deux
hommes
considérables qui ont eu le courage de défendre c
jusqu'à quel point l'action incriminée répond à la définition, mais l'
homme
échappe à son jugement. . . Le médecin appelé à
'examiner le prévenu et de donncrla caractéristique scientifique de l'
homme
indépendamment du délit qui lui est imputé : à re
ocès du sujet, mais le procès du fait quel qu'en ait été l'auteur, un
homme
sain d'esprit, un aliéné, voire un animal. En q
n'est pas besoin de l'intermédiaire d'un médecin pour déclarer qu'un
homme
qui se prétend l'empereur de Chine a pu, sans êtr
nces, plus geignard que jamais et décidé à mourir sans le secours des
hommes
de l'art. Nous sommes au 2 août 1895. Que faire
ter de la sensation de la perte de l'équilibre. Observez, en effet, l'
homme
amariné; il fait corps avec le navire, comme un c
é que le roulis. Les femmes sont plus sujettes à la naupathie que les
hommes
, et les enfants en bas âge beaucoup moins que les
thie que les hommes, et les enfants en bas âge beaucoup moins que les
hommes
. La chaleur, le manque d'air, l'encombrement, l
'y ai pleinement réussi. Je vous parlerai de quatre personnes, deux
hommes
et deux femmes, tous les quatre extrêmement sensi
ures, M. le Dr Collincau fera une conférence sur : Le précurseur de l'
homme
. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont
Henry Lemesle, avocat à la cour d'appel, fera une conférence sur : L'
homme
criminel et les doctrines nouvelles de l'Ecole de
e stupeur. Mais, d'autre part, il ne présentait pas l'allure d'un
homme
ivre, alcoolisé, et il avait conservé une certain
t à se montrer et à réclamer son bien, il le rendait et s'excusait en
homme
qui no sait pas trop ce qu'il dit. Le lendemain
res plus marquants encore s'il avait pu être examiné, de près, par un
homme
compétent. Le simple somnambule lui-même ne res
este pas moins vrai que les apparences du somnambule sont celles de l'
homme
éveillé et conscient. Or, en médecine légale, l'e
ne-ment l'inconscience, l'amnésie et par suite l'irresponsabilité. Un
homme
qui agit d'une façon raisonnable n'agit pas néces
'ivresse soit toujours un et le même sur le corps et l'esprit ; que l'
homme
qui se tient debout, marche et commet certaines a
r conséquent l'accomplissement de la fonction qui en dépend. Chez l'
homme
en état d'équilibre parfait, le centre spinal peu
des observateurs ('Jauraient vu le même phénomène se produire chez l'
homme
. Ainsi le fait seul de l'existence d'une lésion
. En somme, eu égard à ces deux sens, il était dans la condition d'un
homme
plongé dans une méditation profonde et par conséq
ing qu'ils pouuoient de peur du feu. Il y avoit plus de quatre cens
hommes
pour deuoir tuer le feu, et n'y pouuoient rien fa
ures, M. le Dr Collineau fera une conférence sur : Le précurseur de l'
homme
. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont
ssante Université, la Belgique tout entière ont perdu, ce jour-là, un
homme
qui leur faisait le plus grand honneur, par le ta
ra pas son temps. a De tous les problèmes qui agitent l'esprit de l'
homme
, disait Delbœuf, en 1882, à l'Académie royale de
nce extra-naturelle qui puisse empêcher d'être ce qui doit être, et l'
homme
n'a pas la prétention d'être cette puissance. II
sion. Il croit à la liberté, et non pas seulement à la liberté de l'
homme
, mais à la liberté de tous les êtres sensibles 4.
uer la respiration artificielle. Taine (1) rappelle même le fait d'un
homme
décapité qui portait la main à l'endroit où on pr
ant la race, l'éducabilité persiste plus ou moins tard. Ainsi, chez l'
homme
, le jeune Taitien apprend aussi bien que le jeune
'il a perçu. Les actes d'exagération sont des plus fréquents chez l'
homme
. Nous avons, ailleurs, montré le rôle de l'exagér
ence pouvait avoir sur sa famille, dont il était vraiment le chef, un
homme
de la réputation de Pascal. Il suggestionna ensui
n dire. « M. Bérillon sait aussi bien que mol, que, pour être grand
homme
, on n'en à pas moins ses petites faiblesses. — Ch
La théorie du bloc ne convient guère aux intelligences. Dans un grand
homme
, Il ne faut pas forcément tout admirer. « Alors
ures, M. le Dr Collineau fera une conférence sur : Le précurseur de l'
homme
. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont
Henry Lemesle, avocat à la cour d'appel, fera une conférence sur : L'
homme
criminel et les doctrines nouvelles de l'Ecole de
er leur erreur1. » Cette erreur est aujourd'hui reconnue par tous les
hommes
compétents, qui n'ont pas de parti pris. C'est au
vice et la vertu. A certaines heures de la journée le plus juste des
hommes
commettra sans remords les plus abominables forfa
l ne l'a jamais dit d'ailleurs — de rencontrer toujours la vérité. Un
homme
de 1. Liédeault — Suggestions criminelles hypno
èmes, le cœur rempli des plus généreux sentiments. Savant comme peu d'
hommes
le peuvent être, il était tenace, indomptable, ma
la recherche de cette vérité, je choisirais la Recherche. » De tels
hommes
sont l'honneur de leur cité, de leur patrie, de l
. Cas 39. Ce fut un cas très singulier. La malade était mariée à un
homme
qu'elle n'aimait pas. C'était une femme sans éduc
e sont arrêtés pour voir la figure explicative : femmes déshabillées,
hommes
audacieux, légendes plus audacieuses encore. Le c
traitement. Le malade est définitivement et complètement guéri. Cet
homme
qui, avant le traitement psychique, ne pouvait so
ychologie seront successivement l'objet de conférences faites par les
hommes
les plus compétents. Les médecins et les étudiant
ures, M. le Dr Colllneau fera une conférence sur : Le précurseur de l'
homme
. Jeudi 4 Mars, à cinq heures, M. Maurice Dupont
Henry Lemesle, avocat à la cour d'appel, fera une conférence sur : L'
homme
criminel et les doctrines nouvelles de l'Ecole de
cumulant la double situation de fonctionnaire dans un ministère et d'
homme
de lettres, comme cela se présente assez fréquemm
uleva cette question, c'est parce que nous savons tous que beaucoup d'
hommes
, doués d'une belle intelligence, sont adonnés à l
s membres de l'Institut, des littérateurs connus, des magistrats, des
hommes
politiques, des artistes et, il faut le reconnaît
nombre de médecins. H me semblerait excessif de déclarer que tous ces
hommes
qui continuent à travailler, à remplir leur fonct
accompagnera des plus grandes difficultés. Tant qu'il s'agit pour l'
homme
de produire les mouvements nécessaires à l'expres
ation d'épuisement et de vacuité, se localisant à l'occiput, tous les
hommes
la connaissent, les uns quand ils travaillent tro
aire ressortir, c'est que l'auteur, en mettant sur la scène un type d'
homme
doué du pouvoir d'accomplir des guérisons miracul
vient laide et désagréable, peut-être un objet de répugnance pour les
hommes
; ces idées agissent sur elle comme un choc moral
Henry Lemesle, avocat à la cour d'appel, fera une conférence sur : L'
homme
criminel et les doctrines nouvelles de l'Ecole de
r d'appréciations à son sujet, surtout par des conversations avec les
hommes
les plus compétents en cette matière, j'ai vu que
e neurologique: La bêtise n'est pas une maladie, c'est un état de l'
homme
sain, caractérisé par une perception incomplète d
mes ou contraires aux circonstances du moment. Les perceptions de l'
homme
intelligent ne sont pas toujours adéquates à la r
re de l'intelligence que quantitativement et non qualitativement. L'
homme
bête ne doute jamais. Ce qu'il voit il le prend p
a perception et la mémoire peut occasionner la bêtise temporaire. L'
homme
bète est entièrement soumis aux illusions. Celte
ération est profonde, . chacun le sait, tant chez la femme que chez l'
homme
. Le sujet le plus vigoureux et le mieux organisé
rces viriles par la simple crainte de n'être pas brillant. Si, chez l'
homme
, l'émotion suffît à rendre impossible tout rappro
tira de vifs reproches de son mari pour ses familiarités avec les
hommes
. Demandée en mariage à 17 ans, par un jeune homme
ines. L'ainée des filles a hérité de la maladie du père ; mariée à un
homme
honnête et bon, mère de deux charmants enfants, c
nt qui l'avait engrossée était son fiancé, car il était bien \o. seul
homme
avec qui elle pouvait commettre une telle faute,
e celle-ci ait le pouvoir de déterminer un avortement ; cependant des
hommes
sérieux et respectables lui ont attribué des vert
répond victorieusement à cette objection. Il n'est plus possible à un
homme
qui a été détenu une seule fois, de dissimuler dé
ant des idées dominantes. Il dit encore que, lorsque l'attention d'un
homme
ou d'un animal est absorbée par une idée associée
ividuels. On doit se présenter le fait ainsi : un nombre très petit d'
hommes
exceptionnels se tient en face d'un peuple ou mêm
ent pris naissance dans la propre conscience de la foule. Quand ces
hommes
exceptionnels suggèrent la vertu et l'héroïsme, l
ur emploi, à ces forces organiques, c'est la suggestion qui émane des
hommes
exceptionnels. Que l'on ne parle donc pas de l'âm
e dans chaque mot, dans chaque tournure, des traces de cet effort des
hommes
exceptionnels originaux, pour transmettre aux cer
nez d'un personnage qui lui est inconnu, comme par exemple d'un grand
homme
étranger, il vous accable de questions sur la bio
dans la vie, de quoi se montrera-t-il capable une fois qu'il sera un
homme
? En général, les enfants prodiges ne sont tels
vail assurer sa subsistance et celle des siens ; il importe d'être un
homme
dans toute l'acception du mot et non pas de deven
rande utilité à cet enfant et qu'on ne parvienne jamais à en faire un
homme
comme un autre, bien équilibré, capable de se suf
dans laquelle il s'exprime ainsi : « Dieu n'aurait jamais délégué à l'
homme
un pouvoir aussi dangereux que celui d'exercer un
maient que les femmes les plus vertueuses pouvaient être victimes des
hommes
les plus dissolus sans conserver, au réveil, aucu
ité comme de la plus estimable conduite. » Supposant ailleurs qu'un
homme
eût assez manqué d'honneur pour abuser d'une pers
ion de cette manie toxique dans les diverses classes de la société.
Hommes
: 650 p. 100 Médecins....... 287 40,1 Fils
re . 2 0,3 Artistes........ 6 0,9 Étudiants en droit ... 11 1,6
Hommes
de lettres . . 5 0,7 Avocats........ 7 1,07 P
ts........ 7 1,07 Paysans........ 3 0(4 Prêtres. ........ 2 0,3
Hommes
politiques. . . 3 0.4 Femmes : 350 p. 100 F
'ils Teulent soumettre les phénomènes étudiés par eux au contrôle des
hommes
compétents. Envisageant la question à un point
ion momentanée, une impression — que pourrait ressentir aussi bien un
homme
normal, mais qu'il réprimerait aussitôt, — domine
n mot indu ou non motivé, en grande société ou dans un lieu public. L'
homme
mal équilibré ou à intelligence affaiblie n'y sai
les ont porté sur des personnes de vingt-cinq à quarante ans, dont un
homme
et trois femmes. Dans la majorité des cas la ma
lle eût Uni de donner ses soins à sa mère morte d'un anthrax ; chez l'
homme
les symptômes se sont montrés après qu'il eût été
i de sa femme. Sa pensée n'était plus uniquement : « Ai-je touché cet
homme
? » mais: « N'était-ce pas à dessein prémédité que
formes légères de cette manie se présentent beaucoup. Le malade, un
homme
de quarante ans, d'une constitution saine, sans a
n observe beaucoup dans le milieu accoutumé de mon patient, celui des
hommes
qui manient l'argent. De porter une certaine cr
exposer ma famille n de telles possibilités ». Lui aussi so croit un
homme
exceptionnel et il pense que la fatalité le pouss
tal complètement guéri de son rhumatisme, et à la caserne il devint l'
homme
le mieux rangé et le plus régulier. Au mois de ju
et cela pourquoi? Qu'on le dise! » J'avoue que pour l'honneur d'un
homme
qui appartient à l'enseignement supérieur de mo
oint départi des règles qui doivent présider à toute discussion entre
hommes
de science, si bien que M. Delbœuf lui-même a du
n de ses libelles, cette impertinence suprême : • Il n'y a qu'un seul
homme
que les expériences de Donato aient rendu fou, c'
fou, c'est le docteur Lombroso ». Et pendant qu'il traite ainsi des
hommes
de talent et de science, M. Delbœuf réserve toute
s vu successivement Salpétriériste, Nancéen, Brouardélien — tel est l'
homme
; il ne discute pas sérieusement, il persifle; il
e de Nancy pour laquelle, a-t-il dit en terminant, la définition de l'
homme
devrait être modifiée ainsi : - L'homme est à la
terminant, la définition de l'homme devrait être modifiée ainsi : - L'
homme
est à la fois un animal raisonnable et hypnotisan
rce que les savants qui s'adonnent à l'étude de l'hypnotisme sont des
hommes
honorables, incapables de mettre la force psychiq
silewssy (B) — Théorie unitaire et phylogénélique de Vhypnotisme de f
homme
et des animaux russe), discours fait en janvier I
étendu que ne le croit M. Bernheim ; c'est ainsi que l'hystérie de l'
homme
, qu'il considère comme exceptionnelle, est au con
eot l'innocuité des pratiques de 1 hypnotisme, la crande majorité des
hommes
de science soutenaient qu'elles pouvaient présent
é- «tiseur. » On peut se demander, messieurs, s'il convient qu'un
homme
se soumette jamais, sans motif impérieux, à des p
s vous entrevoyez toujours « lo môme péril redoutable : vous voyez un
homme
se livrant aux actes les plus « graves avec une
ure particulière et muette des pensées a été faite, non point par des
hommes
de science, mais par un jeune Américain sans noto
urtout les plus fantaisistes : comme, par exemple, que la pensée de l'
homme
peut agir à distance par le rayonnement dans l'ai
agir à distance par le rayonnement dans l'air, ou que la volonté d'un
homme
peut asservir complètement la volonté d'un autre
e, ou qu'il existe une action particulière magnétique du cerveau d'un
homme
sur le cerveau d'un autre, ou enfin que la pensée
eau d'un autre, ou enfin que la pensée qui apparaît dans la tète d'un
homme
peut induire la môme pensée dans la tète d'un aut
a tète d'un homme peut induire la môme pensée dans la tète d'un autre
homme
, comme un courant interrompu électrique, passant
uer le flot des hypothèses fantaisistes si contraire au bon sens de l'
homme
. L'opinion générale de notre presse coïncidait,
fumé les faibles mouvements que produisent les doigts de la main de l'
homme
dans toutes les directions possibles; mais malheu
les avanies vous vous êtes rendu coupable, et j'ose dire que pas un
homme
d'honneur ne verra, sans indignation, votre condu
e provoquer une grande colère » en jetant publiquement à la face d'un
homme
le reproche d'ignorance ? Cessez donc de vous dra
te, et il ne connaît aucun malade nerveux parmi ses parents. C'est un
homme
de grande énergie, un auteur fêté du public ; ses
ros public, ont horreur de ces choses, parce qu'ils se figurent qu'un
homme
suggestionné, un homme hypnotisé estatteint de né
de ces choses, parce qu'ils se figurent qu'un homme suggestionné, un
homme
hypnotisé estatteint de névrose cérébrale ; la ca
e la suggestion? Les orateurs, les professeurs, les journalistes, les
hommes
d'affaires, les charlatans, sont autant de sugges
rôle n'a pas le temps ou pas la force de faire inhibition. Voici un
homme
de soixante-six ans, affecté de tuberculose sénil
ail Ils font reculer toutle monde. En voilà un qu'ils emmènent... un
homme
! C'est sans doute celui qui a mis le feu... Ils l
ôpital. » Ainsi, comme souvent dans le rêve normal, il y a chez notre
homme
dédoublement de la personnalité : il se voit aill
éléments épars chez les philosophes et chez les moralistes, chez les
hommes
et chez les femmes, d'Aristote A Kant, de Montaig
ulaire de l'excitation nerveuse devrait se transmettre des nerfs d'un
homme
, par les couches de la peau, aux nerfs d'un autre
er les couches d'air, ou de se communiquer des nerfs non dénudés d'un
homme
aux nerfs non dénudés d'un autre pendant que les
e, il doit l'être encore moins dans le cas où le système nerveux d'un
homme
devrait agir sur celui d'un autre. L'excitation
; et tout cela se produit sans aucune intervention de la volonté de l'
homme
et sans la moindre conscience de ce qui se passe
sseur a la Faculté de Médecine de Nancy. Suite (1) Voici un autre
homme
, âgé de soixante-six ans, écrivain public, conval
terviens dans le rêve : « Votre client cause avec quelqu'un. Voici un
homme
avec une machine électrique. Faites-vous électris
la fin, il pousse un grand cri de douleur et rouvre les yeux comme un
homme
qui se réveille. Il est tout effaré, regarde auto
ris. » 11 me raconte tout ce qu'il a vu, me donne le signalement de l'
homme
qui l'a électrisé, me décrit sa machine, etc. — J
t venue, dans cet état, que ce pouvait être un rêve ! Chez ces deux
hommes
, comme chez nombre de sujets, je puis d'ailleurs,
acceptée par le cerveau et à la réaliser. > Mais à ce compte, tout
homme
raisonnable est suggestionnable : à qui n'est-il
eut être considéré à bon droit comme une propriété physiologique de l'
homme
, mais dans ce cas l'introduction de ce mot dans l
laire médical n'a pas sa raison d'être. Il suffirait de dire que tout
homme
est susceptible de suivre les conseils qu'on lui
, que l'onomalomanie n'est pas une maladie, parce qu'il arrive à tout
homme
normal de poursuivre avec entêtement et d'une faç
c'est là une appréciation personnelle. Quant à moi, je pense que des
hommes
de science ne doivent pas avoir d'autre préoccupa
lature d'empêcher que l'hypnotisme soit pratiqué par d'autres que les
hommes
compétents, et autrement que dans un but d'utilit
phéno-« mènes aussi graves. Il n'est pas convenable de donner ainsi l'
homme
en spec-« lacle, le découronnant vis-à-vis de tou
rotection de la loi à la minorité toute entière : le majeur seul, l'
homme
qui peut disposer librement de soi, doit être exc
uses conséquences auxquelles il faisait allusion et rendre jusuee aux
homme
» qui s'adonnent avec autorité aux études sur l'hy
vie, sans qu'un médecin m'y autorisât et fut présent, d'hypnotiser un
homme
de son âge, qui pouvait être frappé de mort subit
ilé ce triste chapelet, me tournant vers M. D____: € Vous voyez cet
homme
, monsieur le docteur; tous ses maux vont cesser.
tions, objections, réponses. Bref, j'offris au plus âgé des docteurs,
homme
de trente-cinq à quarante ans, de faire sur lui u
ent fondées sur les sensations cutanées et musculaires. Mais û quoi l'
homme
ne parvient-il pas à force d'exercice! Comme ex
ure, et fortifient cette tendance mystique qui ruine le bon sens de l'
homme
. Après tout ce qui a été dit, on conviendra ave
bles avec les faits bien établis de la science. Non, la pensée de l'
homme
est un mystère pour les autres hommes, tant qu'el
a science. Non, la pensée de l'homme est un mystère pour les autres
hommes
, tant qu'elle ne s'exprime pas par des manifestat
t garder son secret. C'est là la prérogative la plus érainente de l'
homme
, celle qui lui garantit sa liberté intérieure.
ique et la somnambulique; et, de mémo dans les cas d'hystérie chez un
homme
(5). Il y a plus encore : Charcot nous cite un ca
sidence à Bade-Bade, où i! a su se faire une clientèle très sérieuse.
Homme
de science, doublé d'un praticien accompli, se do
Menschen (Contribution à Cétvde de l'hypnotisme et du sommeil chez l'
homme
.) — (Sonderabdruck aus dem • Biologischen Ceniral
car il n'est pas douteux que la liberté morale et la « raison de l'
homme
ivre sont singulièrement amoindries, si elles ne
alité n'est point séparée de la responsabilité morale. Sans doute « l'
homme
qui prend des habitudes d'ivrognerie, comme celui
ur-« cissement de l'intelligence, un affaiblissement de la volonté. I/
homme
« qui s'est abruti devient semblable à la brute
on punit ainsi, c'est non pas le délit ni même le délinquant, c'est l'
homme
tel qu'il était avant de commettre le délit. Et c
, ne présentait pas le plus petit signe d rimerie. Aujourd'hui, cet
homme
est absolument méconnaissable, et j'avoue que je
moins d'un mois il put reprendre se* fonctions et se donner comme un
homme
sobre. Il recouvra presque entièrement la santé e
ficier en retraite, vint en traitement en mars I890. Cest un très bel
homme
, de proportions athlétiques, et il a eu beaucoup
est resté sobre et tranquille. Mais on sent, lorsqu'on a affaire à un
homme
de celle nature, qu'il peut retomber à la premièr
une série d'expériences hypnotiques qui se montrèrent efficaces sur l'
homme
, mais non sur les animaux. Les résultats montrent
ypnotique dans lequel l'animal perd »a sensibilité au froid, et quo l'
homme
également, en pcrdaul sa sensibiliié à la tempéra
t d'être votée. A part Tune ou l'autre opposition tapageuse, tous les
hommes
compétents réclamaient, depuis longtemps, l'inter
ement scandaleux. Ainsi, on nous rapportait dernièrement que, chez un
homme
occupant une haute situation, on pouvait assister
s-experts en hypnotisme. Quel motif sérieux y a-t-il de refuser à ces
hommes
compétents et dignes de tonte confiance un droit
exprimer nos réserves sur un point. Il existe, en Belgique, quelques
hommes
, non médecins, ayant des connaissances et des apt
it. Cependant, il n'est pas possible qu'on poursuive cet hypnotiseur,
homme
de science avant tout, qui aurait cherché, à la d
e notre attention, c'est que plusieurs de ces cas sont soumis par des
hommes
connus comme investigateurs consciencieux et obse
e verrions-nous pas ». dit Buffon. La nature n'a pas donné à tous les
hommes
la même sensibilité nerveuse, etc'est pourquoi le
la rue Saint-Denis, lu as vu un rassemblement; tu l'es approché. Deux
hommes
se battaient; l'un d'eux a tiré un couteau; il a
ude des alcooliques : les premiers, plus irascibles que le commun des
hommes
, sont responsables; les seconds, arrivés à l'alco
été commis, mais elle a commencé le jour où, commençant à boire, cet
homme
a rendu possible son crime. Mais c'est là une aff
Louvre, de complicité avec trois autres individus : deux femmes et un
homme
, arrêtés en même temps qu'elle. Sa physionomie ét
à être insulté, aussi bien par les femmes et les enfants que par les
hommes
. Même dans la classe aisée, cette brutalité repar
reprises, l'intensité des douleurs dans l'aine a déterminé chez notre
homme
une sensation de faiblesse, avec agitation, tremb
ice que le malade était dément. Je constatai cependant que c'était on
homme
intelligent et dont l'intelligence était conservé
i peuvent neutraliser et dominer les suggestions étrangères. Voilà un
homme
qui a des douleurs dans les cuisses et les reins;
s Roth n'avait pas hésité à se joindre à eux pour rendre hommage à un
homme
moins lge que lui et dont il se reconnaissait cep
ura des imitateur», et c'est avec émotion que je déplore la mort d'un
homme
de science qui fut en même temps un homme decceur
que je déplore la mort d'un homme de science qui fut en même temps un
homme
decceur. il. le professeur Liégeois exprime les
intelligence n'était pas atrophiée ou rudimentaire. Croyez-vous que l'
homme
qui baptise son fils Epaminonda*. Patrocle on Eur
alade s'est présenté à notre consultation le 2 octobre 1891. C'est un
homme
de 35 ans, employé de commerce, d'un aspect vigou
es hallucinations pénibles. Elle voit des bêles féroces, des rats, un
homme
qui la menace. Elle appelle au secours et elle fa
e réveil et surviennent même pendant la journée. Elle voit passer des
hommes
devant sa porte ; l'un d'eux entre dans la chambr
rien n'était plus simple et plus conforme à ce besoin instinctif à l'
homme
do chercher toujours en dehors de lui les causes
auvre malade les pires vexations. ¦ On l'abandonnait à la risée des
hommes
et on le faisait même coucher sans lit ni matelas
ommes asseï soucieux de la dignité de notre armée et du bien-être des
hommes
pour nous indigner de cette révélation. • On a
smit au médium et par lui à eux, car la pensée acquiert pour quelques
hommes
la forme d'image, image qui disparaît pour les au
nous devons à notre conscience, développée par l'éducation. Quant aux
hommes
chez lesquels ce frein ne serait pas suffisant, i
mais aux suggestions d'un hypnotiseur qui pourrait être un malhoimêle
homme
, un criminel. L'étal dans lequel certains somna
uelles nous sommes amenés : Il serait désirable que chacun de nous,
homme
ou femme, sût jusqu'à quel point il est hypnotisa
ois, sans succès — essayé de se faire mettre en somnambulisme, par un
homme
compétent et honorable. Si l'épreuve donne un rés
crises de la démoniaque étaient si violentes qu'il fallait plusieurs
hommes
pour la tenir. I! n'est pas dilncile de Toîr, par
vait à Bourdigny un vieux sorcier très rodoulé, du nom de Pierre. Cet
homme
, âgé de quatre-vingts ans, était accusé depuis lo
nvier aux médecins de nos hôpitaux militaires. La-bas, comme ici, les
hommes
instruits sont régis par des ignorants, et les ét
tion hypnotique, se faisait fort de régulariser le tir folâtre de ses
hommes
; il aurait parfaitement réussi dans celte tâche.
ri, pendant son absence de Paris, en relations avec les individus, un
homme
, sa femme et sa sœur, jamais, dis-je, elle ne s'é
letin médical. 1891, p. 1074), entretenu sommairement la Société d'un
homme
de trente ans atteint de ce qu'où pourrait appele
ue bien qu'ils l*au-royeni dit qu'il n'est pas vray, qu'il est autant
homme
de bien que point qu'il y en ait dans Genève. •
gneurie, l'ayant battu, appelé vieux sorcier, vieux bougre, qu'il est
homme
de bien, et ne fust oneques repris ni en justice
Seigneur Jésus-Christ en fist sortir une légion du corps d'ung pauvre
homme
qui entrèrent dans des pourceaux. « /. Si le di
e café Kneipp ei l'almanach Kneippl En résumé, l'abbé Kneipp est un
homme
qui a deviné la puissance de la suggestion ei qui
et il a bien fait, car il est le plus souvent dangereux de réunir les
hommes
du peuple. C'est le plus souvent la bête humaine
ompte des lois prolectrices de la sécurité commune. > Quel est l'
homme
de science ou l'homme de loi qui refuserait d'app
rices de la sécurité commune. > Quel est l'homme de science ou l'
homme
de loi qui refuserait d'approuver d'aussi sages r
use, l'œuvre chérie de l'insigne M. Herbetle, une des infamies de cet
homme
néfaste. Je n'ai pas besoin de rappeler ce qui a
891, 2* Au-flage, pages ISO à 152;. J'ai réussi à suggérer à un brave
homme
qu'un jeune homme (juriste), qu'il ne connaissait
re le bruit est assez fort. Le juriste simula fort bien la chute d'un
homme
blessé à mort après le premier coup, ce qui n'emp
nniste, lorsqu'il lui fait dire qu'elle rapporte tout à l'hérédité. L'
homme
, de même que tout être organique, est à chaque in
médecine par exemple!) Un animal, un objet peuvent produire chez un
homme
une suggestion qui se réalise, h'autosuggestion,
s garanties que présente telle ou telle personne. A-t-on affaire à un
homme
nonnête ou non ? Si on a affaire à un homme honnê
onne. A-t-on affaire à un homme nonnête ou non ? Si on a affaire à un
homme
honnête, on peut lui laisser pratiquer l'hypnotis
eux, toujours à l'affût, guettant l'instant propice pour fondre sur l'
homme
sans défense, a remplacé dans l'étiologie d'un gr
démon cause le mal, et levant aussitôt ses maléfices, il persuade aux
hommes
que c'est lui qui a guéri le malade. C'est en ces
esire pratiquez, » Wier raconte qu'en l'an 1529, Adolphe Clarbach, «
homme
docte et cbreslien, fui emprisonné à cause de la
onfusion. Ce senti- ment est parfois très pénible, surtout chez les
hommes
. Il semble, en effet, que les femmes, qui rougi
nes qui rougissent sont estimées au plus haut prix. La rougeur de l'
homme
a quelque chose de plus ennuyeux, de plus ridic
'ailleurs des particularités spéciales, nos sujets étaient tous des
hommes
, ce qui confirme ce que nous disions plus haut
roprement dite, l'éreutho- phobie, paraît surtout être spéciale à l'
homme
. Tous nos sujets étaient jeunes. Ils avaient de
ers. L'un enfonce son chapeau sur ses yeux et prend l'attitude d'un
homme
harassé,, qui n'en peut plus; un autre se couvr
cacher leur rougeur, c'est de boire. Quatre de nos sujets sur sept
hommes
se livraient à la boisson dans ce but. Boire,
occupe-t-on pas ? Je rougis aussi. Au café, la même chose. Avec des
hommes
, je rougis. Avec des femmes, je rougis. Mainten
sans dire que de tous les sentiments qui élèvent et ennoblissent l'
homme
: Dieu, l'âme, la patrie, l'honneur, la vertu, le
ui ne l'est pas. Car enfin, du moment qu'une femme a appartenu à un
homme
, qu'elle a été souillée ce n'est pas de ma faute,
ier. Dieu lui a appris que c'était bien sa voix qui s'adressait aux
hommes
par son inter- médiaire. Hallucinations de la v
propre, de la réflexion de toute faculté person- nelle ; tant que l'
homme
demeure, elle n'existe pas. Elle ne commence qu
e bienheureux état dont parle le philosophe inconnu dans son Nouvel
Homme
, où tout n'est que dilection, multiplication de
on, multiplication de la vie, ouverture des sens, résurrection d'un
homme
merveilleux, tout-puissant, maitre de l'Univers
autopsies nombreuses, que la force de la côte est le double chez l'
homme
de ce qu'elle est chez la femme, que vers : ;5
pas pour cela psychose, il n'y a pas pour cela idée fixe. Quand un
homme
, jusque-là bien portant, est, il la suite d'eff
malade unique, mais il les multipliera plus tard. Ce malade est un
homme
de quarante-neuf ans fortement héré- ditaire qu
période intervallaire pendant laquelle le malade est réellement un
homme
normal. C'est la période normale post-maniaque;
de, dont l'observation est rapportée par l'auteur. Il s'agit d'un
homme
de cinquante-cinq ans, paysan d'origine et pres
ormal. Sa soeur, une personne peu intelligente, trouve qu'il est un
homme
d'un grand esprit et croit à son génie. Il est
DROIT ; par A. Wallenberg. ('rell9'O10. iuB7dl)'ülbl., XV, 1896.)
Homme
de quarante-sept ans, atteint, depuis plusieurs a
DE L'OUÏE; par F. LUH11.L"NN. (Neurolog. Centl'albl., XV, 1896.)
Homme
de cinquante-un ans; sypliilisextrêmement probabl
ar A.MARINA. 1 ? 217'OlPCJ. Centralbl., XV, 1896.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-un ans, dont la photographie est j
ion de la vue ; par le Dl' Vaughop. Intéressante observation d'un
homme
de quarante-quatre an<, dégénéré, ayant été
IIDIE1\NE; opération; par M. CLARKE. (tain, été et automne 1895.)
Homme
vingt-huit ans. En 1891, malaise fébrile avec dél
côté DE la lésion ; par S. WEST. (It)'üil7, été et automne 1895.)
Homme
seize ans. Engourdissement du bras gauche avec dy
, de l'insomnie, des céphalalgies. Deux mois auparavant, le jeune
homme
avait eu un chancre induré. 2° Symptômes témoigna
dans le corps des cellules des cornes antérieures de la moelle de l'
homme
ou des animaux, ont une disposition concentriqu
choses sont bien loin de se passer toujours ainsi. Sur 33 ma- lades
hommes
que j'ai observés, plus de la moitié (18) sont
sfaisants. A la fin de 1894, la population était de 453 aliénés (16
hommes
et 37 femmes) pour lesquels existe un personnel
e un caractère individuel. C'est ainsi que chacun des quar- tiers d'
hommes
ou de femmes sont construits en matériaux diffé-
oires, très bien installés, l'amphi- théâtre, des gymnases pour les
hommes
etles femmes, les ateliers, l'usine. L'intéress
ar ce message, et qu'en une heure tout fût arrangé et terminé ! » L'
homme
de Dieu avait eu raison, sans le savoir, de ne
gage articulé chet HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 107 Î l'
homme
; quoique, avec les physiologistes et les clinicie
omparaison. Seule, la conscience de l'écorce cérébrale tombe chez l'
homme
sous l'attention, et grâce aux connexions unive
seul être. La conscience de l'écorce céré- brale paraît être pour l'
homme
la seule sensible, quoique nous voyions des ani
'intensité, d'où naît notre illusion à ce sujet, correspond, chez l'
homme
, àla masse prédominante de la colonie corticale
eynert appelle la capitale de l'Etat cérébral (capitale qui, chez l'
homme
, est « plus grande que les provinces » de cet Eta
es du lapin ; ce que nous savons de l'étendue de ces sphères chez l'
homme
, le singe et le chien, aurait pourtant dû lui r
roupes nucléaires : 1° groupe antérieur (tubercule antérieur chez l'
homme
), qu'on peut diviser en ante. a, anter. b. et a
est vraie, à quelques variations près, pour la couche optique de l'
homme
. Chez ce dernier, les fibres du ruban 120 REVUE
es ou récentes amènent chez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 121 l'
homme
une dégénérescence secondaire des diverses c dépe
ux. La couche externe de l'écorce du cerveau de ces animaux et de l'
homme
ne lui a pas présenté les cellules à deux ou plu-
UVELLES communications SUR LV COURONNE rayonnante DU CER- veau DE l'
homme
; par P. FLECHSIC. (Neurolog. Centralbl.,XV, 189
I. Contribution A l'étude DU trajet DES racines postérieures chez l'
homme
; par A. Marguliès. (Neurolog. Cei2ti-albl.,XV, 18
de lésion isolée des racines postérieures ; figures. Il s'agit d'un
homme
de quarante-cinq ans, mort de démence para- lyt
e côté rétrograde et ne se constate plus plus tard. - 5° Si. chez l'
homme
, la dégénérescence homolatérale persiste, dans
XVIII. INFLUENCE de l'électricité sur la circulation cérébrale DE l'
homme
; par Capriati. (Ann. di névrol, anno XIII, fasc.
nées), une toxicité urinaire 2, 3, 4, 5 fois moindre que celle de l'
homme
sain. Tandis que l'urine de l'homme sain tue un
, 5 fois moindre que celle de l'homme sain. Tandis que l'urine de l'
homme
sain tue un kilogramme de lapin à des doses var
L'ÉTIOLOGIE DES perversions ET DES déprava- TIONS sexuelles chez L'
HOMME
; par ÛESCHAMPS. Etude « plus philosophique que
E DES ' persécutions CHEZ LES vieillards ; par André nichon. 1° L'
homme
, arrivé au dernier âge de la vie, subit des trans
onstaté, non sans satisfaction, c'est la parfaite tenue des malades
hommes
, au BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE 159 nombre de 40
aint- Ylié. - Demande d'interne : une place d'interne (division des
hommes
) est vacante dans cet asile. Les candidats doiv
lligence ne peut se servir dans l'échange des idées avec les autres
hommes
que de perceptions visuelles (communes et mimiq
comprenait le mieux. Ses réponses furent formelles : il voyait des
hommes
vêtus de rouge qui, au moyen de gestes, le mena
uffisamment en importance pour arriver au degré qu'il occupe chez l'
homme
normalement constitué. Qui plus est, il résul
cation, son langage ne peut se comparer comme richesse à celui d'un
homme
bien constitué. Son intelligence lutte contre la
images verbales. Ceci a donné lieu à la formation de divers types d'
hommes
suivant leur langage intérieur-1. Les types a
aux. (Magnan, loc. cit., p. 80, 81. Sérieux, thèse Paris, 1888.) Un
homme
agénésique croira aux sorciers noueurs d'aiguil
nts. (Renseignements fournis par sa mère.) Père, quarante-sept ans,
homme
de peine, assez calme d'ordinaire, fait des exc
de patience, oubliant qu'infirmiers et infirmières ne sont que des
hommes
et des femmes, et pas des anges) ; conservation d
e du Michigan, de 1878 à 1895. Sur ce nombre, 86 p. 100 étaient des
hommes
. Dans 42 cas pour 100, la syphilis était l'uniq
forme clinique quel- conque d'aliénation mentale. La pensée de cet
homme
se présen- tait avec une logique suivie où il n
ns soudaine avec impulsion à l'homicide. Dans le cas classique, « l'
homme
amok » quitte la maison, court dans les rues, e
ée par un sommeil profond et prolongé. Dans presque tous les cas, l'
homme
amok est sous le coup de chagrins et de soucis.
: mais l'épilepsie est très rare dans ces régions, et, de plus, les
hommes
seuls sont, en général, atteints d'amok. D'au
L'auteur résume son opinion sous la forme suivante : il croit que l'
homme
est en moyenne moins exposé à la folie actuelleme
non moins juste titre, en faire un cas de manie traumatique chez uu
homme
prédisposé aux troubles mentaux par l'action toxi
M. C. XXXIII. Etats mentaux associés DES lésions viscérales chez l'
homme
sain; par Henry HEAD. (Tfec Jourlaal of Mental
ience, octobre 1896.) Le sujet de cette curieuse observation est un
homme
de cin- quante-quatre ans, qui, durant les tren
mplement : les juristes ont en effet à provoquer les exper- tises d'
hommes
compétents lorsqu'ils ont des doutes sur l'état
possède une valeur décisive. M. Ganser. Présentation de malade. -
Homme
de 57 ans, sans tares héréditaires, sans antécé
M. BOEÜÙtERT. -La société a jusqu'ici considéré le buveur comme un
homme
normal et l'a puni comme tel. Maintenant on tend
es tumeurs, thèse, Bonn, 1896.) Dans le deuxième cas il s'agit d'un
homme
de trente-un ans chez lequel une tumeur grosse
e criminels, tout comme il refuserait d'appliquer à la science de l'
homme
en général la dénomination d'anthropolo- gie si
s la dixième année de son tabes confirmé ; c'est ce que constata un
homme
tabétique et probablement alcoolique vers la tr
notre observation au cours d'un tabès à symptômes évidents, chez un
homme
âgé de quarante-deux ans, malade depuis trois a
nt ce prolongement sur tout son parcours. Ainsi, les nerveux chez l'
homme
et chez les vertébrés, trad. par le D' L. Azoulay
, qui a fait une étude spéciale de ces cellules, sur des embryons d'
hommes
et d'autres mammifères, il s'agit de cellules n
diats ou éloignés (atavisme, talent héréditaire). « Ainsi, chez les
hommes
dont le talent, comme chez Gambetta, a coïncidé
t peut-être dans des lobes distincts d'un même hémisphère. Chez l'
homme
et les grands mammifères, où la quantité de subst
s arrivent en quelques points presque au contact, tandis que chez l'
homme
ils sont le plus éloignés les uns des autres. V
ux points sont : 1° l'ac- croissement intellectuel considérable des
hommes
qui se livrent sans relâche aux travaux de l'es
t; 2° l'existence de cerveaux de volume moyen ou inférieur chez des
hommes
d'un léel talent, voire chez des hommes de géni
moyen ou inférieur chez des hommes d'un léel talent, voire chez des
hommes
de génie. Quant au premier point, il faut admet
ules et des prolongements de ces cellules, cela n'est exact, chez l'
homme
, suivant Weigert, que pour la période embryonna
nt pour les surfaces internes et externes du sys- tème nerveux de l'
homme
adulte, telles qu'elles existent présente- ment
igence de ce qui va suivre que, selon la jurisprudence anglaise, un
homme
est réputé responsable et par conséquent punissab
and même du crime l'idée de la a pos- session >. Naturellement l'
homme
qui était « possédé » ne se pos- sedait plus lu
par conséquent plus libre d'agir ou de ne pas agir. Soutenir qu'un
homme
dont la volonté est sur- montée par une force s
rce supérieure est responsable, est aussi absurde que de dire qu'un
homme
en état de crise convulsive est, puisqu'il a to
il n'est autre que l'observation du processus psychologique chez l'
homme
sain d'es- prit. Est-il rien de plus absurde en
st-il rien de plus absurde en pareille matière que de conclure de l'
homme
sain à l'homme aliéné ? Voilà pour l'observation
lus absurde en pareille matière que de conclure de l'homme sain à l'
homme
aliéné ? Voilà pour l'observation inexacte : ps
xclusion de la sensa- tion, qui dirige les actes humains : ainsi un
homme
se mettra à aimer une femme sous l'impulsion de
ue vient l'impulsion maîtresse, la force de projection qui pousse l'
homme
vers un acte ; et la psychologie singulière qui
n la cause déterminante de l'action, ressemble au raisonnement d'un
homme
qui chercherait la force de propulsion 314 REVU
à lui faire signifier ce qu'il ne signifie pas, et à dire que si un
homme
ne peut pas gouverner ses actes, il ne sait pas
questions de mécanique, d'électricité ou de navigation, appeler un
homme
compétent et faire appel à ses lumières. Ce n
ès ce qu'on aurait dû faire avant, on fait examiner l'accusé par un
homme
compétent, et tranquillement, sans bruit, on défa
s REMARQUES SUR LE TRACTUS SENSORIEL DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE DE l'
homme
; par Pearce Bailey. (New-York Médical Journal, 9
n bâtiment en bois, à un seul étage, avec deux ailes l'une pour les
hommes
, l'autre pour les femmes. Les fenêtres ont, au
s, elle fait un pressant et chaleureux appel à la collaboration des
hommes
qui ont à coeur les progrès de la médecine judi
ce que la quantité d'images visuelles est plus considérable chez l'
homme
que chez les animaux. 346 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
LES CENTRES d'association DE Flechsig dans LE cerveau terminal DE l'
homme
; par A. VAN GEHUCHTEN. (Journal de Neurologie
lectuelle et morale ; aussi leur développement, très inégal chez l'
homme
et chez les différents mammifères varie-t-il enco
sa guérison est possible, mais très lente. Il en est de même chez l'
homme
où la paralysie est très persistante. L'auteu
tres moteurs s'accorde avec les faits cliniques. On sait que chez l'
homme
tous les mouvements ne sont pas abolis au même
que jouent les centres supérieurs et les centres inférieurs chez l'
homme
aussi bien que chez les animaux. Evidemment les
ment les centres corticaux sont relativement plus importants chez l'
homme
; mais prétendre que, même chez l'homme ils ne p
ement plus importants chez l'homme; mais prétendre que, même chez l'
homme
ils ne peuvent pas être remplacés dans une cert
médecine clinique. Tout se résout par une question de degré pour l'
homme
comme pour les animaux inférieurs, et c'est ce
des. P. RELLAY. XLIII. ORIGINE DES caractères différentiels ENTRE l'
homme
ET la femme; par Sylvio Venturi. (Il Alanicomio
a plus puissante vient par la branche mater- nelle. B). Ce sont les
hommes
qui ont le plus de frères aliénés et les femmes
urnal of Mental Science, avril 1896.1 Cette observation concerne un
homme
de trente ans, qui en pleine rue de Chicago tir
e arme. Son père était aliéné; lui-même, débauché, croit-on, par un
homme
qui occcupait la même chambre que lui, commence
la paralysie générale est aussi fréquente chez la femme que chez l'
homme
: 20 hommes et 21 femmes. 2° Le début de la mal
ie générale est aussi fréquente chez la femme que chez l'homme : 20
hommes
et 21 femmes. 2° Le début de la maladie s'est f
ds du cerveaua varié de 720 grammes (femme de dix-neuf ans) à 1185 (
homme
de vingt ans). Alzheimer insiste sur les lésion
a neuras- thénie se montrer, entre trente et cinquante'ans, chez un
homme
jusque-là normal et non névropathe. L'âge est u
paralysie générale. Il y a trois ans, se trouvait à la Clinique un
homme
pré- sentant de la façon la plus nette l'aspect
RGER (Ilerzberge) présente des préparations de moelle épinière de l'
homme
, durcie d'après le procédé de Orth. Ce procédé
la catatonie : 1° les rémis- sions sont fréquentes, surtout chez l'
homme
; leur durée peut être de plusieurs années, mêm
de la papille. I. Le premier cas observé par M. Thoma estceiui d'un
homme
âgé de cinquante-deux ans, qui, quatre mois ava
(Biernacki) chez les aliénés. L'auteur a examiné 30 paralytiques
hommes
, de l'asile de Stephansfeld, au point de vue du
ytiques, la pro- portio était de 70 p. 100 ; la proportion pour les
hommes
est de 73,7 p. 100 et, pour les femmes, de 43,7
0 et, pour les femmes, de 43,7. Les trois quarts des para- lytiques
hommes
: et la moitié environ des paralytiques femmes
ues femmes présentent donc le signe de Biernacki. Sur 100 aliénés
hommes
, non paralytiques et non épilepliques, l'auteur
s analgésiques égale à celle des paralytiques. Sur les épileptiques
hommes
de Stephansfeld, 86,9 p. 100 réagissaient à la
ysie alternante. M. KOll : o ! ILOFF. Myosite multiple primaire. Un
homme
de trente et un ans fut atteint d'une néphrite
logique. Donner la direction des établissements hospitaliers à des
hommes
qui ne connaissent ni les maladies, ni l'hygiène
rie Flscher's, P.111,11.IS (B.). - Étude sur la périodicité citez l'
homme
sain et malade : loi de périodicité biologique
s quelques résultats utiles en clinique. Tous mes malades étant des
hommes
, c'est à la paralysie 438 PATHOLOGIE MENTALE.
PSON. (New-York médical Journal , 29 mars 1896.) . Il s'agit d'un
homme
de soixante-douze ans, comptable, parlant plusi
ficacité du traitement ioduré L'observation peut se résumer ainsi :
homme
de trente-neuf ans, célibataire, professeur de
a manqué 43 fois, soit à peu près dans 16 p. 100 des cas. Sur 157
hommes
du même groupe, il manqué 65 fois, soit à peu prè
qué chez 6 femmes sur 45 (soit dans 13 p. 100 des cas) et chez 11
hommes
sur 55 (soit dans 20 p. 100 des cas). Ces chiffre
ons d'économie. Elle est plus générale chez les femmes que chez les
hommes
(de tous les cas 73 p. 100 chez les femmes et 2
es (de tous les cas 73 p. 100 chez les femmes et 27 p. 100 chez les
hommes
). Le fait qu'un grand nombre d'hommes de certai
femmes et 27 p. 100 chez les hommes). Le fait qu'un grand nombre d'
hommes
de certaines parties du pays a émigré en Amériq
465 que le célibat prédispose à la neurasthénie au moins chez les
hommes
. Des mouvements, ne pouvant manquer d'influencer
e la neurasthé- nie est plus fréquente chez les femmes que chez les
hommes
porte aussi à y croire. La plupart des médecins
des déformations osseuses et de certaines manifestations nerveuses.
Homme
de cin- quante-huit ans, lithographe, ne présen
docteur Herrick. L'auteur rapporte l'intéressante observation d'un
homme
qui, à la suite d'une chute sur le dos, perdit
la partie supérieure de la moelle dorsale. Deuxième observation :
homme
de vingt-huit ans, pas d'héré- dité. Opéré pend
nne rayonnante. Nouvelles communications sur la - du cerveau de l'
homme
, par Fluchsig. 131. Crâne. Plaie pénétrante d
ar van Gehuc))t3n, 353. Racines postérieures. Trajet des - chez l'
homme
, par Marguliès, 136. Réflexe. Rôle psychologi
Mingazzil1l, 58. Sexuelles. Perversion et déprava- tion - chez l'
homme
, par Des- champs, 148. Questions médico- léga
ouche2 en a cité un cas, et M. Gillet' a rapporté l'histoire d'un
homme
qui succomba rapidement après avoir présenté du
rap., mai, É884). 4 CLINIQUE NERVEUSE. Behr rapporte le fait d'un
homme
qui, atteint d'o- reillons le 25 décembre, ne s
t observations, quatre concernent des femmes, les quatre autres des
hommes
. Mais ce qui mérite d'être mis tout spécialemen
cun doute pour les médecins qui la soignaient. . De même, chez un
homme
de cinquante et un ans, que nous observons actu
observation d'un cas d'absence congénitale du corps calleux chez un
homme
qui jouissait pendant sa vie de l'intégrité des
on histoire : Le père est mort d'un cancer de la langue. C'était un
homme
'il ! (; I)L 1 ? \I'IS. sensé, instruit, para
la mère et ne présentaient dans leur costume ni les attributs de l'
homme
, ni celui de la femme. 48 recueil DE faits. G
udrait des quantités considérables d'acétone pour produire chez l'
homme
une intoxication et le coma, d'autant plus qu'il
venons de décrire s'observent aussi bien chez la femme que chez l'
homme
. Au point de vue symptomatique, le sexe ne parait
moins souvent des accidents acétonémiques chez la femme que chez l'
homme
. Pour nous, nos observations nous donnent une f
par Th. RuMpF. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Observation relative à un
homme
de cinquante-huit ans. Ataxie- locomotrice type
ésordre dans les idées ; apa- thie. L'Observation II est celle d'un
homme
de quarante- quatre ans, modéré dans son genre
(26 f. h.); les auteurs ne relatent que dix ob- servations, dont un
homme
. D'après eux, dans la plupart des cas d'hystéri
Irresponsabilité ; par J. FRITSCH. (Jakrbüch. f. Psych., V, 1-2.)
Homme
de trente-trois ans, adonné à la boisson depuis
rement spéculative de physiologie d'après laquelle le cerveau met l'
homme
en communication avec le monde extérieur; il en
et ses quatre nouveaux pavillons pour quatorze malades : égalité d'
hommes
et de femmes '. Ces constructions ont pour but
utre représente un salon de conversation avec billards (section des
hommes
) et boudoir (section des femmes). Réfectoire et s
ce qui concerne la nature des crimes, au 31 décembre 1881, sur 379
hommes
il y avait 149 meurtriers; sur 123 femmes, 78 a
aissait la cause de la maladie chez 64 individus (34 h. 10 f.) : 13
hommes
étaient alcooliques; 7 hommes et 3 femmes repré
chez 64 individus (34 h. 10 f.) : 13 hommes étaient alcooliques; 7
hommes
et 3 femmes représentaient t des héréditaires.
ons; l'aorte, à son origine, était athéromateuse. Observation Il.
Homme
de vingt-sept ans, sobre, actif, ayant des alié
ssion, de même que, dans l'asymétrie des hémisphères cérébraux de l'
homme
, le renflement du nerf ol- faclif ne parvient p
au de la calotte, dont le commencement avait du reste été vu chez l'
homme
parVicq d'Azyr, s'appelleraitfaisceaudeGudden Q
comporte que difficilement des inductions certaines à l'actif de l'
homme
, la chorée de M. Chauveau ne représente pas pré
l'échelle zoologique, quand on compare leur encéphale à celui de l'
homme
. Ces faits prouvent que c'est non pas la substanc
postérieures pratiquées à travers le cerveau du chevreuil et de l'
homme
, le trajet des irradiations du système des fibres
n'en pas douter, sur des coupes verticales et transversales. Chez l'
homme
, la preuve objective en est très dif- ficile à
57 pages, avec 229 figures et 3 planches. L'histoire naturelle de l'
homme
, délaissée hier encore par les naturalistes et
d'une oeuvre lyrique. Ce n'est pas le roman, c'est l'histoire de l'
homme
. « J'ai pensé, dit l'auteur, que la science de
istoire de l'homme. « J'ai pensé, dit l'auteur, que la science de l'
homme
devait rompre avec certaines croyances, envisag
herche rapide. Toutes les questions qui intéressent l'histoire de l'
homme
sont soulevées dans cet ouvrage; assurément, to
nnoncées), par suite du retard apporté à l'ouverture du service des
hommes
de l'asile de Villejuif. Le sujet était, pour l
e. Il n'a jamais eu ni rhumatisme, ni maladie diathésique. C'est un
homme
forte- ment charpenté, bien proportionné, à dév
- ment qu'il compare au mouvement du balancier d'une pendule. Cet
homme
mange aujourd'hui régulièrement, aussi l'état p
ns, la santé physique et mentale de B... ne s'est pas démentie; cet
homme
a repris absolument son équilibre intellectuel,
ivement à une émotion morale assez vive, mais peu profonde, chez un
homme
adulte, sans pré- disposition acquise, et sur l
ocuments que sur les 33 cas résumés dans nos tableaux, il y a vingt
hommes
et treize femmes, que l'hérédité névropathique
fois (Il' -91). Quant à nos 3 cas personnels, ils concernent des
hommes
et voici ce que nous avons relevé au point de v
d'une demi-décussation des fibres nerveuses dans le chiasma chez l'
homme
a été prouvé par les recherches de vou Gudden.
(tubercules quadri- jumeaux postérieurs) sont intimes, mais chez l'
homme
, il est probable qu'elles servent plutôt à des
9. Les lésions des lobes optiques ont été rarement observées chez l'
homme
et lorsqu'on les a rencontrées, elles ont été b
ion au problème de la localisation du centre visuel cortical chez l'
homme
. Pour abréger, j'ai réuni les observations sous
e dans son trajet vers le coin (fig. 1). ). Observation 28. (Haab).
Homme
de soixante-huit ans. En février 1878 pendant q
concordent entièrement avec quelques unes de nos observations sur l'
homme
. De ses dernières recherches pathologiques von
vantes, relativement au trajet des fibres optiques centrales chez l'
homme
: « Les fibres optiques réunies forment dans la
tions sous-jacentes cons- tiluant le centre v isuel cortical chez l'
homme
. - Les lignes grasses ou ombrées repré- sentent
ptique, un rôle bien plus saillant que chez le second et que chez l'
homme
; chez le lapin et l'homme, le corps genouillé
aillant que chez le second et que chez l'homme ; chez le lapin et l'
homme
, le corps genouillé externe et le pulvinar gagnen
i la majorité des « observations de cet ordre doit être faite sur l'
homme
, et l'on ne « doit avoir recours aux animaux qu
ement, les observations « sur ce point ne peuvent être faites sur l'
homme
avec toute la « précision désirable, mais les a
on « monte dans l'échelle animale et atteint son maximum chez « l'
homme
. L'intensité de cette conscience et la qualité de
de conscience chez les ani- maux et leur destinée ultérieure chez l'
homme
; nous en repro- duisons les dernières lignes :
part, que parmi tous les « animaux que nous appelons supérieurs, l'
homme
a pu se déve- « lopper d'une façon tellement su
le cercle d'un au- « tomatisme plus ou moins complet, cercle que l'
homme
seul a pu « briser et agrandir. Et il l'a si bi
sur les lois des mouvements. De là l'analyse des mouvements chez l'
homme
vivant a été nommée phorolyse. Deux espèces de
nir une articulation dans l'immobilité pendant plusieurs minutes; l'
homme
ne peut en faire autant. Si, en faisant abstr
mais au point de départ, il se trouve plus haut ou plus bas. Chez l'
homme
, la fatigue musculaire survient plus rapidement
musculaire, comme nous le verrons plus loin. L'immobilité, chez l'
homme
, peut difficilement être aussi abso- lue que ce
et au moment de l'expé- ience. A côté de la courbe régulière de l'
homme
apathique, je place des courbes d'une irrégular
de suite que la courbe de ce sujet ne diffère en rien de celle d'un
homme
normal dont les muscles sont fatigués. La courb
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 247 de ces courbes se trouve celle d'un
homme
normal z) qui a beau- coup d'analogue avec cell
qu'un sujet agité nous donnera une courbe différente de celle d'un
homme
tranquille et phlegmatique.- Si l'agitation est
'ai eu l'occasion de voir un exemple frap- pant en 1884. C'était un
homme
de cinquante ans environ, chez lequel on avait
simulé faite par moi. Pour terminer, j'ai pris aussi la courbe d'un
homme
normal (PI. III, 1 4) et PI. lit 15, celle d'un
P1N1$DE DE L'HOnIME; par KIRC11ROFr A7·C)b. f. Psych., XV, 3). Un
homme
de trente ans fait une chute de cheval sur les fe
rétraction à des impressions cérébrales faibles, de même que chez l'
homme
sain, mais alors la diminution de volume subit
G. Rossolymmo (Arch. f. PSJCh., XV, 3). Observation concernant un
homme
de quarante et un ans. La face présente à droit
observe chez les animaux et chez les végétaux aussi bien que chez l'
homme
. C'est se placera un point de vue trop étroit que
nt il aurait pu guérir; d'ailleurs, abstraction faite de l'âge, cet
homme
, à première vue, aurait plutôt l'air d'un délir
quilles; une partie contient la salle d'examens : B est réservé aux
hommes
, C aux femmes; entre eux est située la pharmaci
ds ; ils sont attribués aux agités et aux gâteux; l'un est pour les
hommes
, l'autre pour les femmes; entre eux, est la cha
'apprécier avec le soin et la compé- tence voulus. Observation I.
Homme
de quarante-quatre ans, père de trois enfants b
plus spécialement (recherches de Munk et f;oltz). Observation II.
Homme
de vingt-sept ans, célibataire. Héré- dité pate
accès convulsifs. Humeur variable ; par instants on a affaire à un
homme
insupportable et inutilisable qui, de temps à a
s, il existe des conduits souter- rains où l'on tue constamment des
hommes
. Confusion du temps, des lieux, des personnes q
servés et analysés en commun avec SrÛlILI.N(;IeR. Il s'agit de deux
hommes
et de deux femmes, parmi lesquels un malade de
provisoire sur un cas de paralysie saturnine avec atrophie, chez un
homme
de vingt-six ans, ayant souflert aupa- ravant p
n a été tout à fait transformé en une station ouverte de 31 malades
hommes
. Entre ces deux corps de logis, qui sont à dix
é)- un pavillon pour 32 femmes (section fermée) un pavillon pour 32
hommes
(section fermée) avec obitoire. On a en novembr
s (2,108,491 fr.). Nombre des présences au début de 1882 = 232; 109
hommes
; 123 femmes. On se mit ensuite à réorganiser l
femmes agitées. Cette année, on agrandira et on remaniera celui des
hommes
agités, puis on complétera la conduite d'eau in
ensemble des transformations de cette section, comme dans celle des
hommes
, a été terminée encinq divisions. Ce sont : l'agr
. 329 VARIA. marks (p6r,696 fr.); ils sont destinés chacun à cent
hommes
et cent femmes. Leur long côté, parallèle à l'a
existent les deux nouveaux bâtiments cellulaires contenant l'un 20
hommes
, l'autre 20 femmes; la construction a coûté 115
e recevoir des criminels aliénés dans deux cellules du quartier des
hommes
; 6° les derniers bâtiments sont en voie d'exécu
ine, on a ouvert un nouveau réfectoire gaîment décoré, destiné-à 73
hommes
choisis de préférence dans les sections d'agité
Malheureusement le local est trop restreint pour que la moitié des
hommes
puisse y être admis. On projette une semblable
rtier d'infirmes. L'addition ou l'agrandisse- ment de 6 divisions d'
hommes
et de femmes, permit, de concert avec l'install
ion à 243 (1" août 1884); 203 occupent la section des aliénés, 2s !
hommes
travaillent à la colonie, 18 sont des infirmes. L
en dehors VARIA. 331 de l'établissement, on gagnait six places d'
hommes
. Il y a trois ans, on ajoutait I hectare de ter
là la colonie agricole, avec ses deux pavillons contenant chacun 20
hommes
et avecsa bou- iangene : autonome depuis deux a
ain qui ont été trans- formés en parc. Dans le pavillon destiné aux
hommes
pension- naires de lr0 et 2" classe, un sous-so
piscine dont on peut, à volonté, réchauffer l'eau. Le pavillon des
hommes
et des dames de 1 « et 2" possède au rez-de-cha
érysipèle souvent graves. On a pu oc- cuper au travail agricole 139
hommes
. Le capital de la fondation Julius et dela cais
Clirtical Societg's Tiansac- Berjon (A). La grande hystérie chez l'
homme
. Phénomènes 1s d"inhibition et de dynamogénie,
chon d'Inde ou au saturnisme chronique. Elle se montre aussi chez l'
homme
, et M. Gombault a pu l'observer chez des sujets
cette explication, ils sortent de ce point de vue ; puisque chez l'
homme
sain, l'irritation provoquée par la volonté peu
e impor- tante si nous comparons son système nerveux à celui de l'
homme
. Si nous enlevons une partie de l'écorce grise
égénération dans les parties lésées. ^Ce n'est pas ' ainsi chez l'
homme
(d'après Ferrier, le singe en fait aussi excep-
a funeste contracture s'installera. Presque toutes les actions de l'
homme
dépendent de l'écorce grise de son cerveau, et
un réflexe spinal (ou sub- cortical) en alléguant pour raison que l'
homme
ne fait pas attention à chaque pas aux petits m
it, comme dans l'enclos de l'église Sainte-Marguerite, fusiller des
hommes
; elle faisait le geste de tirer un coup de fusi
regardées comme atteintes d'épilepsie essentielle, et deux sur des
hommes
qui avaient présenté des crises épileptiformes
lze Journal of Mental Science, avril 1884.) Le cas est celui d'un
homme
de quarante-huit ans qui avait reçu quelques an
VUE DE PATHOLOGIE MENTALE XI. Un cas DE perversion sexuelle chez un
homme
; par G.-H. ; SAVAGE. (The Journal o/'J7Mht<
; Science, octobre 1884.) ' L'observation peut se résumer ainsi :
Homme
de vingt-huit ans : père violent et excitable, un
renoncé pour ne pa; aller dans le monde, ou il rencontrait d'autres
hommes
. Il se masturbe depuis l'âge de onze ans : il n
embrasser; celui-ci l'a menacé de le congédier. Eu Amérique, où les
hommes
sont de taille moyenne, il ne souffrait pas tro
en est pas de même en Angle- terre, où il rencontre fréquemment des
hommes
de haute taille, en présence desquels il a des
OD. (The Journal of Mental Science. Octobre 1881). Il s'agit d'un
homme
de trente-huit ans, chez lequel, pendant toute
ète; par H. RAYNER. (The Journal of mental Science. Octobre t8SH.
Homme
de vingt-six ans, voyageur de commerce, bien cons
aisément accessibles, d'organiser dans chaque asile une escouade d'
hommes
pour le service des incendies, d'exercer ces ho
ne escouade d'hommes pour le service des incendies, d'exercer ces
hommes
et de vérifier l'état du matériel au moins une fo
t relatée. L'auteur lui-même est d'avis qu'il ne faut voir chez cet
homme
, entre la folie et la maladie d'Addison, d'autr
mina sur le champ, constata qu'il ne présentait pas l'aspect d'un
homme
ivre, mais qu'il paraissait égaré, et exprima l'a
-K. Strahan. (The journal of Dlental Science, juillet 1884.) . Un
homme
de cinquante-trois ans, atteint de manie chroniqu
de deux images. Or, examinons un raisonnement en forme : tous les
hommes
sont mortels; Socrate est homme; donc .Socrate
n raisonnement en forme : tous les hommes sont mortels; Socrate est
homme
; donc .Socrate est mortel. Ce ne sont que des p
é n'est pas celui indiqué plus haut, c'est - celui-ci : Socrate est
homme
; les hommes sont mortels; Socrate est mortel. L
celui indiqué plus haut, c'est - celui-ci : Socrate est homme; les
hommes
sont mortels; Socrate est mortel. L'image Socra
rate est mortel. L'image Socrate par ressemblance suscite l'image
homme
; celle-ci suscite l'image mort par contiguité; l'
ments relatifs à ce sujet, et conclut que cette régénération chez l'
homme
est tout à fait exceptionnelle, si tant est qu'
eau (1 vol. in-8°. Paris, d813); Essai de physiologie, la bête et l'
homme
I vol. in-8°. Paris, 1877), etc. Le Dr Jules Dé
ANOAILLE de LtcutSE. Tarassis, Troubles de l'Ame et du corps chez l'
homme
dans les temps modernes et dans l'histoire. Broch
les images de nos plus secrètes agitations. » (Buffon, Histoire de l'
homme
.) L'âme est donc la source de l'expression; c'e
tion sur (es variétés naturelles qui caractérisent la physionomie des
hommes
des divers climats et des différents âges, Camper
absolue, dit-il, c'est la cinquième paire qui agit.... » Lorsqu'un
homme
est joyeux, les seules parties qui entrent en act
ction propre de ces muscles et sur la ma* (I) Larl de connaître les
hommes
parla physionomie! par Gaspard Lavater, 4e édit.,
e de Lavatcr, édité Tannée précédente à Paris. Un livre écrit par l'
homme
dont les investigations expérimentales devaient,
érale de la face. Les vivisections, fussent-elles praticables sur l'
homme
, no pourraient certes aider à résoudre le problèm
un plus ou moins grand nombre de muscles. La nature n'a pas donné à l'
homme
le pouvoir de localiser l'action du fluide nerveu
s, on pourrait, comme la nature elle-même, peindre sur le visage de l'
homme
les lignes expressives des émotions de l'âme. Que
'ai voulu reproduire d'une manière complète une des expressions que l'
homme
a la faculté de peindre sur sa face. Les expres
même les plus fugaces, fussent écrits passagèrement sur la face de l'
homme
Ce langage de la physionomie une fois créé, il lu
e objection, j'ai choisi, pour sujet principal de mes expériences, un
homme
chez lequel la sensibilité de la face était peu d
, que s'écrivent avec la plus grande facilité sur la physionomie de l'
homme
, — et cela seulement par la contraction partielle
tation, qui est la mère des grandes conceptions, qui, chez certains
hommes
, est, pour ainsi dire, la passion dominante. Je
électro-physique sont déjà assez nombreuses. Il n'est pas donné à l'
homme
d'exprimer toutes ses passions sur sa physionomie
a reproduction de celles (pie l'unie elle-même peint sur la face de l'
homme
. Un jour peut-être ces études électro-physiologiq
e partie de la psychologie qui traite des différentes manières dont l'
homme
manifeste ses émotions par les mouvements de sa f
physionomie en mouvement me semblent des facultés inséparables que l'
homme
doit posséder en naissant. L'éducation et la civi
n mouvement donné de l'âme. Cette loi est tellement rigoureuse, que l'
homme
a été privé du pouvoir de la changer et même de l
gage de la physionomie aurait eu le sort du langage parlé, créé par l'
homme
: chaque contrée, chaque province, aurait eu sa m
s. Cependant il me sera facile de démontrer qu'il n'est pas donné à l'
homme
de simuler ou de peindre sur sa face certaines ém
leurs bonnes ou de leurs mauvaises passions. En admettant même qu'un
homme
bon pût naître avec une figure méchante, cette es
t-il jamais disséqué que des singes. Et il a conclu de cet animal à l'
homme
! De telles connaissances ne pouvaient évidemme
issances ne pouvaient évidemment pas servir à l'étude des formes de l'
homme
: conséquemment elles n'étaient pas applicables à
e, la science du modelé vivant, née seulement de l'observation de l'
homme
en mouvement, était elle-même une véritable élude
peindre exactement ces passions diverses, il lui suffit d'observer l'
homme
agité par elles dans les conditions normales de l
nomie en mouvement. J'ai constaté cependant avec admiration que ces
hommes
de génie ont, en général, merveilleusement senti
x expériences électro-physiologiques que j'ai faites sur la face de l'
homme
. Un écrivain spirituel, Tôpffer, a démontré d'u
la principale fonction est de peindre nos passions. /|.° Enfin, cet
homme
présentait une condition très favorable que je n'
ignes verticales intersourcilières sont bien rendues sur la face d'un
homme
jeune que j'ai photographié (voyez la fig. 15) au
fins et spirituels. A voir cet air si réfléchi, on accorderait à cet
homme
une grande intelligence. Tel est l'effet magiqu
ouvrant et en découvrant alternativement l'œil de ce côté. — Chez cet
homme
, l'expression habituelle de la bouche est bonne (
ment moins douloureuse. J'ai fait contracter les deux sourcils de l'
homme
âgé représenté dans la figure 20, alors que sa ph
on d'une douleur profonde. On sent, à la vue de cette figure, que cet
homme
est très malheureux. Son cœur est-il ulcéré ? est
idées ou des désirs lascifs. Fig. /|0. — Portrait, vu de profil, d'un
homme
âge de quarante-deux ans, abruti par l'abus des b
ression, dis-je, offre un mélange de mécontentement et de mépris. L'
homme
qui est représenté dans cette dernière figure éta
nous montre la gaieté lubrique sous son aspect le plus grossier. Cet
homme
, avant que ses traits fussent affaissés par l'opi
42 prouve que le muscle de la lubricité était très développé chez cet
homme
. C'est ce qui m'a permis de rappeler sur sa face
st restée intacte. Tout récemment encore, je donnais des soins à un
homme
d'une grande intelligence, fondateur et directeur
essions du pleurer provoquent souvent le rire, tant elles donnent à l'
homme
un air niais et ridicule. Cependant on ne saura
uleur aiguë et profonde qui lui arrache des larmes. C'est ainsi que l'
homme
pleure l'élre aimé qu'il a perdu : une mère, un e
ation. L'impression y est plus forte et l'ébranlement plus grand. Cet
homme
contemple une chose avec la plus grande surprise
dont il se croit menacé. A la vue de la figure 60, on sent que cet
homme
éprouve le frisson de la peur : ses muscles cutan
r pannicule, qui est l'analogue des muscles cutanés précédents de l'
homme
, hérisse les poils sous l'influence de la frayeur
n présence des figures 61, 62, 63, le doute n'est plus possible : cet
homme
est glacé par l'effroi, frappé de stupeur; sa fac
et cloué au sol montre seulement d'où vient le danger qui menace cet
homme
. Il est prouvé par les figures 0/t et 05 que la
t d'une conjuration, l'expression d'attention, de curiosité, chez cet
homme
qui regarde ou écoute autour de lui, tout en ayan
ce rival jaloux le fait écorcher tout vif (1). Mais le cœur de cet
homme
, au visage commun et grossier, au front déprimé,
e comprend pas que, dans cet état d'asphyxie et voisin de la mort, un
homme
puisse lutter encore avec les serpents et se main
a plus grande douleur dont elle » soit susceptible, sous l'image d'un
homme
qui rassemble » contre elle toute la force de l'â
its laids et vulgaires. Un pareil choix devait paraître étrange à des
hommes
de goût. Des artistes et des amateurs éminents, c
par des passions diverses. Je pouvais opter, il est vrai, entre cet
homme
et la face du cadavre que j'avais souvent l'occas
luence de l'excitation aux plaisirs de l'amour. Ce sont des figures d'
hommes
(voyez les fig. 39, /1,2, partie scientifique) do
hre 1862) : « Si tel devait être le résultat de mes recherches, les
hommes
de goût, qui suivent les traditions de l'art, aur
l du nez, j'ai trouvé ce muscle si faible ou si peu développé chez un
homme
jeune (voyez son portrait, fig. h), que j'ai pu à
Ce signe de la méchanceté se reconnaît aussi sur la physionomie des
hommes
qui instinctivement font le mal pour le mal, qu'i
nt Duranti, dont la noble physionomie reste calme. Les cheveux de cet
homme
sont roux ; ses traits grossiers et durs inspiren
est donc incontestable que mécaniquement le modelé du front de cet
homme
ne peut coexister avec le mouvement imprimé à son
s. Ainsi l'honneur offensé excite la colère et demande vengeance; l'
homme
s'arme pour la liberté et contre ses oppresseurs.
r la liberté et contre ses oppresseurs. Dans toutes ces conditions, l'
homme
peut devenir agressif; l'expression s'en traduit
che, dans un lieu désert, hérissé de rochers, éclairé par la lune, un
homme
, un poignard à la main, vêtu d'une tunique et d'u
nt dissimuler ou feindre les lignes expressives à l'aide desquelles l'
homme
peut distinguer ses amis de ses ennemis. IV.
IV. « Il me sera facile de démontrer qu'il n'est pas donné à » l'
homme
de simuler sur sa face certaines émotions, et que
ement, dans les hôpitaux ou dans les cliniques particulières, par des
hommes
ayant donné des gages d'un savoir et d'une morali
le fait des manœuvres hypnotiques, une attaque si profonde, que tout
homme
qui a le moindre souci de sa dignité, que tout ho
ofonde, que tout homme qui a le moindre souci de sa dignité, que tout
homme
qui se sent une part de responsabilité morale, do
anière de défendre la liberté, c'est de s'opposer aux entreprises des
hommes
coupables qui n'hésitent pas à se faire un jeu, u
mètres à l'heure; celle qui n'eût pas voulu croire que la pensée de l'
homme
pût être jetée, en une seconde, sous une forme ta
os jugements ? Vraiment, la raison s'irrite d'avoir à convaincre un
homme
de ce temps, un travailleur de la pensée, que la
ssi remarquer que M. Bernheim a démontré qu'on pouvait hypnotiser des
hommes
sains aussi bien que des hystériques. VARIÉTÉS
rêts, par contraste avec l'écœurante constatation de la duplicité des
hommes
, la contemplation de sa bonne foi naïve est un re
ne légale ; VII. Action à distance (divisé en : Action a distance des
hommes
. Action à distance des médicaments): VIII. Mesmér
e suggestion criminelle : en effet, tout ce qui étend les prises de l'
homme
de science sur le somnambule, tout ce qui recule
res états hypnotiques ? Si le délire lui-même donnait au médecin, à l'
homme
de l'art, le moyen de faire cesser le délire et d
ce titre qu'ils simuleraient de faux miracles, destinés à tromper les
hommes
. On a de tout temps objecté à l'Eglise que croi
ie, ces mêmes instruments ne seraient pas aptes à produire chez l'
homme
, du moins chez certains sujets névrosiques, prédi
je l'ai fait chercher. » C'est pourquoi je me permets de prier les
hommes
de lettres, les directeur» de grandes bibliothèqu
ymptômes les plus tenaces tt les plus redoutables de la folie. Chez l'
homme
sain, l'homme instruit surtout, elle est sans con
lus tenaces tt les plus redoutables de la folie. Chez l'homme sain, l'
homme
instruit surtout, elle est sans conséquence nuisi
hyttérie est d'autant plus difficile à trouver que, par extension à l'
homme
, on a donné ce nom à une foule de névroses dont '
it traitement, est un état de plaisir extrême que ressentent certains
hommes
, c'est une extase, un état extatique de plaisir q
ndant son sommeil, s'écria : « Non, non, ce n'est pas possible, si un
homme
avait eu une balle dans la tête, il serait mon. —
es incertaines, contradictoires, qui seront jugées sévèrement par les
hommes
réfléchis; c'est sur cet échafaudage qu'ont été b
Depaike Discussion sur l'hypnotisme 'Suite). M. Crocq. — Tous les
hommes
sont-ils sensibles à l'hypnotisme? Je suis de l'a
s mouraient jeunes. Des moeurs licencieuses les caractérisaient tous,
hommes
et femmes. 11 en résultait une dégénérescence int
lles que soient leur taille ou la rapidité de leur croissance, un
homme
intelligent, M. A. Féret, a eu l'excellente idc'e
nt d'infanterie de marine, en résidence à Saintes, comptait parmi ses
hommes
un jeune soldat somnambule qu'on avait dû envoyer
t somnambule est faîte. Elle restera; et pendant longtemps encore des
hommes
de bonne foi se baseront sur cet exemple pour pro
du système nerveux. L'expérimentation sur les animaux et même sur l'
homme
sain ne peut faire soupçonner ces phénomènes, qui
xtérieur. C'est ce qu'on a indiqué en d'autres termes, en désignant l'
homme
comme composé d'une dualité, de corps, d'une part
constituent Pinstinct/par opposition à cet attribut prédominant de l'
homme
, que nous appelons l'intelligence. Ces deux gen
ur l'autre dans une proportion plus ou moins considérable. De là, les
hommes
qui sont, à un degré plus ou moins élevé, maîtres
s le développement de l'humanité. Différence selon les sexes : chez l'
homme
, l'intelligence prédomine davantage que chez la f
notisme. Quel est le point de départ des facultés instinctives de l'
homme
, le point de départ de ces forces qui rayonnent e
étouffent les manifestations de la volonté et de la liberté, et que l'
homme
nous apparaît u ce degré comme mù> uniquement
nt à ce que I je vous ai dit tout à l'heure, chez la femme que chez l'
homme
. davajt-J tage chez les enfants que chez les adul
résultat puisse être obtenu chez l'animal tout aussi bien que chez l'
homme
, sans qu'il soit nécessaire d'invoquer l'action d
supérieures, qui sont tout au moins beaucoup plus développées chez l'
homme
. Du reste, l'impressionnabilité est d'autant plus
plus développé et qui, par conséquent, se rapprochent davantage de l'
homme
; ce n'est pas chez des animaux tout a fait inféri
sification est une machine artificielle créée par l'intelligence de l'
homme
. Au point de vue de l'activité du système nerveux
d'eux, par la raison qu'il s'agît d'une série artincieHe,créee par l'
homme
, et non d'une série progressive établie par la na
continue, messieurs, et je rac pose la question que voici : Tous les
hommes
sont-ils accessibles aux influences magnétiques o
ivré et les faits que j'ai observés m'ont amené a considérer tous les
hommes
comme étant plus ou moins accessibles aux influen
ye même de trancher la question de fond, si obscure aux yeux même des
hommes
du métier et des savants de premier ordre, initié
ur est un imprudent ou un charlatan ; non, quand l'hypnotiseur est un
homme
de science, un médecin consciencieux. — L'auteur
des jeunes filles et des femmes, et ne voit-on pas tous les jours des
hommes
et des vieillards que l'on endort sans péril de p
fient avec celai la sagesse de cette distinction : Ainsi, je dis à un
homme
de regarder avec attention un point brillant au-d
: c'est, par exemple, une boule métallique frappée par le soleil. Cet
homme
éprouve un strabisme convergent, une fatigue nerv
l est certain que je commets un acte mauvais. Je fais respirer à un
homme
un linge imbibé de quelques gouttes de chloroform
rté, la conscience et qu'il blesse la dignité humaine en faisant d'un
homme
l'esclave de son semblable. Or, l'expérience médi
as exact d'affirmer que l'hypnose abolit la liberté morale, dégrade l'
homme
et qu'on doit le flétrir. Nous retrouvons la cett
sement coupable aux dépens des facultés morales et de la dignité de l'
homme
, c'est un devoir; mais nous estimons qu'il n'est
et l'hypnotisme de salon, de foire et de carrefour, exploité par des
hommes
sans conscience ou pratiqué par des personnes imp
est contraire à la religion et a la morale, Il blesse la dignité de l'
homme
, il abolit sa liberté et provoque des désordres g
t pas pjr un conp-violent les problèmes qaî tourmentent l'esprit de l'
homme
, dans les épaisses ténèbres où s'écoule sa vie.
ieux et les plus persévérants de dérivation, « dans la formation de l'
homme
moral, ainsi que l'avance avec tant de justesse D
ire, que la femme a presque toujours été considérée comme légale de l'
homme
, et que tous les dons de l'esprit ont été sa prop
l vient déclarer que la femme ne doit point marcher dans la voie de l'
homme
, trop étroite pour deux », qu'elle n'a jamais rie
et cous sommes encore loin de ce chiffre) « n'écarte des facultés des
hommes
capables de faire de grandes choses ». Il nous se
t quelquefois. N'y aurait-il pas dans cet acharnement que mettent les
hommes
à i efuser aux femmes leur part de la science, qu
'il était foncièrement incapable d'évoquer Timace des formes. Cet
homme
se forme aussi facilement des images olfactives e
bules sont plongés dans un des degrés de l'hypnotisme, tandis que cet
homme
es: u l'état de veille. A ce sujet, M. Ballet a r
supporter les douleurs sans cherchera y porter remède. - Il y a un
homme
, un seul, qui ai't accouché une fois en sa vie...
que Dieu ait trouvé dans sa toute-puissance un moyen d'hypnotiser un
homme
, alors que de simples mortels ont découvert le mo
étant alors âgé de 17 ans, il éprouva une vive frayeur à la vue d'un
homme
déguisé qui le surprit. A l'instant même, U tomba
ut se relever, mais conserva une douleur à la tète et marcha comme un
homme
ivre. Dans la nuit qui suivit, il a eu trois cr
es les nuits pendant huit jours : il ava;t toujours devant ses yeux l'
homme
déguisé. Dans l'intervalle des crises, il éprou%-
les homa-opathe*. Ils se vantenc de les avoir tous expérimentés sur l'
homme
sain. Voici comment : Pour Hanehmann, tout médi
ent : Pour Hanehmann, tout médicament est capable de produire sur l'
homme
sain un ensemble de troubles auquel il donne le n
; Hanehmann, ayant remarqué que quelques médicaments produisent sur l'
homme
soin des accidents analogues à ceux qu'ils doiven
mes qui la caractérisent. C'est la l'objet Je l'expérimentation sur l'
homme
sain. Hanehmann a eu l'idée ingénieuse d'en taire
n homéopathique la suppose définitivement établie. On administre à un
homme
sain une substance, et à partir de ce moment l'ob
r et provoque le sommeil; aussitôt on administre a des animaux, à des
hommes
sains, à des malades du chloral, à doses variées,
noncée et l'administrent, a leur tour, à d'autres animaux, à d'autres
hommes
, a d'autres malades. Ils varient les conditions d
iteurs scientifiques, s'ingénient donc à mettre « la disposition de l'
homme
qui lit, non plus de gros traités didactiques, to
dirait, en effet, qu'à mesure que la civilisation se perfectionne, l'
homme
cherche dans l'ivresse une compensation et un oub
ur pour Texisrf tence. Mait l'alcool tue le corps comme l'esprit et l'
homme
qui se livre aux excès de boi>*ons ne peut êtr
it h admettre que, dans certaines conditions d'excitation nerveuse, l'
homme
peut voir. même de loin, sans le secours des yeux
nte : elle montre une fois de plus que l'hystérie peut exister chez l'
homme
à l'état virtuel et ne se manifester que par des
rudence que ses dangers imposent. Confié d'une manière définitive aux
hommes
de science, il fournira un puissant moyen d'inves
ssements, il il est à noter que la plupart dis quatre-vingts sont des
hommes
, a'.ors que les vingt rebelles sont presque tous
tes surmenés. SI. — 10 août 1878. — H... 1 Emile», 18 ans. Ce ieune
homme
déjà soigné depuis longtemps par des médecins, e:
censé* avoir guéris, et on voit alors Jciilcr devant le tribunal des
hommes
de la plus haute valeur, comme des membres de l'I
ents de médecine suggestive paru l'année dernière, l'observation d'un
homme
atteint de sclérose en plaques, et dont les troub
us servit favorablement en ramenant l'un de nous dans le service où l'
homme
venait de rentrer, pour y succomber cn peu de tem
ent qu'elle est collective, ce qui est indispensable,' Partout où les
hommes
se trouvent groupés dans un but commun, la discip
e d'assimilation s'accroît. Or. plus la puissance d'assimilation d'un
homme
est développée, plus il se sent d'initiative, plu
ts de la nation, autant de puits de science. Non; c'est de former des
hommes
capables, par leurs propres forces, plus tard, de
ation de l'activité intellectuelle. La production du sommeil chez l'
homme
, dans l'expérience de Fleming et d'Augustus Wallc
qu'il en est ainsi quelquefois dans les attaques de petit-mal chez l'
homme
. Je rappellerai aussi que la perte de toutes les
une heure, toute la tribu danse, chante et frappe des mains. Puis les
hommes
s'avancent auprès de la hune et invitent la femme
e la forme embryonnaire des phénomènes de même ordre provoqués chez l'
homme
dormant du sommeil hypnotique. Depuis dix ans,
s que présente cet admirable instrument qui constitue le cerveau de l'
homme
, des réserves qu'il offre à la culture, de son ex
sses d'harmonie que les maîtres de notre époque ont fait entendre aux
hommes
de notre génération, ainsi que de la prestidigita
0. Parmi ces 8> personnes rebelles à la suggestion, se trouvent 68
hommes
et 15 femmes. Les 517 autres personnes, apparte
sujet. Il montre combien peut être grande la crédivité, même chez un
homme
rompu aux recherches de physique. Il m'est arri
e qualificatif 4}u'il emploie ne signifie pas grand'chose. Un ¡cune
homme
, par exemple, a répondu que la pièce qu'il venait
étisme que ??» ouï-dire. L'mcrédivité n'est jamais que relative. Tout
homme
??.: exposé à Terreur: flsuffit, pour qu'il y tom
respondant asseï complet dans l'ancienne terminologie. L'âme d'un
homme
A s'impose à l'Ame d'un autre homme B, s'en empar
enne terminologie. L'âme d'un homme A s'impose à l'Ame d'un autre
homme
B, s'en empare en pénétrant par un défaut de cuir
au second degré de Bernheim. Mon intime persuasion est que tous les
hommes
sont, au fond, ?on seulement hypnotisables, mais
uggestion consiste dans l'art de s'emparer des forces psychiques d'un
homme
, c'est-à-dire des forces de ses hémisphères céréb
, nous ne faisons qu'utiliser ces dynamîsmes cérébraux propres à tout
homme
; nous surprenons, envahissons «subjuguons tes dy
dormi de son propre compte. Aussi, je n'aurais pas pu persuader mon
homme
qu'il avait agi sous l'empire de ma suggestion, s
très rapidement trois ou quatre lignes, également en flamand. Or cet
homme
, originaire des environs d'Anvers, habitait Paris
1889. In-8. 9s p. luys : Sur l'état de fascination déterminé chez l'
homme
a l'aide de surfaces brillan-tes en rotation (act
tion directe : Jamais, en clinique, deux observations faites par defl
hommes
également honnêtes, également éclairés, ne sont i
ette trop spéciale application des phénomènes hypnotiques. Tous les
hommes
que je viens de mentionner n'ont été que les préc
rieur réglé, plus d'heures de repas, plus de sommeil. € Si c'est un
homme
, dit Trélat, il abuse de son autorité pour faire
elle aurait tout ce qu'il faut pour répandre le calme et le bonheur.
