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1 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
à l'étude de la substance blanche et à celle des noyaux de substance grise ; à la constitution et au mode de répartition de c
ivers genres de fibres blanches; l'apparition des noyaux de substance grise , leur développement ou leur effacement progressif
tre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de fibres blanches, la substance grise des circonvolutions et la moelle épinière. Il n
més par deux substances diversement réparties, l'une blanche, l'autre grise , possédant chacune des attributions spéciales et
ons spéciales et des éléments morphologiques différents. La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la
te donc de rechercher quel est le mode de répartition de la substance grise à la surface de l'encéphale, d'étudier la structu
DEUXIÈME PARTIE DESCRIPTION SPÉCIALE — RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE CHAPITRE I. — CERV
Chaque hémisphère est constitué par une écorce onduleuse de substance grise , dessinant un grand nombre de plis et replis, app
ment par des faisceaux de fibres blanches, à deux noyaux de substance grise , principaux centres de l'ac-tivité encéphalique (
res de l'ac-tivité encéphalique (Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau. La substance grise du cerveau compr
Pl. I, 12). article i. substance grise du cerveau. La substance grise du cerveau comprend par conséquent la substance g
La substance grise du cerveau comprend par conséquent la substance grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères et la
ance grise pé-riphérique ou corticale des hémisphères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La substance grise
ères et la substance grise des noyaux centraux. § 1. — La substance grise périphérique du cerveau forme une couche onduleus
seur, repliée régulièrement suivant un plan,constant. Cette substance grise est plus abondante à la partie postérieure qu'en
i-cielle est grisâtre, un peu transparente; la plus profonde est d'un gris rougeâtre bleuté. (1) Voir E. Gavoy, Atlas d'an
étage inférieur du lobe occipital. La zone profonde de la substance grise corticale est formée par des cellules minces sign
hotographie, Pl. A, fig. I). Suivant quelques auteurs, la substance grise des circonvolutions ne serait pas formée d'une co
placées suivant une direction tangente à l'écorce, dans la substance grise qui occupe le fond des sillons ou des scissures.
des sillons ou des scissures. Meynert divise également la substance grise de l'écorce de la pointe du lobe occipital en hui
iformes. Au point de vue de la structure histologique, la substance grise périphérique n'est pas composée des mêmes élément
s chacun d'une gaine très mince et transparente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise forme, d
arente (1). § 2. Substance grise des noyaux centraux — La substance grise forme, dans la masse médullaire du cerveau vers l
que. La couche optique, ou thalamus (Pl. II, 4), est un amas ovoïde gris rougeâtre, constitué par des cellules nerveuses o
Ces deux saillies sont dues à la proéminence de deux petits noyaux gris contenus dans la substance de la couche optique e
M. Luys considère ces tubercules ou noyaux, isolés dans la substance grise de la couche optique, comme des centres de récept
{corpus striatum) (Pl. VI, 4) est une masse ellipsoïdale de substance grise rougeâtre, d'une couleur foncée, de peu de consis
tion du plancher des ventricules latéraux (Pl. XVI, 5). Cette masse grise volumineuse est incomplètement séparée en deux po
ventail vers la base. Ces fibres transversales donnent à la substance grise des segmenls interne et moyen un aspect blanchâtr
t séparée de la tête du corps strié; de petites traînées de substance grise réunissent dans la partie inférieure ces deux por
é-dullaire, en dehors du noyau lenticulaire, une traînée de substance grise , étalée en arrière comme une lamelle verticale de
mètre environ d'épaisseur, qui porte le nom ¥ avant-mur. La substance grise de cette lamelle est formée des mêmes éléments ne
cette lamelle est formée des mêmes éléments nerveux que la substance grise du corps strié, dont elle paraît être une dépenda
ont les conductrices de l'influx nerveux des cellules de la substance grise avec lesquelles elles sont en connexion par leurs
que soit leur ordre, pénètrent suivant un même mode dans la substance grise . Les fibres nerveuses se réunissent en un faiscea
parent, se dissémi-nent isolément et abordent la base de la substance grise corticale. Chaque fibre à ce niveau s'amincit pro
elles atteignent cette couche. Les diverses régions de la substance grise périphérique sont en rapport immédiat l'une avec
uent un système d'association des cellules ner-veuses de la substance grise corticale d'un même hémisphère. Elles unissent un
rficielle de la substance mé-dullaire, vers la limite de la substance grise . Ce système de fibres arciformes, indiqué seuleme
prolongements issus du réseau des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion médiane décrit une anse curviligne
n bas et en dehors, ce sont les fibres commissurantes de la substance grise des hippocampes et des corps godronnés; elles cro
aux opto-striés, pour plonger en faisceaux rayonnes dans la substance grise de ces noyaux. En changeant de direction, ces deu
ibres se juxtaposent en un gros faisceau qui plonge dans la substance grise du corps strié, la séparent en deux segments, le
tique; les fibres s'effilent, s'amincissent, tra-versent la substance grise sous l'aspect de filaments très déliés et s'amort
oyau lenticulaire sous forme de lamelles qui cloisonnent sa substance grise en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les fibres
régions postérieures se détachent de tous les points de la substance grise des circonvolutions postérieures, se portent dire
e les bandelettes optiques, qu'il contourne, passe entre la substance grise du corps genouillé interne et le corpus Luysii, e
ses, qui met également en connexion les divers points de la substance grise périphérique avec le corps strié et le noyau lent
e l'a indiqué Santorini, puis chacun s'enroule autour de la substance grise du tubercule correspondant et s'épanouit dans les
u prend son origine dans les cellules mêmes que renferme la substance grise des tubercules mamillaires. Il est formé par les
ar conséquent le centre antérieur de la couche optique à la substance grise des tubercules mamillaires et, indirectement, aux
corpus candicans) sont donc deux noyaux de ren-forcement de substance grise , recouverts d'une écorce blanchâtre, formée par l
e optique, aborde la base du conarium et s'épanouit dans sa substance grise (Pl. II, 4; XXII, 20). Le conarium, décrit sous
les chez quelques animaux, il est simple chez l'adulte, d'une couleur gris rougeâtre, un peu analogue à la substance cortica
de pinéale; il est constitué par du tissu conjonctif, de la substance grise et des vaisseaux capillaires entourant une petite
ieurs se dirigent en avant en cheminant dans l'épaisseur de la couche grise qui tapisse les parois du ventricule moyen. On le
5). Les pédoncules moyens se portent latéralement dans la substance grise de la couche optique, vers le centre médian. Le
. Chaque lobe cérébelleux est constitué par une écorce de substance grise , reliée par des fibres nerveuses médullaires à un
par des fibres nerveuses médullaires à un noyau central de substance grise . article i. - substance grise du cervelet. La
aires à un noyau central de substance grise. article i. - substance grise du cervelet. La substance grise du cervelet com
nce grise. article i. - substance grise du cervelet. La substance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau, la s
tance grise du cervelet comprend, comme dans le cerveau, la substance grise corticale ou périphérique et la substance grise d
cerveau, la substance grise corticale ou périphérique et la substance grise du noyau central. § I. La substance grise du ce
iphérique et la substance grise du noyau central. § I. La substance grise du cervelet forme à sa périphérie une couche cort
trois couches : La première couche, la plus externe, est la couche grise ou moléculaire; elle contient seulement quelques
tites cellules arrondies, pourvues de prolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise forme en o
rolongements. § %. Substance grise du noyau central. — La substance grise forme en outre à l'intérieur de chaque lobe céréb
qui se comportent, par rapport aux cellules nerveuses de la substance grise , de la même manière que les fibres médullaires de
res se dissocient, s'étalent et pénètrent isolément dans la substance grise . Ces fibres se dépouillent de leur gaine de myéli
. § 3. Les fibres convergentes, issues des cellules de la substance grise corticale, se groupent en un fascicule central au
cule s'accole à celui du foliole voisin et se porte vers la substance grise du corps rhomboïdal ; il suit une direction et un
t en fascicules qui pénètrent dans les anfractuosités de la substance grise ; les fibres se séparent de nouveau, s'épanouissen
de nouveau, s'épanouissent en fibrilles divergentes dans la substance grise , où elles entrent en connexion avec les cellules
rme. article 111. — fibres efférentes cérébelleuses. La substance grise du corps rhomboïdal reçoit, par les anfractuosité
s vient aboutir, sous la forme d'un petit faisceau, dans la substance grise du noyau des cordons grêles (Pl. XXXVII). Les f
sceaux ascendants et vont s'amortir dans les cellules de la substance grise de la protubérance (Pl. VI, 19; XXXVIII, 20; XXXI
t vont s'épanouir dans les cellules d'une agglomération de sub-stance grise décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges
externe des noyaux rouges et va s'amortir dans les amas de substance grise qui con-stituent le corpus Luysii et le locus nig
cérébelleux sont donc en connexion chacun avec un noyau de sub-stance grise appartenant aunévraxe. CHAPITRE III. — NÉVRAXE.
insi que les deux autres segments de l'encéphale, par de la substance grise et par de la substance blanche. Ces éléments ne
éciale et une structure qui leur est propre. article i. — substance grise du névraxe. La substance grise est disposée à l
est propre. article i. — substance grise du névraxe. La substance grise est disposée à l'intérieur du névraxe suivant l'a
minale de la moelle épinière. Dans la moelle épinière, la substance grise est entourée d'une écorce blanche for-mée de fibr
s subdivisent en fascicules de différentes dimensions. La substance grise , que ces cordons entourent comme une coque, occup
ue, de chaque côté de la ligne médiane sous la forme de deux colonnes grises à peu près prismatiques, irré- gulièrement déve
rieure. Son extrémité est revêtue d'une sorte de calotte de substance grise particulière nommée substance gélatineuse de Rola
e entre les sommets des deux colonnes pyramidales forme la commissure grise de la moelle. Sa partie antérieure renferme sur l
elle, en suivant la ligne qui occupe l'axe de la colonne de substance grise . Sa paroi interne est tapissée par une membrane c
vêtue à sa face interne de cellules à cils vibrátiles. La substance grise de la moelle est composée par des cellules nerveu
itués par les cylindres-axes. Ces éléments communs à toute la colonne grise renferment des groupes de cellules particulières
araissent dans le réseau de la substance gé-latineuse. La substance grise donne naissance aux nerfs rachidiens ou spinaux p
système nerveux périphérique. Ce plan morphologique de la substance grise reste le même dans toute l'étendue du névraxe ; s
n dans leur trajet et dans leurs rapports de contiguité; la substance grise refoulée, déplacée, dissociée, subit par suite di
elle apparaît sous l'aspect d'agglomérations et d'îlots de substance grise , disséminés symétriquement de chaque côté du cana
et en dedans. Dans ce mou-vement ils pénétrent à travers la substance grise des cornes antérieures [formation réticulée de De
e des cornes antérieure et postérieure décapitées. Une grosse colonne grise , cons-tituée par la base des cornes antérieures e
entri-cule, c'est-à-dire au niveau du calamus scriptorius. La colonne grise qui entoure le canal central s'étale largement su
parties latérales du bulbe où elle apparaît sous l'aspect d'une tache grise , nommée en anatomie descriptive tubercule cendré
par des coupes successives, on retrouve ces mêmes amas «de substance grise . La base de la corne antérieure se prolonge sur l
ns la protubérance (Microphotographie, PL C, fig. IV). La substance grise centrale se condense ensuite autour de l'aqueduc
parois du ventricule moyen et se termine sous forme de deux lamelles grises qui revêtent la cloison transparente. La substa
lamelles grises qui revêtent la cloison transparente. La substance grise encéphalique du névraxe donne naissance, comme la
mergent de groupes de cellules nerveuses faisant partie d'une colonne grise , ou bien formant un amas isolé, séparé d'une colo
ne colonne grise, ou bien formant un amas isolé, séparé d'une colonne grise . Stilling a désigné le premier ces groupes de cel
gine des nerfs crâniens. — Au-dessus du collet du bulbe, la substance grise , dissociée et réduite en fragments, pénètre dans
lui a fait donner le nom de noyau supérieur du facial. La substance grise présente autour de l'aqueduc de Sylvius une dispo
le pneumogastrique et le glosso-pharyngien. Plus haut, cette colonne grise forme le noyau inférieur du facial et le noyau de
ines bulbaires du trijumeau, à l'extrémité d'une traînée de substance grise qui le rattache au noyau sensitif des nerfs mixte
ro-latéral. Il est constitué par une formation réticulée de substance grise qui s'étend du noyau postérieur de l'hypoglosse s
térale du bulbe, trois ou quatre îlots isolés et accolés de substance grise constituent le noyau inférieur ou noyau propre du
ire du trijumeau, et se continue, par de faibles tractus de substance grise , avec le noyau accessoire de l'hypoglosse. Sa con
ncher du quatrième ventricule ; elle forme, de chaque côté des masses grises appar-tenant à la base delà corne antérieure, de
u. Les noyaux sensitifs des nerfs mixtes forment une petite colonne grise , nettement circonscrite sur les parties latérales
vent, près du bord externe du corps resti-forme, un amas de substance grise présentant histologiquement une grande analogie a
haryngien, on voit une série de fibrilles se détacher de la substance grise du plancher du quatrième ventricule, se réunir en
s restiforme et la racine bulbaire du trijumeau, jusqu'à la substance grise du plancher du quatrième ventricule appelée forma
racines moyennes du trijumeau prennent leur origine dans la substance grise des angles externes de la partie moyenne du planc
nt brun et noir, d'où le nom de substantia ferruginea. La substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius renferme, vers s
se n'est plus apparente au-dessus de cette coupe. § 2. La substance grise de la moelle, qui est demeurée contiguë au canal
diane ; ce sont les tubercules quadrijumeaux. Le noyau de substance grise du tubercule quadrijumeau supérieur est mal limit
45 {* à 90 [/. de diamètre, à prolongements ramifiés. La substance grise se prolonge en avant de l'aqueduc de Sylvius, s'é
e de fibrilles qu'on voit se diriger en dehors à travers la substance grise de la couche optique. A la base du ventricule m
e de la couche optique. A la base du ventricule moyen, la substance grise centrale s'épaissit, constitue une masse cendrée
ents ramifiés. De ce noyau émergent de petites fibrilles, les racines grises optiques, qui gagnent directement le tronc du ner
nt directement le tronc du nerf optique correspondant. La substance grise du septum lucidum donnerait origine, d'après M. L
ires de la base de l'encéphale, il faut ajouter un noyau de substance grise enclavé seulement dans la substance corticale du
M. Luys sous le nom de ganglion olfactif [Y). Cet amas de substance grise a l'aspect d'un îlot du volume d'une noisette, si
; les fibres efférentes sont représentées par le fascicule de racines grises , qui traverse la subs-tance perforée antérieure e
emi-circularis. § 4. En outre des ganglions olfactifs, la substance grise centrale du névraxe donne origine à une autre for
ps genouillés interne et externe. Ces deux petits amas de substance grise sont situés à la région postéro-inférieure des co
photographique des centres nerveux. Paris, 1865. dans la substance grise du tubercule quadrijumeau postérieur, celui du ga
quadrijumeau postérieur, celui du ganglion externe dans la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Pl. XXXVI, 9
rachidiens : 1° une racine antérieure qui s'amortit dans la substance grise corticale du tuber cinereum; 2° une racine postér
ostérieure qui traverse un ganglion et va se rendre dans la substance grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La subst
substance grise centrale des tubercules quadrijumeaux. La substance grise du névraxe forme par conséquent, depuis les régio
ion encéphalique. article ii. - formations accessoires de substance grise . Parmi les petites colonnes dissociées, fragmen
issent dans le bulbe et la protubérance la continuité de la substance grise centrale médullaire, on trouve dans la partie enc
s la partie encéphalique du névraxe de véritables noyaux de substance grise , qui possèdent un système propre de fibres effére
et en dedans de l'olive, on rencontre une lamelle coudée de substance grise de même nature. Cet amas forme le grand noyau pyr
i nomment noyau juxta-olivaire externe la petite lamelle de substance grise , située en arrière et en dehors de l'olive et en
L D, fig. III). A cette formation se rattache le noyau de substance grise qui sépare en haut, l'une de l'autre, les portion
le trajet des fibres du pédoncule cérébelleux inférieur, la substance grise forme une colonne allongée, mince, irrégulière, t
(Microph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la substance grise forme un amas ovoïde considérable dans la partie
artie antérieure de la protubérance. Ce volumineux noyau de substance grise est traversé par des fascicules de fibres dirigée
s qu'il renferme. Il est donc probable que les connexions de cet amas gris sont plus particulièrement intimes avec le cervel
Au-dessus du bord supérieur de la protubérance, un amas de substance grise forme, de chaque côté de la ligne médiane, dans c
3. A ïextrémité supérieure de chaque pédoncule cérébral, la substance grise se réunit en un noyau de couleur rouge-brun, jaun
hile, tourné vers la ligne médiane et un peu en haut. Cette substance grise est composée de petites cellules ovoïdes, jaunâtr
m de bandelette accessoire de lolive supérieure, un amas de substance grise situé dans l'intervalle compris entre l'extrémité
es nerveuses groupées en faisceaux pris-matiques autour de la colonne grise centrale de la moelle subissent une modifi-cation
de l'extrémité postérieure du raphé médian, au-dessus de la substance grise du plancher du quatrième ventricule; un grand nom
s deux cordons laissent entre eux est occupé par un amas de substance grise entrecoupée de fibres transversales, qui s'entre-
trans-versales, se placent entre la portion sensitive et la substance grise du plancher du quatrième ventricule. En s'éleva
dinales sont remplis par des agglomérats ou des traînées de substance grise , que sillonne, traverse, entrecoupe, émiette, un
on croissant. Elle est séparée de la portion motrice par la substance grise du locus niger. Le pédoncule cérébral semble ains
la portion sensitive; il est en con-tact en arrière avec la substance grise de la partie supérieure du plancher du qua-trième
que forme le noyau lenticulaire; une partie pénètre dans cette masse grise et s'étale en éventail, sous l'aspect de filament
er en connexion avec les cellules nerveuses que renferme la substance grise de ces noyaux. Les fibres les plus internes du
ace inférieure de la couche optique, pénètrent à travers la substance grise de cette région et vont se distribuer aux cellule
quatrième ventricule, puis il longe le bord inférieur de la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius, pénètre dans le
et interne, se porte en dehors et en bas, s'immerge dans la substance grise du ventricule moyen sous-jacente à la couche opti
ommissure blanche postérieure, et se perd dans la couche de substance grise qui tapisse le troisième ventricule (PL XXXV11I,
ncules cérébelleux supérieurs. Ces fibres pénètrent dans la substance grise des noyaux en petits filaments parallèles, qui co
se perdent dans le réseau de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la forme d'un faisceau efférent
u segment interne des noyaux jaunes et se distribue dans la substance grise du noyau lenticulaire (Pl. IV, 14, 15, 16; XXVI,
en connexion avec les cellules nerveuses contenues dans sa substance grise et en ressort par la face antéro-externe sous la
eur (Pl. XXVIII), aux cellules nerveuses qui constituent la substance grise de Sœmmering; les fibres efférentes, nées sur la
la direction des fibres spinales antérieures et gagnent la substance grise des noyaux jaunes, dans laquelle ces fibres se di
des noyaux opto-striés du cerveau et le noyau central de la substance grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de fibres
c les fibres congénères du côté opposé et disparaît dans la substance grise qui occupe les interstices. Ces fibres constituen
terstices. Ces fibres constituent un lien immédiat entre la substance grise de la protubérance et les cellules nerveuses du c
pris naissance dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise de la protubérance; elles représentent les fibres
un rapport entre les éléments nerveux du corps strié et la substance grise de la protubérance,déjà d'autre part en connexion
s éléments nerveux de la moelle épinière. Ce gros amas de substance grise donne au névraxe une forme protubérancielle carac
opre, comme les centres nerveux du cerveau. Les colonnes de substance grise qui contiennent le lieu d'origine des nerfs crâni
d'épaisseur. légende explicative Planche A. Fig. I. — Substance grise corticale du cerveau {circonvolution frontale asc
évroglie, vaisseaux capillaires et myélocytes. Fig. II. — Substance grise corticale du cerveau [circonvolution du lobule oc
zone super- ficielle et la zone profonde. Ces couches de substance grise sont formées de cellules arrondies, disséminées d
mmissur antes, unissant les deux bandelettes optiques. d. Substance grise du tuber cinereum. Planche B. Fig. I. — Tuber
er antérieur du trigone. b. Faisceau de Vicq-d'Azyr. c. Substance grise du tubercule, renfermant des cellules fusiformes.
rise du tubercule, renfermant des cellules fusiformes. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen. Fig. II. — Mod
sceau des fibres efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr). c. Substance grise du tubercule mamillaire. d. Substance grise du
d'Azyr). c. Substance grise du tubercule mamillaire. d. Substance grise du plancher du ventricule moyen. Fig. III. — Mo
au de fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Substance grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. — Substance g
b. Substance grise du tubercule mamillaire. Fig. IV. — Substance grise corticale du cervelet. a. Zone profonde ou couc
des de 6 à 9 [/. de diamètre. Planche G. ¦* Fig. I. — Substance grise centrale de la moelle épinière (région dorsale).
). a. Groupes de cellules multipolaires. b. Trame de la substance grise centrale de la moelle épinière. c. Racines anté
pinales. Fig. III. — Cellules multipolaires isolées de la substance grise de la corne antérieure. Ces cellules présentent
l'apparence d'une araignée. Fig. IV. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe (coupe faite immédiateme
iters, due au passage des cordons posté-rieurs à travers la substance grise des cornes antérieures. Planche D. Fig. I. —
nes antérieures. Planche D. Fig. I. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la ré
d noyau pyramidal de Stilling ; sur les côtés apparaît la substance grise de l'olive bulbaire. k. Substance gélatineuse de
use de la corne postérieure. Fig. II. — Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe auniveau de la ré
ramidal de Stilling. h. Portion sensitive des pyramides. i. Noyau gris qui sépare les deux portions sensitives et se pro
Apparition du noyau du pneumogastrique. Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe [coupe au niveau de la r
ssance aux fibres radiculaires. d. Faisceau nerveux. e. Substance grise appartenant à l'acoustique. f. Corps restiforme
se. /. Olive bulbaire. k. Portion motrice des pyramides. /. Noyau gris qui sépare les portions sensitives, s'interpose e
yau moteur du glosso-pharyngien. s. Fibres arciformes. t. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. Fig. IV. —
nce grise du plancher du quatrième ventricule. Fig. IV. — Substance grise de f olive bulbaire. a. Fibres efférentes de la
e bulbaire. a. Fibres efférentes de la face interne de la substance grise de l'olive. b. Fibres afférentes à la face exte
de l'olive. b. Fibres afférentes à la face externe de la substance grise de l'olive, désignées sous le nom de fibres arc
désignées sous le nom de fibres arciformes du bulbe. c. Substance grise de Y olive bulbaire, contenant un grand nombre de
Vers le tiers antérieur de la face interne, on aperçoit une éminence grise , c'est le vestige de la commissure grise antérieu
ne, on aperçoit une éminence grise, c'est le vestige de la commissure grise antérieure qu'on a sectionné en séparant les deux
uche optique se continue en bas et en avant avec un amas de substance grise , appelé tuber cinereum, en rapport avec le chiasm
upporte la glande pituitaire ou hypophyse. En arrière, la substance grise , qui tapisse la face interne de la couche optique
bérance ; ils interceptent entre eux un espace angulaire de substance grise , appelé espace interpédonculaire, espace perforé
s prolongements de substance blanche dans l'intérieur de la substance grise corticale ; disposition qu'on désigne sous le nom
nnulaire ou pont de Varóle montrant, au milieu d'un amas de substance grise , les fibres transversales blanches appartenant au
hidien présentant les fibres arciformes du raphé médian, la substance grise centrale du bulbe (18) et un faisceau blanc à la
-postérieur vers la région externe de l'hémisphère.) La substance grise corticale des circonvolutions de la face interne
le et s'épanouit dans les cellules nerveuses qui forment la substance grise de ce petit noyau, d'où elles émergent ensuite en
la bandelette optique (8, Pl. IV), qui semble sortir de la substance grise du tuber cinereum. La section antéro-postérieur
érieur, qui se présentent sous l'aspect de deux noyaux de substance grise ; le premier prend le nom de centre antérieur et
en arrière du centre postérieur est la glande pinéale et la substance grise des tubercules quadrijumeaux ; entre les tubercul
croise-ment sur la ligne médiane. En avant et en bas est la substance grise du locus niger, qui recouvre une couche de substa
. La protubérance annulaire a la forme d'un noyau ovoïde de substance grise , traversé horizontalement et verticalement par de
nt par le bord externe des tubercules mamillaires. 1. — Substance grise corticale des circonvolutions, circonscrivant de
x lobulus cunéiforme, extremus de Ecker et lingualis, cette substance grise est parcourue par un petit liséré blanc nommé rub
téraux et la coupe du pilier posté-rieur du trigone. 5. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié, forma
plan inférieur des pédoncules cérébraux, recouvertes par la substance grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. — Substan
a substance grise du locus niger de Sœmmering (19). 20. — Substance grise de la protubérance, sillonnée par les fibres tran
culaires des nerfs moteurs oculaires externes (21). 23. — Substance grise de Votive bulbaire en rapport avec les fibres spi
la section des pyramides postérieures (24). En avant est la substance grise centrale qui se continue avec la substance grise
ant est la substance grise centrale qui se continue avec la substance grise du plancher du quatrième ventricule (26). 27. —
nce grise du plancher du quatrième ventricule (26). 27. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux. En avant apparaît u
; elle met à découvert dans le cerveau la disposition de la substance grise corticale, des fibres de la substance médullaire,
on bord supé-rieur et s'épanouissent dans l'intérieur de la substance grise du noyau intraventricu-laire en filaments blancs
res blanches d'une autre source qui vont s'atténuer dans la substance grise de ces noyaux. La protubérance annulaire conser
La protubérance annulaire conserve sa forme en noyau. Sa substance grise est traversée verticalement parles fibres spinale
pédoncule cérébral, des fibres spinales antérieures par la substance grise du locus niger. Dans le bulbe la substance grise
res par la substance grise du locus niger. Dans le bulbe la substance grise de l'olive s'interpose également entre ces deux o
s'interpose également entre ces deux ordres de fibres. La substance grise centrale du bulbe se continue nettement à ce nive
centrale du bulbe se continue nettement à ce niveau avec la substance grise du plancher du quatrième ventricule et celle qui
médullaire, la présence d'un noyau formé par une lamelle de substance grise , plissée en zigzag, circonscri-vant un espace ovo
rmédiaire de la couche optique et du corps strié. 1. — La substance grise corticale circonscrit la substance médullaire des
a couche optique, sous le nom de bandelette géminée. 4. — Substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié, s'eff
— Faisceau des fibres spinales antérieures émergeant de la substance grise de la protubérance annulaire (16); il se dirige e
n haut, en avant du locus niger, et va s'épanouir dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié. 17.
au intraventriculaire du corps strié. 17. — Section de la substance grise corticale et des fibres convergentes médul-laires
au bourrelet par son bord interne (fibres de la lyre). La substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié (4, Pl
. Les fibres convergentes pénètrent en serpentant dans la substance grise de la couche optique; elles s'épanouissent dans l
ier vestige du noyau rouge de Stilling(ll, Pl. VI) et de la substance grise de Sœmmering (13, Pl. VI). Les fibres spinales
convergente des fibres de la subs-tance médullaire vers la substance grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un gros fa
pour constituer les fibres transversales qui dissocient la substance grise de la protubérance. Ces trois groupes de fibres c
antérieure de la corne d'Ammon ou grand hippo-campe, et la substance grise du ganglion olfactif. Au-dessus est la coupe de l
sorte que la substance blanche se trouve envoloppée par la substance grise . En avant de l'ex-trémité antérieure de la corne
avant de l'ex-trémité antérieure de la corne d'Ammon est la substance grise du ganglion olfactif (7) ou noyau amygdalien (nuc
noyau amygdalien (nucleus amygdaleus de Mandelkern). 8. — Substance grise du noyau intra ventriculaire se terminant en arri
férieures (9) traversent sa masse et la séparent (10) de la substance grise du noyau lenticulaire, dont on aperçoit ici les d
e mode de péné-tration (15) des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique, atteignant les segments ext
u centre postérieur (17). Entre ces deux noyaux apparaît la substance grise du corps genouillé interne (18). 19. — Section
illimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme, à la périphérie de la coupe, une
lles du lobule orbitaire se portent (9 et 10, Pl. VIII) vers la masse grise du corps strié et vont participer à la formation
d'Ammon ou hippocampe, séparée, par un petit sillon, de la substance grise du ganglion olfactif. La voûte que forme le cor
postérieure; à son extrémité antérieure est la coupe de la substance grise de l'hippocampe et du pi-lier postérieur du trigo
rne frontale descend moins bas et est presque effacée. La substance grise du noyau intra-ventriculaire est réduite à sa por
couche optique et se dirigent vers le centre postérieur. La substance grise du corps genouillé interne (18, Pl. VIII) montre
térieure passant par le bord externe du noyau caudé. 1. — Substance grise corticale des circonvolutions. Les fibres converg
ratiolet ou fibres cortico-thalamiques postérieures. 5. — Substance grise du noyau caudé, s'étendant en arrière jusqu'au pr
prolonge-ment occipital de la cavité ventriculaire. 6. — Substance grise du noyau extra-ventriculaire, ou lenticulaire du
n rapport avec les corps genouillés. La section traverse la substance grise du corps genouillé interne (9). En avant est la c
Section de la commissure blanche antérieure au niveau de la substance grise du noyau lenticulaire. 12. — Dernier vestige de
occipitale. A l'entrée du diverticulum est la section de la substance grise de l'hippocampe et du pilier du trigone. L'extrém
me, présente sa coupe plus bas (13). Elle est contiguë à la substance grise du ganglion olfactif (14), qui reçoit les fibres
. 16.— La section du lobe latéral du cervelet comprend la substance grise corticale et les faisceaux de fibres médullaires
illimètre d'épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale entoure les circonvolutions; quelques t
nom de pied de la couronne rayonnante, pes ou crusta. La substance grise du noyau lenticulaire du corps strié apparaît div
a région postérieure de la masse ganglionnaire centrale. La substance grise du corps genouillé externe, qui semble au premier
sée, ainsi que l'indique cette coupe longitudinale, dont la substance grise entoure la substance blanche. Le bord supérieur e
En avant de la corne d'Ammon, séparée par un sillon, est la substance grise du ganglion olfactif (14, Pl. X). Les fibres radi
re et ses ramifications très déliées dans l'intérieur de la substance grise corticale. XII. — Coupe verticale antéro-postér
niveau de la région moyenne du noyau lenticulaire. I. — Substance grise corticale de l'hémisphère. Le centre médullaire e
ieure. Ces divers ordres de fibres convergentes abordent la substance grise des noyaux opto-striés suivant le sens de la marc
itu-dinale de la portion antérieure de la corne d'Ammon. La substance grise de l'hippo-campe est revêtue d'une écorce de subs
intérieur également une couche de substance blanche. Cette substance grise est pénétrée par les filaments blancs appartenant
ancs appartenant au pilier postérieur du trigone. 8. — La substance grise du ganglion olfactif offre des dimensions moins é
culaires externes du nerf olfactif (10). II. — Traînée de substance grise appartenant au corps strié, désignée sous le nom
. 13. — Section des artères lenticulo-striées. 14. — La substance grise du segment externe du noyau lenticulaire et du se
illimètre d épaisseur, faite en dehors du plan médian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la subst
ors du plan médian. La substance grise corticale forme des traînées grises dans la substance médullaire. Elles sont dues aux
pparaît la section de la partie antérieure et interne de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La substance
la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe. La substance grise du corps strié est réduite au segment externe du
la substance médullaire dans l'épaisseur des lamelles de la substance grise corticale et leur mode de division dichotomique.
rps calleux vers la base du cerveau.) 1. — La couche de substance grise corticale des deux hémisphères, placés dans leur
hénoïdal pórtele nom de corne sphénoïdale, ou tapetum. La substance grise corticale des régions postérieures et internes es
vergentes des régions moyennes du cerveau pénétrant dans la substance grise du noyau intra-ventriculaire (5) du corps strié.
ntra-ventriculaire (5) du corps strié. 5. — Section de la substance grise du noyau intra-ventriculaire ou caudé, montrant l
nvergentes de ces mêmes régions. 11. — Liséré blanc de la substance grise corticale, désigné sous le nom de ruban de Vicq d
faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale décrit de nombreux replis autour de la
t de nombreux replis autour de la substance médullaire; deux traînées grises s'annoncent dans l'intérieur; elles appartiennent
vers les noyaux opto-striés. Elles ont pénétré à travers la substance grise du noyau intra-ventriculaire jusqu'au bord extern
cordon, nommé pilier antérieur du trigone, pénètre dans la substance grise de la couche optique et va aboutir aux tuber-cule
se termine dans les cellules nerveuses que renferme leur iuibsiiîuce grise . Les bords latéraux dutrigone sont en rapport a
ue. A travers l'écartement de ces faisceaux, on aperçoit la substance grise du noyau lenticulaire du corps strié. 7. — Fibr
ant vers la région postérieure de la couche optique. 8. — Substance grise de la couche optique pénétrée par des filaments b
nt et en bas. Ces lamelles sont recouvertes d'une couche de substance grise sur leurs deux faces : celle qui est en rapport a
n extrémité antérieure est en rapport avec un petit amas de substance grise , qui appartient à la portion terminale du noyau c
base du cerveau. La multiplicité de replis que décrit la substance grise corticale montre que la super-ficie de cette subs
a section qui met à découvert une plus grande portion de la substance grise du noyau lenticulaire que l'on aperçoit sur la co
es. Les fibres convergentes antérieures pénètrent dans la substance grise du corps strié, qu'elles divisent en noyau intra-
ues ont déjà détaché le noyau caudé du reste de la masse de substance grise . Les fibres convergentes sectionnent par conséque
ise. Les fibres convergentes sectionnent par conséquent la sub-stance grise du corps strié suivant deux plans, l'un antéro-po
t à la région postérieure de la capsule interne. Entre la substance grise des circonvolutions de l'insula et le noyau lenti
l'insula et le noyau lenticulaire ap-paraît une traînée de substance grise , appartenant au corps strié, appelée avant-mur; e
ance innominée. Gavoy. — Encéphale. 12 La section de la substance grise de la couche optique montre le mode de pénétra-ti
n avant la coupe des piliers antérieurs du trigone et de la substance grise du septum lucidum et, en arrière, celle des pilie
es lobes postérieurs comprennent entre eux la section de la substance grise corticale du vermis superior. On remarque la prés
or. On remarque la présence du ruban de Vicq d'Azyr dans la substance grise des lobes occipitaux. XX. — Coupe horizontale a
onvergentes antérieures, cortico-striées, pénétrant dans la substance grise du corps strié et concourant à la formation de la
ion du faisceau de fibres blanches, intermédiaire aux deux substances grises , est appelée région lenticulo-thalamique de la ca
t séparé des circonvolutions de l'insula par une traînée de substance grise , l'avant-mur (3), qui appartient au corps strié.
ité des ventricules latéraux est recouverte d'une couche de substance grise . Ces lamelles de substance blanche adhérent au co
r, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant chacun des hémisphères ;
utions de l'insula décrivent dans la substance médullaire une traînée grise à trois ou quatre dentelures. En dedans est la su
raînée grise à trois ou quatre dentelures. En dedans est la substance grise de l'avant-mur, qui n'a aucun contact dans toute
fibres pénètrent sous la forme de petits filaments dans la substance grise de ces noyaux; le centre antérieur présente des d
antérieure est le tœnia semi-circularis qui le sépare de la substance grise du noyau intra-ventriculaire. A égale distance à
. Fibres commissurantes pos-térieures. 3. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe, et des piliers
dirige en dedans, vers la paroi du ventricule moyen. 9. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié. 10
grise du noyau intra-ventriculaire de corps strié. 10. — Substance grise du segment externe du noyau extra-ventriculaire d
et s'épanouissent en filaments fins et très déliés dans la substance grise des trois segments : 13. —Avant-mur, dissocié p
ux feuillets de la toile choroïdienne, constituée par de la substance grise à la surface, du tissu connectif et des vaisseaux
antérieurs ou supé-rieurs cheminent dans l'épaisseur de la substance grise qui tapisse la paroi du ven-tricule moyen (4, Pl.
e cérébrale de Bichat. Ils sont constitués par une masse de substance grise , recouverte d'une écorce de substance blanche. Il
. 22. — Sections des piliers antérieurs du trigone, de la substance grise et des la-melles (23) qui forment la cavité de la
ion transversale de fibres commissurantes ; la masse de la sub-stance grise corticale est beaucoup plus grande que celle de l
faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale des circonvolutions pénètre dans la sci
ésente ses trois segments : le segment externe formé par la substance grise , le segment moyen et le segment interne consti-tu
tubercules quadrijumeaux antérieurs comprenant entre eux la substance grise de la valvule de Vieussens. Un faisceau blanc rel
tiques ou pulvinar. Gavoy.— Encéphale. ^ La coupe de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe montre le mode
corps frangé, corps bordant ou bordé, forme la fimbria. La substance grise remplit l'espace compris par l'enroulement de l'é
fibres convergentes antérieures divisant en deux noyaux la substance grise du corps strié. 4. — Faisceau formant la capsul
de contact avec la face externe du noyau lenticulaire et la substance grise de Pavant-mur (9). 5. — Section transversale de
é-rieures. 11 s'étend, en arrière du centre médian, vers la substance grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise du noya
e médian, vers la substance grise centrale de l'axe. 7. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire du corps strié, parc
du centre médian. Les fibres convergentes pénètrent dans la substance grise de la couche optique sous l'aspect de fibrilles e
isceaux qui forment le genou de la capsule interne. 15. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs. Au cent
l'aqueduc de Sylvius (16), qui se continue en avant avec la substance grise des parois du ventricule moyen (17) jusqu'aux pil
tion de la bandelette optique. En dehors est la coupe de la substance grise du corps genouillé externe, traversée obliquement
quadrijumeaux postérieurs ; les fibres optiques ont dans sa substance grise une direction presque horizontale, qui diffère pa
elle qu'on observe dans le corps genouillé externe. 19. — Substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans la cavité
es dans la cavité des ventricules latéraux. En avant est la substance grise et la cavité de la cloison transpa-rente (21).
r\ faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant les deux hémisphères, et
rps calleux. Ces deux prolongements bordent latéralement la substance grise de Y espace perforé antérieur, correspondant à la
don grisâtre, la commissure blanche antérieure limite cette substance grise . Les fibres convergentes des régions antérieure
ment quelques fascicules isolés, séparant incomplètement la substance grise du corps strié. Les fibres convergentes des régio
fibres radiculaires des nerfs pathétiques. En avant est la substance grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius et des parois
piliers antérieurs du trigone, après leur immersion dans la substance grise . Le corps strié occupe seul la région centrale
enouillés externe et interne. Au-dessous est la coupe de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier pos
or. Dans l'intérieur de la substance médullaire apparaît la substance grise plissée nommée corps rhomboidal. XXVI. — Coupe
des régions antérieures et inférieures se dirigeant vers la substance grise du corps strié. Quelques fascicules isolés occupe
fins, qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses de la substance grise et jaune du corps strié. 10. — Avant-mur. Cette
t jaune du corps strié. 10. — Avant-mur. Cette traînée de substance grise appartient au corps strié. Elle n'a aucun contact
e appartient au corps strié. Elle n'a aucun contact avec la substance grise des circonvolutions de l'insula. Elle est disso-c
de Stilling, de forme sphérique, constitués par un amas de substance grise . Ces noyaux présentent un hile tourné en haut ver
elles s'enroulent autour du noyau rouge, pénètrent dans sa substance grise , où elles s'amortissent dans les cellules nerveus
ssent dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. — Substance grise centrale étalée sur les parois du ventricule moye
le des piliers antérieurs du trigone dans l'intérieur de la substance grise . 20. — Section transversale de la partie supéri
te commissure. 21. — Section de la bandelette optique. La substance grise du corps genouillé interne est réduite à une très
rps genouillé externe est encore assez volumineuse. 22. — Substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) et du pilier pos
Les fibres médullaires convergent, de la face interne de la substance grise corticale des lamelles, vers la face externe du c
r, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire.
nvergentes pénètrent par quelques fascicules isolés dans la substance grise du corps strié. Le faisceau qui forme la capsule
corne sphénoïdale se continue et présente la section de la substance grise de la corne d'Ammon ou grand hippocampe et du pil
opposé. Ce fais-ceau ne contracte, dans son trajet dans la substance grise du corps strié, aucun rapport fibrillaire. Sur ce
les lobes sphénoïdaux (plus nette en 10', Pl. XXVIII). La substance grise du locus niger de Sœmmering a fait son apparition
dans. La disposition de cette membrane rappelle celle de la substance grise corticale autour des circonvolutions, des sillons
but paraît d'augmenter considérablement la superficie de la substance grise , c'est-à-dire la quantité des éléments nerveux.
ires des nerfs moteurs oculaires externes ; en avant est la substance grise du plancher de l'aqueduc de Sylvius. XXVIII. —
tes des régions antérieures et inférieures envoyant dans la substance grise du corps strié des fascicules fins isolés. 4. —
ales, dissociant, avec les fibres de la capsule externe, la substance grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de fibres converge
rêles. 9. — Section des bandelettes optiques, montrant la substance grise du corps genouillé externe. Ces bandelettes embra
ge inférieur des pédoncules cérébraux (pes, crusta). 12. — Sustance grise du locus niger de Sœmmering. En arrière est le fa
appartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 16. — Substance grise centrale tapissant les parois du ventricule moyen
. 18 — Section des piliers antérieurs du. trigone dans la substance grise . 19. — Section de la substance grise de la corn
du. trigone dans la substance grise. 19. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe dans l'intérieu
r, faite des régions supérieures vers la base du cerveau. Substance grise corticale circonscrivant la substance médullaire
. Les fibres convergentes envoient quelques fibres dans la sub-stance grise du corps strié. Les fibres commissurantes du lobe
ure. Les fibres arciformes occipito-frontales dissocient la substance grise de l'avant-mur et mettent en connexion le lobe fr
e optique (9, Pl. XXVIII), portant le dernier vestige de la substance grise du corps genouillé externe. En dehors apparaît la
des fibres du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa substance grise . Ce ganglion, du volume d'une noisette, est formé
anglion, du volume d'une noisette, est formé par un amas de substance grise enclavée chez l'homme dans la portion arrondie du
res spinales anté-rieures ou étage inférieur, séparé par la substance grise du locus niger des fibres spinales postérieures o
Pl. XXX). Entre ces deux segments est le raphé médian, la substance grise centrale de Taxe, qui se continue avec celle du p
A l'intérieur apparaît le corps rhomboidal, recevant de la substance grise corticale les fibres afférentes, émettant de sa f
En dehors du corps strié, apparaît le dernier vestige de la substance grise de l'avant-mur, dissociée par diverses fibres.
interne des fibres spinales antérieures, en contournant la sub-stance grise du plancher du ventricule moyen. 7. — Section d
e en avant des pédoncules cérébraux (voir Pl. XXIX). 8. — Substance grise du ganglion olfactif. En dehors est le dernier ve
u ganglion olfactif. En dehors est le dernier vestige de la substance grise de l'avant-mur ; elle est dissociée, comme la por
9. — Fibres du taenia semi-circularis à leur sortie de la substance grise du ganglion olfactif, elles se groupent en un fai
campe dans la cavité sphénoïdale. Un sillon la sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise cen
sépare de la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise centrale du plancher du ventricule moyen, le tube
des fibres spinales antérieures, allant s'épanouir dans la substance grise du corps strié. 15. — Substance grise du locus
s'épanouir dans la substance grise du corps strié. 15. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 16. — Fibres spina
nt à la région antérieure des pédoncules cérébraux. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. — Substance grise centra
rébraux. 18. — Substance grise interpédonculaire. 19. — Substance grise centrale du névraxe. 20. — Cavité du quatrième
rvelet. Les fibres convergentes se portent de la base de la substance grise corticale à la périphérie du corps rhomboidal (23
faite des régions supérieures vers la base du cerveau. La substance grise corticale circonscrit de toutes parts les deux lo
ïdaux elles se portent en avant, en dedans et en haut. La substance grise du corps strié est complètement détachée. On ne t
s strié est complètement détachée. On ne trouve plus que la substance grise du ganglion olfactif et celle de la corne d'Ammon
issent Tune à l'autre sur la ligne médiane. En avant est la substance grise de l'espace perforé anté-rieur, en arrière le tub
rme le ventricule moyen. Ils sont constitués par un amas de substance grise , recouvert d'une écorce de substance blanche, for
suite s'amortir dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise ; ces fibres émergent des cellules, se rapprochen
oïdal; elles se dirigent directement en avant, entourent la substance grise de la protubérance annulaire, pénètrent dans sa
puis cette coupe est renversée sur sa face supérieure. La substance grise corticale décrit, dans la substance médullaire de
atique et triangulaire, formé par les fibres radiculaires blanches et grises . Il occupe la cavité de la scissure olfactive.
XLVII). 5. — Tuber cinereum ou corps cendré. Cet amas de substance grise forme le plancher du ventricule moyen ; il consti
le moyen ; il constitue la portion la plus antérieure de la substance grise centrale de l'axe cérébro-spinal ounévraxe. 6.
aire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. Cette lamelle de substance grise appartient au plancher du ventricule moyen et fai
ncher du ventricule moyen et fait partie constituante de la substance grise du névraxe. 8. — Tronc des nerfs moteurs oculai
inférieure des pédoncules cérébraux. 11. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon (hippocampe) à l'extré-mité l
antérieure de la cavité sphénoïdale. 12. — Vestiges de la substance grise du ganglion olfactif. 13. — Fibres des pédoncul
. — Fibres des pédoncules cérébelleux moyens, dissociant la substance grise de la protubérance annulaire ; elles s'entre-croi
se répandant sur le plancher du quatrième ventricule. 16. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. 17. — Fibr
te les plis, les ondulations et les lamelles formés par la sub-stance grise corticale cérébrale et cérébelleuse. Le centre
s se dissocient. Les fibres convergentes se portent dans la substance grise des noyaux opto-striés ; celles des régions posté
nt. La coupe du cervelet présente une couche corticale de substance grise entourant les fibres nerveuses qui constituent le
t formé de fibres convergentes qui partent de la base de la substance grise corticale et vont aboutir à la face externe du co
ur la série de planches horizontales), 6. — Section de la substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou hippo
atéraux du cervelet. La substance médullaire envoie dans la substance grise corticale des prolongements qui se subdivisent di
arbre de vie. Les fibres médullaires, nées de la base de la substance grise , se portent sur la face externe du corps rhomboïd
ncher du quatrième ventricule est formée par une couche de sub-stance grise en continuité avec la substance grise centrale du
ée par une couche de sub-stance grise en continuité avec la substance grise centrale du bulbe et de la moelle ; elle repose e
erf facial. En dehors de cette colonne grisâtre est une autre colonne grise , plus large en bas qu'en haut, en rapport avec le
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure les centres médullaires, pénètr
sectionnées sur les bords de la cavité ventriculaire. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est sectionnée
ette valvule est formée par une mince lamelle de substance blanche et grise , tendue entre les deux pédoncules cérébelleux sup
écédente). Les fibres nerveuses convergent de la base de la substance grise corticale vers le centre, puis se groupent pour c
mus scriptorius, est atteint par la section; elle montre la substance grise des pyramides postérieures (16, Pl. XXXIV) appelé
face supérieure de la couche optique. 5. — Section de la substance grise de la corne d'Ammon et du pilier postérieur du tr
qui sépare les tubercules quadrijumeaux antérieurs. 8. — Substance grise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates).
rise des tubercules quadrijumeaux antérieurs (nates). 9. —Substance grise des tubercules quadrijumeaux postérieurs (testes)
nt jusqu'au corps genouillé interne, où il aboutit. 10. — Substance grise de la valvule de Vieussens, enclavée entre les tu
elet. Les ramuscules et les rameaux, issus de la base de la substance grise corticale, se réunissent en un faisceau de fibres
s cordons médians postérieurs, limités sur les côtés par la substance grise centrale du bulbe (17). XXXVII. — Encéphale don
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale revêt de toute part le centre médullair
t sectionnées au niveau de leur point de dissociation. La substance grise de la circonvolution de la corne d'Ammon ou hippo
e la couche optique et le bord externe du corps calleux. La substance grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'un pet
tance grise du noyau caudé se présente sous l'aspect d'un petit noyau gris au bord externe de la cavité des ventri-cules lat
e la cavité des ventri-cules latéraux ; il est séparé de la substance grise de la couche optique par la section des fibres du
chaux. L'entrée de l'aqueduc de Sylvius apparaît entre la substance grise des tubercules qua-drijumeaux. Au-dessous est le
des nerfs moteurs oculaires communs. Plus en dehors est une colonne grise de laquelle naissent les nerfs mixtes de l'en-cép
tite colonne blanchâtre, très nette, dessinant un V dans Ja substance grise centrale. Les fibres des cordons médians postér
s fibres des cordons médians postérieurs se perdent, au delà du noyau gris des pyramides postérieures, dans le groupe des fi
érieurs ; sur le bord externe des pyramides postérieures est le noyau gris des corps restiformes. La section du centre méd
issent. 5. — Fibres arciformes occipito-frontales. 6. — Substance grise de la corne d'Amnion ou hippocampe dans le divert
mnion ou hippocampe dans le diverticulum sphenoidal. 7. — Substance grise des corps genouillés externe et interne. L'extern
bord externe de la cavité des ventricules latéraux. 9. — Substance grise du noyau lenticulaire aperçue à travers l'écartem
blancs (habenœ) qui se rendent à la glande pinéale. 15. — Substance grise prolongeant celle qui entoure l'aqueduc de Sylviu
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale, après avoir circonscrit la périphérie
en dedans et laissent apercevoir entre leurs faisceaux la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les fibres convergentes du
eau appelé capsule interne; elles pénètrent ensuite dans la substance grise de la couche optique, sous forme de petits filame
périeurs, après leur entre-croisement au raphé médian. La substance grise du locus niger de Sœmmering fait son apparition.
s fibres spinales postérieures, qui descendent à travers la substance grise de la protubérance annulaire et les fibres transv
ns latéraux de la moelle ; ils sont séparés par un noyau de substance grise , situé sur les côtés du raphé. Volive bulbaire oc
ibres convergentes, après être entrées en connexion avec la substance grise du corps rhom-boïdal, en sortent en formant trois
raversent, sillonnent horizontalement la protubérance et la substance grise qu'elle renferme et s'entrelacent sur la ligne mé
tes la région lenticulo-optique delà capsule interne. 5. —Substance grise du noyau lenticulaire ouputamen, séparée de Pavan
bres qui forme la capsule externe (7). 8. — Section de la substance grise du corps genouillé externe. La substance grise du
ection de la substance grise du corps genouillé externe. La substance grise du corps genouillé interne, qui s'étend moins loi
ntra-ventriculaire du trigone, bande-lettes géminées. 16. Substance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des
yaux d'origine des nerfs moteurs oculaires communs. 18. — Substance grise des noyaux rouges de Stilling. Les fibres afféren
ui pénètre dans la capsule interne et va s'épanouir dans la substance grise du noyau lenticulaire et celle du corps strié.
uses. 21. —Corpus Luysii (bandelette accessoire). 22. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 23. — Fibres spina
es se portant dans la capsule interne pour pénétrer dans la substance grise de la couche optique. 24. — Section de la régio
upes précédentes. Ces fibres parcourent transversalement la substance grise de la protubérance en croisant les fibres ascenda
isement. Elles sont séparées supérieurement par un noyau de substance grise . 26. — Substance blanche corticale qui entoure
s antérieur et supérieur. 29. — Cornes postérieures de la substance grise centrale de la moelle. 30. — Olives bulbaires.
érébelleux inférieurs. Sur cette coupe apparaît une lame de substance grise , située entre l'olive et la portion sensitive des
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale circonscrit les fibres médullaires ; el
tions de l'insula, adossée dans la scissure de Sylvius à la substance grise des circonvolutions qui constituent la lèvre supé
re supérieure et la lèvre infé-rieure de cette scissure. La substance grise de la corne d'Ammon ou hippocampe est sectionnée
veuses du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de la substance grise du locus niger sont les faisceaux des fibres spin
postérieures ; elles se terminent en pointe effilée dans la substance grise de la protu-bérance que traversent les fibres des
ent ; les fibres etTérentes du corps olivaire traversent sa substance grise pour gagner sur la ligne médiane les fibres homol
ntes des régions externes et supérieures, plongeant dans la substance grise du corps strié, qu'elles divisent pour former la
sac qui clôt la cavité sphénoïdale. 5. — Apparition de la substance grise du ganglion olfactif. 6. — Section de la bandel
tif. 6. — Section de la bandelette optique en avant de la substance grise des corps genouillés. 7. — Substance grise du n
en avant de la substance grise des corps genouillés. 7. — Substance grise du noyau lenticulaire, présentant ses trois segme
pénétration des fibres convergentes dans l'intérieur de la substance grise de la couche optique. 11. — Centre antérieur de
ii (bandelette accessoire). 17. — Derniers vestiges de la substance grise du locus niger de Sœmmerin'g. 18. — Section de
le dans l'épaisseur des parois du ventricule moyen. 20. — Substance grise interpédonculaire ou substance perforée de Vicq-d
dans la couche optique ; elles se terminent en bas dans la substance grise de la protubérance annulaire. Ce renflement, appe
nt, appelé aussi pont de Varole, est composé par un amas de substance grise que dissocie un groupe de fibres transversales et
antérieurs et des cordons postérieurs de la moelle. 26. — Substance grise centrale de la moelle (cornes postérieures). 27
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe la substance blanche, et donn
igent vers la capsule interne, puis se répartissent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La substance grise de l
issent dans la substance grise des noyaux opto-striés. La substance grise de la corne d'Ammon est épuisée par les coupes su
uve, dans la région du lobe sphénoïdal qu'elle occupait, la substance grise du ganglion olfactif. Les fibres olfactives radic
es cérébelleuses qui traversent les derniers vestiges de la substance grise de Sœmmering. La substance grise interpédonculair
es derniers vestiges de la substance grise de Sœmmering. La substance grise interpédonculaire occupe la ligne médiane au-dess
pour gagner les trois segments du noyau lenticulaire et la substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la subst
substance grise du noyau caudé. Ces faisceaux traversent la substance grise de la protubérance annulaire, croi-sent les fibre
appliquée contre les pyramides antérieures. La membrane de substance grise est réduite à quelques replis dans lesquels abord
des arcades dans le noyau lenticulaire, serpentent dans la substance grise de la couche optique. 4. — Fibres convergentes
ant vers la région inférieure de la capsule interne. h\ — Substance grise de l'avant-mur, dissociée par les faisceaux de fi
— Fibres olfactives radiculaires externes pénétrant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise du
trant dans la substance grise du ganglion olfactif. 11. — Substance grise du noyau caudé, dans le plancher du bord externe
14. — Mode de pénétration des fibres convergentes dans la substance grise de la couche optique. 15. — Centre antérieur, s
III). Ils mettent en connexion les cellules nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses d
grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses de la substance grise des tubercules mamillaires. 18. — Faisceau anté
essous du ventricule moyen, sont constituées par un amas de substance grise , entourée d'une écorce de substance blanche, form
antérieurs du trigone avant leur épanouissement dans cette substance grise . 20. —Substance grise centrale, tuber cinereum.
vant leur épanouissement dans cette substance grise. 20. —Substance grise centrale, tuber cinereum. 21. — Fibres spinales
eum. 21. — Fibres spinales antérieures se portant dans la substance grise du noyau caudé et du noyau lenticulaire. Un fasci
laire. Un fascicule traverse la capsule interne et gagne la substance grise corticale du lobe frontal (voir Pl. VII). Les fib
nsversales des pédoncules cérébelleux moyens dissociant la sub-stance grise de la protubérance annulaire. Elles croisent perp
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale forme autour du centre médullaire une s
XX). Les fibres convergentes antérieures pénè-trent dans la substance grise du noyau caudé, du noyau lenticulaire et delà cou
une écorce de substance blanche entourant un petit amas de substance grise , traversée de fibrilles blanches. Les bandelettes
s radiculaires externes, traversent la région externe de la substance grise des ganglions olfactifs (10 PL XLIV). La protub
représentée par son segment antérieur ; il est com-posé de substance grise sillonnée de fibres transversales appartenant aux
. XX), croisant la direction des fibres précédentes. 5. — Substance grise de l'avant-mur. 6. — Fibres qui composent la ca
de la commissure blanche antérieure, en con-tiguïté avec la substance grise du noyau lenticulaire. 9. — Noyau lenticulaire
inal antérieur, qui se terminent en pointe effilée. 10. — Substance grise du noyau caudé; occupant le plancher de la cavité
ieur recevant les fibres du taenia semi-circularis. 15. — Substance grise des parois du ventricule moyen où vont s'amortir
pes de fibrilles, issues des faisceaux convergents. 16. — Substance grise du tuber cinereum ou corps cendré. 17. — Sectio
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale entoure le centre médullaire, s'enfonce
rieure du centre antérieur ; elle est limitée en bas par la substance grise centrale qui forme le plancher du ventricule moye
one, qui plongent en bas, dans la couche optique et dans la substance grise centrale du plancher du ventricule moyen où ils s
en où ils sont atteints par la section (17, Pl. XLVI). La substance grise du ganglion olfactif est réduite à une couehe ext
voir Pl. X). 5. — Fascicule de la capsule externe. 6. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par le faisceau de fibre
t et s'épuisent en pointe effilée dans leurs masses. 9. — Substance grise du noyau eau dé du corps strié. Elle occupe presq
aux. 10. — Centre antérieur de la couche optique. 11. — Substance grise du plancher du ventricule moyen. 12. — Section
— Section des lamelles de la cloison transparente et de la substance grise qui les recouvre. 13. — Section des piliers ant
régions postérieures vei^s le genou du corps calleux. La substance grise corlicale circonscrit chacun des hémisphères et l
ituent; ses rapports avec le putamen, les noyaux jaunes, la substance grise du quatrième ventricule et les piliers antérieurs
deux ordres de fibrilles blanches : les unes émergent de la substance grise centrale, ce sont les racines blanches internes o
cines blanches externes ou longues; elles proviennent de la substance grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII).
térieur ou quadrilatère perforé fournit la troisième racine ou racine grise des nerfs olfactifs. Elle a l'apparence d'un peti
racine grise des nerfs olfactifs. Elle a l'apparence d'un petit cône gris , situé à l'entrée de la scissure olfactive. Le tr
trois racines, est donc composé de substance blanche et de substance grise (voir Pl. Ll). L. — Coupe verticale transverse
ternes. 5. — Fascicule qui fórmela capsule externe. 6. —Substance grise de l'avant-mur. 7. — Fibres médullaires des rég
du segment externe; le segment interne est épuisé. 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps str
avité de la cloison transparente ou septum lucidum. 13. — Substance grise des parois du ventricule moyen. 14. — Section d
s régions postérieures vers le genou du corps calleux. La substance grise corticale enveloppe de toutes parts les hémisphèr
e la coupe du tronc des nerfs olfactifs; on remarque que la substance grise occupe la région centrale et l'angle supérieur, t
ntes des régions supérieures et moyennes, plongeant dans la substance grise du corps strié. 4. — Fibres convergentes des ré
rnes. 5. — Fascicule qui forme la capsule externe. 6. — Substance grise de Pavant-mur dissociée par l'ensemble des fibres
que forme le genou du corps calleux (voir Pl. II). 10. — Substance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps str
ntrant sa forme triangulaire et la situation centrale de la substance grise . Gavoy. — Encéphale. 20 LUI. — Encéphale do
rtion de l'Encéphale ne comprend que les lobes frontaux. La substance grise qui forme la couche corticale est moins abondante
icule. Ces lames sont tapissées sur leurs deux faces par la substance grise centrale qui s'étale, depuis l'aqueduc de Sylvius
a région médiane de l'encéphale ; chacune de ces couches de substance grise est en outre recouverte par l'épendyme. Les fib
ibres convergentes du centre médullaire se dirigent vers la substance grise du corps strié. Les fascicules stratifiés des fib
vergentes des régions antérieures dissocient cette masse de substance grise ; les fibres convergentes des régions infé-rieure
noyau extra-ventriculaire est réduit à une mince couche de substance grise du putamen ; il est séparé de l'avant-mur par les
égions antérieure, moyenne et infé-rieure pénétrant dans la substance grise du corps strié. Ces fibres s'immergent dans sa ma
a forme de petits filaments très déliés et onduleux. 4. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par l'ensemble des fibre
ronc du nerf olfactif, montrant la forme triangulaire et la substance grise située à la région centrale. LV. — Coupe vertic
divers ordres de fibres prennent naissance à la base de la substance grise corti-cale, se dirigent vers l'extrémité delà sci
fibres convergentes, au moment où elles péné-trent dans la substance grise du corps strié. Cette cavité est close en avant p
inges............................... 4 Substance blanche, substance grise .................... 5, DEUXIÈME PARTIE. — DESCR
DEUXIÈME PARTIE. — DESCRIPTION SPÉCIALE. RÉPARTITION DE LA SUBSTANCE GRISE ET DE LA SUBSTANCE BLANCHE.....................
MIER. — Cerveau..................... 7 Article premier. — Substance grise du cerveau................ 7 § 1. Substance gri
mier. — Substance grise du cerveau................ 7 § 1. Substance grise du cerveau.................... 8 § 2. Substance
1. Substance grise du cerveau.................... 8 § 2. Substance grise des noyaux centraux................. H a) couch
— Cervelet........................ 22 Article premier. — Substance grise du cervelet................ 23 § 1. Substance g
er. — Substance grise du cervelet................ 23 § 1. Substance grise corticale des lamelles................. 23 § 2.
nce grise corticale des lamelles................. 23 § 2. Substance grise du noyau central.................. 24 Article 2
I. — Névraxe....................... 28 Article premier. — Substance grise .................... 28 § 1. Noyaux d'origine de
............... 37 Article 2. — Formations accessoires de substance grise ............. 38 § 1. Olive bulbaire............
2 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
supérieure, par une masse de tissu nerveux dont l'écorce uniformément grise est parcourue par des anfractuosités linéaires, l
veau est fixée à la base du crâne par un prolongement de la substance grise centrale du névraxe, le tuber cinereum, dont la t
erforé antérieur (EPÀ) et dans lequel s'étale une couche de substance grise (GS) désignée sous le nom de pyramide Schéma 5.
olfactive externe; LMY, substance réticulaire d'Arnold ; GS, pyramide grise de Sœmmering; psp, bandelette diagonale ; LAT, la
s genouillé externe; GI, corps genouillé interne; SPL, s,plenium 1. grise de Sœmmering. Le nerf olfactif envoie dans la pyr
n avant du chiasma (CH), dans une mince couche verticale de substance grise : la lame terminale (LAT). La bandelette diagonal
e sorte par les deux bandelettes optiques, est une masse de substance grise , bombée, terminée par une tige dont on ne voit qu
age est sous-jacent et antérieur à deux amas symétriques de substance grise , convexes en arrière, les tubercules cpiadrijumea
agonale divisant obliquement cet espace en deux parties; GS, pyramide grise de Sœmmering; cette pyramide représente la partie
cine moyenne du nerf olfactif, disposées en éventail ; LAT, substance grise de la lame terminale, qui sera étudiée plus loin
divisait l'espace perforé antérieur en deux parties : une antérieure, grise , occupée par la pyramide de Sœmmering ; une posté
. Ce premier grattage superficiel permet de constater que la pyramide grise de Sœmmering, limitée des deux côtés par les raci
t constituée par des repUs ou circonvolutions recouverts d'une écorce grise , la face interne ne présente pas de circonvolutio
ieussens. Elle s'étend depuis la paroi du ventricule jusqu'à l'écorce grise . 11 y a donc lieu de distinguer, d'une façon très
ble, appelés manteau de l'hémisphère (m, m', schéma 8, B). L'écorce grise a une épaisseur qui varie, suivant les circonvolu
coupe qui n'est pas perpendiculaire à la surface entame la substance grise sur une étendue nécessairement plus considérable
en bas en arrière et un peu en dehors, il s'enfonce dans la substance grise qui revêt la paroi du ventricule moyen et va se j
téral. — La paroi du ventricule moyen est représentée par une masse grise considérable, ovoïde, allongée dans le sens antér
t verticale du ventricule moyen. Il est constitué par de la substance grise ; il n'est pas, comme l'étage supérieur, revêtu pa
ouche blanche du stratum zonale. Vers sa partie moyenne, la substance grise de la paroi du troisième ventricule est reliée à
entricule par un petit pont cylindrique, également formé de substance grise : la commissure molle ou moyenne (CM). Cette comm
s tubercules quadrijumeaux antérieur et postérieur sont deux masses grises mamelonnées situées sur le prolongement des péd
énule (HAB) n'est que le prolongement superficiel fibreux de la masse grise commune au ganglion de l'habénule et à la glande
anche de l'espace perforé ; l'autre partie se jette dans la substance grise du lobe temporal, dans le voisinage du lobule de
paralysie générale, il la vit cependant se prolonger jusqu'à l'écorce grise , au voisinage du pli falciforme. « Les conditions
qui n'existe qu'au-dessus du chiasma optique (NO) ; une postérieure, grise , qui sur les côtés se continue avec la substance
e postérieure, grise, qui sur les côtés se continue avec la substance grise de l'infundibulum au-dessous du pilier descendant
cendant de la voûte (DF). Plus bas, derrière le chiasma, cette couche grise représente ce qu'on appelle la racine grise des n
le chiasma, cette couche grise représente ce qu'on appelle la racine grise des nerfs optiques. La convexité postéro-supérieu
elle-ci et parallèlement à sa direction, court un ourlet de substance grise , dont la largeur et les sinuosités vont en diminu
nt d'arrière en avant, depuis le splenium jusqu'à Vuncus : cet ourlet gris est le fascia dentala (Fd), corps bordant ou corp
e ; dans son trajet au fond du sinus, on désigne cette petite lamelle grise sous le nom de tsenia leda (tee). C'est derrière
culaire, dont le fond est exclusivement constitué par de la substance grise . C'est l'espace perforé antérieur et la vallée de
espace perforé antérieur et la vallée de Sylvius (S'). Delà substance grise qui tapisse cette fosse part un prolongement de s
). Il est situé immédiatement en arrière de la languette de substance grise qui réunit le lobe frontal au pôle sphénoïdal (PS
) : c'est le désert olfactif (DO), ainsi nommé parce que la substance grise de cette région, dépourvue d'accidents de terrain
on pouvait les dérouler, présenteraient un développement de substance grise bien plus considérable que ce qui se voit du deho
ne se montrent à la surface de l'hémisphère que lorsque la substance grise qui les double a contracté des connexions définit
rontale du ventricule latéral est tapissée par une masse de substance grise , renflée en avant, amincie en arrière, le noyau c
pas de démarcation entre la tète et la queue; l'ensemble de ce noyau gris décrit une courbe dont la concavité inférieure co
de la corne sphônoï— dale, où elle se termine, au contact d'une masse grise (NA), connue sous le nom de noyau amygdalien et l
ans par l'alveus (ALV) et surmontée par la fìmbria (FI). La substance grise de l'hippocampe, au-dessous de la fìmbria, s'enro
épond exactement à la région de l'insula, on voit s'insinuer une lame grise entre deux lames blanches. La laine grise est Vav
on voit s'insinuer une lame grise entre deux lames blanches. La laine grise est Vavant-mur ou clauslrum; la lame blanche adja
dentata apparaît sous le splenium (SPL) comme une niasse de substance grise plus ou moins volumineuse, repliée quelquefois su
oncule cérébral. Il s'enfonce dans l'hémisphère au-dessous d'im noyau gris (fusiforme sur les coupes sagittales), le discus
à ce niveau, s'étend d'avant en arrière, entre l'écorce et les noyaux gris centraux, est la fosse de Sylvius; elle apparaît
olongement sphénoïdal passe sous la couche optique (NiC). Substance grise . NC. Le noyau caudé homogène a la forme d'un ov
ernier prolongement se perd môme, en grande partie, dans la substance grise de la couche optique. CR. La couronne rayonnant
tamen; mais sur les pièces durcies dans les bichromates, la substance grise de ce noyau n'occupe jamais une étendue aussi gra
aisceau sensitif (FS). En avant il semble se confondre avec une bande grise intercalée entre la couronne rayonnante (RC) et l
la fosse de Sylvius [S'). La continuité n'est qu'apparente. La bande grise en question est réellement un noyau gris, l'avant
'est qu'apparente. La bande grise en question est réellement un noyau gris , l'avant-mur (CL, fig. 2) ; mais il ne devient fa
édiane est séparée du tubercule de jonctiori par une petite émi-nencc grise qui représente la lame terminale. — Cette commiss
naît à ce niveau la houppe vasculairc du plexus choroïde. Substance grise . NC. Le noyau caudé, convexe en dedans, n'est p
En dedans et en arrière, le noyau caudé se confond avec la substance grise du septum lucidum (GSL). En dehors et en arrièr
e interne (CIA), à laquelle il adhère intimement. GSL. La substance grise du septum lucidum est donc la continuation de la
missure (CA). Sur la ligne médiane, la très mince couche de substance grise qui réunit ainsi les deux têtes des noyaux caudés
rtie de la lame terminale. Elle semble se confondre avec la substance grise du tubercule de jonction derrière la scissure lim
t une teinte foncée difficile à différencier de celle de la substance grise . PUT. Le putamen est ce vaste noyau gris qui se
de celle de la substance grise. PUT. Le putamen est ce vaste noyau gris qui semble faire suite, en arrière et en dehors,
capsule externe, blanche (CE); 2" l'avant-mur (CL), sorte de cloison grise verticale; 3° le manteau de l'insula, ou substanc
é comme un bord ou une arête. En dedans du putamen, les deux noyaux gris , le glohus pallidus (GLP) et le glohus medialis (
LP) et le glohus medialis (GLM), constituent avec le putamen la masse grise à laquelle on a donné le nom de noyau lenticulair
egment postérieur de la capsule (CID). Elles s'arrêtent dans la masse grise du putamen, après avoir présenté d'assez nombreus
ui avaient été entamés par une coupe plus supérieure. C'est une masse grise assez homogène, limitée encore en dehors par la l
utes ces fibres sont interrompues dans leur parcours par des traînées grises , obliques en avant et en dedans, et qui représent
s forme une saillie à convexité interne, constituée par une substance grise homogène : c'est le pulvinar (Pul). Pul. Le pul
de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Le pulvinar est une masse grise qui correspond à la fusion des noyaux interne et
qui semble faire corps avec la couche optique, présente dans sa masse grise une tache foncée, nettement arrêtée en dedans, où
ronne rayonnante du thalamus (Rth); mais il provient aussi de parties grises situées au-dessous du pulvinar et qui sont le cor
vius (S') que par le pôle de l'insula (PI) et une couche de substance grise , que nous appelons l'isthme gris fronto-sphénoïda
ula (PI) et une couche de substance grise, que nous appelons l'isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS, voy. la table générale).
ippocampe (IIL), à la partie interne duquel on reconnaît la substance grise du noyau amygdalien (NA). Le lobule de l'hippocam
poussé en quelque sorte vers la cavité ventriculaire par la substance grise qui double le cul-de-sac du grand sillon occipito
en arrière par la face externe de la corne d'Ammon (Fd). Substance grise . La couche optique n'est plus intéressée sur ce
hippocampe (IIL), semble se confondre de tous côtés avec la substance grise du crochet et de la région antérieure de l'hippoc
l semble môme se prolonger en avant et en dehors jusqu'à la substance grise de la vallée de Sylvius (IFS). Ce n'est là qu'une
tricule, indique la place de la veine du corps strié. IFS. L'isthme gris fronto-sphénoïdal est la substance grise du gyrus
corps strié. IFS. L'isthme gris fronto-sphénoïdal est la substance grise du gyrus falciforme. Il forme la paroi supérieure
d en dehors avec le pôle de l'insula (PI), en avant avec la substance grise de la troisième circonvolution frontale (F"'), en
); en arrière, avec l'écorce du lobule de l'hippocampe (HL). L'isthme gris fronto-sphénoïdal n'est que le résultat de la cou
passant au plus près de la vallée de Sylvius. à travers la substance grise du gyrus falciforme. Nous lui avons donné ce nom
il apparaît très souvent sur les coupes comme une région de substance grise dont les connexions avec les parties voisines son
, il est séparé de la queue du noyau caudé (NCC) par un petit tractus gris qui représente le tapetum. En dehors, il est sépa
ar une tache foncée dans le lobe frontal, passe au-dessus de l'isthme gris fronto-sphé-noïdal (IFS). Il vient du lobe sphéno
ée en dehors de la capsule externe (CE), juste en arrière de l'isthme gris (IFS). Il établit ainsi une communication au-dess
Dans le lobe frontal, il est toujours situé en dehors de la substance grise du sillon olfactif interne (soi). ' COUPES VERT
ilement différenciés. Ils le sont, en réalité, jusqu'à la substance grise lorsque le ventricule se prolonge jusqu'à l'écorc
hez certains sujets, se prolonge presque jusqu'au contact de l'écorce grise du pôle occi- ' pital. Des coupes faites sur un
llons ont une grande profondeur, et les invaginations de la substance grise s'enfoncent à une grande distance dans la sub-^ s
êcher toute connexion entre le faisceau sensitif (FS) et la substance grise du cuneus. La plus grande partie du faisceau sens
faisceau compact du fornix. Celui-ci s'épuise en partie dans l'écorce grise du cuneus, à laquelle on le voit s'accoler, et do
nt la concavité, tournée en dedans, répond à la convexité de l'écorce grise de la scissure calcarine. Lorsque l'ouverture ven
té en question existe d'ailleurs, virtuellement, jusqu'à la substance grise de l'extrémité postérieure du cerveau; nous savon
deux plis du cuneus le faisceau compact du fornix, séparé de l'écorce grise , surtout dans le pli inférieur, par la couche cla
se perdre, comme on l'a vu sur la coupe précédente, dans la substance grise de celui-ci. Le faisceau des fibres inférieures
on épaisseur est sujette à varier suivant les ondulations de l'écorce grise du fond de la scissure calcarine [K). Nous savons
n'est pas interrompu; rarement on observe le passage de la substance grise du gyrus lingual (0^) au gyrus fusiforme (0''). C
llon occipito-temporal (o^J reprend de la profondeur, et la substance grise qui le double se relève vers la paroi inférieure
fond du sillon du cuneus (sCu). Mais comme il fournit à la substance grise du cuneus la majeure partie de ses fibres, il occ
ures du forceps (FOi). Elles se jettent i en partie dans la substance grise du cuneus, où elles perdent la ! coloration foncé
à cheval. Elle rétrécit le passage de ce faisceau entre la substance grise et le ventricule. L'intervalle qui, à ce niveau,
ns le plan de la section. Il remonte en dedans, accolé à la substance grise du recessus, pour aller se porter en masse à la p
me d'une strie foncée, antéro-postérieure, aplatie entre la substance grise du recessus et le faisceau moyen du forceps major
er entre ces deux faisceaux, presque jusqu'au contact de la substance grise de l'incisure linguale, de telle sorte que le man
terposées entre le plancher de la corne ventriculaire et la substance grise du grand sillon occipito-temporal (o^J. FCF. Le
partie ont passé plus haut et plus en dedans, au contact de l'écorce grise , où elles sont faciles à suivre (FCF). 11 est pro
nvoie dans la profondeur, de dedans en dehors, une bande de substance grise recouvrant le fond de la gouttière antérieure de
temporal {t^). D'ailleurs on voit, sur la figure 15, que la substance grise qui enveloppe cette incisure rejoint, dans la pro
ui enveloppe cette incisure rejoint, dans la profondeur, la substance grise du premier sillon temporal. ti^ est le premier
le gyrus lingual (0^'), où on les voit se terminer dans la substance grise . FDF. Faisceau diffus du fornix. — Un nouveau f
le plan de la coupe et devient blanc; il se dirige vers la substance grise du lobe carré dans laquelle il se termine, ainsi
u lobe carré dans laquelle il se termine, ainsi que dans la substance grise de la scissure sous-pariétale (voy. fig. 14) {sP)
lleux. Sa partie inférieure se porte en bas, tout le long de l'écorce grise du pli de passage cunéo-limbique (-âO") et s'avan
u'à son extrémité la plus postérieure et se jettent dans la substance grise du pôle occipital. Le changement de coloration
n'entame plus que très peu profondément le lobe carré. — La substance grise qui revêtait la gouttière antérieure de la scissu
interne, se porte directement en dedans, maintenant que la substance grise de cette scissure a disparu. Il est donc dans le
in. Le cingulum, aplati entre la lame festonnée (LFE) et la substance grise du pli de passage temporo-limbique (xT), se prése
r, si bien que, sur la coupe 18, il est réduit à une mince bandelette grise . En réalité, il ne s'écarte pas de la paroi et il
me de fibres arquées, absolument constant, est séparé de la substance grise de l'écorce par le cingulum, ainsi qu'on peut s'e
é inférieure ; c'est un vaste faisceau arqué, réunissant la substance grise de la scissure limbique à l'écorce de la quatrièm
oration est plus foncée. Il est plaqué exactement contre la substance grise du lobe carré (Q) au voisinage du sinus du corps
replie en dedans et en bas lorsqu'il arrive au voisinage de l'écorcc grise . On voit (fîg. 18) que ses fibres se portent ensu
). FCF. Le faisceau compact du fornix, en contact avec la substance grise du lobe carré, immédiatement au-dessous du sinus
Il est placé au-dessus du cingulum (Gin), au-dessous de la substance grise de la scissure sous-pariétale (sP). En dehors et
lles sont interrompues sur leur trajet ascendant par une petite masse grise (Fci), le fasciola cinerea, accolée à la partie p
calleux. Puis elles se portent au-dessus et en dedans de cette bande grise et se confondent partiellement avec le faisceau c
ontales, antéro-postérieures, dont la coupe est figurée par une strie grise obliquement dirigée en bas et en dehors. FOm. L
m (Cin). De là elle remonte encore, à la partie externe d'une tache grise (Fci), le fasciola cinerea, dont nous verrons plu
ous verrons plus loin les rapports, et elle se perd dans la substance grise de la circonvolution limbique (C). Fci. La band
e la plus postérieure du splcnium, où la coupe 17 entame sa substance grise . Cette tache grise représente donc la convexité d
re du splcnium, où la coupe 17 entame sa substance grise. Cette tache grise représente donc la convexité de la bandelette cen
calleux (ce, voy. le schéma ci-dessus). La continuité de la substance grise est interrompue par la pénétration en dehors des
upérieure du corps calleux. Déjà on peut constater que la substance grise entoure le fond du sinus,, en dessus comme au-des
-dire que beaucoup de ses fibres se sont déjà insérées à la substance grise de cette circonvolution. FCF. Le faisceau compa
uleur foncée. L'extrémité supérieure de l'arc s'adosse à la substance grise de la partie la plus inférieure du gyrus fornica
ente de ses fibres de dehors en dedans, mais à la présence de couches grises , minces, interposées entre les trousseaux des fib
ces, interposées entre les trousseaux des fibres blanches. Ces stries grises ne sont autre chose que les sections des fibres a
es précédentes. Fci. Fasciola cinerea. La petite masse de substance grise attenante à l'écorce du pli de passage temporo-li
on manteau; elle a, en effet, comme toute circonvolution, une portion grise corticale et une portion blanche profonde. La tac
le sinus du corps calleux, qui n'est entouré que par de la substance grise . Le corps calleux (ce) présente une surface de
us comme au-dessus du splenium, le sillon s'enfonce dans la substance grise de l'écorce. Mais il est accompagné par quelques
agné par quelques fibres du corps calleux jusqu'au fond de la saillie grise formée par la bandelette cendrée (Fci) au contact
est, d'autre part, en rien différente du corps godronné (ou substance grise du fascia dentata). Celui-ci ne devient nettement
ais ce sont toujours des plis profonds, et, en tout cas, la substance grise qui le double présente toujours les mômes rapport
le pilier postérieur du trigone (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance grise . Quoique la substance grise de la corne d'Ammon
e (pl. XVII, fîg. 42, TRp). Substance grise. Quoique la substance grise de la corne d'Ammon ne soit pas assimilable à cel
CAM. Corne d'Ammon. Sur la figure 25, on voit apparaître trois taches grises au milieu du faisceau inférieur du forceps (FOi).
te sur la coupe précédente (fîg. 22), cesse aussitôt que la substance grise devient reconnaissable. Donc, à ce moment précis,
eur du forceps (FOi) est vertical. Il passe derrière les trois taches grises et les enveloppe ; il reparaît d'ailleurs immédia
e diriger, d'arrière en avant, au-dessous de cette nouvelle substance grise , dans une très grande étendue : on en peut juger
n rare que le couteau n'entame pas à la fois les trois petites masses grises représentées sur la fîg. 25 (CAM). Sur la coupe s
dre l'aspect de la coupe sur les figures 25 et 24. Les trois taches grises de la circonvolution godronnée sont complètement
angulaire qui s'insinue en bas et en avant, au-dessous delà substance grise godronnée. Sur la figure 24, ce faisceau s'aplati
e. La coupe vertico-transversale 23 entame trois l'ois la substance grise de la circonvolution godronnée; la coupe 24 ne l'
confondent en une seule, par le fait de l'involution de la substance grise sur elle-même. 24 s'aplatir davantage, à mesu
rieure. Les trois extrémités supérieures se jettent dans la substance grise de la circonvolution limbique. Les trois extrémit
nnent verticales (25,24), elles perdent toute striation et les taches grises de la circonvolution godronnéc (CAM) y apparaisse
n du pli de communication ne change rien aux rapports de la substance grise du sillon (o£4) avec le plancher du ventricule. S
ous connaissons bien (fig. 27, sC) et qui s'enfonce dans la substance grise de la circonvolution lim-bique : le sillon ou sin
corps calleux. Au-dessus et au-dessous du corps calleux, la substance grise appartient toujours à la circonvolution limbique
e (fig. 30, Hip). Le sillon qui continue son trajet dans la substance grise de cette circonvolution change lui-môme de nom, t
us loin (fig. 51, sh), lorsqu'il dépasse une tubé-rosité de substance grise appartenant à la circonvolution limbique, et dési
montre de plus en plus proéminente, car l'enroulement de la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 25, 27, 50, Fci) devien
lumineux. La face inférieure, superposée médiatement à la substance grise du grand sillon occipito-temporal (oQ, forme avec
du ventricule peut être appelé sillon du subiculum (Dsu). Substance grise . La masse grise enveloppée par la substance bla
être appelé sillon du subiculum (Dsu). Substance grise. La masse grise enveloppée par la substance blanche qui refoule l
elle ne se compose que de deux parties fondamentales : une bandelette grise (fig. 25, Fci) continuation de la bandelette cend
orrespondent respectivement à ses parties constituantes. La portion grise (Fci) se présente d'abord sous l'aspect d'une mas
'aspect d'une masse homogène, résultant de la fusion des trois taches grises déjà étudiées (fig. 25). Ces trois taches figurai
Fci) est la base commune. Un peu plus en avant, au centre de la masse grise , apparaît une bande blanche (LMA, fig. 26) qui s'
ieu de laquelle se détachent (fig. 29) trois nouvelles petites taches grises . Ces trois taches, comme les premières, représent
base commune. D'autre part, on peut voir (fig. 28) que la substance grise sous-jacente au corps calleux et sus-jacente au s
rps calleux et sus-jacente au sinus (sC) se rapproche de la substance grise de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces deux p
de la corne d'Ammon. Sur la figure 50, ces deux portions de substance grise se sont réunies. On reconnaît sans peine que cett
e grise se sont réunies. On reconnaît sans peine que cette bandelette grise du sillon du corps calleux (fig. 28, Fci) ne fait
rps calleux (fig. 28, Fci) ne fait que se prolonger dans la substance grise de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres t
de la corne d'Ammon (fig. 50, Fci). En d'autres termes, la substance grise de la corne d'Ammon n'est rien de plus que la ban
a coupe intéresse un point très voisin de la fusion des deux portions grises . Le fasciola cinerea (Fci) court de dedans en deh
n dehors, au-dessous du corps calleux, à la rencontre de la substance grise de la corne d'Ammon. Les ondulations de cette ban
bstance blanche reste à la périphérie d'une petite masse de substance grise . La figure schématique ci-jointe explique la ra
schématique ci-jointe explique la raison d'être de cette Substance grise du fasciola cinerea, plusieurs fois replié sur lu
de l'hémisphère (pl. XXXVIII, fig. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la corne d'Ammon avec la substance blanche cen
substance réticulée d'Arnold, ne reste pas enfermée dans la substance grise . Elle provient de la substance blanche du corps c
Schéma 61. Bref, on en arrive aisément à se représenter la masse grise de la corne d'Ammon comme un groupement de circon
croissant à concavité interne, embrassant le cul-de-sac de substance grise qui double le sinus du corps calleux (sC) ; il ga
us du corps calleux comme au-dessus, il reste adhérent à la substance grise de la circonvolution limbique (C). Et comme celle
en sera question que plus loin, à propos des rapports de la substance grise de la corne d'Ammon (32 Hip). Cavité ,ventricul
croissant est le sillon du subiculum (Dsu, fig. 54, 56). Substance grise . Sur cette planche on voit surtout s'accomplir
cinerea, Fci, fîg. 52, 53 et suiv.) en fascia dentata. La bandelette grise de la circonvolution limbique devient la corne d'
avons déjà étudié séparément dans la corne d'Ammon deux parties, une grise , prolongement de la bandelette cendrée (Fci), et
s être décrites l'une après l'autre. Sur la figure 51, la substance grise sous-jacente et accolée au corps calleux (Fci) se
isinage de la paroi ventriculaire interne et se confond avec la masse grise déjà connue de la corne d'Ammon. Il s'agit toujou
nt ce que nous avons déjà vu sur la figure 29, c'est-à-dire une masse grise homogène au milieu de laquelle se trouve une tach
tache blanche, et au milieu de cette tache blanche une nouvelle masse grise . Seulement tout cet ensemble, au lieu d'être perd
ette cendrée au-dessous du corps calleux, d'autre part à la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur
ocampe (Hip). Sur la fig. 52 on comprend ce que représente la masse grise centrale : au-dessous du corps calleux la bandele
corps calleux la bandelette cendrée (Fci) se renforce d'un tubercule gris (Tf) situé immédiatement au-dessous du sillon de
e (sh). Pour s'en assurer on n'a qu'à suivre le trajet de cette masse grise jusqu'à la circonvolution de l'hippocampe elle-mê
urs détours, et nous la voyons s'insinuer partout où ces deux parties grises se développent et s'enroulent. Sur les figures 32
33, 54, elle semble séparer le fasciola cinérea (Fci) et la substance grise de l'hippocampe (Hip). En réalité elle ne les sép
pas; elle les recouvre l'une et l'autre. Mais comme ces deux couches grises décrivent des ondulations, et comme ces ondulatio
cales, paraît les séparer là où elle s'enfonce entre elles. Leur base grise ne subit aucune interruption. On peut se convainc
en comparant les deux coupes 51 et 52. Sur la coupe 51, la substance grise du fasciola cinérea se continue avec une portion
, la substance grise du fasciola cinérea se continue avec une portion grise (Fd) située au centre de la corne d'Ammon et qui
; et il n'est plus séparé du tubercule (Tf). Donc toutes les parties grises de la corne d'Ammon sont en continuité ininterrom
et 52) ; et de là elle se répand et s'enfonce partout où la substance grise de la bandelette cendrée se replie sur elle-même
upes les plus antérieures de cette planche (35 et 56), ces deux îlots gris (Fd et Tf) représentent la partie la plus antérie
(Fd et Tf) représentent la partie la plus antérieure de la substance grise de la corne d'Ammon, tout à fait au voisinage de
n'intéressera plus que la substance blanche qui revêt cette substance grise . Il s'agit maintenant de préciser les rapports
continue avec le fascia dcnlata (Fd) et, plus loin, avec la substance grise ¦ de l'hippocampe (Bip). La substance réticulaire
erçoit que la substance blanche qui enveloppe extérieurement l'écorce grise , passe directement du fasciola cinerea et de son
i n'intéressent pas un seul plan de substance blanche et de substance grise . Réfléchie sur la circonvolution de l'hippocamp
ement représenté par une laine blanche, interposée entre la substance grise de l'hippocampe et le faisceau inférieur du force
(FOi, fig. 52, 54): il s'enfonce d'arrière en avant sous la substance grise de l'hippocampe (Hip, fig. 54), et peu à peu se p
urs "angles d'incidence diffèrent selon l'inclinaison de la substance grise sur la partie blanche du manteau. 6. mais bea
mbique (L, fig. 59, 40), le couteau a entamé un repli de la substance grise , qui appar tient en majeure partie à la premièr
m de lobule du pli courbe (GP), on remarque (fig. 57) un diverticulum gris (S), qui représente la partie la plus reculée de
42), la scissure elle-même pénétrant dans ce diverticule de substance grise . L'apparition de la scissure de Sylvius sur les c
mité la plus antérieure du bulbe de la corne postérieure. Substance grise . Les figures de cette planche sont destinées à
ties constituantes de la corne d'Ammon (fig. 37). Fci. La substance grise du fasciola cinerea se porte en dehors vers la pa
du ventricule, puis se relève en dedans et se continue avec l'écorce grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 3
pocampe (Hip, fig. 38). Sur la première coupe (fig. 57), la substance grise du fasciola cinerea (Fci) est réduite à une bande
ns revenir. Sur les coupes suivantes (59, 40, 41, 42), la substance grise du fasciola cinerea (Fci) se continue avec le fas
dessus et en dedans du fascia dentata (Fd), une nouvelle petite masse grise (Fd') ; celle-ci est la section d'un autre repli
rise (Fd') ; celle-ci est la section d'un autre repli de la substance grise de la corne d'Ammon, situé sur une région antérie
. Le fascia dentata n'est autre chose que le corps godronné. La masse grise (Fd') est un godron placé au devant du godron (Fd
ippocampe (Hip). Sur la figure 58 on distingue encore quelques taches grises correspondant au reliquat du fasciola cinerea (Fc
es ont disparu parce que le couteau a passé au-devant de la substance grise . Mais la lame médullaire n'est pas pour cela deve
42), à partir du moment où la section passe au-devant de la substance grise de la bandelette cendrée. Alors on ne retrouve pl
(Fci) sous le corps calleux, mais ce n'est qu'une couche de substance grise d'une extrême minceur, représentant sa partie la
ant sa partie la plus antérieure. En bas, c'est l'ensemble des replis gris de la corne d'Ammon. La fimbria (FI), sur toute
y a une bandelette arquée, convexe en haut, qui recouvre la substance grise de la corne d'Ammon et qui fait suite à la lame m
dedans, clair en dehors. La portion interne foncée est la substance grise du pulvinar, ou portion la plus reculée du thalam
fibres de l'étage supérieur que tout à fait au voisinage de l'écorce grise . Il ne faut pas considérer les stratifications
st et continue d'être très apparent; la petite languette de substance grise qui, au-dessous de lui, s'étale sur la face supér
nce dans l'hémisphère, repoussant devant elle une couche de substance grise dont on reconnaît une tache aberrante au beau mil
st le point où sa cavité présente son maximum de hauteur. Substance grise . Les particularités relevées déjà à l'occasion
ut s'attendre à la retrouver sur le segment inférieur de cette couche grise à la partie supérieure de la corne d'Ammon. Elle
vêtement blanc, étalé horizontalement (LIA) au-dessus de la substance grise de l'hippocampe. La lame médullaire en question e
treillis, de filet, dans les mailles duquel on reconnaît la substance grise sous-jacente, Il peut donc arriver que les coup
arriver que les coupes vertico-transversales passent par les mailles grises au lieu de passer par le treillis blanc. Dans ce
laire s'enfonce toujours ou envoie un prolongement entre la substance grise de l'hippocampe (LC, fig. 46) et le Coupe verti
omme les précédentes, qu'il n'est que la continuation de la substance grise de l'hippocampe retournée sur elle-même, comme un
lleux (sC, fig. 45), et qu'il y représentait un repli de la substance grise de la circonvolution limbique (C, fig. 45, 45). C
erne, n'est que le lamia leda (tee, fig. 45 et schéma 74), ou tractus gris longitudinal de Dnverney, ou tractus latéral, app
t même chose ; pour mieux dire, c'est la même bandelette de substance grise , présentant, suivant les points où on l'examine,
que des rapports de contiguïté. Elle part, en avant, de la substance grise basilaire, s'enfonce sous la circonvolution limbi
encore sur la figure 44 de la planche XV11I, accompagner la substance grise de l'hippocampe. Le tractus interne, au-dessus du
taenia tecta et le corps godronné comme la réflexion de la substance grise corticale sur elle-même, aussi bien au-dessus du
t pas là seulement d'une comparaison. Cette réflexion de la substance grise corticale est un fait réel et constant, dans tont
misphère, c'est-à-dire à toute la portion de l'écorce où la substance grise s'arrête et est remplacée par de la substance bla
du fascia dentata (taenia tecta réfléchi). Au niveau où la substance grise de l'écorcc se réfléchit sur elle-même, on voit
tifier son assimilation avec la scissure limbique. LC. La substance grise de la circonvolution de l'hippocampe, avant de se
al chacune des parties de cette courbe. La portion verticale interne, grise jusqu'à la surface (Hip), est l'écorce de l'hippo
e, recouverte par la lame médullaire (LMA), est l'écorce ou substance grise du subiculum. Le subiculum a pour limite supérieu
st tapissée par la substance réticulaire d'Arnold (LMA). La substance grise de l'hippocampe se réfléchit en bas et en dehors
lle d'ailleurs déjà — le hile du fascia dentata (hFd). La substance grise de la corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte d'enr
a corne d'Ammon n'est donc qu'une sorte d'enroulement de la substance grise de l'écorce de l'hippocampe, Schéma représentan
rieur. GI, corps genouillé interne. 79. Il se compose d'une masse grise (QA) recouverte d'une lame blanche superficielle
, 48). Th. Le thalamus ou couche optique (Th), composé de substance grise en dedans, de substance blanche en dehors (45, 44
ande fente de Bichat (Bf, 47). Sa portion inférieure et interne, d'un gris homogène, est le pulvinar (Pul, 46) ou noyau post
eur, elles ne sont plus désormais représentées que par une bandelette grise (fig. 44, TAP) verticale, située au milieu même d
uadrijumeaux (l'antérieur et le postérieur du même côté). Substance grise Fd. La corne d'Ammon, essentiellement constitué
rdé, corpus fimbriatum. G. Glande pinéale (49, 52). SG. Substance grise de l'aqueduc de Sylvius. — Au pourtour de l'aqued
'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de substance grise qui tapisse de toutes parts la cavité encéphalo-m
se de toutes parts la cavité encéphalo-médullaire. C'est la substance grise centrale, recouverte par la membrane épendymaire;
ement isolée encore des parties avoisinantes, est formée de substance grise homogène, plus foncée à sa partie interne, et tra
e, vers le milieu de la paroi ventriculaire externe, une petite masse grise (NC) perdue dans la substance blanche du tapetum
en. Tse, tamia semi-circulàris. les coupes suivantes, cette tache grise augmente de largeur et surtout de hauteur. Elle r
dans la lame blanche du tapetum, on distingue encore une petite lame grise , verticale (TAP), qui représenteles fibres du tap
irconvolution de l'hippocampe (fig. 52), se termine sous la substance grise du subiculum avec les fibres les plus antérieures
e du pul-vinar. Il en est séparé toujours par une couche de substance grise . Et c'est pourquoi on ne le distinguait pas encor
opos des planches XVII et XVIII. On remarquera seulement que l'écorce grise de la scissure de Sylvius (S') s'enfonce plus pro
nsitif externe (fig. 56, FSe), mais ne l'atteint jamais. La substance grise qui revêt le cul-de-sac ou gouttière de cette sci
ujours sous-jacent à ce sillon. Aq. Aqueduc de Sylvius. Substance grise . CAM. La corne d'Ammon ne présente rien de part
entée ici donne insertion à la toile choroïdienne. SG. La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (57, 58, 59) se confond e
orps genouillé interne (CJ, 55, 56, 57, 60). Gl. Ce dernier noyau gris est relié au tubercule quadrijumeau postérieur pa
genouillé interne. Th. Le thalamus (fig. 55, 56,60), toujours d'un gris homogène à sa partie interne, est parcouru mainte
yau caudé (NCC, fig. 60), il présente encore dans sa hauteur la strie grise qui correspond à ses fibres antéro-postérieures.
