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1 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ur objet de publier les cas les plus intéressants recueillis dans les hôpitaux de Paris. Un mode d'illustration, tout à fait n
s cessé de manger trois portions. Deux fois, pendant son séjour à l' hôpital , il a été pris d'un accès de fièvre violent, qui
Maternité. La nommée R..., âgée de trente-neuf ans, est entrée à l' hôpital le 24 août 1868. Cette femme, de petite taille
s continuent toute la journée et la nuit du 24. — Elle est entrée à l' hôpital le 24 à six heures du soir. État de la femme :
rysme poplité. Un Italien, âgé de quarante ans, se fit admettre à l' hôpital des Cliniques, le 12 octobre 1867, pour une tumeu
sés, occupant la place de l'ancienne tumeur. Le malade sortait de l' hôpital le 14 janvier 1868. — La cicatrisation était ache
de polypes du larynx, qui ont été opérés à la Clinique de M. Nélaton ( hôpital de la Clinique) en 1865, et qui sont restés radic
sa à toute espèce de traitement jusqu'au 6 mars 1868, où il entra à l' hôpital de Lausanne. La tumeur avait acquis douze centimè
endrons, en outre, un compte exact du mouvement de la statistique des hôpitaux ; nous soumettrons, enfin à nos lecteurs, toutes l
femme F... J..., blanchisseuse, est admise, le 5 janvier dernier, à l' hôpital de Lourcine, pour y être traitée de végétations v
lorsque cette femme s'est présentée à 2 la consultation de notre hôpital , elle se traînait plutôt qu'elle ne marchait, à d
des résultats que nous aurons obtenus. Alfred Fournier. Médecin des hôpitaux , agrégé de la Faculté. Êpithèliôme (définition
uite.) La nommée R...., avons-nous dit, était entrée le 24 août à l' hôpital de la Clinique , où elle fut opérée le 2 5 par M.
question du Musée pathologique et du laboratoire photographique de l' hôpital St-Louis, où sont exécutées, sous la direction de
'Académie des dernières livraisons de sa Clinique photographique de l' Hôpital Saint-Louis. A cette occasion, il croit devoir
hie a été établi à l'hô pital Saint-Louis, où tous les médecins des hôpitaux pourront venir faire photographier les cas anatom
ardy croit être l'interprète des sentiments de tous ses collègues des hôpitaux , en présentant des remercîments publics à M. Hus
ques détails sur l'institution du Musée d'a-natomie pathologique de l' hôpital Saint-Louis décidée par l'Administration, après a
on, après avoir pris l'avis des Corps des médecins et chirurgiens des hôpitaux : Deux modes de reproduction des types des lési
ions anatomo-pathologiques sont mis en usage dans-le laboratoire de l' hôpital Saint-Louis : i° le moulage confié à M. Baretta;
au, dont les modèles sont déjà copiés par l'étranger. Le Musée de l' hôpital Saint-Louis comprendra non-seulement de grandes s
us importants relatifs aux maladies de la peau. Tous les médecins des hôpitaux pourront venir dans les ateliers du Musée faire r
ont au besoin, lorsque les malades ne pourront pas se transporter à l' hôpital Saint-Louis. M. Husson pense que, d'ici à quelque
ense que, d'ici à quelques années, le Musée anatomo-pathologique de l' hôpital Saint-Louis présentera de belles et riches collec
sciatique partielle limitée au point fessier. — (Société médicale des hôpitaux .) ^% D'un moyen simple et facile pour éviter au
déclaré ces cas incurables. Observation de lichen hypertrophique Hôpital Saint-Louis. — Service de M. Hardy. Le nommé Je
e a été plusieurs fois atteint d'eczéma ; au moment de son entrée à l' hôpital , il présentait les caractères bien tranchés de ce
RIS Chancre phagédénique du rectum, rétrécissement consécutif ( Hôpital de Lourcine — Service de M. Desprésj La pièce r
eu, il y a trois ans, un chancre de l'anus traité par M. Simonet à l' hôpital de Lourcine, pendant six mois, par des pilules me
elle avait été traitée deux mois dans le service de M. A. Guérin à l' hôpital de Lourcine pour des plaques muqueuses et avait p
place dans la cavité rétrécie du rectum. La malade est sortie de l' hôpital à la fin d'août n'ayant plus que sa fistule et so
la suite de l'observation : Le 20 mai t868, la malade est rentrée à l' hôpital . Elle vivait chez elle dans la misère et ne pouva
uis, à Lariboisière. Il y est resté six mois, mais n'a point quitté l' hôpital , où il est employé aujourd'hui en qualité d'infir
e sternale, et dans le pli de l'aine, il se décida alors à entrer à l' hôpital . A ce moment, toutes ces tumeurs sur lesquelles
des caractères généraux que nous avons énumérés tout à l'heure. des Hôpitaux PLANCHE XII MOLLUSCUM PENDULUM Le malade affi
er sa tumeur ; elle se décida enfin, et l'opération fut pratiquée à l' hôpital Saint-Louis, au moyen d'un serre-nœud qui détacha
e de la rue de l'École-de-Mé-decine, vient de faire don au musée de l' hôpital Saint-Louis, d'une tête en cire représentant une
es plus remarquables parmi celles que possède déjà la collection de l' hôpital . On trouve aussi dans la galerie du musée une s
aire modifiée par la grossesse Par le docteur Guibout, médecin de l' hôpital Saint-Louis, Sous l'influence de la syphilis co
e traitement spécifique auquel elle fut soumise durant son séjour à l' hôpital s'adressait surtout à des plaques muqueuses, et l
e des dernières séances de l'Académie de médecine : Chirurgien de l' hôpital du Midi en 1866 et 1867, M. Léon Le Fort a cherch
ologie spéciale, les ressources nombreuses qu'offre à l'observation l' hôpital des Vénériens; car, en dix-sept mois, du ier févr
la jeunesse de nos écoles n'a amené à la consultation officielle de l' hôpital que 24 malades; mais il présente cette particular
ue Montmartre et des Halles. Les maisons de tolérance ont amené à l' hôpital 080 malades, celles qui ont fourni le plus grand
euse, puisqu'elle a donné 2,3o2 cas de maladie sur 4,070 malades de l' hôpital du Midi. Des documents intéressants communiqués à
onsultations ont été données par M. Le Fort et ses deux collègues à l' hôpital du Midi. Malgré son salutaire et profond respec
mille nombreuse, les écoles, les pensionnats, les salles d'asile, les hôpitaux d'enfants, etc.,où l'accumulation des sujets dans
par le docteur Baudot d'après les doctrines de M. Bazin, médecin de l' hôpital Saint-Louis. — Il nous paraît évident que ce livr
Faculté de Paris. (Leçon recueillie par M. C. Monod, interne des hôpitaux . Messieurs, Nous avons en ce moment dans nos
cemment que la tuméfaction énorme de sa jambe l'a décidé à entrer à l' hôpital . Depuis trois ans seulement il a remarqué que l
abord une difformité, mais ce n'est pas là ce qui amène cet homme à l' hôpital . Il y a plus; je vous ai dit^M. est vrai, que ce
rès rare chez la femme; d'une façon générale, qu'il est très rare à l' hôpital de Lourcine, consacré spécialement au traitement
tants; c'est-à-dire que sur 4 malades syphilitiques se présentant à l' hôpital de Lourcine pour la première fois, 1 sur 4 se pré
e avec des chancres. En rapprochant de cette statistique, prise à l' hôpital , d'autres statistiques empruntées à la pratique c
s dont la rédaction est confiée à M. Spillmann, interne distingué des hôpitaux de Paris. Le Gérant, a. de montméja. 9915 —Pari
résente à la consultation de M. Benjamin Anger, au Bureau central des hôpitaux , demandant à être traité pour une tumeur qu'il po
s seuls qui aient cherché à éclairer cette question. La Galette des hôpitaux , que j'ai examinée avec soin, n'a publié que quel
né à l'île Maurice (colonies anglaises) entre le 27 décembre 1868 à l' hôpital Saint-Louis, au pavillon Gabrielle, chambre n° 6,
ont bien, et la force musculaire est bien conservée. A son entrée à l' hôpital Saint-Louis, les tubercules des mains étaient ulc
t la tumeur avait diminué des trois quarts lorsque le malade quitta l' hôpital . Le cou reprit ses dimensions normales, et notre
rofesseurs agrégés à la Faculté de médecine de Paris, chirurgiens des hôpitaux (i). Foucher avait déjà fait paraître la premiè
olype. Après avoir fait une série d'expériences sur le cadavre, à l' hôpital Beaujon, où je fus assisté par M. le docteur Plan
ns. De savantes combinaisons président à la construction des nouveaux hôpitaux ; les anciens se modifient ou se transforment; leu
les besoins de la pratique médicale. On rencontre, en effet, dans les hôpitaux , spécialement dans le domaine de la chirurgie, de
si (résorptions purulentes, érésipèles, etc.) soient particuliers aux hôpitaux ; ils sont fréquents aussi dans la pratique de la
en arrière poulies diriger, souvent à de longues distances, vers les hôpitaux réguliers des villes, ou de les installer dans le
dans les églises et autres bâtiments publics ou privés transformés en hôpitaux provisoires. Dans ces conditions, il est diffic
trouvaient les malades, à essayer d'introduire, dans la pratique des hôpitaux civils, ces constructions légères, en toile ou en
1847, à New-York, pendant une épidémie de typhus qui régnait dans les hôpitaux , on plaça les malades sous la tente. Le point d
age de 185 5. M. Michel Lévy s'épuisa en efforts pour faire créer des hôpitaux sous tentes, afin d'y soigner les typhiques. En 1
uire à Varna, et il en obtint les résultats suivants (1) : Les deux hôpitaux intérieurs de Varna ont reçu en septembre 1854, 2
dont 1,389 moururent (mortalité 60,o3 p. 100); tandis que, dans trois hôpitaux sous tentes, établis à 6 kilomètres de cette vill
nonça l'intention de réclamer, s'il en était besoin, l'organisation d' hôpitaux sous tentes. Depuis longtemps, dans un certain
d'hôpitaux sous tentes. Depuis longtemps, dans un certain nombre d' hôpitaux russes, on a l'habitude de loger, pendant l'été,
tions légères en bois, largement aérées, auxquelles on donne le nom d' hôpitaux d'été. L'impulsion réelle et décisive est venue
e est venue des Etats-Unis. Dans la dernière guerre du Sud, de grands hôpitaux , formés par l'agglomération de pavillons-baraques
créés sur des points rapprochés du théâtre de la lutte. De véritables hôpitaux sous tentes furent installés, en outre, partout o
rrés environ de surface, et ce système fut même mis en usage dans les hôpitaux permanents, par exemple à l'hôpital Lincoln, à Wa
e fut même mis en usage dans les hôpitaux permanents, par exemple à l' hôpital Lincoln, à Washington. Les excellents résultats
armée européenne, excitèrent vivement l'attention sur la question des hôpitaux sous tentes. A Berlin, dès 1864, l'hôpital de Bet
ntion sur la question des hôpitaux sous tentes. A Berlin, dès 1864, l' hôpital de Bethanie transférait, pendant l'été, son servi
té, d'une construction en bois, dans la forme d'une salle ordinaire d' hôpital . La même année, dans la guerre du Schleswig-Hol
ar S. A. la princesse royale de Prusse. Aujourd'hui, la plupart des hôpitaux allemands soignent, pendant l'été, les malades so
publiés en Allemagne; un excellent travail d'un élève interne de nos hôpitaux , M. Chantreuil, publié dans les Archives générale
ant l'été dans des baraques ou sous la tente, que dans les salles des hôpitaux . Quatre systèmes se trouvent en présence: i° le
tentes ; 3° les tentes-hôpitaux ; 40 les tentes. i° Les baraques ou hôpitaux d'été, employés en Russie et à la Charité de Berl
n rapport, peuvent, comme cela a été fait en Amérique, constituer des hôpitaux mobiles qu'on dresse, qu'on enlève, qu'on déplace
rvir à l'isolement de quelques malades. A côté de la baraque d'été, l' hôpital de la Charité de Berlin possède quelques* tentes
l'efficacité relative de ces divers systèmes, l'administration des hôpitaux de Paris a fait construire à l'hôpital Gochin, su
ystèmes, l'administration des hôpitaux de Paris a fait construire à l' hôpital Gochin, sur la demande et sur les indications de
des points de vue divers, elle a fait établir, dans les jardins de l' hôpital Saint-Louis, une baraque plus restreinte qui cont
ù l'on peut isoler et soigner un seul malade. La tente-hôpital de l' hôpital Cochin réunit, il nous semble, des avantages qu'o
s gens de service. Les baraques qui viennent d'être construites à l' hôpital Saint-Louis occupent un emplacement situé dans un
ter toute mauvaise odeur. Telles sont les dispositions adoptées à l' hôpital Saint-Louis; avec celles qui ont été réalisées à
optées à l'hôpital Saint-Louis; avec celles qui ont été réalisées à l' hôpital Cochin, elles constituent un premier essai dont l
uffent l'été et y souffrent du froid pendant l'hiver. Les tentes de l' hôpital de Francfort sont à peu près abandonnées ; l'un d
'an passé, au mois d'août, les a trouvées vides, bien qu'il y eût à l' hôpital plusieurs malades qui, selon la théorie, eussent
dre le chauffage praticable, on reproduirait à peu près la salle de l' hôpital ordinaire. On remarquera d'ailleurs que ces const
nts, pratiquer une abondante ventilation, la nuit comme le jour ? A l' hôpital Lari-boisière, on renouvelle l'atmosphère des sal
posées? N'est-ce pas là un arrangement praticable, même dans certains hôpitaux existants, alors qu'il s'agit de malades peu nomb
qu'il convient de soustraire aux influences nosocomiales directes? L' hôpital qui s'élèvera bientôt sur le coteau de Ménilmon-t
é : une tente a été ressée sous les arbres, dans l'un des préaux de l' hôpital Lariboisière, et epuis le 2 août, quatre blessés
'Inde). M. Parrot a communiqué dernièrement à la Société médicale des hôpitaux de Paris un fait expérimental du même ordre. C'es
on. Il ne faudrait pas croire cependant que les déviations du des Hôpitaux PLANCHE XXXII VICE DE CONFORMATION DU RASSIN
es HOPITAUX DE PARIS» Suite de l'observation d'Eléphantiasis de l' hôpital de la Charité service de M. Gosselin (Voir page
s après la relation qui a été donnée dans la Revue photographique des hôpitaux , M. Gosselin a fait commencer la compression digi
et se sentit propre à retourner à ses anciens travaux. Il partit de l' hôpital vers le i5 août dans cet état, et nous n'avons pa
t, le cerveau du sujet qui nous occupe, REVUE PHOTOGRAPHIQUE des - Hôpitaux PLANCHE XXXV CRANE PATHOLOGIQUE Tu de profil.
ée de vingt-quatre ans, passementière, entre, le 28 janvier 1869, à l' hôpital Saint-Louis, au n° 7 de la salle Saint-Ferdinand,
ales des enfants, ayant, durant plusieurs années, été chirurgien de l' hôpital des Enfants-Assistés et occupant, depuis i86t,la
al des Enfants-Assistés et occupant, depuis i86t,la même position à l' hôpital des Enfants-Malades où il a fait régulièrement de
de ce dernier vice de conformation et du pied-bot, le chirurgien de l' hôpital des Enfants-Malades insiste sur la nécessité d'op
n d'hygiène relative aux poêles en fonte............. 26 Musée de l' hôpital Saint-Louis............................ 26 Opht
2 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
. Les désirs vénériens sont conservés. Depuis dix mois, qu'il est à l' hôpital , il n'aurait pas eu d'érection ; mais il croit en
apable de tenir un objet avec cette main. Au moment de son entrée à l' hôpital , on constata que les muscles du côté gauche de la
avec la main ; sa guérison fut complète un mois après son entrée à l' hôpital . Quant au troisième fait, également observé par
ois, elle se plaignait d'une céphalalgie continuelle : elle entra à l' hôpital le 12 mai 1845. A ce moment, les muscles des memb
ous a été obligeamment communiquée par M. le Dr Bateman, médecin de l' hôpital de Norwich, c'est au Hachisch seul que reviennent
du succès. Observation. — Robert Hoe.., âgé de seize ans, entra à l' hôpital de Norwich, dans le service de M. le Dr Bateman,
sible de se tenir debout ou de marcher. Au moment de son entrée à l' hôpital , ses jambes, ses bras, et le tronc étaient le siè
r. Observation. — Chop..., âgée de 20 ans, relieuse, est entrée à l' hôpital de la Pitié, salle du Rosaire, n° 2 (service de M
mais elles furent moins violentes : elle fut de nouveau trai-tée à l' hôpital Sainte-Eugénie. Un an après environ, à l'âge de 1
ment : à la fin de juillet, elle prit cependant le parti de venir à l' hôpital . Etat de la malade au Ie1' août. Les règles son
me de chorée et la malade est considérée comme guérie : elle quitte l' hôpital le 1er octobre. Nous la revoyons quinze jours apr
sujet d'une en-fant âgée de six ans, atteinte du croup et admise à l' hôpital au commencement de la troisième période, dite d'a
'extraction duquel il aurait fallu faire la trachéotomie. » (Gaz. des Hôpitaux , 1871, page 582). IV. Note sur un cas de muguet
— A partir de ce moment jus-qu'au 26 juillet, jour de sa sortie de l' hôpital , l'enfant n'a plus rendu de sang avec les urines
s aiguës des organes respiratoires, par E. J. Woillez, médecin de l' hôpital Lariboisière. Vol. in-8° de 056 pages, avec plan-
DE LA JOUE GAUCHE; AUTOPLASTIE Par m. j. gikaldès. chirurgien de l' hôpital des Enfants-Malades. Delor.., Ernestine, 13 ans
s. Delor.., Ernestine, 13 ans, est entrée pour la deuxième fois à l' hôpital des Enfants-Malades, salle Sainte-Pauline, n° 21,
ction.) Peu après, Delor... est revenue à Paris et a été admise à l' hôpital Sainte-Eugénie, où M. Marjolin luia enlevé un fra
ancienne plaie. Il n'avait pas encore disparu quand l'enfant quitta l' hôpital . Cette jeune fille, avons-nous dit, est rentrée
uitta l'hôpital. Cette jeune fille, avons-nous dit, est rentrée à l' hôpital en 1871* Nous allons décrire son état actuel (jan
Vulpian à la Salpê-trière2 ; dans deux autres, cas enfin observés à l' hôpital des enfants, par M. Damaschino et dont je ne conn
ons publié un cas intéressant de coloboma de la choroïde, observé à l' hôpital de Lourcine; ce coloboma s'accom-pagnait d'une fe
le s'était développée progressivement. Deux mois avant son entrée à l' hôpital , à la suite d'une chute, celle tumeur, qui avait
ations thérapeutiques, par le docteur Ch. Laurent, ancien interne des hôpitaux de Paris. In-8° de 122 pages, avec figures. Adrie
e; d'un autre côté, et en collaboration avec M. Oulmont, médecin de l' hôpital Lariboisière, M. Laurent a fait, avec les deux al
TORTICOLIS Leçons cliniques faites par M. le professeur BROCA, à l' hôpital de la Pitié (8 et 10 janvier 1872) et recueillies
ié (8 et 10 janvier 1872) et recueillies par G. Richelot, interne des hôpitaux de Paris. Messieurs, Le malade couché au n° 1
au même remède contre trois cas de té-tanos traumatique, observés à l' hôpital de Calcutta : il obtint deux guérisons. Dans un a
ler : au bout de trente-six jours la petite malade sortit guérie de l' hôpital (the hondón and Edinburgh Journal of Medicine, 18
nt soutenue à la Faculté de Paris, par M. Watelet, ancien externe des hôpitaux . Ne pouvant tout analyser, nous signalerons ave
Gaujot1, celui si caractéristique que j'ai publié dans la Gazette des hôpitaux (1866), et ceux que j'ai observés depuis, montren
CALCIFIÉ DE LA TROISIÈME COTE GAUCHE par ch. h. petit, interne des hôpitaux de paris Cette tumeur a été recueillie à l'auto
tiques des veines, par Muron. — Le h août 1870, M. Muron, interne des hôpitaux , communique à la même société, une série de faits
ballonnement du ventre; néanmoins la malade fut en état de quitter l' hôpital quelques jours après. Plus tard, bien que l'usa
catrisation s'opère rapidement et deux jours après le malade quitte l' hôpital à peu près guéri. Voici un nouveau fait à ajout
res au traitement des maladies, par le docteur Deelon, ex-interne des hôpitaux de Paris. — Brocli. in-8° de 180 pages. Adrien De
e du service, et suivie de réflexions par M. l. labbé, chirurgien des hôpitaux de Paris, etc. Chabozy, Jean, cultivateur à Lar
r. C'est à ce point de vue que l'observation suivante, recueillie à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Féréol, prés
PATHOLOGIQUE PSEUDARTHROSE DE LA JAMBE par gombault, interne des hôpitaux de paris Observation. — G..., âgée de 81 ans, e
traité par les bains électriques. M. Lallier ayant fait installer à l' hôpital Saint-Louis un appareil spécial, inventé par M. P
n complète après 20 bains. ¦— El..., 26 ans, miroitier, est entré à l' hôpital Saint-Louis, service de M. Paul, le 12 janvier 18
ment, tandis qu'il ne pouvait se tenir debout lorsqu'il est entré à l' hôpital . — Après 20 bains électriques, El... demande à
l'hôpital. — Après 20 bains électriques, El... demande à quitter l' hôpital ; il est parfaitement guéri ; le tremblement a co
mplète en moins de deux mois. — Lib... Théodore, miroitier, entre à l' hôpital Saint-Louis, salle Napoléon, n° 14, le 14 avril 1
es gencives étaient gonflées; les dents vacillantes. — Il resta à l' hôpital pendant trente jours ; on lui fit prendre des bai
ions. La parole devint traînante et embarrassée. — Il entra alors à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Guyot, qui l
état ne s'améliorait pas; il rentra chez lui, mais revint bientôt à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Bazin, qui lui
assuré; ses mains ne tremblent plus. Il a pris 26 bains; il quitte l' hôpital . Nous citerons encore les trois observations su
on après 23 bains. — Jacq..., miroitier, âgé de 29 ans, est entré à l' hôpital Saint-Louis, salle Napoléon, dans le service de M
lmer. Traitement. C'est dans cet état que le malade se présenta à l' hôpital . M. Paul le soumit d'abord à l'influence des cour
mélioration sensible après 16 bains. —-Long..., 28 ans, est entré à l' hôpital Saint-Louis, salle Napoléon, service de M. Paul,
devint si intense, que le malade ne put plus travailler et entra à l' hôpital . État actuel. Le tremblement des mains, en effe
traitement ; la santé de sa femme le réclame chez lui, et il quitte l' hôpital non parfaitement guéri, mais avec un mieux sensib
ide. — Marie March..., 45 ans, ouvrière en peaux de lapins, entre à l' hôpital Saint-Louis, à la fin de décem-bre 1869. Elle est
z elle, mais voyant que son état ne s'amé-liorait pas, elle entra à l' hôpital . Ses mains alors étaient agitées d'un trembleme
diatement les bains électriques. Après 30 bains, la malade quittait l' hôpital parfaitement guérie ; tout tremblement avait disp
s entre les mains de M. Constantin Paul, est toujours en vi-gueur à l' hôpital Saint-Louis ; elle n'est peut-être pas d'une appl
l Lucas Championnière, ancien interne en médecine et en chirurgie des hôpitaux de Paris, lauréat des hôpitaux. In-8°; Paris, Ass
nterne en médecine et en chirurgie des hôpitaux de Paris, lauréat des hôpitaux . In-8°; Paris, Asselin. M. Just Lucas Championn
-prussienne (18*70-71), par le docteur G. Pkltier, ancien interne des hôpitaux de Paris. Iii'8° de 112 pages; Adr. Delahaye, édi
chloral dans le tétanos, pubiée par M. Peltier, dans: Revue phot. des hôpitaux de Paris, 1870, pages 210 et 238, et 1871, page 1
limite. 1 De la Contracture hystérique, in Revue photographique des hôpitaux de Paris, 1871, p. 193. Voyez aussi la Planche XX
les instances pressantes de cette femme, qui avait hâte de quitter l' hôpital , l'opération fut dé-cidée pour le k mars. La ma
icroscopique fut fait avec beaucoup de soin par M. Muron, interne des hôpitaux ; il croit que cette tumeur est un corps fibreux.
tions offrent de variété. Il y a un mois environ, II... entrait à l' hôpital des Enfants malades, dans le service de M. Girald
'elle perdait. A l'âge de 19 ans, devenue grosse, elle accoucha à l' hôpital St-Antoine. L'accouchement se fit naturellement à
e potassium sur la peau. Un Irlandais, âgé de 28 ans, fut admis à l' hôpital pour des ulcé-rations ecthymateuses des jambes re
r se traduit sur le tégument externe par des 1 Yoy, Revue phot, des hôpitaux de Paris, 1872, page 57. éruptions variées que
cation de la carotide interne avec le sinus sur une jeune malade de l' hôpital de la Clinique, et ici encore la vérification put
on pulmonaire simple, par le docteur Ernest Bourgeois, ex-interne des hôpitaux de Paris, membre de la Société anatomique. Paris,
s insister, c'est la tempé-rature. M. Bourgeois s'est livré, dans les hôpitaux , à l'étude thermo-métrique de la congestion pulmo
démonstration nous est fournie par *¦ Voy. aussi Revue photogi^ des hôpitaux , etc., 1871, p. 85. le thermomètre, puisque le
E AVANT L'ACCOUCHE MENT frante pendant deux mois et entra dans un hôpital de Nantes. Elle ne se souvient que d'une chose, c
lade se lève et mange deux por-tions. 23 juin. — La malade quitte l' hôpital complètement rétablie. 29 juin. — Elle est prés
t rétablie. 29 juin. — Elle est présentée à la Société médicale des hôpitaux . Il résulte de l'examen qui a été fait de sa tume
ères d'outre-Rhin. Pour cela, nous nous attacherons à faire de chaque hôpital une école, et de la So-ciété de chirurgie l'un de
de cette dis-cussion, a été publiée par M. Cornillon (Revue phot. des hôpitaux , etc., 1871, p. 257 et planche XXXIII.) 2 Voy.
LA JOUE GAUCHE; AUTOPLASTIE Nous recevons de M. Cartaz, interne des hôpitaux de Paris, les dé-tails complémentaires qui suiven
if des voies biliaires, par le docteur F. Villard, ancien interne des hôpitaux de Paris. In-8° de 104 pages. Paris, Ad. Dela-hay
bservation recueillie par l'auteur dans le service de M. Besnier, à l' hôpital Saint-Antoine, lui a donné l'idée de réunir les f
ion par le perchlorure de fer, par P. Fouilloux, ancien interne des hôpitaux de Clermont-Ferrand et de Paris. In-8°. Paris, Ad
en était arrivée à ne le céder en rien à la mortalité des plus grands hôpitaux de Paris : ce mode de pansement immédiat des plai
. F. Roque. Études sur le molluscum, par L. Malassez, interne des hôpitaux de Paris. In-8°, avec une planche. Paris, Ad. Del
IPLES notes recueillies par m. poulain En juin 1872 est entré à l' hôpital de la Pitié (service de M. S. Bu-tlay), salle Sai
XXII à la Planche XVI de l'année 1869 de la Revue photographique des hôpitaux . bre inférieur malade : il doit donc toujours g
n, n'ayant jamais eu de maladie avant celle qui le décide à venir à l' hôpital . Les douleurs, la gêne causée par une tumeur ulcé
n constituée et jouit d'une parfaite santé. Après un court séjour à l' hôpital , elle a été re-tirée par ses parents. On n'a pas
n recueillie dans le service de M. Demarquay, par Launay, interne des hôpitaux , in Gazette des hôpitaux, 1861.) Madame X., âgé
ice de M. Demarquay, par Launay, interne des hôpitaux, in Gazette des hôpitaux , 1861.) Madame X., âgée de 50 ans, fait remonte
éniate de soude à la dose d'une cuillerée à soupe par jour. (Gaz. des hôpitaux , 1871.) III. Le permanganate de potasse dans qu
ation des artères, par le docteur Albert Délbarre, ancien interne des hôpitaux de Paris, membre de la Société anatomique, lauréa
e des hôpitaux de Paris, membre de la Société anatomique, lauréat des hôpitaux . Paris, Ad. Delahaye, éditeur. M. Delbarre insi
donner l'éveil au chirurgien. Les phlegmons diffus, la pourriture d' hôpital , le cancer, les ca-vernes tuberculeuses sont une
l'objet de la leçon sur VIschurie hysté-rique. (Voy. Revue phot. des hôpitaux , numéro de juin.) cipalement la discussion, suc
n état de mal et le tracé qui l'accompagne dans la Revue photogr. des hôpitaux , 1869. d'une hémiplégie transitoire, dont la ra
onvénients que n'ont pas les autres appareils. En général, pour les hôpitaux , comme pour le cabinet du nlê-decrn* ou même pour
, n'ayant jamais eu de maladie antérieure, entrele 8 février 1872 à l' hôpital Lariboisière, dans le service de M. le professeur
qué avec le plus grand soin par le docteur A. Muron, mon collègue à l' hôpital , sur la pièce fraîche, et sur la pièce après macé
, Pierre, âgé de 49 ans, employé, est entré le 1er dé-cembre 1870 à l' hôpital de la Pitié, salle Athanase, n°23 (service de M.
vons qu'une portion du tracé thermométrique, car elle n'est venue à l' hôpital que le troisième jour au soir après le début des
inversement, en partant d'une bonne 1 Voy. Revue photographique des hôpitaux de Paris, p. 82. 2 De la Liberté humaine, consi
Louis, âgé de 45 ans, coupeur de poils de lapin, entre le 15 juin à l' hôpital Lariboisière, salle Saint-Charles, n° 15 bis. Ce
ère fois, il fut pris de tremblement localisé aux mains, et entra à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Axenfeld, où
algie avec douleur violente dans l'hypocondre droit ; il retourne à l' hôpital Saint-Antoine, où M. Jaccoud lui prescrit des bai
Le tremblement est presque insensible; le malade écrit. 11 sort de l' hôpital le 1er novembre. On ne peut nier l'action sédat
yoscyamine. — D... Pierre, ouvrier feutrier, âgé de 53 ans, entre à l' hôpital Lariboisière, salle Saint-Charles, le 15 mars 187
remblement continuel qui les agitait. 11 y a deux ans, il entra à l' hôpital Saint-Antoine, et en sortit sans au-cune améliora
int-Antoine, et en sortit sans au-cune amélioration. A son entrée à l' hôpital , le malade présente un état ca-chectique très-pro
ioration se prononce de plus en plus; le malade demande à sortir de l' hôpital , le 8 avril, devant encore suivre son traite-ment
son traite-ment par l'hyoscyamine. 14 avril. Le malade revient à l' hôpital , après une course très-longue accomplie sans fati
à plusieurs années, traité inutilement par les moyens ordinaires à l' hôpital Saint-Antoine; l'hyoscyamine a produit des résu
Pathologie de la rate, par le docteur G. Peltier, ancien interne des hôpitaux de Paris. In-8° de 112 pages. Paris, Ad. Delahaye
a tumeur ; - infection purulente; - mort. Par P. COYNE, interne des hôpitaux de Paris. D... L... est entrée à l'hôpital de l
r P. COYNE, interne des hôpitaux de Paris. D... L... est entrée à l' hôpital de la Pitié, salle Saint-Jean, n° 20, le 14 inars
nal provoqua une péritonite mortelle. Une femme de 40 ans entra à l' hôpital des Cliniques, se plaignant d'un malaise général
susceptible, par son extension, de déterminer la mort. — (Gazette des hôpitaux , 1873.) VIL De la guérison par résorption des t
reneuse ou suppurative et aussi par 1 Voy. Revue photographique des hôpitaux , p. 267. résorption. La disparition par résorpt
langue est assez régulière, cependant 1 Voy. Revue photographique des hôpitaux de Paris, p. 121 et 229. çà et là se trouvent q
ment, et qui a été communi-quée à M. Gairal, par M. Pillot, élève des hôpitaux . Observation VIII. -- Tremblement mercuriel rem
dans lequel on trouve le malade, le 9 janvier 1872, à son entrée à l' hôpital . Après quelques jours de repos, le malade est sou
acques, 47 ans, coupeur de poils de lapin, entre le 15 juin 1869, à l' hôpital Lariboisière, salle Saint-Charles, n° 16. Antéc
nution de la vue, du sens du goût et perte de l'appétit. Il entre à l' hôpital Beaujon, dans le service de M. Barth, où il reste
ment devient assez fort pour empêcher tout travail, et B... entre à l' hôpital Lariboisière. État actuel. Lorsque le malade es
nt persiste; il n'y a pas d'amélioration. Le malade sort bientôt de l' hôpital , à peu près dans le même état qu'au moment de son
une forme d'arthropathie, par le docteur Collltte, ancien interne des hôpitaux de Paris. Adr. Delahaye, libraire-éditeur. « Da
e, il a voulu exposer surtout les faits dont il a été témoin dans les hôpitaux de Paris pendant ses études médicales, et il a es
acromiale datant de six mois et ré-duite par M. Mathieu lui-même, à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Péan; dans u
yenne droite. - abcès multiples des reins Par v. hanot, interne des hôpitaux de Paris. Vautr..., âgée de 89 ans, est entrée
RTION SOUS-VAGINALE DU COL DE L'UTÉRUS Par L.-E. DUPUY, interne des hôpitaux de Paris. - suite 1 — Les trois cas suivants
e jeune femme de 21 ans. — Section du col 1 Voy. Revue phctogr. des hôpitaux de Paris, pages 185 et 262. avec Vècraseur liné
rv. de M. Demàrquay, chirurgien de la Maison de santé, in Gazette des hôpitaux , 1862.) La nommée T... Marie, âgée de 21 ans, e
abondantes et sa santé s'est graduelle-ment altérée. A son entrée à l' hôpital , elle est très-faible ; elle a de la dys-pepsie,
col est ci-catrisée. La rétroversion a disparu et la malade sort de l' hôpital , ne conser-vant qu'un peu de faiblesse. Signalo
péri-utérines. Notre excellent ami, le docteur Naudier, interne des hôpitaux de Paris, a bien voulu nous communiquer l'observa
éprouvé les mêmes sym-ptômes, il y a un an. Elle se fit admettre à l' hôpital Beaujon et fut traitée par la saignée. Depuis cet
abituelle, État actuel. Le lendemain de l'entrée de cette femme à l' hôpital , M. Cusco procéda à un examen détaillé et constat
'examen histo-îogique du col utérin, fait par M. Renault, interne des hôpitaux de Paris, a montré qu'il s'agit d'une hypertrophi
le vi-vant. La malade étant morte peu de temps après son entrée à l' hôpital nous n'avons pu obtenir sur elle que des détails
et l'état puer-péral, par le docteur J. Cornillon, ancien interne des hôpitaux de Paris1. — Doit-on opérer pendant la grossesse
on utérine appliquée au fœtus, par À.-F. Su-chard, ancien interne des hôpitaux de Paris1. —De la version par manœuvres externes
chez Air. Delahayc, éditeur. Paris, 1872. leçons qu'il a faites à l' hôpital des Cliniques en présence d'un au-ditoire chaque
logie pathologiques, par le doc'eur J.-A. Michaud, ancien interne des hôpitaux de Paris, etc. In-8 de 98 pages, avec 3 planches.
PENDULUM DU PIED GAUCHE par M. le docteur TILLAUX, chirurgien de l' hôpital Saint-Louis Le cas suivant mérite surtout d'att
pporter sans gêne ni douleur. Sept semaines avant son admission à l' hôpital Saint-Louis, V..., à la suite d'une longue course
TÉRATOLOGIE NOTES SUR UN ACÉPHALE HUMAIN Par H. GRIPAT, interne des hôpitaux de Paris Le 10 février 1872, la femme Séraphine
es les apparences du rachitisme confirmé. La Revue photographique des hôpitaux de Paris (1871, Pl. XVIII et XIX) a déjà enregist
RTION SOUS-VAGINALE DU COL DE L'UTÉRUS Par L.-E. DUPUY, interne des hôpitaux de Paris. — suite 1 — V. Structure du col hyp
ur un seul système tel que les vaisseaux, 1 Voy. Revue photogr. des hôpitaux de Paris, pages 185, 262 et 360. l'appareil gla
inérales de Plombièrls, par MM. IIutin et Bottentuit, ex-internes des hôpitaux de Paris. —¦ A. Delahaye, éditeur. ¦— C'est un gr
sins représentant ces cas intéressants (voy. Revue photographique des hôpitaux , n° de juin 1871.). Nous ajouterons aujourd'hui u
3 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
uatre années passées presque complètement dans l'inaction et dans les hôpitaux , au milieu des miasmes, il a conservé une très-bo
puisque, pendant dix-huit mois ou deux ans, le malade est sorti de l' hôpital et s'est un peu servi de son membre. Le gon¬fleme
peut rester chez lui sans rien faire; il est doiiic obligé d'être à l' hôpital au milieu des miasmes qui y régnent. Il a une o
ladies qui peuvent l'atteindre d'autant plus facilement qu'il est à l' hôpital , et vous savez combien les malades qui vivent dan
st à l'hôpital, et vous savez combien les malades qui vivent dans les hôpitaux sont sujets à ces affections générales qui entraî
gauche. Elle a été amenée environ trois heures après l'accident à l' hôpital de la Pitié. Là, la malade n'a pas voulu se laiss
nose qui caractérise ce genre d'asphyxie. T. R.ÉMOND, Interne des hôpitaux . TÉRATOLOGIE FEMME TÉTRAMAZE ENDOLORISSEMEK
vers types que nous venons de signaler. E. QuiNQUAUD, Interne des hôpitaux . THÉRAPEUTIQUE TRAITEMENT DES TACHES ÉRECTILE
nte aucun danger, et qu'il est d'un effet certain. 11 1 Gazette des hôpitaux , 1854, p. 559. ajoute enfin qu'il ne l'a pas en
as absolu. Quelques thèses furent 1 Nous avons vu l'an dernier, à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Hardy, une fem
dât en rien la miction et les mouvements. 11 se décida à entrer à l' hôpital du Midi, où il séjourna un mois entier sans'qu'au
lendemain de sa sortie du Midi, il se présenta à la consultation de l' hôpital Saint-Louis et fut admis dans le service de M. Gu
envahissante du mal. Le 20 décembre 1869, notre malade entrait à l' hôpital Saint-An¬toine, dans le service du docteur filiau
ns et nous avons vu plusieurs fois ce malade dans divers services des hôpitaux de Paris, chez M. Richet, à la clinique, et chez
F..., âgé de 38 ans, tourneur en cuivre, entre le 2 juin 1868, à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. le professeur
5, la gêne augmen¬tant, il se décida à se faire soigner, et entra à l' hôpital des Cliniques, dans le service de M. le professeu
Dabs..., Irma, âgée de 28 ans, fdle, entrée le 29 novembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Ferdinand, n° 11 (servic
ecueil d'observations analogues dressé par M. Bourdillat, interne des hôpitaux de Paris, et publié dans la Gazette médicale de l
u cœur, par M. Bucquoy, agrégé de la Faculté de médecine, médecin des hôpitaux ; br. gr. in-8° de 88 pages, chez Ad. Delahaye, li
B... J., âgé de 45 ans, charpentier, entre le 19 sep¬tembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Augustin, n°45 (ser¬vice
n), demeurant rue de Meaux, n° 51, est entré le 16 septembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Jean, n° 31 (service de
robablement l'existence d'un tœnia, nous faisons entrer le malade à l' hôpital . Le 17 septembre, il est mis à la diète dans l'ap
icile. On nous a dit qu'il était parti, un mois après son retour de l' hôpital , que, pendant ce temps, sa santé avait été bonne.
lettres, pour faire reconnaître le malade s'il entrait de nouveau à l' hôpital . MM. Grenet etDavaine *, et, afin que nos lecte
n sur le cadavre, telle est l'œuvre du jeune et intelligent élève des hôpitaux que nous venons de nommer. M. Witkowski n'est p
IEN M. le Dr Th. Anger, prosecteur de l'amphithéâtre d'anatomie des hôpitaux , a bien voulu nous communiquer le monstre représe
hanut (Alexis), 27 ans, maréchal-ferrant, est entré le 25 février à l' hôpital et est sorti le 17 avril. Cet homme est vi¬goureu
dans ce but, au laboratoire de Cla-mart, par M. Leriche, externe des hôpitaux , une main gauche sur laquelle avaient été injecté
Tillaux fait remarquer qu'il est as¬sez fréquent, dans les services d' hôpitaux , d'observer des inflamma¬tions aiguës des gaines
ique), âgée de 23 ans, couturière, est entrée le 16 décembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Jean, n° 54 (service de
elle a eu une varioloïde confluente pour laquelle elle est entrée à l' hôpital Saint-Antoine (service de M. Mesnet) ; elle y est
s d'un rouge foncé et recouvertes de squames. Avant son admission à l' hôpital Saint-Antoine elle avait une céphalalgie très-int
uile de ricin, vinrent à bout de l'helminthe 2. — Dans la Gazette des hôpitaux (1862, p. 586), MM. Troczewski et Wahu ont publié
PAR M. A. DESPRÉS, AGRÉGÉ DE LA FACULTÉ DE MÉDECINE, CHIRURGIEN DE L' HÔPITAL DE LOURCINE. Les vices de conformation de l'œil
rd'hui un très-bel exemple de cet arrêt de dévelop¬pement observé à l' hôpital de Lourcine par M. Després. D... (Marie), âgée
tait en outre enceinte de six mois et demi. La ma¬lade est restée à l' hôpital jusqu'au 13 février 1869. Pendant ce temps, les p
r éviter toutes les irritations de l'œil. La malade est sortie de l' hôpital le 13 février 1869, sans avoir rien perdu de l'in
ents que nous avons recueillis sur son état au jour de son entrée à l' hôpital , le 9 mars dernier. L'eschare était dure et sèc
ation trop serrée d'un bandage à fracture. La malade ne resta pas à l' hôpital . A. be Montméja. TÉRATOLOGIE VICE DE CONFORMA
ous avons eu l'occasion d'observer dans le service de M. Gallard, à l' hôpital de la Pitié, les pièces recueillies chez une femm
ires bien conformés1. Th..., Jeanne, âgée de 60 ans, est entrée à l' hôpital de la Pitié, vers la fin de l'année 1869, dans le
le éprouva les premiers symp¬tômes de la maladie qui la conduisit à l' hôpital ; elle ne présentait aucune conformation vicieuse
désir erotique, même en rêve. Après quelques semaines de séjour à l' hôpital , cette femme suc¬comba aux progrès de son affecti
tent la plus grande analogie avec celle que nous avons relatée. A l' hôpital de la Charité, M. Briquet a fait l'autopsie d'une
la fève de Calabar5. Des détenus occupés à nettoyer les salles d'un hôpital avisèrent une cassette fermée qu'ils forcèrent. I
VES PAR BOURNEVILLE Plusieurs fois, dans ses leçons cliniques à l' hôpital Saint-Louis, M. Hardy a montré à ses nombreux aud
.. Pauline, âgée de 16 ans,née à Paris, est entrée le 8 juin 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Jean, n° 55 (service de
fistuleux se sont formés en dif¬férents poinls et, à son arrivée à l' hôpital , cette jeune fille était dans une position vérita
, étant interne du service des accouchements dirigé par M. Hardy, à l' hôpital Saint-Louis, nous avons profité de cette occasion
connue, les dou¬leurs l'ont pri"e cette nuit, et elle est entrée à l' hôpital où elle a fait une fausse couche (5 mois) à 7 heu
V li E PHOTOGRAPHIQUE Bourlet (Hyacinthe), âgé de 9 ans, entré à l' hôpital Beaujon, le 13 avril 1870, dan_s le service de M.
E BEC-DE-LIÈVRE BILATÉRAL COMPLIQUÉ PAR M. DUPLAY, CHIRURGIEN DES HÔPITAUX et XXII). fut disséqué et détaché de l'os int
u service de m. gallard. B... Julie, âgée de 45 ans, est entrée à l' hôpital de la Pitié, le 6 mars 1866, dans le service de M
intensité, que la malade est obligée de venir demander des soins à l' hôpital . Voici l'état dans lequel elle se trouve au mom
e photographie a été recueilli dans le service de M. le Dr Hardy, à l' hôpital Saint-Louis. Celte planche représente une jambe
es devint moins considérable, et la malade sortit presque guérie de l' hôpital après trois mois de séjour ; elle rechuta au bout
nt réclamer une seconde fois les soins de M. Hardy, pour ne quitter l' hôpital qu'à son entière gué¬rison, qui se fit attendre c
. — EL. Ludwige, âgée de 24 ans, est entrée le 19 décembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis, salle Ferdinand, nù 7 (service de M.
ète en 38 jours. Paul Leclerc, journalier, âgé de 20 ans, entre à l' hôpital Lariboi-sière, le 29 janvier 1870. Ce malade, il
fort pour gêner la mastica¬tion, et, le 29, il se décide à entrer à l' hôpital . A ce moment, le trismus est déjà assez fort, m
guérison se confirme. Le malade se lève vers le 10 mars, et sort de l' hôpital définitivement guéri le 24 mars. M. Verneuil fi
ures des muscles de la nuque et du dos. C'est alors qu'elle entra à l' hôpital Necker, salle Sainte-Pauline, n° lo. M. Guyon o
et des moyens pharmaceutiques, par le docteur E. Bazin, médecin de l' hôpital Saint-Louis; rédigées et puhliées par E. Maurel,
'hôpital Saint-Louis; rédigées et puhliées par E. Maurel, interne des hôpitaux . 1 vol. in-8° de 467 pages. Prix cartonné: 8 fr.
que tous les ans, depuis une époque déjà ancienne, M. Bazin fait, à l' hôpital Saint-Louis, des leçons suivies par un auditoire
teints d'affections parasitaires un traitement interne, soit dans les hôpitaux , soit aux eaux minérales. M. Bazin fait rentrer l
mplètes de la langue chez les enfants, par G. Pei.tier, interne des hôpitaux de Paris. In-8° de 64 pages. Paris, A. Delahaye.
salle Cécile, n° 6 (service de M. Charcot). Cette malade venait de l' hôpital Saint-Antoine, où elle était restée neuf mois dan
le resta tranquille jusqu'en novembre 1865 , époque où elle entra à l' hôpital de Lariboisière (service de M. Duplay) pour une n
étés que lui ont causées ses visiteurs. — Cette malade est restée à l' hôpital Saint-Antoine jus¬qu'au ht juillet 1865. Elle a é
sses. Les seuls signes qu'elle présentât, au moment de son entrée à l' hôpital , consistaient en une teinte pâle anémique des tis
n dernier, nous avons eu occasion d'en observer un nouvel exemple à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. Gallard. Il s'
avait été complètement négatif, car au moment où la malade entra à l' hôpital , ce liquide était clair et limpide, et ce n'est q
s spontanée, marche que nous avons pu suivre et étudier au Caire, à l' hôpital de Kasr-el-Ain, sur un grand nombre de malades, g
dans lesquels fut administré l'hydrate de chloral. M. L. Lefort, à l' hôpital Cochin, fit usage de ce médicament dans un cas de
is), âgé de 34 ans, savetier, entre dans le service de M. Lefort, à l' hôpital Cochin, le 27 mars 1870. — C'est un homme robuste
uérison complète en 26 jours. Homme de 26 ans, entré le 16 mars à l' hôpital de Lausanne pour des blessures multiples causées
OUBLES PAR JAMES LA NE l. M. S..., âgée de 18 ans, fut admise à l' hôpital de Woolwich le 6 janvier 1870 pour une vaginite p
un mois qu'elle se livrait à la prostitution. Alors qu'elle était à l' hôpital , elle fut examinée avec le spéculum durant une ép
l'utérus dans les hémorrhagies utérines, par A. Le Blond; interne des hôpitaux de Paris1. Ce travail, son titre l'annonce suff
la valeur réelle des courants continus comme moyen thérapeutique; à l' hôpital Saint-Louis, il a soigné un certain nombre de mal
ouri. — Amélioration notable. Lem..., Àngèle, 7 ans, est entrée à l' hôpital des Enfants-Malades en mars 1870 (salle Sainte-Pa
fabriqués pour chaque cas, pour les en¬fants que l'on soigne dans les hôpitaux , l'administration, avec sa parcimonie habituelle,
a charpie trempée dans l'alcool phéniqué.) L'enfant est sortie de l' hôpital dans le cours du mois de septembre. Nous la revoy
ament. — Épuisement de la malade. — Mort dix jours après l'entrée à l' hôpital . — (Observation rapportée par M. Waren Tay, chiru
— (Observation rapportée par M. Waren Tay, chirurgien assistant de l' hôpital de Londres.) Femme de 40 ans, entrée dans l'hôp
assistant de l'hôpital de Londres.) Femme de 40 ans, entrée dans l' hôpital de M. Hutchinson, à Londres, le 5 février 1870. —
2* — Autopsie. (Observation recueillie par M. Chrétien, interne des hôpitaux .) Nicolas G..., modeleur, 27 ans, entre à l'Hôt
tion pulmonaire? (Observation recueillie par M. Mollière, interne des hôpitaux de Lyon.) Anastasie D..., religieuse, 36 ans, e
ort le qua¬trième jour (Obser.. recueillie par M. Tauiun, interne des hôpitaux ). Dupanloup, Jean, 33 ans, tonnelier, entre, le
Dupanloup, Jean, 33 ans, tonnelier, entre, le 1er juillet 1870, à l' hôpital Lariboisière, service de M. Cusco. Il est atteint
sive. — Guérison. (Observation communiquée par M. Hervey, interne des hôpitaux .) B..., 44 ans, entre le 1er juillet 1870 à l'h
interne des hôpitaux.) B..., 44 ans, entre le 1er juillet 1870 à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Guérin ; il a
t publiée par M. Soubise.) Clar..., 56 ans, entre le 16 juillet à l' hôpital Lariboisière, service de M. Verneuil ; il s'est b
soirée du 16, apparut le trismus; le malade fut alors transporté à l' hôpital . il juillet. Trismus ; douleur dans le cou ; du
lus intéressants au point de vue clinique, observés par nous soit à l' hôpital Saint-Louis, dans le ser¬vice de notre maître, M.
Nous avons ob¬servé, il y a quelque temps, une femme qui, sortie d'un hôpital dix jours après ses couches, fut prise à l'Asile
s à l'hypogastre et dans les fosses ilia¬ques. Elle fut dirigée sur l' hôpital de la Pitié où elle succomba, au bout de quelques
abrique d'allumettes chimiques, a été admise le 1er novembre 1869 à l' hôpital Saint-Louis (salle Ferdinand, n° 15). Accouchemen
les exacerbations du soir; 1 Des maladies puerpérales observées à l' hôpital Saint-Louis en 1867; consi¬dérations sur leur éti
4 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
M. Giraldès, qui dans une Leçon publiée par Bournevilie (Gazette des hôpitaux , 1862) t trace un tableau fidèle et complet de la
e la ménopause. De deux sœurs, l'une est morte « de la poitrine » à l' hôpital Necker; l'autre, plus âgée que notre malade, joui
marcher que soutenue par les bras (45 ans). Elle est alors entrée à l' hôpital Saint-Louis, d'où elle est sortie, au bout de deu
temps surtout; à la Société de chi-rurgie, à la Société médicale des hôpitaux , elles ont fait l'objet d'é-tudes ou de rapports
MPÉRATURE.— APPAREILS PLÂTRÉS. par e. dupuy, interne provisoire des hôpitaux de paris. Gaulier-Frimbeaux, 76 ans, marchand d
6 ans, marchand des quatre saisons, est entré le 19 novembre 1870 à l' hôpital de la Pitié, salle Saint-Gabriel, n° 44 (service
ndage roulé. L'hémorrhagie s'arrêta, et le malade put être envoyé à l' hôpital de la Pitié. 20 novembre. A la partie supéro-ex
a-tion chez les vieillards, le mauvais état sanitaire des salles de l' hôpital et la situation de la blessure, qui permettrait l
ssant que la tempé-rature, ayant été prise dès l'entrée du malade à l' hôpital , c'est-à-dire six jours avant le début des phénom
sson; ± température six heures avant la mort. 4 Voy. Revuephot, des hôpitaux , page 19, obs. XXVIII. REVUE PHOTOGRAPHIQUE D
aux de paris B.....Antoine, âgé de 25 ans, est entré le 29 mai, à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. Trélat (sall
Voici l'état dans lequel il se trouve au moment de son admission à l' hôpital : la blessure siège sur la paroi abdominale du cô
de particulier, les deux jours qui suivirent l'arrivée du malade à l' hôpital ; mais à la fin du deuxième jour, on s'aperçut que
ans et d'ordinaire elle jouit d'une bonne santé. Elle est entrée à l' hôpital pour un rhumatisme articulaire aigu (27 novembre
es malades que de leur intérêt personnel, il y a longtemps que chaque hôpital , et surtout chaque hospice, aurait son école, sa
E li E T T !¦: II. DISSECTION DU MEMBRE par Teoisteb, interne des hôpitaux de Paris. 1° Description des os. — A. Bras. L h
E L'AVANT-BRAS GAUCHE (HÉMIMÉLIE) PAR LEROY DES BARRES, INTERNE DES HÔPITAUX DE PARIS Avant de décrire la malformation dont
es 155, 170, 216 el 247; — 1871, pages 25. moment de son entrée à l' hôpital Saint-Louis (service de M. Hardy), présentait des
la pratique médicale. Où les étudiants peu-vent-ils s'instruire? A l' hôpital des cliniques. Mais il s'y fait un nombre relativ
ervée d'une façon exclusive aux sages-femmes. Le service spécial de l' hôpital Cochin, institué en 1865, a été fermé jusqu'ici,
r le zèle et la bonne volonté! Restent donc les petits services des hôpitaux . Or ceux-ci sont sous la direction de médecins vi
rtion est facile à four-nir : tandis qu'il y a chaque année, dans les hôpitaux , un certain nombre de cours cliniques sur la méde
u 13 octobre, c'est-à-dire la veille de l'admission de la ma-lade à l' hôpital . Du reste, l'arrêt du travail n'est pas la règle.
ie pulmonaire. —Bah... Marie, 19 ans, teinturière, est en- trée à l' hôpital Saint-Louis, salle Saint-Thomas, n° 47 (service d
ns et le coma qui leur succède1. Quand cetle malade est arrivée à l' hôpital , les attaaues éclamp-tiques dataient déjà de 16 à
— Accouche- 1 Dans le premier volume de la Revue photographique des hôpitaux (1869, p. 16b), nous avons étudié : 1° les modifi
rison.— Bichon, Blanche, 17 ans, est entrée le 27 décem-bre 1869, à l' hôpital Saint-Louis, salle Ferdinand, n° 15 (ser-vice de
Lem..., Élisa, 26 ans, car-tonnière, est entrée le 2 janvier 1871 à l' hôpital de la Pitié, salle du Rosaire, n° 42 (service de
à lu Maternité de Paris, de 1860 à 1870, par E Rigaud, ex-interne des hôpitaux de Paris. — Brochure in-8° de 142 pages. Ad. Dela
DE LA CONJONCTIVE; DÉCOLLEMENT DE L'IRIS par rosapelly, interne des hôpitaux Observation. — Contusion de l'œil gauche. — Acc
é.) Achille Frig..., 21 ans, domestique, entré le 29 mars 1869, à l' hôpital Saint-Antoine, salle Saint-Christophe, n° 52, ser
et la vision devint de moins en moins bonne. C'est ce qui l'amène à l' hôpital . A l'examen, on constate la présence d'une peti
de l'opacité. —Dès lors toute vision est abolie. — Le malade quitte l' hôpital le 8 juin, n'é-prouvant aucune douleur, mais ayan
jours du mois de juillet, Juliette D..., âgée de 26 ans, entrait à l' hôpital de la Pitié (service de M. Broca) pour y être tra
et disparut de nouveau dans le cours de la même année. Elle entre à l' hôpital civil le 14 novembre pour une iymphite du membre
; urines rares (200 gr. en vingt-quatre 1 Revue photographique des hôpitaux , 1871, p. 85. 2 Gaz. méd. de Strasbourg, 1865,
s assertions reposent sur cinquante-deux uréthrotomies pratiquées à l' hôpital Necker, dans le service spécial fondé parCiviale,
erne dfs hopitaux de paris Carr..., Louis, âgé de 50 ans, entre à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. Trélat, le 28
OTES SUR LE CANCER DU SEIN CHEZ L'HOMME par g. peltier, interne des hôpitaux La mamelle, rudimentaire chez l'homme, [est trè
, et M. Bérard en a rencontré deux le même jour au Bureau central des hôpitaux . Blandin, M. Dé-guise, M. H. Larrey en ont aussi
ur le 11 juillet. Il ne se passa rien de particulier et R... quitta l' hôpital le 50 juillet, la plaie étant à peu près guérie.
— Guérison. Dev.... Marie, 34 ans, est entrée le 5 avril 1871, à l' hôpital de la Pitié, salle Notre-Dame, n° 10 (service de
ies se sont cicatrisées peu à peu et Dev... est sortie le 3 juin de l' hôpital . Réflexions I. — Rachitisme. Les déformations a
r a. de îiontméja. B..., âgé de 55 ans, entra, en février 1867, à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Folcher. Cet h
nsion durant les huit mois qui avaient précédé l'entrée du malade à l' hôpital .— 1 E. Hervieux, Traité clinique et pratique de
— Ross, Jacques, 45 ans, tonnelier, est entré le 10 janvier 1871 à l' hôpital de la Pitié, salle Àthanase, n° 54 (ser-vice de M
mateuse et dyspnéique. Rappelons encore que, pendant son séjour à l' hôpital (dix-huit heures), il n'a uriné qu'une seule fois
Petit, Jules, 67 ans, jour-nalier, est entré, le 23 février 1871, à l' hôpital de la Pitié, salle Athanase, n° 28 (service de M.
n d'intestin perçue par l'interne au moment de l'entrée du malade à l' hôpital , la persistance d'une tuméfaction moindre, mais e
itaux de paris L..., Eugène, 22 ans, entre, le 18 juillet 1870, à l' hôpital Saint-Louis, service de M. Bazin, pavillon Saint-
fut atteint pour la première fois du mal qui l'amène aujourd'hui à l' hôpital . Il entra à l'hôpital Saint-Louis, dans le servic
remière fois du mal qui l'amène aujourd'hui à l'hôpital. Il entra à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Guibout, et fu
n'a pas encore com-plètement disparu quand, le 15 août, L... quitte l' hôpital pour aller rejoindre le bataillon de garde mobile
inghen, Auguste-Joseph, marchand ambulant, âgé de 53 ans, entre à l' hôpital de la Pitié, salle Saint-Athanase, le 21 août 187
7 ans, la danse de Saint-Guy ; il fut traité pendant six semaines à l' hôpital des Enfants malades; il en sortit guéri, et depui
u sa profession; traité, ou du moins reçu tour à tour dans différents hôpitaux , il y passa la plus grande partie de ces dernière
de l'insomnie. Au bout de deux mois, N... vint à la consultation de l' hôpital . Alors M. Polaillon constata un chancre de la vul
pilules de proto-iodure de mercure, prescrites après l'admission à l' hôpital , furent suspendues par M. Trélat, qui ordonna le
ls cutanés. — Exeat le 6 juin. 25 septembre. — Après sa sortie de l' hôpital , N..., voyant ses cheveux tomber en abondance, le
ns tous les cas, elle ne permet très-certai- 1 Société médicale des hôpitaux . Séance du '25 janvier 1805. nement plus d'espé
François, âgé de 55 ans, bijoutier, est entré le 22 juillet 1869 à l' hôpital Saint-Louis (service de M. Hardy). Il raconte qu'
le papier se décollait par l'humidité. Traité à la consultation de l' hôpital par les douches de vapeur, il guérit en un mois.
emblables accidents. Les traitements employés avant l'admission à l' hôpital ont con-sisté en douches de vapeur, frictions ave
e sont encore amendées et ont disparu. Le malade est sorti guéri de l' hôpital vers la fin du mois de septembre. — Nous n'ajou
yphilis sur la langue, par le docteur C. Saison, ancien interne des hôpitaux de Paris, etc. In-8 de 58 pages. Ad. Delahaye, éd
ruit. C'est en cet état que le malade entra, au mois d'août 1871, à l' hôpital de la Pitié et fut placé au lit n° 32 de la salle
représente notre photographie : L'un d'eux a été observé par nous à l' hôpital de Bicêtre et les deux autres dans la pratique ci
urg, entre le 24 mai 1870 dans la quatrième division de médecine de l' hôpital de Hambourg et meurt deux jours après, le 26 à mi
llet... (Louis), 37 ans, ajusteur, est entré le 21 septembre 1871 à l' hôpital de la Pitié, salle Saint-Gabriel n° 59 (service d
se rendit à Paris au mois de juillet, et alla à la consultation de l' hôpital Saint-Louis. Le chirurgien qu'il vit, insista pou
rtie antéro-supérieure de la cuisse droite, il se décida à entrer à l' hôpital de la Pitié. Quelques jours après son admission
tre planche a été observé par nous à diverses reprises, soit dans les hôpitaux , soit dans les cliniques libres de Paris: nous l'
émise en 4 863 par M. Delasiauve, au sein de la Société médicale des hôpitaux , à l'occasion d'un jeune Persan sou-mis à l'actio
q francs. Dup... sort malgré les instances faites pour le retenir à l' hôpital . B. BIBLIOGRAPHIE Des paralysies des muscles
amen histologique, d'après les préparations de M. Coyne, in-terne des hôpitaux , donne les résultats suivants: à un faible gros-s
e médi-cale, 1840.) Gayrel fils. — Rupture de la rate. (Gazette des hôpitaux , p. 582, 1840.) Raynaud. — Bulletins de la Soci
ployé avec succès par M. Barlh à la Salpêtrière et par M. Legroux à l' hôpital Beaujon. Il s'agissait, dans ce dernier cas, d'un
, d'une femme atteinte de choléra peu de jours après ses couches, à l' hôpital . Elle présentait des symptômes très-alarmants et
u choléra de 1865, M. Woillez eut de nouveau recours au hachisch, à l' hôpital Cochin, et dans un travail publié en 1866, notre
e professeur Polli, de Milan, con-cerne un homme de 58 ans, admis à l' hôpital le 12 mai 1860, et qui avait été mordu par un chi
ebail.., Alexis, homme de peine, était âgé de 42 ans à son entrée à l' hôpital Saint-Louis le25 février 1869 (service de M. Prou
m, 16 grammes. Le malade sort le 20 mars. 7 avril. L. . revient à l' hôpital . Le ventre mesure lm,05. Une deuxième ponction, f
nous ont été donnés par M. Saison, L... est venu de temps à autre à l' hôpital Saint-Louis. Sa condition ne paraissait pas chang
surtout à la face, qui redevenait terreuse. Enfin, il est rentré à l' hôpital le 7 septembre pour une pneumonie qui avait envah
me détalent, ancien élève d'Alfort, aujourd'hui externe distingué des hôpitaux , M. Mé-nard, des annotations. Il s'en est très-bi
5 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
). Service dentaire. - Notre ami, le Dr Cruet, ancien interne des hôpitaux , continue ses visites bi-mensuelles aux enfants
, délégué de la République Argentine ; Dr J. Flores, directeur de l' hôpital grec de Constan- tinople ; Dr Forhas (de Buda-P
déplorable organisation des Cabanons où ils sont déposés dans les hôpitaux ou hospices de Château-Thierry, Epernay, Lu- né
e en 1886 dans l'Est (1). Au mois d'avril 1888, nous avons vu à l' hôpital Si-André de Bordeaux quatre cabanons aussi ^ ma
(2) Un nouveau malade s'y est pendu en juillet 1888. CABANONS DES HÔPITAUX DE PROVINCE. LV atteinte de délire de persécuti
ces malades ne devraient pas rester à l'hospice. Les cabanons de l' hôpital général de Dijon sont si- tués dans un bâtiment
, très rarement 15 jours et sont dirigés sur l'asile de Dôle. A l' hôpital du Saint-Sépulcre de Salins, les cabanons sont
autres salles. Double porte, triple grillage à la fenêtre, etc. L' hôpital d'Arbois se compose de deux parties sépa- rées
se compose de deux parties sépa- rées par une rue : d'un côté est l' hôpital , de l'autre les dépendances. Ces dépendances co
aille. Les autres sous-sols, qui sont vastes et courent sous tout l' hôpital , servent de caves, de magasins, de bûcher « ce
consentirait pas à coucher dans ces caveaux. Nous avons vu, il l' hôpital thermal d'Aix, un aliéné dans une chambre dont
bre, mal éclairée, étroite, est loin de toute surveil- lance. A l' hôpital de Grenoble, les cabanons sont disposés dans un
BANONS DES HOPITAUX DE PROVINCE. LVII Il existe quatre cabanons à l' hôpital de Valence ; ils sont disposés dans un sous-sol
ave. Il y a deux mois, un malade y a séjourné quatorze jours. A l' hôpital du Puy,nous avons vu dans les salles des dé- me
jours ; ce délai est toujours trop long, attendu que le service des hôpitaux n'est pas organisé pour exercer une surveillance
recueilli : 111e Jobey, Marie-Victorine, âgée de 66 ans, entrée à l' hôpital le 23 Novembre 1881 sous la rubrique : dé- ASSI
d'urgence sur les condi- tions matérielles des cabanons de tous les hôpitaux et hospices de province ; pour qu'il exige des
ont été trop peu nombreux, la malade n'étant pas dans un service d' hôpital ou d'asile, pour que nous puissions, sous ce rapp
s. 6° Fille morte à 1S ans, cette année, de la fièvre typhoïde, à l' hôpital Beaujon ; pas de convulsions, pas d'attaques ;
de l'ouvrage, aux Halles, à la voirie, au débardage, dans plusieurs hôpitaux , et ne peut rien trouver. Son linge est toujour
ne les garderaient pas en prison, mais les feraient diriger sur les hôpitaux spé- ciaux. Ajoutons qu'à son imbécillité et à
tte oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux et l
nt pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux et les professeurs des facultés de médecine de
ats, le Concours spécial en crée- rait, car beaucoup d'internes des hôpitaux qui se font inscrire pour le Concours de médeci
des candidats en nombre suffisant. Beaucoup d'anciens internes des hôpitaux de Paris, de Lyon, de Bordeaux, etc., prendront
r dans le voisinage de leur pays. Beaucoup d'anciens internes des hôpitaux hésiteront à prendre part à des concours qui le
és (plus de 10,000) ; candidats nombreux fournis par l'internat des hôpitaux et l'internat des asiles; nécessité de relever
es d'aliénés un per- sonnel instruit et aussi capable que celui des hôpitaux . Il a ajouté que si, conformément à l'article 3
ère et que les chefs de service de ces asiles seraient médecins des hôpitaux comme l'étaient ou le sont : MM. Trélat, Archam
celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpitaux . A Paris, par exemple, les conditions pour les
elles sont calquées sur les conditions du concours des médecins des hôpitaux . Il va de soi que les médecins de Bicêtre, de l
ront la faculté de choisir leurs ser- vices, comme les médecins des hôpitaux , et au sur et à mesure des vacances et jouiront
et de la Sal- pêtrière se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins aliénistes tirés au sort.
teur, Bourneville. II. Assistance publique : les aliénés dans LES hôpitaux et hospices de province. On croirait qu'après
de la boulangerie, au-dessus de « l'ensevelissoir», très loin de l' hôpital et loin de tout secours. Chaque cabanon possède
conservés quinze jours et quelquefois davantage. Les médecins de l' hôpital se plaignent d'autant plus vivement de cet état
tes en 1885-188G. Les malades sont gardés 4, b ou G jours. 4" A l' hôpital civil et militaire de Saint-Dié, le cabanon uniqu
lié- nés n'y séjournent que 24 ou 43 heures. Ils sont envoyés à l' hôpital d'Epinal et de là ùAfaréville. 5° Les trois cab
ne sont pas chauffés. En général, les malades sont dirigés sur l' hôpital d'Epinal au bout de deux ou trois jours. On a l'h
anquilles; nous en avons vu deux au mois de septembre dernier. 6° L' hôpital Saint-Maurice d'Epinal est doté d'un pavillon d'u
aint-Maurice d'Epinal est doté d'un pavillon d'un étage, isolé de l' hôpital , placé dans un vaste jardin potager. Il est div
etune infirmière. Le pavillon reçoit les autres aliénés des autres hôpitaux du département. On les garde durant dix à quinz
s, parfois un mois avant d'être en- voyés à l'asile de Dôle. 8° L' hôpital de la Charité de Langres possède deux cabanons si
s. Les aliénés n'y resteraient pas plus d'un jour ou deux. 9° A l' hôpital Saint-Nicolas de Bar-sur-Aube, les aliénés sont
achots ; leur situation dans des bâti- ments éloignés du reste de l' hôpital , dans des communs, à côté d'écuries, de telle s
lade est absolument en dehors 1 Cette pratique existe dans d'autres hôpitaux ^ 00 APPENDICE. de toute surveillance. On doit
et de l'interdiction du transfert succes- sif des aliénés dans deux hôpitaux : un ordre formel aux préfets et ces voyages di
6 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lire qui dure deux jours. Après un séjour de six semaines dans un hôpital de province, grande amélioration, l'hyperesthésie
é DE la MOITIÉ gauche DU corps; par M. Edmond Fournier, interne des hôpitaux . (Nouv. iconographie de la Salpêtrière, 1895, n
s futurs concours, comme d'autres travaillent pour les concours des hôpitaux . C'est avec M. Léon Bourgeois, alors sous-secré
S POSTERIEURS; Par )1. le D' lll.wu f)UOUI;, Ancien iritei ne des hôpitaux . , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYS
maladies de la moelle, 1892. Semaine médi- cale, 1891. Gazelle des hôpitaux , 1891. ' Carl llayer. - Jahrbuch ritn Psucliial
es. Neuroloyisches Centralblatt, avril 1890. 29. Marie. Gazette des hôpitaux , 1894. Semaine médicale, 189. 30. Marie. Leçons
irecteur du Mamcome de Monlbello et Mari Lt;ei\ceco, directeur de l' hôpital de Buato Cersizio. (L'Anonzczlo, novembre et dé
tresse et qu'il avait ensuite cherché à se tuer lui-même. Porté à l' hôpital il ne manifesta aucune douleur pendant qu'on le
par une illusion d'oplique semblait se refléter sur les vitres de l' hôpital des Pèlerins. A 'l'rani et à Corato enfin, une
de cet appareil. Après la séance, les membres du Congrès visitent l' hôpital d'Ep- pendorf. - Séance du 14 septembre. Le
ropositions suivantes les conditions de cet avancement : « 1° Nos hôpitaux devraient être placés sous une direction médi-
Pendant les années 1891-92 nous avons étudié cette mé- thode à l' hôpital Cochin dans le service de notre regretté maître
effet, dès les premiers jours, nous la voyons, vieille habituée des hôpitaux , attirer l'attention sur elle par des crises de g
es se rencontre ni cou- ramment dans la pratique civile ou dans les hôpitaux , de telle sorte qu'onserait exposéà n'avoirque
re malade que nous avons eu l'occasion d'observer était alitée, à l' hôpital Saint-Pierre, dans le service de notre maître,
esseur Rommelaere. Elle était âgée de vingt ans et était entrée à l' hôpital en novembre 1895, pour un rhumatisme ai ticulaire
it; mais l'acrocyanose resta toujours identique. La malade quitta l' hôpital en avril complètement guérie de son rhumatisme
ile pour les épileptiques, qui ne pouvaient être maintenus dans les hôpitaux ordinaires. M. le Dr RouBY cite un cas d'halluc
lisse- 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. , ments d'assistance aux aliénés en hôpitaux de maladies aiguës et asiles de maladies chroni
ciété d'Economie politique; l'autre est un pro- blème législatif. L' hôpital de maladies aiguës ne peut rendre de services q
s dans celui qui est indiqué dans les projets législatifs nouveaux, hôpital ouvert aux malades eux-mêmes qui pourraient y dem
e fit conduire dans l'asile où il fut reçu sans certificats. Dans l' hôpital de Bethléem qui renferme 260 malades environ, l
emanderont à sortir par la voie du tribunal ; que par conséquent, l' hôpital des ivrognes.de Ville-Evrard sera inutile tant qu
qu'ils peuvent envoyer directement les malades aux asiles comme à l' hôpital , les prescriptions légales accomplies. M. Garni
aux prescriptions de la loi. Si vous voulez rapprocher l'asile de l' hôpital , si vous voulez rap- procher les aliénés des ma
es, il faut rendre. les pla- cements faciles, prompts, comme pour l' hôpital . Alors moins de résistance des familles, moins
s de 1895, à ..lartSociété de biologie et à la Société médicale des hôpitaux au cours de cette année. Nous donnerons ce trav
est entré à l'Admission le 9 mai 1896 ; il venait directement de l' hôpital Saint-Antoine. M. Brissaud, dans le service duq
nous renseigner sur l'attitude de K... pendant son séjour dans cet hôpital , séjour qui dura du mois de janvier au mois de ma
eux. Dans ces conditions son séjour ne pouvant se prolonger dans un hôpital ordinaire, il fut transféré à Sainte-Anne où il
aiter à Paris, il s'accommode très bien delà paisible existence des hôpitaux et ne réclamerait pas de traitement si on ne l'
le service des aliénés. Il a déjà neuf établissements (y compris un hôpital réservé aux cri- minels fous) qu'on appelle hôp
s (y compris un hôpital réservé aux cri- minels fous) qu'on appelle hôpitaux d'Etat par opposition aux asiles de comtés qui
l n'y avait pas d'uni- formité dans l'établissement des budgets des hôpitaux . La com- mission y a remédié en partie, et ses
denrées de première qualité. Constructions, réparations, etc. - Les hôpitaux d'Etat datent : le premier, de 1836; le deuxièm
ience montre que l'augmentation annuelle des aliénés, dans les neuf hôpitaux , varie de 200 à 400. Ce dernier chiffre a été f
ouvent curable, la commission conseille d'annexer à chacun des huit hôpitaux d'Etat (le neuvième étant réservé aux criminels
tendant par celle de Nuise, de même que la loi a opposé le nom d' hôpital à celui d'asile.) Malades payants. Aux malades
de 1890, fit transférer plus de 2,000 cas de ces derniers dans les hôpitaux d'Etat; on aurait pu croire alors que cette acc
ques ne sont pas des incurables. Criminels fous.- On a construit un hôpital d'Etat pour les cri- minels fous, permettant de
ir prisonniers dans un établissement qui a plutôt le caractère d'un hôpital que celui d'une prison. En fait, les évasions e
manque déjà pour les interner. On pourrait transférer à d'autres hôpitaux d'Etat les condamnés devenus fous, quand ils sont
d ils sont arrivés à l'expiration de leur peine; ou bien agrandir l' hôpital spécial ; ou bien encore adjoindre à des prison
nière solution que conseille la commission. RAPPORTS SPÉCIAUX DES HÔPITAUX D'ÉTAT Ces rapports sont établis sur un plan un
W-YORK. 275 1. Exposer, d'une manière générale, les opérations de l' hôpital pour l'exercice fiscal 1894, indiquant le nombr
ment le but et le chiffre des allocations spé- ciales accordées à l' hôpital par la législature de 1894, et leur somme total
itement médical, l'entretien et le transfert des fous indigents aux hôpitaux d'Etat, les honoraires des médecins, les salair
il d'administration relativement aux visites et à l'inspection de l' hôpital ? Donner le nombre des visites faites par chaqu
ce des méde- cins compétents et autorisés ? 15. Les employés de l' hôpital sont-ils mécontents de l'inégalité de leurs tra
comparativement à ceux des employés de même grade dans les autres - hôpitaux de l'Etat ? Ne devrait-on pas, à votre avis, ét
à une semblable divi- sion ? 18. Combien, parmi les médecins de l' hôpital , ont des grades universitaires (collège graduât
collège graduâtes) ? 19. Quelle est la proportion des médecins de l' hôpital ayant suivi avant de se spécialiser, les cliniq
e l'hôpital ayant suivi avant de se spécialiser, les cliniques d'un hôpital général ? 20. Les .internes reçoivent-ils une i
des instru- ments de chirurgie et appareils médicaux possédés par l' hôpital ? 22. Indiquer la nature et l'importance des ap
uer la nature et l'importance des appareils hydrothé- rapiques de l' hôpital et la mesure de leur utilisation pour le trai-
eur utilisation pour le trai- tement des malades. 23. Fait-on à l' hôpital des leçons cliniques sur les maladies men- tale
nature et l'importance des bibliothèques médicale et générale de l' hôpital . Donner la liste des ouvrages de médecine acqui
médicales et générales. 25. S'il y a un ou plusieurs médecins de l' hôpital qui aient fait quelques publications médicales
ialistes ou autres, ont-ils été demandés pour des consultations à l' hôpital ? Serait-il à propos, selon vous, d'avoir un co
l'état DE NEW-YORK. 277 28. Fait-on régulièrement des autopsies à l' hôpital ? Si oui, qui les fait et dans quelle mesure ?
ré se font les examens ophtalmoscopiques sur les sujets entrant à l' hôpital ? 30. Fait-on (et dans quelle mesure) les exame
ens, uté- rins. 31. Apprend-on aux infirmiers et infirmières de l' hôpital à faire l'hydrothérapie, le massage, etc. Si ou
d'autres. Si oui, dans quelles circonstances ? 40. Recourt-on à l' hôpital au « système des portes ouvertes » ; si oui, da
s à air libre ou la cour d'exercice enclos de murs, s'il y en a à l' hôpital ? Dire ce que vous pensez de leur nécessité et
si on les procurait à toute cette catégorie d'em- ployés ? 52. L' hôpital a- t-il organisé un enseignementpourlesinfirmiers
ordres pour assurer un bon service de cuisine ? 55. Y a-t-il à l' hôpital des réfectoires communs; si oui, dans quelle me
dans quelle mesure exerce-t-il cette surveillance ? 60. Combien l' hôpital fournit-il de serviettes à rouleau propor- tion
Le prix de revient de chaque malade est très variable sui- vant les hôpitaux . Le plus bas est de 695 francs par an et le plus
s par an et le plus élevé de 1,174 francs. La moyenne pour les neuf hôpitaux est de 920 francs, soit 2 fr. 82 par jour.- 5
5. On ne se plaint guère de la différence des traitements selon les hôpitaux ; cependant la majorité des directeurs pensent qu
n'ont pas de titres analogues ? ) 19. La plupart ont été dans des hôpitaux généraux avant de se spécialiser. 20. Général
l'ophtalmoscope ; mais, en général, pas de cours méthodiques à l' hôpital . 21 et 24. Les listes d'instruments et les bibl
fois, d'autres professeurs viennent faire des leçons cliniques à l' hôpital . 1. 25. Quelques médecins ont publié des articl
Le chiffre en est très variable : sur 10 p. 100 des décès dans tel hôpital jusqu'à 65 p. 100 dans tel autre. On examine gé
, dit l'un des rapports. 32. Il n'y a pas de dentistes attachés aux hôpitaux . C'est une lacune qu'il faudrait combler, disen
ins font tout ce qu'ils peuvent pour suppléer aux défectuosités des hôpitaux , sous ce rapport. 34. Les moyens de distracti
des (dit un rapport) subissent un genre de traitement spécial à cet hôpital , ce que nous appelons le traitement du repos. 2
26 hommes et 131 femmes sur un millier de malades). Dans les autres hôpitaux , on compte plus de 60 p. 100 de malades tra- va
du Médecin-Directeur de Middletown State Hospital) et, encore deux hôpitaux y ont-ils renoncé, comme à la camisole de force,
suppression totale des barreaux ou grillages aux fenêtres. Quelques hôpitaux y ont cependant renoncé pour certaines salles o
treillages métalliques peu visibles. 43. Il n'y a guère que dans l' hôpital destiné à recevoir les cri- minels fous qu'il e
de femmes. La proportion varie donc du simple au double suivant les hôpitaux . 45. Dans six des neuf hôpitaux, on a essayé l'
onc du simple au double suivant les hôpitaux. 45. Dans six des neuf hôpitaux , on a essayé l'emploi des femmes pour les réfec
oulement assurerait les services de nuit, etc., etc. 52. Tous les hôpitaux ont organisé un cours pour l'instruction des in
: ceux qui sont à l'infirmerie, ou ceux qui ont des emplois dans l' hôpital . La plupart des rapports ne voient pas d'avanta
LA TOUItETTE, professeur 'agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux . (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, 1895, n° 2.)
STÉRIQUE atteint d'incontinence d'urine ; par M. GASNE, interne des hôpitaux . (Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, 1895
SYR(NGOMY1LIQUE ; par MM. V. HANOT, professeur agrégé, médecin de l' hôpital Saint-Antoine et Henry Meunier, interne des hôp
médecin de l'hôpital Saint-Antoine et Henry Meunier, interne des hôpitaux . (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 2.)
us apoplectique sans perte de connaissanee. Quatre jours après, à l' hôpital , on note les symptômes suivants : paraplégie fl
TOURETTE, professeur agrégé de la Faculté de médecine, médecin des hôpitaux . (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 9S9G, ni 2
es hôpi- taux de Nancy. g II n'y a pas non plus de pharmacien à l' hôpital civil. Les lacunes de ce genre donnent aux étra
ce refuge devenait la « renfermerie » dont je vous parlais hier; l' hôpital se transfor- mait en prison et cette prison s'a
e traitement. M. F..., âgé de soixante-neuf ans, ancien directeur d' hôpital . Le père du malade était alcoolique, mort à l'â
s généraux des asiles, comme elles l'avaient été aux directeurs des hôpitaux d'Etat, avec certaines modifica- tions imposées
. qu'un pour 16 malades, la proportion étant de 1 pour 7 dans les hôpitaux de l'Etat. Ils se plaignent de leurs salaires et
ent, sous ce rapport, fort au-dessous des moyens dont disposent les hôpitaux de l'Etat. 16. Les asiles seraient beaucoup tro
e et qu'on n'y remédiera qu'en rattachant les asiles municipaux aux hôpitaux d'Etat. Le budget de l'assistance des aliénés e
iles de comtés soient rattachés le plus tôt possible au système des hôpitaux d'Etat. Troisième partie. - Etablissements priv
lades reçus pendant de l'année fiscale 1894 l'année 18lHe (dans les hôpitaux d'Etal). (30 septembre). ASSISTANCE DES ALIÉNÉS
où la plupart des opérés viennent de la ville même ; le séjour à l' hôpital n'est pas, comme pour les sujets précédents, un
ient par hasard, pour une raison ou pour une autre, envoyés dans un hôpital , pour qu'on les étudie sérieusement. On les sou
taire, on les propose pour la réforme. L'auteur a pu recueillir à l' hôpital de Spezia, pendant le courant de l'année, trois
e se montra arro- gant, sans tenue, brutal, batailleur. Observé à l' hôpital , on trouve chez lui de l'asymétrie faciale et u
cris de joie. Le pauvre idiot a été transporté immédiatement à l' hôpital Saint-Julien, à Cambrai. Aucune mesure n'a encore
ation est invariable; car le 14 avril 1792, deux enfants placés à l' hôpital général sont rendus à leurs parents sur le rapp
ncu la commission que le cloître situé en Vienne et appartenant à l' hôpital ne pouvait convenir, par le peu d'étendue qu'au
es jours amélioration marquée, et quand enfin le malade sortit de l' hôpital , il marchait très bien et ne souffrait plus du
rs reprises la réalité du fait. Ce jeune homme est alors envoyé à l' hôpital de Spezia où il est observé méthodiquement : ca
ale ou urétrale, pas de calcul, les urines sont normales. Entré à l' hôpital , la première nuit il urine au lit. Le lendemain
très probable- ment diphthéritique qui nécessite un long séjour à l' hôpital . Quelque temps après, il retombe malade à nouve
ans les inférieurs surtout, mauvais état géné- ral. On l'envoie à l' hôpital de Spezia, dans le service du D1' Abba- mondi,
côté des sens spéciaux, pas de troubles vésicaux, ni rectaux. A l' hôpital , l'affection au lieu de rétrocéder s'aggrave rapi
en, c'est plus fort que moi. » M. X... fut placé en observation à l' hôpital et réformé ensuite. C 11U5ET. VII. La FOLIE D
connaissent ni la médecine, ni la psychologie... Une prison est un hôpital ; comme les autres hôpitaux, elle renferme des mal
e, ni la psychologie... Une prison est un hôpital; comme les autres hôpitaux , elle renferme des malades, des êtres bien malh
7 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
itime vaccine et n'ayant jamais eu la variole, entre, le 25 mars, à l' hôpital de la Charité (salle saint Basile, 10, service de
. Quinze jours après le début de la fièvre éruptive, elle enlre à l' hôpital , où nous la trouvons dans l'état suivant: La fa
raitement, la malade se sent beaucoup mieux et pense déjà sortir de l' hôpital . Ainsi la petite fièvre du soir avait diminué;
h Doolen, âgée de 25 ans, née en Irlande, femme de chambre, entre à l' hôpital de la Charité, le 16 avril 1853, salle Sainte-Ann
malade commençait à prendre quelques aliments. La malade entre à l' hôpital de la Charité, le 16 avril, pour y être traitée d
elques observations de fièvre typhoïde contractée dans les salles des hôpitaux de Paris où l'on trouve, presque constamment, un
à l'intérieur ; et, sur les 439 cas relevés en février, dans le même hôpital , il n'en est que 10 qui se soient développés dans
les faire valoir. Mais, on ne doit pas oublier que les salles de nos hôpitaux sont spacieuses, bien tenues, ventilées avec soin
s grande partie des cas de fièvre typhoïde observés à Paris, dans les hôpitaux , se montrent chez des individus qui ont quitté
grammes d'huile de ricin. D'après son exemple, beaucoup de médecins d' hôpitaux , MM. Piédagnel, Prus, Louis (Notice de M. Barth,
bservation recueillie tout récemment par M. le docteur E. Baudot, à l' hôpital de Lariboisière, dans le service de M. Hérard, ap
e sont probablement des cas de ce genre qu'a observés M. Oulmont, à l' hôpital Saint-Antoine (Voir: Archiv. génér. de méd. et Ac
ine (Voir: Archiv. génér. de méd. et Actes de la Société médicale des hôpitaux , 1855) ; mais la laryngite et la pharyngite pseud
ment du typhus et de la fièvre typhoïde, observations recueillies à l' hôpital Sépharine de Stockholm, Paris, 1855.) Aussi, est-
r., Bd. 23, p. 30. Relation d'une épidémie de ty-phus observée dans l' hôpital de Prague pendant les années 1846, 1847 et 1848.
ement multipliés de toutes parts. Aussi un médecin attaché à l'un des hôpitaux de Saint-Pétersbourg, M. le docteur Herrmann, a-t
Les premières observations qui ont été recueillies par M. Herrman,à l' hôpital d'Obuchoff, datent du mois d'août 1864; depuis ce
autres années à la même époque. Le 15 mars 1864, il y avait dans les hôpitaux 2744 malades; le 15 mars 1865, il y en avait 3812
la mortalité par fièvre récurrente spécialement, elle a été, dans les hôpitaux , de -25 à 30 par jour ; c'est à peu près R0 pour
: plusieurs méde-cins et plusieurs personnes attachées au service des hôpitaux ont été atteints. En général, on compte peu de vi
1 relatif à l'épidémie russe vient d'être communiqué à la Gazette des Hôpitaux (voy. le numéro du jeudi 20 avril 1865), par M. D
t les noms, en français et en allemand, par lesquels les médecins des hôpitaux et les professeurs de médecine, à Saint-Pétersbou
inion des meilleures au-torités, est-ce qu'il y a eu des cas dans les hôpitaux de Saint-Pétersbourg, ou ailleurs, où la maladie
e : de sorte qu'à certains jours, on comptait 450 réceptions dans les hôpitaux civils; et si l'on comprend les cas de typhus ord
, pendant plusieurs jours, le temps nécessaire pour l'installa-tion d' hôpitaux provisoires, un certain nombre de malades sont re
s deux chiffres. » Nous ajoutons : » Le nombre des réceptions aux hôpitaux , dans les derniers mois de 186, présentait, sur c
nait la proportion de (1 : 20) 1 mort sur 20 malades soignés dans les hôpitaux ; dans son plus grand développement, elle donnait
et 40) 4 mort sur 42 et 40 malades, et même au-dessous, dans quelques hôpitaux . » Le typhus pétéchial donnait toujours des pro
(1 : 5 et même 1 : 4), I mort sur 5 ou même 4 malades, dans quelques hôpitaux . » En général, le nombre des morts, pendant les
es mois, en 1863, à peu près de 2,000. La mortalité relative dans les hôpitaux a également beaucoup augmenté, surtout pendant le
e. — La mortalité journalière due aux maladies épi-démiques, dans les hôpitaux , typhus et fièvre récurrente, ne s'est pas élevée
mmé Rousselot, Charles, journalier, ancien tisserand, âgé de 42 ans, ( hôpital de la Pitié, salle Saint-Benjamin, n° 24), paraît
urs d'une névralgie sciatique. Un homme, âgé de quarante-trois ans ( hôpital de Lariboisière, salle Saint-Charles, juillet 1
ication faite sur ce sujet, par M. Charcot, à la Société médicale des hôpitaux , le 22 mars 1865. — Voir, tome V, p. 308.) La p
rnon, âgé de 57 ans, journalier, est entré le 13 septem-bre 1857, à l' hôpital de la Pitié, salle Saint-Raphaël, n° 35. €et homm
pronon-cée, sans que la malade, qui a pu être longtemps observée à l' hôpital Beaujon, eût jamais présenté la moindre teinte br
cadavre d'une femme conduite pour la dissection à l'amphithéâtre des hôpitaux . Ces deux kystes sont régulièrement sphériques, à
es étaient exempts d'altération. J'emprunte à M. Roux (Clinique des Hôpitaux , t. II, n° 46), un quatrième exemple du kyste hyd
la malade était forcé de la sonder trois ou quatre fois par jour. A l' hôpital de la Charité, on constata, en effet, l'existence
s'agit d'un tailleur, âgé de 50 ans, entré en août 1797, dans un des hôpitaux de Gœttingue. Cet homme était alors porteur d'une
tumeur, qui jus-qu'alors ne l'avait guère tourmenté. A son entrée à l' hôpital de la Charité, le 7 avril, on constate eii effet,
urs. Le malade, complètement soulagé, demande bientôt à sortir de l' hôpital ; à cette époque, chose à noter, la tumeur n'avai
s qu'on avait exercées sur l'abdomen. Kurth resta un mois hors de l' hôpital sans éprouver aucun acci-dent notable. Mais, au b
ans, cuisinier, entre le 20 juillet'1854, salle Saint-Charles, n° 9, hôpital de la Charité. Ce malade, extrêmement affaibli
alade, extrêmement affaibli et très souffrant, lors de son entrée à l' hôpital , peut à peine nous donner quelques ren-seignement
oques. — Kyste hydatique du petit bassin. Le 9 juin 1856, entre à l' hôpital de Lariboisière, salle Saint-Charles, n° 6, le no
'exa-men microscopique, fait par MM. Senac et Heurtaux, internes de l' hôpital , montra qu'ils contenaient en quantité des crista
raire à cette pro-position, rapporté dernièrement dans la Gazette des hôpitaux , ne l'infirme point cependant, car il est facile
hydatides. Le nommé A. P., menuisier, âgé de 37 ans, est entré à l' hôpital de Lariboisière, salle Saint-Henri, n° 22, le 10
rissement. — Douleurs épigas-triques. — Etat du malade à l'entrée à l' hôpital (21 juillet 1854). — Symptômes de tuberculose pul
te à peu près le même pendant toute la durée d'un premier sé-jour à l' hôpital , jusqu'au 10 août. Le malade avait été soumis a
hée qu'on combattit avec l'opium. Le 10 août, le malade sortit de l' hôpital ; il y rentra le 17 du même mois. Au moment de
de nouveau la fluc-tuation stomacale. Plus tard, lorsqu'il entra à l' hôpital , le ma-lade ne vomissait plus après chaque repas.
