/ 190
1 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
bes nerveux, recouvertes de myéline, qui mettent en communication les groupes de cellules nerveuses. La cellule nerveuse est
la base de deux circonvolutions voisines ; il existe plusieurs autres groupes de fibres arciformes, qui relient des régions élo
du bourrelet, sur la face inférieure du corps calleux, on remarque un groupe de fibres disposées en filaments curvilignes diri
-d'Azyr a désignée sous le nom depsalterium ou lyre (Pl. XVIII). Un groupe particulier de fibres commissurantes conjugue les
erhémisphérique et rejoint le faisceau homologue du côté opposé. Ce groupe de fibres, nommé commissure blanche antérieure, d
ne de bas en haut et de dehors en dedans (Pl. X-Xl-XII). Ces divers groupes de fibres se juxtaposent en un gros faisceau qui
s points de l'écorce vers le centre de l'hémi-sphère a été décrit par groupes isolés, sous des dénominations différentes, comme
yonnante l'en-semble des faisceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des fibres issues des régions postérieures décrit
, passent en dehors du pilier antérieur du trigone, se raccordent aux groupes de fibres de la capsule interne (PL IV, 7), et pé
uatrième couche de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Ces différents groupes de fibres convergentes se condensent sur le côté
mode spécial de distribution relativement à ces régions. Les divers groupes de fibres convergentes, issues des différents poi
L'autre partie se détache du faisceau principal, se sépare en deux groupes de fibres : l'un gagne la masse du corps qu'elle
ule moyen et vers le centre médian de la couche optique. Un troisième groupe suit un trajet curviligne en dedans et en bas, su
pénètre dans le pédoncule cérébral (Pl. XXVI, 5). C'est sans doute le groupe de libres qui a été décrit par Meynert sous le no
Le système de fibres convergentes comprend donc (Pl. XI-XII) : Io un groupe spécial de fibres nerveuses qui relient tous les
che optique ; ce sont les fibres cortico-thalamiques ; 2° Un second groupe spécial de fibres nerveuses, qui met également en
ippocampe naissent du crochet terminal de cette circonvolution par un groupe de fibrilles, qui s'accroît dans son trajet des f
ssent entre elles les régions homologues des deux lobes, un troisième groupe met en connexion les cellules corticales avec les
e. § 2. Le système des fibres commissurantes est représenté par des groupes de fibres, qui se détachent de la substance corti
au-dessous du corps rhomboïdal et gagnent le lobe médian. Ces deux groupes de fibres constituent la substance médullaire des
pédoncules cérébelleux, dans des directions différentes. Un premier groupe se porte en avant et en bas; il est désigné sous
désigné sous le nom de pédoncules cérébelleux inférieurs. Un second groupe se dirige en avant ; il enlace la protubérance et
érance et constitue les pédoncules cérébelleux moyens. Un troisième groupe prend une direction ascendante vers les tubercule
ju-meaux; il forme les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces trois groupes de fibres suivent un trajet qui leur est propre e
ieurs, nées dans la cavité des corps rhomboïdaux, se séparent en deux groupes . Le groupe externe, sous l'aspect d'un gros faisc
dans la cavité des corps rhomboïdaux, se séparent en deux groupes. Le groupe externe, sous l'aspect d'un gros faisceau désigné
ces des fibres ascendantes, croise sur la ligne médiane les fibres du groupe congénère, continue son trajet et se termine dans
ibres arquées connues sous le nom de fibres arciformes du bulbe. Le groupe interne des pédoncules cérébelleux inférieurs vie
es-axes. Ces éléments communs à toute la colonne grise renferment des groupes de cellules particulières (Microph., Pl. C,fig. I
ph., Pl. C,fig. I). Dans les cornes antérieures, on distingue trois groupes de cellules multipolaires : l'un vers le bord ant
rveuse. Cette description est difficile à constater par l'examen d'un groupe de cellules multipolaires, isolées sur une prépar
gion intermédiaire aux cornes antérieures et postérieures renferme un groupe de cellules, réunies vers la région interne et mé
au de Stilling. Ces cellules sont moins volumineuses que celles des groupes renfermés dans les cornes antérieures; elles ont
trices et les racines sensi-tives des nerfs crâniens, qui émergent de groupes de cellules nerveuses faisant partie d'une colonn
isolé, séparé d'une colonne grise. Stilling a désigné le premier ces groupes de cellules sous le nom de noyau d'origine des ne
tie supérieure, elle renferme, de chaque côté de la ligne médiane, un groupe de cellules multipolaires de 30 à 60 p de longueu
a base delà corne antérieure, de petites saillies qui contiennent les groupes de cellules constituant les noyaux sensitifs des
berg. Le nerf auditif ou acoustique est formé par la fusion de deux groupes de fibres. Le groupe inférieur ou externe contour
f ou acoustique est formé par la fusion de deux groupes de fibres. Le groupe inférieur ou externe contourne le pédoncule céréb
e, sous l'aspect de stries médullaires appelées barbes du calamus; le groupe supérieur ou interne, beaucoup plus gros, passe e
en dedans du pédoncule et va aboutir à un noyau de cellules. Ces deux groupes de fibres radiculaires enclavent, près du bord ex
appelée formation de l'acoustique, et, plus particulièrement, dans un groupe de cellules éparses, d'une forme ovalaire, pourvu
onner le nom de locus cœruleus. Les fibres radiculaires émergent d'un groupe allongé de grosses cellules, de 70 p. de long sur
Le corpus Luysii est en connexion par sa face postéro-interne avec un groupe de fibres provenant des pédoncules cérébelleux su
rtion superficielle ou motrice des pyramides ; elles se réunissent en groupes nettement limités, qui, en s'accolant les uns aux
x fascicules, suivant chacun une direction particulière. Un premier groupe de fibres, le plus considérable, se porte dans la
ns la tête du corps strié et s'éparpille dans sa substance. Un second groupe de fibres afférentes se recourbe en dehors, prend
de la moelle épinière (agrandissement delà figure pré-cédente). a. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la subst
anches ; elle est séparée de la cavité du quatrième ventricule par un groupe de faisceaux de fibres blanches, qui s'étend du b
; il émet en avant un faisceau de fibres efe-rentes (15) et reçoit un groupe de fibres afférentes (16) qui émane des pédoncule
es antérieures (15, Pl. VI) émergent de la protubérance annulaire. Un groupe de fibres se dirige vers les noyaux jaunes; un au
et di-rect; c'est le faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe postérieur de fibres, qui paraît s'arrêter au loc
sales qui dissocient la substance grise de la protubérance. Ces trois groupes de fibres constituent les pé-doncules du cervelet
es. 11. — Faisceau spiroïde, tourbillonné, constitué par les divers groupes de fibres convergentes des régions supérieures, a
le prolongement frontal de la cavité des ventricules latéraux. 6. — Groupe de faisceaux de fibres convergentes, fibres corti
du corps strié et concourant à la formation de la capsule interne. Un groupe de ces fibres suit la face externe du noyau lenti
s de Stiiling se dirigeant en avant, où il se confond avec les divers groupes de faisceaux qui forment le genou de la capsule i
érieurs, processus cerebelli ad testes (26). Sur la ligne médiane, un groupe de fibres commissurantes met en connexion les deu
rface interne donne naissance aux faisceaux efférents cérébelleux; le groupe supérieur forme les pédoncules cérébelleux supéri
nier segment des noyaux rouges de Stilling (13, Pl. XXVIII); le petit groupe de fibres efférentes qu'il émet s'unit au faiscea
arrière, vers la ligne médiane. 2. — Fibres arciformes dépendant du groupe qui circonscrit le lobule de l'insula. 3. — Fib
ces deux centres mé-dullaires sont réunis sur la ligne médiane par un groupe de fibres commissurantes. En haut le vermis sup
se perdent, au delà du noyau gris des pyramides postérieures, dans le groupe des fibres descendantes des pédoncules cérébel-le
ntes du lobe sphénoïdal se diri-gent en haut et en dedans. Ces divers groupes de fibres se condensent sur le bord externe de la
de Varole, est composé par un amas de substance grise que dissocie un groupe de fibres transversales et un groupe de fibres ve
substance grise que dissocie un groupe de fibres transversales et un groupe de fibres verticales. Il est entouré d'une écorce
Substance grise des parois du ventricule moyen où vont s'amortir des groupes de fibrilles, issues des faisceaux convergents.
rizontale ou intra-ventriculaire du trigone, bandelettes géminées, se groupe en un faisceau arrondi, les piliers antérieurs du
trent dans sa masse sous l'aspect de filaments très déliés ; quelques groupes sont coupés perpendiculairement à leur direction.
2 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
des Gorilles, des Colobes, des Alouattes et des Sakis, il est peu de groupes qui ne soient point représentés dans mon travail,
fin. Chacune d'elles a son caractère, sa norme, et dans chacun de ces groupes les espèces peuvent être aisément réunies d'après
ntage de pouvoir substituer, dans la comparaison générale de tous les groupes entre eux, des abstractions précises, des unités
actes. Yoilà pourquoi des travaux entrepris sur le même sujet dans le groupe des Lémuriens ne seront point encore publiés, le
s sont d'autant plus apparentes, que l'animal est plus élevé dans son groupe . Dans les animaux inférieurs de chaque famille,
du troisième ordre, M. Foville distingue, sur la face interne, 1° le groupe quadrilatère; 2° le groupe triangulaire, dont l'é
ille distingue, sur la face interne, 1° le groupe quadrilatère; 2° le groupe triangulaire, dont l'étendue est petite, mais qui
peu plus près de sa tubérosité temporale, et se porte, au-dessous du groupe triangulaire, vers l'extrémité postérieure du cer
espondances remarquables, ainsi la traverse médio-pariétale répond au groupe quadrilatère; mais cette analyse nous conduirait
st de chercher, premièrement, quelles sont les limites naturelles des groupes principaux que forment dans l'Homme, les circonvo
cérébrales, et, en second lieu, de déterminer suivant quelle loi, ces groupes et les plis qui les composent, se développent dan
analogies naturelles obligent impérieusement de ranger dans un autre groupe , à la tête des Chauves-Souris et des Insectivores
ns essentielles qui font d'un être organisé le type anatomique de son groupe , on voit aisément que, de toutes ces conditions,
e comparée; elle nous découvre la pensée qui a dominé la création des groupes naturels par une sorte d'analyse écrite par Dieu
limites des variations s'agrandissent ou se rétrécissent, dans chaque groupe , en raison directe de la dignité de chaque espèce
ises entre les divisions principales et les divisions secondaires des groupes circonvolutionnaires me laissaient dans l'impossi
Macaques ou des Cynocéphales. Mais, dans cette grande série, à quel groupe peut-on plus immédiatement le comparer? Il se d
nre? Il est, dès à présent, certain que VOrang-Outang appartient à un groupe parfaitement distinct et propre aux îles de l'Ori
r dignité, ils conservent cependant les caractères respectifs de leur groupe . D'ailleurs, si l'hypothèse est ici permise et
Hommes, par ses Primates, par ses Éléphants, par les premiers de ses groupes enfin, comme s'il y avait, entre tous les êtres q
mais l'impossibilité presque absolue où nous sommes de conclure d'un groupe à un groupe différent laisse planer sur leurs thé
ssibilité presque absolue où nous sommes de conclure d'un groupe à un groupe différent laisse planer sur leurs théories des do
rang, jugés d'après leur organisation cérébrale, appartiennent à deux groupes , à deux types différents. L'un, le Chimpanzé, e
un Macaque; l'autre, VOrang-Outang, est un Gibbon. Or, de ces deux groupes , lequel l'emportera sur l'autre ? Nous soupçonnon
t un coup d'œil sur l'arrangement des plis cérébraux, je retrouvai ce groupe de plis réguliers occupant l'étage supérieur des
possible , ils étaient fondés, il faudrait admettre qu'il y a dans le groupe humain des degrés divers d'organisation, comprena
plus ou moins longue, de même que l'on voit parmi les animaux le môme groupe contenir des espèces Anoures et des espèces Urodè
e ingénieuse proposition que, dans la série entière comme dans chaque groupe naturel considéré à part, les espèces inférieures
qui régissent l'ensemble. Il y a parmi les Singes américains quatre groupes bien tranchés. Le premier comprend les Hurleurs
tout en conservant les caractères d'infériorité qui distinguent leur groupe , ils s'élèvent néanmoins par na subterfuge divin
ties doivent être tirées les caractéristiques essentielles du premier groupe . Je suppose qu'elles seront fournies parle premie
ètes. CEPE AU ET PLIS CÉRÉBRAUX des singes américains du deuxième groupe ou sajous, § XXIX. Les Saïs et les Sajous, qu
sez bien la disposition des plis antérieurs dans les Cèbes du premier groupe . Mais au delà les différences commencent. En
t, ce pli existe à la fois dans les Pithèques et les Cèbes du premier groupe ; il manque à la fois dans les Pithèques et les Cè
jous. On peut s'étonner, d'ailleurs, que les différences entre deux groupes aussi éloignés soient aussi peu tranchées. N'est-
(1) Les Saïs et les Sajous sont, en général, confondus dans un même groupe ; quelques zoologistes même ne paraissent point l
de vue de l'anatomie comparée, une conséquence importante. Dans le groupe le plus élevé du règne animal, dans le groupe le
e importante. Dans le groupe le plus élevé du règne animal, dans le groupe le plus beau, puisque des transitions évidentes l
vantes : i " Dans chaque catégorie naturelle des Mammifères, chaque groupe défini présente un type particulier d'organisatio
s plis existent par le mode d'arrangement de ces plis. 3* Parmi ces groupes il en est dans lesquels, du premier animal au der
ien même les plis, riches et développés dans les premières espèces du groupe , seraient complètement annihilés dans les dernièr
it l'animal qui les présente, ils ne l'élèvent point au-dessus de son groupe . Ils ne le mettent jamais au niveau des groupes s
point au-dessus de son groupe. Ils ne le mettent jamais au niveau des groupes supérieurs. Quelque réduite que soit, dans les Ou
vent se combiner, dans des proportions variables à l'infini, dans ces groupes divers dont le règne animal se compose. Plus l'ob
plus élevés que ce dernier lobe ; ils se développent en entourant ce groupe in-teruiédiaire : aussi le lobe central est-il ca
Guenons, il se subdivise dans les Primates les plus élevés de chaque groupe , et dans l'Homme blanc il se décompose en trois p
re du cerveau et se rapproche de la postérieure ; dans les Singes des groupes inférieurs, elle s'éloigne, au contraire, de plus
s grand développement de ce lobe dans les Singes supérieurs de chaque groupe naturel. Ainsi le lobe frontal est plus étroit
sez divisé. Or les Cynocéphales sont des Singes très-élevés dans un groupe dont, à coup sur, on ne connaît pas les degrés in
obe frontal est plus développé dans les espèces supérieures de chaque groupe pris à part. Singes américains. Sapajous. — L
, dans VOrang, le volume le plus grand parmi les Singes de ce premier groupe . Macaques. — Petit dans le Rhésus, un peu plus
agot, il s'élève à son maximum dans le Chimpanzé, chef de ce deuxième groupe . Cynocéphales. — Enfin il est réduit au minimum
ent de ce lobule supérieur du deuxième pli ascendant est, dans chaque groupe pris à part, un signe d'élévation sériale. Le p
diminuer dans le cerveau humain. A l'inverse des Singes du premier groupe , on la voit décroître en passant des Macaques aux
rd à la hauteur du lobe frontal, que l'animal est plus élevé dans son groupe . On peut aisément apprécier ces relations en comp
al paraît diminuer d'importance dans les animaux supérieurs de chaque groupe , le pli temporal moyen, suivant une marche invers
nverse, se complique parallèlement à l'élévation de l'animal dans son groupe . Ainsi voyons-nous les Atèles, les Cynocéphales,
La même gradation est observée dans les Singes américains du premier groupe . Ainsi voyons-nous décroître le lobe occipital de
Lagotriches et aux Atèles. Quant aux Singes américains du deuxième groupe , comme chez eux aucune scissure ne détermine la l
totale des hémisphères et de l'étendue des couches corticales naus un groupe défini d'animaux, on pourra tirer des inductions
3 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
de Korner. Sur les temporaux pneumatiques on rencontre à ce niveau le groupe cellulaire limitrophe supérieur du conduit qui qu
holewa, Ramon Gastaneda etGavello ont constaté la participation de ce groupe cellulaire squameux dans les processus infectieux
permettent de classer les différents crânes des mammifères en quatre groupes : i° Crânes avec apophyse jugulaire et sans apo
emi-circulaire supérieure de l'occipital. On remarque à son niveau le groupe des veines émissaires mastoïdiennes, qui forment
avons nommée crête ou bulle digastrique. Elle répond à une cellule du groupe sinuso-digastrique. Sur t ao temporaux, elle ap
rticale prémastoïdienne un angle aigu ouvert en dehors, occupé par le groupe des cellules limitrophes postérieures du conduit
infantile, traitée uniquement par les grands lavages antiseptiques. Groupes cellulaires mastoïdiens. —En outre de l'antre, l'
essité, pour les étudier méthodiquement, de les classer en différents groupes . Le premier groupement qui s'impose est basé su
l'écaillé et les cellules provenant de la portion pétreuse. Les deux groupes sont séparés par une lame osseuse, vestige de la
e, simulant un antre biloculaire. Sur les apophyses de type mixte, ce groupe est souvent envahi par le tissu compact. Barbarin
lards, contient très souvent des cellules volumineuses qui forment le groupe cellulaire apical. Nous savons qu'à ce niveau la
osse cérébrale moyenne, et en dedans avec le sinus latéral : c'est le groupe postéro-supérieur, (i) In Barbarin, Thèse de Pa
01, par Stanculéanu et Depoulre. Ces auteurs les distribuent en trois groupes : postéro-supérieur, postérieur proprement dit, e
rieur. 11 y a intérêt, pour simplifier la description, à supprimer le groupe postérieur proprement dit, dont la création nous
ication utile. Les cellules qui le composent peuvent faire partie des groupes voisins. Stanculéanu et Depoutre ont rencontré,
tanculéanu et Depoutre ont rencontré, sur 100 temporaux, /[o fois des groupes cellulaires nettement postérieurs. (( Dans la maj
ulaires nettement postérieurs. (( Dans la majorité des cas, un de ces groupes existait à l'exclusion des autres ; mais dans 12
t postérieures proprement dites. Us ont trouvé le plus fréquemment le groupe cellulaire postéro-supérieur (27 fois): viennent
ostéro-inférieures (12 fois). » Une des cellules postérieures de ce groupe vient faire hernie en dedans de la rainure digast
a saillie que nous avons décrite sous le nom de bulle digastrique. Ce groupe confine en bas à la rainure digastrique, et en de
ique, et en dedans à la fosse cérébelleuse et au sinus sigmoïde. Le groupe sinuso-cérébral est composé de cellules squameuse
. Le groupe sinuso-cérébral est composé de cellules squameuses : le groupe sinuso-digastnque comprend des cellules pétreuses
incisâmes les parties molles œdémateuses et découvrîmes, au niveau du groupe sinuso-digastrique, un point d'ostéite avec foyer
ormes, en rapport avec la distribution et l'importance des différents groupes cellulaires : ce sont : la mastoïdite antérieure
; leur gravité et leur symptomatologie relèvent de la topographie des groupes cellulaires atteints. L'antrite et les cellulit
fois les fosses cérébrales moyenne et cérébelleuse. La topographie du groupe cellulaire sinuso-digastrique explique l'éclosion
anato-mique de la mastoïdite de Bezold. Dans l'infection localisée au groupe cellulaire apical, la perforation de la corticale
nel, étant donné l'étroite solidarité qui existe entre les différents groupes cellulaires inférieurs. Ces complications endoc
s noms de Bezold et de Moure, quand on voudra désigner l'infection du groupe sinuso-digastrique, beaucoup plus fréquente que l
§ 3. _ TOPOGRAPHIE DE L'ANTRE MASTOÏDIEN, DU SINUS ET DES DIFFÉRENTS GROUPES CELLULAIRES PAR RAPPORT A LA CORTICALE EXTERNE
miner la situation topographique de l'antre du sinus et de ces divers groupes cellulaires par rapport à la corticale externe ma
aut, en arrière, et en bas de ce point sont disposées les cellules du groupe sinuso-cérébral. L'horizontale inférieure CD coup
vant, en haut et en arrière de ce point, on rencontre les cellules du groupe sinuso-digastrique. Pour atteindre la "bulle diga
ème pneumatique intra-pétreux se continue en arrière et en bas par le groupe sinuso-digastrique. Urbantschitsch a observé quel
e. L'on sait que les mammifères peuvent être divisés en deux grands groupes , au point de vue des voies de retour de la circul
t se jette finalement dans la veine jugulaire interne. Entre ces deux groupes définis, il existe des animaux, tels que le lapin
lle regarde en haut et en dedans, et limite, du côté de la caisse, le groupe des cellules limitrophes supérieures du conduit.
la zone sinusale de l'apophyse, creusant d'abord en haut au niveau du groupe cellulaire si-nuso-cérébral, car c'est là que le
té verbale et la cécité verbale par lésions de ces centres forment le groupe des aphasies corticales qui s'accompagnent toujou
e et mastoïdienne des abcès cérébelleux permet de les diviser en deux groupes : i° Abcès antérieur, pétro-cérébelleux : 20 Abcè
l'équilibre. On divise les symptômes des abcès du cervelet en trois groupes : i" symptômes généraux dus à l'infection: 2° sym
1896. Stanculéanu et Depoutre, Étude anatomique et pathologique des groupes cellulaires postérieurs de la mastoïde. Cellules
§ 3. — Topographie de l'antre mastoïdien, du sinus et des différents groupes cellulaires par rapport à la corticale externe
eut diviser artificiellement tout ce fouillis cellulaire en plusieurs groupes : 1° groupe périantral ; 2" groupe postéro-supérie
artificiellement tout ce fouillis cellulaire en plusieurs groupes: 1° groupe périantral ; 2" groupe postéro-supérieur ou sinus
e fouillis cellulaire en plusieurs groupes: 1° groupe périantral ; 2" groupe postéro-supérieur ou sinuso-cérébral ; 3° groupe
oupe périantral ; 2" groupe postéro-supérieur ou sinuso-cérébral ; 3° groupe postéro-inférieur ou sinuso-digastrique ; 4° grou
uso-cérébral ; 3° groupe postéro-inférieur ou sinuso-digastrique ; 4° groupe apical. La bulle digastrique effondrée est en con
La bulle digastrique effondrée est en connexion avec les cellules du groupe sinuso-digastrique. Figure 3. — Le trait de sci
enne du canal de Fallope et la fosse jugulaire, plusieurs cellules du groupe sinuso-digastrique. La capsule labyrinthique, c
et la fosse jugulaire, on trouve les cellules les plus antérieures du groupe si nu so-di gastrique. Figure 3. — On voit le c
de toutes parts par une zone de structure aréolaire qui constitue le groupe mastoïdien périanlral. Sous la paroi interne de l
ur a été reproduit sur la planche XVI. La scie a laissé en arrière le groupe des nerfs mixtes, glosso-pharyngien, pneumo gastr
matique est creusée de nombreuses cellules qui prolongent en avant le groupe des cellules limitrophes supérieures du conduit.
hyse mastoïde est creusée de nombreuses cellules qui appartiennent au groupe sinuso-digastrique. C'est là que siège la lésion
4 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
déterminer des lésions exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses, à certains faisceaux de fi
re avec la plus grande précision ; elle nous permet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres nerveuses
es présentaient des altérations profondes ; celles qui constituent le groupe externe, en particulier, avaient en grande partie
nes antérieures de substance grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules nerveuses motrices. C'est vr
ire. — Relations entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes a
s nerveux radiculaires internes issus des racines posté-rieures et le groupe externe des cellules nerveuses multipo-laires des
articipation des nerfs viscéraux thoraciques et abdominaux. Dans ce groupe de symptômes viscéraux, je signalerai tout d'abor
elques-uns d'entre vous. J'ai proposé de désigner sous ce nom tout un groupe d'affections arti-culaires qui paraissent être so
En somme, anatomiquement parlant, notre arthropathie rentre dans le groupe de l'arthrite sèche. A cela, je n'ai pas d'object
ance dans la moelle elle-même. C'est là, Messieurs, dans l'espèce, un groupe véritablement à part, car le méca-nisme suivant l
moelle d'une lésion syphi-litique. e) Je ne veux pas abandonner le groupe des tumeurs intra-spinales sans signaler à votre
de ces symptômes. Nous les exami-nerons successivement dans les trois groupes principaux qui suivent : 1° Tumeurs intra-rachidi
nerveuses. 1. Messieurs, Je veux appeler votre attention sur un groupe nosographi-pie, que je vous proposerai de désigne
ographique des hôpitaux, janvier et février 1872. individualités du groupe et c'est là, de plus, leur caractère cli-nique le
dans l'étude particulière des diverses affec-tions qui constituent ce groupe , permettez-moi de vous pré-senter quelques détail
cation de la sensibilité est un trait qui différencie les maladies du groupe des diverses for-mes de myélites que nous étudier
ntir, le caractère clinique prédominant des maladies qui composent le groupe nosographique que nous nous proposons d'étudier a
l'impuissance motrice, survenue dans un certain nombre de muscles ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'observa
sous l'in-fluence d'une lésion spinale (amyotrophies spinales) à deux groupes fondamen-taux. Dans un groupe, l'affection évolue
spinale (amyotrophies spinales) à deux groupes fondamen-taux. Dans un groupe , l'affection évolue anatomiquement suivant le mod
mitivement chronique. Il y a là matière à une division tranchée. Le groupe des amyotrophies spinales à développement rapide,
st autre quelaparalysie infantile, constitue, en conséquence, dans le groupe des amyotrophies spinales aiguës, un type remarqu
nfantile. C'est là, en effet, l'un des types les plus remarquables du groupe : les caractères spécifiques s'y montrent accusés
union entre la paralysie in-fantile spinale et les autres maladies du groupe . III. Je vais essayer actuellement de vous fa
degrés divers, et sur les points les plus sérieusement affectés, des groupes entiers de cellules avaient disparu sans laisser
i pu faire connaître les autres espèces morbides qui appartiennent au groupe des myopathies de cause spinale. Je compte alors
iquement dans l'espace ovalaire très cir-conscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules motrices (Fig. 9). Comment
ur certains points, l'altération d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion
on étendue en hauteuur. En avant, on voyait : 1° à droite, un premier groupe de vésicules au-dessous de l'aisselle ; un second
médian, placé au-dessous de l'appendice xiphoïde ; — 2° à gauche, un groupe répondant au second groupe droit et un autre situ
e l'appendice xiphoïde ; — 2° à gauche, un groupe répondant au second groupe droit et un autre situé à gauche de la ligne médi
c et de l'extrémité inférieure du sternum. En arrière, il existait un groupe au niveau de l'angle inférieur de l'omoplate et u
les cornes antérieures, les foyers limités ayant fait disparaître des groupes entiers de cellules nerveuses et produit l'épaiss
nsister, se montre parfois exactement limitée à un seul ou à deux des groupes ovalaires, nettement circonscrits, que, dans le r
al, car, si la lésion s'étend au delà, elle paraît rayonner autour du groupe cellulaire comme autour d'un centre. Ce n'est qu'
an-tile. La localisation si remarquable des lésions dans l'aire des groupes cellulaires m'avait conduit à admettre depuis lon
euse plus ou moins accentuée. Les élé-ments ganglionnaires de tout un groupe , de toute une région, lorsque l'altération est po
t une injection vasculaire surtout marquée au voi-sinage immédiat des groupes de cellules nerveuses. Ces observations établis
l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies
ique cependant a éta-bli depuis longtemps qu'il ne s'agit pas là d'un groupe homo-gène. En effet, les lésions spinales qu'on
ui constitue, pour ainsi dire, le caractère anatomique fondamental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de subst
de l'affection. B. Les choses sont plus compliquées dans un second groupe d'amyotrophies spinales chroniques que, par oppos
ses des cornes antérieures ont disparu, à l'exception d'un seul petit groupe {Fig. Il, b). — Les racines antérieures, émanant
eu élucidé. Mais, comme je vous l'ai fait pressentir, il est, dans ce groupe , une individualité qui, en raison de son importan
nce surtout par l'intégralité parfaite, plusieurs fois constatée, des groupes cellulaires de la colonne de Clarke dans la régio
mises à profit. Je citerai, en premier lieu, parmi les faits de ce groupe , les observations II et IV de l'excellent mémoire
déparlement qui est en rapport avec les membres inférieurs ; enfin le groupe des faisceaux cérébro-bulbaires est envahi à son
ctés. Il résulte de cette prédominance de l'altéra-tion dans quelques groupes de muscles, une sorte de griffe où l'extension de
ge le long de ces racines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules nerveuses subissent consécutivement d
inique usuelle. Pourquoi ? Je ne saurais le dire, car les faits de ce groupe ne sont pas très rares. C'est une lacune regretta
a paralysie infantile. Bien qu'elle prédomine sur certains muscles ou groupes de muscles, elle s'attaque cependant à toute l'
r et d'affec-ter une marche progressive. Parmi les amyotrophies de ce groupe , je citerai seulement, à titre d'exemple, la mala
elle aussi, h faire rentrer la paralysiepseudo-hypertrophique dans le groupe des myopathies spinales. L'autopsie, en effet, co
l-leurs remarquable, d'Ollivier (d'Angers), se trouvent réunies en un groupe hétérogène, sous le nom de myélite chronique et q
araplégies urinaires. — Définition. — Les faits se rapportent à trois groupes . Myélite consécutive aux maladies des voies uri
tre ramenées à des catégories tout à fait distinctes. 1° Un premier groupe comprend les paraplégies urinaires dans lesquel
semble des symptômes qui appartiennent à la myélite. 2° A un second groupe se rapportent les cas dans lesquels la paraplégie
ions auxquelles je faisais allusion tout à l'heure. 3° Le troisième groupe se compose des cas dans lesquels la faiblesse des
opagation de proche en proche du travail morbide. Les deux premiers groupes nous occuperont surtout ; quant au troisième, nou
s phénomènes constants1. III. Les faits qui constituent le second groupe des paraplégies urinaires sont ceux que Rayer, Br
11 existe, ainsi queje vous l'ai annoncé en commençant, un troisième groupe de paralysies urinaires. Les cas, en fort petit n
t être trouvé. Les faits qui vont vous, être présentés forment deux groupes bien distincts : dans l'un, la guérison ou l'amen
s. J'insisterai particulièrement sur un cas qui appartient au dernier groupe . Il s'agit, Messieurs, d'une malade que je vous
x faits récemment observés par lui et qui appartiennent évidemment au groupe clinique dont il s'agit. Yoici l'exposé sommaire
inés çà et là, au milieu des tubes nerveux normaux, tantôt réunis par groupes arrondis ou ovalaires. Ils se retrouvent encore s
les déformations qui tiennent à l'atro-phie prédominante de certains groupes musculaires. Les pieds sont un peu rigides, dans
déjà décrit. On n'y remarquait ni déformations atrophiques des divers groupes de muscles, ni contractions fîbrillaires. Les pie
s ont disparu sans laisser de traces. Ce sont surtout les cellules du groupe interne ou antérieur qui ont subi les altérations
es qui ont persisté sont plus ou moins atrophiées, tandis que dans le groupe externe on en rencontre sur la plupart des prépar
connaître, immédiatement en dehors du noyau de l'hypoglosse, le petit groupe de cellules que Clarke rattache aux origines infé
ait le noyau d'origine du pneumogastrique. La plupart des cellules du groupe étaient in-tactes ; un petit nombre seulement d'e
résentent un amaigrissement nota-ble, étendu à tout le membre ; aucun groupe de muscles ne paraît plus spécialement atteint qu
couvrir une augmentation évidente dans le nombre de ses noyaux. Les groupes cellulaires, appartenant aux différents autres ne
ant indistinc-tement, et comme au hasard, les éléments des différents groupes de ces cornes, elle diminue graduellement d'étend
es cornes antérieures ; elle ne s'attache pas spécialement à certains groupes de cellules, de telle sorte que les cellules sain
vésiculaire sont altérées au même degré que celles qui composent les groupes des cornes antérieures. 2° Région bulbaire. — a
En arrière et en dehors du noyau de l'hypoglosse, on peut étu-dier le groupe de cellules d'origine du spinal. Celles-ci, pour
osse et celui du pneumogastrique se trouve dans cette région le petit groupe cellulaire que L. Clarke rattache au noyau du fac
lulaire que L. Clarke rattache au noyau du facial. Les cellules de ce groupe paraissent remarquablement petites et peu nombreu
res offraient tout au plus des altérations très minimes, bien que les groupes cellulaires d'où ils émanent fussent, pour la plu
. Mais elles ne sont pour ainsi dire con-centrées sur aucun muscle ou groupe de muscles ; elles sont disséminées un peu partou
ire. — Relations entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes a
l'atrophie musculaire progressive spinale protopathique comme type du groupe : simplicité de la lésion spinale. — Amyotrophies
araplégies urinaires. — Définition. — Les faits se rapportent à trois groupes . Myélite consécutive aux maladies des voies uri
5 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
ement à la surface de Técorce grise et forment, dans l'intervalle des groupes de cellules pyramidales, des es-pèces de colonnes
médianes et surtout dans le lobe paracentral. Elles sont disposées en groupes ou en îlots. On les trouve dans les points qui vi
onc basilaire. — GP, CP, cérébrales postérieu-res. — 1,2, 3, 3, 4, 4, groupes des- artères nourricières. — La ligne ponctuée --
ps striés et couches optiques. Ces artères nourricières forment six groupes principaux : Le premier — groupe médian-antérie
artères nourricières forment six groupes principaux : Le premier — groupe médian-antérieur, I, — a son ori-gine dansla comm
rissent la partie antérieure de la tête du noyau caudé. Le second — groupe médian postérieur, 2, — vient de la moitié postér
les parois du troisième ventricule. Le troisième et le quatrième — groupes antêro-latêrauœ droit et gauche, 3, 3 —, composés
artie antérieure de la couche optique. Le cinquième et le sixième — groupes postero-latéraux, 4, 4 —, sont fournis par les cé
allongées verticalement. Fig. 11. —1, 1, Artères médullaires. — 1' Groupe d'artères médullaires du sillon situé entre deux
insi limitée, corresponde justement à une des circonvolutions ou à un groupe de circonvolutions, douées de propriétés spéciale
ce externe du noyau lenticulaire. Elles doivent être divisées en deux groupes : le premier groupe est antérieur et les ar-tères
enticulaire. Elles doivent être divisées en deux groupes : le premier groupe est antérieur et les ar-tères qui le composent so
tères qui le composent sont les artères lenticulo-striées ; le second groupe est postérieur ; les artères qui le constituent s
nstituent sont les artères lenticulo-optiques. L'une des artères du groupe antérieur est surtout importante à cause de son v
l est possible de distin-guer alors dans ces derniers faisceaux trois groupes de fibres : 1° Les unes antérieures (hh,Fig. 32),
— Luys, loc. cit. p. 173. Sehstrahlungen.) Les faisceaux du dernier groupe , qui sont l'objet particulier de notre étude, ne
and Remipleqia. In The Lancet, Aug. 29, 1874, p. 306. tuent pas un groupe homogène; dans une première catégorie, il s'agit
que d'autres les pro-voquent, pour ainsi dire, à coup sûr. Au second groupe appartiennent les lésions destructives, mêmes cir
laire, capsule interne. Mes observations peuvent être ramenées à deux groupes . Le premier comprend les cas dans lesquels, pen
ux tiers antérieurs des lobes frontaux. Dans tous les cas du second groupe , il y avait eu, au con-traire, hémiplégie permane
ame morbide. Tels sont, par exemple, le tétanos et la rage. L/antique groupe des névroses, bien qu'il ait été sérieusement ent
représentant les cor-nes spinales antérieures ; là, sont disposés des groupes cel-lulaires où prennent racines les nerfs moteur
et il importe d'abord d'y établir des divisions. 1° Dans un premier groupe sont réunies les dégénérations secondaires de cau
r occupant certaines parties de l'en-céphale. Ainsi les lésions de ce groupe peuvent résulter : a) soit d'une lésion primitive
pris naissance, vers les parties périphériques. 2° Dans son second groupe , on doit placer les dégénéra-tions secondaires de
. Nous nous occuperons en premier lieu des dégénérations du premier groupe , de celles qui ont une origine encéphalique ; et
'entrer dans le détail, indiquons les caractères les plus généraux du groupe . 1° La lésion originelle existe dans le cerveau
ticulier qui sera mentionné en temps et lieu, les dégénérations de ce groupe ont pour carac-tère général d'affecter exclusivem
ce, et exclusivement les cellules géantes: elles sont là disposées en groupes , en îlots, en nids comme dit M. Betz. Aussi la ré
ne de la région antérieure une disparition complète de la plupart des groupes cellulai-res qui se voient normalement dans cette
des groupes cellulai-res qui se voient normalement dans cette région ( groupes postérieur et antéro-externe). De plus, les racin
points symé-triques du côté droit. Les faits de ce genre forment un groupe assez homogène pour qu'il soit évident qu'il ne s
rdach où elles dessinent une courbe à convexité externe. c) Mais ce groupe de fibres radiculaires émanant des racines postér
ut interpréter les dégénérations secondaires constituant le troisième groupe qu'il nous reste actuellement à considérer. A côt
s-criptive est désormais terminée, il faut placer, vous disais-je, le groupe des dégénérations secondaires de cause périphériq
, le groupe des dégénérations secondaires de cause périphérique. Ce groupe est, à l'heure qu'il est, composé de trois ou qua
unpeupartout. Cependant, elles se rassemblent de manière à former un groupe un peuplus compact dans la région pyra-midale du
nt les fibres du faisceau pyramidal sembleraient donc se réunir en un groupe assez compact. Voici d'ailleurs les conclusions d
lature proposée par M. Bouchard), Les intrinsèques se ramènent à deux groupes : 1° dans les faisceaux de Burdach, les fibres in
est de règle qu'il soitprésent. C'est, en somme, un des caractères du groupe des paralysies spasmodiques ; et les hémiplégies
miplégiques.— Attitude des membres. — La contracture affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitudes vicieuses. Contractu
il est habituellement présent. C'est, en somme, un des caractères du groupe cliniqne des para-lysies spasmodiques, et les hém
brales avec dégé-nération des faisceaux pyramidaux appartiennent à ce groupe . Une fois la contracture tardive établie, la tr
rare et très fâcheux que le dé-veloppement de la contracture dans les groupes fléchisseurs du membre inférieur. La cuisse est a
moelle par des fibres . nerveuses qui se mettent en rapport avec des groupes de cellules ayant entre elles des connexions part
lules ayant entre elles des connexions particulières ; et ce sont ces groupes cellulaires qui exécutent le mouvement voulu. Il
s cellulaires qui exécutent le mouvement voulu. Il y a, du reste, des groupes élémentaires, pour les mouve- Charcot. Œuvres c
Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 22 ments élémentaires ; des groupes associés pour les mouvements plus compliqués* les
s pour les mouvements plus compliqués* les mouvements d'ensemble. Ces groupes sont répartis de chaque côté de la moelle ; les u
nce grise, des relations sont établies d'un côté à l'autre, entre les groupes homologues. Dans l'état normal, ces con-nexions n
certains cas, des relations du même genre peuvent s'établir entre des groupes cellulaires très éloignés les uns des autres, et
la paralysie spasmodique ; et j'ai pro-posé de les rassembler dans un groupe nosographique parti-culier, sous le nom de tabès
orsal spasmodique. En effet, quel-ques cas que j'avais rattachés à ce groupe nosographique ont dû, après l'autopsie, en être d
la vessie et du rectum. -- Abolition des réflexes. Délimitation du groupe des poliomyélites systématiques. -- Amyotrophies
cificité physiologique de la région intéressée, les affec-tions de ce groupe , ainsi qu'on pouvait le prévoir, se présen-tent d
ifférent. B. En quelques mots, voici les caractères fondamentaux du groupe : 1° Les muscles sont frappés d'impuissance mot
non plus que la contracture n'appartiennent pas aux affections de ce groupe , seulement en raison de la distribution souvent i
A. Les poliomyélites antérieures systématiques forment, en somme, un groupe nosographique assez naturel. Le symptôme dominant
ar conséquent entremêlé cliniquement avec d'autres symptômes. B. Le groupe des poliomyélites antérieures systématiques ren
d'une façon définitive. 1° Une première classe est composée par le groupe des amyotrophies spinales protopathiques aiguës
iée avec prédilection Duchenne (de Boulogne) et Heine. C'est, dans le groupe dont il est ici question, une ma-ladie modèle pou
ce rapprochement. Il n'en est pas de même, quant à présent, du second groupe , que je me bornerai à mention-ner. 2° Poliomyél
pro-topathique. IV Telles sont, Messieurs, les grandes espèces du groupe des amyotrophies liées aux poliomyélites antérieu
eyden à l'appui de la théorie qui confond, entre autres, dans un même groupe , la sclérose latérale amyotrophique et l'atrophie
udiés ? Il n'en est pas question ; 3° Dans un autre des cas du même groupe (Pick), s'il n'y avait pas de contracture, la mal
iplégiques. — Attitude des membres. — La contracture affecte tous les groupes antagonis-tes. — Attitudes vicieuses. Contractu
de la vessie et du rectum.— Abolition des réflexes. Délimitation du groupe des poliomyélites systématiques. — Amyotrophies p
9 ; — de la base de l'encéphale, 50 ; — leur division en systèmes, en groupes , 50 ; — cérébrales postérieures,com-municantes,sy
sie spinale infantile, 39, 307 ; — quelle place occupe-t-elle dans le groupe des poliomyélites, 382. Paralysie spinale de l'
6 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
ullaires. Le hanneton (2) a six ganglions qui se réunissent en deux groupes principaux ; au premier groupe appartiennent le g
x ganglions qui se réunissent en deux groupes principaux ; au premier groupe appartiennent le ganglion céphalique et le gangli
ophagien, auxquels il faut ajouter les ganglions optiques ; au second groupe , les ganglions du corselet et de l'abdomen. Le ga
ne ruche, ou si, pour faire une expérience, on l'y a introduite, deux groupes d'abeilles toujours très nombreux, se forment aus
ageux, il faudrait que l'élargissement du cerveau réunit dans un même groupe , la mésange à tête bleue , le moineau, la pie, le
eau, la pie, le coq, le combattant et la pie-grièche ; et que dans un groupe opposé au premier, fussent placés les oiseaux tim
offre, » mine par ceux qui le sont le plus; mais dans la série des groupes ou familles que j'établis, il y a des embrancheme
écessaires par achever le classement que j'ai entrepris, Le premier groupe se compose des animaux dont le cerveau est dépour
noncées cependant pour constituer de véritables circonvolutions : les groupes suivans sont distingués les uns des autres, par l
utions, et les dispositions particulières qu'elles présentent. ie'' groupe . Chauve-souris ordinaire. Elénomys. Pipistrel
ermophyle. Mulot. Otomys. Surmulot. Oryctère. Ornithorinque. 2° groupe . Marmotte. Lapin. Callomys. Agouti. Ondatra
. Utia. Lièvre. Sarigue. 3e groute. Renard. Loup. Chien. 4e groupe , Chat. Guépard, Lion. Cougouard. Tigre. Lyn
. Cougouard. Tigre. Lynx. Jaguar. Ocelot. Panthère. Hyène. 5e groupe , Ours. Putois. Coati. Loutre. Blaireau. Fur
Blaireau. Furet. Raton. Genette. Martre. Civette. Fouine. 6e groupe . Mangouste. 5e groupe, Aï. Encoubert, Una
Genette. Martre. Civette. Fouine. 6e groupe. Mangouste. 5e groupe , Aï. Encoubert, Unau. Phascolome-Wornbat. T
coubert, Unau. Phascolome-Wornbat. Tatou. Daman, Pangolin. 8e groupe , Oryclérope du Cap. Roussette. Kauguroo. 9e
ngolin. 8e groupe, Oryclérope du Cap. Roussette. Kauguroo. 9e groupe . Chevreuil, Cerf. Daim, Gazelle. Axis. Keve
ier. Cochon tonquin. Pecari-Tajassou. Sanglier. Babiroussa. ii? groupe . Phoque commun, i* groupe. Dauphin ordinair
Tajassou. Sanglier. Babiroussa. ii? groupe. Phoque commun, i* groupe . Dauphin ordinaire. Baleine franche. Marsouin
i* groupe. Dauphin ordinaire. Baleine franche. Marsouin. i3" groupe . Eléphant. 14e groupe. Makis. Singes. Pre
dinaire. Baleine franche. Marsouin. i3" groupe. Eléphant. 14e groupe . Makis. Singes. Premier groupe. Le premier gr
n. i3" groupe. Eléphant. 14e groupe. Makis. Singes. Premier groupe . Le premier groupe se compose d'animaux pris dans
Eléphant. 14e groupe. Makis. Singes. Premier groupe. Le premier groupe se compose d'animaux pris dans différentes famill
e, et qu'ils sont tous fort au-dessous du perroquet. Ainsi le premier groupe des mammifères correspond, quant au défaut de sil
e cérébral, à ceux des oiseaux qui ont peu d'intelligence. Deuxième groupe . Ce ne sont pas encore des circonvolutions que l'
Ce ne sont pas encore des circonvolutions que l'on rencontre dans ce groupe , mais des dépressions qui les annoncent. Les anim
de véritables circonvolutions, j'ai du lui assigner une place dans un groupe différent. Outre la scissure de Sylvius qui est
la scissure de Sylvius qui est ici plus prononcée que dans le premier groupe , il y a sur le lobe cérébral des dépressions qui
arer à celui du renard, de la fouine et du furet (pl. iv et vi). 3e groupe . Avant d'aller plus loin, il faut bien déterminer
, sont en nombre variable et en proportion du volume du cerveau. 4e groupe . Tous les animaux du genre chat et l'hyène sont c
roupe. Tous les animaux du genre chat et l'hyène sont compris dans ce groupe . Comme pour le groupe précédent, le cerveau le pl
x du genre chat et l'hyène sont compris dans ce groupe. Comme pour le groupe précédent, le cerveau le plus petit est en même t
ions, ne présente rien d'analogue dans la famille des chats. (1) 5e groupe . Dans ce groupe, les circonvolutions sont très va
e rien d'analogue dans la famille des chats. (1) 5e groupe. Dans ce groupe , les circonvolutions sont très variées, cependant
forme une transition très naturelle et très facile à saisir, entre le groupe des ours et celui des renards. Les circonvolution
circonvolutions sus-orbitaire et interne sont les mêmes dans les deux groupes , les circonvolutions externes n'offrent qu'une se
e cerveau de l'homme, et dont nous n'avons pas vu l'analogue dans les groupes précédemment étudiés. En avant du cerveau vu pa
loger le nerf ou plutôt le lobe olfactif. Les cerveaux du cinquième groupe forment une sorte de transition entre les renards
celui de l'ours surtout, porte le cachet des uns et des autres. 6e groupe . Les mangoustes seules comprises dans ce groupe,
s et des autres. 6e groupe. Les mangoustes seules comprises dans ce groupe , ont un cerveau qui se rapproche de celui de la c
omme sont au reste la plupart des circonvolutions des mammifères. T groupe . I/unau, l'aï, le tatou, le pangolin, le phasco-l
, le tatou, le pangolin, le phasco-lome et le daman font partie de ce groupe , ce dernier est un pachyderme, les autres sont de
age de celles de la genette. Mais dans aucun des animaux composant ce groupe , on ne rencontre le sillon crucial si constant à
u cerveau, chez les renards, les chats, les ours et les martres. 8e groupe . La roussette, le kanguroo et l'oryctérope du Cap
rappellent la dépression que l'on voit sur le cerveau du lapin. 9e groupe . Le cerveau de la famille des moutons qui forme l
in. 9e groupe. Le cerveau de la famille des moutons qui forme le 9e groupe , n'a en réalité que quatre circonvolutions, l'une
crucial (s. c), l'analogue de celui dont j'ai parlé à l'occasion des groupes précédemment étudiés, puis une scissure affectant
a un plus grand nombre chez tous les autres animaux composant le même groupe . La division externe ni devient multiple chez le
pe en plusieurs sous-divisions chez tous les autres individus du même groupe , et notamment chez le mouton, le moufflon de Cors
lle elle s'unit. Une disposition analogue a lieu dans tous les autres groupes dont j'ai précédemment décrit les circonvolutions
l, du bœuf, du chameau, etc., du cerveau des animaux compris dans les groupes précédens, et même de la plupart de ceux qui font
inge et de l'homme. Quant à l'aspect général des circonvolutions du groupe des moutons, il ne ressemble pas à celui des rena
es ont le plus d'analogie, ainsi que nous le verrons plus loin. 10e groupe . Les circonvolutions des cochons ressemblent beau
des cochons ressemblent beaucoup à celles des animaux classés dans le groupe des moutons, elles ont aussi sous quelques rappor
lui assignent une place distincte de celle des autres cerveaux. 11e groupe . Les circonvolutions cérébrales du phoque ont d
lutions cérébrales du phoque ont de l'analogie avec celles des deux groupes précédens, sans toutefois ressembler parfaitement
nt en arrière comme celui de tous les autres cerveaux appartenant aux groupes précédens, et comme ceux du marsouin (pl. xn, fig
On le voit, fig. 2, à l'extrémité antérieure du nerf olfactif.) 12e groupe . Quatre sillons non interrompus partagent d'avant
de mouton, comme celui du loup est un grand cerveau de renard. 13* groupe . A l'exception des circonvolutions sus-orbi-taire
t très analogues à celles de l'homme et à celles de la baleine. 14e groupe . Les singes et surtout les makis n'ont pas les ci
n arrêtée et aussi invariable que celles des autres parties? Chaque groupe de cerveaux a un type qui lui est propre, et ce t
ses, el des variétés plus grandes dans les détails pour les différens groupes auxquels appartiennent le phascolome, le kanguroo
n, le cheval, le bœuf, et tous les autres animaux placés dans le même groupe , est très considérable, si on le compare au dével
ne saurais indiquer les limites de leurs variations. La plupart des groupes ou familles, dont se compose la classe des mammif
nsi que M. Tiedemann en a fait l'observation. Dans les dix premiers groupes ou familles de mammifères les nerfs olfactifs nai
éphant et au singe. Mais si je n'avais pas eu à coordonner les quatre groupes des carnivores dans la série des autres groupes;
coordonner les quatre groupes des carnivores dans la série des autres groupes ; si la facilité de faire comprendre la descriptio
erveau des herbivores, je les aurais placés à part et après le second groupe dans lequel se trouvent la marmotte, le lièvre, l
ouvent la marmotte, le lièvre, le sarigue; j'aurais dans le troisième groupe , placé l'ai, l'unau, le tatou, etc., et les autre
e troisième groupe, placé l'ai, l'unau, le tatou, etc., et les autres groupes seraient venus après celui-là, suivant l'ordre qu
i, on va déjà être frappé d'un premier fait: c'est que la plupart des groupes établis d'après la conformité des circonvolutions
pas, on les mettrait avec raison, au premier rang des animaux. 1er groupe .—Renard, loup, chien, chacal. Fin comme un rena
ille dans la terre, comme l'hyène, pour y chercher des cadavres. 2e groupe .—Lion, tigre royal, jaguar ou tigre d'Amérique, p
leur faut une proie vivante; ils ont moins d'intelligence que ceux du groupe précédent; ils ne vivent pas en troupe, ni en fam
aucoup qu'il a mis à mort, sans aucune provocation de leur part. 3e groupe . — Ours, raton, panda, benturong, coati, blaireau
e, loutre, civette, genette, mangouste. Les animaux compris dans ce groupe ne sont pas exclusivement carnivores, ils ont un
mme un ennemi qui les combat presque toujours avec avantage. Dans les groupes qui vont suivre, plusieurs animaux sont omnivores
nécessaire avec les gradations de l'instinct et de l'intelligence. groupe . — Chauve-souris, roussette. J'ai éprouvé un gr
e comparer son cerveau avec celui de la chauve-souris ordinaire. 5e groupe . — Unaiiy ai. Au même degré que la chauve-souri
l'aï ressemble à celui du castor. Tous les animaux compris dans le groupe suivant, rongeurs, insectivores, édentés ou marsu
ela de commun qu'ils se construisent une habitation souterraine. 6° groupe . — A. Aye-aye, marmotte, loir, le'rot, mulot, éch
sous celui du soin des petits, réunit tous ces animaux dans -un même groupe , plus encore que leurs instincts et leurs faculté
, mais d'apprendre à les connaître telles que Dieu les a faites. 7e groupe . — Solipèdes et ruminant. Des facultés analogue
lipèdes et ruminant. Des facultés analogues réunissent dans un môme groupe les solipèdes et les ruminans. Tous se nourrissen
pour les carnassiers. Comparé aux animaux qui vivent de chasse , le groupe entier des ruminans et des solipèdes leur est inf
r était aussi visible dans les chevaux que dans les cavaliers. » 8e groupe . — Cochon, sanglier, babiroussa, pécari, tapir, h
l'hippopotame el le rhinocéros sont tous tirés du règne végétal. 9e groupe . — Phoque, morse. Les cochons recherchent l'eau
des phoques, elle consiste en coquillages, herbes et poissons. 10e groupe . —Lamantin, dauphin, marsouin, narval, cachalot,
our toujours, de nombreux parages où elles régnaient autrefois. 11e groupe . — Eléphant. L'éléphant est, de tous les animau
sensibles à la musique que ne l'auraient été de vieux éléphans. 12e groupe . — Makis, singes. Nous ne connaissons que très
e eux préfèrent même les végétaux à tout autre aliment. C'est dans le groupe formé par ces trois familles que se trouvent les
érale des circonvolutions divise les cerveaux des mammifères en trois groupes . Dans le premier groupe, se placent les circonvol
divise les cerveaux des mammifères en trois groupes. Dans le premier groupe , se placent les circonvolutions non fiexueuses, c
ux, mais dont la plupart vivent de poissons. Enfin, dans le troisième groupe , viennent se ranger la famille entière des ours
ueuses et des circonvolutions non sinueuses. Les animaux du premier groupe , tous animaux de proie, agresseurs, astucieux , v
ux, et sont rarement en paix les uns avec les autres ; ceux du second groupe vivent en société nombreuse ou au moins en famill
ont un chef auxquels ils obéissent. Les derniers , ceux du troisième groupe , vivent les uns seuls, les autres en société, et
7 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s. Cette confusion regrettable cessera quand on pourra réunir des groupes d'observations complètes avec autopsies montran
aits' sous différents jours et l'on peut y rencontrer au total deux groupes d'interpré- tations. Pour les uns, la folie d
t étaient localisées au groupe- ment cellulaire situé en arrière du groupe X de Onuf et au groupement intermedio-latéral q
ome sacré et se continue dans les deux derniers ainsi qu'à un petit groupe voisin de celui-ci situé entre la corne antérie
o et Parhon concluent que le noyau des muscles du périnée occupe un groupe place en arrière et plus ou moins en dedans du
née occupe un groupe place en arrière et plus ou moins en dedans du groupe X de Onuf et constitué par des cellules intermé
les cellules de ce dernier et les cellules motrices ordinaires. Au groupe intermedio-latéral corres- pondrait le noyau de
des muscles lisses du rectum et peut-être de la vessie. Enfin le groupe plus différencié, placé entre la corne anté- ri
lacé entre la corne anté- rieure et la corne postérieure, à côté du groupe intermedio- latéral, représenterait le centre d
t du pied droits correspondait en effet une disparition complète du groupe postero-laté- ral et post-postero-latéral des c
sacrés. Il wmble donc légitime de localiser dans le premier de ces groupes le centre des muscles de la jambe et dans le se
mier, M. Régis ex- pose sa classification. Il distingue deux grands groupes de psychopathies : les maladies psychiques et l
e que pourra causer la place attribuée à la démence précoce dans le groupe des confusions. Il nous paraît inutile d'insist
st le seul que l'auteur en\ isane actuellement et il considère deux groupes : lésions à type interstitiel et lésions à type
lésions à type interstitiel et lésions à type parenchymateux.Le 1er groupe com- prend 3 degrés : 1° congestion avec vascul
l l'étaL de début soit à la' période adulte ou sénile. Celles du 2° groupe offrent à considérer dans les cel- lules nerveu
en jeu : il y a donc une sorte d'unité physiologique entre ces deux groupes musculaires et leurs nerfs. Mais il y a plus, l
ution musculaire des paralysies cérébrales incomplètes se fait. par groupes musculaires périurlicu- laires individualisés e
f articulo-rnoteur a une origine encépha- lique en relation avec un groupe de neurones des relais médul- laires et avec le
'est donc un trouble acquis de l'innervation volontaire de certains groupes de muscles différant de la myotonie pure, d'aut
tourage, maltraitent souvent leurs enfants. M. Doutrebente. Dans le groupe d'enfants observés par M, llouhinowi tch ne fig
mal 1 connue ; il faut donc savoir se limiter, et se limiter à un groupe pouvant constituer une variété. Nous prendrons
en extension. La contraction toni- que semble atteindre les divers groupes musculaires du membre inférieur avec une intens
aveur de notre manière de voir. C'est dans une autre catégorie du groupe des chorées que doit se ranger notre observatio
e communication, pour les en remer- cier publiquement. Ce dernier groupe de renseignements montre qu'il y avait, à la fi
sitifs dé- montrent nettement. On peut ainsi dire que c'est là le groupe des folies déve- loppées consécutivement au tra
résolue très différemment suivant les auteurs. Le plus important groupe de folies traumatiques com- prend cependant inc
t;central. Par-ci par-là, 2 à 3 cellules ont réagi, surtout dans le groupe externe, moins dans les groupes antéro-exteme e
cellules ont réagi, surtout dans le groupe externe, moins dans les groupes antéro-exteme et central. De concert avec les e
al. De concert avec les expérimentateurs, y a lieu de croire que le groupe antéro-ex- terne est le centre du couturier, et
re que le groupe antéro-ex- terne est le centre du couturier, et le groupe externe proprement dit, celui du triceps fémora
, et le groupe externe proprement dit, celui du triceps fémoral. Le groupe central, bien délimité plus bas, dansleï0 segme
3 segment. b) A mesure qu'on descend des altérations s'accusent. Le groupe antéro-externe (centre du couturier, diminue et
e du couturier, diminue et disparaît ; il est remplacé par un autre groupe en relation avec les muscles de la hanche. Dans
a hanche. Dans la partie inférieure de ce 4c segment lombaire, le groupe postéro-intermédiaire diminue également. Il en es
ans la moelle : un peu plus bas, le centre du triceps a disparu. Le groupe antéro-externe est formée d'au moins 2 groupes se
triceps a disparu. Le groupe antéro-externe est formée d'au moins 2 groupes secon- ilaires, lescellules altérées qui corres
res, lescellules altérées qui correspondent à la jambe forment t un groupe assez étendu, bien circonscrit. Le groupe antér
à la jambe forment t un groupe assez étendu, bien circonscrit. Le groupe antéro-externe représente donc maintenant les m
o-externe représente donc maintenant les muscles de la hanche et le groupe central le sel1li-membranellx,Où cesse le centr
niveau de la partie la plus infé- rieure de ce A' segment. Quant au groupe postérieur, il innerve le Archives, 2° série 19
c racine lombaire. c) Dans le 5e segment lombaire, on retrouve le groupe antéro ex- terne encore décomposàble en groupes
aire, on retrouve le groupe antéro ex- terne encore décomposàble en groupes secondaires; le groupe cen- tral en dedans. Un
upe antéro ex- terne encore décomposàble en groupes secondaires; le groupe cen- tral en dedans. Un peu en arrière apparaît
le groupe cen- tral en dedans. Un peu en arrière apparaît un autre groupe qui se développe et devient assez fort dans le
arrière du centre du jambier antérieur apparaissent d'autres pelils groupes qui sont en relation avec les autres muscles de
seurs des orteils. d) Dans le premier segment sacré, on trouve deux groupes cen- traux, l'un postero-interne pour le semi-t
ux ; l'autre an- téro-externe pour le biceps fémoral. Mais ces deux groupes pour- raient bien innerver chacun une partie du
ps, le semi-tendi. neux naissant alors dans la partie inférieure du groupe central, Une partie des centres des muscles de
des fléchisseurs tihialet péronier : ils doivent occuper les mêmes groupes en arrière du centre des astro-cnémiens, . e)
ns, . e) A la partie inférieure de ce segment apparaît un nouveau groupe de cellules, en arrières de celui des muscles de
e cellules, en arrières de celui des muscles de la jambe ; c'est le groupe post-postéro-laLral d'Onuf ; il est lésé et comma
ppement dansle 2e segment sacré. A ce niveau il ne reste qu'un seul groupe de ceux qui innervent les muscles de la jambe ;
les muscles de la jambe ; c'est le centre des gasll'o- cnémiens. Le groupe antéro-externe a fortement, diminué. Les groupe
l'o- cnémiens. Le groupe antéro-externe a fortement, diminué. Les groupes du biceps et du semi-tendineux ont disparu. On vo
u semi-tendineux ont disparu. On voit, par contre, à l'inlérieur du groupe antéro-externe el, dans le centre des gastru-cn
antéro-externe el, dans le centre des gastru-cnémiens, surgir deux groupes de cellules plus grosses que les cellules motri
s cellules motrices ordinaires, en rapport avec les péro- niers. Le groupe post-poLél'o-lalL'l'a1 esl formé de deux groupes
les péro- niers. Le groupe post-poLél'o-lalL'l'a1 esl formé de deux groupes secondaires, en relations avec les divers muscl
s muscles plantaires. /) Dans le 4° segment sacré, il n'y a plus de groupes susceptibles d'être en rapport avec l'innervati
baire contient peu de cellules en chromatolyse ; elles occupent le groupe externe et postéro-intermédiaire. Chromatolyse et
e externe et postéro-intermédiaire. Chromatolyse et mor- pllisme du groupe postérieur. Atteinte aussi du 5- segment lombai
. Dans les deux observations, vacuolisation dans les cellules des groupes postéro et post-postéro-latéraux. P. KERAVAL..
s groupes postéro et post-postéro-latéraux. P. KERAVAL.. LIX. Des groupes de cellules motrices du renflement cer- vical c
la partie supérieure du 5e segment cervical ; elles portent sur les groupes cellulaires si- tués dans l'angle postéro-exter
ltérations sont plus étendues au niveau du 6e segment; intégrité du groupe latéral ou intermédiaire qui, d'après Marinesco
et sous-épineux, et dans le 6°, au deltoïde. Intégrité également du groupe central, situé en dedans de ce dernier, qui inn
oral. c) A la partie supérieure du 7c segment, dégénérescence du' groupe posléro-latéral qui innerve le triceps. Plus ba
atéral qui innerve le triceps. Plus bas, apparaît, en arrière de ce groupe , un autre groupe composé de deux ou plusieurs p
e le triceps. Plus bas, apparaît, en arrière de ce groupe, un autre groupe composé de deux ou plusieurs pat-Lies,(Iuisci-a
ure gauche est peuplée de cellules dégénérées qui forment deux gros groupes , dans lesquels on distingue de petits îlots plus
ts plus on moins séparés. A. la partie supérieure de ce segment, le groupe iiiilérn-laléral présente un périmètre bien sup
.celui du 324 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES, groupe postérieur ; mais, plus bas, le premier diminue t
roupe postérieur ; mais, plus bas, le premier diminue tandis que le groupe postérieur augmente. Ce qui prouve que le groupe
inue tandis que le groupe postérieur augmente. Ce qui prouve que le groupe an- léro-latéral est le centre des muscles anté
est le centre des muscles antérieurs de l'avant-bras, tandis que le groupe postérieur est celui de la main. e) On retrouve
générées. Plus bas, a la partie supérieure du 20 segment dorsal, le groupe disparaît, et avec lui, les altérations de la cor
y a exagération des réflexes musculaires. As- sez souvent quelques groupes de muscles, exemple : la face, les mains, l'ava
nction active automatique dans l'innervation motrice des différents groupes musculaires. (Revue neurologique, oct. 1905.) E
plutôt avec le travail, et leur pronostic, forment désor- mais un groupe de questions capitales pour l'exercice de la mé
faits, qui justifient l'as- surance de la possibilité de guérir un groupe assez con- sidérable de cas de cette maladie.
nthine ; or, la paraxanthine est le plus toxique des leucomaïnes du groupe de l'acide urique. Les mêmes recherches faites
égori- quement que la migraine et l'épilepsie constituent le même groupe de lésions, savoir l'épilepsie. Voici un cas de
erversion sexuelle avec trouble du domaine mental. C'est le premier groupe de cas qui nous intéresse actuellement. Voici u
s troubles parétiqueset leur accroissement par la fatigue. Quelques groupes musculaires sont plus atteints. L'examen du san
pas deux modes de la dégénérescence voi- sins, qui rentrent dans le groupe des maladies d'origine conceptionnelle ou héréd
bre de ses compagnes, aux heures de récréation, elle forme un petit groupe : c'est pour confec- tionner les effets de leur
gites bacillaires en pla- ques. , Il considère ensuite un premier groupe de lésions avec mani- festations macroscopiques
s : a) tubercules solitaires cle l'écorce ;b) méningites. Un second groupe est formé de lésions qui ne sont ap- préciables
le que les lésions sont plus étendues et moins profondes. Pans le groupe des lésions dégénératives ligure en première li-
mal et il la suite des lésions des nerfs, par Pariant, 207. Des groupes de - motrices du ren- ilement cervical chez l'h
8 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
nacés de recevoir un soufflet. Ici, vous le voyez, c'est surtout le groupe particulier de muscles innervés par la cinquième
Ischias arthritica » de 1' « Ischias nervosa » et que dans ce dernier groupe il y avait lieu de distinguer encore Y « Ischias
névralgie du nerf sciatique présente vis-à-vis des autres espèces du groupe , de spécial, d'original même. C'est à lui qu'on
alitébien significative. Le motvivra donc et continuera à désigner un groupe cohérent de faits nosograpliiquement enchaînés le
l'hystérie et il faut en con- 8 dure, car les observations de ce groupe sont fréquentes, que dans la plupart des cas l'hy
e genre sont graves au premier chef. Je vois dans les observations du groupe que j'ai parcourues, que les sujets ainsi frappés
ossédons une certaine expérience ; d'autant mieux que tous les cas du groupe se rapprochent étroitement les uns des autres aus
n doit s'attendre à rencontrer toujours, alors même qu'il s'agit d'un groupe morbide des plus homogènes. Je vous ferai remar
si sontles choses chez notre malade et chez beaucoup d'autres du même groupe ; il ne faudrait pas croire cependant que cette ap
nt par certaines manœuvres, qui n'appartiennent pas à tous les cas du groupe , car il y a très certainement des paraplégies par
de la chorée si l'on peut ainsi parler. Ce sont les cas du dernier groupe qui devront nous occuper exclusivement, car à mon
t fondé sur l'observation comparative d'un certain nombre de faits du groupe . Or la comparaison de ces faits apprend ce qui su
cter au contraire exclusivement, tantôt l'un tantôt l'autre des trois groupes ou amas cellulaires de la région. On peut même
et dans une des cornes antérieures de substance grise un ou plusieurs groupes de cellules motrices qui ont été détruits. La con
partie ; si un seul membre a été affecté, un ou plusieurs muscles ou groupes de muscles reviendront sur ce membre à l'état nor
plus limitée en même temps et le moins profonde, quelques muscles ou groupes de muscles resteront en général définitivement, à
utefois, il y a le chapitre des exceptions et l'on peut citer dans ce groupe les observations de Kennedy, celle de Frey comme
le clinicien pourrait-il apprendre jamais à s'orienter, au milieu de groupes symptomatiques innombrables n offrant pas de cohé
est permis par l'analyse clinique de faire la part de chacun des deux groupes . Quoi qu'il en soit, Messieurs, il importe de l
suite de fréquenter l'hospice, doivent être naturellement éliminés du groupe . Restent donc quatorze malades dontnous avons à n
nner particulièrement que dans quatre autres cas, sur les quatorze du groupe , bien que l'ataxie fût en général symptomatiqueme
crises laryngées — ce cas ne fait pas bien entendu partie du présent groupe — le traitement a dû être suspendu dès la premièr
heureusement au bout de trois jours. Nous comptons, dans ce second groupe des malades non ataxiques, multiplier à l'avenir
ont été soumis au traitement. Il y a lieu de les diviser en plusieurs groupes . Trente malades sont'venus de une à cinq fois s
dans ces derniers temps ; en tout cas, personne n'ignore que, dans un groupe de faits assez nombreux, la paralysie faciale pér
ui se présentera de nouveau un peu plus loin. IL Le second sujet du groupe est cette femme âgée de 26 ans nommée Duf...che q
s de passer en revue et qui par conséquent à cet égard constituent un groupe homogène. V. Pour établir un contraste avec ces
ailleurs. J'ai reçu ces jours-ci dans le service de la clinique un groupe de cinq cas bien propres à justifier les assertio
tâcheron » pût aller reprendre ses travaux. II. — Le second cas du groupe est relatif à un nommé Greff..., âgé de 31 ans, e
t fait effort pour sortir du lit; vingt-sept grandes salutations, par groupes detrois, en neuf fois 4 février. Mêmes salutati
es les uns aux autres et à faire ressortir comment ils constituent un groupe des plus homogènes, bien que sous le rapport des
de quelques contractions musculaires rapides et localisées à certains groupes de muscles (accès épileptiques incomplets de Herp
ns la science en certain nombre; ils peuvent être ramenés à plusieurs groupes que nous nous proposons de passer en revue succes
ar là, si je ne me trompe, à reconnaître encore une fois que c'est au groupe comitial qu'il appartient. On raconte que John
Pathologie nous fournira aisément des cas beaucoup plus accentués. Le groupe , en particulier, des amnésies Iraumatiques, sur l
; mais cette observation doit, suivant nous, trouver sa place dans le groupe épileptique où nous allons avoir à relever mainte
lité. Elle rentre en effet désormais dans une règle commune à tout un groupe , puisqu'elle a son pendant aussi bien dans l'obse
quelques recherches ad hoc rendraient bientôt, à n'en pas douter, le groupe auquel elle appartient plus compact et plus dense
èse inaugurale intitulée : Les Aliénés voyageurs (1). Dans un premier groupe de cas, les sujets ne sont pas inconscients ; ils
insi qu'il va suivre, à une formule très simple. 1° Dans un premier groupe de cas la crise gastrique conserve tous les carac
minait brusquement « comme par enchantement ». 3° Dans un troisième groupe l'anomalie est, si l'on peut ainsi parler, de sen
ement qu'il devra organiser dans les centres nerveux pourchacunde ces groupes de mouvements spécifiés, systématisés, différenci
énibles, qui font qu'on est obligé d'abandonner la plume. autant de groupes cellulaires distincts, où résideront désormais le
» qui présideront à l'accomplissement de chacun de ces actes. Que ces groupes cellulaires dont les éléments histologiques doive
nre de celui que nous avons sous les yeux, puisqu'on y voit un de ces groupes plus ou moins profondément atteint sans qu'il y a
s 43-44, 1888. 2. Montpellier médical du 17 mars 1889, n° 5. 49 groupes de mouvements complexes associés en vue d'un but
le même aspect; à cet égard il y a à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant de types symptomatiques distin
aits-là constitueront ce que j'appellerai, si vous le voulez bien, le groupe paralytique ou paré tique, suivant le cas (astasi
e mouvements contradictoires. Il n'en sera plus de même dans les deux groupes qui vont suivre. b. Chez une malade à la fois a
ctes de compensation. La malade en question, comme les autres du même groupe , pouvait sans la moindre difficulté sauter à pied
éfinition de l'astasie et l'abasie. Pour distinguer les faits de ce groupe , je proposerai d'adopter la dénomination oVabasie
ibles. S'il est vrai, en effet, comme tout porte à le croire, que les groupes cellulaires divers qui président aux mouvements s
res distincts les uns des autres, on peut concevoir que chacun de ces groupes puisse être plus ou moins gravement intéressé par
ation, de la marche, du saut, etc., comportent chacun deux centres ou groupes cellulaires différenciés dont l'un siège dans l'é
reliés l'un à l'autre, bien entendu, par des fibres commissurales. Le groupe spinal, le plus compliqué des deux, sans aucun do
que fonction; tandis que le rôle relativement beaucoup plus simple du groupe cortical consiste dans l'émission volontaire des
entissement, tantôt enfin l'arrêt définitif des actes exécutés par le groupe spinal correspondant. Dans celui-ci, en d'autres
éphale ou, au contraire, dans la moelle. Je compare quelquefois les groupes cellulaires spinaux relatifs à la marche au saut,
es qui actionnent les flûtes, correspondent des airs différents ; les groupes cérébraux, corticaux, seraient, dans cette compar
s toujours par la guérison dans un court espace de temps. Un second groupe comprend des troubles cérébraux apparaissant tard
ossibilité de nuire aux autres. II j'en viens au second malade du groupe . C'est un pauvre diable, âgé de vingt-quatre ans,
s formes d'atrophie musculaire à évolution progressive. A. Le grand groupe des amyotrophies spinales chroniques progressives
thologique surtout qui a permis d'établir qu'il ne s'agit pas là d'un groupe homogène. En effet les lésions qu'on peut rencont
ui constitue, pour ainsi dire, le caractère anatomique fondamental du groupe . C'est la lésion des cornes antérieures de substa
rices de la région. à). Une première catégorie à distinguer dans ce groupe , comprend les cas qui répondent cliniquement au t
rien d'essentiel à changer, dans tout ce qui précède. B. Un second groupe fondamental doit comprendre les cas dans lesquels
et d'affecter une « marche progressive. Parmi les amyotrophies de ce groupe , je citerai seulement à titre « d'exemple, la mal
et quelques autres ont récemment étendu singulièrement les limites du groupe . Celui-ci, en effet, doit embrasser aujourd'hui,
ent le nom de spinales, convient pour désigner cette classe. A quel groupe , à quel genre, à quelle espèce appartient l'amyot
n myopathologie le Type scapulo-humeral, conduirait à la rattacher au groupe des myopathies primitives, où ce type est en quel
re cités encore comme autant de caractères qui n'appartiennent pas au groupe myopathique. Pour mieux accuser le contraste j'
t pas tout à fait rares et qu'ils constituent déjà en noso-graphie un groupe cohérent, c'est-à-dire dont tous les composants p
s troubles delà sensibilité. Enfin,je ne vois pas qu'il y ait dans ce groupe d'exemples d'une rétrocession, voire même d'un te
es points essentiels, notre cas se confond avec ceux qui composent le groupe dont nous venons d'indiquer les principaux caract
se rattache par contre, étroitement, même par les menus détails, à un groupe de faits, exceptionnels sans doute, mais parfaite
ion de cette observation parce qu'elle est une des plus explicites du groupe et qu'elle signale un grand nombre de faits intér
ce de « l'électricité atmosphérique » ! La troisième observation du groupe est de date toute récente. Elle ne se rapporte pa
, à cet égard, il y a, ajoutais-je, à considérer un certain nombre de groupes répondant à autant de types sympto-matiques, dist
suis entré dans cette même leçon dans quelques détails à propos du groupe de l'abasie trépidante, dont je vous présentais u
us présentais un bel exemple, et j'y faisais allusion, en passant, au groupe de l'abasie choréiforme ; mais j'avais signalé to
vous ai proposé, vous ne l'avez peut-être pas oublié, de désigner ce groupe de faits sous le nom d'abasie paralytique. Ains
sibles. S'il est vrai en effet, comme tout porte à le croire, que les groupes cellulaires divers qui président aux mouvements s
ionnellement, les uns des autres, on peut concevoir que chacun de ces groupes puisse être plus ou moins gravement intéressé par
anique en foyer, intéressant par exemple, dans l'écorce cérébrale, le groupe cellulaire organisé pour mettre en jeu le mécanis
tous, de communiquer enfin la vie clinique et nosographique à tout un groupe de phénomènes qui, jusque-là, étaient restés lett
rande famille neuropathologique, il en est un qui n'appartient pas au groupe des affections organiques, et qui peut, cependant
premier il y a lieu de signaler, dès à présent, comme constituant un groupe à part, les cavités formées en conséquence d'une
ume, cette dernière espèce du cadre nosologique et l'absorber dans le groupe qui va suivre ; mais cela doit être considéré, ju
dans leurs combinaisons diverses, pourront être ramenés à deux grands groupes : 1° Symptômes intrinsèques, c'est-à-dire relevant
é tactile ou du sens musculaire; c. symptômes poliomyéliques médians, groupe jusqu'ici fort problématique encore : divers trou
anale dans la symptomatologie classique de l'hystérie. Un troisième groupe de symptômes répond à une série de lésions cutané
cemment, un cas de ce genre. Il faut vraisemblablement rattacher à ce groupe la scoliose qui, dans la syringomyélie, se montre
du grand sympathique, jouassent ici un certain rôle (3). Les divers groupes symptomatiques qui viennent d'être passés en revu
eim semble vouloir réserver la dénomination de névrose traumatique au groupe plus restreint des cas complexes dans lesquels la
eux sujets que nous rapprocherons l'un de l'autre appartiennent à des groupes nosographiques fort éloignés, puisque, dans l'un
e complication ne se voit pas dans tous les cas appartenant à un môme groupe ; ainsi je pourrais citer au moins un cas de pach
9 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
grande famille morbide n'est point complètement isolée des autres groupes pathologiques; mais ses alliances avec les dé-
étudiées par M. Legrand du Saulle méritent d'être séparées en deux groupes bien distincts. Les unes, qui ne sont qu'un épi
p. 81. 20 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. pathique est constituée par trois groupes alliés, les psychopathies proprement dites, ave
le plus intimement liées, les cri- minels et les géniaux. Ces trois groupes offrent, comme nous l'avons vu, de nombreux poi
es systéma- tiques, ou si elle ne relève pas plus légitimement du groupe des scléroses diffuses, en dépit des apparences.