, située immédiatement au-dessous et un peu en dehors de la substance grise (SG) de l'aqueduc de Syl-vius (fig. 58). Ses rapp
ère il se perd, au-dessous de l'aqueduc de Sylvius, dans la substance grise du plancher du quatrième ventricule, au voisinage
ans l'angle rentrant formé par le bord inféro-externe de la substance grise (SG, fig. 58) et le bord supéro-externe de l'entr
quement, de telle façon que sa section vertico-trans-versale est d'un gris clair. Sur la coupe 56 ce faisceau est déjà un pe
nte ici l'expansion, dans le stratum zonale et même dans la substance grise du pulvinar, des fibres de la bandelette optique,
inal inférieur (FLI) et du cingulum (Cin), au contact de la substance grise de l'hippocampe. Mais ce mélange n'a lieu que tou
biculum (Dsu, fig. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la substance grise . CO. Le faisceau sensitif du centre ovale, tran
campe (Hip, fig. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius (fig. 61). Substance grise . CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVIII).
se. CAM. Corne d'Ammon (Voy. pl. XVII et XVIII). SG. La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (61, 62, 65), plus compac
r le faisceau longitudinal pos-rieur (FLP). La teinte de la substance grise est toujours beaucoup plus claire que celle des f
rait d'abord méconnaître, pour cette raison, l'existence de substance grise dans cette région et dans d'autres encore ; mais
us loin Laq). GI. Sur la figure 62, la coupe' a entamé la substance grise du corps genouillé interne. La coupe précédente a
che optique (61, 62, 65, 64) est représentée par une large masse d'un gris clair, parcourue de dehors en dedans et un peu de
e il reçoit des filets nombreux de la région latérale de la substance grise de l'aqueduc (SG), sa partie supérieure est plus
, les fibres supérieures semblent donc se confondre avec la substance grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG, subst
substance grise de l'aqueduc. Aq, aqueduc de Sylvius. SG, substance grise de l'aqueduc. Pcs, entre-croisement des pédoncule
; elle suit son trajet direct d'arrière en avant jusqu'à la substance grise interpédoncu-laire, et même plus loin encore peut
thalamus; ZS, stratum zonale du ganglion de l'habénule; SG, substance grise de l'aqueduc de Sybïus; VD, racine descendante du
aux obliques sous-jacents à la glande pinéale recouvrent la substance grise (SG) de l'aqueduc de Sylvius. On reconnaît, au ce
que, figurent, de chaque côté de la pointe inférieure de la substance grise , le faisceau longitudinal postérieur (FLP). De
té interne, passe, comme une voûte de pont, au-dessus de la substance grise de l'aqueduc (SG), franchit ainsi la ligne médian
franchit la ligne médiane en se mettant en contact avec la substance grise de l'aqueduc. Celle-ci, en effet, se prolonge sou
s précédentes en ceci, qu'elle ne passe pas au-dessus de la substance grise de l'aqueduc pour y subir une décussation. Elle s
a calotte ; immédiatement après, elles se terminent dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où un petit gangl
re. Le faisceau qu'elles constituent se mêle en partie à la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (QA) ; mais l
téral de Reil (Laq); la concavité supérieure circonscrit la substance grise de l'aqueduc (SG) ; la concavité inférieure circo
un faisceau qui est parsemé de tant d'amas superposés de substance grise qu'on peut le considérer aussi comme un noyau. Po
e du faisceau du tegmentum (TEG). Laq, le laqueus ; SG, substance grise de l'aqueduc; l'es, pédoncule cérébelleux supér
ster immédiatement en avant de la commissure postérieure. Substance grise . CAM. Corne d'Ammon (voy. pl. XYII et XVIII).
u caudé (fig. 68) proémine dans la cavité ventriculaire. Sa substance grise , homogène, est tantôt libre dans cette cavité, ta
au voisinage de son extrémité postérieure, est une masse de substance grise , beaucoup plus claire et beaucoup moins homogène
r conséquent des faisceaux sensitifs; ils pénètrent dans la substance grise en se confondant, à leur terminaison, avec le str
ique, dans cette région postérieure du thalamus, toute la substance grise paraisse au premier abord confondue en une seule
s plus loin. En dessous et en arrière de ces deux noyaux la substance grise pourrait être appelée noyau postérieur du thalamu
ayonnante (RGE, 71). Mais déjà l'on voit s'agglomérer de la substance grise au-dessus du sillon très profond qui séparait le
qui séparait le pulvinar du corps genouillé interne. Cette substance grise sera le corps genouillé externe. Pul. Le pulvin
de la glande pinéale semble y prendre naissance, est une petite masse grise située au-dessous et en dedans du thalamus, à la
faisceau longitudinal postérieur (fig. 69) sous-jacent à la substance grise de l'aqueduc (SG) se présente par places seule-
ibres qui s'entre-croisent au-dessous de l'aqueduc, dans la substance grise de celui-ci (SG), et spécialement au niveau de se
des connexions entre les diirérents étages ou noyaux de la substance grise de l'aqueduc. Lem. La couche de Reil ou lemnisc
ant horizontalement en dehors où elles se ramifient dans la substance grise du thalamus, au-dessus des fibres les plus supéri
ément abandonnée, nous y voyons apparaître, en dehors de la substance grise de l'aqueduc, un nou- Profd de la région postér
a terminalis, en dedans du corps genouillé interne, vers la substance grise du thalamus. Elle ne doit pas d'ailleurs s'y arrê
x (fig. 71) continue son chemin d'arrière en avant sous le cul-de-sac gris de la scissure limbique {L, fig. 67 à 70). Il est
ressif du fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72), s'accole à la substance grise des circonvolutions pariétale inférieure (P^) et
tale inférieure (P^) et pariétale ascendante (P), et à la substance grise de la frontale ascendante (F). Sur la figure 67,
au très compact, très foncé, triangulaire, s'insérer sur la substance grise de la pariétale ascendante (P, fig. 67). Il est e
couches optiques par leur face externe et confondus avec la substance grise de la glande pinéale, au niveau de la partie po
n à laisser un vide, une excavation fissuraire, entre ces deux masses grises . Cette excavation est visible sur la coupe vertic
ale (73) de la planche xxiu. pinéale. Sur la coupe 73, la substance grise du ganglion du côté droit se confond avec celle d
e Ibrment donc à leur partie postéro-interne une véritable commissure grise au-dessus et en arrière de la commissure postérie
est toujours à une certaine distance de la ligne médiane. Substance grise . CAM. La corne d'Ammon ne diffère ici, en rien,
st pas encore présentée. L'alveus (ALV) limite en dehors la saillie grise intra-ventriculaire de la corne d'Ammon. Mais cet
u-nosum. On peut même constater, sur la figure 77, que la substance grise de la cireoiivoliition de l'hippocampe se subdivi
ntre médian ou centre de Luys (fig. 75, 74, 75, 76, 77) est une masse grise dont la section verticale est assez régulièrement
voit se succéder d'avant en arrière deux agglomérations de substance grise qui, étudiées de près, sont suffisamment distinct
portion commune à ces deux derniers. La plus antérieure de ces masses grises est celle que nous venons de signaler sous le nom
du conarium (IlAB). On sait qu'au-dessous de l'habénule, la substance grise de la couche optique forme la paroi du troisième
niC), juste au niveau du passage du bras du pulvinar (BP), une niasse grise , limitée en dedans par un petit faisceau concave
éjà étudiée sous le nom de tractus Iransver.ws pcdunculi. Cette masse grise , placée en avant du corps genouillé interne et tr
)as et en dedans : Aq, l'aqueduc de Sylvius, tapissé par sa substance grise (SG), et surmonté par la commissure postérieure (
plus antérieures. plus claire la disposition des différents noyaux gris représentés sur la coupe 73. Le corps genouillé
de Reil au voisinage de la lamina medialis et destinée à la substance grise du pulvinar, du corps genouillé interne ou du cen
la surface du pédoncule, peut même empêcher de reconnaître la teinte grise du faisceau moteur dégénéré situé au-dessous de l
fond insensiblement et sans démarcation appréciable avec la substance grise de l'aqueduc. Il est facile de s'expliquer cet as
ébelleux supérieurs (Pcs). Il se confond maintenant avec la substance grise qui entoure l'aqueduc. Il est dirigé presque vert
ut et en dehors, contractant des connexions intimes avec-la substance grise sous-épendymaire, qui renferme les noyaux moteurs
s, sous la couche optique, mais toujours au voisinage de la substance grise centrale; puis, (le nouveau, marche directement
; FLP, faisceau longitudinal postérieur au-dessous de la substance grise de l'aqueduc. Une coupe verticale (69) le divis
ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce noyau, dont la substance grise , située plus en avant, n'est pas encore entamée.
a commissure du côté opposé, se perd insensiblement dans la substance grise du thalamus (fig. 74, 76, 77), au-dessus du corps
eau de la décussation antérieure s'épuise en partie dans la substance grise de l'aqueduc, soit en avant de cette substance, s
. Tli, tlialainus ; GII, gang-lion de rhal)énule; SG, substance grise de l'aqueduc; FCP, faisceau de la commissure po
t l'arête correspond au sillon médian du corps genouillé. Substance grise . CAM. Corne d'Ammon. Nous retrouverons sur cett
e la coupe ; elles-mêmes deviennent foncées et se perdent sur le fond gris de la couche optique. NeC. Le noyau externe du
aut et en dehors de la substance blanche qui le recouvre, une masse grise qui appartient à son noyau proprement dit. Cette
culée de la bandelette optique. Sur les coupes 80, 81, la substance grise devient plus homogène, en apparence plus compacte
ynert (FM, 83), déjà signalé. Plus en avant (fig. 82), la substance grise du corps genouillé est séparée de tous les faisce
on s'aperçoit que, sur les coupes vertico-transversales, la substance grise du corps genouillé n'occupe que la moitié interne
de continuité ni môme de contiguïté apparente avec les autres noyaux gris . NR. Noyau rouge de Stilling, noyau rouge de la
t les expressions synonymes qui servent à désigner un amas d'éléments gris , régulièrement sphérique, situé dans le champ de
r. rieur (FP). Le locus niger est une bande lamellaire de substance grise pigmentée, dite quelquefois substance ferrugineus
s vont directement en avant, en dedans de ce noyau, vers la substance grise interpédonculaire ; dans ce trajet, elles sont li
néale. HAP. On sait que la glande pinéale est reliée à la substance grise des noyaux de l'hémisphère par trois petits systè
l'étage supérieur. S'il ne se perd pas en totalité dans la substance grise du thalamus, au-dessus et en avant du corps genou
coupe 81 on le voit dans son ensemble se confondre avec la substance grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où la subs
ubstance grise du thalamus; de môme, sur la coupe 82, où la substance grise commune au thalamus et au faisceau de la calotte
rtir, sous la couche optique, AQ, aqueduc de Sylvius; SG, substance grise de l'aqueduc; GE, corps genouillé externe; GI,
LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perdrons de vue dans la substance grise du thalamus et dans la lame médullaire externe.
rps genouillé par le stratum zonale (fig. 79, GE) et par la substance grise de ce noyau (fig. 80). Lorsque la coupe passe par
), la couronne rayonnante est blanche ; lorsqu'elle passe par la lame grise du corps genouillé (GE, fig. 80), la couronne r
ous la forme de stries claires insensiblement confondues avec la lame grise ; lorsque la coupe passe à la fois par une lame b
lorsque la coupe passe à la fois par une lame blanche et par une lame grise du corps gcnonillé (fig. 82), la couronne rayonna
ochet de l'hippocampe. pocampe [SU fig. 89), se compose d'une masse grise au milieu de laquelle apparaissent des taches (fi
urbe maintenant d'avant en arrière en se confondant avec la substance grise de l'uncus. L'uncus, en d'autres termes, est tout
erminaisons successives des faisceaux de la calotte dans la substance grise du thalamus. Ici (fig. 85), la strie médullaire (
um ou avant-mur (fig. 86. 87, 90) est une lame verticale de substance grise située entre la substance blanche de l'insula (LE
veloppé de sa capsule blanche et constitué en apparence par une masse grise uniforme, présente sur les coupes 87, 88, 89, 90
cette disposition. Le corps genouillé externe ne serait pas une masse grise uniforme et compacte, comme l'est, par exemple, l
orps genouillé interne. Il serait constitué par une lame de substance grise repliée plusieurs fois sur elle-même dans un plan
ste en général quatre replis de RGE Profil schématique de la lame grise du corps genouillé externe (GE). RGE, couronne
e rayonnante du corps genouillé; BO, bandelette optique., la lame grise ; que ces replis vont en augmentant d'ampbtude d'a
n spiroïde, tandis que les coupes 86 et 88 intéressent la substance grise du noyau rouge. Ces coupes font donc voir égaleme
ulaire. 11 n'en est séparé que par une couche très mince de substance grise . Sur certaines coupes cette couche paraît faire d
représentant les noyaux superposés (n, n'n") de la substance -n' grise (SG) de l'aqueduc et de la gouttière de Monro (
n étage, au niveau des noyaux échelonnés à la surface de la substance grise du troisième ventricule, au fond de la gouttière
troisième ventricule, au fond de la gouttière de Monro. La substance grise qui tapisse à la fois la gouttière de Monro et le
en dehors du trajet déjà décrit du faisceau longitudinal, une traînée grise (FLP) étalée au-dessus du faisceau cérébello-thal
'à la gouttière de Monro, s'épanouit en rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses fibres postérieures, r
qué se confond en apparence avec la partie supérieure de cette lame grise . Nous verrons plus tard (pl. XXVI, ARC) les conne
même épaisseur; par places, elle est interrompue par un élargissement gris du claustrum (CL, fig. 90). La substance grise du
ue par un élargissement gris du claustrum (CL, fig. 90). La substance grise du claustrum cependant n'est pas plus épaisse. Ce
ssez notables, suivant que la section l'intéresse en pleine substance grise ou dans le plan d'un des faisceaux de sa couronne
e à entamer {f\, 86, 87, 88). On voit qu'il est accolé à la substance grise qui double ce sillon. Mais il conserve toujours s
bandelette optique (BO) et la face supérieure de l'uncus. Substance grise . CAM. La corne d'Ammon (fig. 91) présente, snr
ôt plus aucun intervalle entre le fascia dentata (Fd) et la substance grise du crochet (fig. 96). A partir de la coupe 95 il
ntexture que la corne d'Ammon ; c'est la môme superposition des lames grises et blanches, dans un sens et suivant une courbure
'eflace, mais elle est remplacée par une crête semblable de substance grise (fig. 95, 96) qui n'est que la continuation de la
crochet est, d'autre part, la continuation immédiate de la substance grise corticale. Nous verrons plus loin apparaître un g
rétendons pas pour cela qu'il y ait entre ce faisceau et la substance grise de la couche optique plus qu'un rapport anatoiniq
t et de dedans en dehors. C'est là que va apparaître un nouveau noyau gris que nous étudierons plus loin : le discus lentifo
le segment inférieur de la capsule interne (GIF, fig. 94). Sa lame grise décrit des méandres moins élevés ; sur la coupe 9
tte (BOG, 96) se relevant dans l'intervalle de deux replis de la lame grise genouillée. On ne doit pas d'ailleurs s'attendre
externe (MLE). D'autres enfin pénètrent directement dans la substance grise du putamen ; elles forment sa couronne rayonnante
ame horizontale, dirigé d'arrière en avant; il émerge de la substance grise de la calotte, et va se jeter dans la couche opti
e termine un peu plus en avant (pl. XXVR, fig. 101) dans la substance grise de l'espace perforé postérieur et dans le ganglio
cus niger, semble se confondre insensiblement en dehors avec ce noyau gris . Elle se divise, à ce niveau, en deux étages : un
ur les coupes suivantes, n'est plus réduit qu'à des stries verticales grises , se mélangeant insensiblement avec ce trajet il
ceau qui limite en dehors l'espace perforé postérieur et la substance grise du tuber cinerum. On s'expliquera à l'aide du sch
es se terminent dans les noyaux de la protubérance et de la substance grise interpédonculaire. Le faisceau géniculé, au con
ore très foncées, se confondent avec la teinte foncée de la substance grise du putamen. Ce qui est certain, c'est que les fib
l'insula, ses fibres les plus externes se mélangent avec la substance grise du claustrum (CL, fig. 93, 94). Et comme ARC
t par la bandelette optique sus-jacente à l'un-cus (Une). Substance grise . GAM. La corne d'Ammon (CAM) et Viincus ou croc
AM) et Viincus ou crochet (Une) se mélangent intimement. La substance grise et la substance blanche de la corne d'Ammon se co
rne d'Ammon se continuent, sans aucune démarcation, avec la substance grise et avec la substance blanche de Vvncus,{{ig. 97,
e l'uncus (Une) et le fascia dentata (Fd) sont une seule et môme lame grise . On peut voir sur la coupe 101 que l'uncus est, c
du thalamus (fig. 97, 101), ou corpm album subrotundum, est une masse grise bien isolée, enveloppée de tous côtés par de la s
les, dirigées de dehors en dedans et qui se perdent dans la substance grise du puta-lïien. La plupart s'y ramifient. Jamais e
iculaire. DL. Le discus lentiformis (fig. 98, 99, 101) est un noyau gris parfaitement isolé, de forme très régulièrement l
. Le discus lentiformis n'est relié par aucune traînée de substance grise avec la couche optique, ni môme avec le noyau rou
faisceaux de la calotte et du pédoncule. La seule région de substance grise avec laquelle il puisse avoir des connexions est
quera seulement qu'il n'est pas en contact immédiat avec la substance grise de la couche optique. Il en est séparé par une mi
confond en dehors avec le discus lentiformis (PL). Cette petite masse grise est en rapport intime avec la lame terminale de R
se terminer au-dessus et en dedans du trou borgne dans la substance grise du ganglion inter-pédonculaire (vov. pl. XXVJII,
ce ganglion, la lamina tegnicnti (LTE), qui pénètre dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. MF. Le faisceau
lon parallèle; il prend ses insertions postérieures dans la substance grise qui double ce sillon. ARC. Le faisceau arqué (f
squ'à la surface : la bandelette de Giacomini (BGI) avec la substance grise sous-jacente, ferme en dedans le recessus antérie
s faisceaux blancs du pédoncule se placent au contact de la substance grise du tuber cinercum (SG, fig. 108); et, en dedans d
t inférieur est le recessus sub snbiculo (Dsu, fig. 108). Substance grise . CAM. La corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne diffè
'Arnold qui le recouvre : sur ces deux dernières coupes, la substance grise affecte une forme ovalaire. La portion interne.de
parts la lamina convoluta, sauf à sa partie interne, où la substance grise se confond avec celle de l'écorcc. BGI. La band
ette de Giacomini, à partir de la coupe 103, est un pont de substance grise qui réunit la crête de l'uncus avec la région sou
. D'autre part il résulte de la communication apparente de l'écorcc grise avec le noyau amygdalien (NA, fig. 105), ce fait
t (fig. 104, 105). En dedans il paraît se confondre avec la substance grise du lobule de l'hippocampe. Enfin, en haut, il est
queue du noyau caudé (fig. 105, 104) réduite à une toute petite masse grise à peine reconnaissable dans l'angle inféro-extern
ommissure antérieure. Sur les coupes 107 et 108, on voit la substance grise du putamcn se prolonger de dehors en dedans, au
au lenticulaire, et va rejoindre, en dedans et en avant, la substance grise du tuber cinereum. Nous décrirons plus tard ce pr
a déjà été attribué, et qui est très préférable à celui de substance grise innominëe (voy. GAP). GLP. Le globus pallidus (
ire est une masse ganglionnaire (figure 105) située dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104), a
du que sa coloration ne diffère pas beaucoup de celle de la substance grise au milieu de laquelle il est noyé, on peut le rec
i nous semble pouvoir être présenté de la façon suivante : Les masses grises situées sur le trajet des fibres, sont destinées
pénètrent que très rarement d'emblée dans les noyaux dont les masses grises se composent. La plupart du temps ils enveloppent
grises se composent. La plupart du temps ils enveloppent la substance grise , de manière à constituer autour d'elle une sorte
nale de la couche optique est le type de cet encapsulemcnt des masses grises , dont on retrouve les stratifications lamellaires
l'écorce cérébrale elle-même (sorte d'épanouissement de la substance grise centrale) qui ne présente cette stratification de
fibres de la lamina tegmenti (voy. plus loin LTE). SG. La substance grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou substan
a substance grise interpédonculaire (fig. 104, 105, 106) ou substance grise basilaire fait suite, d'arrière en avant, au gang
(MF, 104, 105, 106) qui vient y épuiser ses fibres). Cette substance grise intcrpédonculaire correspond, par sa surface, à l
(DL) ; il abandonne une certaine partie de ses fibres à la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG), en avant et
des coupes de la planche XXIX. CL. Le claustrum (fig. 106), cloison grise verticale, intermédiaire à la capsule externe (CE
on reconnaît deux étages : l'étage supérieur, occupé par la substance grise intcrpédonculaire (SG), correspondant à l'espace
lui attribuer sur les coupes 105 et 104 les deux petites bandelettes grises antéro-postérieures qui se dirigent d'avant en ar
nous étudions actuellement, on devrait le chercher dans la substance grise qui recouvre, en dedans, le faisceau tegmento-tha
. 105, 105) poursuivre son trajet postéro-antérieur dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, où elle se termin
104 et 105, alors qu'elle chemine à la partie externe de la substance grise centrale de l'espace perforé postérieur (SG). Mai
aillir en arrière des tubercules mamillaires (TM) deux petites masses grises perdues dans la substance grise de l'espace PV,
mamillaires (TM) deux petites masses grises perdues dans la substance grise de l'espace PV, pont de Varole ; TM, tubercule
en diminuant progressivement de largeur, aux renflements de substance grise qui représentent les ganglions interpédonculaires
endent d'arrière en avant et de dedans en dehors deux fortes traînées grises (LTE) accolées, à droite et à gauche, au pied du
long trajet. Presque immédiatement elles s'épuisent dans la substance grise centrale, soit de chaque coté de la ligne médiane
avec le pédoncule (voy. SG, pl. XXVIII, fig. 107). Les deux traînées grises dont il s'agit représentent l'extrémité antérieur
d'autre part, que ce faisceau, avant de se terminer dans la substance grise de l'espace perforé postérieur, glisse en dehors
qui indique qu'il revient sur lui-même pour entrer dans la substance grise du globus media-lis, comme s'il avait dépassé le
capsule interne. Elle se place, en dedans, au contact de la substance grise de l'espace perforé (SG), sans entrer en connexio
llaire externe du thalamus (fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la couche optique. Sur la coupe 108, le faisce
s de la lamina tegrnenti se terminent manifestement dans la substance grise de l'espace perforé postérieur. Celte hypothèse e
es et internes du faisceau capsulairc (MF) se jeter dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (pl. XXIX, fig. 11
faisceau rubro-thalamiquc (NL); YM. ventricule moyen; SG, substance grise du ventricule moyen; Tes, pédoncule cérébelleux s
en lames à sa surface; et elle n'est, en effet, reliée à la substance grise centrale (SG) que par un isthme de substance gris
iée à la substance grise centrale (SG) que par un isthme de substance grise sus-jacent au noyau rouge de la calotte. Les fa
l'écorcc frontale; elles se jettent et se terminent dans la substance grise du noyau externe de la couche optique (NeC, fig.
du faisceau de Vicq-d'Azyr, en s'épuisant peu à peu dans la substance grise du les deux suivantes (107, 108) la profondeur
arrière en avant dans la capsule externe et se perd dans la substance grise du claustrum même. On peut reconnaître ici que ce
oupes précédentes (103 à 106) il était encore adhérent à la substance grise du putamen; il en est séparé maintenant (fig. 107
enticulaire (MLE), se dirigent de dedans en dehors, dans la substance grise du putamen (PUT), comme l'indique le schéma 167;
teinte sombre; elles s'épuisent donc, à leur tour, dans la substance grise . FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 105) p
ubercule antérieur de la couche optique (NaC), séparé de la substance grise intra-ventriculaire (Th), par les fibres antéro -
séparé de la cavité ventriculaire que par une mince lame de substance grise . Il est, sur cette coupe, dirigé en haut et en de
isceau de Vicq-d'Azyr semble naître par deux origines de la substance grise du troisième ventricule (fig. 108). Il existe bie
nes à ce faisceau, mais la double origine n'est pas dans la substance grise ventriculaire ; elle est dans le tubercule mamill
r du trigone (DF). Le faisceau d'origine externe naît de la substance grise dans une petite masse ganglionnaire qu'on appelle
ganglion. Un grand nombre d'entre elles se perdent dans la substance grise du troisième ventricule; un plus grand nombre enc
st surmontée par une petite crête tronquée représentant la commissure grise moyenne. La face interne se termine en bas par
es faisceaux blancs de cette région (voy. BSO, pl. XXIX). Substance grise . CAM. La corne d'Ammon n'est plus représentée i
La corne d'Ammon n'est plus représentée ici que par une petite masse grise , ovalaire, allongée transversalement (CAM), à la
étendue du noyau amygdalien, on reconnaît sur le fond de la substance grise des taches plus claires, évidemment formées de su
acine inférieure du thalamus (ThI, 109, 110, 114). SG. La substance grise de l'espace interpédonculaire (fig. 109 111) dimi
de petit calibre, tranchent par leur couleur blanche sur la substance grise de la base du cerveau à la surface de laquelle el
e Vicq-d'Azyr. TM. le tubercule mamillaire, adjacent à la substance grise de la base du cerveau (SG), recevrait le pilierde
trigone se contournait comme un 8 dans la profondeur de la substance grise basilaire, de façon que le ventre inférieur de ce
ventre inférieur de ce 8 vînt proéminer à la surface de la substance grise (schéma 170). Le faisceau remontant (FVA) est cep
e du pilier attendu qu'il n'est blanc qu'à la surface; c'est un noyau gris , adhérent à la grande masse basilaire. D'après
la couche optique; 2, pilier antérieur du trigone; 5, 5, substance grise basilaire; i, noyau interne et antérieur du tuber
lier (2). Ces fibres (7) se jetteraient directement dans la substance grise qui constitue la plus grande masse du tubercule (
infléchiraient sur elles-mêmes (6) pour se porter dans la substance grise du tubercule antérieur de la couche optique (1) s
dehors, vers le lubcrcine-reum, et qui se perdrait dans la substance grise de l'espace perforé antérieur. Ce dernier faiscea
culaire. — En avant du crochet, la bandelette repose sur la substance grise du tuber cinereuin, et l'anse est encore à sa par
s principales de substance blanche séparées par une lame de substance grise . Mais la difficulté ne réside pas seulement dan
té ne réside pas seulement dans la complexité des éléments, blancs ou gris , dont se compose l'anse pédonculaire. Elle réside
on de l'espace perforé antérieur (schéma 172). Quant à la substance grise qui forme la couche intermédiaire, elle est commu
donculaire de Gra-tiolet, formée de deux lames blanches et d'une lame grise ; la lame blanche inférieure (ThI) superposée à la
s le nom de substance innominée. Puis on a réservé ce nom à la couche grise intermédiaire à l'anse du noyau lenticulaire et à
nticulaire et à la racine inférieure du thalamus ; c'est cette couche grise que nous allons étudier maintenant (GAP). GxlP.
rapports avec les parties voisines. On peut se figurer la substance grise innominée comme une lame horizontale de substance
la substance grise innominée comme une lame horizontale de substance grise , en continuité immédiate avec la substance grise
zontale de substance grise, en continuité immédiate avec la substance grise du troisième ventricule (TC, schéma 173). Cette c
couche horizontale n'est que l'expansion transversale de la substance grise interpédonculaire, partie du tuber cinereum; cell
GLM), et va, gagnant la ligne médiane, se confondre avec la substance grise du tuber cinereum (TC). C'est cette lamelle, éman
te lamelle, émanée de la base du putamen, qui a été appelée substance grise innominée. l'étudié que sur des coupes vertical
de faire passer la laine du couteau juste parle milieu de cette lame grise . Il ne Comme elle se confond aussi, virtuelleme
, virtuellement, avec celle du côté opposé, au niveau de la substance grise du tuber cinereum, on a considéré les lamelles de
rieure, il atteint la ligne médiane, il la franchit dans la substance grise du tuber cinereum avec laquelle il se confond. 11
quelle il se confond. 11 est donc aussi bien une émanation lamelleuse grise du tuber cinereum (TC, schéma 174), dirigée vers
e. Mais elle en est séparée toujours par un petit espace de substance grise parcouru d'avant en arrière et de haut en bas par
traversé le discus lentiformis), prennent naissance dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG, fig. 111) et
devant le faisceau de Vicq-d'Azyr et vont se jeter dans la substance grise du troisième ventricule au-dessus du tubercule (f
ire que le faisceau d'Arnold aboutit très probablement à la substance grise des circonvolutions frontales, plus spécialement
ns la capsule blanche de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance grise (fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la première
se plaçant au-devant de lui, pour aller se jeter dans la substance grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114). En d
t, séparées des trois segments du noyau lenticulaire par la substance grise de Vanse (GAP, fig. 114); à leur partie externe
intime; et même elles suivent la même direction, depuis la substance grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans le cen
en (GAP, fig. 111), passant derrière le bord postérieur de cette lame grise et s'insinuant ensuite au-dessus d'elle. Sur les
eulement dans le putamen proprement dit, mais aussi dans la substance grise qui prolonge ce noyau vers la région basilaire et
jours constituée par la face inférieure du corps calleux. Substance grise . . NaC. Le noyau antérieur du thalamus (fig. 11
u thalamus (ThI). En dedans il se confond en partie avec la substance grise du tuber cinereum (TC, fig. 119, 120), à laquel
nt en deux faisceaux, un antérieur et un postérieur dans la substance grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold accom
d, encore très compact sur la coupe 115, où il contourne la substance grise du tubercule mamillaire de dedans en dehors et de
nt de la voûte (fig. 116,117,118 et suiv.) apparaît dans la substance grise du troisième ventricule (SG, fig. 116, 117). Il e
s, au-dessus du noyau amygdalien (NA), qu'elle sépare de la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip), là où
ment sous la forme d'une mince lamelle (fig. 117), entre la substance grise de l'hippocampe (Hip) et le noyau amygdalien (NA)
ulaire (GAP), sur cette figure, n'atteint plus en dedans la substance grise de la racine optique moyenne ; la racine inférieu
ux lames : une profonde récurrente, qui s'enfonce dans la substance grise du thalamus ; une superficielle qui va à la renco
mmissure antérieure (fig. 115) franchit le bord postérieur de la lame grise sous-lenticulaire (GAP, fig. 116, 117) et suit
du pilier descendant (DF), qui se continue avec lui dans la substance grise du troisième ventricule (schéma 186). Tae. Le t
de l'espace perforé qnc par une mince bande horizontale de substance grise : l'isthme gris fronto-sphénoïdal. A la face in
oré qnc par une mince bande horizontale de substance grise : l'isthme gris fronto-sphénoïdal. A la face interne des coupes
onale (ZS, fig. 124), et, au devant du stratum zonalc, la substance grise du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons
m luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons que cette masse de substance grise n'est que le prolongement du noyau caudé vers la
prolongement du noyau caudé vers la base de l'encéphale. Substance grise NC. Le noyau caudé (fig. 125), en avant de l'ex
Tse, fig. 125) se prolonge donc en bas et en dedans avec la substance grise du septum lucidum (GSL, 125). Il augmente encore
endu de dehors en dedans, entre le putamen (PUT, 121) et la substance grise du tuber cinereum (SG). A sa partie externe, c'es
médiane au-dessus et en arrière du chiasma (CH). GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 125) est le prolongement
e de celte cloison. Il n'existe aucune démarcation entre la substance grise de la tête du noyau caudé et celle du septum. La
e est virtuelle. Au-dessous de la commissure antérieure, la substance grise du septum change de nom : c'est la substance gris
eure, la substance grise du septum change de nom : c'est la substance grise de la lame terminale. Mais, en fait, c'est toujou
té avec la masse du tuber cinereum, en d'autres termes, avec la paroi grise de l'infundibulum. La substance grise du septum
'autres termes, avec la paroi grise de l'infundibulum. La substance grise du septum ne remonte pas, sur la paroi externe de
du pilier descendant de la voûte (DE, 124, 125, 126). La substance grise centrale du cul-de-sac antérieur du troisième ven
à la face supérieure du chiasma, est cette mince couche de substance grise qui se laisse perforer si facilement, au-dessous
ptiques. C'est de là que s'élève, vers la commissure, la mince couche grise de la lame terminale (LAT, fig. 125,126), laquell
126), laquelle se confond, autour de la commissure, avec la substance grise du septum (GSL). CL. Le claustrum ou avant-mur
. Le claustrum ou avant-mur (fig. 121) est cette cloison de substance grise , dont nous avons eu déjà l'occasion d'indiquer pl
damentales. Ces connexions sont celles qu'il affecte avec la subtance grise corticale. On sait que l'avant-mur, situé verti
ieur de l'insula : il était donc tout naturel d'admettre que ce noyau gris , disposé comme une cloison verticale au voisinage
s plus superficielles, mais faisant partie réellement de la substance grise de la fosse de Sylvius. On alla plus loin : on pr
ints de l'écorce de Sylvius où s'effectue le raccordement des couches grises superficielles avec la couche profonde représenté
L'avant-mur est une expansion lamellaire, verticale, de la substance grise de l'isthme fronto-sphénoïdal (IFS, fig. 126). Po
érieur (EPA), on voit l'avant-mur (CL) se confondre avec la substance grise du lobe sphénoïdal. Cette substance grise est cel
confondre avec la substance grise du lobe sphénoïdal. Cette substance grise est celle qui recouvre la partie la plus antérieu
t l'écorce de la rigole inférieure de Sylvius. Ce pont de sub«-stance grise correspond, extérieurement, à ce que Broca appela
ticales ou horizontales), à ce que nous avons préféré appeler Yisthme gris fronto-sphénoïdal (IFS). C'est de la partie inter
ris fronto-sphénoïdal (IFS). C'est de la partie interne de cet isthme gris que part l'avant-mur, pour se porter de bas en ha
e bas en haut, entre le putain en et l'écorce de l'insula. L'isthme gris fronto-sphénoïdal est immédiatement situé au deva
la planche XXXI, la continuité de l'avant-mur (CL) et de la substance grise de l'hippocampe est très apparente; elle ne l'est
les coupes suivantes, et en particulier sur la coupe 126, où l'isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS) traverse le lobe sphénoïd
une surface dont le développement a pour point de départ la substance grise de l'isthme. C'est exactement à l'extrémité exter
medialis (GLM). Elles se confondent toutefois, au-dessous de la masse grise commune au noyau lenticulaire et au noyau caudé ;
n, les fibres de l'anse du noyau caudé sont fournies par la substance grise de la tête du noyau caudé, dans la région inférie
pilier descendant de la voûte (fig. 121) s'enfonce dans la substance grise du troisième ventricule (SG) qui va bientôt se co
re dans la cavité ventriculaire avant de s'enfoncer dans la substance grise . En haut il se confond avec la voûte (TRI, fig. 1
la portion blanche, car le septum lucidum est constitué par une masse grise (GSL), prolongement du noyau caudé qui remonte av
ieure du thalamus (ThA). En avant, elle est bornée par la substance grise du septum lucidum (GSL), qu'elle ne dépasse jamai
, 125, 126, la commissure antérieure est située au-dessus d'une masse grise que nous connaissons, et qui n'est autre que la l
st autre que la lame terminale (LAT). Dans l'épaisseur de cette masse grise , arrivent de bas en haut, c'est-à-dire de l'espac
ûte (DF). Cette région intermédiaire (GSL, fîg. 125) est la substance grise du septum lucidum. Nous savons qu'elle fait par
traverser le noyau lenticulaire. Celles qui émergent de la substance grise du septum sont de ce nombre. Il est aisé de const
la racine antérieure du thalamus (ThA) et au-dessous de la substance grise du septum. Elle traverse en partie la racine anté
e antérieure du thalamus. Elle sort du noyau caudé et de la substance grise du septum, immédiatement en avant des fibres les
tique (fig. 122, 125) adhère par sa face supérieure avec la substance grise de la lame terminale (LAT, fig. 125) OLC. Les f
ceau bien compact et dirigé d'avant en arrière, traverse la substance grise de l'espace perforé antérieur, puis se porte obli
ur, puis se porte obliquement en haut et en dedans, vers la substance grise de la lame terminale où elle s'épuise (OLM, 125)
dedans au-dessus du lobe temporal, et n'est arrêtée que par l'isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS). D'autre part, l'espace p
ieur (EPA, fig, 127) s'enfonce de dedans en dehors vers la même bande grise . Le cul-de-sac de l'espace perforé, à ce niveau,
eures (128, 129, etc.), la section aura laissé derrière elle l'isthme gris fronto-sphenoidal, la vallée de Sylvius (S, iig.
rbi-taire de la troisième frontale une grande presqu'île de substance grise correspondant au cap de cette circonvolution (CAP
m (PEL, fig. 130) et la face supérieure du rostrum (ROS). Substance grise . NC. Le noyau caudé (fig. 128, 129, 130 et suiv
bas et en dedans : de cette fusion résulte la gouttière de substance grise homogène, au fond de laquelle s'enfonce la racine
L, 127, 128) se continue ici, en haut et en dedans, avec la substance grise du septum (GSL, fig. 127). Puis, lorsque le septu
par la capsule externe (CE, fig. 127, 128, 129). GSL. La substance grise du septum (fig. 127) monte sur la paroi externe d
nche sur la ligne médiane, foncée en dehors, reçoit dans sa substance grise les fibres de la racine olfactive moyenne (OLM, 1
s fibres de la racine olfactive moyenne (OLM, 127). GS. La pyramide grise de Sœmmering (fig. 127) est un noyau confondu en
mmering (fig. 127) est un noyau confondu en arrière avec la substance grise de la lame terminale; on le distingue difficileme
distingue plus sur la coupe 129. Il est comme perdu dans la substance grise du troisième ventricule, à la base de la lame ter
base de la lame terminale (LAT) ; il fait même partie de la substance grise de la lame terminale : ce qu'on appelle lame term
nale : ce qu'on appelle lame terminale étant un feuillet de substance grise recouvert, en avant, d'un feuillet commissural de
racine olfactive moyenne (fig. 127,128) se termine dans la substance grise de la lame terminale (LAT) au-dessus du ganglion
7), s'étend verticalement entre le corps calleux (ce) et la substance grise du septum (GSL). On sait qu'il se compose de deux
e de deux parties : une inférieure, volumineuse et toute de substance grise (GSL) ; une supérieure, mince et formée de substa
supérieure, mince et formée de substance blanche (PEL). La substance grise , sur la coupe suivante (128), a reçu la petite tr
ubstance grise, sur la coupe suivante (128), a reçu la petite traînée grise que nous avons appris à connaître sous le nom de
ium : ROS, roslrum ; TM, tubercule ma-millaire ; GSL. substance grise du septum lucidum ; LMV, substance ré-ticulaire
dehors, ainsi qu'il est facile de le Section horizontale des noyaux gris de l'hémisphère gauche ; au niveau de la coupe ve
) s'étale dans toute la largeur du lobe frontal au-dessus de l'isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS). Sa teinte encore foncée
nt à droite et à gauche, s'épuisant progressivement dans la substance grise du lobule orbi-taire; les plus internes vont gagn
fig. 129, 130); les plus externes vont se perdre dans la substance grise du pôle de l'insula (PI, 127, 128, 132). Mais tou
n avant, mais d'avant en arrière. 11 s'épuise ainsi dans la substance grise -qui enveloppe le sillon olfactif interne {Soi, f
anche. Mais déjà à partir de la figure 136, où l'on voit la substance grise du cap se fusionner dans la profondeur avec celle
155) et par des fibres issues du corps calleux lui-même. Substance grise . NC. La tête du noyau caudé (fig. 154), de plus
icales et parties ganglionnaires. Les surfaces homologues de l'écorce grise , réunies d'un côté à l'autre par le rostrum, sont
e corps calleux (ce) et le rostrum (HOS). sous l'aspect d'une bande grise dont la largeur correspond exactement à celle du
elles les différentes parties de l'insula, se perd dans la substance grise du pôle (PI) et dans l'écorce du lobule orbitaire
issure limbique (L), abandonnant peu à peu ses fibres, à la substance grise de la première frontale et surtout à la portion d
serait vaincue, il est rare que les différences de volume des noyaux gris centraux n'entraînent pas des différences de rapp
isée horizontalement, au plus près de la face inférieure. Substance grise . NR. Le noyau rouge de la calotte occupe le mil
ieure et s'enfoncer, en avant en dehors et en haut, dans la substance grise de la base du cerveau. NC. Le noyau caudé, sur
passe par la partie la plus inférieure du noyau caudé, — la substance grise n'est pas libre dans la cavité ventriculaire; ell
qui s'interposent ainsi entre la tête du noyau caudé et la substance grise du tubercule de jonction, proviennent de la racin
P). GAP. Le ganglion ou noyau de l'anse pédonculaire est une couche grise très mince, étendue depuis la partie inférieure e
epuis la partie inférieure et interne du putamen jusqu'à la substance grise du troisième ventricule; ce ganglion se confond e
oisième ventricule; ce ganglion se confond en avant avec la substance grise du septum lucidum GSL (fig. 2 et 3) au devant du
du faisceau de Vicq d'Azyr (FVII), et, en arrière, avec la substance grise du tuber cine-reum, au devant du tubercule mamill
, au devant du tubercule mamillaire (TM, fig. 1). GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond avec l
ce grise du septum lucidum (fig. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la base, au devant du faisceau de Yicq d'Azyr
avant-mur est étendu d'avant en arrière sous la forme d'une traînée grise , en dehors de la capsule externe (CE) qui le sépa
e d'Ammon (fig. 2 et 3) se présente comme un enroulement de substance grise qui fait suite à l'écorce du cap du lobe carré (C
eur sous-jacent à l'aqueduc de Sylvius (AQ) remonte vers la substance grise de l'espace interpédonculaire, en dedans du fasci
noyau de l'anse (GAP), se porte de dehors en dedans vers la substance grise du tuber cinereum ; puis (fig. 2 et 3) elles se r
nage du pilier descendant de la voûle (DF) et se relève dans la paroi grise du troisième ventricule (GSL), où il est impossib
ptique a disparu. Cin. Le cingulum(fig. 3), adjacent à la substance grise du tubercule de jonction (TJ), se termine au nive
nt du pied du septum lucidum (psp). En arrière il adhère à l'écorce grise du subiculum, en dedans de la corne d'Ammon (CAM)
tonnée (LFE). LFE. La lame festonnée (fig. 1, 2, 3) double l'écorce grise du fond de la scissure calcarine (K). Elle se com
ASSANT IMMÉDIATEMENT AU-DESSUS DE LA RÉGION DE LA CALOTTE Substance grise . NR. Le noyau rouge de la calotte n'est visible
zontales pour passer de la région de la calotte dans celle des noyaux gris centraux. QA. Le tubercule quadrijumeau supérie
figure 5 il n'existe plus; on ne voit que la proéminence de substance grise qui le réunit au ganglion de l'habénule. Gll. L
stance ganglionnaire de cette gouttière; cette substance uniformément grise tapisse la paroi du troisième ventricule. Sur la
l), sorti du tubercule mainillaire (TM), s'enfonce dans la substance grise de la base (fig. 2), puis, de là, dans la couche
Le pilier descendant de la voûte (fig. 3) est perdu dans la substance grise du septum lucidum (GSL). , coupe 6, le ganglion
'Arnold (AR), se continue sans démarcation tranchée avec la substance grise du septum lucidum (GSL). On voit encore à sa part
la couronne rayonnante du thalamus (Rlh, fig. 5). GSL. La substance grise du septum lucidum se confond non seulement avec l
ent avec la partie postérieure du noyau caudé, mais avec la substance grise basilaire qui enveloppe la commissure antérieure
ire qui donne l'idée exacte de leur direction. Dans cette substance grise du septum lucidum, on voit la section du pilier d
st en réalité derrière le septum; seulement, on sait que la substance grise du septum se confond, en arrière et au-dessous de
sinage du noyau caudé (NCC, fig. 5). 11 se compose d'une grosse masse grise qui, à sa partie inférieure, est séparée du centr
us, en dehors et en arrière du ganglion de l'habénule; c'est la masse grise où se confondent les deux noyaux interne et exter
corne d'Ammon semble n'être qu'un simple enroulement de la substance grise de l'écorce sur la coupe la plus inférieure (fig.
plenium, la plus petite et la plus antérieure, enveloppe la substance grise de la corne d'Amnmn : c'est l'alveus (ALV); elle
l'alveus (ALV); elle se continue avec la fim-bria (FI). La substance grise elle-même présente un prolongement tronqué (Tf) q
n avant et se terminent, au moins en grande partie, dans la substance grise de la fente de Monro; les fibres externes, visibl
E LA COUCHE OPTIQUE, c'eST-A-DIRE AU-DESSUS DE l'hABÉNULE Substance grise . Sur ces trois coupes la masse opto-striée s'es
glion de l'habénule (fig, 7) est encore représenté par un petit noyau gris anguleux qui, sur le profil de l'hémisphère, n'es
{VF, fig. 7), et se confond en arrière et en dedans avec la substance grise du septum lucidum (GSL). Il est parcouru d'arrièr
e que le niveau de la surface de section s'élève. GSL. La substance grise du septum lucidum (fig. 7) occupe exclusivement l
que sur la coupe 9 on ne distingue plus que des vestiges de substance grise accolée à la lyre du trigone (LY). FI. La fimbr
, en dehors, au faisceau géniculé (FG). Nous savons que dans la masse grise du thalamus elle se divise en deux faisceaux. Ces
trigone. Comme ce dernier, c'est là qu'il se perd dans la substance grise du tuber cinereum. — En arrière, le lœnia suit la
aenia passe sous le noyau amygdalien et \a se jeter dans la substance grise de la base, en dedans du lobule de l'hippocampe.
re 12 représente le plan de section du segment inférieur. Substance grise . NaC. Le noyau antérieur du thalamus [corpus al
à distinguer de noyaux. Le thalamus (Th) est constitué par une masse grise uniforme, à la partie antérieure de laquelle le c
cette coupe. Plus haut môme, ce noyau dispa- ¦ raît; la grande tache grise qui le remplace (fig. 11) dans l'angle j rentrant
d'arrière en avant. Il ne renferme plus trace des îlots de substance grise qui, sur la coupe précédente (pl. XXXVl, fig. 9),
erticales, font suite au rostrum du corps calleux; 3° enfui la couche grise de la lame terminale, derrière laquelle se trouve
carine (/t), derrière le lobe carré; la calcarine repousse son écorce grise vers la cavité ventriculaire dont elle n'est sépa
campe. Ce sillon est séparé de la substance réticulaire par un nodule gris (tec), représentant ici la partie la plus postéri
a tecta. tec. Le tsenia tecta n'est que le prolongement de l'écorce grise au-dessous du sinus du corps calleux. Mais à la p
nia tecta. Fci. Le fasciola cinerea est donc la portion de l'écorce grise qui, partie du lobe carré avec le taenia tecta, s
uses. 1. Voy. pl. XLII, fig. 1. Leur continuité avec la substance grise de la corne d'Ammon, bien mise en évidence chez l
au caudé (NC) des fibres profondes du corps calleux (ce). Substance grise . NC. Le noyau caudé, en arrière et en dedans, s
Le noyau caudé, en arrière et en dedans, se confond avec la substance grise de la lame terminale (LAT). LAT. La lame termin
de la lame terminale (LAT). LAT. La lame terminale est une cloison grise verticale, immédiatement accolée à la convexité a
se continue en dehors avec le noyau caudé (NC) et avec la substance grise de la base du cerveau, qui s'arrête au niveau du
t de la commissure postérieure (CP), on distingue l'amas de substance grise du ganglion de l'habénule (GH). Substance blanc
coupée sur la ligne médiane, s'enfonce obliquement sous la substance grise du noyau caudé (NC). CP. La commissure postérie
enfonce obliquement en arrière, en dedans et en bas vers la substance grise du troisième ventricule, au-dessous des noyaux du
supérieur de la calotte; la couche interne, adjacente à la substance grise du thalamus, est formée par les fibres de la raci
lieu juste au niveau du pli de passage temporo-limbique. Substance grise . NC. Le noyau caudé, confondu en dedans et en a
C. Le noyau caudé, confondu en dedans et en arrière avec la substance grise de la lame terminale (LAT), est strié par de nomb
vant le lobule orbitaire, avec son sillon au devant de la substance grise du septum lucidum (GSL, fig. 5), puis se confond
La continuité du noyau de l'anse (GAP, fig. 3 et 4) avec la substance grise qui limite en dehors la bandelette optique (BO) e
lui forme une sorte de capsule, le sépare, en dedans, de la substance grise corticale; et c'est efl'ectivement d'une véritabl
e diagonale. Le trait de section passe juste au milieu de la racine grise du nerf optique. Cette racine grise est en contin
asse juste au milieu de la racine grise du nerf optique. Cette racine grise est en continuité, au-dessus du chiasma, avec la
au-dessous de la bandelette présente l'aspect d'une double bandelette grise qui n'a aucune connexion avec le noyau amygdalien
gure 4 fait voir sous un nouvel aspect la disposition de la substance grise de l'espace perforé antérieur (EPA). Ici la secti
le intéresse l'espace perforé antérieur au niveau même de la pyramide grise de Sœmmering (GS). En dehors de ce noyau se voien
es trous vasculaires de l'espace perforé. On remarque que la pyramide grise de Sœmmering est sur le prolongement de l'axe du
en somme, assez aisément. Ces coupes donnent le détail des parties grises et blanches dont on trouve déjà un aperçu sur la
ne part, avec le tœnia tecta (tec), et d'autre part avec la substance grise ! du pli de passage temporo-limbique (tïT). Elle
l'hippocampe on reconnaît le tœnia tecta (tec). La partie de l'écorce grise au niveau de laquelle le fasciola cinerea s'enfon
elle-même. On constate d'ailleurs que toute l'étendue de cette masse grise est recouverte par l'alveus (ALV), lequel provien
e gauche (figure 2) la lamina convoluta (LC) faisant suite à l'écorce grise de la circonvolution de l'hippocampe (0^). Celle-
ibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cinereum) . CP. Commissure postérieure
iissure terminale. CÏE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troisième ventricule, fascicidi marginales aqu
(VVernicke), substance innominée sous-lenticulaire. GAQ. Substance grise de l'aqueduc. GBO. Ganglion basai optique. GC
Gyrus postérieur du lobe carré. GR. Gijinis reclus. GS. Pyramide grise de Sœmmering. GSF. Première circonvolution sous
ntale. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale. GSL. Substance grise du septum lucidum. GVE. Gyrus veslihuU. IL Si
. Incisure du cap. if. Incisure frontale de l'opercule. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falciforme
frontale de l'opercule. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falciforme. igp. Incisure du lobule du pli
rne. RGI. Couronne rayonnante du corps genouillé interne. RGO. Racine grise du nerf optique. RGP. Couronne rayonnante du gl
nterne. RR. Ruban de Reil. RSG. Couronne rayonnante de la substance grise centrale. RSP. Repli du splenium. Rth. Radialio
sillon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire. SU. Sillon de l'hippoc
gne, foramen cœcum. TC. Tul)er cinereum. tec. Tanila tecta, tractus gris longitudinal (Duverney), induseum griseum. TEG.
108 Faisceau du tegmentum allant se jeter en haut dans la substance grise du troisième ventricule au niveau de l'orifice de
........ xlyui Isthme du coin (IC)..................... 25 Isthme gris fronto-sphénoïdal (IFS)............81, 394 N
567 Racine descendante du trijumeau (DY)............. 251 Racine grise du nerf optique (voy. CH)............. 406. Rac
4 Pyramide antérieure du bulbe (PVB).............. Pl. Y Pyramide grise de Sœmmering (GS)..........vi, x, 410 s Sciss
....... xx Tractus de Lancisi (NEL).................. 172 Tractus gris longitudinal de Duverney (tec)........... 174 T
lxxxi Substance ferrugineuse (LN)................. 261 Substance grise basilaire.................. 333 Substance grise
... 261 Substance grise basilaire.................. 333 Substance grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355 Sub
bstance grise centrale sous-épendymaire (SG)......... 355 Substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188 Subs
ubstance grise de l'aqueduc de Sylvius (SG).......... 188 Substance grise du septum lucidum (GSL).......... 74, 592 Subst
Substance innominée de l'insula (LFS)............. 255 Substance grise innominée sous-lenticulaire (GAP)..... 551, 563
3 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
acun d'eux est recouvert et comme enveloppé d'une couche de substance grise . La partie centrale est formée par une masse de s
s tu-bercules mamillaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques — V, ventricule latéra
ale des hémi-sphères. Ils sont compris entre deux masses de substance grise , l'une interne et supérieure (0), l'autre inférie
avoir vu, faisant saillie sur leur plancher deux masses de substance grise ; l'une antérieure et externe a la forme d'une vi
séparées par la profondeur du troisième ventricule. Ces deux masses grises , intra-ventriculaires, le noyau caudé du corps st
lenticulaire du corps strié (L) avec ses trois seg-ments. Ces noyaux gris sont, peut-être., autant de cen-tres doués de pro
avant-mur (M), une petite bande blanche innommée, et, enfin, l'écorce grise de l'in-sula de Reil (D). Je n'ai pas l'intenti
hagique, — la cap-sule externe ou interne, les noyaux de la substance grise , le pied de la couronne rayonnante, etc., — vous
l'on ignore la disposition des plis et des sillons sur la substance grise du lobe pariétal et des parties postérieures du l
cope, rechercher avec vous si l'élude de la structure di la substance grise corticale, faite comparativement dans les (1) P
nu a fait reconnaître des différences dans la composition de l'écorce grise , suivant les régions de l'encéphale que l'on envi
entourent la corne postérieure des ventricules latéraux, la substance grise n'a pas l'aspect à peu près uniforme qui lui est
t déjà observé que, dans ces parties du lobe occi-pital, la substance grise des circonvolutions est divisée très nettement en
elle deTinsula de Reil, se distinguent, quant à l'aspect, de l'écorce grise des circonvolutions appartenant aux autres région
s, t. iv, Localisations. 2 DEUXIÈME LEÇON Structure de l'écorce grise du cerveau. Sommaire. — Caractères généraux de
erveau. Sommaire. — Caractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerve
ons Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière (cellules motrices). — Dime
cinq couches, [ mportance de l'examen de la structure de la substance grise corticale par circonvolution. — Division au point
irconvolution. — Division au point de vue de la structure de l'écorce grise en deux régions. Travaux de Betz. 1. Messieur
égions. Travaux de Betz. 1. Messieurs, La structure de l'écorce grise du cerveau, quelle que soit la région des hémisph
ractères distinctifs. On peut dire que toutes les parties de l'écorce grise sont composées des mêmes éléments essen- tiels.
normal ; mais dans l'étude régionale de la structure de la substance grise , il faudra tenir grand compte aussi des variétés
nous recher-cherons comment ils se disposent pour constituer l'écorce grise . Notre description commencera naturellement par l
lusion aux cellules ner-veuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière, dites encore cellules motr
emps de mettre en regard d'elles les cellules pyramidales de l'écorce grise (Fig. 4). Ces cellules présentent des dimension
vient de publier une note détaillée sur les éléments de la subs-tance grise du cerveau (CenlralhlalJ, f, d. Med, Wiss. 1881).
81). (Note de la 2e édition,) ciales, bien déterminées, de l'écorce grise . Le diamètre de ees cellules gigantesques va quel
se est parallèle au bord intérieur ou médullaire de la zone d'é-corce grise . D'autres prolongements de la même catégorie pa
s motrices spinales. Ces prolongements se résolvent-ils dans l'écorce grise en un réseau nerveux, ainsi que cela a lieu, d'ap
gies qui rapprochent d'une part les cel-lules pyramidales de l'écorce grise — au moins les grandes cellules et les cellules g
sont pas les seuls éléments cellulaires qu'on rencontre dans l'écorce grise . On y trouve encore des petits éléments cellulair
ner-veux, ou réputés tels, qui entrent dans la structure de l'écorce grise . A côté d'eux, il en est d'autres que nous devons
la névroglie. Les tubes médullaires, qui pénètrent dans la snbstance grise sous forme de faisceaux, ne nous arrêteront pas p
articularités de structure, relatives à la névroglie de la sub-stance grise , je rappellerai seulement que, dans ces derniers
rs), je me bornerai à dire que, très vrai-semblablement, la substance grise est faite, à cet égard, sur le même modèle que la
'histoire individuelle des divers éléments qui composent la substance grise . Il convient d'examiner maintenant quel est le mo
es numéros 1, 2, 3, 4, 5, dési-gnent l'ordre des couches de l'é-corce grise : m, la substance mé-dullaire. (1) Th. Meynert.
e, très nombreuses, très tassées, et qui lui communiquent une couleur grise très manifeste. 3° La troisième couche (Fig. 5,
dullaires qui s'enfoncent perpendiculairement à la surface de Técorce grise et forment, dans l'intervalle des groupes de cell
er l'intérêt que peut offrir l'examen de la structure de la substance grise corticale, fait par circonvolutions. On sait d'ai
On sait d'ailleurs depuis longtemps que certaines régions de l'écorce grise diffèrent d'une manière très notable, au point de
volution les modifications de texture que peut présenter la substance grise . A ce point de vue, il y a lieu de distinguer, d'
s limitées parle sillon de Rolando. En avant de ce sillon, l'écorce grise est caractérisée par laprédominancesur les cellul
TROISIÈME LEÇON Considérations sur la structure normale de l'écorca grise des circonvolutions. (Suite.) Sommaire. — Descr
volutions. (Suite.) Sommaire. — Description d'une coupe de l'écorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq coa
veloppement des cellules pyramidales géantes. Structure de 1 ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale. Messie
ans la dernière leçon relativement à la structure normale de l'écorce grise des circonvolutions, étudiée comparativement dans
je crois utile de vous tracer la description d'une coupe de l'écorce grise du cervelet, emprun-tée comme la précédente à M.
cervelet, emprun-tée comme la précédente à M. Meynert. Dans l'écorce grise du cervelet, vous remarquez successivement: l°une
oup d'oeil sur la figure qui re-présente les cinq couches de l'écorce grise du cerveau propre-ment dit, vous voyez par là que
grise du cerveau propre-ment dit, vous voyez par là que la substance grise corticale n'est point faite exactement sur le mêm
phénoïdal ; 2° le lobe occipital, et 3° enfin les parties de l'écorce grise de la face interne qui sont circonscrites par l'e
ous rappellerai que l'existence de ces grandes cellules dans l'écorce grise et leur localisation dans les régions indi-quées
d postérieur du lobe quadrilatère. Le caractère général de l'écorce grise , dans ces régions, c'est que les cellules nerveus
ublié, des lésions qui se bornent aux cornes antérieures de substance grise (Fig. 7, D, D). Ce sont dans le mode aigu, la par
ents noyaux du corps strié, aux diverses circonscriptions de l'écorce grise . Ce n'est pas, cepen-dant, que des localisations
quée dans le domaine de l'artère sylvienne, la circulation des noyaux gris paraît confondue avec celle de l'é-corce grise et
circulation des noyaux gris paraît confondue avec celle de l'é-corce grise et des noyaux blancs sous-jacents: mais c'est là
ions centraux. Artère sylvienne ; ses branches : artères des noyaux gris centraux ; — bran-ches corticales, ramifications
qui sont, à proprement parler, les vaisseaua. nourriciers de l'écorce grise et de la substance médullaire sous-jacente. Le
cond système est le système central ou des ganglions centraux (masses grises centrales). Les vaisseaux qui entrent dans sa con
t formé par delà substance blanche. Ce sont là les artères des noyaux gris centraux ou, d'une façon plus spéciale, les artèr
trié. Nous laisserons de côté, pour l'instant, le sys-tème des noyaux gris pour ne nous attacher qu'au système cortical. D
olutions de l'insula. — P, branches perfo-rantes destinées aux noyaux gris centraux. — 1, artère de la circonvolution de Bro
ent à la surface, on distingue d'abord,à la péri-phérie, la substance grise qui se montre sous la forme d'un feston ayant u
ur ainsi dire en chemin. Les unes vont jusqu'à la limite de la couche grise , du côté du centre médullaire; les autres s'étend
s'étendent moins loin et se ter-minent dans l'épaisseur de la couche grise . Ces artères courtes donnent naissance à des vais
urales de Gratiolet. — 2, 2, 2, Artères corticales ou de la substance grise . a, Réseau capillaire à mailles assez larges si
à mailles polygonales plu? serrées, situé dans la région de la couche grise . — c, Réseau de transition à mailles plus larges.
résulte que, au point de vue de la distribution artérielle, l'écorce grise et l'écorce blanche sous-jacente sont solidaires
s la pie-mère. Ceux-ci sont-ils oblitérés sur un point ? La substance grise et la substance blanche souffriront simul- tané
ties centrales comme autant de rayons. La région blanche et la région grise de l'écorce peuvent donc, en tant que département
ncien, c'est-à-dire s'il date déjà de quelques semaines, la substance grise paraît déprimée, en raison delà destruction que s
ue jaune. La coloration jaune appartient exclusivement à la substance grise , la substance blanche sous-jacente, ra-mollie, ét
même pour-rait avoir pour effet d'amener la nécrose de toute l'écorce grise et de l'écorce blanche sous-jacente. Les partie
-latives à des lésions étendues occupant d'autres parties de l'écorce grise du cerveau. C'est ainsi que, dans un cas de des-t
ment dit. SEPTIÈME LEÇON Circulation des masses centrales (noyaux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulation ar
et capsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris centraux. — Hémorrhagie intra-encéphalique. — Dif
antérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérations
e d'appeler votre atten-tion sur la circulation artérielle des noyaux gris centraux. Vous savez que, sous ce nom, on désigne
entre les artères nourricières corti-cales et les artères des noyaux gris centraux : les premières, en effet, sont, à propr
entail, laissez-moi continuer la comparaison, les noyaux de substance grise sont disposés ainsi qu'il suit : en dedans et en
u'indiquer en passant, la forme et les principaux rapports des noyaux gris que je viens d'énumé-rer : 1° La couche optique
ntérieur, plus obtus et constitué par une masse uniforme de substance grise , se confond à son extrémité la plus antérieure av
t de faire, consis'e à enlever avec soin successive-ment la substance grise des circonvolutions de l'insula, l'a-vant-mur et
ations qui viennent d'être indi-quées, que les trois noyaux ou masses grises centrales, couche optique, noyau caudé, noyau len
virtuellement du moins, du côté de l'insula. Ces noyaux de substance grise forment donc comme un système distinct des autres
ment, d'un côté, avec la couronne rayonnante el partant avec l'écorce grise , de l'autre côté, avec le pied du pédoncule. La
, insula. — K, substance blanche intermédiaire à lïnsula et à Técorce grise de l'insula. — A M, avant-mur. — Caps, ex., capsu
ique. —A, commissure dans la cavité centrale de la masse de substance grise . — G, pilier descendant do la voûte. — Substance
e de substance grise. — G, pilier descendant do la voûte. — Substance grise du troisième ventricule. G 0 L et G 0 E, parties
.) A ces faisceaux qui, du pied du pédoncule, se rendent aux noyaux gris centraux, succèdent dans la partie supérieure de
capsule interne des faisceaux qui, prenant origine dans les noyaux gris , vont concourir à la formation de la couronne ray
la formation de la couronne rayonnante et se dirigent vers la couche grise corticale. Ces faisceaux portent le nom de faisce
x du noyaux lenticulaire — ces divers faisceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centraux ; 4° les faisceaux direc
culaire — ces divers faisceaux rattachent à l'écorce grise les noyaux gris centraux ; 4° les faisceaux directs qui, du pied
es faisceaux directs qui, du pied du pédoncule, se rendent à l'écorce grise sans s'arrêter dans les noyaux gris centraux. O
pédoncule, se rendent à l'écorce grise sans s'arrêter dans les noyaux gris centraux. On peut, dans la capsule interne elle
ET NEUVIÈME LEÇONS Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris Sommaire. — Origine du système artériel des mas
ra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris , sans participation de la capsule interne. — Hémi
des ventricules latéraux; — P, P, piliers du trigone; — 0, substance grise du troisième ventricule qui se con-tinue en arriè
s tu-bercules mamillaires ou en avant des pédoncules. — S, commissure grise ; — 0, 0, couches optiques ; — V, ventricule laté
aire. Cette préparation consiste à détruire successivement l'écorce grise de l'insula, la substance blanche sous-jacente, l
et artifice, qu'elles forment comme un éventail à la surface du noyau gris . Mais, à une assez courte distance de leur origin
iel principal. Alors, le ramollissement porte sur la masse des noyaux gris tout entière ou peu s'en faut, — les districts ré
linéaires, dirigées à peu près verticalement, parallèlement au noyau gris de l'a-vant-mur. (Fig. 22). Quandl'épanchement sa
Pour ce qui regarde d'abord les lésions isolées de chacun des noyaux gris centraux, sans participation de la capsule intern
rié. Les symptômes qui accompagnent ces lésions limitées aux noyaux gris centraux, sont ceux Yhémiplègie cérébrale vul-gai
b) Dans la majorité des cas, la paralysie liée aux lésions des noyaux gris centraux porte sur le mouvement seul; les trouble
'hémiplégie, liée aux altérations ainsi circonscrites dans les noyaux gris , est communément transitoire, passagère, peu accu
La bénignité relative des lésions limitées à la substance des noyaux gris tient sans doute pour une part à cette circonstan
re, sans la participation de la capsule in-terne ou des autres noyaux gris . D'un autre côté, le caractère transitoire de la
actus blanc, et qu'elles n'intéressent enrien la substance des noyaux gris , ces lésions dis-je, produisent l'hémiplégie céré
hénomène de voisinage, en conséquence d'une lésion limitée aux noyaux gris qui l'environnent de tous côtés. Ainsi, la disten
ommise — de rapporter à la destruction de l'un quel-conque des noyaux gris , couches optiques ou corps striés, des symptôme
externe, résisLe à l'effort du sang extravasé, tandis que les noyaux gris sont le plus souvent refoulés dans leur Eig. 25
aché de l'ensemble, et qui, sans pénétrer dans l'épaisseur des noyaux gris , se recourbe en arrière, où d atteint le bord inf
nt dans la couronne rayonnante sans s'être arrêtées dans la substance grise des masses centra-les ; c'est, de plus, ainsi que
l. Elles se termineraient finalement dans l'épaisseur de la substance grise corticale de ce lobe (1). B. Existe-t-il quelqu
courir directement, sans être entrés en communication avec les noyaux gris des masses centrales, à la formation de la couron
ésions étendues des lobes occipitaux et en particulier de leur écorce grise dé-terminent, elles aussi, l'hémianesthésie crois
s quadrijumeaux postérieurs). Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux rayo
stérieurs). Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux rayonnants cortico-opt
centripètes directes, c'est-à-dire ne s'arrêtant pas dans les noyaux gris des masses centrales et qui, à l'issue de la caps
tinés à mettre en communication l'appareil de la vision avec l'écorce grise du cerveau ? Pour aborder cette question, il nous
pénétrer dans le cerveau lui-même, un ou plusieurs amas de substance grise , qu'on est convenu d'appeler les noyaux d'origine
d'une façon indirecte, mettraient ces nerfs en rapport avec l'écorce grise des hémisphères cé-rébraux. A priori, rien ne p
— O, extrémité occipitale. — H, la corne d'Ammon. — RR, la substance grise corticale. — S ii, Sulcus hippocampi. — ll, 2- se
nne part la masse centrale blanche appelée centre ovale, que l'écorce grise des hémisphères enveloppe et renferme, sui-vant l
our et d'étudier ce qu'on sait relativement à ces noyaux de substance grise , où les nerfs optiques prennent leur première ori
pulvinar, en dedans le corps ge-nouillé interne, en dehors une masse grise un peu plus volu-mineuse qui est le corps genouil
es et externes sont notoirement les deux premiers noyaux de substance grise avec lesquels les nerfs optiques entrent en rappo
même plusieurs faisceaux qui se mettent en rapport avec divers noyaux gris . 1° On peut dis-tinguer d'abord un faisceau qui s
es. Ces derniers consistent en des amas assez volumineux de substance grise , renfermant des cellules gan-glionnaires étoilées
des nerfs optiques prend son origine dans trois noyaux de subs-tance grise , à savoir : 1° la couche optique ; 2° le corps ge
s en contradiction avec ce qu'ensei-gnent certains faits d'induration grise tabétique des nerf (1) Gudden. — Arch. furophth
e femme alaxique, aveugle depuis une quinzaine d'années, l'induration grise des nerfs optiques pouvait être suivie au-delà du
ous faut rechercher actuellement comment ces divers amas de substance grise qui viennent d'être énumérés sont mis en relation
grise qui viennent d'être énumérés sont mis en relation avec l'écorce grise de l'encéphale. La con-nexité s'établit, ainsi qu
tre cherché sur le prolongement des fibres médullaires, dans l'écorce grise des lobes occipitaux et sphénoïdaux. Nous auron
uite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise . Sclérose descendante consécutive à une lésion
étendues et profondes, qui restent limitées dans la sphère des noyaux gris (noyau caudé ou noyau lenticulaire), ne dé-termin
parée à leur faible degré dans le cas des lésions limitées aux noyaux gris , après quoi, j'envisagerai le caractère transitoi
° des fibres pédonculai-res directes, c'est-à-dire nées sous l'écorce grise et qui pénè-trent dans l'étage inférieur du pédon
ur du pédoncule cérébral sans s'être mises en rapport avec les noyaux gris lenticulaire ou caudé ; 2° des fibres pédonculair
le noyau lenticulaire ou caudé et n'ont aucune relation avec l'écorce grise . Nous faisons abs-traction, en ce moment, des fai
isceaux de fibres qui s'étendent de la substance corticale aux noyaux gris des masses centrales. Nous supposerons que les
ent à la périphérie l'influence motrice développée soit dans l'écorce grise du cerveau, soit dans les noyaux gris lenticulair
développée soit dans l'écorce grise du cerveau, soit dans les noyaux gris lenticulaire et caudé. Dans cette hypothèse, il
it, aura pour effet de supprimer du même coup l'influence de l'écorce grise , et celle des deux noyaux gris, tandis qu'au cont
du même coup l'influence de l'écorce grise, et celle des deux noyaux gris , tandis qu'au contraire, une lésion limitée au no
subsister l'action du noyau caudé, de cer-taines régions de l'écorce grise , des deux noyaux gris à la fois, avec ou sans par
noyau caudé, de cer-taines régions de l'écorce grise, des deux noyaux gris à la fois, avec ou sans participation des fibres
M. Carville et Duret : 1° L'ablation, chez le chien, de la sub-stance grise dans les ré-gions dites motrices de l'écorce céré
ésultant des lésions destructives, limitées à la substance des noyaux gris , en règle générale, sont passagères, tandis que c
enticulaire, le noyau caudé et les régions dites motrices de l'écorce grise des hémisphères, pourront se sup-pléer mutuelleme
ntinueront à entretenir la relation entre l'un quelconque des centres gris en question, et les parties périphériques, tandis
la supplé-ance peut s'établir, non-seulement entre les divers noyaux gris , mais encore entre les diverses parties d'un même
s noyaux gris, mais encore entre les diverses parties d'un même noyau gris . Il est démontré, tout au moins en ce qui concern
contre, les lésions qui demeurent limitées à la substance des noyaux gris des masses cérébrales, à savoir : le noyau lentic
s du pied de la couronne rayonnante. 3° Les lésions de la substance grise corticale des hémisphè-res, lorsqu'elles sont trè
et en profondeur, c'est-à-dire intéressant en même temps la substance grise et la substance médullaire sous-ja-cente, ainsi q
de ce point. On ne peut pas les suivre au-dessus, du côté de l'écorce grise . Il ne faut pas considérer, comme le fait d'une s
une coupe antéro-postérieure, ne s'éten-dra pas au-delà de la couche grise de Sœmmering. — La co-loration grise disparaît au
ten-dra pas au-delà de la couche grise de Sœmmering. — La co-loration grise disparaît au niveau de la protubérance ; on la re
lésée apparaît sous la forme d'un espace triangulaire, de co-loration grise , situé immédiatement en dehors et en avant de la
loration grise, situé immédiatement en dehors et en avant de la corne grise postérieure correspondante et dont l'étendue s'am
e des fais-ceaux latéraux. Les autres faisceaux blancs, et les cornes grises , restent parfaitement indemnes. On constate en mê
devenir superficielle à la région lombaire. tères d'une induration grise , d'une sclérose qui ne diffère en rien d'essentie
de ses limites habi-tuelles, l'envahissement, par exemple, des cornes grises antérieures dont il sera question plus loin, est
alogies sont considérables, puisqu'une même altéra-tion, l'induration grise , se montre localisée, dans les deux cas, dans le
es faisceaux blancs, soit surtout les cornes antérieures de substance grise , ce que ne fait pas, dans la règle, la sclérose c
nt le sommet est di-rigé en dedans vers l'angle qui sépare les cornes grises antérieures des pos-térieures et dont la base, un
on les trouve, en dedans, pour ainsi dire confondus avec la substance grise . On sait que celle-ci est régulièrement envahie p
hisse dans la moelle des territoires voisins, les cornes de substance grise , par exemple : on comprend qu'en pareil cas d'imp
i, en outre de la sclérose latérale classique, une lésion de la corne grise antérieure du même côté, ayant amené la destructi
grandes cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des cornes grises postérieures pourrait expliquer de la même façon
oncule, traverseraient la capsule interne sans entrer dans les noyaux gris des masses centrales, et ne s'arrêteraient, par c
entrales, et ne s'arrêteraient, par conséquent, que dans la substance grise cor-ticale. En outre des arguments déjà mis en œu
res indirectes, c'est-à-dire se terminant dans l'épaisseur des noyaux gris cen-traux. Chez le chien, le hasard a fait renc
les parties frontalesd'un lobe, sans affecter directement les noyaux gris centraux non plus que la capsule interne. Dans ce
pent en conséquence des lésions étendues et profondes de la substance grise corticale. Ces fibres pédonculaires directes, a
au contraire, affectées à des départements particuliers de l'é-corce grise ? Les faits que j'ai réunis dans le but d'étudier
s dits psycho-moteurs ; ce sont aussi ceux dans lesquels la substance grise corticale contient les cellules pyramidales les p
ite sur le vivant, en faisant reconnaîtra l'existence de l'induration grise du nerf optique, bien des an-nées souvent avant l
verse de la région cervicale inférieure fait voir un axe de substance grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tance gris
n axe de substance grise et un manteau médullaire. Dans la subs-tance grise , vous distinguez : 1° les cornes antérieures avec
s des divers faisceaux blancs et des diverses parties de la substance grise . Elle a distingué les propriétés des fais-ceaux a
aisceaux pos-térieurs, celle des deux grandes régions de la substance grise , et elle n'est pas allée beaucoup au-delà. c) L
latéraux (Flechsig). Ajoutons que, en ce qui concerne la substance grise , il est toute une série de lésions, tant aiguës q
localiser systématique ment dans les cornes antérieures de substance grise , où elles intéressent nécessairement l'appareil d
ur les faisceaux cunéiformes, sur les cornes antérieures de substance grise , et aussi suivant le mode, de la lésion qui occup
ion devenue classique, le cerveau est un organe mou, d'une coloration grise , uni-forme, où les deux substances, la grise et l
ne mou, d'une coloration grise, uni-forme, où les deux substances, la grise et la blanche, sontcon-fondues. Lorsqu'on prend e
rêtent successivement en chemin. Les cornes antérieures de subs-tance grise paraissent naturellement désignées comme étant le
atteint leur développement; donc elles s'ar-rêtent dans la substance grise antérieure où elles entrent pro-bablement en rapp
l'aqueduc de Sylvius autour duquel se développe un amas de substance grise , représentant les cor-nes spinales antérieures ;
ettement séparée du tegmentum par une bande transversale de substance grise qui n'est au- tre que le locus niger de Sœmmeri
ses observations, à émettre l'hypothèse que c'est dans la substance grise de l'écorce ou, autrement dit, dans les cellules
s venons de signaler. En somme, Messieurs, cette partie de l'écorce grise dans laquelle vont se perdre les extrémités termi
au développement des différentes parties des hémisphères. Les parties grises , transparentes en effet, peuvent être considérées
tte époque les régions antérieures et postérieures ont une coloration grise très foncée, ce qui signifie qu'elles sont encore
nnaît des parties diversement colorées, les unes blanches, les autres grises . — AR représente l'anse rolandique sous-jacente à
te à la scissure de Rolando,HR.— G,capsule interne émergeantdelamasse grise centrale, contre l'un de l'autre. L'un, le prem
onscrivant la dépression du sillon de Rolando au-des-sous de l'écorce grise (M. Parrot l'appelle anse rolandique), et se port
mier par l'âge ; l'autre aurait son point de départ dans la substance grise des circonvolutions rolandiques, autrement dit de
e circonstances particulières que nous aurons à relever) la substance grise et les racines des nerfs périphériques demeurent
pyramide correspon-dante, laquelle présente en même temps une teinte grise (Fig. 57). Du côté opposé à la lésion, au-dessous
re occupant la partie moyenne du pied, s'étendant depuis la substance grise de Scemmering, qui forme sa limite supérieure et
à savoir la substance blanche semi-ovalaire et l'écorce de substance grise qui les recouvre. 1° Arrêtons-nous en premier l
grise qui les recouvre. 1° Arrêtons-nous en premier lieu aux masses grises centra-les. Une analyse très sommaire de la régio
jamais lorsque la lésion, restant limitée dans le noyau de substance grise , quel qu'il soit, ne s'étend pas à la capsule int
ent dit : elle se traduit à l'œil nu par la présence d'une bandelette grise qui occupe le segment interne du pied du pédoncul
la discussion qui précède; c'est que, en tant qu'il s'agit des masses grises centrales, les lésions destructives, portant prim
tions prolongées se con-fondent. Or, Messieurs, la région de l'écorce grise de l'hé-misphère sur laquelle j'appelle votre att
sentent, sont appelées généralement cellu-les pyramidales de l'écorce grise . Ces cellules offrent des dimensions très variabl
plusvolii- mineuses, qui occupent la partie moyenne de la substance grise . Enfin, il existe des cellules pyramidales dites
mètre des grandes cellules ganglionnaires dites motri-ces, des cornes grises antérieures de la moelle épinière (1), Mais ce
gion des circonvolutions à grandes cellules pyramidales). substance grise des circonvolutions frontale et pariétale as-cend
érrier sous le nom de centres moteurs, c'est-à-dire dans la substance grise des circonvolutions qui avoisinent le sulcus cruc
brale. 11 n'en est rien cependant. En effet, cette partie de l'écorce grise dont j'ai voulu faire ressortir les principaux ca
es limites. Faites partir de la couche profonde de toute cette zone grise , Fig. 60. — A, coupe horizontale du noyau caudé
e, elle regarde en haut et.en dehors. Elle n'est autre que l'écorce grise les circonvolutions médianes ou ascen-dantes. La
démontré encore que les lésions destructives limitées à la substance grise corticale de la région rolandique produisent des
tendues (1 à 2 centimètres cubes), intéressant à la fois la substance grise et la substance blanche adjacente, telles que les
entre ovale dans la région rolandique, sans participation de l'écorce grise , déter-minent, au même titre que les lésions supe
es rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des h
ibres nerveuses qui les composent prennent leur origine dans l'écorce grise des circonvolutions rolandi- Charcot. Œuvres co
upposer, — bien que ce fait ne soit pas démontré, — que dans l'écorce grise , ces fibres nerveuses sont en rela tions plus ou
ntre les fais-ceaux pyramidaux et les cornes antérieures de substance grise . Relativement au mode de terminaison de ces fib
nt dans les racines antérieures ; ou elles se terminent dans la corne grise sans aller au-delà; enfin, il est possible que qu
de l'appareil du faisceau pyrami-dal depuis les cellules de l'écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les
cornes antérieures de la moelle.— E, E, F, Kéticulum de la substance grise où s'épuisent successivement les fibres nerveuses
cées, il est de règle que les racines antérieures émanant de la corne grise du côté correspondant neprésentent aucune modific
de structure, aucune diminution de volume appréciable. La substance grise de la corne antérieure elle-même, au voisinage du
devra être con-sidérée comme l'obstacle qui arrête dans la substance grise le travail de dégénération et l'empêche de se pro
orrespondantes du renflement cervico-bra-chial, étaient beaucoup plus grises que dans les points symé-triques du côté droit.
L'îlot de dégénération était, comme toujours, séparé de la substance grise par un tractus blanc ; en d'autres termes, on ne
nt du faisceau pyramidal, gagnent les cornes antérieures de substance grise . L'anatomie indique que cette relation s'établit
ive qui, dans la région lésée, porte indistinctement sur la substance grise et sur tous les faisceaux blancs tant antérieurs
énérations de cause cérébrale, à moins de complications, la substance grise et les racines antérieures restent indemnes. 2°
mince qui commence au niveau de l'extrémité pos-térieure de la corne grise postérieure correspondante, et s'é-tend en avant,
ondes de la moelle épinière, quand elles sont limitées à la substance grise , ainsi que cela se voit, soit sous une forme aigu
de de terminaison des fibres du faisceau pyra-midal dans la substance grise . Je disais que la plupart de ces fibres s'arrêten
anal central. — E, Revêtement épithé-lial de ce canal. — G, Substance grise postérieure. — V, Cordon antérieur. H, Gordon pos
. — C A, Commissure antérieure. — V, Cordon antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. —
V, Cordon antérieur. — G, Substance grise antérieure. — G, Substance grise posté-rieure. — H, Cordon postérieur. Entre les d
missures qui mettent en rapport des étages très-éloignés de substance grise centrale. Par en haut, ce système de fibres commi
t où elles abordent la moelle, plongent directement dans la substance grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent
grise des cornes postérieures ; les autres n'atteignent la substance grise que dans région du cou (cerviœ cornu posterioris)
émanent est dans la moelle épinière, « probablement dans la substance grise », disait Waller. Aujourd'hui, grâce aux travaux
trajet intra-spinal des faisceaux radi-culaires jusqu'à la substance grise ; de telle sorte que le centre trophique, pour le
le centre trophique serait dans les cellules pyramidales de l'écorce grise de la région rolandique ; 2° les fibres courtes d
igines se superposent de haut en bas dans les divers points du centre gris spinal. Au contraire, les faisceaux qui dégénèr
2° les faisceaux de Goll dont le centre trophique occupe la substance grise des régions inférieures de la moelle et dont les
la moelle et dont les centres de terminaison répondent à la substance grise de la région bulbaire. Enfin, la même interprétat
ne languette triangulaire de substance blanche qui relie la substance grise de l'écorce à la capsule interne, et qui, au même
ière peut être considérée comme constituée essentiellement par un axe gris autour duquel sont grou-pées toutes les autres pa
rmédiaire— pense-t-on — d'un réseau nerveux. Quoiqu'il en soit, l'axe gris donne naissance, eri avant, aux racines antérieur
i encore fort incomplète. Il s'agit d'indiquer la relation de l'axe gris avec les divers faisceaux de fibres blanches, qui
irects qui, par leur extrémité inférieure, plongent dans la substance grise où ils ont leurs centres trophiques, et, par en h
oprement dit et les cellules ki-nésodiques des divers étages de l'axe gris . L'origine des fibres qui constituent ces faiscea
lu-tions, probablement dans les cellules pyramidales de la subs-tance grise . C'est là qu'est leur centre trophique. Ces fibre
raux à la région dorsale — les faisceaux posté-rieurs et la substance grise étant épargnés — abolit les mouve-ments volontair
Au contraire, la section des faisceaux postérieurs et de la substance grise laisse persister les mouvements volontaires dans
cérébrales, dans les faisceaux antérieurs (Fig. 77). 3°La substance grise peut être coupée dans toute son éten- Fig. 76.
uvements volontai-res. (Fig. 78). 4° Si, au contraire, la substance grise est intacte et que les faisceaux antéro-latéraux
térieurs sont complètement paralysés. Ceci veut dire que la substance grise ne suffit pas à la transmission des incitations v
ques intimes entre la bandelette blan-che et la face externe du noyau gris . Il existe en ce point comme une sorte de ventric
sur les vaisseaux artériels corticaux destinés à nourrir la substance grise et le manteau, les vais-seaux qui s'insinuent dan
ief par une dissection fort simple. On enlève successivement l'écorce grise des cir-convolutions de l'insula, la substance bl
r de ces vaisseaux et leurs ramifications dans l'épaisseur des noyaux gris , il con vient de pratiquer maintenant à travers c
panchement soit notable, il devra nécessairement repousser les noyaux gris vers les ventricules, en raison delà résistance p
à la moelle lombaire. Cette excitation, portée jus-qu'à la substance grise par la voie des racines sensitives de la 6e (1)
te que la paralysie atrophique résultant d'une lésion de la substance grise spinale entraîne, lorsqu'elle se déclare dans l'e
l'état nor-mal, les incitations volontaires, parties de la substance grise des hémisphères, sont transportés à la moelle par
gau-che. Cependant, par l'intermédiaire du réticulum de la subs-tance grise , des relations sont établies d'un côté à l'autre,
flexe, dans tous ces modes, dans les parties correspondantes de l'axe gris , serait naturellement la conséquence de cette sur
dont il s'agit, sont vraisem-blablement représentés dans la substance grise par deux sys-tèmes diastaltiques distincts. L'obs
hypothèse de l'irritation des éléments ganglionnaires de la substance grise centrale, au contact des extrémités des fibres ne
utes choses égales d'ailleurs, plus intense dans les parties de l'axe gris préalablement excitées. 2° L'influence irritati
ar une sorte de diffusion aux éléments ganglionnaires de la substance grise du côté non paralysé. Cette môme diffu-sion de l'
re, invoquer l'affec-tion des éléments ganglionnaires de la substance grise . QUINZIÈME LEÇON Rôle physiologique du faisce
ramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la substance grise elle-même. — Preuves fournies par la pathologie s
l'analyse pathologique, paraissent être représentés dans la substance grise de la moelle épinière par autant de systèmes dias
thèse proposée. à) Tous les éléments ganglionnaires de la substance grise spinale sont sans doute affectés simultanément pa
es commissures, Pirrita-tion ganglionnaire s'est répandue d'une corne grise à l'autre, on comprendra comment les mouvements v
astrowitz. — Berlin, klin. Woûhenseh., 1875. ébranlent la substance grise de la corne gauche, par exemple, retentissent sur
développer de bas en haut (1). L'altération retentit sur la substance grise des cornes antérieures de la moelle et sur les pa
ubstance grise des cornes antérieures de la moelle et sur les parties grises analogues du bulbe rachidiem, et elle se fait sui
se rendent les nerfs émanant des régions ainsi lésées de la substance grise . Dans d'autres parties, c'estune simple lésion fo
elà contrac-ture, que par le fait de la participation de la substance grise . III. Veuillez considérer, Messieurs,que dans
erminerai, la cause immédiate de lacon-tracture est dans la substance grise et non dans le faisceau latéral lui-même. Il s'ag
ique. Ici la lésion porte à la fois sur une des colonnes de substance grise , sur les faisceaux postérieurs et sur les faiscea
à reconnaître que ces fibres, venues d'une des cornes de la substance grise , franchissent la ligne médiane et vont faire part
s dans les faisceaux antérieurs ou s'arrêtent-elles dans la substance grise ? Passent-elles au con-traire, dans le cordon laté
les observations de sclérose symétrique sans participation des cornes grises antérieures sont de date ancienne. « Ce sont, dis
ophie musculaire qui s'observe également dans les cas où la substance grise est atteinte, et les symptômes tabé-tiques quand
ON Des amyotrophies spinales et des localisations dans la substance grise de la moelle épinière. Sommaire. — Lésions syst
des lésions non systématisées. — Rôle physio-logique de la substance grise . — Transmission des impressions sensitives et des
des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes a
e part, l'objet d'une exploration régu-lière. Je veux parler de l'axe gris spinal, ou, comme on dit encore plus brièvement,
gris spinal, ou, comme on dit encore plus brièvement, delà substance grise . Inutile de faire ressortir à vos yeux que, bie
ans la moelle épinière un espace relativement restreint, la substance grise est cependant, au point de vue physiologique , la
'hui péremptoirement dé-montré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affectées à l'exécuti
ieurs régions bien distinctes. Ainsi, à ce point de vue, la substance grise centrale doit être distin-guée des cornes ou colo
se centrale doit être distin-guée des cornes ou colonnes de substance grise . La première seule, avec les cornes postérieures
rations qui affectent isolément certains départements de la substance grise . A. Or, Messieurs, ici se présente un fait capi
capital dans l'his-toire de ces lésions systématiques de la substance grise . C'est que les seules, méritant véritablement ce
o-myélites antérieures systématiques ; systématiques, caria substance grise antérieure peut être affectée incidemment, se-con
stématiques de celles qui occupent, d'une façon diffuse, la substance grise ; et ces dernières en outre des troubles de la s
lhier, se rat-tachait à une lésion systématique irritative des cornes grises antérieures. La maladie en question a été aussi d
tal, unique. Ici la lésion originelle est en dehors de la substance grise , en dehors du moins de la région des cornes antér
sclérose postérieure qui, dans bien des cas, s'étend à la subs-tance grise . Mais la forme morbide sur laquelle, dans cette é
ntre que les lois de localisation formulées à propos de la subs-tance grise spinale se retrouvent dans le bulbe. Vous savez e
particulièrement votre attention sur ces alté-rations de la substance grise , d'où dérivent les symptômes d'amyotrophie. Mais
nt vous devrez dans cette étude préparatoire considérer la subs-tance grise elle-même, mais encore les nerfs moteurs qui y pr
ruit la topographie pathologique des diverses régions de la substance grise . APPENDICE Sclérose latérale amyotrophique. —
c une altération dégénérative des cor-nes antérieures de la substance grise ({). Mais les faits de cette nature ne sont pas
e leur lésion a amené, à la partie antérieure des cornes de substance grise , cette altération légère du cordon antérieur, dés
rapports très étroits avec l'altération dégénérative de la substance grise . Enfin, le desideratum qui manquait encore à la
ntres psycho-moteurs. — Diffé-rences dans la composition de l'écot'ce grise des diverses régions de l'encé-• phale...........
erveau. Sommaire. — Caractères généraux de la structure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerve
ons sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épimère (cellules motrices). — Dimen
inq couches. importance de l'examen de la structure de la substance grise corticale par circonvolution. — Division au point
irconvolution. — Division au point de vue de la structure de l'écorcc grise en deux régions. Travaux de Betz.................
TROISIÈME LEÇON. Consideration sur la structure normale de l'ecorce grise des circonvolutions (suite). Sommaire. — Descri
nvolutions (suite). Sommaire. — Description d'une coupe de l'ecorce grise du cervelet. — Type de stratification en cinq cou
veloppement des cellules pyramidales géantes. Structure de l'ecorce grise des régions postérieures de l'encéphale........ o
lions centraux. Artère sylvienne: ses branches : artères des noyaux gris centraux; — bran-ches corticales, ramifications e
..... 5~ SEPTIÈME LEÇON. Circulation des masses centrales (noyaux gris et capsule interne). Sommaire. — Circulation ar
et capsule interne). Sommaire. — Circulation artérielle des noyaux gris centraux. — Hémorrhagie intra-encéphalique. — Dif
ntérieure et postérieure et de la sylvienne. Disposition des noyaux gris : leur forme et leurs rapports. — Considérations
ET NEUVIÈME LEÇONS. Artères centrales. — Lésions isolées des noyaux gris . Sommaire. — Origine du système artériel des ma
ra-encé-phalique. — Diagnostic régional. Lésions isolées des noyaux gris , sans participation de la capsule interne. — Hémi
es quadrijumeaux postérieurs) Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux ra
ostérieurs) Connexion entre les amas de substance grise et l'écorce grise de l'encéphale : faisceaux rayonnants corlico-o
uite par l'extension de la sclé-rose latérale aux cornes de substance grise . Sclérose descendante consécutive à une lésion
es rapports de contiguïté entre le faisceau pyramidal et la substance grise delà moelle épinière. — Atrophie musculaire des h
ramidal. La cause immédiate de la contracture est dans la substance grise elle-même. — Preuves fournies par la pathologie s
e des lésions non systématisées. —Rôle physio-logique de la substance grise . — Transmission des impressions sensitives et des
des impulsions motrices. Les lésions systématiques de la substance grise paraissent cantonnées dans la région des cornes a
s et types, 330 et suiv. Avant-coin, 38. Avant-mur, 8, 298. Axe gris central, 378. B Bandelettes optiques, 127; —
lation 78: — ses rapports avec la cou-ronne rayonnante, 136. Noyaux gris de l'encéphale, 4 ; — leur circulation, 78 ; leur
4 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
asser par le pied de la couronne rayonnante, et respecterles noyaux gris centraux. Dans ses pesées, Meynert séparait le
place absolument exacte des faisceaux nerveux ainsi que des noyaux gris . Toutefois, comme avec cet appareil on obtient un
gebiet de His, Pallium cerebri), qui donneront naissance à l'écorce grise du cerveau, à la masse blanche sous-jacente, au
e fondamentale. - Le, lame épeu- dymaire (Innenplatte). - Lge, lame grise externe (aussere Mantelschicht). - Ml"" membrane
ndrique (Cylinderfurche) (se). Elle donne naissance à la commissure grise antérieure (P), à la commissure blanche antérie
Fa, faisceau ovalairo postérieur. Le. lame épondyniairo. Lge, laine grise externe. - L,qi, laine grise interne. - P, plan
r. Le. lame épondyniairo. Lge, laine grise externe. - L,qi, laine grise interne. - P, plancher. - - Pi. pièce intermédi
antéro-latéraux, se développent au sur et à mesure que la substance grise em- bryonnaire s'accroît. Les cordons anté- r
Fo, faisceau ovalaire postérieur ? p,lame dpendymaire.- Lge, lamo grise externe.- Lfli, laine grise interne. Rm, racine
ieur ? p,lame dpendymaire.- Lge, lamo grise externe.- Lfli, laine grise interne. Rm, racine mo- trice. - R.s, racine se
'apparaissent que fort tardivement. L'apparition le la commissure grise postérieure est également tardive, et concorde
erf grand-hypoglosse, est situé sur le prolonge- ment de la colonne grise de la corne antérieure de la moelle. Cette colonn
XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Couche grise de la . substance réticulée. Faisceau longitu
s, le noyau Au nerf pathétique. Sur le prolongement de la colonne grise de la corne latérale de la moelle, on voit naît
u bulbe et de la protubérance, donne en outre naissance à la couche grise disséminée de la substance réticulée. Les fibres
du cordon antérieur de là moelle. Au sur et à mesure que la couche grise de la substance réti- culée s'accroît, le cordo
baire du quatrième ventricule, au noyau du cordon de Goll, à l'aile grise et au tubercule acoustique. Ces deux dernières fo
le; le tubercule acous- tique occupe sa plus grande largeur; l'aile grise (ala cinerea) représente un petit triangle isoc
r; l'aile grise (ala cinerea) représente un petit triangle isocèle, gris , légèrement déprimé, situé au-dessous du tuberc
icule; la fossette postérieure correspond assez exactement à l'aile grise . b) Dans la région protubérantielle, le segment
du faisceau solitaire, et viennent se placer en avant de la couche grise disséminée de la substance réticulée et du noya
du tubercule quadrijumeau postérieur se réduit à une mince lamelle grise , qui occupe la partie inférieure de la lame des t
e mince mem- . brane, la membrane basilaire d'Aeby ou la commissure grise de la base de Henle. Grâce à la direction obliq
Le corps strié^&forme au début, qu'une seule masse de substance grise que segmentent frienfot1' des fibres blanches.
dé est en effet réuni au putamen par de nombreux ponts de substance grise . L'union de ces parties est encore plus intime
ire, Y avant-mur, le noyau <HMyy6/MM, ainsi qu'avec la substance grise de l'espace perforé anté- rieur. Les fibres d
e de la surface triangulaire, et donnent ainsi naissance à un noyau gris , médian et symétrique, qui prend un grand accrois
trigone, elles entraînent avec elles une mince couche de substance grise , l'induseunz griseum, puis se soudent d'avant e
sphère, c'est-à-dire la région de l'hémisphère où s'arrête l'écorce grise . Accolée en dedans au trigone cérébral, elle es
et du genou du corps calleux, à une très mince lamelle de substance grise , l'indusellm ,fj1'iseum, qui recouvre la face s
qui forment les nerfs de Lancisi et des amas latéraux de substance grise qui forment les tienia tecta. En avant du genou
andelette diagonale de Broca, bandelette de Giacomini), des parties grises de l'hé- . misphère (circonvolution du crochet,
elle représente le tissu de soutènement primordial de la substance grise . La zone des colonnes présente un développement
yon de la quatrième semaine, on peut distinguer dans la sub- stance grise embryonnaire, très épaisse à cette époque, deux c
tte époque, deux couches, l'une interne, l'autre externe. La couche grise interne (Innenplate de His) est compacte ; ses
iaire et sont surtout formés de spongioblastes (fig. 84). La couche grise externe (Mantelschicht de His), riche en neurob
els il ne naît aucun neuroblaste. (His.) L'épaisseur de la couche grise externe n'est pas partout la même. Large dans s
térieure; la partie postérieure, don- nera naissance à la substance grise de la corne postérieure, et la mince pièce inte
Migration des neu- 1.01)lastes. i Existonco de deux couches grises , dans le tube médullaire. La couche grise i
onco de deux couches grises, dans le tube médullaire. La couche grise interne tonne la planche et la voûte de la
interne tonne la planche et la voûte de la moelle. La couche grise externe forme les cornes de la 'moelle. Fio
ndamentales Le, lame épen- oly maire (Innenplattc). - G ! ! e, lame grise externe (aussere 111antelschicht). bllm, membrane
faisceau ovalaire postérieur. - Le, lame épendymaires. - Lge, lame grise externe (aussere Mantelschicht). - Lgi, lame. gri
es. - Lge, lame grise externe (aussere Mantelschicht). - Lgi, lame. grise interne (innere hlantelscùicht). - Mlm, membran
c- meau, forment des îlots situés dans des territoires de substance grise (future formation réticulée de l'isthme de l'en
diens, par des arborisations libres dans des îlots de substance grise plus ou moins net- tement circonscrits. Ces î
atteint pas, comme on l'a enseigné pendant longtemps, la commissure grise , mais se réduit à un léger sillon, qui n'est gu
ers neuroblastes, que l'on constate leur présence dans la substance grise de la moelle, et ce n'est que beaucoup plus tar
oie tracée par les fibres épendymaires, tra- versent les substances grise et blanche du névraxe, et atteignent la péri- p
s la périphérie de la moelle. Tant qu'ils siègent dans la substance grise , les prolongements primordiaux sont recouverts
s voisines et à ceux des cellules névrogliques, qui de la substance grise ont émigré dans la substance blanche, et formen
'enveloppe névroglique de Gierke. Très nombreuses dans la substance grise embryonnaire, les cellules de la névroglie émig
et 93). y. - Les cellules araignées du voisinage de. la commissure grise posté- rieure se distinguent par leur dispositi
nté- rieure. Cellules araignées du voisinage do la commissure grise postérieure. 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
rattache, d'après v. Lenhossek, au type cellulaire de la substance grise . La plupart présentent un aspect particulier ; el
ux, se réunissent en pinceaux, puis se diri- gent vers la substance grise dans laquelle ils pénètrent quelquefois jus- qu
les de la névroglie de la substance blanche (b, d) et de la substance grise (a, c) de la moelle d'un embryon do vache. e,
es : Les cel- lules nerveuses centrales siègent dans la substance grise de l'axe encéphalo- médullaire, qu'elles concou
DU SYSTÈME NERVEUX. 160 libres, à l'intérieur même de la substance grise où siège la cellule. Consi- dérées à tort par G
, mais se trouvent disséminées dans toute l'étendue de la substance grise et jouent, d'après Cajal, le rôle de cellules d
nerveuses et les fibres nerveuses, entre le volume de la substance grise et celui de la substance blanche. Le mode d'ori
ctifs des Vertébrés inférieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de fibres nerveuses terminales possède
t tranchant comme dans les cas d'ablation de l'écorce ou des noyaux gris . Dans la méthode de Gudden, la fibre s'altère d
dres-axes sont t dégénérées, atrophiées et détruites, dans un noyau gris - que ce soit un noyau de la couche optique, un
IV HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et substance blanche du système ncrveux cen-
et substance blanche du système ncrveux cen- tral. Substance grise . i Différences de co- loration de la sulls-
tance grise. i Différences de co- loration de la sulls- tance grise suivant t les régions. Ili Substance blan-
et leurs fonc- tions. L'une de ces substances présente une couleur grise , l'autre une cou- leur blanche. La substance gr
ente une couleur grise, l'autre une cou- leur blanche. La substance grise représente la substance active par excel- lence
t de vue de ses fonctions et entièrement subordonnée à la substance grise . La substance grise, riche en cellules et en fi
ons et entièrement subordonnée à la substance grise. La substance grise , riche en cellules et en fibres nerveuses, forme
ale et de la substance gélatineuse de Rolando ; sa couleur varie du gris presque blanc de l'écorce cérébrale au brun noi
nent se ranger une foule de nuances inter- médiaires, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des n
inter- médiaires, telles que le gris jaune de la couche optique, le gris rouge des noyaux rouges de Stilling, de la subs
de coloration tiennent, non seulement à l'abondance de la substance grise en vaisseaux sanguins, mais surtout il la riche
si que les deux tiers de l'axe encéphalo-médullaire. La substance grise , bien que très molle, présente cependant un degré
, la consistance soit de la substance blanche, soit de la substance grise , est augmentée; partout où le tissu conjonctif
nerveux central, le mode de répartition des substances " blanche et grise varie selon les segments que l'on considère. Dans
blanche occupe la périphérie et entoure complète- ment la substance grise . Dans l'encéphale, la substance grise entoure les
e complète- ment la substance grise. Dans l'encéphale, la substance grise entoure les cavités ventriculaires, recouvre la
rie et forme des amas disséminés dans son épaisseur. La substance grise centrale se présente sous l'aspect d'une longue
commissure molle. Au niveau des ventricules latéraux, la substance grise se réduit à une très mince couche, qui ne prése
e et postérieure de ses cornes frontale et occipitale. La substance grise périphérique revêt la forme d'une couche irréguli
ésente à peu près les 9 dixièmes de la masse totale de la substance grise de l'axe encéphalo-médullaire. La substance gri
de la substance grise de l'axe encéphalo-médullaire. La substance grise , qui est située dans l'épaisseur de l'encéphale,
s forment, dans ce cas, des nappes mal circon- scrites de substance grise , qui s'infiltrent dans les interstices de la subs
ubstance t Il Modcdercparti- tion des substances blanche et grise , dansicsystëmoner- veux central. Substance
s blanche et grise, dansicsystëmoner- veux central. Substance grise centrale. 1 Substance grise périphérique.