âgée de 36 ans, entre le 10 juillet 1854, salle Saint-Vincent, n° 25, hôpital de la Charité. Elle pré-sente un teint cachectiqu
n homme âgé de 54 ans (salle Saint-Michel, n° i, service de M. Rayer, hôpital de la Charité), s'était toujours bien porté et n'
servation. — Une fille de 23 ans, d'une bonne constitution, entre à l' hôpital de la Pitié, le 22 juin 1858, dans le service don
ant: « Un jeune portefaix, que je venais, dit M. Rayer, de guérir à l' hôpital de 1. Voir surtout : Scudamore, « A treatise on
ous vivons, dit. M. Chomel1, des trois médecins placés à la tête de l' hôpital des Enfants malades de Paris, deux avaient ce qu'
par les auteurs suivants: M. Viglaa fait, en 1852, à la Société des hôpitaux , un rap-port sur un mémoire de M. Laboulbène, con
mployé, âgé de trente-cinq ans, avait été admis, le 24 mars 1860, à l' hôpital Saint-Louis, pavillon Ga-brielle, lit n°17, dans
s'écoulèrent encore avant que la malade se résignât à en-trer dans un hôpital , mais voyant le mal empirer de plus en plus, elle
mais voyant le mal empirer de plus en plus, elle se fit admettre à l' hôpital de la Charité. Elle ne marchait plus alors qu'ave
risée deux fois par semaine, pendant toute la durée de son séjour à l' hôpital . Elle assure que ce traite-ment n'a produit aucun
t n'a produit aucune amélioration et que, lorsqu'elle est sortie de l' hôpital , six mois après son admission, son état était plu
ve qu'au moment de son entrée. Du reste, c'est pendant son séjour à l' hôpital qu'est survenu un nouveau symptôme. Elle per-dit
affection apparente de cet œil. C'est six mois après sa sortie de l' hôpital de la Charité qu'elle entre à la Salpêtrière, adm
e n'a été sou-mise à aucun traitement prolongé pendant son séjour à l' hôpital . On avait voulu appliquer un séton, mais un anthr
Bureau cen-tral (juillet 1860), d'où on la dirige immédiatement sur l' hôpital de la Charité. La durée du séjour dans cet hôpita
mmédiatement sur l'hôpital de la Charité. La durée du séjour dans cet hôpital a été de cinq mois. Lesafïusions froides ont cons
ssent de nouveau progressivement et cette femme rentre de nouveau à l' hôpital où elle subit trois applications de cautères qui
é, amélioration considérable. Peu de temps après qu'elle a quitté cet hôpital , les membres inférieurs s'affaiblissent de nouvea
mbres inférieurs s'affaiblissent de nouveau. Séjour de trois mois à l' hôpital Lariboisière, second séjour de vingt et un mois à
mois à l'hôpital Lariboisière, second séjour de vingt et un mois à l' hôpital de la Pitié. Là elle subit trois applica-tions su
es qui ont précédé son entrée, elle avait fait trois séjours dans les hôpitaux , l'un à la Pitié, le second à la Charité, le troi
ébacés de la peau. Dans un cas à'argyrie, observé par Frommann, à l' hôpital allemand de Londres, il existait des lésions iden
médicale. Paris, 1836, *e édit., 1862, t. I. — Trousseau, Gazette des hôpitaux , 1849, p. 407. — Olzewsky. In Casper's Wochenschr
bre. — Peebles. American Journal, juillet 1849. — Duclos. Gazette des hôpitaux , 1849, n° 55. — Barth. Gazette médicale. Paris, 1
même genre que j'ai tentés, l'an passé, pendant le semestre d'été à l' hôpital de La-riboisière, dans le service de M. le docteu
La médication était instituée le jour même de l'entrée du ma-lade à l' hôpital ou dès le lendemain ; elle était maintenue sans i
8 (1934) Oeuvre scientifique
I Service Commun de Documentation Médicale Bibliothèque Charcot Hôpital de la Salpétrière 47, Boulevard de ''Hôpital
EN MÉDECINE LÉGALL' ('). J. 13aBmsxi. Publié dans la Gazelle des hôpitaux du 1 1 octobre l 9°4. Messieurs, EN commençan
question susceptible d'être étudiée dans un livre aussi bien qu'à l' hôpital et de me cantonner dans le domaine de la cliniq
que les erreurs de diagnostic proviennent bien (1) Leçon faite à l' Hôpital de la Pitié. Un certain nombre de mes leçons on
ranc parler. Elle vint me trouver quelques jours après l'entrée à l' hôpital de la malade en question et me tint ce langage :
sage d'une conférence que j'ai faite à la Société de l'Internat des Hôpitaux de Paris, le 28 juin 1906, et qui a pour titre
e n'en trouve plus, même chez des sujets qui ont « roulé » dans les hôpitaux de Paris ; ce qui tient sans doute à ce que la
t l'amputation du membre. Mon maitre, le Dr Périer, chirurgien de l' hôpital Lariboisière. consulté à son tour, émet l'opini
pris que le domaine de l'hystérie s'est notablement réduit, que les hôpitaux ne sont plus encombrés, comme autrefois, par de
nnelles éparses en diverses communications. (') Leçons laites à l' hôpital de la Pitié. 4o SÉMIOLOGIE Définition. On a
que nous (') Voir Bulletins et Mémoires de la Société médicale des hôpitaux , 1910, t. XXX, 3e série, p. 185. 52 SÉMIOLOGI
s tabès, par J. Babinski (Bulletins et mémoires de la Soc. méd. des hôpitaux , 1898, p. 679). . b) Sur le réflexe du tendon d
(Archives de neurologie, 1888, IV, 43). (2) Voir Société méd. des hôpitaux de Paris, 1896, p. 887 : Abolition du réflexe du
par J. l3ahinslii (Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, 1899, p. 342). 6) Paraplégie spasmodi
, par J. Babinski (Bulletins et mémoires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 5 mai 1893). RÉFLEXES TENDINEUX ET RÉ
S 7'1,, 111 Q UE, (') [J. Babinski.] Publiée dans la, Gazelle des Hôpitaux des 5 et 8 mai igoo. Il serait superflu de cher
même chez un sujet jeune atteint d'hé- (') Leçon clinique faite à l' hôpital de la Pitié. 92 SÉMIOLOGIE miplégie, si le ma
à ce sujet : Rétlexes tendineux et réflexes osseux. Leçons faites à l' hôpital de la Pitié (I3ul. letin médical, ta et 26 octo
ue Neurologique, 1\)1 ? vol. XXVI, p. 4"3. (2) Société médicale des Hôpitaux , ac5y), P. V ? : v Sur une forme de paraplégie sp
niveau de la moelle cervicale supérieure présentait à son entrée à l' hôpital , entre autres symptômes, les particularités sui
s le sang que dans le liquide céphalo-rachidien. A son entrée à l' hôpital , en janvier 1921, le malade présente un ensemble
AORTE [J. Babinski. | . Publié dans les Bulletins et Mémoires des Hôpitaux de Paris, séance du 8 novembre igoi. Les trou
e dermatologie, séance du 1 3 juillet 1899. b) Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 17 mai 1901 - ' ? -- ........
abinski et Charpentier, Bulletins et Mémoires de Id Soc. Médicale des Hôpitaux , 17 mai 1901. (2) Bulletins de la Société de
une lésion au nez sur la nature de laquelle on n'a pas été fixé à l' hôpital Saint-Louis ; il s'agit d'un lupus tuberculeux
ntre-indiquée. Le malade succombe peu de jours après son entrée à l' hôpital . A l'autopsie, on trouve à la face inférieure d
se présente pas à la consultation le jour indiqué et ne revient à l' hôpital que le 2 février. Il est admis dans le service de
ération du système pyramidal, par J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux , 24 mars 18qq). 6) De la paralysie par compress
a été soumis à la balnéothérapie, depuis quinze jours qu'il est à l' hôpital , et que les phénomènes spasmodiques se sont notab
i (dans une communication du 12 mars 1920 à la Société médicale des Hôpitaux ), ont rapporté des cas de torti- colis dit ment
a et qui fut pratiquée par le 1) Baumgartner. La malade sortit de l' hôpital , son état s'étant amélioré, et je la perdis compl
e de MM. Pierre Marie, Binet et M"" Lévy, à la Société médicale des Hôpitaux C) et aussi de la communication de MM. Clovis V
riel. Société de Neurologie, 3-4 juin 1921. e) Société Médicale des Hôpitaux , 7 juillet 1922. . ? ) Troubles respiratoires dan
démique par MM. Clovis Vincent et Et. Bernard. Société Médicale des Hôpitaux , 27 juillet 1922. 280 - AFFECTIONS NON PYRAMIDA
DROME PARKINSONIEN FRUSTE POST-EN( : GPII1LITInUE E z la malade à l' hôpital , intervenant en pleine crise, quelques instants a
aurait été dans l'état dans lequel nous l'avons vu à son entrée à l' hôpital , il y a deux ans et demi, et qui n'a pas changé j
ir des mains, comme, par exemple, les barres des lits d'une salle d' hôpital . Si, au contraire, les aides, placés de chaque
nsiblement plus étroite que la droite. Dès l'entrée du malade à l' hôpital on cherche à lutter contre la faiblesse qui résul
ervation : B..., âgé de 35 ans, sommelier, entre le 9 mars igo5 à l' hôpital de la Pitié. Il a toujours joui d'une excellent
.] Publié dans les Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris. Séance du 24 mars 18qq. E viens fai
gée de cinquante ans, entre le 18 juillet 18q5 dans mon service à l' hôpital de la Pitié. Rien d'intéressant à noter au poin
ssement de la motilité. L. Michel donne elle-même, à son entrée à l' hôpital , les renseignements qui pré- cèdent et parait a
e-dix-sept ans, est admise le 15 décembre 1898 dans mon service à l' hôpital de la Pitié. Rien d'intéressant à noter au poin
s ce moment l'attitude dans laquelle ils se trouvent à son entrée à l' hôpital , mais, en raison de la dépression mentale de la
eurt, profondément cachectisée, quelques jours après son entrée à l' hôpital . Examen anatomique. Le cadavre est couché en ch
Pradine, âgée de cinquante-six ans, est admise dans mon service à l' hôpital de la Pitié, le 8 janvier 18g5. La mère de la
ué, semblable à ce qu'il est au moment de l'entrée de la malade à l' hôpital . Fig. 26 (Obs. II). - Coupe au niveau de la 7
En janvier t8g5, c'est-à-dire au moment de l'entrée de la malade à l' hôpital , les membres inférieurs sont presque complèteme
ment dit sénile. Pas de troubles sensoriels. ' La malade quitte l' hôpital après y être restée plusieurs mois, sans que son
génération du système pyramidal. Observation. I. Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 24 mars 189g. . 328 . PAR
u système pyramidal (Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, année 189g, p. 342). (2) Voir Erb.
née, à maintes reprises, à partir du premier jour de son entrée à l' hôpital , époque où elle était capable de marcher et n'éta
.] Publié dans les Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 21 octobre 1898. Il y a d
par .1 . Babinski, Bulletins el Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 18 décembre 1896. 3â ! , PA
Thèse de Barré. Paris, ign. (2) J. Babinski, Société Médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 24 octobre 1902. (3) Gumper
Paris, séance du 7 février 1907. M. Morax nous ayant envoyé, à l' hôpital de la Pitié, un tabétique atteint d'une atrophi
ès les observa- tions recueillies, comme nous l'avons déjà dit, à l' hôpital Lariboisière, dans le service de M. Morax, à l'
éjà dit, à l'hôpital Lariboisière, dans le service de M. Morax, à l' hôpital La Pitié, dans le service de l'un de nous, et p
ELLE apparent. L'observation du malade que M. Morax nous envoya à l' hôpital La Pitié montre en effet que le rétrécissement
FFIi'OET. - Symptômes oculaires du tabes (Revue générale, Gazelle des hôpitaux , 18go). De WECKER et LANDOLT. Traité complet
PARAPLEGIES AFFECTIONS DE LA MOELLE Il entre à cette époque à l' hôpital et l'on constate une paraplégie spasmodique. Les
sont légers : on note seulement, quelques jours après l'entrée à l' hôpital , de la rétention d'urine pendant 24 heures. Les f
flexes tendineux et cutanés est le même qu'à l'entrée du malade à l' hôpital . Les grands mouvements involontaires des membres
s que se traîner péniblement entre' deux chaises; on la conduit à l' hôpital au mois de juin rgog. . , j Depuis cette époque
Inversion du réflexe du radius, par J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux de Paris, 14 octobre 1910). 372 2 P : 1R.tPLl
ériode). 12 août 790 ? La nommée L ? âgée de 48 ans, est entrée à l' hôpital se plaignant de douleurs vives dans la tête, le
itement hydrargyrique énergique reste station- naire. Elle quitte l' hôpital après y avoir séjourné deux mois. 2e période.
contracture qui augmente durant les jours qui suivent l'entrée à l' hôpital . La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la
pied. Ces mouvements relativement faibles au moment de l'entrée à l' hôpital se sont exagérés ultérieurement et il est possibl
sans s'en apercevoir. A partir de ce moment jusqu'à son entrée à l' hôpital son état, dit-elle, ne subit pas de modificatio
tions. Pendant les quelques semaines où la malade reste encore' à l' hôpital , la sensibilité s'améliore de plus en plus ; pa
inissent par disparaître. C'est dans cet état que la malade entre à l' hôpital le 9 février 1925. Au premier examen (9 févri
gauche il n'y a qu'une hypoesthésie légère. Pendant le séjour à l' hôpital , les troubles s'aggravent petit à petit, et, en p
ciation, notamment à la première période du séjour de la malade à l' hôpital , ils sortent de l'ordinaire et ils réalisent un
.] Publié dans les Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 23 octobre igo3. E présen
tème pyramidal, par J. Babinski (Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux , séance du 24 mars 18qq). (2) Voir à ce sujet
brineuse et cytologique du liquide céphalo-rachidien ». Gazette des Hôpitaux , igo3, p. 1005. 432 P : 1R : 11'LGGIES - AFFECT
s la sciatique, objet d'un travail publié à la Société médicale des hôpitaux en 1896, avait été, il est vrai, mentionnée déj
éflexe du radius (J. Babinski, Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux , octobre 1910, p. t85). SUR L'EXCITABILITÉ D/0-
légie hystérique, parJ. Babinski. Leçon publiée dans la Gazelle des Hôpitaux , 5 et 8 mai igoo. 464 ' IlYSTf;RIE-PITII1.1TISM
E) (J. Babinski). Conférence faite à la Société de l'internat des Hôpitaux de Paris séance du 28 juin igo6. Ainsi que l'
leur importance en médecine légale », par J. Bakinski (Gazette des Hôpitaux , r octobre igo4). Ce travail se rapporte au sujet
rique. Leçon clinique faite par J. Babinski à la Pitié (Gazette des Hôpitaux , 5 et 8 mai ]()0o). (2) Voir à ce sujet : De l'
is jamais arrivé. J'ai relaté, en 1903, à la Société médi- cale des Hôpitaux , une expérience de ce genre, que je vais vous rap
et diverses autres affections, par J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux de Paris, 1 1 novembre 1892). CONCEPTION DE L
ns asile, manifestement intéressés à éterniser leur séjour dans les hôpitaux , ou encore à des personnes prises, dans d'autres
attirée sur ce point, la fièvre prétendue hystérique a disparu des hôpitaux de Paris. On peut en dire autant de l'anurie di
is, dira-t-on, si l'imitation peut être incriminée dans une salle d' hôpital , il est plus difficile de l'invoquer quand on a
cilité la suggestibilité est mise en jeu, surtout dans les salles d' hôpital , et combien sont communes les associa- tions de
: une hystérique sujette à des attaques est admise dans une salle d' hôpital ; quelques jours après, une de ses compagnes qui,
on. Si, comme je viens de le rappeler, on peut observer encore, à l' hôpital , des épidémies d'hystérie, on ne voit plus, de
de comparer l'hystérie telle qu'on l'observe actuellement dans les hôpitaux de Paris à l'hystérie d'il y a vingt à vingt-ci
er à une information auprès des garçons d'am- phithéâtre des divers hôpitaux de Paris. Il est incontestable, en effet, que l
celle que j'ai faite, en compagnie de mon collègue Richardière, à l' hôpital des Enfants Malades. Pendant une période de dix
.] Publié dans les bulletins et mémoires de la Société Médicale des Hôpitaux de Paris, Séance du 16 novembre Tg28. MM. Tin
t ce n'est pas seulement à la Salpêtrière, mais aussi dans d'autres hôpitaux que l'on pouvait assister à des spectacles analog
apoplectiformes, etc. Et Broussais n'était pas, croyez-le bien, un hôpital privilégié en matière d'hystérie masculine. A l
festations de l'hystérie sont devenues, parti- culièrement dans les hôpitaux , beaucoup moins fréquentes qu'elles ne l'étaien
ombe et perd connaissance. Il est transposé à l'ambulance, puis à l' hôpital d'évacuation, dans le coma. Le coma cesse 48 he
u bout de quelques jours, le sujet se montre impatient de quitter l' hôpital ; il se déclare complètement guéri et demande à
ent dans les différentes régions a montré qu'il y a encore dans les hôpitaux et dans les dépôts régimentaires un grand nombr
te opinion. Voici les conclusions de ce travail (Société médicale des Hôpitaux , 29 juin 1917) : « Ainsi l'adrénaline, grâce à
ééducation définitive des hystériques invétérés. Société médicale des Hôpitaux , 21 juillet 19 16. e) Hcussv, Boisseau et d'O
vations publiées par l'un de nous en 1901 à la Société médicale des hôpitaux , et les faits rapportés par M. deLapersonne au Co
s malades atteints de tumeur cérébrale, que nous avons observés à l' hôpital dela Pitié, la ponction lombaire n'a pas amené de
debout et faire quelques pas. Quelques semaines après, elle sort de l' hôpital ; elle marche alors d'une manière normale et ne
ois. Pendant l'année igo2-rgo3, C... fut électrisé sans succès, à l' Hôpital Lariboisière. On fit usage de courants voltaïqu
. Publié dans les bulletins et mémoires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 3o novembre igo6. Le malade, D. H.,
da pas il se cicatriser. L'état de l'enfant, jusqu'à son entrée à l' hôpital de la Pitié, ne subit pas de modi- fications ap
Babinski.] Publié dans les Bulletins et Mémoires de la Société des Hôpitaux , . séance du 1 el' mars igoy. Ai rapporté, en
suite de l'usage des rayons X, par J. Babinski (Société médicale des Hôpitaux de Paris, séance du 3o novembre igo6). RADIOT
s inférieurs devient complète. Elle est admise dans mon service à l' hôpital de la Pitié à la fin de mars et voici ce que je
traitement par les injections d'air, sans résultat. Il entre à l' hôpital , dans le service de l'un de nous, au commencement
de pyramidon, n'amènent aucun résultat. Le 22 novembre, il entre à l' hôpital , dans le service de l'un de nous. Le sujet se
divers modes de la sensibilité dans la lèpre (Société médicale des Hôpitaux , 27 février 1891). 29. Paraplégie flasque par c
ire, juillet 1891). 3 t . Polyurie hystérique (Société médicale des Hôpitaux , t 3 novembre 1891). 32. Notice sur les travaux
e syringomyélie (en collaboration avec Desnos. Société médicale des Hôpitaux , 8 juillet 1892). 34. Paralysie hystérique syst
on). 40. Contractures organique et hystérique (Société médicale des Hôpitaux , 5 mai t8g3). 41. Sur les scléroses systématiqu
., g mai 1896). 45. Hémiatrophie de la langue (Société médicale des Hôpitaux , 31 juillet et 26 novembre t 8gG). 46. Abolit
érieur paralysé dans l'hémiplé- gie organique (Société médicale des Hôpitaux , 3o juillet 1897). 5o. Sur le réflexe du tendon
que et l'hémiplégie hystérique (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux , numéros des 5 et 8 mai igoo). 60. Sur la paral
syphilis (en col- laboration avec Charpentier. Société médicale des Hôpitaux , J mai 1 gOI). 75. Contribution à l'étude du cy
3. Tabes hérédo-syphilitique. Tabès héréditaire (Société médicale des Hôpitaux , 24 octobre 1902). 811. Méningite cérébro-spi
ltaïque et sur certains troubles auriculaires (Société médicale des Hôpitaux , 7 novembre 1902). 87. Lésions syphilitiques de
tions auriculaires par la ponction lombaire (Société médi- cale des Hôpitaux , 24 avril igo3). 94. Sur le mouvement d inclina
lom- baires ; traitement mercuriel. Guérison (Société médicale des Hôpitaux , 23 oc- tobre igo3). 100. Sur la prétendue al
ndue albuminurie hystérique (2° communication. Société médicale des Hôpitaux , t décembre igo3). io5. Sur le traitement des a
tion lombaire (en collaboration avec Boisseau. Société médicale des Hôpitaux , 2g avril igo4). 108. Introduction à la sémiolo
importance en médecine légale (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux , t octobre igo4). iog. Maladie bleue. Cyanose d
onception de l'hystérie et de l'hypnotisme (Société de l'Internat des Hôpitaux de Paris, 28 juin igo6). 126. Asynergie et in
améliorée à la suite de l'usage des rayons X (Société médicale des Hôpitaux , 3onovembre igo6). r 2g. Sur les injections d
pie dans les paralysies spasmodiques spinales (Société médicale des Hôpitaux , 1 er mars 1907). 134. Suggestion et hystérie.
ubles trophiques de la peau dans l'hystérie (Société médi- cale des Hôpitaux , 6 décembre 1gaz). Il15. Quelques remarques sur
a ponction céphalique compa- rées entre elles (Société médicale des Hôpitaux , 3o juillet igog). , IG4. Trépanation pour tume
et 1910). 176. Inversion du réflexe du radius (Société médicale des Hôpitaux , iti octobre (910). 177. Paraplégie spasmodique
orce cérébrale (en collaboration avec Gendron. Société médicale des Hôpitaux , 22 mars r g r 2). igo. Contribution à l'étud
ie méningée (en collaboration avec Jumen- tié. Société médicale des Hôpitaux , 3 mai 1912). 196. Étude comparative des limite
collaboration avec Enriquez et Gaston Durand. Société médicale des Hôpitaux , 16 juillet igi3). 206. Mouvements réactionnels
'ordre réflexe (en collaboration avec Froment. Société médicale des Hôpitaux , 2 mars 1916). 23a. Oblitérations artérielles e
ve du bain chaud (en collaboration avec Heitz. Société médicale des Hôpitaux , 14 avril 1916). 233. Troubles nerveux d'ordre
'ordre réflexe (en collaboration avec Froment, Société médicale des Hôpitaux , 5 mai 1916). 236. Contractures et paralysies d
ial du même côté (en collaboration avec Heitz. Société médicale des Hôpitaux , 22 décembre 1916). 2/)/(. Fusion anticipée d
catalepsie hystérique et rigidité décérébrée (Société médicale des Hôpitaux de Paris, 16 novembre 1928). 287. Monoplégie cr
9 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
jours les mêmes, communes à la pratique de la ville et à celle de l' hôpital , valables pour tous les temps, pour toutes les
u, Notes sur le tremblement hystérique et ses variétés (Soc. méd. des hôpitaux , 12 avril in89). 2. Pitros, Progrès médical,
ue je n'ai jamais fait de mal à personne. » Il séjourne un mois à l' hôpital où on le traite par des bains sulfureux et de l'i
vement la vue de l'oeil droit. Au mois d'octobre 1889, il entre à l' hôpital Saint-Antoine pour son trem- blement et y reste
em- blement et y reste un mois. Dans les intervalles de séjour il l' hôpital , il tra- vaillait aux halles depuis deux ans en
e et le fer. Au bout de deux mois de séjour, il demande à quitter l' hôpital pour aller reprendre son travail (fin septembre
remblait de tout le corps et ne pouvait marcher. Il entra alors à l' hôpital Lariboisière, dans le service de M. le professeur
salle. En outre sa parole aurait été embarrassée. Il est sorti de l' hôpital amélioré mais non guéri. Huit jours après sa so
précédée des mêmes prodromes que la première. On l'a transporté à l' hôpital Bichat. Il était paralysé du côté gauche et ne
epuis il n'a jamais recommencé sa tentative. Durant son séjour il l' hôpital , il eut de nombreuses attaques convulsives. Son m
salle Vernois, dans le service de M. le profes- seur Dieulafoy, à l' hôpital Necker. Antécédents héréditaires. Père alcooliq
une attaque d'hémiplégie droite suivie de tremblement; il entra à l' hôpital Necker. Comme il travaillait à cette époque dan
re rattachés au mal comitial. 1. Charcot et 'rlpiau, Soc. méil. des hôpitaux , 18gag, p. 87. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES
ules Del...re, trente-huit ans, couvreur, entre le 14 juin 1890 à l' hôpital Necker. Antécédents. Le malade n'a jamais eu d'
t spécifique durant six mois, dans le service de M. le Dr Péan, à l' hôpital Saint-Louis). Il y a un an, il est pris brusque
che et de perte de connaissance durant quelques jours. Il entra à l' hôpital Tenon, dans le service de M. Moizard; il en sor
e bras du même côté était aussi parésié. Le malade s'est aperçu à l' hôpital qu'il avait de la difficulté à prononcer certai
vice de M. Dieulafoy, ce même diagnostic a été porté, dans un autre hôpital . Et pourtant les circonstances mêmes du fait pl
é le traitement par les aimants, la métallothérapie. C'est dans cet hôpital qu'elle a commencé à avoir de la diplopie transit
il n'accuse aucun autre trouble fonctionnel. Durant son séjour à l' hôpital Necker, amélioration sensible du tremblement in
A la fin du mois, avant de retourner dans son pays, elle revint à l' hôpital Saint-Thomas. Elle était alors tout à fait guér
ront pas à être rayés de la nosographie. Ç- OBS. IX (Gazette des hôpitaux , 25 juin 1881). Sclérose en plaques dissé- miné
quarante-trois ans, est entré le 6 mars, salle Saint-Jean n° 2, à l' hôpital Necker. Il est né d'une mère épilep- tique; tel
mène nouveau, qui était apparu vers l'époque où le malade entra à l' hôpital , une contracture douloureuse des divers muscles
s signes paralytiques. Le malade sort. Le même jour, il revient à l' hôpital , il avait eu une attaque apoplectiforme et il p
était menacé de tomber. Signe de Romberg. Il resta peu de temps à l' hôpital . Six ans après, le 5 décembre 1872, il revenait d
disparaissent lie 1 er décembre et le 8 février, le malade quitte l' hôpital ne conservant qu'un léger tremble- ment des mai
in Brain, avril 1888, p. 71). X..., qua- rante-neuf ans, entre à l' hôpital , en mars 1887. Sa démarche est irrégulière, bra
ttaque de rhuma- tisme articulaire aigu qui le tient trois mois à l' hôpital . Depuis, il a eu deux nouvelles attaques de rhu
eint dans la maladie de Raynaud. » Mais, le malade ayant quitté l' hôpital , Trintignan a vu disparaître quelques jours apr
éol le 1er aoÙt 1890, il y a été observé par plusieurs médecins des hôpitaux , et surtout par M. le Dr Marie, agrégé de la Facu
e moment les crampes ont cessé. Le malade ne se décide à entrer à l' hôpital qu'au bout d'un mois. C'est du moins lui qui le
dans les quarante-huit heures qui ont suivi l'entrée du malade à l' hôpital . Bien nous en a pris, car le z16 au matin, troi
gère qui lui assure, pour un temps au moins, la vie facile dans les hôpitaux . Deux jours après, en effet, nous apprenions qu
un malade récemment signalé par M. Féréol à la Société médicale des Hôpitaux , lequel, jouissant à un haut degré du phénomène
s jambes, il se rendit à pied, mais soutenu par deux personnes, à l' hôpital Lariboisière. Là, dans la salle d'at- tente de
uivie d'une recrudescence nouvelle. Huit jours après sa sortie de l' hôpital il eut, chez lui, une attaque très longue (troi
tir de laquelle il recouvra la parole. , En mars 1888, il entra à l' hôpital Bichat dans le service de M. le docteur IIuchar
ntanées que le malade a eues ultérieurement pendant son séjour, à l' hôpital ne diffèrent en rien de l'attaque provoquée.) M
I (De Maguirc [Drain, 1888], reproduite par M. Rendu [Soc. méd. des hôpitaux , 12 avril 1889]). Oss. VII (Rendu, loc. cit.).
depuis cette époque. Le malade a séjourné pendant quatre mois à l' hôpital Lariboisière; on lui 12G NOUVELLE ICONOGRAPHIE
d'où il revint à New-York sept semaines après. Enfin il entra à l' hôpital où Sachs eut l'occasion de l'examiner. Le malad
IEI1, Chef de clinique à la Salpêtrière. Intorno (médaille d'or des hôpitaux ). . (A suivre.) LES ROIS DE FRANCE ET LES ÉCR
hl..., âgée de onze ans, née à Versailles, entre le 6 avril 1881, à l' hôpital Saint-Louis dans le service de M. Lailler, sall
s. Elle avait encore son éruption cutanée. C'est à la sortie de l' hôpital que la peau aurait commencé à se rider, la figu
e les gens de la maison ne la reconnaissaient plus. En sortant de l' hôpital , elle est restée chez elle, au lit, allant un peu
t dans la note communiquée par M. Rendu à la Société médicale des hôpitaux . Nous n'avons personnellement rencontré aucun f
r- valles variables. Au mois de janvier 1886, il alla consulter a l' hôpital Necker et, sous l'influence du traitement hydro
gnes qui faisaient encore défaut à l'époque où le malade a quitté l' hôpital . Tremblement. L'histoire du tremblement que pré
ueillies par MM. Béchel, interne provisoire, et A. Marie, externe des hôpitaux . EXAMEN MORPHOLOGIQUE CHEZ LES ALIÉNÉS ET LES I
fut bien supporté par la malade. Quatre jours après avoir quitté l' hôpital , elle mourut subitement avec des phénomènes de
Tels étaient les symptômes présentés par Peyn..., à son entrée à l' hôpital , cinq mois après le dé1lli.Lde..la maladie. La ra
de trente-six ans, non syphilitique. Deux ans avant son entrée il l' hôpital , diplopie et affaiblissement de la vue; depuis si
cérébral. Le malade meurt subitement, trois mois après son entrée l' hôpital , em- porté par une attaque apoplectique, L'auto
T1ER, Chef de clinique a la Salpêtrière. Interne (médaille d'or des hôpitaux ). (A suivre.) '« : LES PESTIFÉRÉS DE JAFFA »
aconta la scène comme elle s'était passée dans la mosquée servant d' hôpital . Gros prend un vaste carré de papier; il y jett
OSNIER & BABE ÉDITEURS « LES PESTIFÉRÉS DE J 1F1.1. » ? 7 l' hôpital de Jaffa; elle eut lieu le 31 ventôse, cinq jours
en chef de l'armée, et d'une partie de son état- major, visita cet hôpital dans le plus grand détail; il fit plus que de t
Achard, Archiv. de méd. expériment., 1890. Joffroy, Soc. métl. des hôpitaux , 1891. 2. Charcot, Sur un cas de syringomyélie
te tourniole fui indolente et aboutit à un abcès qui fut ouvert à l' hôpital Beaujon par M. Léon Labbé; l'incision ne fut pa
H, 1 Clief de clinique^à li Salpdtcière. Interne (médaille d'or des hôpitaux ). t VVELLE Iconographie DE la Salpêtrière T.
gie analogue à celle qu'il avait déjà éprouvée. Il rentre alors à l' hôpital Necker dans le service de M. Rendu. On l'a traité
trois où quatre cathétérismes de la trompe d'Euslache pratiqués à l' hôpital Lariboisière Il y a deux mois, un jour en allan
fit faire des frictions, de l'électricité et l'engagea à entrer à l' hôpital . État actuel. - Troubles moteurs. Membres inf
après ce que nous a dit la femme du malade, qui l'avait conduit à l' hôpital Necker, à la consultation de M. le professeur G
âtré qu'elle garda chaque fois un mois. En juin 1885, elle quitta l' hôpital pour entrer à la Sal- pêtrière. État à l'entr
revue par M. Charcot. Mais M. le Dr Charpentier, ancien interne des hôpitaux de Paris, à qui nous nous sommes adressé pour a
outre, elle ressentait d'assez vives douleurs. Elle est entrée à l' hôpital de Pouilly, où on lui a appliqué des pointes de f
e malade. Elle nous semble inatta- quable, quoiqu'on ait songé, à l' hôpital de Pouilly, à une lésion médul- laire. L'hystér
n pro- gressant peu à peu, de sorte que, lorsqu'elle est entrée à l' hôpital , elle présen- tait les phénomènes suivants :
douloureuses. Rien aux yeux. `1cJ novembre 1887. La malade quitte l' hôpital dans le même état. Que l'hystérie soit en jeu c
le Monneret, 30, dans le service de M. le professeur Dieulafoy, à l' hôpital Necker. Antécédents héréditaires. Père, mort à
elle de la syphilis héréditaire. A vingt ans (1889), elle entre à l' hôpital Laënnec, où elle reste trois semaines. Vue à ce
pression et envoyé la ma- lade avec ce diagnostic en chirurgie, à l' hôpital Broussais, dans le service de M. Reclus (vers l
la malade de grattage. Ayant peur de cette opération, elle quitte l' hôpital . Elle rentre chez elle, ayant toujours sa parap
rait essayé de se couper la gorge avec un couteau. On l'apporte à l' hôpital Necker dans le service de M. Dieulafoy, où, qua
assez sensibles, au point que, en juin, elle peut sortir seule de l' hôpital : elle marche sans appui, tout en ayant une cer
signala d'une façon très in- I. Difformité thoracique (Gazette des hôpitaux , Paris, 1860). iv. 22 z2 330 NOUVELLE ICONOGR
our l'appareil circula- toire. Dans l'observation de la Gazette des Hôpitaux on signale bien l'existence d'un double souffle
est déviée latéralement. A. Nous avons, l'an dernier, rencontré à l' hôpital des Enfants- Malades une fillette de neuf ans,
fait n'est pas très rare sur les malades débilités et amaigris des hôpitaux : nous l'avons rencontré une fois dans des circ
jette D...ot, vingt-deux ans, entre le 22 mai, salle lIonneret, à l' hôpital Necker, dans le service de M. le professeur Die
très douloureuses. Le 2 mai 1888 (à vingt-deux ans) elle entre à l' hôpital Necker pour des phénomènes pulmonaires : hémopt
ements cessent, l'appétit revient et, le 27 mai 1890, elle quitte l' hôpital Necker dans un état général satisfaisant et pou
rusquement d'aphonie et de toux, etc.; le 18 août, elle entrait à l' hôpital Saint-Joseph. Le diagnostic fut le suivant : tu
et méningite tuberculeuse. Le 5 octobre, nous l'avons vue dans cet hôpital et M. Cailleret, interne du ser- vice, a bien v
évolution, etc., imposent le diagnostic. On a songé récemment, à l' hôpital Saint-Joseph, à une tuberculose multiple; mais
APHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Obs. LI (résumée) (l'otain, in Gazette des hôpitaux , 1819, p. G18). Paraplégie hystérique simulant
n comme garçon de dortoir. 1 Le 2 septembre 1889 il est admis à l' hôpital Andral pour une fièvre typhoïde; il y reste dix
a dû l'alimenter avec des lavements nutritifs. Il quitte bientôt l' hôpital pour un motif futile, sous prétexte qu'il n'y a
les élèves « qui s'exerçaient sur lui ». Enfin il vient échouer à l' hôpital Necker, marchant très difficilement et affecté d'
HIE DE LA SALPÊTRIÈRE. dans un accès de mauvaise humeur il quitta l' hôpital et vint à la Salpêtrière, envoyé par notre ami
17 juillet 1890, salle Laënnec, dans le service de M. Des- nos, à l' hôpital de la Charité. Antécédents héréditaires. Rien d
'il a cru lui être adressé, il a injurié les infirmiers et quille l' hôpital quatre jours après son entrée. Pas de lésions c
ue, dit Vulpian, mais l'affection pour laquelle elle est entrée à l' hôpital ne parait pas pouvoir être rapporte entièrement Ù
5, M. Féréol avait, il est vrai, présenté à la Société médicale des hôpitaux , deux hommes hystériques avec 1. 1,;tljitibhi,
é qu'un peu de faiblesse. Elle a été un jour à la consultation de l' hôpital Tenon ; on lui a prescrit des douches qu'elle a é
, fièvres intermittentes ( ? ) pour lesquelles elle fut soignée à l' hôpital Saiute-Lugénic. A douze ans, première menstruatio
tracte la fièvre typhoïde et est obligée de- rentrer de nouveau à l' hôpital , où elle fait un séjour de trois mois. Vers la
erses reprises se serait un peu amélioré. Elle resta trois mois à l' hôpital , où elle eut des attaques classiques presque tous
t des spasmes laryngés effrayants. En février '1886, M... entre à l' hôpital Cochin, dans le service de M. Gouraud. Elle ava
craindre le début d'une tuberculose pulmonaire. En 1887, elle va à l' hôpital Saint-Antoine pour une nouvelle poussée de bron
ions actuelles. Vers le milieu de l'année 1888, M... est entrée à l' hôpital Cochin, dans le service de M. le Dr Gouraud don
une crise laryngée. On la transporta dans une ambulance urbaine à l' hôpital Saint-Louis. L'interne de garde, en présence de
anesthésiesensitivegéllé- rclisée. Huit jours après son entrée à l' hôpital , il commença à recouvrer la parole; dix jours a
mbres gauches. Le malade s'était aperçu, à la fin de son séjour à l' hôpital , que sa jambe cl son bras droits diminuaient de
n malade dont il communiqua l'observation à la Société médicale des hôpitaux , le 22 février 1889. Dans la même séance, M. Déje
un cas de ma pratique person- nelle. La malade A. E... entre à l' hôpital israélite d'Odessa dans la division du D' Jouse
ormale. Nous renonçons alors à la suspension et la malade sort de l' hôpital en nous affirmant qu'elle se sent quand même mi
ami- nait au microscope au laboratoire d'anatomie pathologique de l' hôpital municipal d'Odessa. Le Dr Khentzinsky a bien vo
A ]3oGROFF, 1 .Médecin de 1.\ tlÎ\iioll p ? l'IlÍ.I(l'iIIIlC du l' hôpital IIltillicipô1l d'Odessa. (A suivre.) . NOUVEA
10 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l, mais grâce à l'histoire de la maladie très détaillée, écrite à l' hôpital Préobragensky, nous avons pu nous faire une idé
e malade S. U..., gentilhomme de trente-trois ans, fut admis dans l' hôpital psychiatrique de Préobragensky, le il janvier e
persécution ; quand commença le traitement, il se trouvait dans un hôpital militaire, qu'il quitta au bout d'un an avec un
le 19 du mois de jan- vier. 1889 jusqu'au 7 aoùt 1891, il resta à l' hôpital Empereur' ÉTUDE DE LA DÉMENCE CATATONIQUE. 25
Alexander, où il présentait les mêmes symptômes qu'à son entrée à l' hôpital de Préol)i,af,enslçy. Etat présent. Le malade e
lsifs. ' es Comme on le voit, d'après les renseignements reçus de l' hôpital . de l'Empereur Alexander et de l'asile de réce
ns qu'en 1882 a, (c'est-à-dire dix ans avant l'entrée du malade à l' hôpital ) la \ maladie a débuté par une période mélancol
; mais nous ', n'avons pas de description précise de son séjour à l' hôpital militaire. Il est certain seulement que dejà un
phénomènes d'une démence très marquée, et que le premier temps à l' hôpital 41 militaire il avait une excitation maniaque.
i le malade avait des phénomènes catatoniques durant son séjour à l' hôpital militaire (en 1882), mais nous savons qu'en 188
Observation III. La malade, A. M., de vingt et un ans, entra à l' hôpital de 1-Iréobra-enky au mois de mars en 1900. Anamnè
fabrique où la malade avait servi. A l'admission de la malade à l' hôpital en mars, le Dr Doubensky nota une confusion men
'orienter dans son entourage, ne sait pas qu'elle se trouve dans un hôpital ; la chambre du médecin elle prend pour un con-
incompatibles avec les fonctions d'in- terne ou d'externe dans les hôpitaux , hospices ou autres établis- sements. Les inter
he Genesif of Epilepsy. In-8° de 38 pages. Régis. Les délirants des hôpitaux . Leur assistance. Leur utilité au point de vue
e remède proposé est celui-ci : dans chaque ville, il faut créer un hôpital de réception pour les maladies mentales; il pourr
tion pour les maladies mentales; il pourra être ou non rattaché à l' hôpital général ; lés malades y seront placés dans les
MENTALE. VIII. La paralysie progressive d'après les documents de l' hôpital territorial du gouvernement de Kharkow pendant
able qu'on fit des recher- ches sur un programme uniforme en chaque hôpital territorial d'aliénés de la Russie. - P. KERAVA
a malade put se croire guérie. Le début de la crise qui l'amène à l' hôpital date de trois mois. Nous som- mes ici en présen
ractéristique. Il s'agit d'un homme de quarante-neuf ans, entré à l' hôpital avec des symptômes insolites d'urémie cérébrale
ble, que le malade, amélioré presque sur-le- champ, put sortir de l' hôpital quelques jours après. Une rechute, survenue au
pilepsie d'origine nasale; par le D1' M. 1.9NMOIS (Société Méd. des Hôpitaux de Lyon, 30 mai 1902). M. Lannois rapporte l'ob
pathologique telle qu'elle ressort de l'étude des statistiques des hôpitaux nationaux de New-York; par Wil- liam-C. Krauss
en. M. H. DU1OUR. Un malade âgé de soixante-quatre ans, entré à l' hôpital avec une paraplégie flasque accompagnée de rétent
re doux et tran- quille et qui, à la suite d'un séjour prolongé à l' hôpital pour péri- tonite tuberculeuse et voyant son ét
téomalacia fra- 'gilis.'))*; par M. PA VIOT (Société naé<l : des Hôpitaux de Lyon, 3 oc- tobre 1902).' . - ? ? y t" ? ,
iples; il est trimballé dans les chancel- leries, les casernes, les hôpitaux , les corps de garde les plus divers, est soumis
is de prendre des infirmières ayant commencé leur éducation dans un hôpital général et ne se spécialisant que tardivement.
aux cas de début et aux cas passagers de maladies mentales dans les hôpitaux généraux : ouverture de la discussion; par M..T
t les ressources nécessaires pour traiter convena- blement dans les hôpitaux généraux les cas de folie au début, et les cas
lourdement dans la suite sur leur vie sociale. 4° Quels avantages l' hôpital général présente-t-il sur l'asile ou tout autre m
; on ne compro- met pas son avenir en allant demander des soins à l' hôpital ; en- suite, et ceci est très important, on mont
ses dont on a favorisé récem- ment le développement dans les grands hôpitaux ? Précisément, et elle serait utile aux autres
-elle pas tellement différente de l'administration ordi- naire d'un hôpital qu'il en pourra résulter un trouble et un boule-
novation utile ? et ces malades viendront-ils se faire soigner à l' hôpital ? A ces deux questions tous les médecins qui font
et non pas moins grand pour le public. Les étudiants verraient à l' hôpital précisément ce qu'ils ne voient pas à l'asile,
5° Pourquoi les salles d'aliénés dans les '284 SOCIÉTÉS SAVANTES. hôpitaux n'ont-elles pas' rendu de services là où on les a
- Pour M. Clouston, ces mesures sont au nombre de quatre : a, à l' hôpital général une salle de maladies mentales, telle qu'
le de maladies mentales, telle qu'elle vient d'être décrite'; b, un hôpital de réception destiné aux malades que l'on inter
r certificat médical et dont la maladie z a un caractère aigu ; cet hôpital serait situé près d'une grande .ville, il aurai
le natrium jodatum. Une demie année avant l'entrée de la maiade à l' hôpital , elle avait des maux de tête avec vomissement e
opie et de la faiblesse générale. Le 6 juillet, la malade entra à l' hôpital , où au commencement on remarqua de bons résulta
ettre à un examen médical, et le docteur Ravenez, médecin-chef de l' hôpital d'Amiens, avait conclu à l'irresponsabilité compl
fin de l'année ellese décide enfin à une intervention et entre à l' hôpital pour se faire opérer. L'ablation du sein fut pr
on du sein fut pratiquée en jan- vier 1900, et la malade quittait l' hôpital trois semaines après. Malgré les suites opérato
sibles. C'est dans ces conditions qu'elle se fait trans- porter à l' hôpital . A son entrée dans le service, nous constatons
des Asiles Assistant suppléant de consultation de la Seine. - à l' hôpital Bichat. ' r Nous n'avons d'autre prétention que
ich YfLLvnE'r. Paralysies saturnines ; Revue générale : Gazette des hôpitaux . 7 février 1903. 1 Ballet. Leçons de clinique m
resse médicale, 9 avril 1902). L'auteur a reçu dans son service d' hôpital à Beyrouth une jeune femme de vingt-quatre ans,
nnes intenses et le signe de Kernig. La malade passa trois mois à l' hôpital et l'évolu- tion fut favorable. Ayant éliminé
'aperçut tout à coup qu'elle n'y voyait plus rien. A son entrée à l' hôpital , la cécité était absolue y compris le point de
die de Thomsen; par MM. LECLERc et AGNIEL (Société médi- . cale des hôpitaux de Lyon, 28 février 1902). - 326 6 REVUE DE PAT
avoir été lent et progressif. Quel- ques mois avant son entrée à l' hôpital les parents avaient remar- qué quelque chose d'
édecin fit le diagnostic de maladie de Thomsen et le fit entrer à l' hôpital . Ce qui caractérise le malade c'est essentielle
naire et myélite ; par M. le professeur Weill (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 28 février 1002). ' 31. Weill résume l
épileptique, dont - on n'a pas pu connaitre le nom à ce moment, à l' hôpital civil. (Petit Var, 15 février.) D'où la nécessi
site à deux institutions de Hol- lande, l'asile de Meerenberg, et l' hôpital Wilkelmina, puis il rend compte de sa propre ex
s auteurs de l'article ont eu l'occasion d'en observer deux cas à l' hôpital Lariboisière. Le premier concerne un peintre de
ce titre, l'observation d'un malade de vingt-deux ans qui entre à l' hôpital pour une pneumonie lobaire assez limitée de la
e Koch); par 11111.1\ICOr ? s et F. AI\LOING, (Société médicale des Hôpitaux de Lyon, 11 avril 1902). Il Cytologie. Dans les
veillance rigoureuse du régime alimentaire ; 10° la construction d' hôpitaux spéciaux et de sanatoria, entourés de terrains su
selon les règles de la thérapeutique moderne ; 11° à défaut de ces hôpitaux ou de ces sanatoria, toutes autres mesures prat
les réflexions suivantes : 1° On devrait soigner il domicile ou à l' hôpital les délirants fébricitants. 2° Il y a lieu d'
e prendre la température des malades aliénés avant leur dépait de l' hôpital pour le bureau d'admission ou à l'Asile clinique
ntaux à leur début; son ensei- gnement clinique dans les salles des hôpitaux généraux; par Sir John SIB13ALD (Tite Journal o
édier à cettte regretta- ble insuffisance consiste à créer dans les hôpitaux généraux des salles spéciales consacrés au trai
'attacherait certai- nement pas aux salles, même spécialisées, d'un hôpital ordinaire. R. DE 1\IU : GRAVE-CL\Y. SOCIÉTÉS
l'aliénation mentale, soit comme chefs de clinique ou internes des hôpitaux nommés au concours. Leur demande devra être adr
res du soir, enfui il fut repris de fièvres palustres et traité à l' hôpital d'Oran. Jusqu'à cette époque, M. N... avait une
noires, croit qu'il va mourir : en proie à ses idées, il entre à l' hôpital Dubois où il reste huit ou dix jour-); pendant so
oin de manger puisqu'il va mourir, il se rétablit un peu, sort de l' hôpital et reprend sa vie antérieure. En 1900, étant al
le sommeil, finalement on fut obligé de le mettre en traitement à l' hôpital de Périgueux. Là il fut soigné par une religieuse
fixée de telle façon dans son esprit, que même après sa sortie de l' hôpital , il la voyait et l'entendait fréquemment. (Hall
d'épilepsie, gliome kystique ; par M. LANNOIS (Société médicale des Hôpitaux de Lyon, 18 avril 1902. Le malade présenté pa
age familial comme un moyen bon marché d'évacuation des malades des hôpitaux surchargés, mais comme un moyen théra- peutique
nsionnaires du patronage consiste en malades chroniques, auxquels l' hôpital a déjà donné tout ce qu'il pouvait donner et po
ut ce qu'il pouvait donner et pour lesquels le séjour ultérieur à l' hôpital serait inutile et même nuisible, car il aurait au
psychique. Se basant sur l'essai du patronage familial, fait par l' hôpital Alexéebsky de Moscou, le rapporteur indique, en
avec hystérie grave, qui étaient très dif- ficiles dans la vie de l' hôpital , au patronage allaient mieux, car à la campagne
possible de permettre le contact du malade avec le milieu hors de l' hôpital , est parfois tout aussi grave que la défini- ti
quelque chose de pareil qui ne peut pas leur être donné ni par l' hôpital , ni par la colonie. V.-R. BOUTZKE insiste sur l
ulement à l'in- fluence du patronage sur les ci-devant malades de l' hôpital , à savoir, leschroniques ; bien des phénomènes
is par eux artificiellement grâce aux côtés négatifs de la vie de l' hôpital . A.-N. Bernstein pense qu'en mentionnant les bo
ilial, il ne faut pas tout de même diminuer la signi- fication de l' hôpital . Sur la question du développement des dendrites
où le diagnostic se dessine d'un échelon inter- médiaire qui .est l' hôpital simple pour maladies mentales sans internement.
mé. L'auteur combat l'idée de fonder pour les maladies mentales des hôpitaux à part, établissements distincts des hôpitaux g
maladies mentales des hôpitaux à part, établissements distincts des hôpitaux généraux et des asiles d'aliénés. ' De quelque
aux et des asiles d'aliénés. ' De quelque nom qu'on le désigne, ces hôpitaux ne seraient jamais pour le public que des asile
c est pour lui tellement importante que les services spé- ciaux des hôpitaux généraux eux-mêmes, tout en répondant aux besoi
e c'est mani- festé dans les discussions de la Société médicale des hôpitaux de 524 VARIA. Paris en 1901 et dans la créati
s la création à Bordeaux sur l'initiative de Régis d'un service à l' hôpital Saint-André pour l'observation et le traitement
pour l'observation et le traitement de certaines psychoses dites d' hôpital . - A l'importante discussion prirent part MM. Y
ns, mais seulement la question de savoir s'il convenait d'établir l' hôpital psychiatri- que sans internement comme autonome
sans internement comme autonome ou annexé soit à l'asile, soit à l' hôpital ordinaire. Le contre-coup de ce débat s'est fait
hologique telle qu'elle ressort de l'étude des sta- tistiques des hôpitaux nationaux deNew-1'ollc. par Kraoss. 160. nerv
ment aux cas de début et aux cas passagers de - mentales dans les hôpitaux généraux : ouver- ture de la discussion, par Cl
, par Cullerre, 116. La ? piogressive d'après les, documents de l' hôpital terrrlol'ldl clil gouver- nement de Iilrarlcow
x à leur début, son ensei- gnelllent clinique dans les salles des hôpitaux généraux, par l'il¡, balri. 410. 'l'uBFRcut.e
11 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
). 12 aoûl 9 90J. - La nommée L..., âgée de 48 ans, est entrée il l' hôpital se plaiguant de douleurs vives dans la tête, le
raitement hydrargyrique énergique reste stationnaire. Elle quitte l' hôpital après y avoir séjourné deux mois. rT 2e Période
contracture qui augmente durant les jours qui suivent l'entrée à l' hôpital . La peau est cyanosée et froide ; au niveau de la
ed. Ces mouvements relative- ment faibles au moment de l'entrée à l' hôpital se sont exagérés ultérieurement el il est possi
e pulmonaire. AUTOPSIE. - Bien que cette malade ne fût pas un cas d' hôpital nous eûmes cependant le privilège de pratiquer
12, l'état ne s'est guère amélioré, depuis que le malade a quitté l' hôpital : déviation de la langue à gauche peut-être plus
e tu- meur médullaire, dont les trois premières ont été opérées à l' Hôpital Is- raélite à Czyste (Varsovie) et la quatrième
ar l'oesophage,minent les forces du malade,qui, découragé, quitte l' Hôpital . Si nous considérons le tableau de la réapparit
ant pendant les trois dernières semaines de sé- jour du malade il l' hôpital , on pouvait croire, disons-nous, que ces dou- l
érieur, peut facilement arriver. Cinq semaines après sa sortie de l' hôpital , le malade se trouve encore plus mal. Simultané
c difficulté; son état général empirant, il se décide à retourner l' hôpital . 8 avril 1911 . Etat actuel. Le malade ne peut
l'apophyse xyphoïde. Dans les dix derniers jours de son séjour à l' hôpital ,le malade fut atteint de refroidissement; il en
e après l'opération. Décès au bout de quelques jours en dehors de l' hôpital . La localisation de la tumeur,siégeanten majeur
E LA MOELLE "51 f Observation IV. C. M..., 40 ans, inscrite à l' hôpital le 22 octobre 1910 indique avoir com- mencé à é
il entendit la voix de son père lui dire : « Alexandre, tu iras à l' hôpital ». Cette phrase, sans grande portée,- lui révél
e hernie. Le médecin, consulté, lui donna un billet d'entrée pour l' hôpital , per- suadé que ce papier le conduirait à l'asi
M. BERTOLOTTI (de Turin), Directeur de l'Institut Radiologique de l' Hôpital Majeur de Turin, Docent privé à la Faculté. C
une modification pathologique de la papille. A 23 ans, il entre à l' hôpital Saint-Louis dans le service du Dr pour des enge
t entrée à l'infirmerie des maladies nerveuses de notre service à l' hôpital de Santa-Martha, au commencement de cette année
nt elle a été hospitalisée en 1909 à l'infirmerie de Ste-Marie de l' hôpital S. José. Sur sa maladie M. Ferreira da Costa a pu
par les médicaments arsenicaux sans résultat jusqu'à son entrée à l' hôpital S. José le 16 octobre 1909. Etat actuel. - La m
est entrée le 25 janvier 1912 dans notre service de neurologie à l' Hôpital Sta Martha de Lisbonne. Antécédents héréditaire
s un an et demi et surtout quand elle est entrée, il y a un an, à l' Hôpital de l'Université de Coimbra. La malade a commenc
eu, 1865. SpniriG. Chorée rythmique, 1866. Jaccouo. - Leçons de l' hôpital Lariboisière, 1813. Gomt. Rivista clinica di Bo
Uwn. - Journ. of. nerv. and ment. desease, 1903. FtsCHEH. Gaz. des hôpitaux , 1903. Newmark. Neurol. Centralbl., 1903, p. 46
IGNAN. Rev. neurol., 1909, p. 1477. EUZIÈIIB et MAILLET. - Gaz. des Hôpitaux , 7 juin 1910. SIZAUT et RAVAhiT. Rev. neurol.,
e connaissance avec gesticulation intense. Son père est un pilier d' hôpital et souffre de l'esto- mac et du genou. ' Pers
uiets de la fréquence de ces sommeils soudains, la conduisirent à l' hôpital où le traitement bromure et l'hydrothérapie furen
rque. L'un de nous vient d'en faire le sujet de sa thèse (2). A l' hôpital , rien n'est ingrat et fallacieux comme l'étude de
séance du 7 juillet 1911, présentèrent à la So- ciété médicale des Hôpitaux de Paris un malade atteint d'achondroplasie par
Faculté de méde- cine de Jassy. et. ATH. SCHUNDA Médecin des hôpitaux de Bucarest. La question de l'achondroplasie
qu'elle est dans l'hospice depuis une année, qu'elle se trouve à l' hôpital Racovitza (l'hôpital près de sa ville natale). El
ospice depuis une année, qu'elle se trouve à l'hôpital Racovitza (l' hôpital près de sa ville natale). Elle ne semble pas se
, toujours insouciante, ne manifestant jamais le désir de quitter l' hôpital . Cette malade qui présente une micromélie rhizo
nisseurs de chaises. - Communication orale de M. Boninet, médecin des hôpitaux . faite à la Société Médicale des hôpitaux, le 4
e M. Boninet, médecin des hôpitaux. faite à la Société Médicale des hôpitaux , le 4 mars 1913. 240 CLUZET ET NOVÉ-JOSSERAND
te de la face et parfois la diplopie. Six mois avant son entrée à l' hôpital , vomissements fréquents et diffi- culté à avale
Les trois autopsies furent pratiquées avec l'aide du prosecteur de l' Hôpital de la Ville, le D'A. Sineff. LES MODIFICATION
cifique, amélioration notable et le 22 novembre le malade sort de l' hôpital . Il rentra de nouveau le 8 avril 1908. Cécité com
donné (1) Nous remercions MM. LECLERC et GALLAVARDIN, médecins des hôpitaux , qui ont bien voulu nous permettre d'utiliser c
isky, bière, etc. Mais il tombe alors malade, il est soigné dans un hôpital anglais. Il est impossible de savoir ce que fut
drome pluriglandulaire. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ( Hôpital PATEI.IMO ! lo', 13UCAItEST) SYNDROME DE BASEDO
ai- tements toniques. Son état ne s'améliorant pas, elle entre il l' hôpital Coltzà pour se soumettre à l'opération, mais à
es syndl'omeJbasedowien, sclérodermique et tétanique. Soc. méd. des Hôpitaux , séance du 4 mai 1900, 278 MARINESCO ET GOLDSTE
ome de la maladie de Raynaud. 13u11. et Além, de la Soc. médicale des hôpitaux , 28 juin 1895, p. 516. (6) Grasset, On « homm
ynaud (syndrome polyglandulaire). Bull. et mém. de la Sot, méd. des hôpitaux , 17 juin 1909, p. 1230. (1) F. PEURAZZINI. Scle
sclérose beaucoup plus (1) Feréol, Bull, et mém de la Soc. méd. des hôpitaux , 1879, p. 243. (2) WILLIiICH, Thèse de Gdttinge
rodermie et rhumatisme chronique, Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôpitaux de Paris, 21 mars 1907, p. 277. (7) Strumpell
PAR , M. M. BERTOLOTTI, Directeur de l'Institut radiologique de l' Hôpital Majeur de Turin. Docent privé à la Faculté. L
niano, nous est amenée en mars 1910 à l'Institut de Radiologie de l' hôpital Saint-Jean par le Docteur Quadrone, médecin dir
Docteur Quadrone, médecin directeur de la consultation externe de l' Hôpital . Le père de la malade est mort de choléra à 30
pour laquelle la malade se présenta à la consultation externe de l' hôpital , aurait commencé environ à l'âge de 30 ans, c'est
s avions prié notre distingué confrère le Dr Percival, médecin de l' hôpital , de nous faire l'analyse chimique des écailles
e 21 ans, qui au mois de décembre de l'année passée était admis à l' hôpital pour une hydrocèle du testicule droit, et qui e
e couleur qu'à l'état normal ; pendant qu'on soignait le malade à l' hôpital . la peau a été presque tout le temps normale de
eau des jambes est normale et n'a jamais été, pendant le séjour à l' hôpital , anormalement froide. On voit encore, chez le m
chauds. Nous avons, durant le temps que le malade a été soigné à l' hôpital , cher- ché les différentes causes ordinaires de
marche, il a eu la cuisse. gauche écrasée. Le Dr Leblus ampute, à l' hôpital de Malines, le membre au quart infé- rieur de l
tion 3X4 =10. Le 5 janvier 1897 on note que depuis son entrée à l' hôpital la malade a fait quelques progrès au point de v
s sont impossibles. Examen du 7 juin 1898. La malade qui a quitté l' hôpital vient de temps en temps à la Salpêtrière. Par
pernay, elle lit : « é-mé-re- nal. »Elle lit bien : fournisseur des hôpitaux de Paris, Au lieu de : journal d'un solitaire à
lecture ou d'écriture. Le manque d'exercice, depuis sa sortie de l' hôpital , ainsi que la diminution de l'ouïe et les crise
nnées, mais nous avons pu nous rendre compte que dès son entrée à l' hôpital , elle écoutait volontiers ses voisines et essay
ans, exerçant le métier de boulanger, entre le 5 novembre 1907 à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, service de M. le pro-
volume du foie. La pleurésie pour laquelle le malade est entré à l' hôpital est entrée rapidement en voie de régres- sion.
on. Légère induration douteuse du sommet gauche. Le malade quitte l' hôpital deux mois après, complètement guéri de son af-
servation de notre malade. Le malade BI... Fernand,21 ans,entre à l' Hôpital Privé (Fondation Chaptal) le 8 janvier 1913. Se
ujet ne supporte plus guère les rayons X, il se décide à entrer à l' Hôpital Privé. En dehors de ces éruptions cutanées, qui
ns du poumon ont du reste progressé pendant le séjour du malade à l' Hôpital Privé. On est frappé dès le premier abord d'un
ions pulmonaires se sont accentuées pendant le séjour du malade à l' hôpital . Le foie présente des dimensions normales. La r
ns, noir, brésilien, né à l'Etat de Rio de Janeiro, est en- tré à l' hôpital le 3 février 1908. Le malade ne peut renseigner
fourni le malériel de notre étude microscopique. On avait amené à l' hôpital « Notre-Dame des Affligés » un jeune homme de 19
t de carac- tère modeste, tranquille, religieux. Il a été placé à l' hôpital à cause de l'étal crépusculaire de sa conscienc
flasque; pas d'ataxie, ni de rigidité, ni de signe de Romberg. A l' hôpital on constata des attaques convulsives, accompagn
et suivies de sommeil et d'amnésie. Le malade fut remis bientôt à l' hôpital de son étal pénible, mais il se plaignait souve
RTROPHIE CRANIENNE SIMPLE FAMILIALE par M. KLIPPEL médecin de l' hôpital Tenon et E. FELSTEIN interne des hôpitaux d
KLIPPEL médecin de l'hôpital Tenon et E. FELSTEIN interne des hôpitaux de Paris. Nous avons eu l'occasion d'étudier ré
hôpitaux de Paris. Nous avons eu l'occasion d'étudier récemment à l' hôpital Tenon une dystrophie crânienne sur laquelle l'a
on : Observation. M. Jean L..., 49 ans, scieur de long, entre à l' hôpital Tenon, salle Gérando, le 9 avril 1913, pour un
maladie de Paget, analogue à celle décrite par Léri (Soc. méd. des Hôpitaux , 17 janvier 1913) avec « tête énorme et déforma
tés, mains et pieds, dans la maladie de Paget. Société médicale des hôpitaux , 17 janvier 1913. (2) PIERRE 111aae, Andhé U;I\
de la base du crâne dans la maladie de Paget. Société médicale des hôpitaux , 12 juillet 1913. (3) Nous avons pu constater d
MITÉS INFÉRIEURES (1) PAR le D D. B. BOKS, Chef chirurgien de l' hôpital au Bergweg, à Rotterdam. Peu de temps après l'e
482 BOCKS i TABLEAU CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ( Hôpital PANTEUMON, BUCAREST) SUR LE SYNDROME DE LA XANT
eu ^occasion d'observer dans le service de maladies nerveuses de l' hôpital l'antelimon : 486 MARINESCO ET RADOVICI Obser
. J.'Ned..., âgé 4b ans. Entré le 14 mars 1912. Le malade vient à l' hôpital pour des douleurs dans la région lombaire et im
bservation II. P. Gh., 37 ans. Le malade entre le 16 avril 1911 à l' hôpital pour la faiblesse des jambes qui est tellement
membres in- férieurs. Pendant deux semaines il a été soigné dans un hôpital rural et après cet intervalle il se sentit effe
8 ans. Reçu dans le service le 24 décembre 1911. Il se présente à l' hôpital avec une paraplégie et des troubles de motilité d
die infectieuse. Le 28 novembre de la même année, étant interné à l' hôpital Colentina. pour la cure d'une phymose, on lui a
chidien extrait n'a jamais été observée, et même Froin (Gazelle des hôpitaux , 5 novembre 1903) a indiqué comme éléments cons
le remarque a élé faite aussi par Chauffard et Froin (Soc. méd. des hôpitaux . 23 octobre 1,103. Froin et Boidin (Gazelle des
. méd. des hôpitaux. 23 octobre 1,103. Froin et Boidin (Gazelle des hôpitaux , 7 janvier 1904), Follet et Chevrel (Gazelle de
zelle des hôpitaux, 7 janvier 1904), Follet et Chevrel (Gazelle des hôpitaux , 5 avril 1910). L'explication de ce fait parado
12 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pitatix (le Pai-is, Parle D' Prnest ClIAIt3.lRD, ancien interne des hôpitaux de Paris, ' médecin adjoint des asiles d'aliéné
fut repris de telles douleurs dans les jambes qu'il dut rentrer à l' hôpital de Toulon; on lui donna des bains sulfureux, et,
mois qui suivirent l'accident). A partir du moment où il quitta l' hôpital de Toulon, il travailla comme ajusteur mécanici
ont été trop peu nombreux, la malade n'étant pas dans un service d' hôpital ou d'asile, pour que nous puissions, sous ce rapp
r à son de trompe, il faut rapprocher le plus possible l'asile d'un hôpital . C'est le seul moyen de gagner la confiance et
un arrêt est indispensable, le malade est déposé dans un hospice ou hôpital civil, ou, à défaut, dans un local loué à cet e
udiciaire où il n'existe pas d'établissement public, l'hospice ou l' hôpital civil qui doit recevoir provisoirement les pers
arrêt sera indispensable, le malade sera déposé dans un hospice ou hôpital , ou, à défaut, dans une hôtellerie ou un local
e de mise en observation dans des lieux de passage et même dans les hôpitaux ou hospices civils ordinaires, adû exami- ner l
,'on lit que « l'usage qui s'est trop généralisé de placer dans les hôpitaux les aliénés en observation, se maintient avec t
e où il n'existe pas d'établissement t public spécial, l'hospice, l' hôpital civil qui doit recevoir provisoi- rement les al
rt. 37. Les aliénés ne doivent être retenus en observation dans les hôpitaux et hospices civils ordi- naires que le temps né
tte oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux et l
nt pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux et les professeurs des facultés de médecine de
ats, le Concours spécial en crée- rait, car beaucoup d'internes des hôpitaux qui se font inscrire pour le Concours de médeci
des candidats en nombre suffisant. Beaucoup d'anciens internes des hôpitaux de Paris, de Lyon, de Bordeaux, etc., prendront
r dans le voisinage de leur pays. Beaucoup d'anciens internes des hôpitaux hésiteront à prendre part à des concours qui le
és (plus de 10,000) ; candidats nombreux fournis par l'internat des hôpitaux et l'internat des asiles; nécessité de relever
un per- 166 VARIA. sonnel instruit et aussi capable que celui des hôpitaux . Il a ajouté que si, conformément à l'article 3
ère et que les chefs de service de ces asiles seraient médecins des hôpitaux comme l'étaient ou le sont : \I11. Trélat, Arch
celles des concours pour le recrutement des médecins ordinaires des hôpitaux . A Paris, par exemple,' les conditions pour les
elles sont calquées sur les conditions du concours des médecins des hôpitaux . 11 va de soi que les médecins de Bicetre, de l
ront la faculté de choisir leurs ser- vices, comme les médecins des hôpitaux , et au sur et à mesure des vacances et jouiront
et de la Sal- pêtrière se compose de trois médecins ordinaires des hôpitaux et de quatre médecins aliénistes tirés au sort.
lative à la limite d'Age, et qui admet à concourir les internes des hôpitaux nommés par le concours ; malheureusement, il la
teurs en médecine .nommés par la voie du concours internes dans les hôpitaux sont assimilés aux internes des Asiles d'aliéné
l'aliénation mentale, soit comme interne nommé au concours dans un hôpital ; 3° diplômes, états de services, distinctions
(Ville-Evrard); - Espiau de La Maestro, honoraire; - 2° médecin des hôpitaux : M. le Dr Huchard, médecin à Bichat; S..., chi
hôpitaux : M. le Dr Huchard, médecin à Bichat; S..., chirurgien des hôpitaux ; M. le D'' Picqué, chirurgien du bureau central
rd), et FAITS DIVERS. 175 Requier (Villejuif); 2° pharmaciens des hôpitaux : jurés titu- laires, MM. Deret (hospice d'Ivry
es hôpitaux : jurés titu- laires, MM. Deret (hospice d'Ivry), Lutz ( hôpital Saint-Louis), Rourgoin, directeur de la Pharmac
ces deux dernières années, soit dans ma clientèle privée, soit à l' hôpital . Observation I. Mm0 A. S..., cinquante ans. T
hambre, célibataire; a eu un enfant. Entrée le 20 octobre ISSU, à l' hôpital pour les ouvriers, section de la f3asmannaïa. U
ction de la f3asmannaïa. Une année et demie avant d'être admise à l' hôpital , la malade souffrait de froid et de douleurs la
s de masses bilieuses et de masses acides. Pendant son séjour à l' hôpital , la malade fut atteinte à plusieurs reprises de d
vre assez aigu que la malade eut à supporter pendant son séjour à l' hôpital (à en juger parles remarques du médecin qui la
coït; les médecins y reconnurent la syphilis et la malade entra à l' hôpital de la Miassnitzkaja (réservé spécialement aux syp
ement de la maladie (éruptions sur tout le corps) : elle rentra à l' hôpital des syphilitiques, y passa trois semaines et, à
J..., paysanne, trente-cinq ans, environ, entra le 31 mars 1887 à l' hôpital pour les ouvriers, section de la Yausa, et en s
re, quarante ans. Mariée depuis vingt ans. Entra le 21 mai 1887 à l' hôpital des ouvriers, section de la Yausa. Malade depui
on sur la peau, maux de gorge et chute du nez. Elle fut soignée à l' hôpital . Peu de temps après une guérison apparente, ell
nq ans, dévideuse dans une fabrique de drap, célibataire, entra à l' hôpital de la Yausa, le 28 octobre 4886. Se sent malade
, etc. Il y a douze ans, fut atteinte de la syphilis et soignée à l' hôpital de la Mianitzskaïa (pour les syphilitiques).
ossible de répoudre de l'abstinence complète des sujets traités à l' hôpital ), ni refroidissement; tandis que dans tous ces
données affirmatives. Le fait que les malades que j'ai soignées à l' hôpital pour les ouvriers niaient toute hérédité nerveu
atives au sujet de l'hérédité fournies par les malades soignées à l' hôpital acquièrent un cer- tain poids. - Outre l'impo
TÉ ET LA CÉCITÉ VERBALE; Par le D, Fhkdéric BATEMAN, Médecin de l' hôpital de Norwich (Anelctcrrr), membre correspondant étr
e de quarante-six ans, blanchisseuse, entre le 22 février 1882, à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. le profess
e. Un bon exemple d'amnésie verbale a été étudié sous mes yeux, à l' hôpital de Norwich'. Quand ou montrait une bourse au ma
t somnambulisme, qu'on avait constatés chez elle dès son entrée à l' hôpital . A plusieurs reprises, on avait cherché en vain
ons de mentionner. «A Paris, dit M. Beriiheim 1, j'ai vu dans trois hôpitaux des sujets hypnotisés devant moi, ils se com- p
oi, ils se com- portaient tous comme nos sujets et les médecins des hôpitaux qui les traitaient ont confirmé absolument ce q
» Pour quiconque est bien au courant de ce qui se passe dans les hôpitaux de Paris, l'opinion ci-dessus énoncée n'a pas une
. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l' hôpital Saint-Antoine. La première partie de ce rapport
nous a gracieusement fournis M. le D1' Butzke, médecin en chef de l' hôpital de Préo- brajensky, à Moscou., hôpital d'aliéné
Butzke, médecin en chef de l'hôpital de Préo- brajensky, à Moscou., hôpital d'aliénés, renseigne- ments pour lesquels je le
de communiquer que, pendant toute la durée de son service dans cet hôpital (temps très considérable), il a eu à soigner un
LOG11 : DU TABES. 365 lysie, malades qui peuvent s'être trouvés à l' hôpital , mais dont le souvenir lui échappe, nous avons
s et plus francs, avec les données relevées' par les statistiques d' hôpital ; tandis que chez tous les malades tabétiques a
est relatée que dans 72 p. 100 des cas de tabes soignés par moi à l' hôpital (Compte rendu de la section des maladies nerveu
i à l'hôpital (Compte rendu de la section des maladies nerveuses, hôpital de la Yansa, pour 1887). Il est indubitable que
is. Il n'y a pas encore deux mois que nous avons renvoyé de notre hôpital , après guérison, un malade qui y était entré av
bas âge, il habitait Moscou; sept ans avant son arrivée dans notre hôpital , il alla s'é- tablir à Odessa, où il continua l
e de travail ; il rentra à Moscou, six mois avant son admission à l' hôpital . Pendant les huit premières années de son trava
, une para- lysie saturnine. Il fut traité pour cette maladie à l' hôpital Pierre et Paul, à Moscou, et se rétablit vers l
, dans l'articulation même. C'est avec ces douleurs qu'il entra à l' hôpital où, à ce qu'il dit, les mé- decins constatèrent
t dans la droite) ; à cinq reprises, il dut rester un mois dans les hôpitaux d'Odessa. Trois ans avant son retour a Moscou,
eau. C'est pendant l'un de ces accès que le malade entra dans notre hôpital . Dès 1885, t...-avait remarqué une décroissance
qu'il ne put plus travailler et qu'il entra le 20 octobre 1886, à l' hôpital de la Jansa, section des maladies nerveuses, à
ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES. 373 Il depuis l'entrée du malade à l' hôpital , le 20 octobre 188G, jusqu'à maintenant, c'est-
t pas le but qu'il se.proposait. " .... Lorsque le malade entra à l' hôpital , il pouvait se tenir debout; quand il avait les
a atteint des limites extrêmes. A l'époque de son entrée dans notre hôpital , le malade avait tous les soirs une certaine fa
s étaient en général si peu violents qu'avant son entrée dans notre hôpital , il arriva sou- vent que le malade continua son
grâce à laquelle le malade a dû, à plusieurs reprises, rester à l' hôpital . Il ya vingt ans que In... s'empoi- sonne par s
alysie du bras et douze ans plus tard, le malade entrait dans notre hôpital ayant un liséré plombique aux gencives. Etant d
xcessivement moins violente lors de l'entrée des malades dans notre hôpital qu'elle ne l'est maintenant. Si même on veut di
sation extra-nerveuse a été observée par M. Pérochaud, interne des hôpitaux de Nantes, dans son travail inti- tulé : « Troi
n outre plusieurs hystériques hommes ont été adressés de différents hôpitaux à M. le professeur Charcot qui, dans ces der- n
. RAYMOND, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l' hôpital Saint-Antoine. V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU
e. Les hystériques mâles sont presque tous des Israélites. Dans l' hôpital du Saint-Esprit, de cette ville, nous avons obs
paralysie générale et ceux de l'in- toxication saturnine. Au même hôpital de Varsovie se trouvait une jeune fille de quat
servation du tact dans les régions complètement analgésiées). A l' hôpital militaire de Varsovie, nous avons vu un cas de
aire à droite) ; avec dévia- tion de la colonne'vertébrale. - A l' hôpital municipal d'Odessa, nous avons visité la section
des téguments avec symptômes d'une myélite'diffuse). « Dans le même hôpital se trouvait un vieux soldat Israélite 474 ! k R
13 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
trant chez lui, il fut pris de frisson. Le lendemain, le médecin de l' hôpital de Pont-St-Esprit l'admit dans son établissement,
s attaché dans son lit avec du délire. Au moment où il sortit cle l' hôpital pour venir travailler à Paris , il avait déjà le
n tenir. Alors, étant à bout de ressources, il se décida à entrer à l' hôpital St-Antoine, où il fut admis dans le service de M.
nne quelques potions à prendre à l'intérieur. Depuis sa sortie de l' hôpital de Pont-St-Esprit, le malade était sujet à des bo
e rapport avec l'affection qui nous occupe actuellement. Sorti de l' hôpital en juin 1888, il reprit son travail, mais ne put
s et lui fit éprouver une grande difficulté à marcher. Son séjour à l' hôpital , qui dura jusqu'aujourd'hui, fut interrompu pen
premier appareil, ainsi que de celui qu'on plaça un peu plus tard à l' hôpital , fut également très douloureuse. De chez le pha
lement très douloureuse. De chez le pharmacien on le transporta à l' hôpital Lariboisière. Là, un appareil inamovible plâtré f
lâtré fut appliqué, et, au bout d'un mois environ, le malade quitta l' hôpital . La fracture était bien guérie à cette époque, ma
central, où notre collègue, M. Chaput, le reçut dans son service à l' hôpital Laënnec. J'appelle votre attention, Messieurs,
t la note que nous avait adressée M. Chaput, chirurgien distingué des hôpitaux , au sujet de ce malade. Vous avez pu voir que la
la note qu'il a présentée le 19 avril 1889 à la Société médicale des Hôpitaux , sur le tremblement hystérique et ses diverses va
à Lariboisière. De nouvelles attaques se produisent là, ainsi qu'à l' hôpital Bichatoù le malade fut admis plus tard (1888). Le
e qui fut durement secoué, relevé sans connaissance et transporté à l' hôpital . J'ai eu l'occasion de vous présenter ce malade a
jambes d'abord, puis dans les membres supérieurs. Il entra alors à l' hôpital d'Auxerre où il séjourna un an. Pendant toute cet
lement persistait et même s'aggravait. Le 20 mars 1889 il entra à l' hôpital Necker, service de M. Rendu, envoyé par l'Assista
e nerfs pendant la nuit. Il fit ensuite plusieurs séjours dans divers hôpitaux , Laennec, Lariboisière, Viucennes, continuant tou
lement hystérique que M. Rendu a communiqué à la Société médicale des hôpitaux . Voir Bulletins et Méinoires de la Société médica
des hôpitaux. Voir Bulletins et Méinoires de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, 12 avril 1889, p. 182. Obs. II du mémoi
ues était telle que l'erreur de diagnostic a été faite clans l'un des hôpitaux où a séjourné le malade antérieurement à son arri
son arrivée à la Salpêtrière. L'autre diagnostic porté dans un autre hôpital , celui d'alcoolisme, se comprend moins. Le trembl
e sujet l'intéressante thèse de M. Souques, interne médaille d'or des hôpitaux , sur les syndromes hystériques « simulateurs » de
chter. Arch. fur Psych., (1) Elle a été publiée dans la Gazette des Hôpitaux , 1860, n° 17. t. XVIII, p. 259), il contenait,
urèrent pendant environ un mois. Vers cette époque, elle consulta à l' hôpital des Quinze-Vingts où on lui conseilla l'usage de
bougie dans le champ d'action du droit externe. La malade sort de l' hôpital le 21 mai, à peu près dans le même état. On comme
ctoration, douleurs intercostales. Dans la suite la malade quitta l' hôpital sur sa demande, non encore guérie. Voici mainte
nfin d'un bandage compressif. Enfin, le médecin et le chirurgien de l' hôpital , peu de jours avant la sortie de la malade, lui p
uche et le gros orteil. Enfin, au bout de quinze jours, elle quitta l' hôpital . Rentrée chez elle, elle garda encore le lit pe
lication de pointes de feu à la fesse. Elle a fait un long séjour à l' hôpital au début de la maladie et depuis se soignait seul
tellement forte qu'elle lui arrache des cris et l'oblige à entrer à l' hôpital Necker où il doit se faire transporter en voiture
ée sur une chaise. Il passe la meilleure partie de l'année 1888 à l' hôpital , dans les services de MM. Hutinel et Damaschino.
J.-B. Charcot, interne du service et H. Meige, interne provisoire des hôpitaux . (2) Février 1891. s'être développée sous l'i
bre 1890. — Recueillie par M. Par-mentier, interne, médaille d'or des hôpitaux . parlais à l'instant. Décrite, il y a plus de c
hangement qui s'est opéré dans l'état du malade depuis son entrée à l' hôpital . Il souffre beaucoup moins, dort et mange bien ;
'ophthal-moplégie externe, extrêmement accentuée lors de l'entrée à l' hôpital , tend aujourd'hui à s'effacer, commence depuis de
l'Hôtel-Dieu par l'épidémie de grippe de 1889-1890 il fut évacué à l' hôpital Laënnec, où il entra au service de M. le Dr P. Ma
5 24 26 41 41 50 49 1/2 1/2 A ces deux cas observés longtemps à l' hôpital et sur lesquels nous avons pu recueillir tous les
cine expérimentale, l'autre le 5 mars 1891, à la Société médicale des hôpitaux , que la symptomato-logie assignée à la maladie de
cale nettement reconnue dans une autopsie de M. Gombault (Société des hôpitaux , 8 mai 1889), les auteurs auxquels je faisais all
. de médecine expérimentale, 1er juillet 1890 et Société médicale des hôpitaux , 27 février 1890. (2) Voir aussi au sujet des r
rée, jamais rassasiée. Polyurie considérable (10 litres constatés à l' hôpital en recueillant chaque jour l'urine dans des bocau
'urine et par jour pendant les premiers jours du séjour du malade à l' hôpital . On voit que le glycose excrété en vingt-quatre h
motif d'étonnement, a pris une place importante dans la clinique des hôpitaux 1 Leçon du mois de mai 1891. de Paris, où l'o
de mon ancien chef de clinique, M. P. Marie, aujourd'hui médecin des hôpitaux et agrégé de la Faculté 1. Il a fait la statistiq
tous les cas d'hystérie mâle qui se sont succédé dans ses salles à l' hôpital Broussais, dans le service de M. Chauffard *. Il
s qui m'ont été faites maintes fois par beaucoup de mes collègues des hôpitaux et qui peuvent se résumer en ceci : autrefois nou
tot. — L'hystérie mâle dans le service de M. le professeur Pitres à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, Th. Bordeaux, 1890. ch
ui-là même qui a été présenté par M. Ballet à la Société médicale des hôpitaux dans la séance du 24 novembre 1890. C'est à l'obl
lierdansd'importantes communications faites à la Société médicale des Hôpitaux en 1890 et 1891. Elles établissent que si, dans l
suivît aucun trouble nerveux durable. Il fut soigné comme blessé à l' hôpital de la Pitié et au bout de trois semaines il était
lade a bien voulu nous communiquer la note suivante : 6 mai 1891. — Hôpital Beaujon, pavillon Dolbeau. — Anes-thésie chlorofo
que de la syrin- (1) Par J.-M. Charcot et E. Brissaud, médecin de l' hôpital Saint-Antoine. gomyélie ne remonte pas à plus c
nale ? Les récentes discussions soulevées à la Société médicale des Hôpitaux et dans la presse, au sujet de l'identité de la s
çon recueillie par le docteur Parmentier, interne (médaille d'or) des hôpitaux . Voici, tout d'abord, une femme de soixante-cin
les plus favorisés, en ce sens qu'ils ont chance d'être reçus dans un hôpital . Que n'emploie-t-on la suggestion pour les guérir
(1), ainsi que dans une communication faite à la Société médicale des Hôpitaux par M. Fournier, le 28 mars 1880. Les plaques gom
oins des crises épi-leptiformes pour lesquelles elle était entrée à l' hôpital . Encore deux cas de syphilis cérébrale (I). S
ues muqueuses, etc., toutes manifestations qui ont été soignées à l' hôpital du Midi durant quatre mois. Il a donc eu la vérol
Georges Guinon, a recueillis avec soin, depuis l'entrée du malade à l' hôpital . Il s'agit d'un adulte de trente-deux ans, très
que j'emprunte à une note lue par M. Féréol à la Société médicale des hôpitaux en 1877 (1). Le 24 juillet 1876 — il y a donc q
rvateurs les plus fins et les plus distingués parmi nos collègues des hôpitaux . Tout y est, peut-on dire, et avec toute la préci
de Lasègue où elle resta deux ans environ; c'est durant ce séjour à l' hôpital qu'une rémission se produisit: le tremblement s'a
ne du début. Durant un court séjour qu'elle fît, il y a cinq ans, à l' hôpital de Troyes, elle fut prise d'une amauroso complète
offroy qui la soumit à un traitement hydro-thérapique. Elle sort de l' hôpital en juillet de la même année ; les crises nerveuse
14 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
t le lendemain, après une traversée heureuse, nous arrivâmes devant l' hôpital de Greenwich près de Londres. « Le temps était
nouvrier, professeur à l'École d'Anthropologie. Babinski, médecin des hôpitaux , Scbrenk-Notzing, de Munich, Lloyd-Tuckey. de Lon
aculté. Ricard, professeur agrégé à la Faculté, Faisans, médecins des hôpitaux . Charles Leroux, médecin du dispensaire Furtado H
médecin inspecteur adjoint des asiles d'aliénés. Hallez. lauréat. des hôpitaux , d'Hoiman de Villiers. de Grandmaison. Bouny. Jul
is les souvenirs de mon année d'internat chez vous, dans ce bon vieil hôpital Saint-Antoine, me sont restés si vivants, si plei
que sage, toujours bienfaisante aux malades. « Ah! ces malades de l' hôpital , avec quelle sollicitude, avec quel respect pour
de malades appartenant à cette catégorie, que nous avons observés à l' hôpital de la Charité de Lille, dans le service du profes
miroirs rotatifs. Pierre V..., âgé de cinquante-sept ans, entré à l' hôpital de la Charité de Lille le 4 Juin 1891, pour un tr
r la guérison, et, après un certain temps d'observation, il sort de l' hôpital no regrettant qu'une chose, c'est d'avoir souffer
la suggestion. La femme M.., âgée de soixante-trois ans, entre à l' hôpital le 14 mai 1891, pour des douleurs dans tout le cô
suivants, pour confirmer sa gué-rison. Elle est ensuite maintenue à l' hôpital un certain temps, sans aucun traitement et sort q
miroir rotatif. La femme F..., âgée de vingt-quatre ans, entre à l' hôpital pour des douleurs des membres inférieurs, accompa
(une simple indigestion), date de quatre jours quand on l'apporte à l' hôpital . La malade, endormie au moyen du miroir rotatif
entie. Cette malade a été revue plusieurs mois après sa sortie de l' hôpital ; sa guérison s'est maintenue compléte et est défi
horée hystérique. La femme C... âgée de quarante-six ans, entre à l' hôpital pour de la difficulté de la marche, due à des mou
'étendaient a tout le côté gauche. Elle entre une première fois à l' hôpital à cette époque, et les mouvements involontaires d
irs rotatifs. Le malade est un homme de quarante ans, qui entre à l' hôpital atteint de surdité et de mutisme absolus, avec pa
l revient à lui, il est fourd-muei. C'est alors qu'on l'apporte à l' hôpital ; il est encore au moins une heure et demie, l'oe
rier avait invité un certain nombre de membres du Congrès à visiter l' hôpital consacré aux maladies du système nerveux, qu'il d
la psychothérapie dans la pratique des indigents ou dans un service d' hôpital présente peu de difficultés et donne un grand suc
une thérapie pour les gens sans éducation et pour les pensionnaires d' hôpital seuls. C'est un sentiment très raisonnable de l'h
e ans, femme intelligente, ayant dirigé comme religieuse un service d' hôpital , mois ayant été expulsée de la communauté après u
ant de 1887,elle eut des abcès multiples pour lesquels elle entra à l' hôpital Beaujon. Elle y fut traitée par MM. les Drs Milla
s, elle y fut traitée par des injections de morphine- En sortant de l' hôpital , elle en prenait 1 gramme par jour. Elle continua
qui fait qu'on mot peut mer ou guérir; celle qui, dans un incendie d' hôpital , permet à un paralytique, sur le point d'être att
n raconte ce qui suit du docteur A..., médecin en chef dans un de nos hôpitaux . Il était en train de pratiquer une dangereuse op
déviation doit dater de l'enfance. C'est alors qu'elle est amenée A l' hôpital Trousseau. On constate, en effet, par les photo
ent à la redresser définitivement quinze jours après. Elle quitte l' hôpital . Deux mois se passent, et un matin elle revient a
e nerveux, et les continuera tous les jeudis,dix heures du matin, à 1 hôpital Lariboisière, salle Trousseau. Congrès annuel d
plus la malade étant envahie d'idées de suicide, on dut l'envoyer à l' hôpital . A son entrée à l'hôpital, on constata : ovarie
d'idées de suicide, on dut l'envoyer à l'hôpital. A son entrée à l' hôpital , on constata : ovarie droite, hyperœsthésie cutan
de s'est très bien portée. Elle n'a plus d'ovarie et sort guérie de l' hôpital . 4 décembre 1891. — L'ancienne malade, sur notr
issant et assure qu'elle se porte bien depuis qu'elle est sortie de l' hôpital . 17 décembre 1892. — Mlle 8... nous répond à un
t ses études médicales à la Faculté de Paris, a été nommé interne des hôpitaux en 1855. et reçu docteur eu médecine en 1862. Sa
. Lucien, soldat d'infanterie de marine, entre dans noire service à l' Hôpital de la marine, à Brest (service des maladies nerve
u de tentative d'assassinat sur la personne de son enfant, envoyé à l' hôpital pour examen de son état mental, a eu hier une cri
, nous suivrons l'or ire suivant : 1° Étal du malade à l'entrée à l' hôpital ; 2° Ses antécédent! héréditaires ; 3) Ses ant
apique ; 7° Résultats obtenus. 1° État du malade à son entrée à l' hôpital . — Homme de vingt-trois ans, d'apparence vigoureu
lle point avoir été réveillé par l'infirmier Pendant son séjour à l' hôpital , E... n'a eu aucune attaque hystérique, mais leur
d'expériences. Disons immédiatement que pendant son long séjour a l' hôpital , E... s'est montré terviable, empressé à copier o
aiblesses; à mon retour à la caserne, le médecin me rit envoyer à l' hôpital où je restai trois jours, puis on me renvoya en p
une obnubilation presque absolue du sens moral, et il fut renvoyé à l' hôpital , dans notre service, pour être soumis au traiteme
ent psycho-tbérapique que préconisait le rapport. Il n'est sorti de l' hôpital que pour être réformé sur notre proposition comme
fois par semaine, je ne verrais ma femme qu'une fois par semaine; a l' hôpital , je suis assez fort pour résister, au milieu d'in
sommeil de la nuit était devenu calme et profond. A son entrée à l' hôpital . E... était fort irrité contre sa belle-mère: sou
réfléchir avant de parler ou d'agir, E... fut autorisé a sortir de l' hôpital pendant quelques heures. Sa femme vint le cherche
la contracture, nous avons provoqué de la douleur. (1) Gazette des Hôpitaux , 6 juin 1891, p. 609. La boiterie apparaît d'em
de l'astronomie en Grèce, les mardis et les samedis, à deux heures. Hôpital des Enfants assistés. — M. le Dr Déjerinc, profes
smo, février 1893.) Debove.. — - sciatique et hystérie , (Gaiette des hôpitaux 21 juillet 1892) De Sarlo. — « Sulla psicologia d
as faute d'avoir cherché. J'ajoute qu'à Paris même j'ai vu dans trois hôpitaux des sujets hypnotisés devant moi; ils se comporta
e vingt-et-un ans, exerçant la profession de boulanger, est entré à l' hôpital de Molenbeck le 27 février 1893. Il occupait le l
ion IV. — Anna M..., Agée de ans. est entrée en sep- tembre 1890à l' hôpital Saint-Pierre, dans le service du professeur Romme
atteinte d'un tremblement hystérique très accentué : à son entrée a l' hôpital elle pesait 116 kilogrammes; pendant le début de
— Celestino B ... âgée de seixe ans, se trouvait, en avril 1893, à l' hôpital Saint-Pierre, dans la service du professeur Bomme
vingt-quatre ans, exerçant la profession de tailleuse est entrée à l' hôpital de Molenbeck en février 1893, elle occupait le li
que. Elle-même a eu la fièvre typhoïde ; en ce moment, elle est à l' hôpital pour myocardite avec tarhycardie et rythme couplé
gée de vingt-trois ans, exerçant la profession de servante, entre à l' hôpital de Molenbeck on février 1893. Elle occupe le lit
0. — Champs visuels de Julie m (Pris par M. Mahillon, spécialiste a l' hôpital de Molenbeck.) Julie M... n'a jamais eu d'attaq
ion de tailleuse, occupait, en mars 1893, le lit 2 de la salle 9, à l' hôpital do Molenbeck. Son père est mort d'ivrognerie à
violente attaque de nerfs, puis de la gastralgie. Elle est entrée à l' hôpital pour ses douleurs d'estomac. La sensibilité est
sion de modiste, était couchée, en février 1893. salle 9, lit 20, à l' hôpital de Molenbeck. Ses parents sont bien portants. U
n XI. — Adrienne C....agée de vingt ans, est entrée eu mars 1893, à l' hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le professeur
de dix-huit ans, exerçant la profession de tailleuse. est entrée à l' hôpital de Molenbeck le 6 mars 1893; elle occupait le lit
jamais eu d'autre maladie que celle pour laquelle elle est entrée à l' hôpital : son mal a débuté il y a quinze mois, brusquemen
hamps visuels de Joséphine D... (Pris par M Manillon, spécialiste à l' hôpital de molenbeck. En mai 1892. Joséphine a été à
aliste à l'hôpital de molenbeck. En mai 1892. Joséphine a été à l' hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le professeur
son retour, la maladie a de nouveau augmenté, et, à son entrée à l' hôpital de Molenbeck, elle avait journellement plusieurs
ollette EL.., âgée do vingt-trois ans, est entrée en octobre 1892 à l' hôpital Saint-Pierre, dans le service de M. le professeur
n XIV. — Alice V..., âgée de seize ans, est entrée en avril 1893, à l' hôpital de Molenbeck, salle 9, cabinet 1. Ses parents s
nerfs ; les accès ont été nombreux et la malade a été transportée à l' hôpital Saint-Pierre, où elle est restée pendant sept sem
dant sept semaines, dans le service de M. Spehl. Elle est sortie de l' hôpital considérablement améliorée, mais huit jours après
à la suite d'une colère, les accès sont revenus ; on l'a conduite à l' hôpital de Molenbeck, d'où elle est bientôt sortie. La ré
ive s'est encore produite deux fois, et, en ce moment, elle entre à l' hôpital de Molenbeck pour la troisième fois. La sensibi
, qui vient de mourir dans un âge avancé, était médecin honoraire des hôpitaux et membre de l'Académie de Médecine. C'était un
du colonel de Rochas, auxquelles nous avons assisté fréquemment. a l' hôpital de la Charité, dans le service de M. Luys, sont f
ir cette simulation. Une jeune fille de dix-huit ans est amenée à l' hôpital pour une contracture des mâchoires. Comme antéc
c'est de celte époque que date la maladie qui l'amène aujourd'hui à 1 hôpital . Elle eut d'abord plusieurs crises nerveuses, d
les phénomènes qui ont précédé celui pour lequel la malade entre à l' hôpital , mais j'avoue que cette contracture du bras, qui
15 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e qui s'est passé la veille et il est très étonné de se trouver à l' hôpital . En voulant s'habiller, il s'aperçoit qu'il ne pe
t ab- - solues. - On prie alors le Dr Gautiez, ancien interne des hôpitaux , qui pratique le massage avec succès, de masser l
est beaucoup moins aplatie que le jour de l'entrée du malade à l' hôpital , le deltoïde s'est développé et le muscle grand p
de plus, était plus faible que le côté droit. Le malade sortit de l' hôpital en assez bonne santé et il se porta bien pendan
e qu'a droite. - 21 avril. Le malade a fait depuis son entrée à l' hôpital les exercices qu'on lui avait recommandé de fai
malade, avant l'attaque de paralysie pour laquelle il est entré à l' hôpital et que nous avons pu constater, a eu déjà des a
. Contribution A l'étude DE l'aphasie; parM. 13ALZI,-R, médecin des hôpitaux . (Gaz. '7 ! ëd. de Paris, <884.) La première
0 lits de malades. Concours pour une place DE médecin-aliéniste des hôpitaux de paris. Ce concours, qui avait primitivement
de 200 francs, a été décerné à M. le Dr Bernard, ancien interne des hôpitaux de Paris, pour sa thèse : De l'aphasie et de se
, de 400 francs, au travail de MM. Roland et Bezançon, internes des hôpitaux de Paris. Société française DE tempérance. Cett
. Edmond D..., âgé de huit ans, est entré le 26 novembre z870 à l' hôpital des enfants malades Evelina (service de M. Fagge)
e maladie de l'oeil pour laquelle il serait resté dix-huit mois à l' hôpital des Enfants. Il connait les cou- leurs - Ouïe,
plus essentiel à noter dans cette observation : à son entrée à l' hôpital , le malade avait des hématémèses, des épistaxis e
it abolis. Il resta dans cet état jusqu'au moment de son entrée à l' hôpital . Etal actuel (· ? 3 janvier 1886). Le malade pa
is, voyant que son bras enflait toujours, il se décida à entrer à l' hôpital , quatre jours seulement après l'accident. Non
il a gardé quarante-cinq jours. A cette époque, on l'a renvoyé de l' hôpital , faute de place, et on lui a dit de revenir plu
cture, à Ribérac, puis à Bordeaux, où il est resté quinze jours à l' hôpital . Le malade revint à Paris. Il alla trouver M. P
nd le massage en recommandant au malade de revenir le lendemain à l' hôpital . Mais celui-ci qui, d'après les renseignements
cité, craignant sans doute d'être guéri, ne s'est plus présenté à l' hôpital . Après les discussions dans lesquelles nous som
e moment par M. Brun, chirurgien du Bureau cen- tral. Il arriva à l' hôpital à huit heures du soir, et le lendemain, à la vi
it peu exact, mais un arrêt de développement. 1 Société médicaledes hôpitaux . Séance du il mai 1886. Voy. le numéro du 21 ma
re en entier. P. K. XLVII. Communications NEUROPATHOLOGIQUES DE l' hôpital de BRUNS\VICK; par R. SCHULZ (Arc%. f. Psych.,
e vingt-trois ans, célibataire; employé de chemin de fer, admis à l' hôpital en octobre 1885. Aucune ten- dance nerveuse hér
malade est resté sans attaques pendant ses trois mois de séjour à l' hôpital . Remarques du Dl rlllhaus. L'importance au poin
1. Note sur un cas d'épilepsie congestive; par M. Truc, interne des hôpitaux . (Lyon méd., 1885, t. XLVIII.) Le sujet de cett
onsidérable L'auteur parlera du borax, essayé dans quelques cas à l' hôpital des épileptiques et des paralytiques de Londres
enfants, les nourrices, les infirmes et les vieil- lards ; '2° Les hôpitaux destinés au traitement des maladies aiguës; 3°
de service dans les asiles, si, les quittant, vous entrez dans les hôpitaux ; tandis que, de même, il n'est pas tenu compte au
ême, il n'est pas tenu compte aux infirmiers ou aux infirmières des hôpitaux qui viennent ici de leurs années passées dans l
il ne serait causé aucun prejudice ni avons ni a vos camarades des hôpitaux , et toutes vos années de service vous profitera
récemment institue par le conseil municipal pour le personnel des hôpitaux de l'Assistance publique, deviendra bientôt exigi
rales. Du 12/2'k novem- bre au 22 décembre 1880/3 janvier 1881, à l' hôpital militaire de Moscou, on a observé des accès de
ovembre/3 décembre au 14/26 décembre 1881, a été à la clinique de l' hôpital militaire de Pétersbourg. Les accès, dont nous
ambes, la seconde. Du 14 août à novembre 1883, E... se retrouve à l' hôpital de Moscou, mais avec de nou- veaux symptômes. I
bien que ses jambes fussent paralysées alors. Le malade a quitté l' hôpital sans que les symptômes de paraplégie aient subi
que. Observation III. R..., soldat de vingt-quatre ans, entre à l' hôpital le 1°" novembre 1884. J'apprends qu'en octobre de
e des jambes et de la parole. C'est dans cet état qu'on l'amène à l' hôpital . Le ma- lade est d'une constitution robuste; la
rvation IV. Le lieutenant B..., âgé de trente-quatre ans, entré à l' hôpital le 9 janvier 1885, m'est confié pour être exami
USE. crochaient l'un à l'autre. Le 19 mars, notre malade quitta l' hôpital avec des indices à peine perceptibles de sa parap
aladie. Observation V. G..., soldat de vingt et un ans, entre à l' hôpital le 27 mai 1884, atteint d'une paralysie des deux
. Des questions préalables expliquèrent qu'il venait de sortir de l' hôpital , où il était entré à cause d'une paralysie de l
, il perdit l'usage des jambes et, cinq jours après son entrée, à l' hôpital , la paralysie s'em- para aussi du bras droit. L
l ne peut s'asseoir lentement, il tombe assis. Le malade a quitté l' hôpital avec une parésie des jambes, le 8 juin 1885.
ntué. Observation VII. Soldat D..., de vingt-trois ans, entre à l' hôpital dans la salle de chirurgie le 12 mai 1885, attein
, parfois la tristesse s'emparait de lui ; il demandait à quitter l' hôpital ; la salle où il se trouvait et tout ce qui l'e
lieux d'ai- sance. Au mois de décembre dernier, le malade quitta l' hôpital . L'anesthésie du pharynx a disparu ; la polyuri
d'hys- térie. jf Observation VIII.- 11..., soldat, est entré à l' hôpital le 2 août 1885. Il souffrait de douleurs sourde
que le malade, près de quatre mois depuis le jour de son entrée à l' hôpital , soit alité. De temps en temps, des douleurs pa
écisé mon opinion. Observation IX. - 0..., ,jeune soldat, entre à l' hôpital le 28 décembre / 9 janvier 1885. L'examen du ma
pharyngée, par exemple, et puis le malade ne voulait pas rester à l' hôpital et demandait toujours à en sortir. Observation
t toujours à en sortir. Observation X. F..., jeune soldat entré à l' hôpital le 20 décembre/1er janvier 1885, L'aide chirugi
était-il venu au régiment qu'il a eu un accès convulsif. Arrivé à l' hôpital sans connaissance, dans la salle de réception,
r encore toute une série de cas où les malades étaient amenés à l' hôpital comme épileptiques, où le caractère des accès e
faibles et la démarche incertaine. Elle fut admise dernièrement à l' hôpital national des paralytiques et épileptiques, dans
cepen- dant exprimer mes remerciments au Dr Wilson, interne de l' hôpital national pour les paralysés et les épileptiques,
s : . Cas I. - Jacques B..., âgé de vingt-deux ans, fut admis à l' hôpital dans le service du Dr H. Jackson et du Dr Ferrier
r des attaques, qui étaient très inter- mittentes. Il fut admis à l' hôpital en 1885, ayant à cette époque un nombre considé
ant quelques jours dans le status epilepticus. Après sa sortie de l' hôpital , il resta sept semaines sans attaque; à la fin
eu d'attaques. Cas IL - Thomas W..., vingt-deux ans, fut admis à l' hôpital National dans le service du Dr Haghlings Jackso
l'organisme de l'e71fttnt.- Sur cinquante-trois enfants amenés à l' hôpital spécial de Berne, dans le cours des années 4818
titutions publiques. Les infir- mières pourvues du diplôme pour les hôpitaux généraux seront admises à l'école pour une péri
examen suffisant, elles recevront un diplôme portant le cachet de l' hôpital et les signatures du prési- dent du bureau, du
dant les six autres mois. Pour celles qui resteront au service de l' hôpital après ce laps de temps, il y a des taux de rému
re vingt et trente ans qui n'ont pas le diplôme de l'école pour les hôpitaux généraux, seront admises à l'école, et recevron
eront accordés après l'obtention du certificat pour le service de l' hôpital . En rapport avec l'hôpital il y a aussi une éco
ntion du certificat pour le service de l'hôpital. En rapport avec l' hôpital il y a aussi une école pour les hommes de vingt
s services. Des arran- gements sont faits avec ceux qui restent à l' hôpital après l'ob- tention de leur certificat. Tous le
r la commission du New-York civil service. Cet examen est passé à l' hôpital par les chefs de l'établissement qui constituen
ec une grande expé- 424 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. rience dans les hôpitaux d'aliénés. En qualité de maîtresse de l'hôpital
rience dans les hôpitaux d'aliénés. En qualité de maîtresse de l' hôpital et de directrice de l'école, elle donne tous les
malade et fait des cours. (The med. Record N.-Y., 25 sept. 1886.) Hôpital pour les épileptiques. - Un hôpital pour les épil
Record N.-Y., 25 sept. 1886.) Hôpital pour les épileptiques. - Un hôpital pour les épilep- tiques vient d'être créé récem
16 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
e: — La malade reprend le papier et écrit : « Admission d urgence à l' hôpital , comme malade. » M. Charcot. aux auditeurs : Al
encore les jours suivants et la malade fut en conséquence admise à l' hôpital de Saint-Denis, où elle resta une huitaine de jou
25. d'après notre conseil, l'a remis entre nos mains. Les accès à l' hôpital se sont répétés pendant quelque temps tous les de
MEMBRES DU COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet, médecin des hôpitaux , professeur agrégé & la Faculté de médecine.
rées aux communications et aux discussions ; 3. De visites dans les hôpitaux et hospices de Paris; 4. D'une ou plusieurs con
-rance, Guinard, Millet, etc., ont exprimé à l'habile chirurgien de l' hôpital et à son interne toutes leurs félicitations pour
is, 1859. (4) Bernutz. Leçons cliniques sur l'hystérie (Gazette des Hôpitaux , 1874);- — Art. Hystérie, du Dictionnaire Encyclo
on se constate, ainsi (1) Berbez, L'hystérie toxique. — Gazette des hôpitaux , p. 45. Paris, 1888. (2) Dutel, Hystérie saturn
oussées de congestion pulmonaire, saturnisme, hystérie. — Gazette des hôpitaux , p. 909. Paris, 1888. que Letulle (1) l'a recon
s malaises croissants l'obligent à interrompre son travail. Admis A l' hôpital Laennec. il présente l'état suivant : Tremblement
1887. (2) Rendu, Hystérie et intoxication mercurielle.—Gazette, des hôpitaux , p. 279. Paris, 1889. avoir sur lui? Cette infl
MEMBRES DU COMITÉ D'ORGANISATION : M. le Dr G. Ballet, médectc des hôpitaux , professeur agrégé à la Faculté de médecine. M.
crées aux communications et aux discussions; 3. De visites dans les hôpitaux et hospices de Paris; 4. D'une ou plusieurs con
nier, Leçons sur syphilis p.816 — 1873. — Paris. — année, Gazette des hôpitaux p. 894 — 1888. (2) Hystérie et syphilis. — Para
ncien chef de clinique de la Faculté. M. le Dr G. BALLET, médecin des hôpitaux , professeur agrège à la Faculté de médecine. M.
ris. M. GISSIEN Gustave, de Paris. M. et GRANDMAISON. interne des hôpitaux . M. le Dr GRASSET, professeur à la faculté de M
édecin à Peterborough (Angleterre). M. le Dr RYBALKIN, médecin de l' Hôpital Marie de St-Pétersbourg M. le Dr ROBINSON, des
adies sanitary association de Londres. M. le Dr SAUNGRE, médecin de l' Hôpital de Tavastehus (Finlande). M. le Dr SAWAS Gerglade
ef de celle Ecole a ouvert la voix aux chercheurs indépendants. A l' Hôpital de la Pitié, dès l'année 1981, je poursuivais, av
es Facultés et Universités françaises et étrangères, des médecins des hôpitaux . 11 est inutile d'insister plus longuement pour
re, car les représentations publiques des magnétiseurs alimentent les hôpitaux et les cabinets de consultations, l'a discussion
es recherches d'anthropométrie et de psychologie cruminelles dans les hôpitaux d'aliénés et dans les prisons. (3e question) Il t
- pendant son séjour d'un an dans le service, de M. Mesnet. alors à l' hôpital Saint-Antoine, elle: est facilement plongée dans
des médecins incompétents, sur les dangers de l'hypnotisme ; dans les hôpitaux on trouve des malades défiants qui se figurent qu
sujets qui s'hypnotisent tout seuls. On l'est,quand dans un service d' hôpital ou l'on a de l'autorité sur les malades, on influ
», et qui est très applaudi. M. de Bourgon, au nom des internes des hôpitaux , des étudiants en médecine et des élèves de l'Eco
querie. Cet individu qui avait été soigné peu de temps auparavant à l' hôpital de la Pitié, s'était fait payer pour un jockey co
r. Il y a quelques jours à peine, M. le docteur Mesnel, médecin des hôpitaux , communiquait une observation des plus intéressan
ra qu'il ne m'était pas possible d'apporter avec moi mon service de l' hôpital de Nancy. Tout le monde est libre de venir se ren
ue j'ai fait avec M. Burq des expériences de métal-lotnérapie dans un hôpital de Londres; depuis encore plus longtcnraps j'ai a
ieurs, troubles qui ont disparu après quelques semaines de séjour à l' hôpital . Comme il n'y avait chez lui aucune intoxication
tic c'est que le malade ayant repris ses occupations 4 sa sortie oe l' hôpital a eu progressivement une rechute des accidents po
tion II. (2) t vol. in-8, Pub, 1887. Plon et Nourrit. (3) Gazette des Hôpitaux .8 nov. 1887. p. 1125. miner cette question, le
. Liégeois, admet la suggestion criminelle dans le laboratoire ou t l' hôpital . Cela nous suffit, à nous médecins. S'il n'y pa
ier par la suggestion. Le 21 mars 1889, Bel... entra de nouveau A l' hôpital de la marine, présentant cette lois de la contrac
oits en effaçant la contracture provoquée. Le malade est sorti de l' hôpital le 8 juin; avec une température de 320 aux deux m
ature de 320 aux deux mains. Au mois de Septembre 1889, il rentra à l' hôpital dans un autre service que le mien où il resta plu
le a maigri depuis e commencement de l'hiver. Elle a été placée a l' hôpital Necker, puis A Ste-Anne, puis à Villejuif d'où el
rculaire qui a été produite par des entraves posées dans un des trois hôpitaux par lesquels elle a passé. Depuis son entrée, e
age en lui faisant de profondes blessures. La victime transportée à l' hôpital , dût, si nous en croyons le récit des journaux, s
que soigné par lui, avait été admis dans mon service de chirurgie à l' hôpital Saint-Barnabe. A. S..., jeune homme de 17 ans,
A. S..., jeune homme de 17 ans, de nationalité suédoise, entre à l' hôpital le 8 septembre 1889 pour une ostco-myélite du tie
de MM, les docteurs de Grand-champs et Régnier, anciens internes des hôpitaux de Paris. Nous avions annoncé ce concours l'ann
irait au premier abord. Elles visent surtout les médecins en chef des hôpitaux militaires. Que les médecins régimentaires qui, e
t invités à laisser la pratique de l'hypnotisme à leurs collègues des hôpitaux , cela pourrait à la rigueur se concevoir. Mais qu
stère de la guerre, qu'aucun acte, qu'aucun accident survenu dans les hôpitaux militaires n'est venu justifier cette mesure. E
civils ne l'est plus pour les militaires. Tandis que le médecin d'un hôpital civil a le droit de recourir à la suggestion pour
ue symptôme de l'hystérie; dans les mêmes circonstances, le médecin d' hôpital militaire, lui, doit rester indifférent et impuis
ut dans sa vie som nambulique devenir un criminel. Le somnambule de l' hôpital Saint-Antoine, dont le docteur Mesnet à raconté l
yées les personnes avec lesquelles il se trouvait le conduisirent à l' hôpital de la Charité où on le réveilla. Une autre fois
de ville qui m'a conduit chez le commissaire de police, et de là à l' hôpital de Troyes, où on m'a réveillé. » A titre de ren
de clinique. J'acceptai, et la malade fut, le 7 septembre, admise à l' hôpital Saint-Eloi. où le service, à cette époque et ju
Réglée à quatorze ans. b jeune tille avait accusé, dès son entrée à l' hôpital , des irrégubrités menstruelles. On ne prêta, d'ab
dans un volume à l'usage des gens du monde au lieu de l'observer à l' hôpital ! Et, cependant, c'est une histoire vraie, le ro
un mal qui vous fait bien souffrir; voilà longtemps que vous êtes à l' hôpital , vous êtes bien malheureuse d'être dans cette pos
'est alors qu'il a eu l'heureuse idée du tenter « des essais dans son hôpital ? » Aujourd'hui M. Delbœuf, sous une forme outr
ndît raide mort d'une seule balle. Les blessés furent transportés à l' hôpital . Quelques-uns sont très gravement frappéss Cet év
s maladies mentales. — Le London County a décidé la construction d'an hôpital , non pas spécialement pour l'hospitalisation des
sont aujourd'hui, au point de vue nosologique. Il y a dix ans, à l' hôpital Saint-Antoine, mon collègue et ami Dujardin-Beaum
La première indication en a été faite par Beaumetz â la Société des hôpitaux , dans la séance du n juillet 1879 (Bulletin de la
dans la séance du n juillet 1879 (Bulletin de la Société médicale dis Hôpitaux , t. XVI, 2e série, p. 197, 1879 ). Depuis cette é
faits ont été observés à la Salpê-trière, à Bicétre et dans plusieurs hôpitaux . Telle est l'expression de l'autographisme dans
qui a servi à nos premières études sur l'autograghisme. Entrée à l' hôpital Saint Antoine en juin 79. son observation, commun
ervation, communiquée par Dujardin-Beaumetz à la Société médicale des hôpitaux , a été publiée en partie dans ses recueils, T. XV
équentes, plus violentes ; et ce fut à cet occasion qu'elle entra à l' hôpital . L'examen de cette malade, si profondément hyst
dont; nous venons de donner une description méthodique. Sortie de l' hôpital après un séjour de deux mois, elle rentra dans mo
. La malade nous ayant dit que. quelques jours avant son entrée à l' hôpital , on l'avait trouvée la nuit, en chemise, dans la
on médical (1). m. DESPRÉS- — Je crois rendre encore un service aux hôpitaux parisiens e! à nos malades, en adressant à M. le
de fois et. A tort, suivant moi, dans l'administration intérieure des hôpitaux , tout en respectant les droits de la science, a l
ous. Messieurs, d'empêcher que les expériences scientifiques dans nos hôpitaux ne tournent A la représentation théâtrale. Si nou
us pouvez en être assures, est décidée a ne laisser pénétrer dans nos hôpitaux que des curiosités scientifiques... If. Paul BR
jusqu'à restreindre au seul public médical cet enseignement dont les hôpitaux de Pans sont le théâtre, telle n'a jamais été la
uiet, car je m'en rapporte a l'honneur professionnel dis médecins des hôpitaux . On ne saurait confondre les spectacles publics
t. de véritables épidémies d'hypnotiune avec ce qui se passe dans nos hôpitaux . Les expériences qui ont lieu dans les hôpitaux
i se passe dans nos hôpitaux. Les expériences qui ont lieu dans les hôpitaux de Paris sont faites en vue du développement de l
Paris sont faites en vue du développement de la science auxquels les hôpitaux ne sont jamais restés étrangers, et en vue du sou
ncore une fois, nos hommes ne sont pas des bêtes à expériences et nos hôpitaux ne sont pas des laboratoires. « Et puis, la que
éunis en masses plus ou moins considérables, dans des casernes et des hôpitaux . « En outre, en dehors du développement de l'hy
cadémie des sciences. l'Académie de médecine, la Société médicale des hôpitaux , la Société de biologie, etc. reçoivent fréquemme
âce, M. le professeur Duponchel, présentait à la société médicale des hôpitaux , un militaire bien constitué, plutôt vigoureux, a
té de la marine a appelé mon attention sur ce fait que, dans certains hôpitaux maritimes, des recherches, ayant pour objet l'étu
Dieu. M. le professeur Proust, M. le docteur Tillaux, chirurgien de l' hôpital , MM. les docteurs Bérilion. Paul Magnin, etc., ai
É PROVOÛUÉE PAR SUGGESTION Par le docteur J. RYBALKI Médecin de l' hôpital Marie à Saint-Pétersbourg Pendant notre séjour
retour à St Pétersbourg, dans la réunion d'octobre des médecins de l' hôpital , nous avons pu les exposer presque tous à nos col
'hôpital, nous avons pu les exposer presque tous à nos collègues de l' hôpital et à beaucoup de médecins qui suivent notre clini
t le monde le recon-nait, un ne peut pas non plus les placer dans les hôpitaux où ils seraient dangereux pour les autres malades
17 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
trant chez lui il fut pris de frisson. Le lendemain le médecin de l' hôpital de Pont-Saint-Esprit le prit dans son établisse-
attaché dans son lit avec du délire. Au moment où il sortit de l' hôpital pour venir travailler à Paris, il avait déjà le
tenir. Alors, étant à bout de ressources, il se décida à entrer à l' hôpital Saint-An- toine, où il fut admis dans le servic
on lui donne quelques potions à l'intérieur. Depuissa sortie de l' hôpital de Pont-Saint-Esprit, le malade était sujet à d
e rapport avec l'affection qui nous occupe actuellement. Sorti de l' hôpital en juin z1888, il reprit son travail, mais ne put
et lui fit éprouver une grande difficulté à marcher. Son séjour à l' hôpital , qui dura jusqu'à aujourd'hui, fut interrompu pen
e. Quand il revint à lui quelques heures après, il était couché à l' hôpital de la Pitié dans le service de M. le professeur
se lever et put aller et venir dans la salle. Quand il sortit de l' hôpital , cinquante jours après l'accident, il marchait
il a fait durant ces dernières années de nombreux séjours dans les hôpitaux . État actuel. - C'est un homme d'une taille éle
e déformation n'existait pas, au dire du malade, lorsqu'il quitta l' hôpital après son accident, il ne sait à quelle époque el
7 Après avoir subi des traitements nombreux et prolongés dans les hôpitaux de. Vienne et de Pesth, de même que dans les stat
) et d'Herculesbad (Hongrie), elle nous arrive à Paris et entre à l' hôpital dans l'état suivant : Jeune fille, petite, rata
lioration de l'atrophie mus- culaire. Dr A. WEILL, Médecin de l' hôpital Rothschild. DU ROLE DE LA GRAISSE DANS LA CON
érose en plaques. Dans une note présentée à la Société médicale des hôpitaux à propos d'une communication de M. Luys, M. Ren
nnent, - 1. Rendu. Bulletins et mémoires de la Société médicalé des hôpitaux de Paris (12 avril 1889). ÉTUDE CLINIQUE DES
sique; mais lorsqu'il a pu marcher, se promener dans les cours de l' hôpital , conservant toujours le tremblement à forme vib
mois orduriers proférés par la coprolalique. Elle sortit alors de l' hôpital , et, un mois après, elle se présentait a nous ave
place de comptable, était considéré comme un simulateur, venant à l' hôpital pour... là les interprétations man- quaient. Co
nt la résolution de ne plus dire un mot à aucune des personnes de l' hôpital . Elle veut bien causer avec moi quand j'arrive,
sont coulés dans le même moule. La voici transportée dans un petit hôpital de province où malgré la croix et la bannière, c'
axillaires, qui furent pratiquées par M. le pro- fesseur Guyon il l' hôpital Necker. La guérison paraissait obtenue, lorsque
s traitements n'amenant d'amélioration, elle se décida à entrer à l' hôpital . - Depuis qu'elle a pris le lit ou le fauteuil,
et le Irem- blement général persistaient, il se fit transporter à l' hôpital Lariboisière. Là, on lui donna du bromure. Il s
l'hôpital Lariboisière. Là, on lui donna du bromure. Il sortit de l' hôpital le 12 mars ; aucune modi- fication ne s'était p
ait des boissons alcooliques : elle est morte, à l'âge de 57 ans, à l' hôpital Saint-Antoine. Un des frères de sa mère, comé
re, comédien, buvait beaucoup d'absinthe; il est mort également à l' hôpital Saint-Antoine. Antécédents personnels. - Jusqu'
lors près de quatre mois, pendant lesquels le malade fut traité à l' hôpital d'Angoulme. L'amélioration ne s'est produite qu
'rqy qui la soumit à un traitement hydrothérapique. Elle sort de- l' hôpital en juillet de la même année; les crises nerveus
fit aussi au bras des blessures qui nécessitèrent son admission à l' hôpital et dont on voit encore les traces. En juillet
orter des gâteaux. Aussi refuse-t-il énergiquement le déjeuner de l' hôpital ce jour-là, et attend-il, pour manger,.la visit
erd ses cheveux d'une façon très appréciable depuis son arrivée à l' hôpital . Le crâne présente une légère asymétrie, la bos
üm, et rapportés il la Société de médecine interne de Berlin. « A l' hôpital Moabit, dit M. Gutlmann, on a traité un certain n
paresthésie. En même temps la main droite se prend. Elle entre à l' hôpital le quatrième jour. On constate alors de la dysp
phincters indemnes. La mort survient trois jours après l'entrée à l' hôpital . Autopsie. Macroscopiquement. Rien à noter dans
de la sensibilité, ni des sphincters. A l'entrée de la malade à l' hôpital , en février 1887, on constata que les troubles
ne malade rencontrée par nous à la clinique de M. de Lapersonne à l' hôpital Saint-Sauveur (Service ophthalrnoloique de la F
eusement cela n'était pas facile. Il ne s'agit point d'une malade d' hôpital , admise à demeure à la Salpêtrière, comme étaie
e à terme, dans un accouchement très laborieux. L'ac- coucheur de l' hôpital Lariboisière recommanda même à la malade, si ja
la malade, si jamais elle redevenait enceinte, de se présenter à l' hôpital au septième mois de sa grossesse, si elle voula
les accidents narghiléiques. . D' P. EMIRZH, MdeLin en chef de l' hôpital arménien de SJ1lrnc. Le Gérant : Ému i. I.h(,IW
ière. (A suivre.) ENIILE PAHMENTÏER, Interne, médaille d'or des hôpitaux . 1. Gayet, Paralysie totale de tous les muscles
nte-neuf ans, ouvrière en ivoire, entrée le 20 dé- cembre z1873 à l' hôpital Beaujon, salle Saint-Paul, lit nu 22, dans le s
e jours. Le 14 février 1873, elle tomba malade et entra alors à l' hôpital Saint- Louis. Depuis huit jours elle était souf
de délire et de convulsions et était transportée dans cet état à l' hôpital (14 février). La malade n'avait pas encore perd
peu à peu et qu'elle eut très bien conscience de son transport à l' hôpital . A son entrée à l'hôpital, son état présentait,
très bien conscience de son transport à l'hôpital. A son entrée à l' hôpital , son état présentait, paraît-il, tout à fait les
se paralyser. C'est dans cet état qu'elle entre le 20 décembre à l' hôpital ; les jambes n'étant encore nullement atteintes
ui les deux yeux. En 1888, il resta pendant près de deux mois à l' hôpital de Buenos-Ayres; on lui fit des injections de p
M. Ballet présenta, le 8 juil- let'1887, à la Société médicale des hôpitaux de Paris, un malade atteint de sciatique et off
commencement, du mois d'octobre à la consultation de M. Roques, à l' hôpital Tenon. On diagnostique une sciatique et on lui
salle. Sa déviation n'avait pas changé. , Il rentre bientôt dans un hôpital où il séjourne une quinzaine de jours et où, di
n ELA S ALI' ln n 1 [. : Il L Puis, le 18 mars 1890, il rentre à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Monod. L
n affaiblissement progressif des membres. Enfin, à son entrée à l' hôpital , l'état de la malade « présente les caractères
ues d'un corps fibreux de l'utérus ? qui l'obligèrent à rentrer à l' hôpital Tenon, dans le service de M. Delens. Ces hémorrha
pourtant pas absolument exceptionnelle. En parcourant le musée de l' hôpital Saint-Louis, nous en avons remarqué un exemple
énéral du malade, qui se promène constamment dans les couloirs de l' hôpital et qui n'est pas sensi- 1. Blanc, Thèse de Pari
pas 1. Hérard, De la paralysie ,losso-labio-laryngée (Soc. méd. des hôpitaux , in Bulletin, 1868, p. 43). 306 NOUVELLE ICON
18 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
hysicothérapie, directeur de l'Institut de radiologie médicale de l' hôpital majeur de Turin. L'élude que je vais essayer de
du reste dans la monographie de Poppi, rhinologi¡;Le distingué de l' Hôpital Majeur de Bologne, qui précisément rapporte le
t une dimi- nution considérable de la vue. Jean fut alors amené à l' Hôpital ophtalmologi- que de la Ville où le Dr Perrod,
cérébrale postérieure ; dans l'oxycéphalie (crâne du musée Riberi, Hôpital St-Jean) l'enfoncement a lieu dans la fosse cér
ai constaté moi-même dans un cas sur un crâne du Muséum Riberi de l' hôpital Majeur de Turin. Je ferai remarquer d'abord que
ofesseur Scagliosi, directeur de l'Institut anatomo-pathologique de l' hôpital Saint- Jean et de la ville de Turin. ÉTUDE DU
kit. 600 et 602 tumeurs satellites beaucoup plus petites (Gazette des hôpitaux , 1902, n 137, p. 1347). NOUVELLE IGO1VOGNAYHI
46 F ! . TOUCHE. - NEUROFIBROMATOSE GNÉRALISE Le malade entra à l' hôpital général, comme vieillard, sans s'être jamais pl
t à l'empêcher, de sorte que sa famille demande son internement à l' hôpital . Le malade accepte d'entrer dans le service de
d'entrer dans le service de la clinique des maladies nerveuses de l' hôpital Pantélimon, seulement pour quitter sa maison, car
que nous lui avons proposé. Il s'habille en pleurant pour aller à l' hôpital , et il nous prend comme témoins de ce qu'il possè
endant son absence. 52 MARINESCO ET GOGDS'l'E1N 22. - Examiné à l' hôpital on note : rien d'important au point de vue so-
ges c'est qu'on l'a laissé tranquille cette nuit qu'il a passée à l' hôpital et qu'il a assez bien dormi. Pourtant l'infirmièr
ir le prendre, car étant tout à fait guéri il ne veux plus rester l' hôpital , ne pouvant pas sup- porter la vue des autres m
céphalée, il s'oppose à une nouvelle ponction lombaire. Il quitte l' hôpital . Il consulte encore de temps en temps l'un de n
une élévation de la température, laquelle z pendant son séjour à l' hôpital fut normale. Les cas où on a constaté un mouvem
évolution insidieuse comme cause d'aliénation mentale. Gazette des hôpitaux , au LXXVII, no 49. (4) E. REDLICH, Znr Kenntnis
col, rapporte que son illustre maître avait observé, déjà, soit à l' hôpital , soit à ses consultations privées, des cas semb
Nuuv. Iconog. de la Sai[oêteiè,e, 1896, n- i. (3) l3nmrrw, Gaz. des Hôpitaux , 1898, p. 1182. li) t : oi.t.nuus, loc. cil.