été remplacés par le tissu conjonctif de formation nouvelle. Les groupes cellulaires de Clarke étaient fort peu développés
ur la moelle de notre malade. Sur les points où les cellules de ces groupes étaient les plus évidentes, nous n'avons noté a
préétablie qui règle la topographie des systèmes médullaires. A ce groupe appartient notre cas, ainsi que celui de M. Bab
out au moins nous croyons- nous en droit d'isoler dès maintenant du groupe , d'une part, les scléroses qui se développent a
nne de l'écorce cérébrale. Les éléments anatomiques constituent des groupes , et se disposent en couches. L'aire motrice rel
sième circonvolution frontale gauche. Seul, Meynert, considérant le groupe des cir- convolutions de l'insula et la troisiè
de M. Charcot et publiée dans la Revue de Médecine de 1882. A ce groupe de faits nous pouvons ajouter le cas cité plus
e, les faits que nous avons re- cueillis peuvent se diviser en deux groupes : un pre- mier, dans lequel les lésions sont ex
lésions intéressent les faisceaux blancs sous-jacents. Au premier groupe appartiennent les cas de Barlow, de Magnus et d
. point, dans .un'instante . ¡ . 1 , Dans leslfaitsÕqu ,deuxième groupe (Féré, Ou)mont, Kirchhoff, obs. personnel le) l
i in , '" 1 - il Laye' famille névropathique, ainsi constituée en groupe naturel, est loin d'être ' isolée ' des autres ?
loin d'être ' isolée ' des autres ? J.ad' l " , 1 J ¡ , f , If'l 1 groupes pathologiques. Elle a des rapports,. fréquents
ns nerveuses ou dans leurs familles... , 1 1 , VIII. a ' " Le groupe psychopathiqueen particulier a été depuis longt
it par une intervention intempestive. Ces derniers font partie du groupe si divers des accidents de la goutte rétro- céd
ataxique signalée par Russell Reynolds ap- partient peut-être à ce groupe défaits*. Parmi les accidents de la goutte rétr
LLET, ancien chef de clinique de la Faculté. L'atrophie de certains groupes musculaires n'est pas un fait absolument rare a
nt à leur siège et à leur étendue. Elles peuvent n'intéresser qu'un groupe musculaire isolé, le sacro-lombaire (Carré), le
DES TROUBLES URINAIRES. 229 Ces troubles peuvent se résumer en deux groupes , rétention et incontinence, la première de beau
ogénique uon dou- teuse. On peut, avec M. Charcot ? distinguer deux groupes de faits : a) La propagation de rinflammation p
paraître une hémianesthésie incomplète (Le Dentu). Dans un autre groupe de faits, l'inflammation des organes urinaires
sisterons principalement sur ces derniers. Frerichs divise en trois groupes les cas soumis à son observa- tion. Le premier
ise en trois groupes les cas soumis à son observa- tion. Le premier groupe comprend les diabétiques qui tout à coup tomben
rvation le coma se produit après un voyage en Orient. Le deuxième groupe de faits diffère du précédent par la pré- sence
neumonie, un phlegmen pourront avoir la même influence. Troisième groupe . Au lieu d'être affaiblis comme les malades des
groupe. Au lieu d'être affaiblis comme les malades des deux autres groupes , ceux du troisième ont conservé leurs forces in
la cause de la mort en pareil cas n'est pas unique. Pour le premier groupe (troubles circulatoires graves, collapsus sans
fibre musculaire est dégénérée ou détruite. Dans les deux autres groupes de faits, l'urine et l'haleine offrant une réac
st-à-dire par une double porte. - Les bains sont répartis en trois, groupes . On en ,trouve dans l'étage des caves 2 seellOl
systématiques dans les faisceaux des pyramides. La multiplicité des groupes de fibres qu'il est permis de distin- guer dans
érale spinale subaiguè de Duchenne, constituent aujourd'hui un seul groupe nosologique, celui des poliomyélites antérieure
la corne antérieure malade; celte disparition porte suitout sur le groupe postérieur latéral et, d'une façon moins pronon
groupe postérieur latéral et, d'une façon moins prononcée, sur les groupes médian et latéral antérieur. Elle est très accu
xposé de la ques- tion. Nous avons classé les professions en quatre groupes princi- paux. Premier groupe. Nous avons d'ab
ns classé les professions en quatre groupes princi- paux. Premier groupe . Nous avons d'abord réuni en un groupe (et c'es
upes princi- paux. Premier groupe. Nous avons d'abord réuni en un groupe (et c'est le moins discutable) les professions
à l'économie et portant leur action fréquemment sur le cerveau. Ce groupe comprend donc les folies toxiques professionnel
sortir les phénomènes de stupeur dus à la nitro-henzine. Deuxième groupe . Si nous avons pu établir ce premier groupe sur
nitro-henzine. Deuxième groupe. Si nous avons pu établir ce premier groupe sur des faits authentiques, nous avons le regre
regret de devoir avertir qu'il n'en est plus de même pour les trois groupes qui suivent, pour la raison que nous avons donn
s donnée, à savoir qu'on ne s'en est pas occupé. Dans un deuxième groupe , nous avons réuni toutes les profes- sions expo
, privation de lumière trop prolongée. On ne peut dire que, dans ce groupe , la profession n'a rien à voir comme cause, car
ute température de la profession qui exige cet élément physique. Ce groupe comprend donc les folies par causes physiques d
nsolation, donnant ainsi à cette expression un sens trop étendu. Ce groupe comprend un nombre de professions plus considérab
a pas recherché l'aliénation mentale dans ces conditions. Troisième groupe . Notre troisième groupe, alors même que les deu
tion mentale dans ces conditions. Troisième groupe. Notre troisième groupe , alors même que les deux premiers groupes eusse
me groupe. Notre troisième groupe, alors même que les deux premiers groupes eussent été mieux étudiés, ne pouvait l'être qu
e nos jours; il ne pouvait fixer l'attention plus tôt. Ce troisième groupe , plus vaste encore que le précédent, mais où l'
ique bien évi- dente, si l'esprit préparé y porte son attention, ce groupe com- prend les professions qui, ne portant pas
éfinitive l'aliénation mentale. Historiquement parlant, pour que ce groupe pût être constitué, il fallait d'abord établir
de l'ouïe, ou d'un autre sens. Pour comprendre l'importance de ce groupe de professions agissant par- le retentissement
ltent de la solidarité organique et de l'étio- logie. ' Quatrième groupe . - A côté de ce troisième groupe prend place lo
et de l'étio- logie. ' Quatrième groupe. - A côté de ce troisième groupe prend place logiquement un quatrième groupe qui
A côté de ce troisième groupe prend place logiquement un quatrième groupe qui pourrait même n'en faire qu'un avec le préc
nan, Falret, Cotard et Garuier. M. RtrTt informe la Société qu'un groupe de médecins aliénistes belges, désireux d'éleve
idiotie comme de la folie. Les jeunes épileptiques désignés dans le groupe 1 a. (affaiblissement intellectuel, idiotie, alié
un certain point à la relation établie par M. Binswanger entre les groupes de petites cellules et les manifestations clini
age, croyons-nous, à établir deux gi oupes de faits : a) un premier groupe comprenant des alcooliques avérés ayant déjà eu
lesquels il s'agit véritablement de réveil du délire ; b) un second groupe comprenant les sujets qui n'ont jamais eu d'acc
z lesquels il y a, à proprement parler, éveil du délire. Ce dernier groupe est le plus important au point de vue clinique,
par un second concours ? Telles sont les questions que le cinquième groupe s'est posées. Deux opinions se sont produites.
édé à la discussion du programme communiqué par M. A. Foville. Le groupe a adopté à l'unanimité la première condition : Nu
s pour chacun de ces concours justifie pleinement nos remarques. Le groupe a ensuite lixé les autres conditions et s'est a
fs de ser- vice à faire des remplacements, les membres du cinquième groupe pensent mettre de la sorte l'Administration en
concours, en vertu de la loi d'août 1851. Les membres du cinquième groupe ont été unamimes à demander que les médecins de
l'Assistance publique, de même, il a semblé à plusieurs membres du groupe que la population con- sidérable des aliénés de
ingénieurs des ponts et chaussées, est combattue par la minorité du groupe . En effet, pour être logique, il faudrait l'éte
polytechnique, comme l'a proposé M. Ball, n'a pas été admis par le groupe . Il serait tout au plus possible si l'on procéd
s accepter équitablement un tel système. Enfin, la minorité du 5° groupe , composée de M. Herold et du rapporteur, a fait
ultés de médecine. Ces arguments n'ont pas convaincu les membres du groupe qui, à la majorité de trois (MM. Bail, Foville,
e consacrer le résultat du concours par la nomination. Enfin, le 5° groupe estime que, dans le but de compléter les avanta
10 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
lisation motrice est seg- mentaire. « Cela veut dire que chacun des groupes cellulaires du renfle- ment cervical en connexi
segment (la main), à l'abducteur du pouce, a un noyau différent du groupe qui représente les noyaux du mé- dian et du cub
et du radial d'autre part. « J'ai conclu de ces recherches que les groupes naturels qui existent dans la moelle épinière n
le, qui possèdent deux noyaux absolument différents constituant des groupes na- turels ne fusionnant pas ensemble » (loc. c
, un groupement A destiné aux muscles de l'épaule, un deuxième B au groupe du bras, un troisième C au groupe de l'avant-br
les de l'épaule, un deuxième B au groupe du bras, un troisième C au groupe de l'avant-bras. Or d'après Marinesco et Parhon
ème C au groupe de l'avant-bras. Or d'après Marinesco et Parhon, le groupe À correspond au grand Pectoral, le groupe B aux
s Marinesco et Parhon, le groupe À correspond au grand Pectoral, le groupe B aux muscles de la région antérieure du bras,
ctoral, le groupe B aux muscles de la région antérieure du bras, le groupe C au nerf circonflexe. Des différences aussi nett
dans les autres segments. Ainsi, dans la figure 39 de De Neef, les groupes A, C, D, correspondent pour De Neef, réciproqueme
hypothénar se font bien. (Planche I.) Ainsi les divers muscles du groupe radiculaire inférieur ont bien conservé leur ac
et développent une force assez grande ; au contraire les muscles du groupe radiculaire supérieurprésentent une parésie extrê
gauche qu'à droite. L'examen électrique a montré que les muscles du groupe radiculaire inférieur ne présen- tent pas d'alt
notables de leurs réactions, mais que les réactions des muscles du groupe radiculaire supérieur sont au contraire altérées
iques s'ajoutent des secousses fibrillaires limitées aux muscles du groupe radiculaire supérieur. Or à cette disposition m
lisation de t'atrophie dans le domaine des racines les plus basses du groupe radiculaire inférieur du membre thoracique droi
ue la paralysie s'était cantonnée dans ces deux cas précités sur le groupe radiculaire supérieur. En 1874, Prévost et David
rophie était due à un foyer de paralysie infantile ayant détruit le groupe externe des cellules motrices du 8e segment cervi
ine cervicale droite. Mais le cas est d'interprétation délicate. Le groupe cellulaire externe a été seul lésé ; le malade
ut-on dès lors croire que si la lésion avait atteint éga- lement le groupe antéro-interne du huitième segment médullaire cer
ce hypothénar prenait sa trophicilé comme l'éminence thénar dans le groupe cellulaire externe, et d'autre part nous savonsqu
égrité de l'éminence hypothénar tient par suite, non l'intégrité du groupe cellu- laire antéro-interne du 8° segment médul
ro-interne du 8° segment médullaire cervical, mais à l'intégrité du groupe cellulaire externe du premier segment dorsal, con
UES 13 ce fait essentiel, que la paralysie peut se localiser sur un groupe muscu- laire, le plus souvent le groupe scapulo
ie peut se localiser sur un groupe muscu- laire, le plus souvent le groupe scapulo-huméral, parfois même sur un seul muscl
laire de l'atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas. Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans cette affectio
dant il faut reconnaître que si l'atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et revêt ainsi une topographie radicul
ares sont au contraire les cas typiques uniquement localisés sur un groupe ntdi- culaire du plexus brachial et tout partic
pe ntdi- culaire du plexus brachial et tout particulièrement sur le groupe radicu- laire inférieur. Déjà en effet, en 18
es du pied. » Toutes ces raisons, localisation de l'atrophie sur le groupe des muscles innervés par la partie inférieure d
bre, on est frappé par le contraste qui existe entre les muscles du groupe radiculaire supérieur du plexus brachial et ceux
scles du groupe radiculaire supérieur du plexus brachial et ceux du groupe radiculaire inférieur. En effet, si le deltoïde
é électrique. Ces muscles ne font pas partie à proprement parler du groupe Duchenne Erb, mais ils ont une innervation radi
une innervation radiculaire très voisine de celle des muscles de ce groupe , et l'un de nous a pu les voir plusieurs fois a
brachial, toutefois à un degré moindre que les autres muscles de ce groupe . Dans les autres muscles du groupe radiculaire
e que les autres muscles de ce groupe. Dans les autres muscles du groupe radiculaire inférieur, les altérations de l'exc
re que, d'une manière générale, est atrophié chez notre ma- lade le groupe musculaire innervé par les racines inférieures du
z rapidement sur certains muscles qui sont particulièrement ceux du groupe radiculaire supérieur' du plexus brachial (deltoï
restent que peu affaiblis, au contraire tous les autres muscles du groupe radiculaire inférieur restent très paralysés, not
Nous avons pu suivre cet enfant pendant trois mois; les muscles du groupe radiculaire supérieur, les radiaux et le triceps
é et énergie. En résumé, l'atrophie prédomine à la racine et sur le groupe des extenseurs d'un segment sur l'autre. Les
elles que la main en griffe, sont dues à l'action prédomi- nante du groupe musculaire antagoniste des muscles atrophiés. « E
ance à être accompagnée dans quelques cas de l'atrophie de certains groupes musculaires. On comprend que la connaissance du
ans une très petite quantité. Les fibres atrophiques sont tantôt en groupes , tantôt isolées parmi les autres. Le rapport mu
ec la maladie de Thomsen. La myotonie congénitale, appartenant au groupe des maladies qui se manifestent par des trouble
tête du noyau caudé. La cérébrale moyenne ou sylvienne donne deux groupes artériels : les Striées internes qui traversent
le noyau caudé et les striées externes elles-mêmes divisées en deux groupes . Le groupe antérieur ou lenticulo-strié travers
et les striées externes elles-mêmes divisées en deux groupes. Le groupe antérieur ou lenticulo-strié traverse le segment
e la capsule interne pour se terminer dans le noyau caudé : dans ce groupe se trouve la branche connue depuis Charcot sous
puis Charcot sous le nom d'artère de l'hémorragie céré- brale. Le groupe postérieur ou lenticulo-optique répond au segment
cavités. Ils ont subdivisé l'étude de ces dernières encore en trois groupes ; mais ce qui fait la caractéristique de ces gr
ncore en trois groupes ; mais ce qui fait la caractéristique de ces groupes de petites cavités c'est qu'elles sont toujours
lée l'attitude du segment. De même que les associations de certains groupes de muscles habituellement réunis dans le même o
essantes, d'un côté par l'envahissement assez rarement rencontré du groupe radiculaire inférieur et, d'un autre côté, par
é, par la localisation très pure (cas de Henri Seg... surtout) à ce groupe radiculaire inférieur. A ce propos nous disions
laire de l'atrophie est facile à constater dans beaucoup de cas. Le groupe Duchenne-Erb est parfois lésé dans cette affect
dant il faut reconnaître que si l'atrophie prédomine souvent sur un groupe musculaire et revêt ainsi une topographie radic
ares sont au contraire les cas typiques uniquement localisés sur un groupe radiculaire du plexus brachial et tout particul
oupe radiculaire du plexus brachial et tout particulièrement sur le groupe radiculaire inférieur. » N'ayant pas eu l'occas
en groupements correspondant à des muscles déterminés ou à certains groupes musculaires. Dans ce sens la méthode expériment
bois repré- sentant, sur un péristyle à colonnes corynthiennes, un groupe de docteurs qui discutent gravement sur le cont
rte grand'ouverte, on voit, dans la lumière d'une seconde pièce, un groupe significatif. La jeune fille timide, craintive, e
i de se raidir du côté gauche. Pour vous faire comprendre dans quel groupe de phénomènes nous sommes disposés à ranger cet
presque indivise et se sépare, seulement à son entrée, en quelques groupes . Cette particularité est intéressante à noter,
mement fin. Sur certaines coupes les fibres sont réunies par petits groupes séparés les uns de autres par un tissu d'appare
utres par un tissu d'apparence amorphe, coloré en rose; dans chaque groupe , à côté d'une ou deux fibres d'aspect normal on
former une charpente conjonctive qui délimite les fibres par petits groupes , ou même les engaine individuelle- ment. En un
catatonisme (Morselli) se résout dans un spasme tonique de certains groupes muscu- laires déterminés.qui donnent au corps d
u négativisme : la catalepsie, l'écholalie, l'échopraxie. Ce second groupe de symptômes n'a pas l'impor- tance du négativi
e un trait d'union entre les symptômes du négativisme, et un second groupe de phénomènes constitué par la catalepsie, l'éc
ognomoniques de la variété dite catatonique. L'affinité de ces deux groupes symptomatiques en apparence si diffé- rents se
ettent de com- prendre l'existence possible des symptômes du second groupe (catalepsie, écholalie, échopraxie). Eux aussi,
de leur activité apparente ; et la persistance possible d'un petit groupe de représentations déterminées dans le cercle t
s suscepti- bles ? Ces exostoses multiples rentrent-elles dans le groupe des exostoses dites ostéogéniques ? Leur nombre
s souvent sur un sujet passionnel. C'est seulement vers 1885, qu'un groupe de lettrés manifesta son in- tention de donner
gmate (['hystérie. Il n'existe pas non plus de paralysie vraie d'un groupe muscu- laire, rendant compte de ces déviations.
que telle ou telle déviation correspond à la raideur de tel ou tel groupe muscu- laire. Faisons seulement remarquer que c
tant de noter la coexistence du torticolis spasmodique dans ce même groupe héréditaire et familial. Il a été, en effet, renc
écriture et les mouve- ments de la tète chez nos malades et dans le groupe Friedreich-hérédo- ataxie ; nous n'y reviendron
de montrer les liens de parenté qui unissent nos deux malades à un groupe d'affections « hérédo-ataxie, maladie de Friedrei
es admettre, si les deux ontmêmepatho- génie et font partie du même groupe héréditaire et familial. Quoi qu'il en soit, no
st-ce pas aussi bien la définition du spasme fonctionnel. Dans le groupe Friedreich-hérédo-ataxie et dans le nôtre, ce son
les de la parole, le nystagmus, semblables on tous points à ceux du groupe voisin. Dans les deux cas encore, l'émotion a l
e, la crampe des écrivains, les spasmes dits fonc- tionnels dans le groupe des affections héréditaires, et à les rattacher,
onèvre). Les tubes nerveux se trou- vent alors dissociés par petits groupes ou même circonscrits individuel- lement par de
atiques, étant donné que dans un cas la lésion intéresse un certain groupe de centres spinaux (affection nucléaire), et da
u médian, qui est situé en arrière (en haut) et en dedans. Ces deux groupes cellulaires, noyau externe et noyau médian, sont
11 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
s et terminés par des orteils. 18 HENRY MEUNIER Dans un premier groupe nous rangerons les sujets chez lesquels la dif-
oindre vestige de membre ; ce seront les Amèles parfaits. Le second groupe com- prendra les Amèles imparfaits, monstres pr
patient dont le visage est contorsionné par la douleur. Entre ce groupe et le chirurgien, au second plan, un' vieillard e
vieille femme malade assise dans une brouette. En même temps que ce groupe , pénètre dans la salle la Mort, sous la forme d
rme d'un squelette qui sonne de la trompette. En haut, au-dessus du groupe principal on voit voler un hibou (2). » · Vrais
qu'il est de règle, dans les contractures hystériques, de voir les groupes musculaires antagonistes également pris. Il nou
la galerie Schoenborn, contient un quatrième personnage, à côté du groupe principal, et le laboratoire du fond n'y est pa
anquait une vieille femme. Nous la retrouvons en effet, derrière le groupe principal, plus affreuse que jamais, louchant,
harpe. On ne chôme pas dans cette officine, car il gauche, entre un groupe de singes soutenant un autre blessé. A droite
l'aide de l'appareil que nous venons de décrire, ont porté sur deux groupes de sujets. Nous avons d'abord expérimenté sur 1
la topographie des lésions (Fig. 2). Les cor- nes postérieures, les groupes cellulaires postéro-internes des cornes anté- r
ection occupait un niveau de plus en plus élevé. A. Dans un premier groupe , je vais ranger les cas d'hémisection de la SUR
e. Déplus, le sujet a présenté des arthropathies. B. Dans un second groupe , nous allons rencontrer des faits qui nous fe-
s membres supérieurs à ces mê- mes troubles. Les faits du précédent groupe nous avaient fait remonter jusqu'à un niveau co
placent à la limite commune de noire deuxième el de notre troisième groupes . Elles montrent qu'une lésion traumatique qui i
. Circonstance à noter : au membre supérieur gauche, les muscles du groupe Erú (deltoïde, biceps, brachial interne, long sup
impossible. L'lyperesthésie persistait à droite. C. Un troisième groupe comprend les cas, où, du fait du niveau auquel
it eu delà rétention d'urine. D. Enfin dans un quatrième el dernier groupe , je vais ranger les faits où l'hémisection médu
ct·ité,1867. 190 EMILE BOIX On sait quel chaos a longtemps été le groupe du rhumatisme chronique et quels types disparat
coup de vent » la moindre explication physiologique. En effet aucun groupe musculaire ne saurait, par sa contraction, déterm
ital. Celle-ci serait-elle l'effet de la paralysie de quelque autre groupe ? Nous croyons, mon ami le D'Il. Meige et moi,
surtout les cellules de la base de la corne antérieure et celles du groupe moyen qui seront tout d'abord endommagées tandi
oyen qui seront tout d'abord endommagées tandis que les cellules du groupe anléro-externe et antéro-interne resteront plus o
des muscles extenseurs du poignet ont leur siège principal dans le groupe antéro-exlerne de la corne antérieure. XI. Il e
de Ziemssen (2) : « la spontanéité du passage des contractions d'un groupe musculaire il un autre, l'inépuisable activité de
s contrac- tions anormales et involontaires, c'est d'abord clans le groupe des chorées que se placera le mouvement patholo
ce qui le différencie du réflexe pur). Mais il y a plusieurs grands groupes de centres où s'élabo- rent les actes complexes
la marche chez le canard décapité, etc. On conçoit dont un premier groupe de tics non mentaux c'est-à-dire de tics reprod
oduisant des mouvements associés d'origine bulbomédullaire. Mais ce groupe s'étendra beaucoup plus si l'on tient compte de n
type de ce spasme fonctionnel et Duchenne (1) a étudié avec soin ce groupe sous le nom de « spasme et impotence musculaire
ros chapitre bien établi, bien connu. Notre cas rentre-t-il dans ce groupe ? Evidemment non. Le caractère capital de ce sp
fonction et la reproduisant à contre-temps. C'est dans ce second groupe que se .classera hotre sujet et c'est pour cela
le nom de torticolis mental me paraissent t rentrer dans ce dernier groupe de tics polygonaux. Tout en soulignant devant v
survivent vous paraîtraient, à la lecture de ces auteurs, former un groupe par trop com- préhensif et par trop arbitrairem
infantilisme de Lasègue, de Lorain et de Faneau de la Cour forme un groupe beaucoup moins homogène. Il se compose de tous le
Voici d'abord nos observations, que nous pouvons diviser en trois groupes : I. Plexus cervical superficiel ; II. Trijum
elle revêt un aspect craquelé, parqueté, et est constituée par des groupes confluents de verrucosités assez dures, rugueus
est très facilement enlevée. - Elle est la plus volumineuse d'un groupe de petits angiomes veineux disséminés sur la mo
giomes veineux disséminés sur la moitié de la lèvre supérieure ; ce groupe fait lui-même partie' d'un naevus veineux (Pl.
linéaires à direction lé- gèrement divergente. 3° Enfin un petit groupe isolé légèrement supérieur. Chez cet homme le
bran- che postérieure récurrente du 7e nerf intercostal droit. Ce groupe d'observations montre que les types divers de næv
thies du tabes, avec leurs ostéophytes, dépendent de l'atrophie du groupe des grosses cellules antérieures de la moelle.
marca- tion, mais au contraire bien dans la zone d'innervation d'un groupe ner- veux anatomiquement déterminé. A notre pre
étersen, IVIÜIIer, Galewsky. Il y a donc lieu de reconnaître deux groupes de faits : 1° Ceux dans lesquels le mcvus occup
parler. Considérés en bloc, nos 20 malades ont été divisés en trois groupes . Dans le premier, comprenant 10 sujets, l'atrop
ie musculaire n'existait pas. Examinons les 10 malades du premier groupe , dont les observations suivent. 10r GROUPE. A
10 malades du premier groupe, dont les observations suivent. 10r GROUPE . Arthrites avec AMYOTHOPUIE LIMITÉES au membre
é musculaire sans atrophie vraie. Chez sept des sujets du premier groupe , l'atrophie portant sur le mem- bre supérieur e
ncore plus évidente par les trois dernières observations du premier groupe . En effet, dans l'observation VIII, il existe u
trophie muscu- laire généralisée. Chez les dix malades du premier groupe , l'atrophie est restée limitée au membre supéri
e impérieusement, c'est la suivante : Les COLLATÉRALES DU PREMIER GROUPE , les COLLATÉRALES SENSITIVES, QUI SUBISSENT la
devant vous, je n'ai fait représenter que des collatérales du premier groupe , des collatérales croisées, qui se rendent à tr
ent de contractions fibrillaires se produisant* au niveau de divers groupes musculaires et en traînant des mouvements particu
ETTE, Professeur agrégé, médecin des hôpitaux. (Suite et fin 2- GROUPE . - Arthrites ET amyotrophie DES membres supérieur
T DES DOULEURS DES HÉMIPLÉGIQUES 343 Chez les 7 malades du deuxième groupe , pour des causes diverses, contracture très mar
servations on voit que tous présentent, comme les sujets du premier groupe , de l'amyotrophie du membre supérieur. Mais à l
inférieur sont à leur tour le siège d'arthrite et d'ankylose. 3e GROUPE . Mobilisation DU MEMBRE paralysé. Absence d'arthr
trophie. Le ma- lade marche. Restent les trois malades du dernier groupe . Chez ceux-ci, peu ou pas d'amyotrophie. L'anal
partenant, Kowalioff avait t creusé des tombes où l'on retrouva des groupes de cadavres. Les fanatiques, au dire de l'apôtr
ontrer que c'est à tort. Charcot a bien soin de mettre dans un seul groupe les arthropathies spinales et celles des hémipl
baiguë (se terminant par arthrite chronique sans ankylose). Dans ce groupe nous rangeons les observations suivantes : a) C
vait les en distinguer, elles n'en ren- treraient pas moins dans le groupe des troubles trophiques articulaires d'apparence
lent seuls en cause ». Mais notre cas ne paraît pas rentrer dans ce groupe des hypertrophies partielles éléphantiasiques ;
s le nom de torticolis mental me paraissent rentrer dans ce dernier groupe de tics polygonaux. » Nous irons beaucoup plus lo
gurés sont des portraits frappants de Lépreux. Ceux-ci forment un groupe important, presque au milieu de la compo- sitio
nt pour visage que quatre trous rouges et béants, pauvres Fig. 2. Groupe de Lépreux dans la fresque du Triomphe de la Mort
ription de cette vaste composition, nous retien- drons seulement le groupe de droite où Jésus, entouré d'une foule de pers
s peintures représentant les Bonnes OEuvres des Saints, ou dans les groupes d'infirmes qui viennent en pèlerinage auprès de
rme d'une colombe, également entourés d'anges. En bas, à gauche, un groupe de Saintes : Sainte Catherine, Sainte Brigitte, S
rsule, etc. En bas, l'Agneau mystique, le flanc percé. A droite, un groupe de saints : Saint Jean l'Évangéliste, Saint Pie
ême disproportion existe. La sainte est beaucoup plus grande que le groupe des personnages situé à droite et en somme assez
enoux. avec sa femme, suivis de plusieurs personnages. A gauche, le groupe de malades. Au premier plan, une femme à geno
l diagnostic ne saurait être qu'une simple hypothèse. Non loin du groupe formé par Saint Martin et cet infirme, un autre
12 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ousses dans tous les muscles du corps, tantôt localisées à certains groupes , tantôtgéneratisées; en même tempsT... souffrai
leur dissemblance apparente, il est possible de réunir en quelques groupes les cas divers que nous passerons en revue. N
ale peut être, en effet, gé- nérale ou partielle. Dans le premier groupe rentrent les hypersécrétions sudorales que l'on
t alors des hypéridroses. Nous ne nous en occuperons pas. Dans ce groupe , on doit aussi faire rentrer les sueurs émotive
la sueur sur d'autres parties du corps et rentrant alors dans le groupe des hypéridroses. DES ÉPHIDROSES DE LA FACE. 55
levées. Elles sont suscepti- bles d'être ramenées à l'un des quatre groupes que voici : ' A. Dans une première classe, il
es éphidroses peuvent rentrer, pensons-nous, dans l'un des quatre groupes suivants : . 1° Altération matérielle du systèm
ions dans plusieurs cas; il estime qu'ils peuvent se diviser en dix groupes principaux : Premier groupe : Idées de persécut
ime qu'ils peuvent se diviser en dix groupes principaux : Premier groupe : Idées de persécutions traumatiques ou chirurgic
upe : Idées de persécutions traumatiques ou chirurgicales. Deuxième groupe : Idées de persécutions survenant pendant et SO
nt et SOCIÉTÉS savantes. 113 après les maladies aiguës. Troisième groupe : Idées de persé- cutions empruntées à des rêve
groupe : Idées de persé- cutions empruntées à des rêves. Quatrième groupe : Idées de persécutions dont les manifestations
ns dont les manifestations délirantes simulent l'ivresse. Cinquième groupe : Idées de persécutions chez les pléthoriques e
z les pléthoriques et les congestifs à tempérament sanguin. Sixième groupe : Idées de persécutions chez les arthritiques m
tions chez les arthritiques mélancoliques à forme torpide. Septième groupe : Idées de persécutions simples dans le délire
utions simples dans le délire des persécutions ordinaires. Huitième groupe : Idées de persécutions avec hallucinations et
ons avec hallucinations et troubles de la sensibilité générale. (Ce groupe comprend trois variétés : A, les persécutés sen
; B, les persécutés psychiques; C, les persécutés mixtes.) Neuvième groupe : Idées de persécutions dans la mélancolie anxi
rsécutions dans la mélancolie anxieuse (auto-persécuteurs). Dixième groupe : Idées de persé- cutions aboutissant à la méga
et qui, sous leur apparente diversité, lui semblent constituer un groupe unique et avoir une signification pathologique bi
a par une évolution assez rapide (deux à trois ans). Un troisième groupe comprend les faits dans lesquels la lésion attein
e; deux ans au maximum ; émaciation extrêmement rapide. Quatrième groupe : les faisceaux pyramidaux sont lésés, mais non d
s non dans tous les systèmes de fibres qu'ils renferment. Cinquième groupe : lé- sions en plaques des faisceaux pyramidaux
ème groupe : lé- sions en plaques des faisceaux pyramidaux. Sixième groupe : lésion des tractus latéraux cérébelleux, des
leux, des faisceaux pyramidaux, des cordons postérieurs. - Septième groupe : lésion combinée des faisceaux pyramidaux et d
des mêmes réflexes à gauche, réaction dégénérative sur plusieurs groupes de muscles qui présentent en même temps de l'hype
uence de l'électrisation galvanique de la colonne vertébrale et des groupes musculaires traités indivi- duellement, amélior
ar des cas intermé- diaires qui font la transition. Dans un premier groupe , la paralysie est avec flaccidité, dans l'autre
es chorégraphes, danseuses de ballet (Schultze). Toutes occupent un groupe de muscles déterminé et ne se révèlent qu'à l'o
ccasion de l'exer- cice de la fonction à l'exécution de laquelle ce groupe musculaire est préposé. DE l'astasie ET DE l'
est permis d'admettre, pensons-nous, qu'il existe dans l'écorcedes groupes cellulaires différenciés qui, par des commissur
qui, par des commissures spéciales, entrent en relation avec des groupes cellulaires correspondants dans les centres spé
s groupes cellulaires correspondants dans les centres spéciaux. Des groupes corticaux part le stimu- lus, à l'occasion duqu
la disposition variable correspond à des airs différents. Dans le groupe cérébral cortical serait le ressort qu'il suffi
nçoit qu'au lieu de commander soit la station, soit la marche, le groupe cérébral puisse mettre en jeu les groupes cel-
tation, soit la marche, le groupe cérébral puisse mettre en jeu les groupes cel- lulaires spinaux où réside le mécanisme de
sommaire, il n'a besoin que de peu de fibres pour mettre en jeu le groupe cellulaire où réside le mécanisme d'exécution.
res pour transmettre son action isolément à chacune des cellules du groupe spi- nal, que, par suite, le centre des mouveme
ellules corticales et spinales sont en jeu; mais, tout d'abord, les groupes corticaux prédominent. Toutes les forces de l'a
ce fait psychique suffit pour ac- tionner. On peut dire que si les groupes corticaux ont la mémoire du genre d'impulsion q
i donc, en résumé, deux ordres de faits cli- niques distincts, deux groupes d'éphidroses faciales : 1° Ceux dans lesquels,
l'on cons- tate. Les filets irido-dilatateurs naissent par trois groupes espacés entre la sixième paire cervicale et la
pacés entre la sixième paire cervicale et la cinquième dorsale'. Le groupe supérieur qui provient des 6% 7°, 8° paires cer
79. z'18 8 CLINIQUE NERVEUSE. fibres homologues des deux derniers groupes , remon- tent le long du tronc du sympathique ce
ire que l'aspect de la mélancolie n'en parait pas changé. Un second groupe comprendrait les cas dans lesquels, après un dé
um dont il accepte les idées. Spitzlca2 classe la Catatonie dans le groupe des vésanies pures, n'étant pas la manifestatio
e semble complète (Obs. de Gairdner), il existe toujours un certain groupe musculaire où se localise très spécialement la
, comme toujours, au point de vue clinique, nous distinguerons deux groupes de faits : ceux dans lesquels l'attaque de somm
rt intéressants, car ils semblent former tout naturellement un même groupe dans lequel le diagnostic a besoin de se faire
précités, ce sont surtout les grandes névroses et les affections du groupe psychopathique DE LA PARALYSIE FACIALE. 363 q
sa classification des paralysies faciales qu'il a divisées en trois groupes : dans le premier groupe DE LA PARALYSIE FACIAL
lysies faciales qu'il a divisées en trois groupes : dans le premier groupe DE LA PARALYSIE FACIALE. -375 (forme légère),
habituellement qu'un délai de vingt à vingt-cinq jours. Au deuxième groupe se rat- tachent les hémiplégies de la face d'in
a maladie guérit dans l'espace de un à deux mois. Dans le troisième groupe vien- nent se ranger les paralysies à forme gra
qu'il s'opérera dans l'avenir et qu'on arrivera à distraire de ce groupe de paralysies faciales, réputées périphéri- que
argée chez un délirant chronique ne saurait le faire entrer dans le groupe des héréditaires dégénérés. Ce qui caractérise
t précisé- ment parce que la clinique nous permet de reconnaître un groupe déterminé de malades qui par des étapes success
ou moins long, s'ache- mineront vers la démence. Faut-il laisser ce groupe de malades à physionomie si personnelle à march
exus symplomatique désigné par Esquirol sons le nom de lypémanie un groupe de malades présentant un délire partiel dont il
soit compatible avec lui, p. 140. » En admettant ainsi dans le même groupe des cas de délire de persécution sans hallucina
chiffre énorme prouve éloquemment que Lasègue comprenait dans ce groupe un grand nombre des cas qui ne lui appartiennent
Teulat, le persécuteur de la princesse de B..., il pressentait un groupe spécial de persécutés persécuteurs distinct du dé
pas en avant en séparant des lypémaniaques d'Esquirol un pre- mier groupe de malades; mais celte espèce pathologique basée
curabilité. De là la nécessite, pour la détermination de ce nouveau groupe , de faire intervenir non seulement le caractère
us trouvons encore en présence des mêmes difficultés, nous avons un groupe clinique, la mégalomanie, qui réunit des sujets
n aussi mon avis et c'est pour cela que je crois devoir désigner ce groupe bien limité de malades sous le nom de délire ch
étendue des idées morbides de persécution qu'il a classées en neuf groupes ; mais le dernier groupe seulement « persécutés qu
es de persécution qu'il a classées en neuf groupes; mais le dernier groupe seulement « persécutés qui aboutissent à la még
nan. C'est précisément ce que nous avons voulu faire en séparant du groupe général des persécutés un certain type à marche
grand nombre de tubes nerveux fins en faisceaux isolés ou en petits groupes ; 3° les racines de la moelle dorsale contiennen
Séance du 14 mars 1887. PRÉSIDENCE DE M. WESTPHAL. M. WESTPHAL. Des groupes de cellules nerveuses ganglionnaires au niveau
13 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
averse une rue. Tout d'un coup, à 20 mètres en avant, j'aperçois un groupe de per- sonnes arrêtées qui regardent passer la
que, l'auteur divise, pour son étude, les maladies mentales en cinq groupes : étals de dépression mentale états d'excitatio
THOLOGIE MENTALE. Les chicaniers non aliénés se décomposent en deux groupes . Les uns sont par nature querelleurs, amateurs
a question. Tous les cas de folie morale se peuvent ramener à trois groupes : : - 1° celui, le plus étendu, de la débilité
moraux qui sont des dégénérés, ou plutôt, puisque les deux premiers groupes sont également formés de dégénérés, de démené r
ent formés de dégénérés, de démené rés sans les idées délirantes du groupe numéro 2, et sans la débilité mentale du groupe
idées délirantes du groupe numéro 2, et sans la débilité mentale du groupe 1. En réalité les groupes 1 et 2 sont des alién
numéro 2, et sans la débilité mentale du groupe 1. En réalité les groupes 1 et 2 sont des aliénés même quand la débilité
énés même quand la débilité mentale est physiologique. Le troisième groupe se compose d'individus sur la limite de l'alién
fréquemment épileptoïde, affectant moins régu- lièrement les mêmes groupes musculaires et dont la terminaison est précédée
r la cuisse et que l'on veuille fléchir la cuisse sur le bassin, ce groupe de muscles sera nécessairement tiraillé puisque
rtiers détachés afin de sépa- rer complètement entre eux les divers groupes de malades si deux fois par semaine durant plus
rée des sections. Mais en dehors des alités,il restera encore trois groupes de malades que, de toute néces- sité on devra v
dont nous avons parlé, qu'on se souvienne au moins qu'il y a trois groupes d'aliénés qui sont dans l'impossibilité de s'y
. Mais, il spécifie que c'est à titre exceptionnel; or, les trois groupes d'aliénés, dont nous venons de parler forment enc
e réunir en faisceaux qui passent en grossissant toujours entre les groupes des grandes cellules pyramidales. Outre les pro
olée, soit centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveu- ses, centrales ou périphéri
péciale, ils ne sauraient être qu'indirectement en rapport avec des groupes ou des territoires de cellules cen- trales extr
e, est au contraire, dans la plupart des cas, en connexion avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellul
con- jecturer decerlain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on n'observe les ra
ubstance grise et blanche du cerveau ne peut être comparée qu'il un groupe social d'êtres vivants animés, écrit Théodore M
ces- sité pour expliquer les rapports fonctionnels entre les divers groupes de cellules et entre les diverses provinces du
llulaires correspondantes : elles contractent des rapports avec des groupes étendus de cellules nerveuses; inversement, tou
l, à rendre plus étendus et plus compliqués les rapports des divers groupes de cellules nerveuses et ceux des différentes p
ue est divisée par des lames et lamelles.médul- laires en plusieurs groupes nucléaires : 1° groupe antérieur (tubercule ant
ames et lamelles.médul- laires en plusieurs groupes nucléaires : 1° groupe antérieur (tubercule antérieur chez l'homme), q
omme), qu'on peut diviser en ante. a, anter. b. et an tel'. c. ; 2° groupe latéral, subdivisé en luter, a. et laie ? ,. b.
c. ; 2° groupe latéral, subdivisé en luter, a. et laie ? ,. b. ; 3° groupe médian, avec ses subdivisions méd. a, méd. b et
oupe médian, avec ses subdivisions méd. a, méd. b et iîiéd. c. ; 4° groupe inférieur (ventral) composé de vcrttn. a, vent
(ventral) composé de vcrttn. a, vent ? b. et vent ? antérieur ; i;° groupe postérieur, et G° la couche grillagée avec ses
degrés. « Il désigne, sous le nom de dépendances du cerveau, les groupes de neurones qui, tout en étant situés en dehors d
ouvement, par l'intermé- diaire d'une cellule intercalaire, tout un groupe de cellules motrices associées dans leur action
détourner à volonté dans des conducteurs dif- férents allant à des groupes musculaires analogues, mais étéro- nymes. Ceci
pparaissent avec la plus grande clarté. Elles sont divisées en deux groupes distincts : celui des motrices de l'articulatio
llées avec une vivacité suffisante, il pourra se produire autant de groupes d'hallucina- tions verbales qu'il y en a d'imag
réconisés contre l'épilepsie dans ces dernières années forment deux groupes : 1° opérations ayant pour but de supprimer les
Phelps serait-il d'avis d'étendre le nom de paralysie .générale au groupe des symptômes les plus communs qui corres- pond
ysie, assez légère, est géné- rale et non limitée à un ou plusieurs groupes musculaires. Le réflexe du genou d'ailleurs est
alysies permanentes des muscles moteurs des paupières. Ces quatre groupes de symptômes relevaient tous de la lésion d'aut
uses. » Non seu- lement les associations déjà créées entre certains groupes cellulaires 88 REVUE CRITIQUE. pourraient se
al explique ainsi la production des mouvements limités à cer- tains groupes de muscles que provoque l'excitation mécanique, c
rand de cellules pyrami- dales de l'écorce. Ces cellules forment un groupe physiologique qui correspond à une sensation ou
que que chaque cellule d'un organe des sens prend part, avec chaque groupe correspondant, subor- donné, de cellules pyrami
e ordre de sensibilité, par le nombre et la position respective des groupes de pyramides corticales mises en vibration. 1
iphérique des sens est représenté non par une pyramide, mais par un groupe de cellules pyramidales. Chaque groupe de cellu
ar une pyramide, mais par un groupe de cellules pyramidales. Chaque groupe de cellules pyramidales relié anato- miquement
llule lui communique à certains moments. Dans chaque perception les groupes des pyramides sont en activité. Le souvenir, ré
conditions, de la même perception, résulte de ce que, dans le même groupe de pyramides, s'accumulent les efforts successi
s établissons entre deux représentations peut dépendre du nombre de groupes de pyra- mides qui interviennent en commun dans
nomène psychologique. La dissemblance dépendrait du petit nombre de groupes de cellules pyramidales communs à deux repré- s
sition, enfin, résulterait de l'absence complète de coïncidence des groupes pyramidaux actifs dans la perception. Cajal ne
res calleuses des hémisphères cérébraux : grâce à ces cellules, les groupes des pyramides des centres visuels, par exemple, r
ulus de la volonté (volunt(id) qui. étendant ainsi ce stimulus à un groupe particulier de cellules de névroglie, dirige le
es cellules des autres segments préposées au même muscle ou au même groupe musculaire. Du côté de la lésion les réflexes pro
p. 78-88.) Tous les cas d'épilepsie peuvent être divisés en deux groupes principaux : épilepsie idiopathique, ou essenti
édullaire, et épilepsie symptomatique ou corticale; seul le premier groupe comprend la vraie épilepsie, dans le deuxième n
urs ou de compression de la moelle, qu'on ne saurait ranger dans le groupe des inflammations. On les a même constatés dans
production, non seulement des myélites transverses, mais de tout un groupe d'affections médul- laires que l'on a distingué
nception permet de rapprocher les névrites multiples elles-mêmes du groupe des myélites comme l'indique déjà leur étiologi
critique les théories pathogéniques du goître exophtal- mique. Les groupes des théories extra-thyroïdiennes (théories card
e mal défini, ayant donné lieu à des symptômes appartenant à divers groupes morbides, et rentrant difficilement dans une ca
'absence de troubles de la conscience. On peut les diviser en trois groupes : 1° Modifications de l'humeur (tristesse, idée
villon de cellules il rez-de-chaussée. 3° Le pavillon comprend deux groupes de cellules, l'un à gauche, l'autre a droite du
l'extré- mité gauche, ce qui obligera à transporter les malades du groupe de droite à travers tout le groupe de gauche. E
era à transporter les malades du groupe de droite à travers tout le groupe de gauche. En revanche, comme le réfectoire est
comme le réfectoire est placé à l'extrémité droite, les malades du groupe de gauche auront, pour s'y rendre, à traverser
gauche auront, pour s'y rendre, à traverser toutes les cellules du groupe de droite. On aurait pu éviter les graves incon
antiseptiques. II. Mort. - Nos 33 cas de mort se répartissent en 3 groupes fort inégaux, suivant que la mort a résulté d'u
'une affection intercurrente ou d'un état de marasme. 1. Le premier groupe est de beaucoup le plus nombreux : il comprend
ts. PÉRIODE TERMINALE DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 439 2. Dans le 2e groupe , celui des morts par affection intercur- rente,
o- intestinaux ayant enlevé le malade en quelques jours. 3. Le 3e groupe est réduit à l'unité. Il comprend un seul malad
alysie générale a été ici notablement plus longue que dans les deux groupes précédents puisqu'elle atteint 4 ans 1/2. Dans
avec lui en naissant. Clinquement parlant, ce cas forme partie du groupe varié compris aujourd'hui sous la dénomination
a diplégie, l'athétose double, la chorée spasmodique et l'idiotie ; groupe résultant de lésions si diverses et de locali-
autre part, chez 100 aliénés. Sur 270 femmes appartenant au premier groupe , le réflexe a manqué 43 fois, soit à peu près d
ois, soit à peu près dans 16 p. 100 des cas. Sur 157 hommes du même groupe , il manqué 65 fois, soit à peu près dans 41 p.
é 65 fois, soit à peu près dans 41 p. 100 des cas. Dans le second groupe formé de 100 aliénés, le réflexe a manqué chez
tendue et complète dès le début. Par la suite, elle se localise aux groupes musculaires dépendant des noyaux cellulaires in
ession d'HerberLSpencer. Ce phi- losophe divise les sentiments en 4 groupes : 1° sentiments indi- viduels ou égoïstes : 2°
14 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
z lui par la perte de la vue. Ces sept cas constituent un premier groupe dans lequel les lésions du fond de l'eeil étaie
e borne généralement à n'envisager, dans l'obsession, qu'un certain groupe de symptômes directement reliés à la crise obsé
variétés de la thérapeutique par le mouvement ; nous dirons à quel groupe de maladies elle s'adresse et suivant quelle mé
édés thérapeutiques aux cas de maladies nerveuses ; pour ce dernier groupe d'affections, le besoin ne se faisait même pas
patho- logie nerveuse, et bientôt il fallut compter avec tout un groupe de maladies ou de syndromes récemment décou- ve
taxie, de ce syndrome séparé par Duchenne de Boulogne et Romberg du groupe des paralysies, caractérisé par l'in- coordinat
ns l'enfance, tous les individus sollicitent habituellement un même groupe de cellules cen- trales pour y développer une f
oient interrompues, il sera - encore possible d'attendre d'un autre groupe cellulaire ce que le premier n'est plus capable
es troubles observés, leurs localisations, leur degré pour chaque groupe musculaire : c'est alors seulement qu'on pourra
aison de la fréquence du tabes il intéresse tous les médecins et un groupe important de malades, et aussi parce qu'il repr
guère encore les exercices de réédu- cation étaient divisés en deux groupes : Exercices de rééducation des membres supérieu
à chacun d'eux et les moyens de les mettre en pratique pour chaque groupe mus- culaire. 4° La physiologie normale de la
le diagnostic ; il n'est pas rare de voir chez les tabétiques des groupes de muscles en apparence paralysés et dont l'exer-
également régu- lière leur servent de régulateurs, quand enfin les groupes voisins s'opposent par leur action tonique à de
correspondront directe- ment à l'action de chaque muscle ou chaque groupe muscu- laire malade. Les seconds, plus variés,
n de correspondre à des mouvements physiologiques. Dans un deuxième groupe on peut rapprocher les appareils qui offrent au
e la marche tient au défaut d'action d'un petit nombre seulement de groupes musculaires : quelques mouvements retrouvés suf
n obligé de s'imaginer que le noyau sphinctérien se compose de deux groupes différents de cel- Iiiles dont l'un transforme
e uni et bilatérale s'expliquent alors par l'atteinte plus forte du groupe cellulaire d'un côté que de celui de l'autre : le
é de la lésion. 11 n'est pas rare en neuropathologie de voir deux groupes de cellules voisins, à action fort semblable, se
déterminée du noyau de l'oculo-moteur commun ; l'atteinte, avec ce groupe , de l'autre partie du sphincter transfor- merai
nomènes symptomatiques semblables. 8. La distinction entre les deux groupes est généralement pos- sible sans grande difficu
ibilité. 11 n'est que la prépondérance native d'un instinct ou d'un groupe d'instincts. L'intelligence éclaire la vie, mai
définition que nous donnons, en prenant l'élément primordial de ce groupe de folies comme thème, a un pre- mier avantage,
rme de transition avec la normale. M. Kinkel ne croit pas que les groupes individualisés de la folie à deux soient bien t
c'est un des facteurs qui prédomine sur les autres ; ainsi, dans le groupe des folies communiquées, l'imitation prédominer
erminantes de leur éclosion. Ces causes peuvent se diviser en trois groupes : un pre- '13s CLINIQUE MENTALE. mier groupe
se diviser en trois groupes : un pre- '13s CLINIQUE MENTALE. mier groupe qui accentue l'élément suggestif, un deuxième q
prédisposition et un troisième a l'impres- sion. Dans le premier groupe , les causes qui agissent le plus sur l'élément
itesse des liens qui peuvent unir les individus. Dans le deuxième groupe , les causes s'adressent à la pré- disposition,
ossesse, l'accouchement, la lactation, la ménopause. Le troisième groupe des causes déterminantes s'adresse à l'impressi
e la prédis- position du sujetpassif; Ou, il y a confusion des deux groupes de manifestations délirantes qui se complètent
gestion morbide. Cette appellation s'appuie sur la pathogénie de ce groupe de troubles mentaux et a l'avantage de comprend
ularités concernant un certain nombre de syndromes importants. Le groupe des obsessions et impulsions à l'homicide et su
rentes, peuvent être, comme il l'a proposélui-même, rangées dans un groupe spécial, sous le nom de trophoedème, « caractér
ons électriques considérables, telles que : R. D. complètes dans le groupe musculaire-antibrachial, sauf le long supinateu
thénies simples qui pourraient être, pour certains, rangées dans le groupe qui nous occupe, mais dont nous devons réserver
dre et l'on doit les étudier séparément, réservant exclusivement au groupe des psy- choses post-opératoires, les cas qui r
e nous avons commencé à rechercher dans la science, pour établir le groupe des vraies psychoses post-opératoires, des cas
ar la mort, et nous ne pouvions nous résoudre à ranger dans le même groupe , deux variétés de délire qui diffèrent tant, au
naissions, que nous ne pouvions évidemment songer qu'a établir deux groupes bien distincts de délires post- opératoires.
été médico-psychologique 1, )[. Charpentier réservait son premier groupe aux idées morbides pouvant aller jusqu'au délire
sidé- rations précédentes, il suffira, dans chaque cas du premier groupe , de rechercher l'existence du foyer infectieux ca
e l'idéation. Cette définition est indispensable pour séparer de ce groupe d'autres mani- festations avec lesquelles les p
que comme élément pathogénique possible des psychoses. 2° Dans ce groupe ainsi délimité, on doit écarter les délires d'i
ités qu'à l'asile. La pathogénie de ces délires varie dans les deux groupes . Dans le premier, le délire est, ainsi que nous
du traitement électrique. Parmi tous nos malades qui constituent le groupe de ceux qui ont obtenu une amélioration franche
une affinité chimique, qui fait que l'agent toxique s'adresse à des groupes nerveux phy- siologiques, à des systèmes, et s'
tractent simultanément et conjointement, comme s'il s'agissait d'un groupe de muscles exé- cutant un mouvement déterminé.
on est allé encore plus loin, et l'on a essayé de découvrir à quels groupes d'atomes d'alcaloïde sont dûs les effets désiré
ci on n'a fait aucune expérience pour tirer au clair quels sont les groupes d'atomes, dans les molécules de ces alcaloïdes,
cocaïne se divise en alcool méthylique, en acide benzoïque et en un groupe basai d'ecgonique. D'un autre côté, l'atropine se
iales paroxystiques. Deux affections peuvent être ran- gées dans ce groupe : la maladie de Thomsen et la paralysie familia
s amyotrophies héréditaires myopathiques. Elles constituent bien un groupe de myopathies familiales paroxystiques méritant
s</)tC)'oMmes familiaux. 11. Binet Sanglé. Les hiérosyncrotèmes ( groupes formés par des religieux ou des dévots suggesti
ons. 1. La catatonie est un type morbide autonome qui appartient au groupe des psychoses dégénératives. 2. Les signes s'en
s ceux qui ont rapport à la préservation de l'espèce et à celle des groupes sociaux. L'instinct sexuel qui a pour but la prés
cette parenté. Enfin, la réunion de ces divers sentiments dans un groupe peut avoir de l'importance pour la classificati
dégénérés recueillies par les auteurs, peuvent se diviser en trois groupes : dans le premier, la déchéance est complète; d
gestibilité intensive et pathologique des malades des deux derniers groupes devient l'adjuvant le plus précieux dans le trai-
que des manifestations diverses de la dégénérescence et forment un groupe naturel que M. Joffroy désignerait volontiers s
groupe naturel que M. Joffroy désignerait volontiers sous le nom de groupe des mala- dies musculo-psychiques d'origine con
iations d'images entraînant secondairement à leur suite de nouveaux groupes véritables satellites mobiles, se développent e
rme la base de l'orientation dans la vie quotidienne du sujet. Deux groupes sont à distinguer, a : Sensations et mouvements g
nce l'impression d'une synergie, d'une concordance entre les divers groupes de ces sensations : de nouvelles variables seront
sme tonique s'achevant par des contractions isolées très fortes des groupes musculaires isolés ; l'accès dure deux ou trois
tantôt d'une éducation, tantôt engendrés par des idées. Ce dernier groupe sur lequel la volonté a un empire, comprend les
ut, pourtant, dire que dans ce travail nous avons recueilli dans un groupe les cas, où il avait un seul accès de manie, ai
sur la manie, nous devons remarquer que cet auteur a inclu dans le groupe de manie, comme une de ses espèces, la manie ha
l lui-même, fut tout à fait sépa- rée de la manie et inclue dans le groupe du délire hallucina- toire. Goitinikoff rapport
dans le groupe du délire hallucina- toire. Goitinikoff rapporté au groupe de la manie de tels cas, qui actuellement serai
arents (18,75 p. 100). Si nous joi- gnons le second et le troisième groupes ensemble, nous verrons que la tare héréditaire
a proposé en 1895 de sépa- rer de ce qu'on appelle neurasthénie un groupe de symp- tômes bien délimité et d'en faire un t
t des atrophies musculaires des membres supérieurs intéressant le groupe radiculaire du plexus brachial; ils en concluent
les malades sont amenés à la clinique, les élèves sont conduits par groupes aux lits des malades, des interro- gations sont
la démence pré- coce, mais les auteurs ont exclu de pareils cas du groupe de la constitution des idées obsédantes, et les
ngoissante. Les auteurs séparent les états obsédants en deux grands groupes , suivant que l'anxiété se manifeste plus spé- c
ce plan est entièrement modifiée. Les malades, répartis par petits groupes suivant leurs affinité ? , n'exercent plus les un
3° Agités ; 4° Sujets à isoler. Aliénés criminels. Entre les deux groupes de pavillons sont placés le bâtiment d'ad- mini
adie de Parkinson. D'après ses recherches, l'auteur range en quatre groupes les formes anormales de tremblement : 1 ? Les
her cette atrophie musculaire à une lésion d'origine musculaire des groupes cellu- laires qui correspondent dans la corne a
in : la situation, à la partie supérieure des cornes grises, de ces groupes cellulaires explique que dans les cas de thrombos
mbose ou d'embolie de l'artère centrale, ils ne puissent, comme les groupes cellulaires antérieurs, recevoir du sang des ra
15 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on. En nous plaçant à ce point de vue, nous en avons distingué deux groupes : les uns s'atténuent ou disparaissent par l'oc
ssent ou s'atténuent beaucoup par leur ouverture. Dans le premier groupe , nous avons rangé le vertige du mal de mer, le ve
que je plaçais le symptôme de Romberg. « Je rangerai dans le même groupe , vous disais-je =, le symp- tôme qui, chez les
oivent agir très fréquemment, s'imposer de la fatigue. Dans le même groupe sont les tabès de la machine à coudre, quoique
va- tion c'est qu'il s'agit seulement d'un tabès moteur. Les deux groupes de symptômes qu'on observe dans l'ataxie locomotr
re (deuxième cas), aura psychi- que (troisième cas). . Le premier groupe de ces phénomènes nous a permis d'affir- mer la
de rigidité. Tous les mouvements actifs intéressant les différents groupes musculaires sont bien conservés, mais extrême-
ade peut opposer au mouve- ment passif qu'on imprime aux différents groupes musculaires de ses membres est presque nulle. P
s le membre supé- rieur gauche; cependant elle existe pour tous ses groupes muscu- laires. B... peut placer la main sur la
crite par Tood; au contraire le membre, en examinant ses différents groupes musculaires, dans la partion assise décelait un
ncent à être, sur plus d'un point, suffisamment connues pour que le groupe des faits qu'on englobe sous ce vocable se prés
ed..lourn., nov. 1869. LA FOI QUI GUÉRIT. 75 NJ les lésions de ce groupe sont, malgré leur apparence contraire, de la mê
aques épileptiformes, tremblement); psychose aiguë appar- tenant au groupe de l'amelttia de Meynert; hallucinations de la
ues d'ordre différent, les premiers n'en formeraient pas moins un groupe compact de raits semblables relevant bien positiv
ais, à côté de ces symptômes, en existent d'autres. Dans un premier groupe (certains cas de manie, stupeur simple, folie d
ment et la résolution sont seulement plus marqués. Dans un second groupe (manie avec agitation considérable, stupeur lyp
s par troubles de la nutri- tion lesquelles réunissent dans un même groupe des aliénations mentales étudiées par certains
s fous moraux, les fous persécuteurs. Il examine dans chacun de ces groupes les difficultés que soulève l'acception du mot
ion. Ils constituent peut-être entre ces maladies mentales comme un groupe mixte de transi- tion, et me semblent assez com
ès précise et s'emploie dans la psychiatrie pour déterminer tout un groupe de maladies mentales. II). M. le Dr D.abcuEwm
dullaire, par l'hystérie, il considère ce cas, comme appartenant au groupe des troubles hystériques, qui se distingue par
de la folie rhumatismale et de la goutte, les auteurs examinent les groupes dans lesquels ces troubles sont simultanés, alt
ent de nombreuses et intéressantes observations à l'appui de chaque groupe . La périodicité, l'intermittence et la rémitten
mais qui n'est certes pas à dédaigner : qu'est devenu l'an- cien groupe atrophie musculaire progressive, tel que ce gra
grand observateur le concevait ? Vous n'ignorez pas que ce grand groupe que Duchenne, il y a trente ans, considérait co
66 CLINIQUE NEItVEUSE. spinale, qui toutes figuraient dans l'ancien groupe de l'atrophie musculaire progressive. Elles n'y
s toute la place, une partie de celle-ci était occupée par un autre groupe qui en est aujourd'hui définitivement séparé, c
certainement la myopathie pri- mitive était englobée dans le grand groupe de l'atrophie musculaire progressive de Duchenn
ême en 1871. Cette forme resta longtemps l'uni- que représentant du groupe qui, par la suite, s'est fort étendu. . En 18
la moelle et des nerfs périphériques, elle devait faire retour au groupe des myopathies primitives. Les deux malades que
er dans sa vraie famille physiologique ; je veux le faire sortir du groupe des désordres fonctionnels tenant au sens muscu
adduction est assez éner- gique. Flexion dorsale du pied faible. Le groupe des muscles de la région antéro-externe de la j
certains muscles cor- respondant à des centres spinaux déterminés ( groupe d'Erb), sa fréquente coïncidence avec des troub
de la nutrition musculaire à cet âge, sa localisation sur certains groupes musculaires particuliers est, comme l'ont montr
j'appelle du nom synthétique de labyrinthisme, se manifeste par un groupe de symptômes très nombreux; où l'on trouve réun
lus élevé se développent successivement, chacun d'eux contrôlant un groupe de séries inférieures, l'attention se développe
r FRIEDÜANN. (Archiv f. Psychiat., XXIII, 1.) Il y a trois grands groupes d'accidents consécutifs au trauma- tisme cérébr
ellules du noyau de l'ocuio- moteur commun d'attribuer à tel ou tel groupe la fonction de chacun des muscles, mais il est
antérieur, (inféro-autérieur), un noyau dorsal (supérieur), - des groupes de cellules médianes et latérales (le premier de
- des groupes de cellules médianes et latérales (le premier de ces groupes continue jusque dans le 3° ventricule, sous le
ir sagittal ou central avec ses REVUE DE pathologie NERVEUSE. 263 groupes acolytes pairs. Il n'y a pas du reste de symptôme
iques des nerfs optiques chez les hystériques. L'orateur a, dans un groupe de cas, observé chez des hystériques une amblyo
- chiques que ceux qui interviennent dans l'agoraphobie, d'autres groupes de muscles, ceux surtout qui servent aux occupati
e et pratique. Voici 100 femmes aliénées qui se décomposent en deux groupes . Un groupe de 53 comprend des malades provenant
e. Voici 100 femmes aliénées qui se décomposent en deux groupes. Un groupe de 53 comprend des malades provenant de divers
évidemment fantastiques par leur énormité. Examinons maintenant le groupe des 47 aliénées ayant subi des ' Voyez Archives
e ordonnance de non-lieu. Les aliénées que nous dési- gnons dans ce groupe présentaient au moment de leur admis- sion dans
que la fonction est abolie, troublée ou exagérée, on a trois sous- groupes dans chaque variété. Les dysbasies motrices peuve
ardée comme une akinésie psy- chique systématisée, forme le premier groupe . Dans les dysbasies parafonctionnelles, l'auteu
altatoire, choréique et orthétosique. La marche abasique forme un groupe intermédiaire et peut être paralytique (ou paré
ent se combiner dans une certaine mesure, et donner alors lieu à un groupe que M. Blocq appelle : marches mixtes. C'est ai
du poignet et des doigts, sans prédominance de tel ou tel muscle ou groupe des muscles. Atrophie des muscles pectoraux, so
blement chez notre malade peut être rapporté à la première forme du groupe moyen, suivant la classification de Dutil ou au
e véritable, ont été réunis par MM. Raymond et Arnaud en différents groupes , suivant qu'ils dé- pendent : 1° de {'inactivit
es, sensations pénibles, troubles digestifs et vaso-moteurs). Ces groupes qui se pénètrent plus ou moins sans se confondre
XXIII. La confusion mentale primitive; par le Dr CHASLIN. Il est un groupe particulier de folies aiguës parfaitement distinc
'ils éprouvent du côté de la tête. M. Campbell les rattache à trois groupes principaux : 1° sensations de pression sur la t
participant probable- ment des deux premières variétés. A ces trois groupes , il faut ajouter certaines sensations de pesant
VUE générale. Il préfère se borner « à étudier isolément chacun des groupes symptomatiques; après ce travail préalable, on
côté mental, psychologique de l'hystérie. C'est donc simplement un groupe de définitions que nous désirons présenter : el
isparaît par le sommeil, par la fatigue de l'attention et le second groupe se développe facilement. Dans d'autres cas, une
DE L'HYSTÉRIE 429 terminée, par exemple, se trouve associée avec le groupe de phénomènes qui constitue le somnambulisme, e
, c'est-à-dire de provoquer une sensation déterminée appartenant au groupe des phénomènes psychologiques de la crise pour
ries de M. Charcot et de M. Moebius. Cette séparation de ces deux groupes de faits est-elle aussi absolue ? C'est ce que no
n particulier les contractures par une activité véritable du second groupe d'images séparé de la conscience normale3 ». «
aladie de la désagrégation était la formation dans l'esprit de deux groupes de phénomènes, l'un constituant la personnalité
aire l'e2-2-uch*lheit. Sander n'a entendu traiter sous ce nom qu'un groupe , et il le dit expressément un petit groupe, cel
raiter sous ce nom qu'un groupe, et il le dit expressément un petit groupe , celui de la folie systématique primitive (premie
nomènes, et que nous rassem- blions ces faits en un faisceau, en un groupe séparé, spécial. Mais ce n'est là que les prémi
16 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
oins à l'heure actuelle, la dystrophie dont il est atteint, dans le groupe , très voisin d'ailleurs croyons-nous, desostéoart
ociés, puisque nous n'avons pas le mouvement voulu, le mouvement du groupe musculaire du côté opposé intervenant à sa plac
este chez des malades, atteints d'une cirrhose du foie, deux grands groupes . En premier lieu il y a des malades, chez qui les
par l'ictère. Cette dernière catégorie peut être subdivisée en deux groupes . Comme représentants de l'une rappelons les mal
ations que l'écorce, mais encore à un plus haut degré. . Ainsi le groupe des cas juvéniles se trouve subdivisé en : 1° les
s propres cas. Comme on le verra, on ne peut les classer dans aucun groupe . Pourtant G (1) Zeilschrift sur die Ges. Neur.,
très forte des noyaux névrogliques : le type ordinaire, parfois en groupes de 10 et plus. A côté de tous ces processus de dé
inaire. Mais de l'autre côté mon premier cas est séparé de ces deux groupes par des caractères essentiels. Rappelons seulem
elle est encore plus évidente pour la moitié gauche. De ce côté, le groupe bien limité de grains noirs qui occupe au niveau
voie du cordon latéral pour aller au bulbe, il faut isoler un petit groupe qui occupe la zone pro- fonde du faisceau pyram
érant leur disposition sur les coupes, on peut les diviser en trois groupes net- tement définis : ' 1° Le premier groupe
es diviser en trois groupes net- tement définis : ' 1° Le premier groupe est formé par un semis abondant de grains noirs
aller à l'olive ou à la formation réticulée du côté opposé. 2° Un groupe moyen, également suivi sur une grande hauteur, es
ulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la zone moyenne. - 3° Un groupe postérieur se détache de la masse des fibres qui
la série des coupes (fig. 12-14) de délimiter la terminaison de ce groupe de fibres et celle des fibres les plus extrêmes
me ne laisse aucun doute sur ce point. D'autre part, on voit que ce groupe fait défaut dans la moitié gauche du bulbe ; ic
orsley donnent aussi une excellente représentation graphique de ces groupes de fibres dans les planches annexées à leur trava
la moelle; ils se détachent de la voie du corps restiforme en deux groupes : l'un le plexus collatéral ventral se termine
nous venons de signaler. Dans notre observation, nous voyons que le groupe antérieur des libres spino-bulbaires se détache
ouve plus haut et qui vont jusqu'à la région sous-optique. Les deux groupes postérieurs répondent exactement à la descripti
derniers auteurs nous n'avons pas observé de con- tinuité entre ces groupes de fibres et les expansions terminales des cordon
difficile de faire le départ de ce qui appartient à chacun des deux groupes , au moins pour la partie terminale de leur trajet
ste, en effet, et du côté droit seulement de la protubérance, qu'un groupe de fibi es altérées si réduit que pour représente
lu augmenter proportionnellement le nombre des grains noirs. - Ce groupe occupe dans la substance réticulée (fig. 16) la z
ns le bulbe. Ces connexions spino-bulbaires se distribuent en trois groupes principaux : 1° Fibres allant 't la partie anté
noyau du corps restiforme ? noyau de Deiters ? ).C'est ce troisième groupe seulement qui a des points de contact avec la t
e présentent pas d'altération marquée, à part une atrophie nette du groupe cellulaire de la co- lonne de Clarke droite. '
ble porter presque également sur toutes ses parties. Les différents groupes cellulaires antérieurs sont profondément altérés
difficilement reconnaître les vestiges cellulaires ; les cellules des groupes latéraux sont en état d'atrophie simple. Il exi
ten est la psychothérapie. « SOUVENT FEMME VARIE... » A PROPOS DU GROUPE « TRES IN UNA » DE M. PAUL RICHER PAR R HENRY
HENRY MEIGE Au petit Palais des Champs-Elysées figure depuis peu un groupe en marbre représentant trois femmes nues. Le vi
ait, appartiennent toujours au même type féminin. Et, en ell'et, ce groupe n'est pas seulement une manifestation artistiqu
E Iconographie DE la Salpêtrière. T. XXVII. PI. XXX TRES IN UNA Groupe en marbre du Dr PAUL TRICHER. Masson & Ce,
ère. T. XXVII. Pl. XXXI Phototypie Berthaud, Pans TRES IN UNA Groupe en marbre du Dr PAUL RicHER. SOUVENT FEMME VARI
e que M. Paul Richer a matérialisée dans la figure de droite de son groupe où la femme moderne est caractérisée par la cambr
harmonieuse traduit le bon équilibre du corps et de l'esprit ! Le groupe du petit Palais mérite d'être attentivement regar
moins long. De telle sorte que les malades qui avaientprésenté tel groupe de symptômes dans telle ou telle région souffre
ur. L'im- pulsion volontaire, en agissant pour un acte sur quelques groupes musculaires, est cause de secousses qui sont ou
tion fonctionnelle et de dévelop- pement embryonnaire il exisle des groupes syndromiques définis dépen- xxvu 12 174 BARRA
A. SOUQUES - Dans le cadre des atrophies musculaires, il existe un groupe d'amvo- trophies caractérisées par leur marche
rche envahissante et par leur tendance à la généralisation. C'et ce groupe , doit Duchenne de Boulogne avait fait jadis une
rne jusqu'à une distance de 6 centimètres de l'aisselle. Un petit groupe .de deux ou trois vésicules siège sur la face post
uns des doigts, long et court extenseurs du pouce. Les muscles du groupe d'Erb sont normaux et les fléchisseurs des doigts
s-corticale ; surtout autour des vaisseaux, on remarque parfois des groupes de cellules araignées ; l'écorce elle-même n'a
rba- tion des fonctions statiques et l'impossibilité, pour certains groupes mus- culaires, de quitter activement la positio
i les expériences que j'ai faites ont été divisées en quatre grands groupes et j'ai essayé de déterminer si l'épilepsie ess
rie n'a pas la moindre prétention d'être complète il reste alors le groupe très riche auquel nous donnons l'étiquette « ép
es, nous désignons sous le nom d' « épilepsie essentielle n ; -, ce groupe renferme cependant deux maladies qui, au point de
va en s'élargissant. Cependant il res- tera toujours sans doute un groupe d'un nombre remarquable appartenant à l'épileps
attaques symptomatiques restent cachés, ils seront alors annexés au groupe important de l'épilepsie essentielle et, plus tar
maladie cérébrale quelconque primitive. Par contre, il exisle un groupe de cas encore important, bien que dimi- nuant t
intoxications endogènes et exogènes dont nous venons de parler, ce groupe (dans lequel manque toute altéra- tion cérébral
, lout au moins sur une base purement clinique, de séparer ces deux groupes . Voyons com- ment et par quels moyens la susdit
aliques, il est sans doute plus rationnel de faire dériver ces deux groupes de phénomènes d'une même cause. Si nous rencont
» (kleine Gehaufte Anfalled'Heilbronner), il faut remarquer que ce groupe , au point de vue pathogénique, présente une trè
mais tous probablement d'épilepsie cérébrale primitive ; hors de ce groupe , il reslait une petite série de cas d'hystérie,
a circulation en plus grande quantité. La lécithine, appartenant au groupe des phosphalides, est une des nombreuses subs-
s, qui fit à ce sujet les premières recherches, on doit parler d'un groupe de ferments, les PATHOGÉNIE DE QUELQUES FORMES
s ferments : la peroxydase et la lipase. Les peroxydases forment un groupe de ferments qui, en présence de petites quantit
t bien. L'école de Du- bois veut qu'on inclût ces individus dans le groupe des psycho-névroti- ques. En partie, c'est la v
a en clinique des étals nerveux qui ne peuvent être classés dans le groupe des névroses classiques : neurasthénie, hystérie,
conjugué des mouvements de la tête el des yeux, par CRIRAY, 1. - Groupe « Ires in una », par H. Meige, 120. Hémimélie t
que curable, par Révilliod, 307. Souvent femme varie. A propos du groupe « ires in una », par II. MEIGE, 120. Spasme c
or- mation des lèvres, 57. - Souvent femme varie. A propos du ' groupe Très in una de M. Paul Richer, 120. MENDtCtxi
17 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
;'t'e, 11 décembre 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE. sujets du troisième groupe rentrent dans le cadre de notre étude. Suivan
mentaux accompagnant l'albuminurie peuvent être divisés en trois groupes : 1° Ceux qui sont sous la dépendance d'une lésio
rveuses provoquant de l'albuminurie. Sans insister sur ce troisième groupe nous étudierons des faits du premier et du seco
troisième groupe nous étudierons des faits du premier et du second groupe . Nous dirons que l'in- suffisance de la fonctio
délire apparaître, évoluer et disparaître avec elle. Dans le second groupe qui comprend surtout l'artério-sclérose et les
même pavillon : un roulement est organisé d'une façon régulière. Un groupe de cinq infirmiers est attaché pour une période
u service d'un pavillon ; et les cinq postes déterminés auxquels ce groupe est affecté sont occupés chaque jour par un inf
est affecté sont occupés chaque jour par un infirmier différent. Un groupe de cinq infirmiers est ainsi affecté durant cin
s spinales, par l'étude du radial dont le noyau est composé de deux groupes : un premier, plus considé- rable et mieux défi
aire, duquel le triceps tire sa source d'innervation ; et un second groupe postérieur et latéral. Puis il étudie les altér
ent cervical, le contour de la corne anté- rieure est arrondi ; les groupes cellulaires que l'on peut distinguer sont au no
ous-scapulaire, a son origine constituée dans la moelle par un seul groupe cellulaire, formant un noyau bien circonscrit,
ar un seul groupe cellulaire, formant un noyau bien circonscrit, le groupe externe. Alors que le nerf circonflexe a son orig
égions correspondantes du corps ; 6° La fonction primitive de ces groupes sensitivo-moteurs corti- caux de cellules, en t
ces groupes sensitivo-moteurs corti- caux de cellules, en tant que groupes accouplés, consiste à déter- miner des actions
nt du membre inférieur répond, au niveau du renilwiie4 lombaire, un groupe plus ou moins limité de cellules radiculaires.
baire, un groupe plus ou moins limité de cellules radiculaires. Ces groupes semblent s'im- briquer en se superposant, le gr
iculaires. Ces groupes semblent s'im- briquer en se superposant, le groupe inférieur tendant toujours à se placer en dehor
e inférieur tendant toujours à se placer en dehors et en arrière du groupe sus-jaeent. 10° Le volume des racines semble up
la sympathie à laquelle ils ont droit. On peut les diviser en deux groupes ; le pre- mier, celui dont on s'occupe le plus,
par l'expression d' « anomalies mentales mineures ». Dans les deux groupes , l'anomalie peut être congénitale, ou être surv
ce que l'ou observe en effet. A l'exception peut-être de ce dernier groupe , on sait que la dépression paraly- tique est so
remar- quer d'abord que les aliénées criminelles comprennent deux groupes ; l'un formé des femmes qui ont été légalement po
de la gestation sont commu- nément et commodément divisés en trois groupes qui ont cha- cun leurs caractères~propres : fol
e caractérisée par des contractions tétaniques, douloureuses, des groupes musculaires les plus différents, contractions pre
ux masticateurs. Membres supérieurs : asthénie portant sur tous les groupes musculaires, groupes de. flexion, d'extension,
res supérieurs : asthénie portant sur tous les groupes musculaires, groupes de. flexion, d'extension, d'abduction, d'ad- du
ativement rare. Cette anesthésie fonctionnelle envahit toujours des groupes de muscles innervés par la moelle et peut s'éte
omènes sont des secousses de tout un membre un segment du membre ou groupe musculaire, ce n'est donc pas de la myoclonie.