ëmoner- veux central. Substance grise centrale. 1 Substance grise périphérique. Ganglions eCl'é- lraux ou cnc
comme la formation réticulée de la région de la calotte, les noyaux gris de l'étage antérieur de la protubérance, etc., et
bres, qui relient entre elles les différentes parties de la substance grise . Elle occupe la périphérie de la moelle épinièr
belleuse aux ganglions encéphaliques et ces derniers à la substance grise centrale. L'ensemble des fibres qui relient l'é
e des fibres qui relient les ganglions encéphaliques à la substance grise centrale con- stitue le système de projection d
es, c'est-à-dire par l'ensemble des fibres qui relient la substance grise centrale, aux organes de la périphérie du corps
de projection directe qui relie l'écorce cérébrale à la sub- stance grise centrale et qui comprend entre autres le faisceau
Sala et Kolliker, au voisinage du canal central, dans la substance grise sous-épendymaire, par une extrémité libre et ra
névroglie, qui se montrent dans toutes les parties de la substance grise et de la substance blanche du névraxe, représente
es-cellules névrogliques de la substance blanche et de la substance grise . La névroglie existe à l'état de pureté autour du
e; elles sont simplement limitées par le tissu même de la substance grise environnante, c'est-à-dire par la névroglie, les
, elle occupe toute la place qui lui est réservée dans la substance grise et s'imprègne en général faible- ment par les r
re, qui correspond à l'espace qu'elle a abandonné dans la substance grise . Ces différences d'imprégnation que présentent
ce blanche du névraxe, mais elles sillonnent également la substance grise , ainsi qu'il est facile de s'en convaincre en exa
ongées suivent la direction des fibres nerveuses. Dans la substance grise , le réseau capillaire, d'une extrême richesse, es
t prendre en considération l'étendue et l'épaisseur de la substance grise , sa richesse en cellules ganglionnaires, etc.,
ans, Meynert a isolé et pesé séparément le manteau cérébral (écorce grise et masse blanche sous- jacente), le cervelet et
elle de la substance blanche étant de 1043 et celle de la substance grise de 1038. Les rapports pondéraux de ces deux sub
p. 100 pour la sub- stance blanche et de 39 p. 100 de la substance grise . Bischoff, Dos Hil'11gewicht des Menschen. Bonn
hémisphères sont reliés l'un à l'autre par une espèce de commissure grise . . La face inférieure des hémisphères appartien
ertion en dedans au velum terminale d'Aeby (vt), (fig. 177) lamelle grise qui ferme l'extrémité antérieure du prolongement
biculum de la corne d'Ammon ; elles sont formées d'une mince écorce grise et d'une partie blanche centrale, et reçoivent le
de la circonvolution de l'hippocampe ne présente pas la coloration grise propre aux circonvolutions en général. Elle est r
dérablement, et se réduit à l'état d'une mince lamelle de substance grise , qui se soude à celle du côté opposé au niveau du
raphé du corps calleux, et qui recouvre à la façon d'un léger voile gris toute la face supérieure du corps calleux. Cett
plus ou moins modifiée et avortée, est connue sous le nom de voile gris ou d'iiidii ? (,îiî2 ? griseum. De chaque côté
eur de la circonvolution du crochet (U). La présence du mince voile gris , l'induspum griseum, qui tapisse la face supéri
côté opposé, entraînent à leur surface une mince couche de l'écorce grise de la face interne des hémisphères. Lobule olfa
on olfactif (f;); il présente en avant un petit renflement ovalaire gris rosé, le bulbe olfactif (Bol), qui mesure 8 à 9
sillon olfactif (l,), est revêtu d'une mince couche de sub- stance grise . En arrière, le pédoncule olfactif s'épaissit a
factive interne (Roli) recouverte par une mince couche de substance grise est plus petite, moins constante, moins longue qu
e bord supérieur du pé- doncule olfactif, par une lame de substance grise , en connexion avec l'écorce grise du lobe front
factif, par une lame de substance grise, en connexion avec l'écorce grise du lobe frontal et qui constitue la racine olfact
nvolution de l'hippocampe (U) (fig. 149). Sa surface, de coloration gris rosée, est criblée, surtout à sa partie antéro-
face interne de l'hémisphère, sous la forme d'une mince bandelette grise , com- prise entre la bandelette diagonale et la
base du cerveau où il n'est recouvert par aucune lame de substance grise , le globus pallidus et le 3" segment du noyau l
idus et le 3" segment du noyau lenticulaire sont séparés de la lame grise qui recouvre l'espace perforé antérieur, par un
nvolutions interceptent un petit espace trian- gulaire de substance grise , l'espace perforé antérieur. Chez quelques mam-
venons d'étudier. 2° Sur la ligne médiane par une mince membrane grise , la commissure grise de la base de Ilenle, form
2° Sur la ligne médiane par une mince membrane grise, la commissure grise de la base de Ilenle, formée par une partie du pl
cule) et par une partie du plancher du cerveau moyen. La commissure grise de la base répond au conlluent inférieur du liq
s. Le chiasma et les bandelettes optiques subdivisent la commissure grise de la base en deux régions : 1° Une petite ré
les bandelettes optiques sont aplatis et adhérents à la commissure grise de la base. Le chiasma des nerfs optiques est a
outtière optique; sa face supérieure, jja adhérente à la commissure grise de la base, fait partie de la paroi inférieure ..
ième ventricule ; son bord postérieur se continue avec la substance grise du tuber cirzermcnz, son bord antérieur avec la l
r avec la lame sus-optique. Cette dernière, forme avec la substance grise qui recouvre la face supérieure du chiasma un a
haut en bas, et adhérentes par leur face supérieure à la commissure grise de la base, dans toute la partie avoisinant le
rt. ! L'atrophie du faisceau croisé se manifeste par une coloration grise de la face inférieure ou libre de la bandelette
on dégénéré. Lorsque l'atrophie atteint le faisceau direct, la lame grise dégénérée est située le long du bord externe de l
eaucoup plus considérable (fig. 184, r185, 18G). Dans la commissure grise de la base, on trouve au-dessus de la bande- le
s dont elle est constamment séparée par une mince lame de substance grise , elle se carac- térise chez l'homme par le gros
u tuber cillel'ell1n et dont les fibres s'irradient dans la substance grise située entre le pilier antérieur du trigone et
lier antérieur du trigone et le faisceau de Vicq d'Azyr. 2° La lame grise sus-optique ou lame terminale embryonnaire est dé
terminale embryonnaire est dési- gnée à tort, sous le nom de racine grise des nerfs optiques; elle n'affecte en effet ave
dans le bichromate (fig. 188). Faisceau du tuber cinereum. Lame grise sus- optique ou lame terminalo embryon- uai
eur. a) Le tuber cinereum (Tc) se présente sous la forme d'une lame grise et molle, légèrement proéminente, occupant tout
ques et les tubercules mamillaires. Il fait partie de la commissure grise de la base et se continue en avant, par l'intermé
base et se continue en avant, par l'intermé- diaire de la substance grise qui tapisse la face supérieure du chiasma et des
et les espaces perforés anté- rieurs, en arrière avec la substance grise qui tapisse la face supérieure des tubercules m
inter-pédonculaire. Le tuber cinereum, fait partie de la substance grise centrale du troisième ventricule qu'il ferme en
r le corps pituitaire. Elle est formée par une lamelle de substance grise , qui se con- tinue avec la substance grise du t
une lamelle de substance grise, qui se con- tinue avec la substance grise du tuber cinereum et entourée d'une couche fibr
l'autre antérieur (fig. 188). Le lobe postérieur, le plus petit, d'un gris jau- nâtre contient seul les éléments nerveux;
ire chez les carnassiers. Ces tubercules reposent sur la commissure grise de la base qui forme la paroi inférieure du tro
antérieurs du trigone et du faisceau de Vicq d'Azyr, et d'un noyau gris central, qui se continue en haut avec la substa
d'un noyau gris central, qui se continue en haut avec la substance grise centrale, qui tapisse le fond du ventricule moyen
ion des tuber- ? \Ug¡'-ifuai{¡'3jumeaux, et se perd dans la substance grise de l'aqueduc de s&r.1'¥.11 ft ! . Il F i :
d interne -^§%^îe8'|flfevîle cérébral on trouve, dans la commissure grise de la base, un petit ganglion réniforme, qui ne
éral. Rm, ruban de Reil médian. Tpo, toenia pontis. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Syl- vius. - si, sillon latéral
rs une situation profonde et se trouve en- globée dans la substance grise de la commissure grise de la base. Mais sur les
de et se trouve en- globée dans la substance grise de la commissure grise de la base. Mais sur les coupes microscopiques,
quelles on trouve des amas plus ou moins considérables de substance grise (fig. 189, 193). Cette substance réticulée occupe
roisement de Meynert. Rm, ruban de Reil médian. - SgAq, substance 1 grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, substance réticul
ule (V1) et, de chaque côté, deux volumineux ganglions de substance grise , la couche optique (Th) en dedans, et le noyau
membrane épendymaire, qui repose sur une mince couche de substance grise ; ils sont complètement indépendants l'un de l'a
couche optique et le noyau caudé d'un troisième noyau de substance grise ,, de forme triangulaire, qui n'est en connexion
intimement uni . au noyau caudé par de nombreux ponts de substance grise qui traversent la capsule interne ; il présente
nce blanche, la capsule externe (Ce), puis une traînée de substance grise , Y avant-mur (AM), enfin la substance blanche q
e, Y avant-mur (AM), enfin la substance blanche qui double l'écorce grise des circonvolutions de l'insula (I) ou capsule
- Sexv, .surface extra-ventriculaire du thalamus. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc
ulaire du thalamus. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. Si, septum lucidum. SJI, sill
nent au tronc encéphalique de Reichert, et sont séparés de l'écorce grise des circonvolutions, par une vaste étendue de sub
que la substance blanche des hémisphères circonscrite par l'écorce grise qui alfecte la forme d'une bordure sinueuse, et
osé (lig. 199). Les formes, les connexions, les rapports des noyaux gris centraux soit - entre eux, soit avec la capsule
lution limbique (L,), fibres qui séparent le cingu- lum de l'écorce grise du léeliici tecta. La face supérieure du corps
se terminent, ainsi que Gudden et Forel l'ont montré, dans le noyau gris central de ce tubercule. Toute la partie des pi
ème ventricule (V3), et comme telle est recouverte par la substance grise centrale (Sgc), et par l'épendyme ventriculaire (
constituent les cir- convolutions cérébrales. La couche interne ou grise représente l'écorce grise rudimentaire; elle es
nvolutions cérébrales. La couche interne ou grise représente l'écorce grise rudimentaire; elle est recouverte par une mince
du ventricule latéral une troisième couche, l'épendyme et la couche grise sous-épendymaire, communes il tous les ventricu
/au call1{( : (NêlT], KG') se présentent sous la forme d'une masse grise , légèrement saillante, qui occupe la partie exter
ar un épithélium pavimenteux qui repose sur une couche de substance grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette substa
substance grise riche en névroglie. L'épaisseur de cette substance grise sous-épendymaire (Sge), est insignifiante au ni
e d'Aeby (vt), tapissé par l'épendyme ventriculaire et la substance grise sous-épendymaire (fig. 177). Le ventricule laté
de la couche optique (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise , la substance grise centrale (Sgc); la région i
e (Th), revêtue d'une mince couche de substance grise, la substance grise centrale (Sgc); la région inférieure, ou région d
entricule (STh), est formée en avant et en dedans par la commissure grise de la base (losange opto-pédonculaire, tuber ci
et en dehors par la région sous-optique. Une lamelle de substance grise , la commissure molle ou grise (com), située imm
ous-optique. Une lamelle de substance grise, la commissure molle ou grise (com), située immédiatement au-dessus du sillon
izontale et quadrilatère, à bords largement concaves, la commissure grise , variable dans ses dimensions et son épais- seu
dian Troisième vontri- cule. Ses parois latérales. Commissure grise . Son bord antérieur. i ! Son boni posté-
ande. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire.
iculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - SM, sil
iata média qui correspondraient d'après Vicq d'Azyr, à la substance grise des pédoncules cérébraux, et d'après Burdach à la
me. Le nucléus tseniaformis, mince bandelette dentelée de substance grise , a été signalé et figuré pour la première fois pa
talité (noyau caudé et noyau lentictilaii,6 ? strié forme une masse grise ovoïde, dont la grosse extrémité dirigée en ava
térieur. Sa face interne répond à la couche optique, à la substance grise sous-épendymaire du ventricule latéral, aux radia
ls sont en effet intimement unis par de nombreux ponts de substance grise ; et au niveau de l'extrémité antérieure du corp
masse blanche des circonvolutions orbitaires. p, ponts de substance grise reliant le noyau caudé au noyau lenticulaire. L
ricule latéral, dont elle concourt à former le plancher; sa couleur grise contraste avec la couleur blanche des parties e
ce supérieure lui est parallèle, de nombreuses travées de substance grise qui traversent la capsule interne, et établissent
' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ses rapports avec . la substance grise sous-opendymaire et le faisceau occipito- f
l'angle externe du ventricule latéral. Il est coiffé de la substance grise sous- FiG. 215. Paroi inférieure de l'étage sup
Elle est reliée au noyau caudé par de nom- breux ponts de substance grise . La face inférieure, presque horizontale, est c
rbée de la queue du noyau caudé (NC"), par une lamelle de substance grise volumineuse et constante connue sous le nom de
l est seul, comme nous le verrons plus loin, l'analogue de l'écorce grise et s'unit seul au noyau caudé. Les deux autres
n (NI,,), qui envoie à la tête du noyau caudé de nombreuses travées grises qui sillonnent la capsule interne (Cia) en avant.
que ou thalamus (Th) constitue une masse volumineuse de substance e grise , irrégulièrement ovoïde, dont la grosse extrémité
atérale du troisième ventricule; elle est recouverte par la substance grise centrale (Sgc) et tapissée par l'épendyme. En a
Sillon do Monro. r 378 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Commissure grise . Son extrémité pos- . térieure ou pulvinar.
e et immédiatement au- dessus du sillon de Monro, par la commissure grise ou molle, qui traverse la cavité du troisième v
suivants : par sa partie antérieure, elle pénètre dans la substance grise qui tapisse le plancher du troisième ventricule
sur la substance innominée de Reichert (Sti), zone de sub- - stance grise , de constitution complexe et dont les fibres, à d
périeur ou calotte du pédoncule cérébral. Elle renferme deux noyaux gris nettement délimités : le corps de Luys (CL) en av
un véritable réseau, dont les mailles sont remplies par la substance grise . .Celle disposition donne à la face externe de
inar, on peut reconnaître, avec Burdach, trois noyaux dans la masse grise qui constitue la couche optique. Un noyau inter
versal, ne s'étend guère en avant au delà de la commissure molle ou grise . Il en résulte que les coupes vertico-transver-
ent que les noyaux externe et antérieur. Recouvert par la substance grise du troisième ventricule au niveau de la commiss
ec le pédoncule cérébral. A cause de ses connexions avec les noyaux gris de la base, la capsule interne ne peut être con
interrompu, surtout en bas et en avant, par les ponts de substance grise qui relient la tète du noyau caudé au putamen. Il
et de nous rendre compte de la situation et des rapports des noyaux gris soit entre eux, soit avec la substance blanche,
s contours assez nets. Il est séparé du ventricule par la substance grise sous-épendymaire (Sge), réduite au niveau du tron
croscope. En arrière (Sge') et surtout en avant (Sge), la substance grise sous-épendymaire aug- - 1 ? 1% : , F3, première
scissure de Sylvius. scc, sinus du corps calleux. - Sc/e, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, s
tance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - sp, si
antérieure et postérieure du ventricule latéral (VI). La substance grise sous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée par un
ermeture antérieure du ventricule on le retrouve entre la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le pied de la couronne
arrière, le faisceau occipito-frontal recouvre de môme la substance grise sous-épendymaire qui coiffe le carrefour ventricu
culairement ou obliquement, sillonnée de prolongements de substance grise , que lui envoie le noyau caudé. Les fibres les pl
ez étendu, son extrémité antérieure est en- tourée par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et par le faisceau ocei/il
térieure par une couche beaucoup plus mince de cette même substance grise sous-épendymaire (Sgé), et par le corps calleux (
ue (Th), sectionnée il sa partie supérieure, et qui présente un noyau gris central, la partie supérieure du noyau externe
des- quelles, on trouve disséminées des petites masses de substance grise , appartenant au putamen (NL3) et quelques prolo
artenant au putamen (NL3) et quelques prolongements de la substance grise de la 1(t( ! du noyau caudé. La capsule interne
e supérieure de Y avant-mur (AM), sous forme d'une mince bandelette grise , légèrement festonnée au niveau de son bord exter
trent dans le lobe frontal entre le cingulum (Cing) et la substance grise sU/ls-l;pl'nd ! l1/wirl ! (Sge) coiffée du faisce
le carrefour ventriculaire (VI) dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sâ), réduite il une mince lam
précédente, elle envoie - ' au putamen (NL.,) un pont de substance grise assez large, qui traverse le segment antérieur
sure de Syivius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, Sgé, substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. - sp, sil
UES DU CERVEAU. 397 sur la coupe précédente, les îlots de substance grise appartenant au putamen. (NL3) sont cependant pl
surface extra- .. ventriculaire du thalamus. - Sge, Sgé, substance grise sous-ilxnds-maire. - SI, septum luci- dum. sp,
rps calleux (Ce) et le pilier antérieur du trigone (ta). La substance grise sous-r;pendY1nail'e (Sge) n'est apparente qu'au
u, surface extra-ventriculairc de la couche optique. Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - l ? 1·.=, premi
substance blanche de l'insula ou capsule extrême (Cex), une moyenne grise , Y avant-mur (AM), qui peut être considérée com
iveau de la corne frontale, on trouve comme précédemment la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-
lenticulaire ou putamen (NL3), est relié par des ponts de substance grise , il la tête du noyau caudé (NC), et à la portion
L,) que nous retrouverons sur des coupes plus inférieures, un noyau gris distinct ayant ses connexions propres. Capsule
, surface extra-ventriculaire de la couche optique. S,ge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. SI, septum
, surface eztra-ventriculairc de la couche optique. -Sye, substance grise sous-épendçntaire de la corne frontale. - SI, s
irconvolution godronnée (Cg), continuation du tænia tecta. L'écorce grise du lobe limbique, en se continuant avec la circon
elié à la tête du noyau caudé (NC) par quelques ponts de substance- grise ; il en est séparé par le segment antérieur de la
orps calleux (Cc[g]); son angle externe est coiffé par la substance grise sous-épendymaine du ventricule latéral (Sge) et
implement accolées dans cette région, et entourées par la substance grise sous-épendymaire, qui double le fond de la corne
scissure de Sylvius. sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-ependymaire.
s du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-ependymaire. - T,, T3, première et deuxième
segment, du noyau lenticulaire (NL) par quelques ponts de substance grise , elle en est séparée par le segment antérieur de
e en deux parties. La partie antérieure est tapissée par la substance grise centrale (Sgc) du troisième ventricule (VJ. La
u niveau de l'angle antéro-externe du ventricule, avec la substance grise soo.s-r·pendyrzaire (Sge) et le faisceau occipi
) est complètement séparé de la corne frontale (Vf). La subs- tance grise centrale (Sgc) tapisse la face interne de la régi
scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - S7c, substance grise centrale. - Sge, substance grise' sous-épendyma
antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc
ues de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymairc. T, , ? 2, T3, première, deuxi
ne frontale, et conserve, en dehors, ses rapports avec la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le fais- ¡;eau occipi
me terminale embryonnaire (lt) où elle se confond avec la substance grise , qui forme à la face inférieure du cer- veau la
ce grise, qui forme à la face inférieure du cer- veau la commissure grise de la base de Renie. Elle intéresse la première c
radiations de la calotte. -- RTh, radiations optiques. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise
ues. SAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dym
aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - so, sillon sus-orbitaire
noncée que l'on considère des coupes plus inférieures. La substance grise de la corne d'.41/1.11lon se continue avec celle
blement réduite. On y voit apparaître un sillon, entouré d'une écorce grise et d'une zone claire de fibres courtes d'associ
is on retrouve toujours, coiffant le noyau caudé (NC), la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui se dis- tingue des c
t leur origine, ainsi que par la variété et la disposition des noyaux gris . Cette région représente en effet une région de
, . On trouve dans cette région limitée en dedans par la substance grise centrale (Sge) du troisième ventricule (Va) dif
en dedans, par l'anse du noyau lenticulaire (Al). Dans la substance grise centrale (Sge), on trouve la section perpendicu
ère et en dedans. Il est nettement délimité en avant par la substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait suite à
e grise de l'aqueduc de Sylvius (SAq) qui fait suite à la substance grise centrale (Sge) du troisième ventricule. Dans
ps genouillé externe (Cge), réduit à une mince lamelle de substance grise , dans laquelle s'irradient les fibres du'segment
i appartiennent en partie au faisceau, uncinalus (Fuj. La substance grise .eou.e-nlrcnclynaai>v (Sge) et les fibres du g
(a), branche antérieure de la scissure de Sylvius. - Sq Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise s
s. - Sq Aq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sti, substance innommée, de
ve la section de l'aqueduc de Sylvius (Aq), entouré de sa substance grise , et coiffé du tubercule quadrijumeau antérieur (Q
che blanche, intermédiaire entre le globus pallidus et la substance grise de l'espace perforé antérieur. C'est la substan
caudé Le noyau caudé et le putamen ne cons- tituent pas deux noyaux gris complètement séparés ; ils sont réunis et fusionn
e eux par la substance innommée de Reichert (Sti) et par la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) ; ils ne se
e externe de la substance perforée antérieure de la base. La couche grise située en dedans des orifices vasculaires corre
; elle est limitée en dedans par le dernier vestige de la substance grise centrale (Sgc), qui entre déjà dans la constitu
ES CENTRES NERVEUX. la région précédente par une bande de substance grise très colorée, le locus niger de Sommering (Ln),
qu), limitée en avant par l'aqueduc de Sylvius (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq). Le pied du pédonc
intéressé sur la coupe, et la bandelette se perd dans la substance grise du tuber cinereum (Te). Dans ce triangle gris est
rd dans la substance grise du tuber cinereum (Te). Dans ce triangle gris est englobé, frontal. - 1·', champ de Forel. Fl
édian. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendymaire.
ques de Gratiolet. - Sge, substance grise centrale. -Sge, substance grise sous-épendymaire. so, sillon sus-orbitaire de B
PIQUES DU CERVEAU. 429 bandelette optique (II), on trouve la couche grise de la substance perforée anlé- rieure (Spa), sé
volution limbique (L,) se continue insensiblement avec la substance grise de l'espace perforé antérieur et le noyau caudé
Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise s
et. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sge, substance grise sous-pendymaire. - Spa, substance perforée anté
la face in- terne du lobe frontal. Ventricule latéral et noyaux gris de la base. La coupe n° 30 (fit. 237) passe p
tement en avant de la corne frontale, et sectionne la sub- stance grise sous-éperrd ? taire (Sge) qui double la corne à
ou du corps calleux (Cc[g]); la paroi exlerne par de la sub- stance grise qui double les systèmes de fibres d'association e
iation et de projection. Sur la coupe n° 37 (fig. 239) la substance grise est réduite il la couche sous- épendymaire (Sge
e le ventricule latéral (VI). Sur la coupe n° 40 {Hg. 2W), un noyau gris , la tête du noyau caudé (NC) apparaît dans l'épai
ronne rayonnante. - sec, sinus du corps calleux. Sge, sub- stance grise sous-épendymuire. - tec, toenia tecta. COUPES M
enia tecta. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 439 de la substance grise sous-épcndyntaire (Sge) ; celle-ci se réduit à de
nos 43 et 46, fig. 2ho2), il est relié par des ponts de substance grise au troisième segment du noyau lenticulaire (N
(Cia), s'insinuent dans les intervalles de ces ponts de substance grise . La coupe n° 46 et les suivantes démontrent nette
ssure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. -le, tænia tecta. J'L, ventri
sure de Sylvius. -- sec, sinus du corps calleux. - - Sge, substance grise sous-épendymaire. TA, Ts, première et deuxième
(Foa) et sur les coupes nOS 33 et 37 (fiez. 238-239), de la substance grise sous-épendynwil'e (Sge) qui double la corne fro
lenticulaire (NL3), et qui est traversé par les ponts de substance grise qui relient ces deux noyaux. Le système des f
scis- sure de Sylvius. Sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise sous-épendymaire. T,, 7 ? première et deuxième
andique inférieur. - Sec, sillon du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. SrJ), S(v), brandies postérieure et.
couronne rayonnante (pCR), puis entre ce dernier et la sub- stance grise sOlls-ëpendymaÍt'e (Sge) (coupes nos 33 et 37, fi
terne du ventricule latéral (VL), dont il est séparé par la substance grise sous-épendymaire (Sge), tandis que le pied de l
n frontale. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - Sge, substance grise sous-épendymaire. SI, Sep- tum lucidum. - S(p),
e sillons temporaux. - 17, ventricule latéral. \, pont de substance grise unissant la partie inférieure des noyaux caudé et
auclues). - pri, sillon prérolandique infé- rieur. - Syc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épcndymaire
ique infé- rieur. - Syc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épcndymaire. - SI, sep- tum lucidum. S (y)
volution du crochet (U) se confond insensiblement avec la substance grise de l'espace perforé antérieur (Epa), ainsi qu'ave
s du système commissural, commissure antérieure (coa). " . Noyaux gris de la base et ventricule latéral. Coupe n° 55 (
tuée en dedans et en bas, est formée par un large pont de substance grise (X) qui réunit la tête du noyau caudé (NC) au p
ace profonde envoie au putamen (NL3) de nombreux ponts de substance grise , séparés par les fibres du segment antérieur de l
le corps calleux (Ce). Son bord externe est entouré de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge) qui le sépare du faisc
du ventricule latéral, on trouve, en effet, une couche de substance grise , la substance grise centrale (S-c), dans laquelle
l, on trouve, en effet, une couche de substance grise, la substance grise centrale (S-c), dans laquelle 29 lie 2t5. - C
, branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, subs- tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-vpendymaire
ure de Sylvius. - Sge, subs- tance grise centrale. - Sge, substance grise sous-vpendymaire. - Spa, substance perforée ant
) l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Cette substance grise , qui recouvre la commissure antérieure (coa) et l
le latéral (VI), le noyau caudé (NC) est recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-
'angle inférieur du ventricule, il est en rapport avec la substance grise centrale (Sge). Sa face profonde envoie au puta
a face profonde envoie au putamen (NL3) quelques ponts de substance grise et de nombreux faisceaux blancs, constituant le
mé- dullaire externe (lme) du noyau lenticulaire et de la substance grise centrale (Sge) par le segment antérieur de la c
et nacrée. Par son extrémité interne, elle plonge dans la substance grise centrale (Sgc), tandis que son extrémité externe
du segment externe du globus pallidus (NL2) repose sur la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa). Au-dessous d
espace per- foré antérieur (Spa) et dans sa partie externe l'écorce grise de la troisième circon- volution frontale (oF3)
t relié au noyau lenticulaire (NL3' 2' 1)' par des ponts de substance grise et par les fibres lenticulo-striées. Il est tou
nticulo-striées. Il est toujours recouvert en haut par la substance grise sous" : épendymaÎ7'e (Sge) et le faisceau occipil
, le globus pallidus (NL2, 1) en dedans. Il repose sur la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), dont il es
plus antérieures de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La.substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) se continue
ius. Se ? surface extra"ven- triculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendy ma
iculaire du thalamus. Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendy maire. SI, septum lucidum. - sM, si
dus (NL2;1) est réunie au noyau anzygda- lien (NA) par la substance grise de l'espace perforé antérieur. De cette substance
a substance grise de l'espace perforé antérieur. De cette substance grise et des noyaux environnants, partent des fibres qu
s plus internes, se recourbent en haut, pénètrent dans la substance grise centrale (Sge) et se terminent dans les régions
et l'anse du noyau lenticulaire (Al) sont plongés dans la substance grise de l'espace perforé antérieur et forment, dans
ieure, on trouve labandelette optique (II) enclavée dans la substance grise de la base du cerveau. Le troisième ventricule
érieure appartient à la région sous-thalamique. Dans la sub- stance grise centrale (Sgc), qui concourt à la former en grand
tion limbique (L,dont l'écorce se confond en dehors avec la substance grise du noyau, amygdalien (NA). Cavités ventricula
a couche optique (Thi. Son bord externe est coiffé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454 ANATO
s (Alv) qui envoie de petits prolongements blancs dans la substance grise de la corne d' : trzmmon. Entre ces prolongemen
u/-11/.UI' (AM), et envoie en bas une petite languette de substance grise , qui le relie il l'extrémité antérieure recourbée
). En dedans, le putamen (nul3) envoie un prolongement de substance grise beaucoup plus considérable que le précédent, il e
présente une face interne verti- cale, recouverte par la substance grise centrale (Sge) et qui concourt à former la paro
. - Sexe, surface extra-vcntriculaire du thalamus. - Sge, substance grise centrale. - S,e, substance grise sous-ependymaire
aire du thalamus. - Sge, substance grise centrale. - S,e, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - z T,
laire du thalamus. - sec, sinus du corps calleux. - .S'c, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire.
du corps calleux. - .S'c, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. sJl, sillon de de Monro. - T,
eur ou lenticulaire (FI), séparés par une mince couche de substance grise , la zona incerta du même auteur (Zi), qui se co
aut avec la zone réticulée (Zr). Limitée en dedans par la substance grise centrale (Sgc), la région sous-optique est en rap
Ni) est très peu accusé (fig. 248), il se confond avec la substance grise centrale (Sgc) et n'appa- raît, comme noyau dis
Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 (fig. 248), la couche de substance grise inter- médiaire décrit quelques festons qui cor
leux.Se.ff, surface extra-ventriculaire du thalamus.- Sage, substance grise sous- épendymaire. sM, sillon de Monro. - T,, T
80 (li. 25) ), le putamen (NL;,1 n'est plus formé que par des îlots gris dissociés par les fibres de projection. La couc
iques de Gratiolet. sec, sinus du corps calleux. - S',ge, substance grise sous-épendymaire. 1'l, T ? 73. première, deuxiè
S (p), branche postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une
, n'est plus repré- senté que par des îlots disséminés de substance grise , situés sur le trajet d'une COUPES MACROSCOPIQU
cissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge. substance grise sous-épendymaire, - sM, sillon de Monro. T,; 7 ?
e. 30 466 . X1'\ATOilllE'DES CENTRES'^ NERVEUX, ' ! % Ces îlots gris du noyau lenticulaire'. (NLJ- sont séparés par de
u), branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-ependymaire. - sM, sillon de Monro. - S/i,
ssure de Syl- vius. - sec, sinus du corps calleux, - Sge, substance grise sous-épendymaire ? SR, sub- stance réticulée. -
un aspect cordiforme (fig. 252 et 253) : les lamelles concentriques grises et blanches qui le constituent le font faci- le
rface extra-ventricu- l;tire de la couche optique. - Syc, substance grise sous-épendymaire. SR, substance réti- culée. -
trouve en dedans l'aqueduc de Sylvius (Aq) entouré de la substance grise , en haut la commissure postérieure (cop) et en
leux. - Sexe, surface cxtra-vcntriculairc du thalamus. Sge, substance grise sous- épendymaire. - Spl, bourrelet du corps ca
laiielie qui recouvre la circonvolution, godronnée (Cg) et l'écorce grise de la cOl'ne d'A m1/WII, et qui est décrite sous
pitale et sphénoïdale et il l'étage supérieur du ventricule. Noyaux gris centraux. -Le,, coupes nos 92 et 93 (fig. 256 et
se préscnte-t-elle sur cette coupe sous l'aspect d'une étroite lame grise , oblique en bas et en dehors, siluée en dehors de
en arrière de la cavité ventriculaire, elle intéresse la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui double le ventricule
, précunéus.-RTh, radiations optiques de Gratiolet. S'ye, substance grise sons-epcndymaire. Tap, tapetum. - t ? branche v
ieure de la première ci ? - convolution limbique (L¡). Son écorce grise forme dans cette région le gyrus rectus (oFj
.en arrière semble se con- fondre directement avec la substance grise de la tête du noyau caudé (NC). En avant et e
inférieure donne insertion 11 des lambeaux irréguliers de substance grise , qui appartiennent 488' ANATOMIE DES-CENTRES
elle passe assez près de la ligne médiane, elle intéresse un noyau gris irrégulier, le noyau du toit du cervelet (Nt).
e de la circonvolution du crochet (U), qui représente un petit îlot gris , situé en avant du pédoncule et de la protubéra
racine olfactive supérieure de Broca et en arrière avec la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), qui est fe
la partie inférieure du corps strié; il est séparé de la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) par une mince
t d'un faisceau ovalaire très foncé; elle est entourée de substance grise qui correspond à la première ébauche du globus
sure de Ro- lando. - scc, sinus du corps calleux. - Sfle, substance grise centrale. si, sillon opto-strié. - sa, sillon s
ule mamil- laire (Tm), on trouve, d'arrière en avant, quatre noyaux gris : le pulvinar (Pul), le centre médian de Luys (
'anse du noyau lell- ticulaire (Al), qui le sépare de la. substance grise centrale (Sgc). Au-dessous du corps de Luys, s'
loso-marginal n'est plus représenté que par deux îlots de substance grise situés en a et en , et la masse blanche du lobe
de la figure 2G7. (Grandeur na- turelle.) a, z, ilots de l'écorce grise du fond du sillon calloso-marginal. BG, bandelett
st situé au-dessus de la bandelette optique (II) et de la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa), en avant du
ius. Sen', surface cxtra-vcntt'iculairc du thalamus. Sge, substance grise sous-ependymaire. si, sillon intermédiaire ou o
ce de section n'est encore représentée que par un îlot de substance grise , séparé du pli iiibi (j lie par le sillon, coll
eure de la vallée de Sylvius (VS), elle est formée par la substance grise de l'espace perforé antérieur (Spa) et la partie
a partie supérieure de la circonvolution godronnée (Cg). L'écorce grise de la corne d'lznznorz (CA) se continue avec cell
ventricule latéral est recouvert par une mince couche de substance grise , la substance grise, sous-épcndymaire (Sge), qui
est recouvert par une mince couche de substance grise, la substance grise , sous-épcndymaire (Sge), qui s'épais- sit en av
tre la corne (1'tîiti)ioii (CA) et le noyau amygdalien (NA.) Noyaux gris centraux. Le noyau caudé (NC) est sectionné dans
est réuni en avant au putamen (NL,) par des languettes de substance grise . Dans la concavité que décrivent ces deux parties
. w/, pli rétro-linibique. R, scissure de llolando - Sge, substance grise sous-épendymaire. Spa, sub- stance perforée ant
llongé, compris entre le pied du pédoncule cérébral (P) et l'écorce grise de la corne d'A 11 ? iIOn (CA); son sommet se dir
fente céré- In'ale de liiehat, sa base est adhérente à la substance grise de l'espace perforé anté- rieure (Spa) et prése
élargie en haut et en arrière, elle n'est plus limitée par l'écorce grise qui unit la corne (Llmll/1111 à l'écorce de la
rent les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale (Pchsl'h). Noyaux gris centraux. Le noyau amygdalien (NA) limite la paro
e surface ovalaire, légèrement teintée, qui correspond la substance grise sous-(; (Sge) qui tapisse l'angle externe du ven-
, fig. 240 il 35<j.) Au-dessus du bord supérieur de la substance grise sous-épendymaire, on trouve les dernières fibre
ure de sa tête (NC), où il est réduit à quelques îlots de substance grise , situés sur la ligne de limite inférieure de la s
nce grise, situés sur la ligne de limite inférieure de la substance grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts incomplets
grise sous-élzendy- maire (Sge). Des ponts incomplets de substance grise le relient au putamen (NL3) qui a augmenté de v
r dans la couronne r·ayozznautr. (C ? ovale, et de là dans l'écorce grise de la zone rolandique. (Voy., t. II, Coupes sagit
Bichat (B) avec le pilier postérieur du. trigone (Tgp). La substance grise de la corne d'Ammon est subdivisée en deux lame
. il, scissure de Rolande. S, scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-èpendymaire. - sa, substance innommée de Rei
parties latérales de la fente cérébrale de Bichat (B). - . Noyaux gris centraux. La tête et le tronc du noyau caudé ont
disparu, et ne sont plus représentés que par les ponts de substance grise qui cloisonnent le segment postérieur de la cap
? wïdale(Vsph), où elle envoie au putamen (NL3) un pont de substance grise , qui embrasse dans sa concavité la commissure a
on bord supérieur donne naissance à de nombreux ponts, de substance grise (NL3) qui s'irradient pour se porter en dedans
it saillie dans l'étage inférieur du ventricule latéral; son écorce grise forme un îlot complètement séparé du reste de l'é
lètement séparé du reste de l'écorce cérébrale, et entoure l'écorce grise de la circonvolution godronnée (Cg) dont elle est
râce il leur coloration et à la direction de leurs fibres. Noyaux gris centraux. Des trois segments du noyau lenticulair
a moitié postérieure donne naissance il des languettes de substance grise qui se dirigent en haut et en arrière vers le t
nne par le sillon marginal supérieur de l'insula (ms), par l'écorce grise qui l'entoure et les fibres courtes d'associati
Meckel, (Ec, fig. 275). Sa paroi supérieure est longée par un noyau gris , mince et étroit, interrompu par quelques faisc
ula de la coupe suivante (fig. 276), on trouve un amas de substance grise , d'aspect ovalaire, qui se prolonge en bas sous
e, d'aspect ovalaire, qui se prolonge en bas sous forme de lamelles grises , morcelées et aplaties, et qui correspondent il
il décrit (Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la forme d'une lamelle grise , étroite et curviligne, située entre la circonv
la ligne 37 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors des noyaux gris centraux, elle est tangente au bord externe de
térieure et verticale de la scissure de Sylvius. Sg Vsph, substance grise sous- épendymaire de la corne sphénoïdale. - 1'1,
forme d'une dépression irrégulière, recouverte par de la substance grise sous-épendymaire (SgVsph) et entourée par les t
par les fibres du faisceau uncinatus. 4° La constitution des noyaux gris centraux -corps opto-striés et région sous-opti
s transforma- tions successives de la capsule interne et des noyaux gris centraux. Nous y suppléons largement par nos de
s'unit au faisceau longitudinal inférieur et dissocie la substance grise de l'avant-mur, pour s'irradier dans la face orbi
es horizontales macrosco- piques. Ces coupes intéressent les noyaux gris centraux, la capsule interne, la région sous-op
a corne frontale du ventricule latéral. Elle intéresse la substance grise OM ? CM<7y- maire (Sge) les fibres calleuses
nche transversale de l' incisure en H de Broca (f.,)'. La substance grise sous-épendymaire (Sge), autour de laquelle vienne
M1E DES CENTRES NERVEUX. ganglions centraux. Autour de la substance grise sous-épendymaire, on trouve un faisceau volumin
s (Ce). Très épais il la partie interne et supérieure de la substance grise sous-épendymaÍ1'e (Sge), il est formé en grande
ution frontale. - IiCc, radiations du corps calleux. - Sge, substance grise sous- ependymaire. COUPES MICROSCOPIQUES DU C
ce même ventricule. Les fibres calleuses, qui limitent la substance grise sous-épendymaire en haut, se portent transversa
voit très nettement contourner la partie supérieure de la substance grise s01ls-épendymail'e (Sge) et se réunir à la couc
e frontal (Voy. fig. 395). Entre ces fibres calleuses et la substance grise sous- épendymaire, on trouve la section transve
a coloration moins foncée de ses fibres. Au-dessous de la substance grise s01ls-épendymaire, les fibres calleuses inférieur
cent en dehors du faisceau occipito-for7tal (OF) et de la substance grise sous-épendymaire (Sge) très épaisse à ce niveau
on frontale.- lice, radiations du corps calleux. Sge, Sge', substance grise sous-épen- dymaire. lec, tec', ténia tecta.- Vf
par l'hé iiiitox-1 ine -Il est en contact immédiat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge), assez épaisse au niveau
roi interne, l'épendyme se réduit à une mince lamelle. La substance grise sous-csloendynzaire contient comme sur la coupe
réunis il leur partie inféro-interne par un large pont de substance grise et affectent la forme d'un U oblique en haut et e
us du ventricule latéral, le noyau caudé est séparé de la substance grise du septum lucidum par des fibres riches en myélin
C) et le putamen (NL3) sont formés par une seule masse de substance grise , réunie'parde nombreux ponts et présentant la mêm
MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;i29 en pointe en dehors de la substance grise sous-épendymaire et du faisceau occi- pito-fron
avité de laquelle se logent les fibres calleuses (Ce), la substance grise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau occipito-
S(p), branche postérieure de la scissure de Sylvius.-Sge, substance grise sous-pcndynurirc. SI, scl>tum lucidum.-T,, T
nt-mur (AM') se présente sous l'aspect de petits îlots de substance grise , morcelée par des libres fortement colorées, qu
rontal, situé entre le pied de la couronne rayonnante, la substance grise sous-épendymaÎl'e(Sge) et les fibres calleuses, i
; sa face inférieure est doublée en effet par une lame de substance grise riche en libres, la substance innominée de lipi
ée de lipichei-1 (Sti), qui se continue en dedans avec la substance grise du tubel' cÙlel'enlit (Te) et en dehors avec l'
niveau de l'angle externe du ventricule laléoal (VI) par la substance grise sous-épendymaire (Sge, Sgé). Celle-ci est très
idum (SI) et la face inférieure du corps calleux (Ce). La substance grise qui coiffe externe du ventricule latéral est pa
éline; celles-ci font presque complètement défaut dans la substance grise qui recouvre le pilier antérieur du trigone et
sont groupées en gros fascicules séparés par les pouls de substance grise qui relient le noyau caudé (XC) au putamen (NLJ
ceau uncinalus (Fu) est disso- ciée par des languettes de substance grise , qui appartiennent à l'écorce de la partie prof
pe F, fig. 298). Au-dessous du globus pallidus et de la substance grise sous-épendymaire qui double le bord inférieur d
hap. IV). Au-dessous de la commissure antérieure, dans la substance grise de l'espace perforé antérieur, qui doit être co
che postérieure de la scissure de Sylvius. - S,ge, S,ge', substance grise sous-épendymaire. SI, septum lucidum.- Sti, sulv-
es, en dehors du pilier antérieur du trigone (Tga) et de la substance grise centrale (Sge) qui tapisse le troisième ventric
ssous de l'anse du noyau lenticulaire, on trouve, dans la substance grise du tuba cinereum (Te), la commissure de Meynert (
tte optique (II) de l'anse du noyau lenticulaire (Al). La substance grise centrale (Sgc), qui tapisse le troisième ventricu
ui tapisse le troisième ventricule et se continue avec la substance grise du tuber cinereum (Te), est divisée en deux par-
u tri- yone (Tg). Au-dessus du sillon de Monro (sM), la substance grise centrale (Sgc) est très réduite, elle recouvre
(Fn) et qui se con- fond en dedans avec des languettes de substance grise appartenant au pédoncule du putamen (PNL,) et.
- tent en haut et en dedans et séparent les languettes de substance grise qui relient le pédoncule du putamen (PNL.,I au
iques de Gratiolet. - scc, sinus du corps cal- leux. .Sc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire.
s du corps cal- leux. .Sc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. - sM, sillon de Monro. Slh),
l (Vsph). Le tronc du noyau, caudé (NC), recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge), émet des fibres de projec
érieur de la capsule interne, on trouve une mince lame de substance grise , la zone réticulée de la couche optique ou zone
e les uns des autres. Le noyau antérieur (Na), riche en sub- stance grise , reçoit du stratum zonale (strz) quelques rares f
l'espace interpédonculaire, séparés l'un de l'autre par une lamelle grise appartenant il la substance, perforée postérieure
te coupe. La région sous- optique comprend sur cette coupe un noyau gris , le corps de Luys (CL) et une calloso-marginal.
, branche postérieure de la, scissure de Sylvius. - S,qe, substance grise sous-pendy-nmirc. - strz, stratum zonale. - Tt,
ux divergent en dehors et sont séparés l'un de l'autre par une lame grise , la zona incerta de Forel, qui se confond en ha
d (Zr). Le champ de Forel (F) est limité en dedans par la substance grise qui tapisse le troisième ventricule. Sur les co
scissure de Sylvius.- sec, sinus du corps calleux. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire
us du corps calleux. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. strz, stratum zonalc.-1 ? 7*2,
colorées, qui le divisent en un certain nombre d'îlots de substance grise : ces fibres appartiennent aux confins du segme
sceau 1"i[I'o(le : CI ? de Meynert (FM), recouvert par la substance grise centrale (sage) qui tapisse le troisième vell-
iques de Gratiolct. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise snus-épendymaire
du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , Sgl'o, substance grise de
rale. - Sge, substance grise snus-épendymaire. z , Sgl'o, substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale. T,, 7 ?
qui n'est plus formé sur cette coupe que par des ilots de substance grise échelonnés entre les surfaces de sections de la
itées en dedans par les fibres du tapetum (Tap) et par la substance grise sous-épendymaire riche en libres il myéline. Au n
(1)1;- rance et sont dissociées en gros fascicules par la substance grise ; et par les fibres transversales de l'étage ant
la calotte du pédoncule, l'aqueduc de Sylvius^ (Aq) et la substance grise centrale de l'aqueduc divisent cette région en de
res. Entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) et la substance grise de l'aqueduc qui se porte un peu en avant, on t
'insinuent entre le pédoncule cérébelleux supérieur et la substance grise postérieure de la protubérance. Au-dessus de l'aq
ont les fibres se portent en avant, délimitent nettement la substance grise de l'aqueduc et forment dans les couches plus i
ES DU CERVEAU. 333 ventriculaire. Elle n'intéresse donc aucun noyau gris de la base, mais exclusivement la masse blanche
leur partie postérieure. Le ventricule est tapissé par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui recouvre la face infér
terne du ventricule latéral et peut être suivie, jusqu'à la substance grise sous-épendymaire (Sge), où elle se termine par
la paroi interne du carre- four ventriculaire et recouvre l'écorce grise de la circonvolution godronnée (Cg); celle-ci s
rme la fasciola cinerea (Fc), puisse continue avec une mince couche grise qui tapisse la face inférieure du bourrelet et qu
apisse la face inférieure du bourrelet et qui repré- sente le voile gris ou indusellm griseum. A la paroi externe du ven
externe du ventricule latéral on trouve, au-dessous de la substance grise sous-ohendyzuaine; une couche de fibres sectionné
niveau. Immédiatement en dehors de Y épendyme et de la subs- tance grise sous-épendymaire, on trouve la couche des fibres
uve la couche des fibres du tapetum (Tap) incisure. Sage, substance grise sous-épcndvmairc. - ni, T3, deuxième et troisième
t jusqu'au lobule lingual (Lg), on observe une traînée de substance grise sO/ls-éjil ! /I- dymaire (Sgé), qui indique les
nticulaire de la capsule interne, dissocient les ponts de substance grise (NL,,) qui relient le putamen (NL ? I il la queue
rection sagittale. Placées immédialement au-dessous de la substance grise sous épendymaire (Sge'), elles sont nettement l
surface cxtra-veniriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, sul
bstance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sgé, sulmtance grise sous-epcndymaire de la corne occipitale. strz,
ion oblique en avant et en dedans. , La capsule interne, les noyaux gris de la base ne présentent ici rien de par- ticul
stérieur. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise cen
let. SgAr/, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise centrale. Sge, sub- stance grise sous-épendymai
aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise centrale. Sge, sub- stance grise sous-épendymaire de 'la corne frontale. 81'.1, su
sposées en gros fascicules et en contact immédiat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des fibres d
erticale et postérieure de la scis- sure de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. SI, scptum lucidum. so, sillo
u sillon olfactif au niveau des der- niers vestiges de la substance grise sous-épendymaire (Sge); elles entourent cette d
ne la sur- stance innominée de Reichert (Sti) au-dessous des noyaux gris centraux, et au-dessus du noyau amygdalien. L
e con- tinue avec celle du tubercule olfactif (Toi) et la substance grise de l'espace perforé antérieur (Epa). On voit tr
adiations de la calotte.-S, scissure de Sylvius. S.')'<y,substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise s
S.')'<y,substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sge, substance grise sous-6lendymairc.- Sli, substance innominée de Re
iations olfactives profondes (Rolm) on trouve des amas de substance grise , limités en avant par les orifices vasculaires de
les orifices vasculaires des artères lenli- culo-slriées. Ces amas gris appartiennent à la partie horizontale et morcelée
à reconnaître grâce il leur faible coloration. Dans la substance grise du tuber cinereum (Te), on trouve en arrière de l
on trouve les derniers vestiges du tapetum (Tap) et de la substance grise sous-é}iCl1dymaire (Sge). Celle dernière s'épai
alien. - RTh, radiations thalamiques de Gratiolct. - Sge, substance grise suus-chendymairc. - sa, stratum lacunosum. - Ti,
re de Rolando. - RCc, radiations du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES CENTRES NERV
r en arrière et en dedans. L'espace clair correspond à la substance grise .s'OM.'f-c/</ ? H6t ! )'e (Sge) qui tapisse la
quoi sur cette coupe, tangente à la voûte du ventricule, la substance grise sozt.c-r%per7cl,znaire (Sge) n'est intéressée q
par la ligne 2 de la ligure 299. Cette coupe passe par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui tapisse l'angle exte
au sinus ou. ventricule du corps calleux . (sec). -La mince lamelle grise externe appartient au tsema tecta (tec), la large
s du corps calleux. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582 ANATOM
eure et postérieure. En dehors elles sont limitées par la substance grise sous-épendymaire (Sge) qui a augmenté de volume.
nt et en arrière, les radiations calleuses contournent la substance grise Il-(' et s'infléchissent en dehors et en arrièr
arée des radiations calleuses par toute l'épaisseur de la substance grise sous-éjiendymaire (Sge). En arrière, elle entre
ente un aspect particulier. Immédiatement en dehors de la substance grise sous-épen- dymaire (Sge), on trouve de gros fas
le tronc du corps calleux (Ce) dans sa partie supérieure. L'écorce grise de la première circonvolution limbique (L,) se ré
deux îlots de sub- COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. a83 stanee grise à direction antéro-postérieure, et qui appartienn
scissure de Sylvius. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Srlé, substance grise sous-
calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Srlé, substance grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle postéro-ex
e du ventricule laté)al(VI), immédiatement en avant de la substance grise s01ts-épcndymail'e (Sge). Le noyau caudé (NC) e
ant et en arrière, par une sorte de capuchon formé par la substance grise .MM.<-e) ! 6/))ta ? e (Sge) qui double les a
t donne naissance il un certain nombre de promontoires de substance grise , dont les dimensions s'accentueront sur les coupe
les radiations calleuses ())Cc') contournent en avant la substance grise sous-épendymaire du ventricule latéral (Sge) et
a queue du noyau caudé sont recouvertes par une couche de substance grise sous-I}¡iend ! Jlnail'e (Sge), particulièrement é
le interne z (Cia, Cip), pour se rendre dans les îlots de substance grise qui relient le noyau caudé (NC, NC') au noyau l
hLa couche optique est limitée en dehors par des îlots de substance grise , qui appartiennent à la zone réticulée ou grillag
rne (Ce). Elle est sillonnée d'un grand nombre d'îlots de substance grise , étroits et lancéolés, qui se dirigent transver
ansversalement en dehors, et qui appartiennent aux ponts de substance grise , qui relient la face inférieure du noyau caudé
et qui se trouvent souvent accolées le long des ponts de substance grise . Mais, à côté de ces fibres nettement transvers
iques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous-épend
ps calleux. - Sge, substance grise sous-epcndymairc. Sgé, substance grise sous-épendymaire, au niveau de l'angle postro-c
dehors la ligne courbe qui réunit les extrémités externes des îlots gris lenliculo-caudés. Elles s'entre-croisent et s'enc
- Sexv, surface extra- vcntriculairo du thalamus. - Sge, substance grise sous-pendy-maire. -si, sillon opto-strié. - SI,
ulaire du corps calleux sont recouverts par une couche de substance grise sous-épendymaire (Sge), qui donne insertion au
angle antéro-externe du vell- tricule latéral (VI) par la substance grise slHl.HlpelldYl/1,flÎ1'e (Sge) et par le faisceau
caudé (nu, NC), donnent naissance à de nombreux ponts de substance grise , qui sillonnent les segments antérieur et posté
s îlots se groupent, pour former une masse irrégulière de substance grise , nettement délimitée en dehors par une ligne cour
s circon- volutions de l'insula, on trouve une lamelle de substance grise , étroite et feston- née, Y avant-mur (AM), dont
lons. Cette couche de fibres est limitée en dedans par la substance grise de l'avant-mur (AM), qui suit très exactement dan
s. Sur cette coupe, l'avant-mur est complètement séparé de l'écorce grise de l'insula. Il s'effile en avant et en arrière e
us intensivement colorées, qui traversent par endroits la substance grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec la
ux, et un très grand nombre de pools minces et étroits de substance grise , qui sillonnent tout le segment antérieur de la
che optique (Th). Cette dernière est limitée en dehors par une zone grise , la zone réticulée (Zr), morcelée par un grand
terne (Cip), la zone réticulée (Zr) se réduit à une très mince lame grise , qui sépare la capsule interne (Cip) de la lame
ié il la queue du noyau caudé (NC') par quelques ilôts de substance grise , situés dans le segment rétro-lenticulaire de la
par un large pont de 596 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. substance grise qui interrompt le segment antérieur de la capsule
externe du noyau lenticulaire (Ime). Les étroits ponts de substance grise , si nombreux sur la coupe précédente ne 6 (lig.
laire de la capsule (Cirl), se trouvent de petits amas de substance grise , faisant partie du corps strié et reliant la queu
, et n'envoie pas il la tête du noyau caudé (NC) un pont de substance grise qui traverse le segment antérieur de la capsule
isième segment (pulamen) (NL¡) est pâle, surtout formé de substance grise , dans laquelle apparaissent de gros faisceaux de.
. En avant et un peu au-dessous du genou (Ci[g]), dans la substance grise sous- épendymaire qui double le sillon interméd
la forme d'un petit faisceau ovalaire; recouvert par la suú- stance grise sous-épendymaire qui donne. insertion en ce point
). Ce ganglion esl formé par la réunion de petits amas de substance grise qui consti- tuent de véritables petits nids, en
eau, longitudinal inférieur entourent les amas ou nids de substance grise ; sur les coupes suivantes, elles se portent en
région insulaire postérieure (Ip) commence à s'unir fv la substance grise de 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombreuses t
e 1'(ivaiit-niui, (AM), à l'aide de nombreuses travées de substance grise . La capsule extrême (Cex) est réduite aux fibres
caudé (NC) par deux larges ponts de substance grise'. La substance grise sous-"pen- dymaÍ1'e recouvre la tête du noyau c
enou de la capsule (Ci[g]), avant de se confondre avec la substance grise qui entoure le pilier antérieur du trigone (Tga
artie antérieure est tapissée par une épaisse couche de sub- stance grise , la substance grise centrale (Sgc); elle fait par
tapissée par une épaisse couche de sub- stance grise, la substance grise centrale (Sgc); elle fait partie du troisième vcn
l. - Sexv, surface extra-vcntriculaire du thalamus. S{le, substance grise centrale. si, sillon opto-strié. Si, septum lucid
(Tga). Vers la partie moyenne du troisième ventricule, la substance grise centrale envoie à la paroi interne du côté opposé
oi interne du côté opposé une languette qui constitue la commissure grise ou molle (com), et qui est traversée par quel-
en effet, par des lamelles alternativement imbriquées de substance grise et de substance blanche, et sillonné par de nom
t le putamen (NL.,) ne sont qu'une seule et même masse de substance grise , incomplètement divisée en deux segments, par les
té anté- rieure du thalamus. Les fibres qui naissent de cette masse grise , commune au noyau caudé et au putamen (NC, NL.,
ES DU CERVEAU. 613 de Forel (FI), par une lame étroite de substance grise , contenant de nombreuses fibres horizontales, c
) a augmenté de volume ; il est recouvert d'une couche de substance grise superficielle; dans sa partie centrale, on reconn
ne (Tga) et la commissure antérieure (coa), sont situés dans la masse grise sous- épendymaire qui forme de chaque côté de l
l ntdiau. - R1·h· raclialinns optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. SI, septum lucidum. T,, première circon
ment postérieur de la capsule interne, se loge un amas de substance grise très nettement limité, ayant la forme d'une lenti
vert par Luys et bien étudié par Forel (CL), est formé de substance grise , sillonnée par de nombreuses fibres et contient
eil médian. lIT/¡, radiations optiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-epcndymaire. SI : , substance innommée de
rel (FI) et du corps de Luys (CL) par une étroite lame de substance grise riche en fibres il myéline, la zona incerta de
e (NL,) va disparaître, et sera remplacé par une masse de substance grise , la substance innominée de Reichert (Sti), déjà v
sphénoïdal du ventricule latéral (Vsph). C'est dans cette substance grise qu'apparaîtra le noyau amygdaliell (NA). Cette su
s tenons àfaire remarquer qu'il s'agit ici d'une masse de substance grise diffuse, non réunie en noyau, qui se confond avec
e la calotte RTh, radiations optiques de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-cpcndymairc.
tiques de Gratiolet. S,gc, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-cpcndymairc. - Sih, scissure inter-hcmisph
de Luys (CL), les postérieures se perdent dans la zone de substance grise qui fait suite à la zona in- cala. De la part
u lenticulaire de Forel (FI), le corps de Luys (CL) et la substance grise qui limite en dedans le ruban de Reil1lu'- dian
e de Forel (FI) et le faisceau de Vicq d'Azyr (VA), puis la substance grise du troisième ventricule (V.,). Au niveau du t
raît sectionnée dans toute sa largeur; un petit îlot de sub- stance grise qui appartient déjà à la substance grise de l'aqu
petit îlot de sub- stance grise qui appartient déjà à la substance grise de l'aqueduc de, Sylvius, la divise en deux par
trois couches caractéristiques, à savoir : la couche superficielle grise , qui donne nais- sance aux fibres qui entrent d
yau caudé (NC) est en rapport en arrière avee une lame de substance grise , sillonnée par des fibres à direction oblique e
la tète -Au noyau caudé (NC) est coiffée par une laine de substance grise , la substance grise sous-épcndymaire (Sge), qui d
udé (NC) est coiffée par une laine de substance grise, la substance grise sous-épcndymaire (Sge), qui double la corne fro
porale de la commissure antérieure (Coa) et mor- celle la substance grise de l'avant-1Jwl' (AM). Le segment rétro-lenticu
l médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. '1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance grise cen
t. '1</, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Sgc, substance grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épcndymai
aqueduc de Sylvius. Sgc, substance grise centrale. Sue, sub- stance grise sous-épcndymaire. Sli, substance innominée de Rei
rière et en dedans du noyau rouge apparaît, à l'union de la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) avec la
ance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) avec la substance grise de l'aqueduc de 8yl- J,ius (SgAqj, un petit fai
) est sectionné dans presque toute son étendue. Dans la substance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) on obs
ent réduite, et s'unit en dehors par de nombreux ponts de substance grise aux parties morcelées de l'/luanl-11wI' (AM). La
lame terminale embryonnaire (lt). Entre cette dernière et l'écorce grise de la première circonvolution limbique, se trouve
i ? il ! 4). Le locus niger envoie de nombreuses pointes de substance grise dans Vêlage inférieur du pédoncule ; il est sil
on trouve les fibres de la commissure de Meynert (CM). La substance grise de l'aqueduc de Sylvius (SgAq) se continue avec
ées parallèlement, qui s'irradient dans un petit noyau de substance grise , le ganglion du tubercule, (Iii(idi-i.].iiit( ?
Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance innom
tour duquel se réfléchissent t la substance blanche et la substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (II). La f
Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée.
) la circonvolution du crochet (U) a augmenté de volume, son écorce grise se continue avec l'écorce de la corne d'Ammon (
, 311), nous l'avons déjà vu envoyer de nombreux ponts de substance grise à la circonvolution postérieure de l'insula (Ip).
0). Le corps strié (NC) est réduit il une petite masse de substance grise , sillon- née par les dernières fibres du pied d
ue et la bandelette dia- oi7ale(bd), où il forme une petite saillie grise , le colliculus du noyau caudé (ceci). La substa
erne ou latéral (Tml), il apparaît sous la forme d'une petite masse grise , oblongue, qui s'insinue entre la commissure de
Meynert (CM) et le pied An pédoncule cérébral (P). Cette petite masse grise donne naissance au pédoncule du tubercule mamil
e ventricule (V3), il est entouré d'une couche épaisse de substance grise (SgAq). En un mot, sur cette coupe, le pédoncul
que sur celles des deux séries précédentes (Il et III), les noyaux gris centraux, la capsule interne et toutes les partie
olet. Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. s<) ? stratum zonale. T,, première
de l'habénula (Gh). Ce dernier forme, un petit triangle de substance grise situé entre les parties extra et intm-vent1'icu
halami (tth), sa partie anté- rieure présente des nids de substance grise , dans lesquels nous verrons naître sur les coup
nse du noyau lenticulaire (Al). En dedans de lui, dans la substance grise centrale (Sgc), du troisième ventricule (V3) se t
et. Sexv, surface cstra-vcntri- culaire du thalamus. Sge, substance grise centrale. Sti, substance innominée de Rei- chcr
grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. substance grise , qui relient incomplètement la dit noyau caudé (N
oigné du pilier antérieur du trigone (Tga), situé dans la substance grise du troisième ventricule (.,). En arrière du cha
et. Sex», surface extra-ventriculaire du thalamus. Sge, sub- stance grise centrale. Spa, espace perforé antérieur. Spp, esp
verticule sous-pinéal a'disparu; à sa place on trouve de la substance grise qui appartient à la substance grise de l'aquedu
place on trouve de la substance grise qui appartient à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius. L'espace triangulaire,
ibres fines, qui se portent vers la ligne médiane dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (Spp), en arrièr
(PTml). Le tubercule mamillaire (Tm) est englobé dans la substance grise du tuber cinereum (Tc); il reçoit en avant et e
té opposé, en avant du troisième ventricule (V3), dans la substance grise du tuber cinereum (Te). En arrière, de la commi
on trouve un petit faisceau de fibres qui se perd dans la substance grise , du tuber cinereum (Te); il a été décrit par Gu
us pinealis. IiTh, radiations optiques de Gratiolet. Sgc, substance grise centrale. Spa, substance perforée antérieure. S
de fibres réunies en fascicules espacés et séparés par la substance grise du tuber cinereum (Te); la bandelette optique (II
(bd), l'autre antérieure, formée presque exclusivement de substance grise et contenant de nombreux orifices vasculaires. Ce
rise et contenant de nombreux orifices vasculaires. Cette substance grise correspond à la partie inférieure de la tête du n
) présente une section triangulaire; il est entouré de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, qui s'in- sinue entre
ongitudinaux postérieurs (Flp), pour se confondre avec la substance grise de l'espace perforé postérieur. La substance gris
vec la substance grise de l'espace perforé postérieur. La substance grise de l'aqueduc est nettement limitée en arrière p
postérieure des coupes précédentes. Elles contournent la substance grise de l'aqueduc, et sur les coupes suivantes s'entre
-lenticulaire (Cirl) de la capsule interne. Il est séparé de l'écorce grise du fond du sillon marginal postérieur de l'insu
che en dedans au tubercule mamillaire (Tm), formé par un gros noyau gris situé très près de la ligne médiane, entouré d'un
ré d'une mince couche de fibres blanches, et logé dans la substance grise du tuber cinereum (Te). En avant et en dehors,
bandelette optique (II), en avant par une mince, bande de substance grise en connexion avec la tête du zzoyzcrc caudé (\C)
en dehors on trouve l'aval/l-lIW1' (AM), formé d'îlots de substance grise , dissociés par des libres peu colorées, obliques
chiasma des nerfs optiques (xll), adhérent en arrière à la substance grise du tuber cinereum (Te). L'entre-croisement des
sont reliés à la base du cerveau que par un mince pont de substance grise , au niveau de l'angle interne du pied du pédoncul
udinal posléJoiew' (Flp) a augmenté de volume, et dans la substance grise de l'aqueduc (Aq) qui sépare ces deux faisceaux l
l'un est situé assez en avant dans la partie rétrécie de la substance grise de. l'aqueduc (Aq), au voisinage de l'extrémité
petite excavation que forme ce faisceau au niveau de la subs- tance grise de l'aqueduc. En dedans du noyau latéral, en arri
s'irradient dans le pulvinar (Pul). Une mince lamelle de substance grise sépare Cc. 324. - Coupe n° 9 x, passant par la
u antérieur. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Th, thalamus, couche o
ung) (xM, fig. 323.) Dans le prolongement antérieur de la substance grise de l'aqueduc (SgAq), on retrouve les différents
ébral. Le putamen (NL3) est réduit il une petite bande de substance grise comprise entre le faisceau de l'iirclc (FT) et
l-1Jwl' (AM), coiffe par le faisceau uncinatus (Fu) et par l'écorce grise qui double le pli falci fornze de l'insula. Cet
constate nettement que le tubercule olfactif est formé d'une masse grise centrale, entourée de fibres à myéline fortemen
édoncule cérébral, où il forme un petit noyau ovalaire de substance grise , entouré d'une capsule de libres formée aux dép
il médian (Rm). Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'une petite masse grise peu considé- rable, mais qui reçoit du segment
antérieure du lobe temporal destinées au pulvinar. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée.
du cerveau, le putamen (NL3), formé de petits îlots de sub- stance grise , se fusionne en avant avec le noyau amygdalien (N
yau amygdalien (NA) et l'avant-11tw' (AM), et la masse de substance grise formée par ces trois noyaux se confond avec l'é
ernière s'effile, et donne naissance à une mince lamelle de substance grise , le voile terminal d'Aeby (vt), qui borde en de
is qu'elles sont recouvertes en dedans et en avant par la substance grise sous-épendgmaire qui double le prolongement sphén
Le pulvinar (Pul) ne forme plus qu'un tout petit segment de substance grise , qui coiffe le corps genouillé externe (Cge). L
t, et décrit, une courbe à concavité interne autour de la substance grise de l'aqueduc de Syl- vius (SgAq). , Après avo
Reil médian. RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée.
e quadrijumeau antérieur. Rm, ruban de Reil médian. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. SR, substance réticulée.
entes . Ces derniers sont constitués, en effet, par de la substance grise diffuse, et par trois couches de fibres superpo
bercules quadrijumeaux postérieurs (Qp), au contraire, la substance grise se groupe en un noyau ovalaire, le ganglion du
ieur (NQp). Mal délimité en dedans, où il se perd dans la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (SgAq), ce gangl
, ruban de Reil latéral. lim, ruban de Reil médian. SgAq, suhstance grise de l'aqueduc de Sylvius. si, sillon latéral de
s sur les coupes suivantes (voy. t. II), en arrière de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, pour émerger dans le sil
orme déter- mine celle de la circonvolution correspondante, l'autre grise , la substance grise, cendrée ou corticale, qui
le de la circonvolution correspondante, l'autre grise, la substance grise , cendrée ou corticale, qui se moule très exacteme
de la circonvolution frontale ascendante, on voit que la substance grise n'est pas homogène; en allant de la surface ver
zones concentriques, au nombre de six, alternativement blanches et grises , connues sous le nom de stries de Baillarger (f
e seulement par trois couches, l'externe et l'interne de coloration grise , la moyenne de coloration blanche. Cette dernière
ette dernière, très facile à déli- Substance blanche et substance grise des circonvolutions. Ecorce cérébrale. Vari
à 234 et 261 à 266). Ces différences de coloration de la substance grise , suivant les régions que l'on examine, montrent d
ns, c'est la couche blanche corticale de Remak; une couche moyenne, grise , et une couche interne grise également, mais prés
orticale de Remak; une couche moyenne, grise, et une couche interne grise également, mais présentant une coloration rouge
entant une coloration rouge jaunâtre (fig. 330). Ces deux couches grises , assez épaisses, sont séparées l'une de l'autre
spond au ruban de Vicq d'Azyr, la strie interne subdivise la couche grise interne et constitue la strie interne de Bailla
mifères que chez l'homme. Pendant son trajet à travers la substance grise , le cylindre-axe, émet dans la partie supérieur
erveux continu, dont cet auteur admet l'existence dans la substance grise (Voy. p. 176). Chez l'homme et les grands mammi
former le corps calleux. Pendant leur trajet à travers la substance grise , les cylindres-axes des grandes cellules pyramida
Cellules névrogliques. On trouve dans l'épaisseur de la substance grise et blanche de l'écorce cérébrale un grand nombre
t des cellules épendymaires émigrées dans les substances blanche et grise . Les autres, développées aux dépens de l'ectoderm
tre elles qui, de la substance blanche, - montent dans la substance grise , où elles s'épanouissent en un très élégant pin
es venant de la substance blanche et s'arborisant dans la substance grise . Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,
corce s'accusent plus nettement, elle prend en outre une coloration grise , tandis que la substance médullaire présente un
our les bande- lettes olfactives^ le septum lucidum, le mince voile gris qui tapisse la face supérieure du corps calleux
n réalité, elle recou- vre ces libres d'un mince voile de substance grise de 20 à 40 ;. d'épaisseur, connu sous le nom d'
ur, connu sous le nom d'induseum griseum du corps calleux; ce voile gris se renlle en dedans, sous forme d'une bande lon
ien développés, car ici les tamia tecta se confondent avec l'écorce grise des hémisphères (Blumenau). Cajal distingue tro
t, se continue avec Fil;. 348. - Coupe transversale de la substance grise supra-calleuse du cerveau du lapin nouveau-né.
Les stries longitudinales internes apparaissent soudées en une lame grise . Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,
ar la saillie que forment, dans la cavité ventricu- laire, l'écorce grise et la substance blanche qui tapissent le fond du
épais, couverts de fines aspérités. Dans l'alvéus et dans l'écorce grise , les pro- longements, plus longs et plus grêles
cylindre-axe de ces cellules n'estpas encore élucidé. Cette couche grise est plus épaisse au niveau de la partie inférie
la substance perforée antérieure, se terminent, soit dans la couche grise de cette substance, soit dans l'extrémité antérie
colccterale., y bifurcaciones en la substancia bianca de la corteza gris del ceoebro. Pequenas communica- tiones anatomi
se terminent également par des arborisations libres dans la substance grise de l'écorce cérébrale. Les fibres d'associati
avec des pinces et par dissection une certaine étendue de l'écorce grise d'un cerveau convenablement durci, soit dans l'al
ont toujours les plus superficielles, les plus voisines de l'écorce grise et les fibres longues les plus profondes. Les l
ouronne rayonnante. - - Que l'on suppose par la pensée la substance grise étalée à la surface du cerveau, le système d'as
es, se détachent de la pre- mière et se terminent dans la substance grise de l'hémisphère du même coté. D'après les nou
divisent, puis se terminent dans l'épaisseur même de la sub- stance grise par un renflement variqueux et libre (Cajal). Ces
nsitif et contribueraient à former le réseau diffus de la substance grise , dont cet auteur admet l'existence. Pour v. Monak
res ne s'anastomosent jamais avec d'autres fibres de la sub- stance grise ; elles ne s'abouchent avec aucune cellule nerveus
fibres à trajet oblique ou horizontal, qui sillonnent la substance grise dans les couches moyennes et inférieures de l'é
s venant de la substance blanche cl, s'arborisant dans la substance grise . Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal. a, l
s l'alcool ou dans le bichromate, on enlève par dissection l'écorce grise et les fibres en U de la première circonvolutio
e interne est concave et embrasse le taenia tecta (tec) et l'écorce grise de la première circonvo- lution limbique, dont
féro- internes du cingulum ne seraient pas recouvertes par l'écorce grise , mais formeraient sur la face supérieure du cor
temporale, les libres du faisceau uncinatus morcellent la substance grise qui relie l'avant-mur (AM) au noyau amygdalien (N
leux; il est séparé de la cavité ventriculaire par la substance grise sous- épendymaire. Ce fais- ceau, que nous av
- versales. dans toute son étendue par l'épendyme et la substance grise sous-épen- dymaire, à laquelle il abandonne de
al. D'autres fibres (OF', fig. 391, p. 790) traversent la substance grise sous-épendymaire, ', s'entre-croisent, en avant
anche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Sge', substance grise sous-épendymaire. - SI, septum lucidum. Sti, subs
re, et ses libres dégénérées peuvent ètre suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Nous en rapporterons des exempl
. sp, sp', scissure sous- pariétale et son incisure. Sge, substance grise sous-épendymaire. y ? T3, deuxième et troi- siè
ien (NA), où il mor- celle avec le faisceau uncinatus, la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygdalien et à
iques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sge', su
stance grise sous-épendymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occipitale. - Sexv
amygdalien. B7'A, radiations thalamiques de Gratiolet. Sge, substance grise sous-épendymaire. - Stl, stratum lacunosum. - T
iques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous- épendyma
s du corps calleux. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo, substance grise de la
centrale. - Sge, substance grise sous- épendymaire. SgPo, substance grise de la protubérance. - strz, stratum zonale. - 7
tour de la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 785 substance grise sous-épendymaire (Sge) qui double la corne fronta
on frontale. -RCc, radia- tions du corps calleux. - Sage, substance grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRES NERV
projection et commissurales de la région. En avant de la substance grise sous-épendymaire, les couches de fibres 1... di
é- rieure est tapissée par l'épendyme ventriculaire et la substance grise sous- épcndymaire (Sge) particulièrement épaiss
couronne rayonnante du lobe frontal (pCR), par le pont de substance grise qui relie le putamen à la tête du noyau caudé (
verticale et postérieure de la scissure de Sylvius. Sge, substance grise sous-épendymaire. - SI, scptum lucidum. - .so,
séparée de la cavité ventriculaire par l'épen- dyme et la substance grise sous-épendymaire, et qui est recouverte par les
roi inféro-externe du ventricule et peut être suivie jusqu'aux noyaux gris centraux, où elle retentit sur les fibres radié
érieure de la commissure antérieure est tapis- sée par la substance grise centrale du troisième ventricule (Sgc), et croisé
la calotte. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épondymai
ues de Gratiolet. - Sgc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épondymaire. Sih, scissure inter-hemisptieri
volutions de l'insula. D'autres fibres se rendent dans la substance grise des parties verticale ou morcelée de l'avant- m
5 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
laire, les unes s'arrêtent dans le locus niger (Ln) et la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance (Np) (fib
moelle épinière et se terminent dans toute la hauteur de sa colonne grise (fibres cortico-médullaires) ; les fibres les p
t branche pos- térieure de la scissure de Sytvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Si, septum lucidum. so, sil
OF, faisce au occipito-frontal formant le feutrage de la substance grise sous-épendymaire (se), se concentrant à la partie
ontale. - RCc, radiations du corps calleux. - Sue, S,gé , substance grise sous-épendymaire. - tec, lee', taenia tecta. - Vf
e antérieure. - V.I, noyau amygdalien. Le noyau caudé est teinté en gris . Ses fibres se ren- dent les unes di- recte
ut être suivie en partie - fibres d'association - dans la substance grise sous-épendymaire (Sge) et dans la capsule exter
iques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire
nus du corps calleux. - Sge, substance grise centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo, substance grise de la p
se centrale. Sge, substance grise sous-épendymaire. Silo, substance grise de la protubérance. strz, stratum zonale. - 7 ?
ptiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire de la corne frontale. - Sge'
ce grise sous-épen- dymaire de la corne frontale. - Sge', substance grise sous-épendymaire de la corne occi- pitale. - Se
dalien, RTh. radiations thalamiques de Gratiolet. - Sage, substance grise sou-ependyma.irc. Sll, stratum iacunosuui. 1'1, T
médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius, - SR, substance réticulé
branche postérieure de la scissure de Sylvius. - Sge, Spe, substance grise sous-épen- dymaire. SI, septum lucidum. - Sli,
paré du segment postérieur (Cip) par une mince lamelle de substance grise appartenant à la zone réticulée du thalamus (Zr
et entourées comme d'une gangue par les nombreux ponts de substance grise qui relient la tête du noyau caudé au putamen (
ptiques de Gratiolet. - sec, sinus du corps calleux. Sge, substance grise centrale. - Soe, substance grise sous-épendymai
s du corps calleux. Sge, substance grise centrale. - Soe, substance grise sous-épendymaire. - sJI, sillon de Alonro. - S(p)
dian. - Iil'h, radiations optiques de Gra- tiolet. - Sge, substance grise sous-ependym.nre. Sti, substance innominée sous-l
le corps genouillé externe (Cge) et une mince lamelle de substance grise qui appartient il la zone réticulée du thalamus
de (3). - li1'lz, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius». - Th, tlialamus, couc
ont elles sont toujours séparées par l'étroite lamelle de substance grise apparte- nant à la zone réticulée du thalamus (
continue, mais sont dissociés par les nom- breux ponts de substance grise qui relient le bord postérieur du putamen à la
lotte. - lt1'le, radiations optiques de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dym
iques de Gratolet. - Sole, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. - Sih, scissure inter-hémis
ne du segment inférieur de la couronne rayonnante. - Sge, substance grise sous-épendymaire de la corne spénoidale. - Slrz,
surface de section, enclavée entre le globus pallidus,la substance grise centrale du troisième ventricule et le corps de
niger refoule le corps de Luys en haut et en dedans, et les travées grises qu'il envoie dans l'épaisseur même du pied du p
ian. - RTh, radiations opti- . ques de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise
t. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Srlc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymai
educ de Sylvius. - Srlc, substance grise centrale. - Sge, substance grise sous-épendymaire. Sli, substance innominée sous-
Heil médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR. Formation réticu
nsemble une couche de lâches fascicules séparés par de la substance grise et connue sous le nom de stratum inter- medium
latéral. - NIIl, noyau du ruban de Reil latéral. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sli, formation rétic
stitution de la pyramide bulbaire ou se terminent dans la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. Elles se
arrondies appartiennent à la voie pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale. - qPo, substance grise de l'étage antér
e pédon- culaire. - Sgc, substance grise centrale. - qPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. S7 ! ,
l médian. - RgRm. région du ruban de Reil médian. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation réticulé
Les connexions directes de la corlicalité cérébrale avec les masses grises du névraxe s'effectuent par deux catégories de fi
e : 1° Les unes courtes relient la corticalilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el moyen (fibres cor
AMIQUES ET CORTICO SOUS-THALAMIQUES Ces fibres destinées aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire et moyen comprennent
e treil- lage dont les intervalles sont comblés par de la substance grise . De ce treillage, connu sous le nom de zone gri
appartenant à la grande fente cérébrale de Bichat. Srlq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES CENTRE
médullaire antérieu- re et les fibres ra- diées. Sge, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage anté
ibres ra- diées. Sge, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubé- rance. - SR
médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Sti, substance innommé
e de Wernicke (1TT), puis pénètrent et s'épuisent dans la substance grise du pulvinar dont elles forment les fibres radié
ire de Gratiolet et en est séparé par une mince lame de sub- stance grise . 2. RADIATIONS DU CORPS GENOUILLÉ EXTERNE ET DU
sagittale passant par le noyau antérieur du thalamus. La substance grise qui sépare le. pédoncule inféro-interne du thal
- Sexv, surface extra-ventriculaire du thalamus. - S,gc, substance grise centrale. - si, sillon opto-strié. - SI, septum l
ne réticulée ou grillagée. - 11, bandelette optique. - x11, substance grise doublant le chiasma des nerfs optiques. 72 AN
générescence de la partie interne du locus niger et de la substance grise antérieure de la protubérance, ainsi que d'une
faisceau interne est limité en dedans par une traînée de substance grise qui appartient au locus niger, et conserve ce r
o- ciées par les fibres transversales et abandonnent à la substance grise an- 1(,'i,ieti2,e (noyaux politiques) de nombre
ncule cérébral, retentit à la fois sur le locus niger, la substance grise de la protubérance et la pyramide bulbaire, et
a dégénérescence de ce faisceau et sa terminaison dans la substance grise de la région supé- rieure de la protubérance. Q
ébral est toujours accompagnée d'une dégénérescence de la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. Les ne
, quoique moins prononcées, dans les lésions intéressant l'écorce grise avec intégrité des corps striés et des couches
veau (corps opto-striés, tubercules quadrijumeaux) et la substance grise centrale (cornes médullaires et noyaux des nerf
jection de deuxième ordre qui unissait ces ganglions à la substance grise centrale croisée; de cette dernière paitait le
s (Cbr, Fig. : il, coupe 1),les unes s'arrêtaient dans la substance grise de la protubérance annulaire, les autres concoura
finitivement admise. Charcot montra que les lésions de la substance grise corticale déterminent une sclérose du faisceau
lité, qui traversent la capsule interne sans entrer dans les noyaux gris des masses centrales. Toutefois, il ne leur ass
he dorsale ou profonde; elles aboutissent finalement à la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance, mais n
ue, portant sur la totalité des faisceaux blancs et de la substance grise . Elle intéresse non seulement les faisceaux de la
ions frontale et pariétale ascendantes, sans participation des noyaux gris centraux. Il existait en outre dans ce cas une
volutions rolandiques droites sans partici- pation des notant gris centraux. 94 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Hy
rrés les uns contre les autres et séparés par très peu de substance grise . Méthode de Weigert-. Le trigone atrophié et le
est donc loin d'avoir partout les mêmes connexions avec les masses grises inférieures du né- vraxe, et l'étude des locali
cales indirectes. jumeau antérieur; le locus niger ; la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance (noyaux
les noyaux moteurs et sensitifs des nerfs crâniens; sur la colonne grise médullaire. D'autres formations ganglionnaires
halamique de Forel, le faisceau rétroflexe de Meynert, la substance grise centrale du troisième ventricule ; dans le cer-
ente de la substance blanche, mais respecte complètement les noyaux gris centraux et la capsule interne qui ne sont intére
lume considérable du locus niger (Ln) (Fig. 71-74) et de la substance grise de l'étage antérieur de la pl'otuberanc«(Fig. 7
rière 107 FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. substance grise de l'étage antérieur de la protubérance, dont les
ibres superficielles et moyennes de ce tubercule et de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. FiG. 89. - Ca
to-frontal (OF-1-Pr) et des fibres (OF) qui sillonnent la substance grise sous-épendymaire. Dégénérescence partielle du seg
du pied du pédoncule cérébral) et s'épuisent dans la substance grise de la partie postéro-supéro- externe de l'étage
occipito-frontal intéresse non seulement les fibres de la substance grise sous-épendymaire, mais encore le faisceau curvi
nt postérieur (Fig. 143 et 144). Cette lésion respecte les noyaux gris centraux, en particulier le noyau caudé (Fig. 144
) (Fig. 150) et s'épuisent dans le locus niger (Ln) et la substance grise antérieure de la protubérance. Le segment sous-le
tubercule quadrijumeau antérieur (Qla), des fibres de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la substance grise de l'
fibres de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la substance grise de l'aqueduc de Syl- vius (Sg Aq (d). Dégénéres
urck s'épuise dans la partie supéro-postéro-externe de la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. La par
ncule cérébral (Fig. 150) se sont toutes épuisées dans la substance grise antérieure de la protubérance, aucune ne descend
sclé- rose (FPyc) qui longe la corne postérieure. La substance grise centrale contient un certain nombre de fascicu-
de toute la moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et l'ensemble des cor- dons blancs. Méthode de
uadrijumeau antérieur (Qa) (Fig. 149) et des fibres de la substance grise centrale (Sgc) au voisinage de ce tubercule (Fig.
le cérébral (P) (Fig. 150), une atrophie très accusée de la substance grise antérieure de la protubérance (Fig. 131) et une
aines des tiers interne et moyen, s'épuisent toutes dans la substance grise antérieure de la protubérance et n'atteignent p
ié. lIémiatrophie de toute la moitié gauche de la moelle (substance grise et cordons blancs). Méthode de Itosin. 6/1 gran
al homolatéral. Fil. 163 et 164. - Irrigation vasculaire des noyaux gris centraux et de la capsule interne représentée s
noyau caudé ressemble à une coque, vide de son contenu de substance grise , que la membrane épendymaire FiG. 168. - Cas Ra
g de l'angle externe du ventricule latéral jusque dans la substance grise qui borde la corne frontale (Fig. 192 et 193). Le
. L'écorce cérébrale n'est développée que dans la région teintée en gris . (Dessin fait d'après une photographie.) - 1
noyau caudé est relié au putamen par de nombreux ponts de substance grise ; il en est séparé par les segments Moteurs (Cia
é- line enchevêtrées dans tous les sens et circonscrivant des îlots gris informes (Fig. 206 et 207). Le faisceau thala
yélinisées, et grâce à l'absence de la voie pédonculaire la substance grise antérieure du [pont paraît plus abondante qu'à
la calotte pédonculaire et bulbo-protubérantielle, et la substance grise est abondante comme elle l'est à cet âge chez un
me ventriculaire. - OF, faisceau occipito-frontal. - Sge, substance grise sous-épen- dymaire. VI, ventricule latéral. Mét
,région où il existe de nombreux îlots hétérotopiques de substance grise . La partie inférieure, basale du septum lucidum
ion contient un certain nombre d'amas hétéroto- piques de substance grise . Méthode de \\'cigert-Pal. 6/1 grandeur nature.
et ne considérer comme tel que les libres qui occupent la substance grise sous-épendymaire et qui sont particulièrement den
ndelettes optiques chiasma, et nerfs optiques. La zone X teintée en gris représente la localisation de la lésion dans la
les zones motrices des deux côtés. La partie anlérieure (teintée en gris ) de cette figure appartient à une coupe vertico-t
s leur intervalle souvent fort .irrégulier on aperçoit la substance grise de cette circonvolution avortée. Au niveau du t
ertain nombre de libres qui prennent leur origine dans la substance grise des lobes olfactifs antérieur et postérieur. Le
ieur et postérieur. Les plus courtes se terminent dans la substance grise du pédoncule olfactif, du tubercule olfactif et
ngés de substance FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 265 grise . Arrivés au niveau du tubercule olfactif (Toi), e
al (I·'nah). - Fiel, faisceau longtlu- dinal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. - F.11, faisceau rétroflexe d
issent des cellules pyramidales petites et moyennes de la substance grise du pédoncule et du tubercule olfactifs et sont
ure, il est recouvert par une couche très épaisse de la sub- stance grise sous-épendymaire des parties latérales de la corn
t contient dans son épaisseur un certain nombre d'amas de substance grise en continuité avec la substance grise sous-épendy
in nombre d'amas de substance grise en continuité avec la substance grise sous-épendymaire. Le taenia semicircularis cons
time avec le noyau caudé et se terminerait soit dans la sub- stance grise du troisième ventricule en arrière de la commissu
n) dans le noyau lenticulaire, le noyau amygdalien. et la substance grise de la pointe de la corne sphénoïdale. Il ne recev
t des fibres soit à la commissure anté- rieure, soit à la substance grise qui entoure le chiasma des nerfs optiques, soit
ques. - Th, thalamus. - tsc, tænia semicircularis. - Sgc, substance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DE
ntérieure du troisième ventricule, puis s'enfonce dans la substance grise du tuher cinereum et aborde le tubercule mamillai
u rouge. - Qa, tubercule quadrijumeau postérieur. - SgAq, substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. - SI, septum lu
udden dont les fibres peuvent être suivies jusque dans la substance grise centrale du troisième ventricule. - Tg, corps d
eure (Fig. 22, p. 32, et Fig. 263), s'en- foncent dans la substance grise centrale de la région sous-optique, puis du tub
des autres par des inter- valles plus ou moins grands de substance grise , s'enchevêtrent les uns avec les autres et sont
t de fibres de projection (Ol ? 1-l'r), le feutrage de la substance grise sous-épendymaire (OF) qui double l'angle extern
ieur. - Qp, tubercule quadri- jumeau postérieur. - Sg.lg, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - Te, tuber cinereum.
negger, Cajal, Kôlliker, Vogt) de ce tubercule et dans la substance grise avoisinante (Kôlliker, Vogt). Le plus grand nombr
ricule. 11 est séparé de la cavité ventricu- laire par la substance grise centrale, mince sur la ligne médiane et il la p
dden. PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. - Sr/c, substance grise centrale du troisième ventricule. Tga, pilier a
LE. 299 interne l'entoure complètement et le sépare de la substance grise cen- trale du troisième ventricule et du gangli
ue- ment en haut, en dehors et en arrière, et traverse la substance grise cen- trale du troisième ventricule au voisinage
, longent la face interne du noyau rouge et arrivent à la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, en tra- versant le fai
ticulée,lII°parlie). Le ganglion dorsal est situé dans la substance grise centrale du quatrième ventricule, en arrière du f
es fibres longitudinales qui traversent du haut en bas la substance grise centrale du quatrième ventricule en formant le
surface extra ventriculaire de la couche optique. - Sge, substance grise sous-épendymaire.- Tap, Inpetum. - Tgp. pilier
pour les nom- breuses libres à myéline qui sillonnent la substance grise sous-épendymaire de l'angle externe du ventricu
e d'une dégéné- rescence très évidente et très fine de la substance grise antérieure de la protubérance. 2° Une dégénéres
es faisceaux radiés, la lame médullaire externe (Lme) et la substance grise fonda- mentale de la moitié postérieure du noya
rés. La dégénérescence du globus pallidus occupe toute la substance grise de ce noyau, elle est en outre par- ticulièreme
rticales de l'étage antérieur de la protubérance et de la substance grise avoisinante, de la pyramide antérieure du bulbe
lmi). Il existe en outre une dégénérescence diffuse de la substance grise de toute la moitié posté- rieure du globus pall
des fibres dégénérées du globus pallidus s'épuise dans la substance grise de ce ganglion, une autre partie entre dans la
e et sa lame médullaire des fibres qui s'épuisent dans sa substance grise ; Le corps de Luys entre de même en connexion av
re (Al). Il abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise centrale du 3e ventricule et au champ de Forel
nse pédonculaire de Gratiolet c'est-à-dire cette bande de substance grise et blanche que l'on voit à l'oeil nu sur un cer
donculaire sont séparés l'un de l'autre par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cellules nerveuses, qui
interne du segment postérieur de la capsule interne et la substance grise centrale du troisième ventricule ; elle est acc
en arrière, abandonne chemin faisant quelques fibres à la substance grise centrale du troisième ventricule, puis pénètre
. Hémiplégie gauche avec contracture et hémianes- thésie. La teinte grise indique l'étendue de dégénérescence capsulaire co
(FI) et envoient un petit fascicule (FI') dégénéré dans la substance grise centrale du troisième ventricule, au-dessus du
(CM) (Fig. 297et298). Elles peuvent être suivies dans la substance grise centrale du troisième ventricule le long du chi
res dégénérées se perdaient dans le noyau rouge ou dans les travées grises de la formation réticulée. La dégénérescence de
articulier, le faisceau lenticulaire de Forel envoie à la substance grise centrale du 3e ventricule (FI') (Fig. 305) au-des
onstituée par une masse homogène, mais bien par une série de noyaux gris , de volume et de struc- ture variables, qui se
dans la partie supérieure ou dorsale du noyau externe la substance grise prédomine et que la pénétration des fibres radiée
lame médullaire interne (Lmi), recouvert en dedans par la substance grise centrale (Sgc) qui le sépare du troisième ventr
artenant il la grande fente cérébrale de Bichat. ? 7-'f ? substance grise de l'aqueduc de Sylvius. GANGLIONS INFRACORTICA
us. GANGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage anté
OUCHE OPTIQUE. 349 Sgc, substance grise centrale. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubé- rance. - SR
tites que l'on examine des régions plus rapprochées de la substance grise centrale (v. Monakow). Le noyau interne reçoi
l). Elle se présente sous l'aspect d'une mince lamelle de substance grise qui recouvre toute la face externe du noyau ext
he optique. Les mailles de ce réseau sont remplies par la substance grise de la zone réticulée ou grillagée, laquelle com
grillagée, laquelle communique ainsi largement avec la sub- stance grise du noyau externe et du pulvinar. On peut consid
médian. - RTh, radiations optiques de Gratiolet. - Sage, substance grise centrale du troisième ventricule. - SI, septum lu
7, p. 69), et ce segment se trouve alors réduit à une mince lamelle grise , dirigée presque transversalement de dedans en de
prolongement postérieur de la scissure de Sylvius. - Sge, substance grise sous-épendymaire. - Sge (Fli), couche sagittale
rapports. Ses connexions ré- tiniennes. quées, alternativement grises et blanches, qui décrivent une courbe à concavi
lé externe. La base de ce ganglion est en rapport avec la substance grise du pulvinar (Fig. 313), et dans les régions inf
ables noyaux terminaux pour les fibres de la rétine. Les lamelles grises du corps genouillé externe contiennent deux sor
ment les fibres radiées du thalamus, mais encore toute la substance grise de ce ganglion qui est piqueté de grains noirs
n, et se terminent sur la coupe en s'épanouissant dans la substance grise très épaisse située au-dessous de l'épendyme ve
rès intimes entre la couche optique, le noyau rouge et la substance grise de la formation réticulée. Le complexus de fibr
faisceaux parallèles séparés l'un de l'autre soit par la substance grise de l'aqueduc de Sylvius, soit par le sillon sous-
meau antérieur. - 1'Sp, diverticule sus-pi- néal.- Sge, substance grise centrale. par les bras des tubercules quadnju
de quelles cellules proviennent ces fibres, ni dans quelles masses grises elles vont se terminer. Tout obscures qu'elles
ion de l'habenula se compose chez les mammifères de deux masses grises , que l'on peut distinguer, avec Nissl et Caja
e ganglion de l'anse pédon- culaire ou des cellules de la substance grise centrale qui tapisse la face interne du thalamu
, en arrière du noyau interne du thalamus (Ni) et de la sub- stance grise centrale du troisième ventricule (Sgc) qui le rec
la calotte. - RrIR, région du ruban de Reil médian ? Sgc, substance grise centrale. - sM, sillon de Monro. - Spp, substance
ventral de la calotte de Forel et se terminent dans la sub- stance grise centrale de la partie supérieure du quatrième ven
e même ventricule. C'est un corps mou, impair et médian, de couleur gris rougeâtre, d'as- pect grenu, de forme ovoïde ou
rd supérieur de la commissure postérieure. Composée d'une substance grise molle, creusée d'une ou plusieurs cavités kysti
ied du pédoncule cérébral, entre la capsule inlerne et la substance grise centrale du troisième ventricule. Elle atteint en
étroflexe de Meynert. La face interne est tapissée par la substance grise centrale dont la séparent incomplètement le fai
sens transversal, de la zone réliculée du thalamus à la sub- stance grise centrale du troisième ventricule. Elle augmente d
elle dans l'extrémité anté- rieure du thalamus et dans la substance grise du tuber cinereum ; en arrière, il s'amincit et
M'f, la surface extravenlriculaire du thalamus. - Sr/l', substance grise centrale du 3° ventricule. - SI, seplum lucidum
térieure de la capsule du noyau rouge. horizontale de substance grise , la zona incerla de Forel (Zi). Il s'agit ici d
face inférieure du thalamus et se perd en dedans, dans la substance grise centrale du troisième ventricule. La zona incer
ssent en un faisceau volumineux qui occupe, le long de la substance grise centrale du troisième ventricule, la partie sup
arties : l'une interne, sus-mamillaire, qui s'adosse à la substance grise centrale du troisième ventricule; l'autre, exte
tales du segment inférieur de la couronne rayonnante. Sfte, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - Slm, stratum
halamica poslerior, Ganser) (voy. p. 106) qui occupe la sub- stance grise de l'espace perforé postérieur (Fig. 325) ; ces f
au caudé sont détruits. Il envoie quelques fibres dans la substance grise inter- pédonculaire et reçoit de la corticalité
omme apparte- nant soif à la substance blanche, soit à la substance grise . Ce n'est qu'au voisinage de la circonférence d
t fibrillaire, qui ne diffère pas de celle di reste de la substance grise , el dans laquelle on trouve clairsemées ur Avec
u noyau rouge ou de l'écorce cérébrale par exemple. IV. - SUBSTANCE GRISE CENTRALE ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈM
E ET COMMISSURES DU PLANCHER DU TROISIÈME VENTRICULE La substance grise centrale tapisse les parois latérales et le plan-
Monro et de l'embouchure de l'aqueduc de Sylvius avec la substance grise sous-épen- dymaire des ventricules latéraux et
e grise sous-épen- dymaire des ventricules latéraux et la substance grise centrale du cerveau moyen. Elle fait défaut au
recouvrant la face interne de la région sous-optique. La substance grise du plancher du troisième ventricule occupe le o
ptique et per- forée de petits orifices vasculaires. La substance grise centrale est tapissée par les cellules cylindriqu
Darkschewitsch. La méthode de Weigert-Pal révèle dans la substance grise cenlrale de nombreuses fibres fines, de moyen et
MISSURES du plancher du TROISIÈME ventricule. - Dans la sub- stance grise du plancher du troisième ventricule, on rencontre
l ou com- missure sous-thalamique postérieure, et dans la substance grise qui double le chiasma et la bandelette optique,
surface extra ventriculaire de' la couche optique. - Sge, substance grise centrale. - SI, septum lucidum. - Spp, lame int
aisceau longitudinal postérieur,longent de haut en bas la substance grise centrale, ainsi que nous l'avons figuré dans le T
, et décrite par Meynert sous celui de commissure de la sub- stance grise centrale, est un faisceau formé de lâches fascicu
eau formé de lâches fascicules de fibres enclavés dans la substance grise centrale, au-dessus du chiasma et des ban- dele
t et dont elle est toujours séparée par une mince lame de substance grise . Chez l'homme, elle occupe une situation profon
hématoxylinique, et séparés les uns des autres par de la substance grise . Elle occupe la partie supérieure et interne du
eau du tuber cinereum; la commissure qu'il décrit dans la substance grise centrale occupe la partie antérieure de la lame i
perdrait, d'après Darksche- witsch et Pribytkow, dans la substance grise centrale comprise entre le pilier antérieur du
nous avons pu suivre ce faisceau plus loin jusque dans la substance grise centrale de l'aqueduc deSylvius(fTc, Fig. 262,
ordrc. 2° Les centres olfactifs primaires comprennent la substance grise du pédoncule et du trigone olfactif, l'aire olf
incipal (Fmp). Fiel, faisceau longitudi- nal dorsal de la substance grise centrale de Schutz. 7'U, faisceau rétroflexe de M
p,') dont la plupart des fibres se terminent soit dans la substance grise du tubercule olfactif, soit au- tour des cellul
les pédoncules cérébraux, adhèrent comme le chiasma à la substance grise de la base de l'encéphale, puis se divisent cha
tubercule quadrijumeau antérieur et se terminent dans la substance grise superficielle et moyenne de ce tubercule. Seg
de- lettes optiques, chiasma, et nerfs optiques. La zone teintée en gris représente la localisation de la lésion dans la
cci- pitale et se terminent par des arborisations dans la substance grise du corps genouillé externe, du pulvinar, du tub
ulvinar, du tubercule quadrijumeau anté- rieur et dans la substance grise de l'aqueduc de Sylvius. Les autres repré- sent
se trouve repérée sur le schéma B'. Le faisceau maculaire teinté en gris comprend une partie temporale ou directe, qui s
te optique, mais sont situées dans l'épaisseur même de la substance grise du tuber cinereum et persistent toujours intact
ophie com- pléte des deux bandelettes, c'est donc dans la substance grise centrale de la base du cerveau qu'il faut cherc
orées par la laque hématoxylinique, plongés au sein de la substance grise de la base du cerveau et que Schlagenhaufer a p
e sous l'aspect d'un ellipsoïde à grand axe transversal, de couleur gris rosé, Bibliothèque des Internes en Médecine d
sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sgc, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substance gri
- Sgc, substance grise centrale du .4' ventricule. - Sgc', substance grise centrale péri-épendymaire. - spo, sillon post-c
367), on constate que l'olive est formée par une lame de substance grise plusieurs fois repliée sur elle-même, et recouv
nt les pyramides postérieu- res et atteint presque la substance grise centrale du bulbe. Au voisinage du collet du bu
rminaison de la branche vestibulaire du nerf acoustique. - tg, aile grise , fossette inférieure, ou noyau de terminaison d
ejetées de côté. (D'après Retzius.) .la, aire acoustique. «Z,aile grise . ap, area tostrema. - apl, aile blanche inter
). La fossette inférieure est la plus profonde; elle est de couleur gris foncé; irrégulièrement triangulaire ou ovalaire
e ou ovalaire à sommet supérieur et connue sous les .noms de : aile grise (Ag, Fig. 352), ala cinerea (al, Fig. 355), cun
moins profonde que l'inférieure, est remarquable par sa coloration grise et la présence presque constante d'une ou plusi
la région bulbaire du plancher, elle est située en dehors de l'aile grise et connue sous le nom d'aile blanche externe. L'e
ppées, profondes et recouvertes par une épaisse couche de substance grise centrale; quelquefois, elles ne sont apparentes q
llongés, déprimés et grisâtres, qui ont reçu les noms de fascicules gris ou cendrés ( fasciola} cinerea}). Le plus souve
; leur extrémité interne est dans ce cas couverte par la substance grise centrale. De leur ligne d'émergence qui peut oc
HCglOll bulbaire ou inférieure. Aile blanche ex- terne. Aile grise . Aile extrême pos- térieure. Trigono de l'h
On y remarque de dehors en dedans : l'aile blanche externe, l'aile grise et l'extrémité inférieure des funiculi teretes
est inférieur et n'atteint pas le bec du calamus (Fig. 355). L'aile grise ou cendrée (al, Fig. 355) (fossette inférieure ou
t tantôt large, tantôt étroite; sa surface est déprimée, de couleur gris foncé, de forme triangulaire ou plus ou moins o
en est séparée par l'area postrema de Retzius (ap Fig. 1üÕ), l'aile grise extrême, petite languette aplatie, de couleur g
g. 1üÕ), l'aile grise extrême, petite languette aplatie, de couleur gris foncé, à surface grenue qui donne insertion à l
rieure, et qui est réunie à celle du côté opposé par l'obex. L'aile grise extrême provient des profondeurs du bec du calamu
la partie effilée de la pyramide postérieure et est séparée de l'aile grise par un fascicule blanc, que l'on peut suivre du
l'aile blanche interne correspond au noyau de l'hypoglosse, l'aile grise extrême à la face interne, ventriculaire des no
ervelet est surtout composé d'une couche superficielle de substance grise , l'écorce cérébelleuse, et d'une substance blanch
ncules céré- belleux. Ramifications den- drinques. Les noyaux gris centraux. Substanco blanche centrale. Dim
ant supérieur du toit du quatrième ventricule, se trouvent les noyaux gris centraux du cervelet formés de chaque côté par
nde partie de la substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux et la substance blanche des lobes de la
sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azy-r. - Sge, substance grise centrale. - sil', sillon inférieur de Vicq d'Azyr
arne. CONFIGURATION INTERIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 511 i 2. noyaux GRIS centraux. Au nombre de quatre, les noyaux gris
ALE. 511 i 2. noyaux GRIS centraux. Au nombre de quatre, les noyaux gris centraux du cervelet comprennent de chaque côté
anche verticale de l'arbre de vie médian, au-dessus de la substance grise sous-épendymaire, qui tapisse le toit du quatri
ranche horizontale de l'arbre de vie médian. C'est un noyau brun ou gris clair, ovalaire ou triangulaire, arrondi en ava
s'agit plus ici d'un noyau régulièrement arrondi, mais d'une masse grise irrégulière qui affecte la forme d'un W et qui en
u du bouchon ou embolus, et de noyau sphéricité ou globules. Noyaux gris cen- traux. Noyau du toit. Situation. For
e, l'olive cérébelleuse est constituée par une lamelle de substance grise , de couleur jaunâtre ou gris rougeâtre, de 3 à
nstituée par une lamelle de substance grise, de couleur jaunâtre ou gris rougeâtre, de 3 à 3 millimètres d'épaisseur, plis
de festons et de zigzags. Chez la plupart des mammifères les noyaux gris centraux du cervelet se présentent sous l'aspec
aux gris centraux du cervelet se présentent sous l'aspect d'un amas gris diffus, de forme irrégulièrement quadrilatère,
du toit, relié aux noyaux de 13echterewet de Deiters par des travées grises , un noyau externe (l'olive, ou nucleus lalerali
ibres qui prennent leur origine ou se termi- nent dans la substance grise de l'olive cérébelleuse. Ces fibres ne se dirig
volumineux, séparés les uns des autres par une gangue de substance grise , connue sous le nom de Fig. 36 ? . - Les pédonc
c ses fibres sagillales. Rm, ruban (lelleil médian. Sy/o, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. - Sli,
CÉPHALE. 5tJ noyaux pontiques (Np), de noyaux du pont, de substance grise antérieure de la protubérance (SgPo). Ces fasci
urrelets pyramidaux. Sa face profonde est tapissée par la substance grise antérieure [du pont (noyaux pontiques antérieurs)
re de la région de la calotte; elle est cloisonnée par la substance grise antérieure de la protubérance (noyaux pontiques
arrondi, entouré par une couche plus ou moins épaisse de substance grise et limité en avant par les fibres protubérantie
in (coupe S 5, Fig. 360) en arrière par une mince lame de substance grise appartenant à l'olive cérébelleuse (Fig. 363).