it à celle conclusion : « Dans le tabès, Pin- ' (il Pater, Gaz. des Hôpitaux , 1907, Revue générale sur la syphilis gastrique.
d'hÉMIANOPSIE ET ALEXIE). PAR D' Sven JOHANSSON Chirurgien à l' Hôpital de Sabbatsberg. et D' Harald FROEDERSTROM C
e. Moins d'une heure après l'accident, le blessé fut transporté à l' Hôpital de Sabbatsberg. Le malade est examiné aussitôt
pour le temps de paix où l'on dispose de toutes les ressources d'un hôpital moderne. C'est dans un but de prophylaxie anti-
es auquel s'est livré le Dr Boivie à la Clinique d'au- rologie de l' Hôpital de Sabbatsberg démontra le fonctionnement normal
ut ce qui pourra contribuera « le rendre comme il était avant». A l' hôpital , il a donné des preuves du bon état de ses instin
, 1898, XVII, p. 11. (4) KLEIN, Un cas de gigantisme. Soc. méd. des hôpitaux de Nantes, 20 juillet 1899 et Gaz. méd. de Nant
seur à la Faculté de médecine d'Alger. et BONNET, Interne des hôpitaux d'ellger. Les dystrophies osseuses forment un
XII, XXIII). Khéroufa )·atUma, jeune mauresque de 17 ans, entre à l' Hôpital de Musta- pha (service d'observation spécial au
ssaire, sur la plainte de quelques commerçants, la fit conduire à l' hôpital . Quelques renseignements sur sa famille et sur
catriciels au niveau de la face. z Elle aurait séjourné un an à l' hôpital , il y a cinq ans, pour un abcès au poi- gnet (o
nquiété de la conformation spéciale de Khéroufa. A son entrée à l' hôpital , la jeune fille nous apparaît comme tout à fait d
tra- vail. Elle paraît d'ailleurs satisfaite de son internement à l' hôpital , et ne ma- nifeste jamais le désir d'en sortir.
de micromélie présenté par MM. Galliard et Lévy à la So- ciété des hôpitaux de Paris (18 novembre 1904) est considéré par les
tions cliniques très étendues. Cet homme fit t un séjour rapide à l' hôpital et il en sortit d'une façon trop inattendue pou
gé l'homme à quitter la caserne provisoirement ou définitive- ment ( hôpital , réforme, etc.). On conçoit aisément que plus un
ppartenant à un milieu plus palhologiqueinenl taré (grandes villes, hôpital ). D'autres divergences tiennent aux diffé- renc
HYSIOLOGIE DE LA GLANDE PINÉALE PAR Paul SAINTON, Médecin des Hôpitaux . et Jean DAGNAN BOUVERET. Agrégé de philoso
(1) Nous adressons tous nos remerciements à M. Vigual, externe des Hôpitaux , qui a mis aimablement à notre disposition le v
ations comparables aux corpuscules de Nissl. L'eau de fontaine de l' hôpital Pantélimon a une action très semblable à celle
CRANE (CAGE THORACIQUE CERVICALE) PAR M. KLIPPEL Médecin de l' hôpital Tenon. André FEIL Intprne des hôpitaux. Les
M. KLIPPEL Médecin de l'hôpital Tenon. André FEIL Intprne des hôpitaux . Les anatomistes, depuis fort longtemps, se son
exerçant la profession de tailleur, entre le 13 dé- cembre 1911 à l' hôpital Tenon, salle Bichat, lit n° 4, pour une pleurésie
39 ans, 8 jours après avoir été opérée d'une hernie étran- glée à l' hôpital d'Amiens. Un frère est encore vivant, âgé de 32
litres 5 de liquide. ' xv 13 226 , KLIPPEL ET TEIL Il sort de l' hôpital six mois plus tard et va faire sa convalescence à
l ne reste que quinze jours. Dans l'intervalle de ces entrées à l' hôpital , rien de spécial. Le malade tousse un peu, il s
t plus intéres- sant, cet homme s'était présenté plusieurs fois à l' hôpital pour diverses affections banales ; il avait été
LDARESCO i Professeur à la Faculté de Médecine, médecin en chef l' hôpital Philanthropie, - - A C. PARHON Docent de
précédé. Dans la séance du 14 mai 1897 de la Société -médicale des Hôpitaux , Pierre Marie et Sainton (1) présentèrent les o
n, il ne s'est jamais intéressé à ces choses. Il ignore le nom de l' hôpital où il se trouve et des médecins qui le soignent y
rien de particulier à ce point de vue, mais comme il est entré à l' hôpital pour des troubles rénaux et ignorant son état d
) , par vice de développement du crâne et du cerveau. Soc. méd. des hôpitaux , 14 mai 1897. 2. - La dysyslose cléido-crânie
do-crânienne héréditaire (Hydrocéphalie héréditaire). Soc. méd. des hôpitaux , 20 mai 1908. Sur la dysostose cléido-crânienne
n LA DORMEUSE D'oIVNO. - 32 ANS DE STUPEUR 269 amena Caroline à l' hôpital de Oskarhamn ; seulement, les médecins de l'hôp
na Caroline à l'hôpital de Oskarhamn ; seulement, les médecins de l' hôpital n'étant point psychiatres, ne s'intéressaient guè
quement en pronation forcée. Le malade fut soigné quinze jours à l' hôpital de Besançon, puis, ne pouvant travailler, rentr
. lé Dr Huet. Puis, il vient à Genève et fait un premier séjour à l' Hôpital cantonal, dans le service de M. le professeur B
s muscles de la jambe gauche. Le malade fait un deuxième séjour à l' Hôpital , du 12 décembre 1901 au 15 février 1902. La f
menus objets. En outre, le malade raconte que depuis sa sortie de l' hôpital , il a eu presque constamment des contractions mus
cher le sommeil. L'observation prise pendant ce deuxième séjour à l' Hôpital cantonal note : L'atrophie musculaire est très
: 18 volts, 8 1/2 ma. PFC : 18 volts, 15 ma. Pendant ce séjour à l' hôpital , malgré l'amélioration de l'état général et un il
admis dans un asile d'incurables, c'est de là qu'il est envoyé à l' hôpital le 26 juillet 1910, à cause de troubles digestifs
rises sur ce malade. Nous ne l'avons vu qu'à son dernier séjour à l' hôpital en 1911. On ne relève rien d'intéressant dans s
le malade est examiné à nouveau au cours d'un séjour qu'il fait à l' hôpital . Les jambes, fortement variqueuses, sont très atr
é à la Faculté de médecine et Gaston LEGROS. Ancien interne des hôpitaux Chef du laboratoire de radiologie iL l'hôpita
ncien interne des hôpitaux Chef du laboratoire de radiologie iL l' hôpital Tenon Le 14 avril 1910. nous avons présenté à l
déformante de Pagel. Thèse de Paris, 1910. ;2) Société médicale des hôpitaux , février 1893. (3) Société médicale des hôpitau
ciété médicale des hôpitaux, février 1893. (3) Société médicale des hôpitaux , mai 1905. (4) Archives de médecine expérimenta
ur des colonies, il est pris de céphalées intenses ; on l'admet à l' hôpital maritime : une nuit, il se lève, court à la cha
lle et se met à sonner la cloche eu criant « au feu ». Il sort de l' hôpital , mais présente à partir de ce moment des troubles
es détails sur le cours de sa maladie. Cinq mois avant son entrée à l' hôpital , il a constaté un affaiblissement des extrémite
s et le développement de la maladie pendant un séjour de 5 mois à l' hôpital . L'anamnèse étant peu satisfaisante, il a fallu
s. Le symptôme le plus frappant au moment de l'entrée du malade à l' hôpital était l'atrophie de petits muscles de la paume ga
res- sion lente pendant la première période de séjour du malade à l' hôpital nous arrivons facilement à expliquer la parésie
oureux des contractions spontanées. Trois mois après son entrée à l' hôpital , nous voyons chez le malade les troubles de la
le des symptômes cliniques obser- vés lors du passage du malade à l' hôpital , il nous faut reconnaître que cet abcès froid é
mal de Pott. Ce n'est que six semaines après l'entrée du malade à l' hôpital que les douleurs apparurent dans les membres et d
a signalée dans une communication faite il la Société médicale des hôpitaux de Paris, le 14 octobre 1910. Voici, brièvement
M. le Professeur V. Maragliano, radiologiste de la Clinique et de l' hôpital , d'agréer tous nos remerciements. NOUVELIE Icon
Elle est venue à la consultation externe des maladies nerveuses de l' Hôpital Santa Martha le 29 mai 1912. Il y a trois ans
ies a marche progressive. l3ull. et Mém. de la Société médicale des Hôpitaux , 3 féviier 1893. RAYMOND et HuET. /< ? o/) ?
s été au-dessous de 1.000 grammes. La malade arrive ce matin fui, l' hôpital , dans le coma. Elle est secouée de temps à autr
uet ! <to ? Anesthésiea l'éther (.1f.DesLyouttes,cliii-ur(yien des hôpitaux ) : 1° Incision lombaire droite. L'atmosphère gr
intelligence semblait affaiblie, ce qui l'a décidé d'entrer dans un hôpital , où il suit un traitement spécifique. Bien qu'a
tement et veut laver ses linges et ses bas dans la vais- selle de l' hôpital . Insomnie. Sort amélioré le 27 mars 1911 et rev
ES INFÉRIEURS PAU lui M. LAIGNEL-LAVASTINE, Agrégé, médecin des hôpitaux . et M. VIARD, Externe des hôpitaux. « La
STINE, Agrégé, médecin des hôpitaux. et M. VIARD, Externe des hôpitaux . « La parenté de l'oedème chronique avec la lip
use de 39 ans, Mlle Eugénie B..., venue a notre consul- tation de l' hôpital 1 Laënllec pour grosseur anormale des membres inf
points se rapproche du nôtre. Le voici, résumé : A son entrée à l' hôpital , le 4 ? décembre 1908, la malade présente de l'am
seux. Nouvelle opération quelques années après ; un chirurgien de l' hôpital Lariboisière intervient sur la région cervico-s
la région cervico-scapulaire. Après 4 mois de séjour, D... quitte l' hôpital et n'y revient que pour demander quelques consu
19 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
trente-cinq ans, entré à Villejuif, le 17 juillet 1900, venant de l' hôpital Saint-Antoine avec un certi- ficat du U' Londe,
s tu ne me répons parce que tu étais dedans. , « Lors, amenée à l' hôpital , je suis en toi tu pleures de douleur et je sui
liénés ; par N.-A. Joaaiaw. (06oréaié psichiatrü, III, 1898.) A l' hôpital militaire Saint-Nicolas de Saint-Pétersbourg des
, avant la répartition, les malades restent en observation soit à l' hôpital , sont dans le famille, soit en prison. Les inconv
sautent aux yeux, seule l'observation dans des sections spéciales d' hôpitaux généraux a donné d'excel- lents résultats et a
inistration à créer des sections de réception pour aliénés dans des hôpitaux publics. Dans la pro- vince d'Albany, cette mét
est manifeste et l'auteur conclut que ce qui vient d'être fait à l' hôpital d'Albany devrait être généralisé systématiqueme
principalement à traiter les malades d'asile comme des malades d' hôpital , et à prendre autant que possible pour modèle les
asiles se rapprochent beaucoup de celles qui sont en usage dans les hôpitaux généraux ; 2° Que tous les malades aigus, bruya
faire comprendre au public qu'un asile n'est pas autre chose qu'un hôpital spécial pour le traitement des maladies du cerv
fants idiots; un médecin visite les malades une fois par semaine. L' hôpital Troilzky pour les chro- niques possède une divi
de paralysie. Le nombre des accès pen- dant le séjour du malade à l' hôpital est allé jusqu'à 221 dans une journée, avec per
uberculeuse en particulier ; par le Dr H. Lhote, ancien externe des hôpitaux de Lyon. Th. Lyon, 1900. Ce travail est basé su
couteau. Trouvé tout saignant par des passants, il fut conduit à l' hôpital où le doc- teur Veslin lui prodigua tous ses so
incapable de faire un mouvement. Tous deux furent transportés à l' hôpital Saint-Louis, où on les soumit au traitement habit
vé aucun souvenir de son séjour à Saint-Louis, ni de sa sortie de l' hôpital , ni de son passage à l'infirmerie du dépôt. Dep
R... finit par savoir qu'il a cherché à se tuer et qu'il a été à l' hôpital Saint-Louis avant de venir ici. Toutefois la mé
s pendant son évanouissement, comme son transport en brancard à l' hôpital Saint-Louis. Comme nous le disions au début,en
et anatomiques suivantes : Premier cas. Malade de 5G ans, venu à l' hôpital avec le dia- gnostic de névralgie : Douleur dan
tait un sarcome alvéolaire. Deuxième cas. Homme de 39 ans, venu à l' hôpital avec le diagnostic d'ataxie locomotrice. Cyphos
huit victimes (encore vivantes du médecin ont été transportées à l' hôpital . (Le Journal du 8 mai.) . , Le rédacteur-géra
vision binoculaire : discussion : Par René CRUCIIET, Interne des hôpitaux de Bordeaux. Depuis qu'on a songé à rechercher
it d'une fillette, Marthe-Marie P..., âgée de douze ans, entrée à l' Hôpital des Enfants, salle 15, le 12 février 1901, pour
cune amélioration : le père se décide alors à conduire sa fille à l' Hôpital des Enfants, où elle est admise, salle 15, dans
mine. L'analyse complète effectuée par M. Lemaire, pharmacien- de l' hôpital des Enfants, cinq jours après la dernière crise
et causait avec ses petites compagnes, en traitement comme elle à l' hôpital , elle s'écria brusquement : « Des pantoufles ro
a voir se réaliser. Pendant tout le temps que Marthe est restée à l' hôpital des Enfants, nos tentatives (douches, électroth
, 1879, no 1. 1 Clinir¡,ophlalmologiqllc. 1879. 7 Soc. médic. des hôpitaux , 188. " Cité par Strzeminski. Troubles ocul. de
atérale. (Presse médicale, 1897, t. II, p. 309-313. Leçon faite à l' hôpital Saint-Antoine le 14 mars 1897, à propos d'un ga
ur génial qu'on vit, il y a quelque cinquante ans, par- courant les hôpitaux , sa boite électrique ù-la main, et fixant les c
! qui encombre les consul- tations et les services spéciaux de nos hôpitaux ! Evitable la para- SOCIÉTÉS SAVANTES. 243 ly
n, n'aurait pas eu l'occasion de se constituer si, dans une salle d' hôpital ou d'asile, ou au fond d'un laboratoire, des cher
Faculté de Lyon. Secrétaires : MM. Laignel-l.avastine, interne des hôpitaux de Paris; D1' Lelong, ancien interne des agiles
courir à l'internement de ces `s malades dont la place est dans les hôpitaux et non dans les t asiles. On pourrait aussi côt
le malade fut pris de nostalgie, manifestant le désir de quitter l' hôpital . Son état mental alla en s'aggravant jusqu'au 2
s idées de persécution. Il est interné 8 jours après sa sortie de l' hôpital . Depuis son entrée, il a pré- senté un état men
ées et intoxications ; par le Dr André Boutes, ancien , interne des hôpitaux . La céphalée n'a pas de caractères essentiels s
nt sur le fou, qui s'abattit. L'un des blessés a été transporté à l' hôpital de Bédarieux. Son état serait grave. On s'accorde
matiquement tous les tabétiques qui se sont présentés dans les deux hôpitaux auxquels il est attaché. L'examen systématique de
par Broquit. (Revue le Médecine, mai 1901.) Observation prise à l' hôpital militaire de Marseille d'un malade atteint de p
ction à l'état normal et pathologique (Revue générale). Gazette des hôpitaux . 29 juillet 1899. - Les poliomyélites (Revue géné
29 juillet 1899. - Les poliomyélites (Revue générale). Gazette des hôpitaux du 8 octobre 1898. Lésions cellulaires dans la ma
ux avec examen hislotogique. 1\1. L.\IGXEL Lavastine, interne des hôpitaux de Paris, rapporte deux cas de troubles mentaux
Gilbert Ballet, l'autre dans le service de 111. le D'' Béclère à l' hôpital Saint-Antoine, il a constaté pendant la vie les
ieu d'élection, pour les maladies les plus diverses. Un médecin des hôpitaux de Constantinople les emploie systématiquement
res transitoires séniles ; par le Dr L. MICHAUD, ancien externe des hôpitaux de Lyon. Th. de Lyon, 1\)00. Ce travail, insp
, établit sur l'Abendberg, en Suisse, à 1.200 mètres d'altitude, un hôpital pour le traitement des crétins, et obtenait, lu
n peut affirmer qu'il est, en général, bien supé- rieur à celui des hôpitaux et de la plupart des asiles de province. Ce tra
SOCIÉTÉS SAVANTES. ' 425 argent existe depuis longtemps dans les hôpitaux de Paris, et c'est à l'honneur de cette adminis
ie de l'argumentation pré- cédente de M. Giraud, tous les asiles et hôpitaux de province trou- veront parmi les infirmiers e
e des aigus. En résumé, union d'une grande colonie agricole avec un hôpital d'aliénés muni de tous les aménagements. les pl
: on considérait comme incompatibles le rôle qu'avait à remplir un hôpital de traitement et les exigences d'un établisseme
dans Paris, notamment aux abords de l'École de médecine et dans les hôpitaux et hospices. - ART. 2. Pourront prendre part au
vons déjà obtenu, non sans peine pour le concours de l'internat des hôpitaux ; il ne devrait pas y avoir de décès par la Variol
quartiers d'hospice de Bicêtre et de la Salpêtrière; un médecin des hôpitaux ; un chirurgien des asiles de la Seine, ou, à so
rurgien des asiles de la Seine, ou, à son défaut, un chirurgien des hôpitaux . Le jury devra, pour délibérer, être composé de
sont incompatibles avec les fonctions d'interne ou externe dans les hôpitaux , hospices ou autres établissements. Art. 16.
ses épreuves du concours sera indi- qué ultérieurement. VIII. Les hôpitaux d'aliénés urbains, d'après les communications d
ilité pour les grandes villes d'avoir, dans leur enceinte même, des hôpitaux pour le traitement des aliénés aigus. ' La qu
liénés aigus. ' La question des petits asiles urbains, ou mieux des hôpitaux urbains pour le traitement des aliénés, a fait
énéré ou épuisé. 3° Dans les grandes villes, qui ne possèdent pas d' hôpitaux urbains d'aliénés, la plus grande partie de ces
les dépôts de police, les hospices, les cellules d'observation des hôpitaux , etc. 4° Quand l'assistance dans un milieu appr
voquée par le translèrement des malades curables à l'asile. 60 L' hôpital urbain ne doit pas être situé à une heure de chem
oiture de la ville. 11 ne doit pas être plus éloigné que les autres hôpitaux , le transport des sujets agités, sans connaissa
a Société des Samaritains. 7° On peut obtenir, même dans les petits hôpitaux de 40 à 50 lits, un classement suffisant des ma
et réservée aux sujets très agités ; on peut ainsi conserver pour l' hôpital la division en pavil- lons et adopter le « trai
pavillons pour un total de 40 malades environ peut être annexé à l' hôpital . Ce quartier suffit pour un chiffre annuel d'admi
tudié en même temps que M. Sioli la question de l'installation d'un hôpital psychiatrique urbain. L'auteur est convaincu qu
ion d'un hôpital psychiatrique urbain. L'auteur est convaincu que l' hôpital urbain peut ne pas exiger des dépenses plus con
e contemporaine. La ville de Hanovre ayant projeté la création d'un hôpital urbain de 60 lits, M. Dan- nemann expose le pro
. Il a disposé les diverses sec- asiles d'aliénés. 443 tions de l' hôpital de façon à obtenir, avec le moins de personnel
r, avec des ressources modestes, des petits pavillons, annexés à un hôpital , qui peuvent réunir les conditions nécessaires
pas d'autre section. D'autres plans sont donnés qui concernent des hôpitaux d'aliénés de 30, 40, 50 et 100 lits. Les deux p
nique pour les maladies mentales et nerveuses doit être annexée à l' hôpital . L'auteur insiste sur la nécessité pour l'archi
considérations d'ordre psychiatrique dans la construction de ces hôpitaux spéciaux i. Paul Sérieux. , 1 En France, M. B
défectueuse, pour ne pas dire plus, des cellules d'observation des hôpitaux . BIBLIOGRAPHIE. XV. La suggestion, son rôle d
semaine à la même heure. les docteurs en médecine, les internes des hôpitaux et les étudiants parvenus au terme de leur scol
uante-cinq ans, ramassée sur la voie publique et placée d'abord à l' hôpital de la Ilocbe-sur-I'on est évacuée sur l'asile, le
ice des malades. Cette séparation absolue qui n'existe pas dans nos hôpitaux présente cepen- dant des avantages réels sur le
ordinairement mal orientées. Je tiens d'un de mes collègues, qu'à l' hôpital Bichat, qui date de vingt ans, l'architecte ava
s certains services ou j'ai passé,' elles manquent absolument : à l' hôpital Bichat, qui a passé pendant vingt ans pour un s
nt et dans des locaux dépendant du service de la pharmacie. Dans un hôpital tout récent, l'architecte les avait oubliées et
même pour la pratique des opérations septiques. Pour ne citer que l' hôpital Bichat, le chirurgien est obligé d'opérer dans
n comme le nôtre. Alors que dans les pavillons d'iso- lement de nos hôpitaux on ne reçoit que des malades asepti- ques, nous
l'eau et des instruments. Depuis quelques années, tout chirurgien d' hôpital s'appli- que à stériliser les pansements dont i
ribution à, l'étude des Stéréotypies Par ALBERT CAIIEN, interne des hôpitaux . I. D'une façon générale, les troubles moteurs
beaucoup. Aussi y pensait-il beaucoup. Un mois avant son entrée à l' hôpital , il prit l'ha- bitude pour « reposer sa tête »
11SC1111ly, juillet 1899, p. l0a- 107.) Pas d'asiles, sauf quatre hôpitaux dépendant des missions étran- gères, un seul pe
emaine à 1 h. 1/2. MM. les docteurs en méde- cine, les internes des hôpitaux et les étudiants parvenus au terme de leur scol
les -, par Zonoli, 435. Législation comparée des -, Renton, 435. Hôpitaux d' ur- bains, par Sioli et Dannemann, 440.
20 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
E, INFANTILISME ET ACROMÉGALIE PAR MAGALHAES LEMOS Médecin de l' Hôpital de Conde de Ferreira (Porto). Quelque curieux e
elques sorties, nous l'avons de nouveau repris dans nos salles de l' hôpital depuis le 3 octobre 1908 ; et aujourd'hui, qu'i
c, etc.), étaient apparus deux mois avant l'entrée de la malade à l' hôpital . Pourtant, au dire de l'entourage, la malade pr
à une date indéterminée mais bien moins accentuée. A son entrée à l' hôpital on observe une cyphose marquée de la région dor-
. - Revue de chirurgie, 1901. 30. Comnovr et Paviot. -Soc. méd. des hôpitaux . Lyon, 1902 ; PAMOT, Proiince médic., XVI, n" 3
t acccuchée et épi- thélioma tubuh du foie et des os. Soc. méd. des hôpitaux , si décembie 1895. 152. Dejerine. - Séméiologie
QUE DE LA POLYDACTYLIE . PAR , F. COSTANTINI Aide-médecin des Hôpitaux assistant à l'Asile d'aliénés. Les déformations
uperons, à l'occasion d'un cas que nous avons observé nous-mème à l' hôpital de S.-Spirito. Histoire clinique. Antonio Caso,
vaillé dans les champs et n'a reçu aucune instruction. Il vient à l' hôpital pour une bron- chite d'influenza. - Objective
ants. Blot ne l'a observée qu'une seule fois sur 10.000 malades des hôpitaux et des cliniques, et Fort éga- lement une seule
re au cou un écriteau, qu'elle se donne une en- torse ; envoyée à l' hôpital , elle accuse un infirmier de la maltraiter. La fi
chez une femme âgée (64 ans). La malade dit quelle est entrée à l' hôpital parce qu'elle s'est surmenée en venant d'Auxonn
NOGRAPHIQUE SUR QUELQUES NAINS PAR ' P. E. LAUNOIS Médecin de l' hôpital Lariboisière. En entr'ouvrant mes cartons poury
s personnelles et 4 autopsies). M. Nicolas ELDAROFF, Interne de l' hôpital . En un temps déjà éloigné, les maladies et les
s eu l'occasion d'observer, au cours de ces 8 dernières années, à l' Hôpital Staro-Ekaterininhky, à Moscou (Service pour les m
aladies ner- veuses du Or Préobrajensky) 13 cas, et 3 cas hors de l' hôpital ; soit 16 cas en tout d'immobilité delà colonne
rier verrier, admis dans le service pour les maladies nerveuses à l' hôpital Staro-Ekaterininsky, le 16 janvier 1902. Il se pl
la hanche droite. Il a été malade près de deux ans. Il séjourna à l' hôpital pen- dant dix mois (type de la spondylose rhizo
euses et non à la mus- culature le Dr Rosanoff, chirurgien de notre hôpital , sur notre proposition a chlo- roformé le malad
, 41 ans, cordonnier. Admis dans le service neuro-pathologique de l' hôpital Staro-Ekaterininsky le 12 décembre 1902. Le mal
depuis 10 mois ; il est mort le 1er avril 1902, après un séjour à l' hôpital de 46 jours (Spondylose rhizomélique). Anamnè
bras gauche et dans la jambe droite. Dix mois avant son entrée à l' hôpital , sans aucune cause apparente il souffrit de mau
ens. -- Le compte-rendu de l'autopsie, faite par le prosecteur de l' Hôpital Staru- LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE ! 25 Ekater
r : se présenta le G avril 1903 au service neuro- pathologique de l' Hôpital Staro-Ekaterininsky, se plaignant de douleurs au
les et aux cuisses. Il était malade depuis deux ans et séjourna à l' hôpital deux mois et demi (Diagn. clin. Spond. rhizoméliq
dos. Le malade s'adonne à la boisson. Deux ans avant sou entrée à l' hôpital , sans aucune cause apparente, il ressentit des
8 ans, ouvrier. Se présenta dans le service neuro-pathologique de l' Hôpital Staro-Ekaterininsky le 4 mai 1906. Il se plaignai
ns les articulations. Il est malade depuis deux ans et séjourna à l' hôpital pendant 26 jours. (PI. XVIl) (Diagn. clin. Spoud.
s'était manifestée auparavant, disparut après un mois de séjour à l' hôpital . Atrophie de quelques muscles de la région de l
objectif. Observation X. Jean K..., 37 ans, colporteur, entre à l' hôpital le 1er juin 1904 dans le ser- vice neuro-pathol
Il est mort le 14 août 1904 après avoir séjourné 2 mois et demi à l' hôpital (Spond, rhizom. Type de P. Marie). Anamnèse - E
Le système nerveux est normal. La température durant le séjour à l' hôpital oscille entre 38 et 40° ; pendant ce séjour le ma
nistri ». Observation XI. N. P... ,, 43 ans, paysanne. Admise à l' hôpital le 8 mai 1905. Se plai- gnait d'une faiblesse g
eurs à chaque mouvement dans la colonne vertébrale. Il séjourna à l' hôpital pendant 7 semaiues. Le début de la maladie remont
ut malade pendant 3 ans et mourut le ler mars 1909. Il séjourna à l' hôpital pendant 29 jours. Diagnostic clinique : Spondyl
nua d'exercer son métier de portefaix jusqu'au jour de l'entrée à l' hôpital . Etal du malade avant son entrée. - Le malade e
re ; le système nerveux est nor- mal. Après un séjour d'un mois à l' hôpital , le malade est mqrt de tuberculose. Le compte-r
e-rendu de l'autopsie, opérée le 3 mars 1909 par le prosecteur de l' Hôpital Staro-Ekaterininsky111 SlnelTporte : «Spoudylosis
ambulant, admis dans le service pour les mala- dies nerveuses de l' Hôpital Staro-Ekaterininsky le 23 février 1909. Le malade
es. Le malade n'a pas eu la gonorrhée ; 9 mois avant son entrée à l' hôpital , il eut la la syphilis. Etal du malade au mom
nd, admis le 8 avril 1908 dans le service neuro-pa- thologique de l' Hôpital Staro-Ekaterioiasky. Le malade se plaignait d'imm
ndu incapable de marcher et de parler. Aussi, le conduisit-elle à l' hôpital , où, à la suite d'un traitement ioduré, les tro
onologiquement que Rabelais était il Lyon en 1538, médecin du grand hôpital . Plus exactement encore, d'après Cabanes, Rabel
ué en- viron un mois après le premier. Un mois après l'entrée à l' hôpital , on notait un peu d'hypoesthésie à la pi- qûre
ertiges fréquents, gâtisme, idiotie. Mort après un an de séjour à l' hôpital avec cachexie progressive par tuberculose pulmo
the med. sciences, t. 121, p. il. (2) Touciir, Bull. Soc. méd. des hôpitaux de Paris, 1902, p. 941. (3) Ludlum, New-York me
rs que bien hypothétique. , (1) Ménétrier et GUCKLER, Soc. méd. des hôpitaux de Paris, 8 juillet 1904. (2) HR1CHAI1DT, Deuts
sies) (Suite el fin). PAR M. Nicolas ELDAROFF, , Interne de l' hôpital ANATOMIE PATHOLOGIQUE Considérant cet article
ive, les bains à vapeur sèche, etc. Sous l'influence du régime de l' hôpital , du repos et de tous les traite- ments physique
e vertébrale. Dans l'observation 7, après un mois de traitement à l' hôpital , la faible limitation qui existait auparavant dan
arie. En terminant mon travail, je prie l'honoré directeur de notre hôpital médecin en chef M. Iena Saritcheff et 31. P. Pr
n) transmis de l'infection au singe, Bull, et lllém, de la Soc. des Hôpitaux de Paris. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtriè
S BULBAIRES PAR Charles FOIX, Ancien interne, médaille d'or des Hôpitaux . La malade dont nous apportons l'observation pr
re est respectée. (1) BAi31Nsizi, Bull. et Rev. de la Soc. méd. des Hôpitaux , 1890, p. 6 ! 1. xxiv 20 306 poix La 10° pa
! 1911. DÉFORMATIONS ACROMÉGALOIDES PAR S. MOSSÉ Interne des hôpitaux . Le syndrome de l'acromégalie a été magistralem
. Le malade André L..., âgé de 20 ans, boulanger à Paris, entre à l' hôpital pour des ulcérations superficielles siégeant su
almologique qui a été pratiqué dans le service d'ophtalmologie de l' hôpital Beaujon. Au point de vue visuel on constate :
lo-urinaires. Les urines ont été analysées à l'entrée du malade à l' hôpital : on a constaté la présence de traces d'albumine,
ore un déséquilibré mental. Il aime jouera des jeux d'enfants ; à l' hôpital , il s'amusait à courir dans les couloirs et à g
aminer le fond de l'oeil. Etat mental. - Le malade est arrivé à l' hôpital dans un état de démence fort accentué, qui jusq
l qu'il a été décrit par Babinski en 1899 à la Société médicale des Hôpitaux , puis d'une façon plus précise à la Société de Ne
le 3 mars 1911 dans le service de M. le professeur Stoicescun il l' hôpital Coltzea et sorti le 17 avril de la même année.
s a été donné d'observer dans le service de M. Mollard, médecin des hôpitaux de Lyon, alors que nous étions son interne (1).
. Elle s'est montrée très complaisante pour ses voisines de lit à l' hôpital , et aimait à rendre ser- vice aux soeurs. Ses
aphie dans le nanisme el l'achondro- plasie, Soc. de l'Internat des hôpitaux , 23 déc. 1909. BOULF'I'GEn. - Idiotie el achond
; il en était (1) Le malade est dans le service des vieillards de l' hôpital général de Montpellier. Nous avons recueilli so
ue jamais rien vînt les rapprocher. A l'heure actuelle B... vit à l' hôpital général de Montpellier où il est hospi- talisé
qui, en rapportant un nouveau cas à la même So- ciété Médicale des Hôpitaux de Paris, s'élevaient contre le nom d'infanti-
çue aux yeux du malade. Il est soigné à diverses reprises dans deux hôpitaux pour « de l'anémie » ; on lui trouva une hypertro
. Il fut soigné à 53 ans pour un eczéma, mais lorsqu'il sortit de l' hôpital , il se mita pâlir et vit tomber ses poils, en m
XII (Achard et Démanche, résumée). Homme, 68 ans, maçon, entré à l' hôpital pour de l'hyposystolie. Une blen- norragie à 18
(Batssnun et BAUER, résumée). Femme, 29 ans, domestique; entrée à l' hôpital pour une hémiplégie par em- bolie d'origine car
s inédits). Homme de 26 ans,' matelot. A fait un premier séjour à l' hôpital de la Croix- Rouge daus le service de M. Gallav
rier 1909, pour une grippe légère. " Il fait un second séjour à l' hôpital , en juin 1911, pour des accidents syphi- litiqu
'il revint à lui (au bout de 3 heu- res, assure-t-il), il était à l' hôpital et souffrait d'une douleur très vive. Rapi- den
très foncée. Il raconte qu'il fut très malade. Lors- qu'il quitta l' hôpital après un séjour de 3 mois, le volume et la colora
ante de matelot. En mai 1909, il fit un séjour de deux mois dans un hôpital de Marseille pour une lièvre typhoïde. Trois se
). Homme de 35 ans, étudié à trois reprises : une première fois à l' hôpital Saint-Potbin, ensuite à l'Hôtel-Dieu dans le se
revenus ; mais la vue a baissé. Il est entré le 26 juillet 1910 à l' hôpital Sl-Pothin pour se faire arracher une dent,et, b
ard et DEHANCHE. Un cas d'atrophie testiculaire. Société Médicale des Hôpitaux de Paris, 21 décembre 1906. ANCEL et BUBL ? S
'chultenne (t'seudo-111yxoedeme syphilitique). Société Médicale des Hôpitaux de Paris, 8 juin 1901 et 23 mai 1902. - DEOOVE.
1-1912. Marie ¡PIERRE). - Comptes-rendus de la Société Médicale des Hôpitaux de Paris, in Semaine mélicale, 1902, p. 93. M
cules. Absence d'infantilisme et de féminisme. Société Médicale des Hôpitaux de Paris, mars 1902. ; r INSUFFISANCE PLURIGLAN
l est faible, et marche difficilement... Vieil habitué des salles d' hôpital , il passe d'un service dans l'autre, et après que
est resté ainsi 2 mois 1/2 à l'HOtel-Dieu annexe. A sa sortie de l' hôpital , en février il, il a repris ses occupations de po
vent. Aussi en 1907 et en 1908, doit-il faire plusieurs séjours à l' hôpital ; il entre dans le service du Professeur Ballet
ES ACCIDENTS DU TRAVAIL, Par A. HALIPRÉ et JEANNE Médecin des Hôpitaux de Rouen Chirurgien des Hôpitaux de Rouen. Les
A. HALIPRÉ et JEANNE Médecin des Hôpitaux de Rouen Chirurgien des Hôpitaux de Rouen. Les travaux de Charcot ont établi l'e
- vembre 1910 dans le service ,de M. le professeur Nanu-Muscel, à l' hôpital Filanthropia. Il vient dans le service, se plai
dans l'impossibilité de marcher,surtout un mois avant son entrée il l' hôpital . Etat actuel. De constitution faible, le malade
. D..., âgé de 55 ans, cireur de bottines, né en Perse, est entré à l' hôpital 1 'erleudi le 22 octobre 1910. Observation pris
rt que pendant un mois il ne put pas mar- cher et il dut rester à l' hôpital Colentina. Il est sorti de là amélioré, car il
, 'exprime mes vifs remerciements à mon ami le D' Goilar, chef de l' hôpital Ferlendi, pour l'amabilité avec laquelle il a tou
21 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
de quarante-deux ans, entre le 24 mai 1886, salle Andral, n° 8, à l' hôpital Tenon, service de M. le professeur Straus. Anté
des pieds, des genoux et des poignets, qu'il demande son entrée à l' hôpital . Il s'agit de rhumatisme subaigu, non déformant.
t jusqu'à produire les déformalions pour lesquelles il est venu à l' hôpital . État actuel (2 décembre 1887). L'éminence hypo
usieurs mois. Son observation a été prise par M. lluet, interne des hôpitaux , et publiée 'in extenso dans lalfhèse de M..Bat
meura chez lui dix-sept jours, puis entra le 1 cr novembre 1887 à l' hôpital . Dès le lendemain de l'accident, les membres su
deux jambes étaient incapables de se mouvoir. On la transporta à l' hôpital . Là, elle fut simplement placée dans le décubitus
nvolontaires des orteils. Au bout de seize mois, la malade quitta l' hôpital . Ses deux membres inférieurs demeuraient à peu
nsidérable que dans les précédentes grossesses. Elle est entrée à l' hôpital de la Pitié pour y accoucher. L'accouchement a en
sées refu- sant tout service. On la transporta immédiatement il l' hôpital Trousseau, dans le service de M. le professeur
ns bientôt parler. Au bout de quatre mois, Marie D... sortit de l' hôpital Trousseau; la sensi- bilité commençait à repara
endormie, le 4 juin, avec l'aide du docteur Tuffier, chirurgien des hôpitaux , qui constate une subluxation en haut de la tête
qui devint spasmodique, eschares qui guérirent. Le malade quitta l' hôpital avec de la paraplégie spasmodique. Quoi qu'il
24 novembre 1881, à 32 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. l' hôpital Cochin, salle Saint-Jacques, lit ne 29, dans le s
ion pulmonaire persistent à droite. 27 décembre. Le malade quitte l' hôpital . Il subsiste une paralysie du membre supérieur
t à disparaître entièrement. TUFFIER, HALLION, . Chirurgien des hôpitaux . Interne îles hôpitaux. NOTE SUR L'ÉTAT DES FOR
rement. TUFFIER, HALLION, . Chirurgien des hôpitaux. Interne îles hôpitaux . NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES ET SUR LE TREMBLE
S, P. 13CZ.1Nç0 l\IédcLln-adJoilll de la Salpèll iùre * Interne des hôpitaux . Fig. 31. - Exemple d'un lire isolé chez la mal
riées, dont l'éloignement et la difficulté de se faire conduire à l' hôpital nous ont paru surtout à invoquer. Les quatorze
bliques qui, le plus souvent, ne les déposaient pas à la porte de l' hôpital . Au bout de vingt à trente séances le signe de
probablement, les amygdales étaient gonflées. Elle entre alors à l' hôpital Beaujon. Au bout de huit jours, elle n'avait pl
le genou et surtout dans la hanche du côté gauche. Elle sortit de l' hôpital Beaujon, où elle avait eu trois ou quatre crises
ou deux attaques d'hystérie par semaine : elle a eu la première à l' hôpital Beaujon, au mois de juillet 1887. L'attaque dure
ie dans l'oeil gauche. C'est la première fois depuis son entrée à l' hôpital que la vue se rétablit ainsi d'une façon sponta
sont surtout marqués au niveau de l'oeil gauche. A son entrée à l' hôpital , la malade est soumise à l'usage quotidien des
les uns comme les autres. Au premier rang, voici plusieurs scènes d' hôpital . Une fresque de Taddeo di Bartolo (1,363-1 ? )
aîtres de l'école, siennoise, nous montre l'intérieur d'une salle d' hôpital au moment où l'on donne les soins aux malades. La
nges de l'IIôtel-Dieu, et faire connaître l'administra- tion de cet hôpital au temporel et au spirituel2. 1. Extrait du liv
Te cuite émaillés, de Lucca della Bobbia, qui ornent la façade de l' hôpital de Pistoia et représeu- tent les OEuvres de mis
l'avoir rencontrée pour ainsi dire, à chaque pas dans nos salles d' hôpitaux . Près de lui, le médecin vêtu encore de son man
et comme engourdi, dès lors elle commença à boiter. Elle entra à l' hôpital Cochin; elle y passa trois mois et demi. Là, elle
tente de son bras et de sa jambe gauches que lors de son entrée à l' hôpital . En juin 1888, elle éprouva pour la première fo
er remède. Ch. Féré, IL LA ! 11Y, Médecin de Bicêtre. Interne des hôpitaux . il i NOTE SUR LE PLI FESSIER On enseigne d
lade y est-elle que, sans perdre de lemps, M. Seron, médecin de cet Hôpital , lui fait prendre l'émétique. Il ajoute coup sur
Le 44'mai 1886, M. Chauffard rapportait à la Société médicale des hôpitaux l'histoire d'un jeune malade de treize ans attein
J. Coxalgie hystérique avec atrophie musculaire (Société médicale des hôpitaux , 28 juin 188G). 0. Hémiplégie hystérique avec
demie le soir, ce ne fut que vers huit heures qu'on le transporta a l' hôpital ; des gamins qui passaient avaient été prévenir
d survenait l'accident que nous avons décrit. Une fois entré Li l' hôpital , l'état persista tel qu'après la chute; les bras
té obligeam- ment communiquée par M. Tuffier, agrégé chirurgien des hôpitaux . L'oedème hystérique fréquente donc les service
ur Charcot. 1. Des troubles trophiques dans l'hystérie (Gazette des hôpitaux , 1888, p. 561). 2. Nouveaux Fragments de cliniq
Cette paralysie persistait depuis un mois et demi lorsqu'il entra à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Troisier (
ir ses doigts; la sensibilité revint petit à petit. Il est sorti de l' hôpital envoie d'amélioratiou au bout de dix-sept jours
sisté à un certain degré jusqu'à la rechute. Pendant son séjour il l' hôpital on constata qu'il n'y avait pas de gonflement d
ter à Tenon où on lui a prescrit du bromure. Il n'est pas entré à l' hôpital , se contentant de se frictionner la main. Il es
tion nous a été communiquée par M. Truffier, agrégé, chirurgien des hôpitaux . Elle a été recueillie par M. Vignard, interne
sentait des fourmillements. Le samedi, il vient à la consultation à l' hôpital Necker n'ayant encore fait que des frictions à
tain degré de parésie du côté gauche. Entrée en septembre 1889 il l' hôpital Laënnec; au bout de quelques jours, contracture
au bout de quelques minutes une papule I. Ilirtz, Soc. médicale des Hôpitaux , séance du 25 janvier 1889. LA DERMOGRAPHIE. 28
ce 1. Chambard, loc. cil., p. 15. 2. Mâchez, Société médicale des Hôpitaux , 1872. 288 ' NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
appréciable. Cn. Féré, II. LAmy, Médecin de Bicêtre. Interne des hôpitaux . CONSIDÉRATIONS SUR LA COURBE DES EXCRÉTIONS
aladies nerveuses. Chef du laboratoire de chimie de la Faculté, à l' hôpital Saint-Louis. NOUVELLE ICONOGRAPHIE T. II PL.
éruption. Cit. Féré, II. LA,)iy, Médecin de Bicêtre. Interne des hôpitaux . ' 1. Gowors, Traduction française de Carrier,
du laboratoire de l'1limÏt' du sysf7·mc ncr\euf. de la Faculté, à l' hôpital S.\inl-Loui... UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE Le mal
ne) qui avait vu le malade en 18G8, dans le service de Monneret à l' hôpital Necker, avait porté le diagnostic d'atrophie musc
pendant dix ans. En 1886, il entra dans le service de Monneret, à l' hôpital Neekcr, où il fut examiné par Duchenne (de Boul
stérique, nous croyons devoir publier le cas sui- vant, observé à l' hôpital militaire de Carlsruhe. Ce qui augmente l'in- t
onétatle 4 mars-1888,jour où on le transporta sans connaissance à l' hôpital : C'est un homme vigoureux, bien bâti et bien m
un cours très favorable. A dater du 5° jour après son admission à l' hôpital , les attaques devinrent moins nombreuses; et si
- rades de lit et devint plus gai et plus communicatif. Il-quitta l' hôpital le 13 juillet il 888, six semaines après sa der
l'agriculture, nous écrivit que deux semaines après son départ de l' hôpital , le 30 juillet, il avait eu le matin, à son tra
sion, 33; - %il en place, 31, 35. lias-relief en terre cuite de l' hôpital de Pistoia, par Lucca Della Ilobia, 13; - tum
22 (1913) Exposé des travaux scientifiques
estion en mai igoi dans une communication à la Société médicale des Hôpitaux (7{¡). Entre temps, j'avais examiné avec Nageot
en est de même de Gaucher (Bulletins et Mémoires de la Société des Hôpitaux de Paris, 1 go i, pp. 5o2 et 5o4). Cestan et
valeur sémiologique ; ses relations avec la syphilis » (Gazelle des Hôpitaux , 1901, pp. 143ti et suiv.), écrivent : « ... grâc
cy ont attiré tout récemment l'attention de la Société médicale des Hôpitaux sur ces cas si curieux : notre observation, rem
Comptes rendus, p. zo4, je vois chaque année dans mon service, à l' Hôpital de la Pitié : de 200 à 3oo tabétiques et sur ce n
avec les mains, comme par exemple, les barres de lits d'une salle d' hôpital . Il faut remarquer que le pied suit à peu près
droite. Le malade meurt par syncope cinq jours après son entrée à l' hôpital . Etude anatomique. A l'oeil nu, on constate que
oustique, de maladie de Ménière. Chauffard et Boidin (Gazette des Hôpitaux , 21 juin 1904, p. 728) écrivent : « Nous avons
: « Étiologie et Pathogénie dela chorée de Sydenham » (Gazette des Hôpitaux , igi3, p. go3) j'extrais ce passage : « Les r
cation, Vaquez publia dans les Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux , 1902. pp. 79 et 80, un travail qu'il voulut bien
t vainement une seule dans les Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux de Paris et de la Société de Neurologie de ces
éder à une information auprès des garçons d'amphithéâtre des divers hôpitaux de Paris. Il est incontestable, en effet, que l
celle que j'ai faite, en compagnie de mon collègue Richardière, à l' hôpital des Enfants Malades. Pendant une période de dix-h
poplectiformes, etc. « Et Broussais n'était pas, croyez-le bien, un hôpital privilégié en matièred'hys- térie masculine. A
divers modes de la sensibilité dans la lèpre (Société médicale des Hôpitaux , 27 février 1891). 2(). Paraplégie flasque par
adaire, juillet isgl). 31. Polyurie hystérique (Société médicale de Hôpitaux , r3 novembre 18gi). 32. Notice sur les travaux
syringomyélie (en collaboration avec Desnos. Société médi- cale des Hôpitaux , 8 juillet 18g2). 34. Paralysie hystérique syst
on). 40. Contractures organique et hystérique (Société médicale des Hôpitaux , 5 mai 1893). 41. Sur les scléroses systémati
9 mai 1896). 45. llémiatroplrie de la langue (Société médicale des Hôpitaux , 31 juillet et 26 novembre 1896). 46. Aboliti
érieur paralysé dans l'hé- miplégie organique (Sociéié médicale des Hôpitaux , 3o juillet 1897). 5o. Sur le réllexe du tendon
e et l'hémiplégie hysté- rique (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux , numéros des 5 et 8 mai 1\)00). Go. Sur la para
a syphilis (en collaboration avec Charpentier. Société médicale des Hôpitaux , 17 mai 1901). 5. Contribution à l'étude du cyt
s pupillaires clans les anévrismes de l'aorte (Société médicale des Hôpitaux , 8 novembre igoi). . Variations de la gravité d
Tabes hérédo-s) philitiql1e. Tabès héréditaire (Société médicale des Hôpitaux , 24 octobre 1902). S4. Méningite cérébro-spin
aïque et sur cer- tains troubles auriculaires (Société médicale des Hôpitaux , 7 novembre 19°2). 87. Lésions syphilitiques de
création d'asiles spéciaux pour demi-infirmes (Société médicale des Hôpitaux , 2 1 février t go3). () 1. Lymphocytose dans le
ections auriculaires par la ponction lombaire (Société médicale des Hôpitaux , 24 avril igo3). z gri. Sur le mouvement d'incl
ns lombaires ; traitement mercuriel. Guérison (Société médicale des Hôpitaux , 23 oc- tobre igo3). 100. Sur la prétendue al
ndue albuminurie hystérique (2e communication. Société médicale des Hôpitaux , 1 1 décembre igo3). io5. Sur le traitement des
on lombaire (en colla- boration avec Boisseau. Société médicale des Hôpitaux , 20 avril 100Û). 108. Introduction à la sémiolo
importance en médecine légale (Leçon faite à la Pitié. Gazette des Hôpitaux , 1 1 octobre igoli). iog. Maladie bleue. Cyanos
ception de l'hystérie et de l'hypnotisme (Société de l'Internai des Hôpitaux de Paris, 28 juin igo6). 126. Asynergie et iner
améliorée à la suite de l'usage des rayons X (Société médicale des Hôpitaux , 3o no- vembre igo6). 129. Sur les injections
e dans les paralysies spasmodiques spinales (Société médi- cale des Hôpitaux , ter mars igo7). 134. Suggestion et hystérie. A
roubles trophiques de la peau dans l'hystérie (Société médicale des Hôpitaux , 6 décembre 1907). 14G. Quelques remarques sur
la ponction céphalique comparées entre elles (Société médicale des Hôpitaux , 3o juillet J (09)' INDEX BIBLIOGRAPHIQUE 227
et igio). 176. Inversion du réflexe du radius (Société médicale des Hôpitaux , 14 octobre igio). 177. Paraplégie spasmodiqu
écorce cérébrale (en collaboration avec Gendron. Société médicale des Hôpitaux , 22 mars 1(12). 190. Contribution à l'étude d
agie méningée (en collaboration avec Jumentié. Société médicale des Hôpitaux , 31 mai igi2). r96. Élude comparative des limit
collaboration avec Enriquez et Gaston Durand. Société médicale des Hôpitaux , 16 juillet IgI3). 206. Mouvements réactionnels
23 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ous ce rapport, il s'est produit, depuis que la malade est entrée à l' hôpital , quelques changements que je tiens à vous faire c
forme en quelque sorte suraiguë il y a cinq ans. Le séjour au lit à l' hôpital d'Argenteuil a été absolu pendant environ cinq se
e. — Elle ne peut plus parler depuis quelques jours. 1. Gazette des Hôpitaux , 1884. 2. G. Guinon: A propos de deux travaux r
ion, je tiens à déclarer que c'est à l'obligeance de mon collègue des hôpitaux , M. Marie, que je dois de pouvoir vous présenter
te que M. Marie va lire dans quelques jours à la Société médicale des Hôpitaux (1). Si donc vous trouvez quelque intérêt à not
1. Sulfure de carbone et Hystérie, comm. à la Société médicale des Hôpitaux , 9 novembre 1888, Gaz. hebdom., 23 novembre 1888.
de l'homme et sous quel aspect elle se présente à chaque pas dans nos hôpitaux , depuis qu'on a appris à la connaître. Déjà même
muer progressivement les divers segments de ce membre. Au sortir de l' hôpital , six ou huit semaines après l'accident, il boitai
t aussi les excès vénériens et alcooliques, ne s'est pas présenté à l' hôpital dans l'espoir d'y être débarrassé des reliquats d
bout de quinze jours, il pouvait sortir de chez lui et se rendre à l' hôpital de la Pitié, près duquel il demeure, pour y prend
ut lorsqu'il s'agit d'un malade step-peur qui vient nous consultera l' hôpital . Nous avons prié le malade de mettre à nu ses m
pendant cette période qui s'étend jusqu'en 1887, date de l'entrée à l' hôpital Laè'nnec, les faits pathologiques suivants : nomb
bsolument impossible, B... dut demander une fois de plus à entrer à l' hôpital . Il fut, nous l'avons dit, admis à Laè'nnec dan
première fois montrées il y a près de deux ans pendant le séjour à l' hôpital Laënnec ; elles subsistent encore, dans toute leu
oférer de temps à autre le nom de Maria ! Maria ! c'est le roman de l' hôpital Laënnec qui se déroule devant les yeux de son esp
tion des abus alcooliques, par la stricte observation des règles de l' hôpital , a eu pour effet de produire en lui quelques amen
on, à Saint-Georges hospital, pour une période de 31 ans,16 cas ; a l' hôpital des Enfants malades, dans une période de 15 ans,
la jeune femme morte « d'épuisement » cinq jours après son entrée à l' hôpital , l'autopsie est restée négative (Semaine médicale
la fin est assez prononcé. En 1887, la petite, ayant été placée à l' hôpital des Enfants malades, a été traitée par le bromure
la cessation de sa dernière colique pour laquelle il a été soigné à l' hôpital de Tours, c'est-à-dire en septembre 1888, il a co
e demi-heure pour le transporter à la gare de Paris d'abord, puis à l' hôpital de Lariboisière, et, pendant tout ce temps, il es
é droit clu thorax, les genoux, la tête; voilà tout. Il'put quitter l' hôpital au bout de quatre jours et sé rendit chez lui où
'exactitude : elle nous assure qu'il y a trois ou quatre ans, dans un hôpital où elle a été admise comme ataxique, alors qu'ell
à Paris, elle devint soutirante, au point d'être 0D^g6e d'entrer à l' hôpital ; elle était pâle et se plaignait de palpitations
La malade dut, en conséquence, demander de nouveau son admissioh a l' hôpital . Elle séjourna d'abord à Saint-Antoine dans le se
s loin, sa santé s'est altérée au point qu'il a dû être admis dans un hôpital . Les symptômes nouveaux qui s'étaient produits
gèrent à s'aliter. Trois semaines environ plus tard, il fut admis à l' hôpital Saint-Antoine d'où grâce à l'obligeance de notre
plus été revus ensuite. Beaucoup de malades d'ailleurs fréquentent l' hôpital dans le but d'apprendre à se suspendre, et après
t à ce qui a lieu pour les deux autres (2). 1. Société médicale des hôpitaux , mars et avril 1887. 2. Leçons du mardi, 1887-8
ux de l'état normal, 37°5, 37°2. Lorsque cette malade est sortie de l' hôpital , tous les symptômes de la maladie de Basedow pers
it allusion dans une des dernières séances de la Société médicale des hôpitaux (2). 1. Le cas de paraplégie survenue dans une
ce ?— La malade reprend le papier et écrit : «Admission d'urgence à l' hôpital , comme malade. » M. Charcot, aux auditeurs : Al
e encore les jours suivants et la malade futen conséquence admise à l' hôpital de Saint-Denis où elle resta une huitaine de jour
né, et d'après notre conseil l'a remis entre nos mains. Les accès à l' hôpital se sont répétés pendant quelque temps tous les de
par conséquent bien souvent l'occasion d'observer dans la pratique d' hôpital . Il est curieux de remarquer, en effet, Messieurs
parler d'après ce qui m'a été dit par plusieurs de mes collègues des hôpitaux , autrefois mes élèves ; et cette remarque s'appli
à celui du bureau central où se présentent pour l'admission dans les hôpitaux des malades atteints des affections les plus dive
nre et de cette classe dans la population qui, à Paris, fréquente les hôpitaux généraux. On les y rencontre vulgairement et en p
résultats intéressants ; ainsi dans le seul service de M. Ballet, à l' hôpital Necker, il s'est à un moment donné, trouvé sur un
ns un but d'étude, attirer à lui quelques-uns de ces sujets. Mais à l' hôpital Saint-Antoine, les conditions n'étant plus les mê
a été à peu près la même dans la plupart des autres services du même hôpital . L'hôpital en question est, vous le savez, situ
près la même dans la plupart des autres services du même hôpital. L' hôpital en question est, vous le savez, situé dans un fau
ntoine », comme on l'appelle dans le Faubourg, soit, à Paris, le seul hôpital où l'on rencontre beaucoup d'hystériques mâles. J
r M. le Dr Marie : l'hystérie à la consultation du bureau central des Hôpitaux de Paris. V. progrès médical, p. 68, 27 juillet 1
et ne reprit ses sens que deux heures après ; il se trouva couché à l' hôpital Tenon. Il ne se rappelle rien de ce qui s'est pas
rt léger, car. au bout de 11 jours, le malade demandait à sortir de l' hôpital , se croyant complètement guéri. Ici commence un
e D1' Debove, clans une communication faite à la Société médicale des hôpitaux (le 23 janvier 1889) est revenu sur ce sujet a pr
ervation a été recueillie comme l'une de celles citées plus haut, à l' hôpital du Val-de-Grâce, service de M. Kelsch. Le début d
va à Liège le cinquième jour, dans un état déplorable et fut reçu à l' hôpital anglais où il resta traité,paraît-il, pour un « r
nd à Spa, toujours à pied, et de là à Verviers où il entre encore à l' hôpital . Il y éprouva quelque soulagement de sa douleur s
rçon de sa connaissance ayant été le troisième jour de son séjour à l' hôpital , le voir pour prendre de ses nouvelles, il lui a
ail lu à l'Académie de médecine 1883 3. Rendu, Société médicale des Hôpitaux 13 janvier 1882. 4. Lancereaux, Union médicale
r 1889. autres. L'observation communiquée à la Société médicale des hôpitaux par M. Rendu est, au point de vue clinique, parti
r après l'accident, et il put se promener un peu dans les salles de l' hôpital . Mais il se sentait très faible des jambes et il
t une certaine raideur. Néanmoins, cinq jours après, il put quitter l' hôpital et, les jours qui suivirent, bien que ses « mauva
les hystériques mâles, — je ne parle que de ceux qui fréquentent les hôpitaux de Paris, — l'hypnotisation qui, ailleurs, assure
Elle avait été d'abord,il y a trois mois envoyée de son domicile à l' hôpital Bichat, où bientôt elle fut prise d'un délire vio
ut où elle était assez accentuée lors de l'admission de la malade à l' hôpital , elle tend chaque jour à s'atténuer. Il n'est pas
u'en effet une grande fête de nuit était donnée par le directeur de l' hôpital ; et même, l'illusion persistant quelque temps ap
Elle était vraiment dans un état pitoyable lorsqu'elle est entrée à l' hôpital Bichat, vers le 5 ou 6 janvier. C'est là, ainsi q
et en conséquence, Lap..sonne n'a pas cessé de fréquenter, tantôt les hôpitaux lorsque les accidents nerveux dont il souffrait l
sept ans. Il en a eu trois ou quatre seulement depuis son entrée à l' hôpital . Voici d'après la relation des gens du service qu
é couché quelques jours et enfin, j'ai pris le parti de me rendre à l' hôpital Saint-Antoine d'où, le lendemain de mon arrivée,
guéri, quatre mois seulement après. A l'époque où il a été admis à l' hôpital , on a relevé ce qui suit. Il y a un peu d'atrophi
servation a été présentée par M. Gibier de Savigny, alors interne des hôpitaux , à la Société de Biologie et reproduite dans la R
e sujet est un homme de 28 ans exerçant la profession d'infirmier à l' hôpital du Midi. Il est issu d'un père émotif qui a eu pl
usage des boissons alcooliques : elle est morte àl'âge de 57 ans, à l' hôpital Saint-Antoine. Un des frères de sa mère, comédi
aise habitude de boire beaucoup d'absinthe; il est mort également à l' hôpital Saint-Antoine. Voici maintenant ce qui concerne
s crises de tremblement, précédées d'aura. Le malade a été traité à l' hôpital d'Angou-lèmé ; les applications de pointes de feu
xamen attentif que nous avons fait du sujet lors de son admission à l' hôpital nous a fait reconnaître ce qui suit : il existe u
ait produit à cette époque. Dans les derniers temps de son séjour à l' hôpital , il a à plusieurs reprises présenté les phénomène
l'heure, démontré dans une séance récente de la Société médicale des hôpitaux (22 février 1889), les caractères cliniques, aujo
mon ami, M. le Dr Gombault, dans la séance de la Société médicale des hôpitaux du 8 mai 1889, paraît peu favorable à la doctrine
ebove a présenté, il y a quelques semaines, à la Société médicale des hôpitaux . C'est un nommé Bar.....my, âgé de 38 ans qui,
les plus vulgaires parmi les travailleurs manuels qui fréquentent les hôpitaux de Paris. Il faudra donc dorénavant compter avec
intervalles variables. Au mois de janvier 1889, il alla consulter à l' hôpital Necker et sous l'influence du traitement hydrothé
signes qui faisaient encore défaut à l'époque où le malade a quitté l' hôpital . Il est difficile, en vérité, de ne pas reconna
en. Le nommé H... Augustin, employé, âgé de 51 ans, se présenta à l' hôpital Necker, le 8 août 1887. Cet homme se plaignait d'
M. Terrillon quelques jours après la leçon. La malade est sortie de l' hôpital deux mois après complètement guérie. "Voir d'aill
t que son état restait stacionnaire, le malade se décida à entrer à l' hôpital . Voici ce que l'on constatait: Etat actuel. — A
t normale. Durant les quelques jours que le malade passa encore à l' hôpital , en attendant la disparition d'une poussée d'eczé
24 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ECTEUR Honore DU LABORATOIRE DE DE MÉDECINE LA CLINIQUE MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
MARIE et A. COUVELAIRE Médecin de l'Hospice de Dic6tre Interne des hôpitaux . Nous apportons un nouveau document il l'histoi
grave avec une convalescence longue; il ne quitte définitivement l' hôpital que sept mois après le début de la dothiénentérie
, Professeur agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire Médecin des hôpitaux à la Faculté. Au mois d'avril 1898 nous avons a
use à prédominance cervicale, Bull. et mém. de la Soc, médicale des hôpitaux , 7 avril 1898 et Presse mé- dicale, 1er juin 1S
de 2e classe au 110 Bataillon d'Artillerie à pied, est envoyé il l' hôpital le 14 mars 1899 « en observation ». Il se plaint
» déclarée insignifiante, mais incurable. Il sortait à peine de l' hôpital au moment de son incorporation (in no- vembre).
dans l'escalier ; il est relevé par des hommes du poste. Envoyé à l' hôpital militaire le G janvier, il y est admis dans un se
out par des idées hypochondriaques qui ne l'ont ja- mais quitté à l' hôpital , et qui semblent depuis longtemps enracinées; il
casion de son tympanisme. Dans les premiers temps de son séjour à l' hôpital , il provoquait assez vo- lontiers le gonflement
sont éche- lonnées à intervalles irréguliers pendant son séjour à l' hôpital : comme elles sont toutes concordantes, comme i
ment anormal de son ventre. Depuis, l'exercice, la marche même, à l' hôpital , une marche un peu prolongée, ont provoqué le tym
ITALE DE LA REGION LOMBAIRE PAR P. PIOLLET, Interne lauréat des Hôpitaux de Lyon. Nous avons eu l'occasion d'observer à
à la Charité, dans le service de M. Nové-Josserand, chirurgien des hôpitaux ,uncasde tumeur congénitale de la région lombair
édecine de Montevideo. J'ai observé dans ma clinique de Montévidéo ( Hôpital de la cas dont les traits singuliers peuvent se
lle ne paraît avoir fait aucune maladie avant celle qui l'amène à l' hôpital . D'après les renseigne- ments fournis par la pe
rait débuté sa maladie. Vingt jours ou un mois avant son entrée à l' hôpital , cette fille était, à ce qu'il paraît, tout à fai
a ville. La malade se présenta d'abord à la consultion externe de l' hôpital où le pro- fesseur d'ophtalmologie, Dr Isola, c
mparable à celui que nous avons fait le lendemain de son entrée à l' hôpital . Lors de son entrée à l'hôpital, la malade avai
fait le lendemain de son entrée à l'hôpital. Lors de son entrée à l' hôpital , la malade avait des vomissements continus, bil
ntellectuel' la malade a changé sensiblement depuis son arrivée à l' hôpital . Pendant les pre- miers mois de son séjour dans
NT, Revue de médecine, 1867. Femme de 46 ans, ménagère. Entrée il l' hôpital le 6 août 1895 et sortie le 6 septembre; pas d'
IES VERTÉBRALES DANS LE TABES, PAR JEAN ABADIE, " Interne des Hôpitaux de Bordeaux. 1 INTRODUCTION. HISTORIQUE. En
é d'anatomie de Bordeaola colonne vertébrale d'un ataxique mort à l' hôpital Saint-André. Les ver- tèbres présentaient les l
rs et poreux. Bad... Jean, journalier, âgé de 56 ans, est entré à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, service de M. Demons,
d'une fracture de la cuisse gauche. Après 4 à 5 mois de séjour à l' hôpital , il sort guéri sans raccourcissement, avec une lé
s aspect et c'est à cause d'elle que le malade demanda à entrer à l' hôpital le 5 mai 1885.' Etat actuel le 6 mai 1885. - Ho
Mais le membre resta douloureux et la malade se fit transporter à l' hôpital . Etat actuel le 21 novembre 1885. Dès le prem
Os légers, poreux. Ch... Françoise, entre pour la première fois à l' hôpital Saint-André de Bor- deaux, dans le service de M
le 5 juin 1887, c'est-à-dire, trois ans après son premier séjour l' hôpital . , La malade a beaucoup maigri. Cet amaigrissem
nt les rêves. Mais la cause déterminante du retour de la malade à l' hôpital est l'apparition d'une arthropathie, siégeant d
NDROME DE WEBER SUIVI d'autopsie, PAR A. SOUQUES, Médecin des Hôpitaux . Le syndrome de Weber se présente d'habitude so
récemment. JeanneB..., 50 ans, ménagère, entre le 27 août 1899 à l' hôpital Cochin dans le service de mon maître M. le Dr C
NÉMATOGRAPHE ( 1 ) . PAR M. G. MlARINESCO, Médecin en chef de l' hôpital Pantelimon, Professeur à la Faculté de Médecine
ofesseur agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire de la médecin des hôpitaux . Faculté. L'adéno-lipomatose symétrique, arrivé
utre que le malade présenté par M. Ilayem à la Société médicale des hôpitaux . D'autre part le malade de Reverdin sur lequel
ail- leurs revenu sur son opinion et dans la Clinique médicale de l' hôpital St-Antoine (Masson et Cie, 1900) il a bien voul
889, p. 652. Carl. Dr., peintre, 43 ans, entre à deux reprises il l' hôpital de Brunswick le 2 mars 1888 et le 21 janvier 18
r 1889. Les 2 photographies se rapportent il son dernier séjour à l' hôpital . A ce moment le malade est porteur d'un volumin
AYEM, Société méd. des lt6p., mars 1897 et Cli- nique médicale de l' hôpital St-Antoine (Masson, 1900). Lem...., 38 ans, emp
tableau donne cette indication peu précise : « Breughel d'Enfer. Un hôpital ». Le tableau n'est pas très bien conservé; il
pris ensuite. Notre blessé commence alors son odyssée à travers les hôpitaux de Paris et séjourne à l'hôpital Andral, octobr
e alors son odyssée à travers les hôpitaux de Paris et séjourne à l' hôpital Andral, octobre 1890, dans le service de .1\1. 1
s troubles dans le sens stéréognostique et de l'alexie. Il quitta l' hôpital le 6 février. , Quand on commandait quelque cho
grès lents mais continus. Le 25 mai. La blessée demande à quitter l' hôpital . » Cette fréquence de l'aphasie n'a pas lieu de
son pardessus était resté sur la locomotive. Il fut transporté à l' hôpital moins d'une heure après l'accident. Il était alor
tre un ouvrier son camarade, qui était placé dans un lit voisin à l' hôpital . Mais le fait le plus remarquable était que les v
ant à l'accident a disparu et n'a jamais reparu. Lorsqu'il quitta l' hôpital , quelques événements antérieurs lui revenaient
e moins grand que celui qu'on avait constaté pendant son séjour à l' hôpital . A cette époque, il y avait un oubli parfait de
ès court dans un état somnolent. Vers le soir, on le transporta à l' hôpital . le patient se plaint de forts maux de tête, te
a peu à peu et finit par le gêner assez pour le décider à entrera l' hôpital où il fut placé salle n° 16, lit 28. Le lendema
ofesseur agrégé à la Faculté, Chef de laboratoire de la médecin des hôpitaux . Faculté. Observations. Obs. XXI (PI. XXXV).
e celle que le malade présente actuellement aurait été extirpée à l' hôpital de St- Denis il y a 7 ans par M. Leroy des Barr
bservé par M. Tissier dans le service de M. Bar à la maternité de l' hôpital St-Antoine, et dont un de nous a pu faire la radi
emme de peine et de ferrailleuse. Elle est placée à la salle 4 de l' hôpital Saint-André dans le service de M. Rondot supplé
dire deux ans avant l'apparition des symptômes qui l'ont amenée à l' hôpital , la malade qui jusqu'alors n'avait ja- mais sou
s, ni douleurs viscérales. Le médecin appelé conseilla l'entrée à l' hôpital . En 1896 et en 1897 la malade avait de l'instab
DANS LE TABES - - (suite) '" PAR JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bordeaux. II OBSERVATIONS CLINIQUES SANS A
ée de quarante-cinq ans, exerçant le métier de tailleuse, entre à l' hôpital Saint-André le 17 octobre 1898, service de M. le
empare d'elle et c'est dans un état squelettique, qu'elle entre à l' hôpital le 17 octobre 1898. Cet amaigrissement siège su
ion du thorax. Après un séjour de deux semaines, la malade quitte l' hôpital . Elle revient chez elle et se livre à des trava
s intenses que les précédentes, elle est transportée de nouveau à l' hôpital Saint-André, le 12 mai 1899. Son état s'est peu
e-neuf ans, exerçant la profession d'employé de commerce, entre à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, service de M. le pro-
manifestations existent encore au moment de l'entrée du malade à l' hôpital .' , 286 JEAN ABADIE L'amaigrissement est nota
e. J. Fas..., âgé de cinquante-huit ans, commissionnaire, entre à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, salle 6, lit n° 26, se
E Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris Médecin des Hôpitaux Dans le n° 2 de la Nouvelle Iconographie de la
vélé d'ailleurs aucune maladie orga- nique. Depuis son entrée à l' hôpital , l'état de la malade s'est sensiblement ag- gra
Le nommé Arbon Jean, cocher de fiacre, âgé de 40 ans, est amené à l' hôpital Laénnec dans le service de M. Damaschino pour d
symptômes d'une fracture du rocher. Il est resté trois semaines à l' hôpital , puis il est parti, se croyant guéri complète-
V. Il s'agit d'une enfant de 3 ans, Matbilde D., qui fut amenée à l' hôpital Ste- Marie en septembre 1887. Depuis sa naiss
laquelle son amant avait tiré un coup de revolver. Elle sortit de l' hôpital guérie de tout : de sa plaie et de son hémiplég
tion. Ko..., âgé de 34 ans, charpentier, entre le 14 avril 1900 à l' hôpital Tenon, salle Bichat, no 10. Sa haute stature at
l'écoulement d'un peu de liquide louche. Il est venu consulter à l' hôpital pour quelques douleurs qu'il éprouvait dans les
ne à 5 litres et celle du sucre à 165 grammes. - Le malade quitte l' hôpital le 8 mai. Il y rentre le 18 mai, se plaignant d
en moyenne de 1000 à 1100 centimètres cubes. Le malade sort de l' hôpital le 8 juin. Ce malade est avant lout un géant. L
Bd. 157. (3) P. Marie, Revue de Médecine, 1886. G. Guisos, Gaz. des hôpitaux , 1889. Haskovec, ibid., 1893. DALLEMAGNE, Arch.
ie, 22 juin 1895. P. RAVAUT, Bull. et : llém. de la Soc. médic. des hôpitaux , 23 mars 1900, p. 352. (4) F. CHVOSPEIC, Wien
S Interne provisoire Préparateur du service d'électrothérapie à l' hôpital Suburbain de Montpellier. La séparation arbitra
ES VERTÉBRALES DANS LE TABES (Suite). JEAN ABADIE Interne des hôpitaux de Bordeaux. III. SYMPTOMATOLOGIE. Ces quator
bert T..., tapissier, 54 ans, entre le 11 avril 1900, salle Béhier, Hôpital Laënnec. Aucun antécédent héréditaire intéressa
épanchement, volumi- neux et tendu. En cet état, le malade quitte l' hôpital Bichat; et, peu après, nous est amené à Laënnec
ES (Suite et fin) Par JEAN ABADIE . Interne (médaille d'or) des hôpitaux de Bordeaux. ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Les quelq
e tire deux coups de revolver dans la bouche. Il est transporté à l' hôpital de Nîmes où il est soigné jusqu'aux 4 et 5 septem
avait reçu un coup ou fait une chute sur la tête. Il fut amené à l' hôpital sans conscience, mais reprit bien- tôt ses sens
tobre 1896, salle Velpeau, lit n° 27, service de M. le Dr Blum, à l' hôpital Saint-Antoine. On ne relève rien de particulier
ipité à terre et resta évanoui sur le coup. Il fut transporté à l' hôpital Saint-Antoine, à ce moment il était plongé dans
la calotte crânienne, hémorrhagie sous-méningée. Le malade quitte l' hôpital le 15 juillet, l'aphémie a disparu, mais il sembl
resta nus connaissance. Il fut aussitôt après l'accident porté à l' hôpital où l'on observa ce qui suit : Etat actuel. - Ho
ment améliorée. La parole est claire. Le 7 janvier 4893 il quitte l' hôpital , le côté droit un peu affaibli au point de vue
après l'accident et ne revint à lui que pendant le trans- port à l' hôpital (18 novembre 1894). Puis survint après une interv
ssaya, mais sans succès, de le rappeler à lui et on l'ap- porta à l' hôpital . Etat actuel. - Il est complètement inerte et n
ts, il tombe d'une hau- teur de quatre étages. On le transporte à l' hôpital Tenon où on l'aurait trépa- né ; de 1877 à 1887
le Dr Terrier. Marie G... est amenée d'urgence le 15 mars 1900 a l' hôpital de la Pitié, cli- nique chirurgicale du Dr Terr
tête et a perdu connaissance. Elle n'a pas saigné. On l'a apporté à l' hôpital dans un état comateux. DE l'hémiplégie trauma
écutive à un coup de baïonnette à l'arcade sourcilière. Gazette des hôpitaux de Paris, t. XXVI, p. 586. 1874. Pouillct (A.
it d'un homme âgé de 35 ans qui quelques jours avant son entrée à l' hôpital fut pris brusquement d'une paraplégie accom- pa
T BALLET Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin de l' Hôpital St-Antoine. Il n'est pas sans intérêt ni sans u
servation. ' Rose Viol... âgée de huit ans 1/2, nous est amenée à l' hôpital St-Antoine par son médecin le D E. Bloch, qui a
HALMOPLÉGIE COMPLEXE) PAR CABANNES et B. V. BARNEFF Médecin des hôpitaux (de Bordeaux). Les paralysies congénitales de
nnes) au mois d'octobre 1899 à la Consultation Ophtalmologique de l' Hôpital des Enfants. Cette enfant ne présente rien de b
OEDÈME CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE PAR M. LANNOIS Agrégé, médecin des hôpitaux de Lyon. M. Henry Meige a bien mis en évidence,
peut se manifester et se dérober la maladie. (t) Société méd. des hôpitaux , 1" déc. 1899. UNIVERSITÉ DE LAUSANNE LABORAT
25 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es, l'idée de dé- tention est subordonnée à celle de traitement ; l' hôpital pour les aliénés ne doit plus être une prison,
auteur propose pour remède d'établir un rapport plus étroit entre l' hôpital psychiatrique et les médecins de la localité ; de
ne sont pas col- loqués à Anvers, mais simplement gardés, soit à l' hôpital , soit à la prison, et l'auteur ajoute que si le
tous les pays sur le modèle de Gheel. X. Une visite au plus récent hôpital d'Athènes; par le Du Fre- derick l'ETEUsoN de N
sous ce titre l'Asile de Giessen près de Frank- fort-sur-Main. Cet hôpital très bien situé est destiné à l'étude des malad
s de se faire examiner dès le debut de leur maladie et d'entrer à l' hôpital dès qu'il est nécessaire. A. V. ' Il Quelques v
la ramena à de bons sentiments,- au point qu'elle devint dans un hôpital le modèle des surveillantes. C'est cette cure qui
assalongo (R.). Epatismo e xaevropalia. Brochure in-8- de 12 pages. Hôpital de Verone, 1900. Chez l'auteur. 80 AVIS A NOS A
. SÉGLAS, 6T l HERTZ, Médecin de l'hospice de 131cètre. Interne de» hôpitaux . Parmi les méthodes nombreuses de traitement de
ques et qu'ils sont très appropriés aux exercices en masse dans les hôpitaux . Etant donné que l'influence morale à exercer s
rénié psichialrü , no8 4, 5, 6, 1899.) Le service des hommes de l' hôpital des aliénés du Zemslwo de Samarsky comprend 210
que deux, de plus non constamment; 6° l'asile ressemble presqu'à un hôpital ordinaire. P. KEHAVAL. XX. Hystérie et sugges
bres, mais la voix reste entiè- rement perdue. En octobre 1896, à l' hôpital , faradisation intra- laryngée ; résultat, récup
tes par une affection en foyer syphilitique car elles ont cessé à l' hôpital sous l'influence d'un traitement anlisyphilitiq
courut et on désarma le malheureux qui a été transporté mourant à l' hôpital Saint-Antoine. (Le Soleil, 12 juin 1900.) M. Be
ans le département de l'Indre-et-Loire, V. été ensuite dirigé sur l' hôpital civil, où des soins lui sont prodi- gués. Audig
La pauvre ferume, dont l'état est désespéré, a été transportée à l' hôpital Cochin. Quant au meurtrier, il a été arrêté à s
édui- sait son mobilier en miettes. On l'a transporté également à l' hôpital Cochin, d'où il sera dirigé plus tard sur l'Asi
Russie, Allemagne), l'assistance familiale (Belgique, Ecosse), les hôpitaux urbains pour les aliénés aigus (Allemagne), etc
llons adaptée spécialement ci sa destination ; Création de petits hôpitaux de traitement ; Aménagement de quartiers de sur
sons d'exami- ner les deux questions, étroitement liées, des petits hôpitaux de traitement urbains et des cliniques psychiat
e psychiatrie. Long- temps installée dans les salles- antiques de l' hôpital Julius,où existait depuis trois -siècles un qua
un quartier d'aliénés 2, la clinique abandonna-, en 1888, le vieil hôpital pour devenir un Institut universitaire autonome
sujets incurables (40 aliénés et 48 épileptiques), hospitalisés à l' hôpital Julius. Le matériel clinique disponible est donc
s, Altz-ScherbiLz, par exemple, quittent le quartier d'alitement, l' hôpital , pour se rendre à une partie annexe, sorte de c
s. Les seconds, plus tranquilles, mais non guéris, quittent aussi l' hôpital mais doivent rester l'objet d'une certaine survei
i que l'asile réduit à ses éléments essentiels devrait comprendre l' hôpital pour les cas aigus, les quartiers de surveillan
n. Le malheureux, dont l'état est désespéré, a été trans- porté à l' hôpital Lariboisière. (L'Epoque du 7 juillet 1900.) Par
au domicile de ses parents, à Bruay. (Le Temps, du 12 août 1900.) Hôpital des maladies mentales de Pierrefeu. 39° concert o
40 pages, avec 12 figures. Paris, 1900. - Extrait de la Gazette des hôpitaux . n BABINSKI (J.). - De l'asynergie cérébelleuse
complètement inoccupées, l'expérience de la clinique, comme d'un hôpital en petit et particulièrement bien organisé ne p
égime, trans- former tout asile d'aliénés encombré et négligé en un hôpital bien rangé et bannir complètement l'isolement d
psychiatrie et traiter presque tous les aliénés dans les salles des hôpitaux ordinaires et à domicile. D'autres étaient d'un
e soigner ces malades dans des salles qui leur serait assignées aux hôpitaux , mais ce dernier point est encore con- testable
iénés, capable de convertir tout asile d'aliénés défectueux en un hôpital bien organisé, il existe assez de sceptiques qui
régime d'alitement les asiles d'aliénés ressem- blent beaucoup aux hôpitaux somatiques, ont l'air d'oublier que ce n'est pa
anisé, il doit se faire pour les malades beaucoup plus que dans les hôpitaux somatiques qui manquent même parfois de jardins
n'est pas aux établissements consacrés aux aliénés que d'imiter les hôpitaux somatiques, mais bien le contraire. Ce qui co
s aliénés, leur éviter toute vexation, du moins dans la plupart des hôpitaux : le placement lui-même à l'hôpital en est souv
, du moins dans la plupart des hôpitaux : le placement lui-même à l' hôpital en est souvent une. La troisième objection à
ation du repos au lit prolongé chez des sujets jeunes dans quelques hôpitaux . Ensuite, bien que le traitement au lit soit em
au lit des amentiques les moyens dont on use avec succès dans les hôpitaux bien organisés, où le système du travail est régu
dat aux batte- ries à cheval du G° régiment d'artillerie, enlre à l' hôpital militaire d'instruction Desgenettes, le 18 sept
de suite. Le 3 février 1897, il avait fait une première entrée à l' hôpital Desgenettes, où il avait été soigné jusqu'au 2
rande modification jusqu'au 9 février 1898 où le malade sortit de l' hôpital militaire Desgenettes pour aller en congé de co
outefois, surtout dans la période terminale de ce second séjour à l' hôpital , il s'établit des intermittences perçues par le m
atoire menu des mains persista jusqu'à la fin du séjour de B... à l' hôpital , in- terrompu par les mouvements intentionnels.
du regard persista également jusqu'à la lin du séjour du malade à l' hôpital . L'urine ne présenta jamais ni sucre ni albumin
anvier. Ce traitement qui fut continué jusqu'à la fin du séjour à l' hôpital , n'eut d'autre effet que de causer a B... un am
u de 80). C'est dans cet état que, le 9 février 1898, B... quitta l' hôpital mili- taire Desgenettes pour aller en congé de
Cependant, étant rentré à son corps, le 8 juin, il dut revenir à l' hôpital le 13 du même mois pour une recrudescence de ses
t le 24 août 1898. 1 A l'occasion d'un quatrième séjour de B... à l' hôpital Desgenettes causé par une attaque de rhumatisme
de la malade s'aggrava assez rapidement un an avant son entrée à l' hôpital et lorsqu'elle fut examinée par nous, elle présen
u continua à divaguer de la sorte pendant qu'on le transportait à l' hôpital Tenon. On n'a pu jus- qu'ici établir son identi
justice lui- même. La femme, dont l'état est grave, est soignée à l' hôpital . (Petit Parisien, 6 septembre.) Un pari stupi
tant restés en pure perte, il fallut les conduire en toute hâte à l' hôpital Bichat, où ils on été admis d'urgence. Une en
ébut du traitement : le rond pronateur et l'adducteur du pouce. A l' hôpital , où nous faisons masser les malades par des aid
public : les grilles donnent l'impression d'une prison et non d'un hôpital . Se basant sur l'expérience qu'il avait faite à
admettre aucun infirmier qui ait été employé antérieurement dans un hôpital ou un asile. 11 entend former lui-même son pers
es; 15 Privat-docenten ; 230 étudiants.) Le quartier d'hospice de l' hôpital municipal de Kônigsberg (Stiidtische Kranken-An
directement à la disposition du neurologiste. C'est dans les grands hôpitaux et les asiles que ce matériel se trouve et se p
ai trouvé que les médecins et les anatomo- pathologistes des grands hôpitaux et des asiles aussi bien que les médecins privé
instruire des changements anatomo-pathologiques et en même temps un hôpital peut se faire peu à peu une bonne collection po
piration, son interne Katz a examiné le thy- mus de 61 enfants de l' hôpital des Enfants-Malades, par suite chez des enfants
était aussi celui de M. Desportes, a été réalisé par le Conseil des hôpitaux , sur la demande de M. Ferrus, qui n'a pas crain
ante bonne volonté de MM. Desportes et Mallon '. « Dans plusieurs hôpitaux , on a, depuis quelques années surtout, senti la
ateurs éclairés qui encou- rageaient l'initiative des médecins. Les hôpitaux étaient gérés par le Conseil général des hospic
eu supprime loule initiative, seul il sait tout, les directeurs des hôpitaux n'ont aucune initiative, l'on ne veut pas consu
, MM. le comte Hervé de Kergorlay et Cochin, le Conseil général des hôpitaux a ordonné qu'nn réfectoire serait établi pour l
apparente, et en éloignant autant que possible ce qui rappelle l' hôpital . Chaque chef de table doit savoir le nom de ses c
de la Société de biologie et dans une clinique médicale faite Li l' hôpital de la Pitié et publiée dans la Semaine médicale
la partie interne de la plante du pied. Dans certains 1 Gazette des hôpitaux , 1900. RÉFLEXE PLANTAIRE DANS LA PARALYSIE GÉNÉ
'Université de Berlin est installée dans le quartier d'aliénés de l' hôpital de la Charité (I\ünig,-Charité-Krankenhaus). Ce
ues ou nerveux. Au point de vue économique, la clinique dépend de l' hôpital civil. Elle reçoit les aliénés arrêtés par la pol
a clinique admet aussi un certain nombre de malades transférés de l' hôpital pour délire alcoolique ou pour troubles déliran
t les considérait comme une nécessité pour toute ville et pour tout hôpital d'une certaine importance. La population de la
iénés, dont les autopsies sont obligatoires, que les malades de nos hôpitaux . L'idiotie morale est très fréquente chez les e
e. Je ne crois pas exagérer en déclarant, que dans mon service, à l' hôpital de la Pitié, il me passe chaque année sous les ye
temps variable : 20 jours, 30 jours. Certains malades ont quitté l' hôpital , le présentant encore. Deux fois les phénomènes
notisée, elle se rappela qu'un jour de sortie, avant de rentrer à l' hôpital , elle s'était endormie et qu'un individu, qu'el
nut que l'on avait affaire à un fou. Cet individu a été interné à l' hôpital . (Journal de Seine-et-Oise, 20 octobre 1900.)
de Bagnolet, après des soins immédiats, les a fait transporter à l' hôpital Tenon ! , Le mari a déclaré que sa femme ne jou
aria. 529 Relevée par les voisins, la victime a été transportée à l' hôpital Pasteur, où elle est morte ce matin. Quant à Gi
qui a dégénéré en folie furieuse et qui a motivé son transfert à l' hôpital . (Le Bonhomme Normand, 18 octobre 1900.) Encore
Nocivité de Il pathologique, par Mairet et Ardin-Delteil, 494. Hôpital . UU8 visite au plus récent d'Athènes, par Petei
26 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
es les (1) Leçon recueillie et publiée par M. CHARTIER, interne des Hôpitaux . (2) Professeur RAYMOND, Clinique des maladies
, Professeur-suppléant à l'Ecole de médecine d'Alger, Médecin des hôpitaux . On trouvera ci-joint les photographies d'un ma
aux agénésies comme aux scléroses, presque tous (1) Leçon faite à l' hôpital de Mustapha le 3 mars 1904. Communication faite à
IE AMNÉSIQUE cu Par A. HALIPRÉ (de Rouen). Ancien interne des hôpitaux de Paris. Depuis les travaux de Kussmaul,«ernic
ursive. - Elle ne peut le lire. On lui demande de lire la feuille d' hôpital . - Elle parcourt du doigt qui s'arrête à son no
u, grâce à l'obligeance de notre collègue leD'Mai- ret, médecin des hôpitaux , faire l'autopsie. Autopsie Hémisphère gauche
S LA MARCHE NORMALE CHEZ L'HOMME (1) PAR HENRI LAMY Médecin des Hôpitaux . La marche de l'homme a été étudiée d'une façon
DE PAGET. PAR PIERRE MOCQUOT ET FRANÇOIS MOUTIER. Internes des hôpitaux , Parmi les déformations séniles, les unes relèv
EMENTIEL SENILE PAR ERNEST DUPRÉ Professeur agrégé, médecin des hôpitaux . Ah ! comme les vieux airs qu'on chantait à dou
GNEL-LAVASTINE teur ne sont pas équivalentes. Dans l'Adoration de l' hôpital St-Jean, la face plantaire de l'avant-pied gauc
pied droit. L'extension du gros orteil gauche dans le tableau de l' hôpital St-Jean s'explique physiologiquement par l'exci
le tryptique, que parce qu'il n'est qu'une réplique du tableau de l' hôpital . Celui-ci, plus près de la nature, vien- drait
rait le premier en date ; l'autre serait postérieur ; le tableau de l' hôpital aurait servi à l'exécution du tryptique. Cett
ils acces- soires, beaucoup plus nombreux, dans le tryptique qu'à l' hôpital . Cette plus grande richesse de détails nous par
hâter (1) Leçon recueillie et publiée par M. Chartier, interne des hôpitaux . xwo 9 122 RAYMOND d'attribuer à chaque cas
scoliose, les troubles de la parole.. Lorsqu'elle entra dans cet hôpital , en septembre 1896, la malade res- sentait de v
En décembre 1901, vomissements, céphalées intenses et délires. A l' hôpital cantonal on est frappé de sa somnolence, de la le
nico, laboureur, âgé de 28 ans, né à Borgofranco d'Ivrea, entro à l' hôpital Mauriziano le 20 avril 1901. Père mort à l'âge
un affaiblissement de la vue. C'est dans cet état qu'il entre à l' hôpital le 20 avril 1901. Elat actuel. - Homme d'appare
n, l'état du malade n'étant pas amélioré, il réclame sa sortie de l' hôpital qui se fait le lendemain. 08s. II. Nous donnons
de détails, le ma- lade en question ayant séjourné six mois dans l' hôpital et tous les divers symp- tomes ayant été suivis
ailleur de pierres, âgé de 36 ans, né à Andorno (Biella), entre à l' hôpital le il septembre 1903. Aucun ou peu de renseigne
bientôt une tuméfaction se fait dans cette région, le malade va à l' hôpital à Biella et ici on lui reconnaît un abcès qui est
ions passagères et deux ou trois fois encore il doit recou- rir à l' hôpital de son pays. Il y a deux ans, il s'aperçoit un
oit du corps. Ce fut en de telles conditions que le malade vint à l' hôpital . Etat actuel. - Homme de taille moyenne, très a
retombe dans le coma et meurt le 23 février. Pendant son séjour à l' hôpital , on nota soigneusement la température axil- lai
membres inférieurs. Marie R..., ménagère, âgée de 70 ans, entre à l' hôpital à la suite d'une atta- que de paralysie. Le 30
tion 1 (1). Le jeune D..., âgé de 10 ans, est amené par sa mère à l' hôpital de la Pitié le 26 octobre 1904. Dans les anté
vation II (1). V..., âgé de 35 ans, marchand au panier, est admis l' hôpital de la Pitié. Né à terme, élevé au biberon, son
MPHATIQUE DANS LEUR PATHOGÉNIE ) par . I. VALOBRA, Médecin de l' hôpital Umberto Ier, à Turin. C'est en 1882 que Quinke
7 ans, cuisinier de son état. Il se présenta à la consultation de l' hôpital le S juillet J.901 : il nous fait savoir que depu
- sion. Pendant une de ces rémissions, la malade voulut sortir de l' hôpital . OBs. Vit C. Lorenzo, 15 ans, confiseur de son
est légèrement plus tuméfiée au soir. Examen objectif pratiqué à l' hôpital au mois de juin 1901. - Ce garçon se porte très
er le malade chez lui à la campagne, cinq mois après sa sortie de l' hôpital . Il avait pris l'habitude de se bander la jambe a
. Une pleurésie droite fut découverte et B.... envoyé d'urgence à l' hôpital mili- taire, où, après 8 jours de traitement, u
uide citriu et limpide fut faite. Après un séjour de 1 mois 1/2 à l' hôpital , B.... en sortait guéri, en appa- rence au moin
déformation qui n'existait pas au moment où le malade avait quitté l' hôpital . Le médecin de la famille qui l'avait vu, au mo
s. Foie, coeur, reins, rien à signaler. B... fut alors envoyé à l' hôpital , où des pointes de feu lui furent appliquées. I
hyses vertébrales n'était pas douloureuse. Quand le malade quitta l' hôpital , il était guéri de son épanchement pleuréti- qu
uis elles augmentèrent de nouveau quelques jours avant l'entrée à l' hôpital . A l'examen, on retrouve tous les signes de la
nconnus. Opéré récemment d'une hernie inguinale, fut transféré de l' hôpital à l'asile Ste-Anne. Le Dr Magnan porta le diagn
s, 35 ans, entre à l'asile de Vaucluse le 22 mars 1902, venant de l' hôpital Saint-Antoine, où le Dr Thoinot, porta le diagnos
de. Observation. La nommée MélanieS..., âgée de 63 ans, entre à l' hôpital suburbain, dans le service de M. le professeur
ure et se fracture la jambe droite, ce qui nécessite son entrée à l' hôpital dans une salle de chirurgie. Elle s'y trouvait
LEUR PATHOGÉNIE) (Suite et fin). PAR I. VALOBRA Médecin de l' hôpital Umberto Ier, à Turin. Ce n'est pas dans les tra
OLIS ' d'origine mentale, PAR G. BONNUS. , Ancien Interne des Hôpitaux de Paris, Médecin de l'Etablissement hydrothéra
PATHOGÉNIE DE CETTE AFFECTION. ean 142M. OETTINGER Médecin des hôpitaux . E. AGASSE-LAFONT Interne des hôpitaux. Dep
OETTINGER Médecin des hôpitaux. E. AGASSE-LAFONT Interne des hôpitaux . Depuis le mémoire de Paget sur « l'ostéite déf
ctor, âgé de 60 ans, entre en état d'asystolie, le 11 mai 1904, à l' hôpital Broussais, dans notre service, salle Delpech, no
xcès alcooliques. Les troubles asystoliques qui l'avaient amené à l' hôpital cèdent rapidement au repos et au régime, et nou
des cas nouveaux de maladie de Paget.] 1. BouRcERET, Gazette des hôpitaux , 4 mai 1876 ; - RATHERY, LELOIR, Revue de Méde-
ÉRÉDITAIRE PAR MAURICE VILLARET et LOUIS FRANCOZ . Internes des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion de présenter à la Soc
- rie et Sainton en mai 1897 el. mai 1898 à la Société médicale des hôpitaux sous le nom de dysostose cléido-crdnienne héréd
laire. ' (1) PIERRE MAIIIR et SAINT01, Bull. de la Soc. Méd. des Hôpitaux de Paris, 14 mai i 1897, 20 mai 1898, et thèse
1903, MM. Ilirtz et Louste communi- quent à la Société médicale des hôpitaux un cas de dysostose cleido-crâ- nienne chez un
un onzième dû à libéralité de mon ami le Dr Rudaux, accoucheur des hôpitaux , que je prie d'agréer l'expression renouvelée de
ODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX PAR MAURICE RENAUD, Interne des hôpitaux . Aucune méthode ne permet actuellement l'étude
BERT BALLET, Médecin de l'Hôtel-Dieu. ET F. ROSE, Interne des hôpitaux . Nous rapportons ici l'histoire de deux malades
DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 427 7 un hôpital , parce que petit à petit il sentait diminuer ses
deux mois après le e début douloureux de sa maladie, est entré à l' hôpital , parce qu'il ne pou- vait plus se servir de ses
d'une paralysie des muscles abdominaux. (1) Société médicale des hôpitaux de Paris, séance du 13 avril 1894. (2) Cas trad
ux extrémités. Tous les jours en effet, on (t) Société médicale des hôpitaux , février 1891. - (2) Myopathie primitive progre
é le 7 octo- bre dans le service de M. le professeur Marinesco de l' hôpital Pantelimon. Antécédents héréditaires. Le père d
deux mois après le début de sa maladie, le patient est conduit à l' hôpital départemental, incapable de se tenir debout s'il
ir de ses bras pour manger, s'habiller; etc. Pendant son séjour à l' hôpital , des douleurs continuelles semblables à celles
devenaient plus fortes pendant la nuit, l'empêchant de dormir. A l' hôpital il a été traité avec toutes sortes de médicamen
es pointes de feu sur le dos. Vingt-cinq jours après son entrée à l' hôpital , il le quitta dans le même état de paralysie ;
périeurs et ne persistaient que dans les membres inférieurs. De l' hôpital , le malade a été ramené chez lui, où il est resté
n entrée dans le service du professeur Marinesco. Il prétend qu'à l' hôpital il ne pouvait manger seul, c'est-à-dire se serv
embres inférieurs. Donc, son état était meilleur à la maison qu'à l' hôpital , car quoique ne pouvant quitter le lit, il pouvai
lques légers mouvements avec le corps et les membres, tandis qu'à l' hôpital il était complètement paralysé. ' Au mois d'oct
e 7 octobre 1903 dans le service de M. le professeur Marinesco, à l' hôpital Pantelimon. On a lu ses antécédents héréditaire
rurgien de l'hôpitai des Enfants-Malades. HERBINET, Interne à l' hôpital des Enfants-Malades. Jadis les théories patho
ous relatons ici une série de six cas, traités en quelques mois à l' hôpital des Enfants- Malades, où la hanche n'est pas en
ed en talus valgus. Jeanne V ? 13 ans 1/2, blanchisseuse, entre à l' hôpital des Enfants-Mala- des (salle Bilgrain, n 16 bis
a première en- fance. A4 ans 1/2, fièvre typhoïde grave, soigné à l' hôpital des Enfants-Malades, salle Bouchut. Dans la con
e. On agit par suggestion, on persuade à l'enfant qu'on l'admet à l' hôpital pour le guérir par un moyen certain. Le jour mê
le, les muscles apparaissent absolument normaux et l'enfantquitte l' hôpital le2 juil- let 1904, complètement guéri. A la
lis hysléro -tmumatiq lie. Eugène F..., âgé de 7 ans 1/2, vient à l' hôpital pour un torticolis qui date de la veille. Ant
i vives, ce qui détermina une visite à la consultation externe de l' hôpital Cochin. Là on mit un enveloppement ouaté autour
in matin, nouvelle visite à Cochin, et de là on envoya l'enfant à l' hôpital des Enfants-Malades ; il fut reçu salle llfolland
; aucune trace de contracture, plus de douleurs, l'enfant quitte l' hôpital le même jour. Revu en avril 1905. Aucun acciden
ns que l'enfant est amenée par sa grand'mère à la consultation de l' hôpital des En- fants-Malades le 22 février 190 ? plus
du mois de mai, la' guérison était ob- tenue. L'enfant a quitté l' hôpital le 3 juin complètement guérie. En septembre, le
enfants vivants, 3 sont en bonne santé, un autre est soigné dans un hôpital d'Angleterre depuis longtemps déjà pour une ATT
ation, six mois après le début des accidents. ' L'enfant arrive à l' hôpital portéesur les bras, incapable de marcher, mais so
gné il y a dix ans un gar- çon d'une douzaine d'années qui vint à l' hôpital Trousseau, remplaçant par une béquille un membr
Membre de l'Académie de médecine. G.DURANTE Ancien interne des hôpitaux , Chef du laboratoire de la Maternité. Les dys
te de femme achondroplasique adulte qui existe dans le musée de cet hôpital , mais qui n'avait p;IS encore été décrit. t.
