/ 168
1 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
frayeurs soudaines sans en connaître la cause. Elle ne dort pas, des hallucinations la tourmentent pendant la nuit, elle voit des rat
bles variés dans l'ordre suivant : •1° Les troubles psychiques, les hallucinations ; 2° Les troubles des fonctions organiques ; 3° Le
ace et l'expression changeante de sa physionomie trahit la présence d' hallucinations dont nous aurons à parler dans un instant. Ces
quart son attaque commençait. Dans ce dernier exemple nous voyons l' hallucination de l'ouïe jouer un certain rôle et contribuer pou
tribuer pour une part au désordre des facultés intellectuelles. — Les hallucinations sont fréquentes chez les hystéro-épileptiques; el
grande attaque hystérique nous engage à nous y arrêter un instant. hallucinations Il est une loi sur laquelle M. Charcot a insist
sisté et qui établit une relation constante entre les sens atteints d' hallucinations et le siège de l'hémianesthésie. Les hallucinatio
s sens atteints d'hallucinations et le siège de l'hémianesthésie. Les hallucinations de la vue les plus com-munes consistent en des vi
le souffre de douleurs dans le ventre et de pal-pitations. Elle a des hallucinations . Elle voit des rats et des chats courir les 1.
n'en vient pas à bout. Il est entouré de plusieurs personnes. » Les hallucinations de l'ouïe ne sont pas moins communes que celles d
lles affectent principalement l'oreille du côté hémianesthésique. Les hallucinations de l'ouïe qui ne se font en-tendre que d'un seul
à l'oreille. Elle les entend des deux côtés, 1. J. Baillarger, des Hallucinations , p. 300, Paris, 1846. 2. Calmeil, art. Hallucin
illarger, des Hallucinations, p. 300, Paris, 1846. 2. Calmeil, art. Hallucination dans le Dictionnaire de médecine en 25 vol. 3.
te *. Les hommes que voient Bar..., Marie B... et Ang... dans leurs hallucinations parlent aussi. Quelques instants avant d'avoir
ix semblent sortir du nez. Elle sait fort bien qu'elle est le jouet d' hallucinations , mais elle ne peut se défendre d'une grande fraye
.. entend «tous les oiseaux qui chantent dans sa tète ». Toutes ces hallucinations se produisent le jour et obsèdent les malades, mê
t il s'y est pris; tout ce que je sais, c'est qu'il est venu. » Les hallucinations nocturnes ont souvent un caractère erotique qui i
que que le sens génital y prend une large part *. 1, Les exemples d' hallucination des organes génitaux ne sont pas rares dans les a
a avec intérêt l'observation rapportée à ce sujet par Baillarger (des Hallucinations , p. 314). Ces-sortes d'hallucinations ne sont pas
à ce sujet par Baillarger (des Hallucinations, p. 314). Ces-sortes d' hallucinations ne sont pas constantes chez les hystériques; et n
dé sa maladie, par le, violence de ses attaques et chez laquelle les hallucinations Baillarger cite l'histoire d'une dame renfermée
. en particulier nous offrent des exemples bien curieux de ce genre d' hallucinations nocturnes. Elle reçoit souvent la nuit la visit
tance, sont d'un autre ordre. Mais l'on peut dire néanmoins que les hallucinations du sens génital sont fréquentes chez les hystéro-
nces, on concevra facilement cette variété de la démonomanie dont les hallucinations géni-tales formaient le symptôme principal, et qu
aisers. Bien rarement la vision est d'accord avec ses sympathies. Ces hallucinations existent parfois, comme chez les autres malades,
t de sa maladie qui remonte à trois ans, Bar... a eu fréquem-ment des hallucinations nocturnes de ce genre. Pendant qu'elle était à Sa
veur de la véracité des événements dont la nuit a été le théâtre. L' hallucination que nous venons de voir occuper une si grande pla
ur aller rejoindre celui qui l'appelle. Complètement absorbée par son hallucination , elle se laisse mettre au lit. Toujours son regar
u d'instants, l'attaque commence subitement. Chez Alphonsine B... l' hallucination inaugure toujours l'attaque et se joint aux phé
ubitement et l'attaque commence. Le 24 juin, les attaques Fig. 5. — Hallucination et contracture. ont changé de caractère et l'ha
ig. 5. — Hallucination et contracture. ont changé de caractère et l' hallucination est gaie. Elle entre dans une sorte d'extase, rit
de remuer, des envies de mal faire, des idées de suicide, et par des hallucinations . Quatre jours avant l'attaque commencent des do
, enfin stertor peu accusé. Mais aussitôt survient le délire avec les hallucinations . Elle court de côté et d'autre, veut fuir les obs
soin, a passé jusqu'ici inaperçue. Ayant déjà traité longuement des hallucinations , je n'en parlerai pas ici. La vision des couleu
ue, la malade qui reprend ses sens, raconte parfaitement le sujet des hallucinations qui président à ces diverses périodes, comme nous
leptoïde, par exemple : la contracture permanente et plus rare-ment l' hallucination . L'on conçoit que sur ces données les variétés
ues et les attitudes pas-sionnelles de la troisième période, avec les hallucinations et le délire. Je pourrais multiplier les observ
passionnelles, y est représentée par des attitudes cataleptiques avec hallucinations , et sur lesquelles nous aurons occasion d'insiste
uvements. Nous avons, à plusieurs reprises, cherché à savoir si une hallucination quelconque ne présidait pas à ces mouvements de «
ant la troisième période, elle a parfaitement raconté le sujet de ses hallucinations . 17 juillet 1879. Dans une série d'attaques pré
'elle n'ait pas complètement perdu la notion du monde exté-rieur. L' hallucination préside quelquefois aux grands mouvements. Nous e
évitant la poursuite d'un personnage qui joue un grand rôle dans les hallucinations de la troisième période. Wit..., réveillée par
olue que pen-dant la période épileptoïde, et qu'il existe parfois une hallucination pénible. Malgré la présence de cette hallucinatio
existe parfois une hallucination pénible. Malgré la présence de cette hallucination , les contorsions de la seconde période se séparen
ces dernières, la pose de la malade est constamment en rapport avec l' hallucination qui existe toujours ; tandis que dans la contorsi
aucun lien nécessaire entre l'attitude de la malade et la nature de l' hallucination , quand elle existe. De telle sorte que si le nom
mple délire de mémoire ou d'imagination; la malade est en proie à des hallucinations qui la ravissent et la transportent dans un monde
n tous points avec ce que l'on a observé. Pendant cette période des hallucinations , elle est complètement insensible à toute excitat
rompte et aussi sûre, n'en est pas moins manifeste. Le sujet de ces hallucinations est le plus souvent puisé dans le passé delà mala
sur le développement de la maladie. D'autres fois, au contraire, l' hallucination est une pure création qui varie avec la richesse
t est douée la malade. On peut distinguer deux phases: la phase des hallucinations gaies et la phase des hallucinations tristes (pl.
inguer deux phases: la phase des hallucinations gaies et la phase des hallucinations tristes (pl. IV, p. 94). Ces deux phases se succè
des salutations, sa. physionomie, où se peint l'effroi, indique que l' hallucination a commencé. En effet, si on la réveille à ce mo
uer ou se trouver mêlés diver-sement aux scènes de la phase gaie de l' hallucination . Cette phase se compose d'une série de tableaux
passionnelle. attaque. Dans les différentes scènes qui composent l' hallucination gaie, il ne lui écha'ppe que de brèves exclamatio
me les scènes tristes, à quelques circonstances de sa vie passée. L' hallucination de la musique militaire marque toujours l'ap-proc
même senti-ment, elle a comme un luxe d'attitudes différentes. Son hallucination gaie est le plus souvent la reproduction des scèn
e a fréquenté les bals de barrières et les tavernes de la banlieue. L' hallucination triste est une création de son esprit. Voici ce
locomotive se sont fait entendre, et brusquement, sans transition, l' hallucination commence. Marc... se soulève à demi, le regard fi
lle. Mais ces scènes terribles ne sauraient durer. Le côté gai de l' hallucination doit avoir son tour, et Ernest se charge bientôt
l'attaque est finie; elle afait place à la quatrième période avec ses hallucinations spéciales, jusqu'à ce qu'un mouvement convulsif d
s que nous avons trouvée chez Gl..., et Marc... Le plus souvent son hallucination est lubrique. Elle voit Ca-mille, l'appelle, le p
d nous traiterons des diverses variétés de l'attaque. Ang..., a des hallucinations fort variées. Dans l'ordre gai elle voit « Alph
ant tout ce délire, ses gestes sont en rapport avec la na-ture de son hallucination . Elle laisse échapper des paroles comme celles-ci
pas !... Mais je t'aime encore... », etc. Wit... a un délire et des hallucinations qui rappellent aussi les principaux événements de
elle se confondre avec la troisième. Nous avons vu que chez Gl... l' hallucination commençait pen-dant les grandes salutations de la
l'influence des causes occasionnelles de l'hystérie sur la nature des hallucinations qui composent la troisième période de l'attaque,
s se joignent aux premières pour augmenter la durée et la variété des hallucinations de la troisième période, mais la plus grande part
jusque-là. Au début, fixité du regard qui indique la présence d'une hallucination ; elle sourit, une sorte de colloque muet s'établi
aissance. C'est le moment où survient la période épileptoïde. Quand l' hallucination reparaît elle se trouve transportée dans un jardi
ont est douée la malade, on retrouvera presque toujours la raison des hallucinations de la troisième période de l'attaque. Pour term
sionnelle, les facultés intellectuelles sont actives; il y a toujours hallucination . 3° Pendant l'attitude passionnelle, la sensibi
4° Après l'attitude passionnelle, la malade garde le souvenir de ses hallucinations . CHAPITRE V QUATRIÈME PÉRIODE. — PÉRIODE DE D
re en proie à un délire dont le caractère varie ; il est entrecoupé d' hallucinations et ac-compagné parfois de quelques troubles du mo
» Ce délire de la quatrième période, bien que souvent accom-pagné d' hallucinations sur lesquelles nous insisterons plus loin, se dis
discours. Si la quatrième période se parle, la troisième se joue. Les hallucinations sont la raison d'être, la condition nécessaire, s
eptions délirantes delà quatrième période, ce caractère spécial des hallucinations de la troisième période de se reproduire d'une fa
leur donne des noms supposés et les prend pour les personnages de ses hallucinations . Gen... ne manque Richer. Hystéro-épilepsic. 9
ng. La fin de la troisième période est toujours marquée par les mêmes hallucinations : c'est la musique des militaires rouges qui se f
cès d'épilepsie vraie, à la suite des" vertiges du petit mal. §2. — HALLUCINATIONS , ZOO.PSIE. Le délire est mêlé d'hallucinations,
u petit mal. §2. — HALLUCINATIONS, ZOO.PSIE. Le délire est mêlé d' hallucinations , des voix se font entendre... La malade se lève p
bêtes plates, noires, à coquilles *. Ce qui semble caractériser ces hallucinations de la fin, c'est la fréquence et la persistance d
nt occasionné sa maladie, elle les raconte. En même temps, elle a des hallucinations de l'ouïe et de la vue, elle voit des animaux; el
oduire à la fin de ses attaques toujours les mêmes actes et les mêmes hallucinations . Les personnes du service qui assistent sou-vent
plus audacieuses. La malade croit à la réalité de ses rêves et de ses hallucinations , elle accuse souvent les plus innocents avec une
efforts n'arrivent pas à convaincre Wit... qu'elle est victime d'une hallucination . Gen... est intimement persuadée qu'elle a vu C
l'absence de troubles respiratoires; — f) parfois la pré-sence d'une hallucination pénible, pour les attitudes de la phase des conto
loureux de l'aura qui précède habituellement ses attaques; elle a des hallucinations , elle voit des hommes dans le costume primitif d'
ins nette entre les attitudes passionnelles et la deuxième période, l' hallucination commençant quelquefois pen-dant celle-ci. La péri
présentent que deux périodes : a) période épileptoïde; b) période des hallucinations et de délire. 1° — Période épileptoïde.........
La période épileptoïde se répète sans interruption........... 45" Hallucination .......................................... 15" 6
e. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième période. 2e Attaque.
e. b) Grands mouvements et contorsions de la deuxième période. c) Hallucinations terribles de la troisième période. d) Le délire
b) Contorsions et grands mouvements de la deuxième période. c) Les hallucinations terribles de la troisième période n'existent pas.
s. a) Période épileptoïde. b) Rage et grands mouvements. c) Les hallucinations de la troisième période ne reparaissent pas. d)
de se prolonge. L'on voit dans la seconde moitié de cette série les hallucinations de la troisième période se supprimer pour faire
riode. Délire lubrique avec attitudes passionnelles en rapport avec l' hallucination . — Elle appelle Ernest, en-voie des baisers, etc.
t et dû au rôle prédominant que joue l'ima-gination dans les scènes d' hallucinations et de délire des deux dernières périodes, comme o
che à droite. Nous avons déjà insisté sur la loi d'après laquelle ces hallucinations se déplacent. La douleur ova-rienne devient très
ôt elle se redresse sur son séant et se met à causer. Elle n'a plus d' hallucinations . « Oh! pour sûr, je me ferai actrice... ça... on
ère, elles se ressemblent toutes et ne varient que par la période des hallucinations et du délire, dont la variété paraît inépuisable.
nt sur le bord de son lit, l'œil fixé à terre, elle est victime d'une hallucination effrayante qu'elle traduit en ces termes : «Oh! l
ges, des crapauds, de tout dans cette maison-là. » Le côté gai de l' hallucination ne tarde pas à se montrer. On voit Su-zanne, assi
qui se répètent le plus souvent de la même façon, enfin la nature des hallucinations qui président à la troisième période, dont la sou
est bien tranquille couchée dans son lit, elle est tourmentée par des hallucinations qu'elle raconte fort bien ensuite. Elle voit des
attitude, qui dure 10 à 15 secondes, se résout tout d'un coup, et les hallucinations commencent. c). La malade s'agite, en proie à u
qui suivent nous trou-verons d'autres attitudes en rapport avec cette hallucination . IV.— H h. 0. Sans qu'elle change d'attitude on
e suit immédiatement,composée d'attitudes passion-nelles variées avec hallucination qui se succèdent ainsi : — Attitude de me-nace, e
nt parla phase tonique et la phase clonique. b). Contorsions. c). Hallucinations . — Attitudes passionnelles: sorte d'extase, le re
décubitus laté-ral (fig. 37), arc de cercle renversé (fig. 46). c). Hallucination . La malade se tient la tête, elle veut fuir. Cett
t bientôt. b). Sauts variés, arc de cercle latéral (fig. 37). c). Hallucination . —Vision affreuse en haut et à droite; la malade
période. Sauts, cris et contorsions variées. c). Troisième période. Hallucinations et attitudes passionnelles. Elle est assise sur s
nsible à toute excitation du dehors. On peut lui bander les yeux, son hallucination persiste quand même et ses gestes ne perdent rien
fer; mais ces mou-vements ne durent pas et ne sont qu'esquissés. Les hallucinations surviennent. La physionomie respire la terreur :
oduire souvent et marquer le début de la troisième période. Ensuite l' hallucination survient. Spontanément la malade prend une attitu
. « Ah! non... non... ah! jamais je ne pourrai souffrir ça! » —Puis l' hallucination change. Le visage devient sou-riant, la tète est
est belle! » dit-elle à mi-voix. — Son regard se dirige à droite et l' hallucination terrible revient : « Oh! oh! jamais, ça n'est pas
cherche à échapper à la vision qui l'obsède. Enfin, à huit heures, l' hallucination , qui jusqu'à ce moment ne revenait que par instan
les personnes qni l'entourent, mais, elle est encore obsédée par des hallucinations . Elle voit toujours les fantômes qui passent, mai
tachent à ses pieds, et par des ser-pents de toutes les couleurs. Ces hallucinations durent quelques minutes, puis laissent à la malad
, pendant laquelle nous avons vu quelquefois exister du délire et des hallucinations . La deuxième phase n'est autre chose qu'une attit
leurs attaques, n'ont jamais rien présenté de semblable. Enfin les hallucinations de la troisième période se modifient d'une malade
même côté. Légère atrophie des muscles. Anémie. Anorexie. Aménorrhée. Hallucinations . Délire. Attaques convulsives. Mademoiselle X..
ro-épilepsie. Crises nerveuses. Vomissements incoercibles. Ano-rexie. Hallucinations , etc.—MlleX..., âgée de seize ans, venait de Chat
igoureuses pour la maintenir dans son lit. Elle n'avait point alors d' hallucinations , mais les mouvements de projection du bassin étai
es plus terribles; perte de la vue, de l'odorat, du toucher; visions, hallucinations ... Tous ces accidents disparurent peu à peu. A tr
larcin. Pendant cette phase de la maladie, le jeune X... avait des hallucinations , il voyait des animaux, chiens, chats, etc. Il eu
onde période (période des grands mouvements). En effet, suivent des hallucinations . La physionomie prend tour à tour une expression
mais l'expression de la physionomie indique clairement la présence d' hallucinations tantôt gaies, tantôt tristes. Il y a un quart d
reux cauchemar. Les soldats et la mort font le principal objet de ces hallucinations . Tant que dure cette période elle ne peut pas sup
e a plus ou moins con-science du sentiment du inonde réel, elle a des hallucinations de la vue et de l'ouïe. Elle entend des voix d'ho
elle avait vu quelque chose qui l'eût effrayée. En effet, ce sont des hallucinations qui se présentent, c'est la pé-riode de délire po
ésentent, c'est la pé-riode de délire post-hystérique, la période des hallucinations ; la malade a de la zoopsie, elle voit des animaux
nque assez souvent. 4° Le délire post-hystérique se traduit par des hallucinations de la vue et principalement de l'ouïe. La malade
prédicateur; mais elles durent à peine et la période de délire et des hallucinations commence. ¦4° Le petit malade ne voit pas d'ani
oute notion du monde exté-rieur. Mais peut-être y avait-il alors de l' hallucination . C. Période des attitudes passionnelles. La mal
tour à tour son visage exprime une douce gaieté ou la tristesse; ces hallucinations gaies et tristes se succèdent, s'entremêlent et c
ation d'une douche. Mais il n'y a pas seulement chez cette malade des hallucinations gaies et tristes : celles-ci s'accompagnent d'att
lire. La malade a repris ses sens, mais incomplètement, et la phase d' hallucination a laissé une empreinte délirante qui ne s'efface
rques rappelant celles du début. C'est un délire calme accompagné d' hallucinations ; délire religieuxpendant lequel des voix d'anges
n peut saisir des attitudes passionnelles indiquant la crainte et des hallucinations de la vue que la malade fait connaître après l'at
ement, mais le plus souvent en partie seulement. Il existe encore des hallucinations , surtout la nuit; la malade voit passer à côté d'
s lumineux passer devant ses yeux. A ces troubles psychiques et à ces hallucinations de la vue s'ajoutent de l'inappétence et une légè
s seulement partiellement, reste sous le coup d'un délire entremêlé d' hallucinations . Ce sont des accès de manie : elle crie, pince, b
; puis, vraisemblablement, attitudes passionnelles sous l'influence d' hallucinations erotiques. SIXIÈME OBSERVATION. Caillot, dans
re il rapporte june observa-tion fort intéressante, dans laquelle les hallucinations et le délire qui succédaient aux convulsions prés
mieux confirmée, des crises convulsives d'un caractère in-solite, des hallucinations , du délire, des phénomènes d'extase, et de somnam
de la deuxième période sont également indiqués. Enfin le délire avec hallucination : «Maman, réponds-moi! etc., » et Y attitude de V
e s'être vue elle-même noyée, pendue et disséquée. Elle rap-porte ces hallucinations à une impression très vive de frayeur qu'elle eut
un sommeil paisible avec cessation des contractures. 31 mai. — Les hallucinations variées et passagères de la vue et de l'ouïe, les
e extrême mobilité dans tous les phénomènes. Avant-hier c'étaient des hallucinations , hier une sorte d'anéantissement de la pensée, et
es, paralysies partielles avec anesthésie, contractions choréiformes, hallucinations variées et passagères de la vue et de l'ouïe, agi
les diverses périodes. La malade voit du sang pendant la période des hallucinations . Nous savons que le vertige épileptoïde, comme
d'un tout autre ordre. La malade, les yeux fermés bien entendu, a des hallucinations de la vue; autant elle paraissait heureuse tout à
lairement dans la deuxième période. Enfin le chloro-forme suscite des hallucinations et un délire qui présentent quel-ques caractères
nalerons cependant ici une différence. Dans la règle, le souvenir des hallucinations de la troisième période persiste après l'attaque,
secousses violentes de tout le corps, furent enfin remplacés par une hallucination qui dura à peine quel-ques minutes. La malade, ou
nquiétude avaient disparu; elle n'avait plus ni fausses croyances, ni hallucinations , et était tout à fait cohérente et raisonnable. A
me les plus fortes ne furent jamais suivies de stupeur, d'extase ou d' hallucination . Dans le cours de la maladie, on n'observa jamais
ions et des grands mouvements, et les troubles intellectuels avec les hallucinations qui caractérisent notre troisième et notre quatri
e ou de manie. » Landouzy1 insiste sur le délire, l'exaltation, les hallucinations ... qui peuvent se rencontrer pendant l'attaque d'
envie de battre, de mordre, de se sauver, de se suicider. »... Les hallucinations , les illusions et la perversion des sens, se rema
es, bizarres, éloquentes, et même poétiques, de l'imagination, et des hallucinations tantôt de l'intelligence, tantôt des sens. » Ax
riptions des auteurs, que les signes épileptoïdes, aussi bien que les hallucinations et le délire, étaient contenus au moins en germe
les manifestations de l'attaque d'hystérie vulgaire. La présence d' hallucinations variées et de délire parmi les symp-tômes de l'at
ariés qui composent les deux premières périodes. Les observations d' hallucinations dans l'hystérie ne sont pas rares parmi les auteu
uis plusieurs années sujetleàdes attaques d'hys- quer, au sujet des hallucinations des hystériques, qu'il importe de distinguer cell
t de la folie qui 'souvent complique cette névrose. Il ajoute que les hallucinations peuvent être rattachées à l'hystérie lorsqu'elles
vu des spectres affreux. » ..... Hibbert, dans son ouvrage sur les hallucinations fait observer que chez les femmes hystériques,
mont, dos Hal-lucinations, pag. 217 et suiv.) « Je les ai vues (les hallucinations ) le plus souvent pendant l'accès. La dernière hys
dans son livre Du délire des sensations rapporte plusieurs exemples d' hallucinations de nature évidemment hystérique : « Une femme d
ouloureux, comme les contractures généralisées de la fin, ou quelques hallucinations horribles de la troisième période. Et vous aurez
. — Les attitudes passionnelles n'existent pas à proprement parler. L' hallucination peut survenir, mais la contrac- 1. Pour Sonner
ans, pour la première fois (mai 1838), elle donna quel-ques signes d' hallucinations ; entre autres, elle revint un jour du champ, où e
roisième période et exécute les poses plastiques qui répon-dent à son hallucination ; ce qui montre bien que nous avons afTaire ici à
e rapproche de Vhallucination, à laquelle elle finit par aboutir. Les hallucinations sont des plus variées et en rapport avec les idée
on a l'ait la remarque que les emmes hystériques ont des visions, des hallucinations à la manière des extatiques ^ (( Les attaques d
me une satisfaction idéale; le cou est 1. lirierrc de Moismout, Des hallucinations , p. 308. gonflé, tendu ; La respiration paraît
é a été relativement bonne. Vers 16 ans, signes d'hystérie. Plus tard hallucinations nocturnes terrifiantes de nature démonopathique.
aractérisés que précédemment : phrases entrecoupées par des sanglots, hallucinations de la vue et de Vouie; elle se croit entourée de
ste, pas le plus léger trouble intellectuel, pas d'idées fixes, pas d' hallucination . Sur ces entrefaites, environ cinq mois après l
ernières observations, les analogies qui existent entre la nature des hallucinations , la forme spéciale du délire, qui ont été observé
nger, toc. cit., p. 287. suivie d'une phase délirante accompagnée d' hallucinations et qui parfois peut se prolonger assez longtemps,
délire : loquacité, vives inquiétudes paraissant occasionnées par des hallucinations vagues delà vue et de l'ouïe. Abandonnée à elle-m
, qu'elles paraissent sub-juguées par des convictions délirantes, des hallucinations de toute nature... La première question qu'on leu
fixe a sa source le plus souvent dans la croyance à la réalité d'une hallucination . Nous en avons rapporté un cas chez Witt... et Ge
rompre, si ce n'est toutefois la compression ovarienne. Illusions. Hallucinations . — Les troubles sensoriaux sont des plus accusés
lire hystérique, le rôle important que joue la couleur rouge dans les hallucinations . Je rapprocherai de ce fait l'amour ou la répulsi
e soulèvement des pau-pières, mais si en même temps l'on provoque une hallucination , ainsi que nous le verrons plus loin (page 402),
hallucination, ainsi que nous le verrons plus loin (page 402), cette hallucination est suivie soit du réveil spontané, soit du retou
t nerveux s'accompagne parfois de phénomènes psychiques particuliers ( hallucinations provoquées) et d'un état d'hyperesthésie spéciale
xpression devient riante, et l'on y voit quelquefois les signes d'une hallucination gaie; lorsqu'au con-traire le regard est maintenu
, l'expression est sombre, et l'on surprend parfois les indices d'une hallucination terrible. Sous l'influence de l'hallucination ain
rfois les indices d'une hallucination terrible. Sous l'influence de l' hallucination ainsi provoquée, l'état cataleptique peut cesser
equel son regard est lixé, elle prend des attitudes en rapport avec l' hallucination que peuvent lui suggérer et la direction dans laq
e, voltiger l'objet que l'on maintient en l'air,la malade a parfois l' hallucination d'un oiseau, qu'elle cherche à attraper. Au contr
ment parce qu'elle n'en a point l'habitude. deuxième observation. — hallucinations provoquées pendant l'État cataleptique. Penda
is encore par des paroles dont la signification peut faire naître les hallucinations les plus diverses. Ces hallucinations provoquée
ication peut faire naître les hallucinations les plus diverses. Ces hallucinations provoquées donnent lieu à de véritables scènes
complètement insensible à toute excitation venue du dehors, et que l' hallucination survenue spontanément- suit une marche fatale qu'
elles ont quelque relation avec les idées dans lesquelles se meut son hallucination . Il est, en quelque sorte, spécialisé dans un cer
n quelque sorte, spécialisé dans un cercle restreint d'idées dont son hallucination forme comme le centre, et il demeure com-plètemen
rve toujours le pouvoir de faire, quand il le veut, disparaître toute hallucination . Du moment oû se produit l'hallucination, l'état
l le veut, disparaître toute hallucination. Du moment oû se produit l' hallucination , l'état ca-taleptique cesse et la malade peut exé
se et la malade peut exécuter tous les mouvements en rapport avec son hallucination ; mais aussitôt que l'hallucina-tion disparaît, s
ette la fleur et s'essuie avec persistance la main à son tablier. L' hallucination peut indifféremment intéresser tous les sens, soi
it simultanément, soit séparément. Lorsque après avoir provoqué une hallucination , on abandonne la malade à ses propres ressources,
. Une autre de nos malades, au contraire, lorsqu'on lui suggère cette hallucination , prend un air de mécon-tentement, éloigne les enf
e M. Charcot est près d'elle. Elle le voit, en effet, s'avance vers l' hallucination , et après lui avoir souhaité le bonjour comme ell
ure de la tête et de la main. Le souvenir lui apporte la matière de l' hallucination ; un jour c'est « Mignon », une autre fois (c la F
duhté ne s'arrête point devant les invraisemblances ^ D'ordinaire l' hallucination provoquée disparaît avec la même 1. Ces scènes
aît avec la même 1. Ces scènes ainsi provoquées sous l'empire d'une hallucination varient, comme je l'ai déjà dit, d'une malade à l
riée que Bar..., et y met davantage de son propre fonds. Une première hallucination suggérée est l'occasion d'une longue scène qui, s
e livre et les descriptions qu'elle fait. Léonore fl... traduit les hallucinations qu'on lui suggère par une série d'attitudes longt
hez cette malade, il faut insister plus que d'habitude pour chasser l' hallucination , et l'on a quelque peine à rompre le charme. fa
l'expérimentateur, on voit se succéder et se remplacer tour à tour l' hallucination avec l'attitude ou le mouvement qui la traduit, e
n par la parole de qui que ce soit. Née à la voix d'un observateur, l' hallucination peut continuer et se modifier sous l'influence d'
ulaire (voy. pag. 407), n'existe pas ici. Abandonnée à elle-même, l' hallucination provoquée finit par s'effacer par degrés et dispa
malade en état cataleptique. Pendant que la malade dominée par une hallucination se livre à une mimique pleine d'expression, l'occ
t hyperexcitables (la malade est hémiléthargique de ce côté) ; mais l' hallucination persiste au même degré, et les mouve-ments en rap
me ^ 1. En poussant l'analyse un peu plus loin, on constate que les hallucinations co-lorées ne sont possibles que pour l'oeil qui n
à l'état normal, ne sont pas, dans l'état cataleptique susceptibles d' hallucinations . Ainsi Léonore Rob..., qui est hémianesthésique à
état des sens, et voici ce que nous avons pu constater, au sujet des hallucinations provoquées. De l'œil gauche elle ne voit pas su
qui joue la Marseillaise, pendant que, pour l'oreille gauche la môme hallucination n'est pas possible. Elle écoute, sur les instance
la main gauche l'illusion ne se produit pas. Les mêmes phénomènes d' hallucinations localisées aux sens qui ont conservé une partie a
de la persistance des sens une condition obligée de la production des hallucinations . Nous verrons plus loin les hallucinations intére
ligée de la production des hallucinations. Nous verrons plus loin les hallucinations intéresser aussi bien les sens complètement aboli
n-contrée, pendant l'état cataleptique, chez deux de nos malades. l' hallucination . On peut provoquer chez lui des sensalions intern
s degrés de l'État cataleptique Les phénomènes d'automatisme et d' hallucination provoquée que je viens de décrire n'accompagnent
observations précédentes. Il est possible de provoquer chez elle les hallucinations les plus variées, et, suivant la règle, le troubl
la règle, le trouble psychique alterne avec le trouble musculaire, l' hallucination avec l'état cataleptique. Certains faits d'automa
b... et Gl... Il est nécessaire pour que les faits d'automatisme et d' hallucination provoquée soient possibles que l'état cataleptiqu
La même chose a lieu chez Suzanne N... quatrième observation. — des hallucinations provoquées pendant l'État de léthargie ou de somn
pendant l'État de léthargie ou de somnambulisme, état des sens Des hallucinations peuvent être également provoquées pendant l'état
les, la mimique n'y est pas aussi expres-sive, la malade raisonne son hallucination tout en y apportant, il est vrai, la plus entière
malade raisonne son action et peut s'y refuser. Le plus souvent les hallucinations provoquées ne se produisent que lorsque l'hyperex
se que nous cherchions à lui imposer, maintenant les illusions et les hallucinations de toutes sortes sont possibles, à l'exception to
s possibles. De même que les illusions dont je viens de parler, les hallucinations de tous les sens, à l'exception toujours de celui
gorge, quand elle n'a absolument rien pris. Toutes ces illusions et hallucinations apparaissent ou disparaissent au gré de l'obser
ade demeurent clos. Si l'on vient à soulever ses paupières, les mêmes hallucinations peuvent être provoquées et de plus celles de la v
estion dont nous avons parlé dans les expériences précédentes, car, l' hallucination une fois pariie, elle retombe aussitôt dans l'éta
des fausses perceptions qu'on lui suggère, et elle accepte toutes les hallucinations aussi bien celles de la vue que des autres sens.
oins en apparence. (Nous avons vu que dans cet état, chez Suz,.., les hallucinations de la vue n'étaient pas pos-sibles.) On provoqu
la vue n'étaient pas pos-sibles.) On provoque ainsi chez Gl... les hallucinations les plus variées. Elle mord à belles dents dans
et état hallucinatoire, si l'on soulève les paupières de la malade, l' hallucination continue; mais, contrairement à ce qui se passe c
ez Suz.., au lieu d'être remplacée bientôt par l'état cataleptique, l' hallucination au bout de peu d'instants est suivie du réveil sp
nt à Suzanne présente un état cataleptique absolument rebelle à toute hallucination provoquée. Les illusions et les hallucinations
ument rebelle à toute hallucination provoquée. Les illusions et les hallucinations provoquées, ou simplement sug-gérées pendant cet
aque. Il existe là comme une période de transition pendant laquelle l' hallucination et la perception exacte, la raison et l'erreur, s
, elle soit complètement livrée la discrétion de l'observateur. Les hallucinations sur lesquelles ¦ insisté dans l'observation pré
epsie de la moitié correspondante du corps... » § 2. — AUTOMATISME. HALLUCINATIONS PROVOQUÉES. ÉTAT DE SUGGESTION Je rapproche de
a catalepsie cet état singulier dans lequel la malade sous l'empire d' hallucinations provoquées se livre à une mimique très expressive
répond à l'obs. I, l''" série, c'est-à-dire que l'automatisme et les hallucinations provoquées n'y sont pas possibles. Et cependant o
cependant on retrouve les liens qui unissent l'état cataleptique à l' hallucination pi'Ovoquée dans l'expérience suivante : Plongée
le sommeil avec hyper-excitabilité. Dans ces deux sommeils toutes les hallucinations peuvent être provo-quées à l'exception de celles
ent être provo-quées à l'exception de celles de la vue. Ces dernières hallucinations deviennent possibles du moment oîi l'on soulève l
avons toujours vu survenir infadliblement. Abandonnée à elle-même l' hallucination de la vue ne dure pas longtemps, elle s'évanouit
e dans un état cataleptique pro-fond, indifférent à toute tentative d' hallucination provoquée. En résumé, nous voyons ici l'état cata
ir besoin pour se produire de la modification qu'imprime au cerveau l' hallucination provoquée de la vue. A. Mode de production. — L
t apte au développement de ces phénomènes de suggestion (automatisme, hallucinations provo-quées) une excitation sensorielle légère su
a malade de diverses façons. 4° Actions inconscientes. Automatisme. Hallucinations provo-quées. 5° Les sens n'exercent leur action
t en rapport avec le but poursuivi par l'acte auto-matique, ou avec l' hallucination qui domine la malade. Je ferai remarquer ici le
Pendant qu'elle se livre à un acte d'automate ou subit l'empire d'une hallucination provoquée, elle demeure inaccessible à tout bruit
t par un hen quelconque à l'action qu'elle accomplit ou au sujet de l' hallucination qui la domine. 6" La mimique à laquelle se livr
férence toutefois que, dans cette dernière circonstance, la série des hallucinations suit son cours fatal qu'aucune excitation venue d
xcitabilitô neuro-musculaire n'existe pas. 3° Il en est de même des hallucinations provoquées qui le plus souvent ne sont pas possib
ptique comme toujours en pareille circonstance K 11° Les illusions et hallucinations de tous les sens peuvent être facilement provoqué
c celui qui vient l'interrompre. De plus elle n'est pas accompagnée d' hallucination . Mais les choses changent si, pendant que Par..
que Par... prie ainsi, on vient à soulever ses paupières. Aussitôt l' hallucination apparaît. Son visage s'illumine, elle se met à ge
t. Mais elle ne répond en aucune façon aux questions étrangères à son hallucination . Elle ne soutient aucune discussion. En un mot, e
vent détruire cette image intra-cérébrale. » {Loc. cit., p. 355.) L' hallucination provoquée que nous venons d'étudier, peut être qu
exemple : « Pendant le sommeü artificiel, elle a assez souvent des hallucinations ; il n'est pas rare de l'entendre vous dire : « Re
oujours la même femme aux yeux bleus et son petit chien noir, la même hallucination que pendant les attaques. » Mais le phénomène l
es gants; sa pantomime à l'appui est fort amusante... etc... Jamais d' hallucination de l'ouïe. Parfois cette absence était précédée d
IQUE LES ATTITUDES PASSIONNELLES Les affinités qui existent entre l' hallucination et l'état catalep-tique des muscles ont été mises
très bien qu'elle ne voit rien. C'est alors l'état cataleptique sans hallucination . L'on voit combien la troisième période de l'at
riode de l'attaque offre ici de ressem-blances avec les expériences d' hallucinations provoquées que nous avons rapportées plus haut. L
ertainement le même, et la seule différence réside dans la cause de l' hallucination , qui, provoquée d'un côté, se produit spontanémen
l'attitude passionnelle remplacée par une atti-tude cataleptique avec hallucination gaie ou triste, sans perte complète de connaissan
période ou période des attitudes passioniielles est fort longue. Deux hallucinations se reproduisent presque invariablement, l'une ter
de l'état cataleptique. L'attitude est expressive et il existe des hallucinations dont la malade conserve le souvenir. (( La plup
cher à résoudre le problème physiologique que soulève cette union des hallucinations de l'extase et de l'état 1. Cette malade a été
fluence de pratiques hypnotiques variées, l'état catalep-tique et les hallucinations alterner chez un môme sujet. b) LES ACCÈS DE CA
dans une vague rêverie; éréthisme moyen, élaboration mentale pénible, hallucinations , commen-cement de roideur musculaire; éréthisme e
ervation suivante empruntée à Rosenthal, la cata-lepsie précédait les hallucinations et le délire caractéristiques des deux dernières
plus spécial qui nous occupe ici, par les phénomènes de délire et les hallucinations qui parfois les terminaient. Voici quelques ext
t quelques idées, fait quelques réflexions justes en rapport avec son hallucination ; mais elle ne reconnaît personne, — Elle demandée
sous elle. Le 13. La nuit s'est passée dans le même état. Au matin hallucinations , demi-connaissance. A quatre heures, la connais
encore, et fut suivie sans transition de catalepsie, puis d'extase. L' hallucination de l'extase devait être effrayante, à en juger pa
eures, ma-dame X... est prise de convulsion hystérique, d'extase avec hallucination , et entre dans le somnambulisme en s'écriant : «
attitudes passionnelles. A la suite d'une attitude passionnelle avec hallucination , la malade devient somnambule sans transition. Il
ion. Il semble qne le second état dérive naturelle-ment du premier. L' hallucination qui préside à l'une, l'idée fixe qui dirige l'aut
eurs attributs différents. Si dans l'attitude passionnelle il y avait hallucination , dans le somnambulisme la vision n'existait plus,
e vit, dans la suite, ses attaques se modifier un peu. La période des hallucinations présenta plusieurs des caractères de la catalepsi
nt de ce que j'avais observé la veille, mais arrivée à la période des hallucinations , la scène changea beaucoup. Mademoiselle S..., ap
it prendre. A peine sur son lit, et comme je ne la touchais plus, son hallucination reparut, il en fut ainsi jusqu'à qua-tre heures d
encore que, par le simple contact, on pouvait prévenir le retour des hallucinations . Je ne con-nus cette particularité que lorsque, l
qu'en la touchant. Son monologue est interrompu par l'arrivée de l' hallucination terrifiante. Mademoiselle S... se dresse lentemen
s passes descendantes au-devant de la figure et le long du corps, son hallucination disparaît et elle ferme les yeux; il s'éloigne d'
avec monologue et état cataleptique. Interrogée sur l'objet de ses hallucinations , la malade me répond qu'elle voit sa mère morte d
rs : « Retirez cette fosse, retirez-la... » Si je la touche pendant l' hallucination , dit-elle, l'image terrifiante s'efface, et, à me
ette et animée. Par suite de ce fait, il faut, pendant la période des hallucinations , que je la tienne, ou la touche de la main, pour
nambulisme avec monologue et état cataleptique. 11 h. 25 minutes. — Hallucinations . 1 h. 25 minutes. — Les globes oculaires roulen
dé sont identiquement les mêmes qu'au com-mencement du mois, sauf les hallucinations qui ont disparu récemment. 12 h. 15 minutes. —
re. Cette jeune fille est manifestement hystérique. L'ovarie, les hallucinations du jour, les cauchemars de la nuit, et les crises
après s'être endormie, ouvre les yeux, se lève, marche, poursuit une hallucination .., etc.. Insen-sibilité absolue. Au 15 juillet.
s présentaient les mêmes caractères. Enfin je désire rapprocher les hallucinations provoquées pendant l'état de somnambulisme, chez
me ordre que ceux que j'ai rapportés plus haut sous la dénomination d' hallucination provoquée pendant l'état de somnambulisme. J'ai i
terreur dominent la situation. On peut cependant citer des exemples d' hallucinations agréables. « Quelques malades... entendent des mu
eur mobilité. Hommes, choses ou animaux, tout ce qui fait l'objet des hallucinations se meut et se déplace. Les hallucinations gaies s
out ce qui fait l'objet des hallucinations se meut et se déplace. Les hallucinations gaies succèdent aux hallu-cinations tristes et ré
ies succèdent aux hallu-cinations tristes et réciproquement. 3° Ces hallucinations qui varient à l'infini reflètent souvent l'objet
arce qu'il leur a pris la fille. Il ré- 1. Brierre de Boismont, des Hallucinations , \). ìli. 2. Magnan, lac. cit. Oh. II, p. 49.
ils se montrent encore pendant la nuit. » M... parle volontiers des hallucinations qu'il a éprouvées, mais il croit encore pendant q
après des excès plus fréquents, il perd le sommeil, est agité par des hallucinations ; il s'imagine qu'on lui en veut ; etc. *jDe re
attaque hystérique sont nombreux et faciles à établir. Au délire avec hallucinations , assez semblable à celui de l'alcoolisme, s'ajout
une attaque depi-lepsie. Voici le récit de quelques expériences : Hallucinations et attaques épileptiques chez un chien sous Vinfl
grognant, vers la même direction, puis il se rassure complètement. Hallucinations et attaques épileptiques chez un chien sous l'inf
dre connaissance, on voit se manifester d'autres phénomènes. Il a des hallucinations très nettes, il aboie tout à coup avec fureur, bi
é ou de l'autre. Un peu plus tard encore (onze heures et demie) les hallucinations deviennent plus fréquentes, mais la perception da
aux : vertiges, se-cousses musculaires, accès épileptiformes, délire, hallucinations ... Mais l'action est moins brusque et les effets
ontinue et le malade arrive à l'Asile le 3 juillet. A son entrée, les hallucinations sont incessantes, il parle, crie, est sans cesse
en mouvement. La nuit se passe sans sommeil. Le 4, à la visite, les hallucinations persistent avec la même intensité; L... ramasse d
Quincey. On y trouve aussi l'influence du souvenir sur la nature des hallucinations . « L'auteur, rapporte M. Brierre de Boismont, e
ures était commencée. » Je me contenterai, pour donner une idée des hallucinations ter-ribles qui vinrent assaillir ce malheureux, d
e Tours). Cet auteur, dans son 1. Cité par Brierre de Boismont, des Hallucinations , p. 187 et suiv. remarquable ouvrage, a fait un
uvenir. T Impulsions irrésistibles. 8° Enfin les illusions et les hallucinations . Le point sur lequel je désire insister est l'a
cience, à un degré variable, en est un des principaux caractères. Les hallucinations gaies et agréables sont incontestablement plus fr
eur de hachisch que dans le délire hystérique, sans que pour cela les hallucinations pénibles fassent complètement défaut. Mais on r
ns les deux cas, la même mobilité dans la succession des idées et des hallucinations , la même vivacité d'in-terprétation pour les gest
sations cérébrales (voy. p. 393). f) La façon dont les phénomènes d' hallucination provoquée, d'automatisme, de catalepsie, et de lé
e Hecker^ delà danse de Saint-Jean je ferai ressortir : la présence d' hallucinations qui rappellent celles de la troisième période de
établir ici, si nous songeons quel rôle jouent les couleurs dans les hallucinations des hystériques et com-ment ces sortes de malades
ouvrage de M. Calmeil. Le début de l'affection était marqué par des hallucinations auxquelles s'associaient plus tard des troubles v
ureuse fille^. » Au couvent de Nazareth à Cologne nous retrouvons l' hallucination géné-sique nocturne. « Une jeune nonne nommée G
e l'esprit malin, et cette croyance entretenue par la nature de leurs hallucinations les poussait à faire retomber sur la tête de quel
que nous avons pu observer chez nos malades hystériques. En outre des hallucinations et des idées fixes qui en étaient la conséquence,
ibles'^. » Voici maintenant qui pourrait être mis sur le compte des hallucinations erotiques qui font partie de la troisième période
ionnelles qu'il n'est pas rare d'observer sous l'empire de semblables hallucinations (Voy. p. 94). Nouveau point de rapprochement : le
Ici, comme ailleurs, c'est la grande hystérie qui est en cause. Les hallucinations , les mouvements impulsifs, l'horreur pour la conf
Magdaleine en avait honte^... » On voit par ce qui précède que les hallucinations génésiques ne faisaient point défaut. Dans les
rament éminemment hystérique 2. C'est par elle que commencèrent les hallucinations . La première elle reçut, la nuit, la visite du fa
3 octobre 1631 fut rédigé le procès verbal suivant qui prouve que les hallucinations ne tardèrent pas à se communiquer aux autres reli
l'imagination des religieuses au point qu'il devint le sujet de leurs hallucinations . Alors on vit se produire chez les UrsuHnes ce cu
Alors on vit se produire chez les UrsuHnes ce curieux phénomène de l' hallucination génésique nocturne avec croyance à sa réalité, do
ut un si remar-quable exemple chez notre malade Gen... (Page 14). L' hallucination de la mère prieure se répéta presque toutes les n
s avec Urbain Grandier rentre bien certainement dans la catégorie des hallucinations du genre de celles de notre malade Gen... et devi
dans leur confiance en leurs directeurs spirituels^ et aussi dans les hallucinations dont elles n'étaient que trop fréquemment les vic
nous retrouvons les mêmes symptômes avec une prédominance marquée des hallucinations et des accès délirants. Je relèverai dans les é
de rapprocher de ce que nous avons observé sur nos hystériques. Les hallucinations des religieuses possédées sont extrêmement remar-
mples qui nous permettent d'msister sur les caractères suivants : Ces hallucinations marquaient le début de l'affeclion. Ce n'était pa
aient pour une part dans les relations journalières de la malade. Ces hallucinations reflé-taient les occupations ordinaires des relig
is par jour, mais ce ne fut plus de la même manière. Il Kurvint des hallucinations , et les crises semblèrent un lambeau de la grande
e, détaché de la période des attitudes passionnelles. Le souvenir des hallucinations persistait après la crise, et des visions d'anima
n maléfice de tel ou tel individu qu'elles accusent de sorcellerie. L' hallucination entretient cette conviction. La nommée B..., âg
métamorphosé. Nous voyons qu'ici, comme à Loudun et à Louviers, les hallucinations marquent le début de l'affection. Les exorcisme
tase et de léthargie avec trismus, une vive excitation génésique, des hallucinations nocturnes, etc. Cette obser-vation est également
x intérieure sur le compte des hallucina-tions (/aies qui, mêlées aux hallucinations tristes, caractérisent la troisième période de la
e. Au sortir de là, les convulsionnaires entraient dans une phase d' hallucination avec exclamations, délire et poses expressives, q
attaque, avec les attitudes expressives qui la ca-ractérisent et les hallucinations qui appartiennent le plus souvent à deux ordres d
es se com-posent d'une suite d'altitudes passionnelles accompagnées d' hallucinations , et, par suite, offrent les plus grandes analogie
ses, les poses expressives se mettaient en harmonie avec les diverses hallucinations qui, suivant les circonstances et les préoccupati
ra une succession d'attitudes expressives variées correspondant à des hallucinations dont l'extatique conserve après l'accès un vif so
ï. — Troubles psychiques......................................... ^ Hallucinations ..................................................
élire..................................................... 125 2. — Hallucinations . Zoopsie...................................... 13
ts degrés de l'état catafeptique.. 401 Quatrième observation. — Des hallucinations provoquées pendant l'état de léthargie ou de somn
ique provoquée............................. 409 § 2. — Automatisme. Hallucinations provoquées. — État de suggesdon. 414 § 3. — Létha
2 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
t, dans l'état d'hypnotisme, présente de l'automatisme et réalise des hallucinations suggérées. Nous jugeons son état favorable à des
rières et les oraisons pour les appeler. » Ces lectures amenèrent des hallucinations qui modifièrent profondément son esprit prédispos
les deux a quelque analogie avec celle qui distingue l'illusion de l' hallucination dans l'hypnose. Les rêves du premier groupe se
ument déréglé, c'est une sorte de délire, le rêve devient une série d' hallucinations ou, comme Wundt l'exprime, « une folie normale te
sur la rétine pendant un temps très court. C'est ce qu'on appelle une hallucination hypnopornpique; les observateurs scientifiques l'
ersonnification pendant le rêve, 2° par une fausse interprétation des hallucinations hypnopompiques. • Passons maintenant au conte
) Par M. le Dr Meunier, de Pontoise I. — L'homme ;Neurasthénie et Hallucinations . Jean-Baptiste Van Helmont, Seigneur de Royenb
e moment, revenons à l'homme, à son état nerveux, à ses crises, à ses hallucinations qu'il décrit avec complaisance, tout comme sainte
e humaine » et chaque fois qu'il a une vision de cette âme, c'est une hallucination de l'ouie, de la vue et de l'odorat qui le po
réveillai. » Dans cette crise, on remarque d'abord l'extase, puis l' hallucination , qui débute par une hallucination de la vue à gau
n remarque d'abord l'extase, puis l'hallucination, qui débute par une hallucination de la vue à gauche et aussi une hallucination de
ion, qui débute par une hallucination de la vue à gauche et aussi une hallucination de l'ouïe qui se termine par une double hallucina
he et aussi une hallucination de l'ouïe qui se termine par une double hallucination de la vue et de l'ouïe à droite. Cette première
n âme, 1 dit-il, n'en acquit pour cela aucune perfection. » A ces hallucinations de la vue plus fréquente et aux hallucinations de
erfection. » A ces hallucinations de la vue plus fréquente et aux hallucinations de l'ouïe s'ajoutent parfois des hallucinations d
plus fréquente et aux hallucinations de l'ouïe s'ajoutent parfois des hallucinations de l'odorat. C'est ainsi que dans une autre vis
s de sainte Thérèse, qui vivait de son temps, qu'il a lue et dont les hallucinations ont été considérées par les neu-ropathologistes (
oque était atteinte d'aliénation mentale et que le Sacré Cœur fut une hallucination . Il s'est fait depuis plusieurs années un grand
s vrais chrétiens. Les chefs du clergé, en acceptant comme vraies les hallucinations de la pauvre malade, n'ont pas tous agi avec mauv
je dois quelques mois explicatifs à ceux qui n'ont pas étudié les hallucinations , dont nous allons tant parler dans ce mémoire (1)
se par le nerf optique à l'encéphale qui perçoit blanc. Dans le cas d' hallucination , c'est la perception qui sera troublée ; cette co
oint où finit le tube nerveux de transmission; c'est là une forme des hallucinations simples, portant seulement sur un changement de c
t d'une lorgnette. A un degré de maladie de plus, nous arrivons à une hallucination beaucoup plus fréquente : dans celle-ci les deux
e en activité spontanément. En continuant à prendre comme exemple les hallucinations de la vue et en me servant d'une comparaison pour
e : le foyer de lumière, c'est la masse encéphalique qui perçoit; les hallucinations sont les verres peints représentant les sujets le
r Esquirol) poursuivi de la crainte de la mort, (1) Définition de l' hallucination par Esquirol : un homme qui a la conviction entiè
ter cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d' hallucination . un squelette l'accompagnant et se penchant s
croix toute brillante et à côté une énorme serrure avec sa clef; son hallucination traduit sa pensée. " C'est ainsi que le montreur
e la réalité et nous faire plus ou moins illusion. De même aussi, les hallucinations vagues et flottantes dans certains cas, donnent d
veux-tu t'en aller vilaine », répète-t-il avec colère. Telle est l' hallucination de la vue ; il en est de même pour les hallucinat
e. Telle est l'hallucination de la vue ; il en est de même pour les hallucinations de l'ouïe, du goût, de l'odorat et du toucher. Ce
x odeurs, aux saveurs, aux sensations diverses du tact. Parlons des hallucinations de l'ouïe qui jouent un grand rôle dans l'état de
nt un grand rôle dans l'état de Marie Alacoque. Le plus souvent ces hallucinations sont faibles au début, mais augmentent d'intensit
o dans sa ballade des Djinns, ait voulu reproduire la marche de l' hallucination de l'ouïe et l'intensité toujours plus grande des
cendie, les voix de l'enfer, vois qui hurlent et qui pleurent; puis l' hallucination arrivée à son apogée commence à décroître ; les b
is, l'espace efface le bruit. De même chez le malade, l'intensité des hallucinations décroît en même temps que l'état aigu fait place
amilièrement, tantôt comme deux ennemis furieux et se disputant ; les hallucinations de l'ouïe exprimeront les préoccupations ordinair
ut à l'heure Marie Alacoque subir des impressions variées suivant ses hallucinations , ressentir toutes les joies de l'amour ou toutes
fer, suivant que Jésus-Christ ou le démon lui parlera. Du reste ces hallucinations sont les mêmes chez des personnes d'une autre rel
chez des personnes d'une autre religion : un Israélite est atteint d' hallucinations de l'ouïe qui produisent le délire des persécutio
oyant le voir dans le vide. Il arrive qu'en dehors de ces moments d' hallucinations , quelques-unes de ces personnes ne paraissent pas
n racontant la vie de Marie Alacoque, se dérouler ces divers degrés d' hallucinations de l'ouïe. Je ne décrirai pas ici les hallucina
ivers degrés d'hallucinations de l'ouïe. Je ne décrirai pas ici les hallucinations de l'odorat et du goût; il est facile après la de
évolution et des actes dont elles sont la conséquence. J'arrive aux hallucinations du toucher, et dans celles-ci je comprends celles
notre présence ne la trouble nullement; elle est toute entière à son hallucination . Des jeunes filles aliénées, a dit le docteur C
mbreuses thèses ont été écrites sur ce sujet. Comme on le voit, les hallucinations de Marie Alacoque ne sont pas une exception dans
ds du Christ. Marie Alacoque sera de son temps : comme d'une part ses hallucinations lui font sentir des approches charnelles, comme d
terrible l'enfer et ses tourments, alors suggestionnée elle aura des hallucinations terrifiantes du diable et des feux éternels produ
teurs de grimoires. La suggestion, l'auto-suggestion, l'illusion, l' hallucination , tout y est. et Marie-Anne elle-même, suivant l'e
tragédie, Aoi-no-Ouyé, dans laquelle Aoi, la femme poursuivie par des hallucinations terrifiantes et des idées de jalousie que font di
resse shlnntoïstcs, ne parait même pas sur le théâtre, tandis que ses hallucinations d'abord, ses idés de jalousie ensuite s'y montren
par l'inanition. Parfois, pris d'un accès soudain et sous l'empire d' hallucinations terrifiantes, il s'élance d'un bond hors de sa co
paroxysme de délire hallucinatoire terrifiant. Rien n'y manque : ni l' hallucination visuelle, qui en forme la base, ni le caractère s
en forme la base, ni le caractère sinistre, zoop-sique même de cette hallucination , se traduisant par la vue d'êtres horribles, de s
: au délire hallucinatoire, l'explosion nocturne, brusque, aiguë, les hallucinations visuelles, terrifiantes, mélangées d'illu- si
genoux nus ». C'est ainsi que Marie Alacoque décrit une première hallucination verbale auditive, mais faible encore. Pour donn
petites et grandes de convulsions, enfin la folie hystérique avec ses hallucinations de l'ouïe, de la vue et surtout des organes génit
rie Alacoque, sans décrire par chapitre séparé, les diverses formes d' hallucinations . Un jour on veut marier Marie Alacoque ; cette
arie Alacoque ; cette idée lui cause une grande émotion et elle a des hallucinations de l'ouïe qui prennent ta tournure de cette idée
r plus en jouissance ». Nous allons voir maintenant se produire les hallucinations du toucher et principalement celles des organes g
e oraison extraordinaire, mais en vain; sitôt qu'elle était seule les hallucinations et l'extase revenaient. « Ce fut après ces prem
re ma demeure en toi, converser et » m'entretenir avec toi ». : Les hallucinations de la vue vont se joindre à ce moment à celles de
s et je le « sentais tout proche de moi; j'entendais sa voix ». Les hallucinations du sens génital se produisaient surtout, lorsque
, pour faire une citation qui fera comprendre mieux encore ce genre d' hallucinations et sera la confirmation de noire manière de voir.
traiter devant le congrès des médecins aliénistes ; il s'agissait des hallucinations de l'ouïe. Dans ce rapport je trouve l'observatio
ngt minutes, raconte « cette malade, j'entends mes meubles craquer ; ( hallucination auditive « élémentaire) un peu après je vois dans
n peu après je vois dans une grande clarté Satan avec « ses cornes ( hallucination visuelle) agissant et disant comme une vraie « vo
s (hallucination visuelle) agissant et disant comme une vraie « voix ( hallucination verbale auditive) : « je retournerai ton corps de
ce que j'ai ressenti alors et que vous comprenez bien sans doute « ( hallucination génitale) ; puis j'ai senti comme une grosseur à
dans toutes leurs manières de se produire, formeront les principales hallucinations de notre malade, ce seront des lumières brillante
iguë. Un vendredi, jour de jeûne, elle avait un accès d'extase avec hallucinations de la vue : elle voit un soleil brûlant qu'elle c
uvent, c'est-à-dire jusqu'à sa mort. Omettant à dessein une foule d' hallucinations de diverses natures dont le livre est rempli, j'a
s de diverses natures dont le livre est rempli, j'arrive à la fameuse hallucination sur laquelle on a basé le culte du Sacré Cœur ; j
as cette erreur médicale de la part d'un Dieu omniscient. Voici l' hallucination telle qu'elle est écrite dans le journal de Marie
oût paraissait monstrueuse. Pendant cette triste période, les mômes hallucinations poussent Marie Alacoque à faire en public quelque
e culte du Sacré Cœur créé par Marie Alacoque ou plutôt fondé sur ses hallucinations doit être aboli comme étant une aberration religi
e daltonisme et des fausses sensations du toucher qui ue sont pas des hallucinations . Ce sont des fausses impressions, ce ne sont pas
ce ne sont pas des fausses perceptions ; celles-ci seulement sont des hallucinations . debout, éclatante de dorures et d'émaux ; el
ne, fait d'ordre à la fois local et général, détermine l'apparition d' hallucinations et de cauchemars, se rapportant à l'acte de mange
tion intellectuelle, l'amnésie, l'aboulie, l'aphasie, le vertige, les hallucinations , les idées fixes, le délire aigu, la folie. D'a
énètre pas jusqu'à sa conscience, ce qui est surtout visible dans les hallucinations négati- (1) Comp. A. Forel, Der Hypnotismus, 3e
duit le plus souvent, comme nous l'avons dit autre part, sous forme d' hallucinations où trois sens prennent part, celui de l'ouïe, cel
re chez ces malades, la grande influence des idées ambiantes dont les hallucinations de l'ouïe sont l'écho, celles de la vue le reflet
de ce côté, tellement est forte l'impres- sion de celle première hallucination ; puis l'excitation augmentant, pendant une nuit,
loin de cacher sa faute, elle la proclame avec satisfaction. D'autres hallucinations semblables surviennent pendant les nuits suivante
ner à terre, tant son désir est grand de rejoindre son amant. Cette hallucination qui se répète toujours sous la même forme est typ
ulcinée du Toboso. Les idées si curieuses qui servirent de base aux hallucinations de Marie Alacoque concernant l'amour divin et hum
arie Alacoque; nous voulons seulement, en citant quelques-unes de ces hallucinations , démontrer qu'elles furent le parfait modèle
crises des scènes analogues d'amour divin. Voici quelques-unes des hallucinations de sœur Clément: une nuit s'étant réveillée comme
vant dans son sein adorable que je ne l'aperçois plus. C'est déjà l' hallucination qui deviendra fameuse quelques années plus tard a
d'un feu si vif lui semblera être réduit en cendres. Bien d'autres hallucinations de même nature, sont racontées dans cette vie de
n'a rien inventé et que son cerveau malade n'a fait que reproduire en hallucinations ce qu'elle avait lu dans les livres de dévotion d
ns l'autre. Pour le reste, les symptômes sont identiques; ce sont des hallucinations de divers sens, c'est de l'aliénation mentale.
mptômes de l'hystérie avec bonne foi en croyant à la réalité de leurs hallucinations , on doit le reprocher aux personnes plus éclairée
meil que l'on observe au commencement et à la fin du sommeil complet ( hallucinations hypnagogiques de Maury). Pendant le sommeil de
crire sous le même nom la leçon d'un professeur à ses élèves et les . hallucinations provoquées chez une hystérique... Il n'est plus p
démarcation entre le physiologique et le pathologique. Du rêve à l' hallucination et au délire on peut trouver tous les termes de t
s et cependant n'est-il pas indispensable de laisser à ces mots rêve, hallucination , délire, leur sens spécial, propre? Duprat (1)
re, leur sens spécial, propre? Duprat (1) montre les analogies de l' hallucination et de la distraction et il cite Tomlinson qui est
raction et il cite Tomlinson qui est « allé jusqu'à prétendre que les hallucinations et les illusions ne sont pas un phénomène anormal
ou abolies. Personne ne songe à s'élever contre cette idée. Donc, l' hallucination et le délire sont de même nature que le rêve, ont
n marquées? Non, car, ici, le contenu du délire est constitué par des hallucinations ; le malade se sent embrasser par des crocodiles;
de son nez ; il est en outre alcoolique. Actionnées par l'alcool, les hallucinations se sont développées très rapidement. Pourquoi d
solitude, le jeûne et la contemplation favorisent le développement d' hallucinations de toutes sortes, telle est la si connue tentatio
t la si connue tentation de Saint Antoine. Chez certains esprits, ces hallucinations réveillent l'idée de prosélytisme, et la vie pass
a à Mahomet après trois ans de méditations. Il commença par avoir des hallucinations de la vue et de l'ouïe, entendit des voix, vit de
séparée en deux, une partie disparut, l'autre resta. S'agit-il d'une hallucination collective, d'une éclipse de lune prévue et annon
, avaient des réves pendant la nuit, voire même des cauchemars et des hallucinations véritables, et il en tirait une conclusion très u
les conditions et les modalités dues aux différentes origines de ces hallucinations et auditions musicales hypnagogiques. Nous croy
du cerveau et des bourdonnements d'oreilles qui sont causes souvent d' hallucinations musicales hypnagogiques. 2° En psychologie pure
rie Alacoque ; celte idée lui cause une grande émotion, et elle a des hallucinations de l'ouïe qui prennent la tournure de cette idée
ii, p. 385). Du texte authentique il résulte : 1° que s'il y a une hallucination , ce n'est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu
ique il résulte : 1° que s'il y a une hallucination, ce n'est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu'il n'y a aucune espèce d'halluc
'est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu'il n'y a aucune espèce d' hallucination . Le mot voir signifie en effet non seulement voir
striction n est certes pas indifférente. On lit à lu page 152 : Les hallucinations de la vue vont se joindre à ce moment à celles de
ne pas donner une exacte solution. A la même p. 152. je lis : « Les hallucinations du sens génital se produisaient surtout, lorsque
les textes cités je ne vois pas : 1° Où l'on peut trouver apparence d' hallucination du sens génital ; mais : 2° Je vois très bien la
x par lesquels M. le Dr Rouby essaie de mettre en évidence les graves hallucinations , qui caractérisent les accès de manie aiguë'. On
en racontant la vie de Marie Alacoque se dérouler ces divers degrés d' hallucinations de l'ouïe ». La religieuse au contraire nous appa
eur le Dr Rouby établit trois périodes successives et grandissantes d' hallucination : a A celte période de la maladie » (p. 152)....
siècle, « le reflet des livres de dévotion de l'époque, » et que les hallucinations de la sœur Anne-Marguerite Clément « furent le pa
n'a rien inventé et que son cerveau malade n'a fait que reproduire en hallucination ce qu'elle avait lu dans les livres de dévotion d
nologique des faits cités pour établir les trois séries ascendantes d' hallucinations n'est pas exact ; il ne prouve donc rien. 3° La
texte il est dit « me fit voir ». Il en résulte : 1° que s'il y a une hallucination , ce n:est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu
. Il en résulte : 1° que s'il y a une hallucination, ce n:est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu'il n'y a aucune espèce d'halluc
:est pas une hallucination de l'ouïe ; 2° qu'il n'y a aucune espèce d' hallucination , le mot voir ayant le sens de comprendre. Or, il
e. Or, il résultedu texte complet que M. l'Abbé se trompe ; qu'il y a hallucination et hallucination de l'ouïe, et qu'il suffisait de
du texte complet que M. l'Abbé se trompe ; qu'il y a hallucination et hallucination de l'ouïe, et qu'il suffisait de lire et de citer
is non dans le but que suppose M. l'Abbé, celui de faire croire à une hallucination qui n'existait pas, mais pour ne pas donner des e
mais pour ne pas donner des explications trop savantes sur certaines hallucinations dites psychiques, explications qui auraient compl
Alcan, boulevard St-Germain) nous traitons longuement de ces sortes d' hallucinations et nous allons reproduire ici le passage qui en t
duire ici le passage qui en traite, ce sera notre justification : « Hallucinations psychiques de Ste Thérèse : « Avant de raconter l
« Hallucinations psychiques de Ste Thérèse : « Avant de raconter les hallucinations véritables, nous devons donner quelques explicati
ions véritables, nous devons donner quelques explications sur les hallucinations incomplètes que la Sainte éprouva et sur ce qu'el
ne l'aurais fait des yeux du corps. » Ce n'est pas, on le voit, une hallucination complète qu'éprouve Sainte Thérèse ; elle a bien
nner de ce fait ? La première explication, c'est que, au début, les hallucinations étant très faibles, les malades se rendent compte
e l'expression voir avec les yeux du cerveau. De même qu'il y a des hallucinations de la vue incomplètes que les yeux de l'âme perço
vue incomplètes que les yeux de l'âme perçoivent, de même il y a des hallucinations incomplètes de l'ouïe, que les oreilles de l'âme
les couches auditives du cerveau les couches optiques. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décrit sous le nom d'hallucination
ues. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décrit sous le nom d' hallucinations psychiques et le D' Séglas sous le nom de psycho-
âme sans le secours de la parole ; nous décrirons tout à l'heure des hallucinations de cette nature entendues par Thérèse. Enfin no
ntendues par Thérèse. Enfin nous avons également, fait plus rare, l' hallucination incomplète du sens du tact, expliquée de la même
, expliquée de la même façon, aussi conservons-nous pour ces sortes d' hallucinations la désignation de Baillarger, hallucinations psyc
s-nous pour ces sortes d'hallucinations la désignation de Baillarger, hallucinations psychiques, qui s'appliquent à toutes les halluci
Baillarger, hallucinations psychiques, qui s'appliquent à toutes les hallucinations incomplètes. Cette désignation est meilleure que
des autres sens. Ce serait mieux encore de les désigner sous le nom d' hallucinations cérébrales, qui désignerait nettement leur nature
lucinations cérébrales, qui désignerait nettement leur nature. »... Hallucinations psychiques auditives de Ste Thérèse. Voici : « Un
e ce qui m'arrivait. » Marie Alacoque, comme Ste Thérèse, avait des hallucinations psychiques auditives, c'est ce qu'elle exprime en
re accusation : Le Dp Rouby dit. à tort, que Marie Alacoque avait des hallucinations du sens génital ; les textes ne le prouvent pas.
ne attaque avec perte de connaissance pendant laquelle elle avait une hallucination génitale. C'est un symptôme commun, je ne dis pas
, » Est-ce assez clair ? Si la grande Sainte Thérèse a eu de telles hallucinations génitales ; pourquoi la Bienheureuse Marguerite-M
icipation, » nous pouvons dire que Marie Alacoque avait de véritables hallucinations génitales. Pourquoi repousser celles-ci du rest
celles-ci du reste quand vous êtes forcé d'admettre ces repoussantes hallucinations du goût et de l'odorat où le texte irréfu- ta
ù le texte irréfu- table ne nous permet plus de discuter? Tristes hallucinations qui salissent tous les cultes du Sacré-Cœur ! Car
prochaine édition, bien que la chose soit peu utile pour prouver les hallucinations de Marie Alacoque, nous décrirons la marche de la
précisément dans une période de folie hystérique pendant laquelle ses hallucinations jouèrent le premier rôle. CHRONIQUE ET CORRESPO
3 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
indépendante de la volonté de l'opérateur. Il s'agit là de véritables hallucinations suggérées, tableaux qui défilent devant les yeux
En revanche elles étaient très vives et paraissent correspondre à des hallucinations bien nettes et fort intenses. Il est bon de dire
it regarder. On peut voir là la preuve qu'il ne s'agit que de simples hallucinations ou mieux de phénomènes purement psychiques. En
beau lui crier aux oreilles des mots simples, capables d'éveiller des hallucinations bien nettes, tels que : Heurs, chat, chien, etc.,
s la tristesse par exemple. Le rouge, que nous avons vu provoquer des hallucinations gaies chez nos deux premières femmes, produisait
cevoir. De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique
de l'attaque hystéro-épileptique, sont commandées en général par des hallucinations , le plus souvent visuelles. On sait aussi que cet
ressant au sens du toucher en particulier, on arrivait à modifier ses hallucinations , mais sans leur donner telle ou telle direction s
(1) Charcot. — Leçons du Mardi, t. II, p. 3*26. (2) Ségal. — Des hallucinations sous l'influence des excitations des organes des
juin on remarque qu'à la fin do chaque crise survenait une période d' hallucinations avec délire. Le sujet de ce délire est toujours l
aujourd'hui. Après son attaque, il no conserve aucun souvenir do ses hallucinations , mais quand on le presse fortement il les raconte
nt les yeux du malade, il sourit, puis se met à rire. Verre bleu. — Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement dans
malade à l'état normal ne produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination . Le verre rouge, au contraire, provoque instantan
s décrites plus haut. Sens de Vouïe. — Diapason à l'oreille droite. Hallucination très agréable. Il salue, donne une poignée de mai
ents d'escrimes du sabre. Transporté à l'oreille droite, de nouveau l' hallucination précédente se reproduit. Bruit du tambour. — Il
t reprises et donnèrent les résultats suivants : Odorat. — Camphre. Hallucination effrayante. Il cherche quelqu'un, incline la tête
de cavalerie ont des sonnettes au cou.) Cette fois, le contrôle des hallucinations par le récit ultérieur suggéré n'est pas interven
quelqu'un, puis fait le geste de semer du grain. Verre bleu. — Même hallucination et mêmes gestes que dans l'expérience précédente
'il nous raconte d'une façon à peu près rationnelle l'histoire de ses hallucinations qu'il n'avait manifestées extérieurement pendant
e couvert de gazon, au grand soleil, correspond vraisemblablement aux hallucinations provoquées par les verres vert et bleu. La descri
en ce sens que le malade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l'excitation des sens, on peut cependant dédu
ant la phase passionnelle de l'attaque. Il est certain que toutes ces hallucinations nouvelles ne sont pas toutes aussi nettes et auss
ste, était moins sensible aux excitations un peu délicates et que les hallucinations provoquées par celles-ci lui étaient moins vives.
ct de l'eau chaude ou de l'eau froide, nous le voyons sous l'empire d' hallucinations d'une netteté et d'une fixité remarquables. Nous
, à cet heure? En pleine nuit ! ces hommes après moi ! » Toutes ces hallucinations persistent après le verre retiré, d'une façon net
i... Je cours tout droit vers l'eau... » Verre jaune. — Retour de l' hallucination ci-dessus : soleil, beau temps, chaleur, etc. V
essus : soleil, beau temps, chaleur, etc. Verre bleu. — Retour de l' hallucination ci-dessus : elle voit sa mère dans le ciel. Ver
re deux bâtons pour tenir la jambe droite... » Ether. — De nouveau, hallucinations d'attaques de nerfs, comme dans la première expér
de donner par la parole une suggestion quelconque ou de modifier les hallucinations . Elle est totalement concentrée en elle-même et a
l'on prononce devant elle à haute voix et qui pourraient éveiller des hallucinations . C'est le degré le plus profond de la concentrati
elles sont capables d'introduire un changement dans la succession des hallucinations . Cette concentration se manifeste aussi dans ce
s que celui-ci consiste surtout en visions d'animaux (des cafards) et hallucinations terrifiantes qui le (1) Georges Guinon et Sophi
ière, 1890, n° G.) font se précipiter sur un ennemi imaginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l'excitation
non pas que la même impression sensorielle produise chez tous la même hallucination ; chacun l'interprète à sa manière et agit ou par
e passionnelle de l'attaque hystérique on peut modifier la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d'excitations d
ns diverses, mais toujours simples, des organes des sens ; 2° Que ces hallucinations sont toujours indépendantes de la volonté de l'op
qui s'approprie la sensation perçue et la transforme à son gré en une hallucination correspondant à ses habitudes, à son genre de vie
malade, par ses paroles et par ses gestes, paraît être sous le coup d' hallucinations de diverse nature : gaies, tristes, lubriques, te
e. Il se livre d'emblée aux divers actes qui sont en rapport avec les hallucinations qui le hantent, et sur la nature desquelles on es
x ; enfin l'activité étant réduite aux actes de la vie ordinaire sans hallucinations , la passivité augmente et permet la suggestion. L
e la première, d'une période convulsive, la malade est en proie à des hallucinations visuelles terrifiantes. Elle parle, lutte contre
utes sortes d'actes absurdes, en rapport la plupart du temps avec des hallucinations visuelles. Il grimpait après le bras de son médec
gymnase où dans son délire il croyait se trouver. Sous l'empire d'une hallucination de même nature, il tentait d'emporter sa mère sur
malade qui, le plus souvent, règle ses idées délirantes soit sur ses hallucinations visuelles du moment, soit sur les faits habituels
). Le premier soir où sa crise le prit après dîner, il eut quelques hallucinations terrifiantes. Mais il est à noter que ce fait nes
ouroù il est rentré chez son père. Chez ce dernier, au contraire, les hallucinations terrifiantes se montrèrent presque constamment le
i, le battre, même s'il n'était pas là, le voyant quand même dans une hallucination . Chez son frère, les crises continuèrent, et là
rent, et là, pour la première fois depuis l'histoire des voleurs, les hallucinations terrifiantes reparurent, avec le même caractère q
bon, quelquefois interrompu par des cauchemars, mais rarement. Pas d' hallucinations hypnagogiques. Tous les autres appareils foncti
expérience : Fixation d'un objet brillant, résultat identique. Mêmes hallucinations , la bête, les poteaux, Auguste Guiard,toujours sé
courant des habitudes du service, et tout cela apparaissait dans ses hallucinations . De plus, dans une de ces deux longues attaques
n et s'appropriait cette sensation pour en faire le point de départ d' hallucinations spéciales en rapport avec la nature du bruit prod
à-bas. » R. « Ah ! oui..., il est vert. » Il abandonne aussitôt cette hallucination de poteau vert, puis : « Il y avait du bœuf, des
beaucoup. 2° Une période de délire, caractérisée par la présence d' hallucinations et d'illusions, particulièrement et presque exclu
rtaine mobilité dépendant de la succession et de l'enchevêtrement des hallucinations visuelles qui en forment le fond. Mais tout mobil
ité, en ce sens qu'il est toujours le même chez le même individu. Les hallucinations peuvent être assez variées chez un même malade, l
délirantes du moment, ou qu'on lui rappelle par la parole une de ses hallucinations habituelles. Mais, en tous cas, on ne crée rien,
Woltke. — De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique.
arce que le malade ne parlant pas quand il était sous l'empire de ses hallucinations , son délire, qui se passait au dedans de lui-même
l'influence des excitations des organes des sens sur la direction des hallucinations de la phase passionnelle. Il s'agissait d'un no
t cette phase passionnelle, le malade étant en proie à telle ou telle hallucination , il suffisait de lui mettre devant les yeux un ve
e. pour changer brusquement ses jeux de physionomie et lui donner des hallucinations assez fortes et persistantes. On remarqua aussi q
les excitations sensorielles les plus simples qui donnaient lieu aux hallucinations les plus vives et les plus persistantes. Le conta
ression sensorielle quelconque qu'il arrangeait à sa façon, suivant l' hallucination qu'elle développait dans son cerveau. En dehors d
ez nettement l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique.
ne, 13 ans. La seconde, âgée de 23 ans, est nerveuse et sujette à des hallucinations (il y a quelques mois, elle voyait des lumières,
ort de sa mère (elle avait alors 10 ans), elle a eu assez souvent des hallucinations . Il lui arrivait parfois de voir une main jaune (
prise d'une attaque de délire qui dura toute la nuit. Elle avait des hallucinations , et voyait, entre autres choses, un homme noir qu
passionnelles pendant laquelle elle était en proie spontanément à des hallucinations analogues à celles que nous décrivions plus haut,
excitations portées sur le côté anesthésique ne sont suivies d'aucune hallucination . Donc son anesthésie cutanée persiste pendant ce
Holà! Holà! » Des piqûres d'épingle le long de la jambe lui donnent l' hallucination de rats qui lui courent le long des jambes, monta
» Des piqûres d'épingle sur la paroi abdominale donnent lieu à des hallucinations bien singulières qu'explique le long séjour de la
cœur percé, celles de la paroi abdominale celle de laparotomie. Ces hallucinations provoquées sont d'une fixité digne d'être notée.
des procédés ci-dessus, et elle écrit quelques mots en rapport avec l' hallucination du moment : « Musique.....,je m'ennuie..... » C'e
mpliquée ne provoque chez cette malade de modification du délire ni d' hallucination en rapport avec l'objet de cette impression. On p
ans laquelle elle est concentrée. La parole n'a aucune action sur ses hallucinations et n'en provoque point de nouvelles. On crie à se
e s'empare de l'impression brute, qu'elle transforme à son gré en une hallucination , toujours la même pour chaque excitation sensorie
organes des sens on pouvait faire naître des suggestions, véritables hallucinations , sur la nature desquelles l'opérateur n'a aucune
r sa face l'expression d'une violente terreur. Un verre jaune donne l' hallucination de grand soleil et la malade met ses mains sur se
goût, le toucher, dans le domaine desquels une excitation suggère une hallucination , à l'égard de laquelle la malade réagit par des g
que sa mimique seule suffît à faire comprendre tous les détails de l' hallucination qui se passe dans son cerveau. (1) Georges Guin
l'attaque. Le processus est évidemment le même, et, plus encore, les hallucinations provoquées par une même impression sensorielle so
un et dans l'autre état. Signalons seulement le verre jaune donnant l' hallucination de grand soleil, l'eau de Cologne, celle de jardi
plus ou moins grossièrement une musique rhyth- niée, on lui donne l' hallucination d'un régiment qui passe, musique en tête. Il bat
de chef d'orchestre... » Il bat la mesure et fredonne un air. Puis l' hallucination cesse et il reprend une quelconque des scènes de
ais tu vas te vider... Essuie-toi donc... » Un verre vert lui donne l' hallucination d'un feu de Bengale. Si le verre est placé devant
es? C'en est-il, hein?... » Respirer l'odeur du camphre lui donne l' hallucination d'un individu qui prise de cette substance. « C'e
ts ou des personnes qui l'environnent, mais il est indéniable que les hallucinations provoquées par tel ou tel agent impressionnant le
identiques d'un moment à l'autre. Ainsi le verre rouge donne tantôt l' hallucination d'incendie, tantôt celle de dessin à la sanguine,
t en proie à un délire plus ou moins actif, toujours commandé par des hallucinations des divers sens, variable dans ses manifestations
es sur l'hystérie et l'hypnotisme, 1891, II, p. 287. l'égard de ses hallucinations et de ses conceptions délirantes. Enfin, notre
i n'étaient cependant que des serpents de théâtre en carton), eut des hallucinations de ce genre dans ses attaques. Enfin, plus tard e
e spontané, nous ne créons pas cependant à notre guise telle ou telle hallucination qu'il nous plaît de développer. Par une impressio
role ou l'écriture chez ceux qui le sont le moins, nous éveillons une hallucination dont nous ne pouvons prédire la nature de prime a
nt de départ le somnambule hystérique se crée un tableau, une série d' hallucinations qui s'enchaînent les unes aux autres, suivant une
délire hystérique (délire avec ecrnnésie). Th. Bordeaux, 1887. Ces hallucinations provoquées ainsi sont d'une intensité et d'une du
le une excitation trop complexe pour provoquer un changement dans ses hallucinations , les conceptions délirantes provoquées par les im
(vue, odorat, goût, etc.), il se trouve dès ce moment en proie à une hallucination ou à une série d'hallucinations enchaînées, qui t
se trouve dès ce moment en proie à une hallucination ou à une série d' hallucinations enchaînées, qui tiennent toute la scène et ne lai
rs un travail sur ce sujet et montré quels sont les caractères de ces hallucinations provoquées, comment le malade s'empare à sa guise
de la volonté de l'opérateur (2). Oe sont bien là les caractères des hallucinations provoquées dans le somnambulisme hystérique. De
t, c'est par les mêmes procédés que l'on peut arriver à provoquer des hallucinations : c'est-a-di¡re par des excitations des organes d
isme hystérique. Nous avons donc pu comparer facilement chez elle les hallucinations provoquées dans la catalepsie et dans la crise dé
et du geste, manifestant extérieurement de cette façon encore mieux l' hallucination ou la série d'hallucinations successives, auxquel
érieurement de cette façon encore mieux l'hallucination ou la série d' hallucinations successives, auxquelles elle est en proie. Pour p
ne semble pas y avoir de notion de l'état présent, ou plutôt, c'est l' hallucination du moment qui en réalité constitue à elle seule t
s la plupart des autres cas que nous avons décrits, la succession des hallucinations spontanées ou provoquées ne permet pas, à cause d
uence des impressions sensitives et sensorielles sur la direction des hallucinations , sont autant de signes d'une valeur indiscutable.
vitons par la parole. Nous sommes maître de ses suggestions et de ses hallucinations . Nous les créons de toutes pièces et les modifion
les les mêmes résultats qu'à l'état de veille et ne produisant aucune hallucination . Enfin elle est passée dans cet état d'hypnose sa
bien entendu, en proie à un délire actif, provenant principalement d' hallucinations , au milieu desquelles les visions zoopsiques, rev
, et en dehors delà volonté de l'opérateur, l'impression reçue en une hallucination ou une série plus ou moins complexe d'hallucinati
sion reçue en une hallucination ou une série plus ou moins complexe d' hallucinations . D'autres, au contraire, beaucoup moins concent
et suiv„ liculier, à savoir que la seconde personne, en proie à des hallucinations continuelles et se succédant les unes aux autres
savoir qu'un sujet peut dans l'hypnotisme se rappeler et raconter les hallucinations qui se sont imposées à lui pendant le somnambulis
e personne, dénuée du contrôle du pouvoir personnel et en proie à des hallucinations qui la dirigent en réalité, est un simple automat
auteurs : De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique.
fférence fondamentale, à savoir que l'un délire et est en proie à des hallucinations variées, tandis que l'autre vit, en apparence, de
ands mouvements, l'arc de cercle de la seconde période, ainsi que les hallucinations accompagnant et caractérisant les attitudes passi
ixe avec énergie, par des objurgations réitérées, sur le bristol, une hallucination visuelle, par exemple la photographie de M. Charc
es, assis dans son fauteuil, dans son cabinet, à l'hospice. Lorsque l' hallucination est bien fixée, on place, hors de la vue de la ma
e cle convention et on voit que c'est bien celle où avait été fixée l' hallucination de photographie, laquelle est encore bien nette,
un bonnet de coton. Cette période d'état A passée, elle voit encore l' hallucination suggérée dans la phase d'état B consécutive, ce q
malade dans celui-ci ne prend pas de la même manière, par exemple, l' hallucination grotesque de l'élève coiffé d'un casque à plumes.
rience du contraste des couleurs. En appliquant sur un papier blanc l' hallucination d'un carré rouge, elle voit immédiatement, sur un
effet, toujours le somnambule hystérique délire, sous l'influence des hallucinations auxquelles il est en proie, tandis que le vigilam
édent travail, l'homme de M. Mesnet... et d'autres) dans lesquels les hallucinations et le délire sont relégués un peu au second plan.
'elle, ne parlait que quand on l'interrogeait. A part l'existence des hallucinations caractéristiques du somnambulisme, cet état resse
t-il tenu ce singulier langage ? N'aurait-elle pas été le jouet d'une hallucination spontanée ? Une hallucination marquant le début
N'aurait-elle pas été le jouet d'une hallucination spontanée ? Une hallucination marquant le début d'une attaque d'hystérie n'est
térie n'est pas dans les habitudes de la grande névrose. De plus, une hallucination n'éclate pas d'ordinaire comme un coup de foudre,
oudre, chez une personne jusquedà saine de corps et d'esprit. Etrange hallucination qui serait survenue sans motif, sans prodromes, e
ffligée mais parfaitement raisonnable. En vérité, l'hypothèse d'une hallucination préalable ne semble pas justifiée. De nombreuses
elle-ci du reste, dans le sommeil hypnotique, nie énergiquement toute hallucination et affirme l'authenticité de son récit primitif,
s, roulant sans cesse sur ces scènes funèbres. Puis, à ce délire avec hallucinations visuelles, succède un état léthargique profond qu
sque aussitôt, le délire revenait avec les mêmes caractères. Et ces hallucinations et ce délire persistent ainsi durant deux jours,
as motrice, sensitive, sensorielle et psychique. Nous avons rangé les hallucinations diverses dans le cadre des auras sensitives et se
s simple au plus compliqué. On trouve dans les auteurs des exemples d' hallucinations visuelles extrêmement complexes. Les deux cas que
dont l'exposé va suivre, un seul a trait à une aura consistant en une hallucination auditive pure. Un autre se rapporte à une malade
puisse à la rigueur les faire rentrer dans cette catégorie. Mais les hallucinations portant sur un sens quelconque, nous avons préfér
Il s'agit bien dans ce cas d'une véritable réminiscence et non d'une hallucination auditive. En effet le malade n'entend pas dans l'
es phénomènes gustatifs et moteurs, l'aura hystéroïde s'accompagner d' hallucinations de la vue et du toucher, etc. La malade semble cr
e tournent à gauche, et elle se renverse sur son siège ; à ce moment, hallucinations terrifiantes (vision de bêtes féroces qui se jett
iation du syndrome de Ménière et de phénomènes moteurs et sensoriels ( hallucinations du goût). Observation XXXVIII. Del... Anna, 38
hystéroïde associée à des phénomènes d'un seul ordre : d'une part des hallucinations visuelles, d'autre part des manifestations mo t
lutation, arc de cercle, enfin attitudes passionnelles avec délire et hallucinations (toujours relatives à divers épisodes de la guerr
XXVI. De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique.
la parole dans le —, 125; Cachet individuel du —, 153; Caractères des hallucinations spontanées et provoquées dans le —, 156, 157; Eta
ycosurie: — tabétique, 291, 335; Signes de la — tabétique, 338. H Hallucinations : provoquées dans la catalepsie, 23; — provoquées
4 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e est presque tou- jours issue d'un trouble intellectuel primitif L' hallucination est rare au début; quand elle existe, elle ne s
rreur du malade, renforcer, pour ainsi dire le trouble cérébral ; Y hallucination n'est pas la cause propre de l'idée fixe. Nou
ns et combinaisons de l'esprit malade inter- viennent, et aussi les hallucinations . Elles ont pour origine les changements d'état
exprimer par des aliénés qui expliquent ainsi les tourments et les hallucinations qui les obsèdent. (Cotlard. De la folie, p. 213
ies générales, etc.), la mort est la conséquence accidentelle d'une hallucination comme pour ce malade d'Esquirol (t. I, p. à à q
uicide. Conti- nucllement déprimé, de-esperé, il est en proie à des hallucinations de la vue. Prend part aux distractions des mala
aire ! > Elle est incapable de tout raisonnement critique. Les hallucinations manquent absolument dans le tableau mor- bide f
mière, et ne subit pas de transformation notable. Dernièrement des hallucinations de l'ouïe ont apparu, mais elles restent rares.
ucinatoire dès le début, car nul n'ignore qu'il existe toujours des hallucinations dans le délire chronique à une période avancée.
it nette. Avec l'apparition des interprétations déli- rantes ou des hallucinations de l'ouïe, l'idée s'affermit, devient L de moin
elle). Idée fixe installée dès le jeune âge sans trouble sensoriel ( hallucinations apparues postérieurement) pour aboutir au délir
t vers cette époque, c'est-à-dire vers l'âge de trente ans, que les hallucinations de l'ouïe firent leur apparition. On commença à
pas persécuté de la sorte. Le délire s'étend, sous l'influence des hallucinations , les idées de grandeur vont venir s'ajouter aux
amment de Hollandais, de Prussien, de bête habillée en homme. Les hallucinations ont envahi les autres sens et même la sensi- bi
veloppée sans trouble sensoriel aboutissant au délire systématique. Hallucinations tardives et rares. D... Alphonse, trente-sept
de grandeur et de persécution se sont accrues et développées ; les hallucinations ont apparu. Le doute, au sujet de son origine
s elles sont peu nettes et n'occupent guère que le second plan. Les hallucinations , assez rares, existent depuis un certain temps,
exuelle. Nous terminerons par deux observations dans lesquelles les hallucinations ont joué bientôt un rôle indéniable. Observat
tinuelle de l'esprit vers le même objet ne tarda pas à éveiller les hallucinations de l'ouïe qui vinrent transformer en certitude
tion XIX (Personnelle). Idée fixe par interprétations . délirantes. Hallucinations consécutives. Délire chronique. M.... Georges,
e, mais déjà on le tracassait, on l'empêchait de gagner sa vie. Les hallucinations de l'ouïe apparurent rapidement; on répon- dait
rgnent aucune souffrance ; on « le fait mourir à petit feu ». Les hallucinations de l'ouïe ont augmenté de fréquence et le troub
se rurale. (Annales médico-psychologiques, avril ld9g.) E. R. VI. Hallucinations religieuses et délire religieux transitoire dans
nt l'influence des crises épileptiques sur la nature religieuse des hallucinations . Dans ces observations,* en effet, les hallucin
eligieuse des hallucinations. Dans ces observations,* en effet, les hallucinations paraissent presque aussitôt après la crise épilep
ues, fait qui confirme les rapports étroits unissant les crises aux hallucinations religieuses. (Annules médico-pschologiqucs, fév
écialement par de la stupeur avec hébétude, ou confusion mentale et hallucination . L'hébétude s'accompagne souvent de phénomènes
hiques nocturnes : mauvais sommeil, rêves, cauchemars, illu- sions, hallucinations , délire et impulsions; 4° Des troubles psychiqu
l'influence de ces troubles, et en particulier des impulsions, des hallucinations , du délire, il peut se produire des actes grave
ation du malade le rende insensible à cette pra- tique ; sinon, les hallucinations ne sont point une contre-indica- tion. L'hypnos
faisant suite à un rêve endormi ou de nuit. On y retrouve aussi des hallucinations ; les visuelles sont plus fréquentes que celles
nt pas de caractères bien spéciaux : il faut noter la fréquence des hallucinations de l'ouïe et du délire de persécution. On a sig
es de talent et de génie du somnambulisme et de la névropathie, des hallucinations oni- riques, il était intéressant de savoir s'i
. André (Jules). De la sialorrhée. Arondel (Auguste). Etude sur les hallucinations des moignons. Astié (André). Contribution à l'é
- Legay (René). Essai sur les rapports de l'organe auditif avec les hallucinations de l'ouïe. Lemercier (Albert). Répression théra
nique, les troubles de la sensibilité psy- chique, les phobies, les hallucinations , les troubles du jugement et du raisonnement, l
ême, semblaient, par moments, indiquer l'existence d'illusions ou d' hallucinations de la vue. C'est ainsi qu'un jour, il dit il son
reconnaissait pas son entourage. Les illusions sensorielles et les hallucinations persistaient, mais ne paraissaient pas de nature
erdu » ; seuls indices de l'existence d'un délire mélancolique et d' hallucinations terrifiantes. L'attitude, la physionomie du m
n dont il est capable, est absorbée par ses idées délirantes et ses hallucinations , encore que les unes et les autres ne soient ni
'ont aucune con- sistance, et sont tout à fait fugitives. Quant aux hallucinations , elles paraissent en général dépourvues du cara
dans l'état du malade, consiste en une diminution très notable des hallucinations et de l'excitation qu'elles entrete- naient. La
délire s'est évanouie; aucun symptôme n'indique plus l'existence d' hallucinations et d'illusions sensorielles. Le malade ne comme
t à noter, cepen- dant, que le souvenir des idées délirantes et des hallucinations se rapportant à cette époque, est beaucoup plus
qu'une empreinte nulle ou très légère. Par contre, certaines de ces hallucinations l'ont assez vivement impressionné pour qu'il en
it conservé un souvenir assez précis ; ce sont particulièrement les hallucinations de nature triste ou terriliante, ainsi qu'il re
sur sa désorientation d'esprit et sa torpeur cérébrale, que sur ses hallucinations et ses illusions sen- sorielles, et sur le déli
oni- rique de M. Régis). De plus les conceptions délirantes, les hallucinations et les illusions sensorielles, réagissant à leur
maniaques et mélancoliques symptomatiques. Il est à noter que les hallucinations qui ont été la base du délire onirique constaté
ge; prédominance d'idées mystiques ;- besoin de marcher, de parler; hallucinations delà vue et de l'ouïe; voit et entend son père
, le malade ne se rend pas lui- même compte s'il a la nuit rêves ou hallucinations vraies; il les corrige il est vrai, mais elles
nerveuses ou mentales variées. , Un cas de paralysie générale avec hallucination . M. Truelle donne lecture d'une observation de
nne lecture d'une observation de paralysie géné- rale accompagnée d' hallucinations de l'ouïe et de la vue qu'il a recueillie dans
ignes de la paralysie générale, en même temps que se montraient des hallucinations de la vue et de l'ouïe sous l'influence desquelle
ccomplit certains actes délictueux. Discutant ensuite la genèse des hallucinations dans la paralysie générale, M. Truelle adopte la
es. Chaque accès est suivi d'exci- tation avec confusion mentale et hallucinations , parésies passa- gères des membres supérieurs,
aciale. L'état de . démence apathique est rarement remplacé par des hallucinations avec excitation et délire de possession. L...
ale, 1896, p. 29. Clinique des maladies du système nerveux, 1896. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 373 Conclusions. - 1°
es affections de la moelle et des méninges. CLINIQUE MENTALE. LES HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES - DANS L'ALCOOLISME;
P. COLOLIAN, Ancien interne des Agiles de la Seine. Les multiples hallucinations des sensibilités spéciales ont été étudiées dep
récemment qu'un trouble hallucinatoire spécial, dénommé aujourd'hui hallucination psycho-motrice, a attiré l'attention des psychi
t se fait comprendre. C'est Baillargerl qui différencia ce groupe d' hallucinations 1 13aillarger. Des hallucinations, 1S40. Physio
rgerl qui différencia ce groupe d'hallucinations 1 13aillarger. Des hallucinations , 1S40. Physiologie des hallucina- tions dans se
sur les maladies mentales. 374 CLINIQUE MENTALE. sous. le n4)m d' hallucinations psychiques. Après avoir exposé la façon dont s'
res, sans langage parlé ». Maudsley le premier nomma ce trouble « hallucination motrice ». Avant ces auteurs d'autres avaient o
J qui a bien étudié la question en 1888, et formé trois groupes d' hallucinations psycho-motrices verbales pures : 1° halluci- na
rbales pures : 1° halluci- nations verbales motrices pures ; 2° des hallucinations ver- bales motrices combinées à des auditives v
nde \ Roubinovitch ', .Janet 6, Pieracciui7, ont rapporté des cas d' hallucinations 1 Séglas. Progrès médical, 1888, nO' 33 et 31,
dégénérescence (Annales médico- psycho" 1892). i Séglas et Londe. Hallucinations verbales motrices dans la mélancolie' (Archives
mars et mai). II Roubinovitch. Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho-motrices (Annales médico-ps ! J
sophique, mars, avril 1892. 7 Pieraccini. Accès de mutisme, 1893. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 375 psychomotrices ve
gnan2 qui, dans ses leçons à Sainte-Anne parla plu- sieurs fois des hallucinations motrices verbales surtout chez les délirants ch
de nouveau dans son dernier traité : « A côté de ces modalités de l' hallucination de l'ouïe, prennent place des troubles spéciaux
ace des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho-moteurs, les hallucinations psychiques ou motrices verbales ; des voix inté
thèse de Marson3 sur le même sujet. Après l'étude d'ensemble des hallucinations psycho-motrices verbales, les auteurs ont été a
ue. Sont-elles d'abord compatibles avec la raison ? Certes oui. L' hallucination à elle seule, comme phénomène transitoire, ne s
à provoquer du délire ; les cas sont nombreux d'individus ayant des hallucinations de l'ouïe, qui se rendent parfaitement compte d
r état et ne délirent point. Brierre de BoismonL', pour revenir aux hallucinations psycho- motrices verbales, cite le cas d'une fe
malade sa langue se meut. ' Jofiroy. Progrès médical, 1893, p. 413. Hallucinations unilatérales (Arch. de neurologie, 1896). * M
aladies mentales, 1897, p. 17. 3 maison. Contribution à l'élude des hallucinations verbales psycho- motrices (Thèse de Paris, 1897
psycho- motrices (Thèse de Paris, 1897). - * Brierre de Boismont. Hallucinations , p. 578. 6 Ballet. Le langage intérieur, 1886,
et Londe' ont publié des observations de mélan- coliques atteints d' hallucinations psycho-motrices verbales. On a observé des cas
prétendait communiquer à distance avec certaines per- sonnes. Les hallucinations psycho-motrices verbales existent et sont fréqu
M. Sérieux ? a rapporté deux cas de paralytiques généraux ayant des hallucinations motrices verbales. - Dans les délires toxiques,
- Dans les délires toxiques, surtout dans l'alcoolisme, les cas d' hallucinations psycho-motrices verbales sont très rares. M. Va
1 Nous avons nous-même rapporté un cas d'alcoolique ayant eu des hallucinations psycho-motrices verbales, dans notre thèse 3 in
ations d'alcooliques, ayant eu au moment de leur délire, avec des hallucinations multiples de l'ouïe et de la vue, des halluci-
vingt-trois uns. Signes d'alcoolisme chronique à trente-cinq uns. - Hallucinations de l'ouïe, de la vue et psycho-motniees verbale
. cil. Mairet. Montpellier médical, 8 novembre 18 ? ). ' Sérieux. Hallucination psycho-motrice chez une paralytique générale (A
Cololian. Les alcooliques persécutés (Thèse de Paris, 1898, p. 56). HALLUCINATIONS PSYCO-MOTRICES VERBALES. 377 Î 11 ? B..., trent
e qu'elle a des troubles hallucinatoires. , - Elle a eu d'abord des hallucinations de l'ouïe, entendait distinc- tement par ses de
voyait des fantômes autour d'elle, des têtes grimaçantes. Mais les hallucinations de la vue ne prédominaient pas, elles étaient f
ne prédominaient pas, elles étaient fugaces et peu nom- breuses. Hallucinations psycho-motj'iccs verbales. - Les voix des oreille
le corps. Elle s'était précipitée d'un 3e étage. A l'hôpital les hallucinations continuent quelques jours, puis diminuent grâce
. Elle reste deux mois à l'hôpital. En sortant, elle n'avait aucune hallucination , mais aussitôt sortie, elle recommence à boire.
sortie, elle recommence à boire. Trois semaines après sa sortie les hallucinations , les cauchemars, les pituites, le tremblement d
de femmes. La voix intérieure n'a pas changé de carac- tère. Ces hallucinations ont des alternatives d'intensité et d'apaise- m
e- ment suivant la quantité de boissons alcooliques ingérées. Les hallucinations de l'ouïe lui suggèrent l'idée du suicide : « T
« Tue-toi, jette-toi à l'eau », entend-elle constamment. Elle va HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 379 trouver le commis
s des oreilles sont adhé- rents, les dents en mauvais état. A des hallucinations de l'ouie, quoique bien moins depuis qu'elle se
ue bien moins depuis qu'elle se trouve à l'asile de \'illejuif. Les hallucinations psycho-motrices verbales ont cessé depuis son a
i sucre dans les urine ? . Le lendemain et les jours suivants les hallucinations disparais- sent, le sommeil revient, l'appétit
es nocturnes et diurnes vers la fin de 1896; délire alcoolique avec hallucinations multiples et pénibles quelques jours avant son
llucinations multiples et pénibles quelques jours avant son entrée; hallucination psycho- motrice verbale. facteur il Paris, tl
ampes dans les jambes. Depuis le mois de février 1897. il avait des hallucinations de l'ouïe ; on lui disait des gros mots, des in
M, de faire tel ou tel acte. 11 avait depuis à peu près un mois des hallucinations psycho-mo- trices ; une voix non articulée, mai
l ressentait en même temps une sorte d'angoisse dans la poitrine. Hallucinations de la vue. 11 croyait voir des hommes, des as-
onnus. Pendant un mois il traina avec des cauchemars pénibles des hallucinations multiples, puis son entourage le trouvant très
on et écoute ses voix hallucina- toires. Il a encore, en effet, des hallucinations de l'ouïe, il entend toujours la voix intérieur
onseils : « Tape donc, vaurien; ne mange pas, je te le défends. » HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 381 Le foie est un pe
lent, et sa langue remue au moment où elles parlent. C'est bien une hallucination motrice verbale apparue au mo- ment du délire a
m- mencement de 1897. Délire alcoolique quelque temps après, avec hallucinations auditives et psycho-motrices. Idées de persé- c
11 parle d'une voix basse, l'air inquiet. 11 a plusieurs sortes d' hallucinations : Hallucinations de la vue. - Il voit autour de
ix basse, l'air inquiet. 11 a plusieurs sortes d'hallucinations : Hallucinations de la vue. - Il voit autour de lui des animaux,
service et ont disparu graduellement en l'espace de trois jours. Hallucinations de l'ouïe. - Elles jouent un rôle secondaire dans
ooliques, le traitent de « canaille », de « propre à rien », etc. Hallucinations pS ! Jcho-motl'ices. - Elles jouent le plus grand
une voix articulée, c'est un fluide divin, et je comprends, c'est HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 383 même drôle. » Plu
emblait me venir de la gorge, m'encourageait. » C'est bien là une hallucination psycho-motrice verbale. T... avait remarqué aus
il va déjà^ mieux, quoiqu'il ait encore des cauchemars la nuit, des hallucinations de l'ouïe et qu'il entende encore sa voix intér
Le 26 mars, il est plus calme, il dort bien, il a toujours quelques hallucinations auditives et psyeho-motrices. - Le 30, il va bien
nvoyé en convalescence à Ville- Lvrard le 17 mai. Réflexions. Ces hallucinations psycho-motrices sont fréquentes chez les dégéné
intoxication alcoolique. Est-ce le délire mystique qui a provoqué l' hallucination psycho-motrice verbale, c'est possible. Cependa
- Défina alcoolique avec hallucina- tions psycho-motrices verbales, hallucinations de l'ouïe, de la vue : troubles de la sensibili
le chagrine ' Ch. Vallon. .11111. 7)édico-I)sycho., 1895, p. 91. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 385 beaucoup. C'est e
, de la jalousie mor- bide, des idées de persécution, plus tard les hallucinations de l'ouïe, de la vue et les hallucinations psyc
rsécution, plus tard les hallucinations de l'ouïe, de la vue et les hallucinations psycho-motrices verbales apparaissent. Idées
ors tout le monde autour de lui, afin qu'on ne l'approchât point. Hallucinations psycho-motrices verbales. -Depuis trois semaines,
ventre. La voix lui dit alors : « c'est la maternité qui veut ça. » Hallucinations de l'ouïe. - Il entend des voix d'hommes qui lui
je suis cocu. » Ainsi donc une excitation périphérique provoque l' hallucination psycho-motrice. Hallucinations de la vue. - Il
excitation périphérique provoque l'hallucination psycho-motrice. Hallucinations de la vue. - Il a eu, comme tous les alcooliques
ons de la vue. - Il a eu, comme tous les alcooliques délirants, des hallucinations nocturnes et diurnes ; il voyait des hommes aut
Le 3 septembre il est calme, dort bien, il écrit à sa femme pour HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 387 lui demander pard
troubles de l'alcoolisme, celui qui attire notre attention, c'est l' hallucination psycho-motrice verbale, c'est la voix intérieur
la sensibilité générale qui provoquent la voix interne; mais cette hallucination périphérique indirecte, dont l'excitation porte
é- dentes observations. Mais examinons d'abord ce que c'est que l' hallucination motrice verbale. Pour quelques auteurs la fonct
auteurs la fonction du langage prend part à la production de cette hallucination . Ed. Fournie'y voit une hallucination de cette
rt à la production de cette hallucination. Ed. Fournie'y voit une hallucination de cette fonction. Pour M. Simone c'est une imp
impulsion de la même function : « Est-ce là, dit-il, une véritable hallucination , nous ne le croyons pas, c'est une impulsion pl
cination, nous ne le croyons pas, c'est une impulsion plutôt qu'une hallucination . » Pour M. Séglas3, c'est 'une hallucination in
mpulsion plutôt qu'une hallucination. » Pour M. Séglas3, c'est 'une hallucination intéressant la fonction du langage dans ses élé
forme d'images vives à nous moteurs 2. » A l'état pathologique, l' hallucination motrice verbale n'est autre chose que la reprod
18S6, p. 32. 3 Sérieux. Archives de neurologie, tS0-'r, p. 333. - HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 389 les lèvres. Rien
es anastomotidues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l'état pathologique, l' hallucination motrice verbale n'est autre chose qu'une reprod
'.) Parfois c'est une excitation externe (obs. IV) qui réveille l' hallucination motrice verbale, ou bien ce sont les voix des o
s; et, à mesure que cette excitation augmente elle se transforme en hallucination motrice verbale; la voix est d'abord peu précis
nateurs elle est plus nette. Il faut donc, pour la production d'une hallucination ver- bale psycho-motrice : 1° Une prédisposit
hale, sursaturé d'alcool, est dans un éré- thisme considérable, les hallucinations apparaissent mul- tiples, effrayantes. Un bruit
Soury. Les fonctions du cerveau, ? étiit., 1890, p. 370. ' Joffroy. Hallucinations unilatérales. (Archives de neurologie, 189G.) H
les excitations externes provoquent chez quelques-uns de nouvelles hallucinations . Donc rien de surprenant que l'exci- tation de»
éresse le centre moteur de la fonction langage. Généralement, ces hallucinations déterminent chez les malades un état de dépress
de possession qui en est la conséquence. Chez nos alcooliques, les hallucinations psycho-motrices verbales n'ont pas eu plus de r
irantes, que les autres troubles hallucinatoires. En Jéfintiive les hallucinations psycho-motrices verbales existent dans l'alcool
énéralement une période prodro- mique avec tristesse ou excitation, hallucinations surtout visuelles, suivies d'affaiblissement in
is avec prédomi- nance d'idées de persécution, et recrudescence des hallucinations visuelles terrifiantes : se voit poursuivie par
Alcoolisme. Est internée pour un accès d'agi- tation violente avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440 CLINIQUE
oubles hallucinatoires en restreignant les causes provocatrices des hallucinations et des illusions. De plus le séjour des patient
ouvements volontaires. (A suivre.) 1 RECUEIL DE FAITS. UN CAS D' HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL;
présentent souvent les paralytiques généraux, on peut dire que les hallucinations propres à l'encéphalite intersti- tielle diflus
différentes opinions des auteurs, arrive à cette conclusion que les hallucinations chez les paralytiques généraux se présentent à
s plus fréquemment affectés sont ceux de la vue et de l'ouïe. Les hallucinations psycho-motrices n'avaient guère été observées a
'occasion du cas d'une malade paralytique générale qui présenta des hallucinations motrices verbales, accompagnées de mouvements i
iénés d'Evreux, un paralytique général qui pré- senta également des hallucinations psycho-motrices et dont l'observation nous a pa
ce d'excès alcooliques, il fait un véritable délire hallucinatoire ( hallucinations visuelles, auditives, kinesthétiques), où les i
ancolique avec idées de persécution, délire accompagné denombreuses hallucinations de l'ouïe et d'hallucinations psycho-motrices.