an de Reil latéral. - Orna, ruban de Reil médian. - SgAg, substance grise de l'aqueduc. - SR, for- mation réticulée. - St
parties antéro-externes apparaissent bientôt des amas de substance grise qui grandissent au sur et à mesure que l'on exami
p. 37, 26, p. 39) ; il se trouve limité en dedans par la substance grise centrale qui entoure l'aqueduc de Sylvius et par
lement parallèles, séparés les uns des autres par de la sub- stance grise et bien décrits par Forel; ils se portent en haut
on segment antérieur ou inler-olivaire. - SR ! l, formation réticulée grise . - slac, strie acoustique. - stac-a, strie acou
minales (fpt),puis traverse la périphérie de la formation réticulée grise en décrivant des courbes à concavité antérieure;
fit) et 1'élro-lrigéminales (frt)], traverse la formation réticulée grise en décrivant une légère courbe à convexité postér
décrivant une légère courbe à convexité postérieure, aborde la lame grise postérieure de l'olive, la perfore ou la côtoie,
rps restiforme (coupe H9, Fig. 366), entre ce corps et la substance grise centrale du qua- trième ventricule, et présente
un groupe de fascicules isolés, entourés d'une gangue de substance. grise , connue sous le nom de noyau de Deiters (ND), el
llo-veslibulaires (fcv) (voy. Chap. IV). L'ensemble de la substance grise et des fascicules peut être désigné sous le nom d
euses fibres arciformes (fad) qui décrivent, autour de la substance grise cen- trale, des courbes incluses dans celles du
avec des fibres longitudinales de la formation réticulée blanche ou grise du côté opposé. Olive bulbaire et noyaux juxta-
t constituée, comme l'olive cérébelleuse, par une lame de substance grise irrégulièrement plis- sée et repliée sur elle-m
. Sur les coupes sagil laies (coupe S 2, Fig. 359, p. 509), la lame grise fes- tonnée de l'olive forme un anneau complet,
rieure et inférieure de l'olive n'intéressent cle même qu'un anneau gris complet. Sur toutes les coupes qui passent par
ée blanche (Formatio relicularis alla), - SRrI, formation réticulée grise . - Stac, strie acoustique. - l'scl, grosse racine
re sa capsule des fibres longitudi- nales de la formation réticulée grise . Le noyau juxta-olivaire interne (Noc) est beau
olive, le sépare de la couche inter-olivaire et représente une lame grise sagit- tale, reliée à l'olive par des ponts de
lame grise sagit- tale, reliée à l'olive par des ponts de substance grise et dont le bord-anté- rieur atteint la pyramide
ncule cérébelleux moyen (p. 51'7); 3° Par une gangue de substance grise , les noyaux pontiques, qui enve- loppent les fi
ts fascicules arrondis, séparés les uns des autres par la substance grise du locus niger (Ln) et plus bas par les noyaux
ban de Reil latéral. - Hum, ruban de Reil médian. - Sage, substance grise centrale. - SgPo, noyaux pontiques. - SR, formati
il, ruban de Reil latéral. - rubin de Hei) médian. Sgl'o, substance grise antérieure du pont. - SR, formation réticulée.
des fibres de la voie pédon- culaire, s'épuisent dans la substance grise de l'étage antérieur de la pro- tubérance (fibr
, irrégulièrement arrondi, plongé au sein d'une gangue de substance grise , et qui n'est plus dissocié que par quelques rare
al, retentit à la fois sur la pyramide bulbaire et sur la substance grise antérieure du pont. Au-dessous du sillon bulbo-
ve encore des connexions, partielles il est vrai, avec la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance, laquelle
noyaux rétro-pyramidaux (Nrp), petits amas irréguliers de substance grise qui bordent le faisceau pyramidal en arrière, et
rière; ils traversent en fascicules lâches et onduleux la substance grise située en avant et en dehors du canal central (
s fascicules sont en outre séparés par une mince trame de substance grise , en continuité avec la formation réticulée bulb
e ne contient que des libres transversales séparées par les travées grises des noyaux pontiques; les libres sagittales du ra
érébelleux moyen (Pcm), des fibres transversales et de la substance grise antérieure du pont dans un cas d'atro- phie de
moins complète des cellules de Purkinje et atrophie de la substance grise antérieure de la protubérance (Atrophie olivo-J
d'un fais- ceau compact et arrondi, plongé au sein d'une substance grise riche en névroglie, pauvre en cellules nerveuse
g. 379) et moyenne (Fig. 380). Dégé- nérescence de la substance grise antérieure du pont, du noyau arqué et des fibre
382. -. Dégénérescence de la voie pédonculaire et de la substance grise antérieure du pont, du pes lemniscus super- f
ois quelques fibres aberrantes ; elles descendent dans la substance grise centrale de la moelle, à la base de la corne post
entielle- ment constituée par une série de colonnettes de substance grise , disposées sous forme de réseau, lequel englobe
ar des fibres arciformes et radiées. Les colon- nettes de substance grise portent le nom de processus reticulares de Lenh
de processus reticulares de Lenhossek (1855), l'ensemble du réseau gris et des fibres blanches celui de formation rétic
hauteur de la calotte, non toutefois sans abandonner à sa substance grise ou sans en recevoir un certain nombre de fibres.
les autres se terminent (ou prennent leur origine) dans les noyaux gris de la calotte. Les fibres arciformes se dispose
t la hauteur de la calotte à laquelle elles appartiennent, les amas gris ou les faisceaux dont elles dérivent. Dans la c
de la calotte, à savoir : 1° les voies cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise centrale
cérébelleuses et les noyaux gris qui en dépendent; 2° la substance grise centrale et les noyaux d'ori- gine el de termin
cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. 3n Substance grise centrale et ses no) aux de nerfs cra- mons.
belleux direct, faisceau de Gowers) (voy. Chap. IV). La substance grise centrale tapisse la face postérieure de la for-
origine des autres nerfs craniens sont situés non dans la substance grise centrale, mais dans l'épaisseur même de la form
OGRAPHIE ET MORPHOLOGIE GÉNÉRALES DE LA FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET FAISCEAUX COMPACTS 1. Noyaux gris de la form
FORMATION RÉTICULÉE. NOYAUX GRIS ET FAISCEAUX COMPACTS 1. Noyaux gris de la formation réticulée. Dans son long trajet
us-optique a la moelle cervicale supérieure, le réseau de substance grise de la formation réti- culée n'est pas disposé a
ormation réticulée, un certain nombre d'agglomérations de substance grise très mal délimitées en général, et qui, à proprem
es sont générale- ment désignées. Dans le cerveau moyen, les amas gris occupent la partie antéro-exlernc de la formali
p. go). Celte concentration irrégulière des trabécules de substance grise , contribue à donner à la formation réticulée un
mp triangulaire compris entre le noyau rouge en avant, la substance grise centrale en dedans et les irradiations de la co
e de ce dernier et s'étend dans le sens transversal de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius au lnc. 392. -
ruban de Reil médian. RI, ruban de Reil latéral. - SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, for- mation réti
cérébelleux supérieur, qui lui succède (Fig 392), à la subs- tance grise des tubercules quadrijumeaux antérieur et postéri
ruban de Reil médian; elle est formée d'épais trabécules de substance grise (noyau innominé de Bechterew) traversés par des
de l'angle postéro-interne de la formation réticulée les trabécules gris diminuent, les faisceaux longitudinaux augmente
en volume et se concen- trent en avant et en dehors de la substance grise centrale de l'aqueduc, en un petit faisceau com
externe de la commissure de Wernekink. Elle est riche en trabécules gris , ne contient que des fibres longitudinales clai
rgeur de la calotte, s'étend du ruban de Reil médian à la substance grise centrale; son enchevêtrement avec le pédoncule
re le bord postérieur de la commissure de Wernekink et la substance grise centrale de l'aqueduc et contient en dedans et en
RVEUX. Le noyau central supérieur lièrement riche en trabécules gris , apparaît le noyau central supérieur J' de Bech
e Reil latéral. - 7 ! M : , ruban de Reil médian. - SgPo, substance grise de l'étage antérieur du pont. - SR, formation rét
N INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. 339 culièrement riche en trabécules gris qui semble n'être qu'une dépendance du noyau ce
on protubérantielle supérieure (coupe H2, Fig. 395), les trabécules, gris s'amassent en outre à la partie postéro-externe d
arquable par son aspect déchiqueté et réticulé et les prolongements gris qu'il envoie en dehors dans la formation réticu
en avant dans le ruban de Reil mé- dian et jusque dans la substance grise de la protubérance. Il occupe la partie moyenne
e les deux rubans de Reil médians (Rm) et qui at teint la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance et le n
n arrière el en dehors de la formation réticulée, dans la substance grise centrale du le ventricule, en dedans du pédoncu
hé, un champ triangulaire à base antérieure, étendu de la substance grise centrale du le ventricule à la pyramide bulbaire
es fibres arciformes, ne contient que de rares et minces trabécules gris . Il est connu sous le nom de formation réticulée
prédominent, et qui porte le nom de formation réticulée externe ou grise (formatio reticularis griset) (SRg). On y disting
l'on trouve dans la région inférieure du bulbe (Fig. 399), un amas gris , étroit, le noyau respiratoire de Mislawsky (Nr)
(nucleus funiculi anlerioris d'Obersleiner). La formation réticulée grise , appelée encore champ moteur de Meynert, présen
e et l'olive bulbaire. En arrière, ce champ s'adosse à la substance grise centrale du plancher du 4e ventricule; en avant,
La partie antéro-externe ou périphérique de la formation réticulée grise Fig. 399. - La formation réticulée du segment b
ve bulbaire. La formation réticulée blanche et la formation réticulée grise , le noyau respiratoire, le noyau ambigu. L'oliv
lando. - SRa, formation réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise . - Vsd, grosse racine sensitive descendante du
en fascicules denses et compacts, séparés par de minces trabécules gris et croisés par d'épais fascicules de fibres arc
ve et la grosse racine sensitive descendante du trijumeau, des amas gris plus ou moins bien délimités, connus sous le no
tôt il s'agit d'amas irrégulière- ' ment étoilés; tantôt d'une lame grise plus ou moins coudée; tantôt de deux amas plus
re postérieur. Dans la partie postérieure de la formation réticulée grise , on trouve, en arrière des noyaux du cordon lat
de l'émergence des nerfs vague et glosso-pharyngien, un petit amas gris mal délimité contenant de volumineuses cellules
t en un seul qui fait corps avec le reste de la formation réticulée grise , et s'étend de la substance gélatineuse de Rola
en dehors et en arrière, décrivent des arcs en avant de la substance grise centrale, traversent toute la formation réticul
a substance grise centrale, traversent toute la formation réticulée grise dont elles constituent les fibres arciformes, p
noyaux des cordons de Goll (NG) et de Burdach (NB). Les trabécules gris sont épais, diffus et dissé- minés, et forment
sensitif est terminé (coupes H19 et H 20, Fig. 401), les trabécules gris de la formation réticulée se con- centrent en u
-\aire de la formation réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise . - Vsd, grosse racine sensitives descendante du
cordon antérieur (Ca) de la moelle. Quant à la formation réticulée grise (SRg), ses fibres longitudinales se continuent av
atéral (CI) de la moelle, tandis que la masse arrondie des trabécules gris des coupes précédentes diminue et s'effile; ell
inue et s'effile; elle est bientôt séparée du reste de la substance grise centrale par le faisceau pyramidal croisé qui se
s effectué, la corne antérieure est reliée au reste de la substance grise de la moelle par un col plus ou moins étroit; s
ulbe au niveau de sa décussation (xPy). - Slig, formation réticulée grise . - TR, tubercule cendré de Rolando. - rsd, grosse
partie postérieure de la formation réticulée (SR) et à la substance grise centrale (Sgc); la face postérieure irrégulièreme
inue avec les cordons postérieurs de la moelle et segmente la masse grise commune en deux noyaux : l'un externe, ou noyau
tubercules cunéiformes (Fig. 352). Ils repré- sentent deux colonnes grises adossées en haut el qui s'effilent en bas, où e
s du cordon postérieur el uui à la masse principale par des travées grises plus ou moins nombreuses (coupes H13 à H17,Fig.
nal. - Py, pyramide antérieure du bulbe. - SR ? formation réticulée grise . - TR, tubercule cendré de Rolando. - 17S(I, gr
ce couche de fibres longitudinales et qui est reliée à la substance grise centrale par un pédi- cule mince et étroit (cou
mais encore par leur aspect; dans le noyau de Goll, la sub- slance grise et les fines fibres qui le sillonnent sont unifor
uniformément dissémi- nées ; dans le noyau de Burdach, la substance grise se rassemble en îlots ar- rondis ou obloys(coup
qui se portent en avant, décrivent des arcs autour de la substance grise centrale et s'entre-croisent, à angle aigu, au
nd en longueur, du fond du sillon médian antérieur à la substance grise centrale (Fig. 404), et en liauteur,del'entre-c
aisceau central de la calotte (Fcc) et d'un petit amas de substance grise , oblong, souvent bilobé, situé en avant et au-d
ns animaux, en particulier chez les carnivores, la forme d'une lame grise festonnée, contournée plusieurs fois en S et rapp
soitde la formation réticulée, soit des petits amas de sub- stance grise situés au sein de ces faisceaux. Le ruban de Itei
e pédonculaire, soit parce qu'ils se sont épuisés dans la substance grise voisine (Voy. p. 513). Au-dessus des noyaux mot
an de Reil latéral (RI) par de petits amas irréguliers de substance grise , situés au voisinage du sillon latéral de l'ist
c le faisceau longitudinal dorsal de Scliütz, situé dans la substance grise centrale du 4e ventricule, en connexion avec le
e héma- toxylinique, très bien délimité en arrière par la substance grise centrale, en dedans par le raphé, mais qui en a
ce presque complète entre ces derniers de tra- bécules de substance grise . Sur les coupes qui intéressent la commissure p
e interne de la capsule du noyau rouge, la séparent de la substance grise qui double l'espace perforé postérieur, puis se
être trans- versal, se porte en arrière et envoie dans la substance grise centrale de l'aqueduc une fine saillie angulair
tte avec le reste de la formation réticulée, dont le sépare un amas gris irrégulier, mais constant, qui s'insinue le plus
re du faisceau longitudinal postérieur et le sépare de la substance grise centrale et du faisceau longitudinal dorsal qu'
tielle. - l'cs, pédon- cule cérébelleux supérieur. - Sge, substance grise centrale. - SR, formation réticulée. - slrac.a,
ent en arrière et le séparent du genou du facial et de la substance grise centrale du quatrième ventricule. Au-dessous du
pe rend bien compte du développement extrême que prend la substance grise du cervelet, de la profondeur des sillons qui sép
sillon circonférentiel du cervelet. - Sgc, Srlc', Spic", substance grise centrale du tronc encéphalique et de la partie su
cette coupe SI bis la même forme que sur la coupe SI. La substance grise centrale (Sgc) qui tapisse le plancher est seul
fermée du bulbe, elle s'épaissit, puis se continue avec la substance grise cen- trale de la moelle épinière, sépa- rant
protubérance (Strs, Strp) ; en- tourés d'une gangue cle substance grise ; ils se groupent en colonnes verticales denses
rées les unes des autres par des traînées verticales de substance grise , les noyaux pontiques (Np), dans lesquels appar
ensitif du bulbe. zur, fibres sagittales du raphe. Syc, substance grise centrale. - SIi, formation réticulée. - Slra VI
les du mphé (1') qui s'étendent d'arrière en avant, de la substance grise centrale jusque dans la profondeur de l'étage a
séparés les uns des autres par des traînées sagittales de substance grise en continuité directe avec le noyau arqué des p
e la couche iiiterolivai7-e (SR) ; en arrière, adossée à la substance grise centrale, le faisceau longitudinal postérieur (
). Les faisceaux obliques qui sillonnent la calotte et la substance grise centrale au-dessus de l'entre-croisement pyrami
re est encore plus nette. Dans les traînées verticales de substance grise de la coupe précédente S 1 bis, ont apparu les fa
errées, qui a valu à cette formation son nom de réticulée. Un noyau gris allongé, le noyau central inférieur (Nci), sépare
p), du faisceau longitudinal postérieur (Flp) adjacent à la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc). Les pet
uatrième ventricule (Sgc). Les petits amas irréguliers de substance grise situés à la limite supérieure de la coupe, au-des
le noyau juxta-olivaire interne (Noi), longue traînée de substance grise qui atteint en bas le collet du bulbe, et l'olive
section des dentelures avoisinant le hile de l'olive. La substance grise centrale (Sgc) du quatrième ventricule est plus é
e du nerf glosso-pharyngien (IXd), et se continue avec la substance grise centrale de la partie fermée du bulbe (Sgc') et
térieur : le noyau du cordon de Burdach (NCB) adossé à la substance grise , et duquel se détachent un grand nombre de fibres
ci est intéressée tangentiellement au niveau du point où son écorce grise se réfléchit de la face inférieure sur la face
scf, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sge, substance grise centrale. - SgR, substance gélati- neuse de Hoi
re, de l'olive bulbaire ou inférieure (Oi) sous l'aspect d'une lame grise festonnée entourant une cavité close de toutes pa
re est séparée de la pyramide bulbaire par une traînée de substance grise qui appartient en haut aux noyaux rétro-pyramidau
ormation réticulée est surtout constitué par la formation réticulée grise , et dans la région protubérantielle par le faisce
l'olive bulbaire (Oi), sont très mani- festes. Dans la substance grise centrale du plancher du 4e ventricule se trouvent
sensitive descendante [du 1W'f glosso-plta1'yn- gien (IXd). L'amas gris allongé de la partie inférieure de la coupe, comp
ppartient à la substance gélatineuse de Rolando (SgR). La substance grise diffuse, située au-dessous de Biblictbique des
- sef, grand sillon circonférentiel de Vicq d'Azyr. - Sage, substance grise centrale. - SgR, substance gélatineuse de Rolan
de Rolando. - SR, formation réticulée. - SRg, formation réti- culée grise du bulbe. - siV, sillon inférieur de Vicq d'Azyr.
en haut avec la voie pédoncu- laire (VP). La gangue de substance grise de l'étage antérieur de la protubérance est plus
es transversales. Dans le stratum superficiale (Strs), la substance grise n'affleure plus, comme sur la coupe S 2 2 (Fig.
nt plus clairsemées dans la région bulbaire où la formation réticulée grise (SRg) se trouve intéressée. Elle est sillonnée
rieures, plus grêles, se détachent d'une haute colonne de substance grise , le noyau de Deiters (ND), à laquelle fait suite
t suite en bas le noyau de Burdach (NCB). La colonne de substance grise comprise entre la formation réticulée grise (SR
La colonne de substance grise comprise entre la formation réticulée grise (SRg) et le noyau de Deiters (ND),correspond à
age antérieur de la protubérance, et sont entourés par la substance grise du pont. Dans la calotte protubérantielle de la
é par ce pédoncule et la formation réticulée (SR) se trouve un amas gris irrégulier, riche en fibres à myéline et qui repr
radiculaires du nerf moteur oculaire externe (VIe paire); le noyau gris situé dans le fond de la fossette sus-olivaire
grande partie aussi au corps juxta ? esti- forme dont la substance grise ou noyau de Deiters (ND) borde en avant la cavité
érébello-oli- vaires qui se détachent du corps restiforme; le noyau gris de la partie inférieure de la coupe est le noya
ux inférieur (Pci) et qui aborde en haut un petit amas de substance grise représentant la partie supérieure de la substance
la coupe S 6, (Fig. 414), on trouve encore une gangue de substance grise entaillant les fasci- cules protubérantiels qui
II refoule le locus niger (Ln) en dedans, de sorte que cette masse grise ne s'étend plus comme sur la coupe N° 13 x (Fig.
de Reil latéral. - noyau du ruban de Reil latéral. SgAq, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. - SR, formation réticu
en décrivant une courbe à concavité interne autour de la substance grise centrale de l'aqueduc de Sylvius (SgAq). Un petit
Rm) et latéral (Rl) en dehors, et par une étroite lame de substance grise , le noyau latéral (NI), qui sépare le ruban de Re
e section fusiforme qui contient dans son épais- seur quelques amas gris appartenant aux noyaux du ruban de Reil latéral (
uement. La languette mé- diane si caractéristique, que la substance grise centrale de l'aqueduc (SgAq) envoie entre les d
pied dupédoncule (coupe P2), s'entourent d'une gangue de substance grise qui appartient déjà aux noyaux pontiques, et re
z620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. obtus, sillonnent la substance grise de la protubérance (SgPo), dissocient les fas-
ent aux fibres aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. SgPo, substance grise de l'étage anté
voie pédonculaire. - Sge, substance grise centrale. SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. - SR, fo
n de Ileil latéral. - Rm, ruban de Iteil médian. - Sgl'o, substance grise antérieure de la protubérance. - SR, formation ré
au central de la calotte (Fcc); en arrière, le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule (Sgc), le faisce
égénérescences secondaires (mé- thode de Marchi), dans la substance grise de l'étage antérieur du tiers supérieur de la p
ban de Iteil latéral. - Rm, ruban de Reil médian. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - SR, formation réticulée. -
arallèles, séparés les uns des autres par des traînées de substance grise qui affleurent souvent la péri- phérie du pont
se terminent brusquement par de gros fascicules dans la sub- stance grise (SgPo) qui limite 'en dehors la voie pédonculaire
teint plus le raphé médian. De chaque côté du raphé, les trabécules gris de la formation réticulée (SR) forment le noyau
ire ; cette partie con- tient en outre des amas diffus de substance grise qui appartiennent à la formation réticulée, et
res de la voie pédonculaire (VP) se sont épuisées dans la subslance grise de l'étage antérieur de la protubérance (SgPo). L
t. Les noyaux pontiques (SgPo), c'est-à-dire la gangue de substance grise qui entoure les fascicules de la voie pédoncula
res noyaux de la formation réticulée (SR) aux dépens des trabécules gris de cette dernière, sépare le faisceau central (
ux moyen. - Pes, pédoncule cérébelleux supérieur. - SgPo, substance grise antérieure du pont. - spo, sillon post-central.
infléchit en avant et entoure un petit amas irrégulier de substance grise , qui occupe la partie externe du ruban de Reil et
me sur la coupe précédente (coupe Hl), des amas diffus de substance grise , qui segmentent sa partie postérieure en petits
'épaisseur de ses couches superficielles et profondes. La substance grise , ou noyaux pontiques (SgPo), est plus abon- dan
s sagittales du raphé. Rm, ruban de Reil médian. - Sgl'o, substance grise antérieure du pont. - SR, formation réticulée. -
origine dans les noyaux pontiques, et se terminent dans les travées grises de la formation réticulée du côté opposé. Les c
eur (Flp) en arrière, et qui se fusionne en avant avec la substance grise de la protubérance (SgPo), et en dehors avec les
e grise de la protubérance (SgPo), et en dehors avec les trabécules gris du reste de la formation réticulée (SR). Le faisc
(Flp) est toujours mal délimité, et entouré en dehors de trabécules gris plus abondants que sur la coupe précédente. De
en est plus séparé, comme sur la coupe précédente, par les trabécules gris de la formation réticulée (SR). Il limite en de
es fascicules clairsemés plongent au sein d'une gangue de substance grise qui appartient au noyau réticulé (Nrt). En dehors
- riV" diverticules latéraux du quatrième ventricule. SgPo, substance grise de l'étage antérieur de la protubérance. - SgR,
n semi-lunaire carac- téristique ; elle se termine dans une colonne grise , la substance gélatineuse de Rolando, qui n'est
le faisceau de Gowers (FG), qui, originaire surtout de la substance grise de la moelle épinière du côté opposé, monte dan
é de volume, et la dernière couche contient une gangue de substance grise plus abondante que sur la coupe précédente. La co
ébelleux supérieur (Pcs), il existe une zone irrégulière de substance grise , à laquelle aboutissent un certain nombre de fi
gliques ; elles entourent en dedans un amas irrégulier de substance grise , la substance gélatineuse de Rolando (SgR), situé
tte coupe portent sur la sub- stance blanche centrale et les noyaux gris centraux du cervelet. Les connexions du pédoncu
fibres semi-circulaires internes (fsmi) s'épuise dans la substance grise du C01'PS juxta-l'esti{01'me connue sous le nom d
) du pont et sont en- tourées par une abondante gangue de substance grise (noyaux pontiques) (Np). Calotte. - La calotte
ibres sagittales du raphé (r) et par une étroite bande de substance grise , le noyau du raphé, qui n'estqu'une dépendance
rise, le noyau du raphé, qui n'estqu'une dépendance de la subslance grise antérieure du pont (Np) ; il est limité en deho
est plus représentée comme sur les coupes précédentes par une masse grise plus ou moins oblique, mais par une lame arquée
e un amas volumineux, d'aspect godronné, formé d'îlots de substance grise ; les fibres radiculaires du facial qui s'en dé
'en détachent se portent en arrière et en dedans, vers la substance grise du [plancher du 4e ventricule; sur cette coupe el
partie des fibres du nerf vestibulaire se termine dans la substance grise de l'angle latéral du 4e ventricule; une petite
férieur, et la manière dont se présentent sur ces coupes les noyaux gris centraux du cervelet. Toutes ces coupes intéres
olive cérébelleuse (Oc) n'est constituée que par quatre petits amas gris parallèles et de volume sensiblement égal ; sur l
ALE. 649' Fig. 435. - Le cervelet; sa substance blanche, ses noyaux gris centraux, ses connexions avec l'étage antérieur
et l'écorce de la luelle, quelques amas irré- guliers de substance grise arrondis ou oblongs, très mal délimités, et qui a
ée en dedans de chaque côté par deux minces languettes de substance grise , les valvules de Tarin (VT), reliées entre elle
e les deux amyg- dales (Amy), représentées par trois à quatre îlots gris sans connexion aucune avec le cervelet, et qui
rondelle, il est constitué à droite par une mince lame de substance grise qui tapisse le corps intra-ciliaire, par une minc
ndelle est limitée comme à droite par une mince couche de substance grise en connexion avec l'écorce de la luette et qui
médian. S9R, substance gélati- neuse de Rolando. - SgPo, substance grise antérieure de la protubérance. - slac, stries a
reuses fibres transversales, séparées par des traînées de substance grise et qui appartiennent au stratum superficiale du p
n arrière et en dedans du corps juxta-restiforme (Cj). La subslance grise de l'étage antérieur du pont (SgPo), assez abonda
e de Rolando (SgR). En arrière d'elle, au voisinage de la substance grise centrale qui tapisse le plancher du quatrième v
te du nerf vestibulaire ou racine de Roller. La gangue de substance grise qui entoure les fascicules du corps juxta-resti
central de la calotte (Fcc) ; elles se perdent dans les trabécules gris de la formation réticulée (SR). Les dorsales (f
vant et en dehors de ce faisceau, et les séparent de la sub- stance grise centrale du plancher du quatrième ventricule; ell
Fig. 426, p. 630). Sous l'épendyme ventriculaire, dans la subslance grise du plancher du quatrième ventricule, il existe
longue et étroite, située le long du raphé, s'étend de la substance grise centrale du plancher du quatrième ventricule a la
rne, large et irrégulièrement quadrilatère, est riche en trabécules gris et en amas gris plus ou moins mal délimités; elle
régulièrement quadrilatère, est riche en trabécules gris et en amas gris plus ou moins mal délimités; elle porte le nom de
us ou moins mal délimités; elle porte le nom de formation réticulée grise (SRg); elle s'étend dans le sens transversal de l
, elle s'étend de la face postérieure de l'olive (Oi)à la substance grise centrale du quatrième ventricule. La formation
ance grise centrale du quatrième ventricule. La formation réticulée grise (SRg) ne contient à cette hauteur qu'un petit n
elle en est séparée par le noyau du raphé (Nr), mince et étroite lame grise qui atteint en arrière le faisceau longitudinal
es de volume variable. Celles qui parcourent la formation réticulée grise (SRg) et la couche inter- réticulée de la forma
coustique. La formation réticulée blanche et la formation réticulée grise , le corps juxta-restiforme (noyau de Deiters et f
interréticulée de cette même formation. - SRg, formation réticulée grise . - stac, strie acoustique. -slac.a, strie acous
uatrième ventricule. - IX, nerf glosso-pharyngien. motion réticulée grise (SRg) et le faisceau latéral du bulbe (Fit). Elle
de l'olive bulbaire, dont le sépare un amas irrégulier de substance grise , le noyau rét/'opymmidal (Nrp). Dans cette série
re, du corps restiforme (Crst). C'est une masse allongée de substance grise , sil- lonnée de fibres parallèles et horizontal
ries acous- tiques. En avant des stries acoustiques, la substance grise centrale du quatrième ven- tricule contient un
ndante du nerf vestibulaire) s'est déjà épuisée dans la su- bstance grise du noyau de Deiters (ND), particulièrement abonda
ivaires. La formation réticulée blan- che et la formation réticulée grise . - Coupe transversale H 10 du bulbe, passant pa
tique. SRa, formation réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise . - Vsd, grosse racine sensitive descendante du
té en arrière et s'insère de chaque côté sur un éperon de substance grise formé par la substance grise centrale et connu
chaque côté sur un éperon de substance grise formé par la substance grise centrale et connu sous le nom de ligula ou tæni
corps juxta-restiforme (Cj) et la partie adjacente de la substance grise centrale occu- pent une situation superficielle
arciformes cérébello-olivaires. Les formations réticulées blanche et grise . - Coupe transversale Hll du bulbe passant par
o. - SRa, formation réticulée blanche. - SRg, formation réti- culée grise . - Vsd, grosse racine sensitive descendante du tr
MIE DES CENTRES NERVEUX. s'épuiser pour la plupart dans les travées grises de la formation réticuléegrise(SRg), mais quelq
par un faisceau compact de fibres entourées d'une zone de substance grise . Les fascicules du corps juxta-restiforme (Cj)
) sont plus clairsemés que sur la coupe précédente, et la substance grise du noyau de Deiters particulièrement abondante
arrière et en dedans d'elle, deux lames indépendantes de substance grise présentant la même structure que l'olive, mais
par places par les fibres longitudinales de la formation réticulée grise (SRg). Le noyau juxta-olivaire inlerne (Noi) es
te part parles fibres longitudinales; ce sont ces amas de substance grise , irréguliers dans leur forme et inconstants dans
awsky), de noyau du raphé (Stieda et Laura). La formation réticulée grise (SRg) est plus abondante en fibres dans sa partie
TUDE TOPOGRAPIIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 6-il situé dans la substance grise centrale du plancher du quatrième ventricule et c
nom de noyau postérieur ou dorsal du vague (Nxp). Il occupe l'aile grise du plancher du 4e ventricule; il est situé par co
ons subies par le corps restiforme (Crst) et la formation réticulée grise (SRg). La pyramide (Py) présente les mêmes cara
ur et le long de sa face interne, de» amas irréguliers de substance grise connus sous le nom de noyaux du corps resti- fo
qu'à la partie interne de cette formation, le long de la substance grise centrale du quatrième ventricule; sa substance
e la substance grise centrale du quatrième ventricule; sa substance grise , ou noyau de Deiters, s'est considérablement accr
e fais- ceau cérébelleux direct de Flechsig. La formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transv
he. - SRa,cio), sa couche interolivaire. - SRg, formation réticulée grise . l'sd, grosse racine sensitive descendante du t
UE DU RHOMBENCÉPHALE. 673 forme s'accentuent encore et sa substance grise se transforme petit à petit en noyaux des cordo
rdons postérieurs, et en avant des fibres de la formation réticulée grise (Sllg). En dedans elle est toujours en rapport i
n avant d'elle. Dans la partie antérieure de la formation réticulée grise (SRg), entre la sub- stance gélatineuse de Rola
lando (SgR) et le noyau juxta-olivaire extune (Noe), les trabécules gris , considérablement accrus, se réunissent en un ama
e par la saillie du volumineux noyau de l'hypoglosse (Nxii); l'aile grise , constituée par le noyau dorsal du vague ou pne
nnexée, sont apparus les noyaux des cordons postérieurs (\Cp), amas gris diffus, contenant un très riche feu- trage de f
res in ter et rélro-trigéminales, traversent la formation réticulée grise (SRg), le noyau Floc. 443.- La région bulbaire
yaux des cordons pos- térieurs de la moelle, la formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transv
l'olive du côté opposé, non sans avoir abandonné des fibres aux amas gris qu'elles traversent. Les fibres arciformes qu
re à partir du raphé plus ou moins loin dans la formation réticulée grise (SRg), voire même jusqu'au corps juxta-restiforme
leux et enchevêtrés la partie postérieure des formations réticulées grise (SRg) et blanche (SRa), et s'entre-croisent en
u de Deiters. En dehors du noyau de l'hypoglosse, dans la substance gris clair correspondant il l'aile grise, on trouve le
l'hypoglosse, dans la substance gris clair correspondant il l'aile grise , on trouve le noyau dOl'sallou postérieur du va
is par quatre à cinq petits, fascicules séparés par de la substance grise et par quelques fibres arciformes. La,subs- tan
a substance grise et par quelques fibres arciformes. La,subs- tance grise centrale du quatrième ventricule recouvre ensuite
'existent que dans la partie antérieure de la forma- tion réticulée grise (SRg), sont sans connexion aucune avec le corps r
étendue sagittale du raphé (coupe H 17, Fig. 447). Les trabécules gris de la formation réticulée grise (SRg) se sont con
pe H 17, Fig. 447). Les trabécules gris de la formation réticulée grise (SRg) se sont considérable- ment accrus ; toute
e, mal délimitée en dedans. La périphérie de la formation réticulée grise est occupée par une zone de fibres longitudinal
oisement piniforme du bulbe. Les for- mations réticulées blanche et grise et les noyaux latéraux du bulbe; l'olive bulbaire
vaire de la formation réticulée blanche. - SRg, formation réticulée grise . - i'Ar, ventricule d'AI'cntius. Vsd. grosse raci
e par l'extrémité inférieure de l'olive bulbaire (Oi). La substance grise centrale entoure complètement le canal épendymair
tie antérieure de la couche inte2-olivaii-e. La formation réticulée grise (SRg) diffère peu de celle de la coupe précédente
rant des îlots ou des cylindres plus ou moins tortueux de substance grise , pauvres en libres et imprimant aux noyaux un a
arrondis. Cette disposition fait complètement défaut dans les amas gris qui occupent la partie externe des cordons postér
aspect plus homogène, reliés au noyau de Burdach par quelques travées grises , sont connus sous le nom de partie externe du n
ce de l'olive bulbaire, représentée toutefois par deux petits îlots gris (Oi), plongés au sein des fibres de la capsule
lbai L'e et le noyau juxta-olivaire interne.-La formation réticulée grise et les noyaux latéraux du bulbe. - Coupe transver
vaire de la formation réticulée blanche. - SR7. formation réticulée grise . - l'sel, grosse racine sensi- tive descendante
Entre ces noyaux, on trouve un prolongement étroit de la subslance grise centrale, et les préparations de moelles d'embr
t les autres traversent la partie moyenne de la formation réticulée grise (SRg). Une agglomération plus grande de substance
n réticulée grise (SRg). Une agglomération plus grande de substance grise permet de distinguer un noyau latéral poslérieu
ire de la formation réticulée blanche. - SRg, forma- tion réticulée grise . - 1'scl, grosse racine sensitive descendante du
) fortement colorées, qui décrivent des arcs autour de la substance grise centrale, traversent les formations réticulées
nce grise centrale, traversent les formations réticulées blanche et grise et peuvent être suivies jusqu'à l'épais faisceau
es des cordons antero-latéraux de la moelle. La formation réticulée grise (SRg) a changé d'aspect : les trabécules gris se
La formation réticulée grise (SRg) a changé d'aspect : les trabécules gris se concentrent dans la partie interne, qui se t
dans la partie interne, qui se trouve ainsi plus riche en substance grise et relativement pauvre en faisceaux longitudinaux
OMIE DES CENTRES NERVEUX. région, des amas irréguliers de substance grise mal délimités, et que l'on rat- tache en généra
entre la substance gélatineuse de Rolando et la formation réticulée grise ; recouvert par les fibres arciformes superficie
e de la formation réticulée blanche. - Sli ! l, formation réticulée grise . - l-scl, grosse racine sensitive descendante du
re eux, qu'au niveau de leur base d'implanta- tion sur la substance grise centrale et sur la formation réticulée (SRg). L
dont il se distingue par les ilois arrondis ou oblongs de substance grise limités parun feu- trage de fibres et par l'épa
pe par trois ou quatre amas irréguliers et déchiquetés de substance grise Coupe H 18 (Fig. 448). Cette coupe passe au-des
d'un entre-croi- sement épais et court, compris entre la substance grise centrale et le fond du sillon médian antérieur,
fibres arciformes interréticulées (fir) qui entourent la substance grise centrale et n'occupent que la partie adjacente de
ale et n'occupent que la partie adjacente de la formation réticulée grise (SRg). Il est en général facile de suivre ces fib
ette coupe appartient exclusivement au système sensitif. La substance grise de la formation réticulée (SRg) se condense en
res longitudinales qui délimitent encore mal la formation réticulée grise , mais qui déjà appartiennent au cordon 681 AN
, mais d'une corne très volumineuse reliée au reste de la substance grise centrale par un pédoncule court et épais. Les cou
endré de Rolando (TR), remarquable à l'état frais par sa coloration grise , translucide. Ces coupes montrent qu'une mince co
sorte de monticule qui s'implante par une large base sur la substance grise centrale, et du sommet duquel se détachent de n
e Burdach, le tubercule cendré de Rolando et la formation réticulée grise . Coupe trans- versale H18 passant par la ligne
pinal. - ils, pyramide antérieure du bulbe. - Su, formation réticulée grise . - Tl/, tubercule cendré de Rolando. - Isd, gro
bulbe. Les noyaux des cordons postérieurs et la formation réticulée grise . Coupes transversales H19 et H20 passant parles
moteur ou décussation des pYL'aIl11des, - SR.'}, formation réticulée grise . TR. tubercule cendré de Rulando. - rsd, grosse
t l'espace compris entre le sillon médian antérieur et la substance grise centrale, et s'y entre-croisent par larges fascic
fibres arciformes (fir) qui entoure sur la coupe H 19 la substance grise centrale. Ces fibres appartiennent encore au syst
nnexion avec le noyau de Goll est des plus manifestes. La substance grise du bulbe n'atteint nulle part sur ces coupes la p
ous n'avons pas à revenir sur la partie postérieure de la substance grise , sur les noyaux de Goll (NG) et de Burdach (NB)
parmi les fibres croisées du faisceau pyramidal. Dans la substance grise centrale qui entoure le canal épendymaire, on t
se relie sur une étendue plus ou moins considérable à la substance grise centrale. De là la multiplicité d'aspects, que re
la corne antérieure est reliée il la corne postérieure par une travée grise plus ou moins déchiquetée, correspondant au bor
MIE DES CENTRES NERVEUX. voit, à droite comme à gauche, des travées grises relier la corne antérieure (Coa) à la partie an
er la corne antérieure (Coa) à la partie antérieure de la substance grise centrale; ces travées sont plus épaisses à droi
sparu, ou n'est représentée que par les minces travées de substance grise qui cloisonnent les gros fascicules du faisceau p
]'e1l{¡'e-C¡'OlÚment pyramidal est terminé; à droite, la substance grise affecte la forme caractéristique propre à la moel
ingue une corne antérieure reliée par une large base à la substance grise centrale et une corne postérieure unie cette même
grise centrale et une corne postérieure unie cette même sub- stance grise centrale par un col mince, étroit et effilé. Les
région où s'effectue la décussation de ce faisceau. La substance grise centrale de la moitié postérieure du collet du bu
oupes H21, H22, H23, des particularités intéressantes. La substance grise centrale de la coupe H 21 présente, grâce à la dé
Le noyau de Burdach a disparu, le noyau de Goll (NG) forme un îlot gris , aplati, complète- ment indépendant du reste de
t gris, aplati, complète- ment indépendant du reste de la substance grise . Le faisceau pyramidal croisé en occupant le co
upe H 21, Fig. 451) sur la même ligne transversale que la substance grise centrale, se rapprochent ainsi l'une de l'autre
ne de l'autre, en même temps que le bord postérieur de la substance grise centrale s'excave sur la ligne médiane et que l
distinguer deux couches dans l'écorce cérébelleuse, l'une externe, grise ou moléculaire, l'autre inlerne, roui liée ou g
est malaisé de reconnaître licitement la limite entre la substance grise et la substance blanche, tandis qu'on l'établit
ibres qui entoure ces noyaux. Couche externe ou moléculaire (couche grise de v. Kôlliker, couche finement grenue, couche
fibres terminales de l'écorce cérébelleuse. 2° Structure des noyaux gris centraux. - L'olive cérébelleuse el ses noyaux
res inférieurs par une traînée presque ininterrompue de sub- stance grise (Wcidcnrcich) de nombreuses cellules ganglionnair
ons de l'écorce du vermis ou des hémisphères, les autres aux noyaux gris cen- traux (noyau du Loit, corps dentelé et ses
bres dendritiques converger en nombre appré- ciable vers les noyaux gris centraux, noyau du toit, olive cérébelleuse, no
leux infcrienr. des libres des pédoncules cérébelleux et des noyaux gris centraux du cer- velet. Ces deux systèmes entou
t) de nombreuses fibres qui traversent toute l'épaisseur de la lame grise du corps dentelé, mais ces deux feutrages sont en
d à la région du nid d'hi- rondelle, où une mince lame de substance grise sous-pie-mérienne, puis sous-épendymaire, le sé
6 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
clérose des cordons postérieurs. Examen macroscopique. — Induration grise , ses caractères. — Foyer originel de la lésion i
culaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophie consécutive. I. Messieurs, Je
ue sa nature. Elle nous enseigne simplement qu'il y a june induration grise . C'est tout et ce n'est pas assez. N'oublions p
s par M. Du-chenne (de Boulogne), on parvint à rattacher l'induration grise des cordons postérieurs et montrer que la maladie
nerfs optique, moteur oculaire, hypoglosse (atrophie et dégénération grise ). Disons aussi, d'une ma-nière générale, qu'elle
rmes de la sclé-rose des centres nerveux. La sclérose ou induration grise des centres nerveux répond, vous ne l'avez pas ou
er que, en ce qui concerne les caractères histologiques, l'induration grise , dans l'ataxie sont plus prononcées à la région
utons enfin que l'envahissement des cordons latéraux par l'induration grise n'avait pas échappé à ce procédé d'examen. Toutef
copique ne fournissait aucun renseignement sur l'état de la substance grise , sur la localisation exacte de la lésion, sur la
es faisceaux blancs, ou dans les di-vers départements de la substance grise , quelle est l'étendue, la configuration, la répar
tincts physiologiquement des faisceaux postérieurs. Dans la substance grise elle-même, il y a lieu,vousle savez, d'établir, à
tématiquement confinée dans un tout petit département de la substance grise de la moelle : la région des cornes antérieures.
laquelle est à peu près tou-jours présente — deux minces bandelettes grises que nous avions, dans le temps, reconnues à l'œil
coupes transversales, elles se montrent sous forme de deux tractus gris , dirigés d'avant en arrière et un peu de dehors e
es tractus sont séparés des cordons de Goll, en dedans, et des cornes grises postérieures, en dehors, par des bandes minces, o
ion dorso-cervicale de la moelle, que par les deux minces bandelettes grises ; le faisceau médian était exempt de toute altéra
une anesthésie très accusée, les cornes postérieures de la substance grise sont à leur tour envahies par l'altération, et en
se fait, soit en dehors vers les cornes postérieures de la substance grise et les fais-ceaux latéraux, soit en dedans vers l
de la lésion sclé-reuse des cordons postérieurs à la corne antérieure grise du côté droit (Fig. 5). La malade ayant succombé
la région dorsale, comme à la région cervicale de la moelle, la corne grise du côté droit était manifeste-ment atrophiée. Les
e disparu pour 1 Pierret (A). — Sur les altérations de la substance grise de la moelle épi-nière dans l'ataxie locomotrice,
ulaires internes se dirigent vers les cornes antérieures de substance grise , et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe
ons postérieurs, se sera propagé jusqu'aux extrémités de la substance grise antérieure, et y aura dé-terminé les lésions qui
locomotrice. — Lésions des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf opti-que. — Atrophie progress
e. — Aspect de la papille : 1° à l'état normal ; 2° dans l'induration grise progressive. — Troubles fonctionnels qui accompag
se progressive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise du nerf et de la papille optiques. — Modification
optiques, dont il s'agit, pourrait être dé-signée du nom d'induration grise progressive, par opposition d'une part à la lésio
e de ce qu'ils sont dans l'atrophie optique tabétique. L'induration grise progressive des nerfs optiques se traduit pendant
isolée. Recherchons donc quels sont les caractères de l'induration grise des nerfs optiques et examinons s'ils sont, en ré
altération du nerf optique se présente sous la forme d'une induration grise , dont l'aspect rappelle à tous égards, celui de l
son tour, fait reconnaître de nou-velles analogies entre l'induration grise des nerfs optiques et la sclérose spinale tabétiq
ferme le nerf optique dans son La lésion qui constitue l'induration grise s'accuse d'ailleurs dans le nerf optique, comme d
oup plus longtemps dans le cas de la dernière affection. L'induration grise des nerfs optiques, dans l'ataxie locomotrice, po
-vrite liée aux tumeurs cérébrales {névrite optique) et l'indura-tion grise de ce même nerf chez les tabétiques. Recherchons
es ces particularités se trou-vent modifiées dans le cas d'induration grise progressive. La papille n'a pas éprouvé de chan
pille avait eu lieu à une certaine époque, les nerfs optiques étaient gris , atrophiés, en un mot sclérosés dans toute leur é
à la fois sur la papille et à son pourtour. Cet exsudât a une teinte gris rougeâtre. Çà et là, les vaisseaux centraux sont,
pathie des ataxiques. — Lésion des cornes antérieures de la substance grise . — Desi-deratum. Messieurs, Je me propose de
mes céphaliques, tels que la céphalalgie et l'amaurose par induration grise du nerf optique. Il convient de rapprocher de c
induration grise du nerf optique. Il convient de rapprocher de ces grises gastriques d'autres affections vis-cérales qui pe
tives de la moelle épinière, celles surtout qui occupent la substance grise , retentissent quelquefois, vous le savez, à la pé
; 3° dans certains cas de tumeurs occupant primitivement la substance grise spinale (Gui) ; 4° dans certains cas d'altération
e spinale (Gui) ; 4° dans certains cas d'altérations de la sub-stance grise déterminant l'atrophie musculaire progressive 1
idemment liée à une altération des cornes antérieures de la substance grise , j'avais supposé que cette même région de substan
a substance grise, j'avais supposé que cette même région de substance grise pouvait être encore le point de départ de la lési
ant par leur coloration et tous leurs autres caractères, la substance grise des centres nerveux où, d'ailleurs, ils naissent
mpression plus ou moins forte des cor-nes antérieures de la substance grise . un instant, parce qu'il s'agit là d'un produit
inée dans la même région. Sa consistance était très ferme, sa couleur grise ; en un mot, la moelle avait toutes les apparence
e sens des dégénérations secondaires, étaient occupés par des tractus gris . Entre ces apparences que sur le point rétréci
rès épais, à la vérité, et qui communiquent à la moelle sa coloration grise et sa con-sistance dure, le microscope fait décou
moelle, bien au-dessous du taux normal. J'ajouterai que la substance grise n'était plus représentée en ce point que par une
tait plus représentée en ce point que par une des cornes de substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de cellu
origine, les conducteurs de la sensibilité, c'est-à-dire la substance grise , ont subi une modification pathologique important
'expérimentation montre que dans les conditions normales la substance grise ne provoque, sous l'influence des excitations, au
rapportées à la périphérie et indiquant l'irritation de le substance grise (picotements, fourmillements, sentiment de cons
érieusement intéressée. Il semble que, placée au centre, la substance grise soit protégée contre les causes d'ir-ritation ven
et proba-blement aussi par le fait de l'irritation dont la substance grise à son tour devient le siège, les propriétés réfle
é et simultanément aussi les parties correspondantes de la sub-stance grise jusqu'à la ligne médiane. Dans ces conditions spé
téro-postérieur et qu'ils occupent la partie centrale de la substance grise au voisinage de la commissure. Voici maintenant l
, où ils occupent, de chaque côté, la partie centrale de la substance grise . 11 résulte de cette disposition qu'une lésion hô
ion en foyer et du même côté dans la corne antérieure de la substance grise . Alors, les membres, paralysés déjà et contractur
n consécu-tive de divers points non encore déterminés de la substance grise , on peut voir les symptômes d'hémiplégie spinale
lorsque la lésion systématique des cornes antérieures de la substance grise est limitée, dans une certaine étendue en hauteur
it principalement en avant de manière à affecter surtout la substance grise des cornes anté-rieures. Seulement, dans ce derni
t aux faisceaux blancs, soit aux régions postérieures de la substance grise , l'aspect des symptômes se montrerait nécessairem
tion des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise . Paralysie spinale infantile.— Elle sera consid
Localisai ion des lésions dans les cornes antérieures de la substmee grise . — Altérations secondaires : transformation sclér
e, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise , à savoir : Yappareil des cellules nerveuses dite
vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dans l'ét
s la moelle épinière, un espace rela-tivement restreint, la substance grise centrale est cependant, au point de vue physiolog
Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de substance grise est un lieu de passage obligé pour la transmissio
réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la substance grise ,— de telle sorte que, si cette voie était coupée,
il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affectées à l'exécuti
space si limité, je le répèle, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'ét
siologiquement, d'une façon très nette, ce qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de substance grise. La pr
qu'il appelle la substance grise cen-trale et les cornes de substance grise . La première aurait seule (avec les cornes post
érations qui affectent isolément les diverses régions de la substance grise . C'est là justement le cas des affections que n
ns bientôt et qui, comme les premières, peuvent affecter la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la lésio
inctement sur tous les points, sur toutes les régions de la substance grise , d'où il résulte que la sensibilité et le mou-vem
guë centrale, c'est-à-dire localisée principalement dans la substance grise , y/iématomyélie, diverses formes de myélite traum
attacher, pour ainsi dire systé-matiquement aux régionsde lasubstance grise occupées par les grandes cellules motrices, dont
nts in-diquant une participation au moins temporaire de la sub-stance grise centrale? Quelques observations faites par MM. Du
té l'exis-tence d'une atrophie des cornes antérieures de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la ré
plusieurs foyers de désintégration sur divers points de la substance grise 2. Mais, si je ne me trompe, l'étude qui a le p
certains points exclusivement, les cornes antérieures de la substance grise (Fig. 8). Dans toutes les régions de la moelle, l
ns de la né-vroglie envahissent la plus grande partie de la substance grise 1 Archives de physiologie, t. III, 1870. 2 Id
ent propor-tionnées, quant à l'intensité, aux lésions de la substance grise . Il nous paraît évident, d'après tout ce qui pr
ile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise . — Myélite aiguë centrale généralisée, hémato-myé
ématique, des altérations dans les cornes antérieures de la substance grise et, plus précisément, dans la région de ces corne
l'altération et seulement çà et là, sur quelques points, que la corne grise est envahie dans toute son étendue transversale {
a faite a la Salpêtrière, en juin 1868. dans la région où la corne grise est aussi profondément at-teinte, une sorte d'éma
s localisées, d'ailleurs, comme c'est la règle, dans l'une des cornes grises antérieures, con-sistaient en un ramollissement r
ait être poursuivie encore à une certaine distance dans la sub-stance grise ; mais, s'atténuant progressivement, elle n'était
principaux modes d'altération dont les cellules nerveuses des cornes grises antérieures de la moelle épinière se mon-trent su
la lé-sion spinale dans l'aire des cornes antérieures de la substance grise . Il se produitlà, parle fait de la maladie, dans
une expérience délicate et toujours réussie qui montre que les cornes grises antérieures ne sont pas nécessaires à la transmis
elle occupe les régions centrales de la moelle épinière, la substance grise surtout, et tend à enva- 1 Les altérations prof
atteintes simultanément dans toute leur lon-gueur. Dans la substance grise , elle intéresse les cornes grises antérieures et,
te leur lon-gueur. Dans la substance grise, elle intéresse les cornes grises antérieures et, par conséquent, les cellules motr
mais elle ne s'y limite point, et elle attaque aussi bien les cornes grises postérieures et les commissures. Enfin, elle se r
ppée. La théorie in-dique qu'ils dépendent de l'altération des cornes grises anté-rieures. Par contre, les symptômes nouveaux
'il s'agit de lésions inflammatoires qui, intéressant à la fois l'axe gris et les faisceaux blancs, n'occupent cependant 1
connue, le long des faisceaux latéraux tandis que, dans la substance grise , ce sont les colonnes formées par les cornes anté
tension descendante des lésions spinales transverses, dans les cornes grises antérieures, n'est pas une simple vue de l'esprit
a lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise . Étude de l'atrophie musculaire progressive spi
de la moelle: altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des ra
ental du groupe : c'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et plus expli-citement l'altération atrophique de
es sont systématiquement limitées aux cornes antérieures de substance grise . Un type du même genre nous servira de guide dans
une lésion exactement limitée aux régions antérieures de la substance grise et laissant parfaite-ment indemnes tous les autre
es départements de la moelle épinière, substance blanche et substance grise , tel est le sub-stratum anatomique dans une certa
o dans la moelle, par une lésion systé-matiquement limitée aux cornes grises antérieures ; l'alté-ration des grandes cellules
oelle épinière, mais elle s'est dévelop-pée en dehors de la substance grise et ce n'est que secondai-rement, par extension, q
ble, à un moment donné de son évolution, de retentir sur la substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellu
s à une myélite chronique cen-trale. Quoi qu'il en soit, la substance grise des cornes anté-rieures peut, en pareille circons
qui, creusés pour la majeure partie dans l'épaisseur de la substance grise , parcouraient, parallè-lement au grand axe de la
orsale. Dans lapins grande partie de son trajet, il occupait la corne grise postérieure du còlè gauche où, pour mieux dire, i
u còlè gauche où, pour mieux dire, il s'était substitué à cette corne grise dont les divers éléments avaii nt disparu. Les de
ales (gliômes ou sarcomes), qui, développés au centre de la substance grise , dans la région cervicale, ont été le point de dé
ral, dans les cas ordinaires relatifs à cette affection, la substance grise n'est pas profondément atteinte ; il est pos-sibl
ique peut se rencontrer isolément, en dehors de toute lésion de l'axe gris ; mais, très fréquemment, elle retentit sur les c
. In Virchovf s Archiv, 1869, 4 faeg. 8 Bd. rieures de la substance grise , et plus particulièrement sur les cellules nerveu
s cas qu'embrasse cette énumération, l'envahis-sement de la substance grise antérieure, ainsi que nous l'avons fait remarquer
r, c'est-à-dire qu'une lésion primitivement développée dans le centre gris envahisse consécutivement les faisceaux blancs ;
elle d'une lésion des faisceaux blancs avec la lésion de la substance grise , il est de règle qu'un de-gré plus ou moins prono
e s'ajoute aux effets de l'amyotrophie protopa-thique où la substance grise est seule affectée. c) Un autre fait, digne d'ê
cas, l'altération reste systématiquement circonscrite dans les cornes grises antérieures : les faisceaux blancs sont absolu-me
lie est de nature inflammatoire ; ainsi les vaisseaux de la substance grise sont plus volumineux que de coutume et leurs paro
rsque ces altérations de la névroglie sont très accen-tuées, la corne grise peut offrir une réduction dans tous ses diamètres
la limitation des altérations aux cornes antérieures de la substance grise a sa raison dans cette circonstance que les éléme
iphéri-ques sont affectés consécutivement à la lésion de la substance grise . Je vous rappellerai, à ce propos, que Ouveilhier
tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveuses de la substance grise ont subi cepen-dant les plus profondes altération
e atrophie serait rattachée quelque jour à une lésion de la substance grise *. Il importe de reconnaître que l'atrophie des
ive. Sans doute, dans les racines émanant des régions de la substance grise et plus pro-fondément altérées, on trouve habitue
on dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la
ive qui relève d'une lésion limitée systématiquement ci la, substance grise spinale antérieure ; le moment est venu d'en-trer
e dans la moelle, en outre des cornes antérieu-res, soit la substance grise postérieure, soit divers faisceaux blancs. Nous
si l'on peut ainsi dire, de l'altération obligatoire de la substance grise antérieure avec une sclérose symétrique et primit
es [Fig. 12, a), et des cornes postérieures (Fig. 12, b) de substance grise . A chacune de ces parties est venue s'adjoindre,
illon qui sépare encore latéralement les deux parties de la substance grise , sous l'aspect de deux petites masses ou tuberc
ticulier, du moins dans la règle, d'aucune altération de la substance grise antérieure ou des racines spinales motrices et je
rimitive existe seule, sans complication d'une lésion de la substance grise antérieure ; le trait le plus saillant dans le sy
al. 2° Mais il arrive assez souvent qu'une altération de la substance grise s'associe à la sclérose symétrique des faisceaux
la corne anté-rieure. En arrière, elle confine presque à la substance grise postérieure. En dehors, toutefois, elle est sépar
sthme de l'encéphale ; — 2° des lésions concomitantes de la substance grise dans les mêmes départements des centres ner-veux
ever actuellement, Messieurs, celles qui appartiennent à la substance grise . Elles ne diffèrent en rien d'essentiel de cell
ici encore, systéma-tiquement localisées dans les cornes antérieures grises . Là, comme dans le premier cas, elles portent et
oir Pl. IV. Figi.) Il est de règle que l'altération de la substance grise ne dé-passe point l'aire des cornes antérieures:
e de Clarke dans la région dorsale. a) L'altération de la substance grise spinale, dans tous les cas que j'ai observés, pré
sont relativement peu atrophiés. b) Les altérations de la substance grise de la moelle épi- Il ne me reste plus qu'à vous
partie des centres nerveux, un certain nombre de noyaux de substance grise que l'on considère comme les ana-logues des corne
éraux ; les autres relèvent de la lésion concomitante de la substance grise . C'est ce que j'essaierai de démontrer dans la pr
r aisément de celui qui relève de l'altération limitée à la substance grise spinale antérieure. Il me sera facile aussi, je l
ve des faisceaux la-téraux avec lésions concomitantes de la substance grise anté-rieure qui était en jeu. Un fait recueilli p
rale, dont elles relèvent, se produit avant la lésion de la substance grise antérieure à laquelle se rattache incontesta-blem
blement l'amyotrophie. Par quel mécanisme la lésion de la substance grise vient-elle se combiner à la lésion des faisceaux
e siège gagnent très vite les parties correspondantes de la substance grise . après l'apparition des symptômes parétiques. I
ture, se mon-tre la première, tandis que l'altération de la substance grise antérieure, à laquelle se rattache l'atrophie des
ation de la lésion inflam-matoire des faisceaux blancs à la substance grise s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je, par
vous faire remarquer que la propagation des lésions à la substance grise dans les cas en question de sclérose latérale n'e
ues-uns de ces cas, l'autopsie a permis de s'assurer que la substance grise antérieure à laquelle il convient en pareille cir
sur plusieurs points des ren-flements cervical et lombaire, la corne grise antérieure du même côté offrait les marques d'u
nt le même mécanisme bien que la réalité de la lésion de la substance grise , en pareil cas, n'ait pas été, que je sache, jusq
s scléroses spinales consécutives, le retentissement sur la substance grise est un fait exceptionnel tandis que, dans la sclé
ique latérale de la moelle peut exister sans participation des cornes grises et conséquem-ment sans accompagnement d'atrophie
Coupe des deux canaux de formation nouvelle creusée dans la substance grise . que, en effet, quand on ouvre, dans un cas de
ulièrement disséminée et pouvant attaquer indifféremment la substance grise centrale ou les faisceaux blancs. c) Les nerfs
, comme dans les cas de sclérose des-cendante consécutive, les cornes grises antérieures restant dans la règle, absolument ind
, dont le trajet peut être anato-miquement suivi jusqu'à la substance grise antérieure1. Tout récemment M. Hayem est venu don
e inflammation qui se propage le long de ces racines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules nerveuses
prédominent sur les faisceaux antéro-latéraux, envahissent les cornes grises et y produisent des altérations profondes. Je n
l'envie de tout expliquer physiologiquement par la lésion des cornes grises spinales antérieures. Cette lésion a son domaine
H. 2, p. 191. et la sclérose des cornes antérieures de la substance grise , — auraient pu à la rigueur échapper aux investig
raux et postérieurs dans un état d'intégrité par-faite ; la substance grise , dont nous avons fait l'objet tout spécial de nos
ieure de la région lombaire. Les cornes antérieures de la substance grise étaient manifestement atro-phiées ; en outre, un
ans la moelle épinière des altérations très profondes de la substance grise centrale et en particulier des cellules nerveuses
région lésée de la moelle épinière. Pour ce qui est de la substance grise , on connaît mal les effets d'une lésion isolée de
ances sont plus avancées relativement au rôle pathologique des cornes grises antérieures. Il est, en effet, bien établi aujo
rophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices) et les
sclérose latérale symétrique primitive, sans participation des cornes grises antérieures i, a été anatomiquement constatée et
onter jusqu'à la moelle et y produire les lésions de la dégé-nération grise . Celle-ci occupe, en pareil cas, les faisceaux sp
naître des lésions remar-quables occupant principalement la substance grise centrale, la substance blanche étant, au contrair
é jusqu'à la moelle et suivant toute probabilité jusqu'à la substance grise centrale. En effet, dans la plupart de ces cas, l
ément que les deux tiers ou les trois quarts antérieurs de ces noyaux gris étaient restés parfaitement indemnes; — 3° Enfin,
és par des intervalles libres de tout symptôme permanent la substance grise cérébrale, au contact de la pie-mère altérée, n'a
ents ner-veux, soit dans la substance blanche, soit dans la substance grise ; pas de corps granuleux cellulaires ou non cellul
ère au delà du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont paru présenter au-cune altération appréciab
ndres axiles normaux mesurant 0 [ë, 0033. nombre, dans la substance grise et en particulier dans les cornes postérieures. D
interne et postérieure de la corne antérieure gauche de la sub-stance grise . Il se prolonge en avant, clans l'épaisseur du co
sales que présentent, dans la corne antérieure gauche de la substance grise , au voisinage du foyer sanguin, les cellules neig
r-don médullaire lui-même ne présente à sa surface aucune colora-tion grise , son tissu n'est ni ramolli, ni induré, il n'y a
latineux des cornes antérieures et l'absence complète de toute teinte grise au niveau des cordons latéraux. Muscles D'une f
e de coupes après durcissement dans l'acide chromique. — La substance grise des cornes antérieures est pro-fondément altérée
s sens l'aire de la corne an-térieure. Il en résulte que la substance grise prend parle carmin une teinte beaucoup plus foncé
la région lombaire. Au niveau du renflement lombaire, la substance grise a repris à peu près complètement les caractères d
une zone d'une certaine largeur, sont précisément ceux où la myélite grise antérieure atteint son maximum d'intensité ; tous
s faisceaux antéro-latéraux de la moelle, les autres sur la substance grise , en particulier sur les cornes antérieures et qui
a plus postérieure de ces cordons, immédiatement en dehors des cornes grises postérieures. Les faisceaux blancs postérieurs ne
rs ne présentaient aucune altération. Dans l'examen de la substance grise , le haut degré d'atrophie qu'ont subi, dans les c
rfois de nombreux noyaux. — Les cornes postérieures de la substance grise nous ont paru offrir toutes les conditions de l'é
trique et le spinal, contrastent, par leur finesse et leur coloration grise , avec les ra- cines des nerfs situés au-dessus
est exempt de toute altération. Cette extrême ténuité et cette teinte grise se retrouvent sur un certain nombre de racines an
t de constater des lésions de la substance blanche et de la substance grise . 1° Substance grise. Les noyaux d'origine des n
ions de la substance blanche et de la substance grise. 1° Substance grise . Les noyaux d'origine des nerfs bulbaires sont ic
ures qui, à ce niveau, sont re-présentées par deux îlots de substance grise complètement isolés de la substance centrale cont
ues, qui portent à la fois sur les cornes antérieures de la substance grise et sur les cordons antéro-latéraux. Il est de plu
njonctifs, qui de la périphé-rie de l'organe vont gagner la substance grise , sont épaissis. Les mailles du reticulum, considé
érieure, elle suit en dedans et en arrière le contour de la substance grise sans pénétrer dans son intérieur, tandis qu'en de
r les racines antérieu-res dans leur trajet intra-spinal. Substance grise . — Nous trouverons ici, exactement limitée à l'ai
trouverons ici, exactement limitée à l'aire des cornes delà substance grise et symétriquement disposée dans les deux moitiés
aires, au sein d'un tissu parfaitement normal. Toutefois la substance grise a, sur certains points, été désorganisée dans son
aucun épaississement des tractus con-jonctifs qui rayonnent du centre gris vers la périphérie de la moelle. C'est dans la
entre gris vers la périphérie de la moelle. C'est dans la substance grise et plus spécialement dans l'aire des cornes antér
tion se soit établi d'abord dans la trame conjonctive de la substance grise pour se propager ensuite jusqu'aux éléments nerve
sé plusieurs fois déjà de rattacher à une lésion primitive des noyaux gris étages dans le bulbe l'ensemble symptomatique con
Bevliner medicinischen Gesellschaft. Berlin, 1866, heft 2, p. 191. grise , — auraient pu, à la rigueur, échapper aux invest
raux et postérieurs clans un état d'intégrité parfaite ; la substance grise dont nous avons fait l'objet tout spécial de nos
rieure de la région lombaire ; les cornes antérieures de la substance grise étaient manifestement atrophiés ; en ou-tre, un b
eux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-latêraux de la moelle èpi
. b, Pyramides antérieures. c, c, Cornes antérieures de substance grise . e, Entre-croisement des pyramides. p, p, Corne
, Foyers de désintégration occupant différents points de la substance grise antérieure. Fig. 4. — Elle représente les diffé
sceaux conjonctifs. Fig 6. — Petit vaisseau pris dtans la substance grise de la corne antérieure. —? a, Cellule tuméfiée. —
clérose des cordons postérieurs. Examen macroscopique. — Induration grise ; ses caractères. — Foyer originel de la lésion i
culaires internes.— Envahissement des cornes antérieures de substance grise : amyotrophic consécutive.. 1 DEUXIÈME LEÇON
locomotrice. — Lésions des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration grise progressive du nerf optique. —Atrophie progressiv
e. — As-pect de la papille : 1° à l'état normal; 2° dans l'induration grise progres-sive. — Troubles fonctionnels qui accompa
e progres-sive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise du nerf et de la papille optiques. — Modification
athie des ataxiques. — Lésions des cornes antérieures de la substance grise . — Desi-deratum.................................•
tion des lésions spinales dans les cornes antérieures de la substance grise . Paralysie spinale infantile. — Elle sera consi
Localisation des lésions dans les cornes antérieures de la substance grise . — Altérations secondaires : transformation scl
ile, systématiquement limitées aux cornes antérieures de la substance grise . — Myélite aiguë centrale généralisée, hématomyél
a lésion spinale qui porte sur les cornes antérieures de la substance grise . Étude de l'atrophie musculaire progressive spi
de la moelle : altération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des ra
on dans la moelle et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la
aux (Atrophie des), 5, 43. — Optique (Atrophie du), 44 ; — Induration grise du,—43,47,49— Atrophie de la papille optique, 44,
17, 241,249. — Lé-sions des cordons latéraux, 24(1. — De la substance grise , 214, 451. — Des racines antérieures, 245. —Des n
7 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ces dernières se distinguent aisément par un petit amas ou renflement gris qu'elles présentent à quelque distance de la moel
aire est formée de substance blanche à la périphérie, et de substance grise à son centre. Cette observation est immédiate, et
forment, dans chacune de ces moitiés, un fourreau dans lequel un axe gris est engagé comme une épée. La coupe transversale
mme il y a en réalité deux moelles, la coupe simultanée de leurs axes gris donne lieu à une figure symétrique que Lieutaud c
et unies par une lame intermédiaire. Le tranchant antérieur de l'axe gris est dans chaque moelle épais et arrondi; il est l
ntre au fond du sillon latéral postérieur sous la forme d'une traînée grise longitudinale. Rolando a le premier signalé dan
Rolando a le premier signalé dans ces deux tranchants deux substances grises d'aspect très-différent. La substance du tranchan
s blanches qui, dans chaque demi-moelle constituent la gaine de l'axe gris , présentent une disposition spéciale que la plupa
ent entre eux de petits intervalles où s'engage la substance de l'axe gris , de manière à donner l'idée d'une sorte de decuss
la direction des lames rayonnantes est normale à la surface de l'axe gris , dans leur point d'incidence. Cette disposition a
facilité des échanges qui ont lieu à chaque instant entre la matière grise et les faisceaux blancs qui l'enveloppent. Outr
Outre ces faisceaux enveloppants, on voit, au centre même de l'axe gris , en regard des faisceaux moyens, et dans le point
lle unit entre eux les cordons antérieurs. La lamelle postérieure est grise , elle unit les deux axes gris par un trait qui, d
antérieurs. La lamelle postérieure est grise, elle unit les deux axes gris par un trait qui, dans les coupes transversales,
s. Les unes appartiennent à son écorce blanche, les autres à ses axes gris . Les premières sont des fibres nerveuses blanch
llaires multipliés, qui nourrissent la substance nerveuse. Les axes gris ne présentent point, dans toute leur épaisseur, l
la structure. Dans toute l'étendue du tranchant antérieur des axes gris , l'élément principal est une cellule rayonnée. Ce
s dans le voisinage des faisceaux blancs qui servent d'écorce à l'axe gris . C'est aussi là qu'elles atteignent à un plus gra
question importante de savoir si les gros globules de la substance « grise , dans le cerveau et dans les ganglions, sont ou n
s multipolaires qui sont situées dans les cornes antérieures des axes gris et que celles-ci comnuniquent à leur tour soit av
arrière, traversent la substance des tranchants postérieurs de l'axe gris , et se continuent avec certaines fibres des faisc
ant à l'absence complète de cellules multipolaires dans la commissure grise . Le point le plus important à constater aujourd'h
hique, et journal V Institut-. 1855. tranchants antérieurs de l'axe gris est traversée par des fibres nombreuses qui, des
substance gélatineuse qui constitue le tranchant postérieur des axes gris , diffère beaucoup de la substance spongieuse; ell
antérieure du cordon postérieur, s'avancent dans l'intérieur de l'axe gris ; c'est dans les loges formées par ces lames qu'es
ransversales cheminer des cordons postérieurs vers le centre des axes gris . Quelques-unes de ces fibres se rattachent aux ra
démontrent que la limite réelle du cordon postérieur du côté de Taxe gris n'est point aussi nettement définie qu'on le supp
l, et que son domaine envahit une assez grande part de celui des axes gris . Nous attachons à ce fait une grande importance,
es parties qu'elle anime. Il s'en faut de beaucoup que la substance grise soit, eu égard à la substance blanche, dans les m
égions de la moelle. Ainsi, le plus souvent, il y a plus de substance grise au renflement lombaire qu'au renflement cervical
sceaux blancs s'atténuent d'autant plus à la région dorsale que l'axe gris du renflement lombaire est plus considérable, ce
qu'à l'encéphale un nombre moindre. D'ailleurs, l'importance des axes gris très-grande chez l'enfant nouveau-né, diminue é
-né, diminue évidemment chez l'adulte. Chez l'enfant nouveau-né l'axe gris forme presque toute la masse du renflement lombai
ulte ces faisceaux blancs se multiplient, s'épaississent, et les axes gris se réduisent proportionnellement. Cette multiplic
des faisceaux blancs Aire des faisceaux postérieurs Aire des axes gris Aire des axes gris Renflement lombaire. 105
Aire des faisceaux postérieurs Aire des axes gris Aire des axes gris Renflement lombaire. 1054 449 4413 1421
2404 721 1314 Celte réduction des faisceaux blancs et des axes gris à la région dorsale de l'adulte est d'autant plus
40 DE LA. MOELLE DANS SES DIFFERENTES RÉGIONS. relative des axes gris dans la région lombaire de la moelle. Ces axes so
au. Chaque pédoncule traverse d'abord un premier noyau de substance grise appelé couche optique ; puis un second noyau qui
hères cérébraux. Quant à la quatrième, elle consiste en deux masses grises , au centre desquelles est un prolongement de l'ét
eurs funicules accessoires. En arrière de ces funicules, un tubercule gris fusiforme fait une saillie distincte ; Rolando ,
u, si l'on aime mieux, un développement de cette traînée de substance grise qui occupe dans toute la moelle le fond du silion
t le fond est formé de fibres blanches mêlées à beaucoup de substance grise , loge la bandelette des nerfs optiques; elle sera
oncule, qui touche à la ligne médiane, un prolongement de cette masse grise dépasse en arrière cette limite, et s'inclinant v
clinant vers une production symétrique, s'unit avec elle en une masse grise médiane qui enveloppe la saillie de l'entonnoir d
. Cette masse est le tubercule cendré, tuber cinereum. Quant au noyau gris ellipsoïde, il a reçu des auteurs le nom de cor
s strié extraventriculaire. Nous lui donnerons encore le nom de noyau gris d'enroulement du cornet pédonculaire. Ce noyau fo
moitiés de l'axe nerveux. 4° Région du bouton terminal. Le noyau gris d'enroulement présente des particularités intéres
nées surtout de l'anse pédonculaire, traversent en rayonnant le noyau gris . Il y a une telle relation entre toutes ces fibre
s deux pédoncules avec leurs pyramides, l'anse pédonculaire, le noyau gris d'enroulement et le cornet fibreux de l'éventail
trace d'un sillon médian. La substance qui en forme le fond est d'un gris blanchâtre de couleur cendrée. On y remarque un g
dernier corps, dont nous avons indiqué les relations avec les noyaux gris d'enroulement, peut être comparé au pavillon d'un
qui porte à son extrémité un tubercule semblable à un champignon d'un gris rougeâtre. La masse de ce tubercule est divisée e
tuitaire est divisé en un grand lobe antérieur et un petit une lame grise est étendue entre les deux noyaux qui terminent l
on médian très-régulier; 2° de chaque côté de ce sillon, deux tractus gris étroits, en dehors desquels sont deux renflements
à. Or quelle est la signification des cordons ou plutôt des tractus gris du quatrième ventricule ? Leurs relations obligen
e les considérer comme représentant les tranchants spongieux de l'axe gris de la moelle, tandis que les renflements cendrés
moelle épinière ; il s'ensuivrait une pareille modification des axes gris . L'étude de la structure intime de ces parties ju
ont plus grands que les postérieurs, et formés en entier de substance grise . Leur forme est celle de deux ellipsoïdes juxtapo
le touche au sillon latéral, on la voit se terminer dans un tubercule gris fort petit, mais saillant, et de forme arrondie.
ercules quadrijumeaux est, de chaque côté, un grand amas de substance grise . Ces deux amas, que nous désignerons l'un et l'au
la vie fœtale, par un pont très-épais, également formé d'une matière grise et pulpeuse; telle est la commissure molle (1).
es fibres blanches, qui s'étalent et s'enroulent autour des deux amas gris qu'elle réunit. Ces fibres, très-adhérentes aux p
t millimètres; sa largeur de quatre ou de cinq. Sa substance est d'un gris rougeâtre. Sa base renferme une petite cavité don
d'un cordon où la substance blanche l'emporte de plus en plus sur la grise . Ce cordon continue le mouvement d'enroulement de
bé du pédoncule; celle-ci est presque entièrement formée de substance grise ; elle commence en avant, par une extrémité arron
e commissure, puis sa lame blanche transverse, en arrière est sa lame grise . Or, imaginons dans un segment quelconque de la
l, et s'achève en cercle, il enveloppera nécessairement la commissure grise dont une portion s'isolera au centre du cercle. L
oûte, la commissure blanche est le corps calleux. Enfin la commissure grise comprise au centre de l'enroulement représente la
tier formés de substance ganglionnaire, et tranchent par leur couleur grise , sur les tubercules postérieurs qui sont blanchât
masse énorme de fibres intermédiaires. Les parois des bourses sont grises . On les désigne sous le nom de couches corticales
s, et se terminent par une extrémité renflée que coiffe une enveloppe grise d'aspect gélatineux. Cette extrémité renflée est
désignent sous le nom de racines. Le reste de la suface des lobes est gris , comme les hémisphères eux-mêmes. Leur arête supé
un troisième fait, savoir une modification très-remarquable des axes gris . J). La définition générale de ces axes est cel
e ces axes est celle-ci : chacun d'eux résulte d'un amas de substance grise compris sur les côtés du ventricule médian entre
de l'autre? il en résultera nécessairement un aplatissement des axes gris entre la commissure et la paroi étalée du ventric
très-difficile la comparaison des axes de la moelle avec les parties grises du bulbe. Mais les détails dans lesquels nous som
dans lesquels nous sommes entrés résolvent cette difficulté. Les axes gris sont évidemment représentés par cette couche de s
s axes gris sont évidemment représentés par cette couche de substance grise qui touche à la paroi antérieure du quatrième ven
llules multipolaires qui composent les tranchants antérieurs des axes gris . Ces cellules forment, sur les tranches que nous
utons ici paraît confirmée par un autre fait. C'est de cette doublure grise du quatrième ventricule que le nerf hypoglosse,
ture. Cette structure est peu connue. La paroi des bourses est d'un gris jaunâtre obscur; elle est dans l'homme singulière
, d'autres sont transversales. Les premières viennent des petits axes gris du bulbe et pénètrent dans l'olive par son ouvert
bourse et de ses noyaux accessoires paraît formée de petits ganglions gris que séparent les uns des autres de petits faiscea
n peut ainsi les suivre, sur chacune de ces moitiés, jusqu'à la paroi grise du quatrième ventricule au travers de la commissu
(/). Celui des cordons mamelonnés. (g). Et enfin de petits cordons gris qui cheminent au-dessous du quatrième ventricule,
res traversent toute l'épaisseur de la commissure, et vont des noyaux gris qui touchent au ventricule à la face inférieure d
proches du raphé médian tiennent du côté du ventricule à un tubercule gris que MM. Stilling et Wallach ont très-bien figuré.
gentes qu'on peut suivre jusqu'aux parties les plus externes des axes gris . Ces fibres sont les racines du nerf vague ou du
fibres de cette catégorie sont des racines nerveuses partant de l'axe gris et gagnant la superficie du bulbe au travers de l
la face postérieure des faisceaux moyens, se dirigent sous la couche grise des axes, vers la ligne médiane, traversent le bu
rand volume qu'augmente encore une assez grande quantité de substance grise interposée entre ces fibres (1). C'est ici le l
sait que dans les enfants nouveau-nés la sub- (1) C'est cette masse grise qui a conduit M. Longet à considérer la protu« bé
stance des pyramides est d'un blanc nacré et tranche sur la substance grise à cette époque de la protubérance. C'est donc là
, les fibres des cordons postérieurs s'épuisent au centre de ses axes gris ; ici, au contraire, elles s'écartent de la moell
de celles qui se propagent dans la moelle par le centre même de l'axe gris . Mais celte induction ne pouvait être fondée que
à que ces fibres profondes qui cheminent dans le centre même des axes gris . Rien n'est plus difficile, en effet, que de su
faisceau assez large, mais très-mince qui, se glisse sous la paroi grise du ventricule, marche parallèlement ii. 10 à l'
-dessous des tubercules quadrijumeaux, un cylindre épais de substance grise , au centre duquel est percé l'aqueduc de Sylvius.
e grise, au centre duquel est percé l'aqueduc de Sylvius. Ce cylindre gris semble formé par l'enroulement d'une lame épaisse
oncule à l'autre. Cet entrecroisement est l'origine de gros faisceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gr
de gros faisceaux gris qui plongent d'arrière .en avant sous le noyau gris de la couche optique. 11 est si marqué qu'il méri
age inférieur du pédoncule cérébral. Un amas remarquable de substance grise , désigné sous le nom de locus niger, substantia n
d'expression plus mal choisie. L'endroit noir a pour base une masse grise amorphe, au milieu de laquelle l'œil distingue un
ieurs de l'axe, représente assez bien les cornes spongieuses des axes gris de la moelle (1). Les fibres qui composent, la
upule dont la concavité regarde le plan médian et embrasse les noyaux gris des couches. Ces noyaux gris sont en communicatio
de le plan médian et embrasse les noyaux gris des couches. Ces noyaux gris sont en communication d'un côté à l'autre par la
côté à l'autre par la commissure molle. Une quantité énorme de fibres grises parcourt cette commissure et plonge de chaque côt
chaque côté dans les interstices des fibres de la cupule. Les noyaux gris peuvent être considérés comme le centre de l'enro
entre les deux corps striés externes, par l'intermédiaire des noyaux gris , des couches optiques et de la commissure molle.
de cette commissure, qui se prolongent de chaque côté dans les noyaux gris , se terminent-elles, en effet, dans les corps str
par un écartement mesuré les deux moitiés du noyau cérébral, le noyau gris de la couche optique étant pris comme centre, on
, dont les fibres se portent en traversant toute l'épaisseur du noyau gris compris dans l'intérieur de la cupule, à la sur
ndelettes optiques. Ces couches sont formées d'une bande de substance grise que parcourent, d'avant en arrière, une multitude
une multitude de fibres blanches. Deux renflements de cette substance grise constituent les corps genouillés antérieurs et le
des lamelles et des feuilles que recouvre très-exactement une écorce grise . La coordination de ces divisions est telle, dans
ramuscules des feuilles. Si compliquée que soit cette figure, la lame grise en suit tous les contours, qu'elle revêt dans leu
étude de celle-ci, qui est remarquable à plus d'un titre. A. Écorce grise du cervelet. Elle est formée de trois couches sup
ucture. Les antérieurs sont presque exclusivement formés de substance grise , les postérieurs ont une écorce mince de fibres b
ont une écorce mince de fibres blanches. Les cellules de la substance grise sont incolores et se distinguent par leur pâleur,
ères. Leur partie essentielle est ce que les anciens ont nommé écorce grise du cerveau. Cette écorce forme la paroi des deux
écorce grise du cerveau. Cette écorce forme la paroi des deux bourses grises plus ou moins lisses, plus ou moins plissées, que
x, présente un grand espace blanc entouré de chaque côté par un limbe gris . Cet espace est ce qu'on a appelé le centre ovale
du cerveau, plusieurs couches distinctes, alternativement blanches et grises , à partir de la périphérie. Les observations de M
a structure la fait au premier abord reconnaître (1). 2° Une couche grise d'un reflet foncé, vient ensuite; 3° Puis une d
uite; 3° Puis une deuxième couche branche; 4° Une deuxième couche grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6° Une tr
grise ; 5° Une troisième couche blanche ; 6° Une troisième couche grise . Dans la couche extérieure, et peut-être aussi
lèles à la direction des couches corticales. La deuxième couche est grise , et contient une grande quantité de petites cellu
e fibres parallèles à la surface de l'écorce. La quatrième est d'un gris rougeâtre et fort épaisse, elle contient des cell
e donc bien loin d'être résolu. Les éléments principaux des couches grises sont : 1° une cellule arrondie fort petite qui ne
st epithelial. Le second est formé de fibres entremêlées de substance grise qui proviennent de l'anneau du pédoncule, et comp
te question. Il suffit, en effet, de racler avec attention le tractus gris semicirculaire qui unit le corps strié supérieur
la couche optique et s'enroule d'arrière en avant autour de son noyau gris . Cette branche contient une assez grande proporti
u gris. Cette branche contient une assez grande proportion de matière grise dont les amas forment ce que nous avons appelé le
s qui nous occupe, ces impressions optiques transmises par des masses grises intermédiaires, pourraient bien réveiller des sen
'étage inférieur des deux corps striés, dans l'épaisseur d'une couche grise toute pénétrée de fibres qui, de l'anneau pédoncu
es de l'anneau pédonculaire, pénètrent dans leur intérieur. La partie grise des couches corticales du cerveau se prolonge ass
s commissures propres. De même qu'au cerveau, elles doublent l'écorce grise presque partout très-amincie autour d'elles. Qu
qui le termine. Cette ampoule est enveloppée dans îi. 13 une coiffe grise gélatineuse, qui est le véritable bulbe olfactif,
s le nom de racines du nerf olfactif. On distingue en outre la coiffe grise , et les fibres qui, de l'anneau pédonculaire, se
ache au sillon latéral postérieur de la moelle et plonge dans l'arête grise gélatineuse qui occupe le fond de ce sillon. Les
ceaux blancs antérieurs et latécaux, les autres se portent dans l'axe gris de la moelle. Celles-ci ont un trajet constant;
; une ou plusieurs lames celluleuses divisent, de la surface aux axes gris , toute l'épaisseur des cordons antérieurs; c'est
s que cheminent les fibres des racines antérieures destinées aux axes gris . Ces fibres sont le plus souvent obliques, et les
ut suivre leurs fibres jusque dans les tranchants antérieurs des axes gris , où leur connexion avec les cellules multipolaire
racines antérieures vont aux cellules des cornes antérieures des axes gris , cheminent dans un système de cloisons fibreuses
eaux postérieurs, se portent dans les tranchants postérieurs des axes gris et pénètrent dans le domaine des cornes spongieus
érieurs, de celle des faisceaux moyens, et se termine dans les noyaux gris à cel- (1) Encyclopédie analomique. Paris, 1843
yen, jusqu'aux noyaux à cellules multipolaires qui représentent l'axe gris du bulbe, et touchent à la paroi antérieure du qu
cule que plongent les racines du facial, c'est-à-dire dans cette lame grise si riche en cellules multipolaires, qui prolonge
lusieurs paires de nerfs crâniens. Paris, 1853. dans le bulbe l'axe gris de la moelle. J'insiste sur ce mode d'origine, qu
rance, et sous les pédoncules cérébelleux supérieurs jusqu'à la paroi grise du quatrième ventricule, où quelques-unes de leur
usqu'au plancher du quatrième ventricule, c'est-à-dire jusqu'aux axes gris à cellules multipolaires de la région du bulbe.