DIFFORMITE CONGENITALE DES MEMBRES PAR 1. VALOBRA Médecin de l' hôpital Umberto ler, à Turin. . Mathias Duval, dans son
un tremblement aux membres supérieurs. Guéri du choléra sortit de l' hôpital , mais le trem- blement persistant, il fut incap
layeur pendant deux mois. Puis il entra successivement en plusieurs hôpitaux (Pitié, Tenon, Andral, Bicêtre, (1895). Depuis
NE D'ORIGINE SYPHILITIQUE PAR M. LANNOIS, Agrégé, Médecin des hôpitaux de Lyon. Le rôle joué par la syphilis dans l'ét
bliés ou méconnus lorsque Raymond (4) fit à la Société Médicale des hôpitaux , en 1893, une importante commu- nication sur ce
dies du système nerveux, p. 604 et suiv. (4) Raymond, Soc. méd. des hôpitaux , fév. 1893. xvtn 39 594 LANNOIS Malgré cela
comme document à l'histoire médicale du village, la fondation d'un hôpital attestée par un acte de vente de biens sous la
i la maison d'école. Suit une série d'actes de vente en faveur de l' hôpital nouvellement créé, le dernier de 1624. II existe
LAUNOIS et F. TRÉMOLIÈRES Professeur agrégé, Interne Médecin de l' hôpital Tenon. des hôpitaux. Parmi les déviations de l'
LIÈRES Professeur agrégé, Interne Médecin de l'hôpital Tenon. des hôpitaux . Parmi les déviations de l'évolution normale du
ants. Legroux (1), dans une communication à la Société Médicale des hôpitaux , a clairement résumé les caractères des saillie
équemment des exostoses. Elles sontparfois possibles aussi dans les hôpitaux d'adultes, ainsi qu'en témoigne l'observation s
s, ou de croissance, multiples, in Bull. de la Société médicale des Hôpitaux , 4 juillet 1890, p. 620. (2) BROCA, Communicati
n vespérale, sont les manifestations qui ont engagé P... à entrer l' hôpital . Elles sont en rapport avec une tuberculose Nou
quelque temps, rendit naturellement nécessaire son en- trée dans un hôpital ; elle y resta neuf mois, pendant lesquels s'étab
a les soumettre à l'opération chi- rurgicale. Elle fut exécutée à l' Hôpital majeur Sainte-Anne en Ferrara par le professeur
voir de remercier M. le professeur Rocme 'l'AM8RoNI,Directeilr de l' hôpital des aliénés provinciaux de Ferrara, pour la court
joyeusement. Le matin, lorsqu'on l'examine, le malade se croit à l' hôpital depuis le com- mencement de la semaine pour la
ladies infantiles. Est amenée à la consultation de M. Thibierge à l' hôpital Broca pour une vul- vite très accentuée. Enfant
nonce encore que quelques mots. Quelques jours après son entrée à l' hôpital Broca se développe une roséole syphilitique trè
27 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
AUD ` ET DE L'ÉftYTI3ROMÉLALGIE ; Par Léopold LÉVI, Interne des hôpitaux de Paris. 7 /. Les troubles vaso-moteurs so
mêmes caractères en augmentant de fréquence jusqu'à son entrée à l' hôpital . L'observation est prise à la fin de mars or :
et des crises qui est continué par la malade depuis sa sortie de l' hôpital . Nous donnons dans ses grandes lignes l'histoire
e la quan- tité les jours qui suivaient des sorties d'un jour, de l' hôpital , sans doute parce qu'au dehors on réveillait de
se souvient plus de sa voisine. Son médecin qui venait la voir à l' hôpital , sa soeur avaient été mis au courant de nos dés
ectement pour cette modification '. La malade demande à sortir de l' hôpital le 28 juin, pour sur- veiller son ménage. Depui
nous avons observé l'an dernier, étant l'interne de M. Barth, à l' hôpital Broussais. Entré pour une asphyxie des extrémités
e de quarante-trois ans. Trois mois et demi avant son admission à l' hôpital : sueurs profuses, paralysie des droits supé- r
ve, le malade peut mar- cher, mais avec difficulté. Entre alors à l' hôpital où on constate : exagération des réflexes, para
êtait plus ou moins le caractère d'une maison de détention, en un hôpital adapté aux vues de la psychiatrie moderne, et de
ardeur au travail ne se ralentit pas ; il continua à fréquenter les hôpitaux , dont il fut bientôt nommé externe. 11 suivait
abondamment peuplés, que ces établissements s'appellent cli- nique, hôpital , asile ou sanatorium. Ainsi, pendant une période
tails du fonctionnement empruntés au règlement. L'asile s'appelle : Hôpital pour les aliénés. Entretenu par les fonds consa
sych., L, 5.) P. Keraval. VI. Remplacement du nom asile par CELUI d' hôpital , pour LES établissements consacrés aux aliénés.
publiée nous trouvons que les Etats suivants ont adopté le terme « Hôpital > en tout ou en partie : Alabama, Connecticu
, la Caroline du Nord, le Texas et Québec em- ploient les deux mots Hôpital et Asylum pour des institutions diffé- rentes,
conservent l'ancienne désignation « Lunatic » avec le nouveau mot « Hôpital ». L'Etat de l'Ohio est l'un de ceax qui ont le
l'Ohio est l'un de ceax qui ont le plus récemment adopté le terme « Hôpital ». New-York garde le terme c Asyhtln » dans les
la cité. Pour les institutions particulières, nous avons les mots « Hôpital », « Asylum », « Rétros », retraite, c lioitse »
« Asylum », « Rétros », retraite, c lioitse », etc. Mais le terme « Hôpital » de ce côté aussi devient maintenant le terme le
VARIA. lant d'un nom différent. Reconnaissons toutefois que le mot Hôpital explique plus l'idée de soins de guérison. Pu
soins de guérison. Puisque que les asiles sont faits pour servir d' Hôpitaux en fait, dans le nom, ce changement de dénomina
comportaient devaient tendre à les rappro- cher de plus en plus des hôpitaux même sous le rapport de la facilité des admissi
ec notre ami le D'' Napias, nous croyons que la substitution du mot hôpital aurait non seule- ment un intérêt de sentiment,
DYSBASIES D'ORIGINE NERVEUSE. Par L. IIALLION, ancien interne des hôpitaux , et J.-B. CIIARCOT, ' interne des hôpitaux. '
LION, ancien interne des hôpitaux, et J.-B. CIIARCOT, ' interne des hôpitaux . ' Les quelques observations que nous allons ra
. Brissaud dont l'un de nous était alors l'interne. 1 Soc. méd. des Hôpitaux , 17 novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 8
T DE L'ÉRY'CIIROMÉ1,ALGIE (suite)'; Par Léopold LÉVI, Interne des hôpitaux de Paris. L'évolution a jusqu'à un certain poin
bâtiment fermé est destiné aux femmes. Le quartier d'aliénés de l' hôpital de Brème avait exposé 140 pho- tographies très
IAU DE LA,l.ËSTRE. M. le Dr Espiau de LAMAESTRE, ancien interne des hôpitaux de Paris, directeur médecin en chef honoraire d
ers) le 16 juillet 1822. En 1845, il commença son internat dans les hôpitaux de Paris et `fut successivement attaché aux ser
es, la femme venait s'abîmer sur le pavé de la rue. Transportée à l' hôpital , elle est morte sans avoir pu prononcer une par
G L'ÉRY'CIIRO\iÉLALGII : (suile)'; Par Léopoltl LÉVI, interne des hôpitaux de Paris. ni. Y a-t-il au point de vue cliniq
sion hépatique, ce que l'autopsie a permis de vérifier. E. B. XI. Hôpital d'alcoolisés ; par le Dr RouBy. (Annales médico-p
penchant : c'est dire que le séjour devra être prolongé. Comme l' hôpital n'est pas un asile d'incurables, mais une maison
malade sera rendu à sa famille, guéri ou non. En cas de rechute, l' hôpital ne le reprend plus, même pendant quelques semai
pouvant être considéré comme incurable, sa place n'est plus dans un hôpital de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 2
s généraux ne doivent pas être communs à un asile d'aliénés et à un hôpital spécial d'alcoolisés. Cette opinion, soutenue p
propriété, l'une servant d'asile à des aliénés femmes, l'autre à un hôpital d'ivrognes. E. B. XII. La folie BLENNORRHAGIQ
quartier devra être installé autant que possible comme une salle d' hôpital moderne; ce que l'on distinguera tout simplement
liques proviennent des ordonnances du médecin. Le vin du malade à l' hôpital administré comme reconstituant, l'administratio
de vin des maisons de santé, des asiles d'aliénés, du personnel des hôpitaux ou des établissements ^publics, qui non seulement
ons cérébrales localisées, recueillis dans son vaste ser- vice de l' hôpital de BicêLre, a permis à l'auteur d'élucider un gra
ts de bienfaisance. M. LE D Du Mesnil. Nos asiles sont, comme les hôpitaux , des établissements de bienfaisance; presque to
ous les aliénés y sont trai- tés gratuitement. De même que dans les hôpitaux , on n'y fait payer que les malades ayant des re
ommission de répartition des fonds, que nos asiles, de même que nos hôpitaux , sont encombrés de malades venant, depuis peu,
tre la communauté admi- nistrative de l'endroit et l'existence de l' hôpital régional à Huber- tusbourg. L'asile d'Hochwei
reçus dans des asiles d'aliénés, dans les quartiers d'enfants de l' hôpital régional, dans la division des épileptiques d'H
J. VOISIN, médecin de la Salpêtrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux . , Dans cette étude nous n'aurons en vue que l'
'observation. Je tiens à remercier ici le distingué chirurgien de l' hôpital de Viborg, RECUEIL DE FAITS. 293 M. IIeiberg,
sentit et, M. Heiberg ayant promis de l'opérer, elle fut admise à l' hôpital de Viborg où l'opération eût lieu le 21 avril 189
le Dr Lannelongue. Les accès sont revenus peu après la sortie de l' hôpital . Elle est entrée à la fondation Vallée, le 24 o
LE mort vivant. Un singulier cas de folie a été constaté hier à l' hôpital Tenon. Un pensionnaire de cet établissement, Vale
rès avoir- été transportée chez elle Adèle G..., a été conduite à l' hôpital . (Répu- blicain Orléanais du 17 mars.) Il aurai
ommissionnaires et a fait transporter le malheureux épileptique à l' hôpital . Auguste L..., après quelques soins empressés a
<Ae brain and niind, p. 510. - 2rnlorcau (de -Tours). - Gaz^des hôpitaux , t8S4 ? tf ? <; fl'inb n-"1 ? 3,Tissot ? OEuvr
ÉLECTROSTATIQUES; Par le Dur L.-R. REGNIER, · Ancien interne des Hôpitaux . . L'étiologie de la chorée de Sydenham chez le
e. Il a aussi perdu tout souvenir des deux premiers mois passés à l' hôpital , on ne saurait retracer les étapes de ce retour
re. Le 22 août 1894, Feldmann repris d'agitation dut être placé à l' hôpital de Godesberg. Il fit une ten- tative de suicide
liénés sont construits, organisés comme des asiles et non comme des hôpitaux , comme des institutions de garde et non comme d
r chaque jour en particulier comme on le fait dans les ser- vices d' hôpitaux ordinaires. La réforme doit être radicale et re
de et statuer sur les mesures à prendre. D'après ces mêmes idées, l' hôpital pour les aliénés devrait être organisé sur des
evrait être organisé sur des bases presque identiques à celles d'un hôpital général : à leur arrivée, les malades seraient
d'être répartis dans les services de traitement proprements dits. L' hôpital comprendrait en outre une division pour les mal
ans la nuit d'hier. Il était environ minuit lorsque le portier de l' hôpital Saint- Louis entendit heurter la porte violemme
musette ». Allons, assez avec vos histoires, dit le concierge de l' hôpital , déguerpissez vite, l'homme. Mais i ! avait à p
s cheveux. C'est la tête de mon frère ! criait-il. L'employé de l' hôpital recula épouvanté ; la scène était vraiment effr
et qu'il faut un médecin pour constater le décès. Le directeur de l' hôpital fut averti de celte singulière visite, en même
VOISIN, médecin de la Salpêtrière; et RAYMOKD PETIT, x interne des hôpitaux . Causes et pathogénie. L'étude des, causes de l
TRAITEMENT DU DELIRIUM TMEHENS DANS UN SERVICE D'.4L- COOLISME A l' hôpital DE Bellevue; par Russell BELLAMY. (The New-Yorh
ir, à défaut de cet asile tout au moins, un quartier spécial dans l' hôpital du chef-lieu. On voit par là que contraire- men
naturel. Il vint ensuite à Londres, environ vers l'année 1849, à l' hôpital de NÉCROLOGIE.^ 483 Saint-Bdrtholomev. En 185
on plus grand plaisir à cette époque était de visiter fréquemment l' hôpital de Bethlem, dont il devint ultérieurement le go
est un enfant, un mineur, non un prisonnier. Un asile doit être un hôpital pour les aigus et un lieu de repos pour les chr
endra à vous des Mies de bonne famille comme nous en avons dans les hôpitaux . C'est ce que nous avons ici. D'ailleurs nous l
ue, l'asile doit être considéré comme aussi utile aux aliénés que l' hôpital aux malades : mais il y a en matière d'aliénati
cin militaire, poursuivait M. Charvot, médecin principal, chef de l' hôpital militaire de Cons- tantine, prétendant que M. C
ar Klippel, 24 ; assistance des-, par Sérieux, 410. Alcoolisés, hôpital d ? par Rouby, 212. Alcoolisme, attitude des
s de Serbie, par Su- botic, 73; remplacement du mot - par celui d' hôpital , 75; de Saxe, par Gunz, 248; des éléments com
28 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
xiste chez l'homme comme chez la femme, A la Société médicale des Hôpitaux , M. Debove rap- portant une curieuse observatio
sitôt la terminaison de leurs séances. On m'a cité entre autres à l' hôpital de Mustaffa un des ces Aissaouas qui vint mouri
exemple, il peut être mis en défaut; et on montre au musée, de l' hôpital de Mustapha, l'estomac d'un Aissaoua qui avait
usqu'à ce qu'elle occupât tout le corps. Lorsque l'enfant entra à l' hôpital , elle se caractérisait ainsi : Regard fixe, tim
tre cas, il s'agissait d'une petite fille amenée à ma clinique de l' hôpital Bellevue pendant l'été de 1869. Elle venait de
aliénés y compris les hospices privés cet les annexes spéciales des hôpitaux généraux, possède en tout 637 places pour les a
le qui exigent un traitement en famille, d'autres pour lesquelles l' hôpital est indispensable. En tout cas, ce n'est pas da
ue la maison d'aliénés soit tout à fait indépendante et séparée des hôpitaux généraux. Cette condition est absolue ; sans el
réside le plus souvent dans la per- sonne du médecin principal de l' hôpital . Ce médecin n'est pas spécialiste dans la plupa
ependant investi d'un pouvoir administratif absolu aussi bien sur l' hôpital général que sur son annexe d'aliénés, il est so
aussi bien que médicale aux maisons d'aliénés en les sépaiatit des hôpitaux généraux et en leur donnant comme direcleui's d
aison d'alienés et son adminis- tration ne ressemblent en rien à un hôpital général, que les soins dus aux aliénés, leur no
s médico- légales sur l'état mental des inculpés, dans l'hospice ou hôpital de tout chef-lieu judiciaire où il n'existe pas
Rousselet.) (A suivre.) Assistance publique : les aliénés dans LES hôpitaux ET hospices DE province. On croirait qu'après
de la boulangerie, au-dessus de « l'ensevelissoir», très loin de l' hôpital et loin de tout secours. Chaque cabanon possède
conservés quinze jours et quelquefois davantage. Les médecins de l' hôpital se plaignent d'autant plus vivement de cet état
tes en 1885-1886. Les malades sont gardés 4, 8 ou 6 jours. 4° A l' hôpital civil et militaire de Saint-Dié, le cabanon uniqu
lié- nés n'y séjournent que 24 ou 48 heures. Ils sont envoyés à l' hôpital d'Epinal et de là àMaréville. 5° Les trois caba
ne sont pas chauffés. En général, les malades sont dirigés sur l' hôpital d'Epinal au bout de deux ou trois jours. Onal'hab
anquilles; nous en avons vu deux au mois de septembre dernier. 6° L' hôpital Saint-Maurice d'Epinal est doté d'un pavillon d'u
aint-Maurice d'Epinal est doté d'un pavillon d'un étage, isolé de l' hôpital , placé dans un vaste jardin potager. Il est div
etune infirmière. Le pavillon reçoit les autres aliénés des autres hôpitaux du département. On les garde durant dix à quinz
s, parfois un mois avant d'être en- voyés à l'asile de Dôle. 8° L' hôpital de la Charité de Langres possède deux cabanons si
s. Les aliénés n'y resteraient pas plus d'un jour ou deux. 9° A l' hôpital Saint-Nicolas de l3arsur-Auhe, les aliénés sont
achots ; leur situation dans des bâti- ments éloignés du reste de l' hôpital , dans des communs, à côté d'écuries, de telle s
ccidents de tout genre. Nulle ' Cette pratique existe dans d'autres hôpitaux . faits DIVERS 175 difficulté non plus, au suj
et de l'interdiction du transfert succes- sif des aliénés dans deux hôpitaux : un ordre formel aux préfets et ces voyages di
sons, à chercher des asiles pour les fous, au lieu de se pourvoir d' hôpitaux de moyenne grandeur pour leur cure rapide. Nos
ent progressive c'est de rapprocher le plus possible les Asiles des Hôpitaux ordinaires. Nécrologie. Le Dr James STEWART JEW
ORIGINE HYSTÉRO-TRAUMA- TIQUE ; Par H. RENDU, médecin agrégé de l' hôpital Necker. La réalité des paralysies hystéro-traum
. 181 Le malade présenté par Troisier à la Société médi- cale des hôpitaux (23 mars 1885) et adressé par lui à M. Charcot,
Nous avons eu nous-même l'occasion de présenter à la Société des hôpitaux (27 novembre 1885) un malade atteint de monoplé
accusa dans tout le membre supérieur. Au moment de son entrée à l' hôpital , on constate l'état suivant : Parésie du memb
t deux jours, puis reprend ses sens, se remet à marcher et quitte l' hôpital au bout de six jours, encore souffrant mais nul
ents choréiques aux membres supérieurs. Au moment de son entrée à l' hôpital (9 mars 1887), on cons- tate les signes suivant
ments choréiques qui existaient lors de la rentrée de la malade à l' hôpital et qui avaient disparu ont de nouveau reparu.
i ce n'est une carie vertébrale pour laquelle il a été soigné à l' hôpital des Enfants malades et qui a laissé des cicatrice
ours sans rien. Conduit plu- sieurs fois aux Enfants-Malades et à l' hôpital Trousseau on lui a donné des bains, de la tisan
et 4848. - Cette même année 1848, il fut nommé médecin résident à l' hôpital de Pensyl- vanie où il attira l'attention par s
que l'on emploie beaucoup en Amérique, comme agent hypnotique. L' hôpital présente dans son aspect un grand changement cara
ouvée et le nombre desrestraints dimi- nue de plus en plus dans les hôpitaux bien aménagés. Il n'y a que dans les cas extrêm
ile- 330 CLINIQUE NERVEUSE. ment de se plier à la discipline de l' hôpital , elle demande à sortir. (25 juin.) Bien qu'el
, elle demande à sortir. (25 juin.) Bien qu'elle ne soit plus à l' hôpital , on peut conlinner à l'ob- server, M. Mosséla f
lait travailler en journée lorsqu'en pas- sant devant la porte de l' hôpital , elle se sent fatiguée : elle entre alors dans
porte de l'hôpital, elle se sent fatiguée : elle entre alors dans l' hôpital , mais à peine entrée elle tombe en attaque de s
'ordre primitivement donné, elle est venue jusque dans la cour de l' hôpital , qu'alors elle s'est rappelée le contre-ordre e
ysan de l'arrondissement de Rouza, âgé devinôt- sept ans. Entré à l' hôpital Catherine le 14 janvier 1885. Antécédents. - Le
ndance à la consti- pation. Pendant tout le temps de son séjour à l' hôpital le malade se plaignait d'une série de phénomène
te sur l'épaule gauche. Malgré les plaintes du malade, son état à l' hôpital continuait à s'améliorer; pendant tout son séjour
oint éprouvé de change- ment. Pendant ses quatre mois de séjour à l' hôpital lemalade usait de bains chauds et de la galvani
main gauche, il y a sept ou huit ans. Lors de l'entrée du sujet à l' hôpital Sabhatsberg, le 3 janvier 1885, la main droite
ipale raison qui avait amené le malade à demander son admission à l' hôpital , et dont il mourut au bout d'une semaine. A l'a
enant un liquide transparent, très fluide. {Rapport d'exercice de l' hôpital de Sa/.¡bals/'¡e1' ! J, à Stockholm pour 1885.)
artout en France, c'est d'imiter ce qui a été fait à Paris pour les hôpitaux , parle conseil municipal; ce qui été fait pour
un enseignement complet, parce que, de même que leurs camarades des hôpitaux , ils ont à soigner des blessés, à appliquer des
up plus dan- gereux que celui des infirmiers et des infirmières des hôpitaux ordi- naires. Pour être rempli convenablement,
droit à une pension; il a décidé que vos années de service dans les hôpitaux et hospices de Paris vous seraient comptées qua
de M. le Dr Bourneville, les agents comptant des services dans les hôpitaux et hospices de la ville de Paris, pourraient, m
vent pas cette indemnité de l'Assistance publique. » 446 VARIA. hôpitaux et les hospices. C'est là une complication qui n'
e cet exemple et ne pas vous laisser dépasser par vos collègues des hôpitaux . En fondant ces cours, on a eu la pensée de for
acés. On éloigne du malade tout ce qui rappelle la prison, même l' hôpital ; les murs eux-mêmes sont en quelque sorte supprim
lantes et de sous-employés instruits et expérimentés la plupart des hôpitaux de Paris et les quatre asiles d'aliénés de la S
s de service, en cas d'infirmités; les services antérieurs dans les hôpitaux ou hospices, de la ville de Paris et les servic
00 tandis que jusque-là elle avait été de 10,9 p. 100. En 1886 un hôpital détaché pour les fiévreux commença à remplacer le
oi immédiat des criminels guéris, par Pick, 275; - les - dans les hôpitaux et hospices civils de province, 172 ; - assis
29 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX - - ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGR
E. DE MASSARY professeur agrégé, ancien interne des médecin de l' Hôpital St-Antoine. Hôpitaux. La chirurgie des tumeurs
fesseur agrégé, ancien interne des médecin de l'Hôpital St-Antoine. Hôpitaux . La chirurgie des tumeurs cérébrales est une tr
St-Antoine, où il resta en observation pendant cinq semaines. A l' hôpital le nombre des crises diminua. Les premiers jours
s nombreuses. M... interrompit de nouveau son travail et revint à l' hôpital . Il avait abandonné l'usage du bromure, quoiqu'il
ut même fréquemment par intervalle. A la fin du mois, M... quitta l' hôpital n'ayant pas eu d'autres crises. Il reprit de no
LA MOELLE ÉPINIÈRE PAR LÉOPOLD LÉVI Ancien interne lauréat des hôpitaux . L'ostéite déformante de Paget est une affectio
nférieurs, et d'ascite, elle entra dans le service de 1l.Rendu, à l' hôpital Necker. Pendant son séjour à l'hôpital, le fémur
le service de 1l.Rendu, à l'hôpital Necker. Pendant son séjour à l' hôpital , le fémur droit était devenu le siège de douleu
es. La malade perd ses urines et ses matières depuis son entrée à l' hôpital . Elle répond difficilement aux questions qu'on
e, les créanciers rapa- ces, les fuites, les maladies, la prison, l' hôpital enfin, où il devait finir prématurément ses jou
sordon- née, que A. Brouwer, âgé de 32 ou 33 ans, aurait échoué à l' hôpital d'Anvers. Il y serait mort deux jours après son
es nerveuses de la moelle cervicale d'un rabique qui a succombé à l' hôpital St-André de Bor- deaux dans le service de M. le
uès. Plaie de la moelle épinière dans la région dorsale. Moniteur des hôpitaux , 1855, no 105, p. 838. (3) 13ROWN-SEQUAIID.
CONGÉNITALE. PAR EMILE BOIX, Ancien interne, médaille d'or des hôpitaux . Monsieur S..., âgé de 50, habitant la province
une dilatation patiente et progressive, le De Arrou, chirurgien des hôpitaux , a rétabli à la fois le calibre du canal, la sant
à première vue. (1) JACCOUD, Leçons de Clinique médicale faites à l' hôpital de la Ckct·ité,1867. 190 EMILE BOIX On sait q
ET). . PAR L>rOPOLD-L$VI A. LONDE Ancien interne lauréat des Hôpitaux Directeur du service photographique de la Clini
gomyélie débute souvent (1) BLOCQ. De la syringomyélie. Gazette des hôpitaux , 1889. 208 G. MARINESCO dans la région cervic
dès le premier exa- men. Quand il se promène dans le jardin de l' hôpital vous pouvez le voir avec un bâton entre les den
ouver, nous en rapportant à la profession portée sur le billet de l' hôpital et déclarée par lui à tous nos in- terrogatoire
ÉMATEUX (1> PAR E, BRISSAUD Professeur agrégé Médecin de l' hôpital Saint-Antoine. , Messieurs, ' La question de
ant rester enfant totalement, corps et (1) Leçon clinique faite à l' Hôpital Saint-Antoine. DE L'INFANTILISME MYXOEDÉMATEUX
ui différencie ce myxoedème infantile de (1) THIDIERGE, Gazette des hôpitaux , 31 janvier 1891. (2) Revue mens. des maladies
e- rait parfaitement constituée sans la déformation qui l'amène à l' Hôpital civil. Cette affection est congénitale, et n'
IQUES PAR GILLES de la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux . L'atrophie musculaire des hémiplégiques a, dep
plégiques qui se trouvaient à cette époque dans noire service de l' hôpital Hérold, et voici ce qu'elles nous ont appris.
est abandonnée à elle-même, ce qui est le cas pour les malades des hôpitaux , qui, indigents, mal soignés chez eux, nous arriv
- amyotropiiie deltoidienne. L. Lef..., femme, soixante-six ans, hôpital Hérold, salle D, n° 12. Hémi- plégie droite spa
l'épaule ; atrophie musculaire. Pic..., soixante-dix ans, homme, hôpital Hérold, salle B, ne 23. Aphasie. Monoplégie bra
imitée au domaine, atrophié. Chart. J..., femme, quarante-sept ans, hôpital llérold, salle D, n°38. Hémi- plégie droite spa
rophie des muscles -de la ceinture scapulaire. Mong. A..., femme, hôpital Hérold, salle D, n° 28. Hémiplégie gauche spas-
bilisation, i i ? » ? '. » , 111. Leb..., ! yuarante-quatre ans, hôpital Hérold,, salle D, n° 5. Hué- M. Leb..., femme,
Hérold,, salle D, n° 5. Hué- M. Leb..., femme, quarante-quatre ans, hôpital Hérold, salle D, n° 25. Hé- miplégie droite spa
se de l'épaule, amyotrophie. Bl. Cau..., femme, quarante et un ans, hôpital Hérold, salle E, n° 39. Sy- philis vaccinale, h
aire et du thénar. " , ', v CI. Nic..., femme, soixante-deux ans, hôpital Hérold, salle E, n° 17. Hémi- plégie gauche spa
Atrophie musculaire (PI. XXX). Cho..., homme, soixante-deux ans, hôpital Hèrold, salle A, n° 12. En 1892, chancre induré
Atrophie musculaire ; adipose. Luc..., homme, soixante et onze ans, hôpital Hérold, salle C, ne 45. En 1892, hémiplégie dro
tic, que je suis en train d'envisager. Le malade fut transporté à l' hôpital et examiné une première fois le 18 mai 1887, si
E INFANTILE PAR , Ch. ACHARD Professeur agrégé . Médecin de l' hôpital Tenon. ET LÉOPOLD-LÉVI Ancien interne, laur
l'hôpital Tenon. ET LÉOPOLD-LÉVI Ancien interne, lauréat des hôpitaux . , Les altérations osseuses de la paralysie inf
s 1897, salle Parrot, lit nO 30, dans le service de M. Achard, ci l' hôpital Tenon. Antécédents héréditaires . - Son grand-p
en- tre le 10 mai 1877, salle Lorain, n° 14, service du Dr Achard, hôpital Tenon. ' Actécédents héréditaires. - Son père
IQUES PAR GILLES de la TOURETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux . (Suite et fin 2- GROUPE. - Arthrites ET amyo
ie musculaire et adipose. Marg. BI..., femme, cinquante-deux ans, hôpital Hérold, salle E, n° 8. Hé- miplégie gauche spas
lisée masquant l'atrophie. Eug. Mars..., femme, soixante et un ans, hôpital Hérold, salle D, n° 24. Hémiplégie droite avec
e inférieur masquant l'atrophie. Ler..., homme, soixante-seize ans, hôpital Hérold, salle B, n° Si. Hémiplé- gie gauche dat
férieur avec atrophie généralisée. Perr., homme, soixante-sept ans, hôpital Hérold, salle B, ne 46. Hémiplégie .spasmodique
che et du genou, amyotrophie. E. Laq..., homme, cinquante-cinq ans, hôpital Hérold, salle B, n° 60. Hémi- plégie droite spa
éralisée masquant l'atrophie. L. Bon..., femme, cinquante-huit ans, hôpital Hérold, salle D..., n° 30. Hémiplégie droite, a
s membres supérieur et inférieur. M. Lard..., cinquante ans, femme, hôpital Hérold, salle D, n° 34. Hémiplé- gie droite spa
. Absence d'ankylose et d'atrophie. Cor..., trente-neuf ans, homme, hôpital Hérold, salle A, n° 1. En 1879, si- philis vacc
obilisation du membre supérieur. Chai..., homme, soixante-cinq ans, hôpital Hérold, salle 6, n° 8. Hémiplé- gie gauche, dat
ace interosseux et du thénar. Mart. M..., homme, soixante-cinq ans, hôpital Hérold, salle A, n, 57. Hémi- plégie droite, ap
e-même. LES EMMURÉS DE TIRASPOL PAR P. E. LAUNOIS Médecin des hôpitaux . Parmi les nombreuses sectes politiques ou reli
Janet nous envoie obligeamment trois dessins qu'il a recueillis à l' hôpital de la Pitié : le premier représente la main droit
cas de gigantisme suivi d'acromégalie observé chez un chinois, à l' hôpital français de Hon-t'ang de Pékin (juillet 1896).
e observation a été également communiquée à la Société médicale des hôpitaux . ACROMEGALO-GIGANT1SME CHEZ UN CHINOIS DEUX C
munication orale). (3) Bull. et mémoires de la Société médicale des hôpitaux , 1885. (4) Progrès médical. (5) V. Prautois e
nt probablement au repos au lit. Le malade était en effet entré à l' hôpital , et nous l'avions engagé à rester couché la plu
ns. A cet âge il eut une fièvre typhoïde très grave et séjourna à l' hôpital de .Vernon pendant 6 mois. A la sortie de l'hôp
et séjourna à l'hôpital de .Vernon pendant 6 mois. A la sortie de l' hôpital il était affaibli mais put reprendre néanmoins
l ne trouvera pas toutes ses aises. Peut-être lui enlèverait-on à l' hôpital ses précieux moyens de défense qui pourraient n
a Lèpre. La maison actuelle de Saint-Lazare était au XIIe siècle un hôpital de Lépreux. 420 HENRY MEIGE II Un jour vien
es, la jambe gauche repliée et entourée de linges. A Sienne, dans l' hôpital Santa Maria délia Scala, l'infirmerie dite des
ne de Hongrie prit l'habit du tiers ordre et devint supérieure d'un hôpital qu'elle avait fondé à Marbourg. Avant, comme
es serrées entre deux planches. . A droite, la Sainte entre dans un hôpital et donne ses soins à trois malades couchés, tou
e ce qu'on trouve en si grande quantité aujourd'hui encore dans les hôpitaux de la Norvège..... « Par conséquent, nous pouvo
de Bretagne. Charcot a noté, à Séville, au-dessus de la porte de l' hôpital des lépreux, une ma- jolique où est figuré un m
30 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
pour Mexico 2 * Bailow, libraire à Birmingham 1 Barîn, médecin de l' hôpital desEnfans trouvés à Paris 1 Beatm (G), D. M. à Da
r de l'académie méd. militaire à tienne 1 Blanün, chirurgien de l' hôpital Beaujon, à Paris 1 Blaquère, D. M. à Oajaca (Me
M. à Limoges 1 Desoer, libraire à Liège 1 Desruelles, chirurgien de l' hôpital militaire à Rennes 1 Devergib (A.), D. M. à Paris
M. à Rennes 1 * England, D. M. à Norwich. 1 Esquirol, médecin de l' hôpital de Charenton à Paris 1 Falaschi, D. M. à Floren
M. à Londres i Groos, libraire à Heidelberg 1 Gdersent, médecin de l' hôpital des Enfans à Paris 1 * Hardy (G. W.) chirurgien
M. à Madrid 1 Institut royal de France i Jobert, chirurgien de l' hôpital St.-Louis à Paris 1 * Johnson (J.), D. M. à Lon
Lemathe, libraire à Bayonne 1 Lemercier, Ü. M., médecin en chef des hôpitaux , hospices et prisons à Mayenne 1 Levrault, li
libraire à Paris 1 Leroux, libraire à Möns ï Louis, médecin de l' hôpital de la Pitié à Paris 1 * Lubbock, D. M. à Norwic
e plus grand nombre de mes collègues, les médecins et chirurgiens des hôpitaux de Paris, qui m'ont déjà donné tant de preuves d'
la Faculté, dont les noms se présenteront sans cesse sous ma plume. L' hôpital auquel je suis attaché en qualité de médecin, les
Collections de la Faculté, les mille sujets que l'administration des hôpitaux livre chaque année aux dissections des pavillons
; que l'oppression n'était survenue qu'au moment de son départ pour l' hôpital . Persuadé que le point de départ de tous les symp
tensité. Aucun autre moyen n'avait été employé jusqu'à son entrée à l' hôpital . On dit que les urines avaient été naturelles tou
nes avaient été naturelles tout le temps de son séjour chez elle; à l' hôpital , elle n'urinait qu'en allant à la selle, si tant
prétation la plus vraisemblable du fait suivant, que j'ai observé à l' hôpital Saint-Antoine, en 1811. Un homme âgé de soixante-
s de mai 1827, un homme, âgé de soixante-trois ans environ, entra à l' hôpital Saint-Antoine, service de M. Lullier-Winslow. Dou
la difformité. (*) Cette pièce appartient au Cabinet d'anatomie des hôpitaux , formé par les soins de M. Serres. Je n'ai point
ur Bally, dans son ouvrage sur les fièvres pernicieuses observées à l' hôpital Saint-Esprit de Rome, assure même avoir vu une ou
jeune fille , âgée de dix-huit ans environ, est apportée mourante à l' hôpital de la Charité. Elle était sans chaleur et sans po
ralysée ni du sentiment, ni du mouvement, la veille de son entrée à l' hôpital . On se demande comment la vie a pu se concilier
rte de connaissance; bientôt paraplégie complète. Le malade entre à l' hôpital . Pendant les deux premiers mois qui suivirent son
plusieurs reprises. Pendant les dix premiers jours de son séjour à l' hôpital , il fut confié aux soins de M. Duméril, qui s'ass
n que les hémorrhagies à la suite de gangrène humide, de pourriture d' hôpital et autres, parce que les vaisseaux se rompent ava
e du poumon au milieu d'une variole confluente. J'ai vu, en 1822, à l' hôpital de Limoges, un fait remarquable de gangrène du po
e ne doivent pas plus étonner que les hémorrhagies de la pourriture d' hôpital . L'analogie devait faire pressentir qu'une hémorr
ns un autre cas que je dois à l'obligeance de M. Honoré, médecin de l' hôpital Necker, c'était de la partie supérieure de la cro
s il éprouva une première atteinte du mal qui l'amène aujourd'hui à l' hôpital . Les renseignemens que sa mémoire peut lui fourni
s cause connue, les premières atteintes de la maladie qui l'amène à l' hôpital . L'invasion se manifesta par une douleur vive à l
nt frappé de paralysie des extrémités inférieures. Transporté dans un hôpital , on soupçonne une fracture de la colonne vertébra
iement à la suite duquel il tombe dans le marasme et vient mourir à l' Hôpital Saint-Louis. A l'ouverture du cadavre, on trouv
é, qu'un testicule ( représenté figure 3) extirpé par M. Marjolin à l' hôpital Beaujon, et qui m'a-été remis par M. Blandin. Il
où il était resté deux mois pour une fièvre putride, se présenta à l' hôpital Cochin dans l'état suivant : enrouement très-cons
est transférée, le 29 septembre 1828, de l'Hospice des Orphelins à l' Hôpital des Enfans, sans aucun renseignement, sinon qu'el
ation et pièce pathologique communiquées par M. Maréchal, interne à l' Hôpital des Enfans , au nom de M. Guersent. contraire,
che v.) Le 9 août 1828, a été couchée, dans la salle Sainte-Cécile ( Hôpital des Enfans ) , Aval (Cécile-Victoire), âgée de ci
pourceaux. On a été frappé , pendant tout le temps de son séjour à l' hôpital , de l'intensité de sa soif; elle buvait quatre p
l'influence d'une méningite comateuse. Une jeune fille entre dans un hôpital : aucune lésion apparente des fonctions; mais mor
adynamique). Un homme, âgé de quarante-cinq ans environ, entre à l' Hôpital de Limoges pour des dartres aux jambes. Bientôt s
ait d'accoucher, éprouve un violent accès de colère. On l'apporte à l' hôpital Saint-Antoine, où jetais interne, le i5 mai 1812.
C*) Pièce anatomique donnée par M. Baffos, chirurgien en chef de l' hôpital des Enfans malades. 6e. Livraison. Pl. 5. MAL
ës sporadiques. XXIX. Le typhus qui a régné épidémiquement dans nos hôpitaux par suite de l'encombrement , en i8i3, 1814, n'ét
s ces lois générales du balancement des êtres, de la mortalité de tel hôpital , de la mortalité de telle salle; ce ne sont point
es, voilà les causes les plus générales. Dans les hivers humides, nos hôpitaux de Paris sont pour ainsi dire encombrés d'entérit
sauts dans les tendons; il mourut le cinquième jour de son entrée à l' hôpital , et je m'arrêtai au bout de deux jours, voyant l'
e vingt-deux ans, d'une vigueur extraordinaire, vient de son pied à l' hôpital , le 12 avril. Observé le i3, il présente l'état s
probable que l'éruption a précédé le moment de l'entrée du malade à l' hôpital . Nous voyons que les phénomènes cérébraux l'ont d
ps. Après trois mois de soins infructueux, il se fait transporter à l' hôpital Saint-An toine, où j'étais alors interne (mars 18
uinze jours après son entrée. Pendant tout le temps de son séjour à l' hôpital , ce malade avait été d'une humeur insupportable;
édicale, loc. citât. 1826. (***) Deux observations, recueillies à l' hôpital des enfans malades, consignées dans le Journal he
gement des ganglions lymphatiques et une ophthalmie, est apportée à l' hôpital des enfans malades, le 17 mars 183o, dans l'état
œur le força de s'aliter. Il succomba deux jours après son entrée à l' hôpital , et son cadavre fut examiné vingt-huit heures apr
aux de leur profession. Le retour des douleurs les force à entrer à l' hôpital . On reconnaît que l'épididyme est le siège essent
es. Le défaut de succès de tous les (*) Cette pièce, recueillie à l' hôpital de la Charité dans le service de M. Lerminier, m'
rare ; on est quelquefois plusieurs mois sans la rencontrer dans les hôpitaux consacrés aux enfans malades. Si ce ramollissemen
ec éructations et même quelquefois avec vomissemens. A son entrée à l' hôpital Cochin, le ier juillet i83o, treize jours avant s
Plainchamp, l'un de ses membres (service de M. Jadioux, médecin de l' hôpital Cochin). La figure 2 représente la surface exte
nt la quantité peut être évaluée de cinq à six livres. Transporté à l' hôpital de la Charité, il présente un pouls petit, dépres
sentées à la Société anatomique, par M. Ricard, l'un de ses membres. ( Hôpital de la Charité , service de M. Rullier.) au mili
enté à la Société anatomique l'estomac d'un individu qui succomba à l' hôpital Beaujon huit jours après l'amputation d'un doigt.
elle répond à un certain nombre de faits : ainsi, les chirurgiens des hôpitaux civils qui pratiquent la plupart des amputations
llie sous la peau, à la partie interne du membre. Ce malade entre à l' hôpital Beaujon le 5 août avec un gonflement considérable
its dont M. Blandin a entretenu la Société Anatomique. Un malade de l' hôpital Beaujon portait une sonde à demeure dans la vessi
genou et brisa en éclats l'extrémité inférieure du fémur. Apporté à l' hôpital Beaujon une heure après l'accident, il fut immédi
our. C'est cette péritonite épidé inique qui règne tous les ans à l' hôpital de la Maternité, que j'ai cru devoir désigner sou
ente , elle est facilement curable ; deux ans et demi de pratique à l' hôpital de la Maternité ,ne m'ont permis de constater aut
légères : cet état persévéra jusqu'au 12 avril, jour où il entra à l' hôpital de la Pitié. Alors, il se trouvait mieux: la face
me. Ce fut la dernière, et la malade convalescente fut évacuée sur un hôpital lors de la clôture de l'ambulance. Choléra moye
iques ou autres; je crois encore pouvoir le nier : l'encombrement des hôpitaux ne nous ayant paru exercer aucune influence sur l
ort de la mortalité entre la pratique particulière et la pratique des hôpitaux , entre la classe aisée et la classe indigente. On
dans tous les quartiers, dans toutes les rues, s'il est possible. Les hôpitaux sont funestes en ce sens qu'il faut un temps très
malade. S'il n'y a pas de place, on est obligé d'aller dans un autre hôpital ; à l'hôpital, le malade peut arriver dans l'inte
n'y a pas de place, on est obligé d'aller dans un autre hôpital ; à l' hôpital , le malade peut arriver dans l'intervalle des vis
t restés deux, trois, quatre heures en chemin, et ne sont arrivés à l' hôpital qu'à l'état de cadavre. Bien pénétré de cette vér
ez exprimer toute leur reconnaissance. J'ai compris combien de petits hôpitaux établis dans chaque quartier et affectés exclusiv
nouveau-nés est souvent épidémique: elle est endémique dans certains hôpitaux où les salles destinées aux enfants nouveau-nés,
u-nés, sont froides, humides et mal aérées ; tel est en particulier l' hôpital de Limoges, où cette maladie faisait autrefois de
is de'grands ravages. J'avoue que je n'ai jamais conçu le système des hôpitaux pour les enfants nouveau-nés. Le lait d'une bonne
gère à la jambe. Un homme vigoureux était depuis quelques jours à l' hôpital , pour une contusion à la jambe. Fièvre précédée d
la Maternité pendant que j'ai rempli les fonctions de médecin de cet Hôpital . Un sixième cas est représenté pl. III, VIe livra
(i) Bressoles (Joseph), âgé de 48 ans, ancien militaire, entré à l' Hôpital Saint-Antoine pour une maladie qui offrait tous l
e fusil dans le ventre et le laissèrent pour mort. Transporté dans un hôpital , il ressentit long-temps des douleurs à l'abdomen
ès petit, (i) Observations et pièces pathologicpies recueillies à l' hôpital Saint-Antoine, dans le service de M. Kapeler et p
et pièce pathologique recueillies par M. Oliviéri, élève interne des hôpitaux . et des yeux. Le pincement des membres détermin
nexplicable ; ce caractère de gravité est porté à son summum dans les hôpitaux où l'influence miasmatique vient s'ajouter à tout
s. Comme il existait en même temps plusieurs œdèmes douloureux dans l' hôpital , j'aurais pu penser que nous avions affaire à un
Pasquier (Joseph), 21 ans, soldat au 52e régiment de ligne, entre à l' hôpital militaire du Val-de-Gràce le 10 décembre 1827. Il
oute sa connaissance, le 2 mars 1828 , 3 mois après son entrée dans l' hôpital . Aottopsie. Tête. Infiltration sous-arachnoïdie
uivante communiquée à la Société anatomique par M. Bell, interne de l' Hôpital des enfants , suppléera aux détails qui me manque
qui étaient froids et infiltrés. Le 21 décembre, l'enfant entra à l' hôpital dans l'état suivant : maigreur générale ; pâleur
ls sont le plus souvent consécutifs : c'est ce qu'on observe dans les hôpitaux destinés aux enfants malades, où la formation des
de la tête d'un enfant d'un an a été trouvé chez une femme morte à l' Hôpital Beaujon en 1831, par suite d'un ramollissement de
gie se fait d'une manière graduelle. Dans un cas que j'ai observé à l' hôpital de la Maternité avec MM. Paul Dubois et Moreau, l
forte constitution, tempérament sanguin, commis négociant, entra à l' Hôpital Beaujon, le 28 mars 1829, pour les tumeurs de la
éveloppement de la maladie. Ce fut alors qu'il se décida à entrer à l' Hôpital Beaujon. MM. Marjoliu et Blandin décidèrent que l
on, et le malade sortit guéri le 23 avril 1828. M. Fossé rentra à l' Hôpital Beaujon dans le mois d'avril 1830. La presque tot
grand nombre d'organes. Un homme, âgé de 45 ans environ, entra à l' Hôpital Beaujon portant un grand nombre de tumeurs noires
toute opération; et la malade, qui n'avait d'autre but, en venant à l' hôpital , que de se faire opérer, demanda sa sortie. Il n'
leur dans les membres. Le 10 février i834, la malade fut apportée à l' hôpital et couchée salle Saint-Jean, n° 19 : elle était d
s un grand état de prostration, et donna pour motif de son entrée à l' hôpital une fracture de la cuisse gauche qu'elle s'était
de la poitrine, sur les septième et dixième côtes. A son entrée à l' hôpital , le 26 juillet i834, douleurs névralgiques qui oc
giques présentées à la Société anatomique par M. Marotte, interne des hôpitaux . XXe livraison. 2. présence des alimens était p
Salpêtrière. (**) Observation et pièce pathologique recueillies à l' hôpital Beaujon (service de M. Martin-Solon), et communiq
uniqués à la Société anatomique par M. Reignier, alors interne de cet hôpital . La convalescence fut difficile, incomplète : i
ment de plénitude et d'étouffement. Point de vomissemens. Entré à l' hôpital Beaujon en avril i833, il se plaint d'une douleur
31 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
taxie des tabétiques ; Par M. G. CONSTENSOUX Ancien interne des hôpitaux , Chef du senice de rééducation et kinésithérapi
à faire quelques pas. Au bout de trois mois et demi, elle quitte l' hôpital , seule et à pied, prête à reprendre sa vie ordi
s jamais se passer de sa canne; il a peine à venir de la porte de l' hôpital jusque dans la service. Au bout de quatre moi
sa canne. En juin 1902. il se juge assez sûr de lui pour quitter l' hôpital et rentrer chez lui. Oss. VIII. M. B..., qnar
Plus de la moitié des individus, hommes ou femmes, transportés à l' hôpital de Munich pour cause d'ivresse avec exaltation, p
r un malade deux heures après l'ictus. Méthode de l'isolement à l' hôpital pour les névroses. M. DEJERINE préconise le sys
'internat des asiles ait lieu après le concours de l'in- ternat des hôpitaux afin d'avoir un plus grand nombre dé candidats.
(Bonhomme Normand, 21 novembre 1902). Pourquoi en prison et non à l' hôpital ? Une brute déchaînée. Assommé d'un seul coup.
Quand l'accident s'est produit, le tapissier venait de sortir de l' hôpital Saint-Antoine, où il était en traitement. Il se
13aill,argerl en 1857. Dans ce travail, paru dans la Gazette des Hôpitaux de 1870, l'auteur cite quatre observations de 1
a folie à deux el de ses trois grandes variétés cliniques (Gaz. des Hôpitaux , 1894, p. 75, 79, 80, 81). Legrain. Contributio
oi qu'il fasse. » M. Marandon, dans son article de la Gazette des Hôpitaux de 1894, montre bien l'évolution de cette idée de
le se trouve à les maîtriser. Elle est calme pendant son séjour a l' hôpital , cependant à deux reprises, pendant la nuit, el
à une pneumonie, dont il présentait les prodromes à son arrivée à l' hôpital . Autopsie. Sclérose des os du crâne, intégrité
tuelles avec crises d'épilepsies jaksoniennes, entra de nouveau à l' hôpital où le diagnostic de kyste du cerveau consé- cut
consécutive fut passagère et la malade rentra en juillet 1898 à l' hôpital présentant : de l'hémiplégie spasmodique avec hém
sait en réalité que de délires transitoires (véri- tables délires d' hôpital ), se terminant rapidement par la guérison ou pa
iers sont essentiellement transitoires, et doivent être soignés à l' hôpital , les deuxièmes sont per- manents, ou tout au mo
e, et arrivent seuls aux aliénistes ; les autres sont des délires d' hôpital . Ne voit-on pas l'intérêt considé- rable qu'il
et les traiter comme aliénés, des malades qui doivent guérir à l' hôpital ou y mourir. L'un de nous a cité ailleurs des c
al ou y mourir. L'un de nous a cité ailleurs des cas de délirants d' hôpital venus à l'asile comme aliénés, y mourir parfois
tions ont été pratiquées ; mais des malades qui ont été opérés à l' hôpital et qui ne sont venus à l'asile que parce qu'ils
res infectieux sont des délires transitoires qui doivent guérir à l' hôpital spontanément, ou après une inter- vention chiru
s et si répétées qu'elle a fini par garder le lit et par entrer à l' hôpital pour être curetée. Cette opération l'effrayait én
voie abdominale. La malade, qui avait déjà en terreur d'entrer à l' hôpital s'effraya encore davantage à l'idée de l'opérat
se trouve. « C'est une hernie que j'ai attrapée. J'étais entré à l' hôpital , il y a déjà plus de quatre mois et ils ne pouv
ici parce que j'étais inguérissable. Quand on lui demanda dans quel hôpital il était : « Je n'en sais rien, je ne me rappel
plus qu'ici, voilà tout. Ils m'ont amené avec une voiture ici, de l' hôpital (Sainte-Anne). » « Je n'ai plus de mémoire, du
e grossesse normale à vingt- sept ans. A trente-trois ans entre à l' hôpital Bichat, où elle est opérée le 4 juillet 1897, p
0°. Je fais venir en consultation mon ami le Dr Brault, médecin des hôpitaux qui confirme mon diagnostic, de péritonite aigu
de peut expliquer en partie cette suite d'événements. En quittant l' hôpital elle avait dans la partie supérieure de la plai
traitement par l'électricité. Par l. Z1111GIiN Ancien interne des Hôpitaux . Désirant nous faire une opinion sur la valeur
ale et sur les trou- - 6les similnires. L'auteur a observé dans l' hôpital de Sainte-Catherine deux cas d'alexie. C(M/. Ma
le début de la maladie, c'est-à-direle 18 décembre, il entra dans l' hôpital . Elat présent : certain affaiblissement d'atten
'ouïe est normale des deux côtés. Pen- dant le séjour du malade à l' hôpital tous les phénomènes morbides s'améliorèrent de
s Il. Malade de quante-cinq ans, ouvrier de fabrique, fut amené à l' hôpital le 17 juillet de 1901 en état d'inconscience. Sur
- nistes de carrière. Sir John Sibbald cite comme type du genre l' hôpital spécial du De Pontopidan, à Copenhague, datant dé
n traitement par l'électricité. Par A. ZIMIERN Ancien interne des Hôpitaux . IV. Conclusions D'après ce que nous venons d
d'un cas de ce genre concernant un malade de quarante ans entré à l' hôpital pour entérite chronique, permet cependant par s
après les paroles de Frend. Cas II. Fillette de huit ans, entre à l' hôpital de Sainte-Sophie à Moscou le 13 janvier 1901. J
hu- meur sont sans modification. Deux semaines après l'entrée à l' hôpital , la malade fut atteinte de la rougeole, après laq
e rapporteur a eu l'occasion d'observer ces dernières années dans l' hôpital de ville I deux cas de méningite basilaire simp
rès le début de la maladie, le 20noxembre 1899, le malade entra à l' hôpital . Sa tem- pérature était un peu élevée : le soir
e, le malade se rétablit entièrement. Six mois après sa sortie de l' hôpital , il restait tout à fait bien portant. La thérap
malade le natrium iodaturn (1,0-2,0 par jour). Avant de quitter l' hôpital , le malade avait fait 12 frictions d'onguent gris
6 septembre 1901, troisième jour de sa maladie, le malade entra à l' hôpital . Le cours de la maladie dans ce cas était presq
au premier plan. La maladie céda peu à peu, et le malade quitta l' hôpital le 9 décembre 1901, mais il se rétablit tout à fa
é par toute une série de malades qui n'ont pas besoin de séjour à l' hôpital . Il est donc indubitable que la composition gén
par le matériel passant par la consultation externe que celui de l' hôpital . Vu cela, nous nous permettons de penser que le
cation plus absolue, que les recherches faites sur le matériel de l' hôpital . La régularité des considérations sus-citées, '
de Niederhaus. L'assistance des aliénés s'effectue encore dans les hôpitaux , notamment à Wurzbourg et à Augsbourg. Le quart
tuis pratiqué à la porte comme dans une cage. Il en est de même à l' hôpital Julius de Wurzbourg. La nourriture de ces malhe
édicaux et poursuivant le même idéal de trai- tement que les grands hôpitaux généraux, lesquels sont reconnus comme les plus
s d'esprit, absolument comme il arrive pour l'ouvrier qui entre à l' hôpital , et qui y est l'objet d'attentions que l'on n'a
ctueuse, et combien les asiles sont, à cet égard, en retard sur les hôpitaux généraux, on trou- verait cette preuve dans ce
es. Ce dernier point la présence et la direction d'une infirmière d' hôpital instruite et diplômée est absolument capital :
ourtant elles sont moins appréciées du public que les infirmières d' hôpital , moins surtout qu'elles ne le méri- tent. Un de
é, c'est de les faire travailler côte à côte avec des infirmières d' hôpital : cela pousse quelques infirmières d'asile à re
t pas une bonne infirmière d'asile sans être une bonne infirmière d' hôpital , et les deux diplômes ne sont pas de trop ; car
ordre et tout aussi efficace la nuit que le jour. L'expérience des hôpitaux qui nous montre que la surveillance est d'autant
ruyantes et malpropres; encore y retombent-ils facilement. Dans les hôpitaux généraux il y aie plus souvent des chambres lat
et le Dr Keay voudraient que cette personne lût une infir- mière d' hôpital diplômée : l'auteur ne partage pas absolument c
hoïde, d'entérite et de pneumonie; on a fait venir 18 infirmières d' hôpital et l'on a pu voir nettement les inconvé- nients
les s'étaient fortuitement auto-hypnotisées, après leur sortie de l' hôpital , en regardant dans la rue quelque objet brillan
t confort à celle que les infirmers reçoivent dans la plupart des hôpitaux et hospices ordinaires. » B. XVI. Localizacione
de M. Keraval, qui a répondu « qu'un asile d'aliénés n'était qu'un hôpital , où on ne devait garder les sujets que pendant
té dans le vide. FAITS DIVERS. 495 Le jeune homme fut conduit à l' hôpital Saint-Antoine, car il s'était entamé les poigne
t désespéré. Quant à Marie Bérou, elle a été également conduite à l' hôpital Saint-Antoine. (Le Malin, 11 septembre 1903.) -
rvices d'aliénés. Ils sauront mieux ce qu'il convient de faire, à l' hôpital en présence de malades délirants. La place de ce
malade nous paraissait plutôt être à l'asile d'aliénés que dans un hôpital . FAITS DIVERS. Suicide d'adolescent. Un jeune
ie organique et hystérique, paL Babinski (Extrait de la Gazette des Hôpitaux des 5 et 8 mai 1900. Imprimerie Levé). DERNIÈ
le professeur de psychiatrie F. v. Ritgen proposa la fondation d'un hôpital destiné aux aliénés curables et qui devait être
tous sur le même plan. Rien dans leur aspect qui donne l'idée d'un hôpital ou d'un asile d'aliénés; ce sont des villas élé
t trépidation épileptoïde ; par M. Lannois. (Société médicale des hôpitaux de Lyon. 10 janvier 1902). M. Lannois publie l'
rébrale ? Souffle céphalique ; par M. CLAMENT (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 14 février 1902). Il s'agit d'un jeune
pent au bout de quelques heures. Quinze jours avant son entrée à l' hôpital les douleurs de tête sont devenues permanentes, a
at de la Faculté à MM. les Docteurs en Méde- cine, les internes des hôpitaux et les étudiants ayant passé leur 4e examen de
eul moyen efficace, suivant l'auteur, est d'obtenir, comme dans les hôpitaux généraux, le concours de dames, instruites dans
mort.Les médecinsavaientconseilléàsafemme de lefaire admettre. l' hôpital ; mais elle préférait le soigner dans la maison.
ues vaso-mo- trices, par Cassirer, 95. Méthode de l'isolement à l' hôpital pour les - , par llép : rme, 10t. Un cas de t
32 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
an dernier, communiqué une courte analyse à la Société médicale des Hôpitaux (Compte-rendu, 1882). En résumé, parmi les cas
n'eut pas de convulsions. De trois à quatre ans, teigne traitée à l' hôpital Saint- Louis. Depuis, l3uch... a eu une éruptio
d'autant plus tenir grand compte de la demande des pharmaciens des hôpitaux , que ceux-ci, en acceptant de faire partie du j
lté, médecin de l'hospice des Incurables, et G. ARTAUD, interne des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer, dans le c
, âgée de cinquante-huit ans, journalière, entre le 11 mai 1875 à l' hôpital Lariboisière, salle Sainte-Mathilde, n" 19 (ser
nférieure tombante; la marche n'était pas gênée. A son entrée à l' hôpital , difficulté de parler. Pas de céphalée, pas de
on mental diseases, London, 1883, p. 456. 1 Potain. - Gazette des hôpitaux , 1878, no 48, p. 377. LA FAMILLE NÉVROPATIIIQUE
ularités 3. II s'agissait d'un malade du service de M. Alillard à l' hôpital Lariboisière, atteint de paralysie bulbaire ave
ouvements sans paralysie ni contracture. A l'entrée du malade à l' hôpital on constate tous les signes de l'ataxie et, de
mmunication de 111. Cuffer, notre maître, M. E. Vidal, médecin de l' hôpital Saint-Louis, présentait à la Société de biologi
Société de biologie le 3 juillet 1875, et à la Société médicale des hôpitaux , le 9 juillet 1875. DE L'HEM1A'rlWPHII, : DE LA
on rédigée sur les notes recueillies par M. Plan- teau, interne des hôpitaux .) Le nommé Lucien Gér ? âgé de vingt-neuf ans,
? âgé de vingt-neuf ans, homme de peine, entré le 23 juin 1875, à l' hôpital Saint-Louis, service de M. E. VIDAL. Pas d'an
à se porter vers la gauche. - Lucien Gér... se décida à entrer à l' hôpital Saint-Louis, dans le ser- vice de M. Hillairet,
et aussi sur cette .circonstance qu'un zona n'entre jamais seul à l' hôpital (Hardy), et qu'un certain nombre de faits établ
ait si bien à la para- lysie générale, que le malade fut envoyé à l' hôpital comme atteint de cette affection. G. D. IX. P
, parmi les causes du tabes. L'opinion de l'éminent professeur de l' hôpital Saint-Louis paraît avoir eu la bonne fortune de r
ablissements d'aliénés du nanenlark, et Je quartier cellulaire de l' hôpital communal de Copenhague. Ce sont : l'asile de ,t
Copenhague. ,. '11' Ii Les pensions, dans, ces asiles, comme à l' hôpital , sont de trois classes, mais, les prix étant di
est fixé à deux par asile, du moins pour Vordingborg, Aarhuus et l' hôpital Saint-Jean (de Roeskilde), Viborg n'en ayant pa
L'un des candidats est, en ce qui concerne les asiles, pris dans l' hôpital Friedrich de Copenhague; l'autre est choisi par l
drich de Copenhague; l'autre est choisi par la direc- tion : pour l' hôpital Saint-Jean les deux élèves sont fournis par l'h
tion : pour l'hôpital Saint-Jean les deux élèves sont fournis par l' hôpital communal. Ces jeunes gens ont des appointements,
Asile d'aliénés DE MONTPELLIER. - A la suite d'un cours ouvert à l' hôpital général, le 14 janvier dernier, M. Combemalle a é
lté, médecin de l'hospice des Incurables, et G. ARTAUD, interne des hôpitaux . - 3° Lésions de la capsule interne et du pédon
F DU SINUS FALCIFORME SUPÉRIEUR; Par le D' N. POPOFF, médecin à l' hôpital de Saint-Nicolas, à PétersbourD 1. L'oblitéra
UR. 309 Marthe lf..., villageoise, âgée de cinquante ans, entra à l' hôpital militaire de Nicolas, à Saint-Pétersbourg, le 3
lus en plus violent. Je dois encore ajouter qu'avant son entrée à l' hôpital , la malade était sujette à de fréquentes syncop
pu avoir que des renseignements très incomplets sur son séjour à l' hôpital . Lors de son entrée, on constata chez elle, une
double, ainsi qu'un visible aliaissement des facultés mentales. A l' hôpital , la malade souffrait constamment de maux de têt
e ses collègues pour adresser des remerciements à la direction de l' hôpital de la Charité qui non seulement leur a prêté le l
re exécutés dans les quinze jours; 2, les malades, déposés dans les hôpitaux ordinaires, ne devront pas y séjourner plus de
RWEGE (Suite) 1; Par le Dr CLAUS (de l'asile de Sachsenberg). IV. Hôpital Saint-Jean (Saint-Hans), près Roeskilde. Médecin
t-Hans), près Roeskilde. Médecin en chef, professeur STEENBERG. Cet hôpital est l'asile d'aliénés de la commune de Copenhag
il dispose de 800 places, dont 740 se trouvent occupées. C'est cet hôpital qui, de concert avec le quartier cellulaire de
C'est cet hôpital qui, de concert avec le quartier cellulaire de l' hôpital général de la capitale, suffit à tous les alién
ar le conseil et associent leurs efforts au mieux des intérêts de l' hôpital . Le conseil nomme également les médecins-adjoin
nche les questions de solvabilité et de réduction des pensions. L' hôpital Saint-Jean est situé à vingt minutes à peu près d
formation ultérieure possible de l'établissement en un VARIA. 401 hôpital autonome complet. Deux pavillons séparés à deux é
enêtres qui ferment en surplus à clef -la fabrication du gaz dans l' hôpital à l'aide des résidus de pétrole et de paraffine
et les gâteux : tels sont les autres détails de l'aménagement de l' hôpital Saint-Jean. Soixante-cinq pour cent des malades
nt procurées aux aliénés : danses, navigation à la voile, etc.. L' hôpital Saint-Jean coûte à la commune 315,365 couronnes
365 couronnes 73 oeres (441,512 fr.). V. Quartier cellulaire de l' hôpital municipal de Copenhague. Direc- teur-professeur
ingt-cinq cellules le constituent. Il occupe le côté sud-ouest de l' hôpital et comporte avec le rez-de-chaussée un étage. E
de salle de jours spéciales. C'est l'ad- ministration centrale de l' hôpital qui veille à l'entretien de ces pensionnaires.
. Les mêmes dispositions maté- rielles régissant les aliénés qu'à l' hôpital Saint-Jean. Généralement les malades ne demeure
s'is ne sont pas guéris dans ce laps de temps, on les dirige sur l' hôpital Saint- Jean. Le professeur Goericke a su util
x concours, s'ils veulent être nommés médecins ou chirur- giens des hôpitaux ; - 3° qu'il n'y a pas de comparaison possible
de manière à être tout à fait équivalentes à celles du concours des hôpitaux aux- quels sont assimilés les médecins des quar
un d'eux; 30 minutes pour la dissertation), 30 points. MÉDECINS DES HÔPITAUX . 1.0 Epreuve clinique sur un malade (10 minutes
rt un point important : C'est que, de même que par le nombre de ses hôpitaux et de ses hospices, par le chiffre de ses malad
tte oligarchie médicale existe dès maintenant pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux ou l
nt pour les médecins des hôpitaux de Paris, pour les mé- decins des hôpitaux ou les professeurs des Facultés de médecine de
cial en créerait. Car, suivant eux, beaucoup d'anciens internes des hôpitaux qui se font inscrire pour les concours de médec
e font inscrire pour les concours de médecin et de chirurgien des hôpitaux ou se feront inscrire pour celui d'accoucheur des
gien des hôpitaux ou se feront inscrire pour celui d'accoucheur des hôpitaux se dingerontversce concours s'ils sont assurés
milation aussi complète que possible avec le corps des médecins des hôpitaux de Paris. Il convient aussi de rappeler que si,
s chefs de service de ces asiles 408 VARIA. seraient médecins des hôpitaux , comme l'étaient ou le sont MM. Trélat, Archamb
corps, a eu la jambe droite carbonisée. Elle a été transportée à l' hôpital Lariboisière dans un état désespéré. » Ce fait
fr. Gouguenueim (A.) Des névroses du larynx. Leçons professées à l' hôpital de Lourcine en 1S82, recueillies par F. morion.
33 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
e la Salpêtrière. Nul n'ignore aujourd'hui que la Clinique dont cet hôpital est le siège constitue le plus grand centre sci
issance et tomba sans pouvoir se relever. On le conduisit alors à l' hôpital Necker (14 juillet). Au début de son séjour il
contracture est demeurée définitive. Anna est alors rentrée dans un hôpital où, après l'avoir chloroformisée, on immobilisa l
E FRIEDREICH I Dans une récente séance de la Société médicale des hôpitaux , en date du 7 mars '1888, M. le docteur Joffroy
1884, n° 19, p. 45). . 4° En 188G, M. Descroizilles, médecin de l' hôpital des Enfants ma- lades publiait dans le Progrès
etour de la campagne, au mois d'août 1883, il a passé deux mois à l' hôpital Saint-Antoine dans le service de M. Dujardin-Beau
iques. Archives de neurologie, 1883. - .loflrov, Société médicale des hôpitaux , ISSu, p. 345 et il(;. . - , , 2. Leçons du m
: si. Le 25 janvier 1888, le docteur Gérard Marchant, chirurgien des hôpitaux , a fait une ! communication à la Société de chiru
plaque d'anesthésie. Malheureusement le malade n'est pas revenu à l' hôpital au jour qu'on lui avait fixé pour l'examiner de
ous les cas. Citons comme exemple le malade de Duplay, qui quitta l' hôpital sans présenter aucune sorte de consoli- dation
e2. Le malade a été présenté par lui devant la Société médicale des hôpitaux (séance du 25 nov. '1887). Cet homme est attein
; tel a été également l'avis des membres de la Société médicale des hôpitaux et entre autres de M. Joffroy. Mais, en refus
épilepsie traumatique que j'ai présenté à la Société ment- cale des hôpitaux après sa guérison par la trépanation (Bull. Soc.
ortune d'observer dans le service de M. le professeur Damaschino, l' hôpital Laënnec, sept cas d'arthropathie du , pied chez
bétique. M. Chauffard, en 1885, présenta il la Société médicale des hôpitaux un malade atteint de pied tabétique. Cette comm
première période du tabes. La même année, à la Société médicale des hôpitaux , parut un cas de pied tabétique observé par M.
hysiologiques sur la marche. Paris, 1886. 2. Société médicale des hôpitaux , 7 avril 188G. 3. Voir Féréol, Société médicale
le des hôpitaux, 7 avril 188G. 3. Voir Féréol, Société médicale des hôpitaux , 9 avril 1886. 13S NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
oimerct, if 30, dans le service de M. le professeur Damaschino, a l' hôpital Laënnec. L'ataxie locomotrice a débuté il l'âge
s; une arthropatliic du genou gauche obligea la malade à entrer à l' hôpital . Peu il peu, insidieusement, le genou augmenta
tait le siège de craquements. Le lendemain du jour où elle quitta l' hôpital , elle ressentit des douleurs aiguës au niveau d
d'une abondante héma- temese. Etat de la malade à son entrée à l' hôpital (novembre z1887>. Douleurs fulgurantes et do
ra ulté- rieurement. I. Pag... Alexandre, dix-huit ans, entré à l' hôpital Saint-Antoine dans le service de M. le docteur
de l'observation, des marques indélébiles. Dans notre service, à l' hôpital de La Charité, nous avons observé récemment une
e. Au bout de deux jours, il entra dans le service de médecine, à l' hôpital de la Charité (octobre 188G). Là, on le consi-
salle Louis, n° 16, dans le service du professeur Damas- chino, à l' hôpital Laënnec. Toujours bonne santé. En 1877 la,mal
âgé de cinquante-deux ans, entre le 26 juin 1888, salle Bayle, à l' hôpital Laënnec, dans le service de M. le professeur Dama
aucoup faibli. Il y a mal perforant au pied droit. A sa sortie de l' hôpital , le malade recommença à travailler; mais il dut
malade recommença à travailler; mais il dut entrer de nouveau il l' hôpital , pour des douleurs dans les membres infé- rieur
. n'était pas douloureuse. Soigné dans le service de M. Kicaise à l' hôpital Laënnec, on fil le diagnostic d'arthrite nerveu
r; les mouvements étaient plutôt gênés. Il dut bientôt entrer à l' hôpital , par suite de la gêne dans la marche et du gonf
douleurs très vives dans les membres inférieurs, et dut entrer à l' hôpital Lariboisière : ces douleurs survenaient brusque
s marqué ; on y appliqua des vésicatoires. Elle resta quatre mois à l' hôpital . A sa sortie elle ne pouvait marcher qu'avec l'
tre très délicat... 1. Du pied bot tabétique, Société médicale de ? hôpitaux , 13 nov. 1885. 2. M. Blum fait allusion au\ art
stance, comme s'il eùt été à charnière. On transporte le malade à l' hôpital militaire de Brest, ou il reste en traitement plu
f devint très médiocre. Au mois de décembre dernier, il entra à l' hôpital de la Pitié, où il ne resta que trois jours ; e
ù il ne resta que trois jours ; en juin, il passa quelque temps à l' hôpital Laënnec, enfin il entra, le 10 février, à l'Hôt
onctions digestives s'améliora beaucoup. Quand cet homme quitta l' hôpital , le 3 mars, il n'éprouvait plus aucun phé- nomè
cette chute. Il perdit en effet connaissance et fut transporté à l' hôpital d'Épernay. Il dut, suivant toute probabilité, s
nt sur les orteils du pied droit. Le malade entra le 6 décembre à l' hôpital de Château-Thierry, où l'on pansa les ulcératio
os orteil droit, laquelle était noire et se gangrenait. Il quitta l' hôpital de Château-Thierry le 28 mars dernier. Depuis ce
place se serait développée, huit jours après l'entrée du malade à l' hôpital de Château-Thierry, une ampoule noirâtre que le
naire, fonc- tionnent normalement. Le lendemain de son entrée à l' hôpital , il eut une attaque dont les circon- stances no
t pas de glycosurie. Au bout d'un séjour de quelques semaines à l' hôpital pendant lequel les douleurs de tête avaient été
lier devenait mons- trueuse. Admise pour une fièvre gastrique à l' hôpital , le 24 août 1856, elle fut placée dans la catég
d'après leur récit son corps « flottait comme du liège ». Porté à l' hôpital , il fut pris de délire et mourut dans le coma le
34 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
tée en 1890 par le D1' Athanassio (Alexandre), ancien interne des hôpitaux (Bukarest) ; D1' Arnaud (le 13eanvoisin); M0 By
Dr Planât (Xavier) (de Nice); D'' Pirato; Dur Rivière, interne des hôpitaux do Paris; le professeur lléuard (('.) ; Dr Régi
égis (de Bordeaux) ; Refortmatski (N. N.), médecin directeur de l' hôpital des aliénés de Novosnamensk (Saint-Pélurs- bour
oury) ; D'' Séglas ; D'' Sans Fritz ; Dr de Tornery, ex-interne des hôpitaux de Paris ; D'' Var- riest, professeur il l'Univ
Bourneville. 10 décembre 189G. III. Les médecins aliénistes des hôpitaux . En 1840, le Conseil général des hôpitaux et ho
s médecins aliénistes des hôpitaux. En 1840, le Conseil général des hôpitaux et hos- pices de Paris institua le concours pou
s), Trélat, jouissaient de toutes les prérogatives des médecins des hôpitaux ; ils pouvaient, entre autres, faire partie de 1
cins nommés d'après les épreuves des concours du bureau central des hôpitaux et hospices de Paris; Vu le rapport spécial du
mer, un concours dans les formes des concours du bureau central des hôpitaux et hospices, en tant que ces formes ne seront p
voir : 10 28 ans d'âge; 2° soit quatre années d'inter- nat dans les hôpitaux et hospices de Paris ou dans les asiles publics
suivante, à l'occasion de l'élection d'un délégué des médecins des hôpitaux au Conseil de surveillance, nous avons demandé
L'assimilation des Médecins des Services d'aliénés aux Médecins des Hôpitaux est complète, sauf sur un point qui concerne le
de tous les droits et de toutes les pré- rogatives des Médecins des Hôpitaux , puisqu'ils sont, du reste, astreints aux mêmes
la présentation du Médecin chargé de représenter ses collègues des Hôpitaux au sein du Conseil de Surveillance me parait do
ssimilation des Jléde- cins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète sous la seule réserve qu'ils ne si
les droits et de toutes les prérogatives attribués aux Médecins des Hôpitaux , de même qu'ils sont soumis aux mêmes charges e
ux médecins des quartiers d'aliénés de XGVI Médecins aliénistes des hôpitaux . la Salpêtrière et de l31cètre; nommés au conco
de l31cètre; nommés au concours, vis-a- vis des autres médecins des hôpitaux . D'après l'arrêté préfectoral du 3 mars 187 ! )
L'assimilationdcs médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète sous la seule réserve qu'ils ne si
uir de tous les droits et prérogatives attri- bués aux médecins des hôpitaux , de même qu'ils sont soumis aux mêmes charges,
siégé dans lesjurys de concours pour le recrutement des élèves des hôpitaux . Ces pcrogalivcs dont nos prédécesseurs nommés
rutés par la voie du concours, tout comme les autres médecins des hôpitaux . Nous voue demanderons donc, Monsieur le Direct
cle vouloir bien compléter notre assimilation aux méde- cins des hôpitaux en mêlant uns noms aux leurs dans l'urne d'où s
l'assimilation des médecins des services d'aliénés aux médecins des hôpitaux est complète, sous la seule réserve qu'ils ne s
s droits et de toutes les prérogatives attribués aux médecins des hôpitaux . Cette interprétation de l'art. G de l'arrêté p
oN>;vtt.t.e, l31cêtte, 18 ! )G. ? XCVIII Médecins aliénistes des hôpitaux . MM. les médecins aliénistes, chargé de représe
ù viennent d'avoir lieu les mutations des chefs de service dans les hôpitaux de Paris, il nous parait utile d'attirer l'atte
ont assimilés, au point de vue de la limite d'âge, aux médecins des hôpitaux , c'est-à-dire qu'il sont mis à la retraite à so
régler définitivement la situation des médecins ulié- nistes des hôpitaux , nommés au concours, en les mettant en possessi
on de ses doigts que ses parents font conduit au bout d'un mois à l' hôpital des Enfants-Malades où il n'a fait qu'un court
est sorti le 8 octobre' et le 29 du même mois, il a été envoyé il l' hôpital de Berclc. Il en est revenu le 10 juin 1881.
bon; et, au retour, coxalgie améliorée. Les noies du Directeur de l' hôpital de Bcrk-sur-Mer, copiées sur le registre de la
oxalgie à droite, ainsi que le fait supposer la note provenant de l' hôpital des Enfants-Malades, on ne saurait l'admettre d
à quelques maladies de la moelle el du cerveau (Revue pliotogr. des hôpitaux , 1871, p. 9, 52, 67, etc.).. Maladie DE MORVA
Gombault), p. 308, etc., etc. ' Jnttroy et Achard. .Soc. taétl. des hôpitaux , 11 juillet 1890, et Archives de méd. expert m.
tisme. Il tousse encore un peu. Conduit, il y a quelques jours, à l' hôpital Trousseau pour y 76 DESCRIPTION DU malade. fa
t, pour ce malade, n'est borné à peu de chose. Avant son entrée à l' hôpital , on ne lui donnait que quelques bains, A Bicêtr
s caractères que dans les précédentes, durée 2 heures. Conduite à l' hôpital Trousseau, elle y resta S jours, puis fut en- v
stion de glande thyroïde; . Communication à la Société médicale des hôpitaux . (Séance du 17 janvier 189o). M. Bourneville
yroïdienne quatre ou cinq malades à la fois, dans le même service d' hôpital , un myxoedémateux et plusieurs femmes atteintes
u mouton; Par BOURNEVILLE Communication à (a Société médicale des hôpitaux . (Séance du 22 janvier 1897). Messieurs, Il
amille : si cela est difficile en ville, cela est possible dans les hôpitaux par l'établis- sement de fiches, sur lesquelles
35 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LO
IONS , POUR SERVIR AU DIAGNOSTIC DES PARAPLEGIES SYPHILITIQUES ( Hôpital Saint-Louis. - Service de M. le Professeur Fourni
fréquentent la Clinique des maladies cutanées et syphilitiques de l' hôpital St-Louis, nous désirons appeler l'atten- tion s
aurait eu sur le corps une éruption roséolique qui fut traitée à l' hôpital du Midi par des frictions mercurielles et de l'
pable vu la difficulté de la marche, de faire son service; puis à l' hôpital pendant un mois 1/2, puis il partait en congé d
ongé de convalescence et se trouvait libéré du service militaire. A l' hôpital le traitement consista en frictions mercurielle
amme de KI par jour. Depuis cette époque et jusque son entrée à l' hôpital St-Louis, il s'est réguliè- rement soigné par l
de légumes, est entrée le 17 novembre 1892, salle Henri IV, no 10, hôpital St Louis. A. H. Parents morts d'affections pulm
xerçant le métier de doreur sur bois, est entré le 20 juin 1890 à l' hôpital St-Antoine, salle Littré, service de M. le Dr B
i, son mé- tier de facteur abandonné, il vient se faire soigner à l' hôpital . Soumis alors à l'observation de MM. Le Noir et
enue entre deux et trois ans, des médecins anglais et un médecin de l' hôpital français de Londres auraient porté le diagnosti
é Londres pour habiter Paris, y consultent un médecin distingué des hôpitaux qui, en présence des attaques, du caractère viole
queluche il 4 ans. Opérée vers cette époque pour un genu valgum à l' hôpital Tenon et envoyée en convalescence dans une sta-
coup. ' Etat actuel. Il y a déjà 8 mois qu'Emilia llf..... est il l' hôpital , quand il nous est donné de l'examiner, au mois
s toujours sine materid (2). (A suivre) A. BARD01., Interne des hôpitaux . (i) Panas, Semaine méd., 21 novembre 1886. (
E ON-GUÉISAIT-L FÛ55ÉDÉ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Hôpital Necker. Clinique chirurgicale (t) ÉLONGATION ET
i sur lequel nous avons pratiqué l'élongation) s'est pré- senté à l' hôpital dans les circonstances suivantes : le 27 mars 92,
et ne sentaient même plus les doigts du masseur. Le malade quitte l' hôpital le 16 avril, guéri de sa plaie, mais présen- ta
s tard l'électrisation. Mais rien n'y fait, et le malade rentre à l' hôpital le 25 mai, porteur maintenant ; d'ulcérations q
ux, puis se dissipent tout à fait. Ménopause à 51 ans. Entrée à l' hôpital en août 1892. Femme petite, cheveux châtains, y
minant. A 47 ans (1889), le malade entre pour la première fois à l' hôpital . Homme châtain, grisonnant, yeux gris, myosis s
e, pas de troubles vaso-moteurs, le malade reste quelques jours à l' hôpital , puis retourne à son travail qu'il continue penda
relève atteint d'une hémiplégie gauche complète et on l'envoie à l' Hôpital où il arrive dans le demi-coma et le stertor.
'Hôpital où il arrive dans le demi-coma et le stertor. Arrivé à l' hôpital , le malade reprend peu à peu le sensorium. L'hé-
la syphilis cérébrale (1) Ce mémoire a été présenté au concours des hôpitaux en décembre 1892. Depuis qu'il a été déposé à l
eront mises à contribution au cours de ce travail. (1) Moxon, Guy's hôpital Reports, 1871. (2) Ladreit de laCharrière, Thès
ntative d'hyp- notisme réussit très facilement. 12 mai. Revue à l' hôpital après son complet rétablissement, cette jeune f
était déjà très sensible. On se décide alors à le faire entrer à l' hôpital des Enfants-Malades. Etat actuel. L'état actuel
s le médecin que l'avenir des enfants. A. 13ARD01., Interne des hôpitaux . LA DANSE MACABRE DU BAR (1) Il existe dans l
6 ans, natif d'un village de la Cor- rèze, entre à la salle 16 de l' hôpital St-André le 31 mars 1892, pour une affection pr
graduelle de la sensibilité. En novembre, B..., qui avait quitté l' hôpital pour reprendre son travail, nous revient avec u
eptiques a rapidement guéri. En janvier 1893, le malade revient à l' hôpital et l'on constate alors, pour Follet 12. 136 N
ie. Soc. méd. des hop., 4 novembre 1892. (3) Société médicale des hôpitaux de Paris, séance du 27 février 1891. Brulil. Co
de la moelle. - Ger... Euphémie 43 ans entre le 28 février 1892 Ù l' hôpital Sain.t-Antoine, salle Lorain n° 7 (service de M
lus violentes que jamais ; et la malade dut entrer il y a 2 ans à l' hôpital Tenon (dans le service de M. Talamon). Elle pré
ai- blesse des membres inférieurs. Elle eut, pendant son séjour à l' hôpital , plusieurs ictus non suivis de paralysies. Elle
syphilitique. Un traitement spécifique fut institué; elle quitta l' hôpital améliorée mais non guérie. Il y a 2 mois, nouve
etenir longtemps ses urines. Ultérieurement, pendant son séjour à l' hôpital , elle a eu de l'incontinence abso- lue. Comme
bouche : la syphilis a été reconnue par le Dr Duplouy, médecin des hôpitaux de Roche- fort, qui ordonna des pilules mercuri
ent sérieux (friction avec un baume quelcon- que). Elle entre à l' hôpital le 17 mars. Examen le 22 mars 1892. Malade d'as
paravant. Elle dit surtout que, quelques jours avant son entrée à l' hôpital , elle a eu la parole très gênée. Le goût, Fouie
ins- truction. Il en rapportait de nombreux documents, visitant les hôpitaux , les églises, les musées, où son espri sagace,
, si complètement remplie. Nommé agrégé à la Faculté et médecin des hôpitaux , il prit, en 1862, pour ne plus le quitter, un
nier respect d'une nomencla- ture employée dans les salles du vieil hôpital , il lui conservait le nom d'hysléro-épileptiq1l
où il enseignait étant de- venu trop petit, l'ancienne cuisine de l' hôpital où pouvaient loger cinq cents auditeurs avait é
anées. Ney... 27 ans, élève en pharmacie, entre le 10 mars 1880 à l' hôpital St. An- toine, salle Damaschino, dans le servic
nt sous lui, et la marche devient impossible. Il fut transporté à l' hôpital du Midi, où on lui prescrivit de l'iodure de po
s-midi du même jour, la paraplégie est complète. A son en- trée à l' hôpital , le lendemain, on constate une paralysie flasque
arriva à Liège, le 50 jour, dans un état déplorable et fut reçu à l' hôpital anglais où il resta traité, paraît-il, pour un
à Spa, toujours à pied, et de là à Yerviers où il entre encore à l' hôpital . Il y éprouva quelque soulagement de sa douleur
on interlocuteur dans toutes les pièces, dans toutes les cours de l' hôpital , et si l'on parvient à lui échapper, il se tour
pas explicite a cet égard. De bonne heure aussi, il a fréquenté les hôpitaux , d'abord ceux de son pays où il a été traité po
ance la guérison rêvée. Il se présenta il plusieurs consultations d' hôpitaux , dans un état de dénue- ment extrême, espérant
ois refusait toute nourriture. Le 17 mai 1885 elle a été placée à l' hôpital Préobragenscki : La malade est presque immobile;
die jusqu'au ler février 1801, sonl fournies parles observations de l' hôpital pl'éo- bragencki où la malade a élé placée à de
at reste stationnaire. 27 mars 1890. La malade est réintégrée à l' hôpital Préobragenski ; elle est très agitée. 10 avri
nous suffire pour le moment. M. POTOVSKI, Médecin-adjoint de l' hôpital Préobragenski pour les aliénés à Moscou. LE J
trière, où nous avons pu continuer son observation. En quittant l' hôpital vers la fin de l'année 1890, porteur d'une recomm
les existent encore quand ils ont passé quelques jours de repos à l' Hôpital . « Les jam- bes fléchissent quand ils sont debo
36 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l' Hôpital SAINT-ÉLOI DE VIONTPELLIER. UN CAS DE SARCOME V
LA. VIELLE, et H. VILLARD, Chef de clinique intérimaire Interne des hôpitaux à la Faculté de médecine de Montpellier. No
ômes du début; il est rarement couché, il se promène partout dans l' hôpital sans savoir où il va, et on est obligé de le surv
sez rares actuellement. Durant les premiers jours de son séjour à l' hôpital , les symptômes que nous venons de rapporter per
J. VOISIN, médecin de la Salpètrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux . DU SANG. L'état du sang a déjà été l'objet d
DOUBLE DE la SIXIÈME paire; par le Dr H. Lamy, ancien in- terne DES hôpitaux . 1V021U. Iconographie de la Salpêtl'iè1-e, 1894,
thésie croisée d'origine SYPHILITIQUE ; par M. Jon.aND, interne des hôpitaux . - (Nouv. Iconog. de la Salpêtrière, t89L, n° 2
stériques et les recherches de M. G. de la Tourette faites dans les hôpitaux de Paris et qui tendent à prouver que l'influen
qu'à la réforme mé- morable de Piuel. E. B. III. Laboratoire DE l' hôpital ifac LEAN A S011ERVILLE (Massachusets) ; par le
J. VOISIN, médecin de la Salpètrière; et Raymond PETIT, interne des hôpitaux . Bromure de potassium. - Le bromure de potassiu
e. Plus tard, dans la même année il parla à une réunion tenue à l' hôpital royal de Bethléem, où aussi un second meeting fut
La marche devient un peu lourde. Au mois de février 1886, reçu à l' hôpital de Stuttgart, où il a été atteint d'une diarrhé
Le malade se trouve de nouveau, le 14 juillet de la même année, à l' hôpital de Stuttgart. Sa marche est encore plus difficile
aris). - Depuis sa dernière communication à la Société médicale des Hôpitaux en octobre 1894, il a soigné deux autres malade
se souvenir de rien. M. CIIALLAnT DE BELLEVaL, médecin en chef de l' hôpital militaire de Bordeaux, cite une statistique d'e
par les /t)/poc/t0 ? 'ttt<j't<es errants; ceux-ci courent les hôpitaux et même les villes pour se faire débarrasser de
t par les professeurs des Facultés, mais aussi par tout médecin des hôpitaux spécialiste. M. Joffroy porte un toast à M. Cal
t l'impossibilité, en raison de son agitation, de le placer dans un hôpital d'enfants, et il ajoute : « Le père, maître d'h
e. - Wele,. quarante-un ans, marchand ambu- lant. Consultation de l' hôpital Lariboisière, 7 décembre 1892. C'est un israéli
iblissement passager des jambes qui l'obligea à faire un séjour à l' hôpital , deux ans plus tard des paralysies ocu- laires,
'escalier, le lendemain il fut obligé de garder le lit et entra à l' hôpital . Etat actuel. - Douleurs fulgurantes dans les q
ingo-myélite diffuse. - Wei... Joseph, quarante-sept ans, chaisier, hôpital Lariboisière, salle J. Boulay, n° 16, entré le
crises rectales typiques, dont la violence conduisit le malade à l' hôpital . Etat actuel. - W... est de taille moyenne, mai
diffuse que M. Raymond a publiée en 1892 à la Société médicale des Hôpitaux , et aux dessins qui l'accompagnent. Cette dispa
vrier 1895.) Il s'agit d'un homme de vingt-trois ans, apporté à l' hôpital en état de coma, et dont on ne sait rien si ce
et l'enfant roula par terre au milieu des tonneaux vides. Amené à l' hôpital , on ne lui trouve aucune blessure du côté des m
n mois après l'accident le malade sortait, complètement guéri, de l' hôpital . (Amerio. Journ. of insanity, oct. 1894.) E. BLIN
e, hémiplégie droite, aphasie motrice et cécité verbale), entre à l' hôpital avec une hémiplégie droite accompagnée de contr
oncentrique du champ visuel. : Le malade est rentré récemment à l' hôpital avec les mêmes symptômes d'anesthésie et d'hémi
un type banal. Il a été, de 1877 à 1881, infirmier dans différents hôpitaux parisiens, et là, au spectacle quotidien des tr
ta à Sainte-Anne comme atteint du délire des persécutions, puis à l' hôpital Broussais comme alcoolique. " ' . Il rentra f
bien rudimentaire : c'est dans quelques villes seulement que les hôpitaux ouvrent leurs portes à cette catégorie de malades
ve siècle pour voir, en différentes villes, les fous admis dans les hôpitaux . En 1460, à Nuremberg, on fonde un bâtiment qui
Francfort-sur-le-Mein, un quartier spécial leur est réservé dans l' hôpital . A Brunswick, en lëïi8, on enferme quelques fou
dans l'hôpital. A Brunswick, en lëïi8, on enferme quelques fous à l' hôpital Beatx illariæ Virginies; à la fin du xvie siècl
tal Beatx illariæ Virginies; à la fin du xvie siècle, on annexe à l' hôpital quelques cabanons pour les aliénés agités ; ceu
la lèpre (Virchow). A Wurzbourg, le prince-évèque, fondateur de l' hôpital Julius (1576), avait spécifié qu'aucune catégorie
7 admet-on les aliénés au rez-de-chaussée d'un des bâtiments de l' hôpital . On peut voir encore aujourd'hui les vastes salle
arde les aliénés dans l'hospice « Pesthof ». Au milieu du siècle, l' hôpital de Brunswick est chargé, non seulement de recev
roi Frédéric 1er, en z1-109, donne l'ordre d'interner les fous à l' hôpital Dorothée, mesure qui fut appliquée en 1711. A W
furiosi seront dorénavant internés dans un quartier spécial de l' hôpital Julius, tandis que les placidi délirantes et non
tandis que les placidi délirantes et non furiosi resteront dans les hôpitaux des districts. Le sort des aliénés s'améliore é
rt des aliénés s'améliore également dans le duché de Brunswick. A l' hôpital Saint-Alexis de Brunswick, on semble s'être pré
8, un quartier spéciale- ment consacré aux aliénés est organisé à l' hôpital de la Cha- rité de Berlin. Malgré ces tentati
Alexandre, fut transformée par lui, de 1805 à 1810, en un véritable hôpital d'aliénés. Tous les malades, sauf les agités, y
prendre au public que l'on peut guérir la folie, que l'on créa des hôpitaux actifs d'aliénés où l'on obtient des guérisons
catégoriquement contre ce système, et luttèrent pour la réunion des hôpitaux de trai- tement (Heilanstalt) aux asiles d'hosp
services économiques, la même direction médicale et servant l'un d' hôpital pour les cas aigus, l'autre d'hospice pour les
ellement en voie de l'être. Citons rapidement la création de petits hôpitaux de traitement et de vastes colonies agricoles,"
t prématuré de vouloir rejeter d'une manière absolue le système des hôpitaux actifs proprement dits' ». « Un modo bien enten
ation pour les aliénés de trois catégories d'établissements : 1° un hôpital urbain destiné à admettre le plus promptement p
ns médicaux constants; 3° un hospice pour les aliénés infirmes. L' hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus devait,
salle de gymnastique, jeux de boules, etc., étaient inutiles pour l' hôpital urbain. Le nom- bre des lits, ne devait pas dép
urte, et-ne pas dépasser un an. Dans les villes universitaires, cet hôpital devait servir de clinique de psychiatrie '. L
nombre de lits très restreint, serviraient de bureau d'admission, d' hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique
lissement d'hospitalisation les malades pour lesquels le séjour à l' hôpital de traitement ne serait pas, ou aurait cessé d'
il serait renvoyé; 4° il ne pourrait rester plus de deux ans dans l' hôpital ou l'asile. Je dis deux ans, l'expérience m'aya
. 1. 368 asiles d'aliénés. tion dans les grandes villes de petits hôpitaux d'aliénés. Il constate que dans les établisseme
iesinger, en 1868, déclare que 25 p. 100 des aliénés traités dans l' hôpital urbain qu'il réclame auront besoin d'une sur- v
étention, les « prisons médicales » (Pinel) de jadis, mais bien des hôpitaux pour la guérison des maladies mentales. L'ado
iers de la population totale de l'établissement, qu'on adjoignit un hôpital pour le traitement des malades atteints de psyc
e surveillance constante. Partout, aussi bien à la colo- nie qu'à l' hôpital central, se manifeste la préoccupation d'écar-
re des maisons de détention, pour devenir à la fois de véri- tables hôpitaux pour le traitement des maladies mentales, et de
tat myxoedémateux s'était peu à peu développé : lorsqu'il entra à l' hôpital , il présentait l'ap- parence caractéristique d'
complète et le malade, revu par l'auteur un an après sa sortie de l' hôpital , ne présentait aucun signe de rechute. (The ali
stallation des bains en pluie, telle qu'elle vient d'être faite à l' hôpital d'Etat d'Ulica. (Amel'icanjou1'nal ofinsanity,
le bras et la jambe du côté droit. Au bout d'un mois elle quitte l' hôpital , et une lettre de sa mère datée de six mois apr
n alibi et s'informe après sa domestique. Celle-ci, transportée à l' hôpital , dénonce l'auteur du crime qui est emprisonné.
osphère. Elle n'a pas besoin des tréteaux ; ses laboratoires et ses hôpitaux lui suffisent. Elle n'a pas à corser la figurat
iénés. 445 nation des infectieux constitueraient en quelque sorte l' hôpital de l'asile, c'est-à-dire le centre principal de
langue ne parais- sait pas déviée. - Le 9 mars, le malade entre à l' hôpital , et là, le ' voyant pour la première fois, nous
parole s'embarrasser. - De l'infirmerie Tr... passe le 16 juin à l' hôpital où cet état, ébauche de sa précédente atteinte du
parti que le premier-maître fut terrassé, ligoté et transporté à l' hôpital maritime, où il a été placé dans un cabanon. (L
cérébral d'origine trauma- tique, par Mayo, 393. Laboratoire de l' hôpital Mac Lean, il Sommerville par Stanley Hall, 87.
37 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s GUINON, A. SOUQUES, Chef de clinique. Interne (médaille d'or) des hôpitaux . III. Nous venons de voir jusqu'ici le diabèt
sion d'urgence et trois semaines après notre malade aurait quitté l' hôpital Saint- ' Antoine, non complètement guéri cepend
grammes de glycose par litre. A son retour de Vichy, il revint à l' hôpital Saint-Antoine où il fut soumis à un régime approp
nsiblement amé- lioré. ' L'année suivante, en 1883, il rentra à l' hôpital Andral pour son diabète. 11 avait encore, dit-i
die ne l'a pas autrement incommodé; il n'est resté qu'une fois il l' hôpital pour le taenia en 1884. Lorsqu'il s'est présent
RESSION DE CERTAINES REGIONS, Parle Dr E. WEILL, '0 Médecin des hôpitaux , agrégé à la Faculté de Ljon, Les cas d'astasie
e ayant duré plus longtemps que de coutume, la jeune R... entra à l' hôpital juif de Varsovie, dans le service du D1' Gajkie
ble et les chorées chroniques de l'enfance; par AUDITS, médecin des hôpitaux de Lyon. 1 vol. in-81 de 400 pages, chez J.-B.
, Dreyfus-Brissac, médecins des hôpi- taux ; Picque, chirurgien des hôpitaux ; Boudrié, Briand, Marandon de Montyel et A. Vo
tion du jury : MM. Villejean, Chas- taing, Prunier, pharmaciens des hôpitaux ; Quesneville, pharma- cien de l'Asile clinique,
du sinistre sont incon- nues. L'incendie de cet hospice, celui de l' hôpital de Lorient, montrent une fois de plus la nécess
ES GUI\0, A. SOUQUES, Cher de clinique. Interne (médaille d'or) des hôpitaux . IV. Il' ne nous reste maintenant qu'à signal
, médecin suppléant de la Salpétrière, . et PAUL LONGE, interne des hôpitaux . Dans son remarquable mémoire sur les hallucina
rite; il en fait son cheval de bataille et s'installe à demeure à l' hôpital . Mais àl'li0pital même on l'emploie, il y trava
SKY communique deux cas de paralysie saturnine observés par lui à l' hôpital Catherine. Les deux malades (seize et vingt-tro
estions diverses touchant la méde- cine mentale; 3° Les visites aux hôpitaux de Blois, à l'ancien hospices des aliénés et à
esponsabilité de ce fait tient-elle à la mauvaise organisation de l' hôpital de la Tour-de-France. Il est pro- VARIA. 269
t pro- VARIA. 269 bable que là, comme dans un très grand nombre d' hôpitaux de province, les cabanons destinés aux malheure
e résultat à ce point de vue, de nos visites dans un grand nombre d' hôpitaux et montré la situation abominable qui était fai
res aux préfets le 1er août 1887. L'année suivante, dans d'autres hôpitaux , nous constations la même situation indigne. Nous
aliénés. Depuis lors nous n'avons pas eu l'occasion de visiter les hôpitaux de province. La situation a-t-elle changé ? Nou
iens que dans les asiles anglais. R. AI. C. Description DU NOUVEL hôpital DE l'asile royal DES aliénés DE h10\TROSE; par
es réformes ont été les suivantes : 1° Augmentation du nombre des hôpitaux d'Etat, et, en parti- culier, création d'un nou
74 VARIA. -nomination et la promotion d'officiers médicaux dans les hôpitaux de l'Etat. La commission, qui fonctionne depuis
u trans- fert des aliénés dépendant des refuges des Comtés dans les hôpitaux de l'Etat, mettant ainsi un terme aux abus et s
parés, d'étendue mo- 'dérée, seront construits sur les terrains des hôpitaux d'Etat déjà existants : on n'installera dans ce
50 dollars par tête. L'État est divisé en districts ayant chacun un hôpital d'Etat où seront traités tous les aliénés du di
a nouvelle législation est de pour- voir à la création, dans chaque hôpital d'Etat, d'une femme mé- decin ayant qualité d'a
nte d'aliénation mentale. En consé- quence, elle a été conduite à l' Hôpital général, quartier des folles. (Progr. méd.) H
conduite à l'Hôpital général, quartier des folles. (Progr. méd.) Hôpital pour épileptiques. Le Gouverneur du Massachusetts
message au parlement dans lequel il demande la cons- truction d'un hôpital de l'État pour les épileptiques adultes, en y j
ies de malade, et illusion du médecin, j'avais dans mon service à l' hôpital Saint-Antoine quelques malades, qui par la sing
e, le médecin crut devoir proposer à la famille l'entrée soit à l' hôpital , soit dans une maison de santé; cette pro- posi
re les ordonnances; que, du reste, elle ne voulait aller ni dans un hôpital , ni dans une maison de santé ! - Mon nom ayan
agnai à mon opinion, et la jeune fille entra dans mon service à l' hôpital Saint-Antoine, salle Sainte-Cécile, n° 14, le 1
tisme et par sa mauvaise humeur, contre son enlèvement. Arrivée à l' hôpital , elle témoigna d'un grand mécontentement en voy
té et de bavardage elle ne cessa de protester contre son entrée à l' hôpital , se révoltant contre ses parents, contre son mé
nables ; qu'elle m'avait entendu dire à mes élèves, en quittant l' hôpital , qu'il en serait de même pour elle, que j'en avai
jours encore pour confirmer cet heureux résul- tat. Elle quitta l' hôpital le 14 juillet et rentia dans sa famille, heu- r
intenant de l'insistance que j'avais mise à demander son entrée à l' hôpital ; que tout avait été, pour elle, une surprise,
années, j'observais des malades hysté- riques dans un service de l' hôpital du Havre que m'avait si obligeamment ouvert mon
musculaires et non des sensations tactiles. J'étudiais non plus à l' hôpital , mais chez, elle une jeune femme de vingt- deux
ubourgs d'une ville de province, qu'elle n'avait jamais été dans un hôpital et que même elle n'avait été examinée par aucun
ultat identique par des procédés moins précis. Une jeune fille de l' hôpital du Havre semblait absolument aveugle de l'oeil
r Jules VOISIN, médecin de la Salpêtrière, et A. PÉRON, interne des hôpitaux . La question de l'albuminurie post-paroxystique
AS, médecin suppléant de la Salpêtrière, et PAUL LOKDE, interne des hôpitaux . Observation Il[ ? La nommée Marthe Carr..., âg
orante, dit-elle, je me suis perdue ; j'ai volé le pain de tous les hôpitaux . Je suis devenue comme un monstre; je l'ai vu e
comme devait l'être plus tard le regretté Michaud, chirurgien, des hôpitaux de Lyon ; Lépine, membre correspondant de l'Ins
ulté lyonnaise, Bourneville, Joffroy, Hanot, Gombault, médecins des hôpitaux ou agrégés : Debove, mon collègue de la Faculté
nt. c J'en passe, et des meilleurs, tels que Oulmont, médecin des hôpitaux , Richer, chef de laboratoire dans mon service,
hef de laboratoire dans mon service, Brissaud, Ballet, médecins des hôpitaux et agrégés, Féré, médecin de Bicêtre, Marie, mé
s hôpitaux et agrégés, Féré, médecin de Bicêtre, Marie, médecin des hôpitaux et agrégé, Babinski, médecin des hôpitaux, etc.
cêtre, Marie, médecin des hôpitaux et agrégé, Babinski, médecin des hôpitaux , etc., car, malgré toute la joie que je ressens
e la charité. Lorsque, sur tous les points de notre territoire, des hôpitaux sont ouverts aux diverses maladies qui affligen
te et ont trouvé leur mère morte. - L'ancienne bonne du curé de l' hôpital du Perpétuel secours à Levallois-Perret, une de
Petit Provençal du 25 mars, et sous ce litre : A la Porte de nos Hôpitaux , qu'un certain Gonzalès aurait été refusé à la Co
le spécial. Nous espérons que la question des épileptiques dans les hôpitaux sera bientôt résolue dans un sens qui donne sat
d'électrothérapie de la Salpêtrière, qui y fonctionne pour tous les hôpitaux . Le local est, d'après eux, trop exigu, les ins
nt : « Au secours ! » Le pauvre enfant a été transporté mourant à l' hôpital . Son meurtrier a pris la fuite. La police est à
idents, feignit de se trouver mal dans la rue. On le transporte à l' hôpital , où une véritable torture commence. Les médecins,
orps médical, en demandant « qu'on n'expédie plus que des morts aux hôpitaux new-yorlcais» x Veuves DE médecins. Le Ministre
connaître le résultat obtenu, car la ma- lade, une fois sortie de l' hôpital , ne revint plus donner de ses nou- velles. Pend
38 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
alade de cette catégorie qu'il a présenté à la Société médicale des hôpitaux (séance du 8 juillet 1887). L'attitude de ces m
l'âge adulte. En 1870, il est soigné pen- dant un mois et demi à t' hôpital de Metz pour une fièvre mu- queuse, à la suite
qu'elle souffre encore beaucoup en marchant, à la consultation de l' hôpital Necker (fin du mois d'avril 1887) : là, on lui
s. En effet, dans l'OBSERVA'noN II, il est noté qu'à la sortie de l' hôpital , vingt jours après l'entrée, les douleurs sont
s après le moment où elle s'est présentée pour la première fois à l' hôpital , les dou- leurs avaient notablement diminué et
COORDINATION' AUTOMATIQUE) (JaCCOUD) ; Par PAUL BLOCQ, interne des hôpitaux . Nous désignons ainsi un état morbide dans lequ
époque, les mêmes caractères qu'aujourd'hui. Pendant son séjour à l' hôpital elle a eu deux attaques semblables à celles qu'
VEUSE DES ÉPHIDROSES DE LA FACE; Par M. PADL RAYMOND, interne des hôpitaux . I. S'il est dans la pathologie médicale une
une ostéite du cubitus qui ont nécessité un séjour d'un mois à l' hôpital Saint-Louis. Dans son enfance, il a été atteint
affection est assez gê- nante pour qu'il réclame son admission à l' hôpital . Il sue en mangeant, environ une demi-minute ap
pathique cervical ne donnent aucun ré- sultat. Le malade quitta l' hôpital le 15 février. (Nous avons revu ce malade à la
vertiges et des attaques comateuses apparurent. La malade entre à l' hôpital dans le coma. Le visage est plus coloré à droit
7. * De l'apoplexie hystérique . Bull. et mém. de la Soc. m éd. des hôpitaux , £ , août 1886, p. 370; et Gaz. hebd. de 11led
: un individu est subi- tement frappé dans la rue, il est amené à l' hôpital , et tous renseignements font défaut : le diagno
un malade âgé de trente-trois ans acluellement en obser- vation à l' hôpital Broussais, qui, à la suite de chagrins de famille
cence ; pas d'encéphalite. Comme d'autre part une statistique d'un hôpital de Genève donne sur soixante autopsies cinq à s
traités à domicile; De la cons- traction et de l'administration des hôpitaux (188, etc., etc. 1f. Foville était un des princ
nalgésie limitée. Job Kousmine, paysan de vingt-deux ans, entra à l' hôpital de Catherine le 20 janvier 1886, se plaignant d
ènes qui eurent lieu pendant les douze mois que le malade passa à l' hôpital , ils ne présentèrent pas de changements : l'atr
es testicules), dont il était atteint vers l'âge de quinze ans, à l' hôpital des enfants. Vers l'âge de vingt ans, vertiges
erne, un abcès de la grosseur d'un oeuf de poule. Il fut ouvert à l' hôpital ; la maladie se termina au bout de trois semain
0° n'est pas perçue. Durant tout le temps que le malade a passé à l' hôpital il se plaignait de toute une série de sensation
tat. La complexion est solide. Le malade ne resta pas longtemps à l' hôpital et sortit dans le même état. De temps en temps
ngtemps à l'attention du malade et ne fut déterminée par moi qu'à l' hôpital , quoiqu'elle pût être constatée sans aucune pei
DE coordination automatique) .L1CCOUD; Par PAUL BLOCQ, interne des hôpitaux . III. Description du syndrome. Les observations
DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par M. Paul RAYMOND, interne des hôpitaux . IV Si l'on cherche maintenant une explicatio
Brown-Séquard. Journal de Physiologie, 1859. Bergounhioux. Gaz. des hôpitaux , 1859. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 227 Verneui
enait t à lui qu'après un assez long temps. Depuis son entrée à l' hôpital , J. S... a eu deux ou trois accès par jour, leur
régularisée surtout lorsque le malade est couché dans un service d' hôpital , ainsi qu'il arrive le plus souvent. Nous diron
poser aussi que le malade a été ramassé dans la rue, apporté à l' hôpital , et qu'on ne peut obtenir aucun renseignement s
Apoplexie et hémiplégie hystériques . (Bull. et Mém. Soc. méd. des hôpitaux , 6 avril 1887, p. 110.) 3 De/ naorbo ipnotzco,
mmeil. En 1869, M. Legrand du Saulle publiait dans la Gazette des Hôpitaux un mémoire intéressant sur ce sujet encore à l'
inué pendant plus de sept mois. Simulation de la mort. (Gazette des hôpitaux , 1869, nos 128, 130, 131.) 2 Sloria di una ence
Bu. le baron Le GuAY. C'est pour cela qu'on chasse les soeurs des hôpitaux ! 1 NI. DE GAVARDIE. Oui, c'est précisément pou
DE GAVARDIE. Oui, c'est précisément pour cela qu'on les chasse des hôpitaux . Si je pouvais parler du conseil municipal de P
A. Raoult. Quelques IDÉES sur la construction ET l'organisation des hôpitaux d'aliénés; par Sanger-Brown, ancien médecin ass
se pas de discuter en détail l'organisation et la construction d'un hôpital , mais simplement d'appeler l'attention sur cert
r aux aliénés. Aies observa- tions s'appliquent pour la plupart aux hôpitaux principalement destinés aux cas récents de foli
c quelques modifi- calions, elles s'appliquent également à tous les hôpitaux et asiles d'aliénés. Depuis dix à quinze ans; i
1 deux facteurs invariables à considérer dans l'organisation d'un hôpital . Le travail de l'hospice peut bien être fait par
quelques modifications peu importantes d'architecture, le type des hôpitaux actuels est construit sur un plan adopté il y y
era trois fois par jour un changement à la monotonie de la vie de l' hôpital . Comme il est nécessaire de diviser les malades
alles du jour et les dortoirs. On objectera que la dépense d'un tel hôpital serait plus con- sidérable que celle d'un des é
1 842, contre-maître dans une forge, est entré dans mon service à l' hôpital Saint-André de Bordeaux, le 27 avril 4881, pour
s pour combattre ces divers accidents, Pur.. se décida à entrer à l' hôpital Saint-André le 27 avril 1881. Etat actuel en ma
Après un séjour de quelques mois dans le service, Pur... quitta l' hôpital et reprit ses fonctions dans une fonderie. Il épr
dre des services, sans être exposé à des accidents. Il revint à l' hôpital en octobre 1883 et les notes recueillies à cette
lumière et à l'accommodation, myosis légère. Après être sorti de l' hôpital dans les premiers mois de 1886, Pur... y revint
es sur l'hérédité, il faut bien le dire, ne sont pas faciles. A l' hôpital , on est en présence d'individus ignorant très s
ns le service de M. le professeur Charcot par M. Blocq, interne des hôpitaux , qui a bien voulu nous en donner communication
médical, 1882. (Bibliographie détaillée). J.-11. Charcot : Gaz. des hôpitaux , t88t,et Progrès médical, 1887, 2' série, t. V,
ulation : 496 Varia. Dr Turner qui avait imaginé et construit cet hôpital , lui avait consacré pendant un quart de siècle
uisit une réaction dans l'enthousiasme qui s'était manifesté pour l' hôpital de Binghamptou et les moralistes qui, dès le pr
ondes racines dans l'esprit public et bientôt une douzaine d'autres hôpitaux furent fondés en Amérique. Parmi ces hôpitaux
e douzaine d'autres hôpitaux furent fondés en Amérique. Parmi ces hôpitaux , beaucoup furent convertis en asile pour les ma
produit pour toutes les entreprises nouvelles. Une trentaine de ces hôpitaux existent encore en Amérique, d'autres ont caché
pérants dans les hôpi- taux d'Amérique, plus de mille sont dans les hôpitaux spéciaux. Ils représentent dans une mesure très
ce physique et mentale. Malgré cela, les résultats obtenus dans les hôpitaux scientifiques spéciaux sont très encourageants.
une moyenne de 40 p. 100 de guérison maintenue après la sortie de l' hôpital pendant une période de six à huit ans. Le contr
tion des intempérants sont imparfaits en Amérique. La plupart des hôpitaux spéciaux sont organisés par des com- pagnies pr
es sur ce sujet en Amérique. La curabilité de l'intempérance en des hôpitaux spéciaux a été le but principal de l'association.