Ecole française, M. Claus divise les écoles contemporaines en trois groupes . Dans un premier groupe, il range tous ceux qui c
divise les écoles contemporaines en trois groupes. Dans un premier groupe , il range tous ceux qui considèrent la catatoni
nsidèrent la catatonie comme une entité morbide. Pour un deuxième groupe , la catatonie ne serait qu'un syndrome morbide co
une série d'affections mentales et nerveuses. Enfin un troi- sième groupe d'auteurs y voient seulement une phase de l'affec
émence précoce. Sans prendre parti pour l'un ou pour l'autre de ces groupes , M. Claus fait un rapport qui est une revue trè
certain nombre d'années, et qui a abouti à l'introduction, dans le groupe des maladies mentales, d'une nouvelle entité mo
'un état dégénératif qui prendrait naturellement place au milieu du groupe des psychoses de même nom, groupe dont les fron
naturellement place au milieu du groupe des psychoses de même nom, groupe dont les frontières ont été, je le reconnais, b
ù ils sont arrivés à 10 h. 18. Aussitôt ils se sont divisés en cinq groupes qui ont visité un grand nombre d'habitations de
hyxie par fausse déglutition chez une idiote. A une heure, tous les groupes étaient réunis pour le déjeuner, après lequel a
nce et finit là où commence et où finit le syndrome clinique. Trois groupes de paralysies générales s'observent. Le premier
se vasculaire. (Paralysies générales dégénératrices.) · · Dans le groupe de l'encéphalite inflammatoire, on peut distingue
re combiné à la pré-, sence de globules rouges à noyau. Un second groupe de paralysies générales comprend celles ou l'en
halite paralytique, sans se confondre avec elles. Dans un troisième groupe , l'examen histologique ne révèle que des lésion
ns ne produit-elle pas les lésions inflammatoires indiquées dans le groupe précédent. S'il existe des érosions, celles-ci
ôt celui de paralysies générales dégéné- 2-tili-ves. Dans ce même groupe , des encéphalites dégénératives diverses ont en
t pathogéniques et c'est là une conclusion générale entre les trois groupes qui viennent d'être tracés, il n'y a pas de sép
racés, il n'y a pas de séparation absolue. Déjà, dans le deu- xième groupe , nous voyons prédominer les dégénérescences diffu
res, des encéphalites paralytiques. De telle sorte que le troisième groupe se trouve insensiblement relié au second et par
que, qui n'a pu être constitué que par la distinction préalable des groupes et qui par conséquent implique cette distinctio
ire les deux lésions, irritative et destructive, et par là les deux groupes de symp- tômes qui y correspondent respectiveme
respectivement. Mais il faut reconnaître, notamment pour le second groupe , et les travaux de M. Régis sont d'accord sur c
microscope nous montre, chez les paralytiques géné- raux du premier groupe de M. Klippel, de l'hyperhémie, de la diapédèse
masie pour créer, sous le nom de paralysies générales associées, un groupe spécial de paralysies générales, si ce n'est peut
- posée par M. Klippel. Nous distinguons, comme lui, trois grands groupes de paralysies générales, entre lesquels il existe
iste, d'ailleurs, de nombreuses formes intermédiaires. Un premier groupe est constitué par des paralysies générales infl
les, ni de pigment ocré, ni de corpuscules hyalins Dans un deuxième groupe , nous avons réuni les cas où les lésions inflam
t l'autre à l'association de l'artériosclé- rose. Dans un dernier groupe , nous proposons de ranger les cas qui paraissen
véritable émulation pour tous les exercices. Les moins favorisés du groupe essaient d'i- miter leurs camarades. Souvent le
ses' eaux et leur action, les congressistes ont déjeuné par petits groupes La séance s'est ouverte à deux heures au Salon
ait nécessaire de séparer la cons- titution idéo-obsessive du vaste groupe des dégénérescences psy- chiques » et d'en fair
ptiques y figuraient à demeure avec des aliénés. Tous les matins un groupe d'cptleptiques et d'aliénés y était envoyé de 1
nvoyé de 131cêtre, dont la colonie était une dépen- dance. Un autre groupe se rendait à la Salpêtrière pour faire de gros
une grande colonie doivent être subdivisés entre les méde- cins par groupe de 3 à 400 malades par médecin (exemple Gheel)
mentale est beaucoup plus fréquente dans les prisons que dans le groupe social ordinaire. M. Masoin produit à cet égard d
en liberté qui commettent des cri- mes ou délits. Il demande qu'un groupe d'études soit constitué pour en établir le rele
de choses et où les enfants des écoles devraient être promenés par groupe . Tout le monde, d'ailleurs, v trouverait bénéfi
bres du Congrès des photographies collectives des malades de chaque groupe ). Les résultats que nous a signalés M. le docte
aucoup de médecins sur l'incurabilité de ces malades car, à quelque groupe qu'ils appartiennent, ces enfants sont des mala
be occipital, mais produisent là des courants secondaires. Ainsi le groupe de cellules excitées dans le lobe occipital ser
hyperhémie locale est occasionnée; en goû- tant l'objet, de même un groupe de cellules est excité dans une autre partie de
ants secondaires allieront le long de fibres d'association tous les groupes mentionnés, et dans le lobe occipital et dans le
ussi écouté le nom de l'objet et de ses qualités particulières, des groupes de cellules dans le lobe temporal sont de même
même alliés dans le processus. Ainsi l'excitation d'un de tous ces groupes peut mettre en action les autres, et faire rapp
secondaire nouveau, le long de fibres d'association qui allient un groupe de cellules excitées à un autre groupe : ainsi
d'association qui allient un groupe de cellules excitées à un autre groupe : ainsi donc la voie n'est pas encore frayée.
ondes de vibrations subconscientes jusqu'au centre récepteur, où un groupe de neurones, par l'intermédiaire du reti- culum
e nature vibratoire, et que les vibrations se pro- duisent dans des groupes associés et définis de neurones. On peut même s
iées que les chorées arythmiques. Elles peuvent se classer en trois groupes : chorée de Sydenham; chorées chroniques progre
De même, il n'y a pas de localisation en différentes colonnes ou groupes de la zone sensitive spinale, à l'exception de la
18 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
us, tandis qu'à gauche elle s'étend à peu près également à tous les groupes mus- culaires, à droite, elle est surtout inten
ions des auteurs concernant ce sujet peuvent être divisées en trois groupes : quelques-uns des auteurs n'envisagent pas le
rès le type, le cours et l'issue, Kraepelin rapporte cette forme au groupe des dégénérescences psychiques et la regarde co
ici un diagnostic absolu. Le plutôt qu'on peut rapporter ce cas'au groupe d'une démence précoce généralive. En faveur de
Dans les deux premières observations citées 1 ? ! uni, un certain groupe de troubles de l'activité de l'innervation vo-
C'est une autre question, si on peut regarder la catatonie comme un groupe nosologique indépendant, ou comme une forme cli
e indépendant, ou comme une forme clinique, qui entre dans un autre groupe de maladies plus vaste. Pour le moment nous ne
aucoup de prudence à la fon- dation dans la psychiatrie de nouveaux groupes nosolo- giques indépendants, vu la versatilité
rapportè- rent, d'une manière plus décidée déjà, la catatonie au groupe des dégénérescences psychiques. En effet, il est
on tour, se basant sur son type clinique, peut entrer dans le vaste groupe de dégénéres- cences psychiques et présenter pa
- excitabilité réflexe est extrême, ce réflexe s'étend à d'autres groupes musculaires, par exemple aux fléchisseurs des doi
aque segment de membre répond au niveau du renfle- ment lombaire un groupe plus ou moins limité de cellules radicu- laires
ment. Les groupements semblent s'imbriquer en se superposant : le groupe inférieur représentant les muscles placés autour
cellules situées en avant et en dedans des précédentes ; lorsque ce groupe inférieur est épuisé, elles vien- nentse placer
de lui occupant ainsi peu à peu la région postérieure et externe du groupe latéral. Tandis que ces cellules se placent à l
de l'articulation du genou, occupent la partie antero-interne du groupe latéral ; elles se comportent ensuite à l'égard d
te : - Au dessous de la dizième racine sur une petite hauteur, le groupe cellulaire ne contient que des éléments correspon
ième racine et juste au dessus, la partie postérieure et externe du groupe latéral correspond au pied, la partie antero-in
use de débilité ou de déchéance, déterminer la maladie. Dès lors ce groupe d'épilepsies tardives, comprenaut aussi cer- ta
les désigner clairement s'il avait entendu, les comprendre dans le groupe des individus susceptibles d'être atteints de c
de montrer dans ces dernières années que l'on classait dans un même groupe des enfants dont l'arrêt de développement intel
tre derniers mois de z90, les moyennes des attaques d'épilepsie par groupes de malades classés d'après le sens de la chute,
lade dans une semaine. Chez K..., une des quatre malades du premier groupe auquel fut donné du corps thyroïde, la températ
ture le troisième jour. Chez les trois autres malades de ce premier groupe , com- prenant les femmes du service à manifesta
e la parole qui sont la preuve de l'incapacité fonc- tionnelle d'un groupe de neurones détruits ou lésés, les agraphies et
e la persuasion pourra 'obtenir la guérison instantanée. Ainsi deux groupes de symptômes pathologiques apparaissent : d'un
de la pupille, et constate que chez les aliénés, on rencontre deux groupes d'anomalies pupillaires ; le premier groupe est c
nés, on rencontre deux groupes d'anomalies pupillaires ; le premier groupe est caractéri- sé par l'inconstance des variati
ractéri- sé par l'inconstance des variations pupillaires, le second groupe est formé par les cas où les mouvements pupilla
s sont altérés d'une manière persistante et progressive. Le premier groupe con- cerne les maladies autres que la paralysie
pelle ici que Seglas a divisé les hallucinations de l'ouïe en trois groupes : 1° hallucinations élémentaires (bruits vagues
c MM. Raviart et Caudron. Ces ma- lades se peuvent diviser en trois groupes . Premier groupe. Paralytiques générales dont le
udron. Ces ma- lades se peuvent diviser en trois groupes. Premier groupe . Paralytiques générales dont les bords papillai
d supérieur de la papille qui est dépourvu de netteté. ` Deuxième groupe . Paralytiques générales à papilles floues, unil
e. A l'ophthalmoscope, les deux pa- pilles sont floues. Troisième groupe . - Paralytiques générales présentant les signes
l de pathologie interne, divise les épilepsies secondaires en trois groupes principaux ; dans une première classe, il range
positions à prendre il y a lieu de diviser chaque catégorie en deux groupes , celui des enfants et celui des adultes. - Le
° d'adultes nécessitant une sur- veillance permanente. Le premier groupe mérite qu'on s'occupe spécialement de lui, car
degré plus ou moins avancé d'imbécillité. Quant à ceux du second groupe , qui ne sont que peu ou point accessibles à l'é
- dultes présente de réels inconvénients, parfois des dangers. Le groupe des adultes capables d'être utilement employés es
n peut par conséquent diviser les imbéciles les plus élevés en deux groupes , celui des mentalement stables et celui des men
de même on retrouve ces diverses catégories de possé- dés, dans le groupe des médianimiques, qui sont des possédés mo- de
rite atrophique surtout parenchymateuse avec retentissement sur les groupes cellulaires de la moelle. Un phénomène palpébra
culaires classiques, par arrachement, vous voyez que les différents groupes musculaires placés sous la dépendance des nerfs
riphérique, pourront à priori s'effectuer sur un nerf isolé, surfin groupe limité de nerfs ou sur une infinité de division
par Ollivier. Pourquoi donc les points où les nerfs sont réunis en groupe au niveau des plexus sont-ils plus souvent atte
riques qui commandent la localisa- tion, tantôt enfin il' s'agit de groupes musculaires sans rapport avec une innervation p
de la conception ancienne de l'hystérie, il y a lieu d'admettre un groupe spécial de faits, celui mis en vedette par Somm
toujours l'ensemble des mouvements provoqués par l'acte exécuté. Un groupe de muscles entrent en con- traction d'abord et
rd et provoquent dans l'accomplissement de l'acte la mise en jeu du groupe symétrique ; peu à peu les mouvements gagnent t
igineuse, correspondant au summum d'excitation mentale. De nouveaux groupes d'images, véri- tables satellites mobiles, s'as
; 2° ces anomalies peu- vent se diviser grosso modo en deux grands groupes dont le pre- mier comprend le palais des psycho
le second le palais des dégénérés en général; 3° dans le premier groupe , le palais est variable dans son type général; ma
dépasse pas la profon- deur ordinaire, en avant; 4° dans le second groupe , le palais varie aussi dans son type général, m
t se ranger dans trois catégories nettement distinctes : Le premier groupe est constitué par l'arrêt de développement myxc
t constitué par l'arrêt de développement myxcedémateux. Le second groupe comprend les nains rachifiques chez qui les lés
e soit dans le premier âge, soit plus tardivement. 0 Le troisième groupe est constitué par les achondroplases. Ici le th
ls, doi- vent être distingués de l'hystéro-traumatisme et former un groupe à part; comme les paralysies produites par la f
plus élevés, ce sont moins les muscles individuel- lement, que les groupes musculaires destinés à des fonctions spé- ciale
ante en nous montrant la pos- sibilité de cas transitoires entre le groupe de la démence précoce et celui des psychoses ré
irmiers et médecins, un lien de sympathie et de solidarité qui nous groupe dans une même grande famille, la famille médi-
'analyse de sa pensée, pu essayant de lui faire coordonner certains groupes d'images, en le priant de nous écrire par exemp
e-t-il, sont exposées les personnes qui vivent isolées. Dans quel groupe morbide allons-nous faire rentrer M. N... ? Je
tuelle, lui est désormais interdite. C'est là, nous semble-t-il, un groupe de malades pour lesquels les colonies familiale
ns le sang peut être élective et se porter sur certains systèmes ou groupes de neurones. Si ces poisons sont absorbés comme
éliorés ou transformés. Ces 23 observations sont divisées en quatre groupes : 111 groupe : Atte- SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 n
nsformés. Ces 23 observations sont divisées en quatre groupes : 111 groupe : Atte- SOCIÉTÉS SAVANTES. 493 nuation ou dis
très incomplet des troubles intellectuels : trois observations. 2e groupe : Intelligence reste affaiblie mais atténuation
u disparition com- plète des signes somatiques : 5 observations. 3e groupe : Intelli- gence redevient complète (conscience
s persistance de quelques troubles physiques : 5 observations. 4" groupe : Disparition absolue des symptômes physiques et
s douleurs fulgurantes aux extré- mités supérieures. Paralysie du groupe des muscles extenseurs et du deltoïde. Troubles
Paull\1AGNIN. -A ce propos, il est très regrettable qu'un cer- tain groupe de psychothérapeutes s'ingénie à repéter ou que l
ressive il n'y a pas de limites très marquées et que entre ces deux groupes de maladie sont pos- sibles des formes transito
me troubles endogènes. L'association de la mélancolie alcoolique au groupe des mélancolies et non au groupe des psychoses
n de la mélancolie alcoolique au groupe des mélancolies et non au groupe des psychoses alcooliques n'est pas tout à fait j
mes et 17 femmes. > La folie associée à l'épilepsie fournit un groupe de cas bien définis qui se prêtent aux recherch
très discuté : quelques auteurs voudraient la rayer entièrement du groupe des folies héréditaires; d'autres l'assimilent
germinative; ou spermatique et a si bien modifié la nutri- tion des groupes de molecules qu'elle contient, et qui président
ire des phénomènes de l'hérédité, elles ne s'appliquent pas à des groupes importants de cas dans lesquels on voit apparaîtr
19 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
rme de sphéroïdes à facettes, laissant voir, quand ils sont réunis en groupes , des interstices qui dessinent des sur- faces p
ndes, on voit que les canaux biliaires doivent être divisés en quatre groupes : l°Tout d'abord, les gros canaux biliaires qui
n corps ternaire neutre. La chimie moderne (Berthelot) la rattache au groupe des alcools : ce serait un alcool monoatomique, a
sieurs, En terminant la dernière leçon, je vous parlais d'un second groupe à'altérations de la bile, caractérisées par la pr
à la fois une albuminocholie et une albu-minurie. II. Un dernier groupe à1 altérations biliaires comprendra cel-les qui r
ution. M. Meissner, lui, ne paraît con-naître que les faits du second groupe . Quoi qu'il en soit, les auteurs qui, dans ces
ient trop élevés pour ce qui nous concerne. A. Les faits du premier groupe sont relatifs à des cas dans lesquels, autant qu'
e et celle de la fonction désassimila-trice. B. Les faits du second groupe , ceux dans lesquels il y a une diminution plus ou
l'urée est descendue à 10 ou 12 gr. et môme à 5 ou 6 grammes ; 2° un groupe important de six observations recueillies par M.
ydatiques). Actuellement, je vais vous parler de faits constituant un groupe à part, une troisième catégorie, et dans lesquels
sous forme de cristaux. Nous allons étudier maintenant un cinquième groupe de cas d'affections hépatiques dans lesquels l'ur
qui composent normalement la bile se retrouvent dans un cholélithe du groupe composé, dont, en somme, les spé-cimens sont les
abdominale. B. Les fistules biliaires cutanées composent le dernier groupe qui nous reste à examiner. Aux soixante-dix exemp
la cirrhose que j'ai en vue. Cette altération du foie appartient à un groupe d'inflamma-tions chroniques dont l'homogénéité ne
ne laisse pas grand'chose à désirer ; toutes les individualités de ce groupe sont, en effet, formées sur le même modèle ou à p
t saisir suffisamment l'opportunité des dénominations appliquées à ce groupe par-ticulier d'inflammations chroniques. Cruveilh
par une tendance à l'acuité dans l'his-toire de la cirrhose, 7° Le groupe anatomo-pathologique sur lequel j'appelle votre
éments spécifiques de la glande. C'est là un caractère appartenant au groupe tout entier. Mais voici un signe distinctif. Tand
la veine porte elle-même. Dans ce système, M. Sappey reconnaît cinq groupes diffé-rents : deux d'entre eux nous intéressent p
èrement ; quant aux autres je me bornerai à les mentionner. Premier groupe ou gastro-épiploïque. Les vaisseaux de ce groupe
entionner. Premier groupe ou gastro-épiploïque. Les vaisseaux de ce groupe proviennent, en majeure partie, de l'épiploon gas
t d'aucun secours dans le cas d'obs-tacle intra-hépatique. Deuxième groupe ou cystique. Il se compose de 12 à 14 veinules qu
et vont à la branche droite de la veine porte. De même que celles du groupe précédent, ces veines ne peuvent contribuer à la
pplémentaire. Les veines suivantes sont dans le même cas. Troisième groupe . Il est formé : 1° par des vasa-vasorum émanant
jeter dans les lobules voisins. Je n'insiste pas davantage sur ces groupes de veines portes secondaires, ayant hâte d'aborde
de veines portes secondaires, ayant hâte d'aborder la description des groupes qui nous intéressent plus spécialement. Quatriè
ption des groupes qui nous intéressent plus spécialement. Quatrième groupe ou veines portes accessoires du liga-ment suspens
ces veines atteignaient le volume d'une plume de corbeau. Cinquième groupe . Il peut être appelé groupe ombilical, ou mieux p
olume d'une plume de corbeau. Cinquième groupe. Il peut être appelé groupe ombilical, ou mieux para-ombilical. Les veines qu
t dans la partie restée perméable de ce dernier ligament. C'est là le groupe le plus important. Dans la cirrhose, quand il y
sait de la veine om-bilicale, peuvent être aujourd'hui rattachés à ce groupe , ce qui ferait un total de dix cas. Je dois men
z aussi que les grands anneaux, dits de premier ordre, en-globent des groupes de lobules, séparés les uns des autres par des tr
qu'il cherche à s'orienter, c'est que les lobules qui constituent ces groupes sont en quel-que sorte fondus ensemble. Les espac
dont les principales circonscrivent un certain nombre de lo-bules ou groupes de lobules. On peut imaginer que ces vais-seaux q
e observée dans la couche corticale : à la périphérie se trouvent des groupes de vaisseaux formés par les divisions des vasta r
I. Messieurs, J'appellerai tout d'abord votre attention sur un groupe d'al-térations rénales auxquelles on n'accorde pe
es des cylindres urinaires, il y a lieu d'établir parmi eux plusieurs groupes : 1° Les cylindres hyalins sont formés de sub
atsanatomiques distincts, auxquels se rattachent pendant la vie des groupes symptoniatiques bien caractérisés. Cette doctrine
foncièrement distincts, auxquels répondent, pendant la vie, autant de groupes symptomatiques bien caractérisés, qui permettent
ium a subi une transformation graisseuse avancée, tandis que d'autres groupes moins altérés sont restés relativement transparen
is, la dégénérescence graisseuse affecte seule-ment çà et là quelques groupes de tubes contournés, les groupes intermédiaires r
affecte seule-ment çà et là quelques groupes de tubes contournés, les groupes intermédiaires reslant au premier degré de l'alté
upes intermédiaires reslant au premier degré de l'altéra- lion. Ces groupes de tubuli, devenus graisseux, paraissent opaques
s pas sûr qu'un fait analogue ait été rapporté jusqu'ici, traite du groupe hétérogène compris sous le nom de maladie de Brig
orticale, on trouve les vaisseaux droits altérés, disposés par petits groupes autour des lobules et dans les intervalles qu'ils
e dans les éléments épithéliam de la glande rénale. — A chacun de ces groupes correspond une théorie. Or, quelques auteurs écle
posée des éléments épithéliaux de la glande rénale. A chacun de ces groupes correspond un système, une théo-rie. Déjà, nous a
éorie hématogène. Mais, en somme, tous ces faits ne constituent qu'un groupe fort res-treint, et l'on conçoit que jusqu'à preu
20 (1911) La pratique neurologique
tine, nerf optique, chiasma, capsule interne, écorce). , Ce dernier groupe est celui des amblyopies et amauroses hystériques
e lésion ophtalmoscopique, et les troubles visuels rentrent dans le groupe des amauroses. , Le pronostic est grave quand i
urémie, etc.); d'autres, enfin, ne trouvent place dans aucun de ces groupes et, par ce fait, démontrent l'insuffisance des
ondamentale autoriserait même à distraire les scotomes objectifs du groupe de scotomes ou. lacunes du champ visuel. , '
ne forme de la perte de la mémoire visuelle et doit rentrer dans le groupe des aphasies. , . Hémianopsie par lésion cérébr
ou médullaires (atrophie musculaire progressive). C'est encore à ce groupe qu'il faut rattacher les ophtalmoplégies de la-
tation est vraie, on ne doit, dans les déviations oculai- res de ce groupe , constater aucun trouble moteur paralytique ou co
atation qu'on observe dans le goilrc exphotallllique rentre-dans ce groupe . , Paralysie du M. 0. C. La dilatation pupillai
e des altérations oculaires dans le nystagmus congénital donne à ce groupe une assez grande cohésion, et le distingue de ta
s faits très intéressants. On peut avec Jurasz les diviser en trois groupes : 1° réflexes à point de départ nasal et à manife
petits muscles bron- chiques, le catarrhe des voies aériennes : ce groupe ahoutit à l'asthme d'origine nasale. La toux na
fracture du crâne, ou traumatisme indirect dont Passow distingue il groupes : a) violences portant sur le crâne (coups, etc.)
par le D MOUTIER Les troubles de 1 écriture se répartissent en deux groupes . Les uns intéressent le tracé, la forme de l'éc
nctifs des plus nets, tout au moins dans l'écriture spontanée. Deux groupes d'écritures se séparent avec netteté. Dans l'un
térêt pratique. On divise avec les classiques, les aphasies en deux groupes principaux, les aphasies motrices, les aphasies
es aphasies motrices, les aphasies sensorielles. Dans chacun de ces groupes se rangent des aphasies corticales, c'est-à-dire
'interjections, compliquées de répétitions fréquentes de mots ou de groupes de mots, sont mal construites, le verbe y est à l
le associée à l'agnosie tactile, gustative, etc. semblent former un groupe de symptômes à subs- li-atiiiii anatomo-palholo
E. De nombreux auteurs classent les symptômes psychiques en trois groupes en rapport avec l'intelligence, la volonté, la se
toires oniriques des délires toxiques. ' Les idées érotiques. - Un groupe spécial d'idées érotiques com- prend toutes les
vie de relation est donc très bornée, et ce qui distingue ce second groupe du précédent, suivant Bourneville, c'est l'exis
er les troubles observés. Ne font, par conséquent, pas partie de ce groupe les cas dans lesquels la dégénération des racin
lie, etc.). De même que les plaies des nerfs n'appartiennent pas au groupe des névrites, de même les sections traumatiques
e suggestion. » Les troubles sensitifs hystériques rentrent dans le groupe des troubles primitifs (Babinski) de cette névr
fonctionnelles ou des psychonevroses; elle peut être rangée dans le groupe des algies centrales (Dejerine). Dans l'adipose
ique et sur leurs caractères cliniques, on peut les diviser en deux groupes distincts : 1° douleurs d'origine péri- phé1'iq
les grosses articulai ions (épaule, coude, hanche, genou) et leurs groupes musculaires respectifs. Elles ne sont pas conti-
à la suite de fractures ou de luxation, et. les ranger dans le même groupe nosoiogique. De tuone que pour les dou- leurs r
III. - BESOINS, SENSATIONS INTERNES, CÉNESTHÉSIE Il existe tout un groupe de sensations subjectives qui sont à la base de
ments. Toutes ces modalités élec- triques peuvent se ramener à deux groupes primordiaux : les procédés de révulsion et les
es, trous ou canaux d'émergence du trijumeau, qu'il divise en trois groupes : 1 le groupe périphérique, qui comprend les or
naux d'émergence du trijumeau, qu'il divise en trois groupes : 1 le groupe périphérique, qui comprend les orifices sus-orbit
rend les orifices sus-orbitaire, sous- orbitaire, mentonnier; 2" le groupe moyen, qui comprend les canaux du diploé des os
rieur il son orifice spixienne et le canal palatin postérieur; 5" le groupe profond, qui comprend le trou ovale et grand ro
llimètre de diamètre au niveau des trous du premier et du troisième groupe . Les canaux du diploé sont atteints avec des fo
environ de la surface [GUILLAIIV.] ] Fig. s. Fig. 4. Ilig. 5. Groupe des ' orifices périphériques. Nert sus-orbitaire
le relâchement. . Le marteau percutera successivement chacun des groupes musculaires. Clonus de la main. Bouchard (1866)
La distri- HÉMIPLÉGIE. 475 hution de la paralysie aux différents groupes moteurs est, d'après Mann, à peu près la même q
phénomène normal dépendant du déséquilibre qui s'établit entre les groupes des extenseurs de la cuisse, en état d'insuffis
les paraplégies de l'enfant, du vieillard et de l'adulte, ce dernier groupe étant de beaucoup le plus compréhensif. Nous fe
es et llaccides est essentiellement artificielle pour beau- coup de groupes , pour les compressions médullaires notamment, ou,
ues avec abasie associée il des (roubles organiques. Dans le second groupe , l'abasie est pure de toute association. Les ma
élique de la sensibilité, le syndrome de l3towtt.-Sequatcl. Dans ce groupe nous rangerons toutes les compres- sions médull
Nous retrouvons ici les facteurs étiologiques déjà signalés dans le groupe homologue des paraplégies spasmodiques, c'est-à
à évolution aiguë. Poliomyélites. Poly- névrites. Il existe tout un groupe d'affections médullaires aiguës, dépendant nett
ndu. Plus tard, la paralysie ré- trocède et se localise en certains groupes de muscles qui subiront une atrophie définitive
et au plus haut point dans les poly- névrites. Elle frappe certains groupes musculaires de préférence. : on connaît la déma
e. : on connaît la démarche du steppeur consécutive à l'atrophie du groupe jambier antéro-cxterne. Il faut d'ailleurs des
et demeure une des principales manifestations cliniques de tout un groupe d'affections de causes diverses pourtant. L'alt
re de troubles se manifestant dès le jeune. Age et rentrant dans le groupe des paraplégies. Il convient de réserver le nom
. des muscles postérieurs de la cuisse (flexion de la jambe) et du groupe autero- externe des muscles de la jambe et des
la MUSCLES DU MEMBRE SUhi ? P'f;RI ? 525 couche superficielle du groupe épitrochlécn et favorise ainsi leur action. Le
en lias sur le quart interne de la clavicule, en haut existent deux groupes de fibres d'insertion, les unes se fixent au so
à la région cervicale sans y pénétrer. Il croise seize il dix-sept groupes vertébraux-costaux dans son trajet ascendant. En
ux dans son trajet ascendant. En passant en arrière de ces dix-sept groupes vertébro-costaux, le muscle fournit à chacun d'
apophyse transverse ! lune apo- physe épineuse. On distingue trois groupes différents de faisceaux : les demi-épineux, le
ent en haut vers l'orifice des fosses nasales, se divisent en trois groupes : les libres internes s'insèrent à la sous-cloi
il existe une systématisation évi- dente. Chaque racine .innerve un groupe de muscles synergiques et répond dans la moelle
préétabli; elle n'est réglée que par la distribution respective des groupes musculaires. Chaque racine commande une région
u bras ne sont pas paralysés, les troubles sont limités il certains groupes musculaires. Les mouvements des doigts se font
et il ne subsistera rapidement qu'une paralysie limitée à certains groupes musculaires. Souvent aussi, quand- on peut examin
, on peut constater que malgré l'apparence .de paralysie totale, le groupe radiculaire inférieur est moins atteint, et quelq
des troubles de la sensibilité; la paralysie se localise il certains groupes musculaires qui s'atrophient en masse. C'est pa
ures du rocher, tumeurs ou abcès de la parotide, adenopathics, A ce groupe etiologiquc doit être jointe la paralysie faciale
rique et le spinal avaient pour origines apparentes bulbaires trois groupes de filets dont le supérieur constituait le pneumo
r constituait le pneumo- gastrique et l'inférieur le spinal : or le groupe moyen considéré par beaucoup d'auteurs (Claude
cherché d'expliquer le cas de Roque et Chalier. Enfin il existe un groupe de paralysies récurrentielles toxiques, bien ét
faisant faire au malade un mouvement qui contracte le muscle ou le groupe musculaire examiné; on fera contracter les musc
rera en contraction. La puissance fonctionnelle d'un muscle ou d'un groupe musculaire pourra être- mesurée et exprimée ave
st capable de soulever en exécutant le mouvement où ce muscle ou ce groupe musculaire entre seul en contraction. Un appareil
tion. L'atrophie est localisée à un certain nombre de muscles ou de groupes musculaires; quand elle envahit une grande partie
ssivement, en atteignant l'un après l'autre chaque muscle ou chaque groupe musculaire; l'amai- bruissement, au contraire,
'ait le plus rapidement. (Babinski et Onanoff) ('), etc.... Dans ce groupe des maladies de développement entrent toutes le
caractère capital de ces affections, celui qui en l'ait vraiment un groupe il part et qui permet de les considérer comme due
-lombaires et du long dorsal, aux membres supérieurs des muscles du groupe d'Erb, biceps, brachial antérieur et long supin
plus ou en moins l'atrophie non clas- sique de tel ou tel muscle ou groupe musculaire, des cas où les variétés empiètent,
se traduise uniquement par l'atro- phie progressive des muscles du groupe Duchenne-Aran; ce n'est pas le cas le plus ordi
e frappe avant tout, et le plus souvent uniquement, le muscle ou le groupe extenseur situé au-dessus de l'articulation lés
humérale, Ilalipré (') a vu l'atrophie affecter tous les muscles du groupe Duchenne-Erb, c'est-à-dire ceux qui répondent a
sive et localisée. L'atrophie se montre exclusivement au niveau des groupes musculaires restés paralysés, très souvent au n
upérieur, et à peu près dans une proportion égale les. différents groupes musculaires de chaque membre; les muscles du
interprétation a été acceptée par Joffroy et Achard, dans ces trois groupes d'observations l'amyotrophie a pour origine une p
sie radiculaire supérieure, les muscles frappés sont les muscles du groupe Duchenne-Erb, del- toïde, biceps, brachial anté
nt, comme la paraly- sie, tous les segments d'un membre ou certains groupes fonctionnels; parfois elle porte avec prédilect
électrique. i'n Croupi : . On a enfin cherché à réunir dans un même groupe , sous le nom de myopathie hypertrophiante ou de
es. Parmi ces faits un bon nombre répondent assurément à l'un des groupes précédents : hypertrophies fonctionnelles, hypert
une classification d'attente nous s obligeront il réunir dans ce 4" groupe tous les faits auxquels nous venons de faire al
s musculaires. Les hypertrophies patholo- giques des trois derniers groupes présentent une évolution si dissem- blable qu'o
tte dissemblance, Nous dirons succinctement, à propos de chacun des groupes , par quels caractères histologiques essentiels il
ale, '18(). - - HYPERTROPHIES MUSCULAIRES PRÉATROPHIQUES. zizi 2" GROUPE . HYPERTROPHIES PRÉATROPHIQUES Nous avons dit
hique. Or; les fibres sont atteintes individuellement ou par petits groupes ; les fibres les premières atteintes s'atrophient
hyper- trophiées ne sont pas des fibres saines. ei , qF. - 1 5 GROUPE . ? W PERTRÔPHIES MYOTONIQUES - - Maladie de Tho
station d'un degré plus ou moins avancé d'une même lésion. \ /¡;" Groupe . 4' Croupe. HYPERTROPHIES DE CAUSES DIVERSES
ires vraies ont été publiées qui ne rentraient dans aucun des trois groupes précé- dents. Talina. en 1802, a cru pouvoir ré
core de façon acromélique ou rhizomélique, d'autres enfin à un seul groupe musculaire ou à quelques muscles plus ou moins di
s localisées, un certain nombre rentrent tout d'abord dans l'un des groupes précédents. Ainsi dans le cas de Pall il y avai
sentant des altérations manifestes. Certaines étaient limitées à un groupe musculaire (muscles de l'épaule, Benedict), la pl
tingue nettement les hypertrophies bien classées des trois premiers groupes ; il nous a paru intéressant de tenter, dans ..l
e toutes les autres hypertrophies musculaires qui constituent le 4c groupe , une clas- sification d'attente qui rapproche c
es d'entre elles des hypertro- phies mieux connues des trois autres groupes . ,1. A. peu près seul Auerbach a noté qu'il n'y
ilibre dans la marche et dans la station. Ces affections forment un groupe , non seulement par suite de l'existence de ce c
c'est-à-dire ne porte que sur un ou plusieurs des mouvements que le groupe de muscles paralysés est appelé à exécuter. C'e
marcher et de se tenir debout (astasie- ' abasie) sans qu'aucun des groupes de muscles qui entrent enjeu dans la station ou
s bulbaires (glycosurie, etc.). 111. Cas intermédiaires et mixtes : groupe des maladies hérédi- taires ou familiales avec
. Mais ce n'est nullement parce que chacun de ses muscles ou de ses groupes musculaires n'a pas la force d'accomplir le mou
forte ; il peut dire encore quelques mots : excla- mations, jurons, groupes de mots ou phrases stéréotypés, vocables émo- t
st donc aisée. Elle est un peu moins facile, si nous considérons le groupe des myoclonies : dans le paramyoclonus multiplex,
st rare que les convulsions se limitent à un seul muscle ou il \111 groupe musculaire. Le plus souvent elles s'étendent il
saire de ranger tous les trem- blements dans l'un ou l'autre de ces groupes . Nous décrirons successi- vement les tremblemen
resse la face, la langue cl le maxillaire et en résumé il range en 4 groupes les tremblements parkinsoniens anormaux : 1°
éditaire et le tremblement sénile devraient, être unis dans un même groupe suivant Achard et devraient porter le nom de tr
oubles psychiques sont peut-être d'origine toxique. Dans ce dernier groupe des manifesta- tions non choréiques, il faut ra
, il s'agit d'une assemblée de contractions se reproduisant sur des groupes de muscles différents, et on constate alors que l
ale. -' .... Ces complications cardiaques peuvent être rangées en 4 groupes : CHORÉE DES ENFANTS OU CHORÉE DE SYDENHAM. 85f
enfin la mémoire se perd, il y a impossibilité de préciser certains groupes de faits : un malade auquel on demande de désig
hent presque aussitôt. Ces contractions siègent quelquefois dans un groupe spécial des muscles et se généralisent dans la
mais il n'en est pas moins vrai qu'il y a contiguïté entre les deux groupes morbides et que souvent la distinction en est,dif
queinent systématisé. 11 porte sur un muscle ou généralement sur un groupe de muscles destiné il l'accom- plissement d'un
nels, physiologiques, qui sont mis en contraction anormale, non des groupes anatomiques, Les tics multiples peuvent coexist
s tics, et particulière- ment la maladie des tics, rentrent dans un groupe naturel étendu de mala- dies ou les (roubles mu
gnent ne sont que des manifestations diverses de la dégénérescence, groupe que l'on peut dénommer maladies nlusculo- psych
actions toniques intéressant les extenseurs à. l'égal de tout autre groupe musculaire. Ajoutons que presque tous les états
nc, au phénomène des orteils, au signe, du peaucier. fait partie du groupe des symptômes qui ne peuvent être reproduits pa
ne saurait rigoureusement, parmi les oedèmes nerveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques
rmi les oedèmes nerveux, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un groupe d'oedèmcs chroniques, innom- brables étant les
'on peut, suivant Pierre Marie, distinguer les tremblements en deux groupes , ceux qui s'accompagnent de tachycardie et ceux q
rentrent dans un cadre assez facile à limiter, et qui forment deux groupes : pollakiurie et difficultés de la miction. 11V
certain nombre de types cliniques sont faciles à distinguer dans ce groupe . Le vomissement partiel est fréquent : l'hystér
on le conçoit, par la paralysie ou l'atrophie d'un muscle ou d'un groupe de muscles ou par la contracture du muscle ou d
e ou d'un groupe de muscles ou par la contracture du muscle ou du groupe de muscles antagoniste. Il existe pourtant de
itre s'efforcera de mettre le praticien en mesure de ranger dans le groupe qu'il convient le géant, l'infantile ou le nain
é. Gigantisme. Les malades considérés présentent à étudier divers groupes de symptômes, mais ce sont, avant tout des géants
porte surtout sur les membres inférieurs, absolument comme dans le groupe précédent. On en trouve des types parfaits chez l
é, les infantiles sont nom- 1]rcux, et même fort dissemblables d'un groupe au groupe voisin. Nous avons étudié déjà l'infa
antiles sont nom- 1]rcux, et même fort dissemblables d'un groupe au groupe voisin. Nous avons étudié déjà l'infantilisme à
ses marques de poudre de glande desséchée. NANISME- De tous les groupes dystrophiques étudiés, celui-ci est à coup sur le
rée figurent une « gourde» mons- trueuse (Comby). Les individus des groupes - précédemment étudiés ne présentaient nul- l
le un aspect tronqué bien spécial. Enfin, Slithl a décrit plusieurs groupes d'anomalie dont les principales portent sur les v
sées d'une façon homologue pour une même série de dents sur tout un groupe d'incisives ou de canines par exemple. Ce sont de
nq fois des bacilles, qui, dans un cas, pouvait être rangés dans le groupe des coli-bacilles, une fois le strep- tocoque,
le soit créé par la méningite cérébro-spinale, que dans un deuxième groupe de faits, la paralysie infantile s'accompagne de
ils ont constitué une thérapeu- tique. On envisage dans le premier groupe de ces faits les rayons qui, après avoir traver
impressionner une plaque photographique ou un écran, dans le second groupe les rayons qui, au contraire, sont arrêtés ou a
mble qu'on puisse actuellement dans le tabès trophique dissocier du groupe ancien des arthropathies deux ordres de faits. ce
on électrique. Considérons seulement pour l'instant un muscle ou un groupe de [E HUET] 1254 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. muscle
s particulièrement sur certains territoires nerveux ou sur certains groupes musculaires, faisant défaut ou ne se manifestan
gs développements et des répétitions nombreuses, nous réunirons par groupes ces maladies, rapprochant les unes des autres c
et nombre de maladies du système nerveux s'étendent dans plusieurs groupes ; nous en tiendrons compte à l'occasion. Nous ét
upes; nous en tiendrons compte à l'occasion. Nous établirons quatre groupes principaux. Dans le premier prennent place les
ongements périphériques, racines nerveuses et nerfs. Dans ce second groupe nous ferons entrer des maladies de l'appareil mot
duisant le seuil de l'excitation. Sur chaque muscle, ou sur un même groupe musculaire, l'électrisation ne sera pas prolong
l'électrode en forme de rouleau lentement et dou- cement sur divers groupes musculaires, de préférence sur ceux les moins m
n temps variant de une demi-minute il 2 ou 5 minutes sur chacun des groupes musculaires choisis. Les excitations des nerfs
Suivant les cas on la fait porter davantage sur certains muscles ou groupes musculaires. Les excitations par courants galva
moins diffus et se montrent pré- dominants sur certains muscles ou groupes musculaires, au lieu du bain électrode, il est
rte, après avoir ramené lc courant à zéro, l'électrode sur d'autres groupes musculaires soit sur le même membre, soit sur l'a
ne doivent pas non plus être trop prolongées; sur chaque muscle ou groupe musculaire soumis, à ce traitement on limitera l'
grand nombre de. muscles sont atteints ; avec, quelques muscles ou groupes musculaires profondément altérés on observe parfo
ie modérée, et prolongées de 1. à 2 ou minutes sur chaque muscle ou groupe musculaire soumis à l'électrisation. Les séances
alysies Faciales périphériques peuvent être divisées en deux grands groupes , les paralysies' dans lesquelles les réactions
de la DR soit partielle, soit complète. - Les paralysies du premier groupe , celles qui ne présentent pas de DR, sont des p
ntermit- tences fréquentes. En excitant les muscles isolément ou en groupe par l'intermédiaire du nerf, soit par la méthod
21 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
la zone cornu-radiculaire ont diminué de nombre ; elles forment un groupe assez pâle situé comme au niveau de la racine pré
le de Flechsig, au milieu duquel il existe, le long du sep- tum, un groupe de fibres plus avancées dans leur développement.
ont fines et que, au lieu de former dans les cordons postérieurs un groupe bien délimité, elles se mêlent aux fibres radic
matiques. Je crois qu'elles seraient mieux à leur place que dans le groupe des pseudo-systématiques. Nous ne nierons pas cep
porté deux cas et Ballet et Minor admettent leur existence. Mais le groupe des scléroses combinées pseudo-sstémrctiues dans
complètement. Ces différents types de grandes cyphoses forment des groupes qui paraissent se relier par quelques inter- mé
raités avec l'ergothérapie que dans la convalescence. Dans un autre groupe de psychoses, au con- traire, nous observons de
, dans la figure du saint qui exorcise de sa main droite et dans le groupe -des assistants ' émerveillés. La figure du pos
rrait même être plus grand et n'avoir aucun droit à figurer dans le groupe nosographique du gigantisme. Et s'il mérite d'y
donc réglés par la lésion nerveuse. Mais à côté d'eux, il reste un groupe d'oedèmes dont la cause première réside dans une
oupe longitudinale ou perpendiculaire à l'axe de différen- cier des groupes cellulaires très distincts : l'enchevêtrement des
aison se soutient d'autant mieux que dans le ganglion tabétique les groupes cellulaires disparus sont quel- quefois remplac
run bloc fibreux, quelquefois hyalin : enfin il peut se faire qu'un groupe de cellules disparues soit remplacé par du tiss
t là la disparition d'un certain nombre d'élé- ments se faisant par groupes . C'est ainsi qu'un groupe de cellules tout à fa
rtain nombre d'élé- ments se faisant par groupes. C'est ainsi qu'un groupe de cellules tout à fait intactes avoisine un gr
est ainsi qu'un groupe de cellules tout à fait intactes avoisine un groupe de cellules atrophiées, mais normalement assemb
plus bruyants. Çà et là, l'interminable cortège est coupé par un groupe de tout jeunes NOUI'FLLF IC01<OGRAI'IlIF DE
e dressent et plongent en cadence avec d'aigres grincements. Et ces groupes musicaux ne sont guère distants que de cinquante
NRY MEIGE rangée deux danseurs contigus dont l'un suit le rythme du groupe musi- cal qui précède, l'autre obéissant à la c
mps d'arrêt. Une autre faisait un pas sur trois à reculons. Tout un groupe aux jarrets élastiques progressait en sau- tant
ne de mille pèlerins que j'ai vu défiler, et dont j'ai parcouru les groupes , avant et après la procession, c'est à peine si
rivant la même lésion dit qu'elle était surtout pro- noncée dans le groupe médial de cellules (tout à fait connue dans le ca
avec la différenciation progressive des for- mes psychiatriques, le groupe collectif de dementia consecutiva sera incontes-
irige la procession dansante. Parmi les fervents, on distingue un groupe de quatre danseurs, hommes âgés qui s'avancent
qui s'avancent en gesticulant, et en fléchissant sur les jambes. Ce groupe est malheureusement relégué au troisième plan et
e en légende : La danse de Saint-Guy (1) (PI. XLVI). On y voit un groupe de quatre personnages qui se livrent à des gesti-
ation de l'auteur. La présence du violoniste, esquissé au milieu du groupe de danseurs à l'arrière-plan, le costume et les
tenseurs, le processus adipeux étant il peu près égal dans les deux groupes de muscles. C'est dans les muscles des extrémit
oglie. Ces boules sont tantôt isolées, tantôt réunies en des petits groupes et plus ou moins mêlées avec les noyaux sus- me
la sclérose et a ajouté que les fibres conservées forment de petits groupes . Uhthoff a observé une fois l'atrophie d'un sec
secondaire représente un type que nous avons classé à part dans le groupe des cavités médullaires, sans vou- loir à ce mo
résoudre à abandonner toute classification et à réunir dans un même groupe toutes les cavités médullaires ? En aucune façon,
rmule, ils sont manifestement fort loin l'un de l'autre. Un premier groupe comprend ceux où la cavité syringomyélique paraît
réserver provisoirement une place spéciale (1). Les faits du second groupe diffèrent trop en effet pour qu'une scission ne
par une membrane conjonctive. 398 THOMAS ET HAUSER C'est dans ce groupe de faits, peut-être le plus considérable, que se
oelle, marche inverse de celle qui se réalise- rait dans le premier groupe . Ces faits soulignent l'importance des lésions
ente mais non constante, et commune aux cas du premier et du second groupe . Elle porte à la fois sur les parois vasculaire
par des caractères communs. Bien plus, nous ne pensons pas que ce groupe de faits, que l'on pourrait (1) Il ne faut pas
a pathogénie des cavités serait dans cette syringomyélie du premier groupe , épendymaire ou même tératologique, foncièremen
ns ulté- rieures permettront sans doute de préciser l'importance du groupe des cavités médullaires auquel cette pathogénie
des languettes minces qui se terminent en dehors en pointes. Leurs groupes cellulaires interne et postéro-exterue contiennen
ire antérieure. POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE AIGUË DE L'ADULTE 439 Les groupes cellulaires postéro-interne et externe ne présent
ent plus que quelques cellules extrêmement petites et aplaties ; le groupe antéro-interne droit a encore sur la coupe deux
rejetées en cou- ronne.à leur pourtour. - Dans la corne gauche un groupe externe de 5 ou 6 cellules subsiste seul dans l
de volume. A droite il existe quelques cellules dans les différents groupes ; elles ne sont belles que dans le groupe antér
ules dans les différents groupes ; elles ne sont belles que dans le groupe antéro-interne. A gauche il n'y a plus aucun grou
elles que dans le groupe antéro-interne. A gauche il n'y a plus aucun groupe , mais seulement quelques cellules éparses, peti
st plus très sensible. Il existe des cellules dans les diffé- rents groupes , mais à droite celles des groupes antérieurs sont
es cellules dans les diffé- rents groupes, mais à droite celles des groupes antérieurs sont très petites et dispersées, à g
pour D *-2 sur la distribution et la forme des cel- lules dans les groupes cellulaires antérieurs et de Clarke. 3-48 dorsa
ehors. Il n'y a pour ainsi dire aucune cellule, si ce n'est dans le groupe intermédio-latéral et quelques-unes, rares, peu c
oyau peu visible. Cellules assez nombreuses et assez belles dans le groupe antéro-latéral et dans les colonnes de Clarke.
eure gauche, pour ainsi dire pas de cellules à droite. sauf dans le groupe intermédio-latéral qui est bien fourni dps deux
llules petites et arrondies dans chaque corne antérieure. Seuls les groupes intermédio-latéraux et les colonnes de Clarke o
unes très petites, ratatinées, entourées d'une large zone claire Le groupe intermé- dio-latéral a de belles' cellules à dr
iculaire antérieure. A gauche, quelques très fines cellules dans le groupe antéro-interne, pas ailleurs; adroite, trois gros
téro-interne, pas ailleurs; adroite, trois grosses cellules dans le groupe antéro-interne, une ou deux en dehors. 5° lomba
r des vais- seaux. Quelques très petites cellules seulement dans le groupe antéro-interne à gauche, deux grosses dans le m
t dans le groupe antéro-interne à gauche, deux grosses dans le même groupe à droite. En regard de chaque coupe de moelle d
ourvues en- core d'un ou de deux prolongements seulement. Seuls, le groupe inter- médio-latéral et le groupe de Clarke par
rolongements seulement. Seuls, le groupe inter- médio-latéral et le groupe de Clarke paraissaient à peu près intacts, mais
élite antérieure généralisée, frappant inégalement t les différents groupes cellulaires, mais les frappant à tous les niveaux
araît plus petit qu'il ne devrait être, mais sans localisation sur un groupe musculaire déterminé. Le malade se plaint de la
rues. Çà et là, îlots de vésicules adipeuses, mais non disposées en groupes ou en séries paraissant répondre à des fibres d
cellules géantes. Au degré extrême, il ne reste plus que de petits groupes de noyaux dans la substance hyaline fondamentale.
s rétractions tendineuses et dans lesquels l'hypertonie de certains groupes musculaires n'est peut-être pas sans jouer un r
étudier dans leurs rapports les élé- ments de ce système, les trois groupes de signes anatomiques, physiologi- 488 KUDLEK e
ongue robe claire, ornée seulement d'une bordure. A sa gauche, un groupe de personnages richement vêtus, dont les vê- te
ntre du malade qui semble extraor- dinairement tuméfié. Derrière ce groupe se tient un personnage armé d'une seringue. La
22 (1934) Oeuvre scientifique
certain nombre de malades, en les réunissant quand jele pourrai par groupes , d'une manière systématique, je les examinerai en
ériteraient plutôt d'être rangés dans le premier que dans le second groupe et n'ont pas, malgré les apparences, une grande
le diagnostic peuvent être divisés, d'une manière générale, en deux groupes : - d'une part, les signes objectifs, notamment
utrefois que les troubles hystériques devaient être divisés en deux groupes : d'une part, les troubles transitoires (crises,
t se contenter d'approximation. Celle-ci suffira si l'on choisit un groupe nombreux d'individus jeunes, bien conformés, n'
stance que le rotulien et 1',tchilléen('). Si maintenant, dans le groupe des individus paraissant jouir d'une par- faite
durée plus longue que le mouvement tendino-réflexe ; il envahit des groupes musculaires autres que ceux qui constituent le
les maladies dans lesquelles on observe de l'irréflectivité en deux groupes . Au premier appartiennent trois grandes affecti
un second plan en raison de sa moindre fréquence. Dans le deuxième groupe nous rangerons toutes les affections dans la symp
erses, les compressions médullaires, la syringomyélie, etc. PREMIER GROUPE . Tabès. Occupons-nous d'abord de la maladie de
ffection dont l'amyotrophie peut être le premier signe objectif. Un groupe musculaire est parfois très atrophié sans que s
ité est toujours définitive dans la maladie de Friedreich. deuxième GROUPE . Lorsque des lésions intra-spinales : myélites,
ontairement ses muscles, l'excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contraction
pied, de la jambe et de la cuisse. En ce qui concerne le premier groupe de réflexes, que je réunis momentanément d'une
e un degré dépas- sant en hauteur l'état normal. Pour le deuxième groupe il en va autrement. Dans certaines affections d
la cuisse sont manifestement exagérés. Les réflexes de ce deuxième groupe méritent un nom spécial ; on les a appelés « ré
te autre affection, on ne constate aucune différence entre les deux groupes en ce qui concerne la réflectivité tendineuse.
ations, qui ne s'excluent pas l'une à l'autre, soit applicable à un groupe de faits. J'ajoute à ce qui précède que les par
, leur rapidité, leur amplitude et dans l'étendue du territoire des groupes musculaires qui entrent en jeu pour les constit
euls étudiés au début, mais un examen minutieux montre que d'autres groupes musculaires peuvent entrer en jeu, comme cela r
réflexes de défense. Je suis arrivé ainsi à cette idée que, dans le groupe des contractures liées à une perturbation de la
xion ou extension, on constate des contractions dans les muscles de groupes opposés, et l'on peut concevoir que le sens du
euls étudiés au début, mais un examen minutieux montre que d'autres groupes musculaires peuvent entrer en jeu, comme cela r
elles consistent : Les extenseurs et les fléchisseurs forment deux groupes soumis chacun à une forme spécifique d'activité
la distinction capitale qu'établissent les auteurs anglais entre le groupe des fléchisseurs et celui RÉFLEXES DE DEFENSE 1
e flexion seraient des réflexes cloniques, phasiques. C'est dans le groupe de ces derniers réflexes que rentrent pour la p
n l'a déjà supposé pour les réflexes de défense ('), que les divers groupes musculaires dont la contraction provoque un mou
flexion a pour cause première la tension d'un muscle appartenant au groupe des extenseurs(=). Il n'en est pas de même lors
membre supérieur gauche, les troubles parétiques atteignent les mêmes groupes musculaires, mais sont beaucoup moins prononcés
t de contractures consécutives à des traumatismes, et rangé dans le groupe des troubles d'ordre réflexe, l'exitabilité mécan
olument inexci- table au galvanique et au faradique. Les muscles du groupe antéro-externe présentent l'inexcitabilité fara
lissement de l'acuité visuelle. Nous vous faisons passer un premier groupe de vingt-quatre observa- tions, ou plutôt de vi
auteur classe les lésions médullaires par coup de couteau en trois groupes : le Dès le début, les troubles de la motilité
D'autre part, dans les cas compris dans ses deuxième et troisième groupes , c'est-à-dire ceux où la sensibilité tactile se t
osé, c'est-à- dire du côté de la lésion ; dans les cas du troisième groupe la sensibilité profonde peut même être atteinte
, nous note- rons simplement que notre cas rentre dans le troisième groupe de la classification de Petren et qu'il cadre b
es de la ceinture scapulaire : deltoïde, sus et sous- épineux et du groupe Erb-Duchêne : biceps, brachial antérieur, long su
sque la sensibilité objective était presque intacte et que dans les groupes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition
les faits cliniques observés. Ces faits peuvent être divisés en deux groupes : d'une part ceux qui sont en rapport avec les
e l'affection dans telle ou telle région, dans tel ou tel muscle ou groupe musculaire. Mais auparavant, nous rappellerons
s tendineux et de l'excitabilité idio-musculaire s'observe dans des groupes musculaires qui ont conservé l'excitabilité vol
les conditions qu'un trouble doit remplir afin d'être admis dans ce groupe . Je le répète, pour éviter tout malentendu. il es
s tendineux exagérés ; donc ce phénomène ne peut être rangé dans le groupe des manifestations hysté- riques primitives. Je
pratique ; n'est-il pas essentiel, en effet, de réunir dans un même groupe tous les troubles sur lesquels la persuasion peut
ux, 5 et 8 mai igoo. 464 ' IlYSTf;RIE-PITII1.1TISME d'insister un groupe nosologique spécial, quelle que soit l'étiquette
Anciennement, les médecins avaient cru remarquer qu'il existait un groupe de manifestations nerveuses intimement liées à un
caractère en évidence en appelant « Hystérie » de j7 ? e utérus, ce groupe nosologique, et il est incontestable que si la
à interpréter et ne peut être rangé, à leur avis, dans aucun autre groupe nosologique, il leur suffit, pour l'appeler hysté
s ? P. Janet a écrit : « L'hystérie est une psychose appartenant au groupe des maladies mentales par insuffisance cérébral
de la supercherie. Ces phénomènes doivent être divisés en plusieurs groupes . A l'un d'eux appartiennent les manifestations
mulation semblables à ceux que je viens d'envisager. Dans le second groupe , se rangent des phénomènes qui sont également d
On peut en dire autant de l'anurie dite hystérique. Le troisième groupe est constitué par des phénomènes qui ne sont pas
ser ; c'est déjà sortir de la confusion ancienne. a) Il y a donc un groupe de phénomènes qui ont pour caractère de pou- vo
agacité. Il est nécessaire de donner une dénomination spéciale à ce groupe de phénomènes, comme à tout objet qui se distin
par l'adjectif « pithiatique » chacun des troubles qui constitue ce groupe . Sans doute, ce n'est pas toujours, à propremen
influence de chocs moraux ; on a été conduit ainsi à confondre deux groupes de manifestations qui doivent être distinguées
ssive. c) On trouve enfin dans la littérature médicale un troisième groupe de faits consistant en une exagération générali
cette opinion, mais ce qu'on peut dire dès maintenant c'est que ce groupe se distingue des deux précédents plus nettement
suasion. On est donc bien forcé de reconnaître qu'il y a là trois groupes de phénomènes qui ne peuvent être assimilés les
es uns aux autres et qu'il faut se garder de confondre. Ces trois groupes , tout en ayant chacun des propriétés qui les dist
fait qu'il n'est pas rare de voir les phénomènes, soit du deuxième groupe (émotifs), soit du troisième (réflexes), associ
utorise à admettre que les phéno- mènes du deuxième et du troisième groupe prédisposent d'une manière spéciale aux acciden
erche systéma- tiquement les phénomènes du deuxième et du troisième groupe , d'une part chez tous les individus présentant
relation entre les phénomènes pithiatiques et ceux des deux autres groupes ('). Nous venons de voir, après avoir écarté de
mparfaite de la simulation, de la mytho- manie, qu'il restait trois groupes de phénomènes que nous avons appelés pithiatiqu
ttement ce qu'il désignera, le premier, le deuxième ou le troisième groupe des phénomènes que nous avons passés en revue.
rd'hui ; que de cette désagrégation résulte la mise en liberté d'un groupe autonome de phé- nomènes occupant en pathologie
à la cri- tique des « stigmates », comparant, comme on l'a vu, deux groupes d'hys- tériques, dont l'un avait été exposé et
tive les phénomènes diffus à ceux qui sont systématisés. Le premier groupe comprend toutes les émotions proprement dites et
e de déterminer, dans un cas particulier, s'il entre ou non dans le groupe des accidents pithiatiques. Mais tout cela n'
tiques. Mais tout cela n'empêche en rien d'admettre qu'il existe un groupe d'accidents pouvant être indépendants de toute
entant pas les attributs en question ne peuvent être rangés dans ce groupe . Doivent au contraire en faire partie tous ceux
n produite par la paralysie ou la contracture et rentraient dans ce groupe d'attente que l'un de nous avait réservé pour l
constatés en neurologie de guerre, il convient de mettre à part un groupe de faits assez nombreux qui . se présentent sou
dénomination qu'on leur donne, forment, et c'est là l'essentiel, un groupe à part, intermédiaire en quelque sorte entre le
on dont nous disposons. HISTORIQUE NOTIONS ANCIENNES Comment ce groupe nosologique s'est-il constitué ? Son origine est
t décrit, autrefois, sous le nom de paralysies sympathiques tout un groupe assez hétéroclite de paralysies provoquées dans c
solument à l'hystérie et qui sont entrés tout naturellement dans le groupe des accidents hystérotraumatiques le jour où ce
ment dans le groupe des accidents hystérotraumatiques le jour où ce groupe a été créé par le génie de M. Charcot. Il en sera
t souvent à la suite des lésions traumatiques et qui font partie du groupe des phénomènes dits réflexes. Ces troubles sont
la surexcitabilité mécanique des muscles, décrite par nous dans ce groupe de faits, a été confirmée par les observations ul
éralement assez limité. Elle peut être très mar- quée dans certains groupes musculaires du membre malade et faire complètem
on centrale et il y a tout lieu selon nous de faire rentrer dans le groupe des phénomènes d'ordre réflexe ces troubles qui
-articulaires et parfois cutanés. Les contractures appartenant à ce groupe se caractérisent encore par leur résistance pro
neurologie. Séance du 8 juin rg ? 3. Il y a, comme on le sait, un groupe de néoplasies siégeant dans le j canal rachidie
é d'hypoexcital)ilité voltaïque et faradique ; il en est de même du groupe antéro-externe de la jambe gauche. L'asymétrie
muscles striés de l'homme d'un système spécial consti- tué par des groupes de petites fibres musculaires entourées d'une gai
23 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n un moment donné par un centre nerveux, quel qu'il soit, ou par un groupe d'éléments nerveux, est toujours le produit, ou
ies chez ces malades ; que la fusion des éner- gies dirigées sur un groupe musculaire fait défaut; que la force psycho-mot
e. La diffusion des impulsions vo- lontaires sur un grand nombre de groupes musculaires, souvent fort éloignés, le défaut d
t désordonnées. Bianchi rapproche de la faiblesse dynamométrique du groupe musculaire sur lequel un courant nerveux est pr
catégories d'éléments nerveux, et qu'une délimitation rigoureuse de groupes cellulaires ou de zones nerveuses est impossible.
ir localiser avec précision une fonction dans un élément ou dans un groupe plus ou moins étendu de ces éléments, c'est un pu
s organes merveux (les facultés intellectuelles ! ) dans tel ou tel groupe de cellules ? « Si jedisaisque les fonctions di
tré le professeur Yeo et moi-même 1, les mêmes muscles ou les mêmes groupes musculaires entrent dans la composition des dif
motrices des plexus brachial et crural, de telle sorte que le même groupe musculaire peut avoir une représentation multip
d'ordinaire à l'épilepsie; il y aurait peut-être lieu d'admettre le groupe des psychoses traumatico-alcooliques (une obser
iSKY. (Archivr f. Psychiat., XX, 2,) L'auteur réunit dans un seul groupe les états psychopathiques, qui ont reçu les dén
que de la para- lysie générale des aliénés, il déclare que dans son groupe c'est la cellule cérébrale intoxiquée qui déter
sensibilité. Il est impossible de trouver duplication. Un troisième groupe de malades est constitué par ceux qui, pré- sen
ervé 24 cas à la clinique du professeur Erb. 11 les divise en trois groupes . SOCIÉTÉS SAVANTES. 1 T 1 d'Oppenheim, mais i
, dans son ensemble, a diminué de volume. Il est cependant certains groupes musculaires où l'atrophie est très prononcée, t
s musculaires où l'atrophie est très prononcée, tandis que d'autres groupes ont conservé, avec leur relief, leur puissance
ture ne pouvait être douteuse. C'était un zona, représenté par deux groupes Fig. 1 i. 170 CLINIQUE nerveuse : r importa
région de l'articulation sacro- vertébrale. En avant, on voit deux groupes , moins importants que ceux de la partie postéri
anche intercostale ou abdominale, les vésicules sont disposées en groupes plus ou moin confluents, affectant la forme d'une
e Lancisi devenus inférieurs. Ce ne sont en somme que des filets du groupe Lan- cisi, qui se sont séparés de ce groupe, po
somme que des filets du groupe Lan- cisi, qui se sont séparés de ce groupe , pour passer au- dessous du corps calleux. Ce s
et pour la station et la marche, dont l'apprentissage est long, des groupes cellulaires différenciés dans l'écorce, qui par
ce, qui par des commissures spéciales, entrent en relation avec les groupes cellulaires correspondants dans les centres spi
es groupes cellulaires correspondants dans les centres spinaux. Des groupes cellulaires corticaux part le stimulus à l'occa
ion, de la marche, du saut, etc., comportent chacun deux centres ou groupes cellulaires différenciés, dont l'un siège dans
liés l'un à l'autre, bien entendu, par des fibres commissurales. Le groupe spinal, le plus compliqué des deux, sans aucun
fonction ; tandis que le rôle relativement beaucoup plus simple du groupe cortical, consiste dans l'émission volontaire d
sement, tantôt enfin l'arrêt définitif des actes exécutés par le groupe spinal correspondant. Dans celui-ci, en d'autres
ue le cerveau n'a besoin que de peu de fibres pour mettre en jeu le groupe cellulaire où résiderait le mécanisme d'exécuti
a- tive puisse se renouveler plusieurs fois de suite dans le même groupe moléculaire, ou se répète successive- ment dans
oléculaire, ou se répète successive- ment dans un certain nombre de groupes voisins, on comprendra comment notre galvanomèt
s chaque point actif de l'écorce, ou se propagerait rapidement d'un groupe moléculaire aux groupes contigus. La rapidité a
l'écorce, ou se propagerait rapidement d'un groupe moléculaire aux groupes contigus. La rapidité avec laquelle les deux sé
olée, soit centripète, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et périphérique
il présente des mouvements choréiques intenses dans les différents groupes musculaires. La marche en est rendue difficile.
ve : des symptômes généraux ou des symptômes en foyer. On doit à ce groupe rattacher les névroses hémianesthésiques et psy
à diviser les convulsions musculaires idiopathiques en trois grands groupes . 1" Les myospasies simples. Tic-paramyoclonus
ourbe. La discussion clinique est particulièrement à lire. L'auteur groupe ensuite quarante- deux cas tirés de la bibliogr
Il est même pro- bable que, dans le système nerveux central, chaque groupe de cel- lules en état d'activité continue est d
ue groupe de cel- lules en état d'activité continue est doublé d'un groupe de cellules d'arrêt. P. K. XL. Contribution A
SE. (.Mettrai CMtraM., 1890.) Nous diviserons ces mémoires en trois groupes . Le premier groupe (cas de Pick, Becker, Bartel
1890.) Nous diviserons ces mémoires en trois groupes. Le premier groupe (cas de Pick, Becker, Bartels) a pour formule l'i
e de méningite aiguë surajoutée à la folie systématique). Le second groupe pourrait être dénommé : les suites psychop(¡thogé
ncert avec la thérapeutique interne con- venable. Dans le troisième groupe , ils'agitde l'action curative de l'influenza su
contact ou à chaque interruption dans le réseau correspond dans des groupes d'autres cellules un arrêt ou une ac- célératio
é- rosés, on trouve beaucoup de fibres normales disposées par des groupes isolés; en outre, entre la pyramide sclérosée et
nvraisemblable, parce que, si la simulation hystérique d'un certain groupe d'affections organiques cérébro-spinales nous e
action et sans autorité sur son personnel. Des 1881, le cinquième groupe de lacommission des aliénés dont M. Bourneville
s folies impulsives, comme le délire de persécution, pour former un groupe sympto- Illùluloglque qui repose sur un même fo
S MÉDICO-PSYCHOLOGIQUES. 437 momie. - C'est l'un des facteurs de ce groupe symptomatologique le délire de persécution que
tituent l'idée délirante. En effet, une idée déhranre ou non est un groupe d'images visuelles, audi- tives, motrices, etc.
ur Wille, la folie du doute et les obsessions en général forment le groupe des folies avec conscience qui appartient à la
re musicale, etc. Il les a classés, les uns et les autres en quatre groupes différents, depuis ceux qui possèdent ces quali
egré, jusqu'à ceux où elles n'existent nullement. Dans le premier groupe , il y a 27 p. 100 d'idiots et 60 p. 100 d'enfan
t, c'est-à-dire pour des aliénations aiguës, et l'on distingue deux groupes de délires fébriles, qu'il n'est pas, du reste,
de délire, et même on a signalé un cas de suicide. Dans un second groupe de psychoses consécutives à la grippe, les psyc
s. Nous ne pouvons que consigner les conclu- sions. 1° Il existe un groupe de cas morbides de la jeunesse qui ne rentre pa
e ou folie de la jeunesse ; elle forme avec cette dernière un grand groupe auquel convient le nom de folie hébétique et qui
ffaiblies et à l'état latent, chez l'homme bien développé. Entre ce groupe d'idées piimilives et celui des idées plus réce
Les formes aiguës de la folie peuvent être divisées en deux grands groupes : confusion aiguë avec prédomi- nance des troub
he de l'affection dans ces cas, il est permis de les placer dans un groupe spécial des psychoses récurrentes manie récurre
24 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
les variés de la nutrition. Ces affections secondaires constituent un groupe pathologique des plus inté-ressants. Aussi consac
j'appelle votre attention. Occupons-nous d'abord des faits du second groupe . Les lésions traumatiques des nerfs dont il s'a
leur influence sur la nutrition des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moel
n des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moelle qui n'ont pas d'influence
étendues des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la moelle qui influencent plus ou mo
, ily a lieu d'établir, parmi les maladies spinales irritatives, deux groupes bien distincts, que nous passerons successive-men
ts, que nous passerons successive-ment en revue. A. Dans le premier groupe , nous rangeons celles des lésions irritatives de
, dans tous ses diamètres, une réduction très manifeste ; de plus, le groupe externe des cellules motrices a complètement disp
présentaient également une atrophie très marquée, limitée à certains groupes de muscles. pression exercée par une tumeur, pa
nt d'une lésion affectant les nerfs périphériques (1). B. Le second groupe comprendra les affections de la moelle épinière q
des troubles plus ou moinsprofonds dans la nutrition des muscles. Ce groupe comporte deux sous-divisions : 1 ° La première
ssez exactement, dans l'espace ovalaire très circonscrit qu'occupe un groupe ouagrégat 1. Levier. — Beilrage zur Pathologie
s cas d'ail-leurs, où l'atrophie d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout entier, de cellules nerveuses, est la seule
de labranche cutanée péronière et du nerf musculo-cutané. Un premier groupe de vésicules se voit au-dessus et au-des-sous del
e de vésicules se voit au-dessus et au-des-sous delà rotule; un autre groupe plus nombreux est disposé suivant une ligne verti
qui descend jusqu'au niveau du tiers moyen de la jambe. Un troi-sième groupe siège au cou-de-pied,en avant et en dedans de la
res paralysés, la cystite, la néphrite, etc. B. Le type du deuxième groupe se rencontre dans l'ataxie lo-comotrice progressi
e postérieure et canal central. — C, Sillon médian intérieur, — a, a. Groupe de cellules antérieur externe. — b, b', Groupe de
ian intérieur, — a, a. Groupe de cellules antérieur externe. — b, b', Groupe de cel-lules antérieur interne, — c', Groupe de c
érieur externe. — b, b', Groupe de cel-lules antérieur interne, — c', Groupe de cellules postérieur externe du côté droit. Le
nterne, — c', Groupe de cellules postérieur externe du côté droit. Le groupe cellulaire correspondant fait, à gauche (c), à pe
ormées et un certain nombre des grandes cellules nerveuses, celles du groupe externe surtout, avaient diminué de volume, ou mê
votre attention, se rattachent, par l'ensemble de leurs caractères au groupe des lésions trophiques proprement dites. Vous n
les nerfs trophiques ne viendront pas, un jour, prendre place dans ce groupe (1). Quoi qu'il en soit, avant de s'attacher à
ramènera deux chefs principaux les cas qui nous occupent. Un premier groupe comprendra ceux où le trem-blement ne se manifest
ins, ne s'efface guère que durant le sommeil, constitueront le second groupe . 11 faut remarquer d'ailleurs que chacun de ces g
ront le second groupe. 11 faut remarquer d'ailleurs que chacun de ces groupes , loin déformer un ensemble homogène, embrasse des
ints de paralysie agitante, sont susceptibles d'être rangées en trois groupes . Le premier renferme les cas dans lesquels on n'a
sait, sans qu'il y ait jamais eu le moindre tremblement. Le second groupe comprend les observations publiées par quelques a
Skoda. Nous reviendrons d'ailleurs sur ce point. Enfin, le dernier groupe contient l'observation deParkinson et celle d'Opp
par Haas en 1852, et cité par M. Sanders, appar-tient peut-être à ce groupe étiologique. Il a trait à une fille de 19 ans qut
lement. Je vous ai dit tout d'abord qu'on pouvait les diviser en deux groupes : l'un dans lequel le tremblement ne survient qu'
cette no-tion, je vous ai cité comme exemple de tremblement dupremier groupe , la paralysie agitante dont je vous ai tracé l'hi
tte affection, qui nous fournit un spécimen du trem-blement du second groupe , c'est-à-dire n'apparaissant que dans certaines c
ssi foncée (2) ; on les retrouve, çà et là, formant parfois de petits groupes dans les intervalles que laissent entre eux les f
'une tension active et plus ou moins énergique de certains muscles ou groupes de muscles. Pour compléter ce qui est relatif à
non moins précieux. Nous allons découvrir, chez notre malade, tout un groupe de symp-tômes que j'ai proposé d'appeler céphaliq
oposé d'appeler céphaliques, par opposition aux symptômes spinaux. Ce groupe comprend certains troubles de la vue, de la parol
érisés de cette affection, survenirune atrophiede certains muscles ou groupes de muscles rappelant, tant par son siège que par
nt dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires, que j'ai proposé d'appe
s occupera d'une façon toute particulière. Je reviendrai aussi sur le groupe si intéressant des scléroses de la moelle épinièr
cherche avec soin, parce qu'elles établissent la transition entre les groupes zoologiques ou qu'elles permettent de débrouiller
ssi absolue qu'elle semble l'être au premier abord. Dans le premier groupe de faits, la mort est à peu près cer-taine dans u
elles. Cette condition, d'ailleurs, est peut-être commune à tout un groupe d'hystériques. Il y a longtemps qu'on a remarqué,
accepté pour point de départ de l'aura hysté-rique — au moins dans un groupe de cas — il n'est pas sans intérêt démontrer actu
es. Au contraire, l'atrophie limitée plus particulièrement à certains groupes de muscles, surtout s'il s'y joignait des contrac
l y a lieu d'admettre les catégories suivantes : A. Dans un premier groupe , les attaques hystériques et les accès d'épilepsi
tion de la compression ovarienne. La chorée rythmique appartient au groupe des symptômes permanents de l'hys-térie.— Dispari
oduire dans d'autres maladies qui, comme l'hystérie, appartiennent au groupe provisoire des névroses. C'est le cas, par exempl
leur influence sur la nutrition des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moel
n des muscles, ces lésions forment deux groupes bien distincts. — 1er groupe : Lésions de la moelle qui n'ont pas d'influence
étendues des cordons blancs postérieurs ou antéro-latéraux, etc. — 2e groupe : Lésions de la moelle qui influencent plus ou mo
tion de la compression ovarienne. La chorée rythmique appartient au groupe des symptômes permanents de l'hys-térie. — Dispar
25 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nous devons rappeler que Meynert adjoint à la troisième frontale le groupe des circonvolutions de l'insula, faisant ainsi
lleurs, comme nous l'avons vu, Brosius classe la catatonie en trois groupes qui se ressemblent peu anatomi- quement et les
lichocéphalie n'atteignant que 74), notre malade rentrerait dans le groupe des sus-mésaticé- phales (78 et 79), voisin de
erminant M. Lvolf, que cette observation ré- pond en tous points au groupe morbide que M. Magnan désigne du nom de délire
les psy- chiques. Tout d'abord les amnésies toxiques formeraient un groupe nosologique bien distinct, à caractères étiolog
es de début présentés par nos malades peuvent être rangés en quatre groupes princi- paux, qui sont les suivants : A). Group
rangés en quatre groupes princi- paux, qui sont les suivants : A). Groupe de symptômes céphaliques ; B). Groupe de symptô
, qui sont les suivants : A). Groupe de symptômes céphaliques ; B). Groupe de symptômes gastriques ; C). Groupe de symptôm
symptômes céphaliques ; B). Groupe de symptômes gastriques ; C). Groupe de symptômes respiratoires; D). Groupe de sympt
e symptômes gastriques ; C). Groupe de symptômes respiratoires; D). Groupe de symptômes douloureux des articulations et de
la description spéciale des diffé- rents symptômes de chacun de ces groupes en com- mençant par celui qui figure le premier
motrice que nous voyons consti- tuer deux fois un des symptômes du groupe cépha- lique. Les malades des Observations V et
gastriques, sentait aussi sur la poitrine un poids étouffant. C). Groupe DE symptômes gastriques. Les symp- tômes gastri
eau de lasymptôma- tologie compliquée, que nous examinons dans le groupe des cas de gliomatose spinale , quatre séries d
iblesse irritable^ d'épuisement rapide d'éléments dans cer- tains groupes n'ayant pas subi de lésion, et ayant con- servé
ciation terminale dans la région bulbo-protubérantielle des trois groupes de fibres qui entrent dans la constitution du fai
se divise dans la pro- tubérance pour donner naissance à ces trois groupes de fibres, qui, après avoir évidemment traversé
ne. Au pédoncule, le faisceau pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de fibres motrices s'isole du tronc du faisceau
très limitées, la paralysie n'atteint qu'un membre ou même qu'un groupe musculaire2. » 1 Fr.rFranck. Fonctions motrices
sera pas sans quelque utilité. On divise les amyotrophies en quatre groupes , d'après la localisation anatomique de la lésio
ues), ou dans les muscles mêmes (amyotrophies myopathidues). ' 1" groupe . Amyotrophies d'origine nzyélopathique représenté
rales amyo- trophiques). 5° Type scapulo-huméral de Vulpian. 2* groupe . - Amyotrophies d'origine radiculaire. 3° group
l de Vulpian. 2* groupe. - Amyotrophies d'origine radiculaire. 3° groupe . Amyotrophies d'origine névritique. 4" groupe.