Hommes
ou femmes, ceux que torture la monomanie jalouse,
au ministère de la marine. Nous l'avons vu plus d'une fois : c'est un
homme
doux et patient, beaucoup trop patient, que la ja
meutait le monde en criant : • Vous allez voir sortir du Ministère un
homme
comme il n'y en a pas beaucoup sur la terre, c'es
istère un homme comme il n'y en a pas beaucoup sur la terre, c'est un
homme
qui a l'infamie de tromper sa feromelégitime avec
oints dz vue il puisse suffire de dire, d'une manière générale, qu'un
homme
est fou ; mais une proposition si vague n'a rien
sens. » Mais, comme le fait observer Gncsin* ger, le dilemme : « Cet
homme
est fou ou il ne l'est pas » n'a pas le sens comm
de l'expérience acquise par nos devanciers, quand ceux-ci étaient des
hommes
sachant voir et ne se laissant point entraîner su
l'eau de la main gauche. De là : i* Il s'échappe de la main de l'
homme
quelque chose qui est absorbé par l'eau. 2° Ce
ssi favorablement influencées par l'hypnotisme. De ce nombre était un
homme
qui, depuis sept ans. souffrait d'accès dyspnéiqu
urs de traitement hypnotique, reprendre son travail. Autre cas : un
homme
robuste ne quittait plus le lit depuis deux ans.
tive comme tout ce qui est humain, car l'interprétation du beau par l'
homme
est fatalement entachée des imperfections inhéren
entachée des imperfections inhérentes à sa nature et à ses œuvres. L'
homme
de goût discerne, grâce à une sorts d'instinct di
connaître, à analyser, à sentir, à aimer tout ce que l'admiration des
hommes
a consacre à toutes les époques civilisées. Cer
pas que nous soyons ravis d'entendre un beau poème. La plupart des
hommes
on: le désir, mais non le loisir, de former leur
éloge avec plus de vigueur que de sûreté ; on élève des statues à des
hommes
d'un mérite secondaire a côté de celles d'un Moli
l ou d'un Lesueur. Cest peine si leur tombe est fermée qu'on rend aux
hommes
les honneurs suprêmes, et nous aurons bientôt aut
end aux hommes les honneurs suprêmes, et nous aurons bientôt autant d'
hommes
célèbres que de saints dans le calendrier. On n
e des hôpitaux. NOTE SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET (1)
Homme
de 64 ans, ancien jardinier. (PI. II.) A. IL Pè
s'unissant à la pensée divine sans s'absorber en elle, procure à l'
homme
des jouissances comparables aux délices d'Eros.
ions dissolues. Elle mit à la mode les fureurs sacrées, et bientôt,
hommes
et femmes s'y abandonnèrent sans réserve. Les a
Live, ils formaient presque un peuple (jam jJl'ope jJop1l11lm). Des
hommes
et des femmes de haut rang s'y mêlèrent; on en
que n'est pas douteuse. On voyait, en Allemagne et en Hollande, des
hommes
et des femmes sortir nus ou presque nus de leur
'à tomber par terre. « L'enthousiasme se communique à la foule qui,
hommes
et femmes échevelés et habits en désordre, crie
ie grecque, supprimait toute entrave au commerce des dieux avec les
hommes
, et rendait très admis- sible leur incarnation
qu'au sol, se ren- verse brusquement en arrière entre les bras d'un
homme
qui s'avance pour la retenir. Cet homme, dit
rière entre les bras d'un homme qui s'avance pour la retenir. Cet
homme
, dit Welcker, ne joue qu'un rôle accessoire : il
r à la chute de la femme une allure plus gracieuse. D'ailleurs, les
hommes
n'étaient pas exclus des scènes bachiques qui s
étaient surprises sur le Parnasse par la neige et les tempêtes, des
hommes
venaient souvent à leur secours. Tels sont les
de a celle cérémonie mouvementée en éclaire simplement l'origine. L'
homme
qui reçoit une des femmes entre ses bras, n'est
ménade, qui se renverse brusquement en arrière entre les bras de l'
homme
qui la soutient, est encore plus intéressante au
ant une possédée. Une femme tombe à la renverse entre les hras d'un
homme
qui la retient par la taille ; sa tète est fort
ur un vase de marhre à Florence, et l'on retrouve chez les adeptes,
hommes
ou femmes, que Ly- curgue entraînait dans son d
gants. Il était en outre indispensable d'utiliser pour l'étude de l'
homme
en mouvement, les procédés de photographie qui
tre que nous publions traite des différents modes de station chez l'
homme
sain. Il est d'un grand intérêt pour un artiste;
l'examen des sujets normaux. De même, M. P. Richer analysant chez l'
homme
sain la marche et les diffé- rentes variétés d'
BATTAILLE ET Ci. ÉDITEURS DES DIFFÉRENTS MODES DE STATION CHEZ L'
HOMME
SAIN On désigne généralement sous le nom de sta
se. Station verticale droite ou symétrique. Dans cette station, l'
homme
est debout portant également sur les deux jambe
aucoup de celle du soldat sans armes. Bien que rarement prise par l'
homme
livré à lui-même, avec la correction que nous m
ubir une sorte de compression dans le sens vertical, qui fait que l'
homme
, ainsi que nous l'avons déjà fait remarquer, es
l nous faut rechercher maintenant comment il se fait que, lorsque l'
homme
se tient debout, ses différents segments que nous
ance, la contraction et le relâchement. Il suffit tle regarder un
homme
nu clans la station debout bien équili- brée, p
cherches. On connaît le procédé de Borelli qui con siste à placer l'
homme
étendu sur une surface horizontale mobile à la ma
faitement en équilibre il est certain que le centre de gravité de l'
homme
couché dessus se trouve dans le plan vertical q
Borelli ne peut plus servir à cause de la diffi- culté de placer l'
homme
sur le côté et de l'y maintenir. D'ailleurs, la s
ses fibres. Il résulte de ce qui précède qu'autant les fesses d'un
homme
qui se tient debout sont molles et relâchées, a
T A T 1 0 N 79 ici en quelques mois les proportions moyennes de l'
homme
telles que nous les avons établies. (Voir, Nouv
le Iconographie, année 1892, page 310). En examinant le profil d'un
homme
qui se tient dans la station droite, on peut co
nche (II) sur la verticale abaissée du point des épaules. Chez un
homme
de taille moyenne de 1 m. 63, cette per- pendic
sser sous peine de chute par la base de sustentation et que, chez l'
homme
debout, cette base de sustentation est composée
ens d'une certaine quantité sans que l'équilibre soit détruit. Si l'
homme
chausse des souliers à semelles rigides et prolon
eaucoup plus étendus dans le sens de l'écartement des pieds. Si l'
homme
ajoute à son propre poids des poids étrangers, s'
de opposée. Le tronc se renverse en arrière pour faire équilibre. L'
homme
qui porte un fardeau à la main se renverse de côt
érences de son poids, et il sera facile de distinguer par exemple l'
homme
qui porte un seau vide de celui qui porte un seau
de «jambe por- tante ». Si cette jambe est la droite, on dit que l'
homme
hanche il droite. Le membre inférieur droit est
clinaison du bassin de ce côté. Le bassin, en effet, au moment où l'
homme
passe de la station droite à la station hanchée
ns contraire que la courbure dorso-lombaire.C'est ainsi que, sur un
homme
qui hanche, droite, si la tête s'incline de ce
repère différents. Ces préliminaires une fois posés, l'aplomb d'un
homme
qui hanche est très facile à établir (Fig. 26 et
en avant, on voit les deux fesses se contracter simultanément. Si l'
homme
s'élève sur la pointe d'un seul pied, l'équilibre
r au delà d'un certain temps ce mode de station. Proportions de l'
homme
ci genoux. Nous avons vu plus haut que là haute
à l'interligne articulaire est égale a deux hauteurs de tête. Or un
homme
à genoux est en réalité un homme moins les jamb
ale a deux hauteurs de tête. Or un homme à genoux est en réalité un
homme
moins les jambes. On pourrait dire qu'il pose à
pressées entre le bassin et le plan résistant qui sert de siège. Un
homme
assis offre en hauteur à peu près les mêmes propo
mêmes proportions que le torse (y compris la tête et le cou), d'un
homme
debout, c'est-à-dire qua- tre hauteurs de tète.
ire qua- tre hauteurs de tète. Nous avons vu, en effet, que chez un
homme
debout la 11.1 tète comptée du vertex se termin
e, son grand axe est ori- (1) E. Brissaud. Anatomie du cerveau de l'
homme
. Paris, Masson, 1893, p. 193 et sa' z100 - NOUV
e un préambule anatomique aussi étendu. « En suivant l'advis du bon
homme
Guidon de Chauliac en son chapitre sin- gulier,
uliac en son chapitre sin- gulier, amy lecteur, ou il enseigne tout
homme
bien ouvrant devoir conois- tre le lieu du subi
e chez ces malades et chez les individus normaux. La station chez l'
homme
sain a déjà été l'objet d'une élude publiée dans
e se rendre compte par le soulèvement de la pointe du pied. Chez un
homme
sain, la flexion dorsale du pied place celui-ci
chéance musculaire, dans des conditions d'infériorité vis-à-vis de l'
homme
normal, sont au contraire particulièrement favo
i déjà dit est tout entière dans la similitude du mécanisme. Chez l'
homme
normal cette obliquité des différents segments du
utant plus nécessaire que les forces musculaires inutilisées chez l'
homme
normal, mais toujours présentes pour rétablir l'é
eux autres enfants, l'un, Const. (grand-père paternel de la malade)
homme
très doux, faible de caractère, bon ouvrier, mour
) : l'un, faible d'esprit, tombant souvent du haut mal, et l'autre,
homme
intelligent et travailleur, père de trois enfants
et travailleur, père de trois enfants., bien portants, artistes, ou
hommes
de lettres. Clém. P. (grand'mère paternelle de
é les deux soeurs. Ils sont doue doublement cousins. Le Père est un
homme
placide, bon travailleur, mais très impressionnab
sième, une fille âgée do 28 ans, fut mariée une première fois il un
homme
alcoolique et brutal. Elle a eu souvent des attaq
s s'est pendu bientôt après. Sa femme s'est remariée depuis avec un
homme
calme, mais infirme et souvent malade (anky- lo
éritablement' curieux de ce cas. D'autre part, l'observation de cet
homme
renferme quelques points intéressants à soulign
héréditaires. Le père, qui vit encore, est, au dire de sa femme un
homme
aimant la bonne chère, mais non un ivrogne. Sa
maître. Parmi ces dessins, il en est un qui représente un profil d'
homme
que Le Brun compare à celui de liîne : la proém
également bien indiqués sur un (1) LAVATER, L'art de connaître les
hommes
par la physionomie, en 10 vol. Paris, 1835. (
les ré- tractions fibreuses. On peut faire la même remarque pour un
homme
figuré sur une fresque de Girolamo del Santo, à
ennent implorer leur guérison, un enfant porté sur les épaules d'un
homme
lève en l'air ses deux bras très amaigris et term
ns articulaires qui en sont la conséquence. Sur la même fresque, un
homme
étend son bras à l'extrémité duquel la main tom
olores Il est clair qu'un genou dont la circonférence mesure chez l'
homme
sain 33 centimètres cujnoycunc, et chez un malade
digitale. Malgré cette enflure pseudo-élephantiasique, vous voyez cet
homme
s'avancer encore assez librement en s'appuyant
r pur, je vais vous en présenter un assez heau spécimen. Voici un
homme
de 45 ans dont la démarche est franchement ataxiq
teur. Voici maintenant un type inverse : vous avez sous les yeux un
homme
de 60 ans, grand, vigoureux, taillé en hercule
solument impossible d'en découvrir chez lui le moindre vestige. Cet
homme
marche d'un pas délibéré sans fatigue, sans la
me leçon de Pierre Marie (1) (Fig. 59). Il s'agit dans noire cas d'un
homme
de quarante-six ans, atteint de syphilis à vi
se. Je reviens au malade que je vous montrais tout il l'heure : cet
homme
de soi- xante ans qui, depuis vingt-six ans a d
en 1871 de mort subite. Il était percepteur il Flavigny. C'était un
homme
excessivement violent et emporté qui criait tou
isation de M. Millard nous l'envoyer. Etal actuel. Le malade est un
homme
de haute stature ; d'une grande force musculair
ré- quence des arthropathies tabétiques par rapport au tabès. Les
hommes
sont 3 fois plus souvent atteints que les femmes,
et une fois à 9 ans. Dans le cas de Bernhardt il s'agit d'un jeune
homme
de 19 ans. Charcot considérait la syringomyélie c
origins of FtGunn 66. - Dessin orthographique de Reid, pris sur un
homme
adulte (1/4 de gran- deur naturelle). NERFS R
a, 1889, p. 341), basé sur six dissections dont 5 sur des adultes
hommes
, et une sur une adulte femme. Reid donne la lis
ntes, et de plus toutes, sauf une, ont été faites sur des adultes
hommes
. Même pour ce cas spécial, les résultats obtenu
ée par la dernière racine coccygienne, se trouve d'ordinaire chez l'
homme
adulte, aux environs de la tre apophyse lombair
apport à la face postérieure des corps vertébraux, on trouve pour l'
homme
et la femme, le niveau moyen exac- tement au mê
nous avons contrôlées nous ont paru également satisfaisantes pour l'
homme
et NERFS RACllIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 253
benema au rapport entre les apophyses et les racines chez un adulte
homme
de 1 m. 76 ; à droite sont numérotées les apophys
tions en apparence les plus analogues, par exemple chez les adultes
hommes
, on trouve des différences individuelles consid
ue cette formule est applicable aussi bien à la femme adulte qu'à l'
homme
adulte. Chez l'enfant il faut la modifier légèr
iles : Jésus débarquant sur la terie ? cls Gé- raséniens délivra un
homme
possédé d'un nombre considérable de démons, qui
issés. La bouche est entr'ouverte, mais la langue est rentrée. Un
homme
, masqué en partie par le possédé, le soutient sou
de contact du sol, phénomène rendu inconscient par habitude chez l'
homme
sain, est redevenue, quoique altérée chez l'hom
r habitude chez l'homme sain, est redevenue, quoique altérée chez l'
homme
malade, un phénomène conscient. Imaginez que
e en est l'aile aujourd'hui), du plus grand nombre des séreuses. Un
homme
bien portant ne sent pas son péritoine. Comment
t aussi s'atténuer. Telle sensation qui n'est pas consciente chez l'
homme
sain, devient ainsi consciente chez l'hom- me m
igue physiologique lui est comparable et si l'état des muscles d'un
homme
qui se fatigue peut être assimilé à celui des mus
ngère qui s'installe dans la maison » : Elle conduit les pieds de l'
homme
, Sait le chemin qu'il eût choisi, Connaît son
élite aiguë s'était dé- veloppée dans le cours de la grippe chez un
homme
de 53 ans, et après guérison avait laissé les d
heure de compiles, il tomba en extase; il cette vue, grand nombre d'
hommes
et de femmes, le croyant mort, se disposaient il
? ). Lés crises étaient fréquentes, et si violen- tes que plusieurs
hommes
pouvaient peine le contenir. Un jour que sa furie
nd, flasque. Tout le corps s'abandonne, inerte, entre les bras de l'
homme
qui fait effort pour le soutenir. C'est une mas
e caractéristique au point de vue qui nous oc- cupe, non plus que l'
homme
qui joint les mains, à droite au premierplan. L
relief en bronze de l'autel du Saint, au Gésù de Rome. On y voit un
homme
possédé du démon qui se renverse en arrière dans
on père ce langage : « Papa, voilà un an que je suis malade, et les
hommes
ne peuvent me guérir. Puis- que vous.êtes impui
rt paraît immanquable. Il en est vraisembla- blement de même chez l'
homme
. Quelque vive que soit alors l'idée de gué- rir
de to- tale correctes et régit l'équilibration dans sa motricité. L'
homme
ivre dont l'encéphale et le labyrinthe sont con
roite se mit traîner; il disait à sa mère qu'il mar- chait comme un
homme
ivre. Il marchait encore en boitant. A cette ép
res ; ce sont même, remarque Cannieu, les premières décrites chez l'
homme
; on en doit la première mention à Corti. Au lie
nde cellulaire, remarquable chez la soit- risetqu'on retrouvechez l'
homme
, émanée égaiementdu ganglion de Scarpa, et émet
emak qui sem- blent faire défaut dans le tronc cochléaire. Chez l'
homme
, le nerf cochléaire ne contient pas d'éléments ce
isceau inférieur, du trijumeau, puis elle semble disparaître chez l'
homme
. Nous pensons qu'elle se retrouve dans le prolo
u à grosses cellules, etc. Celles-ci peuvent atteindre 100 p chez l'
homme
. Ce sont les plus gros éléments de toute cette ma
ie tabétique des deux genoux chez une femme, XXV, XXVI. - Chez un
homme
, XXVI 11. - Des deux épaules, XXVII. Arthropa
4, 45. Marche (inclinaisons opposées du tronc et du bassin chez l'
homme
sain et chez le myopathique, 46. Myopathie, d
qui varie naturellement de l'enfant à l'adolescent et de celui-ci à l'
homme
fait. « Pour ce qui est de la suggestion, on co
ient les plus hypnotisables des êtres. Ceux qui n'ont endormi que des
hommes
les ont déclarés plus hypnotisables que les femme
ont conclu que les femmes étaient plus sensibles à l'hypnose que les
hommes
. En réalité, le nombre des suggestibles est extrê
e plonger l'enfant dans la décrépitude, le savant dans l'ignorance, l'
homme
de génie dans l'idiotisme ; de changer l'affectio
ue est prépondérant et décisif dans les délibérations ordinaires de l'
homme
à l'état de veille normale, il en est différemmen
nir sur le point en litige. D'après ce que j'ai vu, la généralité des
hommes
et des femmes se montrerait apte à l'état hypotax
isant leur œuvre sournoisement sans que personne, ni le médecin, ni l'
homme
de la loi, s'avise de rattacher à une telle cause
du phénomène hallucinatoire lui-même ; car il est constant que des
hommes
de la plus haute intelligence, et qui plus est d'
une autre conscience, c'est un autre moi qui est ici en action; car l'
homme
est une pluralité animale, et partant une plurali
lumer le flambeau de l'intelligence; si nous avons mis en spectacle l'
homme
pur et jaloux de son honneur qu'une impression me
barre toutes les doctrines qui ont élevé la prétention de révéler à l'
homme
le mystère de son être, et de donner à chacun le
ttre le sot mépris et proscrire la hideuse vengeance. En prouvant aux
hommes
que la différence de leur valeur actuelle consist
pas impossible, bien que nous n'en ayons pas la démonstration chez l'
homme
. Certains prétendent, il est vrai, que l'homme hé
a démonstration chez l'homme. Certains prétendent, il est vrai, que l'
homme
hérite de tendances mais non de certains actes qu
s la présomption d'aliénation mentale s'est élevée à 3.193 dont 1.950
hommes
et 1.243 femmes. Sur le nombre total, 2.717 avaie
es par leurs familles (placements dits volontaires) s'est élevé à 680
hommes
et 621 femmes, soit un total de 1.301. Sur le nom
Voilà les graves questions qui s'imposent aux méditations de tous les
hommes
qui ne jugent pas avec des idées préconçues et n'
és morales et psychiques, comme il y a des infirmités physiques ; « l'
homme
tout entier est notre domaine » : Humanum nihil a
n outre mélancolique. Une apparition qu'elle eut, à seize ans, « d'un
homme
noir et hideux ayant de longues dents », jeta le
de Jésus, saint Ignace de Loyola, premier général de l'Ordre. Cet
homme
, dont la carrière, de l'aveu de Philarète Chasles
l'heure de compiles, il tomba en extase ; à cette vue grand nombre d'
hommes
et de femmes, le croyant mort, se disposaient à l
sie (?). Les crises étaient fréquentes, et si violentes que plusieurs
hommes
pouvaient à peine le contenir. Un jour que sa fur
s à l'améliorer. L'analyse du fait m'avait amené à. admettre chez cet
homme
l'existence d'une lésion nerveuse (élongation ou
encore très apparents. Tout traitement avait été abandonné, et cet
homme
très courageux et poussé parlanécessité,avaituntr
elle des objections avaient été élevées. Vous vous en souvenez, cet
homme
, en apparence robuste et très bien portant, avait
pas toujours justifiée. Johnson prétend que pour écrire la vie d'un
homme
, il est nécessaire que le biographe l'ait connu p
connu personnellement et même intimement, et, dit-il encore : « Si un
homme
prétend écrire la vie de quelqu'un, il faut qu'il
nes facultés, que celle de caractères proprement dits. Il a peint les
hommes
non en portraitiste, mais en peintre d'histoire:
e savoir une particularité du caractère de son voisin que celles d'un
homme
célèbre que l'on n'approchera jamais. Etant don
l'on sait à quoi s'en tenir, d'un côté, sur le degré d'activité d'un
homme
, c'est-à-dire sur ce qu'il a de spontanéité, de v
prime les écarts de la sensibilité, et c'est grâce à la volonté que l'
homme
peut lutter contre les instincts mauvais et dével
organiques. La première est une tuberculose pulmonaire. Voici un
homme
de 59 ans, cordonnier, qui est entré au service l
de ces lésions ne peut expliquer les douleurs spéciales qu'accuse cet
homme
depuis quatre ans. On sait que la diathèse tuberc
e dans la plupart des affections toxiques et infectieuses. Chez notre
homme
, l'invasion de ces douleurs a précédé de peu de t
'elle vaut. Ce qui me parait certain, c'est qu'il existe chez notre
homme
une impressionnabilité nerveuse spéciale qui a pu
4 ans, qui depuis 8 mois empêchaient le sommeil et condamnaient notre
homme
à l'inaction, déracinées par la suggestion! Je n'
Je n'ai pas tué le bacille de la tuberculose. Mais en rendant à notre
homme
le sommeil, la confiance, l'appétit, en lui enlev
, je le mis dans un état de sommeil encore plus profond. C'était un
homme
de 30 ans, nommé Robiny, n'ayant jamais fait de m
ionner la patiente. Enfin, j'ai appliqué le courant interrompu à un
homme
atteint de paralysie hystérique du bras gauche ;
amp de notre conscience par l'intensité de leurs manifestations. Un
homme
aura du vertige par suite d'une insuffisance laby
grande intensité. Un phobique n'est pas un poltron, c'est-à-dire un
homme
qui s'effraie facilement de tout ; il ne craint q
me l'image d'un état autre que le sien. Ajoutons que ce malade est un
homme
extrêmement intelligent, qui analyse très netteme
les autres formes du vertige. Pendant que l'un de ces malades, un
homme
de quarante ans, m'expliquait ce qu'il ressentait
l encore, il « mourrait sûrement s'il avait peur jusqu'au bout ». Cet
homme
n'avait rien qui pût faire soupçonner l'épilepsie
pourrait soutenir, sans trop de paradoxe, que l'illusion suprême de l'
homme
, en tant qu'animal sociable, est de n'avoir que d
et être expliqué par lui à ses disciples, mais jamais par aucun autre
homme
d'une classe inférieure... (I. 103} Et plus loi
aître do maison, les aliments permis et défendus, la purification des
hommes
et celle des ustensiles employés... «Enfin les
qui fait perdre toute caste et interdit tout commerce avec les autres
hommes
; le coupable devient un paria, c'est-à-dire l'êt
ine en face du feu, du soleil, de la lune, d'un réservoir d'eau, d'un
homme
de caste noble, d'une vache ou du vent, perd tout
mps qu'il fasse. C'est d'ailleurs avec beaucoup de courtoisie que cet
homme
éminent se soumet à cette tradition bizarre. 11 e
sée est d'imputer à la suggestion hypnotique d'agir sur le moral de l'
homme
sans prendre les chemins de la persuasion raisonn
ement Social ajoute qu'elle fait le désespoir de son mari, qui est un
homme
rangé, travailleur, « sobre », et qui « va être o
vont suivre justifieront ces trois propositions : lre Observation
Homme
30 ans, caissier dans une grande administration,
ais pas couché ; car, quant à la vie de la nuit, il n'en reste pour l'
homme
normal que très peu d'expériences réglées. Cepend
Glasgow, (The Lancet, 21 décembre 1895.) Un professeur de langues,
homme
très instruit et très intelligent, raconte l'aute
me. « Vous avez, me disait-il, fait rendre justice à un inconnu, à un
homme
que la science officielle a toujours tenu à l'éca
: « Mais c'est un monde nouveau ! » s'écriait-il. Et pourtant cet
homme
ne croyait pas à la médecine. Il consultait volon
autre, je l'ignore... » Et je multipliai les exemples. Vous voyez l'
homme
: c'était un grand curieux, un observateur des plu
grées, demande de l'argent pour faire une neuvaine je ne sais où. Mon
homme
revient,toujours incrédule, mais content à l'idée
lix Alcan. le mal s'étalait aux yeux, on ne peut admettre que les
hommes
éminenls qui l'ont traité pendant neuf mois, — ne
de ses arborisations et la facilité de leurs déplacements ; un grand
homme
peut avoir un cerveau relativement petit, et un i
es recherches de MM. Golgi et Cajal. Eh bien ! il se rencontre chez l'
homme
et il existe normalement chez les animaux des éta
ychique chez divers vertébrés : la grenouille, le lézard, le rat et l'
homme
. Les pseudopodes sont d'autant plus développés qu
pagation de l'influx nerveux dans les nerfs moteurs et sensibles de l'
homme
, varie entre 30 et 90 mètres à la seconde, et qu'
1891 ; la maladie proprement dite avait duré trois semaines; mais cet
homme
avait eu une parésie de tout le côté droit : jamb
mparer son action à ce qui se passe dans le sommeil naturel et chez l'
homme
qui dort,dit ??. le professeur Mathias Duval; les
excitations faibles portées sur les nerfs sensibles provoquent chez l'
homme
endormi des réactions réflexes, mais ne passent p
soulager et les guérir. PSYCHOLOGIE COMPARÉE La léthargie chez l'
homme
et les animaux. Bien des faits, obscurs dans l'
es animaux. Bien des faits, obscurs dans l'étude psychologiqne de l'
homme
, s'éclairent admirablement par la comparaison ave
hargie, notamment, n'étonne plus, si, au lieu de la considérer chez l'
homme
seul, on l'étudié dans l'ensemble du règne animal
l'a renvoyée sur la terre. Dans un autre récit d'origine taoïste, un
homme
revient sur la terre après avoir été sévèrement r
ur torpeur. Les animaux sont pris de léthargie plus souvent que les
hommes
. C'est un phénomène naturel aux hibernants. Quelq
ner le]calmc chez leurs enfants : L'ogre ; Le nègre (déguisé) ; L'
homme
au sac ; Le revenant ; L'ermite ; Le croque
'homme au sac ; Le revenant ; L'ermite ; Le croquemitaine ; L'
homme
ventru. Comme on le voit, les sujets d'effroi en
ux de sa mère. O lettré, instruis mon fils Pour qu'il devienne un
homme
. Et si tu ne l'instruis pas. Tu mériteras un
ophocle marque un stade plus avancé de la notion de responsabilité, l'
homme
comprend ce qu'il fait et ce qu'il doit faire, lu
ensée par la faute du corps, il c est considéré mal à propos comme un
homme
volontairement « mauvais. C'est par quelque vice
ice dans la constitution du corps, « par une mauvaise éducation que l'
homme
mauvais est devenu « ce qu'il est. Il faut toujou
hie : le bien et le mal deviennent l'œuvre de Dieu et du démon avec l'
homme
pour instrument inconscient mais responsable. O
as au supplice ; la ïîible ne disait-elle pas: « Si un bœuf frappe un
homme
ou une femme et qu'ils en meurent, lé bœuf sera l
le imprima pour longtemps son cachet aux philosophes qui suivirent. L'
homme
n'est plus l'instrument de Dieu ni du démon, mais
1889, Bruxelles 1892), l'élude scientifique de la criminalité chez l'
homme
dans ses rapports avec la biologie et la sociolog
six mois d'emprisonnement avec interdiction de séjour à Paris. Cet
homme
avait déjà été condamné, le 10 mai 1894, à huit m
chercher aucunement le champ visuel ou les couleurs. Le 8 août, cet
homme
fut transféré à la Conciergerie pour son jugement
'a pu se prononcer ni dire affirmativement et avec conviction que cet
homme
était réellement aveugle. Cependant, certains j
n soit, je fus appelé à l'examiner le 24 septembre. Vous connaissez l'
homme
, je n'ai pas besoin de vous en faire la descripti
scientifiques, plus sûrs. Tout ce que je puis affirmer, c'est que cet
homme
ne présentait aucune lésion de l'œil, cinq mois a
bservaient avec le plus grand soin, le jour et la nuit. L'un d'eux,
homme
fort intelligent et instruit, m'a dit que, malgré
, à dessein, laissé la porte à-demi entr'ouverte. Il espérait que cet
homme
chercherait à éviter cet obstacle. Loin de là,
. le Df Laborde dit qu'au point de vue historique, on peut ranger les
hommes
qui ont contribué au progrès scientifique en deux
te d'encourir une grande responsabilité. Longtemps avant Pasteur, des
hommes
pleins de sagacité avaient prophétisé qu'on trouv
es hallucinations terrifiantes de la vue dans lesquelles elle voit un
homme
noir qu'elle appelle le « noiraud o et qui est co
ons avec des femmes, il avait toujours recherché la fréquentation des
hommes
et il avait l'habitude de se livrer à son vice av
été constaté déjà que la femme était plus sensible à la douleur que l'
homme
, d'où il ne résulte pas nécessairement que la fem
s nécessairement que la femme ne puisse endurer plus dc douleur que l'
homme
. 4° Les garçons sont plus sensibles à la locali
accomplit plus que dans Pacte lui-même; ,c'est ainsi que la mort d'un
homme
est différemment envisagée, selon qu'il s'agit d'
jugement et l'acte sont modifiés en raison même de cette rupture. Un
homme
qui naîtrait avec une anesthésie généralisée à to
alisée à tous les sens et au tube digestif vivrait différemment qu'un
homme
possédant une sensibilité normale, à supposer mêm
e en passant que ni le D' Ortegat ni moi n'avons entendu dire que des
hommes
en fussent atteints- Il est reconnu que le plus g
ique. Je rapproche de cela l'application du couteau sur le corps d'un
homme
. Un coup de couteau appliqué par un malfaiteur su
ujet présente un double intérêt : 1° par la facilité avec laquelle un
homme
intelligent, de constitution très robuste, a été
chiques passagers ou durables analogues à ceux qui s'observent chez l'
homme
. Toutefois, ces perversions, ces désordres sont b
en effet, sont soustraits à l'action des causes qui engendrent chez l'
homme
le surmenage mental et la plupart des psychoses ;
es supérieurs. Dans un travail intitulé : La folie communiquée de l'
homme
aux animaux, le Dr Féré insiste sur ce point que
on temps attablé chez ses amis ou dans les cabarets de l'endroit. Cet
homme
mourut après une courte maladie. A partir de ce m
e même état qu'à son entrée. L'élève qui le surveillait, et surtout l'
homme
qui lui distribuait sa ration, étaient les seules
ependant les cadeaux, mais jamais comme honoraires. C'est du reste un
homme
très primitif, quoique ayant été maire de son pil
Tel est, presque mot à mot, le discours toujours identique du saint
homme
. L'interprète répète en allemand les mêmes paro
ssait tout bas dc cette cruauté. J'en ai plus tard remercié mon brave
homme
de père, qui m'avait ainsi, dès mon jeune âge, en
les pensées et les sentiments qui s'associent dans la conscience de l'
homme
avec son chagrin, et sur lesquels il fixe toute s
égis. 321. Kleptomanie, présentation de malade, 347. Léthargie chez l'
homme
et les animaux (la), 281. Léthargie (un cas de)
x ? · Lannelongue. Sur la transplantation du corps thyroïde sur l'
homme
. (En collaboration avec Legroux.) (Comptes rendus
fait aller ses jambes de tous côtés, il gigote et titube comme un
homme
ivre. Dans l'ataxie locomotrice il y a habituelle
l'extirpation sur des cobayes et les examens microscopiques chez l'
homme
, conclue à une altération particulière du sang co
III. Ispilepsie traumatique et trépan; par BUTLIN. Observation d'un
homme
atteint d'épilepsie consécutive à une chute avec
ut; par Al. Tell. (Al'chiv f. Psychiat., XXVI, 3.) Il s'agit d'un
homme
de trente-sept ans, syphilitique depuis l'âge d
és, comme si l'animal voulait, par .un ensemble de gestes, imiter l'
homme
, et cela qu'on ait respecté préalablement les h
iolence sur son père et sa mère et qui croyait sa maison entourée d'
hommes
qui voulaient pénétrer dans son lit. Elle portait
he New- Yo¡'/i Médical Journal, 1er juin 1895.) . Le sujet est un
homme
de trente-cinq ans, sans antécédents per- sonne
chirurgicale a donné de très heu- reux résultats. Observation I.
Homme
de vingt-six ans, charpentier. Pas d'hérédité.
sbsiÓn. M. Vallon lit un rapport médico-légal concernant un jeune
homme
de dix-neuf ans qui, sous l'influence d'une obses
entes nations. Les dames y seront admises avec mêmes droits que les
hommes
. Relativement à l'admission au congrès, de même
la pathogénie soulève des questions du plus haut intérêt. C'est un
homme
de soixante-cinq ans qui a une histoire assez i
aux. Merc... est entré dans notre service le 19 octobre; c'est un
homme
de soixante-cinq ans, très athéromateux, affaissé
ption sans objet. » Quand par exemple un individu dit qu'il voit un
homme
à quelques pas devant lui, alors que rien ne pe
de son côté une observation très instruc- tive. Il s'agissait d'un
homme
de soixante-dix-neuf ans qui, à la suite d'atta
protéger la société contre la seconde, il faut avoir recours à des
hommes
compétents ; les jurisconsultes, ceux qui font
uelque chose qui existe, qui a toujours existé et que l'esprit de l'
homme
ne conçoit pas comme pouvant cesser d'exister. On
ier une loi, qu'on ne peut créer ou anéantir un atome de matière. L'
homme
ne fait pas les lois, il les découvre. Il peu
s et immuables. L'univers entier, animé ou inanimé, sans excepter l'
homme
, vit et progresse conformément à des lois, conn
onformément à des lois, connues ou inconnues; ces lois, que subit l'
homme
, sont psychiques aussi bien que physiques, et n
ubliques ne révèle pas une tendance criminelle; et il y abeaucoup d'
hommes
et encore plus de femmes à qui l'on ne fera jam
aractère est pure- ment physique, se rencontrent fréquemment chez l'
homme
nor- mal, à un degré variable, et sont compatib
énérescence, qui sont plus ordinaires chez le cri- minel que chez l'
homme
normal, et qui s'observent, respective- ment, d
béir à un esprit de vengeance, par lequel il n'appar- tient pas à l'
homme
de se laisser guider. Van Hamel a dit juste- me
ette « vieille idée de vengeance qui a la prétention de confier à l'
homme
une tâche qu'il convient de ne laisser qu'aux m
endant six mois. La maison de correction d'Elmira ne reçoit que des
hommes
âgés de seize à trente ans, et condamnés pour l
absurde de le faire avec la pensée que l'on empêche ainsi d'autres
hommes
de devenir fous et dangereux, ou même que l'on
d'extermination. Mais, s'il est admis à peu près généralement qu'un
homme
a le droit d'ôter la vie à un autre homme pour
u près généralement qu'un homme a le droit d'ôter la vie à un autre
homme
pour sauvegarder la sienne, s'ensuit-il que nou
car, ainsi que l'écrivait Montaigne, il est plus barbare de tuer un
homme
vivant que de le rôtir et de le manger quand il
les intelligences cultivées. On peut, au sujet de la conduite d'un
homme
, discuter la ques- tion de la responsabilité mé
peut fort bien appar- tenir à la classe de l'homo nobilis et qu'un
homme
de génie peut être pourvu d'un sens moral notab
elles qu'elles n'ont pas « l'oreille musicale ». Brazier parle d'un
homme
pour lequel toute note jouée sur le piano avait l
par John Warneck. (The Journal of mental Science, janvier 1893.)
Homme
de quarante-trois ans, intelligent, actif, très c
nce, avril 1895.) L'observation dont il s'agit ici est celle d'un
homme
de soixante- cinq ans dont la carrière a été fo
aliénés DU canton de ZURICH comparée A l'hérédité vésanique CHEZ l'
homme
sain ; par Jenny COLLER. (Archiv. fier Psychiat
. I, ]89ti.) Voici les conclusions : 1° l'hérédité vésanique chez l'
homme
sain, plus considérable qu'on ne le croit génér
d'exci- tation, rappelle le complexus symptomatique désigné chez l'
homme
sous le nom de confusion mentale. (Revue neurol
l'empêchent de devenir grosse, et bientôt elle se livre à tous les
hommes
, les provoquant, les violentant au besoin. Devenu
orité du médecin en chef-directeur, de la moitié de la division des
hommes
, soit trois pavillons (admission, agités et mal
lades), le plus ancien des assistants est chargé de la division des
hommes
. Dans nombre d'autres asiles, les assistants fo
assistants titu- laires, plus un volontaire. Les deux divisions des
hommes
et des femmes sont segmentées chacune en deux s
es d'aliénés. deux assistants sont chargés, l'un de la division des
hommes
(136 malades), l'autre de la division des femme
sistants titulaires, plus deux volontaires. A Bâle, la division des
hommes
qui ne compte que 125 malades, possède deux ass
Républicain Orléanais du 16 décembre relate le fait suivant : « Un
homme
couvert de sueur, les yeux hagards, la bouche é
ablissement à la suite d'un accès de folie furieuse. Or, continua l'
homme
en s'animant et en grinçant des dents, depuis q
ire de police. (Le Journal, 29 nov.) N3.-lin fou qui se livre. Un
homme
très correctement vêtu se présentait au commiss
a sortie des aliénés. LES aliénés en liberté. Folie furieuse : Un
homme
, jeune encore, sanglé dans une élé- gante redin
é nous avons appris les faits suivants : le père du malade était un
homme
énergique et actif ; la mère était une personne n
Ce sont ces faits qui ont inspiré à Horsley l'idée que si chez un
homme
auquel on avait dû pratiquer l'ablation du corps
tes nutritifs sont dirigés en sens inverse de leur direction chez l'
homme
sain, et cela au profit de l'hémisphère droit;
des dents, enfin et surtout les lésions des organes génitaux chez l'
homme
. R. M. C. XVII. Li VALEUR DE LA MÉTHODE DE FREX
r les résultats théra- peutiques à attendre de la castration chez l'
homme
, dans des cas analogues. P. Sérieux. Il. Trai
Olivier (P.) et Halipré (A.). Claudication intermittente chez un
homme
hystérique atteint de pouls lent permanenl. - Bro
it assez intéressant pour mériter d'être publié. ` Il s'agit d'un
homme
de vingt-trois ans, célibataire, et exerçant la
quarante ans ; elle est plus fréquente chez les femmes que chez les
hommes
; elle est ordinairement accompagnée d'affaibli
sommeil a pour cause l'aboli- tion de toute action corticale chez l'
homme
endormi ; les muuve- ments qui peuvent'alors su
e dans le cas actuel que des résultats négatifs. Il s'agissait d'un
homme
de soixante ans, sans habitudes alcoo- liques e
n cas rare est intéressante à divers points de vue ; il s'agit d'un
homme
de cinquante-un ans, qui à l'âge de deux ans av
cédées d'une aura du goût. Voici le résumé de celte observation :
Homme
de vingt-deux ans, israélite, bonne santé antérie
d'alcool, pas de syphilis au dire du malade. Il y a cinq mois, cet
homme
leçoit sur la tôle, il la région frontale, REVU
t1- rolo. CeltGmal6l., XIII, 1804). Observation I. Il s'agit d'un
homme
arrivé à l'âge moyen de la vie présentant des s
Sur les quatre-vingt-dix- neuf cas de rhumatisme, 5r concernaient l'
homme
, et 45 la femme. Age de 20 à 50 ans. Le refroid
ntune espèce de maladie infectieuse, qui, généralement, n'atteint l'
homme
qu'une fois. Et, quand il y a récidive, c'est que
e, propre à, affaiblir la résistance de l'orga- nisme, prédispose l'
homme
à une paralysie faciale, pourvu qu'il s'expose
hémianestiiésie ; par J. Macfay. (Brain, été et automne 1895.) Un
homme
de- quarante-cinq ans a présenté un léger affaibl
rale COMPLÈTE ; par F. 1-RESILLIAN. (Bmin, été et automne, 1895.)
Homme
de quarante-trois ans. syphilitique depuis huit a
logie et d'ltypno- logie, nez' 1 et 2.) Le premiercas concerne un
homme
de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta
ien où il comprimait la moelle.. Dans le second cas, il s'agit d'un
homme
de quarante-neuf ans qui se plaignit d'abord de
s et d'une faiblesse des jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet
homme
fut atteint d'une paralysie spasmodique, de con
rber devant des enfants qui allaient à l'école. L'histoire de cet
homme
est intéressante au point de vue de l'aberratio
complète chez le cheval et se trouve plus rarement complète chez l'
homme
principalement sur des cerveaux de dégénérés. O
des animaux. La scissure rliiuale est très bien représentée chez l'
homme
. La scissure olfactive représente sa partie fro
frontale. La partie tempo- rale de celle-là est représentée chez l'
homme
par la scissure, qui sépare la circonvolution d
scissure est moins bien développée sur un des deux hémisphères de l'
homme
. Cette scissure temporo-hippoeampique se continue
de l'homme. Cette scissure temporo-hippoeampique se continue chez l'
homme
dans la scissure collatérale, qui existe comme pa
le taureau comme nous savons des publications de T1l1'- ner. Chez l'
homme
les scissures secondaires sagittales de la pre-
animaux elle existe comme scissure coronaire (supérieure). Chez l'
homme
, M. Benedikt a retrouvé la partie pariétale dans
tape supérieur de la scissure inter-pariétale qui appartient chez l'
homme
, à cette première scissure de Leuret et sa cont
e de Leuret se trouve complète par exemple, chez les brebis. Chez l'
homme
, la scissure dite première scissure frontale re
pour le lobe frontal. Elle y manque pour le lobe occipital. Chez l'
homme
la partie frontale de cette troisième scissure de
ème scissure de Leuret est au contraire toujours représentée chez l'
homme
par une scis- sure constante, nommée par Benedi
cissure présylvienne correspond à la scissure frontale externe de l'
homme
, qui sépare le lobe frontal externe de la circo
euse ou plutôt des arcs verticaux sur la, scissure nommée. Chez l'
homme
il y a un arc qui sépare la circonvolution quadri
issure précen- trale interne. Cet arc ne manque pas toujours chez l'
homme
, mais il est en général rudimentaire. Un autr
nstante chez les primates, et à peu d'exceptions con- fluentechez l'
homme
avec l'arc rétro-splénique de la scissure mar-
ale-calleuse, c'est la. scissure calcarine des primates qui, chez l'
homme
, conflue à peu d'exceptions avec la scissure ré
orrespond à la partie inférieure de la scissure rétro-centrale de l'
homme
et souvent à l'étage inférieur de la scissure int
t des carnivores correspond à la première scis- sure temporale de l'
homme
, et l'arc descendant de la seconde scis- sure d
sa partie supérieure -à la scissure pariéto-occipitale externe de l'
homme
et dans sa partie inférieure à la seconde sciss
e et dans sa partie inférieure à la seconde scissure temporale de l'
homme
. M. Benenikt ajoute que les gyrencéphales ont d
des inconvénients provenant de l'absence de la main-d'oeuvre des
hommes
dans un asile de femmes et vice versa (lingerie,
rs'. Bruxelles 1892), l'étude scientifique de la criminalité chez l'
homme
dans ses rapports avec la biologie et avec la s
son mari, le fit tomber dans un guet-apens et assas- siner par des
hommes
qu'elle avait soudoyés. Elle fut condamnée à vi
tte femme n'était point aliénée. Le troisième cas cité a trait à un
homme
atteint de manie intermittente, et qui tua sa f
dont il s'agit une influence directe, par exemple dans le cas où un
homme
commettrait un crime en se croyant en état de lég
oit assez que cette jurisprudence ne tient aucun compte du cas où l'
homme
commet un crime, en sachant que c'est un crime,
par le jury et par l'opi- nion publique. Il n'y a pas longtemps, un
homme
de lettres bien connu et universellement respec
istre clinique de l'asile montre que la tuberculose revêt, chez les
hommes
de cou- leur, une forme beaucoup plus active et
ublic, et si ceux qui sont en contact immédiat et quotidien avec un
homme
le considèrent commeatteint d'une maladie menta
vec un homme le considèrent commeatteint d'une maladie mentale, cet
homme
peut être considéré comme légalement aliéné. R.
conde variété est la plus fréquente : on l'observe surtout chez les
hommes
et plus spécialement dans la paralysie générale.
ur les raisons suivantes : il rareté des lésions ana- logues chez l'
homme
non aliéné; 2° fréquence relative de ces lésion
yenne de l'effort nécessaire pour fracturer la huitième côte chez l'
homme
adulte, le chiffre de 62 livres pour la face co
ne de l'effort nécessaire pour fracturer les côtes a été : pour les
hommes
(35 cas), de 41,04 livres du côté de la convexi
i exactement que possible, de moitié moins résistantes que chez les
hommes
. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 351 5° La résis
le chemin de la perfection, car, comme le dit Shelley, « comment l'
homme
peut-il être libre, si la femme est uue esclave
nouveau telle qu'elle devait être. B. Le premier cas concerne un
homme
de vingt-six ans chez lequel l'affection débuta
dien où il comprimait la moelle. Dans le second cas, il s'agit d'un
homme
de qnarante-neuf ans qui se plaignit d'abord de
s et d'une faiblesse des jambes qui augmenta peu à peu. Bientôt cet
homme
fut atteint d'une paralysie spasmodique, de con
irurgicale. G. DENY. LXII. SURDITÉ ET aphasie hystériques chez UN
homme
; par le D'' EmoRy SANPIIEAR. Il s'agit d'un h
ériques chez UN homme; par le D'' EmoRy SANPIIEAR. Il s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans, teneur de livres, qui, ap
EUSE. lement 1/4 de pouce (os,006 environ) de plus que celui d'un
homme
adulte moyen (Duval), et la clavicule 7 pouces (o
ntée à la British médical Association, par M. Benson, le malade, un
homme
de trente-huit ans, fumeur, eut une hémianopsie
nt développé dans le tractus de Lancisi. Plus pré- cisément, chez l'
homme
, les fibres antérieures du trigone (fomiæ longu
tituante de l'extrémité inférieure ou caudale du corps calleux de l'
homme
. A l'arc d'inflexion formé par la branche latér
chez une dame tandis que jusqu'ici on ne l'avait observé que chez l'
homme
. P. K. LIV. SUR un complexus symptomatique ca
r dix ans et le second quarante ans avant la mort; la dernière à un
homme
, mort quatre ans .après une amputation du bras
e groupes inégaux (comparai- son à la résistance efficace d'un seul
homme
placé au bras long d'un levier contre une troup
d'un seul homme placé au bras long d'un levier contre une troupe d'
hommes
appliquée au bras court). Cette loi s'applique
oujours sous l'influence physiologique des tendances qui poussent l'
homme
vers la femme et l'objet de son culte est d'ess
tion à cette représentation mentale. L'amour morbide qui pousse l'
homme
vers l'homme ou la femme vers la femme, a aussi
représentation mentale. L'amour morbide qui pousse l'homme vers l'
homme
ou la femme vers la femme, a aussi ses passionn
iques des aliénés. Sa population se composait, en juin 1894, de 350
hommes
, 220 femmes, et 80 enfants des deux sexes. L'asil
timent d'administration, on a placé les quartiers des épileptiques (
hommes
et femmes) qui ont besoin d'être isolés, ou que
m- posée de deux divisions, une pour chaque sexe. La division des
hommes
, située à gauche de l'avenue, comprend 10 pavillo
ait ce chevalier, t C'est, lui dit-il, un favori du roi, un méchant
homme
que Dieu a puni de ses crimes, et qu'on a trouv
embre 1888. - - Antécédents héréditaires. Père, cinquante-cinq ans,
homme
de peine dans un lavoir. Il paraît plus vieux q
coude. L'électricité, dans l'espèce, guérit complètement le jeune
homme
en trois mois. P. K. LXXXI. Du nerf OPTIQUE du
- monique, un élément de diagnostic de paralysie générale (chez l'
homme
), mais elle existe aussi dans l'épilepsie. Quand
.) LXXXVII. SUR L'ANATOMIE microscopique DU PONT DE VAROLE CHEZ L'
HOMME
; par le D1' E. PUSATERI. (Riv. de pat. nerv. et
e MICROSCOPIQUE DES RÉGIONS pédonculaires ET SUBTIIALAMIQUES chez l'
homme
; par le D1' Domenico MIRTO. (Riv. di pat. nerv.
rse, de la sexualité oppo- sée qui se développe. N'y a-t-il pas des
hommes
ayant les attributs physiques et mentaux de la
re une rapide analyse de ces dernières : Hystérie rabiforme chez un
homme
. - M. Grasset a observé un malade qui, après av
n une succession de leçons le tableau clinique de l'hystérie chez l'
homme
et de la neurasthénie. Il passe en revue avec d
On a constaté, en Prusse, pour l'année 1893, G,409 suicides (5,135
hommes
et 1,274 femmes), sur un total de 746,478 décès
135 hommes et 1,274 femmes), sur un total de 746,478 décès (385,061
hommes
et 360,817 femmes). Ce qui donne la proportion
ie. Épilepsie avec par Hay, 140. Surdité et - hystériques chez un
homme
, par Sanphear, 365. Apoplexie. Pronostic de 1
aiioll, 177. Pont DE VAROLE. Anatomie micros- copique du - chez l'
homme
, par Pusateri, 479. PORENCÉPIIALIF. Un cas de
elle, par Ransom et Van Dyck, 59. - et aphasie hystérique chez un
homme
, par Sanphear, 365. Syphilis cérébrale, par S
en toutet partout, essaye en promenaded'at- , tirer lès regards des
hommes
. Elle aime les jeux bruyants, est très adroite
e vanité croissante, le désir d'attirer sur elle l'atten-, tion des
hommes
qui viennent dans le service. Pour le reste, rien
lleurs reconnu à l'huile essentielle, la propriété d'amener, chez l'
homme
normal, la paresse intel- lectuelle, l'assoupis
édical Journal, 15 juin 1901.) Voici le résumé de l'observation :
Homme
de vingt-neuf ans, célibataire, alité, céphalalgi
eait dans le lobe temporal et frontal de l'hémisphère droit chez un
homme
, épi- leptique, de quarante-six annéées. Le kys
res dans la porte, l'avait menacé de son fusil. » .... ' . '. Cet
homme
aurait dû être hospitalisé « depuis plusieurs a
ique post-hémiplégique. Nous résumerons ainsi notre observation. Un
homme
est atteint d'un syndrome de Weber très particu
mouvements ni de tremblements de la tête. Bonne vision. Le jeune
homme
est entré au service comme engagé volontaire. Les
la moelle et de la partie antérieure des cordons latéraux. « Chez l'
homme
, ajoute M. Achard, l'association du tremblement
eux ans; elle était sujette à des tics de la face. Le malade est un
homme
d'une intelligence moyenne, ayant reçu une bonn
1901. Il est à peine besoin d'ajouter que de par sa profession, cet
homme
était sujet à des habitudes alcooliques (excès de
devant ce fait d'une importance immense doivent s'incliner tous les
hommes
ayant assez de science pour savoir, ayant assez
nt assez de raison pour discerner le vrai du faux, fussent-ils, ces
hommes
, élevés dans les principes les plus étroits de
ce son oeuvre, c'est-à-dire la rénovation de l'ordre des carmélites
hommes
et femmes, dont elle passe pour la fondatrice ;
grandes passions : son coeur aimant alla de bonne heure vers les
hommes
et elle y revenait sans cesse, lorsque ses voeux
e déviation du globe oculaire a été observée par l'au- teur chez un
homme
atteint de tabes. Ce phénomène n'est donc pas s
La disparition de la sensibilité à la douleur précède donc, chez l'
homme
comme chez les animaux, l'abolition du mou- vem
avoir relaté un cas de psychose avec polynévrite observée - chez un
homme
de trente-quatre ans, convalescent de fièvre ty
es et psychopathiques sont d'ailleurs extrêmement communes chez les
hommes
comme chez les femmes. Bien que les qualités
BERG (de Gand.) (Journal de Neurologie, 1901, n°23.) Il s'agit d'un
homme
de trente-six ans dont l'affection débuta par d
'auteur l'attribue à ce fait que le malade exerçant la profession d'
homme
de lettres, l'appareil musculaire innervé par c
par F. Saxo. (Journal de Neurologie, 1900, n° 2.) 11 s'agit d'un
homme
de quarante-six ans, qui porte depuis sa naissa
la seconde « renversée » et d'une acuité morbide. 11 s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans, qui se plaignait de faibl
r Z. Byciiowsry. (VeM ! -o.C'eK't(/6 ? XIX, 1900.) Il s'agit d'un
homme
vigoureux de vingt-huit ans, indemne de toute t
. Le trijumeau ne joue, par rapport à la sécrétion lacrymale chez l'
homme
, qu'un rôle réflexe; il est la branche conductric
aire, plaide en faveur de cette opinion. Le facial est donc, chez l'
homme
, le nerf des larmes. - Voici, par contre, de
: la respon- sabilité partielle des aliénés, la responsabilité de l'
homme
ivre, SOCIÉTÉS SAVANTES. 173 la question de l
ion hystérique. Tachicardie et tremblement. M. Vaquez présente un
homme
atteint d'accès de tachycardie avec angoisse, s
e ce côté étant intact et volumineux. De tels cas sont rares chez l'
homme
et ne peuvent exister que quand la lésion s'est
al. Mil. Raymond et CEST.1N présentent l'examen histologique d'un
homme
ayant présenté le-syndrome du cône terminal. Cet
logique d'un homme ayant présenté le-syndrome du cône terminal. Cet
homme
était tombé en 189 d'une hauteur de 10 mètres e
trant. Il était encore, et au plus haut degré, un' philanthrope, un
homme
de bien. Son père avait fondé l'oeuvre profondé
garderont de lui le souvenir d'un ^esprit très dis- tingué et d'un
homme
qui fut très bon. F. L. ARNAUD. BIBLIOGRAPHIE.-
. « Plusieurs recommandent comme un remède excellent le sang d'un
homme
sain et décollé, pris intérieurement, et en notre
au 1 ? janvier de l'année 1901, a été de 3.916 personnes dont 2.493
hommes
et 1.423 femmes. De tous ces malades il y en av
alades il y en avait 682 qui souffraient de paralysie générale, 590
hommes
et 92 femmes. Si nous pre- nons les chiffres de
sultation, et 2° concernant le rapport du nombre des paralytiques
hommes
au nombre des paralytiques femmes. 1 Si nous fa
es résultats suivants : ' paralysie générale. ' 195 du nombre des
hommes
paralytiques au nombre des femmes paralytiques
t comparé avec le rapport du nombre de tous les .malades psychiques
hommes
au nombre de toutes les malades psychiques femm
nous, pour chaque para- lytique femme il revient 6,41 paralytiques
hommes
, c'est-à- dire que le nombre des hommes aliénés
l revient 6,41 paralytiques hommes, c'est-à- dire que le nombre des
hommes
aliénés est plus que six fois plus grand, que c
lytiques femmes, et que pour chaque femme aliénée il revient 1,75 d'
hommes
aliénés, c'est-à-dire que la quantité des homme
il revient 1,75 d'hommes aliénés, c'est-à-dire que la quantité des
hommes
aliénés est presque deux fois plus grande que c
s psychiques des deux sexes était égale, le nombre des paralytiques
hommes
serait plus que trois fois plus grand que celui
, ayant chacun une période de, cinq années. De 67.3 paralytiques (
hommes
et femmes ensemble) : paralysie générale. 197
s l'âge le plus jeune et le plus vieux est plus grand que celui des
hommes
à l'âge correspondant. Vu la rareté comparative
a lumière. La parole est para- lytique. Démence profonde. Les 572
hommes
paralytiques et les 91 femmes paralytiques d'ap
uence de la syphilis dans l'anamnèse de 'la paralysie générale. 520
hommes
et 67 femmes ont été répartis de la manière sui
s cas). Ainsi donc, dans 90 p. 100 de paralysie générale chez les
hommes
, les périodes entre l'infection par la syphilis e
nombre de formes démentes au nombre des formes maniaques, chez les
hommes
était : PARALYSIE GÉNÉRALE. 205 ment et nous
NÉRALE. 205 ment et nous avons constaté que chez les paralytiques
hommes
(528 cas) 206 CLINIQUE MENTALE. 1 s'étaient a
ue ; 30 perception par l'encéphale. On dit parfois qu'un fou est un
homme
ayant la tête à l'envers; on pourrait dire avec
à l'envers; on pourrait dire avec plus de rai- son qu'un fou est un
homme
ayant les sensations à l'envers. Je m'explique
roles : « Je ne veux plus que tu aies de con- te versation avec les
hommes
, tu n'en auras plus qu'avec les « anges ». Ces
THERESE gée dans une très grande obscurité qui ne peut voir un z
homme
placé auprès d'elle, avec cette différence que la
ante, quoi qu'en dise Thérèse. « Étant un jour dans la chambre d'un
homme
décédé 238 cS . L'HYSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE
t tout, pour étudier en commun quelques-uns des maux qui frappent l'
homme
dans son système nerveux, et chercher les meill
comme avec les variabilités individuelles; aussi contemple-t-il les
hommes
et les choses d'un oeil équitable et tolérant.
ient qu'une chose, c'est que leur situation était un peu celle d'un
homme
qui tenterait de s'enlever lui-même, en prenant
e de la physiologie animale avait déjà rendus à la physiologie de l'
homme
, et nous voyons maintenant le Muséum d'histoire
notre maladie naturelle et originelle.... « c'est par vanité que l'
homme
s'attribue des conditions divines, « qu'il se t
douches froides peuvent produire un.certain état d'angoisse chez l'
homme
sain, il est certain qu'on ne doit pas, même en v
ne peut se défendre d'une certaine émotion au souvenir des grands
hommes
dont Grenoble est l'heureuse patrie. « Bayard,
its chez le médecin, restent, tant qu'ils se sentent observés par l'
homme
de l'art, com- plètement immobiles. Ils prennen
as identité absolue entre les centres nerveux du chien et ceux de l'
homme
, ces résul- tats expérimentaux sont de nature à
rs ne prouve nullement que cette localisaticn soit identique chez l'
homme
. M. Pitres sait même mieux que personne que les
moelle, sont situés au contraire, chez le singe et surtout chez l'
homme
, dans les régions basilaires du cerveau. Le tic,
culaire chez le chien, peut donc très bien avoir son centre. chez l'
homme
, dans la région cérébrale. ' M. Ballet (de Pari
illette, qui a huit ans, est une demi-idiote. M. 11AItTr-.\13LRG. L'
homme
a naturellement une tendance à la répétition de
s d'autres renseignements héréditaires. Ma malade était mariée à un
homme
désoeuvré, qu'elle accom- pagnait un peu partou
sonne jeune ou vieille, qui porte ou ne porte pas de fardeau, d'un
homme
ou d'une femme, vierge, mariée, avec ou sans enfa
e familial ; aussi espérons-nous que les médecins en géné- ral, les
hommes
de loi, les philanthropes, assisteront en grand
paraissant ne pas jouir de ses facultés intellectuelles. . Les deux
hommes
se trouvaient dans le couloir du wagon, lors- q
t des carac- tères très analogues, sinon presque identiques, chez l'
homme
et chez la femme, comme chez l'enfant, l'adulte
ie est plus fréquente chez la femme, mais on l'observe aussi chez l'
homme
. 6° On pourrait faire intervenir dans sa produc
e âgée qui soit garant de leur bonne conduite et de toute volonté d'
homme
prêle à les défendre leur valent la sensation d
z bien service... Clotilde. Pour M. Goron, les « Castors » sont des
hommes
vivant dans des trous, sous le mur des fortific
tions d'avant en arrière. En marche, il titube et festonne comme un
homme
ivre; il est parfois obligé de s'appuyer au lit
nous tombons dans l'ar- gumentation. La clinique montre ceci : un
homme
jusque là bien portant fait depuis six ans au m
oite réservée au service des femmes; celle de gauche au service des
hommes
; les services généraux au centre. Les pavillon
mprend seize pavillons pour les indigents, un pension- nat pour les
hommes
, un autre pour les femmes et une colonie agrico
ux malades du pensionnat (F.). De même aussi pour le pensionnat des
hommes
, il esta regretterque le rideau d'arbres que no
traction » qui ne peut que nuire aux malades, - Au pensionnat des
hommes
, au second étage, il y a un dortoir de 7 lits p
: au centre est l'installation hydrothérapique, d'un côté bains des
hommes
, de l'autre bains des femmes. - Dans le vesti-
Au cours de l'année, il a été admis 19 cas de folie alcoolique (14
hommes
, 5 femmes), et 2 cas de crélinisme ou mieux de
Saint-Ferréot, Calmeil, Gasparni, Baillarger, pour la division des
hommes
; Esquirol, Ferron, Sainte-ChantaI, Saint-Côme,
serait tout à fait impossible. Les auteurs citent l'exemple de deux
hommes
arrivés à l'âge moyen de la vie, qui tous deux
chromogène, regardé jusqu'ici comme absolu- ment inoffensif pour l'
homme
et pour les animaux, le Bacillus putridus, peut
n cli- nique, le plus grand intérêt. On l'observe toujours chez des
hommes
adultes, intoxiqués d'assez longue date, sous l
me dans l'étiologie de l'auto- accusation. En voici un exemple : un
homme
, buveur d'habitude, qui n'était, du reste, null
sur une faute réelle, mais singulièrement grossie; ensuite que cet
homme
con- serve indéfiniment la subconscience de son
un cas d'aulo- héléro-accusation assez intéressant : il s'agit d'un
homme
qui déclara tout récemment à la justice qu'une
n d'observer un fait appartenant à cette catégorie : il s'agit d'un
homme
, un peu débile congénitalement, qui, au cours d
le, le 19 juillet dernier, Rappelons qu'il s'agit exclu- sivement d'
hommes
. Tous ont largement absorbé les éléments nocifs
'après la théorie que j'ai développée au Congrès de Limoges, chez l'
homme
, le tonus musculaire est exclusivement cortical,
le singe, la clinique démontre qu'elle est absolument fausse chez l'
homme
. M. Brissaud objecte que des lésions destructiv
ait qu'une section médullaire complète abolit définitivement chez l'
homme
le tonus et les réflexes (sauf les défensifs) d
Il arrive souvent aux juridictions répressives d'avoir à juger des
hommes
de vingt-cinq à cinquante ans qui ont eu, jusqu'a
u délit poursuivi, une excellente conduite. Brusquement un de ces
hommes
commet quelque acte immoral punissable, quelques
r un voeu ; si le Congrès s'y associe; il resterait à confier à des
hommes
plus com- pétents que moi le soin de formuler a
actions propres au tabétique, lequel ne saurait être massé comme un
homme
bien portant. Le pétrissage, le tapotement vigo
e générale. M. Dupré. On sait que chez les paralytiques généraux (
hommes
ou femmes) les délires de grossesse ne sont pas r
- iiie. L'évolution de la maladie semble plus longue que chez les
hommes
normaux et n'en a pas les caractères. M. Dupré
enne , un de la Seine. L'asile compte 29 aliénés dits criminels (20
hommes
et 9 femmes), qui sont considérés comme dangere
Burcy, canton de Vassy, s'est pendu dans sa grange. Ce malheu- reux
homme
, père de cinq enfants, était depuis près d'un moi
, un individu qui se leva à sa vue. Je suis fou, monsieur déclara l'
homme
, et j'ai envie.de tuer quelqu'un, de boire son
ochers au milieu des nuages qui s'écartaient : sur ces planètes des
hommes
passaient, nus et montés sur des chevaux qui se
e planète, planète première, il y a les planètes secon- daires où l'
homme
est moins heureux, et la Terre enfin qui est l'
comme cela arrive trop souvent, des rapports complets avec un autre
homme
? On aurait certainement cru sur parole la malh
ervations. Dans la première, le tic est unilatéral ; il s'agit d'un
homme
très intelligent, occupant une situation sociale
arle Dr Batigne. (Revue neurologique, octobre 1899.) Il s'agit d'un
homme
de vingt-neuf ans qui reçut un coup de couteau
e normal. Le nombre desépileptiques, dits non.aliénés, estde 31'(16
hommes
et 15 femmes). Relevons cette opinion que nous
actuelle, un seul cas de tuberculose chez les femmes et du côté des
hommes
il n'y a qu'un seul cas avéré et deux cas doute
malades du département. Il n'y a pas d'aliénés condamnés. Pour les
hommes
et les femmes, le service de nuit est assuré pa
sie, 8 chambres d'isolement ; 60 .lits nouveaux pour 2 ser- vices d'
hommes
et 2 grandes infirmeries pour hommes et femmes
s nouveaux pour 2 ser- vices d'hommes et 2 grandes infirmeries pour
hommes
et femmes avec 9 chambres d'isolement... « En
t de M. Giraud. Le vestiaire affecté aux secours en nature pour les
hommes
com- prenait, à la même date, 574 objets de vêt
s savons seulement qu'il a eu deux fluxions de poitrine. C'est un
homme
de tempérament mixte, primitivement bien consti
ntre un M.-D..., qui est le bon Dieu et qui le délivre, et aussi un
homme
à cheval; cet homme est sa femme, qui a le pouv
est le bon Dieu et qui le délivre, et aussi un homme à cheval; cet
homme
est sa femme, qui a le pouvoir de se métamorpho
et IV de la collection de M. Hoche. Les voici : Observation III.
Homme
de vingt-cinq ans. Chute du couteau à 7 h. 5 mi
2 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Observation IV.
Homme
de cinquante-trois ans. Chute du couteau à 7 h.
l'excitation. Ce réflexe ne se rencontre pas à l'état normal chez l'
homme
adulte; il parait, au contraire, exister chez l
seuls ne suffiraient pas à expliquer la diversité du caractère de l'
homme
, ni la variété de ses troubles mentaux; ils son
« ne semblaient pas s'associer à la façon de celles des autres «
hommes
. » Il rejeta complètement la foi religieuse qu'il
Ireland, que Nordau ait voulu à toute force étiqueter et classer un
homme
qui est tout justement un cas par- ticulier.
avoir considéré toutes choses avec une perpétuelle nausée, comme un
homme
qui a le mal de mer consi- dère les aliments. I
liments. Il jugeait niais de s'indigner contre la méchan- ceté, les
hommes
n'étant que les instruments de la fatalité, mais
ré sou intelligence et augmenté son mécontentement de la vie. Peu d'
hommes
, et seulement les meil- leurs, sont rendus meil
les règles ordinaires de conduite dans ses rapports avec les autres
hommes
, alors qu'il donnait satisfaction à ses ten- da
un malade qui a déjà été l'objet de diverses publications. C'est un
homme
âgé de trente ans et qui mesure actuellement 2
montre précisément le bien fondé de cette manière de voir. C'est un
homme
de quarante-cinq ans, affecté d'un tremblement
e, part entièrement nombreux en 1901, à la suite du transfert de 54
hommes
prove- nant des asiles de la Seine et qui eut l
hexie très prononcée. En 1901, nons avons perdu ainsi 10 malades (7
hommes
et 3 femmes) qui étaient entrés depuis BIBLIOGR
l a été administré 2 833 bains et 861 douches dans les services des
hommes
; chez les femmes, il a été donné 3,048 bains et
i ? Euq, médecin à la colonie de Gheel. Sur 384 aliénés, dont 200
hommes
et 184 femmes, composant au l01' septembre 1901
effectif de la section confiée aux soins du D1' leetis, 40, dont 21
hommes
et 16 femmes, étaient atteints de démence préco
petit village furent complètement désertes. Cependant, un groupe d'
hommes
courageux s'était formé sous la conduite du mai
lerba, qui, par précaution, s'était armé d'un fusil. Une chasse à l'
homme
fut organisée et, bientôt après, Guérin, qui br
apparaissent assez souvent dans la cata- .' tonie, surtout chez les
hommes
, et durent même plusieurs 1 années ; ¡ 2° Dan
ar des produits sexuels à des conditions de l'absti- nence chez les
hommes
, également que chez les femmes. En faveur de ce
on physiologique des produits sexuels principaux; 2° la plupart des
hommes
catatoniques sont des onanistes obstinés, et, p
y compris les globes mats de Popow, mais sans noyau (surtout chez l'
homme
). 2. Une couche de petites cellules nerveuses m
encéphalomédullaire. Cette répartition, relativement claire chez l'
homme
, est impossible chez l'animal. La texture des f
des fibres nerveuses comporte, chez le chien, le chat, le lapin, l'
homme
, la disposition suivante, en allant de la péri-
z le lapin, et passe en revue des lésions du système nerveux chez l'
homme
dans lesquelles les troubles des images colorée
inski et Nageotte (Nouv. lconogr. de la Salpétrière, n° 6. 1902).
Homme
de cinquante ans, syphilitique depuis l'âge de tr
res recherches avec d'autres recherches antérieures por- tant sur l'
homme
adulte, indique que dans la moelle adulte les p
ié p.,ichiat1'ii. VII, 1902). , La première observation concerne un
homme
de 49 ans. Trou- bles du langage, de la lecture
de laquelle siégeait déjà le foyer. L'observation 2 a trait à un
homme
de 45 ans. Il présente . d'abord un trouble abs
. de Neu- ' ' rologie, 1903, n° 2.) Cette obseruation concerne un
homme
qui contracta la syphilis à vingt-deux ans et c
Dr DECROLY (jours. de Neurologie, 1903, n° 3.) 1 Le malade est un
homme
de trente-trois ans, qui fut pris un jour en ch
r de Buatt. (Journal de Neurologie, ' 1903, na 5.) Il s'agit d'un
homme
de 35 ans, ni alcoolique, ni syphilitique, mais
asie hystérique. Le cas nouveau observé par les auteurs concerne un
homme
, fils d'alcoo- liques, frère d'épileptiques, qu
quelette (gigan- tisme ou acromégalie). La maladie a évolué chez un
homme
de cinquante-huit ans ; cette observation prése
er cette anomalie : la tumeur hypo- physaire étant survenue chez un
homme
âgé et à périoste inactif, elle n'a pu détermin
que de vou- loir noyer un bébé de trois ans ! Sans le secours d'un
homme
que les cris de l'enfant avaient attiré sur la
'une façon assez méticuleuse à des recherches sur la parenté de 305
hommes
et 286 femmes épi- leptiques (591 épileptiques)
Maréville, dont la population épileptique était de 63 femmes et 52
hommes
, que ce sont les sujets qui présentent le plus
0, développées brillamment par Grasset, ne viennent-elles pas d'un
homme
certainement très distingué, mais dont le nom m
tu du même principe de causalité erronée qui fait attribuer par les
hommes
à des objets inanimés ou ima- ginaires un pouvo
raisonnement soient anéantis ni même affaiblis. Ne voit-on pas des
hommes
éminents, doués d'une intelligence supérieure,
comparer à celles des Aissaouas, des martyrs, ou simplement de tout
homme
distrait. Disons d'ailleurs que le stoïcisme ne
VII, 1902). - -, Il est entré pendant ces- douze ans 4 759 aliénés
hommes
dont - 684 paralytiques et 2 331 aliénées femme
s femmes, dont 116 paralytiques. De 1890-1895 il est entré en tout,
hommes
et femmes, 2 84G aliénés quelconques; de 4896-1
six premières années. De 1890 à 1895, il est entré 305 paralytiques
hommes
et femmes; de 1896-1901, il en est entré 495, c
demie autant que pendant le premier sexennat Le nombre des aliénés
hommes
pendant ces douze années s'est élevé à un peu p
plus du double du chiffre des femmes; le nombre des para- lytiques
hommes
pendant le même temps a presque été six fois pl
Trois observations intéressantes. Dans la première, il s'agit d'un
homme
de soixante-neuf ans atteint depuis 1869 de fol
nt que la mé- lancolie. Les femmes y seraient plus exposées que les
hommes
: sur 86 malades atteints de psychose circulair
malades atteints de psychose circulaire on compte 83 fem- mes et 34
hommes
. Sur 77 cas où les renseignements ont pu être r
l'effet de la ponction lombaire fut caractéristique. Il s'agit d'un
homme
de quarante-neuf ans, entré à l'hôpital avec des
n triple but : per- mettre à l'idiot de communiquer avec les autres
hommes
, déve- lopper son intelligence et le rendre uti
ncéphalite. L'observation suivante est intéressante à ce propos. Un
homme
de vingt-huit ans, L..., entre à Bicêtre au mois
le augmente gra- déliement de fréquence à l'époque actuelle; 4° les
hommes
sont . sept fois plus atteints que les femmes;
s cérébrale et démence. M. \TCCOUnoUx communique l'observation d'un
homme
mort de syphilis cérébrale et dont l'état démen
rvation des réflexes cutanés et tendineux. MM.E. Duphé et P. Camus.
Homme
de soixante-cinq ans. syphilis il vingt-cinq an
s appliquée. Un cas de mutisme prolongé. M. LEItILLON présente un
homme
de quarante ans qui, depuis la mort de sa femme
, d'après Hrdlicha, dans une proportion de 40 à 50 p. 100, pour les
hommes
, et de 50 à 60 p. 100, pour les femmes. Morsell
rifier ces chiffres qui parais- sent un peu bien exagérés : sur 328
hommes
et 280 femmes il n'a trouvé la tuberculose des
tuberculose des père et mère que dans 39 cas (6, 7 p. 100 pour les
hommes
, 6 p. 100 pour les femmes),qui se répar- tissen
natomiques DU système nerveux produites tzar la tuberculose. Chez l'
homme
, les altérations du système nerveux périphériqu
. Dès la crise passée, c'est-à-dire au bout d'un quart d'heure, cet
homme
, un mendiant du nom de Guillaume G..., âgé de q
teau catalan le pauvre Villard, ne l'a pas dévalisé ; et les deux
hommes
ne se connaissaient pas, et rien dans les antécéd
, l'action abominable accomplie, il n'a pas même songé à fouiller l'
homme
qui râlait à ses pieds. Il a continué son chemi
ectuel avec idées hypochondriaques. IIallucinations multiples ; des
hommes
la poursuivent et lui disent de vilaines choses
t de mal. - Epilepsie grave plus fréquente chez la femme que chez l'
homme
; causes de cette gravité et de cette fréquence
et Krishaber. Art. Crétinisme, du Dict. Dechambre, page 182. ' L'
homme
et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQU
épilepsie la plus grave chez la femme (état de mal plus rare chez l'
homme
), alors que l'épilepsie relative- ment fruste,
sie larvée, par exemple, est, au con- traire, plus fréquente chez l'
homme
. N'est-ce pas cette plus grande activité foncti
t temps (maladie ou santé), la femme est plus impressionnable que l'
homme
? Je suis porté à le croire. En résumé, prena
tantôt à gauclip, tantôt en arrière; 2° Statistique relative à 52
hommes
épileptiques : de ces S2 épilep- tiques, 39 tom
nos mouvements sont centripètes et déprimés. Comme dans la vie, l'
homme
froid qui sait se maîtriser affecte une attitud
nt et tend la main à celui qu'il rencontre, de même l'écriture de l'
homme
froid est plus droite, celle du senti- mental p
r le D DEBRAY. (Jouwa. de Neurologie, 1903, n° 2.) Il s'agit d'un
homme
de vingt-cinq ans, ayant eu dans son enfance un
r le Dr DE Bucu. (Joum. de Neurologie, 1903, n° 10.) Il s'agit d'un
homme
de trente-six ans qui a commencé par pré- sente
st incom- plète, et l'apoplectique se trouve dans la situation d'un
homme
à moitié endormi ; 2° ou bien la rétraction est
OODALL. (The Journal of Mental Science, Avril 1903)- Il s'agit d'un
homme
de trente-cinq ans, envoyé à l'asile de la pris
s enfants, simplement faibles d'esprit, deviennent trop souvent des
hommes
nuisibles. Quant aux adultes de cette catégorie
le peu logique d'appliquer à un aliéné les mêmes pro- cédés qu'à un
homme
sain d'esprit. Il me paraîtrait suffisant en pa
e 1890 à 1902, durant laquelle furent constatés 201 suicides (126
hommes
et 75 femmes), ce qui sur un chiffre approximatif
nne au pourcentage de 0,0025 ou 2 5/8 p. 10000. Dans trente cas (17
hommes
et 13 femmes) l'acte a été commis avant l'admis
es et 13 femmes) l'acte a été commis avant l'admission. 16 fois (10
hommes
et 6 femmes) il a été commis après évasion, et
ommes et 6 femmes) il a été commis après évasion, et vingt fois (11
hommes
et 9 femmes) après une sortie d'essai. En dédui
s) après une sortie d'essai. En déduisant ces chiffres, il reste 88
hommes
et 47 femmes qui se sont suicidés à l'asile, soit
qui se sont suicidés à l'asile, soit 135 malades. Sur ce chiffre 40
hommes
et 32 femmes étaient signalés comme ayant des i
des idées de suicide, et il y avait eu négli- gence dans 51 cas (27
hommes
et 24- femmes). Dans 18 cas, z (10 hommes et 8
- gence dans 51 cas (27 hommes et 24- femmes). Dans 18 cas, z (10
hommes
et 8 femmes) ces tendances étaient douteuses. La
début. Gigantisme infantile. MM. Bmssaufl et Meige présentent un
homme
de trente ans tout à fait infantile mais extrêm
femme est plus souvent alteinte de pseudo-oedème catatonique que l'
homme
. Ecriture et débilité mentale. M. R. FOERSTER
hospices d'alié- nés et les établissements privés. Les couvents- d'
hommes
et de femmes ne peuvent plus recevoir d'aliénés
us n'avons que quatre asiles : Marcoutza à Boucarest, avec 500 lits
hommes
et femmes ; Golia à Jassy, avec 100 lits, femmes;
ia à Jassy, avec 100 lits, femmes; Monastère Neantzu, avec 100 lits
hommes
; Madona-Dudu à Craïova avec 60 lits hommes et
Neantzu, avec 100 lits hommes ; Madona-Dudu à Craïova avec 60 lits
hommes
et femmes. Comme établissement privé il n'y a q
ls n'appartiennent, en rien, à la patho- logie, ils ne sont que des
hommes
très petits, reliquats d'une race ancienne, qui
on du cervelet, il est probable que, sans cette complication, cet
homme
de 54 ans se fût rapidement rétabli. P. Keraval.
de l'anosmie. L'auteur se demande si le cholestéatome serait chez l'
homme
, comme chez le cheval, caractérisé par un syndr
mars 1901, p. 136.) MM. Barjon et Cade, à propos de l'autopsie d'un
homme
atteint de maladie de Friedreich, dttirent l'at
nal of - Mental Science, juillet 1903.) Observation curieuse d'un
homme
de trente-sept ans, atteint de paralysie généra
n cas de délire consécutif à des pratiques spirites. Il s'agit d'un
homme
de cinquante-deux ans, sondeur. Rien à signaler
iapason vibre sur le squelette. Cette faculté, existant déjà chez l'
homme
normal,.ac- quiert un grand développement et af
ique, guérie par un procédé psychothérapique. M. DEI10 : \CHY. Un
homme
de vingt-cinq ans présente, à la suite d'une gr
- Un cas de mutisme prolongé. M. Berillon. - Je vous présente un
homme
de quarante-quatre ans qui, depuis la mort de s
. Je me demande si nous sommes en présence d'un vésanique ou d'un
homme
qui a simplement fait avec lui-même le pacte de n
ittent la salle sans dire un mot. Il sem- ble que le mutisme de cet
homme
soit complètement voulu comme cela arrive dans
matin, deux marins passant dans la rue de l'Armedieu, ont trouvé un
homme
correc- tement vêtu étendu sur le pavé et en pr
ait profiter. Il. DE Musgrave-Clay. Lesinfiumiers dans LES salles d'
hommes
des asiles, par A.-13. TUMBULL (The Journal 0/'
nce à l'asile de Fifre. Il conclut en disant que, dans les salles d'
hommes
d'un asile, il y a du travail pour des infirmie
s motrices, passait de longues heures à pousser les cris de : « des
hommes
, des hommes». Dès qu'elle apercevait un homme,
passait de longues heures à pousser les cris de : « des hommes, des
hommes
». Dès qu'elle apercevait un homme, immédiatemen
les cris de : « des hommes, des hommes». Dès qu'elle apercevait un
homme
, immédiatement elle s'élançait sur lui, et essa
e, avait, elle aussi, des désirs érotiques très intenses. Lorsqu'un
homme
entrait dans la salle, l'oeil devenait brillant
cement du noyau dans les cellules du système nerveux central de l'
homme
; par John TUnNER. (The Journal of Mental Science
, comme pour eux,les lésions cellulaires,observées dans la moelle d'
hommes
ou d'animaux tétaniques, sont banales et n'ont
PuGH. (The Journal of Mental Science. Avril 1903). Il s'agit d'un
homme
de quarante-cinq ans, entré à l'asile pour une
ar W.-C. SULLIVAN. (The Journal of Mental Science. Janvier 1903).
Homme
de 27 ans, aurait eu à l'âge de deux ans-une cris
ions pigmentaires dans toutes les grandes cellules nerveuses chez l'
homme
et chez les animaux; il est plus que probable q
p. ï8, 7 décembre 1902). M. Lannois communique l'Observation d'un
homme
de qua- rante-trois ans qui depuis trois ou qua
pose de quatre observations intéressantes : la première concerne un
homme
qui avait avalé en état de démence REVUE DE PAT
nt une intervention chirurgicale, guérison. La seconde a trait à un
homme
qui présenta de la pyohémie septique ou cryp- t
a victime à la vie demeuraient inu- tiles. Cette mort slupide, d'un
homme
de 38 ans, tué par unirres- ponsable, n'est-ell
n à l'étude des états d'indifférence et d'aboulie. Il s'agit d'un
homme
de quarante ans M N..., israélite, entré à la m
s sa vie était en effet bien peu active. Autrefois M. N... était un
homme
actif, aimant beaucoup les dis- tractions, la m
le minimum d'efforts possible; il assemble le prénom et le nom d'un
homme
ce qui simplifie la besogne. Dans un autre exer
'(/illt le son du cor le soir nu fond... du parc. Le 6rntt, c'est l'
homme
ajouté a la nature. Réjolliss')1 nous... hullev
ant, chaque aliéniste sera disposé à considérer comme dégénéré tout
homme
qui ne lui ressemble pas. Pour nous, nous n'acc
ré- sence de grosses tares morbides qui différencient nettement 1
homme
de ses semblables, en font un anormal dans toute
francs. Il est lui-même gêne- ral de division, il commande 200.000
hommes
, il a une fortune de quatre-vingt millions de f
er. En même temps elle aurait entendu une violente dispute entre un
homme
et une femme, mais ne les voyant pas elle admit
e avec la dégénérescence tabétique des colonnes postérieures chez l'
homme
. Les observations de l'auteur qui portent sur u
ctères nouveaux de la structure intime de l'écorce cérébrale chez l'
homme
; par John TURNEP (The Journal of Mental Scienc
le et qui n'avait jusqu'ici jamais été observé dans le cerveau de l'
homme
, mais seulement autour des cellules nerveuses d
- teur, n'a jamais été démontré jusqu'ici ni dans le cerveau de l'
homme
ni dans celui des animaux. L'auteur décrit ensuit
utiles, on ne saurait en appliquer les résultats au cerveau de l'
homme
que lorsqu'elles auront été confirmées sur le cer
ésigne sous le nom de centres chez les animaux supérieurs et chez l'
homme
. M. Kingsford rap- pelle ensuite et discute les
ôle volitionnel qui va se déve- loppant depuis le poisson jusqu'à l'
homme
; que les éléments de contrôle ou volitionnels
dérante chez les animaux de l'organisation la plus élevée et chez l'
homme
, et qu'ils sont proportionnels à la complexité
dite essentielle, ayant débuté à l'âge de trente et un ans chez un
homme
ne présentant aucune tare nerveuse anté- rieure
les avantages que l'on retire du régime hypochlo- ruré associé aux
hommes
dans le traitement de l'épilepsie sontles suiva
erfs ne laissent aucun doute sur la légi- timité du diagnostic. Cet
homme
est obligé, par sa profession de cocher, de mai
être bien instituée. Il y avait 278 cas de mélancolie en tout (102
hommes
et 176 femmes) et, en rapport à tout le nombre
de la Cli- nique, cela fait 6, 23 p. 100; ce rapport, pris pour les
hommes
et les femmes à part, revient pour les premiers
les secondes, 10,75 p. 100; c'est-à-dire que la mélancolie chez les
hommes
se rencontre trois fois plus rarement que chez le
00 de tous les cas. Le premier accès de mélancolie revient chez les
hommes
pour l'âge de 21-30 ans et chez les femmes pour
chez les femmes pour l'âge de 21-25 ans; le second accès chez les
hommes
le plus souvent survenait 1-5 ans et chez les fem
u à peu à l'acti- vité émotionnelle et volontaire qui caractérise l'
homme
normal. Résumons maintenant dans ses grands tra
n asile pendant une période de douze ans, et se décomposant en 1693
hommes
et 1752 femmes. Parmi ces malades, on en 'a tro
maintenant chez ces 965 malades la question de sexe, on trouve 419
hommes
et 546 femmes (soit un pourcentage de 34/74 . v
46 femmes (soit un pourcentage de 34/74 . varia. : .17 7 pour les
hommes
et de 31,16 pour les femmes). La différence est
squels l'influence paternelle était pré- dominante, il'a trouvé 130
hommes
et 176 femmes; tandis que dans 314 cas où l'inf
314 cas où l'influence maternelle prédominait, il n'y avait que 124
hommes
contre 190 femmes. On voit par les chiffres que
que 68 cas congénitaux, avec ou sans épi- lepsie, se divisant en 35
hommes
et 33 femmes. Ce chiffre est 518 . VARIA. ' f
aire était nette (soit 44,11 p. 100). Sur ces 30 cas, il y avait 13
hommes
et 17 femmes. > La folie associée à l'épil
s cas de folie épileptique relevés par l'auteur est de 120, dont 77
hommes
et 43 femmes. Ceux de ces malades qui avaient u
ladies mentales. La statistique de l'auteur porte sur 433 cas - 363
hommes
et 70 femmes. - Dans 82 de ces cas, - 60 hommes
e sur 433 cas - 363 hommes et 70 femmes. - Dans 82 de ces cas, - 60
hommes
et 22 femmes les antécédents héréditaires d'ali
les sexes, de 31.42 pour les femmes, et de 16,52 seulement pour les
hommes
. Il résulterait de ces chiffres que la paralysie
exes parait indiquer que la maladie est plus souvent acquise chez l'
homme
que chez la femme, ce qui n'est pas sans import
porté les recherches précédentes. Ce bloc comprend 2824 cas (1 218
hommes
et 1 606 femmes). L'hérédité a été constatée ch
un pourcentage de 28,85), et en séparant les sexes on trouve 331
hommes
(soit 27,17 p. 100) et 484 femmes (soit 30,13 p
s 578 cas (16,77 p. tOO). En séparant les sexes, on trouve pour les
hommes
327 cas (19,31 p. 100) et pour les femmes 251 c
clut qu'il est nécessaire de poursuivre par tous les moyens, chez l'
homme
, chez les animaux, chez les plantes, par l'obse
chroma- z tolyse centrale avec déplacement du noyau dans les de l'
homme
, par Turner, 378. A propos du pro- blème entr
Infantilisme. Voir Gigantisme. Infirmiers. Les dans les salles d'
hommes
des asiles; par Tum, b1l11, 351. lnrIR111ÉItE
cke, Hitzig, Rieger, Iteaunis, etc.), IIering a observé que, chez l'
homme
, les antagonistes ne se con- tractent pas simul
imultanément; qu'il y a des « pseudo-antagonistes », et que, chez l'
homme
comme dans les animaux, « les antago- nistes se
abischezz IIi ? zte-st ? ,a ? igsei,ki,ankil71g. Iéna, 1897. Chez l'
homme
adulte, l'existence de collatérales des racines
4° Le professeur de psychiatrie, ajoute Griesinger, doit être un
homme
de science, qui ait consacré sa vie à la recherch
irmières soit une infirmière pour 5,6 malades. Dans la division des
hommes
la proportion des infirmiers par rapport au nombr
897.) Ce travail se compose de trois observations. Observation I.
Homme
de quarante-huit ans, marié depuis vingt ans :
à l'asile. Il n'a pas d'antécédents héréditaires. Observation IL
Homme
de quarante-deux ans, célibataire, sans profess
chercher un autre : on pourrait dire que lorsque, par ses actes, un
homme
nuit à lui-même ou aux autres, il doit être con
nt pas moins conduire, et n'en conduisent pas moins effectivement l'
homme
, par leurs résultats éloignés, à nuire aux autr
par J.-R. Ambler. (The Journal of 31ental Science, janvier 1898.)
Homme
de cinquante ans, admis à l'asile le 4 octobre 18
lant de la fenêtre, et que depuis ce temps-là il n'est plus le même
homme
parce qu'une autre personne dont il cite le nom
s. Pour la substance grise il est nécessaire de distinguer chez l'
homme
deux zones : zones des cellules radiculaires occu
ticale. Voici un fait qui peut servir à élucider le problème : Un
homme
de cinquante-sept ans est amené à l'hôpital pour
use toxique appréciable, quinze jours après un accouchement ; 2° Un
homme
atteint d'épanchement pleural léger avec érythème
trouvé la. malheureuse pendue dans sa chambre à coucher. (Le Boii-
homme
Normand du 24 novembre 1900.) Tentative de meur
paternelle et maternelle, aussi bien chez les animaux que chez l'
homme
. Elle est fréquente dans la syphilis et on trouve
a porté des coups à sa soeur, n'osant pas encore s'atta- quer à des
hommes
. Il finira par ruiner son frère et son beau-frère
ire admettre à l'Asile le 17 jan- vier 1890. Constant T... est un
homme
de taille moyenne (1111,61), d'as- pect un peu
note au passage les phrases suivantes : « Si mon ballon valait des
hommes
, j'irais tout seul voyager... En lisant le mot,
on ordonnée quelconque, concentrique, des blocs chromatiques chez l'
homme
. Schaffer croit pourtant que cette disposition
z eux la surface des circonvolutions est lisse, tan- dis que chez l'
homme
la surface de substance grise est considéra- bl
; par Nathan HAW. (The Journal of Menlul Science, janvier 1899.)