re du mouvement qui s'est produit en Amérique pour la fondation des hôpitaux spéciaux a passé par les trois phases régu- liè
d'abord la propagande, ensuite l'opposition et enfin le succès. Des hôpitaux scientifiques pour la cure de l'ivro- gnerie so
tant sa guérison et des règlements assurant le service régulier des hôpitaux spéciaux, et on espère que le temps n'est pas é
rogne chez lui ou dans la rue pour le placer en quarantaine dans un hôpital spécial, comme s'il était atteint d'une maladie
39 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
TOURETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
) Redlich, Jahrbericht f. Psychiat, 1894. (3) Ballet. Soc. méd. des Hôpitaux , 21 juin 1898. (4) (' unsTrrKn, Arch. f. Psych,
sonien depuis dix ans, çt qui était hospitalisé depuis cinq ans à l' hôpital municipal de Kiel. L'étude minutieuse de fragme
S SCLÉROSES COMBINÉES TABÉTTQUES, PAR O. CROUZON, Interne des hôpitaux de Paris. Quand on a fait cliniquement un diagn
TÈME pyramidal PAII It HENRI VERGER et JEAN ABADIE Médecins des hôpitaux de Bordeaux. Les réflexes cutanés du membre inf
a Faculté de Médecine Interne, médecin de l'Hôtel-Dieu. lauréat des Hôpitaux . L'observation suivante a trait à un cas de gra
DYLOSE rhumatismale ANISYLOSANTE PAR H. FORESTIER, Médecin de l' Hôpital et de l'Asile évangélique d'Aix-les-Bains. I. s
ade commence à se courber en avant et un peu à gauche. Il entre à l' hôpital thermal d'Aix dans mon service, en mai. Etat à
pital thermal d'Aix dans mon service, en mai. Etat à l'arrivée et l' hôpital . - Sujet grand, fortement constitué. On est fra
vant lui. Un cas de ce genre a été publié à la Société médicale des hôpitaux le 16 octobre 1903 par M. le Dr Rouget, médecin
odique, décrite par MM. le professeur Brissaud et Lamy, médecin des hôpitaux . Ces cliniciens ont bien noté que la sciati- qu
, eut des douleurs articulaires, sans gonflement, et fit 58 jours d' hôpital . Un peu plus tard il fut * réformé à cause de l'é
e 1900), le cou est devenu raide. z Etat à l'arrivée (mai 1901) à l' Hôpital thermal. - Grand, fortement cons- titué ; état
comme les 2 autres, faute de pouvoir faire les frais de sa cure à l' hôpital . Observation III. M. M... SI ans. Département
alade a été hospitalisée dans le service de M. le Dr Devic (1), à l' Hôpital de la Croix-Rousse ; ses trou- bles mentaux ont
le 14 août 1901 dans le service de M. le Dr Devic ; elle vient à l' hôpital , parce qu'elle présente des troubles nerveux qu
n. La malade fait remonter le début des accidents qui l'amènent à l' hôpital , à 6 mois environ, à la suite de coups que son ma
n mari, dit qu'il s'est blessé aux testicules en venant la voir à l' hôpital . Un soir, dimanche 27, elle est partie vers 7 h
s 7 heures pour aller rejoindre son mari ; arrêtée à sa sortie de l' hôpital , elle a dit qu'elle irait se jeter à l'eau si e
. PIC ET S. BONNAMOUR Agrégé Préparateur à la Faculté Médecin des hôpitaux de Lyon Interne des hôpitaux de Lyon Les observ
é Préparateur à la Faculté Médecin des hôpitaux de Lyon Interne des hôpitaux de Lyon Les observations de maladie de Friedrei
alors, à plus forte rai- son, il faudrait lui adjoindre des autres hôpitaux pour chroniques situés à la campagne et pourvue
és par lui à dessein, pour justifier son entrée et son maintien à l' hôpital . Il se prête d'ailleurs fort mal aux examens et
, bien entendu, sujets à caution. - Son père est mort à 47 ans, à l' hôpital Beaujon, à la suite d'un accident de chemin de
E FRUSTE, CROISSANCE TARDIVE, DIABETE PAU E. APERT, médecin des hôpitaux . Les relations qui existent entre l'état anatom
urnes ou nocturnes. C'est pour ces douleurs que.le malade vient à l' hôpital . Cependant, les mouvements provoqués du poignet
st normale, plus vive même que celle de la moyenne de nos clients d' hôpital . Il répond aux questions avec netteté et pré- c
dans une imprimerie-lithographie. Il y a douze ans il est entré à l' hôpital d'Aubervilliers comme mécanicien ; plus tard il a
cien ; plus tard il a demandé et obtenu la place d'étuviste au même hôpital ; cette profession lui permet- tait d'être touj
re tellement le froid, que cela gêne pour l'examiner dans son lit d' hôpital parce qu'il ramène toujours ses couvertures jus
18 grammes par litre et de 43 gram- mes par jour. Hospitalisé à l' hôpital Tenon dans le service de mon collègue et ami Caus
, le traitement pancréatique fut suspendu, le malade ayant quitté l' hôpital . Mais il ne tarda pas à y rentrer ; en l'absence
18 grammes par litre et de 36 grammes par jour. Le malade quitta l' hôpital le 20 juin, avant que nous : ayons pu être édifié
PI. XXIII). M..., 66 ans, salle Ste-Jeanne, n° 19, est en- trée à l' hôpital le 12 décembre, quatre jours après le début de se
naissance et se trouve paralysée du côté gauche. A son entrée à l' hôpital , nous constatons à la face l'effacement du pli na
Le réflexe contralatéral n'existe pas. Après un mois de séjour à l' hôpital , la malade est considérablement amélio- rée : l
ite de légers et rapides fourmillements. Mais depuis son entrée à l' hôpital , la malade est atteinte d'oedème des mem- bres
iformes datant déjà de 10 ans,mais accentuées depuis son entrée à l' hôpital . L'auscultation des poumons révèle la présence de
PAUL SAINTON; Chef de clinique. ET ROGER VOISIN, Interne à l' Hôpital Beaujon. Sous le nom de trophoedème (II. Meige)
. Observation. - F..., jeune garçon âgé de 15 ans, est amené il l' hôpital Beaujon, le 10 avril 1903, pour une tuméfaction
oin d'aucune visite le 19 janvier. Le 10 avril F... fut examiné à l' hôpital Beaujon; il ne se plaignait d'aucune douleur, n
marades « tête d'éléphant ». Jusqu'à 20 ans sa vie s'est passée à l' hôpital général. Il sait très peu lire et écrire. Il fut
elt, juché sur des arcades gothiques et orné de deux poivrières, un hôpital , qui, dit-on, remonte au Ville. siècle, voilà t
blement HÉRÉDO-SYPH1LITIQUE tardive, PAR M. ROSE, , Interne des hôpitaux . Observation Le nommé Belb... Gaston, âgé de
né à Sidi- Aïch, près de Bougie, et demeurant à la Galle, entre à l' hôpital d'Alger, le 14 juillet 1903 pour des déformatio
faite consoli- dation. Le 13 février 1904, notre opéré quittait l' hôpital définitivement guéri. Deux points sont à reteni
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE PAR André LÉRI, Ancien interne des Hôpitaux . On reste étonné, en parcourant la littérature
lusieurs mois. L'état psychique de la malade pendant son séjour à l' hôpital peut être caractérisé comme suit : elle est sou
solument ineptes, absurdes. Ce n'est qu'après 11 mois de séjour à l' hôpital que la malade com- mença s'orienter graduelleme
s très riches. La 'période vio- lente du mal dura deux semaines à l' hôpital , mais en réalité elle embrassait un espace d'un
n du régime du travail et d'une discipline médicale sensée dans les hôpitaux modèles de nos jours. Dans les classifications de
..., actuellement soldat au 122' régiment d'infanterie, en- tré à l' hôpital le 7 mai 1904, salle Martin Tisson, N° 4. (t) D
es morales de ce garçon continuent jusqu'au jour où on l'envoie à l' hôpital , le 8 février 1903. Les crises étaient de plus
ui de celle de guerre avec l'Allemagne. Peu après son admission à l' hôpital , il est renvoyé en réforme temporaire, dans sa
le malade est rentré à la caserne non guéri, et a été dirigé vers l' hôpital où nous le voyons pour la première fois le 7 mai
son cas, avant de le renvoyer dans sa famille. Ce malade a quitté l' hôpital le 6 juin 1904. Il s'agit, en somme, dans cette
rit, la thérapeutique risque bien d'être impuissante; il a quitté l' hôpital à peu près dans le même état qu'au jour de son en
édecine à la Faculté de Toulouse P. LEJONNE, ancien interne des hôpitaux . Nous venons d'avoir l'occasion de pratiquer l'
rès inégales ; (1) L'encéphalite aiguë hémol'1'hagique, Gazette des hôpitaux , 26 juillet 1904. Il. - iviuscie quaunceps crur
DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE PAR André LÉRI, Ancien interne des hôpitaux . La plupart des auteurs qui se sont occupés de
présente peu d'antécédents morbides. En 1881, elle reste 3 mois à l' hôpital St-Antoine pour une métrorrhagie. Depuis elle res
.ATROPHIE MUSCULAIRE PAR le Dr M. LANNOIS, Agrégé, médecin des hôpitaux de Lyon. L'observation qu'on va lire pourrait a
ement, on lui parla de suspension, et c'est pour cela qu'il entre à l' hôpital . A l'examen on s'aperçoit vite que sa démarche
ent du malade ayant été obtenu, mon ami M. Tixier, chirur- gien des hôpitaux , enleva sous anesthésie un fragment du jambier an
MOTEURS CHEZ UNE HYSTÉRIQUE, 'PAR JOSEPH GENÉVRIER, Interne des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer,pendant le
e plaque livide, blanc mat : ce nouvel accident la fait revenir à l' hôpital , où nous la voyons. La malade a maintenant 23 a
tion de bulles ; et enfin sphacèle de la peau. La malade quitta l' hôpital ayant guéri la première de ses plaques, la seco
xe cérébro-spinal ». Plus récemment enfin, dans une leçon faite à l' hôpital Laënnec, M. Hirtz (4) range parmi les accidents d
, Thèse de Paris, 1890. (3) Dcjardin-Beaumetz, Société médicale des hôpitaux de Paris, lSi5, t. XVI, 2e série, p. 179, (4)
40 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
joui d'une excellent santé. En octobre de cette année, il entra à l' hôpital pour se faire soigner de son épithélioma et fut
cromégalie. Il s'agit d'un jeune homme de 19 ans interné dans notre Hôpital en mai 1908 et où il resta pendant plusieurs mo
selle turcique plutôt agrandie. Après quelques mois de séjour à l' Hôpital , le malade mourut, on fit l'autopsie qui confir
isme. Arch. gén. de méd., oct. 1902. - L'infantilisme . Gazette des Hôpitaux , no 22, 1902. Sur les rapports de l'appareil se
e du gigantisme. Thèse de Paris. 1903. - Le gigantisme. Gazette des Hôpitaux , 25 août 1903. Rose. - Obésité familiale. Soudu
(RÉPONSE A M. ETTORE LEYiÎ PAR R A. BAUER Ancien interne des Hôpitaux de Paris. Un court travail que j'ai publié réce
1909 dans le service du Professeur Bottez, chirurgien en chef de l' hôpital Saint-Spiridon, pour un abcès froid dans le tiers
répond 5 et après deux miuutes il répond 2. Le malade est resté à l' hôpital seulement trois semaines, juste le temps de gué
N CHINOIS - PAR .. S. S. MOLODENKOF Ancien médecin en chef de l' Hôpital mobile de la Crois-Rouge de l'Organisation de l
e existence indépendante, du moins les deux fois qu'il visita notre hôpital il n'y avait personne qui l'accompagnât. Auta
21 cas observés par moi-même. Je lésai étudiés pour la plupart à l' hôpital Israélite à Varsovie ; j'ai eu la chance d'en e
. OBSERVATION II. Le malade Zieutz., âgé de U3 ans. est entré à l' hôpital le 21 mai 1908. Il est malade depuis 7 moi. Il
nt plus fortes du côté droit). Le 17 juin, le malade est sorti de l' hôpital pour aller à Bousk (eaux sulfu- reuses). Son ét
en présence d'un homme âgé de 63 ans qui 7 mois avant d'entrer à l' hôpital (et un an avant sa mort) ressent dans la ré- gi
é thermique sur la jambe et le pied droit. Pendant son séjour à l' hôpital , le malade a éprouvé de fortes douleurs des deu
que les abdominaux présentaient le contraire. Avant sa sortie de l' hôpital (4 semaines de séjour), il commença à éprouver
e. Observation III. La malade Sz., âgée de 43 ans, est entrée à l' hôpital le 5 juillet 1 ! J08, TUMEURS DE LA MOELLE ÉPIN
portants. Une fausse couche au troisième mois. Elle était déjà à l' hôpital (aux mois de novembre et décembre 1907) au serv
. 56 FLATAU Réaction de Pirquet positive. Pendant le séjour à l' hôpital , la malade souffrait énormément à cause des dou
s la compresse électrique qui la'soulage un peu. La malade quitte l' hôpital le 12 septembre 1908, sans changements apprécia
a 6 ans, ablation d'une tumeur utérine ; 8 mois avant l'entrée à l' hôpital , elle présentait l'affaiblissement du membre supé
lui donner à chaque instant de la morphine. Pendant son séjour à l' hôpital , est apparu le gonflement des pieds. La douleur d
ion épilep- toïde du côté droit. Tout le temps pendant son séjour l' hôpital la malade gémissait de douleurs. Une tentative
e 0,025 de morphine ne calme plus lesdou- leurs. La malade quitte l' hôpital sans amélioration. Dans ce cas il s'agissait sa
ski, légèrement marqué du côté droit. Pendant son second séjour à l' hôpital , on constatait outre les symptômes précités, une
éger. Observation IV. Le malade Su ? âgé de 54 ans, est entré à l' hôpital le 20 août 1908. Il y a 5 ans, le malade a rema
IÈRE ET DE LA COLONNE VERTÉBRALE 59 Il novembre. Le malade quitte l' hôpital dans le même état. Pplaintes constantes contre
Observation VII. Le malade J. R..., âgé de 65 ans, est entré à l' hôpital le 6 août 1908. Au mois d'avril l'année passée
te en même état. Le malade refuse de se laisser opérer. Il quitte l' hôpital le 9 octobre 1908. Résumé. Il y a 6 mois, il a
909. OBSERVATION VIII. M. Dab (1), homme de 75 ans, est entré à l' hôpital le 17 mars 1907. Il est malade depuis 10 ans. I
gra. phie de Schlesinger (1898). Pour 35.000 autopsies faites à l' hôpital de Vienne pendant 18 ans, on a eu 151 cas de tu
PREUSES (1) - paii MM. - . DE BEURMANN et GOUGEROT Médecin de l' Hôpital Saint-Louis Ancien Interne Médaille d'or. Il es
cette maladie familiale transporté par ha- sard dans une clinique d' hôpital . Cest le 15 avril de cette année que je fis la
i propose de laisser sa chau- mière et de se faire interner dans un hôpital pour se faire soigner, elle pleure. Elle ne vou
rachidien. Observation X. R. Nad., âgée de 4o aus, est entrée à l' hôpital le 7 septembre 1905. Il y a dix semaines, doule
- Observation XII. Le malade M. Gas., âgé de 45 ans, est entré à l' hôpital le 14 juin 1905. Le malade a eu il y a six ans
s'agit d'une jeune fille de 18 ans qui neuf mois avant d'entrer à l' hôpital a remarqué une petite tumeur du côté gauche du
eur gauche (d'origine périphérique). Deux mois après son entrée à l' hôpital c'est-à-dire onze mois après le début de la malad
ne observation que jai eu l'occasion de faire dans mon service de l' hôpital des aliénés d'Odessa d'une malade qui présentait
formes. A moins que le blessé n'ait eu dans son en- tourage, ou à l' hôpital un cas à imiter, il imagine sa crise : ce ne sont
DES LÉPREUX (1), ' PAR MM. DE BEURMANN et GOUGEROT Médecin de l' Hôpital Saint-Louis Ancien interne Médaille d'Or. L'étu
RES MALFORMATIONS DIGITALES, .- PAR Paul CHEVALLIER Interne des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer plusieurs
1" mars 1905. Lcntcne. De l'achondroplasie chez l'adulte. Gaz. des Hôpitaux , 1904, ne 21. Méby et P AIITURIEII. Un caso di
RÉBRALE PRÉCOCE ET MALIGNE . PAR F. COSTANTINI Aide-Médecin des hôpitaux , assistant à l'Asile d'aliénés. Des observation
silaire syphilitique. A la suite d'un traitement mercuriel fait à l' hôpital , le sujet améliora, si bien qu'il voulut rentrer
l voulut rentrer chez lui. Mais, deux mois plus tard, il revint à l' hôpital avec des troubles des nerfs céré- braux de droi
de janvier 1910, j'ai l'occasion de le revoir dans un couloir de l' hôpital de S. Spirite. Il dit être revenu à l'hôpital p
dans un couloir de l'hôpital de S. Spirite. Il dit être revenu à l' hôpital parce que, après avoir été bien et avoir travaill
premier cas (Beob. 63) regarde une comédienne de 31 ans soignée à l' hôpital deEppendorf pour une syphilis 304 COSTANTINI
ALE 319 Observation XV Le malade L., âgé de 30 ans, est entré à l' hôpital le 25 août 1903 (1). Le malade en pleine santé
a l'opération ; le malade n'y ayant pas consenti s'en est allé de l' hôpital . Deux mois plus tard il y est de nouveau rentré
e. Observation XVI. Ch. B., âgée de 58 ans, veuve, est entrée à l' hôpital le 17 août 1905. Au printemps 1904, la malade e
tités, la constipation persiste. - 18 février. La malade quitte l' hôpital . Le 3 juin de la même année,elle rentre de nouv
te l'hôpital. Le 3 juin de la même année,elle rentre de nouveau à l' hôpital .A l'examen on constate que son état du premier
ce cas, grâce à la bienveillance du professeur Gold- scheider (de l' hôpital Moabi't, à Berlin) qui me l'a envoyé en 1895 pour
ervation XVIII. La malade S. Powe., âgée de 44 ans, est entrée il l' hôpital le 16 juillet 1907. Il y a 2 ans 1/2, la mala
, qui a ressenti des douleurs deux ans et demi avant son entrée à l' hôpital . Les douleurs ont débuté par la moitié gauche d
ation et paraplégie complète. Elle reste ainsi jusqu'à l'entrée à l' hôpital . Depuis deux mois des paresthésies douloureuses
O vertèbre dorsale est douloureuse. Escarre. Pendant son séjour à l' hôpital , elle a ressenti des accès de douleurs très for
é. Observation XIX. Le malade A. G., âgé de 49 ans, est entré à l' hôpital de Jésus-Christ le 8 janvier 1900 dans le servi
e dans les bras diminua peu à peu. Trois jours avant son entrée à l' hôpital , il a remarqué l'affaiblissement des jambes. Qu
res fécales. Le malade est mort trois semaines après son entrée à l' hôpital . L'autopsie a démontré la présence d'une tumeur
ERVATION XX. ,. ' ' La malade H. L., âgée de 45 ans, est entrée à l' hôpital le 6 septembre, 1906. il y a trois ans, la ma
ervir d'une canne. Ce n'est que quelques jours avant son retour à l' hôpital (au mois de février 1907, qu'elle pouvait lenteme
ouvait plongée dans la neige). Au mois de mai 1907, elle a quitté l' hôpital , mais y est retournée au mois de juin. Depuis u
de syphilis cérébrale. Pen- dant le dernier séjour de la malade à l' hôpital , quand elle avait con- naissance et était prise
laissait déjà constater pendant le premier séjour de la malade à l' hôpital , mais il était mis sur le compte d'une hyperest
MOUVEMENTS VOLONTAIRES 379 24 mars 1899 de la Société médicale des hôpitaux de Paris (1), quand j'ai exposé le résultat de
dales consécutives aux lésions de la capsule interne. Soc. méd. des Hôpitaux de Paris, séance du 24 mars. (2) GILBERT Ballet
mergence des (1) VACHARD, Sur la topographie du zona. Soc. méd. des hôpitaux , 1896. (2) Brissaud, Loc, cit., fig. 1, p. 2S,
opératoire fut des plus réguliers, et, après 21 jours de séjour à l' hôpital , la malade retourna chez elle. Mais les douleurs
lysée. Elle pouvait faire de grandes promenades dans le jardin de l' hôpital . FiG. 31. - Tumeur subdurale (sarcome à cellule
VATIONS XXII (1). Le malade, W. F ..., âgé de 23 ans, est entré à l' hôpital le 20 juin 1909. Il y a trois ans, le malade
a maladie. Dans un de nos éas, observé très longtemps chez nous à l' hôpital , les douleurs persistèrent avec des intervalles p
e. Dès lors, il franchit rapidement toutes les étapes : externe des hôpitaux en 1870, in- terne en 1871, médaille d'or en 18
1871, médaille d'or en 1875, chef de clinique en 1877, médecin des Hôpitaux l'année suivante, enfin agrégé en 1880. L'ancien
Raymond fut successivement médecin de l'IIospice d'Ivry, puis de l' Hôpital St-Antoine ; il étaità Lariboisiére en 1893, lors
d'ulcères simples. Le 4 février 1907, tandis qu'il était alité, à l' hôpital , et que l'inlirmier lui présentait du bouillon,
bres inférieurs. La vue avait beaucoup baissé depuis son entrée à l' hôpital , du fait de l'atrophie papillaire et aussi d'un
nts opératoires comme de marteau et la gouge. Nous nous servons à l' hôpital du trépan électrique de Hirschmann pour pratiquer
SCLÉROSE EN PLAQUES, PAR Pierre MERLE et C. CASTINE Interne des hôpitaux (de Gênes). Les lésions épendymaires et péfi-ép
ure remontant à quelques années. La malade fit deux séjours dans un hôpital , fut opérée pour des glandes sup- purées au cou
78, t. 138. ScHERB. Difformités congénitales...Arch. des labor. des hôpitaux d'Alger. An.VI. no 5, p. 101-115, 1906. Et les
c démonstration de malades présenté ¡¡ la réunion des médecins de l' hôpital Cyrille le 2 février 1908. 69(1 SELETSKI mesu
travail actuel. Etant administrateur de la section des déments à l' hôpital Cyrille, j'ai apporté tous mes soins, depuis deux
es anomalies des orteils (le nombre annuel des malades internés à l' hôpital atteint environ 400 : en 1903, 407 ; en 1908, 309
AIDE. - Malformations congénitales des mains et des pieds. Giz. des hôpitaux , 1904, p. 697. 23. STEfIVTfIAL. - Ueber Matigel
41 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quoi doivent tendre les grands asiles pro- vinciaux : à devenir des hôpitaux pour le traitement des maladies du cerveau. Les
er ses idées sur l'organisation des cliniques psychiatriques et des hôpitaux de ' Il faudrait encore parler des progrès cons
prématuré de vouloir rejeter d'une manière absolue le système des hôpitaux actifs proprement dits. Un mode bien entendu d'as
ion, pour les aliénés, de trois catégories d'établissements : 1° un hôpital urbain destiné à admettre le plus promptement p
ières catégories, la colonie agricole et l'hospice, pour examiner l' hôpital urbain, tel que Griesinger le réclame pour tout
importance et à plus forte raison pour toute ville universitaire. L' hôpital de séjour transitoire pour les cas aigus, la cl
l serait renvoyé ; 4° il ne pourrait rester plus de deux ans dans l' hôpital ou l'asile. Je dis deux ans, l'expérience m'ayant
mbre de lits très restreint, serviraient de bu- reau d'admission, d' hôpital de traitement, et, le cas échéant, de clinique
lissement d'hospitalisation les malades pour lesquels le séjour à l' hôpital de traitement ne serait pas, ou aurait cessé d'
également partisan de la création dans les grandes villes de petits hôpitaux d'aliénés. 11 constate que dans les établisseme
ini- que psychiatrique n'étant, comme le disait Griesinger, qu'un hôpital pour le traitement des maladies du cerveau, devai
iesinger, en 1868, déclare que 25 p. 100 des aliénés traités dans l' hôpital urbain qu'il réclame, auront besoin d'une surve
de 7 à 10 p. 100 du chiffre total de la population ; mais pour les hôpitaux urbains, pour les cliniques psychiatriques, le
élucider le problème : Un homme de cinquante-sept ans est amené à l' hôpital pour des symptômes d'entérite grave. Ses parent
émoin l'observation détaillée que me communique un chi- rurgien des hôpitaux de Paris, et qui a trait à un phlegmon pour leq
ès de colère, hallucinations auxieuses agressives). Il séjourne à l' hôpital deux ans et meurt de fièvre typhoïde. Autopsie.
ns. Ayant exposé récemment dans une leçon parue dans la Gazette des hôpitaux mes idées sur ce sujet d'une manière complète,
NTES. "187 tion banale. Ceux qui ont fréquenté la consultation de l' hôpital Saint-Louis n'ont pas pu ne pas remarquer l'abo
spasmodique transitoire ; ' Par E. LENOBLE, Ancien interne des Hôpitaux de Paris, médecin suppléant de 1 Hôpital ci% de B
NOBLE, Ancien interne des Hôpitaux de Paris, médecin suppléant de 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe familial des maladies du
t à la même besogne qu'il fut atteint. Il vint se faire soigner à l' hôpital civil de Brest, où on lui fit des frictions, on
lus que des occupations médicales, soit au régiment, soit dans les' hôpitaux militaires;- il. possède un'grade intermédiaire
sion des malades- dans- les- ' Jayle.. Les cliniques, et les grands hôpitaux de Berlin. {Gazelle des, hôpitaux, ,26-28 mai 1
le.. Les cliniques, et les grands hôpitaux de Berlin. {Gazelle des, hôpitaux , ,26-28 mai 1892.) 2 En 1897-1898, près de la m
ujours trop tard à l'asile des aliénés, dit-il, tandis que dans les hôpitaux des -1-aw- des villes les cas récents d'aliénat
rtificielles qui séparent actuellement l'asile d'aliénés des autres hôpitaux . Le mouvement plus rapide et plus libre des mal
stance des aliénés a été en effet métamorphosée par la création des hôpitaux urbains réclamés par Esquirol et Griesinger. La
la « garderie » d'aliénés a disparu pour faire place à un véritable hôpital destiné au traitement des maladies du système n
olés entre quatre murs, rapidement se dégradent ; mais des salles d' hôpital où les malades aigus qui, on ne saurait trop le
ent d'aliénés, non point comme un asile d'incurables, mais comme un hôpital pour le traitement des maladies du cerveau1. -
familles hésiteraient beaucoup moins à placer leurs malades dans un hôpital de traitement pour les maladies mentales, dans un
tonome, de 60 à 100 lits. Cette clinique située dans la ville même ( hôpital urbain), ou à proximité immédiate, servirait de
Actrice de trente-cinq ans, alcoolique et syphilitique, entrée à l' hôpital en septembre 1898, en état de paraplégie complète
ès de l'orbite. Il perdit connaissance et demeura sept semaines à l' hôpital . Depuis cette époque, il a la parole un peu emb
hoses; 3° Il donne aux asiles l'aspect réconfor- tant d'une salle d' hôpital , évite les collisions, facilite la surveil- lan
cerveau d'origine inconnue ; Par LUCIEN LAGHIFFE, - Interne des hôpitaux de Toulouse. Malgré la puissante contribution a
ion en juillet 1899 pour laquelle il lit un séjour de deux mois à l' hôpital de Cette où on lui administra de la quinine et
n cérébrale active . avec autopsie; Par Albert h1'IZ, interne des hôpitaux . La congestion cérébrale, nous parlons de la co
a mort. Un médecin consulté à ce moment conseille son transport à l' hôpital . A 6 heures du soir, le malade est reçu dans le
des cas) de la chromotolyse chez les malades qui meurent dans les hôpitaux généraux, et l'étudient enfin dans l'aliénation m
différence avec la proportion formée par les malades morts dans les hôpitaux généraux ne porte pas seulement sur les chiffre
lle-ci ; elle peut s'observer aussi chez les malades morts dans les hôpitaux généraux, mais à un degré beaucoup moins accusé
esiderata, entre autres que les aliénés, attendant d'être reçus à l' hôpital , ne soient pas main- tenus en prison. ' Simon.
ujet de cet article : la supériorité de;fermes et jar- dins sur les hôpitaux où les fous sont tenus enfermés. Il faut tâcher
rétribution moindre que ce qu'ils coûtent ordinai- rement dans les hôpitaux d'Etat. Réellement, on peut se demander sil'Eta
e depuis un an au moment de son arrivée en Angleterre. Il entre à l' hôpital le 12 septembre en pleine léthargie. A l'état d
n de se remémorer les lignes essentielles de ce qu'il a vu déjà à l' hôpital au milieu de la variété des cas courants. Les
eillance ressemblent - parties barreaux des fenêtres à des salles d' hôpital . Elles servent aussi . - VARIA. 361 de sectio
, qui s'était fracturé le crâne, res- pirait encore. Transporté à l' hôpital de la Pitié, il expirait un quart d'heure après
trouvait, en effet, sur le lit. Le docteur Véron, médecin-major à l' hôpital , fut aussitôt prévenu et des soins furent donnés
fronto-pariétale dans une grande étendue. Le malade était entré à l' hôpital , le 0 juin 1892 : depuis dix-huit mois, il était
s se sont espacées de plus en plus. Au moment où le malade quitta l' hôpital , il n'avait plus eu d'attaques depuis quelque t
fréquence était allée en augmentant. Cinq mois avant son entrée à l' hôpital , on lui avait excisé la vieille cicatrice crâni
, en l'espace des trois premiers jours qui ont suivi son entrée à l' hôpital . Après une phase prodromique, le pouce de la main
tion du pouce, avaient récupéré leur motilité. Le malade a quitté l' hôpital le vingt-quatrième jour ; il n'avait plus eu d'
e, et elle avait l'esprit un peu troublé. . Durant son séjour à l' hôpital , on a pu faire les constatations suivantes : le
u une attaque subite de perte de connaissance. On le fit entrer à l' hôpital . Il se plaignait d'une céphalalgie persis- tant
manifestations paralytiques. ' Le 17 juillet, le malade a quitté l' hôpital . Dans les trois mois qui ont suivi l'opération,
dissiper; on n'a pas constaté d'anesthésie. La malade a quitté l' hôpital , vingt-trois jours après l'opération. Elle a ét
la paralysie motrice est allée en s'amendant. Le malade a quitté l' hôpital le 12 juin, vingt et un jours après l'opération.
e quatre malades dont trois alcoo- liques et un saturnin entrés à l' hôpital pour l'impaludisme, apo- plexie cérébrale, embo
. Rougier, qui restera probable- ment aveugle, a été transporté à l' hôpital Tenon et sa femme diri- gée par les soins de M.
fit une fracture de la cuisse gauche, pour laquelle tut traité à l' hôpital militaire du 25 mars au 18 juil- let 1898. A ce
aitements et la médication spécifique employés. Placé d'abord à l' hôpital Saint-André, où il est resté quelques mois, Vic
erminée par un faux pas dans la cour du quartier. Il est sorti de l' hôpital par guérison le 28 juillet. Après une convalesc
ment progressif des facultés intellectuelles. Durant son séjour à l' hôpital , le nommé L... n'a pas pré- senté de manifestat
er au choix d'un personnel de surveil- lance dans les asiles ou le^ hôpitaux , à défaut d'autres rem- seignements, et qu'il n
moins avancée de la maladie, quelques-uns même n'étaient entrés à l' hôpital que pour mourir. Mais chez 23 malades, la tubercu
s pas forls. » Un chi- rurgien, un gynéeotogiste, un accoucheur des hôpitaux l'ont examinée et lui ont déclaré qu'elle n'éta
et parfois aussi d'hallucinations. A la fin du séjour du malade à l' hôpital Préobrajenski, le délire devient fixe et le malad
42 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
encontrent et ne s'étudient guère que d'une façon incidente, dans les hôpitaux ordinaires, tandis qu'elles se montrent, au contr
is l'importance. Le diagnostic local n'était jamais formulé, soit à l' hôpital , soit dans la pra-tique civile. Dans plus d'une u
. Ceux d'entre vous, messieurs, qui jusqu'ici n'ont fréquenté que les hôpitaux ordinaires, peuvent s'attendre à voir les cas pat
M. Husson, directeur de l'Assistance publique, dans son Etude sur les Hôpitaux . Paris, 1862 ; — la thèse de M. Boucher, La Salpé
ssédons ici des avantages dont on est privé en grande partie dans les hôpitaux ordinaires, et nous sommes placés dans les condit
gla en a rapporté un exemple intéressant à la Société de médecine des hôpitaux . Mais il existe une seconde forme d'asthme gout
.......... La fille de celle-ci. 1. Loc. cit., p. 25.-2. Gaz. des hôpitaux , 1852. p. 212. 6 Lymphatique Scrofule .....
n d'hérédité. Les médecins qui recueillent des observa-tions dans les hôpitaux ont déjà constaté, sur ce point, la fréquence de
une parmi la population ouvrière et se rencontre fréquemment dans les hôpitaux . Or, la seule différence fondamentale qu'on puiss
ble, plusieurs d'entr'eux sont admis chaque année, comme goutteux à l' hôpital des marins. Et pourtant ce sont, en général, de m
— Garrod avait constaté que surfil goutteux entrés dans son service d' hôpital , il n'y en avait pas moins de 16 qui exerçaient l
eur Bucquoy vient de recueillir une observation presque identique à l' hôpital de la Charité. Il resterait à déterminer la cau
ire aigu. Une pareille étude ne peut se faire avec fruit que dans les hôpitaux ordinaires. Rien de plus rare en effet, chez les
s analogue avait été déjà signalé par Todd, en 1843. 2. Gazette des Hôpitaux , 19 juillet 1864. 3. Op. cit., p. 121 et suiv.
procher ce fait d'une autre observation re-cueillie par M. Martel à l' hôpital Sainte-Eugénie, dans le ser-vice de M. le Dr Bart
oyez à ce sujet la discussion qui a eu lieu à la Société médicale des hôpitaux , Union médicale, 23 décembre 1866, et 5, mars 186
Mussy, Bull-de thérapeutique, t. LXVII, 1864, p. ?i. — Beau, Gaz. des Hôpitaux 19 juil-let 1864. L'un des premiers effets de l
y et par Beau. J'ai fait moi-même usage de ce mode de traitement, à l' hôpital Lariboisiôre, en 1861. M. Ducom, pharmacien en ch
tage marqué et qui n'est pas à dédai-gner dans la pratique d'un grand hôpital . Je ne vous dirai rien de la répugnance bien na
mme chez l'adulte, ainsi que je l'ai démontré dans le temps (Gaz. des Hôpitaux , 1866, ai Leçons sur les mala-dies des vieillards
maladie a été recueillie et publiée par nous dans la Revue phot. des hôpitaux , 1869, p. 15.3, et communiquée à la Société anat,
eft., 1869). — Magnan. Cas d'empoisonnement par l'alcool (Gazette des Hôpitaux , 1869, n° 82). — [A ces cas, nous ajouterons, ceu
r, bruit de souffle dans les vaisseaux du cou. Je dois noter qu'à l' hôpital Necker, on a essayé, sans succès, de redresser le
ant tout le cours de notre internat, nous n'avons rencontré, dans les hôpitaux , aucun malade atteint de goutte avec diathèse uri
on l'a transportée à Paris où elle a été admise par complaisance à l' hôpital du Midi, dans le service de M. Ri-eord ; elle y e
uleles exaspérait; la malade est sortie au bout de dix-neuf mois de l' hôpital du Midi, pour entrer à la Salpètrière où elle est
rs 1851, entre dans la salle Saint-Michel, Service de M. Rayer, à l' hôpital delà Charité, le nommé Maul-Laurier-Beaufils, tai
e malade, ne pouvant plus marcher, - était transporté chaque jour à l' hôpital Saint-Louis, où il fait usage, dès le début, de b
che, sans rougeur ni gonfle-ment cette fois. Lors de son entrée à l' hôpital , cet homme nous paraît d'une constitution entière
ire qui leur formait comme un enchatonnement. En 1855, il entre à l' hôpital de la Pitié, où il fait un séjour de deux ou troi
rtie, un quart au moins, des sujets goutteux admis dans son service d' hôpital avaient éprouvé, antérieurement au développement
apparence si sin-gulier : sur un ensemble de 51 goutteux observés à l' hôpital ftUniversity Collège, depuis 1854, M. Garrod n'a
lasse ouvrière atteints de goutte qui fréquentent le plus souvent les hôpitaux de Londres (2). On voit qu'en somme, les résult
ail-leurs, les plombiers et les peintres en bâtiments fournissent aux hôpitaux de Londres plus de goutteux que les individus app
corps nombreux, plusieurs d'entre eux sont admis, chaque année, à » l' hôpital des gens de mer (Seamen's Hospilal Ship), atteint
qu'il est à Edimbourg, les maladies de plomb sont nombreuses dans les hôpitaux , et cependant la goutte y est incontestablement t
saturnine pendant plus de trente-cinq ans qu'il est resté attaché aux hôpitaux à titre de médecin en chef. La goutte est égaleme
echercher directement si quelques goutteux qui se présentent dans nos hôpitaux n'ont pas, pour la plupart, subi autrefois l'into
umiste et celle de peintre en bâtiments, entre le 14 octobre 1861 à l' hôpital de Lariboisière, salle Saint-Henry, n° 19, dans l
Avais senilis très pro-noncé des deux côtés. Il est entré hier à l' hôpital avec la plupart des grosses join-tures rouges, do
tails concernant l'histoire d'un malade qu'il a observé notamment à l' hôpital Saint-Antoine. Ce malade, peintre en bâtiments et
s renseignements fournis par les malades (1). nées, était entré à l' hôpital pour une colique saturnine de moyenne intensité.
mars 1851, entre dans la salle Saint-Michel, service de M. Rayer, à l' hôpital de la Charité, le nommé Maul-Laurier Beau-fils, t
s le malade, ne pouvantplus marcher, était transporté chaque jour à l' hôpital Saint-Louis où il fait usage, dès le début, de ba
che, sans rou-geur ni gonflement.cette fois. Lors de son entrée à l' hôpital , cet homme nous paraît d'une constitution entière
iscussion sur le rhuma-tisme blennorhagique à la Société médicale des hôpitaux en 1865-1866, M. le Dr Lorain, qui prenait une pa
éveloppé, à la suite 1. Bulletin et Mém. de la Société médicale des hôpitaux , 1866, p. 323. « 2° Certaines causes pathologiq
dico-chirur-gicale, 1859, p. 483. — Vigla, Bulletin de la Société des hôpitaux . 1849, t. I, p. 178) Cela est parfaitement exact,
ux sont le siège de craquements. — Peu de temps après l'admission à l' hôpital , œdème des membres inférieurs, vomissements répét
862, pp. 205, 210. — Charcot et Cornil, loc. cit. — Charcot, Gaz. des hôpitaux , 2 août 1866, — S. Rosenstein, Die Pathologie und
asse ou-vrière atteints de goutte qui fréquentent le plus souvent les hôpitaux de Londres. Enfin, le docteur Bence Jones a, lui
plomb sont nombreuses, la goutte est très rare cepen-dant, clans les hôpitaux , même parmi les individus qui sont sous le coup d
cœur. — Il y a quelques années, dans une leçon clinique (Gazette des hôpitaux , 19 juillet 1864), M. Beau faisait remarquer, che
y (Bullet. de thérapeutique, t. LXVII, 1864, p. 24) et Beau (Gaz. des hôpitaux , 19 juillet 1864). J'ai moi-même expérimenté cett
.403 : goutte, anthrax,diabète). — Billiard, de Corbigny (Gazette des hôpitaux , 1852, p. 212 : goutte, diabète, phtisie, fils go
le premier accès de goutte s'est déclaré à l'âge de vingt-cinq ans. ( Hôpital Rothschild, service de M. le Dr Worms). h, h, l
43 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
mouvement. Cette hémiplégie est, dit-elle, survenue subitement à l' hôpital de la Charité, où elle était entrée six mois aupa
mis par M. Dewlf, médecin ordinaire de la malade, élève distingué des hôpitaux : La malade est âgée de trente-huit ans, d'une
e du quatrième métatarsien. Enfin M. Ménière a observé en 1824, à l' hôpital des vénériens, un chapelier âgé de vingt-neuf ans
de qui m'avait été donné par MM. Thibaut et Tuilier, chirurgiens de l' hôpital de Limoges : c'est ce squelette que j'ai fait rep
. 5, a été présenté à la Société par M. Bardinet, élève distingué des hôpitaux : il lui avait été adressé par M. le docteur Bley
ions, n'échappe pas à cette loi. M. Beauchène, ancien chirurgien de l' hôpital Saint-Antoine, nous en a fourni un bien triste ex
planches i et 3 à l'obligeance et au zèle de M. Briquet, médecin de l' hôpital Cochin. Avec quelque exactitude qu'ait été trac
endre d'alimens. « Enfin, ennuyé de souffrir, il s'est présenté à l' hôpital Cochin, vers les premiers jours de septembre, dan
surtout après le repas et suivies de vomissemens. Elle est entrée à l' hôpital de la Pitié, d'où elle a été évacuée sur la Salpê
les dans le foie (phlébite). Un homme, âgé de 60 ans, entre dans un hôpital en octobre 1823, pour une chute au rectum. La tum
t incomplètement guéri, après dix-sept jours de traitement. Entré à l' hôpital Beaujon le 10 avril, il présenta les symptômes su
e temps, le ventre se tuméfia et devint douloureux. Spino n'entra à l' hôpital que le 11 mai. Il était dans l'état suivant : F
t un corps (1) Observation recueillie par M. Grisolles, interne à l' hôpital Beaujon, membre de la Société anatomique. dur e
stitution assez délicate, 29 ans, ouvrière en linge, est apportée à l' hôpital Necker le 28 février i835, au soir, dans l'état s
atre fois pendant l'année i834; que chaque fois elle était entrée à l' hôpital de la Pitié, où. elle avait été guérie en quelque
ation et pièces pathologiques communiquées par M. Lafont, interne à l' hôpital Necker (service de M. Delarroque), membre de la S
invaginant. L'observation suivante, que j'ai recueillie en 1820 à l' hôpital de Limoges, me paraît propre à éclairer quelques-
ans, d'une forte constitution, d'un embonpoint remarquable, entre à l' hôpital pour un anus contre nature qu'il portait depuis d
e 28 ans, domestique, d'une très forte constitution, qui succomba à l' hôpital de la Maternité au moins de juin 183o, le vingt-e
chement naturel à terme, le 18 mai i83o (la malade n'était entrée à l' hôpital que la veille). Tranchées utérines avec douleurs
ours et qu'il était parfaitement tranquille lorsqu'on l'a conduit à l' hôpital . Instruit par l'expérience de cas analogues, je d
ette membrane. Voici un fait que j'ai recueilli, en juillet 1822, à l' hôpital de Limoges. Un paysan athlétique entre à l'hôpi
uillet 1822, à l'hôpital de Limoges. Un paysan athlétique entre à l' hôpital dans l'état suivant : Douleur très vive à l'épiga
stin grêle qui appartient à un individu mort de la petite-vérole, à l' hôpital Cochin, en septembre 1834. Cette espèce de purpur
e fait à l'obligeance et au zèle de M. le docteur Cambay, médecin à l' hôpital militaire du Gros-Caillou. Première orservation
dat de 22 ans, travaillant aux fortifications de Paris, qui entra à l' hôpital du Gros-Caillou le 21 septembre i84i, sixième jou
ent. La mort, qui eut lieu le huitième jour de l'entrée du malade à l' hôpital , fut tout-à-fait imprévue. Ouverture du corps.
e VIC. La dysenterie a régné avec des degrés d'intensité divers à l' hôpital du Gros-Caillou, depuis le mois de septembre jusq
vième régiment d'infanterie de ligne, entre, le 3 septembre i84i, à l' hôpital militaire du Gros-Caillou ; il était malade depui
nt de ligne, caserne au Gros-Caillou, entra , le 3 octobre 1841 • à l' hôpital pour une dysenterie aiguë des plus graves, sembla
thode éclectique , employée contre la dysenterie , à la clinique de l' hôpital de Cayenne, Paris , i836 , in-8. Ce médecin, ayan
sente le rectum d'une femme de la Salpêtrière qui fut admise dans cet hôpital comme affectée d'un cancer de cet intestin ; la d
cet accident ne sont pas fort rares. M. Béhier, interne distingué des hôpitaux , en a présenté un exemple à la Société anatomique
été anatomique. En voici un exemple que j'ai recueilli, en 181*2, à l' hôpital Saint-Antoine, où j'étais élève interne. Payard
rèrent sans relâche jusqu'au 21 janvier, et le forcèrent à entrer à l' hôpital . Je notai les symptômes suivans : amaigrissement,
t entrée à la Salpêtrière comme incurable,après avoir parcouru divers hôpitaux de Paris. Tout son mal siégeait à l'intestin rect
t obligée de s'aliter et de venir à Paris , où elle a parcouru divers hôpitaux . Là on a tenté à plusieurs reprises de lui introd
dévoiement. Cette malheureuse, regardée comme incurable dans un autre hôpital et renvoyée comme telle, n'était venue à l'Hôtel-
adressée de Dijon, le 23 février i83o, , par M. Agnely, interne de l' hôpital et prosecteur de l'école secondaire de médecine d
Un homme grand, fort, bien constitué, journalier, 46 ans, entra à l' hôpital de Dijon dans le mois de janvier i83q. Il raconte
douleurs. Il travaillait encore un mois et demi avant son entrée à l' hôpital . Voici les symptômes qu'il offrit pendant le mois
que (Séance du 10 août i836). Un peintre en bâti mens entra dans un hôpital avec une douleur abdominale assez vive, surtout d
e quarante-cinq ans environ, mort dans le service de mon collègue a l' hôpital de la Charité, M. Rayer, avec un épanchement cons
limitée à la région hépatique. J'ai en ce moment dans mon service à l' hôpital de la Charité, une jeune personne sur laquelle j'
terai de celui d'une jeune fille, âgée de dix-huit ans, qui entra à l' hôpital de la Charité pour un ictère. Quinze jours aupara
rante encore au bout de quinze jours. Elle resta deux mois encore à l' hôpital , n'éprouvant de mes soins assidus et variés de mi
ces radicules. Femme Godet (Louise), /|5 ans, domestique, entre à l' hôpital de la Charité le 9 mai i84o, pour un ictère bronz
is cette altération, que j'ai retrouvée deux fois encore dans le même hôpital , mais que je n'ai plus observée depuis. Aucun sym
haque côte correspondante. » Cet individu étant entré, en i832, à l' hôpital Saint-Louis pour le choléra (il avait alors 77 an
hernie du poumon, me fut apportée par M. Voisin, alors interne à cet hôpital , aujourd'hui médecin distingué à Limoges; et voic
se rétablit, mais imparfaitement, puisque depuis 7 ans, il traînait d' hôpitaux en hôpitaux une existence misérable, lorsqu'il en
mais imparfaitement, puisque depuis 7 ans, il traînait d'hôpitaux en hôpitaux une existence misérable, lorsqu'il entra à l'hôpi
t d'hôpitaux en hôpitaux une existence misérable, lorsqu'il entra à l' hôpital Saint-Louis en juin 1819, dans le service de M. R
te vérité doit présider à toutes les dispositions administratives des hôpitaux de vieillards. La pneumonie des vieillards ne s
ce représentée fig. 2 m'a été remise par M. Voisin, alors interne à l' hôpital Saint-Louis, aujourd'hui médecin distingué de Lim
stan la pièce représentée planches m et iv. Elle a été recueillie à l' hôpital de la Salpêtrière, si fécond en lésions organique
même pour la séparation d'un membre gangrené : ainsi, j'ai vu dans un hôpital de province un homme dont le pied et la jambe mom
, un homme, âgé de 64 ans, fut reçu dans les salles de chirurgie d'un hôpital pour des douleurs lancinantes vives avec sensatio
présenté l'état suivant, le 25 septembre i84o, jour de son entrée à l' hôpital de la Charité. Face couleur de cire: respiratio
, 56 ans, jardinier, ancien militaire, est entré dans mon service à l' hôpital de la Charité, le 1er juillet 184o, pour une para
à Bicêtre. Les détails ont été recueillis par M. Padieu, interne des hôpitaux , membre de la Société anatomique. XXIe LIVRAISO
igneron, est entré le 10 septembre i84o, salle Saint-Ferdinand, n° 8, hôpital de la Charité, dans l'état suivant : Voussure b
algide. — Mort par œdème du poumon. Delaure, 4o ans, est entré à l' Hôpital de la Charité, le i5 septembre i84o, dans l'état
it presque aussi considérable qu'à son entrée. Le malade rentra à l' hôpital , le 26 septembre, dans un état de cyanose et d'al
anose et d'algidité aussi complet que possible. Depuis sa sortie de l' hôpital , il n'avait pas pu travailler à cause de l'oppres
tumeurs : la nutrition générale n'en était pas troublée. Il entra à l' hôpital le 20 février 1837 et mourut subitement le 22 fév
livraison.) Ruppuluy, 34 ans , bottier, entra dans mon service à l' hôpital de la Charité, le 23 mai i84i Voici dans quel éta
un rhumatisme articulaire. Dellubach, cordonnier, 56 ans, entra à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Ferdinand , n. i, le 1
monie œdémateuse, et voici comment: Les femmes âgées qui peuplent cet hôpital continuent à rester dans leur dortoir et à prendr
s prescrivent des remèdes qui sont sans succès. — La malade entre à l' hôpital de la Charité, mais sa vue ne s'améliorant pas, e
auche se reproduisent, et au bout de quelques mois de séjour dans cet hôpital la cécité fut complète. La malade sort de l'hôp
séjour dans cet hôpital la cécité fut complète. La malade sort de l' hôpital , décidée à ne rien tenter de nouveau. Pendant deu
pagnent de raideur dans les membres supérieurs. La malade entre à l' hôpital Beaujon; là, elle perd le goût.— Revenue à la mai
evenue à la maison paternelle après trois semaines de séjour dans cet hôpital , elle perd l'odorat. Ce fut alors que je fus appe
gard; rien ne coûte d'ailleurs au zèle investigateur des médecins des hôpitaux et de leurs élèves: ce qui les arrête, c'est la m
is tous les paraplégiques comme tous les hémiplégiques incurables des hôpitaux , me fournira, j'espère, l'occasion de payer mon t
es membres supérieurs: ils s'engourdirent à leur tour. Elle entra à l' hôpital Necker en 1820 : elle y resta deux ans et fut sou
cependant convaincu que, si, à l'époque de l'entrée de la malade à l' hôpital , alors que le tissu propre de la moelle n'était p
— Mort par pleurésie. Paget (Joséphine), âgée de 38 ans, entre à l' hôpital de la Charité (salle Saint-Joseph, n° 16), le 4 m
Femme Vogel, 56 ans, d'une assez grande maigreur, est apportée à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Joseph, n° 20, le 23 n
ourses; en deux jours, il perdit presque toutes ses forces, entré à l' hôpital de la Charité, il put se soutenir et marcher péni
e malade, le 24 janvier i84o, lorsque j'ai été chargé du service de l' hôpital de la Charité. Déviation considérable de la col
d'appliquer sur la peau des cuisses le pot d'étain qui sert dans les hôpitaux de pot de tisane, pour éveiller une sensation ass
on n'en continuait pas moins ses occupations actives de clientelle, d' hôpital et de la Faculté. En juin i84o, il se plaint d'
d'un mal de tête léger, pour lequel il était entré plusieurs fois à l' hôpital ; mais comme il était habituellement lent et apat
observation à la Société anatomique. Pendant trois mois de séjour à l' hôpital , ce malade ne présenta d'autre symptôme qu'un cat
fanterie légère, sanguin, athlétique, entra, le 29 décembre 1833, à l' hôpital militaire du Gros-Caillou pour une blennorrhagie.
'observation suivante, que j'ai recueillie avec beaucotip de soin à l' hôpital de la Maternité , suppléera aux détails cliniques
vingt-quatre heures. Ouverture. M. F.D'Arcet, interne distingué des hôpitaux , me montra la colonne vertébrale ouverte antérieu
xique), laboureur, âgé de 52 ans, d'une forte constitution, entre à l' hôpital Saint-Michel de cette ville en mai i83i.—Il porta
s la production reparaissant toujours , il prit le parti d'entrer à l' hôpital . La somme des fragmens obtenus par les diverses r
n du fait précédent, un autre fait qu'il a eu occasion d'observer à l' hôpital San-Andrés de Mexico. Il a pour sujet un homme de
roductions cornées. Pendant que j'étais médecin du Bureau central des hôpitaux , une femme se présente à la consultation avec une
t de 10 à 11 ans, que M. Baudelocque m'a montré dans son service de l' hôpital des Enfans malades, il y a déjà plusieurs années.
e'e pl. n, xxne livr. (ij, appartenait à un homme qui vint mourir à l' hôpital Beaujon, où on ne l'observa que 24 heures ; il eu
rtie en un kyste rempli par un calcul urinaire. Un malade entre à l' hôpital pour une rétention d'urine : ce liquide suinte go
icale représenté fig. 4 m'a été donné par M. Monod, alors interne des hôpitaux : il avait été observé dans le service deDupuytre
dans les follicules muqueux de ce canal. Un individu entra dans un hôpital avec une infiltration urineuse considérable des b
l se faisait guérir de son rétrécissement, se décida à entrer dans un hôpital . Une sonde ordinaire n'ayant pas pu arriver jusqu
ge jusqu'à sa mort, qui arriva deux mois et demi après son entrée à l' hôpital . Autopsie. Tumeur énorme, inégalement bosselée,
communiquées à la Société anatomique par M. Sazie, alors interne de l' hôpital Necker, xxxvie livraison. fLivraison PL3. M
e âgé de 4° ans environ, sur lequel M. le docteur Manry, médecin de l' hôpital Saint-Louis, a eu l'obligeance de me donner les r
que survenait un nouvel érysipèle. La malade, qui était entrée à l' Hôpital dans le mois de septembre 1836, commença à dépéri
ceinte de six mois et qui était morte deux jours après son entrée à l' hôpital . Il s'agissait de déterminer quelle était la natu
tritus gangreneux, que je ne puis mieux comparer qu'à la pourriture d' hôpital . Or, cette destruction des parties par couches su
térus suivie de péritonite. Une femme de 5o ans est transférée d'un hôpital du centre à la Salpêtrière comme cancéreuse incur
s que dura sa vie de prostitution, elle dit être entrée sept fois à l' hôpital des Vénériens; elle soutint n'avoir jamais eu d'a
s. On se contenta des moyens généraux adoucissans. Elle sortit de l' hôpital dès Vénériens pour entrer à l'Hôtel-Dieu, et de l
cœlo de la dégénération cancéreuse? Cette érosion, cette pourriture d' hôpital de l'utérus ne requièrent-elles pas un traitement
la Salpétrière par le vénérable Lallemant, chirurgien en chef de cet hôpital ; le fait représenté planche vi, mettent la questi
u coté droit. Une femme d'une quarantaine d'années est apportée à l' hôpital de la Charité, dans les premiers jours de mai 184
uturière, jouissant habituellement d'une bonne santé', est entrée à l' hôpital de la Charité dans les premiers jours de septembr
t un soulagement tel, que la malade était sur le point de sortir de l' hôpital . Un matin, à la visite, cette malade me parla d
vail désorganisateur tout-à-fait semblable à celui de la pourriture d' hôpital . Plusieurs eschares, semblables à celles que prod
n dans les bourses, comme j'en ai vu un exemple tout dernièrement à l' hôpital de la Charité, dans le service de M. Velpeau; inc
on , m'a été adressé le i4 mars i834 par M. Jolly, ancien interne des hôpitaux , aujourd'hui médecin à Château-Thierry; voici les
âgée de 5o ans, est venue de son pied à la consultation gratuite de l' hôpital de la Charité le 5 décembre i84o: elle était sout
44 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
e brusquement. A 27 ans (avril 1906), la malade se fait traiter à l' Hôpital ophtalmique, où le D`Cullomb constate : oeil dr
e année, M. Sicard fait une communication à la Société médicale des hôpitaux de Paris, dans laquelle il désigne ces affectio
ade qui, par suite de son mauvais état général, avait dû entrer à l' hôpital de la Miséricorde, où nous l'avons examiné dans l
res et postérieures (Fig. 1). Quelques mois après son arrivée à l' hôpital , le malade est mort et l'au- topsie a été prati
es posi-trau, matiques et sur leur traitement. Société médicale des hôpitaux , 22 octobre 1915. (2) J. A. Sicard et 131»EI;T,
LAIGNEL-LAVASTINE et PAUL COURBON, professeur agrégé, médecin des hôpitaux , médecin-adjoint des asiles. MM. Pierre Marie e
du coude et de la contracture du biceps. Une radiographie faite à l' hôpital Bégin montre une prolifération osseuse à la face'
reuses du sciatique ; le 22 octobre 1915, à la Société médicale des hôpitaux , nous avons affirmé la constance et la netteté
AVEC LES LOIS DE MENDEL, par René BENARD, Ancien Interne des hôpitaux de Paris, Aide-major de l'a classe. Les faits
vrier 1889, au coude droit, par balle, au Tonkin. Transporté dans un hôpital , cinq heures après, le bras présente des propor
N, et G. PINTOS, Médecin de 'Hôpital général de Madrid, Interne à l' Hôpital général. La pathologie de l'hypophyse a encore
un même secteur. 'Ces derniers malades ont été à leur arrivée, à l' hôpital du Bon-Pasteur, répar- tis dans les services de
vations cliniques. Observation I. Lav... Paul, 37 ans, infirmier, hôpital militaire Sédillot. Entré le 1er mai 1916 au Bo
temps. Mal en train. Symptômes à l'entrée. Le malade est amené à l' hôpital à pied, à 1 heures. A 13 heures, T. : 38°9 ; il
ans, dut7* régiment d'Infanterie, 150 Cie. Entré le 24 mai 1916 à l' hôpital du Bon-Pasteur. Localité de contamination. - Co
ouvait se tenir debout, les jambes fléchissaient. En traitement à l' hôpital de du 6 au 15. Température abaissée. Symptôme
'ayant été dépistée qu'ultérieurement. De même, pas de cas dans les hôpitaux de l'avant dans lesquels nos malades ont séjour
gestifs, de fatigue. Dans l'observation I, le malade est arrivé à l' hôpital du Bon-Pasteur à la fin de cette période, deux
très nettement aux questions posées ; l'officier gestionnaire de l' hôpital où il était employé nous l'amenait parce que de
vé nul élément bactérien coloré. Des conditions d'installation de l' hôpital auxiliaire ont empêché la détermination des réa
causées pa" l'agent de la paralysie infantile. Société médicale des hôpitaux , 27 mars 1914, p. 571. ' 12) FLLLER EXGLA;\D, S
diffuse aiguë au cours d'une épidémie militaire. Soc. médicale des hôpitaux . UNIVERSITÉ DE LUND (SUÈDE) SUR LA QUESTION
st devenu inquiet, agité. Il a guéri après traitement d'un mois à l' hôpital . Les auteurs n'ont pas dit s'il fut traité par le
s syphilitiques. La myélite syphilitique amyolrophique. Gazelle des hôpitaux , 17 mai 1913 ; A. Lébi, Les atrophies musculaires
sect. XI; LFiouoi, Thèse Pâtis, 1913. (2) Raymond, Soc. médic. des hôpitaux , 1893. Nouvelle Iconographie I)1 L.1$.\LPL'IRIl
à remercier mon Maître, M. le professeur Dagnini, médecin-major à l' Hôpital de Bologne, des conseils qu'il m'a donnés pour l'
BAUMEL, et G. LARDENNOIS, Chef de Clinique médicale Chirurgien des hôpitaux à l'Université de Montpellier, de Paris. La p
commerçant, 30 ans, soldat à la 1'6 section d'infimiers, entré il l' hôpital le 13 avril 1916, se plaignant depuis cinq à six
s l'infirmerie de notre maître, le profes- seur Miguel Couto, à l'« Hôpital da Misericordia ». Il s'agissait d'un individu
e, tels que maman, non, mimi, pipi, Gourgas (elle a été soignée à l' hôpital Gour- gas pour une varicelle il y a quelques an
Einar Sjôvall, et M. le médecin en chef de la section interne de l' hôpital public, de Malmô S. Pfannenstil, ont bien voulu n
de vomissements. ' Conduit par la police à la section médicale de l' hôpital public de Malmô. Il y est entré le 15 août à mi
°8, tandis que quelques heures après (le matin après son entrée à l' hôpital ), elle était de 38°9. Le même jour-au soir, la te
nt. Pour cette aphonie, il fut traité de diverses façons et passé d' hôpitaux en hôpitaux, proposé tantôt pour la réforme, ta
te aphonie, il fut traité de diverses façons et passé d'hôpitaux en hôpitaux , proposé tantôt pour la réforme, tantôt pour une
u à une compression de nerf par l'artère ou par une cicatrice. A. l' hôpital Régin, dans son service de Chirurgie, M. Paul R
e diagnostic de paralysie du récurrent inscrit sur un des billets d' hôpitaux . Les progrès furent rapides, si bien qu'au bout
de Claude Ber- nard-Horner selon le siège des lésions. Gazette des hôpitaux , 15 février 1910y p. 251-252. SYNDROME SYMPATHI
s, Le réflexe oculo-cardiaque à l'état normal. Société médicale des Hôpitaux de Paris, 27 mars ]914, p. 562 ; Une nouvelle é
teur. Société de Biologie, 14 février 1914, et Societé médicale des hôpitaux de Paris, 1" mai 1914. LÉSIONS TRAUMATIQUES DU
ré dans le service de M. Collet le 3 sep- tembre 1916. Son billet d' hôpital porte : plaie en séton de la face externe de la
rmale. , Réaction de Wassermann : positive.. - Observation XVIII ( Hôpital de la « Misericordia ») (PI. LXIV). F..., 18 an
e dans les antécédents familiers ou personnels. Elle est entrée à l' hôpital parce qu'elle ressentait dans ces derniers temps
s et Clairet, Le syndrome hypophysaire adiposo- génital Gazette des hôpitaux , 1910, p. 57, et GnAHAUT, Le syndrome hypophysair
erre et tenaient à-un rétrécissement uréthral. Il a passé dans huit hôpitaux , où on lui a fait sans aucun succès différents
connaissance pendant : 1 heures environ, et n'est revenu à lui qu'à l' hôpital de Châlons. Il a éprouvé à ce moment une forte
a dû, paraît-il, le sonder pendant deux jours. Dans les nombreux hôpitaux où il a été en traitement, on lui a fait de la
moins qu'il ne l'a été plus tard. Il a été évacué sur Paris dans un hôpital où il est resté une quinzaine de jours. C'est là,
SOUQUES ET 111LGCVAVD, mules \A1DITCLI ET RATIIAUS llièrement par l' hôpital de St-Maurice d'où il nous a été envoyé. Il a sui
veau du massage et de l'électricité. En avril 1916, se trouvant à l' hôpital de Lisieux, il passe devant une com- mission mé
r octobre 1914, il fut dirigé sur Paris et séjourna dans différents hôpitaux . Il était toujours courbé et marchait à l'aide
d'un kilomètre. Son tronc était courbé. De là il a été évacué sur l' hôpital de M... où il est resté un mois. On lui a dit q
ives pendant cinq mois, puis diminuèrent peu à peu. , , Entré à l' hôpital de St-Maurice, le 5 janvier, il y fut massé, douc
orter malade, et le médecin de la Place de Paris le fait entrer à l' hôpital Itollin, avec le diagnostic : embarras gastrique
gastrique et douleurs. 11 était très courbé. Pendant son séjour à l' hôpital Rollin, il est resté alité quelques jours. Lors
été évacué sur l'arrière. Toujours courbé, il a passé par de nombreux hôpitaux , où il a suivi différents traitements sans être
r la récidive qui est cependant possible, lorsque le sujet quitte l' hôpital et retourne à son dépôt.. Il serait utile, no
45 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
echsig était parvenu au même résultat. Dernièrement se trouvait à l' hôpital militaire de Kiew un soldat syphi- litique; il
G Vauch... Jean, cordonnier, né en 1826, entré le 11, juin 1900 à l' Hôpital cantonal de Genève, dans le service de M. le pr
t : Antécédents. -V. n'a fait antérieurement qu'un court séjour à l' hôpital , en 1898, pour troubles urinaires (hypertrophie
ez lui en marchant avec peine et reste alité jusqu'à son entrée à l' hôpital . Etat actuel : Motilité : Pas de paralysie de
èse d'une paralysie infantile. La malade n'avait plus été revue à l' hôpital depuis cette époque (1888). Cardiaque et attein
-RAD1CULITE SYPHILITIQUE, PAR M. LAIGNEL-LAVASTINE. Médecin des hôpitaux de Paris. L'intérêt de l'observation suivante e
ments. , (1) Travail du laboratoire des professeurs Landouzy, à l' hôpital Laminée, et Gilbert Ballet, à l'IIûtel-Dieu.
oubles nerveux périphériques de la tuberculose pulmonaire. Gaz. des Hôpitaux , p. 1041, 1901. 71. De BUCK. Un cas de polynévr
s mouvements associés pour la première fois, chez deux malades de l' hôpital Zerlendi, de Bukarest. L'un était un cabaretier
obre 1897. DEsNos. - OEdëme rhumatismal chronique. Société méd. des hôpitaux , 13 février 1891. Follet. - OEdème névi-opalhiq
SYNDROMES THYROÏDIENS ' PAR M. LAIGNEL-LAVASTINE, Médecin des Hôpitaux de Paris (1). Dans une revue critique des troub
SÉGLAS, et STROEHLIN, Médecin de l'hospice de Bicêtre. Interne des hôpitaux . Le malade P... est entré à Bicêtre le 30 juin
BRISSAUD ET A. GY Professeur la Faculté de médecine. Interne des hôpitaux . Observation. Le nommé Alfred M..., âgé de 30
prouve cette arythmie passagère constatée à l'entrée du malade à l' hôpital . Par contre le noyau de l'hypoglosse fut respecté
TÉRAL HOMOGÈNE ET HÉTÉROGÈNE . PAR R M. KLIPPEL, Médecin de l' hôpital Tenon. M. PIERRE WEIL, Interne des Hôpitaux.
LIPPEL, Médecin de l'hôpital Tenon. M. PIERRE WEIL, Interne des Hôpitaux . La notion des réflexes controlatéraux est rela
cin. Leipzig. Bd. 47, p. 58. (5) Pierre Marie, Société médicale des hôpitaux , 13 avril 1894. (6) Gay HINSDALE et Taylor. Cro
ODDO Professeur à l'Ecole de médecine de Marseille, médecin des hôpitaux de Marseille. Depuis une dizaine d'années les t
s dans un cas de spondylose 1-hizoteié- lique. Société médicale des hôpitaux , 24 février 1899. ÉTUDE D'UNE COLONNE VERTÉBRAL
prend le métier de tailleur d'habits. A l'âge de 24 ans, séjour à l' hôpital de la Conception ; à ce moment les articulations
é pendant 4 ans 1/2, légère amélioration. Vers 1892,on l'envoie à l' hôpital de Sainte-Mar- guerite, et, peu de mois après s
omiques relevés sur une pièce présentée à la Société médi- cale des hôpitaux le 21 mai 1903 par Pierre Marie et Dabrowitch et
ant le malade de marcher, ces douleurs nécessitèrent son entrée à l' hôpital ; Il y resta six mois pendant lesquels on lui f
NNE VERTÉBRALE 291 continues, empêchant le mouvement : il entre à l' hôpital de la Conception où il demeure 4 ans, durant le
aison. a Et si elle était seule, sans aide ? - Je la conduirais à l' hôpital , car être deux malades, cela ne sert de rien.
t,mais il y a un mois il eut une rechute de la maladie et entra à l' hôpital de S. M. Nuova, où je pus l'étudier à mon aise da
. O13SERVATION X (2) (PI. LIX). Mme G..., née en 1864. Admise à l' hôpital cantonal le 16 novembre 1905. Décédée le 4 mars
r chez sa femme une diminution de l'in. telligence. Admission à l' hôpital cantonal 1 an 1/2 après la première attaque épile
eptiformes n'eurent pas un caractère Jacksonien net. A l'entrée à l' hôpital la jambe et le facial gauche étaient également dé
: 33 ans. Père passa- blement buveur.Le malade a fait un séjour à l' hôpital cantonal du 25 mars au 11 juin 1905 pour tuberc
intenses, avec morsures de la langue et incontinence, B... rentra à l' hôpital le 5 juillet 1906 ; un matin il était revenu à
umeur que le rôle d'un adjuvant ? En tous cas le délire observé à l' hôpital cantonal peut fort bien avoir été de nature alc
ski. Sensibilité conser- vée. Force musculaire très diminuée. A l' Hôpital cantonal on diagnostiqua une paraplégie spinale s
Pierre X..., 28 ans, cultivateur, entre à la clinique psychiatrique ( Hôpital St-André), le 3 avril 1908. Antécédents héréd
nifesta les premiers troubles psycho- pathiques qui l'ont amené à l' hôpital . Cela commença, chez lui, par un état de nosoph
aire le fait relâcher, et conseille à sa famille de le conduire à l' hôpital de Bordeaux. C'est dans ces conditions que Pier
ns ces conditions que Pierre est entré à la clinique psychiatrique ( Hôpital Saint-André), te 3 avril 1908. Examen DIRECT. 1
et MORISETTI, médecin des hopitaux, assistant de consultation à l' hôpital Saint-Louis, Observation. G. T..., 26 ans, es
squ'à mi-bras ont été radiographiés au laboratoire de M. Gastou à l' hôpital Saint-Louis. Ces radio- graphies sont reproduit
ns réunies par les auteurs précédents, celles de Gayet (Gazette des hôpitaux , 1901),llichelson (Deutsche med. IVoch., 9906),Fr
rmisson l'adhérence (1) APERT, Bulletins de la Société médicale des hôpitaux , 1SJ8, p. 643 et Bulletins de la Société anatom
709. Archives de Neurologie, 1886, 1888, 1889, 1890 ; Soc. méd. des hôpitaux , 17 jan- vier 1896, 22 janvier 1897. ' BRECMA
hschild. Les petits signes d'insuffisance thyroïdienne. Gazette des hôpitaux , juin 1907, p. 879. LewtN. - Berliner klin. Woc
NS ET PIEDS A DEUX DOIGTS PAR R Georges THIBIERGE, médecin de l' hôpital Saint-Louis. Voici, à titre purement documentai
dé- but de la paralysie générale. En juillet 1907, elle entre à l' hôpital Trousseau pour des convulsions épilep- tiformes
Pédiatrie, nous a semblé retardé ; l'enfant, en effet, pas plus à l' hôpital Trousseau qu'à la Fondation Vallée, n'a été réglé
00, (3) Neurologicbes Centralblatt, 1888, ne 5. (4) Soc. méd. des hôpitaux , octobre 1902. NOUVELLLE Iconographie DE la SAL
SUR LA DÉFINITION DE L'HYSTÉRIE par - I. VALOBRA Médecin de l' hôpital Umberto i,r (Turin) Observation. Mile Joséphi
ade pour la première fois, amenée par sa mère aux consultations à l' hôpital . A la vue des cicatrices cbéloïdiennes de la ma
». J'insiste inutilement pour obtenir que la jeune fille reste à l' hôpital en observation, et elle rentre chez elle. Le so
némique, gangrène sèche, ulcération). La jeune fille revient il l' hôpital au mois de mars ; la plaque du mois de novembre
ient aussi en voie de guérison. La guérison complète eut lieu à l' hôpital où j'avais isolé la malade qui pré- sentait des
perchlorhydrie manifeste, sans altération de la motilité (1). A l' hôpital , sous une surveillance très étroite, parut la tro
tés plusieurs lois pendant les divers séjours de la jeune fille 1 l' hôpital . L'examen du système nerveux et du système cardio
les jours suivants en une eschare nécro- tique, sous mes yeux, à l' hôpital où j'avais envoyé la malade. Un mois après, aut
ment elle aurait pu se faire. Depuis l'entrée de la jeune fille à l' hôpital , je faisais moi-même le pan- sement à la jambe,
jeune fille pendant un an et demi, elle a été des mois entiers à l' hôpital dans un service de médecine interne où, selon l'h
r elle ne pou- vait plus écrire ; c'est pour cela qu'elle entra à l' hôpital . Le tremblement avait commencé à la suite d'un
ois pas. En effet : trois jours après, j'arrive dans l'après-midi à l' hôpital et je vois toutes les malades qui travaillent à
ecin a observé des faits semblables. Le soir dans notre service à l' Hôpital Umberto 1°, autant dans le service des 500 VALO
igents, presque tous médecins, ou bien étudiants, ou visiteurs de l' hôpital ; il s'agissait toujours de personnes qui appar
ésentait nettement les caractères du pithiatisme, car plus tard à l' hôpital , dans la chambre d'isolement, j'ai pu faire dis
e brûlure, ni d'es- (1) Voir : Bulletins de la Société médicale des hôpitaux de Paris, année 1907, p. 1319 et suivi 508 BA
nt développé. 2° Plusieurs des plaques observées par M. Valobra à l' hôpital étaient, au début, blanches, froides, anesthési
r et c'est principalement sur des observations recueillies dans les hôpitaux parisiens qu'a été fondée la notion des trouble
us troubles trophiques hys- tériques, faite auprès des médecins des hôpitaux de Pans par le D' Mendicini BoNO 'Congrès des a
cale hypertrophique fait date en neuropathologie. Nommé médecin des hôpitaux en 1879, l'année suivante il devint agrégé de l
46 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
taire de la commission des hospices d'Aix, signalant son séjour à l' hôpital de cette ville en date du 23 mars 1895 et à l'a
l était pré- sent au dépôt de Beni-.Messous, en février et mars à l' hôpital de Mustapha d'Alger, d'où il fut rapatrié en Fr
UANT SIMULATEUR. 13 Au bout de deux jours je fus mené d'urgence à l' hôpital de L..., sur un certificat d'irresponsabilité d
demandent l'assimilation absolue des services d'aliénés à ceux des hôpitaux ; mais qui oublient qu'un bon tiers de nos malad
tes étaient prises à l'égard des aliénés criminels dan- gereux ; un hôpital spécial pour les aliénés devrait être institué
nt une hémorragie importante. Après l'opération le malade resta à l' hôpital ; il n'avait plus d'attaques épileptique ; il é
e émotive bien connue des dermatologistes : il la consultation de l' hôpital Saint-Louis, les malades défilent tout nus devant
u de trente ans reçoit dans l'abdomen un coup de couteau. Amené à l' hôpital , il meurt au bout de trois jours. L'autopsie dé
ique consacrée par M. Encosxv aux projets de IACODI (directeur de l' hôpital des aliénés d'Orlow) et de ]AiiowENKo . (direct
e l'hôpital des aliénés d'Orlow) et de ]AiiowENKo . (directeur de l' hôpital psychiatrique de l'Intercession de la Sainte- V
L'assistance publique des aliénés peut s'effectuer par le moyen d' hôpitaux ou d'infirmeries, où l'on maintienne les malades
ées territoriales des cercles à l'assistance des aliénés. 1. Chaque hôpital territorial provincial de cercle (ouyezde) sera
u gouvernement. En somme un pavillon. La statistique montre que les hôpitaux des cercles absorbent 40 p. 100 du nombre des p
. l. On pourrait encore disposer un bureau d'admission auprès des hôpitaux particuliers que possèdent en outre certaines vil
nt en outre certaines villes de cercles groupées, auprès des grands hôpitaux appartenant aux centres industriels, auprès des
des grands hôpitaux appartenant aux centres industriels, auprès des hôpitaux des voies ferrées. Que de petits refuges on obt
par refuge. Et cela plairait beaucoup à la population qui aime ses hôpitaux de cercles. Il est vrai que les médecins de ces
i aime ses hôpitaux de cercles. Il est vrai que les médecins de ces hôpitaux de cercles ne sont pas aliénistes. C'est fàche.
peut obtenir des documents des médecins direc- teurs de trente des hôpitaux territoriaux de gouvernements qui existent, M.
ANCE DES ALIÉNÉS EN RUSSIE. 137 à la campagne dans une colonie tout hôpital qui occupe actuelle- ment une ville. ' Les 10
traitement actif peuvent, sans aucun inconvénient, profiter de l' hôpital qui se trouve en ville et dont l'organisation a d
e l'assistance familiale dans les villages voisins, aux portes de l' hôpital . 138 ACTUALITÉS. Déjà nos colonies fermées ac
fabrique ainsi des éthéromanes. Jadis, à la Pitié, un médecin des hôpitaux préconisait les-injeclions de morphine comme trai
épôt. Quant à ses deux victimes, elles ont dû être transportées à l' hôpital de la Pitié. (Le Temps du lb décembre 1899.) Un
espirait encore ; mais elle ne vécut pas longtemps. Transportée à l' hôpital Necker, elle rendit le dernier soupir avant d'a
olyurie et Pollakiurie hystériques ; Par Jew A13ADIE, Interne des hôpitaux de Bordeaux. 1 La connaissance du symptôme poly
ravaux sont consignés dans les Bulletins de la Société médicale des hôpitaux . En '1893, M. Ehrhardt reprenait son étude dans
..., quarante-trois ans, employé de commerce, né à Nancy, entre à l' hôpital Saint-André, salle 16, service de M. le professeu
éri, ne demande plus qu'à reprendre ses occupations et il sort de l' hôpital le 15 février, délivré de son infirmité. Cette
rapporte le fait suivant survenu dans le service de M. Hirtz, à l' hôpital Tenon, en 1895. Deux hystériques sont couchés c
s traces de sucre ou d'albumine. Le ma- lade a quitté brusquement l' hôpital , et l'on ne sait comment s'est terminé l'affect
mie ; Par le D' Cil. MIRALLIÉ. Dans une leçon clinique faite il l' Hôpital Saint-Jacques de Nantes', nous avons exposé et
es soins son état oculaire persiste le même aujourd'hui. Sorti de l' hôpital , après vingt-sept mois, le malade put travail-
ptômes se développèrent durant une dizaine de jours. A l'entrée à l' hôpital on nota encore l'ataxie des mem- bres, faibless
tant insignifiantes, le jeune homme ne resta que quelques jours à l' hôpital , et on le ramena ensuite chez sa mère. Vainemen
criptions de. médecine, il prit la bonne habitude de fréquenter les hôpitaux et il fut un des élèves les plus assidus d'Andr
lèves les plus assidus d'Andral et de Grisolle. Nommé interne des hôpitaux en 1863, il est successivement interne de Falret
mières études médi- cales. C'est en 1859 qu'il fut reçu externe des hôpitaux et attaché au quartier des aliénés des hospices
uis l'année 1874, le très regretté Bouche- reau, ancien interne des hôpitaux , médecin en chef de l'asile Sainte-Anne, était
ons Bouchereau et moi partie de la même promotion de l'Internat des hôpitaux de Paris, et nos relations commencées à cette é
aient universellement reconnus. C'est au sortir de l'Internat des hôpitaux de Paris que le Dr Bouchereau a choisi la carri
és par la voie du concours chefs de clinique 1 ou internes dans les hôpitaux sont assimilés aux in- ternes des asiles d'alié
ou l'autre de ces fonctions dans un ' Chefs de clinique... dans les hôpitaux , c'est plutôt chefs de clinique des Facultés de
ERVEUSE. Notes cliniques de la section des maladies nerveuses à l' hôpital militaire de Kief ; Par professeur S. TCI31ftII
a- 400 CLINIQUE NERVEUSE. dies nerveuses : d'abord je l'étais à l' hôpital militaire Nicolas à Saint-Pétersbourg, puis il
'étais à l'hôpital militaire Nicolas à Saint-Pétersbourg, puis il l' hôpital militaire de Kief. De toutes les maladies organ
e et de l'Ancien, consiste en frictions mer- MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 401 l curielles ou en inject
rien à dire non plus contre l'ancienne pré- MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 403 paration de l'onguent, s
s les divers organes devinrent beaucoup plus MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 405 fréquentes qu'avec les f
re, gagna la paralysie du côté gauche, n. abducentis ; il entra à l' hôpital , on lui fit des injections mercurielles sous-cu
issement. Je n'oublierai jamais un aide-ehi- MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 407 rurgien d'Aix-la-Chapell
e l'évacuation de l'urine, exigeant certains MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 409 efforts, puis si l'on co
seulement, que l'une des électrodes avec la MALADIES NERVEUSES A L' HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 411 'l surface relativement
crées à ces malades dans les autres pays. La première en date est l' hôpital de l'Ohio, ouvert en 1893 et actuellement en me
i a dû tomber sur une série heureuse. M. Déjerine a rarement vu à l' hôpital le tabes conjugal; on est mal placé pour l'étud
ion 1. - àlne A. IL ? âgée de cinquante-cinq ans, entrée au premier Hôpital municipal le 18 janvier 1899. Il y a deux ans e
e supérieur, la*malade perdait connaissance. Pendant son séjour à l' hôpital , la malade eut 19 accès jacksoniens, de sept à
Im. A. M..., âgée de vingt-deux ans. Neuf mois avant son entrée à l' hôpital commença à souffrir de maux de tète et tout de
gère de la main droite, exagération des réflexes du côté droit. A l' hôpital les accès légers se répétaient presque journell
estion de la syrip7omyé- lie héréditaire . - L'auteur a observé à l' hôpital Catherine trois cas de syringomyélie non douteu
mmédiatement dans une phar- macie, où il a reçu des soins, puis à l' hôpital Lariboisière. C'est un ouvrier maçon nommé Gast
frères racontait, ce matin, qu'un malade conduit par des agents à l' hôpital de la Charité fut admis d'abord, mais que, comm
n le congédia sans se préoccuper des conséquences de ce renvoi. A l' hôpital de la Cha- rité on nous déclare que les choses
suivante : Le malade, qui se nommeEmile 0..., fut bien envoyé à l' hôpital de la Charité par le commissaire de police du q
incohérente. Depuis le 30 août 1896 qu'il était pensionnaire à l' hôpital civil d'Armentières, Brout... n'avait jamais pa
, on trouve du rétrécissement. Le cinquième jour de son arrivée à l' hôpital , le malade meurt dans les convulsions cloniques
sur les -, par Brown, 162. Notes cliniques de la section (les - l' hôpital militaire de IOew, par Tchinen, 399. Manie. F
47 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
d hypnotisme. C'est ainsi qu'il y a quelques années, en sortant de l' hôpital de la Pitié où il venait d'assister aux expérienc
notisme ne pourra que gagner à être étudié scientifiquement, dans les hôpitaux ou dans les cliniques particulières, par des homm
faits qui précèdent, a bien voulu-organiser, de concert avec moi, à l' hôpital de Nancy, des expériences de contrôle et de vérif
Revue philosophique de 1880, le fait d'une femme qu'il endormait à l' hôpital Beaujon et qui est demeurée « extrêmement hystéri
a tenté de se suicider, et, pour celte raison, on le conduisit » à l' hôpital . » M. Pitres s'est efforcé de ramener le calme da
s des personnes qui tombent du haut mal, qu'il n'y avait personne a l' hôpital général de Lyon qui n'y fût trompé. « Je lui dema
ue épileptiforme est le mode de simulation le plus habituel. Dans les hôpitaux d'enfants, selon Dufestel, il serait beaucoup plu
armi ses hommes un jeune soldat somnambule qu'on avait dû envoyer à l' hôpital de Rochefort. On prétendait qu'en état de somna
, mais cependant très possible. Le jeune soldat avait été placé à l' hôpital de Rochefort, dans le service de MM. les docteurs
faire cesser la pluie de lettres qui s'est abattue depuis lors sur l' hôpital de Rochefort. Du nord au midi de la France sont
ur confond les médecin» consciencieux qui, aujourd'hui, dans tous nos hôpitaux , se servent de l'hypnotisme comme d'un agent thér
im, Bcaunis, Liébeault, qui ont hypnotisé des milliers de malades a l' hôpital de Nancy, ont jamais constaté dans leurs malades
les savants qui s'occupent d'hypnotisme, et, d'ailleurs, le médecin d' hôpital occupé à guérir un malade, un médecin sérieux ne
et le somnambulisme. Dans une de ses récentes leçons cliniques de l' hôpital Necker, M. le LV Gilbert Ballet vient de présente
te légende. Sur ces entrefaites. F... est envoyé en observation à l' hôpital de Rochefort ci est placé dans mon service. La pr
sieurs fois ses chefs le suivirent et le ramenèrent. F... entra à l' hôpital de Rochefort le 21 juillet 1808. Figure calme, co
, chante et va se promener. Dans les premiers temps de son séjour à l' hôpital , il couchait dans une salle commune et il effraya
llait la nuit. Nous l'avons vu escalader les grilles et les murs de l' hôpital avec la plus grande facilité. Il s'est rendu au c
était venu, ni ce qu'il avait fait. Endormi de nouveau, il rentra à l' hôpital avec la môme allure qu'auparavant. Nous l'avons v
(3) Liciaxq du > v v : ; 1, Clinique de la Salpétrier; 'Cir des hôpitaux , 1S8*, p. 407)-' Prétendre, par !a crainie. f
uivent une relation de l'application de l'hypnose dans quinze cas à l' hôpital de Munich et un catalogue des ouvrages les plus i
ais, se rappelant subitement un trait qui lui avait été conté dans un hôpital , il passa brusquement derrière la malade et lui e
du lendemain, elle eut des attaques. Son mari la rît alors entrer k l' hôpital de Saint-Denis, où elle est restée but jours, Là,
STION HYPNOTIQUE Par M. le rv Pacl Ducloli, chirurgien en chef de l' Hôpital >Jc Ccuc G. R., 20 ans. garçon de café, stra
Dans la soirée du mardi 5 avril 1887, 1j malade nous est apportée à l' hôpital , en état complet d'ivresse et en pleine attaque d
en ville. Ccst le soir de ce même jour que la police nous l'amène à l' hôpital . La malade sent toujours approcher son attaque.
endort après d'assez longs efforts. Comme' elle s'ennuie beaucoup â l' hôpital , nous lui ordonnons de travailler et de ne pa
t amendés par îa suggestion hypnotique. Le cas s'étant présenté à l' Hôpital maritime, dans la salle de clinique médicale, les
bureau, a fait pour myélite chronique de nombreuses entrées dans nos hôpitaux . Pendant ses derniers séjours, les chefs de cli
depuis 187?, Lance a ét: successivement traité, chez lui et dans les hôpitaux maritimes, pour une névralgie faciale, attribuée
ec des béquilles, etc. ¦De 1875 a ce moment, Lance a été soigné a l' hôpital , ou en ville par MM. Olivier, médecin en chef; Cu
pidement pendant le peu de temps qu'il passe dehors et il revient à l' hôpital le tû juin. Il n'a rien pris comme nourriture d
ement officiel de la médecine : professeurs, assistants, médecins des hôpitaux , chefs et aides de laboratoires, etc. Sous l'an
ÉCROLOGIE M. l« Docnua Loaaa (de Lille). Le Dr Lober, médecin de» hôpitaux de Lille, qui vient de mourir à >'*§•*! ao «a
ermédiaire, dont elle eut d'ailleurs beaucoup à souffrir. Sortie de l' hôpital quelaue temps après dans un éiai satisraisant, el
etenir d'une autre malade que j"ai eue longtemps dans mon service à l' hôpital Saint-Antoine, en 188t. C'était une jeune femme
maladies nerveuses. On vient de terminer à Kazan la construction de l' hôpital des maladies mentales et nerveuses ; cet hôpital
la construction de l'hôpital des maladies mentales et nerveuses ; cet hôpital contient trois cents lits. L'organisation des
ons et les recherches de la clinique, ils sont évacués dans Icsautrcs hôpitaux , pour leur traitement ultérieur. Les vacances son
tte date les cliniques sont fermée*, les malades sont dirigés sur les hôpitaux de la ville et les professeurs et leurs aides son
ches et les jeudis, des leçons cliniques sur les maladies mentales. Hôpital de la Charité.— m. le d* Luys fait le jeudi matin
pour visiter tous nos établissements d'enseignement médical : écoles, hôpitaux , laboratoires, etc. 11 publie dans soa journal, s
vie. - On écrit de Hcerby (Suède) : « M. Akerman a fait subir, a l' hôpital de Hurrby, à un malade hypnotisé, au lieu d'être
s*u*J. GRASSET Recueillies ci publiées p^&Vv&XER. interne des hôpitaux Ri Messieurs, Çgjf Sans me consacrer spécia
s la clinique, les autres (déjà nombreux aujourd'hui), en dehors de l' hôpital . Ces jours-ci, enfin, vous m'avez vu faire quelqu
r d'aggravation, et ce n'est qu'en octobre 1888 qu'elle put quitter l' hôpital . Mais cette fois je n'étais pas arrivé à la gué
llement sa conduite à mon endroit.au contraire. In jour, en face de l' hôpital Laénncc, elle me fit en pleine rue une telle scèn
de magistrats, nous ont envoyé leur adhésion. Plusieurs médecins des hôpitaux de Paris nous ay.. ¦ assuré leur concours, nous e
illa, fort surprise de se voir nue au milieu de la rue. NOUVELLES Hôpital dc la Chakitk. — M. le docteur Luys reprendra son
'une carte d'entrée. On est prié de s'inscrire cher le concierge, à l' hôpital . Interdiction des séances d'hypnotisme à Marsei
esseur J. GRASSET Recueillies et publiées par G. RAUZ1ER. interne des hôpitaux {Suite et fin) III J'ai résumé devant vous,
acrées aux communications et aux discussions ; 5» De visites dans les hôpitaux et hospices de Paris ; 4° D'une ou plusieurs conf
Société impériale des médecins de Vienne, 24. Société médicale des hôpitaux . 314. Société médico-psychologique, 175. Sociétés
48 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rvir de ses mains que le malade se déci- dait à se faire porter à l' hôpital . Mais, vu' l'encombrement, il ne fut pas reçu e
n malade du service : Ce malade a été presque toujours repoussé des hôpitaux comme simulateur ; il est vrai qu'il se contred
stoire d'une hystérique, les maladies qu'elle avait déjà eues,' les hôpitaux où elle avait été soignée, etc. ; mais le lende
émissent, à la pensée de quitter leurs parents, de vivre seules à l' hôpital ; le' lendemain, tout est passé, elles ont oubli
. D'ailleurs, en un mot, interrogez-les vous-mêmes sur leur vie à l' hôpital , sur ce qu'elles ont fait la veille, le matin,
mée Célestine, très gravement atteinte d'hystérie, était entrée à l' hôpital vers le mois de novembre dernier. J'étais déjà
Sa mémoire pour tous les événements survenus pendant son séjour à l' hôpital était évidemment très faible; mais elle se rapp
e jusqu'à une date plus ou moins reculée. Ainsi, j'ai vu amener à l' hôpital du Havre une femme qui avait eu un accident de
survenue au mois de novembre, quelques jours avant son entrée à l' hôpital , elle était restée paraplégique et avait oublié t
par Despine. Elle avait depuis de longues années avant de venir à l' hôpital des somnambulismes natu- l'amnésie hystérique.
'amnésie qui m'avaient le plus frappé était celui d'une malade de l' hôpital du Havre. Elle avait dans son souvenir une lacu
E; Par 11. le D' A. SOUQUES, . Ancien interne (médaille d'or) des Hôpitaux Eugène L.... trente-trois ans, employé, se prés
e peut qu'y être imparfaite. Par contraste, on ne reçoit ni dans un hôpital ordinaire, ni à l'asile d'aliénés, l'hystérie g
iénés dans les sections de neuropathologie. Et, par suite, tous les hôpitaux devraient comprendre un bâtiment propre à l'obs
nément d'asile de convalescence. Ce complé- ment indispensable de l' hôpital permettrait du même coup l'ensei- gnement de la
es familles seraient évidemment plus portées à placer un malade à l' hôpital que dans un asile. 'Discussion : M. Frscma comp
onne d'Autriche. Un grand nombre de ces comtés possèdent chacun son hôpital qui dispose de 40 à 250 lits. Ceux qui n'en ont
lai. Il sufirait, par conséquent, dans chaque comté, de compléter l' hôpital par un pavillon destiné à recevoir 150 malades,
t éclairé le public, les établissements , d'aliénés deviendront des hôpitaux tout à fait semblables' aux SOCIÉTÉS SAVANTES.
l ne me paraît donc pas bon de les river à un asile. Il n'est pas d' hôpital qui puisse disposer d'un espace suffisant pour
ans des quartiers séparés, ainsi dans les quar- tiers d'aliénés des hôpitaux des villes. Quoi qu'il en soit, l'épilep- tique
externat (1862) et notre internat dans le service de chirurgie de l' hôpital des Enfants-Ma- lades, puis durant le premier s
partir de là, développement considérable de la tête. A l'entrée à l' hôpital , la tête avait SI centimètres de circonférence;
nt connu depuis' longtemps. Nous en avons vu plusieurs exemples à l' hôpital des Enfants malades'. Nous continuerons cette
Jues VOISIN, médecin de la Salpêtrière, et M. A. PERON, interne des hôpitaux . 1 Les recherches que nous avons publiées der
le, qui se renouve- laient trois ou quatre fois par jour. Entré à l' hôpital Tenon, après un traitement de cinq mois et demi
aT BALLET, professeur agrégé à la Faculté de médecine, médecin de l' hôpital Saint-Antoine, et EMILE BOIX, interne des hôpi-
son état est stationnaire. Le 17 février 1892, Kerl..., entre à l' hôpital Saint-Antoine, salle Broussais, pour des accide
6 février 1892. Traduit de l'anglais par Jules DAuRiAc, interne des hôpitaux de Paris (hospice de Bicêtre). En m'adressant
avec M. Bourneville que nos asiles ressemblent de plus en plus à un hôpital ; mais ce n'est guère là, je le sais, qu'une uto
position, M. Deschamps invoque les suivantes : c L'insuffisance des hôpitaux et hospices actuels, la désinvolture avec laque
cela, c'est l'avenir. » L'accusation portée contre les médecins des hôpitaux ne nous paraît pas justifiée. En effet, en 1890
s des hôpitaux ne nous paraît pas justifiée. En effet, en 1890, les hôpitaux n'ont envoyé dans les asiles que 262 aliénés ap
deux établissements qu'il avait visi- tés, l'asile des aliénés et l' hôpital général, et profilant de l'occasion cet apôtre
des 7 et 8 août. A 11 heures, les membres du Congrès arrivaient à l' hôpital d'Orléans où ils ont été reçus par le préfet et
fesseur de chirurgie à la policlinique' de New-York, chirurgien à l' hôpital du Mont-Sinaï. (Médical Record, 21 février 1891
n absolument semblable à la première fut faite sur cette malade à l' hôpital Jefferson. Un perfec- tionnement opératoire me
un an la première fois qu'on la fit voir au Dr S. Weir-Mitchell à l' hôpital orthopédique et à l'infirmerie des maladies ner
'assurer de sa guérison, on la renvoya chez elle. Les médecins de l' hôpital sont entièrement d'avis qu'elle est plus tranqu
rois mois et demi après l'opération, avant la sortie du malade de l' hôpital : Les mensurations antéro-posté- rieures ne mon
a longueur de l'incision, et deux jours après l'enfant sortait de l' hôpital . La mère dit que, depuis qu'on a fait l'opérati
ent résider daus l'Etat, et avoir fait un stage d'une année dans un hôpital ou avoir exercé pendant trois ans (The New-York
bref délai à l'un des établissements hospitaliers de Bordeaux : -. hôpital Saint-André, hôpital des Enfants ou asile des ali
s établissements hospitaliers de Bordeaux : -. hôpital Saint-André, hôpital des Enfants ou asile des aliénés de Picon. » (B
vait voulu se tuer et s'était enfui aussitôt. H... a été envoyé à l' hôpital Beaujon dans un piteux état. (Lan- terne, 2 jui
les attaques ont toujours disparu après l'entrée de Bar... dans les hôpitaux , à la suite du traite- ment hydrothérapique ou
crise, comme nous l'avons pu constater lors du séjour de Bar... à l' hôpital . Pour toutes ces considérations, nous nous croy
de remarque ne suivit son accès. Après cette crise, F... entre à l' hôpital Tenon, où il est soigné pendant quatre mois ave
t impossible, ainsi il se présenta à la Salpêtrière pour entrer à l' hôpital . Malheureusement, il n'y avait pas alors de lits
son livre sur la syphilis cérébrale; et en effet, les médecins de l' hôpital Tenon eurent certainement le soupçon de cette a
tériques, con- tracture, oedème bleu, attaques qui l'ont amenée à l' hôpital et vous pouvez vérifier encore une fois ses sti
souvenirs et les sensations antagonistes, elle oublie qu'elle est l' hôpital , qu'elle a vingt-; trois ans, etc., et tous les
SCLÉROSE EN- . PLAQUES, par le Dr A. Cochez, Ancien interne des hôpitaux de P,tris, médecin-adjoint de l'hôpital de Mustap
Cochez, Ancien interne des hôpitaux de P,tris, médecin-adjoint de l' hôpital de Mustapha. Bien que les observations d'hystér
ckey, né à l'tieMau- rice, en Algérie depuis cinq mois. Entré à l' hôpital de Mustapha, salle Trousseau, n° 18, le 7 mars
et attribue même à des excès génésiques la maladie qui l'amène à l' hôpital . Pas de syphilis. L'accident actuel est le troi
e de cheval et perte de con- naissance. On transporte le jockey à l' hôpital de Mustapha dans un service de chirurgie. Le ma
eur à la nuque et dans les reins. Il séjourne environ deux mois à l' hôpital et se trouvant très amélioré, il fait les courses
rtige. Chute de cheval; perte de connaissance. On le transporte à l' hôpital de Tonnerre où il aurait présenté du délire des
ourcil gauche, plaie dont on voit encore la cicatrice. Il sort de l' hôpital en octobre avec une paralysie du côté gauche (la
se ? ). II se rend en Angleterre pour se faire soigner et entre à l' hôpital Saint-Georges de Londres. Là on le traite par l
ue la saignée. Quelques jours plus tard, le malade est dirigé sur l' hôpital de Mustapha, où il entre le 7 mars 1892. Etat à
ital de Mustapha, où il entre le 7 mars 1892. Etat à son entrée à l' hôpital . John est absolument muet. Il lui est complètem
périeurs est sensiblement le même alors que, à l'entrée de John à l' hôpital (7 mars), il y avait une prédominance de un cen
de mutisme hystérique, rapporté récemment à la Société médicale des hôpitaux (séance du 8 avril). S'agis- sait-il de délire
encombrer les asiles pour chroniques et les sections d'infirmes des hôpitaux . M. ScHMrrz. Ce qu'il faut, c'est amener les bu
49 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
. Dujardin-Beaumetz disait récemment dans une de ses conférences de l' hôpital Cochin : « Grâce â l'étude plus attentive des p
lus le moindre désir de boire. Au bout de quinze jours, il quittait l' hôpital complètement guéri de son rhumatisme, et à la cas
se : « Dernièrement, i I—, des parents conduisaient leur enfant à l' hôpital pour un mal - quelconque à la jambe. Le médecin,
NCES L'hypnotisme et l'hystérie, par M. le Dr Babinski, médecin des hôpitaux . M. le docteur Babinski, invité par M. le profe
ordeaux. — Leçons cliniques sur l'Hystérie et l'Hypnotisme faites ù l' hôpital Saint-André de Hordeaus. — Ouvrage précédé d'une
facilite avec laquelle un endort un malade de la ville et un malade d' hôpital . II semblerait que les premiers, généralement plu
avec amnésie, et sur ce nombre un quart à peine est hallucinante, à l' hôpital , 51 sur 69 sont hallucinantes. La population d'hô
lucinante, à l'hôpital, 51 sur 69 sont hallucinantes. La population d' hôpital , quoique moins nerveuse que la population de la v
donner un rêve à l'état de veille. Je lui dis : « Où êtes-vous? — A l' hôpital . — Eh bien! maintenant, vous allez vous promener.
! maintenant, vous allez vous promener... Tenez! vous n'êtes plus à l' hôpital ; où étes-vous donc? » — Après quelques instants :
ramasser... On le met sur un brancard. Ils devraient l'amener ici à l' hôpital . » Ainsi, comme souvent dans le rêve normal, il y
de la personnalité : il se voit ailleurs et se sent en même temps à l' hôpital . Je lui dis : « Où êles-vous donc? — Je suis au
faubourg Saint-Pierre. — Pourquoi dites-vous qu'il faut l'amener à l' hôpital , ici? Ètes-vous à l'hôpital? — Non, je n'y suis p
urquoi dites-vous qu'il faut l'amener à l'hôpital, ici? Ètes-vous à l' hôpital ? — Non, je n'y suis pas, puisque je suis ici... M
ts : Eh ! noo, non. » II regarde autour de lui : « Tiens, je suis à l' hôpital . Cependant je n'ai pas rêvé, puisque j'avais vu l
ez eu. t II finit par me dire : « II faut croire, puisque j'étais à l' hôpital . » (A suivre.) SOCIÉTÉS SAVANTES BRITISH ME
tre de la justice de Prusse vient d'inviter différents directeurs des hôpitaux de Berlin à lui transmettre leurs appréciations s
aiter, le diagnostic d'épilepsie avait été porté par des médecins des hôpitaux de Paris. J'ajouterai qu'en même temps que j'empl
ue les expériences dites de laboratoire, c'est-à-dire faites dans des hôpitaux ou des cliniques sur des sujets habitués à être h
tion lorsqu'il en a prit d'avance la résolution. Chez les malades des hôpitaux ou des cliniques qui, en raison de la confiance q
». Le P. Didon avait raison. Ce n'est donc pas chez les malades des hôpitaux , chez ceux qui connaissent le suggestionneur et s
té rapide. A vingt ans. le malade a eu la syphilis. Il fut traite à l' hôpital du Midi par M. Mauriae. qui constata l'apparition
. A ce moment, il est resté deux mois au Ht sans se lever. Il fut à l' hôpital l'objet de nombreux examens, et il se souvient qu
, au dire du professeur Fournîer, le don de guérir les alaxiques de l' hôpital Saint-Louis, ils ne paraissent guère, à en croire
et était sortie guérie de mon service. Pendant son premier séjour à l' hôpital , j'avais constaté l'existence d'une grossesse arr
elle souffrait eu mou absence. Le 23 octobre, lorsque j'arrivai à l' hôpital , la patiente me déclarait qu'elle avait évité de
suggestion aux l'évolution du syndrome, par M. Babinski, médecin des hôpitaux (1). L'observation que je vais relater servira
débuté brusquement à la suite d'un repas copieux; le malade entre à l' hôpital Cocbin huit jours après le début des accidents; d
iste en plus de la polydipsie et de la poly-phagie. On s'assure à l' hôpital , au moyen de précautions diverses, qu'il ne peut
'alimentation (1) Observation communiquée à la Société Médicale des hôpitaux . azotée, car, en soumettant le malade à un régi
, qui mourut fort peu de temps après que celte malade fut sortie de l' hôpital . Par suite de ce décès, le Dr Pond prit la direct
s à celle malade sans ta moindre crainte. Mais ?? '.minislraiion de l' hôpital rit meure sur les registre-, à côté du nom de cel
animes à déclarer que la démorphinisaiion à domicile et même dans les hôpitaux , asiles de retraites, établissements d'hydrothéra
il y avait autant de névropathes qu'aujourd'hui dans les services d' hôpitaux , et mes maîtres d'alors nous en parlaient comme d
ne dépassa jamais la dose d'une seringue par jour. A son entrée à l' hôpital , V... était profondément amaigri; sa constitution
er chez lui. l'argent qu'il avait apporté pour payer son séjour à l' hôpital étant épuisé. Il promet, par suggestion hypnotiqu
rois jours de maladie, des suite» do la diphtérie contractée dans le» hôpitaux en se livrant à dos étude» sur les maladies du la
dans la producion de l'hypnose. Ce matin même, dans un service de* hôpitaux de Paris, j'étais presque mis en demeure, par un
ont nous donnons ci-dessous l'observation détaillée, était entrée à l' hôpital pour une affection chirurgicale légère. Ni dans s
malade marcha rapidement vers la guérison, et elle allait sortir de l' hôpital lorsque le hasard nous permit de découvrir chez e
Sa plaie vaginale est »ur le point d'être guérie, elle va sortir de l' hôpital . Nous ne croyons pas, en présence de sa facile ob
es maladies mentales et nerveuses, le jeudi à neuf heures et demie. Hôpital Lariboisière. — M. le D' F. Raymond a repris ses
oisière. — M. le D' F. Raymond a repris ses conférences clinique* a l' hôpital Lariboisière, le samedi, à dix heures du matin, s
ardin-Beaumetz. dans sa communication faite à la Société Médicale des Hôpitaux de Paris, dans la séance du 11 juillet 1879. Ce p
chow, 1867. (8) Blacsez : Connu unie* Uon a I» Société médicale des Hôpitaux de Paris (séance du 8 novembre 1873). (9) Zunke
ù mon honorable ami. M. le professeur Delbœuf, voulut me montrer, à l' hôpital de Bavière, un jeune homme el une jeune fille qu'
me, et le continuera le* mardis et samedis suivants, à cinq heures. Hôpital LAtisoisritaB. — M. le D'Itavmond. professeur agr
: M. Goddyn, juge au Tribunal de Gand; Dr Ramlot, médecin adjoint des hôpitaux , a Bruxelles. Nous rappelons que toutes les com
de nie de Cuba vient d'interdire la pratique de l'hypnotisme dans les hôpitaux de l'Ile : « S. Eie. M. le gouverneur général a
admettait l'usage de l'hypnotisme comme agent thérapeutique dans les hôpitaux , pour le considérer comme préjudiciable au traite
e Dieu vous garde bien des années. « Pour copie . Le Directeur de l' hôpital . » Ainsi, à Cuba, l'hypnotisme est jugé alterna
e. Nos confrères cubains n'ont donc rien à envier aux médecins de nos hôpitaux militaires. La-bas, comme ici, les hommes instrui
ue », Par H, BALLET, professeur agrésé à la Faculté, mîdecin de l' hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Je sais qu'il n'est
.) Diabète insipide guéri par la suggestion. — Société Médicale des Hôpitaux . (Séance du 11 mars 1892 M. A, Mathieu. — J'ai,
i vient de mourir après avoir été pendant trente-deux ans médecin des hôpitaux de Bordeaux et qui occupait dignement à la Facult
e 26 mars 1S92, dans l'am-phithéâtre de la Clinique chirurgicale de l' hôpital de la Conception, une conférence sur les applicat
50 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE LA CLINIQUE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAP
nous a été obligeamment confié par AI. J. B. Cliarcot, interne des hôpitaux . ' 4 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE 'LA SALPÊTRIÈRE
GILLES DE LA TOURETTE Professeur des maladies cutanées Médecin des Hôpitaux et syphilitiques . Nous désirons attirer l'at
consultation de la Clinique des maladies cutanées et syphilitiques, hôpital Saint-Louis, pour une « paralysie » des membres i
fait quelques légères maladies ; une fois, sa mère l'a conduit il l' hôpital des Enfants-Malades. On lui a ordonné des frictio
reusement surveillé dans le service de M. Gilles de la Tourette à l' hôpital Cochin, où l'enfant entra en* décembre 1893 pou
éformer. Cet avis fut partagé par M. le Dr Beurnier, chirurgien des hôpitaux qui, le 14 décembre 1893, fit la section du ten
c'est en 1892 que la discussion soulevée à la Société médicale des hôpitaux a fait faire à la question un nouveau pas. M.
ien exposées par M. Marie, dans une étude parue dans la Gazette des hôpitaux (1G janvier 1894). Aujourd'hui j'apporte un doc
développement aujourd'hui bien connue, le Féminisme. En 1890, à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. le professeur
une partie de celui de février. Le 13 février, elle fut admise à l' hôpital Tenon, où elle resta jusqu'au 3 avril. Le 6 avr
al Tenon, où elle resta jusqu'au 3 avril. Le 6 avril, elle alla à l' hôpital Broussais, fut reçue d'abord en chirurgie, à ca
e se rétablit. Ce fut seulement six semaines avant son entrée à l' hôpital (9 octobre 1883), qu'elle commença par éprouver
s jours après, on l'emmena à Lariboisière. Lorsque je quittai cet hôpital le 25 décembre z9'3, la malade allait beaucoup
été méconnue chez la ma- lade ici présente, pendant son séjour à l' hôpital Broussais. Bref, ce qui frappe à première vue,
a ; ses jambes étaient paralysées et fiasques. On le transporta à l' hôpital St-Mandrier. La fièvre le quitta au bout de cin
DE LA TOURETTE Professeur agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux . L'affection que nous allons décrire, doit être
e de dix-huit ans, hystérique depuis l'âge de quinze ans, entra à l' hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Péan, pour d
recoupé de quelques 'moments de lucidité. Le malade fut conduit à l' hôpital de Chàteaudun. La les douleurs s'amendèrent, la
nt, la marche redevint possible, de telle sorte qu'il put quitter l' hôpital au bout de trente-sept jours. Six semaines aprè
DE LA MOITIÉ GAUCHE DU CORPS. PAR EDMOND FOURNIER Interne des hôpitaux . Le 15 décembre dernier entrait à l'hôpital Sai
FOURNIER Interne des hôpitaux. Le 15 décembre dernier entrait à l' hôpital Saint-Louis, sallellenri IV, une femme de 23 an
ble acci- dent. L'éruption pour laquelle la malade est admise à l' hôpital a débuté dans les ou 3 premiers jours du mois d
dont les der- nières ont évolué pendant le séjour de la malade à l' hôpital . Ainsi, tout d'abord, c'est 3 ou 4 jours après
n des derniers symp- tômes cutanés. -, , , -Durant son séjour à l' hôpital , la malade n'a plus été affectée de symp- tômes
eau, chef du laboratoire de chimie de M. le professeur Fournier à l' hôpital Saint-Louis, montra que la proportion des matière
ous venons d'exposer furent communiqués à la So- ciété médicale des hôpitaux dans la séance du 1 juin 1894. Ils appelaient d
. , ... Il s'agit d'une jeune fille, Marie R..., ouvrière, entrée l' hôpital de la Pitié, le 30 juillet 1890, dans le servic
e D Bouilly. Elle était entrée dans le service d'accouchements de l' hôpital Cochin pour des acci- dents convulsifs pouvant
t faire penser à la tétanie chez une femme enceinte. Elle entra à l' hôpital Cochin, salle Blanche, n° 2, service de M. Gilles
elles et pour lesquelles elle fut soignée pendant quinze jours il l' hôpital des Enfants-Mala- des. On lui faisait prendre d
tôt la nuit. C'est alors que la malade effrayée vient consulter à l' hôpital , est reçue par M. Bouilly qui nous l'adresse de
a lieu, la crise se produit, dans les premiers temps du séjour ;i l' hôpital . La crise est en général précédée d'une aura ca
ns difficulté, sans crises et la malade revue avant son départ de l' hôpital , 12 jours après l'accouchement, est en parfait ét
STÉRIQUE par VEUILLOT. Dans une .leçon faite, cette année, il l' hôpital Cochin et que nous avons publiée, Bolognesi (1)
r lieu, saltimbanque, est entré le 20 mars 1895, salle Chauffard, à d' hôpital Cochin dans le service de 1C. le Dr Gilles de l
'est un vagabond impulsif. L... se présente il la consultation de l' hôpital St-Louis pour une ulcération qu'il porte à la c
e qui a l'occasion do voir le malade le reçoit dans son service à l' hôpital Cochin. État actuel. 27 mars 1895. Il existe au
de réclame sa sortie. 1er mai. Le malade se présente de nouveau à l' hôpital . L'ulcération est re- venue sous l'influence de
apide- ment et est complète au bout de 15 jours; le malade quitte l' hôpital le 20 mai LES PEINTRES DE LA MÉDECINE. (ÉCOLE
servations qui suivent ont été recueillies presqu'en même temps à l' hôpital Lariboisière dans le service de notre maître, M.