, au-dessus delà valvule, une commissure transverse. Un petit pinceau gris tombe de l'intervalle des tubercules quadrijumeau
t les faisceaux moyens, et se terminent, en partie, dans la substance grise qui forme le plancher de l'aqueduc de Sylvius. Un
x faisceaux bien distincts de ces fibres se portent dans la substance grise des couches optiques et des corps genouillés exte
probablement aux cellules multipolaires si apparentes de cette masse grise . Quoi qu'il en soit, ce nerf appartient évidemmen
ncule cérébelleux moyen, deux racines accessoires. L'une, de teinte grise , se place au-dessous du pédoncule cérébelleux sup
d avec un prolongement du faisceau postérieur jusque dans les parties grises de l'anneau pédonculaire, d'où elle se prolonge j
ont été plus heureux. Ils ont pu les poursuivre jusque vers la paroi grise du quatrième ventricule, où ils se terminent en d
grise du quatrième ventricule, où ils se terminent en dehors du noyau gris des racines de l'hypoglosse. Ces habiles anatomis
onne en un éventail blanc dont les fibres cheminent dans la substance grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'au sill
rieures forment un gros faisceau qui se dirige en avant sous la paroi grise du ventricule. 3° Ce faisceau est la troisième
es trous de la lame criblée, et plongent immédiatement dans la coiffe grise du lobe olfactif. On doit distinguer parmi ces ne
quelle qu'ait été ma persévérance, je n'ai pu aller au delà du noyau gris des couches optiques. C'en est assez sans doute p
Gall, modifiant l'idée de Buffon, posait en principe que la substance grise engendre partout des fibres nerveuses, elle était
ens dans lequel les fibres se développent étant indécis, la substance grise pourrait bien être terminaison aussi bien qu'orig
t nerf; nous ne ferons d'ailleurs aucune supposition sur la substance grise des corps genouillés externes, et sur le rapport
gement ouvert, et cette ouverture béante laissait apercevoir sa paroi grise et fort épaisse; cette paroi faisait saillie sous
nt les bords gengivaux étaient représentés par la saillie de la paroi grise intérieure-, quant aux commissures de cette gueul
rum ovale. Cette vaste poche, que tapissait intérieurement une couche grise fort épaisse était remplie par une masse énorme h
ormaient de véritables circonvolutions internes revêtues d'une couche grise épaisse, dont l'existence coïncide avec l'expansi
coïncide avec l'expansion primitive du plexus choroïde. Cette couche grise interne et ses circonvolutions s'atrophient et s'
lus particulièrement dans la moelle épinière; mais autour des parties grises de l'encéphale, c'est l'élément vasculaire qui pr
assez régulièrement les artères méningées et sont composés de fibres grises . M. Luschka décrit des filets nerveux dans l'arac
rent dans des parties blanches qui recouvrent des noyaux de substance grise , sont dans le même cas. Nous signalerons encore u
hes corticales, elles sont fort déliées et forment, dans la substance grise plus particulièrement, des réseaux très-fins et t
pie-mère, et sont surtout abondantes dans l'épaisseur de la substance grise . La (1) Icônes, Analom. Fasc, I, Tab. 1 et 2.
rés que dans les an-nelés(4). Or, dans la moelle épinière, les masses grises qui forment les plexus celluleux sont enveloppées
rien qu'un nerf. Nous avons vu qu'elle est un centre par ses parties grises . Mais évidemment aussi elle est un conducteur d'i
après la section des cordons postérieurs, en conclut que la substance grise transmet les impressions au cerveau. Fodera pub
section des cordons antérieurs. Il n'en conclut pas que la substance grise conduit le sentiment, loin de là, il combat cette
Calmeil attaqua à son tour cette question. D'après lui, la substance grise suffit pour transmettre les impressions sensoriel
après ces expériences, il admet le pouvoir conducteur de la substance grise . Van Deen a fort soigneusement distingué le sen
térêt. Tout en accordant un grand pouvoir conducteur à la substance grise de la moelle, Van Deen ne déshérite pas les cordo
ordons postérieurs, et que toutes pénètrent d'abord dans la substance grise ; mais il pense que cette substance les transmet
llingeri. M. Stilling en est si convaincu, qu'à ses yeux la substance grise est l'agent essentiel dans la moelle épinière. Il
moelle épinière. Il suffit, dit-il, du tranchant postérieur des axes gris pour conduire les impressions, et de leur trancha
des ordres de la volonté. Les cordons blancs, séparés de la substance grise , perdent toutes leurs propriétés (1). (1) Vnter
ais les opinions varient beaucoup quant au rôle que joue la substance grise . On oublie trop facilement aujourd'hui réminent
e degré dans l'opinion qu'il professa au sujet des fonctions des axes gris . Il leur accorda, il est vrai, le pouvoir des cen
absolument celui de conducteurs. La preuve, dit-il, que la substance grise n'a sur la sensibilité aucune influence, c'est qu
. Paris, 1841. attribuait son habile auteur. De ce que la substance grise est par elle-même insensible, il ne s'ensuit en a
arquer toutefois qu'ils le sont moins quand on les a séparés des axes gris , ce que Van Deen et Stilling avaient depuis longt
nt depuis longtemps annoncé. Il dit en second lieu que la substance grise transmet les impressions sensitives, et se trouve
t par des expériences très-délicates qu'une couche mince de substance grise intermédiaire aux deux segments de la moelle, suf
ensibilité du segment postérieur. Si l'on enlève toute la substance grise de manière à découvrir la face profonde des cordo
e, mais incomplètement à mon sens, par une conduction de la susbtance grise . Il constate la diminution de la sensibilité dans
sibilité n'est diminuée que pour un temps par la destruction de l'axe gris dans cette moitié saine, mais qu'il en résulte un
maux mammifères (2). Examinant enfin les propriétés de la substance grise , il trouve, comme M. Longet avant lui, qu'elle n'
othèse d'un entrecroisement à celle d'une conduction par la substance grise , l'une et l'autre hypothèse étant fondées à peu p
le rend absolument insensible. Ainsi la grande quantité de substance grise intermédiaire aux deux sections n'a aucun pouvoir
n Deen expliquent ce résultat, en disant que la quantité de substance grise intermédiaire suffisante dans le premier cas, ne
mais seulement dans les faisceaux intermédiaires et dans la substance grise qui occupe le centre du bulbe. M. Van Deen, qui
ostérieurs de la moelle. Ce physiologiste admet en outre que le noyau gris qui occupe le centre de cet organe est un centre
xternes sont une dépendance ; 3° enfin son centre, noyau de substance grise que traversent en sens divers une prodigieuse qua
he ; car, nous ne pensons pas qu'en elle-même la destruction du noyau gris qui en constitue le centre, ait sur la vision une
détruire par degrés. Tant que les lésions se bornaient à la substance grise de ces corps, les effets en étaient peu sensibles
8 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
r). Marié à 25 ans, il continua à faire les mêmes excès et rentrait gris presque tous les jours ; il était très violent,
ébrales sont un peu pâles; les oculaires sont nettes; les iris sont gris , les pupilles égales. - Le nez est complètement
par places, après la pie-mère une très lègère couche de subs- tance grise . La scissure de Sylvius est large, profonde, et
la couche corticale, dans les faisceaux descendants do la substance grise , et dans la substance blanche, n'ont pu être ét
Contribution à l'étude des lésions histolo- giques de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enfance ;
ibres à myéline de la surface de l'écorce et celles de la substance grise ne sont plus décelables par les réactifs ordina
l'étude des filets nerveux ; on est réduit à celle de la substance grise en général, que l'alcool fixe assez bien. Nous
gerons, sans nous occuper de topographie, les lésions de l'écorce grise seulement; celles du moins que nous pourrons ap
enant qu'à exposer com- ment on arrive à lire une coupe de l'écorce grise , et c'est là un point d'une extrême importance.
ou- ver assez bien dans les différentes couches de la subs- tance grise , surtout si l'on emploie dès le début les faibl
l'écorce, ce qui manque actuellement. On peut considérer l'écorce grise sous deux plans : le premier parallèle à la sur
che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substance grise , et s'accroît encore dans le lobe occi- pital p
ement réunir en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à débroui
nt les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la substance grise . Elle renferme à sa partie supérieure de petites
ion normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise , et qui s'aperçoivent très suffisamment sur les
de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise , qui, eux, s'organisent naturellement dans les
n est plus marquée naturellement dans la profondeur de la substance grise , là où les faisceaux sont plus gros, et c'est p
qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la substance grise , on la verra décomposé en un véri- table quadri
nt servir à établir une transition entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les états plus marqués de
t aussi de fines gouttelettes graisseuses exister dans la substance grise . Sur des coupes colorées, on cons- tate que la
des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substa
des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la substance grise . Du côté de celle-ci, les lésions sont les même
les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des
noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la substance grise , mais le sont évi- demment dans la substance bl
ALITES CHRONIQUES. face externe de l'hémisphère montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couch
on assez pauvres en cellules, où presque toute la trame de l'écorce grise s'est en- levée avec les méninges, ou est tombé
frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la substance grise , des amas considérables de corps granuleux dans
vés et sont évidemment consécutives aux désordres de la substance grise . (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 18().) Di
parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise , la couche superficielle de névroglie a son épa
ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance blanche, ce qui domine c
out à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges, surt
oupe du lobe occipital, une portion assez considérable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en reste
l'sale. - Les cordons blancs sont symétri- ques ; dans la substance grise , tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans l
menteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les lésions
upe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La substance grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec peine
nt triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise . - Coupe au niveau du lobule paracentral. La va
se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la substance grise par les élé- ments sphériques est nettement acc
parenchyme sont très petites, d'ailleurs l'épaisseur du revêtement gris est très faible. La substance blanche offre l'a
ique. Coupes du lobe paracentral droit. Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les unes des autres; ell
inuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : oI35t·.1r1' : \TIUN VI. - Assas..., 1870-1884
use très développée dans les couches superficielles de la substance grise ; beaucoup de foyers de désintégration assez ét
ions plus avancées, les foyers de désintégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise
forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise dans les intervalles qu'ils laissent entre eux,
comprise dans les concavités antérieure et latérale de la moelle grise . Dans celle-ci, les îlots cellulaires sont isolés
là des points plus épais, lesquels déterminent de véritables taches grises , visibles à l'oeil nu par transparence. Cette b
oup moins marquée que dans les préparations précé- dentes. Le ruban gris de Vicq-d'Azyr constitué par une accumu- lation
oit, coupe d'une cÍ1'con¡;o- Il/lion frontale. - Toute la substance grise est prise en nappe, toujours au même point, au
ant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en place des lâches grisesde né
ncéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance grise se décortique en totalité sur quelques points,
-uns de ces vaisseaux des foyers de désintégration, où la subslance grise , rendue plus fragile, est tombée en partie sur
tre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substance grise avec épaississement névrogliques, comme nous ve
iquide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées. Substance grise . - Les membranes n'ont pas enlevé des portions
tance cérébrale en se délachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la seconde; elle présente, com
t plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise , celle des petites cellules pyramidales. Ces ba
ondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des ba
estonné. Au niveau de ces points, la première couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. L
ui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique aréolaire qu'on observe, bea
icales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petite
points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le vaisseau vasculaire.
nt surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes : 10 pr
e vascularisation anormale très prononcée dans toute la subslance grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes les dir
ste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise , et comprenant ainsi la moitié environ de la ha
et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise . Ces foyers sont caractérisés par la rareté des
e niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la substance grise , une perle de substance qui s'étend jusqu'à la
aments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la substance grise restante. Cette paroi est composée de dehors en
lésion et disparait dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche de deu
successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la de
issure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouve
s : sur certains points, la sériation longitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces séries sont
ilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise . Lésions de la substance blanche. - Dans la sub
descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise , et dans laquelle les fibres n'existent t pas;
us fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées, quoi-
rameux assez nombreux et, de plus, sur certains points, des taches grises où la névroglie s'est raréfiée, qui forment aut
'[/t3 par où descendent les fibrilles qui vont former la substance grise , on voit, de plus que dans les couches précéden
oi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise . Cervelet. - Dans la substance grise, la couche
ue plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise , la couche de névroglie est fibrillaire dans le
e, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La substance grise à des altérations cellu- laires importantes.
t que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur réfringence apparait beaucoup pl
e voir; c'est dans les couches les plus profondes de la subslance grise , et même au milieu de la substance blanche, qu'
s. Nous rapportons ces faits il cause de la coexistence de taches grises d'encéphalite au voisinage des points les 1 Les
re, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise , enfin BOCH : OEVll.l.E, Bicêtre, 1889. 10 14
. 439, 1869. Herberl Mayor. - Lésions hislologiques de la substance grise , chez déments, etc. - West riding latizcctir as
l of mental Science, p. 532, 1883. Luys. - Structure delà substance grise . - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier. - Névr
lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer la rar
, Contribtttion t'étude des lésions histologiques - de la substance grise dans les encéphalites chroniques de l'enfance,
9 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
a trouvé une gliomatose qui intéressait principalement la substance grise centrale; mais par places elle empiétait sur la
UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE myélite aiguë de la substance grise , survenue dans le cours d'une maladie infectieu
dire que la syringomyélie débute géné- ralement dans la commissure grise postérieure, en arrière du canal cen- tral, que
a racine ascendante du trijumeau. Elle envahit d'abord la substance grise centrale, puis la corne postérieure qu'elle peut
Enfin vous vous rappelez que dans le cas de Schuppel, la substance grise centrale et les cordons postérieurs manquaient
gliomatose, à sa- voir : ' 1° La partie contiguë à la commissure grise postérieure ; 2° Les portions du cordon de Goll
cordons postérieurs. ' La lésion est-elle limitée à la substance grise ? J'incline à croire que non. A en juger par le
ntrale avec ou sans iritis, caractérisée par de petites taches d'un gris blanchâtre sur les artérioles, accompagnée parf
le ; lésion bilatérale transverse, intéres- sant certainement l'axe gris dans sa con 1 illuité( dissociation syringomyéliq
gues avec les éléments voisins, méninges, faisceaux blancs, colonne grise , racines. Nous ne décrirons donc en détail que l'
s nodule modifie de la façon suivante les parties normales de l'axe gris : la corne antérieure gauche a complètement dis-
niveau de la région qui correspondrait normalement à la commissure grise . La topographie des faisceauxblancsestégalement
D'et E, coupes 66 et-34). En haut, la gomme s'arrête en plein tissu gris par une extrémité ar- rondie ; en bas, elle se
achnoïde, pie-mère, vaisseaux, tumeurs, faisceaux blancs, substance grise , racines. I. Dure-mère. Généralement peu altéré
s voisins, sa limite est moins nette dans la région de la substance grise , vers la commissure par exemple, où l'infiltrat
it dans ces régions le tissu médullaire, quel qu'il soit, substance grise ou substance blanche, s'infiltrer peu à peu de pe
mbryon- naire atteint d'abord les parties centrales de la substance grise , où elle disloque t'architectonique des tissus
GOMME SYPHILITIQUE DOUBLE DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 69 VII. Substance grise . Nous avons vu, en décrivant la topographie de
i ne pouvons-nous décrire les lésions histologiques de la substance grise an- térieure que dans le voisinage des gommes ;
se ; les petites cellules rondes parsèment diffusément la substance grise , formant çà et là des traî- nées périvasculaire
de dans la coupe. Les cornes postérieures sont les parties de l'axe gris qui ont le moins- souffert du voisinage des tum
sur le même type, atteignant son maximum au niveau de la substance grise des cornes antérieures. Cette localisation élec
he, soit par une vulnérabilité plus grande du tissu de la substance grise ; on sait d'ailleurs que la thrombose de l'artè
eaux, Panum, Vulpian) de favoriser le -ramollissement de la colonne grise . Un autre fait anatomique nous reste à signaler
eulement le faisceau pyramidal que nous identifions avec la colonne grise antérieure (col. motrice) mais aussi le cordon
à gauche); en outre, la tumeur T, par sa diffusion dans la colonne grise postérieure,interrompt au niveau de la 1" paire
s des racines se fait dans les cordons postérieurs et la commissure grise , au-dessus du point d'entrée de ces racines ; par
les premiers (tacti- les), après avoir fait étape dans la substance grise de ta cptpnneposténeure, gagnent les régions su
et douloureux) paraissent constitués exclusivement par la substance grise elle-même. Or si nous rapprochons les symptômes c
age de la lésion, et que le relai sensitif établi dans la substance grise était intéressé dans le pro- cessus. A ces deux
és thermique et douloureuse, dont les voies conductrices (substance grise ) sont manifestement interrompues des deux côtés
reconnaissait très bien, sur sa coupe, les sillons et les cor- nes grises . Le microscope y montra des tubes nerveux très ne
fait semblable à un tendon fibreux, sauf la coloration qui était d'un gris rougeâtre. Au microscope, M. l'otain ne put déc
e, de même il y avait de la tuméfaction du ré- seau de la substance grise . Çà et là, on trouvait dans la substance médul-
du sillon, productions fibreuses s'éten- dant jusqu'à la substance grise , attaquant le canal central qui est entouré de
ant dans les cordons postérieurs et dans les commissures blanche et grise . La substance blanche est atrophiée. Quelques gro
ent grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le canal
ulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de la dégénérescence vit
vitreuse. Latéralement au canal central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la su
ornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée avec atrophie des cellules ga
oit jusqu'à envahir, par un court tractus, la substance de la corne grise antérieure dans sa partie la plus interne et post
ubstance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée. Des
partie la plus périphérique des cordons de Burdach. La substance grise est diminuée de volume dans sa totalité, disposée
res nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les cellules
egment, il est impossible de distinguer la substance blanclie de la grise et réciproquement. On voit de très rares fibres
nérescence des cordons postérieurs et celle des cellules des cornes grises ., - La syphilis héréditaire serait donc capable
res étaient moins envahies que les artères cérébrales. La substance grise était saine, surtout au niveau des cornes antérie
e méningo-myélite très accentuée avec participation de la substance grise et blanche de la moelle. Les observations qui
ntre desquels existe une dépression assez profonde, à fond jaune ou gris jaunâtre saignant difficilement, difficile à déte
cheveux bouclés. Derrière lui, dans le fond, un vieillard il barbe grise est assis, jouant de la-vielle. A côté, devant
de la surface cérébrale saine en apparence, ainsi que la substance grise sont atrophiées. Deux coupes frontales de ATROP
cause doit être cherchée dans l'atrophie de la substance blanche et grise de l'écorce cérébrale. z On peut encore observe
s la partie du' pédoncule cérébral située au-dessus de la substance grise de SoeMMMer, la « IIduGc des auteurs allemands, n
cherie. On dirait des morceaux de brique ou de tuile, rougeâtres ou grises , à angles tranchants, à surface ra- boteuse.
inge voisine. L'atteinte primitive, directe des cellules des cornes grises par le poison syphilitique, signalée à propos d
, on reconnaissait très bien sur la coupe les sillons et les cornes grises . Le mi- croscope y montra des tubes nerveux trè
t .semblable à un cordon fibreux, sauf la coloration qui était d'un gris rougeâtre. Au microscope M. Potain, M. Cornil n
e nom- bre, il y avait de la, tuméfaction du réseau de la substance grise . Ça et là on trouvait dans la substance médulla
ur du sillon, productions fibreuses s'étendant jusqu'à la substance grise , attaquant le canal central qui est entouré de ce
Après avoir ouvert la dure-mère, on voit l'arachnoïde très épaisse, grise , blanchâtre. A sa face antérieure saillent de p
n aspect tuméfié ; les parties saillantes sont pâles, les profondes gris rouge. Sur la coupe l'arachnoïde est épaisse de u
limètre. La moelle montre le cordon droit antérieur épais, vitreux, gris blanc; dans la partie inférieure- c'est le cord
es vaisseaux de la substance blanche, les vaisseaux de la substance grise sont intacts. A côté de vaisseaux totalement ob
eurs lésions sont très minimes pro- portionnelleuieut. La substance grise qui a conservé un certain degré d'immu- 286 NOU
e séparer le cylin- dre-axe des parties engainantes. La substance grise et surtout les cellules ganglionnaires et les vai
t dans les cordons postérieurs et dans les commissures blan- che et grise . La substance blanche est atrophiée. Quelques gro
ent grêles. Les tuniques des vaisseaux sont épaissies. La substance grise est disposée d'une façon asymétrique. Le canal
ulaire très développée. Quelques cellules ganglionnaires des cornes grises antérieures présentent de 'la dégénérescence vi
vitreuse. Latéralement au canal central, dans le centre des cornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la su
ornes grises antérieures, se voient 2 zones arrondies où la substance grise est très raréfiée'aVec atrophie des cellules ga
é droit jusqu'à envahir par un court tractus la substance de la corne grise (1) Gangitano, Contribulo allô studio délia sif
ubstance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des cornes grises est irrégulièrement disposée et atrophiée. Des
partie la plus périphérique des cordons de Burdach. Le substance grise est diminuée de volume dans sa totalité, disposée
res nerveuses. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La substance grise des divers segments est dégénérée, les cellules
segment il est impossible de distinguer la substance blanche de la grise et réciproque- ment. On voit de très rares fibr
tantôt s'avançant jusqu'à la commissure postérieure de la substance grise centrale ; d'autres encore pénètrent les cordon
termine en massue volumineuse, d'aspect vitreux. Dans la substance grise les fibres sont épaisses, gonflées, surtout dans
is encore ils sont assez marqués. Signalons enfin dans la substance grise des cornes antérieures de petites hé- morrhagie
s ont permis d'étudier de plus près les cellules nerveuses de l'axe gris . L'âge,des foetus a varié, le plus grand nombre
es parties que chez l'adulte, il faut cependant remarquer que l'axe gris y prend plus d'impor- tance par rapport au mant
u microscope : Région cervicale : cordons blancs, cellules de l'axe gris , canal épendymaire normaux. - Racines non inf
aisseaux gorgés de sang. Les cordons blancs, les cellules de cornes grises , l'épendyme sont normaux. Les racines ne sont p
La moelle aussi bien dans sa substance blanche que dans sa substance grise est parcourue par des vaisseaux énormément dist
es par l'hématoxyline, ici on trouve sur le fond général de couleur gris de lin de nombreux noyaux^ peine colorés, de pl
un amas de noyaux fortement colorés en violet tranche sur la teinte grise du fond. On devine encore les vestiges des vaisse
ine hématoxyline ils semblent normaux. Les cellules de la substance grise se colorent, à peu près, à ce niveau et sont bien
dat grenu et beaucoup de globules à noyaux. Les cellules des cornes grises sont encore distinctes. Les racines présentent
ns la moitié atrophiée de la moelle où elle est en pleine substance grise , tandis que du côté opposé elle déborde la corn
sse entrevoir que le bout de son nez, une moustache et une barbiche grises , se tient debout derrière la table, la main gau
'une de ses moitiés où se distingue encore assez nettement la corne grise . La moitié de la moelle qui occupe le côté droi
la substance blanche est réduite à quelques lambeaux bordant Taxe, gris , elle est très altérée au niveau de l'émer- gen
pect ordinaire du tissu médullaire se substitue une teinte uniforme gris bleutée où l'hématoxyline ne colore plus un seu
e où l'hématoxyline ne colore plus un seul noyau ; et dans la corne grise les cellu- les ont les unes conservé leur proto
st absolument impossible de reconnaître quoi que ce soit des cornes grises ou des cordons blancs, seulesles cellules de l'
. On reconnaît assez nettement la substance blanche et la substance grise avec les cellules motrices, mais il est impossibl
atrophiée. Examinons chacun des éléments de la coupe : la substance grise se distingue nettement de la substance blanche,
tère du tissu nerveux, on y voit seulement un magma grenu coloré en gris bleuâtre dans lequel sont quelques noyaux colo-
ci il redevient impossible de distinguer la substance blanche de la grise , la moelle est le siège de vacuoles énormes, seul
e, mais montrant assez distinctement les contours connus de son axe gris et portant sur son bord droit une tumeur confon
coupes. Région cervicale. On distingue assez nettement la substance grise de la subs- tance blanche, les cellules des cor
invisible, disparue sous l'envahissement pathologique. Sur un fond gris bleu uniforme un piqueté abondant de noyauxvio-
, une double rangée de cellules rondes les borde. Dans la substance grise les cellules se voient avec peine, ou les disting
re plus atteinte, il est impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule nerveuse. Il existe des espac
partout aussi bien dans la substance blanche que dans là substance grise . Queue de cheval. Le microscope montre au centr
-dite présente des caractères normaux, aussi bien dans la substance grise où les cellules sont normales que dans les cordon
Région cervicale. La moelle proprement dite est normale, la substance grise présente des cellules bien colorée, la substanc
icale. La moelle proprement dite est saine, les cellules des cornes grises se colorent bien et tous leurs éléments sont dist
s infiltrée, doublée sur sa face interne par une bande d'une teinte gris bleu uniforme, parsemée de cellules fortement col
roits, comme craquelée en d'autres. Cependant les cellules de l'axe gris persistent avec leurs caractères normaux. Dan
naît au centre le canal épendymaire à peu près normal, la substance grise laisse voir ses cellules des cornes antérieures
formée complètement en cordon fibreux. Les cel- lules de ses cornes grises ont été notées souvent altérées, la dégénérescenc
e, irrégulièrement dentelé, est séparé de la matrice par une couche grise et grenue. Celte couche qui relie la face profond
10 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es sensations visuelles, dont le siège serait situé dans les noyaux gris du mésencé- phale, dans les tubercules quadriju
antéro-latéraux et postérieurs, surtout les droits, sont colorés en gris jaunâtre. Un peu au-dessous de cette région, les
e cette région, les coupes transversales nous montrent la substance grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise postéri
nous montrent la substance grise rouge : pointillé rouge à lacorne grise postérieure gauche. Au-dessus de cette région o
cette région on voit un aspect uniformément rouge de la substance grise . Pas de ramollisement de la substance blanche. Le
bes occipitaux : Dans ce but, l'expérimentateur excise la substance grise de la région psychomotrice et excite ensuite la
dérée comme exacte, car après la suppression totale de la substance grise , ces mouvements se produisent, avec une identit
longitudinales de même qu'après l'enlèvement total de la substance grise montrent que les centres de la déviation conjug
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS HISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'ENFANCE
paralysie générale a son terme, une telle recherche DE LA SUBSTANCE GRISE . '1 ï9 serait impossible; la seconde, c'est que
e l'étude des filets nerveux; on est réduit à celle de la substance grise en général, que l'alcool fixe assez bien. Nous
gerons, sans nous occuper de topographie, les lésions de l'écorce grise seulement; celles du moins que nous pourrons ap
enant qu'à exposer com- ment on arrive à lire une coupe de l'écorce grise , et c'est là un point d'une extrême importance.
ou- ver assez bien dans les différentes couches de la subs- tance grise , surtout si l'on emploie dès le début les faibl
l'écorce, ce qui manque actuellement. On peut considérer l'écorce grise sous deux plans, le premier parallèle à la surf
nq, d'après le schéma donné il y a dix-huit ans par DE LA SUBSTANCE GRISE . 181 t Meynert dans le manuel de Stricker. Malg
che des cellules moyennes, qui occupe près du tiers de la substance grise , et s'accroît encore dans le lobe occi- pital p
ement réunir en une; c'est la zone de transition entre la substance grise la substance blanche, assez difficile à débroui
nt les uns des autres à ce niveau pour pénétrer dans la substance grise . Elle renferme à sa partie supérieure de petites
ion normale des faisceaux de fibres qui montent dans la substance grise , et qui s'aperçoivent très suffisamment sur les
les pièces traitées par l'alcool. Ces faisceaux se DE LA SUBSTANCE GRISE . 183 divisent, au niveau de la cinquième couche
de colonnes fibrillaires qui séparent les éléments de la substance grise , qui, eux, s'organisent naturellement dans les
n est plus marquée naturellement dans la profondeur de la substance grise , là où les faisceaux sont plus gros, et c'est p
qui permette d'avoir sous l'oeil toute l'épaisseur de la substance grise , on la verra décomposé en un véri- table quadri
nt servir à établir une transition entre l'atrophie de la substance grise que nous étudions et les états plus marqués de
uence de cette broncho-pneumonie, qui chez un autre DE LA SUBSTANCE GRISE . 185 de nos malades mort dans le même cas prése
aussi de fines gouttelettes graisseuses - exister dans la substance grise . Sur des coupes colorées, on cons- tate que la
des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas des lésions nettes; la substa
des bandes fibrillaires nombreuses qui rayonnent dans la substance grise . Du côté de celle-ci, les lésions sont les même
les capillaires au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des
noyaux sphériques ne pa- raissent pas multipliées dans la substance grise , mais le sont évi- demment dans la substance bl
ipital gauche à la face externe de l'hémisphère montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couch
on assez pauvres en cellules, où presque toute la trame de l'écorce grise s'est en- levée avec les méninges, ou est tombé
frontale. Il existe des foyers de désintégration dans la substance grise , des amas considérables de corps granuleux dans
, les yeux ternes, les che- veux et la barbe du malade, entièrement gris avant la maladie, furent entresemés de cheveux
Ainsi, si pour une raison que nous ne saurions dé- DE LA SUBSTANCE GRISE . 333 terminer, les lésions propres à la paralys
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LÉSIONS IIISTOLOGIQUES DE LA SUBSTANCE GRISE DANS LES ENCÉPHALITES CHRO- NIQUES DE L'ENFANCE
vés et sont évidemment consécutives aux désordres de la substance grise . (Bourneville et Pilliet, Soc. anat., 1886.) Di
la névroglie, nous nous bor- nons à les signaler. DE LA SUBSTANCE GRISE . 335 Le rôle des vaisseaux dans ces lésions déj
parfaitement visibles,, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise , la couche superficielle de névroglie a son épa
ment n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la subs- tance blanche, ce qui domine c
out à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges, surt
oupe du lobe occipital, une portion assez considérable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui, en rest
es sur les régions postérieures de l'hémis- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 337 I phère et se composent toujours des deux
dorsale. Les cordons blancs sont, symétri- ques ; dans la substance grise , tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans l
menteux et irré- gulier ; une portion assez épaisse de la substance grise avait été enlevée avec la pie-mère. Les lésions
upe d'une circonvolution prise dans le lobe frontal. - La substance grise est très mince ; on n'y retrouve qu'avec peine
nt triangulaire dans n'importe laquelle des couches de la substance grise . - Coupe au niveau du lobule paracentral. La va
se parsème de fines vacuoles. L'infiltration de toute la substance grise par les élé- ments sphériques est nettement acc
upe d'un zeste de citron ou d'orange, quand LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 3391 on pratique une section nette de la circo
parenchyme sont très petites, d'ailleurs l'épaisseur dn revêtement gris est très faible. La substance blanche offre l'a
E. -Coupes du lobe paracentral droit. - Les couches de la substance grise ne sont pas distinctes les unes des autres; ell
ne antérieure. Le ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 341 groupe antérieur de celte corne ainsi que
inuant de nombre vers la qua- trième couche de cellules de l'écorce grise : Observation VI. - Assas..., 1876-1884. Idioti
e très développée dans les . couches superficielles de la substance grise ; beaucoup de foyer. : .de désintégration assez
ux dans la partie profonde de l'écorce. Les LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE .- 33 3 espaces péri-vasculaires sont dilatés; l
ions plus avancées, les foyers de désintégration forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise
forment des taches grises occupant toute la hauteur de la substance grise dans les intervalles qu'ils laissent entre eux,
comprise dans les concavités antérieure et latérale de la moelle grise . Dans celle-ci, les îlots cellulaires sont isolés
là des points plus épais, lesquels déterminent de véritables taches grises , visibles à l'oeil nu par transparence. Cette b
oup moins marquée que dans les préparations précé- dentes. Le ruban gris de Vicq-d'Azyr constitué par une accumu- lation
remière et la troisième couche de l'écorce, LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE .. 345 en général , qu'il débute entre la premiè
re droit, coupe d'une circonvo- lution frontale. Toute la substance grise est prise en nappe, toujours au même point, au
ant la deuxième et la troisième couche des cellules de la substance grise présente de place en place des taches grises de n
ellules de la substance grise présente de place en place des taches grises de névro- glie aérolaire qui expliquent l'affai
ncéphalite chronique disséminée assez marquée pour que la substance grise se décortique en totalité sur quelques points,
-uns de ces vaisseaux des foyers de désintégration, où la substance grise , rendue plus fragile, est tombée en partie sur
brale, mais cette atrophie n'était point la LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 347 grande sclérose lobaire, c'était une atrop
tre les scléroses à grand foyer et les écroulements de la substance grise avec épaississement névroglique, comme nous ven
uide de Muller. Cerveau droit. - Portions atrophiées. Stibstai2ce grise . - Les membranes n'o nt pas enlevé des portions
ance cérébrale en se détachant; la première couche de la .substance grise est confondue avec la seconde; elle présente, com
t plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise , celle des petites cellules pyramidales. Ces ba
ondies, granuleuses et pigmentées; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des ba
estonné. Au niveau de ces points, la première couche de subs- tance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux. L
ui résulte de l'effondre- ment des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique aréolaire qu'on observe, bea
icales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petite
points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée par le vaisseau vasculaire.
llules de Purkinje assez nombreuses. Couche LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 349 externe et couche des myélocytes normales.
nt surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer trois étapes : 1° pr
e vascularisation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes les dir
ste bande entre la première et la troisième couches de la substance grise , et comprenant ainsi la moitié environ de la ha
et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise . Ces foyers sont caractérisés par la rareté des
e niveau, on constate une dépres- sion en entonnoir de la substance grise , une perte de substance qui s'étend jusqu'à la
aments fibrillaires allant de la paroi superficielle à la substance grise restante. Cette paroi est composée de dehors en
lésion et disparaît dans la couche superfi- cielle de la substance grise normale. Au-dessous, apparaît une couche de deu
successive- ment dans la couche externe névroglique de la substance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la de
issure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouve
s : sur certains points, la sériation longitudinale de la substance grise est encore assez visible, mais ces séries sont
r de ce foyer, il ENCÉPHALITES CHRONIQUES : LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 3Õ3 existe un certain nombre de taches ou poin
ilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise . Lésions de la substance blanche. Dans la subst
descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise , et dans laquelle les fibres n'existent t pas;
us fibrillaires que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées, quoi-
rameux assez nombreux et, de plus, sur certains points, des taches grises où la névroglie s'est raréfiée, qui forment aut
GIQUE. par où descendent les fibrilles qui vont former la substance grise , on voit, de plus que dans les couches précéden
oi fibrillaire nette. Mêmes lésions que plus haut dans la substance grise . Cervelet. - Dans la substance grise, la couche
ue plus haut dans la substance grise. Cervelet. - Dans la substance grise , la couche de névroglie est fibrillaire dans le
e, grosses fibrilles anastomosées. Moelle cervicale. - La substance grise à des altérations cellu- laires importantes.
t que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur refringence apparaît beaucoup pl
sale. - L'aspect est le même de tout point. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 3bo- Moelle lombaires Les lésions sont les mêm
e voir; c'est dans les couches les plus profondes de la substance grise , et même au milieu de la substance blanche, qu'
ts. Nous rapportons ces faits à cause de la coexistence de taches grises d'encéphalite au voisinage des points les ' Les
re, le réseau qui occupe la couche la plus profonde de la substance grise , enfin les fibres descendantes de la substance
es descendantes de la substance blanche de- LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 337 1 vaient nous échapper. C'est là une gross
439, 1869. .Herbert Mayor. - Lésions histologiques de la substance grise , chez déments, etc. - lVest riding lunatie asyl
rzztul Science, p. 532, 1883. ' o Luys, - Structure de la substance grise . - L'Encéphale, p. 149, 1883. Ranvier. Névrog
Sclérose infantile. Progrès médical, 1885. LÉSIONS DE LA SUBSTANCE GRISE . 389 Obersteiuer. - Voies sanguines du cerveau
ier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant il la surface de l'en- céphale u
lobule paracentral (Robèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance blanche, pour montrer la raret
e fait plus passer les faisceaux pyramidaux il travers les masses grises des corps striés, et que les impulsions motrices
sensibilité et à de prétendus « centres psychiques » ? ? La masse grise des corps striés ne paraît avoir au- cune conne
n ignore si ces faisceaux sont en relation réelle avec la substance grise du cerveau (Flechsig, Wernicke, Gowers). Même i
traient aux muscles leur exci- tation par l'intermédiaire de masses grises situées profondément dans le cerveau, probablem
motrices, pour atteindre les faisceaux en rapport avec les noyaux gris moteurs de la moelle épinière. Ces régions cort
ntation de la croissance des cheveux et le remplacement des cheveux gris par de noirs (Hamilton). Avec cela on observe p
lus haut, même jusqu'aux genoux. La peau était tendue, d'une teinte gris sale, luisante, sèche, et dénuée de tous ses poil
ltérations diffuses de texture siégeant de préférence dans l'écorce grise du lobe frontal gauche. Dans le second cas, c
ier, comprenant la seconde et la troi- sième couche de la substance grise (A) et donnant à la surface de l'en- céphale un
obule 7aracezztul (Itobèch...) au niveau de l'union de la substance grise et de la substance 1>lancle, pour montrer la r
11 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
de départ est en réalité, dans certaines altérations de la substance grise de la moelle épi-nière. Multiplier ces exemples
te de la cornée. Le ganglion de Casser du côté droit était d'un jaune gris , tuméfié, imbibé de sérosité. La portion du gangl
: a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la substance grise que dans une très petite éten-due en hauteur: Myé
uvres complètes, t. i H sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myélite ce
des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs :
laire progressive, etc. —Rôle prédomminanl des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques muscul
lesquelles lalésion initiale occupe plus parlieulièrementla substance grise , il est commun de voir se produire, comme lorsqu'
se limiter aux faisceaux de substance blanche, et si, parfois, l'axe gris est envahi, elles respectent la région des cornes
Toffroy. — Deux cas d'atrophie musculaire avec lésion de la substance grise et des faisceaux antéro-laléraux de la moelle épi
s'étendre des faisceaux blancs aux cornes antérieures de la substance grise ; alors on pourrait voir survenir, en con-séquence
r un de mes élèves, M. Pierret. — Sur les altérations de la substance grise de la moelle épinière da?is Vataxie locomotrice,
s'était étendu descordonspostérieursàlacorne antérieure de substance grise du côté droit en suivant la voie des faisceaux ra
as-ciculée consécutive unilatérale peut, en s'étendant à la substance grise , déter-miner l'atrophie musculaire. Une femme,
nombreux myélocytes. propagée à la corne antérieure de la substance grise du côté correspondant et y avait déterminé l'atro
le milieu de la région cervicale, la presque totalité de la substance grise de la moelle, dans une certaine étendue en hauteu
e étendue en hauteur, à la fois la substance blanche et la sub-stance grise , mais prédominant cependant, en général, dans cel
entrique du processus morbide, les cornes antérieures de la substance grise se trouvent intéressées, les lésions musculaires
s musculaires qui sont la conséquence de cette participation de l'axe gris , resteront limitées à certaines régions très circ
écutivement à l'envahissement des cornes antérieures de la subs-tance grise , siégeraient alors dans les membres et se traduir
cot. Œuvres complètes, t. i. 5 Le sang se répand surtout dans l'axe gris , qu'il envahit assez sou-vent dans laplus grande
sont limitées d'une façon pour ainsi dire systématique à la substance grise des cornes antérieures dont elles envahissent rar
ement proportion-nées, quant àlintensité, aux lésions de la substance grise . Il paraitévident, d'après loutce qui précède, qu
aux dans le voisinage immédiat des cornes antérieures de la substance grise (1 ). La paralysie infantile spinale est, quant
toutes tes affections irritatives de la moelle dans lesquelles l'axe gris se trouve intéressé. D'un autre côté, l'absence d
tion des faisceaux blancs et des cornes posté-rieures de la substance grise dans le développement des affec-tions musculaires
le épinière et le cerveau, ou encore entre les divers points de l'axe gris spinal. 11 était à prévoir, d'aprèscela, que, à b
ophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (at
ale postérieure ; 3° sclérose des cornes postérieures de la substance grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spinaux o
onnaître l'existence d'altérations quel-conques, soit dans les cornes grises postérieures, soit dans les nerfs périphériques,
cordons antéro-latéraux, soit aux cornes antérieures de la substance grise ; et quant au rôle que pourraient jouer à cet éga
grise ; et quant au rôle que pourraient jouer à cet égard les cornes grises postérieures, nous sommes, sur ce sujet, dans l'i
M. Millier, à l'envahissement de la corne antérieure delà sub-stance grise du côté correspondant à la blessure dans toute Té
a moelle épinière, semble désigner tout particulièrement la substance grise comme jouant à cet égard, un rôle prédominant, et
é, il est parfaitement établi que toutes les par-ties de la substance grise ne doivent pas être ici incriminées in- 1. Voir
occupant, soit les parties centrales et postérieures de la subs-tance grise , soit encore les faisceaux blancs postérieurs. A
u côté droit. — A', corne antérieure du côté gau-che. — B, Commissure grise postérieure et canal central. — C, Sillon médian
nvoquer une lésion des nerfs périphériques; c'est dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle que nous croy
ngulière de l'ataxie (1). Il n'est pas très rare de voir la substance grise spinale affectée dans l'ataxie locomotrice ; mais
la moelle a été fait avec soin , les cornes antérieures de substance grise étaient, dans ces deux cas, remarquablement atrop
opathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des cordons antérieurs parais-sait exempte d'alté
nder si cette altération d'une des cornes antérieures de la substance grise spinale, révélée par l'examen microscopique, n'es
é de leurs mouvements et, d'un autre côté, la lésion de la sub-stance grise différait essentiellement ici de celle qui se pro
t 1. Voir Gharcot et Joffroy. — Note sur une lésion de la substance grise de la moelle épinière, observée dam un cas d'arth
he, jusqu'à cer-taines régions des cornes antérieures de la substance grise , le processus inflammatoire, primitivement dévelo
elles aussi, de l'envahissement de ces mêmes régions de la substance grise de la moelle épinière. Dans le cas où il s'agit d
ondaire, des cellules nerveuses descornes antérieures de la substance grise spinale, paraît être le point de départ de l'amyo
u centre spinal et plus particulièrement, sans doute, de la substance grise . 1. Ollivier (d'Angers) avait déjà noté, que da
dans sa couleur,,., car les plaques sont très rares sur la substance grise des circonvolu-tions. 11 n'en est plus de même en
rps calleux (Pl. VII) et enfin dans certaines régions de la substance grise (Couches optiques, corps striés. Pl. IV et VII, F
t à la moelle. A travers la pie-mère, on aperçoit souvent des taclîes grises prenant par le contact de l'air une teinte rosée
ns, sans respecter les sillons et porlent aussi bien sur la substance grise que sur la substance blanche. (Pl. V et VI). Le
Ellesont une coloration qui rappelle à peu près celle de lasubstance grise , dont il est difficile de les distinguer ; mais a
our constituer ce que l'on nomme la substance blanche et la substance grise . Nous nous proposons de concentrer votre attentio
base est à la périphérie et dont le sommet se perd dans la substance grise . 1. C. Frommann. — Vntersuch. ilber die normale
que dans la substance blanche, la né-vroglie joue, dans la substance grise , un rôle important ; il est, en effet, des région
ntient, est beaucoup moins affectée par le réactif. Dans la substance grise , d'ailleurs, de même que dans la substance blanch
es, qui font partie intégrante du tissu lamineux. Dans la substance grise , la névroglie est faite sur le même plan général
ombreuses que partout ailleurs dans certaines régions de la substance grise et qu'elles sont parfois tellementdéveloppées, qu
pas, du moins au même degré, dans les autres variétés de l'induration grise , soit qu'il s'agisse de la sclérose spinale desce
la sclérose en plaques que dans les autres variétés de l'indu-ration grise . C. Ce n'est pas toujours sans difficulté que l
forme de petites traînées blanches, visibles à l'œil nu, sur le fond gris de la plaque sclérosée. Cependant les tuniques el
'appliquer également, d'une manière générale au moins, à la substance grise . Dans les deux substances, en effet, la névroglie
les nerveuses, lorsque, par suite de l'en-vahissement de la substance grise , elles se trouvent comprises dans l'aire d'unepla
n'ai jamais rencontré, sur le cadavre, la coexistence de l'induration grise multiloculaire avec la sclérose fasciculée postér
moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise et ces cellules, en conséquence, avaient subi des
qui est celle qu'on observe le plus habituellement dans l'indu-ration grise multiloculaire, peut être opposée à la forme salt
rticales, sont le siège d'une double dégérescenec jaune blanchâtre ou gris d'acier, tantôt diffuse, tantôt en plaques dissém
des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires, que
alamus, in London Hoipital Reports, 1806, l. III, p. 373. substance grise de la moelle. Le corps strié, lui, serait l'abou-
mé des impressions sensitives, doit sans doute être assimilée à l'axe gris de la moelle épinière ; celui-ci, comme on le sai
é-sordres les plus graves, pour peu qu'un petit lambeau de subs-tance grise subsiste, capable de rattacher le bout inférieur
en ce qui con-cerne la transmission des impressions sensitives, l'axe gris de la moelle n'est évidemment qu'un conducteur.
on,n'estplus réprésenté que par une toute petite masse de substance grise ; — au-dessous de lui, et en dedans, la couche op
ance blanche, la capsule externe, et, mfin une bandelette de subtance grise , Xavant-mur (Vor-mauer). Or, Messieurs, dans le
me, malgré l'apparition d'une attaque hystéro-épileptique. octobre. Grises convulsives dans lesquelles l'hystérie prédomine.
nt lésés, mais que, en outre, les cornes anté-rieures de la substance grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à présen
n extrémité. — Cervelet, isthme, rien à noter. Moelle. La substance grise à l'œil nu paraît un peu déformée. Thorax. Cong
on étendue. On aperçoit, disséminées à la surface, de petites plaques grises ayant quelques millimètres de largeur et dont la
s surfaces des ventricules latéraux sont parsemées de grandes plaques grises , dures, qui empiètent sur le corps strié, la couc
t pas nettement leur image ; les draps du lit et le papier paraissent gris , les caractères d'un livre ne sem-blent pas d'un
que lesmalades nepeuvent pas les lire ; elles voient sur le livre du gris plus foncé sur du gris moins foncé...Lorsque l'an
nt pas les lire ; elles voient sur le livre du gris plus foncé sur du gris moins foncé...Lorsque l'anesthésie est portée au
ux du malade que sous l'aspect où ils se présentent daus une peinture grise « en camaïeu » ou dans une aquarelle « à la sépia
plus, que les animaux imaginaires, géné-ralement de couleur noire ou grise , plus rarement d'un rouge vif, se présentent touj
, dyschroma-topsie de l'œil gauche. Voit souvent tout à coup des rats gris ou noirs courir à gauche d'elle, sur le parquet o
e est souvent effrayée par l'arrivée brusque et opinée d'un gros chat gris qui, apparaissant sur sa droite, semble sauter su
de sclérose dans différentes régions (substance blanche et substance grise ). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régi
ots de sclérose dans d'autres régions (substance blanche et substance grise ). a, Plaques et îlots de sclérose dans les régi
des ventricules latéraux- c, Plaques de sclérose dans la substance grise du noyau intraventriculaire du corps strié droit.
ons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance grise . Toutes ces coupes, représentent l'état frais;
ranche si nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale. I, Partie supérieure de la région cer
ons de la substance blanche où elles dominent, soit dans la substance grise . (Toutes ces coupes sont relatives à l'état fra
i tranche nettement sur la substance blanche et même sur la substance grise centrale). 1, partie supérieure du renflement c
de la protubérance. Sur toutes ces figures, les parties colorées en gris cendré représentent des plaques de sclérose. CH
: a) Lésions en foyer très circonscrites, n'intéressant la substance grise que dans une très petite éten-due en hauteur: Myé
circonscrites qui intéres-sent les cornes antérieures de la substance grise dans une certaine étendue en hauteur : Myélite ce
des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec ou sans participation des faisceaux blancs :
laire progressive, etc. —Rôle prédomminant des lésions delà substance grise dans la production des troubles trophiques muscul
ophies de cause spinale, d'une lésion des cornes antérieures de l'axe gris ; on les observe dans la sclérose postérieure (at
Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la substance grise de la moelle, 62. — Lésions de ces cellules : for
anée, 106 ; — épo-que de son apparition, 106 ; — Rôle de la substance grise sur la production du—, 108. — Influence des lésio
12 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
places des parties dures, de peu de dimension, de couleur brillante gris brun; les cheveux et les cils sont longs, noirs e
ent; le long de la grande scissure, on entraine un peu de substance grise ; à l'extré- mité antérieure dela troisième fron
ème frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la substance grise . L'aspect des circonvolutions est luisant et ra
titude de petites saillies, du volume d'un petit grain de mil, d'un gris jaunâtre, non dures comme les dépats crétacés,
peu oedématié, musculature du thorax oedématiée, très pâle, presque grise . Tissu graisseux sous-séreux de l'abdomen forte
é de graisse, de grandeur normale; capsule non adhé- rente; surface gris foncé, violette; parenchyme très épais. L'écorc
TIE CRÉTINOÏDE. La substance corticale est par-ci par-là trouble et gris jau- nâtre. - Rein droit (1415 gr.), mêmes lési
és, injectés. Amygdales agrandies, la droite pâle, la gauche plutôt gris vio- lette paraissant atteinte d'hyperplasie ch
parties centrales des lobules, par des granula- tions pigmentaires grises jaunâtres, souvent avec dépôt graisseux; 7° Sur
ante droite où l'on en- traîne avec elle une partie de la substance grise . En- céphale : 1270 gr.Cerueau : hémisphère dro
a respecté les faisceaux les plus internes, contigus à la substance grise ; il y a une ligne de démarcation brusque entre
tuméfiés. Le tissu scléreux est peu vascularisé. Dans la substance grise , on trouve une grande diminution de nombre des
opsie. Quelques granulations dans les méninges et dans la substance grise . On voit saillir dans l'espace interpédon- cula
veines posté- rieures de la pie-mère, dans une masse plus ancienne, grise , friable, thrombotique. La pie-mère est blanchâ
do diamètre, se touchant l'une l'autre, entourées .d'une zone d'un gris rougeâtre et d'aspect vitreux. Sur l'hé- 124 TU
ans sa portion dure, du côté droit. Le glossopha- ryngien droit est gris et gélatineux. Les autres nerfs ne pré- sentent
peut se faire qu'en entraînant une assez forte couche de substance grise . -Autant qu'on peut le voir par suite de l'épai
e une petite cavité, mais sans entraîner aucune portion de l'écorco grise . Un sem- blable nodule, du volume d'une amande
les points sus-indiqués, sont en général assez profonds. Les masses grises , les cornes d'A mmon ainsi que les lo- bes orbi
lèle, la pie-mère a em- porté avec elle une portion de la substance grise . La môme lésion se retrouve sur la pariétale as
uetée, car presque partout une couche assez épaisse de la substance grise a été entraînée avec la pie-mère; nulle part ce
parfaitement visibles, quelques-uns sont rameux. Dans la substance grise , la couche superficielle de né- vroglie a son é
ppement n'est pas excessif. Dans la couche suivante de la substance grise et dans la substance blanche, ce qui domine c'e
out à fait disparu. La couche la plus superficielle de la substance grise a été en partie enlevée avec les méninges, surt
pe du lobe occipital, une portion assez considé- rable de substance grise a été enlevée avec la pie-mère, ce qui en reste
-dorsale. Les cordons blancs sont symé- triques ; dans la substance grise , tuméfaction hyaline assez peu accentuée dans l
ur une hauteur d'un demi- centimètre, de l'atrophie avec coloration grise un peu ardoisée. Le lobule paracentral est asse
ses autres parties, presque réduit à une simple coque do substance grise . Le pli de passage pariéto-temporal izfé- (1) C
kyste.- Le corps calleux est peu développé, présente une coloration grise un peu ardoisée; son extrémité postérieure (bou
sur une longueur d'environ un centimètre, elle a une colora- tion grise ardoisée et est plus ferme. La circonvolution du
ni cicatrices; les sourcils sont châtains et peu fournis ; les yeux gris bleus ; le nez est droit et régulier; les oreil
uelques adhérences, la partie la plus superficielle de la substance grise a été enlevée avec la pie-mère. Ces adhérences
halite; POROSE cérébrale. 175 graisseuses exister dans la substance grise . Sur des coupes colorées, on constate que la va
des prolongements nets. En somme, les cinq couches de la substance grise ne présentent pas de lésions nettes; la substan
es bandes fibrillaires nombreu- ses qui rayonnent dans la substance grise . Du côté de celle-ci, les lésions sont les même
les capillaires, au lieu de s'enfoncer tout droit dans la substance grise s'y ramifient, la morcellent; l'as- pect normal
noyaux sphériques ne paraissent pas multipliées dans la subs- tance grise , mais le sont évidemment dans la substance blan-
ne de l'hémisphère, au-dessus du corps calleux, montre la substance grise un peu réduite d'épaisseur, mais avec ses couch
assez pauvres en cellules, ou pres- que toute la trame de l'écorce grise s'est enlevée avec la pie- mère, ou est tombée.
frontale; il existe des foyers de désintégration dans la substance grise , des amas considérables de corps granuleux dans
vés et sont évidem- ment consécutives aux désordres de la substance grise . IÎH IDIOTIE COMPLÈTE. VII. Idiotie complèt
ions diffuses d'encéphalite chronique ; lésions de la subs- tance grise et de la substance blanche de la moelle épi- ni
ur la face convexe, la pie-mère entraîne une partie de la substance grise qui se soulève par places comme une paroi kysti
plus grand diamè- tre. Ils ne semblent intéresser que la substance grise . Ils siègent sur la partie postérieure de la se
une vascularisation anormale très prononcée dans toute la substance grise ; les vaisseaux sont ramifiés dans toutes les d
aste bande entre la première et la troisième couche de la substance grise , et comprenant ainsi la moitié environ de la ha
et comprenant ainsi la moitié environ de la hauteur de la substance grise . Ces foyers sont caractérisés par la rareté des
ce niveau, on constate une dépression en entonnoir do la substance grise , une perte de substance qui s'étend jusqu'à la
ents fibril- laires allant de la paroi superficielle à la substance grise res- tante. Cette paroi est composée, de dehors
lésion et disparait dans la couche superficielle de la subs- tance grise normale. Au-dessous apparaît une couche deux à
successivement dans la couche externe névroglique de la subs- tance grise ; c'est donc entre cette couche externe et la deu
issure qui a donné lieu à la cavité que nous étudions. La substance grise qui forme les parois de l'entonnoir est recouve
ts : sur certains points, la sériation longitudinale delà substance grise est encore assez visible, mais ces séries sont
ilaté autour de la plupart d'entre eux; ils morcellent la substance grise . Lésions de la substance blanche. - Dans la sub
descendante, correspondant à la perte de substance, de la substance grise et dans laquelle les fibres n'existent pas; tou
ssu fibrillaire que dans la précédente; les lésions de la substance grise au pourtour du foyer sont moins avancées, quoiq
190 EXAMEN HISTOLOGIQUE. de plus, sur certains points des taches grises où la névroglie s'est raréfiée, qui forment aut
es par où £ t descendent les fibrilles qui vont former la substance grise , on voit de plus que dans les couches précédent
oi fibrillaire nette. Mômes lésions que plus haut dans la substance grise . Cervelet, - Dans la substance grise, la couche
ue plus haut dans la substance grise. Cervelet, - Dans la substance grise , la couche de névroglie est fibrillairo dans le
rosses fibrilles anastomo- sées. Moelle cervicale. - La substance grise a des altérations cellulaires importantes. Da
que peu ou point. Par l'hématoxyline, ces cellules se colorent en gris de lin et leur réfringence apparaît beaucoup plus
par quels élé- ments le processus morbide a débuté. La substance grise montre ses vaisseaux très ramifiés, mais sans b
n observe, comprenant la portion superficielle' de la subs- tance grise , des taches grisâtres plus claires, visibles à
est constituée par la couche la plus superficielle de la substance grise , épaisse, feutrée, vascularisée. Le contenu nou
coagulé par l'alcool. La paroi profonde est formée par la substance grise dans laquelle les taches grises sont très abond
profonde est formée par la substance grise dans laquelle les taches grises sont très abondantes et pronon- cées, le tissu
s, il y a donc un rapport entre leur présence et celle des taches grises ; mais nous ne pouvons préciser quelle est l'infl
a moelle, sont naturellement diffuses, comme celles de la substance grise qu'elles suivent. Nous ne re- viendrons pas sur
ux un peu enfoncés. - Pupilles con- tractiles très resserrées. Iris gris . Pas de lésion oculaire. La fente palpébrale ga
ble. - Peau et poils : Cheveux clair-semés noir foncé, quelques-uns gris ; calvitie du sommet de la tête. Poils longs as
ème du poumon gauche (780 grammes), prédominant à la base. Aspect gris sale de la plaie trachéale; celle-ci intéresse
ltérations des méninges, des adhérences entre elles et la substance grise . Notre hypothèse ne s'est pas réalisée ; nous a
t d'ailleurs aucune adhérence et, au moins àl'ocil nu, la substance grise n'of- frait pas d'altérations. En résumé, il n'
13 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
auche de cet organe : dans le premier sens, le débris de moelle était gris , sans vestige de substance blanche; dans le secon
érieurs médians du bulbe rachidien étaient convertis en une substance grise . La coupe représentée figure 5 donne une idée e
t notamment un capable d'ad-« mettre une noix, à parois irrégulières, grises ou jaunâtres, tapissées par une membrane « accide
s ou lobules. La dégénération cancéreuse présente l'aspect de truffes grises , parsemées de quelques points noirs : c'est le c
appétit est nul; cependant le malade continue à manger: sa langue est grise ; la soif est assez vive. Après l'ingestion des al
es sont d'un rouge assez foncé, qui tranche fortement avec la couleur grise de la membrane muqueuse elle-même. Ces plaques fo
t ceux qui ont le plus de consistance: ils ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. l,es autres , beaucoup
eux qui ont le plus de consistance : ils « ressemblent à la substance grise d'un cerveau un peu ferme. Les autres, beaucoup p
riques et lombaires lesquels sont, presque toujours alors, marbrés de gris et de noir, et présentent une identité presque co
te des tubercules de cicatrisation, et ces tubercules sont très durs, gris ou noirs, extrêmement petits, reconnaissables au
ensions et à peine proéminentes : quelques-unes de ces taches étaient grises . La coupe du foie nous offrit une quantité consid
à la manière du pigment choroïdien. Quelques-unes de ces tumeurs sont grises , d'autres d'un gris mêlé de noir ; plusieurs sont
t choroïdien. Quelques-unes de ces tumeurs sont grises, d'autres d'un gris mêlé de noir ; plusieurs sont comme marbrées de g
s, d'autres d'un gris mêlé de noir ; plusieurs sont comme marbrées de gris et de noir; quelques-unes présentent des plaques
mme marbrées de gris et de noir; quelques-unes présentent des plaques grises au milieu d'un tissu tout-à-fait noir. On ne peut
ature, qu'on exprimait comme d'une éponge. C'était du pus, un liquide gris . Relativement aux abcès multiples, observés dan
remier plan, existe une membrane plus ferme, résistante et de couleur grise . Enfin, en dehors de celle-ci, on trouve une lame
ne; la membrane du sac est « plus mince, condensée, généralement d'un gris blanchâtre et ce changement de couleur « est brus
agilité: le tissu du cœur est quelquefois rouge obscur, d'autres fois gris blanchâtre, comme si un peu de pus concret était
ie volumineux et granuleux. Les granulations sont ronges au centre et grises à la circonférence. L'apoplexie pulmonaire, l'i
ri; les nerfs optiques (2e P.) complètement atrophiés. Leur tissu est gris . La fig. 2 représente la tumeur renversée, de m
d'origine. Les deux nerfs de la cinquième paire m'ont paru altérés et gris au sortir du ganglion de Casser. La couleur grise
'ont paru altérés et gris au sortir du ganglion de Casser. La couleur grise se prolongeait dans le nerf maxillaire inférieur
nt le cerveau cle bas en haut et d'avant en arrière, que la substance grise de •cet organe semblait sortir des fossettes ou a
aminés en deçà comme au-delà du chiasma étaient convertis en un ruban gris , transparent, très mince, réduit au tiers ou au q
ernes qui d'ailleurs sont dans leur état naturel : cette dégénération grise ne présente aucune trace de tissu nerveux proprem
anatomique général de l'atrophie des nerfs optiques, c'est la couleur grise avec demi-transparence et diminution considérable
vu au niveau de ces trous „ des cellules osseuses remplies de matière grise que j'ai prise dans le temps pour de la matière e
matière encéphaloïde, mais qui pourrait bien n'être que la substance grise du cerveau, dont la pénétration dans des cellules
e. Plusieurs fois on m'a présenté comme ramollies dans leur substance grise , des moelles parfaitement saines, et réciproqueme
s il est dit que la substance blanche était saine et que la substance grise était réduite en une pulpe molle, comme si la sub
bstance grise était réduite en une pulpe molle, comme si la substance grise ne se présentait pas dans l'état normal sous l'as
de même nature qui aurait fait admettre ce principe, que la substance grise de la moelle est plus sujette au ramollissement q
ire. La tumeur, examinée en elle-même est granuleuse, d'une couleur gris cendrée, assez analogue à la couleur de la substa
rouve la plus grande analogie avec les tumeurs molles, granuleuses et grises , qui naissent si souvent de la face interne de la
la tumeur. Il n'est pas extrêmement rare de trouver des productions gris rougeâtre, granuleuses, d'une consistance qui ne
macéré clans l'alcool concentré. L'atrophie a porté sur la substance grise encore plus que sur la substance blanche. Cette s
tance grise encore plus que sur la substance blanche. Cette substance grise a presque complètement disparu, et ce qui reste e
rs circonvolutions cérébrales : la rougeur est limitée à la substance grise ; dans un certain nombre de points, le ramollissem
paraplégie. — Cicatrices anciennes de ramollissement de la substance grise des circonvolutions. —Ramollissement récent. —
ramollissement récent couleur hortensia foncé, limité à la substance grise et occupant un grand nombre de circonvolutions et
de la moelle, que remplace une cellulosité infiltrée. — Dégénération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs. — Tumeu
nt, les cordons médians postérieurs sont transformés en une substance gris jaunâtre, et cette transformation a lieu de bas e
oelle. Quant à la conversion du cordon médian postérieur en substance gris jaunâtre, j'aurai occasion d'en parler au sujet d
n d'en parler au sujet de la planche 1. Paraplégie par dégénération grise des cordons de la moelle. (PLANCHE 11, XXXIIe L
'une paraplégique, que j'ai observée à la Salpêtrière. Fig. 1. Iles gris rougeâtre TR sur la protubérance et sur les pédon
a protubérance et sur les pédoncules cérébelleux. * ' • Autres îles gris rougeâtre T'R', T'R', T'R', sur les faces antérie
veau de ces îles sont atrophiées. Dissection. Au niveau de ces îles gris rougeâtre , il y a destruction de la substance bl
de la substance blanche, dont les fibres sont coupées net. La couleur gris rougeâtre n'occupe pas seulement la surface de la
fre identiquement la même altération, c'est-à-dire une transformation grise par masses disséminées TG, TG. Paraplégie incom
ent et du mouvement. — Danse de Saint-Guy chronique. — Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle (fig. 3).
médians et postérieurs de la moelle ont été transformés en une bande grise , gris jaunâtre et indurée TG, TG , qui occupe tou
s et postérieurs de la moelle ont été transformés en une bande grise, gris jaunâtre et indurée TG, TG , qui occupe toute la
formée par les faisceaux latéraux de la moelle. Cette transformation gris jaunâtre se prolonge et cesse au niveau du cervel
édians et postérieurs de la moelle sont convertis en une pulpe molle, gris rosé , pénétrée de vaisseaux sanguins. Cette alté
. A quelle espèce d'altération faut-il rapporter cette transformation grise , gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance bl
lle espèce d'altération faut-il rapporter cette transformation grise, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance blanche
tération faut-il rapporter cette transformation grise, gris jaunâtre, gris rougeâtre de la substance blanche ? Est-ce une at
urs deux autres faits dans lesquels j'ai observé cette transformation grise . Le premier, quoique fort incomplet pour la parti
aralysie du mouvement seulement, et la transformation ou dégénération grise était limitée aux cordons médians postérieurs.
térieurs. Amaurose.—Paraplégie du mouvement seulement.—Dégénération grise des cordons médians postérieurs. Une jeune fill
, atrophie des nerfs optiques, avant et après le chiasma , coloration grise de la partie du corps genouillé externe, à laquel
it à sa face postérieure et dans toute sa longueur une grande colonne gris rosé, formée parles cordons médians postérieurs.
plégie complète du sentiment et incomplète du mouvement.—Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. Meurice
mbrane blanche sous-arachnoïdienne, engainant la moelle; dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle; atrophie de
ens et farcis de granulations miliaires. Paraplégie. — Dégénération grise de la moelle, du bulbe, de la protubérance, des p
. Face antérieure. —Bulbe rachidien. — Les pyramides antérieures sont grises ,mais fasciculées. L'olive gauche OG est saine ; l
mais fasciculées. L'olive gauche OG est saine ; l'olive droite OD est grise , excepté dans un point de sa surface où elle prés
lanche. Les corps restiformes présentent également une transformation grise . Une coupe horizontale du bulbe sur le milieu de
ulbe sur le milieu de l'olive, me permet de voir que la tranformation grise occupe toute l'épaisseur des pyramides, de l'oliv
du grand hypoglosse, du glosso-pharyngien et du pneumogastrique, sont gris , au moins en apparence, réduits à leur névrilème.
au moins en apparence, réduits à leur névrilème. La transformation grise TG s'étendait du bulbe rachidien sur la l'ace ant
ce antérieure de la moelle dans l'étendue de deux pouces; les parties grises étaient très denses et fasciculées. On voit deux
du bulbe, reparaît la substance blanche et plus bas la transformation grise . La portion de moelle étendue de l'origine de la
a deuxième paire lombaire est molle, diffluente, mêlée de blanc et de gris ; elle est comme gélatineuse, demi transparente: u
; elle est comme gélatineuse, demi transparente: une île de substance grise T G se voit à la réunion des deux tiers supérieur
est très dense et fàsciculée, bien qu'elle ait subi la transformation grise , sauf quelques portions qui présentent des îles b
e, de telle manière qu'on voit alterner des îles blanches et des îles gris jaunâtre. La substance grise est très dense et le
it alterner des îles blanches et des îles gris jaunâtre. La substance grise est très dense et les fibres blanches semblent av
antérieures. Protubérance. La protubérance a subi la transformation grise T G, sauf dans quelques points où elle présente d
cette substance blanche a été détruite au niveau de la transformation grise . La protubérance est d'ailleurs extrêmement dense
e du nerf de la cinquième paire est représentée par un gros tubercule gris . La densité, la couleur grise et l'atrophie obser
re est représentée par un gros tubercule gris. La densité, la couleur grise et l'atrophie observées dans la protubérance se c
rs ordres, les proportions de sa substance blanche et de sa substance grise étaient les mêmes: cette espèce d'indépendance du
uelle était l'épaisseur de la substance ou mieux de la transformation grise ; tout l'étage inférieur de la protubérance avait
Cerveau. Le pédoncule cérébral droita.VB.it éprouvé la transformation grise dans sa couche inférieure, c'est-à-dire dans cell
inué de volume. La bandelette optique qui la contourne est indurée et grise comme lui. L'extrémité antérieure du corps genoui
lui. L'extrémité antérieure du corps genouillé externe est indurée et grise comme le ruban optique qui lui fait suite. La c
que droite paraissait, au premier abord, avoir subi la transformation grise dans la plus grande partie de sa face supérieure.
ait seulement destruction de la couche blanche qui revêt la substance grise . Le corps calleux a subi la transformation gris
revêt la substance grise. Le corps calleux a subi la transformation grise avec induration considérable dans plusieurs point
. La voûte a trois piliers m'a présenté plusieurs points indurés et gris ; l'induration grise s'étend dans toute la longueu
s piliers m'a présenté plusieurs points indurés et gris; l'induration grise s'étend dans toute la longueur de la bandelette q
t bien tranchée entre la substance blanche normale et la dégénération grise . J'ai trouvé cette transformation grise avec in
normale et la dégénération grise. J'ai trouvé cette transformation grise avec induration sur le trajet de plusieurs radiat
orps striés. Reste à déterminer en quoi consiste cette transformation grise . On ne saurait ne pas admettre une transformation
sformation de tissu; car, dans un grand nombre de points, les parties grises étaient fasciculées et représentaient parfaitemen
e et consiste dans une transformation de ces cordons en une substance gris jaunâtre, demi transparente. Cette dégénération g
en une substance gris jaunâtre, demi transparente. Cette dégénération gris jaunâtre occupe toute la largeur des cordons aux
lle, antérieurs et latéraux, étaient parfaitement sains; la substance grise parfaitement saine. Réflexions. Dans le cas pré
ement ; de même que, dans d'autres cas, nous avons vu la dégénération grise des cordons médians postérieurs affecter bien plu
(voyez xxxne livraison) sous le nom de Dégénération ou transformation grise de cet organe. Voici l'histoire de la malade qui
n notabley mais relativement moindre, de la myotilité. — Dégénération grise beaucoup plus considérable dans les cordons posté
me à travers la membrane propre, que la moelle a subi la dégénération grise , et que cette dégénération occupe, dans une assez
ilème propre (Pl. v, xxxvme livraison, fig. i et i'), la dégénération grise apparaît dans toute son évidence, sous la forme d
antérieures de la moelle ne présentent qu'un très petit nombre d'îles grises , qui n'interceptent qu'une partie des fibres de c
aucune atrophie notable. Quant à la profondeur de cette dégénération grise , elle était très variable, suivant la région. La
de la moelle. Je ferai remarquer que, relativement à la dégénération grise , la ligne médiane n'est pas une limite, que les s
aît être que d'une importance bien secondaire. La même dégénération grise s'observe à la manière de taches T,T,sur plusieur
ondeur. C'est un tissu intéressant à étudier que cette dégénération grise qui se présente au premier abord sous l'aspect de
dégénération, et tranchaient par leur couleur blanche sur la couleur grise de la dégénération. Réflexions. Il résulte d'un
achnitis. Reste à déterminer à quel travail succède la dégénération grise de la moelle? Ce n'est point à un foyer apoplecti
Ce n'est point à un foyer apoplectique ; il n'y a rien dans ce tissu gris qui ressemble à une cicatrice ! Serait-ce un des
ette question de pathologie. Quant aux effets de cette dégénération grise de la moelle sur le sentiment et le mouvement, il
. Je rapprocherai des faits précédens un autre fait de dégénération grise qui offre cela de remarquable que cette altératio
lète d'un membre inférieur depuis la première enfance. — Dégénération grise de la moelle. — Mort par suite d'un cancer utér
ble , et présente une densité plus grande que de coutume et un aspect gris très prononcé. Au niveau de cette altération ,
édians n'existent plus, et que la moelle soit transformée en un tissu gris , homogène, induré. La dégénération grise est sens
soit transformée en un tissu gris, homogène, induré. La dégénération grise est sensiblement plus considérable à gauche, c'es
ui occupent le sillon médian postérieur, avaient subi la dégénération grise , et qu'ils étaient confondus à ce niveau, comme à
. La protubérance annulaire présentait çà et là quatre ou cinq îles grises , tout-à-fait semblables à celles qui sont représe
ume de la pyramide antérieure gauche (côté paralysé), et petites îles grises au-dessus et au-dessous du corps olivaire du même
s olivaire du même côté. Tubercules quadrijumeaux. Une île ou tache grise occupait le tubercule quadrijumal postérieur gauc
du tubercule quadrijumal postérieur droit. Quelques îles ou taches grises sur la couche optique ; deux îles ou taches grise
ues îles ou taches grises sur la couche optique ; deux îles ou taches grises à la face inférieure du corps calleux. Toutes c
s réflexions sont suggérées par cette observation: i° La dégénération grise peut donc survenir dans la première enfance, elle
ssi bien qu'à l'âge adulte: quelle est cette lésion ? La dégénération grise serait-elle une dégénération primitive? i° JNbn
ance accoutumée. Une remarque bien importante, c'est que la substance grise manquait complètement au niveau du rétrécissement
que j'ai recueillis sur la compression de la moelle que la substance grise ait manqué complètement au niveau de cette compre
ompression. Il semble que cette compression ait refoulée la substance grise au-dessus et au-dessous du point comprimé , ou bi
e cet organe. Ce foyer sanguin était formé aux dépens de la substance grise seulement. La couleur du sang était lie-de-vin fo
t ochrée. Dans presque toute l'étendue de l'épanchement, la substance grise était remplacée par du tissu filamenteux. La subs
misphères étaient parfaitement sains. Il nous a paru que la substance grise de quelques circonvolutions occupant la partie po
l y avait eu simple dépression, on aurait trouvé vestige de substance grise , on aurait encore trouvé la pie-mère entre la tum
dureté assez grande. Sa coupe, représentée fig. 2, offre une surface grise à peine nuancée, dans l'épaisseur de laquelle on
telligence. A l'ouverture, ramollissement hortensia de la substance grise du plus grand nombre de circonvolutions de l'hémi
ain de raisin, logés dans les anfractuosités, adhérens à la substance grise qui paraissait intacte. La cavité dite digitale a
rficiels qui étaient en partie logés dans l'épaisseur de la substance grise : ces tubercules étaient enkystés. Le kyste était
correspondantes aux deux périodes d'induration rouge et d'induration grise de la pneumonie, mais deux états bien distincts ;
issement blanc ou sans couleur affectent le plus souvent la substance grise , si bien que, dans un très grand nombre de cas, F
nombre de cas, Faltération est exactement limitée par cette substance grise qu'on enlève à la manière d'une pulpe, la substan
circonvolutions affectent presque toujours exclusivement la substance grise . Il en résulte que, lorsque nous trouvons une cir
que, lorsque nous trouvons une circonvolution dépouillée de substance grise , laquelle est remplacée par une pellicule jaune,
voyait une pellicule peau de daim remplaçant une portion de substance grise détruite. Hémisphère droit. Destruction des cir
épaisseur de la portion réfléchie du ventricule latéral. La substance grise de plusieurs circonvolutions est remplacée par un
e. Trois circonvolutions occipitales présentent, au lieu de substance grise , des pellicules peau de chamois. Dans l'épaisseu
ramollissement. Lorsque le ramollissement est limité à la substance grise , les symptômes de paralysie sont rarement persist
actérisée par des points rouges, disséminés au milieu de la substance grise , et même au milieu de îa substance blanche: ces p
foyers miliaires). Ces petits foyers occupent en général la substance grise , les uns la couche superficielle, les autres la c
ouche superficielle, les autres la couche profonde de cette substance grise ; les premiers sont à nu après l'ablation de la pi
pie-mère ; ceux-ci sont recouverts par une couche mince de substance grise , et à leur niveau, la surface du cerveau présente
face du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la substance grise . Mais indépendamment de ces taches d'un rouge noi
on voyait à la surface du cerveau et dans l'épaisseur de la substance grise une foule de très petites granulations brunes, br
is, que je considère comme la suite du ramollissement de la substance grise des circonvolutions. La surface de la protubéranc
miliaires et des cicatrices pelliculaires qui remplacent la substance grise détruite , établit l'affinité qui existe entre l'
s par les ecchymoses qui occupaient toute l'épaisseur de la substance grise . En outre, il existait, dans l'épaisseur des circ
rugueux, ou qui sont contenus dans l'épaisseur, soit de la substance grise , ce qui est plus commun, soit de la substance bla
laques hémorrhagiques, formées par du sang infiltré dans la substance grise , qui a presque complètement disparu dans les poin
llissement rouge, qui résulte d'une sorte d'attrition de la substance grise mêlée au sang. Ailleurs ce sont de petites xxxv
tration et par concrétions miliaires, qui occupe surtout la substance grise , mais non à l'exclusion de la substance blanche,
s foyers d'apoplexie capillaire existaient çà et là dans la substance grise du cerveau. L'hémisphère droit présentait à sa co
ymoses , qui n'occupaient que la couche superficielle de la substance grise . Ces ecchymoses se voyaient le long des veines cé
foyers qui occupent la couche superficielle seulement de la substance grise ; il en est qui occupent la moitié de l'épaisseur
de l'épaisseur et d'autres enfin toute l'épaisseur de cette substance grise . Aucun ne la dépasse et ne s'étend jusqu'à la sub
s; l'hémiplégie produite par une apoplexie capillaire de la substance grise des circonvolutions, la couche optique et le corp
ent lie-de-vin très clair ou lilas dans la totalité de leur substance grise . Ces circonvolutions ont évidemment augmenté de v
la plus intense. Ce ramollissement est partout limité à la substance grise . 2" Dansl'hémisphèregauche, les circonvolutions
stance cérébrale ; en aucun point la maladie n'a franchi la substance grise . Le corps strié, vu du côté du ventricule, présen
tablit que l'extravasadon sanguine n était pas limitée à la substance grise ; qu'elle occupait encore la substance blanche : e
ors. Cette couche verdâtre n'occupait que l'épaisseur de la substance grise : toute la partie du cerveau qui était postérieure
tumeur, depuis la convexité jusqu'à la base. A la base, la substance grise des circonvolutions avait seule été respectée. Du
it aucune solution de continuité au niveau de la tumeur; la substance grise s'enfonçait dans toutes les anfractuosités. De tr
dédoublées, dont il ne restait, à proprement parler, que la substance grise , tapissée par une couche blanche analogue au blan
forme primitive, il n'y avait plus de distinction entre la substance grise et la substance blanche : la substance grise étai
ction entre la substance grise et la substance blanche : la substance grise était moins grise, la substance blanche moins bla
stance grise et la substance blanche : la substance grise était moins grise , la substance blanche moins blanche, et les lobul
de ligne de largeur, et l'altération peut être limitée à la substance grise . La couleur delà cicatrice est plus ou moins brun
par conséquent, elles occupent presque indifféremment et la substance grise et la substance blanche. Fig. 4. La fig. 4 a
de mil et au-dessous jusqu'à celui d'une pomme. Les points noirs ou gris qu'on voit çà et là sont des tubercules à l'état
tubercules miliaires, les uns de couleur noire, les autres de couleur grise , sont développés aux dépens des flocons adipeux s
seaux cruraux. Poitrine. Grand nombre de petites tumeurs mélaniques grises , occupant la surface du poumon. Masse mélanique d
séqués, ont montré un tissu propre moindre en volume et d'une couleur grise presque transparente, tout-à-fait différente de l
; il existait en outre une pneumonie passée à l'état d'hé-patisation grise . Ne serait-il pas possible que cette pneumonie, d
rconvolutions qui le constituent semblaient amincies, et la substance grise parsemée de petits foyers d'apoplexie capillaire.
avec le tissu cérébral. Cette altération était bornée à la substance grise des circonvolutions et anfractuosités qui limiten
permis de voir des tubercules de cicatrisation d'un noir de jais, ou gris noirâtre, tantôt miliaires, tantôt par petites ma
,p./; 36eliv.,pl. m, iv, p. 4,3.—Apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche du cervea
e? 20e liv., pl. ni, iv, p. 8. — Apoplexie capillaire de la substance grise . 24e liv., pl. 1,11,p. 40.— Apoplexie de la protu
et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance blanche. 20e liv.
ut de quarante-huit heures. Ramollissement lie-de-vin de la substance grise ; ramollissement blanc delà substance blanche; anc
ite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du ANAT. PATHOL.--TABLE DES MATIERES.
20e liv., pl. ni, rv, p. 10.—Ramollissement hortensia de la substance grise d'un 1res grand nombre de circonvolutions extérie
cérébrales. 32e liv., pl. 1,11,p. tô.—Ramollissement de la substance grise des circonvolutions. = Influence des lésions du c
pour la vie. 32e liv., pl« i, n, p- 18. — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la moelle. Observations. Paraplégi
sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique. Degeneration grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., p
a moelle. = Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians postérieurs. = Paraplégie com
plégie complète du sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., p
s de la moelle. 32e liv., pl. 1,11, p. 2t. — Paraplégie. Degeneration grise de la moelle, du bulbe, de la protubérance, des p
sans douleur. 35e liv., pl. vî,J . 5.—Degeneration ou transformation grise de la moelle. Observations Insensibilité presque
ion notable , mais relativement moindre de la myotililé. Degeneration grise beaucoup plus considérable dans les cordons posté
nsensible 38eliv., pl.v, p. 3.—A quel travail succède la degeneration grise de la moelle? Les effets de celle degeneration su
mplète d'un membre inférieur depuis la première enfance. Dégénération grise de la moelle. Mort par suite d'un cancer utérin.
te d'un cancer utérin. = Considérations générales sur la degeneration grise . 38e liv., pl. v,p. S.— Paraplégie par compressio
ENT. Paraplégie incomplète du mouvement et du sentiment. Dégénération grise du^cordon postérieur de la moelle. 32nliv., pl. i
ent eldu sentiment. — Paraplégie du mouvement seulement. Degeneration grise des cordons médians postérieurs. = Paraplégie inc
plégie incomplète du mouvement et complète du sentiment. Degeneration grise des cordons postérieurs de la moelle. = Erreur de
mmédiatement après sa naissance. 15e liv., pl. ir, p. 4. — Induration grise des poumons dans les quatre cinquièmes de leur ét
paraplégie. = Cicatrices anciennes de ramollissement de la substance grise des circonvolutions. Ramollissement récenl. Es-ch
e de la moelle, que remplace une cellulosité infiltrée. Dé-génération gris jaunâtre des cordons médians postérieurs. Tumeur
e de cheval. 32e liv., pl. 1,11, p. iy, — Paraplégie par dégénération grise des cordons de la moelle. = Observation. Paraplég
sentiment et du mouvement. Danse de Saint-Guy chronique. Dégénération grise des cordons postérieurs de la [moelle. 32» liv.
i, p. 49. — Amaurose. Paraplégie du mouvement seulement. Dégénération grise des cordons médians postérieurs. = Paraplégie com
plégie complète du sentiment et incomplète du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32" liv., p
s de la moelle. 32" liv., pl. i, n', p. ai. —Paraplégie. Degeneration grise de la moelle, du bulbe, de la protubérance, des p
ète du sentiment et seulement incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des cordons posté -rieurs de la moelle.
ng dans leur presque totalité. 15R liv. , pl. n, p. 5. — Induration grise du poumon dans les quatre cinquièmes de leur éten
ite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphère gauc
0e Iiv., pl. m, iv, p. 10. — Ramollissement hortensia de la substance grise d'un très grand nombre de circonvolutions extérie
e circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise elde la substance blanche des circonvolutions ant
cerveau. 32e liv, pl. 1, 11, p. i5. — Ramollissement de la substance grise des circonvolutions. 32e liv., pl. 1, 11, p. 16.
ution de la sensibilité des membres supérieurs, suite de degeneration grise de la moelle épinière. 38e liv., pl. v, p. —Sur l
ENT. Paraplégie incomplète du sentiment et du mouvement. Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle. 32e liv., p
plégie complète du sentiment et incomplète du mouvement. Degeneration grise des . cordons postérieurs de la moelle. 32e liv.,
ète du sentiment et seulement incomplète du mouvement. Transformation gris jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. 32
14 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
s noms d''hépatisation partielle (Rilliet et Barthez), (Yhépatisation grise lobulaire (Damaschino). Si les lobules ainsi en é
e lobulaire (Damaschino). Si les lobules ainsi en élat d'hépatisation grise partielle sont assez nombreux pour se souder et f
n a dès lors une lésion en apparence semblable à la pneumonie lobaire grise : c'est Y hépatisation lobulaire gé-néralisée de R
obulaire gé-néralisée de Rilliet et Barthez, ou encore Y hépatisation grise pseudo-lob aire de Damaschino. Rilliet et Barthez
zones concentriques. Tandis que le centre de la région hépatisée est gris , les zones périphériques en sont encore à la péri
s'accuse d'un lobule à un autre; on voit çà et là des lobules rouges, gris , jaunes (pneumonie marbrée ou panachée) avec cons
véritable splénisation ; dans quelques lobules, on trouve des points gris plus ou moins volumineux, correspondant aux nodul
des globules sanguins et quel-ques rares leucocytes. Dans les noyaux gris , on trouve surtout des leucocytes et quelquefois
ulmonaires pren-nent de plus en plus les caractères de l'hépatisation grise . On voit des masses grises volumineuses, opaques
us en plus les caractères de l'hépatisation grise. On voit des masses grises volumineuses, opaques et friables. Dans les parti
squ'à un certain point de rattacher l'induration rouge à l'induration grise , et de les considérer comme représentant deux pha
es après le début des premiers accidents thoraciques. C. Induration grise , ardoisée: Andral, Grisolle, Chomel; grey, grey-i
microscopiques qu'on leur connaît dans l'état aigu. Dans l'induration grise que nous devons maintenant décrire, et qui doit c
iculiers. Traçons d'abord les caractères extérieurs de l'induration grise . Bien différente de l'hcpatisation aiguë et des
u poumon ainsi affectées est variable : le plus souvent elle est d'un gris cendré, ardoisé; celte coloration, du reste, peut
les indu-rations diverses propres à l'état chronique. — L'induration grise est en général peu vasculaire; elle est sèche et
que simple de très longue durée. Etude histologique de l'induration grise . — M. le docteur 1 Traite de la pneumonie, p. 8
logiques que subit le parenchyme pulmonaire dans les cas d'induration grise ; il a bien voulu nous faire part des ré-sultats d
ería description suivante. Dans les premiers degrés de l'induration grise , ardoisée, une matière amorphe, finement granuleu
logies avec celle qui imprègne les tissus dans les cas d'infiltration grise tuberculeuse. Yoici, d'après M. Robin2, les carac
les deux ordres d'altérations : La matière amorphe de l'infiltration grise tuberculeuse est beaucoup plus ferme, moins granu
enir plus longuement. Lésions concomitantes. — Lorsque l'induration grise a envahi la totalité ou la presque totalité d'un
e cet auteur n'ait pas toujours suffisamment distingué de Xinduration grise les diverses variétés d'affaissement pulmonaire o
nt nous croyons pouvoir indiquer parmi les caractères de l'induration grise , la non-existence de dilatations bronchiques au n
ns toute son étendue, il présente tous les caractères de Y Induration grise , plane. Une excavation siège au niveau de son bor
e nom de squirrhe du poumon, ce qu'on appelle au-jourd'hui induration grise : or ces auteurs admettaient que la substance du
es suites, le docteur Thomas Àddison 4 décrit avec soin l'indu-ration grise de la pneumonie chronique, et établit que les par
ns les parties indurées. Obs. II. Pneumonie chronique. — Induration grise des poumons. — Excavations multiples. — Pas de tu
ouvre de nombreuses taches de mélanose naturelle (pneumonie chronique grise ). La disposition cloisonnée des lobules dans les
j'ai indiqués est encore plus mani-feste dans les lobules indurés en gris . On n'y aperçoit qu'avec peine les petites bronch
tement fondées, et que les parties d'un poumon atteintes d'induration grise peuvent, ainsi que ces auteurs l'avaient annoncé,
, est un bel exemple de pneumonie chronique non ulcéreuse (induration grise avec métamorphose fibreuse très avancée), occupan
ort quatre mois après le début de la maladie. —Autopsie. — Induration grise dans toute tétendue du poumon droit. — Pas traces
n. La surface de section est lisse, non granuleuse, d'une co-loration grise tirant sur le bleu avec des marbrures noirâtres i
er la partie malade dure comme du cartilage, élastique, d'une couleur gris de fer, 1 Skoda. — Traité de la percussion, etc
d'accidents thoraci-ques. Al'autopsie, on trouva une induration d'un gris bleuâtre, autour des ramifications bronchiques du
ctères, dans le but de leur opposer ceux qui distinguent l'induration grise , de la pneumonie chronique proprement dite. En ca
grise, de la pneumonie chronique proprement dite. En cas d'induration grise , le tissu conjonctif interlobulaire a subi une hy
plus ou moins limitée, les caractères non équivoques de l'induration grise . L'observation VIe du travail de M. Earth offre u
). Induration mélaniquc. — Dans certaines circonstances, l'induration grise , ardoisée, de la pneumonie chronique simple, offr
épatisation jaune1. Le plus commu-nément toutefois c'est l'induration grise ardoisée, granulée, mais surtout l'induration pla
sque totalité ou même la totalité du lobe (obs. 1). F. Infiltration grise tuberculeuse. — Infiltration gélati-neuse. — Nous
de desquels on pourrait, d'après M. Robin, distin-guer l'infiltration grise tuberculeuse de l'infiltration par la matière amo
quefois à des élé-ments fibro-plastiques, la rapproche de Vinduration grise de la pneumonie chronique. Le travail d'inflammat
ant des flocons albumineux. Elle est tapissée par un dépôt tomenteux, gris verdâtre, qui s'enlève aisément en raclant avec l
rrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. —
nduration rouge; mais, de plus, on trouvait par places de Yinduration grise , lésions correspondant à une phase plus avancée d
nt une coque pleurale épaisse. Ce sont les carac-tères de Yinduration grise ou ardoisée, c'est-à-dire le troisième stade, le
rences pleurales du lobe inférieur droit. Poumon droit : hépalisation grise récente de toute l'étendue du lobe supérieur. M
e (Lebert), d'induration albumineuse (Addi-son 2). 2° L "induration grise , ardoisée 3 (Andral, Grisolle *, Chomel8) présent
s se dessinent nettement. Souvent, Yindura-tion rouge et F induration grise existent en même temps sur divers points d'un mêm
points d'un même poumon. — b) Dans la deuxième phase de l'induration grise , une véritable métamorphose fibreuse pneumonique
de même que la pneu-monie lobaire aiguë précède l'induration rouge et grise , de même la broncho-pneumonie chronique se dévelo
grains agglomérés, quelques grappes qui tranchent par leur coloration grise ou jaunâtre, ou par une légère saillie, sur le fo
ou moins prononcée, caractère im-portant qui manque dans l'induration grise ardoisée qui constitue la période ultime de la pn
bercules fibreux. — Lésions spécifiques de propagation. — Granulation grise . — Infection par les voies lymphatiques. — Rôle a
bide, de véritables foyers d'infection d'où émanent des granu-lations grises qui propagent plus ou moins loin la maladie (proc
able, surtout dans les lobes inférieurs. Il n'y a pas de granulations grises ni dans les pou-mons ni ailleurs. Dans Je second
es pou-mons ni ailleurs. Dans Je second cas, ce sont des granulations grises disséminées également dans tout l'organe et telle
fication caséeuse. Le tubercule fibreux n'est donc pas la granulation grise , adulte; mais il n'en diffère pas foncièrement, e
mis en relief par la description de Bayle, à propos des granulations grises : ces granulations sont groupées sous forme de bou
on généralisée, dissémi-nation par tout l'organisme de la granulation grise . La granulation grise, est, en effet, la forme
nation par tout l'organisme de la granulation grise. La granulation grise , est, en effet, la forme qu'affecte la matière tu
qu'on y voit encore. La plèvre viscérale est parsemée de granulations grises qui n'ont d'ailleurs suscité aucun travail réacti
Le ganglion lymphatique, lui aussi, contient nombre de granu-lations grises remarquables, comme l'a bien montré Schuppel, par
il peut occuper dans tel ou tel organe. I. On connait ces nodules gris , demi transparents, résistants au toucher, qui ré
sistants au toucher, qui répondent à la description de la granulation grise de Bayle, et dont les dimensions peuvent ne pas d
angioplastique, les cellules géantes Fig. 37. — A A', granulations grises du poumon composées d'un certain nombre de tuber-
ésente, en particulier dans le poumon, sous deux aspects : 1° matière grise demi-transparente, de consistance un peu moindre
rps isolés, arrondis (tubercules miliaires), simples ou agglomérés, gris ou jaunes ; ou bien à l'état de masse infiltrée d
de masse infiltrée dans un nom-bre variable d'alvéoles (infiltration grise , ou infitralion tuber-culeuse, jaune). Pour ce qu
Virchow, Laënnec ne le connaissait que sous la forme de granulations grises , décrites par Bayle et que ce dernier auteur cons
ardt et surtout de Virchow. Pour ces auteurs, la matière tuberculeuse grise ou jaune de Laënnec, n'a rien de commun avec le t
iale, dite dégénération caséeuse. La matière caséeuse ainsi produite, grise , demi-transparente, dans la première phase du tra
travail de désintégration des produits morbides, répond au tubercule gris ou à l'infiltration grise de Laënnec : jaune, dan
n des produits morbides, répond au tubercule gris ou à l'infiltration grise de Laënnec : jaune, dans une phase plus avancée,
ppement de la pneumonie caséeuse aiguë. Il n'existait de granulations grises sur aucun point des deuxpoumons, non plus que dan
isé. Parmi les nodules, les uns offrent l'apparence de l'hépatisation grise , les autres celle de l'indu-ration jaune avec con
loration varie depuis le rose tendre jusqu'au jaune en passant par le gris , se voient dans le lobe supérieur, du côté opposé
de l'alté-ration qui, dans sa progression, aboutirait à l'induration grise , puis à l'induration jaune. Or, c'est là un princ
e. Or, c'est là un principe inadmissi-ble ; car l'induration jaune ou grise appartient au processus tuberculeux, l'infiltrati
ite. — Rétention d'urine. — Coma. — Mort. Autopsie. ?— Granulations grises des méninges. — Phtisiepulmo-monaire : granulatio
leur volume, leur coloration ou dans leur consistance. Granulations grises , demi-transparentes, peu nombreuses, dissé-minées
n manifeste. Thorax. — Les deux poumons sont farcis de granulations grises . Ces granulations siègent principalement à la par
n trouve disséminées à leur surface un certain nombre de granulations grises ; quatre ou cinq de ces granulations se rencontren
dans le côlon des-cendant, au voisinage du rectum. Les granulations grises qui, à l'œil nu, consistaient en un tissu solide,
ous n'en conclurons pas moins que ces deux produits, les granulations grises et les tubercules, malgré leur différence d'aspec
surtout, voulu établir entre la phtisie granuleuse ou à granulations grises , et la phtisie tuberculeuse proprement dite. II
t R. Bright4, avaient rencontré cette même coloration de la substance grise chez des individus morts à la suite d'accidents c
incipalement dans les cas anciens. Il est habituellement d'une teinte grise ardoisée plus ou moins foncée, et la coloration a
petits vaisseaux1 qui composent le réseau capillaire, de la substance grise , d'une quantité plus ou moins considérable de cor
te. A l'autopsie, on trouve les vaisseaux capillaires de la substance grise du cerveau distendus par une quantité souvent con
oyaux que le dépôt légère, la coloration anormale est cendrée, d'un gris jaunâtre. Dans les cas intenses, elle est d'un ja
ale et Vaxillaire du côté droit. — Pneumonie, hépalisation granuleuse grise . La nommée Mélanie Berger, ancienne artiste dra
use présente une coloration pâle. Thorax. — Hépatisation granuleuse grise , occupant toute l'é-tendue du sommet du poumon dr
s altérations, présentent les caractères de l'hépatisation granuleuse grise la plus manifeste. Le poumon gauche est sain da
ntité de matière très liquide, trouble, comme boueuse, d'une teinte grise tirant un peu sur le vert. Il y a dans toute la l
mement inégale dans sa moitié interne, et hérissée de petits mamelons gris blanchâtre, assez faciles à dé-tacher qui paraiss
o-lombaire qui s'y abouchent sont oblitérées par un bouchon fibrineux gris ardoisé, de texture granuleuse, comme cannelé'. U
ranuleux. Leur nombre varie de un à cinq. Ils sont d'une couleur d'un gris rou-geâtre, ou d'une couleur gris jaune, dans fes
à cinq. Ils sont d'une couleur d'un gris rou-geâtre, ou d'une couleur gris jaune, dans fes cas où l'induration pigmentaire d
I. Fig. 1. — Fragment de parenchyme pulmonaire atteint d'induration grise générale, dite pneumonie chronique. a, b, Matière
rrente: Exemples. — Formes de la lésion: induration rouge, induration grise ou ardoisée. II. Broncho-pneumonie chronique. —
bercules fibreux. — Lésions spécifiques de propagation. — Granulation grise . — Infection par les voies lymphatiques. — Rôle a
la pneumonie, 182. Granulations tuberculeuses, 243; — zones, 244; — grises , 258, 260, 279, 305; — histologie, 267, 272, 275.
ouge, lü2 ;— lobulaire généra-lisée, 102, 103 ; — partielle, 103; — grise lobulaire, 103; — grise pseudolobaire, 103, 105;
énéra-lisée, 102, 103 ; — partielle, 103; — grise lobulaire, 103; — grise pseudolobaire, 103, 105; — grise, HO; — indurée,
le, 103; — grise lobulaire, 103; — grise pseudolobaire, 103, 105; — grise , HO; — indurée, 121, 187; — jaune, 123, 188; — gr
llules fusiformes dans Y— rouge, 122; — cellules fusiformes dans 1' — grise , 129; — albumineuse, 123. 188; — ar-doisée, 124
grise, 129; — albumineuse, 123. 188; — ar-doisée, 124. Induration grise , 175, 182, 188, 287; — ses caractères, 125; —mo
ymphati-ques, 259; — locale, 258; — gé-néralisée, 258. Infiltration grise tuberculeuse, 174;-- gélatineuse, 174, 287. Inf
15 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
réflexes suscitées par les im- pressions des sens dans la substance grise du cerveau, et qui constituent l'activité psych
e irrigation sanguine plus active et plus abondante de la substance grise du cerveau. La circulation éveille et entreti
mouvements continuaient toujours après l'abla- tion de la substance grise , car l'excitation des fibres médullaires serait
ur de la circonvolution parié- tale ascendante gauche; la substance grise seulement était désor- ganisée et sur le pli co
les phénomènes. M. Fischer croit que le sulfonal agit dans l'écorce grise . P. K. IIII. DE l'action DU courant CONTINU SUR
n peut dire que la substance blanche profonde émane de la substance grise du toit; elle forme des tractus transversaux pa
avec leur superposition de six couches alternativement blanches et grises , rappelant la disposition d'une pile galvanique
lligence ; du mode de développement de cet organe dont la substance grise , loin de se former après la blanche, centrale,
ration du cerveau, caractérisée par la séparation de la suhs- tance grise et de la substance blanche dans la paralysie géné
oelle épinière. L'absence de toute lésion apparente de la substance grise , dans le plus grand nombre des cas observés, ju
ment récente, Oppenheim men- tionne des altérations de la substance grise , sur l'importance des- quelles on peut discuter
constatée, ni dans la forme ni dans la constitution de la substance grise , ni dans le nombre des grandes cellules, ni dan
ions médullaires, caractérisées par la dimi- nution de la substance grise et un état trouble des cellules. Sharkey Korsak
enir est-il bien nécessaire que les éléments nobles de'la substance grise pré- sentent des lésions grossières pour qu'on
re s'il en fut, où ces modifications « dynamiques » de la substance grise exercent sur l'apparition des névrites périphér
pyramidal a pénétré en quelque sorte, jusque dans la subs- tance grise où elle a provoqué des altérations comparables
e la téphromyélite. Eu d'autres termes, les lésions de la substance grise sont absolument subordonnés à la lésion dégénér
il faut donc, coûte que coûte, invoquer l'influence de la substance grise interposée entre le faisceau pyramidal et les D
iques. Et si nous ne constatons pas d'altération de cette substance grise , de deux choses l'une : ou bien nos procédés te
e de l'influence 12,o- phique des cellules motrices de la substance grise dans la ré- gion d'où ce nerf tire son origine,
dronné et le lobule de l'hippocampe, on constate : 1° Que la lame grise du lobule de l'hippocampe se continue avec cell
ans ; 2° Que cette gouttière est occupée par un amas de substance grise de teinte foncée, dont une partie, passant entr
s ou moins bosselée (corps godronné) ; 3° Que l'amas de substance grise compris dans la gouttière est entouré de substa
CTION. 185 pare en partie la portion libre du restant de la masse grise ; que ce crochet donne naissance à une lame qui
En somme, il y a là une circonvolution complète, avec sa substance grise et sa substance blanche. En raison de la forme
a également pris une forme peu ordinaire. La masse de la substance grise peut être comparée, en effet, à deux virgules d
es et dirigées en sens contraire, l'une en dehors dans la substance grise de la corne d'Ammon; l'autre en dedans sur la f
6.) La forme de la substance blanche qui provient de la substance grise s'explique dès lors. L'écorce qui borde la face
virgule sera d'abord-concave pour recevoir la convexité du tissu gris godronné : puis convexe pour s'adapter au lo- b
e adhérente, convexe par sa partie libre. En définitive, la masse grise a deux écorces, pour ses deux parties qui se di
bordante hippocampique. Le rattachement de ces lames à la substance grise godronnée est évident ; il ne fait pas de doute
lame bordante hippocampique, elle ne peut appartenir à la substance grise du lobule, car celui-ci ne saurait avoir deux é
Cette lamelle, qui tranche par sa couleur plus claire sur le tissu gris de la circonvolution, sé- pare, peut-être ? dan
inférieur du lobule, là où Broca plaçait la limite de la substance grise des circonvolutions, et l'ouverture de son limb
e celle des animaux dite osmotiques. Voyons maintenant la substance grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL NERVEUX CEN
CENTRAL DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antérieure de la substance grise . En avant où on peut reconnaître sa partie libr
partie externe du carrefour pour se continuer avec la subs- tance grise de cet espace. Cette -languette est très tenue,
oit de constater son absence. Extrémité postérieure de la substance grise . - En ar- rière, la substance grise de la forma
ité postérieure de la substance grise. - En ar- rière, la substance grise de la formation godronnée, au point où le corps
disparaît pas complètement, car c'est elle qui fournit la substance grise qui est signa- lée par quelques auteurs comme a
e se continue plus haut, je dirai, en passant, que la subs- tance grise des nerfs de Laucisi doit être considérée comme
réticulée, ou plutôt son ruban réticulé, recouvre la - substance grise de la circonvolution crétée dans toute la longu
elle-ci; seulement le ruban réticulé sera en dehors et la substance grise en dedans. Il y a donc au-dessus du corps calle
du ventricule, un prolongement du corps go- dronné, avec substance grise et substance blanche, cette dernière prolongeme
me réticulée blanche dans le fond même du sillon, et sa substance grise tranchant par sa couleur différente sur la subs-
calleux, de chaque côté du bec de ce corps, ou trouve deux lamelles grises rubanées bordées par les nerfs de Laucisi; elle
la bande diagonale d'une autre part. A ce niveau, leur substance grise va se confondre avec celle de l'espace perforé.
ion, on trouve d'un seul côté seulement une large lame de substance grise se continuant du même côté avec le tissus gris
e lame de substance grise se continuant du même côté avec le tissus gris du carre- four et envoyant une petite expansion
four du côte opposé. En se redressant en avant, cette lame de tissu gris se ramasse et forme une circon- volution arrond
ensuite sa place sous cette dernière. Dans les cas où la susbtance grise est accolée à la face supérieure du corps calle
llimètres de largeur, ils se mettent alors en contact avec la bande grise du corps godronné, laquelle, dans ces cas, est
ieu de la face supérieure du corps calleux une traînée de substance grise , longue de 4 centimètres et appliquée sur le cô
te d'être prévenu que pour cons- tater la présence de prolongements gris à leur ori- gine, il faut user de beaucoup de p
e suffire au sens de l'olfaction. Pour le restant de la substance grise ammonique, comme pour la substance grise des au
le restant de la substance grise ammonique, comme pour la substance grise des autres circonvolutions juxtaposées, peut-êt
structure histolo- gique ; c'est ensuite parce que ses émanations, grise et blanche, qui me paraissent indéniables, ont
dit : « Il (le centre) va se perdre dans la couche de la substance grise qui revêt l'origine du corps calleux... u Sou
ce centre qui a à recevoir les fibres blanches émanées de la racine grise et qui vont « après un trajet extrêmement court
triculaire du corps strié, avec les parties extérieures et le noyau gris de la tubérosité temporale, c'est-à-dire avec c
usque sur l'uncus, pour la substance blanche ; et pour la substance grise , par une languette émanant de la partie antérie
a fait représenter dans sa planche XVI « l'origine de la portion grise et interne ou godronnée de la corne d'Am- mon..
vec celui des quadrupèdes en général, dans lesquels cette portion grise ou corticale de la corne d'Ammon est d'un grand
s singes sont les seuls dans lesquels la structure de cette portion grise sont à peu près la même que dans l'homme. » C'e
ce supérieure et se continuer'avec cette petite couche de substance grise qui la recouvre ou avec les nerfs de Lancisi. L
E L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames grises des nerfs optiques et dans les bandelettes opti
in dit avoir vu au niveau du raphé (du corps calleux) une traînée grise nerveuse qui serait en continuité avec l'origine
escen- dante de la circonvolution de l'ourlet, et double l'écorce grise d'une traînée blanche de substance mé- dullaire
cautère. Où l'écorce n'é- tait pas absolument enlevée, la substance grise fut détruite avec les fibres médullaires par l'
ement, parce que dans un ou deux cas, un petit lambeau de substance grise appartenant à cette circonvolu- tion, a été ret
ésion fut complète dans les six cas, quelques morceaux de substance grise dans les sillons avoisinants, étant tout ce qui
noidales des deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La substance grise des régions atro- phiées avait entièrement disp
à la pie-mère avec une cavité au-dessous aux dépens de la substance grise . Les autres nerfs crâniens étaient normaux en a
à la première circonvo- lution temporale, cependant leur substance grise et leurs fibres médullaires étaient atteintes.
la colonne antérieure et postérieure, aussi bien que la subs- tance grise a été séparée, quand toutefois les colonnes latér
marque Tootb, nous pouvons éliminer une affection de la subs- tance grise elle-même. J'ai autrefois fait cette expérience
et tout le cordon médian postérieur droit, de même que la substance grise à droite, et celle qui entoure le canal central d
jet de la sensibi- lité est en relation immédiate avec la substance grise . Si le trajet sensitif entre en relation contin
le trajet sensitif entre en relation continuelle avec la substance grise , cela rendrait compte de la non dégénéfescence
périvsaculaires et dans les espaces péricellulaires de la substance grise . On constate, en outre, l'atrophie ou la destruct
\NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 275 sions de la substance grise et de ses cellules, l'amyotrophie constatée pen
groupées. Puis, les cellules qui constituent le résidu des cornes grises antérieures deviennent de plus en plus rares, de
hypoglosse. Il n'y a du reste pas d'interruption entre la substance grise des cornes antérieures représentée par les cel-
llules pyramidales et des autres cellules nerveuses de la substance grise des frontales y compris la frontale ascendante,
mêmes fibres s'entre-croise immédiatement au-dessous du plan- cher gris du quatrième ventricule et pénètre dans la partie
Reil inférieur. Quant au nerf vestibulaire, il se réunit aux masses grises qui sont en rapport avec le cervelet. Il est pr
IROÎDE; par G. JELGERSM.1. (Neurol. Centralbl., 1890.) La substance grise , à la surface du cerveau, affecte une épaisseur
son volume, comme le cube du même rayon. Si, par suite, l'é- corce grise n'augmente pas continuellement d'épaisseur, il y
terminée par deux facteurs : 1° la quantité absolue de la substance grise ; 2° l'épaisseur qu'acquiert la substance grise
olue de la substance grise; 2° l'épaisseur qu'acquiert la substance grise à la surface (épaisseur de l'écorce). La premiè
dans la genèse des circonvolutions. Pour une quantité de substance grise 288 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patholog
que la quantité de substance blanche est égale à celle de substance grise ; en anatomie comparée, cette équation ne se réal
olume. Il faut donc que la quantité à peu près normale de substance grise s'accommode à cette nouvelle condition. Cette a
au cervelet - le cordon postérieur qui se termine dans la substance grise du noyau postérieur d'origine des faisceaux pyr
tractus qui vont agir directement ou indirectement sur la substance grise de la couche optique ou du corps strié sont con
ombre de cellules nerveuses (cellules multipolaires de la substance grise de la moelle- cellules pyramidales de l'é- corc
existe aussi dans d'antres systèmes, notamment dans la substance grise ; au niveau de la région supérieure de la moelle d
ndante du faisceau pyramidal gauche. Pas de lésions de la substance grise de la moelle épinière; les auteurs disent qu'il
e Sylvius. Cette tumeur présentait une surface bosselée, de couleur grise ; elle paraissait légèrement congestionnée et ad
dal seulement. Dans la moelle épinière, la configuration des cornes grises paraît très régulière; de même, rien d'anormal
ltération du cerveau caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions
ssent ces régions au cer- velet par l'intermédiaire de la substance grise de la protubérance, mais c'est là un point qui,
rieure et une moyenne en rapport res- pectivement avec la substance grise de la base du lobe frontal et du irigonum olfac
de la base du lobe frontal et du irigonum olfactorium, ou substance grise de l'espace perforé antérieur, et une interne q
es qu'elles détruisent et non pas compriment seulement la substance grise des centres respectifs, . produisent invariable
ont detruit dans un cas les couches superficielles de la substance grise au moyen du cautère actuel. « Malgré l'oblitéra
érébelleux opposé indirectement par l'intermédiaire de la substance grise de la plolubérance. - Les lésions destructives
ibue leur production à l'excitation de certaines partie de l'écorce grise du cerveau. C'est, du reste, dans cette dernièr
16 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Atlas
aux bulbaires. On ne sait rien du trajet et des rapports des colonnes grises ou des faisceaux blancs bulbo-protubérantiels, qu
e de couleur de la substance blanche ou médullaire et de la substance grise ou ganglionnaire. Mais ce n'est là qu'un inconvén
Si le bichromate d'ammoniaque paraît colorer uniformément les parties grises et les parties blanches, il suffit d'un peu d'att
nous fournissent, sur le trajet des faisceaux blancs ou des colonnes grises . L'avantage bbissaud. 3 qu'il y a à les mul
dans la substance blanche et de leurs terminaisons dans la substance grise ; par là surtout on saisit, dans son ensemble, la
-frontal, 45, 45. sf. Deuxième sillon sous-frontal. Su. Substance grise centrale sous-épendymaire. si. Sillon du lobule
lon sous-frontal. sf. Deuxième sillon sous-frontal. SG. Substance grise centrale sous-épenclymaire. si. Sillon du lobul
5. GSf. Deuxième circonvolution sous-frontale, 75. GSL. Substance grise du septum lucidum, 74. Hip. Circonvolution de l
mpe, 79, 81. if. Incisure frontale de l'opercule, 68. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, 79, 81. IN. Insula de Reil,
emporale, 181, 185. TAP. Tapelum, 181. tec. Tsenia tecta, tractus gris longitudinal (Duverneyj, induseum griseum. Th.
scissure de Sylvius, 185. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 188. T1. Première circ
S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius, 195. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 196. T1. Première circ
S'. Rranche postérieure de la scissure de Sylvius, 204. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 205, 209, 216. T1. Pre
e la scissure de Sylvius. sC. Sinus du corps calleux. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 227. T1. Première ci
ssure postérieure. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troi-sième ventricule, 250. FCF. Faisceau comp
centre ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentum allant à la substance grise du troisièm e ventricule, 267. F. Circonvolutio
555. S'. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 555, 554. SE. Sillon d
fibres du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendant du f
572. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 575. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire, 558, 566. T1. Premiè
, 585. Cin. Cingulum. COI. Commissure inférieure (dans la substance grise du tuber cine-reum). DF. Pilier descendant du f
Sr. Branche postérieure de la scissure de Sylvius. SG. Substance grise centrale sous-épendymaire. Tse. Tsenia semi-cir
lobus medialis, 590, 595. GLP. Globus pallidus, 591. GSL. Substance grise du septum lucidum, 592, 598, 404. L. Scissure l
Ganglion basai optique, 410. GR. Gyrus rectus, 412. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 410. GSL. Substance grise du sept
rectus, 412. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 410. GSL. Substance grise du septum lucidum, 409. GVE. Gyrus vestibuli, 4
se du septum lucidum, 409. GVE. Gyrus vestibuli, 412. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falciforme
E. Gyrus vestibuli, 412. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falciforme. IN. Insula de Reil, 407. L
lé interne, 429. G1P. Ganglion interpédonculaire. 429. GSL. Substance grise du septum lucidum, 450, 455. IN. Insula de Reil.