ution, délire accompagné denombreuses hallucinations de l'ouïe et d' hallucinations psycho-motrices. Par intervalle, ces troubles s
révéla quelques faits intéressants au sujet de la pathogénie de ses hallucinations psycho-motrices, ' .Magnan et Séiieux. La paral
ons psycho-motrices, ' .Magnan et Séiieux. La paralysie générale. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. 471 qu'il attribuait à « du mo
élire mélancolique avec idées de persécution. Tentative de suicide. Hallucinations multiples, auditives, visuelles, psycho-motrice
sénile avec idées de grandeur et idées de persécution; il avait des hallucinations de l'ouïe et croyait qu'on allait le guillotine
secouant les arbres, appelant les oiseaux et voyant courir dans les HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES 478 c herbes des milliers de co
ient propre, recouvre le sommeil, ne délire plus et n'accuse aucune hallucination de la vue et de l'ouïe. Nous pouvons alors l'in
des lèvres et de la langue, tremblement plus accentué des mains. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. k 1 épi Au point de vue des sy
aucoup engraissé. Il est calme, ne délire pas, raconte en riant les hallucinations fantastiques des jours d'agitation et conserve
mouches noires devant les yeux. 14 janvier 1898. Persistance des hallucinations de la vue et de l'ouïe et des troubles de la se
n à se mettre tout nu. Il est impossible de se rendre compte si ces hallucinations psycho-motrices s'accom- pagnent de mouvements
ucinations auditives verbales (menaces entendues par l'oreille) ; d' hallucinations motrices verbales(voix intérieures dans l'estomac
lucinations motrices verbales(voix intérieures dans l'estomac). Ces hallucinations psycho-motrices ont toujours un caractère pénib
e. On ne saurait, du reste, trouver chez un paralytique géné- ral l' hallucination motrice verbale aussi bien décrite que chez le
a conservé toute sa lucidité d'esprit. Nous ne saurions dire si ces hallucinations motrices se sont reproduites pendant un temps p
mai 1898 l'intelligence d'Eugène X... baisse considérablement. Il HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES. z111 -1 est apathique, inconsc
s idées de per- sécution deviennent très actives sous l'influence d' hallucinations de l'ouïe plus intenses. Le malade entend dire
e 1898, le malade, qui conserve les mêmes idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe, accuse des idées hypochondriuqzees :
isée, originaire de la méno- pause, provoquée et entretenue par des hallucinations vives; extrêmement excitée, fort défiante, elle
dans les services de femmes aliénées, par Picqué et Febvré, 60. Hallucinations religieuses et délile e religieux transitoire d
vi n,w. tude de la descendance cles -, par 1'ahl. 311. - Un cas d' hallucinations psycho-motiices chez un , pai Leioy, 469. P
5 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sont les mêmes plaintes formulées dans les mêmes termes, les mêmes hallucinations décrites dans le même style imagé, et enfin et
alade est un type de persécuté halluciné (il a même quelquefois des hallucinations de la vue) ; jamais ni dans ses écrits, ni dans
veugle, et c'est, paraît-il, de cette époque surtout que datent les hallucinations multiples dont il est assailli. Depuis que je l
de son humeur fantasque. En réalité, S... était tourmenté par les hallucinations les plus variées; on l'électrisait, puis on agiss
e de laquelle se développa une otite : commencement de surdité. Les hallucinations de l'ouïe datent de cette époque. Aucune hérédi
ibilité deviennent alors irrémé- diablement permanents. P. K. DES hallucinations du souvenir (PSEUDO-RÉMI,41,CENCES) dans la psy
tuels qui accompagnent la polynévrite se traduisent souvent par des hallucinations du souvenir avec délire basé sur cet élément mo
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tres prononcé, une grande production d' hallucinations dans toutes les sphères et différentes idées dé
e à se changer en démence. . E. BLIN. II. D'UN groupe déterminé d' hallucinations SENSORIELLES dans LES anomalies primitives DE l
oteur propre à l'appareil d'articulation des mots, c'est-à-dire des hallucinations du sens musculaire de cet appareil. De là des c
ons du rapport sont adoptées. De l'obsession hallucinatoire et de l' hallucination obsédante. M. SÉGLAS communique quelques observ
e malades qui l'amènent à formuler les conclusions suivantes : 1° l' hallucination ne doit pas être exclue du cadre des obsessions
hallucination ne doit pas être exclue du cadre des obsessions; 2° l' hallucination peut être secondaire à l'idée obsédante (obsess
re à l'idée obsédante (obsession hallucinatoire) ou être primitive ( hallucination obsédante); mais, dans tous les cas, elle parti
e, motrice d'articulation, ou même motrice graphique; 5° toutes ces hallucinations verbales, obsé- dantes et conscientes doivent p
j'avais établi que les obsessions n'étaient jamais accompagnées d' hallucinations . Celte opinion n'est dans ma pensée qu'une for-
its communs prédominants tels que la dépression mélancolique et les hallucinations terrifiantes de la vue. Ce dernier phénomène a
le délire de persécution de Falret, qui, lui, ne s'accompagne pas d' hallucinations . NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. IS9 C'est du pr
se signale par des idées systématisées de persécution et par des hallucinations , principalement par des hallucinations de l'ouï
es de persécution et par des hallucinations, principalement par des hallucinations de l'ouïe et de la cénesthésie. Dans la troisiè
in érudit. Quant aux persécutés du type Falret, qui n'ont pas d' hallucinations , ce sont des dégénérés intellectuels; NOTE SUR
. NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 171 reurs, de la, panophobie, des hallucinations et des illusions de la vue,, et;par des trouble
odromes qui, l'annoncent, comme l'insomnie, les cauchemars, les, ( hallucinations nocturnes, le tremblement ' des extrémités, etc
lec- tuelle et sensorielle, ou pour mieux dire, du délire et de l' hallucination . ,>... ? 1.. ¡<n" cmj,| - , - i ? , i De
es très diverses de l'affection, sans règle précise, avec ou sans hallucination ou idée délirante préalables. La mélancolie che
avec une facilité extrême; la moindre cause est, pour eux, sujet à hallucinations et à conceptions délirantes. Ces accès vésaniqu
elle-même à entraîner la conviction.. , RECUEIL DE FAITS SUR LES HALLUCINATIONS , ET EN PARTICULIER LES HALLU- CINATIONS VERBALE
L LONGE, interne des hôpitaux. Dans son remarquable mémoire sur les hallucinations , Baillarger a nettement distingué des hallucina
émoire sur les hallucinations, Baillarger a nettement distingué des hallucinations qu'il appelle psycho-sensorielles une variété d
des hallucinations qu'il appelle psycho-sensorielles une variété d' hallucinations dites par lui psychiques. L'un de nous, dans un
s'est attaché il étudier le mécanisme de cette dernière variété é d' hallucinations qui seraient en fait des hallucinations verbales
cette dernière variété é d'hallucinations qui seraient en fait des hallucinations verbales psycho-motrices. En deux mots, nous ra
otrices. En deux mots, nous rappellerons ce qu'on doit entendre par hallucination psycho-motrice. Se fondant « sur la théorie qui
ucination psycho-motrice. Se fondant « sur la théorie qui fait de l' hallucination en général un trouble fonctionnel des centres c
e de ce trouble fonctionnel, de cet état d'éréthisme qui provoque l' hallucination . Suivant le centre excité il y a hallucination
hisme qui provoque l'hallucination. Suivant le centre excité il y a hallucination verbale visuelle, verbale au- ditive, verbale m
ge produira, suivant le degré d'excitation : l'impulsion verbale, l' hallucination verbale mo- trice simple ou enfin à l'état plus
nistes (Uann, Cullerre, Tam- burini, P.Janet, Soury, Ballet). Ces hallucinations verbales psycho-motrices sont connues chez les
ité, elles semblent avoir beaucoup plus d'importance que les autres hallucinations et contraire- ment à ce qui se passe dans le dé
délire mélancolique déjà publiée par l'un de nous'. Non seulement l' hallucination verbale psychomotrice y est signalée, mais la m
l'humanité doit être- supprimée. Plus tard la malade a présenté des hallucinations dites psychiques, qu'elle distingue parfaitemen
parler. D r i i t . ' J. Séglas et P. Bezançon, toc. cil. \ DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 203 . . Un jour, el
onc une mélancolique qui nous offre réunis diffé- rents degrés de l' hallucination verbale motrice. «Elle est obligée de parler sa
particularités qui peuvent indiquer la nature psycho-motrice de ces hallucinations . Cela n'est pas rare cependant et il en est, co
u phénomène hallucina- toire. Nous suivrons le développement de l' hallucination psycho- motrice successivement chez les mélanco
e pouvant pas surmonter son mal. Il y a trois semaines, elle se DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 205 frappait l'estoma
congestion vienne la prendre. Pas d'impulsions au suicide. Pas d' hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Rien au coeur; artères
tourmente parce que sa patronne est emportée. Ces deux derniers DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 207 mois elle a vieil
n. » Elle a conscience de son état et ne peut plus pleurer. Pas d' hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Examen physique. Pas de
Elle se sent changée intérieurement et extérieurement. « je ne DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 209 suis plus rien, j
s aliments. Ainsi craintes vagues -d'empoisonnement. Elle n'a pas d' hallucinations du goût. - « Il y a du pour et du contre dans t
ui l'a beaucoup tourmentée, c'est l'incertitude de l'existence. DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 211 Elle disait cet h
e qu'on peut noter comme interprétation délirante ressemblant à une hallucination de la vue ou de l'ouïe. - Elle voit quelquefois
ce soit. Cette incertitude même rend impossible la produc- tion d' hallucinations . Il ' ne se produit pas en elle d'ima- .ges ass
interprétations délirantes auraient pu être prises aussi pour des hallucinations . ` Observation IV. La nommée Marie-Anne Tauq...
oit. La France était du côté gauche. Voix intérieure. Elle a eu des hallucinations psychomotrices très nettes. Il était question d
s toi. Il lui semblait que quel- que chose d'elle parlait.. · DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 213 Sa mère était, di
it, dit-elle, possédée du démon, mais elle-même ne l'est pas. Les hallucinations qui sont signalées sur certains certi- ficats c
rononcé le nom de son amant : « Ce n'est pas la peine de cacher DES HALLUCINATIONS VERBALES PYSCHO-MOTRICES. 215 les choses, » pui
l'on comprend que sur plusieurs certificats on lui ait attribué des hallucinations de l'ouïe. Aux yeux de son entourage elle passe
tachant à la mélancolie, les malades qui avaient eu de vérita- bles hallucinations se rappelaient, une fois sortis de leur état de
élancolique qu'on peut ranger parmi les anxieuses présente avec des hallucinations psycho-motrices du dédoublement de la personnal
ire du centre moteur d'ar- ticulation où se produit primitivement l' hallucination . 11 n'est pas rare d'ailleurs de voir les hallu
itivement l'hallucination. 11 n'est pas rare d'ailleurs de voir les hallucinations ver- bales motrices s'accompagner d'une sensati
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 217 decin sur le point de départ réel de l' hallucination . Quant à la voix qui lui disait : « fais attent
versation mentale. Cette malade a été considérée comme ayant des' hallucinations de l'ouïe, de la vue et du goût. Nous avons vu
du goût. Nous avons vu ce qu'étaient ses voix. Nous pensons que les hallucinations de la vue et de l'ouïe n'étaient que des illusi
aine, sous la forme d'un accès subaigu de manie, avec mélancolie et hallucinations . Chez une femme affaiblie, après une amputation
res psychiques consistent parfois dans la présence d'illusions ou d' hallucinations , surtout au début de l'accès. Mais ce sont les
egras, qui recon- nut que la malade était atteinte tout à la fois d' hallucinations très vives et du délire de la persécution. Le r
sition de la terreur. J'ai appris plus tard qu'elle avait alors une hallucination terrifiante et croyait voir des hommes cachés d
nuit terrible, pendant . laquelle il fut en proie à l'angoisse, aux hallucinations et au délire. C'est ce qui ressort d'une façon
à nouveau. Cette fois, à la terreur et à l'angoisse s'ajoutent des hallucinations de la vue et de l'ouïe, et une idée délirante n
france externe, physique. Mais l'angoisse persiste aussi forte, les hallucinations continuent, il voit et entend toujours il se la
egarde à travers les fentes de la porte. Il a évidemment encore des hallucinations et surtout des illusions de la vue et de l'ouïe
antage. En somme, l'état reste stationnaire. On retrouve encore des hallucinations , des illusions, et aussi des idées délirantes,
isse, de la terreur, des troubles de la sensibilité générale, des hallucinations et des illusions diverses, et par une idée déli
e à expliquer. On peut cher- cher la raison de ce fait dans quelque hallucination NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 383 mpérative de
ns cliniques. .Archives, t. XXIII. 25 RECUEIL DE FAITS. SUR LES HALLUCINATIONS , ET EN PARTICULIER LES HALLU- CINATIONS VERBALE
nsférée en province le 30 novembre 1889. ' Voirn" 68, p. 201. DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 381 Nous retrouvons i
ion mentale. Nous ferons remarquer seulement que l'état faible de l' hallucination psycho-motrice demande à être recherché sous pe
ntécédents. - Voici quels sont ses antécédents personnels. Elle DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 389 a toujours été ti
ment à elle-même et qu'elle s'y sent forcée. Si l'état faible de l' hallucination psycho-motrice peut passer inaperçu, l'état for
sycho-motrice peut passer inaperçu, l'état fort, en quelque sorte l' hallucination confirmée, peut être pris, nous le croyons du m
nxieuse, nous voyons que la malade elle-même dit n'avoir pas eu les hallucinations qu'on lui supposait; dans la deuxième, nous avo
des voix intérieures chez une malade qui avait passé pour avoir des hallucinations sensorielles. Il nous est arrivé aussi souvent
ions sensorielles. Il nous est arrivé aussi souvent de croire à des hallucinations de l'ouïe chez des malades que nous avons recon
ue nous avons reconnu ensuite n'avoir que des voix intérieures, des hallucinations verbales motrices. . Nous avons été amenés ains
s avons été amenés ainsi à rechercher l'opinion des auteurs sur les hallucinations de l'ouïe dans la mélancolie. Elles nous ont pa
ent signalée la présence plus ou moins fré- quente d'illusions et d' hallucinations dans la mélancolie, mais sans qu'il y ait rien
ont parle Schuele ne sont autre chose que les voix intérieures, les hallucinations verbales psycho-motrices. Peut-être la recherch
i passent pour hallucinés. Souvent d'ail- leurs on signale pour des hallucinations des phénomènes qui sont décrits dans les observ
a Société médico-psychologique, en 1890, MM. Legrain et Saury DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. il ont émis sur ce po
en faveur de l'opinion des auteurs qui regardent comme rares les hallucinations dans la mélancolie « pure ». Cette opinion d'ai
comprend-on facilement que les mélancoliques soient peu sujets à l' hallucination sensorielle; leurs préoccupations sont toujours
utés. D'un autre côté, on s'expliquerait aisément la présence des hallucinations verbales motrices à l'état fort ou faible, véri-
re quand il existe. On emploie peut-être trop volontiers le terme d' hallucinations de l'ouïe pour désigner des faits qui rentrent
ations de l'ouïe pour désigner des faits qui rentrent soit dans les hallucinations verbales psycho-motrices, soit dans les illusio
'ouïe elle l'est aussi pour la vue, le goût et l'odorat. Pour les hallucinations auditives, lorsqu'elles existent, elles sont en
sont en général passagères, reléguées au second plan vis-à-vis des hallucinations motrices. Dans les cas où elles prennent un plu
es ont pas. Dans certains cas en effet, on ne peut pas dire que les hallucinations sensorielles en général soient accessoires; ell
dit Schuele. La question s'éclaircirait si l'on pouvait mettre ces hallucinations sur le compte d'une autre affection combinée à
occasionnée .par une explosion de dynamite dans son voisinage. DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 393 d'hallucinations
son voisinage. DES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCHO-MOTRICES. 393 d' hallucinations terrifiantes de la vue et de l'ouïe, d'idées mé
idées de désespoir et de suicide. A ce moment, il n'y avait plus d' hallucinations , mais seulement des interpréta- tions délirante
malade faisait même à ce propos la distinction avec les an- ciennes hallucinations , et il assurait que les bruits divers exis- tai
a- tions sensorielles, auditives et visuelles. Conclusions : -Les hallucinations verbales psycho-motrices existent chez les méla
ien. - Elles peuvent être prises à un examen superficiel pour des hallucinations verbales auditives et peut-être celles-ci serai
'état mental du mélancolique n'est pas propre au développement de l' hallucination verbale au- ditive ; quand celle-ci existe et i
ancolie n'est pas associée à une autre maladie mentale. L'étude des hallucinations psycho-sensorielles chez les 394 REVUE D'ANATOM
yCh., XLVII ; 3-4.) Journal écrit par un fou systématique sur ses hallucinations . On y trouve que sa sensibilité anormale provoq
allucinations. On y trouve que sa sensibilité anormale provoque des hallucinations de l'ouïe etque, réciproquement, celles-ci enge
de l'innervation vasomotrice, les troubles du jugement dérivant des hallucinations sensorielles. P. K. IX. DES TROUBLES vaso-mot
en 1888, avec de la dépression, de l'anxiété, de l'incohérence, des hallucinations de la vue et de l'ouïe : elle souffrait depuis
e latéral gauche dilaté. . M. TiGGES. Contribution à la théorie des hallucinations . 1° Hallucinations dans le domaine des sens. Ce
té. . M. TiGGES. Contribution à la théorie des hallucinations. 1° Hallucinations dans le domaine des sens. Ce qui domine, dans l
l'hypérexcitabilité des centres sensoriels. llfeynert localise ces hallucinations dans les centres sous-corticaux. Mais Munk, par
eptuelles (d'origine mné- monique) ; il faut doncbien localiser les hallucinations dans l'écorce. Les grosses lésions anatomiques
s de l'écorce ne favorisent géné- ralement pas le développement des hallucinations . Elles paraissent plutôt troubler l'organisme d
xquels se rattachent les perceptions sen- sorielles normales et les hallucinations . Toutefois, dans les cas de foyers corticaux, i
nations. Toutefois, dans les cas de foyers corticaux, il existe des hallucinations . De même que la perception normale, l'hallucina
il existe des hallucinations. De même que la perception normale, l' hallucination ne peut être comprise que par ses rapporls avec
de la conscience morbide et des concep- tions provocatrices, que l' hallucination est imposée au moi et, par suite, autonome. N
est imposée au moi et, par suite, autonome. Non seulement, dans l' hallucination , le centre sensoriel est excité, mais les tract
nte de l'organe sensoriel correspondant, et cette observation que l' hallucination est précédée et accompagnée de sensations élé-
e et accompagnée de sensations élé- mentaires. Ne sait-on pas que l' hallucination peut survenir et disparaître quand le patient f
paraître quand le patient ferme l'oeil, l'oreille, qu'il existe des hallucinations unilatérales, et que, dans les hallucinations de
lle, qu'il existe des hallucinations unilatérales, et que, dans les hallucinations de l'ouïe, l'oreille correspondante éprouve des
riphériques, y compris l'organe des sens, au moment où se produit l' hallucination purement centrale. 2° Hallucinations motrices.
ns, au moment où se produit l'hallucination purement centrale. 2° Hallucinations motrices. Tout mouvement est normalement provoq
'idées qui lui donnent sa couleur ou la complètent. Telles sont les hallucinations des centres psycho-moteurs, dont le méca- nisme
entres psycho-moteurs, dont le méca- nisme est adoequat à celui des hallucinations sensorielles. . Des mouvements anormaux peuvent
itabilité, mélan- colie avec idées de persécution provoqués par des hallucinations de l'ouie; tendances aggressives; mégalomanie f
e anxieuse avec quelques convulsions cloniques dans les extrémités, hallucinations de l'ouie et de la vue, délire anxieux. Alterna
tion cellulaire de la période d'instruction que, sous l'influence d' hallucinations de la vue et de l'ouïe survenues la nuit, se mo
uis la catastrophe, la pauvre dame était en proie à d'ef- frayantes hallucinations et atteinte du délire de la persécution : elle
aggravé depuis quelques jours. Il était très surexcité et avait des hallucinations . Hier il se donna trente injections de chlorhyd
andre a Lazzari. Séglas (J.). De l'obsession hallucinatoire et de l' hallucination obsé- dante. Brochure in-8° de 12 pages. Paris,
de la-, par Wliitweil, 412. Gliome cérébral, par Buchholz, 400. Hallucinations , du souvenir dans la psychose polynévritique, p
la peau dans la-, par Krieger, 399; Freund, 434. Obsessions ET hallucinations , par Séglas, 123. OEDÈME hystérique, par Ber
6 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
quatrième épreuve, elle ne me voit ni ne m'entend plus, en vertu de l' hallucination négative donnée par M. Liébeault. Pendant tout le
lui ai pas dit que je ne pourrais pas être, pour elle, l'objet d'une hallucination négative ; Enfin, elle est anesthésique, parce
e. On produisait chez elle, à volonté, des paralysies psychiques, des hallucinations sensorielles, etc. Quoi qu'il en soit de tous c
s. l'un de ceux qui lassent le moins la curiosité, c'est assurément l' hallucination négative. Qu'une personne d'esprit parfaitement
inément, totalement fermés au regard de la seule personne, objet de l' hallucination négative, c'est là vraiment un fait bien extraord
ne sommes pas. je crois, au bout des étonnements que peut soulever l' hallucination négative, et voici qui pourra contribuer encore à
été amené à étudier l'état du sujet pendant que je réalise pour lui l' hallucination négative, par exemple, la disparition d'une perso
Binet et Féré, qui trouvent singulièrement mal choisie l'expression d' hallucination négative que nous avons adoptée à Nancy, il ne s'
ucination négative que nous avons adoptée à Nancy, il ne s'agit pas d' hallucination du tout... « Il s'agit, pour l'œil comme pour le
gestion opère ; Camille passe, sans transition apparente, de l'état d' hallucination négative dans lequel l'avait plongée M. Liébeault
e se passer ; ces expériences nombreuses, variées de toute façon, ces hallucinations , ces paroles, ces actes dans lesquels elle a joué
s faits qui précèdent. Ils établissent, ce me semble, que, durant l' hallucination négative, les hypnotisés voient ce qu'ils paraiss
, appuyer la théorie adoptée par l'Ecole de Nancy, pour expliquer les hallucinations négatives. Comment pourrait-on, dans tous les cas
n, pensons-nous, d'être complétée. En effet, on a cru jusqu'ici que l' hallucination négative annulait complètement les sensations vis
, et, chose importante et, je crois, nouvelle, la personne objet de l' hallucination négative peut entrer en rapport avec le sujet, au
able importance au fait de la suggestibilité des hypnotisés en état d' hallucination négative, c'est la considération suivante, que je
s l'a fait remarquer tout à l'heure — des phénomènes très fréquents d' hallucination négative. Pourquoi n'y aurait-il pas une analog
ns grande, et peut-être, qui sait ? une véritable identité, entre ces hallucinations et celles que nous donnons chaque jouraux somnamb
, pour un temps, insensible aux suggestions de la personne objet de l' hallucination négative, les subit avec une docilité parfaite et
des expé- riences hypnotiques. Il montre l'hypnotisme créant des hallucinations dans l'esprit et les sens de l'hypnotise ; lui fa
son tour des mouvements extérieurs destinés à la réaliser; tantôt des hallucinations avec des émotions qui en sont la conséquence et q
utable, elle peut, certes, être méditée utilement. Mais les faits d' hallucination ne sont pas les seuls produits par la suggestion.
érédité directe. — Souffre d'idées Me persécution et de grandeur avec hallucinations de l'ouïe qui surviennent par moments et s'accomp
délire de jalousie, particulier aux alcooliques, délire accompagné d' hallucinations incomplètes de l'ouïe. Elle s'agite souvent, devi
Dt MOVS, MEMBRE CORRESPONDANT DE l'aCADEH!» DE BELOIQUE Bien que l' hallucination soit parfois compatible avec l'état de raison, el
maginaire, n'en est pas moins réelle, la paralysie, la contracture, l' hallucination , l'impulsion aux actes délictueux, qui avaient pr
vue psychologique, il n'existe aucune différence appréciable entre l' hallucination qui s'observe dans certaines affections mentales
, une action calmante, si l'on observe une excitation suivie ou non d' hallucination spéciale, c'est qu'il existe une action particuli
omènes inquiétants et surtout un assoupissement profond avec rêves et hallucinations . Une faible dose de quinine, même prise au moment
rise était le plus sou%ent modifiée ; cette excitation remplaçait les hallucinations et les étouffements. Une potion d'étner à la dose
ecker, M. le LV Gilbert Ballet vient de présenter un malade atteint d' hallucinations , et qui offre en même temps une aptitude vraiment
, entendre, toucher le diable. Telle est l'origine de ces déplorables hallucinations qui ont régné universellement pendant plusieurs s
ares dans certaines contrées de la France. Telle est l'origine de ces hallucinations dont Luther lui-même, cet ardent réformateur des
e, 7. REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DES HALLUCINATIONS fiËj^ÎVES SUGGÉRÉES Par M.1^4o^tâlEIM a la r*
Par M.1^4o^tâlEIM a la r*CÙMÌtì^kdkixe i>k xan-cï J'appelic hallucination positive l'acte qui consiste à concevoir des sens
roit réelles. II voi-, devant lui un chien qui n'y est pas: c'est une hallucination positive . J'appelle, avec l'école de Nancy, ha
'est une hallucination positive . J'appelle, avec l'école de Nancy, hallucination négative, l'acte qui consiste à ne pas concevoir
réels. Le sujet ne voit pas une personne placée devant lui; c'est une hallucination négative. Je dis concevoir et non pas percevoir
conçoit pas; elle est lettre morte pour lui. Voilà ce qui constitue l' hallucination négative. L'imagination neutralise, ou bien la co
par inhibition, comme on a dit pour la cécité suggestive, mais d'une hallucination négative: c'est-à-dire 4un défaut de conception.
que ce qui est vrai pour la cécité su itérée est vraî pour toutes les hallucinations négatives : toutes correspondent à des sensations
ypnotique et amnésie au réveil. Je développe chez elle facilement une hallucination négative. Je lui dis, pendant son sommeil : « A v
ils restent convaincus que c'est elle. On arrive parfois à rendre l' hallucination négative complète poor toutes les sensations en f
rêt médico-légat, si un abus grave peut être commis à la faveur d'une hallucination négative, je soulève brusquement sa robe et sa ch
bien perçues, mais restaient inconscientes pour eue. C'estj bien une hallucination négative, illusion de l'esprit sur les phénomènes
tte expérience, je l'ai répétée chez plusieurs su:e*.s susceptibles d' hallucinations négatives. Chez tous j'ai pu constater que le sou
dico-légal. Certaines femmes, j'en ai ;u conviction,! dans cet état d' hallucination négative, se laisseraient violer sans, résistance
les faits. SUR L'EXPLICATION FOURNIE PAR M. LE D' BERNHEIM DES HALLUCINATIONS NÉGATIVES SUGGÉRÉES Par M. J. DELBŒUF pftorc&am
lucide que la définition et l'explication c¡ue M. Bernheim donne des hallucinations négatives suggérées : l'impression laite sur l'or
termes l'explication de M. Bernheîm, je dirais que, selon lui. dans l' hallucination négative, le processus physiologique est complet,
tricre : . je disais; en note que ¡"avais fait une étude spéciale des hallucinations négta tives dont je publierais les résultats ; qu
costume et tous les gestes de M. Mathieu. Donnant alors à B... une hallucination négative, je fis disparaître M. Mathieu, et je me
ar laquelle MM. Féré et Binet,et d'autres, ont essaye d'expliquer les hallucinations négatives. Ces sortes d'hallucinations sont le ré
es, ont essaye d'expliquer les hallucinations négatives. Ces sortes d' hallucinations sont le résultat apparent de la volonté dirigée d
ussitôt fidèlement or>fis, de faire apparaître dans son esprit les hallucinations les plus diverses de la vue ou de l'ouïe, de l'od
névropathes, il n'est pas impossible de suggérer en pleine veille des hallucinations ou des ordres. Voici une jeune tetnme hystérique
de temps à autre, ce mouvement qui l'accompagne, c'est l'ébauche de l' hallucination gaie ou terri- tiantc qui marque ordinairemen
ns l'article de M. Delbœufa trait à l'interprétation du phénomène des hallucinations négatives. Ces hallucinations, dit l'auteur, sont
ait à l'interprétation du phénomène des hallucinations négatives. Ces hallucinations , dit l'auteur, sont le résultat apparent de la vo
ec lui. Le sujet évoque son rôle, c'est vrai : mais le rôle évoqué, l' hallucination négative est réelle, il n'y a pas simulation. L'h
oqué, l'hallucination négative est réelle, il n'y a pas simulation. L' hallucination négative est aussi réelle, je le répète, que les
ion. L'hallucination négative est aussi réelle, je le répète, que les hallucinations positives évoquées par le sujet. ¦ Envisageon
e l'expliquer, s'ils le peuvent. Il en est de môme du phénomène des hallucinations négatives Wggérées. Sans doute, il y a des sujets
ent pas. alors qu'ils me voient. Ainsi en est-il quelquefois pour les hallucinations positives. certains ont l'idée de l'image suggéré
ur commande de simuler. |e ne prends que les sujets chez lesquels l' hallucination réussit nettement, dans tout son éclat, comme che
se. Le lecteur aurait pu conclure de son article que le phénomène des hallucinations négatives ci, par extension aussi. Ses les phénom
A la suite d'un nombre immense d'observations. nous savons quefles hallucinations proprement dites, c'est-à-dire les perceptions de
à un moindre degré, chez i'homme à l'état de veille. Je considère les hallucinations produites chez ce dernier comme la forme embryonn
osés à des erreurs sensationnelles. « Nos erreurs, nos illusions, nos hallucinations , dit M. le professeur Bernheim (2), ne sont pas t
uà non de la réussite de telles expériences. Je rapprocherai de ces hallucinations visuelles, beaucoup plus faciles à mire naître qu
t ce ne fut guère qu'une minute plus tard, au bout de la rue. que son hallucination cessa. A table, vous affirmez que le potage pos
à son propos, parce qu'il s'agit ici plutôt d'une illusion que d'une hallucination proprement dite. Mais ce sont bien de pures hal
que d'une hallucination proprement dite. Mais ce sont bien de pures hallucinations que je vais signaler, des hallucinations qui se p
Mais ce sont bien de pures hallucinations que je vais signaler, des hallucinations qui se produisent d'autant plus sûrement, en vert
n'a d'autre but que d'aviver l'attention, et. par là, de préparer â l' hallucination . Remarquons que les magnétiseurs de profession so
'il signale une cane. Il devient de la sorte le sujet d'une véritable hallucination , car il prétend ressentir la secousse, le tremble
facilité avec laquelle on provoque,chez à peu près tout le monde, les hallucinations les plus variées, et ils seront étonnés de l'inte
ront étonnés de l'intensité vraiment extraordinaire qu'atteignent ces hallucinations chez certains sujets, ceux particufièrement qui o
ué que dans de telles occasions j'étais en proie aux plus singulières hallucinations . J'entendais des Druits de pas alors que personne
autres substances capables de produire le sommeil anesthésique ou des hallucinations . L'hypnotisme ne doit désormais être appliqué q
i- tl REVUE DE L'HYPNOTISME EXPÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE DES HALLUCINATIONS SUGGÉRÉES A L'ÉTAT DE VEILLE Par Chili YUNG R
s personnes, appartenant en majorité au sexe féminin, ont éprouvé une hallucination plus ou moins intense. Je les classerai en plusie
intense. Je les classerai en plusieurs groupes, selon la nature de l' hallucination . Premier groupe. — 212 personnes, prévenues que
té grandit encore aux expériences subséquentes. Quelquefois même, l' hallucination se généralise: au lieu d'une simple secousse, le
t au troisième groupe comprenant les sujets auxquels j'ai suggéré des hallucinations de la vue. Troisième groupe- — Toutes les autre
blement attiré. » Remarque. — J'ai essayé sans succès de suggérer l' hallucination de changements déforme ou de couleur de la carte
sultats, mais à mon inhabileté. 11 est a remarquer, en outre, que les hallucinations de la vue sont plus difficiles à provoquer que ce
rié l'expérience de la manière suivante, dans le but de provoquer des hallucinations olfactives, et j'ai obtenu des résultats positifs
upçon de supercherie suffit pour gêner ou empêcher la production de l' hallucination : aussi l'opérateur doit-il s'efforcer de mainteni
ci répète l'expérience que sor trente-deux personnes. Toutes ont eu l' hallucination olfactive, ??? huit ne l'ont éprouvée qu'au secon
t il est bien rare de rencontrer une grande résistance. En tout cas. ^ hallucination par suggestion ne me parait pas être le résul
onservent et se répètent durant des années qui n*ont pour base qu'une hallucination . C'est pourquoi on est en droit d'exiger qu'un mê
rché ces derniers pour les soumettre à l'expérience. D'ailleurs, ai l' hallucination provoquée est en correspondance avec un état ment
ai suggéré qu'elle enlevait les douleurs, au lieu de réveiller. Les hallucinations post-hypnotiques réussissent, pour la même raison
e, qui a paru dans ce lournal, entre MM. Bem-heïm et Delbœuf, sur les hallucinations négatives. Tout d'abord, quiconque a pratiqué l
deux choses : i* Que le point en litige ne concerne pas seulement l' hallucination négative, mais tous les phénomènes de suggestion,
ifférents, soit d'aliénation mentale, soit d'auto-suggestions, soit d' hallucinations rétroactives (i), comme, l'a si magistralement dé
l'Hypnotisme, iw janvier 1889, p. 202 cm devoir substituer au terme d' hallucination rétroactive de M. Beraheim le terme de e souvenir
eu aliénation mentale, et parce qu'il wè. s'agit pas Dcceuair:ment d' hallucinations (perceptions trompeuse»), mais tout autant de sou
consciente) des perceptions de l'état de veille, c'est-à-dire celle d' hallucinations , puisqu'elles ne sont pas éveillées par une irrit
}. » ; Quelqu'un d'ennuyeux parle : je n'entends plus ce qu'il dit ( hallucination négative). * Dès que je m'aperçois de l'effet s
te plus souvent. Dur. ¦ les suggestions compliquées, telles que les hallucinations négatives, complexes, etc.. nous ne produisons en
souvent seulement le souvenir conscient de ces perceptions: souvent l' hallucination et l'inconscience ne sont qu'incomplètes, comme,
-suggestions. Prenons pour exemple lanesthésie suggérée : c'est une hallucination négative simple. J'ai déjà fait arracher des dent
uleur d'une dent arrachée, lors même que l'opération n'a pas eu lieu ( hallucination rétroactive). Mais, dans beaucoup de cas, l'inhib
nde peur de l'hypnotisme. On voit donc qu'il importe peu que dans l' hallucination néga-tîve le sujet auquel on suggère, par exemple
M. Bemheim a clairement montré, qu'en génère!, le su;ct qui, dans l' hallucination négative, n'a subjectivement rien vu, a objective
sur ce souvenir inconscient. Tout cela ne prouve absolument pas que l' hallucination négative ne soit aussi réelle que les menstruatio
emens sentit toute la nuit, sous son bras, sa têtequ'on avait coupée ( hallucination du toucher) et que, ie matin, il n'y comprenait p
os sens, ce n'est pas toujours vrai pour les perceptions actuelles. L' hallucination est, comme le définit avec raison Kraepelin, une
nous ont fait connaître, relativement à l'ancsihéiie systématique (ou hallucination négative, des phénomènes très intéressants qui co
dissidcn:e, c'est le nom h donner au phénomène. A Nancy, on l'appelle hallucination négative; ce terme m'a toujours paru impropre, ca
ropre, car |e ne vois pas dans tout cela quel rapport il y a avec une hallucination . Ce qu'on supprime, ce n'est pas une hallucinatio
rt il y a avec une hallucination. Ce qu'on supprime, ce n'est pas une hallucination , c'est-à-dire une perception imaginaire, c'est un
i donne lieu â des confusions. Je crois qu'on pourrait mettre de cote hallucination négative, anesthesie systématique, et dire tout s
phénomènes généraux de l'hypnotisme, de la pervetsioa des sens et des hallucinations produites par la suggestion verbale et la suggest
ire conservent leur intégrité. On peut, par suggestion, provoquer des hallucinations et déterminer des impulsions. C'est dans l'état
des conclusions. [A suhre.) MANIE HYSTÉRIQUE AVEC IMPULSIONS ET HALLUCINATIONS GUÉRIE PAR LA SUGGESTION Par le Docteur P. BU R
sucre dans les urines. Ce qui dominait à cette époque, c'étaient les hallucinations et les idées fixes. Elle entendait des bruits et
la mémoire revenait, le sommeil était calme: plus d'idées fixes, ni d' hallucinations . Sa physionomie a repris cet ensemble de douceur
eux jaloux est continuellement ossailli de craintes et de fantômes, d' hallucinations de toute sorte, quand la jalousie absurde, injust
icat d'entrée. — Dépression mélancolique, avec accidents hystériques; hallucinations de la vue et de l'ouïe. Idées de - persécution. P
at. — Dépression mélancolique. Hystérie morale. Idées de persécution, hallucinations de l'ouïe. Préoccupations hypocondriaques. A énor
veur d'une poire et à l'huile de foie de morue le fumet du champagne, hallucinations de toute sorte provoquant la terreur ou un rire i
rison se maintient depuis 1887. Lec..., 17 ans, folie mélancolique, hallucinations .— La guerison se maintient depuis i885. Dau...,
rison se maintient depuis i885. Dau..., î5 ans. folie mélancolique, hallucinations , idées et tentatives de .suicide — La guerison se
G..., 25 ans, manie aiguë, hystéro-comitialc. attaques convulsives. hallucinations . — La guerison se maintient depuis i885. Ticr..
depuis i885. Ticr..., 40 ans. folle lypcmaniaque. stupeur, mutisme, hallucinations . — La guerison se maintient depuis 1886. Mme G.
au. Bi.... 3i ans. lypémanie. — Rechute. Dav..., 21 ans. épllepsie. hallucinations . — Rechute ù la suite d'attaques. Ainsi, sur 22
on des mouvements volontaires. Le troisième est caractérisé p*r les hallucinations . Il est parfois suivi d'amnésie au réveil ; mais
de ''attaque, l'anesthésie, l'analgésie. Chez beaucoup il y avait des hallucinations évidentes. l'accès débutait par une impression br
o-legales en matière d'hypnotisme, par Liegeois, 3. Explication des hallucinations suggérées fournie par le Dr Bernheim (sur une), p
356. Gurney Edmond (Nécrologie). Habitude de fumer l'opium, 221. Hallucinations négatives suggérées (des), par Bernheim, 161. H
221. Hallucinations négatives suggérées (des), par Bernheim, 161. Hallucinations négatives suggérées sur les), par Delbœuf, 202.
1. Hallucinations négatives suggérées sur les), par Delbœuf, 202. Hallucinations négatives suggérées. Réponse à M. Delbœuf, par Be
ons négatives suggérées. Réponse à M. Delbœuf, par Bernheim, 225. Hallucinations suggerées a l'état de veille (des), par Yung, 271
ement des), par Burck-hardt. 56. Manie hystérique avec impulsion et hallucinations , guérie par la suggestion, par Burot, 337. Mass
erveux, guerison par l'hypno-tisme. par Mesnet et Roux, 112. Veille hallucinations suggérées à l'état de). 371, 290. Vision (troub
7 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. Dans le premier cas, l'auteur tient le malade irrespon- sable : l' hallucination ne va pas sans un désordre général du cer- veau
e. Son mutisme, semble donc avoir soif origine première, dans ? les hallucinations verbales motrices,' par suite du mécanisme même,q
sme d'une façon définitive. Dans nos travaux, antérieurs sur, . les hallucinations motrices et les troubles du langage, chez les a
J2 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. raison sur la distinction entre les hallucinations verbales motrices pures ou mixtes, et sur le ca
e troisième elle se termine fréquemment par une crise stéréotypée d' hallucinations visuelles, et dans le quatrième, où man- quent
Naughten, la plus importante était celle-ci : un homme sujet à des hallucinations , mais autrement sain d'esprit, doit être traité
roubles de la sensibilité générale. Les idées de persécution et les hallucinations de l'ouïe ont persisté. Comme on le voit, il ne
,"4" ·, 1 . , w "t ' ' t- ^ y XLIII. Contribution .1 LA théorie DES hallucinations ; par CIIVOSTEK. ' (Jnle·6ücla. f. Psychiat., XI
u après la période hallucinatoire provoquer, par ces appareils, des hallucinations de l'ouïe complexes. Le cou- rant électrique n'
organe central préalablement malade à constituer de toutes pièces l' hallucination sensorielle. La sensation sonore pro- voquée pa
ent. L'action douloureuse du cou- rant électrique ne provoque pas l' hallucination par action réflexe (sur le trijumeau) car la pi
ijumeau) car la piqûre chez les mêmes individus ne peut engendrer d' hallucinations auditives. Enfin les hallucinations sen- , séri
s individus ne peut engendrer d'hallucinations auditives. Enfin les hallucinations sen- , sérielles suivent une.loi conforme aux f
e la mémoire, illusions du souvenir, troubles mentaux divers; pas d' hallucinations ni d'idées délirantes; un peu d'irritation sans
ilibre instable du centre, sous une influence phy- sique ou morale, hallucinations sensorielles; le moi, en présence de l'angoisse
llucinations sensorielles; le moi, en présence de l'angoisse et des hallucinations sensorielles, échafaude un délire hypochondriaq
esque exclusivement chez les 'individus entachés d'hérédité; 2° les hallucinations et les idées délirantes ne sont pas aussi impér
es supérieurs; atrophies musculaires, névrite optique; illusions et hallucinations ; démence aiguë. Hémoptysies, hémorrhagie intest
suite de cette observation le montrera, à lui donner de véritables hallucinations de nature génésique. Et pourtant, croyons-nous,
uniquement constitué par les propos am- bitieux. Il a eu aussi des hallucinations de nature génésique qui ont duré trois ou quatr
i a été faite, que le malade' a eu là une de ces curieuses séries d' hallucinations de' nature génésique qui ne sont point rares ch
endant .une nuit.. L'accès est-' caractérisé par de l'angoisse, des hallucinations ,, de la, vue. et,- de l'ouïe, des troubles de l
céia ? 101n'" j- -< ? »» Quoi qu'il'eh'soit,'il'm'a paru que les hallucinations télépa'' thiques, qui sont surtout'dcs hallucin
démontrer' en rappelant sommairement les principaux caractères des hallucinations de la vue : nous pourrons exa- miner alors si v
ucteur, (organe .dès-sens), le centre récepteur (cerveau). ,Dans, l' hallucination ,, le premier.de ces éléments manque complètemen
uraient se résigner à mettre en doute la réalité objective de leurs hallucinations . Ils sont tous dans la situation* de ce Portuga
a beaucoup discuté pour savoir s'il existe une différence z entre l' hallucination et l'illusion. Peut-être, au fond, le trouble c
' ,l , nl , z 2 J'ai étudié toutes' les questions' relatives ' aux Hallucinations dans l'article Hallucination que j'ai écrit pou
outes' les questions' relatives ' aux Hallucinations dans l'article Hallucination que j'ai écrit pour Ae Dictionnaire de Dechambre.
pliquées. Ce qui est certain, ce que nul ne conteste, c'est que l' hallucination est, un, phénomène purement subjectif, prove- n
e et l'autre origines peuvent se rencontrer. Toujours, est-il que l' hallucination ne crée rien, qu'elle n'est jamais que la réviv
consiste à{ savoir, non pas' quelle est la' fréquence relative des hallucinations des différents sens, mais bien quelles sont les
l'apparition des unes et des autres demeure subordonnée : Dans' les hallucinations de la vue, les seules dont je veuille m'occuper
iables. "j1^1 <*" .itn -».x 'it>> > ' » a) .' Folie ? L' hallucination de la vue'në s'observe pas dans toutes les form
ment dans' les t folies -'clioniqu'e's'.3 Lasèg'ae prétendait que l' hallucination de la vue ne se rencontre jamais dans le' délire
les Iplus'variés.et les plus extraordinaires, mais, parmi eux, des hallucinations de la vue très nettes. Quand il est couché, dan
t' persécutés, je n'emai guère trouvé que quatre' ou cinq ayant des hallucinations visuelles-bien nettes. - * 1 . -. '- * *' * j'
isuelles-bien nettes. - * 1 . -. '- * *' * j' à Où au contraire l' hallucination do la vue-est très fréquente; je dirai même hab
battre mourant sur le sol'. ? ? . ,. ' 1 La présence habituelle des hallucinations de la vue dans le délire religieux, leur extrèm
nt pas'de se lever et.de se faJre,justtçe : Il.yja desumois,que,ces, hallucinations persistent, avëe.lëumême caractère;2cependant,o
par leur fréquence, leur, mobilité,- leur, aspect. terrifiant, les, hallucinations visuelles sont, sensiblement^les mêmes (Chez to
rde, qui s'écroulent sur lui quand il'veut les déballer. Toutes ces hallucinations provoquent 'chez les alcooliques une agitation
4' * Dans l'empoisonnement par le, haschisch, la belladone,' les hallucinations de la vue dominent également, et : ont à peu près
stérie. Chez beaucoup d'épileptiques l'attaque est annoncée par une hallucination de la vue, très variable suivant les individus,
ent le. malade- et-le'terrifient : la couleur rouge domine dans ces hallucinations post-épileptiques. La couleur rouge se rencontr
ons post-épileptiques. La couleur rouge se rencontre aussi'dans les hallucinations visuelles des hystériques, mais'elles'n'ont pas
des épileptiques. e . »..' " On voit, par ce rapide exposé, que les hallucinations de la vue sont symptomatiques d'un grand nombre
s; ce qui enlève à cette explication son importance ? c'est que les hallucinations de la vue se produisant 'dans'1 les" conditions
hallucinationsuunelésiondétarminée de31'appareilçner- veux, * car l' hallucination .est ;une , reproduction j si-j.exacte, j si -
Ë aau tzsia&iaËm i- ,. . Il faut[d'ailleurs reconnaître que;les hallucinations sont fré- z quentes,· en dehors de 1 tout, ét-a
ic. Vr- Les rêves sont presque, exclusivement constituésj parades hallucinations ) et surtout,des hallucinations de. la vue.. Tantô
e, exclusivement constituésj parades hallucinations) et surtout,des hallucinations de. la vue.. Tantôt 'elles sont de nature agréa
provoquer. eqe,, 9n,r j 9f, ? < ' On ne saurait r, attribuer aux hallucinations des rêves, des .' On nesauraitattnbuer aux hall
ibuer aux hallucinations des rêves, des .' On nesauraitattnbuer aux hallucinations des revendes caractères particuliers ? elles(pe
gib 9.tuoJ Jôls is ,n->iJt>-i'T ? >. aL ? {1 "'L'étude'des hallucinations est'récente ^Lesi.premiersrobser- vateurs fûren
ent â'que tout individu halluciné ? qui croit à la réalité * de son hallucination ; i sé' trouve J dans le t'même état < qué l'
erquélles9protestàtionsdût 'soulever unethëôrie-pareille : Entre` l' hallucination de 1 saint j Paul' sur lé'chémin deDamas ? cell
ne : foi .absolue àjune«choseoqu'il,a réellement -sentie ? .. ? Des Hallucinations , 3e édit., Paris,1186. ;Préface,;p.îx,c. ? y Id
amais que .des phénomènes pathologiqqqs8pU ? ouy ' lexes, -dont l' hallucination forme le fond- .8 711 ? 9b >lvl . mofrl Irb
fh «90h.-itiÎJBO ? r> rr7g 9J199 (th SK>n : >...» Avec les hallucinations télépathiques, tout est remis en ques-, tion,,q
allucinations télépathiques, tout est remis en ques-, tion,,qar,ces hallucinations 1«/ au lieu d être dues au hasard de « réel, él
re, par, le, secours 'dé nos « t sens -normaux,' ».« De plus,, ces' hallucinations se produisent ' (.t)pTIf,Mt)i)<to ri9jr¥ -&g
ier,^ quelques' heures- auparavant,"^ qûéA ? ne peut savoir. Donc l' hallucination * de A ? ? est" véridiquement rapport avec la mo
'les vies'des Saints en sont rempliè ? Si"67s"dèvôiii'ièroi're'aux' hallucinations recueillies par MM. Gurney, Myers et Podmore, p
cidence de,deuxphenomenes, survenant auvmêmen moment^ dans l'Inde, ^ hallucination de]A... '* la. mort de Bu enÀ.ngIetereOnencMicI
recueillies et contrôlées par des médecins'habitùés'à''l'étude*dës hallucinations ! >' : « ! « ? <". si On .dira que les té
même < temps par dix, vingt, cent personnes,, cenerajamaisquun hallucination ? 3 tnoa arltcodnq3-a31 eup -vr'- n0 .... .Quan
rtain ? Y a-t-il dans les faits de télépathie autre chose que dçs 1 hallucination s ? sein bl ablesi,à 1 celles Eque nous observons
émoire ? Il est bien établi aussi, et tous ceux[qui ont observé des hallucinations sur eux-mêmes, ='ont pUjs ! en<assurer,;que
incohérente. Mais.il importe de s'habituer à'démêler la genèse des hallucinations dansl'ineohéreuce etunversement le ' · rôle de
d'uneimanie simple pure -(18r, accès), |d'uneymai}ie-.avec quelques hallucinations isolées ! (20,accès),, d'un, syndrome^ de, folie,
., ,, ? > **>', Etude, çhez une. série de malades affectes, d' hallucinations de ]'ou)e,'du courant électrique et' de l'actio
, chez ces malades, au lieu des sensations sonores ordinaires,. des hallucinations de, l'ouïe, complexes, quand les .malades sontt
lors,employée par l'organe central à conslituerde toutes pièces des hallucinations seusorielles.Les sensatious,sôilores occasionné
ment au,méçaysme,des lialluciuations sensorielles de Meynert. t Les hallucinations (ne, proviennent point, d'une, action réflexe, de
ûres'd'aiguilles, chezles mêmes individus,' on ne 'provoque point d' hallucinations ' de ''l'ouïe ' £ » Les 'hallucinations sensori
t notable et illusion delà mémoire; troubles mentaux divers ; pas d' hallucinations , pas d'idées délirantes, un peu d'irri- ' tabit
; 3° La folie communiquée ^dans laquelle un aliéné communique ses hallucinations "et ses"conceptions délirantes à un autre hérédi-
fance, se traduisant .plus tard par 'des idées de persécution, des hallucinations de l'ouïe et, plus tard enfin, ; par , des idées
ieu les persécutés persécuteurs. J'ai établi qu'ils n'avaient pas d' hallucinations de l'ouïe et ressem- blaient plutôt aux aliénés
894. N° 87 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE mentale SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES' CHEZ UNE PARALYTIQUE GÉNÉRAL
l Briand, une femme, atteinte de paralysie générale, en proie à des hallucinations motrices verbales. La netteté avec laquelle se
tout autre phénomène hallucinatoire, l'association' étroite de ces hallucinations motrices verbales avec des spasmes des muscles
par des hallu- cinations de l'ouïe. 1- Rémission très accentuée. Hallucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'
le. Absence d'autres troubles hallucinatoires et en par- ticulier d' hallucinations auditives. Permanence et activité des hal- luci
ccès d'agitation maniaque avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations multiples : .motrices verbales, kineslhétiques,
à l'épigastre, disant sentir une boule lui monter à la SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 323 'gorge; parfois elle éto
. On constate à son arrivée l'existence d'idées de persécution et d' hallucinations de l'ouïe très actives, de nature pénible. a Vo
lorifères : a Je suis une honnête femme ! n'Il existe également des hallucinations visuelles. P... voit en l'air des bohémiens, le
dorés,' des paillettes dorées. L'accès d'agitation provoqué par ces hallucinations dure environ trois mois et par son intensité néce
elle fit plusieurs tentatives d'évasion. ? ' En octobre 1891, les hallucinations pénibles, les idées de persé- cution s'amendent
ous Greut,constatercle caractère presque , toujours, pénible,de ces hallucinations , leur .; association très fréquente avec des sp
a genèse des accès délirants qui survinrent, ainsi que SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 325 l'absence'd'hallucinatio
y- - sionomie.très absorbée ? comme lorsque 'se' manifestent- ses hallucinations motrices verbales.' Nous lui demandons' : "0' :
t de la persistance des convulsions des muscles masticateurs'et des hallucinations motrices'verbales : elle dit ne plus pouvoir do
son mari travaillait. D'ordinaire le grince- ment des dents et les hallucinations motrices sont simultanées. La 'malade répond to
persécution : 'ces phénomènes-semblent" sousla dépendance' des1** hallucinations verbales : « elle a des chuchottements dans la bo
omprends pas ? » ... iti , t . -1, . , 1, , A r, . ,,l SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 327 19 ? juin ? Les ^ réacti
mélancolique' se dissipe; les idées'de persécution s'effacent, les hallucinations motrices verbales disparaissent. Le 21 août, la m
lonsJla;mettreïdansiunJcachot.4 Il''n'y'a toujours pas' de traces d' hallucinations » de l'ouie,b mais îles^hallucinations^motrices so
y'a toujours pas' de traces d'hallucinations» de l'ouie,b mais îles^ hallucinations ^motrices sont repris toute leur activité : aiel
Sj animé; s'eng-age,des{jnouvements de,, mastication accompagnant l' hallucination verbale; le dialogué^se. termine. par , ces, mo
çoit par la.vue et par le tou- cher, pendant que se produisent les, hallucinations . Il ne nous. a pas 'été possible de constater l
! «v ? ^.. n .lJr·9tn-t 6 mars. État de confusion hallucinatoire;' hallucinations des l'ouïe : «Pourquoi crie-t-on ? ? ? Ce' sont
, ,1 il c . v ? `, a 15 mars ? Même état de,vive, excitation, avec, hallucinations multiples, confusion, désorientation extrême :
a conserver pendant plusieurs jours : elle se bouche , SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 331 les oreilles croyant ent
intéressés du- côté opposé' : ulcérations,~d'ailleurs SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS ^MOTRICES VERBALES. 333 peu accéntuées;rati4 ni
arler de l'apparition,. au. cours d'une ? période de rémission, , d' hallucinations motrices verbales de leur persistance pen- dant
inonsTméillo- diquement ces divers points : ZD ? i ? SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 335 jsf -ib "'u' r , 8. » ?
t iti{w-81Hi*.ij» b ... -^ Sous ce nom on désigner on le sait ? des hallucinations ver- ' baies d'une11 nature particulière, bien^
nature particulière, bien^décrites par Baillarger "sous le nom d'' hallucinations psychiques' : Tandis que lès hallu- cinés'de l'
,à à savoir, l'absence d'images sensorielles auditives, et le mot d' hallucinations psychiques'avaitpour but de mettre en évidence
'ouïe et restaient bornées à l'intelligence' ! Eh réa- ,' lité, ces hallucinations , ainsi que l'a montré M.' Séglas, ne con- tienn
langage articulé dans ses éléments psycho-mo- teurs/d'où le nom' d' hallucinations verbales psycho-motrices '. in- A l'état normal
- `rifiil 'a n·J`iW Yj ·ct m»>cj-,i- ? Baillarjer. Physiologie des hallucinations ; in Recherches sur les maladies me2lalCS,1890.,
Hai< ! 0)t dans ses rapports avec la fonction du lan- gage. 'Les hallucinations psycho-motrices. Propres" Me'd., 18, .25 août 1
.^ ,tJ T"· 5% 0 l'articulation des mots (écho, musculaire z '). L' hallucination motrice verbale, ou kinesthétique verbale -n'est
chronique. ^Cependant, chez notre malade, l'existence de ce genre d' hallucinations avec leurs caraciè'res, "essentiels ne .saurait
n de at .. ..t .< vr ot , JI as·nam r Ut ? ttttÊ t n - .w ses, hallucinations . Pendant plus d'une année il nous fut pos- 4111
.2.J. Soury/ Loc. cil., p.,370. « .x f ;i 1 1 'HO ? ' SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 337 sible de les observer d'
l'absence- d'autres troubles* hallucinatoires et en particulier d' hallucinations de l'ouïe. Nous' ne" pûmes qu'une seule fois me
de déjà- avancée' il lui'`ést'ârriâé"d'émployerrtènpàrlant de ses hallucinations , le mot't voix », le plus souvent elle's'exprime
vÔii7»" dit-elle,' en' nous montrant,, une 'malade en'proie'à des hallucinations de l'ouïe très actives,' mais moi je n'ai pas d
x, que faute d'un autre plus convenable.' ' " `` '' ' " " ' ' Les hallucinations motrices verbales sont localisées, comme toutes
iverses localisations, singulières au premier abord, du siège, des^ hallucinations '* motrices verbales,"s'expliquent par ce fait
ions kinesthétiques d'articulation, l'adjonction si fréquente , des hallucinations kinesthétiques associées, des^ muscles, du lary
arli- culée. Bulletin médical, 29 juin 1892. » 1 ? 4 SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. '339 111'Lt. `i· t·' a.. 11'
ce de ces spasmes durant seize mois, et àleûr,as`so- " dation avec' hallucinations motrices verbales' ce*, faits/jusqu'a- lors non
deux symptômes étaient presque tou- . jours simultanés et lorsque l' hallucination motrice verbale se produisait,' on pouvaitl per
) Zt"CLINIQUE lliEN1'ALE. e AUe ,, La solidarité pathologique, des hallucinations kinesthétiques verbales et des spasmes des, mus
! est dd même, ordre- que les localisa; tions, ,périphériques.,4des hallucinations ^ verbales ;dans9'les organes dont. le, fonction
nu't' st7s q slJ.B ;. En revanche, nous, avons observé pendant les hallucinations motrices- verbales des' mouvements' des lèvres,
nutes, et pendant lesquels,) si^on^ lui fc adresse. la SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS "MOTRICES VERBALES. 341 parole;'elle fait signe
et récipro- quement' 5 . i,,r.w ? 1 a ? tl . , <<f' » v Les hallucinations motrices verbales n'ont guère été étu- diées da
'en est, pas fait mention dans. les travaux de Baillarger, sur, les hallucinations psychi- ques, ni dans : le livre de Brièrre de.
s de , Claus ,= de i Iung =.- de Gellhorn 3, d'Obersteinerl sur les hallucinations dans la paralysie générale, ni enfin dans les t
on va en juger,. que par M. Girmas qui dans; un chapitre intitulé ? Hallucinations , psychiques chez des para- lytiqyes,gé2îé ? ,a
sposition que les analyses dont ils'ont été, l'objet.) s Girma. Des hallucinations dans la paralysie générale. Thèse Pari", 1881.
e Pari", 1881. ' ' 4 .1, ' .3 -9· ,,v-r, s . ,, . ", SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 343 cite trois cas,observés
,in extenso ce. qui a trait dans les obser- vations,de l'auteur,aux hallucinations motrices.verbales : ,r ? i qrno')jjE8 3')(. tj'
diiLcalmcle le plus,complet; (le t patient^est en,, rémission), les hallucinations ^reparaissent, mais ? elles ne semblent pas enc
idité inte)iectue]Ie assez' conservée;' pendant toute cette- époque hallucinations psychiques; toujours 'de même nature. Le 'malad
n XV. Aucours d'un accès .a mélancolique chez un paralytique, « des hallucinations qu'on peut rapporter au sens'de l'ouïe se manif
alysie` générale ? nous' ne trouvons rien de précis au chapitre des hallucinations : l'auteur se borne à dire, à propos de la-fréq
'il s'agit^' à" n'en' "pas"'ddutèr,rd'ônomatomahié1Fompli ? ;iuéê d' hallucination ? motrices' verbales'.1''181'90 elle, si ob IrbŸu
sychol., 1877.) tfs ? 1 -v.\v j^a-r-^ lin -.4"ifys.t f SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS TIIRIES VERBALES. 345 méninges^à à l'écorce jet
e. intensité ^ des troubles hallucinatoires. Ceux-ci et surtout les hallucinations auditives paraissent avoir tenu sous leur dépen
écution ,et les réactions violenies qui ·se,manifestaient. Puis les hallucinations . diminuèrent, disparurent; l'excitation tomba,
is, 1 Boix. - Loc. cit., p. 433-434. ' r-8t ? 1()'T, SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS , MOTRICES VERBALES. J 1 sans que la .malade, pa
de ? ses 'sensations anormales,' les réactions provoquées par les' hallucinations ,' l'attitude,1 le langage' même de5 la- mala'de
sécuteurs/ silencieuse et attentive;' tandis que'se' produisait * l' hallucination motrice rendue visible pour ainsi' dire à l'obs
e désespoir, des idées de. culpabilité, reproduisant le contenu des hallucinations motrices verbales , du refus d'aliments, des te
cutés auto-accusateurs 1). , r, , , t . Pendant quelque temps les hallucinations motrices s'amen- dèrent, puis disparurent; les
(Arlh. de 1'curol. 1892, p. 308 et 1893, p. 262.) 1 SUR UN CAS D' HALLUCINATIONS MOTRICES VERBALES. 351 véritable état de confus
rappelons-en brièvement les traits principaux : a) Existence des hallucinations motrices verbales dans la paralysie générale. -
verbales dans la paralysie générale. - b) Association étroite des hallucinations motrices verbales à des convulsions des muscles
à des convulsions des muscles masticateurs. c) Apparition de ces hallucinations au cours d'une période de rémission, à l'état d
ngée (seize mois); leur reproduction incessante. y d) Rôle de ces hallucinations motrices verbales de caractère pénible dans la
u- sion hallucinatoire déterminé par la multiplicité des diverses hallucinations (auditives, visuelles, hinesthétiques,âustatives)
ées de grandeur et hypocondriaques), les autres provoqués par les hallucinations motrices verbales (délire de persécution), ou p
trices verbales (délire de persécution), ou par l'ensemble confus d' hallucinations de tous les sens (état de confusion ayant quelq
de son imagination prenaient parfois les proportions de véritables hallucinations , et il traduisait fidèlement les visions qui assi
es,- inaugure la,théorie* pytho gène; Albucasis,qui insiste sur les hallucinations 'vi's'ù elles,, ad'm"et un état de sécheresse,d
r Achtnich, celui qui dans un'paroxysme, peut-être provoqué par des hallucinations , s'attaque à la' personne d'un autre doit être
a spinale,' par Oppenheim, 209. ,,q ? ? ... y r . ,. ' . .. ,ET Hallucinations , influence psychique des -, par Mercktin, 4à ;
Ebeke, 451 : pseudo- et saturnisme, par Vallon, 65 ; sur un cas d' hallucinations mo- trices verbales dans la-- -, par Sérieux,
8 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Juillet 1901. - N° 67. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE MENTALE. Hallucinations psycho-motrices dans la paralysie générale; A
nlerne des Asiles. , , On connaît le rôle prépondérant que joue l' hallucination en séméiologie mentale. Ainsi que l'a dit Ségla
n est aussi fonction des aptitudes et des tendances du sujet. Les hallucinations de divers ordres se combinent entre elles, s'as
si de charpente au délire. Suivant Séglas, « les malades atteints d' hallucinations ver- bales de l'ouïe et de la vue sont déjà des
ais, malgré cette tendance du malade à verser, au point de vue de l' hallucination , du côté où il penche, on connaît l'influence d
ns la production des fallu- cinations. L'alcool produit surtout des hallucinations de la Archives, 2e série, t. XII. 1 2 CLINIQC
ives, 2e série, t. XII. 1 2 CLINIQCE MENTALE. vue, la cocaïne des hallucinations de la sensibilité générale, sans qu'on puisse c
sme et folie, Arc/¡. Neurol., 1899, nos'4.0, 43). La pathogénie des hallucinations se prête à des interpréta- tions nombreuses. D'
larger fusionna ces deux interprétations et attribua comme base à l' hallucination un trouble psycho-senso- riel. Plus récemment,
trouble psycho-senso- riel. Plus récemment, Tamburini, étendant à l' hallucination les acquisitions relatives à l'aphasie cortical
corticale, en fit un trouble fonctionnel des centres corticaux. « L' hallucination serait aux altérations des centres sensoriaux c
phénomènes psycho-moteurs dans les délires systématisés ; mais les hallucinations se combinent le plus souvent entre elles et leu
toire peut porter sur les images motrices d'articulation, et on a l' hallucination , psycho-motrice verbale'proprement dite, le tro
rement dite, le trouble hallucinatoire peut porter sur les images HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES : DANS LA PARALYSIE. 3 graphiqu
ATIONS PSYCHO-MOTRICES : DANS LA PARALYSIE. 3 graphiques, et on a l' hallucination psycho-motrice graphi- que. Chez -les délirants
on. Nous observons actuellement un persécuté qui a commencé par les hallucinations auditives, puis est arrivé au stade psycho-mote
s graphiques chez les aliénés en z général, montrant que beaucoup d' hallucinations dites psy- chiques peuvent être considérées com
ous publions ici trois observations de paralytiques géné- raux avec hallucinations psycho-motrices. Si « l'hallucination est aux a
paralytiques géné- raux avec hallucinations psycho-motrices. Si « l' hallucination est aux altérations des centres sensoriaux ce q
es territoires, devrait être un champ d'observations fertile. Les hallucinations simples chez les paralytiques généraux sont con
Ritti, une étude d'ensemble, en 1881. Voici sa conclusion : « Les hallucinations sont très fréquentes dans la paralysie générale
nous relevons trois observations où le caractère psycho-moteur de l' hallucination existe très net- tement. A l'heure actuelle e
lucination existe très net- tement. A l'heure actuelle encore,les hallucinations psycho-motrices verbales graphiques sont consid
les malades; démence au sein de laquelle le clinicien dépiste mal l' hallucination psycho- motrice verbale, enfin, l'excitation pa
rémissions plus ou moins complètes qu'on trouvera de pré- férence l' hallucination psycho-motrice verbale et graphique. Ajoutons q
co-psychologiques de 1881. Il s'agit d'une paralytique qui a eu des hallucinations multiples et qui était possédée par deux démons
s hallucinations multiples et qui était possédée par deux démons. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. 5 Nous empru
ix me venaient à la langue ». Mendel ajoute qu'il n'y a pas trace d' hallucinations . Sérieux croit qu'il s'agit là d'o- nomatomanie
ations. Sérieux croit qu'il s'agit là d'o- nomatomanie compliquée d' hallucinations psycho-motrices.» Sérieux a publié une observat
quées par des hallucina- tions de t'ouïe. Rémission très accentuée. Hallucinations motrices verbales de nature pénible. Absence d'
le. Absence d'autres troubles hallucina- toires et en particulier d' hallucinations auditives. Permanence et activité de= hallucina
particulier d'hallucinations auditives. Permanence et activité de= hallucinations motrices verbales pendant plus d'un an. Leur as
ion étroite avec un état d'éréthisme des centres mas- ticateurs : l' hallucination motrice verbale s'accompagne de mou- vements in
ccès d'agitation maniaque avec idées de grandeur et de persécution. Hallucinations multiples motrices verbales, kinesthésiques, vi
rontale interne. » Et Sérieux fait ressortir : a) L'existence des hallucinations motrices verbales dans la para- lysie générale.
e ascendante (centre masticateur). Dans une thèse récente sur les hallucinations psycho- motrices dans la paralysie générale (Pa
utant un cas inédit. Il estime que, dans la paralysie générale, les hallucinations - motrices verbales sont extrêment rares. Clini
tions - motrices verbales sont extrêment rares. Cliniquement, les hallucinations psycho-motrices de paralytiques généraux se pré
ralytiques généraux se présentent avec les mêmes caractères que les hallucinations psycho-motrices observées dans les divers états
s malades suivant des modalités diverses et peuvent s'accompagner d' hallucinations senso- rielles soit auditives, soit visuelles.
rielles soit auditives, soit visuelles. . .Les faits cliniques d' hallucinations psycho-motrices ver- bales, observés au cours d
de chercher systématiquement à faire un diagnostic rétrospectif des hallucinations psycho-motrices (cas de Sérieux). En raison d
ysie générale, certains auteurs se sont demandés'si la production d' hallucinations psycho-motrices, au cours de l'encéphalite pare
ho-motrices, au cours de l'encéphalite parenchymateuse ne pouvait HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. 7 s'explique
ut chez les hallucinés psycho-moteurs vésaniques ; avec le manque d' hallucinations psycho-motrices dans les cas de lésions microsc
lication plausible des faits. « Il ne suffit pas, pour produire une hallucination , d'activer un centre sensoriel par une lésion i
t c'est pour cela qu'il n'y a pas de lésion produisant d'emblée les hallucinations . Ce qui semble légitimer cette hypothèse dans l
ucinations. Ce qui semble légitimer cette hypothèse dans le cas des hallucinations motrices de la para- lysie générale, c'est la p
son arrivée il est en pleine excitation avec des idées ambitieuses HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. 9 et de rich
phénomènes paralytiques de la musculature externe ; les pupilles HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. H I sont l
A côté des troubles de la mémoire, de l'attention, nous notons des hallucinations psycho- motrices, il annonce que le a don » va
. Le 7 mars est mis au traitement spécifique, le 15, il refuse la HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES DANS LA PARALYSIE. 13 nourritur
ier 20 CLINIQUE MENTALE. et mars 189, il eut durant deux mois des hallucinations et un délire génitaux très intenses; il se plai
Thérèse présentait, même dans l'intervalle de ses extases et de ses hallucinations , des stigmates avérés d'hystérie. C'est à la su
utre trouble intellectuel ; pas trace de délire, aucune illusion ou hallucination sensorielle, pas de symp- tômes d'affaiblisseme
psichiatrii, III, 1898.) Si le délirant chronique est le jouet de l' hallucination psycho- motrice, il est des gens qui ont à l'ég
om- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 131" munes. En février 1895, les hallucinations se mettent de la partie; il est persécuté, mais
s muscles frontaux, indiquant des altérations du septième noyau. 8° Hallucinations et délusions de l'ouïe : le plus souvent défect
de mémoire, incohérence, idées délirantes de forme soupçonneuse. Hallucinations et illusions de la vue. Nouvelle opération sur le
sionnaire ; d'autre part au moment même où il aurait vécu en pleine hallucination , l'homme de science, le parlementaire disert et
tra-sicentifiques souvent et déjà peut-être alimentés par de vagues hallucinations encore inconnues. Aussi la transition nous semb
et franchement délirante de sa carrière à la suite de la , fameuse hallucination de Londres. On sait comment cette dernière se p
es et énormes publications religieuses, fruit de ses extases et des hallucinations compliquées où il se com- plut pendant tant d'a
au grand cha- grin du théosophe qui regrette ses visions. - Les- hallucinations de Swedenborg tiennent surtout du rêve; toujour
visuelles, générales et verbales, combinées à toutes les formes des hallucinations de l'ouïe, aux hallucinations psychiques à form
es, combinées à toutes les formes des hallucinations de l'ouïe, aux hallucinations psychiques à forme de langage cogitatif interne
d'autres aperçus scientifiques d'un haut intérêt, notamment sur les hallucinations psychiques, qui rendent indispensable la lecture
malades tout à fait tranquilles, sans idées de persécution, sans hallucinations , offrant des garanties de sécurité. Les médecin
E. Recherches sur les troubles psychologiques consé- cutifs à des hallucinations provoquées ; rnr n N. VASCHIDE ci 1 Cl. VURPA
e chez laquelle on pouvait déterminer pour ainsi dire à volonté des hallucinations d'in- tensité diverse. Nous avons tenté d'étudi
logiques et la quantité d'une part et la qualité de l'intensité des hallucinations de l'autre. . Il Afin de mieux connaître le
it, c'est l'apparition de crises sensorielles consti- tuées par des hallucinations de toutes les sensibilités. Ces hallucinations
sti- tuées par des hallucinations de toutes les sensibilités. Ces hallucinations revêtent'souvent un caractère, terrifiant. La m
, l'allure de résistance qu'elle présente. Dans l'intervalle de ses hallucinations G... est parfaite- ment lucide, sa mémoire est
parfaitement compte de son état, convient de l'état maladif, de ses hallucinations et demande à ce qu'on l'en .guérisse. Ces hal
, de ses hallucinations et demande à ce qu'on l'en .guérisse. Ces hallucinations naissen t brusquempnl. Dans les examens cliniqu
s avons eu l'occasion de voir naître très souvent sous nos yeux des hallucinations , dont voici, pour fixer les idées, un exemple c
antipyrine ni morphine n'apportent aucun sou- lagement. III Ces hallucinations terrifiantes, que nous venons de décrire, sembl
let 1900, G... vint nous trouver en nous priant de la guérir de ses hallucinations par un moyen , quelconque (tous lui étaient bon
minutes, la malade reste jusqu'à six jours sans avoir de nouvelles hallucinations . Endormie à des intervalles réguliers G... n'es
ie à des intervalles réguliers G... n'est plus tour- mentée par ses hallucinations et jouit d'une tranquillité ardemment désirée.
e service » dit-elle, que nous lui rendons en la délivrant de ses hallucinations , véritable poison de son existence. Le début de
e début de la séance d'hypnotisme est généralement mar- qué par une hallucination . Celle-ci se produit le plus souvent avant que
sses on n'arrive pas à endor- mir la malade; il faut attendre que l' hallucination soitpassée; après quoi le sommèil arrive assez
e; après quoi le sommèil arrive assez rapidement. D'autres fois l' hallucination a lieu pendant le sommeil hypnotique. Celle- ci
si l'on n'a pas soin de réveiller immédiatement le sujet. Car cette hallucination agit sur la phase de veille comme une véritable
on. Enfin, on peut dire à G... pendant son sommeil, d'avoir telle hallucination après son réveil. Il est donc possible de provo
de la sorte soit à loisir, soit lorsque la nature nous l'offre, des hallucinations dans une conscience apparemment normale. Il est
udier, comme en une véritable expérimentation, les troubles dus aux hallucinations et imputables seulement à l'hallucination, puis
, les troubles dus aux hallucinations et imputables seulement à l' hallucination , puisque tous les termes restant les mêmes, ce
ois états différents dans les descriptions qui vont suivre : a) les hallucinations sont d'intensité faible ou moyenne ; b) les hal
: a) les hallucinations sont d'intensité faible ou moyenne ; b) les hallucinations sont très intenses; c) le passage du trouble ha
ire de la conscience à l'état normal. a) La faible intensité de l' hallucination marque ordi- nairement la phase de début. A ce
lui demandons ce qu'elle ressent, elle nous décrit parfaitement son hallucination , nous dit ce qu'elle voit, ce qu'elle entend, c
s ces conditions il nous est possible de lui faire convenir que ses hallucinations , n'ont aucun fonde- ment réel, et qu'elles n'on
ils expliquent en disant qu'ils ont l'esprit « frappé ». 1 b) Les hallucinations sont' extrêmement intenses. Dans ces conditions
ennent s'incorporer à ses'hallucinations. Elle vit dans un monde, d' hallucinations et d'illusions. Nous-mêmes, qui dans- le cas pr
els sont les propos, que nous tient G... au moment de ses grandes hallucinations .- ' Les actes ne sont pas moins désordonnés que
e sont pas moins désordonnés que les paroles. Tant que durent les-. hallucinations , le sujet est en proie à1 une agitation intense
aissez-moi me jeter par la fenêtre,,» nous criait-elle pendant ses- hallucinations . Nous-mêmes-, elle nous prend pour ses bourreau
nt immédiatement l'idée. ou même plus exactement l'image mentale. L' hallucination par son intensité trouble la plupart des, proce
tal, qui dans le cas particulier est principale- ment causé par des hallucinations très intenses, et le délire consécutif, qui se
serait plutôt excitation maniaque avec confusion dans les idées et hallucinations . D'autres auteurs propo- seraient pour cet état
ce nom les auteurs décrivent des cas, dans lesquels on observe des hallucinations (les auteurs l'ont appelée paranioa aiguë hallu
ni fixes, tout l'état mental est sous la dépendance de nombreuses hallucinations ; il est mobile avec elles. On ne peut pas dire
'agit donc ici d'une véritable confusion mentale, dans laquelle les hallucinations se succèdent comme en une véri- table fantasmag
e disparaissent pas mais, diminuent progressive- ment ; ce sont les hallucinations de la sensibilité générale qui cessent les prem
f encore tout impreigné des tableaux dont l'avaient peuplé tant d' hallucinations . Les illusions demeurent un certain temps; G...
e. ' Cet état de réveil, pendant lequel malgré la disparition des hallucinations , les illusions durent toujours en raison de la,
ent de ce qui. peut Iuhrappelerles scènes, que ses illusions et ses hallucinations avaient placéesi dans son.délire. Il faut que.
parais- sent avoir chez G... la valeur de termes équivalents. Les hallucinations actuelles peuvent être considérées « largo sens
le mérite d'apporter quelque contribution à la psy- ' chologie de l' hallucination . 2° Notre cas précise, d'autre part, comme nous
occupe la conscience et provoque un état de distraction, lorsque l' hallucination est d'intensité moyenne. Lorsque l'hallucinatio
ction, lorsque l'hallucination est d'intensité moyenne. Lorsque l' hallucination est très intense, à la distraction fait place u
e en la réalité de l'image accompagne son extériorisation. Dans l' hallucination l'image impose pour ainsi dire, par les idéatio
t à la pensée, arrête l'éclosion de tout souvenir et à mesure que l' hallucination gagne d'intensité, la distraction grandit pour
images se succèdent rapide- ment, voltigent autour de l'objet de l' hallucination provoquée. La coexistence des images devient to
erche des points d'appui; la croyance en la réalité de la scène des hallucinations s'éli- mine par les contrôles des différentes d
énèse et de l'évolution des états de conscience provoqués par des hallucinations . REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE - PATHOLO
ent en exagé- rant leur fonction jusqu'à l'épuisement terminal. Les hallucinations , les illusions, l'hyperesthésie sensorielle et
r physionomie exprime des sentiments divers suivant la filature des hallucinations ; les hallucinations de la vue dominent très sen
e des sentiments divers suivant la filature des hallucinations; les hallucinations de la vue dominent très sensiblement. Ils montr
le type maniaque ; ses caractères saillants sont la confusion, les hallucinations , la perte de con- science. C'est la confusion m
tants, la parole sollicitée de divers côtés par la multiplicité des hallucinations de tous les sens, exprime des idées heurtées qu
aigu refuse les aliments, va, vient, se précipite au hasard de ses hallucinations , toujours terrifiantes. Comme l'hydro- phobe, i
opinions politiques et religieuses; elle avait des illusions et des hallucinations visuelles, auditives et tactiles qui se rattach
ire aigu aucun symptôme constant. L'agitation, la dépression, les hallucinations , l'hyperesthésie sensorielle, la fièvre sont diss
9 septembre; il était caractérisé par des idées mélancoliques, des, hallucinations de la vue et de l'ouïe, et des impulsions homi-
sté a déter- miné un tic de l'épaule. Quelques aliénés, ayant des hallucinations unilatérales de l'ouïe, portent la tête incliné
ur la plus grande partie des symptômes morbides, les illusions, les hallucinations , l'explication délirante, les idées de grandeur
x dans les maladies générales (délire fébrile, confusion men- iale, hallucinations , etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués
, faciès hagard, perte des notions de temps et de lieu, délire avec hallucinations et refus d'alimentation. A l'au- topsie, les lé
se sensation, dans une idée morbide entretenue et confirmée par des hallucinations et transformée en idée fixe. La sitophobie d'or
éférence les types : confusion mentale ou mélancolie anxieuse, avec hallucination de la vue, idées de ruine, d'indignité, de pers
aire incoordonnés. Cet état s'atténue dans la période subaiguë. Les hallucinations , très vives, influençant la conduite du malade,
constate les symptômes suivants : 1° grande dépression, agitation, hallucinations vives, insomnie; 2° pouls rapide, dur, avec ten
: 1° Symptômes mentaux moins accentués. Sommeil généralement bon; hallucinations pouvant manquer et n'influant pas sur la condui
paru la première pendant la puberté : ces malades ont souvent des hallucinations , et il n'est pas rare qu'ils soient violents et d
aractérisé, d'après le certificat d'admission, « par du délire avec hallucinations de la vue et agitation incoercible ». Le cert
st très profonde, le délire confus, les paroles insaisissables, les hallucinations de la vue intenses ; la fièvre s'allume, une di
ans les murs, que les voisins l'écoutaient, le surveillaient. Pas d' hallucinations vraies de l'ouïe ou de la vue. Il disait : « Je
de deuil. M. B. Séance du 20 mai 1901. Pérsidence DE M. JoFFROY. Hallucinations psychomotrices et sialorrhée paroxysmale. M. Tr
de M. Crété et au sien, l'obser- vation d'une femme présentant des hallucinations psychomotrices et de la sialorrhée. La voix d'u
u guérir et quitter l'asile. M. Trénel pense que la coexistence des hallucinations psycho- motrices et de la sialorrhée peut s'exp
- tions de l'asile de Ville-Evrard. par ricqué et Febvré, 81. 1 Hallucinations . Troubles psycholo- giques consécutifs à des pr
lgidité centrale chez ces par Joffroy, 329. P.11S4LYSIE générale. Hallucinations psycho-motrices dans la -, par A. Marie et Bu
9 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d ils agissent, que par suggestion indirecte. RECUEIL DE FAITS. HALLUCINATIONS SUCCÉDANT A DES OBSESSIONS ET A DES IDÉES FIXES
lequel il nous fait part de son état ; mais quelques heures après, HALLUCINATIONS SUCCÉDANT A DES OBSESSIONS, ETC. 35 il nous pri
ojet à exécution. » Au moment oùX... nous parle ainsi, il n'a pas d' hallucinations . Mais bientôt apparaissent de nouveau des hallu
n'a pas d'hallucinations. Mais bientôt apparaissent de nouveau des hallucinations de l'ouïe. Le malade entend son beau-frère, sa
se nourrir et nous devons recourir à la sonde oesophagienne. Les hallucinations de l'ouïe deviennent plus intenses; il entend d
ssociées en un cortège comparable à celui de l'aura hystérique; des hallucinations ou des illusions. L'hérédité joue le rôle primor-
même temps se déve- loppe une agitation incohérente avec illusions, hallucinations mul- tiples, visions d'ennemis, terreurs, menac
aucune conscience de ce qui se passe autour de lui, absorbé par des hallucinations de toutes sortes, il est par leur fait en proie
éné. Il en existe plusieurs variétés : a) l'acte s'explique par une hallucination antécédente, comme cela se voit chez la plupart
nscientes ou inconscientes, tantôt de fausses impulsions dues à une hallucination antérieure, ou au désordre des actes, ou encore
ues (vraisemblance, logique et fixité d'emblée du délire, absence d' hallucinations , tendances persécutrices et processives, etc.)
r », je répondrai que 'l'obsession de réclama- tions est, comme les hallucinations , la dépression, etc., un symp- tôme qui, là com
'idées de persécution dans leurspantophobies, leurs zoopsies, leurs hallucinations terrifiantes ? Il existe aussi des formes mixte
ire de persécution du délire des dégénérés. Si nous envisageons les hallucinations de l'ouïe, nous voyons qu'elles sont constantes
première ou à la deuxième période du délire chronique, l'absence d' hallucinations auditives est un caractère des persécu- teurs r
sécutés dans celle des dégénérés. La même question se pose pour les hallucinations de la sensibi- lité générale et les hallucinati
se pose pour les hallucinations de la sensibi- lité générale et les hallucinations génitales. A quelle période apparaissent-elles
se pose encore la question du rapport des idées de grandeur et des hallucinations génitales. Quand se produisent les hallucinat
grandeur et des hallucinations génitales. Quand se produisent les hallucinations de la vue, l'on doit soup- çonner un élément ét
ent étranger, tel que l'alcoolisme ou toute autre intoxication. Les hallucinations de la vue sont caractérisées par ce fait qu'ell
question du programme. Pathogénie et physiologie pathologique de l' hallucination de l'ouïe. Rapporteur, M. le Dr Séglas. Discuss
tension du tronc, vociférations, puis phase de somnambulisme, avec hallucinations visuelles. Les crises se répètent à des inter-
s, il est procédé à la dis- cussion du rapport de M. SÉGLAS sur les hallucinations de l'ouïe. ' . Pathogénie et physiologie path
nations de l'ouïe. ' . Pathogénie et physiologie pathologique des hallucinations de l'ouïe.' M. le Dr Séglas. - « Un homme, dit
r cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d' hallucination . » .. ' , La caractéristique de l'hallucination
est dans un état d'hallucination. » .. ' , La caractéristique de l' hallucination , dit Me Séglas, est'donc de créer l'apparence d
s proprement dites, des phénomènes décrits sous les noms de fausses hallucinations (Michea), d'hallucinations psychiques (Baillarg
nomènes décrits sous les noms de fausses hallucinations (Michea), d' hallucinations psychiques (Baillarger), de pseudo-hallucinatio
Baillarger), de pseudo-hallucinations (Hagen, Kaudinky, Hoppe) et d' hallucinations aperceptives (Kalbaum). S'appuyant sur l'observ
t sur l'observation clinique, l'auteur passe en revue, à propos des hallucinations de l'ouïe, successivement leur contenu, leur po
hénomènes hallucinatoires peut être périphérique ou centrale. Les hallucinations périphériques sont celles dans lesquelles le pr
er en dehors du sujet dans le monde extérieur. D'où la division des hallucinations périphériques en hallu- cinations périphériques
tions périphériques en hallu- cinations périphériques objectives et hallucinations périphériques subjectives. Enfin, qu'il s'agi
hallucinations périphériques subjectives. Enfin, qu'il s'agisse d' hallucinations périphériques objectives ou subjectives, l'exci
ion initiale peut porter sur l'appareil sensoriel correspondant à l' hallucination ou sur un appareil sensoriel diffé- rent. Ces h
ant à l'hallucination ou sur un appareil sensoriel diffé- rent. Ces hallucinations peuvent être ainsi distinguées en directes et i
ctes ou réflexes (Kahlbaul11). Quant à la question controversée des hallucinations auditives centrales, c'est-à-dire n'ayant comme
rânienne ou cérébrale, ni une cause toxique ou asthénique. Pour l' hallucination périphérique, l'auteur aborde ensuite la questi
OCIÉTÉS SAVANTES. 200 r', oreilles comme dans l'audition normale, l' hallucination est alors bilatérale. D'autres fois, la percept
sens de l'ouïe, elle ne se fait que par une seule oreille. C'est l' hallucination unila- térale ou dédoublée de Michea. Enfin,
térale ou dédoublée de Michea. Enfin, il est des cas complexes où l' hallucination auditive ne constitue qu'un élément épisodique
y avoir associations entre phénomènes de même ordre, c'est alors l' hallucination dialoguée, la double voix de More ! . Cette ass
tendant la voix opposée. L'antagonisme n'existe pas seulement entre hallucinations verbales de même nature, mais il peut s'établir
allucinations verbales de même nature, mais il peut s'établir entre hallucinations verbales, motrices et auditives. Quand il n'y a
rapport à l'autre; par exemple la sphère psycho-motrice répétant l' hallucination auditive ou l'inverse (écho- lalie hallucinatoi
allucinatoire). Le rapporteur cite ainsi un cas, publié par nous, d' hallucinations psycho-motrices graphiques combinées à des hallu-
de écrivant automatiquement et inconsciemment sous la dictée de ses hallucinations de l'ouïe. Au point de vue physio-palhologiquo
-palhologiquo l'auteur passe en revue les différentes théories de l' hallucination : théorie périphérique ou sen- sorielle ; théor
sensoriel cortical du sens considéré est indispensable pour que l' hallucination se produise dans la conscience avec tous les cara
avec tous les carac- tères de la réalité objective. La théorie de l' hallucination regardant comme nécessaire l'intervention const
on normale, l'auteur s'abstient d'émettre une théorie générale de l' hallucination de l'ouïe, se contentant de reve- nir sur la se
t. Il. 14 210 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. Vallon. Sur la pathogénie des hallucinations de l'ouïe, mon opinion peut se résumer ainsi :
hallucinations de l'ouïe, mon opinion peut se résumer ainsi : toute hallucination est un phénomène d'origine centrale, cérébrale
ogie et de la pathologie. La plupart des psychologues considèrent l' hallucination comme une exagération maladive du phénomène nor
cience de l'origine de la sensation, qui, à mon avis, caractérise l' hallucination . En un mot, pour que l'hallucination soit const
qui, à mon avis, caractérise l'hallucination. En un mot, pour que l' hallucination soit constituée, il ne suffit pas, comme le pense
nsforme progressivement par une série d'opérations pour aboutir à l' hallucination ; or, tous ces phénomènes successifs sont essent
iellement de nature cérébrale : il est donc logique de considérer l' hallucination elle-même comme un trouble d'origine cérébrale.
Une autre preuve delà nature cérébrale, et purement cérébrale, des hallucinations se déduit de ce fait qùe les hallucinations son
purement cérébrale, des hallucinations se déduit de ce fait qùe les hallucinations sont constamment en rapport intime avec les idé
les caractères d'un délire hypocondriaque, le malade est pris d'une hallucination de l'ouïe. Or, celles-ci correspondent aux idée
u'on a fait valoir en faveur de l'origine périphérique possible des hallucinations , c'est l'existence d'halluci- nations unilatéra
t passé chez mon malade fait comprendre le mécanisme des prétendues hallucinations unilatérales d'origine périphérique. La maladie
n ou malade. On voit donc qu'il n'y a pas, à pro- prement parler, d' hallucination d'origine périphérique. On m'objectera encore l
igine périphérique. On m'objectera encore les faits dans lesquels l' hallucination audi- tive reconnaît comme point de départ, une
as dire que l'excitation produite par le bruit de la porte a créé l' hallucination ; elle ne fait évidemment que la provoquer. 2
a provoquer. 212 SOCIÉTÉS SAVANTES. Depuis Esquirol, on définit l' hallucination une perception sans objet. L'hallucination, en
s Esquirol, on définit l'hallucination une perception sans objet. L' hallucination , en effet, consiste à sentir alors que rien n'i
ur origine une impression quelconque, par définition, n'est pas une hallucination . Dans l'illusion aucontraire, il y une impression
t sur ce caractère qn'est basée la différence entre l'illusion et l' hallucination . Or, dans les phéno- mènes que l'on désigne sou
ucination. Or, dans les phéno- mènes que l'on désigne sous le nom d' hallucinations d'origine périphérique, il y a, comme dans l'il
impression, mais enfin il y a impression, en sorte que la prétendue hallucination d'origine périphérique se rapproche plus de l'i
ion d'origine périphérique se rapproche plus de l'illusion que de l' hallucination . En résumé, dans tous les faits désignés sous l
on d'origine périphérique, il, s'agit de phénomènes différents de l' hallucination ; à des choses différentes, il importe, sous peine
mporte, sous peine de confusion, de donner des noms différents. A l' hallucination psychique seule, il faut réserver le nom d'hall
rents. A l'hallucination psychique seule, il faut réserver le nom d' hallucination ; à la pré- tendue hallucination d'origine péri
e seule, il faut réserver le nom d'hallucination ; à la pré- tendue hallucination d'origine périphérique qui n'a que les appa- re
lucination d'origine périphérique qui n'a que les appa- rences de l' hallucination , qui n'est qu'une psc2cdo-Ienllucivalion, qu'un
llucination, qui n'est qu'une psc2cdo-Ienllucivalion, qu'une fausse hallucination , il convient d'appliquer l'appellation de sensa
es excitants, quels qu'ils soient (pathologiques ou électriques). L' hallucination auditive, à la sup- poser fonction du centre au
meurs) ne sont pas celles qui donnent le plus souvent naissance aux hallucinations auditives. De même, celles dans la symptomatolo
s auditives. De même, celles dans la symptomatologie desquelles ces hallucinations tiennent une grande place (délire de persécutio
mparaison plus spécieuse et plus séduisante que vraie. En fait, l' hallucination auditive est un phénomène beaucoup plus ' compl
es multiples éléments corticaux (psychiques) dans la pathogénie des hallucinations . Qu'il s'agisse des hallucinations des mystique
ychiques) dans la pathogénie des hallucinations. Qu'il s'agisse des hallucinations des mystiques ou des persécutés, des hystéri- q
, que d'une façon secon- daire et, dans tous les cas, accessoire. L' hallucination n'est pas un simple délire des sensations, « c'
M. Régis rappelant les premières observations publiées par lui d' hallucinations unilatérales, rapporte une nouvelle observation
ons unilatérales, rapporte une nouvelle observation dans laquelle l' hallucination se produit en écho, s'exacerbe à l'oc- casion d
mènes que notre collègue décrivait comme autant de caractères d'une hallucination appartiennent, en réalité, à l'illusion. Voic
tée, que les bruits s'accroissent et se transforment. Est-ce là une hallucination vraie ? Il me semble diffi- cile de l'admettre.
r dire que la perception n'étant pas sans objet, il ne peut y avoir hallucination au point de vue clinique, cette différenciation
tion est de la plus haute importance. L'existence ou l'absence d' hallucination est un des plus précieux éléments de diagnostic.
chronique ou psychose systématique progressive a nécessairement des hallucinations de l'ouïe. Je crois que nous devons considérer
répéterai à ce propos la définition de Lasègue : l'illusion est à l' hallucination ce que la médisance est à la calomnie. M. PAR
nt sa vie d'épilepsie partielle et qui présentait en même temps des hallucinations de la vue et de l'ouie. Celles-ci se montraient
perception réelle, mais à une représentation \ sans objet. Dans les hallucinations , non seulement l'écorce, mais 216 SOCIÉTÉS SAVA
troublés. M. Karvinski a développé la théorie de Meynert ; dans les hallucinations psychiques, pseudo- hallucinations, ou hallucin
la théorie de Meynert ; dans les hallucinations psychiques, pseudo- hallucinations , ou hallucinations motrices, le malade n'entend p
rt ; dans les hallucinations psychiques, pseudo- hallucinations, ou hallucinations motrices, le malade n'entend pas ou ne voit pas
igent l'intervention de l'écorce et des centres sous-corticaux, les hallucinations psychiques, celles de l'écorce seule. MM.MARi
oNNET.Fatt clinique pour servir à l'étude anatomo- pathologique des hallucinations . Les auteurs s'appuyant sur une autopsie de dé
cessus antérieur, d'éré- thismes se traduisant tout d'abord par des hallucinations détermi- nées. A défaut de documents anatomo-cl
MM. Vallon et Marie. - Sur un cas de délire chronique religieux à hallucinations auditives et visuelles. - C'est l'observation d'u
. M. Séglas termine en résumant le débat. M. Vallon, parlant des hallucinations périphériques, a réclamé un nom à part, et propos
t SOCIÉTÉS SAVANTES. 217 pas ; on les pourrait confondre avec les hallucinations motrices étudiées par Séglas, dont elles diffèr
, qui décrit ensemble ces deux ordres de phéno- mènes sous le nom d' hallucinations psychiques. Celles décrites par Séglas correspo
secondaires, tout en reconnaissant les cas de Régis comme étant des hallucinations au sens de Tamburini. Il se refuse à admettre 1
t des difficultés d'en- tente en ce qui concerne la distinction des hallucinations d'origine périphérique et des illusions ou inte
et la séance après avoir soumis au Con- grès quelques curieux cas d' hallucination chez les amputés perce- vant leur membre absent
aintenus dans les hôpitaux ordinaires. M. le Dr RouBY cite un cas d' hallucination analogue à celui de ARCHIVES, 2° série, t. H. 1
très peu mar- qués. Pendant treize années, M11" X... est atteinte d' hallucinations de l'ouïe pendant le jour, et pendant la nuit e
jures et des accusations diverses; de plus, pendant la nuit, les hallucinations de l'ouïe se compliquent d'hallucinations du sens
lus, pendant la nuit, les hallucinations de l'ouïe se compliquent d' hallucinations du sens génital. En 1880, les hallucinations du
'ouïe se compliquent d'hallucinations du sens génital. En 1880, les hallucinations du sens génital cessent brus- quement, à la sui
angereux pour tout le monde. Ils peuvent, sous l'influence de leurs hallucinations , frapper le premier venu. En un mot, chez les p
écutés hallucinés, les violences sont surtout conditionnées par les hallucinations du moment. Ce fait a une importance pratique :
l'autre par l'évolution du délire, par l'absence ou la présence d' hallucinations , enfin par leurs actes ou plus exactement par les
ue... Jugement... Mémoire... Désirs... Affections... Illusions... Hallucinations ... Erreurs... ' (Voilà un cadre bien riche et q
oses épileptiques sont caractérisées par leur extrême violence, les hallucinations primitives, l'apparition brusque des symptômes
groupe est caractérisé, d'après Frankt-Honhwart, par l'apparition d' hallucinations terrifiantes, d'un état d'anxiété et de confusi
et à pronostic meilleur. Dans le troisième groupe prédominent les hallucinations ; le pronostic est favorable (psychoses chez de
e; 4° calme graduel, suspension des conceptions délirantes et des hallucinations de l'ouïe ; 5° extrême agitation, idées persistan
le tranchant bien délicats à mettre en oeuvre; s'il y a délire avec hallucination il faut se garder de le heurter de front, mais
plus guère que parmi les pauvres d'esprit. « Les idées fixes, les hallucinations sont partout, toujours, chez tous les hommes, p
t ; seulement ils ne le portent pas dans leurs corps; ce sont des hallucinations et des illusions d'une nature spéciale. 2° Démo
rent du dédoublement apparent, objectif des persécutés mystiques, à hallucinations dialoguées, ou idées de sens contraire. Chez ce
ent qu'elle est toujours leur. Ce n'est, en somme, qu'une variété d' hallucinations auditives, dialoguées. un écho de la pensée.
d'hallucinations auditives, dialoguées. un écho de la pensée. Les hallucinations psycho-sensorielles si importantes dans ces for
ter sur celui du centre audi- tif. Or, chez les persécutés types, l' hallucination visuelle est bien plus rare que celle de l'ouïe
mple, d'alcoolisme surajouté'. On verra par ce qui suit combien les hallucinations visuel- les, que nous avons en vue, diffèrent d
s aux anciens démonolàtres, le diable sentait le roussi, le soufre ( hallucinations olfactives). Il emportait à travers les airs ce
ubes et succubes (sensibilité génitale). Comme les précédentes, les hallucinations consolantes anta- gonistes paraissent prédomine
emple, en mains des tables où se lit une inscription. Ici encore, l' hallucination visuelle principale s'accompagne toutefois d'ha
ncore, l'hallucination visuelle principale s'accompagne toutefois d' hallucinations accessoires autres. C'est ainsi que certains vi
rler, n'être pas moins passifs que s'ils étaient dépourvus de tète ( hallucinations motrices). « Ils offrent cependant cette partic
de Balaam éga- lement 2. 3c période. (Théomanie.) - Au début, les hallucinations effrayantes de l'obsession démoniaque prédomine
antes de l'obsession démoniaque prédominent; mais avec le temps les hallucinations consolantes antagonistes se multiplient jusqu'à
riels et on peut leur appli- quer la théorie de M. Paul Garnier : l' hallucination (psycho- motrice dans l'espèce) surgit alors en
rte d'incarnation en eux, de possession divine, comme on l'a dit ( hallucinations motrices seules). Dans l'un et l'autre cas, il
mènes d'articulation mentale, sous le nom de voix, tout comme les hallucinations de l'ouïe. On peut obtenir parfois d'eux, des e
ez les monomanes religieux, dit Baillarger, qu'il faut chercher les hallucinations de la vue les plus compliquées. Chez eux l'imag
des visions de l'alcoolique, et, en quelque sorte, exclusives des hallucinations auditives avec lesquelles elles alternent. Jama
Très superstitieux, il a, la nuit, seul et en pleine campagne, une hallucination . Il voit devant lui un « esprit à forme humaine
», ceux qui sont sujets à des accès d'agitation sous l'influence d' hallucinations , d'idées de grandeur, etc., sont soumis au traite
trie, par Cramer, 139. Guérisons tardives, par "Chàtohn, 379. Hallucinations succédant à des or sessions et Idéc : , fixes,
10 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
resr : ei' ? ateiut pour la seconde fois (de' mélancolie aiguë avec hallucinations terrifiantes crisës'panopnbbiques et impulsions
' mental f'rêvètee encore quelques idées de persécution et quelques hallucinations si NOTE SUR UN.jCAS^DE^ FOLIEIURÉMIQUE. 7 ? d
ns, mais autrement' sain d'esprit, doit être- traité comme1' si ces hallucinations étaient des faits réels et sa conduite jugée en'c
n II. Meurtre. Obtusion mentale d'origine épileptique ; Impudicité, hallucinations ? violences. ' '` P. K. i-" - - 31. > '» .'
que hallucinatoire (%Vahnsinn) est une maladie caractérisée par des hallucinations sensorielles et des idées délirantes' sans trou
de conceptions délirantes cohérentes,- sont hantés de perpétuelles hallucinations sensorielles et d'idées délirantes dé- 64 SOCIÉ
hallucinatoire alcoolique est la principale. Il a pour facteurs les hallucinations de l'ouïe, et les idées de per- sécution. 11 dé
six semaines- dès lors marche traînante, cessation graduelle des hallucinations , réforme des idées délirantes = tout est terminé
natoire morphiaococaïniq21c a pour symptômes : des illusions et des hallucinations de l'ouïe, de la vue, de la sensibilité général
es idées de persécution hypocondria- ques simples et complexes. Les hallucinations et les idées'déli- rantes sont plus fréquentes
même chien au moment de la manifestation comitiale. M. Vallon. L' hallucination de mon malade était banale et n'avait aucun rap
eptique qui, bien qu'il ait été mordu par un chien, n'avait point l' hallucination visuelle du chien. · M. Vallon. L'acte de mon m
t bientôt un accès de délire se déclara avec le cortège ,habituel d' hallucinations et d'illusions d'origine toxique; au bout de tr
; son délire a totalement disparu en même temps que les différentes hallucinations . Dans la seconde , observation, il s'agit d'une
M. Ballet et fait ressortir la place considérable qu'occupent les hallucinations chez les premiers malades. Il appelle ensuite l'a
n, des anesthésies diverses, ce qui revient à susciter chez lui des hallucinations négatives, les excitations ne produisent plus l
10 les réflexes intrahypnoti- ques suivent un trajet cortical; 2° l' hallucination positive est une excitation presque analogue à
es deux procédés, est le même, c'est-à-dire une contracture; 3° une hallucination négative ne reste pas limitée à un lieu circons
3, nos 10 et 11.) III. UN cas DE folie systématisée RELIGIEUSE avec hallucinations PSYCHO-MOTRICES, orales ET graphiques ; par le
ique et au point de vue pathogénique. a. Les symptômes fondamentaux hallucinations sensorielles 140 " SOCIÉTÉS SAVANTES. idées d
mnambulique; activité psychique très intense, réponses très nettes; hallucinations spontanées ou par suggestion (scènes de toute n
nombreuses études cliniques sur la mélancolie avec stupeur, sur les hallucinations psychiques et psycho-sensorielles, sur la folie
iologique. 154 varia. Que dire de son remarquable mémoire sur les hallucinations , auquel l'Académie de médecine accorda le prix
es éléments utiles à leurs recherches. Les autres travaux sur les hallucinations sont aussi remarqua- bles, notamment son étude
l, dans laquelle les centres supérieurs cessant d'inter- venir, les hallucinations hypnagogiques deviennent le point de départ du
l'intuition des grandes découvertes qui ont suivi ces études. Les hallucinations psychiques, les hallucinations psychosenso- rie
rtes qui ont suivi ces études. Les hallucinations psychiques, les hallucinations psychosenso- rielles, le mode de production des
les hallucinations psychosenso- rielles, le mode de production des hallucinations hypnagogiques, l'automatisme cérébral, étaient
le certificat de vingt-quatre heures, une mélancolique simple sans hallucinations . On fut obligé de recourir aux renseignements q
ation. Il n'existait pas d'idées délirantes bien caractérisées ni d' hallucinations . La malade était assez docile et aidait le pers
s images auditives ou optiques. C'est dire que le siège central des hallucinations de la vue et de l'ouïe est ( désormais connu. C
t prises d'une agitation déréglée et maladive. Elles présentent des hallucinations de la vue, de l'ouïe, de la sensibilité général
ssionnelles, on est en r plein délire. La malade est en proie à des hallucinations qui la ravissent et la transportent dans un mon
tat maniaque d'autre nature. Mais dans ces cas, la prédominance des hallucinations visuelles, les caractères du délire qui est sur
e atteint d'idées de persécution, très étroitement liées ; il a des hallucinations de l'ouïe, des troubles de la sensibilité génér
our la première fois; son délire actif, souvent violent, est fait d' hallucinations multiples, mobiles, terrifiantes, se rapportant
malades atteints de folie alcoolique typique avec son délire et ses hallucinations carac- téristiques. En dix ans, on n'a reçu que
éléments dans les idées courantes de possession, et com- pliqué d' hallucinations du sens génital (l'association du délire religi
comme dans le délire à deux, les interprétations délirantes et les hallucinations des pre- mières. Ainsi, peu à peu, la folie hys
chaient évidemment les descriptions de leurs cauche- mars, de leurs hallucinations , de leurs visions obscènes, de leurs troubles v
notre pro- chain numéro.) sociétés savantes. 32 3 - < ' z Hallucinations oniriques DES dégénérés. - M. Régis. La rareté
Hallucinations oniriques DES dégénérés. - M. Régis. La rareté des hallucinations chez les dégénérés héréditaires, notamment chez
r des dégénérés mystiques. Voici les principaux caractères de leurs hallucinations . Ce qui ressort tout d'abord de leur examen, c'
ressort tout d'abord de leur examen, c'est que le plus souvent ces hallucinations ont lieu la nuit et durant le sommeil. ' On peu
omparables au rêve : c'est pour cette raison que je les ai appelées hallucinations oniriques ou hallucinations du rêve. Le secon
our cette raison que je les ai appelées hallucinations oniriques ou hallucinations du rêve. Le second caractère des hallucinations
ions oniriques ou hallucinations du rêve. Le second caractère des hallucinations mystiques, c'est d'être intermittentes, de ne s
emaines, quelquefois même de plusieurs années. En quoi consiste l' hallucination onirique ? C'est un ensemble " d'hallucinations
En quoi consiste l'hallucination onirique ? C'est un ensemble " d' hallucinations , une sorte de scène hallucinatoire suivie, cohére
us étroit; il y a possession, incarnation, etc. Ainsi, les diverses hallucinations de la vue, de l'ouïe, du tou- cher, du goût, de
es sens indique assez que les hallu- ' cinations oniriques sont des hallucinations psycho-sensorielles et non de pures représentat
s représentations mentales. Il n'est pas nécessaire de dire que les hallucinations oniriques ne sont pas exclusives aux dégénérés.
genre peuvent 324 SOCIÉTÉS SAVANTES. s'appuyer sur l'existence d' hallucinations simulées de ce genre, dans l'espérance d'être d
ère, en 1892, dans le service de Charcot, un cas d'hémianopsie avec hallucinations dans la partie abolie du champ visuel chez une
is- sance complète. Pendant ces absences, la malade éprouvait une hallucination singulière. Elle apercevait tout à coup, dans la
rmanente. D'autre part, le scotome scintillant est généralement une hallucination hémiopique. Dans la plupart des observations du
ation hémiopique. Dans la plupart des observations du même genre, l' hallucination visuelle, remarquable par sa précision et par l
de vous relater est la première, à ma connaissance, dans laquelle l' hallucination se soit manifestée sous la forme d'une épilepsi
nature variable. M. Bonnet (de Saint-Robert) lit une élude sur les hallucinations synesthéliques, ou phénomènes de sensations fau
cercle, grands mouvements peu accentués, attitudes pas- sionnelles, hallucinations et délire, sur lesquels nous reviendrons. La ma
émancipation. Et dans la période délirante de son attaque, c'est l' hallucination visuelle du gendarme qui forme le pivot de tout
it la vision de son gendarme à sa juste valeur, comme une véritable hallucination , upe idée obsédante moins fausse, cette fois, e
aque, stupide, systématique ou pseudo-systématique, dans lequel les hallucinations jouent un rôle prédominant avec les obsessions.
ce texte et des actes en rapport avec lui, tantôt avec, tantôt sans hallucinations sensorielles ou du moins ces hallucinations peu
antôt avec, tantôt sans hallucinations sensorielles ou du moins ces hallucinations peuvent n'être qu'esquissées. Chronique s'il en
bstratum de la faiblesse intellectuelle et l'importance extrême des hallucinations . Dans ces trois groupes, en dehors des épisodes
ode maniaque qui pour lui fait par- tie de la paranoïa aiguë et les hallucinations , Le délire systématique hallucinatoire aigu est
Le délire systématique hallucinatoire aigu est une folie aiguë à hallucinations dont la teneur et le groupement par rapport au
ne puisse en imposer par l'exagération de l'activité mentale et des hallucinations pour une confusion mentale véritable. L'évoluti
llucinatoire aiguë entre en convalescence par la dé- croissance des hallucinations et des illusions; la confusion mentale, au cont
t délirant n'est pas une condition sinequa non pour l'existence des hallucinations tactiles, est rangée par l'auteur dans la névro
-ilish JIccl. Joziriz., 2 juin 1894.) A. Marie. XXXIV. SUR UN cas d' hallucinations motrices verbales chez UNE paralytique générale
sie générale qui, au cours d'une période de rémission, présenta des hallucinations motrices verbales. Ces hallucinations, qui durè
de de rémission, présenta des hallucinations motrices verbales. Ces hallucinations , qui durèrent pendant plus d'une année, coïncid
de persécution, mais sans systématisation. Plus tard survinrent des hallucinations visuelles, auditives, gustatives, etc. A l'auto
ées de grandeur et hypocondriaques), les autres provo- qués par les hallucinations motrices verbales (délire de persécu- tion), ou
ices verbales (délire de persécu- tion), ou par l'ensemble confus d' hallucinations de tous les sens (état de confusion ayant quelq
auto-observation ; par Fn. FucHs. (Nezzrol. ( : elzti·al6l., 1893.) Hallucinations hypnagogiques ainsi décrites par l'auteur qui est
e encore plus prudent en pareil cas. Il faut ici peser la forme des hallucinations sensorielles, sur-' tout quand elles visent cer
upçons. Interprétations délirantes. Illusions. Deuxième période : Hallucinations de l'ouïe ; sa progres- sion croissante : monol
rogres- sion croissante : monologue, dialogue, écho de la pensée, hallucination psychomotrice. Hallucinations du goût , de l'od
onologue, dialogue, écho de la pensée, hallucination psychomotrice. Hallucinations du goût , de l'odorat, de la vue. Troubles de l
réaction. Observation I. Délire chronique à la deuxième période : Hallucinations de l'ouïe : c'est le Parisien qui la poursuit.