(1). C..., àgée de 31 ans, couturière, entre le 11 février 1892 à l' hôpital Lariboisière, salle Trousseau, n°18, dans le serv
ONOG'RAPU)E DE LA SALPÈTIUÈRE o. ? LS ' ? La m 4ê-qui l'amène à l' hôpital a débuté sans fièvre et sans malaise général le
ntine, âgée de 40 ans, blanchisseuse, entre le 15 novembre 1892 à l' hôpital Lariboisière, salle Trousseau, lit n°44. Elle est
d'anesthésie. Elle fut alors soignée à la consultation externe de l' hôpital Lariboisière; on lui donna du sirop de Gibert e
pratiquer le cathétérisme deux fois par jour; avant son entrée à l' hôpital , la malade se sondait elle-même. Les sensa- tio
rentré au corps ; il a été placé immédiatement en surveillance à l' hôpital et ultérieurement ré- formé.) MYOPATHIE ATROP
'LRIQUD ATTEINT D'INCONTINENCE D'URINE par ' GASNE, interne des hôpitaux . Le cas suivant est un exemple de ces associati
et Sat... Pierre doit entrer dans le service de M. le Dl Quenu à l' hôpital Cochin. La il aurait eu de grandes attaques avec
51 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
US DOULOUREUX DANS LA BLENNORRHAGIE PAR L. Bizard ' Externe à l' Hôpital St-Louis. Nous avons pensé qu'il était intéress
et fut alors soigné dans le service de M. le professeur Debove, à l' hôpital Andral. Les articulations des mains, les poigne
GOMYÉLIQUE Par MM. . V. HANOT Professeur agrégé, médecin de l' hôpital Saint-Antoine. et HENRI MEUNIER Interne des
ecin de l'hôpital Saint-Antoine. et HENRI MEUNIER Interne des hôpitaux . Les gommes syphilitiques de la moelle épinière
e aujourd'hui encore des traces profondes; il alla, pour cela,à à l' hôpital Saint-Louis, où il fut soumis au traitementspé-
es inférieurs. C'est dans cet état lamentable qu'il fui apporté à l' hôpital , le 2 jan- vier. Etat actuel : 3 janvier. Le
TOURETTE, Professeur agrégé à la Faculté de médecine, Médecin des hôpitaux . Dans ses Leçons sur la Syphilis héréditaire ta
ments inédits qu'il nous a permis de recueillir dans son service de l' hôpital St-Louis et les précieux conseils que nous avon
attaques qui ressemblent fort à des crises épileptiques. Entrée à l' hôpital à l'âge de ans et 8 mois, on constate qu'elle ne
âte, sa stupidité aug- mente ; c'est dans cet état qu'elle quitte l' hôpital . Nous n'aurions pas rapporté cette observation,
E DELBET Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, Chirurgien des Hôpitaux . La possibilité de faire passer au travers de c
TOURETTE, Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin des hôpitaux . (Suite et fin) CI). Nous venons de montrer q
Th. Paris, 1889. (3), Breton. Un cas de maladie de Little. Gaz. des hôpitaux , 89,p. 1416. LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE DE LA MOEL
disparaissent au bout de deux mois. Dans l'intervalle, il entre à l' hôpital Broussais où il prend de l'io- dure et fait des
ge de phénomènes paralytiques à évolution aiguë. Il entre alors à l' hôpital Cochin. C'est un homme de taille moyenne, ! m.
ent médiocre et ayant marché à 2 ans,l'enfant était conduite * il l' hôpital à cause de l'inintelligibilité de la parole, de l
elque temps après le début de la paralysie, elle a été conduite à l' hôpital des Enfants-Malades. Mais c'était à l'époque de l
conscience du passage de l'urine et des matières fécales. Quitte l' hôpital très amélioré. Les auteurs pensent que ce cas d
asques, non ' raides. , Le 25, on le transporte dans un service d' hôpital ; pas de douleurs ; il pou- vait soulever ses j
peu à la normale comme les autres fonctions du reste. Il sort de l' hôpital le 25 octobre''très amélioré, mais conservant tou
sans jamais disparaître complètement. Elle entra, en mars 1894, à l' hôpital Tenon où elle prit par jour deux petites pilule
pendant son séjour dans cet 'hôpital d'où elle fut transportée à l' hôpital Hérold le 26 octobre 1894. Nous l'y trouvons en
service) ? G... Thérèse, 50 ans, fleuriste, entre en novembre 1895, hôpital St-Louis, service de M. le professeur Fournier,
le professeur Fournier, adressée par M. Nélaton, chirurgien de cet hôpital , qui la soignait pour une gomme du frontal droi
lialée,'et de plaques muqueuses buccales. Elle se fit t soigner à l' Hôpital temporaire (Laennec) chez M. le professeur Dieula
nt peu précis et le dia- gnostic de céphalée porté sur sa feuille d' hôpital , il cetle époque, ne l'estpas davantage. Auss
MM. Oulmont, médecin de l'10- pital Laennec etBensaude, interne des hôpitaux , qui l'ont communiquée à M. le professeur Fourn
..., 32 ans, lleuriste, entrée le 13 novembre 1895, salle Henri IV, hôpital St-Louis, service de M. le professeur Fournier.
garde le lit pendant deux mois. Au bout de ce temps, elle sort de l' hôpital , sa luxation persistant. De 1882 à 1885, la mal
A la suite d'un faux pas, la hanche droite se luxe il son tour. A l' hôpital Necker, où elle entre dans le service de M. Lefor
GRANDE DÉFORMATION par 1 BENJAMIN WEIL, Interne provisoire des Hôpitaux . , L'observation suivante est celle d'un petit
de présenté par MM. Brissaud et Souques-à la Société Médicale des Hôpitaux (2). Toutefois, la proéminence du sternum, la f
ISCEAU DE TU1CI). . .. PAR 1 P. C. J. VAN BRERO, Médecin de l' Hôpital des aliénés de Buitenzorg (Java). La malade, do
née suivante, il fut nommé Censeur Royal et chirurgien en chef de l' hôpital de la Charité en 1730. Plus tard, en 1739, il \
isons dans lesquelles elle se trouvait, pour en- trer dans un petit hôpital de la ville, où elle est restée chaque fois plusi
oins significative : Au mois de décembre 1742, une femme malade à l' hôpital de la Salpêtrière, se plaignant de grandes doul
ique à la Salpêtrière. ET HENRI DUFOUR - Ancien interne des Hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer pendant le
casion d'observer pendant le mois de septembre 189G, en dehors de l' hôpital et dans le service de M. le professeur Raymond, u
e de 17 ans un chancre syphilitique pour lequel il a été soigné à l' hôpital du Midi (pilules mercurielles et ioduré de potass
omplète de marcher sans béquilles. Il entre alors en traitement à l' hôpital Beaujon, où l'on parle de névrite ; il y est so
ui oblige le malade à prendre le lit,et nécessite son transport à l' hôpital Beaujon. Examiné dans un service de chirurgie,
trouve le membre inférieur gauche lors de l'entrée du ma- lade à l' hôpital le 12 septembre. . Une tumeur énorme siège à la
AYMOND. Messieurs, Grâce à l'obligeance d'un de mes collègues des hôpitaux , M. J. Comby, je suis à même de vous présenter
rd elle a été admise en traitement dans le service de M. Comby, à l' hôpital Trousseau. Elle était en proie à une agitation mo
t vous, M. Comby, dans sa commu- nication à la Société médicale des hôpitaux (2), s'est prononcé pour l'exis- tence d'une my
llette de sept ans, Bulletin et Mémoires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 1896, no 241 p. 56, et no 26, p. 93.
stantes des mains et des pieds, après vingt-deux mois de séjour à l' hôpital . Chez l'au- Fig. 34. Fila. 35. 332 NOUVELLE
persisté jusqu'à la mort, survenue après un séjour de deux ans à l' hôpital (pleurésie exsudative et pneumonie chronique).
52 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
pont (Sébastienne), soixante ans, couturière, née à Lyon, entre à l' hôpital Tenon, salle Magendie, 6, le 31 juillet 1883 da
urs de reins. 4 . PATHOLOGIE NERVEUSE. Un mois avant d'entrer à l' hôpital Tenon, elle éprouvait une certaine difficulté p
r M. le profes- seur Charcot, celui-ci étant absent, elle entra à l' hôpital Saint- Antoine, chez M. Dujardin-Beaumetz, elle
z, elle n'y resta que quelques jours. Au moment de son entrée à l' hôpital Tenon, elle accuse des douleurs dans les membre
n s'aperçut qu'elle ne pouvait que boire, on la conduisit alors à l' hôpital Tenon ; elle put faire le chemin à pied sans diff
n'avait aucune peine pour marcher. Le 30 mai 1883, elle quitte l' hôpital et revient chez sa fille ; elle parlait encore,
uveau symptôme, elle 22 PATHOLOGIE NERVEUSE. entra de nouveau à l' hôpital Tenon. La parole, qui était déjà incompréhensib
s inarticulés; cette fois encore, la malade a pu aller à pied à l' hôpital ; mais, à partir de ce moment, elle a commencé à
presque à la guérison, comme nous avons vu tant d'exemples dans l' hôpital de la Salpêtrière. Tout ce qui précède démontre
131 commun; il ya très peu de pensionnaires : 65 sur 45,000. Les hôpitaux enregistrés qui avant 1808, avant la création des
a- duellement moins d'indigents mais plus de payants. Le besoin d' hôpitaux en Angleterre est urgent pour la classe moyenne
es asiles aux portes ouvertes, appliqué à l'asile d'Haddington, à l' hôpital de Morningside, il consiste : 1° dans l'aboliti
à University-collège; traduit par le Dr GFauONT, ancien interne des hôpitaux . L'idée fondamentale qui domine le nouvel ouvra
Berlin. La Charité est resté l'asile de traitement de la ville; cet hôpital sert en même temps d'établissement clinique. La
temps, elle passait un contrat avec la Charité, en vertu duquel cet hôpital servirait de bureau d'admission pour Dalldorf.
Dalldorf les malades réputés incurables par les médecins de cet t hôpital ; on les y expédie par voitures, une fois par sema
ile d'aliénés de la ville sont exécutés. Le quartier d'aliénés de l' hôpital général contenait 167 places ; en 1883, 855 mal
re ex- cellent collègue, M. le Dr Le Diberder, ancien interne des hôpitaux de Paris, nous a demandé notre avis. Voici en q
x enfants : 4 un garçon mort à dix-huit ans, le 2 décembre 9S9, à l' hôpital Tenon, d'une bronchite chronique. Il était devenu
ment. (Cette observation a été rédigée par M. BESANÇON, interne des hôpitaux .) Le malade ne peut nous fournir de renseigneme
ui suivirent la sortie de Bonneval, V... paraît avoir fréquenté les hôpitaux . Il parle de l'asile de Vaucluse, de la Salpêtr
t à Bicêtre, il en avait entendu parler et il savait que c'était un hôpital de fous près de Paris; du reste, il n'était jam
RCULEUSE. - Mort, autopsie; par le Dr DESCROI- ZILLES, médecin de l' hôpital des Enfants. Cette observation de méningite est
ration CHIRURGICALE avkc anesthésie ; par M. E. VALUDE, interne des hôpitaux . (Fr. méd., 1884, 1.) Il s'agit d'une jeune fil
ervation DE syphilis cérébrale; par le Dr Le DENTU, chirurgien de l' hôpital Saint-Louis. (France médicale, 4 884, lL) Un ma
' ? .TIiÉIl01 : 1SIF diffuse ; par le Dr H. Luc, ancien interne des hôpitaux (Fr. méd., 4 884, 1.) 1 Limitée au mouvement,
traitement dans les asiles; 20 l'administration ne reçoit dans les hôpitaux que des aliénés originaires de la ré- gion ; 3°
particularité que deux fois par semaine, les chefs de clinique de l' hôpital ou d'autres autorités compé- tentes se réunisse
cot). Cet l isolement aura lieu dans une maison de santé ou dans un hôpital , sinon dans un as,i|e, selon ja ! 11tqiqp de fA
ver accès dans les asiles d'épileptiques, tels que le quartier de l' hôpital de Wurzbourg, mais il faut avoir à sa dispositi
phénomène plus terrible que ce qu'on nommait alors la plainte de l' hôpital ? Parfois, dit un auteur du temps, au milieu du
vage, qui se répète à intervalles réguliers : c'est la plainte de l' hôpital ! Comprimé, refoulé, ce flot de rancunes et de
humain qui dénonçait l'insou- ciance barbare qui immolait dans les hôpitaux tant de victimes humaines ? « Diderot avait d
açon défi- nitive les pratiques de barbarie alors en usage dans les hôpitaux . « Ce fut encore la Convention nationale qui l'
France, de l'Académie et delà Faculté de médecine, des médecins des hôpitaux de Paris et la plupart des médecins des service
houl'et, que le mou- vement des affaires avait portés à la tête des hôpitaux , firent appel au dévouement de leurs amis pour
était dans les derniers mois de 1792. Bicêtre, à la fois hos- pice, hôpital , maison de force et de correction, présentait à c
Canton du Valais. Pas d'asile d'aliénés. A Sion, une division de l' hôpital reçoit 30 à 40 imbéciles et crétins, pas de médec
e chaque année).. ' Canton de B.\LE- VILLE, -10 Une division de l' hôpital est affectée au service des aliénés; on a comme
tituteur à l'asile. Canton de B1LE-CA11P.1GNE. -- Une division de l' hôpital can- tonal à Liestal est affectée au service de
lle. Médecin, Dr CUSTER. Canton DE SCII1FFOUSE. - Une division de l' hôpital est affectée au service des' aliénés avec envir
rables tranquilles. Les médecins font en même temps le service de l' hôpital cantonal. Dr von MANDACH, senior; DSTURTEn; Dr
. Province de l'Est DE la PRUSSE. Koenigsber. Sur le terrain de l' hôpital de la ville, on a construit .un édifice pour mani
ruit. Il reçut 91 aliénés de Schwetz et des malades empruntés aux hôpitaux d'indigents et aux familles. Très bien situé, acc
bservation. Anna 0..., paysanne, âgée de vingt-deux ans,' entre à l' hôpital militaire Saint-Nicolas à Pétersbourg, le 14 ja
s après le commencement de la maladie, 0... fut forcée d'entrer à l' hôpital , oùl'on employa l'électricité pendant quel- que
ggravèrent rapidement. Elle revint à Saint-Pétersbourg et entra à l' hôpital Obuchow, où on la traita presque une année, mai
te elle a eu ; d'un autre, un 3° enfant dont elle est accouchée à l' hôpital Saint-Antoine, et qui est morte à trois mois. A
mière fois le 12 juin 1870; il a été 1 Elle est depuis deux ans à l' hôpital de Forges-les-Bains pour une tumeur blanche du
part avant l'âge de qua- rante ans et ne se retrouvent pas dans les hôpitaux ordinaires, tandis que les aliénés doués de par
les sujets à gros cerveau disparaissent après quarante ans dans les hôpitaux ordinaires, tandis qu'on les retrouve encore da
ent-ils d'ordinaire une position sociale qui leur permet d'éviter l' hôpital , quand ils ne deviennent pas aliénés ? M. Fov
atiun à la page 212. M. Bourru, .qui a pu suivre ce même malade à l' hôpital de Rochetorl, apporte à la Société des renseign
trer son irresponsabilité. Relâché de la pi ison, il est envoyé à l' hôpital et entre dans le service de la clinique médicale
ons de Mâcon. Tombé malade à plusieurs reprises/il a été soigné à l' hôpital de Mâcon, puis envoyé à l'asile Saint-Georges.
53 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
de revint me voir vers le 27 décembre ; elle entre au pensionna» de l' Hôpital civil. Elle était pâle et amaigrie ; sa températu
le 4e septénaire. Elle passa encore une quinzaine au pen-sionnat de l' hôpital et rentra chez elle en mars 1889, heureuse, radic
ccupait un emploi à Panama. Pendant un séjour d'un mois qu'il fit à l' hôpital pour cause de fièvre, sa fille mourut, et cette m
rale; de recevoir une femme paralytique dont le mari était traité à l' hôpital pour une affection tabètique. S'agit-il, dans c
nique.(1) Un évènement tragique s'est produit tout dernièrement à l' hôpital : une jeune femme de vingt-trois ans s'est pendue
ion une seringue de Pravaz . et une solution de morphine. Ramenée à l' hôpital quelques semaines plus tard, elle avait été placé
n état de prostration qui a inquiété sa propriétaire. Transportée à L' hôpital une heure après on lui m prendre un vomitif et du
t faites dans son cabinet. Les expériences subséquentes l'ont été à l' hôpital , avec l'aide, en outre, de son assistant. M. le d
So personnes sur 100 et et endorment tous les malades d'un service d' hôpital . Loin de provoquer le développement des crises
hine ; il n'a pas cessé depuis. Il séjourna pendant quelque temps à l' hôpital de sa ville natale mais on ne put ni l'hypnotiser
périence terrible qu'il vient de traverser. L'n mot encore. Dans un hôpital , le traitement est peut-être plus facile à suivre
G. BALLET Professeur agregé oàla Faculté de Médecine Médecin des Hôpitaux . L'histoire du sommeil morbide est presque à fa
. le professeur Proust (1). Cet homme avait été apporté la veille à l' hôpital . On l'avait trouvé « dormant » dans sa chambre ;
u réfléchir tout à son aise. Mais il a préfère dormir. « Une fois à l' hôpital , il a oublié ses méditations et pris plaisirs tro
aites pcndanl plus de vingt années sur les cas qu'il a rencontrés à l' hôpital de Nom ich ct dans sa clientèle privée lui ont pe
fjoérif par i'bypnoturr.e ; lingu'ien etiel» de la - . Galette des Hôpitaux 17 "ep'.f mbre 18s7. MIRABELLA ¦ Stadi l'ipnolì
t pu taire appel au concours d'un des hommes compétents, médecins des hôpitaux ou professeurs agrégés de la Faculté, qui, i Pari
avez bien que vous n'êtes pas chez votre ancien maître, vous êtes à l' hôpital ; ce n'est pas M. X... qui vous parle, c'est M. Pi
tant de rire, demanda ce que signifiait cette plaisanterie. Elle! à l' hôpital Mais elle n'y avait jamais mis les pieds, et quan
en conseil de guerre et fut envoyé en observation, en mars 1885, à l' hôpital de Rochcfort, où MM. Bourru et Burot (a) purent l
t pas qu'il s'est engagé et ne comprend pas comment il est arrivé i l' hôpital de Rochcfort. L' application Je l'aimant sur la
s; je m'engage à les reproduire sur des sujets nouveaux dans tous les hôpitaux . Je délie nos contradicteurs de reproduire sur
r, les réformes qui lui paraissent les plus urgentes : L — dans les hôpitaux : 1° Suppression du concours de l'externat : conc
vent celui de* candidats. Economie : 2O0.000 francs sur le budget des hôpitaux . 2° Comme en Allemagne, en Russie, en Autriche
de laboratoires ou d'assistants, pour démontrer et enseigner dans les hôpitaux , l'anatomie pathologique, la bactériologie, la pr
ue, etc. 4° Rerutement des médecins, chirurgiens et accoucheurs des hôpitaux par des concours différents de ceux qui existent
ement désigne» avant les épreuves. 5e Les chefs de service dans les hôpitaux n'ayant pas seulement des devoirs à remplir enver
aminant. Le projet de il. Huchard, soumis à la Société médicale des hôpitaux , a fait l'objet d'un rapport de la part de M. Ren
a Faculté, et le continuera les jeudis suivants, à la même heure. Hôpital Saint-Antoine. — Clinique médicale.— M. le Dr Bri
Le Sourd, ancien chirurgien de la marine, directeur de la Gazette des hôpitaux , est nommé chevalier de la Légion d'honneur. Ce
se aux expériences de suggestions posthypnotiques. Une infirmière d' hôpital , sur laquelle j'ai fréquemment opéré, se plaignai
beaucoup d'érudition et d'esprit, a été très goûtée des auditeurs. Hôpitaux de Paris. MM. Charcot, Potain. Mesnet, Vidal, L
ol, nés en 1825, sont atteints par la limite d'âge commo médecins de* hôpitaux ; mais MM. Charcot et Potain. qui ont leur service
ns de* hôpitaux; mais MM. Charcot et Potain. qui ont leur service à l' hôpital à titre de professeur de clinique à la Faculté, c
rtin (Kugèno|, Laillier, Empis ét Labrie. Parmi les chirurgiens des hôpitaux , aueun n'est atteint cotte année par la limite d'
See. Chose singulière, alors que les meilleurs de nos médecins des hôpitaux sont immédiatement mis à la retraite dès que la l
re si bienveillant Malgré les longs services qu'il a rendu dans les hôpitaux de Paris. M. Mesnet est resté Jeune. Espérons que
.).— L'Hystérie mâle dans le service de M. le professeur Pitres, à l' hôpital Saint-André de Bordeaux. In-8° 130 pages. — ?. Do
t le Congrès doit être adressé au docteur Albert Carrier, médecin des hôpitaux , rue Laurencin, 13, ft Lyun. Asiles d'Aliénés.
d'un homme expérimenté; tout le monde peut arriver, dans un service d' hôpital , à influencer neuf malades sur dix. n faut plusie
de l'hypnose, sans s'en douter. Chez presque tous les malades de l' hôpital , un peu déprimés, sur lequel on a de l'autorité,
ite qui ne présento plus le moindre tremblement. Le malade quitte l' hôpital . Nous l'engageons à se présenter a la consultatio
ncore l'invio labili té absolue du secret professionnel. (Gasetu* des Hôpitaux .. Société française de Tempérance. La Société
une mention honorable a été accordée à M. Armand Guibert, interne des hôpitaux . Le prix Aubanel, de 2,500 francs, destiné au mei
nt-Lambert, Liège, 1891. ka*\ah (Dr T), ancien interne provisoire des hôpitaux de Paris. — HEPI YHNQ Tiemot, in-8° en grec, 25
ndus à Nancy à cette occasion. Dans la matinée, ils ont assisté à l' hôpital civil, dans le service de clinique de la Faculté,
ue. Emilie Ch..., ouvrière en chaussures, âgée de 17 ans, entre à l' hôpital pour la seconde fois le 26 mars 1891, pour des vo
e lit le 25 et vomit toute la journée jusqu'au jour de son entrée à l' hôpital , le jeudi 26. Son père est bien portant, sa mèr
2i, où elle dut s'aliter. Il y a un an, elle avait fait un séjour à l' hôpital d'un mois pour un mal de ventre ot des points dou
ur un mal de ventre ot des points douloureux disséminés ; sortie de l' hôpital , elle dut encore rester trois mois au lit, mais n
ée, très peu abondantes. Son pèro est venu la voir. L'enfant quitte l' hôpital pour reprendre la direction du ménage. H s'agit
ar suggestion hypnotique. B..., âgé de 60 ans, serrurier, entre à l' hôpital le 15 mars 1891. pour un emphysème pulmonaire are
ur, sans canne, sans incliner le corps en avant et à gauche. Quitte l' hôpital , guéri. En résumé, des douleurs diffuses dans l
E. Laurent. 21. Hommage au Dr Liébeault, 129, 185, 316, 347, 334. Hôpitaux de Paris, 250. Hypéresthésie prœordiale circonscr
54 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ormuler notre opinion d'une façon plus catégorique. Observant dans un hôpital de vieillards, nous n'avions encore rencontré l'h
orragie cérébrale : sur ce nombre, 42 ont été recueillis dans le même hôpital de la Salpêtrière. C'est là un chiffre qui pourra
à un chiffre qui pourra surprendre, surtout si l'on songe que dans un hôpital aussi considérable que la Charité de Berlin, ving
eurs Ollivier ci Prévost. appliquées lors de l'entrée du malade à l' hôpital , il est pris d'érysipèle et meurt dix ou quinze j
s battements cardia- 1, Obs. communiquée par M. Césari, interne des hôpitaux de Lyon. ques énergiques; il meurt sans convuls
ères de la base offrent de nombreuses plaques scléreuses. Obs. XXX. Hôpital Saint-Antoine (1). —Laboulbène. Soumellard (Jea
lbène. Soumellard (Jean-Baptiste),63 ans. — Cet homme est amené à l' hôpital le 4 mars 1867 avec une hémiplégie droite et une
la Société des sciences médicales de Lyon par M. Rebate!, interne des hôpitaux (Gazette médicale de Lyon, 9 février 1868). et
e a été l'occasion d'une leçon clinique reproduite par la Gazette des Hôpitaux , 20 février 18G8. Obs. LXXVII. Pitié. — Béiiier
de la science, à l'occasion d'un fait que nous venons d'observer à l' hôpital de la Pitié, et dont voici la relation. En coll
voie publique et transportée, par ordre du commissaire, dans ce même hôpital (27 mai 1860). Elle fut d'abord admise dans une s
dans cet état que la malade est observée le jour de son admission à l' hôpital . Le lendemain survient un accès de convulsions ép
e nature indéterminée trois mois et demi avant sa dernière entrée à l' hôpital ; à la suite de cette attaque, quia été très cour
sentait une certaine ressemblance avec celle qui a précédéTentrée à l' hôpital . On pourrait, à cet égard, émettre une suppositio
hagie de même forme qui aurait eu lieu lors de la première entrée à l' hôpital . Nous sommes donc forcés de chercher une autre ex
ère cérébrale de plusieurs sujets pris au hasard à l'amphithéâtre des hôpitaux , et qui avaient, par conséquent, succombé à des m
Le nommé Moisy (Edouard Alexandre) âgé de 34 ans, charron, entre à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Charles, n° 9, le 1er
e il a ressenti les premières atteintes de la maladie qui l'amène à l' hôpital ; mais il ne l'a point fait remonter au-delà de de
'intervalle de temps qui sépare sa première attaque de son entrée à l' hôpital , il a eu deux ou trois pertes de connaissance, do
idents augmentaient de jour en jour, le malade se décida à entrer à l' hôpital . Le 2 juin, jour où on t'examine pour la premiè
t il ne sait pas le caractère. Quelques semaines avant son entrée à l' hôpital , après sa dernière attaque, il a vu paraître une
côté droit du corps, avec un certain embarras de la parole ; puis à l' hôpital ces phénomènes sont devenus plus saillants. Le ma
Une femme, âgée de 28 ans, se trouve dans le service de M. Hardy, à l' hôpital de Bon-Secours, au commen cément de Tannée 1849
e premier accès et fous ceux qu'il a présentés jusqu'à son entrée à l' hôpital à de vives congestions survenant assez brusquemen
s difficile, puis à peu près impossible, et la malade a dû entrer à l' hôpital de la Pitié, où elle a été admise dans le service
nture était maintenue par un bandage fortement serré ; elle entra à l' hôpital de la Pitié où elle obtint un certificat d'affect
25 ans, M. 'JBurq avait tenté, à de nombreuses reprises, dans divers hôpitaux de Paris, la démonstration des faits qu'iLa. déco
hénomène du transfert dans l'achromatopsie, Voir Charcot; Gazette des hôpitaux , n° 7, 14 mars 1878.) E. Découverte de l'anesth
avail collectif de la commission, 2e rapport; et Charcot, Gazette des hôpitaux , 1878.) 1. Dans les lignes qui précèdent, il n'
i en quoi elle consiste (j'envisagerai l. Extrait de la Gazette des hôpitaux , 7 et 14 mars 1878, seulement l'emploi, cle la
Compte rendu d'une leçon de Al. Cuahcùt par P. lücni.ii. interne des hôpitaux . — Extrait du Progrès médical. 1878, n° 15. men
ante étude publiée dans ]e Ie1' fascicule de la Société médicale fies hôpitaux , la catalepsie, mais qui n'est jamais suivi de
entaines de fois et sur un grand nombre de malades de la ville et des hôpitaux , les expériences que nous venons de montrer à la
ent identiques. Ainsi, un barreau de fer aimanté possè- 1. Gaz. des hôpitaux , 21 nov. 1878. de la même propriété. Il n'est m
, les plus 1. Leçon du 10 novembre 1878, résumée par la Gazette des Hôpitaux , du 21 novembre suivant. vulgairement connus ;
puis l'achromatopsie qui siégeaient du 1. Extrait de la Gazelle des hôpitaux du 28 nov. 1878. Ciiaucot. Œuv. eompl. t. ix, Hyp
ns faites à la Salpêtrière, Progrès médical, n° 57, 1878; Gazette des Hôpitaux , numéros des 21, 28 novembre, 5 décembre 1878 ; G
dans plusieurs journaux : Progrès médical, n° 51, 1878 ; Gazette des hôpitaux , n09 des 21 nov., 28 nov. et 5 déc. 1878 ; Gazett
J M. Charcot — Conférences cliniques de la Salpétrière. (Gazette des Hôpitaux , 1878. 3. Recherches sur la contracture permane
e conseil, l'a remis entre nos mains. Les accès, depuis qu'il est à l' hôpital , se répètent tous les deux ou trois jours. Ce son
et somnambulisme, qu'on avait constatés chez elle dès son entrée à l' hôpital . A plusieurs reprises, on avait cherché en vain p
ons de mentionner. « A Paris, dit M. Bernheim (1), j'ai vu dans trois hôpitaux des sujets hypnotisés devant moi, ils se comporta
nt moi, ils se comportaient tous comme nos sujets et les médecins des hôpitaux qui les traitaient ont confirmé absolument ce que
u. » Pour quiconque est bien au courant de ce qui se passe dans les hôpitaux de Paris, l'opinion ci-dessus énoncée n'a pas une
55 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
re des troubles nerveux du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôpitaux , 24 janvier 1901 et Travaux de neurologie chirurg
ec autopsie. Triot (Thèse de Paris, 1879). Un tuberculeux entre à l' hôpital pour des douleurs ayant siégé d'abord dans la c
ire. L'atrophie musculaire remontait jusqu'aux fes- (1) Gazette des Hôpitaux , 1901, p. 169. 14 ALQUIER siers, inclusivemen
Sicard et Cestan (1r La (1) SMICARD et CESTAN, Société médicale des Hôpitaux , 24 juin 1904. 22 ALQUIER ponction lombaire p
UD, et F. MOUTIER, Professeur à la Faculté de Médecine, Interne des Hôpitaux . Médecin de l'Hôtel-Dieu. (Pl. V et V Ce ca
Spondylose Rhizomélique, par P. Marie et A. Léri, Société méd. des hôpitaux , 24 février 1899. (2) Léri, Revue de Médecine,
brale 'chez l'adulte, par G. Labeyrie, Revue génér., in Gazette des hôpitaux , 27 décembre 1905. LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE :
e chronique vertébral. Léri a étudié devant la Société médicale des hôpitaux le 22 juillet 1 gop la colonne vertébrale du ma
'HÉRÉDITÉ NEURO-PATHOLOGIQUE, PAR MAGALHAES LEMOS, Médecin de l' Hôpital Conde de Ferreira (Porto). La lumière sur l'i
de l'infantilisme. (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses ( Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 454. INFANTIL
iques de l'enfance (1) Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses ( Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 444. (2) Bris
a mère du malade était aliénée; elle fut internée avec son fils à l' hôpital du Conde de Ferreira. , Grand' tante : Elle eut
et projets désordonnés, qu'il fut interné pour la première fois à l' hôpital du Conde de Ferreira, où il a été reçu le 22 av
4. Après quelques semaines d'un état normal, se trouvant encore à l' hôpital , il eut un accès mélancolique, pendant lequel i
t, sans rien dire à qui que ce soit, il vint, le 8, se réfugier à l' hôpital du Conde de Ferreira dans un état d'excitation
ses nerfs n'étaient pas bien », il vint spontanément se réfugier à l' hôpital du Conde de Ferreira, le 15 du mois, lorsque la
r le dernier, postérieur au traitement thyroïdien. Etant sorti de l' hôpital , il se porta assez bien pendant un mois, mais apr
ations, il chercha à se noyer dans la mer et fut encore interné à l' hôpital du Conde de Ferreira le 8 novembre. Pleurait co
supporter. Cepen- dant en se promenant une fois dans là grange de l' hôpital , il s'est emparé d'un moineau tombé vivant dans
cil., p. 29. (2) Cité par Brissaud, Leçons sur les mal. nerveuses ( Hôpital Saint-Antoine). Paris 1899, p.457. (3) Loc. c
ce cas très singulier, je lui conseillai de faire entrer Floris il l' hôpital d'Ams- terdam, afin de pouvoir l'observer penda
une enfant naturelle et que sa mère est décédée le 24 mars 1883 à l' hôpital de la Pitié de maladie inconnue. Voici le cer
SAUD ET F. MOUTIER Professeur à la Faculté de médecine. Interne des hôpitaux . La nature exacte de la scoliose dite essentiel
PAR ATROPHIE NUMÉRIQUE DES TISSUS PAR M. KLIPPEL Médecin de l' Hôpital Tenon. Il faut entendrè par atrophie numérique
ion La nommée Bust ? 24 ans, domestique, salle Bouillaud no 11, à l' hôpital Tenon. Antécédents héréditaires. Mère morte à
faire pendant les 6 derniers mois, elle a été obligée d'entrer à l' hôpital le 15 juin pour des douleurs siégeant de- puis
ille ; le lait revenait caillé. La malade s'affaiblissant entre à l' hôpital . Depuis l'entrée les douleurs ont diminué; les
sur les maladies ner- veuses, 2- série, iS9 ; Variot, Soc. méd. des hôpitaux , 11 février 1898 ; Vivier, Thèse Paris, 1898.
trouvons la bacillose (1) V. passim, Bulletin de la Soc. média des hôpitaux , 1898, 1904, novembre 1905, etc. (2) Voy. Nou
eurs, 30 ans ; antécédents sans intérêt en l'espèce ; est entré à l' hôpital de la Charité, salle Argerut, le 18 juillet 1904.
études AU COLLÈGE DE FRANCE ET DU SERVICE DE M. LE Dr BABINSKI, A L' HÔPITAL DE LA PITIÉ). RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRE
homme de peine, sans antécédents hé- réditaires notables, entre à l' hôpital au mois d'août 1904, pour des symptômes de tube
e remit plus jamais. Affaiblissement corporel progressif; entré à l' hôpital cantonal en mai 1903. Comme son état empirait,
t amené à Bel-Air sans aucune anamnèse le 6 avril 1904, venant d'un hôpital où il avait été placé d'urgence 4 jours aupa- r
ais il n'est pas irrationnel de le penser, étant donné que dans les hôpitaux généraux nous n'avons pu en constater un (1) P.
exerçait la profession de coupeur en confections ; il est amené à l' Hôpital civil de Nancy, par sa propriétaire qui veut s'en
t devenu incohérent ; ce qui oblige son entourage à le conduire à l' Hôpital au début d'août 1904. Etat actuel. Nous constat
jours puis les urines reprennent leur cours. Pendant son séjour à l' hôpital les troubles psychiques s'accentuent dans le se
MINANCE UNILATÉRALE. PAR M. KLIPPEL ET G. MAILLARD Médecin de l' hôpital Tenon.. Interne des hôpitaux. Le casque nous al
M. KLIPPEL ET G. MAILLARD Médecin de l'hôpital Tenon.. Interne des hôpitaux . Le casque nous allons rapporter et qui concern
, facile à délimiter par la palpation et pour laquelle il entre à l' hôpital Tenon, demandant à être débarrassé de cette tum
EURES. PAR - e J. Ch. ROUX et Jean HEITZ 1 Anciens internes des hôpitaux . Le présent travail nous a été suggéré par le d
l'écriture ; l'écriture était tremblée. Il fut admis alors dans un hôpital de New-York où il habitait et soumis à un traitem
in- fluence notable sur les symptômes de la maladie. Il resta à l' hôpital 16 mois ; puis il rentra en Europe et vint s'inst
comme l'état de sa santé s'aggravait toujours il entra d'abord à l' hôpital Tenon (14 mai 1901) et puis à Bicêtre (30 octobre
ut recommencer à travailler. En 1875 le malade entre de nouveau à l' hôpital où on le considère comme un ataxique. Il demeur
1896. 17. CHARCOT. Sur la sclérose en plaques disséminée. Gaz. des hôpitaux , 1868. , 18. IBID. Leçons sur les maladies du s
it la même marcheavec un son guttural, etc. Dans notre service de l' hôpital Saint-Roch (clinique du professeur Ramos Mejia) n
ciation du langage musical, dans la clinique neuropathologique de l' hôpital Saint- Roch, à Buenos-Aires. Il s'agissait d'un
mmes, âgés de 75 ans et au- dessus, observés dans nos services de l' Hôpital St-Julien,nous la trouvons 70 fois, soit 80 0/0
main du malade acromégalique. 394 GAUSSEL traire au régime de l' hôpital , le malade demande à sortir malgré qu'il ne soit
s mains, le malade, au moment de son premier séjour, ayant quitté l' hôpital au moment où il eût été possible de le faire ac
emière observation se rapporte à un malade âgé de 38 ans, entré à l' hôpital 17 jours après un traumatisme violent du rachis.
N) PAR 1\ P. ARMAND-DELILLE, G. BOUDET, Chef de la clinique à l' Hôpital Interne des hôpitaux. des Enfants Malades. 1
AND-DELILLE, G. BOUDET, Chef de la clinique à l'Hôpital Interne des hôpitaux . des Enfants Malades. 1 La poliomyélite sub
gique du cas Lort... Lort... Justin, âgé de 6 mois, est amené à l' Hôpital des Enfants-Malades pour une paralysie générali
sa première observation. Il s'agit d'une fille de 4 ans amenée à l' hôpital , pour paralysie. D'après les renseignements fou
SSEL, et A. LÉVY, Chef de clinique à l'Université de .. Externe des hôpitaux . Montpellier. ' Le diagnostic'entre la syring
ice de M. le profes- seur Grasset un homme qui avait été envoyé à l' hôpital avec le diagnostic de syringomyélie et qui prés
érite d'être retenu. Examen du malade au moment de son entrée à l' hôpital . C'est un su- jet d'apparence vigoureuse, robus
rissaud, Leçons sur les maladies nerveuses, 9895 ; Meige, Gazette des hôpitaux , 1902 ;.Iconog. delà Salp., 1895-1891, ., ' (
; Arch. générales de médecine, 1904. (3) VARIOT, Soc. médicale des hôpitaux , 1898-190t-1905 j CLAUDE et LEJONNE, Icono- gra
ospice de Bicêtre, en sortit au bout de fort peu de temps; errant d' hôpital en hôpital, il venaitplusieurs fois par an se s
icêtre, en sortit au bout de fort peu de temps; errant d'hôpital en hôpital , il venaitplusieurs fois par an se soumettre à
ite en luttant avec un camarade, fait un séjour de trente jours à l' hôpital . Pendant sa convales- cence, il se casse de nou
n tombant d'une chaise et fait un second séjour de trente jours à l' hôpital . A partir de cet accident, les troubles de la m
jambes, qui s'affaiblissent uu mois plus tard, et passe 9 mois à l' hôpital , alité, les jambes « raides comme des barres de
èvre avec délire tran- quille, mort 5 semaines après son entrée à l' hôpital . Autopsie. Pas de tuberculose viscérale ou gang
jusqu'à 39°2. Hématuries répétées. Mort un mois après l'entrée à l' hôpital sans avoir présenté de gibbosité. Autopsie . Fe
56 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
e. Ce n'est pas dans le laboratoire, c'est avant tout dans la salle d' hôpital et à l'amphithéâtre d'autopsie qu'elle a été fait
eligion, âgé de cinquante-sept ans, ouvrier, soldat libéré, entre à l' hôpital de la ville à Odessa le 22 janvier 1887. Pendant
87. Pendant son service militaire il avait été musicien. Il entre à l' hôpital pour de la toux et des étourdissements et en l'au
ents spasmodiques. Dans la suite, après quelque temps de séjour à l' hôpital , les attaques de ce petit malade se modifièrent n
plante des poteaux », etc., etc. ... Ce jeune garçon est encore à l' hôpital plus d'un an après son entrée. Il n'a plus ses at
raplégie par contracture. Les attaques, qui, au début du séjour à l' hôpital ,n'étaient caractérisées que par des convulsions,
e place, jusqu'au moment où elle est tombée malade et a dû entrer à l' hôpital . En novembre 1886, Sch...er eut une première gr
onduisit chez lui et là un médecin, qui vint le visiter, l'envoya à l' hôpital Lariboisière. Admis là, dans le service de M. 0.
. Là il fit une fièvre typhoïde grave pour laquelfe il fut soigné à l' hôpital militaire. Pendant sa convalescence, il était un
e sujet hypnotique, puis envoyé par lui à Montpellier où il entra à l' hôpital . Là on l'hypnotisa encore et on lui fit diverses
oses et gens autour de lui, il parlait souvent, dans son délire, de l' hôpital , des malades, des médecins, toujours avec cette n
ue ? (1) Ballel. — Le sommeil simulé chez les aliénés. (Gazette des hôpitaux , 27 nov. 1890, n° 136. p. 1258). Le bon sens, c
n'a pu apprendre à lire. Vers 1878 elle entre, comme infirmière, à l' hôpital Necker ; là, elle est prise d'attaques convulsive
es auteurs ont observé Louis V... pour la première fois, en 1885, à l' hôpital militaire de Rochefort. Il avait à cette époque 2
que, devenu hémiplégique à la suite de crises nouvelles, il entre à l' hôpital de Rochefort où il est entre les mains de MM. Bou
mbait spontanément dans la situation où il se trouvait en entrant à l' hôpital de Rochefort (état de Rochefort, avril 1885). Apr
l'infanterie de marine, en garnison à Rochefort, avant son entrée à l' hôpital . Dans cet état, que l'on pourrait à la rigueur co
édecins des différents établissements où il était passé. Sorti de l' hôpital militaire de Rochefort, le malade fut transféré à
(1er séjour, 1883 à 1885) ; l'état de Rochefort, avant d'entrer à l' hôpital , où i est sain de corps et d'esprit, n'ayant oubl
sidéré, si l'on veut, comme l'état normal ; l'état à son entrée à l' hôpital de Rochefort, avec hémiplégie droite sensitivo-se
tention, et dont la présence justifierait à elle seule son séjour à l' hôpital . Elle a tout d'abord des crises de nerfs. Celles-
e elle a fait quelques acquisitions nouvelles. Depuis qu'elle est à l' hôpital , elle a lié connaissance avec la plupart des mala
Mais ce n'est pas tout : le jour même de l'entrée de la malade à l' hôpital , je m'aperçus qu'elle présentait certains signes
e l'hospice. Il leur proposa de les emmener avec lui à Rome, dans son hôpital où il avait mille(I) hystériques. « Il les soigne
docteur, qui fut, inutile de le dire, à sa première apparition dans l' hôpital , mis à la porte avec tous les honneurs dus à son
ris, De 1871 à 1878, de dix-huit à vingt-six ans, elle fit dans les hôpitaux plusieurs séjours dont nous avons pu contrôler l'
ns pu contrôler l'exactitude. Elle entra d'abord comme infirmière à l' hôpital des Enfants-Malades. Mais elle eut là des crises
elle eut là des crises de nerfs pour lesquelles on la transporta à l' hôpital Necker, dans le service de M. Ollivier. Puis vien
ital Necker, dans le service de M. Ollivier. Puis vient un séjour à l' hôpital Lariboisière, où elle entre dans le service de M.
venir que cette malade m'a laissé, ses allures pendant son séjour à l' hôpital , j'inclinerais fort à croire aujourd'hui, éclairé
écembre 1891, recueillie par M. A. Souques, interne médaille d'or des hôpitaux . Ligne de vie de Mme D..., depuis la naissance
savoir. La disposition des lits lui fait bien reconnaître une salle d' hôpital , mais elle est incapable de dire si c'est un hôpi
ître une salle d'hôpital, mais elle est incapable de dire si c'est un hôpital de Paris ou de Bordeaux. Elle sait uniquement que
ital de Paris ou de Bordeaux. Elle sait uniquement que ce n'est pas l' hôpital de C..., qu'elle connaît depuis son enfance, et a
cision d'urgence et trois semaines après notre malade aurait quitté l' hôpital Saint-Antoine, non complètement guéri cependant.
60 grammes de glycose par litre. A son retour de Vichy, il revint à l' hôpital Saint-Antoine où il fut soumis à un régime approp
rès sensiblement amélioré. L'année suivante, en 1883, il rentra à l' hôpital Andral pour son diabète. Il avait encore, dit-il,
ladie ne l'a pas autrement incommodé ; il n'est resté qu'une fois à l' hôpital pour le taenia en 1884. Lorsqu'il s'est présenté
anatomique, 1858. (5) Desnos. — Bulletin de la Société médicale des hôpitaux , 1873. (6) Féréol. — Bulletin de la Société méd
s hôpitaux, 1873. (6) Féréol. — Bulletin de la Société médicale des hôpitaux , 1873. (7) Hallopeau. —Archives de physiologie,
erno-mastoïdien gauche. La malade mourut un mois après son entrée à l' hôpital , et à l'au (1) Les préparations histologiqucs o
tion du traitement mercuriel commencé peu de temps après l'entrée à l' hôpital . Constipation opiniâtre depuis le mois de juill
z lui, son métier de facteur abandonné, il vient se faire soigner à l' hôpital . Soumis alors à l'observation de MM. Le Noir et B
s, de choisir sa place pour tomber, ou, lorsqu'il est chez lui ou à l' hôpital , de gagner son lit pour y prendre ses ébats. En f
fait gratuitement aux malades pauvres du dehors par la pharmacie de l' hôpital et enfin par l'établissement d'hydrothérapie où i
tour était devenue morphinomane. Après les avoir admis tous deux à l' hôpital , nous les avons séparés l'un de l'autre, plaçant
f. Cependant le mal ne fit qu'empirer, et il lui fallut se rendre à l' hôpital où il entra il y a 15 jours. A cette époque l'aff
57 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE PARIS MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
.. était en voie de maigrir; toutefois, au moment de son entrée à l' hôpital , il ne présentait l pas d'atrophie musculaire b
e clinique M.Gasne, le 29 septembre, jour de l'entrée du malade à l' hôpital . Ch... s'est présenté à la consultation, souten
naux, vient réclamer nos soins le 28 mars 1898, il la salle 12 de l' hôpital St-André de Bor- deaux, pour une tuberculose pu
de contracture. Le malade va ensuite habiter Marseille; il suit à l' hôpital un traitement par l'électrisation sans qu'il en
que de M. le professeur Badal par M. Cabannes, médecin oculiste des hôpitaux : il a donné les résultats suivants : lago- pht
Professeur agrégé à la Faculté de Médecine de Paris, Médecin de l' Hôpital Saint-Antoine. Messieurs, Beaucoup de faits c
raitre. - E. Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses (2° série, hôpital Saint-Antoine), recueillies et publiées par Henry
dou- teuse. En fait, elle l'est d'autant moins que (1) Musée de l' hôpital Saint-Louis, no 1962. Cette figure et les suivant
Cette figure et les suivantes sont des photographies de pièces de l' hôpital Saint-Louis (moulages de Baretta), mises obli-
re par vaso-clila- tation excessive. (1) LIALLOL'R.1U. Musée de l' hôpital Saint-Louis, p. 323. Pl. XLIX. 80 E. BRISSAUD
ire, relèvent d'un trouble FIA'. 15. - Sujet amyélencéphate, né à l' hôpital Saint-Antoine (service de M. Bar). Le développe
SIE par GILLES DE LA TOURETTE Professeur Agrégé, médecin de l' hôpital St-Antoine ET G. DURANTE Chef du laboratoir
S DE LA TOURETTE ET G. DURANTE Le malade succomba le G mai 1898 à l' hôpital St-Antoine ; les phéno- mènes ci-dessus rapport
lfred, Age de 27 ans, exerçant le métier de col- porteur, entre à l' hôpital St-André, salle 15, lit 3, en juillet 1898; il es
d'autres tentati- ves d'électrisation faites à l'âge de 21 ans, à l' hôpital Lariboisière, furent vai- nes pour les mêmes ra
ubles gastro-intestinaux qui out nécessité récemment son entrée à l' hôpital suburbain de Montpellier dans le service de M. le
ion exercés sur des membres de cadavres. (1) ArrnT, Soc. méd. des hôpitaux , séance du 22 juillet 1898. LE TABES LABYRINTHI
blié (1), pour ma part, celle d'un malade qui vint me consulter à l' hôpital Cochin pour un vertige violent, qui datait d'un
'ai pu- blié un cas de mgdriase observée chez une surveillante de l' hôpital Necker. Enfin Gellé a observé un cas d'exophtal
cas. M. Sauvineau a présenté dans le service de M. Dieula- foy, à l' hôpital Necker, une malade sur laquelle on constatait, ou
INENCE D'URINE D'ORIGINE HYSTÉRIQUE PAR R P. RAVAUT Interne des hôpitaux . L'observation que nous rapportons a Irait à un
qui entra dans le service de notre maître Gilles de la Tourette à l' hôpital Saint-Antoine pour un tremblement hystérique et
ne pour un tremblement hystérique et qui au cours de son séjour à l' hôpital fut atteint d'incontinence d'urine de même natu
ues crises de temps en temps, quand huit jours avant son entrée à l' hôpital en s'approchant d'une courroie de transmission, s
des muscles de roi)." Tel était l'état du malade à son entrée à l' hôpital ; pendant son séjour il continua sous nos yeux
ISOLÉE DU MUSCLE GRAND DENTELÉ \ PAR A. SOUQUES Médecin des hôpitaux . ET J. CASTAIGNE Interne des hôpitaux. L'
A. SOUQUES Médecin des hôpitaux. ET J. CASTAIGNE Interne des hôpitaux . L'histoire de la paralysie du muscle grand den
de Paris, 4845 et Archiv. gén. méd., 1846, p. 246. (5) Gazette des hôpitaux (du 21 juin 1815 au 5 juin ici18). (6) Duciienx
Observation. Ch. Isidore, âgé de 29 ans, palefrenier, entré il l' hôpital Cocliin le 5 août 1898, au quatrième jour d'une
é violent sous le sein droit et un grand frisson. A son entrée il l' hôpital , le malade présente il la base droite tous les si
AUSHALTER ET L. SPILLMANN Agrégé à la Faculté de Nancy. Interne des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer quelques c
s qu'a débuté la lésion des mains pour laquelle elle est amenée à l' hôpital . Cette lésion va en s'accentuant. Etat actuel
lVlYOTROPIl1E CHARCOT-MARIE PAR PAUL SAINTON Ancien interne des hôpitaux . Depuis qu'en 1886, Charcot et Marie ont décrit
e ses muscles aient diminué de volume; à cette époque, il entra à l' hôpital Laënnec, dans le service de M. Damaschino, pour
e rentrer à Laënnec où il resta un an. Il passa également un an à l' hôpital Tenon, dans le service de M. Landouzy. L'atroph
DIAPIIRAGMATIQUE DU CORPS (1) PAIt n ET BONNEAU Externe des hôpitaux DARTIGUES Interne des hôpitaux LIPOMATOSE m
AIt n ET BONNEAU Externe des hôpitaux DARTIGUES Interne des hôpitaux LIPOMATOSE monstrueuse 217 Réglée et 1'2 ans
bre 1898, dans les Bulletins et mémoires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, page 130G, une étude très documentée qu
DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE PAUL SAINTON Ancien interne des hôpitaux . (Suite et fin) (1). L'observation que nous v
Le fils de 37 ans, marié, a perdu sa femme, morte tuberculeuse à l' hôpital de Nancy. Remarié. Dur... n'a jamais été mala
. L'état est resté stationnaire encore un mois après sa sortie de l' hôpital , le malade travaillant un peu. A partir du mo
ant 1 mois, le malade dit se trouver beaucoup plus fort. Quitte l' hôpital le 2 mai 1890. Rentré le 8 mai 1891. Le malad
ital le 2 mai 1890. Rentré le 8 mai 1891. Le malade est resté à l' hôpital depuis ce moment, les symptômes se sont progres
phies de ces arthropathies sont dues à M. L. Spillmann, interne des hôpitaux . ' 382 G. ÉTIENNE à parois amincies, mesure 1
peu de son bras, le re- muait avec facilité. Le lendemain il va à l' hôpital Bichat; on lui assure qu'il n'a ni fracture ni
minué d'intensité ; c'est dans ces conditions qu'elle est venue à l' hôpital le 13 juillet 1897. Depuis ce temps elle a subi
ir. Jamais elle n'a éprouvé de troubles urinaires. Elle entre à l' hôpital le 12 janvier 1899, dans un état d'amaigrissement
dans le service de M. le professeur Brissaud. Elle était venue à l' hôpital Saint-Antoine pour un examen rhinoscopi- que, s
ans toutefois causer la moindre douleur. » La malade fut admise à l' hôpital , et dès le premier examen, voici ce qu'on a pu
II. Ar..., âgée de 21 ans, soeur de la précédente malade, vint à l' hôpital Saint-Antoine, et confirma tous les dires de Fe
MM. A. Mathieu et Sikora ont communiqué à la So- ciété médicale des hôpitaux (1) un cas d'oedème névropathique consécutif à
mplement un ar- rêt de la transpiration. Pardo, il la Société des hôpitaux de Rome (1896) a signalé un oedème des deux pie
être un cas d'oedème hystérique. En 1897, à la Société médicale des Hôpitaux , une intéressante discus- sion a été soulevée p
(1) Debove, OEdème segmentaire des membres inférieurs, Soc. méd. des hôpitaux , 15 octobre 1891. 470 HENRY MEIGE avait été
l'an dernier¡par MM. Chauffard et Leviste à la Société médicale des Hôpitaux (9 dé- tembrc 1898). Mais il s'agit ici d'un oe
communication faile par Desnos en 1891, à la Société médi- cale des Hôpitaux , où il décrivit une variété d'oedème à laquelle i
éréditaire. (1) Desnos, OEdème rhumatismal chronique, Soc. méd..des hôpitaux , 13 février 1891. (2) ¡¡IGIEII (de Varsovie), O
la profession de charretier, se présente il notre consultation de l' hôpital Saint-André, en novembre 1898. Cet - homme est
58 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
ryngologue; Higier; Rzeczniowski ; Watraszewski, médecin en chef de l' hôpital Saint-Lazare à Varsovie; Wienckowski, et Wro-blew
service militaire. — Broch. in-8°, 15 pages. Masson. — Paris 1893. hôpitaux de Paris, des plus distingués, dont l'anxiété com
S Applications de la psychothérapie à la consultation médicale de l' hôpital de la Charité de Lille. Par MM. les Drs Lemoine
s, encore trop délaissées ici actuellement. Il existe en effet, à l' hôpital Saint-Sauveur, une clinique ophtalmologique, une
variées. En somme, la consultation pour les maladies nerveuses à l' hôpital de la Charité a amplement démontré l'utilité de c
es études assidues et considérables auxquelles il a dû se livrer. A l' hôpital , Baillarger était un travailleur ayant le feu sac
Les personnes qui la rencontrent la croient ivre et elle est mise à l' hôpital . Amnésie complète après son réveil. D'après l'aut
istant de Ziemssen) sur 20 cas traités par la thérapie hypnotique à l' hôpital de Munich (rive gauche de l'Isar), a provoqué la
vbehandlung », in-8°, 39 pages. — Leipzig, 1894. — a L'hypnotisme à l' hôpital de Munich (rive gauche de l'Isar); étude critique
E. Vénot, interne du service (clinique de M. le professeur Pitres. — Hôpital Saint-André de Bordeaux). Messieurs, vous m'ave
son cours le mercredi et le samedi, à 9 h. 1/2 (asile Sainte-Anne). Hôpital Saint-Antoine. — MM. les Drs Ed. Brissaud et G. B
Legrain fera, à la Polyclinique, des conférences sur les dégénérés. Hôpital des Enfants-Assistés. — M. le Dr Dejerîne, agrégé
Gran- " cher, des conférences sur les maladies du système nerveux. Hôpital de la Salpétriêre. — M. le D' Jules Voisin fera l
M. E. Vénot, interne du service, clinique de M. le professeur Pitres ( Hôpital St-André de Bordeaux). (Suite et fin) III S
es en 1844; quatre ans plus tard, en 1848, il était nommé interne des hôpitaux . Pendant les quatre ans qu'il passa à l'internat,
seur Pîorry. En 1856, il concourait avec succès au bureau central des hôpitaux et, en 1860, arriva à l'agrégation, après avoir f
jusqu'en 1869, époque à laquelle Vulpian quitta la Salpétrière pour l' hôpital de la Pitié. Charcot resta seul et n'abandonna ja
ès, malgré de déplorables conditions matérielles et l'éloignement des hôpitaux : il ne s'est pas démenti pendant plus de vingt a
près avoir établi la différence qui sépare le praticien, le médecin d' hôpital du professeur, il résumait dans les lignes suivan
de Bernard avait été malheureux dans tous ses concours. Les jurys des hôpitaux et de la Faculté lui avaient également été défavo
sé si loin le dédain des concours, qu'il n'a pas même été externe des hôpitaux . Si l'on établissait le bilan des travaux vraimen
une méthode nouvelle, et il a fait progresser la médecine. Dans les hôpitaux de Paris, MM. Mesnet et Dumontpallier ont eu égal
ons encore que si le plus souvent les amphithéâtres accordés dans les hôpitaux ou à la faculté (') aux représentants désintéress
ar les examens, par les jurys de concours, tenus par les services des hôpitaux , par les diverses fonctions officielles dont ils
r Bernheim, de la Faculté de Nancy, et M. le Dr Babinski, médecin des hôpitaux , ont été promus chevalier de la Légion d'honneur.
Montpeller; Gilbert Ballet, agrégé à la Faculté de Paris, médecin des hôpitaux , et Hubert, ancien interne des hôpitaux, oculiste
Faculté de Paris, médecin des hôpitaux, et Hubert, ancien interne des hôpitaux , oculiste à Paris. Nous sommes heureux d'adress
fond sans avancer d'un pas. On prit rendez-vous pour le lendemain à l' hôpital , où M. Bernheim nous promit une expérience propre
'oublions pas non plus que c'est M. Bernheim, le médecin en chef de l' hôpital , qui lui donne « la commission » d'aller prendre
l'interpréter. Les concours à Bucarest. Les médecins-adjoints des hôpitaux de Bucarest sont nommés au concours. La première
serait longue, ils sont nombreux parmi les agrégés, les médecins des hôpitaux et parmi ceux qui n'occupent aucune situation off
prendrai pour cela le livre de M. le Dr Boissarie, ancien interne des hôpitaux de Paris, médecin à Lourdes. (Lourdes, depuis 185
n-de-Luz, un confrère très instruit, le Dr Flurin, ancien interne des hôpitaux , médecin consultant à Caute-rets, qui me fit de g
ta l'histoire d'un certain D... qui, après six ans de séjour dans les hôpitaux de Paris, notamment à la Salpètrière, où il aurai
as en rapport avec le chiffre des pèlerins qui vont à Lourdes, et nos hôpitaux à Paris présentent des statistiques où le tant po
les membres affectés. Voici son état au moment de son admission à l' hôpital . Système alimentaire : les lèvres sont normales,
sion de la moelle. On ne jugea donc pas nécessaire de la garder à l' hôpital ; mais elle fut soignée à la consullation externe
quait pourquoi je ne l'avais pas revue à la consultation externe de l' hôpital . M. Galbraith, de Gosforth, l'avait visitée de te
ns compression de la moelle, et regardée par un de mes collègues de l' hôpital comme ayant des manifestations hystériques, — cet
ées sur le même modèle que celles fondées par M. Bourneville dans les hôpitaux de Paris. Après avoir rendu hommage au Dr Butte,
l-haùt et Aubeau, installaient une deuxième école d'ambulancières à l' hôpital international, rue de la Santé. Enfin, cette anné
urs entiers. Pendant le mois de février, qui a précédé son entrée à l' hôpital , elle avait des attaques de sommeil de durée vari
ns quelque ruisseau et se réveillait à la préfecture de police ou à l' hôpital , honteuse et désespérée de sa nouvelle mésaventur
tres ses stations dans les cabarets. Des agents de police vinrent à l' hôpital pour l'interroger sur quelques détails de sa dern
lets, elle n'a plus eu une seule rechute. Au lieu de traîner dans les hôpitaux et dans les prisons, elle a pu prendre un métier,
. Applications de la psychothérapie à la consultation médicale de l' hôpital de la Charité de Lille, 52. Apparitions and Tho
59 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
sègue que nous constatons quelquefois chez lui dès qu'il arrive à l' hôpital ? 5° Les idées fixes étant acci- dentelles et p
azette hebdomadaire, juillet 1891, p. 15.) a Blocq. - Gazelle des Hôpitaux , 23 janvier 1893. ' Laurent, op. cit., 1892, p.
s organiques clu ssl. ieei-v. (l3zcll. et mem. de la soc. mécl, des hôpitaux , 11 nov. 1892.) rt Guinon, p. 136, et s. q.
Un premier concours avait été institué par le Con- seil général des hôpitaux et hospices, en 1810, afin de pourvoir aux quat
n de la limite d'âge que leur imposait leur qualité de médecins des hôpitaux . Il refusa d'abord de les suivre, puis céda, va
rques de son activité dans les Bulletins de la Société médicale des Hôpitaux 1 et de la Société de médecine de Paris. En M
médicale en France, il réclamait en termes éloquents la création d' hôpitaux dans les petites villes et dans les campagnes :
les campagnes, écrivait-il, devraient réunir le triple caractère d' hôpitaux , d'hospices et de dispensaires. Il y a de cela
politique et sociale, 1849 ; - De l'enseignemedt clinique dans les hôpitaux , 1858; De l'hallucination au point de vue patho
; Rapport à l'assistance publique au nom du Comité des médecins des hôpitaux , 1846; De la monomanie au point de vue psycholo
au grand jour de la publicité. Nous verrons peut-être s'élever les hôpitaux cantonaux qu'il avait rêvés : ce ne sera que ju
it la clientèle des pauvres de son arrondissement. Et son service d' hôpital , comme il s'y intéressait, comme il s'y donnait
AvAuRE, médecin-adjoint de l'asile d'Aix (Bouches-du- Rhône). LES hôpitaux proposés pour LE traitement DES aliénés; par E.
es armes. L'auteur revient ensuite sur l'un des détails du projet d' hôpital proposé par la commission dont nous avons parlé
de guérisons- de 10 p. 100, voudrait que le service médical de cet hôpital fût confié à des médecins des hôpitaux de Londr
que le service médical de cet hôpital fût confié à des médecins des hôpitaux de Londres, choisis parmi les plus en renom. Ai
es malades recevraient simplement, une fois par jour comme dans les hôpitaux ordinaires, la visite du médecin, mais les médeci
in il aura besoin du même service. En résumé cette colonie est un hôpital pour les malades, un asile pour les déments, une
MusGRavE-CLAY. Chauffage, ventilation ET éclairage électrique DE l' hôpital royal DE 1\IONTROSE; par James IIOwDEN. (The Jo
où les soins les plus empressés lui furent prodigués, et enfin à l' hôpital Beaujon, cette femme n'a pas encore, après plus
' RAYMOND, Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, médecin de l' hôpital Lariboisière, Je viens d'observer un cas de syr
Jean, âgé de trente-sept ans, cimentier, entré le 19 juin 1889, à l' hôpital Lariboisière, salle Bouley, 'no 10. Archives, t
a miction et de la défécation. Finalement il se décida à entrer à l' hôpital . Etat actuel (19 juin 1889). Homme maigre, pâle
potas- sium et des bains sulfureux. Après deux mois de séjour à l' hôpital , l'état du malade s'amé- liore ; la marche devi
') f . ri r I., CRANIECTOMIE LI"\IIl ? leçon clinique faite , à , l' hôpital du ,.conilà d'Arapahoe, les 9,,et 15 octobre,18
ingué collaborateur et ami le Dr Gilles de la Tourette, médecin des hôpitaux , qui vient d'être fait chevalier de la Légion d
se fit inscrire à la Faculté de médecine. Il fut reçu interne des hôpitaux en 1848 et passa sa thèse de doctorat en 1853 1
. Benjamin Bail. ' Nous avons publié ces leçons dans la Gazette des Hôpitaux (1868). J.-M. CHARCOT. 181 moelle épinière, l
veux. Plusieurs leçons, dès 1868, avaient paru dans la Gazette des Hôpitaux ; les leçons sur les troubles trophiques venaien
été anatomique (1879--1882) où, alors, la majorité des internes des hôpitaux venaient apporter toutes les pièces les plus in
Charcot, qui connaissait par expérience ce qui se faisait dans les hôpitaux de Londres, encouragea dès , « Le pauvre M. Cha
euse suggestion, un des fondateurs principaux de la laïcisation des Hôpitaux de Paris... » (La Croix, 19 août). Dans l'Eclai
nt J.-M. CHARCOT. 195 prétendre que les surveillantes laïques des hôpitaux sont inca- pables de montrer, dans l'exercice d
ne médicale, 24 août. t« A l'étranger, lisons-nous dans la Gaz. des Hôpitaux (25 août), l'au- torilé de M. Charcot n'était p
. Tribune médicale. 1891 Des tics et des liqueurs; La Gazette des hôpitaux elle Journal de médecine et de chirurgie pratique
i matin, 19 courant, à dix heures, à la Salpêtrière. Le porche de l' hôpital était décoré de tentures noires avec cartouches
l'Académie de médecine ; Hanot, délégué de la Société médicale des hôpitaux ; Derouin, secré- taire général de l'assistance
is et ses camarades ; Londe, représentant le corps des internes des hôpitaux de Paris. J.-M. CHARCOT. 209 Des places étaie
Charles Féré, Gilles de la Tourette, Luys, J. Voisin, médecins des Hôpitaux ; M. Duflos, directeur des services pénitentiair
ison de Borniol. La nef était occupée par la Société médi- cale des hôpitaux , la Société de biologie, la Société anato- miqu
Montmartre, où a eu lieu l'inhumation, en prenant le boulevard de l' Hôpital , le pont d'Austerlitz, la place de la Bastille,
y Smith et Myers ont poursuivi des recherches dans le même sens à l' hôpital Royal de Bethlem, leurs expériences ont porté s
couleurs homologues ou inverses. Entre temps le Congrès a visité l' hôpital de La Rochelle et la station balnéaire de Chate
F. RAYMOND Professeur agrégé à la Faculté de Médecine, Médecin de l' hôpital Lariboisière. 11 n'existe encore que peu d'obse
les idées que j'ai avancées l'an dernier à la Société médicale des hôpitaux , au sujet de la dis- parition des fibres à myél
'ourlet. R... Adélaïde, âgée de quarante ans, cuisinière, entre à l' hôpital Lariboisière, salle Trousseau, n° 18, le 12 sep
n du cerveau que j'ai publié l'an dernier à la Société médicale des hôpitaux , j'ai montré l'existence de cette lésion, j'ai
d'agriculture, ou y transfère- asiles d'aliénés. 3031 rait-on, l' hôpital départemental de Bourbon-Vendée, dont les cons-
mission, et parl9voix contre 4, le conseil décida en principe que l' hôpital de Bourbon-Vendée serait transporté dans les bâti
le. Grumel (Claude), cultivateur, âgé de cinquante ans, entre à l' hôpital de la Croix-Rousse, le 8 décembre 1886. Son pèr
. J. SÉGLAS, médecin de la Salpêtrière et G. BROUARDEL, interne des hôpitaux . MESSIEURS, Nous n'avons pas la prétention, d
pour expier mes fautes. Elle prie instam- ment qu'on la reçoive à l' hôpital et déclare que si les douleurs qu'elle ressent
J. Ba- bilisizi. (Bulletins et Mémoires de la Société médicale des hôpitaux de Paris, 11 nov. 1892.) , Archives, t. XXVI.
'que j'aie jamais rencontré malgré un séjour de six années dans des hôpitaux spécialement affectés aux maladies nerveuses, p
it pour les internes des asiles à la médaille d'or des internes des hôpitaux . Il constituait une tradition tout en encourage
4jII AITSV DIVEItS yIT'f,TTt zut bâton 'et était rentrée seule à l' hôpital . Il n'y'a qu'un malheur à cela1 ? ? c'est qu'il
res au sein gauche; le poumon a été atteint. On l'a transportée à l' hôpital de la Charité. Quant au malheureux fou, il a ét
a été conduit au com- missariat de police d'où il sera dirigé sur l' hôpital Saint-Sauveur. (L'Eclair.) Ce fait s'ajoute à c
loi , anglaise sur Il mer- tale,' par Rentôtn, 395" ' ' Aliénés, hôpitaux proposés pour le traitement des -, par E. Cliff
- de la moelle ' chez un paralytique général, par Feist, 146. 1 Hôpital , - royal de Montrose, par J. Hoween, 87. , Hy
60 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
unications ; 3. De conférences générales ; 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D’excursions, de réceptions et
édecin vétérinaire. le docteur Regnault (Félix), ancien interne des hôpitaux . Trésorier. M. Colas (Albert), président de l
e de sa nouvelle vie, de bien dormir la nuit, etc. Elle est venue à l’ hôpital d’abord tous les deux jours, puis deux fois par s
timents furent à ce point redressés qu’elle put être employée dans un hôpital et y devenir le modèle des surveillantes. Cette c
qui s’écarte de son alimentation ordinaire ; j’ai pu constater à mon hôpital qu'il a une aversion toute spéciale pour l'alcool
Munson. Un homme, après une ivresse de huit jours, vient échouer à l’ hôpital . Là, on feint de n’attacher aucune importance à s
ollicitations ultérieures. On l'a revu neuf mois après sa sortie de l' hôpital et pendant ces neuf mois, il n'a pas incorpore un
Né à Hônfleur en 1828, successivement externe, interne, lauréat des hôpitaux , chef de clinique, médecin de la Pitié dès 1806,
a Faculté en 1877, médecin des hôpi-teauxen 1878, agrégé on 1880. A l' hôpital Lariboisière et à la Faculté, il fit des leçons r
la Faculté de médecine de Nancy. M. le DrBir.HAUT, chirurgien de l’ hôpital international, Paris. M. le Dr Binet-Sanglé, à
ésinet (Seine-et-Oise). M. le Dr Félix Regnault, ancien interne des hôpitaux , Paris. M. le Dr Raymond, professeur de cliniqu
cié ès-sciences, Nîmes. M. le I)r Vidal, avocat, ancien interne des hôpitaux , Nissan (Hérault). M. le Dr Vincent, médecin pr
es Voisin, médecin de la Salpètrière, Paris. M. Voisin, interne des hôpitaux de Paris. M. le Dr Watteau, avocat, Paris. Gr
Figaro (le), représenté par M. le Dr Maurice de Fleury. Gazette des Hôpitaux (la), représentée par M. le Dr Brochin. Gazette
pinay, médecin vétérinaire; le DrREGNAUi.T(Félix), ancien interne des hôpitaux . Trésorier : Colas (Albert), président de la So
compte-rendus détaillés du Congrès, nous dovons citer la Gajette des hôpitaux , la Galette médicale de Paris, VIndépendance médi
(!) A cc propos, il n’est pas inutile de rappeler que la Ca^e'.te des Hôpitaux , sous la libérale direction des .)■• Le Sourd et
u au sujet de ma communication le fait suivant. Le directeur d'un des hôpitaux civils d’Amsterdam, le docteur Van Devenler, dans
r ma méthode d’endormir et de suggérer et m’invita à traiter dans son hôpital en sa présence quelques malades qu’il mettrait à
la direction d’un service neurologique et psychiatrique dans scs deux hôpitaux civils. Quoique surchargé de besogne, le profes
estion hypnotique. Le docteur J. Kuiper, Directeur en chef d’un des hôpitaux civils (notamment le Wiihelmina Gasthuis) d’Amste
res paroles... Elle est venue sans accident et sans émoi ce matin à l' hôpital , parce que a le petit était avec elle ». La prése
rangé une foule d’enfants vêtus du costume bleu, un peu ardoisé, de l’ hôpital : le plus lamentable des spectacles, en vérité !
: On ne pénètre pas sans un certain serrement de cœur dans le vieil hôpital , asile ouvert à toutes les victimes de la névrose
ypnotisée, elle se rappela qu’un jour de sortie, avant de rentrer à l’ hôpital , elle s'élail endormie et qu’un individu, qu’elle
ntion des heureux de ce monde. En sept ans, il a ainsi récolté pour l’ hôpital plus de 25,000 dollars. Tous les samedis, à mid
, qu’il remet dans la boite. Puis le dévoué Jip, d’un bond, court à l' hôpital des Enfants rapporter le témoignage hebdomadaire
us parler de notre maître vénéré Dumontpallier, le savant médecin des hôpitaux , dont les travaux sur l'hypnotisme ont eu une si
on métacarpien. 21 novembre. — Elle se décide à aller consulter à l’ hôpital Saint-Antoine, où elle arrive dans le même état q
n énorme volume, les douleurs redoublent d'intensité, au point qu’à l’ hôpital Saint-Antoine on propose à la malade l’amputation
emblée au sacrifice de son bras, la malade vint se faire examiner à l’ hôpital Z... Elle présentait un œdème considérable du mem
ssait une intervention radicale. — Le Dr X..., chirurgien-adjoint a l’ hôpital Z.., proposa de recommencer une série de mouchetu
A son retour de Lourdes, la malade a été examinée tout de suite à l' hôpital . Toute trace d'œdème, de suppuration, des incisio
une constatation banale. Ceux qui ont fréquenté la consultation de l’ hôpital Saint-Louis n’ont pas pu ne pas remarquer l’abond
. J’ai observé plusieurs cas de fièvre typhoïde chez les internes des hôpitaux ; chez tous, cette maladie prenait une forme nerve
lui faisons la suggestion d'éprouver à l’égard de M. X..., élève des hôpitaux , avec lequel elle était dans d’excellents termes,
années soignée par l’un des médecins les plus recherchés du corps des hôpitaux . Elle va le voir en moyenne une fois par mois. S’
une fille de treize ans et demi, par M. Léclèrë, Société médicale des hôpitaux , 27 avril 1900. Cette jeune iille est bien régl
ns la palissade pour s’y soustraire, au risque de se tuer. Dans nos hôpitaux vétérinaires, il n'est pas rare de voir un petit
Bartolucci cite le cas d’un cheval qui, conduit chaque jour dans un hôpital où il avait subi une grave opération, s’enfuyait
10 heures et demie. (S’inscrire à l'institut psycho-physiologique). Hôpital de i.a Pitié. — M. le Dr Babinski a commencé le s
— M. le Dr Babinski a commencé le samedi 20 avril, à dix heures, à l’ Hôpital de. la Pitié, un cours sur les maladies du systèm
me nemeux dans la paralysie diphtérique. Chef de clinique en 1879 à l’ hôpital de la Charité, il était nommé en 1832. médecin de
n 1879 à l’hôpital de la Charité, il était nommé en 1832. médecin des hôpitaux , devenait agrégé de la Faculté de médecine en
re puissamment secondé par Mmo Déjerine-Klumpke, ancienne interne des hôpitaux , qui dut à sa haute intelligence et à son énergie
61 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
À L'HOPITAL DES ENFANTS MALADES M. LE D* H. BOUVIER, MÉDECIN DE L' HÔPITAL DES ENFANTS, MEMBRE DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DE MÉ
té droite; thorax, bassin. Sujet adulte. — Pièce de la collection des hôpitaux . — Pages 388 et 402. La courbure principale s'é
, qui étaient un peu courbées en dedans. — Pièce de la collection des hôpitaux . — Pages 387, 402. La forme d'S verticale a per
ale; femme adulte; bassin et membres bien conformés. — Collection des hôpitaux . —Pages 388, 404. Les vertèbres lombaires et le
e dorsale droite principale; squelette de vieillard. — Collection des hôpitaux . — Pages 388, 402. Déviation moins avancée que la
roite principale ; femme adulte; bassin bien conformé.—Collection des hôpitaux . — Pages 388,402. Ici la courbure accessoire lo
pale, 3e degré; femme adulte; membres bien conformés. —Collection des hôpitaux . — Pages 388, 402. La courbure dorsale se disti
e dorsale droite principale, 3e degré; femme adulte. — Collection des hôpitaux . —Page 388. Sans être un vilebrequin parfait, c
la précédente; femme adulte; membres bien conformés. — Collection des hôpitaux . — Page 388, 402. Étendue de la quatrième dorsa
ttes d'adultes a membres et a bassin bien conformés. — Collection des hôpitaux — Pages 388,402. A de légères différences près,
— Courrure dorsale droite principale ; femme adulte. — Collection des hôpitaux . —Pages 388, 402, 405. C'est encore une courbur
ale; femme adulte; bassin et membres bien conformés. — Collection des hôpitaux — Pages 388, 402. La courbure principale, moins
chitisme; scoliose au troisième degré en S verticale. —Collection des hôpitaux . — Pages 387, 404. Les jambes fortement arquées
bure lombaire gauche principale; bassin très déformé.— Collection des hôpitaux . —Pages 289, 388, 404. La déviation vertébrale
iose au 3e degré; courbure dorsale droite principale. —Collection des hôpitaux . — Pages 388, 402, 404. Ce squelette ressemble
62 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
DIRECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE DE PARIS LA CLINIQUE MÉDECIN DES HÔPITAUX . ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAP
ET GEORGES GASNE Professeur agrégé, Chef de clinique Médecin des hôpitaux . à la Salpêtrière. Dans la séance du 26 avril 1
aire accuser un état stationnaire afin de prolonger leur séjour à l' hôpital . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉPILEPSIE SYMPTO
UE DES NÉOPLASIES CORTICALES PAR MAGALHAÈS LEMOS Médecin de l' Hôpital du Conde de Ferreira (Porto). L'étude de l'épil
d'ajouter qu'aucun traitement électrique n'avait été appliqué, les hôpitaux de Th. Cook et C°, petites merveilles d'install
t 1897 au n° 22 de la salle Parrot, dans le service du Dr Achard, à l' hôpital Tenon, et meurt le 2 août 1897. Le malade ne
dû s'aliter à différentes époques et faire de fréquents séjours à l' hôpital . ' II fut pris ultérieurement, sans qu'il puiss
es gastriques pour lesquelles il entra en 1896 dans un service de l' hôpital Tenon. L'attention fut surtout alors attirée su
cessa de tousser. Il fit successivement plusieurs séjours dans les hôpitaux de Paris, puis quelques cures d'air en province
ANTE PROGRESSIVE PAR A. WEIL. ET J. NISSIM. Médecin en chef à l' hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rothschild. de Ro
WEIL. ET J. NISSIM. Médecin en chef à l'hôpital Ancien interne à l' hôpital de Rothschild. de Rothschild. HISTORIQUE On
te. En 1839, Testelin et Dambressi, ont eu l'occasion d'étudier à l' hôpital St-Sauveur, de Lille, un cas remarquable de myo
ays, Hamilton, en 1872, faisant l'examen du squeletle du musée de l' hôpital de Stewens, à Dublin, au point de vue chimique et
les tumeurs avaient presque entièrement disparu. Le malade quitte l' hôpital le 6 septembre en bonne santé,se tenant seuleme
ar I. l3artMélemy, dans le service de M. le professeur Fournier à l' hôpital Saint-Louis. (1) Euasmus Wilson, On diseases of
DE LA RÉGION' FRONTALE 145 premier mois de séjour de ce malade à l' hôpital , son état général fut aussi satisfaisant que po
nseignements sui- vants, sur l'état du malade depuis sa sortie de l' hôpital . 26 janvier 1898 ? Pendant la nuit K... a deux
r la mesure du temps de réac- (1) Bull. et mém. de la Soc. méd. des hôpitaux , 1890, p. 802. Contrib. il la patholo- gie des
IVE (Suite.) PAR n A. WEILL ET J. NISSIM Médecin en chef il l' hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rotschild. de Rot
WEILL ET J. NISSIM Médecin en chef il l'hôpital Ancien interne à l' hôpital de Rotschild. de Rotschild. Le tableau que no
ske), à Lyon. A son arrivée à Paris, il vint à la consultation de l' hôpital de Rothschild et notre maître M. le DrWeill, l'
talon reste distant du sol de 10 centimètres. Le séjour du malade à l' hôpital de Rothschild nous a permis d'assister au dével
A DÉBUT TARDIF. AUTOPSIE PAR R LÉON BONNUS Ancien interne des hôpitaux . L'époque de l'apparition des premiers phénomèn
n exemple. Observation. Jules G..., 39 ans, corroyeur, entré il l' hôpital Cochin, salle Woillez, dans le service du Dr Ch
IIutinel, dans une récente communication à la Société Médicale des Hôpitaux , est revenu sur le même sujet. A M. Gilles de l
ccidents, et très inquiet de la situation, fit transporter X... à l' hôpital Necker.Il faut croire que, dans le service où e
e interstitielle. Observation (communiquée par M. KEIM, interne des hôpitaux de Paris). Père syphilitique ; ayant contaminé
progressive du volume de la tête. Lorsque cet enfant est amené à l' hôpital Trousseau, en mai 1897, il est âgé de deux ans.
nt; le crâne est asymétrique. Quelques jours après son entrée à l' hôpital , cet enfant présente des accidents de conjoncti
de Paris, 1896. V. Obs. V, X, XVII, etc. (2) Leçon clinique de l' Hôpital Saint-Louis. ATROPHIE DES CENTRES NERVEUX, DA
D et LÉOPOLD-LÉVI Agrégé, médecin de Ancien interne-lauréat des l' Hôpital Tenon. Hôpitaux. L'atrophie de tout un membre,
VI Agrégé, médecin de Ancien interne-lauréat des l'Hôpital Tenon. Hôpitaux . L'atrophie de tout un membre, y compris les os
e le octobre 1897 salle Lorain, lit n° 2, service du Dr Achard, à l' hôpital Tenon. Antécédents héréditaires. - Sa mère est
de décembre 1896, il fut mis en traitement il la consultation de l' hôpital St-Louis pour une localisation tuberculeuse au ni
eur face interne. (Photographies dues 4 M. V. Delamare, interne des hôpitaux ). A. Hémisphère gauche. B. Hémisphère droit.
). (1) M. Apert a présenté tout récemment à la Société médicale des hôpitaux (séance du 22 juillet 189S) des pièces provenan
RESSIVE (Suite) PAR A. WEILL ET J. NISSIM Médecin en chef à l' hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rothschild. de Ro
. WEILL ET J. NISSIM Médecin en chef à l'hôpital Ancien interne à l' hôpital de Rothschild. de Rothschild. Ons. II. - John
les tumeurs avaient presque entièrement disparu. Le malade quitte l' hôpital le 6 septembre en bonne santé, et, ainsi que no
'un ma- lade déjà présenté par M. Brissaud dans une leçon faite à l' Hôpital St-An- toitie (mars 1898); M. P. Marie, nui a v
(1) Pierre Marie, Sur la spondylose ihizo ? ? iéliqt4c. Soc. méd. des Hôpitaux , Il févr. 1898 et Revue de méd., 10 avril 1S98,
GRESSIVE [Suite) PAR A. WEIL ET J. NISSIM Médecin en chef h l' hôpital Ancien interne à l'hôpital de Itothschild. de R
A. WEIL ET J. NISSIM Médecin en chef h l'hôpital Ancien interne à l' hôpital de Itothschild. de Rothschild. Ons. XXVI11. G
lonne vertébrale, les côtes et le sacrum. 12 novembre. Admis il l' hôpital , enfant intelligent, bien développé, pesant 94
sans rougeur ni cha- leur. Ons. XXXV. L. RABEC1\ : , médecin de l' hôpital des Enfants ci Varsovie. Archives de Virchow, 1
dien droit est épaissie et dure, mais pas ossifiée. ' Sortie de l' hôpital le 14 décembre 1888, elle mourut quelques mois ap
sparaît presque complète- ment. Pendant le séjour de l'enfant à l' hôpital , des tumeurs apparaissent dans différentes part
SCAPULAIRE). PAR R 1 A. SOUQUES et r Pierre DUVAL .Médecin des Hôpitaux Interne des Hôpitaux. La paralysie du muscle gr
1 A. SOUQUES et r Pierre DUVAL .Médecin des Hôpitaux Interne des Hôpitaux . La paralysie du muscle grand dentelé se présen
trique. Bientôt le malade n'éprouvant aucune amélioration entre à l' hôpital Cochin. Etat actuel (fin août 18J8). Il s'agit
dont nous pouvons nous rendre compte lors de sa seconde rentrée à l' hôpital . Alors les signes étaient réduits aux vestiges
econdaire. N. B. La malade a été revue 10 mois après sa sortie de l' hôpital . Elle se porte très bien, garde seulement un pe
RESSIVE (Suite et fin) A. WEIL et J. NISSIM Médecin en chef à l' hôpital Ancien interne à l'hôpital de Rothschild. de Ro
A. WEIL et J. NISSIM Médecin en chef à l'hôpital Ancien interne à l' hôpital de Rothschild. de Rothschild. Cas. XLII. Step
bdominaux, ni dans les membres inférieurs. L'enfant est resté à l' hôpital plusieurs semaines; il a pris de l'acide phos-
la grande simplicité de l'homme. Charcot. en effet, il 53 490 l' hôpital commc à la ville, se montra toujours ennemi des d
se exécutée, pendant, un voyage en Espagne, d'après un tableau de l' hôpital de la* Charité, 11 Séville. Rien n'est plus lugub
l intéressant souvenir que ce croquis fait dans un coin obscur de l' hôpital de Séville, tandis qu'au dehors brillait un éclat
ement exact (pie ce- croquis en quel- 11-ails de plume sur papier d' hôpital . Il évoque le souvenir d'un Caricature laite pa
63 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
re menstruation s'établit chez elle après quelques mois de séjour à l' hôpital ; les accès, déjà plus rares à celle époque, s’élo
sans que la malade y fut sujette auparavant. Lorsqu’elle sortit de l' hôpital Saint Louis, le 21 avril 1821, elle avait repris
justesse. Ses parents ont même usé de ce moyen, après sa sortie de l’ hôpital , pour prendre à son insu les précautions convenab
nt endormi en éprouve la moindre sensation. On vient de pratiquer à l’ hôpital d’U-niversily-Collége, à Londres, deux opérations
e.» L'Entracte du 16, à propos des expériences qui se font dans les hôpitaux de Paris avec l’étber sulfurique pour produire un
nsanie. C’est une fièvre d’imitation sans pareille qui se propage des hôpitaux à la ville. Il n’est bruit que d’opérations faite
uoi faut-il que la chirurgie, comme la médecine, laisse en dehors des hôpitaux ce magnétisme qui parcourt maintenant le globe en
t magnétique, sans douleur aucune, et la nouvelle de la création d’un hôpital magnétique à Calcutta. L’opposition stupide que
cteur James Esdaile, chirurgien militaire, aujourd’hui directeur de l’ hôpital magnétique de Calcutta, a publié dans YEnglishman
uestion du magnétisme, et que, sur le rapport de cette commission, un hôpital magnétique a été fondé à Calcutta, sous la direct
analyser le sang s’il en reste. Ce droit, que nous exerçons daus les hôpitaux sur quiconque y vient mourir, doit être étendu au
e cet avenir où il gémira, où, s’il est pauvre, il ira mourir dans un hôpital ; s’il'est riche, il n’en sera pas moins presque
à notre cause. Le fond de l’article est consacré à la fondation de l’ hôpital de Calcutta, dont ce journal félicite le gouverne
il nous fut répondu que c’était à l’encombrement, à l’air vicié de l’ hôpital qu’il fallait attribuer ces ravages; qu’en ville
, vingt-quatre heures après une opération de 'lithotomie exécutée à l' hôpital de Suffolk etColchester, le patient, qui avait ét
ger l’étude d’un sujet aussi important. » Appréciant la création de l' hôpital magnétique de Calcutta et la nomination du docteu
a Démocratie pacifique et la Mouche ont reproduit notre article sur l’ hôpital de Calcutta. Le Propriétaire-Gérant : HÉBERT (d
nce. Chronique. — A la date de nos dernières nouvelles de l’Inde, l’ hôpital magnétique de Calcutta était en pleine activité,
endu absolument, mais seulement suspend» l’emploi de l’éther dans les hôpitaux et ambulances de l’Algérie. Cette mesure a été pr
une aggravation; mais le malade, ne pouvant se résoudre à entrer à l’ hôpital , se lit transporter chez moi. Il habitait Paris d
ombe Cache aussi bien des secrets : Quand le malade succombe, Les hôpitaux sont discrets. J’ai vu ■— l’aveu m’est pénible
subtils, occultes, constituent la bonne nature, comme on dit dans les hôpitaux ; dans l’autre il y a la matière préludant à la pu
surface du pied ; cette plaie était si alarmante, qu’on la porta à l’ hôpital des incurables, où quatre doigts de ce pied, qui
gangrène, lui furent coupés, et, après un assez long séjour dans cet hôpital , elle s’en revint chez elle avec l’ulcère ouvert,
bataillon au 02' ; — De Rancourt, id. ; — l’abbé Faûn, aumônier de l' hôpital civil; —l’abbé de Gournay, aumônier du collège; —
amille plusieurs parents morts de phthisie pulmonaire, est entrée à l’ hôpital de la Pitié il y a six mois, pour des accidents g
maigrit beaucoup. Cette jeune malade était depuis quinze jours à l’ hôpital de la Pitié, où elle était traitée pour les accid
st assez, colorée ; elle descend pour se promener dans les cours de l' hôpital , et mange avec appétit ; toutefois le pouls est l
s la plus large mesure des eflbrts individuels, décide : « 1° Qu'un hôpital mesmérien (Mesmcric Infirmary) « sera établi par
156 Hystérie tympanique. 301 Hydroscopie. 54, 373 Hémiplégie. 69, 104 Hôpital magn. de Londres. 371 Irène. 81>153 Insensib
ouris se levèrent comme une armée de lances et vinrent fondre sur les hôpitaux . L’amour de l’humanité prit soudain une si large
her la pratique médicale dans les familles pieuses et jusque dans les hôpitaux , où, lorsque le médecin ordonne ce remède, l’aumô
qui a donné lieu à l’institution précitée. Londres aussi va avoir son hôpital ; quand Paris sera-t-il donc doté d’un pareil éta
oins de deux ans il est parvenu k faire décréter l’établissement d’un hôpital magnétique, celui de Calcutta. Qui pouvait, d’un
tupide et un œil gonflé; c’est pourquoi j’ordonnai de le conduire à l’ hôpital . Alors on me montra l’accusé: il me dit qu’il éta
er moins que pour produire l’insensibilité. « Je me rendis donc à l' hôpital de la prison et j’y magnétisai un homme que j'ava
it quelque chose d’analogue en me faisant suivre d’un prisonnier de l' hôpital saus qu’il le sût. Laffaire fut renvoyée au juge;
rogrès, puisque nous recevrons désormais les bulletins cliniques de l’ hôpital qu’il dirige. Hébert (de Garnav). Le Projméta
es commissaires étaient : J. Atkinson, esq., inspecteur général des hôpitaux , président de la commission; E.-M. Gardon, esq.
ant de commencer, qu’il voulait avoir : 1° la direction médicale de l’ hôpital , quel qu’il fût, où se feraient les expériences p
expériences ans indigènes de la classe habituellement reçue dans les hôpitaux , et refusa d’exécuter lui-même les manipulations
dous et ma-homélans, la plupart; aide-chit urgiuns et pharmaciens à l’ hôpital de Hodghly. -h • ■. r.v . k « Un mesmériseur fu
dou- leurs matérielles sur un grand nombre de malades dans tous les hôpitaux . « Dans les trois autres cas, la commission obs
e du mestoérisme dans la pratique chirurgicale, spécialement dans les hôpitaux . Mais M. Esdaile dit positivement qu’en changeant
uvernement suprême, de mettre le docteur Esdaile à la tête d’un petit hôpital expérimental, dans une situation favorable de Cal
ndigènes. M. Esdaile sera chargé d’encourager la fréquentation de son hôpital par toutes personnes respectables désirant se con
ommera visiteurs des médecins de la Présidence, qui devront visiter l’ hôpital de temps en temps, inspecter les procédés du doct
t de la Grande-Bretagne en ayant pris l’initiative en établissant des hôpitaux magnétiques à Londres, à Calcutta et à Madras.
uvernement ayant approuvé la publication de rapports mensuels sur mon hôpital , comme le meilleur moyen de répandre dans le publ
un résumé de ma clinique, alin que le monde sache ce qui se passe à l’ hôpital mesmérique et que mes relations puissent être cor
’avait point vu depuis hier. — 11 était magnétisé quand j’arrivai à l' hôpital , voilà pourquoi je ne me trouvais pas dans ses so
caussade, passant dans cette île, en février dernier, a magnétisé à l’ hôpital de Jamestown deux femmes très-malades qui ont épr
a pratiqués sur lés théâtres, au foyer domestique, et jusque dans les hôpitaux où ils ont délrôné la souffrance. Ils ne constitu
bjet. 250 Homœopathie (l'), par le Dr Goure ; analyse el extraits. 80 Hôpitaux magnétiques — de Calcutta, 84,136, 171, 271; de M
193 ; — à Londres : exhibition de Mlle Prudence, 56; souscription à l' hôpital magnétique, 345;—à Marseille : procès scandaleux,
64 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
ne devra jamais déserter cependant la pratique assidue d'un service d' hôpital . On opposera peut-être à ces vues ce qui se pas
on d'en voir d'exemple soit cli-niquement, soit à l'amphithéâtre de l' hôpital . Si maintenant nous examinons la pneumonie loba
autres ont été recueillies par nous il y a plusieurs années dans les hôpitaux \ La pneumonie aiguë lobaire simple n'est pas l
chronique. Des foyers tuberculeux, 1 Je prie mes collègues dans les hôpitaux . MM. Monneret, Gubler, Aran, llérard, Woillez, de
serva-tion suivante recueillie par nous, il y a plusieurs années, à l' hôpital de La Charité, paraît établir que la gangrène pul
Le nommé Cordier (Jean-Pierre), âgé de 46 ans, terrassier, en-tre à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Charles, n° 8, le 16 j
il fut pris d'une affection de poitrine qui nécessita son séjour à l' hôpital pendant un mois. La maladie en question a été dés
es appliqués sur le côté droit de la poitrine. Lors de l'entrée à l' hôpital , 16 juillet, le malade dit avoir été repris depui
ouvoir insérer l'observation suivante, qu'il a recueillie en 1847 à l' hôpital Bon-Secours, et qui est un bel exemple de pneumon
. Colin, âgée de vingt et un an, bijoutière, non mariée, entrée à l' hôpital Bon-Secours, salle Sainte-Anne, le 20 février 184
rter aux organes 1 Loc. cit. pectoraux. Quand elle est entrée à l' hôpital , elle n'offrait aucun signe d'amaigrissement, quo
souffle est plus fort qu'à l'épo-que de l'admission de la malade à l' hôpital . Quand on la fait tousser, on perçoit un râle muq
rmes de la maladie. L'observation suivante, recueillie par nous à l' hôpital de la Pitié en 1850, est un bel exemple de pneumo
e nommé Champion, bonnetier, âgé de soixante et un ans, est admis à l' hôpital de la Pitié, le 30 mars 1850, salle Saint-Raphaël
de pneumonie chronique ulcéreuse J'ai recueilli le fait suivant à l' hôpital de la Charité, en 4854. Obs. — Pneumonie chroni
signes d'une antéversion complète de l'utérus. Pendant son séjour à l' hôpital , elle tousse, dépérit et bientôt une expectora-ti
rande, si l'observation de la ville pouvait être opposée à celle de l' hôpital , ou encore si l'étude de la maladie était faite d
qu'a fait allusion M. Brouardel, dans les Bulletins de la Société des hôpitaux (1872, p. 168). M. W. Fox (Reynoyld's System, art
M. Oulmont et communiquées à M. Charcot, par M. Tapret, in-terne des hôpitaux , paraissent aussi appartenir à ce genre de pneumo
ncore des crachats noirs lors de son entrée et pendant son séjour à l' hôpital . L'examen microscopique démontra dans ces crachat
1 en a fait une étude spéciale, à l'aide de quelques cas observés à l' hôpital Saint-Georges. Les ouvriers en question sont occu
t étudier anatomique- 1 Leçons résumées par M. Oulmont, interne des hôpitaux . ment ce tubercule élémentaire, en quelque sort
Granulations des reins. — Tubercules du péritoine et de Vinleslin. Hôpital de Lariboisière, salle St-Charles, n° 9, année 18
erçant la profession de tailleur, est entré pour la première fois à l' hôpital de Lariboisiôre, il y a en-viron six semaines. A
foie de morue en particulier. Au bout de trois semaines de séjour à l' hôpital , le malade, qui se trouvait notablement mieux, de
demanda sa sortie. Le 30 juillet, Nattermann rentre de nouveau à l' hôpital Lari-boisière. Malade depuis plusieurs jours, il
symptômes qui pré- 1 Communication faite à la Société médicale des hôpitaux , dans la séance du 22 mars 1865. sente une phys
), âgé de 45 ans, peintre en bâ-timents, entre, le 18 avril 1853, à l' hôpital de la Charité, service de la clinique, salle Sain
bes n'a pas reparu depuis ce temps. État actuel. — A son entrée à l' hôpital , nous trouvons le ma-lade dans l'état suivant: am
a rapporté plu-sieurs faits de cette espèce, recueillis dans le grand hôpital de Vienne. Il est difficile, ce nous semble, d'y
cinquante-huit ans, colo-riste, est amenée, le 20 septembre 1860) à l' hôpital de la Pitié, dans un état très grave, et succombe
Arnould, Louis, âgéde 29 ans, boutonnier. Entré le 10 juin 1850, à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Michel, n° 8, service
nt ; la fatigue de-vient extrême et il se voit forcé de se rendre à l' hôpital Saint-An-toine. Le traitement qu'il y subit et qu
de vapeur et en fumigations, reste sans effet. Le malade quitte cet hôpital après un séjour de deux mois, il reste chez lui p
zaine de jours, sans traitement, et entre enfin, le 10 juin 1851, à l' hôpital delà Charité, où nous le trouvons dans l'état sui
produisirent aucun soulagement, et le malade se dé-cida à entrer à l' hôpital . Le 5 novembre, à la visite du matin, on examina
ois ans, mar-chande des quatre saisons, entre le 13 juillet 1858, à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. le docteur Cha
par les chiffres suivants : Observ. recueilUies dans les Musées des Hôpitaux auteurs anglais de Londres { Thoracique........
vu souvent administrer avec de bons résultats, le vin diurétique des hôpitaux de Paris; mais il accorde une préférence marquée
. M. Vul-pian a présenté, l'année dernière, à la Société médicale des hôpitaux ,un cas de ce genre. Un kyste fibrineux de l'oreil
Paris, 1863, p. 161. — Vulpian. Bulletins de ta Société médicale des hôpitaux de Paris, 1865, p. 10. VII. Embolies de l'aorte
e à se produire. Nous avons vu, dans le ser-vice de M. Moissenet, à l' hôpital Lariboisière, une oblitération embolique de l'art
an), âgé de 54 ans, peintre en bâtiments, rentre, le 5 août 1851, à l' hôpital de la Charité, salle Saint-Michel, n° 7 (service
g des nerfs sciatique et crural. État du malade après sonentrée à l' hôpital . — Anémie profonde : teinte jaunâtre et comme cir
Un homme vigoureux, âgé de 29 ans, journalier, entre, le 24 mai, à l' hôpital de la Charité, pour y être traité d'un rhuma-tism
cardiaque. Pendant les dix ou douze premiers jours de son séjour à l' hôpital , rien de remarquable, si ce n'est que le malade e
ous avons observé, il y a deux ans, dans le service de M. Béhier, à l' hôpital de Bon-Secours. Une vieille chiffonnière, âgée
ladies régnantes du mois de mars 1865, fait à la Société médicale des hôpitaux , par M. le docteur T. Gallard, nous trouvons la n
monie des vieil-lards, 1866.) 1 Bulletin de la Société médicale des hôpitaux de Paris, deuxième série, tome II, 1865, p. 86 et
65 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
URETTE PROFESSEUR AGRÉGÉ A LA FACULTÉ DE MÉDECINE ' MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPHI
NOSE CHRONIQUE HYPERTROPHIANTE PAR M. PÉHTJ, Ancien interne des hôpitaux de Lyon. Le domaine de la pathologie des extrém
à Paris après avoir toussé tout l'hiver ; entre en février 1890 à l' hôpital Cocbim on constate une pleurésie droite et on lui
à Genève, exerçant la profession de manoeuvre (maçon). Entré à l' hôpital cantonal le ler septembre 1902 (observât., n° 144
crises nerveuses, depuis plusieurs années : elle a été traitée à l' hôpital cantonal du 29 mars au 10 mai 1902 et le diagno
t empire toujours, le malade se décide à demander son admission à l' hôpital . A l'entrée, le malade est un homme de 26 ans,
basse.) Il a essayé de descendre plusieurs fois dans le jardin de l' hôpital mais il n'a pu rester longtemps de- hors, car l
, le malade n'a constaté aucune amélioration, depuis son entrée à l' hôpital , après les traitements successifs qui lui ont été
mains. A ce mo- ment le malade songe à solliciter son admission à l' hôpital ou, au moins, un examen médical : il est fort i
PAR CALMETTE, ET , PAGES, Chef de clinique médicale. interne des hôpitaux . Observation. Notre malade est une jeune fill
depuis le mois de juin dernier, époque où la malade se présenta à l' Hôpital Général, à la consultation* de M. le professeur a
s'y joignit bien- tôt des douleurs qui firent entrer la malade à l' hôpital Lariboisière le 12 mai et à la Salpêtrière le 2
AIT DE MACRODACTYLIE PAR FÉLIX LE JARS, Agrégé, chirurgien de l' hôpital Tenon. Je ne veux rappeler ici aucune des quest
E. BRISSAUD Professeur à la Faculté et BRUANDET Interne des Hôpitaux . Observation E. P..., âgé de 49 ans, vendeur
âgé de 49 ans, vendeur aux Halles, grand buveur de vin, en- tre à l' hôpital pour la première fois le 29 novembre 1901, se pla
ns prononcés. L'état gé- néral est satisfaisant. Le malade quille l' hôpital le 7 juin 1902. Le 16 octobre, il y rentre en t
OUBLES DE LA SENSIBILITÉ, PAR R M. LANNOIS, Agrégé, Médecin des Hôpitaux de Lyon, A. POROT, Interne des Hôpitaux de Ly
IS, Agrégé, Médecin des Hôpitaux de Lyon, A. POROT, Interne des Hôpitaux de Lyon Les frontières élevées entre les atroph
ûrement intervenir. Observation. R... Philippe, 38 ans, entre à l' hôpital St-Potliin, service des maladies ner- veuses, l
LIS ET TABES, PAR a J. SABRAZÈS, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux de Bordeaux. Le rôle primordial de la syphilis
philitique (Tabes héréditaire) (Bullet. et Mém. de la Soc. méd. des Hôpitaux de Paris, séance du 24 octobre 1902). MONSTRUEU
UN CAS DE PHOCOMÉLIE ET HÉMIMÉLIE PAR P. 13ALBRON Interne des hôpitaux . Nous avons montré à la'Société de Neurologie,
irmes. ' Sur notre sanguine, la scène représente encore une salle d' hôpital .' Une malade est couchée sur un lit; près d'ell
si longtemps, de cruels ravages dans les hospices : la pourriture d' hôpital , ou quelqu'autre gangrène humide, également répug
evilles des bourrelets d'oedème très caractéristiques. Enfin, à l' hôpital de Beaune, dans la salle des blessés, j'ai vu enc
Faculté de médecine de Paris. ET BRUANDET Ancien interne des hôpitaux de Paris. Le foetus B..., de sexe féminin, mo
des (1) Nous devons ce foetus à M. le docteur Bar, accoucheur de l' hôpital St-Antoine ; nous le remercions de nous avoir f
tableau des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l'entrée à l' hôpital concorde bien avec la disposition topographi- q
accrut avec l'asphyxie et la malade mourut après avoir séjourné à l' hôpital seulement quatre jours, pendant lesquels, les dés
ËGAUQUE ET DIABÉTIQUE PAR a P. E. LAUNOIS, Agrégé, médecin de l' hôpital Tenon PIERRE ROY, Ancien interne des hôpitaux
Agrégé, médecin de l'hôpital Tenon PIERRE ROY, Ancien interne des hôpitaux de Paris. Gigantisme (2 III. 12). Acromégalie.
mai 1900 par MM. Achard et Loeper, est mort dans notre service de l' hôpital Tenon le 29 mai 1902, à l'âge de 36 ans. Son hi
entier; sa santé périclita et il devint un commensal des différents hôpitaux parisiens, séjournant successivement à St-Antoi
ous avons faites avec l'obligeant concours de M. Lefas, interne des hôpitaux . Foie. Il n'existe pas de sclérose proprement d
Enfin, revue générale sur l'Infantilisme (bibliographie), Gaz. des Hôpitaux , 22 février 1902.- Voir aussi les im- portants
D'HÉMIMÉLIE RADIALE INTERCALAIRE, PAR M. KLIPPEL Médecin de l' hôpital Tenon. ET $TIENNE RABAUD Docteur ès science
la main droite. I L'homme porteur de cette anomalie est entré à l' hôpital Tenon, dans le ser- vice de l'un de nous, le 27
Chef de clinique chirurgicale. ET Paul CAVAILLON, Interne des hôpitaux , Tout dernièrement M. le professeur Jaboulay, d
THROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 261 Le malade quitte l' hôpital le 29 mars 1903, dans son appareil plâtré ; la
tres fois se plaint de sa fille qui a eu le coeur de l'enfermer à l' hôpital . Elle semble oppressée; parfois se plaint sans
G. DENY Médecin de la Salpêtrière. ET A. LE PLAY Interne des hôpitaux . La malade dont nous allons rapporter brièvemen
ou n'existait qu'à un degré minime au moment où D... est entrée à l' hôpital . Le personnel hospitalier s'accorde du reste pour
TION. RÉGÉNÉRATION AUTOGÈNE, PAR G. DURANTE, Ancien interne des Hôpitaux de Paris, Chef de laboratoire a la Maternité.