Homme
de trente-huit ans, alcoolique invétéré, est tomb
yramidal dont le grand développement est essentiellement propre à l'
homme
. Le . petit nombre des cas examinés n'a pas per
de nos classifications cou- rantes. · Sur les 71 cas examinés (26
hommes
et 45 femmes), il y en . avait 25 (8 hommes et
les 71 cas examinés (26 hommes et 45 femmes), il y en . avait 25 (8
hommes
et 17 femmes) où la substance chromophile prése
et de Moon. (Journ. de Neurolo- gie, 1900, n° 15.) Il s'agit d'un
homme
de trente ans chez lequel s'est développé, depu
tes sur deux cas de destruction de la, moelle lombo-sacrée chez l'
homme
que la lésion traumatique ou nécrobiotique du fai
9 XXVII. De l'évolution des cellules de l'écorce cérébrale chez l'
homme
; par W.-M. Bechterew. (Obozrenie psiclaiatrü, n°
et des jeunes gens, ayant en vue les exigences et les devoirs de l'
homme
social, parce que l'évolution des idées pédotog
Etude sur la perceptibilité différentielle du sens de la vue chez l'
homme
sain et malade. Arch. de Neurologie, 1886, n° 7
la neurasthénie. Les femmes sont plus fréquemment atteintes que les
hommes
. La neurasthénie chez le vieillard diffère de c
terne. Troubles de la sensibilité; par Cn. 11lIRALLlÉ (de Nantes)
Homme
, trente-huit ans, ancien syphilitique, est pris s
troubles de la sensibilité persistent exactement comme au début.
Homme
, cinquante-huit ans. Sensation de faiblesse subit
tout en se disant morte n'accuse personne de sa mort, alors que l'
homme
attribue son trépas à de puissants ennemis. L'aut
. Sérieux et Roger-Mignot. Les auteurs donnent l'ob- servation d'un
homme
de soixante-quinze ans qui, à la suite de sa de
désir que manifestent les malades eux-mêmes. - L'épilepsie chez les
hommes
de génie. M. Félix REGNAULT. Sans doute, l'homm
pilepsie chez les hommes de génie. M. Félix REGNAULT. Sans doute, l'
homme
de génie est anor- mal, et parce qu'il possède
s suivantes : 4° les prétendues attaques épileptiques de ces grands
hommes
peuvent tout aussi bien avoir été des attaques
e faut pas confondre l'absence du mal comitial avec Vidée fixe de l'
homme
de génie. Présentation d'appareil (appareil à h
s qui ont été fort longues à guérir. 15 octobre 1899. Actuellement,
homme
vigoureux, taille moyenne, bien constitué, qui,
ins (y compris les médecins assis- tants) et 55.877 malades (30.358
hommes
et 25.519 femmes). Établissements privés : 120
lissements privés : 120 avec 182 médecins et 18.210 malades (11.483
hommes
et 6.727 femmes). Soit en tout 2G2 établissemen
onsacrés aux aliénés, avec 741 méde- cins et 74.087 malades (41.841
hommes
et 32.248 femmes). II y a donc pour 100.000 hab
Science, juillet 1897.) Ce travail est basé sur 43 observations (21
hommes
et 22 femmes), les auteurs sont amenés à conclu
Boocuaon. (Joui,il. de Neurologie, 1900, n° 18.) Observation d'un
homme
de cinquante-sept ans chez lequel deux ictus ap
une proportion égale à celle des blancs : dans les deux races, les
hommes
ont été beaucoup plus atteints que les femmes. On
nt des expériences involontaires, non préparées, et exécutées sur l'
homme
sain et que par là elles échappent à plusieurs
té- ressant de publier l'observation suivante que nous résumons :
homme
de quarante-neuf ans; pas de syphilis, pas d'alco
es de la défraction. Les femmes sont plus souvent atteintes que les
hommes
; les enfants et les adultes y sont également e
s. (I'he New-York Médical Jour- n, 27 avril 1898.) Il s'agit d'un
homme
de quarante ans chez lequel la syphilis ne data
e et la pédagogie vont concurremment y être mises à contribution; l'
homme
de science et l'homme d'éducation seront heureu
concurremment y être mises à contribution; l'homme de science et l'
homme
d'éducation seront heureux de s'y rencontrer. «
aliénés de Maréville. Rapport du médecin en chef de la division des
hommes
à M. le Préfet de Meurthe-et-Moseiie. - In-8° de
e époque quel était l'état de Antoine L..., au moment de l'entrée :
homme
assez grand, fort, céphalalgie assez intense so
. enfant de douze ans, puisque le poids moyen de l'encéphale d'un
homme
âgé de vingt-un à trente ans est de 1 341 grammes
\alter-1J. CLInEK. (The New-York Médical Journal, 14 août 1807.)
Homme
de cinquante-un ans, bien portant, sobre, non syp
nos connaissances sur la structure et les fonctions du cerveau de l'
homme
; mais il est malheureux qu'un etropt plus pers
.) ' Les recherches de l'auteur ont porté sur quatorze cerveaux d'
hommes
et seize cerveaux de femmes. Les régions cérébral
deux sexes, mais celui de la substance grise est de 1039 pour les
hommes
et de 1032 pour les femmes. Pour chaque région ét
ique. Si l'on considère l'influence du sexe, on voit que chez les
hommes
, le poids spécifique est absolument identique dan
Le maximum de différence entre les deux substances se trouve chez l'
homme
à la région frontale, le minimum dans les circo
ermédiaire des sens spéciaux, et c'est lui qui met nécessairement l'
homme
en rapport avec la nature : > par son éducat
rapport avec la nature : > par son éducation objective, il met l'
homme
en état de vivre au milieu de son entourage phy
termédiaire ordinaire du sens : l'existence de cette faculté chez l'
homme
n'est plus une hypothèse, car elle se rencontre
CROOKSHANK. (1'hc Jottrltul oJ' .lleztul Snienee, octobre 1898.) le
Homme
de vingt-huit ans, épileptique : après la période
ent à ceur que décrit Richer à propos de la grande hystérie. · 2°
Homme
d'un certain âge trouvé en état de vagabondage et
.) Le groupe des malades examinés se compose de 1014 sujets, (507
hommes
et 507 femmes) : ces recherches ont eu surtout po
ales et puerpérales. L'autre groupe, plus important, ren- ferme 376
hommes
et 408 femmes. Pour éviter toute confusion, les
la transmission vienne soit du père soit de la mère. ' . Chez 64.
hommes
et 22 femmes, -la maladie mentale a paru résult
éville, pour 1899 ; par les 1)"S VLRNUT, médecin de la division des
hommes
, et Paris, médecin de la division des femmes. C
es salles, mais il est probable qu'il en est de même que pour les
hommes
. Le nombre des décès a été de 87 pour les homme
ême que pour les hommes. Le nombre des décès a été de 87 pour les
hommes
et de 79 pour les lemmes, ce qui donne, par rap
,07 pour les secondes. Cette proportion n'est pas exagérée pour les
hommes
, si l'un considère que sur les 87 décès, 23 ali
les années 189, 1896, 189î, 1898 elle a été de il p. 100 chez les
hommes
et cette grande mortalité me parait tenir en gran
but de la folie, un peu plus longtemps chez les femmes que chez les
hommes
. La paralysie générale fait exactement 4 fois p
paralysie générale fait exactement 4 fois plus de victimes chez les
hommes
. Il serait assez fréquent dans les cas où l'org
de femmes toujours dans le même esprit; les travaux domestiques des
hommes
pouvaient trouver avantage en effet à être fait
yasyizc),gie avec hémilremblemenl d'origine M. Babinski présente un
homme
de cinquante-quatre ans, chez qui se sont dével
neuro-muscu- laires du cancer. M. Souques a observé aussi chez un
homme
au cours d'un can- cer de l'estomac une paralys
ospinal sont différentes dans l'une et .dans l'autre classe. , 1°
Homme
, attaques épileptiformes depuis l'enfance, hémipl
nté- rieures affectant les groupes latéral et postéro-externe. 2°
Homme
, hémiplégie droite avec attaques ^épileptiformes
a reçu 1 385 malades ; à l'heure actuelle, il y a 429 malades, 240
hommes
et 183 femmes. Ainsi que je l'ai répété bien de
inconvénient aucun - d'ailleurs) et du plus grand nombre de malades
hommes
; alors que la création d'une colonie d'hommes,
nd nombre de malades hommes ; alors que la création d'une colonie d'
hommes
, réclamée par moi dès 1893, n'a été obtenue qu'
amille, l'image réduite de la société, et la société elle-même où l'
homme
à l'état normal recueille les impressions qui é
publique, 1 rue des Carmes. POi\Ti[ : n. Les olioes du bulbe chez l'
homme
et les mammifères. In-8° de 78 pages, avec 7 pl
culier celui qui, dans la série animale, se tient le plus près de l'
homme
, le singe. Vous n'ignorez pas, je suppose, à qu
rticaux, chez les animaux supérieurs tels que le singe, puis chez l'
homme
,' par voie d'excitation directe, c'est-à-dire e
vous sys- tem. À it71al of surgery, 1896, vol. XXIV, p. 1286). Un
homme
de trente-neuf ans était sujet à des attaques con
icin. Voc/te ? ! 6C/t)' ? /'t, 1896, n° 35, p. 559, obs. XII). Un
homme
de vingt-quatre ans avait fait une chute sur l'oc
e Treatment, etc. 41111als of surgery, 1896, vol. XXIV, p. 127). Un
homme
de trente ans avait subi, dans son enfance, une
focal épilepsie. Annuls of Surgery, 1896, vol. XXIV, p. 125). Un
homme
de vingt-quatre ans avait subi une lésion traumat
American Journal of médical sciences, 1888, vol. XCVI, p. 447). Un
homme
de trente-cinq ans avait reçu, à l'âge de quinze
tral System. The British médical Journal, 1890. T. 11, p. 1286). Un
homme
de quarante-un ans était sujet, depuis l'âge de
ment. 4° Sachs und Gerster (loc. cit., p. 558, obs. II). Un jeune
homme
de vingt-un ans avait reçu un coup sur la tête. Q
nt une question de degré ; et d'ailleurs est-il démontré que chez l'
homme
le siège de la mémoire soit dans les couches co
Observation curieuse d'hémiatrophie de la langue, survenue chez un
homme
de vingt cinq ans consécutivement à une plaie p
la première se rapporte à un cas de paraplégie spasmodique chez un
homme
dont le père et la soeur avaient déjà présenté
. (Tlte Journal of 31ental Science, juillet 1899.) Il s'agit d'un
homme
de 48 ans, fermier, intelligent, qui, il y a hu
mortalité par 426 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. - phtisie chez les
hommes
de 35 à 45 ans,' c'est-à-dire pour la période d
, il se propose d'en rechercher les causes. On a soutenu que tout
homme
qui se suicide est fou, au moins temporairement
trouble mental : d'ailleurs la'plupart des causes qui poussent les
hommes
à se donner la mort sont les mêmes, que le suje
u : Goethe l'a dit justement, la question n'est pas de savoir si un
homme
est faible ou fort, mais s'il peut ou non suppo
le qu'il subit, Il devient évident par là que si on diminue chez un
homme
la force d'endurance, on augmentera sa sensibilit
e Journal of Mental Science juillet 1899.) , L'organe olfactif de l'
homme
nous apparaît dans un état rudi- mentaire lorsq
dans la série animale, puis il examine quel en est le siège chez l'
homme
en donnant pour cela un résumé des travaux d'El
puissamment doués au point de vue de l'olfaction et le cerveau de l'
homme
qui l'est très faiblement. L'homme servi .par d
e l'olfaction et le cerveau de l'homme qui l'est très faiblement. L'
homme
servi .par d'autres sens très aiguisés, exerce
bles, Elles paraissent plus fréquentes chez les femmes que chez les
hommes
(64 contre 31). Quatorze femmes avaient en même
de le structure qu'au point de vue de la fonction, qu'occupe chez l'
homme
le sens, virtuellement si puissant, de l'odorat
lation était de 1503 personnes : il y a eu 174 cas de béribéri (127
hommes
et 47 fem- mes) : le nombre des décès a été de
i (127 hommes et 47 fem- mes) : le nombre des décès a été de 25 (18
hommes
et 7 femmes). Encore les chiffres ci-dessus son
6. (Population 1686. Cas de béribéri parmi les aliénes 107, dont 31
hommes
et 76 femmes; et parmi le personnel de l'asile 7,
femmes; et parmi le personnel de l'asile 7, en tout 114. Décès : 2
hommes
et six femmes pas de décès dans le personnel)-E
, pour une population moyenne de 1 800 per- sonnes, 246 cas dont 45
hommes
, 193 femmes 2 infirmiers et 6 infir- mières. Dé
nt 45 hommes, 193 femmes 2 infirmiers et 6 infir- mières. Décès : 3
hommes
et 8 femmes. En 1898, 12 cas, tous chez les fem
ntal Science, juillet 1899.) Cette épidémie a frappé 54 malades (26
hommes
et 28 femmes) et 23 ont succombé. Le bacille re
ROUEHANSKY. Contribution à l'élude du délire aigu. Observation I.
Homme
, âgé de trente-trois ans, hérédité psy- chopath
ution, ses ori- gines, la physiologie animale comparée à celle de l'
homme
pri- mitif, ancien et actuel lui servent de poi
e alternative qu'on retrouve toujours chez les animaux comme chez l'
homme
, chez le mâle comme chez la femelle. BIBLIOGRAP
peuvent fonc- tionner isolément, on peut ainsi admettre qu'un même
homme
soit à la fois névrosé et supérieur il il est n
édecins du corps ayant certifié au conseil qu'après observation cet
homme
leur paraissait réel- lement inapte, au point d
n atteinle d'arthrite sèche. L'intensité est plus grande chez les
hommes
aux larges surfaces ai Liculaires que chez les fe
ues généraux, nous avons obtenu le résultat suivant. Vingt malades (
hommes
et femmes) atteints de paralysie générale vraie
susceptibles d'amélioration par le traitement thyroïdien que les
hommes
; 29° La raison de cette différence est inconnue.
. Les psychoses , névralgiques dans leur ensemble frappent plutôt l'
homme
que la femme ; les formes abor- tives dominent
s que les formes transitoires ou aiguës sont plus fréquentes chez l'
homme
. Pour ce qui est de l'étiologie et de la nature
ns les diverses catégories passées pré- cédemment en revue, mener l'
homme
à la limite de la folie ? Peut- être qu'un de c
contrastes. En effet, une idée amène toujours une idée contraire. L'
homme
normal ne s'en préoccupe pas, tandis que ledout
tte affec- tion que chez la femme. M. Marie a dans son service un
homme
atteint de. symptômes analogues, fait évidemmen
dont le type diffère absolument du type Landouxy-Déjerine. C'est un
homme
de vingt-cinq ans, qui a un frère et une soeur
même un signe très précoce de tabès. Il est aboli en effet chez un
homme
de quarante ans qui a eu la syphilis à vingt-qu
au début avec crises gastriques. Enfin, il est encore aboli chez un
homme
âgé ayant eu aussi la syphilis et qui présente
ution il l'étude de la folie épileplique. SOCIÉTÉS SAVANTES. ;i19
Homme
âgé de trente-sept annaux antécédents héréditaire
ize gouvernements est composée pour un nombre de 5 309 aliénés (300
hommes
et 1809 femmes) : 524 BIBLIOGRAPHIE. - 100. l
alangen 1876, p. 1;i3), qui donne pour les célibataires 01.7 p. 100
hommes
, 51, 9 p. 100 femmes, et pour les mariés) 34, 4
n ce qui concerne 1 âge. le grand nombre des aliénés appartient aux
hommes
de vingt et un à quarante ans (38 p. 100 et aux
es au point de vue étiologique se rappor- tent aux 474 malades (360
hommes
et 108 femmes); 212 malades (14G hommes et G6 f
tent aux 474 malades (360 hommes et 108 femmes); 212 malades (14G
hommes
et G6 femmes) présentaient une tare héréditaire,
n parmi les femmes -BIBLIOGRAPHIE. 525 (3*,4p. 100) que parmi les
hommes
(19,9 p. 100). L'alcoolisme, le traumatisme et
les femmes; l'alcoolisme, la tuberculose et l'apoplexie chez les
hommes
. Au point de vue de l'influence de l'hérédité l
tistique des maladies nerveuses se rapporte à 286 malades, dont 537
hommes
et 49 femmes. L'âge qui donna le plus de malade
typhoïde, par A. Marie et Buvat, 18; par A. .Marie, 177. chez les
hommes
de génie, par F. Itegnault, 188. Impaluriisme
)LOGIL) (Suite); Par Mvtiiias DUVAL'. 1. Il. Corne d'Ammon chez l'
homme
et chez quelques singes (fig. 1 et 2 de la Plan
PL. II, fig. 3), les parties sont disposées exactement comme chez l'
homme
: l'en- semble de la corne d'Ammon est seulemen
icale. Enfin, on voit ici (fig 3, en X), aussi nettement que chez l'
homme
, la manière dont se com- portent les plexus cho
ne serait que la répétition de celles que nous avons données pour l'
homme
et les singes : l'ins- pection seule de la figu
e, il nous faut rappeler que, chez tous les ani- maux autres- que l'
homme
et les singes, la formation ammonique, au lieu
e, en arrivant au-dessous du corps calleux, non pas, comme chez l'
homme
et les singes (fiq 4, li), une simple ban- dele
présentant une branche supérieure et une branche inférieure (chez l'
homme
il n'y a que la branche inférieure). Sur une co
le corps bor- dant, qui, si la coupe était faite sur un cerveau d'
homme
ou de singe, représenterait le trigone, et en e
m de circonvolution du corps calleux (gyrus fornica tus). Si chez l'
homme
la for- mation ammonique, au lieu de se réduire
ction : ou bien la situation du corps calleux est différente chez l'
homme
et les singes d'une part, chez les autres mammi
rgir eu se prolongeant sous le corps calleux et nous aurions chez l'
homme
, comme chez le mouton, la circonvolution de l'h
-dessous du corps calleux, à la place occupée par le trigone chez l'
homme
. Comme nous suivions à cette époque les leçons
la circonvolution de l'hippocampe ; nous voyons de plus que chez l'
homme
même le limbe de l'hémisphère ne saurait être r
he inférieure est très réduite, à l'inverse de ce qui existe chez l'
homme
, et ne présente rien de particulier. La figur
atomie com- parée ; mais même pour ce qui est de l'encéphale de l'
homme
et des mammifères, il est plusieurs questions a
ANCHES PLANCHE I. Fig. 1. -Coupe transversale de l'encéphale de l'
homme
au niveau des corps genouillés; - CO, couche op
u nerf auditif. Les recherches microscopiques sur ce tronc chez l'
homme
m'ont amené à constater les deux circons- tance
z le cheval et le veau, mais qu'on ne trouve qu'avec peine chez l'
homme
. » Stannius'a vu de nombreuses cellules ner- ve
re et du vestibulaire, ainsi que dans le tronc du nerf auditif de l'
homme
et des mammifères, un grand nombre de cellules
luptueuses, et depuis la puberté parfois éjaculation ci la vue d'un
homme
nu, d'une statue d'homme nu ou du souvenir obsé
puberté parfois éjaculation ci la vue d'un homme nu, d'une statue d'
homme
nu ou du souvenir obsédant de ces images; la fe
ix ans par un violent désir de voir des garçons de mon âge ou des
hommes
nus. Ce désir n'avait pas grand'peine à se satisf
5 plaisir, toujours en excitant mon imagination par le souvenir d'
hommes
nus. Mes parents quittèrent N... pour s'établira
amoureuse et la perte de sperme à la seule vue du membre viril d'un
homme
. La nuit, mon imagination travaillait et amenai
s mes efforts, à arrêter les excitations de mon imagination ; les
hommes
jeunes, beaux et forts provoquent toujours chez
provoquent toujours chez moi une \ive émotion ; une belle statue d'
homme
nu produit le même effet ; l'Apollon du Belvédè
du Belvédère me fait beaucoup d'im- pression. Quand je rencontre un
homme
dont la jeunesse et la beauté provoquent ma pas
très approfondi d'une question, par la représentation soudaine d'un
homme
nu dans mon imagination. J'ai toujours lutté ta
e satisfaction de cette sensualité n'a jamais été que la vue de l'
homme
nu, surtout de la verge de l'homme ; je n'ai jama
é n'a jamais été que la vue de l'homme nu, surtout de la verge de l'
homme
; je n'ai jamais ressenti le désir de pénétrer
ge de l'homme ; je n'ai jamais ressenti le désir de pénétrer dans l'
homme
ou d'être l'objet 56 - PATHOLOGIE MENTALE. d'
PATHOLOGIE MENTALE. d'un'homme. Regarder les parties génitales d'un
homme
beau et fort, tel a toujours été la volupté la
complètement froid et l'érection, si facile chez moi à la vue de l'
homme
, n'a pas même commencé. Jamais une femme n'a pr
s, comme si j'étais femme moi-même. L'amour que j e ressens pour un
homme
passe vite ; dès qu'un autre homme, plus joli à
L'amour que j e ressens pour un homme passe vite ; dès qu'un autre
homme
, plus joli à mes yeux, se présente, la pensée du
es rêves ordi- naires et à désirer toujours voir (rien de plus) des
hommes
nus.» Tels sont décrits par le patient qui en a
affranchir. Ce malade quel est-il ? Au point de vue physique, cet
homme
, âgé de trente etun ans, est brun, grand, bien
sarcie adipeuse. » Savage ' publie le premier cas observé chez l'
homme
. Hammond émet, il est vrai, quelques doutes sur
rnai jue, l'observation d'un malade de M. Charcot. Il s'agit d'un
homme
de cinquante-sept ans, qui présente le tableau
ublie deux nouvelles obser- vations. La première se rapporte à un
homme
, jouissant d'une bonne santé habituelle, [qui,
esnet, Billod, Schruber, etc. Voici leur théorie : la plu- part des
hommes
se servent du membre supérieur droit pour faire
ouvements les plus délicats du membre supérieur.Si, au contraire, l'
homme
se sert surtout de sa main gauche, s'il est gau
pression, extrêmement intense. La plu- part des malades étaient des
hommes
; leur âge compris entre vingt et quarante ans.
à trois sortes d'individualités/qui sont : t° le cadavre humain;; l'
homme
; 3° les animaux : z REVUE DE pathologie NERVEUS
déchirure du cylindre-axe. Mêmes observations surle sciatique d'un
homme
élongé un jour avant sa mort, pour un tétanos t
es de graduer la force de traction, par comparaison de l'animal à l'
homme
, et con- formément aux recommandations de Nùssb
prement dite. Elle paraît avoir été observée plus souvent chez les
hommes
que chez les femmes. - . - " Si l'on recherche'
'ensemble dos manifestations ' ordonnées par étapes 'temporelles, l'
homme
a appliqué à la notion des successions de temps
n'était pas exclue, du reste, une critique courtoise. Assurément, l'
homme
qui avait fait de l'étude de l'aliénation menta
on. En effet, dix années de ma vie ont été employées à interroger l'
homme
vivant et le cadavre ; dix autres ont servi à m
des facultés mentales, morbide, apyrétique, chronique, qui ôte à l'
homme
le pouvoir de penser et d'agir librement, dans le
fait revivre l'eeuvrc du savant, de l'observateur pénétrant et de l'
homme
de ccenr qu'on a pu appeler loPinel de la Belgi
e Colas difait que le foir que Satan s'apparut à elle en forme d'vn
homme
de grande Mâture, ayant sa barbe & ses habi
ières, soubs les leures, soubs les aiffelles, au fondement pour les
hommes
, es mamelles ou es parties hon- teufes pour les
s nerveuses et mentales. M. le ministre ne pouvait faire choix d'un
homme
plus compétent. Asile de TOULOUSE. M. le Dl Bou
emps dans le même état psychique, prenant les gardiennes pour des
hommes
déguisés on femmes qui voulaient l'assassiner, po
e, Charcot, Bourneville, et d'Olier, Th. Inglis, montrèrent que les
hommes
pou- vaient eux aussi être atteints. D'autres f
es voit encore toutes prises d'un fou rire à propos de rien, d'un
homme
qui passe, delà pluie qui tombe, d'une mouche qui
le ascendante, des deux côtés, une scissure profonde (rareté chez l'
homme
, incon- nue chez le singe); la division du sill
i u c Jln tl( il 1r, En résumé, les onze cas traités à l'asile (six
hommes
et cinq femmes de onze à cinquante ans) offrent
rnal of mental Science, n° de janvier 1881, p. 566.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante ans qui présentait, lors de son en
L'observation de ce malade peut se résumer de la façon sui- vante :
homme
de trente-huit ans, d'une santé ordinaire : en
é qui a commis un crime comme un aliéné ordinaire. En général, tout
homme
qui commet une offense contre les lois de son p
questions fort délicates, quand il s'agit de rendre à la liberté un
homme
ayant déjà tué un autre et qui pourra recommenc
nt possible. J'avais autrefois dans mon service à Quatre-Mares un
homme
qui avait commis un meurtre ; après quelque temps
e en liberté fut ordonnée par un arrêt, et quelques jours après cet
homme
frappait sa soeur de douze coups de couteau. De
t présente en outre deux malades, une femme de vingt-cinq ans et un
homme
de ving-sept, atteints, la première aux deux ma
s, M. Blumenthal rapporte un cas semblable qui se résume ainsi : Un
homme
de quarante-sept ans, indemne d'anté- cédents p
ésie bilatérale del'oculo-moteur. Telslesdeux exemples suivants. Un
homme
de cinquante-neuf ans éprouve des élancements d
a vision au loin. Bientôt amaurose totale. L'autre fait concerne un
homme
de trente-six ans ayant des antécédents véné- r
férieures, qui se sont manifestées à la suite d'une frayeur chez un
homme
de 1 Nous l'analyserons alors. 1 Nous en donn
contrôler les indications de Kowalewsky1. Vingt-huit malades, tant
hommes
que femmes, en ont été l'objet pendant quatre s
rint monstre bien qu'il y auoit de la malice de son codé : Car quel
homme
a-t-on iamais veu si endormy d'vn trauail &
i grande mefnie de Sorciers que plus ne les eftonnoit la mifere des
hommes
, à qui font par tant d'enne- mis tant d'embufch
en premier lieu Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'vn grand
homme
noir ou rouge, géhenne, tourmenté & flamboyât
Démons « en figures de Satyres paillards, moytié boucs & moytié
hommes
». VARIA. 253 flamme de couleur bleue, &
ment froide, si bien qu'elle n'engroiffe iamais ni celle des autres
hommes
au Sabbat, bien qu'elle soit naturelle... » (de
e Satan se met là en Incube pour les femmes, et en Succube pour les
hommes
. » Les Sorciers après feftre veautrez parmy les
lon la volunté & permifiion de Dieu. Affin de faire périr les
hommes
de maie mort, les Sorciers ont couftume d'exhum
les Sorciers rendent par parolles & fignes cabba- lifticques l'
homme
froid, maleficié & impropre à l'acte conju-
tollir la licqueur prolificque. La quinte en rendant le membre de l'
homme
mol & flafque toutes fois que veut accomplir
ation extrefme des parties de la femme ou en faifant le membre de l'
homme
retrait ! , abfcons & comme du tout perdu.
: S fr. CIIAIILTON Bastias. Le cerveau, organe de la pensée chez l'
homme
et les animaux. Deux vol. in-8" avec 184 figure
s de la moelle : « Ou observe les particularités suivantes chez l'
homme
, à la suite d'une lésion altérant toute l'épais-
ospice des incurables de Bordeaux (service de M. le Dr Solles). Cet
homme
, d'une intelligence très bornée, presque idiot, é
pui de cette hypothèse un certain nombre de faits observés chez l'
homme
, où la paralysie du mouvement existait d'un côté
is, 1873, Obs.III'. ' Brown-Séquard. Journal de la Physiologie de l'
homme
et des animaux, vol. Yt. Archives de Physiologi
l l'étendue d'un défaut visuel, déjà si difficile à préciser chez l'
homme
, on reste très sceptique sur l'hémianopsie et l
s aussi nets qu'on a voulu le dire, ils ne prouveraient rien pour l'
homme
, car rien ne démontre que l'entre-croisement de
croisement des fibres optiques est le même chez le singe que chez l'
homme
. M. Munk ne dit-il pas qu'il a constaté que les
connues. Ou. F. VIII. Variétés des circonvolutions cérébrales DE l'
homme
; par C. Giacomini, Torino, Ermano Loescher, 18
ar J. Althaus, (TVte Laîteit, 17 septembre 1881.) Sur trente-deux
hommes
atteints d'ataxie locomotrice, M. Althaus eu a
6° paire lombaire chez le lapin, probablement la 3° et la 41 chez l'
homme
. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 355 Deuxième
se produire de la 6° paire lombaire chez le lapin (3e ou 4° de l'
homme
). Cependant on pourrait, dit-il, « se demander,
s d'un hydrocéphale dont l'histoire peut être ainsi résumée : Cet
homme
mort à quarante ans a eu une enfance très tourmen
sacrés à une étude d'ensemble des localisations céré- brales chez l'
homme
. Mais il ne faut pas s'attendre à y rencontrer
e cette moitié du cerveau sur celle du côté opposé, du moins chez l'
homme
, l'hoiiio sapiens de Cuvier. Entrant ensuite
meilleur mémoire relatif aux fonctions de la couche optique chez l'
homme
. Les conditions du concours sont les suivantes
surdos observations et des expériences originales recueillies sur l'
homme
et sur des animaux inférieurs; 3° les mémoires do
PLANCHES LANCI1E PREMIERE Fig. 1. Coupe Site de l'encéphale de l'
homme
au nireau des corps genouillés; - C0, couche op
cas de monoplégie brachiale hystérique de cause traumatique chez l'
homme
, Leçons de M. Charcot, recueillies par 11111. l
condaire, nous ne la discuterons pas. Observation II (l'ésumée).-
Homme
âgé de trente-quatre ans. - Antécédents hérédit
e eut de nouveau des attaques, dans lesquelles il fallait plusieurs
hommes
pour le maintenir. En 1881, M. Berbez vit le ma
ALLOPEAU, agrégé à la faculté (Union méd., l«811, t. XXXIX.) - Un
homme
âgé de quatre-vingt-trois uns, aortique, fut atte
de la malade. Un autre cas, soigneusement examiné, était celui d'un
homme
de trente-trois ans, épileptique depuis l'enfance
manque. Le caractère de la femme épileptique diffère de celui de l'
homme
atteint de cette névrose en ce que le mode d'ac
me intramédullaire de la moelle épinière. - Surprise nécroscopique.
Homme
de quarante-deux ans, atteint d'aliénation ment
sie. Tumeur occupant la couche optique et le corps strié d'un côté.
Homme
de quarante-deux ans; modification intellectuel
cadavres les altérations typhiques carac- téristiques, plus, chez l'
homme
, de l'anémie avec oedème cérébral et, chez la f
à une dégénérescence des aires motrices corticales. Plusieurs des
hommes
dont l'observation a été recueillie étaient inc
quitter l'asile complètement guéri. Le second cas est celui d'un
homme
de vingt ans, présentant les symptômes ordinair
tal Science, Juillet 1884.) L'observation peut se résumer ainsi :
Homme
de soixante-el-uu ans, malade depuis six mois, ir
faut ajouter : réeulièrement Dlus élevée) chez la femme crue chez l'
homme
. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Inquiétudes
que l'excès d'exercice physique. ' L'insolation fournit chez les
hommes
une proportion uniforme qui n'excède que peu 2
blessures donnent une proportion d'environ 5 p. 100 par an pour les
hommes
, et de 1 p. 100 pour les femmes. La grossesse,
chiffres suivants : 78 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. talée chez l'
homme
que chez la femme, ce qui confirme d'ailleurs l
es actes homicides dus à la folie impulsive. Il s'agit d'un jeune
homme
de dix-neuf ans, très bon sujet, n'ayant présenté
cun signe d'épilepsie. L'auteur conclut à l'irresponsabilité. 2° Un
homme
de quarante-quatre ans, atteint depuis plusieur
.) Rien de nouveau, si ce n'est l'autobiographie de deux invertis
hommes
, brûlant d'amour pour de beaux mâles. La construc
solution. Actuel- lement on connaîtrait trente-deux observations d'
hommes
sentant comme des femmes, et cinq observations
comme des femmes, et cinq observations de femmes sentant comme des
hommes
. L'inverti, ajoute-t-il, se contente de tâter s
de l'Etat. On y a reçu, en 1884, 460 malades se décomposant en 367
hommes
et 93 femmes; 120 hommes y sont entrés pour dél
en 1884, 460 malades se décomposant en 367 hommes et 93 femmes; 120
hommes
y sont entrés pour délire consécutif à l'usage
? XLII, 2.) L'étude de 466 malades montre d'abord que, lorsque les
hommes
qui ont eu la syphilis sont atteints d'affectio
, 3.) Analyse psychophysiologique d'une observation concernant un
homme
de vingt-sept ans qui, à la suite d'une fracture
ET DE SUICIDES; par M. FLESCH. (Arch. f. Psych., XVI, 3.) Chez un
homme
de cinquante ans, vigoureux, qui le 13 novembre
ifi- cielle. Expérience de Massa. Il eut l'occasion d'observer(un
homme
qui à la suite d'un traumatisme, avait le crâne
ta de trois centimètres. Les résultats sont donc les mêmes chez l'
homme
et les animaux; cette hyperémie dans la boîte crâ
2 6 qui provenaient d'un docteur. 3 ca et 3 6 sont les courbes d'un
homme
simple, d'un certain âge, dont les courbes à l'
teint de sclérose latérale amyotrophique avec paralysie bulbaire. -
Homme
de trente ans; à la suite de refroidissements e
de An S Z un peu plus forte que Ka S Z '. M. WESTPHAL présente un
homme
atteint d'une névrose consécutive à un accident
83, et Progrès médical, 1885. A propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
. '1\1. Oppenheim a publié depuis un mémoire spé
d'un cas de paralysie atrophique des extrémités inférieures chez un
homme
de qua- rante ans; cinq à six mois avant la mor
t été faites à lui comme à d'autres experts. M. Thomsen présente un
homme
de trente ans affecté d'anes- thésie complète e
mon désir, qui était d'établir rapidement deux classes, l'une de 2S
hommes
et l'autre de 39 femmes, les règlements de l'as
classes mixtes. Le taux des leçons fut fixé à 2 schellings pour les
hommes
, et 1 schelling et 6 pences pour les femmes. Da
gien-major Ilutton, un des inspecteurs de l'association, sur les 15
hommes
et 19 femmes qui se présentèrent, 15 hommes et
association, sur les 15 hommes et 19 femmes qui se présentèrent, 15
hommes
et 18 femmes passé- rent avec éloges. L'examen
es auxquelles elles devaient répondre par un de- voir écrit, et les
hommes
étant soumis à un examen étendu sur les manoeuv
amens, ils furent appelés pour ramasser et porter à l'infirmerie un
homme
qui était tombé d'une échelle de 20 pieds, pend
s des malades, ou prétendus tels, des deux sexes, que six ou huit
hommes
promenaient étendus sur les bras, tout autour de
tère est d'une susceptibilité extrême : Gr... se considère comme un
homme
et ne tient plus aucun compte des observations,
servations, il se met facilement en colère, il demande à passer aux
hommes
, aux vieillards. 16 septembre. - Poids : 30 kil
pour sortir; en attendant sa grande préoccupation est de passer aux
hommes
. IDIOTIE AVEC CACHEXIE l'ACHYDERMIQUE. 153 A
hie. 162 CLINIQUE NERVEUSE. Nous commencerons par établir que cet
homme
est un hystérique et pour cela, il nous suffira
. Le malade avait été examiné à une époque où l'hys- térie chez l'
homme
n'était VIS encore connue, et le diagnostic exa
l'a envoyé à la Salpêtrière le 18 mai. Etat actuel (18 mai 1886). -
Homme
de taille moyenne, bien constitué. Pas de troub
re. Observation VI (résumée). 119ouill..., âgé de vingt-neuf ans,
homme
de peine au chemin de fer; pas d'antécédents ner-
, ni alcoolique. Le 1er décembre 1885, le malade, travaillant comme
homme
de peine dans une gare, a, dans une manoeuvre,
e son entrée à l'Hôtel-Dieu, le 13 janvier 1886. Le malade est un
homme
vigoureux, bien musclé, ayant toute sa présence
é pos- sible à ce moment de se servir d'arguments semblables. Les
hommes
auxquels nous avons eu affaire sont des hystéri
uis les travaux de M. Charcot', que l'hystérie est fréquente chez l'
homme
. Or, que disait-on autrefois à ce sujet ? L'hys
ie, disait-on, est l'apanage presque exclusif de la femme; chez l'
homme
elle est exceptionnelle et l'hystérie mâle est
t relative- ment rares. L'exemple détaillé par l'auteur concerne un
homme
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. -)Il t jeune (v
'auteur détaille une observation de tumeur du corps calleux chez un
homme
de soixante-cinq ans. On constate progressivement
l., 4 b8.) Le diagnostic est basé sur l'évolution de la maladie. Un
homme
jusque-là bien portant est pris de manifestatio
ulaire juvénile ; par F. MOSSDORF. (Neurol. Cen- t¡'albl., 1885.)
Homme
de trente-trois ans, indemne de toute tare hérédi
é- rents auteurs), d'empoisonnement par l'oxyde de carbone chez l'
homme
, en y ajoutant un certain nombre d'expériences pe
ant les résultats de ces expériences avec ce que l'on trouve chez l'
homme
on voit que : I. Les phénomènes graves observés
chez l'homme on voit que : I. Les phénomènes graves observés chez l'
homme
à la suite d'un empoisonnement unique et déjà s
ements successifs. II. Les lésions en foyer, très fréquentes chez l'
homme
, n'ont jamais été observées chez le chien qui p
parente. Deux ordres de phénomènes se rencontrent, en effet, chez l'
homme
dans cet empoisonnement : 1° Immédiatement aprè
Psyeh., XVI, 2.) I. De lu syphilis du cerveau et de la moelle. - Un
homme
de trente et un ans, atteint un an auparavant,
du tabès dorsal ET au trajet des FIBRES DE la moelle épinière de l'
homme
. Communica- tion provisoire; par Il. Lissauer.
AL- tOPLI.GIE; par J. HiR<CHBKRG (Nu ? 'ol·CC1lGralbl., 1885.)
Homme
de trente et un ans; ophthaluioplégie totale typi
ons du Progrès médical, t835. A propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
et Archives de Neurologie, t. XI, p. 80 et 83 § I
a paralysie saturnine; par SCHULTZE (Arch. f. Psych., XVI, 3.) Un
homme
de vingt-cinq ans, saturnin depuis cinq ans, est,
t commettre un crime parfaitement identique à celui que commet un
homme
sain; seulement, le crime du premier, étant le ré
ers. VI. On ne peut s'attendre à améliorer les criminels que si des
hommes
compétents se font un devoir ' REVUE DE PATHOLO
e- vient violent, frappe, s'agite, si bien qu'il faut cinq ou six
hommes
pour le contenir. Dans ces cas, on l'a vu, assi
aussi des attaques où la conscience persiste; il trébuche comme un
homme
ivre, injurie les passants. Il ne mord pas sa l
usieurs membres de la même famille. J'ai encore dans mon petvice un
homme
qui SOCIÉTÉS SAVANTES. 249 a une passion pour
ant, selon les circonstances, z à z1,800 aliénés des deux sexes. Un
homme
qui a exercé une influence néfaste en ce sens, fe
quinze ans, il s'est produit une réaction, et l'hystérie chez les
hommes
adultes a été, plus d'une fois, le sujet de tra
utre l'intérêt scientifique, la connaissance de l'hys- térie chez l'
homme
a une importance pratique pour les médecins mil
Faisons maintenant un résumé des symptômes de l'hystérie chez les
hommes
, nous voyons qu'elle était indiquée par : 1.
Charcot, l'année passée, dans une de ses leçons sur l'hystérie des
hommes
. Je n'ai pu ob- server la dyschromatopsie que d
37°,6 - 37°,7. Ainsi, les phénomènes cliniques de l'hystérie des
hommes
ne sont pas moins variés que ceux de l'hystérie
goi- treuse du village. Dans son pays, elle aurait vu autrefois un
homme
ressemblant à son fils. [Père, cultivateur, sob
nt n'avait encore été signalé jusqu'ici que sur certains cerveaux d'
hommes
distingués, entre autres sur celui de Gambetta;
pari, affirme la rigoureuse exactitude de ces renseignements. Cet
homme
a la tête un peu forte, mais régulière, nez aquil
les idiots ne le seraient pas. C'est là une opinion étrange chez un
homme
chargé d'un enseignement officiel, car elle mon
voici quelques exemples. Dans le cas de M. Brandes, il s'agit d'un
homme
de quarante ans dont le myxoedème paraissait re
e l'école, car il devient toujours plus stupide ». 31° Bruns 3. -
Homme
de vingt-quatre ans, opéré depuis six mois, pré
3 cas sur 9 extirpations totales, etc. Soit en tout 39 cas, dont 13
hommes
et 26 femmes (en retranchant un cas de Kocher s
thyroïdectomie comme une expérience phy- siologique pratiquée sur l'
homme
. Des expériences faites sur les animaux, les pl
hyroï- dectomie ; il reste toutefois à expliquer pourquoi, chez l'
homme
, la thyroïdectomie semble produire un état myxo
Mickvliez) pré- tend que les chiens supporteraient aussi bien que l'
homme
la résection de la thyroïde si on a soin de lai
suintement. Je n'ai pas em- ployé l'éther dans les opérations sur l'
homme
, craignant qu'il ne produise une excitation cér
les singes, avec un seul insuccès, et appliqué la même méthode à l'
homme
, où elle fut toujours suivie de succès. Comme j
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 385 beauconp du même processus chez l'
homme
, et que, par suite, une déduction juste ne peut
sent par un proces- sus différent de celui que nous avons vu chez l'
homme
. En effet, pour obtenir la réunion par première
ATHOLOGIE NERVEUSE. 387 rience sur ce point ne soit fondée chez les
hommes
que sur cinq cas, dont trois étaient des cas de
x qui considèrent qu'il est légitime de tenter une expérience sur l'
homme
avant de l'avoir trouvée sans danger sur les an
étant sans aucun doute un exemple de paralysie hystérique chez un
homme
, et son rapport avec l'anesthésie fonctionnelle a
tions qui s'écoulent, je pense, des détails ci-dessus : 1° Chez l'
homme
, une paralysie temporaire motrice corticale et
i fournissent le centre moteur des mou- vements perdus; 2° Chez l'
homme
, une paralysie temporaire de la sensibilité et
non est dans la bandelette optique la même chez le chat que chez l'
homme
. (Voy. Arch. f. Ophthal- molog., XXV, 4) 1. L'e
res différents : le chat se prête surtout à cette dis- tinction ; l'
homme
et le lapin s'y prêtent moins bien. Cependant c
triques dans ses rapports avec leur transmission dans le corps de l'
homme
, il est encore bien plus utile de préciser cette
eux particularités s'observent chez 2o Il relève la sensibilité ' l'
homme
normal. 3n Il exerce une action réflexe, en dil
tion de leurs noyaux. Il en est de même pour les mêmes organes d'un
homme
, mort des suites d'une opération chirurgicale,
périphériques; 4° la sensibilité à l'égard de la chaleur est chez l'
homme
transmise par d'autres nerfs à d'autres tractus
veau qui commandent à la motilité et au sens musculaire sont chez l'
homme
, tout près l'un de l'autre, mais non identiques
'hôpital. En rapport avec l'hôpital il y a aussi une école pour les
hommes
de vingt à trente ans. La durée de l'instructio
s des certificats sont accordés sur la preuve de leur capacité. Les
hommes
sont payés de 80 à 140 fr. par mois sui- vant l
voisinant la troisième circonvolution du lobe anté- rieur gauche.
Homme
de quarante-quatre ans, albuminurique. Le 22 jan-
on premier discours, M. Luys avait fixé, pour Paris, quatre ans aux
hommes
et cinq aux femmes; mais, dans une note rectifi
i, ne l'est-il pas socialement ? Doit-on considérer comme malade un
homme
capable de remplir tous ses devoirs vis-à-vis d
j'ai trouvé huit cas de guérisons tardives : cinq femmes et trois
hommes
. Le sexe féminin l'emporterait donc; mais sur l
s sur les neuf observations rapportées par M. Gi- raud, il y a cinq
hommes
, chiffres qui se retrouvent dans le travail de
e 52 PATHOLOGIE NERVEUSE. s'est laissé marier à dix-huit ans à un
homme
pour lequel elle n'a jamais eu ni répugnance ni
la moyenne; instruction assez complète. Elle se maria en 18-j6 à un
homme
qui l'aimait et qu'elle paraissait aimer; cepen
plus grande intensité : elle entendit alors des voix, deux voix d'
hommes
dans les deux oreilles, qui l'appelaient « la fem
bateliers, je prononçai le mot allc'gator (buaya); aussitôt un des
hommes
qui m'accompagnaient se mit à donner les signes
m'informai des causes de cette soudaine terreur, me dirent que cet
homme
était un latah, mot qui, pour eux, expliquait t
s après, je tuais moi-même un alligator d'un coup de fusil. Ce même
homme
se précipita aussitôt sur lui, lui ouvrit la mâ
tout à fait étrangère au caractère malais. Le lendemain, ce jeune
homme
était parfaitement raisonnable et respectueux; ce
tes avec précision, autant de fois qu'on les répétait. « C'était un
homme
de moyenne taille, de bonne mine, plutôt intell
tions la rive pour nous embarquer sur le bateau à vapeur, un de nos
hommes
jeta son béret à terre. Observant le pilote, no
el étendu (situation des axes oculairessensiblementégale àcellede l'
homme
; faisceau croisé remarquablement volumineux) ;
ques de plomb. I : NCI3PII9LOP.1TIIIE saturnine; par hl. C011DY. Un
homme
de trente-sept ans, à la suite d'une colique de p
RIV, 1.) Deux observations sont relatées. La première concerne uu
homme
de quarante-sept ans atteint depuis cinq ans d'at
deux fois en vingt-quatre heures. - L'observation Il est celle d'un
homme
de quarante-quatre ans. Ici l'ataxie fut précédée
Richteii (de Italldorf). (.1%. Zet<Mc/t ? Psych., XXXIX, ? ) Un
homme
de quarante-sept ans, jouissant d'une bonne santé
trois observations qu'il rapporte. Dans la première, il s'agit d'un
homme
brutal, querelleur, irascible, accusé d'une ten
hie, on a à sa droite la quartier des femmes, à sa gauche celui des
hommes
. Chacun d'eux se compose de trois pavillons éri
chaque jour, vient passer une heure à l'asile. Trois femmes et un
homme
forment le personnel des gardiens. L'ensemble de
880, elles furent, pour l'ailiver- salité des établissements, de 94
hommes
et de 39 femmes. On exige, pour autoriser l'ent
sychopathes du Dl Biliberg à Stockholm, Il contenait, en 1880, onze
hommes
et deux femmes. Guérison : deux hommes et deux
l contenait, en 1880, onze hommes et deux femmes. Guérison : deux
hommes
et deux femmes. Amélioration : deux hommes. Nous
femmes. Guérison : deux hommes et deux femmes. Amélioration : deux
hommes
. Nous abordons maintenant la descriptiou résumé
de 840,000 couronnes (l,l 10,000 fr.). La population comprend : 90
hommes
, 86 femmes. On n'y reçoit que des pensionnaires
t et des étudiants stagiaires. Le côté nord renferme la section des
hommes
; celui du sud, la section des femmes ; sur un a
Les lieux d'habitation et de repos des malades regardent, pour les
hommes
, au nord, pour les femmes,au sud. Les corridors
l'autre, quatorze gardiennes. Ces agents ont pour traitement : les
hommes
, 120 couronnes (168 fr.), les femmes 100 couronne
chez l'adulte, et la méningite tuberculeuse des jeunes gens et des
hommes
faits est soumise à des anomalies qui en renden
prédominance d'idées de persécution ». On la traite de « câlin d'
hommes
», on lui fait voir des « câlins de mères », on
Gratiolet. La scissure perpendiculaire externe, rudimentaire chez l'
homme
, descend, chez le singe, jusqu'au- près dulobe
ipital des lobes pariétal et temporal. Il n'en est pas ainsi chez l'
homme
. Pour obtenir cette division, il faut, par la p
localisations motrices dans l'écorce des1 hémisphères céiébraw de l'
homme
. Mai-octobre 1883. 1 t0 REVUE CRITIQUE. Les t
des régions en chaque cas particulier. D. Lobe occipital ? Chez l'
homme
, avons-nous dit, la scissure perpendiculaire ex
c dégénérescence de la portion centrale. Dc ! u;tti'm<;(;<fs.
Homme
de dix-neuf ans, atteint de manie épilep- tique
cience de ces stimulations plus douces, qui influent sur les autres
hommes
, et qui, s'il les eussent senties, auraient corri
i manquent, viennent à lui devenir sou- dainement nécessaires, et l'
homme
raisonnable de tout à l'heure devient, sans tra
critérium grossier dont se contente la loi pour déterminer ' si un
homme
est ou non sain d'esprit, ce critérium qui cons
b- sent. Dans ses recherches, qui ont porté exclusivement sur des
hommes
, il a trouvé que le groupe des cas dans lesquelsl
lt;'uifotrtlnns`I 9h fiUon no ,"^r^^ ,11^ ? ^ ,,f"» zn Observation.
Homme
de trente-six ans ; pas d'hérédité nerveuse .ni
ements, , etc. *If était en outrejnqu[et,je.xcite ; il fallait deux,
hommes
pour,. le, garder. - A son/enlrée, ib'>a<
lr P.,nm ,tt 29 î'I&Std > 20q07q 29b fruf3 illl s'agit d)'un,
homme
accusé de vol avec'fe( ! 'raction'qn ? peu de -
tions et ses, recherches, qui ont porté sur soixante et un cas (53'
hommes
, 8 femmes) et les éléments de même ordre con- t
la conscience qu'a l'individu de sa supériorité.' Le sourire' de l'
homme
embarrassé ou-obsé- quictix correspond' au sent
ans l'espèce, une idée de présomption vaniteuse. De même que chez l'
homme
sain, le sourire paramimique vrai est excessive
u sujet. ' (Mil el regard. L'expression brillante et lumineuse de l'
homme
.lncum ? t. 'lll. 16 '2 12 SOCIÉTÉS SAVANTES.
et de psychologie ; l'enseignement des devoirs et de la nature de l'
homme
forme le caractère et apprend à se dominer. La
qué des coupes de toutc na- ture dans les régions en question, de l'
homme
, du singe et du chien, est arrivé aux résultais
qu'Eulemburg a vu manquer ce réflexe tendineux chez 4,8 p. 100 d
hommes
faits (Verluindlung der session d'Kt- senach),
cas de tabès avec symptômes encéphaliques d'une lésion en foyer. Un
homme
de cin- quante et un ans. malade depuis cinq an
U L'auteur rapporte les confidences extrêmement 'intéressantes d'un
homme
jeune qui, dès sa jeunesse, se sentait irrésist
. M. Biciincn (de Dalldorf) apporte à la Société l'encéphale d'un
homme
de cinquante-deux ans atteint de folie systématiq
cher de faire les mouvements maxillaires, linguaux et palatins d'un
homme
qui goûte ; quand il mord dans un aliment, il l
es malades a progressé si bien qu'au début de 1882 il contenait t39
hommes
et 117 femmes payant les trois prix de pen- sio
rps de logis des malades qui, eux, n'ont qu'un étage : à gauche les
hommes
; à droite les femmes. Tout près du bâtiment du
les pensionnaires des deux dernières classes. Dans le quartier des
hommes
, quelques ménages de gardions sans enfants tien
; le traitement est de 300 cou- ronnes (420 fr.) pour les employés
hommes
de ce genre, et de 200 couronnes (280 fr.) pour
ne de 254 malades, élevé, à 23,831 ; soit : I 0, 100 faites par les
hommes
et 13,131 faites parles femmes. 258 varia.
il établissement, élevé un nouvel édifice, uniquement destiné aux
hommes
, qui doit porter le nombre des places à 42n et, p
a première classe. La population présente est de 1 09 femmes et 100
hommes
. Les récents bâtiments sont à deux étages. Endu
une moyenne de 183 malades 2o,904, dont l ? ,4 : 31 attribuées aux
hommes
, 13,473 attribuées aux femmes. On donne de peti
enrées alimentaires. Jour- nées de travail en 4880 : 8,630 pour les
hommes
(20 à 30 hommes), et tissage de 5,072 pieds d'é
res. Jour- nées de travail en 4880 : 8,630 pour les hommes (20 à 30
hommes
), et tissage de 5,072 pieds d'étoffe par 35 à 4
a procédé à la même réparti- tion à gauche, en ce qui concerne les
hommes
. La partie moyenne du long côté postérieur est
moyenne de 450 aliénés, à 1,191 journées, dont 5,876 à l'actif des
hommes
et 6,03.'i au compte des femmes ; le domaine de l
une multiplication croissante du nombre de ses lits, à contenir 414
hommes
et 106 femmes de deuxième et troisième classe e
avec quatre chambres d'isolement; à droite les femmes, à gauche les
hommes
. Au premier étage, les aliénés calmes ; ici aus
ord, au quartier des femmes; l'autre, celle du sud, au quartier des
hommes
. C'est la constitution du sol, jointe à la néce
figuration décrite; c'est pour la même raison que le quar- tier des
hommes
a seul un sous-sol complet, tandis que, chez les
éservées aux besoins agricoles et un corridor, tandis que, chez les
hommes
, il y a en outre di- vers ateliers. Le rez-de-c
n des mains est, au dynamomètre, de 15 lcil., tandis que, pour un
homme
sain de cet âge et de cette stature, elle devrait
rachial. De l'état psychique il y a peu de chose à dire. Le jeune
homme
avait été mis au collège : ses allures spéciales
n, on me bat, tu vois on me donne des coups » ; il croyait voir des
hommes
tout noirs qui voulaient le battre ; il les voy
ine (Gratiolet). Un pareil errement n'a pas de raison d'être chez l'
homme
, la fissure calcarine étant séparée de la fissu
rochement et la critique des descriptions de ce genre relatives à l'
homme
, dues à Sander, Fischer, Meynert (Arch. f. Psyc
walbe, entraînent âleiidet à cette conclusion que l'on doit, chez l'
homme
, appeler du nom de fente simienne, non pas une
e,guérison; par Alessandro Marin\. (Lo Sperimentale. avril 1883.)
Homme
de vingt-huit ans qui dans ses fonctions de pompi
ostéro-latéraux; petits foyers scléreux dans les divers cordons. Un
homme
de quarante-neuf ans en proie à la syphilis terti
observé, autopsié et analysé au micros- cope par l'auteur. C'est un
homme
de quarante-sept ans, buveur, qui, après avoir
'étude de la dégénérescence secondaire dans la MOELLE épinière DE L'
HOMME
(avec remarques sur l'anatomie pathologique du
lmonaire chronique compli- quée d'ascite et d'anasarque, le malade,
homme
de trente-sept ans, présente, quelques semaines
R. Schulz. (Alcui,nl. Centi-albl., 1883.) L'observation concerne un
homme
de trente-deux ans, indemne d'hérédité et de sy
-,4ERVEUSLIS A MYILI.NE DANS LES CIRCON- VOLUTIONS DU cerveau DE l'
homme
; par TuZEIC (Neurol. CCItEi'((ZÛI., 1883). Se
présentant cette lésion, qui se décomposenten quatre femmes, cinq
hommes
âgés de trente-deux à cinquante-huit tans, ayant
une dérivation de tramées de courants mettsu- rables ou de mesurer (
homme
vivant) aucun des cercles de dériva- tion évent
va- tion éventuellement produits. 111. Action physiologique sur l'
homme
vivant des bains galvaniques et faradiques. Une é
83.) Tout l'intérêt de l'observation en question, qui concerne un
homme
de cinduante-cinq ans,rit, au point de vue cliniq
XHV. Sur la sommation DES excitations dans LES NERFS sensitifs DE l'
homme
; par de Watteville. (JVe : f)'0. CcntrvlLl., 1883
par s'échapper et mit le feu à la maison paternelle; se déguisa en
homme
et cou- rut ainsi les maisons mal famées, puis
DE l'encéphale ; par R. SCIIULZ. (Neurol. Centrlllbl., 1883.) Un
homme
de cinquante-trois ans, ayant eu, il y a dix ans,
ier 1882). Le 6 avril, M. Kirchhoff certifie que les allures de cet
homme
ne sauraient être produites par une maladie men
que, de Homberger (de Carlsruhe), et consacre à la mémoire de ces
hommes
de bien de chaudes paroles d'adieu : l'assistance
turcique au trou occipital. Ces pièces proviennent du cadavre d'un
homme
de trente-huit ans, entré à l'asile le 12 avril
'énorme masse de substance cérébrale qui forme le lobe frontal de l'
homme
soit totalement préposée à des fonctions aussi
tigrammes en pilules ou en solution alcoolique),elle produit chez l'
homme
, abstraction faite des idiosyncrasies, les phénom
patients com- posait 72, 62, 63, 43, 30 ans; il s'agissait de trois
hommes
et de deux femmes. L'autopsie pratiquée chez de
te) ? M. Waldeyer (de Strasbourg). Sur la muqueuse olfactive de l'
homme
. );xiste-t-il, ou non, dans la région olfactive d
ive de l'homme. );xiste-t-il, ou non, dans la région olfactive de l'
homme
un épithélium aciIsvibrati)s ? Tei estleprobtèm
e- SOCIÉTÉS SAVANTES. 37'.) 11) ment dépourvus de ces éléments. L'
homme
posséderait donc dans toute sa région olfactive
t, d'une hémiplégie droite consécu- tive à un ictus apoplectique. L'
homme
enquestion, âgé de cinquante- neuf ans, indemne
ie. Or, en examinant systématiquement, sous ce rapport, vingt- huit
hommes
et cinquante et une femmes du service des aliénés
Dôle, et MAX SmoN, médecin en chef de l'asile de Bron (section des
hommes
). A la 2° classe (6,000) : M. le Dr GIR-1UD, di
ri- ques), par Erb et Westphal, 335. (incitation des nerfs de l'
homme
), 342. Sensibilité cutanée et sens muscu- lai
.1 ! » PfiiRh s'solqrns smbm-iom is'lsup .arias sriiSm T C ? est un
homme
,'de taille' moyenne/à ! )a figure fotement-àsy-
épart d'un rétrécissement progressif..Neuf -,ans ! /f après ,-iCeti
homme
qui,,estladonné,auxT excès j alcooliques-, comm
,,etc. sj, â1ri0;. nu * ? L pliipart'dé's autres professeurs sont des
hommes
dont. la 16 - PSYCHOLOGIE. réputation, malgré
l- leurs Clark University qui publie la revue, très appréciée des
hommes
compétents, l'Anzericazz Journal of Psychology, d
esseur de talent peut donner à une institution', quels résultats un
homme
de grande énergie peut atteindre, quand, souten
onnelles, toujours originales. N'est-il pas regrettable que de tels
hommes
ne puissent jamais dans notre pays faire ainsi
and elle fut rentrée dans sa chambre, elle l'entendit raconter à un
homme
qu'elle venait de prendre le Saint-Sacrement po
« sur laquelle il lui sembla voir d'un côté la partye honteuse d'un
homme
», et de l'autre un crucifix dont le Christ por
ur Buvée, elle s'imaginait que Notre-Seigneur prenait la forme d'un
homme
* « pour commettre sur elle des actions impures
put préciser la date, le diable Asmodée lui apparut sous forme d'un
homme
de cour, aux cheveux blonds et bouclés, vêtu de
sur ses genoux et lui mit "- « son doigt dans les partyes comme un
homme
aurait faict D . Humberte Borthon, dite de Sain
rie et qu'elle l'avait « baisée » et s'était mise sur elle comme un
homme
sur une femme. Elle déclara qu'elle souffrait l
onsommer les saintes espèces ou croyait voir « ' un spectre impur d'
homme
et un de femme qui commettoient des actions dés
e couvert qui respondoit à la cellule de la soeur Jamain, des pas d'
hommes
qu'elles disoient (les possédées) estre des sor-
r la soeur Marie de Laramisse qui déclara avoir entendu siffler des
hommes
, sur les couverts, heurter à sa fenêtre qui éta
qu'il l'invita à dîner, qu'il y fust invité de la part' d'un jeune
homme
qui s'estoit marié, qu'il refusa d'y aller."» 'l
nt de, nerf de l'avant-bras qui fit reconnaître la lèpre Il ' - ?
Homme
de quarante-six ans, non diathésique, non hérédit
M. FÉRÉ. (Nouv. /COMO ? ? C<6 la Salpétrière, 1893, iio 3.) Un
homme
de' vingt-huit ans,- épileptique depuis l'enfance
veux. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, 1893, na 3.)"u ") ? T." Un
homme
de quarante et un'ans, a"tare'héréditaire' très p
? , , ' 1 1. . L'observation de M. Gilles de la Tourette trait à un
homme
de 'è quarante-neuf ans, dont la maladie remont
elle est relative à un nouveau cas de cette maladie. Il s'agit d'un
homme
de soixante-quatre ans qui est. atteint depuis
ns le service de M. Gombault. Le, malade qui en est le sujet est un
homme
de soixante-huit ans, il s'éloigne du type comm
laindre de douleurs dans les jambes le 1er octobre 1889. C'était un
homme
d'une bonne santé à. part son épilepsie.1 : Réf
s, dans le service de M. le Dr Fournier. - i, 1.e o,bse)-vation ?
Homme
, vingt-trois, ans,.syphilitique depuis moins de
hie pro,ressi-e.,9,1 ti'lqcr'Ui'.i K<jq ,"9rp"i Observation 1. -
Homme
, quarante-deux ' ans."L'aS'ection a débuté à di
exagéré ce caractère. '310bservation 2. ' Analogue à la précédente.
Homme
de vingt- cinq ans chez lequel l'affection a dé
traitement par suspension ne produisit aucun effet. , . ! 2e cas.'
Homme
de cinquante et un ans, syphilitique, tabès anc
ne certainement syphilitique, avec autopsie. - ' , Ire observation.
Homme
, cinquante ans, syphilis un an avant l'appariti
des tissus's'atrophiant consécutivement ? '. " t .. 2e observation.
Homme
, vingt-six ans; alors que la syphilis est * anc
l'affairé de ltac Naughteu, la plus importante était celle-ci : un
homme
sujet'à'des hallucina- tions, mais autrement' s
réels et sa conduite jugée en'con- séquence. C'est-à-dire que si un
homme
croit qu'on lui doit cinq francs," on'l'excuser
dès médëèins9°Pôurrce qui' concerne» l'alcoolisme" ou' l'ivresse, l'
homme
qui^yôlonlairernen'*1 s'est mis dans' une état'où
ECINE LÉGALE. 53 i" ' il» . f (( ? » . ? Il , 1 1. 1 "1 '"» ? ) -
homme
sain d'esprit agit de telle façon, l'accusé a agi
n, donc il est sain d'esprit. Il faut d'autres moyens pour juger un
homme
fou ou raisonnable. * - ? n'- l.vn ? l ? . tu -
to- tomètre de Fleiscbl. 1 ? 'l-4 . ' Il examiné 116 aliènes (103
hommes
et 11 femmes) à l'âge moyen de la vie. Dans la
tat à la pudeur dans les circonstances suivantes : - X..., est un
homme
de quarante-trois ans, ne présentant, au point
dire que l'acte dont X... s'est rendu coupable jure avec son passé.
Homme
d'un tempérament froid, père affec- tueux, touj
on avec auto- accusation. La première observation est relative à un
homme
de trente-huit ans, d'une bonne intelligence mo
t décrire les plexus ner- veux de l'intestin et ceux du rein chez l'
homme
, description qui a fait, dans ces derniers temp
vrite ou d'une myélite. Il semble qu'il n'en est pas de même chez l'
homme
. Mais il ne faut pas perdre de vue que l'étiolo
nt été assez forts pour contraindre la liberté. Dieu sauva bien les
hommes
en son temps, aussi bien que les autres coupabl
cèdent, put dire : « 4 Sur tout cela, j'appelle tout ce qu'il y a d'
hommes
au monde pour nous dire si ces folies doivent êtr
xoedème datant de vingt ans il-)4 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. chez un
homme
et une femme âgés. Quatre photographies : dis-
n., t. XIX, fasc. 4, 1893.) Sur un total de 1,121 crâues d'aliénés (
hommes
493, femmes 628), l'auteur a trouvé un torus ma
femmes 628), l'auteur a trouvé un torus mamelonnaire, 251 fois (107
hommes
, 244 femmes); un torus en dos d'âne 232 (103 ho
, 251 fois (107 hommes, 244 femmes); un torus en dos d'âne 232 (103
hommes
, 129 femmes). Le torus était complet seulement
es, 129 femmes). Le torus était complet seulement dans 340 cas (105
hommes
, 235 femmes) et partiel dans 217 (88 hommes, 11
ement dans 340 cas (105 hommes, 235 femmes) et partiel dans 217 (88
hommes
, 119 femmes). La présence d'un éperon, représen
mme un torus rudimentaire a été constatée 10 fois antérieurement (8
hommes
, 2 femmes) et 128 fois postérieurement en propo
t a été constatée 49,58 p. 100 chez la femme et 39,17 p. 100 chez l'
homme
. J. SÉGLAS. II. DES auto-intoxications dans LES
on trouve, en moyenne, 3 paralytiques femmes pour 10 paralytiques
hommes
. 2° Ce désaccord avec les anciens auteurs tient
principaux, aucune différence bien sensible chez la femme et chez l'
homme
. Dans les deux sexes, un fait est caractéristique
- sion a été de 5 p. 100 plus active pour les femmes que pour les
hommes
et cependant ceux-ci ont été bien plus atteints q
atteignaient les chiffres de 1,564 et 2,237 en 1886 et 1887. Les
hommes
ont fourni un bien plus fort appoint quortes femm
ort annuel moyen des admissions était pour Aix-la-Chapelle de 12,36
hommes
, et de 9,27 femmes, pour Elberfeld, 10,26 homme
-Chapelle de 12,36 hommes, et de 9,27 femmes, pour Elberfeld, 10,26
hommes
; 7,87 femmes. Ce qui prouve que les cercles ur
s grandes villes industrielles provoquent le surplus des admissions
hommes
, surtout à cause des excès alcoo- liques, mais
urs et en géné- ral tous ceux qui apprécient la mémoire de ce grand
homme
qui, par son enseignement et ses oeuvres, plus
ids de son autorité et toute l'aménité de son caractère. Ces deux
hommes
d'élite, MM. Baillarger et Falret, émules dans
appuyés au mur d'en- ceinte; se trouvent les quartiers' dès agités;
hommes
et femmes, qui sont ainsi assez éloignés des au
et logement dut médecin direc- teur ; C, C', Quartiers d'agités des
hommes
et des femmes; -D, Cuisine et hydrothé- rapie ;
par la division des femmes' et toute la partie gauche par celle des
hommes
. Cependant, le corps. de bâtiment antérieur qui
En conséquence de cette distribution, les deux divisions, celle des
hommes
et celle des femmes, sont exactement semblables a
de maladies contagieuses. liy.10.- Plan de l'Asile. La division des
hommes
est à gauche, celle des femmes à droite. 1, Q
est à gauche, celle des femmes à droite. 1, Quartier des faibles
hommes
; - 2, Quartier des épileptiques, hommes Quar-
e. 1, Quartier des faibles hommes ; - 2, Quartier des épileptiques,
hommes
Quar- tier des tranquilles, hommes; - 4, Quarti
- 2, Quartier des épileptiques, hommes Quar- tier des tranquilles,
hommes
; - 4, Quartier des épileptiques, femme ? 5, Quart
uverte qui circonscrit ' les cours (cloîtres); C et F, Quartier des
hommes
et dortoir des femmes; D, Logement des soeurs :
aleries couvertes allant à la cuisine; M, ! Si', Salle de bains des
hommes
et salle de bains des femmes; N, Salle d'hydrot
ures conditions. Ils sont adjacents l'un à l'autre, le quartier des
hommes
et celui des femmes n'étant sépa- rés que par u
porte, en effet, que 60 places pour S25 aliénés, 30 places pour les
hommes
et 30 places pour les femmes. Aussi, ai- je fac
btenu la création d'un nouveau quartier qui sera destiné aux agités
hommes
; les deux quartiers actuels seront réunis en un
r deux longues galeries couvertes qui vont, l'une à la division des
hommes
, l'autre à celle des femmes. On comprend les av
les deux salles de bains, est la salle d'hydrothérapie qui sert aux
hommes
et aux femmes. Elle possède tous les appareils hy
ix de journée de 1 fr. 20 pour les femmes et de 1 fr. 25 pour les
hommes
, et on n'a jamais hospitalisé que très peu d'alié
our les hommes, et on n'a jamais hospitalisé que très peu d'aliénés
hommes
de la Seine. (A suivre.) HISTOIRE ET CRITIQ
un myopathique d'exécuter ce mouvement, si facile à réaliser pour l'
homme
normal, on voit qu'il est absolu- ment impossib
el verbal, pour sa signature. Il est logique d'admettre que, si cet
homme
eût été plus lettré et aussi habitué à écrire les
l'une ou à l'autre de ces institutions sociales, et cependant les
hommes
compétents dans tous les pays réclament de plus e
engagements qui avaient été pris pour leur traitement. Grâce à des
hommes
influents, les fondateurs de l'asile furent bient
à un asile d'aliénées (femmes) et à un asile spécial d'alcooliques (
hommes
) ? 4° quelle est la catégorie d'aliénés qu'il c
t suivant les cas. * c Vous demandez si vos deux asiles celui des
hommes
alcooliques[1) et celui des femmes aliénées peu
s la contiguïté de votre asile de femmes aliénées avec un hôpital d'
hommes
ivrognes ne constitue-t-elle pas, au point de vue
ut être nettement et facilement produit que chez eux et que, chez l'
homme
physiologi- quement sain, à conscience large, o
un certain brillant de l'intelligence, se produit également chez l'
homme
sain sous diverses influences dont l'effet géné
l uniforme dans toutes les régions de la France, et il semble que l'
homme
conserve, dans l'aliénation mentale, plus ou moin
s pour les femmes est un peu plus élevé que ce même nombre pour les
hommes
, mais il en est de même dans la plupart des asi
u près égales, et que la manie essen- tielle est fréquente chez les
hommes
. Elle est relativement rare chez eux à Paris et
de manie et de mélancolie, aussi bien chez les femmes que chez les
hommes
. Quant à la paralysie générale, on a soigné en
76 sujets provenant du département atteints de cette affection, 64
hommes
et 12 femmes. Si en plus on considère que dans le
893.) Observation avec autopsie, sans examen microscopique. Jeune
homme
de dix-huit ans. Paralysie faciale droite, surtou
tes sur la peau et le tissu cellulaire sous-cutané de la lèvre d'un
homme
atteint de cancroïde. Je ne parlerai pour le mo
ou émotive. Dans ce but, nous avons mesuré, comme l'ont fait chez l'
homme
sain divers auteurs et sur- tout M. François-Fr
s convulsions chez les animaux intoxiqués. Il en conclut que chez l'
homme
l'épilepsie peut être considérée dans un grand no
de la Corrèze et d'une partie de la Loire, comprend un quartier d'
hommes
contenant 150 malades et un grand quartier affect
malades et un grand quartier affecté aux femmes (près de 800). Les
hommes
, après un séjour plus ou moins prolongé à l'asi
un certain nombre d'a- méliorations. C'est ainsi que les bains des
hommes
ont été refaits et ceux des femmes améliorés. 1
s GÉNERAUX. - 1° Quantité. En consultant les tableaux I (Urines des
hommes
) et II (Urines des femmes), on voit que vingt h
I (Urines des hommes) et II (Urines des femmes), on voit que vingt
hommes
sur trente, soit les deux tiers, et que six fem
uantité d'urine supérieure à la moyenne (1,200 cent. cubes pour les
hommes
et 1,100 pour les femmes, d'après Yvon et Berli
cause d'erreur. ÉTUDE DE l'urine dans la paralysie générale. 373
HOMMES
374 CHIMIE PATHOLOGIQUE. Acide phosphorique.
IQUE; par , FRENKEL. (Neurolog. Cent·al6l., 1893.) Il s'agit d'un
homme
de trente-huit ans qui peut tenir les bras hori
re tabétique, qui ne peut pas plus exécuter cette ma- noeuvre qu'un
homme
sain. Il doit y avoir diminution de cette sensi
posant en : 45 femmes hystériques. 76 hystéro-épileptiques. - 4
hommes
hystéro-épileptiques. 125 Moyenne de l'âge, q
q ans. Prédominance des jeunes filles. Hérédité chez 96 femmes et 2
hommes
. Suicide chez 33 femmes et 1 homme (= 34 cas, s
s. Hérédité chez 96 femmes et 2 hommes. Suicide chez 33 femmes et 1
homme
(= 34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits
. 2° Le sexe : les femmes sont de beaucoup plus sensibles que les
hommes
à la contagion mentale et il résulte des observat
randon, que celle-ci s'opère surtout de femme à femme et de femme à
homme
et très exceptionnellement de homme à femme et
de femme à femme et de femme à homme et très exceptionnellement de
homme
à femme et de femme à homme. 3° La nécessité
e à homme et très exceptionnellement de homme à femme et de femme à
homme
. 3° La nécessité d'une longue vie commune aussi
ur celle-là. M. Kroepelin. Ces améliorations se voient aussi chez l'
homme
. Quand on voit l'épilepsie s'améliorer, on est
ns l'espèce des phéno- mènes suivants. Tout accès d'anxiété, chez l'
homme
sain aussi, s'accompagne d'une série de manifes
d'hygiène, en dehors de la conférence an- noncée de Lombroso sur l'
homme
criminel (section XIV), la ques- tion des alién
oins compacte, services généraux médians et divisions symétriques d'
hommes
et de femmes au nombre de 4 à 500 environ pour
s'est écoulée régulière au milieu des soins du ménage ; ce sont des
hommes
bien pondérés, sobres, intelligents, parfois in
lle gère, au Point-du-Jour, elle ne tarde pas à entendre des voix d'
hommes
et de femmes qui disent : « Vache, salope, puta
araissent. C'est la bonne d'en face qui l'épie et qui dit dès qu'un
homme
entre dans l'hôtel : c Encore un amou- reux ! »
er. L'accord est dans le ménage, l'aisance y rentre presque, mais l'
homme
est tuberculeux, et meurt au bout de trois ans.
ISÉS DANS LES PSYCHOSES. 447 elle dans ses relations conjugales; un
homme
croit que sa fiancée s'est glissée en lui par l
oints de ce corps de femme sont exactement superposés à son corps d'
homme
, etc., etc. C'est que déjà l'intelligence fléch
ne otite suppurée cicatrisée. ' Etat actuel (mai 1894.) D... est un
homme
d'apparence vigoureuse. Son crâne, très large d
se des deux mains le dynamomètre vigoureusement, et plus même qu'un
homme
du même âge. Il a, en outre, été un jour de sor
er expérimentalement une polyurie traumatique analogue à celle de l'
homme
. En sacrifiant ces lapins, Kahler remarqua que
Déjerine 1 relatait une observation de polyurie hystérique chez un
homme
de vingt-neuf ans, grand alcoolique depuis l'âg
de cette idée fixe et son évolution ne sont pas douteuses chez cet
homme
. Il est légitime de supposer que la polyurie de
de l'hystérie mâle, on n'en re- cherchait pas les stigmates chez l'
homme
. Or, presque tous les cas de polyurie hystériqu
dégénérés. Tit. de Paris, 1892. 460 CLINIQUE MENTALE. cernent des
hommes
. D'ailleurs, la présence de stigmates actuels n
elé par M. A. Mathieu2 est très instructif à cet égard : un jeune
homme
de vingt-cinq ans, ne présentant aucun stigmate d
d'alcoolisme ou d'incontinence font défaut. Or, il est dit que cet
homme
, de trente-cinq ans, avait eu plusieurs blennor
la moelle lombaire du chien étant le même que dans la moelle de l'
homme
, le rapprochement n'a rien de forcé. Dans une p
n'y a pas de localisation cérébrale du centre de la lecture. Chez l'
homme
, il est impossible de fixer ce centre dans les
nfluence étrangère, leur direction morbide. En effet, sous le nom d'
hommes
sensibles nous désignons les gens qui, impressi
ésion des parties latérales et inférieures du bulbe. Il s'agit d'un
homme
âgé de trente-sept ans qui a reçu accidentellem
en héberge cinquante avec quatre gardiens. Trois sont réservés aux
hommes
, un aux femmes, Les pavillons sont librement in
s (avec l'asile d'infirmes d'Altscherbitz) renfermaient 872 aliénés
hommes
et 686 aliénés femmes. Or, le 1 février 1894, o
mes et 686 aliénés femmes. Or, le 1 février 1894, on y constate 844
hommes
et 725 femmes. Par conséquent en près de deux a
cttî\&%l>ins'ces deux asiles (asile d'infirmes compris) 1152
hommes
" et 871 femmes, et que l'on n'aura guère plus d'a
asile nouveau du « Cloître Pierre et Paul » près Tirnova 40 aliénés
hommes
avec 2 gardiens. Le 18 août y sont arrivés 81 m
revolver sur un huissier, sans l'atteindre, d'ailleurs. ` C'est un
homme
irascible, manifestant sa volonté avec énergie;
ns sa famille. Nos conclusions furent les suivantes : X... est un
homme
irritable chez lequel les contrariétés ont agi
on. Il a été déplacé. On l'accusait, prétend-il, d'avoir excité les
hommes
à réclamer au sujet de Ja nourriture. Ce n'est
de vérité dans les assertions de ces persécutés, que beau- coup d'
hommes
à l'état normal se font illusion sur la valeur
énés de la Seine. Nous observons, en ce moment, à la division des
hommes
de l'asile de Ville-Evrard ', un sujet de trente-
bâtiment, mort à trente-huit ans, de rétention d'urine. C'était un
homme
assez sobre, intelligent et bon. Grands-parents p
membre est dégagé plus encore de sa paralysie. A cette époque notre
homme
a eu des secousses et plusieurs fois son membre
es, des femmes ; la plupart de mes observations se rapportent à des
hommes
que j'ai choisis à dessein pour ré- pondre à ce
nnes furent affectés. En 1881, six aliénées femmes, un seul.aliénée
homme
avaient été pris jusqu'ici. En 1883, de la fin
fin de juillet au début de novembre, 28 typhiques, dont 16 aliénés
hommes
, 1 aliéné femme, trois gardiens. En 1884, attei
ne, d'un enfant du directeur. En 1885, 13 typhiques, dont 5 aliénés
hommes
, 2 aliénées femmes, 2 gar- diens, 2 gardiennes.
, 2 aliénées femmes, 2 gar- diens, 2 gardiennes. En 1830, 2 aliénés
hommes
, 10 aliénées femmes, 2 buandières. En 1887, 1 a
aliénés hommes, 10 aliénées femmes, 2 buandières. En 1887, 1 aliéné
homme
. Somme toute 128 SOCIÉTÉS SAVANTES; SI aliéné
rtion de la morta- lité pour des aliénées 21,5G 0/0 (20 0/0 ponrles
hommes
, 23 0/0 pour les femmes). Fièvre typhoïde grave
paraît à un âge plus avancé. 4° La forme primitive hante plutôt les
hommes
; la forme secondaire, surtout les femmes. 5° Le
compa- rer aux mouvements par habitude, souvent complexes, que l'
homme
sain qui s'y est exercé finit par exécuter mécani
ne pouvait pas admettre la solution plus radicale proposée par des
hommes
d'une incontestable autorité qui ont réclamé l'
état mental tel, qu'on puisse réellement considérer comme aliéné l'
homme
qui aura été traduit devant le jury. Mais ce
débat, et il arrive souvent que la défense ne dit pas au jury : Cet
homme
est un véritable aliéné, habituellement irrespons
bituellement irresponsable de ses actes, mais simplement ceci : Cet
homme
n'a pas une très grande intelligence; il ne mes
ne mesure pas bien la portée de tous ses actes ; ou bien : C'est un
homme
qui est sujet à la colère ou à toute autre pass
n'avoir eu en vue que le moment strict où ce fait a été commis. Cet
homme
n'a pu être maître de lui ; cet homme a été, po
où ce fait a été commis. Cet homme n'a pu être maître de lui ; cet
homme
a été, pour employer les expressions mêmes de l
l vrai, d'une manière générale, que, dans l'habitude de la vie, cet
homme
ne soit pas responsable de ses actes ? La quest
enir à l'appui de sa première argumenta- tion, que, d'ailleurs, cet
homme
n'est pas responsable de ses actes. La décision
avoir s'il faut, oui ou non, admettre la peine de mort. M. Loye, en
homme
de science, n'a voulu s'occuper que des faits. Si
chez le chien de phénomènes tout différents de ceux observés chez l'
homme
décapité. Le chien s'agite, se convulsé ; l'hom
x observés chez l'homme décapité. Le chien s'agite, se convulsé ; l'
homme
est calme, inerte. Le pre- mier meurt surtout p
, dus à l'irritation énergique et subite du système nerveux. Chez l'
homme
donc, suspension immédiate du pouvoir réflexe e
est le noeud vital. La région du noeud vital ne parait pas, pour l'
homme
, être aussi limitée que pour'le chien. Tout c
rt par la décapitation (phénomènes dans la tête et le tronc) chez l'
homme
. On trouvera au début de chacun d'eux un résumé
er, comme M. Lombroso tente de le démontrer, qu'il existe un type d'
homme
criminel dont le critérium anthropologique repo
anmoins des modifications organiques rapides, d'où nécessité pour l'
homme
de s'adapter à de nouvelles 156 BIBLIOGRAPHIE.
e dont il ne veut à aucun' prix lorsqu'il nous dit (p. 683) « qu'un
homme
robuste peut difficilement rester les bras éten
ative bien risquée. D'une façon générale, et en niellant à part les
hommes
qui ont l'ambition de faire leur chemin à Paris,
, de Varsovie. Les cordons postérieurs de la moelle épinière de l'
homme
, présentant une région nettement séparée des ré
ni même usage de spiritueux. Etant très bien portante a épousé un
homme
jouissant aussi d'une excellente- santé et en a e
spiritueux. Il y a quinze ans, étant en bonne santé, elle épousa un
homme
également bien portant et en eut un enfant robu
ls de ma statistique avec ceux des cas de tabes observés chez des
hommes
et des femmes et déjà décrits dans la lit- téra
es faits fournis par ma statistique : Sur 260 Juifs, il y avait 5
hommes
et 3 femmes atteints indubi- tablement de la sy
Juifs. Sur 200 Juifs, 2 cas seulement de tabès, soit 0,7 p. 100 (un
homme
et une femme). Sur 123 Russes, 4 cas de tabès
ernières années, il a inscrit dans son journal 2,403 malades (1,364
hommes
et 1,039 . 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. femmes).
PATHOLOGIE NERVEUSE. femmes). Dans ce nombre il y a 347 Juifs (159
hommes
et 188 femmes). Le nombre des cas de tabes étai
Le nombre des cas de tabes était 67, dont 60 cas indiscutables (55
hommes
et 5 femmes), et 7 cas douteux. Sur les 5,i h
iscutables (55 hommes et 5 femmes), et 7 cas douteux. Sur les 5,i
hommes
atteints de tabès : Dans 31 cas, il y avait eu
y avait trois juifs atteints de paralysie progressive, soit deux
hommes
et une femme, la seule qui soit indiquée dans c
la seule qui soit indiquée dans cette statistique. Chez un des deux
hommes
malades, il y avait eu syphilis; chez l'autre,
ambulataires et 569 soignés chez eux); ce nombre se divise en 1,196
hommes
et 1,414 femmes. Parmi ces malades il y avait 8
6 hommes et 1,414 femmes. Parmi ces malades il y avait 89 juifs (32
hommes
et 57 femmes). Les cas de tabes atteignaient le
m- mes et 8 femmes) et parmi ces malades se trouvaient 4 juifs (3
hommes
et 1 femme); mais au nombre des 3 juifs malades
mnèse. Parmi les quatre cas de juifs atteints, il y en avait 3 (2
hommes
et 1 femme) chez lesquels la syphilis était ind
amnèse. Il y avait 69 malades atteints de paralysie progressive (61
hommes
et 8 femmes); dans ce nombre, 1 juif. Sur ces s
t con- sidérés comme sourds ou fous. Bernhardtcite l'exemple d'un
homme
atteint de surdité verbale, consultant un auris
dans un mémoire sur l'aphasie senso- rielle, mentionne le cas d'un
homme
âgé de cin- quante-sept ans, atteint de diabète
pporté par Pflügcr in berline jE7. Woc ? cn ? M/' 1885 : un jeune
homme
reçoit de près un coup de fusil qui l'atteint d
uvent à peine être considérées comme rigoureusement applicables à l'
homme
. ' Charcot. Levons sur les Maladies dtt systéme
s ans, sans jamais avoir eu d'accident. ' " * Le 15 mai 1886, cet
homme
se lève le matin, mal portant; toute la journée
une dizaine de mi- nutes, il s'est fait brusquement remonter. Cet
homme
serait descendu dans les mêmes conditions du tra-
rvations qui précèdent montrent à l'évi- dence que la faculté que l'
homme
possède d'exprimer sa pensée par des signes peu
t modifié, altéré, et complètement aboli. C'est ainsi que, chez les
hommes
des Observations XXXII, XXXIII et XXXIV, cette
d'une aphasie motrice (type Bouillaud-Broca). Par contre, chez l'
homme
de t'OBSERVA'noN XXXV, 238 CLINIQUE NERVEUSE.
minutes de séjour au fond. 11 importe en outre de remarquer que cet
homme
n'était refroidi; il ne tous- sait pas et il n'
Immédiatement après la décompression et l'enlèvement du casque, cet
homme
tout d'un coup a complètement perdu la vue, il
quart d'heure après la décompression et l'enlèvement du casque, cet
homme
est pris d'une surdité complète, absolue, accom
ues mots qui lui échappent. En dehors de cette dureté de l'ouïe cet
homme
ne présente rien d'anormal. Ce court exposé des
frictionner. On n'avait pas encore enlevé tous ses effets que cet
homme
tombe en proie à dos convulsions qui se limitaien
ues, des femmes; la plupart de mes observations se rapportent à des
hommes
que j'ai choisis à dessein pour répondre à cett
RITIQUE. GRAND ET PETIT HYPNOTISME. térie est très fréquente chez l'
homme
. Il s'ensuit que )). Bern- heim a pu dans bien
is empiétait sur la face interne de l'hémisphère. Le premier sujet,
homme
instruit et très intelligent, mort à vingt-troi
ïa, après étude comparative des circonvolutions homologues chez l'
homme
et chez différents animaux, est arrivé à ce résul
l'enlever. Réflexe anassétéarien. Ce réflexe existe chez tous les
hommes
bien portants. M. Iliballçine prétend n'avoir jam
la papille vers la périphérie. Le développement de la rétine de l'
homme
se termine au huitième mois. La tache jaune n'e
e l'épilepbie.l'Ilystro- épilepsie des garçons diffère de celle des
hommes
par l'inégalité pupillaire, la fréquence des hy
L (Neurol. Centrnlbl., 1887.) , Après avoir établi chez son malade (
homme
de cinquante-et-un ans), l'existence d'accident
des autres des armes plus savantes et plus sûres. Pratiqué par des
hommes
qui savent que leur droit de tout étudier a pou
parait-il venu de sceller l'accord indispensable de la science de l'
homme
avec celle de la loi, en créant dans chaque fac
int tout . au plus la limite indéterminée de î9O millimètres chez l'
homme
et de 475 millimètres chez la femme. b. Peut av
e peut également, àl'instar de celles-ci, occuper toute la vie d'un
homme
, sans cesser d'être périodique. M. JASTROWITZ (
plaide devant le jury le système de l'irresponsabilité pour que cet
homme
puisse être considéré comme atteint d'aliénatio
illeurs, fait dans des conditions générales où se trouve placé tout
homme
dont l'internement est provoqué pour cause d'al
r stérilité par suite de l'anorchidie ou de la cryptorchidie chez l'
homme
, et des troubles menstruels chez la femme. Un c
New-York). Le recensement de l'asile au le, juin était de 1919; 913
hommes
et 1,006 femmes, les nouvelles infirmeries sont
ées, l'infirmerie des femmes contient 250 malades, l'infirmerie des
hommes
150; l'expérience qui a consisté à employer un
irmerie des hommes 150; l'expérience qui a consisté à employer un
homme
et sa femme pour soigner les vieillards faibles e
classe supérieure de l'école des infirmiers et infirmières compte :
hommes
, 17; femmes, 4; la classe inférieure : hommes,
infirmières compte : hommes, 17; femmes, 4; la classe inférieure :
hommes
, 9; femmes, 13 = total, 43. Pendant le mois d
. Ici aussi l'expérimentation sur les animaux et la clinique de l'
homme
marchent du même pas. Mais, comme il arrive lor
Mais la théorie scientifique des localisations cérébrales chez l'
homme
ne saurait être uniquement édifiée sur les donn
ier, ne soient applicables à la physiologie et à la pathologie de l'
homme
, serait nier le principe fonda- mental sur lequ
uel point la loca- lisation des fonctions cérébrales diffère chez l'
homme
de celle des autres animaux supérieurs : elles
end. 358 PHYSIOLOGIE. sur les localisations qui se rapportent à l'
homme
. Ils citent, comme on l'a déjà fait mille fois,
tions de ce genre, on doit arriver à déterminer sur le cerveau de l'
homme
la topographie des centres mo- teurs corticaux
x pour ceux qui l'entourent ; il faut, à ces moments, deux ou trois
hommes
pour le contenir. 11 a une loquacité intarissable
: Observation LVI. Histoire. Nilcitas Pagonis, âgé de trente ans,
homme
robuste, sans antécédents héréditaires ou perso
il n'avait qu'un certain degré de céphalalgie ; il avait l'air d'un
homme
qui pense à quelque chose de sérieux. Au bout
si par- ticulier, d'après le récit du capitaine Nickitas lannaras,
homme
instruit et fort intelligent, qu'au lieu de les
avant l'immersion. Immédiatement après l'enlèvement du casque, cet
homme
est pris d'un engourdissement général sans pert
ade sentait bien quand on le pinçait et quand on le louchait. Notre
homme
a été forcé de garder le lit pendant quarante j
t suivie de perte de connaissance absolue. A une heure du soir, cet
homme
revient complètement. La paralysie n'était plus c
l'été de l'année 1866 on m'a appelé pour visiter un sieur L... Cet
homme
plongeait en scaphandre depuis quelque temps po
ombre de 79, dont 49 femmes et 30 hom- mes. L'énorme proportion des
hommes
tient à ce que beau- coup d'hystériques femmes,
es à l'examen ophthalmologique, tandis que tous ou presque tous les
hommes
ont été examinés. En outre plusieurs hystérique
ue tous les hommes ont été examinés. En outre plusieurs hystériques
hommes
ont été adressés de différents hôpitaux à M. le
chez les animaux hypno- tisés. Il soutient que l'hypnotisme, chez l'
homme
, est plus complexe que chez les animaux et que
spécial, com- parable, sinon analogue à l'état d'hypnotisme chez l'
homme
. Cet état est caractérisé par : la diminution d
à quelques phénomènes psychi- ques, caractérisent l'hypnotisme de l'
homme
. Une grenouille mise avec précaution sur le dos
isation des hémisphères. Pour M. Dani- lewsky, la suggestion chez l'
homme
, même par la parole, ne diffère pas de celle qu
ac. Le Médecin, n° 3, 1887. 0 Greydenberg. Un cas d'hystérie chez l'
homme
(soldat). Le dlédeciti, n° 44, 9887. Un cas d
X, n° 3, 1887. ' Kostewitsch. Du développement [de la rétine de l'
homme
. Thèse inaugurale, Saint-Pétersbourg, 1887. '
6. De la constitution des cordons postérieurs de la moelle chez l'
homme
. Revue de Médecine, n° 14, 1887. Pototsky. Du p
la suite de leur asphyxie accidentelle par un poêle mobile. Chez l'
homme
une névrite optique détermina même la cécité. S
progrès successifs qu'il est légitime d'espérer, en l'attente de l'
homme
de génie qui en fera une oeuvre à peu près parf
sme. M. le Dr Isaac OTT (d'Easton), des centres caloriques chez l'
homme
. Ils résideraient dans le corps strié et près du
matique, dans d'autre cas s'éveillent par contagion ; à la vue d'un
homme
ivre, le neurasthénique alcoolique héréditaire
d, parce que le fond est toute la doctrine, parce qu'enfin, avec un
homme
comme M. Ribot, on n'a pas le droit de rien nég
à la tâche, et son nom restera dans leur mé- moire comme celui d'un
homme
dont la vie entière a été consacrée à la scienc
ains, 489. Cordons postérieurs (structure des de la moelle chez l'
homme
), par Popoff, 177. Corps calleux (brièveté an
(Milan, 1883). Le problème des conditions de la conscience, chez l'
homme
sain d'esprit et chez l'a- ' Albertoni. - Le lo
destinées des fonc- tions les plus hautes du cerveau lui-même. L'
homme
serait-il, sans la conscience, une moins bonne
s, t. XXI. ~ a 34 Il PIIYSIOLOGIE. Il n'y a pas d'apparence que l'
homme
échappe- à cette sorte de cristallisation final
té psychique à un automatisme inconscient est la loi universelle, l'
homme
ne saurait s'y soustraire dans un avenir que l'
Voilà une vue des fins dernières et des destinées de l'esprit de l'
homme
que nous avons nous- même trop souvent esquissé
ques, de Mosso, exécutées, à l'aide du ptéthysmographe, sur deux
hommes
et une femme qui présentaient une perte considé
es, lumineux, etc., et à l'aide d'instruments enregistreurs, sur un
homme
qui présentait une large perte de substance du
y a de mécanique dans le travail du philosophe qui réfléchit, de l'
homme
de lettres qui écrit, du musicien qui compose.