lire chronique à la deuxième période : Développement croissant de l' hallucination de l'ouïe : mono- 1 Voir Archives de Neurologie
sses. Observation IV. Délire chronique à la troisième pé- riode : Hallucinations . Idées ambitieuses systématisées. Quatrième pér
enèse insensible de l'interprétation délirante et de l'illusion à l' hallucination de l'ouïe; et avec celle-ci, il est entré dans
est entré dans la deuxième période du délire chronique, celle des hallucinations multiples de nature pénible, des troubles de la
mme l'ont été ses lectures, ses écrits, ses pensées. En résumé, l' hallucination de l'ouïe, trouble sensoriel secon- daire, né s
on n'a frappé dans ce cas qu'un seul hémisphère. Parfois encore l' hallucination est bien bilatérale, mais elle se montre avec des
montre avec des caractères différents suivant le côté affecté ; les hallucinations 438 CLINIQUE MENTALE. pénibles cantonnées d'a
ire se transformeet que se développent dans l'oreille opposée des hallucinations agréables. Ici chaque hémisphère agit séparé- m
séparé- ment pour son propre compte. A côté de ces modalités de l' hallucination de l'ouïe, prennent place des troubles spéciaux
ce des troubles spéciaux, moins sensoriels que psycho- moteurs, les hallucinations psychiques ou motrices verbales : c des voix in
on du centre auditif cortical (Baillarger, Séglas, Ribot). Si les hallucinations auditives ne font jamais défaut dans le délire
utres troubles sensoriels. Assez souvent, en effet, se montrent des hallucinations du goût, de l'odorat : les malades se plai- gne
se dans leurs boissons, des odeurs empestées qu'on leur envoie. Les hallucinations de la vue sont rares en dehors de toute complic
de la sensibilité générale s'allient, surtout chez les femmes, des hallucinations génitales. DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHO
implanté dans son esprit. Illusions, interprétations délirantes, hallucinations de l'ouïe, troubles de la sensibilité générale,
ans; première période d'une durée de trois ans; deuxième période : hallucinations de l'ouïe, systématisation rapide; c'est le par
e fait, elle est amenée à l'infir- merie du Dépôt. A l'asile, les hallucinations persistent; le Parisien lui parle sans cesse, l
riode de trois ans. Deuxième période : développement croissant de l' hallucination de l'ouïe; monologues, dialogue, écho de la pen
Anne le 6 novem- bre 1892, à quarante-neuf ans. A l'asile, ni les hallucinations , ni les troubles -de la sensibilité générale ne
propagation. Interrogée à plusieurs reprises sur la véracité de ses hallucinations , elle répond un jour : «J'aurais le cou sous la
(Foville), qu'elle soit le produit d'un accident fortuit ou d'une hallucination révélatrice; qu'elle soit plutôt l'extériorisatio
ire qui aurait duré trois à quatre jours, accompagné de fièvre et d' hallucinations visuelles en rapport avec son agression nocturn
nn (1862) est une maladie men- tale, prenant naissance à la suite d' hallucinations sensorielles, d'interprétations et d'impulsions
t la forme chronique de la Paranoïa, dans la genèse de laquelle les hallucinations jouent le premier rôle, bien que, comme il le d
lques cas rares, les idées déli- rantes s'organisent en l'absence d' hallucinations sensorielles, et envahissent à ce point la pers
dérangée (verrùckt) doive être tenu pour tout à fait analogue à l' hallucination sensorielle, et considéré comme un élément tout
eptuel qui, indépendamment des éléments anormaux pro- duits par les hallucinations , parfois absentes du reste, fabri- que de toute
nts. Enfin la même maladie peut commencer par une brusque poussée d' hallucinations , principalement de l'ouïe. Quoi qu'il en soit d
importance et accepte ces chimères comme vraies. En même temps les hallucinations sensorielles, qui ne sont dans aucune psychopat
ou chroniques. Les types aigus auraient pour facteur principal les hallucinations . Il y rattache aussi la forme originelle de San
a part extrêmement importante et juxtaposée du délire (Wahn) et des hallucinations sensorielles (Sinn). Mais il faut ajouter chroniq
l, apparaît la netteté du délire systématisé chronique; le rôle des hallucinations et des idées délirantes de grandeur et de persé
drent surtout les formes aiguës, ce qui est bien vague, puisque les hallucinations , quand elles arrivent par poussées, pro- voquen
nts la conception délirante de gran- deur ou de persécntion, et les hallucinations , sont plus ou moins cohérents. On les exprime p
le), il faut entendre une maladie ayant pour symptôme essentiel les hallucinations qui provoquent le délire. Il est indubitable qu
ents morbides tels que l'agi- tation, l'angoisse, l'excitation, les hallucinations sensorielles, les illusions, les obsessions, le
hopathies tout à fait différentes; c'est ce qui se produit pour les hallucinations et les idées de persé- cution dans la mélancoli
irantes, ou bien, tout à coup, en pleine santé, gronde un torrent d' hallucinations sensorielles, de l'ouïe notamment, qui donnent
in. D'ailleurs, chez ces déments, ou plutôt chez ces dégénérés, les hallucinations se 1 Blmdsinn signifie aussi et désigne aussi l
oin leur délire et le système qu'ils ont échafaudé, ainsi que leurs hallucinations et leurs illusions, ou bien ils s'arrangent de
certain degré ? Le nom qui précède est-il justifié ? En dehors des hallucinations qui provoquent la variété hypo- condriaque, il
maladie, les malades, en pleine lucidité, se plaignent de brusques hallucinations de l'ouïe auxquelles ils résistent, tout comme
elles ils résistent, tout comme les obsédés à leurs obsessions. Ces hallucinations peuvent persister longtemps, pendant des années
inalement les malades succombent, ils croient à la réalité de leurs hallucinations et c'est alors que naît le délire fixe des persé-
risonniers, condamnés à la réclusion en cellule, qui débute par des hallucinations isolées de l'ouïe. , On sait que, quand dans un
e. , On sait que, quand dans un complexus morbide prédominent des hallucinations d'un sens, elles donnent le ton au délire et peu-
ester ainsi isolées et uniformes, que l'accumulation de plu- sieurs hallucinations sensorielles aggrave le pronostic et préci- pit
mence confuse, que la même chose se produit quand survien- nent les hallucinations psychiques de Baillarger qui font croire aux ma
oisse, succède une agitation ma- niaque progressive ; en même temps hallucinations accompagnées de délire suraigu dans lequel on d
ndant qu'apparente, les conceptions délirantes prennent racine, les hallucinations sensorielles persistant, puis elles disparaisse
nt mal, et qu'ils persistent à développer grâce à la complication d' hallucinations prises pour des réalités; ainsi se forment des
a démence confuse (demenlia co71fitsa); il suffit pour cela que les hallucinations sensorielles subsistent et se développent. Enfi
rs cas de mélancolie hypocondriaque, de mélancolie et de manie avec hallucinations sensorielles, il est extrêmement difficile de t
aut de beaucoup que ce soit toujours) en rapport avec de nombreuses hallucinations de plusieurs ou de tous les sens. Quand les hal
mbreuses hallucinations de plusieurs ou de tous les sens. Quand les hallucinations sensorielles collaborent à la confusion mentale
nées, qui disparaissent aussi brusquement qu'elles sont venues. Les hallucinations vont et viennent de la même façon tandis que le
llusions des malades de ce genre, illusions souvent antérieures aux hallucinations sensorielles, et leur déso- rientation ; incapa
e ces trois complexus ont des symptômes dont la genèse est connexe ( hallucinations sensorielles-idées délirantes incohérence) et q
n'a, à mon sens, rien de commun avec la paranoïa, si ce n'est les hallucinations et l'agitation, mais ces deux éléments morbides n
n morale extrêmement vive ou bien éclatent sans motifs connus : les hallucinations manquent alors rarement, souvent elles sont le
de persécution ou de grandeur qui ne tardent pas à se mélanger. Les hallucinations jouent ici fréquem- ment un rôle, mais pas touj
t qui procèdent surtout par création de conceptions délirantes et d' hallucinations sensorielles, il y a des formes de transition.
e est exactement délimité, sans l'intervention de quelques idées et hallucinations diffuses, avec appréciation nette des choses et
re a pour cause évidente bien souvent la nature des Conceptions et ( hallucinations mobiles. Mais aussi, au début' comme plus tard,
rmes, par Jeu- drassik, 314. Folie systématisée religieuse avec hallucinations psychomotrices, par Régis, 120; deux cas remarq
fiée,par Andriezem, 481. Guérison prétendue miraculeuse, 432. Hallucinations oniriques des dégé- nérés, par Régis, 323 ; mot
asthénie, acci- dents de chemin de fer, etc., par Badal, 40, avec hallucinations dans la partie abolie du champ visuel, par La
ar OEbeke, 103; par Ma- gtiati et Sérieux, 19; par E. Kundt, 404; hallucinations mo- trices verbales dans la -, par Sérieux, 4
11 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
trace lumineuse (1). De là les illusions, et peut-être la plupart des hallucinations . Mais n'anticipons point sur l'avenir. § ». Des
es au point d'égaler les impressions du monde réel, ont reçu le nom d' hallucinations . Un quatrième état est celui de l'extase, état
e l'extase, état encore mal défini, mais qui se distingue de l'état d' hallucination et de sommeil par des troubles singuliers de la s
ans l'état de veille. 2. Dans l'état de sommeil. 3. Dans l'état d' hallucination . 4. Dans l'état d'extase. § 3. De l'état «le
Dyce d'Aberdeen, cité par M. Brierre de Boismont dans son Traité des hallucinations . Consult. Schrœder Van der Kolk dans Fabius. Spec
e puissance des rêves peut aller au point de déterminer au réveil des hallucinations réelles. Ce fait est, entre mille exemples, attes
lucinations réelles. Ce fait est, entre mille exemples, attesté par l' hallucination de Spinosa, hallucination dont un songe fut le po
it est, entre mille exemples, attesté par l'hallucination de Spinosa, hallucination dont un songe fut le point de départ. L'objet fan
ge fut le point de départ. L'objet fantastique de ce rêve et de cette hallucination était, comme on sait, un Bra-silien, grand, maigr
Boerhaave semble l'affirmer. Personne, dit-il en faisant allusion à l' hallucination de Spinosa, n'a pensé peut-être à un homme à la f
durer à son gré. Cet exercice est d'ailleurs dangereux et dispose aux hallucinations ; on ne doit par conséquent s'y livrer qu'avec ré
ésigne sous le nom de demi-sommeil, ont été confondus à tort avec les hallucinations (2). Mais si le rêveur en s'éveillant complètemen
lant complètement garde cette idée présente, le rêve se change en une hallucination réelle. Quand les images sont formées, elles so
il de lumière. (2) M. Maury, dans un travail remarquable, les nomme hallucinations hypnagogiques. Ce sont, à proprement parler, des
ur me servir d'une expression employée par M. Baillarger au sujet des hallucinations (1). Ainsi rêver n'est pas seulement imaginer, pu
t. i. Ce seront là des songes qu'on pourra, à bon droit, comparer aux hallucinations psycho-sensorielles de M. Baillarger. Tout en par
idées de ce savant auteur, nous croyons qu'il faut réserver le nom d' hallucination exclusivement aux phénomènes de la veille, et à c
ivement aux phénomènes de la veille, et à cette expression consacrée, hallucinations du sommeil, on substituerait heureusement celle d
êves psychiques, c'est-à-dire des pensées du sommeil. Baillarger, Des hallucinations (Mémoires de l'Académie de Médecine. Paris, 1846,
ce qui établit une différence très-remarquable entre les rêves et les hallucinations . Ils sont plus fréquents en tant qu'ils ont pour
DE L'IMAGINATION DANS L'ÉTAT PATHOLOGIQUE. § f. État île veille. — Hallucinations . Nous donnerons exclusivement le nom d'hallucin
île veille. — Hallucinations. Nous donnerons exclusivement le nom d' hallucinations à des sensations qui se développent sans cause ex
loppent sans cause extérieure adéquate, pendant l'état de veille. L' hallucination existe à deux degrés : 1° Elle est complète, qu
jets réels des qualités qui leur sont étrangères. La première est une hallucination essentielle. La seconde est une hallucination qua
es. La première est une hallucination essentielle. La seconde est une hallucination qualitative. 1° Des hallucinations essentielles
n essentielle. La seconde est une hallucination qualitative. 1° Des hallucinations essentielles. On peut les distinguer en tant qu
es distinguer en tant qu'elles sont primitives ou consécutives. Les hallucinations primitives du goût et de l'odorat sont assez rare
dée sous l'influence du principe d'association. 11 en est de même des hallucinations (1) Conclusimus indè, cœeum a nativitate posse
reille ce mot : Adieu ! Il est bien évident que dans ces deux cas l' hallucination s'est développée sous l'influence du principe d'a
nation s'est développée sous l'influence du principe d'association, l' hallucination est ici consécutive. Il en est de même de ces h
tion, l'hallucination est ici consécutive. Il en est de même de ces hallucinations du toucher qui se produisent à l'occasion de fray
i vous tourmentent quand on entend parler d'insectes parasites. Les hallucinations primitives des sens du toucher sont beaucoup plus
ge ne nous permettent aucune prolixité. Nous parlerons maintenant des hallucinations de ces sens, que l'on pourrait appeler, à bon dro
ur corps, si je puis ainsi dire, un son ou une forme imaginaire. a. Hallucinations de l'ouïe. De toutes les hallucinations, ce sont
ou une forme imaginaire. a. Hallucinations de l'ouïe. De toutes les hallucinations , ce sont les plus fréquentes. Elles sont en génér
fréquents, tandis que dans l'ordre des phénomènes diurnes ce sont les hallucinations de l'ouïe qui dominent. Serait-ce que pendant la
penser qu'une des conditions les plus favorables au développement des hallucinations est l'absence d'un excitant extérieur. Mais cette
e de bien déterminer ici quel sens nous attachons à cette expression, hallucinations de l'ouïe. Cela est d'autant plus nécessaire qu'i
ne laisser aucun doute, nous déclarons donner exclusivement le nom d' hallucinations de l'ouïe, aux sensations auditives qui se dévelo
d'Eustachi; ces bruits, quoique intérieurs, ne constituent point des hallucinations , parce qu'ils sont réels, et la perception n'est
se extérieure au corps, est erroné. Or, qui pourrait confondre avec l' hallucination un jugement erroné? Ainsi, cette catégorie d'hall
dre avec l'hallucination un jugement erroné? Ainsi, cette catégorie d' hallucinations sensoriales, acceptée par quelques auteurs, me pa
araît devoir être complètement rejetée. 11 n'y a pour nous d'autres hallucinations que les sensations auditives qui se développent e
d sa vertèbre auditive fait partie d'un arc galvanique, n'a point une hallucination , parce qu'il y a à cette sensation une cause conn
t pas l'habitude des questions psychologiques. Il n'y a donc d'autres hallucinations de l'ouïe que celles qui ont le cerveau pour poin
tégories bien distinctes. A la première catégorie se rattachent ces hallucinations qui sont en contradiction avec le mouvement des p
nt des pensées dont l'esprit est préoccupé. La seconde comprend les hallucinations dans lesquelles la pensée elle-même se transforme
dont elles sont revêtues sont subtiles et raréfiées. Cette forme d' hallucinations dont on a de nombreux exemples est fort anciennem
me? Nos souvenirs sont-ils autre chose que des idées? Telles sont les hallucinations psychiques des modernes (1). Les hallucinations
es? Telles sont les hallucinations psychiques des modernes (1). Les hallucinations auditives de la seconde catégorie dépendent cle p
ent expliquer ces phénomènes ? On aura beau dire et beau faire, les hallucinations de cette catégorie n'ont point d'explication actu
des hallucinalions psychiques, qu'il distingue très-heureusement des hallucinations auxquelles les sens participent. Je ne puis mieux
s beaux qui aient jamais été écrits sur ces matières difficiles. —Des hallucinations , chap. il. Dans les mémoires de l'Académie de Méd
iquer les principales causes, sans oser y prétendre absolument. b. — Hallucinations de la vue. Les hallucinations de la vue, envisagé
sans oser y prétendre absolument. b. —Hallucinations de la vue. Les hallucinations de la vue, envisagées dans leurs rapports avec le
n qu'on ait perdu la vue. Nous donnerons à cette première catégorie d' hallucinations , le nom à?hallucinations nocturnes. D'autres on
res lueurs du soir. Nous donnons, à cette seconde catégorie, le nom d' hallucinations crépusculaires. Une troisième catégorie compren
hallucinations crépusculaires. Une troisième catégorie comprend des hallucinations dont l'objet n'apparaît qu'au grand jour, lorsque
que les yeux sont ouverts et sous l'influence d'une vive lumière. Ces hallucinations , les plus intéressantes de toutes, sont les hallu
mière. Ces hallucinations, les plus intéressantes de toutes, sont les hallucinations diurnes. Les hallucinations nocturnes à certain
plus intéressantes de toutes, sont les hallucinations diurnes. Les hallucinations nocturnes à certains égards se rapprochent des rê
à-dire dans une sorte dé sommeil partiel dont l'œil est le siège. Ces hallucinations ont dans la plupart des cas une forme toute parti
antes et lumineuses. Ces têtes grimaçantes sont fréquentes dans les hallucinations nocturnes. Souvent elles composent une voûte viva
ai appris de plusieurs personnes qu'elles avaient eu cette singulière hallucination . J'ai éprouvé autrefois l'hallucination suivant
avaient eu cette singulière hallucination. J'ai éprouvé autrefois l' hallucination suivante. Une nuit, presque étouffé sous l'étrein
multitude de rosaces lumineuses. Cette décomposition des objets de l' hallucination au moment où elle s'éteint est fréquente. Le libr
les ténèbres absolues, mais ils sont la forme la plus habituelle des hallucinations crépusculaires. Celles-ci sont extrêmement fréq
âtre et balayait la maison (1). C'est encore dans cette catégorie d' hallucinations crépusculaires, que doit être rangée la fameuse v
des formes diverses, éclaire les hommes sur l'avenir (1) ? Les deux hallucinations dont nous venons de parler sont fort complexes. D
vais génie. Citons des exemples plus modernes. M. Chevreul a eu une hallucination de ce genre, mais beaucoup moins complète; cette
eu une hallucination de ce genre, mais beaucoup moins complète; cette hallucination a été racontée par M. Michéa, mais, d'après des r
M. Chevreul, j'aurais pu croire à une apparition réelle. Toutes ces hallucinations ont un caractère commun qui les distingue de la p
cinations ont un caractère commun qui les distingue de la plupart des hallucinations nocturnes. Celles-ci, avons-nous dit, flottent de
ous dit, flottent devant les yeux comme des phosphènes ; l'objet de l' hallucination crépusculaire, mêlé aux objets extérieurs, semble
de ceux-ci pourraient-elles modifier la conviction de celui-là? Les hallucinations crépusculaires sont très-fréquentes parmi des gen
Lenglet-Dufresnoy. Recueil de dissert. T. II, part. 1, p. 251. Les hallucinations diurnes ont plus d'un point de ressemblance avec
s hallucinations diurnes ont plus d'un point de ressemblance avec les hallucinations crépusculaires; mais celles-ci offrent aux yeux d
aire enveloppés de lumière, brillants de vie et de réalité. Parmi les hallucinations de ce genre, il en est de fort célèbres, telle fu
grande partie rendue crédule. On doit remarquer que la plupart des hallucinations nocturnes ou crépusculaires ont pour objet des fa
n'est point suspendue ; et c'est précisément là ce qui distingue les hallucinations , des rêves de l'extase. Souvent dans l'extase les
térieurs cessent d'être aperçus. De quelques formes particulières d' hallucinations diurnes. Dans la plupart des cas il suffit de l'i
que par un seul œil. C'est là ce que M. Mi-chéa désigne sous le nom d' hallucination dédoublée. Un jeune épileptique, au moment de l
e fait. Il est curieux que dans certains cas, où il y a à la fois des hallucinations de la vue et de l'ouïe, les hallucinations affect
s, où il y a à la fois des hallucinations de la vue et de l'ouïe, les hallucinations affectent l'œil d'un côté du corps, et l'oreille
nous d'y revenir ailleurs. Parmi les formes les plus remarquables d' hallucinations visuelles, il en est une fort bizarre à laquelle
f. 1613, lib. Il, cap. u, p. 207. Cette vision de soi-même dans une hallucination est un phénomène assez rare. Un des cas les plus
e, cette bizarre apparition disparut (2). Goethe raconte avoir eu une hallucination semblable. Cette forme est d'ailleurs assez fréqu
alogues à celles-ci, mais ce n'est pas ici le lieu d'en parler. Les hallucinations sont essentiellement des phénomènes individuels ;
différent des hommes qui l'entourent. Mais dans certains cas la même hallucination affecte plusieurs individus. D'autres fois, assur
vidus. D'autres fois, assure-t-on, ce qui est pour l'un l'objet d'une hallucination ou d'un rêve, peut affecter en même temps, et sym
temps, et sympathiquement, un autre individu. Les premières sont les hallucinations simultanées. Les autres peuvent être justement no
nt nommées, si toutefois elles ne résultent d'une simple coïncidence, hallucinations sympathiques. 11 y a dans l'histoire un exemple
ucinations sympathiques. 11 y a dans l'histoire un exemple fameux d' hallucination simultanée. « Le rhéteur Emilianus, dit Plutarque
nnaire des sciences médicales un fait aussi curieux qu'inexplicable d' hallucinations simultanées (2), et un romancier, qui s'est acqui
voyait pendant la nuit (3). Je ne citerai ici qu'un seul exemple d' hallucinations sympathiques, et cet exemple, je l'ai choisi entr
révélation partielle de l'avenir. Elles affirment donc que certaines hallucinations peuvent enfermer des avertissements utiles ; ains
r des avertissements utiles ; ainsi, comme éléments prophétiques, les hallucinations vont de pair avec les songes. On peut certainem
ntastique ; mais, vraies ou fausses, ces prophéties ont pour base des hallucinations visuelles et auditives. Je ne puis pour le moment
our tenir avec assurance la balance de la critique scientifique. 2. Hallucinations qualitatives. Nous désignons sous ce nom les ha
e. 2. Hallucinations qualitatives. Nous désignons sous ce nom les hallucinations dans lesquelles l'âme prête à un être réel qu'ell
e des qualités qui lui sont étrangères. Les psychiatres donnent à ces hallucinations le nom d'illusions; nous croyons que celui que no
exprime et définit plus nettement l'essence du phénomène. Ce genre d' hallucinations , impliquant un moins (1) Laharpe. Œuvres posthu
es posthumes, Paris, 1806, T. 3, p. G2. Cl'. Brierre de Boismonl; Des hallucinations , p. 290. grand nombre de conditions, est le plu
se voyait à chaque pas menacé d'être brisé en éclats. Ce sont là des hallucinations qualitatives qui ont pour objet le sujet même qui
des révélations des choses éloignées. Ainsi dans le sommeil, dans les hallucinations , dans l'extase, la même question reparaît toujour
osés. Si des convulsions, si des poisons produisent des songes, des hallucinations et des visions, si réellement l'imagination peut
ns réelles. L'idéal se confond alors avec le réel ; des songes et des hallucinations se produisent. M. Baillarger (1) a essayé, fort
elon moi, d'expliquer cette différence en faisant intervenir dans les hallucinations un élément sensoriel. Cette manière de voir, autr
destruction des organes extérieurs des sens, il peut se produire des hallucinations très-vives. Ce n'est donc pas dans ce cas l'organ
c les couches corticales sont capables d'affecter sympathi- (1) Des hallucinations , dans les Mémoires de l'Académie de médecine, Par
ieux en apparence ou, pour me servir d'une expression de M. Michéa, l' hallucination est dédoublée. Quand, par exemple, un homme a d'u
ucination est dédoublée. Quand, par exemple, un homme a d'un côté des hallucinations de la vue, et de l'autre des hallucinations de l'
un homme a d'un côté des hallucinations de la vue, et de l'autre des hallucinations de l'ouïe, il suffirait, pour expliquer ce phénom
re opposer à cette hypothèse ce fait singulier qu'un homme, qui a des hallucinations de l'ouïe, par-exemple, n'est le plus souvent hal
ent que les autres. Ainsi, plus l'idée est nette et précise, plus l' hallucination est proche, mais elle n'est possible que par ce c
y en a une dans les songes, et si en outre les conditions propres à l' hallucination se produisent, pourquoi, d'un tourbillon de pensé
de quelque chose de plus précis, savoir de ces cas de dédoublement d' hallucinations dont on a de si nombreux exemples. Dans ce cas
ée pourra n'avoir subi en elle-même aucun trouble, mais il y aura des hallucinations dédoublées, c'est-à-dire manquant de symétrie; da
as, il y aura à la fois trouble dans la pensée et divergence dans les hallucinations . Peut-être y aurait-il une véritable utilité à
ou tard la solution. On pourrait se demander peut-être si certaines hallucinations n'auraient pas pour cause première des modificati
es et effrayantes; mais il s'agit ici d'un faux jugement et non d'une hallucination réelle. Ainsi l'erreur dans ce cas vient du cerve
cerveau, mais si la raison n'y met ordre, elle peut se changer en une hallucination véritable. Ainsi nous persistons à croire que les
rsistons à croire que les idées sont le point de départ de toutes les hallucinations . Mais ce résultat suppose nécessairement un certa
ut accident du délire ou de la folie propre-« ment dite, idées fixes, hallucinations , irrésistibilité des « impressions, tirent leur o
out entier peut à son tour participer comme cause à la production des hallucinations , des rêves et des idées fixes, en entretenant une
i se développent dans ces cas où certaines conditions, favorables aux hallucinations et aux rêves, sont réalisées. Cette vérité, bie
ntes, tandis que les excitations idiopathiques engendrent surtout des hallucinations . Dans le premier cas, l'automate entraîne l'espri
yeux d'un homme éveillé; images dont un pen plus de durée ferait des hallucinations véritables (1). La raison, au contraire, est un
n'atteignent à leur summum d'énergie que dans le sommeil ou clans les hallucinations , elles ne déterminent que des réactions faibles,
empérament des individus, des spasmes cataleptiques, de l'extase, des hallucinations et des songes, et dans certaines circonstances un
étique est un fait incontestable. Ce somnambulisme a ses rêves et ses hallucinations . D'ailleurs le somnambule manifeste souvent une l
s au point de créer de toutes pièces des sensations énergiques dans l' hallucination . On pourrait donc soupçonner que c'est du centre
éveloppement excessif l'activité de cette faculté et la fréquence des hallucinations dans l'homme. 4. Cette division des hémisphères
l'imagination dans l'état pathologique. 523 § 1. État de veille. — Hallucinations ............... ib. § 2. État d'extase. — Vision
12 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ce, mais "-au 'moment'1même' des i- troubleà, a ilsit n'ont pas d' hallucinations ,Lils ! ne' voient' ni' n'entendent, ! mais ils
ées absurdes et folles et qu'elle -ne peut^ surmonter; jamais^ Ij d' hallucinations .' Quand, pour la 'première fois, là maladie écl
nce, 'elles cotisti- a 1 1 1 . 1 ,, 1 't 'n ! 1 1 a it- tuent les hallucinations compatibles .avec ,la, raison, question élucidé
ajoutent. L'intelligence se trouve alors doublem'ent mutilée et les hallucinations ¡ 1 t( -i l '' - 1 < apportent avec elle u
¡ L 1 " UL14,U(1, ? ` ? t Observation XVIII. Hérédité paternelle. Hallucinations (1c' la' vue'' et de l'ouïe avec conscience ? O
, toutefois, la perception/ nette de-sa situation ? elle avoue ides hallucinations de la vue et de l'ouïe de naturetreligicuse et
alimentait ,de plus en plus difficilement. Elle disait obéir à, des hallucinations , de l'ouïe, dont-, elle, reconnaissait, la natu
té au dire de la famille. . Mariage disproportionné quant et l'âge. Hallucinations - -. de l'ouïe avec conscience. Idées lpénaniaq
t 8r ' * pathologie- mentale. yl ? itr'1;3. : r conscience.de' ses. hallucinations ;» d'ailleurs, Jajdemir consciencesuppose- touj
Ir. "'II Ji.JJ" ? J("J'-t '1'-\ J'('Jlttld.' ;; confiance, dans ses hallucinations ? Jamais.je,n'lai, colis ? taté l'état^'inverse
sa" maladie'.men t.l[} j de nombreuses tentatives de suicide. Les hallucinations de l'ouïe \"ILHII1'-t I 4(ftL11( nt"d" : v .4 ?
coÏmait'que, sa place est ! hien dansltin asile,' mais elleJ3a Ides hallucinations , de la vue et de l'ouïe aux- quelles elle croit
on des,l,tl'Ól,lblesp' consci ! 1nts., etît.t ? ¡/]W -t, partie des hallucinations PÇlI'I es ! A4/.c<c<<OH)'a ? [rq. ftJ4
: IfÎ'q : , 1-IT ? 'ouGles.i psychiques , S911s ? îi¡ : : lïiJÏ. . Hallucinations , conscientes, de la ? dé l'ouïe, deliusensibilité
ents. z Jirrf ? ' ,1 '.('"n) ? ( ? HIll 1'" 1...- : r IJ or"" / ? Hallucinations conscientes de la vue, de / o;<, de La sensibi
ltBrierede ? Boism9ntlJetQson lécole,eJlëj seraiti la source de,- l' hallucination ? loin d'être fille de,là7raigdii,l 1 JO, . e
résultat. S.'L^.-iy.i 8-)t) ëiOOUnUp aonpilflincq aadol «oh 4^L hallucination . est, de. tous les éléments.. du délire celui q
parfaite. existe avec, .des troubles sensoriels isolés, il s'agit d' hallucinations J¡ compatibles avec larraison. «rmm^.),) ,1 If
dérées comme sujets d'expérience en médecine mentale. (Illusions, \ hallucinations , impulsion., irrésis- SOCIÉTÉS ? SAVANTES. il 2
impressionner le ,¡ ujeL par voie de suggestion et de provoquer des hallucinations , des impulsions automatiques. Sous l'influence
membres'font place à'des mouvements coordonnés en rapport avec l' hallucination ; quand la suggestion a cessé, le sujet redevient
toute . idée T,dej simulation. Ajoutons que, pendant la durée de l' hallucination visuelle, la sensi- bilité, générale de l : oe,
raux; qllCz, P... : ,1 pal : exemple, sitôt, qu]on a .développé une hallucination visuelle, la sensibilité des membranes externes
Ch. Féré. Mouvements de la pupille et propriétés du prisme dans les hallucinations provoquées des hystériques. [Société de Biologie,
liqués. Notons que l'on peut encore, pendant cet état, suggérer des hallucinations persistantes qui durent après le réveil, et don
il, et dont la réalité est mise en évidence par ce fait que, dans l' hallucination visuelle, on peut dédoubler l'image fictive en
t dans l'état de somnambulisme provoqué 1 que l'on peut étudier les hallucinations persistantes et complexes parce que les sens so
me provoqué, on peut suggérer à l'hypno- tique des illusions ou des hallucinations diverses de l'ouïe, de l'odo- rat, du goût, de
qui persistent quand le sujet est réveillé. En ce qui concerne les hallucinations visuelles, leur réalité peut être démontrée enc
r l'interposition d'un prisme devant l'un des yeux. Si l'objet de l' hallucination visuelle consiste en un portrait, par exemple,
]'objectivité tde ,1a sensation ? Quandl'objet"sur. lequel figure l' hallucination peut être 'éloigné'ou rapprochée au gré, de. l'
, à la carte. jgm,j "'Noïïs'âvôris insisté1 en particulier 'sur les hallucinations delà vue, püivcë qtiêcè"sotit'celles dont la' r
s dont la' réalité peut être le plus facilement contrôlée' mais les hallucinations * et les illusions provoquées ..de ? -. ™- . ' V'
elques-unes ! des conséquences des. sug- gestions,01 illusions 1 ou hallucinations * provoquées "des sens .- - 1 ;qt,F ouï' lt1·)·l
es odeurs par le trou de la serrure, etc. Il faut remarquer que les hallucinations provoquées peuvent être unilatérales; un objet
atérale. Dans d'autres circonstances, enfin, on peut sug- gérer des hallucinations différentes de chaque côté; M. Dumontpal- lier
- lier a déjà signalé des faits de ce genre. Les illusions et les hallucinations de toucher revêtent des formes encore plus vari
vent être atteints ensemble ou séparément. Une des plus curieuses hallucinations de ce genre est celle qui résulte de la suggestio
ui est le plus remarquable, c'est qu'en même temps se développe l' hallucination de la vue : le sang coule, etc., et il résulte un
plaie véritable. Cela nous conduit à dire que les illusions et les hallucinations des sens spéciaux peuvent être provoquées simul
comprendra les conséquences possibles de cette illusion ou de cette hallucination , si un acte délictueux ou criminel venait à êtr
onviction laplus profonde. L'illusion ou SOCIETES SAVANTES. 131 l' hallucination peut porter sur l'acte lui-même et conduire à des
rapprochons de ce fait la possibilité de suggérer à la somnambule l' hallucination de la présence d'un individu quelconque, on com
etc. Thèse de Paris; 1881. ' 132 SOCIÉTÉS SAVANTES. que, dans les hallucinations sensorielles provoquées, lessupercheries ne peu
connue du caractère des hystériques. En outre des illusions et des hallucinations , il est encore possible dans l'état de somnambu
tation, avec une exactitude absolue en rapport avec la netteté de l' hallucination visuelle. Un acte criminel serait exécuté avec
résulter une sorte d'épidémie de délire hystérique, dans lequel les hallucinations seront suivies d'impulsions, d'actes violents, et
ts de l'hypnotisme, il est possible de provoquer des illusions, des hallucinations , des impulsions irré- sistibles, etc., dans les
ême 3 ceutig. Prodromes de l'intoxication : augmentation du délire, hallucinations spéciales (gros animaux), dilatation pupillaire
rvation concerne un jeune homme de 17 ans, atteint d'épilepsie avec hallucinations , accès d'angoisse et impulsions, qui deux fois
serait dressée une fleur volumineuse ? La raison pour laquelle une hallucination , tout à fait fugitive, devient le point de dépa
a durée, la répétition ou l'impression de netteté spéciale de cette hallucination . Voici les explications pathogénétiques de l'au
roduction de ces phénomènes dans les hémisphè- res n'engendre pas l' hallucination , mais l'hyperémie en question peut faire illusi
perémie en question peut faire illusion à l'individu au moment où l' hallucination s'ef- fectue, où elle parvient à la connaissanc
sensoriels sous-corticaux; c'est sous leur action que naissent les hallucinations . Séance du 8 février 1882. Le président commu
invariablement manifesté par toute sorte de malaises nerveux et des hallucinations isolées. Il dé- bute la plupart du temps par un
ertigineux épileptique, ayant des périodes d'accès s'accompagnant d' hallucinations de la vue et de l'ouïe, d'idées de persécution,
sorte de protection légitime et nécessaire; mais une fois que les hallucinations avaient disparu et que la peur n'existait plus,
ses, céphalalgie, puis ver- tiges ; 2° angoisses, pleurs, sanglots, hallucinations des sens, peurs sans motifs, fugues possibles ;
r ! En résumé : 1° Nouaux est un épileptique vertigi- vieux, avec hallucinations temporaires, délire momen- tanépar accès et imp
urait contre-indication for- melle à l'employer quand il existe des hallucinations sensorielles, principalement du côté de la vue.
alcoolique, le second a trait à une sorte de monomanie exaltée avec hallucinations (hérédité). C'est surtout à la fièvre ', au sen
xoe- dème opératoire. G. D. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Essai sur les hallucinations ; par Gautier (de Beuuvallon). Thèse de Paris, 1
lein de sens et rigoureusement conséquent. CLINIQUE MENTALE DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES DE CARACTÈRE DIFFÉRENT SUIVANT LE C
É AFFECTÉ; Par le D1' MAGNAN, médecin de l'asile Sainte-Anne. Les hallucinations , qui ont déjà été l'objet de tant de travaux, c
attention et de susciter constamment de nouvelles recherches. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 337 C'est qu'en effet, ce syndrome
ine légale, ne cesse pas de présenter d'intéressants aperçus. Les hallucinations affectent habituellement les deux moitiés symét
tient se trouve influencé. Enfin, dans quelques cas plus rares, l' hallucination est bien bilatérale, mais elle se montre avec d
de plus à la théorie , Calme il. - Dictionnaire en trente volumes : Hallucinations , t. XIV, 5 17. °- Moreau (de Tours). La psych
fonctionnelle des hémisphères cérébraux. Nous verrons aussi que l' hallucination , en tant que manifestation des délires chroniqu
itaire 1 Magnan. - Leçons sur l'epilepsie, 1882, p. 31 et 74. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 339 pour cause d'épilepsie. Un phé
ne sorte de Manichéisme qui le gouverne. Depuis deux ans, les DES HALLUCINATIONS BILATERALES. , 341 hallucinations gaies, ambiti
verne. Depuis deux ans, les DES HALLUCINATIONS BILATERALES. , 341 hallucinations gaies, ambitieuses prédominent, et c'est toujou
pécial où nous nous plaçons, le cas est des plus démonstratifs. Les hallucinations pé- nibles se cantonnent, dès le début, à droit
fixent; elles deviennent de plus en plus fréquentes, tandis que les hallucinations pénibles rési- dant à droite s'atténuent insens
n différente, suivant qu'elle siège à droite ou à gauche. Comme les hallucinations , elle est de bon augure à gauche, de mauvais pr
nte donnée à la sonnerie suivant le côté affecté, une observation d' hallucination bilatérale du toucher, rapportée par le fameux
, il sentait aussi le signal à J'oreille sénestre». C'est ici une hallucination du toucher, de même nature à droite et à gauche
e ¡.r, chap. Il, de ¡'Association des esprits avec les hommes.) DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3t3 'd'hallucinations pénibles, mu
durée de deux à trois jours, débutant la nuit et s'accompagnant d' hallucinations caractéristiques : il voyait des rats, des jour
, dan- sant, riant, se moquant de lui. Pendant ces accès pas- DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3t5 5 sagers d'alcoolisme, les hal
s- DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3t5 5 sagers d'alcoolisme, les hallucinations se produisaient avec les mêmes caractères des d
enté à diverses reprises des bouffées de délire alcoolique avec des hallucinations très actives, occupant tous les sens apparaissa
résence de faits exceptionnels, et qu'en général, au contraire, les hallucinations dans le délire se montrent également des deux c
rac- tères de la chronicité, il affectait, en effet, avec une DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3'1.7 systématisation plus grande,
ALES. 3'1.7 systématisation plus grande, une forme expansive. Les hallucinations suivent en général, sous ce rapport, la marche
'est ainsi que nous avons vu surtout chez le premier malade G ? les hallucinations pénibles s'installer les premières dans l'oreil
les s'installer les premières dans l'oreille droite, tandis que les hallucinations agréables siégeant à gauche ont été plus tardiv
bien somnambulique. Si, pendant que le patient sous le coup d'une hallucination provoquée se livre à une mimique active, on fer
té cor- respondant se trouve immobilisé ; le discours continue, l' hallucination se poursuit, si c'est la paupière gauche P. Ric
appui pour prouver l'indépendance des hémisphères cérébraux, DES HALLUCINATIONS 131LA'l'ÉItALES. ,84 mais la démonstration est
mais la démonstration est surtout éclatante lorsqu'on provoque des hallucinations différentes de chaque côté comme M. Dumontpalli
isphère cérébral. » (Union médicale, 15 et 19 mai 1883). Dans les hallucinations bilatérales de caractère dif- férent, chaque gr
ment périphérique qui place dans l'organe lui-même le siège de l' hallucination ; il repoussa également la théorie psychique ou
sont perçues les impressions et arrive à cette conclusion que les hallucinations ont comme cause fondamentale 1 Baillarger. Des
les hallucinations ont comme cause fondamentale 1 Baillarger. Des Hallucinations ; des causes qui les produisent et des maladies
Verhandlwig de ? , physiol. Gesellsch. zu Berlin, 1877-78-79. DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 3j 1 1Úl état d'excitation des cen
Wernicke 5, de Giraudeau G, de Fritsch', Tamburi'ii. La théorie des hallucinations . (Revue scientifique , 29 janvier 1881.. Luci
etins de la Société anatomique, avril, mai, juin 1882, p. 324.) DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 353 frais des rêves. A l'état norm
trôle supérieur momentanément voilé. Quelques mots encore sur les hallucinations unilaté- rales qui par leur évolution et leurs
leur évolution et leurs caractères géné- raux ne diffèrent pas des hallucinations bilatérales dont nous venons de nous occuper. S
hallucinations bilatérales dont nous venons de nous occuper. Si les hallucinations unilatérales se montrent au début d'un délire c
AncmVES; t. VI. 23 354 CLINIQUE MENTALE. Dans un travail sur les hallucinations unilatérales (Encéphale, 1881), M. le Dr Régis
1881), M. le Dr Régis a publié l'observation d'un malade atteint d' hallucinations unilatérales de l'ouïe avec otorrhée purulente,
de l'oreille. Ce fait prouve qu'une otite a pu faire développer des hallucinations chez un individu prédis- posé, en état de récep
du cubital produit une halluci- nation du toucher ? D'ailleurs, les hallucinations uni- latérales ne sont pas rares et sur quatre
animaux, a commencé à présenter des idées ambitieuses. Elle a DES HALLUCINATIONS BILATÉRALES. 355 subi, dit-elle, l'opération du
ses ennemis lui parlaient des deux côtés. , En résumé : 1° Les hallucinations bilatérales de caractère diffé- rent, suivant l
locale des organes périphériques ; 2" Elles ne diffèrent des autres hallucinations ni par leur mode d'apparition, ni par leur évol
83 ? il eut, un jour, un accès de manie avec grande excita- tion et hallucinations de la vue. Quelque temps après, il tomba DU MÉR
ts aux altérations. - En terminant, le clinicien fait remarquer les hallucinations de la vue généralement bilatérales comme les au
n de la vue, de violentes douleurs de tête, des vomis- sements, des hallucinations de la vue, du désordre dans les idées, de l'aph
s, perte graduelle et profonde de cons- cience (connaissance), avec hallucinations variées et nombreuses. La température a monté p
l'étude du malade révèle des idées de persécution greffées sur des hallucinations de la vue et de l'ouïe, qu'un premier médecin a
qu'affectent les organes des sens périphériques avec la genèse des hallucinations sont multiples et paraissent par- fois contradi
aissent par- fois contradictoires. C'est ainsi qu'on constatera des hallucinations chez des malades dont les organes des sens sont
nt les organes des sens sont détruits ou fonc- tionnent moins bien ( hallucinations de l'ouïe propres à l'isolement, hallucinations
ionnent moins bien (hallucinations de l'ouïe propres à l'isolement, hallucinations nocturnes, hallucinations de la vue chez des aveu
inations de l'ouïe propres à l'isolement, hallucinations nocturnes, hallucinations de la vue chez des aveugles par accidents, etc.
essus pathologiques anormaux de l'organe de l'ouïe exercent sur les hallucinations et ultérieurement sur la genèse des psychoses.
ons subjectives sont souvent le point de départ d'illusions, puis d' hallucinations , qui engendrent des con- ceptions délirantes. L
tionné l'athérome qu'il a trouvé à plusieurs reprises comme cause d' hallucinations de l'ouïe. Il a aussi observé des bruits de l'o
Kirn raconte l'histoire d'un cas observé par lui qui prouve que des hallucinations évidentes de l'ouïe n'entraînent pas nécessaire-
expériences que le botaniste 1\aoegeli fit sur lui-même à l'égard d' hallucinations de la vue consé- cutives à une tension exagérée
tement psychiques. L'auteur cite deux cas caractérisés soit par des hallucinations , soit par des pseudo-hallucinations entraînant
re, qui concerne aussi une femme, il fal- lut des mois pour que les hallucinations disparussent définitivement; 428 SOCIÉTÉS SAVAN
omprend les modalités caractérisées par l'appa- l'ilion primitive d' hallucinations ou d'illusions, portant presque exclu- sivement
arriver quelque chose de fâcheux, est' tout à coup surpris par une hallucination ou une illusion de la vue ou de l'ouïe mal défi
ité affective demeure-t-elleindemne. C'est, en somme, un délire par hallucinations . 11. Le second groupe renferme les types morbid
e la conception délirante a jeté ses fondations que se montrent les hallucinations ; elles viennent renforcer, colorer le délire sans
er, colorer le délire sans l'altérer. La vigueur et l'intensité des hallucinations entraînent alors des manifestations d'ordre pas
stations d'ordre passionnel. En un mot, les idées délirantes et les hallucinations se combinent pour édifier un en- semble morbide
oll de Mon- tyel, 34. Genou (phénomène du), 277. Goitre, 290. Hallucinations (des/ bilatérales de caractère différent, suiva
13 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'à 42 ans. Genèse du délire en deux ans. Deuxième période à 44 ans. Hallucinations de l'ouïe, troubles de la sensibilité générale.
IRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. En 1884, en effet, apparaît l' hallucination de l'ouïe, d'abord timide et intermittente. Des
lle laisse échapper le récit de ses malheurs. On voit alors que, ni hallucinations , ni troubles de la sensibilité générale n'ont d
qu'à 39 ans. Première période dure 3 ans, deuxième période 12 ans ; hallucinations auditives. Troisième période à 52 ans. Délire a
se, d'incubation, dure trois ans. En 1881, à quarante ans, éclate l' hallucination de l'ouïe; la deuxième pé- riode commence. Derr
is, le 17 mars 1893. A l'asile, les interprétations délirantes, les hallucinations conti- nuent de plus belle. La malade se plaint
s cérébraux, dont l'activité est affaiblie, engendrent en outre des hallucinations sans nombre, peut-être dues à un état de faible
ahnsinn) de nombreux points de contact tels que la prédominance des hallucinations et des idées délirantes, elle s'en distingue pa
lirantes, elle s'en distingue par la rapidité et lamultiplicité des hallucinations , par l'obnubilation de la cons- cience et l'obs
nt pour facteurs des im- pressions morbides hypochondriaques et des hallucinations , qui dure longtemps, qui est caractérisée par l
l'enchaînement logique des conceptions délirantes et la rareté des hallucinations . Meynert distingue en propres termes la Verriic
es changements d'humeur de cette dernière, tiennent à la teneur des hallucinations sensorielles. Les phéno- mènes catatoniques de
ation des idées délirantes de per- sécutions et de grandeurs et les hallucinations en masse qui l'accom- pagnent, témoignent du dé
de mémoire. Quand la maladie affecte une marche moins aiguë, les hallucinations , moins pressées, procèdent plutôtpar bouffées é
mais non systématisé ci proprement parler. Tantôt ce délire émane d' hallucinations sensorielles, tantôt il est primordial, d'emblé
de de fondations qui sont des fictions. Les idées délirantes et les hallucinations sensorielles réagissent sur l'humeur et les act
puis ilspuisent leurs matériaux dans des illusions et même dans des hallucinations de la mémoire. La période d'acmé de la maladie
a mémoire. La période d'acmé de la maladie est caractérisée par des hallucinations qui acquièrent d'autant plus de puissance, qui
on et de leur sang-froid, demeurent incapables de recti- fier leurs hallucinations sensorielles et les acceptent, sans critique, c
reux qu'il est l'objet de sévices et vexations l'amoindrissant. Les hallucinations senso- rielles apportent naturellement à ces co
ouble de la conscience est plus ou moins profond et persistant, les hallucinations sensorielles s'y reflé- tant tantôt pour donner
lucinatoire dans lequel il existe une grande confusion mentale, des hallucinations sensorielles abondantes et fantaisistes, mais l
éléments des troubles in- tellectuels machinés (idées délirantes et hallucinations senso- rielles) entraînant des modifications de
La forme aiguë se déve- loppe très vite, évolue favorablement; ses hallucinations , le malade les considère comme entendues malgré
ssiver Wahnsinn) caractérisé par des idées d'autoculpabilité et des hallucinations sensorielles, que le malade rapporte à l'enfer,
ntes de même ordre. Tantôt les idées délirantes sont le produit des hallucinations sensorielles, tantôt elles sont pri- mordiales
lectuelle); ce sont les divers genres de délires mélancoliques avec hallucinations , idées de persécutions, désordre dans des idées
orische Verwirrtheit). Tant, écrit-il, qu'un individu résiste à ses hallucinations et à ses idées délirantes, en conservant la net
sse mentale ayant pour symptômes cardinaux la démence accompagnée d' hallucinations et d'idées délirantes systématisées (systematis
rapidement son maxi- mum d'intensité, qui est caractérisée par des hallucinations pressées et mobiles, l'état d'humeur des malade
hie de l'E., t. XI, p. 598 ; Extase, t. XII, p. 499 à 505. A. 1835; Hallucinations , t. XIV, p. 51l à 553, A. 1836, Idiotisme, idio
niciens que la suractivité intellectuelle d'un malade hanté par des hallucinations et des idées de persécution ou des idées délira
Ou. 92 CLINIQUE MENTALE. les perceptions sans les comprendre. Les hallucinations n'ac- compagneraient pas forcément la confusion
impulsifs coordonnés (automa- tisme). Il est hors de doute que les hallucinations sensorielles exercent surtout une influence sur
NTALE. à rien expliquer comme dans la mélancolie ou la manie. Les hallucinations peuvent revêtir une allure extrêmement aiguë, f
ont aussi la conséquence du sujet du délire, qu'il y ait ou non des hallucinations senso- rielles. » La Vei,2,iiekiheil aborlive d
se la paranoïa primitive en paranoïa simplex : elle se produit sans hallucinations et, plus tard, on n'en cons- tate pas ou l'on n
solée, et en paranoïa hallucinatoire, commençant d'em- blée par des hallucinations , celles-ci ne la quittant plus, et exerçant une
ette période. Les actes résultent des conceptions délirantes et des hallucinations lorsqu'elles se produisent. La paranoïa halluci
c trouble considérable de la conscience. Ce délire s'accompagne d' hallucinations en masse, le plus souvent de tous les sens. Il
folie systématique, prend un corps parfaitement concret. Le jeu des hallucinations , des conceptions délirantes et de. la confusion
s d'excitation d'ordre mental, tels que concep- tions délirantes et hallucinations . Dans l'immense majorité des cas, cette confusi
on de persécutions en germe non encore systématisées, avec ou sans hallucinations ), une folie systématique chronique simple, une
st un trouble in- tellectuel composé de conceptions délirantes et d' hallucinations sensorielles rapidement élaborées de manière à
la confusion mentale, géné- ralement produite dès le début par les hallucinations senso- rielles, persiste, bien qu'il puisse sur
sionné ou non par ses idées délirantes, la forme et les allures des hallucinations senso- rielles, la coordination ou la d'illusio
te incohérence primitive est l'élément domi- nant et permanent, les hallucinations sensorielles et les concep- tions délirantes ne
he claronisclae Paranoïa) dans laquelle il n'y ait à l'occasion des hallucinations , inversement il n'y a guère de folie systématiq
les plus tardifs de cette maladie, il peut survenir des bouffées d' hallucinations , accès dont le complexus sympto- matique est pr
e intercurrent dans la paranoïa halluci- natoire aiguë; de même les hallucinations peuvent apparaître à l'état intercurrent dans l
lein développement, il est difficile de décider s'il y a ou non des hallucinations . Tel est l'essai analytique de la confusion men
noïa on note les mêmes symptômes DE LA PARANOÏA. idées délirantes hallucinations incohérence avec dsatS-L." talion disposés diff
ance du 26 novembre 1894. Présidence DE M. A. Voisin. Coexistence d' hallucinations PSYCHO-MOTRICES ET d'hallucinations sensorielle
DE M. A. Voisin. Coexistence d'hallucinations PSYCHO-MOTRICES ET d' hallucinations sensorielles. dialogue ENTRE LES voix intérieur
'agit d'un dégénéré héréditaire atteint d'idées de persécution avec hallucinations ver- bales, auditives et psycho-motrices, avec
rieures, les autres intérieures; c'est un exemple' de coexistence d' hallucinations verbales auditives et psycho-motrices. Le malad
arlait du dehors et il se sentait parler et répondre du dedans. L' hallucination dite interne, « la voix intérieure D, que Baillar
« la voix intérieure D, que Baillarger a le premier distinguée de l' hallucination auditive en la qualifiant d'hallucination psych
e premier distinguée de l'hallucination auditive en la qualifiant d' hallucination psychique, a été attribuée avec raison, par Ed. F
ttribuée avec raison, par Ed. Four- nier et par M. Max Simon, à une hallucination , à une impulsion de la formation'du langage. De
s d'alcooliquesayant présenté, au milieu d'un délire religieux, des hallucinations , psy- cho-motrices éphémères. L'un des deux mal
comme s'il eût été ventriloque. Ce sont sespropres expressions. Les hallucinations ne durèrent guère qu'une seule journée. L'aut
nullement probatoires en ce qui concerne ces termes parce que les hallucinations ne constituent point ici le symptôme prédomi- n
les cas de confusion men- tale (Verwirrtheit) produite soit par les hallucinations , soit par l'incohérence. La paranoïa aiguë syst
le aiguë dans lesquels il n'y a guère de confusion mentale, que les hallucinations soient actives (ce qui est le cas le plus fréqu
ou servent à les coordonner; 3° ou bien enfin elles dérivent des hallucinations sensorielles. Fréquemment aussi il existe une p
ve-persécutés arthri- tiques par mélancolie torpide persécutés avec hallucinations et délira systématique (sensoriels, psychiques,
e caractère commun de se traduire par des idées délirantes et des hallucinations sensorielles, avec conservation de l'intelli- g
ériode aiguë ; on en a un exemple dans la mélancolie avec délire et hallucinations ; la période aiguë dis- paraît emportant l'état
xtérieurs, puis sur sa propre personnalité. Il pré- senta aussi des hallucinations visuelles, notamment de la zoopsie et des hallu
aussi des hallucinations visuelles, notamment de la zoopsie et des hallucinations du sens musculaire. A diverses reprises il fit
mais il manquait la fièvre, le tremblement et la prédomi- nance des hallucinations de la vue. Toutefois en présence des antécédent
et parfois la manie avec ou sans fureur. Cette manie s'accompagne d' hallucinations et d'un trouble profond de l'idéation, ce qui e
la confusion mentale, avec ou sans stupeur, accom- pagnée ou non d' hallucinations et d'agitation, est le type de la folie infecti
es centres d'articulation résonatrice de ces mots, d'où la genèse d' hallucinations de l'ouïe. Pour concevoir des divers degrés d'i
et continu avec des aliénés. P. IIEItAVAL. XIX. DE la genèse DES hallucinations DE l'ouïe; parC. FUftEft. ;(Centralbf. 11'crvet
parC. FUftEft. ;(Centralbf. 11'crvetzlaeilh. N. F. V., 1894.) Les hallucinations de l'ouïe ont parfois pour origine première des
ira la certitude. P. K. 218 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXI. LES hallucinations ET LE dédoublement DE la personnalité DANS LA F
systématique avec délire des persécutions. Au point de vue de leurs hallucinations l'auteur divise les persé- cutés systématiques
mprend les persécutés hallucinés « sen- soriels » chez lesquels les hallucinations sensorielles sont prédo- minantes. 1° Les hal
uels les hallucinations sensorielles sont prédo- minantes. 1° Les hallucinations de l'odorat et du goût, se relient en général à
goût, se relient en général à des idées d'empoisonnement; 2° Les hallucinations de la vue, niées par Lasègue, sont assez peu fr
s cas les plus ordinaires, où elles font défaut ; 6. les cas où les hallucinations de la vue existent mais où le symptôme hal- luc
che à une origine ditlérente de l'affection men- tale;);, enfin les hallucinations visuelles peuvent se produire sans l'adjonction
ique. Caractère important, au contraire de ce qui se passe pour les hallucinations de l'ouïe, on voit que le malade se rend bien c
phénomènes halluci- natoires les plus importants, que ce soient des hallucinations audi- tives élémentaires, communes ou verbales.
emps qu'ils les entendent ; ' ' 4° Il n'est pas rare d'observer des hallucinations génitales. 5° Au sur et à mesure que la maladie
nations génitales. 5° Au sur et à mesure que la maladie évolue, les hallucinations verbales peuvent devenir motrices; mais l'hallu
volue, les hallucinations verbales peuvent devenir motrices; mais l' hallucination motrice reste à un plan plus effacé : un grand
s le nom de variété psycho-motrice du délire des persécutions. 10 Hallucinations motrices. Ce sont d'abord des hallucinations ve
e des persécutions. 10 Hallucinations motrices. Ce sont d'abord des hallucinations verbales motrices avec leurs caractères et tous
caractères et tous leurs degrés d'in- tensité, puis toutes sortes d' hallucinations , motrices communes. Souvent même ces derniers s
té qu'ils n'ont pas chez le persécuté sensoriel ordinaire. 3° Les hallucinations de l'ouïe sont reléguées au second plan, vis-à-
nt que sous une forme élémentaire ou commune. 4° En revanche, les hallucinations visuelles sont assez ordinaires chez ces malade
e rencontre pas non plus chez les persécutés sen- soriels. 5° Les hallucinations du goût et de l'odorat ne diffèrent en rien de
ez les persécutés sensoriels. 6° On trouve aussi dans ces cas des hallucinations génitales répétées. 7° A ces différents sympt
contraire très accentué chez les persécutés moteurs parce que les hallucinations motrices s'adressent au sens coetiesthétique (sen
iagnostic du Dr Garnier. Louis-Eugène B... était convaincu, par des hallucinations de l'ouïe, du goût, de l'odorat et delà sensibi
); ils s'agitent et présentent un état d'humeur en rapport avec ces hallucinations . Tel est le complexus morbide qui, avec des osc
la confusion mentale (Verworrenheit) typique. De temps en temps les hallucinations font défaut, mais la confusion mentale (Verwirr
t pas primitifs; ils doivent être tenus pour les conséquences des hallucinations sensorielles. Jamais il ne se développe de stade
tel qu'elle est incapable de comprendre ce qu'on lui dit. Insomnie. Hallucinations probables. Désordre extrême des actes. La malad
elle titube comme si elle était ivre. Gâtisme. Pouls fréquent. Les hallucinations deviennent de plus en plus actives ainsi que l'
s a fécondés. Ces conceptions délirantes sont entrete- nues par des hallucinations ; inquiétude, angoisse, parfois des violences, e
la confusion mentale idéopathique ou amenda, le rôle proéminent des hallucinations et leur influence sur la conduite du malade qui
ulaires autour des cellules nerveuses. M. FunEn. De la genèse des hallucinations de l'ouïe. (Voyez le Cen- li-albl. f. Nerwezzhe
d'urémie suraiguë caractérisée par une contusion mentale grave avec hallucinations terrifiantes, agitation maniaque presque fu- ri
tale (Verwirrtheit). Ces symptômes sont : les idées délirantes, les hallucinations sen- sorielles, la dissociation des conceptions
ntion exagérée, des persécutés, constituée par du délire dépourvu d' hallucinations ; tels ces délires dans lesquels dominent les ha
ourvu d'hallucinations; tels ces délires dans lesquels dominent les hallucinations et qui ne laissent point ultérieurement trace d
des trois symptômes : idées délirantes, confusion (incohérence) et hallucinations ; il est patent qu'ils se rencontrent sur un ter
mordiale de l'intelligence produite par des symptômes amal- gamés ( hallucinations sensorielles, idées délirantes, incohé- rence)
S'agit-il' d'une.;modalité;aiguë (mélange, d'idées, délirantes, : , d' hallucinations ,- de désordre intellectuel avec tendance à l'agit
persécutions; de'Lasèue;'ou 'paranoïa'simplex; s'il y a' beaucoup d' hallucinations vous avez 'le'droit'd'ajouter hallucinatoria. r
ais d'ordinaire lente, en système des conceptions délirantes et des hallucinations sen- sorielles (idée de la folie systématique o
,Wahnsinn ou paranoïa acula, t principalement. constitué ,- par des hallucinations avec quelques'idées délirantes systéma- titisée
' - m ' ' 'I .. ' ' '. ! t) , .. : f ' '. t '< ' ï I i ' j '« Hallucinations rares/ Modification secondaire, 1 , subordonnée
l, avec abattement marqué du pouvoir mental, accompagné souvent d' hallucinations et d'excitation intellectuelle en même temps que
la confusion mentale revêt une forme mélancolique, c'estàla suite d' hallucinations , de troubles' délirants vagues, incohérents et
s-orbitaire droit), il se produit un délire plus ou moins long avec hallucinations lui rappelant sa profession, et délire mégalomani
fluclet secondaire de Ziehen, dans laquelle des malades, àlasuite d' hallucinations accu- mulées et rapidement passagères, auraient
eraient avec rapidité, est cliniquement insoutenable; en effet, les hallucinations sensorielles se produisent* dans notre cerveau,
agit d'une mélancolique anxieuse qui, sous l'influence pro- bable d' hallucinations terrifiantes de la vue, s'est arrachée les deux
issement, Valentin Raulier, alcoolique invétéré, avait de mystiques hallucinations . 11 se voyait emporté au paradis par des anges.
toxiques. Par contre, le nombre des accusa- teurs est notable. Les hallucinations de la sensibilité générale les porte à se dire
e forme particulière caractérisée par l'inertie; il n'ac- corde aux hallucinations vagues ou rares suivant lui qu'une valeur d'épi
il peut exister chez le stupide des préoccupations maladives et des hallucinations plus ou moins pénibles, mais elles n'apportent
'un délire furieux, violent, avec des impulsions dangereuses et des hallucinations terrifiantes. L'épileptique lui aussi est tantô
nt avec soin, jusqu'au jour où l'in- fluence de ces idées ou de ces hallucinations se traduit brusque- ment et brutalement par un
a Bible les chapitres consacrés à Saiil, avec la description de ses hallucinations , de ses extases religieuses avec catalepsie, fa
117. Cubital, analgésie du -, par Cra- mer, 141. Dédoublement, hallucination et de la personnalité dans la folie systémati
e. 126. Gymnastique, sur la et le mas- sage, par Sandbtom, 466. Hallucinations psychomotrices et - sensorielles, pall'. Garuie
14 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
n'avais pu produire auparavant; je provoque ensuite l'analgésie, des hallucinations ; je lui fais boire du vin fictif. Interrogée si e
re, mais suffisamment pour paraître extérieure et objective comme les hallucinations . Pas plus que le somnambule suggestible. le rêveu
, soit par la distraction, ils amènent la rêverie, quelquefois même l' hallucination . On entend dans le bruit des cloches des paroles
ypnotisme en médecine légale, la. M. le Dr Bernheim (de Nancy). — Les hallucinations négatives suggérées. 13. M. le Dr Laurent (de Par
ours déterminée par des états affectifs ? — IV. Etude statistique des hallucinations . — V. Les appétits chez les idiots et chei les im
me, les impulsions irrésistibles, les idées fixes, les illusions, les hallucinations , l'ennui, la mélancolie, l'agitation maniaque, et
e (perversions des sentiments, idées fixes, impulsions irrésistibles, hallucinations , mélancolie, agitation maniaque, etc.). Nous aj
lambeau entre ses dents en le mordillant. Il paraît en proie à une hallucination qui l'irrite. Il appelle à plusieurs reprises : «
s et finit par le déchirer. Puis il revient à un calme relatif. Son hallucination persiste; il appelle encore : « Papa! » s'émeut e
talepsie partielle ou totale et provoquer chez lui tout l'arsenal des hallucinations qu'on produit en pareil cas. On lui persuade qu'i
paralysé; on lut fait boire de l'eau pour du Champagne, etc.. mais l' hallucination qui le tourmente à la fin de chacune de ses attaq
s de boissons ; ils ont des pituites, des rêves caractéristiques, des hallucinations , du délire. » L'hystérie pourrait presque être
tions psycho-physiologiques. 1. M. le Dr Bersheim (de Nancy). — Les hallucinations négatives suggérées. 2. M. le Dr Coste (de Nanc
chez un sujet hypnotisé. 4. M. le Dr Aug. Forel (de Zurich). — De l' hallucination négative chez les aliénés et de la différence e
hallucination négative chez les aliénés et de la différence entre l' hallucination des hypnotisés et celle des aliénés. 3. M. Féli
peut-être plus de ravages encore qu'ailleurs. » Une enquête sur les hallucinations . La Société pour les recherches physiologiques
ty for psychical re-search). de Londres, a ouvert une enquête sur les hallucinations . Le but de cette enquête est essentiellement de d
elle est la frequence de ce phénomène chez les individus normaux. Les hallucinations des aliénés et des hystériques, les hallucination
vidus normaux. Les hallucinations des aliénés et des hystériques, les hallucinations dues à des intoxications ne seront donc pas compr
s la statistique que l'on tentera d'établir; on exclura également les hallucinations hypnagogiques, trop difficiles à distinguer des r
ner en quelque mesure les conditions où se produisent d'ordinaire les hallucinations chez les sujets sains. Elle fait appel au concour
l'objet de discussions approfondies : 1° l'étude statistique sur les hallucinations ; 2° l'étude statistique sur l'hérédité ; 3° l'ét
préjugé de gens qui identifient la suggestion avec le rêve ou avec l' hallucination et pour qui son influence toute chimérique ne sau
ont du domaine plus moderne de la suggestion. Étude statistique des hallucinations H. Marillier (Paris) expose que la Société pour
s recherches psychologiques (de Londres) a ouvert une enquête sur les hallucinations , dont le but principal est de déterminer la fréqu
des tares profondes chez tous les sujets qui m'ont fait part de leurs hallucinations . Croyez-vous que les gens du monde auxquels vous
e émotive plus ou moins prononcés ; 5° Elles ne présentent jamais d' hallucinations ; 6° Elles conservent les mêmes caractères psyc
(obéissance passive), suggestion d'idées, suggestions sensorielles et hallucinations complexes, hypnotiques, quelquefois post-hypnotiq
re catégorie, c'est-à-dire susceptibles d'analgesie, de catalepsie, d' hallucinations , etc. Les sujets des troisième et quatrième cat
eur contracture. J'y ajoute ensuite 1 analgésie. Puis je provoque des hallucinations ou je fais exécuter des actes auxquels il ne peut
ison. A ceux qui sont craintifs, il est bon d'épargner le spectacle d' hallucinations ou autres phénomènes émotifs avant qu'on n'ait dé
e peuvent s'y soustraire pas plus qu'ils ne peuvent se soustraire aux hallucinations de leurs rêves. La crédivité (je ne dis pas la cr
. des sc. méd. de Bordeaux). CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Un cas d' hallucination collective de la vue L'independant de la Dordog
Celle malade, qui était une alcoolique chronique, avait en outre des hallucinations de l'ouïe assez intenses. Une injure lui était pa
anda-t-elle plusieurs fois de l'endormir pour la débarrasser de cette hallucination dont elle avait une complète conscience. Mais, ma
, malgré plusieurs séances de sommeil avec suggestions appropriées, l' hallucination persista pendant longtemps encore, et quand elle
e nerveux. (Voir plus haut). a* Par M. le D* Forel (de Zurich) : De Hallucination niiatnt eier Ut aliénés it dé ta différence dt l'
) : De Hallucination niiatnt eier Ut aliénés it dé ta différence dt l' hallucination dés hypnotisés avec celle du aliénés, 3* Par M.
fois en deux à trois séances, à un aliéné ses idées délirantes et ses hallucinations . II y a de quoi désarmer l'incrédulité des médeci
e faut agir dans te début que sur une conception détirante ou sur les hallucinations d'un sens. Ce n'est que dans les séances consécut
treprendre d'agir sur d'autres conceptions délirantes ou sur d'autres hallucinations . Il résulte de ma pratique que les suggestions
principe absolu de ne jamais suggérer à un hypnotisé, ni illusion, ni hallucination , ni aucune idée, ni aucun acte mauvais ou nuisibl
que privée. On arrive à guérir chez ces malades des troubles et des hallucinations de la vision, de l'audition, de l'odorat, du goût
j'ai aussi réussi à faire disparaître, du moins momentanément, les hallucinations de certains malades, à procurer ie sommeil, a fai
s maladies mentales par la suggestion, n cas de manie chronique, avec hallucinations (passage à une démence systématisée) et qui dirai
i un certain nombre de jeunes gens et de malades qui présentaient des hallucinations et qui ont été guéris par la suggestion. Vous ne
la guérison s'est bien maintenue. Nous avons pu faire disparaître des hallucinations : nos résultats concordent avec ceux que M. Aug. V
l'estomac, a été aussi exécutée, mais au bout de vingt minutes. 5° Hallucinations . (a) Un soir, ayant de m'endormir. au moment où
rement mes expériences d'auto-suggestion, j'ai lu un chapitre sur les hallucinations . Cette lecture a été analogue à une auto-suggesti
à une auto-suggestion, car le lendemain, dans la matinée, j'ai eu des hallucinations . L'état dans lequel je me suis trouvé est diffici
le fait précédent, et dans le but de trouver la clef du problème des hallucinations , je me donne l'auto-suggestion d'avoir les halluc
roblème des hallucinations, je me donne l'auto-suggestion d'avoir les hallucinations . Le lendemain, dans la matinée, le même état hall
ensant et raisonnant d'une façon toute différente. Ce ne sont pas des hallucinations proprement dites que j'ai eues, mais un état part
lluciné, et je me suis donné l'auto-suggestion inverse, nepas avoir d' hallucinations . Le résultat a été, du reste,obtenu très facileme
st la volonté en activité, ou une manière d'être de la volonté. LES HALLUCINATIONS RÉTROACTIVES SUGGÉRÉES DANS LE SOMMEIL NATUREL OU
(de Nancy). J'ai le premier appelé l'attention sur le phénomène des hallucinations rétroactives ou souvenus illusoires rétroactifs (
endormie, non-seulement, ce qu'on savait déjà, des sensations et des hallucinations , mais, chose plus grave, des actes, que. une fois
ait (cet oubli pouvant favoriser des substitutions d'enfant») ; Les hallucinations , et en particulier, le» hallucinations négatives
bstitutions d'enfant») ; Les hallucinations, et en particulier, le» hallucinations négatives ou rétroactives ; Les suggestions à l
s soit par une suggestion intentionnelle, fortifiée au besoin par une hallucination rétroactive, soit spontanément par des hystérique
sible d'obtenir d'elle la moindre réponse. Elle ne parait pes avoir d' hallucinations . L'alimentation naturelle étant très difficile et
guait, il l'avait hypnotisée et qu'alors, sous l'empire d'une sorte d' hallucination , elle s'était écriée : assassin ! assassin! De
réveil, de rester plusieurs Jours de suite sous l'influence de cette hallucination , le phénomène se prolonge pendant le nombre de jo
remière fois que l'hypnotisme fut tenté sur elle, il se développa une hallucination amenant une grande agitation et des secousses con
ses yeux et sa mimique très-expressive rend fidèlement compte de ses hallucinations . Nous n'insisterons pas davantage sur la descript
lité, pendant la période cataleptique et le somnambulisme, toutes les hallucinations positives et négatives. En somnambulisme hypnotiq
tile de vivre ; elle embarrasse tout le monde, etc.. — Elle n'a pas d' hallucinations , sauf ces voix psychiques intérieures dont nous a
sme. — Amnésie complète après réveil avec possibilité de réaliser des hallucinations et des autres suggestions hypnotiques et post-hyp
onscient. Le sentiment de notre identité est plus fort que celui de l' hallucination , qui frappe nos sens sans atteindre le fonds mora
e être. De même si chez certains sujets hypnotisés, je provoque une hallucination émouvante, j'obtiens l'hallucination, je n'obtien
jets hypnotisés, je provoque une hallucination émouvante, j'obtiens l' hallucination , je n'obtiens pas l'émotion. Je dis par exemple à
ait. Il est halluciné, mais son être moral n'est pas identifié avec l' hallucination . Si je lui suggère d'aller frapper son voisin, il
au but. Que se passe-t-il dans leur cerveau? Sont-ils sous l'empire d' hallucinations , d'idées délirantes? Ont-ils conscience d'un mobi
n'est pas une impulsion instinctive, c'est une idée délirante ou une hallucination qui commande l'acte ordonné. Je dis. par exemple
fendre! Ici encore ce n'est pas une perversion instinctive, c'est une hallucination qui a fait le crime! Hallucination que l'imaginat
perversion instinctive, c'est une hallucination qui a fait le crime! Hallucination que l'imagination du sujet, docile à la suggestio
ément pour fournir à celle-ci un prétexte rationnel. D'ailleurs cette hallucination , cette idée délirante nécessaire à certains sujet
entraîné par un vertige impulsif ou conduit par une idée délirante ou hallucination . N'est-ce pas le mécanisme générateur de beau-
le suffit à réaliser chez elles de l'analgésie, de la catalepsie, des hallucinations , des actes. Toute idée introduite avec assurance
éveillés des souvenirs fictifs qui constituent ce que j'ai appelé des hallucinations rétro-actives ; vous avez vu combien il est facil
efface le souvenir, en disant: « Vous ne vous rappeléz plus rien. » L' hallucination rétro-active est éteinte. Sans doute il s'agit
de persécution très pénibles, il était à ce moment surtout le jouet d' hallucinations multiples, ponant sur tous les sen«, y compris la
evant lui. Pranzini les lui décrit, et le force à les regarder. Ces hallucinations visuelles ont une intensité extraordinaire ; elle
rce, il ne fait que des tours comme cela. » La nature de toutes ces hallucinations , ainsi que leur contenu, permettent de se rendre
cjux qui sont tous sous la dépendance étroite des idées délirantes. L' hallucination procède de l'idée délirante au lieu de l'engendre
, encore inconscient de son état, il ne croit pas avoir été l'objet d' hallucinations . le reste déprimé. mélancolique; sa sœur l'abando
èpercutées. ses représentations mentales usuelles deviennent autant d' hallucinations . C'est encore Pranzini qui répète ses paroles, qu
Pour la première fois, et d'une manière très fugace, apparaissent des hallucinations de l'odorat : on lui envoie des parfums comme ceu
pendant laquelle les centres nerveux sont à ce point surexcités que l' hallucination prend naissance ; les représentations mentales s'
de polymorphisme dont la valeur est significative. Le caractère des hallucinations est digne de remarque. Elles ont été multiples, v
omatiques, surtout dans les périodes aiguës. Dans ces périodes, les hallucinations tenaient toute la scène. A peu près ininterrompue
aillant de l'observation est peut être l'existence et l'intensité des hallucinations de la vue. Chez le mélancolique simple, elles ne
tout cas, elles n'ont pas le même caractère. Chez le mélancolique, l' hallucination visuelle semble être, le plus souvent, plutôt une
série d'illusions, de cauchemars à l'état de veille, qu'une véritable hallucination ; elle est, en somme, presque exclusivement psych
ans lequel tourne le mélancolique : dépression psychique engendrant l' hallucination psychique, qui, à son tour, fournit au phénomène
e bien significative, comme le font les vrais hallucinés de la vue. L' hallucination visuelle du mélancolique, en résumé, naît et se r
ur, et reste confinée dans l'intelligence proprement dite : c'est une hallucination psychique. Tout autre est notre malade, chez le
hallucination psychique. Tout autre est notre malade, chez lequel l' hallucination visuelle est réelle et possède bien véritablement
si caleidoscopique que nous ne saurions mieux comparer qu'à celle des hallucinations visuelles de l'alcoolique ou de l'hystérique. Le
utés indemnes d'alcoolisme. L'apparition si multiple et si facile d' hallucinations de tous les sens trouve son explication dans la m
egré de plus, les centres entrent dans un véritable éréthisme, et l' hallucination surgit. Notre malade, même dans ses périodes de c
s non délirants possèdent en tout temps le pouvoir de créer ainsi des hallucinations conscientes par un simple effort de la volonté.
te dominante et permettent de qualifier l'accès délirant; 5° Enfin, hallucinations de tous les sens ayant un caractère d'acuité inus
ractère d'acuité inusité dans la mélancolie typique. Prédominance des hallucinations visuelles, douées d'un caractère de mobilité et d
e, la vésica-tion. les stigmates, puis les effets psychologiques, les hallucinations provoquées et les hallucinations rétroactives, le
puis les effets psychologiques, les hallucinations provoquées et les hallucinations rétroactives, les amnésies suggérées. Les chapitr
ses convoitises ou s'en servir dans un but criminel. On peut par des hallucinations rétroactives provoquées même à l'étal de veille,
(Compte rendus du Congrès de l'Hypnotisme. Paris 1890) BERNHEIM Les hallucinations rétroactives suggérées dans le sommeil naturel ou
um matérià du sytème nerveux. (Congrès de l'Hypnotisme). FOREL De l' hallucination négative chez les aliénés et de la différence ent
l'hallucination négative chez les aliénés et de la différence entre l' hallucination des aliénés et celle des hypnotisé. (Congrès de l
alisé la suggestion de dormir la nuit, d'avoir de l'appétit, même des hallucinations post-hypnotiques, mais du moment qu'on attaque sa
er des cas de dipsomanie. de folie morale, de manie mélancolique avec hallucinations , de manie aigûc et subaigue. d'habitudes vicieuse
bles dans l'hypocondrie. le délire de persécution avec mégalomanie et hallucinations , la mélancolie passive, dans une manie puerpérale
tion dans la paralysie générale; dans un cas de mélancolie aigûc avec hallucinations et idées de suicide la suggestion a favorisé mani
publication (1). Rappelons ici un cas de délire de persécution sans hallucinations ni mégalomanie. La malade fut traitée par moi pen
le malade croyait a la réalité de ses sensations subjectives, de ses hallucinations et qu'il trouvait ses idées noires motivées. Les
e des enfants vicieux ou dégénérés, 153 Étude statistique sur les hallucinations , 93. Enfants jouant à l'hypnotisme. 11. Entan
Entants séquestrés dans un but scientifique. 316. Enquête sur les hallucinations (une). 03. Épilepsie procursive, par Ladame. 19
223. Guérisseurs (singuliers), 383. Habitudes phénomènes d'), 17. Hallucination collective de la vue, 124. Hallucinations rétro
udes phénomènes d'), 17. Hallucination collective de la vue, 124. Hallucinations rétroactives dans le sommeil naturel ou artificie
roactives dans le sommeil naturel ou artificiel, par Bernheim, 168. Hallucination rétroactive. 493. Hallucinations (une enquête s
ou artificiel, par Bernheim, 168. Hallucination rétroactive. 493. Hallucinations (une enquête sur les),63,91. Hémiplégie traitée
(Congrès de l'hypnotisme),.121. Vomitif révéleteur (un), 105.. Vue ( hallucination collective de la), 124. FIGURES CONTENUES DANS
15 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n résumé de son rapport qui est plus concluant dans son ensemble. Hallucinations psycho-notriccs. M. A. Voisin communique l'obse
l'enfance, plus tard, hystérique persé- cutée, et chez laquelle les hallucinations devinrent provocatrices de mouvements divers, e
ibilité générale déterminant des mouvements, provoquant eux-mêmes l' hallucination . Congrès pénitentiaire. III. Motet dépose le
, télépathie, transfert psychique, statistique inter- nationale des hallucinations ; autres matières qui s'y rapportent. z Hallucin
nationale des hallucinations; autres matières qui s'y rapportent. z Hallucinations , idées obsédantes, aphasie, etc., etc. IV. Psyc
QUE MENT^ ? Asile CLINIQUE (SAINTE-ANNE . PROFESSEUR JOFFROY. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES ; LEÇON recueillie par EDOUARD TOU
inique, médecin de l'Asile Sainte-Anne. Sommaire : I. Nouveau cas d' hallucinations unilatérales de l'ouïe. II. Définition et patho
cinations unilatérales de l'ouïe. II. Définition et pathogénie de l' hallucination . III. Deux classes d'hallucinations unilatérale
I. Définition et pathogénie de l'hallucination. III. Deux classes d' hallucinations unilatérales : par lésion sensorielle et par lé
rébrale. IV. Nécessité de la prédisposition pour la production de l' hallucination . Messieurs, - I. Je désire vous montrer aujou
erveau prédisposé, et, en 1881, il eut un accès de délire aigu avec hallucinations de la vue et agitation violente. Détail impor-
ns de rayons électriques dans l'oeil gauche et bourdonnements LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 99 dans l'oreille du même côté. S
t l'intérêt prin- cipal de cette observation. Merc... a éprouvé des hallucinations de la vue, et il perçoit habituellement des hal
ouvé des hallucinations de la vue, et il perçoit habituellement des hallucinations de l'ouïe, localisées ou du moins très prédomin
e. Les renseignements qu'il donne ne sont pas bien précis sur les hallucinations visuelles. On sait combien il est parfois dif-
rande partie commune, on ne se rend que difficilement compte qu'une hallucination est uni- latérale, et notre malade ne sait pas
ons visuelles ont été unilatérales ou bilatérales. Ajoutons que ces hallucinations consistaient en la vision d'ombres, de figures,
xemple des marmottes qui dan- saient. Plus intéressantes sont les hallucinations de l'ouïe, elles sont mieux localisées, et sur
tent, et, presque toujours, dans l'oreille gauche. En tout cas, les hallucinations auditives, quand elles sont bilatérales, sont p
e conscience de son état. Il sait par exemple que ces voix sont des hallucinations ; toutefois quand à l'heure propice du sommeil
nte actuellement quelques hallu- cinations de la vue et surtout des hallucinations unilatérales LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 1
cinations de la vue et surtout des hallucinations unilatérales LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 101 de l'ouïe. A quoi convient-il
Mais auparavant je vous rappellerai brièvement ce que c'est qu'une hallucination et une illusion. Par la connais- sance de la pa
arriver à vous faire saisir l'intérêt de ce cas particulier. « L' hallucination , a dit Bail en résumant la définition d'Esquiro
sentir des vers sous sa peau et de la sorte paraissait avoir des hallucinations ; en réalité, il avait plutôt des illusions. Il p
utôt des illusions. Il parais- sait bien au premier abord avoir une hallucination puisque rien de semblable à des vers n'excitait
t mal ; c'est bien là l'illusion. Il faut aussi se rappeler que les hallucinations ne créent rien et ne font qu'évoquer des images
on légère ou insaisissable, car pour qu'un centre puisse produire l' hallucination , il est nécessaire qu'il ait conservé des condi
Ainsi se trouvent éliminées du nombre des causes productrices des hallucinations les lésions destructives des centres psycho- se
l'irriter et agir sur lui comme cause d'excitation. Dans ces cas l' hallucination serait considérée avec raison comme étant d'ori
s-périphériques. Il s'agit alors d'illusions, ou, comme l'on dit, d' hallucinations d'origine périphérique, par opposition aux hall
on dit, d'hallucinations d'origine périphérique, par opposition aux hallucinations d'origine centrale. Cette théorie, acceptée par
t pas oublier qu'une condition est nécessaire au développement de l' hallucination , c'est la prédisposition vésanique, acquise ou
l faut un état mental particulier, assez rare puis- qu'en somme les hallucinations constituent un élément excep- tionnel dans la s
riche des maladies du cer- veau. Ces réserves faites, voyons si les hallucinations unilaté- rales peuvent, parleur caractère en qu
tal, apporter quelque lumière dans l'étude de ces phénomènes. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 103 III. Nous avons dit que les f
l'étude des cas connus, M. Régis sort avec cette affirmation que l' hallucination unilatérale est causée par une lésion de l'orga
ils ? On peut les diviser naturellement en deux groupes : ceux où l' hallucination est sans contestation sous la dépendance d'une
écoulement purulent. A l'âge de vingt ans, il commença à souffrir d' hallucinations absolument loca- lisées à l'oreille malade. On
au de la région mastoïdienne, on améliora enfin l'état local et les hallucinations disparurent avec l'otite, au bout de trois mois
soufflet, aurait été atteint d'otite moyenne gauche et peu après d' hallucinations auditives localisées de ce côté. Le traitement
lisées de ce côté. Le traitement local fit disparaitre 1 Régis. Des hallucinations unilatérales. (Encéphale, 1881, p. 13.) ' Ed. T
nations unilatérales. (Encéphale, 1881, p. 13.) ' Ed. Toulouse. Les hallucinations unilatérales. (Revue générale, Gazette des hôpi
r un grain de blé entouré d'un amas de céru- men. Le soir même, les hallucinations disparurent et la malade guérit peu à peu de so
bruits pathologiques, les transformera en voix et en fera ainsi des hallucinations unilatérales de l'ouïe, mais seulement quand il
les personnes souffrant de bour- donnements d'oreilles auraient des hallucinations , alors que c'est la grande exception. L'affaibl
s examinés, ce qui laisse un doute sur la véritable pathogénie de l' hallucination ; et parfois même il existe des altérations à l
presque absolue du centre cortical. 1 Mabille. Cas de uérisozz d' hallucinations unilatérales de l'ouïe de cause externe. (Annal
e. (Annales nzéclicu sclcolu71yues, 1883, Go série, t. X, 412.) LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 105 Sans m'attarder à critiquer l
oint faible de chacune des observations présentées comme exemples d' hallucinations uni- latérales par lésion cérébrale, dont plusi
ne signification plus précise et paraissant prouver l'existence des hallucinations par lésion des centres cérébraux. Une malade,
tée par Tomaschewski et Simonowitsch 3, présenta durant sa vie des hallucinations de l'ouïe et de la vue qui, à un certain moment
ue qui, à un certain moment, furent unilatérales. Relativement- aux hallucinations de l'ouïe il,y a lieu de remarquer que si l'aut
ta aussi dans l'oreille moyenne, du côté où s'étaient produites les hallucinations de l'ouïe. Mais cette critique ne peut être mai
ions de l'ouïe. Mais cette critique ne peut être maintenue pour les hallucinations de la vue, qui disparurent vers la fin de la ma
morbides qui en étaient la conséquence, la prédomi- nance (car les hallucinations de J'ouïe étaient doubles) des symptômes halluc
rcons- crites du cerveau. Th. Paris, 1890, p. 10. 2 Ed. Toulouse. Hallucinations unilatérales chez une femme ayant vue lésion ci
nnements d'oreilles, aurait transformé ses sensations lumineuses en hallucinations , ou plus juste- ment en illusions de la vue.
nte-dix-neuf ans qui, à la suite d'attaques épileptiformes, eut des hallucinations de la vue et de l'ouïe. Un jour il ressentit un
ormes dans le bras gauche ; et consécuti- vement il fut sujet à des hallucinations unilatérales du sens du toucher dans le membre
embre supérieur gauche des sensations mor- bides, les transforma en hallucinations , avec d'autant plus de facilité qu'il avait déj
hallucinations, avec d'autant plus de facilité qu'il avait déjà des hallucinations de la vue et de l'ouïe. En somme, la lésion cér
tat hallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui fait l' hallucination ; la lésion cérébrale ne produit que des fourmi
mière que le cerveau prédisposé, taré, hallucinogène, transforme en hallucinations . Cette manière d'expliquer la production des ha
orme en hallucinations. Cette manière d'expliquer la production des hallucinations 1 Féré. Les épilepsies et les épileptiques. 189
éré. Les épilepsies et les épileptiques. 1890, p : 466 et suiv. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 107 en conséquence de lésions cér
t disparurent dans le même ordre. Il est probable que là encore les hallucinations unilatérales n'étaient que la traduction erroné
ns les oreilles, etc., mais quel- quefois il survient de véritables hallucinations visuelles ou auditives dont la pathogénie est f
au-dessous de la première circonvolution temporale. Dans ce cas, l' hallucination de l'ouïe était vraisemblablement provoquée, de
be fit cesser ces symptômes .morbides. Or toutes ces ' Wormser. Les hallucinations unilatérales. Th. Paris, 1895. , Lick. Analysé
unilatérales peuvent être transformées par un cerveau prédisposé en hallucinations unilatérales. On a cherché à nouveau dans ces d
nombreuses autopsies, semble s'être con- vaincu que la plupart des hallucinations de la paralysie géné- rale sont liées d'une faç
psie d'un paralytique général, qui avait présenté durant sa vie des hallucinations psycho-motrices verbales ainsi que des mouvemen
tre masticateur). Cet auteur s'appliqua à rattacher l'existence des hallucinations et des impulsions motrices au siège des lésions
és, a constaté des altérations du lobe temporal coïncidant avec des hallucinations chroniques de l'ouïe, ce qui conduirait à pense
erveau étant normalement constitué, la lésion ne donnera lieu à une hallucination . En d'autres termes, il ne suffit pas, pour pro
. Analysé in Archives de Neurologie, 1885, t. X, p. 448 et 449. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. 109 tion, d'activer un centre sen
'est pour cela qu'il n'y a pas de lésions pro- duisant d'emblée des hallucinations , comme on pourrait par- fois être tenté de le c
nsa- tions auditives, lumineuses, etc.,) qui sont transformées en hallucinations . S'il en était autrement, l'hallucination serait
qui sont transformées en hallucinations. S'il en était autrement, l' hallucination serait (nous ne saurions trop le répéter) un ph
des centres sensoriels chez des malades qui n'ont jamais présenté d' hallucinations , ou encore de rencontrer des lésions de la troi
nc raison de dire que ce n'est pas la lésion qui fait directement l' hallucination , mais bien la modification préalable du cerveau
lle la lésion, quelle qu'elle soit, sera impuissante à pro- duire l' hallucination . En résumé, et pour en revenir au sujet de cett
En résumé, et pour en revenir au sujet de cette leçon, il y a des hallucinations unilatérales d'origine périphérique et d'ori- g
sensitifs et des sensations subjectives, qui sont transformées en hallucinations par le sujet prédisposé '. Mais puisque nous fa
liquer la question, que dans cette leçon nous n'avons pas parlé des hallucinations psychiques dont le mécanisme est différent. 1
de sa présence réelle. Acquise, nous trouvons la prédisposition aux hallucinations chez des enfants, qui ont souffert dans les pre
erston a, dès 1875, fait très nettement cette même remarque que les hallucinations unilatérales se rencontrent surtout chez les al
it d'un épileptique qui, « à la suite d'excès alcooliques » eut des hallucinations unilatérales de l'oeil et de l'oreille gauches.
que ; enfin le malade de .\1. Toulouse est encore un ivrogne. LES HALLUCINATIONS UNILATÉRALES. - 1'1'1 De sorte qu'on peut dire
rtaine aptitude morbide est donc essentielle pour la production des hallucinations . Mais cette notion générale, qui doit vous guid
me et dans l'hypnotisme. Dans le délire causé par le haschisch, les hallucinations musicales atteignent, paraît-il, une merveilleu
s'exerce guère que d'une façon un peu incohérente. La folie avec hallucinations permet, suivant les observations de l'auteur, l
sible, c'est que, depuis cette crise, malgré ses souffrances et ses hallucinations persistantes, le malade n'a jamais cessé d'avoir
voir, c'est l'assertion même du malade qui déclare que pendant ses hallucinations , il y a des moments où il ne sait pas s'il est
s aux autres ; 4° la mobilité, le déplacement n'existenl pas. Les hallucinations alcooliques provoquées peuvent nous aider à com
le rôle de l'excitation des organes des sens dans la production des hallucinations en général. L'intoxication alcoolique n'impose
énéralement de nature dépressive, habituellement non accompagnées d' hallucinations au moins au début, et affectant parfois le cara
constate aussi des idées hypocondriaques, de l'auto-accusation. Les hallucinations auditives et visuelles sont fréquentes : les ma
enaçantes, des flammes, ils entendent la voix de leurs parents. Les hallucinations n'ont habituellement rien de caractéristique ;
tation intellectuelle, tantôt d'un état de confusion délirante avec hallucinations ; les malades sont en proie à des impulsions motr
ractère (folie morale, manie raisonnante, aliénés persécuteurs sans hallucinations elles ivrognes). Il critique les expressions ma
la manie aiguë (puerpérale), à la manie chronique, à la folie avec hallucination de fouie, à la démence secondaire, à la mélanco
étaient sujettes à des attaques syncopales, à des palpitations, des hallucinations , REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 239 des idées de per
upeur, et qui au moment des périodes mens- truelles s'excite, a des hallucinations et devient agressive. Castra- tion : (ovaires a
ue ou mentale. Quelques périodes d'excita- liou. 1884. Même état. Hallucinations de la vue, de la sensibilité gé- nérale. 1885
ectures abs- truses bien au-dessus de sa portée, puis, à la suite d' hallucinations et de phénomènes extatiques, il s'est cru initi
ention, des idées de persécution assez développées (aucune espèce d' hallucinations ). Mais le symptôme le plus impor- tant de cet é
CH. Dans un premier cas, il s'agit d'un malheureux persécuté avec hallucinations multiples de l'ouïe et des idées de grandeurs qui
istinguer entre le bien et le mal : 3° l'existence d'illusions ou d' hallucinations n'exclut pas la cuipabilité, sauf le cas où ell
ion avec idée de crime commis. Ces malades n'ont généralement pas d' hallucinations de l'ouïe, mais seulement des interprétations d
ans la seconde, apparaissent 342 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. les hallucinations de l'ouïe auxquelles peuvent s'ajouter celles de
délire de persécution de la ménopause a une évolution rapide ; les hallucinations de l'ouie y sont précoces et presque constantes
qu'une surdité double apparaissait souvent en même temps que les hallucinations de l'ouïe. Les obsessions et possessions sont fré
malades se croient volés, ruinés, menacés d'assassinat; ils ont des hallucinations terrifiantes de la vue. Ces hallucinations et c
'assassinat; ils ont des hallucinations terrifiantes de la vue. Ces hallucinations et ces soupçons peuvent persister longtemps san
taux, des stigmates de dégénéres- cence. En général ils n'ont pas d' hallucinations de l'ouïe, mais seulement des interprétations d
t, à une période variable de l'évolution du délire, on constate des hallucinations psyclio-iiiottices ; Ballet et Séglas ont publi
'environ cinquante ans, entrée à l'asile pour de la mélancolie avec hallucinations et ayant présenté à diverses reprises des crise
mélancolie, 8 cas; épilepsie, 4 cas; démence organique, folie avec hallucinations et manie chronique, de chaque, 2 cas ; manie ai
; il existait en même temps un état mélan- colique avec cauchemars, hallucinations . La malade présentait aussi des lésions de tube
a vessie et du rectum; troubles vasomoteurs; troubles psy- chiques ( hallucinations terrifiantes, culpabilité imaginaire). Autopsie
e fonctionnement intensif d'une zone visuelle pourrait pro- duire l' hallucination , au cours de laquelle il y aurait inhibition du
tes : phases hypocondriaques, des interprétations délirantes et des hallucinations verbales audi- tives de persécution, de systéma
maladie au moment de la crise. Ce délire est caractérisé par les hallucinations et la confusion des idées. L'hérédité et les into
Désordres - dans leurs rapports avec la folie, par Barrus,lt6. Hallucinations psychomotrices, par A. Voisin et Charpentier, 8
16 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e réveille en sursaut, s'assied sur son lit, pousse des cris, a des hallucinations terrifiantes de la vue; dans l'autre, il se lèv
seul fait que l'inculpé n'avait présenté pendant l'observation, ni hallucinations , ni illusions sensorielles, ni les interpréta-
ie délirante et évoluant d'emblée vers les idées ambitieuses avec hallucinations variées était une forme clinique inconnue par s
rbides préparant l'éréthisme du centre cortical et par conséquent l' hallucination de l'ouïe. On savait de plus que Cing... était
int à la singularité de leur évolution et à l'ap- parition subite d' hallucinations , devaient inspirer de plus les doutes les plus
sé, à un délire systématisé chronique provoqué et entretenu par des hallucinations ; à un délire systématisé chronique de persé- cu
ne maladie mentale caracté- risée par du délire de persécution avec hallucinations auditives et visuelles, délire de persécution é
mélancolique, auquel n'a pas tardé à succéder un état maniaque avec hallucinations de la vue revêtant parfois un caractère terrifi
hauffée; en même temps modifications men- tales appréciables. Pas d' hallucinations , mais faiblesse mentale, perte de la mémoire, i
tumeur, et ouvert, donna issue à du pus. Bientôt le malade eut des hallucinations de la vue ; la tumeur continuait à grossir, mai
delirium tremens alcoolique consiste.en ce que dans le premier les hallucinations sont moins vives, à part cela, le syndrome est
ait une véritable tentative de suicide. Le malade n'a jamais eu d' hallucinations ni d'idées déli- rantes d'aucune sorte. Pas d'a
de psychoses qui s'observent chez les dégé- nérés. Toutefois les hallucinations , les idées délirantes, les mani- festations par
citation maniaque a été extrêmement violente, s'est accom- pagnée d' hallucinations terrifiantes et s'est toujours aggravée pen- da
et les faisceaux de projection de la vue, sur les hémianopsies, les hallucinations hémiopiques homonymes et la cécité corticale. I
Après chaque crise convulsive elle était atteinte de délire avec hallucinations de la vue durant plus ou moins longtemps ; elle
l est extrêmement probable que le syndrome catatonique, comme les hallucinations et les idées délirantes ne sont pas pathognomoni-
déative ; M. de Mattos n'admet nul- lement le rôle pathogénique des hallucinations sur le délire, rôle admis par l'Ecole française
ar l'Ecole française ; pour lui la conception délirante pré- cède l' hallucination . Il repousse également la théorie classique de
cinatoire du délire religieux. Observation I. Délire religieux avec hallucinations . Démono- ' Vallon et Marie. Des psychoses relig
délire. Observation Il. Délire religieux de forme démonomaniaque. Hallucinations et crises panophobiques. Tentative de parricide à
servation III. Délire religieux de forme dépressive. Démono- manie, hallucinations , crises panophobiques. Ingestion d'un christ, l
en enfer ; elle entre dans des crises d'anxiété formi- dables avec hallucinations terrifiantes, refus d'aliments, impulsions à se
it précisément pour se préserver du démon. » Attitude effrayée avec hallucinations de l'ouïe; alternatives de calme pendant lesque
d'imbécillité avec idées vagues de persécution entretenues par des hallucinations visuelles, olfac- tives, gustatives. Mort par c
vrai rendues morphinomanes. Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et visuelles consécutives à un trauma
, 2' série, t. IX. 25 . : 386 CLINIQUE MENTALE. il fit naître des hallucinations visuelles en pressant sur les globes oculaires.