ine radiculaire. 3° groupe. Amyotrophies d'origine névritique. 4" groupe . Amyotrophies d'origine myopathique représentées
n'est pas cependant représenté uniquement dans le pédoncule par ce groupe de fibres centripètes externes de l'étage infér
ements. Les cellules de ce type se rencontrent seulement dans les groupes des cornes antérieures ; parfois, on peut observe
elle que les émotions inséparables d'un grand événement : dans ce groupe se rangent les folies épidemiques, la folie des
ent du même coup un grand nombre d'individus. Dans un autre cas, le groupe délirant est plus res- treint, ne comprend que
seul joue un rôle actif et im- pose ses idées aux autres. Ces deux groupes méritent bien l'étiquette de folie communiquée,
e. Telle est en peu de mots l'histoire de la malade active de notre groupe . Esquissons main- tenant celle de sa tille. M
omocaitis; Membre de la Société Médico-psychoiogiquc de Paris. D. GROUPE DE différentes douleurs ET de DIVERS autres sym
que de leur instabilité et de leur fugacité. En effet, parmi nos groupes , il n'y en a pas un seul qui ait é é constant e
it simultanément présenté à son début les symptômes de ces quatre groupes . Ainsi, tantôt c'est un symptôme d'un groupe qu
mptômes de ces quatre groupes. Ainsi, tantôt c'est un symptôme d'un groupe quelconque qui constitue à lui seul toute la sy
est le seul symptôme du début. Tantôt plusieurs symptômes d'un même groupe , isolés de tous les autres, peuvent constituer
a débuté par la cécité fugitive et l'aphasie motrice, symptômes du groupe céphalique : ou comme à l'OBSERVATION III, la p
trictive à la nuque et les douleurs à l'épaule droite, symptômes du groupe de dou- leurs ont marqué le début de cet accide
marqué le début de cet accident. Enfin, des symptômes de plusieurs groupes peuvent cons- tituer le tableau clinique du déb
s vertiges de translation et la perte de connaissance, symptômes du groupe céphalique, la pesanteur sur la poitrine et la
esanteur sur la poitrine et la gêne de la respiration, symptômes du groupe respiratoire, les douleurs atroces épigastrique
ces épigastriques, la sensation de brûlure et la soif, symptômes du groupe gastrique, annoncent en même temps l'invasion d
nce : A), des cortèges symptomatiques positifs, c'est-à-dire divers groupes de symptômes qui peuvent figurer au tableau cli
otre forme ; B), des cortèges symptomatiques négatifs, à savoir des groupes de symptômes qui ne peuvent ni même ne doivent
ômes qui figurent dans notre tableau peuvent être ramenés aux six groupes suivants : a), syndrome de symptômes spasmodiqu
s ; elle débutera par exemple chez tel malade, par un symptôme du groupe céphalique ou autre. Chez tel autre^ par plu- s
céphalique ou autre. Chez tel autre^ par plu- sieurs symptômes d'un groupe quelconque. Chez un troisième, par divers sympt
pe quelconque. Chez un troisième, par divers symptômes de plusieurs groupes et ainsi de suite. On voit, quelle est la varié
sée par un fond commun de symptômes identiques cons- titué par un groupe capital, qui se rencontre chez tous les malades
remarque au tableau précédent se divisent d'eux- mêmes en quatre groupes , dont nous avons déjà longuement décrit les sym
es détails anatomiques; il ne nous importe que de déterminer à quel groupe anatomique se rapportent les cas que nous exami
setvasomoteurs. En général, nous connaissons seulement que certains groupes de fibres et cellules nerveuses peuvent périr,
tuent la source des sypmptômes patholo- giques fondamentaux dans le groupe d'observations que nous étudions. Il est regr
calisation eût été en tout identique à celui qui forme la base du groupe de cas étudiés par nous. D'autres phénomènes te
ERVEUSE. 435 centres inférieurs, car les convulsions cloniques d'un groupe musculaire, produites par des courants affaibli
ique DES muscles DES veux (ophthalmoplégie externe); description DE groupe * de CI : L- LULES NERVEUSES SUR LE TERRITOIRE D
trouve à cheval au-dessus de ces noyaux ordi- naires, deux nouveaux groupes de cellules encore inconnus dont les cellules s
grité de leurs grandes cel- lules mais atrophie presque complète de groupes cellulaires (petites cellules) encore inconnus
optoslrié, pour exercer de là son influence délétère sur les autres groupes d'organes, mais il n'en est pas moins vrai que
rait grand intérêt à comparer la troisième frontale chez les divers groupes ethniques, à l'étudier aux différentes phases de
géographiques, climatériclues ou sociales, M. Combemalle isole un groupe de dégénérescences toxiques; il montre que l'étud
26 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ons devoir la récuser absolument, comme n'appartenant pas au même groupe de faits que celles dont nous nous occupons ici
erminent souvent l'évolution du diabète, peuvent se diviser en deux groupes distincts. Dans le premier nous rangerons les d
, subies par les tissus ou les liquides du diabétique ; le deuxième groupe comprend les théories qui font de la mort brusq
dans la .conception de leurs théories. 52 REVUE CRITIQUE. Premier groupe . Lésions matérielles. Il est bien évi- dent qu'
e dans un mélange mal battu d'huile et de vinaigre ? 2 - Deuxième groupe . Empoisonnement par un produit dé la fermentati
isfaisante et applicable à tous les cas. Les faits de notre premier groupe peuvent s'appliquer par l'hyperglycémie, parla
ou plutôt de collapsus dî'a- bétique. " " " , Quant au. deuxième- groupe , de faits, il n'a certainement aucune parenté p
manière rationnelle les faits qui ressortissent à notre deuxième groupe , le coma par intoxication. C'est à ces faits que
, parce que nous ne saurions admettre, comme le veut Frerichs, deux groupes d'accidents, suivant que l'on observe ou non la
raissaient sujettes.à caution, à moins qu'elles ne rentrent dans le groupe de faits que nous avons réunis sous le nom de c
vec le lobe pariéto-occipital; vous obtiendrez encore l'atrophie du groupe de cellules nerveuses du tubercule antérieur co
sements principaux mentionnés, et, derrière eux, se perdent en deux groupes cellulaires assez volumineux placés à côté du r
e la moelle épinière. Mais on ne saurait distinguer si tels ou tels groupes fasci- culaires ont plus fortement pris part au
s casesde l'écorce considérées comme champs de projection de divers groupes de fibres nerveuses possèdent égale- ment une f
n « d'ordre purement psychique qui caractérisent les différents « groupes de dégénérés si nettement décrits par notre savan
séances de la Soc. anatonz., 1881, p. 608. DU TARES COMBINÉ. 157 groupes on a caractérisé les grands types cliniques, co
es. Mais on se contentait de les noter soigneusement, sans faire de groupes spéciaux, les laissant en dehors de la classifi
e de plusieurs facteurs; d'une manière plus spéciale, deux grands groupes d'éléments étiologiques interviennent presque n
causes de sa localisation sur le système nerveux. Dans le premier groupe se placent les diathèses et, en tête, la syphil
hèses et, en tête, la syphilis et l'arthritisme; dans le deuxième groupe , on trouve l'hérédité névropathique, le surmè-
ce DE L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 1 SI blanche sous jacente. Dans ce groupe , se trouve mon obser- vation. Parmi ces seize c
k s'ex- pliquent facilement et que quelques-uns des cas de mon 6° groupe ( observations 26 et 32 ) peuvent se concilier av
orbide. Les autres au contraire pensent, aveemorel, qu'il excite un groupe de folies héréditaires ayant ses caractères par
adiction avec la clinique, mais il importe aussi de ne pas créer de groupes trop étendus. J'estime, par exemple, que la fol
es, mériterait une description spéciale et une place à part dans un groupe déterminé. 262 SOCIÉTÉS SAVANTES. Enfin, notr
tuels et moraux de la folie héréditaire. ' M. Charpentier combat le groupe de la folie héréditaire avec les arguments suiv
rises sous cettedéno- mination n'ont aucun caractère commun ; 4° le groupe folie héré- SOCIÉTÉS SAVANTES. 263 ditaire co
folies disparates; 5° les faits de M. Falret s'éloignent des autres groupes morbides, et ne se soutiennent entre eux que pa
s négatifs; 6° si les dégénérés de M. Magnan doivent entrer dans le groupe de la folie héréditaire, comme ces dégénérescen
e des états morbides chez les ascendants, il reste à déduire que ce groupe se compose de toutes les folies héréditaires tr
aractères particuliers des maladies transmises par hérédité ; 8° le groupe des folies héréditaires est le résultat de la m
a d'ailleurs des dégénérés à stigmates physiques sans folie; 11° le groupe des folies héré- ditaires n'est utile ni au poi
constitutionnelle ou toxique ; les dégénérés de M. Ma- gnan ; C. Un groupe qui pourrait seul être appelé folie hérédi- tai
ent aboutissent à des affections spécifiques du système nerveux. Un groupe de dyscrasies provient de la pénétration dans l'é
tation clinique, basé sa division de la paralysie générale en trois groupes . Ce serait un travail bien utile que d'établir
des, à l'aide des procédés tout nouveaux de Weigert, si ces trois groupes ne reposent pas chacun sur une caractéristique an
de l'oculo-moteur commun et du pathétique. Le premier se compose de groupes de cellules qui envoient chacun leurs petites f
rium tremens fébrile de Magnan n'a pas de raison d'être en tant que groupe univoque, car diverses causes (blessures, acciden
armi les altérations des nerfs périphériques que l'on range dans le groupe des névrites, celles qui in- téressent la fibre
ord libre de la base, ils deviennent plus confluents et forment des groupes compacts occupant des lobules entiers. Le reste
rand soin et d'isoler, pour ainsi dire, chacune des fibres. Vues en groupe , elles présentent le plus souvent les caractère
on n'ait noté ni incoordination motrice ni douleur. b. Ce dernier groupe d'observations négatives est encore bien plus r
n, localisation fautive des sensations, etc. 3. Dans ce troisième groupe , nous plaçons tous 3 ! H le PATHOLOGIE NERVEUSE
ons maintenant au deuxième élément symp- tomatique, c'est-à-dire au groupe de phénomènes qui, dans le tabes combiné, appar
la maladie que nous étudions du tabes ataxique ordinaire. Dans ce groupe nous étudierons les phénomènes paralytiques ou
élanchoha atluuita », de démence aiguë, il convient de distraire un groupe qui constitue une entité clinique et pathologiq
constitue une entité clinique et pathologique bien définie. 2° Ce groupe est caractérisé cliniquement par l'association d'
- lahes ou la rigidité des muscles. 3u La base pathologique de ce groupe est constituée par une 1 C'est ce qui se pratiq
ès digne d'une lecture attentive, l'auteur exprime la pensée que le groupe de la mélancolie, de la démence aiguë est un gr
a pensée que le groupe de la mélancolie, de la démence aiguë est un groupe peu homogène, dans lequel on a fait entrer des
différentes : il s'est proposé dans ce mémoire de définir l'un des groupes secondaires qui contribuent à former un grand g
inir l'un des groupes secondaires qui contribuent à former un grand groupe artificiel et confus; il ne se dissimule pas d'
ond état de conscience (B) suscite par la force de la contiguité le groupe d'images (C) correspondant à des propriétés du
ate coexistent simultanément et se soudent. En réalité, ce sont des groupes d'images qui opèrent; mais pourquoi ne pas appl
s groupes d'images qui opèrent; mais pourquoi ne pas appliquer à un groupe les mêmes propriétés que nous avons reconnues a
27 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
re recherchés avec beaucoup d'attention ; on n'en trouve qu'un seul groupe de forme à peu près arrondie, situé dans le voi
e et l'angle postérieur de ce glanglion). La surface occupée par ce groupe unique de corps granuleux est très peu étendue,
onnant passage aux fibres du faisceau pyramydal ; ils forment trois groupes qui, d'ailleurs, ne sont pas nettement séparés
onstata nettement l'existence de corps granuleux réunis en un petit groupe unique situé environ à l'union du tiers anté- r
coupes il y en a un plus grand nombre, c'est généralement alors le groupe antéro-externe qui est le mieux conservé. - L
des cornes antérieures sont abondantes et semblent saines, seul le groupe antéro-interne semble plus pauvre qu'à l'état n
ent moindre que de l'autre côté. Ici ils ne se réunissent pas en un groupe , mais sont presque complètement isolés les uns
érieure des cornes antérieures, mais ils sont à l'état isolé ou par groupes de deux ou trois seulement, un peu plus nombreu
autour du canal central. ' ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPIXIHRH. 39 GROUPE III. Recherches expérimentales sur l'élon- gati
ncée par MM. Brown- Séquard, Quinquaud, Marcus, Gellé, Viet, etc. Groupe IV. Recherches expérimentales sur l'élon- gatio
postérieurs (p. 577), et la disparition des cellules nerveuses du groupe latéral de la corne antérieure (voir p. 582).
sance des tractions, nous divisons toutes nos expériences en quatre groupes . Groupe premier. - Tractions faites à la main,
ractions, nous divisons toutes nos expériences en quatre groupes. Groupe premier. - Tractions faites à la main, au moyen
yée. Sur six expériences, quatre lapins mou- rurent spontanément. Groupe second. On glissait sous le cordon nerveux un r
gr. à 1 kilog. Sur neuf expériences, quatre lapins mou- rurent. Groupe troisième. Les tractions furent faites au moyen
ne plus grande dimension, dont la puissance équivalait à 5 kilos. Groupe quatrième. Dix-neuf expériences furent Archives
s, nous ne perdîmes qu'un seul lapin, sur dix-neuf expériences du groupe IV à cause, sans doute, des conditions hygiéniq
lleures au milieu desquelles furent placés les lapins de ce dernier groupe . Fig. 1. (2/3 de la grandeur naturelle). ALTÉ
le nerf sciatique, dont : deux fois dans les expériences du second groupe ; six fois dans le quatrième groupe. Les rupture
dans les expériences du second groupe; six fois dans le quatrième groupe . Les ruptures eurent lieu le plus souvent entre
terreux. D'abord, en ce qui concerne les rapports entre ces deux groupes de sels et l'azote, plus diminue le rapport entre
l'atteinte d'un assez grand nombre de fibres, soit par exemple des groupes de vingt d'entre elles. In- tégrité de la névro
nsverse décelait l'énormité, soit de fibres axiles isolées, soit de groupes de cylin- draxes de trois à vingt se comprimant
t les zones hypnofrénatrices. Les premières se subdivisent eu trois groupes : les zones hypnogènes simples, dont la pression
gique nouvelle, nous désirons simplement attirer l'attention sur un groupe de symptômes dans lequel le mot ou le nom jouen
raint de ne pas se rappeler. Dans ce cahier, il classe les noms par groupes ; les noms de commerçants, de députés, de fonc-
(Ann. médico- psych., juillet 1866, p. 97.) Le dernier fait de ce groupe que nous tenons à rapporter, nous offrira un cu
des plus limités, tandis que dans l'hémisphère droit ils forment un groupe assez compact. Signalons aussi la présence de
ation I, côté gauche, les corps gra- nuleux y sont disposés en deux groupes . Fie. 3. - Capsule interne, Observation II, côt
nouvel exemple emprunté au Dr F.-W.-A. Browne. II. Famille W... Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (The Journal of
tre côté 1'liy- MALADIE DE THOMSEN. : W3 pertrophie de différents groupes musculaires est moins pronon" cée. Le cou est m
anomalies du langage chez les idiots se décomposent en'deux grands groupes : I ? Cas. où le trouble de la p{H'/Ûe est i ! ?
ation, il en impose au pronostic (imbécillité congénitale). Dans ce groupe se rap¥( ? e,I)CQr ? 1es d,éfcluoit qui rappell
butiement, qui. en même temps sert de ri1niqpp e ! Ü ! 't ? nos 4^y groupes ; puis,, des il ! w\'re(11 ! H1s dans ('émission
' parole qui rappellent la> paralysie générale, trouvés 'chez un groupe d'épileptiques* assez semblables à des paralytiqu
uestion plus haut (2° 6b- SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 servation du 4.r groupe ) ; l'autopsie décelait une ieptoméningite chron
lles du protoplasma. Discussion : M. l3mswnc>rn. L examen d un groupe de cellules géantes pyra- midales dans les circ
celles que l'on vient d'entei1arë. Les celllules sont lésées par groupes . Dans les cellules jeunes, noyau et pigment sont
ilippe Pinel brisant les fers des aliénés. Représentez- moi dans un groupe en bronze ce que M. Tony Robert-Fleury a si bie
du corps municipal et à toute l'assistance. « Vers 1852, un petit groupe de travailleurs sérieux s'assem- blait à la Fac
u comité d'initiative de la statue, je vous remets gracieusement ce groupe monumental et je vous invite à en prendre posse
publique et des beaux-arts. Non seulement l'Etat a subventionné le groupe en bronze, mais encore les deux statues en pier
lance comme telle; toutes les autres doivent être classées dans les groupes de scléroses diffuses. L'observation du Dr Tsch
l'attention, porteraient à fu- sionner tous ces accusés en un seul groupe , existent des différences mentales essentielles
incendies à des intervalles rapprochés, font tous partie d'un même groupe . C'est là son tort, car l'analyse psychologique
Eh bien ! ne serait-il pas antiscientifique de réunir en un seul groupe ces deux catégories d'incendiaires à états ment
tous ces caractères communs, ces incen- diaires se divisent en deux groupes parfaitement distincts : ceux qui ont agi sans
de changements au point de vue de la puberté : rien aux lèvres; un groupe de poils courts à gauche de la verge, qui est t
eur origine mor- bide. Le cas actuel nous semble faire partie de ce groupe , et ces deux condamnations dont l'une surtout d
aîne ininterrompue, et les lésions étendues et profondes du premier groupe ne sont-elles que l'expression dernière des alt
plètes et limitées; elles occupent le plus souvent un membre, ou un groupe de muscles, parfois même un muscle isolé ; en g
me, indurés et caséifiés. Dans ces deux cas, qui forment un premier groupe , la ménin- gite ne s'est pas comportée absolume
leur égard. ' Ce qui distingue surtout les deux cas de ce second groupe , c'est que les symptômes cérébraux ne se sont m
rapports remis à M. Bcrkhan par les professeurs chargés des petits groupes confiés exclusi- vement aux soins de chacun d'e
doute, etc. Il y a encore lieu de dis- tinguer des variétés dans le groupe des folies héréditaires et c'est cette analyse
sont identiques. 11 faut donc nécessairement faire entrer dans le groupe des héréditaires ces faits que la clinique désign
ation I, côté gauche, les corps gra- nuleux y sont disposés en deux groupes . Fig. 3. Capsule interne, Observation II, côté
28 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
nts nerveux du mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique, en 3 groupes : 1° Cas avec signes de compression de la moell
e l'épic(me, du cône terminal et de la queue de cheval. Ce second groupe ne comprend, fort heureusement, qu'un petit nom-
re (ce cas marque la transition entre notre premier et notre second groupe ). 2° Après une pleurésie, névralgie sciatique.
puyées sur les cuisses. On ne trouve d'ailleurs aucune atrophie des groupes musculaires préférés par la myopathie (Muscles sc
as gauche, puis du droit flasque, puis, atrophie rapide de certains groupes de muscles : deltoïde, interosseux, éminence thén
ompagne d'atrophie musculaire à topographie radiculaire (muscles du groupe Duchenne- Erb, ou du groupe Aran-Duchenne), on
e à topographie radiculaire (muscles du groupe Duchenne- Erb, ou du groupe Aran-Duchenne), on conçoit que le diagnostic puis
las- que des supérieurs, un certain degré d'atrophie des muscles du groupe Aran-Duchenne, une dissociation syringomyélique
petits vieux ». Ces éliminations faites, nous restons en face d'un groupe encore très vaste d'individus, produits divers
i mieux circonscrit ; mais, malgré cela, les cas qui constituent ce groupe sont encore très différents les uns des autres,
re « un certain nombre » de ces cas et le myxoedëme, les détacha du groupe commun, où ils se trou- vaient à tort mélangés,
aux, jusqu'alors méconnus ou mal différenciés, à tous les autres du groupe , qui, pris en bloc, forment un autre type ou vari
M. Brissaud cette association est constante dans les cas du deuxième groupe et leur appartient en propre), la porencéphalie
nerveux, je ne pourrais que ranger la maladie de notre F... dans la groupe des acromégalies, lors même que toute altératio
ression de la figure peint des sentiments humains, ce que prouve le groupe de Niobe dans les Offices de Florence d'après S
la figuredu « Gaulois mourant » au musée du Capitole comme dans le groupe de « Laocoon » au Vatican, c'est à cette époque
n ensemble de signes assez complexes et qu'on peut diviser en trois groupes : 1° Des signes qui marquent des arrêts de déve
radiculaires, et même, dans la plupart des observations limitées au groupe Duchenne-Erb, c'est-à-dire au terri- toire des
i la fréquence prédominante des paralysies radiculaires limitées au groupe Duchenne- Erb. Duval et Guillain (Archives gé
ce type de paraplégie nous parait mériter une place à part dans le groupe si disparate des paraplégies du vieillard. Nous e
ne myélopathique chez les vieillards. 256 LEJONNE ET LHERMITE des groupes morbides qui en apparence peuvent ressembler à la
igidité musculaire était proportionnellement plus développée sur le groupe des muscles adducteurs que sur celui des fléchiss
nuité du membre. La pression des muscles, du quadriceps fémoral, du groupe postérieur de la jambe ou de la cuisse fait pou
es jaunes. Les muscles les plus scléreux sont naturellement ceux du groupe postérieur de la cuisse (biceps, demi-membraneu
même fenêtre cintrée. Un quatrième personnage se tient derrière le groupe principal, c'est l'aide du barbier-chirurgien,
té du décor et des accessoires, cette scène retient l'attention. Le groupe chirurgical, plein de vérité el de vie, est admir
s, sur 5 préparations des nerfs de la plante, uue seule contenait 2 groupes de fibres fines dégénérées (un de ces groupes d
uue seule contenait 2 groupes de fibres fines dégénérées (un de ces groupes de 3, et l'autre de 2 fibres). Chez le chien X
té opéré. Une des préparations sur 5, montre à la dissociation deux groupes de fibres en état de dégénéres- cence wallérien
gion de la queue. 336 ROUX ET HEITZ L'un des filets présentait un groupe de fibres de petit calibre en voie de dégé- nér
nes plus bas, la moitié gauche de la moelle ne contient qu'un petit groupe de fibres nerveuses normales situées à peu près a
liquer au mécanisme physiopathologique des amusies. De même que des groupes déterminés de cellules cérébrales se spéciali-
non encore observés, mais qui, logi- quement, devaient compléter le groupe clinique des amusies, d'après ce que l'on savai
compléta la description des amusies, en les divisant en deux grands groupes : complexes et simples ; il subdivisa ces dernièr
ch. e Neuropatologia. Rome, 15 Luglio, 1897. 380 1NGEGNIEROS Ce groupe clinique comprendrait aussi certains cas de verve
is par leur déviation de la forme ordinaire. Font donc partie de ce groupe les goûts pour les sons désagréables, les phobies
an- tait sur l'octave de la véritable. On peut comprendre dans ce groupe quelques associations morbides des émotions mus
truction de certains faisceaux, compression ou'irritation d'autres groupes de fibres. Enfin, malgré l'atteinte plus ou moi
é, montre bien qu'elle est une manifestation de la sénilité. Sur un groupe de 88 vieillards, hommes et femmes, âgés de 75 an
poids, la lutte, la boxe, le coup de poing, etc., et cet admirable groupe de la course dont il fut question d'orner la sa
hen, de M. Mondino et celles de l'un de nous rentrent aussi dans ce groupe . Il faut reconnaître que tous les auteurs précéde
des nerfs périphériques), disposés en séries linéaires accumulés en groupes ou disséminés, parfois même dans les faisceaux ne
approche de la partie supérieure, ces faisceaux se réunis- sent par groupes , changent de direction ; les uns continuent leur
bre paraissent coupés transversalement. Ces faisceaux isolés ou par groupes , sont séparés par des tractus de tissu conjonc-
mpères. On constate nettement la réaction de dégénérescence dans le groupe antéro-externe de la jambe droite. 17 et 18. -
la ma- ladie cérébrale et l'on classe primitivement ces cas dans le groupe de l'épilepsie idiopathique, jusqu'au jour où l
uelles. ' La malade que nous présentons nous a paru rentrer dans le groupe des dystrophies acquises. Son passé pathologiqu
xistant chez notre malade la distinguent suffisamment de ce premier groupe . 1 Lorsque à la petitesse de la taille s'ajoute
éveloppés ; notre malade ne sau- rait donc rentrer dans ce deuxième groupe . D'ailleurs, la configuration générale de son c
nt,mais une dystrophie. Or, il faut diviser ces dystrophies en deux groupes . Dans le premier, le nanisme est créé par un tr
es mouvements. L'extrême droite de la composition est garnie par un groupe assez heu- reusement planté,mais que l'on disti
er les causes de contagion. A la gauche du saint, se tient un autre groupe presque symétrique. Au premierplan, nous reconn
EJERINE ET ANDRÉ-TnOMAS sont notablement atrophiés, surtout dans le groupe antéro-externe. Les mou- vements obtenus sont l
uce à droite. Les muscles des avant-bras sont peu développés, et le groupe épitrochléen de chaque côté est atrophié. Les m
nt pas atteintes d'atrophie, celle-ci procède par zones, des petits groupes de fibres atrophiées sont séparés par des group
zones, des petits groupes de fibres atrophiées sont séparés par des groupes de fibres normales, et le champ des fibres mala
i que cette dégénérescence graisseuse se fait par zones, des petits groupes de fibres dégénérées sont plongés au milieu de fi
L'agencement des fibres entre elles est assez variable. Sur certains groupes , les fibres représentées pour la plupart par de
inters- titiel ne paraît pas manifestement proliféré. Sur d'autres groupes l'aspect est tout différent, ce sont des petits
bservation à une autre, et cependant nous les rangeons dans le même groupe pourvu que les signes capitaux de la maladie soie
que et afin de ne rien préjuger des lésions, je divise ces cas en 3 groupes , suivant le siège, dor- sal, lombaire, cervical
ique : Avec le courant faradique on trouve : inexcitabilité dans le groupe des extenseurs des doigts (extenseur commun, exte
. Corne antérieure gauche (VII' cerv.). Sclérose; disparition des groupes cellulaires sauf le groupe antéro-externe. Co
II' cerv.). Sclérose; disparition des groupes cellulaires sauf le groupe antéro-externe. Corne antérieure droite (VII* c
groupe antéro-externe. Corne antérieure droite (VII* cerv.). Les groupes cellulaires sont moins atteints. MALADIE DE D
on voit une cavité creusée dans la substance grise tout autour d'un groupe de vaisseaux : on la voit à peine à l'oeil nu, ma
ièrement de chaque côté : mais l'atrophie est prédominante dans les groupes cellulaires de gauche (PI. LXXXI) ( ? ). Dans q
à considérer pour le niveau, mais aussi pour son extension à chaque groupe d'un même plan ; tan- tôt, c'est le groupe anté
r son extension à chaque groupe d'un même plan ; tan- tôt, c'est le groupe antéro-interne qui en est pris, puis c'est l'exte
rt contingent d'association. Il convient toutefois d'éliminer de ce groupe , Redlich, dont la dernière monographie (Voy. Nouv
llissements strictement localisés soit à un lobe, soit à un certain groupe de circonvolutions, sont fort rares ; car, selon
du « centre terminal du neurone physiologi- que », entre les divers groupes cellulaires des cornes antérieures de la moe ! le
en proie à de terribles convulsions hystéri- ques, que se trouve le groupe dont la photographie est reproduite sur la plan
29 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
forme, à côté de la manie et de la mélancolie récidivantes dans un groupe spécial, celui des psychoses périodiques ou int
lie systématisée, les folies périodiques dont il distingue quatre groupes : les formes délirante*, les formeswa- niaques,
changements apportés par le professeur de Munich à sa conception du groupe des psychoses périodiques. Kroepelin observa to
rent aux autres phases de la vie. Les premiers seuls conslituent un groupe à part : ce- lui de la mélancolie d'involution
opre - de folies intermittentes ; mais il écarta délibérément de ce groupe , en se basant sur de (1) MAGNAN.- Recherches su
ces diffé- rents types morbides permet de les ramener il un grand groupe unique, il est préférable de les comprendre avec
eu raison de ranger la manie et la dépression simples dans l'ancien groupe des psychoses périodiques, devenu aujourd'hui c
tale, la folie maniaque-dépressive, qui comporte seu- lement trois groupes d'états différents, reliés, il est vrai, entre
émence précoce semble être à côté de la paralysie générale, dans le groupe des psychoses accidentelles. THERAPEUTIQUE
des seuls muscles hypotoniques rétablit l'équilibre entre les deux groupes antagonistes. Des exercices variés viens nent e
etc. Les altérations médullaires étaient exactement localisées au groupe central des cellules du 1 CI' et du 2e myélotomo
galement le siège d'altérations Irès intenses surtout, au niveau du groupe cellulaire externe de la partie supérieure du n
u du noyau du facial, les lésions siégeaient surtout dans le second groupe ? entrai qui est en rapport avec le digas- triq
iiiie pathologique microscopique restreignent, d'année en année, le groupe des accidents mentaux sans lésions d'aucune sor
e la lésion bien plus que desa nature. L'auteur les divise en trois groupes : le premier comprend les paralysies générales
ée en certains points des lésions de méningo-encéphalite ; deuxième groupe : paralysies générales compliquées de lésions e
à évolution indépendante (hémorrhagies, ramollissement) ; troisième groupe : absence de lésions en foyer mais atropliie élec
ces causes efficientes de la folie peuvent être rattachées a trois groupes distincts : a) groupe infectieux, fièvre typhot
de la folie peuvent être rattachées a trois groupes distincts : a) groupe infectieux, fièvre typhotde,impaludisme; b) gro
s distincts : a) groupe infectieux, fièvre typhotde,impaludisme; b) groupe toxique,alcool,plomb ;c) groupe physique, traum
ux, fièvre typhotde,impaludisme; b) groupe toxique,alcool,plomb ;c) groupe physique, traumatisme direct ou par contre-coup
'article n'insiste par sur la S) philis parmi les causes du premier groupe , Il est possible que certains aient fait jouer
. Ces troubles de l'esprit sont dhi- BIBLIOGRAPHIE. 55 ses en i groupes : 1° troubles intellectuels ; 2° troubles volon-
tendances motrices renais- santes. Les images mentales forment des groupes susceptibles de reproduction (souvenirs) ou de
ntes. Il n'y a que des élats mélancoliques, les uns rattachés à des groupes morbides connus, les autres encore isolés, parce
en question, et les efforts de tant de chercheurs qui, isolés ou en groupes , travail- lent avec audace, peuvent nous rappro
mé- tatoxi-in/'ectieuses. Dans les états mentaux chroniques de ce groupe , la même pathogénie intervient, mais ici, entre
comme il existe des parésies, des paralysies ou des atrophies d'un groupe de mus- cles des membres ou du tronc chez les a
uées, ayant amené l'immo- bilisation indéfinie et la dénutrition du groupe musculaire atteint. Mais ce sont là des faits r
voir ce déficit s'étendre à toutes les fonctions, sans respecter un groupe spécial ; il y a absence totale d'un (aient par-
e seul geste amical comme une tentative d'espionnage au profit du groupe qui le persécute. De même, lorsqu'il va à la Sorb
de Rennes, il a montré une série de photographies concernant deux groupes bien distincts d'idiotie, les myxoedématcu.t et
renseignements comparatifs : 1° des calottes crâ- niennes des deux groupes (avec le Dr Paul-Boncour) ; 2° de la dentition
uées, remplies d'os" a l'miens , Il existe aussi chez la plupart un groupe d'os wormiens au niveau de l'angle supérieur de
traitement thyroïdien. , Enfin M. B. montre les photographies d'un groupe de myxoe- démate2tses et d'un groupe de mongoli
montre les photographies d'un groupe de myxoe- démate2tses et d'un groupe de mongoliennes, vues nues de CONGRÈS DES MÉD
228 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. catégories comprend elle-même quatre groupes : celui des alcoo- liques qui sont en môme temp
ou ne soient pas jumeaux et jumelles, rentrent sim- plement dansle groupe général des folies familialespuis- qu'ils n'ont
is- qu'ils n'ont rien de particulier, ni les tins ni les autres : groupe trop négligé des psychiatres et sur lequel M. T
ettre ses conceptions délirantes et ses hallucinations. C'est notre groupe de la folie communiquée, que M. Régis a mis aut
apparente, et que tous les cas de folie gémellaire rentrent dans le groupe de la folie simultanée. Malgré l'intensité des
orme spéciale dé- crite par Bail et à faire, avons-nous vu, un seul groupe de toutes les psychoses survenant chez les jume
s avec du brome diffé- raient entre elles en ce que, dans le second groupe ,la dose du brome était 4 gr., c'est-à-dire le d
été limitées aux réac- tions verbales seules. Il y a eu 7 paires de groupes , dont chacun contenait 100 réactions avec choix
r une seule personne (L ). Les 5 épreuves obtenues se divisent en 2 groupes séparés par un intervalle de deux mois. Les con
gistrer les données. Dans les épreuves N. I, B. I, B. II du premier groupe , on a marché pendant deux heures, et une heure
les entre elles, et le temps d'observation trop court. Dans le 2e groupe on a l'ait une marche d'une heure tous les quat
que l'effet en commence plus tard, de 40 minu- tes. Dans le premier groupe on a employé un pédomètre pour pouvoir fixer le
ome ; on doit l'attribuer plutôt à la fatigue corporelle. Dans le groupe Il, l'épreuve B. \' prend une position exceptio
ait voir que, malgré l'effet de l'exercice intervenu dans le second groupe , le plus de travail est donné dans le premier g
dans le second groupe, le plus de travail est donné dans le premier groupe , mais cela doit être attribué à une mauvaise di
u'ailleurs, rendraient plus inti- me l'union des cellules d'un même groupe et, par là. l'association des excitations parve
ssibles, M. Decroly propose de répartir les anormaux en deux grands groupes : les anormaux ou les irréguliers par causes in
s faisions voir aux visiteurs de noire service, par comparaison, un groupe de mijxoedèmaleux et un groupe de mongoliens .
e noire service, par comparaison, un groupe de mijxoedèmaleux et un groupe de mongoliens . (Voir aussi Progrès Médical 190
ertrophiquo tuberculeuse ou syphilitique. Les malades du deuxième groupe ont de la méningo-myélite, leur cerveau n'est p
30 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
: « L'hystérique a perdu tri la volonté de mettre en mouvement des groupes de muscles dé- terminés... c'est tout autre cho
e seule sensation relativement simple, un seul souvenir, un petit groupe d'images motrices et ne peut plus en contenir d'a
l aurait quelquefois peine à faire les frais... Ce rejet de tout un groupe d'éléments psychi- ques gênants constituerait u
ces individus, désagrégé et donnait naissance à deux ou plusieurs groupes simultanés ou successifs, le plus souvent incompl
cience devient ainsi le caractère principal signalé dans un nouveau groupe de défi- nitions de l'hystérie; il permet de ré
'à présent, nous amènent aussi à faire ren- trer l'hystérie dans le groupe des maladies mentales. Il faut cependant examin
umé a simplement pour but de montrer qu'en rattachant l'hystérie au groupe des maladies mentales, nous n'oublions pas les
e chercher à comprendre d'abord les ca- ractères communs des grands groupes . Nous désirons donc préciser comment et jusqu'o
ont été presque toujours réunis par les auteurs modernes en un seul groupe , mais ce groupe a reçu des noms différents suiv
toujours réunis par les auteurs modernes en un seul groupe, mais ce groupe a reçu des noms différents suivant les théories
e de l'autre ? Evidemment non. Il y a, à notre avis, entre les deux groupes les rapports les plus étroits, et c'est pour le
plus être complètement réunis se séparent nette- ment en plusieurs groupes à peu près indépendants l'un de l'autre. La per
ie, pou- vons-nous dire, est une maladie \mentale\ appartenant au groupe considérable des maladies de dégénérescence, elle
nente et complète de la personnalité, à la forma- tion de'plusieurs groupes de phénomènes indépendants les mis dès'autres;
sentent plus chacune un seul élément périphérique, mais plu- tôt un groupe de ceux-ci et que même, d'autre part, un élémen
ns nouvelles de la vie. L'homme primitif, vivant seul ou par petits groupes , n'a pas de morale. Celle-ci naît avec la société
avec le segment spino-muscu- laire des trajets pyramidaux. Tous les groupes des cellules de la corne antérieure (et latéral
latérale) ont la signification d'éléments mo- teurs;- cependant les groupes moyen et antéro-latéral ,ont en rapport direct
les fibrilles collatérales des faisceaux pyramidaux : tandis que le groupe postéro latéral est en rapport non seulement av
liberté et l'amour de la République. En 1830, il faisait partie du groupe libéral qui en entrevoyait l'avènement avec les
. La villa comporte un salon et une chambre à coucher pour chaque groupe de dix malades. Elle est chauffée par de l'air ve
rd'hui : les malades sont divisés par petits 86 asiles d'aliénés. groupes et par familles; on a créé pour cette colonie des
commehabitations il faudrait de petites constructions, disposées en groupes séparés pour les deux sexes, et dans chacun de
osées en groupes séparés pour les deux sexes, et dans chacun de ces groupes tous les amé- nagements nécessaires pour recevo
euses erreurs judiciaires. L'auteur englobe les hystériques dans le groupe des héréditaires et des dégénérés, selon les donn
t en maintenant que nombre de ces malades appar- tiennent bien à ce groupe , il est bon de rappeler que leurs faux témoigna
. Il signale les points principaux de chaque cas. Dans un premier groupe concernant l'hydrocéphalie simple, les auteurs di
paru dans le premier volume des Archives de Neuro- logie.) Dans ce groupe les crânes ont en quelque sorte un air de famil
enne et est accompagnée ou non d'hydrocéphalie enkystée. Un autre groupe comprend les cas dans lesquels le crâne pré- se
persécution ana- logues à celles des mélancoliques, constituant un groupe mixte, transition entre ces deux modalités déli
qu'il y aurait intérêt à leur faire une petite place dans ce grand groupe . Car la division la plus habituelle en France e
tion motrice suspendue est remplacée par la formation des séries de groupes iieuriques. Il faut noter en outre que les lois
ellectuelle défectueuse, parce que la somme d'énergie nerveuse d'un groupe de cellules n'est pas plus considérable que cel
groupe de cellules n'est pas plus considérable que celle d'un autre groupe correspon- dant : la valeur de l'acte intellect
ence, avril 1890.) ' On a depuis quelques années, réuni en, un seul groupe patholo- gique, sous le nom de névrites périphé
res, il y avait à faire intervenir une ou, plusieurs 'des causes du groupe des qua- rante-sept déjà éuuméréés. , , 1 Voi
'est efforcée de détacher du magma incohérent des myélites certains groupes symptomatiques qui méritent, de par leur substr
pondant, sans altération. Dans les régions sacrées et lombaires, le groupe postéro-latéral de la corne antérieure droite e
al il y a atrophie de la corne latérale droite surtout au niveau du groupe latéral. Atrophie des racines postérieures dans
n. Loc. cil. PERVERSIONS SEXUELLES A FORME OBSÉDANTE. 377 donc au groupe des héréditaires syndromiques de M. Magnan. A c
ant chacun un degré supérieur d'évolution, et contenant cha- cun un groupe de circonvolutions cérébrales. Le plan inférieu
manie, que l'on peut logiquement ramener à deux variétés, ou à deux groupes : cette division est basée sur les différences
s par la nature des tendances émotionnelles du sujet : le premier groupe comprend lescas de manie furieuse, mania cum furo
cal, assez circonscrit, dont la destruction cause la destruction du groupe cellulaire correspondant. Dans la couronne rayo
retrouve les faisceaux de fibres qui vont des centres corticaux aux groupes cellulaires et vice versa. La plupart des cellu
ssi, envoient leurs éléments vers l'écorce, mais en passant par les groupes de cellules des centres primaires qui sont en r
résultats de ses propres expériences qui peuvent se diviser en deux groupes . Voici en quoi consistent les expériences du pr
n deux groupes. Voici en quoi consistent les expériences du premier groupe : I*expéri- meutateur fixe sur un cylindre tour
hoses et les constitutions psychopathiques. Elle se divise en trois groupes : '10 formes fon- damentales des psychoses; 2°
ychopathiques, et 3° maladies mentales à base organique. Au premier groupe se rattachent : a) la mélancolie avec ses subdi
les : paranoïa secondaire et démence secondaire. Dans le deuxième groupe on trouve : a) les psychoses pério- diques simp
res intoxications ou auto-intoxi- cations chroniques. Le troisième, groupe contient : le délire aigu, la paralysie général
persécutés vrais '. Entre ces deux types de délirants se place un groupe de ma- lades, constituant en quelque sorte comm
coliques. Il semble que ces malades constituent en quelque sorte un groupe mixte, tenant du délire des persécutions par le
de persécution analogues à celles des mélancoliques, constituant un groupe mixte, de transition entre ces deux modalités d
de Blois, p. 92. et suiv.) DE L'HYSTÉRIR EN VENDÉE. 447 ce grand groupe . Car la division la plus habituelle en France e
une atrophie des cornes antérieures portant principalement sur let groupe de cellules postéro-latérales ? mais lés'deux a
sur let groupe de cellules postéro-latérales ? mais lés'deux autres groupes de celluleslduncôté amputéine sonti pas eo41)pl
s régions mo- trices, car je crois avoir montré que les cellules du groupe postéro- latéral des cornes antérieures sont de
anglions spinaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a atrophie de groupes de fibres différents au point de vue anatomique
é inférieure du tiers supérieur du noyau de l'hypoglosse, existe un groupe de cellules nerveuses situé en dehors etf uiîc pe
o-dorsal(fibresradiaires-,de; Seliutz) ;, 1 ? Lre,vient duliiiC[Iic groupe , s'inilécidt autour du noyau de l'hypoglosse, de
dedans, et d'avant en arrière, pour, aller au raphé-.A ce,uiveaule groupe en question donne ? ,1 ff, ? iwu ? «l >< !
urgeon musculairelparait d'enveloppe est bien plus large; entre les groupes .de fibrilles il y a des espaces libres, dessina
refait l'histoire des pseudo- tabes qui constituent aujourd'hui un groupe à supprimer, et dont il ne reste que des tabes
31 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
vrai, d'un même renflement considéré dans tous les animaux d'un même groupe . On peut dire, par exemple, que dans un même genr
s au dernier détail des mouvements, mais agit sur des systèmes ou des groupes d'actions qu'il ne dépend pas de la volonté d'iso
ui est vrai dans les animaux, mais ne l'est pas au même degré dans le groupe des primates et dans l'homme. B. — Après la cou
e importance, et fait voir que des dispositions, qui caractérisent un groupe élevé, ne peuvent toujours être choisies comme cr
térium des dispositions sériales à l'aide desquelles l'ensemble de ce groupe est zoologiquement conçu. Si l'on attachait à la
des parties. Ces sillons, très-rapprochés, séparent des feuilles', un groupe de feuilles, porté sur une lame commune, forme un
n groupe de feuilles, porté sur une lame commune, forme un lobule, un groupe de lobules est un lobe. 11 y a plusieurs manières
de sa pointe et du fond de Féchancrure seminulaire : 1° La lingule, groupe de lamelles sessiles, qui se prolongent en étages
ilunaire ; 3° Le lobe antéro-supérieur de Reil, que composent trois groupes de lobules transverses. Le vermis du cervelet m
gées d'avant en arrière, Elles répondent à la luette. Chacun de ces groupes comprend plusieurs groupes secondaires très-varia
les répondent à la luette. Chacun de ces groupes comprend plusieurs groupes secondaires très-variables, dans chacun desquels
problème en le limitant pour ainsi dire, et s'en tenir à l'étude des groupes naturels considérés comme types d'organisation di
L'hémisphère est un, il n'y a qu'une couche corticale, mais certains groupes de plis se dessinent. Les uns occupent la face ex
La région, située au-dessus de la scissure de Sylvius, comprend deux groupes de plis ou deux lobes. Ces deux groupes sont sépa
ure de Sylvius, comprend deux groupes de plis ou deux lobes. Ces deux groupes sont séparés par une anfractuosité verticale, qui
Ainsi, nous distinguerons, sur la face externe de l'hémisphère , cinq groupes de plis ou cinq lobes, savoir : le lobe central,
constante dans la plupart des singes. L'étage supérieur comprend le groupe frontal supérieur. Ce groupe, né du prolongement
singes. L'étage supérieur comprend le groupe frontal supérieur. Ce groupe , né du prolongement antérieur du lobule orbitaire
t se jette dans l'extrémité supérieure du pli frontal ascendant. Le groupe frontal supérieur ne comprend qu'un seul pli dans
l'inférieure est circonscrite par les flexuosités du pli injérieur du groupe frontal supérieur. En général, dans l'ordre des
de l'hémisphère dans l'homme, on peut démontrer aisément que certains groupes de plis demeurent dans un état d'infériorité rela
t; dans l'homme, au contraire, les parties prédominantes sont : 1° le groupe de l'étage frontal supérieur; 2° le lobule du pli
ntes. 1° Fibres longitudinales. Elles sont subdivisées en plusieurs groupes , savoir : (a) . Le groupe de la pyramide antéri
les. Elles sont subdivisées en plusieurs groupes, savoir : (a) . Le groupe de la pyramide antérieure que composent de gros f
que divisent, à son intérieur, des cloisons irrégulières. (b) . Le groupe du cordon antérieur que composent des fascicules
yramide et le sommet à la paroi antérieure du ventricule médian. Ce groupe représente, par sa structure, l'arête centrale de
ieurs tels qu'ils sont constitués dans la moelle épinière. (c) . Le groupe du faisceau latéral que composent des fascicules
t encadrée pour ainsi dire entre les fibres de ce faisceau. (d). Le groupe du funicule accessoire du faisceau ou cordon laté
accessoire du faisceau ou cordon latéral, qui forme, à la surface du groupe précédent, une région distincte par l'épaisseur d
nt, une région distincte par l'épaisseur de ses fascicules. (é). Le groupe du cordon postérieur situé en dehors du système d
inent à la manière des racines antérieures des nerfs spinaux entre le groupe des cordons antérieurs et celui des cordons moyen
r de mon sujet. En comparant avec attention les animaux de tous les groupes naturels dans la classe des mammifères, on découv
ureux et j'ai pu étudier le cerveau de quelques-uns des animaux de ce groupe . J'ai disséqué le cerveau de deux Halmaturus be
nisation cérébrale est réalisé d'une manière très-différente dans les groupes divers dont la série des mammifères se compose? N
urs à racine simple; 3° nerfs mixtes à racine double. M. Longet les groupe ainsi d'après leurs propriétés : 1° nerfs de sens
s lois. S'il en était autrement, ils cesseraient d'appartenir au même groupe . On peut donc, en négligeant les différences de s
ui rapprochent, au point de vue de l'organisation cérébrale, ces deux groupes naturels. En effet, à certains égards, le cerveau
e à celui des singes. C'est la même forme générale, ce sont les mêmes groupes de plis. Or, les singes présentant dans ces plis
médiates et qui ont donné lieu, en zoologie, à l'établissement de ces groupes coordonnés qu'on désigne sous le nom de genres, d
lutions que celui-ci ; ainsi, la quantité des circonvolutions dans un groupe naturel, correspondrait beaucoup moins à la taill
véritables circonvolutions. C'est ce que l'on voit en général dans le groupe des ruminants qui contient le Gour gigantesque et
de la Californie, et de l'autre, la Belette, qui est le pygmée de ce groupe . Ces remarques ont une importance que certaines
e importance que certaines conséquences rendent palpable. Si, dans un groupe naturel, les plus petits animaux n'ont pas de cir
firmer, par avance, que les plus grands en auront fort peu, et que ce groupe n'aura pas d'animaux remarquables par une grande
ille. Ainsi l'absence de circonvolutions dans les petits animaux d'un groupe indique clans ce groupe peu de tendance au dévelo
circonvolutions dans les petits animaux d'un groupe indique clans ce groupe peu de tendance au développement; on ne connaît p
ramêles n'ont point de circonvolutions, et le plus grand animal de ce groupe , le Thylacine, Thylacinus harrisii (Temm.), ne dé
lés, est le Porc-épic ou le Castor ; or les plus petits animaux de ce groupe ont le cerveau complètement lisse, mais les plus
les plus petits rongeurs ongulés ont quelques circonvolutions, et ce groupe comprend des animaux un peu plus grands que le pr
dont nous parlons, a des circonvolutions très-compliquées où tous les groupes de l'âge adulte sont parfaitement dessinés. D'ail
conclure, sans aucun autre indice avec une sorte de certitude, que le groupe auquel cet animal appartient peut contenir des an
ne taille supérieure à celle de l'Éléphant, d'autant plus que dans le groupe qui nous occupe, les plis du cerveau ont moins
veau et le développement des plis de sa surface en font, au-dessus du groupe des primates, un être tout à fait exceptionnel. T
x articulés. Chez ces derniers, le petit ganglion qui répond à chaque groupe naturel d'anneaux entretient pour un temps, et qu
m 30 d'un si grand nombre de séries, que l'âme, en régnant sur des groupes , puisse régler plus aisément Le détail presque in
ait réellement éprouver. Au milieu d'une de nos terribles émeutes, un groupe de soldats et de gardes nationaux, engagé dans la
attitudes contrariées pleines d'efforts et de luttes qui composent un groupe distinct dans le tableau complet des mouvements d
e plus petite moelle. Il faut d'ailleurs remarquer que dans le même groupe zoologique, plus le cerveau grandit absolument, e
32 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
merger de l'aponévrose une série de veinules, ou plutôt de petits groupes artério-veineux, qui s'épanouissent, à leur sor
e ramuscules gagnent le plexus latéro-pharyngien, c'est-à-dire le groupe de veines, tributaires à la fois de la thyroïdien
paisseur même de la paroi mus- culaire du pharynx. Voilà un premier groupe . En haut, un troncule veineux, qui s'intercale
s ? - Il est, dans la pathologie des nerfs périphériques, tout un groupe d'accidents, essentiellement passagers et super
telligence. Dans cette famille d'aliénés, il convient d'établir des groupes distincts; chez tous le délire n'évolue pas de
érique d'ailleurs, représente un type fonda- mental dans ce premier groupe . Les autres bruits sont au contraire inspiratoi
s aux autres et permet- tent de les considérer comme constituant un groupe naturel. Les caractères suivants, empruntés p
rtiaire ou quaternaire. Les secousses isolées d'ailleurs, comme les groupes de secousses, sont séparées les uns des autres,
dents existent repré- sente en quelque sorte une forme anormale, un groupe à part ; ainsi les attaques convulsives en pare
uentes. III. Tels sont, Messieurs, les grands traits com- muns au groupe tout entier des bruits laryngés hysté- riques.
, on le comprend aisément, l'apparition, chez un des mem- bres du groupe , d'uae affection reproduisant un aboie- ment, u
88 RECUEIL DE FAITS. épidémie d'imitations menaçant d'envahir le groupe tout entier. Il est clair que la dispersion, la
tout entier. Il est clair que la dispersion, la d;ssémi- nation du groupe est le plus sûr moyen qui, en pareil cas, devra
nt se localise le processus, dégénératif du tabès par rap- port aux groupes organisés dont nous venons de parler. Sont attein
s aussi forte. Et ces phosphorescences suffisent pour entraîner des groupes d'associations d'idées et d'impressions. Ou plutô
Nous ne trouvons de points de repère précis ni dans les allures des groupes musculaires, isolés en ce qui concerne l'atroph
iguë et la forme chronique, réunies dans le même chapitre, comme un groupe des psychoses du cer- veau valide. Mais Schùle
e la folie dégénérative alors que la para- noïa aiguë appartient au groupe des psycho-névroses, cette der- nière forme éta
vu se produire la tendance à reconnaître les formes aiguës comme un groupe indépendant d'aliénation mentale, mais cette qu
ourt résumé des symptômes que les cas décrits appartiennent bien au groupe qui a été désigné par différents auteurs sous l
tive. Ces formes aiguës ont donc le droit d'être classées dans un groupe à part, en dehors de la mélancolie, de la manie o
ait l'appellation de « folie générale ». Reste à savoir dans quel groupe des affections psychiques placer la forme menti
primitif aigu et le délire primitif chronique appartiennent au même groupe . Du reste, ces cas particuliers de paranoïa se
us grande tendance à se changer en démence. . E. BLIN. II. D'UN groupe déterminé d'hallucinations SENSORIELLES dans LES
thésique, il ne nous reste guère que l'arthritisme, c'est-à-dire le groupe de ces affections parentes qui, selon le profes
au point de vue qui les occupe, de distraire le rhumatisme aigu du groupe arthritique, le terrain spécial préparé par la
ne valeur limitée, surtout si on les considère isolément; pris en groupe et réunis chez un même individu, ils permettent
Au point de vue mental, on pourrait réunir les symptômes en trois groupes , qui paraissent se succéder périodiquement : 1°
e la note publiée dans la Neurolog. Centralblatt de 1891 2 sur le groupe , jusqu'alors inconnu, de cellules que l'on trouve
aires, qu'ils dépendent d'un autre facteur et qu'ils constituent un groupe nosologique distinct. Discussion sur les troubl
affection du système muscu- laire, divisés par M. Mouratoff en cinq groupes : 1). polyneuritis acutissima (paralysie de Lan
tigmates de l'hystérie que des médecins ont été conduits à créer un groupe d'affections dites : pseudo-sclérose en plaques
onservé l'expression de folie héréditaire parce qu'elle comprend un groupe de malades nettement défini et parce qu'un term
n, les résultats sont identiques. On doit donc faire entrer dans le groupe des hérédi- taires ces faits que la clinique dé
es' symptomatiques de la folie des dégé- nérés se divisent en trois groupes : les stigmates phy- siques, les stigmates psyc
x comprendre les troubles fonctionnels observés dans les différents groupes de dégénérés, il est bon de rappeler ce qui se
certaines facultés leur font entièrement défaut. Enfin un troisième groupe comprend des indi- vidus qui, à l'état ordinair
pas sur toutes les sensations venant d'un certain sens, mais sur un groupe de sensations formant un système, en laissant p
observé à ce propos trois catégories de malades différentes : 1° le groupe qui m'a le plus intéressé formé par des malades
de l'anesthésie hystérique, comme je la comprends. Dans un deuxième groupe , je rangerai les malades fort nom- breux qui, p
OGIE PATHOLOGIQUES. mélancoliques conduirait peut-être à rejeter du groupe des mélancolies pures celles qui sont accompagn
Psych., XXII, 2.) . L'hystérie traumatique de Charcot produit trois groupes d'acci- dents de cette sorte : 400 REVUE D'AN
pas à pas les faisceaux qui se présentent comme s'il s'agissait de groupes mus- culaires ; il les distingue et les décrit
eut être suivie de courants allant de certaines cellules à d'autres groupes cellulaires, et finalement aboutir à des mouvem
formation d'un groupement de cellules (action dia- tactique). Si le groupe ainsi formé décharge des courants efférents ver
duit par un mouvement. Le passage des courants qui émanent d'un tel groupe peut ne se produire que tardivement après sa fo
s, et ainsi de suite, de série en série, jusqu'à ce que, du dernier groupe , partent des courants qui aboutissent aux muscl
tutifs de la substance cérébrale peuvent être divisés en plusieuis groupes naturels, notamment en : substances azotées album
s organiques contenant du phosphore, donne lieu à la formation d'un groupe spécial des substances phosphorées, constituant
, les noyaux moteurs sont épar- gnés ; la destruction porte sur les groupes cellulaires sous-jacents au plancher du quatriè
ie d'Oppenheim existent des exemples typiques pour chacun des trois groupes . M. Freund présente sept observations d'hystéri
33 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
: dans la moelle sacrée, l'altération, insuliforme, empiète sur les groupes médians, latéraux, centraux des cellules. Dégén
tion dégénérative de concert avec le début de la para- lysie par le groupe , des muscles qu'innerve le sciatique poplité ex
les dé- 501'l11'l's IlIL'nl¡¡u\ de semblable origine. Le nombre des groupes t'>[h liqups (;2115) l'l'nfl'I'I111"S dans l
ts que j'ai recueillis et que je vais exposer ici appartiennent aux groupes sui- vants : 1° Psychoses dépressives, à base n
ence. 2° Aliénés gémiseurs. - .Ic ne contribuerai a l'étude de ce groupe que par deux observations, mais elles me parais
'il arrive à l'asile. On trouve nettement chez lui à l'examen trois groupes différents de symptômes. 11 ne témoigne plus qu
sition iixe, nettement organisée. Ils occupent le même côté que les groupes de muscles qu'ils animent. Les muscles des membre
ne, Iêmes lésions, mais d'un nombre moins grand de cellules dans le groupe le plus inférieur de la portion moyenne du noya
sibilité d'une localisation, mais cela indique une constellation de groupes d'endroits ayant subi une destruction partielle
n'est que l'introduction dans le foyer de l'énergie psychique d'un groupe cérébral déterminé, exercera une act)0)ie.\tinc
orbides qu'elle présente actuellement peuvent être classés en trois groupes : a) Quelques slygniales d'hystérie ; b) Idée
e de ce genre de malades. Le conférencier les divise en deux grands groupes : 10 Les sourds-muets et les aveugles, qui ont
ntrevoir l'intérêt diagnostique et pronosti- que (le leur élude. Ce groupe de phénomènes moteurs à .signification psycholo
ires, deviennent t ainsi, de véritables stéréotypies portant sur un groupe de fonctions ; et cette interprétation est la s
tables tics du lan- gage : et si l'on fait abstraction d'un certain groupe de mots qui viennent intoxiquer toutes les répo
trices, qu'il s'agisse d'une contracture permanente d'un certain groupe de muscles, ou de la répétition d'un même mouve
océder dès que l'influence en question cessera de s'imposer. A ce groupe d'accidents primitifs, appartiennent les attitu
», suivant la défini- tion de M. Cahen. En donnant à ce deuxième groupe de stéréotypies un caractère résiduel, nous ne
désagrégation intégrale des éléments de l'esprit. Or, si le second groupe est du plus funeste présage, le premier nc préj
par la thèse du regretté Apte, victime du Métropolitain. Un premier groupe est formé par les hystériques stigmatisées, c'e
Louise Lateau, de Madeleine, malade de Pierre Ja- net. Dans le même groupe se placent l'oedème tlcnmograllliitlue et l'oed
oedème tlcnmograllliitlue et l'oedème bleu des hystériques. Un : le groupe est celui des psy- chasthéniques qui ont des tr
paraissent sous l'influence du mécanisme de l'idée fixe. Ce dernier groupe a été étudié spécialement par les professeurs ?
rieures et postérieures, les auteurs étudient l'état des différents groupes de cellules de la moelle dans les seg- ments de
nalyse dans le mémoire au moyen des ligures. Ils prétendent que les groupes do cellules distingués ne repré- sentent toujou
(font 7067 faibles d'esprit, parmi les- quels 2615 appartenaient au groupe des idiots, des imbéciles et (les crétins. Aprè
tente de fixer l'attention sur ce préjugé, mais je veux signaler un groupe de faits spéciaux. - J'ai entendu exprimer la
ur cette étendue, mais la dégénérescence n'est évidente que pour le groupe de cellules antéro-externe. Les investigateurs
ne sont du - reste point d'accord ce sujet. Barrait indique ce même groupe ; Sano et Ubersteiner aussi, bien qu'ils pensen
même groupe ; Sano et Ubersteiner aussi, bien qu'ils pensent que ce groupe n'est pas le seul. Gregoriew mentionne un group
ils pensent que ce groupe n'est pas le seul. Gregoriew mentionne un groupe antérieur et un groupe externe. Un groupe exter
n'est pas le seul. Gregoriew mentionne un groupe antérieur et un groupe externe. Un groupe externe est noté par lIonakow,
l. Gregoriew mentionne un groupe antérieur et un groupe externe. Un groupe externe est noté par lIonakow, Flatau et Strohm
eschfeld, Krause, I ricollaender, llomen, Campbell penchent pour le groupe posléro-laléral. Pour Déje- rine-Mayor, c'est l
ent pour le groupe posléro-laléral. Pour Déje- rine-Mayor, c'est le groupe antero-interne. P. Keraval. LXV1. Du faisceau X
e, à l'exclusion des solutions (lecon- linuilé directes. Du premier groupe , 31 ont iruéri, 16 sont restées incurables, soi
pour l'exposé complet de la classification qu'il propose des divers groupes d'aliénés : je ne fais qu'en indi- quer ici les
s il n'y a que l'expérience 18 qui doit compter entièrement dans ce groupe , les expériences 19, 2J, 21, 22 n'impliquant qu
e, c'est-à-dire où chaque oeil fixe une image dif- férente. Dans ce groupe nous placerons les expériences 5, G, 'I avec la
formité du condensateur et de l'inégalité des charges, entre deux groupes de neurones éloignés, et par suite revêtus d'em-
altés, les bandes de criminels et les prostituées. Ils passent d'un groupe l'autre avec la plus grande facilité. Plusieurs
ns les régions en question. - L'innervation postérieure se fait par groupe antéro-interne de cellules ; il contient outre
Dans le plan antéro-postérieur de la coupe, ce sont toujours les groupes cellulaires destinés aux muscles des segments du
énumérer les principaux symptômes afin que le lecteur cache à quel groupe il a affaire (13.). 301 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
de l'administration, lors de leurs visites à Dicétre, d'une part le groupe des épileptiques dits simples, et, d'autre part
, et, d'autre part, les épileptiques (lits aliènes. Dans les deux groupes on voyait, des malades jouissant à peu près de
malitcs clilt·érentes aux deux yeux. 11 convient donc d'en faire un groupe séparé : LE 1t11LI : \1 : LUMINEUX DANS LA PARA
Nous verrons tout à l'heure quelle différence existe entre les deux groupes au point de vue de la mentalité. - Chcz les m
s'agit des név l'algies faciales. On ne peut y considérer que deux groupes : 1° celui dans lequel l'injection de cocaïne loc
niques agités, une série de promenades quotidiennes, isolées ou par groupes de 2 ou 3 malades, qui ont l'avantage de faire
s et imbéciles. Cette division médicale se subdivise encore en deux groupes : le groupe inférieur et le groupe supé- rieur.
s. Cette division médicale se subdivise encore en deux groupes : le groupe inférieur et le groupe supé- rieur. Dans le pre
ale se subdivise encore en deux groupes : le groupe inférieur et le groupe supé- rieur. Dans le premier on applique le sys
applique le système de MM. Séguin et Dournev ille. Les élèves du 2e groupe passent leur temps à des tria- vaux physiques,
et en général les enfants arriérés. Celle di- vision comprend trois groupes : l'inférieur, le moyen et le supé- rieur. ' .
d trois groupes : l'inférieur, le moyen et le supé- rieur. ' . Le groupe inférieur correspond aux enfants dont l'état de d
t pendant l'âge de la puberté. Dans l'Institut il y a pour chaque groupe des dortoirs, et des salles déclasse, les réfec
34 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
assez rare, a pu être mise en doute ou même niée formellement parmi groupe d'observateurs dont j'ai eu l'honneur de faire
git dans son travail de spasmes et non de paralysies; mais les deux groupes de faits doivent être évidemment considérés com
ais qu'ils étaient le résultat positif de la sec- tion d'un certain groupe de conduits sensitifs dans l'intérieur de la mo
pérations du même genre, la conservation des mouvements dépend d'un groupe de fibres du cordon antérieur qui est resté int
: 1° son écorce formée de fibres en anse, qui appartiennent au même groupe que le toenia semi-circulaire... ». Gratiolet
ns toniques et cloniques débutent presque à la fois dans les divers groupes musculaires représentés dans les centres cortic
DE l'épilepsie corticale. 101 simples, limitées au seul muscle ou groupe de muscles corres- pondant au centre cortical l
ne motrice, l'accès convulsif intéressera successivement les divers groupes musculaires dans l'ordre même où évolue le proc
de plus que les aires corticales, dont l'ex- citation meut certains groupes musculaires, et dont la destruc- tion entraîne
ticale épargnent, dans les parties du corps qu'ils envahissent, les groupes mus- culaires dont les centres moteurs ont été
les convulsions, au lieu d'affecter successivement les différents groupes musculaires, seraient d'emblée générales. De même
, elles ne seraient point cloniques ni limitées au début à certains groupes de muscles. Enfin, ce qui achève de prouver que
enlevés, Mais comme les convulsions se limi- tent, dans ce cas, aux groupes musculaires innervés par la région motrice lais
complexe les divers éléments dont se compose une image mentale, un groupe d'images, un rai- sonnement, un jugement, et pe
UE. tant entre le siège cortical de la lésion provocatrice et les groupes musculaires où l'accès convulsif débute et peut r
mode de début des convulsions sous forme de spasmes localisés à un groupe musculaire. Seppilli cite des cas d'épilepsie d
ritation du bulbe pourrait déterminer des convulsions limitées à un groupe musculaire ou à un seul côté du corps, les expé-
encéphalite aiguë spon- tanée non suppurée chez l'homme. Le premier groupe dont il est question ici embrasse des types ana
er vient soutenir le mémoire lu par lui il la dernière séance. D'un groupe déterminé d'hallucinations sensorielles dans les
n pourrait parler de la névrose du crime. Il y a enfin un troisième groupe ; c'est celui des délinquants qui agissent sous
sous l'impulsion directe d'une maladie nettement caractérisée : ce groupe comprend les paralytiques généraux, les épilept
t de la maladie. Il faut se souvenir toutefois que, parmi ces trois groupes de criminels, le dernier seul est bien nettemen
n rôle important dans la production du crime chez les deux premiers groupes criminels; l'auteur rapporte des exemples histo
ans l'étiologie de la paralysie générale. M. Magnan range en quatre groupes les tendances principales des différents auteur
issent et l'on retrouve l'alcoolisé chronique vulgaire. Un second groupe , mais moins nombreux d'alcoolisés chroniques, e
tale mise en activité par un stimulant alcoolique. Voilà donc trois groupes de faits dans lesquels, par suite d'un appoint
escendante de la cinquième paire des deux côtés; dégénérescence des groupes de cellules décrits par Westphal au niveau du noy
iagnostic : névrite du nerf sus-scapulaire. M. M'fSTPH.L. - Nouveau groupe annulaire de cellules placées en dehors et en a
nulaire de cellules placées en dehors et en avant des deux nouveaux groupes de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décr
de cellules de l'oculo- moteur commun déjà décrits par l'auteur. Ce groupe annulaire comprend cinquante à soixante séries
s pathologique, on en a trouvé vingt-cinq atrophiées; l'atrophie du groupe entier était complète en un cas d'atrophie du n
es observations se décomposent, au point - de vue clinique, en huit groupes : SOCIÉTÉS SAVANTES. 279 9 à un côté. Il arri
avec le tabes, s'exprimait en ces termes : « A côté de ce premier groupe (glycosurie tabétique) il convient d'en Cliat-c
fit à multiplier les sub- divisions ; on peut s'en tenir à quelques groupes dans lesquels rentreront aisément toutes les in
ernant l'atrophie faciale progressive peuvent être divisées en deux groupes : pour la plupart des cliniciens, elle s'expliq
ent de la même cellule. Chez l'homme, il existe des granulations en groupes , soit dans les prolongements, soit dans les cel
dont la situation correspond à celle du plus pelit ren- forcé ; un groupe de cellules occupe l'épaisseur de ce cordon, leur
ce qui concerne les dix autres, il convient de les diviser en deux groupes : chez cinq d'entre eux la suspension demeura i
lules pyramidales géantes de Betz. M. Cramer (d'Eberswalde). D'un groupe déterminé d'hallucina- tions sensorielles dans
ge d'après les dispositions suivantes approuvées par le cinquième groupe de la commission ministérielle chargée d'étudier
lation et les règlements concernant les asiles d'aliénés, cinquième groupe composé de MM. Herold, président, Bail, l.unier
ervice, et afin de bien marquer cette subordination en principe, le groupe adopta la dénomination d'administrateur que M.
s discussion, cette proposition a rallié la majorité des membres du groupe , mais à la condition que le pharmacien et l'éco
ercerait sur les actes d'administration. Les membres du cin- quième groupe , également à l'unanimité, ont précisé ce contrôle
t-à-dire afin de bien indiquer la pensée qui inspire les membres du groupe et sur la remarque judicieuse de M. Lunier, les
u groupe et sur la remarque judicieuse de M. Lunier, les membres du groupe , à l'una- nimité, ont demandé que, dorénavant,
à la Chambre pour reprendre et défendre les décisions du cinquième groupe de la commission ministérielle dont il fut le rap
autre de celle d'un pois. Autour de chaque vésicatoire se voyait un groupe de petites vési- cules (chacune de la grosseur
arciformes, par Jelgersma, ' 126. OCULO-teTBUR commun, nouveau groupe cellulaire de l ? par Vestphal 269 ; - paralysi
35 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
ites à l'Institut psycho-physiologique, peuvent être divisées en deux groupes : 1° Action de l'hypnotisme et de la suggestion
l'illusion de l'hallucination dans l'hypnose. Les rêves du premier groupe se rattachent à des impressions reçues par les se
es d'un genre particulier. Les rêves appartenant au second des deux groupes que nous avons mentionnés se produisent sans que
ntastique. Néanmoins, ces créations de (1) Spitta appelait ces deux groupes rêves d'excitation nerveuse et rêves psychiques;
vue du fonctionnement normal. Nous allons d'abord diviser en trois groupes toutes les manifestations de l'hystérie et nous v
ous verrons que l'on peut y classer tous les symptômes observés. 1° Groupe des anomalies psychiques ; 2° Groupe des anomal
s les symptômes observés. 1° Groupe des anomalies psychiques ; 2° Groupe des anomalies de la sensibilité; 3° Groupe des
malies psychiques ; 2° Groupe des anomalies de la sensibilité; 3° Groupe des anomalies de la motricité ou de la force. D
roupe des anomalies de la motricité ou de la force. Dans le premier groupe , l'état normal existe lorsque les facultés psychi
psychique est rompu, toujours dans le même sens, c'est-à-dire que le groupe inférieur des sensations, impressions, impulsions
e groupe inférieur des sensations, impressions, impulsions, domine le groupe inférieur : volonté et raisonnement, nous avons A
uire de deux façons : ou bien P reste normal et il y a exagération du groupe A, ce qui donne la formule : P A+n. Ou bien c'e
tion du groupe A, ce qui donne la formule : P A+n. Ou bien c'est le groupe A qui reste normal et P qui est amoindri, nous av
us avons alors : P—n A. Voyons maintenant ce qui se passe dans le groupe des phénomènes de la sensibilité. Et d'abord, qu'
ésie par S—2ni 'a douleur par S+2n. Passons maintenant au troisième groupe , les phénomènes de la motricité ou de la force.
de diminution de la force, lorsque la volonté n'agissant pas sur les groupes musculaires les plus favorables à un mouvement vo
erges, et continuant à se ranger sur les côtés. Puis débouche tout un groupe d'enfants de chœur, robe bleue, camail bleu, calo
se et voile blanc. Ils s'avancent au milieu de l'esplanade, suivis de groupes d'hommes portant les bannières et les drapeaux, p
porte l'Os-tie Sainte commence par la droite; il est accompagné d'un groupe de pèlerins. Chaque malade est l'objet d'un arr
un berger, et c'est un archer, c'est-à-dire un homme de la police qui groupe tout ce monde. Ici commence l'odyssée invraisem
r M. le dr Paul Tesdorpf (de Munich). On distingue d'ordinaire deux groupes de phénomènes hystériques, les uns somatiques, le
ale est de diviser les maladies qui modifient notre caractère en deux groupes . : 1) Les unes le transforment totalement, donn
et de considérer la réunion des professeurs de cette Ecole, comme un groupe d'élèves dévoués, unis à lui par les liens d'af-
e polygone, pendant que 0 est distrait. C'est encore dans le même groupe que je placerai l'entraîne-ment grégaire, dont ce
degré et devenir le cauchemar, le rêve actif ou parlé (2) . A ce même groupe appartiennent les mouvements automatiques, involo
r la pensée fixe de 0 et se met à partir : la table tourne. Au même groupe appartiennent les mouvements involontaires et inc
J'ai appelé hiérosyncrotème (iipoç-sacré ; c^Y/.;lTr,^a-groupe) le groupe formé par des religieux ou des dévots suggestionn
e numérateur 16 représentant le nombre des religieux ou des dévots du groupe familial ainsi défini. Cette fraction 16/51 rep
/51 représente donc dans son ensemble la proportion des membres de ce groupe ayant subi avec succès les suggestions religieuse
religieuses. Plus cette fraction est petite, plus l'état mental du groupe familial se rapproche de la normale. Plus elle es
mais aussi le plus frappant, consiste dans le fait qu'un muscle ou un groupe de muscles peuvent être paralysés par une idée ex
» Ainsi, M. Gibert, médecin en chef d'un dispensaire, entouré d'un groupe important de médecins, auxquels il recommande de
t décidé entre les chefs des principales familles de la Mecque que le groupe des Banon-Hachim, dont faisait partie Mahomet, se
C'est la pensée que Charcot (1) a exprimée en disant : « l'idée ou le groupe d'idées suggérées se trouvent, dans leur isolemen
est possible de faire naître par voie de suggestion, d'intimation, un groupe cohérent d'idées associées qui s'installent dans
er pour réduire le nombre de nos images mentales des objets de chaque groupe à mesure que l'expérience quotidienne augmente le
ravaux de Myers, quand il dit (1) : « l'hypnotisme est un nom pour un groupe de moyens empiriques, par lesquels nous pouvons a
, les rectifiant, les complétant. Voilà pour l'individu. Pour les groupes , il en est de môme. Car à l'Ecole de Médecine les
les étudiants ne sont pas isolés, ils se réunissent par années et par groupes . Ces groupes, ce sont les Sociétés d'étudiants
e sont pas isolés, ils se réunissent par années et par groupes. Ces groupes , ce sont les Sociétés d'étudiants : Associations
un droit. * L'effort en commun ne s'arrête pas à l'individu et au groupe , il monte plus haut et atteint le professeur lui-
maladies nerveuses, les malades venus de leur hôpital sont amenés par groupes . Les élèves n'ont pas à se déplacer, pas de perte
s. Pour le diagnostic au lit du malade, les élèves sont emmenés par groupes dans les différents services par leur professeur
36 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ne altération de leurs parois. On peut faire rentrer dans ces trois groupes toutes les causes imaginées pour expliquer la pro
des masses centrales des hémisphères, permettent d'établir un premier groupe dans la classe des maladies dues aux localisation
aire dans les masses corticales des hémisphères. C'est là un deuxième groupe à vrai dire, moins bien établi que le premier. Ce
e, un peu arbitrairement, à quelques-unes des observations du dernier groupe , au profit de la doctrine soutenue par M. le doct
bservations seront ramenées à deux chefs principaux : Dans un premier groupe , il s'agira d'une affection singulière des articu
elquefois dans le cours de l'ataxie locomotrice progressive ; l'autre groupe comprendra plusieurs exemples d'une espèce d'arth
de la nutrition, si elle affecte, en outre, des tubes appartenant au groupe des éléments nerveux vaso-moteurs ou tropliiques.