ériel qui permet, sous ce rapport, de les comparer à ce que' fait l'
homme
de peine. » La pensée, comme le mouvement muscu
le pensante. On peut admettre que les facultés propres qui font l'
homme
de génie, sont toujours immanentes à un poids t
straite au traitement. La quatrième observation est l'histoire d'un
homme
de vingt-six ans, qui après un séjour de 4 ans
ctuel. - Ladame a publié un cas de malaise, se produisant chez un
homme
de 30 ans, qui voulait faire la haute voltige sur
sible sans soutien. Donc, encore cette fois, début plutôt lent. L'
homme
de vingt-six ans (4e observation) est pris d'asta
à la Salpêtrière, au cours de l'an dernier, ayant tous trait à des
hommes
adultes. Aussi il n'y aurait pas de diffé- renc
-il un complet parallélisme entre le cerveau du singe et celui de l'
homme
? c'est là une question à laquelle on n'a pu ré
en que lorsque la vision centrale est perdue ou affaiblie chez un
homme
les objets sont mieux vus à distance que de près
et par suite avec les macula1 fate. Les faits pathologiques chez l'
homme
nous obligent à sup- poser que la région de la
investigation qui leur sont applicables. Il est ceitain que, chez l'
homme
, les affections des centres visuels produisent pa
4. 2 Diseases of the nervoiss System, p. 19. ' Le malade était un
homme
de tlellte-neuf ans. Deux ans auparavant il ava
ée sur la moitié droite. Chez le singe et dans plusieurs cas chez l'
homme
d'hémiopie dépendant des lé- sions de l'hémisph
côté éclairé. Il n'y a aucun ! doute que chez le singe comme chez l'
homme
, il y a décursation dans le chiasma. Michel, da
lésion du pli courbe chez le singe, comme les cas semblables chez l'
homme
, je ferai allusion à l'hypnothèse émise par Lan
xpérimentaux ne parait pas être exclusive. Il est vrai que chez l'
homme
, nous trouvons quelquefois, au lieu d'une hémio
estruction de toute la sphère visuelle chez les animaux supérieurs,
homme
ou singe, aucune réaction des impressions rétin
ine, de Lyon, qui a étudié en outre l'action de l'acétanilide sur l'
homme
sain et sur l'animal. Voici le résumé de son tr
e résumé de son travail et de celui de ses collaborateurs. Chez l'
homme
bien portant, une dose de 0 gr. 25 cent. d'acé-
ence d'affaiblissement physique et d'un surmenage quelconque. 3° Un
homme
bien portant, à cerveau robuste, demeurera touj
été appliqué sur 40 malades, se décomposant en : 34 tabétiques (29
hommes
, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myé
mmes, 5 femmes); 1 sclérose en plaque (femme); 1 myélite chronique (
homme
); 1 névrose traumatique (homme); 3 paralysies a
aque (femme); 1 myélite chronique (homme); 1 névrose traumatique (
homme
); 3 paralysies agitantes (femmes). ' Nombreux t
ci des troubles très pro- noncés de la sensibilité.- Il s'agit d'un
homme
de quarante-quatre ans qui auraitété paralysé d
miné à l'ophlhalmoscope les malades de l'asile de Fribourg; sur 113
hommes
, il a trouvé des fibres à myéline dans la rétin
es de la substance blanche profonde du toit du cerveau moyen chez l'
homme
(entre-croisements de la calotte de Meynert et Fo
vi une méthode extraordinairement rigou- reuse. Il a pris un type d'
homme
, d'Européen établi d'après lesder- nières donné
prend pas moins de 34 planches aux deux crayons, il nous montre l'
homme
dans toutes les attitudes. Vis-à-vis de chacune d
s pendant l'année 1889-1890 s'élève à 395 avec la proportion de 179
hommes
pour 216 femmes. Voici le chiffre des guérisons
e la pension de M. le Dr Max- Simon, médecin en chef du service des
hommes
à l'asile de Bron En émettant ce vote, le Conse
entre antérieur. Il faut remarquer ensuite que Broca, qui range l'
homme
parmi les anosmatiques, lui accorde cepen- dant
rès importante à connaître, parce qu'elle distingue le cerveau de l'
homme
d'avec celui des quadrupèdes en général, dans l
structure de cette portion grise sont à peu près la même que dans l'
homme
. » C'est la partie interne de la terminaison du
plenium. C'est-à-dire que nous trouvons ici le même fait que chez l'
homme
, avec cette différence que chez les animaux il
nt, avec ses modifications, cette circonvolu- tion ou plutôt chez l'
homme
cette demi-circonvolu- tion. Lame bordante du
alo- gie, que la marche à deux pieds n'est pas plus naturelle aux
hommes
, que ne le sont l'écriture ou le langage articulé
du muscle*. « En 1883, écrivait Herzen, ayant à ma disposition un
homme
et un chien, tous deux munis de fistules gastri
er, repré- sentant un dénivellement d'environ cinquante mètres, l'
homme
m'a plusieurs fois donné, le matin* à jeun, un
ux plus hautes 236 PHYSIOLOGIE. activités du système nerveux de l'
homme
, n'est donc, en dernière analyse, comme la phys
radiations, ces territoires communs, sont bien mieux étendus chez l'
homme
que chez les animaux inférieurs : les centres f
ution temporale supérieure. La surdité par maladie cérébrale chez l'
homme
est rare, vu l'ex- trême rareté de lésions bila
e date ou de sourds-muets congénitaux. Milles4 rapporte le cas d'un
homme
sourd depuis trente ans ; le cerveau, autrement
tisfaisantes à ce point de vue que les observa- tions prises chez l'
homme
. Cependant, en étudiant les cas qui ont été pré
. (Compte rendu de l'asile d'aliénés de Bâle. 1889.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-cinq ans, dont le grand-père pater
que ET paralysie DE 1 OCULO-3fOTEUR commun; par le Dr SCHNELL. Un
homme
de cinquante-six ans fait une chute dans un escal
VII. Méningite spinale ASCENDANTE aiguë ; par M. L. D'ARDENNE. Un
homme
de soixante-sept ans, jardinier, est pris, à la s
le système sympathique comparative- ment chez les animaux et sur l'
homme
. Dans le présent mémoire, l'auteur considère le
chez les mé- lancoliques, mais elle n'est que de 5 g ? 81 chez les
hommes
et de 6 gr, 51 chez la femme, et respecte le lo
phasique : par H. Schlass. - (Jahrbùch. f. Psych., VIII, 1,2.) Un
homme
de cinquante-six ans tombe de voiture et va donne
XX. D'un trousseau anormal de l'JORE5 existant dans LE bulbe de l'
homme
; par A. PICE. (Arch. f. Psych., XXI, 2.) Ilenle
ndants l'un de l'autre. C'est ce qui résulte des tracés pris chez l'
homme
normal qui dort, chez un paralytique général af
atéral, passer dans le ruban de Reil inférieur; ce faisceau, chez l'
homme
, va jusqu'à l'olive supérieure et se rattache a
de février 1890, 82 malades, soit 10.7 p. 100. Elle en a tué î : 4
hommes
, 3 femmes, dont 5 de pneumonie, et 2 (2 hommes)
Elle en a tué î : 4 hommes, 3 femmes, dont 5 de pneumonie, et 2 (2
hommes
) de bronchite catarrhale. Les alié- nés hommes
pneumonie, et 2 (2 hommes) de bronchite catarrhale. Les alié- nés
hommes
qui ont succombé étaient âgés de trente, soixante
nique laisse dans l'ombre. II. - Dans le second cas, il s'agit d'un
homme
de trente-cinq ans, entré à l'hôpital pour une
ferme un nombre trop grand de malades, surtout dans les quartiers d'
hommes
et dans ceux de femmes atteints de folie aiguë.
r, dû à la crédulité publique, vient de so produire ici. Un jeune
homme
de seize ans se trouvant souffrant, ses parents,
ypnotisme : On guérit instantanément le défaut de débauche chez l'
homme
comme cliez la femme. ' Ce t;aU6 vaut son poids
ôte sain. HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 339 chez cet
homme
, non seulement le sourcil n'était pas abaissé d
- cuoutkowsky et l'examen donne les résultats suivants : C'est un
homme
de taille moyenne, bien bâti ; le pannicule adi
rentes toujours la même mimique. Cela est dû peut-être à ce que cet
homme
, ouvrier grossier, dans l'esprit duquel les scè
opsie y tient une grande place. Le feu, le sang, des assassins, des
hommes
ronges qui la poursuivent, des bêtes, rats, cra
e suis toute seule... où donc, à cette heure ? En pleine nuit ! ces
hommes
après moi 1 Toutes ces hallucinations persisten
' et les recherches de Charcot sur ],hémianesthé1C cérébrale chez l'
homme
ont' amplement dé- montré que les tractus sensi
hors des expériences physiologiques. Le principal rapport et chez l'
homme
le seul constant des fibres o ! - archives, I.
bral sont considérés comme racines du nerf olfactif. Quoique chez l'
homme
et chez le singe toutes ces racines externes soie
lobule de l'hippocampe est relati- vement petit chez eux, tel que l'
homme
et le singe, dont le sens de l'odorat, quoique
st le pli de passage rétro-limbique de Broca (fig. 30, 9). Chez l'
homme
et chez le singe, on considère généralement com
Je suis porté à croire, au point de vue physiologique, que chez l'
homme
et chez le singe la limite postérieure du lobule
es nerfs de Lancisi (s. t. 1. ni. fig. 31) qui sont visibles chez l'
homme
à la face supérieure du corps calleux. Il décrit
mme une portion du gyrus dentatus. - On le rencontre souvent chez l'
homme
(B. W. fit. 31). Zuckerkand, essaie aussi d'éta
nimaux os- matiques, on ne peut pas dire qu'il soit atrophié chez l'
homme
et le singe ou qu'il subisse des variations de
c les tractus olfactifs. On peut se demander si l'hippocampe chez l'
homme
est relativement plus petit que celui des anima
lobule de l'hippocampe est cependant relativement plus petit chez l'
homme
que chez les animaux osmatiques et peut être auss
O), mais on peut aussi constater ce rapport chez le singe et chez l'
homme
(fig. 34, a c). La commissure antérieure réunit a
grands que le tiers de la section du trac- tus olfactif, et chez l'
homme
, tandis que le tractus olfactif n'a que la gros
'on appelle le corps calleux chez ces ani- maux (B fig, 32). Chez l'
homme
aussi, la partie postérieure du tri- rone est f
signification physiologique de la zone de Rolando du singe et de l'
homme
et de son homologie chez les ani- maux inférieu
te et des yeux du côté gauche, comme Jans les cas semblables chez l'
homme
, la déviation conjugée de la tête et des yeux f
dineuses, comme dans le cas d'hémiplégie incurable cérébrale chez l'
homme
. Les recherches sur l'état du cerveau de cet an
noncés du côté opposé, que du même côté. Chez le singe comme chez l'
homme
, il n'est pas rare de trouver de la dégénéresce
s des deux côtés. Ces faits comme les observations cliniques chez l'
homme
montrent que, même pour les membres, ehaque hém
s de chaque hémisphère qui existent jusqu'à un certain point chez l'
homme
et chez le singe, sont, comme nous le verrons,
st hors de doute que les lésions corticales de la zone motrice de l'
homme
telles qu'elles détruisent et non pas comprimen
e ou une très ancienne amputation d'un membre. Chez le singe et l'
homme
, il n'y a pas de preuve de compensa- tion fonct
sont interminées ou vagues. Il est aussi incontes- table que chez l'
homme
la paralysie par lésion de la zone motrice est
« Les cas d'hémianesthésie hystérique peuvent se rencontrer chez l'
homme
et chez la femme affectant seulement les tégume
e l'animal. Dans pareil cas, les centres moteurs de. la moelle de l'
homme
chez lequel les * Centres psycho-moteurs du cer
ativement à la taille de l'animal, les centres spinaux moteurs de l'
homme
sont moins développés que ceux des animaux inféri
ites par Brissaud2 comme résultat de lésions du lobe frontal chez l'
homme
. Il n'a pas pu suivre la dégénérescence dans le
as publiés de traumatismes ou de maladies des lobes frontaux chez l'
homme
sont d'accord avec le caractère négatif des lés
chercher les effets physio- logiques produits par l'exalgine chez l'
homme
. Ils témoignent presque tous de l'action spécia
un lapin, on verra que les doses les plus élevées administrées à l'
homme
et suffisantes pour obtenir les effets thérapeu
ut écart du régime commun qui ne semble pas nécessaire. De ces deux
hommes
fondus en un seul, qui l'empor- tera chez le di
à la direction médico-administrative. Qui l'emportera de ces deux
hommes
fondus en un seul chez le directeur-médecin dem
-médecin, le directeur l'emporte sur le médecin, cela tient non à l'
homme
, c'est à dire au système, mais à la législation
m- bard, car non seulement le directeur tue le médecin en tant qu'
homme
de science, en lui enlevant sa liberté d'esprit n
e le même effet à la con- trainte matérielle et morale, qui prive l'
homme
de son libre arbitre, bien qu'on ait voulu fair
l'irresponsabilité absolue de l'a- liéné amène l'acquittement d'un
homme
qui ne serait pas à l'abri de tout reproche, ma
garde con- tre l'espllt de système qui tend aujourd'hui à nier en l'
homme
la liberté morale ; les théories qui cessent de
ancolie hypocondriaque la plus rare. La mélancolie prend chez les
hommes
beaucoup plus souven que chez les femmes la for
énitale se remarquent plus fréquemment chez les femmes que chez les
hommes
. - En dehors des troubles de la sensibilité gén
est bien vrai que l'aliéné qui est halluciné, ou qui délire, est un
homme
qui se trompe; mais cette erreur est causée par
retrou- vent, comme manifestation unique de l'intelligence, chez l'
homme
primitif; on les retrouve encore, affaiblies et
itif; on les retrouve encore, affaiblies et à l'état latent, chez l'
homme
bien développé. Entre ce groupe d'idées piimilive
d'idées piimilives et celui des idées plus récentes, il y a, chez l'
homme
complet et bien développé, différence d'énergie
URY donne lecture d'une observation de M. Journiac : Il s'agit d'un
homme
âgé de soixante-dix ans dont les antécédents hé
emporains s'occupent peu de l'individualité psychique du malade. Un
homme
naturellement expansif sera plutôt atteint de m
t expansif sera plutôt atteint de mélancolie anxieuse, tandis qu'un
homme
qui réagit à l'état nor- mal par un arrêt des m
ement déterminé la surdité; 2° elle est le résultat du chagrin d'un
homme
qui se sent devenir sourd, et qui voit qu'il va
ses. Sur 500 aliénés qu'il a examinés, Schlager a trouvé 49 cas (42
hommes
, 7 femmes) de folie traumatique. Dans 19 cas, l
ans que le casque eût été été. Aussitôt après, un parent du malade,
homme
vigoureux, appliqua son pied contre la tête de
jouent le rôle de corps étrangers, comme dans le fait suivant : Un
homme
avait eu, pendant son service d'artilleur, une fr
h. de Neurologie, n° 51, p. 337. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 29 9 l'
homme
. Longtemps oubliée, cette découverte n'est rien
croyait que l'entre- croisement de ces fibres était complet, chez l'
homme
même, « opinion, écrivait-il, qui rend facileme
tine de l'oeil du côté correspondant. Chez les singes, comme chez l'
homme
, le faisceau direct serait presque aussi fort q
le centre « oculo-visuel », comme il l'appelle, s'étendrait, chez l'
homme
, sur tout le bobule pariétal inférieur, relié,
intégrante du centre de la vision, car. Angelucci admet que, chez l'
homme
, ce centre est surtout localisé dans les région
ue plus fermes et décidément en faveur de la doctrine qui, chez l'
homme
, considère les lobes occipitaux comme les organ
entique. Seppilli veut seulement retenir de ces faits que, chez l'
homme
comme chez les singes, les centres de la vision
lles sont le symptôme. Seppilli rapporte, d'après Pick, le cas d'un
homme
de vingt-huit ans, atteint de délire de persécu
connues, de grandeur naturelle : mais la tête et le^ buste de ces
hommes
lui apparaissaient seuls le plus souvent. De mê
symboles ou images acoustiques verbales. Un cas de Cattani ', où un
homme
de soixante-un ans, 'atteint d'amnésie verbale,
ance : l'un appartenait à une femme de trente-six ans, l'autre à un
homme
de qua- rante ans. Dans les deux cas, il existe
iocéphalie, que l'auteur a constatée 30 fois sur 'z0 épi- leptiques
hommes
, et 26 fois sur 35 épileptiques femmes. LES FON
s et chez les cétacés. De grandes ruines attestent seules, chez l'
homme
, l'importance de ce sens dans la longue série a
aux pachydermes et aux ruminants, qu'aux singes anthropoïdes et à l'
homme
. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLI
dans les liquides proportionnellement à leur tension; le sang d'un
homme
qui est resté pendant plusieurs heures sous une
ne in- fluence sensible même sur l'état de santé ou de maladie de l'
homme
. Lorsque l'air ambiant, par exemple, devient su
ngeurs peuvent être soumis. Dans le scaphandre, comme on le sait, l'
homme
est complètement isolé de l'eau à l'aide d'un h
nnés à une corde d'appel. Néanmoins, grâce à cette atmosphère que l'
homme
conserve autour de lui, il peut entretenir sa r
nveloppe soit à une pression, plus grande qu'il n'est nécessaire. L'
homme
est réellement au point de vue physique dans la
à ce moment, il cherche s'occuper non comme cordonnier, mais comme
homme
de peine. Puberté. Moustaches fines, assez fo
certificat ; il en a été de même pour des emplois de courtier, d'
homme
de peine. D'après sa mère, on ne peut lui confier
à une bémorrhagie dans le canal sacré. . M. Bernhardt présente un
homme
de .trente-six ans atteint de ..tabes. C'est à
ie lumière sur les fibres latérales de cette région. 11 s'agit d'un
homme
de quarante trois ans, suc- cessivement atteint
tions internes tenant au vice d'organisation psycho-phy- sique de l'
homme
, encore des conditions externes indépendantes d
enfants criminels se trouve donc nettement formulé : pour rendre l'
homme
maître de ses passions. il faut développer, et
erveux jouent un rôle important dans la formation du caractère de l'
homme
, telle est l'idée que l'auteur développe dans c
nt les mouve- ments da ce dernier type dans l'examen des actes de l'
homme
en général et des actes criminels en particulie
melle, que sous l'influence des perceptions fausses et illusoires l'
homme
peut commettre des actes les plus dangereux. Fa
enre répond à un double besoin : t° nécessité de posséder, pour les
hommes
surtout, un ensemble de dispositions, dans les
rmées à clef, avec croisillons, ne per- mettant pas le passage d'un
homme
; leurs matériaux ont été doublés de force ; à
pulation totale de l'asile est, à ce jour, de 848 malades, dont 41G
hommes
. C'est donc environ le dixième des lits des hom
alades, dont 41G hommes. C'est donc environ le dixième des lits des
hommes
que complet notre quartier de sûrelé. Pour ré
olent coup de serpe sur la tête; la cicatrice en est manifeste. Cet
homme
a été de tout temps regardé comme un cerveau fê
l'avenir réservé à cet infortuné'. Gama (loc. cil., p. 461) cite un
homme
qui, après une chute sur la tète, resta sourd.
combien les appréciations doivent différer suivant les cas. z Un
homme
, dont la mère a été aliénée, arrive jus- qu'à l
happer, malgré sa prédisposition héréditaire ? Autre exemple : un
homme
de 40 ans, sans aucune prédisposition héréditai
IE MENTALE. lytique général. Est-il téméraire de supposer que cet
homme
aurait eu la force de supporter son chagrin, si
lie paralytique ? » (Ann. mêd. psy- chat., ils6\), I, p. 447.) Un
homme
d'une soixantaine d'années et amené dans un état
ance vraiment incom- parable, est la clinique, l'observation chez l'
homme
, et l'autre qui contribue à son tour à éclairci
e hautes pressions, c'est principalement sur l'ob- servation chez l'
homme
qu'il faut nous appuyer pour faire une étude co
des immersions ne peut non plus être pris en considération, car cet
homme
n'avait fait qu'une seule immension. Enfin, il
é; il est expressément noté dans l'histoire de l'observation de cet
homme
qu'il n'y a eu ni refroidissement, ni affection
s digestives. Le voici : « Il importe en outre de remarquer que cet
homme
n'était pas refroidi, il ne toussait pas et il
immersion que l'accident était arrivé. Si l'on consi- dère que cet
homme
était descendu à jeun et qu'il n'avait rien du
té la cause de cet accident, c'est ce qui est arrivé en effet : cet
homme
, la veille de son accident, le 15 mai 1886, s'e
agitée, il n'a pu fermer l'oeil. Le lendemain matin, 20 mai, cet
homme
faisant bon marché de cette indisposition, est
me élément étiologique tombe de lui- même. Enfin, du moment que cet
homme
ne tous- sait pas, qu'il était descendu à jeun
ui n'est autre que le refroidissement; en effet l'ac- cident de cet
homme
est survenu dans les circons- tances suivantes
ent dans la produc- tion de cet accident. Enfin, étant noté que cet
homme
n'avait pas été fatigué, on est en droit de son
'excès du gaz par cette voie. C'est ce qui est arrivé en effet. Cet
homme
avait attrapé un catarrhe bron- chique, l'hiver
PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 237 7 fin, si l'on considère que cet
homme
n'avait pas été fatigué, on est forcément oblig
ment régulier de la peau, des poumons et des voies digestives, ces
hommes
étant parfaitement bien por- tants avant l'imme
utant que possible. Savage 2 décrivit un cas de myxoedème chez un
homme
, accompagné de dépression visible de la région
e le D'' Ballet' publia l'observation d'un cas de myxoedème chez un
homme
. 1 la même époque le Dr Thaon décrivit un cas d
rtant. Sur quinze cas observés par lui il ne se trouvait qu'un seul
homme
sur quatorze femmes. Morvan émit l'opinion que
Lunn 3 décrit deux cas de myxoedème, dans l'un desquels le malade,
homme
de cinquante-trois ans, présenta en outre des i
ge- ments de la glande thyroïde. Ces expériences, opérées sur des
hommes
, par les chirurgiens déjà nommés, ainsi que par
ence, octobre 1885). L'auteur rapporte avec soin l'observation d'un
homme
qui 272 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. ne parai
de prison, le tenant évidemment pour responsable de ses actes, un
homme
qui a commis la tentative criminelle que la justi
NCLAIE. (The Journal of mental Science, avril 1886.) Il s'agit d'un
homme
, atteint de manie d'origine probablement alcool
ti- seur de foire, qui rendit malade un de ses sujets de passage,
homme
du monde bien portant auparavant. Séance du 7 a
s. M. SAuRY rapporte l'histoire d'un cas de délires multiples. Un
homme
de quarante-huit ans, héréditaire dégénéré, fait,
vue, une véritable lacune dans nos lois. En matière criminelle, un
homme
ivre est-il responsable ? Là-dessus, point SOCI
10 au 17 août 1889. A la question posée : existe-t-il un TYPE de l'
homme
criminel ? 111. 11lANOUVRlER répond par la néga
le de faire une moyenne de ces caractères et d'établir un type de l'
homme
criminel. Tel n'est pas l'avis de AI. LOMBROSO
hez qui cependant il a pu quelquefois découvrir les caractères de l'
homme
criminel, en comparaison du nombre des criminel
remarquer que la femme porte, à l'état normal, les caractères de l'
homme
criminel. Et cependant, elle est huit fois moin
e criminel. Et cependant, elle est huit fois moins criminelle que l'
homme
. Comment expli- 292 sociétés savantes. quer c
s mêmes phénomènes. Enfin 111. Vi- bert croyant que l'hystérie de l'
homme
diffère de celle de la femme, se demande pourqu
l'indemnité. Quant à la plus grande fréquence du milway-bmin chez l'
homme
, elle peut pro- venir de ce fait que les femmes
le résumé. Le 5 septembre 1887, on reçoit à la Charité de Berlin un
homme
de quarante-cinq ans qui, depuis le mois de fév
e la lucidité intervallaire s'est considérable- ment obscurcie. Cet
homme
vigoureux est porteur d'une cicatrice large de
s à la Charité de Berlin de 1880 à 1886 est par rapport à celui des
hommes
admis pour la même maladie pendant le même laps
s malades. L'évolution en est plus placide chez la femme que chez l'
homme
. On a surtout affaire à de la démence apathique
e la Prusse), on a reçu 22 paraly- tiques générales femmes pour 208
hommes
; sur ces 22 femmes, il n'y en avait qu'une qui
ns le même espace de temps, on a reçu 1,262 paralytiques généraux
hommes
et 347 paralytiques générales femmes : le rapport
vrier dernier). Discussion : M. MENDEL résume, l'observation d'un
homme
qui, à la suite d'une glycosurie persistante (p
à consulter. En somme, en Prusse, de 1877 à 1887, 446 inculpés (357
hommes
, 89 femmes) ont été séquestrés par la justice a
46 expertises, on en a déclaré 62 indemnes d'aliénation mentale (52
hommes
, 10 femmes), soit 14 p. 100 d'hommes, 10 p. 100
emnes d'aliénation mentale (52 hommes, 10 femmes), soit 14 p. 100 d'
hommes
, 10 p. 100 des femmes, en tout 24 p. 100. En au
installations plus déplorables encore. « La cellule affectée aux
hommes
, dit le sous-préfet de T..., me paraît complète
re de ces étables combien mon coeur s'est serré à la pensée que des
hommes
pouvaient se trouver plus abandonnés et plus ma
rvation peut être pour- suivie dans de bonnes conditions et par des
hommes
expérimentés. N'y a-t-il pas d'ailleurs utilité
énés pour lu canton de Zurich atteindrait le chiffre de 3178 (1,391
hommes
et 1,687 femmes), sur une population de 339,000
en ce point '. (Bourne- ville et Pilhet, Soc. anal. 1886.) Sur un
homme
de quarante ans, mort dans le ser- vice du Dr B
aît souvent fort obscur. Comme François Franck, qui est peut-être l'
homme
du inonde qui a le plus réfléchi sur la nature
t avec le corps strie. Le développement des couches optiques chez l'
homme
correspondrait au degré exquis d'innervation motl
prétendus centres moteurs basi- laires chez les mammifères. Chez l'
homme
, avait écrit Maragliano, « les centres de la ba
le la persistance de la paralysie des mouvements volontaires chez l'
homme
et chez les animaux- qui s'en rapprochent le pl
mènes de suppléance,, si rapides chez les mammifères inférieurs à l'
homme
et au singe. Les centres voisins du point extir
très grêle, cela serait tout à fait erroné pour le singe et pour l'
homme
. Ilitzig, Albertoni, François Frank et Pitres,
u côté correspondant. Dario Maragliano avait même invoqué, chez l'
homme
, l'action du faisceau pyramidal direct pour exp
résultats expérimentaux concordent avec les faits cliniques. Chez l'
homme
, en effet, les troubles de la motilité volontai
E l'hystéro-épilepsie. 4·I3 Dans son délire, il voyait toujours des
hommes
avec des fusils qui voulaient le tuer. Après la
eux ont le type de tissus mu- queux. Mais il y a des cas où chez un
homme
adulte, sous l'influence de conditions patholog
quatre étaient repré- sentés par des femmes et seulement un par un
homme
. Quant à l'âge, l'homme avait vingt-quatre ans,
entés par des femmes et seulement un par un homme. Quant à l'âge, l'
homme
avait vingt-quatre ans, deux femmes, vingt-deux
me détermination cutanée et comme indice d'un état général. Chez un
homme
atteint de paralysie générale à forme très aigu
II. Angine DE poitrine, GOITRF EXOPIITIIALl11QU; ET hystérie chez l'
homme
, par I. GH. AUDRY. (Lyon méd., 1887, t. 5L) IX.
ts. G. D. 1 438 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. X. Hysiérie chez un
homme
; par M. Cil. Audry. L'intérêt de cette observat
1887.) L'observation qui fait l'objet de ce travail est celle d'un
homme
qui présenta dans sa jeunesse des crises d'hyst
nique, on peut provoquer des hallucinations de l'ouïe. - Obs. II.
Homme
de quarante-deux ans, extrêmement halluciné; ses
encore que la tempérance est éminemment productive à la- santé de l'
homme
. Il faut se sevrer au plus vite des boissons al
ropie, les soutiens de celui des époux atteint de psychopathie, les
hommes
politiques et les jurisconsultes, qui craignent
ses amis que parmi ceux qui n'ont connu en lui que le médecin ou l'
homme
de science. - M. le f)' Rota, ancien directeur
ehn, 464. Crime politique, par Contrigue,292. Criminel (type de l'
homme
), par nouvrier, Lombroso, 291 ; aug- mentatio
ie, céphalées, épistaxis, oedème malléolaire). Celle de K... enfin,
homme
de peine de 58 ans, chez qui le brightisme n'av
ation I. (Jean), cinquante-huit ans, est entré dans la division des
hommes
de l'Asile de Vaucluse, le 31 mai 1902, venant
. Examiné au moment de son entrée, le malade est calme ; c'est un
homme
bien constitué, de 1 m 73 cm de taille, ne présen
cita- tion passagère, tremblement des mains, D1' Magnan. C'est un
homme
bien constitué, d'une force physique supérieure à
st chargé de la divi- sion des femmes, le second de la division des
hommes
. Leur loge- ment est situé dans le bâtiment pri
urveiller les malades d'une façon constante. Pour chaque division d'
hommes
et de femmes il y a 16 infirmiers ou infirmière
ns le cours de la première année de son fonctionnement 184 malades (
hommes
, 79; femmes, 10); le chiffre de sa popu- lation
ion de la clinique s'élevait, au Il, janvier 1898, à 56 malades (2G
hommes
et 30 femmes). Le nombre des admis- sions, en 1
femmes). Le nombre des admis- sions, en 1897, avait été de 154 (76
hommes
, 78 femmes). La proportion des malades nécessit
ées de suicide, malpropres, agités, isolés), s'est élevée, pour les
hommes
, aux 3/4 , et pour les femmes, aux 2/3 de la po
idiots), 143 malades. Le nombre total des malades est de 1497 (762
hommes
, 733 femmes), avec 19 médecins (fer janvier 189
uchtenet Crocq que la section complète de la moelle provoque chez l'
homme
une abolition totale du tonus et des réflexes a
ière vive, ventilation, odeurs fortes, etc. Le second concerne un
homme
de soixante-cinq ans chez lequel des accès d'ép
externe et postéro-externe. Le nerf circonflexe, qui innerve chez l'
homme
deux muscles, le deltoïde et le petit rond, et qu
s. (Tile New- York Médical Journal, 30 août 1902). Il s'agit'd'un
homme
de 35 ans, qui au cours d'une période de six mo
. Le dernier qui fait l'objet de la présente communication était un
homme
de soixante-cinq ans, fort intelligent 'atteint
e « tic de l'ours » chez le cheval et l'ont identifié aux tics de l'
homme
. Les chevaux tiqueurs ont, comme les hommes tiq
identifié aux tics de l'homme. Les chevaux tiqueurs ont, comme les
hommes
tiqueurs, des tares physiques (asymé- trie, etc
SAVANTES. peurs, etc.). Ils guérissent parles mêmes procédés que l'
homme
, isolément, rééducation, surveillance spéciale.
rs préférences et leur tournure d'esprit; ils jugeraient en tant qu'
hommes
et non plus entant que savants; il en résultera
la suggestion thérapeutique. Obsession ocidaire. M. Bérillon. Un
homme
, fort intelligent, qui exerce une pro fession l
uels, 71 dipsomanes, 19 alcooliques à formes mélangées, en tout 250
hommes
. Les alcoo- liques sont plus hypnotisables que
et je demande la condamnation d'uneSociété qui, pouvant empêcher un
homme
de devenir criminel, nel'a point rait. » Le Con
sens antéro-postérieur : comparons nos mensurations à celles d'un
homme
moyen (Papillault)*, celui-ci présente un diamètr
démonstration pathologique de cette loi énoncée par M. Papillault (
Homme
moyen) : la mandibule est un os qui semble avoi
ence d'une petite quantité d'albumine. L'état mental est celui d'un
homme
fortement affaibli, générale- ment euphorique,
re.) ' On peut rapprocher de cette observation le fait suivant : Un
homme
de 18 ans, entre dans le service le 8 mai 1902,
es, soit 1,'il p. 100, ce qui donne une femme tabe- tiques pour 2,7
hommes
atteints de la même maladie. Dans les classes a
adie. Dans les classes aisées on ne compte qu'une tabétique pour 25
hommes
. C'est exactement la proportion de la paralysie
'observent de trente-cinq à qua- rante-cinq ans, tandis que, pour l'
homme
, cette proportion se voit de trente et un à qua
acteur, d'autres éléments étiologiques chez la femme, que ceux de l'
homme
. Le tabès de la femme est caractérisé par une a
atliie, des crises gastriques ou autres moins fréquentes que chez l'
homme
, une marche plus bénigne. Mais l'amaurose y pré
ue que l'adulte. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 165 II s'agit d'un
homme
de vingt-huit ans jusque-là solide et d'une par
5 janvier 1902). A l'état normal, le liquide céphalo-rachidien de l'
homme
est clair comme « de l'eau de roche ». A l'état
quer une récente observation de Lagner et Weifert, de Francfort. Un
homme
, qui présentait les symptômes de la nzyus- téni
porte le corps d'un côté ou de l'autre, surtout à gauche, comme un
homme
ivre, vertiges fréquents. Les réflexes tendineu
ordHoB ! iRT50N. (Tite Journal of Meittal Science, janvier 1902).
Homme
de27 ans, sans antécédents héréditaires ni syphil
Mal de Pott sous-occipital Iraumalique. M. ERNEST Dupré présente un
homme
de quarante-trois ans, atteint à quatre atiz, à
on était récente et complète, il se croit anormal et inférieur. Cet
homme
a toujours en l'idée de se faire remarquer, d'ê
ntale guérie par la suggestion somoonformique. M. PAUL 1'AaEZ. Un
homme
de trente ans, triste scrupuleux, douteur, inqu
serve abso- lue. N'empêche qu'elle levait ses jupes, provoquait les
hommes
et tenait les propos les plus obsédants et les
mpris à un tel projet, étant donné l'âge du petit. La vie du pauvre
homme
devint un véritable martyre. Il adorait son fil
iques les plus variés; bien souvent on observe la jalousie chez les
hommes
dans l'alcoolisme chronique; chez les femmes la
dans les états mélan- coliques séniles chez les femmes et chez les
hommes
comme symptômo-complexus de la paranoïa dégénér
. (Eugène), âgé de soixante-sept ans, est entré dans le service des
hommes
de l'asile de Vaucluse le 18 janvier 1902 avec
culaire, habitudes alcooliques anciennes ». Dr Ma- gnan. C'est un
homme
normalement constitué de 1 mètre 67 de taille.
s en- quêtes qui embrassent la vie entière des malade, l'étude de l'
homme
normal, nous font concevoir tous ces phénomènes
érie, épilepsie etc..). Du reste, n'ob- serve-t-on pas aussi chez l'
homme
normal absorbé par un travail intellectuel, ou
int la sensibilité peut être diminuée chez les déments précoces. Un
homme
de vingt-sept ans, atteint de démence hébé- phr
es recherches sur les plantes et les ani- maux (Flammarion). Chez l'
homme
, les rayons lumineux agissent sur la circulatio
ait en général à l'âge adulte, où elle est souvent remplacée chez l'
homme
par une habitude similaire, la trichophagie, ac
de la fatigue au moyen de l'elgogrnplae et des enjogrammes, chez l'
homme
sain, le neurasthénique, le myopa- litique et d
de l'affection. C'est un cas de ce genre que Lannois rapporte. Un
homme
de vingt-six ans présente -une sclérose en plaque
ion idéo-obsessive se rencontre, semble-t-il, plus souvent chez les
hommes
que chez les femmes, qui à leur tour sont plus
uggestion qri peut entrer dans les faits dits de télégonie elle/, l'
homme
et chez l'animal. Troubles utérins guéris par l
tre IV. Symptomatologie spéciale de la criminalité. Cha- pitre V. L'
homme
criminel assassin. Chapitre VI. Les crimineis-i
intellectuelles sont soigneusement et tour à tour étudiés chez les
hommes
, chez les femmes et chez les animaux. Plus pa
été de sorte que les malades sont bien classés et subdivisés. Les
hommes
sont occupés au jardin et les femmes se livrent
nnes qui s'intéressent à cette oeuvre. Il y en a huit : quatre pour
hommes
, deux pour femmes, une maison de convalescence
olonie familiale d'Ainay-le-Châleau (Allier).- Colonie pour aliénés
hommes
. M. Lwor.F (Ainay-le-Château). - L'installation
rtement de la Seine décide de procéder à un essai de colonisation d'
hommes
. Ainay-Ie-Château (Allier), primitivement desti
choisi pour tenter cet essai. L'existence autonome de la colonie d'
hommes
date du le' juin 1900. La popu- lation se monte
. La popu- lation se monte d'abord hostile au placement des aliénés
hommes
, mais s'habitue rapidement et préfère actuellem
iénés hommes, mais s'habitue rapidement et préfère actuellement les
hommes
aux femmes. La colonie se développe d'une façon
tion lente, qui lui est particulière. 'Régénération autogène chez l'
homme
et la théorie du Neurone. M. G. DURANTE (de Par
le bout central. Cette observation de régénération autogène chez l'
homme
concorde avec les résultats expérimentaux obten
ensibilité dans la démence 'précoce M. Paul Archahbiult (Tours). Un
homme
de vingt-sept ans, employé de bureau, atteint d
eur rappelle ce fait d'obser- vation vulgaire, à savoir que, chez l'
homme
normal, même lors- que l'esprit est occupé par
liques de troubles mentaux de nature mélancolique. Il s'agit d'un
homme
de soixante-trois ans sans antécédents hérédita
extenso.) Élude de pathologie comparée sur les tics de léchage de l'
homme
et du cheval. MM. F. RUDLER et C. CIIOllEL (d
et plusieurs sont monture d'offi- cier. Les tics de léchage de l'
homme
n'offrent qu'un point de compa- raison fort imp
ffrent qu'un point de compa- raison fort imparfait; ils sont chez l'
homme
rarement isolés et appartiennent à la série des
ut exis- ter seul, ait même pathogénie que le tic de léchage chez l'
homme
, l'onychophagie chez l'homme et chez le chien.
athogénie que le tic de léchage chez l'homme, l'onychophagie chez l'
homme
et chez le chien. Il n'est pas plus surprenant
cheval lécher une plaie de ses berres ou ronger sa mangeoire que l'
homme
mordiller ses ger- cuies des lèvres ou ronger s
canapés, les autres s'assoient sur des fauteuils ou des chai- ses-
hommes
et femmes, quelle que soit leur condition sociale
ducation. Dans tous les établissements d'instruction, la place de l'
homme
de l'art est à côté du professeur, et ce ne sont
trouve; et les pensées. les locutions, les réponses ordinaires des
hommes
ne sont rien de plus que la mémoire à propos des
eur, tes serviteurs qui sont auprès de ta per- sonne chercheront un
homme
qui sache jouer de la harpe, afin qu'il en joue
de l'école polytechnique Empereur Alexandre II, à Kiev. Le jeune
homme
est le second fils de la famille ; il est d'une t
naissance de l'organe de l'odorat dans un cas d hemicéphalie chez 1
homme
, par L. de Mouiult (Neurolog. CcWrvlbl., \\. 19
U'A\1'l'OtIE E'l' I)E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. en moyenne, chez l'
homme
sain 90-100 millimètres, plus près de 90 que de
enne, par G. BIBLES. (Neurolog. Cf : Nfn.XX.190t). 11 s'agit d'un
homme
de vingt-neuf ans, pâle, presque cyano- notique
ue, par Hossolimo. (Neurolog. Centrcal6l. ll, 1902). Il s'agit d'un
homme
de quarante-trois ans souffrant depuis quinze a
GIE PATHOLOGIQUES. 43J ces cas peuvent se résumer ainsi : le, cas :
homme
atteint de manie, cicité, réflexe» pupillaires
abolis, réflexe du genou aboli, pas d'ata- xie, syphilis. 2e cas :
homme
de 39 ans, démena cécité, réflexes pupillaires
, pas d'ataxie, réflexe du genou bien conservé ; syphilis. 31 cas :
homme
de 33 ans, dément, réflexes pupillaires abolis,
organes : dégénérescence graisseuse du foie; reins granuleux. II.
Homme
de trente et un ans, atteint de paralysie : état
à l'asile du Caire pour folie pellagreuse sont au nombre de 141 (93
hommes
et 49 femmes) ; ils viennent presque tous de la
le Journal of Mental Science d'avril 1901. Le cas est celui d'un
homme
de soixante-seize ans, sans aucune trace d'aliéna
e les femmes possèdent à un degré beau- coup plus développé que les
hommes
les qualités nécessaires pour soigner les malad
alades, le Dr Van Deventer a remplacé les infirmiers des services d'
hommes
par des infirmières ; de là l'explication du pe
u petit nombre d'employés du sexe masculin attachés à l'asile (40
hommes
pour 200 femmes). Cette substitution, commencée i
llement il n'y a plus guère que des infirmières dans les sections d'
hommes
, les infirmiers étant presque exclusivement rés
sur le système nerveux, ont une si haute portée philosophique de l'
homme
, enfin, qui, parmi ses contemporains, a su. l'un
le nom mé- rite d'être inscrit, comme celui de lienan, au rang des
hommes
qui ont eu l'influence la plus profonde surles
uples avait, de tous les temps, attribué à un pouvoir au-dessus des
hommes
. La rencontre est ici bien profonde entre le gr
ublique était marquée à cette fêle, au pied du monument élevé à l :
homme
qui a contribué, si 401 VARIA. puissamment et
soulager un mal physique qui ne profite au même instant à tous les
hommes
. Je suis heureux de saluer au nom du gouverneme
ous avons eu ici surtout eu vue l'étude anatomo-pallrologique. Un
homme
de trente-trois ans est frappé en 1887, d'un coup
hologique. Un premier fait est à retenir dans celte histoire. Cet
homme
, frappé d'un coup de couteau qui a traversé la co
rten part, y laissant un corps étranger volumineux et septique, cet
homme
n'a pas suppuré. Quel- ques jours après le trau
fficile à délimiter de façon précise. En elle n'arrive-t-il pas à l'
homme
le plus normal de prononcer un mot, une phrase
e cela. Je sais bien pourquoi il m'insulte, c'est parce qu'il est l'
homme
de confiance de l'aiche- vêque. Il voudrait aus
sulter avec ses organes sexuels. Mais j'en ai assez et je dis qu'un
homme
ne peut jouer le rôle d'une frmne. « La pédéras
ime qui déshonore le plus i'e-pece humaine. C'est dégoûtant que les
hommes
se conduisent en femmes, que des hommes changen
ne. C'est dégoûtant que les hommes se conduisent en femmes, que des
hommes
changent de sexe. Cela n'est pas permis De même
ue des hommes changent de sexe. Cela n'est pas permis De même qu'un
homme
ne doit pas s'habiller de vêtements de femme, d
En voici un exemple pris chez un mélancolique (forme déli- rante),
homme
instruit, dont la préoccupation unique était la
urvenant d'une façon soudaine. L'observation rapportée a trait à un
homme
de quarante-trois ans, obèse, qui fut pris de c
2° elle a progressé relativement plus vite chez la femme que chez l'
homme
; 3° sa proportion entre l'homme et la femme est
plus vite chez la femme que chez l'homme; 3° sa proportion entre l'
homme
et la femme est de 2 : 1 ; 4° le véritable chif
de la femme a pour caractères : une évolution plus lente que chez l'
homme
, et par suite, une durée un peu plus longue. Ch
e gouvernement sont : l'ivrognerie, la syphilis, l'hérédité, chez l'
homme
; chez la femme, ASILES D'AHEKÈS. 515 l'héréd
nécessaire d'isoler la nuit un seul malade dans le quartier des'
hommes
; et depuis deux ans il n'y a eu qu'un seul isolem
et 17 infirmières ordinaires. 518 asiles d'aliénés. - Du côté des
hommes
un surveillant en chef et un surveillant adjoint
tenus par le personnel de nuit sont identiques dans les quartiers d'
hommes
et de femmes, sauf la couleur du papier, pour é
été partiellement adopté puisque les six salles de l'infirmerie des
hommes
sont pla- cées pendant le jour sous la directio
service de l'infirmerie ne doit pas être confié conjointement à des
hommes
et 520 ASILES D'ALIÉNÉS. à des femmes. Il ent
i-même. M. Rhodes, approuve l'emploi des femmes dans les salles d
hommes
de l'infirmerie de= asiles : il voudrait aussi qu
quatre chambres en contenant quatre et deux contenant six lits. Les
hommes
sont au rez-de-chaussée, les femmes au premier.
un rang social plus élevé; depuis cette même époque le quartier-des
hommes
est éga- lemrnt desservi par des femmes, saut p
us fréquem- ment dans les asiles du côté des femmes que du côté des
hommes
. Tout bien considéré, la réforme dont'il s'agit
l'éloge funèbre de ce savant, nous ont fait connaître ce qu'était l'
homme
de bien que la mort nous a ravi. La séance es
aît en général à l'use adulte, où elle est souvent remplacée chez l'
homme
par une habi- tude similaire, la <)' : c/t0p
hombre (Topographie des noyaux gris des segments médul- laires de l'
homme
), avec 12 planches (95 dessins); par le D'' José
narrante brutalité. Lorsque, par la fuite naturelle des années, un
homme
est arrivé la lin d'une carrière scientifique b
i vets l';tiiiloriiie pilliologi41lle. SK) NÉCROLOGIE. Élève d'un
homme
que je considère comme un des premiers anatomo-
s rappeler ce qu'a été le savant. Derrière le savant, il y avait un
homme
profondément bon, droit, honnête, serviable, po
par le chagrin, que ses distingués frères reçoivent l'hommage d'un
homme
qui a beaucoup aimé Philippe et qui est touché,
taient violemment pris à partie par une femme vêtue d'une culotte d'
homme
et portant un enfant de quatre ans dans ses bra
eau de ces débris et vou- lut y mettre le feu. A ce moment, 11. D'
Homme
, commissaire de police du quartier du Pout-de-1
es. Parmi ces aliénés les alcooliques figurent 23-1 p. 100 chez les
hommes
et de 9,6 p. 190 chez les femmes, les épileptiq
tuiilule. La- d Ainay-le- Château (Allier). Colonie pour aliénés
hommes
, par I wuff, 338. Colonne vertébrale. Voir Raci
parative de la langue au moyen de l' - et des ergogrammes, chez l'
homme
sain, le nemastlléniyue, le myo- llatlllque e
sance (le l'organe de l' - dans un cas Cl'ilemic'1)111lie Liiez l'
homme
, par Mourait, 425. Oedème. Voit Oeil. Le fond
LE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. Robin, 92. Robinson, 511.
Homme
, 153. Roques de Fursac. 188. Rossolimo, 162,
i se renouvelèrent pendant son séjour (huit mois) i. Enfin, comme cet
homme
lui déplaisait, qu'elle ne voulait plus céder à s
réquent de Yéther. Son regard est brillant ; la vue et le contact des
hommes
produisent chez elle une espèce d'excitation part
uverait pas d'excitation génitale et aurait plutôt du dégoût pour les
hommes
. - La force musculaire est diminuée : au dynamo
se à tous les petits événements des jours précédents; elle revoit les
hommes
qu'elle a connus. Souvent, au bout de quelques in
utres agréables. Les premiers roulent sur des scènes de meurtre ; des
hommes
inconnus veulent la tuer ; — elle revoit sa sœur,
le elles se sont disputées, ou bien elle la voit se promenant avec un
homme
et lui cherche querelle1, dispute avec elle; — el
rès impressionnable, colérique et avait de fréquents cauchemars : des
hommes
lui faisaient peur, la menaçaient ; elle parlait
es rêves, les uns agréables, les autres pénibles : 1° Elle voit des
hommes
qui lui font des propositions qu'elle accepte ; t
es qui lui font des propositions qu'elle accepte ; tantôt ce sont les
hommes
avec lesquels elle a eu des relations, tantôt des
ce sont les hommes avec lesquels elle a eu des relations, tantôt des
hommes
« inconnus. » Elle éprouve des sensations voluptu
uses et se réveille « en train... » ; 2° Ou bien, elle aperçoit des
hommes
qui lui font des grimaces parce qu'elle refuse de
je ne dors pas..., je n'ai pas dormi 2 heures par nuit... Je vois des
hommes
... Il y a bien des choses que jene vous ai pas di
ec l'un des fédérés. « C'est une chose forcée que j'ai faite avec cet
homme
; cependant il n'était pas mal... Quand j'ai mes
mœurs légères à venir prendre le café chez elles. Là, elle trouve un
homme
qui l'avait poursuivie les jours précédents; elle
les jours précédents; elle résiste à ses désirs, veut s'en aller ; l'
homme
cherche à la retenir, elle se bat avec lui, lui é
e en descendant l'escalier, (Souvent dans son délire, elle revoit cet
homme
). Bientôt la police s'empare d'elle; on la met
oit quelquefois les scènes pénibles qui ont traversé son existence, l'
homme
auquel sa mère l'a livrée, etc., etc. Les visions
lades, à des noyades; elles luttent contre un danger, résistent à des
hommes
qui veulent les violer ; voient des incendies, ap
» qui mettent leurs mains glacées sur sa figure ; elle croit que des
hommes
se cachent sous son lit ; elle parle tout haut. M
La nuit dernière, M... a entendu une voix qui lui disait : « Vois cet
homme
qui s'avance », et, de fait, elle voyait un homme
disait : « Vois cet homme qui s'avance », et, de fait, elle voyait un
homme
qui s'avançait et lui posait sa main froide sur s
mbre d'épileptiques adultes de notre service de Bicêtre, consacré aux
hommes
, nous a fait constater que la plupart d'entre eux
, elle raconte qu'elle a des rêves tristes et gais : 1° elle a vu des
hommes
noirs qui l'ont emmenée de force se promener sur
cinq cas attaques comateuses et huit de véritable léthargie1. 1 Les
hommes
seraient aussi sujets aux attaques de sommeil. Il
artifices qu'on disait en sa puissance pour tromper et tourmenter les
hommes
, s'imaginaient avoir été au Sabbat, racontaient d
ers? Il était dangereux de s'élever contre les idées régnantes. Des
hommes
courageux se sont cependant rencontré à toutes le
. Et afin qu'il ne femble effrange ce que i'ay dicl, que Sathan a des
hommes
atiltrez pour efcrire, publier, faire entendre qu
icl pour adorer le Diable, qui fe monftroit quelquesfois en forme d'
homme
, quelquesfois en forme de bouc..... » (Préface,
de Vio, dit auoir cognu vne femme amoureufe à l'extrémité, d'vn ieune
homme
, 1 Bodin, livre II, p. 91. que le Diable l'oi
paritions des esprits, anges, démons et âmes se montrant visibles aux
hommes
, etc. Paris, 1605, p. 137. 2 Le Loyer. — Discou
on observée, il y avait un fluide nouveau, impondérable, passant d'un
homme
à l'autre et permettant au premier d'imposer au s
« La magnétisation des animaux malades se fait aussi comme celle de l'
homme
. Le magnétiseur se place devant l'animal dans la
égétaux malades diffère, dans son application générale, de celle de l'
homme
ou des animaux en ce sens qu'elle se fait de la b
Il est certain qu'en face d'un pareil fatras, il ne restait guère aux
hommes
de science qu'à se retirer en attendant une pério
que chez les religieux romains. C'est un fait, connu de tous, que ces
hommes
arrivent à tomber en extase par la contemplation
cérémonies ont été frappés du degré d'anesthésie auquel arrivent ces
hommes
. C'est la nuit que la chose se passe, dans quel
enu sous notre plume; nous l'avons toujours considéré comme un de ces
hommes
qui se trompent de bonne foi : c'est donc à son l
rmir par la simple puissance du regard, et dès la première séance, un
homme
de trente ans, sans contredit plus robuste que mo
tacle, et mourut avec la plus belle réputation 21 de charlatan qu'
homme
du monde ait jamais eue, et surtout mieux méritée
e parole, jetée au milieu d'un silence prestigieux et solennel par un
homme
dont on racontait des prodiges, faisait ordinaire
est peu de femmes que l'on ne puisse hypnotiser; il est même certains
hommes
sur qui la chose est des plus faciles. Mais on
uraient le même résultat. — Pour éliminer absolument la présence de l'
homme
, pour éloigner toute idée d'intervention flui-diq
a avantage à consulter. La même chose était facile à répéter chez l'
homme
, et en mettant nos malades devant un point fixe l
d'une de ses compagnes et le vide d'un trait ; elle chante, embrasse
hommes
et femmes, injurie Geneviève qu'elle déteste, s'é
u de maladies nerveuses. — [Père, mort du choléra en 1866; c'était un
homme
solide qui avait fait des excès de boisson dans s
sa vie intime. Elle avoue avoir eu une liaison platonique (?) avec un
homme
plus jeune qu'elle et penserait à lui. Elle n'aur
tes de choses, fait des « châteaux en Espagne » ; il lui semble qu'un
homme
laid, toujours le même, rode autour de son lit ;
sa tête sous les couvertures. — D'autres fois, elle s'imagine voir un
homme
assis en travers de son lit, accoudé et la regard
e de minuit à 6 heures du matin ; elle entend le tocsin, la voix de l'
homme
qui criait « au feu! » — Elle rêve de la mort : o
aufïi quelques fois que le Sorcier par illufion diabolique face que l'
homme
femble autre, qu'il n'eft : comme on peut voir en
èrent vn mouton au lieu de Simon. Apulée recite le femblable de trois
hommes
qu'il penfoit auoir tuez, qui eftoient trois peau
ide Colas difait que le foir que Satan s'apparut à elle en forme d'vn
homme
de grande ftature, ayant fa barbe fes habillemens
print monstre bien qu'il y auoit de la malice de fon cofté : Car quel
homme
a-t-on iamais veu fi endormy d'vn trauail, labeur
en premier lieu Satan, qui apparoift là tantoft en forme d'un grand
homme
noir ou rouge, géhenne, tourmenté flamboyât comme
ent les Démons « en figures de Satyres paillards, moytié boucs moytié
hommes
». s « Mais quel mefpris, quel deshonneur, quel
mement froide, fi bien qu'elle n'en grofte iamais ni celle des autres
hommes
au Sabbat, bien qu'elle soit naturelle... » (de L
que Satan fe met la en Incube pour les femmes, et en Succube pour les
hommes
. » Les Sorciers après feftre veautrez parmy les
2, 433, 206, 214 ; — attaques de—, 4, 4 03, 4 06, 109, 4 24; — chez l'
homme
, 136; — artificiel, 193. Somnambulisme spontané
cherchait d'ailleurs ; la voix louait son abnégation en faveur d'un
homme
si peu méritant et approuvait les méditations d'o
d'améliorer la vie en luttant contre l'égoïsme et la méchanceté des
hommes
par la « fondation d'une religion basée sur la bo
bouche a elle ». Ce fut une diatribe assez longue contre le pauvre
homme
qui fut accablé de reproches : « Je t'ai, dit l
our et la piété constituent les matériaux. Elle voudrait trouver un
homme
qui sût l'aimer selon ses sentiments à elle, ma
ication universelle, elle appelait dans le guéridon les esprits des
hommes
qui se sont illustrés dans cet ordre d'acti- vi
'ai- mer, mais il exprimait son sentiment matériellement comme un
homme
, en lui disant que l'amour est fugace et qu'il fa
e mois d'octobre Cam... s'exalte beaucoup en en parlant. Très peu d'
hommes
actuellement adultes seront dignes de devenir d
une, au milieu des autres, figure grossièrement un profil de tête d'
homme
. Elle- l'a tracé les yeux fermés, machinalement,
es et vagues de divinités et de constellations encore inconnues des
hommes
, ce sont encore des révélations sur l'élévation d
nant « du respect mutuel des êtres contrairement aux idées des 11
hommes
qui désirent et prennent la chair, puis négligent
« nement dans l'amonr appelé perfectionnement dans les races. « Les
hommes
sont bestials (sic) en amour et leur planète ne s
toi, m'a dit Dieu pendant mon délire (conscient), qui « dictera aux
hommes
leur future conduite; voici pourquoi : « Ton co
isable aux yeux de Dieu, dont « tu seras le porte-parole devant les
hommes
. « La nouveauté dans l'idée à faire vivre c'est
rité soit la Bonté « par la vraie Charité, et fais-là connaître aux
hommes
qui ne la « pratiquent pas comme il faut, s'ils
e est'tout étant essence divine, et c'est " aux âmes qu'on juge les
hommes
, non aux corps, seuls signes 26 CLINIQUE MENTAL
t cet autre enfin : « La peine de mort est une oeuvre digne des «
hommes
, elle prouve à quel point l'esprit mortel est élo
num) du conduit auditif externe ; par J. SABRAZLS. Observation d'un
homme
de 47 ans dans l'oreille duquel s'insi- nua un
endant qu'il dormait dans un champ. A la suite de cet accident, cet
homme
présenta une mydriase spasmodique unilatérale a
e et artério-sclérose; par A. Péchin et M. Rollik. Observation d'un
homme
de 64 ans, tabétique, qui présente une ophtalmo
et URU' AUDET (Nouv. Iconogr. de la Salpètrière, n° 2, 1903). Un
homme
de quarante-neuf ans entre à l'hôpital pour tuber
sympathique,dans certaines paralysies radiculaires. Il s'agit d'un
homme
âgé de vingt-cinq ans présentant dans ses antéc
té observés dans l'hystérie. Le sujet étudié dans ce travail est un
homme
de quarante-cinq ans, dont les vomissements pré
) MM. Pic et Bombes de Villiers publient les observations de deux
hommes
atteints de spondylose rhyzomélique typique, tant
aturnine a pris une extension grande puis- que on constate chez cet
homme
, non seulement l'atteinte des muscles extenseur
e guéris par la suggestion hypnotique. M. DAMOGLOU (du Caire). - Un
homme
de ving-quatre ans souffre de névralgie tempora
e au mal de mer. Je l'ai expérimenté tout récemment. Il s'agit d'un
homme
de vingt-cinq ans. Je l'endors profondément, ma
ts par différents auteurs, les rapporteurs ont trouvé que, chez les
hommes
, la psy- chosedeKoRSAKOFF serencontre approxima
oit être envisagé comme cause principale; si on prend seulement les
hommes
, alors on verra que parmi eux le nombre de cas
alignes, etc. Concernant l'àge, la psy- chose de Korsakoff chez les
hommes
se développe le plus souvent à l'âge de quarant
s nerfs; ces cas ne sont pas nombreux et tous ils appartiennent aux
hommes
. La psychose de Korsakotf, le plus souvent, lai
e fente branchiale. Sont annexés aux parathyroïdes, rarement chez l'
homme
, mais d'une façon constante chez les animaux :
e la séparation d'avec le tissu thyroïdien est incomplète. Chez l'
homme
, la parathyroïde interne est enchassée dans la
nsécutifs à l'insuffisance de la fonction parathyroïdienne e chez l'
homme
. C'est l'insuffisance parathyroïdienne consécutiv
e je vise en ce moment est contagieuse, transmissible du malade à l'
homme
sain; elle est redoutable en raison de sa march
e, elle occupait les membres supérieurs et les inférieurs, chez cet
homme
, elle ne porte que sur le membre supérieur gauc
ophie musculaire myélopathique est symétrique,, tandis que chez cet
homme
la main droite est indemne, mais surtout nous a
e musculaire et des anesthésies est de règle, tandis que chez notre
homme
la main et l'avant-bras droits sont complètemen
en du streptocoque et du pneumocoque ; cliniquement, on a vu chez l'
homme
l'infec- tion gagner les nerfs par contact immé
s : nous pouvons espérer enrayer l'évolution de la maladie chez cet
homme
et limiter beaucoup le reliquat des symptômes d
syrien blond roux avec des fils d'ar- « gent ; une noblesse d'àme d'
homme
qui s'efface, qui s'oublie " soi-même sans atte
me dit lui-même de former des « élèves, car l'ignorance divine des
hommes
vient de leur manque » de bonté et de ce qui tu
on imagination subsconsciente. Le monde reel renferme en effet deux
hommes
possesseurs de toutes les vertus chères à son g
eux hommes possesseurs de toutes les vertus chères à son goût, deux
hommes
dont elle ne peut déta- cher sa pensée. Elle en
ne autour de lui la folie multiple. Cam... a persuadé son mari, qui
homme
relativement instruit, ingénieur ayant des noti
lesquelles il représentait l'humanité par un' triangle, mettant les
hommes
de génie au som- met et les inintelligents à la
théorie spirite « il se quitte lui-même pour aller animer un autre
homme
», mais cela le fait souffrir, parce que ce qui
s. Sans doute le sérum de lapins inoculés avec du sérum du sans d'
hommes
normaux possède certaines propriétés toxiques, qu
média), ou mieux médian. On le trouve également chez le chien et l'
homme
, mais chez l'homme les cellules en sont moins g
édian. On le trouve également chez le chien et l'homme, mais chez l'
homme
les cellules en sont moins grosses et il est moin
XV. Du réflexe sous-épineux, réflexe de l'extrémité supérieure de l'
homme
, inconnu jusqu'ici; par Steiner. Du réflexe sous-
Troubles auditifs dans les tumeurs cérébrales. M. Souques, chez un
homme
atteint de tumeur cérébrale, une surdité complè
uveau conti- nent ; son nom passera à la postérité comme celui d'un
homme
ayant bien mérité de l'humanité. Prias Liébea
u, par suggestion pendant le sommeil naturel. M. Paul FaREZ. - Un
homme
de vingt-cinq ans, marié, père de famille, boit
d le temps de restaurer la volonté. Au bout de dix-huit mois, notre
homme
est tout à fait guéri ; il ne va plus jamais au c
iculier, cette remémoration est périodique; elle survient, chez les
hommes
, au bout de vingt-trois heures ou un multiple de
t souffrir, il emploiera une foule de petits artifices. Si c'est un
homme
, il se protégera en omnibus, en chemin de fer,
n d'éducation tenue par des Assomptionnistes. Le supérieur était un
homme
de bien pour qui j'ai conservé une certaine estim
à Lainz. Elle veut uniquement écarter d'elle la vie extérieure des
hommes
? elle veut préserver son intérieur silence de
anatomo-cliniques ont démontré que, chez SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 l'
homme
, comme chez tous les autres vertébrés, ce plan gé
ssi - n'est-il pas possible encore de donner avec certitude, chez l'
homme
, la fonction de chacun des noyaux. Ce que l'o
r) remarque aussi que la question des localisations motrices chez l'
homme
n'est pas totalement explorée et que les théori
t sur leurs sensations. Sur 203 sujets examinés (t 11 femmes et 192
hommes
), la proportion des résul- tats positifs a été
rasthémiques, soit 77 p. 100 chez les femmes et 61 p. 100 chez les
hommes
. Chez les sujets hystériques, au contraire, les p
OMEL. La dégénérescence est caractérisée chez l'animal comme chez l'
homme
, par un ensemble de stigmates anatomiques, phys
nérescence du cheval -et ceux que Morel et Magnan ont décrit chez l'
homme
. Ces signes n'acquièrent, chez le cheval comme
chez l'homme. Ces signes n'acquièrent, chez le cheval comme chez l'
homme
leur signification que par leur accumulation. I
ÉS SAVANTES. Rôle des muscles spinaux dans la marche normale chez l'
homme
. Henry LAMY (de Paris). Les muscles spinaux par
tations motrices du membre in/ë- rieur dans la moelle épinière de l'
homme
. MM. PARHON et GOLDSTEIN. Nous avons étudié la
ndent néanmoins aux groupements où Van Gehuchten et De Neef, chez l'
homme
, Mari- nesco, M. et Mme Parhon et nous-même, ch
ut des accidents. Durant touté l'évolution de sa maladie, le sujet,
homme
d'ailleurs cultivé et assez intelligent, a prés
vant sur l'éducation morale, tout décèle l'expérience éclairée d'un
homme
à qui une observation constante et une pratique
S. 287 Terrible LUTTE avec un FOU. Le D Rorke, de Long-Island, un
homme
petit et mince, a été affreusement maltraité pa
s viennent de paraître chez nous sur les obsessions, écrits par des
hommes
éminents et très au cou- rant de la question; l
ôté de ses organes des sens; et comme, en outre, le malade était un
homme
intel- ligent, habitué à l'auto-observation et
ailleurs lorsqu'on piquait les jambes du malade (il s'agissait d'un
homme
de trente ans), il sentait encore. En revanch
'excitomotricité qui fait concevoir un individu mille. 1 . Chez l'
homme
il s'en faut de beaucoup que le caractère de la
il ce qu'il en soit ainsi. Pourquoi en effet supposer que chez tout
homme
une musique excitante gaie stimulera infaillibl
des lésions corticales cir- conscrites de la région motrice chez l'
homme
; par H. Li ? I. (Newologisches Centralbl. XXII
'homme ; par H. Li ? I. (Newologisches Centralbl. XXII, 1903.) Un
homme
de vingt-huit ans reçoit dans le pariétal droit u
Ces raies sont d'ailleurs ondulées et non planes (figures). Chez l'
homme
les raies ont généralement l'aspect de chaînes;
ntralbl. f'. Ne¡'venheilk. XX 1 V. N. F. XII. 1901.) Il s'agit d'un
homme
de trente-six ans qui, à la fin de 1899, se pla
. Centralbl. , XXII, 1903). L'observation de M. FLAT.au concerne un
homme
de quarante- huit ans, ayant eu, il y a vingt e
âgé de soixante-sept ans, s'était pendu. L'enquête a établi que cet
homme
, malade depuis très long- temps, ne jouissait p
enoir, -devant la porte d'un petit chalet de nécessité, écoutant'un
homme
qui s'exprimait ainsi : -. Mesdames et messieur
curieux. Après avoir déposé deux sous devant la tenancière, notre
homme
s'enferma. Quelques secondes plus tard, un craque
d, un craquement se fit entendre et, ainsi qu'il l'avait annoncé, l'
homme
à la « tête dure » sortit par la brèche qu'il v
ce de son goût, et elle appela les agents. Ceux-ci condui- sirent l'
homme
au poste de police du quartier Saint-Ambroise.
- leurs, tenez... et, avant qu'on ait pu prévoir son geste, notre
homme
avait « traversé » la porte en bois qui donne dan
urs après ; elles peuvent sans inconvénients être prescrites chez l'
homme
, au moins une quinzaine de jours par mois. Comm
bservé un cas avec paralysie de la mimique du nerf facial gauche. L'
homme
en question pouvait faire contracter volontaire
teint environ 135 grammes pour la femme, presque 150 grammes pour l'
homme
; son accroi·sement moyen est donc, au cours du
e la Soc. de rr.êd. mentale de Belgique, juin 1902.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-sept ans, qui a fait à l'asile 406
une localisation solaire. G. Deny. XC. Régénération autogène chez l'
homme
et la théorie du neu- rone ; par G. Durante (Jo
it du névrome terminal. Cet exemple de régénération autogène chez l'
homme
vient à l'appui de l'opinion des auteurs qui on
1902.) L'observation qui fait l'objet de ce travail est celle d'un
homme
de trente-six ans, chez lequel se sont montrés
raxie motrice; par A. Pieu. (Neuroloy. Centralbl., XXI, 1902.) Un
homme
de cinquante-neuf ans perd un beau jour soudain l
noncée, et les palpitations s'étendent au peaucier du cou. Ce jeune
homme
aurait eu, il y a sept ans, une affection faciale
ation du plus grand nombre d'hystériques femmes (20 femmes contre 1
homme
). Au point de vue anatomo-pathologique, l'auteu
1 Dr BOUCH.1UD. (Journ. de Neurologie, 1904, n° 3.) Il s'agit d'un
homme
de trente-six ans qui, à la suite d'un accès d'
ssible les rapports sexuels normaux; dans un autre cas de fraude, l'
homme
ayant nié la syphilis avant son mariage. En c
(Rev. méd. de la Suisse romande, 1902, n3 20.) , Observation d'un
homme
de vingt-cinq ans, qui fut pris subite- ment de
Les femmes paraissent être atteintes beaucoup plus souvent que les
hommes
de la psychose de Korsakoff. La durée de l'inte
préparer une telle oeuvre, l'Etat a les éléments nécessaires : les
hommes
de science, les éducateurs, les praticiens auxq
des cris plaintifs s'étant fait entendre dans le brasier, quelques
hommes
courageux réussi- rent à pénétrer dans une cham
pendant l'incendie fixa les soup- VARIA. 445 çons. Stoffel est un
homme
violent, capable d'avoir combiné et exécuté cet
rlé, nous n'avons obtenu la mise en liberté qu'en proposant que cet
homme
restât soumis à une certaine surveillance de la
Levi BIANCHINI. (Nous. Icorangn. de IJ Salpétriêre. N° 4. 1903.) Un
homme
ne présentant aucune tare héréditaire - s'était t
res sanguines. H. C. LXXIII. Tics et stéréotypies de léchage chez l'
homme
et chez le cheval; par Hurdler et CUOM¡¡L (Noit
s grandes analogies avec les troubles de même genre observés chez l'
homme
. Tics et stéréotypies se rencontrant également
degré de parenté morbide qu'entre les stéréotypies et les tics de l'
homme
. Les stéréotypies de léchage du cheval reconnai
onnaissent le même mécanisme pathogénique que les stéréotypies de l'
homme
; un acte volontaire, le léchage, déterminé par
pies, aussi bien que des tics, chez le cheval aussi bien que chez l'
homme
. il. C. -REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. XIII. Sect
rales surajoutées à celles de la paralysie générale. Il s'agit d'un
homme
de quarante ans, syphilitique depuis l'âge de v
chaussée, brisa le grillage d'une croisée et passa dans le parc des
hommes
pensionnaires. Les gardiens le retrouvèrent là,
Dans les émeutes populaires, il y a toujours un certain nombre d'
hommes
qui, soit un effet de la violence de leurs passio
servir de contre-poids, il y a toujours un certain nombre d'autres
hommes
qui, peut-être avec la même ardeur et la même o
e la masse et même le matériel du tumulte, c'est un vaste mélange d'
hommes
qui. par .des nuances et des gradations infinie
rriver, il n'aurait plus eu ni la force ni un but pour combattre. L'
homme
était agréable à la multitude à cause de ce tar
- Justement, le grand chancelier, lui répondit-on. C'est un galant
homme
, n'est-il pas vrai ? - C'est bien plus, vraimen
omme, n'est-il pas vrai ? - C'est bien plus, vraiment, qu'un galant
homme
! C'est lui qui avait mis le pain à bon marché
ue de monde ! ) « Vive Ferrer ! N'ayez pas peur. Vous êtes un brave
homme
. Du pain ! du pain ! . Oui du pain ! du pain
ollicitude embellie, pour ainsi dire, par l'espérance d'arracher un
homme
à des angoisses mortelles ; Renzo, dis-je, lais
en prison ! en prison ! Qu'est-ce... ? » demandait-il ensuite à un
homme
qui avaitjeté la moitié de son corps dans la po
e dehors, se lève, et s'appuyant de la main sur le bras de ce digne
homme
, il pose le pied sur le marchepied. VARIA, 521
e ciel ! Excellence ! 1 Vite, vite, répétait Ferrer; où est ce cher
homme
? » Le vicaire descendait l'escalier, demi entr
sance des corticales circon- scrites de la région motrice chez l'
homme
, par Lévi, 340. Voir Cervelet. - Léthargie. U
des représenta- tions motrices du membre infé- rieur dans la de 1
homme
, par TABLE DES MATIÈRES. 533 Parhon et Goldst
bak, 156. Du - sous-épi- lieux, - (le l'extrémité supérieure de l'
homme
, inconnu jusqu'ici, par Siettier. 159. Du - sou
rs déjà remarqué que l'atrophie blanc grisâtre du disque, chez un
homme
âgé de 35 ans, avait été suivie neuf mois plus
5 p.100 des cas de paralysie générale ». Il cite l'observation d'un
homme
âgé de 44 ans, dont la papille était blanche et
. Cette partie d'origine choroï- dienne très peu importante, chez l'
homme
, d'après Berger, est dans l'espèce, considérabl
s généraux il ressort ce qui suit : I. La majorité de ces malades
hommes
, internés à l'asile d'Armentieres présentent de
urs et même plusieurs mois. J'ai soigné pendant plusieurs années un
homme
de trente ans. atteint de maladie du doute avec
une large mesure. Considérant, par exemple, le système moteur d'un
homme
de développement moyen, l'observation a de tout
ngereux, mais c'est là un phénomène tout à fait banal, et, quand un
homme
bien portant peut s'habituer à côtoyer un préci
ous l'avons bien des fois constaté. Si l'on a affaire en outre à un
homme
intelligent, il peut être utile pour l'intéress
vite, et ne se permet que de petits déplace- ments. M. X... est un
homme
, très intelligent, comprenant parfai- tement so
r E. APERT. (Nouv. Iconogr. de la S(ilpé- trière, n° 6, 1901). ).
Homme
de trente ans, atteint de tuberculose pulmonaire
eM)'ooy. Cezt·albl., XIX. 1900). Plus de la moitié des individus,
hommes
ou femmes, transportés à l'hôpital de Munich po
ns sous-cutanées de gélatine; par le Dr 1'.%ILLEUrt. Il s'agit d'un
homme
de soixante-neuf ans, qui présentait tous les s
ytren chez des tourneurs de bouchons. M. Brissaud a trouvé chez les
hommes
qui exercent ce métier et qui serrent le boucho
tés, le préjugé légué par le xviiie siècle, d'après lequel tous les
hommes
naissent également amorphes et plastiques, les
is, sous l'action des influences naturelles ou sociales, que chaque
homme
subit, et aussi de la réaction de l'intelligenc
eurs contusions, soit extrêmement grave. Quant au fou, qui était un
homme
de trente-six ans, domi- cilié à Drulhe et nomm
e mit à casser tout chez son patron. Il n'a pas fallu moins de cinq
hommes
pour se rendre maître de ce fou furieux qu'on a
t. Le mécanicien aperçut alors, étendu à plat ventre sur le sol, un
homme
littéralement aplati. Seules, la tête et les ja
rayèrent. Dans un premier examen, j'essayai de démontrer au jeune
homme
l'inanité des faits qu'il me racontait et la mauv
- jours la même acuité de ses phénomènes délirants, mais le jeune
homme
, quoique encore très exalté, me prit à part et me
blables : « elle entend ces individus frapper au plafond; » c'est l'
homme
en question qui dit derrière sa fille : « j'ai
n électrique, n'a pas pu être éclairée ; le deuxième cas, chez un
homme
qui, de longues années avant, avait reçu une ball
Obozrénié psichiatrii, V. 1900.) Observation, avec autopsie, d'un
homme
de cinquante-cinq ans. Les accidents paralytiqu
es de Lyon), 16 octobre 1901. M. Collet présente l'observation d'un
homme
d'une trentaine d'années qui, brusquement, a pr
° des éructations sonores. La femme est le plus souvent atteinte, l'
homme
peut l'être aussi. 190 REVUE DE PATHOLOGIE NERV
spital. (Annales iîédico-psychologiques, octobre 1899.) Lorsqu'un
homme
sain d'esprit commet un crime, il est inévi- ta
nts cas médico-légaux dans lesquels il eut à faire un rapport, 1'70
hommes
et 30 femmes. E. B. VI. L'article 1384 du Code
aine de navire de commerce qui avait blessé d'un coup de feu un des
hommes
de son équipage. L'armateur fut mis en cause et
nostic ne tarda pas à se réaliser. Le second cas est relatif à un
homme
présentant les symptômes de l'excitation maniaq
ne. Observation avec autopsie. MM. Cl. Philippe et de Gothard. Un
homme
de trente-sept ans, fait plusieurs séjours à la
e d'instituteurs). Partant de ce principe que l'instinct est pour l'
homme
un guide plus sur qu'une réflexion raisonnée, l
. Avec Spencer, il ne désespère pas de la venue d'un temps « où l'
homme
deviendra si organiquement moral qu'il accomplira
'autre part, des troubles analogues se présentent aussi bien chez l'
homme
que chez la femme à la suite des opérations les
- gastrique, les opérations entravant la puissance génésique de l'
homme
, engendrent plus particulièrement les formes mé
à ce sujet, que les affections des organes génito-urinaires chez l'
homme
prédisposent plus particulièrement à la tristes
f. Vo');e) : /t6t7A', XX111.N.F,X[. 1900.) Deux observations d'un
homme
de cinquante-deux ans et d'une femme de vingt-s
phénomènes psychiques ont une énorme impor- tance dans la vie de l'
homme
, mais il ne faut pas oublier le rôle qu'ont jou
à l'excitation de la région sensible. 9. Chez le chien comme chez l'
homme
il existe des aptitudes individuelles à la perc
e; par le D1' Glorieux. (Joi41,i. de Neurologie, 1902, n° 10). Un
homme
de cinquante-sept ans, ayant contracté la syphili
ue grave; par J. CROCQ. (Jozwn. ' de Neurologie, 1902, n° 10). Un
homme
de quarante-cinq ans, est victime, le 22 octobre
an Gehuchten {Journal de Neurologie, 1899, n° 25). Il s'agit d'un
homme
de quarante-sept -ans, qui est atteint, de- pui
les Drr RaYMonD et Cestan. Dans le premier cas, il s'agit, chez un
homme
de quarante ans, atteint d'une hémiplégie sensi
deux autres observations se rapportent à deux neurasthéni- ques, un
homme
et une femme, ayant présenté del'embonpoint suivi
à une auto-intoxication par insuffisance rénale. Chez le premier,
homme
de cinquante-huit ans, le diagnostic, appuyé su
faisceau, on peut rencontrer la trépidation spinale. Il s'agit d'un
homme
de quarante-six ans entré à l'Hôtel-Dieu au mois
IAGNIN. Sans doute; aussi, c'est à la fois comme méde- cin et comme
homme
que, par exemple, je n'hésite pas à inter- dire
, il mêle souvent les images; par exemple il prend le chien pour un
homme
, les pou- pées pour des gens, etc. Il ne peut p
ation suprême de mesurer le chemin parcouru, la dette payée par l'
homme
éphémère à l'éternelle humanité, et de s'endormir
Les aliénés dits criminels et dangereux sont au nombre de 29 (22
hommes
et 7 femmes), dont 2 assassins, 4 tentatives d'as
emment n'a pas atteint le développement psychique indispensable à l'
homme
nor- mal. Il faut donc que les autorités veille
fut suivie d'un soulagement momentané de dix mois; mais le malade,
homme
intelligent d'ailleurs, a le sentiment qu'il ne s
se développe plus tard que les instincts individua- listes. Chez l'
homme
, il devient un instinct complexe ; d'abord ayan
ico-psychologiques, février 1901. L'auteur rapporte l'histoire d'un
homme
de vingt-sept ans chez qui, après des essais de
issariat et interrogé, Georges Del- 400 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
homme
a fait des aveux complets. Il était en compagnie
e novembre 1887, jusqu'au 9 septembre 1902) était 4434, dont 2840
hommes
et 1594 femmes ; parmi ce nombre de malades psy
ossible de reconnaître la manie seulement chez 40 malades, 'dont 16
hommes
et 24 femmes. Les données que nous venons de ci
e la manie est une maladie psychique très rare. Si nous prenons les
hommes
et les femmes ensem- ble, nous verrons alors qu
hiques est de 0,9 p-. 100. Mais si nous pre- nons les femmes et les
hommes
à part, nous verrons que parmi tous les malades
s hommes à part, nous verrons que parmi tous les malades psychiques
hommes
les maniaques font 0,56 p. 100 et parmi les mal
0 p. 100 ; autrement dit, sur 200 cas de maladie psychique chez les
hommes
il revient un cas de manie et sur 300 cas de ma
ser que les femmes sont plus pen- chées à souffrir de manie que les
hommes
, ce qui corres- pond parfaitement avec les donn
La grande prédisposition des femmes à la manie comparativement aux
hommes
sera encore plus visible si étude SUR la manie.
nombre des femmes aliénées est en général moins grand que celui des
hommes
aliénés ; d'après les données de la Clinique po
de temps sus-indiqué, le rapport du nombre de malades psychiques
hommes
(ZS'r0) au nombre des malades psychi- ques femm
alades psychi- ques femmes (1894) est de 1,79 : 1. Si le nombre des
hommes
aliénés et des femmes aliénées 'était égal, alo
s aliénés et des femmes aliénées 'était égal, alors le nombre des
hommes
maniaques se rapporterait au nombrede femmes ma
ssant de comparer le nombre, indiquant le pourcentage des maniaques
hommes
, parmi les malades psychiques en général, avec
la manie (presque pour 7 fois plus souvent). Si nous prenons les
hommes
et les femmes à part et si nous comparons les c
nous verrons alors que pendant que la manie se ren- contre chez les
hommes
dans 3,65 p. 100, la manie donne chez eux 0,56
onne chez eux 0,56 p. 100 ; autrement dit, la mélancolie chez les
hommes
se rencontre plus souvent que la manie approxima-
éfinie que si la manie apparaît chez les femmes, ainsi que chez les
hommes
comme une .maladie psychique comparativement ra
lades 157 cas de manie, ce qui fai t 11, 8 p.100 (8 p.100 parmi les
hommes
et ? b p.100 parmi les femmes). Goittizikoff5 d
5 dans l'asile psychiatrique de Kharkoff constata en 1884 parmi les
hommes
5,5 p. 100 de manie et parmi les femmes 13, 49
ans détente, la suppression brusque de l'onanisme habituel chez l'
homme
comme chez la femme. Il y a certes dans cette a
présentation du siège. Ce n'est pas tout : le deuxième amant est un
homme
marié, qui a simultanément de sa femme légitime
ATHOLOGIQUES. les auteurs, seraient susceptibles de s'appliquer à l'
homme
dans leurs lignes générales et peuvent, en tout
recherches futures sur la localisation des muscles de la jambe de l'
homme
. G. D. XXVII. Sur la localisation des centres m
ent, le meilleur moyen de remplir ces indications dans les salles d'
hommes
est d'employer des infir- mières au lieu d'infi
it cette preuve dans ce fait que, dans presque tous les asiles, les
hommes
malades ou infirmes sont soignés par un personnel
ument aucune raison de ne pas employer des femmes dans les salles d'
hommes
malades et infirmes, sous la direction d'infirm
é nécessaire d'isoler la nuit un seul malade dans le quartier des
hommes
; et depuis deux ans il n'y a eu qu'un seul isolem
é la surveillante en chef et 17 infirmières ordinaires. Du côté des
hommes
un surveillant en chef et un surveillant adjoint
tenus par le personnel de nuit sont identiques dans les quartiers d
hommes
et de femmes, saul la couleur du papier, pour é
été partiellement adopté puisque les six salles de l'infirmerie des
hommes
sont pla- cées pendant le jour sous la directio
service de l'infirmerie ne doit pas être confié conjointement à des
hommes
et à des femmes. Il entre ensuite dans quelqu
i-même. M. Rhodes, approuve l'emploi des femmes dans les salles d'
hommes
de l'infirmerie des asiles : il voudrait aussi qu
e de syndrome alterne. MM. Pierre Marie ET 0. Crouzon présentent un
homme
atteint d'hémiplégie gauche, de paralysie de l'
e au fond sans distinction de couche. M. Pierre Marie présente un
homme
de soixante ans atteint vraisemblablement de ch
s bras et(lesjambes, insomnie, etc. Cette femme aimait follement un
homme
qui est mort subitement, il a a cinq ans ; ce t
z autrui aucune intervention de pro- voquer cet état. En un mot, un
homme
peut s'auto-hypnotiser involontairement et spon
fait suivant. Un automo- biliste, au sortir d'un village, écrase un
homme
sans s'en aperce- voir et continue sa route à t
Parmi le nombre de ces malades, atteints d'obsessions morbides, les
hommes
pour 3,62 fois prévalaient sur les femmes. La p
es recherches des auteurs que les femmes sont plus sujettes que les
hommes
aux obsessions dans la proportion de z 2 et quec'
M. Cullerre, nous constatons trois guérisons tardives chez trois
hommes
. L'un était depuis près de 6 ans àl'asileet les d
Médecin de Bicêtre. On observe aussi bien chez la femme que chez l'
homme
une attraction morbide pour les animaux '. Cett
zoophilie paraît plus fréquente chez la femme, la bestialité chez l'
homme
. Dans la bestialité, l'homme peut jouer le rôle
chez la femme, la bestialité chez l'homme. Dans la bestialité, l'
homme
peut jouer le rôle actif ou le rôle passif. Le
légale. 1873-74, III, p. 165). Brouardel Pédérastie d'un chien à l'
homme
(Seinaine 12édie., 1887, VII, p. 318). 'L. Th
il y a eu plusieurs cas analogues à la génération précédente. Les
hommes
surtout passaient pour des originaux, se faisaien
onneur. ° Le fiancé que sa famille avait choisi pour elle, était un
homme
de douze ans plus âgé, qui avait déjà conquis u
plète estime; mais il ne s'agissait pas d'attraction sexuelle qu'un
homme
n'avait jamais éveillée en elle. Elle l'ac- cep
eux, est des plus favorables. Les villas composant la division des
hommes
et celle des femmes sont symétriquement disposé
le trans- port des aliments. La segmentation de chaque division d'
hommes
et de femmes en pavillons distincts n'a donc pr
Est, sont destinés aux femmes ; les 4 pavillons du côté Ouest aux
hommes
. Chaque pavillon est, dans chaque division d'homm
côté Ouest aux hommes. Chaque pavillon est, dans chaque division d'
hommes
et et de femmes, affecté aux sujets des catégor
mbres composant le logement du médecin assistant de la division des
hommes
. L'étage supérieur (2° étage), mansardé, est oc
lons de TRANQUILLES. - Les deux pavillons (n° 11) de tran- quilles (
hommes
et femmes) sont également superposables. Ils n'
pour les convalescents (6 lits), l'autre de salle de jour pour les
hommes
, d'atelier de couture pour les femmes. Un des l
es femmes est logé le troi- sième médecin assistant; dans celui des
hommes
habite le médecin stagiaire). - Pavillons DE
Installation des appareils dans le sous-sol du pavillon n° III des
hommes
. Six chau- dières envoient la vapeur dans une c
sation dans six bassins filtrants situés sous le pavillon n° 1V des
hommes
. Les liquides sont évacués dans l'égout; les ma
principal) et faisant communiquer entre eux tous les pavillons des
hommes
. 2° Même disposition pour les pavillons des fem
des méde- cins asssistants logés dans les pavillons de tranquilles
hommes
et femmes. 6° Réseau reliant le rez-de-chauss
loge du concierge ; de plus les médecins chargés des divisions d'
hommes
et de femmes sont en communication directe perma-
du téléphone sont les suivants : les pavillons de chaque division d'
hommes
et de femmes doivent être reliés directement en
de grilles que dans les lavabos et les closets des pavillons n° II (
hommes
et femmes), dans ceux du le, étage des pavillon
ASKOWS (dePrague). Voici quel estl'aspect du malade étudié ici. Cet
homme
, âgé de quarante-deuxans,'vient d'être assis sur
pêtrière, n° 1,1902). Observation ainsi résumée par l'auteur : un
homme
d'âge moyen présente depuis trois ans des phéno
D DEBRAY. (7oM)'H. de neuro- logie, 1902, n° 24). Il s'agit d'un
homme
de soixante ans, qui fut pris en pleine santé d
ommunications sur les champs myélogènes de l'écorce du cerveau de l'
homme
; par P. Flechsig. (Neurolog. Cettral6l. XXII. 1
qu'il est la représenta- tion de la personnalité de Swedenborg, cet
homme
éminent qui, toute sa vie, est allé se promener
s citent les résultats de leur examen de la moelle épinière de deux
hommes
(de trente-neuf et de cinquante-deux ans) ; ici
rait peut être adresser un reproche : celui de ne s'adresser ni à l'
homme
de science, ni aux gens du monde. Le premier n'y
partie, la plus importante, est réservée à l'étude du cerveau de l'
homme
(l'embryologie, l'anatomie et l'his- totogie en
iplômée. La situation est encore plus défectueuse dans les salles d'
hommes
où on ne trouve la nuit qu'un serviteur ordinaire
les. Le remède naturellement consisterait à avoir dans les salles d'
hommes
aussi bien que de femmes des infirmières instru
e Juan Pablo Bonet, d'Aragon, secrétaire du connétable de Castille.
homme
de la Renaissance et savant humaniste qui dans
e but qui est de rendre le sourd-muet à la Société, au commerce des
hommes
. VIII. Jean-Conrad Amman, suisse allemand, étab
e des services. L'abbé Deschamps, d'Orléans, véritable humanitaire,
homme
du xvui0 siècle, par plus d'un côté pratiquait
s bénédictions, et n'en furent pas touchés. Ils s'empa- rèrent de l'
homme
, qu'ils conduisirent au poste. Là, il déclara qu'
il, le nouveau Christ envoyé sur terre pour racheter les péchés des
hommes
. Smith Piggot, à Londres, se pré- tend le Aless
tout avoué, certaines personnes s'en éloignent encore, comme d'un
homme
qui n'est pas en bonne odeur auprès d'elles, tant
lles communications sur les champs myélogènes de l'écorce du de l'
homme
,par Flechsig,538. CuaecoT-JInnIE. Voir Ilapolno
s'agit plutôt d'érythrométalgie. Cas N° 3. Souques et GASNE (3).