. Globus medialis, 457. GLP. Globus pallidus, 457. GSL. Substance grise du septum lucidum, 456. 1IAB. Habena, habénule.
rus métopique antérieur. GP. Lobule du pli courbe. GSL. Substance grise du septum lucidum, 441. 11AB. Ilabena, habénule
Globus pallidus, 455, 456. GR. Gyrus rectus, 449. GSL. Substance grise du septum lucidum. IN. Insula de Reil. IRA. R
. GI. Corps genouillé interne. GR. Gyrus reclus. GSL. Substance grise du septum lucidum, 458. K. Scissure calcarine. LA
GFA. Gyrus falciforme, 460. GR. Gyrus rectus, 460. GS. Pyramide grise de Sœmmering, 461. //. Sillon en H du lobule or
on de l'hippocampe. 11L. Lobule de l'hippocampe, 460. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falci-form
le de l'hippocampe, 460. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal, écorce grise du pli falci-forme. K. Scissure calcarine. LC. La
volution de l'hippocampe. HL. Lobule de l'hippocampe. IFS. Isthme gris fronto-sphénoïdal. LC. Lamina convoluta (segmen
nglion de l'habénule. GI. Corps genouillé interne. GSL. Substance grise du septum lucidum. K. Scissure calcarine. L.
17 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
3. Ganglion prothoracique. 4- Ganglion métathoracique. Pent atome gris (d'après le même auteur). 1. Ganglion céphaliqu
aire, pour indiquer avec précision les proportions relatives des axes gris et des faisceaux blancs qui les enveloppent. 'i
tête centrale du faisceau latéral. g. Cornes postérieures des axes gris de la moelle, parcourues d'arrière en avant par d
eut remarquer les proportions, re lativement très-grandes, des axes gris dans cette région. Fig. 7. Coupe de la même moe
y remarquer une réduction simultanée des faisceaux blancs et des axes gris . Fig. 8. Coupe de la même moelle, vers le milie
illon médian postérieur. c. Sillon latéral postérieur. d. d. Amas gris symétriques que j'ai observés dans le domaine d
s que j'ai observés dans le domaine des cornes antérieures des axes gris , mais dont la signification m'est inconnue. g.
m'est inconnue. g. Stries blanches des cornes postérieures des axes gris . Cette coupe est remarquable, eu égard à Fénorm
Cette coupe est remarquable, eu égard à Fénorme proportion des axes gris , comparés à i'écorce blanche qui les enveloppe.
relative plus grande des faisceaux blancs chez l'adulte, et des axes gris chez l'enfant nouveau-né, et cette différence est
xe de la fibre nerveuse d'. Fig. 45. Cellules conjuguées de l'axe gris dans la région cervicale de la moelle d'une vache
naux dont on voit certaines fibres pénétrer dans l'épaisseur des axes gris , et s'infléchir vers le ventricule de la moelle,
pport avec les cellules multipolaires des cornes antérieures des axes gris . c. Cellules multipolaires de la substance gris
ntérieures des axes gris. c. Cellules multipolaires de la substance grise spongieuse des cornes antérieures des axes gris,
ires de la substance grise spongieuse des cornes antérieures des axes gris , unies en un réseau compliqué par des anastomoses
sceaux postérieurs ou sensitifs se portent dans les cellules de l'axe gris et vers le ventricule centrai. h. k. k. Je. Pet
s centripètes qui constituent les fibres précédentes. I. Commissure grise . A. Faisceaux blancs antérieurs. A'. Faisceau
provenant du novau blanc du cervelet. t/ b. Couche de cellules grises , c. Couche de cellules multipolaires pâles et t
système, formé de deux couches, l'une blanche superficielle, l'autre grise . a. Deuxième système, également formé de deux c
ième système, également formé de deux couches, l'une blanche, l'autre grise . c. Troisième système pareillement constitué,
es fibres la rêne droite des habense de la glande pinéale. g. Noyau gris central de la couche optique. k. Pilier droit de
oulevé et détaché avec précaution le tapis (oo' fig. 5) et le tractus gris du corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansio
oncule. m\ Ses relations avec l'anse du pédoncule. n. Petit noyau gris qui se confond avec le corps strié externe, o.
re tubercules. P. Pédoncule cérébral déjà bien formé. C. P. Masse grise de l'infundibulum. H. C. Hémisphère cérébral pr
. Grand lobe latéral du cervelet. L. 0. Lobes optiques. C. P. Masse grise de l'infundibulum. N. OL. Lobe olfactif. H. C.
ches corticales font saillie dans son intérieur, que revêt une couche grise très-épaisse. Fig. 6. Face interne de l'un des
fait une grande saillie. C. S. Corps strié. -H + + Plis de la paroi grise du ventricule latéral. Les figures suivantes re
18 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
es faisceaux blancs ou dans les divers départements de la substance grise , quelle est l'étendue, la confi- guration, la r
ogie de composition, sont tout à fait distinctes. Dans la substance grise elle-même il y a lieu, vous le savez, d'établir
n des faisceaux blancs et des parties différenciées de la substance grise de la moelle. Nous avons pensé qu'il serait com
Schéma 1. EXPLICATION DU SCHEMA A. Corne antérieure de substance grise . B. Corne postérieure de substance grise. B'.
ne antérieure de substance grise. B. Corne postérieure de substance grise . B'. Substance gélatineuse de Rolando. C. Col
s. L. Commissure antérieure (blanche). M. Commissure postérieure ( grise ). N. Sillon antérieur. 0. Sillon postérieur.
Figure 2. MOELLE NORMALE. Cellules ganglionnaires de la substance grise de la corne antérieure. Coupe pratiquée dans la
rt grossissement (obj. 4, Vérick). A. Cavité du canal. D. Substance grise entourant le canal. B. Cellule cylindrique revê
'. Corne postérieure gauche. C. Commissure blanche. D. Commissure grise . E. Cordon de Goll. F. Sillon postérieur. G
12. MOELLE D'AMPUTÉ. - CELLULES de la corne antérieure de substance grise atrophiée. Coupe pratiquée dans la région cervi
Les lésions sont localisées dans la partie centrale de la substance grise des cornes antérieures, et consistent en une in
symétriques. On reconnaît encore, mais peu distincte, la substance grise englobée dans la plaque scléreuse. A. Corne ant
de sclérose disséminées dans les cordons postérieurs, la substance grise , et la plus grande partie du cordon antéco-laléra
es cellules ganglionnaires. A. Racines antérieures. B. Commissure grise . C-C. Tubes nerveux coupés transversalement de
ure. C. Racine postérieure. D. Sillon postérieur. E. Commissure grise . H. Sillon antérieur. G. Faisceau antéro-laté
emarque aussi dans la région des cornes antérieures de la substance grise . A. Corne antérieure. - B. Corne postérieure.
térieure. D. Sillon postérieur. E. Canal central. F. Commissure grise . G. Sillon antérieur. ]J, Partie fondamentale
r le gliome qui a refoulé, en la détruisant en partie, la substance grise . Malgré retendue de la lésion, il n'y a pas de dé
aisceaux antéro-latéraux et qui ont relativement épargné la substance grise . A. Corne antérieure. B. Corne postérieure.
entrale avec paroi, et de plus un foyer cavitairc dans la substance grise gauche au niveau de la partie intermédiaire entre
ologique. 1". Substance du gliome. J. Foyer cutané delà substance grise Les pièces dont les figures de cette planche re
la partie postérieure, d'un aspect cordiforme, gagnant la substance grise centrale. A -.1. Cornes antérieures, celle de d
e et s'étend transversalement, absorbant presque toute la substance grise , dont il ne reste que les extrémités des cornes a
19 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e pour aboutir au septum médian, un peu en arrière de la commissure grise . L'autre côté, perpendiculaire au premier des-
entre celle-ci et la zone scléreuse ci-dessus décrite. La substance grise ne parait pas altérée dans sa forme; mais il ex
nt la base la plus courte est en haut où elle confine avec la corne grise et va en s'effilant Fifj. 2. Moelle dorso-Ioinb
lent correspondre à la bandelette externe de Pierret. - Substance grise . - A l'étage tout à fait inférieur de la moelle 1
tages précédents. Les cordons autéro- laléraux sont sains. Cornes grises . Il existe une asymétrie marquée des cornes ant
e est périphérique et sa hauteur, perpen- diculaire à la commissure grise , occupe les deux tiers au moins de l'épaisseur
ues fibres à peine, immédiatement situé au contact de la commissure grise . Il existe encore une bande large, constituée p
ade naît en avant presque immédiatement au-dessous de la commissure grise et s'attache au septum ; de là elle se dirige en
e de l'autre. Les cordons antéro-latéraux sont sains. - Substance grise . L'asymétrie des cornes antérieures est peu mar
ument saines. Les cordons antéro-laté- raux sont sains. Substance grise . Les cornes antérieures sont saines. Les cornes
du champ radiculaire antérieur. Cette bande est séparée de la corne grise par une épaisseur notable de fibres saines, qui
ister sur la démyélinisation des fibres qui atteignent la substance grise en général et la colonne de Clarke en 'particul
ns son ensemble. Nous devons en trouver l'origine dans la substance grise constituée comme on sait par un nombre infini d
mais indistinctement à des groupes quelconques de la subs- tance grise . Cela nous conduit à la conclusion déjà formulé
corder avec la dégénérescence de certaines des cellules de la corne grise . Est-ce à dire que la lésion observée tienne un
ques, que l'observation clinique permet de placer dans la substance grise entourant le canal central, et que, par suite,
nt le canal central, et que, par suite, les lésions de la substance grise peuvent aussi bien produire l'acromégalie que l
ions cellulaires, presque toujours d'origine toxique, de la calotte grise et, aussi, sans doute. accessoirement par des t
- tion porte à la fois sur la substance blanche, sur la substance grise , sur le tissu de soutènement, sur les enveloppes
ectent que la portion de substance blanche voisine de la commissure grise et quelques libres dans l'angle postérieur et i
lie et les vaisseaux. 86 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. b) La substance grise . - Nous l'avons toujours vue altérée, à des deg
nu, c'est la - déformation à peu près constante de cette substance grise . Les cornes sont atrophiées et leurs contours s
e que, dans la région dorsale et cervicale inférieure, la substance grise , située en avant des cornes postérieures, forme
paraissent raréfiées et atrophiées. Pour en finir avec la substance grise , notons une sclérose active autour de la corne
que l'on observe dans le cerveau où la pie-mère adhère à l'écorce grise . Le revêtement externe de la moelle est donc in
rondes qui obstruent le calibre du canal et infiltrent la substance grise à une assez grande distance de ses parois. Ici
mmédiatement dans la corne postérieure. A ce niveau de la substance grise , nous avons noté une sclé- rose plus active. Le
ostérieur était lui-même plus dégénéré. Les lésions de la substance grise sont encore bien moins faciles à interpréter, p
du cordon postérieur, à la région cervicale. Dans la subs- tance grise , il a noté des lésions des cellules nerveuses car
ore le faisceau de Gowers du cordon antéro-latéral.' La substance grise est modifiée dans sa forme générale et profondé
neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la substance grise , le neurone sensitif indi- rect siégeant surtou
centrales imbi- bées de sang; à la coupe tranversale, la substance grise ne se dis- tingue que diffusément. Dans le segm
brilles nerveuses très fines res- semblant à celles de la substance grise ; quelques blocs arrondis d'une masse granuleuse
éléments nerveux. De deux côtés de la tumeur on voit la subs- tance grise , bien pauvre en cellules nerveuses; la substance
rveux sont distendus et remplis d'une matière amorphe, la substance grise paraît gonflée. Le tissu ner- veux ne présente
iété surtout à gauche. Cette tumeur d'aspect gélatineux, de couleur gris foncé, plus dense à la périphérie qu'au centre,
nées aux parties du corps voisines ne sont pas loin de la substance grise des cornes antérieures, tandis que les fibres d
ue les courtes fibres de la moelle se dirigent près de la substance grise , tandis que les fibres longues se servent plutô
ques avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris moteurs de la moelle et du bulbe ; lésions des
division des arborisations terminales amyéliniques de la substance grise des centres nerveux et nous montre l'épais feut
ong sur deux de large, recouverte par une lame épaisse de substance grise . Cette excavation est située à la partie postér
oration jaunâtre de l'arachnoïde, de la pie-mère et de la substance grise dans une étendue de trois centimètres carrés (s
. 6, 8 et J2); injection de la substance blanche et de la substance grise du cerveau (obs. 4, 5, 6 et 11); atrophie (obs.
versales de la moelle, la tumeur occupe presque toute la commissure grise et le tiers antérieur des cordons postérieurs.
dilate rapidement et bientôt occupe les deux tiers de la commissure grise ; on y voit également des amas de cellules de revê
ès est partout situé au centre de la moelle, derrière la commissure grise , dans la moitié antérieure des cordons postérie
ons cervicale et lombaire envoie des diverticuies dans la substance grise . La conclusion qui s'impose, c'est qu'il s'agis
dégénérescence de ces cordons ou la désintégration de la substance grise ; voilà pourquoi ladite compression ne produit
t du tissu environnant. Ces traînées sont situées dans la substance grise et plus souvent entourent ou côtoient un vaisse
bien nette dans le tissu nerveux environnant, soit de la substance grise , soit de la substance blanclie. Elles sont consti
roduction. ' Jusqu'à présent nous n'avons parlé que de la substance grise . En effet, toutes les trois formes de foyers pr
utant plus prononcées que les foyers inflammatoires de la substance grise siègent plus près de la substance blanche. Voic
tent pour la plupart les mêmes altérations que ceux de la substance grise . Mais dans leur entourage on se trouve en prése
suivre ce qu'elles deviennent quand nous approchons de la substance grise . En effet, à mesure que nous montons vers l'éco
s la coloration des cellules névrogliques des substances blanche et grise ? Il nous est impossible de nous prononcer. Les
erons rapide- ment en revue les faibles altérations de la substance grise loin des gros troncs vasculaires. C'est loin de
sche Jlecl., 1891, XLVII. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE. la substance grise , recouvrant le quatrième ventricule, l'aqueduc
bandelettes ; les cellules inter- calaires (H) au niveau des noyaux gris centraux ; les radia- tions optiques (1), enfin
rones que nous avons étudiés plus haut. Arrivé au niveau des noyaux gris centraux V, ((lg. 26) il se réfléchit et vient
e réflexe est aujourd'hui assez bien connu ; il comprend les noyaux gris centraux de la vision (pulvinar, corps genouill
rien rend très probable l'hypothèse suivante : au niveau des noyaux gris de la couche optique, réflexion de l'influx ner
mécanisme de ces phénomènes. L'influx nerveux a franchi les noyaux gris centraux, est arrivé au niveau du centre cortic
SYCHOLOGIE. III. Ajustement des neurones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche optique so
ent des neurones intercalaires des noyaux gris centraux. Les noyaux gris de la couche optique sont des stations où passe
t donc absolument comparables aux cellules intercalaires des noyaux gris centraux, ou aux spongioblastes de la rétine. O
soplique et se divisent en trois systèmes pour se rendre à l'écorse grise . L'un d'eux va directement à la circonvolution
lésions en foyer siégeant soit dans l'écorce, soit dans les noyaux gris centraux. Ces lésions vont en décroissant à mes
départ encéphalique : l'intégrité des racines et de la subs- tance grise , l'intégrité du faisceau de Burdach particulièrem
rales qui d'abord assez volumineuses pour laisser dans la substance grise des traces directes ou indirectes de leur dégéné-
ctes et que toutes ses fibres proviennent exclusivement de la masse grise située entre l'olive supérieure et le noyau d'o
oyau d'origine de la partie motrice du pneumogastrique. Cette masse grise peut être décomposée en territoires plus petits
n complète de la moelle cervico-dorsale chez le chien, la substance grise de la moelle lombo-sacrée ne reste pas intacte,
né, sont envahies par la chromatolyse. Cette lésion de la substance grise de la moelle lombo-sacrée n'est cependant pas s
7.) La partie des cordons latéraux blancs contigué à la substance grise , ou couche limitante de Flechsig, ne contient pas
apport avec les cellules des seg- ments postérieurs de la substance grise et constituées de fibres courtes. Or, l'observa
olore ; on voit très bien les fibres les plus fines de la substance grise de la moelle, des lobes cérébelleux, de l'écorc
e suite, la substance blanche de la moelle tranche sur la substance grise plus claire ; la couche blanche du cerveau devien
plus claire ; la couche blanche du cerveau devient noire, la couche grise , plus claire. Déjà souvent, dans les quelques m
qu'à l'oeil nu la substance blanche soit bleu-noir et la substance grise plus ou moins incolore. Au microscope, les cell
urcies à l'alcool, les cellules de Purkinje montrent un protoplasma gris jaune ou gris foncé, et un nucléole d'un jaune
ool, les cellules de Purkinje montrent un protoplasma gris jaune ou gris foncé, et un nucléole d'un jaune foncé. t Apr
aire il une syringomyélie, ce qui prouve l'atteinte de la substance grise , et suppose vraisemblablement une hémato- myélr
ique et de figurer sur un tableau en colonnes et pavillons noirs et gris sur fond blanc, les divers volumes des cerveaux d
res radiculaires forment les longues voies qui gagnent la substance grise du bulbe par le cordon postérieur jusqu'au noyau
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. S07 î de la substance grise de l'aqueduc de Sylvius et, l'embrassant de deh
et, l'embrassant de dehors en dedans, projettent dans la substance grise de nombreux rayons collatéraux; après avoir tou
latéraux; après avoir tourné autour du bord externe de la substance grise , après avoir contourné le noyau principal del'ocu
pité a une belle couleur rouge ; s'il est normal, son précipité est gris . MM. Kachholz et Sieradzki ont modifié cette méth
20 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
ode de Weigert montrent que le réseau fibrillaire dans la substance grise est partout normal. La substance blanche est ég
ort. La riche vascularisation est surtout visible dans la substance grise . Au niveau de renflement lombaire la substance
s la substance grise. Au niveau de renflement lombaire la substance grise est tellement vascularisée qn'elle semble être in
d'oeil on n'arrrive même pas à distinguer la substance blanche de la grise . Ce n'est qu'après un examen bien attentif qu'o
s le côté externe. Il est impossible d'y reconnaî- tre la substance grise excepté un petit reste dans la corue antérieure.
à la configuration interne elle y est mieux conservée. La substance grise conserve la forme caractéristique d'un H, mais el
antes : Dans le premier segment cervical la substance blanche et la grise conservent leur configuration habituelle et leu
moitié gauche est plus large que la droite. La substance blanche et grise vient de pair avec cette épaisseur inégale de l
paisseur inégale de la moelle. Le réseau myélinique de la substance grise est normal. Les cordons postérieurs de la substan
i une zone de fibres assez bien conservées le long de la commissure grise et à côté de la partie antérieure des cornes po
ils sont disposés dans la substance blanche aussi bien que dans la grise , les plus nombreux correspon- dant aux cordons
t-à-dire que les limites entre la substance blanche et la suhstance grise disparaissent et les deux substances perdent le
our des vaisseaux et des cloisons névrogliques. Dans la substance grise il y a des lésions ana- logues (vaisseaux à par
ntion. Ils occupent surtout la substance blanche. Dans la substance grise ils sont moins nombreux et se localisent princi
lésions vas- culo-scléreuses diffuses dans la substance blanche et grise , plus évidentes dans la moelle qui correspond à
e tissu bien conservé. Les raies ne pénètrent pas dans la substance grise , elles s'arrêtent à une certaine distance. A cô
ts foyers au sein des cordons et dans le voisinage de la commissure grise . Quant aux cordons antérieurs les lésions s'y v
ieures et postérieures sont intactes. Le réseau dans la subs- tance grise est normal. Les méninges sont normales. En outre,
rs, très peu lésés (seulement à la périphérie et vers la commissure grise ). Dans le cordon latéral gauche, une zone périphé
La rate est augmentée, du double de son état normal,sa capsule est grise , la coupe rouge sale, sans structure constata-
augmenté de nombre dans la substance blanche aussi bien que dans la grise . Les vaisseaux de la périphérie de la moelle et d
dilatés et gorgés de sang. Parois non épaissies. ^Dans la substance grise le» cellules des cornes antérieures sont entour
rs non loin de la périphérie). Le réseau myélinique de la substance grise est normalement dense ; les espaces péricellulair
zone radiculaire aussi bien que dans le voisinage de la commissure grise . Ils ne sont pas bien délimités du tissu sain mai
bres et dans les espaces périvasculaires dilatés. Dans la substance grise ils sont tout à fait sporadiques dans la périphér
che de la moelle. Celle-ci est aplatie des deux côtés. La substance grise est pâle. Les cordons sont eu général pâles, et l
ut marquée dans les cordons latéraux. En approchant de la substance grise on voit les fibres nerveuses plus pâles que dan
le. La configuration de la moelle est presque normale. La substance grise est clairsemée mais moins que sur les coupes décr
-mère. La coupe est mieux colorée déjà. Le réseau dans la substance grise est normal. Dans la substance blanche, les cordon
re inférieure et sacrée sont un peu plus pâles, mais la subs- tance grise contient un réseau myélinique normal et les cordo
d'inflammation : ni dans la substance blanche ni dans la substance grise . Les coupes colorées par la méthode de Nissl on
clairsemé que normalementde toute la coupe (subs- tance blanche et grise ). Cet aspect était surtout marqué dans les segmen
lasiques ou dans leur voisinage une lésion profonde de la substance grise sous forme d'une hémorragie (Bregman -8 tei n h
ercules quadrijumeaux et thalamiques changés en une espèce de masse grise . Enfin, Nonne, dans la dernière édition de son
. de lar- geur, 0, 6 cm. d'épaisseur).La tumeur était de coloration grise , rougeàtre, lobée, d'une consistance pas trop d
tel point qu'on ne peut pas' distinguer la substance blanche de la grise ni les diffé- rents cordons. Il s'est formé un
e de la substance blanche avec des îlots disséminés de la substance grise . Partout on voit des hémorragies et surtout au
conformation interne modifiée. On peut déjà distinguer la substance grise de la blanche, mais les cornes antérieures et p
érie de la moelle). Ii'y-a de grandes hémorragies dans la substance grise principale- ment,mais dans la blanche aussi. Da
segments dorsaux supérieurs, le rapport delà substance blanche à la grise est normal. Par contre on constate ici des foyers
a méthode de Nissl. Eh ! hien, au niveau de la tumeur, la substance grise a perdu complè- tement ses contours normaux. Çà
à et là on distingue des Ilots irréguliers et peu nets de substance grise . Même au sein de ces îlots, on ne distingue plus
iveau des segments dorsaux supérieurs que la figure de la substance grise devient normale. Les cellules nerveuses ysont p
oit des modifications notab'es de la configuration de la, substance grise et la disparition de ses cellules (hémorragies
ôté des cordons postérieurs). Dans la moelle lombaire, la substance grise reprend sa configura- tion normale, mais là aus
nt même dans la région sacrée, surtout au centre, dans la substance grise . Résumé. Dans ce cas les douleurs furent le pre
s qu'il était impossible de distinguer la sub- stance blanche de la grise . On voyait un mélange de ces substances et des
que le trauma opératoire provoqua ces hémorragies dans la substance grise . Elles ont pu se produire même après l'opératio
n terrain pour les hémorragies. Comme il est de règle, la substance grise , plus vulnérable, fut le plus modifiée, et les lé
rée. Au-dessus de la région correspondant à la tumeur, la substance grise reprend sa forme caractéristique. Dans les segmen
sions si profondes qu'il est impossible d'y distinguer la substance grise et de s'orienter convenablement dans la topogra
de la moelle présente peu de modifications, la substance blanche et grise se laissent facilement reconnaître (fig. 16). O
oite de la moelle le tissu nerveux est presque normal. La substance grise est sans modification. Dans les cordons postéri
lle lombaire et sacrée. Le IIe segment lombaire montre la substance grise entourée d'une sorte d'auréole plus claire que
hérie de la coupe. On constate par place, surtout dans la substance grise , l'infil- tration cellulaire autour des vaissea
me d'un ruban ; la configuration interne de la substance blanche et grise était devenue méconnaissable. Les cellules ner-
ôle inférieur et supérieur de la tumeur, la substance blanche et la grise commençaient à reprendre leur configuration norma
e de la moelle on peut encore distinguer la substance blanche de la grise ; dans la moitié gauche cela est devenu impossible
grise; dans la moitié gauche cela est devenu impossible. La substance grise dans la moitié droite de la moelle présente les
difications suivantes : au lieu du réseau normal, on voit une masse grise indistincte parcourue par les fibres nerveuses
a moitié gauche de la moelle est tellement dégénérée que la substance grise est devenue méconnaissable ; quanta la substanc
niveau du VIe segment cervical (la ligne 5, fig. 18), la sub,tance grise reprendre sa forme normale. La moitié droite de
eur de la tumeur la figure bien distincte dessinée par la substance grise et les contours sont bien- accentués (fig. 0).
éraux et antérieurs, tandis que la substance blanche qui entoure la grise est tout à fait bien conservée. Les cloisons sont
blant à la coupe d'un oignon. Elle comprime la substance blanche et grise dans toutes les directions et déforme ainsi toute
i constaté l'augmentation du nombre des vaisseaux dans la substance grise aussi bien que dans la blanche, dans le voisinage
a configuration interne de la moelle presque normale : la substance grise dessine la figure habituelle et il n'y a que de
0 cent.l : 0. 3 cent. La tumeur se présente sous forme d'une masse grise rosâtre, qui, dans le voisinage de la moelle es
résente des lésions prononcées. La mieux conservée est la substance grise . Sa configuration est presque normale, le résea
aires sont un peu épaissies. Le nombre de vaisseaux de la substance grise est augmenté. Méninges sans modifica- tions. Là
tion extérieure de la moelle est normale. La figure de la substance grise et des cordons de la blanche est bien conservée
nécrobiotiques dans le cordon latéral droit près de la subs- tance grise . On voit un foyer pareil dans le cordon latéral g
e lésion inflammatoire bien distincte. Les cellules de la substance grise (les coupes coloriées par la méthode V. Gieson) s
conservait sa forme et la configuration de la substance blanche et grise était normale. Mé- ninges et racines intactes.D
ubstances blanche (surtout dans les zones périphériques) et dans la grise (le réseau des fibres myélinique moins dense).
de la commis- sure postérieure). Le réseau au sein de la substance grise est raréfié. Les cloisons sont épaissies. Les r
la moelle et au sein du tissu nerveux (dans la snbsiance blanche et grise ) en dehors des gommes, il est vrai pourtant que
rébrale dans toute l'étendue et toute la profondeur de la substance grise . Après un temps, la paralysie motrice du membre
on électrique. Et puis il est difficile d'exciser toute l'é- .corce grise à cause des inflexions des scissures. En effet j'
enlevée sur une grande étendue et assez profondément, la substance grise était cependant conservée dans le fond de certain
Dans la région correspondante à la partie centrale de la substance grise , on voit une masse compacte, jaune-brunâtre ; en
e segment cervical décèle dans la région ceu- trale de la substance grise une masse brunâtre, rond-ovalaire, de consistance
éraux. Les cordons postérieurs se présentent sous forme d'une masse grise , molle, se trouvant en rapport avec la masse né
nerveux. Par contre on voit des masses bru- 462 FLATAU nâtres ou grises , irrégulières, d'une consistance molle. Depuis le
s qu'il est fort difficile de distinguer la substance blanche de la grise (et cela de deux côtés ou - du côté de la tumeu
au de la tumeur une masse difforme, mélange de substance blanche et grise , avec des hémorragies multiples au lieu de la f
ttre^à découvert les ventricules latéraux montre toute la substance grise et blanche des circonvolutions de l'insula, à l
anquer. La substance blanche du cerveau est réduite et la substance grise proportionnellement augmen- tée. Les ventricule
as. Recouvert dans toute son étendue par l'épendyme et la substance grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des centres ne
, et ses fibres dégéné- rées peuvent être suivies dans la substance grise sous-épendymaire. Le faisceaux occipito-frontal
ibles. Les coupes sériées montrent en premier lieu que la substance grise est relativement augmentée et que la substance
e la substance blanche est réduite au moins de moitié. La substance grise centrale et périventriculaire, de même que le t
ndeur du lobe occipital droit, on note plusieurs îlots do substance grise hétérotopique. Dans l'hémisphère droit, la scis
der reproche à Dejerine, en premier lieu, de parler d'une substance grise sous-épendymaire ; il rappelle que Sachs a déjà
usqu'à un plan qui passerait par l'extrémité postérieure des noyaux gris . En bas la sclérose se continue également autou
(Pl. LXIX). Dans son ensemble cette sclérose périventriculaire est gris blanchâtre et résistante, c'est une sclérose de
s sont arrondies et à bords bien limités. elles appa- raissent plus grises , plus spongieuses, imprégnées par le liquide et l
entriculaire, des lésions du centre ovale et des plaques des noyaux gris centraux. C'est à ces dernières lésions que l'a
de ce lobe (fig. 1) est constituée par un amas d'îlots de substance grise dont la forme est régulièrement sphérique Fc. 1
vale été envahi de toutes parts par une hyperplasie de la substance grise corticale et que l'état réticulé qu'il présente n
bien s'agir d'un degré peu ordinaire d'hétérotopie de la substance grise corticale. Le long de la convexité frontale, on
dans laquelle se trouvent enclavés un bon nombre d'îlots de substance grise qui, ça et là, envahissent la lumière du ventri
omme à l'état normal par la cloison transparente, mais par une lame grise qui relie l'écorce de la face médiane au tuber ci
mement dissociées et déviées de leur trajet normal par la substance grise hétérotopique, encore abondamment distribuée da
tricule. - En arrière de la commissure antérieure (flg. 2), la lame grise qui constitue la paroi interne du ventricule n'
terne est encore partiellement dissociée par des tlots de suhstance grise , mais se laisse toutefois suivre assez facilement
raît anormalement large et se confond au-dessus avec la subs- tance grise hétérotopique sous-corticale. La capsule extern
iens, de vais- seaux oblitérés, de pigment sanguin, et de substance grise désorganisée, qui représentent incontestablemen
ît être plus logique de les considérer comme des îlots de substance grise hétérotopique analogues à ceux que nous avons o
rigone forme un fascicule nettement isolé au milieu de la substance grise centrale. 648 ARCIIAMBAULT Sur les coupes qui
e par un prolongement cor- tical qui relie celles-ci à la substance grise basilaire qui recouvre en dedans le genou de la
21 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cir- convolution temporo-occipitale) et suivre cette subs- tance grise corticale, avec la couche blanche sous-ja- cent
réduit à sa partie blanche médullaire sans revêtement de substance grise corticale. D. Enfin le sillon qui sépare la cir
lutions cérébrales. Thèse de concours, Paris, 1878J. « Cette lame grise , entourée par l'alveus du côté interne ou ventr
tour complet à la manière de l'hé- lice d'un limaçon... Cette lame grise amincie semble à son extrémité se continuer dir
lorsque l'auteur décrit la manière dont se comporte la substance grise . « Au niveau de la circonvolution de la corne d
veau de la circonvolution de la corne d'Ammon, dit-il, la substance grise corti- cale paraît quitter la surface de l'hémi
11 paraître elle se met en rapport avec une traînée de substance grise qui en est une véritable dépendance ; cette lam
ffet, des îlots de substance blanche sont entourés de subs- tance grise , d'où le nom de substance réticulée blanche que
dant, mais bien une bandelette blanche accompagnée de subs- tance grise et on reconnaît dans cette substance grise les
compagnée de subs- tance grise et on reconnaît dans cette substance grise les diverses parties de la formation ammonique.
- maux, on trouvait sous le corps calleux des replis de substance grise corticale qui pouvaient être consi- dérés comme
'avoir reconnu la formation ammonique dans l'ensemble des parties grises et blanches situées au-dessous du corps calleux
x est occupé sur toute sa face inférieure par deux épaisses couches grises qui sont pour le moins aussi volumineuses que l
ype des autres circonvolutions, si ce n'est que dans la substance grise de la corne d'Ammon on trouve une couche partic
jusqu'au méat audi- tif interne, se trouvent des îlots de substance grise , contenant des cellules nerveuses. Pour le ti
ses revêtues de membranes, ces îlots sont identiques à la substance grise de la moelle épinière, ainsi qu'aux ganglions c
pour la plupart, à l'examen microsco- pique, des îlots de substance grise , avec des cellules ganglionnaires. Ce fait s'ob
. 45 rencontre dans chacune d'elles, qu'un seul îlot de substance grise (PL. V, fiq. 6). Mais il arrive quelque- fois d
dans une même préparation microsco- pique. Ces îlots de substance grise se perçoivent facile- ment, même à l'aide d'un
qu'elle se compose d'un double ré- seau, à l'instar de la substance grise de la moelle épi- nière. L'un de ces réseaux es
s déliées que nous venons de mentionner. Chaque îlot de substance grise laisse échapper de longues traînées de tissu co
croscope, ne présentent pas la moindre trace d'un îlot de substance grise , ni de cellules ganglionnaires. Chez d'autres i
la conclusion, que la quantité et l'étendue des îlots de substance grise , avec leurs cellules ganglionnaires, contenus d
ditif, au lieu d'émerger du corps restiforme, l'îlot de subtance grise qui servait de ganglion à cette branche, occupa
it où le nerf auditif cesse de présenter des îlots de subs- tance grise , servant de ganglions aux fils nerveux. Comme'
tent des ganglions sur le trajet du nerf lingual, et sur les fibres grises du grand sympathique. Henle2 affirme qu'on trou
IE MENTALE. 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaires vive
ules ganglionnaires vivement colorées. Il s'échappe de la substance grise des tabécules conjonctifs jusqu'au bord du nerf.
e semblable de l'autre individu montrant deux ilôts de la substance grise avec des cellules ganglion- naires. Fig. 8. 3
s. Fig. 8. 3/9 Hart ? Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des ilôts mentionnés. On voit la membrane propr
ranulations sur le plancher ventriculaire. Atrophie de la substance grise oedé- matiée, brunâtre; congestion de la substa
our obscurcir le diagnostic. Cu. F. XVII. SUR UNE lésion DE l'axe GRIS DE la moelle épinière dans un cas DE SYPHILIS R
statait prin- cipalement une vascularisation énorme de la substance grise , surtout dans les parties centrales^et. latéral
-et'"g'o'r-'és-'deq s(la'ng, leur adventice épaissie. La substance grise présentait des alté- rations qui étaient en rap
es couleurs est complètement abolie à gauche, (,il C... ne voit que gris et blanc sale. A droite, elle voit toutes les c
aillots récents. Le contenu du foyer est constitué par un putrilage gris ardoisé, avec un liquide sanieux, noirâtre et f
t ; il n'y a rien d'anor- mal, tant à la surface que dansles noyaux gris centraux (Fig 9). Hémisphère droit. A travers l
de vaisseaux sanguins. (Fig. 10). Sur la coupe des masses centrales grises , on ne découvre pas de foyer. La capacité du ve
passage une partie de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux gris cen- traux. D'autre part, il est facile de suiv
organes supérieurs qui pré- sident à la vie psychique; les couches grises ont été sacrifiées à l'élément blanc, la vie ps
e de la moitié gauche de la coupe. La corne antérieure de substance grise est d'un bon tiers moins volumineuse à gauche q
ns sont plus exactement limitées à la corne antérieure de substance grise . Il ne s'agit pas là d'un foyer de myélite bana
e : méningo-encépha- lite ; ablation presque totale de la substance grise . Dub... (Cliarles-Antonin), âgé de douze ans, e
qui est finement vasculari- sée, on entraîne avec elle la substance grise ; après plusieurs essais, et malgré le plus gra
plus grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi ci nu le squ
, 1'tivait- coin, le coin, le lobe occipitahde toute leur substance grise , la- quelle ne résiste, mais incomplètement, qu
itable coque résultant de la soudure de la pie-mère ci la substance grise , et reproduisant par ses reliefs et ses dépress
lobe temporal. Mais on n'en- traîne que des fragments de substance grise et non la totalité comme du côté opposé. La cor
ons plus ou moins larges et plus ou moins profondes de la substance grise . Il en était de même sur le lobe temporo-sphéno
a pie-mère entraînait avec elle toute l'épais- S,WR DE la substance grise , mettant ainsi à nu le squelette de la substanc
ouvé la même lésion, caractérisée par la séparation de la substance grise et de la substance blanche 1. Mais, dans ces troi
ération du cerveau, caractérisée par la séparation de- la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions. V
erticale de l'hémisphère gauche, un peu en ai nere de la commissure grise . On voit au-dessous de l'expansion pédon- culai
t naissance dans les couches optiques, puis des- cendent dans l'axe gris , et, à leur extrémité inférieure, subissent la
veilhier et de Jean : dans la première, il y avait une dégénération grise des cordons postérieurs et des corps restiforme
e des origines des nerfs pneumo-gastrique et spi- nal, dégénération grise des pyramides etdes cordons postérieurs et un p
essaie d'enlever les méninges, elles entraînent toute la substance grise qui est sous jacente aux points attérésetamenent
aient au moment de l'autopsie 1100 grammes de liquide. La substance grise est amincie; tout le cerveau s'est étalé sous l
ons analogues, on arrive à circonscrire un département de substance grise dont la lésion ne manque jamais dans tel ou tel c
bibitoires de la), par Ott et Smith, 31 ? i ; - (lésions de l'axe gris de la), dans un cas de syphilis pil' .1LI-ISCII
montrant parmi des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec beau- coup de cellules ganglionnaires vive
ules ganglionnaires vivement colotées. Il s'échappe de la substance grise des conjonctifs jusqu'au boni du nerf. 171g. 7.
e semblable de l'autre individu montrant deux îlots de la substance grise avec des cellules ganglion- 1 - naires. rit.
. rit. 8. 3/9 Hart. : Trois cellules ganglionnaires de la substance grise des îlots mentionnés. On voit la membrane propr
22 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
e Blainville ^ vu, dans le bord même de la lèvre, une sorte de cordon gris , pulpeux, qu'il croit pouvoir regarder comme nerv
rcé de prouver que la substance blanche naît toujours de la substance grise , et que les nerfs ont toujours pour point d'origi
tères étudiés par M. Léon Dufour (3), la nèpe cendrée et le pentatome gris , ont un système nerveux (1) Recherches anat. su
ns réunis par deux cordons nerveux distincts et séparés; le pentatome gris , au contraire, a ses deux cordons réunis et comme
rvelet. Ils varient aussi quant à la coloration; la plupart sont d'un gris rosé, les autres sont blanchâtres ou entièrement
ongre ou anguille de mer. La couleur des ganglions olfactifs est d'un gris rosé, cependant j'ai vu ces ganglions entièrement
bilobé, muni de deux longues appendices de substance médullaire d'un gris blanchâtre. Le tubercule bilobé représente les tu
sure située en arrière des nerfs optiques. L'analogue de la substance grise formant ces tubercules, se retrouve dans la subst
substance grise formant ces tubercules, se retrouve dans la substance grise située précisément à l'endroit correspondant du c
à ses recherches microscopiques, annonce que la matière corticale ou grise est composée de vaisseaux sanguins, tandis que la
rmées les fibres nerveuses de la substance blanche et de la substance grise du cerveau, et celles de la moelle épinière, chez
es de médecine, Paris, 1823. t. ni, p. i83. enfin, que la substance grise contient en outre des globules arrondis, distinct
La matière granulée, dont j'ai parlé plus haut, constitue la matière grise qui se trouve à l'intérieur de la moelle épinière
t parfois les théories : Gall et Spurzheim admettent que la substance grise de la moelle, est la matrice, l'organe générateur
p. 400) fait observer avec 12. rie, c'est le défaut de substance grise dans la moelle épinière des poissons, ce Une cons
pothèse de Gall et Spurzheim, dit M. Serres (1), c'est que la matière grise doit toujours être proportionnée à la matière bla
et de ceux-ci aux oiseaux, la matière blanche va en augmentant et la grise en diminuant. Chez tous les poissons, la prédomin
peine trouve-t-on dans la moelle épinière, des vestiges de la matière grise . L'hypothèse de Gall et Spurzheim, en opposition
opposition qu'y trouve M. Serres : d'abord, il existe de la substance grise dans la moelle épinière des poissons, en plus gra
ux sont longitudinales, ne peuvent-elles pas provenir de la substance grise des ganglions encéphaliques, car ce qu'il faut à
ce n'est pas que les fibres blanches soient enveloppées de substance grise , mais qu'une de leurs extrémités plonge dans cett
s fibres de la moelle épinière des poissons, plonge dans la substance grise des ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier, ra
s ganglions encéphaliques. M. Cruveilhier, raison, que la substance grise ne nourrit pas la substance blanche, car dit-il,
eim sur ce point, prétend que ce chez tous les poissons, la substance grise manque, en sorte que la moelle est canaliculée »
ulée » (1). Mais le canal de la moelle peut exister avec la substance grise , il n'y a là aucune contradiction. Et c'est en ef
cune contradiction. Et c'est en effet ce qui a lieu, car la substance grise forme en quelque sorte les parois du canal. A cet
mistes, c'est le mode de coloration de la substance appelée substance grise . Cette coloration me semble une condition seconda
cines spinales, au contraire, vont se rendre dans un noyau de matière grise qui se trouve dans l'intérieur de la moelle. Ce n
e la moelle : ainsi, c'est avec raison que l'on peut appeler ce noyau gris , ganglion de renforcement. Sa structure n'est pas
foncent dans un espèce de sillon où elles rencontrent de la substance grise . La moelle épinière de l'homme offre celte dispos
ent dans la moelle par un sillon au fond duquel s'avance la substance grise , taudis que les racines antérieures se répandent
ns, comme celle de la moelle rachidienne, est fibreuse ; la substance grise ou gris-rosé est en grande partie vasculaire : ce
t de vaisseaux sanguins. 2. Des granulations composent la substance grise , des fibres composent la substance blanche. 3.
m, l'aqueduc de Syl-vius, la commissure diffuse du cervelet, le noyau gris inférieur, la tige pituitaire, la glande pinéale,
la grenouille. couleur de la substance des lobes cérébraux est d'un gris blanchâtre; celle de la commissure placée entre c
cules inférieurs, on ne trouve , chez les reptiles, qu'un petit noyau gris , à peine saillant, situé en arrière de l'endroit
elle le bulbe rachidien. 10° Corps strié. C'est un petit renflement gris que l'on découvre en ouvrant le ventricule cérébr
es reptiles, telles que Yinfundibulum, l'aqueduc de Sylvius, le noyau gris inférieur, ce que j'en ai dit suffit à leur descr
, composé de substance blanche ; l'intérieur est composé de substance grise qui s'y trouve en plus grande quantité que chez l
aux, deux de chaque côté; elle a un canal central revêtu de substance grise . 11. Quand la moelle épinière des reptiles est
le de déterminer que le siège des fibres transverses est la substance grise de la moelle, car après avoir ouvert le canal méd
. Les granulations et les ramuscules sanguins, composent la substance grise de laquelle émanent les fibres trans-verses. 5.
orte-crète, le caméléon, le roquet, le goitreux, et surtout le lézard gris et le lézard vert, sont doux et familiers ; ils s
donne à cette partie le nom de corps strié. C'est un petit tubercule gris qui est un véritable rudiment de la couche optiqu
t il entre dans sa composition une quantité très notable de substance grise ; chez les mammifères et chez l'homme , le nerf o
comme de pédicule. Considérée à l'intérieur, la substance en est d'un gris rosé; on y voit des stries blanches qui viennen
parfaitement isolées ou plutôt délimitées; il n'y a pas de substance grise extérieure et de substance blanche intérieure com
anche est distribuée en faisceaux qui sont entourés de substance d'un gris rosé, dans laquelle ils vont se répandre. Le cerv
me le corps strié des mammifères, formé en grande partie de substance grise , et que l'on trouve, en l'incisant, son intérieur
roisième ventricule, au fond duquel esl une petite portion de matière grise que l'on voit à la base du cerveau sous la forme
: leur masse est formée de sub- (i) Op. cit., \. r, p. 2y. stance grise ; ils reçoivent des fibres blanches venant de la
nt et d'avant en arrière. Sur un passereau j'avais compté 13 lamelles grises , et il n'y avait que 10 lamelles blanches. Chez v
ble lame plissée, l'une intérieure, blanche, l'autre extérieure, d'un gris rosé. Au centre de l'organe, qui est placé en man
ugmente de volume par l'addition d'une certaine quantité de substance grise , et par celle des fibres de la commissure diffuse
comm» Perroquet vert........ 3a mill. a8 mill. i à 1,14 Perroquet gris ........ 29 27 1,07 Perroquet vert. «...... 26 2
itié environ. U. Le lobe cérébral n'a pas de cavité, les substances grises et blanches n'y sont pas disposées par couches di
es deux renflemens, et surtout du renflement inférieur. Cette matière grise vient presque jusqu'à l'extérieur de la moelle pa
un très petit diamètre. La substance blanche, recouvrant la substance grise , forme à la moelle une sorte d'enveloppe divisée
x est presque entièrement composé de substance blanche ; la substance grise s'y trouve au contraire en très grande proportion
. Chaque lobe cérébral peut être considéré comme un amas de substance grise ou d'un gris rosé, dans lequel pénètrent, à des p
cérébral peut être considéré comme un amas de substance grise ou d'un gris rosé, dans lequel pénètrent, à des profondeurs di
sions de substance blanche ou médullaire. Au microscope, la substance grise présente un aspect granulé, confus, quelques fibr
terminer par des anses dont la courbure correspondrait à la substance grise (1). Il se trouve de la substance grise en arrière
correspondrait à la substance grise(1). Il se trouve de la substance grise en arrière de la commissure des nerfs optiques ;
x de ces animaux. Dans la moelle allongée, il y aussi de la substance grise , mais elle y est disséminée, et n'y forme pas de
en dedans de la moelle, et à la présence d'une quantité de substance grise plus considérable que celle dont la moelle épiniè
RÉSUMÉ. 1. La moelle épinière des oiseaux contient plus de matière grise que celle des reptiles et des poissons; aussi a-t
à ce qui a lieu chez les poissons et les reptiles. k. La substance grise et la substance blanche, sont tout aussi distinct
che, tandis que les circonvolutions ne présentent que de la substance grise . Le prolongement antérieur de la moelle épinièr
au de la racine du nerf optique, est placé entre deux amas de matière grise , l'un au-dessus et en dedans de lui, l'autre en d
, pyriforme, ayant sa grosse extrémité en avant et formé de substance grise : c'est le corps strié, ainsi appelé parce que da
cheval, p. a. fig. lre), et immédiatement après, une large commissure grise , appelée commissure moyenne ou molle, qui réunit
entonnoir ou inf'undibulum (in pl. iv et v, fig. 3), dans la matière grise qui entoure Je tubercule pi-siforme ou corps mami
fig. 2), que l'on voit à la base du cerveau, au milieu de la matière grise (tuber cinereum) de Xinfundi-bulum. Là, les fibre
moelle allongée............. 0,002 1*1 "........ de la substance grise du corps strié . . 0,002 Id ........ de la subs
substance blanche du corps strié. 0,003 ld........ de la substance grise périphérique du cerveau.............. 0,003 l
érique du cerveau.............. 0,003 ld......... de la substance grise du cervelet. . . . 0,00333 ld......... de la su
23 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
assez abondants; sourcils et cils bien fournis, moustache et barbe grises , autrefois châtains, poils roux au pubis; les j
ique avant de gagner la couronne rayonnante. 11 semble que ce noyau gris soit pour' ces fibres une sorte de centre de re
cordons postérieurs jouent le rôle de commis- sures ; la substance grise est l'intermédiaire obligé entre ces commissure
parler l'axe conduc- teur ; 3° certaines parties de cette substance grise (cornes posté- rieures, surtout la base de ces
sez prononcée pour rappeler, à s'y méprendre, celle de la substance grise des noyaux centraux ou des circonvolutions, si
remier aspect, on pourrait penser qu'on a affaire à de la substance grise plus ou moins diffuse dans le centre ovale, inv
à l'action du réactif. Il est facile de se convaincre que la teinte gris brun corres- pond aux faisceaux de fibres coupé
icalement ou latéralement les circonvolutions. Les premières seront gris brun, les autres légèrement teintées en jaune.
ont comme l'épa- nouissement de la couronne ; 3° enfin de la couche grise des circonvolutions, aboutissant ultime des fib
lement à tout le système sensitif cortical, en revanche les couches grises peuvent être le siège de troubles passagers, né-
cal préposé aux perceptions : ou bien il existe dans la substance grise , des centres corticaux isolés, destinés chacun à
comme Goltz, croient à l'homogénéité fonctionnelle de la substance grise . L'année dernière, au Congrès médical internati
dant la tumeur par en haut, c'était l'asymétrie quée des colonnes grises des deux moitiés de lalmoelle épinière. , £ ? ,
sement de volume était dû, à une simple hyperptasie de la substance grise . Ce .n'est que plus bas (Fin. 2) que cette mass
'interne s'enfonçait profondé- nient. dans. la niasse de la colonne grise , 1 externe avait comprimé l^.iSUjbstai^ç'é bjan
nti- inivîf 1.1 -171^1.111 m . i'i ? tij" m 1 ii , sur la substance grise , n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedans sur
e grise, n^it^.enipiétjer de pb|s en plusçp dedans sur la substance grise , en dehors, vers le bord de la' moelle.' Enfin
1>ale;·T>;>I1>fzfL ? soi e ? ule sotait dé'lâ'snlistance grise , en bas, elle pénétrait dans la substance médul
de teindre en violet la.substance blanche et en bleu la subs- tance grise , (les fibres radiées qui traversent la' substance
onctif de la moelle ? J0'" 1 t Sur la coupe je trouvai la substance grise , 'lés' rayons blancs' ainsi que le tissu de la
ion identique de la tumeur, du tissu conjonctif, de la subs-' tance grise et des stries radiées de la substance blanche par
tions que. la tumeur avait 'fait subir à la" substance blanche, et, grise de la,moelle érïmrôi nanié ecuent`tivs` éiii)3r-
meur, par son envahisse- ment, avait laissé de substance blanche et grise , était contenu dans cette faux. La néoplasie av
te substance avait subies. . , Il . 1 il .1 i i /u- 1 - 1 Substance grise (PL. V,t fi; 5); .1 1 . .1 l, ji 330 RECUEIL DE
ié' droite de; la moelle. ! ' i Les modifications de la substance grise étaient encore bien plus curieuses que celles d
blanche. J ) Dans les conditions normales les fibres de 1,% colonne grise von en divergeant de leurs pointes vers l'intér
entrecroisent ! entre elles. - j ' ' Dans notre cas, la substance grise s'était transformée,' sous l'in-, fluence de la
résentant le dessin exact de deux coupes transversales des colonnes grises antérieures faites sur un' même plan. La figu
r un' même plan. La figure 8 représente une portion de la colonne grise antérieure du côté droit, la figure 9 une porti
nt ces deux côtés, on voit la direction toute différente des fibres grises autour de la tumeur. Ces dessins nous montrent
même direc- tion que celui des fibres transformées de la substance grise et dont les noyaux ont, sans exception, la form
isseaux, mais très vraisemblablementde la névroglie de la substance grise . La .tumour,sne tenait à la,pie- mère que par u
t, I m. <) ' t Il Quand un .vrai sarcome surgit de la substance grise ,, si riche en névroglie, cette/ névroglie. ne p
substance blan- che,,en,violet,tle tissu.du sarcome et la substance grise , en bleu.t" , , résulte donc que la névroglie
grandes ramifications des vaisseaux de la moelle etque la substance grise est le siège des capillaires. Or, les travées d
e tissu conjonctif .ordinaire fibrillaires, tandis que la substance grise contient , surtout des névro- glies. Il résul
ues (de la fiq. 5). Fig. 8.- Représentant une portion de la colonne grise antérieure du côté droit. Fig. 9. Représentan
ure du côté droit. Fig. 9. Représentant une portion de la colonne grise antérieure du côté gauche. , REVUE CRITIQUE
buminurie intermittente, qui aurait échappé. Fond d'oeil .pâle et gris . Apoplexies et plaques blanches de la rétine, a
diquions la configuration des réseaux capillaires dans la substance grise et dans la substance blanche. Tels sont sommair
2*.q. II, IV et F de l'auteur).- L'as- pect général de la substance grise est le suivant. Sur des coupes horizontales on
horizontales on remarque que le réseau capillaire de la subs- tance grise est surtout riche et dense aux endroits où existe
/c'est-à-dire selon le langage de l'auteur allemand dans la colonne grise antérieure (G2,a21eîi 17oîdeî,- saulen). La com
a richesse et la disposition' générale de ce réseau de la substance grise avait déjà été signalée par nous lorsque nous d
wicz. Mais poursuivons l'étude du réseau capillaire de la substance grise . Sur des coupes sagittales passant par la subst
substance grise. Sur des coupes sagittales passant par la substance grise des cornes postérieures on voit facilement la s
ent chaque moitié de la commissure pour se rendre dans la substance grise , iisparcourent une sorte de canal, où leurs veine
ales et vont par le trajet le plus court se jeter dans la substance grise de cette colonne qu'elles rem- plissent d'un ri
ommissurale montent et des- cendent verticalement dans la substance grise de la moelle de chaque côté du canal central, à
vertico-sagittales (antéro-postérieures), faites dans la substance grise à quelque distance du canal central. (Voy. /'7&
directement en avant, récurrente pour ainsi dire, vers la substance grise des cornes antérieures, où elle se distribue ;
. 363 rend dans un point diamétralement opposé, dans la substance grise des cornes postérieures ; la troisième branche es
n des artères commissurales : elles fournissent du sang à la partie grise centrale de la moelle épi- nière, en occupent s
erminales convergentes qui viennent des capillaires de la substance grise . Le deuxième système des vaisseaux de la moelle
forment des réseaux beaucoup plus larges que ceux de la subs- tance grise , et se disposent suivant leur direction. La commi
erveau, des circonvolutions et des sillons non moins que des noyaux gris centraux. Par des mensurations nombreuses et pr
f. Psch. u. 1)'ei,veizk, XII, 1.) Le processus de la dégénérescence grise des cordons posté- rieurs (tabès dorsal) est-il
la pie-mère au niveau des cordons posté- rieurs, la dégénérescence grise des cordons postérieurs et celle des cordons an
très peu marquée, tandis qu'il existait une atrophie de la corne grise postérieure correspondante. Il est possible que l
ques (de la fig. 5). Fig. 8.-Représentant une portion de la colonne grise antérieure du côté droit. Fig. 9. Représentan
ure du côté droit. Fig. 9. Représentant une portion de la colonne grise antérieure du côté gauche. gvreux. limssev. n
24 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
atteints d'une tuméfaction irré-Lilière, -vari- queuse. Substance grise . - Dans son ensemble, l'aspect de la substance
e. Substance grise. - Dans son ensemble, l'aspect de la substance grise est tout différent de l'état normal. Les vaisseau
. 9). Archives t. XX. 4 Fig. 9. - Masses vitreuses delà substance grise . 50 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Un certain nombre
icroscopique fait constater une hypérémie intense dans la substance grise comme dans la substance blanche; les parois vas
uleux. Dans la substance blanche aussi bien que dans la substance grise , il existe des corps amyloïdes assez abondants.
onstaté nous-même. ÉTUDES SUR LA MOELLE ÉPINIÈRE. 53 La substance grise est également altérée : les cellules gan- glion
utopsie on observe du gonflement des muqueuses qui sont colorées en gris ardoisé, des ecchymoses, des excoriations, ulcé
3 résulte ce qui suit. En ayant soin de ne léser que la substance grise du gyrus sigmoïde du chien , dont on a préalablem
reste du corps restiforme primitif et secondaire, quatre substances grises avec leurs fibres correspondantes. Une subs- ta
ubstances grises avec leurs fibres correspondantes. Une subs- tance grise plus externe (noyau du cordon postérieur) est ind
E. neuse part la racine ascendante du trijumeau - d'une substance grise particulière part la racine ascendante commune du
l'opercule est étroit, étroite aussi est la languette de substance grise qui des deux ascendantes se dirige vers la'scissu
quaient pas pour révéler la propagation de la lésion à la substance grise : l'atrophie mus- culaire progressive et les tr
une affection ir- ritative dea parties postérieures de la substance grise centrale. H. M. C. III. Folie du doute; par P
'arrêt de développement systématique; on constate dans la substance grise une myélite diffuse disséminée, ainsi qu'au nivea
développement des fibres cérébelleuses. Parallèlement, la substance grise du cerveau antérieur a subi la même déchéance (
surtout sur la richesse des hémisphères ou leur pauvreté en écorce grise et les conséquences de cette constatation. Il n
, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso moteurs . (Substance grise latérale postérieure) ; par le professeur .1. Cra
asie des cellules-araignées dans toutes les couches de la substance grise . Hyperplasie du tissu con- jonctif. Hyperplasie
dépens des deux frontales supérieures gauches, et la dégénérescence grise des cordons postérieurs. Névrite optique du côt
ET DU PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 267 DES hétérotopies DE substance GRISE dans la MOELLE; par P. KRONTEIAL. (Neurol. Cent
nin chez lequel en outre de ces sortes de déplacements de substance grise au milieu de la substance blanche, on trouva un
terne. Tangentielles et transversales à la direction du revêtement gris , elles disparaissent, non pas seulement dans la p
anche centrifuge, soudées par une lame de substance 336 ANATOMIE. grise . Cet appareil excitateur est d'abord relié au seg
lle : c'est l'arc direct. En résumé, les renflements de substance grise (cornes à la moelle), les corps opto-striés (co
e), les corps opto-striés (cornes inter- médiaires) et la substance grise des circonvolutions au niveau des vertèbres crâ
et sont mis en communication les uns avec les autres ' La couche grise de l'intellect serait surajoutée aux centres cort
nerf optique a été creusé d'une cavité et a contenu de la substance grise ; quant à sa texture, elle est cérébrale en gra
tent que cette région est constituée par une lamelle de substance grise , dont les limites ne seraient autres que celles
ndelette optique; l'in. terne, plus ou moins excavé, à la substance grise qui recouvre les deux autres tiers de l'espace.
e qui recouvre les deux autres tiers de l'espace. Cette substance grise est en quantité très variable : c'est une très
nombreuses variétés, qu'il n'est pas besoin de décrire. Substance grise de l'espace perforé. - Cette subs- tance grise,
décrire. Substance grise de l'espace perforé. - Cette subs- tance grise , qu'elle soit amassée dans une partie seulement
la surface de celui-ci, est en continuation directe avec la racine grise supé- rieure, dite racine du Scemméring. Celle
comme le prolongement en avant, comme la condensation de cette lame grise . Quoique le plus souvent renfermée dans les bar
arrières du qua- drilatère, il est si fréquent de voir la substance grise se continuer en dedans et en haut avec ce que j
chant la pie-mère, on enlève le plus souvent le peu de substance grise qui se trouve être en dehors. Avec le manche du
dans, nous avons vu qu'elle forme un relief comblé par la substance grise ; nous verrons qu'une partie de son plan profond
tive externe. Ensuite, lorsqu'il y a, à ce niveau, un peu'de tissu gris et qu'on l'enlève avec celui de la partie inter
, on la retrouve 3SO ANATOMIE. après l'enlèvement de la substance grise ; elle adhère dans ce cas, par sa terminaison, à
e à la superficie. En définitive, quand on a soulevé la substance grise qui revêt l'espace perforé, on constate la prés
é, c'est-à-dire en avant, avec les nerfs olfac- tifs et leur racine grise ; par ses deux terminaisons, externe et interne,
autres et dans l'intervalle desquels est logée de la subs- tance grise , qui relient l'arc à la diagonale (voir fiq. 29).
pectinée est située au fond d'une cuvette remplie par la substance grise ; il faut enlever celle-ci pour apercevoir les
et la branche interne de l'arc olfactif. - L.S.G. Lame de substance grise accompagnant le pédoncule du corps calleux et se
nt le pédoncule du corps calleux et se continuant avec la substance grise qui recouvre les filets de la formation peclinée
ces filets. 352 ANATOMIE. tance blanche incluse dans la pyramide grise de Soem- mering. Indépendamment des racines a
circonvolutions ne seraient que les soulè- vements de la substance grise de l'espace perforé, qui au lieu d'être étalée
e ramasserait sous cette forme. En effet, dans ce cas, la substance grise manque totalement ou est en minime proportion.
odroné, absolument comme l'expansion plate, rubanée de la substance grise de l'espace perforé dont j'ai parlé plus haut.
u'une variété des nombreuses dispositions que présente la substance grise de l'espace quadrilatère. En définitive, le ner
ire aux différents étages de l'axé nerveux ; 2° l'amas de substance grise , qui constitue la racine grise des^nerfs de l'o
axé nerveux ; 2° l'amas de substance grise, qui constitue la racine grise des^nerfs de l'olfaction ou aura le champ ou ca
ntinuité insignifiante et en quelque sorte banale, que la substance grise extérieure établit entre toutes les parties de
moins anfractueuse mais ininterrompue de l'hémisphère. La substance grise fait bien réellement partie intégrante de l'app
les uns contre les autres, elle ne se distingue pas de la substance grise dans laquelle ses fibres cheminent. Il en reste
t en arrière le long de la ligne médiane jusqu'au niveau de la lame grise dite racine grise du chiasma, et qui alors, se
ng de la ligne médiane jusqu'au niveau de la lame grise dite racine grise du chiasma, et qui alors, se dirigeant en dehors
ette optique, va se perdre après un court trajet, dans la substance grise de l'espace perforé sans atteindre le lobule de
un centre olfactif, et les tractus blancs qui partent de la racine grise viendraient s'y perdre. On a vu plus haut la te
entielle pour la lumière blanche et par conséquent pour le noir, le gris et le blanc.) Voici ce que nous pouvons dire à
l'excitabilité de l'écorce cérébrale. A l'état normal, la substance grise de l'écorce est entièrement ou presque entièrem
ables. D'abor'd examinons l'excita- bilité relative de la substance grise et des fibres médullaires. C'est le poiut sur l
sur le compte du shock ou de l'hémor- rhagie, puisque la substance grise environnante réagit comme avant. De plus, ils o
es. Ces agents sans doute paralysent l'excitabilité de la substance grise . Fritsch et Hitzig ont noté dans leurs expérien
426 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. une longue exposition de la substance grise , l'anode prédomine. Ces expériences indiqueraie
ain est beaucoup plus élevé. Ce chiffre signifie que la substance grise de l'écorce ne se com- porte pas comme une couc
n des fibres médullaires seules sans l'intervention de la subslance grise de l'écorce d'un côté ou de l'autre, et on ne p
téro- latéral de la -, par Gowers, 89 ; hétérotopies de substance grise dans la-, par Krontllnl, 267; anatomie de la
25 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ère, qu'elle enveloppe de toutes parts , s'est à peine teintée en gris sous l'influence de l'acide osmique; de plus, s
lorsque celle-ci reconnaît pour cause une lésion de la substance grise de la moelle épinière, mais encore lors- qu'ell
p. 512.) INCOORDINATION DES ATAXIQUES. r4.> de la substance grise de la moelle, surlles,nerssmo, GVJ ? ? Q1'O()'1
le dans sa situation, si ce n'est que ses membres sont plus amai- gris . La parole et l'intelligence sont les mêmes. L'en
'îlots sclérosés, tranchant par leur coloration blanche sur le fond gris du corps strié. Une section pratiquée sur la
côtés, les cornes d'Ammon semblent normales. Thorax. - Hépatisation grise occupant toute la hauteur du poumon droit et la
rales, que les plaques, au lieu d'être blanches, ont une coloration grise . La comparaison entre la Planche in et les plan
s : Le carmin parait noir; - vermillon - moins noir; - orange - gris clair; - jaune - blanc sale; - vert clair - v
- vert clair - vert foncé; - Vert - noir; Le bleu clair paraît gris ; - bleu - noir; - lilas noir ; blanc parait
les voies ne sont pas frayées par le segment intact de la substance grise , par ce tout petit segment qui peut échapper à
atérale droite, le cordon postérieur gauche et toute la subs- tance grise sont divisés. Aussitôt après le réveil de l'ani-
rale. » Il cherche enfin à démontrer directement que la substance grise n'entre pour rien dans ces phénomènes de retour.
té et de la sensibilité, tue l'animal, et constate que la substance grise était parfaitement respectée. En dernier li'eu,
l est mis à mort et l'autopsie confirme l'intégrité de la substance grise . Ces faits semblent donc démontrer que la secti
e l'abolition de la sensibilité et de la motilité; que la substance grise ne joue aucun rôle dans la conduction centripèt
epro- duit assez exactement les principaux traits de la myé- lite grise antérieure. Le système sensitif ne nous a pas p
it pas atteint la face. Du côté de la moelle épinière, la substance grise antérieure offre, seule, des lésions évidentes
inges, ni de la substance rise. °1 ! t,.H" " " ni de la substance grise ., ·, si - 'Li- 19f1'l1f..l ? 1.' 1 r ? J t'If.
l , , ,^ , ' " .'1''1' ^ r.,Wn9 el 2c<r ? ninges,et,la·substance grise . r ',] '.t, j IJ"¡ z il 11 , }" 't l, 1 J ? ? 1
natomique- ment par aucune lésion des méninges ni de la substance grise appréciable à l'oeil nu. II. Observations de dé
démence épileptique avec lé- sions des méninges et de la substance grise . Chez les malades dont nous allons parler, la d
tout sur le lobe frontal où la pie-mère entraîne avec elle l'écorce grise ; -c'est sur le lobe occipital que les lésions s
ans les autres régions et ne présentent pas d'anomalies. Les masses grises centrales et la corne d'Ammon paraissent égalem
d la pie-mère est enlevée dans les points adhé- rents, la substance grise reste comme érodée et présente une coloration c
lésions à l'état frais, principalement les lésions de la substance grise , qui est assurément plus délicate que la substa
tion. Méninges. La pie-mère adhère assez fortement à la substance grise . Dans les points où la lésion n'est pas très av
centes. ' " ' ' ' , l ""1 tf' il " Il 1 t , 1 ti t i m; Substance grise .-Sur les points qui ne sont pas très altérés, o
s'assurer; à l'aide d'un faible grossis- sement, que la- substance grise a conservé presque tous ses caractères normaux'
d'une bande festonnée poussant dans la profondeur de la substance grise des prolongements plus ou moins saillants, qui
globules sanguins. , 1" De, toutes les altérations de la substance grise , il est ^certain que cellesides cellules nerveu
des aliénés, a été reconnu par nous sur quelques points de l'écorce grise , 244 CLINIQUE MENTALE. JI 1 11 loti 1."J "T '
parlent Stricker et Unger, sont situés aux confins de la substance grise , et ceux auxquels nous faisons allti- sion sont
l 1 Jm.n r Irtjl' : h b' 9t .. les couches moyennes de la substance grise ; et ensuite juloiin JJ'J)j ? nJ-' i - ! ,i )' .
z loin de la -'} .4 .. .jm . 1 I , ! il. ^ A , 1 T 1 ,. substance grise pour qu on ne puisse être tente de les t>'1
roglie et les vaisseaux sanguins; et, de même que dans la substance grise , on y trouve des modifications qui rappellent t
des cellules araignées dans la couche superficielle de la substance grise ; mais ici, elles sont en beaucoup plus grand' n
,lésion débuterait; .parlai couçhe,profonde ,deI la ,subs- tance, grise , et), intéresserait ? la^couche, contiguë^de ;
ée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise . tl, Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prol
que la substance des hémisphères cérébraux, et notam- ment l'écorce grise , ne commence à se former qu'à une époque fort t
hnoïde et la pie-mère, adhérentes l'une à l'autre et à la substance grise , sont infiltrées d'un pus épais, crémeux qui fo
e des circonvolutions frontales et princi- palement de la substance grise de ces circonvolutions. En 1875, M. d'Espine2 f
étaillée, il insiste sur les altérations de structure de l'écorce grise , mais il s'étend surtout sur les lésions qui résu
ici, c'est la localisation des foyers de sclérose dans la substance grise , soit à la surface des circonvolutions, soit à
toute vraisemblance, son point de départ occupent la subs- tance grise ou ce qui devait être auparavant la subs- tance
subs- tance grise ou ce qui devait être auparavant la subs- tance grise . Dans ce tissu scléreux, les noyaux ne sont pas
rt réside dans la 412 CLINIQUE MENTALE. névroglie de la substance grise corticale, mais dont la localisation dans les p
autres cas, le diagnostic vraisemblable est celui de dégé- nération grise en plaques cérébro-spinale, quoique l'ensemble
ent des contractions manifestes en excitant la moelle. La substance grise perd son excitabilité avant la blanche. Deux à
est formé par les derniers filets radiculaires auxquels la colonne grise du glosso-pharyngien donne naissance. On peut d
ui réunit les unes aux autres les cellules motrices de la substance grise . Ainsi, la cause pro- vocatrice du spasme dans
ulaire. Gan- glions centraux uniformément atrophiés; leur substance grise est brunâtre. Pédoncules cérébraux normaux. L
imée transversalement, son tissu est mou et très pâle ; les couches grises en sont jaunâtres; cervelet anémié, anémie extrêm
nt. Moelle cervicale assez ferme, anémiée; substance blanche un peu grise ; moelle dorsale très molle. Le renflement lombair
e 6 ans. Extension brusque probable de la lésion à la subs- tance grise : apparition d'une fièvre intense et de symptômes
ellules à grand prolongement de la corne antérieure de la substance grise et de la moelle, qui remplissent à la fois des
ère brunâtre, semblable àcelle qui s'est déjà écoulée. La substance grise était intacte dans les parties superficielles,
pyramidal et aug- mentant le pouvoir excito-moteur de la substance grise médul- laire ; c'est encore au processus irrita
clairement; ! surjette "coiïpefl'invôlutiôn à€> la* substance-' grise doslaicircdrivoliition ^centrale intérieure (ou
- (PL : XIV,7g.,1;.2);com7peut;encorel,tdistinguer tIa 0substance grise de l'insula, la, qui, d'arrière .enn avant )fritr
n y< retrouve Jbji, rc}i;s,e> djjpo- Fsitiom de. la substance grise , que osur,la, précédente, coupe jjivec t cette
re^t.oute1déprimjée.JSur tle'iplan'dei cette coupe, ,la'1substance1 grise de la portion supé- ,rieure'de l'insula,'s'avan
de l'hémisphère, t.và directement se, confondre avec la substance, grise de Kavant- tmur,0. Près de là, prend» naissance
r,0. Près de là, prend» naissance ^toute^ne^bandejette^de substance grise ? qui -.s'interpose aentre,le lobe pariétal, Pv e
rne et externe). 011trôûrvé sûilâ'PLt'-XIV;'fig : 'G); la substance grise del'insula, 'fjÇJof à un'niyeau plus1 élevé que
r tous les points, aussi 3g bien conservée. L épaisseur de 1 écorce grise varie, suivant les 'régions,, c{e,,6"à,,4; ét m
uonobàq ? f J ... i r ? f'iJ ? i-)uUjbt.) "h "'trr-n' Pour 1 écorce grise des circonvolutions, qui pénètrent dans LOCALIS
ormalement constitués les di- vers éléments propres de la substance grise ,.Zmâiil'yjinânque - la disposition régulière, s
sta aauoi cf -rrip ,cs;1 Erbmainte région deace, cerveau, 1,'écorce grise , des circonvo- blutions jious montre desp anoma
: s3ai silb.'c Il oBurile< erveaü'Jde notre^malade; la substance grise ! 9festrès'irrégu ! IèremeuU'distribuée : 3 ôn"l
u0 d'un paralytique des foyers hétérotopiques'desubstance') *> grise ^tqui - contenaient- (les"J6ellules^nèrveuses.9Hi9
? li.t 1-,) . .. ± suc l'avant-mur z Ces deux dépôts de substance grise dissocient les éléments, qui, dans la coupe pre-
'de t ? ujjjt.t'ju qui mettent les deux noyaux en coin- substance grise qui mettent les deux noyaux en com- ai» oi.'Ui.
ih '1 a.iBî0J0.' 90ÏH.],rRl ? 9 ? Ba<-. , de, couleur blanche et grise , espèce de grillage . qui la aw;(iu,>; ^'Kf'
nes antérieures, et d'une ma- nière générale par toute la substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la substa
substance grise ; les cellules du tissu conjonctif de la substance grise étaient plus nombreuses qu'à l'état normal; que
cales, qu'elles atteignent d'assez grandes étendues de substance grise tout en tendant à former foyer sur tel ou tel poi
surtout en ce qui a trait au mode de répartition de la substance grise ou blanche : telle cette sclérose latérale amyotr
ction bulbaire dans laquelle on rencontra au milieu de la substance grise une masse considérable de substance blanche nor
ne pénétra- tion identique de la substance blanche dans les couches grises (moelle dorso-lombaire). Au même ordre d'idées
sie « une décharge accidentelle, soudaine et rapide de la substance grise d'une partie quelconque du cerveau ». Cette déf
so-motrices. L'anatomie pathologique se résume en la dégénérescence grise ou atrophique des cordons blancs postérieurs co
uraient au surplus que peu ou pas de tendance à envahirla substance grise de la moelle ou les cordons latéraux, mais elle
é de la sensibilité par la suppléance physiologique de la substance grise , de même qu'inversement une partie de la substa
substance grise, de même qu'inversement une partie de la substance grise peut être incapable de fonction sans que la con
ée dans un foyer d'encéphalite diffuse au voisinage de la substance grise . Fig. 1. -A, A, cellules araignées à prolongeme
dé. 0, avant-mur (claustrum). C e, corps calleux. Ca, substance grise de la circonvolution centrale antérieure, ou fron
épare le ventricule latéral de la surface cérébrale. F a, substance grise des circonvolutions frontales, qui pénètre dans l
le latéral, et arrive directement sur le noyau caudé. la, substance grise de la portion antérieure de l'insula, déprimée, e
des nerfs optiques. (C'est la face posté- rieure.) T p, substance grise de la circonvolution centrale postérieure, ou pa-
mer la paroi supéro-exlerne. C c, corps calleux. 1 a, substance grise de la portion antérieure de l'insula, déprimée, e
e. la, portion antérieure de l'insula, en retrait. lp', substance grise de la portion saillante de l'insula, qui arrive s
saillante de l'insula, qui arrive sur l'avant-mur. 1 a, substance grise de la poition déprimée de l'insula. E, Coupe tr
dente; elle sectionne le sillon pariéto- occipital. Ip, substance grise de la portion saillante de l'insula. U, Cavité
en de Luys. si faisceau longitudinal inférieur. o ! ln o, origine grise des nerfs optiques. t c, trigone cérébral. Vm
26 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
s un sang difiluent et acide et un ramollissement dans la substance grise de la moelle, DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SC
iers moyen de la région dorsale un grand foyer légèrement coloré en gris jaunâtre ; il n'y a pas trace d'hé- morrhagie.
ont décolorés.irrégulière- ment en îlots blanchâtres ; la substance grise en apparence nor- male est nettement délimitée.
sont en grande partie endurcis à un degré très élevé. La substance grise de la région cervicale et lombaire est intacte.
gue des points plus clairs et plus jaunes qui tranchent sur un fond gris foncé. Ces points jaunes se trouvent surtout au
çà et là des petits endroits de processus myélitique. La substance grise avec ses cellules, les racines antérieures et p
Pendant des siècles, on a sectionné, excité, cautérisé la substance grise et la substance blanche du cerveau sans être ja
en deux portions : l'une qui pénètre directement dans la substance grise postérieure, l'autre qui gagne auparavant, en ded
nt, en dedans et en dehors, la substance blanche, autour des cornes grises postérieures. Celles qui pénètrent d'emblée dan
grises postérieures. Celles qui pénètrent d'emblée dans les cornes grises postérieures, tra- versent la substance gélatin
terminer. Celles qui longent la substance blanche autour des cornes grises postérieures (faisceau cunéi- forme de Burdach
ra la source du faisceau de Goll. Les autres, laissant la substance grise en dehors, s'enfoncent dans le segment postérie
fibresradicu- laires postérieures après leur passage par les cornes grises postérieures. Les cordons de Burdach et le segm
rs plus ou moins distantes de cette entrée, pénètrent, la substance grise des cornes postérieures. - De là les propositio
adiculaires postérieures qui ont préalablement passé par les cellules grises des cornes postérieures, ce sont eux qui formen
u début du tabes, de concert avec celles des racines etdes colonnes grises postérieures. D'où également, à une phase plus
res nerveuses qui de la substance blanche entrent dans la substance grise ; la contiguïté, oui ; la continuité non. Etcette
r expliquer les cas de change- ment permanent et soudain du noir au gris ou au blanc, - mal- gré l'opinion d'Hébra et de
e occupait surtout les cordons postérieurs; la substance blanche et grise ne présentait pas le mode de répartition ni de
ie, l'analgésie et les troubles sudoraux ou vaso-moteurs (substance grise latèro-postérieure). Recueillies et publiées par
elle cervicale (V. fig. 19), on observe, au niveau de la commissure grise , une cavité irrégulière- ment triangulaire, lim
s transversal et elle occupe la partie postérieure de la commissure grise , allant d'une des cornes antérieures à celle de
de la branche horizontale se porte dans la région de la commissure grise , au-devant des cordons postérieurs. Elle déplac
du côté gauche, se trouvant séparé de toutes parts de la substance grise par de la subs- tance blanche saine et colorée
de départ habituel de la néoplasie glioma- teuse est la commissure grise et la région du canal central. C'est égalemen
tion anatomique de l'ori- gine des fibres nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'établit entre les cellules, consi
un réseau nerveux qui existe dans toute l'épaisseur de la substance grise . Golgi i incline à croire, sans rien affirmer,
tions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quant aux organes péri- phériq
, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substance grise de l'écorce. Mais on n'a point le droit d'appel
rémité fron- tale à la FA; le maximum d'épaisseur de la substance grise est au sommet des circonvolutions, le minimum a
paisseur de 0,1 à 0 ? n. Quant à l'âge, l'épaisseur de la substance grise du lobe pariétal serait plus grande sur la face
termination quantitative de la substance blanche et de la substance grise du cerveau humain. Conti a institué de nouvelle
uantitatives de volume de la substance blanche et de la substance grise sont d'autant plus fortes que les individus sont
fortes que les individus sont plus jeunes. Avec l'âge, la substance grise diminue naturellement sur toute l'écorce. Mais
solue de la substance blanche chez les jeunes sujets, la substance grise décroit d'une quantité absolument LES FONCTIONS
i a trouvé une sorte d'équi- libre stable entre les deux substances grise et blanche. L'année même où paraissait ce trava
ce blanche des hémisphères dépasse tou- jours celui de la substance grise . La première repré- sente environ 74 p. 100 de
début de la seconde moitié de la vie intra-utérine, la substance grise subit un accroissement considérable, puis cet a
ance blanche. Chez le foetus à terme, l'épaisseur de la substance grise est peu inférieure à celle de l'adulte. 1 E. Ba
t son maximum de cinquante-un à soixante ans, celui de la substance grise de quarante à cinquante ans. Quant au sexe, la
ance grise de quarante à cinquante ans. Quant au sexe, la substance grise est en plus grande quantité chez l'homme, la su
femme. La diminution, avec l'âge, de la quan- tité de la substance grise , est manifeste. La quantité notablement plus co
tablement plus considérable de la substance blanche en regard de la grise , le chiffre élevé de son poids spécifique, ne d
té- rieures sont seules épargnées), et d'une partie de la substance grise (zone latérale intermédiaire aux cordons antéri
manteau, à l'exception de deux petits lambeaux symétriques d'écorce grise , situés à la base, qui appartiennent à la face
able que les colonnes de Clarke participent, ainsi que la substance grise des cornes postérieures, à l'altération. Quant
6) qui se trouve entre le faisceau pyramidal croisé et la substance grise . Le faisceau cérébelleux direct ou de Flechsig
de Westphall (Z, W, 7) immédiatement appliquée contre la substance grise , formant la partie externe et antérieure du fai
faisceau pyramidal présente un minimum d'altération. La substance grise est intacte ainsi que les racines antérieures et
ure du quatrième ventricule. Il n'y a pas de lésion de la substance grise de la moelle. - Atro- phie des racines postérie
parallèles situés en grande partie dans l'épaisseur de la substance grise au point de réunion des cornes antérieures et p
ite interstitielle chronique. Du côté de la moelle : dégénérescence grise des cordons postérieurs et de la partie pos- té
ordons postérieurs. Néanmoins, la région antérieure et la substance grise sont également amoindries. La sclérose porte su
isseaux sont épaisses en plusieurs endroits. Quant à la subs- tance grise , elle est atrophiée considérablement, môme dans l
oique à un degré moindre que dans les cordons de Goll. La substance grise est intacte. Racines postérieures atteintes, ma
région lombaire présente les altérations suivantes : la subs- tance grise et surtout la zone marginale des cornes postérieu
ndis que dans les cordons latéraux aussi bien que dans la substance grise on ne voit plus de dégénérescence. La surface d
nous est fourni par la limitation des altérations de la substance grise à la seule colonne de Clarke, dont non seulemen
nnaître que les cordons postérieurs sont atteints de dégénérescence grise , dans leur portion médiane. Les méninges offren
I- NAGE DE LA JONCTION DE LA SUBSTANCE BLANCHE ET DE LA SUBSTANCE GRISE DES CIRCONVOLUTIONS DANS LES CAS DE PARALYSIE GEN
ses entre elles, connexion des cellules nerveuses avec la substance grise , les cellules du tissu con- jonctif, et les vai
dernières, comme, de plus, la paroi des capillaires de la substance grise et les cellules nerveuses émettent des fibrille
it supposé qu'elles formaient entre les interstices de la substance grise un réseau ténu qui servait de connexion entre l
s éléments fibrillaires des cellules nerveuses et de la subs- tance grise jouent le même rôle conducteur. Les opinions de
27 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es, dans le second il y a une lésion des cellules de la substance grise , une véritable encéphalite superficielle. Nous
sortie du pédoncule cérébral, existent des granulations nombreuses, grises , delagrosseurd'unegraine de pavot qui détermine
lenticulaire de ce côté sont indurés et présentent une coloration grise manifestement plus foncée que les mêmes centres d
les mêmes centres du lobe op- posé et que le reste de la substance grise ; une partie delà substance blanche avoisinante
même hémisphère,- c'est-à-dire sur les couches profondes de la zone grise : couches situées au som- met de cette région p
au som- met de cette région pyramidale dont la base est à l'écorce grise des circonvolutions médianes (ou ascendantes) e
m en haut et en dehors jusqu'à 4 centimètre environ de la substance grise corticale de la scissure de Rolando ; enfin, à
ège d'un petit ilôt scléreux, dur au toucher, et très manifestement gris . Sur le pied du pédoncule cérébral correspondan
r le pied du pédoncule cérébral correspondant existe une coloration grise des fibres, qui ont été évidemment prises de dégé
nsi que le locus zziger de Soemmering, dont la teinte naturellement grise ne se distingue que difficilement de la colorat
etrouve sur la pyramide droite, laquelle est dégénérée, franchement grise et légèrement atrophiée dans toute son étendue
lleux, commissures blanches (antérieure et postérieure), commissure grise , etc... Pour le corps calleux en particulier, F
alysie de la langue); 20 Que les lésions destructives de l'écorce grise de la zone rolandique (frontale ascendante et l
e un épanchement sanguin de 3 cen- timètres de long; dégénérescence grise des cordons postérieurs. REVUE DE pathologie ne
émités, tuméfaction des cylindraxes, avec intégrité delasubs- tance grise et des nerfs périphériques. Intégrité -des noyaux
re, la névrose de Weatphal (tableau clinique de la dégénéres- cence grise cérébro-spinale sans lésion), les affections orga
dans la partie antérieure des cordons postérieurs et la commissure grise ; sa configuration est irrégulière, si bien que l
en deux comparti- ments. Dilatation multiloculaire de la commissure grise , au m- veau de la cavité, d'avant en arrière ;
102 SOCIÉTÉS SAVANTES. milieu du tissu aréolaire de la commissure grise . La substance blanche présente des anomalies un
au sillon médian postérieur. Entre ce prolongement et la commissure grise , sur une hauteur d'1/ ? centimètre, il n'y a de
erveuses, généialement de fin calibre, qui, émanées de la substance grise , se dirigent sur une certaine étendue transvers
t la convexité est, sans exception, tournée du côté de la substance grise ; ici existe une aire claire, sorte d'éventail
unes très étendues s'accompagnent encore d'atrésies de la substance grise et en particulier, des cellules nerveuses de la
lle de la paralysie infantile spinale, qui, au lieu de la substance grise antérieure de la moe'le, n'atteint que l'écorce d
ne du centre respi- ratoire. Car il est évident que cette substance grise sous-corticale doit subir un arrêt fonctionnel
versale, c'est-à-dire l'irradia- tion à l'intérieur de la substance grise du corps strié. Dans la chorée vraie de cette s
ons sous-corticaux, au sens strict du mot, c'est-à- dire des masses grises situées au delà de la couche optique, cette opi
trié qui doit entraîner l'arrêt de fonc- tionnement de la substance grise sous-corticale. Dans la chorée, en effet, il ex
ucture du système nerveux central, montre la répartition des masses grises sur des coupes verticatesantéro-postérieures d'
ieures d'encéphaiesdesinges. Onest frappé du volume de la substance grise contrastant avec la par- cimonie des cellules n
se de la fonction. La configuration et la stratification des masses grises , la variété dans la direction et l'origine des
ques, bandelettes, chiasma et nerfs optiques normaux. La commissure grise du troisième ventricule était absente. Fig. 4
ule cérébelleux moyen du côté opposé, probablement à la subs- tance grise (cellulaire) de la moitié opposée de la protubéra
hère visuelle) reçoit de nombreuses fibres de projection de la lame grise superficielle du tubercule bijumeau antérieur e
se voyait pas chez le lapin, les cellules ner- veuses de la couche grise superficielle qui commandent à l'atrophie. 1 Vo
vitiligo très nettes; là où il y a des poils, ceux-ci sont devenus gris ; aucune anomalie des sécré- . tiens sudoripare
e blanche et les cornes posté- rieures, mais les cornes antérieures grises sontsemées de macules rouge-brique qui, dans la
ns la partie inférieure de celle- ci au centre même de la substance grise , tandis que, lorsqu'on monte vers sa partie sup
ux. Dans les quatre cas, atro- phie du nerf optique, dégénérescence grise des cordons pos- térieurs' à divers degrés d'in
econtraire de ce que nous venons de signaler : foyers dans l'écorce grise avec gtioso diffuse, el, en outre, lésion systé-
e joignent alors l'atrophie des nerfs optiques etjla dégénérescence grise des cordons postérieurs. Il faut principalement
éticulaire du côté opposé. Le procédé de Weigert révèle colorées en gris autour de l'aque- duc de Sylvius de nombreuses
e certains tubes, dans touteleur longueur, sont grêles, pâles, d'un gris cendré et constitués par des segments très cour
es des nerfs périphériques, des racines spinales et de la substance grise de la moelle, ces dernières uni- quement caract
'épaisseur. La myéline se désagrège en fines granulations noires ou grises , ordinairement réunies en amas arrondis, assez
ons périphériques, a, et transformée en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au centre, persiste un cordon, 4, de myél
une série de grosses sphères remplies de fines granulations noires, grises , jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne
représentés par linéiques sphères remplies de granulations noires, grises , ambrées et au milieu desquelles on rencontre s
sée, contient encore une matière -e protoplasmique grenue, jaune ou grise ; a, plus de trace de cylindre- axe ; s, segment
é avec de la mor- phine et, s'ils ont irrité une partie de l'écorce grise qui correspondait à un membre à l'aide d'un cou
s. Puisqu'il faut localiser les fonctions volontaires dans l'écorce grise , je crois qu'il est très vraisemblable que l'an
du mouvement. En effet, en appliquant les rhéophores sur l'écorce grise motrice d'un chien non narcotisé, nous réussiro
rveux à celui de l'homme. Si nous enlevons une partie de l'écorce grise motrice d'un chien, nous verrons dans quelque t
allera. Presque toutes les actions de l'homme dépendent de l'écorce grise de son cerveau, et c'est tout à fait erroné si
s : elle peut être trans- mise par les fibres fines de la substance grise dans les cornes antérieures et de là dans les r
bien, passant par la substance blanche, elle peut monter à l'écorce grise du cerveau, et, éveillant ici la DE l'hypnotism
térieures ne provoquent pas toujours les mêmes effets dans l'écorce grise , l'effet dépend de la direction dans laquelle l
ec quelques rares corps amyloïdes. Rien à noter du côté des centres gris et des 410 RECUEIL DE FAITS. ventricules. Pas
as de différence dans la répartition des deux substances blanche et grise . La protubérance et le bulbe n'offrent rien de
ire du prolongement postérieur du ventri- cule latéral. Les centres gris paraissent normaux. Pas d'épanchement dans les
e des circonvolutions frontale et pariétale ascendantes. Les noyaux gris centraux paraissent intacts. A la coupe pédicul
x ont le même volume des deux côtés. La consistance de la substance grise et blanche est normale. - Le bulbe et la prot
scularisation anormale, petites hé- morrhagies, zones transparentes grises : le centre de l'organe est occupé par un néopl
verneux qui en prend toute la lon- gueur ; il émane de la substance grise , comprime la substance nerveuse et la transform
ons hériphértques, a, et transformée en une matière granuleuse d'un gris cendré. Au centre, persiste un cordon, b, de myél
une série de grosses sphères remplies de fines granulations noires, grises , jaunes ou am- brées. Entre ces sphères, on ne
t représentés par quelques sphères remplies de granulations noires, grises , ambrées et au milieu desquelles on rencontre s
lissée, contient encore une matière protoplasmique grenue, jaune ou grise ; a, plus de trace de cyluldre- axe; s, segments
28 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
raphé des pyramides uniraient par l'intermédiaire de la subs- tance grise , (richesse du raphé en cellules) les nerfs bullai
l5reunenfilçur.origirié, nonrdans ,1slpellulesJJie, l<IlJdOU6e¡J grise desdoes" 'olactifs¡'9fnais 'daris : ¡¡e >;s,
rt bien conçues, à nier complètement 1 excitabilité de la substance grise . 1".Áprès'avÓir'eit'{]es régions dttesmotneesdu
us grande attention : ' "^ ' " ? " 111"'1 1 n i ',rt " 10 La couche grise corticale n'est pas excitable"l'ar elle1mfinie;
dorsale. Atrophie des racines postérieures au môme niveau. Teinte grise translucide de toute l'aire des cordons postérieu
ppréciable sur les coupes de la région dorsale de la moelle; teinte grise limitée aux cordons de Goll dans la région cervic
r les sec- tions pratiquées dans le renflement lombaire, 4es cornes grises sont peu distinctes de la substance blanche, et
ais cette myéline est manifestement altérée : elle s'est colorée en gris terne sous l'influence de l'osmium et il n'est
UEIL DE FAITS ENCÉPHALITE PARENCHYMATEUSE LIMITÉE DE LA SUBSTANCE GRISE , AVEC EPILEPSIE PARTIELLE (Jacksonienne) COMME
oupe pédiculo-frontale, on trouve un épaississement de la substance grise qui se trouve au voisinage des centres mo- teur
remarque un contrastes ¡ 220 RECUEIL DE FAITS. entre la substance grise des circonvolutions du côté droit et du côté ga
tions exactes de la partie épaissie de la couche de la substance grise qui tapisse le sillon entre les deux circonvoluti
et deuxième frontales) de ce côté et les autres parties de l'écorce grise , et en les comparant avec des endroits identiques
pu constater les résultats suivants : L'épaisseur de la substance grise du fond du sillon entre les deux circonvolution
ur l'hémisphère gauche, la surface de la coupe des deux substances ( grise et blanche) ne présente pas de différence sur c
, la différence existant entre l'épaisseur relative de la substance grise . La coupe de l'hémisphère lésé (droit) est pré-
le à l'endroit le plus saillant de l'épaississement de la substance grise . (Fig. 1 et 2.) En re- montant vers la périphér
ence notable, quant à la largeur relative de la couche de substance grise . (Fig. 1 et 2.) Dans la direction frontale, cet
on occipitale, la différence de lar- geur de la couche de substance grise , dans des endroits iden- tiques des deux hémisp
misphères, est moins prononcée. La largeur relative de la substance grise , en d'autres points, ne présente pas de différe
il nu; toutefois, le piqueté rouge de la coupe des deux substances ( grise et blanche) est plus pro- noncé à droite qu'à g
ésente à l'examen macroscopique un épaississement de la substance grise , sans altération de consistance. Cet épaississeme
ons micro- métriques ont été faites avec 2/7 Verick. La substance grise de la partie lésée, examinée à l'état frais, pr
tout le territoire de l'altération (les deux substances comprises, grise et blanche). En examinant ces coupes à un faibl
atteint indifféremment dans toutes les cinq couches de la substance grise . Les cellules - tuméfiées sont disposées dans l
corticale, les cellules des couches superficielles de la substance grise sont encore faiblement tuméfiées, en passant in
les couches superficielles de la partie horizontale de la substance grise . La présence des cellules tuméfiées seule indiq
giques démontrent donc que, dans une partie limitée de la substance grise de la zone dite motrice de l'hémisphère droit,
USE. 231 et qui sont limitées sur un certain espace de la substance grise corticale. ' M. le professeur Charcot, qui, a
lle, se présentent sous forme de foyers de sclérose de la substance grise des circonvolutions. Histologiquement, la né- v
s. Histologiquement, la né- vroglie est très épaissie. La substance grise , immédiatement sous la pie-mère, présente des f
rt de l'affection réside plutôt dans la névroglie de la subs- tance grise corticale, avec localisation dans les parties les
ilepsie partielle, insiste sur ce point que c'est dans la substance grise du cerveau qu'il faut les chercher. Nos recherc
e fons et origo mali, ainsi qu'il le dit en parlant de la substance grise en général. 236 RECUEIL DE FAITS. EXPLICATI
eaux. (Verick, 3/2.) Fig. 5. Coupe verticale à travers la substance grise du fond du sillon entre la première et deuxième
nie. - Mort. Autopsie : Adhérences de la pic-mère ci la substance grise . Décortication totale, par foyers, de la substa
substance grise. Décortication totale, par foyers, de la substance grise . - Induration et atrophie de la substance blanc
e la 2, on enlève avec elle la couche superficielle de la substance grise dans la moitié de son étendue. La circonvolutio
rconvolutions même, en dé- cortiquant, on enlève toute la substance grise et on met il nu le sque- lette de substance bla
tain nombre de points une couche plus ou moins épaisse de substance grise , notamment : 4° sur toute la moitié postérieure
sé en un petit espace nom- bre de cellules normales de la substance grise . C'est Je lobe frontal, à l'exception de la tro
ane de ce double jeu, en même temps qu'elle dépose dans les couches grises des hémisphères, l'image de l'impression perçue,
nication, accompagnée de pièces ? il l'appui, sur la dégénérescence grise du pédoncule cérébelleux supé- rieur, publiée d
qui les distinguait du reste de la substance blanche. La substance grise , dans la par- tie thoracique, avait une teinte
ies de la moelle-fais- ceaux postérieurs et antérieurs et substance grise - il n'y en avait pas du tout ; mais dans les f
rang-hahnen de Flechsig) ; le sommet se dirigeait vers la substance grise , mais ne la touchait pas non plus ; le côté pos
érieure ; sa par- tie interne était un peu distante de la substance grise ; le côté antérieur du triangle ne se dessinait
périphérie de la moelle, le som- met étant tourné vers la substance grise , dont il était un peu séparé; du reste. dans ce
ce blanche do la moelle (il sera question plus tard de la substance grise ) dans les fais- ceaux antérieurs et postérieurs
Nous n'avons pu trouver un seul corps granuleux dans la substance grise des circonvolutions, centrales ou autres; des c
trales et les parties avoisinantes, ont démontré que la subs- tance grise n'y présentait aucune modification.. La présenc
e de certains muscles, des nerfs périphériques et de la subs- tance grise de la moelle épinière. Quant aux muscles, on voya
et limitée à quelques fibres ner- veuses seulement. La substance grise de la moelle épinière a été très soigneu- semen
elativement à celui des cellules normales. Le reste de la substance grise dans la portion cervicale était complètement no
même intacte. Dans les régions thoracique et lombaire, la substance grise de la moelle épinière n'était pas modifiée. N
dernière catégorie, c'est-à-dire les altérations de la substance grise de la moelle épinière, des racines antérieures, d
n harmonie complète avec les manifestations cliniques. La substance grise du bulbe était de même tout à fait indemne ; le
es faisceaux pyramidaux et ne passe que plus tard dans la substance grise ; en effet, nous avons trouvé un procès largeme
e des centres nerveux et de fort légères altérations dans la partie grise de la moelle épinière. Mais le principal intérê
nent, à peu près à la hauteur moyenne des hémisphères, la substance grise qui constitue le fond et les pa- rois latérales
s fibres, atteignant dans un certain endroit la substance corticale grise , s'y terminent, nous pouvons envisager ces part
s'y terminent, nous pouvons envisager ces parties de la subs- tance grise comme contenant les centres de ces fibres. Dans
Dans notre cas, les libres dégénérées n'atteignaient la subs- tance grise que dans la moitié supérieure des circonvolutions
en partie, des extrémités supérieures se trouvent dans la substance grise , qui recouvre la moitié supérieure des cir- con
yrami- dales des hémisphères rencontrent dès l'abord la substance grise qui constitue le fond et les parois du sillon de
ent probablement; quelques autres seulement atteignent la substance grise qui recouvre la surface exté- rieure des circon
e bi-pariétal, li,6. Pas d'asymétrie de la face. Regard vague; iris gris brun, pupilles normalement dilatées, égales et
? ; diamètre bi-temporal ; 12. Face ronde, symétrique. Yeux : iris gris brun, pupilles normales, égales et contractiles
t oblitérée et un petit foyer de ramollissement dans la substance grise et blanche correspondant à la partie nourrie par
montre une forte hyperémie de tous les capillaires de la substance grise corticale dont les parois sont épaissies par plac
iguë, lente, par nappe gommeuse, des méninges, ou de la subs- tance grise ou par gomme développée à la face interne du crân
occipitale. Partout la lésion se borne exclusivement à la substance grise ; elle n'occupe qu'une profondeur de 2 mil. dans
ses, 152. Encéphalite parenchymateuse limi- tée de la substance grise avec épilepsie partielle comme syn- drome cli
rébrale chez les), 402. Pédoncule cérébelleux (dégénéres- cence grise du), 278. Pellagreux (fous), 41 t . Psychopat
eaux. (Verick, 3/2.) Fig 5 ? Coupe verticale à travers la substance grise du fond du sillon entre la première et deuxième
29 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
t employés. La zone des fibres qui borde immédiatement la substance grise , cornes et commissure, a reçu les noms de zone
ieure des faisceaux arrondis, séparés par un réticulum de substance grise , qui oc- cupent la corne postérieure dans sa mo
niveau de la compression, les racines étaient amincies et de couleur gris rougeàtre ; au-dessus de ce point, .les racines
rougeàtre ; au-dessus de ce point, .les racines postérieures étaient grises et atro- phiées, les racines antérieures parais
é- cise et très sûre des fibres à myéline les plus fines (substance grise ) ; 3° la coloration des racines hors de la moel
E DES CORDONS POSTÉRIEURS 21 me calibre qui sortent de la substance grise , ou y rentrent, par toute la moitié antérieure
de petits fascicules arrondis séparés par un réticulum de substance grise . Ces fibres endogènes de la zone cornu-commis-
t absolument intactes, de même.que les fibres fines de la substance grise . Le fait que dans un cas, même unique, ces syst
égrité ne se comprendrait pas si certaines cellules de la substance grise avaient disparu ; en outre,ces cellules étudiées
eut supposer que ces fibres sortent horizontalement de la substance grise pour se recourber ou se bifurquer lorsqu'elles
trajet de ces mêmes fibres lorsqu'elles rentrent dans la substance grise . Néan- ÉTUDE 1\A1'o\IIQf : C DES COUDONS POSTÉR
Ces fibres forment de petits fascicules qui sortent dé la substance grise , ou y rentrent, par la moitié antérieure du bor
ésent mémoire. Avant dp passer aux fibres endogènes de la substance grise , je ferai remar- quer combien ces faits concord
ÈNES DANS LA CORNE POSTÉRIEURE Le réseau myélinique de la substance grise de la corne postérieure a été décrit avec beauc
ement le bord interne de la corne pour pénétrer dans la subs- tance grise et se diriger vers la corne antérieure; d'autres
fines horizontales des cordons postérieurs. Du côté de la substance grise les faisceaux qu'elles forment se perdent bient
l est beaucoup plus probable que le réseau myélinique de ces noyaux gris , qui est radiculaire, suivant toute vraisemblance
stérieure et le réticulum de la colonne de Clarke dans la substance grise . Les territoires radiculaires des cordons posté
au bord de la moelle et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise . Au niveau de la moelle dorsale, de la 8e à la
antérieur, un bord postérieur et une base qui répond à la substance grise .Le cordon postérieur est moins étendu dans le sen
ond au bord du cordon et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la moelle c
let. Pas de lésions appréciables. Hémisphères cérébraux. Les noyaux gris centraux du côté gauche ne présentent aucune al
e à base périphérique et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise . Au niveau de la moelle lombaire, le cordon pos
ésion. De même, le deuxième frontal gauche est normal. Les noyaux gris centraux et la capsule interne examinés à la colo
ambeaux de substance blanche par sa face externe et de la substance grise par sa face interne ; elle apparaît comme un osse
ents de reconnaissance. Fig. 2. - Coupe de la tumeur : 1, substance grise ; 2, coque fibreuse ; 3, tissu ostéoïne. TUME
ion directement au-dessous de la tu- meur) (Fig. 3). La substance grise est diminuée d'épaisseur comparativement au côté
ît' plus visible que d'ordinaire, et se tournant vers la commissure grise par un renflement en tête de clou. Dans les faisc
lou. Dans les faisceaux latéraux ou remar- que 3 noyaux de sclérose grise moins faciles à voir que celle des cordons pos-
achidien que. dans l'étude de l'écorce cérébrale ou de la substance grise de la moelle, et cela pour plusieurs raisons.