altérations du cerveau; que, de plus, elle ne saurait être ramenée au groupe arthro pathies consécutives à une lésion des ne
suivant : violet, vert, rouge, orange, jaune et bleu. Dans un second groupe de malades c'est la notion du rouge qui reparaît
me état nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente clinique-ment un groupe naturel, comprenant Line série d'états nerveux, d
a) De la possibilité de localiser l'excitation à un muscle ou à un groupe de muscles ; b) De la possibilité d'exciter un
ortie de la même région et qu'elle s'est exactement localisée au même groupe musculaire, à celui qui reçoit les rameaux du ner
xions qui existent dans l'intérieur de la moelle entre les différents groupes de cellules nerveuses qui correspondent aux group
re les différents groupes de cellules nerveuses qui correspondent aux groupes musculaires antagonistes, fléchisseurs et extense
s, dit M. Vulpian, dans les cas de mouvements volontaires de certains groupes de muscles, me paraît avoir son point de départ d
aire, ne reste pas toujours exactement localisée dans le muscle ou le groupe musculaire sur lequel porte l'excitation. Cette p
bservations sont au nombre de 10. Elles peuvent être ramenées à trois groupes . Sur quatre de ces sujets, la galvanisation d'u
rite, et je la livre à la critique de mes collègues. Notre deuxième groupe se compose de quatre malades hystériques hypnotis
laire. Voici ce que nous avons observé chez les sujets de ce deuxième groupe , les conditions de l'expérience étant exactement
quée du même côté du corps. Il ne s'agit donc plus ici, comme dans le groupe précédent, de mouvements exclusivement hétéro-lat
lvanique était produite. J'ajouterai que, sur les quatre sujets de ce groupe , trois ont présenté, pendant l'état de veille, so
aru propres à l'état hypnotique. Pour ce qui est de notre troisième groupe , il comprend deux hystériques hypnotisées chez
, etc., etc. Ces formes si diverses appartiennent cependant toutes au groupe de l'hypnotisme. Il est, on le voit, fort importa
entique et semblable à lui-même, mais bien qu'il représentait tout un groupe d'états nerveux divers, différents les uns des au
e du tibial antérieur, l'excitation réside dans la tension passive du groupe musculaire antagoniste, c'est-à-dire des jumeaux
aradoxale consiste en une perte de l'équilibre du tonus dans certains groupes musculaires et dans leurs antagonistes. Nous n'
usque du muscle, mais elle trouve sa cause dans la tension brusque du groupe muscu-laire antagoniste. Voici les raisons sur le
inée n'est point maintenue en vertu de l'action persistante d'un seul groupe musculaire, mais qu'elle est en quelque sorte la
tre portée directement sur les extenseurs. D'une façon générale, un groupe antagoniste, qui ne reçoit pas l'excitation, acqu
dans le sens des muscles directement intéressés; ou autrement dit les groupes musculaires antagonistes sont également intéressé
. Mais cette excitation n'y reste pas confinée et gagne également les groupes cellulaires correspondant aux muscles antagoniste
xions qui existent dans l'intérieur de la moelle entre les.différents groupes de cellules nerveuses, qui correspondent aux grou
e les.différents groupes de cellules nerveuses, qui correspondent aux groupes musculaires antagonistes sont admises par les phy
s'agit, il nous suffit alors d'admettre que l'excitation partie d'un groupe musculaire retentit toujours sur le groupe muscul
e l'excitation partie d'un groupe musculaire retentit toujours sur le groupe musculaire antagoniste dont l'action, qui d'ordin
ers appareils générateurs d'électricité peuvent être divisés en trois groupes : 1° Appareils produisant l'électricité de haut
électricité de haute tension, mais en faible quantité : le type de ce groupe est la machine électrique ; 2° Appareils produi
roduisant l'électricité en grande quantité. mais à faible tension. Ce groupe est présenté par la pile vol-taïque ; 3° Le tro
on. Ce groupe est présenté par la pile vol-taïque ; 3° Le troisième groupe peut être considéré connue intermédiaire aux deux
n puisse compter* 2° Les phénomènes hypnotiques peuvent affecter un groupe ment spécial en trois états distincts. C'est là
37 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
ne (Trypanosoma Cruzi), et l'insecte inoculateur, un hémi- plère du groupe des Réduviens, Triatoma magista. Les localisati
phalite aiguë, rapidement mortelle. Les autopsies des malades de ce groupe démon- trent l'existence d'une méningite des pl
les de la ceinture scapulaire : deltoïde, sus et sous-épineux et du groupe Erb-Duchêne : biceps, brachial antérieur, long
sque la sensibilité objective était presque intacte et que dans les groupes musculaires atrophiés il n'y avait ni abolition c
en élevant les extrémités au-dessus du lit. La tonicité de tous les groupes muscu- laires, comme il a été dit, se trouvait
réduction dans l'abduction du même membre ; eufin dans un troisième groupe de cas (type Cacciapuoti) la grandeur du pas la
ns l'hémiplégie devient très utile pour reconnaître avec détail les groupes musculaires pris de pré- férence au membre infé
et embrouillé. Il y a des maladies qui sont classées, soit dans le groupe des myoclonies, soit dans les chorées, soit dans
utres descriptions on trouve les contractions fibrillaires dans des groupes musculaires mais les douleurs et les perturbation
nes caractéristiques de ce spasme facial (1). En résumé : Dans le groupe des myokimies publiées, il y a des cas, comme c
dernièrement par René Cruchet ne doivent pas être englobées dans ce groupe . Comme le dit Cruchet, ces phénomènes sont plus
t I-Ieldenberg ont proposé la séparation de la chorée électrique du groupe des chorées, et Remak a parlé pour la première fo
rphes et variables. , Pendant longtemps on a mis les tics dans le groupe des myoclonies. La définition de Vanlair, qui e
lques auteurs onl observé une certaine symétrie dans les muscles ou groupes musculaires atteints. On l'a même considérée comm
ent aussi. Chez notre première malade il y a symé- trie de certains groupes musculaires, par exemple, les muscles des épaules
seulement constater les faits que la clinique nous impose. Dans le groupe des myoclonies symptomatiques nous mêlions : 1)
rave, avec crises épileptiques, mérite bien une placeà part dans le groupe des myoclonies symptomatiques, comme une entité
res, fibrillaires ou fasciculaires, qui attaquent un mus- cle ou un groupe musculaire. Il y a habituellement, chez ces mal
Trousseau, Charcot et Friedreich avaient'ébauché leur séparation du groupe des spasmes, en mettant en évidence le facteur
ction psychique. Les myoclonies essentielles n'appartiennent pas au groupe des tics. Quelques unes peuvent leur ressembler
roglie sont disposées irrégulièrement, par endroits nous voyons des groupes de deux ou même de plusieurs cellules. On expli-
n du karyoplasme). Le long de quelques vaisseaux, nous trouvons des groupes de cellules Fie. 12 et 13. Cas d'épilepsie. Eco
miboïdes, toutefois elles en dif- fèrent en ce qu'elles forment des groupes et restent en connexion syncy- liale. Elles se
général de type parenchymateux : cellules épithéliales formant des groupes sans lumen; follicules de volume variable, mais s
n rencontre çà et là, surtout au voisinage des vaisseaux, de petits groupes de cellules rondes (lymphocytes). Lors de la di
des follicules on ne rencontre dans l'inclusion que quelques rares groupes de cellules épithéliales sans aucun lumen. A l'in
, on voit, surtout dans la zone périphérique, des follicules et des groupes de cellules épithéliales qui offrent le même as
eait toujours une intervention active d'un cer- 224 ' HNATEK tain groupe de muscles. Les muscles : grand dentelé, sous-épi
st tout à fait régulier. Les fonctions de chacun des muscles ou des groupes de muscles sont entièrement'normales. Nulle part,
microscopiques ci-dessus décrites, nous pouvons les diviser en deux groupes : 1° modifications notées dans la substance méd
s centres ainsi que ceux des vaisseaux. La relation intime entre le groupe basedowien et les angiotrophonévroses trouverai
observa- tions ultérieures et plus complètes pourront le diviser en groupes diffé- rents tout à fait distincts. Parmi ces
diviser en groupes diffé- rents tout à fait distincts. Parmi ces groupes , il y aura donc lieu de retenir dès à présent l'e
'origine du sympathique sont disposées dans la moelle sous forme de groupes superposés, ainsi que les recherches de Parhon
ans notre cas, se trouve en relation avec une lésion bilatérale des groupes d'origine du sympathique à une région déterminée
sais si les cas décrits par Griffith et Newcome appartiennent à ce groupe , car je n'ai pu lire leurs propres écrits. Le
is (8), Cassirer (9). Meige, et aussi Cassirer, distin- guent trois groupes d'oedème chronique, dystrophique : celui des cas
et celui des cas congénitaux. Dans ce dernier existent encore deux groupes : celui des cas congénitaux et celui des cas co
ments associés dans l'hémiface gauche. Le moindre effort faitpar un groupe de muscles détermine la contraction de toute l'hé
bres ou quelques faisceaux, mais le muscle tout entier ou plusieurs groupes de muscles qui se contrac- teront. L'orbiculair
es musculaires sont nom- breuses et'appareates. En examinant chaque groupe de secousses musculaires, on est amené à consta
bsence de mouvements associés dans l'hémiface gauche. L'action d'un groupe musculaire du côté gauche n'entraîne pas la moind
laire du côté gauche n'entraîne pas la moindre action synergique de groupes musculaires du même côté ou du côté opposé. 4"
urcil el. du front. Ils ne se localisent pas en général sur tout un groupe musculaire à la fois et ne réalisent pas un mou
us comme une rareté ou une création artificielle... Je crois que le groupe des syndromes pluriglandu- laires est destiné à
l'inspection on voit la disproportion du développement de certains groupes musculaires. Le malade a le facies myopathique
éaires. Ils remplissent les espaces périvascu- laires el tantôt par groupes , tantôt isolément, ils se trouvent dans les fen
la périphérie, tandis que les cellules détruites présentent tout un groupe de leucocytes au centre de leur corps. Ainsi no
é qui fait la continuation de leur prolongement protoplasmique ; ce groupe cellulaire central est enveloppé par des cellul
n autre endroit on aurait pu voir que, perpendiculairement à un tel groupe cellulaire central s'étendent 438 SNESSAREFF
l, Jun. 1911. DU PROCESSUS DE REPARATION DANS LE CERVEAU 443 en groupes et que la membrana glice perivascularis était att
par le pied de cette malade tabétique semble rentrer dans un autre groupe de faits que les déformalions bien classiques qui
e, qui, d'après ses pro- priétés chimiques, peut être rangé dans le groupe des globulines. La réac- tion Nonne-Apel t (1 r
38 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
systématique originelle (oî-igizx7-e Verrüchtlaeit) y représente un groupe de la folie systématique chronique type (typische
ulement uneVerrsich- theit mélancolique et maniaque, mais encore un groupe que l'on prétend être un type, et auquel on att
eusori-mélaboliques. Les réflexes centro-moteurs com- prennent deux groupes : a, émotio-moteurs (musculaires, glandu- laire
rtion de Wernicke, d'après laquelle le délire de chicane et tout un groupe de folies partielles proviennent d'idées présom
e une dysbasie de cause psychique, et rentre, pensons-nous, dans le groupe des basophobies, dont MM. Debove et Boulloche o
atique originelle (originoere 4errüclctheit) . Mais, entre ces deux groupes , il faut admettre des formes mixtes, par exempl
uelques cas dont le diagnostic est douteux. La Verrüclctheit est un groupe de la paranoïa ; - . 3° Quant à la Verwirrthe
! 00 CLINIQUE MENTALE. confusion mentale qu'ils ont divisés en deux groupes : l'un, dans lequel l'incohérence est le résult
ions; - l'autre, dans lequel l'incohérence est primitive. Ce second groupe mérite une place à part dans la paranoïa, car l
toute la partie étiologique est passée sous silence. C'est tout un groupe d'observations inutilisables. En fin de compt
investigations, voici des éléments qui nous paraissent dégagés. Les groupes de psychoses fonctionnelles simples, non compliqu
tellectuelle. En revanche il y a lieu d'admettre un troisième grand groupe de psychoses simples, non compliquées, mis en v
, qu'au point de vue théorique, il n'y avait pas lieu d'en faire un groupe à part. Il y a au contraire entre les divers ta
de indéfinie de dessins pathologiques. La réunion de ces dessins en groupes s'impose (avant d'en détailler les différences,
nséquence ce que nous proposerions : 140 SOCIÉTÉS SAVANTES. Trois groupes de psychoses fonctionnelles simples non com- pl
s de psychoses fonctionnelles simples non com- pliquées. Le premier groupe , groupe des anomalies de l'humeur, caractérisé
choses fonctionnelles simples non com- pliquées. Le premier groupe, groupe des anomalies de l'humeur, caractérisé par une
le symptôme principal et permanent : manie, mélancolie. Le second groupe , groupe de la paranoïa ou des paranoïas, est cara
ptôme principal et permanent : manie, mélancolie. Le second groupe, groupe de la paranoïa ou des paranoïas, est caractérisé
le ou Verwirrtheit, ameuta de Meynert, Wille, Chaslin. Le troisième groupe , que l'on doit désigner sous le nom d'anota, a
de la sensibilité morale : c'est la démence aiguë. Chacun de ces groupes est rattaché au suivant par des formes de trans
de grandeur qui se montrent chez les mélancoliques, etc. Le second groupe se relie, par les formes aiguës, aux délires fé
mple nous envisageons les formes aiguës et les formes chroniques du groupe paranoïa, il y a un certain nombre d'obser- vat
lle, etc. MVI. Jastrowitz et Mendel, prétendent devoir l'enlever du groupe de la paranoïa, tandis que je crois, conformément
formes, catalep- toïdes, etc. Nous retrouvons la paranoïa dans le groupe de la dégéné- rescence {paranoïa originaria). C
transitoires; tels sont les persécutés persécuteurs. B. Un second groupe comprend les persécutés hallucinés « sen- sorie
source intaris- sable d'intoxication. Ce qui est vrai, c'est qu'un groupe important de phénomènes nerveux provient de l'a
eprendre la division pathologique et pratique. Voici par exemple un groupe de faits caractérisés par une marche toute part
nt une pléiade de symptômes communs, ne pas- les réunir en tant que groupe morbide commun sous une même dénomination. Cett
de mal de Bright d'être correcte en ce sens qu'elle sépare tout un groupe de maladies des reins d'autres maladies. Pour-
plus ample informé, ne pas admettre, comme le demande M. Cramer, un groupe paranoïa, qui embrasse toutes les maladies ment
aintenant, ce sont les carac- tères qui permettent de distinguer le groupe paranoïa des autres maladies mentales. S'il e
s de môme que la pléiade symptomatique du mal de Bright séparait ce groupe des autres maladies rénales. Aussi bien, ne suf
La .paranoïa symptomatique de psychopathies complexes est, donc un groupe secondaire portant en lui les traces du,terrain,;
nier par exemple, n'admettent," eux aussi; dans la science que deux groupes de psychoses fon'e I' tionnelles' simples : Met
les rubriques suivantes : PSYCHOSES FONCTIONNELLES SIMPLES. (3 GROUPES .) 290 CLINIQUE MENTALE. BIBLIOGRAPHIE. «EST
t de seg- ments riches en fibres. Les. cellules forment aussi des groupes irrégulièrement ordon- nés et non plus stratifi
cherches plus faciles, M. Ribot distingue dans ces derniers quatre' groupes : 1° les saveurs et les' odeurs; 2° les sensati
oire de rappel ou d'évocation existe bien pour chacun de ces quatre groupes d'états affectifs, niais se rencontre plus ou m
En somme, sous le nom de confusion mentale,' l'auteur décrit un' groupe de symptômes qui peuvent reconnaître un grand nom
quatrième paire ou noyau IV comprendrait d'après les auteurs trois groupes de cellules : 1° le noyau IV à petites cellules
t irn Retleil) avec parfaite conservation de l'idéogenèse. C'est un groupe tout parti- culier. M. Otto en a publié un très
pour le moment toutes les idées fixes,'je cherche' mettre à part un groupe assez net. Certaines de ces idées fixes non seu
conséquences sont fort importantes qui m'ont conduit à désigner ce groupe de phénomènes sous le nom « d'idées fixes de fo
M. TnoMSEN. Le malade de Gilles de ta Tourelle rentre dans le grand groupe des phénomènes psychiques à mécanisme impul- si
Suisse, Autriche et Allemagne. Toutes, elles sont limi- tées à des groupes d'alcooliques peu nombreux ou mieux à des group
imi- tées à des groupes d'alcooliques peu nombreux ou mieux à des groupes de buveurs d'habitude volontairement traités, le
n du centre cortical consiste en ceci : que dans le dernier cas les groupes musculaires qui sont sous la dépendance de ce c
D'après ses recherches, M. Ram divise les poisons étudiés en trois groupes : 1° ceux qui augmentent l'excita- bilité élect
s propriétés antipyrétiques qui le rapprocheraient de ses alliés du groupe des phénols; 4° il a toujours été bien toléré par
luence de l'émotion est seulement de faire croitre en intensité des groupes de représen- tations qui lui sont adaptées, de
s de représen- tations qui lui sont adaptées, de telle sorte que ce groupe l'emporte dans la concurrence sur les autres po
e 10 p. 100 relevant d'une méthode d'éducation spéciale. Entre ce groupe et les normaux, il y a encore ces enfants à tempé
39 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent de ces puissants remèdes. Nos observations se divisent en trois groupes : a) guérisons ; b) améliorations ; c) insuccès
rtains muscles de la face, on rangerait ce cas de myopathie daus le groupe des myopathies atrophiques progressives ou dans
on nosographique. Pour lui les grandes névroses se divisent en deux groupes : dans le premier se trouvent l'hystérie et la né
e à l'hystérie plus étroite- ment qu'on ne croirait. Dans le second groupe , on trouve la névras- thénie de Beard, laquelle
r. -- On peut, avec l'auteur, se demander quel est l'avenir de ce groupe de médicaments qu'il est possible, à la rigueur,
de Nissl est exacte, se traduire par les altérations de différents groupes cellulaires. L'ac- tion pharmacologique de cert
nt intéressées. Les lésions por- taient surtout sur les cellules du groupe moyen de la région dor- sale. Les cellules des
n est auto- risé à isoler de la foule des éléments anti-sociaux, un groupe de criminels-nés ou mieux de criminels instinct
groupe de criminels-nés ou mieux de criminels instinctifs. Mais ce groupe est peu considérable si on n'y range que les su
isolés ou groupés de différentes façons parmi les membres du grand groupe des criminels d'habitude, croupe qui renferme les
Flechsig. Mais à côté de ces exceptions, nous avons trouvé tout un groupe d'observations qui se complètent l'une l'autre
rition. Il est donc difficile sur ce seul cas de le différencier du groupe de ces fibres radiculaires. Mais si l'on se r
ombaire et au-dessus (/'vg. 11). Sur ces coupes les fibres de notre groupe postérieur qui for- maient le centre ovale de F
issurale, qui répondent à notre premier système de fibres endogènes groupe antérieur ou à court trajet. L'établissement de
s groupe antérieur ou à court trajet. L'établissement de ce premier groupe et sa nature endogène sont des mieux établis. M
mmissure, soit de la base des cornes postérieures. Ils forment un groupe de fibres endogènes antérieur, et, sui- vant le
hilippe ne sont que les différentes étapes topographiques d'un même groupe de fibres et représente la voie endogène à long
cherche complète de ces signes. Les stigmates sont divisés en trois groupes : . 1° Déviations morphologiques du type normal
servir à différencier la manie d'états analogues faisant parlie du groupe des paranoïas aiguës; 8° Au cours de la paranoï
e mot de folie des quérulants comme dénomination d'ensemble pour un groupe de faits d'ailleurs non identiques enlre eux au
La plupart des cas auxquels on l'applique appartiennent en effet au groupe de la paranoïa. Quand il s'agit d'états périodi
onvaincu qu'une partie des persécuteurs doivent être rangés dans le groupe de la paranoïa, mais il veut insister sur ce poin
rsécuteurs, pour qu'on puisse les classer l'un et l'antre dans deux groupes différents. En outre, ne doit-on pas admettre u
la face, ma- ladie des tics, ne sont que des expressions d'un même groupe morbide, la myoclonie, produits de l'état de dé
, et assez bons pour les deux derniers. L'un des enfants du premier groupe a été transformé tant au point de vue physique
r corriger l'incoordination chez les tabétiques rentrent dans trois groupes de- mouve- ments : * .. Contractions musculai
es malades ont retiré du traitement le plus grand bénéfice. Dans ce groupe nous insistons surtout sur les Observations I e
e. Est-ce un bien ? Je le crois fermement. La division en deux' t groupes séparés de l'armée des travailleurs s'occupant de
s psychiques et, qui devraient conséquemment figurer tantôt dans le groupe des cas appartenant aux neurologistes, tantôt d
e le département de Aleurtlie-et-lloselle fait partie de ce dernier groupe . Les aliénés de ce département sont conduits à
s de la température, du poids et de la taille, concernant plusieurs groupes de malades : 1° des enfants atteints de myxoedème
ts volontaires font cesser immédiate- ment les convulsions dans les groupes musculaires qui y prennent part, ce sont là aut
rdre d'envahissement par le processus convulsivant des différents groupes musculaires qui nous a donné l'idée d'une analogi
ubles de la motilité. - Ils se résument en la paralysie de certains groupes de muscles des membres inférieurs. La paralysie
ude des troubles élémentaires de l'esprit, classés en quatre grands groupes : 1° les conditions morbides de laconscience; 2°
dont le principal défaut lui semble être d'avoir réuni dans le même groupe le tremblement sénile et celui de la paralysie
ent dits, ou typiques, des trémulations localisées. Dans un premier groupe dit trem- blements primaires, il étudie success
uriel, saturnin, etc.), avec graphiques à l'appui. Dans un deuxième groupe : tremblements secondaires ou sympto- maliques,
Hochwart qui a étudié 27 cas de ce genre et les a classés en quatre groupes : 1° Confusion hallucinatoire chez des sujets â
usion chez des individus cachectiques, suivie de mort. Le premier groupe est caractérisé, d'après Frankt-Honhwart, par l
mptômes moins bruyants et à pronostic meilleur. Dans le troisième groupe prédominent les hallucinations ; le pronostic e
vorable (psychoses chez des sujets alcooliques). Enfui le quatrième groupe comprend les délires d'inanition. Frankl-Hochwa
point de vue les cas de paralysie générale des aliénés : Premier groupe . Caractérisé par la mydriase paralytique avec i
es de la parole; démence profonde avec optimisme marqué. Deuxième groupe . Mydriase avec iridoplégie passagère faisant RE
tale rapide; antécédents syphi- litiques prépondérants. Troisième groupe . Myosis avec iridoplégie réflexe totale, absenc
s mots très difficile, optimisme morbide et excitation; Quatrième groupe . Symptômes oculaires tardifs : mydriase paralyt
tiformes amenant un affaiblissement intellectuel profond. Cinquième groupe . Pas de symptômes oculaires fixes nets.'Pas de
On applique le courant faradique qui détermine des convulsions des groupes musculaires correspondants. A la suite de cette
rrespondants (aphasies sous- corticales). Les Allemands ont créé un groupe tout schématique d'aphasies transcorticales où
cines. Dans le présent travail, il Lente celte dissociation pour un groupe bien déterminé de faits, pour les maux de Pott
s'agit d'un médecin qui, le soir, s'approchait des dames ou de;. groupes de dames sans cavaliers, autant que possible en s
pathologique, la paralysie ou parésie d'une fonction, alors que les groupes musculaires qui l'exécutent normalement, restent
fait passer aux élèves un examen, on leur donne des répétitions par groupes de 3 à 5. Il n'y a pas de raisons pour distribu
40 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ues sont représentés par ceux de la médiumnité elle-même. A quelque groupe nosologique que se rattache cette maladie menta
statistique donnée par l'auteur porte sur 194 cas, divisés en deux groupes : le premier groupe (111 cas) donne les résultats
ar l'auteur porte sur 194 cas, divisés en deux groupes : le premier groupe (111 cas) donne les résultats les plus immédiat
: le second (83 cas) donne les résultats plus permanents. Premier groupe de 111 opérations : 19 morts (17 p. 100) par su
ure non indiquée. 3 (3 p. 100), pas de renseigne- ments. Deuxième groupe de 83 opérations : 20 (25 p. 100), morts. 54 (6
l'atteinte des muscles extenseurs, mais encore la participation du groupe radi- culaire supérieur aux deux bras. Ces para
ïde. , , 90 BIBLIOGRAPHIE. Chantemesse et Marie en décrivent deux groupes en' rapport avec les deux artères thyroïdiennes
ulation et la nutrition des tissus intéressés. Mais il est un autre groupe de troubles trophiques qui ne relèvent qu'indir
ces semblent démontrer l'indépendance, à l'état normal, de ces deux groupes d'espaces ; toutefois on ne saurait assimiler l
t l'activité spirite. On voyait ainsi reparaître et disparaître ces groupes de souvenirs un peu comme l'auraient fait ceux.
ots très expressifs. Ces malades ne constituent évidem- ment pas un groupe distinct à classer à part. Dans la discus- sion
emple, de M. Séglas, que la psychose palynévritique appartient t au groupe d'amentia de Meynert. Dans l'artériosclérose, le
re, de rayer définitivement du cadre des maladies mentales l'ancien groupe disparate et hétérogène des démences dites vésa
voient faire (échomimie, éclcopouxie), etc. L'affinité de ces deux groupes symptomatiques n'est pas contes- table, car on
er comme une maladie autonome et tendent à la faire rentrer dans le groupe des folies dégénératives ou héréditaires, parce
folies dites dégénéra- tives et de les rattacher avec Kroepeliu au groupe des maladies mentales dues à une auto-intoxicat
ustifiée. Pour cela, nous examinerons séparément les trois grands groupes d'états démentiels consécutifs : 1° aux folies gé
méta ou post-vésanique. Voilà en somme à quoi se réduirait le vaste groupe des démences vésaniques que tous les auteurs font
la différence de loca- lisation des lésions respectives de ces deux groupes d'états démen- tiels. D'après cette théorie,
te de ces démences aiguës, nous avons essayé d'établir que l'ancien groupe disparate et hétérogène des démences dites vésa
mence maniaque, la démence mélancolique, etc. Quant aux deux autres groupes de demences vésaniques, celles qui sont consécu
; cette seconde classe paurrait elle-même être sub- divisée en deux groupes , à la vérité artificiellement séparés, sui- van
el primitif à côté desquels elle vient prendre place pour former le groupe des démences primitives. La suggestibilité, I
st antérieur : aussi ne peut-on englober la démence précoce dans le groupe des confu- sions mentales. Les délires systém
: ces délires, y compris le délire chronique de Magnan, forment le groupe de la démence paranoïde ou paranoïaque, démence
es loca- lisations : enlever un muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules nerveuses en réaction à distance, c
d'où les nerfs des membres tireraient leur origine, mais différents groupes à fonctions différentes, la flexion serait loca
reux que ceux que l'on décrivait autrefois, c'est-à-dire les quatre groupes antéro et postéio-interne et postéro-externes d
l'analogue d'une racine motrice antérieure de la moelle, et a trois groupes de centres dont la lésion produit trois types de
s sont remplacées par des cellules nerveuses sim- ples, voisines du groupe moteur, qui s'adaptent à de nouvelles fonctions
psychiques, d'où la nécessité de bien connaître la valeur de chaque groupe de mouvements physiques par rapport à ses fonct
o-thérapeutique d'Argelès, mais officieusement poursuivi par petits groupes vers Cauterets ou Gavarnie, vers Bayonne et la
impossible. Je crois donc utile de signaler un moyen d'en isoler un groupe important, surtout que de ce moyen résulte un pro
à ceux de notre propre conscience. De même que celle-ci possède des groupes d'idées déterminées Archives, 2- série, t. XVII
nt les individualités psychiques particulières. Ce détachement de groupes particuliers de la conscience universelle impliqu
e par la compensation d'artères voisines. 3. On peu diviser en deux groupes les anomalies de formation des artères qui nour
tres cas, ils traduisent des contractions rhythmiques séparées d'un groupe de muscles déterminés; mouve- ments automatique
mouvement antagoniste ? ' ? Cela tient à ce que tout mouvement d'un groupe quelconque de muscles s'accompagne normalement
sions portèrent plus fréquemment sur des muscles isolés que sur des groupes de muscles : d'abord uni- latérales, elles ne d
ste par des mouvements irréguliers, inopportuns, portant sur divers groupes musculaires en commun et donnant aux actes un c
s fortes, s'étendant simul- tanément à beaucoup de muscles ou à des groupes musculaires entiers, faisaient mouvoir l'extrém
ticaux, la faculté de provoquer des convulsions isolées de certains groupes de muscles, et de croire que ces convulsions, p
ces convulsions, parties de ces cen- tres, se puissent propager de groupes en groupes musculaires, voire de muscles en mus
sions, parties de ces cen- tres, se puissent propager de groupes en groupes musculaires, voire de muscles en muscles, pour
pose en présence de faits tels que celui-ci), chaque muscle, chaque groupe de muscles est tout aussi distinc- tement repré
ation de ces centres donne directement naissance aux convulsions de groupes musculaires isolés, ou si elle actionne, par mé
e région est susceptible de déchaîner des convulsions de muscles et groupes muscu- laires isolés à forme d'accès ou continu
. L'auteur aurait pu parler de l'idiotie mon- golienne qui forme un groupe très distinct. (B.) REVUE d'anatomie ET DE PHYS
six cas de démence précoce, parmi lesquels six pros- tituées. Trois groupes : 10 personnalités saines et sédentaires à l'or
erminante et directe de la maladie. - Parmi les sujets du premier groupe , on trouve seulement des épileptiques (34 p. 10
et des paralytiques généraux (20 p. 100). Les affections du second groupe se répartissent comme suit : 1° Psychoses aiguë
VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 495- Les auteurs rangent ce cas dans le groupe des chorées dites con- génitales, et de l'athét
t, étiquètentleurcas chorée congénitale motte et le rangent dans le groupe des chorées congénitales, qui, pour eux comme p
41 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
chard, des représentants des larves de trois espèces de ténia du 1er groupe de Villot : Cystiques dont la vésicule procède
n, et sans qu'il y ait proprement parier de production nouvelle. Ce groupe est opposé par Villot, à un deuxième dans leque
inture de Kamala. Les kystes hydatiques rentrant d'une part dans le groupe des tumeurs bien limitées et facilement énucléa
ent par Spillmann (1) montre bien la différence qui sépare ces deux groupes de faits : elle concernait un sujet qui présentai
jo- rité des faits rapportés par M. Campenon rentre dans ce dernier groupe ; la plupart, en effet, ont trait à des malades
arter; enfin il n'existe pas trace d'atrophie musculaire, ni sur le groupe postérieur, ni sur le groupe an- térieur ; quan
trace d'atrophie musculaire, ni sur le groupe postérieur, ni sur le groupe an- térieur ; quant à l'influence d'un appareil
DANS L'ART BYZANTIN 91 malade très intéressants. Au premier plan du groupe , devant le Christ, et béni par lui, un homme ba
sur l'épaule du premier. Enfin, plus bas encore, se voit un dernier groupe de malades qui cau- sent entre eux. De larges
Jean.1'V. SJ '&, 7, 8, 9. yDerrière.le,Christetses'Apôtres; un groupe decuriéûx-°semblellésiter à s'approcher.' : n u
mpréhension des faits de réunir les cas plus ou moins semblables en groupes dans lesquels on est amené à faire des division
il nous semble que l'on pourrait encore distinguer parmi eux trois groupes prin- cipaux : les hémimèles proprement dits, l
ue ici les cas d'hémimélie du membre supé- rieur. Dans le premier groupe , hémimèles proprement dits, l'avant-bras manque
rapporté par M. Gasne dans cette Iconographie (1). Dans le second groupe , hémimèles par absence de la tige ou rayon cubi-
us et une grande partie du carpe et du métacarpe. Dans le troisième groupe , hémimèles par absence de la tige ou rayon radi
istence de certaines variétés de main-bote congénitale. Ces trois groupes de l'hémimélie,les deux dernières surtout,et plus
ment, dans ce cas, des lésions dégénératives des nerfs moteurs de ce groupe musculaire. Il y a aussi une légère anesthésie
'avant-bras -et de quelques-uns des muscles du pouce, c'est-à-dire du groupe musculaire physiologique employé pour effectuer
ratique. Comme on peut le voir, le travail continu et prolongé d'un groupe mus- culaire peut donner lieu à cinq symptômes
ent localisés, ceux-ci tendent, à la longue, à s'étendre aux autres groupes musculaires, et à empêcher ainsi tout mouvement
est le travail prolongé 158 THOMAS D. SAVILL et répété d'un même groupe musculaire. C'est une question de moindre impor
facile et ingénieux, on peut éviter les grands efforts de certains groupes musculaires. Ainsi le malade, atteint de la cra
rovenir d'un défaut de synergie dans la force musculaire : certains groupes de muscles étant plus faibles que les autres. E
dans le feuillet pariétal de l'arachnoïde. Or on sait, que dans le groupe des tumeurs mésodermiques, une place spéciale doi
4) : l'une, représentée par Lebert,qui range ces néoplasmes dans le groupe des sarcomes, à cause de la présence de ce qu'il
AUX 1 Iules plates modifiées. Ils les font par suite entrer dans le groupe des épilhéliomes. Déjà en 1863, Virchow (1) s
ypoesthésies hystériques résultaient de la rétraction en masse d'un groupe de neurones de sensation, qui, tout en restant
e neuronienne (1). Se chargeant ainsi sans pouvoir se décharger, ce groupe resterait, selon moi, dans un état de vibration
roid l'emportait, dans les régions de la peau correspondantes à ces groupes , sur l'impression de chaud, à moins qu'on n'aug
la température de l'objet. De même, par suite de la formation de groupes hyperesthésiques parmi les neurones du chaud, l
haud l'emportait, dans les régions de la peau correspondantes à ces groupes , sur l'impression de froid. On pourrait encore,
ui innervent le muscle ciliaire et le droit interne émanent du même groupe nucléaire (moteur oculaire commun) et même de d
aire (moteur oculaire commun) et même de deux noyaux contigus de ce groupe . La pathogénie générale de la contracture me pa
on antérieur, des deux côtés on trouve des cellules appartenant aux groupes des corne^ antérieures ; ici prennent naissance
t différentes. A ce point de vue, on peut diviser les nains en deux groupes dans le 1`° groupe, le nanisme est créé par un
point de vue, on peut diviser les nains en deux groupes dans le 1`° groupe , le nanisme est créé par un trouble local du sq
le nanisme est créé par un trouble local du squelette ; dans le Il, groupe par un trou- ble général de la nutrition. Au
e Il, groupe par un trou- ble général de la nutrition. Au premier groupe , nous rattachons les nanismes rachitique et achon
rmuler loutes réserves à cet égard » (P. Marie, loc. cit.). Au 2e groupe de nanisme nous rattachons le myxoedème, l'hérédo
t la dy- sostose cléido-crdnienne sont deux types opposés d'un même groupe morbide les dysostose congénitales héréditaires
à peu près indemnes. Leur mère, bien qu'elle ne figure pas dans le groupe , présente également cer- taines déformations os
s de la série moyenne au repos 22 kil. 53= 100. ..Dans un premier groupe d'expériences l'excitation a été faite avec une
atifs, le caractère histologique particulier, puisqu'il spécifie le groupe des sar- comes angiomateux avec ou sans dégénér
traits communs et de les avoir distingués comme appartenant au même groupe nosographique. M. Marie a appelé cette affectio
la nécrose. Il a obtenu dans tous les cas la chromatolyse d'un seul groupe cellulaire du côté correspondant, au voisinage
côté correspondant, au voisinage du canal central. La lésion de ce groupe cellulaire tiendrait sous sa dépendance les alt
nous n'avons pu mettre en évidence aucune altération localisée à un groupe cellulaire. 2° Hypothèse de la lésion d'une g
autres troubles trophiques cutanés, éruptions, ulcéralions, etc. Ce groupe est connu en Allemagne sous le nom de Maladie de
tal. Des fails déjà nombreux permettent d'affirmer la réalité de ce groupe nosographique (cas de Mathieu, Follet, Lourier,
la nature et l'origine attribuée à cette affection, l'existence du groupe nosographique que nous avons tenté d'isoler sous
nt des centres - au sens qu'on attribue à ce mot - c'est-à-dire des groupes de cellules, bien moins différenciées par leurs r
u lieu d'aboutir à une atrophie 506 H. MABILLE limitée à certains groupes musculaires, nous notons au contraire une hy- p
g dans son mémoire : La Médecine dans Homère (2). Dans le premier groupe (planche LXXII,A)on voit un grand barbare,de fo
42 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
biologique ou vital. Les processus biologiques se divisent en deux groupes : processus phy- siologiques et processus psych
les processus simples, chimiques et physiques ne font pas partie du groupe . Comme singularité caractéristique des processu
ires est en partie d'apprendre à isoler le principe nerveux sur des groupes particuliers des fibres. Le résultat de l'exercic
exemple, la paralysie consécutive se montrera au même degré dans le groupe des muscles extenseurs et dans le groupe des mu
rera au même degré dans le groupe des muscles extenseurs et dans le groupe des muscles fléchisseurs. Cette hémiplégie rester
e degré tous les muscles correspondants : si elle prédomine dans le groupe des muscles extenseurs, la contracture amènera le
ènera le type de flexion ; si, au contraire, elle prédomine dans le groupe des muscles fléchisseurs, la contracture amèner
tre jour elle atteigne plus fortement les fibres correspon- dant au groupe des fléchisseurs, on verra se produire la contrac
usions trop rigoureuses sur le volume normal et la délimitation des groupes de fibres qui ont dégénéré. Il peut se faire en
erveuses Interne de la clinique Charcot. à la Salpêtrière Dans le groupe des gangrènes symétriques des extrémités on a réu
extrémités. On ne doit pas céder à cette tendance de rapporter à un groupe clinique connu des faits non classés qui s'en r
trique des extrémités il symptomatologie si spéciale appartient au groupe de faits encore si obscurs des troubles trophiq
génital (Milroy, Tobiesen). Ces réserves faites, voici les qua- tre groupes entre lesquels se répartissent tous les faits :
: une poupée s'ajoute à une autre ; un chiffon à un autre, puis un groupe de brins de paille, un ruban, une petite corde ;
s du syphilome on suit les dégénérescences. Au-dessus, on voit deux groupes de nerfs, les racines sacrées droites sensi- ti
deux cas les phénomènes paralytiques ne s'étendirent pas aux autres groupes musculaires et très vraisemblablement ils ne rele
au membre supérieur,« c'esl le coilrt abdtlc- « teur du pouce et le groupe qui détermine l'apposition du pouce qui sont le
porte non seulement sur tel ou tel muscle en particulier ou sur un groupe de muscles innervés par le même nerf, mais sur
tel ou tel mouvement. » Il s'en suit pour Mann, que tous les autres groupes musculaires qui ne sont pas paralysés sont à l'
ne porte pas sûr un tel ou tel muscle en particulier, mais sur des groupes musculaires correspondant ci des mécanismes mus
gneur faussaire, etc. De là la conception et le commence- ment d'un groupe , du reste assez fidèlement rendu d'après nature,
les cas rapportés par chaque observateur constituent pour chacun un groupe qui appartient à une seule famille ; par conséque
nt à une seule famille ; par conséquent,alors que tous les cas d'un groupe familial ressemblent l'un à l'autre, ils diffèren
l ressemblent l'un à l'autre, ils diffèrent par quelques détails du groupe familial observé par un autre auteur. De . OEDÈ
t former une classe à part. Aussi je diviserai cette étude en trois groupes d'insuffisance, d'excitation et de perturbation
chiques dans les syndromes d'insuffisance thyroïdienne forment deux groupes . LES TROUBLES PSYCHIQUES DANS LES SYNDROMES THY
et de plus, arrêt de développement chez l'enfant. Dans le second groupe , la ressemblance de certains traits cliniques des
a, folie du doute, paralysie générale). Sainton les range en quatre groupes , agitation maniaque, mélancolie, obsessions et
ois les troubles se succèdent au lieu de s'associer. Le troisième groupe est constitué par les obsessions, les impulsions
isses, phobies portant sur les sujets les plus divers. Le quatrième groupe comprend des cas avec hallucinations que la plu-
les idées. On pourrait donc, semble-t-il, ranger les faits en trois groupes , selon qu'on retrouve dans les psychoses des tr
a conception de l'hystérie-syndrome, soutenue par M. Babinski et un groupe de neurologistes parmi lesquels je me range. Da
grande valeur clini- que en faveur d'un lien étroit entre ces deux groupes de troubles. C'est aussi la conclusion que Parh
bon, Mlle Landry, M. Camus. De même, Roubinowitch estime « que le groupe des psychoses dites basedowiennes est destiné à
e de la série basedowienne. Ce sont ces faits que je réunis dans ce groupe . On peut ainsi, avec L. Lévi et H. de Rothschil
erturbations THYROÏDIENNES COMPLEXES ET ENCORE DISCUTÉES. Dans ce groupe , je passerai en revue les troubles psychiques obs
de l'opothérapie thyroïdienne qui permettent de réunir dans le même groupe des basedowiens frustes, avec palpitations, therm
rmes plus particulières du délire de dépossession, se rattachant au groupe dit des délires de préjudice préséniles, dans l
qui peuvent permettre à l'influx moteur, qui a atteint l'un de ces groupes cellulaires, dépasser du côté opposé. En nous
e la glycosurie alimen- taire, l'examen de l'urée et des différents groupes azotés), j'ai constaté, dans une période ultéri
inale. Et en effet, dans le second cas un examen complet des divers groupes azotés avec la méthode de Schôndorf (mélange ch
ides. - Le même fait a été observé par Joachimsthal qui a étudié un groupe de Lilliputiens bien proportionnés et normaieme
s liés à une lésion des glan- des à sécrétion interne, un troisième groupe chez lequel on ne pourrait constater aucune mal
pe Brissaud et de ceux du type Lorain. ' M.Gaspero reconnaît deux groupes de psycho-infantiles.Dans le premier il y a pré
que dans le sens le plus strict du mot. Les sujets appartenant à ce groupe sont-des enfants mûrs et des adul- les pas du t
ux états affectifs anxieux. Au contraire chez les malades du second groupe la façon de répondre à l'interrogatoire est ess
és, quantitativement ont des dimensions puériles : les sujets de ce groupe ont un psychisme en mi- niature ; ils sont moit
le fait qu'ils présentent quelques caractères qui sont propres à un groupe déterminé, selon les auteurs, mais qu'ils manqu
urs, mais qu'ils manquent de bien d'autres appar- tenant à 'ce même groupe alors qu'ils en ont d'autres encore qui suffi-
au symptomatique tracé par Gaspero pour les sujets de son pre- mier groupe , nous voyons qu'il ne peut d'aucune façon s'appli
Par un seul caractère nos malades pourraient appartenir au premier groupe de Gaspero, pour ce qui se rapporte à la tendance
de formuler des jugements catégoriques et par analo- gie. Le second groupe de Gaspero correspond au contraire mieux que to
de Lorain. La néoformatiun kystique de l'hypophyse apparte- nait au groupe des colestéatomes. ' Selon Nazari son observati
si le syndrome morbide dont nous poursuivons l'étude appartient au groupe des troubles qui « peu- vent être exactement re
stes qui se tint à Grenoble. Après une semaine laborieuse, un petit groupe de congressistes se forma pour excursionner dan
43 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'absence de toute édu- cation. Enfin, au-dessus de ces différents groupes , qui comprennent les habitudes apparentes et ob
, qui comprennent les habitudes apparentes et objectives, il y a le groupe des habi- tudes mentales, qui pour être de natu
7 16° Les folies, envisagées à ce point de vue, rentrent dans des groupes qui prennent la disposition en série, ou si l'on
olie de la ménopause, etc.) ; entre ces deux extrêmes, figure c) le groupe de dégénérescence (paraphrénies, obsessives ou
e, t. XI. 5 66 SOCIÉTÉS SAVANTES. Une étude systématique des deux groupes (méthode Marchi et autre) montre que l'affectio
à leur origine, les altérations des cordons posté- rieurs, dans les groupes de cas où il y a ordinairement aussi des névrit
évrites périphériques, peuvent en quelque sorte être réparties en 3 groupes . 1° Celles provoquées directement par les neuri
ne de la substance grise. Etudiés par la méthode de Nissl, ces deux groupes cellulaires présentent des modifications de mor
, qui, autre-. ment, aurait passé inaperçue. A côté de ce premier groupe de scléroses combinées où le labes est très car
iculaire ne se manifeste que d'une manière fruste. Dans ce deuxième groupe il y a une catégorie de faits dont j'ai déjà ré
vés par Kocher, Muller, Stolper. Ivoetter, sans être rangés dans un groupe spécial. Dans un but , didactique et au point d
ue totalité. D'autres fois, c'est seulement l'artère qui irrigue le groupe antéro-externe, le groupe moyen et très rarement
, c'est seulement l'artère qui irrigue le groupe antéro-externe, le groupe moyen et très rarement le groupe antéro-interne
rigue le groupe antéro-externe, le groupe moyen et très rarement le groupe antéro-interne, qui est atteinte. Je n'ai jamais
nar, hypo- thénar et des interosseux. fl l'avant-bras : atrophie du groupe des fléchisseurs (groupe cubital).-tllenabreir7
interosseux. fl l'avant-bras : atrophie du groupe des fléchisseurs ( groupe cubital).-tllenabreir7/'tjrie2tr gauche : dimi-
'observe depuis de nombreuses années. Ils vien- dront se joindre au groupe déjà important d'observations analogues jusqu'i
rie, t. XI 7 98 CLINIQUE MENTALE. de les isoler et d'en former un groupe spécial dans l'immense domaine des psychopathie
les plus éner- giques des psychoses précoces ou constitutionnelles, groupe auquel appartient précisément la folie gémellai
leurs détails. Si, dans cette sorte de psychose, qui appartient au groupe des maladies qu'on a appelées né- V1'oses de dé
névropa- . thés, les auteurs russes classent leurs malades en trois groupes : Premier groupe. Malades ayant des troubles de
es auteurs russes classent leurs malades en trois groupes : Premier groupe . Malades ayant des troubles de la sensibilité t
les deux espèces, indépendance de la sensibilité pilaire. Deuxième groupe '. Coexistence de troubles de la sensi- bilité
spèce de sensibilité sont particulièrement intéressantes. Troisième groupe : Malades affectés de troubles de la sensibilit
premiers rudiments des cellules de l'écorce sont constitués par des groupes compacts de filaments noirs ; ils proviennent d
sie du plexus brachial avec réaction de dégénérescence limitée au groupe radiculaire supérieur. La distinction d'avec la p
usculaires et par leur localisation exclusive aux divers muscles du groupe radiculaire supérieur; par l'absence de toute pér
rale atrophiée. Au point de vue clinique cet enfant appartient au groupe des idiots microcéphales. Son crâne, et c'est l
symptômes cliniques de l'autre, nous permettent de distinguer deux groupes d'hémiplégies : l'hémi- plégie organique et l'h
ractéristiques de l'hémiplégie organique, il faut noter : - A. Le groupe des symptômes constituant le syndrome d'.IPO' l
etc.). - 4. L'intensité relative de la paralysie des membres et des groupes musculaires d'un membre est d'habitude typique.
nécessite un examen approfondi pour éviter de la confondre avec les groupes neuras- théniformes qu'engendre l'évolution sén
s Hôpitaux de Paris, médecin suppléant de 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe familial des maladies du système nerveux tend à
n à titre de symptôme spécial et localisateur, il faut ajouter à ce groupe sous le numéro 5 la paralysie. Quant aux symp
ination de « névrose professionnelle » est commode pour désigner un groupe de maladies dans lesquelles certains symptômes
et état particulier sont : le spasme ou crampe; l'incoordination du groupe musculaire malade ; et des troubles vaso-moteur
conditions les plus capables de provoquer le spasme ou la crampe du groupe des muscles oculaires. R. DE Musgrave-Clay. X
pas allonger outre mesure cette analyse, à donner pour chacun des groupes cliniques énumérés plus haut, le poids spécifique
1;1 ? CIIFORD. (7'/te Journal 0/' Mental Science, juillet 1898.) Le groupe des malades examinés se compose de 1014 sujets,
me, des traumatismes, etc. Les 1014 malades ont été divisés en deux groupes , dont l'un composé de 230 malades, com- prend l
ytiques généraux et les formes congénitales et puerpérales. L'autre groupe , plus important, ren- ferme 376 hommes et 408 f
5 grimaçant, la parole explosive. Il y a hypertrophie de certains groupes musculaires. Le diagnostic est difficile à établi
it; raréfaction des cellules des cornes anté- rieures affectant les groupes latéral et postéro-externe. 2° Homme, hémiplégi
soupçonner que les impulsions volontaires, destinées aux différents groupes de muscles d'un côté du corps, partent de centr
ritoires dont l'excitation électrique détermine la contraction d'un groupe isolé de 1 Leçon extraite de la Clinique des ma
on électrique, réduite à son inten- sité minima, fait contracter un groupe déterminé de muscles synergiques, du côté oppos
qui exigent une certaine délicatesse ou l'association de plusieurs groupes de muscles, puis dans un défaut de spontanéité.
possibilité de provoquer des mouvements con- vulsifs dans le ou les groupes de muscles qui tirent leur innervation volontai
per, par voie d'irritation expérimentale, des con- vulsions dans le groupe des muscles innervés par le centre extirpé. D'o
nt leur maximum d'intensité, dans le territoire qui correspond au groupe de muscles par lequel débutent les attaques. Sup-
peut être soit un symptôme isolé, soit le symptôme prédominant d'un groupe séméiologique : le plus souvent elle se présent
ire de poliomyélite antérieure, la paralysie est-limitée à certains groupes musculaires, et dans la polioencéphalite, l'écorc
4). Les auteurs distinguent suivant la forme de névralgie quatre groupes de psychoses dus à la prosopalg : e, à la migrain
névralgies extraencéphatatgiques. Ils subdivi- sent ensuite chaque groupe en trois formes selon la durée et l'intensité d
es cas de · " SOCIÉTÉS SAVANTES. 51 L paralysie localisée dans un groupe de muscles, comme, par exem- ple. dans la paral
44 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ancienne définition, il est fort probable que l'effon- drement du groupe des chorées serait encore beau- coup plus compl
ntérieure de la moelle, aussi pense-t-il qu'on peut diviser en deux groupes les cas de carie des vertèbres cervicales suiva
que : «Lorsque disparait, dit-il, l'in- fluence de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, les groupes nerveux im
fluence de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, les groupes nerveux immédiatement inférieurs, désormais privé
ns l'ordre physique, ' il y a perte de fonction de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, et accroissement d'act
es groupes nerveux les plus élevés, et accroissement d'activité des groupes immédiate- ment inférieurs; dans l'ordre psychi
par R. Victor. (Allg. Zeitsch. f. Psych., XL, 1 et 2.) Un premier groupe résulte du coup de chaleur, c'est-à-dire de l'a
c être le même que dans les cas d'hyperthcrmie fébrile. Le second groupe des affections mentales de cet ordre relève de
ons s'emparent de tous les muscles; - 1'-)- Il se peut que certains groupes musculaires par- ticipent faiblement ou ne part
dure assez longtemps dans l'espèce. Terminologie. Les deux grands groupes de troubles aphasiques méritent les noms d'apha
clinique, les sensations pathologiques, arrive à ce résultat que le groupe des perturba- tions mentales, dans lesquelles l
r : ce ne sont plus des mouvements limités comme précédemment à des groupes musculaires iso- lés ; les contractions portent
ial quoique assez varié, la prédo- minance des contractions dans un groupe musculaire donnant à la physionomie de chaque m
'oublions pas toutefois qu'il existe des contractions dans certains groupes musculaires qui peuvent être fort préjudiciable
lques réflexions. Nous l'aurions classée immédiatement dans le même groupe que les observa- tions de Beard et de O'Brien,
hes anatomo- pathologiques plus précises ont permis de distraire du groupe des névroses, c'est-à-dire du groupe des maladi
ses ont permis de distraire du groupe des névroses, c'est-à-dire du groupe des maladies nerveuses sine un assez grand nomb
Psych., XIV, 3'.) M. Zacher s'occupe ici de certains symptômes ou groupes symp- tomatiquesquiserattachent aMa : aM<t ?
u moment ou à la suite des attaques, est étudiée à l'aide de quatre groupes d'obser- vations. Ce sont : 4° des paralysies g
sie générale (pédérastie paralytique). Comme étiologie de ce second groupe , l'auteur invoque les exemples funestes des ins
ès les travaux récents il est permis de douter de l'existence de ce groupe et des observations minu- tieuses prouveraient
auteur que même dans les cou- ditions qu'il indique, il n'y a qu'un groupe de gens susceptibles de contracter des habitude
ions que Tarnowsky donne à l'appui de ses subdi- visions du premier groupe offrent un intérêt clinique tout parti- culier.
'autres syn- dromes épisodiques propres aux dégénérés. Dans le même groupe de « périodiques » sont rangés par il. Tarnowsk
aissant envahir par le complexus simple de la sénilité. 1 Mais ce groupe de séniles précoces est étranger à notre sujet,
ie saturnine et syphilitique, la morphiomauie, et surtout l'immense groupe des troubles cérébraux alcooliques ont été succ
à se produire. sociétés savantes. 281 Enfin, il est un troisième groupe de sujets présentant aussil'as- sociation des t
lée, il a tien d'admettre l'existence d'un SOCIETES SAVANTES. 283 groupe de sénilités survenues avant l'âge. Ce sont les s
l'aperçu des observations antérieures, nous les divisons en quatre groupes : Groupe le', con- tenant les élongations des n
des observations antérieures, nous les divisons en quatre groupes : Groupe le', con- tenant les élongations des nerfs prat
ant les élongations des nerfs pratiquées dans un but thérapeutique. Groupe II : Elongations de nerfs suivies de mort. Obse
Elongations de nerfs suivies de mort. Observations avec autopsie. Groupe III : Recherches purement expérimentales sur le
s entreprises sur des animaux, sans examen de la moelle épinière. - Groupe IV : Les mêmes, avec examen histologique de la
mêmes, avec examen histologique de la moelle. C'est à ce dernier groupe que se rapporte notre travail. Groupe Ie'. Elon
moelle. C'est à ce dernier groupe que se rapporte notre travail. Groupe Ie'. Elongations de nerfs pratiquées dans un bu
882) : Elongation des nerfs intercostaux suivie de mort. (Voy. au groupe second l'autopsie du malade de Nicoladoln). L'é
rition du système nerveux à l'état pathologique ont porté sur trois groupes de maladies fonc- ' ' Magnan. Leçons cliniques
ébral nouveau s'est pro- duit. II n'y a donc pas matière à créer un groupe nouveau avec les séniles précoces. M. Charpen
r l'anatomie et la physiologie. Les spinaux, qui forment le premier groupe , sont réduits au réflexe simple; leur domaine s
ane vénérien. C'est l'acte instinctif purement brutal. Un troisième groupe comprend les spinaux cérébraux antérieurs. Le p
gnent une forme morbide qui, au point de vue clinique, constitue un groupe limité parmi les psychoses, au même titre que l
des lipothymies, des attaques apoplectiformes, etc... Dans les deux groupes , ces manifestations peuvent exister ou manquer,
était atteint d'atrophie du nerf optique, de sorte qu'en réalité ce groupe se décompose en 50 p. 100 de refroidissements, 7
nes identiques du côté des extrémités antérieures, parésies sur les groupes mus- SOCIÉTÉS SAVANTES. 435 culaires du tronc
45 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX DE PARIS CLINIQUE MÉDICALE GROUPE DES MYOPATHIES DE CAUSE SPINALE. - PARALYSIE INFA
let 1870). IL Messieurs, Je veux appeler votre attention sur un groupe nosographique* que je vous proposerai de désigner
ou moins profonde, est un trait commun à toutes les individualités du groupe et c'est là, de plus, leur caractère clinique le
dans l'étude particulière des diverses affections qui constituent ce groupe , permettez-moi de vous présenter quel-ques détail
tion de la sensibilité est un trait qui différencie les affections du groupe des diverses formes de myélites que nous avons ét
tir, le caractère clinique prédominant des maladies qui com-posent le groupe nosographique que nous nous proposons d'étudier a
l'impuissance motrice survenue dans un certain nom-bre de muscles, ou groupes de muscles, est le premier symptôme que l'observa
-fantile. C'est là, en effet, l'un des types les plus remarquables du groupe : les caractères spécifiques s'y montrent accusés
us les muscles d'un membre ; elle prédo-mine dans certains muscles et groupes de muscles ; les antagonistes de ces muscles doiv
'union entre la paralysie infantile spinale et les autres maladies du groupe . § III. Je vais essayer actuellement de vous
degrés divers et sur les points les plus sérieu-sement affecîés, des groupes entiers de cellules avaient disparu sans laisser
ous faire connaître les autres espèces morbides qui ap-partiennent au groupe des myopathies de cause spinale. Je compte alors
upant le membre inférieur droit. La lésion porte exclusivement sur le groupe antéro-exlerne des cellules ner-veuses, a, cervix
éro-exlerne des cellules ner-veuses, a, cervix cornu posterions; — b, groupe postéro-externe de cellules ner-veuses; — c, grou
posterions; — b, groupe postéro-externe de cellules ner-veuses; — c, groupe antéro-exlerne. Les cellules de ce dernier groupe
es ner-veuses; — c, groupe antéro-exlerne. Les cellules de ce dernier groupe ont complète-ment disparu, tandis qu'elles sont p
mplète-ment disparu, tandis qu'elles sont parfaitement nettes dans le groupe b et d;— d, groupe interne ; — e, la commissure.
, tandis qu'elles sont parfaitement nettes dans le groupe b et d;— d, groupe interne ; — e, la commissure. circonscrit qui c
roupe interne ; — e, la commissure. circonscrit qui correspond à un groupe ou agrégat de cellules mo-trices. Gomment concevo
sur certains points l'altération d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses, est la seule lésion
ertains points comme étouffés par le tissu conjonctif : on voyait des groupes de tubes très-atrophiés, surtout quand on compara
nt dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires, que j'ai proposé d'appe
s occupera d'une façon toute particulière. Je reviendrai aussi sur le groupe si inté-ressant des scléroses de la moelle épiniè
cherche avec soin, parce qu'elles établissent la transition entre les groupes zoologiques ou qu'elles permettent de débrouiller
ssi absolue qu'elle semble l'être au premier abord. Dans le premier groupe de faits, la mort est à peu près certaine dans un
elles. Cette condition, d'ailleurs, est peut-être commune à tout un groupe d'hystériques. Il y a longtemps qu'on a remarqué,
traverser un seul membre ou tout le corps, un seul muscle, ou tout un groupe de muscles. En reprenant notre comparaison avec
ant un circuit fermé. Pour cela, nous avons réuni en deux Fig. 8. groupes quatre éléments en tension (fig. 8). Un de ces gr
ux Fig. 8. groupes quatre éléments en tension (fig. 8). Un de ces groupes nous servait de point de comparaison et nous perm
ême espace de temps, dans les conditions normales. Dans le deuxième groupe , nous faisions passer d'un élément à l'autre, pen
bien un tube nerveux, une fibre musculaire, etc. Dans chacun cle ces groupes , il y a en effet un cou-rant électrique autonome
ongation, mais par la tumeur fibreuse qui la compliquait. Un second groupe de complications est d'un pronostic moins défa-vo
il y a lieu d'admettre les catégories suivantes. A. Dans un premier groupe , les attaques hystériques et les accès 1 Maladi
luences morbides encore mal déterminées, dit l'auteur, les différents groupes musculaires disposés autour de la jointure malade
naître par l'examen microscopique que la tumeur du nez fait partie du groupe des épithéliomes tabulés, dési-gnés encore sous l
irurgicale est nécessaire. Les causes qui la nécessitent forment deux groupes bien distincts. Le premier de ces groupes compren
la nécessitent forment deux groupes bien distincts. Le premier de ces groupes comprend les accidents dont la production est sou
avail, inertie utérine, immobilité per-manente de la tête); le second groupe comprend les accidents qui auraient pu s'observer
oulées, coupées en deux, etc., avec persistance constante de quelques groupes cellulaires. Les dégénérations secondaires se p
-10° et 73°. — Elles forment (d'après MM. Hutin et Bottentuit) quatre groupes : l'eau minérale froide, l'eau minérale ferrugine
48, 96. Muguet (Note sur un cas de), par Parrot, 25. Myopathies ( Groupe des) de cause spi-nale, leçon de M. Charcot, recu
46 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
a multiplicité des manifestations attribuées à l'hystérie il est un groupe de phénomènes que l'on a toujours systématiquem
ire le siège probable des lésions de la moelle. - Tout le premier groupe de phénomènes (incoordi- nation motrice, douleu
rois pas qu'il y ait d'objection faite à ce principe. . Le second groupe de symptômes (paralysies et sur- tout contractu
vons dire que, dans le tabes combiné, si les symptômes du premier groupe font penser à une lésion des cordons postérieur
isent l'unité de cette maladie et en éparpillent les cas dans des groupes disparates. Sur ce point, je demande à mes émin
e méchanceté impulsive, d'extase. Remèdes. Les faits du quatrième groupe échappent à la répression prophylactique; on soll
ts au contrôle « des centres supérieurs (centres d'inhibition), les groupes nerveux « qui servent au langage aient pris une
e que dans les deux paragraphes précédents) et excès de travail. Ce groupe de causes parait avoir dans les deux sexes une
'accouchement, l'état puerpéral et la lactation réu- nis en un seul groupe donnent une proportion de 9 à 10 p. 100. Les pr
'hérédité, seule ou principalement ; elles se décomposent en quatre groupes : 4 psychoses simples, pures, légères (mélancol
sujets. Les recherches faites jusqu'à ce jour se divisent en deux groupes : le premier envisage la question au point de vue
là-dedans, c'est son effet sur la circulation crâniene. Le second groupe envisage la question au point de vue psycho- lo
- dent alors, soit entre les fibres de ces derniers, soit dans un groupe de petites cellules ganglionnaires, elles-mêmes e
on- vexion avec les grosses cellules de l'oculo-moteur commun. Le groupe des petites cellules en question (noyau supérieur
à de rarés fibres, reçoivent plus haut encore des fibres issues du groupe des petites cellules qui représentent une espèc
m- bryons de 38 centimètres de long). Ce dernier commence dans un groupe de petites cellules nerveuses placées en arrière
e bouchon (Pfropf) du même côté; quelques trous- seaux pénètrent le groupe des noyaux situés dans le toit du quatrième ven
gent élec- trique montre que les adducteurs l'emportent en tant que groupe musculaire le plus puissant. M. Oppenheim. Co
e-t-elle particulièrement dans tel ou tel muscle, dans tel ou tel groupe musculaire ? Si uous passons en revue nos obser-
nique NERVEUSE. semble pas porter particulièrement sur tel ou tel groupe musculaire. Dans les autres observations, on ne
aque segment, cette atrophie semble envahir uniformément tous les groupes musculaires; ce n'est, en effet, que dans l'Obs
ord du centre; tantôt tonique, tantôt clonique, elle se localise un groupe muscu- laire nécessaire pour exécuter un ensemb
nécessaire pour exécuter un ensemble donné, ou s'étend à plusieurs groupes musculaires antagonistes, voire d'un domaine ét
, de petites crises constituées par une augmentation de tension des groupes musculaires, augmen- tation de tension se trans
terme à leur désir. Ils appartiennent donc tous les deux à un même groupe . Si j'ai aussi poursuivi mon enquête sur ces gens
ès volontiers le mot de dégénérés qu'il me propose pour désigner ce groupe d'individus dont nous nous occupous; mais pourq
de la catatonie au sens de Kahlbaum '. On en peut distinguer deux groupes : Le premier groupe est caractérise par la mani
ns de Kahlbaum '. On en peut distinguer deux groupes : Le premier groupe est caractérise par la manifestation dès le déb
rapidement progressive qui termine la vie du malade. Dans le second groupe , nous trouvons d'abord l'aspect clinique de la
teur communique les détails relatifs à deux observations du premier groupe dans lesquelles le dernier épisode, rapproché d
encépha- liques. Passons maintenant à deux observations du second groupe : début par des symptômes de paralysie générale
emarquons enfin l'âge relativement peu avancé des malades du second groupe à l'époque où ils furent atteints (vingt-six et
tteints (vingt-six et trente et uu ans) tandis que, dans le premier groupe , il s'agit de l'âge classique des paralytiques
pport au diagnostic, on peut diviser tous les cas ci-dessus en deux groupes : le premier renfermera les accès accompagnés d
acile même pour ceux qui ne sont pas spécialistes. Dans le second groupe , il faut ranger les malades ayant des paraplé-
lie. Je bais bien que M. Magnan admet plusieurs catégories dans son groupe ; aussi nos opinions ne diffèrent-elles que sur
opinions ne diffèrent-elles que sur la limite extrême à donner à ce groupe et sur le nombre de ses subdivisions. Je ne pla
emblables à eux-mêmes. Ces formes ne sauraient se fusionner avec le groupe des héréditaires sans former une variété. Qu'on
résulte de cette longue discussion que nous sommes divisés en deux groupes : l'un comprend ceux qui, à l'exemple d'Esquiro
ensé qu'il fallût négliger l'étude des variétés et sous-variétés du groupe . Je me suis aussi élevé contre les tendances d'
cussion, je me réserve de faire des efforts pour en retirer tout un groupe de dégénérés, celui des persécutés persécuteurs
47 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
quatre circonvolutions existent, mais elles y sont disposées en deux groupes , l'un formé par la première et la seconde circonv
résente à sa surface extérieure, des circonvolutions divisées en deux groupes , qui ont l'un et l'autre des caractères différens
groupes, qui ont l'un et l'autre des caractères différens. Le premier groupe , formé par la première et la seconde circonvoluti
s chez la loutre, ce qui n'a pas lieu chez le renard. Quant au second groupe résultant de la réunion de la troisième et de la
ti, la loutre, l'ours, etc. Ces circonvolutions se réunissent en deux groupes , le groupe externe, dont le cerveau du chat nous
e, l'ours, etc. Ces circonvolutions se réunissent en deux groupes, le groupe externe, dont le cerveau du chat nous a déjà prés
externe, dont le cerveau du chat nous a déjà présenté un rudiment, le groupe supérieur, dont l'analogue existe chez l'ours.
pl. VIII), indiquent la jonction des circonvolutions qui forment ces groupes , jonction qui est absolument la même que chez le
ement, il vous reste à la face extérieure du cerveau du mouton , deux groupes de circonvolutions allongées, flexueuses, dont l'
n'en est pas ainsi pour l'homme, l'éléphant et le singe : un nouveau groupe de circonvolutions vient s'ajouter chez eux , à c
ient s'ajouter chez eux , à celles dont il s'est agi jusqu'à présent, groupe qui se place en travers du cerveau, coupant en de
ores ( ruminans et solipèdes), les circonvolutions cérébrales en deux groupes , dont l'externe est moins développé que l'interne
seulement deux en avant A A. La circonvolution moyenne postérieure du groupe dont il s'agit se bifurque et envoie une de ses d
tion postérieure, la troisième à la troisième, et vous aurez l'un des groupes des circonvolutions du cerveau des ruminans et de
deux circonvolutions supérieures , une circonvolution interne , et un groupe de circonvolutions sus-orbitaires. ig. i. Encép
48 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'administration à 12,5 p. 100. Dans le seul cas qui constitue ce groupe l'effet hyp- notique de l'acétophénone a été ab
cence psychique. Ces caractères se divi- sent naturellement en deux groupes , selon qu'ils sont propres aux actes incriminés
de. Les prédisposés à la folie ont été divisés avec raison en trois groupes : ceux chez lesquels la prédisposition reste ab
ion de la folie systématisée (Verrüclclkeil) qu'il divise en quatre groupes ' : 1° La forme hypochondriaque déjà décrite pa
e, anéantissement complet. Aussi Westphal fait-il rentrer dans ce groupe beaucoup de cas de mélancolie avec stupeur et les
t des mouvements dans diverses parties du corps, surtout dans les groupes de muscles servant à l'expression des sentiments.
s la plus petite portion du cône, chez le lion de mer (Zalophus) ce groupe se reconnaît à peine, il faut y regarder de prè
en prolongements ; même état d'atro- phie comparative à l'égard du groupe des cellules antérieures de la même corne. A la
enflement lom- baire, on ne rencontre plus que quelques cellules du groupe antérieur collées contre le faisceau radiculair
e faisceau radiculaire le plus interne, et la partie postérieure du groupe externe. Les cordons latéraux envoient de puiss
principe même de cette différentiation, en rattachant tout un grand groupe de déviations à l'hérédité. Aussi bien, puisque
tous ces êtres frappés de déséquilibration mentale dans un vaste groupe sous le nom de dégénères héréditaires. Parmi ces
us aban- donnons les dégénérés héréditaires, pour passer à un autre groupe non moins vaste mais à délimitation certainemen
de et d'obser- vation clinique. Un complexus symptomatique tiré des groupes confus et hétérogènes de la mélancolie de Pinel
des fonctions dans l'écorce du cerveau. Il existe actuellement deux groupes de physiologistes. Les uns regardent l'écorce c
is, 1885.) Travail inspiré par M. B. Teissier (de Lyon), qui sur un groupe de 60 albuminuriques, ne constatait, quelques j
mais absolument indemnes de néphrites. M.Michel passe en revue six groupes de névropathies; les unes à lésion classée,1; a
accentuer plus nettement qu'on ne l'a fait la séparation des divers groupes de surdités dues ci une atteinte cérébrale. On
ymptôme de l'amnésie orale. IV. Je ferai entrer dans un troisième groupe de surdités verbales, que j'appellerai surdités
riser à considérer le paramyoclonus comme un type spé- cial dans le groupe des secousses musculaires. Les deux pre- mières
que l'affection provient d'une excitabilité exagérée de certains groupes de cellules dans les cornes antérieures de la moe
élire systématique aigu (Acuieî- Wahnsinn), de Schaefer, le premier groupe de la folie aiguë partielle de Rretz', les déli
e l'Allenaagne du sud-ouest. Session de Karlsrule, octobre 1882. Ce groupe est caractérisé par l'apparition pn- 2 : 2 REVU
aite. mitive d'hallucinations ou d'illusions, tandis que dans le 2e groupe , c'est le délire qui ouvre la scène, les halluc
es ' chez l'individu complètement développé), mais dans le second groupe (cérébro-psychoses ou maladies du cerveau invalid
eptions délirantes plus ou moins liées, systématisées, associées en groupe plus ou moins enchaînés, formant un tout plus o
ritable affaiblissement intellectuel; aussi la classe- t-il dans le groupe des états d'affaiblissement mental, qui sont pr
de formes analogues toutes caractérisées par la pré- dominance d'un groupe donné d'idées et de tendances rentre dans les f
la folie systématique primitive, tandis que d'autres constituent le groupe des idées fixes où subsiste la conscience. 7°
ge d'une rigidité musculaire, d'ailleurs assez faible, sur certains groupes musculaires. Exagération du phénomène du genou,
des mouvements voulus, un certain degré de rai- deur dans certains groupes musculaires, la parésie des muscles des yeux, l
oculaires, rachis, tronc); toute excitation interne ou externe d'un groupe musculaire est suivie de con- vulsions toniques
une autre classe dite de persécutés persécuteurs ! rentrant dans le groupe des héréditaires ? 2 La monomanie ambitieuse ou
effet, qu'un aliéné ait des idées de persécution pour appartenir au groupe des délirants persécutés dont nous nous occupon
e jamais n'ont pu faire en France nos départements pour for- mer un groupe et créer en commun un asile d'aliénés. Ces comt
ruloyie, X, 42li. VIII, 328. varia. 315 enfants divisés en quatre groupes , chaque groupe étant confié à un professeur de
. VIII, 328. varia. 315 enfants divisés en quatre groupes, chaque groupe étant confié à un professeur de sourds-muets, u
haque jour. Total, soixante-dix-huit heures d'exercices. Un premier groupe était formé par quatre garçons et trois filles
rze ans (trente-cinq garçons, deux filles) furent répartis en trois groupes de dix, seize, onze élèves; dix, dont une fille
circonvolutions, des hypertrophies et des atro- phies d'un certain groupe de circonvolutions. Ces der- nières lésions ont
e dernière opinion et les classe dans les Paraphi-enies du second groupe . D'ailleurs, les idées de cet auteur seront rendu
- rées des précédentes et rangées parmi les Psychoneuroses, sous- groupe des Pkrénopatlzies (affections du cerveau complèt
1876, M. Taguet 4 décrit les aliénés persécuteurs qu'il détache du- groupe des persécutés. Cette forme vésanique rentre au
rite le premier. A ce propos, disons que M. Ma- gnan fait partie du groupe des médecins qui considèrent ces troubles psych
Mais il est encore, dans la classification de M. Magnan, un autre groupe de malades qui nous semble correspondre aussi à
simplifier, étudie indéfiniment le cadre nosologique des différents groupes de formes mentales. ' Voy. Archives </< N
49 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
hèliôme (définition et pronostic) (i). Il existe, comme on sait, un groupe de tumeurs constituées essentiellement par une fo
tituées essentiellement par une formation nouvelle d'épithéliômes. Ce groupe renferme les papillomes, les adénomes, certains k
t à cet article représentent deux malades offrant l'un et l'autre des groupes de tumeurs remarquables autant par leur symétrie
se montra la tuméfaction sous-mentale que nous aurons à décrire. i° Groupe occipital. — Au niveau des insertions supérieures
x côtés, le volume seul des noyaux offre de légères différences. 2° Groupe cervical. — Il est également formé de deux autres
us dure et offre des caractères opposés quant à sa délimitation. 6° Groupes brachiaux. — A la région antéro-externe du oras,
e bas en haut. Les déplacements transversaux sont plus limités. Ces groupes , il faut le dire, se perdent insensiblement dans
e petite tumeur de la grosseur d'une noisette, mais mal limitée. 8° Groupe lombaire. — Au niveau du bord supérieur du sacrum
equel on sent des noyaux très petits, peu nombreux et mollasses. 90 Groupe spinal. — Sur la partie moyenne de l'épine de l'o
es tumeurs, on y constate les mêmes particularités qu'aux bras. io° Groupe crural. — Il simule au premier abord une tumeur f
s ganglionnaire, n'était leur coïncidence avec l'existence des autres groupes que nous venons de signaler. 11° Groupe pubien.
vec l'existence des autres groupes que nous venons de signaler. 11° Groupe pubien. — Sur la partie supérieure du pubis, un p
le cas précédent, il est possible de classer ces tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs oc
possible de classer ces tumeurs en plusieurs groupes distincts : i° Groupe occipital. Les tumeurs occupent toute la région o
sent une tumeur généralement molle, sans indurations distinctes. 2° Groupe sous-maxillaire. Depuis l'angle de la mâchoire, o
, sont aussi dans un état d'amollissement plus prononcé que celles du groupe précédent. 3° Région cervicale. De la base de l
niveau de la sixième on septième vertèbre cervicale, s'étend un autre groupe de tumeurs, maintenant amollies, qui, sans ligne
i, sans ligne de démarcation distincte, se confondent en haut avec le groupe occipital, et sur les côtés avec le groupe sous-m
confondent en haut avec le groupe occipital, et sur les côtés avec le groupe sous-maxillaire. La peau un peu violacée ne prése
sente en cet endroit aucune autre particularité. On peut rattacher au groupe cervical les deux petites tumeurs de la région su
dans un jardin d'une surface d'environ 2,000 mètres. Elles forment un groupe divisé en cinq parties. En avant et au milieu,
paru en [cinq fascicules qui répondent, pour ainsi dire, à autant de groupes morbides distincts. Dans le premier se trouvent r
polypes du rectum; hernies ombilicales. Nous rattacherons encore à ce groupe Vencéphalocèle, les abcès rétro-pharyngiens (3e f
50 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
i ces différentes formes de Démence sénile, il faut isoler un petit groupe de faits, caractérisés par la conservation relati
ion consécutive ou équivalente aux états oniriques cons- tituent un groupe naturel. La fabulation est si proche parente du r
s épiphyses à la diaphyse des os longs. Chez nombre des nains de ce groupe , on a noté des lésions diverses (absence, atrop
affections rhumatismales et la science moderne connaît deux grands groupes d'arthrites rhumatis- males : les arthrites rhu
guës et les arthrites rhumatismales chroniques. Le premier de ces groupes est constitué de formes pathologiques assez bie
conjonctif extrêmement dense, des cellules épithéliales formant des groupes composés d'un nombre plus on moins grand d'élémen
s composés d'un nombre plus on moins grand d'éléments (figure). Ces groupes sont tellement nombreux et confluents que le tiss
l'identité d'évolution peut faire attribuer à tort une partie de ce groupe démentiel à la folie maniaque-dépressive. La de
ordre- différent, à modifier nos conceptions actuelles sur ces deux groupes , essentiellement provisoires, de la nosographie
sions, car il a fait une oeuvre vraie et une belle oeuvre. Un petit groupe d'intimes s'est uni pour offrir à la Faculté de m
eaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. il. Cellules du groupe des Mastcellules. e. Cellule du deuxième groupe
me. il. Cellules du groupe des Mastcellules. e. Cellule du deuxième groupe . f. Cellule du troisième groupe à granulations ré
astcellules. e. Cellule du deuxième groupe. f. Cellule du troisième groupe à granulations régulières. g. Cellule du troisi
troisième groupe à granulations régulières. g. Cellule du troisième groupe à granulations irrégulières. SUR LA GLANDE PINÉ
e caractère, nous pensons avoir le droit de les considérer comme un groupe spécial et nous proposons de les appeler : cell
ue nous avons trouvé quelquefois chez les sujets peu âgés de petits groupes de cellules qui diffèrent des cellules pinéales
ues et des cellules de tissu conjonctif. Nous les divisons en trois groupes . 1) Du premier groupe les caractères sont les s
tissu conjonctif. Nous les divisons en trois groupes. 1) Du premier groupe les caractères sont les suivants : il y a des cel
artificiellement par la préparation. Ce qui caractérise ce premier groupe de cellules est la grande régula- rité et la ba
us rares que celles qui ont des granules basophiles. 2) Le deuxième groupe diffère du premier par les qualités suivantes :
l'acide osmique noircit un nom- bre plus grand que dans le premier groupe ; une partie est aussi colorée par la méthode d
Heidendain. Ces cellules sont moins communes que celles du premier groupe ; nous ne les avons pas trouvées dans toutes le
ons pas trouvées dans toutes les glandes examinées. 3) Le troisième groupe consiste en cellules dont toutes les granulations
268 KRABBE Ces cellules sont aussi communes que celles du premier groupe . La signification de ces trois groupes de cellu
ommunes que celles du premier groupe. La signification de ces trois groupes de cellules sera discutée dans nos conclusions,
quatrième : les cellules de déblai. Quant aux deuxième et troisième groupes , il n'est pas douteux qu'il s'agit de cellules
produits de déblai dans les autres parties du cerveau, le deuxième groupe devant re- cevoir des substances albuminoïdes e
roupe devant re- cevoir des substances albuminoïdes et le troisième groupe des substances lipoïdes. Quant au premier gro
et le troisième groupe des substances lipoïdes. Quant au premier groupe des cellules, nous les avons trouvées en grand
lles qui reçoivent des produits de déblai dans le cerveau. Un autre groupe , qui, pour une grande partie, ressemble aux mas
seaux. b. Noyaux de tissu conjonctif. c. Parenchyme. d. Cellules du groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e groupe. f. Cell
Parenchyme. d. Cellules du groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e groupe . f. Cellule du 3' groupe à granulations réguliè
u groupe de Mastcellules. e. Cellule du 2e groupe. f. Cellule du 3' groupe à granulations régulières. - g. Cellule du 3° g
Cellule du 3' groupe à granulations régulières. - g. Cellule du 3° groupe à granulations iriégulieres. (Travail du Labora
entif de notre malade nous a montré qu'il existait chez lui tout un groupe de signes qu'il est classique de décrire dans l
à l'acromégalie ? Faut-il au contraire tenter de les ranger dans un groupe spécial ? Au point de vue pathogénique, s'a- gi
omènes ataxiques, nous les considérons comme constituant un premier groupe , ayant des caractères propres et un mécanisme uni
rits plus haut. Mais, même plus tard, quand les symptômes du second groupe arrivent et viennent se mêler avec ceux-ci, il
llu les apprendre, et nous verrons, quand nous étudierons le second groupe des phénomènes ataxiques, quel est le mécanisme
parations normales. L'anatomie pathologique ne saurait réunir en un groupe unique et différencié les atrophies de la moell
nfantilisme régressif parmi les syndromes polyglandulaires. Dans le groupe très vaste compris sous cette dénomination, viend
est certaine. 2° Mais il paraît excessif de vouloir ranger dans ce groupe si compréhen- sif, des syndromes d'une netteté
ne peut être déterminée. V. Conclusions. On doit isoler du vaste groupe des syndromes pluri-glandulaires l'in- fantilis
syndrome thyroïdo-testiculo-surrénal n'est qu'un cas parmi le vaste groupe des insuffisances pluriglandulaires, et dès leurs
e diminution variant de une division à deux divisions pour tous les groupes musculaires de l'avant-bras, du bras et de l'épau
OICA, de Bucarest. Nous allons décrire dans ce chapitre le second groupe de phénomènes ataxiques qu'on observe chez les
rands troubles d'équilibre cinétique -troubles ataxiques du premier groupe on comprend alors com- LE MÉCANISME DE L'ATAXIE
E TABÉTIQUE 491 Lien la marche chez l'ataxique, présentant les deux groupes des symptômes ataxiques, doit être troublée.