Homme
, 23 ans, maçon. Père alcoolique, mère nerveuse.
peine une légère modification de la cyanose. Cas n° 8 (cassirer).
Homme
31 ans, pianiste. Pas d'antécédents hérédi- tai
demander son admission à l'hôpital. A l'entrée, le malade est un
homme
de 26 ans, d'une taille moyenne (1 m. 62), quel
nce majeure : nos neuf cas se divi- sent en : cinq femmes et quatre
hommes
. La profession peut intervenir en ce sens que l
quant à l'Académie de médecine, le 19 février 1901, l'histoire d'un
homme
de 38 ans, qui présentait une hypertrophie cong
masse ni matière ». (3) Un sauvage, tombant subitement au milieu d'
hommes
civilisés, et voyant que ceux-ci arrivent à, re
bats ici explique-t-elle toutes les erreurs de localisation, chez l'
homme
normal comme chez le malade ? « La (1) V. HENRI
ier telle ou telle théorie, telle ou telle de « nos petites idées d'
hommes
». J'avais aussi remarqué, après de nombreux au
ésente un personnage hybride. La partie su- périeure est celle d'un
homme
coiffé du bonnet doctoral, tenant dans la main
ortrait d'un médecin, entouré de ses attri- buts professionnels, un
homme
d'un certain âge, aux traits fortement accentué
rologue de haute marque. Trois clients sont là, deux femmes et un
homme
. L'une des femmes, encapuchonnée dans un fichu
de l'Ermitage à Saint-Pé- tersbourg (PI. XIII). Les deux figures d'
homme
sont d'une authenticité certaine, par contre, l
de la figure de Gênes, semblent di- rectement inspirés de ceux de l'
homme
qui se roule au premier plan d'un autre Rubens,
es qui nous a laissées l'école fla- mande (1). Les deux figures d'
homme
, réjouies et grimaçantes,sont tout à fait, par
is que le faisceau de Von Mona- kow, à supposer qu'il existe chez l'
homme
, ne doit pas être un faisceau bien dense et par
ques. Elles ont été sans doute créées par la syphilis acquise de cet
homme
. Celte hémiplégie infantile est-elle sous la dé
visuels, mais elle montre les différents troubles déterminés chez l'
homme
par la sclé- rose symétrique des lobes occipita
lièrement indigestes comme les haricots. Depuis la même époque, cet
homme
a de la diplopie. Il n'accuse ni troubles génit
léger degré d'emphysème. Les forces persistent et permettent à cet
homme
de continuer à travailler. Pas de vertiges. Les
e du même côté ; . . 3° L'abolition des réflexes rotuliens. Cet
homme
n'a pas eu de maladies vénériennes. Mais il porte
au premier plan, vu de profil, se penche vers la patiente. C'est un
homme
déjà âgé, à la ligure pensive et amaigrie, creu
du cloître de Santa Maria Novella, à Florence, montre, à droite, un
homme
qui s'a- vance, soutenu par des béquilles; sa j
Véronèse, re- présentant Saint Barnaúé guérissant des malades ; un
homme
, presque nu, soutenu par plusieurs personnages,
ïde chez l'adulte ; on sait en effet que le poids de la glande de l'
homme
adulte oscille entre 18 et 25 grammes (PI. XXXV
emps où elle a eu des désa- gréments avec son fils. Son père est un
homme
énergique, capricieux, qui ne fuit pas les bois
oils de la région pubienne où ils ont la même épaisseur que chez un
homme
adulte. Sa musculature est relative- ment à la
sont de cet avis. Les géants man- quent d'appétit génital. Chez les
hommes
il n'existe ni jouisssance, ni (1) Wiener klin.
ganes génitaux ; l'apparence de ses organes correspond à celle d'un
homme
adulte. Il semble quelque peu téméraire de parl
nta été mis en évidence à plusieurs reprises, les eunuques sont des
hommes
de stature élevée et souvent gigantesque, chez
t le rôle des organes génitaux dans la formation des os. Chez les
hommes
et les animaux castrés, les os s'allongent fortem
ues repas, apparaît la funesle bouteille de « gwin ar- dent » ; les
hommes
vident leurs verres, et se versent de copieuses r
resse et ses conséquences. Les ancêtres « ar tud coz », « les vieux
hommes
», comme disent les Bretons, nous ont légué les
morceau » et disaient : « Le morceau et le petit coup Tiennent un
homme
debout ; » Mais : « Le coup sans le morceau
nt un homme debout ; » Mais : « Le coup sans le morceau Jette l'
homme
dans le ruisseau. » Au moyen âge, nous voyons l
singulière de la parturiente : elle est assise sur les genoux d'un
homme
qui enserre fortement sa taille et ses deux bra
velu comme une peau d'animal et il fut nommé Esaii, c'est-à-dire «
homme
fait ». L'autre sor- tit aussitôt après et il t
comparaison intéressants avec le cas précédent. t. Il s'agit d'un
homme
de 48 ans, Nov..., qui tremble énormément de tout
es mêmes remarques que pré- cédemment : il n'y a dans la vie de cet
homme
aucun accident qui porte le cachet de l'hystéri
ublie son bras, ne le sent pas trembler, ne s'en préoccupe pas. Cet
homme
a une grande conscience de son tremblement, le
es qui nous paraissent importants. D'une famille névropathique, cet
homme
a eu, dès son enfance, ce caractère spécial tim
lades : la jeune femme, a eu des crises avec cris et convulsions, l'
homme
a eu surtout des crises viscérales et des angoiss
iques ne savent pas résister la systématise de plus en plus. Chez l'
homme
, un des symptômes de l'émo- tion, le tremblemen
intense des muscles de l'éminence thénar de la main droite. I L'
homme
porteur de cette anomalie est entré à l'hôpital T
ce, il était atteint d'incontinence essen- tielle d'urine. C'est un
homme
de stature moyenne et d'une constitution UNE FO
e, d'aucun genre chez les ascendants. Au mois de mars 1900, notre
homme
, sans aucune cause apparente qui pût le détermi
ccasion de revenir. La gravure en question représente un vieillard,
homme
ou femme on ne sait lequel des deux occupé à fr
cupé à frotter énergiquement avec un balai de crin la tignasse d'un
homme
assis sur un escabeau. C'est, en somme, une rép
oolisme. Drummond, cité par H. Meige, a rapporté l'observation d'un
homme
qui fut atteint d'un oedème alcoolique générali
ma.brève communication : En 1897, j'ai eu l'occasion d'examiner un
homme
de 40 ans, employé, qui se plaignait des symptô
qués à la Société de Neurologie et continuent comme il suit : Cet
homme
de 42 ans, Rul..., vient d'être assis sur sa chai
communiquent de plus près l'anamnèse du cas cité. Il s'agit d'un
homme
soumis aux influences héréditaires de parents a
des ins- truments de pénitence dans ma demeure. « Je voudrais des
hommes
du ciel plein ma maison ; je voudrais que des c
Dans le Léon, on trouve encore de ces improvisateurs populaires,
hommes
ou femmes, vrais descendants des bardes; ils sont
et les forêts. Toute l'antiquité a cru à des esprits supérieurs à l'
homme
et chargés de commander aux différents éléments
es dames en hennin de l'époque de Charles VII. A l'avant, un seul
homme
, batelier ou moine (l'un et l'autre peut-être),
e telle sorte que l'on ne puisse plus faire de distinction entre un
homme
fou et un homme raisonnable ; et cela, parce qu
e l'on ne puisse plus faire de distinction entre un homme fou et un
homme
raisonnable ; et cela, parce que les nourricier
es Evangiles, à propos du possédé guéri par Jésus, à Gérasa. « Un
homme
possédé de l'esprit impur vint à lui, du fond d'u
la guérison d'un possédé par le Christ. Le malade soutenu par deux
hommes
, se renverse en arrière ; un diable s'échappe d
avec le bout central. Kennedy, Henriksen, l'avaient signalée chez l'
homme
; nous en apportons ici un exemple particulière-
. Moscou, 1897 et Rev. Neurol., 1898). Régénération autogène chez l'
homme
et la théorie du Neurome (Congr. des alié- nist
erve Regneration (Lancet, 1903). Hertwig. Traité d'embryologie de l'
homme
et des vertébrés, 1891. Hill. Consideration opp
ènae catatonique. Il est plus fréquent chez les femmes que chez les
hommes
. Il est localisé le plus souvent au pied, à la
incontestable. Les femmes sont beaucoup plus prédisposées que les
hommes
. Les nombreuses observations qui en ont été publi
ndes vasculaires sanguines. TICS ET STÉRÉOTYPÉS DE LECHAGE CHEZ L'
HOMME
ET CHEZ LE cheval, PAR F. RUDLER ET C. CHOMEL
té des fonctions de la langue explique, chez le cheval comme chez l'
homme
, le nombre et la variété des tics auxquels cet or
1892, p. 192 et suiv. (2) Cette variété a son équivalent, chez l'
homme
, dans la cheilophagie ou auto-lé- chage des lèv
iEL, Le tic de l'ours chez le cheval et les tics d'imitation chez l'
homme
, Rev. Neur., 15 juin et Rev. de méd. vét., 30 oct
bide. On sait que les tics de la langue sont rarement isolés chez l'
homme
; ils appartiennent à la série des tics variabl
homotrices variées. 2. Troubles psychiques. - Les stéréotypies de l'
homme
se produisent chez des sujets présentant un cer
ilibre nerveux, plus ou moins analogues à ceux qu'on observe chez l'
homme
. De fait, nos lécheurs présentent bien des phénom
s donc autorisés, par comparaison avec ce qu'on l'on ohserve chez l'
homme
, à employer des expressions, telles que phénomè
ochements de tête, du trépignement, se manifeste fréquemment chez l'
homme
^; le fait est signalé dans beaucoup d'observati
ncontrent également chez le cheval. Les troubles psychomoteurs de l'
homme
et du cheval présentent encore ce caractère com
trière, juillet-août 1903. (2) C. CnoMELet F. Rudler, Les tics de l'
homme
et les tics du cheval. Rép. Vélérin., août 1903
e, chez le cheval, la même signifi- cation séméiologique que chez l'
homme
. La question des asymétries corporelles doit êt
lgré cela, il est docile au seller et au ferrage; affectueux pour l'
homme
qui le soigne. Très franc, pas de phobies. Réfl
peureux. Est capable d'affectivité pour son maître ; la crainte de l'
homme
se dissipe sous l'influence des bons traitement
ent à la barre, bourre tou- jours sur l'obstacle. Affecteuse pour l'
homme
qui la soigne. Pas de phobies. Réflexes normaux
ts parakiiétiques), et les accidents de même nature observés chez l'
homme
. Mais il ne nous paraît pas défendu de supposer q
chage 383 Etude pathogénique. La définition des stéréotypies de l'
homme
empruntée à MM. Séglas et A. Cahen, Henry Meige
el, que les tics ou les stéréotypies de léchage se prennent, chez l'
homme
, par l'habi- tude de lécher et de mordiller con
cheval lécher une plaie de ses barres ou ronger sa mangeoire que l'
homme
mordiller les gerçures de ses lèvres ou ronger
parenté morbide qui existe entre les tics et les stéréotypies de l'
homme
et la distinction qu'il importe de faire entre ce
le permet, en outre, d'affirmer que les tics et les stéréotypies de l'
homme
peuvent reconnaître une cause provocatrice iden
ise enfin une comparaison entre des faits analogues observés chez l'
homme
et chez le cheval qui justifie l'importance que
s et étio- logiques existent entre les stéréotypies de léchage de l'
homme
et celles du cheval. Des deux côtés, mêmes caus
ocatrices, mêmes phé- nomènes objectifs. Chez l'animal comme chez l'
homme
, tics et stéréo- typies sont des « perturbation
rer entre elles des manifestations objectives qui présentent chez l'
homme
et chez l'animal de réelles analogies et qui semb
s grandes analogies avec les troubles de même genre observés chez l'
homme
. Tics et stéréotypies se rencontrent également
degré de parenté morbide qu'entre les stéréotypies et les tics de l'
homme
. Les stéréotypies de léchage du cheval reconnai
onnaissent le même mécanisme pathogénique que les stéréotypies de l'
homme
: un acte volontaire, le léchage déterminé par
pies, aussi bien que des tics, chez le cheval aussi bien que chez l'
homme
. DÉLIRE ALCOOLIQUE CONTINU PAR Serge SOUKHA
ttes, sonores, de timbre différent; tantôt elles appartiennent à un
homme
, tantôt à une. femme, le plus souvent à tous le
quant chez lui un état de confusion, le malade parfois a l'air d'un
homme
atteint de maladie psychique ; il parle quelque
bien des années. La plus grande majorité des cas se rapporte a des
hommes
: 30, contre seulement 3 pour des femmes. En ca
; c'esl donc comparativement une maladie rare. Si nous prenons les
hommes
(3110) et les femmes (1703) séparé- ment, nous
ar rapport au nombre total des cas de trouble mental, sera chez les
hommes
0,96 p. 100 et chez les femmes 0.18 p. 100. E
chez les femmes 0.18 p. 100. En examinant le rapport du nombre des
hommes
, souffrant de délire alcoolique conlinu au nomb
enanten considération, que le nombre de lous les malades psychiques
hommes
en général, prévaut de beaucoup sur le nombre d
ombre de malades psychiques femmes (le nombre de malades psychiques
hommes
se rapportant au nombre de malades psy- chiques
mme 3110 : 1703, c'est-à-dire comme 1,03 : 1), nous verrons que les
hommes
approximativement pour 5,5 fois souffrent plus
a que l'alcoolisme est moins répandu parmi les femmes que parmi les
hommes
. En posant la question concernant la significat
ue continu se développe chez les femmes bien plus tard que chez les
hommes
. Cette circonstance, croyons nous, peut être ex
mencent à abuser des bois- sons fortes dans un âge plus mûr que les
hommes
. En sériant nos malades d'après le genre de leu
y a une grande variété de façons, et difficulté ; pareillement aux
hommes
, il y a peu d'industrie à les planter ; mais de
n'y a que les pauvres pour avoir autant d'enfants que cela. » Et l'
homme
me conta, dans sa langue pittoresque et zézayan
ésente La Guérison du Possédé de Gérasa. Celui-ci, soutenu par deux
hommes
, se renverse en arrière agitant ses bras, les yeu
dessous du panneau central, on voit un possédé, transporté par deux
hommes
vers le tombeau du Saint, près duquel sont agen
Miracle de saint Ignace, à Vienne. Elle se débat, soutenue par deux
hommes
, et levant ses deux bras en l'air, les doigts c
sédée. Celle-ci, les cheveux épars, vue à mi-corps, soutenue par un
homme
, se débat furieusement. Son bras gauche est viole
), 41. Chomel et RUDLER, Tics et stéréotypies de léchage chez l'
homme
et chez le che- val, 369. Claparède. A propos
.), 218. Rudler et Chomel. Tics et stéréotypies de léchage chez l'
homme
et chez le cheval, 369. Sabrazès. Monstrueuse
our le nerf sciatique chez les vieillards, et de 300 kilogr. chez l'
homme
vigoureux. Pour ses expériences, le Dr Gillette
rellement amené à les rapprocher de ce qui doit se passer chez l'
homme
et notamment chez l'ataxique, ALTÉRATIONS DE LA
en- tation physiologique de ceux que la clinique a fournis chez l'
homme
. Cependant, les faits suivants viennent à l'app
n caractéristique de son père, a ses manières étaient toujours d'un
homme
plus âgé ». Il se porta très bien jusqu'en janv
est certain que, dans les conditions or- dinaires de la vie, chez l'
homme
travaillant intellectuellement, ce déchet en ac
e autre cause pour expliquer cette diminution. Nos recherches sur l'
homme
sain ne nous permettent pas de Archives, t. X.
terres. Ce fait, qui se dégage de nos différentes recherches sur l'
homme
sain consignées dans les tableaux qui précèdent
nces. P. K. IV. Remarques SUR la FORME DE la moelle ÉPINIÈRE DE l'
homme
; par M. FLESCH. (Neurolog. Çei ? 12albl., 188t.)
NTRIBUTION A la connaissance DES NERFS VASO-MOTEURS DE la peau DE l'
homme
, par M. BucH d'Helsingfors). (Cen- tralblatt. f
ance de la contraction des vaisseaux profonds). Conclusion : Chez l'
homme
sain, les réflexes vascu- laires parent aux inc
éparés, accrochés chacun à un tubercule antérieur; chez le singe, l'
homme
, les ruminants, ils se rapprochent l'un de l'autr
884.) Décidément, le phénomène du genou est un réflexe. Ainsi, un
homme
de cinquante-cinq ans, neurasthénique et atteint
is ; par A. ROSENTIiAL. (Cen- tralbl. f. lVervenheilk., 1884.) Un
homme
de vingt-cinq ans présente, à l'autopsie, une t
ginale saine imperméable (intégrité de la femme) la mu- queuse d'un
homme
prédisposé qui sera plus tard atteint de tabes.
atteints des formes d'aliénation mentale les plus diverses'. Douze
hommes
et vingt-deux femmes ont ingéré des doses de 2
e grossesse a voulu se suicider et qui, mariée à trcnte ans avec un
homme
deux fois plus âgé qu'elle, n'a jamais voulu so
n phénomène ner- veux ni psychique. Le délire, qui se montre chez l'
homme
, doit être imputé aux émotions morales des gran
cas de paralysie de l'oculo-moteur commun à retours pério- diques.
Homme
de trente-quatre ans atteint actuellement d'une
pas un cas pur. Le protocole clinique de la Charité montre que cet
homme
était atteint d'épilepsie et de troubles psychi
i appartiennent à l'établissement ; tout contre sont les villas des
hommes
. Dans le parc, il y a une salle de réunion en c
servir en même temps au culte. Altscherbitz renferme maintenant 230
hommes
et 170 femmes. En 1882. on a élevé deux villas
e d'un petit bâtiment d'administra- tion, de deux pavillons pour 60
hommes
et 60 femmes; mais elle est soumise à l'autorit
n possède celui de Gal'dele- gen (de M. Schultze), on y a évacué 20
hommes
et 20 femmes de Nietieben et d'Altscherbitz. On
ts serviront exclusivement pour les femmes. On arrivera à loger 100
hommes
en élevant dans le jardin deux nouveaux édi- fi
janvier 1883 pris possession de la colonie de Briegischdorf. Les 30
hommes
qu'on y a placés lais- sent 30 places de libres
es de plus. A ce moment l'asile entier contiendra 360 aliénés : 135
hommes
, 225 femmes. Ces améliorations permettront de s
tablissement qui n'a que peu perdu à la construction du service des
hommes
; on a devant soi, au milieu, la cuisine et la b
(section des femmes de l'avenir), à droite le nouveau quartier des
hommes
. La colonie réalisera un mode d'assistance en l
malades qui attendent devra être retardée d'un an et demi pour les
hommes
, d'un an pour les femmes. Le projet de nou- vel
derniers temps, ont vivement préoccupé à Saint-Péters- bourg les
hommes
de science ainsi que la partie du public qui s'
une occupation suivie. Son grand-père, paternel qui passait pour un
homme
bizarre et original, avait fait bàtonner un de
iété médico-psychologique. Observation VI. « Il (M. Moreau) a vu un
homme
qui se rend malheureux par l'impossibilité de s
la façon d'un corps solide. ' l' Observation VII. Il s'agit d'un
homme
de soixante-dix ans, toujours mal équilibré' et
Macnish. Physiology of the sleep. UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'
HOMME
. 213 l'observation d'un homme atteint d'hystéri
p. UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'HOMME. 213 l'observation d'un
homme
atteint d'hystérie bruyante, convul- sive et no
ïncidé avec des contractures éten- UN CAS DE GRANDE HYSTÉRIE CHEZ L'
HOMME
. 223 3 dues, et il n'a jamais présenté de contr
etc., qui semblent con- firmer, par une véritable expérience sur l'
homme
, les résultats des recherches de Claude Bernard
ndaire; par M. le Dr LANDOUZY. (FI', méd" 1884,1.) Il s'agit d'un
homme
âgé de quarante-sept ans, présentant des manife
pal'l\l. BARTII, médecin des hôpi- taux. (Fr. méd. 1884, 1.) ; Un
homme
âgé de cinquante ans, syphilitique, présenta, à l
matique primitive a été représentée par 1 67 faits dont 92 chez les
hommes
; on a noté 2 guérisons, 60 améliorations, 97 incu
e). La folie épileptique a été obser- vée chez 92 individus dont 71
hommes
; il y a eu 27 guérisons (accès maniaques passag
.Ihll t'I"1 ? itte4.- La folie périodique a eu pour terrain treize
hommes
et .treize n '' ? ) ? ? ? t Ili, 1 - e. - . 1 5
1 ? o.. p e ? I1'0''). (. ,,0 .h 'U ? l ... 1 ? 1 tif femmes et un
homme
, tous individus fortement héréditaires. ? .. ? ..
ans une seule pesée. Le nombre dès observations est de 131 pour les
hommes
et de 116 pouf lés femmes. Les principaux : ré-
nt proportionnellement lés lobés frontaux plus pesants que ceux dés
hommes
. Oh observe l'inversé pour les régions occi- pi
fert de trouble très pédnohëé de la parole. Dans le premier cas, un
homme
, complètement idiot de naissance, né prématurém
physiologie expérimentale des animaux ni celle de la clinique de l'
homme
ne parlent pas d'une manière absolue en faveur
ême des plus éminents, il ne reste qu'à demander à la clinique de l'
homme
secondée des recherches ana- tomo-pathologiques
ppe VARIA. 277 Pinel. Elle rend ce public et solennel hommage à l'
homme
géné- reux qui, tirant de la barbarie la scienc
ait pas alors pouvoir considérer comme des malades. Elle honore l'
homme
érudit qui, pour réaliser une telle réforme, a pr
comme un témoignage public de son admiration pour le savant, pour l'
homme
de bien, et comme la consécration des sentiment
lever cette statue à l'un des savants les plus éminents, à l'un des
hommes
les plus dignes et les meil- leurs qui aient ja
u « comme les services. Les bâtiments étaient inhabitables. Les «
hommes
y croupissaient couverts de fange, dans des loges
tre Cabanis, tous trois amis de Pinel, jugèrent qu'il était le seul
homme
de Paris et même de la France, qui fût en état
de la France, qui fût en état de remédier à tant de maux. « Quel
homme
, en effet, était mieux préparé pour les réformes
erthollet, les Cabanis, les Condorcet et tant d'autres. Tel était l'
homme
à qui fut confiée la direction de Bicêtre, puis
nel a ouvert le chemin el donné l'exemple, il a trouvé parmi tant d'
hommes
distingués, dont les noms sont présents à tous
e qui laisse le mieux voira à la fuis la grandeur et la misère de l'
homme
: l'aliénation mentale VARIA. 28 1 « Vous ne
es idées qui inspirent votre apostolat qu'en élevant une statue à l'
homme
qui les le premier personnifiées avec tant d'au
érir, el qu'il suffisait de réduire, il lui a restitué sa dignité d'
homme
; il a fait comprendre à tous, et spécialement à
elon le mot de Cuvier, un beau génie, « c'était encore un excellent
homme
n. La bonté l'a constamment inspiré, et l'on pe
ra, le reproche d'avoir exagéré l'hommage dû par la posté- rité aux
hommes
qui l'ont bien servie. L'éclat et la spontanéité
nfaits de Pinel ne s'e1laceront pas. « S'il est vrai que les grands
hommes
doivent être classés d'après 282 VARIA. la ju
« C'est surtout lorsqu'on considère le nombre prodigieux de grands
hommes
qui ont, par leurs travaux, leurs méditations et
parce que Pinel a imprimé une impulsion vigoureuse à l'étude de l'
homme
frappé dans son intelligence et qu'il a presque c
ns adresser les plus vifs remerciements aux pouvoirs publics et aux
hommes
qui sont venus si libéralement en aide au comit
bien « moral ». Philippe Pinel en est un exemple éclatant. « Cet
homme
de bien naquit le -II 1 avril 1745, dans un petit
es el. des infirmes. L'his- toire n'oubliera pas les noms des trois
hommes
qui, s'inspirant du célèbre rapport de Tenon, i
ise son modeste et dévoué collaborateur, le surveillant Pussin. Cet
homme
peu cultivé, mais d'un coeur tendre et compatis
nse-la plus chère que puisse désirer le penseur. 292 VARIA. « Cet
homme
, si digne de son siècle, et par le coeur et par
« La mémoire de Pinel est restée vivante et pure comme celle de l'
homme
de bien. S'il mérite la reconnaissance de tous po
z, laissez toute espérance ! » Celte oeuvre est grande et belle : l'
homme
illustre, qui l'a accomplie, a bien mérité de l
ième classe. La population en a été fixée à 450. Sur les 225 lits d'
hommes
, 221 sont déjà occupés, les dernières places sont
e. Allenberg. L'agencement de la colonie permet d'y introduire 40
hommes
. Aussi, en 1882, construisit-on un édifice pour
ens communs. On a réformé le quartier cel- 298 VARIA. lulaire des
hommes
avec ses dix cellules. Ce résultat a été atteint
s haies vives et des grillages en bois, sans grilles, destinée à 25
hommes
. La nouvelle buanderie où habitent quelques mal
nczbrück. En 1882; culture de 20 hectares.' La colonie compte - I i
hommes
habitant dans. une maison rustique. On a exécuté
bâtiment de femmes (ancien), un nouveau pavillon pour pensionnaires
hommes
, - une maison de fonctionnaires (ancien), une a
trouve un nouveau pavillon d'observation pour 30 femmes et autant d'
hommes
. Tout en haut, vers le nord existent : un non.*
un nouveau réservoir d'eau avec chaudière,-un nouveau pavillon pour
hommes
agités, enfin à l'ouest, une nouvelle chapelle,
aron, dans ses conversations dési- gnait son cousin Claudiuscommeun
homme
capable de mettre le feu par méchanceté, et s'e
is je vous réponds que ce n'est pas moi qui les ai allumés. » Cet
homme
qui s'accusait, puis se défendait si naïvement ét
ni perversion instinctive. On aurait pu se croire en présence d'un
homme
raisonnable, innocent des crimes qu'on lui repr
S INCENDIES MULTIPLES A MOBILES FUTILES. 335 le représente comme un
homme
capable d'incendier. Je le demande, où trouver
ni conceptions délirantes, ni perversion morale. Berger me parut un
homme
rusé , doué de l'intelligence ordinaire des gen
comme fondée la réputation d'intelligence bornée dont jouissait cet
homme
soit dans sa commune, soit dans l'administratio
re raconte que sa fille, à partir de quatorze ans, s'est livrée aux
hommes
et il la débauche, tandis que la fille accuse s
tuée à l'âge de quatorze ans et demi ; elle cite môme le nom de l'
homme
qui l'a possédée par suite de ce marché qui a val
déc. elle fréquen- terait, au dire de sa mère, de malhonnêtes gens (
hommes
et femmes), ce qui aurait amené une brouille en
u'une enfant (la mère de nos malades), et n'avoir pas connu d'autre
homme
que le père de sa fille : cette dernière l'accu
e la glycosurie dans ces con- ditions. Chez la femme comme chez l'
homme
, les phénomènes cérébraux qui coexistent avec l
Pour nous, si nous avons rencontré dans le cours du diabète chez l'
homme
des cas ana- logues à ceux de Seegen, c'est-à-d
ce, juillet ! 883.) Nous donnons ici le résumé de l'observation :
Homme
de vingt-huit ans, célibataire, entré à l'asile e
grands asiles, est un document critique intéressant t écrit par un
homme
compétent; c'est une pièce importante de plus à
tation SEXUELLE PERVERSE; par ANJEL. (Arch. f. Psych., XV, 2.) Un
homme
de quarante-cinq ans, indemne de toute tare hér
hements de garçons de moins de dix ans; en même temps, dégoût des
hommes
faits. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 417
des facteurs étiologiques les plus importants. Sur mille malades
hommes
, dix-sept sont paralytiques généraux, et la plu
ysie générale chez la femme est six fois moins fréquente que chez l'
homme
; on n'a jusqu'ici pas assez envisagé la grosse
PREMIER cas. Condamnation à la prison perpétuelle pour incendie.
Homme
de trente-neuf ans, condamné pour vol en 1 Voy.
rver quatre cas de méningite tuberculeuse chez des aliénés adultes (
hommes
); les observations détaillées de ces quatre cas
ères cérébraux. Ces recherches portent sur 235 pesées de cerveaux d'
hommes
et i-16 de femmes faites par Broca. Elles donne
s faites par Broca. Elles donnent en grammes comme moyenne chez les
hommes
556,4 pour l'hémisphère droilet HH5,7 pour le g
maxima observée chez le même indi- vidu a été de 18 grammes pour un
homme
et de 16 grammes pour une femme; cet écart est
rveau ne s'exerce pas de la même façon dans les deux sexes : chez l'
homme
le cerveau acquiert son maximum entre vingt-cin
tante si on pouvait en donner une explication satisfaisante. Les
hommes
à gros cerveau disparaissent-ils par le fait d'un
e de grande hystérie avec dédoublement de la personnalité chez un
homme
qu'il a eu dans son service à Bicêtre. Nos lecteu
Son occupa- tion ordinaireest à l'atelier des tailleurs; il coud en
homme
exercé. Il ne connaît point les gens qui l'ento
. Ce n'est plus l'enfant timide de tout à l'heure, c'est un jeune
homme
ni pusillamine, ni arrogant. Le langage est corre
Les femmes transmettent plus facilement la paralysie générale; les
hommes
en sont plus aisément atteints. La syphilis, en
que de temps à autre. Dans la troisième observation, il s'agit d'un
homme
vigoureux decinquante- sept ans ; alimentation
0 BIBLIOGRAPHIE. En résumé, conclut M. Bérillon, on peut dire que l'
homme
, au point psychique, sensitif et moteur, est ré
nerf- dans le - tabès dorsal), 118. Vaso-moteurs de la peau de l'
homme
, par Bucb, 87. Zones (des) hystérogènes et hy
. Son père est mort à vingt-huit ans de fièvre typhoïde. C'était un
homme
de constitution robuste, sans nervosisme. Sa mè
peurs nocturnes. A dix-huit ans, on la maria contre son gré avec un
homme
qu'elle n'aimait pas; elle éprouva un dégoût cont
our venir à Paris chercher du travail, mais au demeurant c'était un
homme
calme, bon ouvrier, et dévoué à sa famille. A
as, il survint à la suite d'érythème autour de l'oeil droit chez un
homme
de vingt- deux ans sujet à des attaques de nerf
rze ans, au niveau du coude droit; le troisième fut observé chez un
homme
de vingt-deux ans, sur la face, et revenait par
KTERPEDON- culaire; par SHARKEY. (Brain, part. II, 1894, p. 238.)
Homme
de quarante-trois ans. Trois mois et demi avant s
se de la moelle ayant provoqué des symptômes de myélite transverse.
Homme
ayant contracté récemment la syphilis. Quinze m
étendue. DE KpAFFT-EBtNG. Présenta- tion d'un cas d'hystérie chez l'
homme
(apoplexie hystérique). GAUSTER. Le nouvel asil
Psychiatrie. 1 Voyez Synonymie des circonvolutions cérébrales de l'
homme
. (Ar- chives de Neurologie, t. VIII, p. 181.)
blir cette opinion, voici quelques observations : Observation I. Un
homme
de cinquante-huit ans, ayant fait les campagnes
il collera ses factums à tous les coins de rues. Observation II.
Homme
de quarante-deux ans, sans tare hé- réditaire ;
ire ; blennorrhagie en 1890 ; très sombre, il se considère comme un
homme
très coupable, fait des tentatives de suicide.
truit dans le style de la fin de la renaissance, on plaça ensemble
hommes
et femmes. Eu 1835 on éleva une nouvelle construc
ocaux administratifs, dans l'étage supérieur on séquestra femmes et
hommes
malades. En 1851, on construisit le pavillon de
de grandes modifications. En 1864, on édifia la grande division des
hommes
et l'on put alors séparer les sexes. Tels étaie
actuellement 4° quartier des femmes) ainsi que dans la division des
hommes
. Nos malades gâteux et malpropres sont aujourd'
es aliénés. Actuellement le septième des femmes et le cinquième des
hommes
sont ainsi traités. Ce sont 18 femmes et 36 hom
le cinquième des hommes sont ainsi traités. Ce sont 18 femmes et 36
hommes
pour cause d'agitation 5 hommes et 6 femmes pou
si traités. Ce sont 18 femmes et 36 hommes pour cause d'agitation 5
hommes
et 6 femmes pour mélancolie 6 hommes et 22 femm
ommes pour cause d'agitation 5 hommes et 6 femmes pour mélancolie 6
hommes
et 22 femmes pour paralysie et affaiblissement
sie et affaiblissement physique 8 femmes pour gâtisme 2 femmes et 9
hommes
qui ont des habitudes malpropres et qui déchire
faisons qu'un usage très limité des calmants ; dans la section des
hommes
on ne donne qu'à titre isolé des narcotiques. En
les. On ne pratique presque plus l'isolementpendant le jourchez les
hommes
; on le pratique davantagechezlesfemmes quis'ac
ous n'insis- tons point. La nuit, on isole davantage, même chez les
hommes
, 00 b , SOCIETES SAVANTES. afin d'éviter les
nagé de nombreuses cellules. Nous possédons dans la division des
hommes
pour 296 malades, 17 locaux d'isolement, et, pour
teuses, des alitées, des agitées et des épilepti- ques. Du côté des
hommes
, on a moins construit. En 1881, on a acquis le
ransformée en une villa pour 40 travailleurs agricoles, en 1886. 20
hommes
ont été transportés sur le domaine même. L'assi
isé mon plan dans la division des femmes. Ce qui me manque pour les
hommes
, c'est un quartier spécial pour les agités les
me interne, dans son service à Charenton nous ont permis de juger l'
homme
et le savant. Nous utiliserons également de pré
ire, ce n'est pas ce qui tenta jamais M. Calmeil qui fut toujours l'
homme
désintéressé par excellence. Toutefois, ramené à
irection des excursions botaniques. Autour de lui se groupaient des
hommes
dont l'âge et la position auraient pu le faire
u vacante. Le service fut divisé. Archambault obtint le service des
hommes
, M. Calmeil celui des femmes. Peu de temps aprè
en terminant de rendre un hommage mérité à ce maître vénéré, à cet
homme
de bien, à ce savant vraiment trop modeste. Dr
ans ce but, il s'augmenta ultérieurement de deux bâtiments pour les
hommes
, et de trois bâtiments pour les femmes. Chacun
ur. » Depuis trente-deux ans l'ecclésiastique que nous avons est un
homme
plein de tact, d'une honorabilité toute patriar
servation à lui faire. Son nom ne doit pas tomber dans l'oubli. Cet
homme
de bien s'appelle Isak- Gioî-giezi)ic. Admissio
ple préfère les cloîtres à l'asile d'aliénés. Plusieurs des aliénés
hommes
et femmes qui sont à l'asile ont déjà passé par
onnables. Les témoins, les médecins eux-mêmes l'ont décrit comme un
homme
calme et sensé qui vit avec économie, et avec q
de construction d'un asile d'aliénées (femmes) et d'alcooliques (
hommes
), sur un terrain dépendant du domaine de Ville-Ev
es millimètres à peine à chaque déplacement du pied. On dirait d'un
homme
qui s'aventu- rerait sur une étroite passerelle
ance; elle fut néanmoins condamnée à payer. Dans un deuxième cas un
homme
accusé d'excitation au meurtre ne fut con- damn
ui sert de base à cette étude peut se résumer ainsi qu'il suit : un
homme
robuste, âgé de quarante-cinq ans et sans anté-
ve, c'est que presque toujours les polyuriques hystériques sont des
hommes
et que le diabète insipide est rare chez les hy
présente un malade atteint d'épilepsie Jacksonienne. Il s'agit d'un
homme
de vingt-cinq ans qui, tout à coup, à la fin du
4 et le corps du délit enlevé par cette opé- ration. Il s'agit d'un
homme
encore jeune, ayant été opéré succes- sivement
tal gauche et lit l'obser- vation du malade correspondant. C'est un
homme
de trente-huit ans. Forte tare héréditaire. Gyp
domaine de l'établissement en deux parties (au nord la division des
hommes
, au sud la division des femmes). Les bâtiments
constructions isolées. Ces pavillons contiennent le quartier des
hommes
, tandis que le grand bâtiment fermé est destiné a
orale et soi-même par un certificat qui con- fisque la liberté d'un
homme
, c'est chose si grave qu'on ne doit prendre par
e de Gheel comptait au 1er janvier dernier 1,875 aliénés dont 1,005
hommes
et 870 femmes. Placés chez des nourriciers, tou
lars d'installation et peut assister d'emblée 2,000 épilep- tiques,
hommes
, femmes et enfants ; mais on peut espérer qu'elle
n et consigné notre opinion dans le présent rapport. Maumy est un
homme
de taille et de corpulence moyennes, normalemen
avance d'avoir assassiné sa femme. Ce n'est pas là la conduite d'un
homme
en proie au délire. La veille, d'ailleurs, il n'a
enir à l'hystérie. L'observation d'Auché et Lespinasse a trait à un
homme
de trente ans, qui présentait en même temps des
ulpian, de Graves, de Morgan. Sur ces 7 cas, 2 se retrouvent chez l'
homme
, 1 chez l'en- fant, 4 chez la femme. Le nôtre a
t à la femme. Or l'érythromélalgie est en général une maladie des
hommes
. On peut ajouter le cas de Weir Mitchell (obs.
l'objet d'un travail ultérieur. Dans le premier cas, il s'agit d'un
homme
de trente-neuf ans, qui pré- sente la série des
e de l'asile d'aliénés de X..., qui venait de se pendre. C'était un
homme
de soixante et un ans, atteint de lypémanie anx
ent. de Belgique, sept. 1894.) - Cette observation est celle d'un
homme
de trente-cinq ans, exempt de tare héréditaire,
tal provient de l'imitation en vertu d'une impulsion égoïste ; 8° l'
homme
sain, à cerveau vigoureux, n'est en aucune faço
, mais non pas justifié l'internement; qui a affirmé qu'au- cun des
hommes
de l'art appelé à examiner l'état mental de l'in-
'il était inutile d'être aliéniste ou même médecin pour juger si un
homme
était aliéné ou non. Une conversation de cinq m
l a raison, car chaque année l'intoxication alcoolique tue autant d'
hommes
que la phtisie. Or, par un traitement approprié
montrer aisément et suivant la karyokinèsede l'organe central de l'
homme
, même quand l'autopsie est pratiquée douze à quin
rg comprendra deux établissements de même contenance, l'un pour les
hommes
, l'autre pour les femmes.' Tous ces asiles sero
· A l'asile de Sonnenstein, un quartier de surveillance pour les
hommes
, avec locaux pour 6 aliénés alités et ayant besoi
dinage et quatre propriétés. On y a construit, pour la division des
hommes
, un bâtiment de 24 agités, un quartier de suvei
llons séparés, disséminés dans des jardins. Il y a une division des
hommes
et une division de femmes. Chacune d'elles a so
liénés; il faut donc le diviser en deux établissements : un asile d'
hommes
, un asile de femmes, ayant chacun son directeur
En 1887 on a installé à Hochweitzschen une école spéciale pour les
hommes
et à Hubertusbourg une école pour les femmes. D
- truction. Grâce à ces fondations, en 1891, on a obtenu pour les
hommes
74 p. 100 de résultats et pour les femmes 67, il
é, à sa place, médecin en chef de l'asile de Vaucluse (division des
hommes
). Asile d'aliénés DE BLOIS. Une place d'interne
ond, d'après MM. Beevor et Horsley1, au premier sillon frontal de l'
homme
. Le siège de la lésion irritative en question s
g, cercopithèque, choeropithèque, macaques, chimpanzés) et chez l'
homme
(plis de passage de Gratiolet, Ecker, Huxley, Wer
éophytes) et sa consistance. Examen à.cet égard de 316 aliénés (165
hommes
151 femmes). L'auteur signale l'hypertrophie de
(2 observations) ; les ostéophytes de ce plan osseux (24 femmes, 25
hommes
) simples ou doubles avec transformation des apo
IBUTION A la connaissance DE la richesse DE l'écorce cérébrale DE l'
homme
en fibres nerveuses : 1 myéline ; par Th. Kaes.
l'un des cas, il y a en outre hydrocéphalie externe,'de l'autre (un
homme
) pachyméningite interne membra- neuse héinorrli
- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE, i 311 que appui au diagnostic : un
homme
qui présente des signes nom- breux de dégénéres
ité l'intervention opératoire. La première observation a trait à un
homme
de trente-deux ans qui après avoir reçu un lége
ubles passagers de l'activité cérébrale. Le premier cas concerne un
homme
de cinquante-quatre ans indemne de syphilis et
rze jours en s'accompagnant de délire à la suite des accès. Chez un
homme
de vingt-huit ans, fort surmené par le travail (c
î2é7- -tttive daiis la paralysie pro- gressive. -.Il s'agit de deux
hommes
chez lesquels il n'y avait point encore de stad
des qui ont été traités par le courant de Morton. Le premier est un
homme
de trente-huit ans, non syphilitique, atteint d
euvre. C'est beaucoup, ce n'est pas^assez; il ne faudrait pas que l'
homme
et sa physionomie, s'éclipsent entièrement. Il
articuliers, ces petits faits caractéristiques qui font connaître l'
homme
et permettent de recons- tituer son individuali
oublier les,,oeuvres, de faire ? "4yAR>rn ? lq 333 revivre les
hommes
, de vous montrer ce qu'il y avait d'original et
ment du Gard, est tombé comme une lourde masse sur la chaussée. Cet
homme
, atteint d'une violente crise d'tpilepsie, écum
e. Première crise épileptique à douze ans après, avoir eu peur d'un
homme
ivre. A la suite de cet accès elle fit unefugue;
les étu- diées à l'asile de Lappviks de 1875-1892, soit : 1520 (861
hommes
, : 659 femmes), dont 107 (98 hommes, 9 femmes), s
ks de 1875-1892, soit : 1520 (861 hommes, : 659 femmes), dont 107 (98
hommes
, 9 femmes), soit 7,03, ont eu la paralysie géné
La paralysie progressive, qui est de beaucoup plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme, sévit surtout sur la popu- l
de l'organisme ; c'est un processus physiologique involontaire. L'
homme
respire ou éjacule, qu'il en ressente ou non du p
te spécialisation porte sur l'autre sexe. Seulement, tan- dis que l'
homme
peut coïter, et complètement coïter, sans que l
aisir que si la cohabitation lui fait éprouver quelque sentiment. L'
homme
peut donc coïter avec n'importe quelle femme ;
es sexuelles de la femme sont bien moins puissantes que celles de l'
homme
(raison d'être physiologique du crime légal de
homme (raison d'être physiologique du crime légal de l'adultère). L'
homme
normal porte en lui des traces de sadisme : act
t sa subordination à l'être aimé. Le facteur esthétique joue chez l'
homme
et lafemme un rôle important; le facteur social
tous les peuples, il y a eu une sensualité exagérée entraînant les
hommes
normaux à des extravagances. Celles-ci graduell
alité offre ici cette particularité indéniable qu'il y a union d'un
homme
développé avec des jeunes garçons ayant con- se
aris mesurent, sont surexcitées ; les jeunes filles qui craignent l'
homme
par pudeur ou ont la crainte deiagrossesse ; ma
coïter comme d'ordinaire, ainsi que cela a lieu pour les onanistes
hommes
passionnés, il y a impotence psy- chique. II fa
c l'homosexua- lité proprement dite, avec l'uranisme (commerce de l'
homme
pour l'homme) et le tribadisme (commerce de la
lité proprement dite, avec l'uranisme (commerce de l'homme pour l'
homme
) et le tribadisme (commerce de la femme pour la f
ychique, tout à fait distincte d'une passion telle que la passion d'
hommes
normaux préférant des femmes grosses fortement co
et énergiques (sorte de masochisme), des tribades allant à la femme
homme
, des femmes normales préférant de jeunes garçon
mâles qui sont sensoriel- lement excités parleur propresexe. Un bel
homme
fait à l'urninge REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 3
E. 393 le même effet psychique et physique qu'une femme fait à un
homme
ordinaire. L'urninge se complaît à voir, regarder
ondaire marié; ici les femmes des gardiens habitent la division des
hommes
et y exercent certaines fonctions. On ne peut esp
pétrole sur le corps et y mit le feu avec un tison du foyer. Dix
hommes
et deux femmes assistaient à cette scène de sauva
ort dans la porte, et le con- cierge se leva. A la porte, il vit un
homme
jeune encore, l'air hagard, qui lui dit : fai
vos histoires, dit le concierge de l'hôpital, déguerpissez vite, l'
homme
. Mais i ! avait à peine prononcé ces paroles qu
eure. L'escalier en pierre convient davantage dans les ser- vices d'
hommes
qui vont travailler au dehors, beaucoup dans -
bidets pour le lavage dés parties intimes plus compliqué que chez l'
homme
; dans les nombreux asiles que j'aie parcourus j
vidange se fasse tous les jours de grand matin. Dans les services d'
hommes
, il est indispensable d'annexer aux water-close
sant une impression générale sur l'ensemble de l'organisme, car l'
homme
est un être complexe dont les composants sont int
ant à l'influence de la puberté, si elle n'est pas manifeste chez l'
homme
, elle apparaît clairement chez la femme. Nous a
d'individus à l'état dit physiologique, qui présente encore pour l'
homme
bien des variantes, ou de malades ? C'est ce qu
ns inférieures, et les lésions des racines. Première observation.
Homme
de vingt-deux ans, chute d'un toit, vive douleu
le, telles que la bibliothèque, les écoles, les travaux du club des
hommes
, etc., et à la même époque, il faisait un trava
les 690 aliénés détenus légalement au 1 ? janvier 1893, il y a 4tl
hommes
et 379 femmes. La paralysie générale est assez ra
davantage. Ce qui le prouve, c'est qu'en 1892, dans le service des
hommes
, M. Scholz n'a employé que 31 grammes de chlora
respect qui convient. VARIA. 495 Dans d'autres cas, des aliénés (
hommes
) accompagnés d'infir- miers ou de surveillants,
evront en aucun cas, être placées dans le même compartiment que des
hommes
aliénés. Je vous prie, monsieur le Préfet, de t
du Congrès. Les rois aliénés dans la Bible; par le Dr Burrell. L'
homme
ne change guère au cours des âges : la Bible est
ré- sultats ont été presque insignifiants. IV. Vertige marin DE l'
homme
. a.) Symptômes. Notre but n'étant pas de faire
fond. Nous citons ici que tous les symptômes du vertige marin de l'
homme
se sont manifestés chez les animaux pendant nos
été cités dans les antécé- dents de la malade. Observation VII.
Homme
de vingt-sept ans. - Anesthésie partielle du sens
e et nous y inscrivons le siège des localisations cérébrales chez l'
homme
les mieux démontrées par les faits anatomo-clin
qui ait été faite sur le siège des localisations cérébrales chez l'
homme
(schéma deMM. Charcot et Pitres, d'après M. Fér
ation de la région malade dans six cas de lésions cérébrales chez l'
homme
avec épilepsie partielle. Ces trépa- nations qu
a similitude complète entre la topographie motrice du cerveau de l'
homme
et des singes supérieurs (Macacus sinicus). Les
. Disons en terminant avec les centres moteurs des membres chez l'
homme
, que sans être circonscrits mathématiquement, i
ner. Recherches sur les localisations des fonctions du cerveau de l'
homme
(Vienne, 1881). In loc. cit., p. 43. Voir la crit
calisations motrices dans l'écorce des hé- misphères cérébraux de l'
homme
(Rev. dsMcd. 1883, p. 152.) ° Hitzig. Arch. f.
son fils, grand-père paternel de la malade. Le père est lui-même un
homme
très nerveux, bizarre, violent; accidents arthr
. 67 douzième paire. L'observation qu'il décrit concerne un jeune
homme
de seize ans, présentant les symptômes caractéris
(Arch. f. Psych., XVII, 1.) Observation clinique très détaillée. Un
homme
bien portant, de vingt-quatre ans, est successi
S sciatiques ; par M. J. TE)SS)ER. (Lyon médie., 1886, t. LI.) Un
homme
de quarante-trois ans, atteint de crises extrême-
ction d'une maladie nouvelle sur un terrain qui demande la vie d'un
homme
pour être par- couru. M. Ball termine par la dé
es paralytiques généraux sont syphilitiques. Chez eux on trouve des
hommes
qui sont indu- bitablement syphilitiques. M. Fu
chez les animaux à sang chaud et froid avant d'être administré à l'
homme
. Soixante observations. Deux centcinquante admi
ostomes, sélaciens, téléostéens, amphibies, reptiles, mammi- fères,
homme
). Coupes et dessins à l'appui; coupes de très jeu
uer (à Francfort). Contribution à l'étude de la névrite alcoolique.
Homme
de vingt-neuf ans, indemne de tare héré- ditair
outes les espèces animales présen- tent de ces granulations, même l'
homme
(préparations d'Adamkie- wicz) ; leur occurrenc
et compromis dans leur exercice ; l'autre, auquel se rallièrent les
hommes
éminents qui composaient dans l'une et l'autre
our rapporteurs M. Vivien et le marquis Barthélémy, était celui des
hommes
de science et d'expérience, qui, adoptant la do
s d'observation séparés des autres parties de l'établissement». Les
hommes
les plus incontestablement compétents avaient d
publicité; et vous avez beau me dire qu'on ne s'a- dresse qu'à des
hommes
investis de la confiance publique, est-ce que n
iennent, sous l'empire de cette com- motion de la vie publique, les
hommes
investis ou prétendus investis de la confiance
ans une nécessité absolue, confier des mystères comme ceux-là à des
hommes
qui peuvent les divulguer à un moment donné 1 E
sile, après l'avoir bien choisi; il faut avoir confiance dans les
hommes
. On veut aujourd'hui changer foutes les institu
ger foutes les institutions, parce qu'on n'a pas confiance dans les
hommes
. On ne fait rien que de dépla- cer et de multip
rien que de dépla- cer et de multiplier le mal. Choisissez bien les
hommes
on peut y arriver; en définitive, le corps médi
t qu'on enferme est réellement un fou plus ou moins dangereux ou un
homme
sain d'esprit. Il semble, messieurs, que la que
maladie. Il est vrai, pour le dire en passant, qu'il n'est guère d'
hommes
, même parmi les bons esprits, qui ne se croient
trompeurs. Ce n'est jamais sans étonnement que nous entendons des
hommes
sérieux faire leurs réserves à cet égard et je pu
our unique garantie à l'aliéné la délibération à huis clos de trois
hommes
qui lui sont et lui demeurent absolument étran-
comprendre qu'il serait dangereux de les contredire. Et voilà les
hommes
chargés de défendre l'aliéné contre l'erreur ou
ntre l'erreur ou le mauvais vouloir de la médecine mentale ! Et ces
hommes
n'ont pour s'éclairer, pour se guider dans leur
encieuses. Vous vous dites que le soup- çon ne peut pas épargner un
homme
seul, quelque éminent qu'il soit; que la vertu
SÉNAT. 117 une commission. Vous hésitez aies personnifier dans un
homme
seul, parce que vous craignez de le désigner à
n'est pas aliéné. Je tiens, pour ma part, les magistrats pour des
hommes
de 120 SÉNAT. goût, surtout pour des hommes d
s magistrats pour des hommes de 120 SÉNAT. goût, surtout pour des
hommes
de tact et, sauf la partie très spéciale de la
'avoir une opinion propre et même une opinion contraire à celle des
hommes
de l'art. Or, messieurs, c'est toujours une cho
ciliable avec la gravité naturelle du législateur, d'accorder à des
hommes
une faculté quelconque, alors qu'ils ne sont libr
a question avec netteté : elle sera résolue par cela même. Voici un
homme
suspect qu'on propose d'enfermer : qui devra pr
giques individuels. 4 Prédisposition. Le cerveau plus développé des
hommes
civilisés est, par son exercice même, prédispos
, on remarque, au point de vue du sexe, que ce chiffre comporte 775
hommes
et 534 femmes. L'âge comportant le plus de cas
l'Hérédité. L'hérédité directe a été constatée chez 59,4 p. 400 des
hommes
et 64,15 p. 400 des femmes. L'hérédité indirecte,
ffre de (32,33 p. 400 avec une proportion de 5 ? 68 p. 100 chez les
hommes
. Parmi les affections cérébrales, l'auteur a tr
00, enfin, ceux de l'appareil génilo- urinaire 0,98 p. 400 chez les
hommes
, 6,27 chez les femmes. Le rhumatisme articulair
, la tuberculose un de : 6,32 p. 400 ; et la syphilis 4,20 chez les
hommes
. En additionnant le nombre des causes réparties
ômes ont suivi sans interruption; toutefois il s'est toujours agi d'
hommes
âgés de quarante à cinquante ans, de plus la ma
la disposition des malades. Le jour de notre visite, il y avait un
homme
dans le cabanon n° 2 et une femme dans le caban
le contenu : « J'ai fait, pendant six mois, plonger une centaine d'
hommes
à des profondeurs variant de 30 à 40 mètres. De
ir à la pression du milieu ambiant, soit à 4 ou 5 atmosphères. Cinq
hommes
sont morts à ces pressions, un grand nombre d'a
inférieurs et de la vessie, des surdités et enfin des anémies. Les
hommes
soumis à des décompressions brusques étaient en
ausé une grande amélioration. Vers le milieu du mois d'avril, cet
homme
peut marcher sans appui , il ne frotte presque
la paraplégie ayant fait place à son état parétique habituel, noire
homme
reprend ses immersions le lendemain matin. En
: en effet, elle n'a duré que six heures, au bout desquelles notre
homme
a recouvré entièrement l'usage de ce membre. Par
: l'immersion qui a occasionné l'accident était la troisième; cet
homme
était descendu à une profondeur de 25 brasses et
e métier de scaphandrier, depuis 1870. Durant cinq ans de suite cet
homme
n'a eu aucun accident. Ce n'est que le 15 mai 1
ointes de feu et la médi- cation tonique. Le nommé S. Georgiades,
homme
robuste, sans antécédents héréditaires ou perso
isolées de tout autre symptôme quel qu'il fût; le jour suivant, cet
homme
reprit son travail dans l'air comprimé, mais il
ns pouvoir apprécier les condi- tions qui les ont occasionnées. Cet
homme
, alors effrayé, cesse son travail pendant une a
héréditaires, pas de maladies antérieures. 11 faut noter que cet
homme
commet des excès d'alcool depuis qu'il s'est livr
est entré à l'hô- pital Catherine le 8 mars 1887. Etat PRÉSENT.-
Homme
robuste et bien bâti. Peau. - Cyanose légère de
yanose légère des mains, la chair de poule se pro- duit facilement;
homme
autographique. Callosités sur les mains, crevas
dans le nombre des malades atteints de gliomatose sont notés les «
hommes
autographiques » (Schultze, Fûrstner et Zacher,
l'eau de la mer, et subit des secousses , qui se transmettent à l'
homme
, provoquant le vertige marin. Quand un flot se
les voiliers, d'où vient subitement la perte de l'équi- libre de l'
homme
; enfin le vapeur revient en équilibre plus dif
es vapeurs. d) Réflexions sur la pathogénie du vertige marin de l'
homme
. Voici maintenant le moment d'aborder l'étude d
ordinaire; pas de migraines, pas d'antécédents nerveux, etc. [Père,
homme
de peine au chemin de fer, mort au bout d'un an
ent les lésions que Ludwig Turk et Charcot avaient observé chez l'
homme
atteint d'hémianesthésie croisée. Ces physiologis
aliénés DE MUNICH Rapport de service pour le quartier antérieur des
hommes
, du 27 octobre 1887. SOCIÉTÉS SAVANTES. 293 «
hilosophique. Les décisions de la magistrature sont des décisions d'
hommes
, et, comme les décisions d'hommes, elles sont p
magistrature sont des décisions d'hommes, et, comme les décisions d'
hommes
, elles sont parfaitement susceptibles de mettre
ons que le tribunal ne peut pas se procurer sans s'a- dresser à des
hommes
spécialement compétents, ayant la com- pétence
résenter. D'un autre côté, M. le Commissaire du Gouvernement est un
homme
si distingué, que son opinion m'en impose beauc
ns bien orga- nisée. Si vous trouvez tout bien, on dit : « C'est un
homme
comme z un autre ! » Dès que vous voulez parven
muniqués ? Par une sorte de suggestion instinctive, irrésistible, l'
homme
a tendance à imiter ce qu'il voit faire. Il y a
e ces tendances entraînent des conséquences bien différentes chez l'
homme
sain d'esprit et chez l'homme taré au point de
conséquences bien différentes chez l'homme sain d'esprit et chez l'
homme
taré au point de vue céré- bral. Les épidémies
dit qu'au point de vue des conséquences, l'entraînement subi. par l'
homme
pondéré était bien 330 PATHOLOGIE MENTALE. di
était bien 330 PATHOLOGIE MENTALE. différent de celui que subit l'
homme
malade. Dans l'espèce, la participation de l'ho
elui que subit l'homme malade. Dans l'espèce, la participation de l'
homme
pondéré ne sera jamais que momentanée; elle ne
s que momentanée; elle ne peut exister qu'en vertu de ce fait que l'
homme
prête assez générale- - ment une oreille compla
d on n'est pas initié à l'évolution des maladies de l'es- prit. L'
homme
, malade suit dès le début, les yeux fer- més, l
ique, la contagion se conçoit d'autant mieux. Ici, le malade est un
homme
intelligent, possesseur pour tout le monde, sau
réalité des esprits , ainsi qu'à leur intervention dans la vie des
hommes
. Vivement impressionnée par les expériences auxqu
venus, quand l'esprit l'a poussée, malgré elle, à la recherche d'un
homme
, le premier venu, pour se livrer à lui. Elle ne
pas fait , mais elle a dû lutter. En passant dans la rue près d'un
homme
, elle disait à haute voix : « Voilà ton affaire
peut distinguer que la paraplégie des membres inférieurs, dont cet
homme
est atteint, est spasmodique. En effet, il est fo
ces questions physiologiques. Dans ces cas, la nature fait sur l'
homme
une expé- rience précise qu'aucune vivisection
ossières dans la sphère de sensibilité ne sont possibles que chez l'
homme
. En attendant de nouveaux faits anatomiques, l'
La différence du sexe se fait sentir dans ce sens que le nombre d'
hommes
est à peu près trois fois plus considérable que
lis par d'autres, ne sont en définitive que la répéti- tion, chez l'
homme
, des mouvements d'entraînement latéral, des mou
ans le domaine des nerfs médian et du cubital droit; il s'agit d'un
homme
qui, auparavant bien portant, présentait néanmoin
que regret de ce qu'elle a fait. Dans le second cas, il s'agit d'un
homme
atteint d'une manie aiguë et en voie de guériso
ccidentellement dans le cours de ce dernier. Voici, par exemple, un
homme
de quarante ans, sujet, depuis sa jeunesse, à d
toutes les questions médicales et techniques, il y a, d'une part, l'
homme
que j'appellerai l'homme de l'art qui examine,
cales et techniques, il y a, d'une part, l'homme que j'appellerai l'
homme
de l'art qui examine, fait son expertise, dépos
tte question, nous avons appelé au sein de la com- mission les deux
hommes
qui étaient le mieux en situation de nous rense
que, sur son appli- cation devant le tribunal de la Seine; ces deux
hommes
étaient M. le procureur de la Itépublique près
rires) dans des circonstances comme celles-là, quand on voit des
hommes
graves venir émettre celte prétention exorbitante
, je le comprends, car enfin on n'amènera pas devant le tribunal un
homme
-qui n'aura pas donné des signes d'aliénation m
onoré. M. DE Gavardie... Mais vous n'êtes pas ce qu'on appelle un
homme
pratique (Hilarité générale)... au point de vue j
re cette décision dangereuse de remettre hic et nunc, en libellé un
homme
qui va peut-être, en sortant du tribunal, comme
c'est vrai un abus ne s'était produit, je ne comprends pas que des
hommes
sensés, sérieux, viennent bouleverser une légis
in. Ce point en particulier méritait toute l'attention, puisque l'
homme
seul possède le langage articulé. Trouverait-on,
t-on, chez l'animal, quelque chose d'analogue à ce qu'il y a chez l'
homme
? Peut-on saisir sur le cerveau plus ou moins f
es, il a traité successivement de la circonvolution de Broca chez l'
homme
adulte, puis chez le foetus humain et chez les pr
ution de Broca constitue en réalité chez les anthropoïdes et chez l'
homme
une quatrième frontale, car la seconde frontale
Arnaud Léon : Recherches cliniques sur la paralysie générale chez l'
homme
. Colin : De la nature infectieuse du tétanos. N
rand nombre de dendrites se trouvent dans l'écorce cérébrale de l'
homme
. On ne peut pas dire qu'une vie psychique supé-
es s'attouchent presque ; tandis que dans l'écorce cérébrale de l'
homme
les éléments psychiques sont pour ainsi dire clai
par les cordes vocales, aussi bien. chez les mammifères que chez l'
homme
, mais elle n'est articulée que chez lui. Les or
lèvres, existent pourtant chez les mammifères aussi bien que chez l'
homme
. Ici intervient donc chez ce dernier un acte in
ils ne produisent que des sons ou des cris. Les modifications que l'
homme
doit imprimer au tuyau vocal pour transformer la
meur a été suivie de la double guérison physique et mentale chez un
homme
ayant déjà atteint un certain âge (cinquante an
t, de la sclérose latérale amyotrophique. Le second malade est un
homme
de cinquante-cinq ans, qui s'est aperçu pour la
ouls bat 168 à la minute. Partout la sensibilité est normale. Cet
homme
est atteint lui aussi d'une sclérose latérale amy
de la contraction pupillaire. V. Claudication INTERMITTENTE chez UN
homme
hystérique atteint de pouls LENT permanent; par
1896.) Crises typiques au point de vue clinique survenant chez un
homme
de quarante-cinq ans : douleur subite violente em
R\'0-AtOTRICE; par MALIPRÉ. (Nonnandic médicale, n° 13, 1896.) Un
homme
de trente-sept ans présente des crises d'éructati
nds services à la double condition cependant que beaucoup de grands
hommes
veuillent bien suivre l'exemple de Zola; mais i
moins de cette moyenne. En fait, il est certain que le cerveau de l'
homme
de génie ne peut pas être constitué comme celui
celles même de M. Toulouse sur Zola ont établi que tous les grands
hommes
, sur lesquels on a pu avoir des ren- seignement
dit un mot des organes génitaux et de leur fonctionnement à l'âge d'
homme
, non par oubli ou par négligence mais, par une
rraient ne pas être flattés. Il croit enfin que M. Zola n'est pas l'
homme
qu'aurait dû choisir M. Toulouse, car si M. Zol
use, car si M. Zola est un merveilleux descripteur, ce n'est pas un
homme
de génie. M. CHRISTIAN. M. Marandon attache une
a vie de famille ; mais il ne songe pas, qu'à côté de son service d'
hommes
, se trouve un service de femmes que la liberté
réclusion pour éviter tous les dangers résultant du contact de l'
homme
et de la femme. » Il ne nous reste plus qu'à nous
térale et bilatérale du peaucier du cou est très développée; 4° « l'
homme
squelette, » ce phénomène s'exprime par cela, q
ession de l'air contre la colonne vertébrale ; 5° « le cadavre » (l'
homme
mort) présente une telle attitude, lorsque les
teinheil, 1897. Beau livre et beau travail sur l'arsenicisme chez l'
homme
(l ? partie) et chez les animaux (2° partie). L
re II (p. 56) comprend la symptomatologie de l'arseni- cisme chez l'
homme
, soit : les troubles de l'appareil digestif (con-
de l'autorité paternelle, de l'éducation. L'impuissance de ce brave
homme
qui a produit une bête féroce, ah ! l'horrible av
temporaine dans les leçons que Raymond a consacrées à l'oeuvre d'un
homme
et à l'oeuvre d'une époque, in Clin, des @lit sys
de point de départ à notre exposé et à notre discussion. C'est un
homme
de quarante-six an«, entré le 19 février 1897,
ice, les polynévrites. , 11 s'agit du n° 13 de la salle Fouquet :
homme
de cin- quante-deux ans entré au service le 9 m
on de cette maladie sur le système nerveux. Personnellement : cet
homme
à l'âge de vingt et un ans est atteint d'un rhu
r à la pression des troncs nerveux, etc. Mais à côté de cela, notre
homme
se lève trois ou quatre fois la nuit depuis for
ocalisation de cette sclérose multiple sur ses nerfs. De même, un
homme
à hérédité névropathique et ayant affaibli sa m
galement exister, puis- qu'elles ont été vues et contrôlées par des
hommes
de grande valeur. La discorde scientifique n'es
malades était de quarante-sept ans : il y avait neuf femmes et huit
hommes
. Une des femmes est morte. Sur les neuf autres
ération; l'âge moyen était de quaraute et un ans : il y avait trois
hommes
et deux femmes : un homme et une femme sont mor
de quaraute et un ans : il y avait trois hommes et deux femmes : un
homme
et une femme sont morts. Le groupe des déments
me et une femme sont morts. Le groupe des déments comprenait quatre
hommes
et quatre femmes'avec une 134 REVUE DE PATHOLOG
DE PATHOLOGIE MENTALE. moyenne d'âge de soixante-sept ans : un des
hommes
est mort. Cette moyenne d'âge supérieure parait
d'Hamlet met en relief les causes variables qui peuvent conduire un
homme
à la perte de sa raison. On peut imaginer un ca
s deux causes agira à la manière d'un toxique. Il est certain qu'un
homme
pout être enivré par l'orgueil tout comme il pe
Ux; par..... (Occidental Médical Time, , novembre 189b.) Cas d'un
homme
de soixante ans entré à l'asile en même temps q
s, crevé les yeux de son mari. Des renseignements pris on sut que l'
homme
avait été quelque temps auparavant attaqué par
ité et antécédents personnels, rien de par- ticulier à noter chez l'
homme
. La femme au contraire est une pré- disposée, o
emme peut s'expliquer ici par la prédisposition plus grande, chez l'
homme
par l'état d'af- faiblissement dans lequel l'av
que ses intestins contenaient suffisamment de nourriture pour 1,400
hommes
, et qu'ils seraient par conséquent à jamais obs
qui devait verser 2000 dollars à la veuve, mais à condition que l'
homme
aurait rempli ses engagements et n'aurait fait au
ste encore des rudiments de l'autre sexe (exemple : mamelles chez l'
homme
, etc.) ; chez les invertis cette ditférenciation
conçue, que l'inversion est un tempérament de femme dans un corps d'
homme
, ou réciproquement); ce qui n'a pas plusdesens qu
ts sous la F2. Intégrité absolue de toutes les autres régions. 2°
Homme
, dix-neuf ans, après une influenza mal de tête oc
u lobe préfrontal n'atteignant ni l'écorce ni les noyaux gris. 3°
Homme
trente-six ans, constipation, torpeur et oblusion
as la région des noyaux, tout le reste de l'encéphale indemne. 5°
Homme
, dix-sept ans, attaques épileptiformes depuis cin
ns la moelle ; par W. TOURNER. (Drain, parts LXXIV et LXXV.) 1. -
Homme
18 ans, pas d'antécédents pathologiques, affaibli
tains points et sur d'autres à la dégénérescence myxomateuse. II.
Homme
23 ans, pas d'antécédents, paralysie presque com-
endyme, et dues à des foyers de ramollis- sement résorbés. III. -
Homme
, 25 ans. Traumatisme ancien. Hémiparésie droite
a crise a toujours com- mencé par ce môme spasme. Observation 1.-
Homme
, vingt ans. Traumatisme à la tête dans l'enfanc
dical Times, janvier 1897.) Cas d'un anévrisme de la crosse chez un
homme
de quarante ans. Pas d'antécédents personnels.
r C. Hetheiungton. (The Journal of Mental Science. Janvier 1897.)
Homme
de trente-trois ans, en état de démence : bonne s
résultats. Le cabaretier y regardera à deux fois avant de servir un
homme
en état d'ivresse, s'il sait que son bénéfice de
ne pas nous assurer que le ministre aura soin de ne choisir que des
hommes
supérieurs, il sait aussi bien que moi que pour
ant, toute l'auto- rité se trouverait au moins entre les mains d'un
homme
ayant l'expérience des asiles. Mais même dans c
es vastes établissements il est matériellement impossible à un seul
homme
de traiter ses malades et d'assurer la direction.
autrement bien administrés qu'aujourd'hui. On aurait désormais des
hommes
compétents et rompus au métier, mais il est cer
rveux suffise, même dans les très grandes villes, à faire vivre son
homme
. Du moins la pratique du médecin et du chirurgi
es, indigne d'un gouvernement républicain démocratique, il faut des
hommes
compétents, connaissant à fond l'hygiène et au
'oubli des événements récents et des phases de son travail, chez un
homme
de soixante-dix-huit ans atteint de tremblement
édée d'ailleurs des besoins d'uriner et de déféquer. Il s'agit d'un
homme
de trente-quatre ans, de famille nerveuse qui,
« Qu'il se signale dans la pensée ou dans l'action, « un grand «
homme
est, selon la belle formule de l'éminent philosop
e philanthropique unit inlimement et à jamais dans la mémoire des
hommes
le maître et le disciple, à tel point que le nom
Ces pages courageuses, où éclate à chaque ligne d'indignation de l'
homme
de bien, furent comme un cri d'alarme. Il fut ent
Pinel et d'Esquirol restent profondément gravés dans la mémoire des
hommes
; leurs oeuvres sont inscrites dans l'histoire d
ntribué, aux yeux des foules, à sa gloire et à sa renommée, car les
hommes
passent, la science marche d'une poussée formid
invoquerai la plus grande fréquence de la paralysie générale chez l'
homme
que chez la femme. M. Charpentier (Paris) s'é
non pas seulement chez la femme, mais chez la petite fille, chez l'
homme
et chez le petit garçon. Ils en parlent, mais s
ute dans un escalier, frayeur d'un enfant ayant le cou serré par un
homme
). A la suite de ces émotions, ces trois enfants d
le mauvais vouloir ». Telles étaient les aménités que cet excellent
homme
prodiguait à ' Voir les Annales ) ? ? co-;Mye/;
ire. On com- mencera par les services de province où les services d'
hommes
et de femmes sont confiés au même médecin. M. B
et a pu constater qu'ils con- 1 M. Toulouse est un peu dur pour un
homme
dont il ignore les tra- vaux, les intentions gé
a corde vocale et du nerf abducteur du même côté. Deuxième cas. -
Homme
de quarante six-ans, commis ; syphilis quelques
déjà si vaste qu'on ne sait plus où il commence, ni où il finit. L'
homme
de talent, l'homme de génie, celui qui n'a pas
n ne sait plus où il commence, ni où il finit. L'homme de talent, l'
homme
de génie, celui qui n'a pas une intelligence mo
résumant ce que doit être l'expression des états psychiques chez l'
homme
sain et chez l'aliéné. Cette expression doit êt
ait à Airon- Notre-Dame, aperçut, sur la voie ferrée, le corps d'un
homme
dont la tête était séparée du tronc. Aidé du ga
te-cinq ans, cultivateur à Airon, né a Saint-Aubin, près Arras. Cet
homme
donnait depuis quelque temps des signes non équ
recherche leurs rapports avec les phénomènes qui s'observent chez l'
homme
primitif et chez le sauvage, et avec les condit
sposés à porter contre les autres. « Quels sont, en définitive, les
hommes
qui ont imprimé les progrès considérables réali
ocher particulier, mon cheval, ma voiture; du jour, en un mot, où
hommes
et choses échapperont, dans une mesure équitable,
e géné- rale. En effet, les cas de M. Arnaud n'ont trait qu'à des
hommes
, et ses malades ne se recrutent que dans la parti
e sexe féminin, et elle frappe aussi bien l'enfant au berceau que l'
homme
adulte, et que le vieil- lard déjà penché sur l
ue, constitue bien un cas de tremblement congénital. Il s'agit d'un
homme
de trente-six ans, atteint d'un tremblement, qu
un tremble- ment intentionnel. Il augmente après les efforts. -Cet
homme
ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents n
i se présente tou- jours comme un délire mélancolique simple. Des
hommes
ainsi frappés, un certain nombre peut se remettre
sans mo- tifs, s'exprimant en accès de fureur. Observation IL Un
homme
de vingt-trois ans, devint malade lorsqu'il n'a
volutions centrales et à la circonvolution angulaire. Deuxième cas.