La moelle est aplatie dans le sens antéro-postérieur ; la substance grise est à peu près complètement détruite par l'hémo
rs le Il¡- segment cervical de la moelle. On voit dans la substance grise trois foyers hë- morrhagiques allongés, l'un à
morrhagiques allongés, l'un à direction frontale dans la commissure grise posté- rieure, les deux autres à direction sagi
ntes parallèles aux travées du tissu de soutien ; dans la substance grise , de petites taches hémorrhagiques disséminées.
nte. Les petits foyers hémorrhagiques prédominent dans la substance grise qu'ils soulignent par leur confluence. Le canal
ruction à peu près complète par l'hémorrhagie de toute la substance grise , deux foyers d'hématomyélie en coin dans le cordo
segment cervical de la moelle. L'hémorrhagie infiltre la substance grise gauche. Le bord antérieur du cordon antéro-laté
pas de couleurs ; du noir, à profusion, un noir qui bientôt vire au gris sous les flots croissants de poussière. Ou bien,
- lules et des fibres. Augmentation des vaisseaux dans la substance grise , leur paroi est épaissie. Faisceau cérébelleu
es cordons postérieurs, sauf les parties avoisinantes, la substance grise et la périphérie, mais cette raréfaction est plus
ne, et faisant tout à fait défaut dans le voisinage de la substance grise . - La région D5 ne présente aucune lésion du cô
ce fais- ceau, de même que les parties rapprochées de la substance grise , et une bande longeant le cordon de Goll sont m
elle, et respecte complètement la partie rapprochée de la substance grise . Cette raréfac- tion s'élargit vis-à-vis de l'a
n triangle dont le sommet est dirigé vers le centre de la substance grise . La région lombaire inférieure ne présente aucu
ur se rapproche de plus en plus de la substance et de la commissure grise , de sorte que dans les régions dorsales les plu
e antérieure de la moelle tout en res- tant séparée de la substance grise par une mince bande de fibres saines. Vis-à-vis
i occupe ici tout l'espace limité par les pyramides, la subs- tance grise et le trijumeau ascendant. Ayant gagné ainsi de l
hie d'un secteur du nerf. De Wecker (4) admet que la dégénérescence grise tabétique est « une altération sui generis, idi
du tissu dégénéré est un trait caractéristique de la dégénérescence grise , ce tissu revient sur lui-même, et ce retrait est
le chiasma; on peut encore rencontrer des cas où la dégénérescence grise en deçà du chiasma n'a pas atteint celui-ci et
dégénérescence dans les bandelettes optiques.... La dégénérescence grise ne contourne jamais en entier la gaîne. » Pop
tiqué à la deuxième période montre une papille nettement blanche ou grise , à bords tranchés, en pain à cacheter, sur le f
aisceaux pyramidaux croisés sont dé- générés ; quant à la substance grise des cornes antérieures elle est en grande parti
istence d'une bande conjonctivo- vasculaire au sein de la substance grise postérieure. C'est en de tels points que l'on p
ÉLIE 385 que toute la corne postérieure, une partie de la substance grise antérieure, une partie des cordons blancs ont d
tribution spinale de certains systèmes artériels. Dans la substance grise elle affecte le trajet et la direction des arté
Weigert-Pal. La cavité médiane occupant presque toute la substance grise se continue au niveau de la corne pos- térieure
existe à la région cervicale une vaste cavité occupant la substance grise dont elle détruit la base des cornes postérieures
nt (Occlusion incomplète du canal central par absence de commissure grise et défaut de soudure des bords du sillon postérie
de notion banale qu'elles se développent surtout dans la substance grise (commissure grise, corne postérieure) et déjà J
qu'elles se développent surtout dans la substance grise (commissure grise , corne postérieure) et déjà Joffroy et Achard,
ue côté du canal central ». Faisons remar- quer que si la substance grise est plus vascularisée elle est aussi plus fragile
du processus. Mais insistons surtout sur ce que, dans la substance grise ou dans la substance blanche, il est à son début
a appelé l'atttention, qui atteignent par- fois toute la substance grise et mettent à nu, après décortication, les cou-
rès décortication, les cou- ches les plus profondes de la substance grise au niveau même de certaines localisations. C'es
égénérescence de la zone radiculaire antérieure depuis la substance grise jusqu'au voisinage du rebord de la moelle, mais n
yme est obturé par un amas nucléaire. Les vaisseaux de la substance grise sont très nombreux, beaucoup parais- sent très
e niveau aussi la zone périphérique est moins colorée. La substance grise a une forme plus proche de la normale, mais les
ris seulement des cellules de Clarke. Les vaisseaux de la substance grise ne présentent plus à leur pourtour les mêmes la
aines colorées. lor-2° dorsale. Même aspect des régions antérieures grise et blanche, même dépression très marquée et mêm
nantes dans la production des foyers de destruction de la substance grise antérieure, cette irrégularité dans l'atteinte
ngo-iiiy,lite syphilitique à prédominance au niveau de la substance grise des cornes antérieures, mais d'une polio- myéli
x mois. Dans la moelle, destruction complète bilatérale deila corne grise antérieure depuis la moelle cervicale supérieur
aisseaux présentaient des gaines nucléées surtout dans la substance grise et à son voisinage, ces gaines diminuaient et dis
ne diphtérique que celui d'une gangrène des téguments. De cou- leur gris sale, très uniforme, n'ayant aucune tendance à se
tion (oeil vairon, résultant du défaut de coloration de l'iris, iris gris avec (1) In L. Mayet, loc. cit., p. 15. (2) F
30 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
beaucoup, beaucoup de soleil. Je ne passe pas à l'ombre. Les temps gris , doux, me mettent dans des états impossibles. (
lysies amyotro- phiques graves et diffuses, même quand la substance grise anté- rieure de la moelle et le système nerveux
e 189'r; mort le soir même. Tumeur endothéliomateuse, molle, lisse; gris rou- geâtre située en dehors de la dure-mère et
cation anatomique de l'origine des fibres nerveuses de la substance grise ? Comment s'établissent entre les cellules, con
éseau nerveux qui existerait dans toute l'épaisseur de la substance grise . Golgi incline à croire que ces innombrables ra
tions d'une transmission directe des régions centrales aux noyaux gris de l'axe spinal. Quant aux organes périphériques
etc., annexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et blanche du cerveau ne peut être comparée qu'
, le nerf moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la substance grise centrale. Mais on n'a point le droit d'appeler
iologistes, l' « existence du réseau nerveux diffus de la substance grise des centres *. Ce réseau, « continu dans toute
tres *. Ce réseau, « continu dans toute l'étendue de la subs- tance grise , occupe, pour ainsi dire, tous les interstices la
oint, l'existence du réseau nerveux, qui envahit toute la substance grise centrale, moelle épinière, moelle allongée, noyau
substance grise centrale, moelle épinière, moelle allongée, noyaux gris encéphaliques, écorce du cerveau et du cervelet,
trajet depuis la périphérie jusqu'à leur entrée dans la subs- tance grise des centres, à l'exception naturellement de leur
G° la couche grillagée avec ses îlots cellulaires. ' La substance grise du corps genouillé externe est divisée par une
érescence incomplète et des processus atrophiques dans la substance grise de la protubérance dans la couche grise superfi
rophiques dans la substance grise de la protubérance dans la couche grise superficielle des tubercules quadrijumeaux antéri
ns une région déter- minée de l'écorce cérébrale. Les autres noyaux gris de la calotte de la protubérance, etc., et les
e à la fois une station terminale pour les fibres venant des noyaux gris situés en arrière et un lieu d'origine pour les f
aires par où passe le courant nerveux centripète. Les autres noyaux gris joueraient le même rôle ; mais le plus souvent
cheval sont de deux sortes. Les unes se terminent dans la substance grise du segment le plus inférieur de la moelle. Les
contenir des fibres qui, probablement pro- viennent de la substance grise , et qui subissent la dégénérescence descendante
rdons postérieurs, pénètrent obliquement en avant dans la substance grise . Les dernières fibres se terminent dans la partie
- van une courbe (coupes longitudinales) pour gagner la substance grise déjà rare en cet endroit. Il est donc probable qu
; là, elle se dirige en dehors, et, toujours côtoyant la commissure grise , pousse une pointe dans la direction de la corn
ajal; aussi Obersteiner a-t-il pu dire avec raison que la substance grise est le terrain où s'opère l'association des diver
que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple, dans la substance grise de la moelle épinière : mais la décharge nerveu
glions spinaux peut influencer tous les territoires de la substance grise que tra- verse son prolongement nerveux central
s rapports, par leurs collatérales, avec presque toute la substance grise de la moelle épinière. Le riche plexus de fibres
e riche plexus de fibres à myéline que l'on voit, dans la substance grise de la moelle épi- nière, autour des cellules ne
s élé- ments cellulaires encoie des différentes couches de l'écorce grise et des territoires les plus différents etles pl
amon y Cajal. Les collatérales constituent ainsi, dans la substance grise comme dans la substance blanche, une grande par
s des cellules nerveuses se ter- minent librement dans la substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des cellul
protoplasmique seul de la cellule. III. Les cellules de substance grise de la moelle épinière sont de deux espèces : le
llatérales de ces branches qui, seules, pénètrent dans la substance grise où elles s'arborisent entre les éléments nerveu
faisceau de projection. Mais, pendant son trajet dans la substance grise , le cylindraxe émet de fines collatérales, d'un
cylindraxe naît et se termine dans l'épaisseur même de la substance grise : les cellules sensitives de Golgi, et les cell
4° fibres centripètes ou termi- nales, ramifiées dans la substance grise . Les fibres de projection provenant de toutes l
lleuses se détachent des collatérales qui montent dans la substance grise où elles se terminent. Les fibres d'association
'autre deux points plus ou moins rapprochés ou éloignés de l'écorce grise , proviennent des cellules existant probablement
hez l'homme et les grands mammifères, où la quantité de substance grise de l'écorce est indéfiniment multipliée par les c
obliquement ou horizontalement, toute l'épais- seur de la substance grise jusqu'à la couche moléculaire. Cajal signale l'
pyramidales et polymorphes des trois dernières couches de l'écorce grise des vertébrés sont plus énormes encore : cinqespè
e la polarité dynamique, les courants vont, en effet, dans l'écorce grise du cer- veau, des petites cellules pyramidales
es. Partout où s'arborisent des fibres nerveuses, dans la substance grise ou dans la substance blanche (Cajal), il y a de
psychique, les formes des cellules de la névroglie de la substance grise du cerveau se modifient : tantôt rétractées, po
a névroglie de la substance blanche de la névroglie de la substance grise . Quant aux théories d'après lesquelles les cellul
la substance blanche des centres nerveux, qui a moins besoin que la grise de soutènement ? Voici, dans leur rapport avec
se trouvent seulement à proximité des capillaires de la subs- tance grise , auxquels elles envoient un ou plusieurs prolonge
des processus psychiques. 3° Cellules de névroglie de la substance grise . Connues surtout depuis les travaux de Retzius
els of f lhe tinain. ltrit. med Journ., 1893. 304 REVUE CRITIQUE. grise représenterait un appareil isolateur (un app( ! 1
ntractent : les capillaires, attirés en tous sens vers la substance grise ambiante, augmentés de diamètre, occupe- raient
vironne. Aini pourraient se produire deshyperhémies de la substance grise aussi limitées et localisées que l'exige le GO
nnes cellules épithéliales, arrêtées en pleine substance blanche ou grise , se transforment en cellules en araignées. Dislo-
Il est, par exemple, inexact que ce sont dans les amas de substance grise les plus pauvres en névroglie que les contacts
Weigert, une autre couche isolante de névroglie ? Dans la substance grise , au contraire, on pourrait admettre l'utilité d
t donc être ici nécessaire. Et, s'il en est ainsi pour la substance grise , à plus forte raison en est-il de même pour les
des artères centrales qui s'étend rapidement à toute la substance grise . Ces différentes myélites se distinguent donc ess
gues à celles décrites précédemment et siégeant dans la subs- tance grise centrale. Dans ces cas il s'agissait aussi d'hémo
morts d'ictus, des hémorragies siégeant au niveau de la substance grise centrale; ces foyers hémorragiques n'étaient pas
d'Alt sur l'existence de nombreuses hémorragies dans la substance grise centrale des épileptiques morts en état de mal, s
directe entre la zone motrice de l'écorce cérébrale et la substance grise de la corne antérieure de la moelle épinière. C
verses régions de l'écorce cérébrale entre elles et avec les masses grises inférieures du névraxe. D'après Flechsig l'écor
être divisée en deux zones distinctes ; une zone reliée aux masses grises inférieures par des fibres de projec- tion (zon
s la vision. Dans les tubercules quadrijumeaux antérieurs la couche grise superficielle et les fibres blanches de la périph
lombaire (douzième racine dorsale) où il se perd dans la substance grise au niveau du champ ovale de Flechsic- et d'autre
terminal en se recourbant en avant pour pénétrer dans la substance grise . Or ce faisceau pouvait dans ce cas être pour-
; 5° ses fibres se terminent en passant en avant dans la substance grise à la base de la corne postérieure du même côté.
ant tout l'axe cérébro-spinal et portant surtout sur la subs- tance grise du cerveau et delamoelle, etsur les cornes antéri
s) peut être réalisée à la condition de l'intégrité de la substance grise centrale. Cette conclusion se trouve en bonne c
c l'expérience géné- rale, à savoir que les lésions de la substance grise ont pour consé- quence constante des altération
- tiles suivent les cordons postérieurs en dehors de la substance grise . Paralysie motrice, atrophie musculaire, anesth
mpagne la paralysie motrice quand la lésion siège dans la substance grise . Les troubles senitifs varient suivant le siège
deux hémisphères est amincie jusqu'à 5 millimètres; la substance grise et la substance blanche peuvent être distinguées;
n dorsale la substance blanche est réduite, tandis que la substance grise est d'un aspect normal. Au-dessus, on aperçoit
a pour base anatomique une gliose ou une gliomatose de la substance grise centrale, et que les cavités, si elles ne prése
31 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
a pas diminué. Les couches optiques et les autres amas de substance grise , ont également un aspect normal ; il y a seulem
occupe le fond du cordon latéral droit et empiète sur la substance grise adjacente. Ses limites sont nettes, en apparenc
s- sant à la fois, dans la moitié droite de la moelle, la substance grise (cornes antérieure et postérieure) et la substa
ué.dans la partie moyenne du seg- ment C7 où il occupe la substance grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et postér
ramidal croisé se massent dans la profondeur, près de la substance grise , celles qui occupent le faisceau fondamental vo
dans les noyaux des cordons de Burdach et vont jusqu'à la substance grise placée entre le faisceau solitaire, le corps j ax
par sa face interne des fascicules qui pénètrent dans la substance grise bulbaire. Ces fibres sont nombreuses et réparti
téral du bulbe,occuper la partie antérieure de la substance réticulée grise et 70 LONG . ED. LONG P1.. XVIII Fic. 11
cendante. Il pénètre transver- salement dans la substance réticulée grise (S Rg),dont il ne dépasse pas la zone moyenne.
se disperse dans une région qui con- tient, à la fois la substance grise annexée au corps restiforme (N Crst), le corps
forme (Cj) et la partie la plus reculée de la substance ré- ticulée grise , autour du noyau et de la racine descendante du g
derrière cette racine du trijumeau et se termine dans la substance grise qui entoure le noyau du glosso-pharyngien et le
t non seulement dans la partie antérieure de la formation réticulée grise , mais aussi dans l'olive elle-même (fibres spin
) ; celles qui s'enfoncent vers le centre de la formation réticulée grise s'y terminent en partie, et en partie aussi const
rès nos coupes, le faisceau ou plexus dorsal aboutit à la substance grise , au-dessus des noyaux des cordons postérieurs ; s
érale se sont arrêtées pour la plus grande partie dans la substance grise du bulbe ; il ne reste, en effet, et du côté dr
vec les tubercules quadrijumeaux posté- rieurs et avec la substance grise avoisinante (le terme de fibres spin[ ! - tecta
I, ruban de Reil latéral. Rm, ruban de Reil médian. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi, substance grise de Roland
Reil médian. SgAg, substance grise de l'aque- duc. Sgfi, substance grise de Rolando. - SR, formation réticulée. SUa, SRg
. - SR, formation réticulée. SUa, SRg, formation réticulée blanche, grise . Tp, taenia pontis. - Tr, corps trapé- zoïde. V
es différents éléments de la substance blanche et de la sub- stance grise vu au fort grossissement ont presque tous des car
ordon de Goll mais le reste de la substance blanche et la substance grise ont gardé leur état normal. Sur le premier segm
ie légère de la moitié gauche de la moelle portant sur la substance grise et sur le faisceau antérieur à partir du niveau d
ire centrale qu'à la disparition des éléments cellulaires des zones grises marginales. Quoiqu'il en soit, cet auteur n'a p
es nerveuses, et ne décrit aucune altération portant sur la charpente grise du noyau rouge. ' (1) htlNOA2111\I, Experimet
dre son tiers moyen ; elle atteignait tout particulièrement la zone grise dorso médiane dont la substance moléculaire éta
sait surtout la substance médullaire centrale et la zone marginale grise latérale. Ici encore, il s'agissait essentielle
s phénomènes dégénéra- tifs se limitent assez étroitement aux zones grises dorso-médiane et laté- rale, et intéressent tou
ne et laté- rale, et intéressent tout particulièrement la charpente grise réticulée (gNlUen lialken de l'auteur), c'est-à
du tiers antérieur de ce noyau dont elle intéresse surtout la zone grise dorso-médiane. 1 Lorsque la lésion est strictem
nt par la lame médullaire exlerne, elle se rend jusque dans la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge : Les ra
antérieure de ce noyau. Les fibres s'épuisent au niveau - des zones grises médiane et dorso-médiane du noyau rouge et entren
relation surlout avec la substance moléculaire et avec la charpente grise constituée par les cellules de deuxième et de t
au et se terminent, au niveau de son tiers moyen, dans la substance grise réticulée des zones latérale et centrale. Ici enc
m- pagnée par un certain conlingent de fibres fourni par les masses grises du segment inférieur de la couche optique, y co
dégénérescence très nette, laquelle s'épuisait au niveau de la zone grise latérale du tiers moyen du noyau rouge. t <]
e noyau. La dégénérescence atteint en particulier la zone marginale grise dorso-latérale et la capsule dorsale du noyau r
et qu'il présente une dégénérescence notable de ses zones marginales grises dorso-médiane et ventro-latérale. On constate é
s nettement plus accentuée toutefois au niveau des zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. La deuxième coupe (Fi
e, laquelle atteint surtout la capsule dorsale et la zone marginale grise dorso-latérale, et, à un degré beaucoup moin- d
nce même de ce noyau pour s'épuiser enfin dans les zones marginales grises dorsale et dorso-médiane. D'une façon générale,
noyau rouge et s'épuise ensuite surtout dans les zones margi- nales grises ventro-latérale et dorso-médiane de ce noyau. Ici
state, surtout au niveau du tiers moyen du noyau rouge, que la zone grise neutro-tatérate participe à la réaction dégénérat
esse surtout la capsule dorsale de ce noyau et les zones marginales grises dorso- latérale et dorso-médiane. Au niveau du
la capsule dorsale mais elle atteint surtout les zones mar- ginales grises dorso-latérale et ventro-latérale. Le tiers antér
éné- rescence porte sur capsule dorsale el sur les zones marginales grises dorsale et dorso médiane; au niveau du tiers mo
au niveau du tiers moyen, elle atteint surtout les zones marginales grises dorsale et ventro-latérale. - Les lésions du bo
égénérescence intéresse la capsule frontale et ies zones marginales grises dorso-médiane et dorso-lalérale; au niveau du t
nérescence porte sur la capsule dorsale et sur les zones marginales grises dorso-médiane et dorso-latérale ; au niveau du
niveau du tiers moyen, elle intéresse surtout les zones marginales grises dorso-latérale et ventro-latérale.. . Quant aux
l'action de centres régulateurs cérébraux placés dans la substance grise interpédonculaire 1>. Certes, le problème
i en quelques minutes donnait un « trouble virant à la colora- tion gris sale » correspondant au 3" degré de ces auteurs.
premières. Les coupes d'après Van Gieson montrent dans la substance grise du noyau 282 VAN WOERKOM caudé et du noyau le
ion de la capsule interne, ce ne sont que les traînées de substance grise traversant la capsule interne qui sont en réduc-
dante du cerveau normal. Par la réduction des traînées de substance grise séparant les faisceaux de la capsule interne, c
urs noyaux sout bien conservés. C'est le même cas avec la substance grise de l'étage ventral : augmentation du pigment dans
tacts, de nouveaux symptômes apparurent, indiquant que la substance grise centrale entrait en ligne. C'étaient des crises i
is, après les avoir libérés, s'être ensuite fixées sur la substance grise centrale qui, d'accord avec le grand sympalhi-
a pas être la même dans les différentes parties, comme la substance grise et la substance blanche. Dans un cas d'empoison
32 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
limètres; la deuxième, 30 à 35 ; la troisième, 15. Ici les dépôts gris de l'avant-mur et de la lentille dis- socient f
ère partie, il est bon de constater que les lésions de la substance grise qui tapisse le fond des scissures devront reten
rein. Deux foyers transformés en kystes, confinant à la substance grise de la troisième circonvolution frontale gauche.
t ab- sorbée par l'étude des circonvolutions et de la subs- tance grise , la substance médullaire était négligée; c'étai
. 1 F. 1. i, Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. 7'. c, Ti,igone cérébral.
ruit le lit de la scissure de Sylvius; non seulement la subs- tance grise avait disparu, mais les parties fondamentales gli
rques au sujet du déve- loppement de la névroglie dans la substance grise de la moelle (substance poliosynectique). Puis
transparence plus grande des coupes de la moelle dans la substance grise à ce que le tissu synectique à ce niveau possèd
eraient, au niveau du bulbe, une assez grande quantité de substance grise sous forme de substance synectique, dans laquel
orsale (granulations obscures et grains pigmentaires delà substance grise ), et l'inflammation parenchyma- teuse de ces él
entrttl6l., 1882.) Il s'agit d'une forme paraplégique. La substance grise antérieure de la moelle lombaire présente une d
peuvent s'expliquer que par une altération de toute la substance grise , ou par une méningite assez étendue pour comprime
mmatoire aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise , mais ce n'est pas de l'inflammation franche et
rha- gique dans le centre ovale limité en dedans par la substance grise du lobule paracentral, en haut et en dehors par l
d'une noisette, facile- ment énueléale, siégeant sous la substance grise dans la "p'artie postérieure delà troisième cir
ux, et rapporter tousicesiderniers à. l'altération de la. substance grise corticaleRaisonnant; comme l'avait fait'Broca,
eur du lobule de l'insula droit ; entre l'avant-mur et la substance grise de l'insula droit il reste en- core une épaisse
uche; ils occupaient les couches les plus profondes de la substance grise et la substance blanche immédiatement située au
i J9 si Le cereau-pèsés4;170Jgramntes; : sbni',tissu La substance grise est réduite à l'état de sinlplé·I31üéllé sur' lés
REVUEÏDE ^PATHOLOGIE .MENTALE. 213 un degré moindre ? La substance^ grise a-gauche,. étaiti assez, forte- ment injectée ?
surfaces médianes des lobes frontaux. Pas d'atrophie La substaiice grise parait avoir 1 épaisseur normale; dans chacun d
t 'facilement 'des circonvolutions : Pas d'âdbérences : Substance'] grise normale ? maispâle. Le plancher r 'du' quatrièm
ses à myéline. On sait, depuis Koelliker et W. Krause, que l'écorce grise contient un grand nombre de ces fibres, même da
it comprendre pourquoi elles ne se détruisent que dans la substance grise . Enfin, cette théorie ne nous donne pas la clef
a grande différence qui sépare la substance blanche de la substance grise (aspect, réaction ; 'développement).Ranvier att
ant un arc tle.cei-cle,légè- rement convexe en avant, dans la masse grise du noyau duiglos- sopltarygien. Aucune pince ne
age. Les cordons postérieurs de la moelle offrent la dégénérescence grise . Discussion : ? ,R'. M. Westpiul croit que c'
avec facilité. Le ventricule latéral, la corne d'Ammon, les masses grises centrales, n'offrent rien de particulier. La
rale avec des ilôts rosés. (PL. VI). Il semblerait que la substance grise forme une sorte de voile mobile sur la crête de
substance blanche comme une sorte de membrane : c'est la substance grise déta- c/t';ede/(tt' : <6s<aHeeo<HC/te.
inaire dans laquelle la pie-mère est si adlié- rente à la substance grise que, dans son ablation, on met à nu le squelett
met à nu le squelette de substance blanche tandis que la substance grise , adhérente à la pic-mère, offre les reliefs et
eu lieu qu'après macération du cerveau dans l'alcool; la substance grise des parties lésées s'est plissée, ridée sur la
e constitue, par exemple, la substance fondamentale de la substance grise et des plus fortes travées de la substance blan
de gaines, sans constituer de vraies mem- branes. Dans la substance grise , la névroglie forme des ré- seaux cellulaires d
oglie (cellules et substance fon- damentale), les autres (substance grise de l'encéphale) courent, sans enveloppe vraie,
partie de la commissure moyenne et du segment contigu de substance grise importe peu quant à la vue) ; le même opérateur
de la couche optique, mais de la lésion simultanée de la substance grise centrale adjacente, qui entoure la partie la pl
icrographique pure de deux faits. L'auteur établit que la substance grise contient un réseau à mailles fines constitué pa
n respiratoire intercurrente. Durée six ans. Les cornes antérieures grises offrent un degré d'altération très avancé surto
nductibilité sensitive émane toujours d'altérations de la substance grise de la moelle, cette opinion doit supporter cer-
enant occu- per la gauche, du bulbe et envahir la région des noyaux gris . Hyper- plasie des cellules de la névroglie, à
cipital, il n'y a pas d'autres zones du manteau dont la subs- tance grise contienne des fibres nerveuses à myéline. Et enco
évidemment en état de sclérose avancée. A la coupe, la subs- tance grise normale est convertie en substance presque blanch
malades, par une sorte d'union des couches adjacentes de substance grise pure. Cet état, que l'auteur n'avait jamais obs
nté à la Société des aliénistes allemands '. L'auteur suit la ligne grise trou- vée par lui sur le cerveau d'un tabétique
ctrique. Braun a du reste fait ressortir que l'ablation de l'écorce grise n'empêche pas les convulsions de se produire. S
rface entière de l'encé- phale, à laquelle participait la substance grise elle-même enflam- mée ou atrophiée (examen micr
enèse du cerveau etl'individualisation psychogénétique- de l'écorce grise , l'auteur résume les relations de l'être avec le
erveuse ; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de la substance grise ; cette cellule, en l'arrêtant, le transforme de
ur la), par Chantemesse, 124. Moelle épinière (sur la substance grise de la et de la moelle al- longée), par Hollis,
I,uys. F.l. Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des nerfs optiques. T. c, Trigone cérébral. V
33 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
s le scalpel, et sa force de cohésion est très-grande; sa couleur est gris blanchâtre, mais sans aspect resplendissant. On v
'injectent à la manière des ganglions lymphatiques , 3° une substance grise éminemment vasculaire qui s'enlève comme une pulp
lles combinaisons, paraissent quelquefois se perdre dans la substance grise pour renaître de toutes pièces, et justifier ains
t inaltérables; ce sont les vésicules ou cellules, c'est la substance grise ; les nerfs proprement dits comprimés ont disparu,
le long du cordon du grand sympathique, qui contient de la substance grise , et nullement le long des filets de communication
més en tissu fibreux, et ne contiennent plus un atome ni de substance grise , ni de tissu nerveux, il est clair que, si les br
er. Sa couleur (iig. ó) est gxioô^o FTW^t convertie en une pulpe d'un gris sale qui s'écoule par la moindre pression} et ce
rotubérance, reconnaissable à ses couches alrernativement blanches et grises ; BR doit être le bulbe ; mais je ne conçois pas l
ées en manière de ruban. Alors je vis (fig. 3 et 3') que la substance grise de la moelle avait été remplacée par du sang conc
la cicatrice. Ces trois foyers apoplectiques occupent la substance grise de la moelle : un seul est circonscrit , les deux
ux autres étaient comme diffus dans toute la longueur de la substance grise . On conçoit en effet que la substance grise étant
longueur de la substance grise. On conçoit en effet que la substance grise étant extrêmement vasculaire, c'est sur elle que
au; d'une autre part, la mollesse presque pulpeuse de cette substance grise explique pourquoi le sang épanché dans un point s
quel j'ai beaucoup insisté dans mes leçons. A ce niveau, la substance grise disparaît, les faisceaux médullaires s'écartent,
t suivant d'autres lois qu'à la moelle; deux gros faisceaux blancs et gris très-denses, au devant desquels proéminent les ol
très-déliés, mais extrêmement nombreux, pénètrent seuls sa substance grise . La substance grise a été seule malade, et cepe
rêmement nombreux, pénètrent seuls sa substance grise. La substance grise a été seule malade, et cependant il y a eu paraly
pendant il y a eu paralysie du sentiment et du mouvement La substance grise serait donc le principe du sentiment et du mouvem
cés à la surface de la moelle que pour mieux protéger cette substance grise : la conséquence paraîtrait naturelle; car, chez n
rivent, au moins en partie, qu'après qu'ils ont traversé la substance grise . Ainsi de ce qu'il y a paralysie dans le train po
disposition toute mécanique, je veux dire la mollesse de la substance grise , s'infiltrer tout le long du canal médullaire, en
la moelle, mais foudroyante, tellement que non-seulement la substance grise , mais encore la substance blanche a été réduite e
ées dans l'épaisseur de la moelle, sur la disparition de la substance grise remplacée par du tissu cellulaire à larges maille
ment sanguin de la grosseur d'un pois qui avait détruit la commissure grise 5 mais , au niveau de la quatrième paire dorsale
t, en cet endroit, presque toute la substance médullaire « blanche et grise . Le caillot avait le volume d'une forte noisette
es kystes contenaient de la sérosité, quelques-uns une matière dense, grise , demi-transparente, d'aspect cartilagineux; un tr
inalement, il présenta un très-grand nombre de tubercules TB, TB, TB, gris jaunâtre, séparés les uns des autres par une mass
ltipliés s'observent à sa surface et dans l'épaisseur de la substance grise . Le tissu cellulaire sous-arachnoïdien du côté op
s ; mais ils étaient remarquables par l'absence complète de substance grise \ en sorte que chaque cordon latéral était conver
les enfans nouveau-nés retardés dans leur développement. La substance grise ne commençait à paraître qu'au voisinage du bulbe
et si l'on coupe perpendiculairement ces pustules, on trouve un tissu gris rosé fragile, comme spongieux, supporté par la tu
g. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une couche mince de substance grise . La substance cérébrale ambiante SC, SC présente
sang noir et adhérent j et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et blanche une foule de petits caillots , dont le
ididyme. L'autre testicule offrait dans son corps quelques tubercules gris , épais; l'épididyme était parsemé de tubercules b
ues gouttelettes de pus ramassées au centre d'une induration rouge ou grise , enfin un véritable abcès parfaitement circonscri
était infiltré de pus, et dans l'état connu sous le nom d'induration grise . Les foyers circonscrits d'inflammation (pneumoni
ité. Le cerveau était converti en une vaste poche très mince à parois grises et blanches. C'était dans les ventricules énormém
gne sous le nom de pneumonie des enfants. Observation 6. Induration grise du poumon dans les quatre cinquièmes de leur éten
nte-huit heures après la naissance. Les poumons ont subi l'induration grise dans la majeure partie de leur étendue. Tous les
ractères de l'hépatisation rouge, » tendant à passer à l'hépatisation grise . Ils étaient en outre parsemés de plusieurs petit
ue je dois dire plus tard sur le ramollissement rouge de la substance grise des circonvolutions, sur la destruction de cette
ance grise des circonvolutions, sur la destruction de cette substance grise , sur l'apoplexie des circonvolutions, sur les cic
irconvolutions, souvent toutes les deux, sont dépourvues de substance grise dans une étendue plus ou moins considérable. Les
éformées et indurées comme celles de l'hémisphère droit. La substance grise godronnée, qui est située au-dessous de la corne
en une masse tuberculeuse infiltrée au milieu d'un tissu hépatisé en gris . Le poumon droit présentait une altération moins
ltération est exactement limitée à la substance blanche. La substance grise est intacte. D'autres fois la substance grise est
e blanche. La substance grise est intacte. D'autres fois la substance grise est plus ou moins altérée et dans sa couleur et d
s points jaunes? XXe LIVRAISON. I Dans quelques cas, la substance grise des circonvolutions primitivement détruite est re
plexie capillaire affectant une grande prédilection pour la substance grise des circonvolutions, et respectant souvent la cou
me couleur. Il n'y avait donc plus ni substance blanche, ni substance grise , mais une substance jaune. Il a été bien manife
e coloration est due à une membrane formée aux dépens de la substance grise , sous laquelle existe une couche mince de bouilli
émisphère, présente la même altération. Corps strié. — La substance grise , soit au dessus, soit au dessous des radiations b
section perpendiculaire montre qu'il y a destruction de la substance grise d'un grand nombre de lamelles; la substance blanc
et des veines qui y aboutissent; apoplexie capillaire de la substance grise et d'une partie de la substance planche, (i) (Fig
couleur lie-de-vin foncée AC, AC, qui tenait la place de la substance grise de ces circonvolutions, et qui s'étendait même à
un épanchement sous l'arachnoïde avec ramollissement de la substance grise ou blanche des circonvolutions, des apoplexies ca
n sang noir et adhérent; et on trouva dans l'épaisseur des substances grise et blanche, une foule de petits caillots, dont le
mort au bout de 48 heures; ramollissement lie-de-vin de la substance grise ; ramollissement blanc de la substance blanche; an
râle bruyant. Ouverture du cadavre.—Ramollissement de la substance grise de plusieurs circonvolutions et anfractuo-sités (
ou rouge-violet foncé, semblable à des fraises écrasées; la substance grise ramollie s'enlève avec les membranes, et reste at
u hortensia. Le ramollissement R est exactement limité à la substance grise ; et on voit qu'il y a en quelque sorte pénétratio
me prononçai positivement avant l'ouverture du cadavre. La substance grise de toutes les circonvolutions et anfractuosités o
r hortensia violacée, mais inégalement violacée. Cette même substance grise a subi un ramollissement mou, qui toutefois n'est
nt suffi pour détacher la couche superficielle ramollie. La substance grise du corps strié du même côté avait également subi
e côté avait également subi le ramollissement violacé. La substance grise de trois ou quatre circonvolutions appartenant à
e altération : la substance blanche qui est subjacente à la substance grise ramollie, est plus abondamment pénétrée de sucs,
ration. Le ramollissement rouge occupe le plus souvent la substance grise , et plus particulièrement celle des circonvolutio
irconvolutions : il n'est pas rare de le rencontrer dans la substance grise des corps striés; sous elle, la substance blanche
ramollissement occupe à-la-fois la substance blanche et la substance grise et, alors, à côté du ramollissement rouge diverse
rs, à côté du ramollissement rouge diversement nuancé de la substance grise , se voit le ramollissement blanc lilas ou blanc d
de la substance blanche. Dans quelques circonstances, la substance grise des circonvolutions ou des corps striés est unifo
manière très inégale les divers points de l'épaisseur de la substance grise , ce qui lui donne un aspect marbré. Quant à l'é
ricule étaient converties en bouillie; dans un autre cas la substance grise du plus grand nombre des circonvolutions de la co
ésentent un ramollissement amaranthe très superficiel : la substance' grise n'est point altérée dans toute son épaisseur, mai
raison. 3 Hémisphère droit.—Couleur rouge-amaranthe de la substance grise des circonvolutions postérieures. Poumon gauche
anière du lait de chaux; que le mode de cicatrisation de la substance grise ramollie consiste dans des pertes de substance av
ite. Ramollissement pultacé sans changement de couleur des substances grise et blanche du lobe antérieur de l'hémisphère gauc
ance; que ces altérations occupent le plus ordinairement la substance grise des circonvolutions : nous verrons ailleurs qu'el
ns : nous verrons ailleurs qu'elles occupent quelquefois la substance grise des corps striés, et dans d'autres cas la substan
foyer rempli de cellulosité brunâtre dans l'épaisseur de la substance grise du corps strié droit, au niveau de la partie moye
etit foyer également rempli de cellulosité brunâtre dans la substance grise du corps strié gauche, et au même niveau que le p
iale. Les deux autres foyers étaient formés au dépens de la substance grise et n'avaient intéressé aucune radiation blanche.
ession dans les symptômes. Ramollissement hortensia de la substance grise d'un très grand nombre de circonvolutions extérie
e circonvolutions extérieures. Ramollissement pultacé de la substance grise et de la substance blanche des circonvolutions an
eux états bien distincts : il est exclusivement limité à la substance grise ; il n'est, pas diffluenl; il n'est pas uniforme.
es sont beaucoup plus ramollies. La substance blanche et la substance grise ont également subi un ramollissement pultacé coul
portion réfléchie de ce ventricule. La corne d'Ammon est atrophiée, grise , très dense, de même que'la bandelette frangée et
34 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
risée par des lésions centrales consistant en fonte de la substance grise qui constitue la commissure grise de la moelle.
nsistant en fonte de la substance grise qui constitue la commissure grise de la moelle. Cette substance grise se transforme
ise qui constitue la commissure grise de la moelle. Cette substance grise se transforme peu à peu en une matière analogue
trée à l'hôpital en août 1892. Femme petite, cheveux châtains, yeux gris , a toujours eu un tempéra- ment nerveux et une
pour la première fois à l'hôpital. Homme châtain, grisonnant, yeux gris , myosis sthénique, acuité vi- suelle un peu dim
l nu. Tout au plus existe-t-il un peu de congestion de la substance grise et une légère diminution de consistance dans la
par l'acide osmique et montées dans la glycérine. Dans la substance grise , les cellules des cornes antérieures se colorent
ent occuper l'espace périvasculaire des capillaires de la substance grise , dans les cornes antérieures et la commissure pri
férente, nous les décrirons au niveau du foyer. Dans la substance grise , l'attention est attirée même à un faible grossis
atiques des vaisseaux ou entre les éléments propres de la substance grise : il est fréquent d'apercevoir la coupe transve
du même genre, moins avancées. Quant aux vaisseaux de la substance grise , les modifications qu'ils présentent se réduise
es à gros noyau. On aperçoit enlin sur les coupes dans la substance grise , surtout au pourtour des infiltrations colloïde
A SALPÊTRIÈRE. lement, et surtout dans le voisinage de la substance grise , les interstices des tubes nerveux sont occupés
ue il celle dont nous avons signalé la pré- sence dans la substance grise . Ici, comme dans la substance grise elle paraît
la pré- sence dans la substance grise. Ici, comme dans la substance grise elle paraît avoir pour siège non seulement les
rites plus haut dans les cor- nes antérieures et dans la commissure grise . Les tubes nerveux dans les régions où cette ma
Obj. 00 variable Verick). A, A' exsudât colloide dans la substance grise . En A, cet exsudat occupe visible- ment la gain
le dorsale ; la plupart sont situées sous la pie-mère. La substance grise est abso- lument intacte. Quant à l'infiltrat
vant les vaisseaux qui y che- minent, presque jusqu'à la commissure grise antérieure. Au pourtour des veinules qui chemin
l'infiltration méningée. Elles intéressent d'une part la substance grise centrale sur une hauteur de 5 à G racines, et d
des cordons latéraux sur une étendue un peu moindre. La substance grise , dans toute la moitié supérieure de la moelle dor
ieures principalement (La présence de ces cavités dans la substance grise , soit dit en passant, est à mettre en regard de l
it là d'un exsudai primitivement liquide, ayant envahi la substance grise cen- trale par le sillon médian antérieur, pour
apparence normale). Par contre le tissu névroglique de la substance grise est à peine altéré : le tissu fon- damental des
reux) plus profonds, quelques-uns même au con- tact de la substance grise ; et tous présentant dans leur direction, ce carac
nt à expliquer les altérations du cordon latéral et de la substance grise , en apparence indépendantes des lésions méningées
ues à celles dont il est question. Pour ce qui regarde la substance grise , nous pensons que les altérations dont elle est
ans le même travail, tirés de la facilité avec laquelle lasubstance grise participe se- condairement aux divers processus
ltré dans la substance des cornes antérieu- res et de la commissure grise . Mais n'est-il pas permis d'admettre que les co
aux qui forment autant de centres d'infiltration. Dans la substance grise , « le tissu, qui paraît raréfié est infiltré çà e
e par celte matière amorphe qui sépare les éléments de la substance grise . » M. le professeur IIayem (1874) à propos des
ce de la moelle sont gorgés de sang. Sur les cou- pes, la substance grise a paru seulement congestionnée dans toute la haut
le-même, sa configuration n'est pas reconnaissable : la subs- tance grise est tellement déformée qu'il faut une recherche a
lésions sont considérables dans les deux subs- tances. La substance grise est tellement déformée qu'on a peine à reconnaîtr
ésente pas d'hémorihagies semblables. Les vaisseaux de la substance grise n'offrent pas d'alléralions de leurs parois; le
ate pas la présence de véritables corps granuleux dans la substance grise : ceux-ci apparaissent seulement au voisinage des
ent au voisinage des cordons blancs. La névroglie de la substance grise présente un état d'irritation très marquée ; ce
ons blancs ne le cèdent pas en intensité à celles de la subs- tance grise . Nous avons déjà signalé leur distribution en exa
ion profonde des cordons postérieurs, au voisinage de la commissure grise . Dans cette partie, on voit encore quelques tubes
d'autant mieux systématisée que l'on descend plus bas. La substance grise reprend son apparence normale dans la moelle dors
ez abon- dante qui se prolonge dans ce sillon. Enfin la substance grise est le siège de petites hémorrhagies semblables à
mécanisme des graves altérations que nous a montrées la subs- tance grise . Les dilatations capillaires, les nombreuses hémo
inters- ticielles signalées dans presque toute la hauteur de l'axe gris semblent en effet plutôt en relation avec la gè
lle. La forme de celle-ci est parfaitement conservée : la substance grise a sa configura- tion normale. Les cordons posté
et dont le sommet, très-aigu, va se prolonger jusqu'à la substance grise de la commissure. Le sillon médian postérieur est
du facial). Les vaisseaux présentent d'ailleurs, dans la substance grise du 4° ventricule, une gaine lym- phatique diste
as sans intérêt de mettre en regard des altérations de la substance grise rencontrées dans ce cas. Les réflexes tendineux
erd en bas dans les joues amaigries d'où part une longue barbe d'un gris sale couvrant le haut de la poitrine. Tout en
puis- sant caché sous un hahit modeste : le père Joseph, l'Éminence Grise . Cet homme impénétrable, doué d'une perspicacit
35 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nd la lésion postérieure et comme aux amyotrophies répond la lésion grise antérieure. Aiusi comprise et expliquée, notre
niveau d'une rondelle : tous les fais- ceaux blancs et la substance grise perdent leurs pro- priétés. Si même cette myéli
s deux nerfs optiques, Hémor- rhagies capillaires dans la substance grise de la moelle. Dégéné- rescence secondaire des c
sède des faisceaux dont un premier se relie aux lacis de substances grises sis au-dessous du tubercule bijumeau inférieur,
ontiguës à la corne postérieure, pour se terminer dans la substance grise de la moelle épinière. La plus grande somme des
la moelle à la protubérance); elles se terminent dans les masses grises du même coté. Les plus externes gagnent le noyau
ui ont trouvé dans la formation réticulaire des relais de substance grise (interrup- tion momentanée), les autres les tra
- tion momentanée), les autres les tractus fournis par ces foyers gris . La substance grise de la formation réticulaire s
), les autres les tractus fournis par ces foyers gris. La substance grise de la formation réticulaire se compose d'une zo
aux de la formation réticulaire et les grosses olives et les masses grises du cerveau moyen et antérieur; on y rencontre a
inales issues, les unes de la couche limitantelatérale de substance grise spinale et peut-être également du système latér
s- seaux fibreux au tubercule quadrijumeau postérieur, aux masses grises qui environnent le troisième' ventricule (peut-êt
descendent latéralement en côtoyant le bord externe de la substance grise du canal encéphalo-médul- laire, et en décrivan
e de commissure nouvelle entrecroisée ( ? ) au sein de la substance grise du canal encéphalo-médullaire (ville ventricule
ié de chaque côté aux deux moitiés de la protubérance ou des masses grises de la région inférieure; M. Bechlerew appelle à
racine du nerf vestibulaire se termine sur- tout dans la substance grise qui occupe la paroi latérale du quatrième ventr
croisement de ces organes jusqu'à la moelle cervi- cale, les cornes grises antérieures se montrent intactes. Dégénérescenc
tre les cornes postérieures et les cornes anté- rieures (trousseaux gris des processus réticulaires), du côté op- posé à
tion, les pyramides soient en rapport avec les cornes antérieures grises ; mais il est extrêmement probable que les pyramid
u troisième ventricule n'avait dé- truit que d'un côté la substance grise de la cavité : l'oeil corres- pondant au côté l
la date fixée. Le sujet de la composition écrite était -.^Substance grise de la moelle épinière. Maison nationale DE Cs
places des parties dures, de peu de dimension, de couleur brillante gris brun ; les cheveux et les cils sont longs, noirs
atrophie indépendante de toute lésion matérielle de là substance grise de la moelle et des nerfs périphéri- ques. ?
93 altération purement dynamique du système nerveux ; les centres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont no
ncée sans efforts jusqu'à un centimètre, et davantage. La substance grise de la moelle dans la partie lombaire est d'une
visibles. Dans la partie spinale de la moelle épinière la substance grise est d'une couleur jaunâtre et les cornes anté-
s, c'est la grosseur inégale des cornes antérieures de la substance grise . La corne antérieure gauche est plus petite que
ité de pigment. Les cornes postérieures elles-mêmes de la substance grise ont diminué de volume et sont plus minces que l
Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération pigmentaire. Fig. 4. Le
ux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise . a, Corne gauche. b, Corne droite. MONOPLÉGIE
ordons de Türk. Sclérose des cordons postérieurs et de la substance grise des cornes posté- rieures envahissant une parti
en- dante de la sclérose postérieure et la lésion de la substance grise serait due à la sclérose des faisceaux et cornes
pli naso-Iabial et de la joue gauche avec légère plaque d'atrophie grise brunâtre, trem- blement modéré des mains à l'oc
leux est transformé, dans ses trois quarts postérieurs, en une mase gris rougeâtre molle qui pénètre à peine çà et là de
e Clarke ; altération modérée des cordons postérieurs; la substance grise ne présente pas plus de lésion que dans le tabe
, que dans une partie de sa moi- tié gauche, a détruit la substance grise du segment supé- ' Voy. NotUnael : Maladies de
(en bandes) ou totale des muscles de l'avant-bras ; dégénérescence grise évidente des deux nerfs radiaux à l'avant- bras
ses, mais aucune trace de poliomyélite; çà et là, dans la substance grise intacte, cellules-araignées développées, névrit
ent; Je long de la grande scissure, on entraine un peu de substance grise ; à l'extré- mité antérieure delà troisième fron
ème frontale, on trouve une ecchymose superficielle de la substance grise . L'aspect des circonvolutions est luisant et ra
titude de petites saillies, du volume d'un petit grain de mil, d'un gris jaunâtre, non dures comme les dépots crétacés,
peu oedématié, musculature du thorax oedémaliée, très pâle, presque grise . Tissu graisseux sous-séreux de l'abdomen forte
de graisse, de grandeur normale ; capsule non adhé- rente : surface gris foncé, violette; parenchyme très épais. L'écorc
HYDERMIQUE. 357 La substance corticale est par-ci par-là trouble et gris jau- nâtre. Rein droit (1415 gr.), mêmes lésion
és, injectés. Amygdales agrandies, la droite pâle, la gauche plutôt gris vio- lette paraissant atteinte d'hyperplasie ch
x qui se rendent au cervelet ; les cordons latéraux et la substance grise étaient de- meurés normaux. L'auteur n'a pas en
s chapitres les plus inté- ressants sont ceux concernant les noyaux gris centraux et la cap- sule interne; toute obscuri
ig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la substance grise pu voie de dégénération pynen ! ;rire. Fig. 4.
x et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là substance grise . a, Corne gauche, - b, Corne droite. 432 EXPL
36 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
oelle fraîche montrent une congestion assez intense de la substance grise (coloration hor- tensia), et, en certains point
. Les faisceaux cérébelleux directs sont intacts. Dans la substance grise il y a une diminution considérabledu nombre des
ant dans les parois des vaisseaux que dans le tissu de la substance grise . Région dorsale. Mêmes lésions que pour la régi
la corne antérieure; en dedans; elle se confond avec la substance grise , en dehors laisse libre le faisceau cérébelleux.
e-axe, elles ont presque entièrement dis- paru. Dans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des fibres ne
la moelle lombaire, le nombre des fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les fibres nerveuses qui constit
t, par conséquent, de points plus ou moins éloignés. La substance grise contient aussi des corps granuleux, quoique en
otablement vers la droite, un peu avant d'arriver sur la commissure grise , la corne antérieure droite est plus petite que
Disparition presque complète des grandes cellules de la subs- tance grise , ainsi que des fibres nerveuses contenues dans
on de Goll, et aboutissant par sa partie antérieure à la commissure grise , au niveau de laquelle il se confond avec le ja
s seulement, un peu plus nombreux dans le voisinage de la substance grise qu'à la périphérie de la moelle. Au devant des
sceaux antéro-latéraux et dans la partie antérieure de la substance grise , les corps granuleux sont assez abondants dans
d'autres n'en ont presque pas. Les fibres nerveuses de la substance grise paraissent aussi moins abondantes qu'à l'état n
s les espaces périvasculaires. Il y en a très peu dans la substance grise , beaucoup moins que dans les autres régions de
es. Les corps granuleux n'ont pu être retrouvés dans la substance grise de l'écorce; dans la substance blanche, ils éta
s après. A l'examen microscopique, on trouve une dégé- nérescence grise occupant les cordons postérieurs dans toute l'é
due de la région dorsale jusqu'à la région lombaire. Dégénérescence grise des cordons postérieurs. Sclérose des parois de
elle présentait une altération de forme triangulaire, de coloration gris jaunâtre occupant les cordons postérieurs. Ces
queue de cheval étaient plus minces que d'ordinaire et de couleur gris rougeâtre. La moelle durcie, examinée au micros
ieurs et la- téraux était symétrique des deux côtés. La substance grise ne présentait rien d'anormal. Les cellules ner-
s. Région dorsale : Au niveau du dixième nerf dorsal la substance grise des cornes postérieures et antérieures est norm
e la moitié opérée, tant des parties blanches que de la substance grise . La portion la plus atrophiée des fais- ceaux b
et les dernières observations de M. Westphal, sur la dégénérescence grise chez un tabétique, qui ont con- tribué surtout
2° De l'hypérémie et des hémorrhagies capillaires dans la substance grise , principalement dans les cornes postérieures ;
ré- gion cervicale des hémorrhagies capillaires dans la substance grise , des cornes postérieures et antérieures, ainsi
phal constate une myélite diffuse qui produisit une dégénérescence grise de toute la région dorsale; et, en outre, une l
es conclusions suivantes : L'altération constante de la sub- stance grise (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes
s racines sectionnées, indiquerait que l'altération de la substance grise est simplement l'effet de la séparation des ' g
moven de leurs prolongements dans le réseau nerveux de la substance grise . Quant aux cordons de Goll et autres, l'inconst
rd supéro- interne du noyau lenticulaire, et pénétrer dans sa masse grise . Les fibres qui entrent dans le noyau lenticula
e cerveau présente une sclérose modérée des artères. une coloration grise des nerfs et des bandelettes optiques. On trouv
bandelettes optiques. On trouve dans la moelle la dégénéres- cence grise des cordons postérieurs (de la région cervicale à
e J'angoisse précordiale, des troubles de la parole, une coloration gris bleu de la peau. Une quatrième observation témo
de zones de propagation du processus inflammatoire de la substance grise à la substance blanche avoisinante. ,On pourrai
e dans la production de ce phénomène l'inflammation de la substance grise : d'une part cette extension de la sclérose est
e est surtout marquée immédiatement à la périphérie de la substance grise et surtout des cornes antérieures; d'autre part
granuleux indiquant les relations de ces régions avec la substance grise enflammée; enfin à la région lombaire où la sub
bstance grise enflammée; enfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres nerveuses
essus scléreux doit être rapportée à l'inflammation de la substance grise , semble d'ailleurs prévaloir aujourd'hui et vie
ultats de l'autopsie (lésions des cellules motrices de la substance grise et des faisceaux pyramidaux), se refuse à admet
dans le plus ou moins d'intensité du processus dans la substance grise ; quant à la cause de ces variations dans l'inte
s l'espèce d'une lésion ou d'un trouble fonctionnel de la substance grise centrale du plancher du troisième ventricule (C
a. 310 PATHOLOGIE NERVEUSE. large atteignant presque la substance grise . En avant, sur la bord extérieur elle n'atteint
atteint plus les parties anté rieures, mais non encore la substance grise . Dans la région de l'origine apparente des raci
ties postérieures de cordons latéraux, où elle atteint la substance grise . La localisa- Fig. 7. -Coupe dans la partie sup
ux. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉIMNIÈKE. 313 b) Substance grise . Dans la région cervicale de la moelle épinière
ervicale de la moelle épinière on ne remarque pas dans la substance grise des changements visibles, même aux grands gross
tiques qui pénètrent loin dans les parties voisines de la substance grise . Dans la région lombaire de la moelle épinière,
ques mentionnés plus- haut disparaissent rapidement et la substance grise reprend ses qualités normales. Un coup d'oeil s
qu'elle diminue peu à peu, plus qu'elle s'approche de la substance grise . b) Dans la région où la sclérose n'atteint pas
lus grand développement du tissu conjonctif. e) Dans la substance grise , nous trouvons aussi les changements décrits pl
latéraux où la dégénérescence vers l'intérieur atteint la substance grise . Vers le devant elle n'atteignait pas les corne
s latéraux et postérieurs ne furent pas épargnés, même la substance grise . L'examen microscopique à un grand grossissemen
lissement notable des lobes antérieurs du cerveau et des tubercules gris en voie de formation dans les deux poumons. O
est le point de départ ? Comment se forment-elles ? C'est l'écorce grise qui engendre les attaques épileptiformes ; cell
37 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
urs de sa chambre, dont les fleurs bleues auparavant, sont devenues grises . Pendant la nuit il a été transporté ailleurs a
u persiste dans le tabès,c'est quand il n'y a pas de dégénérescence grise des faisceaux postérieurs dans la partie dorso-
e faisceau ovale de Fleclisig ; elle reste très loiu de la commissure grise , pos- térieure ; elle occupe Lien la région de
s 1 et 2, 189 i. 102 BROUSSOLLE L'habit du patient est de couleur grise de même que son feutre à plume blanche placé su
la chaise. La culotte courte arrêtée au genou est aussi de couleur grise , des bas de laine et des savates complètent le
ns fines ou moins denses, nous observons une to- nalité brun clair, gris neutre et gris bleu. Les cellules des ganglions
ns denses, nous observons une to- nalité brun clair, gris neutre et gris bleu. Les cellules des ganglions sympathiques p
ns spinaux. Il y a cependant deux sortes de cellules : des cellules gris blanc, à granulations fines plus ou moins dense
plus près du blanc d'argent et enfin on trouve parfois des cellules gris jaunâtre. Chez l'homme, en général. y y a un ra
l'on constate celle précipitation corpusculaire et qui ont un reflet gris jaunâtre à la lumière directe, il y en a d'autr
acide acétique. A côté des cellules lumineuses, on en voit d'autres gris acier dans lesquelles le contraste entre le noyau
, on peut distinguer des cellules blanc jaunâtre, blanc d'argent et gris acier dont quelques-unes contien- nent des gran
La tonalité des cellules est 'blanc brillant et quelques-unes sont gris bleuie. L'alcool absolu, agent fixateur de prem
nt disparu, elles sont remplacées .par une tonalité 214 MARINESCO gris acier. Le noyau est lumineux et contraste par sa
voit que la luminosité des cellules, particulièrement des cellules gris blanc, augmente, que les granulations colloïdales
ue et la tonalité change. Les cellules blanc d'argent, les cellules gris blanc prennent une teinte grisâ- tre ou plombée
d'abord une dissolution très rapide au centre de certaines cellules grises et qui à mesure qu'elle avance est suivie de la d
ans l'ammoniaque pendant 12 minutes ne montre que des cellules d'un gris nuageux sans granulations lumineuses. Si on exa
ns d'un grand nombre de cellules, celles-ci prennent une coloration gris de plomb et dans certaines d'entre elles on aperç
cellules a diminué d'une façon considérable ; elles ont une nuance gris fer et leurs granulations sont plus ou moins fine
lumineuses, il en existe encore un certain nombre dont l'aspect est gris acier ou gris bleuté Enfin à la périphérie de q
en existe encore un certain nombre dont l'aspect est gris acier ou gris bleuté Enfin à la périphérie de quelques cellules
porte pas de lésions macroscopiques, corticales ou centrales; l'axe gris de la moelle et les racines rachidiennes ne sont
lini- sées. Il en est de même du réseau fibrillaire de la substance grise . Les cornes antérieures ne sont pas déformées,
e à noyaux multiples), les cordons anléro-latératix et la substance grise sont intacts. Les racines rachidiennes antérieu
- faction des éléments cellulaires et des fibrilles de la substance grise avec sclérose névroglique ; prolifération en îl
ération en îlots de l'épendyme, parfois état criblé de la substance grise . Dans les ganglions spinaux, atrophie cellulaire,
lite dans les cornes antérieures sacrées ; hétérotopie de substance grise dans les cordons postérieurs à la région lombaire
e fondamentale avec d'autres cas, dans lesquels non seulement l'axe gris de la moelle, mais aussi la substance blanche p
les éléments nerveux pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe gris et la substance blanche de la moelle (2). Ainsi
tal statique des muscles.. Le peu d'importance des lésions de l'axe gris , limitées chez Brandi au renflement cervical, a
(PI. XLI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la substance grise paraît intacte, les faisceaux des cordons antéro-
t sur la fig. 6 : elle est aplatie d'arrière en avant, la substance grise est tassée, son diamètre transversal considérab
e que se forme ainsi la partie postérieure de la moelle, la substance grise de la corne antérieure droite, jusque-là intact
disparu, les lésions de, myélomalacie ayant désagrégé la substance grise des cornes antérieures (fig. 13) et même un peu
ces racines. F) Au-dessus de ce point, les lésions de la substance grise s'atténuent pro- gressivement et cessent au niv
e marginale, mais également sur la profondeur jusqu'à la commissure grise au 7UVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIèRE, T.
lombaire et du 1er segment sacré, elles n'atteignent que la substance grise des cornes antérieures. Elles se localisent plu
des postérieures ; les premières, venant de régions où la substance grise est détruite, sont complètement dégéné- rées et
te est très sen- siblement normale, le processus est llini(6à l'axe gris , et, à son maximum, entraîne la fonte complète
cent dans la substance blanche pour venir au niveau de la substance grise s'anastomoser avec les artérioles provenant de
MUSCLES 359 triciel lâche et c'est cet effondrement de la substance grise qui, associé à la sclérose péri-vasculaire des
origine vasculaire. Cependant l'atteinte élective de la subs- tance grise , l'intégrité des cordons blancs avoisinant montre
pli- querait pas davantage la localisation exclusive à la substance grise . L'étude de la circulation médullaire fournit u
-il faire intervenir en outre la fragilité spéciale de la substance grise , mise en évidence expérimentalement par la liga
tte ligature temporaire détermine un ramollissement limité de l'axe gris , la substance blanche demeurant saine). Il re
elle est centrale et transversale et ne déborde pas la subs- tance grise . Au niveau deDv, Dyi, elle affecte assez irrégu
erticules latéraux ou postéro-latér3ux, qui segmentent la substance grise , les cornes postérieures ou les cordons latéraux
r coupe. Ils font défaut dans les parties saines, dans la substance grise , dans la dure-mère. Voici quelques exemples d
u : leur segment-cervical la circonférence de la moelle, sa substance grise repren· Fig. 4. CARIE DES VEIUÈBRES 39U nen
Les es- paces périvasculaires sont un peu élargis dans la substauce grise . Au niveau du 5" segment cervical, la transpare
n peu transparent (à part quelques endroits avoisinant la substance grise ). Dans les racines postérieures des deux côtés, à
réfaction dans les voies'latérales, dans le voisinage de la substance grise , surtout à droite, ainsi que dans ces voies ant
dullaire, il y a augmentation des tissus névrogliques. La substance grise des cornes a une teinte très pâle et le réseau
dans la région correspondant aux racines postérieures. La substance grise se trouve parsemée des deux côtés d'une poussiè
s non plus de foyers de ramollissement ou d'hémorragie ; la substance grise était relativement indemne. Les méninges molles
e (à gauche sur le dessin), la diminution du volume de la substance grise , portant à la fois sur les cornes anté- rieure
l'hémi-moelle droite, correspondant il l'effondrement de la substance grise . Dans l'ensemble l'hemi-moelle droite est très
ree el diffuse des cordons postérieurs. Du côté gauche la substance grise est un peu diminuée de volume par rapport à la
te cavité triangulaire sans gliomatose. Du côté gauche la substance grise a repris un aspect sensiblement normal. Noter t
ace antérieure. Du côté droit (côté gauche du dessin), la substance grise est peut-être un peu diminuée de volume. La subst
38 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
ubstance blanche et disparition à peu près complète de la substance grise (V. PI. I, fig. A). II. .Une femme de 58 ans,no
ie. Mon confrère Wintler a trouvé un épaississement de la substance grise centrale dans un cas d'acromégalie, ce qui ne p
u amygdalien où il morcelle avec le faisceau uncinatus la substance grise qui relie l'avant-mur au noyau amygda- lien et
nettement plus faible ; elles se distinguent par leur teinte plutôt grise ou brune. Enfin ces distinctions de couleur et de
e est petite, il n'existe pas de com- missure calleuse ou de masses grises centrales, les scissures et les sillons (excep-
des racines ; nous verrons également qu'il existe dans la substance grise de la moelle, à l'état normal et à l'état patho
ance encapsulées dans les ganglions rachidiens et dans la substance grise de la moelle. La néoformation de fibres dans le
e à cet égard. ' Massues des centres nerveux (cervelet et substance grise de la moelle). - Des massues terminant des fibr
Ces formations se rencontrent dans toute l'étendue de la substance grise , mais elles s'accumulent particulièrement le lo
caractère avec les boules norma- les du ganglion et de la substance grise de la moelle, dont nous aurons à nous occuper p
ibres à myé- FiG. 2. - Fibres terminées en massue dans la substance grise de la moelle. Les mas- sues sans indication pro
eur des ganglions. Quant aux massues qui existent dans la substance grise de la moelle, on peut se demander si elles n'ap
leur accumulation en certains points à la. li- mite de la substance grise , tendent à prouver qu'il s'agit de fibres qui c
ceux-ci soient détruits. xix 10 234 NAGEOTTE dans la substance grise de la moelle chez un paralytique général et chez
Cajal). ' On retrouve des formations analogues dans la substance grise de la moelle humaine à l'état normal et à l'éta
. Note sur la présence de massues d'accroissement dans la substance grise de la moelle, et particulièrement' dans les cor
s- tance blanche du lobe frontal gauche, empiétant sur la substance grise de l'écorce de la partie orbitaire et interne d
ès prononcée du corps calleux, dans l'intégrité relative des masses grises de la base, des faisceaux de projection par rap
ui cloisonnent les faisceaux musculaires ; leur couleur tire sur le gris pâle ou le jaune, car souvent malgré la maigreur
banal dans l'encéphale d'un vieillard. Sur les coupes des noyaux gris et de la capsule interne aucune lésion ne mérit
uses subluxées, se traduisant sur le cliché négatif par leur teinte grise . 278 " ÉTIENNE ET PERRIN Depuis le début de l
acuité visuelle, nystagmus, myosis et rigidité pupillaire, atrophie grise des papilles. Cette étude bibliographique démon
sanguins, mais aussi autour des cellules nerveuses de la substance grise . Cramer, Greiff et quelques autres ont trouvé d
et transversales on voit dans les hémisphères cérébraux des plaques grises en très petit nombre, au niveau de la couche so
uban de Reil médian, de la toenia pontis et de la substance réticulée grise sauf une partie comprise entre le ruban- de Rei
noyaux centraux supérieurs, des noyaux latéraux et de la substance grise du pont sont presque complètement conservées des
ec la méthode de Weigert et Weigert-Pal. Les cornes de la substance grise sont encore bien reconnaissables grâce à la con
se colorable avec la méthode de Weigert. Les cellules de la substance grise sont en grande partie conservées. Les fibres de
d'épaississement des méninges postérieures. Les racines ne sont pas grises . Tout ce qu'on peut dire de la moelle c'est qu'
a moitié antérieure. La sclérose occupe en même temps la commissure grise ,le cordon de Goll, la zone cornu-commissurale et
s (1), il est vrai, mais spécia- lement dans les lésions des noyaux gris centraux (2) ainsi que J. F. Guyon l'a toul par
seur de laquelle se terminent les fibres de la substance blanche et grise . Les bouts traumatisés des cordons de la moelle
au niveau de la cicatrice pour se recourber et pénétrer dans l'axe gris , ce qui prouverait que la branche ascendante ou
- sidérable de leucocytes et de globules de sang. Dans la substance grise , même dans cette masse d'éléments émigrés, il e
moelle au niveau de la compression est amincie et d'une coloration gris rosâtre. Pour l'étude histologique de la moelle
). Au contraire, les vaisseaux qui sont situés près de la substance grise et de la substance blanche fortement altérée ne p
inextricables autour des ma- crophages qui ont détruit la substance grise , or, il est certain qu'ils provien- nent des ex
sont pas si volumineux que ceux de la cicatrice. Dans la substance grise et blanche située immédiatement au-dessus de la
eur trajet sont des fibres de nouvelle formation. Dans la substance grise située immédiatement au-dessus de la région compr
- Dans l'ensemble, les lésions constatées portent sur la substance grise , tandis que l'intégrité des cordons blancs est
, il n'y existe aucun grain noir. Les altérations de la substance grise portent uniquement sur les cornes an- térieures
ophie des cordons postérieurs qui sont moins larges et ont une teinte gris rosé. Les cornes postérieures sont très rapproc
st souvent occupé par une fibre nerveuse dont la myéline se colore en gris violet et dont le centre est occupé par un cyli
interstitielles sont plus ou moins dilatées. , Dans la substance grise les lésions sont moins considérable : les cellule
vent être déformées, aplaties. Dans un certain nombre de cas, l'axe gris est plus ou moins déformé, disloqué, même. En
s et élargie transversalement, avec déformation très marquée de l'axe gris (Pl. LXXVI, fig. 2, le N° 2 de cette figure cor
ettement aplatie, avec élargissement et déformation de la substance grise : le volume total de la moelle est plutôt supérie
des lobes inférieurs des poumons : semis de granulations milliaires grises d'aspect récent. Gros reins blancs non congesti
Au niveau de cette dilatation, les parties voisines de la substance grise sont ra- réfiées ; la lumière du canal renferme
ments cervicaux, la moelle est léèrement compri- mée ; la substance grise est déjetée à droite. Elude histologique. Au ni
du pédoncule cérébelleux moyen et le tiers externe de la substance grise antérieure du pont. Il s'arrête sur la ligne mé
es, nous avons vu ses dimen- sions. ! 1 ne touche ni à la substance grise des lobes hémisphériques et du vermis, ni à l'o
tites hémorrhagies corticales parallèles à la surface de la substance grise , larges de 1 .millimètre, longues de 3 ou 4, oc
git d'une trophonévrose en rapport avec des lésions de la substance grise médullaire ; dans d'autres cas les plus nombreu
ns cliniques en constatant l'existence de lésions dans la substance grise médullaire; cependant, on ne peut considérer to
it allusion à la possibilité d'une artério-sclérose de la substance grise centrale avec ce syndrome. Celte nouvelle inter
c diminution évidente des fibres. Par ci, par là, dans la substance grise on trouve de petites hémorragies périvasales. A
rsale, aussi à droite, on voit une cavité creusée dans la substance grise tout autour d'un groupe de vaisseaux : on la vo
senté par un petit amas de cellules épendy- maires. Dans les cornes grises antérieures on voit des cavités périvasales un
aux autres : comment peut-on admettre qu'une lésion de la substance grise periépen- dymaire puisse donner lieu à la rétra
ait peu la structure et les fonctions, comme celles de la substance grise , il est très difficile de faire l'évaluation des
ie de Dupuytren serait donc unique : une altération de la substance grise spinale, qui dépend de cau- ses variées, dont l
bien souvent une raréfaction du reticulum fibrillaire des substances grises (Pighini, Beduschi et Jardini), le défaut de ce
rs des tissus sclérosés. Leur lieu de prédilection est la substance grise , et, dans mon cas, la substance grise périépendym
prédilection est la substance grise, et, dans mon cas, la substance grise périépendymaire. Cet état pa- thologique peut ê
er la maladie de Dupuytren quand elle se localise dans la substance grise centrale de la moelle. 2° La plupart des maladi
égulières. Elles sont séparées ça et là, par des îlots de substance grise qui se détachent de l'angle inférieur du noyau le
ives qui lui viennent de la couche optique et réagit sur les masses grises inférieures et sur le thalamus, de même le corp
que ce sont surtout le corps quadrijumeau antérieur et la substance grise de l'aqueduc de Sylvius qui représentent son no
cales destinées aux noyaux moteurs des nerfs crâniens et aux masses grises de la calotte ; elle n'est accompagnée dans l'é
39 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
il peu près moitié moindre que celui de l'olive droite.La substance grise qui constitue les volutes est très amincie; les f
noyau du cordon de Burdach. CB, cordon de Burdach. Sgc, substance grise centrale, périépendy- maire. SgR, substance g
nsi que dans le noyau terminal de KoelliJ.'e ! ' (dans la substance grise centrale) quelques cellules pigmentées et d'aut
ane du corps restiforme) (Voir PI. I, B). Cette région de substance grise que Gudden et Mingazzini ont appelée le noyau d
s comprimés à leur sortie du tronc cérébral (PI. 111). La substance grise du pont est très comprimée et atrophiée à gauche
existe plus qu'un mince lacet de quelques millimètres de substance grise composée de restes trophiques de l'écorce cérébel
ait à la dégénérescence des cellules ganglionnaires de la substance grise du pont à droite. Edinger a constaté aussi cette
aler entre son observation et la nôtre. Dans notre cas la substance grise était par- tiellement atrophiée et dégénérée de
dégénéré, alors que l'on trouvait une dégénération de la substance grise du côté opposé, à gauche. Dans les deux cas le
is le noyau dorsal du nerf vague n'a rien à faire avec la substance grise qui limite en dedans le corps restiforme. Du moin
néra lion, tout au plus un léger degré-d'atrophie. . La substance grise des noyaux de la couche optique à droite, dans no
te région était comme l'on sait dans ces derniers cas, la substance grise qui entoure l'aqueduc de Sylvius (noyaux des 3e
cheval sont les antérieures normales, les postérieures atrophiées, grises , extrêmement graci- les. L'examen microscopique
aire. Mort deux mois après de pneumonie. Autopsie. - Hépatisation grise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle : sclé
onie se déclare. Mort le 5 janvier 1886. Aulopsie. - Hépatisation grise du poumon gauche. Encéphale sain. Moelle. - La
. Encéphale sain. Moelle. - La coupe permet de constater une teinte grise des cordons posté- rieurs en totalité dans la m
milieu de son trajet, on trouve logé dans l'épaisseur de la substance grise et s'étendant au loin dans le centre ovale un é
. Thibierge et Babinski, plusieurs centai- nes d'injections d'huile grise ou de calomel, chaque traitement comprenant env
L'oculo-moteur droit, dans l'espace interpédonculaire est atrophié, gris et contraste par son volume et sa couleur avec
e lon- gue plume. Il se détourne pour regarder un vieillard à barbe grise , qui du doigt lui montre ses dents. Tout à fait
Rombouts, les figurants sont vus ami-corps sur un fond de muraille grise , simplement ornée d'une glace et d'une paire de
fonte chromatique est parachevée. La cellule tout entière est d'un gris bleu sale, sans bordure péri- nucléaire ou péri
n'est coloré en rouge intense par le carmin, ils sont roses ou même gris ou jaunâtres. Au lieu d'être régulièrement arrond
tesde la couche granuleuse et de la couche moléculaire. 2° Noyaux gris centraux. - Il a été dejà dit plus haut que la to
érescence, ni dans les faisceaux, ni dans les racines; la substance grise est normale ; les colonnes de 'Clarke, en parti
deux particularités à relever : 1° Une hétérotopie de la substance grise : la corne antérieure d'un côté envoie en effet
yaux arciformes du bulbe ou prépyramidaux ont disparu, la substance grise réticulée du bulbe et ses noyaux semblent diminué
être compté parmi les fibres de projection de l'écorce sur les noyaux gris centraux. A son entrée dans le cervelet, le c
ent du vermis est elle-même la conséquence de l'atrophie des noyaux gris centraux et principalement du noyau du toit, du
ues, avec atrophie relativement beaucoup moins accentuée des noyaux gris centraux (noyau dentelé, noyau du toit, bouchon,
que sur le vermis, contrastant avec l'intégrité relative des noyaux gris centraux : noyau dentelé, noyau du toit, noyau
it, noyau sphérique et bouchon ; 2° l'atrophie totale de la substance grise du pont et la dégénérescence totale du pédoncul
avoir débuté à la fois dans l'écorce du cervelet, dans la substance grise du pont et les olives inférieures ; les cellules
es qui subsistent sont très altérées ; des cellules de la substance grise du pont il ne reste plus trace, le plus grand n
ont eu comme conséquence l'atro- phie des cellules de la substance grise du pont, la dégénérescence du pédoncule cérébel
inflammatoire ou nécrobiotique des éléments constituant le manteau gris cérébelleux couche des grains et cellules de Purk
dégénérative, mais avec ce ca- ractère particulier que la substance grise du pont et les olives inférieures sont le siège
ions qui intéressent presque exclusivement les olives, la substance grise du pont et le cervelet (les noyaux gris centrau
t les olives, la substance grise du pont et le cervelet (les noyaux gris centraux exceptés) ; cependant il existe entre el
NE ET A. THOMAS décoloration, mais en comparaison avec la substance grise , elle parait plu- tôt trop épaisse ; un examen
tre elles plus d'espace libre; la substance blanche et la substance grise sont également moins développées que chez un indi
r l'atro- phie de l'écorce, des olives bulbaires et de la substance grise du pont, par la dégénérescence totale du pédonc
e partielle du corps restiforme, par l'ntégrité relative des noyaux gris cen- traux : c'est une atrophie primitive dégén
Fie. XIV. Cerveau gauche, face antérieure de la coupo, la substance grise au fond de l'insula est atteinte, le trauma por
ans le sens le plus direct, se fait sentir aussitôt dans les noyaux gris centraux, dans la capsule interne et la portion
centrale, la lésion pédonculaire, plus ou moins proche des centres gris pour expliquer cette paralysie. Lésion qui a fort
e le point de sortie est moins large que celui d'entrée. Les noyaux gris sont de par le fait de la lésion plus fortement d
a première. Cela nous donne la figure VI tel' (PI. LII). Les noyaux gris centraux sont atteints en plein, le' corps strié
la scissure interlobai1'e tempono-frontale et traverse la substance grise , la capsule interne, en ne s'éloignant que peu
ment formolé : En L, grande lésion déchirant largement la substance grise et atteignant NC, le noyau caude; 1L, lo - ii '
roche a atteint la partie antérieure du lobe temporal, la substance grise des noyaux centraux et principalement du noyau ca
MARTIAL est traversée par le corps pénétrant ainsi que la substance grise située en haut du sillon de Rolando et un peu e
eux malades de Pitres et de Vaillard ont présenté de l'hépatisation grise rapidement mortelle. Le coeur ajoute à la diffi
ée des fibres myéliniques de la su tance blanche. Dans la substance grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie des c
nt observés dans la substance blanche de même que dans la substance grise , peuvent être contenus ou dans certaines fibres
sont parsemés çà et là par tout le long de la substance blanche et grise . Le long de certains vaisseaux, qui passent dans
corne antérieure et en général les cellules nerveuses de la substance grise de la moelle épinière par tout le long de la mo
utres régions de la substance blanche et çà et là dans la substance grise . Les cellules de la corne antérieure contiennen
te qui a tendance il se localiser au-dessus du foyer à la substance grise . Dans toutes ces formes de myélite aiguë, nous
te. Sur une section transversale elle est boursouflée, la substance grise injectée et même striée de sang. La lésion, quell
sséminée dans la substance blanche, plus rarement dans la substance grise , avec une méningite très caractéristique (fig. 2
lulaires de la rage, Babès). La subs- tance blanche ou la substance grise sont parsemées de petits vaisseaux infiltrés de
nouvelle forma- tion constituant un riche réseau dans la substance grise . Lorsque la myélite aiguë a une marche foudroya
la précédente. Foyer de myélite aiguë déve- loppé dans la substance grise antérieure. Certains leucocytes situés dans la pa
siègent tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise . Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour des
es inertes, telles que le lycopodium, dé- termine dans la substance grise surtout des foyers de ramollissement dans le do
ure est également le siège d'un foyer semblable ; dans la substance grise du côté droit le foyer présente une topo- graph
es expérimentales, des foyers d'inflammation autour de la substance grise al- térée, foyers absolument semblables à ceux
ont purement des lésions dégénératives, soit celles de la substance grise , soit celle de la substance blanche, sans aucun
avec foyers disséminés dans la subs- tance blanche et la substance grise . Les foyers suivent le trajet des vaisseaux et
urs après. A droite de la figure on voit un foyer dans la substance grise intermédiaire. NATURE ET TRAITEMENT DE LA MYÉLI
a figure précédente ; l'inflammation est limitée ici à la substance grise , substance blanche étant intacte. 586 MARINESCO
ur siège tantôt dans la substance blanche, tantôt dans la substance grise . Enfin, toujours avec le même mi- crobe, j'ai r
quelques fibres, et même pouvant aller plus loin dans la substance grise , et même pouvant pénétrer dans la cellule nerve
rveuse. Je dois dire que la présence des microbes dans la substance grise au voisinage des cellules nerveuses dé- termine
l'embrasure de la fenêtre. Le premier, un vieillard à longs cheveux gris bouclés coiffé d'un bonnet garni de fourrures,
40 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
plètement détruite, présentant l'aspect d'une éponge, la substance grise étant conservée et diminuée de volume. La dimen
u de la poliomyélite, que l'inflammation avait atteint la substance grise de bulbe ; on trouva autour des artères de peti
eyler prouvent, que le processus morbide avait dépassé la substance grise et atteint les voix centripètes, soit périphéri-
En avant et en bas au niveau de la première pariétale, la substance grise est refoulée et n'a plus qu'une épaisseur de 3
e gauche. Elles siègent presque exclusivement dans la sub- stance grise où elles viennent af- fleurer la pie-mère,ou da
ticulières, signalons des kystes disséminés, au ni- veau des noyaux gris centraux, dans l'hémisphère droit, tant dans le p
très rares exceptions près, étaient i disséminés dans la substance grise du cerveau. C'est là un fai qu'on trouve ¡ abso
ns la substance cérébrale. Comment expliquer que c'est la substance grise qui est seule le siège de la cysticercose ? Il
âce à ses crochets, et chemine-t-il jusqu'au niveau de la substance grise , où il trouve un milieu beaucoup plus favorable à
réfrontale et au pôle frontal, un kyste développé dans la substance grise de Fi et de la grosseur d'une lentille ; 2° S
érieure de F3, dont il intéresse la substance blanche et la substance grise , un kyste à contenu solide, du volume d'un pois
ur de F2 visible à l'extérieur, mais n'intéressant que la substance grise (sur une coupe intermédiaire à la préfrontale et
e droit. 44 SÉRIEUX ET MIGNOT sant substance blanche et substance grise , un kyste, également solidifié, gros comme une
r, et se développant au dépens de Ti dont il intéressé la substance grise , un kyste gros comme un petitjpois (coutenu sol
t.5 en avant de la coupe préfrontale, on trouve 1 dans la substance grise de F2 deux kystes du volume d'un pois séparés par
ier sillon frontal, mais se développant au dépens de la subs- tance grise de F, un kyste du volume d'un pois (bien visible
, à la hauteur du pied de F2' développé à la fois dans la substance grise et la substance blanche de FA, un kyste dégénéré
ALLUCINATIONS DE L'OUÏE 45 lentille, n'intéressant que la substance grise , bien visible sur la coupe occipi- tale ; 7°
interne, kyste gros comme un pois n'intéres- sant que la substance grise (bien visible sur la coupe supplémentaire pratiqu
saillie, mais se développant dans T2 dont ils creusent la substance grise , nous constatons ; 9° Un premier kyste de la gr
lement sur une coupe, et intéressant substance blanche et substance grise . 12° A la partie antérieure du 3" sillon tempor
. De même au lieu de trouver des lésions avancées de la subs- tance grise à droite, comme dans le 4" segment dorsal, on voi
tent à ce niveau (fig. 9) le maximum des lésions. Dans la substance grise , la base de la corne postérieure gauche est alt
et ceci aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise . Il en est de même dans le sens vertical : les va
grande friabilité des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et faisceaux blancs). - Le relevé topographi- q
aisseaux intra-médullaires. 6e segment dorsal. Fig. 21. - Substance grise du côté gauche. 6e segment dorsal. SUR l'état A
tance blanche se retrouve quand on passe à l'examen de la substance grise . Au niveau du 3° segment dorsal, cette dernière
est à gauche qu'on retrouve des lésions analogues dans la substance grise : raréfaction du réseau fibrillaire, amaigrisseme
ructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et substance grise - coïncide toujours avec une augmentation des l
Il en est de même des taches scléreuses trouvées dans la substance grise et qui ne constituent pas un foyer unique. Ces
nique. Ces lésions limitées des faisceaux blancs et de la substance grise sont- elles le reliquat de petits foyers de ram
trer ici dans les détails, qu'une lésion irrilative de la substance grise cérébrale donne lieu à du spasme, qu'une destruct
rte à gauche.. Pas de lésions apparentes dans les masses centrales, grises et blanches, des hémisphères. Histologie. Réser
tumeur était, dans un accolement étroit, juxtaposée à la substance grise corticale, et non substituée à elle dans une in
n pathologique ; c'est une diminu- tion d'épaisseur de la substance grise ; elle paraît tassée et comprimée par le 196 DUP
eur, il distingue difficilement ceux teintés en bleu, en vert et en gris clair. Il présente d'ailleurs un rétrécissement
les, plus rapprochées de la ligne médiane, se mon- trent des masses grises . Du côté opposé, les fibres myéliniques horizonta
res de la moelle allongée, raréfiée, grâce à l'accumulation de masses grises , correspondant aux noyaux des cordons postérieu
n de cet organe. On sait d'ailleurs que le cerveau, et la substance grise , en particulier, représente le milieu organique
er que, vis-à- vis des poisons faibles, la réaction de la substance grise est une véritable pierre de touche de l'action
t l'intoxication de fence- phale, et principalement de la substance grise et des nerfs optiques, par les toxines issues d
lata- tion très marquée. ' Les nerfs optiques ont subi l'atrophie grise , encore très visible au niveau du chiasma, mais
ndes. Circonvolutions.- Dans les couches superficielles de l'écorce grise , le réseau de libres fines est abondant, les fi
ndes cellules géantes. La congestion très marquée dans la substance grise atteint son maximum dans les couches ,de cellul
du foyer pathologique ; extrême sensibilité aux toxines de l'écorce grise ), cliniques (analogie des tableaux cliniques de
x où, par place, les fibres ont disparu complète- ment. Substance grise de la moelle. Elle aussi est altérée profondément
ire de la moelle. Au microscope on constate dans toute la substance grise une diminution énorme du nombre des cellules ne
es cérébraux (PI. XLVIII, C et D). , Les cellules de la substance grise de la protubérance paraissent être en nom- bre
eux directs, dans les faisceaux de Gowers. Atrophie de la substance grise de la moelle avec disparition des cellules. Dan
tandis que la substance blanche ne semble pas réduite, la substance grise au contraire est manifestement diminuée d'épais
Menzel et nous, nous trouvons des lésions de la substance blanche et grise . Dans les deux cas les lésions ont beaucoup de
ervées. Nous trouvons dans les deux cas des lésions de la substance grise . Les lésions du bulbe dans le cas de Menzel et
â.4). Ce qui frappe ici c'est la disproportion entre les substances grises et blan- ches. La première semble avoir acquis
Remarquons aussi que sur toule la bailleur du névraxe la substance grise est sillonnée par des ramifications fines et déli
aisseaux situés à sa face profonde sont normaux. Dans la' substance grise , les cellules ont le nom- bre et le volume norm
e. Nous n'avons pas trouvé de corps amyloïdes, ni dans la substance grise , ni dans la substance blanche. Les artères sont
t ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la substance grise , au voisinage des centres trophiques des muscles.
a lésion du trophoedème est une lésion médullaire intéressant l'axe gris (1). La répartition segmentaire de l'oedème, -
s massives, comprenant une certaine étendue en bloc de la substance grise . Ils paraissent être plutôt l'expression de lésio
. Meige place même la lésion, si lésion il y a, dans la subs- tance grise du névraxe. Malgré les prudentes réserves que l'a
41 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
n trouve une légère dilatation du canal de l'épendyme. La substance grise est normale. Il y a une dimi- nution des fibres
brées de sourcils très fins. Paupières normales, yeux mobiles, iris gris , pupilles égales. La vision semble normale. Nez
emporal où elle entraîne, en la décor- tiquant, un peu de substance grise ainsi qu'au niveau de l'extrémité postérieure d
externe où elle entraîne, par places, des fragments de subs- tance grise . - En résumé, sur les deux hémisphères plaques
hors. - Orbites réguliers. Yeux mobiles, pas de stra- bisme. Iris : gris bleu. Pupilles très dilatées, égales, réagis- s
nerfs olfactifs sont réduits à une sorte de membrane, de coloration grise , dont l'épaisseur parait être à peine de 1 milli-
e qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la substance grise , mécanisme qu'il nous a été souvent donné d'obser
érie par des fibres myéliniques qui atteignent à peine la substance grise , où l'on voit encore quelques fibres radiaires,
importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la substance grise , et, autour de ces amas de vaisseaux la substan
. La décortication de la pie-mère en- traîne la couohe de substance grise . A la pie-mère restent adhérents les moules des
ésions. La disposition des circonvolutions dépouillées de substance grise est normale et apparaît aussi nettement qu'à dr
olutions, très aplaties, ont une substance blanche et une substance grise considérablement diminuées d'épais- seur. Exa
peu grêles, raré- fiées partout, mais surtout au niveau de l'écorce grise , où. seules, quelques fibres radiaires apparais
eulemeut dans la substance blanche, mais en- core dans la substance grise . La strie de Baillarger apparaît très nettement
su fibreux se colorant en rouge très foncé. Dans toute la substance grise , au niveau de ses étages inférieurs, apparaisse
ans cette zone assez vasculaire qui forme la limite de la substance grise et de la substance blanche de l'écorce. Au débu
lles sont un peu grêles. Lorsqu'elles pénètrent dans la substance grise , elles subis- sent une raréfaction considérable
surtout par l'atrophie considérable du corps calleux et des noyaux gris centraux. Examen histologique. Les lésions sunt
évies en tous sens, sont très atrophiées. Au niveau de la substance grise , les fibres à myéline s'ar- rêtent et la zone i
ns périvasculaires, ou encore des amas arrondis en pleine substance grise . 120 IDIOTIES. B. Lésions de l'écorce cérébra
gite est symphysaire, présente de grosses altérations, sa substance grise est en train de se nécroser, car les éléments n
rares ou totalement absentes. . D'une façon générale, la substance grise est très démyé- linisée (peu ou uoint de fibres
de la substance blanche et de la portion inférieure de la substance grise , notons l'épaississement de l'adventice et son
dant aux Histologie. 1. in. 1 couches inférieures de la substance grise . A ce niveau, la masse névroglique se creuse de
ps granuleux est constante du côté de l'écorce, dont la substance grise , aplatie, offre une diminution de ses cellules, d
ose assez marquée du centre ovale des circonvolutions et des noyaux gris centraux. XI. Thymus et glande thyroïde chez
e mince couche, les ventricules latéraux très dilatés et les masses grises centrales atro- phiées. BOURNEVILLE, Bicêtre,
e de l'hémisphère droit. Elle est doublée de la couche de substance grise et montre le moule de toutes les circonvolution
42 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
n des fibres d'entrée des racines postérieures puisque la substance grise confine à cette zone d'entrée. Mais cet argument
ne sau- rait s'appliquer aux troubles de la motilité : la substance grise de la corne antérieure est loin de la périphéri
névritiques,que dans les myélopalhies qui intéressent la substance grise cenlrale. D'autre part, les sujets atteints d'u
Siège. - Le siège le plus habituel des lacunes est dans les noyaux gris du cerveau. Quelle que soit la dimension de ces
térieur et de son pôle postérieur que se trouve la masse des noyaux gris . Ils sont environnés de toutes parts, en avant,
hors de lui. La connaissance de cette situation exacte des noyaux gris n'est pas indiffé- rente car elle règle leur va
e du cerveau et se dirigent verticalement pour atteindre les noyaux gris où elles se terminent sans s'anastomoser. Nous in
e la coupe de Flechsig. Lorsque nous sectionnons ainsi les noyaux gris environ à leur 'partie moyenne nous sommes perp
upent en totalité ou en partie la capsule interne. Parmi les noyaux gris les lacunes ont encore des préférences : elles af
caudé. Elle est alors atteinte par ses bords qui longent les noyaux gris . Quelques-unes de ses fibres sont dissociées ou
eint seulement 18 fois. C'est donc lui qui dans la masse des noyaux gris est le plus souvent intact. Les lacunes ne sièg
ce nous pouvons dire que le siège des la- cunes est dans les noyaux gris du cerveau, dans la protubérance et dans la sub
ineuses : du reste elles ne détruisent jamais complètement le noyau gris dans lequel elles ont pris naissance ce qui arriv
ie la capsule interne et font partie d'une lacune née dans un noyau gris . Ce sont les parois de la lacune qui lui donnen
solée, elle est bien souvent multiple. On voit .alors dans un noyau gris une foule de points noirâtres qui remplacent les
l'état normal en effet, la coupe des noyaux centraux montre le tissu gris comme piqueté d'un nombre considérable de petit
affaissé et grisâtre laissant ainsi sur la surface même des noyaux gris une série de taches miliaires. L'étude histolog
ntôt de volume moyen, uniques ou multiples siégeant dans les noyaux gris ou la protubérance. , IL - Histologie DE la lac
des pe- tits troncs vasculaires que l'on rencontre dans les noyaux gris comme les bran- ches des artères lenticulaires
n'en sera pas très différent suivant que la lésion occupe les noyaux gris ou qu'elle siège en pleine substance blanche ou
ceaux blancs de fibres et des cellules nerveuses. Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la substanc
ux gris normaux du cerveau comme partout dans la substance nerveuse grise on constate la présence de volumineuses cellules
s eu en vue jusqu'ici la lacune la plus fréquente, celle des noyaux gris . Mais elle peut siéger en d'autres points de l'en
s un peu plus volumineuse que les autres. Elle débute dans un noyau gris et s'étend par une de ses extré- mités qui se t
ire, le tissu blanc étant moins riche en vaisseaux que la substance grise il s'épanche moins d'hématies dans la lacune. S
iants, et la description que nous ayons donnée des lacunes des noyaux gris reste vraie et entière pour celles des autres r
ion atrophique sur les coupes, la substance blanche et la substance grise sont bien délimitées. La moelle ne donne rien
is le jaune clair jusqu'au brun, depuis le rose, le rouge, jusqu'au gris foncé et au noir absolu ; des inscriptions donnen
t, avec pèlerine de même couleur gar- nie d'un haut col de fourrure gris clair et parements aux manches de même fourrure
ie la po temporale. Cette tumeur n'est pas adhérente à la substance grise des hémisphères par ses bords. On peut les soul
tude de ce cas on peut donc tirer cette conclusion que la substance grise des circonvolutions peut être comprimée à un très
émis- phères nornaux,-dans laquelle on peut distinguer la substance grise avec ses cellules pyramidales et la substance b
laires jusque dans la substance blanche. De plus, dans la substance grise , elles offrent une disposition très particu- li
eure et postérieure, on pourrait songera homologuer à la commissure grise la région où les parois de la cavité unique sont
, dont les plus internes s'appliquent (Fig. L) sur toute la substance grise du fond de la scissure calcarine. Masson &
aississement des méninges, adhérences des méninges à la subs- tance grise , altérations vasculaires (épaississement et infil
re des racines postérieures ; leur diminution, leur teinte terne et grise apparaît plus nettement à mesure qu'on examine
e de localiser le siège du processus pathologique dans la substance grise des cornes antérieures de la moelle. C'est là, en
Vous remarquerez d'abord combien les membres inférieurs sont amai- gris ; leur amaigrissement a fait des progrès, dans ce
um. Donc, une lésion nucléaire, une lésion intéressant la substance grise de la moelle sacrale sur toute sa hauteur, devrai
çoit difficilement une lésion nucléaire, une lésion de la substance grise de la portion la plus inférieure du névraxe, st
infectieuse. Or, la poliomyélite, la myélite limitée à la substance grise de la moelle, peut revêtir un caractère franche
us sacro-coccygien et dans la seule portion motrice de la substance grise . Vous aurez alors de quoi expliquer toutes les
myélite qui a désorganisé, dans une certaine étendue, la substance grise de la moelle ? De la révulsion sous forme de poin
suppléances fonctionnelles dont sont susceptibles aussi bien les amas gris des centres nerveux que les muscles plus ou moi
se recourbent dans la portion postérieure de la substance réticulée grise pour pénétrer dans le noyau de Deiters où elles s
° des fibres éparses dans toute l'étendue de la substance réticulée grise ; 2° des fibres groupées en fascicules plus den
ste une petite plaque qui paraît surtout formée par de la substance grise et englobant les bandelettes optiques et la trois
Sur des coupes on voit cette sclérose porter surtout sur la substance grise , la substance blanche étant relativement intact
ise, la substance blanche étant relativement intacte : la substance grise forme une sorte de petit feston mince, d'aspect
coloration ocreuse qui se diffé- rencie nettement de la coloration gris rosé, d'aspect gras et humide du côté sain. On
e du côté sain. On s'aperçoit cependant facilement que la substance grise n'est pas (1) Lannois et PAVIOT, Sur un cas d'a
i à son maximum. Si l'on part d'un des rares poinls où la substance grise est conservée, on voit brusquement, comme nous
agit d'une circonvolution qui présente de l'atrophie de son manteau gris seulement sur une de ses faces, l'axe médullair
e déplacé du côté atrophié : il n'est plus compris entre deux lames grises égales. Pas de lésion il noter du côté des vais
de ces portions mé- dullaires parallèlement à l'atrophie du manteau gris . 4e Partie inférieure du bulbe. - (Recueillie d
trouve dans les faisceaux médullaires ascendants, dans la substance grise de la moelle, dans la protubérance et le reste du
par Soukhanoff, la pénétration du liquide fixatif dans la substance grise de la moelle épinière est plus rapide. Dans nos
breux. Par places dans la substance blanche, auprès de la substance grise , on voit des cellules nerveuses dont les prolon
3). En poursuivant le trajet des dendrites, passant de la substance grise dans la substance blanche, nous avons pu facile
oupes on a observé une cellule nerveuse, située dans la sub- stance grise de la corne postérieure, avec des dendrites court
le, commence à perdre ces derniers, lorsqu'il passe de la substance grise dans la substance blanche. Nous avons observé c
43 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
rsales et verticales, limitées exactement à l'union de la substance grise avec la substance blanche. Hémisphère gauche. a
it pas de paralysie; 2° la limitation des lé- sions de la substance grise ; la singulière disposition des lésions du corps
e l'ablation des méninges en- traînait toute la couche de substance grise et mettait à nu la substance blanche, atrophiée
: Mé7zizgo-ezcépha- lite ; ablation presque totale de la substance grise . Dub... (Charles Antonin), âgé de 12 ans, est e
i est finement vascularisée, on entraîne avec elle la subs- tance grise ; après plusieurs essais, et malgré le plus grand
us grand soin, on constate que c'est toute la couche de substance grise qui suit la pie-mère, laissant ainsi à nu le sque
l, l'avant-coin, le coin, le lobe occipital de toute leur substance grise , laquelle ne résiste, mais incomplètement, que
ritable coque résultant de la soudure de la pie-mère à la substance grise , et reproduisant par ses reliefs et ses dépress
lobe temporal. Mais on n'entraîne que des fragments de substance grise et non la totalité comme du côté opposé. La cor
délabrements considérables ; tous 26 DÉCORTICATION DE LA SUBSTANCE GRISE . ces accidents graves ont guéri. Mais, bientôt,
plus ou moins larges et plus ou moins profondes de la subs- tance grise . Il en était de même sur le lobe temporo-sphé-
la pie-mère entraînait avec elle toute l'épaisseur DE la substance GRISE , mettant ainsi à nu le squelette de la substanc
vé la même lésion, caractérisée par la sé- paration de la substance grise de la substance blanche. Voir aussi : Calmeil,
z abon- dants ; sourcils et cils bien fournis, moustache et barbe grises , autrefois châtains, poils roux au pubis; les jam
seuls altérés. Les parties atteintes se reconnaissent à leur teinte grise , comme gélatiniforme. On ne constate pas à l'oe
'altérations des racines pos- térieures. Les prolongements de l'axe gris central au niveau du bulbe paraissent entièreme
aillots récents. Le contenu du foyer est constitué par un putrilage gris ardoisé, avec un liquide sa- LÉSIONS DU LOBULE
ent; il n'y a rien d'anormal, tant à la surface que dans les noyaux gris cen- traux. (Fig. 2.) Hémisphère droit. A tra
vais- seaux sanguins jFig. 3). Sur la coupe des masses centrales grises , on ne découvre pas de lésions en foyer. La capac
passage une partie de la couronne rayonnante de Reil et des noyaux gris centraux. D'autre part, il est facile de suivre
rons en notant l'absence de lésions des méninges et de la substance grise chez une femme, vieille épilepti- que, atteinte
e avec elle, par places, les couches superficielles de la substance grise . Les circonvolutions pariétale et frontale asce
Toute la partie la plus déclive de ce pnumon est en hépati- sation grise . Le larynx présente une érosion allongée, sur l
partie moyenne du bord postérieur une caverne gangreneuse à parois grises noirâtres, pouvant contenir un gros oeuf de pou
ningo-encéphalite chronique généralisée. Séparation de la substance grise de la substance blanche sur toute la face conve
44 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ation est bizarre ; des taches jau- nâtres se détachent sur un fond gris . La prostate et l'épididyme droit contiennent d
s la périphérie de la moelle. A l'hématoxyline-carmin, la substance grise est à peine recon- naissabte ; on trouve cepend
is la moelle elle-même n'est pas faite exclusive- ment de substance grise et de faisceaux blancs; chaque racine (la posté
cinquième au huitième segment de la moelle cervicale. La substance grise de cette région est le lieu de prédilection des
ntérieurs de cette substance. Mais il est à penser que la substance grise d'autres régions de la moelle a également été a
trauma- tique de Erb, car s'il--doit y avoir pas mal de territoires gris dépour- vus d'hémorrhagie, le traumatisme a dan
'acci- dents infectieux. A l'autopsie on constate dans la substance grise périphérique des hémisphères cérébraux (à l'exc
vaisseaux du cerveau, de ses méninges, et surtout de la substance grise . « Dans la substance grise, dit M. Bogroff, les r
ses méninges, et surtout de la substance grise. « Dans la substance grise , dit M. Bogroff, les résultats microscopiques o
e distingué savant russe l'explique par l'hyperhémiede la substance grise du voisinage des ventricules et de la surface d
er la présence de petites hémorragies des méninges, de la substance grise , et dans un cas, de la moelle épinière. Le prof
qu'il suivait en même temps, électrothérapie et injections d'huile grise et de calomel, l'ont tellement fatigué, que l'ext
e, comme nous l'avons vu plus haut, par l'hyperémie de la substance grise des circonvolu- tions et du voisinage des ventr
ombaire du cordon latéro-cérébelleux. Elimi- nation de la substance grise de la moelle sacro-lombaire au moyen de l'anémi
Expérience caractérisée par une nécrose partielle de la substance grise malgré laquelle le chien survécut dix jours et de
ant une heure. On constata une nécrose, par places, de la substance grise de la moelle lombo-sacrée, depuis la par- tie l
ATHOLOGIQUES. gauche est bien plus dégénéré, parce que la substance grise du côté gauche de la moelle sacrée a subi une p
u cordon latéral sacro-lombaire cesse, en apparence, à la substauce grise de la moelle dorsale supérieure et de la molle
inale du chien, à produire une destruction iso- lée de la substance grise de la moelle lombo-sacrée ; 2° l'élimina- tion
mbo-sacrée ; 2° l'élimina- tion de parties étendues de la substance grise de la moelle sacrée supérieure et moyenne, en r
restent indemnes, probablement parce que les segments de substance grise voisins du canal central sont conservés. P. KEH
au moyen d'acide acétique à 30°, jusqu'à ce que. la coupe devienne gris bleu : on rince à l'eau distillée, on sèche au
du foyer pathologique, extrême sensibilité aux toxines de l'écorce grise ), cliniques (analogie des Archives, 2° série, t
e chromatique et de la substance achroma- tique ? '1 La substance grise du bulbe et de la protubérance d'un foetus de c
par 0. Kohnstamm. (A'(;Uî-0109. Cen- « Les cellules de la substance grise de la moelle, écrit Edinger, sur laquelle se-br
e, à la suite de la lésion de la partie postérieure de la substance grise au niveau de la portion supérieure de la moelle
pénétré dans la région antéro-IaLérale de la lormation réticulaire grise , se perdent dans les éléments termi- naux du sy
de Reil. Un nombre assez fort de fibres resterait dans la substance grise de la moelle, dans la formation réticulaire et
e la moelle, dans la formation réticulaire et dans d'autres massifs gris . Du côté lésé, nos fibres forment une partie du
ées paraît être les régions moyennes et antérieures de la substance grise , ainsi que la base de la corne postérieure. La
ce dernier monte dans la couche limitrophe externe de la substance grise et dans les mailles de la formation réticulaire.