présentait aussi au membre inférieur gauche des troubles du premier groupe , parce que, en relevant la jambe en l'air, elle
uer que par le même mécanisme que les troubles ataxiques du premier groupe , c'est-à-dire qu'ils consistaient en un trouble
te de cette seconde partie de notre travail qu'il existe un. second groupe de phénomènes, ou de troubles, que nous observons
xie commence par des troubles d'équilibre statique et cinétique 1er groupe des phé- nomènes ataxiques - et que ce n'est qu
s ceux-ci à des pertes de sensibilité cons- 500 NO1CA ciente - 2e groupe des phénomènes ataxiques. Entre ces sensibilités,
ard, à ces phénomènes s'en ajoutent d'autres, constituant un second groupe , et ceux-ci coexistant toujoursa\ec des pertes de
51 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
dicule, de la gaucherie, de la maladresse, constituent sou- vent un groupe de préventions, de doutes, de terreurs, contre
te de la plus ou moins grande fréquence d'utilisation de certains groupes de conceptions qui influence l'activité de la pen
in point les rela- tions qui peuvent exister entre l'idée fixe, les groupes d'idées fixes, les idées fixes obsédantes. Elle
mpagne de l'afflux obsédant et gênant de conceptions relatives à un groupe de pensées similaires. Ces conceptions constitu
ntion 2. Malgré celte diversité apparente, on peut ramener à deux groupes les déités mises en cause selon que ce sont des e
e, le rhumatisme, etc., l'auteur croit qu'elle doit rentrer dans le groupe des trophonévroses, attribuables soit à une alt
tratives de cette loi anatomo-clinique se rencontrent dans les huit groupes de faits suivants : 1" contracture tardive perm
yndrome manifestant la poliomyélite antérieure suraiguë ascendante, groupe auquel on peut conserver le nom, d'ailleurs imp
rmes d'aliénation mentale. Ces observations sont réparties en trois groupes : Le premier groupe comprend les malades chez l
le. Ces observations sont réparties en trois groupes : Le premier groupe comprend les malades chez lesquelles l'affec- t
vue de l'éclosion et du développement du délire. Dans le deuxième groupe nous avons rangé des délires sura- joutés à un
la folie un rôle prédominant. SOCIÉTÉS SAVANTES. 65 Le troisième groupe comprend les opérations faites dans le but d'ac
pérations faites dans le but d'activer la convalescence mentale. Ce groupe est le plus impor- tant ; il démontre les bienf
stant, le Dl' Pichenot et le représentant de la Presse. Ensuite, le groupe des danseurs de Saint-Cannat a. exécuté, au son
ant, nous ne dirons pas une école normale, mais des bourses pour un groupe d'instituteurs et d'institu- trices, brevetés,
elles n'ont modifié en aucune façon le délire. Voici maintenant un groupe d'observations analogues : Observation XI (Neis
très apparente sur les radio- graphies. La gracilité de certains groupes de muscles a été signalée déjà. Il s'agit plutô
estinés à établir, à de grandes distances, des connexions entre des groupes de pyra- mides très écartées », quoique apparte
hez les aliénés, se manifeste d'une façon particulière dans un seul groupe , chez les agités chroniques, chez les débiles e
est guère appréciable. Aussi malgré son efficacité sur un certain groupe de malades, le tribromure n'est-il pas, d'après
r le Dl' Lauits. On peut supposer, dans le cerveau intelligent deux groupes de centres : a) des centres de la mémoire et du
tistique, fut de 2.06, dont 1. t74 hommes et 852 femmes. Quand on groupe ces malades d'api ès la durée ascendante de leu
une importance telle que les sujets pourraient être classés en deux groupes réactionnels : type respiratoire, type circulat
soit de régler telle ou telle fonction, de commander à cer- tains groupes musculaires, ou d'élaborer les impressions cent
vantes : a) Le cervelet est un organe unique, homogène et non un groupe d'organes; b) on ne saurait dire avec précision s
ection. L'aspect caractéris- tique c'est la contracture de quelques groupes musculaires des 232 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. m
les cas d'extrême contracture des muscles adducteurs, il éloigne ce groupe , en coupant le nerf obturateur, alors l'action
s délires symptomatiques ; 3° la distinction dans chacun des deux groupes de la'variété morbide. Souvent ces différenciatio
hiques post-opératoires, et, par suite, sur la constitution de ce groupe d'affections mentales. Trois opinions principales
Cet auteur classe les troubles psychiques post-opératoires en trois groupes : 1° les troubles psychiques immédiats, qui sur
. Picqué. Pour les mômes raisons, ils se rangent dans le deuxième groupe des vrais troubles psychiques post-opératoires de
groupe des vrais troubles psychiques post-opératoires de M. Régis ( groupe des troubles psychiques secondaires). Pour nous
ui doivent être classés à part, il n'y a pas lieu d'établir dans le groupe des psychoses post-opératoires, des subdivision
ramifications vasculaires irriguant surtout la corne latérale et le groupe postéro-externe de la substance grise; on const
paralysie générale, les opinions sont très parta- gées. Un premier groupe d'aliénistes estime que la syphilis peut donner
syphilis peut donner naissance à la paralysie générale ; un second groupe refuse à la syphilis la possibilité d'être une
s remarques ont été faites par MM. Korniloff et Minor. M. Minor. Le groupe péronier des traumatismes médullaires - (dite P
t sur ses observations personnelles, M... essaie de différencier un groupe particulier de lésions médullaires, caractérisé
ato- myélie à forme tubulaire, ayant intéressé principalement les groupes antérieur et interne des cellules des cornes anté
décrite par Little comme un simple syndrome laisant partie du grand groupe des diplégies cérébrales, au même tilre que l'h
nombre de cellules mal colorées ou vacuo- laires. Quant aux autres groupes cellulaires de la région (noyau grêle, cunéifor
r cause et se fait comprendre. C'est Baillargerl qui différencia ce groupe d'hallucinations 1 13aillarger. Des hallucinati
M. Séglas' J qui a bien étudié la question en 1888, et formé trois groupes d'hallucinations psycho-motrices verbales pures
VII, 1898.) Dans la bandelette optique de l'oiseau, on distingue un groupe REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE
externe. En arrière du chiasma, il se décompose en une quantité de groupes étroits de fibres d'inégale épaisseur; sa masse
endiculaire à l'axe, montre que le faisceau en question est bien un groupe médian à faible excen- tricité. L'entrée du n
bsolue des sociétés non progressistes. Il n'y a pas dans la vie des groupes sociaux, un enchaînement de phases unique réglé
oir, la faute, volontaire ou non, d'un seul, rejaillit sur tout son groupe et pro- voque des représailles militaires ou po
uand on voit, en effet, les rapports entre nations civilisées comme groupes séparés, rester si absolument au-dessous du nivea
leur attitude en passifs et indisciplinés, sont répartis en petits groupes aussi homogènes que possible et ne sont soumis au
acer dans les meilleures conditions d'hygiène physique et morale le groupe de beaucoup le plus impor- tant par le nombre d
miplégiques d'origine centrale, on peut encore en observer un autre groupe , où l'hystérie joue le principal rôle. Dans cet
dégénérés. En elfet, tandis que la pre- mière semble entrer dans le groupe de la chorée variable de Brissaud, tandis que l
scli, 422. Pédagogie. De la , par Ley et Sano, 253. Péromeh. Le groupe des trauma- tismes médullaires, par Minor, 33
52 (1906) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1905
s enfants propres, valides, idiots améliorés, venus des deux premiers groupes , imbéciles, arrié-rés, instables, pervers (amorau
nts idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. — Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories La première se c
d'arriver à :io plus être considérés que comme des arriérés. Dans ci: groupe sont compris les diplégiques, les athétosi-ques,
de plus nombreuses améliorations surtout chez ceux qui constituent un groupe spécial (Idiotie athétd-siq ue). Dès qu'un enfa
uvent plus être que l'objet de soins hygiéniques et doivent former un groupe spécial. Aussi sont-ils réunis et surveillés dans
nt de la cuiller, de la fourchette .et du couteau. — 14 enfants de ce groupe sont devenus propres (1) ; 5 ont appris à manger
astique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du premier groupe , c'est-à-dire des invalides, étant encore trop in
urs collaboratrices.) Nous pourrions citer d'autres enfants du même groupe qui, eux aussi, ont été améliorés, mais à un moin
procurer à notre personnel enseignant. Les péda-gogues de chacun des groupes spéciaux d'enfants anormaux profiteraient, croyon
Le cours de dessin d'art est également suivi par les élèves du second groupe , enfants qui dessinent d'ajDrès nature des plâtre
taire. Ces élèves sont divisés en deux séries et travaillent en trois groupes différents. Ces élèves exécutent des exercices d'
tambour, fanfare). Voici la nomenclature de ces divers exercices par groupe que nous a remise le professeur : 1er groupe (c
s divers exercices par groupe que nous a remise le professeur : 1er groupe (comprenant les enfants les plus arriérés). — Exe
ieurs de ces exercices se font en comptant ou au son du tambour. 2e groupe (Paralysés). — Ce groupe exécute tous les exerci-
font en comptant ou au son du tambour. 2e groupe (Paralysés). — Ce groupe exécute tous les exerci-ces précédents et en plus
Ces exercices se font en comptant et sont précédés d'un massage. 3e groupe (comprenant les enfants les plus avancés).— Ce
massage. 3e groupe (comprenant les enfants les plus avancés).— Ce groupe exécute les exercices suivants : 1° exercices d'o
(Pl. I.) Il s'agit du fauchage de l'avoine et de la mise en gerbe. Un groupe de garçons et un autre de fillettes y assistent.
environs do l'hospice ou dans Paris, promenades qui font perdre à un groupe , plus ou moins nombreux, une demi-journée de trav
ment. Seuls nos apprentis jardiniers continuent leur mé-tier. Pour ce groupe nous avons réclamé la construction d'un asile spé
us renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figurent ceux qui vont tirer au sort et viennent
toutes les perversions instinctives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : Io les enfants idiotes gâteuses, val
alides ou non ; —? 2° les enfants propres valides, — et dans les deux groupes , des épileptiques. Enfants idiotes et gâteuses.
infirmières et les élèves libres des Écoles d'infirmières, venant par groupes , toutes les entrantes et toutes les malades qui s
par âge la répartition de ces cas. (Tableau B). Tableau D. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non idiots. AGE. De
ette communication, pour les en remer-cier publiquement. Ce dernier groupe de renseignements montre qu'il y avait, à la fin
ombre de ses compagnes, aux heures de récréation, elle forme un petit groupe : c'est pour confec-tionner les effets de leurs po
53 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
ainsi que dans le noyau du corps restiforme (c'est-;i-dire dans les groupes cellulaires qui sont situés à la partie médiane
Fi2. (10) Edinger confond évidemment le noyau dorsal du vague et le groupe cellulaire assez développé qui forme un réseau
e descendante de la VI lie paire (racine labyrin- thique). C'est ce groupe que Gudden et Mingazzini ont appelé le noyau dors
sirer qu'Mdinger donnât des renseignements plus circonstanciés sur le groupe des cellules de cette région interne du corps r
dule de la branche A. Montre les variations de volume des trois - groupes fasciculaires 9, 2, 3 et la part qu'ils prennen
peinture se rapproche de celles d'Adriaen Van Ostade. notamment le groupe de droite formé par les deux enfants et la vieill
s occupent la moitié gauche de la composition. A droite, formant un groupe distinct, apparaît la scène opératoire, la seul
jà connues. Elles reproduisent, avec de légères variantes, certains groupes contenus dans un célèbre dessin de Pierre Brueg
yn hande Dees coolen can ick niet doen brande. Enfin, derrière ce groupe arrive un personnage qui porte sur son dos une
dais en témoignent surabondamment. , Vers le docteur Manshert, un groupe se dirige, non sans difficulté. C'est Teives Tr
es altérations anatomiques bien établies. Et maintenant dans quel groupe parmi les sept indiqués devons-nous placer notr
ébrale ». Il donne un résumé de l'examen clinique des cinq malades, groupe les traits essentiels communs, rappelle quelques
vise les ostéo-arthropathies ver- tébrales tabétiques en un premier groupe , dans lequel il place les cinq cas déjà connus
il n'y ajoute aucune observation personnelle. Il examine le second groupe , celui des déviations rachidiennes vraies, intére
-iliropatliies et fractures spontanées du rachis qui constituent un groupe absolument à (1) IlALr.ION, Des déviations vert
anatomo-pathologique direct ; dans ce se- 122 . JEAN ABADIE cond groupe se rangent les trois malades de Kroenig, quatre o
s aussi bien cérébro-médullaires que périphériques. Dans ce dernier groupe de localisation on distingue même, d'une part,
urs des observations précédentes. On a pu en effet ranger dans le groupe polynévrite syphilitique, deux cas publiés par
ue des deux malades de Taylor et Sorrentino pour les ranger dans le groupe dénommé polynévrite. Nous y voyons en effet des
sion, longue mais indispensable, nous a permis tle diviser en trois groupes les observations de polynévrites syphilitiques
syphilitiques résumées précédemment. Nous avons mis dans un premier groupe les troubles nerveux qui ne rentrent pas dans l
ou subaiguë (cas de Kahler, Taylor et Sorrentino), dans un deuxième groupe les polynévrites survenant chez des syphilitiques
(cas de Brauer, Raymond, Gilles de la Tourette), dans un troisième groupe enfin les polynévrites qui paraissent exclusive
ncapables de dire si ces polynévrites doivent être classées dans le groupe des accidents syphilitiques secondaires analogu
résie secondaire syphilitique, ce qui est très probable, ou dans le groupe des accidents tertiaires préco- ces. D'ailleurs
nifestations, pleurésie, néphrite, que les auteurs classent dans le groupe des accidents secondaires et qu'on est dès lors
ès porté à faire rentrer les troubles moteurs observés dans ce même groupe . Notre malade n'a présenté ni hérédité nerveuse
de tumeurs qui, cependant, ne peuvent être confondues dans le môme groupe morbide. Leur siège respectif est différent : on
(Ray- mond Petit, Thèse, 1897), montrent combien sont nombreux les groupes ganglionnaires non décrits dans les classiques.
décrits dans les classiques. Mais cette prédilection pour certains groupes ganglionnaires constitue encore une particulari
me dont il entoure la tète de ses deux bras; derrière .apparaît un, groupe d'arrivants ; l'un d'eux a enfoncé le panneau d'u
taines têtes prennent un aspect tout à fait curieux, par exemple le groupe central qui repré- sente un médecin en train d'
ion d'autrui, ces observations peuvent encore être divisées en deux groupes : celui où une blessure a été faite, un coup do
t ce visage angoissé serait un véritable chef-d'oeuvre. A droite du groupe ainsi formé, se tiennent quatre personnages : un
ue, très foncée, encerclant le noyau en tout ou en partie. D'autres groupes de blocs se tassent. à la périphérie cellulaire e
signalées nous empêchent de les ranger sans hésitation dans le même groupe . L'observation de Rojel, et Collet s'en distingue
emps qui sépare le coup, de l'apoplexie serait de deux mois pour le groupe des hémorrhagies « sub- durales », de huit jour
morrhagies « sub- durales », de huit jours seulement pour celles du groupe « extra-dural ». 376 ô RENÉ MARTIAL Ces hémor
ates, impossibles à faire rentrer complètement dans l'un ou l'autre groupe , et au nombre desquels le malade, dont l'ob- se
mes intermédiaires. Et cependant notre malade doit être distrait du groupe des myopathies essentielles; il lui manque deux d
névropathiques. Cet auteur divise les déviations tabéliques en deux groupes . Dans le premier, il range les trois cas de Kro
malade dans ses occupations habituelles. Ilallion désigne le second groupe sous le nom de déviations ne relevant pas de lé
quatorze observations qui précèdent peuvent donc se diviser en deux groupes . Le premier répond à la période des déviations si
avec autopsie (obs. V) en font par- tie : se rangent aussi dans ce groupe les pièces du musée de la Salpêtrière (obs. III
RTÉBRALES DANS LE TABES ' M3 volumineuse, unique, qui se détache du groupe des voisines, manifeste- ment déplacée d'avant
mposition de la scène demeure presque invariable- ment la même : un groupe principal composé de l'opérateur et de l'opéré;
Ro J : 1' CI", 1.IlItOlIVS Arracheurs DE dents '' 443 Derrière ce groupe , se retrouvent les assistants obligatoires de tou
nce de DR dans le domaine des nerfs de la figure. A part ces deux groupes de paralysies la malade ne présente ancun symptôm
n de ce que présentent les points noirs qui se disposent souvent en groupes et dont nous avons parlé plus haut. Ces points
vrogliques; c'est pour cette raison que parfois ils se disposent en groupes et en tas ; enfin de pareils points noirs peuve
e latérale. Parmi une masse de fibres dégénérées on ren- contre des groupes de fibres qui ne contiennent point de blocs noirs
ns nucléoles sont non seule- ment isolées, mais on en rencontre des groupes entiers (Voyez fig. VI). Dans certaines cellule
rve une masse de points et de glo- bules noirs, souvent disposés en groupes . Dans les vaisseaux et auprès d'eux on observe
lobules noirs. Il y a beaucoup de points noirs, souvent disposés en groupes , auprès de la périphérie de l'écorce cérébrale.
e cérébrale on voit une accu- mulation de points noirs, disposés en groupes , souvent ressortant sur un fond plus clair d'un
ré de la dégénérescence des voies pyramidales ; dans le troi- sième groupe de ces cas il s'agissait des malades qui présenta
o- lume déjà respectable. Ces blocs sont tantôt réunis par petits groupes au sein de la cellule, tantôt ils forment un ru
se presse. A gauche, un homme barbu qui rit en montrant du doigt le groupe principal ; un autre, appuyé sur un bâton, part
part des scléroses de la moelle épinière doivent être supprimées du groupe anatomo-clinique delà myélite. Toute- fois, il
examiné au point de vue de l'écriture de la main gauche un premier groupe de 60 garçons ou filles : filles et 3 garçons é
garçons écrivirent en miroir; tous étaient gauchers. Dans un second groupe de 134 enfants, il y avait 6 gauchers, dont (1)
es hôpitaux de Lyon. M. Henry Meige a bien mis en évidence, dans le groupe si confus des oedèmes d'origine névropathique,
pérateur, ferme et prudent, poursuit attentivement sa besogne. Ce groupe est seul,aumilieu delà pièce qu'éclaire à gauche
sit à merveille l'effort attentif de son examen. « A droite de ce groupe , et toujours derrière la table, une vieille femme
54 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e peut suffire à la faire rentrer, du moins elini- quement, dans le groupe des hémorrhagies méningées mixtes. Nuus voulons
Mais il n'en fut pas tou- jours ainsi et chacun de ces deux grands groupes nous a offert deux variétés. A côté des paralyt
oi méthodique d'un système de mouvements pour exercer notamment les groupes de muscles dont la faiblesse rend la marche imp
es faits exceptionnels et nos malades ne rentrent pas dans ces deux groupes . Au contraire, tous les neurologistes reconnais
ces sont les granulations, plus difficile est-il de les répartir en groupes , mais très souvent elles apparaissent distincteme
ent en séries et, dans ce cas, on ne peut se refuser à admettre les groupes principaux du schéma d'Apàlhy. Leur manière d'ê
e prolongement nerveux les rattache aux fibrilles primitives. Ces groupes de granulations sont très probablement les neuro-
t pour tous ceux qui présentent de l'excitation. On y a organisé un groupe de pièces destinées à la surveillance continue
orce normale, la réaction de dégénérescence existait encore dans le groupe tibial antérieur; 3° il y a actuellement exagér
firmer qu'un traumatisme puisse déter- miner d'emblée une lésion du groupe externe des cellules, de la corne antérieure, l
tie de sa population actuelle. De l'avis presque unanime un premier groupe de malades, les déments séniles, les déments or
L'hospice asile, largement ouvert, plus économique, conviendrait au groupe de déments dont la santé physique, le gâtisme réc
ance à Dun-sur-Auron (Cher) et bientôt à Ainay-le-Château (Allier), groupe les aliénés dans la même localité et les place ai
- dentes ou quelque phase d'excitation. Un second et un troisième groupe de malades que l'on tend à détacher de l'asile
eville, nous en présente un très beau spécimen. Enfin, un dernier groupe que l'on tend de plus en plus à éloi- gner de l
égislation particu- lières. Après l'élimination de ces différents groupes de pensionnaires, l'asile resterait avec sa vér
les), qui peuvent se classer au point de vue de l'évolution, en six groupes : .' 1° Morts dans le cours du premier accès, 3
. Ces récidives sont le plus souvent bénignes et espacées. C'est le groupe le plus favorable au point de vue du pro- nosti
confondre, au point de vue du pronostic éloigné avec les sujets des groupes précé- dents. En résumé, les faits précédents
cerne la cause de la mort, les faits rapportés se divisent en trois groupes : Le premier, celui des sujets morts dans le ma
on, jusque-là confondue avec elle. , A côté des scléroses, un autre groupe d'affections médullaires était en train de fair
é de localiser dans cette région les centres moteurs des différents groupes de muscles. Mais tout cela n'avait pas-ébréché
es frontaux. Dans les autres parties de l'axe cérébro-spinal, les groupes cellulaires semblent agir plutôt comme des cond
ins grand nombre de postes intermédiaires. Il détermine, dans les groupes cellulaires de l'écorce, une modification molécu-
s qui se produisent dans le trajet du courant nerveux au niveau des groupes de neurones éche- lonnés entre la périphérie et
hypertrophique ; 3° L'idiotie sclérotique. I. Les premiers cas du groupe iraunzalique qui s'offrent à nous sont des para
étudiée, et qui d'après leur caractère spécial peuvent former un groupe isolé, se trouvent les cerveaux dans lesquels la
teurs ont porté sur 90 malades femmes. Ils les ont divisées en deux groupes : 1° celles dont la folie était ancienne ; sur
Il existe ici, comme pour les autres mouvements volon- taires, deux groupes au moins de neurones superposés : les neu- rone
aisceaux qui partent du centre de Broca ou qui y aboutissent. Trois groupes principaux : 1. Aphasie motrice vulgaire (type
re d'aphasie de ce premier 330 CONGRÈS INTERNATIONAL DE MÉDECINE. groupe , qui a souvent été décrite comme aphasie motrice
partis (me plaçant au point de vue purement chronologique) en trois groupes : al Les territoires à développement précoce (t
édominance de l'un des éléments. Seule la preuve, que dans les deux groupes de champs corticaux les longs systèmes d'associ
pothétiques. L'hypothèse d'images de mémoire déposées dans certains groupes de cellules n'est nul- lement prouvée. Malgré
Sous le nom de folie de la période d'involution sénile, l'auteur groupe tous les troubles psychiques qui sont en rapport,
ats mélancoliques simples on arrive par transition gra- duelle à un groupe de faits, moins fréquents, et apparaissant à un
t n'avait pas atteint un degré accentué. Enfin il existe un petit groupe de cas dans lesquels des troubles dépressifs se
é musculaire, la rétraction tendineuse, la flaccidité de différents groupes musculaires, etc. En un mot, pendant les premiè
ant posé sur le petit banc), ce qui permet au malade de relâcher le groupe musculaire fléchisseur et de réagir un instant
ension du membre supérieure.) 362 THERAPEUTIQUE. Pour aider aux groupes musculaires d'exécuter plus faci- lement la fle
par son action locale, c'est-à-dire par son action directe sur les groupes musculaires paralysés. Quelques mots du trait
abitent les ailes perpendiculaires au bâtiment central : le premier groupe (agités), au rez-de-chaussée, le second au prem
rs. Les chambres d'isolement, au nombre de 15, sont réparties par groupes de trois. Spacieuses. cimentées, peintes à l'huil
ombre de variétés. L'attention mérite surtout d'être attirée sur un groupe de paraplégie où l'hypolonie des fléchisseurs coe
amedi 4 août. Présidence de M. Magnan. M. Bourneville a présenté un groupe de 8 microcéphales, dont 3 avaient été montrés
intolérable. En premier lieu, on doit compter sous cet ordre les groupes sadistiques et souvent aussi fétichistiques des p
des forces intel- lectuelles et morales (cas de transition vers le groupe des crimi- nets imbéciles) ; souvent elle est c
à lutte angoissante, clôt l'accès. V. Fétichisme. Il existe tout un groupe de pervertis sexuels dont l'anomalie se traduit
es-ci la dépendance 'des réflexes tendineux du tonus des différents groupes de muscles. De plus, ces expériences montrent t
musculaire, ne constituerait pas une espèce nosologique, mais un groupe artificiel composé de plusieurs espèces distincte
SECTION DE NEUROLOGIE.. 511 Cette désignation comprend plusieurs groupes de maladies, qui tous démontrent une dégénéresc
rande partie du rameau frontal du trijumeau tirerait ses fibres des groupes de noyaux les plus éloignés du centre. Puis, vi
la brusquerie de l'effort ayant lésé les nerfs correspondant à ces groupes musculaires. Paralysie infantile avec scoliose
55 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
leur degré d'infériorité morale, les font rentrer dans ce der- nier groupe . Le médecin doit donc décrire au juge la personna
(folies héréditaires); 6° la folie périodique. Dans le cinquième groupe , l'auteur range les psychopathies sexuelles la
. Les obsessions et les phobies sont des névroses à part et dans ce groupe il y a lieu de distinguer : 1° les obsessions v
ières, l'état émotif est toujours l'anxiété, la peur. Il y a deux groupes de phobies, suivant l'objet de la peur : 1° peur
alpêtrière, 1894, n° 3.) , - Les amyotrophies forment deux grands groupes , le premier comprend les cas où les muscles pré
, la lésion ne porte que sur la fibre musculaire. Dans le premier groupe on trouve la paralysie spinale infantile, l'atr
, et enfin les atrophies musculaires articulaires. Dans le second groupe , dans les myopathies primitives, il n'y a pas d
s primitives, il n'y a pas de réactions électriques anormales. A ce groupe appartiennent : la paralysie pseudo-hypertrophi
ne seule classe, comme l'a démontré Charcot. C'est dans le second groupe qu'on doit faire entrer le cas suivant, bien que
de l'excitabilité électrique. Trem- blement fibrillaire de certains groupes de muscles. On sait aussi que dans les névrites
énitentiaires. Quand bien même on ferait des criminels endogènes un groupe spécial et que la société réclamerait le droit
sont célèbres dans le monde artistique. On peut les diviser en deux groupes . Le premier comprend des personnages convention
modelé avec les organes génitaux mâles très développés. - Le second groupe est naturel, c'est la copie de 154 REVUE D'ANAT
posé, qui vient probablement du noyau du moteur oculaire commun. Le groupe de cellules postéro- latéral de la corne antéri
une ou deux attaques par mois dans 44 cas; attaques irrégulières ou groupes irréguliers d'attaques dans 41 cas; une ou plus
ntion directe dans les milieux scolaires, de réunir les écoliers en groupes de tempérance, etc. Cotisation de 1 franc, exig
canal central, dans la commissure grise, il y a également un petit groupe de leucocytes. Dans la corne postérieure droite
1M. Liouville (1869) et Raymond (1886). Seulement, à notre avis, ce groupe de formes nodulaires de la tuberculose de la mo
istibles des épileptiques appartiennent au SOCIÉTÉS SAVANTES. 243 groupe des délires de courte durée; elles le constituent
gager de nos descriptions histologiques est' que, dans un certain : groupe de maladies nerveuses chroniques, dont la clini
ux couches normales de la mé- linge. Ces faisceauxsont disposés par groupes irréguliers, abondants ÉTUDE SUR LA lIiÉNINGO-i
qui viennent d'être rapportées ne forment pas, au premier abord, un groupe homogène; la pre- mière appartient, en effet, à
par le D LANNOIS. L'auteur divise les chorées arythmiques en trois groupes , laissant de côté la chorée hystérique, qu'elle
horée de la grossesse; d. chorée des vieillards. En général dans ce groupe , la marche n'est pas progressive et la gué- ris
rison peut survenir. 2° Dans les faits qui constituent le second groupe , la maladie est au contraire nettement progressiv
dehors du canal central. Comme exemple de syringomélie du premier groupe , nous envi- sagerons les cavités de la pachymén
myoporoïdes, plante de la famille des solanées : il appar- tient au groupe des poisons mydriatiques dont le prototype est
à certains '392 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. groupes ou à une succession de groupes cellulaires forman
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. groupes ou à une succession de groupes cellulaires formant une colonne cellulaire. 4
ion de groupes cellulaires formant une colonne cellulaire. 4° Les groupes cellulaires qui donnent naissance au plexus bra-
médiane que celles qui innervent les muscles fléchisseurs; 6° Le groupe des cellules qui innervent les muscles du dos est
en réalité de lésions dégénératives des fibres d'as- sociation. Le groupe de symptômes qui constituent les démences doit
expliquer les hallu- cinatiuns des persécutés. En résumé un vaste groupe de psychoses, - les affections psy- chiques sec
fréquence cl la forme des maladies mentales et nerveuses. 4 Dans le groupe de la race européenne, ce sont les éléments sca
très prédisposés à l'hystérie et à l'ataxie hérédi- taire. 2° Le groupe sémitique se distingue par la prédisposition de s
la folie morale. Dans les éditions ultérieures il le range dans le groupe des paranoïa. M. Thomsen insiste sur les rappor
oubles de lasécré- tion urinaire chez les aliénés, ou mieux chez un groupe d'aliénés, les mélancoliques. En effet, toutes
ein et autres auteurs qui soutiennent ou ont soutenu l'autonomie du groupe des névroses traumatiques. 9" Tétanie. L'aute
ions différentes. Ces six sections se rangent naturellement en deux groupes que différencie ce fait capital de la présence
une pièce exclusive à elle, qui la désigne comme l'habitation de ce groupe d'aliénés, la chambre de lavage, ressource cont
). Nous avons fini avec les deux quartiers constituant le premier groupe , le groupe des quartiers à rez-de-chaussée, nous
vons fini avec les deux quartiers constituant le premier groupe, le groupe des quartiers à rez-de-chaussée, nous allons ab
rez-de-chaussée, nous allons aborder maintenant l'examen du second groupe , le groupe des quartiers à un étage, plus nombr
ussée, nous allons aborder maintenant l'examen du second groupe, le groupe des quartiers à un étage, plus nombreux puisqu'
abord quels sont les malades à y mettre ? Ils appartiennent à trois groupes diffé- 448 . , asiles d'aliénés. rents et off
isposi- tions psychiques peuvent prêter à contestation. Un second groupe de ce quartier d'observation sera constitué par l
sychoses à forme anxieuse. z La clinique exisie la description d'un groupe spécial de psychoses à forme anxieuse : dans ce
de paroxysmes. La mélancolie avec agita- tion doit rentrer dans le groupe des psychoses à forme anxieuse, et n'a rien à v
t une folie passagère; aussi l'alcool est-il le grand pourvoyeur du groupe des affections mentales. D'après M. Legrain, le
certains mé- decins à concentrer leur attention sur un organe ou un groupe 496 VARIA. d'organes, sans tenir assez compte
56 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oup, un beau jour, à l'école, je passais les yeux baissés près d'un groupe d'élevés, el je me suis effraye de leurs regards,
ui ressortissent au grand sympathique. Réunis en un vaste et unique groupe morbide, ces syndromes constituent la syndromat
hodique et minutieuse qu'on parviendra à réveiller ou à exalter les groupes d'images demeu- rés à l'état rudimentaire et po
l'entraînement, le fonctionnement simultané, synergique, des divers groupes d'images, de manière que celles-ci s'associent t
que. La fondation Vallée est destinée aux filles et comprend deux groupes principaux : Io les enfants idiotes et gâteuses,
gâteuses, valides ou non ; 2° les enfants propres et, dans les deux groupes , des épitcp- tiques. Le fonctionnement parfait
les Congressistes pourront se rendre soit individuellement, soit en groupe , en bateau à vapeur à Jersey pour visiter cette î
étations délirantes, à troubles hallucinatoires, etc., il existe un groupe de î)sil- chopWhes constitutionnels , les paran
hondrie constitution- nelle (Vollenberg), etc. C'est encore dans le groupe des psy- chopathies constitutionnelles qu'il fa
ent des idées hypochon- driaques. 5° Enfin on peut ranger dans le groupe de la neurasthénie toute une catégorie d'hypoch
nifestation d'ordre véritablement hystérique; 3, Reste un troisième groupe de faits qui comprend les tics hystériques prop
ntes ». Je me suis permis d'en modifier le titre et de distraire du groupe confus des névrites ascendantes un syndrome à a
de différencier le syndrome de névrite ascendante vraie d'un autre groupe de faits qu'il est bien tentant, au premier abo
e du membre atteint, avec motilité entièrement abolie pour certains groupes mus- culaires, et extrêmement faible pour d'aut
s tendineux abolis. Réaction de dégénérescence complète de tous les groupes musculaires atrophiés. Toutes les sensibilités
plus ou moins directement, l'on tendra à diriger préventivement le groupe dominant des prédisposés héréditaires (Morel, B
la classe des psychoses à base d'interprétations délirantes : 1° le groupe des persécutés persécuteurs ; 2° le groupe des
tions délirantes : 1° le groupe des persécutés persécuteurs ; 2° le groupe des persécutés persécuteurs amou- reux ; 3° cel
écuteurs amou- reux ; 3° celui des mégalomaniaques d'emblée ; 4° le groupe des délires systématisés plus ou moins hallucin
ux différentes périodes de ces maladies. Nous avons classé en trois groupes principaux les signesque nous croyons distincts
ension. Les muscles de la respiration peuvent être divisés en trois groupes : 1° 230 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIENISTES ET NEU
avons observé des troubles correspondant aux fonctions de ces trois groupes démuselés : 1° L'incoordination, ou le défaut d
cluons que : le sterno-mastoïdien tire son innerva- tion motrice du groupe central des deux premiers myélato- mes cervicau
remiers myélato- mes cervicaux. Dans le noyau de l'hypoglosse, le groupe externe innerve les muscles de la région postér
les muscles de la région postérieure et externe de la langue ; le groupe antérieur innerve le muscle génio-hyoïdien. Dan
nnerve le muscle génio-hyoïdien. Dans le noyau du facial, le second groupe neural sert à l'in- nervation motrice des muscl
e du noyau et un peu plus haut de la partie interne de celui-ci. Le groupe postérieur du noyau de la cinquième paire inner
englobé des hématies. BIBLIOGRAPHIE. 245 Le lendemain, 7 août, un groupe important de congressistes est allé visiter l'A
rs alle- mands, comme des variétés hypo et paracoenesthésiques du groupe des ccnesthésiopathies. PATHOLOGIE MENTALE Le
ment elles ressemblent à toutes les psychoses toxiques, au grand groupe desquelles elles appartiennent, mais encore qu'
actères hislochimiques, tantôt rangés à la file, tantôt formant des groupes . Autour des cellules ner- veuses ayant le plus
3), par moi-même sur un enfant observé quotidiennement et sur des groupes d'enfants, il ressort que les attitudes sont le
Dr CuLLERRE. M. Brousse dit que les asiles de la Seine for- ment un groupe d'asiles spécialisés. Y aura-t-il un jury spécial
sidérées jusqu'ici comme des types pathologiques distincts. Dans le groupe des ataxies familiales, P. Marie a décrit, à cô
use, ataxie statique, incoordination, nystagmus),qui réunit dans un groupe des types 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d
êmes opérations corticales. Au fond, de même que la persistance des groupes syllabiques qui ont impressionné le cerveau, la
ces au leurs on l constaté une lésion exacteiiieiilloci- lisée aux groupes cellulaires centraux et latéraux des 3° el -'m
s et déjà on peut affirmer que la victoire restera aux premiers, le groupe des hésitants inclinant manifeste- ment vers eu
ic. Les faux pauvres, les faux malades vivent ainsi aux dépens d'un groupe social, sans lui rendre, en échange, aucun serv
spécifie que la disjonction a une plus grande im- portance dans le groupe de la démence précoce que dans les au- tres gro
portance dans le groupe de la démence précoce que dans les au- tres groupes morbides considérés comme démentiels. Contrai-
r le médecin. C'p"ll)()lIl' celle raison que 11. Clément dénomme ce groupe de l'ails : l'orme larvée initiale de laplit;ir (
ples il [H'olill'l' df' l ? ùucatinn nOI'lI1ttle. Ils forment trois groupe * : 1° les arrières, dont les facultés in- telle
t pouvoir conclure que les psycltoss polym : v rititlues forment un groupe morbide dont la caractéristique esl le complexu
la caractéristique esl le complexus symptomatique de Korsa- tt0\v, groupe que l'on peut mettre à côté de celles des psychos
ques y, offrant l'as- pect de cocci isolés ou diversement réunis en groupe ou par' chaînettes de 2- ! f-li articles s'agit
isme et d'une émotion vive du syndrome de Basedow, à rattacher au groupe des goitres (le Marie, et aux syndromes ba- ell
l de cause pleuro-pulmonaire. L'auteur divise ces douleurs en trois groupes : douleurs intercostales d'origine centrale, do
douleurs périphériques et guérit complète- ment celles du troisième groupe . Jean ABADIF. 1X1.- Contribution à V étude de l
57 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ble, mais deux par deux, trois par trois, le rhumatisme quittant uu groupe d'articulations, pour se localiser dans un autr
ringomyélique constatée si nettement, et classait notre cas dans le groupe des hématomyélies sylingomyéliques, .auquel M.
ures blanche et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres sont tout à fait dissociés, d'autres
nous parlons de localisation cérébro-médullaire, c'est que,dans ce groupe , nous connaissons à peine une observation (cell
-plan étant comblé par des personnages accessoi- res (Pl. XV). Le groupe du milieu est particulièrement intéressant. Un je
rang parmi les documents relatifs à l'hystérie. , Les deux autres groupes sont d'une interprétation plus malaisée. A gauc
Rombaut. Dans le fond, à droite, sur un tertre verdoyant, un petit groupe est 'formé par plusieurs hommes et femmes entou
- comme l'ont judicieusement fait de Quatrefages et Ilamy, pour ces groupes ethniques clairsemés, les Akkas, les Obongos, les
t de développement ». Cette définition a l'avantage d'éliminer du groupe des nains les indivi- dus monstrueux chez qui l
faire rentrer les différents documents relatifs aux nains dans les groupes morphologiques suivants : - Nains rachitiques .
d'ailleurs, comme nous l'avons dit, trouver sa place dans plusieurs groupes , quand les difformités qu'il présente por- tent
s faits par l'auteur . pour rendre un épisode pris sur le vif. Le groupe formé par le nain et le petit chien concentre l'a
ont l'ensemble est le tonus. Or, ce bruit est diminué dans certains groupes musculaires, au cours du tabes dorsal. Nous s
formes et les fibres qui en émergent, car ces noyaux se trouvent en groupes de volume différent. Il nous semble que leur nomb
s chez notre malade, les caractères suivants (1) : de siéger sur un groupe de muscles innervés par le même nerf (crural) e
ès s'annoncer par une paralysie complète d'un membre isolé, ou d'un groupe de mus- cles, si on en excepte toutefois les pa
ysie était en quelque sorte segmentaire, occupant la main et non un groupe de muscles relevan de l'innervation d'un même ner
es blan- che et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de fibres sont tout à fait dissociés, d'autres
rt, celle-ci montre encore des fibres isolées ou réunies par petits groupes dont les cylindres-axes très gonflés se colorent
es ayant subi la dégénérescence décrite plus haut. C'est surtout le groupe antérieur médian et latéral qui est affecté par
entre les divers faisceaux, notamment le prolongement qui sépare le groupe de la racine antérieure et celui de la racine p
llules bien que très serrées les unes contre les autres forment des groupes laissant entre eux des espaces libres, autour d
nt du reste un aspect très spécial. Chaque disque qui représente un groupe de filets nerveux est entouré d'un tissu conjonct
icale l'expression d'une poly- névrite et celle qui la rattache aux groupes des paralysies spinales, comp- 326 NOUVELLE ICO
de pronostic, en présence d'une paralysie arsenicale de ce premier groupe . L'un des malades dont les observations figuren
survenues dans ces conditions. De l'ensemble des faits de ce second groupe , que je viens de passer en revue, vous avez déj
se lo- caliser dans les membres inférieurs, ne frapper que certains groupes de muscles. En ce cas elle se cantonne d'abord
, c'est que le pronostic est meilleur que dans les cas du précédent groupe , en ce sens que, traitée à temps, la paralysie
irrémédiables, que nous avons vu subsister dans des cas du premier groupe . c) Paralysies consécutives à un empoisonnement
irconscrire aux membres inférieurs, et s'y cantonner dans certains. groupes de muscles; sauf que l'atrophie musculaire est gé
onscrite de paralysie arsenicale, qui embrasse des cas de ce second groupe . Or, dans un grand nombre de cas, la paralysie ar
es muscles des membres, et quand elle reste circonscrite à certains groupes de muscles, assez souvent elle se complique d'u
propre, qui leur assigne en quelque sorte une place à part dans le groupe des paralysies toxiques, si tant est que l'on con
fragments nerveux dans lesquels on distingue encore les cellules du groupe antéro-interne de la corne antérieure et quelqu
égulières et sinueuses creusées dans la pie-mère. Les vaisseaux des groupes postérieurs et latéraux, sont moins atteints bien
t de stase leucocytique avec tendance des leucocytes à se réunir en groupes serrés. L'hérédo-syphilis ne frappe pas la moel
N SUR LE DOS 383 à Madrid. Les trois personnages qui constituent le groupe principal sont figurés dans des attitudes presq
ble. « Une vieille femme se tient debout, à droite et en arrière du groupe principal. « Dans le fond, un paysan entre da
58 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
faire toutes les semaines la photo- 26 THÉRAPEUTIQUE. graphie, en groupe , de ces trois malades, nus. Ces photographies,
e au courant électrique, pour obtenir des contractions marquées des groupes musculaires du membre en question privé cependa
s l'atrophie avec la paralysie ^ gagne supra et infra, frappant des groupes musculaires s) mé- triques. Ce sont successivem
ment frappante au point de vue physique. On peut dire que les trois groupes de symptômes fondamentaux du myxoedème (modific
oir pour eux une installation spéciale, ces éléments constituent un groupe à part. Enlevés à l'asile d'aliénés, ces malade
rganiser sous ce titre : Sociétés scolaires de tem- pérance, 17,449 groupes comprenant deux millions de jeunes adhé- rents.
près. Or quels sont-ils ? On peut les diviser naturellement en deux groupes : ceux où l'hallucination est sans contestation
cérébrale. Il serait facile de justifier la constitution du premier groupe , en citant les observations de Baillarger, Régi
rique ne fait que déterminer et entre- tenir. Voilà donc un premier groupe de phénomènes, dont l'existence et l'explicatio
nnent lieu à aucune objection de fond ; abordons l'examen du second groupe . La plupart des faits s'y présentent dans des c
erf au courant faradique, le dernier au courant galvanique. Dans ce groupe ne figurent que deux névrites, - l'une avec exa
ltérations nerveuses, il est impossible d'ad- mettre que ce premier groupe d'altérations ait été entièrement sous la dépen
si chargé, sous l'autorité du médecin en chef, du traitement d'un groupe de 120 à 170 malades. Le directeur-médecin de l
des granulations, des filaments de granulations, des séries et des groupes de granula- tions, des fils de telle ou telle c
x que ceux qui existent, car les enfants doivent y être conduits en groupe 1 Ce sont là des distinctions que nous avons èt
es environs de l'asile. On a fait l'essai d'envoyer les enfants par groupe de 14, comme journaliers dans une fabrique sous l
n. Les contractions muscu- laires sont cloniques et intéressent les groupes musculaires qui ont coutume de s'associer pour
es mouvements convulsifs sont d'ordre clo- nique et intéressent des groupes musculaires physiologiquement associés. On note
upement des cellules, les contractions musculaires comprendront des groupes de muscles associés, et surtout, parmi ces grou
comprendront des groupes de muscles associés, et surtout, parmi ces groupes , ceux qui sont le plus habituellement sous la dép
tion : l'opinion des auteurs paraît pencher en faveur de ce dernier groupe de mouve- ments ; 5° les lésions du lobe moyen
sions cérébelleuses, rangés suivant leur ordre de fréquence dans le groupe des cas étu- dié par l'auteur, sont : la céphal
e; e). Disparition de la colonne de Clarhe ; f). Lésions légères du groupe antéro-interne des cellules de la corne anté- r
Les délinquants ou criminels pathologiques se divisent en plusieurs groupes : l'internement doit être pour les uns définitif,
alades bibliographie. 309 (épileptiques ou aliénés), répartis par groupes de dix dans ditl'é- rents pavillons. Chaque gro
), répartis par groupes de dix dans ditl'é- rents pavillons. Chaque groupe a un dortoir, une chambre de réu- nion (avec un
illon où loge le Directeur, se trouvent les salles d'école ; chaque groupe de dix malades suit un cours spécial. Les murs
deviennent violents, leur état mental s'aggrave. Quant au dernier groupe composédes arriérés, souvent instables, qui son
nt, dès le pre- mier abord, ' diviser les persécutés en deux grands groupes : les orgueilleux et les humbles. C'est le prem
x grands groupes : les orgueilleux et les humbles. C'est le premier groupe qui a été le mieux étudié ; il comprend cinq va
de la ménopause; 5° délire de persécution des vieillards. Le second groupe comprend les malades atteints du délire de pers
hronique. Suivant leurs tendances, on pourrait les diviser en trois groupes : a) les criminels ; b) les processifs ; c) les
processifs ; c) les amoureux. Les persécutés alcooliques forment un groupe nombreux ; à la vérité, tous les alcooliques so
rémissions momentanées. Il faut ajouter en terminant que, entre le groupe des persécutés orgueilleux et celui des persécu
atrophie, d'avec la syringomyélie. Conviendrait-il d'admettre deux groupes de cas : celui du type actuel et un autre dans le
, et qu'en outre, l'intensité, c'est-à-dire la hauteur absolue d'un groupe donné de conceptions soit toujours en rapport inv
absolue est la résultante 'des ondes élémentaires constitutives du groupe conceptuel. Les conceptions du mouvement formen
e psychique d'une partie du corps par le détournement dans d'autres groupes conceptuels de la provision d'énergie psychique
aussi circonscrit ; toutes les arborescences collatérales de chaque groupe de fibres fonda- mentales ou centre sensoriel s
ges, et que, d'une manière générale, il y a réunion anato- mique de groupes fonctionnels simultanés. Excitez en effet l'écorc
e les disproportions entre causes et effets et les équilibres entre groupes inégaux (comparai- son à la résistance efficace
ime à jouer et ne se fâche presque jamais. Il est toujours dans les groupes où l'on se distrait, car, quoique ne marchant q
probablement symptomatiques d'une sclérose cérébrale, le premier groupe ' d'accidents pathologiques observés chez B...
Il est impossible de se prononcer encore sur ce point. Un troisième groupe de fibres est celui des fibres entre-croisées.
dans le bulbe, ce trousseau, jusque-là compact, se par- tage en un groupe de fibres arciformes internes et en un autre gr
r- tage en un groupe de fibres arciformes internes et en un autre groupe de fibres arciformes moyennes. Les premières pass
de ce fait, M. Grasset croit qu'il faut supprimer en pathologie le groupe des pseudo-tabes, car ils sont soit des tabes v
étrocession. A propos de deux obser- vations, M. Grasset établit un groupe clinique qu'il caractérise ainsi : maladie infe
59 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
s enfants propres, valides, idiots améliorés, venus des deux premiers groupes , imbéciles, arrié-rés, instables, pjervers (amora
nts idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. — Ce premier groupe est subdivisé ( il deux catégories. La première s
t d'arriver à ne plus être considérés que comme des arriérés. Dans ce groupe sont compris les diplégiques, les athétosi-ques,
uvent plus être que l'objet de soins hygiéniques et doivent former un groupe spécial. Aussi sont-ils réunis et surveillés dans
t de la cuiller, de la fourchette et du couteau. — Sept enfants de ce groupe sont devenus propres (1) ; 6 ont appris à manger
astique des échelles et des ressorts, sauf ceux qui, venus du premier groupe , c'est-à-dire des invalides, étant encore trop in
a grande gymnastique. Nous pourrions citer d'autres enfants du même groupe qui, eux aussi, ont été améliorés, mais à un mo
loyées jusqu'à ce jour. ? Mm° Bonnet sur notre invitation a choisi un groupe d'une douzaine d'enfants de différents niveaux in
e procurera notre personnel enseignant. Les péda-gogues de chacun des groupes spéciaux d'enfants anormaux profiteraient, croyon
Le cours de dessin d'art est également suivi par les élèves du second groupe , enfants qui dessinent d'après nature des plâ-tre
taire. Ces élèves sont divisés en deux séries et travaillent en trois groupes différents. Le premier groupe ou grand rang, au
deux séries et travaillent en trois groupes différents. Le premier groupe ou grand rang, au nombre de 70 élèves, se compose
Ville... et Le... déchéants sont passés dans un rang inférieur. 2° Groupe . Enfants paralysés et imbéciles. Les enfants pa
-cices spéciaux (1). Cinq d'entre eux sont passés au grand rang. 3° Groupe . —Enfsnlslesplus malades. Les enfants très arriér
environs de l'hospice ou dans Paris, promenades qui font perdre à un groupe , plus ou moins nombreux, une demi-journée de trav
ment. Seuls nos apprentis jardiniers continuent leur mé-tier. Pour ce groupe nous avons réclamé la conslruction d'un asile spé
us renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figurent ceux qui vont tirer au sort et viennent
toutes les perversions instinctives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : Io les enfants idiotes gâteuses, val
valides ou non; — 2° les enfants propres valides, — et dans les deux groupes , des épileptiqucs. Enfants idiotes et gâteuses.
ombre de ses compagnes, aux heures de récréation, elle forme un petit groupe , c'est pour confectionner les effets de leurs pou
per principalement d'enfants arriérés et instables qui constituent le groupe le moins malade de la grande catégorie des idiots
sses ou les écoles spécia-les, il conviendrait, pour la formation des groupes , de s'appuyer non sur l'âge, mais sur les aptitud
par âge la répartition de ces cas. (Tableau B). Tableau B. (1) Ce groupe comprend les épileptiques non idiots. AGE. Id
erses. Cette confusion regrettable cessera quand on pourra réunir des groupes d'observations complètes avec autopsies montrant
60 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tat mental, en avançant que cette folie ne pouvait qu'appartenir au groupe de celles qui ne lèsent pas le raisonnement. Ci
e d'une lésion des voies de conduction, soit par la destruction des groupes corticaux de cel- lules sensitives spécialement
t autrefois, mais dans le sens plus large qui en fait simplement un groupe de neurones sans préjuger en rien de leur exacte
-dessous de l'écorce ou dans d'autres parties encore inconnues, des groupes de neurones où peut se faire à la lumière d'une
celle des adissoniens ,/ Ces malades, classés actuellement dans le groupe si commode de la neurasthénie, peuvent-ils béné
- ment caractérisée, qui forme une espèce clinique à part dans le groupe des chorées. Avant de traiter la symptomatologie
s près nous voyons que ce malade appartenait bien plutôt à un autre groupe patholo- gique qu'à celui des chorées, car sa m
t Régis, les causes de mort sont presque égales pour les différents groupes de maladies : celles de l'appareil respiratoire
synergies musculaires, du concours ordonné de plusieurs muscles ou groupes de muscles. L'ataxie tient à des foyers qui siè
mes se groupent différemment sui- vant les espèces. Mais le premier groupe est commun à toutes; c'est lui qui doit être pr
elé : phénomènes types de l'artériosclérose encéphalique. Le second groupe dépend, lui, de la place occupée par la lésion du
de notre malade n'est cependant pas comparable à l'un de ces trois groupes de troubles analogues. Il se distingue du premi
comme la seule vessie irri- table hystérique, il existe un deuxième groupe de vessies irritables hystériques, dont la poll
i nevrol., l'asc. I-lI, 1899.) Le délire sensoriel aigu comprend un groupe de maladies infec- tieuses et toxiques représen
s différentes variétés de stéréotypies que l'auteur divise en trois groupes : 1° attitudes ou stéréotypies akinésiques ; 2°
plégiques dépend du défaut d'équilibre entre la tonicité des divers groupes musculaires ; ce sont les moins frappés qui ent
pourraient dépendre non d'un fait simple, tel que la suppléance de groupes musculaires jusque-là inactifs, mais de la conc
sque-là inactifs, mais de la concomitance entre le mouvement de ces groupes musculaires et la diminution de l'hypertonicité
nnent du noyau rouge s'en vont jusque dans la partie postérieure du groupe nucléaire antéro-latéral de la couche optique.
ieur et s'en va aboutir provisoire- ment aux segments antérieurs du groupe nucléaire antérieur de la couche optique. Voi
n les observations rapportées par le DrWorcester établissent que le groupe des symptômes de la catatonie peut se trouver en
urs au triceps des deux côtés, pour les extrémités inférieures, aux groupes musculaires tibiaux antérieurs. L'examen des ye
de de coloration de Marchi. Ces altérations ont permis de suivre un groupe de fibres constant qui va de l'isthme dans le c
grains noirs ; plus bas encore impossible de les coordonner en un groupe précis. En un mot la compression de la partie sup
sséminées; au niveau de la huitième paire dorsale, on remarquait un groupe antéro- médian peut-être un peu moins limité qu
point il est permis de réunir ces diverses affections dans un même groupe . Certaines ont très évidemment un caractère art
illité ; H" épilepsie idiopa- thique. Il est évident que le premier groupe , par exemple, demande à être hospitalisé. Il fa
ront ou non d'incohérence, elles donneront naissance à trois autres groupes (cohérents, incohérents, neutres). Une place à
é- terminés et mixtes, non susceptibles, d'entrer dans les autres groupes . Prix Aubanel. LE Secrétaire général annonce
moins, à conduire des excita- tions isolées sur certains muscles et groupes de muscles. Cette aptitude lui est dévolue par
physiologique il tend a démontrer que la con- traction isolée d'un groupe physiologique de muscles dans un segment donné
des centres plus élevés, tenant sous leur dépendance les différents groupes de muscles qui, dans un segment donné, remplissen
nguer dans le noyau du facial, chez presque tous les animaux, trois groupes de cellules : un groupe interne ou noyau second
cial, chez presque tous les animaux, trois groupes de cellules : un groupe interne ou noyau secondaire interne,-un groupe
pes de cellules : un groupe interne ou noyau secondaire interne,-un groupe moyen, formé lui-même par un seg- ment antérieu
érieur et un segment postérieur, chez le chien tout au moins, et un groupe externe. L'étude des lésions de réaction à dis-
ur est situé à la partie postérieure du noyau moyen du facial. Le groupe interne du noyau primitif est constitué par deux
ellules sticochromes qui siègent surtoutàla partie antérieure de ce groupe et que M. Marinesco tend à considérer comme rep
'oreille ou même peuvent être des cellules sympa- thiques. Quant au groupe externe, il sert d'origine, chez le chien et le
dont M. van Gehuchten a loca- lisé l'originedans la partieexternedu groupe interne; 2° labranche zygomatico-temporale nais
labranche zygomatico-temporale naissant de la partie postérieure du groupe moyen; 3° la branche bucco-labiale supérieure é
du groupe moyen; 3° la branche bucco-labiale supérieure émanant du groupe externe; 4° la branche bucco-labiale inférieure
la branche bucco-labiale inférieure issue de la partie ventrale du groupe moyen. Chez l'homme, la configuration générale
hez l'homme, la configuration générale du noyau du facial et de ses groupes parait différente, au premier examen, de celle du
ez le foetus, M. Marinesco a pu retrouver très facilement les trois groupes avec leurs subdivisions. Mais il faut reconnaître
onnaître que cette division, d'une simplicité schématique, en trois groupes ou en noyaux secondaires à grand axe antéro-pos
OGIQUES. 515 respond pas à la plupart des pièces. L'orientation des groupes cellulaires et leurs rapports réciproques ne so
ur les remarques suivantes : Dans le torticolis spasmodique, deux groupes de muscles demandent il être traités : d'un côt
dent il être traités : d'un côté le sterno-matoïdien, de l'autre le groupe occipital. Le traitement médical a échoué complèt
en Allemagne et en France (Mettray), où les enfants sont placés par groupe de 15 à 40, sous la direction d'un chef de fami
61 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lje (divers), etc.. Tous ces mots ne s'appli- quent qu'à tel ou tel groupe de cas. Le mot « fugue » plus court d'ailleurs,
de la paranoïa pour les faire rentrer dans la dé- mence précoce un groupe important de cas dans lesquels on obser- ve de
de l'adolescence, et de diviser les malades dont il s'agit en trois groupes : 1° forme simple ; 2° forme délusionnelle ; 3°
ces cas des détails intéressants. Il a essayé de déterminer si les groupes qu'il a observés présentaient des symptômes carac
sociation, dont ila été parléplus haut, des relations avec tous les groupes de cellules motrices. Cesnotions d'anatomie sont
s des formes mentales et nerveuses, M. Forel divise ces formes en 4 groupes : .lncmvta, 3° série, 1907, 1. I. 6 82 BIBLIO
s et ses peines ne soient un jour récompensés par la formation d'un groupe d'in- firmiers éclairés et utilisables qui fero
diffère en quelques points des autres. est comme suit : Au premier groupe , c'est-à-dire au groupe des états psychopathiqu
nts des autres. est comme suit : Au premier groupe, c'est-à-dire au groupe des états psychopathiques dépendant de l'affect
t de dégénérescence psychique ; tic l'état d'automatisme. Au second groupe caractérisé par les altérations primitives conc
ychopathique ; 7° l'état d'affectivité pathologi- que. Au troisième groupe se rapportent les altérations primaires de la s
ique ou l'état d'exclusivisme pathologi- que. Enfin, au quatrième groupe , concernant l'altération primaire de la sphère
tes étant respective- ment six ans et vingt-cinq ans, et le premier groupe allant jusqu'à vingt deux ans, en résulte que s
sie massive les accès épileptiques se manifestant exclusivement par groupes de crises subintrantes ou très rapprochées, les
perceptifs ; ces derniers peuvent à leur four se subdiviser en deux groupes : les délires à base de troubles cynesthésiques
s : on est fou ou on ne l'est pas; l'hu- manité est divisée en deux groupes : ceux que l'on enferme et ceux qui enferment ;
Puis,d'après la neuroclinique moderne, il classe les demi-fous en 3 groupes ; sont demi-fous : lu certains fous internés da
Charpentier. Mais alois, pourquoi Jl. Grasset consLitue-t-il son 2- groupe de demi fous avec d'anciens fous ? : ' Ceux-là
nt à l'occasion de mouvements coordonnés et entrent par là dans des groupes mnémoniques indissociables ; beaucoup de celles
eurs, tantôt sur l'un quelconque des bipèdes diagonaux, comme si le groupe des deux mouvements synchrones de la marche ava
en des points identiques des deux rétines se terminent dans un seul groupe de pyramidales isodynamiques. L'unité de la rét
rétiniens identiques correspondent, non plus à un seul, mais à deux groupes de pyramidales isodynamiques.» Pour les sens no
unité, elle est. d'après Cajal, assurée par ce double fait que des groupes isodynamiques de cellules (af- fectées à la mêm
e fibre sensorielle afférente se divise en un rameau direct pour le groupe cellulaire homomère et un rameau indirect pour
ct pour le groupe cellulaire homomère et un rameau indirect pour le groupe hétéromère. En un mot, la structura du système
entifiques a\ec le maximun de « no-res- tl'aint" et d'isolement des groupes manicomiaux de classement. Lupa\illon des agite
sujets à la fois hypo et hyperthyroïdiens qu'on peut ranger dans le groupe 210 revue n' \ : -1.\ 1 OIm ET de PHYSIOLOGIE p
la séparer nettement des trois autres citées au début, en former un groupe à part,dont la dénomination montrera la patho-
alades que nous nous proposons de dénombrer seront classés en trois groupes : A) Le premier comprendra tous les cas d'alcoo
connue comme cause exclusive des troubles cérébraux. B) Le second groupe comprendra les cas d'alcoolisme pré- sentant l'
e description, mais d'un simple dénombrement. C) Enfin le troisième groupe comprendra les cas de folies de toute espèce (m
commanderez aux auteurs de ce travail de s'y conformer. 1° à chaque groupe devront correspondre deux tableaux dis- tincts,
et plus spécialement dans les villes possédant une Uni- versité, de groupes régionaux, affiliés au Comité, mais autono- mes
é, de groupes régionaux, affiliés au Comité, mais autono- mes ; ces groupes ayant pour mission de fonderou de faire fou. de
synthèse mentale insuffisante ou sujette à se restreindre, chaque groupe pourra devenir indépendant de l'autre, et alors,
ssent coïncider, avec ceux de l'état conscient. Ce cas conduit au groupe très important des associations entre états ou
par la suggestion de l'in- capaciîé fonctionnelle d'un organe, d'un groupe de muscles.ou des deux à la fois. Qu'ils soie
de ca- ractères si nets qui l'opposent aux autres. Les différents groupes anormaux... sont bien distincts les uns des au-
s, le buveur, celui que dirige le cerveau droit ». Il y a bien deux groupes distincts de faits psychiques,mais la « dualité
ité » anatomique du système nerveux n'y est pour rien : l'un de ces groupes occupe ou dirige tout l'appareil moteurs ; l'au
nirs et de raisonnements. Mais y-a-t-il deux consciences ; les deux groupes ne sont ils pas con- tenus dans la même ? De to
l'esprit devra toujours examiner deux par deux, ou plutôt en deux groupes opposés,groupes à l'un desquels le méca- nisme
toujours examiner deux par deux, ou plutôt en deux groupes opposés, groupes à l'un desquels le méca- nisme exposé plus haut
s idées de l'Auteur sur «l'Etre complet » et ses rapports avec « le groupe des coêtres », nous nous verrions obligés de le
énagements qui leur sont nécessaires. diviser les aliénés en quatre groupes : 1° les cas d'hôpital (infirmerie). 2° les cas
est injustifié : à côté des sciences propre- ment dites,il y a des groupes de connaissances, tels que l'histoire et la géo
e peuvent en aucune façon prétendre au titre de sciences. Entre ces groupes et les sciences parfaites, il y a les sciences,
- thode et de la théorie. Le point capital, c'est que, si dans ce groupe hétéroclyte de faits et de principes, il y avait
nce en chacun de nous, au sein de la « conscience mou- vante», d'un groupe permanent de principes rationnels dus au travai
entée par 31. llour- neHIe dans sa Lettre à 31. Cariot, puis par un groupe d'éduca- Leurs spécialistes ; un tel effort de\
62 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(nucarest). Dans un asile d'aliénés les mélancoliques forment un groupe à part de malades par l'aspect clinique, l'attitu
nsistant en ce que, par suite de la diminutton du tonus de certains groupes mus- culaires, et en dehors des troubles de la
de constater l'hypotonie et d'en mesurer le degré pour une série de groupes de muscles (extenseur de la jambe, adducteurs d
pliquent par des compli- cations telles que l'hypotonie de quelques groupes musculaires. Mais cette hypotonie, constante da
s qui suivent de près l'intervention chirurgicale, et constituer un groupe trop res- treint de psychoses post-opératoires.
dical et admi- nistratif de l'hospice de la Salpêtrière et un petit groupe de surveil- lants, de surveillantes et d'infirm
ace de violence; 1 Voir Archives de Neurolortie, no 37. Fig. 9. Groupe de mélancoliques (hommes). ' 106 PATHOLOGIE M
L'idéation et le raisonnement sont profondément altérés. Fig. 10. Groupe de mélancoliques (femmes). 111) PATHOLOGIE ME
e sur le tronc ; 2° la position exacte de la tête déterminée par le groupe des muscles innervés par chacune de ces racines
du feu chez les Mélanésiens par exemple). Enfin l'auteur arrive aux groupes sociaux de notre Europe occidentale contemporai
rès l'époque de leur développement, doivent être réparties en trois groupes . - a). Les territoires primordiaux, qui se form
Basedow, mais des Base- dowiens, susceptibles d'être rangés en des groupes très différents. D'autre part, cette thérapeuti
giques des centres nerveux et des viscères jusqu'à y distinguer des groupes de lésions dont chacun a une origine et une val
elle-ci est de caractère nettement inflammatoire. C'est ainsi qu'il groupe les paralysies générales en trois grandes class
orme dégéné- 'rative peut rentrer d'ailleurs ultérieurement dans le groupe des formes inflammatoires. 0 L'auteur tire de
t se présenter l'agitation, affections qui constituent trois grands groupes , les psychoses, les folies toxiques et les foli
nel. Il faut, dans les opérations gynécologiques, distinguer deux groupes : 1° Celles qui s'adressent aux grosses lésions
ment tournée à droite. L'auteur se décida à sectionner les nerfs du groupe gauche des muscles occipitaux. L'incision fut f
n du nerf accessoire n'a pas provoqué d'amélioration, le massage du groupe occipital opposé doit être pratiqué avec per- s
n de l'autre, disséminés dans un parc de 291 hectares. Les divers groupes d'habitation sont reliés par un petit tunnel so
alement des délires religieux figurer comme variété d'autres grands groupes . C'est ainsi que Griesinger = (1845-·1867) que
lire religieux figure dans leur classification dans l'un et l'autre groupe à titre de sous-variété de chaque forme (origin
que partis d'un état initial identique en apparence. Donc dans un groupe , on peut ranger les délires religieux à formes
onstants, désagrégation de la personnalité d'emblée. Dans l'autre groupe , viennent les délires religieux à systé- matisa
(dédoublement tardif ou objectif de la personnalité). Notre premier groupe comprend les formes complètes des délires de né
Les hallucina- tions motrices paraissent le lien unissant ces deux groupes opposés, et les différenciant eux-mêmes du type
scient avec déchaînement de l'automatisme 1. Scimie dit que tout le groupe de la « Wahnsinn » confine en grande partie aux
our représenter l'image graphique. Pour parler et pour écrire, cinq groupes d'idées sont indispen- sables : 1° les images o
utopsie, dégénérescence des cellules nerveuses médullaires dans les groupes correspondant-aux nerfs les plus intéressés avec
idées pseudo-aphasique de Meynert et de Schlaugenhausen, le premier groupe de la folie aiguë partielle de Kretz, les délir
r les troubles physiques. Ces procédés se divisent en deux grands groupes , suivant qu'ils sont mis en oeuvre par une person
airement à l'accès psycho- névrotique, on peut les diviser en trois groupes : A. Les délires systématisés post-mélancolique
ronostic d'un délire systématisé post-mélancolique. C. Un troisième groupe comprend les délires post-mélancoliques caractè
cliniques de la psychose polynévritique peuvent se ramener à trois groupes : Il Délires systématisés, idées fixes consécut
ent nouveau par le trional. Les observations sont divisées en trois groupes : 10 celles dans lesquelles le trional agit en su
nal en temps voulu. Dans la première obser- vation, type du premier groupe , les attaques précédées d'aura motrice sont sus
précédées d'aura motrice sont suspendues. Dans celles du quatrième groupe , la fureur épileptique ne s'est pas reproduite
té réduites dans cette dernière année à 58. Dans celle du troisième groupe , le malade soumis au traitement par le trional
e sont notamment des contractions cloniques ou toniques de divers groupes musculaires ; 3° En ce qui concerne les localisat
teur. Les aliénés méconnus et condamnés peuvent être réunis en deux groupes : les uns ont été totalement méconnus, le magis
ompte dans son jugement des indica- tions de l'expert. A ces deux groupes d'aliénés il faut ajouter ceux qui, reconnus al
ur responsabilité ou avouent eux-mêmes pour obtenir leur sortie. Ce groupe comprend de nombreux sujets et beaucoup de méde
e médicale de l'armée il est facile de savoir combien chacun de ces groupes a subi de réformes du fait de l'aliénation ment
1° Prisons, pénitenciers et ateliers des travaux publics. Dans ce groupe on a réformé pour « aliénation mentale, paralysie
ue totale de l'armée on décompte tout ce qui est afférent aux trois groupes précédents, on voit que « l'aliénation mentale,
gresse rapidement ut symétriquement, de bas en haut, et atteint les groupes musculaires dans l'ordre indiqué par Landry. Dans
's Drouineau et Doutrebente et le pasteur protestant. Ensuite, le groupe des danseurs de Saint-Cannat a exécuté, au son
63 (1913) Exposé des travaux scientifiques
rande. Dans l'espace délimité par chacune de ces gaines, on voit un groupe de 3 à fibres musculaires striées, d'un diamètr
qui n'est qu'une variante de la précédente : le tronc nerveux et le groupe des fibres musculaires, au lieu d'être logés da
toute vraisemblance les fais- ceaux et les troncs nerveux dont ces groupes de petites fibres sont accompagnés leur sont de
ET RÉFLEXES OSSEUX Les réflexes tendineux el osseux font partie du groupe des phéno- mènes objectifs que la volonté est i
ontairement ses muscles, l'excitation d'un tendon détermine dans le groupe musculaire correspondant une série de contracti
ntraction musculaire voli- tionnelle. B. J'ai montré que, dans le groupe des contractures liées à une perturbation de la
ineux et de l'excitabilité idio-musculaire peut s'observer dans des groupes musculaires qui ont conservé l'excitabilité volit
ue la sensibilité objective était presque normale, et que, dans les groupes musculaires atrophiés, il n'y avait ni abolitio
de tirer quel- ques déductions d'ordre plus général. « Ces trois groupes (26) font évidemment partie d'une même série ca
phénomène, du même trouble dans la coopération de deux ou plusieurs groupes musculaires entrant en action à l'occasion d'un
gées dans celle voie m'ont permis de diviser ces phénomènes en deux groupes bien distincts : la suggestion produit les uns et
donner quelques éclaircissements complémentaires. Au premier de ces groupes appartiennent : des crises convulsives, des par
eint d'une affection mentale telle que l'hébéphrénie. Le deuxième groupe comprend d'une pari le dermographisme, qui trad
é et la durée. Ainsi donc, un caractère fondamental sépare ces deux groupes de troubles. Voilà un nouveau point bien établi
leurs normaux que chez ceux qui présentent des accidents du premier groupe : attaques de nerfs, contractures, etc. Il n'y
ler hystériques les troubles que nous avons rangés dans le deuxième groupe ; du reste, les termes : « dermographisme, trou
ant on veut le conserver, il est légitime de le réserver au premier groupe qui comprend les troubles impressionnants dont
ce titre. Aujourd'hui, il n'en est plus de même. La délimitation du groupe des phénomènes que l'on peut appeler indifférem
tive les phénomènes diffus à ceux qui sont systématisés. Le premier groupe comprend toutes les émotions proprement dites et
e à la critique des « stigmates », comparant, comme on l'a vu, deux groupes d'hystériques, dont l'un avait été exposé et l'
stations s bruyantes, théâtrales, et l'hypnotisme fait partie de ce groupe , sont, celles qu'il y a surtout lieu de suspect
es muscles striés de l'homme d'un système spécial constitué par des groupes de petites fibres musculaires entourées d'une gai
64 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
sser croire que toutes les aphasies transitoires appartiennent à ce groupe . Je citerai par exemple l'aphasie transitoire gou
e postérieure des deux avant-bras. Les papules étaient disposées en groupes plus ou moins cir- culaires, formant par leur c
uvres d'art. Les Hermaphrodites antiques peuvent se diviser en deux groupes : Dans le premier rentrent les monuments figuré
porelle qu'on peut considérer comme le prototype naturel de tout un groupe d'hermaphrodites antiques. (1) Comme un grand n
ent de cette parésie et de cette atrophie circonscrite a cer- tains groupes de muscles du membre inférieur gauche, indépendam
signes de la réaction de dégéné- rescence dans tous les muscles du groupe antéro-exte1'lle de la jambe gauche A. droite,
r siège le membre inférieur et la région sacro-lombaire ? Dans le groupe des affections où prédominent les phénomènes doul
aralysie plus ou moins complète, souvent tran- sitoire, de certains groupes de muscles, aux membres inférieurs. Je trai- te
appelés antagonistes. Que se passe-t-il pendant la contraction d'un groupe musculaire, dans le groupe antagoniste ? D'aprè
e passe-t-il pendant la contraction d'un groupe musculaire, dans le groupe antagoniste ? D'après la doctrine classique, quan
auteur. Trois cas peuvent se présenter : 1° Les deux muscles (ou groupes de muscles) antagonistes se contractent simulta
et, dressé une sorte d'échelle symptomatique et établi une série de groupes distincts, chaque groupe symptomatique étant L
elle symptomatique et établi une série de groupes distincts, chaque groupe symptomatique étant L en l'apport avec tel ou t
it pas grand intérêt à reproduire l'énumération complète des autres groupes sympto- matiques. Le cas de notre malade reprod
s occasionnées par la contraction exagérée et exclusive de certains groupes musculaires. Mais celle interprétation ne saura
ons les professions les plus diverses entraînant la mise en jeu des groupes musculaires les plus variés. Il est donc impo
st ainsi que sous nos yèllx sont apparus : le 23 décembre, un petit groupe de vésicules au tiers moyen de la cuisse; un autr
écédant cette éruption de quelques heures. Le '1"" janvier, nouveau groupe de vé- T 111 L y%%hX vii PIfOT. NLG MFJ.lFUX
face dorsale du 1 ? espace in ter-métacarpien; le 10 janvier, petit groupe de 5 ou C'vésicules à la'face antérieure de l'ava
rès vives douleurs au sein et il la cuisse, apparition d'un nouveau groupe de vésicules au-dessus du sein et de G ou nouve
On peut lui re- procher cependant d'être un peu prétentieuse. Le groupe de serviteurs qui emporte le convive expulsé occu
c plusieurs autres personnages, dont un nègre, l'arrière-plan de ce groupe très mouvementé et très vivant. Le convive indi
de personnages accessoires appartenant il la pathologie. Enfin, un groupe important est constitué par les peintures représe
ire, etc., sans oublier les charlatans de foire. Le plus souvent le groupe principal est composé par le médecin et son mal
n bois. Au second plan et à droite,plusieurs personnages forment un groupe autour d'une table (PI. XL). 1 L'opérateur, d
est indi- qué dans les manuels opératoires de l'époque. Voilà le groupe principal. A droite et en arrière, une sorte de
A gauche de la composition quatre personnages forment un premier groupe . Le patient, un gros gaillard, maintenu sur un
périeurs et. FIG. 54. Schéma montrant la disposition des différents groupes de cellules nerveuses qui constituent le noyau
ons. Deux coins lui restaient au bas du dessin : il y a ajouté deux groupes accessoires. A droite, dans un oeuf monstrueux
lic est niais de se laisser prendre à de telles jongleries ! » Ce groupe exprime d'une façon bien significative la satire
de son frère. La plupart représentent des intérieurs rustiques, des groupes de paysans ou de mendiants, dans le genre de Pi
nent chercher le remède à leurs maux.' Trois personnages forment le groupe principal, à gauche de la compo- sition : l'opé
te porte, emportant un grand pot, et se retourne pour re- garder le groupe principal. Le mobilier est primitif. Un poêle,
RATIONS SUR LA TÊTE 319 Du plafond pend un crocodile empaillé. Le groupe principal, bien éclairé par la fenêtre, se compos
s myéliniques sous forme'd'une fine pous- sière, ramassée en petits groupes du volume d'un corps granuleux. Les méninges, a
usculaire. Partout, aux membres, comme au torse et au cou, dans les groupes synergiques ou antagonistes, les muscles appara
65 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
du malade que voici et qui présente, à ce que je pense, un exemple du groupe de Morvan, je crois utile de vous faire connaître
s. Actuellement, à l'heure qu'il est, le nombre des observations du groupe est de 19 environ ; la nôtre d'au- jourd'hui se
algré des variations individuelles assez étendues, ces cas forment un groupe pathologique vraiment cohérent et qui mérite bien
ns lesquels les accès sont en général beaucoup plus longs que dans le groupe précédent- - ils peuvent durer 10,15 ou 20 jours
traire, tendre à s'amender. Les premiers appartiennent communément au groupe dont le caractère est que les accès proprement di
cas est le fait déjà signalé du reste dans plusieurs observations du groupe , que les accidents paralytiques montrent une tend
rédomine point, ou du moins le fait n'a pas été noté, dans tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche
que la jambe a notablement diminué de volume. Ainsi dans un premier groupe de faits nous voyons la névralgie sciatique, cons
pu penser qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe . Mais nous avons pu nous convaincre qu'il n'en ét
deux membres inférieurs ; elle est partielle et incomplète, certains groupes musculaires sont paralysés ou seulement affaiblis
upes musculaires sont paralysés ou seulement affaiblis, alors que les groupes voisins sont respectés ; certains mouvements de l
lmoplé-giques. Dans l'ophthalmoplégie externe, la lésion porto sur le groupe cellulaire postérieur composé des amas de noyaux
subaiguë. Ils sont le plus souvent rapidement mortels. Ils forment un groupe fort intéressant à étudier, mais ils constituent
l'ont démontré, d'une lésion des noyaux bulbaires. 3° Le troisième groupe qu'il nous reste à considérer, est celui qui nous
ité n'est peut-être pas absolue. ? Les cas qui ressortissent à ce groupe sont peu nombreux encore; à peine citerait-on cin
l'avenir devront compter parmi les observations les plus typiques du groupe . Nous allons entrer dans l'analyse clinique de
vous l'ai annoncé, par quelques caractères, sans toutefois sortir du groupe . Ici ce n'est plus de poliomyélite antérieure c
la jambe et de la cuisse présentent une mollesse remarquable, sauf le groupe des adducteurs. A gauche : les orteils s'étende
conservé leur puissance normale, il n'y a pour ainsi dire pas un seul groupe musculaire qui soit indemne. Elle est manifeste a
t atrophiés en masse, sans prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La
e 1) Leçon du mois de mars 1891, recueillie par M. Blocq. cas, le groupe morbide dit maladie de Morvan ne serait plus qu'u
n entend par la syringomyélie, et de l'autre côté en quoi consiste le groupe symptomatique dit maladie de Morvan. Ainsi seulem
ls se rattachent, ceux-là au type paraplégie spasmosdique, ceux-ci au groupe tabétique. Telle est en raccourci la forme typi
doptée pour les cas de ce genre, j'entends réserver, pour en faire un groupe à part, ceux dans lesquels un véritable tabès par
ocier à la glycosurie. Je pense qu'il y a lieu de les diviser en deux groupes : 1° Dans le cours du tabès, le sucre peut appa
de la Tourette n'en a rencontré que trois; 2° A côté de ce premier groupe , il convient d'en placer un second. Dans celui-ci
assez rare, a pu être mise en doute ou même niée formellement par un groupe d'observateurs dont j'ai eu l'honneur de faire pa
'agit dans son travail de spasmes et non de paralysies; mais les deux groupes de faits doivent être évidemment considérés comme
invraisemblable, parce que, si la simulation hystérique d'un certain groupe d'affections organiques cérébro-spinales nous est
ppelons maladies nouvelles celles que nous parvenons à isoler dans un groupe plus ou moins artificiel, celles que nous arrivon
ort belles études de M. Four-mer. Les cas de ce genre forment déjà un groupe noso-graphique solidement établi, cela est incont
66 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
s frappés d'incoor- dination, elle était en outre très inégale d'un groupe musculaire à un autre, d'un muscle au muscle vo
le palper ne nous indiquait aucune variation de consistance i d'un groupe musculaire à l'autre. Cette diminution de la to
ive du long supinateur. ~ tf1Lorsqu'on pratique l'auscultation des ( groupes mus- culaires,-voisins de ceux que nous venons
echerches. Avant lui, l'ataxie locomo- trice était englobée dans le groupe , aujourd'hui encore si confus des paraplégies.
sie hémiplégique , décrite en 1827, par Bravais', et appartenant au groupe des épilepsies partielles décrites par MM. Hugh
d'une élévation thermique pro- noncée dans un des thermomètres, on groupe autour de lui tous les autres thermomètres, et
icale au-dessus du pavillon de l'oreille. M. Amidon a essayé chaque groupe musculaire, et croit être 120 'REVUE CRITIQUE.
ent de particulièrement remarquable, c'est d'être , pour certains groupes de muscles, parfaitement d'accord avec les donnée
avec les recherches de Ferrier, tandis que, pour quelques autres groupes musculaires, il y a une extension des centres c
de ses muscles ; il avait l'habitude acquise de mou- voir certains groupes de muscles pour la réalisation de certains effe
ducation, qui leur apprenne à diriger l'influence nerveuse jusqu'au groupe musculaire qu'ils veulent mouvoir. C'est là le
déclaration de luxure, le diable l'inspirant sans doute. Un second groupe renferme les folies variées, liées à la fonctio
istinction, et c'est à l'établir que tendent les faits du troisième groupe et des deux suivants : Erotomanie, nymphomanie.