é qu'il suffisait de faire fermer les yeux aux malades pour que les hallucinations apparaissent (Krafft-Ebing). M. Magnan -a not
e couleuvre, de la piqûre d'un insecte, etc., et appeler même des hallucinations très nettes des autres sens (vue, ouïe, odorat,
ant dans le conduit auditif externe, il a vu souvent s'éveiller des hallucinations auditives. Un auteur russe, Mierzejewski2, qui
a peau avec l'aide d'un marteau, provoquait chez cet individu des hallucinations auditives, se traduisant par des voix inju- . r
nsi, pour plusieurs auteurs, l'excitation cutanée peut produire des hallucinations réflexes. D'autres phénomènes ont été observés,
alcooliques ou persécutés déli- rants chroniques, l'excitation ou l' hallucination d'un des sens provoque bien d'autres hallucinat
'excitation ou l'hallucination d'un des sens provoque bien d'autres hallucinations chez les alcooliques ayant des tendances au dél
mentales, 1S97, p. 207. . Mierzejewski. Contribution à l'élude des hallucinations alcooliques. (Extrait des Archives slaves de Bi
lui sert : ils sont empoisonnés. Le trouble de la dégustation, l' hallucination gustative éveille un autre trouble, celui de la
lcooliques, toujours à écorce cérébrale hyperes- thésiée, ayant des hallucinations , voient leurs perceptions fausses augmenter d'i
ains sur le conduit auditif externe réveillaient et exagéraient les hallucinations de l'ouïe. Les hommes, cachés pour le tuer, par
r, parlaient plus haut. Cela durait deux, minutes environ, puis les hallucinations redeve- naient plus confuses, plus éloignées, t
après avoir fait fermer les yeux au malade, nous avons provoqué des hallucinations gustatives très accentuées. L'un nous dit lui a
définir. Pour l'audition, nous avons, comme M. Magnan, obtenu des hallucinations en ne variant que la façon de les obtenir. Notr
exciter le nerf acoustique, le centre auditif, afin de provoquer l' hallucination . Il n'est pas toujours nécessaire de recourir à
omme qui « lui fait des gri- maces ». On peut à l'infini varier ces hallucinations sug- gestives. M. llierzejewslci combine la s
s tandis qu'il y a aux centres une surexcitation qui provoque des hallucinations sous la moindre excitation d'un des organes sen
reusement, sont pathologiquement atteints. Au cerveau ce sont des hallucinations ; à la périphérie, ce sont de vraies douleurs, d
le choc. C'est le nerf malade qui réagit. Mais immédiatement des hallucinations le réveillent, le malade ressent des morsures,
rer, aussitôt en face du malade, des idées qui pussent éveiller des hallucinations . En frottant les globes oculaires, nous ne disi
rne le réflexe patellaire. La malade ne présente pas en ce moment d' hallucinations spon- tanées de la vue, ainsi qu'on l'a observé
après, ils disent encore a m... », puis elle ne les entend plus. L' hallucination a duré environ une minute. On la reproduit de l
et. La nuit a été assez calme, la malade a dormi quel- que peu. Les hallucinations de l'ouie sont par instants spontanées, mais si
- taire C... boit, et la crise d'alcoolisme subaigu survient. Les hallucinations ne semblent pas très fréquentes chez elle, le c
me depuis l'âge de dix-huit ans. Actuelle- ment alcoolisme subaigu, hallucinations multiples ; hyperesthésie deseentres auditifs,
is longtemps les symptômes d'alcoolisme ont apparu : insomnies avec hallucinations nocturnes. tremblement des mains, crampes dans
persister plus long- temps. Vue. Par le procédé de Liepmann, les hallucinations provo- quées sont très nettes. Le malade aperço
st toujours sous l'influence de ses idées mélancoli- ques, mais les hallucinations provoquées facilement hier, ne se réveillent pl
is quelques années. Alcoolisme subaigu, délire, de teinte mystique, hallucinations multiples. 13peresllvésie de plusieurs centres
tez-moi en croix tout de suite. » Du côté des organes des sens, les hallucinations peuvent être réveillées facilement et sont très
é, mais les MALADIES NERVEUSES A L'HOPITAL MILITAIRE DE KIEF. 399 hallucinations ne sont plus aussi intenses, et on ne peut plus l
n voit éclater, provoquées le plus souvent par des illusions et des hallucinations , des scènes violentes, qui peuvent aller jusqu'
ui leur ont donné naissance. Dans le second cas, les illusions, les hallucinations , les interprétations délirantes permettent d'af
au moment même de l'acte, des idées délirantes, des illusions, des hallucinations qui aboutissent à l'acte de violence; mais dans
un ans, étaient folles à lier, atteintes de manie raisonnante avec hallucinations de l'ouie et de la vue, et que, sous l'influenc
ètement troublée. Brout... parle parfois seul, comme sous le coup d' hallucinations , mais de façon à peu près incompréhensible, éta
ste et bien musclé. Il est actuelle- ment encore sous l'influence d' hallucinations spontanées, car si on lui demande pourquoi il f
au milieu tient un grand couteau. » Ce ne sont pas seulement des hallucinations de la vue : il prétend en effet entendre leur c
ntes et des étincelles qui courent le long de ces murs. En outre, l' hallucination concernant les hom- mes cachés derrière la fenê
s mains sur le conduit auditif externe, réveillent et exagèrent les hallucinations de l'ouïe. Les hommes, cachés pour le tuer, par
la précédente, bien que le malade ait encore très peu dormi. Les hallucinations de l'ouïe n'existent plus. Celles de la vue per
at des réflexes. Rien aux différents appareils. 26. F... n'a plus d' hallucinations d'aucune sorte, ni de symptô- mes aigus d'alcoo
nt très intéressant pour nous : l'apparition et l'exagération des hallucinations de l'ouïe correspondant aux excitations. A un m
moment de calme, nous appliquons nos mains sur les oreilles : les hallucinations apparaissent bientôt, bien plus intenses et net
st couvert de sueur. Il ne semble pas qu'il existe en ce moment des hallucinations sensorielles quelconques. La sensibilité para
Observation VI. - Dénénér·escence mentale. Délire alcoolique avec hallucinations multiples. - Hyperesthésie de plusieurs centres s
auter, il se dépêche, il les écrase avec ses deux mains. Toutes ces hallucinations provoquées par la suggestion cessent avec la st
son histoire d'assassins. Ce même jour, nous avons pu produire des hallucinations mul- tiples par les excitations périphériques ;
pointe de la langue avec la tête d'une épingle nous provoquons des hallucinations gustatives : « Je sais, nous dit-il, c'est de l
5 avril. - Le malade a bien dormi, sans cauchemars. Il n'a pas eu d' hallucinations ni hier après-midi, ni ce matin. La suggestion
enir de ses Archives, 2° seie, t. JX 31 l 482 CLINIQUE MENTALE. hallucinations d'hier. Pourtant par la compression des globes oc
entre dans l'ordre. Il se rend parfaitement compte de ses multiples hallucinations . Transféré le 12 avril à Ville-Evrard. L'hérédi
urs le cerveau reste hyperesthésie, puisque, après la cessation des hallucinations spontanées, nous pou- vons, par l'excitation pé
s, par l'excitation périphérique, par la suggestion, pro- duire des hallucinations multiples de la vue, de l'odorat, du goût. Ju
dans les moments d'accalmie, quoique sous l'influence encore des hallucinations . Voilà donc un premier malade qui n'a plus d'ha
e des hallucinations. Voilà donc un premier malade qui n'a plus d' hallucinations spontanées, mais chez lequel nous pou- vons rév
: Père et mère alcooliques et épileptiques. - Alcoolisme aigu avec hallucinations multiples.- Hyperesthésie des centres sensoriel
tre de ses sens. Nous essayons d'abord de faire réapparaître les hallucinations de la vue par la suggestion mentale, mais nos e
au ne donne rien, les mains tremblent toujours. Le 22 avril toute hallucination a disparu. Le malade, complète- ment revenu à l
s globes oculaires, le tapotement des oreilles ne provoquent plus d' hallucinations . Seules, la membrane pituitaire et la langue so
Dégénérescence mentale : très émotif, des doides. Alcoolisme aigu ; hallucinations multiples ; hyperesthésie corli- cale plusieurs
. Père mort tuberculeux, a eu pendant plusieurs mois du délire avec hallucinations multiples ; misan- thrope, ne causant jamais à
ôt, pris d'ennui, il redou- bla la dose de ses boissons, et eut des hallucinations de la vue : chats, chiens, rats, etc. : Le 13
ent, et pour faux vols de bijoux. Il passe une mau- vaise nuit avec hallucinations multiples. Le lendemain il se rend citez le com
répond à nos ques- tions assez exactement. A eu encore ce matin des hallucinations . Voici ce que nous avons obtenu par les différe
que l'excitation de la peau, le pincement a produit, au milieu des hallucinations de la vue, des troubles auditifs : notre malade a
te goutte acidulée, on dirait du cassis ". Au même instant il a des hallucinations auditives spontanées, « on lui reproche de mang
non... allons plutôt...» » Le lendemain et les jours suivants, les hallucinations périphé- riques provoquées continuent, mais en
elques réflexions sur les conclusions qui en découlent, parlons des hallucinations , car et d'abord, les phénomènes que nous avons
phénomènes que nous avons observés peuvent-ils bien s'ap- peler des hallucinations , c'est la première question qui se pose après l
ui se pose après la lecture de nos observations. Qu'est-ce qu'une hallucination ? « Une perception sans objet, répond Esquirol. »
« Une perception sans objet, répond Esquirol. » Il faut donc à une hallucination l'apparence d'un objet exté- rieur présent sans
ce d'un objet exté- rieur présent sans qu'il existe en réalité. « L' hallucination , ditLeuret, n'est pas un souvenir, c'est une ch
de la même manière du souvenir que la sensation elle-même. » « L' hallucination , dit M. Ch. Vallon, est une perception sans imp
lors, les phénomènes observés chez nos alcooliques ne sont plus des hallucinations , puisqu'ils sont provoqués par une impression p
ression périphérique. Ici, il nous faut aborder la physiologie de l' hallucination . Nous prétendons que les troubles, les sensatio
ns. Après la théorie de l'origine périphérique ou sensorielle des hallucinations en général, théorie la plus ancienne, sou- tenu
s aliénistes, bien qu'avec des exceptions. D'après cette théorie, l' hallucination est le résultat de l'excitation pathologique de
s cellules et qui s'imposent au patient comme des réalités. « Les hallucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions
de cette épineuse question. Pourtant M. Vallon ne croit pas à cette hallucination provoquée. C'est une fausse hallu- cination, un
ée. C'est une fausse hallu- cination, une pseudo-hallucination. « L' hallucination est donc toujours et constamment un trouble cér
une interprétation de M. Régis, fait remarquer que de pré- tendues hallucinations dites périphériques ne sont en réalité que des
illusion sensorielle, laquelle, comme la disait Lasègue, est il l' hallucination ce que la calomnie est it la médisance. Il HYPE
ènes que nous avons observés chez nos ma- lades, sont de véritables hallucinations . Quel est le savant qui pourra nous dire qu'il
nt la conscience est incapable de discerner le vrai du faux, il y a hallucination réelle. Ainsi, pas d'hallucination sans excit
cerner le vrai du faux, il y a hallucination réelle. Ainsi, pas d' hallucination sans excitation des centres sen- soriels. Que c
es sensoriels, et la théorie de Tamburini se justifie quand même. L' hallucination est toujours le produit d'un des centres sensor
e les excitations mentales ont seules le monopole de produire des hallucinations vraies, que les autres sont de fausses halluci-
r la périphérie ou les centres : il y a bacille, cela suffit. Que l' hallucination soit provoquée par l'excitation mentale des cen
u par l'excitation périphé- rique, le résultat est le même : il y a hallucination vraie. Ou bien, pour être plus logiques, suppri
qui n'évoquent rien à la pensée, et disons qu'il y a deux sortes d' hallucinations : celles qui sont produites par exci- tation pé
inations : celles qui sont produites par exci- tation périphérique, hallucinations périphériques ; et, hallu- cinations centrales,
tions que nous avons pu produire chez nos alcooliques sont donc des hallucinations périphériques. - Maintenant que nous croyons av
nant que nous croyons avoir établi que nos alcoo- liques ont eu des hallucinations , analysons, au point de .vue clinique, les cara
sons, au point de .vue clinique, les caractères intrinsèques de ces hallucinations , 490 CLINIQUE MENTALE. relativement à leur po
aminons les causes primitives et secondaires de ces troubles. Les hallucinations que nous avons étudiées ont leur point de dépar
et projetée au dehors sous forme d'halluci- nation ; même dans les hallucinations provoquées par la suggestion simple, l'excitati
oo- liques ; d'autres malades non intoxiqués par l'alcool ont des hallucinations auditives, par suite généralement d'une exci- t
. Tous les aliénistes ont observé des cas pareils, ils ont vu des hallucinations paraître par suite d'une excitation quel- conqu
oint que des coups sur les bras, sur les membres provo- quaient des hallucinations . Chaque choc correspondait à une syllabe. Mai
n ne peut dire que l'excitation peut, à elle seule, provoquer des hallucinations dans un cerveau vierge de toute hyperesthésie.
e intoxication physique et morale ; comme chez les dégénérés, leurs hallucinations deviendront complexes, tenaces et se systématis
moment qu'un choc, un souffle suffisent pour faire réapparaître les hallucinations qui semblent éteintes. Puis, avec l'abstinenc
odique, par Parrv, 52). Traumatisme. Idées de persécutions avec hallucinations consécutives a un. - psychique chez un gly- c
17 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e que les sensations organiques de ten- sion ou de fatigue ; 4° les hallucinations des aliénés rapportées aux muscles ne fournisse
violent. D'après les renseignements, il paraissait alors avoir des hallucinations effrayantes, tenait des propos inco- hérents, a
pêcha de commettre le péché mortel. Un jour, sous l'influence d'une hallucination , elle rompit brusquement avec ses amitiés monda
dirons bientôt les ardeurs mystiques, les illu- sions sacrées, les hallucinations divines qui lui firent tenir Jésus pour son seu
e re- naît peu à peu, calme relatif, si l'on veut, car de sourdes hallucinations et quelques symptômes nerveux persistent encore
X. Les données anatomiques et expérimentales sur la structure des hallucinations ; par Vasciiide et VuRpAs. (Journal de Yeii ? o-
atoire les plus typiques concernant la genèse et le méca- nisme des hallucinations . Il semble résulter de ces observations que des
itions normales de perception sensorielle peuvent être la cause des hallucinations . Il parait bien établi d'au- tre part que des l
les centres nerveux peuvent être à leur tour la cause prochaine des hallucinations constatées. 142 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLO
lière des sujets ont conduit les auteurs à admettre que dans chaque hallucination il y a toujours un élément commun et généralement
lequel les idées délirantes sont provoquées et entretenues par des hallucinations de l'ouïe, de la sensibilité générale, de l'odo
de l'ouïe, de la sensibilité générale, de l'odorat et du goût. Les hallucinations de l'ouïe sont d'une permanence et d'une intens
le pure; on constate néanmoins à plusieurs reprises l'existence des hallucinations de l'ouïe. Les troubles aphasiques durent une h
ayant présenté de la surdité verbale (phénomènes de déficit) et des hallucinations (phénomènes d'excitation) explique d'une façon
symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices ver- bales, hallucinations de l'ouïe,
ie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices ver- bales, hallucinations de l'ouïe, surdité corticale, surdité verbale p
ouïe, surdité corticale, surdité verbale pure, aphasie sensorielle, hallucinations de la vue, hémianop- sie, etc. Cette variété sy
int de vue du diagnostic. En effet l'existence d'un délire à base d' hallucinations et la constatation de symptômes habituellement
coups mortels de la part de Fabret et de Alo,el. · Un débat sur les hallucinations permit à Baillarger de dévelop- per des idées l
saient les troubles mentaux (confusion mentale, délire oni-. rique. hallucinations provoquant le délire, excitation, etc.) Si cett
des délires toxiques et infectieux (confusion mentale, cauchemars, hallucinations , perte de conscience, agitation motrice et auto
ris d'objets, paroles grossières, tutoiement adressé à tout venant, hallucinations et fugues nocturnes (voyait le diable, etc.) .
toie ou leur répond par des éclats de rire inconvenants. Accuse des hallucinations audi- tives sous la forme de voix agréables ou
sserie agitée, au cours de laquelle le malade paraît en proie à des hallucinations pénibles. Son langage, ses actes sont incohéren
des questions qu'on lui adresse; ne parait pas avoir de délire ni d' hallucinations ; excitation motrice simple avec abolition ou di
ques. - Maintenant, avec soeur Thérèse, entrons dans la période des hallucinations , celles habituelles aux hystériques, les auditi
aux hystériques, les auditives, les visuelles, les génitales ; les hallucinations éprouvées nous donneront une preuve nouvelle de
tions éprouvées nous donneront une preuve nouvelle de sa maladie. Hallucinations psychiques. Mais avant de raconter les hal- luc
ions véritables, nous devons donner quelques expli- cations sur les hallucinations incomplètes que la sainte éprouva, et sur ce qu
ne l'aurais fait des yeux du corps. » Ce n'est pas, on le voit, une hallucination complète * Voir n° So, août 1902, p. 124. 228
e l'expression voir avec les-yeux du cerveau. De même qu'il y a des hallucinations de la vue incom- plètes que les yeux de l'âme p
ncom- plètes que les yeux de l'âme perçoivent, de même il y a des hallucinations incomplètes de l'ouïe, que les oreilles de l'âme'
optique, les couches auditives, les couches optiques. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décrit sous le nom à' hallucinat
. Ce sont ces hallucinations que Baillarger décrit sous le nom à' hallucinations psychiques et le Dr Séglas sous le nom de psych
sans le secours de la parole ; nous décri- rons tout à l'heure des hallucinations de cette nature enten- dues par Thérèse avec le
pour ces sortes d'hallucina- ' lions la désignation de Baillarger, hallucinations psychiques, qui s'appliquent à toutes les hallu
aillarger, hallucinations psychiques, qui s'appliquent à toutes les hallucinations incomplètes. Cette désignation est meilleure qu
s autres sens. Ce serait mieux encore de les désigner sous le nom d' hallucinations cérébrales, qui .désignerait nettement leur nat
cinations cérébrales, qui .désignerait nettement leur nature. Les hallucinations psychiques visuelles de sainte Thérèse. Voici q
s psychiques visuelles de sainte Thérèse. Voici quelques exemples d' hallucinations avec les yeux de l'âme racontées par sainte Thé
ne pouvait voir qu'avec les yeux du corps ». - - Parmi les mêmes hallucinations psychiques de la vue, il faut encore citer une
ant des diverses oraisons de la sainte nous aurons à citer d'autres hallucinations de même nature. Hallucinations psychiques du ta
ainte nous aurons à citer d'autres hallucinations de même nature. Hallucinations psychiques du tact. A côté des halluci- nations
uci- nations psychiques de l'ouïe et de la vue, je dois citer une hallucination psychique du sens du tact, hallucination de la
la vue, je dois citer une hallucination psychique du sens du tact, hallucination de la sensibilité générale, que je crois très r
claire que le soleil ». Il peut donc, comme on le voit, y avoir des hallucinations psychiques du sens de la sensibilité générale,
sent entièrement dans l'encéphale, sans être projetées au dehors. Hallucinations complètes. Après les hallucinations incomplètes
ans être projetées au dehors. Hallucinations complètes. Après les hallucinations incomplètes dites psychiques, nous arrivons aux
YSTÉRIE DE SAINTE THÉRÈSE 2 j j tiens de l'ouïe, combinées avec des hallucinations de la vue et du toucher, seront racontées plus
du toucher, seront racontées plus loin. LES visuelles. La première hallucination de la vue de sainte Thérèse est célèbre, c'est
ière hallucination de la vue de sainte Thérèse est célèbre, c'est l' hallucination des mains ; voici son récit : « Etant un jour e
e, comme on dis- tingue une personne vivante de son portrait. » 1 Hallucinations de superposition. Nous devons citer aussi une c
llucinations de superposition. Nous devons citer aussi une curieuse hallucination de la vue, hallucination de superposition ; ell
tion. Nous devons citer aussi une curieuse hallucination de la vue, hallucination de superposition ; elle consiste avoir un objet
eur n'était que pour moi ». L'explication est celle-ci : durant l' hallucination , Jésus lui suggère que dorénavant, chaque fois
, sainte Thérèse voit la croix telle qu'on veut qu'elle soit vue. Hallucinations DOUBLES DE la vue ET DE l'ouïe. Voici une hallu
oit vue. Hallucinations DOUBLES DE la vue ET DE l'ouïe. Voici une hallucination double de la vue et de l'ouïe : tt Notre-Seigne
rivains. Période démoniaque. -Maintenant Thérèse est en proie aux hallucinations ayant pour base le démon ; cette forme que pren
au diable et pensaient, avec la figue, le vexer prodigieusement. Hallucination DE L'ENFER. Voici son hallucination de l'enfer
igue, le vexer prodigieusement. Hallucination DE L'ENFER. Voici son hallucination de l'enfer : « Étant un jour en oraison, il me
e pour sauver une âme damnée ; c'est une douceur dans le tableau. Hallucinations démoniaques. Bien des fois encore, Thérèse, dan
oule qui s'enfuyaient en se précipitant les uns sur les autres. L' hallucination du mauvais prêtre. « M'approchant un jour delà
dans les cornes de deux diables, loin de me toucher, me paraît une hallucination quelque peu extrava- gante, quoi qu'en dise Thé
s griffes, se l'arracher les uns les autres et le mal- traiter. » Hallucinations célestes. Après les hallucinations diaboliques,
s autres et le mal- traiter. » Hallucinations célestes. Après les hallucinations diaboliques, en voici de moins terrifiantes : u
olm. La guérison d'un aveugle. Décrivons encore quel- ques autres hallucinations célèbres : « Un jour où je priais pour un aveug
mpris dans le billet circulaire des pèlerins pour Lourdes. Autres hallucinations . Sainte Thérèse eut encore une hallucination qu
r Lourdes. Autres hallucinations. Sainte Thérèse eut encore une hallucination qui fut cause de la construction du plus grand
'ont certains aliénés hystériques de pouvoir produire à volonté des hallucinations de l'ouïe; j'en ai cité un cas au Congrès de Na
mples précédents sont assez nombreux et assez nets pour prouver les hallucinations de la vue et de l'ouïe de sainte Thérèse; nous
la sensibilité générale et des organes géni- taux en particulier. Hallucinations du tact. Certains aliénés, surtout des hystériq
se retrouver à terre en très piteux état. Sainte Thérèse eut une hallucination de cette nature, qui fut regardée, dans son tem
ur un tic n'est le plus souvent qu'un mouvement en rapport avec une hallucination , une interprétation délicate, ou bien destiné à
finissent par se laisser persuader et croire à la réa- lité de ses hallucinations ou de ses conceptions maladives, sans toutefois
eints au même degré. Ils ont exactement le même délire, les mêmes hallucinations , le même langage pathologique; e) La sépara- ti
trée par M. Magnan porte « alcoolisme chronique avec accès subaigu. Hallucinations mul- tiples professionnelles. Insomnie. Tremble
nstate' que G... n'est plus le même ; il dort mal, il a la nuit des hallucinations de la vue. Parfois il divague, disant un jour q
avoir eu des étourdissements ou des vertiges et n'ac- cuse que des hallucinations nocturnes de la vue; il rêve à ses che- vaux, à
ux heures à faire sa toilette; il a des insomnies continuelles, des hallucinations nocturnes de la vue en rapport avec sa professi
ours par bouffées, reviennent à intervalles irré- guliers les mêmes hallucinations professionnelles, avec sueurs abondantes et agi
s le même mouvement latéral de la tête qui lui use les cheveux. Ces hallucinations sur- viennent aussi bien le jour que la nuit, e
e : période de lucidité avec phases de délire hallucina- toire. Aux hallucinations visuelles (chevaux, bêtes de toutes sortes) s'a
inations visuelles (chevaux, bêtes de toutes sortes) s'ajoutent des hallucinations de l'ouïe : il répond à des personnes imaginair
tinue à délirer par intervalles avec toujours le même « caractère d' hallucinations professionnelles, puis le 8 mai, on « constate
fois, pendant près d'un an, le malade fut sujet à des bouffées d' hallucinations visuelles, professionnelles, avec agitation, su
omènes sensitivo-sensoriels (crampes, fourmillements, dysesthésies, hallucinations ) et de lésions anatamo-pathologiques (stéatose
altère ; dès le mois d'avril 1899, on cons- tate des insomnies, des hallucinations de la vue pendant la nuit, un certain affaiblis
ale. L'HYSTERIE DE SAINTE THERESE Par LE Dr ROUBY ` (Suite) - Hallucinations génitales. Pour les hallucinations génitales, T
Par LE Dr ROUBY ` (Suite) - Hallucinations génitales. Pour les hallucinations génitales, Thérèse sent ce que leur description
et languissants, ne laissent pas au fond d'être très vifs. » . . Hallucination DE l'ange. « Quelquefois lorsque j'étais dans c
ue dans un état extraordinaire ! 1 Pour mieux montrer combien ces hallucinations étaient véritablement matérielles, Thérèse raco
mé, ne soit pas un obstacle à la prière; comme elle croit vraie son hallucination génitale, elle la défend avec ardeur, et ne veu
la sainte parmi les vierges et martyrs. Résultats. Telles sont les hallucinations qui firent tant de bruit à l'époque de la Renai
vrose, celle avec convul- sions, avec attitudes passionnelles, avec hallucinations de toutes sortes, sainte Thérèse nous la décrit
teur. Enfin, obnubilation plus ou moins com- plète delà conscience, hallucinations , illusions, perversions des sens, tels sont les
èse dans son oraison de ravisse- ment et dans la description de ses hallucinations ? Elle a l'aura, ce coup de sifflet indicateur
urées assez longtemps ; elle a le délire transitoire sous forme d' hallucinations diverses ; elle a les gémissements et les 'peti
ompte du mal dont elle était la proie et regardait comme vraies ses hallucinations de divers sens. Lorsque la grande crise s'empar
crois ». Cela veut dire que les manifestations de sa maladie et ses hallucinations en particulier, bien qu'en dehors de la raison,
nt religieux, aux peuples avides de l'entendre, les produits de ses hallucinations et en entraînant pendant plusieurs siècles les
paramnésies, contraste psychique, illusions, pseudo-halluciuatious, hallucinations sensorielles et mo- trices diverses ; fréquence
élivrée d'un poids douloureux. (Elle ne tient pas sa solution d'une hallucination , j'insiste à dessein sur ce point.) - A parti
l ne saurait être question ici d'idées de culpabilité décou- lant d' hallucinations de l'ouïe (origine que leur attribuent encore m
encore aujourd'hui, telle idée déli- rante à telle autre ou à telle hallucination qui l'ont précédée, en se laissant gagner par l
ur internement. Nous n'avons pu savoir rien de précis quant à leurs hallucinations . Trois semaines plus tard, Jeanne et Clotilde,
ie de guérison. « Si nous entendions quelque chose, ce seraient des hallucinations , car ici on nous laisse tranquilles. Les gens s
toutes les mines d'or du Transvaal. Elle parait avoir eu un peu d' hallucinations et celles-ci auraient surgi surtout au moment d
ant personne dans le petit local n'étaient pas loin de croire à une hallucination de sa part, lorsqu'ils eurent l'idée de souleve
ATHOLOGIE MENTALE. 473 constituant alors d'après Féré une véritable hallucination du sentiment. L'extériorisation renforce l'émot
ntense que s'il y avait excita- tion réelle du dehors; comme dans l' hallucination sensorielle. Cette résurrection émotive s'accom
ielle. Cette résurrection émotive s'accompagne même de véritables hallucinations des sens. Exemple les acarophobes, qui en arriv
voir de se métamorphoser. Par la suite de son séjour à l'asile, les hallucinations demeurent aussi intenses. Il voit et entend une
ilité, persécution, mysticisme, satisfaction personnelle exagérée), hallucinations de la vue et de l'vouiez ALIÉNÉ AUTOMUTILATEUR
sager postparoxystique tient à une confusion mentale générale, avec hallucinations et illusions sensorielles en masse, surdité men
XLI. Contributions expérimentales à la' psycho-physiologie des - hallucinations ; par : 1111. V.scmn et luiii-As. (Journ. de Vreur
travail, les auteurs se croient autorisés à affirmer que toutes les hallucinations quelleque soit leur origine relèvent d'un même
nsoriel, jointe à l'état de distraction favorise l'appari- tion des hallucinations . G. 1). XLII. L'évolution du sens des couleurs,
ns propres aux dégénérés. M. H. 532 SOCIÉTÉS SAVANTES. XXXVH. Les hallucinations unilatérales, leur fréquence relative, leurs as
l Science. Avril 1901.) L'auteur a pu rassembler 15 cas bien nets d' hallucinations uni- latérales. Il s'agissait dans tous ces cas
d'hallucinations uni- latérales. Il s'agissait dans tous ces cas d' hallucinations de l'ouïe, et elles se sont manifestées douze f
nt manifestées douze fois du côté gauche. Il n'a jamais rencontré d' hallucinations unilatérales de la vue, non plus que du goût et
rquée des hal- lucinations d'un. côté; mais il ne s'agissait plus d' hallucinations vraiment unilatérales. Ce mémoire se termine pa
ar des considéra- tions intéressantes sur les rapports généraux des hallucinations unilatérales et sur leur pathologie. R. de Musg
prolongé du associé au signe de L3alïnsl : i, par Pailhas, 3j9. Hallucinations . Les données anato- nnqueS'et expérimentales su
18 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
let 188à. 10 CLINIQUE NERVEUSE. porté le diagnostic : Alcoolisme, hallucinations . Insomnie. Propos désordonnés. Idées de suicide
rte, disait n'être plus chez lui. D'autres fois, sous l'influence d' hallucinations terrifiantes, il menaçait d'un revolver qu'il n
l, sur le conseil de son médecin. 11 nie énergiquement avoir eu des hallucinations . Cette confusion mentale est mise en évidence p
5 juillet 1902 avec les diagnostics suivants : délire alcooli- que, hallucinations , peurs imaginaires, appels désespérés, Dl Legra
escence mentale avec alcoolisme, préoccupa- tions hypochondriaques, hallucinations multiples, frayeurs, excita- tion passagère, tr
psychoses, et suivant les moments d'excitation, de dépression ou d' hallucination par lesquels ils passent. Le stéréoscope met bien
a dictée des malades. Questionnaire concernant l'orientation et les hallucinations . Nom : Date : HEURE : 1. Comment vous nommez-
meil naturel; il peut comporter une vie psychique très intense avec hallucinations hypnagogiques et représentations oniriques; en
ts DIVERS. 9[ une folie chronique essentielle, caractérisée par des hallucinations sensorielles et par un délire aboutissant en de
permis de se rendre compte que ces pseudo-men- songes sont dus aux hallucinations de l'attaque, ou à des rêves noc- turnes, à des
a le diagnostic suivant : « Léger affaiblissement intellectuel avec hallucinations , idées ambitieuses et de persécution, sensibler
itale le malade eut une diurèse abondante et en quelques jours, les hallucinations disparurent ainsi que le délire secondaire. I
ence. La manie est souvent accompagnée d'idées de persécution, avec hallucinations de la vue et de l'ouïe : on trouve aussi quelqu
périeure, des symptômes bruyants tels que céphalée, vomissements et hallucinations . L'insuffisance fonctionnelle des muscles des q
e indigne de vivre et eut des idées de suicide. Puis survinrent des hallucinations de l'ouïe en rapport avec le délire. Le malade
aintenue ? Le malade quand il quitta l'établissement n'avait plus d' hallucinations de l'ouïe et était conscient de la crise délira
ses plaintes. Il est calme, facile à surveiller et ne trahit pas d' hallucinations . A la fin du mois de juin, le malade est pris d
gens-là me disent donc. » C'est sans doute sous l'influence de ses hallucinations qu'il s'agite, sort de son lit, crie, se cache
e la personnalité avec intervention des phénomènes subconscients et hallucinations consécutives. Que le médium fasse marcher une
n avec les esprits, écriture automatique) se sont surajoutées des hallucinations extrêmement intenses de tous les sens, et plus pa
endance à la désagrégation de la personnalité, ce qui détermine des hallucinations des divers sens. L'oedème fugace dans la Paraly
rge part. En regagnant son domicile, D... est fort excité, il a des hallucinations . Tandis que son cama- rade ne remarque rien d'e
- phérique, dans l'insomnie de ces malades. Chez les hallucinés à hallucinations génitales, en outre du rôle indéniable du rêve, p
ne recrudescence des phénomènes morbides. Mais c'est dans les cas d' hallucinations psycho-motrices que le réveil nocturne peut se
», se traduisant par de la confu- sion, des actes désordonnés, des hallucinations incohérentes, et s'accompagnant d'amnésie ; ce
aussi parce qu'il y a une notion à en retenir, c'est l'apparition d' hallucinations visuelles. Ce phénomène parait être un phénomèn
mmunément attribuée à l'état saburral des voies diges- tives, à des hallucinations , à des idées délirantes ou à l'idée fixe du sui
mélancolie avec idées de persécution et de suicide, basées sur des hallucinations de l'ouïe ; ses facultés intellectuelles étaien
mpressionnées; la suggestion est reçue en tant que suggestion ; des hallucinations hypnagogiques puis des rêves se déroulent, avec
c insistance. On trouve cependant encore des traces de scrupules, d' hallucinations accusatrices de l'ouïe, du dégoût de la vie ; e
ersonne, n'était sous 1 influence d'aucune idée délirante, d'aucune hallucination , n'avait pas d'idées de suicide et ne s'expliqu
nt qu'elle n'est sous l'influence d'aucune idée délirante, d'aucune hallucination , qu'elle n'éprouve aucune émotion, qu'il n'y a
Il se peut que divers phénomènes compris sous ce nom tiennent a des hallucinations et à des idées fausses. La catatonie est probab
ncapale de sommeil, à la suite de surmenage. Le tout se complique d' hallucinations et d'idées délirantes. L'année suivante accès b
, la forme mélancolique est la forme délirante la plus commune; les hallucinations du goût et de l'odo- rat sont plus fréquentes q
détaillées et intéressantes. H. de llossaavr,-Cr.r. VI. Un cas d' hallucinations unilatérales, et surtout musicales de l'ouïe, a
n que complètement sourd, a dans l'oreille droite exclusivement des hallucinations musicales : ce sont des instru- ments de cuivre
i à voix basse. Enfin sous le coup d'une émotion puissante, d'une hallucination intense, il arrive que certains malades, qui, d
lles, » Dans certains cas le malade monologue pour répondre à des hallucinations . C'est en somme un dialogue mais dont on n'ente
peut pas ; je suis consigné. » Dans les cas précédents il s'agit d' hallucinations senso- rielles, mais on peut trouver à l'origin
tamment (il chante, comme il dit) et voici un exemple de ce que ses hallucinations lui font prononcer : « 1,'o)cle Filocheest un
rs la même chanson, aussi a-t-il imaginé une manière de chasser ses hallucinations , il répète constamment « Kaskow, colonie du Cap
e à la connaissance de certains symptômes particuliers tels que les hallucinations . « Ah voleurs, tas de cochons, assassins, je vo
u d'autre part qu'on peut être mis de la même façon sur la piste, d' hallucinations auditives ou motrices verbales, d'impulsions ve
ENTALE. Relations des maladies unilatérales de l'oreille avec les hallucinations de l'ouïe ; (Sur un cas de guérison simultanée
ur un cas de guérison simultanée d'otite externe unilaté- rale et d' hallucinations auditives homolatérales.) Par le D' J. CAPGRAS
lé et de suicide. Paroxysmes d'ai,iélé. Ilnltu- cinatvms de la une. Hallucinations auditives verbales très prédo- minâmes du f6M g
cteur-médecin en chef de l'asile de t.a(<ud. '* J. ? rlas. Les hallucinations Kt ! t<N/e't'a(l;tKa)))t'ea-pc/t0o- giques d
n'était pas dévote. Puis ce sont îles idée-, hypocondriaques et des hallucinations de la vue : elle voit le diable sous la forme d
re est en poussière. Ce délit s'ac- compagne d'interprétations et d' hallucinations visuelles : les malades qui l'entourent sont de
à s'occuper à lacouture et nous lutine le renseignemeutsuivant; ses hallucinations auditives, qui sont encore très actives, viennent
droit. Sous l'influence de lavages boriqués l'écoulement cesse, les hallucinations deviennent moins fréquentes, mais cependant la
act le souvenir de ses accidents et nous confirme la réalité de ses hallucinations et leur localisation unilatérale. Cet état an
les troubles auditifs, leur unilatéralité et leur évolution. Les hallucinations de l'ouïe survinrent, comme il est habituel, lo
après le début de la dépression mélancolique. Ce furent surtout des hallucinations verbales, hallucinations vraies, les voix étant
ession mélancolique. Ce furent surtout des hallucinations verbales, hallucinations vraies, les voix étant nettement extériorisées.
rien d'anormal. La guérisondccetécoulemenldiminue la fréquence des hallucinations qui persistent cependant jusqu'au jour où l'exp
qui fut publié par M. Mabille en 1883' : chez une mélancolique des hallucinations uni- latérales de l'ouïe cessèrent aussitôt apr
itif un grain de blé entouré de cérumen. Dans cette observation les hallucinations étaient Mabille. Cas de guérison d'hallucinatio
e observation les hallucinations étaient Mabille. Cas de guérison d' hallucinations iiiiilcttéî-ales cle l'ouie tle cause externe (
e externe (Annales Me<Hco ? c/tO<., 1883, 6" série, tome 10). HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 503 élémentaires (bourdonnements, bru
t verbales. Citons encore les faits de Bail' et de M. Régis2 où des hallucinations unilatérales disparurent consécutivement à la g
. Il existe par conséquent entre les maladies de l'oreille et les hallucinations de l'ouie, toutes deux homolatérales, un parall
il se trouve déterminé 1 1 ? iall. Considérations sur un c<tA d hallucinations de l'oiiie, consé- ciiiit,eg à une inflummalion
hronique de l'oreille moyenne (Encéphale. 1882, ? 1). 2 Régis Des hallucinations unilatérales (Encéphale, 1881, n° 4). 1 J'élimi
gligence de l'une des images seuso- rielles et la localisation de l' hallucination du côté du point de repère unilatéral '. » Cell
rticulier dans une observation de M. Joll'i-oy et dans la nôtie : l' hallucination n'est pas franchement unilatérale, mais plutôt
nt, de voir dans la lésion péri- phérique une cause efficiente de l' hallucination unilatérale. Je ne le pense pas. Je vomirais es
e sans explication le parallélisme d'évolution de la lésion et de l' hallucination . Dans ce but, je Lâcherai d'in- diquer comment
n des maladies unilatérales de l'oreille sur le développement des hallucinations auditives. L'hallucination de t'ouïe est un sym
de l'oreille sur le développement des hallucinations auditives. L' hallucination de t'ouïe est un symptôme complexe et variable.
ieu au phénomène physique brut qui doit constituer ultérieurement l' hallucination ; mais cette hallu- cination ne devient réelleme
llallucinogénique du sujet et non la lésion cérébrale qui a fait l' hallucination 1 » ' · Celle prédisposition hallucinogène, hér
ns un délire, une lésion de l'appareil auditif produira non pas une hallucination , mais une inler- prétation. Le sujet n'entend p
ntes. Il importe de ne pas confondre ces interpré- tations avec des hallucinations unilatérales ; ce diagnostic est maintes fois f
fort difficile, si bien que certains psychiatres considèrent que l' hallucination unilatérale se réduit toujours enfin de compte
ité sont pg'des du côté sain et du côté malade. Pour se produire, l' hallucination n'a pas eu besoin ducoup de fouet de la lésion,
uffi. Cette lésion impaire sans action sur l'élément sensoriel de l' hallucination est aussi impuissante sur l'élément intellectue
éraux est effacé, par la violence du trouble sensoriel cortical ; l' hallucination est bilatérale. Ainsi se trouvent établies deux
ans la première, elle a pour unique rôle d'alimenter ' Joffroy. Les hallucinations unilatérales (Archives de Neurologie, t;i9G, n°
point de vue vésanique et ne dirige pas plus qu'elle ne provoque l' hallucination . il est d'autres cas où le cerveau, encore qu'i
nte à cet article en est une preuve : au cours de la mélancolie les hallucinations de l'ouïe ne sont pas un symptôme banal et inév
l en serait le résultat sur la loca- lisation et sur la marche de l' hallucination ? Conformément aux données anatomiques actuelle
ues actuelles, l'irritation portant sur les deux zones auditives, l' hallucination serait bilatérale, mais, ne se maintenant que g
termes, si l'action de la lésion sur l'élément sensoriel seul de l' hallucination met en relief le lien étroit qui unit l'une à l
nsforme les bruits subjectifs unilatéraux en un signal guide de ses hallucinations , et cela grâce à une inter- prétation peut-être
ntellectuel, d'une part elle donne naissance et assure sa durée à l' hallucination , d'autre part elle lui imprime sa direction uni
se passerait-il si la lésion, n'intervenant pas dans la genèse de l' hallucination , n'agissait que comme point de repère ? L'hallu
genèse de l'hallucination, n'agissait que comme point de repère ? L' hallucination en elle-même, n'étant pas fonction de la lésion
ant pas fonction de la lésion n'aurait aucun motif de disparaître HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 507 après la guérison de cette derniè
le caractère unilatéral imprimé au tiouble sen- soriel. En un mot l' hallucination deviendrait bilatérale. Nous trouvons préciséme
une aliénée chronique sourde de l'oreille gauche « qui accusait des hallucinations auditives du côté droit. « Dans l'oreille gauch
gauche on trouve un tampon de cérumen « qu'on enlève ; dès lors les hallucinations deviennent bila- « térales 1 Ce fait mérite d'ê
ve « beaucoup de sa valeur à l'argument tiré de la disparition de l' hallucination unila- térale par la guérison de la lésion sens
au cas de il. Mabille ; ils représentent deux variétés distinctes d' hallucinations unila- térales. Empruntant la classification ex
eure on peut dire : dans le premier il s'agit vraisemblablement « d' hallucinations centrales » ou « d'origine intellectuelle » ; d
ons centrales » ou « d'origine intellectuelle » ; dans le second «d' hallucinations périphériques subjectives directes », c'est-à-d
st une sensation subjective de l'ouïe ». Chez la malade de Pick les hallucinations sont à ce point indépendantes de la lésion qu'e
latérale qui eût une influence prédominante sur t'unilatératité des hallucinations dans l'oreille opposée, unilatéralité s'expliqu
que les cas de guérison simul- tanée de lésions périphériques et d' hallucinations uuilalé- ' Les roots souligné le sout par 31. S
l'on veut bien accepter une théorie éclectique. Il y a dans toute hallucination unilatérale deux caractères qu'il faut envisager
x caractères qu'il faut envisager séparément : c'est premièrement l' hallucination en elle- même, phénomène sensoriel explicable p
ne sensoriel explicable par la théorie anato- mique de Tamburini (l' hallucination épilepsie corticale); c'est ensuite l'unilatéra
es deux termes ou seulement sur l'un d'entre eux, les rapports de l' hallucination et de la lésion seront différents. Chez l'alién
trouble sensoriel lui-même, d'où la bilatéralilé con- sécutive de l' hallucination . Au contraire dans tous les cas analogues au nô
hérique c'est-à-dire qu'elle est à la fois l'agent provocateur de l' hallucination et le point de repère cause du l'uuilaléralité,
aléralité, on s'explique l'évolution parallèle de la lésion et de l' hallucination : guérir l'une c'est du même coup supprimer l'a
mul- tanée des maladies unilatérales de l'oreille et de certaines hallucinations unilatérales me semble conserver toute son impo
a localisation et même simplement la prédo- minance unilatérale des hallucinations de l'ouïe implique le plus souvent l'existence
ence d'une lésion de l'oreille du même côté. Dès lors en présence d' hallucinations auditives quel- MALADIES UNILATÉRALES DE L'OREI
é les relations entre les maladies unilatérales de l'oreille et les hallucinations de l'ouïe sont variables suivant la prédisposit
ément sensoiiel et sur l'élément intellectuel dont se compose toute hallucination . On peut établir cinq catégories distinctes.
la lésion, interprétations qu'il faut se garder de prendre pour des hallucinations . 2° La lésion unilatérale peut simplement coexi
ions. 2° La lésion unilatérale peut simplement coexister avec des hallucinations qui en sont indépendantes et ne pré- sentent au
t intellectuel. Dans ce cas. malgré l'unilatéralité de la lésion, l' hallucination est bilatérale, mais elle disparaît avec la cau
dernier caractère disparaît seul avec la guérison de Lr lésion : l' hallucination devient bilatérale (cas de Pick cité par Séglas
ment iulellectuel ; la première action détermine l'appa- rithtn des hallucinations , la seconde explique leur unilaté- ralité. L'év
plique leur unilaté- ralité. L'évolution de la lésion et celle de l' hallucination sont alors parallèles et leur guérison simultan
s et leur guérison simultanée (cas de Mabille et majorité des cas d' hallucinations unilatérales). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
riques avec impulsions à frapper et prononcer des mots orduriers. Hallucinations unilatérales de l'ouïe chez un paralytique généra
igne rapporte l'observation d'un paralytique général présentant des hallucinations unilatérales de l'oreille gauche. Il entend par
aussi quelques observations de paralyti- ques généraux ayant eu des hallucinations de l'ouïe. Chez l'un d'eux les hallucinations s
généraux ayant eu des hallucinations de l'ouïe. Chez l'un d'eux les hallucinations semblaient être en rapport avec une affec- tion
. M. (;. Ballet a observé au-si un parai\ tique général ayant des hallucinations bilatérales, comme en ont les délirants chronique
rale et de la syphilis, que celle-ci soit héréditaire ou acquise Hallucinations de l'ouïe chez un paralytique général. M. Vallo
Vallon communique l'observation d'un paralytique général ayant des hallucinations de l'ouie, d'une nature un peu particu- lière.
KL Briand, sans rechercher s'il s'agit d'illusions ou de véritables hallucinations , fait remarquer que ces troubles senso- riels o
arquer que ces troubles senso- riels ont le caractère démentiel des hallucinations des paralytiques généraux à une certaine périod
iculier, par Son. 6ltanofT, Sa. - Voir Imprégnation à l'argent. Hallucinations . Un cas d' - unila- térales, et surtout musical
mann, 514. - générale sénile, par Toulouse, 524. - générale. Voit Hallucinations . - générale précoce chez une jeune fille de d
19 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lsions incoercibles, est dû à Tamburini '. Dans son mémoire sur les hallucinations motrices, ce savant n'a eu qu'à rappeler les id
une théorie complète, et peut-être définitive, non seulement des hallucinations , mais de toutes les réactions motrices qui, à q
ériphériques du corps peuvent manquer, ainsi qu'on le voit dans les hallucinations des amputés, sans que les images motrices et la
sus cen- trifuge, toujours simultané, créent de toutes pièces les hallucinations du mouvement. Cette genèse des hallucinations m
e toutes pièces les hallucinations du mouvement. Cette genèse des hallucinations motrices vaut pour toutes les hallucinations en
nt. Cette genèse des hallucinations motrices vaut pour toutes les hallucinations en général, puisque tous les centres de l'écorc
trices des membres et de la face ne diffère donc point de celui des hallucinations de la vision, par exemple, tel qu'il a déjà été
pace des hallu- sinations, en particnlier de celle de la vue. Les hallucinations de la sensibilité et celle de la a motilité doi
particulièrement dans la sphère motrice du langage articulé que les hallucinations de la motilité ont été étudiées dans ces dernie
erniers temps. Après,Séglas, dont il cite les beaux travaux sur les hallucinations verbales (motrices', Tamburini rapporte un cas
L'hallvcination dans ses rapports avec la fonction du langage : les hallucinations psycho-motrices. Progrès médical, août, 1888; 10
e-ci est fortement immobilisée hors de la bouche. D'ailleurs aucune hallucination verbale de la vue ni de l'audition, et point d'
rait le cas dans une hallu- cination de cette nature, le siège de l' hallucination ver- bale motrice est localisé dans la région i
e l'hypoglosse, ou du larynx, est capable de produire isolément une hallucination motrice corrélative, il n'y a pas de raison pou
e genre siégeant sur d'autres aires corticales, n'y détermine des hallucinations motrices de n'importe quelle région corresponda
orps. Et il en est bien ainsi. A ce propos, Tamburini a rappelé les hallucinations mo- trices graphiques des médiums écrivant, les
'une chute du haut d'une tour ou dans un précipice, etc., enfin les hallucinations motrices de tant d'aliénés et de spirites qui c
ivent leur origine à ce qu'on a pris pour base de l'appellation les hallucinations (Meynert) ; les illusions (Schuele), les élémen
itoire; accès de névralgie du trijumeau avec perte de connaissance, hallucinations , couvulsions. P. K. XVIII. Deux cas DE simulati
aladie connue sous le nom de monomanie ou folie avec délusions, les hallucinations (ou les illusions) sont primitives, et les délu
OLOGIE MENTALE. cations sont susceptibles de donner naissance à des hallucinations simples, non compliquées; c'est-à-dire dans le
ie, à la manie périodique; il est moins indiqué quand il existe des hallucinations . P. K. VIII. Contribution A l'administration
s'était montrée, s'évanouit ; les troubles de la connaissance avec hallucinations et cauchemar ? , qui faisaient craindre l'insta
nd il existe une dépression ou une psychose quelconque récente avec hallucinations sensorielles; si cependant la dépression est ex
e considérable, est, à la suite d'une forte émotion, en proie à des hallucinations , à de l'angoisse, à des convulsions généralisée
stupeur sont en proie à un délire intérieur triste, accompagné d' hallucinations nombreuses et que leur état a beaucoup d'analogie
ger et que je tiendrais à mettre en relief, est la distinction de l' hallucination psychique de l'hallucination psycho-sensorielle,
tre en relief, est la distinction de l'hallucination psychique de l' hallucination psycho-sensorielle, celle-là consistant en une
ans ce premier volume, en plus d'une longue et minutieuse étude des hallucinations qui fixa, lors de son apparition, plus d'un poi
diaire à la veille et au sommeil sur la production et la marche des hallucinations ; de la puberté sur la production de la monomani
c La dysosmie qui figure dans l'aura de quelques épileptiques, les hallucinations olfactives, l'hémianosmie des hystériques coïnc
droite se passa vite. Elle devint excitée, incohérente, sujette aux hallucinations . A l'admission, après les expériences répétées,
erminé, pendant sa période fébrile, du désordre dans les idées, des hallucinations , de l'agitation sous forme d'un délire général
de pneumonie, puis d'idées d'empoisonnement et de folie religieuse ( hallucination de l'ouie); ce malade guérit ; l'autre obser-.
veille et au som- meil influant sur la production et la marche des hallucinations (1842), les syndromes de dégénérescence (Influe
ocia les qualités précieuses du cri- tique, dans la physiologie des hallucinations et leur nature. Il dégage avec justesse l'éléme
l des hallu- cinations des cinq sens et fait adopter sa formule des hallucinations sensorielles et des hallucinations psychiques.
s et fait adopter sa formule des hallucinations sensorielles et des hallucinations psychiques. Appliquant cette notion exacte à la
phagienne (18r6). - Quelques exemples de folie communiquée (1860). Hallucination reproduisant des sensations vives antérieures. Ap
VEUSE DE L'INFLUENCE DES EXCITATIONS DES ORGANES DES SENS SUR LES HALLUCINATIONS DE LA PHASE PASSIONNELLE DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQU
e l'attaque hystéro-épileptique, sont commandées en général par des hallucinations , le plus souvent visuelles. On sait aussi que c
délire, qui devaient être dans la suite vérifiés par d'autres DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 347 observateurs'. Mai
ssant au sens du toucher en particulier, on arrivait à modifier ses hallucinations , mais sans leur donner telle ou telle direction
1885. ' Charcot,. -Leçons du mardi, t. II, p. 326. ' Ségal. - Des hallucinations sous l'influence des excitations des organes de
ns dans les accès hystéro-epileptiques. (met, Obozr. XXXIII.) DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 349 Le nommé Constant.
uin, on remarque qu'à la fin de chaque crise survient une période d' hallucinations avec délire. Le sujet de ce délire est toujours
que il ne conserve aucun souvenir de 380 PATHOLOGIE nerveuse. ses hallucinations , mais quand on le presse fortement, il les raco
les yeux du malade, il sourit, puis se met à rire. Verre bleu. - Hallucination donnant lieu à des mouvements de tremblement da
lade à l'état normal ne produit pas l'attaque et ne provoque aucune hallucination . Le verre rouge au contraire, provoque instanta
décrites plus haut. Sens de l'ouïe. - Diapason ci l'oreille droite. Hallucination très agréable. Il salue, donne une poignée de m
nts d'escrime du sabre. Transporté à l'oreille droite, de nouveau l' hallucination précédente se reproduit. Bruit de tambour. Il
t le malade cherche à s'enfuir. Le verre violet amène une séda- DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 381 tion considérable,
reprises et don- nèrent les résultats suivants : Odorat. Camphre. Hallucination effrayante. Il cherche quel- qu'un, incline la
de cavalerie ont des sonnettes au cou.) Cette fois, le contrôle des hallucinations par le récit ultéiieur suggéré n'est pas interv
quelqu'un, puis fait le geste de semer du grain. Verre bleu. Même hallucination et mêmes gestes que dans l'expérience précédent
uvant de l'eau-de-vie, mange souvent du pain frotté d'oignon. DES hallucinations DE l'attaque hystérique. 333 Après ces expérien
nous raconte d'une façon à peu près rationnelle l'histoire de ses hallucinations qu'il n'avait manifestées exté- rieurement pend
uvert de gazon, au grand soleil, correspond vrai- semblablement aux hallucinations provoquées par les verres vert et bleu. La desc
i correspond évidemment aux gestes de déboucher une bouteille DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 333 et de boire qu'il
ce sens que le malade ne parlait pas pendant qu'on lui donnait des hallucinations par l'excitation des sens, on peut cependant dé
phase pas- sionnelle de l'attaque. Il est certain que toutes ces hallucinations nouvelles ne sont pas toutes aussi nettes et au
était moins sensible aux excitations un peu délicates et que les hallucinations provoquées par celles-ci lui étaient moins vive
sons quelque temps livrée à elle-même pour nous rendre compte DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 3151 de la nature de s
à cette heure ? En pleine nuit ! ces hommes après moi 1 Toutes ces hallucinations persistent après le verre retiré, d'une façon n
r moi... Je cours tout droit vers l'eau... Verre jaune. Retour de l' hallucination ci-dessus : soleil, beau temps, chaleur, etc...
us : soleil, beau temps, chaleur, etc... Verre bleu. -Retour de l' hallucination ci-dessus : elle voit sa mère dans le ciel. V
mettre deux bâtons pour tenir la jambe droite... Ether. De nouveau, hallucinations d'attaques de nerfs, comme dans la première exp
edhtz, l'eau de mer. Ah 1 oui j'en ai avalé ! C'est si bon, les DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. S bains de met. 011 !
donner par la parole une suggestion quelconque ou de modifier les hallucinations . Elle est totalement concentrée en elle- même e
'on prononce devant elle à haute voix et qui pouraient éveiller des hallucinations . C'est le degré le plus profond de la concentra
inations. Cette concentration se manifeste aussi dans ce fait DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. 361 que la réaction(de
rifiante» qui le font se précipiter sur un ennemi ima- ginaire. Les hallucinations soit spontanées, soit provoquées par l'excitati
ute se fiche, il parait ennuyé de lui avoir fait de la peine. DES HALLUCINATIONS DE L'ATTAQUE HYSTERIQUE. 363 P/tOSpAot'e.fi voi
que la même impression sen- ' son' elle produise chez tous la même hallucination ; Chacun l'interprète à sa manière et agit ou pa
passionnelle de l'attaque hystérique on peut modifier la marche des hallucinations et en créer de nouvelles à l'aide d'excitations
s'approprie la sensation perçue et la trans- forme à son gré en une hallucination correspondant à ses habitudes, à son genre de v
isée par la prédominance presque exclusive des troubles sensoriels ( hallucinations des sens musculaires et surtout du sens de l'or
e agit surtout sur cer- tains éléments symptomatiques, tels que les hallucinations de l'ouïe. - Il n'y a naturellement que peu dec
plus ordinaires, toujours dans le sens de la même idée fixe. Les hallucinations de l'ouïe sont prédominantes dans le délire de
mes mentales, telles que l'alcoolisme, la paralysie générale. Les hallucinations de la vue se rencontrent exceptionnellement, el
sont mal définies, et n'ont pas la netteté de celles de l'ouïe. Les hallucinations sont très variables, elles ne sont pas toujours
. L'idée fixe de persécution, les interprétations délirantes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la sensibilité génér
rante, dans la grande majorité des cas, les autres symp- tômes, les hallucinations de l'ouïe et les troubles de la sensibilité gén
ersécution semble, dans quelques cas, reposer en- tièrement sur des hallucinations de l'ouïe, souvent très intenses, en dehors des
re. Les troubles de la sensibilité générale sont plus accusés : les hallucinations de la vue s'ajoutent fréquemment à celles de l'
y compris ceux dont le délire s'ali- mente presque exclusivement d' hallucinations génésiques, devien- nent, eux aussi, mégalomane
de persécution, quels sont les rapports étroits du délire avec les hallucinations . M. le Dr Chaslin s'est proposé de rechercher,
i dans le délire de persécution type Lasègue, il y a tou- jours des hallucinations de l'ouïe et pas de la vue ; Pourquoi, chez les
rquoi, chez les persécutés persécuteurs raisonnants, il n'y a pas d' hallucination ; Pourquoi, enfin, dans le délire religieux idi
délire religieux idiopathique il y a tou- jours, entre autres, des hallucinations de la vue. Il s'agit donc de chercher dans la n
ychologique de l'idée délirante la raison d'être, la condition de l' hallucination . Tamburim, dans sa « théorie des hallucinations
e, la condition de l'hallucination. Tamburim, dans sa « théorie des hallucinations » attribue leur production à l'excitation de ce
ou qu'on ait le souvenir du rouge, ou qu'on voie le rouge dans une hallucination , c'est toujours la même cellule qui vibre. »
c'est toujours la même cellule qui vibre. » Nous savons aussi que l' hallucination , dans l'aliénation, est un phénomène physiologi
quer que dans le délire des persécutions type Lasègue, il y ait des hallucinations de l'ouie et pas de la vue ? J.-P. Falret a dit
ression par la parole. De même M. le professeur Bail dit que si les hallucinations auditives jouent le premier rôle, c'est que le se
ges auditives de paroles. La base indispen- sable qui permettra aux hallucinations (état fort) de se développer, est l'existence p
; ce sont ces mêmes paroles imaginées qui deviendront peu à peu les hallucinations sous l'in- A4t REVUE ANALYTIQUE. fluence du d
sécution est une idée audi- tive, et avec Lelut, on peut dire que l' hallucination est une idée délirante elle-même devenue sensat
de rêve ou de délire alcoolique ou de délire religieux; et puis, l' hallucination de la vue comme celle, par exemple, de l'alcool
ne sert pas à transformer une idée sensorielle qui n'existe pas en hallucination , mais à consommer un acte. Pour ce qui a trait
on, mais à consommer un acte. Pour ce qui a trait à la présence des hallucinations de la vue dans la folie religieuse idiopathique
début du délire de persécution, que le monomaniaque religieux a des hallucinations de la vue (entre autres) parce qu'un état faibl
ntre autres) parce qu'un état faible, une idée visuelle a précédé l' hallucination , parce que la croyance à la possibilité de la v
l'égard de la rareté des visions, peut-être pourrait-on dire que l' hallucination est souvent le point de départ d'actes de prosély
ier, tel par exemple le nom de Baillarger dans la descrip- tion des hallucinations hypnagogiques. Ces leçons s'éloignent des doctr
, 265; - simulation du S)I1- drome de Weber, par Charcot, 321 ; - hallucinations de l'atta- qued' -, pa rG. Guinon et Woltke 3
20 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
er à tous ces malé- fices et les réparer; bientôt sont apparues les hallucinations visuelles, consolantes, elle a vu la Vierge res
écrire sous la dictée de Dieu et sentent leur main dirigée par lui ( hallucinations motrices graphiques). Ces troubles de la moti
tale. n'ayant plus un mouvement de libre (dédoublement objectif), hallucinations de la vue, visions de lettres grecques lumi- ne
it bien sa voix qui s'adressait aux hommes par son inter- médiaire. Hallucinations de la vue; apparitions célestes. Enfant Jésus d
u- part des phénomènes signalés précédemment, automatisme verbal, hallucinations cénesthétiques simulant celles des mé- lancolie
nos asiles et Baillarger en cite un cas dans son Mémoire sur les hallucinations (5 SI).- ' Moreau de Tours. Psychologie morbide
mais fut longtemps continuée. Les troubles mentaux consistaient en hallucinations multiples, perte de la mémoire, obnubilations e
aux actes obscènes et impudiques, l'extase, le rire continu, les hallucinations de la vue, la sensation d'enlèvement dans le vide
t tout à fait bien portant. La netteté de cons- cience, l'absence d' hallucination parlent en faveur du malade qui n'apparaît à so
de la dépression dans la dissociation des facultés affaiblies, des hallucinations de la vue et de l'ouie, bientôt suivies d'excit
signerait en France de la façon suivante : Excitation maniaque avec hallucinations et confusion mentale par intervalles chez les d
n- tale, vers laquelle il se sentait attiré dans sa jeunesse. Les hallucinations à caractère pénible dans le tubes dorsalis. M.
ervice, et relatives à deux cas de tabes classique s'accompagnant d' hallucinations audi- tives et visuelles. Il s'agit de deux fem
s et visuelles. Il s'agit de deux femmes, non alcooliques, dont les hallucinations revêtirent les caractères habituelsdu délire éthy
ysie générale, où elles sont déjà très rares, on rencontre si peu d' hallucinations visuelles qu'elles ont pu être niées dans les a
es autres formes de folie. Les auteurs, en face du caractère de ces hallucinations qui les rapprochent des hallucinations d'origin
en face du caractère de ces hallucinations qui les rapprochent des hallucinations d'origine toxique (mobilité, colo- 142 SOCIÉTÉS
rmale ou imagination dévergondée des hystériques sous l'intluence d' hallucinations ou de rêves. Il s'agit là d'une véritable auto-
lucinations de la vue occupent la première place, tandis que les hallucinations de l'ouïe sont relégués au second plan. Ces symp-
attentive des troubles psychiques de la chorée,'depuis les simples hallucinations nocturnes terrifiantes jus- qu'au délire aigu,
- N° 15. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE MENTALE. i SUR LES HALLUCINATIONS SYMBOLIQUE^ dans LES PSYCHOSES ET DANS LES RÊ
des aliénés de Notre-Dame-du-Pilar de Saragosse (Espagne). I. Les hallucinations du langage sont connues de tous. Aussi n'aurion
e définitive. Grâce à l'interprétation donnée par lui en 18881, les hallucinations psycho-motrices, limitées exclusivement au cham
Sérieux, Garnier, Roubinovitch, Soury et P. Londe en France 2 'Les hallucinations psycho-motrices. (Progrès méd., 18,25 août 1888.)
Du mutisme mélancolique. (Ann. méd. psychologiques, 1891.) - Des hallucinations , in Journal des connaissances méd., n°' 6 et 7, 1
ssances méd., n°' 16, 17, 18, 20, 1894. Obsession hallucinatoire et hallucination obsédante. (Comm. à la Soc. méd. psych., in Leç
urini, Pierraccini et Morselli en Italie 1 ont complété l'étude des hallucinations psycho-motrices ver- bales dont la palkogénie e
séméiologie laisse déjà très peu à désirer. Quant aux autres, aux hallucinations verbales qui consistent dans l'extériorisation
e langage de réception représenté dans les psy- choses : 1° par des hallucinations visuelles verbales ; ` ? ° par des hallucinatio
oses : 1° par des hallucinations visuelles verbales ; ` ? ° par des hallucinations verbales auditives. Celui de transmission compt
es qui peuvent être extériorisées dans le cours des psychoses comme hallucinations de caractère symbolique. Il y a des sujets qui
uvent absolument dans l'impossibilité de pré- senter cette classe d' hallucinations par la raison bien simple qu'ils n'en possèdent
ar l'effet d'une cause antérieure ou postérieure à Pans, 1895.) Des hallucinations dans la mélancolie, in Leçons clini- ques, etc.
ations dans la mélancolie, in Leçons clini- ques, etc., p. S21. Les hallucinations et le dédoublement de la per- sonnalité dans la
Ann. méd. psych., juillet-août 1891. Seglas et P. Londe. Sur les hallucinations et en particulier les hallucinations psyclto-motr
1. Seglas et P. Londe. Sur les hallucinations et en particulier les hallucinations psyclto-motrices dans la mélancolie. (Arch. de
(Arch. de Neurol., nO' 68 et Ga, 1892.) - P. Sérieux. Sur un cas d' hallucinations motrices chez un paralytique génél'al. (Arch. de
nél'al. (Arch. de Neurol., mai 1894.) Garnier (Paul). Coexistence d' hallucinations psycho-mol1'ices verbales et d'hallucinations s
(Paul). Coexistence d'hallucinations psycho-mol1'ices verbales et d' hallucinations sensorielles. Dialogue entre les voix intérieur
Arch. de Neurol., n° 98.) Houvinovitch, Contribution à l'étude des hallucinations verbales psycho-motrices. (Soc. méd. psychologiqu
. Mallltale di semeiolica délie znalallie ntealali, Milano, 1894. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 463 leur naissance, sont priv
ront pas non plus présenter (dans le cas d'une maladie mentale) des hallucinations auditives ni psycho- motrices d'articulation. T
senta- tions motrices mimiques, ou, ce qui revient au même, « les hallucinations symboliques du sourd-muet illettré seront, dans
passer isolé dans sa cellule. La présence des signes objectifs des hallucinations visuelles nous fit remarquer ces troubles et in
co-sensoriales en las e71el'medades mentales. » Zara- goza, 1896. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 165 L'hallucination visuelle
les. » Zara- goza, 1896. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 165 L' hallucination visuelle de cet individu entre parfaitement dan
ve parlent. La différence est capitale. Il n'est pas rare que les hallucinations verbales apparaissent dans le délire alcoolique
nous avons vu fréquemment des délires alcooliques dans lesquels les hallucinations verbales auditives apparaissent unies ou non au
rsonnes qui les entourent. M. Vallon, pour sa part, a rencontré les hallucinations motrices d'articulation chez deux alcooliques'.
, sensorielles et motrices se trouvent extériorisés sous formes d' hallucinations dans le délire alcoolique, mais ils sont tou- j
les visuelles communes qui apparaissent au premier plan. Eh bien, l' hallucination mimique de l'alcoo- ' Soc. 7 ? écl. -psycholoqi
ent les mimiques, et seulement celles-ci peuvent revêtir la forme d' hallucinations dans un tel cas. Après tout, quelque chose d'
l cas. Après tout, quelque chose d'analogue se produit dans les hallucinations verbales, quelle que soit la forme mentale sous
- gnifiantes. Qu'on se rappelle maintenant la rareté relative des hallucinations verbales visuelles, bien plus accentuée encore
lus accentuée encore dans les graphiques. Pour pouvoir souffrir d' hallucinations visuelles de paroles, il faut avoir lu beaucoup
ique normalement consti- tués, sont privés de classes déterminées d' hallucinations . C'est exactement cela, mais dans des proportio
cité plus haut nous les avons appelées pseudo-lexiques (|eu8 ? ); HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 167 faux, )'G ? parole), c'es
NATIONS DES SOURDS-MUETS. 167 faux, )'G ? parole), c'est-à-dire des hallucinations de quelque chose qui a la valeur identique de l
plus logique de les appeler hallucina- tions du langage mimique ou hallucinations mimiques, et ainsi on déterminerait leur valeur
uets 1; 2° celui que, hors cette classe de sujets, quoique quelques hallucinations consistant dans la vision de fantômes qui gesti
tions publiées, pour n'en citer d'autres, de Bail- larger : Sur les hallucinations I)sycho-seiisoi-ielles. De l'influence de l'éta
diaire à la veille et au sommeil sur la production et la marche des hallucinations (Annales médico-psychologiques, vol. V et VII;
- Le Sommeil et les Rêves, Paris 1861, p. 35 et suiv. Christian. Hallucinations , in 1)ict.Encyclop. des Se. médicales. Dechambre,
r nous rendre compte du caractère, de la nature et des variétés des hallucinations perçues pendant le rêve. C'est-à-dire que nous
ologia, vol. XXI, 1889, intitulé dnlroolo71a del sorclonzvliszno. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 169 de Lasègue , qui est la c
ficatif dans la direction suivie. Ne pouvant expérimenter sur des hallucinations alcooliques, nous invesligâmes les oniriques, q
l'éducation de nos organes de la parole, et la preuve, c'est que l' hallucination graphique est la plus rare de toutes les halluci-
audsley. Physiologie île V esprit, tl ad, Ilerzeu, p. 233 et sui\", HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. Il -il des personnes qui ne c
de plus très expressive : sa face dit davantage encore que ses pa- HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. 1T3 rôles, avec elle il souli
e. Mais il est déjà du domaine vulgaire combien sont fréquentes les hallucinations verbales jusque dans la « folie émotive de More
second cas mais non avec celles du premier. A savoir : préférence d' hallucinations mimiques visuelles et psycho-motrices et existe
t pour cela qu'il était impossible qu'il se produise autre chose. HALLUCINATIONS DES SOURDS-MUETS. '1 TJ auront de spécial ce qu
les psychoses que dans les rêves des sourds-muets, il existe des hallucinations symboliques sensorielles et motrices en har- mo
C'est chez ces déments mystiques que l'on observe la double voix ou hallucinations psychomotrices alternant avec la voix naturelle
ces malades, la personnalité, loin de s'éteindre, s'exagère. Leurs hallucinations sont caractérisées par leur prédominance dans l
s mouvements graphiques automatiques (possession théomaniaque); ces hallucinations motrices finissent par être inconscientes, le m
ale à laquelle on ait affaire. C. DENY. XXIII. GENÈSE DE QUELQUES hallucinations ; par le Dr Rossi. (Ann. di neural., anno XIII,
di neural., anno XIII, fasc. 1, 2.) L'auteur envisage surtout les hallucinations verbales motrices et arrive à cette conclusion
ppellerons seulement que nous n'avons jamais songé à considérer ces hallucinations comme le résultât d'une simple excitation des c
moteur d'articulation : mais il n'en est pas moins évident que ces hallucinations , comme toutes les autres, plus même peut-être que
xcitation des centres corticaux était une condition nécessaire de l' hallucination , elle n'en était pas la condition à la fois néc
e la forme mentale particulière à chaque cas. J. SÉGLAS. XXV. Des hallucinations VISUELLES (visions) PRODUITES par la PRES- SION
exécution suffisent à dissiper. Le second de ces états est l'état d' hallucination : ces hallucina- tions portent sur la vue, l'ou
douloureuses à la partie inférieure du thorax et sur l'abdomen. Les hallucinations n'apparaissent que dans les casd'hy- peresthési
s les folies aiguës avec symptômes à développement rapide. 4° Les hallucinations et les illusions fugaces et changeantes, les dé
dans LEQUEL ON pouvait PROVOQUER PAR SUGGESTION DES ILLUSIONS, DES HALLUCINATIONS et des : 1CTESAUTOM.4TIQUIdS; par ALUN i\I : 1C-L
urdité des choses suggé- rées, et il en résulte une illusion ou une hallucination : par exemple on lui suggère qu'il y a une sour
sonnement et séjour en cellule. Au cinquième jour de la détention, hallucination de l'ouïe (reproches et menaces), excitation, anx
lèvent directement de leurs troubles psychiques. Tels sont : a) les hallucinations ; b) les idées délirantes; c) les états affecti
1894. M. Ganser. Présentation de malade. - Femme de quarante ans. Hallucinations et idées de persécution systématisées. Pas de con
nt la systématisa- tion délirante que renforce aussi l'apparition d' hallucinations . Troisièmement, il faut citer les idées déliran
i lui fait deviner les pensées d'autrui. Sa soeur présente quelques hallucinations , des idées de persécution basées sur des troubl
déshabille, devient anxieux, présente des idées de persécution avec hallucinations . 11 est encore en traitement à l'asile. BIBLI
s surveille, on parle sur leur compte etc. Une seule présentait des hallucinations . Les observations qui précèdent doivent être ra
gente que l'autre, systématiser des idées délirantes, présenter des hallucinations , alors que l'autre n'est qu'un écho atténué de
ions subjectives; odeurs de pour- riture, odeurs infectes, etc.). Hallucinations olfactives comme base de conceptions délirantes
ons subjectives à leur maladie. .Mais de l'illusion sensorielle à l' hallucination il n'y a qu'un pas, et de même de l'hallucinati
n sensorielle à l'hallucination il n'y a qu'un pas, et de même de l' hallucination à l'interprétation délirante. Cependant, pour q
a thèse de M. Rogipr (Lyon). 270 CLINIQUE NERVEUSE. complet : l' hallucination est présente, l'accusation est formu- lée, le p
orielles sans aucun autre signe de folie : Galezowski a signalé les hallucinations de la vue, Grainger Stewart celles de l'ouïe. L
dissemblance, c'est l'absence totale dans la maladie de Graves des hallucinations de l'odorat, si communes dans le myxoedème. Et
onnaissons que quelques éléments qui sont l'existence de nombreuses hallucinations cénesthétiques et de phénomènes psychomoteurs m
ifs avec perte de conscience passagère, suivis de vomissements et d' hallucinations . 1889. Accès fréquents de caractères variés. Ag
es, clonus du pied, trou- bles vésicaux, accès passagers d'anxiété, hallucinations de l'ouïe. Rémission qui dure quelques mois. En
e affective. Ziehen considère également les idées délirantes et les hallucinations comme carac- térisant la paranoïa, et il ajoute
ion parfois très systématisées. L'existence d'idées délirantes et d' hallucinations ne suffit donc pas toujours pour faire admettre
alade, par exemple, a élaboré tout un roman compliqué, accompagné d' hallucinations , sur l'in- fluence hypnotique exercée sur elle
de rêve, allant d'une stupeur profonde à une légère obnubilation ; hallucinations fan- tastiques ; délire mystique ; actes absurd
Dans le premier cas, ce sont des « auras » toujours identiques : hallucinations terrifiantes, angoisse précordiale, obnubilation,
ves avec des images grâce à l'existence des idées délirantes ou des hallucinations ; outre cela ce phéno- mène peut dépendre, d'apr
ude progressive et longue, à laquelle fait suite une phase dont les hallucinations de l'ouïe sont la carac- téristique. Les idées
choses à la névrose. Le délire alcoolique est caractérisé par des hallucinations repro- duisant les préoccupations habituelles d
nations repro- duisant les préoccupations habituelles du sujet. Ces hallucinations terrifiantes sont surtout visuelles, mais ont a
urtout visuelles, mais ont aussi leur siège dans tous les sens. Ces hallucinations sont toujours multiples et très mobiles. Elles
aduellement, passant par le trouble fonctionnel, l'illusion, puis l' hallucination vague qui se précise enfin de plus en plus. M
257. GRHES. Troubles mentaux dans la maladie de, parMaude, 322. Hallucinations pénibles dans le tabes, par Bnand, 140. - sym-
21 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
IEUSE.' 3 Il étudie séparément, il est vrai, les illusions et les hallucinations , l'hypochondrie, le délire épileptique, la démo
ble dans son âme. De l'agitation, des terreurs, suggérées par des hallucinations de la vue, la font renvoyer dans -sa famille, o
stupidité, dont elle emprunte toutefois les formes extérieures. Les hallucinations , qu'elle ressent encore, ont trait à des faits
pports s'établissent entre la malade et le monde fantastique de ses hallucinations . Pour lui, l'ex- tase pathologique est arrivée
des premiers troubles ? S'agit-il d'une mo- nomanie ? Justine a des hallucinations de la vue; cela présage plutôt un délire généra
, d'actes grotesques ou puérils, de démonstra- tions érotiques et d' hallucinations religieuses ou autres, sans lien, sans suite. D
onnelle. Chez Justine, on ne voit aucune trace du premier état. Les hallucinations signa- lées par le D' Ancelon marquent plutôt l
tes suffi- santes pour se traduire par un accès mélancolique avec hallucinations pénibles, scrupules, craintes de damna- tion et
ème accès à quarante-sept ans. Troisième à cinquante ans. Vertiges, hallucinations de la vue. Intelligence médiocre. Microcéphalie
on nota seule- ment de nombreux vertiges (15 à 20 par jour) et des hallucinations pendant la nuit : a la lumière de la salle lui
ion 94 le revue de pathologie mentale. auditive, les illusions et hallucinations spéciales et familières au même malade ; à leur
lit à la longue. Les perceptions sont singulièrement ralenties. Les hallucinations de la vue sont rares. Ces troubles somatiques
lire, tremblement, in- REVUE DE P.1TIIOLOGIr MENTALE. 101 somnie, hallucinations , terreur, tels sont les traits habituels '. Plu
nt et violent, sans que l'on puisse toutefois constater chez lui ni hallucinations , ni illusions ; pendant un certain temps il a é
joyeuse exultante), soit circulaire, produit et entretenu par des hallucinations visuelles auditives, tactiles, qui, apparu au qua
me, à part les crises occasionnées par la nature désagréable de l' hallucination , seraient en rapport avec la théorie toxhémique
lancolie anxieuse greffée sur des idées délirantes dépressives avec hallucinations , accès d'agitation, tentatives de suicide et si
rée ou de la lypémamie avec excitation et obnubilation psy- chique, hallucinations désagréables (angoisse, agitation, vio- lences)
de collapsus), voire la complication albuminuro-urémique (ici pas d' hallucination , guérison) en sont les facteurs. Début du quatr
iaque confus à idées chan- geantes, rarement exaltées, accompagné d' hallucinations . 11 apparaît du neuvième au onzième jour pendan
'asthénie, ayant tous guéri; ils ont trait à un délire furieux avec hallucinations delà vue et de l'ouïe chez une fillette de trei
de la mégalomanie, de la loquacité incohérente, de l'insomnie, des hallucinations de la vue et de l'ouïe gaies, rarement à de la
: agi- tation maniaque aiguë mélancolie avec idées délirantes et hallucinations stupeur. Durée moyenne, un mois. Guérison. Hydr
alade de M. Bail présenté à notre der- nièrerénnion comme atteint d' hallucination unilatérale consécu- tive à une lésion de l'ore
des manifestations (épilepsie), les im- pulsions irrésistibles, les hallucinations dans leurs relations avec l'acte, le poids de l
utrition et les sécrétions, après avoir émis l'opinion que bien des hallucinations du goût et de l'odorat peuvent être rattachées à
ruits anormaux perçus comme tels par le malade se trans- forment en hallucinations ; en même temps, angoisse précordiale intense, e
résentait, en outre du délire de négation le mieux caractérisé, des hallucinations nombreuses : elle était tourmentée par des invi
qu'il est complètement dominé par ses conceptions délirantes et ses hallucinations , et qu'il en est arrivé à 156 CLINIQUE MENTALE.
actères spéciaux : ce sont les halluci- nations. "L "" "a ' 1 Ces hallucinations sont fréquentes surtout dans les états de stupe
eur répètent qu'ils sont damnés. Quelques-uns ont des . .1 Il,, hallucinations du coût et de l'odorat et s'imaginent qu'ils so
s matières fécales, de la chair humaine, etc. , En sénéra ! , les hallucinations , chez les malades à En général,, les hallucinat
sénéra ! , les hallucinations, chez les malades à En général,, les hallucinations , chez les malades à a . ' Il 1.111, . 1 1. le .
1 1. le . idées de culpabilité, appartiennent à cette catégorie d' hallucinations , établie par M. Baillarger, qui repro- duisent
est profondément distinct de celui des persécutés, d'abord par les hallucinations de la vue qui sont rares chez les persécutés et
qui sont rares chez les persécutés et ensuite par le caractère des hallucinations auditives. Comme les hallu- cinations de la vue
sur la pente de la folie. Dans la forme sensorielle elle-même, les hallucinations n'apparaissent pas tout d'abord avec la netteté
vers l'alcool. La dipso- manie reparut et avec elle arrivèrent des hallucinations terri- fiantes de l'ouïe. La conscience, un mom
ue l'hémisphère droit était intact, que le malade n'avait eu aucune hallucination de la vue, mais que longtemps avant sa dernière
à l'asile eût pu favoriser sur un pareil terrain la produc- tion d' hallucinations et devenir la cause occasionnelle d'une psychose
ns à sourire ; l'explication du fait gît et dans la nature de leurs hallucinations et dans l'anémie considérable que l'on observe
phiques. La distinction fondamentale réside dans la pathogénie; les hallucinations et la stupeur en général se développent sur un fo
c les perturbations psychiques. M. Plce. Contribution à l'étude des hallucinations . M. Lf.chner. Apport à la pathogénie des hémorr
us effrayants encore ; ils ont plus souvent que les alcooliques des hallucinations de la vue et de l'ouïe. Le délire absinthique n
nts sont empoisonnés, qu'elle est ensorcelée. Elle parait avoir des hallucinations de l'ouïe et de la. vue, prétend qu'il se passe
pendre ou une forte dose de poison. M. A... ne parait pas avoir d' hallucinations auditives, mais il a de nombreuses illusions de
la ne se décrochera jamais ». Par moments, Z. C... parait avoir des hallucinations de la vue ; il voit des personnages, des femmes
Homicide plus fréquent. Troubles de la 'sensibilité très rares. Hallucinations auditives cons- tantes et présentant l'évolutio
ns- tantes et présentant l'évolution spéciale que l'on connaît. Hallucinations de la vue très rares. Hypochondrie morale con
. Homicide plus rare. Troubles de la sensibilité. Anesthésie. Hallucinations manquent sou- vent. Quand elles existent, elles
mes phrases, adressées aux personnes réelles qui les entourent. Hallucinations de la vue assez fréquentes. ' Hypocllondrle p
tact des clous. Accidents hystériques; idées hypochondria- ques ; hallucinations . Phimosis et conformation vicieuse de la verge.
ême parfois jusqu'à produire des illusions des sens, et presque des hallucinations . C'est surtout dans les moments où i) lutte con
pin. A plusieurs reprises et à des époques différentes, il a eu des hallucinations pénibles la nuit, sans que l'on ait pu les attr
INVERSION DU SENS GÉNITAL. 317 morbide qu'il tient de ses parents : hallucinations , ob- sessions de toute nature, impulsions, crai
lle se voit décou- verte,* é;fyV ,4,1 ? 1, lwsur, elle ; dans cette hallucination , elle n'aperçoit pas' 1 inuigC ! eiitiej^,^ l'e
après l'administration de fortes doses de'chloral' hydraté. 'Des hallucinations apparurent 'àssi ti 19 tüal'adt : itifij' £ it<
profonde, un assoupissementinterrompupar des rêves effrayants, des hallucinations , des terreurs qui peuvent conduire au sui- cide
connus ; elle est non moins impossible lorsque des illusions ou des hallucinations font entrer en ligne de compte des faits qui n'
ple, sans conséquences sociales fâcheuses,, dans la mélancolie sans hallucinations , où les malades ont une con- naissance très cor
violence et de destruction, et dans un cas de folie chronique avec hallucinations terrifiantes de l'ouïe; il regrette de n'avoir
OUT DE TROIS ANS ENVIRON, D'UN ACCÈS DE MANIE AVEC PRÉDOMINANCE DES HALLUCINATIONS DE L'OUÏE ; par Bacon. (The Joztr ? ial of JIeî
juin 1875, elle est plus propre, plus calme et dort bien ; mais les hallucinations persistent sans modification. En août 1875, aba
dant de quelques- rechutes : la conduite reste un peu bizarre, les hallucinations persistent. En février 1877, elle est assez bie
tions auxquelles elle répond d'une façon rai- sonnable ; elle a des hallucinations manifestes du toucher. Trois jours après l'entr
s d'amé- lioration et d'aggravation, des mouvements choréiformes. Hallucinations de l'ouïe et du goût. Après six semaines de séj
ique et mentale.-Les mou- vements choréiformes ont disparu ; plus d' hallucinations ; ce- pendant la malade croit encore à la réali
allucinations ; ce- pendant la malade croit encore à la réalité des hallucinations de l'ouïe : elle se souvient d'avoir entendu la
a mémoire), (le M.-C. 396 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XXIII. LES hallucinations dans la paralysie générale DES ALIÉNÉS, CONSIDÉ
duction des conclusions de l'auteur, qui sont les suivantes : Les hallucinations et les illusions ont dans la paralysie géné- ra
s (p. 100) des paralytiques généraux chez lesquels on a observé des hallucinations des divers sens, sont des chiffres minimum. Con
iffres minimum. Contrairement à ce que l'on admet généralement, les hallucinations de la vue ne sont guère plus fréquentes d'une f
fréquentes d'une façon absolue, dans la paralysie générale que les hallucinations de l'ouïe. Mais, chez les soldats paraly- tique
allucinations de l'ouïe. Mais, chez les soldats paraly- tiques, les hallucinations de la vue se rencontrent dans une proportion pl
vue se rencontrent dans une proportion plus élevée par rapport aux hallucinations de l'ouïe que chez les autres soldats aliénés.
réquence sur celles de la vue ; elles l'emportent également sur les hallucinations de la vue dans la paralysie générale. Chez les
vue dans la paralysie générale. Chez les aliénés, en géné- ral, les hallucinations de la paralysie générale sont souvent de courte
s des centres sensoriels corticaux du cerveau. Lorsqu'on étudie les hallucinations de la paralysie générale au point de vue des lo
la couche corticale qui accompagnent les adhérences. Dans les cas d' hallucinations de la vue chez les paralytiques généraux, le pl
plus atteinte que le pli courbe dans les cas qui s'accompagnent d' hallucinations de la vue, et que les adhérences sont souvent t
e plus atteinte que la première dans les cas qui s'ac- compagnent d' hallucinations de l'ouïe, ces cas étant pris dans leur ensembl
eucyclopâdie des gesammten heilkunde.) Contribution a l'étittie des hallucinations de la sensibilité; par H. AnNAL. Thèse de Lyon,
Gaucher aphasique, 121. Goitre exophthalmique, par Panas, 86. Hallucinations unilatérales, 117. Hallucinations dans la paral
xophthalmique, par Panas, 86. Hallucinations unilatérales, 117. Hallucinations dans la paralysie générale, considérées spécial
22 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e il s'est adonné pen- i dant deux ans. A ce qu'il pardit, it'a des hallucinations visuelles. ' car il raconte qu'il voit des gens
des voix. Il ne peut pas raconter d'une manière plus détaillée ses hallucinations . Des jours entiers, le. malade passe à se tenir
et encore dans cela qu'il se croit être un saint, etc. Si il a des hallucinations , il ne le dit pas, mais il sourit quand on le lui
ratif de la maladie, passent dans une démence chro- nique, avec des hallucinations isolées seulement et avec une faiblesse intelle
nt par un état de mélancolie avec délire épisodique, parfois avec hallucinations et troubles moteurs caractéristiques, ne ressem
l masturbation. En 1882, il fut atteint d'une psy- chose aiguë avec hallucinations et délire de la persécution ; quand commença le
sement de la critique ; mais on ne peut rien dire de sûr, quant aux hallucinations . Elle n'a point de délire stable. Elle a seulem
er son entourage, tandis que dans l'amentia de Meynert, même sans hallucinations , l'incompréhension de l'entourage sert de stimu
imulus au développement d'un délire quoique non stable parfois. Les hallucinations sont habituelles, les illu- sions, comparativem
entia de Meynert est presque toujours accompagné et soutenu par des hallucinations . Ici c'est la sphère de l'attention qui est alt
que celle de l'attention passive; sans doute que ce ne sont pas les hallucinations qui en sont cause, puisqu'elles manquent, mais
énomènes catatoniques, provoqués dans la sphère sensorielle par des hallucinations quelconques. Sur ce fait insiste surtout le D
e origine hallucinatoire, mais il est difficile d'expliquer par des hallucinations , par exemple, le son « khme, khme » que le mala
ains cas de catalepsie hystérique, elle peut être provoquée par des hallucinations , mais pour que ce symptôme soit stable, un cert
, il peut être sujet à une inhibition, par exemple à la suite d'une hallucination , ou peut être exagéré par suite d'un délire que
n. CONCEPTIONS DE L'HYPNOTISME ET DE L'HYSTÉRIE. 131 A propos des hallucinations optiques, Grasset constate avec tous les auteur
de l'état toxémique. R de iUSGRA VE-CLA Y. VI. Remarques sur les hallucinations ; par CONOLLY 1TORhfAN (The 'Journal of Mental
cinatoire, l'un des premiers points à examiner est de savoir si les hallucinations s'étendent d'une manière inusitée à tout le cha
ité mentale (s'exerçant d'une façon anormale) est aussi nette que l' hallucination de tout autre sens. La malade de M. Conolly Nor
nt avec le dos de la langue, comme il arrive ordinairement dans les hallucinations gustatives. Les physiologistes n'admettent que
orsque la respi- ration est entravée : elles sont souvent liées aux hallucinations olfactives, mais peuvent exister isolément. La
eur, mais d'autres sensations spéciales. Sensations visuelles : les hallucinations de la vue paraissent faire défaut ; la malade d
e épée nue ; mais l'au- teur n'est pas certain qu'il s'agisse d'une hallucination vraie. Elle ne dit pas qu'elle a vu un ange, el
aît attribuer moins de réalité à ce qu'elle croit avoir vu qu'à ses hallucinations de l'ouïe. Sensation d'activité mentale : il ne
e l'ouïe. Sensation d'activité mentale : il ne paratt pas y avoir d' hallucinations de cet ordre. Hallucinations de l'ouïe : la mal
é mentale : il ne paratt pas y avoir d'hallucinations de cet ordre. Hallucinations de l'ouïe : la malade entend des bruits variés
laident en sa faveur. L'auteur rappelle ici que Seglas a divisé les hallucinations de l'ouïe en trois groupes : 1° hallucinations
Seglas a divisé les hallucinations de l'ouïe en trois groupes : 1° hallucinations élémentaires (bruits vagues); 2° hallucinations
trois groupes : 1° hallucinations élémentaires (bruits vagues); 2° hallucinations communes (bruits associés des objets définis);
2° hallucinations communes (bruits associés des objets définis); 3° hallucinations verbales (une voix est entendue). Ces trois ord
hallucinations verbales (une voix est entendue). Ces trois ordres d' hallucinations se rattachent à des fonctions physiologiquement
a surdité verbale. L'existence des « voies favo- rables » parmi les hallucinations de l'ouïe est considérée comme ayant une valeur
faisant de l'audition à gauche. L'association de lasurdité avec les hallucinations de l'ouie a été signalée depuis longtemps, par
ent par Bail qui va jusqu'à considérer la surdité comme une cause d' hallucination . Les hallucinations unilatérales isolées ou se
jusqu'à considérer la surdité comme une cause d'hallucination. Les hallucinations unilatérales isolées ou se manifestant en même
unilatérales isolées ou se manifestant en même temps' que d'autres hallucinations , ont été décrites, l'auteur les croit rares, bi
est à remarquer que dans le cas qui sert de base à cette étude, les hallucinations de l'ouïe étaient seules unilaté- rales. Si l'o
ons de l'ouïe étaient seules unilaté- rales. Si l'on écarte ici les hallucinations visuelles, qui sont dou- teuses, et si l'on adm
cinations visuelles, qui sont dou- teuses, et si l'on admet que les hallucinations de l'ouïe ont ouvert la scène, on se trouve en
s périphériques constituent un facteur important dans la genèse des hallucinations unilatérales de l'ouïe, pourquoi voit-on appara
rales de l'ouïe, pourquoi voit-on apparaître chez le même sujet des hallucinations bilatérales de plusieurs autres sens ? Et d'aut
sieurs autres sens ? Et d'autre part, avec une tendance marquée aux hallucinations de tous les sens, pourquoi les halluci- nations
émotives. Dans d'autres cas, il a pour cause des délusions ou des hallucinations terrifiantes qui contraignent le sujet qui les ép
ans, et depuis présente des phénomènes multiples parmi lesquels des hallucinations en masse qui parfois occupent simultanément la
avec des désordres psychiques variables : excitation, irritabilité, hallucinations nocturnes, amnésie, etc. D. Déso1'dres psychiqu
ls tuberculeux emprun- tés à l'histoire, notamment chez les Valois ( hallucination de la vue du roi Charles VI dans la forêt du Ma
e. de dépression mélancolique avec quelques idées de persécution. Hallucinations de l'ouie : on lui dit toute espèce d'injures, on
considérable, grande confusion mentale; désorientalion excessive. Hallucinations nombreuses de l'ouïe de caractère pénible. -Pas
17 septembre 1902. Cette malade aurait eu, avant son en- trée, des hallucinations de l'ouie, quelques idées de persécution, et au
le 24 avril 1903. Eléments symptomatiques d'un délire systématisé, hallucinations de l'ouïe ; la malade croit qu'on lit sa pensée.
. Examen du 8 septembre 1903. Persistance du même état men- tal ; hallucinations de l'ouïe et de la sensibilité générale très fré-
903. - Examen du 10 septembre 1903. -Malade obnubilée, anxieuse : hallucinations de l'ouïe. ° Signes physiques peu marqués. Lége
lusion intellectuelle; actes inconscients; agitation intermittente; hallucinations de caractère pénible. Signes physigucs peu nets
cathédrale de Saint-Pierre à Go, nève. Se basant sur l'existence d' hallucinations et d'idées déliran- tes chroniques de grandeurs
t arrêté on lui fait savoir qu'il est atteint d'idées délirantes, d' hallucinations et de démence. Il me semble peu logique d'appli
emment à ses communications avec les espTits ordinaires. Toutes ses hallucinations revêtirent la forme des évocations ri- tuelles
re Dieu et' Jésus-Christ et 'évolue vers un 'délire -mystique avec - hallucinations ' impératives brutales et érotisme. Il commet p
u sans automatisme et amnésie ; 16 furent mis en somnambulisme avec hallucinations , amnésie et suggestions post- hypnotiques. In
roubles de la mémoire, s'affaiblit de jour en jour. Surviennent des hallucinations , du subdélire ; d'ailleurs notre malade ne tard
n propre à l'auteur. Mémoire écrit en français. . P. 11HRAVAL. L. Hallucinations de l'ouïe, alternant avec des accès de surdité
élire de persécution et de gran- deur, des phénomènes d'excitation ( hallucinations de l'ouïe) alter- nant avec des phénomènes de d
nales (surtout à gauche). Il n'y aurait donc pas lieu en présence d' hallucinations et de symptômes de lésions en foyer surajontés
ique à début graduel aboutissant à la période d'invasion aiguë avec hallucinations de l'ouïe, confusion mentale, paroxys- mes d'ex
Le premier de ces cas montre une connexité remarquable entre les hallucinations sensorielles et les troubles cutanés. Le second
surde d'énormité, de grossesse et d'accouchement, est sujette à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. Elle meurt au bout d'un
aracté- ristique d'un état démentiel. M. Vallon rappelant que les hallucinations de la vue sont rares dans la paralysie générale
ses interprétations de l'au-delà auxquelles se rapportent déjà ses hallucinations auditives. En même temps se produisent chez lui
lisent pas, il arrive à se rendre compte qu'il n'est que le jouet d' hallucinations diverses et vient se faire soigner. La rapidité
and il écrit sous l'influence des esprits. M. Vallon demande si les hallucinations de la vue n'étaient pas en rapport avec des exc
ues. Les pratiques spéciales mystiques ou spirites conduisant à l' hallucination voulue des centres moteurs ou sensitivo-sensoriel
l appartiendrait à la démence. G. DENY : LXXII. Remarques sur les hallucinations ; par CONOLLY Mormon (T'he Journal of Mental Sc
eloppement et le complément de la première. Tamburini con- sidère l' hallucination comme dépendant d'une irritation des cen- tres
ciation et croit que c'est en eux qu'il faut chercher l'origine des hallucinations . « L'origine de toutes les hallucinations vraie
ut chercher l'origine des hallucinations. « L'origine de toutes les hallucinations vraies, dit-il, est transcorticale... Le mécanism
ucinations vraies, dit-il, est transcorticale... Le mécanisme de. l' hallucination consiste en la rétrogression d'une image plus o
entre ensuite dans quelques considérations intéres- santes sur les hallucinations génitales, parce qu'il lui semble que la variét
des fonctions spé- ciales qui sont surtout représentés. L'étnde des hallucinations semblerait démontrer que les centres sensoriels
un centre psychique, et l'auteur pense, avec Tanzi, que l'étude des hallucinations paraît confirmer d'une façon générale les doctr
e les doctrines de Flechsig. R. du nIUSGRAVE-CL : 1Y. LXXIII. Les hallucinations et les phénomènes mentaux qui leur sont connexe
ux phénomènes mentaux qui sont connexes aux halluci- nations qu'aux hallucinations elles-mêmes, mais tous présentent un réel intér
Annales médico-psychologique, juin 1903 1.) E. l3Lm. LXXXIII. Des hallucinations antagonistes unilatérales et alter- nantes ; pa
siste de l'hypothèse de la dualité cérébrale pour l'explication des hallucinations unilatérales. Il pense que les hallucinations d
our l'explication des hallucinations unilatérales. Il pense que les hallucinations dites bilatérales et de caractère diffé- rent s
s sur des interprétations fausses, désillusions, peut-être même des hallucinations . A ce délire semble avoir suc- cédé une phasede
que passagèrement systématisées et s'accompagnent le plus souvent d' hallucinations auditives el visuelles. » Ces deux citations
s sa sortie de l'hôpital, il la voyait et l'entendait fréquemment. ( Hallucinations visuelles et auditives). A partir de cette époq
u'il a attrapé un hernicocèle (sic). D'un autre côté, il accuse des hallucinations terrifiantes de la vue très nettes : Vision pen
i a-t-il fallu le mettre au quartier des dangereux. Il présente des hallucinations de l'ouïe : le Dieu suprême » lui parle dans le
des lettres où il revendique ses droits; on lui a dit, son frère, ( hallucinations de l'ouie) qu'il n'était venu dans l'établissem
est remis ensuite à ses occupations pendant trois ou quatre mois. Hallucinations de la vue, perte de sommeil et d'appétit. Dans
es de la vue, des idées de jalousie à l'égard de sa femme, quelques hallucinations de l'ouïe mais mal définies, etc... F... est as
re des idées absurdes de grandeur et de richesse combinées avec des hallucinations de l'ouïe : « On a dit en chaire qu'on allait f
té plusieurs auteurs, notamment Ma- gnan, Sérieux, Truelle, etc., d' hallucinations auditives ou bien d'hallucinations de la sensib
gnan, Sérieux, Truelle, etc., d'hallucinations auditives ou bien d' hallucinations de la sensibilité générale ; c'est ce que nous
. II, il nous a été impossible de savoir d'une façon précise si ces hallucinations existaient. Il importerait aussi de savoir si c
ion chez les paralyti- ques généraux, sont le fait, de même que les hallucinations , d'un facteur étiologique, autre que le syndrom
uvelle qui se surajoute à la démence paralytique. D'après Bail, les hallucinations de l'ouïe et par suite les idées de persécution
pas pour produire des idées délirantes de persécution ainsi que des hallucinations . Il faudrait en plus une prédisposition vésaniq
Mignot, Jamet, ne se contentent pas pour expli- quer la genèse des hallucinations des paralytiques généraux de la prédisposition
ière temporale semble donner raison à leur théorie. Il s'agissait d' hallucinations surtout auditives avec idées de persécution et
c idées de persécution et de jalousie. Dans nos observations, les hallucinations ne sont pas aussi typiques que celles citées pa
ule d'engendrer par 'des processus irritatifs en même temps que des hallucinations multiples des idées de persécution et de réacti
lucinose auditive), est caractérisé par une grande prédominance des hallucinations auditives, . des idées délirantes très souvent
e et une forte tendance au suicide. Relevons, en passant, que les hallucinations auditives de cette forme sont aussi mouve- ment
mai, entre le 23 à l'asile très agitée, désorientée, en proie à des hallucinations de la vue, avec tremblement généralisé et hypoest
llucinose auditive pure, puisque la malade, sous l'influence de ses hallucinations de l'ouïe, a pu systéma- tiser, étant assez luc
ucinose auditive (nous entendons la durée des idées délirantes, les hallucinations ayant disparu au bout de vingt-quatre heures) a
re tremens. La déso- rientation, l'extrême agitation, les multiples hallucinations visuelles, l'exagération du tremblement, tout c
la vie de travail. Dans beaucoup de cas de paranoïa chronique, les hallucinations pâlissaient, le délire s'affaiblissait et l'héb
icider et alluma un réchaud, prit sa pipe d'opium et, au milieu des hallucinations du narcotique, attendit la mort. Quand au bout
, par '1 homa', 157. IIAIIN. Le R. P, Guillaume - S. J.. 270. Hallucinations . Remarques sur les - , par Conoly Norman, 138.
la phase « osleomalacia fragilisa, par Paviut. 242. Ouïe. Voir Hallucinations . Palais. Les anomalies rlu- consi- dérées com
par Vorobieff, 509. P : 112ALYTIQiIFS généraux. Voir OEil. - Voir Hallucinations Des - persécutés et dangereux, par Pas- turpl
23 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ale. rai, la ménopause (fréquence de la mélancolie, accompagnée d' hallucinations sensorielles et d'idées délirantes correspon- d
. III. Considérations CRITIQUES ET CLINIQUES dans LE domaine des hallucinations ; par V. IANDINSIiY. {Centralbl. f. Ner- venhei
nts. 10 Insuffi-ance des matériaux actuels quant à la théorie des hallucinations . 2° On confond dans la pratique certains phé- n
a pratique certains phé- nomènes subjectifs que l'on prend pour des hallucinations et qui n'en sont pas. 3° Une hallucination est
que l'on prend pour des hallucinations et qui n'en sont pas. 3° Une hallucination est une perception senso- rielle (sans objet) d
(sans objet) dont la teneur est toujours concrète ; il n'y a pas d' hallucinations abstraites. Mais il s'en faut de beaucoup que t
magination; 6, les pseudo-hallucina- tions proprement dites; c, les hallucinations réelles. Tous ces genres sont constitués par la
iels; 5° Une perception sensorielle subjective ne peut être appelée hallucination vraie que lorsque le tableau senso- riel pénètr
lucinatoires (images commémoratives, pseudo-hallucinations) et les hallucinations véritables, quant au caractère. de l'objectivité
s, quant au caractère. de l'objectivité ou de la réalité. - fin Les hallucinations étant des phénomènes de la connaissance qui, po
ou bien remplacent ces 's dernières quand elles ont disparu (rêve, hallucination en forme. de rêve), les hallucinations peuvent
uand elles ont disparu (rêve, hallucination en forme. de rêve), les hallucinations peuvent se produire de deux façons. 7° Il exist
hallucinations peuvent se produire de deux façons. 7° Il existe des hallucinations purement corticales (rêve, halluci- nation en f
s purement corticales (rêve, halluci- nation en forme de rêve). Une hallucination peut alors dériver directement d'une image comm
troublée, ni obnubilée, qu'il est impossible qu'il se produise des hallucinations purement çorti cales. - 9° Quand la connaissanc
(relative à la perception des impressions extérieures réelles), les hallucinations ne peuvent survenir sans le concours des centres
dinaire ou pseudo-hallucination) ne peut en aucun cas engendrer une hallucination par le procédé de la tension, ni de l'intensité
re à la transformation d'une percep- tion sensorielle subjective en hallucination . - 410-180 Personne n'a encore décrit les pseud
la propriété de la réalité objective qui les exclut de l'ordre des hallucinations . Elles occupent le domaine de n'importe quel se
et 9, les pseudo-hallucinations ne .peu- vent pas se transformer en hallucinations . Les pseudo-hallucina- tions.ont pour lieux d'o
pète du cerveau. 18 ? 1o Il existe des faits qui, sans détruire les hallucinations par souvenirs, démontrent l'exis- tence de pseu
d'innervation irrésistible du centre de la parole, ne sont ni des hallucinations , ni des pseudo-hallucinations; ils se distinguent
- sée irrésistible non sensorielle appartient non au domaine de l' hallucination , mais à celui des troubles intellectuels. Quant
l'hallucination, mais à celui des troubles intellectuels. Quant aux hallucinations de l'ouïe si caractéristiques de la folies ysté-
trifuge) se transforment, dans le centre sous-cortical del'ouïe, en hallucinations réelles. P. K. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE [. LE m
excès de boisson, son sommeil fut troublé par des cauchemars et des hallucinations ; elle vit des chats dans sa chambre, de grandes
e de conditions physiques bien connues ; il est caractérisé par des hallucinations terrifiantes et anxieuses, avec obnubilation de
malade répond quand on lui parle, on peut lui donner désordres, des hallucinations ; ses sens ont conservé leur activité. Les membr
nt.) Il s'endort quelquefois après les accès ou reste hébété; pas d' hallucinations . Aucun traitement. Comme maladies antérieures,
dort quelquefois après les accès et est toujours très hébété. Pas d' hallucinations ni de délire. Aucun traitement. Pas de maladi
onné cette maladie. Tout.l'arsenal ordinaire des suggestions et des hallucinations provoquées est ainsi mis en oeuvre. Une fois ré
abitude. Mais, pour la première fois, il a une phase de délire avec hallucinations terrifiantes. Il voit devant lui la vipère, don
ntal. Il a, en effet, de véritables accès de folie hystérique, avec hallucinations de la vue, délire partiel, etc. Il se croit enc
RVATION III (femme de trente- six ans, guérison complète malgré les hallucinations , au bout de dix-huit mois de maladie). La folie
ccusé persista dans son système de négations et ne laissa percer ni hallucinations , ni trouble intellectuel, ni perversion instinc
xamen minutieux et prolongé ne me permit de cons- tater chez lui ni hallucinations , ni conceptions délirantes, ni perversion moral
panophobiques lui arrachant des plaintes et des cris con. tilluels; hallucinations incessantes : ou le poursuit, on veut le mutiler,
rappelle les expériences de M. Bernheim, sur ce qu'il a appelé les hallucinations négatives. , DE LA THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIVE. 37
loquace; puis, à l'occasion de chagrins de famille, s'ajoutent des hallucinations , de l'insomnie, de l'exaltation mentale et l'ac
ation mentale et l'accès délirant s'établit (délire lypé- maniaque, hallucinations , idées de suicide). Elle fut soignée dans diffé
heveux en désordre, jurons, injures, mots obs- cènes, cris, chants. Hallucinations sensorielles multiples, bavardage incohérent ra
'il y a de plus particulier dans les attaques, c'est la période des hallucinations et du délire qui est très longue : hallucinatio
st la période des hallucinations et du délire qui est très longue : hallucinations , zoopsiques terrifiantes (chevaux, taureaux, se
trument pour se tuer plutôt que de souffrir ainsi. Attaque à midi : hallucinations (serpents) : délire, se voit au bal, au théâtre
attaques convulsives à midi. 17. Deux attaques très violentes avec hallucinations zoopsi- ques et terrifiantes, délire. Après l'a
jours réussi; le dédoublement par la pression du globe oculaire des hallucinations provoquées, leur renversement par le miroir, l'
e des hallucinations provoquées, leur renversement par le miroir, l' hallucination provoquée d'une cou- leur déterminant ensuite d
ination provoquée d'une cou- leur déterminant ensuite d'elle-même l' hallucination de la couleur complémentaire... Quant aux autre
divers sens gaies ou pénibles; les impotences fonction- nelles, les hallucinations négatives de Bernheim, etc., elles ont toujours
, le mal de tête est toujours moins violent qu'a l'ordinaire et les hallucinations ne s'étendent qu'à gauche. - A trois heures, at
ce de cette période. Le mal de tête est toujours moins fort, et les hallucinations de l'ouïe ne siègent plus qu'à gauche. 19. -
s toujours délirante : les troubles de la sensibilité sont revenus; hallucinations à gauche seulement. 21. Nous hypnotisons la mal
lle se dit encore persécutée, mais par les curés seulement et a des hallucinations de la vue, symptômes que nos suggestions ont re
olente, dangereuse même et les rêves qui troublent son sommeil, les hallucinations du sens génital qu'elle éprouve la nuit, la pou
e, j'imagine de lui donner, pendant le sommeil somnambu- lique, des hallucinations négatives au sujet des personnes à qui DE LA TH
et des rapports qu'elle aura désor- mais avec elles. Le procédé des hallucinations négatives que je n'ai employé qu'en dernier lie
notre procédé et les faits nous ont donné raison, puis agir sur les hallucinations . Et alors il a fallu se mettre à la piste de to
ssister la malade elle-même pendant le sommeil à la présence de ses hallucinations habi- tuelles, les lui susciter au besoin ponde
: cris. chants, violences, tentative de suicide sous l'influence d' hallucinations de l'ouïe très intenses. - Hypnotisme : suggest
il, expression très calme de la figure, plus d'excita- tion, plus d' hallucinations . 21. - Prodromes d'une attaque disparaissant so
t : « Je suis si malade, que je ferais mieux de me tuer. » 5. Les hallucinations de la vue ne se sont pas reproduites, mais elle
ode de délire où elle voit des taureaux, du sang, des fleurs. - Ces hallucinations persistent après la crise et durent toute la jo
état de veille. Les suggestions antérieures persistent. 9. -- Mêmes hallucinations qu'hier : le clou a reparu. Ces phé- nomènes di
rie depuis quelques jours. Aucun trouble de la sensibilité. 11. - Hallucinations du sens musculaire, on la pousse, on la fait al
13. - Toujours calme, ne délire pas : je ne puis constater d'autres hallucinations ; même refus de nourriture résistant aux suggest
ne. Les anciennes suggestions persistent. 15. Epoque menstruelle. Hallucinations de l'ouïe : cloches; elle délire alors sur les
e bien, ne manifeste pas d'inquiétudes, d'idées de persécution, d' hallucinations , ni de douleurs. La mémoire des faits de sa vie
THÉRAPEUTIQUE SUGGESTIVE. 389 foisonnement. Surviennent ensuite des hallucinations de la vue (taureaux...) et du sens musculaire :
elle a peur que tout ce dont elle a souffert ne revienne. 24. Les hallucinations , surtout de la vue, n'ont fait que croître : le
persistent : incohérence. 26. Une séance d'hypnotisme a raison des hallucinations et des idées délirantes d'empoisonnement et de
le. jarret de ce côté. 2 avril. Même état, idées d'empoisonnement, hallucinations du sens musculaire. 3. - Pendant le sommeil s
revenue et est complète. Plus d'erreurs de personnalité : aucune hallucination , aucune idée délirante. Reconnaît la fausseté de
projets d'avenir. Aucun trouble ni physique, ni psychique, pas d' hallucinations , pas d'impulsions. Le sommeil seul est un peu cou
OBS. XLIII, LXXVIII) furent atteintes de délire de persécution avec hallucinations . Chez la malade de notre Observation XLIII, il
à toutes les dis- tractions de l'établissement. Elle a toujours des hallucinations , mais elle ne leur obéit plus. Observation Il
il est plus calme et consent à manger. Le 26 mars, il a encore des hallucination ? , mais il est calme; il reprend des forces :
vaient fait complètement défaut. Il convient de noter aussi que des hallucinations , très vives et de très longue durée, de l'ouïe
ut par de simples interprétations délirantes; survient la période d' hallucination de l'ouie, puis s'ajoute la systématisation dan
il n'a pas assez élabli que ces aliénés persécuteurs n'ont jamais d' hallucinations ; ce ne sont pas les persécutés de nos asiles; i
e langage particulières, s'adressent aux autorités; ils n'ont pas d' hallucinations , ce sont des fous raison- nants ; ce sont des h
s ce cas, est des plus laborieux; il s'accompagne de convulsions, d' hallucinations , de grandes salutations rhyth- miques. Comme da
parti pour expliquer le mode de production anatomo-pathologique des hallucinations de l'ouïe chroniques, intenses, finissant par f
orie de Hagen). Un autre crâne de femme, également en proie à des hallucinations de l'ouïe, présentait un outre, dans les deux fos
le de la connaissance relève de l'épilepsie, de l'alcoolisme et des hallucinations . M. Rrrrmc. Il est dangereux de conclure d'une
r chez des sujets placés sous cette influence, des illusions et des hallucinations bilatérales et de caractère différent. C'est, a
impul- sive, quelquefois même l'aliénation consiste simplement en hallucinations . ' BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Càmmahem (V.). Un
nomènes du), 121. Grossesse et psychoses, par Bar- tens, 237. · Hallucinations , par J{alldil1sky, 102; - (anatomie pathologiq
24 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
entier développement. C'est alors sous d'autres formes, sous forme d' hallucinations et d'extase, que la maladie se manifesta. Nous al
ontrer le mécanisme psychologique qui fit croire à Bernadette que ses hallucinations étaient réelles et à la foule qu'ily avait miracl
de médecine mentale, pour traiter de deux symptômes hystériques, les hallucinations et l'Extase. Cette leçon sera pour vous, lecteu
cerveau de Bernadette et d'y découvrir le mécanisme de ses visions. Hallucinations hystériques. — Parlons d'abord des hallucinations
e de ses visions. Hallucinations hystériques. — Parlons d'abord des hallucinations hystériques, et pour les expliquer citons quelque
des événements de la nuit. Tel fut le fait initial, réel, cause des hallucinations subséquentes. Au matin, Mlle de C... raconta so
fantôme qui se penche sur elle et l'étouffé. Mlle de C... éprouve une hallucination qui reproduit la scène de la veille. Pendant qu
bituelle et ne donne aucun signe de dérangement intellectuel. Celle hallucination est caractéristique : elle est la reproduction d'
ité, mais atteints d'hystérose. 21 Observation : Rappelons encore l' hallucination si curieuse, citée par Esquirol, de ce magistrat
nt dans son cerveau déjà hystérique et devint le point de départ de l' hallucination du lendemain et des jours suivants. Notez que l
z ces deux sujets, une vision réelle avait été le point de départ des hallucinations futures. Les Hallucinations chez Bernadette. —
réelle avait été le point de départ des hallucinations futures. Les Hallucinations chez Bernadette. — On trouvera dans les livres d'
s jours suivants, sous forme d'une image non réelle, sous forme d'une hallucination . Cette image vraie d'une dame habillée de blanc
verre d'une plaque de photographie ; cette image, s'est reproduite en hallucinations le lendemain et les jours suivants, lorsque l'enf
euves de la personne qui a posé devant son appareil. Comme dans les hallucinations des hystériques la reproduction des personnes ou
VII L'Aura On peut nous faire l'objection suivante : Pourquoi les hallucinations de Bernadette se sont-elles produites seulement d
ique et l'image de la personne vue la première fois se reforma en une hallucination qui n'était que le reflet de Mme X... Les jours
allucinatoire n'aurait pu se montrer. VIII L'Extase * Après les hallucinations et l'Aura ; il nous faut expliquer l'Extase. C'es
is le malade parle, esquisse un geste, une attitude en rapport avec l' hallucination dont il subit l'empire, mais le plus souvent ii r
omme on peut leur donner la catalepsie, comme on peut leur donner des hallucinations . Voici le tableau d'un extatique hypnotisé tiré
Nous n'agissons pas autrement pour décontracturer nos malades. Les hallucinations de l'ouïe et de la vue apparaissent ; tel prétend
») IX Les fausses Apparitions Le lecteur connaît maintenant tes hallucinations et l'extase hystériques, il lui sera donc facile
emière apparition, celle de Mme X... se reproduisait sous forme d'une hallucination . Comme on lui avait persuadé qu'elle était en p
voyaient plus, au point qu'on pouvait s'interposer entre elle et son hallucination sans qu'elle s'en doutât; ses oreilles entendaien
itations : celles que nous allons faire ont pour effet de prouver les hallucinations et l'extase chez Bernadette et, en même temps, qu
même temps, que l'Extase survenait toujours en second lieu, après les hallucinations , suivant une marche classique. M. Henri Lasserr
prend « son chapelet ; elle se signe... » Puis après la période de l' hallucination vient la période d'extase : « Bernadette se remit
t d'accord sur ce point : Après une période mouvementée accompagnée d' hallucinations , survient une période d'immobilité avec extase.
l'une des joues de la plupart des personnes qu'elle rencontre. Cette hallucination la poursuit durant toute sa grossesse. La fille q
fformité, mais depuis son accouchement la mère est débarrassée de son hallucination visuelle. Avant d'accoucher elle ne soupçonnait p
, pendant sa grossesse, des phénomènes pathologiques? des songes? des hallucinations ? 9. Quelle difformité physique ou psychique, qu
stérique : il ignorait les autres symptômes de la grande névrose, les hallucinations et l'extase. Par contre il fit une découverte q
luciation de la vue, les autres de nature erotique, c'est-à-dire avec hallucination du sens génital; ces dernières sont si fréquentes
l émergea de l'horizon et l'inonda de lumière, M. l'abbé X... eut une hallucination : les rayons éclatants de l'astre provoquèrent un
crise. Les jours suivants, chaque malin au lever du soleil, la même hallucination suivie d'extase se reproduisit : Nous fûmes plusi
utre observation d'extase, mais de nature erotique, c'est-à-dire avec hallucination des organes génitaux : Une jeune fille très big
ouché par la maladie et fut, les jours suivants, le point de départ d' hallucinations reproduisant la scène de son rêve, suivies d'une
vêtu des ornements sacrés lui rappelait son curé. Après une période d' hallucinations , elle devenait immobile si elle était assise, s'e
l'extase eût continué sans changement : Arrivée ; prière à genoux, — hallucinations , — extase, — retour à la maison. Mais à partir
dans le développement des symptômes par le fait de la suggestion, les hallucinations ne furent plus seulement oculaires, elles furent
ence qu'elle réclamait des pécheurs. A son tour, Bernadette, dans son hallucination du mercredi 24 février, entend la Vierge l'exhort
mensonge, les choses peuvent s'expli- quer scientifiquement : une hallucination auditive produite chezun hystérique par l'effet d
tion, de luminosité constante, donnant lieu ainsi aux obsessions, aux hallucinations vagues, imprécises et immuables (pseudo-hallucina
vertige évoque chez elle, à la faveur de là cécité, l'idée fixe ou l' hallucination d'un précipice ouvert. D'ailleurs, comme tous les
ons et la psychastènie. Paris. Alcan, 11.203. (3; Henri Mecriot : Des hallucinations des obsèdes. Th. de Paris, 1902-1903. (4) Ibid.
froi qu'elle avait éprouvé avait produit une suggestion contraire à l' hallucination , aussi, lorsque le lendemain de sa comparution de
nouvelle preuve et très forte que toutes ces Apparitions n'étaient qu' hallucinations maladives. XIII Nous devrions terminer ici no
son hystérie a jouée dans l'évolution religieuse du xix* siècle : Ses hallucinations , ses auras, ses extases après avoir été pris par
: Quelques cas récents de sommeil pathologique. Dr Binet-Sanglë : Les hallucinations des prophètes juifs. Ecole de psychologie La
rpréter tels que : la lecture des pensées, la suggestion mentale, les hallucinations télépathiques, la lucidité somnambulique, les pre
l'évèque et ses grands vicaires. La sœur de la malade y présenta une hallucination de la vue, lui faisant croire qu'elle voyait dist
bien coordonné, systématisé jusqu'à un certain point, comportant des hallucinations et des idées de persécution. La première pensée
ne, dans l'estomac, dans la gorge ; ce ne sont donc pas de véritables hallucinations de l'ouïe, mais des hallucinations psychiques, ou
ce ne sont donc pas de véritables hallucinations de l'ouïe, mais des hallucinations psychiques, ou psycho-motrices, pour être plus ex
esprit. Il s'agit donc de folie hystérique, comportant surtout des hallucinations psycho-motrices. Le pronostic et le traitement dé
la suggestionnera dans l'état d'hypnose et on la débarrassera de ses hallucinations , ainsi que de ses idées de possession. Tic d'ha
z : Mensonge et intimidation chez un lycéen. Dr Iîiset-Sanglé : Les hallucinations des prophètesjuifs. nouvelles Enseignement de
ui lui fournit l'occasion de nous donner une théorie personnelle de l' hallucination verbale, les prophètes de cour Gad et Nathan, les
ité, sa constitution, sa suggestibilité, ses images et ses idées, ses hallucinations , sa théomanie, son intelligence, son orgueil, ses
nantes,- la baguette divinatoire, le spiritisme, les possessions, les hallucinations collectives, etc. Précurseur de Tarde dans l'ét
ans un monde de rêves et, ainsi, échappe à la réalité ; elle a eu des hallucinations , même du délire qui a duré deux mois, et c'est se
s scènes d'exorcisme. Le grand réformateur Luther, qui avait tant d' hallucinations diaboliques, indiquait de son temps comme remède
equel comporte, on vient de le voir, des phénomènes de confusion et d' hallucination ) se surajoutent des phénomènes dysesthésiques et
roduit chez tout son auditoire les illusions visuelles et parfois les hallucinations . Le tableau suivant contient les 100 cas rangés
seur Raymond (•) * Voici une femme âgée de 64 ans, qui présente des hallucinations , du délire, des crises d'excitation presque mania
D'abord, aussitôt qu'elle était couchée dans son lit, elle avait des hallucinations de l'ouïe, de la vue, du sens génital et du tact.