UDE. Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 1889 et Soc. méd. des hôpitaux , 5 mars 1897. (2) QUEINNEC. Thèse de Paris, 190
e. La majorité des malades ne réclament même pas leur admission à l' hôpital ; ne souffrant pas d'idées de persécution, " il
INTURES DE L'ÉCOLE ITALIENNE. PAR , , J. GENEVRIER, Interne des hôpitaux . Dans les quartiers populeux des grandes villes
emps que cette coutume est en honneur dans les pays italiens. A l' hôpital des Enfants-Assistés de Florence, aux fameux « in
eule en usage jusqu'à ces dix dernières années ; la lingerie de cet hôpital possède encore tout un stock de bandelettes inu
, M. Thibierge, avait pris l'heu- reuse initiative d'organiser, à l' hôpital Saint-Louis, une exposition des images ancienne
66 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
ans cette discussion. Il s'agit d'une femme de 30 ans qui entra à l' hôpital deux mois après son accouchement. Elle était am
YPERTROPHIANTE par Paul CHEVALLIER, Ancien interne, lauréat des hôpitaux . Avec le Dr Calas et le Dr Gallet, chef du labo
le Dr Calas et le Dr Gallet, chef du laboratoire de radiologie de l' hôpital Broca, nous avons eu l'occasion, dans le cours de
hypertrophiante (type Pierre Marie) avec polyurie, in Soc. méd. des hôpitaux de Paris, 22 mars 1912, p. 346-351. (2) ALAMA
NE SUR L'OHGANOGÉNÈSE par R M. Mario BERTOLOTTI, . Médecin de l' Hôpital Majeur de Turin, Docent-privé à la Faculté. D
vons à l'obligeance de notre confrère le Dr Ponzio, radiologue de l' hôpital Mauriziano de Turin, de pouvoir en donner ici un
qu'il puisse (1) APERT, De l'acrocéphalo-syndactylie. Soc. méd. des hôpitaux de Paris, igio, p. 131o. (2) Dans son Traité
I. W...., 59 ans, ouvrier de port, entre le 26 novembre 1912 dans l' hôpital municipal de Rotterdam. La famille nous commu
à ma demande, plusieurs fois répétée, où il se trouve, il répond : hôpital . Je lui montre une pièce de monnaie, il reconnaît
es ganglions centraux. Observation II. 1 Kr..., 45 ans, entre à l' hôpital municipal de Rotterdam le 27 novembre 1911. Les
en 1899 dans les « Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux » (1) et dans une communication faite à la Soci
façon variable. Nous avons eu nous-mêmes l'occasion d'observer à l' hôpital Beaujon, dans le servive de M. le D' Faisans, q
i l'observation du malade : M... ébéniste, âgé de 31 ans, entre à l' Hôpital Beaujon dans le service du D'' Faisans, le 17 j
mme nous le verrons, avec l'affection médullaire, qui t'amenait à l' Hôpital . Au mois d'avril 19t) il avait ressenti des dou
paraplégie devint complète, et c'est alors qu'on le transporte à l' hôpital . 1° Examen (20 juillet 1912). Les membres inf
omme matière des malades psychiques, qui se trou- vaient dans notre hôpital et de pellagreux récents, qui manifestaient seu
lier seulement 52 de ces cas. Dans mon travail le pro- secteur de l' hôpital N. A. Alféeysky m'a rendu de grands services. Ses
inés dans les villages et les autres à ceux qui se sont trouvés à l' hôpital de Koslingeni. 1° A. V., (le 30 ans. Malade de
érange- ment psychique un mois ; se trouve depuis deux semaines à l' hôpital . Le sang contient des leucocytes d'une couleur
des vacuoles. 23' S. G., psychose pellagrique : Depuis un mois à l' hôpital ; deux mois après l'examen du sang il en est so
res. 24° M. G., psychose. pellagrique. Un mois après sa rentrée à l' hôpital il tomba malade d'un typhus pellagrique et mour
myéloblaste et des leucocytes vacuolisés. 33° A. R., restait à l' hôpital 2 mois. Tout le temps il se sentait excité, en
n constate que ce sont les diplocoques. 3f fil. D. est restée à l' hôpital 2 semaines. Elle se trouvait tout le temps dans
as, 10 récents et 10 d'une lente évolution, qui se sont trouvés à l' hôpital et par rapport à leur pourcentage, j'ai atteint
on put le laisser sortir seul, non seulement dans les terrains de l' hôpital , mais même en ville. Il s'en retourna chez lui
traitement ne fut pas imposé dans une maison spéciale, mais dans un hôpital général ; et la plus grande liberté fut accordée
NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE par L.BARRAQUER Médecin neurologiste de l' Hôpital de In Sainte-Cioix à Barcelone. L'objet du prés
ici d'abord notre observation : G Michel, Mans, gendarme, entré à l' hôpital militaire Desgenettes, dans le service de l'un
t sombre, mélancolique, très irritable et emporté. A \'entrée à 1 hôpital , ce qui frappe d'emblée à l'examen, c'est, à côté
que nous avons eu l'occasion de présenter à la Société médicale des hôpitaux de Lyon (1) et que nous reproduisons ici (PI. XLI
métacarpiens, déjà signalé (t) Cluzet et Lévy. Société Médicale des Hôpitaux de Lyon, séance du 31 mars 1914. NOUVELLE Icono
uste avec faible volume de la selle tUt'ri"ue, Société médicale des hôpitaux de Lyon, 31 mars 1914, Lyon médical, no 914, 11
cient azolurique du sérum dans diverses maladies. Soc. médicale des hôpitaux de Paris, (1 14 mars 1913, p. 651. (2) BERTRA
n hypophysnire avec hyperaibuminose racltidienne. Soc. Médicale des hôpitaux de P.iris, 28 novembre 1913, p. 708. (5) CLAUDE
o- mégalie. Thèse Paris, 1909. (t) LEBICHE, Société .Médicale des hôpitaux de Lyon, séance du 31 mars 19<4 ; Lyon Médic
TYLII : , PAR R Maurice KLIPPEL, et Etienne RABAUD, Médecin des hôpitaux . Maître de conférences à la Soi bonne. Si la po
ractère aigu. Observation I Kn., 65 ans, sans domicile, entre à l' hôpital municipal de cette ville dans un état d'épuisem
nt électrique est partout normale. Après un séjour de huit mois à l' hôpital , le malade succombe dans un état de cachexie.
corps strié ». Observation Il. Le malade C;, 60 ans, entre à l' hôpital en mai 1914. Trois ans et demi avant, il avait
il prenait sa nourriture lui-même. Huit jours avant son entrée à l' hôpital , son état s'aggrave : un matin on le trouve inc
s pendant une on deux minutes. Huit jours après son admission à l' hôpital , le malade succombe. La réaction de Wassermann
DES MEMBRES PAR Maurice KLIPPEL et Etienne RABAUD Médecin des Hôpitaux , Maître de Conférences u la Sorbunne. I.- Quatr
, immédiate- ment après, a été pris d'une longue attaque. Admis à l' hôpital , il montre une grande sensibilité à la pression
(ce qui était possible dans mes nombreuses observations suivies à l' hôpital municipal de la Haye). Le deuxième point est qu
e l'épilepsie par les bromures et l'hypocltlorul'ation. Gazette des hôpitaux , 1906, n° 10, et Revue de psychiatrie, 1900. Du
rie, 1900. Du sel dans l'alimentation des épileptiques. Gazette des hôpitaux , 1900, n° 82. TRENRELENBURO (P.). Ueber der Nac
67 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
s troubles persistaient donc, lorsque, sur l'avis d'un accoucheur des hôpitaux , son mari me fit appeler près d'elle. Comme je l'
'état de veille. V... (Jeanne), domestique, dix-sept ans, entre à l' hôpital Saint-André le 24 décembre, salle 1, parce qu'ell
sîté à la colonne vertébrale. C'est alors qu'elle entra, en 1891, à l' hôpital des enfants dans le service de M. le Dr Boursier,
ntes de feu sur la colonne vertébrale. Elle sortit un mois après de l' hôpital sans amélioration. Quatre ou cinq jours après sa
896, il lui fut impossible de marcher et, le 24, elle dut rentrer à l' hôpital . Au point de vue nerveux, elle est très impressio
er au destinataire. Elle sort de la salle, traverse les couloirs de l' hôpital , accomplit la commission qu'on lui a confiée, acc
e dois vous rapporter l'intéressante cure. > Lorsqu'il entra à l' hôpital , il avait une céphalée continue, des crises nerve
s ; mais nous ne pûmes jamais obtenir qu'il prit son parti d'être à l' hôpital . Tous nos efforts furent vains pour le changer, e
sans le réveiller, en lui promettant que je signerais son billet à l' hôpital . Chose curieuse! ce garçon qui sollicitait toujou
graduellement espacées; rien ne nécessitant donc plus son séjour à l' hôpital , je me décidai à le laisser sortir. Dans une dern
al infirmier. C'était lui. Il me raconta sa vie depuis sa sortie de l' hôpital . En quelques mots, je vais vous résumer les faits
ypnotisable, n'a pas cessé d'être hystérique. « Depuis ma sortie de l' hôpital , m'écrit-il; j'ai eu deux crises, il y environ 3
albuminurie disparut; mais, quelques mois après, elle dut rentrer à l' hôpital , où on lui trouva encore de l'albumine dans les u
capricieuse. Depuis son accouchement elle n'a presque pas quitté les hôpitaux de Paris ou de Lille. Elle a passé chez nous au m
réparais, et se rendormir jusqu'au lendemain matin. A mon arrivée à l' hôpital je la réveillais et elle pouvait se lever, faire
urues par le Dr Luys avaient éié rapides et brillantes. Médecin des hôpitaux en 1862, il avait été chef de service â l'hospice
1862, il avait été chef de service â l'hospice de la Salpêtricre, à l' hôpital de la Chanté et était devenu 92 revue de l'hy
quatre ans, le Dr Luys avait dû prendre sa retraite comme médecin des hôpitaux . Atteint par la limite d'âge, mais se sentant tou
donne pour preuve une expérience qu'il a faite, en 1888, à Liège, à l' hôpital de Bavière, sous les yeux de MM. de Laveleye, Del
pris un développement considérable en Angleterre. On avait établi des hôpitaux spéciaux et on publiait des résultats favorables
hésie chirurgicale; pendant six années, Esdaille opéra ainsi dans les hôpitaux du Gouvernement des Indes. Il enregistra ainsi pr
orme et pris mes fonctions. » M. Norlh, professeur de Physiologie à l' hôpital de Westminster, éprouva cette même impression, ét
t attendre, le malade résolut d'aller faire un traitement dans un des hôpitaux d'Amsterdam. Il choisit l'hôpital dit Buroerzie
faire un traitement dans un des hôpitaux d'Amsterdam. Il choisit l' hôpital dit Buroerziehenkuis, et fut admis le 28 mai suiv
ant les vacances de notre Société. Luys, ancien interne lauréat des hôpitaux , lauréat de l'Académie de médecine, de la Faculté
de la Faculté de médecine et de l'Académie des sciences, médecin des hôpitaux et membre de l'Académie de médecine, avait consac
cette époque, 1877 et 1878, que commençaient à la Salpétrière et à l' hôpital de la Pitié les éludes sur l'action des métaux et
ersonne de nous n'ignore que dans les dernières années de sa vie, à l' hôpital de la Charité, le D' Luys fit de nombreuses et re
psychologie. J'ai suivi le D' Luys dans sa carrière de médecin des hôpitaux pendant de longues années, et c'était pour moi un
eur Joffroy, les mercredis et samedis, à 9 h. 1/2 (Asile Ste-Anne). Hôpitaux — Salpétrière: M. le Dr Déjerine : consultations
alogues, au point de vue médico-légal, 1 vol. in-8. (2) Galette des Hôpitaux , Paris, 1887, p. 1125. (3) Delbœuf: Discours, p
Le D' Mesnet, membre de l'Académie de Médecine, médecin honoraire des hôpitaux , officier de la Légion d'honneur, a succombé le 1
de l'hémianesthésie gauche chez les hystériques. Devenu médecin des hôpitaux , Mesnet s'occupa avec une prédilection marquée de
coucher sans douleur des femmes mémo primipares; et (2) Gazette des Hôpitaux , 8 nov. 1887, col. 2, in fine. de ce fait que
culté de médecine de Nancy, expérimenta à son tour dans son service d' hôpital . Il commença, avoue-t-il, avec sceptiscime, mais
lasse de la lutte, aurait-elle cédé ; mais ce que l'on peut faire à l' hôpital est parfois diffìcile dans la pratique privée ; d
, je me trouvais à Liège. Mon ami, M. Delbœuf, voulut me montrer, à l' hôpital de Bavière, un jeune homme qu'il traitait, par su
pour exécuter la statue de Charcot, qui s'élèvera à l'intérieur de l' hôpital de la Salpétriêrc, près la grande porte d'entrée.
suivant : Une jeune fille, incapable de marcher, est transportée a l' hôpital ; le médecin diagnostique nue paraplégie hystériq
s'adressent aux œuvres de bienfaisance et d'assistance publique, aux hôpitaux , aux académies. En Russie comme en Amérique, l'
examiner d'autres, et qu'elle considère la chose comme habituelle à l' hôpital . M. Bernheim compare le soi-disant automatisme
té poussé à la prêtrise par Vincent de Paul. Il devint confesseur à l' hôpital de la Pitié, y connut Du Vergier de Hauranne, pri
l fait part de la mort de M. le Dr Armand Paulier, ancien interne des hôpitaux , qui fut un des membres fondateur de notre Sociét
68 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ces chroniques qui ne trouvent pas toujours un accès facile dans les hôpitaux de la ville, et qui, en tous cas, n'y trouvent pa
iné dans le laboratoire, dédaignerait les enseignements de la salle d' hôpital . La méthode appropriée à la culture de ce vaste
oujours les mêmes, communes à la pratique de la ville et à celle de l' hôpital , valables pour tous les pays, pour tous les temps
et sans éprouver le besoin d'uriner. Il se fait alors transporter à l' hôpital Necker, dans le service de M. Guyon, où on le son
surtout été dirigée de bonne heure vers le commerce. Il est entré à l' hôpital sur notre recommandation, espérant y être examiné
rencontré une vingtaine de cas,. et, dans la Revue photographique des hôpitaux , on 1. L'observation decotte malade se trouve i
ne certaine jétendue 1. Leçon recueillie par M. Guinon, interne des hôpitaux . (tremblement intentionnel, lntentionzittern de
meilleure mine qu'autrefois, la médication tonique et le régime de l' hôpital qui n'est cependant pas idéal, lui ont profité, s
peu de temps après, pratiqua l'énucléation de cet œil. Au sortir de l' hôpital , G... ne tarda pas à reprendre sa vie désordonnée
douleurs abdominales. Trois mois après sa guérison, étant encore à l' hôpital , en convalescence, la vue d'un cadavre qu'on empo
on ancien chef de clinique, M. le Dr Ballet, actuellement médecin des hôpitaux , l'objet d'une étude attentive En rapprochant des
service. 2. Leçon faite le 1er mai 1885. A la Société médicale des hôpitaux , dans la séance du 24 juillet dernier, M. le Dr T
r mon collègue, M. Troisier, a été l'objet, à la Société médicale des hôpitaux , dans la séance du 27 mars dernier ; vous verrez
plus rigoureuse du terme. Le 8 janvier 1885, notre malade se rend à l' hôpital Tenon, dans le service de M. Troisier, qui consta
lorsque, il y a un mois, il a été présenté à la Société médicale des hôpitaux . Étudions avec soin cette monoplégie singulière
ar mon collègue M. Joffroy, dans la séance de la Société médicale des hôpitaux \ ihe der Grùsshimhemisphiïren (Mendel's Neurol
tableau un nouveau trait. Il y a cinq jours, le malade est sorti de l' hôpital et il est rentré de son expédition très fatigué.
s, de 2tk quinze jours plus tard. Le 11 juillet, le malade a quitté l' hôpital brusquement ; durant la semaine qui a précédé sa
l'événement, le malade se décida à aller consulter un chirurgien à l' hôpital St-Antoine ; le poignet, la main, les doigts étai
faite. Tout récemment, mon collègue, M. leDr Périer, chirurgien de l' hôpital de Lariboisière, consulté à son tour, a eu l'obli
des mouvements assez étendus. Le malade, je le répète, sortit de l' hôpital ce jour même et nous l'avons, depuis lors, perdu
le quand il s'agit d'une pure question de diagnostic, en ville ou à l' hôpital ; on peut alors faire fausse route sans qu'il en
t resté environ 20 minutes, et, de là, toujours sans connaissance à l' hôpital Beaujon. Les détails qui précédent ont été donn
u sur sa tête. Revenu à lui, il se montra fort surpris de se voir à l' hôpital ; il ne se souvenait absolument de rien de ce qui
out de quelques jours cependant, il put quitter le lit et sortir de l' hôpital pour se rendre chez lui en partie à pied ; 2° Il
it qu'au bout de 13 jours. Le malade fut transporté à Lariboisière, hôpital voisin de la gare du Nord, Il y arriva le jour mê
ical, 1886). —•"-*""— 2. Leçons de décembre 1885. (Voir la Gaz. des hôpitaux du 12 janvier 1886). répondent aux caractères d
ues cas d'aphasie hystérique et rappelle qu'à la Société médicale des hôpitaux (1867), à propos de faits de cette nature, M. Mor
Dr Revilliod. C'est dans cet état qu'il de mande son admission à l' hôpital , le 11 février 1881, ne présentant comme phénomèn
utilement une grande quantité d'air. Le 18 juin 1881, Ch.. quitte l' hôpital parlant spontanément et couramment sans difficult
cales dans le même état constaté par M. Revilliod- A sa sortie de l' hôpital , il reprend sa vie tourmentée, éprouve de nouveau
le lendemain, on le trouve endormi à l'hôtel ; il fut transporté à l' hôpital où il se réveilla muet et encore paralysé du côté
lysie remonte à quatre mois, pendant un voyage au Havre. Il entre à l' hôpital de la Salpêtrière, le 8 novembre 1885. A son en
que chose dans le cou qui l'empêchait de parler. Ch. est sorti de l' hôpital à la fin de novembre, toujours muet. Quelques jou
la parole ; la malade ne sait ni lire ni écrire. A son arrivée à l' hôpital , mutisme absolu ; mais la malade comprend ce qu'o
reprochait sa conduite et lui refusait de l'argent. A son arrivée à l' hôpital , il n'entend pas quand on lui parle tranquillemen
crit ce qu'elle ne peut dire. La malade est entrée plusieurs fois à l' hôpital . Tous ceux qui l'ont examinée ont été d'accord su
n cas d'hystérie et promit la guérison si la malade voulait venir à l' hôpital . Après un premier refus, elle se décida et Wilks
1883 ; obs. 2 du mémoire de Revilliod). — Homme de 48 ans, admis à l' hôpital cantonnai, comme sourd-muet et paralysé du côté g
Dr Chauffard). — L..., Léonie, domestique, âgée de 28 ans, entrée à l' hôpital de la Pitié le 27 mars 1885. Mère très nerveuse;
69 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
up d'intérêt un garçon de 19 ans qui nous fut amené par sa mère à l' hôpital St-Antoine, nanti d'un état civil qui nous stup
L'administration avait fait des difficultés pour le recevoir dans un hôpital d'adultes. Lui-même n'y voulait pas rester. La
onstater le petit volume du (1) Bulletin do la Société médicale des hôpitaux de Paris, 13 décembre 1906. (2) Un cas d'infant
gie par embolie d'origine cardiaque. Après quinze jours de repos à l' hôpital , l'hémi- plégie et l'aphasie s'atténuent et peu
. Gasne ait pu intituler sa communication à la Société médicale des Hôpitaux : Sur un cas de spondylose rhizomélique. Anat
à l'épaule. La malade fut soignée quelque temps à cette époque à l' hôpital cantonal de Genève où on l'électrisa mais sans
habituel : loquacité, instabi- lité d'humeur. Aussi ses séjours à l' hôpital sont-ils courts, elle s'échappe même une fois e
pe même une fois en faisant un trou dans la haie. Elle rentre à l' hôpital en 1894 dans le service des chroniques et y reste
s ou fulgurantes légères. Dans le cours de ces divers séjours à l' hôpital il n'a pas été fait d'examen électrique des mus
digestifs graves avec ictère chro- nique. Elle est transportée à l' hôpital cantonal dans le service de M. le pro- fesseur
HEZ UNE TABÉTIQUE PAR M. CHARTIER et PAUL DESCOMPS Internes des hôpitaux . Depuis plusieurs années et en particulier depu
s pour le tracé d'une incision ou la désarticulation d'un os. A l' Hôpital ? Au lit du malade, là, sans doute, le futur doct
lus que par la mémoire. Elle doit être pratiquée par l'étudiant à l' hôpital chez les sujets qui se confient à ses soins. Il
he n'est plus perpétuellement ouverte, comme lors de son entrée à l' hôpital . Dans les antécédents, rien qui permette d'affi
notre maître, l'objet d'une présentation à la Société médicale des hôpitaux (990`· séance du 7 mars) n'est pas seu- lement
inférieurs et supérieurs Le lendemain il me fut apporté dans notre hôpital provisoire des plongeurs à Tripoli d'Afrique, ave
LII). Elle fit l'objet d'une présentation à la Société Médicale des hôpitaux de Pa- ris (2). Mais il nous a paru intéressant
tétrique, gyn. et péd., juin 1899. (2) Hirtz el Louste, S. méd. des hôpitaux , 1903, p. 270. (3) HAMILTON, Philadelphia med.
QUE PAR Ch. LAFON ET M. TEULIÈRES Chef de clinique, Interne des hôpitaux . Nous avons eu la bonne fortune d'observer, dan
es. C'est ainsi que sur 208 cas de folie de toutes sortes admis à l' hôpital d'Alexandrie pendant 1904, 37 cas seulement fur
ital d'Alexandrie pendant 1904, 37 cas seulement furent envoyés à l' hôpital d'Abbassich. L'ivresse du haschich est euphorig
gétations ont été enlevées une première fois, il y a trois ans, à l' hôpital Boucicaut ; elles ont réapparu il y quelques mo
E DE L'HÉMIMÉLIE, PAR M. KLIPPEL, et PAUL BOUCHET, Médecin de l' hôpital Tenon. Ancien prosecteur provisoire à la Facult
GOURIET (de Niort), Exemple curieux d'anomalies multiples. Gaz. des hôpitaux , 1857, p. 15. Hémimélie thoracique gauche ; la
TI, Directeur de l'Institut de Radiologie médicale Assistant. à l' hôpital St-Jean de Turin. Nous avons eu l'occasion dans
présent. - Malade très amaigrie, pâle, cachectique. Elle entre à l' hôpital le 22 juin et après un séjour de 5 jours seulemen
- grettable que la malade n'ait pas voulu rester plus longtemps à l' hôpital , on aurait pu de cette façon compléter mieux so
usqu'à l'ouverture des hostilités, mais ces malades n'entrèrent à l' hôpital que^dans les premiers mois du siège; 3 pendant
sais toujours; puis je me relevai et fis du bruit. On m'envoya à l' hôpital .» JI T.. : « Pendant un assaut, je fus très eff
en second lieu. Tous les sujets qui en étaient atteints entrèrent à l' hôpital avant la capitulation. La première partie du
ont parle Ozeretskovsky (1) : psychose neurasthénique, observée à l' hôpital militaire de Moscou, section des officiers. Nos q
ues pendant le siège, mais ayant malgré cela passé 4 ou 5 jours à l' hôpital . Dans un cas nous remarquâmes la confusion ment
mes spirill2cna febris recurrentis Obermeyeri. Tous deux eurent à l' hôpital 3 accès de cette maladie à la suite desquels le
certainement encore de psychose aiguë qui ne furent pas soignés à l' hôpital . D'après des témoins oculaires, à l'un des fort
pés pendant des as- sauts et qui ne furent pas non plus soignés à l' hôpital . En voici des exemples : Un soldat, de même q
rmés, conduits à Dalny, puis emba- qués sur le Djingo-maron, bateau hôpital , tout à fait impropre non seulement au transpor
sont à quelque degré touchés par l'empoisonnement pellagreux. A l' hôpital de Kars el Nil, au Caire, en 10 ans, plus de mill
évacués sur l'asile d'Abbassieh où j'ai pu les étudier. Hors des hôpitaux , l'étude de la pellagre dans la population des ca
ine maïdique en s'appuyant sur des cas observés par lui à Paris à l' hôpital St-Louis. Il s'agissait probablement d'hérédo-p
u'il ne voyait plus de l'oeil droit. En juillet 1904, il rentre à l' hôpital militaire où on lui fit des piqûres d'atropine.
i'iscuen, Inaug. Dissert, zu Kie , 1891. (2) Marie, Soc. méd. des hôpitaux , 1894. UN CAS DE SYRINGOMYÉLIE AVEC CIIEIROMÉGA
ssion légère. Le 6 mai, au retour d'une permission passée hors de l' hôpital , la région est complètement normale. Le premi
DE L'HÉMIMÉLIE ; PAR M. KLIPPEL, et PAUL BOUCHET, Médecin de l' hôpital Tenon. Ancien prosecteur provisoire . à la Facu
riet (de Niort). - Exemple curieux d'anomalies multiples. Gazette des hôpitaux , 1851, p. 15. · ' Hervé (G.). - Sur un cas d'
de chirurgie au nom de M. leDr Mance [sic], ancien chirurgien de l' hôpital de la Charité, trois photographies et un tableau
lle fut publiée dans le numéro du 29 janvier 1859 de la Gazette des hôpitaux : «... Cette jeune fille, âgée aujourd'hui de d
ct homogène et uni, qui ap- (1) C'est par erreur que la Gazelle des hôpitaux assigne la date du 24 novembre à cette opératio
e nerfs dans les prépara- tions que j'ai faites. » La Gazette des hôpitaux nous renseigne en quelques mots sur les suites
aintenant, et qui n'est seulement qu'un peu anémiée, a dû quitter l' hôpital hier, heureuse d'être débarrassée de ses deux m
vraiment « de physionomie agréable » comme l'affirme la Gazette des hôpitaux . La plaie opératoire du sein gauche est fermée,
xée dans un angle rappelle l'observation publiée par la Gazette des hôpitaux . Des trois photographies que le docteur Manec d
SÉGLAS K. ANDRÉ BARBÉ Médecin de l'Hospice de Bicêtre. Interne des Hôpitaux . Les cas de porencéphalie publiés jusqu'ici son
(TROIS GÉNÉRATIONS) PAR A. HALIPRÉ et A. HÉBERT, Médecins des Hôpitaux de Rouen. Les exostoses de croissance, ou exost
its des Bulletins de la Soc. de Pédiatrie, Il oct. 1905. inléd. des hôpitaux , 24 nov. 1905, 8 mars 1907). Soc. de Biologie (10
T CHIRURGICAL (PL. LXXXIX) PAR SICARD de DESCOMPS Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Voici un nouveau cas de ce
LXXXIX) PAR SICARD de DESCOMPS Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Voici un nouveau cas de ce syndrome singulier q
ue sollicite le malade. B... quitte alors l'Hôtel-Dieu et entre à l' hôpital Boucicaut, où sur les instances du malade et pour
70 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
culté de médecine doL¡on. ET T JO.\XNY ROUX, E\.-l11lcrnc des hôpitaux , de Lyon. ' La syphilis peut frapper l'encép
ment des troubles de l'ouïe ou de l'odorat. 1 Thibierge. Gaz. des Hôpitaux , 1889. 2 En dehors bien entendu des paralysies
aralysie considérée chez les aliénés, 1826. . Magnan. - Gazette des Hôpitaux , mars 1871, et Recherches sur les centres nerve
ésions de la moelle el des nerfs de la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux , mars 1871). 26 CLINIQUE MENTALE. raie et att
, 1894. TROUBLES TROPHIQUES DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 27 Dans les hôpitaux , durant des mois, on examine les tabé- tiques,
Danlos' demandait dans une communication à la Société médicale des hôpitaux , s'il n'y avait pas un rapport entre les troubl
devient pauvre et monotone. De plus, grâce à la mise en scène de l' hôpital , les malades gardent leurs qualités humaines qui
, a été . atteinte de goitre exophthalmidue. Lors de son entrée à l' hôpital , . au mois de mars 1897, l'exorbilisme était si
e une symptomatologie spécifique hors de la maison de santé et de l' hôpital commun (palimsesti, jargon, moeurs et habitudes
: X..., en prenant le nom et la qualité de M. B..., chirurgien des hôpitaux , et en employant des manoeuvres frauduleuses, s
e de tous ces phénomènes morbides. Deux semaines avant l'entrée à l' hôpital , nouvel accès apoplectique, après quoi la cécit
Deuxième cas. - Un homme, AL ? iî;é de trente-six ans, entra à l' hôpital le 7 novembre 1896. Il y a vingt ans, il avait un
ale. Premier cas. La malade, âgée de quarante-sept ans, entra à l' hôpital avec des phénomènes d'une hémiplégie gauche ; dan
ES. Troisième cas. Un malade, âgé de soixante-neuf ans, entra à l' hôpital avec une hémiplégie gauche et mourut dans un mois
é de médecine de LSon. L T ' Jo.wsu ROUC,' ,' E\-iiitenie des hôpitaux de Lvon. CHAPITRE II , , , , De la méningit
ssements fréquents, amaigrissement, lassitude extrême. Entrée à l' hôpital le 23 juillet 1894. Elle se plaint surtout des
e. 30 juillet 1894. La malade sort à peu près guérie. Rentrée à l' hôpital le 8 novembre 1894. En sortant de l'hôpital la
rès guérie. Rentrée à l'hôpital le 8 novembre 1894. En sortant de l' hôpital la malade est allée à la campagne. Elle a conti
t non manifeste. Tant que ces desiderata ne seront point remplis, l' hôpital pour criminel est un non-sens. P. KERavaL. XX
erme et il insiste aussi sur un point que le séjour au lit, dans un hôpital , favorise beaucoup l'action du trai- tement en
! Voici, en exemples, des cas qu'il cite : un Italien meurt dans un hôpital à la suite d'une rixe. L'expert, chargé de l'au
octorat. Pour les candidats ayant été internes en médecine dans les hôpitaux et hospices de Paris ou dans les asiles publics
es tirés au sort parmi les médecins aliénistes chefs de service des hôpitaux et hospices, en exercice ou honoraires; un memb
trois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux en exercice ou honoraires. « Les médecins che
t aura lieu dans la forme usitée pour les concours des médecins des hôpitaux , en présence de deux membres du Conseil de surv
a malade se plaignait d'une insomnie persistante ; à son entrée l' hôpital , elle prétendait n'avoir pas dormi depuis deux an
1890 en trois kilomètres de route, en construction de caves pour l' hôpital et en défrichement de 12 hectares de jardin, de
ce les solutions suivantes : « Tout militaire faisant un séjour à l' hôpital ou à l'infirmerie doit être l'objet d'un examen c
Dt MESNET, membre de l'Académie de médecine, médecin honoraire des hôpitaux , etc., est mort le 13 janvier dernier. Il était
Il fut successivement externe (1845), interne (184-1), médecin des hôpitaux (1859). On lui doit entre autres travaux : Para
rançais s'y sont fait inscrire. A. Londres et ailleurs existent des hôpitaux dits de tempérance où les prescriptions à base
ne se bornera pas là ; il devra agir sans trêve jusqu'à ce que des hôpitaux aient été bâtis pour la détention continue des cr
sement l'exercice. Le traitement se fera de préférence dans dans un hôpital ou une maison de santé privée. Comme régime, in
lt;M, déc. 97.) E. B. ? Ecoles professionnelles d'infirmiers dans LES hôpitaux d'aliénés ; par le D1' WISE. J Jisqu'à l'époq
tibles d'acquérir l'instruction professionnelle nécessaire pour les hôpitaux modernes d'aliénés. Pour engager et retenir les c
cette distinction des infirmiers d'avec les autres serviteurs de l' hôpital , les modifications que l'on pourra apporter n'aur
constituaient en rien une école profes- sionnelle. Dansles grands hôpitaux publics pour les aliénés, il existe un assez gr
ne manquerait pas de répandre dans le public l'idée des bienfaits l' hôpital , et établirait la renommée de l'école profession-
est utile de lui exposer en détail la distinction existant entre un hôpital gé- néral et l'hôpital spécial d'aliénés, afin
r en détail la distinction existant entre un hôpital gé- néral et l' hôpital spécial d'aliénés, afin d'éviter toute désillusio
s infirmiers, réellement dévoués à leur service, instruits dans les hôpitaux d'aliénés sont préférables aux infirmiers instr
pitaux d'aliénés sont préférables aux infirmiers instruits dans les hôpitaux généraux, même encequicou- cerne les soins à do
sule interne ; Anosmie du coté opposé ; par M. PEIIU, interne des hôpitaux de Lyon. (Société des sciences méd. de Lyon.) U
s de la néphrite chronique pour laquelle la malade était entrée à l' hôpital , on a trouvé un ramollissement céré- bral intér
ut au système nerveux et aux réformes concernant l'enseignement des hôpitaux et la législation des aliénés. Il a publié av
s qui se trouvent actuellement ou qui entreront à l'avenir dans les hôpitaux comme épileptiques ou faibles d'esprit devront
tion. L'opération sera exécutée par le médecin de la prison ou de l' hôpital , sans rémunération spéciale ( ! ). -Ou ne pèche p
llejuif (24 mars). Concours pour une PLaCE DE médecin aliéniste des hôpitaux . Ce concours doit s'ouvrir le 5 mai prochain. L
se de MM. A. Voisin, Sellas, Charpentier, médecins aliénistes des hôpitaux , Siredey, Widai et Queyrat, médecins des hôpitaux
ns aliénistes des hôpitaux, Siredey, Widai et Queyrat, médecins des hôpitaux , et Marandon de Monthyei, médecin des asiles de
es de nature hystérique; par le Du' M. Craponne, ancien externe des hôpitaux de Lyon. (Thèse de Lyon, janvier 1898.) L'aut
(La Médecine moderne, 19 février.) VII. Du RÔLE DU médecin dans LES hôpitaux d'aliénés; par Wise D'ODENSBURG. (.me ? Ca; ! t
u plus, et soient divisés en deux parties absolument distinctes : l' hôpital pour tous les malades justiciables du traitement
hâter et bien se rendre compte qu'il s'agit d'un placement dans un hôpital et non d'un emprisonnement. - Le crime d'un fou
t de place, le lieutenant-colonel du 108° visitait tous les jours l' hôpital militaire. Le 5 novembre 1896, cet officier reç
essures. (Le Radical, 12 mai 1898). Pourquoi ce fait était-il à l' hôpital , et non à l'asile ? NÉCESSITÉ DE L'ASSISTANCE D
itudes un peu trop impériales. Concours DES médecins aliénistes DES hôpitaux . L'épreuve écrite a eu lieu le 5 mai. Les candi
71 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E : GILBERT BALLET, Professeur agrégé à la Faculté, médecin des hôpitaux . et t PAUL TISSIER, Ancien Interne des hôpi
, médecin des hôpitaux. et t PAUL TISSIER, Ancien Interne des hôpitaux . Nous nous proposons d'appeler l'attention sur
, a déjà fait l'objet d'une communication à la Société médicale des hôpitaux 1. Nous allons nous attacher à développer les c
ent hystérique, in Bulletins et mémoires de la Société médicale des hôpitaux , séance du 11 octobre 1889. Archives, t. XX. 1
(Observation recueillie avec le concours de M. Marquez, interne des hôpitaux .) Cab... (Edmond), âgé de quarante-trois ans, p
e-trois ans, peintre eu bâti- ments. entré le 29 novembre 1887 il l' hôpital Broussais, salle Delpech. Antécédents IIÉnF :
te, la salive s'écoulant au dehors et j'ai dû être trans- porté à l' hôpital , dans le service de M. Damasehino. «Le malade e
ans le service de M. Damasehino. «Le malade est resté deux mois à l' hôpital Laënnec. Dès les premiers jours, sa parole étai
sque peu de jours après, C... était obligé de se faire admettre à l' hôpital Brous- sais où nous l'avons observé. A l'arri
venue cor- recte, le malade s'est fait admettre comme infirmier à l' hôpital . Le premier janvier, au moment où nous arrivion
à gauche. - Béguycment. (Hecueillie parM. : \hltQUEZY, interne des hôpitaux .) Dr... (Louis), âgé de 46 ans, forgeron, entre
rgeron, entre le 3 décembre 1887, salle Delpech, lit n° 20 bis, à l' hôpital Broussais. Antécédents héréditaires. -- Père, â
ès difficile. Deux jours après le 3 décembre, le malade entrait à 1 hôpital Broussais. Etat actuel au moment DE l'entrée. 1
nts. 28. Le malade sort sur sa demande. Nous l'avons retrouvé à l' hôpital Necker en septembre et octobre DU BÉGAIEMENT HY
s sont traités plus tôt que les paralytiques. M. TIGGES. Dans les hôpitaux de Berlin, les hommes sains d'es- prit sont syp
rivé consacré au traitement de l'aliéna- tion mentale, soit dans un hôpital où ils auraient été appelés à ces fonctions par
nctions par la voie du concours. A l'égard des anciens internes des hôpitaux , la limite d'âge maxima peut-être, sur demandes e
nomination de notre collaborateur le Dr Babinski, nommé médecin des hôpitaux au dernier concours du Bureau central. - KING
ombera sous l'application de la même peine. L'hypnotisme dans les hôpitaux de Paris. - M. Després, dans une des dernières
sur des malades. Il estime qu'il est sans exemple de voir, dans les hôpitaux , faire des expériences de som- nambulisme auxqu
au seul personnel médical certains enseignements professés dans les hôpitaux en vue du développement de la science et du soula
e à la Salpètrière, etls'nLL. PARMENTIKR, interne médaille d'or des hôpitaux . Il semble que l'histoire de la sciatique est f
he et le gros orteil. Enfin, au bout de quinze jours, elle quitta l' hôpital . , - 183 PATHOLOGIE NERVEUSE. Rentrée chez el
cation de pointes de feu à la fesse. Elle a fait un long séjour à l' hôpital au début de la maladie et depuis se soignait se
THOLOGIE NERVEUSE. Il passe la meilleure partie de l'année 1888 à l' hôpital , dans les services de 1\1l\ ! . Hutinel et Dama
profession, qui a laissé sa famille habitant Lunel, pour entrer à l' hôpital , le 18 février 1890. Son père était vif, empo
me sujet une intéressante communication à la Société médicale des hôpitaux ('1 avril 1889). Pitres distingue trois formes
MENT PAR LA VAPEUR DE CHARBON ; Par PiERRE'BOULLOCHE, interne des hôpitaux . Parmi les accidents nombreux auxquels peut don
,1l¿d" 188G). Bourdon, lac, cit. - . Rendu. - Société médicale des Hôpitaux , l3jawicr 1S8'. PARALYSIES CAUSEES PAR LA VAPEU
net dans le service de notre excellent maître M. le Pr Debove, à l' hôpital Andral. Il s'agissait d'un indi- vidu de soixan
enfoncement du pariétal gauche. Opéré par M. F. Hue, chirurgien des hôpitaux , due à un arrêt de développemeut pour la vraie
mis en état d'arrestation; quant à leurvictime, on l'a conduite à l' hôpital . » Que l'on fasse une enquête exacte sur tous l
rivé consacré au traitement de l'aliénation men- tale, soit dans un hôpital où ils auraient été appelés à ces fonc- 298 FAI
tions par la voie du concours. A l'égard des anciens internes des hôpitaux , la limite d'âge maxima peut être, sur demandes e
toute liberté à Mlle Louise Michel, qui pourra à son gré rester à l' hôpital ou en sortir. L'introduction du BÉRI-BGRI au Br
Ancien chef de clinique de la Faculté à la Salpêtrière, Médecin des hôpitaux . L'hystérie a été considérée pendant longtemps,
A.S, médecin suppléant il la Salpêtrière; et P. SOLUER, interne des hôpitaux . Notre but dans cette communication' n'est pas
à la maison Dubois, puis quinze jours après, elle fut conduite il l' hôpital 390 CLINIQUE MENTALE. Tenon. Là, elle s'ennuy
par son mari. C'est ainsi qu'elle décrit parfaitement la salle de l' hôpital dans laquelle elle a été placée. Elle se souvie
, elle sentait bien que ce n'était pas vrai et qu'on l'emmenait à l' hôpital . le, juin. Aujourd'hui, elle ne sait pas depuis
l'aliénation mentale, soit comme interne nommé au concours dans un hôpital ; 3° diplômes, états de services, distinctions
la leçon que ce terrible malheur nous donne. De combien d'a- siles, hôpitaux et institutions publiques peut-il être dit que to
n grand édifice est assuré, c'est qu'il peut, hôtel ou 456 VARIA. hôpital , asile ou prison, c'est presque certain, être brû
incen- dies, soif pour protéger la vie. Quelques-uns de nos grands hôpitaux - brûleront quelque jour et nous frémissons à l
ues 470 0 TABLE DES MATIÈRES d' en Belgique, 141 ; - dans s les hôpitaux de Paris, 1 ! t2;- em- ploi thérapeutipue de l'
72 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
variole, et on rendrait proba- blement inutile la construction d'un hôpital de varioleux. Service dentaire. - Ce service, i
spécialiste des plus distingués, M. le Dr Cruet, ancien interne des hôpitaux , continue à rendre de grands services à nos mal
simplo service de 180 lits, mais bien de la création d'un véritable hôpital spécial, contenant 47G lits, coûtant 2,800,000
à l'Assistance publique, dans ses nombreux établissements. ' Les hôpitaux cl'enfan.ts malades sont absolument insuffi- sa
ssements hospitaliers, notamment en ce qui concerne les travaux des hôpitaux d'enfants que nous no cessons de réclamer, nous
lement et le quartier cellulaire (Plan, 108) composent un véritable hôpital . Enfin, il y aura lieu de prévoir, pour l'aveni
llon d'isolement l'architecte reproduira la disposition adoptée à l' hôpital des Enfants-Malades dans les angles du pavillon
ns ses nombreux établissements. » Il insiste sur l'insuffisance des hôpitaux d'enfants, sur la lon- gue expectation des scro
tration pour qu'elle se préoccupe de la construction d'un troisième hôpital pour les enfants atteints de maladies aiguës et
s enfants atteints de maladies aiguës et de la création d'un nouvel hôpital maritime pour les scrofuleux. M. le Rapporteur
issements hospitaliers, notamment once qui concerne les travaux des hôpitaux d'enfants que nous ne cessons de récla- mer, no
ubois, de I-Iéredia, Lafont et Thulié, nous avons obtenu : 1° que l' hôpital temporaire, qui devait disparaître et dont les
re- venir à la Ville, fût maintenu a titre définitif sous le nom d' hôpital Laennec ; - 2° une subvention extraordinaire de
avantage, vous auriez pu créer un grand nom- bre de places dans les hôpitaux . (Bruit, protestations). M. CHAUTEMPS. Adressez
. L'empire, en effet, a voulu introduire la politique jusque dans l' hôpital ; il a tenu aie placer à l'ombre de Notre-Dame.
e partie de ses biens et de ses revenus pour payer les frais de cet hôpital luxueux, mais qui ne contient que la ordinaire
et des contribuables dans les constructions de l'Hôtel-Dieu et de l' hôpital de Berck et qu'il avait laissé tous les établis
mme des autres. Si jamais je vous demandais quoi que ce soit pour l' hôpital de la .Charité, vous auriez le droit et le devo
n ne coûte pas 5 millions. J'en fais autant et je ne coûte rien aux hôpitaux . M. LE DIRECTEUR DE l'Assistance publique. -l\1
mari et pour laquelle elle est restée en traite- ment huit mois à l' hôpital Lourcine, satteAstruc; elle n'a pas eu de convu
fréquents et accès; développement intellectuel peu prononcé; à l' hôpital , on nota des accès avec perte de connaissance san
olence persistant parfois pendant huit heures. Après un accès à l' hôpital , on observa des troubles intellectuels et une e
épidémie d'exanthèmes as forme mixte, indéterminée, ayant sévi à l' hôpital de la Charité de Lyon, de novembre 1881 à mai 1
lgérie, S... a eu une insolation, pour laquelle il a été soigné à l' hôpital de Constantine; il était roide, tout noir, avai
ondamnation (décembre 1879). - admis- sions successives dans divers hôpitaux . Simulation. De 13 à 16 ans, syncopes. Début de
quelques mois, B... se fit successivement admettre dans plusieurs hôpitaux pour des motifs variables. De ses récits discor-
attaques et de l'hélllianesthésie à Laënnec pour passer l'hiver à l' hôpital ; qu'il a fait sem- blant de tomber à la Pitié e
de sa mère. Nous avons demandé des renseignements dans les divers hôpitaux où il a été successivement admis. Les réponses
73 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lcHa&n. (Bullelcn médical, n° 28, 1906.) Leçon clinique de l' hôpital Tenon. Un sujet présente de la para- lysie bila
r eux, pour leur famille et pour la société de les soigner dans des hôpitaux spéciaux. R. de Musgrave-Clay. ,\ IV.' Note c
devra être à la fois un asile de sûreté, à pa- villons séparés, un hôpital et une école professionnelle ; il compor- tera
des cas chroniques, et où les malades aigus seront traités dans les hôpitaux généraux, comme les pneumoniques ou les typhiqu
du troisième arrondissement, s'est rendu hier à l'amphithéâtre de l' hôpital , à '2 heures 112 de l'après-midi, en compagnie
ons de fonctionnement des Asiles, de façon à en faire de véritables hôpitaux de traitement ; 2° Elle n'a pas pris toutes les
amways. Il me semble, puisque l'on veut tant assimiler l'asile à un hôpital , que dans les hôpitaux la liberté n'est guère p
isque l'on veut tant assimiler l'asile à un hôpital, que dans les hôpitaux la liberté n'est guère plus grande, et si l'on
ement des maladies mentales ne s'appelleront plus « asiles » mais hôpitaux . Il paraît que l'avantage est réel, et il était p
t uniquement à la répulsion qu'évoque l'épi- thètedefous. Le nouvel hôpital restera l'hôpital des fous, et l'horreur qu'il
répulsion qu'évoque l'épi- thètedefous. Le nouvel hôpital restera l' hôpital des fous, et l'horreur qu'il inspire au public
ement de la médecine mentale. Il suf- fira à d'anciens internes des hôpitaux d'étudier un peu plus les maladies du cerveau,
disposition du personnel de l'asile dans un local convena- ble, à l' hôpital par exemple, de façon que les infirmiers ne cou
rticle 29, relatif au séjour que doivent faire les aliénés dans les hôpitaux avant leur transfert à l'Asile, M. Cazeneuve, q
de quoi se plain- drait ce dernier ? n'a-t-il pas été mis dans « l' hôpital des maladies nerveuses », n'a-t-il pas reçu le
r les cris et le bruit de la lutte. Charles Despouy été conduit à l' hôpital de Tarbes où il a élé mis en observation. Il es
1907, et soumise aux dé- libérations du Sénat. TiTRE Premier. Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des ma
; de la surveillance du service des aliénés. Section première : Des hôpitaux et établissements destinés au traitement des ma
- recteur-médecin responsable. Les quartiers spéciaux annexés aux hôpitaux et hospices sont administrés par les Commissions
le nombre des médecins des asiles, et en enle- vant à ces nouveaux hôpitaux de traitement les séniles et les déments qui tr
sonnelle prolongée, de préférence dans un établissement fermé ou un hôpital . G. U>rrav. BIBLIOGRAPHIE \'111. Traité de
tion médicale dl asiles d'aliénés ne ressemble en rien à celle d'un hôpital ordi- naire ; un médecin d'aliénés, outro le tr
t être fructueusement employés à faire de la bonne Direction dans l' hôpital . C'est ce «qu'apprécient actuelle- ment tous le
non tous : l'usine aux ingénieurs, le comptoir aux commerçants, l' hôpital (et l'asile qui doit être un -hôpital) aux méde-
e comptoir aux commerçants, l'hôpital (et l'asile qui doit être un - hôpital ) aux méde- cins. ' BOURNEVILLE. Proposition d
arrêt est indispensable, le malade est déposé dans un hos- pice ou hôpital civil, ou, à défaut, dans un local loué à cet eff
où il n'existe pas d'établissement public d'aliénés, l'hospice ou l' hôpital civil qui doit recevoir pro- PROPOSITION DE LOI
. Les aliénés ne doivent pas être retenus en observa- tion dans les hôpitaux et hospices civils ordinaires que le temps né-
partement. L'asile est as- similé dans toute la mesure possible à l' hôpital . AnT. 30. - Les admissions prononcées en vertu
it dans le local d'obser-. vation et de dépôt provisoire établi à l' hôpital ou à l'hospice, con- formément à l'article 28.
ion de l'histoire pathologique des ma- Jactes entre leur entrée à l' hôpital pour accidents méningiliques et l'éclosion des
ur le corps et l'esprit, tels qu'on les observe dans les salles des hôpitaux et des asiles et dans les salles d'autopsie ; p
t nécessaires. diviser les aliénés en quatre groupes : 1° les cas d' hôpital (infirmerie). 2° les cas chroniques dangereux ; 3
d'une classification nouvelle. R. M. C. XII. Courte histoire de l' hôpital Saint-Luc ; par WILLIAM RawFS. (The Journal of
utilement résumée. R. M. C. XIII. Description d'une addition à l' hôpital de Cheadle ; par JORAN SUTOLIFF. (The Journal o
re surtout dans les institutions spéciales et à la consultation des hôpitaux d'enfants. La littérature du sujet est maigre,
ste d'interne titulaire vient autre vacant avant le le, mai 1908. Hôpital DE la PiTIÉ. Afa/atS nerveuses. M. le Dr DABINSKI
tal DE la PiTIÉ. Afa/atS nerveuses. M. le Dr DABINSKI, médecin de l' hôpital de la Pitié, reprendra ses conférences cli- niq
de science une pléiade continue de solides cliniciens. Lauréat des hôpitaux de Rouen en 1872, Féré venait à Paris, attiré p
, Féré venait à Paris, attiré par le prestige de notre Internat des hôpitaux ; il passait les premières années de sa- vie pa
sile Saint-Luc, près Pau et les cours de l'école d'infirmières de l' hôpital de Pau. Des publications sur les soins à donner a
je me suis inspiré de l'ensei- gnement similaire institué dans les hôpitaux et de celui qui a été adopté dans les asiles de
es au point de vue de la thérapeutique, car à l'Asile, plus .qu'à l' hôpital 1 bibliographie. 511 peut-être, les infinnicr
. susceptibles de bénéficier de l'instruction scolaire ; Anormaux d' hôpital , éducables mais ayant besoin de soins hospi- ta
31S des anormaux arriérés. Ces derniers comprennent : 6 arriérés d' hôpitaux et 312 arriérés d'école. La statistique pour le
re du cabanon. - Hier matin,3 juin, iL onze heures, aux abords de l' hôpital Saint-Jean, à Bruxelles, un drame s'est déroulé q
llier, dans un accès de folie mystique, un malade en traitement à l' hôpital a tué trois autres malades et en a blessé grièv
té à la Liberté du 18 mars. La place de ce ma- lade n'était pas à l' hôpital , mais dans un asile d'aliénés. Agrégation. - De
tl'Esquermes\ habi- té précédemment par les dames Bernardines, à un hôpital d'alié- nés, et au dépôt des Enfants-Assistés.
ic d'aliénés de la llaute- Garollne en laOi. MONT1\EUIL. (M). Les hôpitaux et les .écoles d'infirmières de 528 BULLETIN BI
le corps et l'esprit, tels qu'on les observe dans les salles des hôpitaux et des asiles et dans les salles d'autopsie ; p
ceau longi- tuclinal. Cervelet. Voir Hémiplégie. CJJEADLE. Voir Hôpital . CitLORunEd'cthyle.Voir7<'e< ! - calum
y, p. 500. 1-IÉTÉROTOPIE. Voir Euphorie. Homicide. Voir Azam. Hôpital . Courte histoire de l'- Saint-Luc ; par Rawes.
iption d'une addition à l'- de Cheadle ; par Sutcliff, p. -134. Hôpitaux . Les - et établisse- ments destinés au traiteme
sance thyroïdienne ; par Pep- po-Acchioli, p. 502. Snwr-Luc. Voir Hôpital . Salicine. Voir Epilepsie. Sarcoplasme. Voir
74 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ait battu et lui avait volé son argent. — Où cela ? lui dis-je. — A l' hôpital . — Mais non, lui dis-je, il ne t'a rien dit, puis
monsieur, je suis parfaitement sur. » Le lendemain, S... quittait l' hôpital . Avant son départ, je le fois venir dans mon cabi
sparadrap agglutinatif, dit de Bavière, depuis toujours en usage à l' hôpital de Liège. » Mardi. 25 janvier. » Douleurs a
otisme extra-scientifique. Il y a quelques jours, on conduisait à l' hôpital Saint-André, salle 16, dans le service du profess
ce desquelles il parait encore se trouver. Depuis qu'il est entré à l' hôpital , une amélioration sensible s'est produite dans so
par au moins huit observations cliniques, recueillies, soit dans les hôpitaux , soit » dans la pratique civile ou militaire. »
eune malade de mon service, qui. les années précédentes, m'avait, à l' hôpital Saint-Antoine, présenté les phénomènes les plus i
ait dans les bras. En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à l' hôpital Saint-Antoine pour une douleur extrêmement vive d
re douleur.sur un patient hypnotisé dans le ser-vice de M. Pozzi, a l' hôpital Lourcine. Cette note appelait une rectification
-Denis). Au grade de chevalier. — M. le docteur Tapret, médecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. chirurgien des
édecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. chirurgien des hôpitaux ; M. le docteur Dechaux (de Mont-luçon); M. le do
) LA FORCE NEURIQUE Par M. le Dr A. BARÉTY ancien interne des hôpitaux de PARIS, LAURÉAT DE LA» FACULTÉ DE MÉDECINE Le
MASSAGE Clinique de M. le Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l' hôpital cochin Dans cette leçon, je désire m'entretenir
ande activité. Hopital de la charité. — M. le Dr Luys. médecin de l' hôpital , a inauguré le jeudi 15 septembre, devant les aut
rmes. La menstruation ne modifie nullement son état pathologique. A l' hôpital , on constate que tout le côte gauche du corps est
mois de ce traitement patient et luborieux, la jeune malade quitta l' hôpital avec toutes les apparences d'une bonne santé. Mai
ique ; elle s'étend à d'autres névroses, et, à la clinique Pavte, à l' hôpital des enfants, on a pu observer un cas de guérison
, jusqu'au moment où son état alarmant avait nécessité son entrée a l' hôpital . En présence de la gravité du mal. le professeur
complète. Une paysanne de 36 ans, mariée et sans enfants, entre a l' hôpital sous la mention de femme aliénée. Elle présentait
par un article de journal qui a prétendu qu'on avait surpris dans un hôpital de Bordeaux un de nos principaux sujets en flagra
bstances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux , de professeurs de la Faculté et de notabilités s
ie organique. Pas de maladies raves, sauf une varioloïde, traitée a l' hôpital de Rochefort pendant un mois, il y a 4 ans. » D
ie; c'est contre cet oubli qu'il faudrait réagir. Je ne parle pas des hôpitaux , où les autopsies sont toujours faites, où tous l
e l'hypnotisme. (Doin, éditeur.) nambulisme. Dans noire service d' hôpital , où le médecin à une plus grande autorité sur les
s, est restée six mois sans présenter ces symptômes et a pu quitter l' hôpital , » ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 décembre
le barbe. Ne sait-on pas qu'il est fréquent de voir des élèves de l' hôpital Saint-Louis atteints Je pelade bien plus souv
u, sortie je ne sais d'où, mais non point, pour sûr, de son service d' hôpital . Ce sujet était-il sensible à l'action à dist
s'est éveillée deux fois avec la préoccupation de venir ce matin à l' hôpital pour dormir. Je l'endors pour la deuxième fois,
ance du 27 novembre 1885, Feréol présentait à la Société médicale des hôpitaux deux malades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « m
et y soit prédisposé. Une observation émanant du service de Ball, à l' hôpital Necker, en fait foi. Un fait rapporte par Moricou
tre cent. Aussi M. Bernheim a raison de dire que. dans un service d' hôpital , l'imitation et l'entraînement de l'exemple const
ts au contact de l'or, — leçon de M. le professeur Peter (Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le jour même où l'Académie de
les conclusions condamnent les expériences de M. Luys, la Galette des Hôpitaux publiait un cours de M. le professeur Peter où se
vrai, c'est qu'il est un sujet historique. Cet homme est entre à l' hôpital , il y a quatre mois environ, et il est entré avec
, et la suggestion en obstétrique, par les Drs Auvard, accoucheur des hôpitaux , et Secheyron, ancien interne des hôpitaux. Archi
Drs Auvard, accoucheur des hôpitaux, et Secheyron, ancien interne des hôpitaux . Archives de Tocologie, janvier, février, mars 18
s chauds, la fréquence de l'hystérie est grande. Médecin en chef de l' hôpital militaire de Constantinople. pendant la guerre de
curieuse observation d'hystérie chez l'homme, qu'il a recueillie à l' hôpital militaire de Constantine, des réflexions que voic
ni même plus facile à obtenir chez les névropathes. Dans mes salles d' hôpital , j'endors à peu près tous mes malades et convales
tigation clinique n'exige un apprentissage aussi long. Tout médecin d' hôpital qui. dans son service clinique, n'arrive pas à hy
té jusqu'à la dégradation, les recherches statistiques de Briquet à l' hôpital de la Charité, à Paris, n'ont pas pour peu contri
surément un cas très imponant. Il n'a cependant pas été réalisé à l' hôpital militaire, sur un de nos soldats habitués à l'obé
ouvera un refuge honorable et naturel dans les laboratoires, dans les hôpitaux , dans le cabinet du savant et du médecin; tout fa
ntales ; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpital de la Charité. — M. Luys fait tous les jeudis, à
75 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ait battu et lui avait volé son argent. — Où cela ? lui dis-je. — A l' hôpital . — Mais non, lui dis-je, il ne t'a rien dit, puis
monsieur, je suis parfaitement sur. » Le lendemain, S... quittait l' hôpital . Avant son départ, je le fois venir dans mon cabi
sparadrap agglutinatif, dit de Bavière, depuis toujours en usage à l' hôpital de Liège. » Mardi. 25 janvier. » Douleurs a
otisme extra-scientifique. Il y a quelques jours, on conduisait à l' hôpital Saint-André, salle 16, dans le service du profess
ce desquelles il parait encore se trouver. Depuis qu'il est entré à l' hôpital , une amélioration sensible s'est produite dans so
par au moins huit observations cliniques, recueillies, soit dans les hôpitaux , soit » dans la pratique civile ou militaire. »
eune malade de mon service, qui. les années précédentes, m'avait, à l' hôpital Saint-Antoine, présenté les phénomènes les plus i
ait dans les bras. En 1884, à l'âge de dix-neuf ans. elle entre à l' hôpital Saint-Antoine pour une douleur extrêmement vive d
re douleur.sur un patient hypnotisé dans le ser-vice de M. Pozzi, a l' hôpital Lourcine. Cette note appelait une rectification
-Denis). Au grade de chevalier. — M. le docteur Tapret, médecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. chirurgien des
édecin des hôpitaux de Paris. M. le docteur Terrillon. chirurgien des hôpitaux ; M. le docteur Dechaux (de Mont-luçon); M. le do
) LA FORCE NEURIQUE Par M. le Dr A. BARÉTY ancien interne des hôpitaux de PARIS, LAURÉAT DE LA» FACULTÉ DE MÉDECINE Le
MASSAGE Clinique de M. le Docteur DUJARDIN-BEAUMETZ médecin de l' hôpital cochin Dans cette leçon, je désire m'entretenir
ande activité. Hopital de la charité. — M. le Dr Luys. médecin de l' hôpital , a inauguré le jeudi 15 septembre, devant les aut
rmes. La menstruation ne modifie nullement son état pathologique. A l' hôpital , on constate que tout le côte gauche du corps est
mois de ce traitement patient et luborieux, la jeune malade quitta l' hôpital avec toutes les apparences d'une bonne santé. Mai
ique ; elle s'étend à d'autres névroses, et, à la clinique Pavte, à l' hôpital des enfants, on a pu observer un cas de guérison
, jusqu'au moment où son état alarmant avait nécessité son entrée a l' hôpital . En présence de la gravité du mal. le professeur
complète. Une paysanne de 36 ans, mariée et sans enfants, entre a l' hôpital sous la mention de femme aliénée. Elle présentait
par un article de journal qui a prétendu qu'on avait surpris dans un hôpital de Bordeaux un de nos principaux sujets en flagra
bstances toxiques et médicamenteuses. Un grand nombre de médecins des hôpitaux , de professeurs de la Faculté et de notabilités s
ie organique. Pas de maladies raves, sauf une varioloïde, traitée a l' hôpital de Rochefort pendant un mois, il y a 4 ans. » D
ie; c'est contre cet oubli qu'il faudrait réagir. Je ne parle pas des hôpitaux , où les autopsies sont toujours faites, où tous l
e l'hypnotisme. (Doin, éditeur.) nambulisme. Dans noire service d' hôpital , où le médecin à une plus grande autorité sur les
s, est restée six mois sans présenter ces symptômes et a pu quitter l' hôpital , » ACADÉMIE DE MÉDECINE Séance du 6 décembre
le barbe. Ne sait-on pas qu'il est fréquent de voir des élèves de l' hôpital Saint-Louis atteints Je pelade bien plus souv
u, sortie je ne sais d'où, mais non point, pour sûr, de son service d' hôpital . Ce sujet était-il sensible à l'action à dist
s'est éveillée deux fois avec la préoccupation de venir ce matin à l' hôpital pour dormir. Je l'endors pour la deuxième fois,
ance du 27 novembre 1885, Feréol présentait à la Société médicale des hôpitaux deux malades, dont l'un, âgé de 33 ans, était « m
et y soit prédisposé. Une observation émanant du service de Ball, à l' hôpital Necker, en fait foi. Un fait rapporte par Moricou
tre cent. Aussi M. Bernheim a raison de dire que. dans un service d' hôpital , l'imitation et l'entraînement de l'exemple const
ts au contact de l'or, — leçon de M. le professeur Peter (Gazette des Hôpitaux du 6 mars :886). Le jour même où l'Académie de
les conclusions condamnent les expériences de M. Luys, la Galette des Hôpitaux publiait un cours de M. le professeur Peter où se
vrai, c'est qu'il est un sujet historique. Cet homme est entre à l' hôpital , il y a quatre mois environ, et il est entré avec
, et la suggestion en obstétrique, par les Drs Auvard, accoucheur des hôpitaux , et Secheyron, ancien interne des hôpitaux. Archi
Drs Auvard, accoucheur des hôpitaux, et Secheyron, ancien interne des hôpitaux . Archives de Tocologie, janvier, février, mars 18
s chauds, la fréquence de l'hystérie est grande. Médecin en chef de l' hôpital militaire de Constantinople. pendant la guerre de
curieuse observation d'hystérie chez l'homme, qu'il a recueillie à l' hôpital militaire de Constantine, des réflexions que voic
ni même plus facile à obtenir chez les névropathes. Dans mes salles d' hôpital , j'endors à peu près tous mes malades et convales
tigation clinique n'exige un apprentissage aussi long. Tout médecin d' hôpital qui. dans son service clinique, n'arrive pas à hy
té jusqu'à la dégradation, les recherches statistiques de Briquet à l' hôpital de la Charité, à Paris, n'ont pas pour peu contri
surément un cas très imponant. Il n'a cependant pas été réalisé à l' hôpital militaire, sur un de nos soldats habitués à l'obé
ouvera un refuge honorable et naturel dans les laboratoires, dans les hôpitaux , dans le cabinet du savant et du médecin; tout fa
ntales ; M. la professeur Ball, leçons le dimanche, à 9 heures 1/2. Hôpital de la Charité. — M. Luys fait tous les jeudis, à
76 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a Salpètrière, n° 2, 1903). Un homme de quarante-neuf ans entre à l' hôpital pour tuberculose abdominale; outre lessignes de
d'origine sympathique) ; par M. P. Courront. (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 20 janvier 1903.) .. 5b REVUE DE PATHO
me. (Laboratoire de M. le Profes. J. Courmont) Société médicale des hôpitaux de Lyon; 2 juin 1903. M. Lacomme a recherché
e ostéomalacique; par MM. PAmor et Mauriquand (Société médicale des hôpitaux de Lyon. 30 juin 1903.) MM. Paviot et Mauriquan
ement des vaccinations antirabiques ; cinq jours avant l'entrée à l' hôpital , le malade sentit une faiblesse du membre supér
s au traitement par les injections antirabiques, il a été amené à l' hôpital le 1. or mars de 1901 en état d'excitation très
ette hospitalisation en assimilant de plus en plus les asiles à des hôpitaux , quitte à faire venir le magistrat, le lendemai
mparaient de la femme Robert les autres conduisaient la victime à l' hôpital Lariboisière. M. Robert, a la tête affreusement
rurent, la pauvre insensée avait disparu. Le blessé fut conduit à l' hôpital Saint-Louis où les projectiles purent être extr
dans les asiles, la rendre aussi facile que l'admis- sion dans les hôpitaux et faire l'enquête administrative ou judiciaire
res, et qui était sujet à des hallucinations. Il fut transporté à l' hôpital dans un état désespéré. (Le Matin, 18 septembre
hui plus rien d'anormal, mais le malade déclare qu'à sa sortie de l' hôpital Pasteur, il était incapable de mettre la main d
sensations d'engourdissement dans les pieds et les mains, entre à l' hôpital d'Hanoi où l'on porte le diagnostic de lèpre an
IQUE NERVEUSE. Tel était l'état de la malade lors de son entrée à l' hôpital , cet état s'est peu modifié pendant son séjour.
ous en observons régulièrement tous les ans quelques cas dans les hôpitaux spéciaux Aussi l'étude de la maladie a-t-elle été
de rien et demande où il est. D... répond : « dans un cadavre de l' hôpital Laënnec ». Il Unit par dormir. Le lendemain mat
choroïdes duIV° ventricule; par M. J. Paviot (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 13 octobre 1903. . M Paviot rapporte l
tantôt il croit se trouver à la gare ; parfois pense qu'il est à l' hôpital , mais il n'en est pas sûr. Un affaiblissement t
ère. P.-A. PRÉOBRAGENSâY. - La malade, de quatorze ans, entra à l' hôpital le 5 mars 1901. D'il y a un mois, elle tomba et d
out le temps elle pouvait travailler. Cinq jours avant l'entrée à l' hôpital , elle sentit des élancements dans l'omoplate dr
mem- bre supérieur droit fut paralysé et la veille de l'entrée à l' hôpital se développa la paralysie de toutes les extrémi
, Cil. FÉRÉ, et MIlo A. MOUROUX, , Médecin de Bicêtre.- Interne des Hôpitaux de Paris. On a beaucoup discuté sur l'existence
aire l'éloge du frère du maire de Pau, le Dr Faisans, mé- decin des hôpitaux de Paris, qui a conquis auprès de tous ses conf
i a conquis auprès de tous ses confrères de la Société médicale des hôpitaux de Paris une telle situation que cette Société
rés, mal distribués qui ressem- blent plutôt à des prisons qu'à des hôpitaux d'aliénés. Ne faites donc pas, avant d'avoir pr
supérieure de la moelle dorsale. Peu de temps avant son entrée à l' hôpital il avait eu une angine probablement diphtérique
ce de les dénaturer dans leur but d'instruments thérapeutiques et d' hôpitaux de traitement de plus en plus ouverts. c'est po
· etc., etc. 11 laisse un fils, médecin au Mans, ancien interne des hôpitaux de Paris. (Gazette Médicale de Paris, 25 juin 1
ode s'est comparativement peu répandue dans les autres pays. 5. Les hôpitaux russes de photothérapie le cèdent aux hôpitaux
autres pays. 5. Les hôpitaux russes de photothérapie le cèdent aux hôpitaux étrangers en dimensions et en confort, mais ils
erver à la phase initiale de la ma- ladie daus les formes dites des hôpitaux ou sans délire de Requin. Il peut, 'en effet, p
Emile Bonafoy qui respirait encore, a été conduit en toute hâte à l' hôpital Tenon où il fut admis d'urgence dans un état dé
nt à Mme Baumain, dont l'état est grave, elle a été transportée à l' hôpital Tenon. Un assassin de huit ans. Le parquet du H
les magistrats ont ouvert leur enquête. (Le Temps, 11 septembre.) Hôpitaux POUR aliénés militaires Notre confrère Granjux
a quelques jours dans « le Caducée », le voeu de voir organiser des hôpitaux pour aliénés dans les lignes d'arrière des armé
ment. Nous lisons à ce sujet dans les journaux politiques : « Trois hôpitaux militaires pour les aliénés vont être organisés à
s fonctions de la couche optique. Par LE D' BENAKY Médecin de l' hôpital Saint-Charalambe, à Smyrne. De récents travaux,
uche optique. A... L..., âgée de cinquante-cinq ans, est entrée à l' hôpital , salle Saint-Pantaléon n° 17, le 15 janvier 190
tion est due à Yimoucopoulo=, médecin de la Section des aliénés à l' hôpital Saint-Charalambe. Le malade en question, cultiv
qu'à la faveur de leurs épisodes pathologiques ; à peine sortis des hôpitaux ou des asiles, ils vivent de mendicité, pour ré
evront aucunement avoir affaire; 2° une infirmerie et même un petit hôpital , pour le traitement de tous les cas de médecine
re, en- fermé comme fou pendant cinq jours, en janvier dernier, à l' hôpital Saint-Sauveur, à Lille, ainsi que la peine que
ipali- tés, etc. Il pourrait même ordonner le maintien à l'asile- hôpital si les faits ne lui paraissaient pas probants.
vicieux et intraitables, jugés dangereux par le médecin d'asile- hôpital et susceptibles de devenir criminels, à coup sûr
des épileptiques; par MM. Lwnois et LESfKUR. (Société médicale des Hôpitaux de Lyon, 3 novembre 1903.) Des recherches aux
lards athéromateux; par MM. Pic et Bonnamour. (Société médicale des Hôpitaux , 10 fé- vrier 1903.) . 492 REVUE DE PATHOLOGI
taire de Huntington; par MM. AVDRY et POIIOT. (Société médicale des hôpitaux de 1.110n. 15 décembre 1903). La première obser
phoedème chronique chez une épileptique; par Lannois (Soc. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). Le cas de troplroedéme
me nerveuse; par MM. V. Chap- . PET et G. MOURIQUAND (Soc. méd. des Hôpitaux de Lyon, 22 mars 1904). r Une observation don
ue étant des différences d'hospitalisa- tion. 3° Description de l' hôpital de Rio-de-Janeiro : planchers admi- rablement c
existante). - Pre- miers troubles mentaux (leur traitement dans les hôpitaux géné- raux, etc.) Nourriture des aliénés. La qu
par Haudrix, 350. Hippus. L'- dans la chorée, par Cruchet, 510. Hôpitaux pour aliénés militaires, 365. Hypnothéuapie.
77 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
siologique, inauguré cette année à Lille par M. le Dr Paul Joire, à l' hôpital de Lille, a été suivi par un grand nombre d'étudi
us marcher, était alité depuis trois jours lorsqu'on le conduisit à l' hôpital , au service Voisin, au commencement de septembre
il n'avait pas eu de selles et ne dormait pas la nuit. II resta à l' hôpital pendant cinq semaines. On lui fit des application
sans doute le corps du délit. Il continua pendant tout son séjour à l' hôpital à avoir trois ou quatre selles diarrhéiques p
igus durant trois à quatre minutes. Huit jours après sa sortie de l' hôpital , cette sensation continue, les coliques et la dia
lées et régulières, l'appétit assez bon. Mais depuis son séjour à l' hôpital , l'enfant ne retrouva pas ' sa santé générale; il
qui répond avec précision aux questions. Le soir de son entrée à l' hôpital , la température était de 98,6°; le pouls de 78 ;
ailler. Tu es à l'atelier. Je lui demande : Où es tu? Il répond : à l' hôpital . La suggestion n'a pas encore pris. Je répète: Ma
. Il évoquera de nouveau sa douleur. Un de ces jours, il va quitter l' hôpital , convaincu que nous no pouvons pas le guérir, et
r ce qui peut rester de vers. » Une heure après, avant de quitter l' hôpital , je le trouve déjeûnant avec d'autres malades. Je
ute la nuit. — Ce matin, je le trouve levé, habillé, prêt à quitter l' hôpital . Je touche le ventre ; aussitôt que j'arrive à dr
est constituée par les hypochondriaques errants ; ceux-ci courent les hôpitaux de ville en ville pour se faire débarrasser de ma
lit son petit présent et en fit largesse devant elle aux malades de l' hôpital . » On peut supposer qu'il s'agissait là d'un ca
gnace de Loyola délivra du démon est considérable. « Il y avait à l' hôpital (d'Azpeitia) un infirme nommé Bastida, qui, depui
remontaient jusqu'à la nuque et nécessitaient une nouvelle entrée à l' hôpital , le 7 février, et l'y retenaient jusqu'au 7 mars.
ses douleurs reparurent ainsi que ses pertes et qu'il dut rentrer à l' hôpital le 25 avril. Il était alors dans un état plus pén
ne plus d'ailleurs aucune douleur à la pression. Le malade quitte l' hôpital , guéri, le 12 janvier. Il s'agit, on le voit, d
estation et de la façon légère dont je traite sa douleur, il quitte l' hôpital le 15 décembre. J'apprends par son frère, qui q
te l'hôpital le 15 décembre. J'apprends par son frère, qui quitte l' hôpital guéri le \ 1 janvier, que sa douleur abdominale e
to-suggestion. Instruit par l'expérience de ce dernier qui a quitté l' hôpital , blessé par mon admonestation et par l'effort vig
. n Du reste, il est facile de s'en convaincre, les portes de notre hôpital sont au large ouvertes à quiconque veut se rendre
points douloureux dans la poitrine. Il a fait un premier séjour à l' hôpital de quinze jours; il en est sorti il y a quinze jo
ix les candidatures de MM. les Drs Félix Regnault, ancien interne des hôpitaux , Pau de Saint-Martin, médecin-major de 1er classe
e leçon de M. le professeur H. de Lacaze-Duthiers, ancien interne des hôpitaux de Paris, la phrase suivante : » Dans les reche
a fin de juillet à Paris pour con- suiter un de nos confrères des hôpitaux . Le médecin consultant attribue l'impotence à l'a
ELQUES ACCIDENTS BIZARRES DANS L'HYSTÉRIE Par G. PoteL, interne des hôpitaux . a Scxcentarum œnmnarum innumerarumque calamita
gré toutes ses précautions, (1) Bulletin de la Société médicale des Hôpitaux de Paris, 1865, II, 180-183. soit par surpris
it, fut-ce même un verre d'eau, elle étouffait et se cyanosait. A l' hôpital , elle n'absorbait pas plus d'un verre à bordeaux
s à S b. (salle de la consultation externe) à partir du 5 décembre. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon cliniqu
audit laboratoire, sera attribuée à ce même laboratoire transféré à l' hôpital de la Pitié. Le Comité d'organisation du XIIe C
et qui vient confirmer cette manière de voir. Une malade arrive à l' hôpital dans un état d'affaiblissement extrême, car, depu
rir aucun fait morbide pour expliquer la toux. On mit les enfants à l' hôpital en les isolant l'une de l'autre, et, au bout de q
oubles oculaires d'origine hystérique. Claude. Société médicale des Hôpitaux , décembre 1S95. Une femme de vingt-neuf ans, pr
eçons sur les maladies mentales, les jeudis, à dix heures du matin. Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon cliniqu
ncées par M. le Professeur Albert Robin dans la leçon d'ouverture à l' Hôpital de la Pitié. Après avoir rappelé les doctrines sé
Mutisme d'origine hystérique guéri par la suggestion. On amena à l' hôpital Saint-Olga un enfant âgé de douze ans devenu brus
eçons sur les maladies mentales, les Jeudis, à dix heures du matin. Hôpital de la Pitié. — M. Babinski. Leçons sur les maladi
usqu'en 1887, année où son mari se mit à cracher du sang et entra à l' hôpital . C'est alors que la malade eut ses premières hall
.d'épilepsie larvée. J'observai longuement ce sujet à sa sortie de l' hôpital ; je le fis loger chez moi afin de le mieux connaî
-Comte, V... tomba dans un état de léthargie profonde. Transporté à l' hôpital de cette ville, mon confrère, M. le docteur Depoi
rdres intellectuels. Au bout de cinq semaines, lorsqu'il quitta notre hôpital , il était dans le même état qu'à son entrée. L'él
78 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
DE LA MALADIE OSSEUSE DE PAGET, PAR M. KLIPPEL, Médecin de l' hôpital Tenon M. PIERRE-WEIL, Interne des Hôpitaux.
KLIPPEL, Médecin de l'hôpital Tenon M. PIERRE-WEIL, Interne des Hôpitaux . ' Depuis que, dans ses deux mémoires bien conn
e de Paget guérie par le traitement antisyphilitique. Soc. méd. des hôpitaux , 7 juillet 1905; Bulletin de la Soc., 1905, p. 62
ud... s'est présen- tée, le 19 octobre 1908, à la consultation de l' hôpital Tenon, où elle a été reçue dans notre service,
ladie osseuse de Paget avec examen anatomique, Société médicale des hôpitaux de Paris, 29 mai 1903 ; Bulletins de la Soc. mé
liuBCVS-D VAL. Maladie osseuse de Pagel et Syphilis. Soc. méd. des hôpitaux , 25 mai 1905 ; Bulletins de la Soc. méd., 1905, p
thologie und pathologische Anato- mie, 1886. (1) Pic, Gazette des hôpitaux de Toulouse, octobre 1896. (8) Gilles DE la ToU
) Béclère, Radiographie d'un cas de maladie de Pagel. Soc. médic. des hôpitaux 9 juillet 1901 ; Bulletins de la Soc., 1901, p.
p. 929. (2) Gaillard, On cas d'ostéile déformante. Soc. médic. des hôpitaux , 19 juillet 1901 , 1 Bulletins de la Soc., 1901
GE, Arch. génér. de médecine, 1890, f. 32. (6) Marie, Soc. méd. des hôpitaux , 10 juin 1892. (7) Moizard et BOURGES, De l'ost
4) TAIBIERGS, Deux cas d'ostéite déformante de Paget. Soc. médic. des hôpitaux , 17 février 1893 ; Bulletins de la Soc., 1893,
» dans la si riche collection du musée Dupuytren ni dans celle de l' hôpital St-Louis.Aussi nos 26 ' LEGROS ET LERI L'osté
TULE CHEZ UNE TABÉTIQUE PAR Paul GAUTHIER, Ancien Interne des Hôpitaux de Lyon. Il est peu de parties du squelette, su
'estjpas alcoolique. L'affection, pour laquelle la malade vient à l' hôpital , semble avoir débuté il y a cinq ou six ans par
sant de l'observation ci-dessus. ' Lorsque cette malade entra à l' hôpital , complètement impotente et ataxique, racontant
ition des deux phénomènes qu'elle présente encore à son entrée it l' hôpital et aux rapports desquels nous consacrerons ce tra
OTTI, Médecin-Directeur de l'Institut de Radiologie médicale de l' Hôpital Saint-Jean de Turin. Le cas que je vais relater
ologie médicale une malade alitée dans un service de chirurgie de l' hôpital avec le diagnostic de luxation de la troisième
n ou fracture de la colonne cervicale, et la malade fut envoyée à l' hôpital Saint-Jean de Turin où le diagnostic au premier a
es professionnelles. Ayant eu l'occasion d'observer dans différents hôpitaux , et notamment à la Salpêtrière, un certain nombre
e le 27 novembre vieux style ou 10 décembre nouveau style 1908, à l' hôpital St-Spiridon de Jassy, dans le service clinique du
ouvait marcher un peu, quoique difficilement, on l'a con- duite à l' hôpital rural le plus prochain, d'où après être restée pr
ouvait mieux marcher et n'avait plus de troubles sphinctériens. A l' hôpital et aussi à la maison on lui administrait de l'i
rès trois mois, son état restant stationnaire, on l'a fait entrer à l' hôpital St-Spiridon de Jassy. N'ayant pas été vue au
l'état de ses réflexes et de sa sen- sibilité avant son entrée à l' hôpital , pour savoir s'il y a eu au commencement hémian
DES HÉMIPLÉGIQUES DU COTÉ DROIT PAR VIRES Agrégé, médecin de l' hôpital général, et ANGLADA, Interne des hôpitaux,
Agrégé, médecin de l'hôpital général, et ANGLADA, Interne des hôpitaux , de l'Université de Montpellier. Observation
Chef de la Clinique médicale à la Faculté J. ANGLADA, Interne des hôpitaux de Montpellier. Observation. Le nommé H...
DIX ANS D'INTERVALLE PAR VIRES et ANGLADA Agrégé, Médecin de l' Hôpital Général Interne des Hôpitaux de la Faculté de M
VIRES et ANGLADA Agrégé, Médecin de l'Hôpital Général Interne des Hôpitaux de la Faculté de Montpellier. Observation (PI
XXX). H. Dominique, figé de 16 ans et demi, est depuis cinq ans à l' Hôpital général (service de M. le Professeur agrégé Vir
e l'observation complète fut prise par M. le Dr Orsaut, interne des hôpitaux de Montpellier. Nous en emprun- tons les traits
ue temps dans le service de M. le Il Baumel, puis il fut envoyé à l' hôpital général (service du prof. agrégé Vires). Jusqu'il
, faite par M. le Dr Florence, chef du laboratoire de clinique de l' hôpital général, donne : MYOPATHIE GÉNÉRALISÉE 245 24
PAGET PAR Le Professeur B. PESCAROLO Médecin en premier de l' hôpital . et Le U· M. BERTOLOTTI Directeur de l'Inst
KS. Trans. Path. Soc., XX, 1868, p. 273. 3. BOUIiGERET. Gazette des hôpitaux , 4 mai 1876. 4. SIR J. Paget. Med. Chir. Trans.
PAR R W., ROUDNEW Privat-Docent de l'Université d'Odessa. A l' hôpital des aliénés d'Odessa se trouve un malade chez leq
Guide du méd. praticien, Paris, 1866, t. 1. 147. Vaschide. Gaz. des hôpitaux , 1907, p. 1179 et 1215. 148. VERNICKE. - Un cas
Professeur de clinique médicale, Agrégé des Facultés, Médecin des hôpitaux de Marseille. Les deux premiers cas de tumeurs
iée a 18 ans, elle n'a pas d'enfants, mais elle avorte une fois à l' hôpital de la NOUVELLE Iconographie DE la Salpêtrière
e fut dans cet état que Marie Ey... fut amenée, le 17 septembre,à à l' hôpital Saint-Pierre. 18 septembre. La malade est dan
les occupations de la malade avant son entrée à la Maternité et à l' hôpital Saint-Pierre. Nous devons avouer notre ignoranc
la bouche, enfin la chute des cheveux. Un mois avant son entrée à l' hôpital , le malade fut pris, dans les mem- bres inférie
ctions pénibles, nécessitant des efforts. Lors de l'admission à l' hôpital St-Louis, la paraplégie était devenue com- plèt
rie, qnand elle est atteinte d'une diphtérie et est transportée à l' hôpital pour les maladies infectieuses le 18 novembre.
gravité de ces accidents détermina ses pa- rents à la conduire à l' hôpital . Etat de la malade le 2 : 1. mai 1908. - Pacte,
er sa famille qui demeure en province, et rester loin des siens à l' hôpital . Dans le service, elle ne parle pas spontanémen
GANTISME INFANTILIQUE PAR le Dr Georges THIBIERGE, Médecin de l' Hôpital St-Louis. et Pierre GASTINEL, Interne des H
Médecin de l'Hôpital St-Louis. et Pierre GASTINEL, Interne des Hôpitaux . Otto von F..., âgé de 52 ans, serrurier, entre
ne des Hôpitaux. Otto von F..., âgé de 52 ans, serrurier, entre à l' hôpital St-Louis, pour un ulcère variqueux de la jambe
nt la cause de l'ulcère de jambe pour lequel le sujet est entré à l' hôpital . Otto éprouve rarement des douleurs de tête.
son corps sont déplora- blement sales, mais il apprécie, étant à l' hôpital , les avantages d'un bon bain et les plaisirs d'
de petites manies, mais il n'en est pas complètement l'esclave. A l' hôpital il a, non sans sacrifice, renoncé à toutes ces ha
TION RADICULAIRE DES NIEVI par MM. MAURICE KLIPPEL Médecin de l' hôpital Tenon. MATH. PIERRE-WEIL Interne des hôpitaux
IPPEL Médecin de l'hôpital Tenon. MATH. PIERRE-WEIL Interne des hôpitaux . Dans la vaste classe des n2evi se trouvent réu
). OBSERVATION 2. Mart..., âgée de 45 ans, passementière, entre l' hôpital Tenon pour des accidents rhumatismaux compliqué
, 8). Observation 3. Alb..., âgée de 16 ans, cartonnière, entre l' hôpital Tenon, salle âlagen- die le 29 mai 1909 pour de
ue l'antérieur (G. 9, 10, 11,12). Ben..., âgé de 47 ans.entre a l' hôpital Tenon parce qu'il se plaint de fai- blesse et d
., âgée de 40ans, professeur de piano, entre dans noire service à l' hôpital Tenon pour des accidents relevant d'une cirrhose
e pouvait plus se courber. Quinze jours plus tard, il a été admis à l' hôpital où on lui a fait prendre de l'iodure de potassi
ait prendre de l'iodure de potassium et des bains salés. Sorti de l' hôpital , il y revenait tous les quinze jours, pendant tro
exes exagérés, les douleurs accusées par le malade à son entrée à l' hôpital parlent en faveur de l'origine nerveuse de son af
aujourd'hui (1) Ac. de médecine, 3. III. 1903. (2) Soc. méd. des Hôpitaux , séance 29.5.1903. (3) Ac. de médecine, séance
ui faisait sur la cuisse ». Br... est soigné pendant 6 semaines à l' hôpital militaire de V... et obtient un congé de conval
complètement hébété, égaré. Dès son arrivée à V... on le place à l' hôpital , d'où il est aussitôt renvoyé sous escorte à se
é très rapide- ment. Vers 9 heures du matin il a été transporté à l' hôpital et, à cause de la difficulté de la déglutition,
t il a pu uriner lui-même le 29 janvier au matin avant de venir à l' hôpital ) et il est cathétérisé quelquefois.Pendant le jou
ervation I. I. E. M. entré dans le service des malades nerveux de l' hôpital Pantélimon, le 30 août 1905, à l'âge de 15 ans.
t émacié peu à peu, le tissu adipeux très abondant à son entrée à l' hôpital , s'est réduit de beaucoup. Examiné de nouveau,
ter les données précises, car le patient sortit à l'improviste de l' hôpital et on n'avait fait qu'un examen électrique somm
nde ville, soit aux cliniques, soit aux consultations publiques des hôpitaux , un très grand nombre d'enfants malades) une an
79 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'héma- toxyline. ' Nous remercions ici M. Flippe ! , médecin des hôpitaux , qui nous a guidé dans cet examen. UN CAS DE
alade a un étourdissement avec hémiparésie gauche. A son entrée à l' hôpital on constate unique- ment les signes suivants :
l'État de New-York onze hôpi- taux d'Etat pour les aliénés, plus un hôpital pour les aliénés cri- minels : ces asiles ont u
re, en outre, pour ce dernier le bénéfice d'un traitement hâtif à l' hôpital ; enfin, pour les cas obs- , curs et difficiles
n'étaient que des malades, et demanda pour eux la construction d'un hôpital , fait d'un courage inouï à une époque où les mé
la direction à dix marchands de bonne volonté. Il spécifia que son hôpital devait rester un bien collectif, la propriété d
ins bienveillants. 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. sous le nom d' Hôpital des Innocents. Tout alla bien au début et l'éta
blissement fut exactement ce qu'avait souhaité son fondateur : « un hôpital fameux, dit Lope de Véga, où .les frénétiques son
t être aux travaux forcés... Hélas ! dès maintenant, c'est plutôt l' hôpital forcé qu'il mérite. Il s'agit là encore de fait
op souvent l'anti- chambre de la prison, qui leur convient, c'est l' hôpital forcé, comme dit M. Alexandre Hepp. B. FAITS
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE médicale DE l' hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER. MALADIES DU SYSTÈME
s diagnostics inscrits sur les billets de ce malade à sa sortie des hôpitaux de Paris, ceux du moins qu'on ne lui a pas volé
(1866), il contracta la syphilis ; il est soi- gné par Le Fort à l' hôpital du Midi pour une fistule ulcérée à l'anus, avec
alfaiteurs et grièvement blessé à l'oeil gauche. Il fut conduit à l' hôpital et n'en sortit guéri qu'au bout de trois mois.
en Ecosse, des idées de progrès qui ont abouti soit à la création d' hôpitaux spéciaux pour les aliénés malades, soit à l'aff
de l'infirmier : 1° Introduction générale sur le développement des hôpitaux et des asiles d'aliénés; devoirs de l'infirmier
rés, des gâteux, des hystériques, des épileptiques, qui envahit nos hôpitaux , nos maisons de santé. « Les avertissements n'o
is, n'est pas seulement inutile mais encore dan- ' Voir Gazelle des hôpitaux , n°" du 16 et 23 février 1897. 06 asiles d'alié
ntinue en ces termes : « Est-ce qu'on ne donne pas aux médecins des hôpitaux le droit, dès le lendemain de leur nomination,
é au service médical, comme cela se pratique avec avantage dans les hôpitaux militaires depuis la réforme. Si on ne veut pas
attributions des deux et qui, comme cela se pratique déjà dans les hôpitaux militaires, tout en laissant au service médical
du tout dans ses attributions. Le D1' Dubief m'a cité l'exemple des hôpitaux de Lyon où il a été interne et où les choses se
ses se passent ainsi, mais qu'il n'oublie pas que la Commission des hôpitaux de Lyon est une Commis- sion administrative et
ément administratif à l'élément médical, comme aujourd'hui dans les hôpitaux militaires, et un médecin en chef maître absolu
iénés. médecin traitant soit assimilé absolument aux médecins des hôpitaux dans les centres d'enseignement et dans les établ
nsable de se spécialiser. Voilà pourquoi, à Paris, les médecins des hôpitaux refusent systématiquement les consultations de
exposé de motifs d'une assimilation complète .avec les médecins des hôpitaux ; nous sommes donc fondés, par mesure de précaut
f au service médical, comme cela se pratique aujour- d'hui dans les hôpitaux militaires depuis la bienfaisante réforme qui a
s n'ont aucune connaissance de l'hygiène d'où l'état déplorable des hôpitaux au point de vue de l'hygiène : mélange des fiév
partout au point de vue de l'assis- tance. Ce que nous disons des hôpitaux s'applique à plus forte raison aux asiles d'ali
essants points de pratique. L'enfant est amenée par ses parents à l' hôpital , parce que depuis deux ans elle ne peut mar- ch
alisée; par Alex. HASLUND. L'auteur a observé, dans son service d' hôpital , un cas de zona dorso-abdominal chez une femme,
héré- dité se manifeste aussi bien à la campagne qu'à la ville, à l' hôpital que dans les classes aisées. Si Baginski dit qu
CIÉTÉS SAVANTES. 269 * 1 d'asiles » analogues aux Il médecins des hôpitaux ». Adjonction à chaque médecin d'asiles d'un as
urs malades au dehors. Dans les asiles écossais, il y a une sorte d' hôpital par où passent tous les entrants. Les curables
yeux en dedans et de la langue adroite. Elle a été placée dans un hôpital et subit un traitement mercu- riel sans résulta
résultats. A la moitié d'octobre de J 896, elle entra dans un autre hôpital , c'est' lit que le rapporteur l'observa et consta
mais qu'il y avait lieu de la faire transporter immédiatement à l' hôpital . Thérèse Ducoulet a confirmé à M. le commissaire,
crâne. Le malheureux, relevé par des passants, a élé transporté à l' hôpital Lariboisière' dans. un état désespéré. D'où l
oissante du membre supérieur droit, a été obligé d'en- trer dans un hôpital . Depuis six mois déjà, le malade remarqua qu'il
eure du membre supérieur gauche sur l'os brachial. A son entrée à l' hôpital , outre ces deux tumeurs (de 10-12 centi- mètres
vit la Faculté de médecine de Paris et devint peu après externe des hôpitaux . D'une imagination ardente, d'un esprit vif et
dirigé sur l'infirmerie spéciale. Séquestrations illégales dans LES hôpitaux ... EN 1741. Dans les annexes du livre d'Eugène
les noms de quelques-unes qu'on ferait ENFERMER comme insensées à l' hôpital de la Rochelle. » FAITS DIVERS. ASILE(D'ALI
ssements, « il flamba comme un bol de punch ». On le transporta à l' hôpital , où il est mort hier des suites de ses brûlures
démie de coxalgie à laquelle j'ai assisté. Jules Simon, Société des hôpitaux , 189G, signale un joli cas de coxalgie chez un
remar- quable communication de Babinski à la Société médicale des hôpitaux , Il novembre 1892, sera évidemment moins fré- q
térie. Il est certain, en effet, qu'ainsi isolé, mais isolé dans un hôpital ou une maison de santé, le jeune hystérique se
out d'un coup, prise d'un irré- sistible mal du pays, elle quitta l' hôpital . En résumé, nous voyons que des deux substances
semble a une teinte jaune brun. Etat mental. - M... C..., qui, de l' hôpital de L... où elle a séjourné quarante-huit heures
précis sur sa maladie et prétend que si elle a refusé de manger à l' hôpital , c'est qu'on voulait l'empoisonner. On remarque
rmative de celle formulée par M. Ballet à la Société médi- cale des hôpitaux , en 1890, paraît par trop exclusive. M. Jof- fr
plus grand intérêt. 11 s'agit d'une enfant de onze mois, admise à l' hôpital pour acci- dents de gastro-entérite. Un ptosis
in, ainsi que cela se passe d'ailleurs dans les salles d'hommes des hôpitaux civils ordinaires; - 3° enfin les avantages rée
80 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de gare. Sa place n'est pas ici. 11 ignore qu'il se trouve dans un hôpital , se sent tout à fait bien portant et est irrité
rminèrent à lui accorder la liberté des entrées dans les cours de l' hôpital . Quatre nouvelles années d'épreuves semblaient
donne le chiffre de 89 p. 100; George Rohé, second surintendant à l' hôpital des aliénés de Syker- ville (Maryland), déclare
récautions antisep- tiques et aseptiques qui sont de règle dans les hôpitaux de Paris. Jamais une opération n'a été tentée s
en un mot, un refuge destiné à abriter toutes les misères, mais un hôpital de traitement, permettant par sa disposition et
rroux, commissaire spécial, a fait transporter la pauvre malade à l' hôpital Beaujon, où elle a été admise d'urgence. (La La
envoyé des pho- tographies obscènes. Voilà pourquoi on l'a mise à l' hôpital pour que son état mental fût observé. Là aussi,
-Lucien) soldat de 2e classe au 97e régiment d'infanterie entre à l' hôpital Desgenettes le 15 mars 1898, pour une atrophie
Chen... rentre mal remis à Montmélian, se rétablit tout à fait à l' hôpital et arrive à Lyon en bonne santé. Etat actuel.
nez, se fait des contusions multiples ce qui l'oblige à entrer à l' hôpital de la Conception. Pendant son séjour dans cet h
à entrer à l'hôpital de la Conception. Pendant son séjour dans cet hôpital , il a de nouvelles crises. M. le De Poucel lu
t, d'une façon intermit- tente, les hôtes des maisons de santé, des hôpitaux , des asiles d'aliénés ou des prisons ; les autr
son traitement; par Casimir W¡SLOCK1, médecin des consultations à l' hôpital Saint-Hoch, de Varsovie. (K)'on : /M6<;cAt :
inaperçue, si l'aîné de ces deux frères ne s'était pas adressé à l' hôpital pour des symptômes tabétiques. Voici son observ
s abolie, et dans la voiture qui le portait le lendemain matin il l' hôpital , le malade put demander : « Où me conduisez-vou
et l'en frappa au sein gauche. La malheureuse a été transportée à l' hôpital Tenon. Le fou- meurtrier, désarmé aussitôt, a é
es sont en présence : d'une part, M. le De Picqué, chirurgien des hôpitaux de Paris et des asiles d'aliénés du département d
tions, il se décida, à la fin du mois de février 189S, à entrer à l' hôpital de Limoges. Là, il fut reconnu atteint d'un anévr
it où il était et du temps qui s'était écoulé depuis son entrée à l' hôpital ; il ne reconnaissait pas son entourage. Les il
trouve ; d'après ses réponses, il est manifeste qu'il se croit à l' hôpital de Limoges; cependant, quelques instants après, i
t ont apparu les troubles mentaux. 11 ignore ce qui s'est passé à l' hôpital , à dater du jour où il s'est mis à délirer, et
Catherine D..., journalière, âgée de soixante-cinq ans, entre à l' hôpital Saint-André le VA septembre 1898 dans le service
u même coté. M... Bertrand, soixante-huit ans, boulanger, entre à l' hôpital Saint-André dans le service de M. le 1), Durand
mai 1899.) Cette étude repose sur la statistique des autopsies de l' hôpital de Philadelphie d'avril 1894 à octobre 1898. Da
/c, XXI, N. 1 ? IX, 1898.) Homme de cinquante-sept ans, apporté à l' hôpital totalement privé de connaissance. il y devient
er temps, redeviennent normaux. Pas de douleurs. Le malade quitte l' hôpital au bout de deux mois après l'accident avec para
es bonnes volontés et toutes les commodités désirables. A Bonn, les hôpitaux , tous rassemblés autour de l'Université, sont s
remis aux mains de gar- diens de la paix qui le transportèrent à l' hôpital Saint-Antoine, où il sera soigné et gardé à la
palé sur un crochet qui dépassait. L'infortuné a été transporté à l' hôpital dans un état désespéré. (Petit Parisien, 25 aoû
ntine Pépin qui était devenue subi- tement folle a été conduite à l' hôpital où se trouve déjà la femme Elisa Joachim, cette
Saint- Augustin, n° 3fi. Le 7 avril 1898, le malade est apporté à l' hôpital Archives, `3° série, t. VIII. 23 354 CLINIQUE
mentale de Nancy, 1895. 5 G. Ballet. Semaine médicale (Leçon à l' hôpital Saint-Antoine), 1891. 3 Ritti. Stigmates psychi
Relevée dans la rue dans un état pitoyable, on la transporte à l' hôpital Beaujon où l'on oonstate une fracture du bassin e
tête et sur le corps. Elle s'était précipitée d'un 3e étage. A l' hôpital les hallucinations continuent quelques jours, pui
nt grâce au régime, et cessent finalement. Elle reste deux mois à l' hôpital . En sortant, elle n'avait aucune hallucination,
ues que depuis peu. En tout cas elle est exclusivement propre à des hôpitaux ou à des asiles, car elle est dangereuse. P. KE
du traitement à domicile, des colonies familiales, et des petits hôpitaux spéciaux, fait peu à peu son chemin. Le pro- cè
ier, on traitait les aliénés comme les malades ordinaires, dans les hôpitaux : on les laissait habi- tuellement au lit, dans
iva ainsi à oublier que l'asile d'aliénés devait être avant tout un hôpital pour le traitement des maladies du cerveau. La
ie de l'asile se trans- forme et tend à se rapprocher de celle d'un hôpital . Si nous ajoutons qu'à côté de sa haute valeur
l'on avait, à leur époque, de maintenir les aliénés au lit dans les hôpitaux , cette réaction a été excessive. « Dans certain
puissant, il montre que la place de l'aliéné aigu est dans un lit d' hôpital et non à l'atelier ou aux champs : le séjour au
es cellules... Les ma- lades gardent, grâce à la mise en scène de l' hôpital , leurs qualités humaines qui dégénéraient bien
thérapeutique tiennent si peu de place et leur remplacement par des hôpitaux de traitement pour les aigus, par des colonies
eureusement la physionomie de l'asile en subs- tituant des salles d' hôpital , calmes et silencieuses, aux bruyants quartiers
des aliénés élevés à la dignité de malades comprendra uniquement l' hôpital spécial pour les aigus, que l'on traitera ' com
ue souvenir. E. Il. VARIA. Les cellules pour les aliénés dans les hôpitaux : réformes URGLNTES. « Voici un fait : Le soi
dernier délivra et un deuxième certificat du maire il rentra à l' hôpital le plus près : celui de Bourg-Achard. « Naturel
ndre visite à ce pauvre jeune homme. Nous arrivons à VARIA. S33 l' hôpital ; une religieuse nous ouvre, nous demande ce que
maintenant pourquoi les Normands ont une appréhension si vive de l' hôpital . (L'Infirmier, 2 juillet 1899.) Nous avons expo
vons exposé dans le temps le Lrisle résultat de nos visites dansles hôpitaux de province concernant la déplorable situation
s'en doute. C'est le cas de deux enfants, admis seulement hier à l' hôpital civil sur l'intervention et les formalités de l
re. M. B. Auger, chi- rurgien de Beaujon. M. Thiroloix, médecin des hôpitaux . Asile clinique. Clinique. des maladies mentale
tc. Les symptômes de la -, par Worcester, 501). Cellules dans les hôpitaux et ré- formes urgentes, par Bourneville, 522.