élits accusent souvent l'inconscience de la démence sénile. En un groupe final «perversion génitale absolue», après quel
ges rachidiennes. A ce pro- pos, M. Chauvet fait, avec raison, deux groupes : le premier comprend la myélite interstitielle
, le second a trait aux myélites systématisées. Si, pour le premier groupe , M. Chauvet reconnaît une influence étiologique
t reconnaît une influence étiologique à la syphilis, pour le second groupe , au contraire, il n'admet pas que la sy- philis
'homme, un point nous paraît intéres- sant à examiner : . Dans ce groupe d'affections, ainsi que depuis long- temps l'a
d'appui de ce levier, de façon à ce que la contraction de chaque groupe musculaire fasse dévier en sens contraire l'ext
r, de maintenir avec la'main un-tambour explorateur sur' les deux groupes musculaires. -- - -- . Cette expérience est com
re, le tremblement n'existe pas dans l'état de repos, parce que les groupes musculaires sont contracturés au même degré ; m
rspring ? bien que le tremblement, dans ces deux cas, occupât des groupes musculaires différents. Quant à la différence d
ieur, sans chercher à . ? (Jt m ·Ilo·(r··y'1 ? PCM' préciser quel groupe de muscles était plus particu- lièrement intére
itable type de paralysie agitante, indique bien l'état des divers groupes musculaires dans cette maladie. , . Observati
s frustes, mais comme elle est portée au même degré dans les divers groupes musculaires, 212 PATHOGÉNIE DES TREMBLEMENTS.
, toujours rhythmées, et de nombre à peu près, constant pour chaque groupe musculaire ;, ,"in' ""\ 4° Un muscle en état de
5° Le tremblement spontané, généralement limité^, un muscle ou à un groupe musculaire, indique un, état de contracture pré
ire, indique un, état de contracture prédominante du muscle^ou du groupe musculaire antagoniste. i , 1 f , -i ¡ , lr' !
e épileptique sans lésions macroscopiques, Les cas qui composent ce groupe sont les plus nombreux ; nous en résumerons que
ntal spécial demanderait une dénomination particulière. C'est, à ce groupe seulement, quand ,1'existence en sera établie,
e du sillon qui sépare cette circonvolution de la troisième; -d) un groupe d'îlots scléreux naissant de la région moyenne
oyenne par une masse scléreuse qui comble les sillons voi- sins. Le groupe scléreux de la frontale ascendante et celui de
olution occipitale ( PL. VI, N. ). 2° Face interne. Notons : a ) un groupe d'îlots scléreux intéressant l'origine de la pr
des extenseurs, mais que cependant les anta- gonistes de ces divers groupes sont contracturés eux-mêmes, en un mot que l' «
s contracturés est relativement peu commune, l'atrophie de certains groupes est au contraire une conséquence presque obligé
maintenir au repos un bras ou une jambe, c'est aux dépens d'autres groupes musculaires qui entrent alors en jeu. Le systèm
ètement impossible. Troubles complexes à raison de la diversité des groupes muscu- laires qui entrent en jeu dans cette fon
Les trois observations relatées par M. Russell se rapportent à un groupe d'affections dont les caractères principaux sont
, en même temps que, jour et nuit, il sera obsédé incessamment d'un groupe fixe de conceptions délirantes, les deux formes
amyotrophique. Cette atrophie porterait surtout sur les cellules du groupe antérieur de la corne antérieure et sur le petit
llules du groupe antérieur de la corne antérieure et sur le petit groupe cellulaire constituant le tractus intermédio-laté
end une posi- tion fixe, cela tient à la prédominance d'action d'un groupe mus- culaire (les fléchisseurs pour le membre s
de l'assistance, nous avons proposé, dans de vastes domaines et par groupes communaux de 3,000 à 4,000 âmes en moyenne, des
tretenir ce désordre. Il suffit d'une ou deux pour soulever tout un groupe . Quelques-unes souffrent, si l'on ne s'occupe p
à cloisons mobiles, laquelle permettrait à la fois l'instruction de groupes organisés et, dans les intempéries, les marches
s sont un obstacle à leur présence et à leur utilisa- tion dans les groupes , participent souvent d'une façon cor- recte à d
vers de sept syllabes, désigne un état. Chantées en commun, par des groupes plus ou moins nom- breux, dans des marches et d
? \.9t',siaubea'iqus81upï"fu9m de roséole papuleuse, disséminée en groupes plus ou 09 /h F,'p/ , A'i'l j0;jibVJ3 0 .«1-00
es os, ou du moins devant être considérée comme appartenant au même groupe 586 REVUE d'anatomie pathologique. de faits.
être rangés ù côté de nrhypcrésthésiepvàrienne et appartiennent au groupe des symp- e tômes.permânénts : del'hystéro-épil
cot. M. Bourneville en est le rédacteur en chef il est entouré d'un groupe de collaborateurs compétents. Aussi sommes=nous
67 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e il n'a consacré que deux pages seulement. Non sans hésitation, il groupe , sous le nom très inap- proprié de monomanie ra
se trahiront, à des degrés divers, sur tous les sujets. De là un groupe d'aliénations générales, dans lequel sont venus
ar il ne fournit d'indication que sur l'état des forces de certains groupes musculaires, mais il donne au moins des indicat
moins des indications très précises et comparables sur la force du groupe exploré. A l'état normal, chez l'homme adulte,
rapporte un exemple L'observation suivante appartient à ce dernier groupe de faits; mais elle s'en distingue par plusieur
é du mot : faisceau sensitif, ce terme sert à désigner seulement le groupe de fibres qui, émanées de la partie postérieure d
substance cérébrale en vue de déterminer la direction des certains groupes de fibres dans le centre ovale. M. Brissaud est
grise, des centres corticaux isolés, destinés chacun à recevoir un groupe spécial de conducteurs, à élaborer une sensation
de cette zone n'est peut-être pas absolue, en ce sens, que certains groupes de fibres émanant de tel ou tel nerf, peuvent s
ertains faits rapportés par M. Laf- forgue. C'est dans ce dernier groupe qu'on doit ranger les observa- tions de lésions
ent déjà dans l'étio- logie. Ce sont, ou bien les formes du premier groupe , mais aux derniers jours delà pneumonie, lors d
bjectif de procurer au malade un champ de tra- vail ordinaire et de groupe autour de lui toutes les conditions favorables
à Solnveizerhof, ontportésur toutes les substance ? ., sur tous les groupes chimiques que cette humeur renferme. Ce sont no
orter toujours l'admission des circonstances atténuantes. Le.second groupe com- prend, sous le nom de sensation sexuelle c
brusque, quand elle guérit, la folie des négations se rattache au groupe des vésanies d'accès ou intermit- tentes et à l
de huit à douze couches). Les formes des maladies mentales dans le groupe des malades réglées étaient représentées comme
me par les maladies sexuelles, à peu près dans 69 p. 100. Dans le groupe des aliénées en pleine vigueur de leurs fonctio
rouve seulement dans dix- huit cas.. · En réduisant pour les deux groupes des aliénées (réglées et non réglées), les donn
ze), quarante-deux sur quatre- vingt-huit malades des deux premiers groupes , ont des lésions de l'appareil générateur, qui
peu graves d'endométrite, de vaginite, etc. Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des couches, les formes g
lequel ils vont souvent consulter les médecins. II y a un second groupe de paralytiques chez lesquels l'état de conscie
classent pas parmi elles. Ce qui les individualise et en forme un groupe à part, c'est la présence constante, indispensa
capitale sur laquelle j'appelle toute l'attention. Entre ces deux groupes à conscience constitutive et à conscience suraj
dégé- nérés de corps et d'esprit. Eh bien ! c'est dans le premier groupe que se recrutent presque toujours les aliénés c
cun d'eux n'est pathognomonique : puis il passe en revue les divers groupes syrnptomatologiques. 1° Troubles intellectuels.
ses vaso-motrices spontanées et réflexes. Mais, en somme, les trois groupes représentent trois étapes dans l'évolution d'un
l'érection survenait, il s'empressait de s'éloigner et d'éviter les groupes . Il fuyait et évitait les tableaux et les statues
mouvements actifs et pasifs'UeS'Leti%i 1 tionncment des muscles par groupe et moindre dL',s 'ordre. 1 »b -,1,, 1 ,,f , t t
la face où elles peuvent n'occuper qu'un seul muscle, ou un petit groupe de muscles; elles atteignent fréquemment la langu
e unifoime de, tout le membre inférieur sans prédominance sur aucun groupe de muscles, excitabilité mécanique du muscle no
tance grise est surtout riche et dense aux endroits où existent des groupes de cellules nerveuses (yaaylia), au niveau, des
vaisseau : « A la partie postérieure, il convient de signaler deux groupes d'artérioles coexistantes qui passent entre les
68 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
famille sont l'exception. Bien que l'anatomie pathologique de ce groupe de maladies ne possède encore qu'un nombre rest
faction et atrophie de la couche des grains (3). G (object. 2). - Groupe de lamelles montrant un certain degré d'atrophie
analogies de début et d'évolution que la forme par lui détachée du groupe cliniquement bien délimité de l'hémiplégie céré
nes suivantes, atténuation de la paralysie qui se limita à certains groupes musculaires. L'examen fait par Negro 5 mois plu
MM. Sicard et Laignel- Lavastine, ils rentreraient dans un deuxième groupe de trophoedème, acquis, d'origine traumatique,
oedème, acquis, d'origine traumatique, se plaçant à côté du premier groupe de trophoedèmes héréditaires ou familiaux surto
et l'aspect clinique sont assez semblables pour exiger que ces deux groupes restent réunis dans le même cadre nosologique d
de cellules adipeuses vient encore s'interposer en- tre les divers groupes de faisceaux nerveux et augmenter ainsi le volume
cellulaires en rapport avec le sympathique sont constituées par des groupes superposés. Il ne semble pas illogique de cherc
dystrophique du tissu cellulaire sous-cutané à ranger dans le vaste groupe des trophonévroses.' Toutes ces dystrophies cel
ntérieure de la capsule du noyau rouge vient sectionner en outre le groupe externe des fibres de la Tille paire, lesquelle
e ce noyau lui-même. A ce niveau le foyer vient enfin sectionner le groupe externe des fibres de la IIIe paire qui sont pr
ute la série des coupes intéressant l'entrecroisement piniforme. Le groupe de ces fibres qui est très apparent du côté gau
t le pied du pédoncule, en plein locus niger et vient sectionner le groupe externe des fibres de la Ille paire. Dans le
ns vu d'autre part, que le foyer de ramollisse- ment intéressait le groupe des fibres externes du moteur oculaire commun,
e presque toujours à un petit nombre, et affecte le plus souvent le groupe des incisives, et surtout des incisives supérieur
l'ont déjà fait remarquer Couvelaire (1), M. Villaretet Francoz, le groupe osseux, crâne el clavicule, n'est pas toujours
us, non différenciés ou à peine, comme ils le sont dans le deuxième groupe des extenseurs, après la 5° semaine de la vie int
'ensemble des muscles du pouce, arrêtés dans leur développement, 3e groupe des extenseurs, non différenciés (après la 5e s
de la région antérieure de l'avant-bras peuvent être divisés en z 2 groupes , dont les insertions supérieures sont normales, e
périeures sont normales, et dont les inférieu- res se font, pour le groupe superficiel, à la tubérosité de la face externe d
rs ; 3° une couche celluleuse ; 4° le massif osseux représentant le groupe des os du carpe, du métacarpe et des os non dév
rface mousse. A la main, les cinq métacarpiens sont divisés en deux groupes : l'externe comprenant le 1 cr métacarpien, le 28
ehors, tendant à rejoindre l'extrémité supé- rieure du 2e ; dans le groupe interne, se trouvent les 3e et 40 métacarpiens.
deux portions va donc jusqu'au milieu des métacar- piens. Dans le groupe externe, on note la présence de deux phalanges po
elle du 3° doigt, qui lui, comporte une ossature normale. Dans le groupe interne, le 4° doigt est normal, et seul le 58 ma
voir que les fibres nerveuses sont irrégulières et moniliformes. Le groupe cellulaire postéro-in- terne est particulièreme
bilité est très développée. Troisier fait rentrer son cas dans le groupe des monstruosités par arrêt de développement. «
cas de Pagenstecher. On peut distinguer parmi les hémimélies, trois groupes : a) Hémiméles proprement dits, où l'avant-bras
s marqués, nous pouvons répartir les anomalies musculaires en trois groupes : 9 Muscles reconnaissables, mais anormaux. a
ur. Le médian passe entre ces deux couches. le) Extenseurs. 1er groupe , superficiel, s'étend du condyle humérale à l'ext
oigts, extensenseur propre du petit doigt, cubital postérieur. 2° groupe , occupe l'extrémité proximale du côté radial de l
istale du radius : long supinateur. (3) 2° partie, passe près du 3" groupe et se fusionne aiec le tissu con- densé des ext
e et 3e doigts ; Masse : le, radial externe, 2 radial externe. 3° groupe , naît du cubitus et du radius, et se termine dans
stinée au 2e doigt est fusionnée intimement avec la portion du irez groupe qui se dirige vers ce doigt. 410 . KLIPPEL ET B
inateur se voit, très profondément ; il est en connexion avec le 38 groupe , et contraste par sa position et la direction de
a position et la direction de ses fibres. Les fibres musculaires du groupe des extenseurs ne s'étendent pas aussi loin que
aussi loin que celles de la masse des fléchisseurs. Les 1°r et 3e groupes se continuent plus ou moins avec le mésenchyme
urs assez volumineux, à pa- rois épaisses. Çà et là on retrouve des groupes de grains glanduleux petits, et composés de cin
phalo- malaciques. herrannini (6) réunit la porencéphalie à tout un groupe d'af- (1) Touche, Porencéphalie acquise. Bullet
iale, l'a- thétose et la chorée familiales, etc. On aurait ainsi un groupe d'affections à début insidieux dans le jeune âg
lysie avec amyotrophie, et l'inexcitabilité faradique dans certains groupes iiiuscul aires, l'hypoexci tabi 11 té de certains
érieur. MM. Parhon et Papinian de leur côté ont conclu que, dans le groupe dorsal des cellules du noyau de la sep- tième p
ce noyau restait intacte. Aussi bien M. Spilsha (18) trouva que le groupe cellulaire décrit par Mendel est celui qui rest
IV paire jus- qu'à l'extrémité dystale du noyau de la IIIe, soit du groupe cellulaire, soit de la couronne de libres.que d
69 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
nt du secret des familles; il voit de près les misères inhérentes aux groupes humains: il a une fonction sociale, qui le met sa
Pajet (1), vous trouverez de la simulation nerveuse, » Entre les deux groupes extrêmes, c'est le groupe intermédiaire. Sans se
e la simulation nerveuse, » Entre les deux groupes extrêmes, c'est le groupe intermédiaire. Sans se targuer d'une rigueur scie
se placent les simulateurs hystériques. » Un mot sur chacun de ces groupes . Qui n'a ses jours de paresse? En un de ces jou
est tout ce qu'il lui fallait. Tel est le simulateur banal du premier groupe . L'astuce n'est pas son fort: aisée à pénétrer, s
'ENFANT Par le Dr Collineau (Suite) La simulation, dans le second groupe , est plus complexe. Ici encore s'impose, ostensib
ion. Nous allons revenir la-dessus en un instant. Dans le troisième groupe , on ment pour mentir; on trompe pour tromper; on
s. Ce qui distingue d'une manière fondamentale les imposteurs de ce groupe de ceux des précédents, c'est qu'ici le but, le m
lle qu'il convient de la considérer. Tout à l'heure, dans le deuxième groupe , nous démêlions un état mental particulier, un ét
rbide que force est bien d'admettre. Si les enfants nerveux du second groupe peuvent être, en une foule de cas, regardés comme
l'a rendu témoin. Eh bien, avec Dufestel, on peut diviser en quatre groupes les perturbations de la santé que simulent d'ordi
parlons dans le magnétisme, qui, comme nous l'avons dit. présente des groupes bien tranchés, soit relativement aux espèces dans
ÉTÉS L'ASTUCE CHEZ L'ENFANT Par le D» Collmau (Suite) Au second groupe — entre tous le plus important— appartiennent les
t des différentes formes de toileries* 1885. Paris, 1-? troisième groupe comprend les troubles intellectuels qui peuvent s
ourage la rendait témoin chaque jour. Quant au quatrième et dernier groupe , il embrasse la simulation de tous les troublesfo
près pendant cinquante ans. Elle était effrayante. Il y avait dans le groupe plusieurs meurtrier* et des voleurs sans nombre.
ividualisé les maladies au point de les nier et de n'admettre que des groupes de symptômes, elle admet l'action spécifique de t
tant sur toute la masse musculaire et ne se systématisant pas dan» un groupe de muscles en particulier. L'avnnt-bras est un pe
substance grise est comprimée, la tète étant mince et saillante, les groupes cellulaires restreints et enserres par de forts f
ptibles d'être ramenées à une quantité moindre. C'est probablement ce groupe de troubles moteurs, qui présente des remissi
ne hallucination plus ou moins intense. Je les classerai en plusieurs groupes , selon la nature de l'hallucination. Premier gr
i en plusieurs groupes, selon la nature de l'hallucination. Premier groupe . — 212 personnes, prévenues que la carte soi-disa
sont d'ailleurs très fréquents. Un grand nombre de personnes, dans ce groupe , accusèrent avoir éprouvé, outre la secousse, « u
ndre d'abuser de l'extrême sensibilité de certains sujets. Deuxième groupe . — 9; personnes auxquelles j'avais suggéré ??? se
s. Du res:e, je m'aperçois que presque tous les cas compris dans ce groupe pourraient être cités séparément; je ne puis cepe
ssionné et s'en trouvait mal. > Je passe maintenant au troisième groupe comprenant les sujets auxquels j'ai suggéré des h
bilité générale, la sensibilité tactile ou olfactive (1). Quatrième groupe . — J'ai varié l'expérience de la manière suivante
ême état nerveux. En réalité, l'hypnotisme représente cliniquement un groupe naturel, comprenant une série d'états nerveux dif
faits sont une émanation du milieu lui-même, au lieu de constituer un groupe de faits réels et scientifiquement observés. Vo
stériques hypnotisables présentent le grand hypnotisme. Un deuxième groupe d'hystériques hypnotisables offre à considérer de
ents de ceux observés à la Salpêtrière. Nous pouvons rapprocher de ce groupe les hystériques qui. sous l'influence des procédé
e hystérique identique à ses crises spontanées. Enfin, un troisième groupe d'hystériques réalise d'emblée et toujours le pet
l faut y voir un état nerveux unique, particulier, caractérisé par un groupe de phénomènes différents en apparence. En matière
e la suggestion. Le grand hypnotisme représente une partie du premier groupe , qui ne comprend que des hystériques, mais ne com
hystériques hypnotisables. Le petit hypnotisme représente le deuxième groupe . 3° On ne doit pas plus nier le petit hypnotism
a lisie des communications annoncées. Elles seront reparties en trois groupes : i» Applications thérapeutiques et cliniques d
70 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Encyclopédique : « La spontanéité du passage des contractions d'un groupe muscu- laire à un autre, l'inépuisable activité
s identique à lui-même ; il n'y a nul passage des contractions d'un groupe musculaire à un autre. Au lieu de voir une acti
ependant, parce que ce phénomène commence à rentrer dans un nouveau groupe de symptômes, dont nous allons maintenant parle
iste un assez grand nombre de fins tubes nerveux épars ou en petits groupes . 3° Dans les racines de la moelle dorsale il ex
e systématique originelle. Il n'en est pas de même des trois autres groupes de malades, tous affaiblis psychi- que ment de
males, M. Bechterew divise les mammifères supérieurs en deux glands groupes . 1. Chez les uns, dès la naissance, on constate
origine dans le noyau dit de l'accessoire. Ce noyau se compose d'un groupe de grandes cellules multipolaires, disposées en
groupe de grandes cellules multipolaires, disposées en chapelet. Ce groupe est situé au-dessus de la première paire cervic
st convaincu que certains de ces cas peuvent légitimement former uu groupe , tant en raison de leur palhogénie commune (fra
estime qu'il e-t plus lo- gique d'admettre l'existence d'un nouveau groupe que de rattacher, comme on l'a fait jusqu'à pré
mine point, ou du moins le fait n'a pas été noté, dans tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branch
e la jambe à notablement diminué de volume. Ainsi dans un premier groupe de faits nous voyons la névralgie sciatique con
penser- qu'il s'agissait là d'un cas à ranger parmi ceux du premier groupe . Mais nous avons pu nous convaincre qu'il n'en
use psychique, seraient sans doute rattachés avec plus de raison au groupe des tremblements hysté- riques. J'ai été très s
ns l'étudier - se localise à une moitié du corps, à un ou plusieurs groupes de muscles. Par exception, elle ne se montre qu
plus diverses : tantôt elles se localisent à un seul muscle ou à un groupe musculaire ayant la même innervation, tantôt el
a- tions où la paralysie ne frappait dans un membre qu'un certain groupe de muscles, les extenseurs par exemple, la sens
il peut persister un certain degré d'impo- tence d'un ou plusieurs groupes musculaires. Il est im- possible de dire, d'apr
si bien sur un membre entier (Bour- don, Hurchzeimer) ' que sur des groupes musculaires isolés. Trop souvent enfin, les obs
ysies généralisées il y a des troubles moteurs localisés à certains groupes de muscles. Aussi, dès le premier abord, peut-o
d leur limitation fréquente, soit à un' nerf tout entier, soit à un groupe de muscles ayant la même innervation, leur loca
au et le développement des con- vulsions, leur extension aux divers groupes musculaires suit pen- dant l'accès une gradatio
forme sans faire agir le courant. Comme tant d'autres composés de groupe alcool, le chloroforme, en se volatilisant, indép
ro- niques, de certains mystiques et de certains persécutés; 10° un groupe de démences de cause incertaine et dans lesquel
ourraient être confondus.. ' Cliniquement, il les divise en trois groupes , suivant l'intensité des troubles du langage, c
onds; caractérisés surtout par de l'incohérence dans le troi- sième groupe ; l'auteur termine en rapportant un cas de démenc
el, acquise dans les états anémiques, congéni- tale dans les autres groupes de maladies), d'où il résulterait l'inap- titud
a- gnostic ne peut être immédiatement établi. Il existe donc deux groupes de manifestations hys- tériques ; à l'un appart
ui suffisent à démontrer l'existence de cette névrose ; au deuxième groupe appartiennent les symptômes et syndromes qui so
es maladies. Cette distinction des troubles hystériques en deux groupes n'est peut-être pas absolument radicale et des
qu'une affection relève de l'hystérie. On peut les ran- ger en cinq groupes principaux suivant qu'ils se rap- portent 1° à
sieurs des arguments que nous avons rangés dans - les deux premiers groupes . En effet l'évolution de la migraine a été dans
INE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 331 tenus aussi dans les deux premiers groupes . 1° Les accès de migraine sont accompagnés de m
elle de Kahlbaum qui remonte à 1863. M. Neisser exalte notamment le groupe des pamnoéses ou folies intellectuelles sys- té
ien à l'affaire. Il convient de distinguer à cet égard trois grands groupes . 1° Celui des psychoses fonctionnelles simples, m
t psychique caractéristique. Enfin, en ce qui concerne le troisième groupe , c'est la démence organique et la démence sénil
71 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ousses, une caté- gorie intermédiaire entre le premier et le second groupe . » Mais ces faits isolés, et les descriptions a
'origine hystérique. » Et M. Pitres propose de les classer en trois groupes distincts : 1° les tremblements trépidatoires; 2°
ations, les tremblements hystériques peuvent être répartis en trois groupes : le Les tremblements à oscillations rapides ou
ions). Parmi les tremblements qui appartiennent aux deux derniers groupes (tr. lents et tr. de rhythme moyen), il en est qu
retrouvent chez un -certain nombre d'hommes appartenant souvent au groupe des dégénérés de Dlorcl 1, les vestiges de la q
tés, par la suspension, d'affections d'ailleurs très variées. Trois groupes de malades méritent seuls d'être retenus, car les
té faits dans les divers autres sont restés infructueux. Le premier groupe , de beaucoup le plus considérable, comprend les
c encore place, en réalité, dans la nosographie actuelle, pour deux groupes de paralysies amyotrophiques à symptomatologie
r, pour la solution du problème des relations qu'affectent ces deux groupes entre eux, nous ne devrons formuler que des hyp
sie flasque avec atrophie musculaire des quatre membres. Les divers groupes musculaires étaient inégalement atteints, mais la
la réaction de dégénérescence (complète et partielle) dans certains groupes . Aux extrémités inférieures, cette réaction int
rites et par névrose, nous avons recherché les cas ressortissant au groupe des altérations nucléaires systématiques et mon
itsch); l'autre postérieur, beaucoup plus impor- tant, constitue le groupe principal. Il est composé de chaque côté de deu
les recherches expérimentales de Hensen et Woelkers à considérer le groupe anté- rieur comme le centre des filets nerveux
oeil; mais on discute encore sur le rôle des diffé- rents noyaux du groupe postérieur. Hensen et Woelkers avaient donné la
ciale que présente la zone des cornes anté- rieures correspondantau groupe cellulaire antérieur.' Cette région est constit
ect spécial pris par la corne antérieure à la suite de la lésion du groupe des cellules antéro- externes. Fig. 3. - Coup
hie notable, mais l'altération porte comme nous l'avons dit, sur le groupe antérieur de la corne exclusivement : aussi sembl
oupe antérieur de la corne exclusivement : aussi semble-t-il que le groupe externe et la zone qui lui correspond dans la cor
t pu isoler les diverses variétés qui, par leur réunion, forment le groupe qu'on a appelé névrites multiples. Nous n'avons p
ctent bien. Triceps, contraction nulle. Biceps, contraction faible. Groupe postérieur de l'avant-bras, contraction nulle.
proliféré pénètre entre les faisceaux musculaires et les partage en groupes inégaux. Ceux-ci apparaissent alors circonscrit
nscrits par une sorte d'anneau de tissu conjonctif. Dans chacun des groupes ainsi isolés, les fibres musculaires elles-mêmes
néralisée. L'atrophie musculaire ne semble pas plus marquée dans'un groupe musculaire que dans un autre. Elle est très visib
spinale. Le retrait de l'atrophie ne se fait pas par membres ou par groupes de muscles, mais d'une façon générale, en dimin
ion pourrait être instructive. Cliniquement, elle se rapproche d'un groupe morbide étudié récemment par Korsakoff, ainsi q
- nographie de la Salpêtrière quelques types de chacun des grands groupes des maladies de l'axe spinal : les myélites systé
72 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
l'atrophie prédomine, bien qu'elle puisse comprendre plusieurs autres groupes musculaires du membre. Remarquez qu'aucune autr
s deutéropalhiques qui puissent résulter d'une lésion articulaire. Ce groupe de faits est plus compliqué. Ainsi, certaines art
e amyotrophie localisée, surtout sur certains muscles ou sur certains groupes de muscles; et nous retrouvons là la prédominance
s, d'en rapprocher quelques-unes des observations appartenant au même groupe , publiées dans divers recueils. L'histoire noso
possible et réalisée aujourd'hui dans de nombreux exemples de tout un groupe de souvenirs, de toute une catégorie d'images com
une catégorie d'images commémoratives, sans participation des autres groupes , des autres catégories, est un fait capital en pa
physiologie cérébrale ; il conduit nécessairement à admettre que ces groupes divers de souvenirs ont leur siège dans certaines
tance grise. Cependant il y a lieu d'établir, ajoutions-nous, dans ce groupe au moins deux divisions fondamentales, à savoir:
que ou tout au moins le fait primitif, fondamental. Dans ce premier groupe des amyotrophies deutéropathiques, nous établissi
rait surajouté l'élément spasinodi-que qui suffit à la distinguer. Ce groupe est nosologiquement distinct et très légitimement
énumérées, distinctes en apparence, se confondraient cependant en un groupe unique, qui, lui seul, constituerait l'espèce. Si
étrangers qui ne lui appartiennent pas et qui doivent rentrer dans le groupe suivant. La seconde classe est constituée par l
secousses, une catégorie intermédiaire entre le premier et le second groupe . Dans une seconde classe, en effet, nous ranger
involontaires, et la figure grimace assez notablement. Dans le même groupe des mouvements choréiformes incoordonnés, nous de
clérose en plaques. Ainsi sont formés, Messieurs, les deux premiers groupes de tremblements ou mouvements involontaires, je v
aintenant vous parler d'une affection qui constituera notre troisième groupe . Elle porte également le nom de chorée, bien qu'e
— de faire naître par voie de suggestion, d'intimation, une idée, un groupe cohérent d'idées associées, qui s'installent dans
fonctions psychiques. Ainsi, on pourra y faire renaître une idée, un groupe d'idées liées entre elles, par association préala
n groupe d'idées liées entre elles, par association préalable.Mais ce groupe mis en activité restera étroitement limité; il n'
uniqué; tout le reste demeurera endormi. En conséquence, l'idée ou le groupe d'idées suggérées se trouveront dans leur isoleme
oquées puisse être appelée à éclairer d'un jour nouveau l'histoire du groupe tout entier des paralysies psychiques. Après ce
ères cliniques que vous savez. Ainsi la ressemblance entre les deux groupes de faits que nous comparons l'un à l'autre, se co
erne les grandes articulations, l'impuissance reste la même quand les groupes musculaires qui meuvent ces jointures sont sollic
un tronc nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la paralysie d'un groupe musculaire, des extenseurs, par exemple, et, en c
hystérique. On peut dire qu'il existe chez les hystériques tout un groupe de contractures spasmodiques — et le malade dont
s deux cas, en effet, la rigidité spasmodique porte à la fois sur les groupes musculaires antagonistes, extenseurs et fléchisse
e mutisme hystérique et en font 1. Voir I'Appendice V, p. 483. un groupe clinique vraiment autonome, original, reconnais-s
l soit possible d'éveiller dans les organes psychiques une idée ou un groupe d'idées associées qui, en l'absence de tout contr
s con ligues, changement occasionné par le mouvement, qui engendre un groupe d'impressions ceñir'pèles dont le terminus est le
de ce phénomène ; l'aphonie hystérique simple, la paralysie d'un des groupes de muscles du larynx, est très fréquente. Le muti
'¿01 ; — ses caractères, 202; — Ces diverses formes font partie d'un groupe unique, 205. N Névroses, elles reconnaissent
73 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
on utilité en clinique. Depuis quelques années, on tend à isoler du groupe des pseudo tumeurs cérébrales les cas où on peut
MARINESCO ET GOLDSTEIN de stase papillaire, peuvent entrer dans le groupe de pseudo-tumeur. Mais en dehors de ceux-ci, il
de l'Asile d'Amiens. Parmi les scléroses combinées congénitales le groupe des alaxies héré- ditaires ou familiales s'est
sable ici. Nous avons seulement examiné par la méthode de Nissl les groupes de cel- lules ganglionnaires essaimés dans la p
n voit les racines postérieures de la région pénétrer sous forme de groupes de fibres serrées et bien colorées dans la corn
on satisfaisante. On répartit, en général, les observations en deux groupes . Le premier comprend celles où la réapparition
tique frappé d'hémiplégie. Nous envisagerons maintenant un deuxième groupe d'observations où les réflexes rotuliens sont r
Voilà pour les deux principaux personnages en scène. Derrière ce groupe on aperçoit deux femmes, deux voisines ou deux
hotographie exécutée à cette époque nous le montre à 16 ans dans un groupe de famille où l'intention de mettre en valeur sa
nterne des hôpitaux d'ellger. Les dystrophies osseuses forment un groupe touffu au milieu duquel peuvent se distinguer p
ant de l'achondroplasie, par d'autres encore comme appartenant à un groupe non classé, intermédiaire entre l'achondroplasi
andes génitales et les altérations osseuses appartenant à plusieurs groupes clorrt la pathogénie n'a pas jusqu'à présent ét
er d'essentiel, a un premier examen. On peut éliminer rapidement un groupe de mélanodermies évoluant sans hypopigmentation
le correspond exactement la ligne Am, et qui est celle-ci : dans un groupe d'un âge donné, la proportion pour 1000 des cas
on sont constants; 1'li-i-éllec[i-ité esl excep- tonnelle, Dalis un groupe , l'apparition des premiers se fait en une poussée
oints du cerveau, tantôt vers d'autres et vont faire contracter des groupes mus- culaires divers. Or différentes causes peu
phérie des boules de grosseur différente. Planche XXVII. Fio. 14. Groupe de cellules provenant d'un ganglion conservé dans
ale ; et de verlèbres (1) Ledouble divise les anomalies en 3 grands groupes : 1° Les variations ayant une signification mor
nous ne ferons pas rentrer l'anomalie que nous pré- sentons dans le groupe de ce que Ledouble (3) appelle les variations ré-
que la démence précoce, et en l'espèce la catatonie, ne forme qu'un groupe purement symplomalologique, indéterminé au point
ue de l'autre cas se laissent aussi peu placer dans P un ou l'autre groupe . Dans les cas analo- gues, on est tenu à consid
bstance grise. Les cornes antérieures ne sont pas déformées, et les groupes cellulaires ne présentent pas de diminution num
sion, afin d'en déduire une formule anatomique correspon- dant à un groupe clinique nettement défini. Deux problèmes, notamm
trophique ? Ces documents anatomiques peuvent être divisés en trois groupes : 1° Les observations de Virchow, Friedreich, D
ces faits, doit-on conclure à une formule anatomique unique pour un groupe d'atrophies musculaires progressives,qui comprend
es grand et petit pectoraux, le biceps et le brachialis anticus, le groupe des muscles épicondyliens (les supinateurs, les e
ltoïdes, sus-épineux, grand pectoral, nerf radial). Dans le premier groupe , il n'y avait pas d'inversion de la formule de
n'y avait pas là les signes de la R. D. Par contre, dans le second groupe de mus- cles et de nerfs, l'abolition complète
tion. Dans mon cas, ce second élément était présent dans le premier groupe de muscles, comme je l'ai déjà indiqué. Il est
ique (1). Ces observa- tions peuvent dès l'abord se diviser en deux groupes suivant qu'il existe ou qu'il n'existe pas de s
tie interne de la corne avec disparition de lotîtes les cellules du groupe anléro-inlerne et conservation des cellules les p
anléro-inlerne et conservation des cellules les plus aberrantes du groupe externe. Fait remarquable, colorées par la méthod
pauvre en cellules. Il en existe pourtant de loin en loin, parfois groupes en petits nodules d'aspect peut- être inflammat
étendus, mais aussi à portée faible et inégale dans les différents groupes musculaires. Rétention d'urine ; incontinence des
rne anlérieure droite laisse subsister à sa partie externe un petit groupe cellulaire isolé. A la partie interne, petite cav
'évolution : la lenteur et l'absence de progression vers les autres groupes musculaires. Nous ajouterons enfin les troubles
lus ou moins identiques que l'on peut dès l'abord répartir en trois groupes distincts. Le premier groupe comprend les cas a
peut dès l'abord répartir en trois groupes distincts. Le premier groupe comprend les cas analogues à ceux réunis par M.
une né- vrite localisée aux nerfs médian et cubital. Le deuxième groupe concerne des atrophies musculaires plus ou moins
tement limité aux petits muscles de la main, parfois môme à un seul groupe , thénar ou hypothénar. Ce sont justement ces fa
r. Ce sont justement ces faits, qu'on peut ranger dans un troisième groupe , et l'on trouve également quelques cas se rappo
r le moment, ne pas la faire complètement délaisser. IV. Le dernier groupe de remarques suggérées par cette observa- tion
74 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nullement le noyau des leucocytes ; elles sont réparties par petits groupes irréguliers sur l'adventice des capillaires, fa
cas'ont présenté des causes variées qui peuvent se diviser. en deux groupes : 1° causes;prédisposantes; 2° causes déterminant
iles d'Ellikon (Zurich); Nuch- terne (Berne); PUgerhutte (Bâle); du groupe Lintorf (près Düssel- dorf ; des trois établiss
des nerfs une aberration histologique qui fait évidemment partie du groupe mésoneurial : mais cette appellation ne saurait
e l'altération décrite par eux ne représente qu'une des variétés du groupe en question. , ,, ' ' \. Il existe donc lacune
euse que les autres, ou bien deux ou trois d'entre elles réunies en groupe (PL/11, fig. 20), qui constituent le centre de
rencontre d'autres difficiles à classer dans l'un quelconque dé*ces groupes . Je veux parler des formes intermédiaires et de
nodu- leuse (PL. Il,' fig..20) et souvent alors elles possèdent un groupe alvéolaire pour centre, (PL. Il, . --0). Parfoi
morphose dont elles sont le produit appartient vraisemblablement au groupe mal défini de ces dégénérescences vitreuses don
t par la systématisation transversale qu'affectent généralement les groupes névriculaires des extrémités. Pour ne parler qu
ntent comme des lésions accidentelles semblent plutôt appartenir au groupe des processus phlegmasiques. On ne peut' nier e
Ces' de'rnibres modalités histologiques' peuvent se ranger en deux groupes : formations intermédiaires ou mixtes, et forma
' PLANCHE I. · t J. ' . « . rW , , - ' " > 'iFig. 1. - 1/70. Groupe névriculaire composant le poplité externe au ni
région moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolaire., En 6, un groupe de foyers, élémentaires avec des éléments nuclé
rement vides et renfermant d'assez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres nerveuses à demi atrophiée
lus.éclatant, grosses comme. des têtes d'épingles et disposées par' groupes arbbrisés. Les bases sont très congestionnées e
ain nombre,,qui varie avec;le niveau de la moelle; 'tous» les j"\ Z groupes cellulaires sont atteints, mais c'est dans le gro
us» les j"\ Z groupes cellulaires sont atteints, mais c'est dans le groupe antérieur ' 1 que les cellules altérées sont le
ent physique des malades., Pour les psychoses pseudo-influenziques ( groupe c.) l'issue dépend du substratum même de l'indi
de, l'état général, que l'état cérébral même lorsqu'on a affaire au groupe c oti préservera du suicide ; on agira ( .contr
es 101 malades dont la cause de la maladie a pu être recherchée, le groupe des hérédités proprement dites comprend 21 mala
groupe des hérédités proprement dites comprend 21 malades. Mais le groupe le plus remarquable est formé, par l'ensemble d
e. - 11 est actuellement bien établi que les dégénérés forment le groupe le plus important de ce qu'on appelle les hérédit
il est tout à la fois un homo et un hétéro-sexuel, et appartient au groupe de ceux que le D Moll appelle des hermaphrodite
aphobie, sous l'influence des^mêmes' facteurs' psychiques, d'autres groupes imusculairesupeuvent'1 être b arrêtés dans leurs
iresupeuvent'1 être b arrêtés dans leurs fonctions, notamment -les. groupes » des muscles»'qui servent, à une - occupation;
es modifications qualitatives; d'autresimuscles relevant destinâmes groupes rdécèlentrdes'inodifcations(qualitatives. On pe
gréables, fc.urmillements dansles membres, contractures dans divers groupes musculpires.\ 'i Période -.d'état. Contractures
ne sont que des névroses fonctionnelles irradiées.' Entre ces deux groupes il y a'des formes intermédiaires ayant pour'sym
pliquent les quelques convulsions cloniques -.notées dans certains, groupes . musculairesisolés';ttJrl tf.j ? a ? )9=a') !
rusques/ instantanées,) incoordo'nnées;-1 apparaissant -dans divers groupes musculaires ou dans des muscles isolésj'aux membr
ils sont placés dans l'asile..... (sllij "b) v ' ' » Le troisième groupe est formé par des malades chroniques tran- quil
ons constéuits pour eux, les « Lunatic wâid's` . Lnfiii.léqüatci8me groupe com- .prend;les malades arriérés^et séniles' qu
ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. L)5 rentre au contraire dans le groupe des faits confirmatifs de ces' doctrines'. D'
fonctionnelle que lorsque la dé- monstration en est établie sur, un groupe , cohérent de faits de la série positive,, indir
de faits de la série positive,, indirectement contà8lésa ? un autre groupe cohéi-eilt.de faits1de,'la séî-ie négative. . ·
- 7 a'3k . Les ! maladies mentales) formeraient ainsi'trois grands groupes dontil'élément de classification' serait fourni
uses. Tous les cas.de neurasthénie pourraient être répartis en deux groupes : dans l'un, on rencontre une irritabilité de 'l'
peut se résu- mer dans les conclusions suivantes qui' forment deux groupes : o ? A. Les unes relatives aux modifications d
. le 1. faire 1 r a le 1) e On, la doit û 1 initiative privée d'un groupe ^ de ^nombreux, médecins^ parisiens, tous égale-
ations`de9réatioü ? qui, partant du centre, aboutissent à de grands groupes musculaires et donnent lieu à des convulsions g
-.i>l ""i h - tr ? 1'L1\CHE.I ? w . , , -t .r-. Fig. 1. -1/70. Groupe névriculaire composant'le poplité externe au ni
région moyenne d'un fuseau.- En a un système alvéolaire.- En b, un groupe , de foyers élémentaires avec des éléments nuclé
rement vides et renfermant d'assez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres nerveuses à demi atrophiée
75 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
. L'auteur rapporte les hyperkinésies classiques de ces deux cas au groupe des mouvements choréïformes, et athétoïdes, qui
la « main succulente». La main succulente doit être classée dans le groupe Duchenne ; c'est une main tuméfiée, sans qu'il
lle il y a encore des obscu- rités. Mais le fait de rapprocher deux groupes , en pathologie, est encore un progrès quand la
otre premier malade; en de- hors de la moelle vous avez cinq autres groupes de foyers scléreux : tube digestif, appareil re
raît être d'ad- mettre dans le tabes et la paralysie générale, deux groupes de lésions bien distinctes, unies seulement par
e multiple disséminée, et on est alors autorisé à dire que les deux groupes morbides ne font qu'une maladie : la slcérose m
le à forme dépressive, et quatre de démence : l'auteur en fait deux groupes , l'un composé des cas de mélancolie et du cas d
ysie générale, l'autre formé par les cas de démence Dans le premier groupe les symptômes mentaux ont fait leur apparition
trois hommes et deux femmes : un homme et une femme sont morts. Le groupe des déments comprenait quatre hommes et quatre
tances peut devenir caractéristique d'une époque et dominer chez un groupe d'individus. Le délire processif peut présenter
liais : M. Bogdan a aussi inventé les sorties de malades par petits groupes . P. KERAYAL. XVIII. Contribution au chapitre du
d'interrogation. 8° A la fin du cours, prendre séparément de petits groupes de trois à quatre auditeurs et faire de la répé
cice. La Société est essentiel- lement une fédération, les nombreux groupes ou sections qui la 170 VARIA. constituent viv
ou à celles de la base de la corne antérieure; enfin, un dernier groupe (fibres longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou
ve de la moelle, ne présentent pas moins de variétés. Nous avons le groupe des cellules du ganglion vertébral - celui des
fet, qu'un grand nombre deces fibres radiculaires moyennes forme le groupe des fibres dites sensitivo-réflexes (Koelliker).
forme le groupe des fibres dites sensitivo-réflexes (Koelliker). Ce groupe est spécialement chargé du premier temps de tout
aliénés dans un asile construit à grands frais, disséminez-les, par groupes de quatre à six, dans de petits cottages champê
e clinique, M. le D'' Vial demande à ce qu'on fasse rentrer dans le groupe des dégénérés l'aliéné héré- ditaire et le névr
s, les aliénés héréditaires simples et les névrosés entrent dans le groupe des dégénérés. La neurasthénie n'est qu'un sy
a déchéance finale justi- fient l'entrée du neurasthénique daiiS le groupe des dégénérés. F. D. V. Essai sur les mimique
ît pas les affections ou les intoxications auxquelles appartient le groupe symptomatologique que nous sommes habitués à is
.Tous ces états pathologiques ont été réunis par Freud dans un même groupe nosogl'aphique : les diplégies cérébrales infan
'idée de séparer des affections spasmo-paraly- tiques infantiles un groupe spécial comprenant les affections spas- modique
gidité spasmodique spinale des enfants nés avant terme. Un second groupe d'affections spasmodiques pourrait comprendre l
ontre-t-elle aucune tendance vers la guérison. A côté de ces deux groupes d'affections spasmodiques dont la cause anatomi
chsig, etc.), nous ne voulons considé- rer dans ce travail que deux groupes bien différents. A. Les - aboulies occasionnell
e, complélée au besoin par le sommeil provoqué. Pour les malades du groupe A, la méthode consistera il les faire lever, ma
aintes sont vaines. La guérison est habituelle. Pour les malades du groupe B, il faut moins un traitement momentané et cur
bercu- lose, cérébralité, maladies mentales et nerveuses. Le second groupe comprend : a) les intoxications, spécialement l
démence paralytique une folie-névrose; ? 2° Les causes du deuxième groupe précédemment constitué, celles qui ne sont jama
nantes là, causés occasionnelles ici ; 3° Les facteurs du premier groupe , ceux qu'on retrouve seuls dans l'étiologie, on
rrain favorable à l'application des causes constituant notre second groupe , qui passent alors au premier plan. C'est en prod
adie générale (arthritisme, alcoolisme). 11 existe donc deux grands groupes de paralysie générale, l'un maladie locale du s
Je pense aussi que, relativement à ces troubles, il faut faire deux groupes de manifestations paludéennes : les accès pernici
erne, et d'où partent d'innombrables incitations trans- mises à des groupes de neurones moteurs inférieurs, exécu- teurs av
ration,, d'ailleurs très variés, que l'on peut ren- contrer dans le groupe des lésions primitives produites par l'anémie p
2° Moyens 's'adressant à la moelle. Les agents thérapeutiques de ce groupe s'adressent, comme les précédents, à la sclérose.
chaque cas fournira des indications complémentaires utiles. Au même groupe appartient une série de moyens externes : révul
s injections de sérum artificiel et de glycé- rophosphates. Au même groupe appartiennent les toniques internes (généraux e
ipal moyen pour combattre ces symptômes ,est la suggestion. Au même groupe appartiennent certaines SOCIÉTÉS SAVANTES. 457
l'hyperexcilabililé, voire des convulsions spasmodiques de certains groupes musculaires, et bien- tôt des attaques complète
e ce qui peut n'être que symptôme accessoire et variable. Dans le groupe des mélancolies, on peut, comme Lasègue l'a fait
nce, il établit qu'un grand nombre de myopalhiques appartiennent au groupe des dégénérés. D. bibliographie. 537 X. Etude
76 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
M. Simon, il y a eu 27 guérisons, 7 améliorations et 3 morts. Sur un groupe de 20 malades opérées par M. Marion Sims, il y a
Marion Sims, il y a 16 guérisons, 1 améliorations et 2 morts. Sur un groupe de 94 cas opérés par le procédé Bozeman, on compt
quatre ou même plus, placées à distance de manière à former plusieurs groupes d'épingles en croix; un fil serrerait la base de
ieurs groupes d'épingles en croix; un fil serrerait la base de chaque groupe , et un fil plus fort réunirait en outre tous les
ase de chaque groupe, et un fil plus fort réunirait en outre tous les groupes dans une ligature commune. On peut attendre la mo
la lésion, les déchirures du périnée peuvent être divisées en quatre groupes . Dans le premier, la solution de continuité com
end plus ou moins près du sphincter de l'anus ; c'est dans ce premier groupe que se rangent les déchirures si fréquentes et si
sé distendre sans céder, de sorte que la perforation est centrale. Ce groupe et le premier renferment les déchiru-res dites in
nd tout le périnée jusqu'à l'anus inclusivement, comme dans le second groupe , mais de plus les parties profondes sont divisées
est rompue et que les deux cavités ne forment plus qu'un cloaque. Ce groupe et le second renferment les dé-chirures dites com
ondent aux deux degrés de ces déchirures. Les déchirures du premier groupe n'ont jamais une étendue considérable, un centimè
es ne sont guère altérées. Bien que les solutions de continuité de ce groupe suivent ordinairement la ligne médiane, on les a
quelquefois s'écarter en forme de V ou d'Y. Les déchirures du second groupe ont des inconvénients graves ; les bords de la so
enfant à terme. Il existe encore une variété que nous rattachons à ce groupe et dans laquelle la cloison recto-vaginale, lesj)
lieu se rap-proche au contraire pour la gravité des cas du quatiième groupe . Ceux-là font à la femme une bien triste situat
latation fort simple m'a sou-vent donné de bons résultats. Un autre groupe de dilatateurs comprend les substances qui produi
st à craindre même à une époque éloignée; plusieurs des malades de ce groupe ont dù être opérées deux et même trois fois. Le
considérons les cas d'application, nous pourrons les diviser en deux groupes , i" L'écraseur n'a besoin d'aucun auxiliaire, com
péditive qu'inoffensive par l'écra-sement linéaire. 2° Dans le second groupe il y a intervention préalable d'un instrument tra
e laquelle on place l'écraseur. Dans tous les cas de ce second 13 groupe , la méthode de l'écrasement linéaire perd de son
la proportion des morts est beaucoup plus considérable ; ainsi sur un groupe de huit malades, Simpson compte un mort. Sur im a
i sur un groupe de huit malades, Simpson compte un mort. Sur im autre groupe de huit fourni par divers chirurgiens, Yelpeau tr
quatorze fois; cinq malades de ce genre ont succombé. Dans un second groupe de vingt cas, dans lequel les tumeurs fi-breuses
orrhagie et cinq autres morts par causes diver-ses. Dans un troisième groupe , formé des cas compliqués, dans lesquels il y a e
taient générales, il n'y a eu qu'une guérison ; mais pour ce dei-nier groupe , il est bien naturel de se demander si les adhé-r
ponction deux fois, la mortalité a été exactement la même que pour le groupe dans lequel ily a eu dec[uatre à six ponctions, c
r cas. II y a encore dans les opérations de M. Baker Brown un autre groupe dont il est utile de connaître les résultats ; c'
cas la matrice a été extirpée en même temps que les deux ovaires : ce groupe d'opérations a donné 7 guérisons et 6 morts. Dans
77 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de 1886 sur les variétés du délire, de persécution, j'ai décrit le groupe des auto- accusateurs et j'ai fait remarquer qu
ans toutes les formes. On fait, à tort, entrer ces maladies dans le groupe des mélancoliques ; ce sont plutôt des délirant
ce. La formule d'auto-accusation ne suffit pas pour les détacher du groupe des persécutés ordi- naires. Quelques auteurs a
érotomaniaque, et les délires systématisés secondaires. Un dernier groupe comprend les folies périodiques. Une seconde
tres qu'elles contien- nent et anatomiquement disposés dans le même groupe , dans la même masse, mais encore par le fonctio
trois tableaux morbides sur le fonds commun de la paranoïa. 3° Le groupe des psychoses fonctionnelles, simples non compli-
es rappelle pas et ne les reconnaît pas. On voit donc que les trois groupes de sensations verbales, audi- tives, visuelles
aucun des états, de distraction, il n'a été possible de ranimer un groupe de souvenirs effacés, et les ten- tatives d'hyp
le même sujet avec un diabète vrai, ayant produit une paraplégie du groupe de celles que l'auteur a proposé d'appeler toxi
ervation rap- portée parles auteurs parait appartenir à ce dernier, groupe : toutefois étant donné qu'il fallait le déterm
ions, i souvenirs, idées, se répartissent chez l'hystérique en deux groupes : les conscients et les inconscients, ces derni
rdre de vue que les phénomènes sub- conscients peuvent s'agréger en groupes multiples de telle sorte qu'on assistera à l'al
délires qui ont été plus ou moins arbitrairement confondus dans le groupe confus de la folie hystérique, y trouve-t-on, c
TÉS SAVANTES. névrites est variable. Celles du premier et du second groupe sont dues à l'altération produite directement p
es, au moins dans un très grand nombre de cas. Celles' du troisième groupe sont, au contraire, des névrites secon- daires,
mentale. Or, à notre avis, les délirants alcooliques constituent un groupe de malades aliénés dont la place est dans les a
fortuite, passagère et en général ne reparaît pas. Dans un autre groupe , les délirants chroniques, à prédispo- sition p
irmer la réalité, de ces espèces pathologiques. C'est donc dans ces groupes que nous devons étudier les délires systématisé
faut donc juger des uni- tés en se renfermant dans la critique des groupes individuels, et non comparer entre elles des ch
désignant une famille anthropologique, des termes caractérisant des groupes établis sur des distinctions cliniques. ' Dan
science, je crois que l'on pourrait, dès à présent, admettre trois groupes , distincts symptomatiquement, tout en ayant une
tal. M. BouRNEViLLE montre les photographies qui représentent, en groupe , dix microcéphales , d'âges différents, vus de fa
dans le précédent. Étude SUR l'hérédité DIRECTE portant SUR quatre GROUPES DE recherches. MM. BRUNET et ViGouRoux. Dans
ans et un der- nier est dans une colonie pénitentiaire. Le deuxième groupe com- prend les enfants internés nés de père ou
ers, deux cas de délire avec tendance à la chronicité. Le troisième groupe correspond à l'étude de quelques familles dont
s dont un grand nombre de membres sont internés. Enfin le quatrième groupe est composé de quatorze cas de frères et soeurs
Centralbl. f. Ner- venheil4 ? NF. IV, 1893.) Deux premiers grands groupes de neurasthénie syphilitique s'im- posent : 1°
ique de concert avec le traitement anti- syphilitique. Le cinquième groupe est justiciable de l'association intelligente d
ectuelle et l'importance extrême des hallucinations. Dans ces trois groupes , en dehors des épisodes aigus intercalaires, la
le du délire, c'est-à-dire de la perversion intellectuelle. Dans ce groupe il faut ranger la folie puerpérale, phtisique,
puisque la volonté est la résultante' de l'innervation de plusieurs groupes muscu- laires dont nous avons appris à apprécie
de la folie. M. Pronier a divisé les impressions vésaniques en deux groupes que M. Marandon de Montyel croit devoir conserv
sont communs à l'hys- térie et à la neurasténie; à côté de cela, un groupe d'autres symp- tômes que la terreur revendique
ère du délire ne saurait à lui seul servir de base à la création de groupes cliniques homogènes. Il faut connaître à la foi
ien qu'ils aient en main de terribles pouvoirs. Il dénonce alors un groupe d'individus, une association quelconque, une so
orel en publiant sa théorie des formes héréditaires avait enlevé du groupe de la folie systéma- tique, la folie systématiq
ystématique chronique (paranoia chronica alcoolica). Entre ces deux groupes de délires alcooliques, il y a aussi des formes
ii2gssphoeie), on a coutume de consi- dérer à part comme formant un groupe parfaitement séparé, des troubles primitifs de
Mais quand on serre de près l'étude des deux types de ce dernier groupe , la manie et la mélancolie, en se plaçant au poin
'historique, Snell à mon sens avait très étroitement circonscrit le groupe qui nous occupe puisque, à l'origine, il ne fai
t alors de la périphé- rie pour aller vers le centre, de suivre les groupes de phénomènes neuro-psychiques (conscience del'
hale. A ce point de vue les autopsies peuvent être divisées en deux groupes . Dans les uns, on constate des lésions nettes i
e sont essentiellement disparates. Certaines semblent appartenir au groupe des névrites; beaucoup se rattachent aux intoxi
78 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
se la tète. Enfin le côté droit de la composition est occupé par un groupe de deux personnages. Une femme, velue d'une l
r la valeur artistique de celle oem re, je rappellerai seulement le groupe de droite, où est figurée une hystérique tomban
nique qui se précipite pour la retenir. La simple comparaison de ce groupe avec celui du bas-relief de Florence méritait d
cale (1). Au milieu d'une scène de pompe dionysiaque, se trouve un groupe re- présentant une ménade soutenue par un perso
e, te- nant un tympanon iL la main. De l'autre côté, se trouve le groupe des deux personnages décrits plus loin. En haut,
ère sur ces mystérieuses images, on peut passer outre, car, dans le groupe en question, l'hermaphrodite ailé n'est pas la
e debout ne peut être maintenu que par la contraction incessante de groupes musculaires antagonistes et en particulier des ex
is remplace la distension des ligaments par la tonicité de certains groupes musculaires. Il nous semble qu'aucune de ces th
de faisceau tempoJ'o-tJ¡alami- que. La forme et les rapports de ce groupe de fibres nerveuses sonl assez difficiles à con
a région opto-striée; deméme,'il nous.parait vraisemblable qu'aucun groupe important de fibres de la'bandelette sous-optiq
e Duchenne-Aran, mais sans dé- truire son autonomie. Cependant un groupe important a été isolé : celui des myopathies pri-
ype Leyden-Moebius). l'eu à peu, on s'est aperçu que la variété des groupes musculaires pri- mitivement atteints par l'atro
ractères dis- tinctifs. Aussi, après avoir morcelé à l'extrême le groupe des myopathies primi- (1) Duciienxe de BouLOCHe
rophique ou à la forme juvénile ». En effet, on peut ranger dans le groupe des pseudo- hypertrophies tous les cas où la ma
ce sujet. Ces cas forment cependant la plus grosse partie du grand groupe des dystrophies musculaires. (1) Ciiaucot. Révi
peut nier qu'elles semblent obéir à certaines lois, et que certains groupes de muscles sont atteints avec une prédilection pa
ltat d'une myélopathie primitive et que Damaschino (2) a ramenée au groupe des myopathies primitives (paralysie pseudo-hyper
rogressive généralisée, sans cher- cher à la rattacher à tel ou tel groupe encore mal défini ; et, sans entrer dans la dis
tantôt diminuée, tantôt accrue dans son volume. A. Dans le premier groupe rentrent différentes maladies décrites sous les
ntérieures secondai- res a d'autres lésions spinales. Le type de ce groupe est la sclérose laté- mie rt1nyotrophiljue ou m
courants, et quelquefois d'autres modifications. B. Dans le second groupe rentrent les différentes espèces d'amyolro- phi
entre elles par la répartition de l'atrophie au début dans certains groupes musculaires; mais qui tendent avec le temps à s
réaction de dé- générescence ne s'y observe jamais. C'est dans ce groupe qu'on peut à divers titres faire rentrer le cas s
mptô- mes sont de nature il nous empêcher de classer ce cas dans le groupe des « amyotrophies infantiles progressives » de
MITIVE 197 Nous voyons la myopathie primitive s'attaquer à certains groupes mus- culaires ayant souvent des connexions homo
i- buée à Taddeo Gaddi ou à Andrea del Florence, et représentant un groupe de malades- qui viennent implorer leur guérison
jointure pouvait résulter de la contraction brusque et désordonnée du groupe musculaire antérieur qui distend ;'1 l'excès le
dente. C'était en effet la révélation inattendue de tout un nouveau groupe de troubles nutritifs jusqu'alors incon- nus en
l'excitabilité électrique et le tremblement fibrillaire de certains groupes musculaires de l'avant-bras. Rossolimo et Kojev
robant, rapproche les ar- thropathies secondairement infectées d'un groupe de lésions articulaires moins connu encore : le
pathies fermées. z Les premières constituent la presque totalité du groupe des arthropa- thies tropho-suppurées nécrotique
ants. Celles qui ont pour cause un traumatisme des nerfs forment un groupe tout à fait particulier d'arthropathies ankylos
79 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
strié, se présente à l'état simple sans complication importante. Le groupe des excavations, l'une grande, les autres petit
tions, l'une grande, les autres petites, sem- blent correspondre au groupe des vaisseaux constitué par l'artère aphasique
moraux de notre malade empêchent absolument de la classer dans ce groupe particulier et d'en faire autre chose qu'une préd
lui, s'étendent jusqu'au commence- ment dufilum terminale; mais les groupes cellulaires sont plus abondants à la partie inf
t ce qui explique comment M. Magnan, notre maître, a pu, dans trois groupes principaux : le délire chro- nique, les hérédit
s orbitalis me- sialis de Pansch (Ecker); Première ou supérieure du groupe des circonvolutions frontales . Erster oder obé
UE. dius sive sectcrzdus (Ecker, Pansch) ; Deuxième ou moyenne du groupe des circonvolutions frontales. Zee ? ' oder mitll
étend que la circonvolu- tion temporale transverse antérieure de ce groupe serait cons- tante. 2° La face inféro-iaatern
hes, qui ont porté exclusivement sur des hommes, il a trouvé que le groupe des cas dans lesquelsle réflexe était normal et
vé que le groupe des cas dans lesquelsle réflexe était normal et le groupe de. ceux où il manquait complètement ou presque
t ou presque complètement dépassaient respectivement en nombre le groupe des cas où le réflexe était nettement exagéré. 11
générale : . , t 9( r (I r ( n , z ? ,'<* 1° Etiolonic. Dans le groupe ou le réflexe manque, c est 1 alcoo- - lisiue q
cas, les troubles du langage sont sensiblement égaux dans les deux groupes , peut-être 'cëpendantùn pëumoihs marqués''daus°
sont à peu près égales en fré- quence et en intensité dans les deux groupes ; s'il y a une légère j-nv ? «J'iill'f* ? ? ri,
.l.1 ? il' 'Uni tl> l'tlPjojll différence, elle est au profit du groupe ouïe réflexe, manque ? ;,«f fl r tr -'r·h /IIy
? zics,éhilepti'ôrmesll : jles,sont untpeunplus,fréquentes dans le groupe où manque le réflexe ; en ? revanche, les attaque
pilepsie vraie ont été 6bserv^s,p £ esqqCj, exclusivement-, dans le groupe qui pré; ^V1ti1H ? ? P^'aSfÂil(lP.Ld ! lJ ! 'éf
t(e<.,]l .est rtpeu .prèsl semblable, somme toute, dans les deux groupes . (On peut,cependant mentionner que la ma- nie e
r que la ma- nie et la démence étaient un peu plus marquées dans le groupe où lesréuex.esétaiotit ,exagérés;'mais'peut-etr
tâént. Elle, est, un peu"'plus" souvent absente ou anaiblie dans le groupe où le' réflexe est nul. ' ? 1;EVUDEP1'HOLOG1H I
rdu 16° Accommodation. Pas, de dillcrcnce marquée, entre les deux groupes . , , ? J11U JrJUV.nI a ' f, 1. 11 n. ` (a`. 1U1,.
èspréédêntes réunious, 1(sp-vliiâtres 1 eL, , eul@olo, -ues se sont groupes en, une seule, section. Cette manière, de faire,
de ces deux sortes de symptômes' qu'on a; nonmans raison, établi un groupe dit de la folie morale(perversités morales) et
i un groupe dit de la folie morale(perversités morales) et un autre groupe où la faiblesse psychiquedominoiascéne(hébe- ph
lesse psychiquedominoiascéne(hébe- phréiiiedeKalill)aLim). Ces deux groupes méritent témoin d'espèces morbides; jusqu'alors
nt les autres malades de rétablissement qui ne relèvent pas du même groupe . Tel est le système scolaire, académique, appli
ue vers quinze ans que Grar... put saisir certains objets; certains groupes musculaires se con- tracturèrent. III. C'est
des voies de conductibilité destinées à l'innervation spontanée des groupes musculaires qui entrent enjeu pour l'expression
s diverses. Chez le patient actuel, on ren- contre, sur de nombreux groupes musculaires, les altérations les plus multiples
ières années, ont continué à s'effectuer iso- lément plutôt que par groupes . L'autopsie révèle, en outre, une leptoméningit
e de certains muscles, on déchaînait des réflexes marqués sur des groupes musculaires éloignés. Hyperexcitabilité mécanique
tétanique, d'abord de la jambe soumise à la constriction, puis des groupes musculaires homologues de l'autre jambe. La jeu
80 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
t. (fascia dentala, corne d'Ammon, subiculum), donne naissance à un groupe de fibres qui est l'homologue du trigone cérébr
ticales. Aussi diviscrons-nous les radiations thalamiques en quatre groupes . Ce sont : 1° les fibres cortico-thalamiques an
tincts, préposés aux mouvements des différentes articulations et de groupes musculaires souvent très hautement différenciés
u du membre inférieur, soit une paralysie limitée à un ou plusieurs groupes musculaires synergiques. Les monoplégies crural
cile de l'une de ces images à l'autre. Toutes les fois qu'un de ces groupes d'images a disparu, la notion du mot est altéré
encéphale, en particulier à la corne d'Ammon et donne naissance à un groupe de fibres de projection qui est l'homologue, ai
fascicules ou radiations du noyau lenticulaire se disposent en deux groupes , les uns traversent radialement le putamen et l
voisinage de la base de ce noyau, elle est lovii : u. 21 Les deux groupes do radiations du noyau lenticulaire. Les fi
EUX. Les radiations strio - sous -thalami - '[tics. Ses trois groupes de fibres : taenia semi-circularis (tsc) envo
posent, suivant la hauteur à laquelle elles appartiennent, en trois groupes de fibres. Les unes passent au-dessus du corps
optique, en formant l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces trois groupes de fibres, très mal délimités les uns des autres,
s parties (dorsale, moyenne et ventrale), correspondant à nos trois groupes de fibres. Le faisceau lenticulaire de Forel (F
lésions plus restreintes peuvent intéresser de préférence certains groupes de fibres, en épargner d'autres et les dégénére
(1889) montra que les cellules de la couche optique se disposent en groupes de volume et de forme variables et distingua chez
lume et de forme variables et distingua chez le lapin près de vingt groupes cellulaires; v. Monakow (1su) enfin, se basant
lules nerveuses, leur groupe- ment et les connexions des différents groupes cellulaires avec la cortica- lité cérébrale, dé
e réticulée ou grillagée. - Au-dessus de ce noyau, on trouve un petit groupe très bien différencié de cellules nerveuses, le
qui corres- pond à la couche ventrale du thalamus de Meynert et au groupe des noyaux ventraux de v. Monakow, il existe à
de la zone réticulée : les petites cellules sont réunies en petits groupes très rapprochés, les cel- lules volumineuses so
écédentes, et se rencontrent soit isolées, soit disposées en petits groupes et entourées d'une substance fondamentale riche
occupent les régions internes du pulvinar et se disposent en petits groupes , entourés par une substance fondamentale se color
lules augmentent de volume. Elles sont isolées ou réunies en petits groupes et entourées d'un feutrage intercellulaire abonda
s. noyau interne du ganglion de l'habenula, se trouvent réunies par groupes de trois à quatre et sont entourées d'un feutra
ymes se terminent dans le corps genouillé externe, autour des mêmes groupes cellulaires. Quant aux rapports existant entre
hémisphérique droite. Il commence au niveau du vermis par un petit groupe de lamelles, implanté sur la face antérieure du l
par leurs fascicules serrés et curvilignes. Elles comprennent deux groupes , dont l'un, exlezwe et superficiel (fsme, Fig.