ndait des voix, voyait des animaux courir autour d'elle, etc. Sur ces hallucinations s'édifie un délire systématisé logique. Ces voix
, qu'elle prétendait reconnaître au son de leur voix. Et toutes ces hallucinations , elle les a encore actuellement. Cela l'incommo
cène recommence plusieurs fois dans la nuit. Quelquefois aussi, des hallucinations la prennent dans le courant de la journée, partic
ord, on pourrait croire qu'il s'agit d'un délire de persécution, avec hallucinations multiples et actes résultant logiquement de leur
ence par penser qu'il a des ennemis qui le tourmentent, puis il a des hallucinations , et au bout de deux ou trois ans, s'interrogeant
se livre à tel acte démontrant qu'il est aliéné. Notre malade a des hallucinations totales, complètes, de la vue, de l'ouïe, du sens
qui a son importance; c'est le suivant: cette femme est prise de ses hallucinations surtout quand elle a attendu très tard pour se co
de verre. Je crois que nous pourrons débarrasser cette malade de ses hallucinations . TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES Alcoolisme e
25 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ésie au réveil. Après trois ou quatre séances, il était susceptible d' hallucinations post-hypnotiques. Voici les suggestions que je lu
S Congrès des Sociétés savantes do Paris ot des départements. — Les hallucination » et la folie de Cenfant. — M. Moreau (de Tours) a
enfant. — M. Moreau (de Tours) appelle l'attention sur la nature de l' hallucination chez l'enfant, l'ne analyse méticuleuse de nombre
sées dans les auteurs, lui a permis d'établir la nature spéciale de l' hallucination dn jeune âge. quel que soit le sens que ces hallu
éciale de l'hallucination dn jeune âge. quel que soit le sens que ces hallucinations affectent; dans l'immense majorité des cas, eues
pnotisés avec amnésie suggérée au réveil, et 51étaient susceptibles d' hallucinations pendant le sommeil. Comme il s'agit là d'une tent
ypnotisé, et il est possible, dans ces cas, de provoquer chez lui des hallucinations comparables i celles des sujets hypnotisés ; ce s
lures des phénomènes d'auto-suggestion. Les crises hystériques, les hallucinations , les convulsions, ce sont des rêves, des auto-sug
ique. En d'autres termes, les sujets chez lesquels on peut donner des hallucinations pendant le sommeil naturel, sont des sujets hypno
r quatre ou cinq sujets sur cent, de déterminer expérimentalement des hallucinations post-hypnotiques de tous les sens, et parfois mêm
btenir dans cet étal, par simple suggestion, l'amnésie au réveil, les hallucinations négatives, les rêves suggérés, l'aptitude à exécu
ranlement du cerveau. Victora Egger. bulletin bibliographique Les Hallucinations télépathiques. par MM. Gurney, Myebs et Podmore,
uvrage ; les auteurs se sont donnés pour tache principale l'étude des hallucinations véridiques, c'est-à-dire des hallucinations qui c
he principale l'étude des hallucinations véridiques, c'est-à-dire des hallucinations qui coïncident avec un événement réel. Ils cherch
n événement réel. Ils cherchent à prouver que la véritable cause de l' hallucination est alors l'état d'esprit particulier où se trouv
me de l'hypnotisme? N'existe-t-il ??? un personnage rai est atteint d' hallucinations et qui les décrit lui-même sans réticence (I)? N'
e celles où il n'y a pas encore de complications d'idées fausses ou d' hallucinations . Dans les deux dernières années principalement, j
t degré de cette maladie compliquée même par des idées fausses et des hallucinations , j'observais dans quelques cas la bonne influence
ils sont hallucinés et ne peuvent pas se soustraire aux illusions et hallucinations spontanément écloses dans leur cerveau. Ils ne sa
mentale ? Les rêves du sommeil que nous avons tous, les illusions et hallucinations passagères qui affectent physiolo-giquement notre
ns habituel, c'est arbitrairement l'appliquer aux seules illusions et hallucinations provoquées. Quand un marchand rusé avise le spe
comme la réalité et sont extériorisés, réalisant ainsi de véritables hallucinations . Le mécanisme que je suggère est donc un mécanism
tous les phénomènes dits hypnotiques, y compris les illusions et les hallucinations . On peut par affirmation réitérée et persuasive,
rovoquer chez lui. par affirmation de l'anelgésie, des illusions, des hallucinations , des actes, des souvenirs fictifs. Sans doute, je
d'être succeptibles d'avoir, aussi facilement que le sujet type, des hallucinations sensorielles sous l'influence de la suggestion.
mple, un malade chez lequel je pourrais développer par suggestion des hallucinations sensorielles, comme dans les cas types, mais qui
une idée en désaccord avec la logique élémentaireou de provoquer une hallucination sensorielle. Quand les manifestations somatique
manie aiguë a été atteinte un certain nombre de fois d'agitation et d' hallucinations telles qu'il m'était impossible d'être reconnu el
ne personne, en apparence éveillée, acceptant sur-le-champ toutes les hallucinations qu'on lui donnait (1). De retour à Liège, je me
tteinte d'accès de stupeur intermittents, revenant sous l'influence d' hallucination » terrifiantes pendant lesquelles elle cherche à a
. Parmi les questions mises a l'ordre du jour se trouvera celle des hallucinations télépathiques, phantams of the living, a l'étude
ltkï. — « De l'influence des excitations des organes des sens sur les hallucinations de la phase passionnelle de l'attaque hystérique
z eux, soit des illusions de la perception, soit des illusions ou des hallucinations de la mémoire. Tous ceux qui se sout livrés sci
de provoquer, par simple suggestion, des illusions sensorielles, des hallucinations , des croyances fausses. de& transformations d
ntérêt; mais si l'on pense que de ces illusions de perception, de ces hallucinations de la mémoire peuvent découler des faux témoignag
état de sommeil, des illusions de la perception, des illusions et des hallucinations de la mémoire, ces illusions et ces hallucination
s illusions et des hallucinations de la mémoire, ces illusions et ces hallucinations pouvant aboutir, seules ou combinées, à la consti
la durée et altérant la date d'événements réellement passés; 4° Des hallucinations de La mémoire, constituées par des souvenirs faux
ossibilité de créer dans l'esprit de sujets endormis ou éveillés, des hallucinations de la mémoire constituées par des souvenirs faux
ont été très bien étudiés par H. Bernheim, qui leur a donné le nom d' hallucinations rétroactives, par H. Forel, qui les désigne sous
énements n'aient jamais existé. La démonstration expérimentale de ces hallucinations rétroactives snggérées a été vérifiée trop souven
ption, des amnésies partielles, des déformations des souvenirs et des hallucinations de la mémoire. 2° La réalisation des suggestion
des cauchemars, qu'on observe dans tout état toxique, mais des vraies hallucinations diurnes, à l'état de veille, à l'inanité desquell
r. 50. déjà longue. On y trouvera de» recherches sur la nature de l' hallucination , une conception nouvelle de ce phénomène basée su
ants, tantôt des convulsions, tantôt d'extase simple ou accompagnée d' hallucinations auditives ou visuelles. Très religieuse, très exa
tervalle des règles. Les hystériques sont hallucinées ou non. Leurs hallucinations se présentent sous la même forme que celles des a
iculier d'être plus intenses pendant les périodes calaméniales. Leurs hallucinations provoquent des idées de persécuuon, et, sous leur
a mélancolie slupide, les conceptions délirantes de toute espèce, les hallucinations , les idées de suicide et d'homicide, les impulsio
ant les attaques convulsives et en déracinant le délire ainsi que les hallucinations . Séance du lundi 8 février, — Présidence de M,
— Crises hystéro-épileptiques ; sensation de boule; grandes attaques; hallucinations nocturnes et diurnes de la vue; coxalyxe hystériq
entaux sont apparus. Son sommeil est lrouble depuis ce moment par des hallucinations pénibles. Elle voit des bêles féroces, des rats,
llumer une bougie pour s'assurer si tous les animaux sont partis. Les hallucinations persistent après le réveil et surviennent même pe
éances, a fait disparaître complètement les crises coovulsives et les hallucinations , mais n'n pas eu d'action sur l'aménorrhée ni sur
partant de l'estomac; grands mouvements ; hémia-nesthesie à gauche ; hallucinations de la vue. — Suggcstibilité extrême. — /lypnotisa
dmirablement. Acluellement, bien que guérie de ses attaques, de ses hallucinations et de son hémianesthésic, celte jeune fille n'en
té droit. Obs. VI. — Hystérie infantile. — Troubles du caractère. — Hallucinations de ta vue. — Crises convulsives. — Suggestibilité
dents, a les yeux convulsés et perd connaissance. La nuit, elle a des hallucinations . Elle se itveille en sursaut, pousse des cris; el
lle en sursaut, pousse des cris; elle dit qu'elle voit son âme (cette hallucination a eu son joint de départ dans des récits qui lui
pendant les dernières semaines de sa vie d'un délire tranquille, avec hallucinations de la vue et de l'ouïe. Elle marmottait sans cess
isme : Les anesthésies, les contractures, les paralysies. IV. Les hallucinations suggérées: Hallucinations post-hypnotiques, néga-
s contractures, les paralysies. IV. Les hallucinations suggérées: Hallucinations post-hypnotiques, néga- tives, rétroactive*.
juin.) Séglas.— Note sur le dédoublement de la personnalité et les hallucinations verbales -. (Arch. de neurol., 64.) Séglas. — D
n spectroscope, — chez trois hypnoses, — M. Ottolenghi et moi. dans l' hallucination hypnotique. Quand le suggestionné hypnotique vo
. Les images qui proviennent par l'excitation intérieure (comme les hallucinations suggérées, quand on montre au sujet une mouche im
me l'apparition des fantômes, que maintenant on désigne sous le nom d' hallucination télépatique. Bien qu'il existe, ce phénomène pa
uggestion à l'état de veille : contractures, paralysies, anesthésies, hallucinations sensorielles, dédoublements de la personnalité, s
suggérer tout ce qu'on veut ; catalepsies, paralysies, contractures, hallucinations négatives, ou bleu encore des actes criminels : r
exécuter les suggestions de Roques, et en tous cas de n'avoir plus d' hallucinations el de ne pas se suicider; 3° A Gabrielle Bompar
ividus qui, poignard en main, le poursuivaient pour le tuer; dans son hallucination , il les voyait d'abord sur les toits des maisons
e. 8 et 10. REVUE DE L'HVPXOTISUE EXPÉRIM^ttÂtfto THÉRAPEUTIQUE HALLUCINATIONS ^NIL^TÉRALES HOMONYMES DANS LE ZÖSä DE LA FACE "l
'ai déjà eu occasion de signaler, dans un cas de zona de la face, des hallucinations visuelles coïncidant avec des douleurs oculaires
cueilli 450 centimètres cubes de salive et seulement loO le 28. Ces hallucinations , provoquées par une irritation périphérique, sont
tiques. C'est là une condition qui peut être favorable à la période d' hallucinations . CAS DE NÉVROPATHIE AVEC PERSÉCUTION DÉLIRANTE
contemporaines, en particulier les théories les plus récentes sur les hallucinations . 11 le continuera les lundis suivants. Le vendred
ture ». (NouV. Icon. de la Salpétrière, 5.) Seglas et Londe, (p.). —. Hallucinations verbales psycho-motrices ». (Arch. de .Neur., mar
malade entend au dedans de lui, avec les « voix * qui proviennent des hallucinations de l'ouïe et qui paraissent toujours Tenir du deh
qui paraissent toujours Tenir du dehors. Le langage intérieur est une hallucination motrice de la parole. Il semble au malade que que
thieu, 337. Dipsomanie traitée par l'hypnotisme, 14. Enfants (les hallucinations et la folie chez les), 30. Enfants (faux témoig
159. Guérisseur en Allemagne (un), 245. Gustation colorée, 189. Hallucinations unilatérales homonymes dans la zone de la face, p
ions unilatérales homonymes dans la zone de la face, par Féré, 321. Hallucinations télépathiques, 63. Hemenet (Félix), nécrologie,
26 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
imites précises, Ton a obtenu les effets les plus divers, allant de l' hallucination simple jusqu'aux exsudations sanguines, jusqu'à l
assion, à l'estomac pendant la fièvre et le frisson, à la rate dans l' hallucination obsédante, aux organes génitaux durant l'imprégna
rsonnes des actes criminels, soit par impulsion instinctive, soit par hallucination , soit par perversion du sens moral. 4° La sugge
s des expériences de dissociation mentale, qui leur font réaliser des hallucinations . Entre les mains des médecins qui appliquent la s
ui produit divers symptômes, comme des obsessions, des idées fausses, hallucinations , illusions et même des confusions de la connaissa
s obéir à son amant, de ne pas empoisonner son mari, de n'avoir pas d' hallucinations , de ne pas se suicider dans sa prison ; 3° à la b
pas tout. Plusieurs fois par jour, notre jeune homme est sujet à des hallucinations auditives, principalement lorsqu'il fixe très for
il fixe très fortement son attention sur un objet bien déterminé; ces hallucinations sont en rapport avec le genre d'études qui l'occu
tient là derrière lui et lut parle impérieusement; le plus souvent l' hallucination n'est pas extériorisée, la voix qu'il entend ress
s et renaît à la vie commune. Une fois qu'il s'est affranchi de cette hallucination , il ne se rappelle plus les paroles qu'il a enten
veux m. Fernand P..., très incommodé par son tremblement et par ses hallucinations , prend, au commencement du mois de février, la ré
ulinte d'abord légère qui s'es( ensuite exaspérée, puis accompagnée d' hallucinations auditives chez un jeune névropathe, arrivé à la p
uera et il ne sera plus jamais distrait ou obsédé par aucune espèce d' hallucination . Déplus, la lassitude générale disparaîtra et les
a recouvré son ancienne habileté aux travaux manuels ; en outre, les hallucinations ont complètement disparu. On voit donc l'étendue
aine moteur. CONGRÈS ET SOCIÉTÉS SAVANTES Quelques caractères des hallucinations de Ponte dans la démenae sénile délirante (I).
s la démenae sénile délirante (I). M. Pierre Parisot (Nancy). — Les hallucinations de l'ouïe sont fréquentes dans la démence sénile
s psycho-sensoriels qui resteraient latents à l'état de veille. Les hallucinations auditives ont besoin parfois pour éclore d'une im
souvent de faire renaître ou d'arrêter, au gré de l'observateur, des hallucinations auditives, mais elle ne peut en créer de nouvelle
llucinations auditives, mais elle ne peut en créer de nouvelles ; ces hallucinations provoquées se manifestent avec plus ou moins de n
ocaïne par jour, et 30 centigr de, morphine le soir. Il était hanté d' hallucinations , entendant des voix parlant de lui, et se croyant
us ou moins, auxquels peuvent être suggérés des idées, des actes, des hallucinations . Certains états d'âme susceptibles de se produire
actes divers de la docilité automatique, de l'obéissance passive, des hallucinations , des actes organiques, du sommeil, des effets thé
ue, circonstances exeption- nelles, nous avons été en proie à des hallucinations ou à des illusions hypnagogiques, il nous arrive
ion automatique pendant laquelle ce qu'ils croient être le rêve est l' hallucination , et le produit de leurs rêves est confondu par eu
produit de leurs rêves est confondu par eux avec le résultat de leurs hallucinations ; la dissociation des formes de l'activité cérébr
le, et accomplissant exactement les mêmes actions qu'elle-même. Cette hallucination se présentait comme l'image de la malade vue dans
est une illusion, une impression de dédoublement; la seconde est une hallucination véritable. Plusieurs cas d'illusion de dédoub
mpression s'accompagnât d'un clément hallucinatoire. Cependant, le3 hallucinations de ce genre, que l'on pourrait appeler a hallucin
ependant, le3 hallucinations de ce genre, que l'on pourrait appeler a hallucinations anto-hétérotopiques », ne paraissent pas très rar
propre autopsie. Enfin, nous avons entendu soutenir que c'était une hallucination de ce genre qui avait inspiré à Alfred de Musset
-être de moindre importance), dans (1) Michéa : Discussion s:tr tes hallucinations . Soc. Medico-psychol., 28 janvier 1856, (Annales
ire le matin, en faisant le ménage, jamais d'autre part elle n'a vu l' hallucination sans éprouver l'impression. Tout porte donc à a
nation sans éprouver l'impression. Tout porte donc à admettre que l' hallucination « auto-hétérotopique » résulte d'une auto-suggest
érieux, en supposant même qu'elle ne lui ait pas été suggérée par une hallucination ». (Arvede Barinb : Essais de littérature patholo
uels la personne hypnotisée peut devenir le sujet actif par le fait d' hallucinations suggérées. 2° Les crimes ou actes délictueux qu
ires systématisés. Cette hyperesthésie forme le pendant rationnel des hallucinations de la sensibilité générale de la peau que nous av
ale, est augmentée chez les mélancoliques. Le contrôle physique des hallucinations et des illusions des sens spéciaux comportait, to
les mélancoliques aussi, surtout chez ceux qui étaient en proie à des hallucinations , on a noté de la perversion du goût. Chez l'hysté
ons physiologiques des sens, et leurs rapports mathématiques avec les hallucinations et des illusions des mêmes sens ! Il convient de
é. C'est d'autant plus indiqué qu'il n'est pas rare de rencontrer des hallucinations chez ceux-qui souffrent de lésions classées d'un
i en est-il dans les otites moyennes qui s'accompagnent quelquefois d' hallucinations unilatérales du même côté que l'oreille atteinte.
upeur, leur délire intense, simultanément entretenu par de véritables hallucinations . Le sens de l'équilibre est encore le fruit d'u
er, produisant des symptômes comme des obsessions, des idées fausses, hallucinations , illusions, etc., qu'on peut obtenir des résultat
tement: j'aurais pu aussi bien citer des sensations tactiles, des hallucinations visuelles ou auditives, des sentiments, etc.) E
nt le sommeil, ils suggéraient alors d'autres phénomènes, catalepsie, hallucinations , rires, pleurs, etc. Ils faisaient ainsi passer
éveillé, do lui suggérer d'abord les pleurs, puis les rires, puis les hallucinations , puis le sommeil, et de terminer enfin par la fas
savons de plus que le sommeil n'est pas nécessaire pour prodairo les hallucinations et les autres phénomènes. Tous ces états ne sont,
Ils n'en sont pas moins suggostibles, et on peut obtenir chez eux des hallucinations , des anesthésies, des contractures. D'autres
tdéclaréque les phénomènes essentiels de l'hypnotisme (automatisme et hallucinations ) n'apparaissaient dans toute leur intensité que c
pnotisme n'existe pas. » C'est peut être simplement le résultat d'une hallucination négative suggérée. M. Dumontpallier. — M. Ber
élaucolic, idées fausses oa fixes, conceptions délirantes, illusions, hallucinations , obsessions; délire erotique, mystique, furieux ;
ême en deux ou trois séances, à un aliéné ses idées délirantes et ses hallucinations ; il y a là de quoi désarmer l'incrédulité des méd
, la plus évidente des preuves. Les pseudo-sensations, illusions et hallucinations , n'infirment pas cette croyance, car nous savons,
onnement qu'on corrige une illusion, c'est par le raisonnement qu'une hallucination est discernée ; et d'autre pari, une seule sensat
e sujets étaient suggestibles à l'état de veille. Les analgésies, les hallucinations et les anesthésies, et, moins aisément, les mouve
it scientifique, c'est l'esprit maître de soi. On suggère aussi des hallucinations des sens dits inférieurs dans les rapports ordina
entiment religieux ne tarda pas à entrer en coalcscence avec le (1) Hallucinations télipathiques. (2) Psychologie des sentiments.
Il me semble évident que, si M. Brouardel avait donné à son sujet une hallucination négative ; s'il lui avait dit, non pas qu'elle ét
antes, la baguette divinatoire, le spiritisme, les possessions et les hallucinations . Les fatras de rhétorique des psychologues offi
r lentement, n'agir d'abord que sur une conception délirante, sur une hallucination , puis sur d'autres. Il ne faut pas faire trop de
excitation manUque, perversion de l'amour maternel, délire mystique, hallucinations religieuses, obsessions, idées fixes, crises de d
e seul avec un sujet hypnotlsable, pour lui inculquer une « idée, une hallucination ou une impulsion (jj... Il est possible, dans « l
ment puralylique, sourde, muette, aveugle, lui donner toutes sortes d' hallucinations , évoquer devant ses yeux l'image des parents qu'e
noiismus, 1893. sonner son mari, et, en outre, de ne plus avoir d' hallucinations et de ne pas se suicider {'); 3° A la baronne d
paset empêchent de voir ce qui est ». Or, ce sont là précisément nos hallucinations positives et négatives. Puis la Sorcellerie n'a
rentes, cris désordonnés, nouement de l'aiguillette, envoûtement (3J, hallucinations terrifiantes, évocation des images des morts — to
e, la |uelle s'accompagne de gémissements continuels et de véritables hallucinations visuelles. Au bout d'un mois ou deux, cette obses
avoir perdu la faculté de concentration et d'attention. Moll dit des hallucinations hypnotiques : « Les phénomènes dépendent de l'aff
Grimoires et ancienne magie, 284. Haidenhain, nécrologie, 160. Hallucinations de l'ouïe dans la démence sénile délirante, par l
27 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tamment RETRÉCIS. 1 DCtl2S les états délirants. x. Systématisa avec hallucinations de là vue ; p. d'interprétation avec hallucinat
ystématisa avec hallucinations de là vue ; p. d'interprétation avec hallucinations -de là vue ; T. d'intoxication avec hallucinati
erprétation avec hallucinations -de là vue ; T. d'intoxication avec hallucinations de la vue. Les hallucinations de la Vue sont to
-de là vue ; T. d'intoxication avec hallucinations de la vue. Les hallucinations de la Vue sont toujours précédées par un rétréc
sparait presque toujours en totalité avec eux. a Systématisé avec hallucinations de la'vue.-OIt's.1'22= Mine S... Elvire, femme
Entrée à l'asile le 3 nus. 19U0. Idées dé- lirantes de persécution. Hallucinations psycho-sensorielles 'bila- CONTRIBUTION A l'ÉTU
DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 3 térales de l'ouïe (voix insultantes). Hallucinations passagères de la vue. Intégrité de la mémoire.
e tracé n° 1, pris le 28 septembre, moment où la ma- lade avait des hallucinations de la vue : ( Ses persécu- teurs venaient la ai
errons plus loin, les états dépressifs. ; . D'interprétation avec hallucinations de la vue.- Cas. 120. Mme R..... Eudeline, femm
les mal conformées, regard fixe. Idées délirantes de persécution. Hallucinations de l'ouïe et de la vue, s'accompagnant de réact
le 31 juillet- à 3 heures de l'après- midi, la malade ayant eu des hallucinations terrifiantes la nuit précédente à 10 heures du
pt heures après la cessation du trouble. ' y. d'intoxication avec hallucinations de la vue. OBs. 67. M. G..... Alfred, 34 ans, e
droite. Idées délirantes de persécution à base d'interprétations. Hallucinations psycho-sensorielles de l'ouïe. Hallucinations fra
se d'interprétations. Hallucinations psycho-sensorielles de l'ouïe. Hallucinations fran- ches de la vue. Cinquante examens périmét
ur les 2 yeux, avec rétrécissement notable en haut et en - dehors ; hallucinations intenses de la vue (le malade voit sa femme et
Abaissement pour les 2 yeux, rétrécissement en haut et en dehors, hallucinations intenses. Ci-dessous la partie supérieure des tra
rétrécissements en haut, en haut et en dehors, caractéristiques des hallucinations de la vue. La figure 7 est rétrécie en haut, co
ple ; . Imbécillité interprétante ; Y. Imbécillité dé- lirante avec hallucinations de la vue ; a Imbécillité avec . stupidité. Ces
malade voit comme des brouillards). y. Imbécillité délirante avec hallucinations de la vue. Oss. 20. - 111. C...., Eugène, âgé d
et qualitative de l'intelligence. Idées délirantes de persécution, hallucinations psycho-sensorielles de l'ouie, halluci- nations
armes par-desssus les murs de la cour, leur lance des pierres). Les hallucinations continuent les 3 et sep- tembre. Le 5. Un abais
ps'élève pour l'oeil gauche, l'oeil droit restant stationnaire, des hallucinations per- sistent, mais moins intenses. -Le 7. Le ma
e. Le 20 octobre, abaissement notable de l'oeil droit, le lendemain hallucinations de la vue, accompagnées de réactions très viole
ns rerLains étals délirants intenses : (1° d'agitation Molente avec hallucination de l'ouïe et de la vue ; 2° de dépression «'acc
2° de dépression «'accompagnant d'anxiété avec illusions de la vue, hallucinations de l'ouie), des champs visuels considéra- bleme
plets de l'oeil gauche pour le blanc (fig. 26 et 27). 2° Avec les hallucinations de la vuc.-Ons. 100. 111. NI .. Louis, Uns. 80.
ce. Idées de persécution sans consistance, amnésie progres- sive. Hallucinations psycho-sensorielles de l'ouïe. Hallucinations ter
ésie progres- sive. Hallucinations psycho-sensorielles de l'ouïe. Hallucinations ter- rifiantes de la vue, s'accompagnant de réa
30 après, sans qu'aucun autre signe ne les ait annoncées, il a des hallucinations terrifiantes (bris de car- reaux, cris de terre
vait disparu. Le 25 septembre. A 10 heures du soir, le malade a des hallucinations terrifiantes, le champ visuel dans ce cas nous
auche a donc dû se produire plus tard, soit quelques heures avant l' hallucination . -Le 6 octobre. L'oeil gauche étant déjà fortemen
érale, précédant ou suivant la crise. (1) Nous n'avons noté que les hallucinations suivies de réactions violentes consignées sur l
urveillants infirmiers. Mais chaque rétrécissement correspond à des hallucinations CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIÉN
ment des cas, elle était inférieure à 1 /2. B. Etats délirants avec hallucinations DE la vue. z) Systématisé avec hallucinations d
Etats délirants avec hallucinations DE la vue. z) Systématisé avec hallucinations de la vue ; [il d'interp étation avec hallucina
stématisé avec hallucinations de la vue ; [il d'interp étation avec hallucinations de la vue ; 1'1 d'intoxication avec hallucinati
erp étation avec hallucinations de la vue ; 1'1 d'intoxication avec hallucinations de la vue. il) Pupilles. -- Les troubles pupill
roit d'une enfant de 9 ans atteinte « d'épi- lepsie avec démence et hallucinations r, qui représente assez exactement l'état que n
cile de prévoir à l'aide du tracé du champ visuel l'apparition de l' hallucination quelques heures avant, souvent dès la veille ;
ION A L'ÉTUDE DE L'OEIL CHEZ LES ALIENES. 37 FERAY. Séméiologie des hallucinations de la vue dans les psy- choses, A N., 1898. G
NG. Fesischrifi Illeiîtan, Heidelberg, 1892. LAMY. Hémianopsie avec hallucinations dans la partie abolie du champ de la vision. Re
p. t/re ? fasc, 2, 1897. Truelle. Un cas de paralysie générale avec hallucinations . A. N., 31 juillet 1899. WiLLiAHSON. Lésions ré
eux connues que les fugues des aliénés. Il faut remarquer que les hallucinations jouent dans le déterminisme de ces fugues un rô
ni de crises convulsives, ni d'ab- sences. Pas de cauchemars, pas d' hallucinations terrifiantes, pas de symptômes objectifs d'alco
t une certaine analogie avec celui qui préside au développement des hallucinations . G. DENY. VII. Un cas de tumeur du lobe tempora
'exacerbation de l'agitation est'due à la vivacité subjective d'une hallucination sensorielle. 6° Dans tous les cas de folie où u
prévention, cette femme présen- ta des phénomènes d'agitation, avec hallucinations de l'ouie qui nécessitèrent son internement. Le
Y. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. XIII. Hystérie infantile, avec hallucination ; pal' AItSUlOLES. (Bulletin médical, u° 23, 190
lOLES. (Bulletin médical, u° 23, 1906.) Rarement on a signalé des hallucinations terrifiantes chez les jeunes hystériques.Ici le
omènes se renouvelèrent les jours suivants et étaient accompagnés d' hallucinations de l'ouïe. L'isolement et la psychothérapie ame
par de la dépression, des idées de persécution, dos illusions, des hallucinations des divers sens et de l'amnésie des faits récen
et même plus, un aliéné très dangereux ne dissimule son délire, ses hallucinations pour obtenir sa sortie ? La cli- nique ne se ch
romure de potassium, de la morphine et de l'éther; elle a alors des hallucinations et de la céphalalgie; la température s'élève à
titude des idées. R. de DIUSCR1VE CLIY. XXXVII. La psychologie de l' hallucination ; par W. H. B. STOV - DABT. (The Journal ot Ment
nales de l'auteur qui sont t les suivantes : pour bien comprendre l' hallucination , il fant comparer la perception, l'idéation, l'
nation, il fant comparer la perception, l'idéation, l'illusion et l' hallucination en tenant compte de la manière dont le centre c
bsédés étaient considérés par Falret commj J n'étant pas sujets aux hallucinations ; toutefois certains cas ac- compagnés de troub
s hallucinatoires ont été observés depuis ; on a aussi rapporté des hallucinations obsédantes dans certaine^ allections nerveuses.
C'est le cas des dégénérés obsédés à luni - dérament émotif. Ici, l' hallucination est rudimentaire ; elle est secondaire à l'obse
c un état toujours conscient ; elle ne lui apparaît pas comme une hallucination vraie ; l'image est toujours élémentaire et n'est
ne faible expression des perceptions réelles et objectives. '2" Les hallucinations obsédantes qui se rencontrent dans certains éta
ins états pathologiques. (Hystérie, état épileplique. Ce sont des hallucinations vraies, elles sont extériorisées, nettes, détail-
sont dans l'ensemble ceux de la mélancolie avec agitation ; 2° les hallucinations existent et sont souvent intenses; 3° le début
t basées surtout sur l'observation de troubles mentaux, notamment d' hallucinations unilatéra- le, sont pour 'la plupart tombées da
, geste de la peur) imprimées aux membres supérieurs ; illusions et hallucinations ol- factives ou gustatives unilatérales et oppo
res cérébraux ; elles n'ont L à ce sujet pas plus de valeur que les hallucinations unilatérales el. antagonistes, malgré l'adjonct
idiés. On remarquera d'ailleurs que la malade parlait pour les deux hallucinations et exprimait la conservation du sentiment de sa
ymétrie sensorielle et motrice de l'homme, de Séglas (1901) sur les hallucinations *unilatérales et des revues générales sur les co
rmées de fibres de direc- tion contraire. D'après Tanzi (1901), les hallucinations ont leur origine dans un centre de souvenir duq
. -* L'apparition des phénomènes aigus (conceptions déli- rantes, hallucinations , anxiété, stupeur) pendant l'évo- lution de cet
délirantes appelées à disparaître avec les progrès de la démence. Hallucinations . Pour Ziehen., les hallucinations n'ont aucune
avec les progrès de la démence. Hallucinations. Pour Ziehen., les hallucinations n'ont aucune valeur diagnostique. Pourtant leur
érieux). Le plus souvent elles sont nombreuses et variables ; les hallucinations cénésthésiques, tactiles et auditives sont les
les premières en date et les plus fréquentes. l'our Wey- gandt, les hallucinations génitales dominent la scène dans l'hébéphrénie.
impossible de les distinguer des interpréta- tions délirantes. Les hallucinations sensorielles des dé- ments précoces sont plus a
s el dans les actes, mélange d'idées de persécution et de grandeur. Hallucinations nombreuses, troubles cénesthé- siques profonds,
s que sa mère lui apporte. Nombreuses interprétations déli- rantes. Hallucinations de l'ouïe et de la vue. Il voità travers les ca
usation et d'expiation. Idées de {/)'a ! t(eu) ? \''ottt&;'eMSg hallucinations . Anxiété extrême. Il s'agit d'un malade âgé de
e quelques années l'internement. Lesinterpretations délirantes, les hallucinations , les troubles cénestbésirlues, la dépression mo
e le gouvernement. SUR LA SYMÉTRIE BILATERALE DU CORPS. 293 Les hallucinations sonl nombreuses et portent sur tous les sens. Q
tera par des mouvements ou des con- tractures, des illusions et des hallucinations , les uns et les autres lo- calisés. Enfin,l'a
1903, surtout p. 20 et 599). Ces détails, joints à ce fait que des hallucinations visuelles ar- tificielles pouvaient également p
lus que chaque état affectif, avec sa cause (récit provo- quant une hallucination visuelle ou auditive) et ses mani- festations (
ussions qu'elles soulèvent » comme il est dit (p. XIV) à propos des hallucinations hypnagogi- ques, démontrent particulièrement co
u ou de la race; 4° que la survenue, dans la folie, de délusions, d' hallucinations et d'obsessions, n'est pas en contradiction ave
e ; et^que, en outre, le caractère particulier des délusions et des hallucinations est déter- miné par l'extension et la régularit
ndépendance fonctionnelle de chaque hémisphère cérébral. Illusions, hallucinations unilatérales ou bi- latérales provoquées chez l
éface de J. 1;. lBr·;LOUS, Paris, F. Alcan, 1907. SE glas (J.).-Des hallucinations antagonistes unilatérales et al- ternantes, Ann
itre exophtalmique. Voir Os- léomalaric. Voir ^Maladie mentale. Hallucination . Voir Hystérie. La psychologie de l'- ; par S
ports de l'- et de la folie ; par Green, p. 6 4. - infantile avec hallucination ; par Arsimoles, p. 70. Patho- génie d'un cas
28 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
); psychose aiguë appar- tenant au groupe de l'amelttia de Meynert; hallucinations de la sensibilité cutanée semblables à celles d
pport avec l'état psychique du malade (dépression, agitation, peur, hallucination ). La quantité d'acétone augmente considérableme
ondérant qui puissea prionlijustifier lafin des malades, tels que : hallucinations terrifiantes, crainte de supplices barbares, re
e mesure d'un mal insi- gnifiant (en dehors, bien entendu, d'aucune hallucination de la sensibilité générale) et porte si loin so
ort avec l'état psychique du malade (dépression, agita- tion, peur, hallucination ). Une dernière conclusion dans leur travail est
sion irresponsabilité . P. K. XXVI. CONTRIBUTION A la THÉORIE des hallucinations ; par Tigges. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVI
es. (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 4.) Revue critique. Les hallucinations sensorielles sont d'origine centrale, mais il p
ies nerveuses périphériques entrent simultanément en vibration. Les hallucinations motrices partent de l'écorce qui est le siège d
est-à-dire trouble primitif de la connaissance ne dépendant pas des hallucinations parfois complète- ment absentes. Mobilité de l'
de l'appareil sensoriel. Cette théorie chimique est applicable à l' hallucination , à la vision par action mécanique. P. KERAV.\L.
persécutés, qui cependant ne sont pas des raisonnants, n'ont pas d' hallucinations de l'ouïe. L'hallucination ne peut donc pas êtr
e sont pas des raisonnants, n'ont pas d'hallucinations de l'ouïe. L' hallucination ne peut donc pas être dans tous les cas considé
rsécutés vrais et les persécutés persécuteurs. Pour ce qui est de l' hallucination de la vue, on admet généra- lement qu'elle n'ex
croient l'avoir observée ont pris des illusions de la vue pour des hallucinations . Pour ma part, c'est plu- tôt une interprétatio
re là un point de vue très im- portant pour nous à éclaircir. Les hallucinations de la sensibilité générale sont très fréquentes,
proprement dit. D'autres fois, ce phénomène n'apparaît qu'après les hallucinations , c'est-à-dire, à la période d'état de la maladi
euve d'un grand dévouement '. Contribution à l'étude clinique des hallucinations verbales psycho- motrices. M. Roubinovitch aprè
motrices. M. Roubinovitch après avoir constaté que la nature de l' hallucination verbale psycho-molrice a été déjà suffisamment ét
serve. Il cite d'abord le cas publié par M. Gilbert Ballet 2 où ces hallucinations occupaient une large place dans un délire de pe
e que pendant son délire mélancolique, la malade n'a pas présenté d' hallucinations verbales psycho-motrices, et ce n'est qu'à une
e fait que sa malade pré- sente à un très haut degré le phénomène d' hallucinations verbales psycho-motrices et le dédoublement de
Semaine médicale, 18q 1 .) .. * .. SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 1 Ces hallucinations étaient totalement absentes au cours d'un délir
ie. M. J. Séglas. Envisagées dans les délires de persécution, les hallucinations verbales psycho-motrices ont, suivant la forme cl
évolution systématique, elles apparaissent tar- divement, après les hallucinations sensorielles et peuvent rester à un plan effacé
capital est la prédominance excessive des troubles psycho- moteurs, hallucinations motrices verbales et communes, impul- sions ou
fonde et viscérale sont aussi très marqués : on peut rencontrer des hallucinations génitales et des hallucinations visuelles, les ha
ès marqués : on peut rencontrer des hallucinations génitales et des hallucinations visuelles, les hal- lucinations auditives sont
nulle part. De plus, il est admis que dans le délire chronique, les hallucinations de la vue n'existent pas. M. Roubinovitch les a n
prétations délirantes ont précédé la systématisation du délire, les hallucinations psycho-motrices verbales l'ont suivie. Je ne pe
in ; à peine un court stade prodromique, impétuosité des accidents, hallucinations profuses, confusion complète dans les idées, ob
les idées qui déconcerte le malade ; son humeur, mobile, au gré des hallucinations et des idées déli- rantes qui dépendent égaleme
ilité d'humeur dépend de la multipli- cité et de la variabilité des hallucinations . Dansla folie systématique aiguë, on constate u
nce est un phénomène secondaire ; il résulte de la multiplicité des hallucinations . M. SCHUELE. Communication casuistique. Il s'ag
même temps, cécité psychique et achromatopsie, puis apparurent des hallucinations de la vue qui déterminèrent le syn- drome du dé
que. Quant à la transforma- tion des troubles centraux de la vue en hallucinations visuelles pressées et impérieuses, elle indique
spirituosor1lln. Depuis quatre ans, excitations paroxystiques avec hallucinations , état mé- lancolique, dégoût de la famille. Cet
goutte, asthme spasmodique, accès épileptiques, délire alcoolique, hallucinations , anxiété mélancolique, terreurs nocturnes...). Ma
frances ; la tendance aux lipothymies, les troubles de la vue, des hallucinations de la vue, du toucher et du sens muscu- laire ;
té de la mandibule. J. Séglas. XX. UN PHÉNOMÈNE NON DÉCRIT DANS LES HALLUCINATIONS VISUELLES; par le Dr P1ERACCINI. (Riv. sp. di f
. sp. di fren., t. XVIII, fasc. 2, 1892.) C'est la disparition de l' hallucination visuelle dans la vision mo- noculaire, l'un ou
de dépression, pouvant aller jusqu'à l'angoisse, selon la forme des hallucinations . 11 existe, en effet, de nombreuses hallucinati
n la forme des hallucinations. 11 existe, en effet, de nombreuses hallucinations de tous les sens et des ilusions de la vue et de
malades porte SOCIÉTÉS SAVANTES. 283 la teinte du genre de leurs hallucinations , mais le tremblement de l'alcoolique est plus o
ui grève ces cerveaux- là (79 p. 100) et la folie systématique avec hallucinations ; l'auteur y fait rentrer le type de Meynert (dé
fait rentrer le type de Meynert (désordre aigu dans les idées avec hallucinations et agitation maniaque). Il note également la dégé
es, telles que la rapidité du début en rapport avec l'explosion des hallucinations ou leur impériosité, le désordre dans les idées,
organiques, tantôt fonctionnelles (amnésies verbales transitoires, hallucinations verbales, impulsions verbales) ; 3° enfin à des
résulte d'un arrêt total de la pensée. Dans certains cas, c'est une hallucination qui interdit au malade de parler; ou bien le ma
e, pour en arriver à un chapitre des plus intéres- sants, celui des hallucinations verbales. M. Séglas, dont les tra- vaux sur les
ations verbales. M. Séglas, dont les tra- vaux sur les rapports des hallucinations avec la fonction langage sont trop connus pour
iter celte question de main de maître. Il étudie successivement les hallucinations verbales auditives, visuelles et psycho-motrice
arole involontaire et inconsciente. Il passe ensuite en revue les hallucinations verbales en clinique mentale. Il montre que con
cination qu'elle provoque (obsession hallucinatoire); 2° nu bien l' hallucination a une existence indépendante, avec tous les carac
ante, avec tous les carac- tères communs aux obsessions en général ( hallucination obsé- dante). Les troubles du langage écrit s
isgraphies, qui se distinguent en organiques et fonctionnelles, les hallucinations verbales motrices graphiques et les impulsions
ion du processus de l'association des idées, de la perception ; les hallucinations ne sont qu'accessoires et l'aspect extérieur, l
s souvent incompréhensibles qui paraissent reliés plus ou moins aux hallucinations . Sur cet état de stupidité viennent se greffer
parallélisme entre l'état d'agitation motrice et l'idéorrhée ; les hallucinations sont rares ; l'aspect du malade est particulier
ur contrarié, elle est prise d'une crise violente de lypémanie avec hallucinations et idées de persécution. Elle est alors admise
'apparition du délire, d'abord caractérisé par des illusions et des hallucinations assez vagues. Mais celles-ci, bientôt se précis
ent à telle ou telle personne et devient dangereux; à ce moment les hallucinations de la sensi- bilité générale se multiplient à l
randeur peuvent encore apparaître subitement sous l'influence d'une hallucination . Après une durée plus ou moins longue, cette pé
u champ de la conscience, en même temps que l'explosion d'images, d' hallucinations , d'idées délirantes qui malgré la confusion gra
atives, se rencontre un cer- tain degré de systématisation dans les hallucinations et les idées délirantes. Bien qu'on puisse re
e et dédoublement de la personnalité . Hallu- cinations motrices et hallucinations psycho-motrices du langage. Ten- tative de suic
u délire des persécutés-persécu- teurs de Falret malgré l'absence d' hallucinations de l'ouïe. La ma- lade n'a que des hallucinatio
algré l'absence d'hallucinations de l'ouïe. La ma- lade n'a que des hallucinations psycho-motrices du langage. Elle a tenté de se
on peut provoquer chez le sujet non plus des mouvements, mais des hallucinations visuelles qui ont également leur origine dans d
yers, The subliminal consciousness, sensory automatisrn and induced hallucinations . (Procee- dinys of the Society forpsychical res
és, elles donnent lieu à des hypéresthésies, elles amènent môme des hallucinations car la séparation des deux cons- ciences est lo
éminée avec tremblement très accusé. Dans les cas d'hys- térie avec hallucinations , elle a paru plutôt nuisible; dans la dépressio
adie avec le tabès dorsal ; enfin le dernier cas était accompagné d' hallucinations d'ordre mélanco- lique. ' R.M.-C. LXXIV. Une
sait avoir pour elle encore plus de séductions que la morphine. Les hallucinations n'ont eu chez cette malade ni le caractère terr
rsonnalité, il y a en revanche des cas dans lesquels il n'y a pas d' hallucinations et où le seul symptôme est constitué par une er
; c'est l'exagération qui lui suggère cette idée. Puisviennentles hallucinations de la parole intérieure de Cramer, les hallucin
isviennentles hallucinations de la parole intérieure de Cramer, les hallucinations de l'ouïe avec les néologismes, les sensations
29 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e persécution s'accompagnant d'interprétations délirantes et même d' hallucinations . Elles se relient aux idées d'autoaccu- sation,
kinesthétiques, de pseudo-hallucinations (au sens de Kaudinsky), d' hallucinations verbo-motrices plus ou moins développées, mais
eloppées, mais d'observation presque courante, enfin, de véritables hallucinations sensorielles. Il importe également de tenir com
ui met en évidence la commu- nication du délire de persécution avec hallucinations de l'ouïe. La contagion mentale fut alors accep
avage, prouvèrent que les conceptions délirantes de grandeur et les hallucinations expansives se communi- quaient. Enfin, les obse
'est lorsqu'il considère que le sujet passif ne peut jamais avoir d' hallucinations et qu'il ne doit pas être regardé comme aliéné.
, depuis la simple croyance naïve aux troubles délirants, jusqu'à l' hallucination . Cette hallucina- tion est en général une hallu
, jusqu'à l'hallucination. Cette hallucina- tion est en général une hallucination provoquée il est vrai, reproduisant celle du su
n délire alcoolique typique, « idées de persécution et de jalousie, hallucinations de l'ouïe et de la vue, troubles du goût, de l'
e lui imposa d'abord ses idées de persécution, puis plus tard ses hallucinations de l'ouïe ; il entendait mot pour mot ce qu'on di
ue la suggestion morbide peut aller sur le sujet passif jusqu'à l' hallucination provoquée et surtout jusqu'à la réaction. Doit-
respondant à l'éclosion des phéno- mènes délirants vrais, comme les hallucinations , calqués sur ceux du sujet actif. Enfin une tro
ence mentale avec prédominance d'idées de persécution, illusions et hallucinations multiples, troubles de la sensibilité générale,
terprétations fausses basées sur des illusions, puis rapidement des hallucinations multiples apparurent. Les idées de persécution
publiques qui les persécutent, mais elle ne dit pas pourquoi. Les hallucinations de l'ouïe deviennent de plus en plus intenses e
r lequel nous appe- lons l'attention, c'est qu'elle n'a jamais eu d' hallucinations de la vue. Elle devient le sujet actif d'une fo
t passif. Alcoolisme chronique avec affaiblissement inlel- lccluel, hallucinations de l'ouïe et de la vue et idées de persécution.
i du sujet actif; ce sont les mêmes idées de persécution, les mêmes hallucinations avec les mêmes mots d'argot, les mêmes interpré
blir. Nous relevons des phénomènes d'ordre purement alcoolique, des hallucinations de la vue et des troubles somatiques; d'autre p
endent pour les faire arrêter et veulent les faire disparaître. Les hallucinations de l'ouïe sont semblables : « elle entend ces i
frayeurs, elle rêve qu'on court après elle pour la tuer; elle a des hallucinations de la. vue assez intenses. Il lui semble voir a
ne, vert); elle n'a jamais eu de zoopsie. Depuis l'apparition des hallucinations , elle ne combat plus les idées délirantes de sa
différente à celles de sa mère. C'est ainsi qu'elle n'a jamais eu d' hallucinations de la vue. Il semble même que cette communicati
olice porte : « Alcoolisme chronique, affaiblissement intellectuel, hallucinations , persécutions imaginaires. Signé : Dr LECnas.
Le certificat d'entrée : Léger affaiblissement intellectuel avec hallucinations , idées de persécutions, excitation passagère. S
athie intellectuelle avec excitation légère sous l'influence de ses hallucinations . Elle a des étourdissement et des crampes dans
s phénomènes délirants; l'excitation est complètement tombée, les hallucinations de l'ouïe sont un peu moins intenses et lorsqu'on
oujours en avant sa fille dont elle raconte toutes les misères. Ses hallucinations de la vue et ses frayeurs persistent encore mai
icat de quinzaine porte : Léger affaiblisse- ment intellectuel avec hallucinations et idées de persécution en voie de décroissance
plafond lui dire : c on va couper les mains de ta fille, etc. » Les hallucinations delà vue restent au contraire toujours très fai
sait exprès les croisées ouvertes pour la rendre malade, etc. « Les hallucinations de l'ouïe et de la vue ont disparu. Elle entr
léments principaux puisés chez l'agent actif (idées de persécution, hallucinations de l'ouïe, etc.) et ses éléments surajoutés pui
es éléments surajoutés puisés dans son propre terrain d'alcoolique ( hallucinations de la vue, frayeurs, etc.) ; 2° par la révivisc
e aliéné. Le sujet actif transmet ses conceptions déli- rantes, ses hallucinations , ses réactions à un ou plusieurs sujets passifs
r ; dans la plupart des cas, à la base de ces impulsions existe une hallucination , très rarement une obsession. Bref, le malade e
second internement. C'était un état de dépression mélancolique avec hallucinations multiples de l'ouïe et de la vue, idées de culp
crupules. Dans le second, un état de dépression mélancolique avec hallucinations , idées de culpabilité et de persécution ; enfin
bservons actuellement un syringomyélique qui depuis deux mois à des hallucinations , un état d'excitation cérébrale très spécial.
les journaux. Elle reconnaît de ses parents parmi les malades. Des hallucinations menaçantes de l'ouïe la terrifient. Elle fait u
élancolique avec des idées de 224 CLINIQUE MENTALE. négation, des hallucinations et des idées de suicide. Elle était d'ailleurs
se manifestent; elle a des préoccupations hypocondriaques et des hallucinations auditives : « On lui dit qu'elle ne reverra jamai
ressenti a provoqué chez elle un délire mélancolique arec craintes. Hallucinations . Elle est internée dans le service de M. Vigour
ment et les tendances au suicide; idées d'iniquité, de culpabilité, hallucinations pénibles de l'ouïe, cicatrice au niveau de la r
d; de plus les idées de persécution ont augmenté sous l'influence d' hallucination de l'odorat du goût et du sens génital, qui ont
iques hypochondriaques et de persécution ont disparu, ainsi que les hallucinations , la malade manifeste toujours par ses paro- les
38°3 centigrades). Il fut bientôt évident que la malade avait des hallucinations de persécution. Elle ne dormait plus, malgré de
e ayant tant de points de ressemblance avec la psychose de cocaïne ( hallucinations caractéristiques), que, si les deux subs- tance
ujet mélancolique présentant par intervalles des états anxieux avec hallucinations multiples suivant des tableaux donnant l'état d
. L'indigestion peut aussi produire chez les sujets prédisposés des hallucinations , du délire, ou bien des troubles du sentiment a
lancolique grave, une dépression profonde avec stupeur ou angoisse, hallucinations fréquentes, etc. M. Bienvenu croit que, dans ce
e, à laquelle se joignent des illu- sions de l'ouïe, et bientôt des hallucinations , provoquant des idées de persécution ; il se pr
ec ou sans agitation, et le plus souvent, avec des illusions et des hallucinations sensorielles, quelquefois des idées de persécut
lle (Annales médico-psychologiques, décembre 1902). E. B. XV. Les hallucinations unilatérales ; par le Dr Si,'GLAS. Une hallucin
B. XV. Les hallucinations unilatérales ; par le Dr Si,'GLAS. Une hallucination est dite unilatérale lorsqu'elle est localisée
reil sensoriel, fonctionnant d'ordinaire simultanément. L'étude des hallucinations unilatérales se limite à celles de la vue et de
ouïe et la vue sont intéressés du même côté. On retrouve dans les hallucinations unilatérales les mêmes caté- gories'que pour le
les hallucinations unilatérales les mêmes caté- gories'que pour les hallucinations bilatérales à savoir des halluci- nations éléme
entaires et différenciées, communes ou verbales. Pourquoi certaines hallucinations se présentent-elles sous l'as- pect unilatéral
ppuyer sur des données anatomiques trop étroites pour expli- quer l' hallucination unilatérale que pour nier d'emblée son exis- te
ontradiction avec les données étroites de l'anatomie ? Pourquoi l' hallucination visuelle unilatérale, tout aussi bien que l'ama
le vient à être sollicitée, et les perceptions extérieures, comme l' hallucination , se manifester dans certaines expériences sous
forme habituelle. Il est à remarquer que, la plupart du temps, les hallucinations unilatérales rentrent dans la catégorie des hal
mps, les hallucinations unilatérales rentrent dans la catégorie des hallucinations dites à point de repère, et les résultats fourn
ncordent parfaitement avec ceux des expériences de M. Binet sur les hallucinations à point de repère des hystériques. Il ne faut p
e repère des hystériques. Il ne faut pas oublier d'ailleurs que les hallucinations unilaté- rales s'accompagnent très fréquemment
ire, lui servir à l'occasion de-point de repère intellectuel. Les hallucinations unilatérales auditives sont le plus souvent ver
olue à l'hémisphère gauche. Comment concilier l'unilatéralité d'une hallucination verbale avec son origine dans un centre indiffé
igine dans un centre indifférent à la provenance des sons ? Que les hallucinations verbales soient unilatérales ou bilaté- rales,
périphérique déterminant le point de repère de'l'hallucina- tion. L' hallucination auditive verbale se trouve ainsi superposée au
re unilatéral de ce bruit sub- jectif qui fait l'unilatéralité de l' hallucination . Que l'hallucination unilatérale soit auditive
it sub- jectif qui fait l'unilatéralité de l'hallucination. Que l' hallucination unilatérale soit auditive ou visuelle, on retro
gligence de l'une des images sensorielles et la locali- sation de l' hallucination du côté du point de repère unilatéral. Donc si
ensoriels corticaux est tou- jours nécessaire à la production d'une hallucination , elle ne cons- titue pas la seule condition, né
istence, ni de sa localisation. Lorsqu'il s'agit en particulier des hallucinations unilatérales, il importe de tenir compte d'autr
er plus ou moins directe- ment sur la localisation unilatérale de l' hallucination en lui don- nant un point de repère (Annales mé
a donc à la carrière des armes. Ce délire d'action systématisé avec hallucinations et idées mé- lancoliques rappelle les accidents
l pénible2. » - - Le 2 novembre 1658 (vingt-quatre ans), il eut une hallucination auditive, dont il ne parle pas dans ses mémoire
te. Il avait sans doute à demi conscience qu'il était victime d'une hallucination . PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 423 venu
rapper les trois coups. Pour toutes ces raisons, je con- clus à une hallucination auditive. Ce signe de mort est connu dans le mo
ques sous le nom de marteau de Saint- Beizoit. Ce serait une de ces hallucinations qui se transmettent par suggestion chez des suj
llucinatoires. MM. Pitres et Régis admettent, avec M. Séblas, que l' hallucination est relativement fréquenté dansl'ob.- session ;
a persoBmaiifë1 · avec intervention des phénomènes subconscients et hallucinations ^ consécutives. Vfc, Que le médium fasse marc
n avec les esprits, écriture auto- matique) se sont surajoutées des hallucinations extrêmement in- tenses de tous les sens, et plu
ause de l'intensité de ces troubles délirants, ne peut y vivre. Les hallucinations , les troubles de la sensibilité sont attribués
é, c'est la désagrégation arrivant à favoriser le développement des hallucinations auditives et vi- suelles 1. ni. CHRISTIAN. On
ymnastique. La de chambre "ans appareils, par de Frumerie, 314. Hallucinations . Les- unilatérales, par Séglas, 371. 1JL111pT
30 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
générescence mentale. Alternatives d'excita- tion et de dépression. Hallucinations , troubles de la sensibilité générale, prédomina
la mort de son père elle a été prise de délire mé- lancolique avec hallucinations et idées de persécution : on la regardait avec
déterminante appréciable. Observation IX. Dégénérescence mentale. Hallucinations à sept ans; plus tard, idées mélancoliques et d
déséquilibrée, cette malade, dès son enfance, a été en proie à des hallucinations et à du délire et ce n'est qu'après plusieurs b
à haute voix au dehors. Observation XII. -Dégénérescence mentale. Hallucinations . Troubles de la sensibilité générale. Idées amb
ersé- cution se sont développés simultanément, s'accompa- gnant d' hallucinations et de troubles de la sensibilité générale. L'on
té grâce à laquelle nos per- ceptions se complètent rapidement. Les hallucinations olfactives s'étaient développées de très bonne
rrai pas retenir le mot. » Observation XIV. Dégénérescence mentale. Hallucinations bilaté- rales. Idées ambitieuses et de persécut
il, il se décharge, il prononce rapidement et plu- ' M. Magnan. Des hallucinations bilatérales à caractère différent suivant le cô
Elle a été prise, à di- verses reprises, de délire alcoolique avec hallucinations effrayantes, elle voyait des têtes de singe, de
s séances de somnambu- lisme de sa jeunesse, et raconte la première hallucination visuelle qu'on lui a suggérée, celle d'une sour
is, à côté de ces symptômes, on en voit se développer d'autres, des hallucinations visuelles et auditives. Si on ne peut affirmer
Si on ne peut affirmer qu'un rapport direct de causalité unisse ces hallucinations àl'anxiété, on peut dire toutefois qu'elles rep
n outre on a vu apparaître chez chacun d'eux indivi- duellement une hallucination qui leur a été commune et qu'ils ont racontée e
racontée en des termes presque identiques. R. M. C. III. UN cas d' hallucinations SENSORIELLES avec obsessions ; par Klinke. (Jah
our origine un trouble per- manent du jugement et pour aliments des hallucinations . 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Comment dans
LOGIE MENTALE. l'amnésie qui s'aggrave : incohérence dansles idées, hallucinations , paralysie totale des jambes, des muscles du tr
respiration fréquents, tempéra- ture 39,2, céphalalgie, faiblesse, hallucinations de la vue, assuétude. L'ingestion agit plus fai
e; au commencement de cette année, idées délirantes de persécution; hallucinations de l'ouïe. Depuis quatre semaines, l'aliénation
ns de la vue; jamais elles ne se sont montrées dans la journée. Ces hallucinations s'accompagnaient de terreurs. Le malade se voya
'un dément. M. Christian s'était demandé à diverses reprises si ces hallucinations n'étaient pas la conséquence du régime alimenta
nch n'a pas été supprimé un jour ou l'autre et si, dans ce cas, les hallucinations ont momentanément cessé. Ces hallucinations ont
et si, dans ce cas, les hallucinations ont momentanément cessé. Ces hallucinations ont pour lui toutes les allures d'hallucination
anément cessé. Ces hallucinations ont pour lui toutes les allures d' hallucinations toxiques; elles sont vi- suelles mobiles, terri
mort subite, comme le cas qui nous est indiqué. Pour ce qui est des hallucinations , je n'ose pas affirmer qu'elles soient d'origin
cette interprétation. M. Voisin. M. Briand parait admettre que les hallucinations de la vue sont toujours liées à l'alcoolisme. M
en dehors de l'alcool on pouvait observer chez les fébricitants des hallucinations pénibles de la vue, dans l'état intermédiaire e
e trouvant en face d'un homme ayant eu pendant plusieurs années des hallucinations de la vue, et porteur d'une tumeur céré- brale
erveau et les gan- glions sous-corticaux. La preuve en est dans les hallucinations en masse du stade initial, et dans les accident
ous dûmes le faire attacher. En même temps, il était envahi par des hallucinations et des illusions impétueuses. Si bien que la ch
ages motrices représentatives soient exagérées du fait de certaines hallucinations . Quoi qu'il en soit, l'activité de l'image sono
que l'hypnotisme aura provoqués. Prenons un exemple, celui des , hallucinations négatives ou cet état si spécial des fous systéma
ptômes, telles les idées délirantes et SOCIÉTÉS savantes. 12S les hallucinations , tout en n'étant pas la conséquence sûre d'alté-
étés savantes. penchants, les idées et d'obtenir la disparition des hallucinations sensorielles elles-mêmes , ou du moins d'exerce
troubles de l'idéation et de la volition. Quant aux délires et aux hallucinations , on voudra bien nous accorder qu'il ne s'agissa
t les dysphasies fonc- tionnelles : amnésies verbales transitoires, hallucinations verbales, impulsions verbales. Dans les dyslali
raphe consacré aux troubles du langage chez les mélancoliques, avec hallucinations verbales psycho-motrices, et aux dysgraphies fo
CHARCOT-DEBOVE. SÉGLAS (J.). De l'obsession hallucinatoire et de l' hallucination obsé- dante. Brochure in-8° de 12 pages. Paris,
c...) ou bien des sens spéciaux, surtout de l'ouïe (bourdonnements, hallucinations acoustiques). Quel- quefois ces troubles de la
a sensation que ces corps brillants vont arriver sur eux. Les mêmes hallucinations peuvent se rencon- trer chez les hystériques. E
perte de connais- sance suivie d'obnubilation de l'intelligence, d' hallucinations et d'actes impulsifs. Si l'irritation est dif
ations de rêves ou états intellectuels similaires, les illusions ou hallucinations de l'odorat, du goût, de l'ouïe, de la vision, dé
(fièvre, hémorrhagie intense), puis troubles de la connaissance et hallucinations sensorielles en masse ; puis, pendant des mois,
ervation des phosphènes dans le champ visuel disparu; les espèces d' hallucinations sus-désignées sont vues doubles quand on place
x fermés. Dysaconsie à droite seulement depuis l'âge de quinze ans; hallucinations auditives unilatérales du côté droit. Disparition
térales du côté droit. Disparition de l'odorat des deux côtés, mais hallucinations désagréables de l'odorat. Disparition du goût p
s. Tous' les autres symp- tômes s'améliorent assez promptement, les hallucinations cessent, l'appareil visuel reprend son parfait
iennent rarement homicides. Ils sont fréquemment analgésiques : les hallucinations de l'ouïe manquent souvent ou sont simplement c
a pas de dialogue entre eux et leurs interlocuteurs invisibles; les hallucinations visuelles sont, au con- traire, fréquentes. A c
délire de possession tels que l'impulsion verbale et d'autre part l' hallucination verbale psycho-motrice, très fréquente chez le
rent dans des troubles de la sensibilité générale et viscérale, des hallucinations kinesthétiques ou motrices, mais aucun état mélan
t à faits différents de ceux des persécutés, car elle n'a que peu d' hallucinations sensorielles, mais surtout des motrices. Et cel
assez analogues, à ceux de l'observation précédente, telles que les hallucinations kines- thétiques. des impulsions de toute espèc
à des idées de persécution avec les interprétations délirantes, les hallucinations auditives, qui accompagnent ces idées d'ordinaire
ons délirantes des douleurs dues au labes, c'est-à-dire non sur des hallucinations , mais sur des phénomènes sensitifs et sensoriels
plus en plus presque inconsciemment... » En même temps existent des hallucinations sensorielles multiples, visuelles, auditives, t
t de la perception personnelle; elle peut être ou non accompagnée d' hallucinations ; d'agitation motrice, ou de dépression, de stupeu
la face, le second vient d'être frappé d'un accès mélancolique avec hallucinations , préoccupations hspochon- driaques et idées de
édées par des visions colorées, des scintillements,. des véritables hallucinations visuelles, sans que l'amblyopie transitoire pré
épiphénomène qui pourrait rentrer, il nous semble, dans l'ordre des hallucinations . 428 . CLINIQUE NERVEUSE. En effet, rien ne s
s, etc...), ce caractère ne peut pas nous faire nier la nature de l' hallucination ; car, maintes hal- lucinations de l'ouïe ou de
oire peut se rattacher. En considérant le scintillement comme une hallucination , nous trouvons encore un argument bien sûr en f
ège cortical de l'amblyopie transitoire. z En effet, le siège des hallucinations est placé par nombre d'auteurs (Tamburrini le p
le plus souvent dans les deux yeux et du même côté du champ visuel ( hallucination visuelle à forme hémiopique), le phénomène se r
illement doit êlre considéré comme un épiphénomène dans l'ordre des hallucinations , dû à l'irrita- tion des centres corticaux visu
je lui faisais cadeau d'une belle rose. Elle la vit fort bien, par hallucination , et la plaça déli- catement dans un verre d'eau
ter par des actes réels, par des images objectivées de véri- tables hallucinations . En quoi donc consiste l'importance que prennen
te aux malades, que le rêve d'un homme qui dort est iden- tique à l' hallucination de l'aliéné et conclure que la suggestion n'est
ination de l'aliéné et conclure que la suggestion n'est rien, que l' hallucination ou le délire n'existent pas, c'est vouloir, sou
même a disparu, plus d'actes automa- tiques et impersonnels, plus d' hallucinations en contradiction avec les sensations réelles '
able délire hallucinatoire, avec conservation de la conscience; les hallucinations se reproduisent dans qnelques cas par le seul f
de persécution ont fait leur apparition avec un cortège imposant d' hallucinations multiples de l'ouie, de l'odorat, du goût, etc.
ations sensorielles, on peut couper court (c'est le mot propre) aux hallucinations de la vue et de l'ouïe, ou les atténuer. Résumo
opération, disparaît en un mois,. la malade devient calme, mais les hallucinations reviennent bientôt, et avec elles l'agitation.
andeurs et de persécutions se manifestant par des actes de défense. Hallucinations de l'ouïe. Excision de l'écorce des première et d
e chronique REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 489 datant de longues années. Hallucinations de l'ouïe. Tendance à l'agita- tion permanente.
III (erreur de numérotage). Folie systématique, aiguë, pri- mitive. Hallucinations de l'ouïe. Délire passif des persécutions. Actes
écutions. Actes de défense. Démence avec agitation; peisistance des hallucinations . Excision de la partie postérieure de la premie
lle des mots. Amélioration. Obs. V. - Folie systématique chronique. Hallucinations de l'ouïe, de la vue, du toucher. Démence. Prem
l'écorce du champ moteur des mots. Calme notable et atténuation des hallucinations . Obs. VI. - Tare héréditaire très chargée. Foli
cool. M. S1URY. Vous avouez que -votre ivrogne a du délire et des hallucinations ; donc il est momentanément aliéné. Que voulez-vou
longtemps une surface éclairée et brillante sans voir une véritable hallucination visuelle se dessiner sur la sur- face vide qu'e
nes subconscients dont le sujet lui-même ne se rend pas compte. Les hallucinations naturelles ont été l'objet, en Angleterre, d'un
s a entrepris depuis qùelques années de dresser une statistique des hallucinations , en notant le nombre des hallucinés que l'on po
tien de matériaux qu'il sera nécessaire d'utiliser pour l'étude des hallucinations mais qu'il faudra savoir interpréter. . - M.
Ray- mond, 312; anatomie patholo- gique du -, par Mendel, 506. Hallucinations sensorielles, par No- lau, Klincke, 68. HÉMiA
31 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et en restant sourd. La folie survient progressivement (manie avec hallucinations ). Il est évident qu'il y a deux hypothèses à fa
l'odorat, comme j'en ai rapporté ailleurs quel- ques exemples (art. Hallucination du Dict. ecyc/o ? Voilà pour les troubles sensi
icale, en appendice au grand mémoire de Tamburini sur la genèse des hallucinations (Rivisla sperintentale di freniatria, 1880, 153).
que de la vision, par quel- ques vues d'ensemble sur la théorie des hallucinations de la vue. Tamburini ' 1 reconnaît expresséme
et des dépôts d'images mentales. Dès l'origine, ils ont défini l' hallucination une excitation morbide des cen- tres sensoriels
conscience avec tous les caractères de la réalité extérieure. « Les hallucinations sont aux centres sensoriels et à leurs lésions
onstituent une sorte d' « épilepsie des centres sensoriels ». Les hallucinations sont d'ailleurs assez fréquentes chez les épile
s épileptiques l'accès est souvent précédé, accompagné ou suivi d' hallucinations . Le même processus irritatif qui envahit les ce
substituée à l'irritation morbide, détermine, ici l'épilepsie, là l' hallucination expérimentale. Enfin, l'ablation des centres se
omo-patholo- giques établissaient-elles le même rapport entre les hallucinations et les lésions de la zone sensorielle de l'écor
énomènes de dégénérescence psychique. Si la mort survient quand les hallucinations sont dans toute leur force, les lésions irritat
souvent été précédés de processus irritatifs qui ont déterminé des hallucinations de la vue. Charcot, Fer- et interprétée comme s
Gowers, etc., l'ont noté expressément. Seppilli a cité trois cas d' hallucinations de la vue empruntées a Westphal, à Gowers, à Mo
e la paralysie progressive des aliénés, ont trouvé, sur seize cas d' hallucinations de la vue ou de l'ouïe (laplupart de concert),
mmes lui apparaissaient seuls le plus souvent. De même, si dans son hallucination il voyait une forêt, il ne distinguait que la c
cité partielle de la rétine droite et le caractère incomplet de ces hallucinations , c'est d'admettre l'arrêt ou l'abolition foncti
s divers centres sensoriels, déterminant soit la produc- tion des hallucinations , soit l'abolition fonctionnelle de tel ou tel s
lucinations, soit l'abolition fonctionnelle de tel ou tel sens. L' hallucination est simple ou composée. Ainsi, elle peut n'inté
treint d'un seul centre sensoriel et d'uu seul hémi- sphère. Mais l' hallucination peut résulter aussi de la synergie morbide de p
Dans le premier cas, on s'explique jusqu'à un certain point que l' hallucination soit compatible avec ce qu'on appelle la santé
trice que le reste de l'encéphale peut être impuissant à enrayer. L' hallucination nous domine alors complètement; nous croyons fa
quels centres d'idéation (centri della idea- zione), si bien que l' hallucination dériverait de quatre sources appareils périphér
aturellement, plus la lésion initiale sera pé- riphérique, plus les hallucinations de la vue, etc., seront de nature élémentaire (
s, ta- bleaux, etc.). Mais, quel que soit le point de départ de l' hallucination , l'intervention du centre sensoriel cor- tical
nsoriel cor- tical du sens considéré est indispensable pour que l' hallucination se produise dans la conscience avec tous les ca
s lésions du lobe temporal, de la T, eu particulier, dans des cas d' hallucinations de l'ouïe. Dans un cas d'liallll- cination unil
e observation d'atrophie de la corne d'Ammon gauche dans un cas d' hallucination de l'odorat. Les auteurs italiens, dont nous av
t l'une, aliénée, est à l'Asile de Dôle depuis 4 ans (lypémame avec hallucinations , idées d'empoisonne- ment). Cette femme a un fi
ugle à quinze ans. Vers l'âge de vingt ans, idées de persécution et hallucinations multiples, qui persistèrent jus- qu'à la mort.
triusque, altération de l'ouïe, de l'odorat et du goût; - avec cela hallucinations de la vue et de l'ouïe, affaiblissement de l'ac
e se répéta avec association des symptômes suivants : anesthésie et hallucinations des organes sensoriels; affaiblissement des fac
re actuelle incurablement aliénée, il convient de remarquer que les hallucinations de l'odorat ont entièrement disparu chez elle.
z elle. Or, le Dr Savage a souvent signalé à l'auteur l'existence d' hallucinations de l'odorat chez les malades dont les idées dél
dées délirantes sont surtout d'ordre sexuel : la disparition de ces hallucinations chez la malade dont il s'agit, consécutivement
émotifs plus ou moins accentués ; elles ne s'accompagnent jamais d' hallucinations ; elles ne se transforment pas en d'autres mala
dmise par tout le monde entre les éléments moteur et psychique. Les hallucinations seraient aussi, d'après M. Cotard, secondaires
surtout celui de culpabilité imaginaire, et s'accompagne rarement d' hallucinations ; dans la lypémanie hypocondriaque, on constate
ceux qui les persécutaient. Selon M. Séglas, ces voix intérieures, hallucinations psychiques de Baillarger, ne sont autre chose que
centres moteurs du langage articulé ; 2° elle tient à la fois de l' hallucination sensorielle et de l'impulsion,' d'où le nom d'h
is de l'hallucination sensorielle et de l'impulsion,' d'où le nom d' hallucination psycho-7notrice; 3° l'élément moteur qu'elle so
a qui ne sont pas héréditaires. Elles s'accompagnent quelquefois d' hallucinations , par exemple les hallucinations noc- turnes qui
Elles s'accompagnent quelquefois d'hallucinations, par exemple les hallucinations noc- turnes qui peuvent aboutir à un véritable
jour. Alors pour la pre- mière fois apparaît un délire toxique avec hallucinations de la sensibilité générale et des sens avec les
s se sont divisés en trois sections pour l'étude : la première, des hallucinations ; la deuxième, de l'hérédité ; la troisième, de
IER donne connaissance des éléments d'une étude statistique sur LES hallucinations , qu'il a commencée au mois de mars 1889. Pour c
consigner leurs réponses à ces deux questions : 1° Avez-vous eu des hallucinations ? 2° Si oui, veuillez les décrire. De cette faç
re. De cette façon on pourrait se rendre compte de la fréquence des hallucinations chez les personnes saines et surtout sociétés s
nes saines et surtout sociétés savantes. 283 IL de la réalité des hallucinations dites télépathiques, qui ont pour caractère de
cas de métrorrhagie. AI. FORE (de Zurich) lit un travail sur les hallucinations NÉGA- TIVES chez LES aliénés ET sur LES différe
S ET LES aliénés. Il a observé que les aliénés présentent aussi ces hallucinations négatives qui consistent, étant donné une hallu
aussi ces hallucinations négatives qui consistent, étant donné une hallucination positive, à neutraliser autour d'eux tout ce qu
-cinq ans qui, depuis le mois de février précédent, était atteint d' hallucinations et manifestait des idées délirantes. Hérédité n
t aux formes dans lesquelles surviennent ou semblent sur- venir les hallucinations ou les illusions bien connues, il en faut dis-
tinguer deux espèces. Il n'est pas rare que le sujet vous annonce l' hallucination que vous lui suggérez, tandis qu'elle ne se produ
lle ne se produit pas. C'est la réponse qu'on lui suggère, et non l' hallucination . Tous ses actes sont empreints d'un complet aut
ze ans et demi, débutant après un étourdissement et accom- pagnée d' hallucinations de la vue. Première attaque à quatorze ' ans et
attaques : Aura; - altitude du crucifiement; arc de cercle; délire, hallucinations . Contrac- ture consécutive des doigts vertiges.
il s'endort très lentement, à 11 heures, 11 heures et demie ; pas d' hallucinations hypnagogiques. Une fois endormi, il rêve beauco
on observe parfois des anesthésies et des paresthésies, de même des hallucinations ; les réflexes sont le plus souvent intacts. Dan
les attaques, irri- table, querelleuse et furieuse; elle avait des hallucinations et éprouvait des accès de terrible angoisse et
de 30°, 2-36°, c. Avec cela, grande pauvreté de sang, insomnies, hallucinations de la vue et de l'ouïe, manifestation de peur et
ris, 1887.) . « - V1. DE QUELQUES modifications QUE subissent LES hallucinations de l'ouïe sous l'influence du courant galvaniqu
er à travers la tête un courant galva- nique, on peut provoquer des hallucinations de l'ouïe. - Obs. II. Homme de quarante-deux an
tard, affaissement intellectuel et soma- tique, pendant lequel les hallucinations deviennent sporadiques, la mémoire s'affaiblit
ïe. Le traitement galvanique entraîne une rapide amélioration ; les hallucinations se sont apai- sées, le sommeil reparait. Ici la
modification du système nerveux central a favorisé la cessation des hallucinations . Le même trai- tement a donc, employé de la mêm
onde observation a trait à un dément (à la suite de mélancolie avec hallucinations ) qui, après avoir été affecté d'accidents vasom
ne de poitrine,- et hystérie chez l'hom- me), par Au(li,v, 437. Hallucinations (statistique sur les), par Marinier, 282; négat
32 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
les mal définis de la marche depuis deux ans. Amaurose progressive, hallucinations visuelles. Surdité progressive, complète ci gau
s visuelles. Surdité progressive, complète ci gauche, avec quelques hallucinations audi- tives vagues. Dépression et délire mélanc
éflexes tendineux forts. Rien aux membres supérieurs. Amaurose avec hallucinations de la vue, mobiles de gauche à droite et multip
s oculaires; la vue s'affaiblit peu à peu; enfin apparaissaient des hallucinations visuelles s'accompagnant d'agitation nocturne e
rose est complète. Depuis longtemps déjà, la malade avait de vagues hallucinations de la vue : elle voyait « des choses » autour d
: elle voyait « des choses » autour d'elle; il y a quatre mois les hallucinations deviennent très intenses et s'accompagnent de t
l'oreille gauche, et la malade, notons-le, parait avoir eu quelques hallucinations de l'ouïe, communes et élémen- taires (mais non
entendue qu'à quelques centi- mètres de distance. La malade a des hallucinations de la vue extrêmement vives : elle voit des arm
défiler devant elle, des files de personnages ; de plus, elle a une hallucination unilatérale que nous avons cons- tatée à mainte
et qu'elle décrivait, comme étant une « lampe à pétrole ». Cette hallucination disparaissait dès que la malade détournait le reg
leur. Rien d'analogue ne fut noté aux membres supérieurs; les mêmes hallucinations persistèrent avec leur caractère et spécialemen
s hallucinations persistèrent avec leur caractère et spécialement l' hallucination unilatérale de la vue. Pendant tout UN CAS DE G
des deux côtés de la face. L'attention de la malade envahie par les hallucinations de la vue était d'ailleurs diffi- cile à fixer.
présentés par la malade : A. Les accidents mentaux ont précédé les hallucinations et se sont installés postérieurement à l'appari
rale s'accentuant de plus en plus. On a noté dans le même temps des hallucinations auditives et visuelles sur lesquelles nous insi
des phénomènes hallucinatoires présentés par la malade. B. - Les hallucinations observées ont été auditives mais surtout visuel
lucinations observées ont été auditives mais surtout visuelles. Les hallucinations auditives se sont montrées d'une manière précoc
à gauche par suite d'une otite moyenne de ce côté. Il s'agissait d' hallucinations communes et élémentaires, mais non verbales, ay
res interprétations délirantes. Beaucoup plus complexes ont été les hallucinations visuelles survenant en dehors de toute intoxica
E GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. 1 ri part la malade a présenté des hallucinations multiples(zoopsie, défilé d'objets agréables, l
oujours dans le même sens (de gauche à droite), et d'autre part une hallucination très curieuse par sa précision (vue d'une lampe
ucination très curieuse par sa précision (vue d'une lampe allumée), hallucination unique, immobile, permanente, apparaissant seul
nd le regard était dirigé à gauche et en haut. L'existence de ces hallucinations visuelles de deux espèces forme l'un des côtés
espèces forme l'un des côtés intéressants de cette observation. Les hallucinations de la vue sont, croyons-nous, assez rares dans
qu'antérieure- ment à l'entrée à l'Asile il avait existé une autre hallucination persistante pendant plusieurs semaines et situé
essant de placer en regard de ces faits ceux qu'a étudiés M. Lamy', hallucinations dans la partie abolie du champ visuel chez des
ns la partie abolie du champ visuel chez des hémianopsiques : ces hallucinations sont tantôt mouvantes tantôt immobiles, tou- jo
» que dans notre observation; dans un cas il y avait coexistence d' hallucinations mobiles et immobiles, d'ailleurs invariables d'
dans la littérature, note, sans donner d'autre détails, trois cas d' hallucinations de la vue. D'autre part Macabiau3 3 sur 60 obse
L'un de nous a observé une malade chez laquelle avaient existé des hallucinations de la vue analogues à celles pré- sentées par M
cinations de la vue analogues à celles pré- sentées par Marie B... ( hallucinations multiples, défilés de personnages). Cette malad
des aliénistes et neurologistes, 1891 (Clermont). Hémianopsie avec hallucinations dans la partie abolie du champ de la vision.
n'est là qu'un simple rapprochement. On remarquera encore que les hallucinations en général paraissent rares (du moins elles n'o
sse- ments multiples de la convexité du cerveau. Cette rareté des hallucinations au cours des affections encé- phaliques est un
isposés, ainsi que l'indiquaitM. le professeur Joffroy à propos des hallucinations unilatérales de l'ouïe. « Il ne suffit pas pour
ations unilatérales de l'ouïe. « Il ne suffit pas pour produire une hallucination d'activer un centre sensoriel par une lésion ir
c'est pour cela qu'il n'y a pas de lésion produisant d'emblée des hallucinations comme on pourrait parfois être tenté de le croi
, sensations auditives, lumineuses, etc.), qui sont transformées en hallucinations ? «Notre malade paraît rentrer dans la catégori
onnaissent une genèse analogue à celle indiquée par M. Joffroy, les hallucinations au- ditives étant l'interprétation des bruits m
ives étant l'interprétation des bruits morbides auriculaires et les hallucinations visuelles l'interprétation des sensations morbi
compression de l'acous- tique par la tumeur) se traduisant par des hallucinations de l'ouïe, et par l'irritation des voies optiqu
s, point de départ des sensasions lumineuses, se traduisant par des hallucinations de la vue. Notre observation ressemble beauco
», nous avons affaire à une illusion visuelle. L'apparition d'une hallucination fait supposer une absence d'irritation sensorie
26 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. tion cutanée, etc. Les illusions et les hallucinations sont tou- jours reçues par les malades comme ve
présentations au dehors. La grande différence, qui existe entre les hallucinations et les pseudo-hallucinations, nous force d'adme
é, basée sur un délire de persécution caractérisé lui- même par des hallucinations de l'ouïe et des interprétations déli- rantes.
accident présentait un état mélancolique avec idées de persécution, hallucination , frayeurs nocturnes. Le mari qui depuis sa chut
mportés, violents, sujets à des périodes d'excitation accompagnée d' hallucinations . C'est bien le brome qui parait être l'agent de
que. Ces troubles se caractérisent souvent par des illusions ou des hallucinations de la vue qui font croire au malade qu'il est p
estable originalité de SOCIÉTÉS SAVANTES. 237 ses travaux sur les hallucinations et les illusions, la merveilleuse sagacité clin
s psychiques persistants ne sont qu'un prolongement de la phase des hallucinations , et qu'il faut prendre cette affection pour ce
s expériences de disso- ciation mentale, qui leur font réaliser des hallucinations . Entre les mains des médecins, qui appliquent l
cinés chroniques qui deviennent vagabonds sous l'influence de leurs hallucinations . M. Sabrazès rapporte le cas d'une jeune fille
is il y a des fugues inconscientes; d'autres fois des frayeurs avec hallucination , etc. En somme, il résulte des rapports de nos
ion croissante de l'urée excrétée. M. Pierre Parigot (Nancy). Les hallucinations de l'ouïe sont fréquentes dans la démence sénil
psycho-sensoriels qui resteraient latents à l'état de veille. Les hallucinations auditives ont besoin parfois pour éclore d'une
ouvent de faire renaître ou d'arrêter, au gré de l'observateur, des hallucinations auditives mais elle ne peut en créer de nouvell
llucinations auditives mais elle ne peut en créer de nouvelles; ces hallucinations provo- quées se manifestent avec plus ou moins
ce à se plaindre, elle pleure, elle a peur; elle a, sans doute, des hallucinations terri- fiantes ; puis elle se lève brusquement
s d'heure à une heure commence il s'agiter, elle est sous le coup d' hallucinations , elle pleure, elle rit, elle parle avec une plu
s obsessions impulsives. Nous dirons aussi quelques mots à part des hallucinations dans les obsessions. Le substratum émotionnel d
ions jusqu'à ces derniers temps, c'est de ne s'accompagner jamais d' hallucinations . Morel l'avait déjà noté, et M. J. Falret a ins
au Con- grès inteanational de 1889. ' Divers cas d'obsessions aux hallucinations ont été publiés, entre autres ceux de Stefani,
occupé de la question, et, dans plusieurs travaux, a démontré que l' hallucination ne doit pas être exclue du cadre des obsessions.
l admet deux sortes decas : ceux où l'idée obsédante s'accompagne d' hallucination qu'elle provoque (obsession hallucinatoire), et c
ination qu'elle provoque (obsession hallucinatoire), et ceux où une hallucination revêt le caractère obsédant (hallucination obsé
natoire), et ceux où une hallucination revêt le caractère obsédant ( hallucination obsédante). Dans les deux cas, l'hallucination
caractère obsédant (hallucination obsédante). Dans les deux cas, l' hallucination peut affecter une forme quelconque, être verbal
graves que les phobies avec angoisse dominante accompagnée ou non d' hallucinations représentatives, qui sont ici de véritables hal
ou non d'hallucinations représentatives, qui sont ici de véritables hallucinations du sentiment. Et, parmi les états purement émot
oint de vue mental : apparition d'un violent accès d'agitation avec hallucinations terrifiantes chez une malade qui n'avait jamais
aité est ainsi conçu : est atteint de délire de la persécution avec hallucinations de la sensibilité' générale. L'altitude et la
s, etc. Ces reproches continuaient la nuit. Sous l'influence de ces hallucinations et de l'insomnie, il e=t tombé dans un état de
ment ses idées de suicide, raconte son délire, ses illusions et ses hallucinations qui n'existent plus. La teinture thébaïque est
nitales. Elle voit des images de femmes nues, un mont de venus. Ces hallucinations sont surtout pénibles lorqu'elle converse avec
c son frère. Tandis qu'elle se rappelle ces pratiques, arrivent les hallucinations visuelles et tactiles en ques- tion. Donc, conc
ns visuelles et tactiles en ques- tion. Donc, conclut l'auteur, les hallucinations sont des fragments de souvenirs d'enfance chass
onnes des actes criminels, soit par impulsion instinctive, soit par hallucination , soit par perversion du sens moral. Elle ne peu
t au groupe des dégénérés. D. bibliographie. 537 X. Etude sur les hallucinations dans' la paralysie générale progressive ; par l
iques généraux qui ont des idées déli- rantes ont en même temps des hallucinations . Ces hallucinations sont quolquefois élémentair
nt des idées déli- rantes ont en même temps des hallucinations. Ces hallucinations sont quolquefois élémentaires; il ne s'en produ
biles, absurdes, contradictoires; les paralytiques généraux ont des hallucinations , mais ne sont pas des'hallucinés. Les deux pre-
alysie générale et les formes mélancoliques sont les plus riches en hallucinations . Les troubles sensoriels forment la base des id
33 (1878) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1878
les membres du côté gauche.— Caractères des accès en 1871 et 187%. — Hallucinations de la vue et de l'ouïe. — Contracture intermitten
e... Je le voyais bien là-bas 1... La tète... » Elle semble avoir des hallucinations de la vue et de l'ouïe. — Cette situation a duré
_ 0 — tre la moitié antérieure du pariétal droit. 22 octobre. — Hallucinations de la vue. P... voyait sa mère, lui souriait. — E
accès. — Le 10, trois accès. — Le 11, sept accès nocturnes. Délire; hallucinations : elle voit des rats, court après eux. — Le 42, n
quand elle fut mariée à Loys Pierret. Trois mois plus tard, frayeur, hallucinations , attaques. Nicole est déclarée possédée... Conjur
es, elle est effrayée, suppliante : Pardon ! Pardon ! On voit que les hallucinations gaies et les hallucinations tristes se succèdent.
iante : Pardon ! Pardon ! On voit que les hallucinations gaies et les hallucinations tristes se succèdent. Après une période de déli
durant les séries d'attaques : loquacité, confidences involontaires, hallucinations , modifications variées de la physionomie, etc. Ce
LES kxta sf. ,1878). Pianelle XXIV. ATTITUDES PASSIONNELLES HALLUCINATIONS de L'OUÏE Planche XXV. ATTITUDES PASSIONNELLE
moquerie : «Il ne m'a pas attrappée. » Enfin, elle entend la musique [ hallucinations de l'ouïe),se relève, s'asseoit sur son oreiller,
er. Dans ce cas, de même que dans les précédents, nous avons vu les hallucinations ou les visions gaies se substituer aux hallucinat
us avons vu les hallucinations ou les visions gaies se substituer aux hallucinations tristes, ainsi que M. Charcofc l'a fait remarquer
scènes violentes qui ont eu lieu entre la malade et ses parents. Les hallucinations gaies ont (0 Quand Yéther est administré aux
itude du crucifiement, extases. — Contracture de la jambe droite. — Hallucinations de la vue et de l'ouïe. — Hoquet. — Folie. —Hyp
aucoup plus intenses à droite qu'à gauche ; enfin, elle dit avoir des hallucinations de la tue : elle voit des hommes vêtus à l'ordina
onique: Immobilité, la respiration qui était précipitée au moment des hallucinations effrayantes, se suspend ; le regard est fixe, les
ce, nous avions toujours observé un délire triste, occasionné par des hallucinations effrayantes; mais, quelques semaines plus tard, n
s effrayantes; mais, quelques semaines plus tard, nous avons noté des hallucinations gaies : « Ne le tuez pas... J'irai le sauver... (
c!... » La malade revient tout d'un coup à elle. Interrogée sur ses hallucinations , elle est extrêmement discrète. Ce qu'on peut en
on enfant dans le feu, etc. Consécutivement, A... a quelquefois des hallucinations de l'ouïe et de la vue. Des voix lui commandent t
troubles, elle n'en est pas moins effrayée. Nous croyons que ces hallucinations se montrent surtout quand la décharge n'a pas été
rvice de M. Ghar-cot, Geneviève, nous avons mentionné les singulières hallucinations qu'elle éprouve pendant la nuit et qui l'auraient
er avec celle de Geneviève. Madeleine était sujette à de fréquentes hallucinations de la vue. « Le Démon, dit-elle, m'apparut pour y
, fait souvent relevé par M. Briquet, M. Charcot et par nous, ont des hallucinations à peu près analogues à celles qui caractérisent l
de si » horribles cris... » (Loc. cit., p. 30.) D'autres fois, aux hallucinations de la vue s'ajoutent, (l) Voir page 216. ch
ns de la vue s'ajoutent, (l) Voir page 216. chez Madeleine, des hallucinations de Vouïe : « I'en-» tendis de mon lict vne voix,
n « les mesmes nuditez et ordures spécifiées de la Maison (1).» Les hallucinations génésiques, que nous avons signalées et décrites
mais elle ne crut pas devoir se prêter à un pareil désir (1). » Les hallucinations gênésiques, l'accouplement avec le diable, ont to
es décrirons avec détails par ce qu'elles se rapprochent beaucoup des hallucinations de Geneviève : « Mais, dit-elle, entre les chos
cial, l'éducation, la vie antérieure, exercent sur le délire, sur les hallucinations une action profonde. Marguerite-Marie Alacoque
it les nuits en prières. Vers l'âge de 15 ans, elle fut sujette à des hallucinations de la vue : Jésus-Christ lui apparut « sous la fi
on époux calme ses ardeurs ; puis, il se décide à la satisfaire : les hallucinations gaies sont remplacées par des hallucinations tris
de à la satisfaire : les hallucinations gaies sont remplacées par des hallucinations tristes. « Alors, J.-C. lui montre une croix tout
e leur temps. Tous les phénomènes mentionnés chez Marie Alaco-que . hallucinations de la vue et de l'ouïe, tantôt gaies, tantôt;tris
ire). g Grossesse imaginaire, 217. Guérison spontanée, 111. H Hallucinations après les attaques, 75, 81, 102, 129, etc.; — pen
la) dans l'hystérie, 128, 136, 140. o Œpophagisme, 190. Ouïe ( Hallucinations de 1'), 224. P Paralysie hystérique, 113, 135
34 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
INIQUE MENTALE NOTE SUR LE DÉDOUBLEMENT DE LA PERSONNALITÉ ET LES HALLUCINATIONS VERBALES PSYCtIO-\IO'CftICI : S; Par le D' .1.
si particuliers qui ont été groupés par M. Baillarger sous le nom d' hallucinations psychiques'. Observation I. - La première obs
r des troubles hallucinatoires très intenses, ' Ce sont d'abord des hallucinations de l'ouïe, ce que le malade appelle « le phonog
el l'emporte sur Diabolus. » -Ajoutons qu'au début il a eu quelques hallucinations de la vue (ombres, lettres grecques étincelante
aussi d'aller aux cabinets en l'emboucanant par le fondement. Les hallucinations sensorielles sont ici reléguées au second plan
dans son armoire, des bruits sur les toits. 11 y a aussi quelques hallucinations de la vue : elle a vu des yeux de morts ; ils l
ntent le singulier phénomène étudié par M. Baillarger sous le nom d' hallucination psychique. Or nous pouvons dans les observation
st en môme temps un fait de dédoublement de la personnalité. Or l' hallucination psychique de il. Baillarger (voix intérieu- res
es à ce même point de vue. Le premier malade désignait lui-même ces hallucinations particulières sous le nom de « voix labiales ».
t ainsi servir d'interprète au précédent. De là, il résulte que les hallucinations verbales psycho-mo- trices se rapprochent beauc
précède, je crois pouvoir tirer les conclusions suivantes : 1° L' hallucination psychique de il. Baillarger est avant tout un t
moteurs de la fonction du langage. , 2° Elle tient à la fois de l' hallucination sensorielle et de l'im- pulsion, quoique serapp
sion, quoique serapprochantsurtout de cette dernière. D'où le nom d' hallucination verbale psycho-motrice que j'ai proposé dans mo
es membres inférieurs, n'empêchant point la marche. Persistance des hallucinations . 1er septembre. Disparition complète du délire.
veux s'est reproduit plusieurs fois, ra- mené par la répétition des hallucinations terrifiantes. Or, du- rant l'état d'obnubilatio
olence des convulsions et des réactions motrices provoquées par les hallucinations était telle, qu'il a fallu, pour maîtriser les
suivis d'obtusions, de vertiges ou de délires postépileptiques avec hallucinations . L'excitation des autres points de l'écorce ou
Unverricht, c'est que les accès d'épilepsie sont souvent précédés d' hallucinations de la vue. Le nom de Danillo rappelle encore de
obstacles, se heurtaient aux objets et paraissaient en proie à des hallucinations terrifiantes. Dans d'autres cas, ils tombaient
e mémoire lu par lui il la dernière séance. D'un groupe déterminé d' hallucinations sensorielles dans les anomalies primitives de l
elle existe également dans la stupeur non mélan- colique. Quant aux hallucinations , on ne comprendrait pas com- ment les images mo
ment les images motrices de la parole inférieure engendreraient des hallucinations , on ne le comprendrait même pas pour les images
passager et rapidement passager. On ne s'explique pas la genèse des hallucinations sensorielles, dontletableau est si spécial, dan
ion de cause à effet que j'ai mise en relief. - Je répète que les hallucinations sensorielles émanent, dans l'espèce, du sens mu
ves anormales; ces conceptions anormales se produiront sous forme d' hallucinations sensorielles et, d'après ce que nous venons de
llucinations sensorielles et, d'après ce que nous venons de dire, d' hallucinations sensorielles portant sur le sens mnsculaire de
'application aux aliénés persécuteurs classiques (type Falret) sans hallucination . Il faudrait encore, dans ce cas, distinguer de
c : « Ravaillac était aliéné, atteint du délire de persécution avec hallucinations . Ses interrogatoires confirment l'existence de
. Cette action pour eux est inséparable de celle que produisent les hallucinations . Les principes composants actifs à ce double po
hémianopsie, mais différente pour les deux yeux, notre malade a des hallucinations dont l'intensité a suivi la marche progressive
in de là à la folie sensorielle. Quelle que soit l'intensité de ses hallucinations , notre malade n'a jamais présenté le type de la
ls. Au début de son affection, notre malade ne se plaignait que des hallucinations de la vue. Les troubles auditifs, les illusions
très grandes difficultés à comprendre ce qu'on leur demande. Les hallucinations psychiques de Baillarger peuvent aussi encom- b
: délire systématique hallucinatoire - mélancolie avec angoisse et hallucinations - exaltation avec gaieté, idées de grandeur - m
Ferrier, est rappelée à propos des recherches de Tamburini sur les hallucinations . Toute- fois, M. Soury n'admet pas, comme cet a
pour établir certains diagnostics. P. B. VIII. Seconde note sur les hallucinations hémiopiques homonymes (A - second note upon hom
ons hémiopiques homonymes (A - second note upon homonymous hemiopic hallucinations ); par P. PETERSON. (Extrait du New-¥Ùl'l¡ médic
el, M. Peterson analyse des faits qui ont - VARIA. 29-1 trait des hallucinations hémiopiques homonymes accompagnant ou précédant
l se rallie com- plètement à l'hypothèse de Seguin d'après qui, les hallucinations dépendraient d'une excitation plus ou moins pro
'anémie consécutive. Il croit que cette pathogénie expliquerait les hallucinations dans la folie. Paul BLOCQ. IX. Contribution a
et 3 (sept. et nov.). ..J 330 CLINIQUE MENTALE. Ce n'est pas l' hallucination de l'ouïe qui constitue le phéno- mène pathogno
nt chez les per- sécutés persécuteurs. Ce ne sont pas davantage les hallucinations de la sensibilité générale, quoiqu'elles manque
ut d'une pièce et sans intermédiaire, à l'occasion d'un rêve, d'une hallucination , d'une association d'idées, peut- être même à l
firmités secrètes ». Cela durait depuis un an, quand apparurent les hallucinations de l'ouïe. Un matin, en entrant dans la cour de
us quitté mon service, et j'ai assisté à l'évolution du délire. Aux hallucinations de l'ouie se sont jointes celles de la sensibil
ité à la suite d'un traitement hydrothérapique. Chez ce malade, les hallucinations de l'ouïe sont continuelles, et elles le pousse
vre que ce qu'elle lui donnait généreusement. En 1888, il eut des hallucinations , prétendit une nuit que son lit brûlait. Vers c
ui parle, il répond et est très sueslionnable et on lui suggère des hallucinations diverses. 11 a à son réveil perdu complètement le
ptoïde. - Elévation de la température après l'attaque. Secousses. - Hallucinations . - Attraction. Hir... (Lucien), né le 8 août 18
ordinairement de l'insomnie, et de la difficulté à s'endormir; sans hallucinations hypnagogiques. Il a des cauchemars mais beau- c
des deux bras et même de tout le tronc, qui ont beaucoup diminué. Hallucinations . - Il voit parfois dans le jour comme des souris
OBSERVATIONS D'HYSTHRIE MALE. 391 de suicide, instabilité mentale, hallucinations , attitude du crucifiement, arcs de cercle ventr
ger sous une même étiquette l'ensemble des syndromes énumérés. Des hallucinations , des illusions provoquent des espèces de som- n
res pour glaucome, on a vu survenir un désordre dans les idées avec hallucinations et angoisses terribles, qu'il y ait ou non alco
M. ASCIIEn. J'ai, sur plusieurs délirants chroniques présentant des hallucinations sensorielles actives, essayé d'appliquer l'hypn
s'agissait d'une malade ayant par intervalles de l'angoisse et des hallucinations tellement impé- rieuses qu'elle devenait agress
alades affectés de paralysie générale (11 observ.) de vésanies avec hallucinations (3), de délire chronique systéma- tique (1), de
nt les phénomènes soma- tiques rétrocédèrent, mais le délire et les hallucinations disparurent totalement. L'action favorable de l
as n'a pas trait à une psychose; ce sont des troubles élémentaires ( hallucinations et illusions). M. IIEmarrrr. La cocaïne chez le
¡TTENZWF.IG. II est à remarquer que le malade en question avait des hallucinations bien que depuis plusieurs jours il ne prît plus
e de se prononcer sur la sortie définitive quand on n'observe pas d' hallucinations dont la persistance est le plus juste critérium
e délire peu intense et monotone, à tendances hypochondriaques; les hallucinations rares et peu extériorisées; l'apathie affective
vaut ne pas parler des pages qui suivent sur les diverses sortes d' hallucinations . Mais je crois utile de signaler les passages s
allucinations. Mais je crois utile de signaler les passages sur les hallucinations psychiques où il n'est même pas fait allusion a
tes des aliénés accom- plis sous l'influence d'une impulsion, d'une hallucination (tels que le persécuté qui se jette à terre par
fusion anomale des agents thérapeu- tiques, par Peterson, 290 ; Hallucinations hémiopiques ho- monymes, par Peterson, 290 ; z
ne du -, par Benedikt, 126. GLlOM.\TOSE, par Egorof, 137, 1'r0. Hallucinations , psycho-motrices, pal Séglas, 24; - sensoriell
35 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
loir dans le public crédule et profane. Ensuite il y a la théorie des hallucinations , qui fut motivée principalement par Edouard de Ha
n d'objectif, mais bien quelque chose de subjectif. Cette théorie des hallucinations se rapporte, d'ailleurs, essentiellement aux appa
nt psycliothérapiquc de la morpliinomanie; M. le Dr Emile Laurent : Hallucinations collectives suggérées; M. le Dc Ûovjardinsde Rè
es ou criminelles. M. F. W. H. Myers. — L'induction expérimentale des hallucinations . Preyer. — L'orìgine des nombres. Th. Ribot. —
isme, clairvoyance, hypnotisme à distance, personnalités multiples. Hallucinations fausses et véridiques. Présages, apparitions. P
(international Klinish Rundesh, january 1892.) Potts. — « Deux cas d' hallucination de l'odorat. « (Universty médical magazine, déc
ut ensorcelée et ne pense plus constamment à sa fille. Peut dormir. L' hallucination de la pensée s'efface, elle devient calme. Elle r
allucinés sont véridiques; est-ce une raison pour ajouter foi a leurs hallucinations ? Cesare Lombroso, anthropologis te, a été un gui
rébrale. (1) AUG. Forel: Der Hypnotismus, Stuttgart, 1891, p. 33. Hallucinations collectives suggérées, Par M. le Dr Émile LAURE
ées, Par M. le Dr Émile LAURENT. On peut facilement provoquer des hallucinations par suggestion. Cela ne lait de doute pour person
ssent à son approche, mais qui le menacent en fuyant Ce sont là des hallucinations passagères, très fugitives. El on peut dire que b
se transformer en une armée d'êtres fantastiques ? Il est d'autres hallucinations plua persistantes, plus précises et plus nettes,
our par de la concentration, de l'attention sur une idée. Ce sont des hallucinations provoquées inconsciemment par auto- suggestion.
chemin du village. Quand il se retourna, tout avait disparu. Cette hallucination très nette et persistante avait certainement été
uggestion. Ce n'est pas tout. Un sujet peut développer chez lui une hallucination et la provoquer par suggestion à l'état de veille
it authentique, que Z..., qui avait laissé se développer chez lui use hallucination de l'ouïe, l'a provoquée chez sa femme par sugges
par suggestion. Voici un autre fait bien plus curieux encore : L' hallucination se développe en plein jour, sous l'influence de p
jeunes filles ont gardé la conviction d'avoir réellement vu. Celle hallucination est remarquable par sa durée et par la concordanc
ertain degré d'anémie cérébrale qui put faciliter, sinon provoquer, l' hallucination . réciproques. Elles ont vu toutes deux la proce
e peut préciser davantage. On ne saurait, dans ce cas, penser à une hallucination télépathique. Il y eut bien, dans le village, le
'un seul prêtre et pas d'évoque. 11 s'agit manifestement d'un cas d' hallucination collective suggérée. CHRONIQUE ET CORRESPONDANC
. Parmi elles, nous citerons celles qui ont trait à l'observation des hallucinations dites télépathiques et des phénomènes de transmis
ides qui lui étaient défendus. Plus tard, elle était en proie à des hallucinations terrifiantes, dans lesquelles elle voyait des mon
on devra se borner à faire disparaître certains symptômes, comme les hallucinations , les idées de persécution, l'insomnie, etc.... Ma
nnée, n° 3, mai-juin 1892, p. 134). les probabilités de l'existence d' hallucinations auditives télépa-iniques, d'après les données d'a
contre une chance de hasard. La proportion de probabilités pour les hallucinations visuelles télépathiques (apparitions d'esprits) s
ffirmer qu'il peut l'endormir, et, lorsqu'il a provoqué chez Mathis l' hallucination rétroactive qui portera sur le souvenir du crime,
rphine, elle fut prise do troubles mentaux assez graves, et surtout d' hallucinations . Elle entra à l'asile de Charenton. Le Dr Ritti s
a clinique se plaignant de troubles nerveux et mentaux assez graves : hallucinations , cauchemars, idées de suicide, etc. Elle attribue
ordres principaux ; les actions criminelles suicides, homicides), les hallucinations et les attaques convulsives. Les exemples de su
eur la fait murer; la porte disparue, personne ne se pend plus. Les hallucinations sont encore une des formes les plus fréquentes de
étaient bien éveilles, les hommes endormis furent repris de la même hallucination . Dans un ordre de faits différent, d'autres aut
ontagion de la véritable crise couvulsive-hystéro-épileplique. ou des hallucinations , ou des impulsions criminelles. A ce titre un peu
la phrase qu'il me fait dire entre guillemets, je n'ai pas dit que l' hallucination n'est rien, je n'ai pas dit que l'hypnotisme guér
qu'on produit dans l'un chez certains sujets [catalepsie, anesihésie, hallucinations , etc.) peuvent être obtenus dans l'autre chez que
t être obtenus dans l'autre chez quelques-uns, que les rêves sont des hallucinations spontanées du sommeil naturel, comme les hallucin
êves sont des hallucinations spontanées du sommeil naturel, comme les hallucinations suggérées sont des rêves provoqués, que tous les
ychiatr., XLIX, 1-2.) » De la yariabilité des Idées délirantes et des hallucinations ». L'Administrateur-Gérant : ÉMILE BOURIOT. P
hé, poussée pur des impulsions irrésistibles, peut-être soumise à des hallucinations passagères, dans tous les cas atteinte d'un déran
. report., Philad. 5 sept. ;1891 p. 363.) StCLOiet Londe. — « Sur les hallucinations , et en particulier les hallucinations verbales
3.) StCLOiet Londe. — « Sur les hallucinations, et en particulier les hallucinations verbales psycho-motrices, dans la mélancolie (A
a i étude de l'infidélité de la mémoire ». Toulouse (E,). — « Des hallucinations unilatérales ». (Gaz. des hôpit., 65.) L'Admini
vont de deux formes : La nuit principalement, ils s'accompagnent d' hallucinations terrifiantes et surtout de la vision d'une sorte
élirant; mai» comme le délire, dan» cet état, est très cohérent, sans hallucinations , sans idées absurdes, tout le monde s'y trompe, s
ive k celle de la malade en cherchant à l'étonner : aux prises avec l' hallucination , Mme X... eut en effet, pendant plusieurs semaine
artout ». « de glace dans les veines », tremblements, sueurs froides, hallucinations terrifiantes représentant en particulier des anim
cœur, faire avec le cerveau lui-même des émotions, des illusions, des hallucinations ! Voyez chez l'homme malade, la simple parole, c'
phénomènes épileptoïdes, l'arc de cercle, les grands mouvements, les hallucinations de la vue (elle voit la mort avec une faux). Co
la maladie, mais pendant sa durée est devenu emportée. Elle n'a pas d' hallucinations , sa mémoire est intacte, son intelligence bonne,
de veille. E... accepte toutes les suggestions: on provoque ainsi des hallucinations visuelles (image d'une rose), des hallucinations
n provoque ainsi des hallucinations visuelles (image d'une rose), des hallucinations plus compliquées, saignement de nez, etc. Ces c
e de Chareot, à la Salpêtrière, mais on n'a pu l'y garder en raison d' hallucinations et d'idées de suicide. 11 août. — Étal actuel :
es, la possibilité de provoquer des impressions automatiques et des hallucinations . Le caractère principal réside dans la conservati
a contracture suggestive, l'obéissance automatique, l'anesthésie, les hallucinations provoquées marquent le développement progressif d
y a hallucinabilité pendant le sommeil, mais on ne peut suggérer des hallucinations pour le réveil; enfin dans le neuvième degré, il
eil; enfin dans le neuvième degré, il y a possibilité de réaliser des hallucinations hypnotiques et post-hypnotiques. Fig. I. — Sché
de même, elle est suggestionnable mais on ne peut lui faire a*oir des hallucinations ; ainsi, nous lui disons : « Voyez ce beau petit s
nheim. J'ai pu de môme démontrer par une expérience inédite que les hallucinations suggérées chez les hypnotisées, sont, dans certai
rois pouvoir bientôt démontrer que dans un certain nombre de cas, les hallucinations peuvent affecter d'une manière réelle l'organe se
uivre avec un crayon le contour des lettres qu'elle y voit tracées. L' hallucination suggérée s'est produite, elle lit le mot Marie el
faire, pour tracer des lettres conttairemenl à l'habitude acquise, l' hallucination n'est pas assez forte pour vaincre celle difficul
otuliens sont exagérés. Pas de troubles digestifs appréciables. Pas d' hallucinations . Caractère plutôt gai. Émotivité exagérée, il s'e
son par la foi (la), par Charcot. 282._ Gustation colorée, 185. Hallucinations collectives suggérées, par E. Laurent, 53. Hasc
36 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
et les conceptions délirantes. Les malades, tout entiers à leurs hallucinations et leurs idées maladives, tom- bent dans l'état
st ordurière dans ses propos, obs- cène dans ses gestes. Elle a des hallucinations et des illusions variées de tous les sens. Elle
ns les premiers jours de 1879, le calme augmentait, toute- fois les hallucinations persistant, la malade systématisait un dé- lire
ente. Et il en fut de même jusqu'en automne 1880. A ce moment les hallucinations disparurent peu à peu, la malade abandonna ses
t général, une indifférence et un profond dégoût de la vie et des hallucinations des sens. Il dit avoir vu le diable. Désordonné
citer, et elle aurait eu, dit-on, un véritable accès de délire avec hallucinations de l'ouïe (elle entendait parler des per- sonne
le, surtout celle de l'ouïe était exagérée, mais il n'y avait pas d' hallucinations . La sensibilité générale avait presque absolume
vers cinq heures du matin que le calme revenait. En dehors de ces hallucinations de la vue, Aimo A. M... enten- dait encore des
ait plus rien; elle courait à sa fenêtre et ne voyait personne. Ces hallucinations étaient aussi bien diurnes que noc- turnes : la
ntoure de suite d'une zone de rougeur diffuse. Pas d'illusions ni d' hallucinations des sens spéciaux. La peau est peu colorée, jau
ite, remue, discute sans cesse avec ses ennemis imaginaires que ses hallucinations mettent en rapport avec lui. Il cherche à les f
élancolie anxieuse. Ici, peu d'hallu- cinations de l'ouïe, mais des hallucinations très intenses de la vue, des illusions du goût,
gies, de la mauvaise humeur, de la lassitude, de la somnolence, des hallucinations et de la diminution de l'odo- rat, de la confus
iiode d'agitation congestive avec désordre excessif dans les idées, hallucinations de la vue et de l'ouïe, le lavement a provoqué
es unes sur les autres. La phase des grands mouve- ments, celle des hallucinations sont sautées en quelque sorte, et l'on assiste
suite d'une série d'accès épileptoïdes, nous voyons apparaître des hallucinations visuelles terrifiantes. Les yeux sont largement
ir de ce qui s'est passé. Le lendemain et les jours sui- vants, les hallucinations deviennent plus précises. La malade dit qu'elle
. «La voyez-vous ? » s'écrie-t-elle.' Plus tard, "au milieu d'une", hallucination , lorsqu'on presse R ? de questions, elle répond :
ister à quelque chose qui la poursuit. Il est à remar- quer que les hallucinations terrifiantes tantôt se. montrèrent à la suite d
ès épileptoïdes, loin de diminuer dénombre après l'ap- parition des hallucinations , ne l'ont qu'augmenter, -puisqu'on en compte :
paraissent presque complètement ; la malade n'a plus que quel- ques hallucinations visuelles souvent fort longues, mais-moins terr
s nettement hystériques, des mouvements ondulatoires du ventre, des hallucinations à*caractère spécial, de quelques autres manifes
ès nous avonstvu, dans les derniers temps de la vie; s'ajouter des" hallucinations . Nous relevons, enefiet,szrnosnotéslespârticula
mort. Dans l'intervalle de ses accès, Foisn...^ est en proie à des hallucinations : elle regarde du côté'dela fenêtre et dit voir
ntués par H. Jackson, Bourneville et Wuillamié, etc. L'apparition d' hallucinations ,, dans les deux cas, a,) «# 1 1 to 11 1 h'* ,i
séjourné dans "différents asiles de province : elle chronique avec hallucinations , troubles dé 1 ti zs "il)iiité générale et idée
at suivant : «-Délire chronique mystique, volubilité et excitation, hallucinations de la vite. Révélations divines. Dissociation c
asiles en <8 ? poursuivie par des^' ennemis imaginaires' et.'des hallucinations . Elle n'est point, encore parvenue l'incohérence
s qui me viennent ; mes parents ne sont pas de vrais parents. » Les hallucinations qui se rattachent au délire chronique se montre
11l"'<1 . Ml . ', . . ? tt se présente avec des caractères le's' hallucinations spéciales, le tremblement modifiant l'ensemble
ble,' émotifuet. sa 'mënloird ditiiinu6 ! iEtisuite surviennent des hallucinations de l'ouïe, -sans' rien 'de 'terrifiant ! (sonue
j ? i ? > .i» ? mA ,... 10 ' *' itr ? 1 " ? -- 1. j r excessive, hallucinations , tros vives,"cxch ! Stvement\do 1 ouïe, entrain
santé générale est meilleur, sauf oscillations quantitatives ; les hallucinations de l'ouïe, deve- nues iWés7,nVccupènt,pasropini
â"circûlàtibri`; alorsi ? ippàraifHun' nouveau) tahieau''morbide 9 ( hallucinations )' agitation)', créé,pir·l'liypérémie.'I1 faut ens
cruter l'état mental. Il découvre l'existence d'une mélancolie avec hallucinations sensorielles, idées de persécution, troubles de
^Cjla stupeur avec le inutisiub^cldjmniobililé^quise^relieiit à des hallucinations , il suffit de saisir les allures du patient; un
e en «bas. Dans bien des cas, Je sourite prend sa source dans les hallucinations et dans les conceptions délirantes, même chez les
'époque où Us ne sont plus sous le coup d'attaques convulsives ou d' hallucinations graves. En bien des cas, il y a sous roche, dan
a physionomie ne correspondant, par exemple, àaucuneexcitation. Les hallucinations , les illusions, les conceptions délirantes, les
ent la réponse ou la question formulée à une personne imaginaire ( hallucination ), et alors l'halluciné se contente de mouvoir les
de plusieurs muscles du nez, des lèvrés ? renillemenLs, etc.); les hallucinations de l'odorat et du goût eu sont les fauteurs cou
paupières ne battent plus, devient vague en bien des cas (stupeur, hallucination , démence). Beaucoup d'liallu- z ne lèvent pas l
s émanent alors d'idées de persécution et sont provoquées par des hallucinations sensorielles. Ce n'est donc pas la teneur des idé
été, pendant une période préalable plus ou moins longue, le jouet d' hallucinations ; ils entendaient des voix, se croyaient pour-
des actes et des sentiments est plus grand que celui des idées; les hallucinations génésiaques, surtout chez les femmes sont très fr
s dans cette maladie; le deuxième est si- gnalé' par l'invasion des hallucinations et le troisième, c'est « le fonds'de la manie e
roubles de l'odorat et du goût (saveur acre et métallique); parfois hallucinations de la vue et de l'ouïe. Troubles de la vie de n
vulsionsuni- latérales, sans grands mouvements, souvent même sans hallucinations ; d'autre part, la possibilité du dia- 1 Voy. p.