Homme
de trente-deux ans. A dix-sept ans se développè
ité, il se porte très bien. » Ce cas ressemble assez à celui d'un
homme
de cinquante ans à qui j'ai donné mes soins, qu
mment moins fré- quente chez l'enfant que chez l'adulte, que chez l'
homme
arrivé à l'âge mûr et à la vieillesse. Cela s'e
seulement un organe de projection ; c'est encore et surtout, chez l'
homme
et les anthropoïdes, un centre d'association, l
mescences luxu- riantes des dendrites des cellules pyramidales de l'
homme
. Or, Ramon y Cajal l'enseigne, c'est à la riche
l- tats qui ont suivi l'intervention chirurgicale. Il s'agit d'un
homme
âgé de trente-cinq ans, cuisinier, qui, s'étant
ine chez les animaux les mêmes' accidents nerveux graves que chez l'
homme
. L'examen du système nerveux central des animau
mbreux et leur nombre progresse relativement plus vite que chez les
hommes
. D'après nos données de ces dernières douze année
, le rapport est de 2 à 1. Les rapports de cette. maladie, chez les
hommes
et chez les femmes, se trouvent soumis à toute
dans les différentes classes de la société parmi les femmes et les
hommes
est tout à fait opposée; chez les hommes, elle
té parmi les femmes et les hommes est tout à fait opposée; chez les
hommes
, elle a commencé par les classes éle- vées et n
puis peu dans les classes moyennes et les classes élevées; chez les
hommes
, la paralysie pro- gressive, d'aristocratique q
les femmes, c'est le contraire. Les causes sont les mêmes chez les
hommes
que chez les femmes, sociétés savantes. 447 ï
la paralysie progressive est plus lent chez les femmes que chez les
hommes
, par conséquent la durée de la maladie pour ell
'autre, ont leurs ouvertures, la pre- mière du côté du quartier des
hommes
, la seconde sur le quartier des femmes. L'éta
à l'huile, rouge foncé pour les soubassements, jusqu'à hauteur d'
homme
, et pour le surplus en ton blanc teinté. Les menu
herches expérimentales sur les lois des secousses sensitives chez l'
homme
; par M. Il. Bor- dier ; Note sur les procédés
F. Guyon; Contribution à l'étude des paralysies du trijumeau chez l'
homme
; par MM. E. Long et Max. Egger; Contribution à
e atteint un degré moins élevé chez la femme et l'enfant que chez l'
homme
(Jacob). Dans le domaine clinique, des observat
ue chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466 CLINIQUE NERVEUSE. l'
homme
(Beau, Delasianve, Statistiques de Bicêlre et de
s pas l'instabilité, soit dans les idées, soit dans le travail; cet
homme
a été calme, pondéré, travailleur non par excès
'. \\1VII. U,r cas d'amnésie; par le D'·' Bisiiop. Il s'agit d'un
homme
qui marchant, sur la grand'route, voit une vill
rande majorité des cas à trantformer un impotent, un infirme, en un
homme
valide et capable de gagner sa vie. M. EULGBUIi
parfait et même s'améliore dans certains cas. Ainsi tombent, chez l'
homme
du moins, les données physiologiques bien connu
. NOTE SUR LE rôle DES femmes comme infirmières dans LES salles d'
hommes
des infirmeries d'asile, par A.-R. TUR-,BULL. (Th
les suivants : 1° l'avantage que l'on trouve à disposer la salle d'
hommes
de l'in- firmerie de telle manière qu'elle puis
monstra- tion de la possibilité de diriger avec succès la salle des
hommes
dans l'infirmerie d'un asile sans autre assista
onnel féminin, ainsi que cela se passe d'ailleurs dans les salles d'
hommes
des hôpitaux civils ordinaires; - 3° enfin les av
- giste. Les surveillants et infirmiers sont au nombre de 100 (62
hommes
et 38 femmes). A propos de L'Open door; par le
- Ce rapport accompagné de plans prévoit un total de 632 malades (
hommes
et femmes). Pensionnats pour 152 pensionnaires de
dernière classe sont répartis en 14 quartiers, dont 2 de cellules (
hommes
et femmes) ce qui fait des sections de 35 malad
nnées une augmentation parallèle au nombre de cas d'alcoolisme; les
hommes
sont les plus frappés, mais dans la classe ouvriè
ser ni jour ni nuit. 11 y avait un gentilhomme au pays de Provence,
homme
de'bon âge, et assez riche, et de récréa- tion.
ché en un lit tout auprès; lequel s'éveilla à la venue du gentil-
homme
dont il lui fâcha fort,' car il était las et n'y
ous mène à tort et à travers, à l'endroit où il sentait mon gentil-
homme
, en disant : a Dia, dia, houois, hau, dia. » Il v
connaissaient, mais il leur conta ce qu'il lui était advenu. Jamais
homme
ne fut plus tenu à un autre, que le gentilhomme a
n dans des fermes d'Algérie ou de Tunisie. M. Joly, s'adressant aux
hommes
de coeur qui composent le Comité de défense, le
ions suivantes : il) La varia. 545 1 conception biologique de l'
homme
apporte à la médecine, et en parliculier à la p
athologie générale prenant en consi- dération tous les aspects d'un
homme
; 4° L'étude clinique de la psy- chiatrie est l
tif que nous ne pourrons contrôler avec ri- gueur aussi bien chez l'
homme
que sur l'animal, il semble au contraire que la
jet d'ex- périence, et il est hasardeux de conclure de l'animal à l'
homme
surtout si l'on parle d'adaptation fonctionnell
leurs, il sera toujours difficile d'obtenir et d'interpréter chez l'
homme
des lésions médullaires consécutives à des abla
éméiologie du système nerveux) la clinique n'a jamais montré chez l'
homme
un cas d'atrophie musculaire myélopathique à di
e long du corps; bref le myopathique donne encore la sensation d'un
homme
« chiffon ». Or tout autre est l'impression q
lâtresse née à Cerro-largo; à l'âge de 16 ans elle se maria avec un
homme
bien portant dont elle eut un fils qui vit enco
« liérement irritable et fantasque. Le malade de Targowla était un
homme
« dépourvu de toute propriété. II dit être le s
e la vessie et du rectum, as- sociés à l'impuissance virile (chez l'
homme
) et à une anesthésie limitée au pourtour de l'a
au pourtour de l'anus, au périnée, au scrotum et à la verge (chez l'
homme
), à la vulve et aux grandes lèvres (chez la fem
Voici quel était alors son état : D... avait les apparences d'un
homme
atteintd'unemaladie infectieuse grave. Son tein
larité est à souligner : la paralysie motrice, dont est atteint cet
homme
, intéresse exclusivement des muscles innervés par
co-uré- thrale, à celle du rectum, au scrotum et à la verge, chez l'
homme
, à la muqueuse du vagin et de la vulve, chez la
e du côté gauche. Le système pileux est peu développé chez ce jeune
homme
, il est vrai, mais l'aisselle droite n'est pas mo
ouvements divers du membre supérieur n'en ont pas été troublés. Cet
homme
nage, grimpe aux arbres et à la corde à noeuds av
émises sur ce point. Or, il est aisé de se rendre compte, chez cet
homme
, que les inter- costaux externes restent immobi
droite.La mise en réforme me semble s'imposer, étant donné que cet
homme
ne peut tirer au fusil de la main droite. On po
ssues marginales des Méduses jusqu'aux canaux semi-circulaires de l'
Homme
, qui ont pour fonction de définir les attitudes
instant l'infini de l'uni- vers responsable de nos petites idées d'
hommes
. C'est en psychologie que la superstition anthr
e chose de pesant, de chaud, qui a une forme définie et qui, chez l'
homme
, ne vit qu'aux environs de 38 degrés centigrade
la définir ? La question est-elle trop difficile à résoudre pour l'
homme
? Employons ce que, dans son récent article sur
structures organiques, ou des merveilleux réseaux résultant chez l'
homme
d'une longue évolution phyfogénique, le mécanisme
on embrasse d'un coup d'oeil tout l'appareil de la sensibilité chez l'
homme
, ce qui frappe tout d'abord, c'est moins la mul
plas- tide vaut pour la merveilleuse organisation capitalisée de l'
homme
; et pour admettre une théorie contraire à la th
géné- rale consécutifs aux lésions des hémisphères cérébraux chez l'
homme
(1), re- marque que dans les cas où l'hystérie
ns de l'espace et à localiser les objets dans le monde extérieur. L'
homme
les utilise en outre pour la formation de la noti
ectangulaires. En effet : . 1° Dans toute la série des vertébrés, l'
Homme
compris, on ne trouvera peut- être pas un seul
ui semble caractériser toute la série des êtres organisés et dont l'
Homme
seul, j'en juge par moi-même et (I) L'Espace id
les grandes migrations de cailles, d'hirondelles, de ren- nes, et d'
hommes
, tout cela ne s'explique pas autrement que par l'
émiologie du système nerveux), la clinique n'a jamais montré chez l'
homme
un cas d'a- trophie musculaire myélopathique à
imentale et ceux obtenus dernièrement chez 184 CESTAN ET HUET ' l'
homme
par Parhon. Elle n'empêche pas, en effet, d'admet
de Galien sur la matière, je noterai qu'à la fin du XIIe siècle un
homme
fort remarquable pour l'épo- (1) Article extrai
qu'on pourra faire il sa fille, et se on luy peutayder... ». Notre
homme
part donc avec son urinai chez le médecin. C'est
du cerveau mis à découvert sur une tète humaine. Derrière elle, un
homme
s'approche qui semble lui demander de l'instrui
roche qui semble lui demander de l'instruire. En face, à droite, un
homme
assis écrit sur un grand livre. Le second pla
émie des sciences, Nicolas Lémery,écrivait en 1759 : « L'urine de l'
homme
,-nouvellement rendue, purge et est bonne pour la
connaître a l'aspect d'une fiole d'urine, si on le consulte pour un
homme
ou une femme, un enfant ou un vieillard. Comme
sablier, des monceaux de livres, un écritoire et des plumes. Notre
homme
est un savant, il lit et il écrit. Assis près d
is nous n'avons pas d'inquiétudes à avoir. Les affaires de l'habile
homme
sont prospères, sa mise recherchée nous en répond
e soyons point trop surpris de celle tenue un peu cavalière pour un
homme
de laboratoire. Il ne faut' rien négliger pour
RD Dow, du musée de Vienne, est moins sévère. C'est un jeune et bel
homme
qui s'avance près d'une large fenêtre pour cont
atrice, qui met en larmes la pauvrette ici présente et en fureur un
homme
assis de l'autre côté de la table, dont le poing
euse, elle appelle la justice des juges sur la tête d'un malheureux
homme
qu'elle tientpar le collet de sa chemise et qui,
d'un traumatisme. Ons. I. Tumeur GLIOMATEUSE. Apparition, chez un
homme
de 53 ans, de céphalée, hémiparésie droite, léger
OBS. III. Gliomatose DIFFUSE Après un traumatisme du crâne chez un
homme
de 19 ans, apparition ra- pide de paralysie ocu
ait du nom de l'alcatlaisie ou impossibilité de s'asseoir. Voici un
homme
qui réalise très bien le synclromedeVl. IIasl;o-
et qui nous permet de discuter l'interprétation de cet auteur. Cet
homme
de 42,ans, Rui..., vient d'être assis sur sa chai
ladive et nous l'amène. Vous voyez maintenant l'analogie avec notre
homme
, il s'agit dans les deux cas d'une aboulie prof
un objet précis, il y a simplement phobie du métier. Chez ce pauvre
homme
, l'angoisse commence tout de suite, s'asseoir ave
s psychasthéniques. Pouvons-nous faire quelque chose pour ce pauvre
homme
? En général le traitement de ces malades n'esl
e volonté active. Mais ici les choses sont plus simples : ce pauvre
homme
est débilité par la mi- sère. Il est probable q
cale, 26 novembre 1892, no 59. , (8) L. Blanc, Les anomalies chez l'
homme
et les mammifères, Paris, 1893. (9) Chapot-Prév
res, les reliefs osseux sont extrêmement développés. D'ailleurs cet
homme
dit avoir été toujours très maigre. même auparava
ouchements. Il ne semble point avoir eu d'in- version sexuelle, les
hommes
le laissent parfaitement indifférent, et il prote
les circonstances habituelles de la vie, il s'est comporté comme un
homme
exerçant la profession d'aide-maçon, portant des
chique même, son intelligence est éveillee au- tant que celle d'un
homme
de sa condition ; sa mémoire est bonne. Cependant
montre énergique, volontaire, travailleur; il se comporte comme un
homme
pendant toute UN CAS D'EUNUCHISME FAMILIAL 277
propagée au tapetum de l'hémisphère droit. Adolphe Rap.... est un
homme
de 57 ans, de moyenne corpulence, à tête chauve
sensoriels ont dominé tout le tableau clinique. Il s'agissait d'un
homme
âgé de 41 ans, à intelligence relativement peu
n train de souffrir à Bicêtre. Je le jure devant Dieu et devant les
hommes
. 340 SÉGLAS A Dieu l'on a tué le sein Badin,
it qu'un sein et était Vérolé. Je le jure devant Dieu et devant les
hommes
. A Dieu l'on a tué les zouaves de toutes les so
existence d'exostoses multi- ples développées sur le squelette de l'
homme
ont été publiées dans ces dernières années. Dan
trique, sur les os des membres, les côtes, etc. Leur second malade,
homme
de 28 ans, ayant des antécédents hérédi- (1) AU
(ampu- talions spontanées des doigts, tfiermo-anestlcésie) chez un
homme
de trente et un ans, hystérique et tuberculeux.
n résumé, le malade, qui fait le sujet de cette observation, est un
homme
âgé de trente et un ans, porteur d'exostoses mult
les troubles trophiques divers que détermine, dans l'organisme de l'
homme
, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les tro
s leçons d'étiquette auprès d un vieux noble Kira Kotské- no-ské,
homme
intéressé et arrogant qui, ne recevant pas du j
ans une telle existence d'ivrogne et de débauché que le dernier des
hommes
ne l'eût pas rencontré sans le couvrir de mépri
voisins réveillés s'inquiétaient de voir dans le quartier tous ces
hommes
d'armes, ils pri- rent soin de les rassurer ave
s trouvent caché dans une armoire. Cependant, Oïshi, entouré de ses
hommes
, s'agenouille devant le vieillard, avec le resp
les Chinois ont pour la mort cette espèce d'ignorance que tous les
hommes
et les autres animaux supérieurs possèdent à l'au
fin. ' Ajoutons que le harakiri est infiniment plus fréquent chez l'
homme
. La femme se pend ou se noie. Le harakiri qui e
rin. LA PSYCHIATRIE DANS LE THÉÂTRE JAPONAIS 369 l'an dernier ces
hommes
m'ont enlevée, avec le trésor de mon père, je vou
et aida le jeune héros à mettre en fuite ses derniers adversaires. L'
homme
qui venait de secourir Gompatchi n'était autre
et périt ainsi 370 GEYER comme un mar.tyr, afin de prouver qu'un
homme
du peuple pouvait être plus brave qu'un chevali
au courant de son histoire. « Je ne suis, dit Tchôbé, qu'un pauvre
homme
du vulgaire ; veuillez m'excuser de vous faire
cu- rer de l'argent ; et chaque fois qu'il en manquait, il tuait un
homme
; (1) Mot à mot « Petite Violette ». LA PSYCHI
t fermée, s'y jeta à genoux, pria longtemps, toute en larmes, sur l'
homme
qu'elle avait tant aimé et à qui elle pardonnait
orté le schéma. « Le fermier Tanaka a envoyé aux champs deux de ses
hommes
, avec des crécelles, pour écarter les oiseaux e
diaire de la Corée, l'influence de l'admirable philosophie de trois
hommes
supérieurs, sages entre les sages : Lao-Tse, Ko
r. . 1 En 1900, M. Babinski présente à la Société deNeurologie un
homme
de 37 ans atteint de torticolis spasmodique, ay
soeurs atteintes de paraplégie spasmo- dique familiale, et chez un
homme
présentant la même affection. « Il nous a paru
isposition segmentaire de la dégénérescence a été rencontrée chez l'
homme
dans l'a- trophie musculaire protopathique, dan
t l'hyperhémie peut tenir à ce que si chez les animaux comme chez l'
homme
, l'écorce cérébrale est sensible aux irritants mé
aires. Ce qu'on ne peut obtenir d'un animal, on peut l'obtenir de l'
homme
. - On peut peser la capacité de travail volonta
antispasmodiques (3) et l'ergographie permet de la démontrer chez l'
homme
. Cette action excitante, on la retrouve d'aille
mortier quel- que substance médicamenteuse. Derrière le médecin un
homme
âgé, à cheveux et à barbe blancs, la figure con
ble- ment chez le malade qu'on vient d'installer devant vous. Cet
homme
, un nommé R..., est âgé de 38 ans. Il exerce la p
ns. Le réflexe crémastérien est conservé. Résumé. - Donc, chez un
homme
de 38 ans, alcoolique avéré, mais sans tare neu
vous ne doutez pas, je suppose, que nous n'ayons affaire, chez cet
homme
, à une affection de pareil siège. Nous sommes d
iculaire de la lésion responsable des accidents pré- sentés par cet
homme
. On conçoit difficilement une lésion nucléaire, u
R..., c'est cetle affection qui est en cause. Rappelez-vous que cet
homme
est un alcoolique avéré. Or l'alcoolisme figure a
onvaincre que, selon toutes les probabilités, il n'en est rien. Cet
homme
, un nommé Jean B..., est âgé de 28 ans. Il est ma
ction et la terminaison des fibres olivo-ciliaires. En résumé, un
homme
de 50 ans, syphilitique depuis l'âge de 30 ans,
plus nette est celle de Hun (N.-Y. llled. J., 1897),qui concerne un
homme
atteint d'analgésie et d'anesthésie à la tempér
ent à mesure que l'on monte dans l'échelle animale pour arriver à l'
homme
qui a les olives plus perfectionnées qu'aucun a
es, par la méthode Golgi-Cajal, concer- nant la moelle épinière des
hommes
adultes, nous avons pu constater une ressemblan
nt les prolongements pro- toplasmiques des cellules motrices chez l'
homme
adulte avec les dendrites correspondantes chez
s chez un enfant nouveau-né, nous avons eu l'impression que, chez l'
homme
adulte, ils sont : 1° plus gros ; 2° peut-être, e
oire. L'observation que nous rapportons est l'étude biologique d'un
homme
de grande taille, mesurant actuellement 2 m. 04
, très grossièrement approximatifs, il est vrai, ou voit que chez l'
homme
normal, en dehors des différences de races et d
te- let (2), on arrive à un résultat à peu près identique : chez un
homme
de 30 ans, pour une taille de 1 m. 686, la haut
686, la hauteur du grand trochanter est de 0 m. 876 ; donc, chez un
homme
du même âge qui garderait un développement t pr
difficultés et la variabilité de la stature, déjà manifestes chez l'
homme
normal, se trouvent multipliées chez les géants
tout particulièrement inté- ressantes : 1° La persistance chez un
homme
de 30 ans des cartilages de conj1/gai- son ;
cette femme, citée par B. Mosler (4), qui, mariée à 10 ans avec un
homme
qui la dépassait d'une tête, semit à grandir déme
habituelle de l'accroissement en longueur du corps, qui est, chez l'
homme
, comprise entre 18 et 25 ans, ne peuvent s'expliq
ons (voir plus loin le résumé de son observation). Il s'agit d'un
homme
, mort à 37 ans, et qui, de taille normale jusqu'à
nt se supprime entièrement; tandis que chez 60 pour 100 environ des
hommes
l'appétit sexuel, subissant dans un petit nombre
eption, chez la femme, ou de la période d'activité génitale, chez l'
homme
, on le regarde maintenant comme un effet et un
Le géant examiné par Henry Meige (5) dans le service de M. Gilbert,
homme
de 39 ans, mesurant 1 m. 96, déclare n'avoir aucu
érale et pa7-licitliè ? 'e des anomalies s de l'organisation chez l'
homme
et chez les animaux, elc., ou Traité de tératolog
atteint d'aucune maladie ; et à 17 ans il était développé comme un
homme
de 20 ans. A cette époque il se livra à des exc
à notre clini- que. Etat actuel (24 mai 1894). Simon Botis est un
homme
de taille gigan- tesque : il mesure 1 m. 98 et
e normalement. Bon appétit, un peu plus considérable que celui d'un
homme
normal. Pas de soif exagérée. Urine normale,
Les organes génitaux externes ne sont pas plus grands que ceux d'un
homme
normalement développé. Longueur du pénis : 10 c
ment des membres .postérieurs chez le lapin f5). , . , Enfin chez l'
homme
, l'eunuque, castré avant la puberté, se fait rema
LXVIII) (5). Voici la mensuration exacte des os des membres de cet
homme
prise au la- boratoire de médecine légale de la
de formes à volonté; tantôt animaux domestiques ou sauvages, tantôt
hommes
ou femmes, ils imitent la voix des personnes ou
prennent la voix d'un parent, d'un ami, et. si, au premier appel, l'
homme
ou la femme demande ce qu'on lui veut, il s'en
une foule de bas-reliefs ou de vases antiques. Ce sont toujours des
hommes
admirablement musclés et proportionnés, mais ne
figurer les géants autrement qu'en amplifiant les proportions de l'
homme
, et toujours de façon harmonieuse. - . (1) Vo
d'une étude d'après nature. Il est représenté sous les traits d'un
homme
très grand, musclé en hercule, souvent barbu, ave
n'ont rien de spécial aux personnalités de son espèce ». C'est un
homme
dodu, dont les proportions ne semblent colossales
Syrie. La légende raconte qu'il décida de se mettre au service de l'
homme
le plus puissant qu'il rencontrerait Son premie
fait en disant que saint Cristophe était du pays des Cynocéphales (
hommes
à tête de chien). C'est une hypothèse. En voici
e avec un tête de chien, ce n'est pas parce qu'il était du pays des
hommes
velus et hirsutes, mais bien parce qu'étant acr
prévalu longtemps. De bonne heure, le saint est représenté comme un
homme
gigantesque traversant une rivière dont l'eau a
sentent saint Christophe imberbe.Les Allemands sous les traits d'un
homme
fort barbu. Tantôt il regarde son jeune fardeau e
s-nous, réussir 't2 THÉRAPEUTIQUE. du premier coup. Sans doute un
homme
versé dans l'hypno- logié pratique et habitué d
écédente est un dégénéré de la famille des débiles arrivé à l'âge d'
homme
sans que l'inconti- nence ait disparu. Il est t
e, il nous déclare avoir entendu, pendant la nuit précédente, des
hommes
creuser la fosse à lui destinée. L'anxiété est de
anche de sa chemise, aussitôt il se plaint vive- ment de ce que cet
homme
s'est déchiré pour faire croire qu'il avait été
clinique. (Nouv. Iconographie de la Salptïrière, 1895, n° 5.) Un
homme
âgé de trente-cinq ans, maçon, indemne de tare ne
quarante individus âgés de vingt à quarante ans, choisis parmi des
hommes
bien constitués, des modèles d'atelier pour la
par M. VEUILLOT. (Noitu. Iconog. de la Salpêtrière. 1895, n° 5.)
Homme
de vingt ans, père inconnu, mère hystérique. Comm
LE MAL DE POTT sous-occipital; par le Dr P. Marie. Il s'agit d'un
homme
atteint de mal de Pott sous-occipital dès l'enf
la femme, l'éveil du besoin sexuel à demi ou non satisfait; chez l'
homme
les pratiques tendant à l'accomplissement incom
le oblitérante du vasa nervorum : autopsie, figures. Il s'agit d'un
homme
de soixante-neuf ans, tout à fait bien portant,
lle (obs. III) ; là, c'est une névrite indéniable survenant chez un
homme
vigoureux et bien portant qui n'a eu jusqu'alor
cet organe. L'auteur a traité seize malades (onze femmes et cinq
hommes
), par la méthode de Flechsiu. Tous ces sujets a
ses de bromure. Les résultats n'ont pas été aussi favorables chez l'
homme
que chez la femme. La médication de Flechsig a
Traumatisme cranien et artériosclérose des vaisseaux du cerveau. Un
homme
de cinquante-six ans, un an après avoir subi un
la prison d'Eberbach (arrondissement de Wiesbaden) qui renferme 200
hommes
et une vingtaine de femmes, parmi lesquels de n
sourds-muets en France, est de 350 en moyenne, par année, pour les
hommes
âgés de vingt ans. Pour les aveugles, le chiffr
i se fait ou se peut faire pour relever les anormaux à la dignité d'
hommes
, les rendre capables de subvenir à leur subsist
rI1lei[jel', V, 1891. l. 3 Gehuchten (van). Le système nerveux de l'
homme
. * Tooth. Lectures of seciindary clegeneraliou
n 1894 84 ANATOMIE. giques, même difficulté pour savoir si chez l'
homme
adulte ces fibres radiculaires descendantes exi
e und Reiickenm, 181G. 19. Gehuchlen (van). Le système nerveux de l'
homme
. 20. Gombaull et Philippe. Archives de médecine
Observation. Victor S..., concierge, quarante-deux ans, était un
homme
de belle stature et de la plus robuste apparence,
ort que moi, il faut que je le fasse. » Etat actuel de Roberto. -
Homme
robuste et bien constitué. Les auteurs donnent
t voilà que tout à coup se transforme la personnalité morale de cet
homme
, jusqu'alors doux et affectueux. Il est main- t
se traus- forme, ses traits se détendent, sa mimique est celle d'un
homme
en extase devant un spectacle qui. le charme, i
omber sur son lit. Alors nouveau changement, il prend l'aspect d'un
homme
terrifié par l'épouvante, il se débat et cherch
nservation, lequel est la base de la vie psychique, aussi bien de l'
homme
individuel que de l'agglomération humaine. Dans l
caresser celte espérance de bonheur qui réside au coeur de tous les
hommes
, à ce besoin aussi de se réconforter en commun
e parfois d'une cruauté extrême que leur foi profonde inspirait aux
hommes
du moyen âge. L'intervention de la science aura
effet, qu'elles avaient l'idée pré- cise des besoins naturels de l'
homme
ainsi que de son activité créa- trice. Elles on
e enfin, a fait voir que selon elle, la vraie gloire était pour les
hommes
qui se consacrent à la recherche et à la défense
i se consacrent à la recherche et à la défense du bien général. Ces
hommes
sont, en effet, les vrais saints des temps mode
une trentaine de milles de Londres, contient 640 malades soit ],81
hommes
et 124 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 femmes.
a Prison générale. Le nombre des malades n'y est que de 55, soit 40
hommes
et 15 femmes. ' Alors que les épileptiques et l
maladies des yeux, trouve 5 cas pour 100 d'achromatopsie chez les
hommes
et 2 pour 100 chez les femmes, l'auteur sur 400 m
00 malades examinés, n'a rencontré de l'achromatopsie que chez deux
hommes
et une femme, et encore ces trois cas étaient i
rnant l'existence des aliénés. Ce bureau devrait être dirigé par un
homme
cornpétant. Les asiles publics doivent, eux aussi
ANS LE TABES DORSALIS. 165 avec une régularité aussi parfaite que l'
homme
bien portant. Au début le, malade surveillera a
aire particuliè- rement engagés dans l'acte de coordination. Chez l'
homme
bien portant en vertu du principe du partage du
même mécanisme, par lequel la sen- sibilité se perfectionne chez l'
homme
bien portant, comme nous l'avons exposé plus ha
mme bien portant, comme nous l'avons exposé plus haut. Comme chez l'
homme
bien portant, le cerveau du tabétique arrive à
nance du tabes du côté gauche du corps par ce fait, que même chez l'
homme
bien por- tant, excepté les gauchers, le côté g
ès DORSALIS. 177 absolue de se tenir debout, même soutenue par deux
hommes
. Grâce aux exercices nous sommes arrivés à fair
sûre. Quand on le voyait marcher, on ne se serait pas douté que cet
homme
était atteint de tabes dorsalis. Il a appris
apprécier le séjour tout particulièrement. Etat actuel. C'est un
homme
de forte taille, bien musclé, brun, à traits pl
e. contre le mal le plus ter- 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. rible dont l'
homme
puisse être atteint, parce qu'il est le signe de
urs et des médecins. Aussi sommes-nous toujours heureux de voir les
hommes
, que leurs hautes fonctions appellent à prendre
pathologique des hallucinations de l'ouïe.' M. le Dr Séglas. - « Un
homme
, dit Esquirol, qui a la convic- tion entière d'
le nom d'hallu- cination d'origine périphérique ou sensorielle. Un
homme
est atteint d'une perforation des deux tympans,
ucinations motrices, le malade n'entend pas ou ne voit pas comme un
homme
normal; il voit seulement menta- lement, il n'e
suite d'une grande vision pendant laquelle un ange, grand comme un
homme
, en robe blanche, une belle figure, lui apparaî
itants du Nord. En Belgique, en particulier, il y a beaucoup plus d'
hommes
qui tremblent que de femmes, parce que les femm
nt que de femmes, parce que les femmes sont peu émotives et que les
hommes
sont souvent des alcoolisés. Ce qui démontre en
ftst-hémiptégiques cèdent souvent aussi à la suggestion. J'ai vu un
homme
atteint d'hémiplégie avec un trem- blement à ty
uelconque ; ils y sont entrés par l'effet seul de leur volonté ; un
homme
, ancien aliéné se promenant dans Londres, se se
enus aliéné*, il faut des quartiers spéciaux. Il en existe pour les
hommes
à Gaillon; il n'y en a pas, croyons- nous, pour
aciale d'origine capsulaire. M. Etienne présente l'observation d'un
homme
atteint d'une monoplégie faciale avec déviation
ant réservé aux criminels), deux bâtiments séparés pouvant loger 25
hommes
et 25 femmes, choisis parmi les malades offrant
cteurs. Substitution d'infirmières aux infirmiers dans les salles d'
hommes
. Après des essais favorables dans les réfectoir
siles d'aliénés. 45. Emploie-t-on des infirmières dans les salles d'
hommes
; si oui, dans quelle proportion ? 46. Yaurait
vous, à substituer des infirmières aux infirmiers pour les salles d'
hommes
et jusqu'à quel point pour- rait-on faire cette
de pensionnaires payants. Le reste travaille volontaire- ment (126
hommes
et 131 femmes sur un millier de malades). Dans
en pour 7 à 10 malades. La nuit, il y a un surveillant pour 40 à 80
hommes
et une surveillante pour environ le même nombre
rapports sont favorables à l'emploi des femmes dans les quartiers d'
hommes
, sauf pour les agités et pour les travaux trop
nous paraît pas bien intéressant; la moyenne générale suffit. Les
hommes
touchent de 100 à 180 francs par mois. Les femm
s de loisir et les congés sont assez larges. 48. Les salaires des
hommes
et des^ femmes n'étant pas uni- formes, le rapp
t, en général, les femmes touchent environ 70 p. 100 du salaire des
hommes
. 49. Les démissions sont assez fréquentes, par
s des salles, et quelquefois dans des bâtiments à part (un pour les
hommes
, un pour les femmes). z88 ASILES d'aliénés. S
in diversion pour les ma- lades. 56. Réfectoires séparés pour les
hommes
et les femmes, en géné- ral. Quelquefois les re
urs à l'administration des bains; mais il y a des chefs compétents (
hommes
et femmes). 60. Presque partout il y a des serv
s accidents hystériques. On n'en a pas rencontré un seul cas chez l'
homme
. C'est une affection peu connue, surtout des ch
(Nouv. Iconog. de la Salpêl1'iè¡'e, 1895, lie 2.) OBSERVATION. -
Homme
de trente-quatre ans, sans antécédents hérédita
om- plaît l'hystérie : Observation. - Atrophie musculaire chez un
homme
de qua- rante-quatre ans avec déformation. Débu
s, anatomiques et physiologiques surlamoelleépinière. OBSERVATION -
Homme
, quarante-cinq ans, antécédents hérédi- taires
ertrophique : Leçon clinique du professeur de Renzi. Observation.
Homme
, trente-huit ans, malade depuis sept ans. Rien
mation corporelle. L'infantilisme existe chez la femme comme chez l'
homme
. Suit l'observation intéressante d'une femme de
res années. La population de l'asile est de 1,708 malades, dont 801
hommes
et 827 femmes. Dans ce nombre figurent 16 enfan
150 goi- treux. Il parait qu'il n'y ena plus que23 (17 femmes et 6
hommes
). L'asile renferme 229 aliénés de la Seine (119
femmes et 6 hommes). L'asile renferme 229 aliénés de la Seine (119
hommes
et 110 femmes). Le personnel de l'asile se comp
nce, affranchie et délivrée, signait la Déclaration des Droits de l'
homme
, l'inalié- nable patrimoine de nos libertés pub
gents étaient réunis au rond- point du boulevard Victor-Hugo, notre
homme
s'embusquaitderrière un kiosque de journaux, et
es. On ne pouvait pas la faire tenir debout, même soutenue par deux
hommes
à l'aide de la ceinture de Frenkel. La malade é
uscles. C'est au prix d'efforts énormes, vraiment étonnants pour un
homme
de cet âge, qu'il est peu il. peu parvenu à exé
rcourir 300 mètres. Etat actuel (le20 mai 1895). - Le malade est un
homme
robuste, bien musclé, avec un embonpoint très p
suffisantes. Toutefois l'enquête a appris que dans le quartier des
hommes
, on avait parfois baigné plusieurs malades dans
lissement pouvant contenir 375 pensionnaires a eu, dans l'année, 12
hommes
et 2 femmes ine- brialcs, devenus fous, dont 9
rôle. En général on n'emploie pas de femmes dans les quartiers d'
hommes
; cependant, dans un établissement, il y a une soe
Les salaires des employés varient beaucoup suivant les maisons. Les
hommes
reçoivent depuis 70 francs jusqu'à 150 francs par
18 établissements a reçu, dans l'année, 70 malades volontaires, 43
hommes
, 27 femmes. Cinquième partie. Documents stati
heure du jour ou de la nuit elle sort tout à coup pour ramener un
homme
qui lui pratique l'onanisme après le coït. Elle
nal of insanity. Avril 1890.) E. B. XX. Inversion sexuelle CHEZ l'
homme
; par le Dr Havelock ÉLUS. Lorsque l'instinct se
sque les jeunes gens quittent la pension, ils se trouvent mêlés aux
hommes
et aux femmes, et leur instinct sexuel se dirig
l'exposé de cette théo- rie : chez les imbéciles qui confinent à l'
homme
normal, le moi inconscient prédomine et il n'es
Ce dernier auteur estime que : in dans la vie criminelle, chez l'
homme
et chez les animaux, il n'y a qu'une différence d
basée sur deux observations identiques. Il a observé et soigné deux
hommes
qui présentaient, d'une façon remarquable, la man
n remarquable, la manifesta- tion épileptique en question. Ces deux
hommes
étaient très intelligents mais excitables et tr
'heure actuelle, les statistiques de M. Magnan montrent que sur 100
hommes
admis dans les asiles, plus de 35 y sont poussés
é aux aliénés, et ce sera sage. 400 BIBLIOGRAPHIE. diaire entre l'
homme
et le cosmos invisible, qui enregistre les com-
t grec, ou mal sacré, parce qu'elle affecte les parties nobles de l'
homme
, comme la tête et l'esprit, et que nous nommons
fice du soir : « J'ai «vu entrer par cette petite porte un horrible
homme
noir, aux « yeux flamboyants, le feu lui sortai
d signe de croix. Il me dit quand elle fut passée : a J'ai vu trois
hommes
c armés de lances d'un feu qui sentait le soufr
affir- mait que, dans une grande ferme de cette commune, un jeune
homme
, qui était revenu du régiment l'esprit oblitéré,
que la législature du Connecticut a voté une loi interdisant à tout
homme
ou femme épileptique, imbécile ou faible d'espr
très honorable charretier, a été cité devant le tribunal. Ce brave
homme
refuse absolumen t de reprendre le mauvais garn
titieuses, qui régnaient alors sans contrôle, il se rencontrait des
hommes
sérieux et véritablement instruits qui croyaien
ées fixes, les hallucinations sont partout, toujours, chez tous les
hommes
, petits et grands, savants et ignorants, le mêm
rêve éternel de l'orgueil, ou de l'amour qui aspirent à faire de l'
homme
un Dieu 1. Esquirol avait dit de même : « Le mala
énés. Malgré les sentiments depitiéet de solidarité qui animent les
hommes
de cette époque, on constate encore une cer- ta
ment la conséquence d'une auto-intoxication stomacale. Observation.
Homme
, quarante-trois ans, bien portant autrefois et
modernes sur les toxines qui se forment dans le tube digestif de l'
homme
et des animaux, principalement quand les foncti
ZI, professeur de clinique à l'Université de Naples. Observation.
Homme
, trente-cinq ans, en traitement à la clinique,
air ». Voici quelques exemples : 1° S..., cinquante ans, cuisinier,
homme
robuste et d'une excel- lente santé, exempt de
ment de résidence s'observe aussi bien chez les femmes que chez les
hommes
; on ne sait pas, pour le moment, si elle peut
DECINE LÉGALE. criminalistes, au lieu d'y placer des ignorants, des
hommes
qui ne connaissent ni la médecine, ni la psycho
es, toujours d'après l'auteur, n'ont pas encore été décrites chez l'
homme
, cette disposition a seulement été notée chez l
éférable est de deux à trois heures. L'enseignement en com- mun des
hommes
et des femmes ne lui parait pas dangereux. Dans s
Dans son asile les infirmières sont employées dans la division des
hommes
. A son arrivée à Konigsberg, tout le personnel
ntenant, un certain nombre de femmes employées dans les quartiers d'
hommes
. Uamerow s'est élevé contre l'emploi des religi
asiles en géné- ral, et plus particulièrement dans les quartiers d'
hommes
; il insiste sur l'absence de force physique qu
me temps Archives, 2° série, t. II. 32 498 faits divers par les
hommes
et par les femmes. Signalons en passant l'em- p
ciété d'éditions scientifiques. VLHKFT. Rupporl sur la division des
hommes
de l'Asile de l1l{ll'eville pour Vannée 1895.
par les <lisulfones, par Lohn. 76. l',VERSION sexuelle chez l'
homme
. par Ellis, 3S2. Luette. Déformation de la- c
'hôpital de Mustapha, salle Trousseau, le 23 janvier 1898. C'est un
homme
de grande taille et de vigoureuse constitution
s hallucinations visuelles et prend les arbres pour des pyramides d'
hommes
. Il s'éteint douce- ment le 12 février, vingt j
GLO- RIEUX. (jours. de Neurologie, 1901, n° 13.) . Il s'agit d'un
homme
de quarante-cinq ans qui, un mois environ après
) . Affection survenue assez rapidement sans cause connue chez un
homme
à antécédents névropathiques héréditaires. Les tr
ion, l'auteur rap- porte trois observations relatives à des malades
hommes
de'qua- rante-quatre, cinquante-deux et trente-
11 note aussi l'apparition de la maladie dans le sexe féminin (4
hommes
, pour-1 femme) tandis que depuis quarante ans, le
ue depuis quarante ans, les auteurs la déclaraient particulière aux
hommes
et son.apparition récente chez les enfants, alo
par H. GUDDEN. (Neurolog. Ccnlralbl., XIX, iJ00.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-un ans, qui, depuis plusieurs anné
s cause occasionnelle, elle ne serait qu'apparente en l'espèce. Cet
homme
devait avoir des vaisseaux délicats : épistaxis
ômes de l'empoi- sonnement on mettra, avant l'arrivée du médecin, l'
homme
dans un bain chaud, on lui fera respirer de l'a
M. BERNHARDT. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900). Observation d'un
homme
vigoureux, de 38 ans, tout à fait bien portant,
'. BSCIITEItEW. (Oboz1'énié psychialrii, V. 1900.) Observation d'un
homme
éprouvant depuis une attaque de con- gestion cé
l'existence de la folie, mais par son degré. Des juges ont dit : un
homme
qui a la notion du bien et du mal a aussi le po
nsabilité. Un jugement de 1877 marque un progrès dans ce sens. « Un
homme
est responsable à moins que sa folie le prive d
oit apte à juger un caractère, et proclame l'égalité entre tous les
hommes
sans s'occuper des nuances. De même en justice
us criminels surtout qu'on aurait besoin de limites précises. Or un
homme
est dit fou : quand il ne sait pas ce qu'il fait,
que l'auteur définit « la science de la nature et des facteurs de l'
homme
délinquant », étudie les carac- tères tératolog
autopsie. . Ilill. KL1PPEL ET JARVIS rapportent l'observation d'un
homme
de soixante-dix sept ans ayant présenté une hém
insi l'impossibi- lité de rester assis, il rapporte les cas de deux
hommes
qui, dans la situation assise étaient agités de
. , M. Henry LEeESLE. Robert d'Arbrissel, fondateur de l'abbaye d'
hommes
et de femmes de Fontevrault partageait le lit des
ou indirectement par diminution des ressources des familles de ces
hommes
qui sont absents pour service ». Assurément,
t, ou bien chez des femmes manifestement névrosées ou bien chez des
hommes
soumis à de grands ébranlements traumatiques. L
.tout à fait différentes. Les malades de ce groupe étaient tous des
hommes
vigoureux, exerçant des professions manuelles p
x, haut en couleurs, les épaules larges; il donne l'impression d'un
homme
remarquablement musclé.' Son bras droit, pour l
ous avons voulu appeler l'attention. Tous nos malades étaient des
hommes
vigoureux, bien musclés, dans la force de l'âge,
ait sans modification. La portion dorsale se raccourcit plus chez l'
homme
vivant que chez le cadavre ; en ce qui concerne
c laquelle elles sont faites, il est difficile d'en conclure pour l'
homme
vivant. L'extension de la colonne vertébrale d'
et donne assurément des résultats différents de ceux que donne un
homme
vivant, possédant tous les éléments de la vie phy
lé à soigner ces affections. Elle doit être guidée et faite par l'
homme
de l'art médical et non par l'empirique. Surveill
véritables myomes. Il s'agissait de vieillards. Voici maintenant un
homme
de quarante-cinq ans atteint d'une affection de
dique d'origine cen- trale. Résumons-les. Observation ! . l. - Un
homme
de quarante-deux ans, bien portant, sans lare h
cause appréciable; aucune maladie nerveuse. Observation IV. -Jeuné
homme
de vingt-cinq ans, de famille né- vropathique,
RD et Riche. (Nouv. Iconogr. de la Salpétrière, no 1, 1901.) · Un
homme
de soixante-neuf ans est apporté il l'hôpital dan
nté en janvier 1901 et mort récemment. A la suite d'une émotion cet
homme
avait eu une hémiplégie avec diplopie (hémiplég
de la bonne constitution du terrain. Je vois actuellement bien des
hommes
continuer malgré leur tabès à se livrer à des pro
quoi qu'on fasse et qu'il y a des tabès bénins quoi qu'on fasse. Un
homme
mort d'un sar- come et qui n'avait que des sign
ns c'est qu'ils le sont. - Plaie du cerveau. M. DuvAL présente un
homme
qui subit une plaie du cerveau par coup de feu
est analogue au processus du rein ou du foie. M. L4MY présente un
homme
de soixante quinze ans atteintd'un l1'emùlement
de cette lésion. M. Iinsnovrr (de Prague) envoie l'observation d'un
homme
qui présentait des mouvements associés des bras
e directeur des asiles qui devraient toujours être occupées par les
hommes
les plus compé- tents, c'est-à-dire des médecin
réalité de six mois avant, ayant ' Lavater. L'arl de connaître les
hommes
par la physionomie, 1820, t. IV, art. 3, p. 503
ements d'expression, 1865. Darwin. L'expression des émotions chez l'
homme
et chez les ani- maux. (Trad. l'ozzi et Benoit,
que ma philosophie ne varie pas, que mes opinions sur la vie et les
hommes
soient les mêmes, je prends un certain plaisir
Je la dédaigne assez pour n'être pas troublé comme par l'abord d'un
homme
supérieur. Et pour- '192 ' CLINIQUE NERVEUSE.
ésistance, de me donner du « ressort ». J'ai exagéré mon mépris des
hommes
, pour rester calme devant eux. Tous ces moyens
cinq dernières années, il n'en a relevé que 12 cas, dont 9 chez des
hommes
et 3 chez des femmes. Pour expliquer cette rare
euvent guérir, l'asile devient ainsi le « home * pour lequel chaque
homme
a un amour naturel dont il faut tenir compte et
premiers jours, pour une paralysie géné- rale. Mais il s'agit d'un
homme
de soixante-cinq ans, chez qui le délire des gr
une chanteuse spiri- tuelle, qui dansait agréablement en costume d'
homme
. Dans les premiers temps il usa d'elle comme d'
qu'un malade. Cet infirme peut, dans beaucoup de cas, redevenir un
homme
à peu près normal. Parmi les thérapeutiques usu
elle, et s'est tuée de trois coups de revolver dans le coeur (Bon-
homme
Normand, du 6 au 12 sept. 1901). Le sieur Alexa
au pyramidal, technique du cathé- térisme de 1'1l1'ètl ! 1'e chez l'
homme
. ."V Suicide D'UNE adolescente. Dans la ajour
raphique. dans la cour de la prison. Il ne fallut pas moins de huit
hommes
pour maîtriser le-forcené qui retomba dans son
expérience de plaisir ou de douleur, resterait fondamentale. Chez l'
homme
adulte, la connaissance et l'expérience jouent
question de savoir « pour- quoi les arbres sont verts, pourquoi les
hommes
ne sont pas grands comme des maisons. » Où trou
et qui désirait vivement avoir mon avis comme méde- cin. C'était un
homme
blond, svelte, bien constitué, à la physio- nom
uisais en moi seul. Cette pensée jointe à un regard particulier des
hommes
suffisait à me faire monter le sang aux joues e
l'angoisse m'envahis- sait ! Si je voyais même de loin un groupe d'
hommes
près duquel je devais passer, alors je ne savai
tante que la réalité, car il m'était encore possible de parler aux
hommes
, ce dont j'étais incapable dans ma représentation
ôt en présence d'un petit groupe, puis enfin, la présence d'un seul
homme
, voire même de mon meilleur ami était pour moi
un cercle de famille où je pourrais m'habituer plus facilement aux
hommes
et où je perdrais l'habi- tude de rougir. Je me
, il m'arriva malgré tout d'y ressentir cet épouvantable regard des
hommes
dont j'ai parlé si souvent; même dans ce milieu
Mais je ne pou- vais plus rester dans la ville. Un de mes'oncles,
homme
probe, âgé, célibataire, habitait seu- lement à
ux yeux du monde mon épouvan- table état. Si malgré la présence des
hommes
je sentais de l'in- térêt pour quelque chose, j
rères et tous se portaient bien physiquement, et tous devinrent des
hommes
de talent - ils étaient tous plus âgés que moi.
naître que mon oeil ne me sert que si je suis seul; en présence des
hommes
, je ne jouis d'aucun spectacle des yeux, et l'o
e de la misanthropie. Sans le regard, je crois que le voisinage des
hommes
ne me serait pas aussi pénible ni aussi troubla
t à tout instant, et que cela lui arriverait tant qu'il verrait des
hommes
, et l'affirmation de ma part que dans nos fréqu
nt qu'il lui était absolument impossible de retourner au milieu des
hommes
. lime demanda instamment mon BIOGRAPHIE D'UNE I
sentait très bien « qu'il rougissait » sous le fard et que déjà les
hommes
avaient dû le remarquer ». Paroles de consolation
, quel qu'en soit l'éloignement. Voici, par exemple, la moelle d'un
homme
de vingt-neuf ans ayant, quinze ans avant sa mo
ulo-moteur com- mun associée à une paralysie du pathétique, chez un
homme
de cinquante-cinq ans, mais la fonction commenc
de ce dernier dans les parties immédiate- ment adjacentes.- Notre
homme
, qui s'était blessé à l'oeil gauche, en tombant,
des dessin*. Il place encore de ces tubes ou de ces plaques chez l'
homme
, der- rière l'oreille, à l'intérieur du poing f
rage de l'organe. Une seconde série d'expériences pratiquées chez l'
homme
à l'aide d'un arc de 2j ampères par 110 volts i
ction et de testament. Il a eu l'occasion de voir le testament d'un
homme
considéré comme un dément; l'écrit paraissait à l
cas d'hypnotisme terminé par la mort. ,. M. SOLLIER. Il s'agit d'un
homme
de quarante-neuf ans et d'aspect robuste ayant
manifestement faux. Le délire du grossesse peut s'observer chez les
hommes
et se rencontre surtout dans la paralysie génér
bloc des délires. Ai. 5G\AX. Si l'idée de grossesse est rare chez l'
homme
, elle est fréquente'chez la femme. On la rencon
vanciers. Eu célébrant notre cinquantenaire, nous vous dirons quels
hommes
ils étaient, quels travaux ils ont accomplis; n
nications sur ce sujet. Vitiligo et Tubes. M. Souques présente un
homme
de soixante-neuf ans porteur de de trois signes
chromie sur le tronc. Quoique niant de bonne foi la syphi- lis, cet
homme
est un syphilitique avéré. Son signe d'Argyll dur
réellement l'agent de l'épilepsie ? Il existe nor- malement chez l'
homme
sain; est-il augmenté dans les accès ? Krainsky
ées ; de plus, on put ' Note sur un cas d' hystéro-épilepsie chez l'
homme
. (Progrès midi- cal, f80). Voir sm l'hystéro-ép
page 129 sous le n° 37 des gravures du livre (les anomalies chez l'
homme
) de Louis Blanc (Paris, J. Baillère, 1873) et l
bes ne trahis- saient aucune faiblesse, le malade titubait comme un
homme
ivre. Puis, quand la paraplégie, du type hémipl
H. l3nassEn'r. (Neurolog. Centralbl., XIX, 1900.) Il s'agit d'un
homme
de cinquante-neuf ans, blessé en 1866 d'une bal
ette manière de voir : il rapporte un cas que nous résumons ici :
Homme
de quarante ans, actif et vigoureux ; reins et co
ue nous allons résumer ici sera le cinquième dans la littérature.
Homme
de vingt-cinq ans, fort, pas d'hérédité fâcheuse,
me titre qu'un vol chez un para- lytique général, et même que si un
homme
sujet à des attaques fréquentes d'épilepsie com
ournit deux don- nées intéressantes : il la disproportion entre les
hommes
et les femmes au point de vue des crimes (139 h
tion entre les hommes et les femmes au point de vue des crimes (139
hommes
et 26 femmes) ; 2° la disproportion entre lés c
tre les personnes : a) avec intention homicide 111 (dont 90 par des
hommes
et 2t par des femmes) ; b) sans intention homic
femmes) ; b) sans intention homicide (viol, etc.) 6, tous par des
hommes
). Crimes contre la propriété : 48, dont43 par des
us par des hommes). Crimes contre la propriété : 48, dont43 par des
hommes
et par des femmes). 11 est à remarquer que bien
it de l'aveu de tous les auteurs sensiblement plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme, la différence de proportion es
voir primitive. Toute douleur, quelle qu'en soit la nature, que l'
homme
attire sur lui par sa conduite, est un châtiment,
peut même être inexistant, et se montrer pourtant préservateur. Un
homme
se promène dans la campagne romaine, il est piq
ice, parce qu'il n'y a pas de lien visible entre la conduite de cet
homme
et ses conséquences. Mais qu'un homme, et surto
ible entre la conduite de cet homme et ses conséquences. Mais qu'un
homme
, et surtout une femme, ait la -conviction qu'un
u moins en partie, consécu- tives à l'acte qui les motive. Mais l'
homme
est un animal social ; spectateur d'agressions qu
er le renouvellement. A mesure que l'intelligence se développe, l'
homme
conçoit la nécessité de punir une agression autre
dire que le nombre des éléments conscients est moindre que chez l'
homme
adulte normal, c'est-à-dire aussi que le nombre d
nombre des idées dans l'esprit du criminel, que dans l'esprit de l'
homme
normal adulte. Un esprit où les idées font défa
ir été possédée pendant la nuit et inconsciemment de sa part par un
homme
qu'elle aimait. Elle se confirma dans son hallu
pendant à l'état de rêves. Et devenue femme, elle se persuada que l'
homme
qui la possédait ainsi pendant son som- meil av
résente les photographies. Dans toutes ces reproductions on voit un
homme
chevauché par une femme le menant à coups de fo
eur fréquence au cours de la syringomyélie 10 p. 100; enfin que les
hommes
sont trois fois plus atteints que les femmes. L
olisme. « Il y a, a-t-il dit, dans le Royaume-Uni 00,000 personnes,
hommes
et femmes, qui se gri- sent tous les jours. L'A
de localisation. Je vais vous en donner une relation abrégée : Un
homme
de soixante ans, affecté d'une néphrite artério
immédiatement à l'esprit de mettre les accidents présentés par cet
homme
sur le compte, soit d'une embolie, soit d'une h
s données qui lui échappent en tant que connaissance réelle. Chaque
homme
normal ou soi- disant tel peut être saisi devan
inconnue déconcertent et divisent les cliniciens. Observation I.
Homme
de quarante et un ans, tailleur d'ha- bits, ind
eurt le 31 décembre 1899 de cachexie paralytique. Observation II. -
Homme
de cinquante ans, sous-officier de gen- darmeri
ue rapidement et la malade meurt le 1er mai 1897. Observation IV.
Homme
de trente-huit ans, maréchal-ferrant, indigent,
ONJUGALE. 491 chez lui très troublé; il voit des bêtes féroces, des
hommes
qui viennent pour le tuer et il cherche à s'élo
teinte remarquable de .la mémoire. Dans la première, il s'agit d'un
homme
de trente- six ans, auparavant bien portant, fo
ssions visuelles semblent en avoir le moins souffert. Mais ces deux
hommes
, dans la force de l'âge sont désormais des infi
lytiques d'origine apoplectique, le suicide, l'ivrognerie. Sur cent
hommes
, ils ont été relevés 43 fois ; chez 8, ces stig
er à la déro- bée qui je rencontre et de juger si j'ai affaire à un
homme
flegma- ' 'tique, à un homme hardi ou à un homm
ontre et de juger si j'ai affaire à un homme flegma- ' 'tique, à un
homme
hardi ou à un homme ardent. . « Je sens que mon
j'ai affaire à un homme flegma- ' 'tique, à un homme hardi ou à un
homme
ardent. . « Je sens que mon regard réfléchit to
es de travailler et qui travaillent effec- tivement. Les ateliers d'
hommes
et de femmes fournissent un tra- vail évalué à
e-cinq ans dans 11 asiles, de quarante ans dans 21 asiles, pour les
hommes
, et dans 17, pour les femmes. Sur 97 établissem
sonnel se recrute surtout dans la classe des cultivateurs. Pour les
hommes
on donne la préférence aux sujets ayant accompli
se ne jouissait pas de toute la plénitude de ses facultés. (Le Bon-
homme
Normand, 24 janvier 1902). On a repêché de la r
l'observation prise avec beaucoup de soin par M. Sacaze. C'est un
homme
, âgé de trente et un ans, facteur rural dans le
videmment fréquente, mais elle n'est pas constante. Mais chez notre
homme
, quels facteurs étiologiques trou- vons-nous ?
mbes à partir des hanches pour savoir à qui il appartenait. Notre
homme
est absolument différent; il est purement moteu
der ses jambes, j'ai fait devant vous l'expérience sui- vante : cet
homme
étant debout, et les yeux ouverts, j'ai placé u
nsibilité plan- taire : les yeux étant fermés on a fait marcher cet
homme
sur un tapis de trame grossière, où, de loin en
rience permettait même d'examiner les muscles du mollet. Enfin, cet
homme
étant assis, les yeux toujours fermés, on a dis
te et l'ensemble des symp- tômes que nous avons pu étudier chez cet
homme
. Nous pou- vons en déduire deux conséquences :
, décédé à quatre- vingt-deux ans, après quelques jours de maladie;
homme
doux, tran- quille. Mère morte à soixante-quatr
xante-quatre ans, d'une inflammation d'entrailles ( ? ). C'était un
homme
robuste, d'humeur assez égale, sans antécédents p
était frappante, d'autant plus que ce tableau se présentait chez un
homme
d'âge avancé, et avec des mar- ques visibles d'
ement anesthési- que du côté gauche. Examen objectif. B... est un
homme
de haute taille, avec la peau bronzée par le so
l est très bien musclé ; dans l'ensemble il donne l'impression d'un
homme
très vigoureux. A la partie supé- rieure de son
éfenseurs de l'autonomie de cette forme morbide. Il s'agissait d'un
homme
très vigoureux, sans antécédents nerveux, avec
es éléments si puissants de l'auto- suggestion. Chez ces individus,
hommes
ou femmes, l'influence de l'esprit sur le corps
me comitial ambulatoire; par le D1' H. GRANDJE.1N. Il s'agit d'un
homme
de trente-quatre ans, ayant un oncle épi- lepti
de trois crises d'automatisme ambulatoire. Pendant ces crises, cet
homme
agit d'une façon aussi correcte que s'il était
à s'infli- ger de leurs mains le sort qu'ils redoutent ? 2 Chez l'
homme
sain, l'attente d'un événement se traduit par une
avait constaté maintes fois la présence de l'acétone dans l'urine d'
hommes
sains de corps et d'esprit, et que, d'autre par
ue variable et se rapprochent à nouveau de la périphérie. Chez un
homme
atteint d'arrêt de développement du cervelet, o
; par G. Ros- SOLIMO. (Neurolog. Cenlrulbl., 1891.) Chez tous les
hommes
normaux le sphincter se contracte quand, à l'ai
ades ne fussent venus se faire traiter. Conclusion : Le facial de l'
homme
contient des nerfs sensi- tifs et vaso-moteurs.
ERSTNEit et 11NODLAUCII. (A1'chiv f. Psychiat., XXIII, i.) Chez l'
homme
, il est de règle, dans les cas de lésions cérébra
hirurgicale de 31. Burckhardt. La première observation a trait à un
homme
de dix-neuf ans, qui pré- sente au niveau du pa
. VORSTER. Sur un cas d'héinianesthésie cérébrale. - Il s'agit d'un
homme
de quarante-neuf ans qui, à la suite d'un ictus,
a rage paralytique qu'on ne croyait propre qu'aux animaux, chez l'
homme
. SOCIÉTÉS SAVANTES. 133 M. le Dr Minot, à pro
avec accès épileptiformes (maladie de Adams-Stokes). 11 s'agit d'un
homme
de cinquante ans, ayant toujours joui d'une bonne
rées les plaques termi- nales des muscles de divers animaux et de l'
homme
. La figure 4 de cette planche représente, avec
écessaire de passer en revue l'influence des agents physiques sur l'
homme
. Ausssi M. Féré examine-t-il d'abord l'influenc
. Féré étudie les effets patholo- giques des agents physiques sur l'
homme
, les effets du refroidissement modifiant les co
L'une est destinée au traite- ment des aliénés et peut recevoir 210
hommes
et 210 femmes. L'autre est la ferme séparée de
A droite et à gauche des bâtiments d'administration,' division des
hommes
et division des femmes, d'égales dimensions : à c
le de fête ou de réunion . La colonie se compose d'un bâtiment pour
hommes
et d'un bâti- ment pour femmes (en tout 104 inc
.. 3° La population de l'asile de Varsovie est fixée à 420 malades,
hommes
bu femmes, lOi d'entre eux considérés comme inc
efs de clinique, a sous la main les deux quartiers d'ob- servation,
hommes
et femmes, trois médecins en chef sont chargés
Il n'en est rien ainsi que vous allez le voir. Il existe chez cet
homme
, étendue à tout le membre supérieur gauche et à
Salpêtrière le 19 janvier 1893. 1 Etat actuel. On constate chez cet
homme
: 1° Atrophie du membre inférieur gauche intére
provoqua cette perte d'équilibre. Déjà Duchenne avait observé un
homme
qui la nuit était paralysé du membre supérieur
bien, je ne puis l'admettre malgré ce faisceau de preuves venant d'
hommes
compétents, et voici les raisons qui me pous- s
n n'est interposé. » Donc ces auteurs admettent le fait. Chez notre
homme
, l'expérience, comme vous l'avez vu, est parfai
rait pas exister lorsque le sens musculaire n'est pas altéré. Notre
homme
, et c'est là réellement ce qui en fait tout l'i
, dont les observations possèdent le mérite à la fois d'émaner d'un
homme
compétent et d'être récentes. Il reconnaît qu
fermés, il le faisait avec autant d'aisance que l'aurait pu faire l'
homme
le mieux portant. » Dans d'autres cas, la perte
appareil organique qui existe, à l'état normal, dans les nerfs de l'
homme
, et qui dérive d'une trans- formation de certai
on insi- gnifiante. Entre la lésion et ses manifestations, il y a l'
homme
malade aussi ondoyant que divers. On a dit av
e, le 28 mars 1887). Père, cinquante et un ans, sculpteur sur bois,
homme
vif, em- porté, sujet à de fréquentes céphalalg
ne fracture de jambe aurait été extravagante, « Elle était comme un
homme
, . - Le grand-père pale1'1lel paraît avoir été
cherché à déterminer le mécanisme du mérv- cisme (rumination chez l'
homme
). Ses recherches expérimentales out porté sur d
faux d'affirmer que les sen- sations, les pensées et les actes de l'
homme
sain d'esprit sont de tout point d'accord avec
impressions sensorielles, les pensées et les conditions morales des
hommes
sains sont très loin de s'appliquer au monde ob
a rien dans la mort qui puisse justifier de telles craintes. 3° L'
homme
sain d'esprit a une plus grande affection pour se
icité,hydro- thérapie, etc. : « tenter quelque chose pour sauver un
homme
qui se noie vaut mieux que ne rien tenter du to
e et se divise dans son application. L'attention, organique, chez l'
homme
, est apte à accomplir un travail compliqué, à c
tique de l'attention organique aussi dans l'état mental normal de l'
homme
, beaucoup de mouve- ments peuvent-ils.être obte
l'attention rationnelle est mécaniquement frap- pée d'incapacité, l'
homme
devient alors un automate intelligent, l'attent
temps d'élection des valeurs moyennes différant peu de celles de l'
homme
sain pour les mêmes opérations de l'intellince. M
me, soit le châtiment d'une haute divinité, soit la possession de l'
homme
par plusieurs animaux (renard, chien, etc.); on e
ction de chacun des muscles, mais il est très probable, que, chez l'
homme
, le centre de l'accommodation et des mouvements
du cerveau; par le Dr DEWRY. Dans le premier cas, il s'agit d'un
homme
de vingt ans admis à l'asile de Kankakee le Il
e de vingt ans admis à l'asile de Kankakee le Il décembre 1889. Cet
homme
, fermier, vivant seul, ne présentait pas d'anté
troubles hystériques plus ou moins marqués; l'autre cas concerne un
homme
qui, peu après la rétrocession de l'am- blyopie
litique; avec présentation de pièces microscopiques. Il s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans entaché de tares névropathiq
é. Ce sont des faits à rapprocher des paralysies psychiques. Chez l'
homme
arrivé à l'âge mûr, M. Fuerstner a vu spontané-
famille. Aucun accident pendant l'accouchement. La tête du jeune
homme
est grosse; le corps très maigre; les extrémités
liens de l'avant- bras droit. L'orateur raconte enfin que chez un
homme
vigoureux qui n'é- tait ni hystérique, ni hypoc
te. L'un est de nature infectieuse. Dans ce cas, il s'agissait d'un
homme
de cinquante- cinq ans pris à la suite d'une ém
ontradictoires les témoignages de témoins oculaires. Il y a ici des
hommes
dignes de foi qui ont vu le même cas, et cepend
internes : Mai. Fseart et Le Filliatre. - Service de M. Dubuisson (
hommes
); interne : M. Le Maître. Service hydrothérapiq
Sérieux; internes : MM. Trénel et Baruc. - Service de M. Val- lon (
hommes
); médecin-adjoint : M. Rouillard; internes : MM.
(Neuilly-sur-Marne). 1,015 lits. Service de M. Marandon de Montyel (
hommes
); in- ternes : MM. Laroussinée et Lepatré. - Se
e VAUCLUSE, prèsEpinay- sur-Orge. 855 lits. Service *de M. Keraval (
hommes
); interne : M. Croustel. Service de M. Boudrie
diverses sur les fonctions du système nerveux chez les animaux et l'
homme
. Pria; Pourat (1,800 fr.), M. A. RoGER. La ques
a l'avantage d'encourager le travail personnel et d'éviter que des
hommes
de valeur ne soient éliminés parce qu'ils ne save
de la Suisse, on en compte 425 dus à l'alcoolisme (59 femmes et 366
hommes
), soit 6,1 p. 100. Sur les 366 individus ayant
rêtât. Dans le vestibule, l'altercation recom- mença entre les deux
hommes
. Le concierge, M. Levavasseur, décidé à en fini
n jugeait le nommé Edward Livernash, accusé d'avoir fait boire à un
homme
un verre d'eau contenant une dose d'acide pruss
hérente, et tout son récit avait, en effet, l'air d'être dit par un
homme
pris de boisson. Livernash a souffert lorsque, ré
cas de monoplégie brachiale hystérique, de cause traumatique chez l'
homme
. (Progrès méd., n° 3F, 37, 39, 40. 1885.) GEuvr
n 1892, n° 29, Sur un cas de monoplégie brachiale hystérique chez l'
homme
, présentant des difficultés de diagnostic. ,
n être ainsi : l'amputation du bras chez son neveu devait, chez cet
homme
traumatisé au niveau de l'épaule droite, logiqu
cerveau (centre du bras) est encore plus improbable 'parce que cet
homme
n'a eu ni attaque apoplectiforme, ni étourdisse
ermettent d'affirmer l'existence de la sclérose en plaques chez cet
homme
sont les sui- vantes : 1° titubation, démarche
as de monoplégie brachiale hystérique, de cause traumatique, chez l'
homme
. (Progr. méd., nos 34, 39, 40, 1885.) - OEuu7-e
ù on a reconnu l'énorme impor tance des maladies hystériques chez l'
homme
et que beaucoup de névropathologues contemporai
que ce phénomène est plus propre aux affections hystériques chez l'
homme
que chez la femme. Relativement rares se trouve
Fig. Fi ? 11. 370 RECUEIL DE FAITS. qu'en s'appuyant sur deux
hommes
, en trépignant et perdant facilement l'équilibr
aient être déterminés d'une manière exacte, parce que le malade (un
homme
assez borné et peu développé) se fatiguait bien
s troubles trophiques el un degré marqué de déchéance mentale. Un
homme
de trente-sept ans, avec de bons antécédents héré
mun : l'asphyxie locale symétrique intermittente des extrémités. Un
homme
atteint de délire mélancolique avec préoccupation
of Mental Science, juillet 1892.) Etude intéressante, faite par un
homme
compétent (l'auteur est médecin de la prison de
les plus héréditaires que l'on connaisse ; elle paraît frapper les
hommes
plus fréquemment que les femmes; aucune diathèse
Kronthal. De l'hétérotopie de la substance grise de la moelle de l'
homme
. - L'orateur présente une série de préparations e
édical, 1879, p. 220. ' " Benjamin Ball. SOCIÉTÉS SAVANTES. 401
homme
qui a l'honneur de professer dans une chaire de l
presque dire que tout maniaque fébricitant qne l'on camisole est un
homme
mort. Le traitement consistera ensuite dans l'a
luxe, ce qui permettra une édification rapide et économique. Les
hommes
seront répartis dans des dortoirs de seize lits c
mineux contenant des vêtements. Le concierge du palais arrêta cet
homme
au passage. Celui-ci lui expliqua qu'il venait
i- losophique, 1891, t. I, p. 280.) 436 .. REVUE GÉNÉRALE. d'un
homme
normal sont nombreuses et se font obstacle réci-
cultivateur, mort à soixante- douze ans d'une fluxion de poitrine.
Homme
doux, rangé, n'ayant jamais fait de maladie sér
aroleplus facile, les mouvements plus libres. Examen du malade. -
Homme
de taille moyenne, mise soigneuse, presque coqu
ou leurs chambres avec leurs excréments. L'auteur cite le cas d'un
homme
auquel nul moyen n'avait réussi et qui se corri
CE. (The Journal of Mental Science, janvier 1892.) Observation d'un
homme
de soixante-dix ans, mort subitement 464 REVUE
geables, pourvu que l'emploi de ce moyen reste entre les mains de l'
homme
de l'art. M. Robertson ne croit pas qu'on ait r
de veille nous échappent pendant le rêve. Si nous avons rêvé qu'un
homme
devenait cheval, puis oiseau, c'est que par une
ar une association natu- relle d'idées nous avons passé do l'idée d'
homme
à celle de cheval puis à celle d'oiseau, mais q
ais que, les intermédiaires nous échap- pant, nous attribuons à cet
homme
les caractères du cheval puis de l'oiseau. Un
t de ses assertions, il appert que le personnage en question est un
homme
qui est tourmenté par une seule pensée et que c
es sentiments et ses actes. Du reste, il n'est pas rare de voir ces
hommes
de cet âge se forger un penchant quelconque pou
atrophie musculaire spinale 1l1'ooressive. 11 pré- sente ensuite un
homme
de quarante-trois ans tourmenté pas des idées d
pyramidal ; pur E. Straeussler. (Neurolog. Centralbl. XX, 1901.)
Homme
de 6G ans, mort 58 jours après une attaque d'hémi
u crâne, par ST-ORLOwsKt. (Neurolog. 'Cel1- tralbl. XX. 1901.) Un
homme
reçoit un coup de couteau au côté droit de la nu-
roits, qui disparaissent sous l'influence d'nn point d'appui. Cet
homme
est menacé de perdre l'oeil droiL par ophtalmie
Soc. de 111éd. ment, de Belgique, février 1904.) Observation d'un
homme
de 4G ans qui était atteint d'un de- lire génér
SCHULTZE, (Centralùl. f. Nervenhcilh, XXVI, N. F. XIV, 1903.) Un
homme
de 45 ans est affecté d'une mydriase persistante
ique, 1903 ne117.) 1 Les-recherches de l'auteur ont porté sur 150
hommes
et 150 temmes. Sur ce total de 300 malades, il
t 15, 66 % (non compris les délires systématisés) dont l'J chez des
hommes
et 28 chez des femmes, ce qui donne pour les pr
cas a élé observé, chez les femmes, entre 30 et 35 ans et chez les
hommes
, entre 20 et 30 ans : la démence précoce (préco
t de vue de lage) serait donc plus tardive chez la femme que chez l'
homme
. M, Crocq s'est efforcé ensuite de déterminer l
, le surmenage in- tellectuel al les traumatismes crâniens chez les
hommes
. Pour dé- montrer la réalité de ce dernier fact
ce précoce, )1. Crocq, cite les observations de quatre malades (3
hommes
et 1 femme) le développement de l'affection a été
n- tralbl. f. Ncrvenlleilk, \\'1, \ F. XIV, 1003.) Il s'agit d'un
homme
de 45 ans; il s'est masturbé da nt jeune jus- q
KR. (CÙJ1, t1'llib ? Xer- rcnheilla, \\'I, \. I ? \I\', 1903.) Un
homme
de 5-1 ans, porteur d'une dépression de la paroi
extraordinaires dans les organes sexuels, « qu'il lui faudrait de l'
homme
» suivant son expression ; et elle nous sup- pl
plus fréquente chez les femmes que chez les 5G , CLINIQUE MENTALE
hommes
, el choz les premières, le phénomène que nous é
n germain paternel aliéné ; tante paternelle aliénée. 1)...est un
homme
d'une (aille au-dessous de la moyenne ; il la f
la langue... Ce sont des dorures... Je l'ai pris trop haut avec les
hommes
... Un homme qui tournait autour de ma maison m'
Ce sont des dorures... Je l'ai pris trop haut avec les hommes... Un
homme
qui tournait autour de ma maison m'a dit que j'
igne de Dieu et m'empêchait de sortir. J'ai vu saint Jean. C'est un
homme
habillé en chasseur... J'avais le droit d'aller
vait pas constaté, selon le premier médecin trai- tant, soit chez l'
homme
, soit chez la femme, d'accident antérieur de na
que inler cu rre u te. A partir du mariage que l'on sait, avec un
homme
de 14 ans moins âge yu'elle, Jlaric B..., qui n
n que nous rapportons ici est du même ordre. ' Cit. 1\..., esl un
homme
de 4 ! ans, encore solide, assez rigou- reuseme
pèce, l'opinion de M. llourneville est faite, et que l'opinion d'un
homme
tel que lui a plus de valeur elle seule que cel
ire croire- quelqu'un, fut-il étranger il la mé- decine, qu'un seul
homme
peut soigner tous les jours et, 2 fois par jour
300 à 4U0.OJ0 francs. La vie quotidienne, diurne et nocturne, d'un
homme
, peut- elle y suffire ? ' ? Qu'arrive-t-il al
les conseillers généraux sont évidemment toujours d'ex- cellents
hommes
; ils sont extrêmement compatissants et savent
uis on s'habitua il réserver les places de médecins d'asiles il des
hommes
politiques, vaguement médecins. Survint le règl
circonvolution, était, considérablement plus étroite (pie chez l'
homme
. L'hémisphère droit était le plus fourni de libre
en, chez l'animal, du faisceau longitu- dinal prédorsal, et, chez l'
homme
, du faisceau longitudinal pos- Lorieur ; ce cen
hrnmalopsie pour fontes les couleurs d'emblée et partout. 7. Chez l'
homme
, il semble que le cenlre de la perception occup
organique de l'écorce, du moins chez le chien et le sin- ge, chez l'
homme
aussi, n'entraîne pas la cécité complète de tou
, la zone du langage. Tout le monde saiL que l'intelligence, chez l'
homme
bien développé et cultivé, est intimement liée au
lapin, il de\ ienl cortical chez le chien el le chat adulte. Chez l'
homme
, le siège des convulsions toniques est exlusive
olog. Centralblatt, XX 111, 1904.) Observation avec autopsie d'un
homme
de 31 aus. 112 REVU : DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
par E. BLOCH. fA'eMro/o. Ccntralbl. t1111. 190'i.) Il s'agit d'un
homme
de 3 ans, qui reçoit sur le côté droit de la tê
la partie supérieure de la face des deux côtés. Néanmoins chez l'
homme
les paralysies corticales et sulcorli- i- cales
¡'a/ltOgé'lie du tremblement . JI\I. L. LÉvI et BONNIOT montrent un
homme
atteint d'hémi- plégie droite incomplète avec p
la calaurt· Iun ali(·nts tles 171u· tlan- gereux nommé Coudere. Col
homme
qui, depuis quelque temps, l'aisa i 1 la t 1'l'
que Probst arrive au même résultat par l'étu- de de lésions chez l'
homme
et d'expériences faites sur des animaux. Star
qui' ne se justifièrent pas clans la suite. Il s'agit d'un jeune
homme
qui, après avoir été interné pour des phénomènes
. (Neurolog. Ceatratbl., XX. 1901.) Pièce anatomique provenant d'un
homme
atteint d'endocar- dite et ayant eu de l'aphasi
Marchi ; part. PETRÉN. (1\7eL(1-010g. Centralblatt, XXII, 1903.) Un
homme
reçoit un coup de pied de cheval entre les épau-
eur est très inégale chez le chat; elle ne peut guère, comme chez l'
homme
, abaisser la température du corps, ni éliminer
t l'oeil droit, Il l'oeil gauche. L'amaurose unilatérale a frappé 7
hommes
et l(i femmes ; la bilatérale, 4 h., 22 f. L'am
so- INFLUENCE DE L'INCONTINENCE SEXUELLE. 2G1 lé et soigneux de l'
homme
et de la femme est resté né- gatif. La grand' m
liés il l'appendicite (Vergely, de Bordeaux). Berlclcy a signalé un
homme
de 74 ans qui, après une constipation, souffrai
d'études. » , M. le Dr Thivet, médecin en chef de la division des
hommes
, expose ainsi les résultats obtenus : « Depuis
a démence primilive représente 28 % des malades de l'asile : 13,8 %
hommes
; 14,2 % femmes..Le nombre absolu des déments p
,8 % hommes ; 14,2 % femmes..Le nombre absolu des déments primitifs
hommes
est égal il peu près à celui des femmes (62, 63).
ni- ques, 8 catatoniques, 36 paranoides ; mais tandis que sur 100
hommes
, il y a 48 hébéphréniques, 9 catatoniques, 43 par
sexe masculin 43 % ; la catatonique, en proportion presqu'égale les
hommes
et les femmes (9 % , 7 % ) ou avec une légère p
mes et les femmes (9 % , 7 % ) ou avec une légère prépondérance les
hommes
. ,i La variété de démence primitive absolument
f. A l'ap- pui de cette opinion, l'auteur relate l'observation d'un
homme
de 35 ans, a hérédité très chargée, mais n'ayan
entation dans le temps et llans l'espace. On trouve ce lype chl'z l'
homme
(LkielTe de 1301smont). Parfois c'est la stupid
; par Apert. (A'0 ! tt\ Iconogr. de la Snl2n·triére, no 3, 1901).
Homme
de GG ans. Croissance jusqu'à l'âge de 3n ans. 1)
rdon (Bull, méd., 1901, n°72.) Très intéressante observation d'un
homme
de 33 ans, qui con- sullale médecin [lourdes ér
pilepsie alcoolique et de l'épilepsie syphilitique. Il s'agit d'un
homme
de 45 ans affecté des deux intoxications ; l'inst
Trois observations avec ligures. Dans la première, il s'agit d'un
homme
.déjà avancé en âge, qui se plaint d'abord de f
n nouvel asile près d'Hoidelberg et un pavillon annexe pour 20 à 25
hommes
de celle catégorie. Urle voisinage d'fïeidelber
sile de vieillards et d'infirmes des deux sexes, avec infirmeries d'
hommes
et de femmes, et un important se ! - vice annex
n), Les soeurs des deux services de maladies nerveuses et mentales (
hommes
et femmes) ont passé par l'asile d'aliénés des
des paralytiques généraux entrés à l'asile a été de 9,6 % pour les
hommes
et lle : ¡,) ? pOlll' [es rPU1lUeS, Viennent ensu
- nisé. La pauvre folle devait être prochainement internée. (Bon-
homme
Normand, 8 février 1905). D'où la nécessité, de
nt, en maintes circonstances, elle n'a pa-'su dire «non » devant un
homme
, comment elle s'est laissée entraîner à dérober
gnon d'ailleurs étaient «e(p)i- voques » el il lui sembla que « cet
homme
était, au courant de bien des choses ». Ceci
nce ! Long- temps avant la rencontre du boulevard des Italiens, cet
homme
·ul1 CLINIQUE MENTALE. avait dû l'épier, el à
lt;l, comme \Ille U... lni contait "ses relations de la rue avec un
homme
dont le chapeau était à bords [liais, \fute 11.
pouvoir,' au progrès de la science et par conséquent au bonheur des
hommes
, je ne rebrousserai pas chemin. Les religions
de feuille de bégonia, le fragment d'étoile de mer et le fragment d'
homme
, qui, en se développant, reproduisent le minéra
leil levant, la science répand il chaque minute dans le cerveau des
hommes
un peu plus de lumière, un peu plus de bonheur,
le fil le grand philosophe anglais, que le cristal, le végétal et l'
homme
se reproduisent suivant les mêmes lois. Heure
il peut arriver que le cerveau soit, par certains côtés, celui d'un
homme
supérieur, par d'autres celui d'un débile, d'un
néré supérieur. A cette classe appartiennent un certain nombre d'
hommes
de génie. Au point de vue anatomique. ce qui ca
apprécié des cavaliers. Le boulonnais, autre création du génie de l'
homme
, et qui, en raison de sa lourdeur, ne pourrait
qui prête si plaisamment aux choses inanimées les sentiments des
hommes
, une bien jolie fable à écrire, celle de la biell
masse inerte entre ses deux pivots. La bielle, Messieurs, c'est l'
homme
normal, sain et ro- buste, plein de bon sens et
i excuse, en faveur des services qu'ils rendent, les incartades des
hommes
de génie. , Ainsi la dégénérescence mentale peu
un cristal, un bégo- 376 PSYCHOLOGIE. nia, une étoile de mer, un
homme
, et reliés ensemble par des conducteurs qu'inte
rant augmente d'intensité, le bégonia, puis l'étoile de mer, puis l'
homme
. 4 C'est précisément ce qui se produit dans la
bégonia, du bégonia à l'étoile de mer, et de l'é- toile de mer à l'
homme
, la réflexion d'un Herbert Spencer aboutit il l
. 1904.) Cytologie. Examen du liquide céphalo-rachidien de quatre
hommes
ou femmes rabiques, retiré par fonction lombaire,
lo-rachi- dien la veille de la mort. Résultat négatif. - 3e Cas :
homme
de 3G ans, mort en trois jours de forme hydro-
égatif de l'examen après la mort. ' 4e Cas : Forme furieuse chez un
homme
. Diagnostic confirmé par inoculation et histolo
u Dr Crislini. 'Comme choix de porte-greffes,' on s'est adressé à l'
homme
et il convient encore de prendre un tissu thyro
malade auquel M. Jahoulay a extirpé en 1901 un gliome du cervelet.
Homme
de : \1 ans se plaignant depuis un - an de céph
tives de suicide, pour échapper à leurs obsessions. Ce- laient deux
hommes
et une femme et, parmi eux, un ménage. Les troi
ide par submersion. Ce malade a été invité à la masturbation par un
homme
dès l',1 ? de )2 ans ; depuis il n'a pu avoir d
lytiques a plus que doublé. Nous avons reçu, l'année der- nière, 15
hommes
et 4 femmes atteints deparalysie générale ; nous
mmes atteints deparalysie générale ; nous avons reçu cette année 18
hommes
et9 femmes. C'est là une pro- portion peu rassu
r les femmes ; il l'hospice du Perron, cinquante-deux lits pour les
hommes
, vingt-sept lits pour les femmes et quatorze lits
ur appliqua de lui-même les principes de Fraenkel. Actuellement cet
homme
se tient de- bout, peut marcher facilement et n
51 (1'" , Rl1do/¡'èl;oma c ? bl'((I, , tlL'l'. Marie a observé un
homme
atteint de troubles passagers de la parole qui
Lésion bulbo-protubérantielle unilatérale. M. Souques présente un
homme
atteint depuis cinq ans de vertiges avec hémisp
i faire disparaître. Troubles thermiques. M. Babinski présente un
homme
qui il la suite de vertiges a conservé 1'(exil
sie bulbo-spinale asthénique. MM. OUf-MONT et Baudoin présentent un
homme
qui, après une chute. fut atteint de parésie- d
« Le chiffre des aliénés travailleurs en 1903 a été de 66 pour les
hommes
et de 110 pour les femmes, non compris les malade
t être assurés d'une retraite. B. sr. - Rapport sur la division des
hommes
de l'asile publie d'aliénés de Maréville pour 1
ns la famille ou dans un hospice. « Je citerai, comme exemple, un
homme
de trente-huit ans, amené à l'asile le 27 juill
on songe à la modicité du salaire et des avantages oc- troyés à ces
hommes
jeunes, robustes, que ne peut retenir l'es- poi
nde médical vient de perdre dans la personne du D'' Garnier, un des
hommes
les plus connus elles plus appréciés du public
ver une admiration pro- fonde pour les doctrines scientifiques de l'
homme
dont il avait faitson modèle en s'imprégnant de
on rôle d'investigateur. Mais il y avait en lui autre chose qu'un
homme
de métier : il observait en artiste et il jugea
n coup d'oeil sûr et rapide, mais au-delà de la tâche officielle, l'
homme
s'arrètait encore pour con- templer avec émotio
à s'inslruire. . Peut-on le constater sans quelque surprise : cet
homme
qui n'appartenait pas au monde officiel de lafa-
vait être, ce qu'on ap- pelle en langage de cour un « patron », cet
homme
trouvait à ses côtés presque journellement quel
istesse que la Société de Médecine légale de France ap- porte à cet
homme
laborieux le témoignage de l'estime en laquelle
Garnier, n'a pas seulement ravi au foyer conjugal et à ses amis un
homme
excellent, elle a, par un coup imprévu, privé l
s de sa belle carrière. Paul Garnier, Messieurs, était vraiment l'
homme
de la situation qu'il occupait, et, en lui,la f
l'Institut médico-légal conservera précieu- sement la mémoire d'un
homme
qui possédait à un si haut degré les qualités d
vert une nouvelle voie en étudiant la psychologie et l'hérédité des
hommes
célèbres. La meilleure preuve en est l'interdic
nts. Vos travaux et votre pratique médicale rendent la science et l'
homme
vos débiteurs. Vos travaux personnels sur les m
onstante. Nous espérons que vous jouirez toujours du huo- heur de l'
homme
, qui « reste simple, bon, sincère, sérieux, sans
ie (Meurlhe-et-Moselle), par Pa- ris, ·1G1. sur la division des
hommes
de l'asile public d'a- liénés de Marévillo, par
rveuses l'auteur a relevé 1071 cas de neurasthénie, dont S03 chez l'
homme
et 808 chez la femme. Il a constaté en outre'la
fois) et chez les lail- leuses, modistes, ou lingères (189j. Chez l'
homme
, les employés de bureau arrivent un tète avec l
oyenne des cas de neuraslliénie chez l'ouvrier est de 1 i; ? chez l'
homme
et de 16 n /0 chez la femme. Un autre fait qui
m- ment contractent la syphilis. Krafft-Ebbing, sur près de 3.000
hommes
atteints de paralysie générale, n'a trouvé au con
11 juillet. (Lyon médical, 30 septembre 1 ! IOG.) Observation d'un
homme
de 38 ans, paralytique général, par- venu au de
aucoup plus fréquente chez les sujets mariés ou veufs ; 4° chez les
hommes
la profession est d'ordmaire, relative- ment su
illégitime de bien être se ren- contre chez une petite majorité des
hommes
, mais elle est moins commune qu'autrefois dans
avec détail et avec soin, et accompagnée de planches,est celle d'un
homme
de 33 ans, alcoolique et syphilitique (syphilis
. 11 y a à ce sujet un exemple classique, c'est celui d'un jeune-
homme
qui, ayant été initié à la vie sexuelle par une
peuvent être comparés à ces contractions que l'on rencontre chez l'
homme
, dans les mêmes conditions et avec les mêmes ét
a une grande analogie entre certains tics que l'on rencontre chez l'
homme
et chez les animaux. Quant au traitement, on
se demander si celui qu'on sociétés savantes. 79 applique chez l'
homme
et qui est qualifié de rééducation et de discip
est dit que la moelle et les ganglions ne constituent guère, chez l'
homme
que des appendices subor- donnés au cerveau et
avec quelques variantes adaptées aux constitutions individuelles. L'
homme
doit être optimiste, 1 BIBLIOGRAPHIE. 83 d an
portion des admissions est sensiblement plus grande en fa- veur des
hommes
, en raison de la paralysie générale et de l'al-
arle Dr DESnny. (Journal de Neurologie, 1906, na 2.) Il s'agit d'un
homme
de 57 ans, qui fut atteint d'un petit iclus san
es moteurs du lan- gage. Comme la plupart des hémianopsiques, cet
homme
avait con-, serve la perception des différences
er à la P. G. : achoppement des syllabes, etc. Un autre concerne un
homme
de39ansqui en tra à l'hôpi tal ayec un mal per-
manière s'expliquer par la simple disparition du milieu social des
hommes
affectés à la défense du pays. La nation, dans
les pratiques d'un magnétiseur. M. Durrenr donne l'observation d'un
homme
, âgé d'une quaran- taine d'années, chez lequel
vail. MM. Vigouroux et Delmas rapportent les observations de deux
hommes
-ayant présenté des troubles intellectuels à la s
;I\IB.IL indique qu'il a observé dans le service de M. Pac- Ici, un
homme
devenu paralytique général, quelque temps après
la, et les théories darwiniennes, qui établissent la filiation de l'
homme
au singe, ne signifient pas que l'homme esl un
ablissent la filiation de l'homme au singe, ne signifient pas que l'
homme
esl un singe. Si les deux points exlrèmes de la
s demi-fous s'exerce soit par l'exercice régulier de leurs droits d'
hommes
libres (mariage, descendance), soit di- recteme
es privés faisant fonctions d'asiles publics : 1° Asile St-Georges (
hommes
), à Bourg. Directeur-médecin, Dr Adam, 1 intern
liet (1897, 1899, 1901) sur l'asymétrie sensorielle et motrice de l'
homme
, de Séglas (1901) sur les hallucinations*unilatér
; de plus, comme elles n'ad- mettent pas la duplicité complète de l'
homme
, et ne prennent en considération que le dualism
ral. Remarquons enfin que toutes ces hy- pothèses se limitaient à l'
homme
et, par là encore, échappaient aux objections q
ties éloignées les unes des autres et sans rapports apparents. «L'
homme
est double», c'est-à-dire comme tout Artio- zoa
vie psychique est tout entière fonction des co-êtres ; mais chez l'
homme
normal, apparaît un principe supérieur qui à la
plications : la délibération des co-êtres est la même chez tous les
hommes
; identique aussi l'au- tonomie de la « Personn
able conscience [morale] l des données stables, communes à tous les
hommes
, acces- sibles à l'introspection et immédiateme
et de mal, » et « d'une règle de justice avec res- ponsabilité de l'
homme
c'est-à-dire avec sanction ... la puissance de
rité se substituer... à l'unicité primitive de l'amibe ? Pourquoi l'
homme
est- il une paire, si ce n'est pour réaliser la
arcela seul : les différences observées entre les deux côtés chez l'
homme
et quelques autres Mammifères sont relativement
n connait toutes les variétés imaginables du (le., pyramides chez l'
homme
mais les fonctions des fibres pyramidales lioni
es muscles du squelette, sont beaucoup plus incomplets que chez l'
homme
. De même.chez tous les Vertébrés, jusqu'à l'homme
mplets que chez l'homme. De même.chez tous les Vertébrés, jusqu'à l'
homme
, la moelle est bien certainement la portion du
'abord (p. 12) la dualité d'oligine de l'oeuf : « Peut-être l'un [l'
homme
] anivait-il de New- York eu l'autre [la femmej
le en ses engendreurs ... double en ses organes physiologiques, l'
Homme
.... » (p. 15) « ... ces trois caractères, que l
nne heure (la droite chez le lapin, au 10e jour : la gauche, chez l'
homme
, vers le 35e : Tourneux, Précis d'embryologie h
isphères céré- braux forment encore à la fin du premier mois chez l'
homme
une vésicule unique, bien distincte en arrière
s. 1 Asymétrie du névraxe. « Les deux individus qui for- ment l'
homme
ne sont égaux et semblables en rien. Les deux c
pardon à l'avance,d'une conception aussi hardie ; ce curateur, cet
homme
bienfaisant, cet ami de l'aliéné veillant sur s
ne discussion ; c'est précisément ce que tous les médecins,tous les
hommes
de loi qui se sont occupés de la question récla
aw femmes il y a quel- ques années et en achèvement au serv ice des
hommes
en ce mo- ment. Une longue galerie de surveilla
; 1 lille de cuisine ; 1 buandière, : 2 concierges, 1 jardinier. 1
homme
de ]ICÏill'. 24 i asiles d'aliénés. IH : Gi1E
des femmes, les malades travaillent dans tous les quartiers. Les
hommes
sontoccupés aux travaux des champs, aux services
u-lon. La question de l'entraînement domine toute la psychologie. L'
homme
qui a la notion de l'entraînement est, par ce s
L'homme qui a la notion de l'entraînement est, par ce seul fait, un
homme
déjà de beaucoup supérieur à la moyen- ne des a
fait, un homme déjà de beaucoup supérieur à la moyen- ne des autres
hommes
. Dans la pratique de la psychothérapie, cette n
otique. JI. DAMOGLOU (du Caire) rapporte l'observation d'un jeune
homme
à la fois alcoolique, cocaïnomane, haschishomane,
35 fr. par mois pour les femmes, et à 30, 35, 40 et 45 fr. pour les
hommes
, occasionne- ra une dépense supplémentaire de 8
roupe devront correspondre deux tableaux dis- tincts, l'un pour les
hommes
, l'autre pour les femmes ; 2° il serait extrême
u'il satisfasse tous ses instincts. Une voix lui dit qu'il est un «
homme
de génie ». Tous les directeurs de théâtre le p
avait « simultanéité » ; de plus « s'il faut que j'admette que l'
homme
a le don d'une conscience protéique (sic), il est
« 0 métaphysique ! 1 voilà de tes coups ! » (p. 32). Mais si « les
hommes
de science sont les derniers à voir ce qui saut
atent l'un après l'autre et reconnaî- tre en elles la réalité ... l'
homme
se révèle sous l'analyse hypnotique mentalement
, si les actes extérieurs, les manifestations de l'ani- mal ou de l'
homme
, auxquels assistent les deux co-êtres, sont pou
etour à l'unité. , Prenons l'hypothèse contraire,inapplicable à l'
homme
, qui doit précisément au commerce psychique inc
. D'autre part, l'Au- teur se défend de soutenir, avec Wagan, que l'
homme
ait « deux esprits » (p. 22), tandis qu'il s'ét
nt interprétée,l'Auteur n'avait pas le droit d'en trans- porter à l'
homme
les conclusions, sans donner du mot individu un
sans donner du mot individu une définition nouvelle : appliqué à l'
homme
, ce concept est inséparablement lié à celui de
parue ? Comment l'un deux parvient-il essentiellement à gouverner l'
homme
entier en lui laissant ou en lui retirant l'hab
er l'homme entier en lui laissant ou en lui retirant l'habitus de l'
homme
normal ? Loin d'éclaircir ces difficultés, l'ap
usieurs reprises, les rap- ports ont été faits au Parlement par des
hommes
émi- nents et même le Sénat a voté un projet en
BIBLIOGRAPHIE \'111. Traité des variations des os de la face de l'
homme
et de leur signification au point de vue de l'a
période décennale de 189 : ; à 1903, elle était arrivée à 281. Huit
hommes
et 3 femmes sont venus de diverses maisons d'aL
anche, a quitté furtivement son domicile et n'est pas : rentré. Cet
homme
ne, jouit plus de toutes ses facultés ; on craint
convient d'ajouter des centres viscéraux, non admis encore chez l'
homme
ou du moins non démontrés, et que je crois pour
formules de la sagesse immédiate » à laquelle s'arrêtent beaucoup d'
hommes
« qui s'en tien- nent ainsi aux conclusions de
son par- tage entre deux individus, et de quel droit dire que « l'
homme
est double » ? Le Moi du duplicisme est donc no
, «antinomie (xtravagante » (p. 84), à laquelle « la théorie de l'
homme
double apporte une solution ». Or, chose curieu
cette conciliation, c'est bien ce que nous appelons la liberté de l'
homme
: ; et cette liberté nous suffit parce que nous
universellement ressenti », sentiment toujours éveillé, même chez l'
homme
cultivé capable d'envisager le rôle des « motif
armonie, l'unité de Direction, réclament l'intervention d'un seul
homme
contrôlé, d'ailleurs, par une Commission de sur-
touchent ainsi de près à l'aliénation qui, loin d'anéantir chez l'
homme
le goût de la poésie,est susceptible de l'accroît
che, b) Les femmes vivent presque deux fois aussi longtemps que les
hommes
. c) La marche de la maladie est ordinairement f
l- lard. (Nouv. Icon. dr la Salp" 1906, n° 3.) Obsel'1 ation d'un
homme
,dans les antécédents familiaux duquel on note l
Tous ces troubles trophiques siègent du côté droit : or chez cet
homme
ce côté du corps est en état d'infériorité mani-
des règlements intérieurs de cette colonie qui reçoit, des malades (
hommes
, fem- mes et enfants) de toutes les classes de
vement et absolument plus fréquente chez les femmes que chez les
hommes
, différence qui pourrait s'expliquer par ce fait
ommes, différence qui pourrait s'expliquer par ce fait que chez les
hommes
la paralysie générale, où la phtisie est rare, es
s lympho- cytose. Présentation par 11\I. HAYMOND et (7PPEIST d'un
homme
de 32 ans. tabétique, qui présente peut-être, e
Rolet. ' \ BIBLIOGRAPHIE X. Les fibres myéliniques du cortex de l'
homme
, d'après le . récent atlas du Dr Th. IinES, de
''Subit un arrêt prématuré : l'écorce des dégénérés inférieurs, des
hommes
des races primitives se rapproche en cela, comm
ur moi,j'avoue que c'est là une question secondaire ; lors- qu'un
homme
dort, je n'ai pas besoin de savoir en quoi cons
e autre portée. En effet, si l'on peut- la ri- gueur admettre que l'
homme
livré à ses propres forces découvre qu'il faut
ayant une longévité de 12 à 15 siècles..., le phénomène qui chez l'
homme
aura duré six mois durera dix ans chez le peuple
cultés et aptitudes, et réaliser sa volonté. c.-Sentiment de chaque
homme
qu'il a le droit déju- ger des autres par lui-m
me fondement d'une- méthode sociolo- gique nouvelle, à savoir que l'
homme
va se sentir auto- risé à juger dès autres par
ie de conséquence logique, ri se soumettre au juge- ment des autres
hommes
» (p. 155). Nous ne chercherons pas quelles peu
LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 473 muns et essentiels à tous les
hommes
; qu'au dessous de ces principes, et en partie
s de ces principes, et en partie grâce à eux, il existe en chaque
homme
un complexus stable de notions d'abord étroites
capables de prévoir et de modifier, souveraineté, active chez tout
homme
, sur les sollicitations de 1 ? épi- thumia » co
ique ainsi « cette prédo- minance de plus en plus'considérable de l'
homme
sur la nature » (p. 153) que son adversaire se
es fois relevée, que,de dire : « Dans la doctrine dé- terministe, l'
homme
ne peut logiquement que se laisser aller, s'aba
sser aller, s'abandonner au courant qui l'entraîne ». (p. 149). L'
homme
même à l'esprit duquel serait toujours présent3
ls une va- leur appréciable en dehors de l'état social, et tous les
hommes
qui partagent cet état n'ont-ils pas le droit d
solu, n'ont en réalité, nul accès dans les rapports réciproques des
hommes
: elles n'ont pas, et ne pourraient avoir, lors
m absolu pour l'appréciation des motifs et de la conduite de chaque
homme
; il oublie enfin que dans tout système fermé a
s spontanés, dans les guerres, les révolutions « accomplies par les
hommes
au cri de leur conscience... sans se soucier de
le et constante pra- tique, du moins par le sentiment universel des
hommes
» (p. 157). Cette intuduction conduit donc à de
ductif que l'esprit a la notion de l'identité de nature de tous les
hommes
. L'intuduction n'est donc pas un procédé logiqu
tc. ? S'il existe des notions de bien et de mal communes à tous les
hommes
, est-ce l'observation inté- rieure qui donnera
droit serait plus sen- sible que le gauche, de 1 /9 environ. 1 L'
homme
droit et l'homme gauche, Bévue philosophique, 1
s sen- sible que le gauche, de 1 /9 environ. 1 L'homme droit et l'
homme
gauche, Bévue philosophique, 1899, XLVII, p. 11
me gauche, Bévue philosophique, 1899, XLVII, p. 113, 276, 371.' L'
homme
droit et l'homme gauche. Les ambidextres. Bévue
philosophique, 1899, XLVII, p. 113, 276, 371.' L'homme droit et l'
homme
gauche. Les ambidextres. Bévue philosophique, o
h.). -L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'
homme
, Année psyclaol., VII, p. 143 à 160, 1901. FÉRÉ
es, Paris, Alcan, 1890. Romanes (G. J.). L'évolution mentale chez l'
homme
. Origine des facultés humaines, traduit de l'an
caractère général et la nature toxique. A l'appui, observation d'un
homme
tuberculeux qui, au milieu de troubles nerveux
s termes ; elles contiennent toutes le même nombre de lignes. » Cet
homme
a dans ses habitudes et ses revue d'anatomie et
il ne renferme pas de fibres d'association. Il n'existe pas chez l'
homme
de faisceau d'associa- tion occipito-frontal. A
male ; par Rudler. (Nouv. Icon. de la Salpê- trière, 1906. n° 2.)