H 5, H 6, C 4, Fig. 428, 429, 135). La troisième couche recouvre le groupe externe des fibres semi-circu- laires et toute
ux ou parallèles qui se coupent à angle très ouvert; seul, un petit groupe de fibres, appartenant aux fascicules les plus
arciformes cé·ébello- olivaires (llingazzini) qui comprennent deux groupes principaux : regroupe exleme et antérieur se dé
ou à travers les pyramides, puis se rendent dans le noyau arqué. Le groupe interne ou postérieur des fibres cérébello-olivai
omprend non un faisceau compact, comme le corps restiforme, mais un groupe de fascicules isolés, entourés d'une gangue de su
la substance grise cen- trale, des courbes incluses dans celles du groupe interne des fibres arci- formes cérébello-oliva
calotte. Les fibres arciformes se disposent en un certain nombre de groupes dont le volume et le trajet varient suivant la
la partie antérieure et inférieure de la protubérance, il existe un groupe de fibres arciformes extrêmement important qui fo
pédonculaire, le système des fibres aberrantes (p. 543). Les trois groupes de fibres que nous avons désignés sous les noms d
faisceau longitudinal postérieur (Flp); fusionnés en bas, ces deux groupes de fibres de la formation réticulée blanche diver
e antéro-externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), il existe un groupe de fibres sectionnées obliquement ou perpendicula
terne de la calotte. Cette moitié de la coupe intéresse en outre un groupe de fibres à trajet hori- zontal situé en dehors
ulaires externes (fsme) du cervelet. Celles-ci se disposent en deux groupes de fibres presque parallèles, décrivent des cou
e de la substance blanche centrale des hémisphères. Les fibres du groupe externe (fsme) se portent en divergeant en avant,
rance en formant le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); les fibres du groupe in- terne (fsme) sont plus courtes, ne dépassen
Manifestement parallèles sur la moitié droite de la coupe, ces deux groupes de fibres semi-circulaires externes affectent u
m) et intéresse le feutrage extra-ciliaire (fec). Ici les fibres du groupe externe (fsme) forment en avant un large faisceau
c les fibres de l'entre-croisement commissural (Eca). Les fibres du groupe interne (fsme) sont sectionnées plus obliquemen
fibres semi-circulaires externes (fsme) se divisent nettement en deux groupes : l'un, externe (fsme), qui traverse la plus gr
rrière par l'extrémité postérieure de l'olive cérébelleuse (Oc). Le groupe externe des fibres semi-circulaires externes (fsm
ue comme précédemment avec le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Le groupe interne (fsme') passe entre l'olive (Oc) et le
ulbe (Flt), fais- ceau complexe et mal délimité qui fait suite à ce groupe de fibres situé dans la région protubéranlielle
lle il est situé. Sur quelques coupes, on voit s'en détacher un petit groupe de fibres radiculaires qui se portent en arrièr
scendante du Irijumcau (Vsd); elles se séparent à ce niveau en deux groupes : les unes occupent la périphérie du bulbe et s
en arrière par un dense feutrage de fibres et en avant par un petit groupe de fibres arciformes originaires du noyau de l'
ème ventricule des courbes à concavité interne, et comprennent deux groupes , l'un interne, l'autre externe, séparés par l'o
érébelleuse et ses feutrages intra et extraciliaires. Les fibres du groupe externe (fsme, Coupe C4, Fig. 463), décrites par
is. Système des fibres semi-circulaires du cervelet, ses deux groupes de fibres. Les fibres semi- circulaires exter
upent à angle droit ou à angle aigu. Nous désignerons les fibres du groupe externe sous le nom de fibres semi-circulaires ci
de fibres semi-circulaires externes (fsme, Fig. hG3), et celles du groupe interne sous le nom de fibres semi- circulaires
résent on soit autorisé à distinguer les fibres semi-circulaires en groupe externe et groupe interne. Mais si l'on réfléch
orisé à distinguer les fibres semi-circulaires en groupe externe et groupe interne. Mais si l'on réfléchit à la forme du n
81 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
chroniques est au contraire plus dé- licat. Si l'on distrait de ce groupe les oedèmes chroniques classiques, ceux sanctio
sépare mes deux perceptions de la fenêtre et de la table, et si le groupe de cellules visuelles mis en action par les ray
nant de la fenêtre est, dans le cerveau, à une certaine distance du groupe de celles qui sont excitées par les rayons vena
front. A la limite de la substance saine, ils se voient par petits groupes d'éléments'isolés, par nodules bien distincts au
'des éléments jeunes, son calibre est considérablement rétréci. Un groupe de 92 RICHON néo-vaisseaux siège généralement
issement.Les noyaux névrogliques sont très abondants et forment des groupes de dix à vingt éléments. Les fibres myéliniques
ppartiennent à tel ou tel faisceau ; on ne \ peut reconnaître aucun groupe de fibres qui puisse être rattaché soit au fais
-Green (1) qui soutient qu'il y a dans les lobes occi- pitaux, deux groupes de cellules bien distincts, l'un affecté à la per
use semblent de plus en plus s'effacer, et,sur les confins des deux groupes , s'accumulent chaque jour des cas complexes, à
ètement atrophiés ; il semble rester encore quelques fibres dans le groupe péronier. Le malade en effet conserve quelques mo
ique anormale, d'autre part la disposition particulière de certains groupes vasculaires. C'est en somme une dénomination pu
s d'aspect et de dimensions, sont en moyenue au nombre de 6 pour le groupe antéro-externe, 10 pour le groupe antéro-intern
en moyenue au nombre de 6 pour le groupe antéro-externe, 10 pour le groupe antéro-interne et 7 pour le groupe postérieur.
roupe antéro-externe, 10 pour le groupe antéro-interne et 7 pour le groupe postérieur. Mais cette diminution du nombre des
à la région dorsale, où l'on en compte en moyenne 3 pour le premier groupe , 3 pour le second et 2 pour le groupe postérieu
en moyenne 3 pour le premier groupe, 3 pour le second et 2 pour le groupe postérieur. De plus, à ce niveau, la lumière de l
ion cellulaire. On compte en moyenne 17 cellules mo- trices dans le groupe externe, 6 dans le groupe interne et 6 à 7 dans l
en moyenne 17 cellules mo- trices dans le groupe externe, 6 dans le groupe interne et 6 à 7 dans le groupe postérieur. Nul
ces dans le groupe externe, 6 dans le groupe interne et 6 à 7 dans le groupe postérieur. Nulle part, dans la moelle, on ne n
atonie si caractéristique des voies digestives, qui donne à tout ce groupe de malades l'estomac dilaté et clapotant, la co
st-il pas plus juste de dire que ce tremblement rentre dans le même groupe que les symptômes pré- cédents ? . III Chez
ble du mouvement, spasme ou tremblement, rentre, pour nous, dans un groupe de symptômes physiques et moraux qui sont différe
état mental qui y est joint, un même symptôme peut appartenir à des groupes fort divers. Un tic, par exemple, peut être épi
t (1), nous rappelons seulement que ces phénomènes rentrent dans le groupe considérable des ^agitations forcées que présente
le faisceau claviculaire du grand pectoral ; la parésie du premier groupe de muscles (1) J'ai puisé les notions sur « la
évation du bras et dans la flexion de l'avant-bras, celle du second groupe commande l'attitude en adduction et en rotation d
ticuliers, plus ou moins isolés, ne se rapportant nettement à aucun groupe . La question est, du reste, assez com- plexe, s
(1) Il est possible que le cadre actuel de l'ectromélie englobe deux groupes très distincts d'anomalies. UNE FORME RARE D'
ire par la même cause des innervations irrésistibles et forcées des groupes musculaires et des organes divers. De là notre ak
vu les différences qui existent entre les cas appartenant au grand groupe des phénomènes obsédants et impulsifs. Mon prem
nons ici la re- production (PI. LVIII). On y voit, en effet, deux groupes significatifs : A gauche flotte une barque avec
QUES DE SAINT ÉTIENNE 303 cieuses de saint I;tienne; autour prie un groupe de belles et dévotes dames en hennin de l'époqu
re). Devant la porte de ville ouverte et sur la berge de pierre, un groupe de miséreux, béquilleux, au-dessus des têtes de
de montrer que le pseudo-oedème catatonique faisait partie du même groupe pathogénique que le myxoe- dème, le trophoedème
irement le délire alcoolique continu, et partageant nos malades par groupes définis d'après l'âge, nous obtenons les données
82 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
On voit que dans notre tableau, ces symptômes sont divisés en cinq groupes : 1° Syndrome de symptômes spasmodiques; 2° syn
tente. B. Symptômes 7égati/s.- Après avoirdéjà décrit les divers groupes de symptômes positifs, dont nous avons surtout
ons rencontrés chez nos trois malades peuvent être rangés en quatre groupes : a). le syn- drome tabétoïde et sensitif; b).
e état nerveux. En Téalité, l'hypnotisme représente cliniquement un groupe na- turel, comprenant une série d'états nerveux
es vaisseaux ou dans la corne antérieure, en grappes encadrant ~les groupes de cellules et les capillaires, oblitérant le can
ue quand il y a mutisme obstiné. Les premier, second et qua- trième groupes sont faciles à percer à jour. Le troisième genre
ncie. Les mouvements choréiques se traduisent : l°par. l'atteintede groupes musculaires qui, dans diverses parties du corps,
t à une fonction motrice définie (synergie), et aussi, par celle de groupes d'une partie du corps exécutant une tout autre
ui paraissent de nature hystérique, et, par suite, se rattachent au groupe précédent. Il va de soi d'ailleurs que les mouv
ion et les règlements concernant les asiles d'aliénés. Le cinquième groupe de cette commission, ainsi que le rappelait M.
multanément de myéline, mais se partagent sous ce rapport en deux groupes , se trouve -probablement dans la dualité de leu
elle ressentit les premières douleurs lancinantes. Tel est le petit groupe de femmes atteintes du tabès que j'ai eues (et
ont plus d'une fois figuré comme constituant un des symptômes du groupe céphalique. Maintenant nous allons les voir non
les centres moteurs sont bien cir- concrits et régissent chacun un groupe de muscles, chez le chien nouveau-né, il n'exis
tifs se déve- loppent peu à peu des centres destinés aux différents groupes musculaires du membre innervé parle centre prim
au cinquième mois de la vie embryonnaire. Elles se divisent en deux groupes : les unes, plus nombreuses pas- sent dans la r
amais de paralysie des muscles de le face ni de la langue, quelques groupes musculaires étaient à l'état de rigidité. Réfle
courant faradique prolongé provoque la houle et l'ondu- lation d'un groupe musculaire, mais non les vagues contractiles ar
ion de cette portion de l'arc réflexe qui unit le centre optique au groupe des cellules de l'oculomoteur commun qui comman
nsorielle de Wernicke et des sous- genres de ces deux types tout un groupe de troubles de la parole d'ordre aphasique form
s rationnel. Les autres observations peuvent être divisées en trois groupes : 1° aphasie optique, avec hémianopsie du côté
chique et aphasie sensorielle acoustique (Wernicke). Ce troi- sième groupe permet difficilement de déceler l'aphasie optique
our ainsi dire prémonitoires du delirium treineîîs. Dans un premier groupe , on peut comprendre des individus sobres ordina
git d'un centre moteur par exemple, la parésie ou la paralysie du groupe musculaire correspondant : la destruction du ce
e 1888; par M. MoRAx, externe du service. Nous diviserons en quatre groupes les troubles oculaires observés dans les affect
observés dans les affections cérébro-spinales. Les trois pre- miers groupes , comprenant l'hystérie, le tabes et la sclérose e
la vue et y produisent des symptômes caractéristiques. Le quatrième groupe comprend les cas qui ne se rapportent pas aux a
lis ou diminués. Il divise les paraly- sies de la diphtérie en deux groupes : 1° paralysies diphtéritiques proprement dites
roduites pour en avoir la preuve. On pourrait faire rentrer dans ce groupe , si elle ne présentait pas quelques lacunes, un
lire cocaïnique occuperait donc une place très impar- faite dans le groupe des folies par intoxication. Dans leur ensemble
pour donner place à la paralysie générale dans sa classification un groupe artificiel qui, de l'avis de tous, est en contr
ait fait figu- rer dans la classification qu'il propose, un certain groupe dénom- mé : jolies multiples. Que deux formes m
este par de la douleur, de la paralysie avec atrophie de certains groupes atteignant fatalement en deux ans ou un an et dem
vant la force de leur tendance à se transformer en actes, en -trois groupes : le premier comprend les états intellectuels e
s, surtout quand ils s'accompagnent de sentiments vifs. Le deuxième groupe représente l'activité raisonnable où la concept
83 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t il figure une coupe bien analogue aux nôtres. Il existe donc un groupe très exceptionnel de tumeurs primi- tives pie-m
ont pour but de tenter de rattacher ces mani- festations aux divers groupes des maladies familiales actuellement admises da
e le premier stade de la rétraction de la jambe : il fait partie du groupe des réflexes défensifs rapides dont les centres
patique latent. Les observations rapportées sont réparties en trois groupes : 1° Celles où l'auto-intoxication d'origine hé
a été primitivement totale et s'est localisée dans la suite sur le groupe radiculaire supérieur. On constate chez ce ma-
ensitives générales; -c) Les voies motrices, englobant trois grands groupes de nerfs : les nerfs directeurs du' regard (sen
ncernant la division des malades, atteints de paralysie générale en groupes d'après l'âge, nous nous sommes dirigés par les
en question avant l'âge de vingt ans, nous les avons inclus dans un groupe à part, de même que les malades de ce genre, ch
rale a manifesté après soixante ans, ont été aussi placés dans un groupe particulier. Tous les autres malades ont été répa
articulier. Tous les autres malades ont été répartis encore en huit groupes , ayant chacun une période de, cinq années. De
ysie générale. 197 grand nombre de malades revient au second de ces groupes et chez les femmes au premier. De plus, on vo
delà névrose et de la psychose on est arrivé à isoler l'anxiété du groupe général des émotions et 230 0 SOCIÉTÉS SAVANTES
est essentiellement clonique et caractérisé par un mouvement ou un groupe de 7 ? ioz&Le- ments reproduisant un acte p
duisant un acte physiologique déterminé. On peut le classer dans le groupe des convulsions cloniques sys- lématisées, en o
s, rapides, involontaires, siégeant dans un muscle isolé ou dans un groupe de muscles habituellement associés pour l'exécu
n involontaire et intempestive, leur limitation à un muscle ou à un groupe musculaire déterminé. Quand je vois un malade a
énation 1 ». Etendant l'idée de Baillarger, M. Régis constitue un groupe à part de tous ces cas dans lesquels, dit-il, « u
avait communiquées. Telle est la folie communiquée. Dans un second groupe , M. Régis range les cas où il y a non pas commu
e les unes se rapportent entièrement à l'un ou à l'autre des deux groupes établis, tandis que les autres s'écartent plus ou
dans tous ces cas, il s'agit ds folie communiquée. Dans le second groupe , celui de la folie simultanée, alors que le dél
ériphérique à la façon d'une véritable maladie néoplasique. Dans ce groupe , très important en pathologie'nerveuse, les deu
leur appli- quer des traitements variés et convenables, pour chaque groupe de cas, au lieu de merculariser systématiquemen
l'intoxication. Ce qu'il faut, c'est cet ensemble de mesures que je groupe sous le nom de cure de désin- toxication, et qu
s ne sommes jamais allées la chercher. (Chorus). Si, si, c'était en groupe , en groupe ! D'ailleurs nous sommes sales, laid
jamais allées la chercher. (Chorus). Si, si, c'était en groupe, en groupe ! D'ailleurs nous sommes sales, laides et vieil
« un air de famille qui, mieux « que toute autre base, constitue un groupe clinique bien défini » et qui, quel que soit l'
de l'hystérie, se présentent avec une prédominance marquée dans le groupe des hystéries droites. Si ce résultat se confir
comprimant en arrière le faisceau pyramidal croisé et en dedans les groupes des cellules ganglionnaires les plus externes d
onseillé comme traitement d'un état mental, et il est d'avis que le groupe formé par ces derniers ma- lades est ou devrait
nction lombaire. M. J.-A. Sicard les divise rationnellement en deux groupes : l'un agissant par soustraction du liquide cépha
ou de la sensibilité, d'où l'habitude prise de la dési- gner par un groupe de trois phénomènes, le doute, la crainte et l'
, on agit d'abord sur l'autre extrémité symétrique, puis, sur les groupes musculaires placés sur des plans plus profonds; 3
ur entend soutenir, c'est que ces deux facteurs sont perçus par des groupes parfaitement distincts des cellules céré- brale
roupes parfaitement distincts des cellules céré- brales, et que les groupes affectés à la perception colorée se déve- loppe
reconnaît qu'il en est ordinairement ainsi. Enfin il y a un dernier groupe qui se caractérise par de la stupidité mentale, c
elque peu la marche et le tableau clinique habituels. Dans un autre groupe de faits, l'auto-intoxication joue, au contraire,
paralysies affectaient, soit exclusivement, soit de préférence, un groupe musculaire dévolu à une fonction. Elles ont cédé
s rues du petit village furent complètement désertes. Cependant, un groupe d'hommes courageux s'était formé sous la condui
tes. A cette vue, le forcené leva son arme et se préci- pita sur le groupe . Un nouveau malheur allait se produire, quand u
84 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
leaux morbides par des subdivisions inutiles ». Réunir dans un même groupe nosologique tous les syndromes dystrophiques qui,
ication des tumeurs de la moelle épinière les divise en deux grands groupes . Le premier contient les tumeurs localisées dans
nne vertébrale) et qui la compriment secondairement; dans le second groupe , les tumeurs de la moelle même (tumeurs intramé
intraméciullaires). Bruns, dans sa mono- graphie divise le premier groupe en deux classes : a) tumeurs à point de départ
ulièrement dé- monstratifs. Le premier malade se trouvait dans un groupe de cinq jeunes lépreux birmans présentant tous
i prennent la couleur rose pâle. Elles se disposent quelquefois par groupes , for- ment des ilots (fig. 11) ou sont dispersé
des altérations de ces tissus, mais il est possible d'établir deux groupes de psychoses assez nettement caractéristiques, se
comme les psychoses dites organiques. On aurait donc : . 9. le groupe des psychoses à lésions essentiellement p,'aenchy
ses à lésions essentiellement p,'aenchymateuses, 188 LADAME 2. le groupe des psychoses à lésions connectivo-vasculaires pr
s connectivo-vasculaires prédominantes . Tandis que dans le premier groupe le tissu connectivo-vasculaire est relativement
tissu connectivo-vasculaire est relativement intact, dans le second groupe , le tissu parenchymateux est toujours lésé (PI.
ychoses connues viennent assez aisément prendre place dans ces deux groupes . C'est ainsi que les psychoses dites fonctionnell
tia,les psychoses aiguës pures, les psychopathies, etc. Au second groupe , celui des psychoses dites organiques, appartiend
cientifiquement la classification des diverses psychoses dans leurs groupes respectifs. Le second groupe comprend deux divi
n des diverses psychoses dans leurs groupes respectifs. Le second groupe comprend deux divisions importantes, celle des ar
pas une base pour déterminer les caractères fondamentaux de chaque groupe ou espèce de maladie. Ce desideratum ne sera réal
ystérie que des paralysies de membres, de segments de membres ou de groupes musculaires fonctionnellement associés. On ne voi
trouve à imiter ou imagine. On peut cependant les ran- ger en trois groupes : les tremblements, les myoclonies et les spasmes
n affirme en outre que la non reproduction des nains est due à deux groupes de causes différentes. Le nanisme est causé : 1°
u squelette; 2° par un trouble général delà nutri- tion. Au premier groupe appartiennent le nanisme rachitique et achon- 2
ilité. Mais si l'on peut admettre en partie ce fait pour le premier groupe , est-ce que nous pouvons dire la même chose du se
ient pensé que certains achondroplasiques devraient être séparés du groupe d'une achondroplasie pathologique déri- vant d'
n bizarre.Dans la partie postérieure du cor- don latéral se voit un groupe unique de libres à direction longitudinale normal
sur cette question, je réunis ici 6 cas nouveaux ; et d'un de leurs groupes , je rapproche l'un de mes anciens. Plusieurs sont
ie pas ma façon de comprendre cette question, l'élude clinique d'un groupe de faits pathologiques pouvant parfois constitu
ent à cette ligne pour venir mourir au-dessus du pli du coude. Ce groupe de taches est particulièrement foncé à la région
le de ce même petit sciatique ou nerf fessier inférieur. Ces deux groupes de naevi dépendraient donc de deux groupes de bra
sier inférieur. Ces deux groupes de naevi dépendraient donc de deux groupes de branches terminales cutanées du petit sciati
partie de la 90 côte et du 9'espace. Il descend parallèlement à ce groupe de côtes, devient horizontal en s'élargissant l
6e intercostaux gauches. Jeune homme de 28 ans, présentant trois groupes de noevi pigmentaires plans. 1° Un premier gr
ésentant trois groupes de noevi pigmentaires plans. 1° Un premier groupe occupant en arrière l'espace situé de la 8° à la
int d'émergence de la branche perforante latérale. 2" Un deuxième groupe , petit, constitué par une pigmentation de teinte
moplate présentant ainsi une symétrie générale, mais vague, avec le groupe précédent, et un rapport avec les terminaisons de
L'interprétation de ce nasvus est délicate. La disposition du 1 cr groupe re- produit avec une remarquable fidélité la di
groupe re- produit avec une remarquable fidélité la disposition du groupe des' 8% 9° et 10° nerfs intercostaux, s'écartan
interprétation cadre difficilement t avec l'existence des naevi des groupes 2 et 3 ; et devant cette diffusion des lé- sion
initiale porte sur le ganglion de la raci ne postérieure, ou sur un groupe de ses cellules ; celles-ci, lésées, transmet-
médullaire, deux caspeuventse présenter. Ou bien elle intéresse un groupe de prolongements centraux des cellules ganglion
successifs ; ce sont les noevi sériés. Ou bien la lésion intéresse un groupe de cellules médullaires ; or, d'après les reche
médullaires en rapport avec le sympathique sont constituées par des groupes superposés, ont donc une disposition segmen- ta
té sur le fait que les toxines ne lèsent assez profondément que des groupes cellulaires présentant une vul- nérabilité spéc
s cas d'arthropathies labéliques des vertèbres se divisent en trois groupes : -. a) Ceux dans lesquels le diagnostic est pr
e de la colonne vertébrale. Pour ce.qui concerne les cas du premier groupe , qui sont du reste plus nombreux, il me semble
rassemble tous les cas rapportés avant lui et les divise en quatre groupes : 1° Cas d'agénésie complète sans autre lésion
ces exos- toses « inflammatoires (tuberculeuses le plus souvent) du groupe des exostoses ostéogéniques proprement dites qu
itiés du corps : en des points symétriques, l'activité chimique des groupes cellulaires est parfaitement semblable et harmo
vons en effet, dans le domaine des maladies de l'Encéphale, tout un groupe d'affections, les 'affections parasyphilitiques,
rpide. Beaucoup ont un déve- loppement mental rudimentaire. Dans ce groupe rentrent les nains idiots les nains crétins, le
recrues, celles qui concernent les orteils, il les classe dans les groupes suivants : 1° doigts rudimentaires ; 2° doigts dé
85 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
une névralgie du nerf scia- tique détermine une contracture dans un groupe du muscles indépendants de ce nerf. On ne pourr
d'ailleurs, la diminution du volume n'est pas plus marquée dans un groupe musculaire que dans un autre. Les tremblements
que des accidents cérébraux, nous fait dispenser de nous occuper du groupe de symptômes céphaliques. Les troubles respirat
ar la présence de gaz dans les inter- valles de son tissu. Quant au groupe des différentes douleurs nous'en parlerons dans
urants galvanique et faradique détermina des mouvements isolés de groupes musculaires distincts : 1° des mou- vements de
nt la sensibilité cutanée et le mouvement volontaire des différents groupes musculaires doivent se trouver dans un étroit r
ieure et inférieure, etc. A cet effet, Seppilli a réparti eu ciuq groupes : 1° les cas cliniques d'altérations de la sensi-
essort avec évidence des obser- vations cliniques réparties en cinq groupes par Sep- pilli, ainsi que des diagrammes qu'il
ement qui s'opère en ce moment. On a successivement détaché de ce groupe : les mélancolies liées à la paralysie générale,
de la catatonie qu'il sera question ici, on essaiera d'établir des groupes symptomatiques et d'en déterminer la valeur. Qu
ades par des analogies factices et n'ont abouti qu'à la création de groupes arti- ficiels. Battu en brèche par les observat
eloppement de LINTELLI- 158 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE AGENCE. - Un groupe de médecins allemands vient de décider que l'ét
la partie antérieure de ces cordons : ils sont isolés ou réunis par groupes . On les rencontre sur une étendue plus ou moins
e, soit centripète,. soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et péri- phériq
ciale, ils ne sauraient être qu'indirectement en rapport avec des groupes ou des territoires de cellules centrales extrê-
ule, est au contraire dans la plupart des cas en connexion avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellul
n conjecturer de certain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses, si l'on n'observe les ra
ent pas contracter leurs muscles paralysés, la contraction d'autres groupes musculaires, des muscles de la respiration en p
gne la conscience sur la somme de travail accompli par tel ou tel groupe de muscles. Si le circuit est interrompu, soit
s et croit, comme Friedreich, à l'excitabilité exagérée de certains groupes de cellules des cornes antérieures. Commé la fa
e l'inflammation traumatique : elle se rat- tache aux deux premiers groupes . On ne saurait maintenir la distinction artific
bservations. Il formule les conclusions que voici : 1° Il existe un groupe de modalités morbides qui sévissent sur le jeun
jeunes gens sans rentrer dans aucune des catégories connues; 2° Ce groupe a pour caractère d'absorber la personnalité tout
ée pour les cas de ce genre, j'entends réserver, pour en faire un groupe à part, ceux dans lesquels un véri- table tabes
ier à la glycosurie. Je pense qu'il y a lieu de les diviser en deux groupes : 1° Dans le cours du tabes, le sucre peut appa
de la Tourette n'en a rencontré que trois; 2° A côté de ce premier groupe , il convient d'en placer un second. Dans celui-
e aussi typique du faisceau pyramidal. Il existe, il est vrai, un groupe de scléroses combi- nées dans lesquelles les al
atique se caractérise non seulement par le fait qu'elle atteint des groupes bien définis de fibres nerveuses, mais encore,
era, par exemple, de compter des lettres, d'apprendre par coeur des groupes de nombres ou des associations de syllabes dépo
cas vrais de folie. Il conclut de cette dernière étude, que dans un groupe consi- dérable de cas de folie, c'est la foncti
86 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
n difus et certains cas d'érysipèle, de phlébites graves, il forme un groupe morbide auquel il donne le nom caractéristique de
ure est dans la position indiquée plus haut (voy. Planche 1). 1° Un groupe de trois corps supportés par un pédicule commun d
eux, il y avait deux autres corps étrangers plus petits. En dedans du groupe qu'ils composent, il y a un corps étranger, libre
ndant à la face postérieure des condyles du fémur, il y avait : 1° un groupe de corps étrangers pédicules, mesurant 5 centimèt
urant 5 centimètres de longueur sur 3 de hauteur et 2 d'épais-eur; ce groupe était disposé oblique-ment en arrière du condyle
lle de M. Guéniot, où les antécédents man-quent. Ces faits forment un groupe à part dont je ne puis m'occuper ici. La scrofu
es. M. Gosselin a beaucoup insisté sur cette étiologie. Dans un autre groupe , nous avons l'action du froid humide. C'est un ga
lement atrophiées; un certain nombre de cellules nerveuses, celles du groupe externe surtout, avaient disparu sans laisser de
Pour terminer l'histoire des arthropathies qui forment le pre-mier groupe des lésions articulaires, d'origine trophique, au
s cellules de la partie antérieure de la substance grise. Le second groupe des lésions articulaires susceptibles d'être ratt
o-rigine spinale que nous donnons à ces altérations. Dans ce second groupe , les ressemblances des arthropathies avec le rhum
ont représentés par des masses musculaires qu'on peut diviser en deux groupes : l'un, superficiel, qui s'étend du bord interne
LES HÉMIPLÉGIQUES. Nous avons dit, dans le précédent numéro que ce groupe com-prenait deux catégories distinctes : la premi
ccidents qui peuvent compliquer l'uréthrotomie sont parta-gés en deux groupes : « Les uns ne sont point particuliers à cette op
s particuliers du type classique, et de-vant en conséquence former un groupe à part. 11 n'en est rien, on l'a rencontrée dans
ute qu'elle se cache jamais à celui qui la cherchera. Dans un autre groupe de faits, on voit un enfant atteint de fièvre int
-faciles à remplir, au moins très-nettes à saisir. Elles forment deux groupes , les unes se rapportant à l'état local, les autre
s. Au contraire, l'atrophie limitée plus particulière-ment à certains groupes de muscles, surtout s'il s'y joignait des con-tra
terne du tibia ; deux au centre du mollet; deux autres entre les deux groupes précédents; enfin les deux der-niers sont placés
s furoncles, leur siège sur le trajet des nerfs, leur répartition par groupes , rap-pellent ce qu'on observe dans le zona. Jamai
ubstance amyloïde de la rate, et ils ont montré qu'elle appartient au groupe des matières albuminoïd.es, conclusion à laquelle
s granules sont isolés ; la plupart du temps plusieurs sont réunis en groupe au moyen d'une substance pâle, soluble dans l'aci
vomisse-ments, la constipation, le météorisme, etc. 11 est un autre groupe de symptômes que nous n'allons faire qu'é-numérer
ébrile est tombée : mais quelques vésicules d'herpès, disséminées par groupes , se sont dessinées autour du coude, et sur le tra
87 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ales démontrent concurremment que les fibres les plus externes du groupe antérieur des irradiations curvi- lignes sont f
ères. A. Groupe antérieur ou frontal des expansions cap- M/aM. Ce groupe comprend toutes les expansions capsulaires de l
te dans la portion moyenne du cerveau CM aTO ? e/ ! 0<- clale. Groupe des faisceaux moyens ou verticaux. -Les coupes
du tibial antérieur, l'excitation réside dans la tension passive du groupe musculaire antagoniste, c'est-à-dire des jumeau
adoxale consiste en une perte de l'équilibre du tonus dans certains groupes musculaires et dans leurs antagonistes. 11 adme
usivement dans les zones signalées par Betz. On peut en trouver des groupes dans les régions postérieures et même vers la b
égions postérieures et même vers la base. Il en a trouvé surtout un groupe important sur le premier gyrus arciforme entre
res sylviennes antérieures. Le centre moteur le plus pro- che de ce groupe cellulaire est celui dans lequel Ferrier à loca
remarquer lui-même, après MM. Baillarger et Lunier; dans le premier groupe de sa classification, dit-il, il n'y a qu'un alié
de la bouche. La paralysie occupe, à des degrés variables, certains groupes de muscles, souvent ceux qui sont sous-jacents
qui augmentent encore la difficulté de lever les orteils. Certains groupes musculaires sont hyper- esthésiés. En même temp
ous-commission a décidé que ces questions seraient divisées en cinq groupes : 4°r grozcpe : Constitution matérielle des asile
ssaires : MM. Camparon, A. Dubost, Lunier, Roussel, Vergniaud. 2" Groupe : Pensionnats et établissements privés. Commissai
ommissaires : MM. Baillarger, Béelard, Loiseau, Maze, Roussel. 3e Groupe : Système de traitement (classement, transfert de
.). Commissaires : MM. Bail, Camhon, Dedébat, Loiseau, Lunier. 4° Groupe : Contrôle et surveillance (commission de surveil
s : MM. An- drieux, Béclard, Camescasse, Foville, Maze, Pilon. 5° Groupe : Personnel médical et administratif à tous les d
a) Delà possibilité de localiser l'excitation à un muscle ou à un groupe de muscles; b) De la possibilité d'exciter un m
de la même région et qu'elle s'est exactement locali- sée au même groupe musculaire, à celui qui reçoit les rameaux du n
fatigue appréciable ; cependant, les triceps cruraux, et surtout lé groupe antéro-externe des muscles de la jambe gauche ? p
aly'siës flasques/ Elle désigne, en effet,' la'caractéristique)'du0 groupe symptôinàtqûe ? toût'entlère' dails l'éxagézatz
mélancolie, manie, monomanie); la proportion qui, pour 'le- premier groupe ,"atteint 34 8 p .1100, ' fldépas's'e15'6rp ? 11
-" Ne croyez pas cependant, messieurs, rque 1 personne," dansé ce)* groupe trop souvent méconnu d'hommes, studieux, et dév
e 296(. SOCIÉTÉS .SAVANTES. sont, communes aux affections, de, ce groupe ? il, rappelle les sympa tomes psychiques,qui s
3 ; (étiologie des ab- cès du), 254. 0 Chorée (limitée à certains groupes de muscles), par Warner, 259. 314 table 'de
88 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lissements spéciaux. ' . A Dun, l'on avait commencé par placer en groupes dans des familles celles de nos pensionnaires a
puis j'ai mis en lumière les ca- ractères qui distinguent les deux groupes (évolution onto et phy- logénique, influence de
ksonien pur, les convul- aions commencent régulièrement par le même groupe musculaire parétique ; la lésion en foyer met t
à tout le membre, elles se propageaient, non pas régulièrement d'un groupe muscu- laire au groupe voisin, mais irrégulière
se propageaient, non pas régulièrement d'un groupe muscu- laire au groupe voisin, mais irrégulièrement, sautant un segment
lie en général», est-il légitime de définir par ces caractè- res un groupe spécial de psychoses ? Sans doute, la périodici
il faut en- fin se défier de la possibilité des coïncidences. Ce groupe de manifestations auxquelles j'ai donné l'épi-
pas tous assimilables les uns aux autres) constituent, un deuxième groupe qu'il y a lieu d'opposer au premier groupe, Cel
constituent, un deuxième groupe qu'il y a lieu d'opposer au premier groupe , Celui des phénomènes pithiatiques. CONGRÈS DES
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 151 Les phénomènes du premier groupe sont-ils indépendants des phénomènes du deuxièm
du premier groupe sont-ils indépendants des phénomènes du deuxième groupe ou y a-t-il un lien entre eux ' ? . , -- M. C
excités, pourraient engendrer des accidents apparte- nant aux deux groupes . Mais pour les raisons que j'ai énoncées au déb
là un caractère de délimitation. En résumé, les troubles du premier groupe , que j'appelle pithiatiques, se distinguent des
, que j'appelle pithiatiques, se distinguent des troubles du second groupe et aucun fait clinique ne permet de rattacher c
econd groupe et aucun fait clinique ne permet de rattacher ces deux groupes l'un à l'autre. Si l'on veuf conserver le mot h
l'objet qu'il désigne, il doit s'appliquer exclusivement au premier groupe . Je crois donc pouvoir dire que la définition d
e Saint-Pirminsberg). - La syphilis cérébrale diffuse appartient au groupe des formes vasculaires de la lues cerebralis. S
it-il d'un certain de- gré d'agénésie des cellules radiculaires des groupes correspondants ou bien y a-t-il un rapport entr
s centres d'association, tandis que les élé- ments constitutifs des groupes de projection demeure- raient intacts. Il y aur
ipaux que nous constatons ? Nous allons d.*abord diviser en trois groupes toutes les manifestations de l'hystérie et nous v
verrons que l'on peut y classer tous les symptômes observés : 1° Groupe des anomalies de la sensibilité ; 2° Groupe des a
symptômes observés : 1° Groupe des anomalies de la sensibilité ; 2° Groupe des anoma- lies de la motricité ou de la force
ité ; 2° Groupe des anoma- lies de la motricité ou de la force ; 3° Groupe des anomalies psychi- ques. En résumé, quand
ns accumulés. Ces modes d'assistance, vous l'avez dit, forment deux groupes . Le principal comprend les asiles-écoles, les c
, mobilier, etc.), elles seraient très peu importantes lorsque le groupe scolaire laissera une classe disponible. On ne se
nt des dégénérés qu'il classe en diverses catégories puis étudie en groupe , «enfouie» » se demandant quelle influence cett
mêmes particularités chez sept autres sujets qu'il classe en deux groupes représentés chacun par un des cas cités : l'hysté
par un des cas cités : l'hystérie serait en cause pour le deuxième groupe ; quant au premier, s'élimine la neurasthénie a
esponsabilité judiciaire. II. - La part la plus importante, dans le groupe des amnésies organiques, revient à la paralysie
e témoin. Quoi qu'il en soit, les amnésies paroxystiques forment le groupe principal au point de vue médico-légal : ce gro
iques forment le groupe principal au point de vue médico-légal : ce groupe comprend, en effet, la plupart des cas se ratta
années durant, il était entré au Sénat en 1885 et faisait partie du groupe de l'union ré- publicaine. Médecin aliéniste ré
Lucien LA&mFFE ? ig'tafe anatomiques de dégénérescence dans un groupe d'aliénés. Lorts (.1.). La dynamique des phénom
-suffisance affective », parfaitement distincte de tous les autres groupes de troubles mentaux : les seules formes intermédi
orté au pessimisme ; puis méfiance à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes, crainte des préjudices, insuccès di
de réaction, de perfection- nement ou de défense,des phobies ; à ce groupe se rattacherait la névrose d'angoisse de Féré.
e les cas de trophoedéme chronique peuvent être classés en quatre groupes : familial non congénital, familial congénital, a
89 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ent permanente. A ces thèses, les auteurs italiens opposent trois groupes de faits : 1° on réalise une hémianopsie bila-
- Chantemesse, Giovanardi, Gowers, Bernard, etc. Dans un premier groupe (cas 1-18), Seppilli a rangé les cas d'hémianop
plaignent de la rareté et de l'insi- gnifiance des matériaux. « Un groupe d'observations permet toutefois d'admettre, écr
ient courante. A la gymnastique, il est docile et est moniteur d'un groupe d'idiots. Il fait presque seul un soulier. 188.
cord régner à l'étranger ? Comme programme, il propose trois grands groupes : les folies, les démences et les arrêts de dév
eux d'après lesquels s'effectue, grâce à cette loi, le passage d'un groupe particulier de sensations toujours les mêmes nous
uvent être perdus, que l'ouïe peut être abolie ; qu'un muscle ou un groupe de muscles peuvent rester paralysés et s'atroph
ion et d'irrita- tion qui s'expriment en convulsions des différents groupes de muscles. Dans quelques cas, ces convulsions
es nerveuses excitées, d'arrêter la dé- chéance organique. De là ce groupe des malades alités pour faciliter le service en
de la responsabilité on peut diviser les alcooliques en plusieurs groupes : l'ivresse simple accidentelle ou habituelle ; l
e de la nutrition par suite d'une véritable auto-intoxica- tion. Ce groupe de faits serait donc à distraire de l'hystérie.
l'atrophie des cellules du noyau de l'hypoglosse, du facial, et des groupes intermédiaires ; mais le noyau de f'oculo-moteu
visibles au pre- mier coup d'oeil, elles sont assez dispersées, par groupes , de trois à cinq, eu sorte qu'on ne retrouve pa
parition de cellules intercalaires ; en sorte qu'on ne voit que des groupes con- tinus de plusieurs cellules en nombre asse
nt à peu près au même état; tandis que, plus loin, on rencontre des groupes de cellules à autre état. Les capillaires dans
pas de transition nette entre les deux. De temps en temps existe un groupe de cellules rondes, peu nom- breuses, sans épai
e cervicale présente une disparition à peu près com- plète des deux groupes latéraux de la corne antérieure. Le ENCÉPHALITE
. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE. 341 groupe antérieur de celte corne ainsi que la colonne de
r- giquement les colorants y sont abondants, dispersés par petits groupes , mais toujours espacés les uns des autres. Les va
ntérieur, « les chiens ont perdu la faculté de faire jouer certains groupes de fibres musculaires d'une manière appropriée
turellement un mouvement qui résulte de l'in- tensité actuelle d'un groupe d'images prépondérant. Quand le substratum orga
tension musculaire, et même les légers états parétiques de quelques groupes de muscles, sans paralysie ni anesthésie vérita
e second, des mouvements complètement différenciés des différents groupes musculaires de telle ou telle région '. » Pour
nerveux en rapport avec les mouvements volontaires des différents groupes musculaires~et avec la perception des impres- s
ciani soutenait que, mêlés aux vrais centres moteurs des différents groupes mus- culaires, et fonctionnant simultanément, i
lol, parce que ces mouvements, toujours uniformes et localisés à un groupe de muscles, ' Danillo a prouvé que les mouvemen
saurions nous décider à rejeter tout à fait la maladie de Basedowdu groupe myxoedémateux, du moins d'au- tant que dans la
chenne avec atteinte de la face (Landouzy et Déjerine). Ces quatre groupes sont empreints de syndromes cliniques univoques;
KPPEN.De l'albuminurie chez les aliénés. -Il faut distinguer trois groupes de faits : 1° celui des psychoses dues à une néph
révèle, chez les amphibies, par une couche - externe comprenautdeux groupes distincts de cellules. Les dipnes, - chez lesqu
nie ; on fractionne rait les névroses fonctionnelles d'antan en des groupes morbides très différents. - M. KNECHT. La neu
90 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uée à tel ou tel des caractères communs à cha- cun des éléments des groupes . Les classifications des Linné, des de Jussien,
nsitifs (myélite syphilique et mal de Pott) forment selon nous le groupe le plus important par le nombre. Il suffit de f
d'évolution, sont réunies par des caractères communs et forment nn groupe bien défini destiné à prendre une importance de
nclusivement, étant donné les muscles frap- pés : il a respecté les groupes externes de cellules des cornes anté- rieures,
Considérations originales sur la patho- génie et l'étiologie de ce groupe d'affections nerveuses. A côté de l'influence d
embre supérieur. Cependant pour celui-ci les muscles innervés paris groupe radiculaire du plexus brachial ont bénificié du
ié du processus de réparation, seuls les muscles correspon- dant au groupe inférieur sont atrophiés. Pour le grand pectoral,
rs que le chef costal z disparu. Il y a une localisation nette à un groupe radiculaire délimité. Syringomyélie à forme r
au contraire, sensibilité et motilité allérées dans le domaine du groupe radiculaire brachial supérieur. Sensibilité au ta
c des allures cliniques .tout à fait différentes. Les malades de ce groupe étaient tous des hommes vigoureux, exerçant des
vons constaté une distribution systématique de la paralysie dans un groupe de muscles physiologiquement différenciés, dans
ée par la formation et l'interruption du contact entre diffé- rents groupes de cellules nerveuses par protrusion ou rétractio
postérieure. La méthode de Nissl ne trahit aucune dégénérescence du groupe de cellules antéro-médian au- dessous de la lés
au-dessus on constate des cellules dégénérées dans presque tous les groupes , surtout dans la forma- tion réticulaire. Il
de ses 40 zones embryogéniques corticales, qu'il répartit en trois groupes , le groupe primordial, le groupe intermédiaire,
ones embryogéniques corticales, qu'il répartit en trois groupes, le groupe primordial, le groupe intermédiaire, le groupe
rticales, qu'il répartit en trois groupes, le groupe primordial, le groupe intermédiaire, le groupe terminal, laissent à p
en trois groupes, le groupe primordial, le groupe intermédiaire, le groupe terminal, laissent à penser que ce qu'il appell
ur, actuelle- ment sous presse. Idées générales sur les deux grands groupes de désordres mentaux : fonctionnels, à guérison
orte des observations personnelles répondant aux caractères de ce groupe . 3ù La connexion peut être symptomatique d'épil
tir, déjà l'angoisse m'envahis- sait ! Si je voyais même de loin un groupe d'hommes près duquel je devais passer, alors je
, au milieu d'une grande foule, puis bientôt en présence d'un petit groupe , puis enfin, la présence d'un seul homme, voire
réduites, tandis que le fin réseau de libres qui existe entre leurs groupes avait à droite presque disparu : les trousseaux
`- r Iconogr. de la Salpêtrière, n° 4, 1901.) - Observation d'un groupe de rachitiques composé d'une mère rachitique et
ion de'Xambaco-Pacha qui confond toutes ces affections dans le même groupe . Il est moins aflirmatif en ce qui concerne la
inique et anatomo-pathologique du nanisme conduit à considérer deux groupes de nains : dans le premier groupe le nanisme es
anisme conduit à considérer deux groupes de nains : dans le premier groupe le nanisme est créé par un trouble local du squ
nisme est créé par un trouble local du squelette ; dans le deuxième groupe par un trouble général de la nutrition. Au prem
deuxième groupe par un trouble général de la nutrition. Au premier groupe se rattachent les nanismes rachitique et achond
attachent les nanismes rachitique et achondroplasique ; au deuxième groupe , les nanismes myxoedé- mateux et hérédo-syphili
ophique et toxique dans les manifestations pathologiques du premier groupe , permettent de reconnaître un lien de parenté e
et la dysostose cléido-cranienne sont deux types opposés d'un même groupe morbide, les dysostoses congé- nitales hérédita
ns attaques caractéristiques. On n'a pas à s'occuper ici du premier groupe . Le second est plus intéressant : les troubles
tions en faveur de son irresponsabilité. - Mais dans le troisième groupe , la question de responsabilité se pose autremen
les crimes contre la propriété prochaine, les crimes sexuels, et un groupe de crimes qui comprend l'incen= die, la bigamie
érieure des membres thora- ciques. Tous les muscles innervés par le groupe radiculaire supé- rieur présentent la HO. Le di
es venues de la péri- phérie. Au contraire, les fibres du premier groupe , celles qui vont aboutir aux amas gris centraux
le Dr Albert 1)1.\NUD. (Th. Lyon, 1900-1901.) M. Manaud décrit un groupe de symptômes, rattaché successi- vement à l'hys
91 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ter que ces neurones, disparus ou malades, n'appartiennent pas à un groupe physiologique, mais indistinctement à des group
rtiennent pas à un groupe physiologique, mais indistinctement à des groupes quelconques de la subs- tance grise. Cela nou
dical Journal, 12 septembre 1896.) Près de cent photographies et un groupe nombreux de malades ont été présentés; dix figu
est pas une dans sa nature, et MM. Mairet et Vires admettent quatre groupes patho- géniques de paralysies générales. Le pre
quatre groupes patho- géniques de paralysies générales. Le premier groupe est constitué parla paralysie générale, maladie
onstitué parla paralysie générale, maladie locale, les trois autres groupes sont des maladies localisées et comprennent la
s simultanément dans le même service hospitalier, divisées en trois groupes : A. arthrites avec amyotrophies limitées au me
des muscles extensenrs du poignet ont leur siège principal dans le groupe antéro-externe de la corne antérieure; 11° Il e
éliales. Nous avons donc le droit de ranger cette néoplasie dans ce groupe de tumeurs sarcoma- teuses qui porte le nom d'e
ase. Il est évident que cette théorie ne s'applique qu'à un certain groupe de cas, quoique ce groupe ne comprenne pas seul
tte théorie ne s'applique qu'à un certain groupe de cas, quoique ce groupe ne comprenne pas seulement les tumeurs médullai
être mises en lumière. Sans doute, il importe de déterminer il quel groupe , à quelle forme appartient le cas soumis à l'exam
rustes de la lèpre grecque décrite et comprise par lui dans un seul groupe dénommé lép1'ose j. Hansen* n'accepte pas cette
la forme anesthésique de la lèpre l'atrophie ne se limite pas à un groupe déterminé de muscles, mais elle en- vahit conjo
elle décroit également d'avant en arrière. C'est aux points où les groupes cellulaires sous'jacents sont les plus abondants
r au diagnostic de la localisation, ne concerne-I-elle que quelques groupes musculaires du membre hémiplégique ? Autant de
des muscles (Remak). Les treize variétés se répartissant en quatre groupes , de Stinzing, ne sont point encore établies par
e, des recherches de van Gehuchten, que ces fibres naissent de deux groupes cellulaires distincts et situés l'un dans la co
plus parfaite cordialité, les congressistes se sont divisés en deux groupes . Les uns ont repris le chemin' d'Angers, les au
n pour chaque période de neuf années). Je constate également que le groupe de sept comtés qui cons- tituent le district S.
GIE NERVEUSE. ' 409 par la réunion d'un certain nombre de cas en un groupe com- pact, Charcot commença par soustraire tout
aire des paupières à l'exclusion des autres muscles de la face. Les groupes musculaires qui réagissent d'ordinaire synergiq
s délits, s'ils étaient accomplis par des gens sains d'esprit. Le groupe des aliénés criminels, englobant tous les aliénés
s : débiles, imbéciles, idiots. L'importance numérique excessive du groupe des aliénés dits criminels à l'asile de Rodez t
dmann) zone d'irritation. Chez nous cette zone s'étend très loin du groupe des foyers inflammatoires. Les altérations hist
convulsions corticales prolongées incitant continuellement divers groupes de muscles. 2° Ces convulsions d'ordinaire s'asso
sions : 1° Tous les cas d'épilepsie peuvent être divisés en deux groupes principaux : l'epilepsie idiopathique, essentiell
le facial inférieur, les phénomènes de réaction se passent dans le groupe externe du noyau facial. Les différents noyaux
osée en territoires plus petits dont chacun est en rapport avec des groupes musculaires net- tement déterminés : ZD 1° Le
rt avec des groupes musculaires net- tement déterminés : ZD 1° Le groupe interne du noyau du facial serait formé de deux
acial innerve pendant son trajet dans le canal de Fallope ; 2° Le groupe postérieur est formé par les cellules d'origine d
par les cellules d'origine des fibres du facial supérieur; 3° Le groupe médian et le groupe externe représentent le noyau
origine des fibres du facial supérieur; 3° Le groupe médian et le groupe externe représentent le noyau d'origine des fib
tion des articles originaux publiés en 1897 et celle des titres des groupes sous lesquels sont réunies les nombreuses analy
profession médicale », « la Peur et l'Éducation », etc. Analyses, groupes : 1° philosophie ; 2° anthropologie ; 3° psy- c
so- ciale et légale ; 7° hygiène nerveuse et psychique. Enfin un groupe très original : « Progrès dans le domaine des a
92 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ont encore amaigries; il y a de l'atrophie diffuse, surtout dans le groupe des muscles antéro-exlel'l1es. Il résiste aux m
jours, elle reste incomplète, en ce sens qu'elle épargne cer- tains groupes de muscles. Aussi est-il exceptionnel que tous le
bolis.Elle ne s'accompagne pas d'une atrophie en masse 'de certains groupes de muscles,ou de segments entiers de membre, ma
ie musculaire frappant, avec une prépondérance très nette, certains groupes de muscles, et de l'absence de ces troubles vas
sous la forme d'une atrophie limitée à un segment de membre ou d'un groupe de muscles, et sous la forme de rétractions ten
extenseur com- mun des orteils. Celle-ci est un peu moindre pour le groupe des péroniers aux deux jambes.. Une atrophie ég
cette maladie « procède d'une manière élec- tive, frappant certains groupes musculaires il l'exclusion d'autres groupes. El
tive, frappant certains groupes musculaires il l'exclusion d'autres groupes . Elle ne s'accompagne jamais, sauf de très rare
bjet se sert plus de la main gauche que de la droite. Aucun autre groupe musculaire n'est intéressé que ceux indiqués; il
s ne dépassaient pas l'interligne articu- laire 'du genou. Puis les groupes vésiculaires s'étendirent; et comme ils étaient
pital Saint-Louis, p. 323. Pl. XLIX. 80 E. BRISSAUD . VI. Dans le groupe artificiel des eczémas, la métamérie peut se mon-
u tronçon métamérique, enfin que des taches erratiques, séparées du groupe principal, échappent manifestement à l'influenc
ers phénomènes de la vie embryonnaire. Parmi les dermopathies de ce groupe tératogénique, il en est une, la xérodermie pigme
eau, aujourd'hui disparu, de P. Bruegel l'Ancien (1). Au milieu, le groupe principal reproduit assez exactement celui de la
cordent avec la nature charlatanesque de l'opération. A gauche du groupe principal, au beau milieu de la pièce, une étrang
doit contenir d'inénarrables drogues. A droite eten arrière de ce groupe principal, on en voit un second com- posé de 3
était ligotté sur la chatière il n'y a qu'un instant. Derrière ces groupes , au dernier plan, on distingue l'arrière-officine
de M. Landouzy. L'atrophie, après avoir envahi un certain nombre de groupes musculaires, resta stationnaire. Le malade put co
frappé de la diminution de volume très prononcée des cellules de ce groupe postéro-latéral. Quelques cellules gardent enco
r effet comique. Très habilement, Jan Steen a placé dans l'ombre ce groupe qui contraste par sa gaieté avec la tristesse d
naïves et tou- chantes inspirées par l'amour maternel. Le plus joli groupe de la Noce de campagne, à Vienne, est formé par
iceps. Par suite de l'amaigrissement et de l'affaiblissement de ces groupes musculaires le pied prend des attitudes variables
tranches de citron révélatrices. Enfin, sur le dais du lit, un joli groupe sculpté représente deux amours folâtres. Ce sym
té de Nancy. On eut tendance, il y a quelques années, à détruire le groupe des atro- phies musculaires progressives d'orig
table des muscles de l'avant-bras et du bras, surtout accentuée aux groupes dorsaux et plus marquée à droite. partie moyenn
res sont légè- rement diminuées de volume. Les grosses cellules des groupes antérieurs sont beaucoup moins nombreuses que d
t, un air de famille, qui, mieux que toute autre base, constitue un groupe clinique bien défini. Que la syringomyélie, que
otif d'une étude clinique intéressante. Il appartient en effet à un groupe de cas encore peu connus et sans doute mal interp
mbe, de la cuisse, de la fesse et ne prédominant pas sur tel ou tel groupe de muscles. Il s'agissait d'une atrophie simple
sammenLinsisté. Signalons cependant encore la pré- sence, auprès du groupe précédent, d'un jeune aide qui, lui aussi, s'inté
ans le fond, deux servantes introduisent une visiteuse. Derrière le groupe principal, à droite, un médecin se tient debout e
déjà cliniquement rangés par Trousseau et ses contemporains dans le groupe des aphasies amnésiques » et que la théorie des
ut également réaliser. Ces observations semblent bien appartenir au groupe des oedèmes infec- tieux ou toxiques; mais elle
ci sous des vocables différents, mais paraissant appartenir au même groupe nosographique. Les faits cliniques démontrent q
mains succulentes cyanosées et refroidies, avec atrophie des divers groupes musculaires ; dissociation des troubles de la s
atrophie musculaire intéressant surtout les extenseurs ; les autres groupes de muscles sont inégalement atrophiés ; celui des
93 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
ébraux eussent été détruits ou lésés. Voilà une première variété du groupe des hémiplégies alternes ; c'est une hémiplégie
des malades dont les convulsions étaient d'abord localisées dans un groupe de muscles, mais qui se sont en- suite générali
pe- tite lésion en foyer restent quelquefois toujours limitées à un groupe mus- culaire, comment d'autres fois elles se gé
s assez nombreuses pénètrent dans la moelle, appartenant surtout au groupe interne des fibres radiculaires postérieures. L
n y Cajal (1) a divisé les fibres radiculaires postérieures en deux groupes : groupe externe, groupe interne. De ce der- ni
(1) a divisé les fibres radiculaires postérieures en deux groupes : groupe externe, groupe interne. De ce der- nier groupe
fibres radiculaires postérieures en deux groupes : groupe externe, groupe interne. De ce der- nier groupe, qui donne lieu
s en deux groupes : groupe externe, groupe interne. De ce der- nier groupe , qui donne lieu à des bifurcations, émanent les c
e nous expliquer beaucoup de phénomènes qu'on observe dans tout, un groupe de maladies nerveuses de la peau au nombre desque
is à côté des infantiles myxoedémateux, doit prendre place un autre groupe d'infantiles, ceux-là précisément dont, Lorain av
ur la question (1869). Le pre- mier, il eut le mérite de séparer du groupe des ostéomes multiples de Virchow, les faits, d
e du cartilage dans les tumeurs, on peut diviser celles-ci en trois groupes : 1° La tumeur est entièrement formée par du ca
nous occupe, diviser les faits en deux grandes classes. Un premier groupe embrasse les cas où les ossi- fications se mont
de Tesielin et Dambressi, Wilkinson, Lexer, etc., etc. Au deuxième groupe , où les manifestations pathologiques ont pour s
dermie, et à la même époque, Eras- mus Wilson (1) la rangea dans le groupe des sclérodémies partielles. La morphée fut alo
aux mêmes points; sa tendance il envahir presque toujours les mêmes groupes musculaires, alors qu'elle respecte constamment
onctif et cela toujours dans l'appareil locomoteur; la symétrie des groupes musculaires atteints dans bien des cas ; l'existe
l'engor- gement aigu et passager des ganglions situés au-dessus du groupe muscu- laire affecté, tous ces symptômes, s'exp
quement. Si l'on frappe sur un point, on voit se contracter tout un groupe musculaire siégeant dans le voisinage et montre
Il m'a paru que ce soi-disant client de réserve tournait le dos au groupe principal et semblait occupé à quelque préparat
n nouvel emplâtre au-dessus d'un réchaud. En arrière et à droite du groupe principal, une vieille femme, coiffée d'un bonn
nt. Calme et attentif, il réfléchit au parti qu'il va prendre. Ce groupe , sous la pleine lumière qui tombe d'une large fen
riser les diverses hydrocéphalies d'origine spécifique en plusieurs groupes suivant leurs causes anatomi- ques, leur siège,
arqué que du côté opposé. Il n'existe pas d'adipose luxuriante. Les groupes musculaires, plus maigres que du côté opposé, s
La méthode de Ma rchi n'a point montré de lésion systématisée sur un groupe de fibres. Par ci par là on note sur quelques t
ro-latérale), nous n'avons constaté trace de sclérose. Les différents groupes de fibres il myéline de la substance grise ne n
plus renflée, absolument arrondie. Les cellules sont disposées par groupes , le plus important est le groupe antéro- extern
. Les cellules sont disposées par groupes, le plus important est le groupe antéro- externe. La forme arrondie est conservé
9 cellules, la corne droite 75. 9e sacrée. Diminution de tous les groupes de cellules à droite, surtout peut-être au nive
us les groupes de cellules à droite, surtout peut-être au niveau du groupe interne. A gauche 92 cellules, 72 cellules à dr
. La corne gauche renferme 83 cellules, la corne droite 52. Pour le groupe antéro-externe, on compte à gauche 38; à droite
oici la relation succincte des faits qui appartiennent à ce premier groupe : (lus. Il (BoECK Med. Annalen voz Puchelt, Che
BANNES L'hémihypertrophie de la face n'est qu'un cas particulier du groupe des hypertrophies congénitales qui ont fait l'o
'où parlent les racines antérieures, nous trouvons de deux côtés un groupe de cellules nerveuses multipolaires. La structu
ents volontaires; il se subdivise en ilots et chacun d'eux régit un groupe distinct de muscles. Il y a des zones chargées
point une physionomie suffisamment distincte. A côté de ces deux groupes , il faut placer les faits de paralysie du grand
t un muscle cervical; son évolution montre qu'il appartient au môme groupe que le sterno-mastoïdien et que le mastoïdo-hum
94 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
)eptiquës"Cè malade'est'lé frère de la malade mentionnée'dans le 4e groupe . ? ' j ? ", ;" ' " '' "l' 1 ' 2° Des cas d'illh
l'effort du malade dans la direction projetée. Par contre, d'autres groupes musculai- res sont mis en action, dont la contr
des mouvements dans un autre segment du membre, ou intéressant des groupes musculaires plus éloignés, homo-hétérolaté- rau
ondir le membre dans la position ancienne. Parfois ce sont certains groupes de muscles qui se mettent en contraction simult
bilité au membre pendant le mouvement. Pendant l'effort, les autres groupes musculaires conservent leur équilibre tonique.
nt l'exécution d'un acte musculaire, l'équilibre tonique des autres groupes musculaires ne participant pas à son accomplissem
e type d'élection étudié par Wernicke, c'est-à-dire que ce sont les groupes musculaires contractures qui sont le plus acces
date de quelques mois, une atrophie importante envahit également le groupe des muscles épitrochléens dont la maigreur cont
gts (doigts . étendus ou hyperétendus, soit tous ensemble, soit par groupe de deux ou trois écartés les uns des autres). U
dans ces quinze mains. C'est ici que vient s'intégrer le quatrième groupe dit d'ordre réflexe, mis en évidence chez les b
nce chez les blessés de cette guerre par Babinski et Froment. De ce groupe relèvent entièrement les troubles moteurs des IV
vaso-moteurs et thermiques. Nos sujets peuvent se répartir en trois groupes : 1° Hypothermie insignifiante sans trouble vas
t dévoués. Au point de vue religieux ils se divisent en deux grands groupes , sui- vant qu'ils sont musulmans ou fétichistes
celle de leurs familles. Salamalecoum, dit le nouveau venu dans un groupe , c'est-à-dire : salutà tout le monde. Le groupe
ouveau venu dans un groupe, c'est-à-dire : salutà tout le monde. Le groupe répond : Malecounzsala (Tout le monde te salue).
oint de vue épidémiologique et clinique. Elles appartiennent à deux groupes , le premier de deux cas observés en août 1915 (
urs, début le 30 juillet et le 17 août 1915. Fait curieux : dans le groupe constitué par le 5e, X7°, et la compagnie du gé
moins surprenant : 1° que l'amyotrophie soit survenue dans tout le groupe des muscles de Duchenne-Erb sans aucune paralysie
minimum à quinze ans, peut-être à bien davantage. Depuis lors, deux groupes musculaires ont pris une DIPLEGIE FACIALE 279
Dercum. a) Névrosique. - L'adipose douloureuse est une névrose. Au groupe des névroses aujourd'hui grandement diminué, on
de la doctrine qui établit que la maladie de Dercum fait partie du groupe des maladies du désé- quilibre de l'appareil en
matière tératologique, encore que les sujets appartiennent au même groupe générique, y a toujours des différences d'un cas
12,1 côté malade : 14,6. ' Pour le médian et pour les muscles du groupe radiculaire supérieur, il y a ~ une certaine ba
d'erreurs. Les atrophies névritiques sont seules à retenir. Dans ce groupe , nous pouvons éliminer d'emblée le type Charcot
types de dystrophie génito-glandulaire pure. On comprend dans le groupe générique de la dystrophie génito- glandulaire
nous rap- porterons plus loin les travaux. C'est ainsi que dans ce groupe se rangent des cas décrits sous le nom d'hermap
existent qui sont communs à tous les types et individua- lisent le groupe , le différenciant des autres dysendocrinies. Ce
oplasie. Nous sommes d'accord avec Bauer pour exclure de telscas du groupe de l'infantilisme. Le type simple de la dystrop
, une documentation plus que suffisante pour admettre dans le vaste groupe des infantilismes un type d'origine génitale, q
ire ; et il devient alors plus que légitime de supposer que tout ce groupe important des symp- tômes de la gérodermie ne n
450 HENRY MEIGE "- gnerie. Au-dessus de l'alambic se chamaille un groupe symbolique composé d'un diable vert, qui essaye
95 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en être la consé- quence. » (Leloir.) Et M. Brocq ' range dans ce groupe certains purpuras à côté de certaines hypérémie
r ce fait qu'elle laisse intacte la continuité du nerf. Or, dans un groupe de ces soi-disant névrites ascendantes où le po
goût gagnent le trijumeau, elles devraient traverser deux fois deux groupes de gan- gelions : 1° celles du facial, le gangl
rieures des cordons postérieurs et le canal central appartient au groupe des cordons sensitifs et sert ci conduire la-sens
es postérieures). Corne antérieure diminuée du tiers envi- ron ; le groupe antéro-inteme des cellules motrices est bien con-
groupe antéro-inteme des cellules motrices est bien con- servé ; le groupe postéro-latéral est atrophié en partie; le groupe
n con- servé ; le groupe postéro-latéral est atrophié en partie; le groupe médian a disparu. Réduction de nombre des cellu
gonflement, teinte rosée tantôt des fibres isolées, tantôt de leur groupe entier. Sur les coupes longitudinales on voit à d
de c para- lysie générale progressive » on englobait jadis maints groupes symptomatologiques que l'on a distingués peu à pe
apport de sang à la substance cérébrale. Furstner répartit en trois groupes les désordres psychiques de la vieillesse : 1° si
à une demi-heure et même davantage. Les malades se divisent en deux groupes : dans le pre- mier on constate une imitation i
s actes de violence. L'auteur a quelque peine à croire que ces deux groupes ne constituent qu'une seule et même maladie. Ce
asses de 1S6 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. criminels, il existe un groupe psychologique défini, actuellement délimitable,
ption influence REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 187 l'affectivité; le groupe conceptuel, à raison de telles ou telles circons-
, l'amaurose hystérique unilatérale parait devoir être rattachée au groupe des accidents mentaux par idée fixe. A. FENAYRO
des troubles mentaux nocturnes à forme de som- nambulisme. - Deux groupes de phénomènes caractérisent la physiologie patho-
r- sécutés-mélancoliques. Les persécutés mélancoliques forment un groupe homogène dans lequel on peut distinguer un certai
vent avant; il s'agit de perversions dites congénitales. C'est à un groupe de perversions congénitales qu'on réserve parti
xuelle avec la criminalité commune se prête moins à la formation de groupes qui, par la variété de leur délinquence, ont ch
c un total de 7.000 membres environ '. De jour en jour, de nouveaux groupes se fondent et se rattachent au point central. U
un mode d'exis- tence trop hautement différencié. Il distingue deux groupes parmi les instables, ceux à réactions rapides e
re à des délires de persécution, mais bien à ces formes retirées du groupe primitif par M. Falret (persécutés persécuteurs)
grave sont employés pour dési- gner, d'une façon générale, un même groupe de symptômes. Ce n'est que récemment que l'on a
t divisé en deux parties. La première est consacrée aux deux grands groupes de la neuropathologie : les névroses et les mal
in nombre d'exemples d'hémi- section traumatique delà moelle et les groupe en différentes caté- gories selon le siège de l
qu'il semble trop prématuré et peu fondé de les différencier en un groupe par- ticulier d'encéphalites. G. Rossolimo se
la moelle par les racines postérieures. On peut les diviser en deux groupes : 1° sensations cutanées : a) tactiles ; b) dou
tout à fait caractérisé. Une de nos malades, appartenant au premier groupe , est aliénée, depuis près de trois ans. C'est u
avons dit au début de cette étude. Conclusions. On le voit, dans le groupe des mélancolies ' Lettre au père Attichi, 3 mai
l, triangulaire, sur une coupe trans- verse, se décomposent en deux groupes : celui des fibres posté- rieures ou dorsales,
ruqueux et pileux, vasculaires veineux) peuvent se diviser en trois groupes , au point de vue de leur topographie générale :
oires nerveux suivant les lignes de Voigt, on doit reconnaître deux groupes de faits : 1° ceux dans lesquels le naevus occu
Ceci ne prouve pas moins l'inopérabilité de ces cas. Tout un autre groupe d'épilepsies partielles prouve encore que la dé
diquée dans les cas de spasmes subintrants partant toujours du même groupe muscu- laire, avec une phase tonique de courte
aire, avec une phase tonique de courte durée, s'étendant aux autres groupes dans l'ordre que la position des centres moteurs
e sens des attitudes. Clavey (Eugène). Recherches cliniques sur les groupes musculaires 510 () BIBLIOGRAPHIE. paralysés d
96 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
ner la conviction. On pour- rait, à notre avis, les diviser en deux groupes : 1° Dans le premier, de beaucoup le plus nombr
rons plus loin quelques exemples démonstratifs. 2° Dans le second groupe , la névrose a été reconnue plus ou moins tôt, e
En résumé, à notre avis, tous ces faits doivent se diviser en deux groupes : d. Dans l'un, les détails de l'observation, étu
consécutifs à l'hydrocéphalie, car j'ai hâte d'arriver à un dernier groupe défaits, aux affections du cerveau lui-même. Je
ale, ou encore les scléroses limitées ou diffuses. C'est aussi le groupe des méningites, comprenant les méningo- encépha
sclérose cérébrale tubéreuse hypertrophique, font aussi' partie du groupe qui m'occupe. Je ne saurais m'arrêter plus long
ale des tremblements proposée par notre maître, a sa place entre le groupe des tremblements rapides et celui des tremblement
ation mercurielle. Mais, cela étant accepté, il restera toujours le groupe des cas dans lesquels le tremblement se présent
oi nous avons cru devoir distraire ce cas et celui qui va suivre du groupe des tremblements hystériques purement et simpleme
t remarquer que, parmi les tumeurs diverses de la moelle, il est un groupe qui contre- indique toute espèce d'intervention
. Même interdiction pour les tumeurs malignes. Mais il est un autre groupe de lésions : tuberculose verté- brale, tumeurs
s, légi- timer sinon nécessiter la trépanation. Distinguer ces deux groupes l'un de l'autre n'est pas toujours chose facile
Ces caractères sont tels qu'il est impossible de confondre ces deux groupes de paraplégies. Fixe. 46. - Distribution de l'a
plutôt pour une lésion médullaire. En somme, on peut admettre trois groupes de signes différentiels. Pour la lésion spinale
halomyélite chronique z Les différents faits qui ressortissent à ce groupe ont un caractère commun, la lenteur remarquable
eur puissance nor- male. Les muscles sont pris isolément et non par groupes : on sait que c'est ainsi que procède l'atrophi
t ou simul- tanément les membres inférieurs et supérieurs. Tous les groupes musculaires ne sont pas pris d'une façon égale.
atrophiés en masse, sans prédominance de l'atrophie dans tel ou tel groupe musculaire et sans troubles de la sensibilité. La
u voile du palais. Affaiblissement des muscles du cou, de plusieurs groupes des membres supérieurs et inférieurs. Pas de para
n des noyaux des muscles oculaires. Les faisceaux radiculaires, les groupes cellulaires des différents noyaux, les autres élé
e chiffre de cette indice nasal, les individus se classent en trois groupes : platyrhiniens, mésorhiniens, leptorhiniens. Pou
pes : platyrhiniens, mésorhiniens, leptorhiniens. Pour ce der- nier groupe qui ne comprend que des individus de race blanche
cence. Ces caractères dégénératifs peuvent être distingués en trois groupes : ,in Les caractères de dégénérescence propreme
umatique, de paraplégie hystéro-spontanée. Mais, en somme, ces deux groupes de paralysies sont liés par les liens les plus ét
n parlent assez clairement. Nous avons hâte, du reste, d'arriver au groupe si curieux des paraplégies monosymptoma- tiques
HYSTÉRIQUES « ! SfONOSYIIPTOVIATIQUES » Nous arrivons maintenant au groupe des paraplégies « monosympto- matiques ». Ici,
ous avons vu dans certains cas l'excitation mécanique portée sur un groupe musculaire retentir avec plus d'intensité sur le
rtée sur un groupe musculaire retentir avec plus d'intensité sur le groupe anta- goniste. En excitant les fléchisseurs, pa
e clinicien pourrait-il apprendre jamais à s'orienter, au milieu de groupes symptomatiques innombrables n'offrant pas de cohé
b. Membre inférieur gauche. Dans le biceps, le demi-membraneux, le groupe des adducteurs et le pédieux, diminution des réac
é¡1Ícond ! Jliens se contractent avec seize éléments NFC > PFC. Groupe de la région posté- rieure de l'avant-bras. L'e
distinguer de l'atrophie d'origine spinale. La réunion de ces deux groupes d'éléments différentiels permettra d'arriver il u
famille neuropatliologique, il en est un qui n'appartient t pas au groupe des affections organiques et qui peut cependant j
nt d'emblée un membre entier, un segment de membre, un ou plusieurs groupes musculaires, puis elle rétrocède ou semble s'ar
97 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
sus vasculaires, il y a à distinguer, vous ne l'avez pas oublié, deux groupes de phénomènes : 1° les phéno-mènes vasculaires pr
lètes, t. v, Poumons. -j Il existe, en effet, chez l'homme, tout un groupe d'affec-tions pulmonaires désignées, depuis les t
lles sont provoquées par l'influence de cette même cause. C'est là un groupe qui, tant s'en faut, n'est pas dénué d'inté-rêt p
e la matière étrangère se lo-calise toujours, çà et là, dans certains groupes d'acini voisins les uns des autres, c'est-à-dire
, marbrée sur certains points, par suite de la présence d'acini ou de groupes d'acini qui offrent encore des altérations de la
ait partiel propre au poumon, mais d'un fait général commun à tout un groupe de cirrhoses viscérales. Je vous demande la per
l, d'un épisode, mais bien d'un caractère anatomique commun à tout un groupe de cirrhoses viscérales, et relevant, par conséqu
que. Dès le deuxième jour, chez le poulet, on voit se constituer un groupe de cellules de chaque côté de la partie non divis
que sorte mot pour mot, au sujet ,du foie, en prenant pour exemple le groupe des inflammations interstitielles chro-niques, qu
udiées en détail l'an passé, sous le nom de cirrhoses biliaires. Ce groupe , — vous vous le rappelez sans doute, — com-prend,
mbre de distinctions plus ou moins tranchées. Le ca-ractère commun du groupe , c'est l'existence d'une lésion pul-monaire infla
multiplier les espèces sans nécessité, nous les com-prendrons dans un groupe commun : ce seront les bron- cho-pneumonies ou
céphale. Par contre nous vous proposerons d'isoler absolument de ce groupe les lésions pulmonaires qui forment le substratum
insi que l'a signalé Volk-mann. Les pneumonokonioses appartiennent au groupe des pneumonies chroniques, mais la pneumonie des
oumon tend à se scléroser. Comme on le voit, toutes les lésions de ce groupe méritent le nom de cirrhoses épithéliales, s'il e
habituellement la chalicose pathologique peuvent être divisés en deux groupes : 1° Le groupe des tailleurs de pierre et de gr
chalicose pathologique peuvent être divisés en deux groupes : 1° Le groupe des tailleurs de pierre et de grès. L'affection
tent dans la peau des mains et de la face des ouvriers. 2° Un autre groupe très considérable et très important, dans l'espèc
nt appliquée sur les granulations du feuillet opposé, on y trouve des groupes en colonnes de granulations superficielles. Leur
marquer M. Gran-cher, autour des éléments tubuleux de l'organe que se groupe l'agglomération tuberculeuse ; ainsi, dans le tes
e du sang une modification profonde. Parmi les maladies de ce dernier groupe , on peut citer, au pre-mier rang, la variole, la
ans différents points de la base du cerveau, et disposées en forme de groupes qui occupent l'épaisseur des méninges. Les méning
rs cavernes contenant de la matière tuberculeuse ramollie, réunies en groupes , et dont la plus grande pourrait con-tenir une pe
uleux de divers volumes et à divers degrés de développement. Un autre groupe de tubercules, dont la plupart sont en voie de ra
ses varié-lés de la matière pigmentaire ; ils appartiennent donc à ce groupe de substances qui tirent leur origine de la disso
, plus souvent deux ou trois petits noyaux généralement rassemblés en groupe , et offrant toutes les dispositions notées dans l
anulations amorphes, formant quelquefois, par leur réunion autour des groupes des globules blancs, des amas comme cendrés et pl
union existe, le plus souvent elle n'a associé que deux cristaux. Les groupes que nous avons rencontrés le plus ordinairement s
3, e4, c3. Ce n'est que très exceptionnellement que nous avons vu des groupes de plus de deux cristaux; ils tendent alors à se
autres (pyoïdes). Ces deux cas nous paraissent appartenir à un même groupe pathologique. La multiplicité des dépôts plastiqu
98 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
s idiots, galeux, épileptiques ou non, mais invalides. - Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La première s
rriver il ne plus être considérés que comme des arriérés. Dans ce groupe sont compris les diplégiqucs, dont les inlir- m
, plus être que l'objet de soins hygiéniques et doivent former un groupe spécial. Aussi sont-ils réunis et surveillés da
de la cuiller, de la fourchette et du couteau. - Sept enfants de ce groupe sont devenus propres (1) ; 5 ont appris à mange
ocurer à notre personnel enseignant. Les péda- gogues de chacun des groupes spéciaux d'enfants anormaux profiteraient, croy
re de 100 et un nombre égal de la grande école sont divisés en deux groupes . Nous avons fait compo- ser en 1890 par l'impri
renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figurent ceux qui vont tirer au sort et viennen
es les perversions ins- tinctives. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses
ses, valides ou non; - 2° les enfants propres, - et dans les deux groupes , des épileptiques. Enfants idiotes et gâteuses.
de laparole. CXLIX Syllabes simples; Syllabes simples, premier groupe . CL Traitement \IÉDICO-PÉD : 1GOGIQUE. Educ
I CLII Traitement \fÉCIC : O-PI;D1GOGIQLE. Syllabes simples, 3° groupe . ' IDUCaTI01 DE LA PAROLE;. i- 7CLlII CLIV
CO-PÉD.1GOGIQtE. Éducation DE la parole. CLV Syllabes simples, 5e groupe . la lala : lalé lara lé lélé lali léré li l
CLV111 TRAITEMENT IfDICO-PÉDAGOGIQUE, Syllabes muettes 1er et 29 groupes . EDUCATJOX DE LA PAROLE. CLIX cfixi -> T
-> Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE. ... I.. Syllabes complexes 1er groupe . Education DE la parole. CLXI CLXII Traitemen
avoir lieu soit ta Clermont où fonctionne ceservice et où un petit groupe de jeunes filles pourraitulre conduit chaque se
e ou non ; - 2° N. l2 Jxaeclon2atezc.x, ; 3" N. Mongolien. Un autre groupe pourrait être constitué par le nanisme achondro
bre assez considérable de malades appartenant à chacun de ces trois groupes : nous donnerons de chacun d'eux quelques exemp
un degré relative- ment peu prononcé, qu'on pourrait ranger dans le groupe des niais (Sauvages), s'est notablement amélior
ni- ques, offerts par ces malades et qui permettent d'en faire un groupe bien net. L'arrêt de développement de la taille
n, nous nous contenterons, de rapporter une seule observation de ce groupe de nains. ORS. LVII. - Idiotie mongolienne ; tu
50 le poids moyen à son âge. VII. Nanisme diplégique. Il est un groupe de nains que nous ne ferons que men- tionner, c
99 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
e tout aspect guerrier, et l'impression produite par l'individu et le groupe au point de vue du costume de combat en souffre c
re faite, mais peut-être recherchée et espérée, il les divise en deux groupes : 1° faits dont la démonstration, si elle est pos
à trois principes fondamentaux, correspondant à la division en trois groupes , des couleurs essentielles : 1° Le groupe des c
t à la division en trois groupes, des couleurs essentielles : 1° Le groupe des couleurs vibrantes, à effets ascendants, à ac
à effets ascendants, à action gaie — couleurs d'excitation ; 2° Le groupe des couleurs à effets calmes et descendants, à te
mes et descendants, à tendances tristes — couleurs de calme ; 3° Le groupe des couleurs d'équilibre, c'est-à-dire sans actio
En résumé, c'est la coloration rouge qui représente à elle seule le groupe des couleurs d'action vibrante, à excitation. Le
e le groupe des couleurs d'action vibrante, à excitation. Le deuxième groupe , celui qui donne la note dominante de calme, comp
douleur, à l'ombre des sombres cyprès qui surplombent les tombes, des groupes forment des cercles. Au premier rang des hommes,
xagérant le trait qui les caractérise. Pour les archéologues, tout ce groupe de statuettes laides étaient des charges : « l'ar
nais cette figure, c't-st un tel », en citant un nom connu. Mais le groupe pathologique est certainement le plus nombreux, i
politiques, il était facile de mettre en lumière l'ascendant que des groupes d'hommes ont exercé sur d'autres groupes d'hommes
lumière l'ascendant que des groupes d'hommes ont exercé sur d'autres groupes d'hommes. Il serait aussi facile de trouver l'exp
s parallèles, les anneaux et le trapèze. Indépendamment de ces deux groupes classiques, il est un troisième groupe d'exercice
Indépendamment de ces deux groupes classiques, il est un troisième groupe d'exercices que j'appellerai « de fantaisie ». On
Ces exercices sont exécutés soit par des sujets isolés, soit par des groupes de membres ; ce sont, par exemple, des tours de f
uts périlleux, les pyramides, etc. C'est aux mouvements du deuxième groupe que les vrais gymnastes ou les élèves sérieux s'e
lement, dédaignés par les « forts ». Quant aux exercices du troisième groupe , ils sont exceptionnels et réservés à quelques sp
eux qui en ont le moins besoin. Il résulte de là qu'il se forme des groupes faisant presque toujours les mêmes exercices, ceu
le squelette non consolidé des jeunes gens, et ne développent que des groupes déterminés de muscles, toujours les mêmes ; de pl
but bien défini. Elle ne s'attache pas au développement de tel ou tel groupe de muscles ; elle développe tous les muscles égal
r cet observateur « l'hystérie est une maladie mentale appartenant au groupe considérable des maladies par faiblesse, par épui
ermanente et complète de la personnalité, à la formation de plusieurs groupes indépendants les uns des autres ; ces systèmes de
isme originel et ceux qui sont l'expression de la névrose. Au premier groupe appartiendraient la sensation de boule, l'hyperes
our l'exercice de ses fonctions. Le jour où elle serait saisie par un groupe de sujets notables, qualifiés par leur valeur mor
ntendaient par le mot grec despote, un maître de maison, le chef d'un groupe familial. 11 est vrai que chez les anciens l'auto
100 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
quartier des aliénés de l'hospice de Bicêtre sont répartis en trois groupes principaux : 1° Les enfants idiots, gâteux, épi
nts idiots, gâteux, épileptiques ou non, mais invalides. Ce premier groupe est subdivisé en deux catégories. La première s
du traitement l2éclico-Zéclaoicllce, ils passent successivement du groupe des idiots complets dans ceux des idiots profon
a toujours à peu près autant de vertiges. Dès qu'un enfant de ce groupe marche sans aide, il doit être envoyé à la Peti
ent plus être que l'objet de soins hygiéniques et doivent former un groupe it part. Aussi avons-nous obtenu, pour les plus
cuiller, de la fourchette et du couteau. Cinq enfants gâteux de ce groupe sont devenus propres (1) ; 5 ont appris à mange
in Traitement MÉDICO-PÉDAGOGIQUE : résultats. qui, venus du premier groupe , c'est-à-dire des INVALI- DES, étant encore tro
ocurer a notre personnel enseignant. Les péda- gogues de chacun des groupes spéciaux d'enfants anormaux profileraient, croy
enfants de la petite et de la grande écoles ont été conduits, par groupe , il l'Exposition de « l'Enfance à travers (il N
êtes du Mardi- Gras et de la Mi-Carême. Les enfants forment trois groupes : un de la grande école (19 déguisés), un de la
es ressources s'ajoutent quelques dons. Les dépenses pour les trois groupes de l'Asile-école se sont élevées 84 fr. 95, les
renseigner sur leur état mental ou leur situation sociale. Dans ce groupe figurent ceux qui vont tirer au sort et viennen
s les catégories d'enfants idiots. Nous avons, à la Fondation, deux groupes principaux : 1° les enfants idiotes et gâteuses
nts idiotes et gâteuses, 2° les enfants propres, - et dans les deux groupes , des épileptiques. Enfants idiotes et gâteuses.
des classes spéciales comme moyen d'assistance, dans la famille, du groupe important des enfants arriérés (1). En décemb
que l'on consi- dère l'action particulière d'un muscle isolé, ou un groupe de muscles, ou un système musculaire comme celu
de subvenir à leurs principaux besoins. On soustrait de la sorte un groupe important de malheu- reux, malades, aux maisons
ce des épileptiques. CXLI Comment doit-on entendre l'assitancc à ce groupe de malades ? Parlant d'eux dans un Ia.2yo1°t su
tologie pathologique enseigne que dans l'hémiplégie spasmodique les groupes musculaires sont inégalement frappés et que mêm
/ 190