c'est ainsi qu'à deux ou trois reprises, nous avons cons- taté des hallucinations visuelles : à la fin de l'accès convulsif, la m
omènes convulsifs par le côté gauche.-Absence de grands mouvements. Hallucinations inconstantes, cons- tatées à la suite de quelqu
elle pleure et crie, ou se met à rire. Puis elle est en proie à des hallucinations . Elle croit être en chemin de fer, voyager dans
vies des attaques que nous avons décrites plus haut, avec délire et hallucinations . Aucun doute ne saurait s'élever sur la nature
'existence chez elle de la toux, des attaques de tremblement, des hallucinations qui se sont manifestées à différentes reprises,
s autres phases de l'attaque, la phase des grands mouvements et des hallucinations . Mais ce qui leur donne un cachet en quelque so
e sont suivies ni de phase des grands mouvements, ni de phase des hallucinations . Cela tient, le plus sou- vent, à ce que les cr
sur l'oreiller. Vers l8î6 ou 4877, étant à Paris, il aurait eu des hallucinations de la vue. EPILEPS1E JACKSONNIENNE. 299 Pas d
es, comme la mémoire, peuvent être exaltées; et il peut y avoir des hallucinations et des délusions très vives et très frappantes;
un an, il est eu proie à une fièvre systématique entretenue par des hallucinations (auditives et visuelles) qui pro- voquent des a
n, de l'anxiété, une céphalalgie térébrante, parfois encore par des hallucinations de la vue. Les attaques laissent l'individu ter
37 (1880) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1880
nfin P... perd connaissance au bout de cinq minutes. — Il n'y a pas d' hallucinations . 1 Les attaques comprennent les périodes classi
brève, ébauchée ; —p. clonique; arc de cercle; — p. de délire, avec hallucinations (P... voit des rats, etc.) Parfois, attaques de c
oche des doigts jusqu'à son visage ne la fait ni reculer ni tomber. Hallucinations provoquées. — L'expression de la physionomie n'es
ambulisme). Dès qu'on fait le geste d'arrêt, P... devient immobile. Hallucinations provoquées. — Les paupières écartées, les yeux so
ris. — Où êtes-vous? Dans le laboratoire, etc. Pas d'aphasie ni d' hallucinations provoquées, ni de suggestion. — Durant toute la d
nouveau, mais en vain, à produire les phénomènes de suggestion et les hallucinations provoquées. On essaie de la réveiller en appuyant
s les accès d'épilepsie, et les séries d'attaques ayant été suivies d' hallucinations , le diagnostic est devenu plus facile. ci-après
de intermédiaire à la veille et au sommeil, elles ont quelquefois des hallucinations , s'imaginent qu'on leur cause, croient voir des p
re. Dans la période intermédiaire de la veille au sommeil, elle a des hallucinations de la vue : elle voit des gens qui se dressent to
dromes : tristesse, alternant avec de l'excitation, rires sans motif, hallucinations et illusions variées, mouvements nerveux, secouss
des pieds. — Secousses, -r— Ançsdiésie. — Caractères des attaques. — Hallucinations , extases. — Effets de la compression épigastrique
ents ; la respiration est saccadée. Les attaques se terminent par des hallucinations et de Y extase. Elle veut s'en aller, voit des la
tre prise d'attaques, qu'une chienne est couchée auprès d'elle. Pas d' hallucinations de l'ouïe. Au dynamomètre Burq : 19 à droite, 1
t pas eu affaire à une hystérique. Enfin, relevons en passant : les hallucinations de la vue, les extases, l'arrêt des attaques par
x éclats sans motif et ne peuvent se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue; la tête est lourde; elles ont des seco
sous le nom de Geneviève, a été sujette, et pendant longtemps, à des hallucinations génitales tout à fait semblables '2. Caietain f
'une violente excitation intellectuelle, étaient rapidement suivies d' hallucinations , d'apparitions et même de l'attaque d'extase tell
e quel ques mots de deux manœuvres, dont l'une permet d'obtenir les hallucinations provoquées, dont l'autre, Fig. 13. souvent ut
urs, n'a pourtant aucun rapport avec l'hypnotisme. Pour provoquer les hallucinations , il convient de se servir d'un sujet jeune et d
a.—Léthargie; hyperexcitabilité musculaire. — Catalepsie; suggestion; hallucinations provoquées. — Attaque artificielle de sommeil : s
'éther. — Bien que nous ayons déjà relaté un grand nombre de fois les hallucinations et les sensations éprouvées pnr les hystériques s
m'était resté, pendant trois jours, quelques mauvaises idées sur les hallucinations et les choses que j'avais vues et éprouvées avec
I). 2° Les phénomènes de suggestion de second ordre constituent les hallucinations provoquées. a) A l'aide des doigts placés devan
gisse des attitudes imposées au corps ; soit qu'il s'agisse enfin des hallucinations provoquées. Dans le sommeil provoqué, les hysté
e et des tiraillements dans l'œil du même côté. — B... n'aurait pas d' hallucinations (?) Traitement. — Pour combattre les attaques,
Enfin on produit chez elle avec la plus grande facilité, une série d' hallucinations : l'oiseau qui s'envole (Fig. 14), le serpent qui
sie provoquée. — Contractures artificielles. —Catalepsie. Suggestion; hallucinations provoquées. — Moyens de produire le sommeil. — H.
eilles ; bruits de cloches au lointain ; battements dans les tempes ; hallucinations de la vue (chats, singes, araignées de couleur gr
us Pavons vu, que l'on observe les phénomènes de la suggestion et les hallucinations provoquées. a)Suggestion due à l'attitude.—Suiv
re si, prévenu, un assistant n'était en position de la recevoir. c) Hallucinations provoquées. — 11... fixe son regard et fait un ge
u sommeil magnétique, déterminé alors que l'on vient de provoquer des hallucinations , nous avons vu que les malades restaient durant q
e les malades restaient durant quelques instants sous l'influence des hallucinations , qu'elles croyaient voir encore la figure des ass
ode de), 464, Fascination, 171, 178, 220. Force musculaire, 25. H Hallucinations provoquées, 179, 194, 206, 224, passim. Hémianest
38 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
savoir : 1. « Que l'hypothèse expliquant tous les phénomènes par l' hallucination doit être exclue. » '2. « Que la - supposition
ques convulsives hystéro-épileptiques. Vertiges suivis de délire et d' hallucinations . — Hypnotisme obtenu par le miroir rotatif. — Gué
constitués par la perte de la connaissance, la fixité du regard, les hallucinations de la vue et de la stupeur consécutive pendant un
Ce malade a des idées érotiques très accusées, il parait avoir des hallucinations nocturnes organiques et dit que sa fille a des ra
lique, ni d'actes déraisonnables, ni d'impulsions irrésistibles, ni d' hallucinations sensorielles. Les neurasthéniques sont des irrita
diaire à la veille et au sommeil, sur la physiologie pathologique des hallucinations et leurs différentes formes, psychiques et psycho
ontrait au contraire caractérisée par un délire très actif et par des hallucinations capables de provoquer des actes dangereux; le nom
ransfert à l'aide des couronnes aimantées de Luys. c) Transfert des hallucinations . d) Transfert bilatéral ou polarisation de Bine
ysionomies ? 16° L'écholalie est-elle purement suggestive ? 17° Les hallucinations suggérées entrainent-elles des modifications dans
ions des organes des sens entraînent-elles des modifications dans les hallucinations ? 19° L'hallucination suggérée se compose-t-elle
s entraînent-elles des modifications dans les hallucinations? 19° L' hallucination suggérée se compose-t-elle comme une sensation ph
é. 20° L'hypnotique prend-il des points de repères pour localiser l' hallucination ? 21° Le somnambule hypnotique obéit-il aveuglé
ime suggéré est-il possible pratiquement ? 26° Le faux témoignage par hallucination rétroactive met-il l'accusé en danger ? 27° Fau
exclusive ou au moins, prépondérante. Le délire des attaques où les hallucinations visuelles et zooptiques tiennent une si grande
ns caractères spéciaux; la prédominence de l'élément névralgique, les hallucinations , l'apparition fréquente de la sensation de constr
t de vue : la catalepsie, le somnambulisme, les actes suggérés et les hallucinations , l'amnésie et la distraction, les diverses activi
epsiques, suggestion des hypnotisés et des hystériques ; suggestion d' hallucinations générales pour transformer la personnalité. 7°
ormale simultanée (inconscience partielle) : anesthésie systématique, hallucinations négatives, anesthésie naturelle des hystériques.
s remarques de Séglas 7 sur la division de la personnalité et sur les hallucinations psychiques, il s'agit dans ces dernières d'un tro
quelle, d'après cette opinion, il s'agirait dans la plupart des cas d' hallucinations psychiques. La communication par Beauteau 8 d'u
nte kilomètres pour chercher son enfant. Délire des persécutions avec hallucinations , qui passe à l'excitation maniaque. Les personnes
lades sont atteints d'un délire dont l'ensemble est déterminé par des hallucinations extrêmement intenses et qui se manifeste par la m
on hypnotique (falsifications suggestives de la mémoire, production d' hallucinations , exécution d'actes, etc.); la seule influence sug
ie pleine de joie.SiKORSKi constate chez 80 0/0 de ces sectaires, des hallucinations de l'odorat. Ils se sentaient, mutuellement, pour
de nouveau, par des succès obtenus au moyen de la suggestion dans des hallucinations de la vue. de l'ouïe et dans le délire des perséc
e, absorbés qu'ils sont par leurs conceptions délirantes ou par leurs hallucinations . Aussi, chez cette catégorie de malades, est-il n
la présence du portrait de M. Char-cot) ; 4° l'image actériorisée (l' hallucination ) peut être modifiée sous l'influence des facteurs
a les corps déchirés des deux hommes qu'il avait tués dans un accès d' hallucination morbide. Il fut brûlé à petit feu. » Après cela
ueuse, c'est qu'elle a été en commerce avec le Dieu. Si elle a eu des hallucinations terrifiantes, un esprit malin l'a attaquée Pendan
nté. Il faut noter encore, qu'Eusapia subit dès sa huitième année une hallucination obsédante à l'état de veille : on ne sait quels y
, des transformations de la personnalité, des actions impulsives, des hallucinations en tout sens, etc. Je n'ai jamais pu me convaincr
nté. La deuxième moitié de l'ouvrage qui traite des diverses sortes d' hallucinations et des phénomènes de clairvoyance, conduit l'aute
e touche pas, et qui, néanmoins, ne peuvent être classés ni comme des hallucinations , ni comme de la supercherie. F. Lawtok. COURS E
et la science médicale. Théorie catholique du miracle Supercherie? Hallucinations ou extases hystériques? Folie? Nous ne nous attar
ement irrésistible, et un somnambule, toujours disposé à recevoir des hallucinations , ne serait pas capable d'un même entraînement inv
i l'on a cherché à pousser plus loin chez lui ce que l'on appelle des hallucinations négatives, c'est-à-dire tendant à faire disparaît
qu'il découpe un cadavre. Y aurait-il moyen de produire chez lui une hallucination assez puissante pour lui faire pratiquer l'incisi
ble, et à leur communiquer en outre les conceptions délirantes et les hallucinations de lycanthropie, sous l'empire desquelles celui-c
il, que, dans la veille, il survient des signes du sommeil: ainsi des hallucinations physiologiques ou morbides; ainsi des actes par e
conceptions criminelles hardies. Dans un travail intéressant sur les hallucinations oniriques, M. le docteur Régis (2) cite un passag
, je suis le messager de Dieu tout-puissant et je (1) Vr Traité des hallucinations p. 271. (2) Vr Tnbmie médicale, n° 8, année 189
faisaient atmosphère autour d'eux ; mais on ne peut contester que les hallucinations mystiques, survenues automatiquement dans leur so
lant avec les créations peu imagées du rêve et venant les détruire. L' hallucination d'une chose et la réalité de cette chose sont pou
réalité des deux, sans plus en faire la diffé-rence : aussi, quand l' hallucination , cette expression de la pensée fixe mise dans leu
'un fait qui semblerait prouver à lui seul, que, dans certains cas, l' hallucination est plus vivement représentée que l'objet réel n'
le sommeil provoqué. — Les sommeils pathologiques. — Les rêves et les hallucinations hypnagogiques. 4° Etude psychologique de l'hypn
type auditif. 5° Phénomènes psychiques de l'hypnotisme : Illusions, hallucinations , variations de la personnalité. 6° Les principe
e aura; lorsque cette aura est sensorielle, elle peut s'accompagner d' hallucinations dangereuses qui poussent le malade à se suicider
t reprendre ses occupations interrompues, mais jamais il n'est pris d' hallucinations comme dans son aura sensorielle (1), tandis que l
d'hallucinations comme dans son aura sensorielle (1), tandis que les hallucinations sont fréquentes après l'attaque d'hystérie, et le
usieurs attaques se succédant, il se produit de la manie aiguë et des hallucinations . ENSEIGNEMENT DE LA MÉDECINE Comment on passe
ies de la mémoire. — Mémoires visuelle, auditive. — Imagination; 3° Hallucinations . — Causes. — Sujets. — Hallucinations collectives
, auditive. — Imagination; 3° Hallucinations. — Causes. — Sujets. — Hallucinations collectives: 4° Névroses. — Hystérie. — Extase.
représente, suivant que l'idée est complète et se développe jusqu'à l' hallucination , ou qu'elle est incomplète et se réduit le plus s
vre pendant les attaques d'hystérie. Les attaques ont disparu, mais l' hallucination du serpent se reproduit encore de temps en temps
disons plutôt qu'elle a des attaques de réve, d'idées obsédantes avec hallucinations toujours les mêmes, et que ces rêves remplissent
l'hypnose la plus intense : analgésie, altérations des sens spéciaux, hallucinations négatives et positives avec amnésie complète au r
es convulsives hystéro-épilep -tiques, vertiges suivis de délire et d' hallucinations , guérison, 23. Banquet annuel de la Société d'H
39 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dû au fait qu'ils se croient indignes de manger. Souvent il y a des hallucinations 112 PA'1HOLOGlIs' mentale. et des illusions
version ou diminution de la sensibilité gé- nérale et spéciale. Ces hallucinations et illusions entretien- nent le délire, lequel
délire, lequel à son tour contribue aL soutenir et à renforcer les hallucinations et illusions; nous avons alors un cercle vicieu
ture. L'organe de la vision, siège des illusions, plus rarement des hallucinations , exploré d'une façon minutieuse nous a révélé l
st douloureux, pénible, coupé par des rêves, des .cauchemars et des hallucinations . Les malades caractérisés par leur attitude, le
élancolie : 10 mélanco- lie simple sans délire proprement dit, sans hallucinations ni illusions ; c'est une forme passive, de même
ilité, de culpabilité, et 3C PATHOLOGIE MENTALE. à la suite des hallucinations et illusions ils arrivent par appréhension, méf
colie anxieuse est une forme active avec agitation ; ici il y a des hallucinations psychomo- trices qui suivent quelque fois la se
et souvent impossible dans les familles. Les sensations, délires et hallucinations des malades peu- vent être isolés ou rouler dan
e voyait, disait-elle, des Turcs et des Grecs, etc. Aujourd'hui les hallucinations ont disparu. Les senti- ments moraux affectifs
r cette réponse que le raisonnement est altéré. La malade n'a pas d' hallucinations ni d'illusions. Les sentiments affectifs et de
ue toujours cou- chée et dort longtemps. Elle ne parait pas avoir d' hallucinations ni d'ill usions. LES MÉLANCOLIQUES. 43 Ob
te pas le désir de quitter le service. Il n'a pas d'illusions, ni d' hallucinations d'aucun sens spécial ou internes. Il est congéd
raire des ali- ments qui y sont en trop grande quantité. Elle a des hallucinations visuelles, elle voit passer devant elle des fou
sé quelconque : de per- sécution, etc. Il parait pourtant avoir des hallucinations auditives. L'intelligence et le jugement sont c
mutisme absolu dans lequel il s'enferme. Il ne parait pas avoir des hallucinations . Il dort bien sans l'aide des hypnotiques. Il m
propre, dort bien sans l'aide des hypnotiques. Il ne présente pas d' hallucinations , ni de zoopsies. Il refuse à manger, on doit in
e. Les sentiments affectifs et pudiques conservés. Il a parfois des hallucinations auditives. En somme une dépression générale de
faire du mal et qui lui chuchotait des menaces, ce qui prouve des hallucinations auditives mais non caractéristiques. Il ne présen
'hospice et de rester continuellement debout. Il semble avoir des hallucinations auditives. Il a eu et a des zoopsies. L'intelli
ficilement. Nous ne pouvons préciser si elle a des illusions ou des hallucinations . Après bien des insistances, elle nous avoue av
mange bien et convenablement. Elle est propre. On ne constate pas d' hallucinations ni de zoopsies. Elle n'a pas d'impul- sions. El
t qu'elle veut aller chez son mari. Elle n'a pas d'illu- sions ni d' hallucinations . Elle refuse les aliments, à ce point qu'on est
pendues aux murs parlent avec elle. On voit par là qu'il existe des hallucinations . La mémoire est bien conservée. Le raisonnement
ystématisé quelconque, de persécution, de grandeur, etc. Elle a des hallucinations nocturnes avec caractère terrifiant; elle voit
ifiant; elle voit des ours et d'autres animaux qui l'attaquent. Des hallucinations auditives aussi à caractère terrifiant. Les sen-
ue le malade refuse à nous avouer. On ne peut pas savoir s'il a des hallucinations visuelles ou audi- tives ; seul, le malade gard
it vendre ses enfants pour leur faire prendre le sang. Il n'a pas d' hallucinations auditives. 11 avait et a encore une peur inexplic
des délires surajoutés chez un même malade : il existe en effet des hallucinations visuelles nocturnes, des idées de jalousie morb
insomnie absolue, céphalalgie intense, dimi- nution de la vue avec hallucinations , délire violent : vision de rats, de scorpions,
aliénés, celte croyance à des rapports surnaturels s'étaie sur des hallucinations et des interprétations délirantes qui leur font
es solanées vireuses, mandragore, belladone, etc., provoquaient des hallucinations de ce genre et c'est à leur usage que devraient
t c'est à leur usage que devraient être rappor- tées en partie, les hallucinations des sorcières légendaires, Epilepsie. More ! 1
iste alors en troubles du sommeil : rêves, cauchemars, illusions et hallucinations , surtout de la vue, mobiles, changeantes, profe
ont celles que créent les rêves, les cauchemars, les illusions, les hallucinations ; par suite, elles sont essentielle- ment mobile
ans l'alcoolisme, depuis le tremble- ment, le rêve, le cauchemar, l' hallucination visuelle terri- fiante, le délire professionnel
e des hystériques, sorte de rêve, mais aussi sur certaines de leurs hallucinations essentiellement visuelles, variables parfois av
« Mais l'hystérique n'a pas la spécialité de ces délires et de ces hallucinations . On les retrouve dans les intoxications, notamm
ervention de la réalité ambiante dans le délire. c) Il présente des hallucinations surtout visuelles : elles sont généralement ter
ique, était pris, à chaque accès, de rêve délirant de jalousie avec hallucinations visuelles. Une nuit, il se pré- cipita sur sa f
tat de confusion en forme de rêve avec perversion par illusion ou hallucination de la perception, état aigu développé par suite
le jour, continuait la nuit d'avoir des rêves, des cauchemars, des hallucinations caractéristiques. Cela prouve que, si, comme l'
M.Paul Fanez rapporte le cas d'un délire alcoolique polymorphe avec hallucinations de l'ouïe et de la vue, état de rêve diurne, hy
IQUE MENTALE. réflexes de défense, en rapport avec ses illusions et hallucinations pénibles. La peau est chaude, le visage vultu
elle répond assez correc- tement à quelques questions simples; les hallucinations avec troubles de la sensibilité générale persis
e, semble se reposer un instant, mais, bientôt, surgit une nouvelle hallucination : il y a des chats, des poissons, des reptiles
e heures du matin, après une nuit trou- blée seulement par quelques hallucinations et quelques cris d'effroi, Mm0 H... est prise d
s dans les épaules ! ... » Interrogée sur sa santé au milieu de ses hallucinations , elle répond assez DÉGÉNÉRESCENCE MENTALE. ÉT
confu- sion mentale qui peut être accompagnée ou non de délire, d' hallucinations , d'agitation, ou, au contraire, d'inertie motri
troubles sensoriels multiples, visions de feu, d'animaux, d'anges, hallucinations de l'ouïe ; coups de ton- nerre, menaces insult
ation marquée du délire chez les dégénérés alcoolisés, sous forme d' hallucinations ou plus fréquemment d'illusions, d'interprétati
-deux ans, entrée le 14 mars 1898, en plein délire alcoolique, avec hallucinations de la vue mobiles et pénibles, hallucinations d
lire alcoolique, avec hallucinations de la vue mobiles et pénibles, hallucinations de l'ouïe, à prédomi- nance nocturne, trembleme
Rapidement, en quatre ou cinq jours, le tremblement disparaît, les hallucinations visuelles tendent à s'effacer, mais les trouble
nique, entrée le 4 juin 1898, sous le coup d'un accès subaigu, avec hallucinations multiples, à caractère pénible, zoopsie, du tre
he, a commencé de mani- fester des idées de persécution liées à des hallucinations multiples et très actives et finalement des idé
rétation aboutissant à des idées délirantes, à des illusions, à des hallucinations , à des souvenirs chaotiques, à des amnésies plu
cide ; 2° la période d'état caractérisée par la persécution et les hallucinations (hallucinations de l'ouïe beaucoup plus fréquente
riode d'état caractérisée par la persécution et les hallucinations ( hallucinations de l'ouïe beaucoup plus fréquentes que les autr
euves dont le sujet est toujours prêt à démontrer la réalité. Les hallucinations sont rares : lorsqu'elles existent, elles sont
estation, de la prison, etc. Elles ne tardent pas à s'accompagner d' hallucinations diverses, de l'ouïe et de la vue, de caractère
de début brusque, le caractère primitif du délire, la fréquence des hallucinations , l'anxiété réaction- nelle, ces faits se distin
'on ne l'en accuse, qu'on l'arrête, qu'on la mette en prison. Pas d' hallucinations . Insomnie la nuit suivante. Pas d'alcoolisme, n
cepte aucune discussion de ses idées : à partir de ce mo- ment, les hallucinations se présentent le jour comme la nuit, mais sont
couches. Dès lors, un mieux sensible se produit surtout du côté des hallucinations , moins fré- quentes, notamment le jour. La mala
s rapidement, dès le lendemain, les déclare fausses ainsi que ses hallucinations . Ces accidents ne se sont pas reproduits. La bo
maines avec les mêmes idées délirantes d'auto-accusation, les mêmes hallucinations apparues postérieurement au délire. Nous n'avon
te chaque jour, et dès la fin du premier mois, des illusions et des hallucinations venant s'y ajouter, elle se transforme en vérit
ournalières avec surtout leurs accidents et leurs désagréments. Ces hallucinations , suivant la disposition du sujet, suivant aussi
peut du moins indiquer avec certitude leur mode de disparition. Les hallucinations , d'abord persistantes le jour et la nuit, com-
jet, comme en plein jour, se calme, rassuré par la substitution aux hallucinations des excitations physiologiques normales des sen
litement, atteint par- fois mais dépasse rarement une semaine ; les hallucinations ne tardent pas à disparaître même la nuit et le
1° Le délire alcoolique, fait presque entièrement d'illusions, d' hallucinations , de troubles de la sensibilité générale, s'exagèr
40 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bles hallucinatoires en restrei- gnant les causes provocatrices des hallucinations et des illusions . De plus, le séjour des patie
psychoses, et suivant les moments d'excitation, de dépression ou d' hallucination par les- quels ils passent. Le stéréoscope met
omissements. Tout cela se calme un peu ; mais alors surviennent des hallucinations de la vue. La vision est imparfaite, agitation,
- nations de l'ouïe, plus tard encore à des idées morbides, à des hallucinations de l'ouïe, à des idées de persécution, mais sans
tout des idées systématisées, mal liées, mélangées sans ordre à des hallucinations qui ne détruisent pas la person- nalité du mala
int d'accès fréquents avec équivalents psychiques (accès de colère, hallucinations auxieuses agressives). Il séjourne à l'hôpital
s quelques jours le stade maniaque va apparaître. Et inversement. Hallucinations rectifiées au cours tl'zin délire des persécution
rte l'observation d'un délirant chronique qui rectifie lui-même ses hallucinations . Il s'agit d'un professeur, d'in- telligence tr
eposait sur des interprétations délirantes nombreuses avec quelques hallucinations espacées, olfactives, gustatives, kinesthé- tiq
mi environ. Ce fait est d'autant plus curieux qu'il s'agissait là d' hallucinations d'origine intellec- tuelle, confirmatives du dé
'origine intellec- tuelle, confirmatives du délire; que seules, les hallucinations auditives les plus complexes ont été rectifiées
connaissances anciennes pour s'observer, analyser et critiquer ses hallucinations . Le mode de critique employé, pour l'analyse su
e critique employé, pour l'analyse subjective, explique comment ses hallucinations auditives les plus complexes ont seules été rec
tifiées. Cette critique en s'adressant à l'élément intellectuel des hallucinations , ne pouvait avoir de prise que sur celles où cet
possibilité d'obtenir de certains aliénés la rectification de leurs hallucinations . Une vieille hallucinée quia suivi pendant plus
tation, il se calmait en même temps que s'expliquaient pour lui les hallucinations ; mais le délire n'a pas rétrocédé : le malade é
de démolition du délire, l'aliéné expliquait raisonnable- ment ses hallucinations . M. SÉGLAS ne peut formuler qu'un pronostic som
ale. Il admettait d'ailleurs pleinement le caractère morbide de ses hallucinations antérieures. , Fièvre typhoïde et épilepsie.
on anxieuse par intervalles. Ime parait avoir également éprouvé des hallucinations terrifiantes et était en outre sujette à des im
SOCIÉTÉS SAVANTES. , . . 185 Surdité corticale avec paralexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydaliques du cervea
t isolé, fait que vient encore mettre en lumière la persistance des hallucinations de l'ouïe. - L'absence de cécité verbale coex
ce à la syncope, ataxie de la démarche, perte de poids, quelquefois hallucinations de la vue et de l'ouïe). Dans la manie aiguë le
ions se résument de la façon suivante : les cas d'agitation due aux hallucinations et au délire donnent de très bons résultats ; l
fois sous forme de confusion mentale ou de mélancolie anxieuse avec hallucinations de la vue, idées de ruine, de persécution etc.,
es rêves terri- fiants, de la zoopsie avec, pendant la journée, des hallucinations bilatérales de la vue et de fouie, hallucinatio
t la journée, des hallucinations bilatérales de la vue et de fouie, hallucinations non pénibles que le malade eut la force morale
qu'on l'y conduisait, que quelque chose l'étranglait; croyant à une hallucination l'interne ne prit pas garde à ce propos : mais
aines on peut voir se suivre toutes ces formes cliniques ». ' Les hallucinations de la vue et de l'ouïe sont fréquentes et par e
ix-huitième jour, le malade est devenu pleurnichard, en proie à des hallucinations de la vue et de l'ouïe, à des manies ; il s'est
x ans plus tard, apoplexie et chute sur le côté gauche, délire sans hallucinations , hémianalgésie à droite avec conservation de la
mourir; en 1897, il eut, toujours dans les mêmes circonstances, des hallucinations de l'ouïe, tout en reconnaissant parfaitement l
e sont terminés par la guérison. R. DE IUSCRIVE CLAY. n. L. Les hallucinations olfactives chez les aliénés; par F. St-Joun · B
olfactives et gustatives rend parfois très difficiles à isoler les hallucinations correspondantes. L'exclusion des illusions est
que les excita- tations périphériques d'un sens n'excluent pas une hallucination indépendante. Les hallucinations de l'odorat
ques d'un sens n'excluent pas une hallucination indépendante. Les hallucinations de l'odorat sont beaucoup moins communes que ce
recherches personnelles. Il a examiné 95 malades chez lesquels des hallucinations de l'odorat étaient supposées exister; la réserve
s illusions n'aient pu se glisser qu'en très petit nombre parmi les hallucinations . Les hallucinations de l'odorat se rencontrent pr
pu se glisser qu'en très petit nombre parmi les hallucinations. Les hallucinations de l'odorat se rencontrent pres- que toujours a
lui-même : la nature de l'odeur varie rarement. Comme les autres hallucinations celle-ci est surtout fréquente et obsédante dan
es hommes (64 contre 31). Quatorze femmes avaient en même temps des hallucinations sexuelles, et en prenant les deux sexes, on tro
les deux sexes, on trouve trente et un mala- des (sur 95) ayant des hallucinations sexuelles, chiffre qui paraît donner raison à K
nce. Il donne ensuite, très sommairement, le détail de treize cas d' hallucinations olfactives qui lui ont été communiqués par le D
436 SOCIÉTÉS SAVANTES.' pitations, cauchemars, confusion mentale et hallucinations , ensuite confusion mentale, excitation générale
fusion mentale ou à un choc cérébral. Il en serait de même pour des hallucinations terrifiantes et pour une foule d'autres symptôm
nte-quatre ans, était saine d'esprit; il faut donc voir là, non une hallucination , mais bien plutôt un exemple d'auto-sugges- tio
Deux observations dont l'une s'accompagne de ces phénomènes dits hallucinations hygriques. A ce propos l'auteur rapporte deux a
érébraux de nature à exclure d'emblée l'idée d'un rapport entre les hallucinations hygriques et l'existence d'une lésion en foyer de
ns les phénomènes hal- lucinatoires de la même manière que dans les hallucinations visuelles et auditives se reflètent tous les mu
es diffuses de l'écorce, mais aussi par cette obser- vation- qu'aux hallucinations hygrnques font souvent cortège d'autres halluci
tion- qu'aux hallucinations hygrnques font souvent cortège d'autres hallucinations complexes et que, comme tous les autres trouble
r à la dignité de véritables délices. En dehors de leur rareté, ces hallucinations n'ont rien de véritablement particulier par rap
e : hémiparésie passagère, excitation motrice, confusion mentale et hallucinations . Bientôt se développe une démence progressive.
de l'agitation, de la confusion mentale, un' délire interrompu, des hallucinations de la vue, les hémiparésies passagères. Avec l'
d'aucune maladie mentale, peuvent être le jouet d'illu- sions et d' hallucinations sensorielles, sans perdre la disposition de leu
Révision de l'opinion de quelques auteurs sur les illusions et les hallucinations obsédantes. Les hallucinations obsédantes ne so
ues auteurs sur les illusions et les hallucinations obsédantes. Les hallucinations obsédantes ne sont pas très rares. On les obser
faits pour chaque sens. De même que les sensations obsédantes, les hallucinations obsédantes peuvent s'observer sur les divers or
es mala les ne pas perdre tout à fait le jugement au sujet de leurs hallucinations , surtout si ces erreurs sensorielles n'atteigne
sensations réelles, affectent la forme de psemlo-lallucinaliuus ou hallucinations incomplètes : l'organe sensoriel semble, dans l
gane sensoriel semble, dans l'espèce, avoir quelque importance. Des hallucinations de la vue, par exemple, plus ou moins isolées,
es s'objectivant sous une forme sensible. Les primi- tives sont des hallucinations obsédantes ne procédant pas d'idées obsédantes;
l y avait une grande agitation, des idées délirantes agréables, des hallucinations de la vue et de l'ouïe. Ces deux cas se rattach
ncerne l'évolution de l'idée de doute vers un délire systématisé. Hallucinations psychomotrices et spiritisme chez une paralytiq
I'RNEL rapporte l'observation d'une paralytique générale, ayant des hallucinations psychomotrices qu'elle rattache au spiri- tisme
bre 1900 a la buite d'un accès d'agitation, elle présente alors des hallucinations psychomotrices (on lui paile dans le ventre, el
parla malade de M. Tré- nel. je ne suis pas éloigné de croire que l' hallucination psychomo- trice est très fréquente chez les méd
t il plaisantait la crédulité, jusqu'au jour où il eut lui-même une hallucination psychomotrice. Le Christ lui parla par sa propr
tions d'Allan-Kardec, on retrouve souvent tous les carac- tères des hallucinations verbales. M. Dupain a suivi une malade demeurée
'interner pour le protéger contre lui-même. Aujourd'hui, il a des hallucinations plutôt psychiques que psy- chomotrices vraies.
isme que M. Trénel doit cher- cher l'étiologie et l'explication des hallucinations psychomotrices présentées par sa paralytique gé
accompagne d'une altération de la per- sonualité et parfois aussi d' hallucinations . A la fin du séjour du malade à l'hôpital Préob
ère ligne, 15,4 p. 100; la p. p. g. vient ensuite, 14,G p. 100, les hallucinations après, 11,6 p. 100, la folie primitive, 11,4 p.
nts : l'hérédité a donné : 13,6 p. 100 de p. p. g, 43,1) p. 100 des hallucinations , 12.8 p. 100 des psychoses épilepti- ques, 12,3
- cllez lue 1)érécio-sylbilltique, par Marchand et Vtirpa7s. 500. Hallucinations et spiritisme dans une-, narTrenel, 501. Pa
t névrose, par Grasset, 441. Surdité corticale avec parabole et hallucination , par Sérieux et Roger-Migiiot. 185. Syndrome
41 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
illumine les moins clairvoyants. » Docteur Edgar Bérillon. DES HALLUCINATIONS RÉTROACTIVES PROVOQUÉES SANS HYPNOTISME ET DES FA
livre sur la suggestion, j'ai, le premier, appelé l'attention sur les hallucinations rétroactives provoquées. Je désigne sous ce mot
qu'il est pour elles d'une incontestable realité. Que de pareilles hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'
re hypnotisés, par simple affirmation, à l' état de veille, subir des hallucinations rétroactives. Ce qui se passe pathologiquement, d
ant, n'avait pas témoigné de mauvais instincts, par l'hypothèse d'une hallucination rétroactive créée à son insu par le juge d'instru
ngénère, de même couleur, dans son tiroir. Coïncidence remarquable! L' hallucination rétroactive provoquée chez T... était associée da
eux. Le faux témoignage persistait, parce que les sujets voyaient : l' hallucination rétroactive était créée. Quelques-uns racontent
pervertis par la maladie engendrent dans ces imaginations faciles des hallucinations rétroactives qui s'imposent à ces aliénés comme d
nt et ne parlent pas légèrement. Je le répète : c'est une véritable hallucination rétroactive qui leur dicte leur témoignage : l'im
uggestion spéciale dans ce but ne lui ait été faite). On dirait que l' hallucination rétroactive créée est latente, à l'état normal, e
rrogation. Celle-ci constitue une véritable suggestion qui provoque l' hallucination en développant l'état de conscience spécial dans
duire de la catalepsie par simple affirmation, chez quelques-uns; des hallucinations . Tels sont les faits que j'ai l'honneur de soum
moyens ordinaires succéda, en février 1886. une attaque formidable : hallucinations continuelles, démons, diables en voulant à sa vie
lques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nombre d' hallucinations et de » frayeurs ; mais cette fièvre était tombée
la ferez rire ou pleurer à volonté... vous lui créerez toute sorte d' hallucinations , d'illusions qu'elle prendra pour des réalités...
s plantes pour produire les inspirations prophétiques, le délire, les hallucinations , les métamorphoses. La question si ancienne des o
oire jusqu'à la folie. Elle ne dort plus, elle a des illusions et des hallucinations nocturnes effrayantes ; elle s'agite tellement la
ni d'inégalité des pupilles; illusions de la vue pendant le jour; hallucinations de la vue nocturnes. Insomnie absolue ; agitation
de brusquerie. Elle dort bien et sans cauchemars Aucune illusion, ni hallucination . Elle me remercie de nouveau et elle me déclare
nsmet aux organes de l'intelligence et de l'idéation. et provoque une hallucination , un délire. C'est, sur le système sensitif généra
tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les hallucinations et les poses plastiques. Mais aujourd'hui le bûch
malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique. Jamais d' hallucination . Jamais de delirium tremens. Pendant les interval
action isonome. La suggestion à realisation post-hypnotique d'une hallucination , d'un acte quelconque, reste sans effet, si le su
iguës d'alcoolisme; jamais de delirium tremens. Vomissements répétés. Hallucinations nocturnes enrayantes. Animaux nombreux qui l'épou
ux qui l'épouvantent. Gendarmes qui viennent la saisir, etc. Jamais d' hallucinations pendant le jour. Jamais de tremblements des mains
uit, tourmentée par d'affreux cauchemars. Jamais de tremblements ni d' hallucinations pendant le jour. Négligeant son ménage, abandonna
que cela n'est nécessaire ; qu'il ne provoquera ni contractures, [ni hallucinations . En un mot. toutes les suggestions devront viser
à la légère, des suggestions contraires à celles qu'il Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune sujet (1). veut réalis
ien du sommeil naturel : les mêmes phénomènes, catalepsie, illusions, hallucinations , peuvent être réalisés dans l'un et dans l'autre.
s de sensibilité, de motilité, d'idéation, d'imagination illusions et hallucinations ne s'y manifestent pas spontanément, mais sont pr
ite catalepsie, mêmes mouvements automatiques, mêmes illusions, mêmes hallucinations actives ou passives. Les hallucinations ne sont q
iques, mêmes illusions, mêmes hallucinations actives ou passives. Les hallucinations ne sont que des rêves suggérés ; les rêves ne son
ucinations ne sont que des rêves suggérés ; les rêves ne sont que des hallucinations spontanées. Ces hallucinations, soit spontanées,
s suggérés ; les rêves ne sont que des hallucinations spontanées. Ces hallucinations , soit spontanées, soit suggérées, restent passive
plus haute importance au point de vue social et juridique, celui des hallucinations rétroactives que j'ai le premier signalé et que M
érique), des contractions con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallucinations , des troubles de l'ouïe, de la vision et de la se
s, il n'y a pas d'émission de liquide par les organes génitaux. Pas d' hallucinations obscènes. Pendant ces instants, tantôt la malad
uggérées s'extériorisèrent et revêtirent la forme hallucinatoire. Ces hallucinations de l'ouïe furent pour la malade une nouvelle assu
t: Je n'aurai pas mes idées absurdes, — et elle ne les avait pas. Ces hallucinations persistèrent plusieurs semaines, puis disparurent
ujets étaient fous déjà en grande partie, lorsqu'ils se livraient aux hallucinations du spiritisme. 11 n'en est pas moins certain que
sité de Genève. — In-8°. Lyon, 1888. Le monde des rêves, le rêve, l' hallucination , le somnambulisme et l'hypnotisme, l'illusion, le
, de défiance réciproque inexplicable. Puis le délire éclate avec les hallucinations , surtout quand la privation d'aliments se joint à
os paraissent se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal. Les hallucinations provoquées, les émotions suggérées pendant l'hypn
meil, l'ont vue se lever, tendre les mains vers le ciel, et. dans une hallucination érotique, s'écrier: « Emile, je t'aime ! » Ce son
tre sensorielle, et le malade ressent des éblouisse-ments et même des hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ d
lourd, entrecoupé de rêves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de m
ui a peut-étre maladroitement parlé) a provoqué, apres la séance, des hallucinations , des actes extravagants et une véritable impulsio
catalepsie se produise. Il n'obéira pas aux suggestions d'actes ou d' hallucinations , tant qu'on n'aura pas fric- tionné son verte
lques sujets très hypnotisables, d'avoir fait de la catalepsie et des hallucinations . II faut avoir expérimenté sur des centaines de s
dernière a eu lieu dans le milieu de décembre et elle a été suivie d' hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle cro
re le même traitement et les mêmes suggestions. II Lypémanie avec hallucinations . — Guérison. La nommée Du.., 55 ans, est entrée
dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un état de lypémanie avec hallucinations et agitation par intervalles. La physionomie es
thérapeutiques connus. J'ai traité : 1° Une folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de suicide, datant de deux mois, et au b
ien étudie. Il en est de même du côté pathologique , c'est-à-dire des hallucinations . Ceci me conduit aux résultats les plus important
ions : anesthésie, vésication, stigmates; les effets psychologiques : hallucinations , amnésie: la condition seconde, etc., etc. : vien
omnolence ou de l'excitation, des paralysies ou des contractures, des hallucinations et du délire. Où sont les autorités qui supporter
à produire chez certains sujets ces changements de personnalité, ces hallucinations et ces illusions que l'on obtient si facilement c
vicieuses par la suggestion (traitement des), par Aug. Voisin. 365. Hallucinations rétroactives provoquées sans hypnotisme, par Be
idées de suicide, améliorée par la suggestion, 326. Lypémanie avec hallucinations , guérie par la suggestion. 327. Magnétisme anim
imant et dans le corps humain. Pl. 1, 148; pl. 2, 149. Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune sujet, 174. TABLE DE
42 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
illumine les moins clairvoyants. » Docteur Edgar Bérillon. DES HALLUCINATIONS RÉTROACTIVES PROVOQUÉES SANS HYPNOTISME ET DES FA
livre sur la suggestion, j'ai, le premier, appelé l'attention sur les hallucinations rétroactives provoquées. Je désigne sous ce mot
qu'il est pour elles d'une incontestable realité. Que de pareilles hallucinations puissent être déposées dans le cerveau pendant l'
re hypnotisés, par simple affirmation, à l' état de veille, subir des hallucinations rétroactives. Ce qui se passe pathologiquement, d
ant, n'avait pas témoigné de mauvais instincts, par l'hypothèse d'une hallucination rétroactive créée à son insu par le juge d'instru
ngénère, de même couleur, dans son tiroir. Coïncidence remarquable! L' hallucination rétroactive provoquée chez T... était associée da
eux. Le faux témoignage persistait, parce que les sujets voyaient : l' hallucination rétroactive était créée. Quelques-uns racontent
pervertis par la maladie engendrent dans ces imaginations faciles des hallucinations rétroactives qui s'imposent à ces aliénés comme d
nt et ne parlent pas légèrement. Je le répète : c'est une véritable hallucination rétroactive qui leur dicte leur témoignage : l'im
uggestion spéciale dans ce but ne lui ait été faite). On dirait que l' hallucination rétroactive créée est latente, à l'état normal, e
rrogation. Celle-ci constitue une véritable suggestion qui provoque l' hallucination en développant l'état de conscience spécial dans
duire de la catalepsie par simple affirmation, chez quelques-uns; des hallucinations . Tels sont les faits que j'ai l'honneur de soum
moyens ordinaires succéda, en février 1886. une attaque formidable : hallucinations continuelles, démons, diables en voulant à sa vie
lques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nombre d' hallucinations et de » frayeurs ; mais cette fièvre était tombée
la ferez rire ou pleurer à volonté... vous lui créerez toute sorte d' hallucinations , d'illusions qu'elle prendra pour des réalités...
s plantes pour produire les inspirations prophétiques, le délire, les hallucinations , les métamorphoses. La question si ancienne des o
oire jusqu'à la folie. Elle ne dort plus, elle a des illusions et des hallucinations nocturnes effrayantes ; elle s'agite tellement la
ni d'inégalité des pupilles; illusions de la vue pendant le jour; hallucinations de la vue nocturnes. Insomnie absolue ; agitation
de brusquerie. Elle dort bien et sans cauchemars Aucune illusion, ni hallucination . Elle me remercie de nouveau et elle me déclare
nsmet aux organes de l'intelligence et de l'idéation. et provoque une hallucination , un délire. C'est, sur le système sensitif généra
tétanique, période classique, période de grands mouvements, puis les hallucinations et les poses plastiques. Mais aujourd'hui le bûch
malade soit mis à plat de lit par l'intoxication alcoolique. Jamais d' hallucination . Jamais de delirium tremens. Pendant les interval
action isonome. La suggestion à realisation post-hypnotique d'une hallucination , d'un acte quelconque, reste sans effet, si le su
iguës d'alcoolisme; jamais de delirium tremens. Vomissements répétés. Hallucinations nocturnes enrayantes. Animaux nombreux qui l'épou
ux qui l'épouvantent. Gendarmes qui viennent la saisir, etc. Jamais d' hallucinations pendant le jour. Jamais de tremblements des mains
uit, tourmentée par d'affreux cauchemars. Jamais de tremblements ni d' hallucinations pendant le jour. Négligeant son ménage, abandonna
que cela n'est nécessaire ; qu'il ne provoquera ni contractures, [ni hallucinations . En un mot. toutes les suggestions devront viser
à la légère, des suggestions contraires à celles qu'il Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune sujet (1). veut réalis
ien du sommeil naturel : les mêmes phénomènes, catalepsie, illusions, hallucinations , peuvent être réalisés dans l'un et dans l'autre.
s de sensibilité, de motilité, d'idéation, d'imagination illusions et hallucinations ne s'y manifestent pas spontanément, mais sont pr
ite catalepsie, mêmes mouvements automatiques, mêmes illusions, mêmes hallucinations actives ou passives. Les hallucinations ne sont q
iques, mêmes illusions, mêmes hallucinations actives ou passives. Les hallucinations ne sont que des rêves suggérés ; les rêves ne son
ucinations ne sont que des rêves suggérés ; les rêves ne sont que des hallucinations spontanées. Ces hallucinations, soit spontanées,
s suggérés ; les rêves ne sont que des hallucinations spontanées. Ces hallucinations , soit spontanées, soit suggérées, restent passive
plus haute importance au point de vue social et juridique, celui des hallucinations rétroactives que j'ai le premier signalé et que M
érique), des contractions con-vulsives et tétaniques des muscles, des hallucinations , des troubles de l'ouïe, de la vision et de la se
s, il n'y a pas d'émission de liquide par les organes génitaux. Pas d' hallucinations obscènes. Pendant ces instants, tantôt la malad
uggérées s'extériorisèrent et revêtirent la forme hallucinatoire. Ces hallucinations de l'ouïe furent pour la malade une nouvelle assu
t: Je n'aurai pas mes idées absurdes, — et elle ne les avait pas. Ces hallucinations persistèrent plusieurs semaines, puis disparurent
ujets étaient fous déjà en grande partie, lorsqu'ils se livraient aux hallucinations du spiritisme. 11 n'en est pas moins certain que
sité de Genève. — In-8°. Lyon, 1888. Le monde des rêves, le rêve, l' hallucination , le somnambulisme et l'hypnotisme, l'illusion, le
, de défiance réciproque inexplicable. Puis le délire éclate avec les hallucinations , surtout quand la privation d'aliments se joint à
os paraissent se briser; le cœur bat en dehors du rythme normal. Les hallucinations provoquées, les émotions suggérées pendant l'hypn
meil, l'ont vue se lever, tendre les mains vers le ciel, et. dans une hallucination érotique, s'écrier: « Emile, je t'aime ! » Ce son
tre sensorielle, et le malade ressent des éblouisse-ments et même des hallucinations de la vue. Plus fréquemment, le point de départ d
lourd, entrecoupé de rêves pénibles, quand elle fut réveillée par une hallucination : — « Je crus reconnaître, dit-elle, la voix de m
ui a peut-étre maladroitement parlé) a provoqué, apres la séance, des hallucinations , des actes extravagants et une véritable impulsio
catalepsie se produise. Il n'obéira pas aux suggestions d'actes ou d' hallucinations , tant qu'on n'aura pas fric- tionné son verte
lques sujets très hypnotisables, d'avoir fait de la catalepsie et des hallucinations . II faut avoir expérimenté sur des centaines de s
dernière a eu lieu dans le milieu de décembre et elle a été suivie d' hallucinations et de délire qui n'ont pas cessé depuis. Elle cro
re le même traitement et les mêmes suggestions. II Lypémanie avec hallucinations . — Guérison. La nommée Du.., 55 ans, est entrée
dans mon service, le 15 janvier 1888. dans un état de lypémanie avec hallucinations et agitation par intervalles. La physionomie es
thérapeutiques connus. J'ai traité : 1° Une folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de suicide, datant de deux mois, et au b
ien étudie. Il en est de même du côté pathologique , c'est-à-dire des hallucinations . Ceci me conduit aux résultats les plus important
ions : anesthésie, vésication, stigmates; les effets psychologiques : hallucinations , amnésie: la condition seconde, etc., etc. : vien
omnolence ou de l'excitation, des paralysies ou des contractures, des hallucinations et du délire. Où sont les autorités qui supporter
à produire chez certains sujets ces changements de personnalité, ces hallucinations et ces illusions que l'on obtient si facilement c
vicieuses par la suggestion (traitement des), par Aug. Voisin. 365. Hallucinations rétroactives provoquées sans hypnotisme, par Be
idées de suicide, améliorée par la suggestion, 326. Lypémanie avec hallucinations , guérie par la suggestion. 327. Magnétisme anim
imant et dans le corps humain. Pl. 1, 148; pl. 2, 149. Suggestions, hallucinations provoquées chez un jeune sujet, 174. TABLE DE
43 (1877) Iconographie photographique de la Salpêtriere. Service de M. Charcot, 1877
le a des oiseaux dans la tète, des lézards dans le ventre. Elle a des hallucinations de la vue et de l'ouïe : elle voit au plancher de
te alternativement en avant et en arrière. Ce délire moteur, dù à des hallucinations sur lesquelles nous reviendrons, continue tant qu
a essayé de se faire vomir sans y parvenir.—Cette nuit elle a eu des hallucinations de la vue, prétendait voir des chiens énormes, su
llonnement du ventre, contractures intermittentes, délire raisonnant, hallucinations , etc. J'écartai bientôt l'idée de gi'ossesse avec
des corbeaux : « Ça me pique ! » et veut s'arracher les cheveux. Ces hallucinations se dissipent en général au bout de 5 à 10 minutes
ériques, est un mélange d'idées religieuses et d'idées erotiques avec hallucinations de l'ouïe et cle la vue. Tantôt c'est un délire c
en quelque sorte, extatique ; tantôt c'est un délire d'action. Les hallucinations de la vue varient, des hallucinations gaies, volu
c'est un délire d'action. Les hallucinations de la vue varient, des hallucinations gaies, voluptueuses, précédant ou remplaçant des
, des hallucinations gaies, voluptueuses, précédant ou remplaçant des hallucinations terrifiantes. Geneviève voit quelquefois Sciepr
divers accompagnent chacun de ces actes. Sous l'influence de leurs hallucinations , les hystériques prennent des attitudes très-vari
moral, rien n'est plus incontestable. Dans une certaine mesure, les hallucinations des hystériques ressemblent à celles des malades
astiques, corbeaux, lézards, serpents, scènes effrayantes, etc. Les hallucinations de l'ouïe sont beaucoup plus rares. Toutefois, il
gré chez Geneviève : il consiste en des phénomènes erotiques, sorte d' hallucinations géné-siques. Geneviève est une succube (1). La
nne sur les attaquées. — Troubles des sens spéciaux du côté gauche. — Hallucinations de la vue. — Température comparative entre les ma
njections sous-cutanées de morphine : Accidents locaux et généraux. — Hallucinations terrifiantes. — Contracture des membres du côté g
n arrière ; la tête est plus ou Planche XXIX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS ANGOISSE Planche XXX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : H
PSIE : HALLUCINATIONS ANGOISSE Planche XXX. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS surprise Planche XXXI, HYSTÉRO-ÉPILEPSIE :
SIE : HALLUCINATIONS surprise Planche XXXI, HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS DÉDAIN Planche XXXII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : H
PSIE : HALLUCINATIONS DÉDAIN Planche XXXII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS IRONIE Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HA
EPSIE : HALLUCINATIONS IRONIE Planche XXXIII. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS dégoût. Planche XXXIV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HA
EPSIE : HALLUCINATIONS dégoût. Planche XXXIV. HYSTÉRO-ÉPILEPSIE : HALLUCINATIONS terreur. Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPiLEPSIE : HA
EPSIE : HALLUCINATIONS terreur. Planche XXXV. HYSTÉRO-ÉPiLEPSIE : HALLUCINATIONS répugnance. moins inclinée sur l'épaule droit
llet. — Insomnie absolue durant les trois dernières nuits. M... a des hallucinations de la vue. Elle voit Thérèse L... (I) qui rappell
ix reprises, comme auparavant. Alors, elle s'assied et la période des hallucinations commence : c'est sur elle que portent les modific
Dans ces attaques, les scènes qui se succèdent se rapportent à des hallucinations gaies ou sombres. Voici ce que raconte la malade
a difformité différente (1). » Dans son délire, M... parle peu. Ses hallucinations d'ailleurs, sont aussi de deux espèces : les unes
120, 153. Grossesse (Influence de la) sur les attaques, 55, 36. H Hallucinations de l'ouïe, 19, 23, 74, 97, 107, 130, 134. — de la
stériques, 67, 128, 129, 131, (V. Achromatopsie, Amaurose, Amblyopie, Hallucinations .) Vomissements, 58, et passim. TABLE DES PLAN
44 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sposé à expliquer de la même manière, à considérer comme de simples hallucinations avec point de repère, les phénomènes intéressan
ourd'hui comme hier, M. P. Janet n'attache pas de signification aux hallucinations unilatérales qui paraissent au contraire très s
terrain d'un caractère scrupo- lo-inquiet, avec des obsessions, des hallucinations . L'auteur voit dans ce cas la combinaison de de
vent éliminées les fuites exécutées sous l'influence de délire ou d' hallucinations . La connaissance des fugues dans la démence pré
T. 1\'. Ueber graphisch-kinaesthetische Halluzinationen. (Sur les hallucinations graphiques cinesthésiques), par Alexander Margu
urol, Centralbl ? XXV, f. 14, p. 651 à 654, 16 juillet 1906.) Les hallucinations motrices graphiques sont particulièrement- 78 R
es pratiques spirites, et notamment à l'écriture médiumnimique. Les hallucinations con- sistaient en mouvements ou sensations de m
oit le simple instrument d'une volonté étrangère, tandis que,dans l' hallucination , il est lui-même la personnalité à laquelle une
trangère. La psychographie est réveillée par la volonté du sujet; l' hallucination se produit sans l'assentiment et même contre la
nt aucun souvenir dans l'esprit des sujets. Il en était de même des hallucinations qui intéressaient surtout le sens de l'ouïe.
un rapport quelconque entre le contenu des idées délirantes et des hallucinations et les événe- nements de la guerre russo-japona
ique et hallucinatoire chez un eunuque intoxiqué par le haschisch ; hallucinations érotiques génitales s'accompagnant d'orgasme et
ne- ment d'abord, de son internement ensuite. N'ayant jamais eu d' hallucinations , leur délire s'est constitué uniquement à l'aid
on spéciale et proposés au vote de la Société. Délire chronique par hallucinations psychiques. M. Marchand, en son nom et en celui
Olivier, apporte une observation à l'appui de cette théorie que les hallucinations psychiques sont des pseudo-hallucinations.que l
e d'âme à âme, de pensée à pensée ; chez la malade en question, les hallucinations psychiques dominent t les autres phénomènes men
fixes et hagards, les pupilles se dilatent, elle est le jouet d'une hallucination ter- rifiante; elle s'écrie : ·< .I'ai peur
uggestion, n'aboutissant pas, change déforme : c'est l'ob- jet de l' hallucination lui-même qui intervient pour l'exécution du sui
délire nocturne reparaissent, mais sous une nouvelle forme : plus d' hallucinations terrifiantes, plus de tentatives de suicide, ni
ne sera pas punie. A la même époque, on note encore le retour de l' hallucination terrifiante qui lui ordonne le suicide. Tentati
ournées sont bonnes et se passent sans accès somnambuliques et sans hallucinations . Ces dernières se 102 MÉDECINE LÉGALE. produi
dent à une idée délirante, à une impulsion irré- sistible, ou à une hallucination ), ou bien l'affaiblissement du jugement et de l
et inégalité pupillaire. Crises d'agitation. Dé- mence progressive. Hallucinations visuelles. Ni albumine ni sucre dans les urines
re chez les individus qui se noient (1). Très souvent c'est la même hallucination visuelle qui repa- rait. Le meilleur exemple
hallucination visuelle qui repa- rait. Le meilleur exemple de ces hallucinations visuelles se produisant avant l'accès, est l'ob
rouge. ' On trouve des exemples nombreux dans les auteurs de ces hallucinations visuelles colorées. Déjà en 1803, Mai- sonneuve
. Motet rapporte qu'à l'état de symptômes précurseurs ce sont les hallucinations de la vue qu'il observe le plus souvent, flamme
» (2), rapporte trois exemples, chez des épileptiques, d'auras avec hallucinations du sens génital, observations déjà publiées par
uvent, dans la grande atta- que- l'aura est visuelle et consiste en hallucinations effrayan- tes très analogues à celles des alcoo
d'excès alcooliques, Math...,a réalisé du délire épileptique, avec hallucinations auditives et visuelles, idées de persécution et
quefois de véritables crimes. (t). Il donne naissance à une foule d' hallucinations de tous les sens extrêmement intenses. Le dével
plet et moins indépendant. Elles ne parviennent ni à l'acte, ni à l' hallucination ; elles ne s'isolent pas au même degré et ne s'ac
mène se produit sous l'influence de certaines idées délirantes, d' hallucinations , etc.; les formes grossières et évidem- demment
tions fortuites, des associations d'idées soudaines, peut-être des hallucinations psychiques (nous ne disons pas psycho-motrices),
udes lesbiennes. De plus, en moins de trois mois (juillet 1902) des hallucinations surviennent; les gens qui la croisent dans la r
s de tendance à organiser son délire ; en revanche elle a de riches hallucinations , et d'autres i'or- mes'd'idéation automatique.
ie, en l'orientant à son insu vers le romanesque, en l'incitant aux hallucinations et peut être en accélérant l'évolu- tion négalo
tions se sont ajoutées des illusions auditives nombreuses, quelques hallucinations auditives, des trou- bles de la sensibilité gén
le. L'exemple de Marie Forel n'a pas été sans activer la genèse des hallucinations et influer sur leur con- tenu. Un trait curie
farée qui reste pour lui demander pardon.Ce sont là de véritables « hallucinations du souvenir » (Krafft-Ebing). Malgré les troubl
Toute la portion mélancolique de son délire et une partie de -ses hallucinations apparaissent à son amie MUle Granet comme de la
assez personnelle de certaines tendances, du peu d'éten- due des hallucinations , enfin de la progressivité jus- qu'ici continue
ule d'entre elles. Enfin elles n'ont jamais éprouvé en même temps d' hallucinations auditives (seu- lement des illusions auditives)
ans l'éclosion du délire soit dans son accélération (recrudescences, hallucinations ). La misère a d'ailleurs agi différemment chez
une illustration bien nette de l'origine périphérique de certaines hallucinations de la sensibilité générale, causes elles-mêmes
e mes enfants. Depuis lors, nous avons été très suivies. » 2° Les hallucinations auditives ont été chez Mine Gra- net, relativem
fonctionnaires de la police, en train de surveiller l'appareil. Les hallucinations , en un mot, semblent être restées toujours pro,
ion, par le spectacle de sa tristesse, par le récit émouvant de ses hallucinations , enfin par la cartomancie, cette dernière const
ombreuses. Interprétations erronées multiples et incessantes, Pas d' hallucinations . Pas d'affaiblissement démentiel, soit z PATHOL
on de défense enfin pourrait être envisagée comme le résultat d'une hallucination , etc. Toute- fois, lorsqu'on examine avec atten
ogie morbide. (Des vésanies religieuses ; erreurs, croyances fixes, hallucinations et suggestions collectives) ; par le Dr E. Dupo
ntua encore au moyen âge. L'au- teur examine ensuite les causes des hallucinations et suggestions collectives ; les premières peuv
sanique, comme le veut l'école deCharenton (Calmeil), mais dont les hallucinations n'étaient pas pathologiques ; elles étaient des
bsédante. La première peut résulter d'eneurs des sens (illu- sions, hallucinations ) « grâce à l'action constamment renouvelée de p
de souvenirs, différant les unes des autres comme les illusions des hallucinations ,mais souvent difficiles à dis- tinguer en prati
emploi vicieux des objets, sans qu il y ait des illusions ou des hallucinations ; désordre des actes, paramimie. L'auteur rappro-
et prépondérance des souvenirs faussés faciles à prendre pour des hallucinations ; conduite longtemps irréprochable, affaiblisse-
formation « à une définition insuf- fisante » : angoisse obsédante, hallucinations , sensations obsé- dantes (Zwangsangst, etc.) L'
après Séglas, Pitres et Régis, et seraient incompati- bles avec les hallucinations . Aux phénomènes d'agitation forcée se rattacher
iques délirantes mnésiques et conscientes. 1 F. TISSOT. XVII.-Les hallucinations dans la paralysie générale; pai DUCOSTT (L'Encé
d'abord les opinions très divergentes émises sur l'existence des hallucinations dans la P. G. Actuellement la fiéquence de celles
stimée, d'après un ensemble de statis- tiques, à 36 pour 100. Les hallucinations des sens supérieurs sont naturellement les plus
ions des sens supérieurs sont naturellement les plus communes ; les hallucinations psycho-motrices sont rares, il en existe quelqu
ntes. Si dans certains cas il a été constaté des rapports entre les hallucinations et le siège des lé- sions sur le cortex, dans d
u être éta- bli, en sorte que la théorie de l'origine coiticale des hallucinations s'est trouvée parfois en défaut. Il semble do
le autre chose qu'une lésion irritative d'un centre pour produire l' hallucination , il faut la prédisposition REVUE DE PATHOLOGIE
les auto-intoxications. Comme leurs manifestations délirantes, les hallucinations des paralytiques géné- raux sont marquées au sc
, 8,47 ; fugues ou fuites (soit inconscience ou subconscience, soit hallucinations et idées délirantes) 17,66 % ; outrages à la pu
ue a l'em- ploi d'images radiographiques, par Bousquet, p. 455. Hallucinations . Sur les gra- phiques cincsthésiclucs, par Va
phtériques par le se- rum dc lioux, I>..155. - ytui raie. Voir Hallucinations . Paralytique général. Voir é1 £ d"- tnc. Voir
45 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
bres ; perversions du goût et de l'odorat pou- vant aller jusqu'aux hallucinations proprement dites. Dans un cas cité par Savage,
s lentes et inexactes, une mémoire imparfaite, des illusions et des hallucinations fréquentes des sens spéciaux, pouvant entraîner
l'odeur un poisson d'un « roast beef ». Il existait de fréquentes hallucinations de la vue et de l'ouïe : la malade parlait de c
othèse de Ord. « Rien n'y justifie la présence des illusions et des hallucinations , ni les périodes d'excitation maniaque observée
pliqué de troubles céré- braux graves, avec délire de persécutions, hallucinations de la vue et de l'ouïe. Il y avait rigidité mus
un véritable état d'aliéna- tion mentale avec ou sans illusions et hallucinations des sens spéciaux, ('/est ainsi qu'on a observé
dermie, on a pu observer comme dans la cachexie pachydermique des hallucinations et des troubles psychiques allaiitjusqu'à un vé
r pour la vision d'objets situés à des distances variables daus une hallucination . Quand le regard est absolument fixe, on peut a
la nuit, expia sur le bûcher des crimes imaginaires. C'est que les hallucinations laissent parfois une impression profonde et dur
ndant un temps assez long. - 'Le fantôme mal dessiné d'abord de ces hallucinations prend une * forme et bientôt un nom : dans le p
té de sa vie et la chasteté de son coeur : tant il est vrai que f l' hallucination et l'excitation qui l'accompagne suggèrent chez
systématique religieuse accompagnée d'impulsions génési- ques et d' hallucinations de la vue. Deux autres faits concernant une'jeu
in- consciente, laissant derrière elle de l'amnésie accompagnée d' hallucinations visuelles et auditives (un fait) ; enfin de l'h
ation cérébrale; angoisse extrême des prodromes, marche impétueuse, hallucinations , états exta- tiques, justifieraient la comparai
roprement dits, avec leur cortège habituel (troubles de perception, hallucinations ). Aussi doit-il avouer que le symptôme clinique
une ou de plusieurs branches terminales du nerf vague. CH. F. IX. Hallucinations dans la paralysie générale (Observations); par
générale (Observations); par J. Girma. Thèse de Paris, 1881. Les hallucinations , très fréquentes dans la paralysie générale, s'
t être affectés suc- cessivement ou simultanément ; quelquefois les hallucinations ne sont que la reviviscence d'anciennes sensati
'ils sont pris d'un accès de délire : ils ont alors constamment des hallucinations de la vue et des terreurs, puis des conceptions
ences d'éloignement des objets ou des personnes qui figurent dans l' hallucination . Certaines malades sont sujettes à des attaques
cès. V. MOUVEMENTS DE LA PUPILLE ET PROPRIÉTÉS DU PRISME DANS LES HALLUCINATIONS PROVOQUÉES DES HYSTÉRIQUES '. Une des choses
USE. Nous sommes parti de cette idée pour rechercher si, dans les hallucinations provoquées, on peut amener dans la pupille des
us les phénomènes propres à la catalepsie, montrent que, dans celte hallucination , l'objet fictif est exactement vu comme s'il ex
mômes lois que si c'était un objet réel. Il s'agit donc bien d'une hallucination véritable, qui n'a rien à faire avec la superch
utre expérience, d'ailleurs, servira à prouver encore que, dans ces hallucinations provoquées, l'objet est bien vu comme un objet
le somnambulisme, etc., 1880, p. 328. - 1liéoiie physiologique de l' hallucination , 1881, p. 8. 296 CLINIQUE NERVEUSE. du globe
du globe oculaire, ce même dédoublement de l'objet fictif dans les hallucinations spontanées d'un hystérique mâle ; M. Bail ' a o
on peut s'assurer qu'il s'agit, non de phénomènes simulés, mais d' hallucinations en tout analogues à celles qui se produisent sp
ions en tout analogues à celles qui se produisent spontanément. Les hallucinations provo- quées des hystériques peuvent donc servi
ns provo- quées des hystériques peuvent donc servir à l'étude des hallucinations spontanées. 1 B. Bail. Théorie des hallucinatio
r à l'étude des hallucinations spontanées. 1 B. Bail. Théorie des hallucinations . lu Revue scientifique, 1880, p. 1881. DE l'h
chiques sur lesquels nous n'avons pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées,. L'état cataleptique dont nous veno
on plus ou moins juste, et il est facile de provoquer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'état musculair
était pris de convulsions. Un jour la crise débuta par une sorte d' hallucination : « Oh ! ma petite mère, toutes ces couron- nes
tifs aux traumatismes du crâne. Vennaue : D'une forme non décrite d' hallucinations panoramiques. - DEBACHER : Des hallucinations e
e forme non décrite d'hallucinations panoramiques. - DEBACHER : Des hallucinations et terreurs noc- turnes chez les enfants. Régis
e l'observation est un jeune homme de dix-huit ans qui présente des hallucinations unilatérales de l'ouïe, consécutives à une otite
oufflet. Il résulte de cette note deux points saillants : d'abord l' hallucination se rattache à l'otite et en second lieu le mala
énomènes présentés par le malade comme des illusions et non pas des hallucinations . L'hallucination a en effet son siège dans le c
par le malade comme des illusions et non pas des hallucinations. L' hallucination a en effet son siège dans le centre même, l'illus
servation porte sur la dis- 368 bibliographie. tinctiou entre une hallucination et une illusion. Peut-être un jour toutes les h
tre une hallucination et une illusion. Peut-être un jour toutes les hallucinations ne seront-elles que des illusions. M. BouMM, qu
ésentés par le sujet. M. Régis répond que le phénomène, illusion ou hallucination , tend à disparaître sous l'influence du traitem
ie d'abord en détail l'ovarie, les zones hysléro-épileptogènes, les hallucinations , les divers prodromes. Le myographe lui a per
de (des poses plastiques), la'quatrième (de délire), tandis que les hallucinations , les soubresauts, les contractures rapprochent
es cliniciens de l'avenir auront a coeur d'éclaircir. P. K. XV. Des hallucinations et des terreurs nocturnes chez les enfants et l
escents; par F. Debackeu. Thèse de Paris, 1881. L'auteur divise les hallucinations et les terreurs nocturnes en deux groupes disti
u sens), par Chiircot et Magnan, 53. "Gheel (lettres sur), 358. Hallucinations (et terreurs noc- turnes chez les enfants et le
u nerf pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili. Paralysie générale ( Hallucinations dans la), 217 ; - (état mental et pupille dan
46 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
artérielle plutôt que de la syphilis méningée. Il n'y a jamais d' hallucinations chez les sujets n'ayant pas de tares ner- veuse
e sur le compte de la céphalalgie. Nous avons déjà noté l'absence d' hallucinations . Les troubles du langage ont une place considér
et liqueurs. Début de la maladie en 1889. Il y eut à cette époque hallucinations de l'ouïe, perte de la mémoire, hésitation de la
suivant : a Alcoolisme chroni- que tendant à la paralysie générale. Hallucinations pénibles. Idées de persécution. Excitation pass
idées délirantes créées souvent par les sensations anormales ou les hallucinations sensorielles. Voici (obs. I) un délirant chroni
sensations simples et associées de nature morbide on, ainsi que des hallucinations sensorielles, donné nais- sance à des idées dél
s'agit d'une jeune fille per- sécutée de vingt-neuf ans, affectée d' hallucinations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, avec sensati
eur intensité, sont souvent la source d'abord d'illusions, puis d' hallucinations et de délire. Les troubles sensoriels sont fréq
ation peut être extrême et donner le tableau de la manie aiguë. Les hallucinations sont fréquentes, et deviennent la source d'inte
mènes d'excitation dominent : délire bruyant, convulsions répétées, hallucinations . Le coma survient plus tardivement et s'accompa
étinile. Douleurs dans les membres d'origine cen- trale. Agitation. Hallucinations de la vue et de la sensibilité -générale. Délir
encore la plupart des personnes qui l'approchent. Elle présente des hallucinations de la sensibilité générale, se plaint qu'on lui
taires lui a coupé la tête, elle croit être morte. Elle a aussi des hallucinations de la vue : elle voit tout rouge autour d'elle
toujours aucun trouble de la sensibilité objective. Il n'y a plus d' hallucinations ni de délire, mais une grande dépression intell
jours aucun trou- ble de la sensibilité objective. Il n'y a pas d' hallucinations ; la mémoire est un peu affaiblie, mais pas d'un
LA SYPHILIS. l'l'1 '1 [ensilé de laneuro-rétinite, l'agitation, les hallucinations , etc., ne pouvaient faire penser qu'à une local
opinions émises relativement à l'existence ou à la non- existence d' hallucinations dans la paralysie générale n'in- diquent-elles
forme de telle intoxication (saturnine, par exemple), alors que les hallucinations feront complètement défaut dans la phase paraly
vertige, trouble de la conscience, tendance à la chute, et série d' hallucinations qui impressionnent le malade au point de lui fa
ques additionnelles au travail DE M. ALZHE131ER, INTI- TULÉ : c DES hallucinations provoquées par la pression DU GLOBE oculaire »
ent, chez une hystérique, immédiatement après l'attaque, obtenu des hallucinations par ce procédé, mais la malade ne croyait pas à
lcooliques qui semblent calmés de leur délire, qui ont oublié leurs hallucinations senso- rielles ou chez qui les hallucinations o
qui ont oublié leurs hallucinations senso- rielles ou chez qui les hallucinations ont diminué. Ce qu'il faudrait établir, c'est s
chez lui trois catégories de phénomènes psychopa- thiques : 10 les hallucinations sensorielles; 2° les idées déli- rantes ; 3° la
n mentale (primitive), qui peut être accompagné ou non de délire, d' hallucination , d'agitation ou au contraire d'inertie motrice,
e, le second à la variété dépressive : tous deux s'accompagnaient d' hallucinations . H. Dense. REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. VIII. Trai
aralysie générale avec accidents alcooliques. Excitation passagère. Hallucinations multiples et pénibles. Hésitation de la parole.
e très affaiblie ainsi que toutes les facultés intellectuelles. Les hallucinations signalées par M. magnan n'ont pas persisté. Act
ertificat de M. Magnan : c Est atteinte d'alcoolisme chronique avec hallucinations multiples; excitation ; insomnie. Pupilles res-
sa .taille gigantesque semblait en imposer. Il paraissait avoir des hallucinations visuelles non terrifiantes (visions d'oiseau qu
un homme de trente ans, se croyant persécuté par les francs-maçons ( hallucinations de l'ouie). Il tente de se tuer en 1885, est dé
ble en 1886 avec le diagnostic : délire chro- nique de persécution, hallucination , au stade mégatomaniaque, avec tendance à la dé
présenté pendant cinq jours un délire professionnel tranquille avec hallucinations de la vue et de l'ouïe. Dans d'autres cas (form
elviennes, qui s'y trouve incidemment étudiée. 4. Séméiologie des hallucinations de la vue dans les psychoses ; par J.-M. FÉRAY.
vue dans les psychoses ; par J.-M. FÉRAY. Dans les psychoses, les hallucinations de la vue affectent la forme élémentaire, commu
es-mêmes un syndrome. L'auteur a volontairement négligé l'étude des hallucinations dans les intoxi- cations. 5. Responsabilité e
d'indignité, de culpabilité, d'auto-accusalion, hypocondriaque; des hallucinations visuelles, auditives, sensorielles et psycho-mo
race en soit restée dans son esprit. Les idées de persécutions avec hallucinations persistè- rent jusqu'en janvier 1895, époque où
intervention de la réalité ambiante dans le délire. Il présente des hallucinations surtoutvisuelles : elles sont généralement terr
le où il revêt les caractères habituels des délires mystiques, avec hallucinations oniriques spé- ciales ; 2° le délire prophétiqu
, le sujet reste distant de son inspirateur. 11 le voit devant lui ( hallucination visuelle contemplative) ; en tout cas, il l'enten
templative) ; en tout cas, il l'entend sous forme de voix auditive ( hallucination psycho-sensorielle) et transmet ensuite ses par
n plus, puisqu'il est en lui. Mais il le sent parler par sa bouche ( hallucination ver- bale psycho-motrice) et se substituer à lu
ons, etc., jusqu'à la grande attaque classique, avec arc de cercle, hallucinations . Dans le dernier, l'auteur relate différents cas
ndément distinct, à ce point de vue, de celui des persécutés... Les hallucinations sont simplement con- firmatives des idées délir
qu'une évolution spéciale 2. » « Ce sont, comme dit Baillarger, des hallucinations qui reprodui- sent les préocupations actuelles
duction d'un désordre plus profond. D Trop souvent, on note comme hallucinations sensorielles des phénomènes qui sont, en réalit
ns ou des troubles psycho-moteurs, ce que Baillarger appelait des hallucinations psychiques, qui eux, au contraire, paraissent d
Séglas d'avoir démontré l'influence des impulsions verbales, dites hallucinations psychiques, sur cette forme de délire. Les autr
de grande excitation motrice, avec obnubilation de la conscience et hallucinations . En novembre (même année), les mêmes phénomènes
monte à 38,5 ; à partir du 6 juillet obnubilation de la conscience, hallucinations et excitation motrice très grande. On note des
r, et cependant s'il les regarde à ce moment il les voit immobiles ( hallucinations des sensibilités profondes et musculaires ? 4
dmettre comme nous l'avons fait dans l'observation, de véri- tables hallucinations du sens musculaire; le malade croyant parfois s
les rêves ; mais il ne saurait dans ces cas y avoir de doutes... L' hallucination consiste évidemment à entendre des paroles que
n est de même de cet halluciné. On le voit, pendant la durée de l' hallucination , remuer les lèvres comme les personnes qu'on re
ribuées à la présence de démons dans les entrailles, s'ajoutent des hallucinations vocales réitérées qui font croire aux malades q
ous les lyhémaniatlues, dit Esquirol, les démono- maniaques ont des hallucinations et des illusions de sens ; les uns croient être
de ceux qu'elle a fait damner et des diables. Nous l'avons dit, les hallucinations vraies ne sont point constantes ni essentielles
es malades perçoivent mal les impressions ordinaires, de même leurs hallucinations visuelles, par exemple, se pro- duisent commc à
à elle-même : c Mais tu es maudite ! » Depuis, aussi, elle a eu des hallucinations visuelles en rap- port avec ces mêmes idées ; e
port avec ces mêmes idées ; elle a vu le diable, l'enfer, mais ces hallucinations ne se présentent que la nuit, Les personnes son
le mur. De même, pour l'ouïe, elle n'entend que des bruits 2. Des hallucinations aussi élémentaires ne sont évidemment pour rien
es certificats qui la concernent. Une malade de M. Séglas, à côté d' hallucinations auditives ordinaires, entend des voix intérieur
mille manières; elle ne mourra jamais. La deuxième n'a ' Séglas. L' hallucination dans ses rapports avec la fonction du langage ;
as. L'hallucination dans ses rapports avec la fonction du langage ; hallucinations psychomotrices. (Progrès médical, 1888, n0' 33
ire que les premières apparitions diaboliques, ou que les premières hallucinations ont eu lieu après de longues souffrances morale
corps avec perte de connaissance. En 1890, agi- tation, violences, hallucinations de la vue, migrations, affaiblisse- ment de la
, la perversion de -l'instinct sexuel. Elle est complète dans les hallucinations sans délire, et les im- pulsions irrésistibles.
péra- toire. Marson (Camille-Auguste). Contribution à l'étude des hallucinations verbales plisyco-motrices. Martinet (Henri). La
47 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
suivre une conversation et ne prononce que quelques mots. Il a des hallucinations visuelles et prend les arbres pour des pyramide
ubérentiels. - R. CHAPON LUI. Surdité corticale avec paralexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydatiques du cervea
ès, apparition des symptômes : surdité totale, excitation maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue avec paralexie, perte de
nte, depuis deux ans et demi seulement, d'idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe, verbales psycho-motrices, de la sens
, chasse des mouches qui s'étaient posées sur son front pendant son hallucination hypnagogique, je constate alors que l'anesthési
ccasion qui s'offrait à moi de saisir sur le vif le mécanisme d'une hallucination hypnagogique. Je rendors mon malade non anesthé
après, il se réveille spontanément. 5. - Louis n'a plus présenté d' hallucination hypnagogique. Réveil général. 0, 7, etc. Séan
des troubles durant la grossesse, irritabilité, perte de l'appétit, hallucinations olfactives et gustatives, craintes, jalousie, s
que générale à cette époque et de l'action de quelques fanatiques ; hallucinations , extases, flagel- lations, convulsions (danse),
st, octobre 1899, p. 611-628.) Hughes remarque d'abord qu'illusion, hallucinations , folie, n'ont pas été sans influence sur la des
d'Arc, par exemple (démoniaque et paranoiaque) sous l'empire de ses hallucinations , conduit un peuple à la vic- toire ; l'épilepsi
esthésie, des vertiges, etc.; Napoléon, une étoile conduc- trice. Hallucinations cleristopatiques de la crucifixion. Observation :
E DE PATHOLOGIE MENTAUX 231. 1. d'ailleurs pas troublée; c'est de l' hallucination mais non de la folie. Pas de tare psychopathiqu
astriques, qui pro- voquent le jeu de l'imagination, et la genèse d' hallucinations . Elles naissent sur un terrain hystérique. Ce
analyse, se continuant par la culpabilité, l'auto-accusation et les hallucinations , conduit les auteurs à « supposer que vivre sans
mbe et du pied gauches, chez une malade atteinte de mélancolie avec hallucinations de l'ouïe, et idées de persécution. , D'après
que l'hypnotisme, phénomène purement suggestif, peut suggérer les hallucinations négatives ou positives, pourquoi ne pourra-t-il p
Margueritte, qui, comme on le sait, semble manifester des signes d' hallucination ce qui provoqua la dési- gnation de trois docte
le fait tout disparaître. A noter la provocation d'illusions et d' hallucinations auditives par l'excitation mécanique des cheveu
terprétations délirantes qui parfois en imposent pour de véritables hallucinations se présen- tent sous trois aspects cliniques di
délire de persécution-et de grandeur) ; absence presque constante d' hallucinations (ou rôle très efficace de ces troubles) ; riche
roman délirant bien charpenté. Dans certains cas, il est vrai, des hallucinations peuvent apparaître : ces troubles sensoriels do
rsonnalité que ces derniers malades présentent, consécutivement aux hallucinations multiples qui les assaillent et plus particuliè
cinations multiples qui les assaillent et plus particulièrement aux hallucinations psycho- motrices, ces troubles sont notablement
ommeil « le cri » cesse et la respiration devient tranquille. Pas d' hallucinations . L'étude du spasme à l'aide des pneumographes d
relation directe avec les crises convulsives, notamment avec les hallucinations terrifiantes (violences, coups reçus, etc.), qu
ant qu'elle se baissait. Le docteur ne put découvrir aucune trace d' hallucinations ou de délusions. Quand son agitation fut tombée
t de sa part par un homme qu'elle aimait. Elle se confirma dans son hallucination en analysant son état physique qui suffisait po
trer aux autres, d'en persuader l'ins- pirateur involontaire de ses hallucinations amoureuses, marié d'autre part, la fit tenir en
écie et la langue déviée du côté opéré. SOCIÉTÉS -SAVANTES. 419 Hallucinations de l'ouïe alternant avec des,accès de surdité ver
bles sensoriels auditifs babituels : aux phénomènes d'excita- tion ( hallucination de l'ouïe) succédaient brusquement des symp- tô
expliquent l'alternance constatée entre les symptômes d'excitation ( hallucinations de l'ouïe) qui étaient presque permanents et tr
n'y eut jumais ni convulsion, ni phénomènes méningés, ni délire, ni hallucinations . L'évolution totale dura environ deux mois. A l
assez vague, inconnue de la malade. Au bout de quelques minutes, l' hallucination se dissipait, pour se reproduire deux ou trois
irigé sur la portion abolie du champ visuel. ' La malade n'a plus d' hallucinations de la vue. Elle ne pré- sente pas de troubles a
, elle s'est plaint de scintillements dans le champ visuel droit, d' hallucinations de la vue, limitées à ce même côté et se reprod
agnostic d'hémi- anopsie avec épilepsie sensorielle. En 1897, les hallucinations de la vue ont disparu. La malade a eu une attaq
des mots et des phrases d'une langue qui leur est familière. Les hallucinations de la vue, qui n'ont pas besoin de com- mentair
L'acuité visuelle est un peu diminuée. Le malade n'a jamais eu d' hallucinations de la vue. L'examen de la motilité, aux membres
urpas. Recherches sur les troubles psychologiques consécutifs à des hallucinations provoquées (Archives de Neurologie, 1901, n° 69
II, fasc. 4,.5). - Recherches expérimentales sur la psychologie des hallucinations (Communication au 5- Congrès inter- national de
- Les données ana- tomiques et expérimentales sur la structure des hallucinations , Journal de Neurologie, 1902, no 5. GENÈSE DE
des hallucinations, Journal de Neurologie, 1902, no 5. GENÈSE DES hallucinations . 475 même, et là encore tantôt sur le corps, ta
ortance en séméiotique mentale. Nous voulons parler de la variété d' hallucination décrite par les différents auteurs sous le nom
té d'hallucination décrite par les différents auteurs sous le nom d' hallucinations psycho- motrices. II Nous ne voulons pas ic
ale, particulièrement instructif, nous avons remarqué que certaines hallucinations , présentant t le type clinique complet des hall
certaines hallucinations, présentant t le type clinique complet des hallucinations dites psycho- motrices, relevaient ici particul
s. Nouvelle Iconographie de la Salpélrière, ouv. cité. GENÈSE DES hallucinations . 477 elle l'accorde, de même que les actes qu'e
urgissent en dehors d'elle et malgré elle à sa pensée. GENÈSE DES HALLUCINATIONS . 49 9 Elle veut faire des excuses à ceux de qui
i sont des rêveries, des imaginations ». IV Bref, il s'agit ici d' hallucinations psychomotrices bien caractérisées. La malade en
logique morbide du sujet. En réalité dans notre cas particulier les hallucinations dites psychomotrices ne sont que les propres id
é dans son esprit et le gouver- nent en maîtres. De là l'éclosion d' hallucinations psycho- DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS. 481
maîtres. De là l'éclosion d'hallucinations psycho- DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS . 481 motrices. Leur genèse est d'une façon très
elle a engendré, a donc donné naissance également à cette variété d' hallucinations décrites en psychiatrie sous le nom d'hallucina
psychologique dans chacun de ceux dans lesquels sont observées des hallucinations psycho- motrices doit renseigner sur le mécanis
tion et le mécanisme de la structure psychologique d'une forme d' hallucinations qu'habituellement on nomme psycho- ' motrice. M
osons-nous croire et penser, le mécanisme et la genèse même de ces hallucinations . Le cas est typique et c'est pour cela que nous
Iconographie de la Salpêtrière, 1901, p. 238-251. DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS . 483 relief l'explication que nous venons de pr
est tout prêt à jaillir et augmenter ses tendances DE LA GENÈSE DES HALLUCINATIONS . 485 introspectives, projetant et grossissant l
que fois l'analyse mentale est saisie et entre en jeu, provoque des hallucinations qu'on peut appeler psycho- motrice, à cause des
es deux manifestations psychologi- ques du sujet et de l'objet de l' hallucination évoluant nor- malement dans la même activilé me
donc à notre avis, la source principale d'un nombre considérable d' hallucinations psychomotrices, pour ne pas dire de toutes. Au
ans lequel plus d'un philosophe a fait fausse route. En résumé, l' hallucination psychomotrice, chez notre sujet de même que les
mé, l'hallucination psychomotrice, chez notre sujet de même que les hallucinations psychomotrices en général' peuvent recevoir fac
de notre malade nous a expliqué clairement en quoi consistaient ses hallucinations psychomotrices, il nous a donné la clef du phén
ée. Mémoire éteinte. Embarras de la pa- role. Inégalité pupillaire. Hallucinations et craintes imaginaires. Evolution progressive
ions jusqu'ici utilisées pour le groupement des espèces cliniques : hallucinations , conceptions délirantes, modifications de l'hum
ais, 2ta. Guerre au Transvaal et la polie, poil' 1\.-8.-5., 0 ? Hallucinations de l'ouïe alternant avec des accès de surdité v
testamen- taires des paralytiques généraux, par Rouby, 417. Voir Hallucinations de l'ouïe. infantile. Voir Mé- ningile ? d'un
48 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
éclats sans motifs, ne peuvent se retenir; l'une d'elles avait des hallucinations de la vue ; la tête est lourde ; elles ont des
aire aussi bien le jour que la nuit. Pendant l'ivresse il avait des hallucinations de la vue (animaux) et de l'ouïe, il dor- mait
rsécutions ordinaires. Huitième groupe : Idées de persécutions avec hallucinations et troubles de la sensibilité générale. (Ce gro
onnements de l'oreille limités au côté gauche, puis bilatéraux. Les hallucinations apparurent peu de temps après. Elles consistère
jours rendu compte qu'il est le jouet d'une obsession maladive. Les hallucinations sout presque toujours précédées de bourdonnemen
premier abord donner raison aux auteurs qui subordonnent certaines hallucinations aux troubles des organes des sens. Mais il n'y
t un nerveux, bien avant d'être un halluciné, que si chez lui les hallucinations se montrent d'ordinaire à la suite et peut-être à
chez lequel la plupart des réactions nerveuses se traduisent par l' hallucination de l'ouïe comme chez d'autres elles se traduise
oit pas qu'un trouble sensoriel puisse de toute pièce engendrer des hallucinations . Ce trouble intervient au plus comme cause occa
me cause occasionnelle. C'est la prédisposition nerveuse qui crée l' hallucination . Dans les cas analogues à celui dont il s'agit,
u point de vue de la physiologie patho- logique on peut envisager l' hallucination verbale de l'ouïe comme le résultat d'une excit
e excitation anormale du centre des images verbales motrices. Les hallucinations auditives analogues à celles observées chez le
e que les troubles des organes de l'ouïe suffisent à déterminer des hallucinations . Dans ses diverses communications et dans les t
uter la doctrine de 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceux qui pensent que l' hallucination de l'ouïe n'est qu'une idée projetée au dehors.
là une doctrine contre laquelle on ne saurait trop s'élever. Pas d' hallucination sans cause matérielle. Le malade dont parle M.
ail. Pour être un véritable halluciné, il faut encore croire en ses hallucinations . M. Ballet ne pense pas que l'hallucination pui
encore croire en ses hallucinations. M. Ballet ne pense pas que l' hallucination puisse jamais être considérée comme un phénomèn
ns génital. - Début de l'épilepsie non précisé. - Parfois aura. - Hallucinations après l'accès. - Hernie inguinale gauche. Gib..
volontaire (dû à la crainte causée par une »^ idée délirante ou une hallucination ), tantôt involontaire (par | absence d'idée et
sée. D'autres fois on constate d'une part des idées délirantes avec hallucinations comme dans la mélancolie et, d'autre part, des
égulière, en même temps que la conscience i du sujet en proie à des hallucinations et des illusions se ferme \ plus ou moins compl
communiquée par M. Saury, il est dit que le malade n'avait pas d' hallucinations auditives : d'après la doctrine de 111. Magnan, e
égénérés. Il ajoute que dans les derniers temps son sujet avait des hallucinations de l'ouïe. Ai. Doutrebente ne fait pas d'object
ar MAI. Magnan, Garnier, Briand. L'une de ces malades n'avait pas d' hallucinations , mais de simples interpré- tations délirantes.
aits les plus dissemblables (persécutés ordinaires, persécutés sans hallucinations , dégénérés de toute espèce, nombre de mélan- co
on voit aussi que le délire chronique peut s'accompagner ou non d' hallucinations . AI. Déricq (thèse de Paris, 1886) admet, de so
e du Progrès Médical. Smox (L.-Al.). Le monde des rêves. Le rêve, l' hallucination , le somnambulisme et l'hypnotisme, l'illusion,
sur les antécédents. Anxiété très grande, terreurs panophohiques ; hallucinations nombreuses de la vue et de l'ouïe : elle voit d
ère maladie, sont absents dans la seconde. Les troubles psychiques ( hallucinations , délire mélan- colique, etc.), l'affaiblissemen
persécution systématisées. '08s. IV se résume dans une profusion d' hallucinations de l'ouïe et de la .vue et des idées délirantes
me malade présente les symptômes habituels du délire chronique, des hallucinations surtout auditives et des idées systé- matisées
tés persécuteurs, chcz lesquels ou peut trouver passagère- ment des hallucinations de l'ouïe qui rendent le diagnostic parfois trè
nte de délire de persécution qui au mois d'avril 1884, présente des hallucinations de l'ouie : elle entend des propos injurieux ch
ouscrire, « que le délire chro- nique peut être accompagné ou non d' hallucinations ». C'est là évidemment une erreur, l'hallucinati
ompagné ou non d'hallucinations». C'est là évidemment une erreur, l' hallucination auditive est un des élé- ments essentiels du dé
faire que 1 idée nette de persécution s'installe la première sans l' hallucination , mais cette idée par son caractère obsédant ne
à exciter le centre cortical et il éveiller ainsi l'image tonale, l' hallucination en retard. C'est là, sans doute, ce qui a fait
r et Briand et par moi s'étaient présentées à cette époque avec des hallucinations et un délire de persécution d'une nature partic
essives passent de l'inquiétude, des interprétations délirantes aux hallucinations et aux idées de persécution, puis aux idées amb
'une façon spéciale, etc.). En admettant môme que ce soit le fait d' hallucinations , comme la malade entre bien pour quelque chose
c'estque le délire de perséculion pour- rait s'accompagner ou non d' hallucinations . Après avoir parlé des illusions et des interpr
vancé de lamvlecdie, d'autres au contraire, sont poursuivis par des hallucinations sans être ni plus ni moins gravement malades, p
s gravement malades, p. 139. » Plus loin nous voyons encore : « L' hallucination de l'ouïe n'est ni la conséquence obligée, ni l
ant ainsi dans le même groupe des cas de délire de persécution sans hallucinations , on ouvre la porte à un certain nombre de malad
ssi dans le cadre de la mégalomanie des sujets qui d'emblée ont des hallucinations et des idées ambitieuses ; d'autres, qui ont des
dées ambitieuses ; d'autres, qui ont des idées ambitieuses et pas d' hallucinations ; d'autres chez lesquels les délires de grandeur
tons comme lui, succède une deuxième période carac- térisée par des hallucinations auditives et des idées systématisées de persécu
s électriques, etc. Quelquefois aussi on observe de bonne heure des hallucinations du goût et de l'odorat'. D'autre part, le délir
atre ans, au moment de leur entrée au bureau d'admission, que des hallucinations et du délire de persécution et pour ces quatre, i
rsécution, il se dé- veloppe le plus souvent sous l'influence d'une hallucination ; d'au- tres fois, au contraire, il est déduit l
physionomie toute différente de celle du début. Dans quelques cas d' hallucinations bilatérales à caractère différent suivant le cô
ions bilatérales à caractère différent suivant le côté affecté, les hallucinations d'abord très nombreuses dans l'oreille que nous
er persécutée, tendent à dimi- nuer à mesure que se développent les hallucinations dans l'oreille ambitieuse 1. Cette période fait
ées. De temps à autre, leur esprit se réveille sous l'in- fluence d' hallucinations , d'images tonales qui continuentàs'écliap- per
toujours les mêmes en rapport avec des conceptions ' Magnan. - Des hallucinations bilatérales à caractère différent sui- vant le
49 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n motrice ou sensorielle. Ainsi apparaît l'hystérie, l'obsession, l' hallucination . C'est le plus ordinairement un élément sexuel
point de vue psychique, S... ne présente aucun symptôme morbide, ni hallucination , ni conception délirante, ni impulsion, etc. Mais
ychoses primaires, a observé le délire hallucinatoire aigu avec les hallucinations terrifiantes, la désorientation, la con- fusion
complir l'acte, sous l'influence d'une impul- sion morbide ou d'une hallucination ? E. B. VI. TROIS rapports SUR LES TROUBLES mor
ent de cet état gastrique des vertiges et de la folie furieuse avec hallucinations terrifiantes. Nous supprimions le bromure à ce
ng qui 160 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. donne le premier rang aux hallucinations de l'odorat, les halluci- nations de l'ouïe son
a 38°,2), incohérence dans les idées, association par consonnances, hallucinations nom- breuses, insomnie, amaigrissement rapide,
uel; mais de tout temps superstitieuse, croyant aux pressentiments. Hallucinations et illusions du sens du tact, de la vue et de l
de cet âge ; en effet, en dehors de ses idées délirantes et de ses hallucinations , elle raisonne parfaitement bien. Sa con- versa
, tous les jours même, et, finalement, à coté de ces illusions, des hallucinations des sens du tact et de la vue apparaissent. « C
lle devient triste, préoccupée, par- fois anxieuse. Elle a quelques hallucinations de l'ouïe « On a frappé un jour sur des cassero
uand on lui rappelle ses idées délirantes. Elle n'a jamais eu ici d' hallucinations nettes de l'ouïe; cependant « ça fait du bruit,
ntégrité remarquable des facultés intellectuelles, des illusions et hallucinations tactiles, visuelles et auditives, et en dernier
prète faussement des sensations vraies ou accepte la réalité de ses hallucinations : elle met le pied sur sa robe en se levant de
mpressions tactiles ; plus tard sont survenus quelques illusions et hallucinations de la vue, et des interprétations délirantes qu
prétations délirantes qui en dépendent ; enfin des illusions et des hallucinations de l'ouïe sont appa- - rues ; en dernier lieu,
emps prédominé. Elles ont été d'une netteté telle que c'est sur ces hallucinations tactiles, que s'établit au début la systé- mati
sement intellec- tuel. Délire hallucinatoire survenant subitement : hallucinations de l'ouïe, et idées de persécution systématisée
ersécution systématisées d'emblée, persistant depuis dix-huit mois. Hallucinations de la vue transitoires. G. Louise, veuve M...,
erd le sommeil, elle pense sans cesse à son mari, mais sans avoir d' hallucinations d'aucune espèce, ni de rêves se rattachant aux
r, quand on voulait l'y obliger pour lui démontrer l'inanité de ses hallucinations . Elle ne cessait de protester d'ailleurs de tou
ster en Noire-Seigneur Jésus-Christ. » Pendant longtemps elle n'a d' hallucinations que de l'ouïe. Les hallucinations de la vue app
» Pendant longtemps elle n'a d'hallucinations que de l'ouïe. Les hallucinations de la vue apparaissent plus tard, et, elles aussi
a chambre. » On parvient à grand'peine à la calmer; cependant ces hallucinations disparaissent dès le lendemain. Elle reste pour
En l'absence de tout autre renseignement, la façon brusque dont les hallucinations ont débuté sans prodrome, sans prépa- ration es
se fait aussi d'em- blée et qui reste limitée. Si d'autre part les hallucinations ont ce caractère particulier de mysticisme et d
té chez le vieillard mélanco- lique. Or, chez nos deux malades, les hallucinations viennent au premier plan ; chez la seconde même
de l'adulte, mais elle est plus rapide ; il présente, en outre, des hallucinations de la vue, qui ne sont pas accidentelles, mais
ts personnels ou héréditaires. Ces cas étaient caractérisés par des hallucinations visuelles érotiques et la plupart furent termin
des malades. Pas de toxicité urinaire, ni gastro-hépatique. Début : hallucination légère de la vue : lueurs, cercles brillants, i
leur fin prochaine et la désirent pour échapper à leurs pénibles hallucinations . Tous les cas que j'ai observés se sont terminés
ez le vieillard non dément; on y trouve généra- lement un mélange d' hallucinations de l'ouïe, qui peuvent man- quer, d'hallucinati
ent un mélange d'hallucinations de l'ouïe, qui peuvent man- quer, d' hallucinations de la vue si rares chez le persécuté adulte, de
gis communique une observation de psychose sénile chez un aveugle à hallucinations oniriques volontairement provoquables que le ma
aire, à la suite d'un accès complet ou incomplet, elle présente des hallucinations , puis reste pendant un temps plus ou moins long
e (alcool, morphine, cocaïne, plomb, maladies aiguës fébriles). Des hallucinations ou des illusions de l'ouïe ont été constatées c
des cas; des troubles de la sensibilité générale dans un quart. Les hallucinations du goût et de l'odorat ont été rarement observé
, en questions, en ordres, parfois en conversations. Le contenu des hallucinations était flatteur, religieux, effrayant, ou indiff
jet à se modifier. L'humeur est habituellement liée à la nature des hallucinations et présente les nuances les plus variées, avec
e. (Revue neurologique, mai 1895.) E. B. - XXXI. Hémianopsie avec hallucinations dans la partie abolie DU champ DE la vision ; p
olie DU champ DE la vision ; par le Dr LAME. La superposition des hallucinations visuelles à certaines hémia- nopsies est'un phé
tes : certaines hémia- nopsies d'origine corticale s'accompagnent d' hallucinations visuelles dans la partie du champ de la vision
ns la partie du champ de la vision dont la fonction est abolie. Ces hallucinations , ordinairement très précises et uniformes, ne s
dissimuler, non seulement leurs idées délirantes, mais encore leurs hallucinations . Le plus souvent, cette dissimulation a pour bu
ion supérieure à celle qu'elles occupent, ou cherchant à cacher des hallucinations de la sphère génitale. Mais les dissimulateurs
questions au Congrès de 1896 a choisi les questions suivantes : Des hallucinations auditives (M. Cliaslin,. rap- porteur) ; Pathog
fait, en effet, jouer un rôle aux esprits dans la plupart des cas d' hallucinations , il croit encore aux maléfices des démons ; mai
tation motrice ou psychique, accompagné de congestion de la face, d' hallucinations de la vue. Les idées érotiques sont très rares.
nt au délire de la mère, le développe : chez elle se produisent des hallucinations (fait exceptionnel dans cette psychose) et de v
cience de sa situation. Il ne présente pas d'idées délirantes, ni d' hallucinations . Il est quelque peu déprimé. Dans tout le cours
mots étrangers, les tournures stéréotypées. On ne constate point d' hallucinations , ni d'idées délirantes. Les malades font volont
elle. Onanisme. Ce délire ne tarde pas à disparaître et en 1877 les hallucinations et les idées délirantes s'étaient effacées, et
parlant de la vengeance qu'il tirera d'eux ; il est en proie à des hallucinations et à une foule de sensations pénibles, qui entr
elui d'un dément. Actuellement, ce malade est tranquille, gai, sans hallucinations ,- ni conceptions délirantes; la mémoire est bon
Prague) fait remarquer que l'on connaît depuis longtemps des cas d' hallucinations se produisant par accès et d'une façon toujours
e par la chute d'un pot de fleurs, voyait se produire par accès une hallucination reprodui- sant la scène de l'accident. On conna
de la mémoire, des alternatives d'hypochon- diie et d'euphorie, des hallucinations de tous les sens survenant par intervalles. Iné
de simples conceptions, tantôt elles se manifestent sous la forme d' hallucinations auditives. Le contenu de ces dernières a trait
la psychose anxieuse et ayant également un pronostic favorable. Les hallucinations et l'anxiété paraissent, dans cette forme clini
mianopsie. Méthode simple de constater 1 ? par Axenfeld 145. avec hallucinations dans la partie abolie du champ de la' vision pa
50 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
somnambulique de l'hypnotisme provoqué. (Société de Biologie). Des hallucinations bilatérales, avec M. Magnin. (Union médicale, 15
1896). Indépendance fonctionnelle des deux hémisphères cérébraux.— Hallucinations bilatérales simultanées dans l'hypnotisme. — Pers
rant sur la peau et sur les vêtements ; enfin se pro- duisent des hallucinations terrifiantes toujours avec idées de persécution.
t excitée et le cerveau travaille sans et même malgré la volonté. Les hallucinations et les illusions sont des troubles précoces. Le s
rveux central. Elles consistent principalement en deux phénomènes : l' hallucination et l'automatisme. » Par ce travail, la première
oquer chez eux, par simple suggestion, des illusions sensorielles,des hallucinations , des croyances erronées, des transformations de l
hez un sujet hypnotisable, il est extrêmement facile de provoquer des hallucinations rétroactives, c'est-à-dire de lui suggérer le sou
être hypnotisés, par simple affirmation à l'état de veille, subir des hallucinations rétroactives. Si l'on pense que de ces hallucinat
ille, subir des hallucinations rétroactives. Si l'on pense que de ces hallucinations de la mémoire peuvent résulter de faux témoignage
(Zurich), M. le professeur Forel, nous faisait assister à une scène d' hallucination rétroactive intervenant dans le cours d'autres tr
a durée, et altérant la date d'événements réellement passés. 4° Des hallucinations négatives, rendant le sujet inconscient d'actes e
rendant le sujet inconscient d'actes exécutés sous ses yeux. 5° Des hallucinations rétroactives, constituées par des souvenirs suggé
efois des phénomènes de léthargie, de catalepsie ; d'autres fois, des hallucinations , qui peuvent déjà devenir plus compliquées par le
llucinations, qui peuvent déjà devenir plus compliquées par le fait d' hallucinations collectives ou répétées. Mais déjà ces faits n'ét
s'agisse de phénomènes visuels, qui ne rentrent pas dans l'ordre des hallucinations dont nous avons parlé plus haut, soit de phénomèn
omènes hypnotiques variés, soit de catalepsie, de somnambulisme, ou d' hallucinations ; mais dans tous les cas elles ont lieu dans un d
'avertit de ce qui s'est passé pour l'autre sujet ; souvent c'est une hallucination dans laquelle le sujet passif voit !c sujet actif
ons mentales, qui peuvent, dans certains cas, provoquer de véritables hallucinations . La cause de ces hallucinations étant unique et s
certains cas, provoquer de véritables hallucinations. La cause de ces hallucinations étant unique et s'exer-çant sur plusieurs personn
llucinations étant unique et s'exer-çant sur plusieurs personnes, les hallucinations sont souvent collectives et plus ou moins intense
crits tout à l'heure ne sont autre chose en réalité que de véritables hallucinations . Deux sujets concourent à ce phénomène; l'un, que
s pour le placer en état de médianisme actif; l'autre sujet perçoit l' hallucination , et le rapprochement des faits démontre une relat
ontre une relation entre le phénomène éprouvé par le sujet actif et l' hallucination observée par le sujet passif. II y a bien là une
médianiques, où nous avons vu un des sujets capable de provoquer une hallucination , et l'autre apte à la recevoir. Mais je dirai plu
semble encore donner raison à notre pensée que le sujet qui reçoit l' hallucination est en état médianique passif. En effet, dans la
at médianique passif. En effet, dans la plupart des observations, ces hallucinations arrivent, pendant la nuit, ou dans un état de dem
ille, mais il est formellement mentionné qu'au moment où il a perçu l' hallucination , il se trouvait devant une glace ou devant un
t sa gaieté. Lypêmanie héréditaire. Idées et tentatives de suicide. Hallucinations de l'ouïe. Céphalée. Hémianesthésie sensitivo-sen
ressait. - 19 mai. — On suggestionne à la malade de ne plus avoir d' hallucination de Touie, le retour des sensibilités sensorielles
es au XIIr Congrès de Moscou. Maladies mentales : 1° Palhogénie des hallucinations et pseudo- hallucinations : 2° Symptômes du pas
ou. Maladies mentales : 1° Palhogénie des hallucinations et pseudo- hallucinations : 2° Symptômes du passage des maladies mentales
de trouble mental. Pendant son séjour à l'asile, on a constaté des hallucinations spéciales de nature terrifiante, des idées de gra
t-il, paraissait enveloppé d'un brouillard, et il avait de véritables hallucinations de la vue. Ainsi, il disait voir des gens jouant
tantanés de l'hypnotisme sur les maladies chroniques, III, 66; 6° Des hallucinations négatives suggérées, IV, 202 ; 7° Opinion de M. D
anesthésiés s'imposent des tortures, l'extase hypnotique produit les hallucinations et les apparitions mira- L'Epilepsie, par le
écutive à l'intoxication : chez ceux-là, j'ai noté en particulier des hallucinations de l'ouie et de la vue. Un morphinomane qui ne pr
nations de l'ouie et de la vue. Un morphinomane qui ne présente pas d' hallucinations de l'ouïe et de la vue, chez lequel ne se manifes
de plus" : l'apparition de symptômes nettement déterminés, tels que : hallucinations , agitation, délire, impulsions irrésistibles, act
ne permet pas de dépister l'hystérie, elle a fréquemment des crises d' hallucinations hypnogogiques ; il lui suffit de fermer les yeux
une teinte « flou ». Pas de rétrécissements du champ visuel. Pas d' hallucinations de l'ouïe, de l'odorat, ni du goût. Examen des
ésence d'une malade ne présentant d'autre stigmate hystérique que des hallucinations hypnogogiques et qui, consécutivement à une fauss
nt, chez les prédisposés, devenir la cause immédiate d'illusions et d' hallucinations de l'ouie et même de folie systématisée qui, dans
Samedi 20 Mars. — Phénomènes psychiques de l'hypnotisme : illusions, hallucinations , variations de la personnalité. — La mémoire dans
iles d'aliénés. Les symptômes de l'intoxication cocainique sont des hallucinations de la vue et de l'ouïe, une hypereslbésie neuro-m
e sentiment tardif pathologique se présente sous forme d'obsession, d' hallucination . L'émotion n'a donc de valeur que par l'idée qu
ous le nom de psycho-dynamisme, ils seront idéo-scnsoriels, exemple : hallucination auditive ; idéo-sensitifs, exemple : anes-thésie
émique, 239. Lypémanie héréditaire, idées et tentatives de suicide, hallucinations de l'ouïe, céphalée. Influence curative de la sug
51 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e générale. (Thèse Paris 1890.) De Sauctts. Délire des négations el hallucinations antagonistes. (Rifornza medica., 12 mai 189G.)-
tre mois de durée (août à décembre 1895) ; puis anxiété subite avec hallucinations et illusions terrifiantes de la vue et de l'ouï
ment. En 1888, elle est ramenée dans un éLit d'anxiété intense avec hallucinations mul- tiples (certificat de .\1. Giiuud). Cet ac
des enfants écrasés par des voitures ; et, sous 1 influence de ces hallucinations , tente de se précipiter par la fenêtre. Elle es
NOTES SUR LES IDÉES DE NÉGATION. 29 tembre, on note l'anxiété avec hallucinations : cet accès se termina rapidement, car elle sor
t de grande anxiété avec refus de nourriture, désespoir. Elle a des hallucinations terrifiantes. Cette période dure plusieurs mois.
fois (décembre 1893), elle est dans un état d'angoisse énorme avec hallucinations multiples, agi- tation permanente, insomnie : e
. Pourquoi vous bouchez-vous les oreilles ? (elle vient d'avoir une hallucination ). Je n'ai pas d'oreille, c'est rien. Je ne sais
... où allez-vous me tri- pailler ? » Elle a des illusions et des hallucinations terrifiantes de la vue et de l'ouïe, elle voit
extase », disent les personnes du service, sous l'iutluence de ses hallucinations , ou aller ça et là, où les voix lui ordonnent d
ns les folies périodiques, des caractères identiques : '. les mêmes hallucinations terrifiantes y sont notées. Mais les idées de n
ue. L'idée de négation se retrouve dans les caractères de certaines hallucinations ; ce-sont ces voix qui ne sont qu'un écho, ces p
t02C11·ifLq2leS; illusions de la vue et interprétations délirantes. Hallucinations et illusions de l'ouie et de l'odorat; délire d
e descendre à la cave (il n'en était rien d'ailleurs, il y a là une hallucination et non simplement une illusion) , elle la croit
une science impossible et on recommence dès qu'il est sorti. Les hallucinations de l'ouïe se développent et la jettent dans une
te de ,'voir la malade attenter à ses jours sous l'influence de ses hallucinations terrifiantes et se 38 PATHOLOGIE MENTALE -
9; les prodromes consistent en préoccupations hypochondriaques avec hallucinations mul- tiples ; ces symptômes font rapidement pla
es. Il faut noter ici la place importante qu'occupèrent aussi les hallucinations de l'odorat, de l'oue, de la sensibilité géné-
lectuel simple ou nervosité, excitabilité, sen- timents d'angoisse, hallucinations ou non), avec constitution tor- pide généraleme
doutaient de la voir revendiquer ses droits, car des révé- lations ( hallucinations ), sur lesquelles elle ne pouvait donner aucun r
attirer sur elle l'attention de son entourage et à le gagner à sa ' Hallucinations . 102 RECUEIL DE FAITS. cause'; c'est ainsi'
nd une gardienne qu'elle croit sa parente s'éloigne; doit avoir des hallucinations de la vue (fixité du regard), perte de mémoire,
nitiative. Sentiments affectifs peu prononcés. Délire mystique avec hallucinations de la vue et de l'ouïe, infanti- lisme, oreille
s'agit d'un cas de confusion mentale avec dépression mélancolique, hallucinations psycho-motrices ver- bales et hallucinations ps
pression mélancolique, hallucinations psycho-motrices ver- bales et hallucinations psycho-motrices sensorielles, consécutif à une
iblesse des membres du côté gauche, puis du côté droit. Elle il des hallucinations de la vue et de l'ouïe et du délire d'auto-accusa
même sur la vie passée du sujet. Il peut s'accompagner parfois d' hallucinations secondaires, surtout de l'ouïe, et d'idées de sui
30 SOCIÉTÉS SAVANTES. à l'accès transitoiie d'aliénation mentale. L' hallucination mentale, , d'une façon générale, peut donner li
élire. Une de ces malades a présenté des idées de persécution, avec hallucinations de tous les sens et tendances persécutrices, qu
es mêmes conditions : confusion mentale avec anxiété et, de plus, hallucinations terrifiantes. Ces troubles se sont dissipés sans
e, idées de suicide et de persécution, craintes d'empoisonnement et hallucinations terri- fiantes de la vue et de l'ouïe. Ce* trou
la place à un état maniaque avec idées de grandeur et érotiques, et hallucinations multiples. La démence est ensuite sur- venue gr
nxiété, auto-accusations, idées de suicide, idées de persécution et hallucinations terrifiantes. Ces troubles persis- tent encore.
ats aigus caractétisés par de la confusion, de l'incohé- rence, des hallucinations , qui sont semblables au rêve de l'individu norm
e remarque chezluides i.1ées de persécution et de : mysticisme, des hallucinations des sens, jointes à des troubles musculaires, à
marié, homme d'affaires; entré à l'asile fin juin 1865 ; épilepsie, hallucinations de l'ouie, idée d'empoisonnement, excitation ma
es 2 fois (obs. i et 2) ; l'air de satisfaction (obs. 2 et 3) ; les hallucinations de l'ouïe (obs. 2 et 5) ; la démence 5 fois (obs.
res tels que les ten- dances à la stupeur cataleptiforme, certaines hallucinations de la vue accompagnées de poses extatiques et d
ées. Elle vit dans un état d'exaspération con- tinuel, en proie aux hallucinations , invectivant ses gens, les insul- tant, les acc
l'établissement, on constate chez elle un délire systé- matisé avec hallucinations de l'ouïe, dissociation des idées, alter- nativ
élirante n'est survenue de son fait ; pas- de délire fébrile, pas d' hallucinations de la vue ni de confusion des idées, en un mot
blies en même temps que ses facultés intellectuelles. Il existe des hallucinations : on la voit souvent poursuivre à coups de bâto
1873. A ce moment j'ai constaté le délire susénoncé accompa- gné d' hallucinations de l'ouïe et de la sensibilité générale. C'est
re peut survenir : il rappelle en général le délire fébrile par ses hallucinations de la vue et ses allures con- fuses et démentie
l'irresponsabilité totale doit être admise, sont les suivants : 1° hallucinations ; 2° confusion d'esprit telle qu'il était incapa
evers eux un long passé d'excès énormes de bière. G, DENY. XIV. Des hallucinations DITES PSYCHIQUES : par M. X. Francotte. (Bull,
met. ment, de Belgique, juin 1898.) On sait que d'après M. Séglas l' hallucination psychique est une véritable hallucination intér
t que d'après M. Séglas l'hallucination psychique est une véritable hallucination intéressant la fonction du langage dans ses élé
s. Cette théorie est combattue par M. Fran- cotte qui considère ces hallucinations comme de simples interpré- tions délirantes dép
pourvues de tout élément hallucinatoire propre- ment dit. 1 « Les hallucinations psychiques, dit-il, consistent en des pensées d
s images gra- phiques. » G. D. XV. DE L'1\rLUEI\CE SUGGESTIVE des hallucinations DE l'ouïe ; - par \Y, DE BELllfEllE\)'. (Cent1'
he ou près de celle-ci. Le délire restellnllté à cette allégalion : hallucinations 478 8 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. unilatér
pnotisme. P. Keraval. >\VI. DE la provocation artificielle des hallucinations sensorielles CHEZ LLS ALCOOLIQUES ATTEINTS DIS
BCUrruEw. (Centrulbl. f. NC1'vcnheil, XX ,'\ ,F" îx, 1897.) . Des hallucinations de l'ouïe sont provoquées en fixant l'attention
er un objet brillant tenu près du globe oe l'aell, on détermine des hallucinations de la vue. Ces expériences réussissent facileme
lire alcoolique, mais encore un long temps après qu'ont disparu les hallucinations pathologiques, voire quel- ques mois plus tard
conques. A fortiori, quand le délire a laissé après lui quelques hallucinations perpétuelles. (Exemple emprunté à l'article Audit
tions artificielles, sont, comme l'a montré Liepmann, l'inverse des hallucinations alcooliques ; elles n'ont rien de menaçant, sont
sition d'esprit pathologique, par association d'idées morbides, par hallucinations sensorielles, par nécessité psychologique (mé-
52 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
à propos de l'écri- ture automatique' des' médiums et à propos des hallucinations développées par le « crystal'gaziriâ ».'Ces phé
trice de l'écorce cérébrale trouve un appui dans l'existence des hallucinations du sens musculaire (membres amputés) et récem-
embres amputés) et récem- ment dans un mémoire de Tamburini sur les hallucinations du mouvement. (dmerican jourrzal of insanity, 1
côtés du corps (27 février 1861); - Confusion mentale, illusions et hallucinations incohérentes dues il l'abus invétéré de l'opium
, 1849 ; - De l'enseignemedt clinique dans les hôpitaux, 1858; De l' hallucination au point de vue pathologique (Rev. des spéciali
urtout celles des persécutions' varient en-étendant le .délire. Les hallucinations varient dans les mêmes proportions. - Observation
e temps,,la mobilité.. Quand on les inter- - rogne, on trouve les ! hallucinations ¡ correspondantes qu'ils décrivent n volontiers.