81 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
, des infir-miers pourvus de brevet de capacité, — il y en a dans les hôpitaux , — mesure qui est tout à fait désirable. Nous a
hospi-taliers. Sachant combien les tloucheurs et les doucheuscs des hôpitaux , et il en est de mémo dans beaucoup d'établisseme
la d0,so Koloboff, do St-Pétcrs-bourg. M. le Dr Lutaud, interne des hôpitaux de Paris; M. lo Dr Logez, de Paris; M. le D1' Lan
e sur la vie, de Paris; M"10 A Mario ; M. le Dr Pakowski, externe des hôpitaux de Paris : M. le Dr Pierreson, de Paris; M. le D'
le D'' Papil-lon, interné des asiles de la Seine; 'Patry, interne des hôpitaux de Paris ; Quatremain, rédacteur au Temps, de Par
nier;M. lo D1' Viollet, chef du service Oto-Rhino-Laryngologique de l' hôpital Péan, préparateur d'his-tologie à la Faculté de m
9.566 brosses en tous genres (dont 7.235 pour le Magasin Central des hôpitaux ), 111 réparations. Vannerie. 277 mannes neuve
tc. — Feuilles d'Alphabet pour les classes. — Travaux divers pour les hôpitaux , pour la Société Amicale des Directeurs et économ
e nous donner des infirmiers ayant exercé, avant leur entrée dans les hôpitaux , les professions de me-nuisier, de tailleur, de c
cord avec nous, onze enfants teigneux du ser-vice furent conduits à l' hôpital Saint-Louis, dans le ser-vice de M. Sabouraud, po
, mémo de l'Administration qui dans son affiche des consultations des hôpitaux , ne la mentionne pas plus d'ailleurs que celle de
ui a été le point de départ de l'organisation du service dentaire des hôpitaux et des asiles. Du 1er novembre au 1er mai, en r
ai de Dicèlre. Les réflexions qui précèdent venant d'un médecin des hôpitaux et qui mieux est d'un médecin d'un hôpi-tal d'enf
M. Katz, un de nos anciens internes, passé dans un des services de l' hôpital des Enfants-Malades, avait bien voulu, alors, sur
ir, et des douleurs dans le cou. Elle est soignée pendant 8 jours à l' hôpital Trousseau où on aurait porté le diagnostic « tort
rté le diagnostic « torticolis. » Quinze jours après sa sortie de l' hôpital , c'est-à-dire en mars 1898, la marche devient enc
t après le repas. C'est dans ces conditions que la fillette entre à l' hôpital St-Antoine, le 18 avril 1898, dans le service de
u. IV. Telle était la situation de Dan... quand elle est entrée à l' hôpital St-Antoine, dans le service de notre ami le profe
s médio-cre atténuation des symptômes.En novembre, l'enfant sort de l' hôpital pour entrer quelques mois plus tard dans notre se
ns, il a été envoyé à Berk-sur-Mer, où il resta pendant 2 ans (?) à 1 hôpital Rothschild c'est au moment de son entrée à Berck
deviennent de plus en plus rigides. — En mars 1905, il est admis à l' hôpital Lariboisièrc, dans le service de M. le Dr Landbie
ander qu'un examen minutieux soit fait avant l'envoi des malades d'un hôpital au bureau d'admission de l'Asile clinique, puis d
s compter les dépenses — on l'aurait laissé mourir tranquillement à l' hôpital . VII. Les symptômes cliniques prédominaient à d
à 8 ans, guérie sans laisser de traces après G mois de traitement à l' Hôpital Trousseau. — Tousse d'une façon continuelle, un m
x estiment que les asiles d'aliénés doivent être considérés comme des hôpitaux , c'est-à-dire qu'on devrait y recevoir fa-cilemen
82 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
les malheureux l’art bienfaisant dont la pratique empêche d’aller à l’ hôpital . Puis, à tant de pertes la mort est encore venu
a durée: quiconque voudra s’instruire le pourra désormais aisément. Hôpital mcsinériqiic «le Calcutta. 1" Journal des trait
ignit beaucoup pendant tout le temps de l’examen. Il désira aller à l’ hôpital . II y est venu le 3. Son constant état de souff
eux fois par mois, et il en éprouvait un accès lorsqu’il fut reçu à l’ hôpital , ce qui a retardé la mesinérisation jusqu’à ce jo
e magnétique. Elle n’en sentit aucunement l’effet. Etant revenu à mon hôpital , dix jours après, il me demanda la permission de
de divers traitements médicaux. Elle devra venir tous les jours à l’ hôpital pour y être mesmérisée. Du 18 janvier 1847. Ell
son système nerveux est ébranlé. Il devra venir tous les jours à l’ hôpital pour y être mesmérisé une heure, tant sur la part
M. Johnson avait arrêté son passage pour Singapore avant de venir à l’ hôpital , et n’avait que peu de jours à rester. Il n’est p
ssante. Le Gérant HÉBERT (de Garnay). INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. Hôpital îuemnérlqne de Cnlcnttn. 1" Journal des traitem
ans le pied pour travailler. Il a cessé depuis ce jour de venir à l’ hôpital . 7° Epilepsie. Du .27 janvier. Mme Goodall, â
du mal chez elle. Les voici : « Du 28. Venue encore aujourd’hui à l’ hôpital ; trouvé un petit changement dans le bras; dormi
risé, enflure et douleur nulles. La malade est en état de sortir de l’ hôpital , et de retourner chez elle. 90 Paralysie. Du
s auxquelles ont s’est livré pendant l’épidémie, en ville et dans les hôpitaux , il résulte, comme vérité dominante, que, pour
, atteint d’un rhumatisme articulaire à la hanche gauche, entra à l’ hôpital Saint-Louis au mois de janvier 1849. Après un séj
Louis au mois de janvier 1849. Après un séjour de trois mois dans cet hôpital , durant lequel je l’engageai plusieurs fois, et t
marèher. 11 se sert de sa main pour écrire. Pendant son séjour à l’ hôpital , une incision a été pratiquée au haut de la cuiss
de la journée. L’avenir!... c’est pour les uns l’infamie, le bagne, l’ hôpital ; la maladie longue et cruelle attend presque chac
tifs aux admirables résultats obtenus par le DrEsdaile, créateur d’un hôpital mesmérique à Calcutta. Les nombreuses expériences
rofesseurs étant inefficaces, il a bien des fois fait usage, dans les hôpitaux , du moyen dont il venait de peindre si brillammen
t la tisane des quatre fruits : il était mourant. Je le conduisis à l’ hôpital Neckcr. Résultat de la consultation. — « Cet en
état une élude sérieuse. C’est un événement dont on parle dans tout l’ hôpital . Revue des Journaux. — C’est dans son numéro du
du Dr Esdaile, durant le second semestre de l’année pour laquelle son hôpital a été créé. Nous avons traduit presque en entie
mme, tjue je n’avais pas encore vu. C’était le jour de son eHtréè à l’ hôpital : 011 le magnétisait depuis une heure environ; je
la famille. On conduisit les deux plus jeunes fils, et la fille, à l’ hôpital de Saint-Clpude. La jeune fille, à qui ce mutisme
itif. Le Gérant : HÉBERT (de Garnay). INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. Hôpital nicsinériqnc de Cnlcntln. Journal des traitemen
aordinaire du monde , et que tout ce qu’on lui avait rapporté sur mon hôpital était réel, qu’on y rendait les hommes entièremen
il désespérait de guérir, lorsqu’il lut dans un journal bengali qu’un hôpital avait clé établi à Calcutta, pour la guérison do
souf- « franco. » « Celte absurde prévention vient de ce que mon hôpital a presque exclusivement servi pour de tels cas; m
me montra la noie où il inscrivit alors mon nom et remplacement de l’ hôpital . Cette indication lui avait suffi pour entreprend
st venu sur la recommandation dcRamdhun Nundy, précédemment opéré à l’ hôpital . Entré le 20 novembre, et magnétisé le jour mêm
éré avec succès d’une tumeur, au début de mes expériences, revint à l’ hôpital le 21 décembre, avec une plaie baveuse, large de
H. EVETTE. Vimoutiers, août 18*!!. INSTITUTIONS MAGNÉTIQUES. Hôpital mewnérlqne de Cnlcnttn. Journal drs traitements
près la même durée. Là s’arrête le récit ; l’épreuve est finie. L' hôpital a été fermé au bout d’un an, comme il était presc
ns. Nous comprenons l'influence que la présence de Napoléon, dans l' hôpital de Jafla, dut exercer sur l’esprit profondément d
On a souvent vu les maladies nerveuses devenir contagieuses dans les hôpitaux , les pensionnats, les couvents, etc. L’extase et
es ouvrages (i) , qu’une épidémie extraordinaire envahit, en i55o, un hôpital d’Amsterdam; soixante à soixante-dix enfants en f
t les nombreux succès. Calcutta est son théâtre; c’est là où, dans un hôpital , sa main habile a, sur des centaines de malheureu
ue tous les sujets. L’eflicacité de ce procédé est telle, que, dans l’ hôpital mesmérique, la production de l’insensibilité a ét
tait dans un mauvais état, mais qu’il me ferait entrer à Paris dans l’ hôpital où M. Ligner était employé. Je le remerciai des b
ec cet agent ce qu’elle a fait avec les poisons subtils dans quelques hôpitaux . Elle essaiera, et franchira la limite sans scrup
el le gouvernement s’empressera de former tous les établissemens des hôpitaux à l’instar de celui qui m’aura élé confié. Pour
ques, par M. du Potet, 140, 182, 211, 237, 257, 327, 393, 585, 633. Hôpital mesmérique de Calcutta , fondé et dirigé par le D
83 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
plus estimés du corps médical. Interne de 1853 à 185G, lauréat des hôpitaux , il était reçu, en 1857, docteur en médecine, ave
e un cours de pathologie interne ; en 186G il était nomme médecin des hôpitaux . En 1875, il obtenait un prix à l'Académie de m
Des anomalies de l'éruption vaccinale. De 1876à 1886, il faisait à l' hôpital de la Pitié des conférences de clinique médicale
de médecine sur Les anes-thésiques. De 1886 à 1892, il faisait à l' hôpital de l'Hôtel-Dieu, où il était passe comme médecin,
in, ancien président de la Société clinique, Bilhaut, chirurgien de l' hôpital international, Tison, médecin de l'hôpital Saint-
, Bilhaut, chirurgien de l'hôpital international, Tison, médecin de l' hôpital Saint-Joseph, Archambaud, Apostoli, Gaube du (Ger
ichet, bien connu de la génération actuelle, il fut nommé interne des hôpitaux en 1872, docteur en médecine en 1879, docteur è
ne se présenta qu'en 1S73, alors qu'il était interne de Le Fort, à l' hôpital Beaujon. Dans son mémoire, M. Richet formulait dé
oix les candidatures de M. le Dr Rousseau-Saint-Philippe, médecin des hôpitaux de Bordeaux, de M. le Dr Victor Levèque, de M. Da
8 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Armand Pauller, ancien Interne des hôpitaux , fera une conférence sur : L'anatomie des régions
die grave, sauf une hernie inguinale pour laquelle il a été opéré à l' hôpital Saint-Louis en janvier 1896- Les seuls accidents
il serait revenu à la vie ordinaire peu de temps après sa sortie de l' hôpital , et dans l'espace de vingt mois aurait eu de nomb
8 Janvier, à cinq heures, M. le Dp Armand Paullcr, ancien interne des hôpitaux , fera une conférence sur ; L'anatomie des régions
8 Janvier, à cinq heures, M. le Dr Armand Paulier, ancien interne des hôpitaux , fera une conférence sur : L'anatomie des régions
avec laquelle — j'en ai été moi-même témoin, dans un autre des grands hôpitaux de Paris — on annonçait tout haut, devant les suj
iégeois en contestera la portée (de ses expériences, 1. Cadette des Hôpitaux , 1887. 2. Bulletins de l'Accadèmie royale de Be
moment donne, il voulut se guérir et, sur Je conseil d'un médecin des hôpitaux , tenta la guérison par la substitution des inject
'état de veille (imposition des mains) Par MM. Mongour, médecin des hôpitaux de Bordeaux, et Rexault, élève du Service de Sant
nté de la Marine. Jeanne S..., trente-huit ans, ménagère, entre à l' hôpital Saint-André, salle 5, lit 11. dans le courant du
la maladie. — Le début de l'affection qui a conduit cette malade à l' hôpital remonte à sa dernière fausse couche, c'est1 à-dir
ures au plus. C'est alors que .je conseillai à la malade de venir à l' hôpital où nous pourrions plus à notre aise l'étudier, j'
. Les selles sont assez régulières. Quelques jours avant d'entrer à l' hôpital , la malade a présenté, outre des alternatives de
ceinture dont elle consent difficilement à se servir. Elle quitte l' hôpital vers le 20 septembre complètement guérie. Nous
e aux Quinze-Vingts. Chirurgien-chef du service d'ophthalmologie de l' hôpital Saint-Joseph. Comme il n'y a de réel et d'immua
et la céphalée est un peu amendée. Au moment où le malade entre à l' hôpital [24 Novembre 1896), le nombre des accès est de tr
it à avoir trois ou quatre accès par jour, comme avant son entrée à l' hôpital . C'est alors que M. Spehl commença la suggestio
et dit au malade, avec une certaine sévérité, « qu'il n'était pas à l' hôpital pour avoir des accès, mais bien pour guérir ; que
uccès de son traitement pouvait être aussi bien le fait du séjour à l' hôpital , dans des conditions de calme et de repos, que ce
q ans que dure son mal, fait de nombreux et longs séjours dans divers hôpitaux (jusque sept et huit mois consécutifs), et, cepen
images ? Nous répondrons par l'affirmative. M. Variot, médecin des hôpitaux de Paris, et M. Jullien, médecin de Saint-Lazare,
lus favorable, Esdaiie fut placé, par le gouvernement, à la tête d'un hôpital de Calcutta, pour y mettre en pratique sa théorie
vironnantes, et Esdaile put noter plus de cas en un mois que tous les hôpitaux de Calcutta n'en pouvaient fournir en une année.
que l'éther ne fût reconnu, et son usage était aussi commun dans mes hôpitaux que l'usage du chloroforme l'est devenu depuis en
s abdominaux si alarmants que la malade est transportée d'urgence à l' hôpital . On diagnostique une suppuration pelvienne, qu'on
tion complète par la voie vaginale pratiquée quelques jours après à l' Hôpital International, nous montrait l'ovaire gauche, cri
ce Jussieu. La dormeuse de Rochefort. Au moment de la visite de l' hôpital de Rochefort par M. le Président de la République
at, est âgée de 30 ans. Elle est née à Rochefort. Elle est entrée à l' hôpital le 31 janvier dernier. Depuis un mois, elle était
nt, chez ses voisins qui, effrayés, avaient réclamé son admission à l' hôpital où sa maladie a été caractérisée de la façon suiv
des chagrins qu'elle a concentrés. » Le lendemain de son entrée à l' hôpital , au moment de la visite, le chef de service la tr
84 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
AUL RICHER GILLES DE la TOURETTE CHEF DU LABORATOIRE DE MÉDECIN DES HÔPITAUX LA CLINIQUE ANCIEN CHEF DE CLINIQUE ALBERT LO
d'une façon certaine qu'il en existe d'autres spé-' cimens dans les hôpitaux de Paris. Les renseignements que nous avons rec
ch. de méd. expérimentale, 1892. (5) Photographie faite en 1890 à l' hôpital de la Pitié, dans le service de M. le profes- s
mbre 1893, salle Woillez, n° 6, servicè-déM. Gilles de la Tourelle, hôpital Cochin. A. H. Père mort à 74 ans ( ? ) mère mor
de sa maladie.. , Début de la Éi-ol2tlioiî jusqu'à, l'entl'de.ll l' hôpital . En 1885,il,ya a environ 8 ans, l'affection act
sans douleurs. En février 1894, R. entre pour la première fois à l' hôpital par un atta- que d'asystolie avec oedème des me
pulmonaires reviennent à nouveau et il entre le 9 novembre 1893 à l' hôpital Cochin en proie à une attaque d'asys- tolie.
u, chef du Laboratoire de chimie de M. le professeur Four- nier à l' hôpital St-Louis, a bien voulu faire l'analyse d'une clav
la moelle. GILLES DE la Tourette, L. lI'IACDELAhI : , médecin des hôpitaux . interne des hôpitaux. NOTE SUR UN CAS D'OSTÉIT
la Tourette, L. lI'IACDELAhI : , médecin des hôpitaux. interne des hôpitaux . NOTE SUR UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET
Dr Gombault, à l'hospice d'Ivry, par M. Henri Meunier, interne des hôpitaux , auquel sont dues également les photographies r
ngagé à publier cette observa- tion. Henri Meunier, interne des hôpitaux . (1) Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n
tte sous-optique. - E. Brissaud. . Professeur agrégé, médecin des hôpitaux . Fig. 30. Trajet et rapports de la bandelette s
les, mais jamais avec une acuité pareille. Avril 1882. Il entre à l' hôpital Beaujon. Pendant son séjour qui fut de quelques
rapidement les avant-bras et les mains, si bien qu'à sa sortie de l' hôpital le malade était incapable de manger seul. La ma
tion électrique de dégénérescence. - II. LAMr, Ancien interne des hôpitaux . UN CAS D'HÉMIPAHAPLÉGIE SPINALE AVEC ANESTHÉ
dans le service de notre maître, le Dr Gilles de la Touret- te, à l' hôpital Cochin : La nommée L..., Marie, âgée de 41 ans,
he), est plus faible, dit la malade, que le jour de son entrée il l' hôpital . Ce matin, au lever, il est tombé comme une mas
que ammonique de Delpech. 15 janv. La malade demande sa sortie de l' hôpital . A. Jon.\i\D. Interne des hôpitaux. LA MÉTH
a malade demande sa sortie de l'hôpital. A. Jon.\i\D. Interne des hôpitaux . LA MÉTHODE CURATIVE DES PLATES, ET FRACTURES
onne posture aux esprits. » 11. Cnu ? n,i : r, Ancien interne des hôpitaux . Le gérant : Loi n,\'IT' Imp. \'vc COUHDOT, 3
pire pendant 13 ans. Après une vie assez aventureuse, il mourut à l' hôpital d'Elbeuf, à l'âgede80 ans environ, « perclus de
na vivement elle eut la danse Saint-Guy. Soignée pendant 3 mois à l' hôpital do ]'Enfant-Jésus, elle en est revenue bien por
re.,l,lrésie de la peau à l'âge de 18 ans au moment de l'entrée à l' hôpital et les douleurs à la pression sur le trajet des t
é aucune modification il cet état. La dernière crise a eu lieu il l' hôpital Tenon, il y a une dizaine de jours. Kilo a duré
te. Le malade entre alors dans le service de M. le D1' Millard il l' hôpital Beau- jon; notre collègue et ami Meunier, inter
seur Dehove démontra le premier en France à la Société médicale des hôpitaux les caractères clini- ques de la syringomyélie.
1894. (4) Thèse de Pavlidès, 1888, et Chauffard, Soc. médical. des hôpitaux , 1883. Sur 7 cas 4 fois les 2 pieds étaient pri
eur. Le 17 mai, il se présente il la consultation de chirurgie de l' hôpital Lariboi- sière ; on l'a envoyé à l'électrothéra
ift sur klin. Vled., Bd. 13. 1889. Déjerine. - Société médicale des hôpitaux , 22 février 1889 (2), et thèse de Bruhl, 18;J0,
nctionnel fut du reste assez satisfaisant, et le malade sortit de l' hôpital avec une bonne articulation mobile. En somme la
guérissant un épileptique : lisons hystérique. , « Il y avait à l' hôpital un infirme nommé Bastida, qui, depuis de longues
on petit présent, et en fit largesse, devant elle, aux malades de l' hôpital (1) ». On peut, non sans vraisemblance, suppose
lire de maigreur. 1 E. Brissaud Professeur agrégé, médecin de l' Hôpital Saint-Antoine. . A. SOUQUES. Chef de cliniq
iète dans une certaine mesure de son état et ne veut pas rester à l' hôpital . Il voit très bien ce qui se passe autour de lui,
même nature. A. Souques. PAUL LoNDE. Chef de clinique Inlerne des Hôpitaux , des maladies du système nerveux. NOTE SUR DE
le. Ablation de ce fragment Guérison. Le 5 mai 1893 entrait : i l' hôpital d'Orléans un garçon de vingt-deux ans qui, en t
isparut, les béquilles puis la canne devinrent inutiles, et, dans l' hôpital , le malade mon- tait et descendait les escalier
ensibilité. de la vessie et de l'urèthre avaient reparu. Sorti de l' hôpital , le malade avait pu constater l'étal satisfaisa
85 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nge bei Mânnei-n. Irrenfreund XX. 2 Calmeil et Thomeuf. Gazette des hôpitaux , 1856. 3 Nasse. Allg. Zeitsch. f. Psych. B. XXX
enée à la ville vers les derniers jours de février. On la plaça à l' hôpital de la ville, appelée l'Ile, dans une chambre ch
ère. ^Plusieurs infirmières qui ont habituel- lement le soin dans l' hôpital des autres malades lui furent adjointes, de tel
rigueur, pour assurer la sincérité de l'expérieuce. Le maître de l' hôpital et sa femme les observaient dans les plus petit
s« surtout à l'incompétence du personnel chargé de la direction des hôpitaux ». C'est précisément ce que je disais. « Les no
onférences régulières comme le font les candidats à l'iiilernat des hôpitaux . Le jury, à la fin du concours, a adressé à M.
femmes dans une section de Ward's Islanas ; - 4 : i0 femmes dans l' hôpital homoeopaLhtque; 650 épileptiques et idiots à Ra
e est en vente aux bureaux des Archives . ) 2 Béhier. -- Gaz. des Hôpitaux , 1869, p. 59. ' Bernard. Loc. cit., p. 20. DE
a Société anatomique, mars 1869, p. 152. Revue pho- tographique des hôpitaux , 1869, p. 153, 161. Etudes de thermométrie clin
ITS UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICH ; Par Peul BLOCQ, interne des hôpitaux . Le premier mémoire de Friedreich consacré à la
te : Paul Par..., âgé de vingt ans, entre le il octobre 1886, à l' hôpital Tenon, dans le service de M. le Dr STRAUS, et occ
mouvement fébrile, ce qui le détermina à demander son admission à l' hôpital . Le malade est de très faible constitution et n
e à l'épileptique indigent qui, son attaque passée, est renvoyé à l' hôpital et qui, s'il n'a la res- source de l'asile d'al
e. Quand ces malheureux épileptiques ne sont pas traités dans les hôpitaux ordinaires, ils sont placés daus les asiles d'ali
s d'un ancien régime qui remonte à la création, sous Louis XIV, des hôpitaux généraux destinés, je ne dirai pas à la suppres
membres choisis par le préfel. Les quai tiers spéciaux annexés aux hôpitaux ou hospices sont administrés par les commissions
me temps. CH. F. XIII. Manuel pour l'instruction des infirmiers des hôpitaux d'aliénés. (Boston : supplém, Uptam et Cie.)
simple et clair. Il est assez étonnant que jusqu'ici les écoles des hôpitaux aient prêté si peu d'attention à l'étude des mé
ALIÉNÉS EN RussiE. SAINT-PÉTERSBOURG. - Etablissements publics : 1° Hôpital de Saint-Nicolas, médecin-directeur : M. Tschet
° Hôpital de Saint-Nicolas, médecin-directeur : M. Tschetschott; 2° Hôpital de Saint-Panteleimon, méd.-dir. : M. Tschij ; 3
schott; 2° Hôpital de Saint-Panteleimon, méd.-dir. : M. Tschij ; 3° Hôpital de Fous les Souffrants, méd.-dir. : AI. Tschere
éd.-dir. : M. le professeur Mer- jeëvsky ; b° Section d'aliénés à l' hôpital militaire de Nicolas, méd.-dir. : M. Nikiforoff
nés à l'hôpital militaire de Nicolas, méd.-dir. : M. Nikiforoff; 7° Hôpital temporaire pour les femmes aliénées, méd.-dir.
e d'aliénés, méd.- dir. : M. Derjavine ; - 2° Section d'aliénés à l' hôpital de la Police. 3fttisoiis privées : 1° Section
pital de la Police. 3fttisoiis privées : 1° Section d'aliénés à l' hôpital de la société « Exauce-moi »; '2° Maison d'alié
établissements de ce genre n'étaient que des « corpora delicta» des hôpitaux généraux. Leur caractère spécial. lié, peut-êtr
aliénés à Saratow était jusqu'à l'année 1 884 un simple annexe de l' hôpital général de cette ville. Ne jouissant à cette ép
partout ce sont les états provinciaux (Zemstwa) qui s'occupent des hôpitaux , au sud-ouest de la Russie les malades ont enco
es établissements d'aliénés présentent dans ce pays des annexes des hôpitaux généraux. Un témoin oculaire, qui il y a quelqu
acile et moins coûteux : varia. 313 pour placer un aliéné dans un hôpital il faut remplir un tas de formalités administra
IV. La maison d'aliénés à Simphéropol, après avoir passé, comme les hôpitaux mentionnés ci-dessus, toutes les phases diffi-
tribution. Quatre sections principales la composent. La première, l' hôpital psychiatrique pro- prement dit, renferme deux d
ils pénétrèrent enfin et d'où ils transportèrent les habitants à l' hôpital . I.à, ils devinrent peu à peu plus calmes et se
9 Bromure DE magnésium. Le bromure de magnésium est em- ployé a l' hôpital de Philadelphie, section des aliénés, comme un
ical Journal). Les asiles d'aliénés ET la POLITIQUE. -La comité des hôpitaux a été averti qu'à l'asile d'aliénés d'Indiana,
es. Jusqu'en janvier 1886, il paraissait admis sans * Gazette des Hôpitaux , 28 août 1881. 382 ' PATHOLOGIE 1VEIWI;USE. c
liquides. Il y a quelques années, je guéris une une malade dans un hôpital ; mais j'avais un contrôle entier sur elle, et l
. HUCIIARD, le quitte le* 19 juillet par suite de l'évacuation de l' hôpital en vue du choléra. Le 19 juillet, est admis à N
ble que l'électricité doive remplacer le gaz pour l'éclai- rage des hôpitaux d'aliénés. L'expérience faite dans ce but au no
ibilité d'un accident ou d'un arrêt d'un dynamo ou d'une machine, l' hôpital ne pouvant être ainsi complètement privé de lum
M. le Dr DUIARDIN- BEAUMET7, de l'Académie de médecine, médecin des hôpitaux : vice-présidents : MM. CLAUDE (des Vosges), LE
r : Jules Rosxris. Concours POUR UNE place DE MÉDECIN aliéniste DES hôpitaux . z L'épreuve écrite a eu lieu lundi dernier. Le
ekel (maison Gadna pour catholiques, hommes), 150 malades. - Delft ( hôpital Saint-Jorris), 300 malades. Deventer, 300 malad
RAPHIQUE. wyk), 40 malades. Hohleindain, 250 malades. Maestricht ( hôpital Calvarienber), 80 malades.Medenib)ick (établisse-
86 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
analogues à celles que déterminent le recrutement des médecins des hôpitaux , médecins-ad- joints qui tous ont fait la preuv
urs, un stage soit comme internes d'asiles, soit comme internes des hôpitaux ou chefs de clinique. Enfin, ces médecins-adjoi
lus en plus il. être consi- déré comme ce qu'il doit être, comme un hôpital , et l'aliénation mentale pour ce qu'elle est, u
actuelles, et les asiles en arriveront à être administrés comme les hôpitaux avec un direc- teur laïque qui seul sera logé e
facultés. Nous n'avons pas de chirurgien, l'asile est aliénant à l' hôpital dont le chirurgien se mettrait volontiers à not
eurs surveillent les mala- des -'On avait amené, mercredi soir, à l' hôpital de Saint-Ger- main-en-Laye, un habitant de Ruei
tatix, 1901, 11* 19,1).169.) (3) BARTELS. - de cheval. (Galette des Hôpitaux , 1901, n°19,1>. 109.) - z (3) Bar-tels. Uebe
ère place. Dans une communication faite à la Société médicale des hôpitaux (juillet 1908), nous avons démontré, avec le pr
l1. gén. de médecine, août 1892). (6) JOFFROY. - (Soc. médicale des hôpitaux , 1896). (7) LÉOPOLD Lévi. (Bull. de la Soc. ana
. Il s'est gravement blessé au crâne. Un l'a conduit avec peine à l' hôpital , en attendant qu'on puisse le trans- fél'0l' à
troubles mentaux qui ac- compagnent les affections viscérales. A l' hôpital de Victoria Park pour les maladies de la poitri
enseignement de la psychiatrie commencé à l'Ecole de Lyon, tant à l' hôpital Desgenettes qu'à l'asile de Brou, continué à l'
on, tant à l'hôpital Desgenettes qu'à l'asile de Brou, continué à l' hôpital du Val-de-Grace devrait être complété pour les
t 190 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEUROLOGISTES. pas là un hôpital dont les malades pourraient être utilisés pour
l'organisation de services balnéo-hydrothérapi- ques dans tous les hôpitaux et hospices de Paris. Elle a été fructueuse. Il
externes soient autorisés à prendre des bains et des dou- ches à l' hôpital . 1877. Rapport sur larcconslruction des bains ext
ôpital. 1877. Rapport sur larcconslruction des bains exter- nesdc l' hôpital Saint Louis, et Progrès médical, 1877, p. 549.- 1
Saint Louis, et Progrès médical, 1877, p. 549.- 1880. Rapport sur l' hôpital du Midi, n° 63, pi Construction d'un ser- vice
sur la reconstruction du service des bains etd'hydrothéra- pie il l' hôpital Laennec, n° (il ! . Installation il l'Asile clini
érapeutiques. Déjà, ils en donnent plus souvent que dans beaucoup d' hôpitaux , mais certaine- ment dans une proportion trop r
il l'asile de Lotion ; comme elles le sont dans un grand nombre d' hôpitaux et d'asiles nous faisons exception pour les éta-
ion absolument médicale. Quand on admet un nouveau doucheur dans un hôpital , on devrait en prévenir les médecins qui, eux,
rvice ont en tous lieux demandé l'organisation, dans chaque grand hôpital de salles ou chambres d'observation spéciales,
permettrait « de ne transférer les malades délirants et agités des hôpitaux dans les asiles, qu'après aliéna- tion mentale
jury spécial pour chaque maison spécialisée' ? BROUSSE. Pour les hôpitaux , pour \atterre, pour Bicè- tre... - : 'Il. CULL
ils se présententà Gi- à à la Salpêtrière, qu'ils se présentent aux hôpitaux de Paris, àCharenton, à l'agrégation, qu'on leu
nous avons obtenu qu'on ne fasse pas de chapelle. Même chose à l' hôpital l31cllat. A 1'llùlcl.Dieu de Paris, c'est une sal
ison Blanche). B. « L'Ecole d'infirmiers et d'infirmières créée à l' hôpital de Greno- ble est une innovation excellente, éc
re. Les infirmiers et infirmières suivent les cours de l'école de l' hôpital de Grenoble où ils reçoivent l'ensei- gnement g
ent bien le fond dépressif el la douleur mentale. « .I'ai été à l' hôpital le ne sais pourquoi on m'a en- voyée ici... On
psichialrii, IX, 1904.) Etude portant sur la période 1883-1902 de l' hôpital des aliénés de o (Gouvernement de TN% err). P
La proportion des admissions pour paralysie générale assi- gne àcel hôpital la 3e place parmi les autres hôpitaux du même g
alysie générale assi- gne àcel hôpital la 3e place parmi les autres hôpitaux du même genre. - 2" La progression de la maladi
iL ce que ceux-ci forment la mas·c principale de la clientèle de l' hôpital , mais n'empêche que la paralysie générale pénèt
our de congé, l'enfant l'ut soustrait il mes soins et placé dans un hôpital général. Là il devait avoir pris froid car, il
octoral. Pour les candidats ayant été internes en nnde- cinedansles hôpitaux et hospices de Paris ou dans les asiles (.pu- 1
Irois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux , en exercice ou honoraires. Les médecins chef de
tirage au sort a lieu dans les formes usitées pour le concours des hôpitaux , en pré- sence de deux membres du Conseil de su
; elle vivait encore, mais elle expira peu après son transfert à l' hôpital de La Loupe. Les deux religieuses avaient conti
r les maladies dit système nerreux, 18 ? I. II, p. 180, Galette des hôpitaux , 1874-1883. SUR L' PATHOGENIE DES ALTERATIONS M
is, z 7 décembre 1899. (2) Sicard et Ces'i . Société médicale des hôpitaux , séance du 24 juin 1904. · sur la pathogénie
- Examen bactériologique du sang des épileptiques. Soc, médic, des Hôpitaux de Lyon, 1903, 3 novembre. 470 REVUE CRITIQUE.
E critique. v ,f t ' J'ajoute que M.Alberto ENTRLcn, médecin de l' hôpital de Jlazorra (Cuba), m'écrivit qu'en recherchant
remier au Concours de 1899, et la même année interne provisoire des hôpitaux , il était nommé, l'année suivante, interne des
visoire des hôpitaux, il était nommé, l'année suivante, interne des hôpitaux de Paris. Les premières observations qu'il rédi
e fait suivant : Une scène dramatique s'est déroulée, ce soir, il l' hôpital Saint Pierre à Un ancien jockey, Poeis, qui ava
et qu'on supposait guéri, était entré, de- puis quelques jours, à l' hôpital , pour une affection de poitrine. Il paraissait
ole de force. Pendant qu'on le transportaital'asited'alie- nés de l' hôpital Saint Jean, Poels rompit ses entraves et il fallu
l'ut successive- ment interne de ilorel à ilaréville, sous-aide à l' hôpital mili- taire de Nancy, ltcosecLeur 11'analnmil'
87 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
x mala- des et rapprochent autant que possible notre section d'un hôpital ou mieux encore, d'un pensionnat ol'cli- naire.
tre. Service denlaire. Notre ami le DI' Cruct, ancien interne des hôpitaux , continue ses visites bi-mensuelles aux enfants
dication d'un parloir pour les familles les jours de visite. 3° L' hôpital , c'est-à-dire l'infirmerie, le pavillon des con
lace. Ce n'est pas à l'entrée de l'asile, mais plutôt au fond que l' hôpital devrait être placé. En effet, chaque fois que l
Cette institution est à la fois une école ou mieux un internat, un hôpital et un hospice réunis par des services généraux
, les exposer à l'air et à la chaleur et assainir les salles. VI. Hôpital . Sous ce nom nous réunissons : 1° l'infirmerie
otait une éruption, la rougeole, maladie qu'il avait contractée à l' hôpital des Enfants-malades où il a fait un séjour de d
pilepsie depuis son entrée bien qu'il ait été envoyé à Bicêtre de l' hôpital Beaujon comme *él)ilel)tiqtte. Il est atteint d
de l'enfant a eu d'un premier mariage une fille, morte à 3 ans à l' hôpital des Enfants Mala- des, cle tuberculose. Cette e
ttribuait à la dentition, la mère se décida à le faire admettre à l' hôpital des Enfants-Malades, d'où il fut envoyé à Bicêt
ut envoyé à Bicêtre. Tout porte à croire qu'il contracta dans cet hôpital la rougeole qui s'est déclarée 8 jours après son
mie à Lariboisière pour des accès de suffocation, et il sortit de l' hôpital , avec sa canule, Antécédents héréditaires. 109
upières; immobilité. Strabisme constaté à 13 mois. Craniectomie à l' hôpital Trousseau en juin 1890. Coqueluche à 2 atxs et
, titine (Augustine, une autre soeur). Entré vers février 1890, à l' hôpital Trousseau, dans le service de M. le professeur
clongue, il y fut crâniectomisé le 22 juin 189 0(1). Il sortit de l' hôpital à la fin de février 1891. Sa mère prétend ne pa
enfant commençait à les effectuer avant son entrée à Trousseau. A l' hôpital , il apprit à se servir de la cuiller ( il savai
L'enfant est sorti à la fin de février 1891. Pendant son séjour à l' hôpital , il a été naturelle- ment l'objet des soins les
la mère de l'enfant, la situation était à peu près à la sortie de l' hôpital ce qu'elle était à l'entrée. L'enfant nous es
res du soir. Les parents nous racontent que l'enfant est sorti de l' hôpital Trousseau le 31 octobre, est passé de là à l'Asil
vant de venir à Bicêtre. Il est donc probable qu'il a contracté à l' hôpital Trousseau les ger- mes de la rougeole à laquell
tracté cette maladie, à laquelle il a succombé, durant son séjour l' hôpital des Enfants-Malades. L'habitude que nous avons
VILLI· ? et y est décédé le 12 octobre 1892. L'enfant arrive de l' hôpital Trousseau muni du certificat suivant, signé du
eau muni du certificat suivant, signé du DJalaguier, chirurgien des hôpitaux : «Est atteint d'idiotie incurable. Il est néce
rallèlement à la suture occipito-pariétale. 11 est sorti guéri de l' hôpital Trousseau le 28 décembre. Il est indiqué comme no
signé de M. le D1- Cadet de Gassicourt : Je soussigné, médecin de l' hôpital Trousseau, certifie que le jeune Mardi ? âgé de
ectuels et que cette maladie nécessite son entrée immédiate dans un hôpital spécial, au point de vue de sa santé et de la e
. On administra du bromure et on envoya l'enfant en observation à l' hôpital Trousseau chez M. Cadet de Gassicourt, où il re
enne. L'examen oph- thalmoscopique. fait par M. Vialet, internc des hôpitaux , montre à gauche et à droite, un leucome total
ugeole à 3 ans ; et, parait-il, les oreilluns durant son séjour à l' hôpital . Ni onanisme, ni vers intestinaux. Pas de gourm
le mois de mai 1890, notre ami, M. le Dr P. Poirier, chirurgien des hôpitaux , chef des travaux ana- tomiques de la Faculté d
. En présentant à l'Institut la note clu savant chirur- gien de l' hôpital Trousseau. M. le prof. Verneuil s'est exprimé a
; elle n'est pas plus susceptible d'éducation. Le père dit que, a l' hôpital de Rouen, la soeur s'occupait d'elle, essayait
es ; immobilité. Strabisme constaté à 13 mois. - Craniectomie il. l' hôpital Trousseau en juin '1890. Coqueluche à 2 ans et
88 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ablir. Déjà, dès 1892, dans un discussion à la Société médicale des hôpitaux , l'un de nous affirmait que cette association d
oie à un accès de folie, est entré hier, vers quatre heures, dans l' hôpital Cochin, armé d'un rasoir, et a tenté de frap- p
nstata une amaurose absolue. Après un séjour de cinq semaines à l' hôpital elle retourne chez elle, de plus en plus déprim
ette de quatorze ans fait une chute sur la tête. On l'ap- porte à l' hôpital dans un état semi-romateux avec des troubles mo
opération, et, au bout de quatre semaines, la malade a pu quitter l' hôpital ; elle était alors complètement débarrassée de t
e statistique des résultats donnés sur des paralytiques traités à l' hôpital de Washington par les courants d'eau froide dan
s dans les rues de Glasgow après des excès de boissons et amené à l' hôpital . Les convulsions sont intenses, et plus marquée
de la maladie est mal connue, les malades restant peu de temps à l' hôpital , en sortant dès qu'ils sont améliorés et ne con
r,-depuis 1884, il n'y eut que 3 décès sur 45 malades trai- tés à l' hôpital de Saint-Thomas à Londres, de 1870 à 1894, 4 décè
MARIE. XXIX. Traitement DES aliénés A la consultation EXTERNE DES hôpitaux (British. 111edic. Journ., avril 1898, p. 1158).
cas d'aliénation men- tale au début, à la consultation externe de l' hôpital Saint-Thomas, et le Dr Crocbley Clapham a fait
'hôpital Saint-Thomas, et le Dr Crocbley Clapham a fait de même à l' hôpital royal de Sheffield. Daus les deux cas, les résu
spérer qu'une cli- nique d'aliénation mentale sera annexée à chaque hôpital général, comme l'est aujourd'hui une clinique d
avec Falref, avait créé la Maison d'aliénés de Vanves. Interne des hôpitaux en 185J., docteur en 1858, chef de clinique de
bert Ballet, professeur agrégé de la Faculté de Paris, médecin de l' hôpital Saint-Antoine; Bouchereau, médecin de l'hô- pit
Bourneville, médecin de Bicêtre; A. Carrier, médecin honoraire des hôpitaux de Lyon ; Chrystian, médecin de la maison natio
e coupant la gorge avec un rasoir. Désarmé, il a été transporté à l' hôpital , perdant son sang en abondance. Dans le tra- je
irie 0. Uoin. Grasset (J.). Leçons de clinique médicale faites il l' Hôpital Saint- Eloi de dlonlpellier (novembre 1895 à ma
VOISIN, Médecin de la Salpêtrière, El A. 11AOTÉ, Interne des hôpitaux Nous avons poursuivi depuis quelque temps des r
nte (.oc. obsl. elllyaécolo ? 9 mars 1898). - Castaigne. Gaz. des hôpitaux , 11 juin 1898. 3 Charrin et Mavrojanis. Société
M. le professeur Le Dentu (1891), dans deux importantes leçons à l' hôpital Necker, établit une différence clinique très préc
ue. En 1893, à la Société de chirurgie, plusieurs chirurgiens des hôpitaux rapportent des cas d'aliénation consécutifs à des
a la syphilis il y a six années et fut soigné pendant cinq mois à l' hôpital du Midi. Quatre ans environ après son chancre,
con- tractée au lit d'un malade au moment de devenir interne des hôpitaux de Paris. « Je suis heureux de compter parmi no
passeuse, atteinte de tuberculose pulmonaire, est en traitement à l' hôpital général de Nancy, service de M. le Pl' Spilmann
son âge, ni le lieu qu'elle habite, ni le temps qu'elle a passé à l' hôpital , etc... Elle 286 CLINIQUE MENTALE. : refuse
rpérale qu'il a pu observer pen- dant deux années dans les salles d' hôpital de Kings. Tous ces cas étaient de nature subaig
e-trois ans, ayant eu un chancre induré il y a vingt ans. Entré à l' hôpital Golitzine, eu octobre 1895, avec les symptômes
avers de doigt au-dessous de l'ombilic. Le 91, la malade rentre à l' hôpital Golitzyne, où la limite supérieure de l'anesthési
e nature à expliquer les désordres psychiques. ' Société méd. des hôpitaux , janvier 1896. 358 CLINIQUE MENTALE. - II.
é, prenant des bains et buvant de loin en loin quelques gorgées à l' Hôpital et à la Grande-Grille, quand elle fut prise d'une
s maternels, le D'' Louis de Crozant, alors qu'il était interne des hôpitaux de Paris, a écrit, en '1846, un mémoire pour ét
ptions rares'. ' La malade présenta de la fièvre dès son entrée à l' hôpital , puis l'état devint infectieux et la mort survi
connaissances spéciales sur la construction et l'amé- nagement des hôpitaux , des qualités administratives pour la direc- ti
can Journal of insanily, janv. 1898.) E. B. Certains médecins des hôpitaux leur nombre diminue considèrent les aliénistes
torat. Pour les candidats ayant été internes en mé- decine dans les hôpitaux et hospices de Paris ou dans les asiles publics
s tirés au sort parmi les médecins aliénistes, chefs de service des hôpitaux et hospices en exercice ou honoraires; un membr
trois membres tirés au sort parmi les médecins chefs de service des hôpitaux , en exercice ou honoraires. Les médecins, che
'ATTENTION; Par le D' Jo ,\ : \ Y R 0 U X, . 1, : x-iiiteri,e des hôpitaux . Les découvertes récentes de l'histologie et de
établissements fondés récemment pour les aliénés, nous trouvons des hôpitaux séparés, destinés au traitement des cas récents
que conforme aux 474 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. habitudes des hôpitaux . L'extrême délicatesse de la texture du cer- ve
H's, les amener peu à peu à placer à la disposition des malades des hôpitaux répondant il ces indications. Ceci montre, à mon
hangement de iési- dence. Tout cela le pauvre ne le peut faire. Les hôpitaux ordinaires ne reçoivent pas les personnes suspe
.) Cette étude porte sur 100 cas de delirium tremens observés à l' hôpital Saint-Jean pendant une période de trois années. T
). On peut dire avec raison, car tous les jours mon expérience de l' hôpital me confirme dans cette opinion, que le Chinois
Les malades, heureux d'échapper à l'ennui de la vie monotone de l' hôpital , acceptent avec plaisir le travail : quant à la c
taires devrait être donnée aux institutions simi- laires, asiles ou hôpitaux . (American Journal o/`insanitr, oct. 1897.) E.
, 269, 350, 428. Traitement des - à la consul- tation externe des hôpitaux , 143. Alimentation artificielle des , par Lis
89 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
y Littelejohn; - Dr Hjalmer Neiglick; - M. Hoschain, économe de l' hôpital de Saint-Germain-en-Laye ; - M. Issaurat, profe
Seine ; - M"° Klumpke ; - Dr Laboubée ; le Dr Lallier, médecin de l' hôpital Saint-Louis ; - le Dr Lange, de Copenhague; - l
organes : 1° Services de jour : réfectoires, écolo, ateliers; - 20 hôpital proprement dit : infirmerie; - pavillon d'isole
ochaient la création des Ecoles d'infirmières et la laïcisation des hôpitaux , nous avons été l'un des deux élus (juin 1879).
re face à des besoins qui ne sont guère connus que des médecins des hôpitaux d'enfants, des conseillers municipaux et des ad
es enfants remonte déjà loin. En effet, dès les premiers temps de l' Hôpital général, dont Bicêtre et la Salpêtrière composa
haritéune assistance vraiment républicaine, il ne faut recourir à l' hôpital ou à l'hospice, que si l'assistance à do- micil
usqu'à ce qu'elle occupât tout le corps. Lorsque l'enfant entra à l' hôpital , elle se caractérisait ainsi : Regard fixe, tim
tre cas, il s'agissait d'une petite fille amenée à ma clinique de l' hôpital Bellevue pendant l'été de 1869. Elle venait de
i ce n'est une carie vertébrale pour laquelle il a été soigné à l' hôpital des Enfants malades et qui a laissé des cicatrice
ours sans rien. Conduit plu- sieurs fois aux Enfants-Malades et à l' hôpital Trousseau on lui a donné des bains, de la tisan
evenait à lui qu'après un assez long temps. Depuis son entrée à l' hôpital , J. S... a eu deux ou trois accès par jour, leur
iste non marié, auparavant berger, admis en 1833 pour épilepsie à l' hôpital de Schwetz, transféré plus Lard . lleschede. -
médical, 1882. (Bibliographie détaillée).- J.-M. Charcot : Gaz. des hôpitaux : , 188t, et Progrès médical, 1887, 2' série, t
Société anatomique, mars 1869, p. 152. - Revue pho- tographique des hôpitaux , 1869, p. 153, 161. - Etudes de thermométrie cl
sa soeur ou sur les objets. Une fois, sa mère étant allée voir, à l' hôpital , son mari, qui avait une jambe cassée, trouva,
t en a publié un cas intéressant dans la Revue photographique des hôpitaux de Paris (1869, p. 21). L'un de nous en a vu pl
ndant notre internat dans le service de M. le professeur Hardy, à l' hôpital Saint- Louis (1) et qu'il nous semble utile de
ès un médecin qu'on avait appelé saigna le malade et l'en- voya à l' hôpital Saint-Louis où nous le vîmes immédiatement, c'e
d'un léger épanchement pleurétique qui nécessitèrent le séjour à l' hôpital jusqu'au 7 octobre. La particularité qu'il impo
ême temps mon transfert à Sainte- Anne, rue Cabanis, et ensuite à l' hôpital de Santé de Bicêtre où je ne suis que momentané
ue, l'assurance de ma haute considération. Achille GAUG.... à l' hôpital . 25 juin. Gaug... dort bien la nuit. Il n'a pas
. d'une demi-heure, le commissaire vint. Je voulus être conduit l' hôpital d'Argentan à mes frais. Après que je lui eus expo
quête sur ce qui venait de se passer. Je restai huit jours dans cet hôpital où je n'ai fait aucun bruit. M. P...., médecin,
certificat a été délivré à tort. Mes parents vinrent tous deux à l' hôpital avec mon oncle, ma grand'mère et ma marraine si
'mère et ma marraine simultanément. J'ajoute qu'en sortant de cet hôpital le 13 mai, mes parents se sont servis de la morph
reur, l'assurance de ma haute consi- dération. Achille Gang à l' hôpital de Bicêtre, Bicêtre (Seine). Le même jour, 26
te l'assurance de ma parfaite considération. Achille G...., à l' hôpital de Bicêtre, Bicêtre (Seine). On voit par la p
ne plainte dernièrement. Je suis maintenant résidant à Bicêtre, à l' hôpital . Veuillez agréer, mes remerciements et recevoir
90 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1889 il passe encore la plus grande partie de son temps dans les hôpitaux , mais non plus comme infirmier, il est devenu m
evé complètement guéri. » ' i Le D'' R. Petit, ancien interne des hôpitaux de Paris, pro- fesseur à l'école de médecine de
détails étendus sur la disposition qu'il conviendrait de donner aux hôpitaux en question. Il insiste une fois de plus sur les
ouse. Les hallucinations unilatérales. (Revue générale, Gazette des hôpitaux , 1892, p. 609.) . 3 Régis. Ouvrage cité, p. 68
ez une femme ayant vue lésion circonscrite du cerveau. (Gazelle des hôpitaux , 1892, p. 591.) ' Tomaschewski et Simonowitsch.
al des asiles, « ne viennent du stock des refusés de l'internat des hôpitaux , que leur instruction géné- rale soit moins sol
tard dans la clientèle ordinaire, ils ne peuvent oublier que les hôpitaux de Paris leur offrent des ressources cliniques co
erne des asiles avec celles d'externe ou d'interne provisoire des hôpitaux , etc. Les plus travailleurs, afin de ne point per
réduite au service, à la préparation du concours de l'internat des hôpitaux . Il va sans dire que, considérant leur situatio
ême service. Ce manque de stabilité serait fort regrettable dans un hôpital ordinaire ; il est encore plus funeste dans un
ements d'aliénés étaient ce qu'ils devraient être, c'est-à-dire des hôpitaux pour le traitement des maladies mentales, au li
INE. 163 Qu'on ne vienne pas invoquer l'exemple de l'internat des hôpitaux où la durée des fonctions (quatre ans) n'est que
née plus longue. La comparaison pèche par la base. Les internes des hôpitaux sont, en général, plus avancés dans leurs étude
r jamais mis le pied dans un établissement d'aliénés, l'interne des hôpitaux , lui, a passé déjà quatre ou cinq ans dans les
tc., exigent un noviciat assez prolongé. Enfin, pour l'internat des hôpitaux , on n'est pas en peine de trou- ver, parmi la f
réparer à de nouvelles « luttes pour assurer leur position dans les hôpitaux ordinaires, « ou acceptant leur situation dans
. Enfin, appartenant par droit de concours à « l'administration des hôpitaux ,' rien ne les liant à la position « qu'ils occu
'opération. En 1890, lllerklen présenta à la Société médi- cale des hôpitaux une malade à laquelle Walther avait pratiqué la
oncours distinct, ou doit-il fusionner avec celui de l'internat des hôpitaux ? M. Bourneville demande 1 Voir Archives de Neu
l'Assistance publique et appartiennent au corps de l'internat des hôpitaux . Nous connaissons les desiderata nombreux aux-
ns le Progrès médi- cal, d'exiger de tout candidat à l'internat des hôpitaux le titre de doc- teur en médecine. Les considér
calquer aussi exactement que possible le concours de l'internat des hôpitaux . Mais ces deux internats ne sont nulle- ment co
où la plupart n'arrivent que la dernière année. Les internes des hôpitaux reçoivent une indemnité variant suivant leur anci
l'asile que nous avions visité en 1890, on a construit un véritable hôpital de trai- tement pour les aliénés aigus curables
nnexe, assure avec les sorties par guérison le désencombrement de l' hôpital ainsi réalisé; c'est le dédoublement dans le mê
s sont isolés et quand le diagnostic est confirmé, sont envoyés à l' hôpital municipal. Les salles d'école sont grandes et b
l'aliénation mentale, soit comme interne nommé au concours dans un hôpital ; 3° diplômes, élats de services, distinctions obt
elle ne doit pas être plus fréquente dans les asiles que dans les hôpitaux , puisque sur environ 250 autopsies, c'est la prem
de la même maladie. Pas d'hérédité. Trois ans avant son entrée à l' hôpital , elle commencé à avoir des contractions involon-
présenté des symptômes identiques. Trois ans avant son entrée à l' hôpital , elle a vu apparaître des contractions involontai
nture et une névralgie du sep- tième espace intercostal gauche.'A l' hôpital on constate une para- plégie spasmodique qui, a
ont séquestrés dans les asiles, les autres sont recueillis dans les hôpitaux ou hospices quand ceux-ci veulent bien les rece
s leurs intervalles lucides devraient-ils être placés ailleurs. A l' hôpital , on ne trouve aucune des conditions requises po
rie. Les enfants atteints de maladies contagieuses sont envoyés à l' hôpital de Potsdam. Il n'y a pas de chambres d'isole- m
sa femme. La femme, qui a de graves brûlures, a été transportée à l' hôpital ; elle est à toute extrémité. (Eclair, 10 novemb
le 3 mai 1894 dans la section des maladies du système nerveux de l' hôpital de Moscou qui se trouve sous ma direction. D'ap
ien, dont l'observation tout récemment publiée par le Dr Lalande ( Hôpital Saint-Louis) est un exemple remarquable (guérison
nture et une névralgie du sep- tième espace intercostal gauche. A l' hôpital on constate une para- plégie spasmodique qui ,
esseur Zimmer oblige ses membres à passer un an dans un service d' hôpital avant de. se consacrer aux asiles d'aliénés. Les
entifiques. Grasset (.1.). Leçons de clinique médicale faites t't l' hôpital Sainl- Éloi de Montpellier (novembre 1890, juil
on de ses doigts que ses parents l'ontconduit au bout d'un mois à l' hôpital des Enfants malades où il n'a fait qu'un court
n est sorti le 8 octobre et le 29 du même mois, il a été envoyé à l' hôpital de Berck. Il en est revenu le 10 juin 1881. D
bon; et, au retour, coxalgie améliorée. Les notes du Directeur de l' hôpital de Berk-sur-Mer, copiées sur le registre de la
oxalgie à droite, ainsi que le fait supposer la note provenant de l' hôpital des Enfants malades, on ne saurait l'admettre d
il quelques maladies de la moelle el du cerveau (Revue photogr. des hôpitaux , 1871, p. 9, 52, 67, etc.). PARÉSO-ANALGESIE
t Gombault), p. 308, etc., etc. ' Joffroy et Achard. Soc. nzéd. des hôpitaux , 11 juillet 1890, et Archives de muez. expél'im
euse inspiration de publier les leçons cliniques qu'il a faites à l' hôpital Saint-Eloi, de novembre 1890 à juillet 1895. La
91 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
du malade, que M. Raymond, qui l'avait observé dans son service à l' hôpital Saint-Antoine, a adressé à la Salpêtrière à M.
il ne peut marcher sans s'appuyer sur deux cannes. Il entre alors à l' hôpital Saint-Antoine (décembre 1885). Les raideurs ont
Au bout de 6 mois, il quitte l'hô- pital Saint-Antoine et entre à l' hôpital Saint-Louis dans le service de M. Four- 6 NOUVE
CONOGnAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE. nier (1886). Pendant son séjour à l' hôpital Saint-Antoine on avait essayé encore de lui fai
ît, la marche redevient pénible, et en mai, il entre de nouveau à l' hôpital Saint-Antoine, puis successivement dans deux au
eau à l'hôpital Saint-Antoine, puis successivement dans deux autres hôpitaux ; enfin, en juin 1888, il est admis pour la premi
889. ALEXANDRE BOGROFF, Médecin de la division psychiatrique de l' hôpital municipal d'Odessa. CONTRACTURE FACIALE BILAT
de M. Cullerier, qui en donne une descrip- tion dans la Gazette des Hôpitaux , 1852. Seulement la description est peu complèt
. C. DELPRAT, Chef de la Policlinique des maladies nerveuses, à l' hôpital de l'Université d'Amsterdam. FIÈVRE HYSTÉRIQUE.
ait-il pas donner à réfléchir ? Le 30 novembre, le malade entre à l' hôpital Tenon dans un service de chirurgie ; il y est r
ission dans le service de la clinique. C'est pendant son séjour à l' hôpital Tenon qu'il commença à pouvoir se tenir debout
i aucun trai- tement. Il s'est fait seulement soigner récemment à l' hôpital Tenon pendant quelques jours, pour une forte br
dans la position (1) Loc. cil., p. ï49. (2) Landry, Moniteur des hôpitaux , 2 juillet 48afi. (3) In th. de Besson, Déviati
DES MAINS ET DES AVANT-BRAS D'ORIGINE probablement HYSTÉRIQUE ( Hôpital Saint-Louis. Service de M. le professeur Fournier
d'origine hystérique. A... est venue en 1892 à la consultation de l' hôpital St-Louis, service de M. le professeur Fournier.
hen Zeitsc ! t1'ift sur Nervenheilk. II 13d. VLILLON, Interne des hôpitaux . DES DEVIATIONS VERTÉBRALES NLVROPATHI(IIII : S
sciatique fruste ; M. Ballet a présenté à la Société mé- dicale des hôpitaux , un malade chez lequel l'affection s'était dénonc
la face (du type migrateur) à 15 ans. En février 1890, il entre à l' hôpital Cochin pour une pleurésie droite, qui nécessite u
Wiszwianski est entrée le 7 juillet et le 12 août elle sortait de l' hôpital complètement guérie de son trouble moteur. On
ercuteur » qui avait été expérimenté avec un succès relatif dans un hôpital de Paris. M. Boudet de Paris, rappella les expé
87. Ce percuteur fut employé au National Hospital de Londres et à l' hôpital Laënnec de Paris en 1818. Les publications de M.
ntermédiaire des chercheurs et curieux reproduit par la Gazette des hôpitaux (10 sept. 1892). Le D'' Cabanes rapproche ave
l'hi- ver, il entre en février 1890 à Cochin. On constate dans cet hôpital une v 19 282 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALP
ez ses ascendants. A. SOUQUES, Ancien interne Médaille d'or des hôpitaux . G. GAINEZ Interne provisoire des hôpitaux.
ne Médaille d'or des hôpitaux. G. GAINEZ Interne provisoire des hôpitaux . UN NOUVEAU CAS DE SYRINGOMYÉLIE TYPE MORVAN
de la deuxième phalange, le tout sans douleur. M... entra alors à l' hôpital St-Antoine, dans le service de M. le Dr Monod.
ressant travail auquel nous ren- voyons (1). Pendant son séjour à l' hôpital il eut une série d'accidents, de panaris qui né
de peau, aucun indice de syphilis. Caractère emporté. Père mort à l' hôpital de la Charité, il y a 15 ans, d'excès alcooliqu
dernière année d'internat, nous avons eu l'occasion d'observer à l' hôpital des Enfants-Malades un cas complexe d'hystérie qu
stigmates; attaques, points hystérogènes, (1) Société médicale des hôpitaux , 12 juin 1891. (2) id. id. 12 nov. 1892. (3)
d lui-même il prouver que la plupart de ses hystéri- ques, vus il l' hôpital dans leur jeunesse, sont devenus plus tard des al
2, salle Blache, n° 1, dans le service de M. le Dr Jules Simon, à l' hôpital des Enfants-Malades. Antécédents héréditaires.
s choréi- formes. A partir de cet accident jusqu'à son entrée à l' hôpital , Adolphe T... a dû garder le lit et il a été pr
plus en plus pénible à sa mère, elle se décida à le transporter à l' hôpital des Enfants-Malades, où il fut admis le 28 jan-
, ce dernier mode de trai- tement étant à peu près impraticable à l' hôpital . ' ' ' Conclusions. Cette observation qui peu
roy et Seglas, de M. Raymond, de M. Rendu à la Société médicale des hôpitaux viennent confirmer notre manière de voir, en ét
agnostic. (13 novembre 1892.) (A suivre) A. BARDOL, Interne des hôpitaux . HYSTÉRIE TRAUMATIQUE Messieurs, I. Nous al
92 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
S L'HÉMIPLÉGIE ORGANIQUE ; Par Crut. MIRALLIË, ancien interne des hôpitaux de Paris, médecin suppléant des hôpitaux de Nante
RALLIË, ancien interne des hôpitaux de Paris, médecin suppléant des hôpitaux de Nantes. S'il est une question qui semble rés
Jacques, avec la collaboration de MM. Arin et Gautret, internes des hôpitaux , qui ont recueilli nos obser- vations, et que n
Dr Hersman. L'auteur a pu observer un cas de lèpre anesthésique à l' hôpital de Pittsburgh.Un examen des tissus malades lui
isonnement est altéré. Elle nous dit qu'elle, est ici dans un autre hôpital , où on soigne de toutes les maladies et qu'elle e
atitutinales et de vertiges. Quelques semaines avant son entrée à l' hôpital , il eut un évanouissement et fit une chute en se
tion de la glande thyroïde (Communication à la Société médicale des hôpitaux , séances du 17 -janvier 1896 et du 22 janvier 1
evraient être créés des hôpi- taux spéciaux, intermédiaires entre l' hôpital ordinaire et l'asile d'aliénés, et dans lesquel
des, à la période la plus curable de l'affection. D'autre part, ces hôpitaux spéciaux pourraient recevoir les cas douteux. (
s deux variétés : 1° méthode psychique de surprise, à l'arrivée à l' hôpital , qui réussit bien dans toutes les formes de par
s Asiles de Comtés les critiques suivantes : 1° Absence de l'idée d' hôpital ; 2° Manque de direction médicale; . 3° Soins
istants d'un demi-mille l'un de l'autre. En 1896 a été construit un hôpital pour les cas aigus, médicaux et chirurgicaux. C
struit un hôpital pour les cas aigus, médicaux et chirurgicaux. Cet hôpital contient, en outre, un service de consultation
(.2mericnn joumzal of insanily, octobre 1898.) E. B. IV. Le second hôpital pour les aliénés de l'Etat de Maryland; par le
pour les aliénés de l'Etat de Maryland; par le D' Roué. Ce nouvel hôpital pour les aliénés représente le tvpe de l'Open d
, le nombre des évasions ne s'est pas élevé à plus de 5 p. 100. L' hôpital actuel est construit pour 200 malades. (American
e Bordeaux, 1899). LES psychoses d'auto-intoxication. 285 des hôpitaux où elle a passé, des médecins qui l'ont traitée,
s nous nous sommes astreint à observer tous les cas de ce genre à l' hôpital Saint-André, comme à l'hôpital d'isole- ment de
bserver tous les cas de ce genre à l'hôpital Saint-André, comme à l' hôpital d'isole- ment de Pellegrin, nous avons pu faire
ale sur la Confusion mentale primitive et secondaire (Gazette des Hôpitaux , novembre-décembre 1897), cherchant à identifier
e la psychose ont passé inaperçues, ou certains délirants aigus des hôpitaux que leur agitation n'a LES PSYCHOSES d'auTO-I
hologie nerveuse à la polyclinique de P7tiladelphie. {Bulletin de l' hôpital de Jo7tn Hopkins, juin 1896.) , - L'auteur pr
ésultats opératoires moyens, le tout basé sur les statistiques de l' hôpital des épileptiques et paralytiques de Londres. Di
matisme; parle Di, DO4.DI EU-1,AVIT (deLamalou), ancien interne des hôpitaux . Un ataxique, incoordonné depuis deux ans, tomb
âgé dequarante-sept ans, sans anté- cédents connus, a été reçu à l' hôpital dans un état demi-comateux. La température est
redi soir. 3° Punch offert par la Société Médico-Chirur- gicale des Hôpitaux de Marseille. Jeudi soir, 6 avril. Banquet par
rès. Samedi. 8 avril. Excursion à Toulon. Visite de la rade, de l' hôpital St-Mandrier, d'un cuirassé et déjeuner aux Sablet
vint habiter Parisien 1833 pour y étudier la médecine; interne des hôpitaux en 1836,il sollicita et obtint une place dlinte
élire qu'on observe de préférence dans la clientèle de ville et les hôpitaux ordinaires, ajoutons enfin que son mémoire sur
Saint-Pierre, secondés par M. Plaignard- Flaissières, interne des. hôpitaux , par ses camarades et par leurs externes, .rece
ue les soins chirurgicaux qui sont appliqués ordinairement dans les hôpitaux . Il demande simplement si le Congrès juge utile q
ploie cette pratique avec toutes les précautions employées dans les hôpitaux . M. Vallon. Au fond, la question de la chirurgi
oriser en votre nom à remercier la Société Médico -chirurgicale des Hôpitaux , si brillamment représen- tée par son Président
tée par son Président M. le professeur Arnaud. Nos confrères des hôpitaux , dont la science est si connue et le dévouement
a peine à réfléchir et orienter ses pensées. Pendant son séjour à l' hôpital le malade contracte la dysenterie et en meurt.
trangère. Le médecin-major ne l'accepte pas. Il se fait soigner à l' hôpital du Midi par IIorteloup; il guérit, s'engage enf
l se trouve, bien que nous ayons soin de lui dire qu'il est dans un hôpital ; ses facultés intellectuelles paraissent obnub
érique. M. Ballet a pré- senté en 189-1, à l'une de ses leçons de l' hôpital St-Antoine, un jeune garçon hystérique amauroti
t habituellement il se calme de nouveau, se voyant dans une salle d' hôpital et se sentant surveillé et protégé. Le séjour d
ransformation heureuse de l'asile par la substitution de la salle d' hôpital au quartier cellu- laire. D'autre part, on a
moins brusques, moins saccadés. Quatre mois après sa sortie de l' hôpital , c'est-à-dire deux ans et demi après le début de
à Toulon, comprenant une prome- nade aux Sablettes, la visite de l' hôpital Saint-Mandrier. La Préfecture maritime, à défau
Morphine. Bien plus, des ouvriers devenus morphino- manes dans les hôpitaux , par suite de la coupable complicité de quelque
et la constriction du crâne. Alcoolisme. La Société médicale des hôpitaux de Paris vient de nommer une commission à l'eff
Bourneville, à Bicêtre. Le docteur Louis Haslé, ancien interne de l' hôpital Saint-Michel entre en matière par des « Considé
ance des -dans le duché de Ilade, par Kroel)eliii, 237. Le second hôpital pour les de l'Etat de;llaryland, par Rohé, 24
93 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ecté de dyssenterie, en est revenu en octobre 1889, pour entrer à l' hôpital , à Paris, souffrant de crampes dans les reins.
e crampes dans les reins. Ce malade, traité par le Dr Brissaud, à l' hôpital Saint-Antoine, fut présenté le 23 juin dernier
vingt-six ans (4e observation) est pris d'asta- sie et d'abasie à l' hôpital , où il se trouvait déjà depuis trois semaines à
he epileptie Queen Square. TRADUIT PAR RODEnT SOItEI. Interne des Hôpitaux . LECTURE II Messieurs,je vais maintenant atti
sl-u-dcre treize ans auparavant. M. Baillarger, dans la Gazette des Hôpitaux , non seulement avait décrit le phénomène, mais
. BIBLIOGRAPHIE.. 151 III. Leçons de clinique médicale faites à l' hôpital de la Pitié; par LANCERE\ux. Paris, Lecrosnier
dit. 1890. Les leçons rassemblées dans ce volume ont été faites à l' hôpital de la Pitié, et publiées déjà dans l'Union médi
avre du pauvre vieux à demi carbonisé. (Le Rappel de l'Eure.) DES hôpitaux d'asiles; par Richard GRi : ENE. (The Journal of
'auteur étudie les dispositions qu'il convient de donner aux petits hôpitaux d'isolement dont la construction a été récemmen
abonnés 6 fr. Grasset (J.). Leçons de clinique médicale faites a l' hôpital Saint-Eloi de Montpellier, (novembre 1886, juil
CERTAINES NÉVRITES TOXIQUES' ; Par M. E. BRISSAUD. Médecin de l' hôpital Saint-Antoine, agrégé de la Faculté. Messieurs,
aissez, pour l'avoir vu venir plusieurs fois à la consultation de l' hôpital , le malade dont il s'agit. Vous l'avez vu s'ava
ES ' Par DAVID FERRIER Médecin du King's Collège Hospital et de l' Hôpital National pour les épileptiques et les paralysés
s paralysés, Queen-Square Traduites par ROBERT SOREL, interne des hôpitaux Leçon IV. LE CENTRE DE l'audition Monsieur le
le 22 juin 1880 avec hémiplégie droite et apha- sie. Elle restaà l' hôpital jusqu'au 4 août l'époque à laquelle elle fut co
s comprendre ce qu'on lui disait. Elle fut reçue de nouveau dans un hôpital le 10 septembre avec une légère parésie du bras
W. S..., âgé de vingt-cinq ans, est admis comme malade externe à l' hôpital national, et for the paralysed and the epileptic
paralysie soudaine du bras droit. Pendant l'épidémie, on a reçu à l' hôpital beaucoup de délirants. (Allg. Zeitsch. f. Psycl
s le second cas, il s'agit d'un homme de trente-cinq ans, entré à l' hôpital pour une paralysie du bras gauche, une pa- resi
erait seule- ment du côté gauche. Au bout d'un mois de séjour à l' hôpital l'état physique et mental, s'est rapidement agg
teurs qui se sont occupés de la question. Paul BLOCQ. VARIA Des hôpitaux d'asiles ; par Richard GREENE. (In Journal of M
'auteur étudie les dispositions qu'il convient de donner aux petits hôpitaux d'isolement dont la construction a été récemmen
travail, et lui permet de mieux remplir son rôle qui est celui d'un hôpital destiné au trai- tement et à la guérison des ma
vie de dévouement de Mil. Boltard. M. Louis Gallet, directeur de l' hôpital Lariboisière et librettiste bien connu, a lu un
is, ceux qui viennent pré- tendre que les surveillantes laïques des hôpitaux sont incapables de montrer, dans l'exercice de
Ils conseillent également dans leur rapport la cons- truction d'un hôpital détaché destiné au traitement des infirmes, mal
R1; I, (Leçon recueillie par a. souques, interne, médaille d'or des hôpitaux .) Messieurs, Avec la névrose hystérique, cett
igion, âgé de cinquante-sept ans, ouvrier, soldat libéré, entre à l' hôpital de la ville à Odessa, le 22 janvier 1887. Penda
Pendant son service militaire il avait été musi- cien. Il entre à l' hôpital pour de la toux et des étourdissements et en l'
es Bègues de Pans. M. Ballet a communiqué à la Société médicale des Hôpitaux de Paris quelques observations de troubles de l
ent hystérique. In Bulletins et Mémoires de la Société médicale des Hôpitaux ; séances du Il octobre 1889 et juillet 1890. G
tres, de Bordeaux, vient de fane tout récemment, à sa clinique de l' hôpital St-André, une leçon sur le mustisme et le bégay
lors de la présen- tation de ses malades à la Société médicale des hôpitaux 1. A défaut d'une définition dogmatique ou d'un
ir, soit dans mes diverses communications à la Société médicale des hôpitaux , soit dans le mémoire publié en collaboration a
S « Par DAVID FERRIER, Médecin du King's Collège Uospital et de l' Hôpital National pour les épileptiques et les paralysés
paralysés, Qucen-Sql1are. Traduites par ROBERT SOREL, interne des hôpitaux Leçon V. Monsieur LE Président, Messieurs,
5. Amer. jour. Dled. Se. Juillet 1884. ° Gougenheim. Soc. Dléd. des hôpitaux , 1878, p. 48. 410 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. u
roit avec surdité ver- bale et cécité verbale, dans mon service à l' hôpital du King's College, la malade était prévenue du
raison d'être de l'ensemble des services qui le constituent, est l' hôpital , M. Chambard donne-t-il au médecin, non la dire
stique, par Paul Richer, 148 ; Leçons de eli- nique médicale de l' hôpital de la Pitié, par Lanceleaus, 151 ; - Compte r
l d'un - sans troubles moteurs ni sensoriels), par Jensen, 276. Hôpitaux d'asiles, 153; -, par Greene, 303. Hospitalis
94 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
SENSITIF DU BULBE Par MM. DEBOVE, agrégé de la Faculté, médecin des hôpitaux , et Go\IBAULT, préparateur du cours d'anatomie
médecin de Bicêtre et le Dr. M. BOUDET DE PARIS, ancien interne des hôpitaux . (\\'" ? \ i .¡ . , , 'i "lr1 i . Les reche
Note sur l'ataxie fruste. {Union médicale et Société médi- cale des hôpitaux , 1879.) INCOORDINATION DES ATAXIQUES. 47 prod
ais Marie n'a marché ni parlé. - Elle a toujours gâté. Conduite à l' hôpital des Enfants malades, à 3 ans, on a déclaré qu'i
ATION D'AIMANTS. Dans une communication à la Société médicale des hôpitaux ' nous avons montré que, sous l'influence d'age
mière nous est communiquée par M. Gilbert, interne distingué des hôpitaux . OBSERVATION I Le 16 mars, à 8 heures et demi
ésiogènes. - (Union médicale et Bulletin de la société médicale des hôpitaux , 1879.) HÉMIPLÉGIES GUÉRIES PAR LES AIMANTS. 93
., mars 1880, p. 343.) W... J... âgé de trente-cinq ans admis à l' hôpital de Montréal, 140 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 143 premiers mois de son séjour à l' hôpital , elle répondait encore aux interrogations ; aba
mpson. (The Lancet, mars z880, p. 437.) Femme de 48 ans, entrée à l' hôpital le 31 juillet, présentant un état typhique des
vier 1849, portant que les médecins, chirurgiens et pharmaciens des hôpitaux et hospices seront nommés au concours, sous rés
faite aux médecins du bureau central, par rapport aux médecins des hôpitaux . Anr. 7. - A l'avenir, les médecins chefs de se
pprenons avec plaisir que notre ami le Dr Cruet, ancien intçrne des hôpitaux , a été chargé de remplir ces fonctions. [Progrès
médecin de Bicêtre, Et' le D M. BOUDET DE PARIS, ancien interne des hôpitaux . 1 Le tremblement est un des symptômes les plus
Par BOURNEV1LLE, médecin de,Bicêti,e, et IL D'oLIEIt, interne des hôpitaux . EXAMEN HISTOLOGIQUE, par E. BBISSAUD , prépara-
77 et août 1878; Cuencor. - Leçon sur la Métalloscopie (Gazette des hôpitaux , 1878). MÉTALLOSCOPIE, DiC1'ALLO'rIII'JRAPtP, t
tait assez bien effectué. Durant un assez long séjour (1875-76) à l' hôpital général, les mouvements choréiques diminuèrent
, 29 décembre 1879.) Sur un morceau de peau pris sur un malade de l' hôpital St-Louis, on put constater qu'un grand nombre d
ii r Cette observation concerne une enfant de 4 ans'apportée à l' hôpital dans le coma', et présentant du ptosis à"droite,
par le rituel, il fit transférer et disperser les malades dans les hôpitaux du voisinage. Pareils moyens furent mis en oeuv
es unes envoyées dans les villages voisins, les autres envoyées à l' hôpital d'Udine. Grâce à ces mesures, l'épidémie s'amél
r enchantement et elle eut disparu tout à fait si l'évacuation de l' hôpital d'Udine n'eût ramené trop tôt les malades conva
y a là une exagération évidente. Des statistiques dressées dans 20 hôpitaux américains feraient voir, d'autre part, que la
vertes : les 25 malades;en question sont ainsi sortis 4.8 fois de l' hôpital déclarés guéris et 48 gué- risons ont ainsi été
risons ont ainsi été enregistrées ; 5 d'entre eux morts dans les hôpitaux ont été renvoyés guéris 15 fois, soit en moyenne
vier 1849, portant que les médecins, chirurgiens et pharmaciens des hôpitaux et hospices seront nommés au Concours, sous réser
i sera soumis à l'approba- tion de M. le Ministre de l'Intérieur. Hôpitaux DE Paris. CONCOURS pour la nomination A deux plac
ent justifier, en outre : soit de quatre années d'internat dans les hôpitaux et hospices de Paris ou dans les asiles publics
r : quatre médecins tirés au sort parmi les médecins aliénistes des hôpitaux et hospices, en exercice ou honoraires, les méd
'exercice, et trois médecins tirés au sort parmi les mé- decins des hôpitaux , en exercice ou honoraires. Les épreuves du Con
ernement de Twer, âgé de 30 ans, fut admis, le 19 octobre 1870, à Y Hôpital suburbain (ausserstaedta'sche). Un érysipèle, q
Les renseignements, que j'ai pu recueillir sur Bogdanow, soit à l' hôpital ci-dessus dénommé, soit auprès des médecins qui
urée. Delphin Racris, 54 ans, garçon de restaurant, est entré à l' hôpital delà Charité,salleSt-hélix,n°22(servicedeM.DESNOS
le lende- main, il éprouve des douleurs articulaires, il entre à l' hôpital le 26 octobre. 26. Dès son entrée le malade '
nous informer des circonstances qui avaient précédé l'entrée à l' hôpital de ces deux malades. Nous n'avons pu re- cueill
de telle façon qu'elle tourne le dos aux autres pensionnaires de l' hôpital , dans un angle où elle se fait porter sa petite
mbarras de la parole depuis six semaines. Au moment de l'entrée à l' hôpital , paralysie faciale droite, aphasie, albuminurie
de sa jambe gauche qu'un mois après. Il entre une première fois à l' hôpital en octobre 1876. (Hémiplégie gauche incomplète.
les. Observation III. Sarcôme du cerveau. - David V... entre à. l' hôpital de Cincinati au mois de juin 1877. Six semaines
- Edmar P..., fille de huit ans. Six semaines avant l'entrée à l' hôpital , tremblement, déviation de la bouche à gauche, pt
équents, paralysie de la main gauche. Cinq jours après l'entrée à l' hôpital , le ptosis passe droite. Durant les quinze jour
u et présenta de la céphalalgie et des vomissements. Transporté à l' hôpital le jour même, il avait à son arrivée une tempér
été rapportée par Cruveilhier. Dans un mémoire lu à la Société des hôpitaux , M. Féréol a décrit en détail les accidents REV
'histoire dans les Archives de médecine en 1875. Sortie guérie de l' hôpital Cochin et bien portante pendant quatre ans, elle
sson en 1875, 15 grammes par litre. Le 13 mai, la malade quittait l' hôpital , n'ayant plus que de l'aphonie. C. T. ' 468 R
recueilli dans le principe 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. à l' hôpital en raison de ses accès, deux ans plus tard transf
ts, ainsi que cela se pratique pour le concours de l'in- ternat des hôpitaux de Paris, suivent des conférences et s'exercent
atto flous UV'rrioK'q^o^ , ? ? jbtf;q «,J'ai,eu sous les yeux,, a 1 hôpital de la Pitié, un, - iq1ti eb '.10JI9»9KJ B,J n ,
n,Pierre, âgé de, 34 ans, .menuisier, entre le. 16 janvier 1880,à l' hôpital ..Tenon, salle Saint-Augustin, it. no 11 ser- V
alysie de l'avant-bras gauche. Trois mois après, quand il entre à l' hôpital , on constate l'inertie absolue du grand dentelé
t marchaient. La dernière observation concerne une femme entrée à l' hôpital pour un traumatisme du pied, atteinte de délire
, 'dont il"aait 'cÓ'iÍtr'acl{ Ic ! ? gërn1esQdàns le sort vice do 1 hôpital . Saint-Antoine ou il remplissait les fonctions d
it imaginée; et le 12 octobre 1812, le conseil d'administration des hôpitaux prit une délibération invitant M. Seguin à cont
95 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ie, 3 mars 1900. 6 Maurice Faure. Thèse, Pans 1900. 4 Gazelle des Hôpitaux , 18 juin 1891. '- Ce mémoire ne constituant pas
élire aigu et ter- minal, qui est le plus souvent observée dans les hôpitaux . Chez tous les sujets soumis à notre examen (ma
urémie : 2- à la revue déjà citée du docteur Toulouse [Gazette des hôpitaux , 18 juin 1894) ; 3- à la thèse de M. Maurice Fa
rologie. T. XVIII, p. 418. 2 Folie Brightique. Société médicale des hôpitaux , 1885. ' Cullère. Archives de Neurologie, décem
mble donc que, si les délires urémiques bruyants se rencontrent à l' hôpital et y sont soignés, on trouve dans les asiles de
imen- tation forcée et la douche. Entre les cas observés dans les hôpitaux et les nôtres, s'établit une transition insensi
réfecture, M. le D'' Legras avait 1 Dieulafoy, Société médicale des hôpitaux , 10 juillet 188à. 10 CLINIQUE NERVEUSE. porté
l s'ensuit une perte de connaissance courte. On la transporte à l' hôpital où on diagnostique une paralysie générale. A l'as
r souffert surtout du manque de soins et qui est actuel- lement à l' hôpital de Nogent-le-Rotrou. L'enfant est sourd et muet
cas d'idiotie myxoedémaleuse (Bul- letin de la Société médicale des hôpitaux , 1897, p. 32; z121 De l'action de la glande thy
nt. La situation devient tellement alarmante qu'un chirur- gien des hôpitaux préconise une intervention. La malade, effrayée
mois plus tard, presque guéri. Deux mois mois après sa sortie de l' hôpital , on ne constatait plus qu'une exagération des r
ser- vations anatomo-pathologiques de M. Marinesco (Soc. Méd. des hôpitaux , 3t mars 1899), en ce qui concerne les grandes ce
lysie générale ; Rapport présenté par M. le Dr Klippel, médecin des hôpitaux de Paris. Conclusions : Les lésions dans leur n
îau DE Courmelles (Paris). Des recherches faites avec ,1. Luys, à l' hôpital de la Charité à Paris, en 1886-87, sur l'action
'alié- nation mentale, de même qu'on place dès le début, dans les hôpitaux , les biessés et les personnes atteintes de maladi
épétons depuis plus de vingt-cinq ans, doit être considéré comme un hôpital . FAITS DIVERS. Asiles d'aliénés. Mouvements d
me atteint d'imbécillité suite d'insolation. Pendant son séjour à l' Hôpital militaire il avait fait une tentative de suicid
t blessures, mais son attitude est si étrange qu'on le dirige sur l' hôpital , où on ne le garde que quelques jours, mais en
1CII, M. B., F. R. C. P. Médecin au aWestEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour les maladies nerveuses, l'épilepsie et la
'est un mode de traite- ment plus récent que le traitement dans les hôpitaux qui est en pratique depuis des siècles, et de p
olonies doit être appliqué aux malades qui ont été traités dans les hôpitaux , mais chez qui les attaques se produisent si fr
es qualités féminines banales qu'on trouve dans nos infirmières des hôpitaux parisiens, mais issue d'une couche sociale plus
intéresse le médecin, car la scène se passe dans une grande salle d' hôpital dont le fond est occupé par un lit, et surtout le
Rembrandt, l'un tout voisin encore de la mort, comme on le voit à l' hôpital , l'autre devenu matière à dissection, d'où l'on
nt, la scène de l'autopsie telle que nous la vivons chaque jour à l' hôpital . Le cadavre, vu de face, en raccourci, les pieds
ssibilité complète «l'uriner). A section des maladies nerveuses à l' hôpital militaire de Kief. (2li-cit. de Neurologie, 190
encore dominée par cette crainte de tuberculose, elle entre dans un hôpital , mais, à peine admise, elle a un accès d'agitatio
hui, sa première maladie, et fit un séjour de quelques semaines à l' hôpital d'Is'... (Renseigne- ments confirmés). Elle éta
it pas ; il lui semble même qu'elle ne pensait pas. Elle guérit à l' hôpital ( ? ). rentre dans son ménage, est bientôt ence
e dissimulation.) Pourquoi vous a-t-on placée une première fois à l' hôpital , il y a une dizaine d'années ? Je ne sais pas,
Par l'ensemble de son organisation qui le rapproche de celle d'un hôpital ordinaire, par son école-modèle d'infirmiers et d
logues chez les aliénés : Par D.lltC\N\1;, interne provisoire des hôpitaux . Notre maître, le De Séglas, a montré dans son
e durée de six mois. Mine B. Marie, cinquante-deux anus, entrée à l' hôpital de f.afond le 13 février 1902 pour un premier a
s doivent se rapprocher étroitement de celles qui existent dans les hôpitaux . 2° Tous les malades aigus, bruyants, sales, de
ruyantes et malpropres; encore y retombent-ils facilement. Dans les hôpitaux généraux il y a le plus souvent des chambres la
tson et le Dr Keay voudraient que cettepersonnelùtuneiufir- mière d' hôpital diplômée : l'auteur ne partage pas absolument c
hoïde, d'entérite et de pneumonie; on a fait venir 18 infirmières d' hôpital et l'on a pu voir nettement les inconvé- nients
,'iTOPPIDON. (Tlte Jottrnal of Mental Science. Juil- let 1902), L' hôpital communal de Copenhague a été construit en 1863
aitement des aliénés, et dans ce but on éleva sur les terrains de l' hôpital un pavillon spé- cial qui contenait 22 lits, ma
en final sans les avoir suivies. De plus les médecins-adjoints de l' hôpital font à tour de rôle le service du pavillon des
responsabilité des in- culpés, suspectés de maladies mentales. L' hôpital y trouve aussi son avantage, car il envoie à ce p
Il faut signaler aussi que par le seul fait qu';l appartient à un hôpital général, ce pavillon inspire aux familles moins d
ncipes. En étudiant l'hérédité de mes malades (des cliniques et des hôpitaux de Moscou), je notais, dans leurs familles, les
mières études médicales à Lyon, où il devint rapidement interne des hôpitaux et aussitôt, par ses travaux, avec Bard sur la
tomie pathologique. Il vient a Palis ; il est reçu à l'internat des hôpitaux , ce qui lui peimet de devenir l'élève de Gombau
ie Genesis of épilepsy 111-8- de 38 pages. MÉGis. Les délirants des hôpitaux . Leur assistance. Leur utilité au point de vue
art ! a- binski, 77. Psychiatrie Voir Manuel. Les salles de à l' hôpital de Copenhague, par Pontoppirion. 521. Psychol
96 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
ge n="37"> 3. De conférences générales; 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions, de réceptions et
na?, médecin vétérinaire ; le Dr Regnault (Félix), ancien interne des hôpitaux ./page> page n="38"> Trésorier. M. Col
ent annonce la présence à la séance de M.le D'de Peters, médecin de l' hôpital des enfants de Saint-Pétersbourg et de M. Melcot,
nsation douloureuse dans l'estomac comme (1) Leçon cliaiquj faite à l' Hôpital de la Pitié./page> page n="84"> par un
les observations fort curieuses qu'il à recueillies lui-même dans les hôpitaux , et en particulier dans le service de M. Reclus.
n par l'oreille. M. Lermoyez a communiqué à la Société médicale des hôpitaux l'observation curieuse d'une jeune fille qui est
mense succès. L'un d'eux; a même pénétré récemment 4 New-York, duns l' hôpital Bellevue. Il disait aux malades : a Les médecins
rnière a succombé M. le Dr Jules-Fénélon Simon, médecin honoraire des hôpitaux de Paris. Le célèbre praticien renommé comme spéc
Jules Simon, qui a passé presque toute son existence hospitalière à l' Hôpital des .Enfante Malades, où il se trouvait lorsqu'il
ait sa guérison. Mais, j'ai rencontré des femmes qui ont séjourné à l' hôpital pendant sept ans, présentant des paralysies, du m
encore injustement pour une affection dégradante. Tout récemment, à l' hôpital , j'entendais une malade se plaindre amèrement d'u
pour voir ». Et comme il savait très bien voir, il pouvait quitter l' hôpital deux fois content, se disant : a J'ai fait plaisi
Depuis lors, des faits analogues se sont souvent reproduits dans les hôpitaux do Paris et ont eu raison du scepticisme le plus
osc émotive bien connue des derrnatologistes : à la consultation de l' hôpital Saint-Louis, les malades dénient tout nus devant
tribua avec lui a fonder, en 1850, la Société médico-chirurgicale des Hôpitaux , dont il devient le Secrétaire général. Piustard,
n="243"> s'est souvent servi de chloroforme, mais il opérait ù l' hôpital et n'oublions pas que là, la responsabilité du mé
ela ressemble à ce qui est arrivé jadis, à la Pitié, à un médecin des hôpitaux qu'il est superflu de nommer. Il préconisait les
de santé. Un autre confrère italien, M. Baudi, médecin en chef do l' hôpital Santo-Spirilo, fut également !a victime d'un tube
galement !a victime d'un tuberculeux aliéné. C©: dernier, soigné y, l' hôpital , so représenta de nci-vea» n-j-jr être hospita-Us
tal, so représenta de nci-vea» n-j-jr être hospita-Usé. L'entrée de l' hôpital lui ayant été refusée parce qu'il n'était pas mun
ors des lésions tuberculeuses des poumons, fut reconnu fou. Le môme hôpital de Sanio-Spirito fu«. également h\ scène d'un dra
mmunications; 3. De conférences générales; 4. De visites duns les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions,de réceptions et
t de suite l'aide dont ils ont besoin. Pour les malades, il y a les hôpitaux . Cependant, tous les malades malheureux n'y trouv
unications ; 3. De conférences générales : 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions, de réceptions et
n="318"> 3. De conférences générales ; 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions, de réceptions et
hystérique et la suggestion (') par M. le. Dr SnuQuES, médecin des hôpitaux . Cette polyurie, pour être rare, n'est cependan
i d'ailleurs la preuve. Après une longue odyssée à travers différents hôpitaux de Paris, ce même malade, chez qui la polyurie av
Concorde. Le gros orteil a été fortement froissé,on la transporte à l' hôpital Beaujon. L'émotion avait été très vive. La mala
ggestion. Par le professeur Com be ma le, et l. CamL'S, externe des hôpitaux . Le 23 janvier 1900, la nommé Jeanne S..., âgée
nommé Jeanne S..., âgée de (8 ans. est amenée à la consultation de l' hôpital de la Charité,portée à bras par ses parents. Elle
unications ; 3. De conférences générales ; 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions, de réceptions et
decin vétérinaire. le docteur Regnault (Fi-lixt, ancien Interne des hôpitaux . Trésorier. M. Colas (Albert), président de l
physiologique, 49, rue Saint-André-des-Arts (le jeudi à 10 h. 1/2). Hôpital de la Pitié. — M. Babinski, médecin à l'hôpital d
jeudi à 10 h. 1/2). Hôpital de la Pitié. — M. Babinski, médecin à l' hôpital de la Pitié, reprendra ses conférences cliniques
unications ; 3. De conférences générales ; 4. De visites dans les hôpitaux et hospices ; 5. D'excursions, de réceptions et
ologiques de 1') par Binet-Sanglé. p. 161, 225, 266, 289, 321, 353. Hôpital de la Pitié, p. 352. Hugo (Victor) et les (tabl
97 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mités. Constipation. Mort, d'é- clampsie après 2 mois de séjour à l' hôpital . Autopsie. Consistance cartilagineuse de l'écor
oignée (lés le début comme les autres maladies, et l'asile comme un hôpital , ou n'aurait pas à enregistrer des faits aussi
établis- sements actuels, qui ont trop de tendances à devenir des hôpitaux , et que l'on revienne aux prisons de force d'a-
ais plus de 80 à 100 malades chacun, et ils les soi- gnent dans des hôpitaux , ([ni n'ont rien il envier aux plus récents de
ans des hôpitaux, ([ni n'ont rien il envier aux plus récents de nos hôpitaux parisiens. Résultat : de 05 il 82 % de guérison
a balneotherapie. Il faut en- core une judicieuse organisation de l' hôpital ; si l'on n'arrive pas à répartir convenablemen
. Enfin, a Moscnu, S. S.lioc'akow s'en est l'ait le champion et les hôpitaux territoriaux du rayon de la grande ville lui so
rveuses au Cau- case, par E. W. Erikson (Ibid, 19 )3, n° J.) 40 Les hôpitaux des cloîtres et des paroisses dans la Russie an
liénés, par A. P. )lallzrw, (Ibid.190.i, n° 4.)- 5° Confré- ries et hôpitaux dans le Sud-Est de la Russie et la petite Russie
nnel hospitalier que celui qu'on assigne ac- Iw'llen1l'nl, dans les hôpitaux centraux, à toute nouvelle section. Il est fort
ient moins cher que les grands asiles. C'est ce qui a lieu pour les hôpitaux de district ordinaires ; la décentralisation ou
ression de l'isolement cellulaire, etc. L'auteur étudie ensuite les hôpitaux d'aliénés urbains des- tinés à l'hospitalisatio
s aux malades ordinaires el rapprocher de plus en plus l'asile de l' hôpital . FAITS DIVINS Asile 1)1 : l;nuamr. -- Par arr
lle. pharmacien de 1re classe, attaché il la pharmacie centrale des hôpitaux de Paris, esl nommé pharma- ('il'Il en chef l'a
rétariat de la Faculté à les docteurs en médecine, les internes des hôpitaux cL les étudiants ayant passé leur 4e ca- men de
pratiqué a notre demande parnntreami, . . CANTONNE'l', interne des hôpitaux , fournil les renseignements suivants.'L'oeil dr
oup affaiblie. P. KERAVAL. XIX. Le traitement des hystériques à l' hôpital ; par 1).rERtHr·.. (l3ull. Iuéti., 1904, il» 15
cool, lièvre) ; b) délires subaigus, confusion, onirisme, délires d' hôpital (infection, intoxication, affections viscérales :
e Besançon, en même temps et au même concours que les internes de l' hôpital Saint-Jacques. J'assiste au concours comme méde
mois a l'asile départemental et dans les diffe- renls services de l' hôpital Saint- Jacques. , En somme : 1 médecin chef ave
La céphalée esl cependant moins marquée. Valentine est conduite à l' hôpital des Enfants le 1er octobre 1903. Le professeur
ical du lobe occipital gauche ; par M. Braun. (Société mé- die, des Hôpitaux de Lyoti, 25 nov. 1904.) Cette observation prés
entale, cytologie ; virulence ; par M. Lesieur, (Société médic. des hôpitaux de Lyon, G déc. 1904.) Cytologie. Examen du liq
êt de la crise épileptique; par M. Lannois. (Société médicale des hôpitaux de Lyon, 8 nov. IJU4. ) ,NI. Làniiois appliqué
ues typiques, confirmèrent le diagnostic. Le malade était entré à l' hôpital , en effet, pour myé- lite avec paraplégie spasm
arcolepsie (sommeil pathologique).; par M. CHAVIGNY. (Soc. méd. des hôpitaux de Loa,13 décembre 1'.10.) Observation d'un jeu
ui n'ont que trop long- temps duré, bien pénétré qu'un asile est un hôpital , je me suis efforcé de traiter les malades avec
u l'aire la même enquête sur la situation de ces enfants dans les hôpitaux et hospices, mais c'est la une tâche bien diffi-
lL'-E\'1'nrd, ]\ous avons publié eu mars 1902 dans la Galette des hôpitaux les constatations relatives au réllcxe lumineux
rès un séjour plus ou moins long dans le service d'iso- lement de l' hôpital Saint-André, conduites par des infirmières de c
dit-il, pour ces deux dernières ma- lades de les laisser mourir à l' hôpital plutôt que de les interner à l'Asile d'aliénées
e plus en plus nos garderies d'aliénés en maisons de traitement, en hôpitaux , en instruments de guérison. « Guérir des alién
ne école Il infirmiers et d' infirmière; été heureusement créée à l' hôpital de Grenoble. Les malades seront ainsi assurés de
de l'antisepsie, no- tamment, est un dev oir. L'administration de l' hôpital a bien voulu m'autorisera faire les cours relat
que la voie à suivre : la Ecole ordinaire, enseignement général à l' hôpital ; - 2e Enseignement spécial à l'asile, pour le
. Nous en avons constaté des cas concernant les malades envoyés des hôpitaux ou de l'Asile clini- que dans notre service. Il
homme qui n'appartenait pas au monde officiel de lafa- culténides hôpitaux , et qui ne pouvait être, ce qu'on ap- pelle en
e la Société Royale de médecine. Il a été le pre- mier médecin de l' hôpital de PerLh ayant fait l'expérience de la médecine
M. Clouston, Mac Pherson et Catty Tuke, le premier service ouvert d' hôpital pour maladies moniales à l'Infirmerie Royale d'
rit et chante; il est inconscient. (Bonhomme normand du 10 fév.) Hôpital de la Pitié. Maladies nerveuses : M. BABINSKI,
Si-Germain. . Mesureur. Instruction générale aux surveillantes des Hôpitaux et Hospices. In-8" de : )2 pages. - 1()JlIUS
générale. -Voir Angoisse. Hystériques. Le traitement des . à l' hôpital , par Déjerine, 323. 1010'1'. Voir Raynaud. Id
ire, par Cho- creaux, 80. annuel de la sec- tion des aliénés de l' hôpital arménien de Saint-Sauveur à Constantinople, p
98 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
RECTEUR HONre DU LABORATOIRE DE DE MÉDECINE LA CLINIQUE MÉDECIN DES HÔPITAUX ALBERT LONDE- DIRECTEUR DU SERVICE PHOTOGRAPH
nez. On confia la malade aux soins du docteur Kaufer, médecin de l' hôpital de Pécs, qui a eu l'obli- geance de nous commun
echinococcus dans le service de M. leur Gilles de la Tourette, à l' hôpital Saint-Antoine, et nous apportons à ce propos, ave
it à des excès de boisson; plusieurs fois il aurait été apporté à l' hôpital dans ces conditions, il en sortait rétabli quelqu
PAR MM. LÉOPOLD LÉVI ET LOUIS LEMAIRE Ancien interne lauréat des hôpitaux Externe des hôpitaux Les cas de ladrerie cérébr
VI ET LOUIS LEMAIRE Ancien interne lauréat des hôpitaux Externe des hôpitaux Les cas de ladrerie cérébrale, tout en n'étant
servé dans le service de notre excellent maître, le D' Mathieu, à l' hôpital Andral. Il s'agit d'une jeune fille de 17 ans,
alée violente. A cause de ce symptôme, sa 1 tante la fit entrer à l' hôpital Andral, dans le courant de décembre 1899. A not
là qu'on les rencon- tre le plus souvent. Dans les statistiques des hôpitaux d'Erlangen et de Dresde, sur 34 cas, 21 fois il
'évolution,deux remarques sont à faire : Un an avant son entrée à l' hôpital , A... fit une maladie grave qui faillit l'emporte
LES MALADES DANS L'ART BYZANTIN PAR - JEAN HEITZ, Interne des hôpitaux . Dans leurs belles recherches sur les malades e
clinique. P. Alfred, horloger, 57 ans, entre le 14 février 1898 à l' Hôpital Cantonal de Genève, dans le service de M. le pr
au lit il perdait la notion de position de ses jambes. Il entre à l' hôpital le 14 février 1898. Dans l'observation clinique p
tion III. Une femme de 32 ans, professeur de piano, est envoyée à l' hôpital par un médecin de Douvres. Elle jouait ordinair
ampe professionnelle. Elle est DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS 153 à l' hôpital depuis le mois de janvier ; les troubles gastriqu
NS L ART BYZANTIN [Suite et fin). PAR JEAN HEITZ, Interne des hôpitaux . IV. - LE QUATORZIÈME SIÈCLE. Contrairement à
et à l'obligeante entremise de mon ami M. Alfred Bauer, interne des hôpitaux , la pho- tographie de cet intéressant tableau d
promène dans salle, les corridors, les escaliers, les jardins de l' hôpital , va et vient seul, sans trébucher, sans heurter j
ANATOMIQUE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE PAR R LUCIEN MAYET Interne des Hôpitaux de Lyon La dégénérescence -- qui peut être défi
. romana di antropologia, 1900, p. 161. 44. L. Mayet. Gazelle des hôpitaux , 5 et 12 janvier 1901. Les stigmates anato- miq
ANSFIGURATION » DU MUSÉE DE NANCY PAR R JEAN HEITZ, interne des hôpitaux . Tout semble avoir été dit, au sujet de la perf
ION FOETALE PAR ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE L'AMNIOS 1 (Soc. méd. des Hôpitaux , 26 mai 1899) - (E. Apcrt). Masson LT Cl^, Éditeu
(1) APEIIT, Société anatomique, 1893, p. 761 ; Société médicale des Hôpitaux , 26 mai 1899 et in thèse de DELPEUT, Malformati
E RACHITISME FAMILIAL PAR R Le D' A. ZIMMERN Ancien interne des hôpitaux . Nous avons eu l'occasion d'observer dans le se
e au 2' régiment de dragons, anté- rieurement charretier; entre à l' hôpital Desgenettes le 30 décembre 1900 avec le diagnos
t de se traîner à plat ventre. On le porta à l'infirmerie, puis à l' hôpital . Le tremblement des jambes a cessé de lui-même
icales hier. Il n'y a plus trace de myoclonie. 29 - W... quitte l' hôpital avec un congé de convalescence de deux mois. Da
baire contre la céphalée persistante des brightiques, Soc. méd. des hôpitaux , 3 mai 1901. (3) BABINSICf, Soc. méd. des hôpit
s, Soc. méd. des hôpitaux, 3 mai 1901. (3) BABINSICf, Soc. méd. des hôpitaux , 10 mai 1901. (4) LE Gendre, Soc. méd. des hôpi
, Soc. méd. des hôpitaux, 10 mai 1901. (4) LE Gendre, Soc. méd. des hôpitaux , 3 mai 1901. 356 DUPRÉ ET DEVAUX dit avoir, e
ponction lombaire contre la céphalée des brighliques. Soc. méd. des hôpitaux , limai 1901. (2) E. Lugaro, Sindrome uremica si
N DE SEIN HYSTÉRIQUE PAR le Der M. LANNOIS, Agrégé, Médecin des hôpitaux de Lyon. 1 Rien n'est plus commun que les stigm
une autre de P. Sainton (4) communiquée à la Société mé- dicale des hôpitaux , Le sein hystérique neseprésente pas toujours a
avec Aemor- rhagiesdu sein se faisant par le mamelon, Soc. méd. des hôpitaux de Paris, avril 1901. xiv 28 406 LANNOIS Ap
DERMIE. AUTOPSIE. PAR Lucien HUDELO et Jean HEITZ Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Le cas d'ostéite déformant
PAR Lucien HUDELO et Jean HEITZ Médecin des hôpitaux Interne des hôpitaux Le cas d'ostéite déformante de Paget que nous r
19 juillet dernier, M. Béclère a présenté à la Société médicale des hôpitaux les radiographies d'un malade du service de M.
début de l'affection. Dans sa communication à la Société médicale des hôpitaux , M. Béclère constatait que les os atteints étai
er. Cependant, M. P. Marie (1) a présenté à la Société médicale des hôpitaux , une jeune femme de 29 ans, atteinte de déforma
l'os. M. Béclère (5), après avoir montré à la Société médicale des hôpitaux les différentes artères des membres sur les rad
ugurale... Je n'ai pas manqué de la signaler maintes fois, soif à l' hôpital , soit dans mes cours. Cet épaississement adipeu
est montrée sur le côté malade (1). (1) A la Société médicale des hôpitaux (Séancedu 22 janvier 1897), Thibierge présenta,
Le cas d'cedènae seg1J ! entail'e, présenté à la Société médicale des hôpitaux par le professeur Debove (1), a également avec
(1) Apert, Société anatomique, 1895, p. 167 ; Société médicale des hôpitaux , 26 mai 1899; Iconographie de la Salpêtrière, 1
RÉES DES OPÉRATIONS CHIRURGICALES PAR JEAN HEITZ, Interne des hôpitaux . Les photographies reproduites planche LXXII so
99 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
t les médecins en présence desquels le malade aura été hypnotisé. Les hôpitaux de l'r-tat ne sont pas astreints ù ces restrictio
endre le lendemain à Liège par le premier train, île se présenter à l' hôpital avec un billet «pie j'allais lui remettre, et lui
y a rien de difficile comme d'obtenir d'un paysan qu'il entre dans un hôpital . Ce n'est que lorsqu'il a épuisé toutes les resso
d'un petit pois, la patiente (levait rester encore quelques jours â l' hôpital jusqu'à ce que la plaie fût de nouveau fermée. El
L'hypnolismc se montra impuissant a l'annihiler. Je la renvoyai à l' hôpital en priant mon collègue d'examiner s'il n'y avait
la blessure, cl au boutile dix à quinze jours. S... C... sortit do l' hôpital , guérie, celle rois-ci. pour tout de bon. Je me
Je reçois un jour une invitation de M. Von Winiwartcr à passer par l' hôpital . Il y a là une jeune lille d'une vingtaine d'anné
ue d'un inconnu. (Observation recueillie par M. Valude, interne des hôpitaux . Mlle S... ( Louise), gantière, âgée de trente-
octeur en 1853. En 1856, il était nommé médecin du bureau central des hôpitaux ; professeur agrégé de lu Faculté de médecine de
sseur à l'Ecole d'anthropologie et de M. le Dr Babinski, médecin îles hôpitaux de Paris. Esprits frappeurs. Qu'il nous soit
xemplaires d'une brochure due à lu plume du Dr Brasseur. médecin de l' hôpital de Schaerbeeh. Elle est intitulée : Première auto
édicale : Il s'agit d'un homme non alcoolique, qui se présenta il l' hôpital en déclarant qu'il ne pouvait plus travailler, sa
célèbre, visitant un an avant de commencer ses études de médecine, un hôpital propre et ciré comme pour un jour de fête, tomber
érégrinations, vu qu'elle persiste après plusieurs jours de repos à l' hôpital . L'hystérie se manifeste |»ar des attaques clas
es et des travaux pratiques. M. le D' Morîcourt. ancien interne des hôpitaux de Paris, ancien chef de clinique du docteur Burq
Meyer. Leblond, Ollivier : et de nombreux médecins et chirurgiens des hôpitaux , M. Marcel Baudouin, le dévoué commissaire généra
procédé de métalloscopic à l'aide d'un sujet hypnotisé (Gazette des Hôpitaux . 10 juin 18U3.) G. Lemoine. — Un cas de surdi-mut
solée par M. Gilbert Ballet chez un malade présenté à la Société «les hôpitaux . Chez ce sujet la suggestion n'avait cependant do
tte année,« les délires systématisés dans les diverses psychoses ». Hôpital Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet reprendra ses
endra ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, â l' hôpital Saint-Antoine, le dimanche 3 décembre à dix heure
istrés. Pour ceux qui n'avaient pas vu à l\riivre le clinicien de l' hôpital Saint-Antoine et de l'Hôtel-Dieu. et qui n'avaien
en quinze leçons sera fait par M. le Dr I'actet, chef de clinique. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et nerveuse.
epris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse, à l' hôpital Saint-Antoine, le dimanche, à 10 heures, et les c
une étude très complète, basée sur onze observations recueillies à l' hôpital militaire de Moscou, faisait ressortir l'importan
M. le D' Albert Lévy (I), médccin-inajor. donnait dans la Gazette des hôpitaux la relation d'un cas singulier de neurasthénie vi
première. 11 fut gravement contusionné et resta quelques semaines à l' hôpital . Le seul souvenir de cet événemeut suffit pour
tre noté. Il m'a été donné d'assister à ce spectacle original dans un hôpital de Paris, au temps où le chloroforme était encore
rapeutique, tel est le titre d'un travail publié dans les Annales des hôpitaux municipaux de Munich, tome VI, par le ï)r L. Frie
)r de Schrenck-Notzing, dans une étude intitulée : a L'hypnotisme à l' hôpital de Munich, étude critique sur les dangers du trai
ration dans le genou. La jeune lille avait fait un premier séjour à l' hôpital dans un autre (1)Nous observons exactement le c
géré. Elle guérit cependant de ses douleurs par massage et quitta l' hôpital . On la revit le mois suivant. Elle était bien,
que et prédisposée à l'hystérie, puisque 8 jours avant son entrée à l' hôpital , elle avait en des secousses musculaires. Elle es
t einq ans. Au mois de décembre 1891, elle s'est décidée à entrer à l' hôpital Necker pour s'y faire traiter, elle y est restée
à la fois par la bouche et par l'anus. Le malade fut amené alors à l' hôpital . Une sonde œsophagienne volumineuse arriva sans d
Regnault, 270. Hypnolisme en Angleterre (l'), 284. Hypnotisme à l' hôpital de Munich (l'). étude critique, par Bernheim, 289
100 (1906) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 21
e et l'université féminine à Marseille. Dr Bilhaut, chirurgien de l' hôpital international de Paris : Influence de l'écriture
M. le Dr Hallopeau, membre de l'Académie de médecine, médecin de l' hôpital Saint-Louis et professeur agrégé à la Faculté, vi
tion est la récompense bien méritée de longs services rendus dans les hôpitaux de Paris où M. le Dr Hallopeau a donné un enseign
président de la Société d'hypnologie. M. le Dr Balzer, médecin de l' hôpital Saint-Louis ; M. Dabat, directeur au ministère de
Psychologie ; M. le Dr G. Beaudoin ; M. le Dr Derecq, médecin à l' hôpital d'Ormesson ; M. le Dr Guillon ; M. le Dr Sauvin
; M. le Dp Arrivé; M. le Dr Lksourd, directeur de la Gazette des hôpitaux ; M. le Dr Lombard ; M. le Df Percbau (de Nér
minateur à l'Ecole polytechnique ; M. le D' Richardière, médecin de l' hôpital des Enfants malades; M. le D'Bordier, directeur d
Echard, conseiller général de l'Yonne ; M. le Dr Hirtz, médecin de l' hôpital Necker ; M. le D' Landrielw, médecin de l'hôpital
Hirtz, médecin de l'hôpital Necker ; M. le D' Landrielw, médecin de l' hôpital Lariboisière ; M. Doumek, député de l'Aisne; M. P
soutenir brillamment devant la Faculté de Paris, une thèse faite à l' hôpital de la Pitié, dans le service de son maître, M. Du
rillon (Suite). Discours de M. le docteur Huchard. médecin de l' hôpital Necker, membre de l'Académie de Médecine. M. Bi
irs que me laissait la durée des classes pour suivre les services des hôpitaux où l'on s'occupait de questions de pathologie ner
ences de mon équipée. Dans le doute, je m'abstins de reparaître à l' hôpital . Deux jours après, un mot laconique m'invitait à
cupait activement d'hypnotisme dans un certain nombre de services des hôpitaux . Depuis lors, il est devenu presque impossible po
uragements ne m'ont jamais fait défaut. M. le Dr Balzer, médecin de l' hôpital Saint-Louis, M. le Dr Leblond, médecin en chef de
tres organes, etc. Nous devons ajouter que les malades pris dans un hôpital ont été observés par un assez grand nombre de per
as laisser à la jeunesse la liberté d'aller s'instruire en dehors des hôpitaux , si elle y trouve son profit? « Je ne verrais p
t autorisé à la clinique de M. Doyen, dans le service de M. Lebec à l' hôpital Saint-Joseph, par exemple, ou bien dans des clini
decin de la Salpétrlôre et M. le Dr Roger Voisin*, ancien interne des hôpitaux . Le terme d'enfant anormal intellectuel s'étend
mélancolie et d'indignité. La malade voulut s'empoisonner. Entrée à l' hôpital il y a un mois, d'une heure à l'autre, son aspect
remière séance, vingt candidats, dont un grand nombre de médecins des hôpitaux , se sont retirés. Voulaient-ils témoigner par leu
i, qui fut présentée, par M. le Dr Souques, à la Société médicale des hôpitaux . Voici l'exposé de cette observation : Juliette
le 5 novembre et voulut bien rester quelques jours en observation à l' hôpital . Le 3 novembre, elle avait encore dans l'après-mi
avait qu'à choisir à domicile. Du jour où, soupçonnée, elle entra à l' hôpital , la comédie fut terminée. Juliette T... est une
e Claude Bernard fut malheureux dans tous ses concours. Les jurys des hôpitaux et ceux de la Faculté lui furent également très d
ssé si loin le dédain des concours qu'il n'a pas même été externe des hôpitaux . Si l'on établissait le bilan des travaux vraimen
filles, qui étaient venues nous voir après l'entrée de leur mère à l' hôpital , nous affirmaient qu'elle rendait l'existence ins
lles consultations médicales (1) par M. le Dr Huchard, médecin de l' Hôpital Xecker, membre de l'Académie de médecine. En un
lui pour exprimer les doléances du corps médical. Professeur dans les hôpitaux , il a connu les éclatants succès et n'a jamais pa
thérapeutique des maladies du cœur. Ses enseignements si suivis à l' hôpital Necker, sur les cardiopathies, sur la tension art
érapie méthodique sera transmis aux générations futures. Dans les hôpitaux de Paris. MM. Mesnet et Dumontpallier ont eu égal
cupait activement d'hypnotisme dans un certain nombre de services des hôpitaux . Depuis lors, il est devenu presque impossible po
ons encore que si le plus souvent les amphithéâtres accordés dans les hôpitaux ou à la Faculté aux représentants désintéressés d
par les examens, par les jurys de concours, tenus parles services des hôpitaux , parles diverses fonctions officielles dont ils s
t faligués, presque honteux ; il leur coûte de franchir le seuil de l' hôpital pour se retrouver au second rang, en face de comp
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