Homme
de 27 ans, à antécédents d'icthyose, présentant d
des réflexes cutanés et tendineux produit expérimentalement chez l'
homme
, M. EGGER - La fonc- tion gnosique. ' Séance
tons-le, là restera la trace glorieuse de ce grand travailleur. L'
homme
n'était pas plus banal que son oeuvre. Grand, m
terroger les problèmes les plus ardus de la biologie ? Et heureux l'
homme
qui a pu en jouir sans regrets ni amertume, en
n défende. M. Martineau s'est sowentlaissé aller à la critique de l'
homme
de lettres, tendance qui ajoute, d'ailleurs, à
s- toriques. 1° Rabelais, nous dit M. Biiiet-Sanglé, était bien l'
homme
de son livre, un être riche en substance, bien
n de trav ail. On sait que, d'après lui, il faut distinguer, chez l'
homme
, la fonction psychique supérieure et'la fonctio
ck est professeur à l'Uni- versité, chef du service des aliénés, un
homme
très connu et populaire. Un individu s'approcha
d, portant beau, à l'airgrave. Une conver- sation s'engagea entre l'
homme
et l'enfant.Rue \Iontmartre,Dlme Duchaillod, da
. Anthropologie. Traité des va- riations dcs os de la face de l'
homme
, et de leur signifi- cation au point de vue de
, de quoi se compose-t-elle ? Ce qui saillit immédiatement chez l'
homme
, c'est la faculté de penser, de raisonner, de v
exemples en abondent. Après juin 1848, nous recevons à Bicêtre un
homme
d'une cinquantaine d'années. C'étaitle concierge
comparables sur la force du groupe exploré. A l'état normal, chez l'
homme
adulte, la force de pres- sioiidéveloppée dans
e encore (M. I. D., 26 I : ilor.; M. I. G., 20 kilogr.). C'est un
homme
actif dont l'intelligence est bien conservée; m
ces derniers temps sur la microcéphalie. Le premier, dû à l'un des
hommes
les plus éminents de notre époque, Charles Vogt
oque, Charles Vogt, est intitulé : Mémoire sur les microcéphales ou
hommes
singes1 ; l'autre, élaboré sous les yeux de Broca
ien, et dont la lésion, d'après les idées admises, détermine chez l'
homme
l'hémianesthésie dite d'ori- gine cérébrale. La
s, assez aisément pour qu'il ne soit pas permis d'ad- mettre chez l'
homme
ces territoires nettement circonscrits, à fonct
tres émettait, il y a cinq ans, comme une simple hypothèse : chez l'
homme
, les fibres sensitives réunies, comme dans un c
ermique. Ces recherches, faites avec le concours du Dr Adler chez l'
homme
sain, ont démontré que les sensibilités tactile e
cessation des règles et l'apparition des pertes blanches, et chez l'
homme
l'absence des spermatozoïdes et l'impuissance.
ons mentales du rhumatisme (69 à 70 p. 100). Atteignant surtout les
hommes
(55 hommes sur 95 cas), elles sont anatomiqueme
s du rhumatisme (69 à 70 p. 100). Atteignant surtout les hommes (55
hommes
sur 95 cas), elles sont anatomiquement constitu
de six ans (folie à deux); enfin à un délire hallucinatoire chez un
homme
de vingt-sept ans. - 4° ? </9e/c. Il ne donn
il le déplore, il en exprime un grand repentir, non à la façon d'un
homme
qui mesure la gravité de sa conduite, cette not
pas besoin de faire ressortir l'inconsé- quence de la conduite d'un
homme
qui, sous le coup de poursuites judiciaires pou
Y. M. DALLY développe quelques considérations sur l'histoire d'un
homme
gaucher, âgé d'une cinquantaine d'années, qui ven
ne période de dix années. Tous les ans on compterait cinquante-huit
hommes
et treize femmes devenus aliénés sur l'effectif
inin. La proportion des psychopathes serait de 0,18 p. 100 pour les
hommes
et 0,20 p.100 pour les femmes détenus dans les
élinquants aliénés qu'observa M. Guttstadt dans la même période z83
hommes
, 136 femmes), il s'est écoulé moins de trois mo
ois de détention avant l'explosion de la folie chez 30,4 p. 100 des
hommes
et 10, 16 p. 100 chez les femmes. M. ZINN affir
mmunique un cas de paralysie progressive périodique. Il concerne un
homme
de trente-neuf ans, qui, dès le 2 mars 1878, ét
e contraire (inversion du sens génital de M. Charcot), l'amour de l'
homme
pour l'homme, de la femme pour la femme Les obs
inversion du sens génital de M. Charcot), l'amour de l'homme pour l'
homme
, de la femme pour la femme Les observations de
il réalise en somme le système des pavillons, chaque division (des
hommes
ou des femmes) comprenant des corps de bâtiments
anquilles, demi-tranquilles, gâteux paraly- tiques et épileptiques,
hommes
et femmes, se décomposent en deux segments n'ay
le malades, le groupement colonial ressortissant à environ quarante
hommes
sur un effectif général de trois cent cinquante
ron à cinq pas de l'endroit où le docteur était assis. Entendant un
homme
s'approcher, celui-ci s'était retourné ainsi qu'i
délire; à un degré très atténué on les rencontre chez beaucoup d'
hommes
sains d'esprit, parmi lesquels elles établis- s
ortune matérielle; il n'a z plus rien de ce qui fait l'orgueil de l'
homme
, ni intelli z gence, ni énergie, ni fortune.
ébral longtemps et profon- dément remué, car il est faux que chaque
homme
ait un grain de folie tout prêt à germer. Ainsi
881, p. 168.) . Voici le résumé de l'observation : il s'agit d'un
homme
sur le corps duquel un tramway avait passé et q
îiieiiiale, 1881, fasc. 7.) Le De Bassi rapporte l'observation d'un
homme
de 57 ans qui, après avoir été frappé d'hémiplé
digestif, de l'insomnie, de la dyspnée. L'étude des malades (sept
hommes
et neuf femmes) enseigne que ce genre d'affec-
sych. M. Il'ervenl ? lII, 1, 2.) Schwaab apporte une observation. L'
homme
qu'elle con- cerne, absolument bien portant jus
nécessité de réformer la loi qui les régit. Ainsi, par exemple, un
homme
commet un vol de 25,000 fr. à l'aide d'un chèqu
se déjuger, que va-t-on faire ? Enverra-t-on en cour d'assises cet
homme
irresponsable ? Vous le voyez, dans certains cas,
é envoyé à l'asile de Stephansfeld .(Bas-Rhin) que dix-sept aliénés
hommes
et femmes venant de prisons voisines- qui peuve
a contractilité musculaire.- M. Binpwanger présente le cerveau d'un
homme
de vingt-cinq ans, dément et epileptiqzie dès l
scnte zttt znalarle atteint d'une affection de la protu- bérance. L'
homme
de quarante-six ans, dont il s'agit, offre une
. Steinen ne croitpasque les blancs aient apporté aux nègres ou aux
hommes
de couleur l'aliénation mentale. Il suffit à qu
prédominent les plus fâcheuses disproportions dans la condition des
hommes
et des femmes, des gens mariés et des célibatai
conceptions délirantes par les réves. Il y rapporte l'exemple d'un
homme
chez lequel, bien qu'il fut intellectuellement bi
s moins prononcés. Les désirs et la puissance génitale sont, chez l'
homme
, rapidement et profondément con- promis. Chez l
on, August. 188t. JonissEN,çE (G.). Les mouvements de l'iris chez l'
homme
à l'état pli y- siologique. Brochure m-8° de 52
vertige avec chute par de simples injec- tions` auriculaires chez l'
homme
. On sait les expé- riences dé P. Bert sur les l
rait de lumière ! Il est possible, en effet, de faire naître chez l'
homme
des troubles ana- logues au vertige, et jusqu'à
labyrin- thique, on peut provoquer le vertige expérimental chez l'
homme
, par une légère commotion du labyrinthe. Il est
e toujours les mêmes idées mélanco- liques de culpabilité, il est l'
homme
damné destiné à brûler éternellement. M. A... d
it qu'elle est -enceinte du fait de sa bonne, qu'elle prend pour un
homme
déguisé. Mm0 G... se figure qu'elle doit être t
pations féminines, le désir de ressembler à la femme, de plaire à l'
homme
, l'idée obsédante de l'homme nu s'imposant plus
e ressembler à la femme, de plaire à l'homme, l'idée obsédante de l'
homme
nu s'imposant plus tard à l'esprit au milieu de
ion et l'éjaculation se produisent à la vue des organes virils de l'
homme
, à la vue d'une statue, à la seule idée du péni
ls de l'homme, à la vue d'une statue, à la seule idée du pénis de l'
homme
. Par contre, indifférence absolue pour la femme
melle d'un soulier de femme, tantôt le bonnet de nuit coiffant un
homme
ou la tête ridée d'une vieille femme ;'le bonnet
pendant des journées entières, voulait faire, disait- elle, comme l'
homme
; cherchait à retrousser la robe " des surveill
ec elle ; se montrant, ' d'autre part, indifférente à l'égard des
hommes
venus à côté d'elle. Westphal et Krafft-Ebing o
ement à substituer, par moments, l'image de la femme à celle de l'
homme
, mais ses nuits ont été traversées par des rêve
d'une femme se trou- vant, disait-il, enveloppée dans le corps d'un
homme
, Casper. llaiidbuch der gerichll naeclic., l3cr
-psychopathique, est-ce qu'il ne passe pas aux yeux de tous pour un
homme
parfaite- ment sain d'esprit ? L'on serait cert
eu et Ulrichs, il rapproche les récits, les écrits et les actes des
hommes
affectés d'in- version de l'instinct sexuel, de
ait eu, à six ans déjà, une voluptueuse satisfaction à contempler l'
homme
nu. Pour la plupart des malades, c'est une sort
ndung (1'c/t. psych., Bd. VI, p. 484 à 4J5, 1876.) Observation d'un
homme
de trente-cinq ans et l'observation peu conclua
Braizt, p. 368 à 370, octobre 1881. ])Ctlx observations, l'une d'un
homme
avec des détails intéressants; l'autre très inc
. 30 re PATHOLOGIE MENTALE. timents qu'ils ne comprennent pas : l'
homme
est porté vers l'homme, la femme vers la femme,
ALE. timents qu'ils ne comprennent pas : l'homme est porté vers l'
homme
, la femme vers la femme, avant même qu'ils aien
n vicieuse. C'est là, comme dit Ulrichs, l'énigme de l'amour de l'
homme
pour l'homme ; ce sont des sentiments per- vers
C'est là, comme dit Ulrichs, l'énigme de l'amour de l'homme pour l'
homme
; ce sont des sentiments per- vers innés. Les d
lles dési- raient s'habiller en garçon, elles auraient voulu être
homme
. Les regards de certaines filles les impression-
les accès de fureur, et toutes deux étaient portées au suicide. Les
hommes
n'avaient aucun attrait pour elles; l'une d'ell
X... au point de vue psychologique : M. X... est non seulement un
homme
intelligent, mais de plus il est très instruit en
mais recherché les rapports anor- maux ; il affirme que la vue d'un
homme
ou d'une femme nus 3111 G PATHOLOGIE MENTALE.
t ses confidences ? Et cependant que de symptômes révèlent chez cet
homme
la prédisposition INVERSION DU SENS GÉNITAL. 31
idées de suicide ; rien n'y manque. A un examen super- ficiel, cet
homme
ressemble à tous les autres, il vit de la vie c
l le jette ou le laisse chez lui dans un coin. Quand il aperçoit un
homme
ou une femme avec un tablier blanc, il les suit
ets de nuit, ou de tablier blanc on considère que l'obsession ait l'
homme
pour objet, les phénomènes se dérouleront de la
et qu'elles ne sauraient, par conséquent,' 'être repor- tées sur l'
homme
. Tout en accordant que la valeur de ces expérie
ologique est le résultat d'une expérience faite par la nature sur l'
homme
, et une telle expé- rience ne trompe certaineme
ment restreintes par les limites naturelles de l'observation'chez l'
homme
. C'est pour cela que toute modification matérie
fication matérielle survenue dans le système nerveux central chez l'
homme
, dont la marche a été suivie attentivement et c
Dans mon travail sur « les vaisseaux de la moelle épinière chez l'
homme
» '.publié récemment, j'ai fait constater que les
té est plus fréquente chez les diabé- tiques que chez le commun des
hommes
. Tantôt légère et passagère (Lécorclié), tantôt
emériens. Cependant, tout en tenant compte de leur constance chez l'
homme
, le chat, le chien, le mouton, il im- porte de
de Brunswick). (Central ! ), /. Nei,v., n° 15, 1er août 1880.) Un
homme
de vingt-neuf ans fut frappé de plusieurs coups
881). M. Shaw a étudié le réflexe tendineux, sur soixante et onze
hommes
et sur onze femmes. Chez les soixante et onze hom
ixante et onze hommes et sur onze femmes. Chez les soixante et onze
hommes
, il était normal dans vingt-huit cas, diminué d
Contribution à l'élude de l'atrophie cérébrale infantile ; par Des-
homme
. Thèse de Paris, 1882. Du traitement de l'épile
e de Pandi"2 qui vient à l'appui des conclu- sions de Pugliese : un
homme
de trente-cinq ans est atteint de paralysie fac
lentement que le gauche ; en outre, il se meut par saccades. Cet
homme
n'a jamais pu, même avant sa paralysie, fermer un
pour la détermi- nation du centre des mouvements de la face chez l'
homme
, il faudrait conclure que ce centre occupe exac
xaminer et nous confier pour une étude ultérieure le cerveau de cet
homme
, décédé dans son service. 22 CLINIQUE NERVEUS
génitaux sur les animaux, des choses qui ne sont pas per- mises aux
hommes
et que Dieu va punir, qu'il est enfin indigne q
ises aux hommes et que Dieu va punir, qu'il est enfin indigne qu'un
homme
comme lui vive, etc.. La volonté est abolie, il n
apporte, de prévoir l'évolution de la maladie. Il s'agis- sait d'un
homme
atteint de paralysie faciale double. Selon les
e l'on peut donner à leurs membres des positions impossibles chez l'
homme
normal. C'est ainsi, par exemple, que la jambe en
guines, prolifération névroglique ; isthme et moelle indemnes. 3°
Homme
, quarante-six ans (père choréique à trente-neuf a
âge moyen de 33,3 ans et moururent à un âge moyen de 41,2 ans. Les
hommes
sont plus souvent atteints. A l'autopsie on tro
IE NERVEUSE. d'un travail de coordination manuelle n'affine chez un
homme
sain la sensibilité objectivement mesurable, pa
consistant dans une transplantation musculaire. * Les malades, deux
hommes
, furent inscrits dans le service de l'auteur à
les peuples civilisés réclament une place à l'apothéose de-pareils
hommes
de science qui sont l'honneur de l'humanité ent
ous les jours l'occasion d'inaugurer la statue d'un véritable'grand
homme
, en cette époque de médiocres où la notoriété s
agilité native qui faisait des muscles et du système nerveux de cet
homme
un locus minoris resiatenlix. BIBLIOGRAPHIE.
iénés de Maréville (Rapport du médecin en chef (le -il division des
hommes
à M. le préfet de llLeurthe-et-loselle). Aunée 18
entiel quelconque. Ces recherches se rapportent raz100 paralytiques
hommes
, à 25 femmes et à 300 aliénés non paralytiques.
Voici les résultats auxquels ils arrivèrent : Sur 100 paralytiques
hommes
, après des expériences mul- tiples on constata
t 8/100 douteux : résultat presque identique a celui fourni par les
hommes
. Quant aux aliénés non paralytiques, les expéri
aliénés non paralytiques, les expériences ont porté sur 280 malades
hommes
pris au hasard, et 100 femmes seulement atteint
seulement atteintes de toutes les formes de psychoses. Sur les 200
hommes
, 0/100 présentaient une réaction doulou- reuse
s aliénés de l'asile d'Armentières. Elles ont porté sur 626 malades
hommes
: 84 paralytiques géné- raux et 542 autres alié
Archives de Neurolortie, no 37. Fig. 9. Groupe de mélancoliques (
hommes
). ' 106 PATHOLOGIE MENTALE. une' ancienne c
oir péché envers son mari. Elle n'a pas été convenable devant les
hommes
, car elle chante et rit sans parler. Elle s'accus
boisson alcooliques. Ramené de nouveau au monastère, il dit que des
hommes
ve- naient chez lui avec des couteaux pour le s
les sui- vrons avec l'expérience que donne l'âge, et l'habitude des
hommes
et des choses. En France, les placements d'of
seil général, il y avait à l'asile de Murthley un tiers des malades
hommes
libres, sur parole, dans l'intérieur de l'asile
le. A l'asile Larbert, les proportions sont plus faibles pour les
hommes
et plus élevées pour les femmes. A l'asile de Mor
l'asile de Morningside, la population libre est d'un quart pour les
hommes
et d'un dixième pour les femmes. Les malades
rétribution, se répartissent de la manière suivante : Lar- bert, 47
hommes
et 4 femmes sur une population de 500 malades ;
circuler librement dans nos asiles comme cela existe en Ecosse, les
hommes
et les femmes, alors même qu'ils prendraient l'
rveau; par le Dr STEWART PATON. Déjà Anaxagore avait dit que si l'
homme
est plus intelligent que l'animal, c'est que so
hien, sept pour le chat, quatorze pour le cochon d'Inde ; 3° chez l'
homme
, des cas cliniques montrent que la femme peut ê
des cas cliniques montrent que la femme peut être fécondée par un
homme
castré. Dans un cas, du Dr Pruneteau, des spermat
; 4° par ana- logie avec le chien et le chat on peut admettre qu'un
homme
castré puisse être capable de procréer dans les
doit l'importante étude médico-psycholo- gique de la puberté chez l'
homme
et la femme, fait ici l'étude comparative et et
storique où il recherche l'âge et les conditions diverses auxquel l'
homme
était déclaré majeur dans l'antiquité (civis roma
la formation de la substance blanche dans les lobes cérébraux de l'
homme
; par P. FLE- cRsiG (Neurologische Centnulblatt
n de celui des anthropoïdes, déterminent la forme du cerveau de l'
homme
. Il est bon de noter que la troisième frontale
sept temps de l'opération comme il la comprend et relate son cas :
homme
vingt et un ans, attaques depuis une peur surve
cal journal, 26 novembre 1898.) La première observation concerne-un
homme
de trente-quatre ans qui depuis deux ans souffr
ont- martre, souvent en proie à des crises d'alcoolisme. Ce jeune
homme
se livrait alors à toutes sortes d'excentricités
m sanguin des épileptiques paraît être moins toxique que celui de l'
homme
sain. C'est dans le but de rechercher cette tox
e toxicité moindre du sérum sanguin chez l'épi- leptique que chez l'
homme
sain. Nous avons au contraire constaté que cett
maintenant à ces expé- riences. I. - La toxicité sanguine chez l'
homme
normal. Après les expériences si concluantes du
ne nous reste rien à dire ; néanmoins nous avons expérimenté chez l'
homme
sain, afin de comparer la toxicité du sang chez
plement savoir si les mêmes quan- tités de sérum d'épileptique et d'
homme
sain avaient le même degré de toxicité. Dans le
m sanguin sont absolument inoffensifs quand ce sérum pro- vient d'
hommes
sains, tandis que des quantités moindres de sér
ur déterminer la mort d'un lcilog. d'animal avec du sérum sanguin d'
homme
sain est de 15 ce. Nous étions donc bien au-des
que. Pourtant ce sang paraît assez toxique, plus toxique que chez l'
homme
bien portant, plus toxique que chez les épilept
l LE SENS TACTILE ET LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 191 n'était plus un
homme
; il affirmait que son corps miné était sans fo
ession surviennent entre quarante et cinquante ans, surtout chez un
homme
, elles peu- vent faire penser à un début de par
ut faire courir à la société REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 215 un
homme
occupant une haute situation et atteint de paraly
nt anesthésique et amnésique. Dans le premier cas, il s'agit d'un
homme
de cinquante ans, interné pour un état mélancoliq
tatives : hérédité très chargée. Dans le second cas, il s'agit d'un
homme
de cinquante et un ans qui, rentrant chez lui a
restation, n'ayant aucun souvenir de l'homicide qu'il a commis. Cet
homme
est alcoolique. La suspension de la conscience
Médical nets, octobre 1898.) L'auteur rapporte l'observation d'un
homme
de trente-neuf ans qui présenta d'abord de la f
édical Journal, novembre 1898.) La première observation concerne un
homme
de trente-cinq ans admis à l'infirmerie royale
se Médicale, 21 septembre 1898 L'auteur rapporte l'observation d'un
homme
de cinquante ans, d'apparence robuste, et pesan
au sommeil consti- tuant une véritable maladie. L'existence de cet
homme
, depuis l'apparition decesymptôme, n'était qu'u
ssées et présentant une mu- queuse sensiblement hypertrophiée), cet
homme
ne pouvait être considéré comme un myxoedémateu
les femmes et les enfants, suivant l'exemple funeste donné par les
hommes
, pren- nent, en certaines contrées, l'habitude
de menuisiers, de tapissiers, etc., puis une école. 75 p. 100 des
hommes
sont employés aux travaux de la Colonie, en par
nfants et un certain nombre de cottages comprenant chacun 10 à 12
hommes
. (.2mericnn joumzal of insanily, octobre 1898.) E
e diabolique). Les Sorciers. P. Regnard, 1887, p. 22. Ch. Richet. L'
homme
el l'intelligence, p. 500. 4 B.-A. More). Tra
ur disparaître à nouveau au réveil. Nous avons pu ainsi endormir un
homme
, qui n'avait jamais présenté le moindre symptôm
ntenant, lui foula un doigt de la main droite. La crise passée, cet
homme
ne sachant d'où lui venait sa contusion, racont
mois après une section complète du nerf médian au poignet chez un
homme
de quarante-six ans, la résection du névrome cons
ciel et s'écrie : « une hirondelle » ; travail intel- lectuel de l'
homme
devenu sourd qui répète un mot qu'il lit sur la
es tis- sus sous-jacents et la résistance entre les deux mains d'un
homme
adulte est de beaucoup moindre que celle d'un g
CUEFF. Recherches analomo-pathologiques dans tin cas de rage chez l'
homme
. Voici le résumé des constatations de l'auteur
ffensif de l'alcoo- lisme chronique. Depuis plus de trois mois, cet
homme
n'a pas bu un seul verre d'alcool : une surveil
abrazès et BaENGUEs. (Nouv. Iconogr. de/6[S«e'të)'g, n° 1, 1899.)
Homme
de cinquante-huit ans, avec antécédents personnel
INE.NTFltGlIEM. (Journ. de Neurologie, 1898, n° Il.) Il s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans qui était atteint d'un spa
s problèmes non résolus, si en raison d'une science incomplète, l'
homme
doit subir encore, sans défense utile, certains a
e vos collaborateurs, et je salue ici, à la l'ois, les savants, les
hommes
de coeur dont les fonctions consti- tuent un vé
f à notre spécialité, nous trouvons dans le.passé et le présent des
hommes
de science, dont le savoir et le dévoue- ment o
luirmeme à être relevé de ses fonctions de directeur en faveur d'un
homme
qui sut s'inspirer de son exemple et de ses conse
en ne me paraissait plus facile à faire que l'éloge du savant, de l'
homme
de bien et du fonctionnaire idéal, imbu des princ
-Victor-Alfred), est né à Marseille, le'16 janvier 1828 ;-son père,
homme
d'une grande érudition, était chef de division à
arseille et de tous les aliénistes de Paris et de la pro- vince ; l'
homme
privé a laissé des souvenirs inoubliables et des
tant de cette caste, la seule admissible de nos jours, la caste des
hommes
utiles. Dois-je encore vous dire, mes chers col
site fort intéressante s'est terminée par't'examen du service des
hommes
, placé sous la direction de M. le D1' Maunier.
ompétents, en fait d'aliénation mentale. Personnel DE surveillance (
Hommes
). Un surveillant en chef, 3.100 francs, logé, c
comme prix des quelques menus services qu'elles rendent encore. 2 i
hommes
, j même situation, touchent chacun,200'francs.
fixe dont le point de départ se retrouve dans un rêve. Exemple : un
homme
, après une fièvre typhoïde avec délire pendant
rrefeu. 398 SOCIÉTÉS SAVANTES. plémentaires : le pensionnat des
hommes
et son quartier de traitement ; les bâtiments a
, moins d'esprit systématique, moins de puissance de volonté, que l'
homme
, mais peut-être le type féminin que l'expé- rie
omprise à laquelle la jeune fille est soumise. Les psychoses chez l'
homme
sont plutôt une conséquence du rang social qu'i
y- chotogie religieuse dans Michelet. J.-J. Van )iiE ! t\ ! .mr : L'
homme
droit et l'homme gauche (2° ar)ic)e).Bévue géné
ieuse dans Michelet. J.-J. Van )iiE ! t\ ! .mr : L'homme droit et l'
homme
gauche (2° ar)ic)e).Bévue générale; V. Ill ? Niti
8 PATHOLOGIE MENTALE. il n'arrive pas à se maintenir au niveau d'un
homme
ordinaire. Il n'est qu'un propre à rien, un mau
n fourbe, un hypocrite, un lâche, etc... Il n'est qu'un « fantôme d'
homme
». Par leur caractère d'auto-accusation général
où par exemple il déclare dédaigneusement n'être « qu'un fantôme d'
homme
, qui n'est seulement pas capable d'être le maît
incère, cela prouve qu'elle s'aveugle sur tout, sur la vie, sur les
hommes
, en particulier sur lui. Que ses chefs DÉLIRE
a famille, le maître chez lui ? Ne sera-t-il pas considéré comme un
homme
« diminué » ? C'est là sa préoccupation prédomi
.1. ROGUES DE PUIISAC, Interne des Asiles de la Seine. Sommaire.
Homme
sans antécédents héréditaires, porteur de stig-
part pour le Tonkin avec son régiment. Il y reste quatre mois; ses
hommes
ayant commis des actes d'indiscipline, son colone
u'on lui a confiés. Pondant son séjour il a donné l'impression d'un
homme
au caractère doux, obligeant, aimant à rendre s
droit à la demande de P... et recevoir dans un service d'aliénés un
homme
exempt de troubles mentaux. Depuis nous n'avons
térie mâle; ce diagnostic,' en effet, nous paraît s'imposer. Notre
homme
était porteur de stigmates permanents d'hys- té
de porencéphalie ; par Wigihïswout. (l3rccin L\VItct L\V111.) I.
Homme
de vingt-quatre ans (père alcoolique) normal jusq
s de travaux publics. b) Indépendamment des conseils de guerre, les
hommes
de troupe sont justiciables des conseils de dis
ysie géné- SOCIÉTÉS SAVANTES. 479 raie, idiotie » : En 1803, si
hommes
sur un effectif de li.935, soit 1,2 p. 100; en
eliers de travaux publics on réforme annuellement pour aliénation 1
homme
1/2 sur 1.000. 2° Compagnies de pionniers et de
isciplinaires, on réforme actuellement, pour aliénation, 3,4 de ces
hommes
sur 1.000. 3° Bataillons d'infanterie légère d'
ons d'Afrique pour aliénation mentale en moyenne chaque année 0,8 d'
homme
pour 1.000. 4" Armât', moins les prisonniers et
vice, ils n'ont pas porté atteinte à la disci- pline, dans ce cas l'
homme
est envoyé à la visite du médecin du corps. E
dorénavant, aux nombreuses pièces exigées pour la comparution d'un
homme
au conseil de guerre ou de discipline, serait j
médecin-major ne bornerait pas ses investiga- tions au séjour de l'
homme
au corps, mais tenterait d'établir, par une enq
ins en grande partie, de pareilles erreurs, en prescrivant que tout
homme
en prévention de conseil de guerre ou de discip
; la clarté l'apaise et le tranquillise. De même que l'animal, l'
homme
, au bout de peu de temps. change de caractère,
98, les alcoo- liques délirantes ont été au nombre de 10a. Chez les
hommes
du mois d'octobre 189 jusqu'au 30 novembre 1898
end un hommage ému à la mémoire de l'ancien directeur. Un choeur (
hommes
et femmes) composé de pensionnaires de l'établi
nait depuis un certain temps. Le monument érigé à la mémoire de cet
homme
de bien n'est qu'une réparation qui était due à
l'asile public de Bron, est nommé médecin en chef de la section des
hommes
en remplacement de M. le Dr Brun, admis à la re
- ches sur la formation de la subs- tance blanche dans les de l'
homme
, parFlechsig, 154. IrIG\E'r0-III't'\OT1S\(E. L'
age, liecheicnes anatomo-patholo- giques -dans un cas de - chez l'
homme
, par Tscllerniscllell, 332. Réflexe. Le viril o
existe dans la science trois observations de coenure cérébral chez l'
homme
. La ira appartient à Zéser, la 2° à Louis, le 3
e ; il croyait que cette forme du pa- rasite était particulière à l'
homme
et il la considérait comme constituant un genre
nt ; dès 1821 Bremser avait cependant montré que les hydatides de l'
homme
ne sont pas plus dépourvues de têtes que celles d
la dissé- mination du parasite. - En France, les hydatides chez l'
homme
sont assez fréquentes et d'après Leudet il y en
as de kyste de cette nature développés dans les divers organes de l'
homme
ont été le plus fréquemment rappor- tés par les
19 à 27 ans qu'il est le plus commun de trouver le parasite chez l'
homme
. D'après les statistiques allemandes, le dévelo
la femme. Krummacher sur 86 malades l'a ob- i servé 41 fois chez l'
homme
et 45 fois chez la femme. Finsen sur 255 cas, l
5 fois chez la femme. Finsen sur 255 cas, l'a trouvé 74 fois chez l'
homme
et 181 fois chez la femme. Neisser sur 358 obse
81 fois chez la femme. Neisser sur 358 observations en a 148 chez l'
homme
et 210 chez la femme. D'après Thomas, en Austra
D'après Thomas, en Australie, la femme serait moins atteinte que l'
homme
, mais il ajoute que ce sont les hommes qui sont
e serait moins atteinte que l'homme, mais il ajoute que ce sont les
hommes
qui sont employés aux soins des ani- ! maux et
u que deux fois sur 500 chiens. La transmission a lieu du chien à l'
homme
par l'absorption des oeufs fécondés qui pénètre
nous savons de la transmission du parasite de certains animaux à l'
homme
et des conditions particulières qui entretiennent
11LBG\E. Sur les ténias, les échinocoques et les bothriocéphales de l'
homme
. Mém. de Soc. méd. des hôpit., XIII, 1876. Da
9. Traité zoologique et psychologique sur les vers intestinaux de l'
homme
. Trad. française. Paris, 1837. F. K.ucnEp.MEi
la Seine. interne des asiles d'aliénés de la Seine. Il s'agit d'un
homme
de 75 ans qui, frappé pour la première fois, il y
angue)... Plus tard il dit : Barello, coupeo. Aum... est un brave
homme
. Rouegage, un boa, bave, brouette, une au- tre
î-oitette... brouette... Ques- tion écrite : Aumen... est un brave
homme
. - Lecture : ... Rouegage un boa... bave... bro
'observa- tion de notre malade. + * * Observation. - C'est un
homme
(C... Victor), âgé de 54 ans, charcu- tier, ent
ne fois en 1900), douleur dans la région lombaire droite, que notre
homme
attribue au refroidis- sement, mais qui paraît
ourante s'exécutent dans des conditions tout à ' fait bonnes. Notre
homme
assure qu'il marche eu moyenne à une allure de
, des explications précédentes ne peut être adoptée : en effet, cet
homme
avait 19 ans, il marchait sans béquille, depuis s
s capables de conserver la santé, et de préserver des maladies, les
hommes
eurent recours aux moyens offerts par l'art. C'es
lle fille qu'on pût trouver. Peut-on dire que ce soit l'action d'un
homme
chaste ? » Plus loin, Bayle ajoute encore en ré
ée de la vie, est une vé- rité qu'il est aisé de rendre évidente; l'
homme
par sa nature est immortel c'est-à-dire qu'orig
de père en fils et de là n'ayant fait que s'ac- croître, la vie des
hommes
s'est trouvée graduellement abrégée presqu'au p
nt abrégée presqu'au point où nous la voyons aujourd'hui. « Si un
homme
voulait s'assujettir à un régime aussi sain qu'ex
es sensibles ou insensibles tirées de ces choses. C'est pourquoi, l'
homme
peut projeter sa puissance et sa force hors de
esprits, tout aussi bien que des autres animaux. Au contraire, les
hommes
sains et de bonne complexion, surtout les jeunes
tout les jeunes gens, 66 BEAUVOIS réconfortent et revivifient les
hommes
par leur seule présence, cela il cause de leurs
s-nous, de faire remarquer, que ce pouvoir particulier attribué à l'
homme
par Bacon s'adapte merveilleusement à la théori
urs la pro- fession, la manière de vivre et même l'existence de cet
homme
. Le pro- blème est posé, il s'agit de le résoud
ours heureux, une consolation dans l'adversité. Elles réjouissent l'
homme
à son foyer, l'accompagnent au dehors, et ne le
amine ensuite cette question : de savoir si la durée de la vie de l'
homme
est une chose fixe ou indéterminée. Les anciens
e mouvement et l'aspect des astres. Les infirmités qui atteignent l'
homme
dans sa vieillesse ne sont pas né- UN CURIEUX M
nts et des vices. Il n'y a certes pas d'espoir d'immortalité pour l'
homme
, ni même de pro- longation de la vie jusqu'à 30
mités à un certain nombre d'années. Il est donc très possible qu'un
homme
puisse allonger sa carrière au dela de la date
l'expérience. L'histoire, dit-il, nous enseigne que les premiers
hommes
vivaient plus longtemps que nous : les auteurs
ades comme jouis- sant de ce privilège. Si donc il est vrai que l'
homme
peut atteindre un âge aussi avancé, il convient
qui bien que difficiles ne sont pas en dehors de la puissance de l'
homme
. ' Après une explication du souffle humain en g
l n'y a rien de semblable. IIermolaus Barbarus a écrit qu'à Rome un
homme
vécut 40 ans par la seule inspiration de l'air.
de vie, peut vivre peut-être deux fois aussi longtemps qu'un autre
homme
. » Hermippus vivait donc au milieu des jeunes f
es. Voici le premier. Peter Lotichius (1) rapporte ce qui suit : Un
homme
de 80 ans, après avoir perdu sa première femme,
ulement les grâces, mais au dire de sa femme, toute la vigueur d'un
homme
de trente ans, ce dont la suite prouva la vérit
n tête de leur préface : « On aperçoit dans l'auteur du livre, un
homme
d'un grand savoir, d'une littérature peu commun
superstitions et des rêves plus ou moins insensés que le cerveau de l'
homme
a produits dans le cours des siècles. Soyons au
main, en une oeuvre d'art. Comme le dit Taine (1) : « Nous autres,
hommes
moyens, nous décomposons les objets pièce par p
les monuments byzantins ont souffert terriblement t de la main des
hommes
, plus encore que de l'action du temps. Il n'en
ésareth. A la voix du Sauveur, les démons, sortis du corps du jeune
homme
, entrèrent dans des porcs qui paissaient en troup
nt à guérir le paralytique. Celui-ci est couché sur un grabat. Deux
hommes
soulèvent ce grabat avec des cordes pour le fai
compartiment reproduit PI. VI,E, a pour sujet la guérison du jeune
homme
aveugle. Jésus, debout devant l'aveugle, touche s
ous nous rappelons que l'alti- tude ne rappelait en rien celle d'un
homme
frappé de cécité. Le personnage qui se lave à u
s. Au premier plan du groupe, devant le Christ, et béni par lui, un
homme
barbu, dont le gros ventre, étalé, retombant sur
elle se débat dans des convulsions que suffit à peine à maîtriser l'
homme
qui, par derrière, lui soutient l'épaule gauche,
vant le saint, enchaîné et immobile. Son attitude est celle de tout
homme
enchaîné. Seul un démon voltigeant nous permet
est bossu (Pl. VIII, A). Deux personnages sont en face de lui : un
homme
richement vêtu qui dépose une aumône dans la sé
é obligés de quitter leur habitat humain. Deux diables pour un seul
homme
, c'est beaucoup, dira-t-on ! Ce n'est rien en c
mais de cela on ne se préoccupait guère. Pourvu que le diable, ou l'
homme
, - cessât de s'agiter, peu importait le choix d
e carrée, les membres forts et compacts, la figure comme celle d'un
homme
qui fait un effort. » Et Suétone précise la na-
entourée d'un mur percé de plusieurs portes élégamment ornées. Deux
hommes
nus y sont plongés. Par les portes on aperçoi
s de là s'avance une femme tenant dans ses bras un enfant. Puis, un
homme
qui pousse une brouette sur laquelle un paralytiq
a la figure déformée et comme couverte de pustules ; devant lui, un
homme
et une femme gisent élendus côte à côte sur un
(Y ? siècle).. LES TAPISSERIES DE REIMS 103 Près de la piscine un
homme
est renversé sur le dos,élevant le moignon de s
ment disloquée au ni- veau du genou. ' Enfin, plus en arrière, un
homme
barbu, rampe sur les genoux et sur les mains ar
l' ( . .' t ? (' , (1 ' 1 . '1 "" t' l" . 1 ? « ? |1 y avait là un
homme
qu était tl3aladë.depuis trente-huit ans. 7 Jès
t, : I.evez-vons;'enipôi'tez'vôtrê lit et marchez/ ' ' Aussitôt cet
homme
fut guéri, et prenant solï-lit; il marchait ? 1 *
rmations qui peuvent atteindre dans son développement le corps de l'
homme
ou des animaux ont depuis longtemps attiré l'atte
oïdes, et biceps forment des reliefs bien développés, comme chez un
homme
assez fortement musclé. Sur le dos on constate au
petits cepen- dant. La barbe d'ailleurs est peu développée pour un
homme
de cet âge ; elle n'est représentée que par une
rme. de l'os crochu, du grand os ( ? ). III. - PRInGLE, 1893 (2). -
Homme
, 31 ans. - Absence totale des deux cubitus. - D
SCRIPTION D'UN ECTROMÉLIEN UÉMIMÈLE 141 VII. - Roberts, 1886 (1). -
Homme
de 73 ans. Le cubitus droit man- que presqu'en
ale ; les muscles entièrement normaux. XII. - SENFTLEBEN, 1869 (6).
Homme
de 21 ans. - D'un seul côté, à gauche, la parti
re membres, était montré dans les foires sous la désigna- tion de l'
homme
tronc; il écrivait, dessinait, tirait au pistolet
tion, 'due à une lésion destructive, soit plus fré- quente chez les
hommes
que chez les femmes et cela précisément au mo-
ne troisième mosaïque, à demi effacée, il ne reste qu'une figui e d'
homme
, presqu'entièrement nu, couvert d'un grand nombre
pèce de contracture ou mutilation. Un peu plus loin, Jésus bénit un
homme
dont les mouvements bizarres pourraient être ce
l comitial. La photographie qu'il publie est précisément celle d'un
homme
épileptique. Voici maintenant l'observation qui
l'accès, il est obligé de s'aliter pendant vingt-quatre heures. Cet
homme
présente en outre un trouble vaso-moteur que nous
l'lwlnl\I ? 111'lthatHI, Pan" NOEVUS VEINEUX ET HYSTÉRIE 215 Cet
homme
est d'ailleurs alcoolique. Depuis son passage à l
ge. Elle a eu également, dit-elle, des rapports avec un autre jeune
homme
, longtemps avant de se marier ; elle avait alors
i-même et..pourtant ce n'est pas vrai. Je demande des excuses à cet
homme
qui était un de mes amis en manière honnête. » Vo
pertrichose généralisée et anomalie de développement chez un idiot.
Homme
de 40 ans atteint d'idiotie et présentant une hyp
it cangenilaler lumbaler Hy- pel'l1'ichose. Ce cas est celui d'un
homme
âgé de 20 ans, atteint de spina bifida occulta et
-.lournal of cutaneous and genito-urinary diseases, 1888, p. 97.
Homme
âgé de 30 ans, hypertrichose apparue à l'âge de 1
janv., p. 173. Spina bifida sacrée et légère hypertrichose chez un
homme
de 22 ans. 17. G. Joachimsthal. - Berliner klin
r Casuistik der Spina bifida occulta mit locale,' Hypertrichosis.
Homme
, 18 ans. Mère aliénée (mélancolie). , Hypertr
plémentaires. 32. Kirmisson. - Bulletin médical, 1887, n" 53. , 4
Homme
de 26 ans, spina bifida latent révélé par divers
de jeunesse plusieurs caractères profondément flamands, le type des
hommes
, avec des débordements de chairs, des caractère
on que celle d'être vraie. L'enfant, soulevé de terre, porté par un
homme
vigoureux éprouve certainement une crise d'une vi
indispensable de définir le nanisme. Le véritable nain doit être un
homme
de taille très réduite par rapport aux individu
tion des différentes parties du corps, c'est l'homuncul us, c'est l'
homme
vu par A PROPOS d'un cas d'achondroplasie 283
et 58 centimètres du pubis à la fourchette sternale, comme chez un
homme
de taille plutôt grande. Chez l'adulte normal, la
mbres supérieurs par- ticipent à cette brièveté. Tandis que, chez l'
homme
adulte, l'extrémité du médius atteint le tiers
chiffres sont peu inférieurs à ceux qu'on pourrait trouver chez un
homme
de taille moyenne. Ce qui montre, encore plus que
s- (1) LEBOfiCQ, De la Brachydactylie et de l'hyperphalangie chez l'
homme
. Bulletin de l'Académie royale de Médecine de B
edouté longtemps de sortir le soir; jusqu'à 13 ans il craignait « l'
homme
blanc » dont il avait entendu parler dans les his
ertainement pas une différence de nature ; comment admettre que cet
homme
ayant été myoclonique demeure hystérique, qu'il
expérience qui est (1) Etudes expérimentales sur le travail chez l'
homme
et sur quelques conditions qui influent sur sa
l43). L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'
homme
(ibid., p. 143). - De l'influence de réchauffem
au bout de huit jours, cette douleur est entièrement dissipée, et l'
homme
jouit d'une bonne santé pendant plusieurs année
emporal enfoncé, avait été brisé en plusieurs pièces. Obs. II. Un
homme
de soixante ans mourut d'une fluxion de poitrine
ne végétation du diploë. Si on eût fait l'opération du trépan à cet
homme
peut-être eût-il vécu dix ans de moins. - Obser
nt, se sentait moins solide sur ses jambes. Puis il titube comme un
homme
ivre. La parole devient sourde et hésitante, sc
uelques mots les symp- tômes qu'il présente. Louis Haud... est nn
homme
de 39 ans. La maladie actuelle a débuté à l'âge
m.- Voir aussi A. Van GEIIUCIITEN, Anatomie du système nerveux de l'
homme
, 3° édit., 2 vol. 527; 579 ; t. II, passim. NOU
tal. Observation II. Le 2e cas corrobore ce diagnostic ; c'est un
homme
de 78 ans, dont vous pouvez observer la photogr
ologie, 1900, p. 742) ; Etudes expérimentales sur le travail chez l'
homme
et sur quelques conditions qui influent sur la
intermaxillaire dépasse souvent 60 et même 80 kilogrammes chez des
hommes
normaux (1). Exp. III. - Médius droit. - Pendan
ces variées (2). (1) J.-J. VAN BI&OLIET,L'Ït07n)nC droit et l'
homme
gauche (Revue Philosophique,1899, XLVII, p. 113
. (2) L'excitabilité comparée des deux hémisphères cérébraux chez l'
homme
(L'an- née psychologique, 1901, p. 143), De l'i
conservé au musée des Offices, à Florence (n° 808) (PI. LX). - Un
homme
à demi-nu qui semble en pâmoison est couché sur l
» La première observation du mémoire de Landouzy a pour sujet un
homme
de 65 ans, mort à la suite d'une hémiplégie droit
ntre dans les régions para- lysées. Il présente, par projection, un
homme
atteint d'une éruption syphilitique qui avait r
imitation extrême des mouvements de toutes les articulations de cet
homme
, telle qu'il se meut presque tout d'une pièce. Se
complètement. Voici du reste la descriplion du malade : C'est un
homme
âgé de 30 ans qui est entré à la Clinique médical
ecine, a réuni plusieurs figurations de saignées. La Saignée d'un
homme
, gravure sur bois extraite de Liber pestilienta-
Tacite. Son Sénèque est cependant plus vigoureux qu'on n'imagine un
homme
affaibli par de longues privations, et le sang s'
elle renferme. Ces recherches ont porté sur' les animaux et sur l'
homme
sain ou en état d'insomnie et sont dues à diffé
acétophénone administrée à dose thérapeutique chez les animaux et l'
homme
sain ou malade n'ayant pas d'insomnie, ne produ
s* soit sur- tout au Montpellier médical 3. Chez les animaux et l'
homme
sain, l'acétophénone, employée à doses thérapeu
cerne l'action somnifère de cette subs- tance chez les animaux et l'
homme
sain, nous ne pouvons conclure à une action sem
'homme sain, nous ne pouvons conclure à une action semblable chez l'
homme
malade atteint d'insomnie. L'acétophénone anémi
e à des doses trop élevées pour qu'elle puisse être employée chez l'
homme
. Quoique négatives au point de vue de l'action
hes physiolo- giques nous conduisent donc à rechercher si, chez l'
homme
malade et atteint d'insomnie, cette substance p
E. somnie. Mais pour nous guider dans son administra- tion chez l'
homme
malade, et cela plus particulière- ment au poin
50 cen- tigrammes de cette substance, administraient celle-ci à l'
homme
à la dose de 5 à 6 gouttes, dosé qu'ils ont por
as de som- meil. L'hémoglobine a baissé de 13,5 à 11,3 p. 100. Un
homme
et trois femmes atteints d'insomnie par suite d
ue l'impulsion au feu n'est pas un simple accident dans la vie d'un
hommes
mais bien une manifestation de dégénérescence p
ctère, les avis étaient partages : les uns le présentaient comme un
homme
irritable, violent, méchant et buveur; les autr
e un autre fils qui parait avoir été intelligent. Alcide était un
homme
d'une taille de lm,70 au moins, d'une bonne con
porte un cas de folie systématisée aiguë primitive survenue chez un
homme
, épileptique dès l'enfance, présentant des anté
ctions pathologiques des sphères visuelles peuvent entraîner chez l'
homme
un processus descendant vers les centres optiqu
X. SUR la FONCTION DES COUCHES OPTIQUES CHEZ LES animaux ET chez l'
homme
; par le professeur BECHTEREFF (de Kazan). (Le W
le les mêmes groupes-de cellules que chez les carnassiers et chez l'
homme
, bien, plus' semblables, quant à leur répartiti
ibution A la QUESTION DES conducteurs optiques dans LE cerveau de l'
homme
; par A. Richter (arcs. f. Psych., XVI, 3). A
ervation qui vous a étéluepar M. Bourru de Rochefort, au sujet d'un
homme
atteint de grande hystérie. Ce malade, que j'avai
iale, et n'ayant pas dépassé la trentaine. Hagen prétend que sur 22
hommes
céliba- taires atteints d'aliénation mentale qu
400 malades, appartenant à une classe sociale peu for- tunée : 200
hommes
, 200 femmes. La proportion des aliénés à mettre
chez les animaux ' n'autorisent pas à transporter ces faits chez l'
homme
. Le cerveau peutforlbien ne pas tant diminuer d
atomie. Ils ne sauraient au surplus s'appliquer de but en blanc à l'
homme
, parce que chez l'homme les mouvements volontai
au surplus s'appliquer de but en blanc à l'homme, parce que chez l'
homme
les mouvements volontaires jouent un rôle infin
e ces districts corticaux, l'a- bondance des faits cliniques chez l'
homme
me parait si chargée, ils sont en partie si dém
uelle l'hystérie, plus fréquente chez les jeunes garçons que chez l'
homme
adulte, se montre beaucoup plus chez les petite
vant- propos : « Pourquoi, dit l'auteur, serais-je allé, pareil à l'
homme
de la Fable, m'enquérir bien loin d'une fortune
iels. Les inculpés de cette sorte de crime sont le plus souvent des
hommes
d'un âge mûr ou des vieillards, et en général,
ne fille elle-même, ses parents, tous les gens de son village, tant
hommes
que femmes, en un mot toutes les personnes pouv
Il y avait D. Antoine de Grafenried le jeune, secrétaire du Sénat,
homme
digne sous tous les rapports tant par son âge,
ce publique, autant qu'à la liberté individuelle ; une loi dont les
hommes
d'Etat, les jurisconsultes, les magistrats, les
e solution, d'invoquer dans ce but les lumières, l'expé- rience des
hommes
les plus considérables, les plus compétents dan
dance les griefs anciens, nouveaux, contemporains ; pris l'avis des
hommes
les plus com- pétents, les plus consciencieux,
es plus com- pétents, les plus consciencieux, les plus honnêtes des
hommes
qu'aucune passion ne trouble, qu'aucun intérêt
soudre. En leur présence, les philosophes, les administrateurs, les
hommes
d'Etal, les publicistes, les magistrats,- et je p
jeu par le procureur de la Répu- blique. Enfermer dans un asile un
homme
qu'on soupçonne aliéné, le priver ainsi de sa l
onduits par le savant directeur de cette maison, le docteur Orange,
homme
aussi distingué par son talent que par sa court
ment dans l'asile de Pau. Eh bien, j'ai vu là, je puis le dire, les
hommes
auxquels je fais allusion sont morts, et très c
reconnaître dans les paroles que je vais prononcer, j'ai vu là des
hommes
complètement insuffisants. Si, à leur place on
me humaine. Auriez-vous la prétention d'attri- buer à l'Etat et aux
hommes
qui le représentent plus de respon- sabililité,
? 2 Je disais tout à l'heure que tout dépendait du bon choix des
hommes
. Permettez-moi, à cet égard, de rappeler le mot d
ces affaires qu'il faut abandonner à l'inspira- tion, au choix des
hommes
et à la Providence dont aujourd'hui on ne parle
verner de près : voilà tout ! Il faut donc avoir confiance dans les
hommes
. Savez-vous ce que je trouve dans la Revue des
ces électoraux.» » Eh bien, messieurs, tout est là : choisissez des
hommes
. Et, certes, il y en a au ministère de l'intéri
-elle soulever ? Elle se compose de deux élé- ments essentiels : un
homme
de science, d'une compétence indis- cutable, da
ts contraires à celui de la liberté individuelle de l'aliéné, et un
homme
de loi, dans une situation offrant à la défense d
s se répartissent comme il suit : à l'asile de Ward's Island, 1,944
hommes
; à l'asile de Blaclwell's Island, 4,879 femmes;
et des phrases entières ; c'est elle que l'on observe encore chez l'
homme
adulte, fatigué par un travail excessif ou abso
, redevint beaucoup plus difficile. Le malade de Seelig- mùller, un
homme
de 34 ans, avait éprouvé des secousses musculai
lons. Pendant cette période de temps, il marchait, dit-il, comme un
homme
ivre. Enfin, depuis deux ans déjà, non seulemen
LYSIE saturnine; par H. ÛPPENHEIM. (A9'CIL. f. Psych., XVI, 2).
Homme
de trente-trois ans, fondeur en caractères, soumi
à l'aide d'une montre à secondes. Chez M. Axenfeld et chez d'autres
hommes
jeunes et bien portants, la moyenne est de 7 vi
sécutives à un traumatisme grave du crâne. Nouvelle observation. Un
homme
, âgé de cinquante-trois ans à l'époque de son a
à la surveillance attentive dont il est l'objet de la part des deux
hommes
auxquels est principalement due cette création.
publique ! Qu'importe qu'il y ait au milieu de la société certains
hommes
dont la vue a quelquefois sur les gens qui se p
logie, qui méritent d'être signalés à nos lecteurs. L'histoire de l'
homme
et de son évolution intéresse, en effet tous le
ar l'étude de l'évolution anatomique, physiologique et sociale de l'
homme
. Nous avons déjà annoncé à leur apparition les
e l'hystérie. - XV111 et XIX. A propos de six cas d'hystérie chez l'
homme
.-XX,XXI, XXII. Sur deux c,is de monoplégie brachi
de contracture spasmodique d'un membre supérieur surve- nue chez l'
homme
en conséquence de l'application d'un appareil à
d'un appareil à fracture. - XXVI. Cas de mutisme hystérique chez l'
homme
. Un appendice complète ces Leçons soit par des
vre de M. Legrand du Saulle et de ses collaborateurs : elle prenâ l'
homme
à son berceau, l'étudié pas à pas, âge par âge,
rraient respirer un peu d'air pur ; si peu qu'on entasse vingt-sept
hommes
dans une chambre dont la porte donne sur le cab
rique pro- prement dit, renferme deux divisions, l'une destinée aux
hommes
, l'autre aux femmes. Le nombre des lits est de
s violents ont chacune un jardin particulier. L'isolement entre les
hommes
et les femmes est complet. La deuxième sectio
n'est ni colérique, ni alcoolique. [Père, soixante-dix-sept ans,
homme
de peine ; pas d'excès de boisson, pas de migrain
de ses grossesses, mais sans perte absolue de connaissance. [Père,
homme
de peine au che- mindefer, sobre, mortà soixant
lui parlent et cependant l'expression de son visage est celle d'un
homme
intelligent. Il ne prononce pas un seul mot. Ce
ère que des syllabes sans suite ou des fragments de mots comme un
homme
ivre. ' On lui demande s'il veut aller voir des
les yeux, garde la même at- titude des membres. 11 a l'aspect d'un
homme
qu'on veut faire sortir d'un profond sommeil, m
u'elle m'ait parlé, dit-il, je sais ce qu'elle veut dire. » Pour un
homme
de sa condition, il écrit et calcule assez bien
ue inconnue, leur sens ne pourra être per- çu par l'entendement. Un
homme
qui ignorerait la langue française et qui enten
grande fréquence de l'affection chez la femme, comparativement à l'
homme
; Sa description générale est inattaquable : le
ec les années pour atteindre une maturité dégénérative à l'âge où l'
homme
sain est au comble du per- fectionnement intell
les conclusions sui- vantes : On ne saurait prétendre que chez l'
homme
, des centres optiques originels du nerf optique
fibres zoniformes de la coiffe grise (Tartu- féri), ne sont, chez l'
homme
, que pour une toute petite part en continuité a
eire.s de Neurologie. Synonymie des circonvolutions cérébrales de l'
homme
, t. VII, p. 181. REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOL
aréole est assez étendue mais le mamelon est petit comme celui de l'
homme
. Le ventre est proéminent, arrondi, mais le bassi
ui cède, mais comme aucun rapport normal ne peut s'effec- tuer, cet
homme
se livre sur lui à des actes contre nature qui
la même maison, s'étant aperçue de sa conformation le prend pour un
homme
, en devient amoureuse et lui demande à partager
à Saint-Nazaire, il se fait examiner par un médecin qui le déclare
homme
. Il changea aussitôt son nom de Marie en celui
aussitôt son nom de Marie en celui de Marius, prend des vêtements d'
homme
, rentre à Paris et s'engage comme infirmier dan
me proprement dit et dans ce cas le sujet du sexe masculin était un
homme
par ses organes internes et un embryon par ses
' Goujon. Etude d'un cas d'hermaphrodisme bisexuel imparfait chez l'
homme
, avec 2 planches. (Journal ailat. et physiol. de
rçon. Lorsqu'on la découvre on trouve un pubis plat, comme chez l'
homme
, couvert de poils noirs et abondants, un bassin é
'obsessions. Tantôt ce sont les morts qui lui font peur, tantôt les
hommes
qui vont la violer. Plus tard elle se sent pous
u compte de l'Etat. M. Siemens. A. UECxenuortn; sur deux cent vingt
hommes
, je n'ai eu que deux criminels aliénés, mais il
e deux sections fermées (une pour vingt femmes, l'autre pour trente
hommes
); le résultat depuis dix ans a été excellent. L
ion de cinq cent quarante- trois aliénés (deux cent soixante-treize
hommes
, deux cent soixante-dix femmes, l'asile reçut e
reçut en 1885 cent quatre-vingt- neuf aliénés (quatre-vingt-quinze
hommes
, quatre-vingt-quatorze femmes), pour lesquelles
vingt-quatorze femmes), pour lesquelles quarante-six P-G. (quatorze
hommes
, deux femmes) soit 8 p. 100; douze épileptiques
atorze hommes, deux femmes) soit 8 p. 100; douze épileptiques (sept
hommes
, cinq femmes, soit 6 p. 100; vingt individus âg
; le rapport de septembre 1885, signale seulement quarante-quatre
hommes
, cinquante femmes. 84 p. 100 des hommes, 82 p. 10
e seulement quarante-quatre hommes, cinquante femmes. 84 p. 100 des
hommes
, 82 p. 100 des femmes sont occcupés à travaille
mmes sont occcupés à travailler.En somme chaque jour cent cinquante
hommes
sont occupés en liberté , en section de huit à
séance..de samedi. Lorsque j'ai parlé, à la dernière séance, de l'
homme
qui le premier a posé des règles pour l'éducation
efois la commission, tenant compte de la difficulté soulevée par un
homme
aussi compétent et aussi habitué à lire les lois
us, mais encore de ceux qui n'ont pu être bien observés que par les
hommes
qui ont voué leur vie à l'étude de l'aliénation
rmette de le dire : Combien, dans cette Assemblée qui compte tant d'
hommes
d'une expérience con- sommée, pourrions-nous co
ions de goitre, dont vingt-neuf chez des femmes, et cinq chez des
hommes
. Ces observations comprennent des goitres charnus
, et un carré de mousseline bordé de dentelle formant bonnet. Les
hommes
ont un vêtement de flanelle bleue, avec boutons d
né aussi un uni- forme à ses infirmières et en projette un pour les
hommes
. Les infirmiers de Ward's Island ont un uniform
de Haarlem), 1,200 malades. Boekel (maison Gadna pour catholiques,
hommes
), 150 malades. - Delft (hôpital Saint-Jorris),
isir, 81. Optiques (couches), fonction chez les animaux et chez l'
homme
, par Bechtereif, 84. Optiques (conducteurs da
par Bechtereif, 84. Optiques (conducteurs dans le cerveau de l'
homme
), par Richter, 86; Recherches expérimentales
. le professeur Mendel a montré la fréquence de l'hystérie chez l'
homme
dans les policliniques de cette ville. Les obse
maladie épidémique. Surtout ne dorlotons pas trop l'hystérie chez l'
homme
, laissons- la aux femmes et aux enfants. Dans
sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () ' CLINIQUE NERVEUSE. chez l'
homme
. Il faisait remarquer que, dans tous ces cas, l
sychiques'. Observation I. - La première observation est celle d'un
homme
ace de trente-trois ans, qui s'est présenté à l
r. » Ces voix répètent tout ce qu'on éprouve ou ce qu'on pense. « L'
homme
est mis à nu. devenant pour ainsi dire un crist
fallu, pour maîtriser les mouvements désordonnés de D..., que deux
hommes
se missent à genoux sur ses jambes, pesant de t
ôté opposé. Ces phénomènes, observés dans la forme plus pure chez l'
homme
, chez le singe et chez le cobaye, ont donné la
analogie qu'il conclut à l'existence de ces fibres motrices chez l'
homme
. Nerfs olfactifs (' ! le : ; les an encéphales.
sur les piliers antérieurs, avec lesquels ils font corps. Chez l'
homme
, les classiques admettent que les piliers antér
qu'à ce jour, car il importe de noter que, même en admettant chez l'
homme
- ce qui n'est ' Plus exactement, les tubercule
ux antérieurs analogues (à ceux des animaux) dans le cer- veau de l'
homme
, nous voyons que ces faisceaux sont fort petits
nvul- sions de la face. Quant à la nature des lésions qui, chez l'
homme
, produisent ces convulsions, Seppilli a trouvé, d
f. Arch. per le mal. nen]. 1885, 83 : a La zone dite motrice chez l'
homme
peut être aussi considérée comme épileptogène.
veloppement de cette partie de cerveau chez les anthro- poïdes et l'
homme
soit sans doute en rapport avec la station vert
clusion que Seppilli tire de ces faits anatomo-cliniques : « Chez l'
homme
, comme chez le chien et le singe, la sphère sen
orie de l'engrenage. La pathogénèse de l'épilepsie corticale chez l'
homme
s'ac- corde-t'elle avec celle que la physiologi
u- rol. Centralbl., 1890.) L'observation de Bernhardt concerne un
homme
de quarante- six ans; il fit une chute sur la t
teau du cerveau et des hémisphères cérébelleux. Inversement, chez l'
homme
, les noyaux arciformes représentent les noyaux
ralbl., 1889.) Six expériences réussies. Comme dans la tétanie de l'
homme
, qui succède à l'ablation du goitre, on constat
e phthisi'1ue); 7° un cerveau de paralysie générale probable chez l'
homme
; 8° un cerveau de paralysie générale tabétique
; par R. '111OJISEY. (Arc/¡. f. Psych., XXI., 3.) Observation 1.
Homme
de vingt-quatre ans; névrite aiguë avec' tachyc
escence caractéristique des nerfs périphériques. - Observation III.
Homme
de quarante-quatre ans : névrite alcoolique aiguë
283) traite de l'encéphalite aiguë spon- tanée non suppurée chez l'
homme
. Le premier groupe dont il est question ici emb
e ce que sera un aliéné, d'après son passé de raison. De même que l'
homme
ver- tueux peut se changer en un meurtrier, le
optique . Les symptômes suivants ont été remarqués chez le malade,
homme
de dix-huit ans, sept mois après un coup reçu à
égénérescence physique y compris le tatouage se re- trouvent chez l'
homme
tout à fait normal. Les services de l'Ecole ita
M. 11F : UOLD. Traitement au lit et cellule. Dans le service des
hommes
de l'asile deSorau, sur trois cents hommes, nous
ule. Dans le service des hommes de l'asile deSorau, sur trois cents
hommes
, nous en avons cinquante qui sont constamment c
e 1.503 soit une augmentation de 108.-Ils sont divisés comme suit :
Hommes
, 1.155, femmes 350. (Médical Record, 1890, p. 4
se frappa la tête d'un coup de marteau pour se donner la mort. Cet
homme
ne perdit pas connaissance sur le coup, ni l'us
ontracté entre eux aucune adhé- rence. Il est étonnant de voir un
homme
survivre pendant près de dix mois à une pareill
qui semble l'avoir arrêté, sinon embarrassé, que ces organes chez l'
homme
ne représentent, en somme, que les vestiges d'a
nombreux qui se passent dans le cerveau d'un chien en chasse. ' L'
homme
que Broca classe dans les anosmatiques,. est-il
i dans le dicton 216 ." ' ANATOMIE. populaire - d'après lequel un
homme
est jugé quand on a dit de lui qu'il a du nez;
n ». Il y a cependant beaucoup de vrai dans cet aphorisme; chez l'
homme
, l'olfaction ne se réduit pas à percevoir plus
par l'analyse. Ce qui carac- térise, en' un mot, l'olfaction chez l'
homme
, c'est la finesse de ce sens et ses déductions
orte à le croire, c'est que cette fonction s'exerce chez beaucoup d'
hommes
d'une façon surpre- nante. N'y a-t-il pas des p
autres saveurs res- - sortissent de la membrane de Schneider. Or, l'
homme
ne se pique-t-il pas d'être un délicat en matiè
icat en matière de goût ? Je ne pense donc pas, avec Broca, que l'
homme
doive être rangé parmi les anosmatiques, et je
'un sens dominant; de là à dire qu'il n'est que brutal aussi chez l'
homme
, il y a, à mon avis, une grande distance; et le
dans les mêmes cir- - constances, il devint meurtrier comme lui. Un
homme
, qui, constitutionnellement n'est point au-dess
de l'avance- « ment de la science et de l'amélioration du sort de l'
homme
; « nous pourrons ainsi avoir l'espoir de contri
as moins réels. Qu'il s'agisse d'ailleurs de la psychologie de. l'
homme
sain, de l'homme malade ou de l'homme criminel, i
Qu'il s'agisse d'ailleurs de la psychologie de. l'homme sain, de l'
homme
malade ou de l'homme criminel, il n'y a de salu
leurs de la psychologie de. l'homme sain, de l'homme malade ou de l'
homme
criminel, il n'y a de salut que dans l'étude mi
-trois ans z1861-1887). Il constate tout d'abord que le chiffre des
hommes
dépasse de beaucoup celui des femmes (105 contr
iques criminels, on remarque que la majorité se rencontre parmi les
hommes
chez les célibataires, et parmi les femmes dans
qui fut jugé il y a quelques années pour commerce illicite avec des
hommes
, est le type de cette catégorie de criminels. Hie
té aucun changement dans les sentiments olfactifs pas plus chez les
hommes
que chez les femmes : chez ces dernières l'exci
Mehring de Strasbourg, en 1888. Les essais ont été faits sur trente
hommes
et trente-six femmes. Dans la grande majorité d
xication n'attein pas généralement un degré aussi avancé que chez l'
homme
on a toute l'ébauche des deux processus, stéato
stéatose et sclérose, que l'on retrouve à un degré si avancé chez l'
homme
. Chez ce dernier en effet, l'alcoolisme s'inscr
ns de l'animal en expérience sont toutes différentes de celles de l'
homme
. Il repousse toute assimilation. M. Mairet rapp
cause de lésions analogues à celles de la paralysie générale de l'
homme
. M. MADAME signale l'influence de la loi suisse
nces, d'ailleurs, ne sont qu'apparentes et tiennent souvent non à l'
homme
qui dresse la statistique, mais au milieu observé
es et moyens à employer. Cette installation comprendra un service d'
hommes
et de femmes épileptiques, une section pour les
plus remarquable que ces affections sont relativement rares chez l'
homme
sain d'esprit. La déviation de la cloison, par le
ns survenuesà un âge très avancé. A l'âge de cinquante-six ans, cet
homme
eut une première attaque de neu- rasthénie ; de
al. Voyez le Neurolog. Centrale, de 1889 "j. M. UHTHOFF présente un
homme
de quarante ans ayant depuis six mois une paral
à un examen superficiel, imposé pour une ataxie héréditaire. Jeune
homme
de dix-neuf ans n'ayant apprisà marcher qu'à l'âg
résente un malade porteur des symptômes de ln pamlysie bulbaire. Un
homme
de cinquante et un ans a soudain, en travail- l
ubles vaso-moteurs consécutifs à l'in- fluenza. M. KARRER, sur 64
hommes
admis, a vu deux exemples de psycho- pathie con
nsécutive à l'influenza; sur 69 femmes, il n'en a vu que quatre. Un
homme
et trois femmes étaient porteurs de tares héré-
; d'autant qu'ici ne se trouve pas l'influence directrice d'un seul
homme
, mais le concours ethnique d'un cer- tain nombr
oncernant un idiot qui, ayant vu égorger un porc en fit autant à un
homme
. Il montre aussi la nécessité d'assister les id
ak'l>w : dégénéra- tion secondaire dans la couche optique chez l'
homme
; professeur Flechsig : anatomie pathologique d
u monde pour s'emparer de ce forcené. Il ne fallut pas moins de six
hommes
pour le conduire au poste du Palais. François C
concierge de l'immeuble, portant le n° 12, de la rue du Temple. Cet
homme
avait été trouvé blotti dans les cabinets d'ai-
se, en 1883. Trois ans après il est transféré à Charenton. C'est un
homme
de taille moyenne, bien constitué, maigre, très
rs inavouables, d'avoir, suivant son expression, « du goût pour les
hommes
i,. Enfin, on lui attribuait des « infirmités s
jamais voulu dire lequel. Observation IV. - C... a eu pour père un
homme
exalté, ancien Saint-Simonien, grand conspirate
l'Ecole centrale, qu'il a quittée avec le diplôme. C'était donc un
homme
intelligent, travailleur et persévérant. Il est
a... nie avoir jamais eu de rapports avec lui, non plus qu'avec des
hommes
en ville. Il en avoue seulement avec des femmes
'ordre et on le réveille. Il part du cabinet en titubant . comme un
homme
ivre et arrive ainsi à l'infirmerie. Il s'y asseo
té de Horn ? aucunes estoient eslevées'en l'air à la hau- teur d'un
homme
et rejettées contre terre... Une d'entre elles
tenterait la tâche d'une nouvelle monographie de l'Hystérie chez l'
homme
. REVUE PHARMACOLOGIQUE SUR LE SULFONAL (Die
uffisamment établi. Le Dr Kast a étudié l'action du sulfonal chez l'
homme
sain. A la dose de 2 à 3 grammes, ce médicament
retrouve plus sur un autre prolongement de la même cellule. Chez l'
homme
, il existe des granulations en groupes, soit da
aux, soit un peu plus de 8 p. 100 du total des admissions. Pour les
hommes
pris séparé- z ment, la proportion des paralyti
ismes, les abus d'alcool, de tabac, etc., ne produisent rien chez l'
homme
sain; ils produisent une aliénation quelconque
e porte que sur les 30 paralytiques généraux de l'asile d'Evère (19
hommes
et 11 femmes). Sur ces 30 paralytiques, 13 avai
owla. {Annales médico-psychologiques, mars 189).) .) Il s'agit d'un
homme
de quarante-deux ans, paralytique général à la
Dr HOSPITAL. {Annales médica-psychol" fév. 1891.) Il s'agit d'un
homme
de soixante ans, présentant un certain degré de
se faire du mal, mais je prescrirais plus volontiers la cellule aux
hommes
, les petits locaux aux femmes. Du reste, ce n'e
vement 6 grammes, dose qui ne fut pas dépassée. Il s'agissait de 33
hommes
et de 37 femmes de seize à cinquante-et-un ans,
ALK (de Berlin). - Communication casuistique. C'est l'histoire d'un
homme
de soixante ans présentant depuis deux ans et dem
ts : « Quiconque aura, par négligence, été la cause de la mort d'un
homme
, sera puni d'un jour à trois ans de prison...
u la syphilis n'ayant, disait-elle, jamais eu aucun rapport avec un
homme
; cinq ans plus tard, l'occasion la ramenait à son
ser- vices très distincts. Dans les asiles-casernes, les sections d'
hommes
et de femmes contenant chacune cette population
souveraine : j'ai plus de confiance dans l'expérience humaine des
hommes
d'élite nommés plus haut que dans la double vue d
paressse et stérilité. Je crois, en effet, les savants un peu plus
hommes
, et malgré la haute opinion que leur garde mon
et un des meilleurs moyens à employer est de distinguer nettement l'
homme
de science de la machine à certificats. Je ré
que, s'adressent en réalité aux gens du monde. Sans valeur pour les
hommes
du métier, ils servent ordi- nairement à fausse
r à lui-même. Ceci est encore plus vrai dans le cas d'une personne,
homme
ou femme, qui, lorsqu'elle sort d'un asiie d'al
misère qui, chez les femmes, est beaucoup plus grande que parmi les
hommes
, nous porterions secours, non seulement aux ind
ître que la profession de légiste avocats, magistrats) présente les
hommes
les plus éminents et le moins d'idiots. La prof
ite et en dernier lieu le clergé qui produit le plus petit nombre d'
hommes
émi- nents et le plus grand nombre d'idiots et
faibles d'esprit. Les avocats donnent naissance à six fois autant d'
hommes
éminents que le clergé. Le clergé donne naissan
un médecin qui est comparativement obscur. L'état intellectuel d'un
homme
ne dépend pas aujourd'hui de son mérite personn
que à renvoyer après une observation sommaire est, en réalité, un
homme
dangereux, doublement récidiviste de l'asile et d
. La Lancet rapporte le cas suivant. Un coup de foudre atteignit un
homme
conduisant une faneuse et un cheval, placé en t
son siège la tête penchée en avant. Le Dr Palmer constata chez cet
homme
: 100 pulsations à la minute, 40 respirations, la
e- main. Il n'y a rien d'étonnant il ce que dans ces conditions l'
homme
n'ait pas subi en un instant le même sort que le
ressemblent assez à ceux d'une attaque de catalepsie. Peut-être cet
homme
était-il hystérique et peut-être le coup de fou
me dit de faire cela. Qui cela ? des voix d'hommes' ! - Des voix d'
hommes
, de femmes et d'en- fants, de musique... Là-des
rimentaux, M. Brissaud est amené à regarder la glande thyroïde de l'
homme
comme une parathyroïde perfectionnée à épithéli
dow. L'attitude, la physionomie, la manière d'être, en un mot, d'un
homme
en colère, ressemblent d'une façon frappante à ce
l après une discussion diagnostique très complète. Il s'agit d'un
homme
, sans antécédents pathologiques, robuste jusqu'à
la Salpétrière, nez3, 1897.) Leçon clinique sur le cas suivant : un
homme
qui a exercé longtemps la profession de colport
nifeste de l'eau froide, mé- rite d'être rapporté. Il s'agit d'un
homme
de quarante-cinq ans, alcoolique invétéré, pris
presque toujours la syphilis dans les antécédents des paralytiques
hommes
. Chez les femmes, ils n'ont pas vu depuis plus
ues établissent que la paralysie générale est plus fréquente chez l'
homme
que chez la femme. Mais si l'on prend la peine
à l'alcoolisme, que l'on sait atteindre presque exclusive- ment les
hommes
, on trouve que la paralysie générale se ren- co
générale se ren- contre aussi fréquemment chez la femme que chez l'
homme
, et MM. Mairet et Vires peuvent voir très juste
maison de santé. (Temps, 23 juin 1898.) - La folie d'un poète. - Un
homme
de lettres, M. Emile Bois- saut, âgé de quarant
on de ses désirs. - En novembre 1894, notre collègue du service des
hommes
, appelé pendant un intérim à examiner l'état me
s. A M. Allard nous devons une étude du tétanos électrique chez l'
homme
, qui aboutit aussi à un enseignement pratique. En
IC de l'horloger; par T. COlIN. (Neurolog. Centralbl. XVI. 1897.)
Homme
de quarante-huit ans, exerçant depuis trente-quat
és DE la CUISSE; par Th. BENDA. (Neurolog. Centralbl. XVI. 1897.)
Homme
de cinquante-huit ans, serrurier. Depuis trente a
un traumatisme; par B. Oeuf. (Neurolog. Centmlbl., XIV, 1897.) Un
homme
de quarante ans, alcoolique et grand ivrogne, reç
Centralbl. f. Ncrvcnhcilk, XX, N. F., vm, 1897.) .) Observations.
Homme
de soixante ans, entaché de toutes les formes d
DE BECHTEREW. (Neurolog. Ccntralbl., XVI, 1897). Il s'agit de deux
hommes
jeunes, vingt et trente-cinq ans, qui rougissen
RUBINO. (La Nuova Rivisttc clinico-thérapeutica, 1\° 3. 1898.) Un
homme
de cinquante-sept ans présente une attaque d'apo-
encore d'un facteur individuel, car on est en droit de penser qu'un
homme
soumis à une dose quotidienne de 7 gr. se charg
d'un certain temps, d'une quantité égale à celle dont se charge un
homme
qui prend chaque jour 10 gr. du médicament. A
6.) Deux cas de crises monoplégique trépanés avec succès chez des
hommes
de dix-neuf et trente-deux ans. La localisation d
la moelle épinière d'un lapin pour reconstituer le nerf médian de l'
homme
, par 11. RoBSON. A. MARIE. XXXI. Alimentation a
D. 13RONNER. (British medical Journal, août 1897.) Observation d'un
homme
de vingt-huit ans. La méthode opéra- toire pèch
rt du De Léon-François Guillemin, médecin en chef de la section des
hommes
à l'asile d'aliénés de Montdcvergues (Vaucluse)
n argent, par les soins du Comité de direction, aux patronnés, tant
hommes
que femmes et enfants. ART. 15. Les secours m
nous télégraphie de Grenoble qu'hier matin, samedi, le cadavre d'un
homme
d'une soixantaine d'années ayant l'épaule gauch
térêt que vos travaux inspirent, toute l'estime qu'on a pour des
hommes
de science venus ici de tous les points de la Fra
ils valaient pour Ménage, qui disait que « les angevins étaient les
hommes
les plus spirituels z SOCIÉTÉS SAVANTES. 203
heures de repos, et pour charmer vos loisirs, vous trouverez des
hommes
pleins d'empressement et de courtoisie qui vous m
elques esprits ont refusé de les accepter, on a vu de nos jours des
hommes
de grand savoir se dé- vouer à la vulgarisation
es reçoivent de vous l'ac- cueil qu'elles méritent. Je vois ici des
hommes
d'une haute auto- rité scientifique, acquise au
ont fait remarquer que les opérations sur les organes génitaux de l'
homme
donnaient lieu, assez fréquemment aussi, à des
re partie des troubles psychiques post-opératoires relevés chez les
hommes
se sont déclarés chez des alcooliques. Toutes l
e post- opératoire des mélancolies « légitimes», survenues chez les
hommes
ayant subi la taille hypogastrique avec méat pe
âge. A quinze ans il a pour la première fois des relations avec un
homme
. « Il trouve cela tout naturel ». A seize ans i
cette époque il n'a cessé d'avoir des relations sexuelles avec des
hommes
. Il a plusieurs amants attitrés. Son grand plai
autres par MM. Bas- tian, Van Gehuchten, Marinesco. Il s'agit d'un
homme
de quarante et un ans, qui contracta la syphili
es et de la difficulté pour marcher. Ces accidents s'aggravant, cet
homme
se décida, au mois d'octobre dernier, à entrer
égal. Je ne voudrais pas heurter de front une opinion émise par des
hommes
aussi considé- rables que ceux dont je viens de
toute naturelle. Par leur connaissance de l'influence exercée sur l'
homme
par l'hérédité, le milieu social, les maladies,
véritable esprit francais, quoiqu'il li'vparaisse pas toujours, les
hommes
, hélas étant trop enclins à verser dans les ext
ique. Nous venons d'observer un cas typique de cette variété : un
homme
de quarante-sept ans vit son hémiplégie s'install
lanthropie et de travail. Nuit et jour on le voyait par- tout ; cet
homme
ne dormait jamais, répéte-t-on encore à l'asile.
admirons autant son talent que l'aménité de son caractère. Ces deux
hommes
étaient bien faits pour se comprendre. Combes,
iplégique ; hémineu1'asthénie post- hémiplégique. M. IInALLIÉ. Un
homme
atteint d'une hémiplégie ancienne voit, à la su
n'avons eu que cette dernière partie : c'est un peu maigre pour des
hommes
de science, pour des médecins'. '. Séance du
ychothérapique supprime instantanément l'accident. Troisième cas.
Homme
de soixante ans, opéré d'un carcinome du nez, e
médecin en chef, qui aujourd'hui sont assez nombreuses. Ce sont les
hommes
qui doivent s'adapter aux fonc- tions et non le
mmes qui doivent s'adapter aux fonc- tions et non les fonctions aux
hommes
. < ZOZ SOCIÉTES SAVANTES. La légère pert
l'est nulle part. A l'asile d'Evreux il existe, dans la section des
hommes
, deux jeunes dégénérés atteints de débilité men
n parvint à s'emparer du forcené qu'il ne fallut pas moins de dix
hommes
pour maîtriser et ligotter. M. Mazurié a fait aus
aliénés de Maréville (Rapport du médecin en chef de la division des
hommes
, à M. le Préfet de Meurthe-et-Moselle). Brochure
ce que d'après Hérodote en Egypte, « les femmes urinent debout, les
hommes
s'accrou- pissent pour uriner ». (Histoires, li
, 1898.) Observation clinique non suivie d'autopsie. Il s'agit d'un
homme
de soixante-deux ans, à antécédents névropathiq
son. (Occidental medical Journal, février 1898.) Observation d'un
homme
de trente-neuf ans ayant succombé, malgré l'opé
British médical Journal, décembre 1897.) C'est l'observation d'un
homme
de trente ans soumis au traite- ment par les ta
P. SCHUS- TER. (Neurolog. Centralbl., XVI, 1897.) Il s'agit d'un
homme
de quarante-trois ans. En octobre 1893, il est
nt, après trois ou quatre jours pour le cerveau et la moelle de l'
homme
adulte, le durcissement est convenable et l'on pl
par Green. (Quarterly med. Journal, 1898.) C'est l'observation d'un
homme
de vingt-quatre ans, jusqu'alors pris pour une
la maladie. Dans tous les cas où l'on trouve ces symptômes chez un
homme
, arrivé à l'âge mûr, ancien syphilitique, sans
s lèvres agités de mouvements fibrillaires très prononcés. Chez cet
homme
de taille moyenne; de forte constitution, de temp
le gaz. « Vous avez suivi la taille de l'ardoise par le fendeur ; l'
homme
a été remplacé avec avantage par la machine. Vo
enirs. Nous buvons à la prospé- rité de votre grande industrie, aux
hommes
qui dirigent avec tant de savoir, tant de bienv
é- venus du fait, les gendarmes de Laissai, assistés de plusieurs
hommes
de bonne volonté, ont organisé une battue dans la
la morphine. 11 en a compté jusqu'à 135 cas dans une année, soit 80
hommes
et 55 femmes. Parmi leshommes, il y avait 20 doc-
te cinq ans, marié, sans enfants, admis le 18 novembre 1897, est un
homme
grand, d'embonpoint modéré, d'apparence robuste
Depuis, il s'imagine que tout le monde le prend pour un malhonnête
homme
, qu'on le regarde quand il passe dans la rue, q
délirante sont bien l'effet direct et incontestable de l'alcool. L'
homme
nerveux, en santé normale et habituellement sob
l'alcool, après lui avoir été unani- mement reconnue depuis que les
hommes
boivent du vin ? La clinique nous offre de temp
ion spéciale et des complica- tions nerveuses non encore signalées.
Homme
de trente : deux ans, antécédents héréditaires
e temporal gauche; par les Drs P. Marie et SANTON. Il s'agit d'un
homme
de quarante-sept ans qui, au commence- ment du
on relatée par les auteurs peut servir d'exemple à cet égard : Un
homme
de trente-sept ans, à état mental bizarre, surmen
mment, nouveau symptôme : tout d'un coup, au milieu de la nuit, cet
homme
est réveillé par des contractions spasmodiques
nnent au sexe masculin ; les crimes et délits qu'accomplit l'aliéné
homme
sont, en général, plus graves que ceux que comm
que cet individu soit sain. Il cite à ce propos le cas d'un jeune
homme
de vingt-sept ans qu'il eut à examiner. Cet indiv
97.) Observation et résumé d'un rapport d'expertise concernant un
homme
de trente-quatre ans, de souche apoplectique et n
lbl., XVI, 1897.) On prend un petit morceau du système nerveux de l'
homme
, ou d'un animal qu'on vient de tuer, on le met
hives, '.le série, t. VI. 28 434 pathologie NERVEUSE. Autopsie.
Homme
de taille moyenne, très maigre. Rien d'anormal
lulaires dans trois cas d'altérations pathologiques en foyer chez l'
homme
, Ilayem conclut à l'identilé du processus. Depu
l'opol (Crimée), de 988-189, il est entré 2.914 malades, dont 2.010
hommes
et 004 femmes ; en tout 369 paralytiques généra
dont 2.010 hommes et 004 femmes ; en tout 369 paralytiques généraux
hommes
et 0 paralytiques géné- rales. Si nous nous b
à soixante-six ans (âge maxi- mum), mais seulement deux fois chez l'
homme
. Les autres âges se iépartisseut comme suit :
inconnue. Cette classification, suffisante pour le public, pour les
hommes
de loi, ne l'est plus pour le médecin qui veuL
s gros- siers, culbuter trois expéditions successives, l'une de 100
hommes
, l'autre de 500, la dernière de 1.500, expéditi
et bien armés. a fallu, du reste, pour permettre à la démence d'un
homme
d'arriver à ce résultat, la psychologie spécial
ue à une influence extérieure. « Ces pensées comme les pensées de l'
homme
normal, se formu- lent au moyeu des images psyc
EllE\)'. (Cent1'ulbl. f'.lYervenheilli., Xs., N. F., vin, 1897.) Un
homme
fort intelligent, même pendant son affection men-
n délire, affirme ce- pendant qu'un être invisible ayant une voix d'
homme
et comman- dant à son organisme s'est établi da
ypnotique. Observation II. - C'est une consultation par lettre d'un
homme
de trente-quatre ans de New- York, qui explique
bouche, excite chez lui l'orgasme vénérien ; il prend de l'urine d'
homme
ou faute de mieux, de l'urine de femme (maso- c
cellule nerveuse qui domine dans les gan- glions sympathiques de l'
homme
est celui qui est représenté par des cellules à
r C. PuGriAT. - z Cajal, dans son livre sur le système nerveux de l'
homme
et des vertébrés, s'est expliqué très catégoriq
LES réflexes vasculaires dans les MEMBRES ET dans LE CER- veau DE l'
homme
; par l'ATRIZI. (Riv. sp. di frein., 1897, fasc. I
des enfants de treize ans environ. Les réflexes vasculaires chez l'
homme
suivent les lois fondamen- tales de localisatio
elles ne doivent pas être admises sans contrôle pour le facial de l'
homme
. Il résulte enfin d'une autre série d'expérienc
(elle est de 1 gr.) pour le cerveau humain. Comparativement, chez l'
homme
, on peut trouver qu'un cerveau de 1.200 grammes
res file à l'intérieur du faisceau longitudinal posté- rieur chez l'
homme
tandis que, chez le chat, en avant de ce dernier
on interne du faisceau la- diculaire des cordons antérieurs. Chez l'
homme
ce système de fibres forme partie constituante
système descendant séparé dans les cordons antéro-latéraux, chez l'
homme
, peut être considérée comme démontré, 14° La dé
ropre. (Marie). P. KERAVAL. LXVIII. DE l'ataxie centripète chez l'
homme
ET CHEZ le singe; par II. E. IIEHIt`c. (Newolog
y- chologie : pure, des peuples; comparée ; biographie des grands
hommes
; 4° neurologie ; 5° psychiatrie; 6° psychopatholo
rs sont les plus douces et les plus policées dont une grande mase d'
hommes
'puisse aujourd'hui donner le spec- tacle. Les
menaçant de se suicider. En d'auttes cas la mort volontaire d'un
homme
entraine fatalement celle de plusieurs autres. Et
au moins, si j'ose en avertir les lecteurs du Dr Matignon, sont des
hommes
comme nous. Les motifs de suicide qui nous para
ompé, et c'est plaisir de lire à ce sujet la nette déclaration d'un
homme
aussi pondéré que M. Tarde. L'école nous sert a
e passionnée et inquiète des suites de son déshonneur, qui pousse l'
homme
à la tuer et à se tuer avec elle. L'histoire de
s d'animaux, ainsi que dans les sociétés primitives formées par les
hommes
, nous trouvons le droit de juger au pouvoir d'un
rs, nous arrivons à un chiffre autrement for- midable. En effet, un
homme
qui, pour s'enivrer, dépense par exemple 1 à 2
La lutte contre l'alcoolisme est menée énergiquement par beaucoup d'
hommes
dévoués. Nous avons publié le travail de l'un d
879 jusqu'à la date du le, janvier 1898. 528 VARIA. a Quand cet
homme
a bu, il se trouve dans un état morbide tel qu'
e faire avec volubilité : c Monsieur le président, je suis un brave
homme
, j'ai femme et enfants. Je ne demande qu'à trav
de M. Comby, a acquitté l'ancien huissier comme irresponsable. Cet
homme
est un malade, c'est certain. Il est seulement à
ai Gilles de la Tomette et CLlpault, 60, 144. - centripète chez l'
homme
et chez - le singe, par Jle1'lI1g, 509. Atiié
nzi, 495. Rn'LEXEvascutaire dans les mem- bres et le cerveau de l'
homme
. par l'atrizl, 493. Respiration de Cheyne Sto
essus psy- chiques. Nous montrons par exemple à un animal ou à un
homme
un morceau appétissant quelconque. Cet aliment
autopsie de 16 cas récents et anciens de maladies de cerveau chez l'
homme
, aux conclusions suivantes : 9) « Que l'âme ne
ur; un' fort dévelop- pement de ce centre est en corrélation chez l'
homme
avec la supériorité de l'âme (seelische superio
n physiques et en spirituels. Les êtres vivants : plantes, animaux,
hommes
se composent de mona- des spirituels de deux so
te d'après lui dans les actes de ce substratum (3). Donc l'âme de l'
homme
est une unité très compliquée de monades spirit
tricule compris, comme étant le seul organe de la conscience chez l'
homme
et chez l'animal Les crura et taeniae fornicis
é insigni- fiant et dans une mesure beaucoup plus infime que chez l'
homme
. Ici il faut ajouter que M. le professeur Flech
ce qui suit : ' Toutes les fonctions psychiques des animaux et de l'
homme
se laissent diviser en conscientes et inconscie
31 ce membre, et même des troubles de la motilité volontaire chez l'
homme
. Mais si ces mouvements volontaires sont perdus
chez l'homme. Mais si ces mouvements volontaires sont perdus chez l'
homme
par une lésion du cerveau, nous voyons qu'il ex
mouvements asso- ciés, comme chez les animaux ; d'où il suit que l'
homme
doit aussi avoir des centres de mouvements asso
ci. D'où, d'accord avec les physiologistes, on concluait que chez l'
homme
dans les cas de lésion transversale complète de l
ète de la moelle, dans la région cervicale ou dorsale supérieure, l'
homme
est atteint t de paraplégie spasmodique, c'est-
re se fait (1) V. VAN GE11UCIiTEN, Anatomie du système nerveux de l'
homme
. Louvain, 1897, p. 869-874. (2) SOCRY, p. 113
ie expérimentale et par l'étude dés localisations cérébrales chez l'
homme
; mais cette dernière a été faite Fiu. 5. Renfl
même disparaître ; l'étude des paralysies pseudo- bulbaires chez l'
homme
prouve que les mouvements de la face et de la c
illeurs été confirmés par des expériences équivalentes faites sur l'
homme
au cours d'opérations chi- rurgicales. Si on ne
té qu'appartient le malade que nous avons observé. Il s'agit d'un
homme
, B..., âgé de 83 ans. Personne, parmi ses ascenda
ni familial ; ajoutons-que le porteur de cette malformation est un
homme
: on sait que le trophoedume, s'il a une prédilec
, est loin d'épargner le sexe masculin (nous trouvons en ef- fet 28
hommes
contre 39 femmes sur un total de 67 sujets). Au
d'un oedème mou. Le godet à la pression s'observait - il chez notre
homme
il y a quarante ou cinquante ans ? Nous n'en po
é de le regarder comme un exemple de trophaedéme indolore. Voilà un
homme
qui pendant toute la période active de son exis
ance, signifiant l'ardeur de la charité ; deux autres maniaques, un
homme
(fig. 6), et une femme (fig. L2) portent sur la
de ce si- nal : « c'est la vue; il serf pour l'esprit, la joie de l'
homme
: nous sommes nés de vue; c'est-à-dire, - répon
igne qui doit toujours rester du côté du coeur, pour indiquer que l'
homme
est rouge; à un autre moment, il voit dans la f
un autre moment, il voit dans la ficelle même le signe que tous les
hommes
doivent être égaux. Le même malade se retrouve
démence, et beaucoup plus fréquemment chez les femmes que chez les
hommes
. En revenant à l'argument que j'ai encore à pei
rnement des habits a lieu plus souvent chez les femmes que chez les
hommes
, plus souvent chez les maniaques que chez les d
aires. Il citait également, à la base d'un contrefort, une figure d'
homme
en proie aux affres d'une rage de dents. Faisan
Les paupières su- périeures sont abaissées sur les yeux. Est-ce un
homme
qui pleure ? ne serait pas plutôt, comme on est
ânes sus-mentionnés de Prochaska et de Scheu- thauer, le crâne d'un
homme
de 25 ans avec les clavicules rudimentaires du
indiqué par Fuchs [Wien.klin. Wochenschr., 1907), où il s'agit d'un
homme
âgé de 23 ans, atteint de dysostose cléidocrâ-
maladie actuelle était antérieur a son alcoolisme ! En effet, cet
homme
a commencé d'avoir des maux de tête à l'âge de 10
éclaircir la pathogénie de ces dernières. Histoire de la maladie.