R UN cas d'hémianopsie bilatérale avec cécité psychique, PHOTOPSIE, hallucinations DE la vue ; par VORSTER. (Allg. Zeitsch. .11 r.
? Graduellement,' phénomènes de cé- {,. cité psychique, photopsie, hallucinations de la vue,"1 confusion' dans îles , ,idées ? To
impulsions.de la parole; ils sont, dus<à des obsessions ou à des hallucinations du sens musculaire de l'appareil de la parole .
lettre écrite' par lui à sa femme indique qu'il est sous le coup d' hallucinations . \. Enfin, six.ans après son entrée à l'asile,'
taque de folie passagère. P. K. XV. Contribution A LA THÉORIE des hallucinations ; par P1CK. (Neurol. Cent1'(¡[bl" 1892.) 1° Ha
RIE des hallucinations; par P1CK. (Neurol. Cent1'(¡[bl" 1892.) 1° Hallucinations par altérations pathologiques dans le mécanisme
us tard une promenade en voiture. Immédiatement après il est pris d' hallucinations de l'ouïe (répéti- tion de phrases absurdes, in
s jours auparavant. - 2e Influence de l'élément psychique sur les hallucinations de l'ouïe et de la vue. - Une femme entend des vo
'un bouchon de cérumen, on l'enlève et on en avertit la malade; des hallucinations apparaissent alors dans l'oreille gauche. - 3°
s hallucinations apparaissent alors dans l'oreille gauche. - 3° Des hallucinations unilatérales de plusieurs sens. Observation car
ns unilatérales de plusieurs sens. Observation caractérisée par les hallucinations auditives, oculaires, olfactives du côté gauche
tuel a été précédé d'une série de crises hystériques accompagnées d' hallucinations , et elle fut tellement malade à cette époque qu
- Pour nos abonnés : 2 fr. 75. , ROUBI1\OVITCll (.T.). - Sur les hallucinations verbales psycho-motrices . dans un cas de délir
te-six ans; lypé- manie aiguë avec violents emportements contre les hallucinations ; une heure ou deux de tranquillité au plus. Av
ation XXXI. Louis Mah..., trente-huit ans; lypémanie chronique avec hallucinations de tous les sens et crises d'agitation. Au cour
re. Les faux aveux des hystériques puisent aussi leur source dans l' hallucination et le délire du rêve. Cette dernière catégorie
alors la conséquence d'une idée délirante tirée d'un rêve ou d'une hallucination . Cette notion jette une vive lumière sur un cer
une deuxième période, ces symptômes se développent, il apparaît des hallucinations verbales motrices et très accentuées et un dédo
élirante. Ce sont d'une façon générale des troubles psycho-moteurs ( hallucinations motrices, im- pulsions, aboulie, phénomènes d'a
guérison). Chez ces sujets forte tare héré- ditaire ; fréquence des hallucinations . P. K. z REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 321 XX.
xcitabilité, impulsion à détruire, excitation maniaque incohérente, hallucination terrifiante de l'ouïe et de la vue. Sommeil cal
iguë ou folie systématique abortive de Sander, caractérisée par des hallucinations de l'ouïe qui provoquent des idées de persécuti
anxieux consécutifs. Marche très rapide, guérison constante; 3° Les hallucinations de l'ouïe, cause de tout le mal, sont des hallu
te; 3° Les hallucinations de l'ouïe, cause de tout le mal, sont des hallucinations élémentaires. Ces mêmes accidents, si graves de
un pronostic bénin, et guérissent rapidement. En même temps que ces hallucinations élémentaires de l'ouïe, se' montrent' des hallu
que ces hallucinations élémentaires de l'ouïe, se' montrent' des hallucinations du sens musculaire qui sont en rapport avec l'app
autant que médicale. Les conditions ambiantes peuvent provoquer des hallucinations ; l'auteur cite plusieurs cas dans lesquels cett
irresponsable de ses actions; 2° par le carac- tère inaccoutumé des hallucinations ; 3° par la tendance au sui- cide ; 4° par le ca
n. Lorsque, à ces deux symptômes, vient se joindre la précocité des hallucinations , on peut, presque à coup sûr, diag- nostiquer l
de la paresse des muscles de l'oeil, des fantasmes entoptiques, des hallucinations de la vue, de blépharospasme. C'est Foerster qu
des conceptions; 2° dans leur qualité, depuis les illusions et les hallucinations qui ne sont que «des idées revêtues d'une brill
son entrée, ce qui frappe le plus d'abord en la malade, ce sont les hallucinations qu'elle présente. Les hallucinations auditives
bord en la malade, ce sont les hallucinations qu'elle présente. Les hallucinations auditives sont les plus accusées. La malade dit
regarde cela comme le fait de l'électricité. Elle accuse aussi des hallucinations géni- tales, nocturnes ou diurnes qu'elle attri
partie de la torture ? C'est probable. » , La malade a eu aussi des hallucinations visuelles, mais elle s'en rend compte et les ex
irigent absolument la scène pathologique. Il peut y avoir aussi des hallucinations verbales auditives, mais plus effacées, parfois
fois même elles manquent complètement. On peut rencontrer aussi des hallucinations visuelles, simples et même verbales. En revanch
ions visuelles, simples et même verbales. En revanche, à côté des hallucinations verbales motrices prédominantes, se mani- feste
allucinations verbales motrices prédominantes, se mani- festent des hallucinations motrices communes, également très accentuées, t
de rapetissement), des troubles de la sensibilité viscérale, des hallucinations génitales. Ce sont souvent ces différents symp-
URS ET POSSÉDÉS. 439 tomes qui marquent le début de la maladie, les hallucinations verbales ne se montrant qu'un peu plus tard. »
chancetés pour la faire rougir devant le monde. Elle a eu aussi des hallucinations de la vue : elle voyait des flammes de feu et m
d'être anéan- tie et de ne pouvoir en sortir. Elle avait aussi des hallucinations génitales et ressentait fréquemment des secouss
urdis- sement dans une partie quelconque du corps. En plus de ces hallucinations , verbales motrices, la malade a également des i
l nous semble, la peine d'être signalé. ' * ' . Notons encore des hallucinations génitales et des impulsions à regarder les homm
s d'être assez particu- lière. Elle pense, d'après les dires de ses hallucinations , que l'épi- cier qu'elle accuse de lui avoir fa
C'est absolument comme si c'était moi qui -l'avais dit. » Pour ses hallucinations génitales, c'est également par l'intermédiaire
SÉCUTÉS AUTO-ACCUSATEURS ET POSSÉDÉS. 443 troubles psycho-moteurs : hallucinations motrices, impulsions, aboulie, phénomènes d'arr
lectuels dont les plus saillants sont des troubles psycho- moteurs, hallucinations et impulsions. C'est ainsi qu'elle a des hallu-
maladie et qui prédominent encore aujour- d'hui. Elle a de plus des hallucinations auditives : elle entend par les oreilles des in
res prononcées par des voix d'hommes et de femmes. Elle a aussi des hallucinations génitales. Tout cela est le résultat de la magi
été au sujet d'un mariage, elle fut prise d'accès con- vulsifs avec hallucinations , etc.. Après un séjour d'un an dans une maison
t-il, qu'on n'arrivera jamais par la suggestion à lui supprimer les hallucinations qui alimentent son délire. Je suis partisan aut
2. - Graves (Maladie DE) -, par Dour- 'f dorfi, 62. ' ¡ , i * Hallucinations , de la variabilité des 'conceptions délirantes
53 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
que j'ai employé la suggestion sous deux formes prin- cipales : -1° hallucinations négatives; 2° hallucinations positives. Je veux
n sous deux formes prin- cipales : -1° hallucinations négatives; 2° hallucinations positives. Je veux dès maintenant exposer les r
A. Hallucinations négatives ou suggestions ELI311\.1N'l'ES. cc) Les hallucinations négatives en ce qui concerne la sensibilité de la
l sente de nouveau, la contrac- ture apparait promptement. b) Les hallucinations négatives de l'ouïe. Si je suggère la perte de
gère une surdité bilatérale, les yeux ne se meuvent pas. cet d) Les hallucinations négatives du goût et de l'odorat. Ces suggestio
sent avec la même promptitude aujourd'hui qu'il y a un an. e) Les hallucinations négatives de la vue. La morphologie des réflexe
des réflexes optiques est compliquée, de même aussi les effets des hallucinations négatives quant à la vue. Il y a un an, que j'a
ences nécessitent une explica- tion ; je la donnerai en parlant des hallucinations positives. Dans l'expérimentation suivante, dan
j'appliquai des excitations différentes ; je la considère comme une hallucination négative. 1. En suggérant une hémiplégie gauche
ntracture gauche. .. Par ces expériences, il est prouvé qu'avec une hallucination négative la contracture réflexe fait défaut, au
nation négative la contracture réflexe fait défaut, autant pour les hallucinations négatives portant sur la sphère sensorielle que
ontracture gauche ou une contracture bila- térale. Les effets des hallucinations négatives et positives se montraient tou- jours
en ce qui touche les 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. hallucinations positives ? Voici l'opinion à laquelle je me suis
u commencement de mes expériences (en 1891), j'avais obtenu par des hallucinations positives une hémicontraclure droite ou gauche, c
ctionnelle pour les yeux, comme pour les autres sens est croisée, l' hallucination prend place dans l'hémis- phère opposée. Par ex
oeil droit », se rapporte l'hémisphère gau- che. Les résultats des hallucinations positives sont donc suffisamment ex- pliqués pa
rcourt. C'est autre chose pour l'excitation centrale produite par l' hallucination . Celle-ci s'effectue par la projection fonctionne
ation. Celle-ci s'effectue par la projection fonctionnelle ; chaque hallucination positive produit une excitation dans le centre op
mes dernières expériences prouvent que nous pouvons agir, avec les hallucinations positives, de la même façon qu'avec une excitatio
qui est altéré. Il nous reste à étudier, quel est L'EFFET DES deux hallucinations -NE ? GATIVES DIFFÉRENTES. En voici des exemp
Mais devance il est nécessaire d'être d'accord sur l'essence de ces hallucinations . En suggérant une surdité droite, je vois que le
vons nous servir de celte dernière méthode, si nous em- ployons les hallucinations posilives. Il est indubitable qu'en suggérant l
able qu'en suggérant la vibration d'un diapason à la suite de cette hallucination , il se déve- loppe une hémicontracture : le méc
ontracture : le mécanisme de ce réflexe est en tous cas cortical. L' hallucination est un procédé cortical, par conséquent son ré-
ues droits, etc. Comme règle générale, nous pouvons donc dire : Une hallucination négative {suggestion éliminante) peut retarder
ar des autres sens. Il y a un phénomène, caractéristique dans ces hallucinations hétérony- mes, c'est que le retard ou l'arrêt n
s devons donc conclure que l'altération dy- namique que produit une hallucination négative, ne reste pas localisée au centre corr
aires dans l'écorce cérébrale. ' L'hémicontracture produite par une hallucination positive nous révèle le lieu où les images se l
ieu où les images se localisent pendant l'hypnose. Puisqu'après une hallucination acoustique droite, il se produit une hémicontract
pyramydales le côté droit du corps. Nous pouvons donc dire, que les hallucinations positives s'effectuent dans l'hémisphère opposé.
s l'hémisphère opposé. C'est la même chose pour la localisation des hallucinations négatives. Par la méthode que j'ai employée, il
e les réflexes intrahypnoliques suivent un mécanisme cortical. 2° L' hallucination positive est une excitation presque analogue ci u
s deux procédés est le même, c est-à-dire une contracture. 3° Une hallucination négative ne reste pas limitée ci un lieu circonsc
ns une certaine phase de la grande attaque, prendre sous l'empire d' hallucinations d'ordre reli- gieux des altitudes d'une express
rtain qu'elle rappelle l'allure des hystériques dans la période des hallucinations de l'attaque. Elle parle sans doute, prononçant c
AS Il'ARTn110PATUlB TABÉTIQUE 225 nel. C'était une dévole ayant des hallucinations de la vue : elle voyait la Vierge et les Saints
lation périphéri- que. Si les douleurs des neurasthéniques sont des hallucinations sensitives vis- cérales, aucun fait n'établit q
eux-mêmes n'ont pas été à un moment donné en souffrance. Toutes les hallucinations sont des réveils d'ima- ges corticales. S'il ex
lucinations sont des réveils d'ima- ges corticales. S'il existe des hallucinations viscérales, c'est donc que les viscè- res ont,
zarre, fanatique convaincu, dit de lui Philarète Chasles, livré aux hallucinations extatiques, mais persévérant, hardi, impertur-
la : , 1. I, chap. 1. 320 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Hallucinations de la vue, hallucinations de l'ouïe, reparaissent
0 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Hallucinations de la vue, hallucinations de l'ouïe, reparaissent à cha- que chapitre de
is, et toujours resplendissant dans une auréole de feu. Souvent ces hallucinations survenaient à la suite de jeûnes prolongés. Une
ertige sous forme'd'imperception, de surperception, d'illusion ou d' hallucination d'attitudes ou de mouvements, de la nausée, des p
54 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
crises d'épilepsie beaucoup plus fréquentes; jamais, elle n'a eu d' hallucinations de la vue au début de ses crises ; l'aura se mani
ent à augmenter leur nervosité, et par suite, la fréquence de leurs hallucinations . Je veux parler de l'alcoolisme. , Bien que n'é
ou de s'égarer dans quelque champ, sans pouvoir en sortir; mais ces hallucinations se produisent aussi en dehors de l'influence al
de la négligence apportée aux soins du ménage, puis ensuite par des hallucinations pénibles de la vue et de l'ouïe, des terreurs n
hoses sous l'influence des idées délirantes, des idées fixes et des hallucinations . Les enfants atteints d'helminthiase présentent d
hénomè- nes épisodiques délirants de l'agitation (Sauvage) (1), des hallucinations (Blaise Osier), de la verbigération, des phénom
dans le délire alcoolique continu on distingue en premier lieu les hallucinations et les illusions auditives ; le malade se plain
délire alcoolique continu. Dans les cas plus légers, le nombre des hallucinations auditives n'est pas grand, et elles gênent rela
es, mais des dialo- gues même. Dans des cas encore plus graves, les hallucinations auditives sont si nombreuses et si persistantes
nce à s'endor- mir, ou dans le silence de la nuit. Le contenu des hallucinations auditives dans le délire alcoolique con- tinu e
s su. Dans certains cas de délire alcoolique continu le contenu des hallucinations au- ditives porte un caractère obscène et indéc
que et se moquent un peu du malade. Le rapport de la conscience aux hallucinations auditives est générale- ment critique; le malad
ément paranoïde est exprimé d'une manière plus accentuée. Outre les hallucinations auditives, qui sont l'une des manifestations fo
ales du délire alcoolique continu, peuvent encore se manifester des hallucinations olfactives, visuelles et tactiles. Par exemple, l
antes : même dans les cas légers, où il y a com- parativement peu d' hallucinations , la maladie dure assez longtemps et les voix co
phénomènes morbides ordinairement s'affaiblissent, la quantité des hallucinations auditives di- minue, et elles deviennent moins
issement progressif de l'ouïe. Il n'est pas rare d'observer que les hallucinations auditives sont plus accentuées justement du côt
aucune lésion de l'ap- pareil auditif périphérique, et pourtant les hallucinations auditives sont vives et intenses ; mais il est
rve de moment favorable, aidant à la manifestation plus marquée des hallucinations auditives. Dans le cours du délire alcoolique c
pour la plupart est régulière. Seulement, dans certains cas, où les hallucinations auditives sont nombreuses et gênent constamment l
hique ; il parle quelquefois avec lui-même, prêtant l'oreille à ses hallucinations . Ainsi, l'une de nos malades, chez qui les hall
lle à ses hallucinations. Ainsi, l'une de nos malades, chez qui les hallucinations auditives DELIRE ALCOOLIQUE CONTINU 395 étaie
sente le tableau clinique de delirium tremens avec prédominance des hallucinations auditives, et non des hallucinations vi- suelle
tremens avec prédominance des hallucinations auditives, et non des hallucinations vi- suelles, alors doit surgir l'idée qu'il ne
irium tremens au cours duquel le malade éprouve de pré- férence des hallucinations auditives. Le diagnostic du délire alcoolique c
ins éloi- gnée du début, il reste chez le malade principalement des hallucinations auditives et une certaine interprétation erroné
lucinations auditives et une certaine interprétation erronée de ces hallucinations , con- sistant en cela que le malade pense qu'il
onserve la capacité de s'occuper de ses affaires habituelles. Les hallucinations auditives semblent plus nombreuses dans le délire
s le second les idées délirantes ne sont pas sous la dépendance des hallucinations auditives. La mélancolie alcoolique peut aussi
irium tremens et elle peut s'accompagner dans son cours ultérieur d' hallucinations auditives : dans la mélancolie alcoolique, , DÉ
nd cet état apparaît, c'est seulement pour une courte durée, lors d' hallucinations effrayantes qui épouvantent le malade. Concerna
allucinations effrayantes qui épouvantent le malade. Concernant les hallucinations au- ditives dans la mélancolie alcoolique, il f
pénitence et même à mort. Dans le délire alcoolique con- tinu, les hallucinations , en somme, sont bien moins pénibles et moins do
dans la mélancolie alcoolique, le malade croit à la réalité de ses hallucinations auditives. La conduite des malades dans l'une e
a conscience du malade atteint du delirium tremens s'éclaircit, les hallucinations vi- suelles disparaissent ; restent seulement l
es hallucinations vi- suelles disparaissent ; restent seulement les hallucinations auditives ; elles constituent, dans le cours ul
ité pour certaines psychoses alcooliques de laisser après elles des hallucinations stables, principalement auditives, comme seul r
areil auditif) et dans le tableau clinique (caractère différent des hallucinations , existence d'un délire complexe). Si nous nou
dées délirantes ou du délire développé sur le terrain de nombreuses hallucinations auditives, a été dé- crit d'une manière plus dé
ée d'une manière aiguë et qui se caractérise principalement par des hallucinations auditives, plus rarement visuelles; ordinaireme
rantes à caractère de délire de persécution ; comme conséquence des hallucinations et du délire, souvent, d'après Nasse, peuvent s
Acute Hallucinose der Trinker ». La maladie se caractérise par des hallucinations auditives très abondantes et se développant d'une
'une ma- nière aiguë ; on observe aussi, quoique rarement, d'autres hallucinations ; le malade entend qu'on parle de lui, qu'on le
vu l'existence de cas transitoires où il existe dans ce dernier des hallucinations auditives et une tendance à la systéma- tisatio
et croit à la réalité de ses illusions; ici, d'après Wernicke, les hallucinations , l'agitation motrice et l'insomnie manquent ord
éveloppant d'une manière aiguë chez des alcooliques chroniques avec hallucinations auditives très abondantes, différant de la parano
pique par une évolution de courte durée, par grande peur et par des hallucinations alcooliques auditives très caractéristiques. Magn
ition des accès aigus, persistent pour quelque temps le délire, les hallucinations , un état affectif ; parfois, sous l'influence, se
isser après lui des trou- bles prolongés, tantôt ayant l'aspect des hallucinations auditives stables, tantôt sous forme de folie p
55 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
ute intelligence, et qui plus est d'un rare génie, ont été sujets aux hallucinations les plus caractérisées et les plus avérées. Et d'
on pas à propos de l'expérience des brûlures, mais d'une expérience d' hallucinations , infini-- ment moins inexplicables, soit dit par
sa conclusion : « Il est donc visible que J... n'est pas dupe de l' hallucination qu'on lui a donnée. Elle ne prend pas les deux je
déjà inscrites à l'ordre du jour: Auguste Voisin : Mélancolie avec hallucinations — Accouchement sans douleur pendant l'hypnose apr
i les vers existaient réellement, ou si l'imagination les a créés par hallucination . Les 30 centigrammes de santonine qu'il avait pri
vins. Quant aux troubles névropathiques, rien de bien particulier : hallucinations , crises fréquentes et terribles, suivies d'un lon
llé d'un doux sommeil, il dit amoureusement : « Ah ! Jésus... » Les hallucinations de la vue ou de l'ouïe reparaissent à chaque chap
s ces visions resplendissaient dans une auréole de feu. Souvent les hallucinations survenaient à la suite de jeûnes prolongés. Une f
e pique en effet avec une épingle ; il ne sent rien. Je lui donne une hallucination rétroactive : « Hier, tu étais à l'atelier ; tu t
uvent cacher, non seulement leurs idées délirantes, mais encore leurs hallucinations . Souvent les aliènistes sont attaqués ; on leur
u totale ; dans ce dernier cas tout est nié : conceptions délirantes, hallucinations , etc...; 5e La dissimulation reconnait pour mob
lation reconnait pour mobile: la honte (par exemple, femmes niant des hallucinations de la sphère génitale) et l'intérêt. L'intérêt es
ions mentales qui peuvent, dans certains cas, provoquer de véritables hallucinations . La cause de ces hallucinations étant unique et s
certains cas, provoquer de véritables hallucinations. La cause de ces hallucinations étant unique et s'exerçant sur plusieurs personne
allucinations étant unique et s'exerçant sur plusieurs personnes, les hallucinations sont Souvent collectives et plus ou moins intense
rmenage professionnel aidant, l'état de phobie s'accentue. Elle a des hallucinations , de la sensibilité cutanée, les rêves deviennent
tale, télépathie, transfert psychique, statistique internationale des hallucinations ; autres matières qui s'y rapportent. Hallucinatio
nternationale des hallucinations; autres matières qui s'y rapportent. Hallucinations , idées obsédantes, aphasie, etc., etc. iv. psyc
entière, soit partielle des couleurs. L'excitation maladive amène les hallucinations . />) Le second (2j permet do se rendre compt
gle, mais si 1 persiste, le sujet peut avoir des rêves visuels et des hallucinations avec sensations de lumière. Si 2 persiste 1 étant
, gris de l'autre. Pendant son enfance, il eut des visions et dos hallucinations ; dès sa jeunesse, il présenta des troubles intel
: Pathologie mentale. — Pathogénie et physiologie pathologique de l' hallucination de l'ouïe. Rapporteur : M. Ph. Chaslin; Patholo
ession qui poursuivait la malade devint tout à coup plus intense, des hallucinations de la vue et de l'ouïe se produisirent. ?·0" B. c
produisirent. ?·0" B. crut voir son amant, l'entendre, lui parler ; l' hallucination fut suivie d'une période d'agitation qui bientôt
anmoins avec prudence. Pour cela, je diminuai d'abord l'intensité des hallucinations , puis, m'adressant à l'élément spasmodique de la
e calme obtenu, je fis disparaître complètement et définitivement les hallucinations . Agissant ensuite par voie de suggestion verbale,
e de ce genre dans l'avenir et de ne plus être le jouet de semblables hallucinations . J'arrivai ensuite à des suggestions appropriée
ces suivantes, il ne se produisit bien entendu ni crise convulsive ni hallucination , pas plus du reste dans l'intervalle des séances.
vous avez affaire à une hystérique à forme erotique et sujette à des hallucinations , exigez d'avoir toujours et pendant tout le temps
ujets, en effet, peuvent avoir, malgré vous et même à votre insu, des hallucinations qu'elles prendront pour des réalités, et cela pou
e D' Auguste Voisin. Etat de mal hystérique. Attaques coiivulsives. Hallucinations et délire. Troubles moraux. Début il y a 3 ans. H
é, n'auraient jamais recouvré leur liberté. Folie lypémaniaque avec hallucinations et idées de persécution, traitée avec succès par
ang et entra à l'hôpital. C'est alors que la malade eut ses premières hallucinations ; elle entendait les voisins dire du mal d'elle;
st triste, elle pleure, elle croit qu'on l'accuse de vol ; elle a des hallucinations terrifiantes de la vue dans lesquelles elle voit
u'elle appelle le « noiraud o et qui est couvert de sang. Lorsque l' hallucination se produit, on la voit tomber à genoux, se cacher
, la même réduction a été faite. Par suggestion on lutte contro ses hallucinations ; on lui persuade qu'elle est plus forte que le «
lui jette des pierres. Enfin, on parvient à chasser complètement l' hallucination par plusieurs séances d'hypnose. Septembre.— De
enue. L'aphasie et la cécité verbale ont complètement disparu. Plus d' hallucinations . Sommeil calme, mais encore de temps en temps mau
me qu'il pût vivre. Les auto-intoxications, la fatigue intensive, les hallucinations diverses, etc., en agissant sur les apports senso
enue dans mon service pendant quelques mois, absolument guérie de ses hallucinations , idées de persécution, troubles de la parole, de
inte depuis plusieurs mois de folie lypémaniaque caractérisée par des hallucinations terrifiantes de la vue, avec idées de persécution
Les anesthésies, les contractures, les paralysies, les amnésies, les hallucinations provoquées expérimen- talement, les suggestio
56 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ides fous, dont l'excitation au délit réside le plus souvent dans des hallucinations que des scrupules religieux ou un fanatisme secta
nique jusqu'à des épi-leptiques agissant sous l'influence de le leurs hallucinations ou de leurs impulsions inconscientes. Quelle qu
diarrhées fréquentes, des cauchemars pénibles: puis il a eu quelques hallucinations et même du délire de la persécution, ainsi que de
s spasmes de la glotte, des perversions senso-rielles passagères, des hallucinations de la vue, du goût, de l'odorat, et de l'ouië; en
; pour la deuxième un délire systématisé de perse- - cution avec des hallucinations de l'ouïe ce sont les plus importantes), de l'odo
du goût, des troubles, des sensibilités générales et génitales et des hallucinations psychiques ou psycho-motrices. La troisième étape
ième étape est caractérisée par un délire ambitieux systématisé, avec hallucinations multiples, mais différant par leur nature agréabl
persécutés-persécuteurs. Dans cette forme, il n'y a ni évolution, ni hallucinations , b). Délire de persécution systématisé hallucinat
, à base d'in- terprétations délirantes, d). Mégalomanie avec ou sans hallucinations . Des troubles mentaux tabagiques M. Kjellberg
roubles mentaux tabagiques sont caractérise» par de la faiblesse, des hallucinations et de la tendance au suicide. On peut leur décrir
mois et demi à trois mois. 2° Premier stade où le malade accuse des hallucinations , des visions, entend des voix qui tronblent son s
s lequel l'excitation devient plus rare ; l'intelligence décline, les hallucinations continuent. Le malade en arrive à une grande faib
ise de troubles intellectuels avec intervalles d'excitation, quelques hallucinations , idées de mystique relatives au spiritisme, troub
té intellectuel, délire incohérent, mystique dans les premiers jours; hallucinations hypnagogiques : troubles de fa mémoire prédominan
me, les impulsions irrésistibles, les idées fixes, les illusions, les hallucination », l'ennui, /« h.êlancoUtâ l'agitation maniaque, e
es par jour. La nuit se passe en insomnie, avec des cauchemars et des hallucinations pénibles. Le 20 juin 1888, sur la demande du Dr D
nstinctive avec désordres impulsifs, i l'autre, de « manie aiguë avec hallucination de l'ouïe et de la vue et trouble de la sensibili
r que leurs allégations pouvaient être l'expression très sincère dune hallucination ou d'une systématisation délirante ayant pour bas
n toute sincérité ce qu'elles avaient vu et ressenti dans un moment d' hallucination sensorielle. Ainsi font les hystériques de nos jo
urs obsessions à la manière ordinaire des aliénés. Ils n'éprouvent ni hallucinations , ni illusions En un mot, dit-il, ils ne subissent
obsessions... Mauvaises pensées contre Dieu et la religion. Jamais d' hallucinations d'aucune sorte, jamais de folie: de doute proprem
fance, sous forme ie questions métaphysiques et religieuses. Jamais d' hallucinations d'aucune sorte. Jamais Je délire du toucher. Inca
'enfants. Elle lut en service pendant 14 ans. Jamais malade. Jamais d' hallucinations d'aucun sens, ni d'illusions. Jamais de crainte d
dynamisme. L'idée devient (douleur, démangeaison, froid, etc.) image ( hallucination , rêve) sensation viscérale (coliques, vomissement
ensorium sont accep- : tées et deviennent images, c'est-à-dire rêves, hallucinations . Nous avons vu que divers moyens, accidentels o
hypnotiques, immédiates ou â longue échéance: vous avez assisté à des hallucinations négatives; nous avons créé des souvenirs fictifs
ement irrésistible, et un somnambule, toujours disposé â recevoir des hallucinations , ne serait pas capable d'un même entraînement inv
ui fait perdre la notion de U personnalité réelle ; 2° un phénomène d' hallucination psychique qui s'objective fortement, comme c'est
hique qui s'objective fortement, comme c'est la regle pour toutes les hallucinations hypnotiques, et substitue à la notion perdue de l
é, au début de la séance, une attaque d'hystérie avec contractures et hallucinations terrifiantes. Pour l'endormir profondément il a s
aller, venir, travailler; elle n'avait aucune idée délirante, aucune hallucination ; mais son état intellectuel était modifié. Au lie
nce de ces lois, qu'un sujet peut se donner à lui-même toute espèce d' hallucinations et de suggestions, en lisant sa pensée sur ce qu'
ictions énergiques sur le crâne, s'ôter, lui-même, les suggestions ou hallucinations qu'une autre personne lui aurait données. — (Je r
t le tout petit malaise qu'il pourrait causer, céphalagîe, vertigfie, hallucination prolongée ou même rétroactive. On peut le préve
d'hystérie avec raideur des membres et hallu-cinations visibles; ces hallucinations étaient terrifiante»; elle te déballait comme pou
ypnotiques très suggestibles (contractures, paralysies, anes-thésies, hallucinations sensorielles, dédoublements de la personnalité, s
une loi physique ou reconnaître quo le sujet est sous l'empire d'une hallucination persistante du ressort de ta physiologie. M des
e malade. Gn____atteinte de grand mal hystéro-comitial, compliqué d' hallucination de la vue et de l'ouïe et d'agitation maniaque de
général, la Société remet à la prochaine séance la discussion sur les hallucinations lélépathxques. Elle désigne ensuite les membres
1892, des rapports sur les deux questions suivantes: 1- Hérédité; 2° Hallucinations télépalhiques; 3a Sens musculaire. CHRONIQUE ET
ièvre typhoïde avec délire. Impulsions diverses pendant la grossesse. Hallucinations conscientes. Ménopause depuis sept ans. Crises gé
ortir. A dix-huit ans, survient une fièvre typhoïde grave; elle a des hallucinations : Sainte Geneviève lui apparaît, et, encore aujou
me, refuse de sortir, et parle de se jeter par la fenêtre. Elle a des hallucinations conscientes ; elle voit son fils, elle l'entend l
imitation, les phénomènes de la prise du regard, les illusions et les hallucinations sensorielles. Mais il était impossible d'obtenir
produit un sentiment de jouissance; auparavant, elles ont éprouvé une hallucination qui leur a fait croire à un coït ou à un contact
e couteau. Quelques suggestions le débarrassèrent facilement de celle hallucination . Depuis, M. Voisin a fait exécuter, au même suj
57 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
gants auxquels celui-ci peut être entraîné par l'obéis- sance à ses hallucinations . Dans cette catégorie peuvent se placer le mala
à la religion qu'elle connaissait mal et essaya de prier. Premières hallucinations . Audition d'esprits. - Ainsi confinée en elle-m
on, et qui se plaisait à consulter aussi l'esprit de sa mère. Cette hallucination était calmante, modéra- trice, appaisante, elle
a forme concrète d'une voix. Soupçon- nant l'éventualité de quelque hallucination , nous avions alors cherché, mais en vain, à pro
a servi à l'élaboration du roman subliminal que lui racontent ses hallucinations . Nous avons pu, d'ailleurs, pendant ce premier sé
nconnues, passagères et les a voix stridentes » revêtent la forme d' hallucinations auditives ordinaires, les voix familières conse
seur du cirque Amato, installé à Chartres, et qui était sujet à des hallucinations . Il fut transporté à l'hôpital dans un état dés
r et compatissant affectueusement aux peines de Cam... lui parle en hallucinations psychiques et Dieu le père prend immé- diatemen
xhale son àme en un alleluia ! On ne peut mieux décrire en vers une hallucination psychomo- trice et l'étal d'esprit qui la compo
rechutes paroxystiques de malaise anxieux à chacun des- ' quels les hallucinations redevenaient actives et nombreuses, et l'éréthi
plusieurs d'entre eux, personnages téléologiques sous la forme d' hallucinations profitables, s'attribuent même l'amélioration de
l'amélioration de ses malaises. Ce fait n'a rien de surprenant, ces hallucinations MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 137 spéciales étant l'e
e priver de faire parler son guéridon. « Elle a peur, dit-elle, des hallucinations qui lui ont donné des « idées de grandeur et qu
un travail de préparation inconsciente consécutive- ment mûri que l' hallucination téléologique prend cette attitude spéciale. Au
matière spirite quand ses premières tendances se sont organisées en hallucinations et en systèmes théologiques. Elle ne possédait
s communications avec les astres, a causé avec Dieu après une seule hallucination de la vue; comme elle il a en une mission réfor
et à prier. Le lendemain l'esprit de D... lui parle dans la tête en hallucinations psychomotrices comme d'habitude et lui fait des
mélioration il reprend ses promenades et cause volontiers, mais les hallucinations reviennent bientôt. Il monte dans sa chambre po
de la cénesthésie et, à ce point de vue, elle est à rapprocher des hallucinations devenues obsédantes. De plus l'obsession s'est
accentué et une certaine agitation; les premiers jours il avait des hallucinations auditives; une semaine plus tard, le malade com
ant tout le cours de l'affection, sans conceptions délirantes, sans hallucinations , sans excitation ni dépression, on se trouve en
tellectuel, de troubles psychiques variés : conceptions délirantes, hallucinations , états d'excitation, de dépression et de stupeu
qu'ils se présentent sans relation avec des idées délirantes ou des hallucinations et indépendamment de troubles émotionnels. Qu
bition, ces alternatives étant le plus souvent commandées par des hallucinations , les unes psychomotrices (excitation), les autres
fruste où les états obsédants et impulsifs semblent remplacer les hallucinations . Ainsi limitée dans ses grandes lignes, la déme
Ville,juif) et Marcel VIOLLET, interne des asiles de la Seine. Les hallucinations observées chez les déli- rants chroniques sont
tifs post-apoplectiques du même côté que celui où se produisent les hallucinations , on peut être amené à ne pas consi- dérer ces f
r ces faits successifs comme des coïncidences. Nous pensons que les hallucinations sont, dans ces cas, le produit de l'éréthisme v
la malade entre à l'asile avec le diagnostic de « mélancolie avec hallucinations de la vue ». Négligeante, paresseuse, irritable,
; 4° Aux troubles de la volonté et du caractère ; 5° Aux phobies et hallucinations . Cette énumération clinique suffit à établir l'
uelquefois le malade, à l'apparition de telles pensées ou de telles hallucinations auditives, tâchait de se défendre, en ripostant p
les idées et les représentations obsédantes des illusions et des hallucinations visuelles et auditives ; c'est curieux de noter
lles et auditives ; c'est curieux de noter que les illusions et les hallucinations du côté des organes visuel et auditif se distin
ais il 310 CLINIQUE MENTALE. n'y avait point ici d'illusions ou d' hallucinations obsédantes; que notre opinion n'est pas sans fo
e l'étaient pas parfois ; le malade avait encore, certes, de telles hallucinations , par exemple auditives qui étaient en liaison a
liaison avec son état mélancolique. Si dans ce cas il aurait eu des hallucinations obsédante's, alors elles se seraient distinguée
i, comme ordinairement, dans, ce cas aussi, était accompa- gnée d' hallucinations auditives d'un contenu désagréable; pourtant, b
tantanés et passagers avec obnubilation de la conscience, mais sans hallucinations ; ce n'était donc pas le délire hallucinatoire a
e cette somnolence que pour manger et faire ses besoins. Si des ' hallucinations et de l'agitation surviennent, on élève de nouvea
e diagnostic de mélancolie avec idées de persécution basées sur des hallucinations de l'ouïe. Son état ne.s'améliore pas, toujjurs
u développemen t de troubles mentaux. Ceux-ci, caractérises par des hallucinations auditives abondantes, se compliquent ultérieure
onservent souvent la faculté d'apprécier la nature morbide de leurs hallucinations . Mais en certains cas, ils déli- rent vraiment
Mais en certains cas, ils déli- rent vraiment et attribuent à leurs hallucinations une origine étrangère. Dans les quatre observat
ouent un grand rôle. Si l'affection de l'ouïe ne guérit pas, si les hallucinations qu'elle engendre ne disparaissent pas, le délir
avec agitation motrice et psychique intense, attitudes pathétiques, hallucinations de la vue et de l'ouïe; puis s'est déclarée, pl
des troubles plus ou moins profonds de l'intelligence, des faits d' hallucination , d'auto-suggestion. Il s'agira dans la plupart
démences alcooliques avec ou sans épilepsie 18. La prédominance des hallucinations auditives, la possibilité de systématiser, la c
s aucune différence en ce qui concerne l'odorat ni l'ouïe. Jamais d' hallucinations ni de folie. Les senti- ments affectifs sont dé
n'a ni tics ni manies. Son sommeil est régulier, sans cauchemars ni hallucinations . Lors de ses accès, il dit avoir un peu mal à l
ns antérieurs. Hallu- cinations et illusions auditives, quelquefois hallucinations olfac- tives, visuelles et tactiles. Pas de dél
ériode immédiatement voisine un délire avec agita- tion, illusions, hallucinations et prédominance d'idées érotiques et religieuse
58 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
il présente du tremblement des mains, sans embarras de la parole ni hallucinations dé la vue -et de l'ouïe; ses-pupilles sont égal
. Cette tendance aux 4 MÉDECINE LÉGALE. idées de persécution sans hallucinations de l'ouïe se rencontre, en général, chez les pe
d'un accès de délire alcoolique subaigu avec idées de persécution, hallucinations injurieuses et terrifiantes de l'ouie et de la
at de police : débilité mentale avec idées confuses de persécution. Hallucination de l'ouïe : on l'appelle voleur; on menace de l
uche (P. Garnier). Certificat d'admission : débilité men- tale avec hallucinations ; idées de persécution; excitation passa- gère;
Certificat immédiat : Débilité mentale avec idées' de persécution; hallucinations : on l'appelle voleur quand il passe dans les r
t bien là le délire psycho-senso- riel avec idées de persécution et hallucinations injurieuses et terrifiantes de l'ouïe et de la
d'esprit de son espèce et souvent se dédou- ble : la terreur et les hallucinations visuelles disparaissent en quelques jours alors
lucinations visuelles disparaissent en quelques jours alors que les hallucinations de l'ouïe, les idées de persécution et la croya
e la vessie, du rec- tum et des organes génitaux. Le malade a des hallucinations visuelles (animaux, figures gri- marantes), tre
une période ulté- rieure à son stade du syndrome spasmodique. Les hallucinations visuelles et le tremblement du malade de l'O.Bs
s complexes, parfaitement coordonnés, en rapport avec la nature des hallucinations et des impulsions provoquées. Abandonné à lui-m
es somatiques pouvant tomber sous le contrôle de l'observation. Une hallucination , un rêve, un délire, un phénomène psychique que
ypnotiques, sinon chez toutes, certains phénomènes rela- tifs à des hallucinations visuelles qui permettent comme les caractères s
eux parties par une ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l' hallucination du rouge, elle aura sur l'autre moitié la sensa
itale pro- vert, et il paraît jaune si l'on a suggéré à la malade l' hallucination de la couleur bleue sur le premier carré. 1(.
e moment même, dans mon service, une autre malade qui a été prise d' hallucinations avec idées de persécution à la suite d'une séan
estrer à moins qu'ils ne le demandent. Mais dès que surviennent des hallucinations , la loi commune aux autres aliénés leur devient
on du morphinomane peut être légitimée avant môme qu'il n'ait des hallucinations , car on doit le considérer comme un malade hanté
, entrée à l'asile dans de mauvaises conditions physiques, avec des hallucinations de l'ouïe consécutives à des injections hypoder
ppression brusque, elle a eu pendant six mois des vomissements. Les hallucinations ont persisté pendant un an. Le malade a guéri a
s sens. L'orateur se base .')Ur ce que l'affection commence par des hallucinations puis desillusionsavecconserva- tion de la mémoi
Le D'' Conolly Norman admet que la monomanie existe souvent sans hallucinations ; pour lui c'est une alloclioti des dégénéré', d
rétrograde vers le sensorium. Pour le D1' Robertson le siège de l' hallucination peut être au niveau des organes des sens, des gan
voisinage des centres auditif et visuel explique la combinaison des hallucinations combinées dans la folie. Le Dr Ire- land rappel
nt de lui, le préoccupant matin et soir ; puis se manifes- tent des hallucinations du goût, de l'ouïe, de l'odorat, de la vue,, de
le mari jaloux et querelleur maltraite sa femme ; en proie à des hallucinations de tous les sens, il passe graduellement à la pha
rès une fièvre typhoïde, une apoplexie cérébrale, un priapisme. Les hallucinations , rares dans la première forme (elles sont simpl
2° Le délire de jalousie primitif présente rarement au début des hallucinations ; celles-ci ne s'installent qu'avec la généralisat
ire; le délire de jalousie secondaire est précédé et accompa- gné d' hallucinations en masse. 3° Le délire de jalousie primitif app
t-il de l'affaiblis- sement de l'intelligence ou de la mémoire, des hallucinations , des conceptions irrésistibles, etc., etc.; et
, il est possible de donner à un sujet con- venablement préparé des hallucinations , des ordres , des rêves, le frapper d'anesthés
suggestion, dans la période somnambulique, le dé- veloppement d'une hallucination visuelle ou auditive. On pou- vait, au contrair
ion .qu'étaient 96 6 SOCIÉTÉS SAVANTES. dues les illusions et les hallucinations sensorielles présentées par sa malade. Le dél
orable des feuilles de coca en infu- sion chez un mélancolique avec hallucinations et idées de persécu- tion. Sous l'influence de
d, une dame de haut rang, atteinte de délire de persécutions avec hallucinations , ayant intenté une action en divorce contre son
rayent et qui lui inspirent des injures. Il ne parait pas avoir des hallucinations d'autre origine. Ses illusions sont très marquées
roule sur des conceptions fanatiques religieuses et se complique d' hallucinations de la vue et de l'ouïe. Mais, au milieu d'idées
if; il se greffe toujours sur des troubles sensoriels (illusions et hallucinations ). B. -'fous les sens peuvent être affectés, mai
sensibilité générale prédo- minent le plus souvent. Après eux, les hallucinations de la vue, paraissent l'emporter en degré et en
ur les hallucina- tions de l'ouie et celles-ci à leur tour, sur les hallucinations de l'odorat et du goût. C. Les troubles senso
u l'occasion de donner des soins à une malade qui avait été prise d' hallucinations de la vue et des troubles de la sensibilité gén
eur est devenue subitement folle. Son délire se manifestait par des hallucinations et des frayeurs qui nécessi- tèrent son placeme
veut nous mener. Il a reproché au rappor- teur d'avoir négligé les hallucinations ? Mais ce n'est là qu'un symptôme et tout le mo
ue, on fait mention, parla même, de son symptôme le plussaillaul, l' hallucination del'ouîe. Après les déclarations caté- goriques
59 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OS CHEZ UN EPILEPTIQUE. 5U suite d'une attaque, accès de folie avec hallucinations et violence. On doit isoler le malade en cellul
ompter. En outre de sa folie postépileptique caractérisée par des hallucinations et de la fureur, notre malade a un délire per-
une sorte de délire mélancolique avec idées de persécution et sans hallucinations . - Je trouve que, chez beaucoup d'anciens épile
avec mouvements choréiques (Obs. V), - une chorée avec angoisse et hallucinations chez une imbécile maltraitée (Obs. VI). L'exame
r J. HOPPE. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XLI11, 4, 5.) Bien que les hallucinations ne se produisent pas par l'excitation extérieur
construit, par la pensée, une figure, une forme, devenant bien vite hallucination , de même qu'on transforme la surface de la lune
ience; amélioration temporaire; altération du goût et de l'odorat ; hallucinations de l'ouïe; réapparition des phénomènes d'incons
on note de l'exaltation, avec beaucoup de vanité; les idées ou les hallucinations sont ou sexuelles ou reli- gueuzes : en somme,
st défavorable. Le nidiade dont il s'agit ne parait pas avoir eu ni hallucinations ni préoccu- pations sexuelles ; mais l'élément
omme destiné à l'enfer. - Le cas était en somme dé- favorable : les hallucinations de l'ouïe avaient débuté même avant l'entrée à
agit d'un cas de lypémanie hallucinaloire. Le texte du délire elles hallucinations étant de nature érotique ou ayant trait à des i
hysème). Nos sujets étaient des déments, et un hypochondriaque avec hallucinations sensorielles et idées de suicide. Les symptômes
ons et les talents mer- veilleux, les bizarreries de caractère, les hallucinations réflexes, les sensations spinales irradiées (té
, signe très-accusé de de Groefe, accès d'angoisse noc- turne, avec hallucinations très nettes de la vue. Coloration brun foncé de
». Mais que M. Kandinsky publie « sa théorie et ses études sur les hallucinations (vraies) son second écrit ne sau- rait, être di
uble de la sensibilité morale et affective (humeurs anormales), des hallucinations . Il est fréquent, excepté dans la folie systéma
e de troubles intellectuels avec intervalles d'excitation, quelques hallucinations , idées de couleur mystique relatives au spiriti
é intellectuel, délire incohérent mystique dans les premiers jours, hallucinations hypnagogiques, troubles de la mémoire pré- domi
tématique malade depuis dix-huit mois (délire des persécutions avec hallucinations et pa- roxysmes d'agitation) l'influenza déterm
êmes conditions affectée de désordre généralisé dans les idées avec hallucinations sen- sorielles ; une folie systématique chroniq
e point l'influenza et le choléra qu'elle fut prise d'angoisse avec hallucinations et désordre dans les idées. Deux morts eurent l
erçut qu'il était atteint de folie systématique avec prédominance d' hallucinations de l'odorat. Il était évidemment atteint d'une
tion catarrhale de l'espace nasopharyngien, mais il avait aussi des hallucinations olfactives, hallucinations peut-être provoquées
nasopharyngien, mais il avait aussi des hallucinations olfactives, hallucinations peut-être provoquées par la lésion organique mais
ndis que chez les vrais persécutés, il y a prédominance notable des hallucinations auditives : ces dernières jouent, en effet, un
es nocturnes, d'une durée de une à deux heures, constituées par des hallucinations , des cris ; elle se débattait contre les person
irée, précédant le sommeil. Elle a eu aussi à cette époque quelques hallucinations hypnagogiques. Au moment du sommeil ou en dorma
une parole, « c'est une pensée. » Elle parait avoir quelquefois des hallucinations élémentaires de l'ouïe. C'est ainsi qu'elle a r
n relation avec des maladies de l'oeil. Le délire en général et l' hallucination en particulier, quand ils ont leur point de dépar
nceptions délirantes, qui, brutale- ment, sous l'influence ou non d' hallucinations sensorielles d'ailleurs fugaces, se transformèr
le d'une déchéance (anémique ou autre) de l'économie, germent des hallucinations qui engendrent des idées délirantes et consécutiv
E; par A. Pack. (Jah1'büch. f. Psych., VIII, 1,2.) Observation I. Hallucinations unilatérales de l'ouïe; leur loca- lisation ; s
re. Epilepsie Jacksonienne du côté droit; accès de surdité verbale; hallucinations de l'ouïe du côté droit. Démence rapide. Diagno
u désordre dans les idées avec balbutiement, embarras de la parole, hallucinations , du clonisme podalique, de l'exagération des ré
encéphalite. P. K. LVIII. UNE observation SUR la localisation des hallucinations hypnagogiques, par I' UCH3. (Neurol. Centralbl.
I' UCH3. (Neurol. Centralbl., 1888.) Au moment où apparaissent ces hallucinations le patient a con- servé la notion de position d
un traumatisme céphalique, céphalalgies, étourdissements, vertiges, hallucinations de la vue et de l'ouïe. Puis, crises d'agitatio
ie au niveau du front et de la racine du nez, et qu'il survient des hallucinations et du délire. Les phénomènes s'amendent vers le
asiles pour le traitement des alcooliques et des ivrognes. B. Les hallucinations chez LES personnes saines. - Nous lisons dans t
d University (Cambridge, Mass.) au nom de la commission d'étude des hallucinations de the Society for Psychical Researcle, désire
or Psychical Researcle, désire réunir de nombreux documents sur les hallucinations et serait heureux qu'on lui répondît par oui ou
92; - hydropisie intermitente du , par Pierson, Rosenbach, 214. Hallucinations , pseudo. - par Hoppe, 253; - localisation des-
60 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nte : Manie simple. -Démence consécutive à la manie. Illusions et hallucinations . Agitation consécu- tive à des attaques d'épile
ui peut parfois manquer (OBs. VI). 12 thérapeutique. Illusions et hallucinations . Observation XI. - 1T. Dup... Démence avec illu
lières de contenu mixte (persécution et grandeur) et accompagnées d' hallucinations (pî,i2nâi-e oder eigentlzclaer Wahnsinn). Les i
armés, succombent dans la lutte pour l'existence ; ils sont pris d' hallucinations , de con- ceptions délirantes, et tombent rapide
ès longue, éclate souvent à la ménopause chez la femme. Ce sont les hallucinations de l'ouïe qui ouvrent la scène. Les idées de pe
olie. Les idées fixes ont pour Samt la même base pathologique que l' hallucination , et ne sont pas une tentative d'explication de
der Psi/ Mutin». Berlin 1874, p. 38, li2 ... 68 REVUE CRITIQUE. hallucinations des autres sens, mais rarement de la vue; le dé
suivies généralement d'un stade d'excitation. On observe aussi des hallucinations auditives, mais très vagues. Ce délire à marche
bstratum du délire de persécution s'accompagnant d'illu- sions et d' hallucinations .- 2° La forme chronique àdébutlent, à marche ré
ations.- 2° La forme chronique àdébutlent, à marche rémittente. Les hallucinations et le délire de persé- cution apparaissent les
rve souvent des idées de persécution par Té- lectro-magnétisme, des hallucinations olfactives'. Quant aux délires systématisés que
ent dans la convales- cence des affections fébriles. A la suite des hallucinations , apparaît alors le délire. 1-(eynert' (1881)
tArcle. psych. persécution, du dédoublement de la personnalité, des hallucinations de la vue et de l'ouie surtout du côté gauche a
comme une manifestation de la fo- lie morale, à cause du manque des hallucinations qui sont or- dinaires dans les délires systémat
e de persécutions vagues sans persécuteurs. Ces malades n'ont pas d' hallucinations , ils peuvent guérir ou passer à l'état chroniqu
e persécution, où les idées maladives sans cesse alimentées par les hallucinations prennent corps, s'installent, se coordon- nent
rapproche plus de l'état de simplicité; 4° les BIBLIOGRAPHIE. 119 hallucinations de la mégalomanie complexe sont dues aux vésanie
trique. PrixCiurieux. 1887 : Des névralgies vésicales. 1888 : Des hallucinations de l'ouïe. 1889 : Des troubles de la sensibilité
. et s'accompagnant d'excitation ; le calme peut renaître, mais les hallucinations persistent avec des idées d'empoisonnement, de
actérisée par la. persistance des troubles sensoriels, illusions ou hallucinations , entretenant un délire de persécution. La varié
avec désordre dans les idées, idées de persécution, basées sur des hallucinations multiples, léger affaiblisse- ment intellectuel
insi qu'il existe aussi une Illusionai,e Ve'Mc/te dans laquelle les hallucinations de l'ouïe et les plaintes hypochondriaques perd
ématisation plus ou moins nette, plus ou moins parfaite. mitive d' hallucinations ou d'illusions, tandis que dans le 2e groupe, c'e
ndis que dans le 2e groupe, c'est le délire qui ouvre la scène, les hallucinations venant ensuite le renforcer et le soutenir comm
genèse du délire, et reste indécis à ce sujet, se demandant si les hallucinations sont pri- mitives, si les idées délirantes n'en
e intellectuelle d'Esquirol. < 2° La folie sensorielle quand les hallucinations n'engendrent pas de la manie ou de la mélancoli
malades des accès d'angoisse, voire de l'hébétude, du délire avec hallucinations ; il n'est pas rare de voir, après sa suppression
lle démoniaque de celte femme particulièrement tourmentée par des hallucinations et des illusions de l'appareil génital. Son autob
dix-huit ans commença à ressentir de la mélancolie religieuse, avec hallucinations et obses"ions, et n'ayant pas de traitement dev
térale du thorax, la moitié droite de la face, enfin la tête. Pas d' hallucinations delavue, pas de phosphènes. Gran- did... ne res
t d'é- prouver. Il n'aurait jamais eu d'excitation maniaque, ni d' hallucinations , mais on a noté des idées tristes et, à deux re
parfois forcé de le pousser à manger. Dort bien. Dans la journée, hallucinations de l'ouïe. Se détourne comme si on l'interpella
des extrémités. Répond à peine aux questions, ne parle pas de ses hallucinations . Pupilles égales, petites. Oreilles petites, ou
bien les mouvements. Comprend bien ce qu'on lui dit. Doit avoir des hallucinations . Cyanose très pro- noncée des extrémités. Peau
e, à bout de force, ne puisse plus lutter contre ses idées et ses hallucinations terrifiantes. Il est dominé, et alors tous les
lutions rolandiques et du lobe paracentral soit en rapport avec les hallucinations et l'agitation du début de la maladie ? C'est p
auteurs ne s'entendent pas sur les symptômes, les uns regardant les hallucinations comme pri- mitives, les autres comme secondaire
grave, ni un désordre général; qui s'accompagne presque toujours d' hallucinations et d'idées délirantes permanentes plus ou moins
, il survient sans état morbide émotif antérieur, il s'accompagne d' hallucinations qui sont secondaires, affectant le plus souvent
e plus souvent le sens de l'ouïe, puis la sensibilité générale, les hallucinations visuelles étant très rares. Ce délire peut subi
retrouve des deux côtés la même symptomatologie, la même marche ( hallucinations surtout de l'ouïe, nature et évolution des idée
lier, début insidieux et progressif du délire ou apparition rapide, hallucinations multiples ou absentes, relations entre elles de
préoccupations hypo- chondriaques, il avait rapidement présenté des hallucinations , des troubles de la sensibilité générale et des
triste, affaibli, en proie à une monomanie de persécution ou à des hallucinations , ses parents, au contraire, pèsent incessamment
61 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
111. Ireland a cherché les éléments de ce résumé historique, où les hallucinations de l'héroïne aussi bien que les principaux trai
e ses «délusions». Brierre de Roismont a montré à la vérité que les hallucinations sont compatibles avec l'état de raison ; mais s
avec l'état de raison ; mais si quelques personnes ont pu avoir des hallucinations sans que leur raison fût troublée, on considère
« délusions » de Jeanne , lesquelles paraissent se rattacher à des hallucinations de l'ouïe et de la vue. L'auteur déclare qu'il n'
les sens, no- tament du tact, les bourdonnements d'oreilles et les hallucinations de l'ouïe qui les accompagnent souvent, les sym
c d'entrée est ainsi for- mulé : affaiblissement intellectuel, avec hallucinations et conceptions délirantes; l'examen révèle, en
de fatigue. A partir du 16 octobre, accès d'agitation extrême avec hallucinations de l'ouïe et de la vue, désordre dans les idées
directe. Les sensations pathologiques relèvent du vaste domaine des hallucinations , mais elles jouent un rôle tout particulier, et
jouent un rôle tout particulier, et s'observent assez souvent sans hallucinations proprement dites. Elles ne manquent presque jam
inévitable dès qu il y a douleur, angoisse, conceptions délirantes, hallucinations , et doit être imposée lorsque le malade n'a plu
rme ; il a en outre une sensation de chute dans un précipice. Pas d' hallucinations de l'ouïe; appétit bon. U mai. - Les notes de l
ts bonshommes de 2.'i cen- timètres qui lui faisaient des grimaces ( hallucinations ). Encore un peu d'incohérence ce matin. Bain de
12 ans, se sont ajoutés des accès d'épilepsie compliquée de délire ( hallucinations , excitation maniaque, etc.). Les accès se montr
sensorielles et notamment à celles d'ordre optique. Sans parler des hallucinations et des illusions qui peuvent exister en même te
ont il s'agit met en relief des idées fixes d'em- poisonnement, des hallucinations de la vue et de l'ouïe (le malade voit martyris
: changement brusque d'habitude; comme caractère négatif, absence d' hallucinations . D'autres sujets présentent aussi des troubles
nts divers; insuccès. - Agitation maniaque parfois après les accès; Hallucinations de l'ouïe. Onanisme. Curare; insuccès. Hydrothé
zarres surgissent spontanément et le fait même que des illusions et hallucinations peuvent être interprétées par le malade dans le
un tissu inextricable. BAJENOFF. XXVI. Théorie physiologique DE l' hallucination ; par A. BINET et Ch. Récrié. (Revue scientifiqu
Il existe un certain nombre de faits qui paraissent démontrer que l' hallucination est produite par une excitation des centres senso
rt des hystériques hypnotisées, il est impossible de suggérer des hallucinations colorées par l'oeil achromatopsique; M. Binet a
topsique; M. Binet a pu vérifier que la même règle s'étendait à une hallucination spontanée, chez une hystérique aliénée. Si l'ac
trouble fonctionnel de l'écorce cérébrale, met le même obstacle à l' hallucination qu'à la perception d'une ' C'est le terme propr
tient vraisemblablement à ce que les deux phénomènes, perception et hallucination , emploient le même ordre d'éléments nerveux. En
, emploient le même ordre d'éléments nerveux. En d'autres termes, l' hallucination se passerait dans les centres où sont reçues le
iels. 20 Les phénomènes de contraste. M. Parinaud a observé que l' hallucination d'une couleur peut développer des phénomènes de
eux parties par une ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l' hallucination du rouge, elle accuse sur l'autre moitié la sen
oitié blanc et moitié rouge. 3, Les sensations subjectives. Toute hallucination d'une couleur qui dure un certain temps laisse
on. Cette couleur complémentaire est l'image négative laissée par l' hallucination colorée; elle dure peu de temps, s'efface, sepe
nous montrent le rapport étroit de parenté qui unit la sensation, l' hallucination et le souvenir. 4° Mélange des couleurs imagina
Or, les auteurs ont constaté que, dans différentes circonstances, l' hallucination visuelle produit une modification dans la sensi
sensibilité des téguments, ce qui nous paraît rendre probable que l' hallucination visuelle intéresse le centre de la vision. Ains
ensibilité des membranes externes de I'oeil. Chez un autre sujet, l' hallucination , en se prolongeant après le réveil, provoque un
des téguments de l'oeil qui dure exactement autant de temps que l' hallucination . Enfin, chez une hypnotique, l'hallucination visu
autant de temps que l'hallucination. Enfin, chez une hypnotique, l' hallucination visuelle unilatérale produit une dysesthésie lo
andonner son lit et t se promener en rond, sans idées délirantes ni hallucinations . Au milieu de février, survient un accès vertig
uant aux fous systématiques, on en étudie les idées délirantes, les hallucinations sensorielles. Les paralytiques généraux sont ég
tendance au suicide, des fous systématiques à idées délirantes ou hallucinations dangereuses pour la sécurité publique, de la foli
entales), par ltégis, 87. Gymnastique(la), IrarColhneau,4 : i8. Hallucinations de Jeanne d'Arc, par Ireland, 72. Hiver (stat
62 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à chaque seconde : « Soeur, il faut mourir. » Jamais elle n'a eu d' hallucinations . 1-11 G... se dé- goûta de la vie et voulut se
xcitation et de dépression qui n'é- taient pas sous la dépendance d' hallucinations fixes ou de conceptions délirantes systématisée
ser avec les personnes qui l'entourent. Ses causeries sont mêlées d' hallucinations . Elle cherche à effrayer, marche vers la fenêtr
e connaissance. Ensuite survint un état de délire avec illusions et hallucinations terrifiantes , menaces et langage obcène. Puis
on également d'un accès de contrac- ture généralisée avec délire et hallucinations gaies, se rappro- chant de ce qu'on observe dan
renait souvent au mi- lieu de ses crises semble bien répondre à une hallucination , et pourrait être considérée alors comme une de
nce, excitation, surtout nocturne, présentant tout le cor- tège des hallucinations terrifiantes, spéciales à l'alcoolisme aigu. 11
osition qu'on leur imprime, il y a de l'anesthésie généralisée. Des hallucinations se développent. La malade voit surtout de l'eau
revient à l'état cataleptique d'avant l'attaque : réapparition des hallucinations de la vue, visions sombres. ,18 aoùt. - La nuit
érentes, a eu une attaque dans le genre de celle de la journée. Les hallucinations continuent. J. veut partir absolument : son méd
s attitudes, mais pour entrer dans une période de délire doux, avec hallucinations et discours monologué. Elle est à Lyon, monte à
EVUE CRITIQUE. - cet état que j'ai précédemment décrit ; elle a des hallucinations et les hommes noirs reparaissent avec leurs ail
passe aux scènes religieuses. Dans l'in- tervalle des attaques les hallucinations ont persisté. . 7 octobre. Deux séries d'attaqu
es qui surviennent au cours de la maladie, la forme et le motif des hallucinations et du délire. Mais elle n'imagine point le mode
une attaque. Elle n'invente point la façon dont s'enchevêtrent les hallucinations de la troisième période, l'espèce d'opiniâtreté
troisième période, l'espèce d'opiniâtreté maligne avec laquelle les hallucinations terribles viennent interrompre les hallu- cinat
ar la fenêtre. Dans plusieurs observations, aliénation mentale avec hallucinations de la vue et de l'ouïe ; tantôt la malade s'ent
t des hommes venus pour la persécuter, etc.... On a même décrit des hallucinations du sens de l'odorat (voir la très intéressante
iaise dans nos Archives, vol. ni, n«$7 7 et 8). M. Ord attribue ces hallucinations à ce que. dans le myxoedème, les extrémités ner
e de pédérastie de la part d'un domestique. Un peu plus tard, des hallucinations de l'ouïe sont venues lui désigner un nommé Miche
plaignait, était exacte ou imaginaire. Depuis sa séquesta- tion les hallucinations ont disparu progressivement, et, il y a quelque
us, mais ne peut prendre sur lui de répondre qu'après la sortie les hallucinations ne reparaîtront pas, et qu'un nouveau crime n'e
ur examiner le sujet. 11 n'offre aucune trace de délire, n'a plus d' hallucinations , se comporte très régulièrement à la maison, où
ire des persécutions. J'ai vu bien fréquemment des malades dont les hallucinations cessaient aussitôt après l'entrée à l'asile, po
tuer le premier enfant qui se présentera à lui. Pour obéir à cette hallucination , il commet ce meurtre en plein champ. Au moment
nzaiîesthésie et à la torpeur cérébrale hémilalérale, établit que l' hallucination ne peut être absolue, complète, que lorsque l'i
phases de dépression et d'hébétude, chez lesquels on note aussi des hallucinations de la vue et de l'ouïe, ainsi que des convulsio
iques, sous la -forme de lypémanie et manie actives, accompagnées d' hallucinations menaçantes, imprimant à la psychose, un'cachet'
xagéré d'idées, insomnie; peut-être est-il en même temps le jouet d' hallucinations de la vue. ~et de l'ouïe. A son entrée à l'asil
ute soudain, la nuit, par un délire de persécutions, grotte sur des hallucinations de l'ouïe; puis de la vue et de la sensibilité
nnes qui l'entourent, et présentant des accès d'an- goisse avec des hallucinations delà uic : tentatives de suicide pour échapper,
. Il ? »ll ,, |. folie systématique : délire des persécutions avec, hallucinations . .. f .1» .r ».(ii ? . v.'l. ,'b" , ,, .-if.j"
uelles que .soient lés conceptions'délirantes ou systématiques) les hallucinations ,' les'impulsions'irréfléchies cjùi les hantent !
uleurs céphaliques pendant cinq semaines; puis agitation, angoisse, hallucinations de l'ouïe (ronflements comme ceux d'une machine
Preoccup ât i'oii d 6 famille;1 lé remords ^la* pemaiiie avec u s 1 hallucinations sensorielles^ le'déliré' clé's pers futlonsIlïl
, décrit une observation de démence sénile sur laquelle, de par des hallucinations de l'ouïe, «'était greffée un délire des perséc
oire, et de la dépression des forces. Bientôt apparaissent quelques hallucinations de l'ouïe, pour céder la place à plusieurs accè
bien démontrées. ' Le chapitre v, sur la folie hystérique, avec ses hallucinations des sens. son incoordination maniaque, ses impu
e véritable mélancolie avec stupeur : (t) soit simple; b) soit avec hallucinations , c) soit avec crises d'excitation, soit avec un
oint de vue de la recherche des localisations cérébrales. Enfin les hallucinations (h. sensorielle), ou le délire précurseur de l'at
érie d'attaques, elle ressemble beaucoup à un accès de manie. Les hallucinations qui accompagnent ces périodes délirantes peuvent
63 (1911) La pratique neurologique
errait noir dans le champ aveugle. On a observé des photopsies, des hallucinations visuelles. , Hémianopsie par lésion des ganglio
s bourdonnements, de l'exa- gération de la réaction galvanique, des hallucinations . Mais les conditions pathogéniques de ces troub
l est fréquent de constater des auras auditives, bruits subjectifs, hallucinations audi- tives, surdité. Ces symptômes font aussi
e, etc. ' Enfin les maladies de l'oreille peuvent être une cause d' hallucinations el de psychoses. Les bruits subjectifs prennent
onstitué. Celle, interven- tion sensorielle dans la production de l' hallucination et de la folie, que Calmeil indiqua le premier,
ment, droit de cité en se basant sur l'étude de quelques cas nets d' hallucinations unilatérales en rapport avec des lésions locali
nétiques, illusions d'attitudes ou illusions de mouvements; '(" les hallucinations d'espace, également d'altitudes ou de mouvements,
le; l'un- goisse continuelle, les bruits subjectifs permanents, les hallucinations visuelles, les culbutes subjectives répétées, l
accompagnent ceux-ci, de l'hypothermie et de la pâleur ceux-ta. Les hallucinations sont très violentes; et l'on peut parfois recon
ROUBLES DE LA PAROLE. lion mentale; beaucoup sont commandés par les hallucinations du malade. Notons encore que l'emploi de la pér
écrivant, semblant tracer leur graphisme sous la dictée de quelque hallucination . Certains enfin ne peuvent écrire, soit qu'ils
ectuel, quelles sont les idées déli- rantes, savoir s'il existe des hallucinations , rechercher les tendances réactionnelles du suj
é l'attention sur les cas de mutisme résultant de la pré- . sence d' hallucinations verbales psycho-motrices très développées, les-
mots différents à l'aide de deux images verbales motrices et que l' hallucination verbale motrice implique la participation du ce
ition à la fois deux images motrices différentes, l'une servant à l' hallucination , l'autre il l'expression de la réponse sollicit
'l'aecini). J) (S("glas.) Le mutisme peut être sous la dépendance d' hallucinations qui défen- dent au malade de parler. Dans d'aut
mnésie est alors le plus souvent 7,éti,o-aiitéi-oli@ade. - - LES. HALLUCINATIONS .. ' 237 7 L'amnésie générale est rare. On aurai
peuvent réapparaître dans le délire, l'état somnambulique. ' LES HALLUCINATIONS Esquirol donne de l'hallucination la définition
e, l'état somnambulique. ' LES HALLUCINATIONS Esquirol donne de l' hallucination la définition suivante : « Un homme qui a la co
r cette sensation n'est à la portée de ses sens, est dans un état d' hallucination . » Bail a proposé cette définition plus simple
'hallucination. » Bail a proposé cette définition plus simple : « L' hallucination est une perception sans objet. » , Il faut di
ucination est une perception sans objet. » , Il faut distinguer J' hallucination de l'interprétation délirante; dans ce cas, les
art des psychiatres considèrent comme deux phénomènes dis- tincts l' hallucination et l'illusion; mais cette opinion a été discutée
e opinion a été discutée et, pour certains auteurs, l'illusion et l' hallucination ne seraient que deux variétés d'un même . troub
e différant que par le point de départ. L'illusion ne serait qu'une hallucination dont le point de départ est-manifeste et l'hall
ait qu'une hallucination dont le point de départ est-manifeste et l' hallucination une illusion dont le point de départ est latent
ont le point de départ est latent. Séglas pense que l'illusion et l' hallucination n'offrent pas des différences de nature, elles
éorie on peut faire rentrer les illusions dans le cadre général des hallucinations , à condition qu'elles, figurent dans un cadre s
inations, à condition qu'elles, figurent dans un cadre spécial, les hallucinations périphériques, mais il ajoute que, comme les ha
al, les hallucinations périphériques, mais il ajoute que, comme les hallucinations périphériques et centrales ont une valeur sémio
en pratique à les distinguer et à conserver l'ancienne division des hallucinations et des illusions. " Les hallucinations peuvent
rver l'ancienne division des hallucinations et des illusions. " Les hallucinations peuvent être périphériques ou centrales. Les hall
riel lui-même ou en dehors du, sujet dans le monde exté- rieur, les hallucinations périphériques sont dites subjectives ou objec-
ions périphériques sont dites subjectives ou objec- lives. Dans les hallucinations périphériques subjectives ou objectives, . . [G
on première peut porter sur l'appareil sensoriel correspondant il l' hallucination ou sur un appareil sensoriel différent, aussi ces
ou réflexes (Ilahlhaurn). Certains malades ont conscience que leurs hallucinations sont des phé- nomènes pathologiques, d'autres a
contraire n'en ont pas conscience. 11 existe différentes variétés d' hallucinations : les hallucinations senso- rielles, les halluc
s conscience. 11 existe différentes variétés d'hallucinations : les hallucinations senso- rielles, les hallucinations coenesthésiq
variétés d'hallucinations : les hallucinations senso- rielles, les hallucinations coenesthésiques. les hallucinations motrices. L
lucinations senso- rielles, les hallucinations coenesthésiques. les hallucinations motrices. Les hallucinations sensorielles compr
es hallucinations coenesthésiques. les hallucinations motrices. Les hallucinations sensorielles comprennent les hallucinations de l'
cinations motrices. Les hallucinations sensorielles comprennent les hallucinations de l'ouïe, de la vue, du goût, de l'odorat, du
inations de l'ouïe, de la vue, du goût, de l'odorat, du tact. Les hallucinations de l'ouïe sont très fréquentes, la surdité ne les
malades entendent des tintements, des sons mal déterminés, c'est l' hallucination auditive élémentaire; certains autres spécifien
it déterminé (roulement de tambour, bruit de cloche, etc.), c'est l' hallucination auditive différenciée com- mune. Enfin certains
es entendent des mots, des phrases ayant une signification, c'est l' hallucination auditive différenciée verbale. Il est des alién
l'écho de la pensée. Les mêmes distinctions sont applicables aux hallucinations de la vue. Les malades qui voient des flammes,
de la vue. Les malades qui voient des flammes, des lueurs, ont des hallucinations visuelles élémentaires; les malades qui voient
ssassins, des cer- cueils, des apparitions mystiques, etc., ont des hallucinations visuelles différenciées communes. Les hallucina
etc., ont des hallucinations visuelles différenciées communes. Les hallucinations verbales visuelles existent, mais sont très rar
llucinations verbales visuelles existent, mais sont très rares. Les hallucinations se produisent souvent les yeux ouverts, mais pa
lade pour les provoquer. Elles existent même chez les aveugles. Les hallucinations peuvent n'intéresser qu'une seule moitié du champ
cinations peuvent n'intéresser qu'une seule moitié du champ visuel ( hallucinations lrénrioliclues). Certains auteurs ont vu que l'ha
s axes optiques; Binet et Féré ont remarqué expérimentalement que l' hallucination pouvait se réfléchir dans un miroir, se dévier
pouvait se réfléchir dans un miroir, se dévier par le prisme. Les hallucinations du goût qui s'observent spécialement chez les m
amère, acide, terreuse, phosphorée, etc. , Les malades qui ont des hallucinations de l'odorat se plaignent de sentir de mauvaises
te conviction en disant que leur corps est décomposé, pourri. Les hallucinations tactiles consistent en sensations de fourmillemen
sations de fourmillements, de brûlures, d'attouchements, etc. Les hallucinations coell( ! sihésir¡ues donnent aux malades la croya
s ont des animaux dans leur estomac, des charbons brûlants dans LES HALLUCINATIONS . 2;)\1 leur intestin. Certains sujets se croien
ntestin. Certains sujets se croient en verre, en cire, en bois. Les hallucinations génitales sont très importantes il connaître, ell
iations calom- nieuses qui parfois mettent en action la police. Les hallucinations kinl's- lllésiques consistent en sensations de
ons de chute, etc., elles appartiennent d'ailleurs il la classe des hallucinations motrices. Les hallucinations motrices on) été é
tiennent d'ailleurs il la classe des hallucinations motrices. Les hallucinations motrices on) été étudiées par Sellas; les sujets
tombent dans les précipices, sont soulevés de leur lit, ce sont les hallucinations des anciennes sorcières qui allaient au sabbat en
abbat en traver- sant l'espace sur un manche; il balai, ce sont les hallucinations des am- putes qui disent accomplir des mouvemen
r des mouvements avec leurs membres fantômes. Sellas a montre que l' hallucination peut, encore être plus spécialisée, intéressant
on spéciale, celle du langage dans ses éléments moteurs : « C'est l' hallucination verbale motrice, orale ou graphique, con- sista
entent, parler. Le centre moteur d'articulation est en jeu dans ces hallucinations . Séglas attire l'attention sur les faits suivants
qui parlent tout seuls leur r pensée. Si on leur fait écrire leurs hallucinations , ils n'écoulent pas non plus, mais font en écri
n.... Certains de; ces hallucinés remarquent spontanément que leurs hallucinations ne peu- vent se produire quanel ils parlent eux
ersement qu'ils ne peuvent parler eux-mêmes pendant t la durée de l' hallucination Rappelons enlin certaines habitudes em- ployées
tudes em- ployées par les malades dans le but de faire cesser leurs hallucinations et qui toutes tendent à s'opposer aux mouvement
on parle par leur bouche, qu'on les force ;t lrwlcr, c,tu.... Les hallucinations sont parfois unilatérales. Ces hallucinations uni
lrwlcr, c,tu.... Les hallucinations sont parfois unilatérales. Ces hallucinations unila- Iéralcs mt souvent comme point de départ
fonctionnel ou des lésions matérielles des organes sensoriels. Les hallucinations ((I/la(jo- [G. GUILLAIN.] 240 vl;)It1)L(lGfl;
240 vl;)It1)L(lGfl; l'Sl( : Ilf : \'l'ItIllUl ? ni¡.;les sont les hallucinations de ces malades qui, par une oreille, enten- den
r l'autre oreille, au contraire, des compliments, des éloges. Les hallucinations s'accompagnent de certains symptômes qui peuvent
aliéné est dans le mutisme. C'est ainsi qu'on observe, au cours des hallucinations , des modifications du pouls et de la circulatio
la circulation, des réactions mimiques. Le malade, qui présente des hallucinations de l'ouïe, a l'attitude d'un individu qui écoute
a l'attitude d'un individu qui écoute ; le malade, qui présente des hallucinations visuelles, a souvent la tête en rotation, le re
tions visuelles, a souvent la tête en rotation, le regard fixe. Les hallucinations du goût s'accompagnent de crachement, de mouvem
ions de l'odorat se bouchent le nez, etc La valeur sémiologique des hallucinations est importante. Les hallu- cinations se constat
onstances, dans la période intermédiaire à la veille et au sommeil ( hallucinations hypnagogiques), il la suite de la fatigue céréb
des maladies infectieuses, des infections et des intoxications. Les hallucinations sont très fréquentes dans les délires toxiques
s idées d'auto-accusation sont inconstantes, variables, reliées aux hallucinations d'origine toxique : l'anxiété et la teneur de l
2 SÉMIOLOGIE PSYCHIATRIQUE. de persécution sont en rapport avec les hallucinations , elles sont mobiles (délire il forme de rêve de
ereux. Les idées de défense sont habituellement en rapport avec des hallucinations . Il est d'autres malades qui prononcent des par
ant l'évolution du' délire de persécution, certains malades ont des hallucinations du sens génital qui ne leur sont nullement agréab
mélancoliques. Il diminue l'anxiété, permet le sommeil, atténue les hallucinations . On administre le chlorhydrate de morphine en i
délires infectieux et toxiques on expliquera qu'ils sont le jouet d' hallucinations ; aux malades qui ter- minent un accès de confus
érescence ou démence, nature et caractère des idées délirantes, des hallucinations , des impulsions ou ten- dances morbides, etc.).
ve. Enfin, on les observe fréquemment en médecine mentale, dans les hallucinations et les illusions, principalement dans la, folie d
ives, rapportées soit auxparties périphé- riques, soit aux organes, hallucinations , phénomènes moteurs des épi- septiques. - 5'ne,
s et de couleurs diverses, vision grossie ou rapetissée des objets, hallucinations , etc. Elles peuvent être auditives, olfactives ou
ation, besoin irrésistible de marcher, de gesticuler, de parler, en hallucinations , en palpitations, rougeurs ou pâleur des extrém
articulièrement celle dite « en arc de cercle » , Il semble que des hallucinations d'un caractère effrayant le pour- suivent. [R
lus expressives, les paroles reproduisent les diverses scènes d'une hallucination , d'un rêve, toujours les mêmes pour chaque mala
renet pensent qu'il faut classer des manifestations non choréiques ( hallucinations ) qui peuvent devenir nombreuses, être, suivies
affectifs peu développés, inintelligents, ils ont des manies ou des hallucinations . [CROUZON.] 802 CHORÉES. - ? La chorée est
ance au suicide, puis il a des colères vio- lentes, des manies, des hallucinations et enfin la mémoire se perd, il y a impossibili
conservées par les malades leur sont généralement suggérées par les hallucinations éprouvées. - Séglas fait observer que la catato
ion peut être intense au point de revêtir tous les caractères d'une hallucination . Certains malades éprou- vent seulement des pic
serait sans intérêt d'insister sur les aberrations, les véritables hallucinations , dont les maniaques font preuve. Il va de soi q
énitaux, les cauchemars, les obsessions, etc. On a décrit enfin les hallucinations calmes et tristes des dilatés (Bou- chard) et l
veuille satisfaire aux ordres émis par les voix impérieuses que ses hallucinations lui font entendre. Le syndrome étudié peut enco
deux autres, - avec flexion des premières phalanges, 1058. H Hallucinations et troubles auditifs, 146. - périphériques ou c
64 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ments, constipation opiniâtre, crises diarrhéiques, hyper- thermie, hallucinations , délire. Ces accidents seraient sur- tout à cra
affaiblissement de la mémoire. - Premiers troubles intellectuels, hallucinations visuelles, folie mystique qui font renvoyer l'enf
lade à son entrée. En mars 1899, délire religieux, durée dix jours. Hallucinations . - Fin mars : nouvel accès de délire, ré- missi
ellectuel. Dépression mélancolique avec excitation par intervalles. Hallucinations de l'ouïe, refus d'a- liments, idées de suicide
ebilité mentale avec idées mélanco- liques et idées de persécution. Hallucinations de l'ouïe, surdité. » En juillet, M. Briand, da
ent liés à l'hystérie, loquacité, agitation, propos déraisonnables. Hallucinations visuelles, fréquence du pouls. - Génuflexions f
(homonyme, bitemporale, binasale, centrale incomplète, double, avec hallucinations , à la couleur, en quart de cercle, etc., etc.),
ausé par une décharge dans le demi-centre obnubilé du cunéus; les hallucinations de la moitié aveugle sont dues à des irritations
vient une leçon fort intéressante et magistralement exposée sur les hallucinations du moignon ; puis une mise au point par- faite
horéiques cessent pendant le som- meil. J'attribue aux rêves et aux hallucinations hypnagogiques des épileptiques l'exception qu'o
tanée, sensations anormales de chaleur, troubles du sommeil avec hallucinations hypnologiques, aurait eu des hallucinations de la
roubles du sommeil avec hallucinations hypnologiques, aurait eu des hallucinations de la vue à l'état de veille. Pendant les der
s que voyons-nous ? Un délire, toujours le même, fait tout entier d' hallucinations pénibles, multiples, mobiles, professionnelles
nte ; il se manifeste d'abord la nuit, puis la nuit et le jour; les hallucinations disparaissent promptement le jour, se maintienn
de la stupeur, s'accompagnant d'actes impulsifs, d'obsessions et d' hallucinations impératives dirigées contre la vie du malade et
de suicide, idées de ruine et de culpabilité, scrupules religieux, hallucinations visuelles et auditives, sitiophobié, etc. Il y
r, guérir des maladies; l'empereur va venir les visiter, etc. Les hallucinations sont plus actives dans le Wahnsilln dépressif q
. dlly. Zeilschr. f. Psychiatrie; 1891, fasc. 1.) PHÉNOMÈNES DITS HALLUCINATIONS PSYCHIQUES. 395 Nombre des admissions en 1897 :
cins assistants. (A suivre.) PSYCHOLOGIE. Sur les phénomènes dits hallucinations psychiques; Par le Dr J. SÉGLAS, Médecin de B
jour à propos des phénomènes décrits par Baillarger sous le nom d' hallucinations psychiques, tiennent à des causes multiples : -.
te, rarement géné- rale, le plus ordinairement restreinte, du terme hallucinations psychiques et les divergences d'opinion sur la
oupement qui nous parait le meilleur est celui qui s'ap- plique à l' hallucination vraie. Nous distinguons ainsi les halluci- nati
teurs mystiques) sont des phénomènes intermédiaires à l'idée et à l' hallucination vraie, des représentations mentales vives, ani-
précises, mais dépourvues du caractère (l'cxlél'i')1'ilé qui fait l' hallucination vraie ; ce sont, en un mot, des psetcclo-lculluci
égories principales. a) La première de ces catégories est celle des hallucinations verbales motrices. Elles comportent plusieurs v
trices. Elles comportent plusieurs variétés d'après leur intensité ( hallucinations verbales kinesthétiques simples ou mo- trices v
pas uniquement une « épilepsie du centre de Broca » pas plus que l' hallucination sensorielle n'est uniquement « une épilepsie de
tel ou tel centre de l'écorce est une condition nécessaire de toute hallucination ; mais elle n'en est pas la condition ci la foi
e el suffi- sainte. D'autres facteurs entrent en jeu, qui font de l' hallucination un phénomène psychologique très complexe, un vé
al du mot ; et les images précises, com- plexes, intelligentes de l' hallucination ne semblent guère être absolument comparables a
aux mouvements convulsifs de l'épilep- sie. Plus que d'autres, les hallucinations motrices sont de nature à prouver cette distinc
roles articulées en rap- port avec tel ou tel délire, constituant l' hallucination motrice et les décharges spasmodiques, convulsi
de l'épi- lepsie. Si l'on s'en tient au point de vue clinique, l' hallucination motrice verbale peut se présenter sous différen
s'extériorise seule et semble en apparence, être seule intéressée ( hallucination motrice pure). - D'autres fois, elle s'accomp
'électrothérapie. 397 plus souvent auditive, mais non extériorisée ( hallucination mo- trice mixte). , D'autres fois encore, cet
riorise elle aussi et devient hallucinatoire comme l'image motrice ( hallucinations combinées). Tous les phénomènes de cette prem
ette première catégorie peuvent être considérés comme de véritables hallucinations . A part la note caractéristique due au rôle pré
érant du centre moteur, le mécanisme central est le même que dans l' hallucination senso- rielle. De plus il y a extériorité. Sans
'état de représentation mentale vive, précise, sans aller jusqu'à l' hallucination vraie, sans s'exté- rioriser. On pourrait dire
raie, sans s'exté- rioriser. On pourrait dire que c'est une pseudo- hallucination 1'eT- baie. Cette « conversation mentale » ne-d
a part principale revient il l'image motrice. En résumé, le terme d' hallucination psychique qui, dans son acception la plus génér
e, désigne des phénomènes disparates, dont beaucoup ne sont pas des hallucinations , ne peut qu'entre- tenir des confusions regrett
aux dans lesmaladies générales (délires fébrile, confusion mentale, hallucinations , etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués
seil général de la Seine et à la Commission de surveillance.) Des hallucinations visuelles complémentaires chez les amputés. M,
ques amputés il existe des 488 CONGRÈS international DE médecine. hallucinations visuelles qui viennent se surajouter aux diverses
erres de couleur entre l'oeil du sujet et l'image caractérisée. Les hallucinations visuelles sont tantôt spontanées, tantôt pro- v
aux dans les maladies générales (délire fébrile, confusion mentale, hallucinations , etc.) à l'action cérébrale des poisons fabriqués
par Faure, 226. Syndrome du postyphoïdique, par Be- naît, 289. Hallucinations psychiques, par Sé- glas, 395. - visuelles comp
65 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nt ce- pendant jamais présenté qu'une seule fois du délire et des hallucinations , un jour que, privés de morphine, ils avaient v
'autrui persistait toujours ; comme auparavant,pas de de- lire ni d' hallucinations . La conduite du malade était toujours tran- qui
mation ou la production des vraies idées obsédantes et phobies, des hallucinations sensorio- psychiques corticales, de la catatoni
re simplementtoxi-infectieux, M. LEGRAIN estime que l'intensité des hallucinations auditives observées doit faire penser aune acti
3, clc. - 13. SOCIÉTÉS SAVANTES. 137 lité les contractures, les hallucinations , l'automatisme, etc. Le sujet spirite n'est plu
beaucoup l'état d'inter- prétation de certains aliénés), tantôt des hallucinations de la vue, de l'ouïe ou de l'odorat. Chez tous
ez des sujets psychiquement normaux. De même, dans tous les cas d' hallucinations , Ilead a constamment trouvé la céphalée avec hy
i\I)RII ? . > 100 l'odorat. Le facteur déterminant la forme de l' hallucination serait donc la localisation de la céphalée et d
états psycho-pathologi- ques (mélancolie anxieuse ou avec stupeur, hallucinations de la sensibilité générale, délires systématisé
scence et la projection vers les viscères, sous forme de véritables hallucinations organi- ques, des images mémorielles de nos org
es images mémorielles de nos organes. A leur tour, ces illusions et hallucinations cénesthésiques servent de point d'appel chez le
s hypocondriaques véritables. Préoccupations hypocondriaques avec hallucinations obsédantes de l'ouïe ou de l'odorat. D'-LEROY
particulièrement nettes, trois se rapportent à des persécutés avec hallucinations de l'ouïe, la quatrième à une malade qui me par
ertitude si, dans cer- tains cas bien définis, les illusions et les hallucinations , par exemple, sont imputables à des lésions rée
r justifier des conclusions fermes sur la pathogénie et le lieu des hallucinations . Une seule maladie infectieuse, la rage, par sa
ue pathogénique, je pense qu'il y a lieu de distinguer les cas où l' hallucination est d'origine primitivement corticale par excit
ent corticale par excitation mécanique par exemple. Cliniquement, l' hallucination toxi-infectieuse semble ètre plus complexe et d
agit, en général, de déments précoces, chez lesquels, au début, les hallucinations auditives s'accompagnaient de gestes qui ont de
rientation dans le temps. 2° Parmi les phénomènes sensoriels, les hallucinations au- ditives surviennent dès le début, puis s'in
plus, ces malades; si dangereux parfois au début, à la suite des hallucinations nombreuses que nous avons signalées plus haut e
times; deviennent inoffensifs en même temps que disparaissent leurs hallucinations . 1 En résumé, nous dirons que la démence précoc
ement du délire des persécu- tés persécuteurs : chez ceux-ci, pas d' hallucinations , pas d'évolution délirante. La distinction es
ile avec les mégalomania- dues, qui arrivent très rapidementet sans hallucinations , par de simples constructions intellectuelles f
ntômes, des démons, des assassins ; plus rarement il y existe des hallucinations et des illusions de l'ouïe, du goût, des craint
e sera évitée si l'on a présent à l'esprit que le délire onirique à hallucinations professionnelles ou ter- rifiantes n'est pas, c
risées par de l'excitation ou de la dépression avec illu- sions, hallucinations , cris, parfois symptômes de ménin- gite et en p
ce fond" de pseudo-démence, de l'agitation, du délire onirique, des hallucinations et un état physique qui traduit, comme l'état p
es crises de panophobie impulsive. , Très souvent aussi, il y a des hallucinations ou des illu- sions du goût, créées ou entretenu
Puis la tristesse apparaît, avec des CHOLÉMIE JO; MÉLANCOLIE. 350 hallucinations et des idées de perséculion. Elle entend la voix
ent est de date récente (novembre), pour « délire mélancolique avec hallucinations , idées confuses de per- sécution, excitation, i
E ET MÉLANCOLIE. 301 Observation \ ? Mélancolie hypocondriaque avec hallucinations ; idées de persécution et de suicide. Cholémie.
viendra chercher son mari, on les guillotinera tous deux. » . Des hallucinations de la vue et de l'ouïe surgissent. Elle voit le
: Gmelin de moyenne intensité. Observation. \'1. Mélancolie acec hallucinations ; idées de persécution. Cholémie. (Résumée.)
arfois elle s'agite, se lève mais ne cause pas. Refus d'ali- ments. Hallucinations problables. Aucun organe ne parait atteint. Pas
, le Dr Magnan porta le diagnostic : de (. retire mélancolique avec hallucinations ; excitation par inter- valles et tendance au s
alimenter. ('.est dans le bois de Chaville qu'il a eu ses premières hallucinations : il lui semble qu'on le poursuit ; des voix lui
te. Par- instants, pourtant, elle s'agite encore et veut se sauver. Hallucinations probables. Cholémie. - Pas de renseignements ex
n. Chez les 3 premiers par exemple on a noté axant l'âge. de 30 ans hallucinations sensorielles, idées délirantes absurdes, désord
ue de la deuxièmepériode du délire de persécution systématisé, sans hallucinations visuelles, mais avec des hallu- cinations verba
ne combat cette manièrede voir. ' 'v> Origine périphérique des hallucinations des amputés, MM. Souques etPoisoTontfait réappa
cinations des amputés, MM. Souques etPoisoTontfait réapparaître ces hallucinations en faradisant les moignons,'alors que Pitres le
ent ou 'réveillent les anciennes images du membreabsent.L'absence d' hallucinations ou de leur reviviscence tient à ce que les imag
on quelconque, mais dans d'autres cas, ils servent à symboliser les hallucinations et les dé- lires qui les accompagnent avec leur
tique. Voir Bc- t711e. -1 1 AMBIDEXTERITE, p. 77. Amputés. Voir Hallucinations . Anomalies congénitales, par nlroplJi(' numér
ecine, par Boucard, p. 136. Grimace. La -, par Bloch, p. 140. ' Hallucinations . Voir Hynn- condriuqnc. Origine périphé- riqu
66 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
st le type le plus parfait : l'abstraction, la fascination, certaines hallucinations et certains sentiments affectifs, tels que l'admi
la Salpètriere 1° Nêvràlgîe tri/aciale. — Attaques convtilsivts. — Hallucinations de Ui vue et de Coule. — Délire de persécution. —
pour la mère et la grand mère on idées de persécution fondées sur des hallucinations de l'ouïe et en scènes de violence 16 avril. En p
encore des idées de persécution, mais n'a plus vu d'araignées, mêmes hallucinations de l'ouïe. 2e séance. — Mêmes suggestions ut su
avoir d'attaques ni d'idées de persécution. 22. N'a eu ni crises ni hallucinations , n'a plus de névralgie. 3e séance. — Mêmes sugg
e de se suicider, si «m ne la laisse pas épouser cet employé. Pas d' hallucinations , l'influence de ce jeune homme s'csl faite comme
s de délire amoureux mystique produit par influencé sympathique; sans hallucinations , dun homme sur une femme, uic rappelle le ras abs
s connu la thérapeutique hypnotico-suggestive, (1) 2° Hystérie avec hallucinations psychiques. —Influence singulière et durable prod
t prononcée à droite. Avant d'interroger ta malade au sujet île ses hallucinations , nous recueillons disa Bere les renseignements su
ui me plairait ; il avait offert la préfecture, j'ai accepté, » Ces hallucinations et ce- idérs délirantes se sont manifestées au mi
nne froidement sur tous les points et reconnaît rînron-équenre de ses hallucinations et de ses lellres. Nnus avons rapporté, peut-êt
raître Une première fois des attaques convul-sives hystériques el des hallucinations cl un délire de persécution, et cl une deuxième f
e ces derniers, les apparences des actes de la veille. Je citerai les hallucinations qui surgissent parfois tout d'un (I) Taine cite
ux sensoriels dans leur cours. Ainsi une seule fois, j'ai éprouvé une hallucination hypna-gogique. dont l'origine est toujours sensor
délire. Dans l'un de ces cas. un délire violent, avec prédominance d' hallucinations visuelles, débuta dès la première injection de ca
la caféine peut produire un délire violent à caractère hallucinatoire hallucinations visuelles surtout et susceptible, comme tous les
bouche écornante, puis crampes toniques et cloniques, arc de cercle, hallucinations , conceptions délirantes, etc. D'autres enfants ab
ce qu'ils sont en réalité. C'était vraiment, dans chacun des cas, une hallucination réelle. 12 autres fois j'ai encore eu de semblabl
résentées dans mon esprit, sans être toutes élevées n la hauteur de l' hallucination , mit été pour la plupart mieux dessinées que les
oncles paternels de la malade étaient très nerveux. Elle présente des hallucinations de la vue et de l'ouïe, elle voit des ombres et d
erait les membres et cela a réussi. Enfin j'ai obtenu toutes sortes d' hallucinations et toutes sortes île sensibilité et non seulement
rs des idées. En proie à l'angoisse et â la terreur, ils prennent une hallucination , un souvenir, un rêve pour la réalité et viennent
Les faux aveux des hvstériqucs sont puisés à une source analogue, l' hallucination et le rêve, mais ¡1s sont d'une importance bien p
parfois même allant au point de produire de courtes illusions et des hallucinations fugitives, un état il attention poussé jusqu'à l'
avec volubilité de tout ce qui se passait dans la salle, et avait des hallucinations spontanées. Livrée à elle-même. elle s'endort
riedrich à les relire. « Un autre ordre de danger peut résulter des hallucinations provoquées. Sans doute les hallucinations inofl'e
de danger peut résulter des hallucinations provoquées. Sans doute les hallucinations inofl'ensives provoquées à d'assez longs interval
ite, quand le rêve hallucinatoire a disparu. Eu est-il de même si ces hallucinations sont fréquemment suggérées à l'imagination '.' Ne
ns sujets, après «le nom hreuses hypuolisalioiis, après de nombreuses hallucinations provoquées pendant le sommeil, deviennent suggest
humain à des jeux de celle nature. Sans doute quelques expériences d' hallucinations .provoquées de temps en temps sont inoffensives si
s. L'auteur, il est vrai, n'a pas procédé chez, tous ses sujets par hallucinations . A-t-il alors suivi la méthode de Nancy ? Voici
ensives. Mais la suggestion thérapeutique ne consiste pas à faire des hallucinations . Accuser la psychothérapie des méfaits que les su
maniée. Mais la suggestion thérapeutique ne consiste pas a faire des hallucinations , ni a créer des symptômes d'hystérie, ce qu'il es
es mêmes défiances, les mêmes haines. Que l'un d'eux soit sujet a des hallucinations auditives par exemple, d'abord vagues, il finira
al de Munich (l'). étude critique, par Bernheim, 289. Hystérie avec hallucinations psychiques. Influence singulière et durable produ
67 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
livrée aux soins d’une femme étrangère. « Le mari, surpris de cette hallucination , refuse de croire aux pressentiments de sa femme,
position, il n’y aurait là, peut-être, qu’un fait de fascination ou d’ hallucination magnétique. Trois personnes sur quatre ont vu d
é déjà obtenues dans des cas de délire, de subdélire, de monomanie, d’ hallucination , que les [somnambules expliquent par une surexcit
impressionnés que par certains attouchements; d’autres n’ont que des hallucinations de la vue, de l’ouïe, du toucher, et ce qu’il y a
eux un fait positif matériel, une image concrète du dehors et non une hallucination abstraite intérieure. Ils voyaient les choses com
, que de fois, sous d’autres impulsions, n’avons-nous pas éprouvé des hallucinations semblables ! Qui peut se flatter de n'avoir été s
sive pour ce célèbre halluciné, M. Segond 11c veuille voir partout qu' hallucinations et nous dise : « Je le répète, c’est dans une t
tion des sens, dont il a grand soin de ne pas due un mot? C’est que l’ hallucination ne rendrait pas aussi facilement compte de ces fa
, caractérise une monomanie bien établie. Finissons-en donc. Avec l’ hallucination on ne doit point discuter ; avec la mauvaise foi
Tout se passe dans l’esprit de l’extatique ; il y a délire des sens, hallucination . Mille causes peuvent produire ce phénomène, qui
xtase artificielle qu’amène le magnétisme. Tout le inonde connaît les hallucinations causées par l’emploi du haschisch ; le désordre a
ires de démoniaques s’expliquent de cette manière ! Le caractère de l’ hallucination est naturellement en rapport avec tout ce qui a f
n avec Mahomet, et ainsi de suite. Quelle devait Être la nature des hallucinations de Jeanne d’Arc? Elle était animée d’une foi vive
ant : llliltKKT (de Garnay). ÉTUDES ET THÉORIES;: DU RACLE ET DES HALLUCINATIONS . Il y a longtemps que les savants cherchent l’e
tion des visions et autres aberrations des sens connues sous le nom d’ hallucinations , et rien de plausible n’est encore sorti de leurs
son esprit raisonne; et, malgré cela, notre voyageur est le jouet des hallucinations les plus bizarres. « Le terme d’hallucination e
eur est le jouet des hallucinations les plus bizarres. « Le terme d’ hallucination est trop général pour bien désigner ce phénomène;
nation est trop général pour bien désigner ce phénomène; mais celui d’ hallucination du désert aurait l’inconvénient de faire supposer
r une aussi longue privation de sommeil produisit chez moi toutes les hallucinations du ragle; je ne songeais pas malheureusement à no
fois voiler les étoiles. » Dans un désert parfaitement aride, cette hallucination me paraît trouver son rudiment dans l’engorgement
is vous certifier (pie j’avais les yeux parfaitement ouverts. « Une hallucination fréquente est le redressement des surfaces horizo
elquefois le matin, le soir et même au milieu du jour. Dans ce cas, l’ hallucination est. causée par une lumière insupportable et trop
a dimension des objets; déplacement et flottement des images. « Les hallucinations de l’ouïe, moins fréquentes qne celles de la vue,
c continue : « Chez les gens de race et d’éducation différente, les hallucinations présenteront, dans les mêmes circonstances, une c
t, et ainsi de suite. « Une forte préoccupation a sur la nature des hallucinations une influence remarquable; en voici un exemple fr
tait constamment préoccupé de retrouver sa caravane. Delà, toutes les hallucinations dont il parle. Cela me fait souvenir que moi-même
ne dormait point, il n’était Eoint le jouet d’un rêve, mais bien d’ hallucinations . Il a>ait eaucoup de fièvre, mais le délire av
fasse de ce palais une ville, une forteresse ou toute autre chose. L’ hallucination la plus épouvantable esi la vue d’un lion ou d’un
indre durée est de quelques minutes. Le ragle continu constituerait l' hallucination des délirants, comme le rêve continu constitue l’
ute pas que la faiblesse d’esprit, ordinaire à ceux qui éprouvent ces hallucinations , fait passer l’état de maladie mentale des aberra
done, de l’éther, etc., etc., même avec le délire de la fièvre ou les hallucinations de quelques fous; c’est cependant une espèce bien
pèce bien caractérisée et d’un même genre. Le ragle, l’ivresse et l’ hallucination diffèrent du l ève en ce qu’ils se produisent en
détourné de son sens habituel. En effet, les illusions diffèrent des hallucinations , en ce que les premières se rapportent à des obje
alade croie entendre des roiæ dam son estomac, c’est, direz-vous, une hallucination . Erreur : c’étaient des démons qui s’étaient logé
tion suffisait pour produire une maladie hystérique, des extases, des hallucinations et le développement de certaines facultés qu’on r
orme ne fut pas plus heureux ; il produisit d’ailleurs de singulières hallucinations ; le malade croyait sentir l’odeur de rose et d’œi
veax, produisant dans les deux ordres, d’une part, des visions et des hallucinations variables suivant l’organisation et le tempéramen
ce que je rapporte ne paraîtra que l’excentricité d’un conte, d’une hallucination , on......de la folie! 11 faut m’y soumettre.
mmodément raison de ces bizarres phénomènes. On a recours aussi à l’ hallucination contagieuse... On comprendrait cette explication
miracle? Parmi les figures d’esprits qui vous apparaissent dans ces hallucinations , que les médecins appellent des créations de cerv
comme nous, à la lente agonie d’un phtisique crisiaque, et suivi ses hallucinations dramatiques, on ne saurait douter qu’il n’entrât
e éveillé. » L’auteur avoue donc qu’il n’a réussi qu’à éprouver une hallucination et peut-être une crise accompagnée de quelques éc
étisme animal. Mémoire par M. le Dr Ri dart, 357. Ragle (du) et des hallucinations . Renseignements sur divers phénomènes d'aberratio
ciproque d'un homme et d’un tigre, 619. Guérisseurs indiens. 618. Hallucination . Faits, 39, 455, 630. Insensibilité à la douleu
68 (1886) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1885
nt.) Il s'endort quelquefois après les accès ou reste hébété; pas d' hallucinations . Aucun traitement. Comme maladies antérieures,
dort quelquefois après les accès et est toujours très hébété. Pas d' hallucinations ni de délire. Aucun traitement. Pas de maladi
panophobiques lui arrachant des plaintes et des cris con- tinuels ; hallucinations incessantes : on le poursuit, on veut le mutiler
rendait la dissolution plus rapide. 54 FOLIE DE L'ENFANCE. III. Hallucinations de la vue, de l'odorat et du goût chez un enfan
es. Cauchemars consécutifs a des récits concernant les no- leurs. Hallucinations de la vue, de l'odorat, du goût. Guerison. Mo
son côté, ni dans la famille de sa femme. 5G PEUR : cauchemars ; HALLUCINATIONS . de manifestations de scrofule ; pas de dartre
e dans laquelle l'enfant donnait des coups. Indépendamment de ces hallucinations de la vue qui re- viennent à diverses reprises
viennent à diverses reprises dans le jour, on a constaté encore des hallucinations de l'odorat : il sentait tout it coup une mauva
l sentait tout it coup une mauvaise odeur dans l'appartemant et des hallucinations du goût : il refusait de boire son café parce q
s qui le regardaient, s'appro- chaient de lui et l'effrayaient. Les hallucinations étaient diur- nes et nocturnes. Il était triste
chaque mâchoire) ; l'articulation des mâchoires est normale ; 58 HALLUCINATIONS . GUÉRISON. les gencives sont en bon état. Appét
r.... est tranquille, obéissant, son sommeil est bon, il n'a plus d' hallucinations de la vue, ni du goût, etc. Il déclare se trouv
à l'improviste comme cela lui arrivait chez lui lorsqu'il avait ses hallucinations : « Je no crie plus, dit-il. » Février, mars. -
ils de- meuraient lors du placement et de la sortie de l'enfant. HALLUCINATIONS . GUÉRISON. 5H ) Relevons les particularités les
ar Bour- ncvillc ................. 49 II 1. - Folio de l'enfance, hallucinations de la vue, de l'odo- rat et du goût, par Bourne
69 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de travailler. Courbature générale. Humeur hypochondriaque. Pas d' hallucinations , ni d'idées délirantes. Le malade pense un peu le
observations du même auteur, nous trouvons du somnambulisme et des hallucinations visuelles noires (Obs. X), de la toux prolongée
'était plus mai- tresse d'elle-même, de sa pensée ni de ses actes : hallucinations 88 REVUE CRITIQUE. de la vue dès la première
ournée ; insomnie, pas de rêves prémo- nitoires. Le troisième jour, hallucinations de l'ouïe; son amie lui dit qu'elle la magnétis
tcataleptoïde. Gâtisme. - 8 juillet. -Beaucoup plus calme, mais les hallucinations persis- tent ; cependant elle les dit moins nom
lle ne prononce que des mots sans suite, peut-être en réponse à ses hallucinations . Etat cataleptiforme provoqué, le bras droit ét
s, mais ne répond pas. Décembre.- Nouveau refus d'aliments dû à une hallucination de l'ouïe ; elle parait aussi hallucinée de la
riait, c'était parce que des voix lui parlaient; elle n'avoue pas d' hallucinations de la vue ; elle croit toujours fermement à la ré
rdre dans les idées, de l'hébétude, un peu de déchéance psychique); hallucinations anxieuses, terri- fiantes, surtout de la vue. P
ite d'excès, de diverses causes d'affai- blissement (Obs. III). Les hallucinations ont dû être engendrées par l'intermédiaire de l
de la pupille, ont donné naissance aux illusions prémonitoires des hallucinations . Malgré cetenchaî- dement progressif des symptô
La cocaïne a réussi en deux cas, à la dose de 0,05-0,-15 contre les hallucinations , en stimulant la circulation cérébrale et en la
cer la dose, sous peine de provoquer un effet contraire (agitation, hallucinations en masse). P. K. III. Influence DES impressions
oit brusquement sans raison apparente ; soit enfin à la suite d'une hallucination de l'ouïe. Mais il arrive aussi, comme on l'a d
é- ritable révélation. M. Cotard croit surtout à l'influence de l' hallucination dans le développement de l'idée ambitieuse, car
génieuses qu'a imaginées l'auteur pour l'étude des suggestions, des hallucinations suggérées, de la spontanéité et de l'état men-
és. Il cherche à montrer que le souvenir, l'imagination, le rêve, l' hallucination , qu'on considère comme 128 BIBLIOGRAPHIE. des
e avec la même méthode d'observation rigou- reuse dans l'étude de l' hallucination et de l'illusion et recherche le mécanisme du s
êvasseries, de la sommation, des troubles de la perception avec des hallucinations ; l'accès est suivi de lacunes du souvenir. Le dél
voqués par la même méthode (catalep- sie, contractures, paralysies, hallucinations ). Quant à la sugges- tion pendant l'état de vei
temps, de lieux, vous verrez disparaître le délire de jalousie, les hallucinations , l'excitabilité de l'humeur et les colères cont
out antécédent héréditaire qu'un oncle paternel aliéné, fut prise d' hallucinations de l'ouïe : «Les gens lui adressaient des injur
e ultérieure put évoluer dans la famille même. Chez la jeune femme, hallucinations très marquées de l'ouïe et de la vue, et de tem
vant 332 PATHOLOGIE MENTALE. de mettre à nu l'idée délirante ou l' hallucination capi- tales qui permettent d'asseoir cliniqueme
dans la plus noire misère. Des interpréta- tions délirantes et des hallucinations de l'ouie complètent tout ce système. Malgré
ien d'autres rires égale- ment inextinguibles, mais motivés par une hallucination , ou par un propos gai. Inversement, elle a été
inaires de la vie, mais assez intenses parfois pour s'accompagner d' hallucinations . Ne pouvant trouver d'ouvrage, elle en conclut
ssant chuchoter un mot obscène à son adresse. Elle fait part de son hallucination à sa fille qui la croit immédiatement sur parol
rai- semblablement elle se méfiait d'elles . Puis surviennent des hallucinations de l'ouïe. Dans la rue, elle entend des mots inju
es. Il est exceptionnel de voir les deux malades partager les mêmes hallucinations . Dans l'évolution du délire chronique, elles on
ides de la maladie. Chez le débile qui copie le délire chronique, l' hallucination peut parfois exister, encore faut-il qu'elle so
irectement provoquée par le ma- lade actif. Dans ce cas, les deux hallucinations se produiront d'après un mécanisme tout différe
un mécanisme tout différent. De plus, chez le délirant chronique, l' hallucination revient sans cesse et persiste longtemps avec l
cachet si net de systématisation. Il ne saurait en être ainsi d'une hallucination provoquée qui n'est qu'un phénomène fugitif. Le
ntre elles, souvent passagères et transi- toires. Lorsque l'élément hallucination intervient, son mécanisme est tout différent, e
folie systématique chronique semblable au délire de persécution par hallucinations sensorielles. L'auteur n'en donne qu'une en dét
les montagnards, il y aurait tendance marquée à être atteintpar des hallucinations sensorielles; c'est ce qui se voit en par- ticu
lier chez les mineurs. La vie de ces individus favorise la genèse d' hallucinations sensorielles; ce qu'ils racontent indique une ten
, irritabilité permanente, et, de temps à autre, idées de grandeur, hallucinations de l'ouïe, conceptions itré- sislibles (obsessi
70 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'un délire incohérent de persécu- tion et de grandeur, accompagné d' hallucinations nombreuses qui s'est rapidement terminé par la
tamment dans un état, d'excitation très marqué qu'entretiennent des hallucinations auditives nombreuses. Depuis le début delà mala
lle est actuellement tout à fait démente, mais l'a- gitation et les hallucinations persistent el s'accompagnent d'une insomnie ten
tupeur hallucinatoire de courte durée, retombe malade fin août. Des hallucinations de l'ouïe accusatrices el menaçantes, des visio
ment médicamenteux, auquel sont ajoutés des bains, le délire, les hallucinations , l'anxiété persistent, les tentatives de suicide
l'ai plus... etc. » Alternatives de dépression mélancoli- que avec hallucinations terrifiantes; ces crises sont de courte durée.
vien- nent rapidement plus calmes, ne sont plus troublées par les hallucinations pénibles habituelles. Cependant, le fond mélanc
a) Quelques slygniales d'hystérie ; b) Idées de persécution avec hallucinations de l'ouïe ; c) Signes ressemblant il ceux de l'
par les altitudes volontairement conservées, en rapport avec une hallucination actuelle ou avec une idée déli- rante active. D
ent sa langue serrée entre ses dents parce qu'il est en proie à des hallucinations psycho-motrices, etc... Dans tous ces cas, l'al
ou des phénomènes comitiaux psychiques variés et en particulier des hallucinations ; il avait eu des te r- rcurs nocturnes et de l
tillucs quelconques constituaient des provocations suffisantes. Les hallucinations se manifes- taient sur lous les sens, sur la vu
nce. L'ab- sence de l'évacuation alvine matinale peut prévoir des hallucinations auditives qui se répéteront dans la jour- née,
art quelle que soit l'occupation pendant laquelle il est surpris. L' hallucination disparaît avec un lavement. Une piqûre d'aiguil
t. Une piqûre d'aiguille à la pulpe du pouce gauche- provoque une hallucination de l'ouïe, d'un pétillement de bois en flamme,
ctée ; il voit brusquement une grande flamme ; il est terrifié. Des hallucinations de l'odorat ou du goût, il s'en plaint surtout
elevons seulement le rôle de la constipation dans la production des hallucinations . On a signalé chez des enfants indemnes d'épile
llucinations. On a signalé chez des enfants indemnes d'épilepsiedes hallucinations diurnes il propos de troubles intestinaux, liés
ents d'oreille. « C'est comme le tambour «dit-elle. Elle accuse des hallucinations auditives et visuelles de nature pénible. Elle
vins à qui elle ne pouvait payer sa dépense de hoissons. Elle a des hallucinations multiples et pénibles, accuse des craintes, des
che : et elle nous dit avoir eu, sous l'empire de l'alcoolisme, des hallucinations multiples el pénibles, exclusivement localisées
un sur l'autre, s'enchevêtrer pour ainsi dil'e pt donner lieu à des hallucinations unilatérales. , Après sa sortie de l'Asile,l'an
hues, croit-elle, aux passants, avec ses clefs et son argent. Les hallucinations visuelles existent surtout la nui ! ; elle a des
rt, allant à l'aventure. L'odorat et legoûtsont égalementle siège d' hallucinations . Elle sent une odeur désagréable, comme du phén
e si son ami était près d'elle et la touchait aux par- lies » ; ces hallucinations de la sensibilité générale sonl généra- lement
s de la sensibilité générale sonl généra- lement combinées avec des hallucinations auditives du même or- dre ; elle entend on même
lesse de son instruction et même le caractère de certaines de ses hallucinations . C'est en ell'et surtout cliez les dégénérés al
t surtout cliez les dégénérés alcoolisés que persistent parfois les hallucinations audi- tives après la disparition des hallucinat
ent parfois les hallucinations audi- tives après la disparition des hallucinations visuelles. D'autre part, c'est une hystérique a
nt dans son délire alcoo- lique, en déterminant la localisation des hallucinations au seul côté frappé li'hémiÙl1eslhésie. c'csl-i
re résistance par rapport au côté sain, peut-être en provoquant des hallucinations d'ordre génital, et en enlevant tout souvenir d
se donnait comme cette dernière. Enfin c'est une alcoolisée ; ses hallucinations sont sous la dépendance directe de l'alcool ; e
'hé- mianesthésic sensitivo-sensoriellc, donnant ainsi lieu à des hallucinations unilatérales. L'hémisphère cérébral droit, qui
e de la fatigue, dit-elle, des bour- donnements d'oreille, puis des hallucinations réappa- rurcnt, localisés comme auparavant il l
, elle s'était reprise il boire, et, sous l'empire de l'alcool, les hallucinations devinrent bientôt extrême- ment pénibles ; elle
présente de l'hémianesthésic sensitivo-sensoriclle gau- che avec hallucinations unilatérales multiples et pénibles du même côté
é chez 18 chiens dont 15 préalablement traités au lait. Ce sont des hallucinations qui poussent l'animal à des actes immo- livrés,
pl' Chaslin, il y a à la seconde période des idées délirantes, des hallucinations , des illusions, c'est un véritable automatisme
formes graves (délire septicél1lique avec agitation désordonnée et hallucinations ; délire éclampti- que ; délire de collapsus pa
est placée il l'asile Sainte-Anne pour dégénérescence mentale av ce hallucinations , idées mélancoliques et de persécution, tendance
ia- nesthésie sensitivo-sensorielle gauche. Appoint alcoolique, Hallucinations multiples rap- portées uniquement à ce même c
71 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
lus ou moins auxquels peuvent être suggérés des idées, des actes, des hallucinations . Braid remplaça l'ancien magnétisme par l'hypno
oppent pas complète- j ment dans la plupart des cas et se bornent aux hallucinations î pendant deux ou trois jours. 2° Les mêmes per
6e Année — N° 3. Septembre 1901 Des représentations mentales et des hallucinations visuelles et auditives post-hypnotiques conscient
ina et parvint à donner, par l'intensité de l'idéation provocatrice d' hallucinations , un substralum et un aliment à ses sensations vol
a signalé, au nombre des troubles psychiques de la grande hystérie, l' hallucination se produisant dans un certain sens et toujours ]
ésus toujours à sa droite. Tout cet ensemble do crises nerveuses, d' hallucinations , d'extases, fut sévèrement jugé par certains des
ures au côté gauche du thorax, mais sans succomber. Il présentait des hallucinations vives et multiples de la vue et de l'ouic, ainsi
suivant : « Lypémanie simple avec idées délirantes de persécution, hallucinations de plusieurs sens, impulsions délirantes au suici
lusieurs reprises des périodes d'anxiété évidemment produites par les hallucinations de l'ouïe qui le tourmentaient sans cesse. C'est
de profondes altérations de la sensibilité viscérale; il n'y a pas d' hallucinations visuelles ou auditives, ni d'impulsions aggres-si
des, fausses, idées délirantes primitives fixes ou maintenues par des hallucinations . Cela explique qu'elles durent si longtemps et qu
losion de larmes. Vers '¿0 ans, tous les soirs à 9 heures, elle a des hallucinations visuelles : un ami qu'elle a jadis beaucoup affec
ophie hystériques. La transfiguration du Christ a pu être due à une hallucination des apôtres. Elle n'est d'ailleurs qu'une imitati
a été expliquée de deux façons différentes : I" Elle est l'effet d' hallucinations collectives des apôtres ctdes saintes femmes. Plu
le diable (Luc, IV, i). Cela n'a rien d'étonnant pour qui connaît les hallucinations provoquées par le jeune. Les sorciers do tous tem
x se soumettaient au jeûne pour obtenir des crises hystériques et des hallucinations . Jésus et ses disciples vivaient en vagabond ;
s salivaires, l'irrégularité des fonctions menstruelles, les rêves ou hallucinations laissant le sujet persuadé de l'authenticité des
irmation est contraire au bon sens. Si ces idées sont acceptées, si l' hallucination visuelle ou si la monoplégie brachiale est réalis
au moyen de certaines excitations, des impulsions automatiques et des hallucinations variées. 2° Etat léthargique. — L'hystérique en
lication est enfantine, il ne faut voir dans ce miracle qu'une simple hallucination de disciples exaltés. Plusieurs critiques ont s
notre moi. Depuis le rêve jusqu'à l'écriture automatique, depuis l' hallucination jusqu'à l'état de trance, le champ est vaste. P
si surprenante que peut produire aussi la suggestion hypnotique : a l' hallucination négative » ou « anesthésie systématisée ». Là aus
ombrables peurs ou phobies, modifications du caractère, hypochondrie, hallucinations de la sensibilité générale, hallucinations visuel
u caractère, hypochondrie, hallucinations de la sensibilité générale, hallucinations visuelles ou auditives, etc. ; .e) Autres troub
ation se produit presque aussitôt. On ne peut admettre davantage, l' hallucination qui, en dehors des psychoses confirmées ou de cer
là les seuls méfaits de ce poison : il a causé des délires aigus, des hallucinations qui ont duré huit à dix jours, quelquefois même u
Lundi 5 Mai. . . Phénomènes psychiques de l'hypnotisme : illusions ; hallucinations ; variations de la personnalité, etc. Jeudi 8 M
pas adressé la parole ; c'est la vue de la glace qui lui a donné son hallucination ; elle parle même quand elle ne voit plus la glac
je cause depuis un moment, car elle est entraînée à m'écouter et son hallucination est détruite ; mais, je n'ai qu'à ouvrir la boite
à lui mettre la glace sous les yeux pour qu'immédiatement renaisse l' hallucination et que le bavardage recommence. Les mots se préci
e, une certaine susceptibilité qui leur est propre, on peut créer une hallucination . Les phénomènes qu'elle nous présente sont ceux d
un), par Bérillon et Watteau. p. 49. Représentations mentale et des hallucinations visuelles et auditives post-hypnotiques conscient
72 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
sie, dyses-thésie, paresthésie pour tous les modes de ki sensibilité. Hallucinations auditives, visuelles, olfactives, gustatives, tac
microesthésie. macroes-thésie. Idées fixes ; obsessions ; rêves. Hallucinations rétroactives ; hallucinations negutives ou anesth
. Idées fixes ; obsessions ; rêves. Hallucinations rétroactives ; hallucinations negutives ou anesthésies systématisées. C. — Sp
isées. C. — Sphère conative : Anéncrgie : aboulie, hyperboulie. Hallucination impérativc; paralysie psychique. Impulsion; aut
notique, et j'ai essayé d’appliquer ce traitement à de nombreux cas d’ hallucinations et de mélancolie. J’avoue avoir été désappointé d
es de suicide, idées de luinc et de culpabilité, scrupules religieux, hallucinations visuelles et audilives, sitiophobie, etc. II y a
d’expérience antérieure, appartenant à l’individu ou à l’espèce. Les hallucinations elles-mcmes, qui deviennent le point de départ d'
rches, prétendues scientifiques, sur l’occultisme, le spiritisme, les hallucinations dites véridiques, etc., etc., qui aujourd’hui se
it de l’anglais en français par M. Mari Hier sous le titre de : « Les hallucinations télépathiques ». Un autre, également considérable
jusqu’ici, et, au lieu d’étudier les esprits, les pressentiments, les hallucinations télépathiques, les dédoublements, l’extériorisati
passent même sur les signes les plus évidents d’aliénation mentale, d’ hallucinations pathologiques ou d’hystérie, sans s’y arrêter un
. La télépathie, elle aussi, court le risque de susciter do nouvelles hallucinations et de nouveaux délires. » C’est donc en tant que
Iiichet a constaté qu'on pouvait, par lasuggestion, produire des hallucinations , sans avoir à constater en même temps le moindre
nge, au somnambulisme, aux jugements portés à la suite des visions ou hallucinations , à l’aliénation, aux états de la conscience où l’
médecin hypnotiseur excelle à enlever les conceptions délirantes, les hallucinations , les obsessions ; il fait surgir dans la conscien
arde contre les impressions fortes ou subites, à résister au choc des hallucinations ou des émotions, à se dire qu’une sensation vive
avoir \isité une maison de santé, il eut peur comme un enfant et des hallucinations perpétuelles vinrent l’obséder; sa santé souffrit
, tels que : la lecture des pensées, la sug- gestion mentale, les hallucinations télépathiques, la lucidité, la clairvoyance, les
jusqu’ici, et, au lieu d’étudier les esprits, les pressentiments, les hallucinations télépathiques, l’extériorisation de la sensibilit
j'ai appelé l’attention sur le caractère de rêve qu’offrent certaines hallucinations se produisant chez les dégénérés mystiques, relig
chez les dégénérés mystiques, religieux ou politiques, d’où le nom d’ hallucinations oniriques que je leur ai attribué (3). D’autre
i, studi psicologici e clinici (Frat. Bocca, Torino. 1809). (3) Les hallucinations oniriques des dégénérés mystiques (Congrès des al
connaissance, mais pour entrer dans un accès de folie furieuse, avec hallucinations , cris, mouvements désordonnés. — Il fallut sept h
douleurs occipitales, des migraines, de l’affaissement psychique, des hallucinations visuelles, des obsessions, des terreurs, des tics
on lit. L’attaque d’hystérie à grandes allures se terminant par des hallucinations , attitudes passionnelles et clownisme est classiq
quer aux neurones de sensation s situés en aval, et il se produit des hallucinations . L’hallucination n'est en effet qu’une sensation
de sensation s situés en aval, et il se produit des hallucinations. L’ hallucination n'est en effet qu’une sensation provoquée par des
s ; dilatations vasculaires allant jusqu’à la phlyctène dans le cas d’ hallucination de brûlure ou d’application d'un yésicatoire ; di
n yésicatoire ; dilatations et contractions pupillaires dans le cas d' hallucinations visuelles.) L'amnésie et l’hypermnésie hystériq
urra exprimer le délire ecmnésique circonscrit et accom-pagn ou non d’ hallucinations , dont il vient d'être le théâtre. Un sujet du doc
parence organique, par Félix Regnault, p. 236. Gustave Flaubert(Les Hallucinations de), p. 219. Gustave Flaubert(L’épilepsie chez)
73 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
phénomènes psychiques : fuite des idées, loqua- cité intarissable, hallucinations , illusions, désordre de la motilité, etc., etc.
lles crises d'une demi-heure environ. Pas de cris, pas de rigidité. Hallucinations . 6 aoM<. Depuis quelques jours, elle se déba
s poupées qui dansent et cela en dehors des crises. Elle n'a plus d' hallucinations avant ou après l'attaque. Sifflements dans les
e l'aura du même côté, les atta- ques syncopales, l'arc cercle, les hallucinations , le délire de parole, les tentatives pour mordr
aravant ; à douze ans et demi, il est pris d'un étourdissement avec hallucinations , suivi d'une fugue inconsciente; enfin, à quato
rapportés jusqu'ici. R. AI. C. BEVUE DE PATHOTOGIE MENTALE I. Des hallucinations du souvenir ; par E. KROEPELIN, (Arch. f. Psych
de localiser dans le temps se divisent en illusions du souvenir et hallucinations du souvenir. Les illusions du souvenir représen
enir représentent la corruption partielle des souvenirs réels ; les hallucinations sont constituées par la complète falsification
lies forme les paramnésies. Considéré au point de vue clinique, l' hallucination du souvenir se décompose en : 1° hallucination
t de vue clinique, l'hallucination du souvenir se décompose en : 1° hallucination simple ; le produit créé de toutes pièces par l
syndrome ne se manifeste pas chez l'idiot ou le dément d'emblée. L' hallucination associative doit être distinguée de la méconnais-
elon lui, il a entendu parler ou il a lu quelque chose sur lui. L' hallucination iclcntificail'ice se manifeste par un vide presqu
délire n'a pas duré plus d'une semaine; il n'était pas accompagné d' hallucinations ) alors que, dans la plupart des cas, le trouble
ui à volonté des anesthésies de toute espèce, de la catalepsie, de« hallucinations sensorielles; enfin, détail curieux, on lui fai
ent par des espèces d'hal- lucinations auditives ou plustôt par des hallucinations embryon- naires qui n'atteignent pas la forme p
11 s'agit d'une femme atteinte d'abord de lypémanie anxieuse avec hallucinations de la vue et de l'ouïe du G février au 1er mars 1
ivité et manifeste des accidents lypémaniaques entre- tenus par des hallucinations de la sensibilité générale, de la vue et de l'o
obilité de l'humeur, puérilité de actes et des propos; nom- breuses hallucinations de la vue, désordre et absurdité de la con- dui
congestifs du côté de la face, de la fréquence du pouls, quelques hallucinations rudimentaires; on est obligé de lui accorder 6 ce
sertion de la duchesse qui affirma que son fiancé étant sujet à des hallucinations , avait cru voir des faits qui n'avaient rien de
, durant lesquels il se mettait à danser ou à sauter : il avait des hallucinations de l'ouïe (il entendait des voix et des pas) et
tard, ce ne furent plus seulement des illusions, mais de véritables hallucinations de la vue ; il voyait des couteaux devant ses y
cusé fut pendu, bien que le crime ait été commis sous l'influence d' hallucinations probablement dues à l'alcool, et bien que le ju
tteint de mélancolie. Il s'enivre, et, hientbtaprés, en proie à des hallucinations , fait, pour rejoindre les siens, plusieurs tent
bilité aelle mène sous la dépendance directe des illusions et des hallucinations organiques; il existe des convulsions cloniques d
ce sont des malades qui ne sont pas exagérément soumis à l'empire d' hallucinations sensorielles, mais qui méconnaissent et confond
On remarquera également que le délire chronique hallucina- toire à hallucination très vive se prête très bien, de même que les d
caractéristique, essentiel, de la forme morbide qui débute par des hallucinations et cesse avec celles-ci. Wahnsinn est lui aussi
secondaire pure et simple ou mélangée à des symptômes maniaques ou hallucinations . 6. Les modifications fonctionnelles qui survie
lskjoen, 110. Goitre exophthahnique et folie, par Joffroy, 401. Hallucination du souvenir, par Kroepelin, 117. Haschich, en
de Ber- lin, 251, 279; - de la province du Rhin, 274. Souvenir ( hallucination du), par Kroepelin, 117. Spasme radial, par L
74 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
prison une condamnation pour crime politique, de troubles mentaux ( hallucinations , idées de persécution, confu- sion etc.) bientô
exagérant ou en déformant leur si- gnification ou leur portée. Les hallucinations ne sont pas constantes ; dans tous les cas, ell
s, d'un délire diffus, à caractère pa- nnphohiquo et onirique, avec hallucinations et illusions, confu- sion mentale, refus d'alim
lui-môme ou sur le monde extérieur (2 cas) ou bien coexistent. Les hallucinations sont envisagées comme des modes de réaction eng
utochtones » de Werniele, - état faible, -qu'il il fautséparer de l' hallucination , état fort. Les signes physiques sont ensuite p
errations visuelles (micropsie, érythropsie, etc.), sont rares. Les hallucinations visuelles ne sont pas toujours dues à l'alcooli
tisées peuvent être la conséquence de la démence avec illusion ou hallucinations . Elle déterminedeux sortes de réaction : l'exci
actes commis pendant les troubles men- taux associés aux attaques : hallucinations , idées délirantes, agitation, états extatiques,
ité de l'hystérique explique l'in- fluence si grande du rêve, d'une hallucination , d'une idée fixe, d'une suggestion intrinsèque
ueuse, refusant, par crainte d'empoisonnement et sous l'influence d' hallucinations , une grande partie de la nourri- turc et partic
aux affaires des tribunaux, les suggestions qu'elles se font et les hallucinations auxquelles elles sont su- jettes les exposent à
e à plusieurs causes, absence de lésions vasculaires, fréquence des hallucinations , etc. H. Marie a poursuivi ses recherches antér
ique des maladies mentales de Toulouse, se plaignant de délire et d' hallucinations . Ce malade, âgé de 35 ans, célibataire, licenci
alcooliques du ma- lade. Par exemple celte « suite remarquable d' hallucinations queje présentai étant couché et en état de veil
il lui est répondu que la comtesse n'en saura rien. Il accepte et l' hallucination génitale est complète ; rien ne manque, sensa-
ingestion d'un crayon de nitrate d'argent. Enfin, au cours d'une hallucination auditive, il lui est ordonné de se jeter par la f
xcitnbililé. 186 CLINIQUE MENTALE. Au moment de l'examen, pas d' hallucinations . « Ces ! parce que je mange » ; dit le malade,
'interprétations erronées, et, d'une manière erratique, existence d' hallucinations de l'ouïe, de la vue et de la sensibilité génér
cinations de l'ouïe, de la vue et de la sensibilité générale. Ces hallucinations appartiennent- elles au délire par LSS CLINIQ
jou- tés ? A cela nous pouvons répondre nettement qu'en effet ces hallucinations ne font pas partie du délire par faus- ses inte
des éléments surajou- tés. En effet, pour co qui est d'abord des hallucinations de l'ouïe, le malade a pris soin de nous rensei
ment, elles appartiennentdonc à la misère physiologique. Pour les hallucinations de la vue, nous sommes en possession d'un autre
e l'intoxication. Bien plus, à cette époque de décembre 1899 où ces hallucinations de la vue se produisent, tout se termine par un
que certaine- ment le malade n'est pas sans ignorer. Et puis ces hallucinations de lavue, de l'ouïe, delà sen- sibilité général
sibilité générale, dont le malade dit, lui-môme, qu'elles sont des hallucinations , n'apportent aucun élément nou- veau à son déli
tisés de la dégénérescence, il peut y avoir ou ne pas y avoir des hallucinations , parce qu'il ne parait pas logique de confondre
ons pas qu'il soit indifférent de savoir si oui ou non existent des hallucinations chez un aliéné, parce qu'il nous apparaît que l
es hallucinations chez un aliéné, parce qu'il nous apparaît que les hallucinations parais- sent être l'indice profond d'une altéra
us grave lors- ATHÉTOSE DOUBLE. 191 que viennent se greffer des hallucinations , mais leur absence nous semble indiquer, lorsqu
'autre et ne se voient même pas ; 3° parallélisme non seulement des hallucinations et des conceptions dé- lirantes, mais encore de
existe arrive à lui trans- mettre ses conceptions délirantes et ses hallucinations . C'est notre groupe de la folie communiquée, qu
bizarre et la plus curieuse. Passe encore pour le parai lélisme des hallucinations et des conceptions délirantes, mais le parallél
après eux des aliénistes alle- mands, curieuse transmission de ses hallucinations et de ses conceptions délirantes par un aliéné,
l'exagération morbide du caractère décrit plus haut, avec les mêmes hallucinations et les mêmes conceptions délirantes. Les deux j
ements de dents. Il manifesta des instincts d'anthropopha- gie. Les hallucinations allaient souvent jusqu'au dédoublement de la pe
75 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des anomalies psychiques déterminées (troubles de la connaissance, hallucinations , rêveries, obnu- hilation et, en fait de pertur
est que, tandis que tous les autres aliénés paraissent, de parleurs hallucinations , leurs idées délirantes, leurs conceptions irré
ématurée d'impressions sensorielles, de là des illusions, mais sans hallucinations (les hallucinations etlesidées délirantes sont
ns sensorielles, de là des illusions, mais sans hallucinations (les hallucinations etlesidées délirantes sont incompatibles avec l
ne prendra pour de la manie le désordre dans les idées accompagné d' hallucinations avec excitation, qui forme une phase de transit
ique, modifications du caractère, excitabilité, délire de jalousie, hallucinations passagères, insomnie, émous- sement des faculté
n, d'angoisses, d'hyperesthésies, d'inappétence, il est survenu des hallucinations et des conceptions délirantes ; ces ag- gravati
ctives, et que quelques auteurs ont étudiées depuis sous le nom d' hallucinations unilatérales. Là, ces lésions pro- duisent des
uit : En décembre il eut une violente attaque de manie aiguë avec hallucinations de l'ouie et de la vue, dues probablement à de
d'un sommeil qui ne s'accompagne pas de phénomènes convulsifs ni d' hallucinations conscientes, ceci durait vingt minutes environ;
sur ses jambes pour se promener sur le tronc et sur les bras; cette hallucination est plus fréquente à certains moments, mais alo
t observer que toutes les malades guéries par M. Voisin avaient des hallucinations de la vue; il en conclut qu'il s'agit probablem
int qu'une fois ses urines pendant deux jours et demi, à la suite d' hallucinations et de conceptions délirantes; puis elle émit 83
tous les accidents psychiques reparaissent : idées délirantes avec hallucinations de l'ouïe, tentatives de sui- cide (essaie de s
son étendue... Mais le malade finit par se calmer ; l'anxiété, les hallucinations , les conceptions délirantes rétrocèdent au bout
s continuent à s'occuper. Les idées de persécution, fondées sur des hallucinations , sont plus tard généralement compliquées d'idée
eindre un stade de calme pendant lequel les idées délirantes et les hallucinations n'entament plus le domaine affectif de la sensi
tir qu'en l'interpellant énergiquement; puis, paroles incohérentes, hallucinations et illu- sions de presque tous les sens; il cro
. Trois mois de cette phase asthmatique font totalement disparaître hallucinations et idées délirantes; mais, en revanche, l'asthm
ifier l'existence des rêves pendant les états d'incons- cience. Les hallucinations que l'on prétend exister au cours de ces interr
que. M. Feurstner. Les cas de Beumler sont dûs à de l'anémie avec hallucinations sans interruption de la connaissance. Pourquoi
Tuczek. Les phéno- mènes du delirium tremens relèvent de véritables hallucinations sensorielles. M. Schuele. Krafft-Ebing, parmi
c les autres troubles de l'innervation peu accusés, on trouve des hallucinations sensorielles mais moins développées, moins nomb
blesse, hébétude, insomnie sont les symptômes les moins marqués les hallucinations de l'ouïe prédominent au plus haut point; les i
NES OCCIPITALES. 407 faciale, folie épileptique, manie religieuse ; hallucinations . Au- topsie : ramollissement de la substance bl
nstabilité mentale très favorable au développement de la folie avec hallucinations . R. M. C. XXV. Note SUR UN cas DE maladie D'ADM
et successivement sept meurtres. Folie religieuse systématique avec hallucination le poussant à tuer. Il est lui-même tué d'un co
uis une femme de 40 ans qui, depuis 10 ans, a par inter- valles des hallucinations de la vue en rapport avec des idées de suicide.
IOGRAPHIE. 447 lui a suggéré l'idée de ne plus voir ce cadavre et l' hallucination a disparu. Une autre femme, hystéro-épileptique
ro- chait la mort de son père, s'est aussi vue débarrassée de ses hallucinations par l'hypnotisme. Celle-ci ne s'endormait qu'aprè
et des phénomènes sug- gestifs, automatisme, impulsions,lillusions, hallucinations et une étude nouvelle sur les phénomènes hypnot
berté; si l'aliénation doit aboutir aux délires systématisés et aux hallucinations , le début aurait lieu à la ménopause. D'ailleur
76 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ouenneuse à dix; faiblesse intellectuelle, tendances mélancoliques, hallucinations , impulsions ; répétition irrésistible par le ma
étude devient plus persistante chez P... ; il semble en proie à des hallucinations , gesticule, prononce quelques phrases sans suite
quel- que chose qui la poussait à se tuer ou à tuer des enfants. Hallucinations de l'ouïe et de la vue. Santé assez bonne, fonc
iquement projetées à me- . sure de leur production, sous la forme d' hallucinations senso- rielles, par exemple,'agiront à la maniè
anesthésies ; paresthésies ; four- millements ; engourdissements ; hallucinations visuelles). L'anesthésie que Ferrier réussit à
s deux dernières années dyspnée datant d'une pneumonie -et' parfois hallucinations ,'notamment à la' suite d'orgies, rares d'ailleu
- . I - .. i'i j- ? .. " j -C- ? l cet o7,gane seut qui perçoit les hallucinations de 1 ouïe ; de plus, Uti --1J ? t j il n ·1 vü
.) ? '0 1, ? , . ")J TT ? . ,, n avoir point pense au diagnostic d hallucinations . Un traite- ment convenable de l'oreille (lavag
yant déjà noté les relations' des affections auriculaires, avec des hallucinations du même côté, 1VI. Bûclï crôit,quelqû en ,, -.
lle à la disparition rapide de tous les symptômes à l'exclusion des hallucinations unilatérales et homonymes. L'amélioration'produ
ue par de très courtes séances ) du coté ma- lâdé; i voilâ pour les hallucinations . La galvanisation céphalique (cathode sur 1 âpo
élancolie raisonnée; '- la-' t seconde', toute, dans l'apparition d' hallucinations , n'ayant au ? 1 cun rapport , représentatif ave
intellectuel" né"'coïncidé -, pas,, en Il effet) avec -celle ''des3 hallucinations .0" Au "'moment "'du réveil de l'activité'1 psyc
ations.0" Au "'moment "'du réveil de l'activité'1 psychique,^ les ^ hallucinations ^pâlissent et disparaissent. Des 'occupations17
malade', 'contril)'Liet 1 pndant la convalescence a supprimer les hallucinations ? "* `'uT' gt'st j' ? uk» '*M " W"A ^ I 2° Les
les hallucinations ? "* `'uT' gt'st j' ? uk» '*M " W"A ^ I 2° Les hallucinations se différencient des images nées/ du ? tn`. r rn
intellectuel i n'exer ; 6entl qu'une très-faible influence , sur l' hallucination . ,-Bien- . -*k . 1 1 l'i'^TArr ? c ., insu- ' I
de 1 imagination est loin.de pouvoir, toujours î se transformer en hallucination . 4° Les hallucinations périphériques, celles qu
in.de pouvoir, toujours î se transformer en hallucination. 4° Les hallucinations périphériques, celles qui dépendent de, l'excit
accompagnés d'hyperesthésie dés' organes) sont plus simples que les hallucinations centrale dues à l'irri- tation.des centres de p
de'plus,'depuis sa guérison, conservé là faculté de" provoqueiwdes hallucinations visuelles; periphériqués ? oii`cén- trales, en
yaintroduit une modi- s'fi.catibn.r,'A-[son0sens ? k m6canismende l' hallucination ),, réside id'ràllèl&în611t"da'nsllw diminut
. l 1 t(, . ? ? v ,Li ? -, Dans l'asystolie, on observe souvent des hallucinations , princi- palement de la vue, se produisant surt
: 1' ici Gynécophobie, par Muller, 294; ., t'"r o' ",Il 1 11(i Hallucinations (de la théorie des) par Kaudinslcy, 74 : *' ? ,
77 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
s, où ils n’existent pas, les songes se produisent aussi bien que les hallucinations de ces deux sens. On est donc ainsi forcé logiq
en garde contre des impressions qui auraient pu être causées par des hallucinations , j’écrivis au père pour avoir des renseignements.
sur le ragle, inséré dans le Journal du Magnétisme, a fait voir que l’ hallucination , ou pour mieux dire peut-être une illusion dont
r mieux dire peut-être une illusion dont la cause inconnue semble une hallucination , peut avoir le caractère collectif. Dans le systè
pliquer, même en mettant hors de doute la bonne foi du médium , par l’ hallucination , la suggestion , l’imagination, la communication
on , l’imagination, la communication ou l’emprunt de pensées. Or de l’ hallucination , de la suggestion , etc., nous en avons vu mille
s yeux, lorsqu'au déplacement de l'action des organes se joignent des hallucinations des sens, des visions d'objets qui n'existent que
es, des bergères, etc., qui, l’instant d’après, s’évanouissent avec l’ hallucination de vos somnambules revenues à leur vie ordinaire
trouvés, et si nous étions contents. Direz-vous que ce sont là des hallucinations ? A votre aise! D' CLEVER DE MALDIGNY. [La
st-ce, aujourd’hui, que le phénomène appelé, par la science négative, hallucination ? Est-ce un phénomène hybride, comme l’entend l
mprévue du sujet aussi bien que des assistants. Vous le sa- (1) Des hallucinations , par le Dr Brierre de Boismont; 2» édition. Paris
ieux, dans la voie terrestre de la bio-dynamurgie. Vous produisez des hallucinations , au troisième degré de vos leçons publiques ! Mai
is, elle se relève. » Que dites-vous de cela, Monsieur? Est-ce de l’ hallucination ? Est-ce une machine poussée par une autre machine
rsque celui-ci s’endort, et que ce n’est point le cas. Si ce sont des hallucinations , des produits d’une imagination égarée, qui vous
e nous ayons jamais publiés. Baron DU POTET. BIBLIOGRAPHIE. DE? HALLUCINATIONS , ou Histoire raisonnée dos apparitions, des visio
r ordre, a traité exprofesso le sujet si vaste et si intéressant ties hallucinations , sujet qui se rattache à la physiologie, à la psy
sensibles des objets. » Cette définition contient la distinction des hallucinations et des illusions : « L’hallucination est la perce
ion contient la distinction des hallucinations et des illusions : « L’ hallucination est la perception des signes sensibles de l’idée,
l’appréciation fausse do sensations réelles. » L’auteur décrit les hallucinations qui se produisent dans les divers états morbides,
gnétisme, rentrent, lorsqu’ils sont authentiques, dans le domaine des hallucinations , en ce sens que les pensées se colorent, que les
’il a vu juste, et sa perception ne peut aucunement être comparée aux hallucinations qui impliquent une erreur de l’esprit causée par
rait probable que, même dans ce cas, il n’y a pas à proprement parler hallucination ; mais que le somnambule voit des objets réels :
n, qui diffèrent du somnambulisme, et dans lesquels il y a évidemment hallucination . Dans l’état de charme, le sujet, soit en contemp
le cicl ouvert, converse avec les anges, etc. C’est là le règne de l’ hallucination . Quant au inode de perception du somnambule cla
, la catalepsie, les attaques d’épilepsie, les songes effrayants, les hallucinations , le délire, etc., etc. Ce sont des questions auxq
re cesser : elle peut faire naître des songes pleins d'épouvante, des hallucinations , des délires, et il lui est aussi facile de nous
rguments que de débuter par traiter le magnétisme de fantasmagorie, d’ hallucinations , de stupidités et d’imposture ; les magnétiseurs
it juger le magnétisme à travers ce prisme illusoire des rêves et des hallucinations qui caractérisent la doctrine des tables parlante
de légers intervalles de repos troublés par le délire et d’affreuses hallucinations ; la malheureuse était épouvantée par la vision d
cette révélation est le fait d’un esprit plutôt que d’un rêve, d’une hallucination ou de toute autre action inconsciente de votre pr
ndant à M. l’abbé Moigno, un de nos savants incrédules : «Supposons l’ hallucination . Eh bien ! une hallucination pareille , qui a pri
de nos savants incrédules : «Supposons l’hallucination. Eh bien ! une hallucination pareille , qui a pris de telles proportions, est
et le remède... Supposons maintenant qu'au lieu d’avoir affaire à une hallucination , nous ayons affaire au diable. Eh bien ! faudra-t
lement l’existence? » J’ajouterai : « Supposons que ce ne soit ni une hallucination , ni le diable ; supposons qu’il s’agisse d’une ca
Coup d'œil sur son action et ses propriétés, par M. Mozzoni, 305. Hallucinations (des) dans ce qu’elles ont de commun avec la vue
cussion, en ce qui concerne le magnétisme, par M. A. S. Morin, 578. Hallucinations (des), ou Histoire raisonnée des apparitions, des
78 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
et que nous avons pu nous croire placé sous l’influence d’une de ces hallucinations qui emportent la pensée dans le royaume des chimè
s,«ouvrez-vous pour lui ! » » Alors commencent pour Elfrid toutes les hallucinations du sommeil extatique. Des êtres surnaturels parai
jours, — 10 séances, — guérison... Femme de 36 ans, forte migraine, hallucinations ; — l'application de vingt sangsues derrière le co
Puységurisme. — 10e observation. Action à distance, illusions et hallucinations , 47.— 11e observation. Vue à distance cl prévisio
ciel. Toutes ces choses sont-elles un travers de l’esprit humain, une hallucination , un rêve dont les hommes à l’âme tourmentée aimen
il parle comme s’il voyait réellement; quelquefoi» aussi ce sont des hallucinations qui surgissent devant son esprit et la jettent da
T (de Garnay). Sninl-Cloud. — Imprimerie de lielin-Maiiil.ir. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME, En étudiant l’esprit h
et pour éclairer les partisans du magnétisme sur la production de ces hallucinations d’un nouveau genre que nous allons leur tracer un
e le suivre dans son excursion ; la preuve qu’une maladie cause cette hallucination se trouve indiquée par lui - même dans vingt endr
qui firent couler des flots de sang humain. Nous arriverons ainsi aux hallucinations nouvelles qui prennent le magnétisme pour point d
s ces faits étranges, de toutes ces paroles fiévreuses, de toutes ces hallucinations , de toutes ces extases vraies ou fausses, consign
re abon. eal fini. l.i Gérant, HÉBERT (deGnrnay). THÉORIES. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME. Deuxième observation.
rt (de Garnay). I.e. Gérant. 1IÉI1KRT (deGarnay). THÉORIES. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME. Deuxième observation.
apprend que Cornélius Scilla fut averti de sa mort pendant un accès d’ hallucination , et qu’il se prépara à cet événement, qui eut lie
Avant d’entrer plus avant dans l’examen de cette grande question des hallucinations magnétiques, je dois faire connaître ma réponse à
’on est tant soit peu familiarisé avec les affections du cerveau, les hallucinations surtout, il est impossible encore de ne pas rec
bekt DE BEAUMONT. Le Gérant : UÉBEKT (de Garnay). THÉORIES. DES HALLUCINATIONS RELATIVES AU MAGNÉTISME. Deuxième observation.
use, bien qu’il soit plus académique de la laisser sur le compte de l’ hallucination et de la folie. Que ces malheureux finissent par
dre la raison , cela n’est pas extraordinaire ; mais il se peut que l' hallucination et la manie ne soient que des résultats ; la caus
es effrayants que vous placez, comme les médecins, sur le compte de l’ hallucination . Cette puissance serait la justice de l'opprimé,
avons placée sans hésiter parmi les pièces de l’histoire curieuse des hallucinations . Nous remercions sincèrement M. Jobard de s’intér
, tout en étant de son avis sur les faits de magnétisme étrangers aux hallucinations . La justice et la morale n’ont qu’à gagner à ces
pourtant soutenir contre M. Jobard les idées que j’ai émises sur les hallucinations attribuées au magnétisme. Cette science fera surg
e façon. Il est évident que cette femme est travaillée par un germe d’ hallucination qui n’attend qu’un complément d’idées fausses, ou
oilà donc encore un cas qui prouve jusqu’à l’évidence que ces faits d’ hallucination ont pour cause des désordres fonctionnels, qu’un
is plusieurs magnétiseurs eux-mêmes qui sont dans un état voisin de l’ hallucination : à force de s’exagérer leur puissance, ils ont f
quer, jusqu’à un certain point, ceux contenus dans les observations d’ hallucination publiées dans nos derniers numéros. Cependant nou
e dans le somnambulisme magnétique pur se développer des phénomènes d’ hallucination ; des rêves sont pris pour des réalités; des appa
, l’organisation se dégrade; et c’est ici surtout que se montrent les hallucinations . L’équilibre étant rompu, l’esprit ne trouve plus
é. Rien n’est plus facile, pour un magnétiseur, que de produire des hallucinations passagères, en portant tout ou partie de ses forc
à tirer de ces faits, mais nous devons seulement les rattacher aux hallucinations . On vient de voir le jeu des forces vives ou spir
endant pour nous faire comprendre comment, en nous-mêmes, des faits d’ hallucination peuvent se produire, sous l’empire de la même pui
80. Histoire de la Médecine, par le docteur Renouard. — Analyse, 221. Hallucinations magnétiques. — Faits. 178. — attribuées au magn
79 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
; sans connaissance, sans préoccupation médicale, Donato réalise les hallucinations les plus diverses ; ayant obtenu le résultat dési
hypnotisé peut garder de sa séance une impression fâcheuse ou quelque hallucination . » L'hypnotisé peut, c'est une simple possibili
. Le certificat d'entrée indique que le malade était en proie à des hallucinations et illusions surtout auditives : déséquilibration
dans mon Etablissement le malade était encore sous l'influence de ses hallucinations . Il peut quelques jours après son entrée, lorsque
r me défendre contre leurs poursuites dangereuses que. en proie à des hallucinations terrifiantes, je me fis arrêter sur le boulevard.
A propos des effets psychologiques, il évoque la magie antique, les hallucinations spontanées, les hallucinations provoquées, dont l
iques, il évoque la magie antique, les hallucinations spontanées, les hallucinations provoquées, dont l'étrange domaine est pour ainsi
derais bien, s'il voulait être plus raisonnable. » Elle a aussi des hallucinations où elle voit un fantôme blanc. Cette malade pré
cela est tout à fait inoffensif, c'est un bon conseil, voilà tout; l' hallucination , c'est un rêve, une petite rêverie ; est-ce que c
ination, c'est un rêve, une petite rêverie ; est-ce que cela existe l' hallucination '. mais non, ce n'est rien, rien du tout. » On ne
Les névroses traumatiques. 4. — Les états de médiumnité. 5. — Les hallucinations hypnagogiques. 6. — Les psychopathies toxi-infe
ie ou d'une fixité déconcertante, provoquer des illusions et même des hallucinations . Ces dernières semblent liées à des rêves nocturn
s, de mouvements d'objets sans contact, de transmission de pensées, d' hallucinations télépatbiques. de maisons hantées, etc... Pour
e classique du Sommeil et des Rêves Alfred Mauhy, sous le titre : Des hallucinations hgpnagogiques, consacre un chapitre à l'étude de
encore qu'imparfaitement éveillés. lis constituent un genre à part d' hallucination auquel convient l'épithète d'hypnagogiques. dériv
tci^v^ qui amène, conducteur, dont la réunion indique le moment où l' hallucination se manifeste d'ordinaire. > Alfred Maury ne
nisme par lequel se trouvent réalisés certains états hypnoïdes. « L' hallucination hypnagogique est un indice que, durant le sommeil
le et cérébrale ne sera que légèrement affaiblie. En effet, quand ces hallucinations débutent, l'esprit a cessé d'être attentif ; il n
le décrire. » De la description même qu'Alfred Maury nous donne des hallucinations hypnagogiques résulte la démonstration qu'elles n
r point de départ dans des suggestions de l'expérimentateur, dans les hallucinations hypnagogiques elles dépendent uniquement des flut
s ans. premier essai de renonciation a l'aide de la cocaine, mais des hallucinations visuelles auditives et de la sensibilité générale
. Il a appelé notre attention sur des cas présentant des phénomènes d' hallucinations sur lesquels venaient se greffer les traits d'une
e, vit au milieu de curieuses illusions et se laisse •envahir par des hallucinations qui ont, en général, peu de gravité et qui ¦sont
anne d'Arc fut, dans le cours de sa jeunesse, sujette à de nombreuses hallucinations qui prirent une allure spéciale quand elle reconn
leur sens moral. On constate chez eux des illusions para-doxales, des hallucinations étranges et des idées fixes presque toujours suiv
l lui semblait voir devant lui un de ses camarades le menaçant. Cette hallucination persistait une demi heure pour faire place à un s
usait aucune souffrance, mais conservait en partie le souvenir de ses hallucinations et rêveries de la nuit précédente. Ne sachant à q
imes et dans les élucubrations des mystiques et des extatiques. Leurs hallucinations se rapportent toujours à des objets erotiques. C'
isons ici en partie. Elles nous montrent qu'elles se rattachent a des hallucinations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, du goût, du to
80 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ation I. Folie systématique chez une demoiselle de trente-deux ans. Hallucinations de l'ouïe. Idées de persécution entées sur des
térie, accidents mens- truels. Il y a sept ans, agitation due à des hallucinations de l'ouïe et à des idées de persécution. Gâtism
angoisse) constitue le terrain géné- rateur du suicide ; 3o que les hallucinations , notamment celles de l'ouïe (voix de Dieu, d'un
t celui d'une femme de cinquante ans, atteinte de mé- lancolie avec hallucinations de l'ouïe et idées de suicide. En 1882, on comm
épression en rapport avec des hallucina- tions ; puis, le genre des hallucinations changeant, se montre une agitation maniaque à f
ence notoire due à la multiplicité et à l'évolution protéiforme des hallucinations sensorielles. Durée : depuis quelques heures à
tade est d'ailleurs un stade tantôt de manie aiguë (disparition des hallucinations , suridéations, besoin de mou- vement (Obs. II);
ints de tares hérédi- taires, les conceptions délirantes, émanées d' hallucinations , pré- sentent chez un malade donné des variatio
dans un même cercle, mais leur teneur exacte varie sans cesse. Les hallucinations sensorielles ou images déli- rantes de la perce
leur genèse exige le concours des appareils sous-corticaux; dans l' hallucination , c'est l'écorce qui entre la première en jeu; d
mois plus tard, à la suite d'un refroidissement très prononcé, . hallucinations de la vue et accès de manie. Trois jours après,
ésanie qui ne pré- juge d'aucun autre élément pathologique que de l' hallucination . Mayser, pour mettre de la clarté dans la quest
, avec désordre dans les idées, idées de persécution basées sur des hallucinations multiples, léger affaiblissement intellec- tuel
sive, mais aussi d'autres mauifestatioes de la même névrose délire, hallucinations , dyspnée. Cu. F. V. SUR l'action DE la cocaïne
iée. On constata principalement de la lypémanie avec agitation, des hallucinations de l'ouïe, et du jour où le petit néoplasme (1
29 décembre, le sujet, immobile jusque-là, sous l'in- fluence d'une hallucination probablement, se mit tout à coup à agiter les m
Dans la nuit du 27, le malade a des trépidations des jambes et des hallucinations . Le 30 décembre, il se sent tout à fait bien po
onvulsions toniques, il pousse des sons inarticulés; il éprouve des hallucinations . Une hyperesthésie cutanée de tout le corps; le
patient. Vers la fin du trouble, on voit le sujet en proie à des hallucinations il prononce des paroles incohérentes, pa- raît
abandonner son ménage ; elle annonce qu'elle s'étranglera. - Pas d' hallucinations . 11.-B... essaie de se suicider en avalant duve
tes tentatives de suicide qui toutes avortent successivement. Pas d' hallucinations . - B... se trouvait le plus souvent dans le ser
facile des types. La plupart des aliénés héréditaires n'ont pas d' hallucinations ; ils se font surtout remarquer par des excentri
l'altération du processus de la perception ; il émane directement d' hallucinations sensorielles ; à cette catégorie appartient une
attention au monde extérieur ; on y trouve presque cunstamment des hallucinations de l'ouïe, plus rarement des hallucinations de
presque cunstamment des hallucinations de l'ouïe, plus rarement des hallucinations de la vue, mais sans qu'elles prédominent. Un d
quelle on retrouve les grandes attaques convulsives, le délire, les hallucinations multi- ples, l'anesthésie, les extases, les sen
e et psychoses, 8 I . Guérisons inattendues, par Wil- lett, 72. Hallucinations (variabilité des), parKoch, 84. Hémianesthési
81 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
pirituelles ne peuvent donc plus être reléguées dans le domaine des hallucinations et de l'impossible ; c’est un fait bien ancien, m
résence. J’essaierai d’en donner une démonstration. On va crier à l’ hallucination . C’est encore un mot inventé pour couvrir l’ignor
malheureusement elle n’engendre le plus souvent qu’un long cortège d’ hallucinations . « Le monde extérieur nous déborde, dit le Dr B
des devoirs de la vie sociale aussi bieu que celui qui n’aurait pas d’ hallucinations . » Les hallucinations sont occasionnées le plus
ciale aussi bieu que celui qui n’aurait pas d’hallucinations. » Les hallucinations sont occasionnées le plus ordinairement par la co
rstitieuses de chaque époque. Les hommes les plus éminents ont eu des hallucinations , sans que leur intelligence en ait été lésée. Les
n ait été lésée. Les Mallebranche , les Bvron, les Château- (1) Des Hallucinations , ou Histoire raisonréi (tesappiritions, etc. br
ons une volonté quelconque, et. à son réveil, elle éprouve toutes les hallucinations (les sens que nous lui avons imposées. Un individ
nsées, etc. • Les idées dominantes ont une grande influence sur les hallucinations . Ainsi, lorsque régnèrent la démonologie, la sorc
les, des sorciers, des vampires. Avec les diverses civilisations, les hallucinations varièrent également ; chez les Grecs, elles se mo
par l’ignorance et la superstition , fut l’origine de ces nombreuses hallucinations de sorcellerie qui envahirent les esprits faibles
upplices ; les persécutions augmentant la crédulité et l'en (t) Des Hallucinations , p. 15. thousiasme irréfléchi*, durent natiirel
t natiirelleinonl multiplier le nombre des possédés. Plus lard, ces hallucinations s’étendirent en France, de Loudun à Louviers, à C
personnes ont été atteintes de cette épidémie. Aujourd’hui même, l’ hallucination semble vouloir s’approprier une transformation no
t écrivant seul et faisant mouvoir un crayon non soutenu. « (1) Des Hallucinations . Dos Ksprits ut Je leurs Manifestations fluidiq
us ne suivrons pas M. Brierre de Boismont dans sa no-- menclature des hallucinations ; nous limiterons cette intéressante étude à l’un
naux, que nous n’avons vu chez le prophète normand qu’une victime des hallucinations du mysticisme. Du reste, sa doctrine, appuyée sur
énites, leur langage ne s'était pas démenti? „ — 0 superstition!... hallucination !.... Les hommes à croyances mystiques voient l’in
ier on pouvait considérer la prédiction du 22 janvier comme étant une hallucination . Aujourd’hui, les petites prophéties du voyant ap
rhumains, que les opérateurs arrivent à un état de surexcitation et d’ hallucination dans lequel ils produisent des mouvements sans en
nts graves) produit par le protoxyde l exlilse’ ou>si l on veut. l' hallucination produite par 1 éthérisation, la fuméed’opium ou l
’est advenu, et je suis convaincu que cette dame a été le jouet d’une hallucination . J’ai, comme on le voit, mis à l’écart tous mou
fait beaucoup d’expériences — la dame citée plus haut pour un fait d' hallucination ,— faisait partie d’une chaîne à laquelle je ne pr
!éloignent des facultés normales, plus elles manquent de contrôle : l’ hallucination est bien voisine de l’extase, et il n’est pas fac
pour eux c'est de l’eau. Où est le réel ? où est le fantastique? L’ hallucination , résultat de l’imagination dévoyée, a pour caract
il y ait une cause réelle bien ou mal appréciée. Alors il n’y a pas hallucination , il y a illusion. Nous aurions à citer beaucoup
lle l’observateur croit stationner, est le centre. Presque toujours l' hallucination s’y môle, et chacun ajoute au tableau une décorat
(leux qui ont observé les fous savent combien de fois il arrive que l’ hallucination de l’un d’eux, décrite à haute voix, produit sur
nétiques avec des pratiques religieuses, quelques cas d’extase et des hallucinations prophétiques lui ont attaché la plupart des secta
de sa somnambule, cette foudroyante réponse : « O superstition!.... hallucination I...... Les hommes à croyance mystique voient l
ces prétendues révélations n est que rfive, illusion, erreur, délire, hallucination et manifestation fluidique de la folle du logis.
le premier degré d’un ordre de phénomènes dont les fascinations etles hallucinations de la magie du Potet sont le degré le plus élevé.
ns externes et internes, commencement de l’état maladif qui forme les hallucinations . Quel horizon nouveau s’est ouvert dans l’étude
e la chaîne, soit sur d’autres personnes, tels que la catalepsie, les hallucinations des divers sens, la transmission de la pensée.
rassé qu’eux, et les engagea à regarder tout cela comme l’effet d’une hallucination , et à faire de fréquentes prières pour empêcher l
mpire de contagions morales, bien des gens ont dû être en proie à des hallucinations et ont pris pour des réalités les chimères de leu
cation de volonté à distance, 48, 497; — découverte d’un trésor, 8; — hallucination , 50; — insensibilité à la douleur, 480; — instinc
82 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
limite, avec l'excitation l'alcool provoque des illusions, quelques hallucinations ; enfin, à un degré plus élevé, il fait naître u
impossible toute appréciation exacte des forces mentales. Par les hallucinations , il suscite, en outre, des idées déli- rantes q
ambitieuses. Arrivé à l'Asile Sainte-Anne, il est tourmenté par des hallucinations pénibles ; pendant quelques jours, il voitdes c
eux tentatives de suicide, reste pen- dant longtemps en butte à des hallucinations de l'ouïe; il entend ses parents morts depuis l
mettent dans un état d'angoisse extrême. Ce délire, accom- pagné d' hallucinations multiples et de troubles de la sensibilité géné
s, mais le patient retombe dans les premières idées délirantes avec hallucinations de l'ouïe, toujours les mêmes, sans variantes e
ue, P. Célestin, âgé de 38 ans, est depuis longtemps en proie à des hallucinations de l'ouïe et à des impulsions qui le poussent p
et ne tarde pas à être pris d'une bouffée de délire alcoolique avec hallucinations multiples, mobiles, très différentes des premiè
appro- chent et que le poison agit d'une façon plus continue, les hallucinations , le délire, ne tardent pas à se déve- lopper, e
l devient plus agité, son sommeil se trouble, des cauchemars et des hallucinations l'effrayent la nuit ; puis enfin, éclate pendan
tractées dans les dernières années rendent compte, à leur tour, des hallucinations mul- tiples et des idées délirantes qu'elles on
rêves pénibles, des cauchemars, puis ses nuits sont agitées par des hallucinations . Plus tard, elle a de véritables accès de délir
ion de la face et de la tète, il a eu un accès de delirium iremens ( hallucinations de la vue et' de l'ouïe, insomnie, agitation, i
e à elle-même, elle présentait un état continuel de délire avec des hallucinations .-Il existait en outre une céphalalgie frontale
ard sont survenues de la mélancolieet des idées de suicide avec des hallucinations de l'ouïe.-Une céphalalgie persitante et des do
- avec des produire des périodes d'excitation' maniaque avec des- hallucinations diverses. 1 Néanmoins,. t'autopsie'n'a ré- vélé
isé par DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 239 des idées religieuses, des hallucinations de l'ouïe qui conduisaient le malade à. des ten
aralysie dés membres. ? "' ' 1 1 ? ? ut I] n'y a généralement pas d' hallucinations , mais quelquefois des perversions' du goût'et d
de la person-' nalité, ni par de l'excitation intellectuelle,- des hallucinations , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 319 et ne s'acc
s idées. Il est douteux qu'il y ait idée fixe assez absor- bante ou hallucination assez impérative pour dominer l'é- nergie des a
ctobre, dé- cembre 1879 et avril 4880.) XXVIII. SUR L'ORIGINE des hallucinations ; par A. TAIBURINI. (Rivista sperimentale di FI
pas besoin 388 PATHOLOGIE NERVEUSE. d'être très .énergique. Pas d' hallucinations de la vue, ni de l'ouïe. Pas de fureur, pas de
pilepsie optique une forme spéciale où l'attaque est précédée d'une hallucination ordinairement visuelle. Les phénomènes peuvent
ement visuelle. Les phénomènes peuvent consister exclusivement en hallucinations , avec perte de conscience. Voici, pour fixer les
sion peut se , former dans la couche optique ; nous avons alors une hallucination . L'hallucination sera appréciée à sa juste vale
rmer dans la couche optique ; nous avons alors une hallucination. L' hallucination sera appréciée à sa juste valeur par un cerveau
au sain ; mais si la couche corti- cale est dans un état anormal, l' hallucination sera prise pour une réalité. ' , ; Dans le ca
prise pour une réalité. ' , ; Dans le cas que décrit Hammond, les hallucinations existent sans dérangement intellectuel. Elles d
llectuel. Elles diffèrent, par conséquent, des cas d'épilepsie avec hallucinations , où les hallucinations sont acceptées comme réa
nt, par conséquent, des cas d'épilepsie avec hallucinations, où les hallucinations sont acceptées comme réalité et entraînent les
eu près, ajoute-t-il, parce que la perte du sentiment qui suivait l' hallucination , montre qu'il existait ce trouble cortical néce
1880.) Pendant un accès d'agitation maniaque, sous l'influence d' hallucinations religieuses et érotiques la poussant à des tent
- longés et l'application d'un séton, observation de M. Mabille ; Hallucinations de la vue chez un vieillard aveugle après doubl
° Rôle du grand sympathique dans la pathogénie des illusions et des hallucinations . 2° Nouvelles études cliniques sur le délire de
, on insiste sur le délire, ses phases triste et gaie, et sur les hallucinations de la vue et de l'ouïe, qui font que, dans cer-
s après ablation du), chez le chien, par Franck et Pitres, 278. Hallucinations (origine dos), par Tamburini, 327. Hémiopie c
83 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
de février, la malade est prise pendant la nuit de délire avec,. r hallucinations visuelles qui se prolonge le jour suivant.Elle vo
ent les symptômes sui- vants : surdité totale, excitation maniaque, hallucinations de l'ouïe et de la vue. Le malade ne présente n
archet. c'est là encore des fleurs avec la bêche, la faucille. 3° Hallucinations de l'ouïe. Le malade est habituellement - et plus
de est habituellement - et plusieurs fois devant nous - sujet à des hallucinations de l'ouïe. Tout d'un coup, par exemple, il se r
persiste, encore des idées de pe ? 'K' cution étroitement liées aux hallucinations de l'ouïe. Le malade se croit en ! prison : « l
er avec lui de quelque façon que ce soit, excepté par gestes. Les hallucinations continuent à se produire : dans la nuit du 18 il
llucinations continuent à se produire : dans la nuit du 18 il a des hallucinations de la vue, appelle à grands cris le veilleur parc
coule à grands flots » : à diverses reprises on constate aussi des hallucinations de l'ouïe. Le 23 décembre, mort à la suite d'ac
vation du centre des images auditives des mots, c'est l'existence d' hallucinations de l'ouïe très actives, qui dénotaient un état d'
actives, qui dénotaient un état d'excitation de ce même centre. Ces hallucinations se sont produites à diverses reprises en notre
aucune réaction aux injures, alors qu'elles étaient manifestes aux hallucinations désagréables. ' Les symptômes paraphasiques acc
d'ailleurs les personnes et les objets ; il a présenté en outre des hallucinations de la vue. Accès épileptifonnes. - La première
Leubuscher, Friedrich. Rapprochons des crises épilepti- formes les hallucinations de la vue et de l'ouïe observées. Les kystes trou
a eu de perversions senso- rielles : il n'a jamais eu, en effet, ni hallucinations ni délire. Pour avoir ainsi rapidement descendu
'activité automatique. Aucun autre trouble psychique : notamment ni hallucination , ni délire, et aucun signe de cette moria, sign
», tantôt « elle s'hypnotise ». Par suite, idées d'auloaccusation. Hallucinations probables. (1) Cette observation a été prise da
ron- chite. Cette soeur a des cauchemars la nuit, elle présente des hallucinations de la vue, de l'ouïe, de la sensibilité général
morts depuis plusieurs années. Elle semble présenter de nombreuses hallucinations audi- tives. La soeur de L... nous dit que l'en
dit que l'entourage de notre sujet s'est aperçu de sa maladie à ses hallucinations auditives, on lui disait qu'il fallait partir. Il
isait qu'il fallait partir. Il était donc logique de penser que les hallucinations avaient joué un rôle im- portant dans le délire
en disant qu'on le lui avait commandé. Nous avions cru alors à des hallucinations auditives ; mais plus tard elle nous expliquait d
upuleuse des faits. Cependant il semble que parfois la malade a des hallucinations véritables. Elle entendit, nous dit- elle, marc
cina- tions auditives véritables. En tous cas s'il y a de réelles hallucinations , celles-ci sont rares en compa- raison des idée
les ; si dans certains cas, la malade présente ce qu'il semble, des hallucinations visuelles véritables, il n'est pas moins vrai que
e. Il semble aussi que la sensibilité générale ait donné lieu à des hallucinations vraies au moins au début de l'affection. ' .
ait seule dans sa chambre. Depuis que L... est dans le service, ces hallucinations de la sensi- bilité générale ont complètement d
épit des apparen- ces nous sommes portés à croire qu'il y a moins d' hallucinations à proprement parler qu'on serait tenté de le su
ions ' '(1) Sérieux et MIGNON, Surdité corticale, avec paralysie et hallucinations de Vouïe, due à des kysles hydatiques du cervea
ser les meubles. En 1900 surviennent des troubles de la marche, des hallucinations de la vue, de l'ouïe et un affaiblissement très m
entre à Ste-Anne dans un état d'inconscience com- plète, ayant des hallucinations terrifiantes de l'ouïe et de la vue, un langage
MIGNOT ROGER et PAUL Sérieux. Surdité corticale avec paralexie et hallucinations de l'ouïe due à des kystes hydatiques du cerv
84 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ce, devient un état extra-physiologique s'il se complique de rêves, d' hallucinations , d'automatisme, de somnambulisme, de somniloquie,
, vous ne sortez pas du domaine physiologique. Si vous lui donnez des hallucinations visuelles, auditives, gustatives, vous le faites
re part,/page> page n="45"> dans les contractures, dans les hallucinations suggérées, dans les hypéresthésies et surtout dan
ux phénomènes fondamentaux de l'état d'hypnotisme: L'automatisme et l' hallucination . (à suivre) SOCIÉTÉ D'HVPNOLÛGIE ET DE PSYCHO
ux expressions dont le contenu estloin d'être bien limité, plutôt les hallucinations hypnago-giques de l'époque prémorphéique et celle
explique que des aliénés hallucinés délirants ne rêvent pas de leurs hallucinations . 11 relate l'analogie qui existe entre cette di
s preuves, il a trouvé la formule de son délire. Les illusions et les hallucinations jouent ici le même rôle que dans l'éclosion des a
îcintdu délire de la jalousie autant de preuves de son malheur. Les hallucinations intéres?entsurtout la vuo et l'ouïe; lo3 première
bi-tion hypnotique et facilitent l'apparition de l'automatisme et des hallucinations .Les mêmes effets peuvent résulter d'intoxications
on raisonnable, l'individu qui se met à courir dix minutes, qui a des hallucinations terrifiantes, qui est capable de se précipiter su
au cours de diverses psychoses ; ce sont des illusions plutôt que des hallucinations proprement dites et souvent le sujet peut en fair
gitation la nuit, un peu de céphalalgie, mais plus de cauchemars ni d' hallucinations . La sensibilité est normale et les fonctions du c
es nuits sont bonnes, plus d'agitation ni de céphalalgie, ni jamais d' hallucinations . A la troisième séance de suggestion hypnotique
même en plein délire alcoolique ; il n'est pas contre-indiqué par les hallucinations . Dans ces cas. la suggestion s'applique d'abord à
dehors; il obéit aux suggestions motrices; on peut lui provoquer des hallucinations visuelles, et surtout on peut lui donner une sugg
ciences morales et politiques. Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et visuelles consécutives à un traumati
! Elle n'admet pas le moindre doute sur la réalité objective de ses hallucinations . Son entourage a beau lui afflrmerei lui prouver
t. Tantôt Mme B .. s'écrie : ß Nous allons tous mourir ! » Tantôt des hallucinations visuelles surviennent : en plein jour, toute évei
les menaces de jadis étaient les illusions d'un esprit malade et des hallucinations sans objet. Vers le 4 décembre, j'estime que Mm
e seulement à son premier état de substance a-. En effet, sauf dans l' hallucination , le souvenir de la sensation, par exemple, est mo
hères cérébraux. — Phénomènes psychiques de l'hypnotisme : illusions, hallucinations , variations de la personnalité. — La mémoire da
rtout dans la langue et le nez, etc. Ce délire de persécution, avec hallucinations de tous les sens, est arrivé à son apogée en quel
ar Balzer, p. 219. Glycosurie (Idées délirantes de persécution avec hallucinations auditives et visuelles consécutives à un traumati
17. Patholésie, par Buckley, p. 184. Persécution (Idées de), avec hallucinations auditives et visuelles etc.. par Paul Farez. p. 2
85 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
iété de psychose alcoo- lique continue caractérisée surtout par des hallucinations de l'ouïe qui persistent durant des années et p
istingue de la paranoïa alcoolique chroni- que. La prédominance des hallucinations visuelles sur les hallucinations auditives rend
chroni- que. La prédominance des hallucinations visuelles sur les hallucinations auditives rend en général le diagnostic facile
phénomènes prémonitoires, crampes, anesthésies loca- les, même des hallucinations . Pendant le sommeil, Arbentina est dansla résol
e et sanglant Samuel qui permet de donner une théorie nouvelle de l' hallucination verbale, les prophètes de cour Gad et Nathan, l
sa constitution, sa sug- gestibilité, ses images et ses idées, ses hallucinations , sa théomanie, son intelligence, son orgueil, s
'influence exercée par les maladies de l'oreille sur l'éclosion des hallucinations auditives et de la folie. Ces affections auricu
hénomènes psychiques d'ordre hallucina- toire et même délirant. Les hallucinations auditives peuvent rester toujours conscientes (
es. Dans les cas où la maladie causale a été traitée et guérie, les hallucinations auditives ont dis- paru ; elles se sont atténué
; elles sont passées à l'état chronique quand elle a persisté. Ces hallucinations ont consisté en monosyllabes, simples mots, phr
tions vésaniques diverses en rapport avec les caractères de leurs hallucinations : ce sont surtout des délires mélancoliques ana
ersonnelles) ; quand l'affec- tion auriculaire est unilatérale, les hallucinations restent unilatérales. Enfin on peut observer de
s l'interprétation délirante des bruits subjectifs de l'ouïe et des hallucinations verbales inconscientes : les idées de persécuti
importe donc d'examiner l'oreille des individus qui se plaignent d' hallucinations auditives, surtout quand ces hal- lucinations a
t même du centre cortical engendre des phénomènes d'excitation, des hallucinations de l'odorat. Quant à la fréquence des lésions d
ouleur mélancolique avec interprétations dé- lirantes, illusions ut hallucinations . Ce malade présentait des si- gnes physiques et
ertificat suivant : Débilité mentale avec alcoolisme; cau- chemars, hallucinations terrifiantes, tremblements des doigts. Entré à
illaire, attribuable d'ail- leurs à la cécité de l'oeil gauche, des hallucinations terrifiantes : vues d'animaux, spécialement de
raumatismes craniens se traduit par une symp- tomatologie spéciale ( hallucinations , idées fixes, amné- sie, etc.) peut être résolu
pilepsie visuelle sensitive et la migraine ophtalmique. De même les hallucinations auditives sont communes aux deux maladies, fait
. Il s'agit d'un soldat malade, fils d'un père alcoolique, dont les hallucinations prenaient l'aspect d'une attaque : croyant voir
ecille pratl- que, 1899. l'épilepsie et la migraine. 379 même hallucination se répéta dans une église : le malade crut voir
03. LA SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTROPHIQUE. 435 amyotrophique) avec hallucinations , délire de persécution et crises d'agitation im
itation puérile avec pleurs spas- modiques irrésistibles; avait des hallucinations et chercha plu- sieurs fois à se. suicider en s
de lucidité re- lative, puis des crises d'excitation avec délire et hallucinations probables de la vue. 11 veut être toujours armé
urant tout le cours de la maladie. Il faut enregistrer encore des hallucinations de la vue qui, dans les paroxysmes d'excitation
s d'excitation, viennent concou- rir à la désorientation du malade, hallucinations favori- sées sans doute par les lésions oculair
démentielle avec confu- sion mentale passagère). Il avait aussi des hallucinations de l'ouïe. En ce moment, il ne paraît plus déli
86 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ire. Il rapporte des observations très intéressantes touchant aux hallucinations sensorielles des amputés qui croient encore fai
effectuerait plutôt à la suite de troubles sensoriels, illusions et hallucinations . Si l'on consi- dère enfin comme signes caracté
z lequel les idées ambi- tieuses étaient survenues à la suite d'une hallucination de l'ouïe : en sortant de chez un marchand de v
sensorielle et motrice. P. K. II. Description ET explication des hallucinations de la vue qui se produisent avant le SOMMEIL ;
mation de fantasmes qui se projettent ensuite au dehors, en tant qu' hallucinations hypnagogiques. Hallucinations d'origine entopti
jettent ensuite au dehors, en tant qu'hallucinations hypnagogiques. Hallucinations d'origine entoptique, ayant en somme le même mé
cerne un rhumatisme articulaire avec chorée; périodes d'an- goisse, hallucination ; puis allure maniaque pendant cinq jours; amnés
VII. Remarques adressées A la théorie du professeur Arndtsur les hallucinations et les illusions. [Traité de psychiatrie, p. 11
Ix'); par HOPPE. (Tahrbùch. f. Psych., VI, 2-3.) Pour M. Hoppe, les hallucinations de la vue émanent purement et simplement d'impr
mpressions, elles deviennent des perceptions délirantes. Toutes les hallucinations ont pour ori- gine l'organe sensoriel. Tout le
(Tahrbùch. f. Psych., VI, 2-3.) Dans l'immense majorité de cas d' hallucinations vraies (douze faits sur vingt malades), on cons
es cas d'hallucina- tions frustes sur les douze faits en queslion d' hallucinations véri- tables, plastiques, on note dix cas d'hyp
ses idées et de ses actes, qu'il a été le jouet d'illu- sions et d' hallucinations nombreuses; il accorde enfin, avec toutes les a
rations intellectuelles, un vide psychique, ou bien obéissait à des hallucinations très vives, voire à des conceptions délirantes.
un léger sourire, de petits mouvements des lèvres indiquaient des hallucinations , mais on n'en pouvait tirer aucun son.'Il est pro
vait tirer aucun son.'Il est proba- ble qu'il était sous l'empire d' hallucinations . A Hildesheim encore, est un aliéné qui depuis
nvertir, punir les méchants. En même temps, idées d'empoisonnement. Hallucinations de l'ouïe et de la vue. Un refus de nourriture
ente ans, dans les premiers mois de 1884, idées de persécution avec hallucinations sensorielles. « On l'insulte, on le tourmente a
on voit survenir divers accidents inter- mittents : le vertige, les hallucinations , l'insomnie, les cauche- mars, la folie, sont p
naie et les remettre à un des assistants, etc. Tantôt ce sont des hallucinations : on lui fait voir des personnes absentes; non se
ileptlqùe, par hUer, 285. Gliomatose médullaire, par Roth, 368. Hallucination (description et expli- cation des de la vue qui
87 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
térale du thorax, la moitié droite de la face, enfin la tête. Pas d' hallucinations de la vue, pas de phosphènes. Gran- did... ne r
t d'é- prouver. Il n'aurait jamais eu d'excitation maniaque, ni d' hallucinations , mais on a noté des idées tristes et, à deux re
, génital. - Début de l'épilepsie non précisé. - Parfois aura. - . Hallucinations après l'accès. - Hernie inguinale gauche. Gib..
ère maladie, sont absents dans la seconde. Les troubles psychiques ( hallucinations , délire mélan- colique, etc.), l'affaiblissemen
Plaintes au procureur de la République et au préfet de police. - Hallucinations de l'ouïe, de la vue, de l'odo- rat et de la se
coups. - Disparition des idées d'incorpo- ration. - Persistance ci' hallucinations de l'ouïe. Re- fus de travail. - Alternatives d
la République, d'Argentan (Orne), la plainte que je voulais for- hallucinations DE l'odorat. 247 mer contre mes parents, en lui
'a 248 idées d'incorporation. pas, depuis son entrée à Bicêtre, d' hallucinations de la vue, de l'odorat, ni du goût. Il préten
, ma mère demeurant rue 5... ? n° 26, en arrivant à Paris (je fus hallucinations MULTIPLES. 251 envoyé à Sainte-Anne et ensuite
mière de ces lettres que notre malade était sujet à toutes sortes d' hallucinations , de la sensibilité générale, de l'odorat, de l'
dort pas, mais il n'aurait pas de visions. Il ne paraît pas avoir d' hallucinations de la vue ni de l'ouïe. Il ne sent plus l'odeur
de la morphine dont sa mère se servait pour l'incorporation. Pas d' hallucinations du goût. Pas d'idées de persécution. 2G juill
s je demande à l'avoir. On veut me le voler, à ce que l'on me 252 hallucinations de l'ouïe. répond. » Hier à la classe il a récl
lus se rappeler ses anciennes idées déli- rantes et ne plus avoir d' hallucinations . - Il n'a pas non plus d'idées de persécution.
lui, c'était la dépression mélancolique, avec idée de persécution, hallucinations de la vue, de l'ouïe, de l'odorat, et surtout l
88 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
terne des radiations optiques ou faisceau longitudinal inférieur. HALLUCINATIONS DE L'OUÏE - ALTERNANT AVEC. DES ACCÈS DE SURDIT
sous l'influence de troubles sensoriels d'une activité très grande ( hallucination de l'ouïe, de l'odorat, du goût et de la sensibil
e la sensibilité générale). A diverses reprises, ce délire à base d' hallucinations , qui dura plus de 18 mois, fut brusquement inte
mptomatiques diamétralement opposées : aux phénomènes d'excitation ( hallucinations de l'ouïe), qui étaient presque permanents, suc
s duraient quelques jours,puis disparaissaient graduellement et les hallucinations de l'ouïe reprenaient leur activité première. A l
I). Nouvelle Iconographie DE la SALPÊTRIÈRE. T. XV, PI. XXXVIII HALLUCINATIONS DE L'OUIE, SURDITÉ VERBALE, APHASIE SENSORIELLE
ONS CIRCONSCRITES DE MÉNINGO-ENCÉPHALITE (P. SJril'/lx et R. )0 ? HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 287 Hémisphère gauche : 1° Exulcérati
itation des centres sensoriels ; qu'il nous suffise de dire que les hallucinations , et plus particulièrement celles de l'ouïe, éta
pliquent l'alternance constatée entre les symptômes d'excita- tion ( hallucinations de l'ouïe) et les phénomènes de déficit(surdité v
éditaire est généralement regardée comme la cause de l'apparition d' hallucinations au cours de la paralysie générale : pour nous c
hez un paralytique géitéi-al, Société de Neu- rologie, mars 1900. HALLUCINATIONS DE L'OUÏE 289 destructive ou inhibitrice, être
elles pas alors sous leur dépendance les phénomènes d'exci- tation ( hallucinations de l'ouïe) ? Dailleurs cette interprétation n'est
symptômes d'excitation ou de paralysie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices verbales ; hallucinations de l'ouïe, s
sie) tels que : aphasie motrice, hallucinations motrices verbales ; hallucinations de l'ouïe, surdité corticale, surdité verbale p
ouïe, surdité corticale, surdité verbale pure, aphasie sensorielle; hallucinations de la vue, hémianopsieetc. Récemment Lissauer et
nt de vue du diagnostic. En effet, l'existence d'un délire à base d' hallucinations et la constatation de symptômes (surdité verbale
méningo- encéphalite d'une intensité peu commune. (1) P. Sérieux, Hallucinations motrices verbales chez une paralytique générale,
polymorphes de persécu- tion, d'empoisonnement, d'auto-accusation, hallucinations , anxiété, fugues. Elle fut suivie d'une nouvell
te leur ampleur. Pas de signes objectifs d'idées délirantes, ni d' hallucinations . Au physique, troubles vaso-moteurs des extrémi
nce du malade, l'ab- sencederelation avec des idées délirantes, des hallucinations , des troubles émotionnels. Que l'on interroge
ion élémentaire, universelle, sans justification, sans délire, sans hallucination , sans douleur morale, complètement automatique
e Rokoujo, dont l'esprit sort de la tombe pour la tour- menter. Ces hallucinations terrifiantes, vaincues par les incantations d'une
ion par les renards » en tous points semblable à notre démonomanie. Hallucinations psychomotrices et dissociation du « moi » (1) S
histoires de possession du moyen-âge et paraissent dus, soit à des hallucinations , soit à des manifestations hystériques. Si l'im
e et infantilisme (6 fig. 8 pl.) par Launois et Pieiuie Boy, 539. Hallucination de l'otcie alleruant avec des accès de surdité
89 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
; sachant combien il nous est difficile de discerner la lucidité de l’ hallucination et l’apparition dé ce même état. Est-ce à dire, m
ent le mesmérisme, regarderait ce fait comme le résultat d’une double hallucination . Un spiritualiste le considérerait comme une véri
s n’avons jamais pu les persuader qu’elles avaient été le jouet d’une hallucination ; elles ont la ferme conviction que nous nous somm
olente peut éveiller les fous aussi bien qu’elle peut les tuer. Les hallucinations , lorsqu’elles entraînent l’adhésion de l’intellig
Le docteur Brière de Boismont, dans son remarquable ouvrage sur les Hallucinations , raconte l’histoire d’un Anglais, très-raisonnabl
oir, après ses Paroles d'un Croyant et son Livre du peuple, vôritable hallucination d’un génie fourvoyé, aux prises avec cette terrib
laquelle nous reviendrons tout à l’heure, et dans l’introduction des Hallucinations , ouvrage du Dr Brierre de Boismont, exprimées dan
u’un homme de cœur pour jeter àb as leur édifice. Baron du Potet. HALLUCINATION . Le sieur Jean-Baptiste Morin, âgé de quarante-
s. » C’est dans cet exquis sensitivisme, — nommé par les aliénistes hallucination ; par les magnétistes, état de charme ou de sugge
’est qu’un empirique, ses continuateurs ne sont que des producteurs d’ hallucinations . Chardel, Deleuze, de pauvres gens « crédules. »
r, je le crois, on ne définira plus ce que l’on désigne sous le nom d' hallucination « la perception d'élres ou de faits qui n'existen
nit, la belladone, la mandragore, l’opium, le laudanum provoquent des hallucinations ou sensations fantastique de (I) Qanoon-c-islam
iverses, se mettre dans un état de folie temporaire, et provoquer les hallucinations les plus variées. Le célèbre chimiste Davy, en re
es de MM. Brière de Boismont et Calmeil. On objectera peut-être que l’ hallucination rend bien compte de la vision, de l'apparition, m
la prédiction comme plus claire qu’elle n’était réellement; enfin, l’ hallucination nous faisant voir par les^ewr nos propres idées,
celui qui avait consulté l’oracle. Les Africains obtiennent aussi des hallucinations avec leur eau fétiche (1). Les prêtres ou devins
spontanée de microzoaires, 50. Guérisons spiritualités, 538, 593. Hallucination (faits d’), 249, 476. Hydrophobie. Cas présenta
90 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
se en doute et qui se développe pleinement; il en résulte une série d' hallucinations qu'elle ne contrôle pas davantage et qui provoque
s'est imaginée que celui-ci voulait aussi lu faire emmener. Dans ses hallucinations , clic voit des folles enfermées dans une cour et
et elle tient des conversations en rapport avec ce qu'elle voit. Ces hallucinations de la vue et de l'ouie durent pendant plusieurs h
mates hystériques, par M. le D'Babinsei. médecin de la Pitié, p. 60. — Hallucination symbolique citez un dégénéré, par il. le Professe
t pas ou. s'il parvient à s'endormir, son sommeil est troublé par des hallucinations auditives et visuelles. Dans ces derniers temps
es qu'il peut présenter soient de nature hystérique Et inversement. Hallucination symbolique chez un dégénéré ('). par m. le Profes
qu'il y ait ou non des assistants. Chez notre malade, Il s'agit d'une hallucination symbolique. Dans cet ordre d'idée, je vous rappel
comporte, suivant les diverses affections pathologiques, savoir : les hallucinations hypnago-giques, les rêves el les hallucinations p
ogiques, savoir : les hallucinations hypnago-giques, les rêves el les hallucinations proprement dites. Puis sont examinés avec soin le
et la solitude du débir (compartiment postérieur de l'ohel-moed), une hallucination exo-auditive verbale hypnagogique. Il entendit la
stérile, SchomouCl, enfant silencieux, hyper-suggestfble,enproieades hallucinations verbales, et bientôt pénétré de cette idée que le
de ce spectacle, elle tombe dans une crise hystérique, avec délire et hallucinations . Elle se voit au théâtre, chante, cause avec Dieu
es ne sont pas accompagnées cependant de dépression mélancolique ou d' hallucinations , pas plus que d'actes déraisonnables ou d'impulsi
elle se rasa avec soin. Entrée à l'asile pour de la mélancolie avec hallucinations de la vue et de l'ouïe, un an après son admission
aussi des cas d'onanisme mental, mais ils se manifestent à la suite d' hallucinations ou d'illusions. De même, certaines hystériques ne
ir des lions et des éléphants dans sa chambre. De plus elle avait des hallucinations de l'ouïe. En 1898, elle fut atteinte de carie os
la sensation de brûlure qu'il a dans l'estomac, de l'insomnie et des hallucinations visuelles et auditives ; et, dans certaines occas
pas au delirium tremens et ne se manifeste que par l'insomnie et les hallucinations . Au dire de tous les malades, il endure de terrib
viens à abréger la durée de la crise. La période terminale, celle des hallucinations , n'est guère qu'ébauchée. En effet, elle crie et
des états hypnotiques, on peut encore observer tous les phénomènes d' hallucination sensilivo-sensoriclle. Malgré le défaut d'un somm
91 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
arences extérieures et son contenu psychologique, lequel comporte des hallucinations hypnagogïques souvent et des rêves presque toujou
ucinations hypnagogïques souvent et des rêves presque toujours. Les hallucinations HVPSAGOGiQUEs (2), on se le rappelle, sont des
à l'Ecole de Psychologie j'ai fait, en 1902, toute une leçon sur les hallucinations hypnagogiques qui surviennent en pleine santé et,
qui surviennent en pleine santé et, eu 1903, une autre leçon sur les hallucinations hypaagegiques d'origine pathologique. Ces deux le
, exactement le môme mode de début. • ? · Qu'il y ait eu ou non hallucination hypnagogique, le sommeil somnoformique s'accompag
sse. L'urémie, avec ses troubles des sens, ses délires impulsifs, ses hallucinations terrifiantes, est là, menaçant le malheureux qui,
ggestion. Cette narcose comporte souvent,à sa période d'invasion, des hallucinations hypnagogiques, puis, lorsqu'aucune suggestion ne
e soit tout à fait éveillée, on peut très facilement lui suggérer une hallucination . Par exemple si je lui dis : « X. est venu ». aus
préter, tels que : fa lecture des pensées, la suggestion mentale, tes hallucinations tèlêpathiqucs, la lucidité, la clairvoyance, les
jusqu'ici, et, au lieu d'étudier les esprits, les pressentiments, les hallucinations télépathiques, l'extériorisation de la sensibilit
itif de la mort, c'est la putréfaction. Mais, par une illusion ou une hallucination du sens olfactif, les assistants peuvent s'imagin
pendant votre ivresse ou après ? 25. Aviez-vous eu des accès ou des hallucinations ? 26. Est-ce que votre mémoire ne s'affaiblit p
ette divinatoire, le Spiritisme, les possessions, la sorcellerie, les hallucinations , la magie. En !.¦¦¦:. M. Dumont, chef des trava
dans le dos, une constipation opiniâtre, un abattement complet et des hallucinations visuelles. La maladie avait commencé quatre a
ment complet et de l'apathie ; quand le malade est constipé, il a des hallucinations visuelles : des têtes de femmes et des corps nus
acilement les phénomènes suivants : catalepsie, automatisme, diverses hallucinations pendant le sommeil, suggestions post-hypnotiques,
ent d'abord, ils produisent un meilleur effet. Enfin, il n'y a plus d' hallucinations . Si le traitement hypnotique n'était pas interv
92 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
la main pour se convaincre de son existence. Pendant la journée les hallucinations sont moins vives et il peut encore être convaincu
che, la prostration et la céphalée ont beaucoup dimi- nué, mais les hallucinations ont augmenté en intensité et se sont accompa- g
tout cela à cause des sortilèges de sa belle-soeur. Il discute ses hallucinations , il dit que nous n'y croyons pas, qu'il sait qu
maux de tète intenses, se joignant il des accès de hoquets et à des hallucinations visuelles. Il voit les gravures suspendues sur
crises névropathiques avec délire onirique à caractère terrifiant. Hallucinations visuelles, interprétations délirantes. Quelques p
stupeur catatonique ; pourtant, il semble qu'il n'y ait point eu d' hallucinations , ni de phénomènes d'irritation motrice, stéréot
sthésie complète pour les piqûres d'aiguille, mais il n'avait pas d' hallucinations ; après peu de temps, il était arrivé à un muta
LA DORMEUSE 1)'OlNi. - : 3 : 2 ANS DE S'i'UPKU 277 I n'avoir pas d' hallucinations ni d'idées fixes, disant que « C'était lu des i
es de Janet, notamment concernant l'amnésie. A cause de l'absence d' hallucinations , de rigidité musculaire et d'un certain nombre d'
a simulation sans qu'on n'ait, dans aucun des cas, pu constater des hallucinations ni d'idées de persécution ; dans les deux cas, l'
sumé : Deux épisodes aigus hallucinatoires délirants avec anxiété : hallucinations de la vue et de l'ouïe intenses e pénibles ; hall
xiété : hallucinations de la vue et de l'ouïe intenses e pénibles ; hallucinations agréables à de très courts intervalles (visions
er ; troubles de l'attention liés au développement considérable des hallucinations . Après le retour à l'état normal, récit détaill
rtains moments de son état, mais tout en causant il a de fréquentes hallucinations . « J'étais placé chez les X..., je couchais dans
ur la terre, je n'avais pas de mal ». Ensuite il nous raconte des hallucinations qu'il a eues chez ses patrons. « Un soir j'étai
ivement. D. Avez-vous toujours peur ? R. Oh ! oui. Il raconte des hallucinations nocturnes : « Il y a le Diable dans mon lit. «
éria... glas... « glas... on verra quand on partira... » On parle d' hallucination , il répète, toujours en chantant sur un ton mon
llucination, il répète, toujours en chantant sur un ton monotone : « Hallucination de quoi, hallu- « cination de qui... Une main..
précise fort bien ses souvenirs. Tout d'abord il nous ra- conte une hallucination dont il ne nous avait jamais parlé. Il était à ce
es troubles psycho- sensoriels. Lorsque le sujet était en proie aux hallucinations , son attention était tout accaparée par ces sen
e grossièrement en leur repro- chant des méfaits imaginaires. Des hallucinations de la vue et de l'ouïe paraissent également exist
93 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
rantes d'hypochondrie et de persécution ; insomnie. Elle n'avait ni hallucinations ni pseudo-hallucinations. On la considéra comme u
elle devint de nouveau taciturne et misanthropique et présenta des hallucinations visuelles et cénesthétiques. Elle voyait les an
thie. Parfois il s'y ajoute d'autres troubles, des idées fixes, des hallucinations , comme l'a observé Pilez (de Vienne), du délire
oubles psychi- ques plus ou moins durables et parfois à répétition, hallucinations , mo- difications du caractère, apathie ou mouve
ils ont de l'insomnie avec rêves et cauchemars, de l'onirisme, des hallucinations . Les accidents « hystériques » sont très fréquent
ge en quatre groupes, agitation maniaque, mélancolie, obsessions et hallucinations . La forme avec agitation maniaque est de beauco
Meynert, Robertson, Clark, Barton-Jacobs. Elle peut s'accompagner d' hallucinations (Jensen, Boetzer), d'idées de persécution (Jensen
des idées hypochondriaques et amenèrent un état mé- lancolique avec hallucinations . L'état mélancolique pousse parfois les malades
s sujets les plus divers. Le quatrième groupe comprend des cas avec hallucinations que la plu- part des auteurs avec MM. Gilbert B
7.alplachta, où il existait simultanément troubles des perceptions, hallucinations , illu- sions, incohérence, désorientation, inco
de persécution, de viol, de fausse grossesse, d'empoisonnement, des hallucinations contemplatives, extatiques, profes- sionnelles,
rsécution chez une hystérique atteinte de goitre exophtalmique avec hallucinations et idées de persécution, attribue les hallucinati
htalmique avec hallucinations et idées de persécution, attribue les hallucinations à l'hystérie et trouve dans l'état d'esprit par
articulier des basedowiens l'élé- ment secondaire indispensable à l' hallucination pour aboutir au délire de persécution. Chez les
s individus normaux. C'est cette exa- gération de l'émotivité à des hallucinations pénibles qui finit par détermi- ner les mêmes s
sentiments de méfiance qu'une hostilité réelle. « L'hystérie crée l' hallucination , la maladie de Basedow se l'approprie et s'en ser
almique. Soc. méd. psyclzol., 3 mars 1890. Troubles psychiques et hallucinations dans la maladie de Basedow. Soc. méd. des hôp.,
, on note : céphalées violentes au front et k l'occiput. Gâtisme. Hallucinations visuelles, sans localisation spéciale. Sensations
fait de troubles psychiques nous ne pouvons guère analyser que les hallucinations . Elles sont en tout point analogues il celles de
on des nerfs optiques et l'amaurose favorisent le développement des hallucinations visuelles. Le sentiment de malaise y donne le c
compression des nerfs optiques aurait participé à la production des hallucinations visuelles. Ces questions ne peuvent être que touc
cupa- tions hypocondriaques et idées de persécution,'accompagnées d' hallucinations visuelles et d'impulsions violentes. Les cris
94 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
on par laquelle on change la saveur et l’odeur des corps, produit des hallucinations enfin, et qui est une cause si fréquente d’erreur
; mais le délire, d'abord calme, ne tarda pas à devenir furieux : des hallucinations , des visions étranges de voleurs, d’assassins, de
AMBULISME. Troisième observation. Les somnambules sont sujets aux hallucinations . L’exemple qui suit peut être regardé comme type
hideuses , d’images effrayantes. La manifestation qui témoignerait d’ hallucinations agréables £ ne serait pas moins concluante pour q
ans l’état somnambulique naturel aussi bien que dans l’artificiel des hallucinations fréquentes? Les mots soulignés pourraient le fair
oses, dans la vie et dans la mort. Nous avons étudié précédemment les hallucinations de la vue, du toucher et de l’ouïe dans leurs rap
uverte. Lepelletier (de la Sarthe), D.-M.-P. BIBLIOGRAPHIE. Des hallucinations , ou Histoire raisomtcc des apparitions, visions,
ets. U range, il est vrai, les facultés des somnambules au nombre des hallucinations et cherche à les expliquer de la même manière. So
é, vue à distance, tétanos, catalepsie, perversion de la sensibilité, hallucination et insensibilité étaient des phénomènes plus que
plus savants ses vassaux. Nul ne résiste à cette contagion funeste; l' hallucination est au comble : il n’est bruit que de possédés, o
e de ses rapports avec son esprit familier. Il ne voit en cela qu’une hallucination , ce qui n’infirme ni les faits qui précèdent, ni
re. — M. Hébert (de Camay) expose l’état de nos connaissances sur les hallucinations morbides et provoquées magnétiquement. MM. Gentil
s questions à l’ordre du jour sont : 1° des illusions, corollaire des hallucinations j 2” de ta légalité de la pratique du magnétisme.
e des effets instantanés de sommeil, d’attraction, de répulsion, et d hallucinations lacliles, oculaires et auriculaires. Séance du
t dépassent le but. Ici je pourrais aborder le curieux chapitre des hallucinations ; mais déjà cette fantastique spécialité a été si
rentrée guérie. 192 Grossesse fictive. 334 Hydroscopie. 34, 270 Hallucinations . 120, 204, 264 Hôpital magnétique. 49, 234 In
95 (1845) Journal du magnétisme [Tome I]
e la Manche, c’est-à-dirc en chemise, qui s’était relevé, jouet d’une hallucination , et qui, une bûche à la main, donnait force coups
ommeil produit par les narcotiques; Du somnambulisme naturel; Des hallucinations , des rêves, des songes, des visions et des presse
la rue Mandar; cç qui était vrai. Craignant toujours que ce fût une hallucination duc à des rêves qui ont quelquefois lieu en somna
ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU. TROUBLE DE ^INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS . Études préparatoires du somnambulisme magnétiq
et. Mais voilà bien assez de folies. Pour raconter tout entière une hallucination de hachisch, il faudrait un gros volume, et un si
ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU. TROUBLE DE 1,’INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS . § I. Effets du Hachisch. — {Suite.) Deuxième
ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU, TROUPJ.E DE L’INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS . (Suite.) § H.— Effets de l’opium. Première o
ACTION DES NARCOTIQUES SUR LE CERVEAU. TROUBLE DE ^INTELLIGENCE, HALLUCINATIONS . § II. — Effets de l'opium. (Suite.) I)ei n
’imagination; à dose légère, il fait naître des idées et provoque des hallucinations , de telle sorte que l’esprit semble continuer à
uiles pjrogénées disposent à la mélancolie, à la mauvaise humeur, aux hallucinations . Le phosphore et Yiode stimulent les organes de
à un examen. Mais disons de suite cependant qu’il n’y a pas toujours hallucination dans le cauchemar, et qu’il est quelquefois dù, n
nate s'il veut lui abandonner son âme. Entièrement subjugué par cette hallucination , il continue son rôve, accepte le marché proposé
chronique. 120 - aiguë. 133 Gastrite aiguë. 79 Gastralgie. 80 Hallucinations par les narcotiques; voyez Haschieh. 152 — par
8 — ù Besançon. 450 — ii Cherbourg. 380 — à Privas; voyci aussi Hallucinations par le magnétisme. 422 — à I.ondivs. 522 — au
96 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
e. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques; hallucinations de la vue ; stigmates permanents et variables. —
îné des garçons, Jacques, avait à son tour des crises délirantes avec hallucinations . A partir de cette époque, les trois enfants ne
i pendant les attaques, ni dans l'intervalle, il n'a eu de rêves ou d' hallucinations d'un caractère gai ou agréable. A cette époque,
d'ailleurs souvent dans des cauchemars affreux ou dans de fréquentes hallucinations bypnagogi-ques. Il est toujours triste: « Je m'en
ît les personnes qui l'entourent et les nomme ; mais le délire et les hallucinations persistent cependant pendant quelque temps encore
n enfance, il a peur dans l'obscurité, et la nuit, il est sujet à des hallucinations hypnagogiques, à des cauchemars. De très bonne he
t ainsi une partie de la nuit, sans pouvoir trouver le sommeil. Ces hallucinations hypnagogiques duraient depuis six mois environ, l
bout de deux mois, le malade put rentrer chez lui. Bientôt après, les hallucinations nocturnes terrifiantes reparurent comme de plus b
18 tat mental n'a présenté actuellement aucune grande anomalie, Les hallucinations hypnagogiques ont, depuis plus d'un an, à peu prè
ez lui l'influence de l'imitation contagieuse. Seule la période des hallucinations et des attitudes passionnelles fait chez G... hab
cas. Ainsi, quand l'attaque a été spontanée, il peut arriver que les hallucinations en jeu aient par moment un caractère gai, tandis
n assez grande quantité: mais il assure avoir perdu cette le coup d' hallucinations terrifiantes en même temps que les accès convul-s
mais le mutisme est complet. Il a actuellement des cauchemars où les hallucinations qui se montraient pendant son délire reviennent f
e. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques; hallucinations de la vue; stigmates permanents et variables. — C
97 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
vais être malade. » Il n'a pas eu de folie ni avant ni après, ni d' hallucinations ou de cauchemars. Pourtant le sommeil était un
iblissement de la 7né1xx02x'B. -1're- miers troubles intellectuels, hallucinations visuelles, folie mystique qui font renvoyer l'e
ellectuel. Dépression mélancolique avec excitation par intervalles. Hallucinations de l'ouïe, refus d'aliments, idées de suicide.
ébilité mentale avec idées mélancoliques et idées de persécution. Hallucinations de l'ouïe, surdité. » En juillet, M. Uriand, da
t liés à l'hystérie, loquacité, agitation, propos déraisonnables. - Hallucinations visuelles, fréquence du pouls. - Génuflexions f
pratiques religieuses, éclata un délire mystique avec illusions, hallucinations de la vue, dépression mélancolique, etc. 111. L
rapport il la première, sans aucune manifestation mystique et sans hallucinations . Elle disparait complètement au bout de huit jo
rrement. - Sa femme, le; jour de l'enterrement, paraît avoir eu une hallucination : Tout d'un coup elle s'est imaginée que les cr
. 237 qui montent, ils veulent me prendre le petit. » C'était une hallucination , car les croque-morts ne sont arrivés qu'un qua
ant ses grandes convulsions, au moment du lever, elle aurait eu une hallucination de la vue : « elle voyait un loup sur la table»
ligent. - Un autre (5°) a eu des convulsions iL trois reprises, des hallucinations , des sensations vertigineuses et est morte de l
98 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
e somnambulisme , les manifestations spiritualistes de jonglerie ou d’ hallucination . Contre leurs sarcasmes, leurs dénégations obstin
là des phénomènes que les physiologistes appellent désordres moraux, hallucinations , folie, quand ils veulent bien en reconnaître l’e
qu’il produit comme des dupes par trop crédules, jouets de cet état d' hallucination , de suggestion magnétique qu'on a appelé électro-
ter les phénomènes produits par M. Home comme le résultat de l’état d’ hallucination , d'illusion, d électro-biologie dans lequel se tr
euses qui faisaient de tels aveux étaient de pauvres femmes en état d’ hallucination , de fascination magnétique ; de malheureuses créa
eleine; les visions, les dons de clairvoyance, de vue à distance, les hallucinations , l’extrême sensibilité magnétique qui en furent c
dont elle n’a pas conscience, ce sont ses seuls aveux, ses rêves, ses hallucinations dirons-nous plutôt, qu’on prend pour guides et po
t dans ce gros lézard que mangent les Arabes un ennemi acharné. » HALLUCINATION . Un rassemblement considérable s’était formé hi
-elle en frissonnant de tout son corps. — Allons, allons, c'est une hallucination , mon enfant. — Je viens de voir ma sœur, répéta
n lui une puissance divinatoire ? 11 a des visions, des fantômes, des hallucinations , des souvenirs, et son imagination échauffée par
seulement comme je suis averti que j'ai affaire à un liomme sujet aux hallucinations , je me tiendrai sur mes gardes, j’écouterai ce qu
nguents narcotiques et excitants du système nerveux, étaient de pures hallucinations , résultat d’une tendance de séparation entre l’âm
i mon aventure n’est qu'une chose toute simple qui s’explique par une hallucination ou un sommeil avec un pesant cauchemar. Voici mon
herché à compléter ces indications dans un chapitre de son Traité des Hallucinations . Celui qui a lu ces livres n’a plus aucun doute s
dès l’abord ne pas pouvoir conjurer. La patiente était en proie à des hallucinations , et une fièvre affreuse la tourmentait constamme
t marché. « Ce fait peut être attribué tout simplement à une de ces hallucinations , à un de ces rêves qui prennent corps dans l’imag
ses ; bien des faits allégués s’expliquent naturellement par l’état d’ hallucination où se sont trouvés quelques rêveurs enthousia
s, 160. Guérison miraculeuse attribuée à la sainte Vierge, 500. Hallucination (fait d'), 161. Imagination (pouvoir de l’), 64
99 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
e refuse de répondre ou dit que son entourage lui fait des misères. Hallucinations de la vue et de l'ouïe. 20. - Constipation. La
rée.répond d'un air dédaigneux aux questions qu'on lui adresse, Les hallucinations de l'ouïe prédominent dans son délire. Les voix l
immédiat. - Dégénérescence mentale avec dépression mélanco- lique, hallucinations de l'ouïe et aberration des sentiments affectifs.
ue sur les légumes il y a des vers. Quand on mange la soupe, on a l' hallucination du ver, on a peur de suite qu'un ver ou un serp
tes (arrêt du sang dans la main) qui produisent ses impulsions. Les hallucinations auditives, paraissent moins nettes qu'au moment d
s d'auto-accusation bien en rapport avec son état mélancolique. Les hallucinations dé la sensibilité..générale (électricité du parqu
e souffrance mo- rale corporelle pas légumes dedans impureté morale hallucinations . Pain seule nourriture pas rester partir Mademo
sujets présentant des prédispositions congénitales ou acquises des hallucinations et des troubles psychiques) : ces phénomènes se
quille dans son lit; elle sursaute à tout instant, en éprouvant des hallucinations ma- nifestes. Elle marmotte des paroles inintel
es deviennent tout à fait occasionnelles, parfois même ineptes. Des hallucinations variées viennent, généralement augmenter le tro
parfois de sensations visuelles colorées, de phosphènes, parfois d' hallucinations visuelles ou de troubles mentaux. La deuxième p
édisposés ÉTUDE DU NERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallucinations et des troubles mentaux, l'aspect ophtalmoscopiqu
l'asile, elle présentait un état de confusion mentale extrême avec hallucinations terrifiantes. Est sortie améliorée en 1903. Le
ses pinces, ' DE LA DÉGÉNÉRESCENCE CHEZ L'ANIMAL 487 5. Phobies. Hallucinations . - Les phobies visuelles et auditives sont t fr
ladiator qui avaient l'un pour l'autre une véritable répulsion. Les hallucinations du cheval sont sensorielles, visuelles, motrices,
otrices, mais toujours de nature psychosensorielle. Sans parler des hallucinations pro- duites expérimentalement par Cadéac et Meu
isme), aux troubles de la volonté et du carac- tère, aux phobies et hallucinations . Il n'y a pas lieu de s'étonner que nous emprun
100 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
r voie de suggestion, des impulsions automatiques et de provoquer des hallucinations . Lorsqu'il en est ainsi, les attitudes fixes, art
ins complexes, parfaitement coordonnés, en rapport avec la nature des hallucinations et des impulsions provoquées. Abandonné à lui-mêm
elles résistent néanmoins, le plus souvent, à toutes les manœuvres. Hallucinations visuelles provoquées. — Si une hallucination visu
toutes les manœuvres. Hallucinations visuelles provoquées. — Si une hallucination visuelle a été provoquée chez un sujet cataleptis
sychiques sur lesquels nous n'avons pas à insister ici : automatisme, hallucinations provoquées (1). L'état cataleptique dont nous v
e façon plus ou moins juste, il est facile de provoquer chez elle des hallucinations variées. Pendant tout ce temps l'état musculair
ènes somatiques pouvant tomber sous le contrôle de l'observation. Une hallucination , un rêve, un délire, un phénomène psychique quelc
es hypnotiques, sinon chez toutes, certains phénomènes relatifs à des hallucinations visuelles qui permettent comme les caractères som
deux parties par une ligne, et qu'on lui donne sur une des moitiés l' hallucination du vouge, elle aura sur l'autre moitié la sensati
thode, il est possible do donnera un sujet convenablement préparé des hallucinations , des ordres, des rêves, le frapper d'anesthésie e
la suggestion, dans la période somnambulique, le développement d'une hallucination visuelle ou auditive. On pouvait, au contraire, p
ad isation, p. 340; —médiane, p. 342, 345; —? radiale, p. 346. 91 Hallucinations visuelles provoquées, p. 308. 11ematomi: de la
/ 168