Homme
de 53 ans. Rien d'important dans les antécédent
u moins et les plus éloignés beaucoup plus faiblement. » « Chez l'
homme
sain, les réflexes tendineux sont, en général, mo
aume de la main. Toutes ces attitudes on peut les provoquer cher un
homme
normal par l'excitation de deux réflexes osseux
d et appuyer avec le talon, sont les mouvements subconscients que l'
homme
exécute pour marcher, et qui correspondent aux
mouve- ments de préhension, les mouvements les plus habituels de l'
homme
. Ces mouvements sont produits par les muscles l
contracture. Un fait, qui a éveillé notre attention, c'est que cet
homme
, quoique inculte, puisqu'il ne savait ni lire n
ne faut cependant pas exagérer, nous le reconnaissons, car alors l'
homme
finit par avoir trop d'idées dans le cerveau, d
a pris, pendant quelques jours, pour Sarah Bernhardt traves- tie en
homme
. » A la page la : « Cette page, ajoute-t-il, es
n confident, mais aussi un ami et un conseiller, agissant toujours en
homme
du monde, n'oubliant jamais que je suis laïc, b
ompagnes de M..., parler et agir dans une certaine mesure, comme un
homme
bien élevé peut agir et parler avec les anciennes
causés par les bandes se voient très bien. Il y a quelques mois cet
homme
eut à mener quelques vaches au marché de la local
as l'occasion de les photogra- phier à ce moment. La vigueur de cet
homme
, malgré son âge, est bien démontrée par la mani
re des sillons et des plis comme la première. L'intelligence de cet
homme
est très satis- faisante, mais il manque de har
heures du soir environ, il revenait de son travail et causait à un
homme
lorsqu'il tomba soudain à terre, se débattant des
n rendre compte par les photographies de nos malades âgés. Ces deux
hommes
savent très bien ce qui arriverait si les bandage
consulter pour la première fois à la fin de février 1908; c'est un
homme
de constitution robuste, de haute taille, très
quelques notions élémentaires. 10 Anatomie macroscopique. - Chez l'
homme
adulte, le poids moyen Je la thyroïde oscille a
a thyroïde chez les animaux, comme son agénésie ou sa lésion chez l'
homme
, les rend tristes, apathiques, lents, presque i
ide. Qu'on en juge par cette observation de L. Lévi. Il s'agit d'un
homme
de 60 ans. Une des caractéristiques de son temp
liste et leur idéalisme mystique disparut. Ils étaient régis par un
homme
issu de leur milieu, appelé tantôt « tzar» tant
tzar» tantôt apôtre. Cette royauté était héréditaire et à défaut d'
homme
passait aux femmes. Vers l'année 1880 ils étaie
RIS Le gouvernement canadien fit don de 160 acres de terre à chaque
homme
de plus de 18 ans. - Nombre d'entre eux,dénué
tes créatures de Dieu ne devaient pas travailler pour le profit des
hommes
. Et en bandes de 2.000 environ, hommes, femmes,
ravailler pour le profit des hommes. Et en bandes de 2.000 environ,
hommes
, femmes, enfants, ils partirent vers le Sud à l
mpruntant son nom à lui P..., contracté ou fait contracter, par des
hommes
de paille, quatre mariages successifs en juin e
onger à la syphilis. L'intoxication alcoolique est de même chez cet
homme
non évidente : tout au plus accuse-t-il quelque
iblesse de constitution. Le 10 avril dernier, en plein travail, cet
homme
ressent quelques symptô- mes avant-coureurs de
t ainsi, raconte le malade, que sa démarche, rappelant « celle d'un
homme
ivre », amenait des exacerbations au niveau des
e-t-il à l'Hôtel-Dieu, salle Saint-Charles, lit n° 1. ', ' C'est un
homme
de 1 m. 81, du poids de 90 kilogrammes, en octobr
IsPHALO-MYÉLITE AIGUE 261 mènes douloureux qui ont précédé chez cet
homme
, l'apparition des para- lysies peuvent y faire
éral, que 57 sujets, actuellement en traitement dans le service (27
hommes
; 30 femmes). 17 d'entre eux (29, 8 0/0) présente
l'enfant nouveau-né, les centres réflexes sont médullaires, chez l'
homme
adulte ils sont situés dans l'axe encéphalo- mé
exes peuvent reparaître après un laps de temps relativement long; l'
homme
adulte, lui, ne semble pas pouvoir jouir de ce
. Mais s'il semble que l'on puisse admettte que les réflexes chez l'
homme
ont des voies longues, où placer les centres ré
ignets et aux orteils. Pendant un séjour récent à l'infirmerie, cet
homme
a fait une poussée articulaire subaiguë au niveau
n : quel mari voudrais-tu ? elle répond : « je voudrais que ce fût un
homme
qui m'aime et un travailleur ». Idées général
r de tout 1 De quoi as-tu peur ? J'ai peur de rester seule, que des
hommes
me pren- nent et me fassent du mal. J'ai peur d
que à signaler : pas d'altérations du squelette ailleurs ; c'est un
homme
intelligent qui répond bien à toutes les question
ns l'observation de Bel-Air il est noté que B..fait l'impression d'un
homme
ivre et somnolent. Il comprend difficilement no
E LA PATHOGÉNIE DES NÉVROSES 373 ci sont exclusivement le fait de l'
homme
qui, pour sa facilité et avec plus ou moins de
ls pour les séparer. La nature n'émet aucune appréciation ; c'est l'
homme
lui-même qui juge et apprécie en se plaçant à s
mal que par rapport à un autre considéré comme normal. Mais c'est l'
homme
qui établit ces distinctions en rapportant tout à
morbide. Celui qui considère cette lutte sans prendre le parti de l'
homme
ou celui des germes infectieux, se trouve dans
funestes, il faut prendre un terme de comparaison et, comme c'est l'
homme
seul qui décidait, il s'est choisi lui-même et
tre de l'univers, en appréciant toutes choses à son point de vue, l'
homme
en arrive tout naturellement à s'attribuer une
ment, maladi- vement ou mortellement sur l'ensemble de l'organisme,
homme
, animal ou plante et tout sera dit. Un état aur
uilibre de la nature n'est pas rompu. C'est en se rapetissant que l'
homme
s'élève et grandit. Pour comprendre la théorie
en certaines circonstances, raisonner en indifférent et non pas en
homme
. I Bien que la formule de la matière vivante
domaine de la névrose. Ces enfants qui se rongent les ongles et ces
hommes
qui s'enivrent sans pou- voir résister à leur p
en un autre jouissant de modalilés réactionnelles différentes et l'
homme
, produit de juxtaposition de tous ces organisme
s des modifications corrélatives, il deviendrait une autre espèce d'
homme
et serait sur le même pied que les plantes dont o
ations inaccoutumées. Il n'est pas toujours avantageux de penser en
homme
et il est grand et digne de savoir, à l'occasio
en vertu du pouvoir cellulaire et inhérent à la matière vivante, l'
homme
qui a vu un geste le reproduit aus- sitôt ou te
ple indiscutable de la faculté d'imitation de la cellule vivante. L'
homme
qui change de milieu reproduit, sans le chercher
libre et réfléchi. Il me semble cependant que lorsqu'on qualifie l'
homme
de mouton de Panurge, d'animal grégaire, lorsqu'o
nature, il n'y a qu'action et réaction et, toutes choses égales, l'
homme
deviendra vicieux dans un milieu pervers; mendi
ni dégé- néré, il est autre. Il n'est donc- plus nécessaire que l'
homme
soit atteint de maladies ou d'affections organi
t turbulents tandis que d'autres sont mous et apathiques. Parmi les
hommes
, les uns sont méchants, colériques, im- pulsifs
t le premier s'applique plus volontiers à la femme et le second à l'
homme
. Il y a quelques années, la synthèse de tous le
s Edith Rudolph dans un exemplaire sur vélin du Passe temps de tout
homme
et de toute femme de Guillaume Alexis qui a orn
s, et on considère assez généralement que « c'est une indécence aux
hommes
que d'accoucher les femmes ». L'accouchement vi
le bon moine de Lyre », mit la dernière main au Passe temps de tout
homme
et de toute femme. Ce poème, en dépit de son litr
e assez rare au siècle de François Villon. Le Passe temps de tout
homme
et de toute femme est la traduction en vers, fr
Sera sommairement traicté Des miseres de ceste vie Qui font maint
homme
deshaicté ; Le second livre parlera ' D'homme
ie Qui font maint homme deshaicté ; Le second livre parlera ' D'
homme
qui au monde s'amord ; - Le tiers la fin declai
t-André), le 3 avril 1908. Antécédents héréditaires. Le père est un
homme
de 56 ans, de taille moyenne et d'apparence rob
lombaire, accident survenu après la naissance de notre malade. Cet
homme
n'a jamais abusé des boissons alcooliques; il boi
nt que sa mère le portait, elle a été impressionnée par la vue d'un
homme
infirme de même façon que lui. A part cela, il n'
es ; c'est ainsi encore que Depretz (cité par Bouvier) a observé un
homme
atteint d'absence du radius et du pouce, qui, sur
n organisme qui n'a pas en soi la force d'arriver où la moyenne des
hommes
arrive ; le développement n'est ni arrêté ni dé
edélllateux, mais elles sont inférieures à celles de la moyenne des
hommes
; ce sont des arriérés non des dégénérés comme
els secondaires peu accentués ou nuls, petites dimensions du corps (
hommes
en miniature), l'harmonie entre les différentes
ladie, l'infantile de ce genre n'a rien d'un enfant. C'est un petit
homme
, mais c'est un homme ». Plus loin, M. Brissaud
ce genre n'a rien d'un enfant. C'est un petit homme, mais c'est un
homme
». Plus loin, M. Brissaud se demande : si cet h
, mais c'est un homme ». Plus loin, M. Brissaud se demande : si cet
homme
n'a rien d'un en- fant, sauf la petite taille,
s femmes sont sujettes au myxoedème dans la même proportion que les
hommes
; après le développement des fonctions sexuelle
ange et les femmes sont alors sujettes au myxoedème par rapport aux
hommes
dans la proportion de 83 à 17 (II und, Bread ).
ment un cas d'hypertro- phie mammairc chez un basedowien ; chez cet
homme
les mamelles prirent les proportions d'un gros
beaucoup plus fréquente chez les femmes, mais on a remarqué chez l'
homme
aussi l'hypoplasie des organes génitaux par le
Le cas de Nazari est encore plus démonstratif : il s'agissait d'un
homme
de 20 ans qui n'en paraissait que 10 et dont la
.aussi que cette faculté se trouve à l'état d'ébauche chez tous les
hommes
, et particulièrement « son exagération se retrouv
part delà thérapeutique hu- maine est basée sur cette faculté. Uu
homme
atteint par une cardiopathie ne peut pas respirer
ce à l'Hôpital Umberto 1°, autant dans le service des 500 VALOBRA
hommes
que dans celui des femmes, on donne des litres de
crois pas. Le pithiatisme se trouve en état d'ébauche chez tous les
hommes
. Seulement chez les hystériques cette faculté est
nt basé sur une faculté qui est commune à la plus grande partie des
hommes
normaux, constitue le plus important des caract
je ne voudrais pas omettre d'évoquer d'autres souvenirs, ceux de l'
homme
qui, par sa dignité, sa bienveillance, avait su
é. ' Une telle simplicité ne va pas sans grandeur.1 La mémoire de l'
homme
qui sut regarder la mort avec cette sérénité re
nier ressort et de fournir la preuve, du moins pour ce qui concerne l'
homme
, objet spécial de nos études. A. D'après ce qui
gulier, qu'on peut suivre depuis les mam-mifères inférieurs jusqu'à l'
homme
, en passant, par le singe. Il y a lieu de disting
tion de la troisième circonvolution ? Comment encore retrouver chez l'
homme
les régions dites psycho-motrices, découvertes ch
Elle est intitulée : Etude sur les circonvolutions cérébrales chez l'
homme
et chez le singe (1874). L'anatomie comparée, d
nswick, 1860. — Il existe do ce travail une tra-duction anglaise. l'
homme
, par exemple, la ressemblance est frappante (l )
nschen, 1879. — P. Broca. Etude sur le cer-veau du gorille, 1878. l'
homme
, s'explique sans peine en raison de sa plus grand
u lobe pariétal. Cette séparation est beau-coup moins évidente chez l'
homme
par suite de la présence de ce qu'on appelle les
nts des lèvres et de la langue, E\ c'est là que l'on rencontre chez l'
homme
, le siège de la faculté du langage articulé : c'e
e pariétal. — Le lobe pariétal, dont l'étude est si dif-ficile chez l'
homme
, est, en revanche, très facile chez le singe. La
rales chez le singe, celle des circonvolutions correspondantes chez l'
homme
devient des plus simples. L'énumération que je va
F1, F2, F3), Fig. 3. — Face convexe d'un hémisphère du cerveau de l'
homme
. (Vue du lobe pariétal, dessin demi-schématique.)
ous le disais tout à l'heure, sépare d'une façon très confuse, chez l'
homme
, en raison de l'existence des plis de passage, le
pas que, chez le singe, le lobule paracentral qui existe comme chez l'
homme
, au moins chez les singes supérieurs, ait jamais
s pour l'étude des localisations céré-brales dans les maladies chez l'
homme
. — Nécessité d'une bonne observa-tion clinique et
qui concernent les Localisations cérébrales dans les maladies chez l'
homme
. Ces conditions fondamentales sont les suivantes
clairée par la clinique, l'ana-tomie pathologique est parvenue chez l'
homme
à décomposer l'organe complexe qu'on appelle la m
nt, je pense, pour vous convaincre qu'il sera possible un jour chez l'
homme
, et très vraisemblablement dans un avenir peu élo
s qui leur servent de fondement dans le domaine de la pathologie de l'
homme
. Nous devons nous efforcer aussi de donner la t
u séparé. Quelle est la destination de ces fibres nerveuses? Chez l'
homme
, il est à peu près impossible de s'en rendre comp
s nerveuses des nerfs optiques subissent dans le chiasma, même chez l'
homme
, un entrecroisement complet. On peut dire qu'en s
mifères (3). Elle ne l'est plus au même degré pour le singe et pour l'
homme
où l'existence du faisceau, parfaitement réelle d
ont là certainement les principales sources des nerfs optiques chez l'
homme
; ce sont vraisemblablement les seules chez un gr
s ne doit pas être cependant négligée, surtout lors-qu'il s'agit de l'
homme
. On sait qu'elle entre manifestemenl en connexion
2, p. 344) a soutenu que la racine interne des nerfs optiques chez l'
homme
tout au moins, est anatomique-ment en rapport ave
ela, les tubercules quadrijumeauN postérieurs ne seraient pas, chez l'
homme
, exclus de l'appa-reil des nerfs optiques, comme
, sans doute, l'entrecroisement dans le chiasma est complet. Chez l'
homme
, les éléments pour la solution du problème font e
adapte assez bien aux faits relevés par l'observation clinique chez l'
homme
; j'ajouterai qu'elle n'est en rien contredite — v
ne façon générale, considérablement de ceux qui se manifestent chez l'
homme
, en conséquence des lésions que la maladie déterm
du cerveau, se rapprocheraient beaucoup de ceux qu'on observe chez l'
homme
, dans les cas de lésions en foyer des hémisphères
rice bien dessinée et qui rappelle l'hémiplé-gie qu'on observe chez l'
homme
en conséquence de la lésion de ces mêmes parties.
re de la capsule interne produisent, ainsi que cela s'observe criez l'
homme
, l'bémianesthésie croisée. Fig. 36. — Coupe tra
ire du côté correspondant à la lésion cérébrale. La réalité, chez l'
homme
, de ces fibres pédonculaires direc-tes, semble êt
sur des bases solides la doctrine des localisations cérébrales chez l'
homme
-Mais en somme, Messieurs, ces divers sujets n'on
eau. Or, ces régions elles-mêmes, chez les animaux qui, de même que l'
homme
, ne possèdent à l'époque de la naissance que la v
aux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Chez l'
homme
, à la naissance le cerveau est un organe à peu pr
ore chez les petits animaux qui naissent aveugles et, comme ceux de l'
homme
, privés de déterminations Fig. 49. — Région lom
es (1). Si l'on considère la surface des hémisphères cérébraux de l'
homme
et qu'on y cherche des points de repère pour s'or
caractères morpholo-giques fondamentaux de la surface du cerveau de l'
homme
, et on les retrouve chez la plupart des singes. V
e que cette particularité de structure n'appartient pas seulement à l'
homme
. On la retrouve chez le singe, comme l'a montré e
nt été tout récemment con-firmées, non seulement en ce qui concerne l'
homme
et le singe, mais aussi le chat et le mouton, par
rait au singe, l'observation anatomo-clinique pour ce qui a trait à l'
homme
, a permis de localiser les régions dites psycho-m
tique de la moelle épiniôre, observé par W. Millier. 11 s'agit d'un
homme
de vingt-un ans, qui reçut un coup de couteau au
antéro-latéral droit et des cordons postérieurs (voy. Fi g. 64). Cet
homme
présenta les symptômes suivant : à gau-che, anest
les ressemblent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'
homme
. — Le faisceau pyra-midal n'est pas compact chez
périences de ce genre), bien que faite sur le modèle delà moelle de l'
homme
, s'en distingue cependant par quelques particular
altération est atteint. Je ferai remarquer, à ce pro-pos, que, chez l'
homme
, c'est au bout d'un ou deux mois seulement, que l
ès M. Schief-ferdecke.-, à peu de chose près, ce qu'elles sont chez l'
homme
; il y a cependant, chez le chien, quelques parti
ascendante, les lésions rappellent exactement ce que l'on voit chez l'
homme
en pareil cas, à savoir, dégénération ascendante
et du faisceau cérébelleux direct. comparées à ce qu'on voit chez l'
homme
, présentent quelques particularités. On peut dire
que les fibres pyramida-les ne forment pas généralement, comme chez l'
homme
, des faisceaux compactes (les fibres des faisceau
scendantes, sont absolument comparables à celles qui se voient chez l'
homme
. III. Ce qui vient d'être dit des dégénératio
mal. Quelles sont les parties homologues des régions rolandiques de l'
homme
? C'est là, Messieurs, un point sur lequel l'anato
se produisent chez le chien, absolument comme s'il s'agissait chez l'
homme
d'une lésion portant sur un point des régions mot
ez le chien peut affecter les m^mcs caractères anatomiques que chez l'
homme
. Jus-qu'en certain point les fibres du faisceau p
e 'dégénération semblable anatomiquement à cellequi se produit chez l'
homme
dans les mêmes circonstances, en diffère au point
excitables? L'excitabilité du faisceau pyramidal est manifeste chez l'
homme
, dans tout le trajet cérébro-spinal de ce faiscea
logie des diverses parties du système nerveux, en ce qui concerne l'
homme
; il est également-vrai que l'expérivh mentation s
rd une importance considérable. Cependant, en est-il de même chez l'
homme
, où, au con-traire, les faisceaux de Tiirck ont p
d'une excitabilité très manifeste ; on peut donc admettre que, chez l'
homme
, cette même excitabilité doit exister dans toute
hez le lapin par exemple, à l'état normal, tout aussi bien que chez l'
homme
, et qu'ils cessent de se produire lorsque la moel
3° C'est ainsi que les choses se passent, à peu de chose près, chez l'
homme
, au moins chez un certain nombre d'indi-vidus. La
tée de montrer, à côté de la malade dont il vient d'être question, un
homme
atteint d'accidents absolument identiques, et que
des deux cas. Ici, l'affection est de date beaucoup plus récente. L'
homme
dont il s'agit, âgé de trente-cinq ans, est malad
le doute fut impossible. Observation III (Nixon). Il s'agit d'un
homme
de 35 ans, charretier, qui, au mois de février 18
s pour l'étude des localisations céré-brales dans les maladies chez l'
homme
. — Nécessité d'une bonne observa-tion clinique et
aux des animaux nouveau-nés doués de mouvements volontaires. — Chez l'
homme
, à la naissance le cerveau est un organe à peu pr
les ressemblent de tous points aux dégénérations pathologiques chez l'
homme
. — Le faisceau pyra-midal n'est pas compact chez
excitables? L'excitabilité du faisceau pyramidal est manifeste chez l'
homme
dans tout le trajet cérébro-spinal de ce faisceau
ues (Faits), 212. CircoNVOLUTioNS, 10; — chez le singe, 11; —chez l'
homme
, 14 ; — leur description. 10 et suiv. ; -- fonda-
cerveau ; structure, vaisseaux. Découverte des localisations chez l'
homme
par la méthode anatomo-clinique. Monoplégie crura
r conséquent trois semaines de cela, il s'est présenté devant nous un
homme
dont le cas nous a particulièrement intéressés. A
quement homogène. Mais, je le répète, la détermination exacte, chez l'
homme
, des centres moteurs pour les divers mouvements,
x mouvements du membre inférieur d'un côté du corps se trouve, chez l'
homme
, dans le lobule paracentral. » C'est ainsi que
je vais actuellement vous faire connaître en peu de mots. C'était un
homme
de trente-six ans, sans antécédents héréditaires
quant de points de comparaison qui rendent possible et facilitent à l'
homme
normal et au somnambule l'interprétation, il la t
Mot-choutkowski et l'examen donne les résultats suivants : C'est un
homme
de taille moyenne, bien bâti; le pannicule adipie
férentes toujours la même mimique. Cela est dû peut-être à ce que cet
homme
, ouvrier grossier, dans l'esprit duquel les scène
zoopsie y tient une grande place. Le feu, le sang, des assassins, des
hommes
rouges qui la poursuivent, des bêtes, rats, crapa
e, je suis toute seule..., où donc, à cet heure? En pleine nuit ! ces
hommes
après moi ! » Toutes ces hallucinations persist
e ce malade qui peut être considérée comme un type de ce genre. Cet
homme
c est sujet à des accès consistant en ce que, tou
t à remarquer que, pendant toute la durée de chacun de ses accès, cet
homme
a toujours vécu inconsciemment, mais avec les app
t homme a toujours vécu inconsciemment, mais avec les apparences d'un
homme
normal, n'attirant pas l'attention, et ne commett
toire quatorze ans plus tard (2). Il s'agit dans ce second cas d'un
homme
de 27 ans, chez qui le début des accidents nerveu
en. Les stigmates hystériques étaient à leur plus haut degré chez cet
homme
. Il était anesthésique total, dans le domaine de
e nous soutenons, si nous nous reportons aux détails du délire de cet
homme
, absolument analogue à celui de tous les malades
t ici, nous voyons que, dans ses accès de somnambulisme spontané, cet
homme
marchait, agissait d'une façon en apparence raiso
ens chez la femme, les points testiculaires et pseudo-ovariens chez l'
homme
, les points sous-mammaires, épigastriques, etc.,
rtie. L'enfant avait été endoctriné par un autre garçon de la maison,
homme
d'un certain âge, qui lui inculquait les doctrine
raitant de lâche et de « feignant ». D'autres fois il invectivait des
hommes
du gouvernement, les adversaires de Boulanger, et
pas ce grand poteau?... Qu'est-ce donc qu'il y a dessus?... Il y a un
homme
auprès... Oh! c'est excessivement loin. » Il met
giment, un colonel ; lui-même doit partir le lendemain matin avec ses
hommes
pour Saint-Ouen, pour prendre et punir Auguste
prend l'attitude d'une personne qui regarde au loin : « Quel est cet
homme
? Je ne distingue pas bien. Tiens, voilà un potea
avant, comme s'il distinguait les lettres avec difficulté: « Jeune
homme
, vous en avez encore pour 13 douches (le matin il
e avec qui il cause souvent). R. « Non, ce n'est pas lui..., c'est un
homme
qui lui ressemble et qui plante des poteaux », et
s'agissait d'un nommé Constant..., âgé de 57 ans, soldat libéré. Cet
homme
était atteint d'accidents hystériques avérés et p
inations assez fortes et persistantes. On remarqua aussi que chez cet
homme
, ouvrier grossier, sans instruction ni éducation,
it. Elle avait des hallucinations, et voyait, entre autres choses, un
homme
noir qui s'avançait vers elle, la menaçait, et el
piques les yeux. Oh ! là, là ! Oh ! là, là ! « ..... Oh ! tous ces
hommes
rouges. Ils veulent me tuer. Ils me suivent tou
e il brille. Oh! il me fait mal aux yeux ; je vais le cacher, car les
hommes
rouges pourraient me le voler..... « ..... Oh!
e. Cette pauvre petite bête; il est blessé. C'est au moins encore les
hommes
rouges qui l'ont tué..... « ..... Mon petit ché
dras dimanche prochain. Oui. Que tu es gentil. Je t'attends. Ah ! les
hommes
rouges qui passent. Courons, courons. Ah! ils ne
e....., je vais attraper du mal. Au secours! au secours! Tiens, les
hommes
rouges qui arrivent, et je ne peux pas me sauver,
ous venez des bains de mer. Ça va mieux..... « ..... Oh ! voilà les
hommes
rouges qui viennent à moi. Au secours. Ils vont
ont se blesser, se tuer, mon Dieu, j'ai grand peur.....Oh! tous ces
hommes
là-bas..... « ..... Combien de fois faut-il que
. « ..... Cette femme-là est peut-être sa maîtresse. Mais, non, l'
homme
est mort, c'est vrai. Moi, j'ai beaucoup de peine
t ; je ne veux pas que vous me fassiez mal. Sont-ils drôles? tous ces
hommes
-là. Oh ! que je suis malade, j'ai mal à la tête..
is toute seule..., où donc, à cette heure ?... En pleine nuit..., ces
hommes
après moi ! » Le verre bleu foncé amène sur la
suivante, le sommeil fut agité, entrecoupé de visions terrifiantes d'
hommes
armés qui le poursuivaient. Le lendemain il éta
de médecins et puis le professeur, M. Charcot... Il me fait peur, cet
homme
-là. Quand il vous cause, ça vous fait quelque cho
ui-même dans ce sens. Le début de chaque crise est en effet, chez cet
homme
, « précédé d'un malaise, d'une pesanteur vers le
lus vraisemblable, comme un bel exemple d'hystérie traumatique chez l'
homme
. En réalité, le cas de M. Mesnet présente une p
Il s'agit d'un nommé de B..., âgé de 29 ans, journaliste. C'est un
homme
qui ne fait pas partie de la clientèle hospitaliè
duites depuis quelque temps. Lorsqu'il se présente à nous, c'est un
homme
de force moyenne, d'aspect pas très robuste, un p
rises qu'il a eues. Nous n'avons pas vu de crises semblables chez cet
homme
, au moins au début de son séjour à la Salpêtrière
« que l'espion de Nancy s'en tirera avec cinq ans de prison... « Cet
homme
, qui représente le commissaire du gouvernement, «
e sorte de liaison entre les états somnambuliques successifs chez cet
homme
. Cela ne se produit pas toujours chez tous les ma
hystérie avec allongement de la phase passionnelle. Tout récemment un
homme
de notre service, atteint d'hystérie avec grandes
imenté doit arriver à hypnotiser 80 0/0 de ses malades, et que « tout
homme
est par lui-même plus ou moins suggestible et par
ur peut modifier à volonté la personnalité de l'hypnotisé, changer un
homme
en femme, un manouvrier en roi, etc. Ce sont le
le même endroit ne se croirait pas sur le passage d'un enterrement d'
homme
célèbre (voir à ce sujet, passim, les observation
és qui perdent (1) Ribot. — Loc. cit., p. 32. (2) Ch. Richet. — L'
homme
et l'intelligence. Paris, 1884. p. 250. même la
ns étrangers qui fréquentaient le service de clinique, se trouvait un
homme
, qui s'était présenté à nous comme docteur en méd
en médecine et que M. Charcot avait autorisé à suivre le service. Cet
homme
n'était sans doute qu'un vulgaire charlatan, quel
ion de marcher, qui nous paraît si simple, continuerait d'être pour l'
homme
un sujet de préoccupation et d'étude pour toute s
, nous ressemblerions à un écolier qui copie péniblement un dessin. L'
homme
le mieux doué n'arriverait pas à jouer cinq mesur
ourtant en fait le fond, absorberait toutes nos (1) Ch. Richet. — L'
homme
et l'intelligence. Paris, 1884, p. 250. (2) J.
ambulisme hystérique (le malade de B... de notre précédent travail, l'
homme
de M. Mesnet... et d'autres) dans lesquels les ha
e femme d'environ trente-quatre ans, habitant G..., mariée à un brave
homme
qui exerce la profession de menuisier. C'est un m
; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père serait, paraît-il, un
homme
violent, ivrogne et débauché, qui s'est séparé de
re en justice. Sans doute l'enquête du commissaire n'a pas abouti ; l'
homme
en question est resté introuvable et on s'est per
hallucinatoire reparaissait avec un changement de tableau : «Oh! cet
homme
..., cet homme...,» criait-elle, en se dressant su
e reparaissait avec un changement de tableau : «Oh! cet homme..., cet
homme
...,» criait-elle, en se dressant sur son lit, dan
Mme V.; j'étais en train de piquer un tablier à la machine, lorsqu'un
homme
que je ne connaissais pas entre et me dit brusque
ans le sommeil hypnotique. plusieurs jours. Je sentis alors que cet
homme
me frappait sur l'épaule en me disant : « Au lieu
e très manifeste quf a duré un à deux mois; il voyait dans la rue les
hommes
, les chevaux, les fiacres en double. Cette diplop
22 gr. 83 degly-cose par vingt-quatre heures (40 gr. 94 par litre).
Homme
obèse. Dents en bon état; pas de gingivite. Pas d
a marche ses jambes se dérobent sous lui. 11 marche, dit-il, comme un
homme
ivre, et il est connu dans son quartier sous le s
fait remonter à six mois. Etat actuel (21 août 1890).— K... est un
homme
de corpulence moyenne, sans obésité. Il porte aux
s été faite durant cette période. Etat actuel (2 septembre 1891). —
Homme
d'aspect assez robuste, d'embonpoint ordinaire.
x. — Nous voyons, dans l'observation que nous venons de résumer, un
homme
, sans hérédité connue, surmené intellectuellement
du même côté et l'un et l'autre atteignent le volume des mollets d'un
homme
de taille et de force moyennes. Les muscles sont
le malade de M. Brissaud. Mais le point le plus important chez cet
homme
c'est la présence de la pseudo-hypertrophie de ce
(1) Nous n'entrerons dans aucun détail au sujet de l'histoire de cet
homme
, dont l'observation se trouve donnée plus haut av
jusqu'ici devoir attacher grande importance, il s'agissait de quatre
hommes
. La valeur diagnostique de cette déformation nous
uge, bleu, vert et violet. En même temps, la malade entend une voix d'
homme
qui rit. Se produit constamment avant chaque atta
ns, couturière. Enfance et adolescence très misérables. Mariée à un
homme
buveur et joueur qui la battait. Début à l'âge
rêtant à la gorge en l'étouffant ; puis en la vision terrifiante d'un
homme
qui se jetait sur elle. Depuis un an, l'aura n'es
, il n'a constaté l'aura, en moyenne, que 10,76 fois : 10 fois chez l'
homme
, 11.53 chez la femme. Les recherches de M. Gowe
es avons séparés l'un de l'autre, plaçant le mari dans le service des
hommes
, la femme dans le service des femmes, et avons te
l'étude analytique des faits. "Ss* Le premier de nos malades est un
homme
de 27 ans, peintre en bâtiments, du nom de Kauff.
inutile de répondre à ceux qui m'objecteraient qu'il s'agit ici d'un
homme
et que l'hystérie est exceptionnelle dans le sexe
t, actuellement, d'une façon péremptoire, que l'hystérie est chez l'
homme
beaucoup plus fréquente qu'on ne l'avait supposé.
uteurs qui plaident pour leur origine saturnine est qu'il s'agit de l'
homme
! Eh bien, aujourd'hui, ce n'est pas là un argume
jourd'hui, ce n'est pas là un argument ; et nous savons qu'il y a des
hommes
de trente, quarante, cinquante ans, qui sont hyst
observé, le 4 août 1854, service de M. Cru-veilhier, à la Charité, un
homme
d'une quarantaine d'années, peintre en bâtiments
ne quarantaine d'années, peintre en bâtiments depuis son enfance. Cet
homme
a déjà eu la colique de plomb, il y a un an envir
as il y a dix ans, que l'hystérie n'existe pour ainsi dire pas chez l'
homme
, on attribuera à peu près invinciblement tous ces
cerveau; structure, vaisseaux. Découverte des localisations chez l'
homme
par la méthode anatomo-clinique. Monoplégie crura
raumatique n'est point spéciale aux animaux : nous avons observé un
homme
qui, sans antécédents héré- ditaires connus, ét
évroses, considérées dans les deux sexes et en parti- culier chez l'
homme
. (Ann, méd. psych., 6e série, t. VI, p. 192.) .
le criminel, par l'insensibilité morale; elle ne détourne point cet
homme
du mal, bien loin de 1 Maudsley. Le crime et la
qu'on a essayé de rapprocher sans dis- tinction les criminels de l'
homme
primitif4 : cette théo- rie serait applicable t
n état normal antérieur, ce sont des anormaux par 1 Labortle. - Les
hommes
et la actes de l'insurrection de Pans devant la
872, b' série, t. Vit, p. 257. 3 Mundy. laid. l&Ca8Sâ1lC. - L'
homme
criminel compuré à l'homme primitif. Ltoly i| 1
57. 3 Mundy. laid. l&Ca8Sâ1lC. - L'homme criminel compuré à l'
homme
primitif. Ltoly i| 1882. - Lombroso. null. Soc.
; mais on est pas plus en droit, tant s'en faut, de l'attribuer à l'
homme
primi- tif, pas plus que l'augmentation de poid
quadam stzcltitice, dit l'ancien adage ; nombreux en effet sont les
hommes
illustres à différents titres qui ont été attei
toutes les formes de la ' nervosité peuvent se rencontrer chez les
hommes
de génie et de talent, c'est sans contredit, l'
lus élevé. L'histoire pathologique des familles d'un grand nombre d'
hommes
éminents étudiés par MM. Moreau (de Tours) et J
by. Etude sur la sélection dans ses rapports avec l'hérédité chez l'
homme
, 1881. 3 Ribot. - L'hérédité psychologique, p.
oumorales qui les accompagnent. Lesaliénés, les crimi- nels et les
hommes
de génie apportent en naissant une constitution
es mélancoliques. On les rencontre aussi chez un certain nombre d'
hommes
distingués (Trélat). Cette coïncidence des tics
ns la production de l'imbécillité. Cependant Bouvier cite plusieurs
hommes
remarquables atteints de celte difformité, dont
l ie, t. VIII, p. 36. , Darwin. - L 'expression des émotions chez l'
homme
et les animaux, la édit. 1877, p. 338. ' Fér6
1LNE'ILLE et BO ? NAIItE. Depuis quelques années, l'hystérie chez l'
homme
a été l'objet de plusieurs publications intéres
bserver une dizaine de cas d'hystérie plus ou moins graves chez des
hommes
ou chez de jeunes garçons. Déjà trois d'entre e
des premiers à établir, entre l'hystérie de la femme et celle de l'
homme
. Observation. - Père alcoolique. - Deux soeurs
(25 octobre 4 880). Pére, cinquante-sept ans, briquetier. C'est ,un
homme
de taille moyenne dont la santé a toujours été
lois qu'il montait l'escalier de sa mai- son, il fut accosté par un
homme
ivre qui le menaça de l'assassiner s'ii tentait
.. » et se jette sur lui en le frappant. Bien que très robuste, cet
homme
a peine à maintenir l'enfant qui se débat penda
isparition spon<H/ : A'. Louis C ? le lils, de trente- cinq ans,
homme
lent, d'une intelligence faible, d'un tempérament
haud, etc. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 121 1 comme chez l'
homme
, se remarquent surtout au voisinage de la parti
des animaux carnivores. Très variables dans leurs dimensions chez l'
homme
et chez le singe, ces cellules ont, au contrair
te du réflexe tendineux rotulien ne dépasse pas chez l'adulte sain (
homme
) 2jGt de seconde. Les conclusions de l'auteur s
as inquiété, même s'il a détenu arbitrairement pendant vingt ans un
homme
sain d'esprit, dans son hospice. C'était là le
étudier toutes les affections pathologiques,, et on peut dire qu'un
homme
qui connaît à la fois les,itialadies mentales e
remette sa vie entre les mains d'un médecin, aux lumières duquel un
homme
sain d'esprit ne voudrait pas avoir recours en
ilatérale, ou hémiparésie des mouvements oro-lin- guaux '. Chez l'
homme
, les lésions de ces mêmes parties du lobe front
elle de médecine et de chirurgie, novembre 1878 et février 1879.)
Homme
, soixante-neuf ans, atteint "d'emphysème pulmon
ie à la Clinique de Berne, dans le service du professeur Quincke.
Homme
de vingt-quatre ans. En 1877, à la suite d'un bai
as defJisenlobr. (Archiv. fïir Psychiatraé,l3andIX, 1878, p. 43.) -
Homme
de soixante-treize ans. Pendant les trois der-
° Cas de Ross : · (Diseases ofuhe nervous System; vol. II, p. 126.)
Homme
de quarante-neuf ans (service dur Leech; infirm
ux bulbaires sains. '1 i 5° Cas de Ross. (Mémoire cité du Brain.) -
Homme
de trente-quatre ans. En juin 1881, le malade é
e suivie de troubles mentaux qui durent deux semaines. Actuellement
homme
d'apparence robuste, paraplégie com- plète, exa
énérale; 1 A. Mossé. - Contribution Il l'étude de l'hystérie chez l'
homme
. Mont- pellier, 1883. 1 Laycock. Treatise oft
interne des hôpitaux.) Le nommé Lucien Gér ? âgé de vingt-neuf ans,
homme
de peine, entré le 23 juin 1875, à l'hôpital Sa
apparaissent en outre des vertiges qui le mettent dans l'état d'un
homme
ivre. Sa vue s'ohscurcit à ces moments. 11 est co
1 cr mai 1883, Fauv.. a la démarche chancelante et incertaine d'un
homme
ivre. Il n'est pas plus poussé d'un côté que de
hystériques ou névro- pathiques ; et le spasme de l'urèthre chez l'
homme
peut être considéré comme une manifestation d'u
udiciable. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Grande hystérie chez l'
homme
; par PASTRRNATXKI. (Archives de Psychiatrie et
ernatzky donne une description d'un cas de grande hys- térie chez l'
homme
suivie d'un état léthargique et cataleptique; ce
la scissure de Sylvius droite. G. D. V. Un cas D'HYSTÉRIE chez l'
homme
; par ,1\1. LECOQ. (France médicale, t. I, -188
par ,1\1. LECOQ. (France médicale, t. I, -188 ? .) Il s'agit d'un
homme
de vingt et un ans, fils d'alcoolique, atteint
INSIPIDE; par Flatten. (Arch. f. Psych. u : Nervenk., XIII, 3.).
Homme
de vingt-deux ans présentant successivement, à la
lieu de la route. Le troisième cas cité par Frerichs est celui d'un
homme
de quarante ans qui fait une route de douze mil
ut d'abord; puis la démarche devient chancelante comme celle d'un
homme
en état d'ivresse : enfin le sujet ressent un imp
t à ceux du coma. Il a pu faire ingérer à des animaux et même à des
hommes
de fortes doses d'acétone sans observer aucun t
medicine, \ew-1'orlc, august 1883.) 1° Le premier cas a trait à un
homme
chez lequel, il 'la suite d'un traumatisme, on
sans distinction du genre de malades; on y compte actuellement 225
hommes
et 213 femmes. De Vordingborg, charmante petite
emmes : à droite, le bâtiment de l'administration et la section des
hommes
. Le petit côté orienté au sud comprend un ' bât
et renfermant, à droite et à gauche, des chambres de pensionnaires,
hommes
et femmes, de première et deuxième classe. Les
par le gaz, que l'on fait arriver de la ville. Chaque service, des
hommes
ou des femmes, dispose de trois salles VARIA. 2
r ce dernier moyen. - Quinze cellules assurent l'isolement chez les
hommes
et chez les femmes ? les parois, cimentées, limit
s une prison. On a divisé les services pour le mieux, mettant les
hommes
près de la rue, les femmes plus en dedans; on a f
nfin on a installé un quartier cellulaire de huit cellules pour les
hommes
, de dix cellules pour les femmes. Dans les étag
des Archives de Neurologie. - Il s'agit, on se le rappelle, d'un
homme
instruit et intelligent qui, à la suite de préo
ge dans sa chambre en répétant qu'il était le plus malheureux des
hommes
, qu'il était perdu et qu'il ne guérirait jamais.
autre fait, j'ai été appelé, il y a quelques semaines, auprès d'un
homme
d'une 292 -) ' CLINIQUE MENTALE. quarantaine
untée au British medical Journal (6 janvier 1877). Observation I.
Homme
de trente-cinq ans. Perte de connaissance et en
nlirmeric de médecine le 28 janvier 1883. Il y a quatre mois, cet
homme
a été frappé d'hémiplégie droite, ayant intéres
jours cru que cette fonction lui était commune avec tous les autres
hommes
. A partir de ce jour, mon attention fut vivemen
l'intermédiaire de la protubérance. 0 Le second fait a trait à un
homme
da soixante et un ans REVUE DE pathologie NERVE
. Senger. (Archiv f. Psych. u. Nerven/i., XII, 2.) 11 s'agit d'un
homme
de cinquante ans, maigre, névropathe, entaché d
sitée par les travaux des tapissiers, des ouvriers du bâtiment, des
hommes
de peine ou des femmes de ménage dans les soins
chologique ne peut que se féliciter. Elle a reçu à bras ouverts des
hommes
jeunes, laborieux, qui lui apportent, avec leur
un deuil eruel : nous avons perdu Lasègue, et le souvenir de cet
homme
supérieur, dout vous connaissiez les rares qualit
orrespondants nous ont été aussi enlevés celte année. C'étaient des
hommes
de bien, des hommes de devoir; toute leur vie s'e
nt été aussi enlevés celte année. C'étaient des hommes de bien, des
hommes
de devoir; toute leur vie s'est passée au milie
in les maîtres vénérés qui nous ont donné l'exemple du travail, les
hommes
du présent qui se sont efforcés de suivre la voie
alique.] Discussion : M. Meynert, apporte un fait de son crû : Un
homme
de trente ans, observé par lui plusieurs fois à
res du Congrès; l'une d'elles pro- vient du chevreuil, l'autre de l'
homme
. Les sections transverses des faisceaux sonttrè
enticulaire aussi volumineux que le noyau caudé. Chez le singe et l'
homme
, le développement du noyau lenticulaire pré lom
tions à l'appui. Il s'agit de préparations du Ruban de Reil chez l'
homme
, le chien, le singe. Coupes horizontales, vertica
es ont été exécutées sur l'ensemble du système nerveux central d'un
homme
ayant succombé à la forme tabétique de la paral
eur a soumis à l'examen microscopique l'écorce des hémisphères d'un
homme
atteint de folie systématique hallucinatoire, a
tales des organes génitaux dans le développement de la folie chez l'
homme
; par RAFFEGEAU. Thèse de Paris, 1884. Essai
pour 60 malades curables de chaque sexe, renferme au- jourd'hui 60
hommes
et 80 femmes; les bâtiments qui le cons- tituen
ecteur, la salle de visites : à droite et à gauche, le logement des
hommes
(est), le logement des femmes (ouest); les chambr
iles sont réservées la divi- sion cellulaire. Dix cellules pour les
hommes
, autant pour les femmes, jouissent de l'éclaira
Ces deux asiles-hospices renferment puur le moment 345 femmes et 80
hommes
. Tout près de là existe la cuisine; un peu plus
trouve le châ- teau : on y a installé une série d'ateliers pour les
hommes
, l'habi- tation de l'inspecteur, de l'intendant
sée un étage. En entrant on a, à droite et à gauche cinq cellules d'
hommes
; la disposition est la même au premier étage (c
a nécessité d'avoir dans les asiles d'aliénés de ce département des
hommes
dans la force de l'âge, capables par leurs trav
sous quelles conditions internes et externes se déve- loppe dans l'
homme
la faculté du vouloir, à indiquer quels sont les
re à exercer une influence sur la formation du caractère moral de l'
homme
et d'en faire un moyen de correction chez les a
rébral de 1'), par Raymond et Artaud, 145, 296. Hystérie chez l'
homme
, par Paster- natzky, 245; par Lecoq, 247; - p
es ont fait l'objet d'é-tudes ou de rapports importants, de la paît d'
hommes
très-compé-tents, tels que MM. Trélat, Lefort, Bo
e la Pitié, salle Saint-Gabriel, n° 44 (service de M. Polaillon). Cet
homme
, robuste mal-gré son grand âge, a été atteint d'u
ssement du pouls, qui tombe au-dessous de la moyenne ordinaire. II.
Homme
de 30 ans, peu vigoureux, ayant les poumons malad
Pitié, dans le service de M. Trélat (salle Saint-Gabriel, n° 49). Cet
homme
raconte que, le 25 mai, il a été blessé au ventre
une femme atteinte d'atrophie musculaire progiessive; l'autre chez un
homme
à la suite d'une lésion traumatique de la mo lie.
pa-ihie du genou gauche. — Eschare. — En 1850, pendant une émeute, un
homme
reçut dans le dos un coup d'épée entre la neuvièm
ù il contracta la syphilis : chancre, roséole, plaques muqueuses. Cet
homme
commet aussi quelques excès alcooliques. La mèr
ktméja. REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX CANCER DU SEIN CHEZ L'
HOMME
REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS
PARIS CLINIQUE CHIRURGICALE OBSERVATION DE CANCER DU SEIN CHEZ L'
HOMME
par m. thaon, interne dfs hopitaux de paris C
al de la Pitié, dans le service de M. Trélat, le 28 avril 1871. Cet
homme
est porteur d'une grosse tumeur du sein droit qui
uéri de sa plaie le 1 5 juillet. NOTES SUR LE CANCER DU SEIN CHEZ L'
HOMME
par g. peltier, interne des hôpitaux La mamel
ar g. peltier, interne des hôpitaux La mamelle, rudimentaire chez l'
homme
, [est très-rarement le siège de maladie; on y a c
rhe paraît être la seule variété de cancer décrite et observée chez l'
homme
; depuis on a noté un certain nombre de tumeurs en
es. En 1844, M.Walsh1 croit encore que le cancer de la mamelle chez l'
homme
est toujours de nature squirrheuse. « J'avais p
58, p. 695. loïdes, un certain nombre de fois, dans la mamelle de l'
homme
; une première fois, la tumeur, qui n'était point
t encore ulcérée, offrant le volume des deux poings, existait chez un
homme
d'une cinquantaine d'années, et commençait à se r
commençait à se ramollir sur une de ses principales bosselures. — Un
homme
de 48 ans, qui vint me consulter en 1850, avait l
r du creux de l'aisselle en 1847 une masse cancéreuse ulcérée chez un
homme
qui avait subi, dix-huit mois auparavant, l'ablat
tte citation suffit, il nous semble, pour prouver que la mamelle de l'
homme
est sujette, comme la mamelle de la femme, quoiqu
s à the Lancet. « M. Lyford a vu un exemple de cancer du sein chez un
homme
de 25 ans ; M. Walshe un autre chez un homme de 3
e cancer du sein chez un homme de 25 ans ; M. Walshe un autre chez un
homme
de 30 ans. Trois autres malades avaient 45, 56 et
of fifty cases of Cancer of the Breast,ne cite aucun cas relatif à l'
homme
[the Lancet, 1803, vol. 1, p. 690, et vol. II, p.
sse comme la moitié d'une orange, développée depuis sept mois cbez un
homme
de 35 ans, sans vice héréditaire et jouissant d'u
pondante. On diagnostiqua un squirrhe. La santé était très-bonne. Cet
homme
se refusa à l'opération. » Nous trouvons aussi,
), la relation du cas suivant : Observation.—Cancer du sein chez un
homme
de 60 ans.—Extir-pation. — Guérison de la plaie.
qui fût digne d'intérêt, c'est que la tumeur du sein existait chez un
homme
. Le malade était fort, âgé de 35 ans. Il avait re
ogiques, renferment aussi quelques cas de cancer de la mamelle chez l'
homme
; malheureusement, le plus souvent, ils ne sont q
ris, t. XXXV, année 1860.— IIe série, t. V, p. 13\. cueillie sur un
homme
de 65 ans. Elle date d'un an et est ulcérée depui
note : « M. Bourdillat présente une tumeur du sein recueillie chez un
homme
de 68 ans. C'est une tumeur fibroplaslique2. »
mple notice, nous signalerons en-core un cas de cancer du sein chez l'
homme
dont nous trouvons l'indication bibliographique,
s and Circular, 1868, p. 8 3.) Le cancer du sein se comporte chez l'
homme
comme chez la femme; on avait écrit, et Velpeau l
peau l'a cru pendant un certain temps, que les cancers du sein chez l'
homme
ne tendent ni à se disséminer, ni à gagner au lar
estruction par les caustiques offrent quelques chances de plus chez l'
homme
que chez la femme. — En tous cas, ces tu-meurs do
ier 1867, à l'hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Folcher. Cet
homme
portait, à la région occipitale, une tumeur dure,
l'urine. — Jaunisse. — Urémie. —Abcès de la pros-tate. — lls'agitd'un
homme
de 40 ans qui cutunegonorrhée enl860. Celle-ci gu
ntes reprises, nécessita l'emploi delà sonde. Le 25 février 1870, cet
homme
ne put uriner; le cathétérisme pratiqué deux fois
ase, n° 54 (ser-vice de M. Marrotte.) Les personnes qui ont amené cet
homme
ont simplement raconté qu'il était atteint de dys
rer. A six heures, notre ami Peltier, interne du ser-vice, trouva cet
homme
dans un état d'hébétude ne lui permettant pas cle
n somme, les seules altérations que l'autopsie fit découvrir chez cet
homme
. Le cerveau était parfai-tement sain. Or les lési
e. Or la quantité moyenne d'urine rendue en vingt-quatre heures par l'
homme
sain étant environ de 1250 grammes, nous au-rions
50 à 52 grammes d'urée que renferment les 1250 grammes d'u-rine de l'
homme
, à l'état physiologique. 11 est même probable que
-Louis, service de M. Bazin, pavillon Saint-Mathieu, n° 70. — Cejeune
homme
jouit d'une bonne santé habituelle ; il n'a fait
ean Denis pratiqua pour la première fois la transfusion du sang sur l'
homme
, grand nombre d'auteurs se sont occupés de cette
réussir en employant le sang d'animaux d'espèces fort éloignées ; à l'
homme
, il est inu-tile d'injecter du sang humain : le s
, p. 170, année 1852.) Livois. — Recherches sur Véchinocoque chez l'
homme
et les animaux. (Thèse de Paris, 1843.) B au va
xillairc..... Sein.......... Bras..........• Cuisse..........
HOMMES
56 1 1 11 2 1 0 0 0 1 0 0 1 FEMMES
ues de filets nerveux, par M. Yitrac. « Il y a deux à trois ans, un
homme
d'une cinquantaine d'années, marin, d'ailleurs d'
interne des hopitaux de paris Le sujet de cette observation est un
homme
âgé de 52 ans atteint d'un cancroïde de la région
d'un cancroïde de la région auriculo-temporale (Planche XXIX). Cet
homme
dans les antécédents duquel nous n'avons pu retro
-trer à tout âge ; mais elle est surtout fréquente de 20 à 30 ans ; l'
homme
paraît y être plus sujet que la femme (87 hommes,
te de 20 à 30 ans ; l'homme paraît y être plus sujet que la femme (87
hommes
, 57 fem-mes , d'après les cas relevés par Fehr).
ue mois à des accès con-vulsifs. État à Ventrée. — Le malade est un
homme
grand, mais peu ro-buste et très-maigre, qui a év
tié, salle Saint-Gabriel n° 59 (service de M. le docteur Trélat). Cet
homme
est grand, vigoureux, et a joui pen-dant longtemp
es cliniques libres de Paris: nous l'avons pho-tographié en 1869. Cet
homme
, alors âgé de 59 ans, était atteint non d'une mal
uite, s'étaient enflammées. D'aulrepart, nous avons constaté chez cet
homme
un commencement d'hypermé-tropie due à la compres
en établir la solution. REVUE DES JOURNAUX CANCER DU SEIN CHEZ L'
HOMME
Nous avons inséré dans le numéro de juillet de
e photo-graphique (page 129) une observation de cancer du sein chez l'
homme
, recueillie par M. Thaon. (Voy. Planche XVII.) A
x qui voudraient rassembler les divers faits de cancer du sein chez l'
homme
, nous allons résumer celui que nous trouvons dans
des arguments métaphysiques. Pourquoi ce parti pris de la part de cet
homme
éminent ? est-ce attachement irréfléchi à d'ancie
pour le cas actuel. Au n° 5 de la salle Sainte-Jeanne est couché un
homme
dont la taille élevée et le squelette bien dévelo
oint que se sont manifestés les premiers troubles de la motilité. Cet
homme
, qui travaillait aux écritures dans une maison de
écageux, rares ailleurs ; on les rencontre chez la femme comme chez l'
homme
; on les a notées à tous les âges, et même chez le
Le second cas, relaté par le professeur Polli, de Milan, con-cerne un
homme
de 58 ans, admis à l'hôpital le 12 mai 1860, et q
DU PÉRITOINE ; INJECTION IODÉE PAR BOURNEVILLE Lebail.., Alexis,
homme
de peine, était âgé de 42 ans à son entrée à l'hô
n en plaque que nous avons signalée persistait. — Nous avons revu cet
homme
, à diverses reprises, jusqu'au commencement de la
r, et les notes de M. Ménard en sont une preuve. Si l'anatomiste de l'
homme
a à gagner à l'étude de l'anatomie des ani-maux,
iste des animaux a beaucoup à apprendre de l'étude de l'anatomie de l'
homme
; il y aurait plus de précision, plus d'entente,
s anatomistes vétérinaires étaient plus au courant de l'anatomie de l'
homme
. Nous signalerons encore une qualité du livre ;
sion spontanée par l'urèthre, par Kraus, 215. Cancer du sein chez l'
homme
, obs. par Thaon, 129. — Notes sur le —, par G. Pe
rébrale (attitude)..........122 Planche XVII. Cancer du sein chez l'
homme
..........129 Planche XVIII. Rachitisme, n° 1. 1
Chez un sujet atteint de sciatique, il en est tout différemment. Un
homme
qui souffre d'une sciatique droite par exemple,
on dont les cigognes s'accommodent à merveille, est interdite à l'
homme
. Le sujet arrive donc insensiblement à applique
à la règle, incliné vers le côté malade. Le premier cas concerne un
homme
d'une quaran- taine d'années rhumatisant et gra
figure suivante. Cette attitude est assez compa- rable à celle d'un
homme
qui porte, un seau à bout de bras en évitant de
qui me consulta en mars 1889, est toute une odyssée. X... est un
homme
âgé aujourd'hui de cinquante-quatre ans et qui
malade n'y a prêté aucune attention. Etat actuel le 21 mars 1889. -
Homme
de grande taille, bien bâti, aux allures martia
n, à savoir le quarantième jour après l'invasion de l'accident. Cet
homme
avait conservé sa con- naissance jusqu'à la fin
tions avec examen micros- copique du système' nerveux, etc., chez l'
homme
. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. 61
l'accident arrive. Je suis autorisé par mes observa- tions chez l'
homme
à confirmer, d'accord en cela avec Paul Bert et
ébrales, à Brown-Séquard, à Goltz, à Marcacci ', a constaté sur l'
homme
vivant, à travers la dure-mère, la vérité de la
Lombroso, de Garofalo et de Ferri. Lombroso a aussi institué sur l'
homme
vivant des expériences, à l'effet de contrôler
e schémas du cerveau du singe de V. Horsley et de Schaefer. Chez un
homme
, mort à 35 ans de gangrène pulmonaire, et qui à
où la 1 A. l31ânami et G. Guarnieri ont trouvé, 1'1 l'autopsie d'un
homme
de io ans, mort de pneumonie, amputé de la cuis
face. De même encore, l'aire du centre du larynx, lo- calisé chez l'
homme
, sur la F3, près le centre de Broca et le pied
motrice plaiderait dans le même sens. Le centre du larynx, chez l'
homme
, chez le chien, est d'ailleurs bilatéral, contr
-dire exerçant le métier qu'il a appris à Bicêtre. Il a été ensuite
homme
de peine pendant deux mois et demi à l'usine à
rère, il voyait des gendarmes qui emportaient des femmes mortes, un
homme
qui emportait sa soeur Marie. Pendant la nuit,
ndantes des rétines de l'individu. Il n'est pas démontré que chez l'
homme
l'écorce de chaque lobe occipital se divise en
des troubles de la vue d'origine cérébrale ne s'appliquent pas à l'
homme
). P. Kekaval. X. QUELQUES considérations ET QUE
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. graves responsabilités ; chez ces deux
hommes
, la folie a existé pendant un grand nombre d'an
aible supporte mieux les hautes doses de cet agent médicament que l'
homme
. Voir Archives de Neurologie, XVlll° congrès, L
t pas ici une vaine formule; elle a une efficacité : elle atteint l'
homme
dans ce qu'il a de plus sacré; elle atteint les f
entales. Introduction à l'étude de la Spécificité cellulaire chez l'
homme
; par le D'' L. HILLEIfAND. (Paris ? Steinheil 1
t M. Cazeneuve, en tête des gardiens, monta l'escalier. Cinq ou six
hommes
, pesant sur la porte du logera ent, parvinrent
flot, dut se retirer. Dans la foule, le bruit courut aussitôt qu'un
homme
avait reçu une balle de revolver dans la tête.
se se réveilla et, ouvrant les yeux, elle s'écria avec effroi : « L'
homme
aux yeux terribles est-il encore là ? » On la r
. - Pour nos abonnés : 1 fr. Bordier (A.).- Pathologie comparée de [
homme
et des êtres organisés (t. X de la Bibliothèque
olfactif chez les animaux osmatiques, et celles du langage chez l'
homme
; quoique, avec les physiologistes et les clinic
e du système nerveux, est le travail Sur les nerfs des tendons de l'
homme
et des autres vertébrés, où il faisait connaîtr
Le maximum d'épaisseur de l'écorce cérébrale se montre donc chez l'
homme
au sommet et à la paroi postérieure de la FA. L
épaisseur de l'écorce varierait bien moins chez la femme que chez l'
homme
aux diverses périodes de l'existence. Une aut
ogique de Parme, ces recherches ont porté sur 43 encéphales (21 d'
hommes
et 22 de femmes). La détermination du poids spé
uant au sexe, la substance grise est en plus grande quantité chez l'
homme
, la substance blanche chez la femme. La diminut
ali. Riv. speriment. di fren., 1885, 177. 908 PHYSIOLOGIE. chez l'
homme
comme chez le singe, le veau, etc. Les plus gra
t de Varole et du bulbe rachidien) inférieur à celui du cerveau des
hommes
aliénés, comme c'est le cas chez les individus
idus sains d'esprit. Le poids spécifique du cerveau atteint, chez l'
homme
, son maximum entre trente et quarante ans; chez
e et la pellagre; le sommet, par la mélancolie : là, surtout chez l'
homme
, sont les plus grands crânes. Chez les paralyti
généraux, la capacité crânienne serait aussi plus vaste, pour les
hommes
, que dans lesautres formes demaladie mentale, c
énés; les calottes crâniennes des femmes pèsent plus que celles des
hommes
. Il nous reste, avant de terminer ces considéra
l'asymétrie du crâne chez les épileptiques 2, a trouvé que, sur 40
hommes
, 30 étaient plagiocéphales, et, sur 35 femmes,
res- semble entièrement, au point de vue anatomique, à celle de l'
homme
, et que le mouton, parmi tous les animaux pris ju
les animaux pris jus- qu'ici pour des essais, ressemble le plus à l'
homme
par la durée et le caractère des symptômes qu'i
de l'anthélix - tragus et antitragus) ne parait point, même chez l'
homme
, atteinte d'involution. Les divers degrés de la
ions qui existent dans l'ensemble du règne animal (lapins -chiens -
hommes
) entre certaines régions du cerveau et les segm
les pieds étaient d'un volume anormal. Le second fait concerne un
homme
de trente ans, porteur de la céphalomégalie car
réparations à l'appui; ces préparations proviennent du chiasma d'un
homme
affecté d'atrophie d'un des nerfs optiques; ell
trajet des fibres blanches dans le chiasma des nerfs optiques de l'
homme
. M. WITNOVSKT. De l'action des opiacés sur le t
es paralysent ces filets nerveux. Il en est tout autrement chez l'
homme
; chez lui de hautes doses d'opium exercent une ac
en pareille matière. Il a soumis jusqu'ici à la sus- pension, cinq
hommes
et une femme. C'est surtout dans le tabès ordin
mportantes fonctions de chirurgien officiel du district. C'était un
homme
de 43 ans, marié, sobre, indemne de syphilis, m
M. Jasthowitz. -En 1871, j'ai, à la Charité de Ber- lin, traité un
homme
atteint pendant les fatigues mêmes de la guerre
plus prolongée. M. Zenker a dit que les psychoses primitives des
hommes
de 30 à 40 ans, originaires des grandes villes, e
e école où la partie scientifique théorique serait cultivée par des
hommes
spéciaux tandis que les moyens seraient enseign
des hommes spéciaux tandis que les moyens seraient enseignés à des
hommes
sains de corps et d'esprit et d'une moralité im
e nr Magnan. de M. le Dr Vallon, médecin en chef de la division des
hommes
. - Plusieurs membres du conseil général de la S
oit divin et de la sainteté du serment que d'élever à la royauté un
homme
que l'on sait être manifestement incapable de r
paroles mêmes de Schiller, leur rendre à la fois plus facile d'être
hommes
et plus difficile d'être rois. » R.M. C. FAIT
ureaux du Progrès médical. BoRDIF.11 (A.).- Pathologie comparée de [
homme
et des êtres organisés (t. a de la Bibliothèque
détriment. Je n'en veux pour exemple qu'un travail de M. Leyden,
homme
éminent fort au courant en géné- ral de la litt
de, il maigrit d'environ trente livres au mi- nimum. Etat actuel.
Homme
petit, maigre (poids accusé par le malade, 50 k
pèce. J'attire votre attention, messieurs, sur la démarche de cet
homme
. C'est la démarche du stepper. Quand vous voyez
ence du régime. Je n'insiste pas sur l'habitude extérieure de cet
homme
, qui, bien qu'âgé de trente-sept ans seulement,
abète lui-même qui ont subi des change- ments favorables chez notre
homme
. La complication paraplégique s'est également m
e la partie inférieure des jambes qui a existé autrefois chez notre
homme
, mais qui a com- plètement disparu aujourd'hui,
prend facilement que, pour l'étude métho- dique de la perception, l'
homme
normal est un sujet trop délicat et trop comple
me normal est un sujet trop délicat et trop complexe. Par contre, l'
homme
malade présente, dans certains cas, de telles d
, elle suit cependant les mêmes voies que 368 PSYCHOLOGIE. chez l'
homme
normal. Si, par suggestion, on dirige la volont
rent à l'anesthésie psychique. Il était important de trouver chez l'
homme
normal les conditions de la perception inconsci
un sujet atteint de l'anesthésie et la perception inconsciente de l'
homme
normal nous paraît évidente. Si l'on compare le
domaine de la suggestion dans la production des anesthésies. Un
homme
est renversé par une voiture; il se croit écras
revoir toutes les manifestations de l'hystérie, aussi bien chez l'
homme
que chez la femme, sur les malades qui ve- naie
des scléroses combinées. - La moelle dont il s'agit, provient d'un
homme
âgé de soixante-six ans, ayant succombé le 26 f
r la structure des cordons postérieurs de la moelle épi- nière de l'
homme
. Archives de Neurologie, mars 1889. Pol)off a p
ce saine et connaissent mal l'intelligence troublée : appliquée à l'
homme
sain d'esprit. leur opinion est juste et sensée
les actes de l'aliéné ne peuvent être comparés avec les actes de l'
homme
sain d'esprit. Les motifs et les actions du pre
de savoir comment se comportera, dans des circonstances données, un
homme
sain d'esprit, il- est impossible de prévoir qu
instrumenté, n'était au point de vue de l'appréciation mentale d'un
homme
pas plus qu'un profane quelconque, en possessio
r lui les boissons alcooliques. Partout il était considéré comme un
homme
tranquille et sensé, comme un père affectueux.
ssistance par des familles artificielles ? Tant que sur 400 malades
hommes
je n'ai eu chez des nourriciers que 20 malades
té injectée sous la peau. Ces expériences unt été contrôlées chez l'
homme
et out donné des résultats analogues. 416 SOC
largement à occuper leur temps et leur intelligence, on en fait des
hommes
d'affaires, on leur inflige la responsabilité d
l est situé à 130 mètres de l'asile ; il peut recevoir sept malades
hommes
et sept malades femmes, c'est-a-dire envi- ron
hemise et armé d'un couteau et d'un revolver. - « A leur vue, cet
homme
prit la fuite et par une des lucarnes du grenie
et ce magistrat l'a fait transporter. l'infir- merie du Dépôt. Cet
homme
est un nommé Alcide-Victor C..., âgé de cinquan
17. Spasme radial, par Laquer, 268. Spécificité cellulaire chez l'
homme
, par Hillemand, li8. Suicide (impulsion incon
sule interne et atteint son plus haut degré de développement chez l'
homme
. Il relie le manteau cérébral aux ganglions infra
es cerveaux antérieur, intermédiaire et moyen. Peu développé chez l'
homme
, il atteint son plus haut degré de développement
résultats de ces auteurs ne sont pas dans l'espèce applicables à l'
homme
. Le singe possède en effet, en avant du sillon pr
e rolandique, des fibres dans le pied du pédoncule cérébral. Chez l'
homme
, l'existence même de cette zone motrice est encor
doncule cérébral. Ces recherches ont depuis été confir- mées chez l'
homme
par Kam (1895); Ferrier et Turner (1898) en lésan
r- cot sur l'origine corti- cale du faisceau pyra- midal chez l'
homme
. pyramide du bulbe, mais ne participaient pas à
t en dernier ressort fixer l'origine de ces fibres, au moins chez l'
homme
, - ont démontré (Fig. 49) : l°Que le pied du pé
quelquefois même avec un développement plus considérable que chez l'
homme
. Les zones des centres d'association représentera
primates, constitueraient la marque caractéristique du cerveau de l'
homme
et leur développement, variable d'un cerveau huma
1898), présentent le même mode de développement de la myéline que l'
homme
. La myélinisation apparaît d'abord aux trois poin
rres- pondent aux« trois centres sensoriels ou de projection » de l'
homme
; ces points s'agran- dissent peu à peu, puis s
e la voie pédonculaire, en particulier de sa partie moyenne chez un
homme
de 44 ans, frappé à l'âge de 33 ans d'une hémiplé
iplégie droite avec contracture et aphasie datant de 11 ans chez un
homme
mort à 68 ans. Topographie de la vaste lésion cor
s suivants : cécité verbale totale - littérale et verbale - chez un
homme
de soixante-huit ans, très intelligent et très cu
de deux stades : pendant le premier stade qui a duré quatre ans, cet
homme
pré- senta le tableau clinique le plus pur que
it survenu à l'âge de 38 ans au cours d'une fièvre typhoïde chez un
homme
qui a succombé à l'âge de 60 ans aune bronchopn
s postérieur et du bourrelet du corps calleux. Il s'agit ici d'un
homme
de 73 ans atteint d'aphasie sensorielle, à savoir
cheule (Bicêtre 1892). Hémiplégie gauche datant de deux ans chez un
homme
mort à l'âge de 74 ans. Topographie de la lésion
euJe ! Bicêtre 1892). Hémiplégie gauche datant de deux ans chez. un
homme
mort à l'âge de 74 ans.- Ramollissement du tiers
à 41. - Cas Naudin (Bicêtre 1894). Traumatisme du crâne, chez un
homme
de 63 ans. Chute sur le rebord . d'un trottoir,
auche et trou- bles de la déglutition datant de sept ans, chez un
homme
mort à l'âge de Gi ans.- Po rencéphalie acquise
sans troubles apparents de la vision -datant de deux ans, chez un
homme
ayant succombé à 59 ans à une pleurésie. Plaque
136. -Cas Neumann. (Bicêtre, 1893.) Trouvaille d'autopsie chez un
homme
mort à l'Age de 6 ans. - Plaque jaune des par
rs antérieurs de la troisième circonvolution frontale gauche, chez un
homme
mort à Page de 67 ans et, ayant présenté à l'ùg
la membrane épendymaire FiG. 168. - Cas Racle. Ce cas concerne un
homme
mort à l'âge de 62 ans, atteint depuis l'âge de
FiG. 1 îa. - Cas Cogery (Bicêtre, 1893). Syphilis cérébrale chez un
homme
mort à : i3 ans. Hémiplégie gauche avec contrac
l du foyer primilif. Le cas Dautriche (Fig. 192 à 190) a trait à un
homme
de 54 ans atteint d'hémi- plégie gauche avec co
t respectif du corps du trigone et du tronc du corps calleux chez l'
homme
. Nos deux cas Richard et Longery mollirent en o
tinées à contrôler, à vérifier, à confirmer chez le singe et chez l'
homme
les localisations, dans l'écorce des hémisphères
ons enfin les résultais obtenus par la faradisation du cerveau de l'
homme
, appliquée au cours de diverses trépanations, d'a
érience de physiologie, d'une véritable vivisection pratiquée sur l'
homme
. '1. Localisations corticales. 1. Localisatio
e de la zone motrice a été pratiquée il différentes reprises chez l'
homme
(Fig. 236). Elle a montré que les centres du memb
ros principaux. Excitation électri- que do ces centres chez l'
homme
. Zone du membre supérieur. Centro du pouco.
eurs et sensoriels de la face externe de l'hémisphère cérébral de l'
homme
. Ac, centre cortical de l'audition. - F, centre
rs et sensoiiols de la face interne de l'hémi- sphère cérébral de l'
homme
. DIl, centre cortical du membre inférieur. - 0,
al visuel. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 221 chez l'
homme
que chez le singe un mouvement isolé d'une seule
sillon frontal avec le sillon pré- Fig. 236. - La zone motrice de l'
homme
d'après les recherches des chirurgiens améri- c
zone du membre inférieur dont les mouvements sont peu variés chez l'
homme
et le plus souvent automatiques, on n'a pu encore
pour quelques auteurs, la scissure perpendiculaire externe. Chez l'
homme
, les lésions destructives de la zone motrice s'ac
ie congénitale de la face externe des hémisphères cérébraux chez un
homme
atteint, dès sa plus tendre enfance; de paralysie
udo-bulbaire d'origine corticale datant de deux ans et demi chez un
homme
de 53 ans. Lésions bilatérales exclusivement cort
s est infiniment plus avancée chez le macaque et l'orang que chez l'
homme
. Chez le macaque (Fig. 239), la zone motrice oc
sont séparés par des aires inexcitables qui existent également chez l'
homme
: les électrisations faites par Keen, Horsley,
iaires, etc., est tout à fait conforme à ce que l'on observe chez l'
homme
dans l'épilepsie partielle diteJacksonienne et
é, et son attitude est celle qu'on observe dans l'hémi- plégie de l'
homme
. Sa partie postérieure est aplatie lorsque l'élec
a zone dite motrice - déterminent chez le chien, le singe et chez l'
homme
, en même temps que des troubles plus ou moins a
cusés de la motilité, des altéra- tions de la sensibilité. Chez l'
homme
, ces troubles sensitifs sont très fréquemment obs
ERVEUX. Projection réti- nienne corticale. Centre visuel do l'
homme
. rieure de l'hémisphère et qu'il se fusionne en
partie externe ou la partie interne de la sphère visuelle. Chez l'
homme
, les premiers documents cliniques et anatomo-path
rable de faits cliniques et anatomo-pathologiques recueillis chez l'
homme
et soumis à une étude microscopique méthodique.
e méthodique. Des observations anatomo-cliniques recueillies chez l'
homme
, il résulte que les lésions corticales les plus
. Monakow, Henschen, Deje- rine et Vialet, Forsler, Sachs. Chez l'
homme
, c'est en effet la face interne du lobe occipital
étrécissement de la portion conservée du champ visuel. Adaptant à l'
homme
les résultats expérimentaux de Munk et de Schaf
lement il. une ana- lyse exacte des phénomènes sensoriels. Chez l'
homme
, les auteurs s'accordent pour localiser le centre
n Cécité psychique. La sphère auditive Sa localisation chez l'
homme
. 246 ANATOMIE DES CENTRES 'NERVEUX. feurdité
a zone corticale sensitivo-motrice et la zone corticale auditive de l'
homme
. Mai, région sensitivo-motrice corticale du mem
en soit, d'après les quelques cas suivis d'autopsie observes chez l'
homme
, on peut conclure que la surdité corticale perman
evor dans leurs expériences sur la capsule interne du singe. Chez l'
homme
donc, les neurones de projection de la corticalit
lésion ici siège en arrière du genou, et ce fait montre que, chez l'
homme
comme chez le singe, les fibres du facial passe
stérie et publiées à une époque où l'existence de l'hystérie chez l'
homme
commençait à peine à être admise. Il faut songer
Rev. de Méd., 1883. - Des mêmes. Les centres moteurs corticaux chez l'
homme
. Paris, Rueff, éd. 1895. - Chipault. Chirurgie
- Coupe vertico-trans- versale du pédoncule olfactif gauche de l'
homme
. (Méthode de Weigert.) be, bord externe. - bi
et espace extrazezzlriculaire (Alvx) (Fig. 2â6), très réduit chez l'
homme
, beaucoup plus développé chez les mammifères ma
ition qui peut induire en erreur, lorsqu'il s'agit d'évaluer chez l'
homme
le nombre des fibres perforantes du fornix longus
laire, sur le ganglion interne comme sur le ganglion externe. Chez l'
homme
, le pilier antérieur du trigone parait donc bie
er, affecte e une disposition sensiblement différente de celle de l'
homme
. On y distingue un petit sè- ment inférieur ou
téral et ne diffère que par ses dimensions de la corne d'Ammon de l'
homme
et un segment supc- rieur ou dorsal beaucoup pl
corne d'Ammon. Elle ne recouvre pas le fascia dentata comme chez l'
homme
, mais se loge dans le sillon opto-strié, très l
par r le e segment dorsal de la corne d'Ammon. gnifiant chez l'
homme
, atteint chez les mammifères macrosmatiques un dé
sal (Psld) occupe chez les mammi- fères macrosmatiques comme chez l'
homme
la partie ventrale réfléchie du bourrelet du co
us des mammifères macrosmaliques diffère donc du fornix longus de l'
homme
par le contingent des fibres ammoniques. Le. fo
mme par le contingent des fibres ammoniques. Le. fornix longus de l'
homme
ne comprend que des fibres extraammoniques, ce
'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 297 et à l'absence de son segment dorsal. Chez l'
homme
, la corne d'Ammon envoie toutes ses fibres dans
es mammifères par Meynert, Gudden, Ganser, Bumm, 0. Vogt, et chez l'
homme
par V. Monakow. Gudden a montré que l'atrophie
a par l'intermédiaire du trigone et du taenia thalami. Comme chez l'
homme
, le pilier antérieur des animaux macrosmatiques t
ercule mamillaire; mais, contrairement à ce que l'on observe chez l'
homme
, un petit nombre de fibres se terminent seules da
273. - Les ganglions interne et externe du tubercule mamillaire de l'
homme
et les connexions du ganglion externe avec le p
s, etc., le faisceau de la calotte, mieux déli- m i lé que chez l'
homme
, se porte en arrière, en bas et en dedans, et
le ganglion profond de la calolle de Gudden (GGp, Fig. 252). Chez l'
homme
, le trajet et la ter- minaison dans la calotte
eau de Vicq d'Azyr, VA. Le faisceau de Vicq d'Azyr constitue chez l'
homme
un faisceau volumineux, compact et serré, formé d
3 ? lui., 23), au delà de laquelle nous n'avons pu le suivre chez l'
homme
; quelques rares fibres se portent en arrière et
. Il est pro- bablement l'homologue du noyau central supérieur de l'
homme
(Voy. For- mation réticulée,lII°parlie). Le gan
ecorso delle fibre Son trajet dans la calotte pédonculaire de l'
homme
. Son trajet et ses terminaisons chez le lap
seaux, de Cajal (1895) sur les mammifères, de Kôlliker (1896) sur l'
homme
et les mam- mifères, ont démontré que le plus g
ans le globus pallidus et dans le noyau caudé. Dans le pulamen de l'
homme
, Külliher a décrit en outre des cellules de pet
tion de volume du corps strié, que l'on constate quelquefois chez l'
homme
à la suite de vieilles lésions corticales patho
ou le bulbe (Édinger). Chez les mammifères, en paiticulier chez l'
homme
, l'élude du système des fibres striées est plus
tales et pathologiques. Nos recherches personnelles ont porté sur l'
homme
. Nous avons pu étudier le trajet des fibres de
Marchi, la démonstration de ces fihres reste encore à faire chez l'
homme
. Les lésions centrales qui détruisent une parti
Sur quelques dégénérescences secondaires du tronc encéphalique de l'
homme
étudiées par la méthode de Marchi. Ruban de Reil,
ces cellules à cylindres-axes courts ne serait pas démontrée chez l'
homme
. Les cellules nerveuses du thalamus présentent
cherches, basées sur l'étude des dégénérescences secondaires chez l'
homme
, ne confirment pas ces faits expérimentaux de v
lésion corticale du cas Pradel (p. 100). Ce noyau entre donc chez l'
homme
en connexion avec la corticalité cérébrale, mai
s cellules nerveuses multipolaires. Il se retrouve également chez l'
homme
et ses cellules sont particulièrement apparentes
antérieur et interne. Cette disposition, très manifeste déjà chez l'
homme
(Voy. éga- lement Coupes sagittales, Fig. 310 e
erne chez ces animaux, forme non pas une mince lamelle comme chez l'
homme
, mais un véritable noyau conique, situé entre le
stitue l'extrémité postérieure de la couche optique, atteint chez l'
homme
son plein développement et reste rudimentaire che
aucoup plus dorsale que chez les primates, et en particulier chez l'
homme
. Chez ces animaux, les fibres visuelles centrales
- tuferi, Ganser, etc., l'homologue du corps genouillé externe de l'
homme
. Ce noyau ventral comprend, d'après v. Monakow,
au développement d e l'ap- pareil olfactif; très pe- tit chez l'
homme
, il est en effet relativement beaucoup plus v
u inlerne et noyau externe. Le noyau interne, très petit chez l'
homme
, et dont le volume paraît être dans la série
Ces changements de forme ren- dent assez difficile, au moins chez l'
homme
, l'appréciation de l'épaisseur de ce faisceau d
nt en arrière chez le chai. 11 ne paraît pas en être de même chez l'
homme
. Les fibres du ta'nia thalami ne se terminent,
générescence de la partie inféro-externe du Renia thalami (th) de l'
homme
consécutive à une lésion sous-corticale sectionna
u décrit un trajet rectiligne et qui semble tiré au cordeau. Chez l'
homme
, grâce au développement considérable du noyau r
s- ceau rétrollexe se confond avec la capsule de ce noyau et chez l'
homme
ne peut être suivi au delà. Pour Meynert, il se
ent accusé chez les mammifères, ce ganglion est insignifiant chez l'
homme
. Le faisceau rétroflexe comprend deux sortes de
noyau externe de ce ganglion (B). Chez les mammifères autres que l'
homme
et les primates, le noyau interne du ganglion d
elon l'expression de Forel, l'aspect d'un faisceau sclérosé. Chez l'
homme
, les fibres fines sont beaucoup moins nombreuse
à desti- nation inconnue. Il est un fait certain, c'est que chez l'
homme
: 1° le faisceau de Meynert ne peut être suivi
plus petit. Chez le singe, il est situé dans la protubérance; chez l'
homme
enfin, il occupe la voûte du trou borgne pédonc
euillet réfléchi de la pie-mère cérébelleuse et n'existent que chez l'
homme
, où, grâce au développement considérable que pr
e trou pariétal médian - ne correspond pas à la ;lande pinéale de l'
homme
et des mammifères. Il serait une formation analog
orphol. Jahrb. Bd. VU, 1881. - V. GEHUCtfTËN. Le système nerveux de l'
homme
. Lierre, 893. - Honegger. Vetgleichend-cctzccto
niger, au-dessus, en dehors et en avant du noyau rouge. Il a chez l'
homme
la forme d'une lentille biconvexe, très bien déli
ctive. Ce sont la des faits signa- lés pour la première fois chez l'
homme
par Mahaim et par v. Monakow (méthode au carmin
mite avec la région sous-thalamique de la capsule interne. Chez l'
homme
, la commissure sous-thalamique postérieure est es
IIIe partie, Rhombencéphale, constitution de la calotte). Chez l'
homme
, la couche ventrale de la commissure sous-thalami
yau lenticulaire, et les nom- breuses fibres qu'elles reçoit chez l'
homme
du corps de Luys semblent bien appartenir en pr
est toujours séparée par une mince lame de substance grise. Chez l'
homme
, elle occupe une situation profonde dans toute
quelques dégénérescences secon- claires du tronc encéphalique de l'
homme
étudiées par la méthode de Marchai : Ruban de Rei
ntrales. - Les voies olfactives centrales, bien que réduites chez l'
homme
, sont néanmoins multiples et complexes. Elles p
rveau intermédiaire : a) Par quelques fibres, peu nombreuses chez l'
homme
, qui se rendent directement dans le tuber cinereu
ortical du côté opposé, soit (connexion non encore démontrée chez l'
homme
) au noyau len- ticulaire du côté opposé. Les
ême. Les nouvelles idées sur la structure du système nerveux chez l'
homme
et chez les vertébrés. Trad. par S. Azoulay. Pa
ères. La Cellule, 1891. - Du même. Anatomie du système nerveux de l'
homme
, z édition. Louvain, 1897. - et CASTHONOVO. Beitr
donc un neu- rone indépendant, et il ne semble pas exister, chez l'
homme
tout au moins, de fibres établissant une connex
s des anatomistes purs, tels que Michel et v. Küllilcer, que chez l'
homme
, les nerfs optiques contiennent à la fois des f
(1898), basée sur l'étude des dégénérescences secon- daires chez l'
homme
, démontrent que, dans le segment antérieur de l'a
ntrairement à ce qui existe dans la série des vertébrés, que chez l'
homme
c'est le corps genouillé externe qui représente
lent Stilling, Bernheimer, Kôlliker ? Quelles sont en outre, chez l'
homme
, ses connexions avec la commissure de Gudden ?
ow et que nous avons été plus d'une fois à même de confirmer chez l'
homme
, soit par la méthode de Weigert, soit par celle
it bila- térale du globe oculaire n'entraîne en effet jamais chez l'
homme
une dégénérescence soit du pied du pédoncule cé
ntactes dans les lésions et destructions des nerfs optiques. Chez l'
homme
, nous avons toujours constaté que l'atrophie bila
de l'existence, dans l'épaisseurmême de la bandelette optique de l'
homme
, du système de fibres commissurales connu sous
den que, chez la plupat t des mammifères et en par- ticulier chez l'
homme
, la commissure de Gudden fait corps avec la bande
nce grise centrale de la base du cerveau qu'il faut chercher chez l'
homme
l'homologue de la commissure de Gudden, si tout
autre que le petit faisceau du tuber cinereum (Voy. p. 410). Chez l'
homme
, ce n'est donc pas seulement la situation, le tra
MIER MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE Situation. Rapports chez l'
homme
. Chez le, mammi- fères. Aspect. 1° CERVEL
aquelle repose la partie inférieure du tronc encéphalique. Chez l'
homme
, le cervelet se trouve enfoncé a la façon d'un co
e et au-dessus du bulbe rachidien. Chez les mammifères autres que l'
homme
, grâce à la direction hori- zontale de l'axe du
er, bien différent de celui du cerveau. Le cervelet comprend chez l'
homme
deux parties latérales paires et symétriques, l
t le lobe fondamental dans la série, se développe le premier chez l'
homme
el montre le premier des sillons, qui plus tard s
MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 483 mates, et en particulier chez l'
homme
, leur maximum de développe- ment. Chez les mamm
représente une voie auditive secondaire et existe également chez l'
homme
, mais chez ce dernier il occupe une situation p
confusion et doit être abandonné. Chez les mammifères autres que l'
homme
, on désigne, sous le nom de tubercule acoustiqu
labyrinthique. Elle existe également, quoi- que plus réduite chez l'
homme
, entoure l'extrémité supérieure du corps restif
directe du volume des hémisphères cérébelleux. Elle atteint chez l'
homme
son plus haut degré de développement et se réduit
hat (Russell) et chez le singe (Mcllus, Sherring- ton), puis chez l'
homme
(Afuratoff, Dejerine et Thomas), ces fibres se
r la méthode de Mar- chi (Fig, 3-il aL 377). Étant données chez l'
homme
l'in- constance du. faisceau dé- crit par Gud
'extérieur (\'0)'. T. Ier, p. 327), on peut se demander si chez l'
homme
les fibres aberrantes de la voie pédonculaire
d'olive supérieure ou protubérantielle (Os). Peu développée chez l'
homme
, cette dernière pré- sente chez certains animau
Sur quelques dégénérescences secondaires du tronc encéphalique de l'
homme
étudiées par la méthode de Marchi. Soc. Biol.,
affectent Fie. 454. - Coupe sagittale d'un lobule cérébelleux de l'
homme
adulte. (Coloration par la méthode de Rosin.)
je elles libres terminales de la couche granuleuse du cervelet de l'
homme
. Coupe sagittale, perpendiculaire au grand axe d'
t fibres de Bergmann de son prolongement l'écorce cérébelleuse de l'
homme
. - Coupe sagittale, per- cvhndro-axito. pendicu
artie profonde de la zone molécu- laire, mesurent 10 à 12 u. chez l'
homme
(v. Kolliker) et sont en général orientées dans
périeure des corps des cellules de Purkinje, atteint souvent chez l'
homme
0 ? J5 de longueur et abandonne, 'chemin faisan
▲