en parallèle les fibres obliques cirzé7éôrzyes, qui de la substance grise d'un côté s'en vont au cordon antérieur de l'au
e antérieure, avec les fibres transverses qui unissent la substance grise il la substance grise. Celles des fibres ascend
fibres transverses qui unissent la substance grise il la substance grise . Celles des fibres ascendantes à court trajet d
vraiment des fibres croisées ascendantes qui unissent la substance grise de la moelle au cerveau moyen et au cerveau int
fortes chaleurs, les froids intenses me sont favorables; les temps gris et doux néfastes. Fumer augmente immédiatement
trousseaux qui rayonnent du cordon postérieur dans la substance' grise avaient de ce côté fortement souffert. Chez le ch
fibres affectant la direction longitudinale à travers la substance grise qui provenaient, non pas du cordon postérieur,
ère tension dans l'oeil ; le champ visuel se voile comme d'un nuage gris , la lumière fixée REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIO
dans le frontal et le pariétal gauche une' masse diffuse d'un rouge gris , longue de 10 centimètres, large de 6. La dure-mè
deur des circonvolutions; la plupart sont situées dans la substance grise et.sous l'écorce célébrale. La localisation du
nées, indiquent un processus anatomique dans les cornes antérieures grises , et rappellent l'observation de Landouzy et DEJ
SOCIÉTÉS SAVANTES. zizi jacent à la deuxième frontale. La substance grise n'est atteinte nulle part. Il n'y a aucune lési
ncohé- rentes. On lui a fait des injections sous-cutanées d'huile grise , combinées avec l'administration interne de l'i
tte optique aboutir, en partie du moins, à trois amas de substances grises : au corps genouillé externe, au tu- be1'cule q
ptique viendraient se terminer dans les amas susdits de substance grise , et principalement dans le corps genouillé extern
es. Celles-ci enlaceraient les cellules nerveuses de ces mêmes amas gris , desquelles par- tent d'autres prolongements lo
couche des cellules nerveuses), et leur aboutissement dans les amas gris centraux : pulvinar, tubercule quadrijumeau ant
nes centraux, leur lieu d'origine est représenté par ces mêmes amas gris , mais principalement parles corps genouillés ex
s unes se termineraient par des arborisations libres, dans les amas gris déjà nommés, corps genouillés externes, tubercu
ire, les fibres du premier groupe, celles qui vont aboutir aux amas gris centraux, ne participeraient qu'à l'exé- cution
d'au- tres termes, les cellules nerveuses contenues dans les amas gris centraux n'émettraient pas de prolongements centr
53 les bandelettes optiques, vont aboutir, les unes, à des masses grises centrales, les autres directement à l'écorce gris
s, à des masses grises centrales, les autres directement à l'écorce grise ., Celles-ci, parvenues à la limite supérieure d
, ou d'autres symptômes imputables à une lésion, soit de l'écorce grise des hémisphères, soit de la substance blanche s
rappelle qu'à l'idée de la plupart des analomistes, les trois amas gris centraux, représentés, de chaque côté, parle tu
léreux. Même état, quoique moindre, des cordons latéraux. Substance grise très peu , altérée. Pie-mère épaissie. Tout cec
45 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
s thermique du chaud de ce même membre inférieur gauche(subs- tance grise centrale) ; 3° Le tractus sensitivo-sensoriel e
ligne médiane, gagné la face postérieure de la moelle, la substance grise médiane, à mesure qu'elle libérait le faisceau mo
u- res, segment dans lequel la sclérose envahit tantôt la substance grise ou les faisceaux blancs, tantôt se dissémine de
rficiel, n'intéressant que la moitié de l'épaisseur de la substance grise et situé sur le lobule paracen- tral gauche au
cien sur le gyrus angulaire (pli courbe) empiétant sur la substance grise de la portion postérieure de la première tempor
ceaux cérébelleux directs et les faisceaux de Gowers ; la substance grise de la moelle est atrophiée avec disparition des
nce. Par contre, la moelle présente des altérations de la substance grise (atrophie partielle ou disparition des cellules d
petits, le pneumogastrique surtout est très grêle, d'une coloration grise . Les muscles sont un peu infiltrés, jaunâtres.
droite, il semble res- pecté sur toute son étendue. d) Substance grise . - La substance grise antérieure possède partout
- pecté sur toute son étendue. d) Substance grise. - La substance grise antérieure possède partout un ré- seau myéliniq
et plusieurs sont en état d'involution dégénérative. La subs- tance grise centro-postérieure est à l'opposé, absolument réd
TUMEURS 143 substance blanche qui a perdu en épaisseur ; Les masses grises des ganglions de la base, la capsule interne, l
rrait plus se distinguer de celle d'une coupe normale. Les masses grises basales (Thaï. opt. N. C. et N. L.) présentent le
référence entre les faisceaux blancs et les trabécules de substance grise qui relient N. C. et N. L. On les retrouve auss
partout les altérations décrites précédem- ment. Dans la substance grise des vacuoles autour des cellules nerveuses; dan
SU CÉRÉBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 157 par contre les masses grises de la base et de la protubérance ont un aspect cr
- lules détruites à savoir : la masse ganglionnaire de la substance grise de l'nque- 1 l<'lG. 1. Fio. 2. ? e F
aisceau de fibres pâles et atrophiées. Les cellules de la substance grise du locus coerules à ce niveau sont très rares. Le
coordinateurs supra-nucléaires (tubercules quadrijumeaux,substance grise sous-épendymaire, etc.), tandis que Teillais da
it en avant dans la calotte pédonculaire et touchait à la substance grise de l'a- queduc de Sylvius. Il y a encore les
n pro- cessus même relativement peu envahissant pour que les noyaux gris de l'aqueduc et les fibres des racines qui trav
symptômes oculo-moteurs ne sont pas dus à la lésion de la substance grise ganglionnaire des tubercules quadri- jumeaux, m
remarquable, c'était la destruc- tion complète de toute la colonne grise des noyaux moteurs de l'aqueduc depuis le planc
cule. Reinhold (2) place les centres vaso-moteurs dans la substance grise sous-épendymaire, tandis que cette localisation
fessionnels. Erb localise le centre de l'écriture dans la substance grise de la moelle cervicale. Quelle que soit la loca
ofesseur Erb, on devrait même trouver des lésions dans la substance grise de la moelle cervicale. Duchenne de Bou- logne
clérose spé- ciale, limitée aux cordons postérieurs (dégénérescence grise ). « La sclérose combinée envahit surtout le cor
xe ; la sclérose névroglique est assez dense. « La dégénérescence grise se limite aux cordons postérieurs, qu'elle peut
urstner, Ilomen, Sibelius, etc., l'identité de cette dégénérescence grise et de la sclérose tabétique est ab- solue. Par
rge part à la destruction des cellules cordonales de la subs- tance grise ». Pour conclure, si l'on se reporte au rapport
es. Le lobe inférieur droit est complètement hépatisé (hépatisation grise ). Le coeur pèse 300 grammes ; la base de l'aort
ement superficiel ayant détruit la presque totalité de la substance grise . Au Nissl. Les cellules grandes pyramidales ont
oupes des hémorragies interstitielles qui ont dilacéré la substance grise . Les vais- seaux sont très congestionnés et pré
nne est épaisse, lactescente ; elle adhère fortement à la substance grise des circonvolu- tions, surtout des antérieures,
s ulcérations corticales. La moelle présente à l'oeil nu une teinte grise des cordons postérieurs. Le ventricule gauche d
Il n'y a pas d'altération appréciable des cellules de la substance grise . Les préparations par la méthode de Weigert mon
tie de leur étendue ; seule une petite bande longeant la commissure grise offre un assez grand nombre de fibres respectées
ieures dans presque toute leur longueur et le long de la commissure grise . Elles frappent surtout le cordon de Goll en tota
cines et des cordons postérieurs, périvascularite dans la substance grise moyenne et postérieure et légère infiltration des
e et postérieure, de périvascularite dans les substances blanche et grise , sans systématisation, et d'inflammation certaine
des ventricules. La moelle est molle, ses cordons postérieurs'sont gris . Le foie est gras et étalé, il pèse 1730 gr., l
hérente qu'elle entraînait avec elle de larges plaques de substance grise ramollie. Pas d'athérome des artères de la base.
nes et de petits ramollissements superficiels détruisant la substance grise . Au Weigert, les libres de la couronne rayonnan
s, atrophiés dans leur ensemble. Les cordons postérieurs paraissent gris et translucides. Les poumons sont sains, sauf u
es ra- cines sont infiltrées, de même que les substances blanche et grise où l'on voit des traînées de cellules rondes au
enflammés (péri-artérite et endartérite). Les substances blanche et grise de la moelle sont également infiltrées de cellu
tion des fibres ; la myéline d'un grand nombre ne se teinte pas en gris par l'acide osmique et l'on voit des corps gran
Le tissu nerveux se colore mal, seulement au niveau de la substance grise . Il existe de la périartérite des artères centr
L'infiltration de la substance nerveuse prédomine dans la substance grise et surtout au niveau des cornes antérieures. Da
tate d'ailleurs aucune disposition insolite, soit dans la substance grise , soit dans la substance blanche : ce segment de l
e des faisceaux blancs ou des variations de forme de la subs- tance grise , n'accordent pas aux foyers hémorragiques toute l
t aux cornes antérieures. Quant à la démarcation entre la substance grise et la substance blanche, elle ne peut être indiqu
fixa- teur. (2) Les tranches de cerveau ont alors une coloration gris de fer, la substance grise et la substance blan
ranches de cerveau ont alors une coloration gris de fer, la substance grise et la substance blanche se distinguant nettemen
nts qui représentent la coupe des fibrilles. Moelle. La substance grise se détache en foncé sur le reste de la coupe. A
ent des plexus, et se portent ensuite plus loin.' Dans la substance grise les fibrilles sont plus fines et plus déliées. L'
s cellules nerveuses que des rapports de contiguïté. La substance grise apparaît donc comme formée d'un plexus serré de f
veau moins nom- breuses que dans les autres parties de la substance grise du pont ; en tout 588 CATOLA cas elles sont b
en moins colorables. Les noyaux réticulé et inférieur, la substance grise centrale, les stries acoustiques, la pyramide ant
susdite zone claire qui occupe toujours le même endroit. La lame grise festonnée de l'olive bulbaire est plus' mince qu'
que hématoxylinique et qu'il se confond avec la substance réticulée grise et le corps juxtarestiforme. Les fibres arcifor
leur moitié antérieure. La zone cornu-commissurale et la commissure grise sont aussi très touchées. ' Au niveau de la m
usivement dans leur partie centrale en même temps que la commissure grise . A la 42e racine dorsale on retrouve les mêmes
au de la sclérose de la zone cornu-commissurale et de la commissure grise . Somme toute, nous avons dans ce cas une lésion
onsista en injections sous-cutanées de cacodylate de soude, d'huile grise , puis d'énésol. 1 Il sort du service le 17 mars
ation indéniable obtenue chez mon malade par les injections d'huile grise et d'énésol et lui-même ne l'était pas moins ca
ne affection non pas encore localisée du système nerveux (substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi, croit que les ex
t d'inégale grosseur. Sur coupe transversale on voit un mince filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris. Su
on voit un mince filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris . Substance grise. La substance grise corticale
e filet gris cerclant un zone légèrement teintée en gris. Substance grise . La substance grise corticale nous est apparue no
t un zone légèrement teintée en gris. Substance grise. La substance grise corticale nous est apparue normale. Cependant p
il y a des phénomènes de compression mar- qués même dans les masses grises et le noyau de la 30 paire par exemple est crib
me, l'ouverture du canal épendymaire, l'hétérotopie de la substance grise . On ne peut évidemment nier que la moelle ait s
46 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
E DES MEMBRES SUPÉRIEURS 49 pelle les lésions bien connues de l'axe gris de la moelle dans la poliomyélite antérieure ch
yélite antérieure chronique. Les cornes antérieures de la substance grise ont leur forme et leurs dimensions habituelles
ments cellulaires. Il en est de même pour le reste de la subs tance grise . Les fibres de la substance blanche, la pie-mère,
pathiques sont en elles-mêmes indolores et que les lésions de l'axe gris de la moelle le sont également (poliomyélite anté
nte, l'étude des éléments cellulaires de la corticalité, des noyaux gris centraux, ainsi que des masses grises de la probu
s de la corticalité, des noyaux gris centraux, ainsi que des masses grises de la probubérance et du bulbe. Pour une étud
Notre attention a été particu- lièrement attirée sur les formations grises et sur les voies en connexion avec le cervelet.
rance et du bulbe. La substance réticulée de la calotte, la substance grise de la protubérance nous ont paru aussi contenir
de multiplication nucléaire ni de sclérose, tant dans la substance grise que dans la blanche du bulbe et de la protubéranc
euses cellules de Purkinje. On peut encore ajouter que la substance grise seule présente des lésions d'a- trophie ; c'est
des lamelles. La substance blanche centrale du cervelet, les noyaux gris centraux ne montrent aucun fait de dégénération
n, du corps restiforme, à l'atrophie très prononcée de la substance grise du pont, de l'olive bul- baire et à une atrophi
moelle, pu nous assurer de la parfaite intégrité de ces formations grises et de ces voies. L'àge très avancé auquel début
e le même processus morbide peut envahir en même temps la substance grise de l'écorce, du pont et des olives infé- rieure
fait que l'atrophie se limite presque exclusivement à la substance grise de l'écorce, le noyau du pont, les olives bulba
ux dépendant de lésions primitives parenchymateuses de la substance grise de l'écorce cérébelleuse de même ordre que cell
tance blan- che contrastant avec les lésions fortes de la substance grise de l'écorce. On peut toujours objecter que dans
a poliencéphalite chronique de l'adulte, il est rare que la colonne grise du mésencéphale soit envahie sur toute son étendu
essus inflammatoire aigu, systématisé et localisé dans la substance grise antérieure de la moelle,-il concluai t que dans l
CÉRÉBRALE INFANTILE ET PARALYSIE SPINALE INFANTILE 133 la substance grise des circonvolutions motrices. D'où le nom de poli
agent (peut-être infectieux), se localise -tantôt dans la substance grise de la corticalité motrice, tantôt dans la substan
substance grise de la corticalité motrice, tantôt dans la substance grise antérieure de la moelle. La preuve que la sub
bstance grise antérieure de la moelle. La preuve que la substance grise de la zone motrice de l'encéphale est le siège
de ces deux affections d'une lésion pure et primitive de la substance grise de la corticalité motrice ou des cornes antérie
halite, en tant que processus anatomique systématisé à la substance grise , engendrant l'hé- miplégie cérébrale infantile,
e toujours ces lésions n'étaient pas sys- tématisées à la substance grise , mais qu'elles intéressaient aussi plus ou moin
'était pas une affection systématisée et localisée à la subs- tance grise motrice, mais que les cornes postérieures, la col
ais que les cornes postérieures, la colonne de Clarhe, la substance grise autour du canal central, la substance blanche des
me travail, rejette l'idée d'une atteinte exclusive de la substance grise de la corticalité motrice et admet que le foyer
ant par foyers. Si cette myélite atteint de préférence la substance grise des cornes antérieures, elle peut aussi porter
rnicke n'est pas une affection exclusivement limitée à la substance grise , que bien souvent la substance blanche particip
t ces centres ? Vraisemblablement dans la moelle, dans la substance grise , au voisinage des centres trophiques des muscles.
moins sa portion tout interne) et une grande partie de la substance grise réticulée déjà calotte. En plus il pousse une poi
n de Reil médian et les parties latérales de la formation réticulée grise soient complètement détruites. Les troubles sen
des vaisseaux et des hémorragies, pas de lésions dans la substance grise et les racines, pas d'altérations dans les renf
crotiques multiples, des espaces vides disséminés dans la substance grise et blanche, dus à la résorption des éléments al-
et vont se terminer dans les zones péri- phériques de la substance grise (1). Eh bien ! certains foyers nécrotiques prés
ie du système nerveux de l'homme. 212 ZOGRAPIDI Dans la substance grise on constate de petits foyers hémorragiques dans
ules névrogliques et de rares leucocytes. Dans toute la subs- tance grise on constate en abondance des noyaux névrogliques,
et l'absence des réflexes tendineux. Les vaisseaux de la substance grise et blanche sont dilatés, congestion- nés,'throm
d'étendue, mais leur nature est toujours la même. Dans la substance grise on constate une prolifération des éléments né-
he méritent d'autant plus d'être relevées, que l'écorce, les masses grises basales. l'avant-mnr sont beaucoup moins altéré
nt tout la substance blanche, beaucoup moins l'écorce et les masses grises . Elles se sont produites en majeure partie après
sur les deux substances de la moelle, mais surtout sur la substance grise . A un fort grossissement, on ne remarque aucune
s paraît qu'il s'agit surtout d'une atrophie en masse de la substance grise , sans pouvoir affirmer qu'il n'y ait pas d'autr
dans la substance blan- che des deux hémisphères et dans les noyaux gris centraux. Plus nombreuses et plus volumineuses
longitu- dinal supérieur et de l'occipito-frontal. Dans les noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la substance gri
l. Dans les noyaux gris centraux, elles siè- gent dans la substance grise du noyau lenticulaire et du thalamus, respectant
pas constaté de processus de thrombose ni d'hémorragie. Substance grise . - Elle est parfaitement normale à la moelle cerv
hiles, quelques-unes sans noyau. A la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules nerveuses des segme
x soit par des fibres anastomoti- ques directes, soit par la racine grise du ganglion ophtalmique. L'inflam- mation de ce
e-ci où on note à la vue une dimi- nution de volume de la substance grise de la portion cervicale, que dans le cerveau.
en de la moelle. Toutes les modifications portent sur la 'substance grise . Déjà à l'oeil nu on constatait dans la région ce
rieure une diminution de volume d'environ un tiers, de la substance grise par rapport au côté sain. Sur les coupes histol
47 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tonus est dans les cellules des cornes antérieures de la substance grise . Les voies centripètes de ce réflexe sont les pro
i longs qu'ils traversent presque toute l'épaisseur de la substance grise . Cajal a vu un véritable faisceau de filaments
si ces fibres se terminent électivement dans une couche de l'écorce grise où abondent, quoiqu'en moins grand nombre, des
ombre variables. En outre on constate une hyperémie de la substance grise de la moelle. Les nerfs périphériques restèrent
la tête un peu dérangée par suite d'excès de boisson. Quand il est gris , il prend son plus jeune enfant dans ses bras,
il dit au président : « Tu sais, moi, monsieur, j'sais pas, j'étais gris . Quant à ma bourgeoise, j'sais pas... D'mande-lui
ne nous occuperont pas; ils se passent entièrement dans les noyaux gris de la base; l'écorce n'y a aucune part. I. Mo
s'est propagée par les nerfs optiques, les bandelettes, les noyaux gris centraux, les radia- tions optiques jusqu'au ce
ges, mêlées aux radiations optiques centripètes, jusqu'aux noyaux gris centraux, où par l'intermédiaire des oculo-moteur
exciter les fibres sous-jacentes allant du centre visuel aux noyaux gris centraux. Luciani et Tamburini avaient déjà f
1898). 2 Ceci pour répondre aux auteurs qui placent dans les noyaux gris de la base le centre réflexe de ces mouvements.
ment produit par la sécrétion lacrymale) se passant dans les noyaux gris de la base, et des mouve- ments dits volontaire
mme suivant un trajet rectiligne la face externe de tous les noyaux gris ». A gauche, ramollissement occupant le segment
autopsie : « Dans l'hémisphère gauche grand foyer de ramollissement gris jaunâtre comprenant les deux circonvolutions ce
l'existence d'un vaste foyer hémorragique ayant rejeté les noyaux gris en dedans, ayant détruit la capsule externe et l'
'y a en réalité ni rupture de fibres ou déchi- rure de la substance grise , ni compression violente de la substance cérébr
ée quoique son noyau soit conservé, les vais- seaux de la substance grise sont très développés dans les quatorze à seize
eau descendant droit spinal, lequel prend son origine dans les amas gris intracérébelleux et se dirige à tra- vers la pa
cocytes dans les espaces périvasculaires de la substance blanche et grise médullaire. Les cellules des cornes antérieures e
les deux tiers postérieurs de l'avant-mur ' ! % ig. 5. a. substance grise ; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE NERVE
figuration des lésions, nous avons pris les Fig. G. a, subslance grise ; G, ventricules; c, lésions. SUR L'AMÉNORRHÉE D
ent sur la coupe leur aspect ordinaire, avec substance fondamentale gris jaunâtre, adhérente à l'albuginée. Les hydatide
tout la corne latérale et le groupe postéro-externe de la substance grise ; on constatait aussi la présence de nodules int
cérébrales et surtout médullaires, et une hypérémie de la substance grise médullaire avec parfois des hémorragies à l'int
ans les régions de la substance blanche, les plus voisines de l'axe gris ; quelques boules de myéline dans les cornes an
cellule en cellule par simple voisinage tout le long de la colonne grise antérieure est la première explication qui s'of
aut d'autre argument, de réfléchir qu'au niveau du bulbe les noyaux gris sont plus ou moins séparés les uns des autres s
que l'infection ou l'intoxication généralisée ne frappe la colonne grise antérieure que parce que celle-ci plus sensible
s aux paupières inférieures ; les yeux sont gros, saillants, l'iris gris marron, la pupille dilatée en face la lumière;
re se terminent en s'arborisant autour des cellules de la substance grise , avec laquelle elles ont des points de contact
-dessous du plan d'implantation de chaque racine; 2° La substance grise qui reçoit les fibres centripètes des racines r
d'association. Parmi les fonctions qui incombent à cette substance grise , on doit comprendre la conduction de la sensibi
tème des neurones périphériques on ne trouve pas, dans la substance grise et dans les faisceaux blancs des cen- tres nerv
res moins longues s'arrêtant en différents points de la subs- tance grise ; 5° Dans l'isthme de l'encéphale, l'étude des l
il est nécessaire de faire entrer en ligne de compte la subs- tance grise et les voies courtes de la formation réticulée ;
en virgule tiendrait, d'après les uns, à une lésion de la substance grise , d'après les autres, à une lésion radiculaire.
générescence descendante consé- cutive à une lésion de la substance grise (Déjerine et Sottas, Gom- bault et l'hilipp, To
llaire. Cela n'attaque pas l'opinion, d'après laquelle la substance grise donne naissance à des fibres destinées aux cord
ives à la ligature de l'aorte, qui lèse principalement la substance grise , prouvent que les cordons postérieurs sont altéré
n faisceau compact qui, en avant de l'angle externe de la substance grise des cavités centrales de l'isthme, s'incorpore
ts complètement vides, la pie-mère n'est pas isolable, la substance grise n'est plus qu'un magma diffluent, qui se laisse
es traces du système vasculaire surtout à gauche, mais la substance grise est ramollie, dissociée et se laisse entraîner
e. La partie postérieure de cette cavité vient jusqu'à la substance grise de la frontale ascendante (moitié supérieure) e
) et ses deux extrémités antérieures s'évasent jusqu'à la substance grise de la partie la plus antérieure des circonvolut
u centre ovale intéressant tout le lobe frontal droit. La substance grise corti- cale parait intacte. Tout le système de
ollissement de la grosseur d'une noix et intéressant les substances grise et blanche de la partie la plus antérieure des
'intéressait que la substance blanche que dans ceux où la substance grise était intéressée. Ces convulsions épilepti- for
granulations sur le toit et sur le plancher. -Moelle. Dégénération grise des cordons posté- rieurs au niveau des bandele
que les nerfs et vaisseaux sous-jacents. Intégrité de la substance grise . Observation IL - Fongus de la dure-mère avec d
la zone intacte. Les foyers, ceux surtout qui occupent la substance grise , sont remplis de vaisseaux pleins à éclater mai
ers sont en rapport avec les vaisseaux, c'est pourquoi la substance grise est si atteinte, et qu'il y a eu mobilisation s
sion bulbaire placée dans la corne postérieure et dans la substance grise située en avant des noyaux de Goll et de Burdac
âme ne se distinguent en aucune façon des fonctions de notre écorce grise », écrit M. de Fleury au mépris ne toute convic
48 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
enfant présentant une hémimélie thoracique, a noté que la substance grise du côté correspondant à la malformation, était mo
la moelle de deux hémimèles une atrophie très nette de la substance grise cervicale, du côté du membre avorté. Ces résult
que d'apprécier d'une façon absolue le degré d'atrophie d'un axe gris qui est atteint dans sa totalité. Aussi nous fu
étages de la moelle et sur les dimen- sions en tous sens de l'axe gris (1), chez un enfant normal âgé de 2 mois éga-
s mêmes dimensions (largeur, épaisseur de la moelle ; aire de l'axe gris ) chez notre amèle. (1) Ces mensurations ont é
matoxyline, Weigert et Pal). Fig. 15. - Surface comparée de l'axe gris chez notre amèle et chez un en- fant normal de
fant normal de même âge : le con- tour linéaire représente l'axe gris de l'enfant normal (A) et le contour pointill
. 85 ; épaisseur : 1 mm. 12). 2° Au point de vue du volume de l'axe gris , la comparaison des deux moelles nous a donné a
, vienne nous apprendre que malgré l'absence d'un membre, le centre gris corres- pondant n'en a pas moins suivi son déve
acquis, il sera dès lors possible de voir dans l'atrophie de l'axe gris des amèles, des hémimèles et des phocomèles, la
de village, fort bien achalandée. Le patient, vieillard à cheveux gris et à barbe inculte, rappelle assez bien les men
tu,à larges bords. L'apprenti, aux cheveux frisés, porte un costume gris avec un rabat blanc et un noeud de rubans rouges
des bas blancs et des souliers jaunes, et coiffé d'un chapeau mou, gris , orné d'une plume et d'un noeud rouge, est debout
e de l'épilepsie jacksonnienne est une irrita- tion de la substance grise corticale de la zone motrice, et particulièrement
.- Quant à distinguer, dans le cerveau lui-même, entre la substance grise et la substance blanche, cela est totalement im
UD ET E. DE MASSARY tissu néoplasique semble remplacer la substance grise absente et en occuper exactement la place. Te
s protoplasmiques. En somme, compres- sion et atrophie de la couche grise corticale, mais sans réaction inflamma- toire,
ce dorsale se dilate excessivement et donne naissance à des plaques gris violet. Aussitôt que la main s'est un peu récha
Etant donné, dit cet auteur, que dans les affections de la substance grise antérieure, comme dans les poliomyélites, on ne
s'il existe dans la syringomyélie c'est à la lésion de la substance grise postérieure qui, comme on le sait, est altérée, d
tiré de ses observations la conclusion que c'est dans la substance grise postérieure qu'il faut chercher l'explication d
en- hosék et Van Gebucbten, a montré qu'il existe dans la substance grise , un certain nombre de neurones qui envoient leu
te ne sont que des équivalents des diverses lésions de la substance grise médiane el postérieure. Je ne veux pas dire, pa
par exemple, des modalités différentes de la lésion de la substance grise , modalités qui dépendent du siège de la lésion,
main succulente, que celle-ci relève de l'altération de la substance grise médiane et postérieure. Mais par quel mécanisme
ermine, comme tout corps étranger dans les cellules de la substance grise , de l'excitation, laquelle quand elle atteint un
amollisse- ment. Il n'existe pas d'hémorrhagie au niveau des noyaux gris centraux. Le cervelet n'est porteur d'aucune al
ans les faisceaux postéro-iatéraux. Pour ce qui est de la substance grise , les cellules des cornes antérieures sont intac
piètre mine, misérablement vêtu, coiffé plus mal encore d'un feutre gris déformé, ce n'est pas pour Fig. 3. - L'Etuve de
s rues. Ils insistent sur l'ectasie des vais- seaux de la substance grise de la moelle et sur la présence de petites hé-
degré de dégéné- rescence. Dans les autres territoires de substance grise , le nombre de ces éléments mortifiés excède 15
il existait « des canaux de néoformations creusés dans la substance grise ». L'enseignement qui nous semble découler de c
des cas de pa- chyméningite compliqués de cavités dans la substance grise ; 2° que cetle (1) Deutsch. Arch. f. Klin. Med.,
neurone vaso-moteur siégeant dans la partie moyenne de la substance grise , le neurone sensitif indirect siégeant surtout da
non loin de sa naissance, pour aller se perdre dans la substance grise ; Soit qu'elle remonte jusque dans le bulbe, pou
TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 315 Soit qu'elle pénètre dans la substance grise , à tout autre niveau compris entre ces points e
ure. d) Enfin d'abondantes collatérales ramifiées dans la substance grise centrale et dans la partie interne de la base d
te un cas de manie récurrente, dans lequel les che- veux devenaient gris à chaque attaque et reprenaient leur couleur brun
aire de Da- rier est caractérisée par une pigmentation qui varie du gris au brun foncé, mais elle s'accompagne d'une hyp
taltérés dans la polynévrite, mais encore les substances blanche et grise du système nerveux central. Pour la recherche d
ire des racines, que dans leur partie extramédullaire. La substance grise des deux cornes est pénétrée dans toutes les dire
aux, il n'y a qu'un petit nombre de fibres dégénérées. La substance grise surtout de la corne antérieure est traversée pa
ter, présente de même. au genou et au-dessous de grandes taches d'un gris sale au milieu (2). » . Nous avons eu l'occas
la syphilis, des pustules cutanées avec leurs croûtes d'une teinte gris verdâtre el leur auréole rouge vineux ? Sur le
uveur, à Bruges (Chapelle des fonts baptismaux, peinture en camaïeu gris , rehaussée de couleurs sur les chairs). Le su
49 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
A cer- tains endroits, on produit des éraillures de la substance grise ; c'est principalement sur l'hémisphère droit, au
rière. - CCCA assez simple, avec de nombreux points où la substance grise a été enlevée. - LP gros, avec encoche profonde
matoires chroniques très étendues de la pic-mère et de la substance grise d'un certain nombre de circonvolutions. IV. L
s pulmonaires. - Lésions chroniques des méninges et de la substance grise des circonvolu- tions. Boucher... Séguin Ldou
mère sans entraîner une couche plus ou moins épaisse de substance grise . Les adhérences existent également sur le cerve
s. Sourcils longs et bien fournis. Pas de blépharite. Les yeux sont gris . Les pupilles réagissent à la distance et à la
- Rien aux plexus choroïdes, ni à la conte d'Ammon, ni aux masses grises centrales. Il n'y a que sur la moitié postérieure
ur une hauteur de Ou, 10. Quant à la pie-mère, elle est un peu plus grise à ce niveau. ' SYPHILIS héréditaire. 39 Thora
ns sont déchi- quetées et considérablement atrophiées, la substance grise indurée ; la pie-mère, épaissie, est adhérente,
ce. La couche de myélocytes qui constitue à elle seule la substance grise des circonvolutions se poursuit en diminuant co
la base sont symétriques et sans lésions. - La glande pinéale, d'un gris rosé, a 4 à 5 mm. de longueur sur 3 il 4 mm. de
be frontal. On constate que la couche superficielle de la substance grise est intacte. Il n'y avait donc pas d'adhé- renc
cellules moyennes et des grandes cellules pyramidales de l'écorce grise ne sont pas distinctes les unes des autres. - E
pas de paquets de fibres dégénérées. 2° Lobe pariétal. La surface grise est encore intacte et son épaisseur est normale
auche.) - Rien de particulier. Les ventricules latéraux, les noyaux gris des deux côtés n'ont aucune lésion macroscopiqu
ie et tranchent net- tement par leur couleur blanche sur la couleur grise des circonvolutions voisines. Ils sont durs au
rtilagineuse de ces foyers d'encépha- lite. Voilà pour la substance grise . - Dans la subs- tance blanche, la lésion sclér
haut. Tout au plus, vers le milieu de la hauteur de la subs- tance grise trouve-t-on des cellules pyramidales d'un certain
rophie est très prononcée. Les dif- férentes couches delà substance grise , sauf la première, sont absolument confondues;
est normale : pas de nystagmus, de strabisme, d'exo- phtalmie. Iris gris bleu ; pupilles réagissant à la lumière ; l'en-
entraine avec elle une couche plus ou moins profonde de substance grise sur les circonvolutions suivantes : les trois f
isse. - Le ventricule latéral est dilaté. Des deux côtés les noyaux gris centraux et les cornes d'A 111111 on n'offrent
utions, l'enlèvement de la pie-mère entraî- nait toute la substance grise , laissant à nu la subs- tance blanche, formant
es les directions sans aucune lésion. Les iris ont une couleur d'un gris bleuté, les pupilles sont égales et réagissent
gique. a) Etat physique. - Physionomie peu éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs : les cheveux mal planté
50 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t simplement les fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise (cornes postérieures, colonnes de Clarke, colla
postérieur, une dégénérescence des libres se rendant à la substance grise de la moelle, avant tout, des collatérales réflex
ut, des collatérales réflexes qui s'arborisent dans cette substance grise . Nous rapporterons à la disparition de ces dern
ements, des collatérales, etc., qui se distribuent à la subs- tance grise de la moelle. Du fait de l'arborisation terminale
mmation des excitations dans les cellules nerveuses de la substance grise que nous percevons comme sen- sation de douleur
fibres endogènes dont les cellules d'origine sont dans la substance grise , et que ces fibres sont - surtout rassemblées d
offre l'étendue la plus considérable précisément là où la substance grise possède, relativementet absolument, le plus grand
uche un morcel- lement anormal des faisceaux blancs parla substance grise . Observation II. Maurice M..., âgé de dix-huit
à leurs principaux stades histologiques les lésions de la substance grise et de la substance blanche, en parti- culier le
culier les ulcérations des cellules cordonales. Pour la substance grise il est nécessaire de distinguer chez l'homme de
es ou rétro-radiculaires occupant la partie moyenne de la substance grise . Etudiés par la méthode de Nissl, ces deux groupe
t nullement en rapport d'intensité avec les lésions de la substance grise . Cette discordance entre ces deux processus per-
server une série de cas avec une lésion probable de la substance grise ou des racines des segments situés immédiatement
La moelle présente une résistance organique faible; la sub- stance grise est moins résistante encore que la substance blan
s- cères et qu'elles sont moins marquées encore dans la substance grise que dans la substance blanche. Il en résulte, d'a
oelle que dans les autres organes et plus marqués dans la substance grise que dans la substance blanche. 3° D'après l'éta
breuses ; Stoff admet que la douleur se transmet par la substance grise . Brown-Seguart admettait la transmission delà dou
own-Seguart admettait la transmission delà douleur par la substance grise ; la région antérieure par le tact, la région m
érescence des collatérales réflexes, affecte gravement la substance grise de ces régions dans le tabes. « La dégénération
ne endogène (Marie), lesquelles tirent leur origine de la substance grise de la moelle épinière. ' Marie. Leçons sur le
utions est lisse, tan- dis que chez l'homme la surface de substance grise est considéra- blement augmentée par la quantit
ie au moment de la décortication, a entraîné la couche de substance grise du cerveau et on trouve adhérents à la méninge
des faisceaux médullaires, que quelques-unes des cellules de l'axe gris aient été intéres- sées, ce qui paraît très pla
évidentes de dégénérescence dans les cellules motrices de la corne grise antérieure de la moelle. Dans aucune des nécrop
nerfs olfactifs sont réduits à une sorte de membrane, de coloration grise , dont l'épaisseur parait être à peine de 1 milli-
e qu'au voisinage de ceux des couches inférieures de la substance grise , mécanisme qu'il nous a été souvent donné d'obser
érie par des libres myéliniques qui atteignent à peine la substance grise , où l'on voit encore quelques libres radiaires,
importante. Ces capillaires néoformés pé- nètrent dans la substance grise , et, autour de ces amas de vaisseaux la substan
jusqu'à cinq litres par jour et plu- sieurs fois par semaine, il se grise . A vingt-quatre ans, il présente diverses manif
e âgé de vingt-un à trente ans est de 1 341 grammes '. La substance grise est molle et d'un rouge sombre, dans tous les p
ippocampe. Pour chaque région, la substance blanche et la substance grise ont été étudiées pour chaque hémisphère. Gliniq
ensemble, on trouve comme poids spécifique moyen, pour la substance grise 1037 et pour la substance blanche 1041. l.e poi
blanche est le même dans les deux sexes, mais celui de la substance grise est de 1039 pour les hommes et de 1032 pour les
rences les plus accusées entre la substance blanche et la substance grise se rencontrent dans la région motrice, et que c
ux. Dans les deux hémisphères, la substance blanche et la substance grise de la corne d'Ammon ont exactement le même poid
ux hémisphères tant pour la substance blanche que pour la substance grise de chaque région. Le maximum de différence entr
a un poids spécifique légèrement inférieur à celle de la substance grise . Chez la femme la seule région où la substance
ez la femme la seule région où la substance blanche et la substance grise aient le même poids spécifique dans les deu hém
s cliniques énumérés plus haut, le poids spécifique de la substance grise et celui de la substance blanche : 1° Paralysie
Louis Robert, trente-huit ans, ciseleur, alcoolique invétéré, étant gris , chercha querelle à son fils aîné, dix-neuf ans
sphère cérébral du côté opposé et dans une zone limitée de l'écorce grise de cet hémisphère. La découverte de l'excitabil
rise de cet hémisphère. La découverte de l'excitabilité de l'écorce grise par le cou- rant électrique, dont nous sommes r
rritation épilepto- gène siégeait dans l'épaisseur même de l'écorce grise . Il me reste précisément à vous dresser le bila
ait constater la présence d'un foyer déjà ancien, dans la substance grise , à côté de traces d'une leptoméningite de vieil
é par une intervention opératoire limitée à une portion de l'écorce grise . , ' J. Putnam. On the relation of Epilepsy to
ninges troubles, par pla- ces, hyperémie de la snbstance blanche et grise , adhérence, en certains points, de l'écorce ave
des hémisphères, comme chez les mammifères. L'épaisseur de l'écorce grise est de quatre millimètres, elle est du double à
e infectieuse du système nerveux, elle intéresse surtout les cornes grises antérieures, ou du moins les cellules ganglionnai
andry n'atteint que les nerfs spinaux moteurs efférents, les cornes grises antérieures de la moelle et le tissu médullaire
s une hyperplasie de la neuroglie, principalement dans la substance grise posté- rieure, sans trace de cavité ; il ne peu
des cellules nerveuses, et lésions vasculaires dans la substance grise du lobe frontal. - On chercha immédiatement la
de la moelle, une néoformation vasculaire au niveau de la substance grise , de l'hyperproduction névrogliquc surtout au vo
51 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ocessus myelitique à la colonne des cornes antérieurs de la substance grise du côté de la lésion, il faut admettre, dis-je qu
rémités périphériques, transmettent l'irritation jusqu'à la substance grise spinale, et plus précisément aux grandes cellules
tructives limitées étroitement aux cornes antérieures de la substance grise centrale de la moelle ; il serait bien difficile,
peuvent se montrer étroitement limitées non seulement à la substance grise centrale, mais encore plus explicitement, aux seu
encore plus explicitement, aux seules cornes antérieures de substance grise , tantôt aux deux, tantôt seulement à l'une d'entr
r diffusion, non seulement dans, les diverses parties de la substance grise centrale, mais encore quelquefois dans la substan
ituation. Voici en effet dans une des cornes antérieures de substance grise un ou plusieurs groupes de cellules motrices qui
nécessairement une lésion scléreuse et cicatricielle de la substance grise spinale, lésion indélébile désormais, toujours pr
ité dans la corne antérieure, aux régions postérieures delà substance grise ,et peut-être même,dans certains cas, à l'invasion
p. etc. 2e Bd. 1 Theil. 3. Auflage, p. 167. de moelle sa coloration grise et sa consistance ferme, le microscope faisait dé
omprend, bien au-dessous du taux normal. J'ajouterai que la substance grise n'était plus représentée sur les coupes que par u
lus représentée sur les coupes que par une des cornes de la substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de cellu
e se rencontrer que dans le cas d'une lésion profonde de la substance grise centrale et dans ce cas-là, nécessairement, les t
e son fils. Il voit, maintenant surtout, des animaux féroces, un chat gris qui le mord et avec lequel il lutte. Il assure qu
t ou sur le mur voisin. Ces animaux, généralement de couleur noire ou grise , plus rarement d'un rouge vif, se présentent pour
u moins étroitement localisé dans les cornes antérieures de substance grise , constituant, on peut le dire, une lésion indéléb
su cicatriciel qui dans ces régions là s'est substitué à la substance grise ne peut-il pas être considéré comme un foyer perm
mental du groupe. C'est la lésion des cornes antérieures de substance grise et, plus explicitement, l'altération atrophique d
nt, systématiquement, limitée aux régions antérieures de la substance grise et laissant parfaitement indemnes tous les autres
es départements de la moelle épinière, substance blanche et substance grise . J'ai proposé d'appliquer à ce type d'amyotrophie
1° dans la moelle par une lésion systématiquement limitée aux cornes grises antérieures; l'altération des grandes cellules ne
e, mais elle s'est développée primitivement en dehors de la substance grise ; ce n'est que secondairement, par extension, que
ptible, à un moment donné desonévolution, de s'étendre à la substance grise antérieure et d'y déterminer l'atrophie des cellu
peuvent accidentellement envahir les cornes antérieures de substance grise et produire en conséquence l'amyotrophie, sont mi
systématiquement localisée dans les colonnes antérieures de substance grise , sans participation aucune, soit des cornes posté
ronique de la lésion systématique des cornes antérieures de substance grise . Ce sont, vous l'avez compris, les faits du derni
ystématiquement localisée dans les cornes antérieures de la substance grise . Il y y a cette différence, toutefois, que dans l
ation aussi étroite et ne pas se répandre, çà et là, sur la substance grise postérieure et les faisceaux blancs. Il est bien
inctes, pouvant aboutir à la formation d'une cavité dans la substance grise spinale. 1° En premier il y a lieu de signaler,
formations cavitaires résultant de la fonte du tissu de la substance grise spinale préalablement modifié par le fait d'un pr
vent, aux dépens de l'épendyme et de diverses régions de la substance grise spinale, principalement celle des cornes postérie
d'épithélium épendymaire normal. 2 Zone gliomateuse. 3 Substance grise . 4 Cavité syringomyélique. 5 Substance blanch
y ait ou non formation cavitaire, la partie centrale de la commissure grise , en arrière du canal central qu'on trouve souvent
es cornes postérieures, puis vers les cornes antérieures de substance grise , à titre de lésion consécutive, soit par infiltra
dire intrinsèques ; ce sont celles qui restentlimitées à la substance grise spinale, siège classique de l'altération gliomate
ent par simple compression, s'exerçant de dedans en dehors, du centre gris spinal vers la périphérie. Peut-on, en se fonda
ppement de phénomènes spasmodiques. Pour ce qui est de la substance grise centrale, nos connaissances, en ce qui concerne l
rophique, etc.), si elle évolue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices,) et les
les lésions limitées à la région des cornes antérieures de substance grise ne sont pas accompagnées de troubles permanents d
la sensibilité. Relativement aux effets des altérations des cornes grises postérieures (CC) nous étions par contre, jusque
douloureuses se fait par la voie des cornes postérieures de substance grise , tandis que celle des impressions tactiles chemin
ctiles appartiennent aux faisceaux postérieurs, tandis que les cornes grises postérieures transmettent les impressions doulour
re relevant des lésions limitées aux diverses régions de la substance grise centrale, et ici il y a lieu de distinguer : a. l
ous l'avons fait remarquer déjà, dans quelles régions de la substance grise siègent les lésions d'où dérivent les troubles tr
ties, que c'est dans la région centrale, commissurale de la substance grise , qu'il conviendra de chercher le point de départ
oduits par la lésion gliomateuse des diverses parties de la substance grise ; l'envahissement par celle-ci des régions blanch
elle, toutefois, plus ou moins directement de l'altération du centre gris . Dans un cas observé à la Salpê-trière, dont il a
es par leur nature, gliomateuses ou non gliomateuses, de la substance grise centrale, les mêmes conditions anatomo-pathologiq
ises gastriques, (Voy. crises gastriques). — Crises laryngées, 346. — Grises laryngées et crises gastriques, 336. — Crises rec
52 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
mme le veut Unverricht, un second entrecroisement dans la substance grise de la moelle dorsale et unissant les centles de
séniles et d'un paralysé général. Ce déplacement , de la substance grise était REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
GIE PATHOLOGIQUES. XXX. LES longs tractus sensitifs DE la substance grise DE la £ MOELLE ET LEUR DÉGÉNÉRESCENCE EXPÉRIMEN
r A. CIAGLINSII. (Neurolog. G'elatrnl6l., XV, 1896.) La substance grise de la moelle contient trois sortes de fibres ne
ères prennent naissance dans les cellules nerveuses de la substance grise et passent à divers endroits dans la substance
uemment parallèles au plan transversal, pénètrent dans la substance grise . Là, elles affectent quatre directions. Les une
cellules des colonnes de Clarke, après être sorties de la substance grise par les cordons latéraux et antérieurs de la mo
e de retrouver le trajet de ces fibres dégénérées dans la substance grise sur des coupes transverses (méth. de Marchi), a
noires, qui, des cordons postérieurs, pénè- trent dans la substance grise ; aussi peu en remarque-t-on dans les cornes po
ante d'un cordon de fibres nerveuses blanches occupant la substance grise entre les terminaisons antérieures du cordon pos-
traumatisme révèle, au-dessous de l'endroit lésé, dans la substance grise une petite cavité exactement localisée, et dans
ostérieurs, à côté de la ligne mé- diane, entrent dans la substance grise juste à la place qui cor- respond à la localisa
entale, que le cordon de fibres blanches qui passe par la substance grise de la moelle entre les terminaisons anté- rieur
niveau du premier segment dorsal et du 8° cervical de la substance grise , centre de l'innervation vaso-motrice des doigt
l'herbe est d'une couleur bleu foncé et les feuilles d'une couleur grise sale . Connaissant la ville de Moscou en long e
uis longtemps de cesser ses travaux de broderie ; elle voit tout en gris , ne distingue plus les couleurs ; souvent des b
Werziloff admettent dans ce cas une hémorrha- gie dans la substance grise de la moelle, ayant intéressé les cornes 'antér
. Il en conclut que les lésions portent aussi bien sur la substance grise de la moelle épi- nière que sur la blanche. N
époque : « En outre des foyers de myélite limitée à la subs- tance grise , des lésions diffuses envahissent aussi les cordo
rieure du cordon latéral gauche. Dans le second cas, la substance grise de la moelle présentait des foyers hémorrhagiqu
copiques ; elles siégeaient dans la partie centrale de la substance grise , en arrière des cornes antérieures au voisinage d
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 411 zones où la substance grise était granuleuse en partie, désorganisée et aba
e avec dégénérescence chronique, l'autre une lésion de la substance grise . Dans les deux cas les cellules nerveuses trait
ins se rencontrent dans les éléments de l'écorce et de la substance grise spéciale. Elles intéressent les prolongements p
s cordons pyramidaux croisés ; dans quelques cas mêmes, les racines grises postérieures sont touchées. La sclérose peut mê
ire externe, du facial, de l'hypoglosse, du spinal, de la substance grise antérieure cervicale, ainsi que dans les nerfs
EUSE. tion des vaisseaux de la substance blanche et de la substance grise médullaire, surtout dans les cornes antérieures
éveloppé que le gauche, qui est d'aspect normal. Cet oeil droit est gris et terne, sa pupille est contractée, il est le si
st le siège d'un léger strabisme divergent. 1.'oeil gauche a l'iris gris foncé et paraît sain. La lumière amène la téact
a corne frontale est fort altérée par l'arrachement de la substance grise adhérente à la pie-mère. F' et FI sont particul
é par cette enfant, l'estomac étant à jeun, ait excité la substance grise corticale au point de produire cet état convuls
trouvent de grands amas de cellules nerveuses, dans la substance grise de l'écorce, que parcourt un si riche réseau de v
t et qui se terminent par de libres arborisations dans la substance grise . Ce sont des appareils d'émission des stimuli s
on ultime : il agit encore sur toutes les provinces de la substance grise mé- dullaire devant lesquelles il passe, durant
nsistance très dure, avec épaississement des méninges. La substance grise est complètement atrophiée, la substance blanche
, particulièrement sur les cordons postérieurs, et sur la substance grise , spécialement sur les cellules des cornes antér
ndiquer que les fibres courtes siègent surtout près de la substance grise et les fibres longues à la périphérie de ces cord
es fibres qui les composent proviennent de cellules de la substance grise et sont des fibres d'un court trajet. (Revue neur
lement en direction caudale. Les cellules nerveuses de la substance grise qui avoisinent le bord interne de cette racine
montrent une dégénération intense; les vaisseaux de la substance grise sont hypérémiés et infiltrés. Dans la région de l
Microscopiquement. Neuro-gliome né dans la moitié gauche de l'axe gris , au niveau des sixième, septième et huitième cerv
idérer que la néoplasie est née de la moitié gauche de la substance grise au niveau de la septième racine cervicale; de l
ints : les troubles de la sensibilité, les localisations dans l'axe gris médullaire. Les troubles de la sensibilité offr
core : les sensations douloureuses et thermiques restant dans l'axe gris ou son voisinage dans le cordon antéro-latéial
sections de ceux-ci (Sciiiir) tout en restant au voisinage de l'axe gris (syingo- myetio sans dissociation). 452 ANATO
'on jette un coup d'oeil sur la figure ci-jointe, on voit que l'axe gris était complètement détruit à gauche, depuis la
tion des localisations médullaires sen- sitives. La lésion de l'axe gris (syringomyélie, hématomyélite etc.) provoque de
taires : dans notre observation, malgré une destruction de l'axe gris sur une grande étendue, il n'y avait pas de tro
t antérieur du noyau principal, s'éloigne peu à peu de la substance grise centrale et pénètre dans un noyau qui appartien
rne sortent, pour la plupart, à la face supé- rieure de cette masse grise , montent en haut et en arrière dans la couche o
de la - , parNagy, 56. Longs tractus sensi- tifs de la substance grise de la - , par Ciaglinski, 66. Lésions de la -
53 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
scence du seul cordon latéral, sans partici- pation de la substance grise . La réalité d'une pareille association morbide
Douleurs au niveau du thorax et des membres inférieurs. Atrophie grise des nerfs optiques. -Sclérose des cordons pos-
ue, pratiqué par M. Parinaud, démontre l'exis- tence d'une atrophie grise des papilles. De temps en temps, la malade épro
deux nerfs optiques, le chiasma et les bandelettes sont amincis et gris ; les corps genouillés externes offrent aussi une
cordons latéraux. Sur la partie moyenne, en arrière, un fais- ceau gris qui parait dépasser en dehors les limites du fais
aisceau pyramidal croisé). En dedans, elle est limitée par la corne grise postérieure; en avant, elle s'étend jusqu'à la ba
s antérieurs dans toute la hau- teur de la moelle. , c) Substance grise . L'étude des cornes antérieures et pos- térieur
téraux sans participation des faisceaux de Türck et de la substance grise ; mais de ces trois observations deux au moins s
res fois. La sclérose, en tous cas, intéresse fort peu la substance grise . « Si l'on cherche à établir la géographie des
a dépendance de la lésion des cornes postérieures de la substance grise . Or, comme ces cornes n'étaient pas lésées, il es
d, peut-être un peu plus large en bas, symétrique. Yeux caves; iris gris brun, pupilles contractiles, égales; pas de str
le nerf optique derrière le chiasma, pénètrent dans la substance grise qui entoure la cavité du troisième ventricule et
es restent, sur toute leur éten- due, à l'intérieur de la substance grise centrale sans s'entrecroiser. Il 11 existe pour
antes de par les pro- duits inflammatoires, aussi ceux des éléments gris , encore capables de fonction, ne transmettent-i
lait décidé- ment causé par une affection' directe de la. substance grise des hémisphères;, et; si cela. semblait, invrai
ées à relier à la périphérie les centres contenus dans la substance grise des circonvo- lutions. Si ces fibres viennent à
ssu altéré se trou- vent encore quelques points sains. La substance grise est réduite à une mince couche qui est sous-jac
est ramollie. La partie corres- pondante de la capsule interne est grise . Le tieis externe du noyau lenticulaire, 1°avan
lésion des cordons antéro-Iatéraux de la moelle, ni de la substance grise . Par contre, il y avait une dégénérescence sclé
s' des diverses raies du tableau, à l'exception toutefois des raies grises . Quant à l'acuité visuelle, voici les résultats
'.\UTol'sm, on ne trouve outre la double pneumonie (Ilépatisa- tion grise ), de lésions que dans l'encéphale. L'intestin, le
cter de rapports directs avec lui. Une seconde déprime la substance grise cOllicalesur le pied de la deuxième frontale.
-on en chercher la cause dans la destruction des amas de substance, grise interposés entre les fibres motrices. 1 CH. F.
eure toujours parfaite. Constance des altérations dans la substance grise des cornes postérieures, ainsi que de l'atrophi
affections de la moelle dont les lésions sont localisées aux cornes grises antérieures, la paralysie infantile, la paralysie
central, assez uniformément répartis dans les substances blanche et grise : infiltration et tuméfaction de la charpente c
par de nombreuses cellules ; inté- grité des cellules multipolaires grises et des tubes nerveux en dehors des foyers. Supr
- tatée ici confirmerait l'opinion du refoulement de la substance grise allégué comme cause de ce symptôme par Schiff.
hyperplasie conjonctive, dégénérescence graisseuse), dégénérescence grise des cordons postérieurs, dégénérescence vi- tre
des chiens, à la suite d'extirpations du lobe frontal. La substance grise de toutes les circonvolutions se détache avec l
peu constaté d'altérations des cellules nerveuses dans la substance grise . Tout ce qui regarde la décomposition , la font
ires. La moelle a aussi un rôle (irradiation à travers la substance grise ). Les associations existent pour les plus simpl
. Les autres sont des pa- ralysies; les altérations de la substance grise en sont responsables. Ces modifications faites,
res (sagittales). Le feuillet su- périeur viendrait de la substance grise du plancher du troisième ventricule et, suivant
oviennent de la ré- gion du noyau de l'oculomoteur commun. Un noyau gris spécial comprenant de grosses cellules nerveuse
l latéral, montre que ce dernier est en connexion avec la substance grise : ses réserves sur les rapports anatomiques ave
voit dans le foyer du ruban de Reil de Ruller le noyau de substance grise décrit par lui ; les cellules n'en sont pas aus
rs se partagent à l'état physiologique le phénomène de la réflexion gris blanchâtre de la lumière projetée sur la rétine
54 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
in point de la moelle mais une lésion segmentaire de la substance grise des cornes postérieures et du renflement cer- v
s'étendent pas non plus à une surface très considérable de l'écorce grise cérébrale, comme le veut E ? ner5, contredit pa
u'il désigne plus particulièrement l'inflammation de la substance grise située entre l'origine de la troisième paire et c
e Basedow est une affection centrale, siégeant, dans la substance grise du bulbe, à la hauteur du noyau du facial ; elle
actement la zone d'entrée des fibres radiculaires dans la substance grise . Si l'on trace une ligne partant de l'angle qui
cialement les fibres radiculaires qui pénètrent dans la subs- tance grise , tout autre segment de la zone radiculaire et des
l. Lésions diffuses, peu manifestes, siégeant surtout dans l'écorce grise de la région fronto-pariétale. OBS. III. Destru
ieurement. SÉNAT. loi M. Krontiial. De l'hétérotopie de substance grise dans la moelle. Publiée itz extenso dans le Neu
fs et constants de l'affection décrite se nichent dans la substance grise de la moelle épinière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE
liquide de Muiler. Cerveau droit. Portions atrophiées. Substance grise . Ces membranes n'ont pas enlevé des portions de
tance cérébrale en se détachant; la première couche de la substance grise est confondue avec la seconde; elle présente, c
t plates, occupant et remplaçant la deuxième couche de la substance grise , celle des petites cellules pyramidales. Ces ba
ies, granu- leuses et pigmentées ; elles empiètent sur la substance grise des deux couches qui les contiennent par des ba
festonné. Au niveau de ces points, la première couche de substance grise est épaissie, fibrillaire et chargée de noyaux.
qui résulte de l'effondrement des couches moyennes de la substance grise et l'état kystique, aréolaire qu'on observe, beau
icales comme à l'état normal. Les couches suivantes de la substance grise et la substance blanche sont chargées de petite
points. Si ce n'est dans la couche la plus profonde de la substance grise où elle est morcelée parle réseau vasculaire. A
nt surtout marquées au niveau de la deuxième couche de la substance grise et on peut leur distinguer de L'ÉPILEPSIE PROCU
, en suivant l'étage supérieur; 2° les autres, de chacun des noyaux gris centraux à l'écorce cérébrale (libres cortico-
et gauche par conséquent, s'entre-croisent et atteignent les noyaux gris bulbaires. Des noyaux bul- baires, qui pour le
es, qui pour le grand hypoglosse sont représentés par deux colonnes grises , dépendances de la base des cornes antérieures
e la pyramide antérieure (origine apparente). Ainsi donc les noyaux gris du bulbe, d'après ces nouvelles données d'anato
l ; ce noyau accessoire' parait être une dépendance de la substance grise du noyau antéro-latéral. Il présente ordinairem
roupes de fibres, qui, après avoir évidemment traversé leurs noyaux gris bul- baires, vont respectivement émerger, le pr
vidualisés les faisceaux pyra- midaux ainsi du reste que les cornes grises antérieures de la moelle. Leur lésion expérimen
s à des troubles moteurs ; les faisceaux pyramidaux et les cornes grises antérieures représentent donc les éléments d'un s
ion physiologique). On s'entend généralement pour regarder l'écorce grise des cir- convolutions postérieures occipitales
la couche optique où elles aboutissent, se terminant dans une masse grise située en avant et au-dessous du noyau rouge de
rès avoir traversé directement la capsule sans s'arrêter aux noyaux gris centraux ou fibres pédonculaires ou directes de
llesse de son tissu et par la couleur rouge intense de la substance grise dont les con- tours s'aperçoivent à l'oeil nu.
les de ce type se ren- contrent principalement au niveau des cornes grises posté- rieures. Un phénomène plus rare est repr
Schultze, le processus mor- bide atteint de préférence la substance grise ; les li- mites de ce processus coïncident par p
lastique, les parties des cordons latéraux adjacents à la substance grise . Toutes ces altérations de la substance blanche
ltération pathologique dans les cornes postérieures et la substance grise pour trouver une explication toute prête des ph
épinière et de leur marche ultérieure dans la substance blanche et grise . Au contraire, les cas de gliomatose nous donne
it pour ainsi dire en bloc les parties avoisinantes de la substance grise . Il serait inutile de revenir sur cette supposi
conditions altérées du développement embryologique de la substance grise de la moelle épi- nière et que différentes caus
es de certains segments des colonnes postérieures de la substance grise de la moelle épinière et de la subs- tance géla
nuisible en fait de traitement interne. Les frictions à l'onguent gris chez un sujet qui avait eu jadis la syphilis, p
ie- mère à la base du bulbe et de la protubérance. Dégénérescence grise et atrophie 111·LologiIue de toute la région des
e jusqu'au milieu de l'orbite seulement. Dégénérescence et sclérose grise des cordons postérieurs depuis la région cervical
lissement rouge aigu, nettement circonscrit, et limité à l'é- corce grise de la partie supérieure de la circonvolution cent
; sclérose sous-épeudymaire allant jusque dans la région des noyaux gris sur le plancher du quatrième ventricule et les
55 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s on ne s'est pas borné à trépaner, on a en- levé une aire d'écorce grise qui s'est trouvée atteinte de méningo-encéphali
résentait rien d'anormal, la pie-mère était hyperhémiée et l'écorce grise avait revêtu la teinte hortensia comme cela se
e considérable de fibres nerveuses descendantes reliant cette masse grise aux masses grises du pont de Varole et de la mo
fibres nerveuses descendantes reliant cette masse grise aux masses grises du pont de Varole et de la moelle allongée. Dans
e cingulum, dans la couche des fibres tangentielles de la substance grise sous-épendymaire, qui forme le toit du ventricule
tubercule quadrijumeau antérieur. Ces fibres arrivent à la couche grise superficielle, la plupart cependant se rendent da
n nombre donnent des collatérales, qui se perdent dans la substance grise centrale. Une dégénérescence nettement visible
lé interne et la calotte d'autre part pour se perdre dans la couche grise superficielle et dans la couche blanche superfi
ions appréciables à l'aide de la méthode de Golgi. Seuls les noyaux gris de la base et la moelle allongée sont profondé-
qu'on y mette, sans entrai- ner de véritables lambeaux de substance grise adhérant à la face interne de la pie-mère. 11 e
ndemne aussi bien dans sa substance blanche que dans sa subs- tance grise , et en particulier les faisceaux postérieurs sont
irmaient que tous les nerfs prennent leur origine dans la substance grise . Ils soutenaient que la moelle n'est pas un sim
sions parenchymateuses et des lésions interstitielles. L'induration grise devint la sclérose, l'hyperplasie du tissu inte
e nous apparaissait définitivement comme un assem- blage de centres gris et de conducteurs blancs, juxtaposés ou im- bri
rapports de l'épilepsie uni- latérale avec des lésions de l'écorce grise , cantonnées dans une région circonscrite de l'h
de la doctrine de Flourens. L'excitabilité d'une partie de l'écorce grise des hémisphères par le courant électrique, mécon-
ffecte à peu près également la substance médullaire et la substance grise . Les circonvolutions particuliè- rement atteint
phères cérébraux est très peu développée, tan- dis que la substance grise de l'écorce se distingue par son abon- dance pr
'ai décrit de 16 à 4 millimètres. Dans ce dernier cas, la substance grise comprenait les deux tiers de la paroi des hémi-
de la substance blanche des hémisphères se supplée par la substance grise qui se distingue par la richesse de son dévelop
son développement et l'épaisseur énorme de l'écorce. La substance grise des circonvolutions se présente dans certains cas
s et les cellules géantes manquent. Ce qui caractérise la substance grise des hémisphères de pareils cerveaux, c'est l'ex
eaux, c'est l'existence entre la quatrième couche de la subs- tance grise de l'écorce et le centre semi-ovale, d'une couche
ts ganglionnaires ressemblant à la quatrième couche de la substance grise des circonvolutions (cas de Mate)), 316 CONGRÈS
glionnaires, les auteurs la nom- ment l'hétérotopie de la substance grise , quoique cette hétérotopie soit une hétérotopie
- veloppés, qui ressemblent à la quatrième couche de la substance grise de l'écorce (cellules polymorphes). Par conséqu
micro- céphale qui se caractérise par la richesse de' la substance grise et le développement insuffisant de la substance
des hémisphères, les proportions correspondantes entre la substance grise et la blanche sont conservées. - Après ce type
ccompagne de l'héléro- topie sous-corticale diffuse de la substance grise . Mais dans ces deux cas, le type reste le même,
me, et son caractère spécial consiste en ce que, entre la substance grise des hémisphères cérébraux et le centre semi-ova
mène de prime abord à la conclusion que la richesse de la substance grise et l'abondance des cellules nerveuses peuvent ê
Du reste, il existe dans d'autres régions cérébrales (la substance grise centrale) des par tics, d'une moindre étendue il
ons Weigert ou dans des imitations on ne distingue que la substance grise décolorée à côté de la substance blanche qui es
ncée; la différenciation entre la substance blanche et la substance grise était bien le but de la méthode ; elle suffit à
très caractéristique, se distinguant très légèrement du bleu et du gris des autres faisceaux. Ce brun, je le répète, est
quatre coupes différentes : presque toute la moitié antérieure est gris clair, légèrement jaune. Derrière, un champ étr
que ceux-ci se trou- vent le plus souvent au niveau de la substance grise . Rapprochant cela du fait que dans la moelle ce
yélites cavitaires affectionnent également les régions de substance grise médullaire, je pense que l'on peut admettre que l
je pense que l'on peut admettre que la constitution de la substance grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à cette
ents réflexes, dont la voie mène directement à travers la substance grise de la moelle, à la hauteur des deuxième et quat
oelle cervicale ou dorsale est une preuve clinique que la substance grise de la moelle lombaire est aussi atteinte; cette
rticales dans la région rolandique sans paît t icipulion des masses grises cen- trales, en particulier du thalamus, montre
l croisé au niveau du collet du bulbe, descendent dans la substance grise centrale de la moelle, puis réintègrent le fais
end dans la parlie postérieure et interne de la formation réticulée grise du bulbe, puis s'entremêle au niveau du collet
errompent la continuité des cordons, 3" les lésions de la substance grise . Faisceaux exogènes. La distinction entre les c
ions sont dues probablement à l'extension immédiate de la substance grise , et non pas à une dégénérescence secondaire qui
une dégénérescence secondaire qui tire son origine de la substance grise . La destruction de ces régions est apte cependa
euses. Elle est attribuée par Marie à une affection de la substance grise . Dans le paraplégie ataxique les lésions ressem
e 1900.) - Deux jeunes gens de l'Hermitage (Ille-et-Vilaine), étant gris , allèrent, la nuit, frapper avec persistance, à
56 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
breuses cellules embryonnaires disséminées soit dans la subs- tance grise soit dans la substance blanche le long des vais-
méfaction du cylindre-axe. Les cellules nerveuses de la substance grise sont nombreuses, présentent pour la plupart leu
2° Dégénération granuleuse des cellules motrices de la subs- tance grise , surtout dans la région dorsale. (A suivre.)
Fi(;. 4.- Celliles nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération granulo-graisseuse. Le
la lésion (gliomateuse) débute presque tou- jours dans la substance grise centrale, et qu'elle prend naissance à la régio
endre que tardivement aux cor- dons blancs. Nulle part la substance grise n'est totalement anéan- tie, mais elle se trouv
rrespondant ne présente pas, après la destruction de la subs- tance grise centrale, les mêmes allures que lorsqu'il résulte
legmon qui tue l'opéré en quatre semaines. Autopsie. Dégénérescence grise des cordons postérieurs, phlegmon fémoral doubl
ée, unelésion partielle des cordons postérieurs, une dégénérescence grise des nerf optiques complétaient le tableau anato
gibbosités; elles sont composées de substance blanche. La substance grise , surtout à la région cer- vicale, est, dans les
e région, sur une étendue en hauteur peu considérable, la substance grise est réduite à des points. Nous laissons naturel
us appellerons l'attention sur la structure histologique des masses grises du tronc. On y rencontre d'abord une série de c
BIBLIOGRAPHIQUE. en 1879 ; six expériences d'excitation de l'écorce grise du cerveau du singe. (Arclc. de phys., 2° série
aplati, beaucoup plus petit que le droit, son t'aisceau moven est gris , séparé du bord externe par une bandelette blanch
à l'union du quart externe avec le troisième quart offre une teinte gris jaunâtre. Seul le quart externe offre une teint
d interne, on ne voit au- cune fibre Manche : tout est uniformément gris . La moitié gauche de la protubérance annulaire
faite par la partie inférieure nous montre l'absence de commissure grise . L'hémisphère droit est sain autant à sa surfac
us pas, par exemple, que dans notre dernière autopsie la commissure grise était absente : ce n'est pas là une anomalie ra
ingt sujets examinés à ce point de vue, nous avons vu la commissure grise manquer quatre l'ois dans la première, et liuq
re de grandes variétés dans l'importance de cette lame de substance grise qui est désignée sous le nom de racine grise de
ette lame de substance grise qui est désignée sous le nom de racine grise des nerfs optiques à laquelle nous avions l'ait
infra-corticales entraîne un anéantissement partiel de leur réseau gris ; mais l'inverse n'est pas vrai. Les racines du
vrai. Les racines du nerf optique prennent naissance dans le réseau gris du corps genouillé externe et du pulvinar. L'atro
rps genouillé externe, et directement, par la disparition du réseau gris de ces organes. Quant à l'atro- phie de la raci
déjà signalés ' témoignant du tableau clinique de la dégénérescence grise cérébro-spinale multiloculaire sans altéra- lio
tés précoces, les pseudo-sénilités. Il est des jeunes gens qui sont gris ou chauves- à vingt-cinq ans. des femmes de cet â
rès ,la femme meurt, et, à l'autopsie, on trouve au centre de l'axe gris , vers la quatrième cervicale, un foyer hémorrha
rades le plaisantent : « Toi, Lef..., passant par les vignes, tu es gris » ; il n'a pas le vin mauvais; il est un peu ch
et tous les autres organes sont sains. Le nerf médian paraît plus gris et plus petit à gauche qu'adroite. Les artères
pondant à l'extrémité antérieure du lobe sphénoidal. La subs- tance grise des circonvolutions de l'insula est complètement
partout adhèrent à l'écorce de circonvolutions étroites; substance grise pâle ; anémie de tout l'encéphale; forte dilatati
at d'excitation chronique des noyaux moteurs des cornes antérieures grises . Présentation de malade par M. BERNHARDT. Elle
erne dans un cas de tabes, il les avait trouvés atteints d'atrophie grise , surtout à la périphérie. M. Uhthoff. De l'at
nsitifs, trophiques, vaso-moteurs; il est probable que la substance grise et, en particulier, ses segments postérieurs so
'autopsie révéla qu'il ne s'agissait nullement d'une dégénérescence grise pure des cordons postérieurs. Un exemple d'affe
ares à marche traînante : ici il y a sclé- rose étendue de l'écorce grise , étiolement, atrophie des cellules nerveuses ga
e distribution des vaisseaux dans les deux substances. La substance grise renferme un système de canaux multiples très ra
rescence, crime et névropa- thie, par Knecht, 267. Dégénérescence grise cérébro-spi- nale (affection analogue à la),
FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en voie de dégénération granulo-graisseuse. Le
57 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie. Atlas
tographie Silvestre et G'", 97, rue Ubeikanipl. Fig. i. — Substance grise corticale du cerveau. Fig. 3. — Cellules géantes
3. — Cellules géantes ou gigantesques isolées. Fig. 2. — Substance grise corticale du cerveau. . Fig. 4. — Formation du ch
d'immersion des fibres afférentes du tubercule. Fig. 4. — Substance grise corticale du cervelet. au tubercule. Fig. 5. —
yplograpliie Silvestre et C', 97, rue Oberkampf. Fig. i — Substance grise centrale de la moelle épinière. Fig. 2. Fig.3.
2. Fig.3. — Cellules multipolaires isolées de la substance Fig. 4. grise de la corne antérieure. Corne antérieure de la
Corne antérieure de la moelle épinière. Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe fCoupe immédiatement a
re et G'", 97, rue Oherkampf. Fig. 1. — Répartition de la substance grise du névraxe Fig. 2. dans le bulbe {Coupe cm nive
région inférieure de l'olive]. Fig. 3.— Répartition de la substance grise du névraxe Fig. 4. dans le bulbe {Coupe au nive
j. LIBRAIRIE J.-B. BAILLIÈRE ET Fli_S Répartition de la substance grise du névraxe dans le bulbe {Coupe au niveau de la
bulbe {Coupe au niveau de la région moyenne' de l'olive). Substance grise de l'olive bulbaire. DESCRIPTION ICONOGRAPHIQUE
58 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
auche de la moelle - la substance blanche ainsi que les deux cornes grises du côté gauche se trouve une cica- trice semi-l
éléments nerveux; des fibres nerveuses de la substance blan- che et grise , ainsi que l'atrophie et la vacuolisation avec tu
ar deux tractus tranchant par leur couleur blanche sur la substance grise du corps cendré. Il m'a suffi de couper les ban-
s développées. 72 9 ANATOMIE. sillon qu'apparaissent la substance grise du locus niger et l'origine extérieure du moteu
croisés entre eux et couverts, dans ce cas, d'un voile de substance grise . Pour en avoir une idée nette, il faut l'examin
r les anatomistes. En avant, on la voit se perdre dans la substance grise de la couche optique. Son extrémité postérieure
on réfléchie des ventricules et qui disparaissent dans la substance grise du crochet terminal de la circonvolution de 1-h
léchie des ventricules » et la fait disparaître « dans la substance grise de l'uncus. Archives, t. XXII. 6 82 ' ANATOMI
Chez ceux-ci, la cloison est représentée par deux énormes masses grises ellipsoïdales couchées sur les piliers antérieu
son transparente serait l'analogue de ce que l'on appelle la racine grise des nerfs optiques, et les éminences mamillaire
chiasma et que le septum lucidum est à ce chiasma ce que la racine grise des nerfs optiques est au chiasma optique. No
nnent des pro- ductions du septum lucidum. » Luys. « La substance grise centrale forme d'avant en ar- rière plusieurs i
s qui méritent d'être signalées : . « 1° C'est d'abord la substance grise delà cloison, située sur les parois de la clois
fois jusqu'au pourtour des noyaux antérieurs. Elle reçoit la racine grise olfactive, et son développement dans la série d
cette loge ou étui est formée dans quelques endroits de subs- tance grise , et dans d'autres de substance blanche. Différen-
vement, comme tant d'autres poisons de l'intelligence, la substance grise de l'écorce cérébrale, et en particulier les ce
ervations que, souvent exclusivement locali- sées dans la substance grise , elles peuvent aussi intéresser à la fois l'éco
exclusivement d'un état de tension ou d'irritation de la substance grise du cerveau; l'écorce cérébrale, et en particuli
rent des contrac- tions provoquées par l'excitation de la substance grise ou de la substance blanche. Cette observation e
Rumpf en conclut que les grandes cellules multipolaires des cornes grises antérieures de la moelle cervi- cale sont détru
émies miliaires. P. KERAVAL. XIV. Des altérations DE la substance GRISE DE la MOELLE dans LES lésions DES cordons latér
e observation de gliomatose rigoureusement limitée à la substance grise de la moelle. P. K. XVII. DE L1 dégénérescence
moelle épinière jusqu'à la 1 ? racine cervicale, dans la substance grise comme dans la blanche. La maladie qui a duré qu
triangulaire de la cicatrice qui donne dans la substance blanche et grise de la moitié saine des bandes de tissu conjonct
eur et du cordon inférieur et une déformation marquée de la matière grise du côté droit. En outre, par un petit grossisse
une raréfaction du réseau des fibres ner- veuses dans la substance grise et en même temps on y remarque le développement
e l'incus allait en s'amincissant, se confondre avec la substance grise du carrefour après avoir contourné le crochet.
e pour la raison que j'ai donnée, et ensuite parce que la substance grise manque souvent en dehors du quadrilatère. Mai
her les connexités de ce noyau avec certaine partie de la substance grise de l'uncus et le corps godronné. Voici pour l
t, portion fibreuse, j'ai ajouté un prolongement de" la substance grise godronnée, et j'ai montré que cet ourlet n'étai
space perforé antérieur, forment, par l'étalement de leur substance grise et par l'irradiation de leurs fibres blanches é
s quadrijumeaux supérieurs) ainsi que le septum luci- dum (racine grise du chiasma). C'est l'arc cérébral. La formation
triculaire du corps strié; avec les parties extérieures et le noyau gris de la tubé- rosité temporale, c'est-à-dire avec
n déplacement des colonnes de Clarke, l'hétérotopie de la substance grise . En outre, dégéné- rescence partielle des cordo
no- mènes de déficit, les critiques sur les excitations des écorces grises , sur les suppléances d'un hémisphère par l'autr
même du caractère. La théorie italienne des suppléances de l'écorce grise des circon- volutions par la substance grise de
uppléances de l'écorce grise des circon- volutions par la substance grise des ganglions opto-striés, rappe- lant le petit
utéro-latéral. H. La face supérieure (dorsale) de la même substance grise donne de fortes et nombreuses fibres blanches q
hiés, le pédoncule cérébelleux moyen du côté malade et la substance grise de la protubérance du côté opposé. Atrophie mac
otrices de la-, par Rossolimo, 52, 189; - lésions de la substance grise de la - dans les lésions des cordons latéraux
59 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
postérieurs du cervelet, m, valvule de Vieusscns. m', ses fibres grises ou plis transverses. n, stries médullaires du q
, stries médullaires du quatrième ventricule, o, cordon transversal gris de la moelle, p, feuilles lanéolées grises. ,
e, o, cordon transversal gris de la moelle, p, feuilles lanéolées grises . , q, corps dentelé du cervelet, qu vide avan
ère l'o- live circonscrite par eux, et passant à travers la matière grise qui sépare l'étage in- férieur de la protubéran
de cette valvule blanches intérieurement et recouvertes de matière grise . -12,. fibres médullaires blanches du quatrième v
ricule ; c'est la ter- minaison des replis supérieurs des faisceaux gris de la moelle qui ont formé latéra- lement les t
ra- lement les tubercules cendrés.-o. lame de réunion des faisceaux gris . Fig. 6. Coupe transversale de la protubérance
u quatrième ventricule, dans la figure 5 ? ·. g. réseaux de matière grise .-e. s. étage supérieur des fibres trans-, versa
ue de la moelle allongée à l'origine des pyramides. c. g. faisceaux gris latéraux de la moelle avec leur lame de réunion
illes cendrées du quatrième ventricule. c. g. extrémité des cordons gris . " 1 i. ]5. Moelle allongée, protubérance, etc.
60 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
des vaisseaux sanguins et par la pâleur des substances blanches et grises , et qui tranche ainsi nettement sur les lésions
u'ils n'avaient rien remarqué en lui d'anormal et qu'il n'était pas gris bien qu'il eût bu un peu. En 1878, il avait eu un
isées, la pie-mère entraîne avec elle une mince couche de substance grise , moins épaisse à la vérité que dans les cas vul
xe sur chaque hémis- phère permettent de constater que la substance grise des circon- volutions est bien développée et tr
ostérieures, elle n'offre aucun carac- tère particulier. Les noyaux gris ne présentent aucune hypertro- phie, et sont ab
'une évidence incontestable dans mes prépara- tions. La substance grise a pris sous l'influence du carmin une colora- t
s rencontre qu'à la région moyenne. Tout le reste de la substance grise est occupé par des myélocites très abondants, se
un arrêt de développement des éléments cellulaires de la substance grise , c'est-à-dire les caractères de l'idiotie, et u
de substance corticale très ramollie. Presque partout la substance grise est plus colorée qu'à l'état normal : « les cir
nt des fibres qui, en s'arquant légèrement, traversent la substance grise , s'en- trecroisent en avant du canal cervical e
faisceaux des cordons postérieurs tracent ils travers la substance grise , sous le nom de fibres ara formes, des cercles al
à la hauteur du tubercule quadrijumeau supérieur, sur la substance grise de la cavité encéphalo-médullaire, immédiate- m
du cordon central ; et se compose de fibres issues de la substance grise latérale du quatrième ventricule s'arquant à la
ns cette zone. . P. K. XIII. La réaction chimique DE la substance GRISE ; par 0. LANGENDORFF (NeU2'01. Centrabl., 1885).
nclusion. L'asphyxie de l'écorce, et probablement de la snbs- tance grise en général, se traduit par la genèse d'un produit
duit acide. Peut-êtres'agit-il de l'acide lactique issu de l'écorce grise (Gschei- dlen), ou d'un phosphate acide de soud
avérique mais biologique eu rapport avec l'activité de la substance grise au même titre que l'acide qui se forme quand le
re du tubercule quadrijumeau antérieur, celui de la deuxième couche grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue lui-mêm
drijumeau antérieur, celui de la deuxième couche grise de sa coiffe grise . Le centre de la vue lui-même (couche grise la
uche grise de sa coiffe grise. Le centre de la vue lui-même (couche grise la plus supérieure) ne saurait être tenu pour a
m de bandelettes de Vicq-d'Azyr; sa situation au milieu de l'écorce grise révèle qu'en divers points la structure de l'éc
céré- brale ; les questions restées dans l'urne étaient : Substance grise de la moelle; Lobe cérébral antérieur. Question
e, par voie centripète : dira-t-on, par exemple, que la substance grise de la moelle est le siège de la mémoire des mou
riphérique (pas de cellules granuleuses). Intégrité de la substance grise et de ses cellules. Hyperplasie interstitielle
lle reconnaît aussi des couleurs composées telles que le marron, le gris , le grenat Voilà pour le sens chromatique; quan
ars, tandis que la .paralysie générale a déterminé dans les régions grises de la calotte des altérations insignifiantes de
ginale médiane et caudale, c'est-à-dire directement de la substance grise fondamentale (sens de Deiters) et indirectement
nt latéro-venlrale; les grosses cellules ganglionnaires du feuillet gris inférieur n'ont aucun rapport, même indirect, a
erf optique issues du corps genouillé externe occupent la substance grise grillagée (lacis de petites cellules ganglionna
. Dans le tubercule bijumeau antérieur prend naissance la substance grise superficielle des fibres du nerf optique (confor-
e petits élé- ments cellulaires; les fibres zoniformes de la coiffe grise (Tartu- féri), ne sont, chez l'homme, que pour
it calibre), surtout ceux qui sont groupés serrés dans la substance grise treillagée (plan vertical et transversal) qui d
la coiffe, qui proviennent des cellules nerveuses de la substance grise superficielle, gagnent la sphère visuelle aussi b
ves longues, qui, sur des coupes trausverses, occupent la substance grise et la région des racines nerveuses, qui, sur des
- mier-phénomène pathologique que l'on constate dans la substance grise . Les colonnes de Clarke sont constamment atteinte
oté la vascularisation très grande des membranes et de la substance grise , des points de sclérose dans les cordons de sub
mé- dullaire etsurtout par l'atrophie des cellules de la substance grise . Cette atrophie cellulaire s'accompagne en outr
(<879); Corps strié (-1880); Pneumo-gaslrique (1884); Substance grise de la moelle épinière (1886). faits DIVERS. 4
; psychiatrique de Berlin, 252; de tempé- rance, 467. Substance grise (réaction chi- nuque delà), parLanguedorff, 8
61 (1844) Traité complet de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Première partie. Anatomie
r sa couleur franchement blanche, des parties voisines, qui sont d'un gris tendre et transparent. N, pédoncule cérébral. I
renversés en arrière. 4, espace perforé du côté droit, a' a", racine grise du nerf op-tique se portant en divergeant des par
é, k, commissure antérieure devenue visible par la rupture de la lame grise . Cette lame grise est formée par la réunion sur l
ntérieure devenue visible par la rupture de la lame grise. Cette lame grise est formée par la réunion sur la ligne mé-diane d
ame grise est formée par la réunion sur la ligne mé-diane des racines grises des nerfs optiques de droite etde gauche, a, diag
e ces trous est parallèle à la longueur de la diagonale, a'", surface grise du quadrilatère perforé antérieure à la diagonale
perforé antérieure à la diagonale blanche. Les trous de cette région grise ont leur grand diamètre dirigé d'arrière en avant
orps strié. 11 marquent la coupe des nerfs olfactifs et leur racine grise antérieure. P P, portion de la circonvolution de
sula X' V. S, scissure de Sylvius K, chisma des optiques. Q, lame grise . L, tractus optiques. K', tuber cinereum. M, émin
son faisceau antérieur. I, nerf olfactif. Z, por-tion de la substance grise du corps strié prolongée en pointe dans la base d
e quadrilatère, où il est caché par le tractus optique et les racines grises . P, faisceau postérieur, se retournant sur l'ar
62 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
e le 16 août. La moelle épinière offre une atrophie avec dégénération grise très-prononcée des cordons postérieurs dans les r
'observant aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise . Plèvres : adhérences anciennes, surtout marqué
arthro-pathies. Physiologie pathologique. « C'est dans la substance grise , dit M. Charcot, que nous croyons avoir trouvé le
opathie du genou. Au-dessus et au-dessous de ces points, la substance grise des cornes antérieures était indemne. Cette alt
e. Cette altération de l'une des cornes antérieures de la substance grise n'est pas un résultat de l'inertie fonctionnelle
conservé des mouvements assez étendus ; 2° la lésion de la substance grise diffé-rait essentiellement de celle qui se produi
dans cette dernière affectionnes cornes anté-rieures de la substance grise présentent, entre autre lésions, une atrophie pro
ôté gauche, et la presque totalité, sinon la totalité de la substance grise du même cô'é. — D'après les symptômes remarqués
ux cas d'atrophie musculaire progressive avec lésions de la substance grise et des faisceaux anléro-latéraux de la moelle epi
savoir ; lésion des cellules de la partie antérieure de la substance grise . Le second groupe des lésions articulaires susc
l'hôpital. A l'examen, on constate la présence d'une petite tumeur gris pâle située dans la chambre antérieure, et faisan
us le scalpel comme un tissu fibreux. La surface de la coupe est d'un gris rosé et huileux ; des tramées rouges indiquent la
ères qu'au dos des mains, un peu moins marqués peut-être. Les plaques grises occupent de chaque côté la face inférieure du tal
su-périeure et interné des cuisses, sont recouvertes de squames d'un gris plus jaunâtre que celles des mains et des pieds.
n rapport avec l'atrophie des mus- cles sont celles de la substance grise . — Ce ne sont pas les altéra-tions destructives q
ers temps sur l'altération particulière des cellules de la sub-stance grise . Serait-ce là une lésion constante dans l'atrophi
avoir occupé primitivement les points les plus divers de la substance grise centrale, se propagent ensuite, princi-palement p
ent lésés, mais que, en outre, les cornes antérieures de la substance grise ont été envahies. Je n'ai observé, jusqu'à présen
nce corticale ; dans le cerveau, il se loge surtout dans la substance grise . 2° Quelles sont les conséquences qu entraîne l
es altérations siègent sur le lobe temporal gauche, dont la substance grise , moins la première circonvolution limitant la fos
A la face postérieure du ventricule gauche, siègent trois tuber-cules gris , transparents, du volume d'une lentille, tout à f
ng noirâtre coagulé, et déjà on remarque, par places, des taches d'un gris plus pâle qui indiquent le passage au troisième d
esliquides de la tumeur sont entourées à leur base d'une auréole d'un gris sale, ayant 2 millimètres de largeur. Le pouls es
extraite des Archives de physiologie, vous représente l'état de l'axe gris chez la femme dont je vous ai montré tout à l'heu
us occupent. On peut la rapprocher des altérations analogues de l'axe gris dans la para-lysie infantile et l'atrophie muscul
u devons-nous rattacher ce dernier phénomène aux altérations de l'axe gris qui existent, selon toute probabilité, chez lui?
elle il a succombé le 10 septembre. Autopsie. Hépatisation rouge et grise des trois lobes du poumon droit. Un peu de conges
63 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
l est impossi- ble à découvrir même a l'état de vestige. Les noyaux gris sont bien développés mais il existe un petit fo
orme d'un petit bourgeon seléreux, gros comme un pois. Les noyaux gris n'ont rien de particulier. En somme la sclérose
où ces circon- volutions sont extrêmement réduites de volume, d'un gris transparent, et cela non par ilots mais sur tou
hérences. Sa base est dure' et ne crépite pas ; sa couleur est d'un gris er(lât-re sauf à la base où elle est d'un rougc
gie de la Faculté par il. 1cD''Pilliet, préparateur. - La substancc grise du cerveau avait été durcie par l'alcool : les
ble grossissement, on constate des lésions portant sur la substance grise et sur là substance blanche. La substance grise
nt sur la substance grise et sur là substance blanche. La substance grise est diminuée d'épais- seur ; lapremière couche
t peu de corps granuleux dans les couches profondes de la substance grise . Les vais- seaux ne sont pas beaucoup plus nomb
s, on voit, espacés dans les parties superficielles de la substance grise , un certain nombre d'îlots, ou foyers com- pren
int de vue des cellules, des couches superficielles de la substance grise , sclérose raréfiante des (1) V. Pilliet. Lésion
, les cellules sont raréfiées dans toute la hauteur de la substance grise , les colonnes de cellules qui la parcourent per
îlots. Ils s'étendent dans presque toute la hauteur de la substance grise , et leur tissu pa- raît extrêmement friable, ca
spéciale. Le cervelet présente ses quatre couches de la substance grise normales en apparence ; les cellules de Purkinjc
n dans le cordon latéral de chaque côté, au contact de la substance grise et autour des racines postérieures. Il y a là u
d'une façon qui est toujours en rapport avec l'état de la substance grise , paraît l'être secondairement. C'est un cerveau
8 août. - Anorexie. La diarrhée a repris ce matin. Elle est d'un gris verdâtre, hoquet ; T. R. matin 377^, 2. Soir : 37
s, cultiva- teur, fort, bien portant. Pas nerveux ; boit du vin, se grise quel- quefois. Aucune maladie sérieuse, si ce n
oite; l'oeil ce ce côté paraît un peu plus petit que l'autre : iris gris , pupilles normales. Nez régulier, narines un pe
ences dure-mériennes signalées, où elle adhère aussi à la substance grise , non à la partie pos- térieure, mais à la parti
s. Les circonvolutions sont fermes, sans sclérose ; rien aux noyaux gris . Plusieurs coupes pratiquées sur les deux hémis
64 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es les directions sans aucune lésion. Les iris ont une couleur d'un gris bleuté, les pupilles sont égales et réagissent
s encéphaliques. , De plus, elle existe souvent dans la substance grise des para- lytiques généraux, principalement dan
névroglie) de la périphérie au centre, sans atteindre la substance grise . Dégénéres- cence ascendante des faisceaux de G
fonctions exactes des différents plans cellulaires de la substance grise corticale, dont chaque couche, ainsi que le pense
e, de nature fibreuse ; elle adhérait si étroitement à la substance grise qu'une petite partie de celle-ci suivit la tume
ans la moelle épinière et elles atteignaient également la substance grise et la substance blanche. C'était Vierordt', qui
très distincte des cellules des cornes antérieures de la substance grise . ' C'est M. le professeur Iiorsalcow3 qui démon
observa la prolifération des noyaux des cellules dans la substance grise en général et la disparition des pro- longement
et solidités. La plèvre du poumon droit est couverte des membranes gris vert. Le poumon gauche est adhérent légèrement
es antérieures ainsi que des racines postérieures vers la substance grise des cornes correspondantes et traversent visibl
acines postérieures et antérieures tout aussi bien que la substance grise présentent les mêmes anomalies, qui sont analog
er que nous ne trouvâmes pas de lésion des cellules de la substance grise , ni sur les préparations colorées par le carmin
d'altération. Cette couleur ne subsiste pas dans la poudre qui est grise ; de plus la matière grasse est éliminée. D'apr
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. épaissies : dans la substance grise , il en est de même, et on note en outre la dila
s : leptoméniugite cérébro-spinale, hémorragies dans la subs- tance grise , dégénérescences dans la substance blanche, névri
elques jours. La section des cordons postérieurs et de la substance grise avec les cordons antérieurs ne donne pas d'anal-
natomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 229 limitante de substance grise d'un côté ou de l'autre, reste sans résultats.
partout ailleurs, dit-il, les régions qui possèdent de la substance grise , sont bien plus riches en vaisseaux que celles
dépression à sa partie postéro-interne. A la coupe les subs- tances grise et blanche sont ramollies dans toute leur étendue
EUSE. : Q81> les centres corticaux et les noyaux de la substance grise , jusqu'aux faisceaux isolés des muscles. Exagér
bl" XIV, 180 : ),) Etude spéciale des fibres issues de la substance grise même de la moelle, auxquelles il serait peut-êt
lle dor- sale, en une couche ininterrompue qui entoure la substance grise (zone interne), plus large dans la partie antér
ibres myélogènes dont les cellules originelles occupent lasubstance grise lombaire; 6° la commissure antérieure se compose
s collatérales à arborescences terminales au sein de la subs- tance grise (cellules nerveuses), passent directement des rac
à une diminution .de volume du cordon de Burdach et de la substance grise dans sa totalité. Le rapport du cordon cunéifor
anque et elle est séparée en deux tronçons. Dans toute la substance grise , diminution de l'élément fibrillaire; les racin
lésion, dégénérescence des cordons et dissociation de la substance grise . A la partie moyenne de la moelle cervicale, dé
s réflexes est due à une action traumatique, que subit la substance grise par suite de la compression; une abolition des
parties blanches, et les cordons postérieurs sont d'un transparent gris brun. Au bout de deux à quatre semaines on peut
de plus, quelques fibres arriveraient à la formation réticulaire grise du même côté et aucune d'elles ne gagnerait le ce
directement ou par de nombreuses collatérales au niveau des centres gris de la moelle; quelquefois il remonte jusqu'au a
. LES NEURONES. 435 La moelle comprend en outre dans sa substance grise un très grand nombre de neurones dont les fibre
e par des maladies qui se localisent primitivement sur la substance grise de la moelle. Aussi, en pareils cas, la subs- t
substance grise de la moelle. Aussi, en pareils cas, la subs- tance grise est-elle souvent lésée dans des points multiples,
ation de tous les neurones et ils sont nombreux dans la substance grise de la moelle dont les dendrites se mettent en rap
intervertébral, mais au contraire dans les neurones de la substance grise de la moelle. Une telle manière de voir n'est c
en étroite relation, par un trousseau vertical, avec la substance grise de la protubérance ainsi qu'avec les fibres de la
escence cellulaire constitue du ramollissement aigu de la substance grise . Neuf jours après la ligature, la désagrégation a
onci, d'autres enfin paraissent prendre naissance dans la substance grise de la paroi latérale du cerveau intermédiaire (
den. La paroi postérieure du tuber cinereum contiendrait un nodus gris , allongé en avant en forme de coin, sorte de gang
ine optique supéro-antérieure,se terminent dans une grosse nodosité grise située en dehors du noyau du pathétique; cette no
nnes. Les premières passent tout à fait en arrière, sous les noyaux gris du ventricule et entrent dans le faisceau longi
65 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
mployer également avec succès, au lieu d'une étoffe noire, une étoffe gris foncé, qui serait même préférable à notre avis ;
l'autre, suivant les cas. Nous avons trois fonds, l'un noir, l'autre gris moyen et le dernier gris très clair. Ils servent
. Nous avons trois fonds, l'un noir, l'autre gris moyen et le dernier gris très clair. Ils servent suivant la nature du modè
ure du modèle. Ainsi le nu vient très bien sur le fond noir et sur le gris foncé, beaucoup moins bien sur le gris clair. U
ien sur le fond noir et sur le gris foncé, beaucoup moins bien sur le gris clair. Un malade habillé viendra mal sur le fon
de habillé viendra mal sur le fond noir, il viendra mieux soit sur le gris foncé, soit sur le gris clair. Ce dernier servira
ur le fond noir, il viendra mieux soit sur le gris foncé, soit sur le gris clair. Ce dernier servira surtout lorsque l'on vo
un fond très clair. Si l'on ne veut avoir qu'un seul fond, c'est au gris foncé qu'il faudra donner la préférence ; sur ce
ravaux que l'on doit y effectuer. On emploiera un ton soit bleu, soit gris clair. De cette manière, grâce aux réflexions qui
-on faire ces essais par un beau ciel bien pur ou encore par un temps gris , mais jamais lorsque les nuages viennent modifier
r pour la lumière diffuse, de deux à quatre fois plus et par un temps gris et sombre de six à dix fois plus. En résumant c
sujet-. — B. Ciel bleu sans soleil sur le sujet. — C Ciel couvert et gris . — D. Ciel couvert et très sombre. i.a pose néces
mbattre ces défauts. Ainsi, avec un révélateur qui donne doux et même gris , il faudra diminuer la pose; au contraire, s'il d
aste qui existe avec la partie restée normale. On emploiera un fond gris foncé sur lequel le nu se détache fort bien. L'ob
détails de la substance blanche et les divers replis de la substance grise qui forment l'écorce du cerveau et constituent
ois même presque noir, et les microbes seront blancs ou plus ou moins gris . L'effet sera donc totalement changé. Dans un a
e bonne épreuve. S'il est trop léger, l'image vient rapidement et est grise ; s'il est trop poussé, l'image demande un temps d
66 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
s le cours d'une poliomyélite antérieure, dé- notent que les noyaux gris bulbaires ou protubérantiels ont été envahis pa
de sa cham- bre, ni s'affiner elle-même un peu. Son caraco de satin gris bordé de four- rure blanche et les reliefs d'or
'a rien à voir avec l'influence trophique des ganglions ou de l'axe gris médullaire. Il faut se garder de commettre cette
es que les autres méthodes de coloration décèlent dans la substance grise et dans les cordons blancs. * Ces restrictions
colorent très bien et ne présentent pas d'altérations. La substance grise est normale au point de vue de la richesse de son
xiste autour des vaisseaux, une zone assez étendue de la commissure grise où les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas
. En aucun point la zone de dégénérescence ne touche a la substance grise dont elle demeure toujours séparée par une larg
e droit est plus malade que le gauche. Le chevelu de la substance grise parait partout normalement déve- loppé. 2) Pa
postérieurs sont partout parfaite- ment intactes. 5) La substance grise présente dans la région dorsale, une légère atro-
es que l'on voit semblent normales. 7) Le chevelu de la substance grise est, tant dans les cornes antérieures, que dans
uvé de lésions ni dans leurs faisceaux blancs, ni dans leurs noyaux gris . il) Le cerveau, enfin, ne montre que des minim
nous croyons plutôt qu'elle relève d'une altération de la substance grise , alté- ration légère caractérisée par une dimin
et de confusions sur la signification anatomique de bien des ilôts gris de la masse cérébrale, sur la valeur segmentair
pas da- vantage. Si l'on applique les lois de Pflü3er aux noyaux gris de la moelle allon- 154 PIERRE BONNIER gée, o
urs métho- des. 1° Méthode de Nissl pour l'examen de la substance grise et des cellules nerveuses. 2° Méthode de Marc
es y est certainement inférieur à la normale. - Dans la substance grise , te réseau des fibrilles nerveuses, qui jusqu'alo
s, qui jusqu'alors était très bien conservé dans toute la substance grise , éprouve une raréfac- tion notable au niveau du
e, très allongée. La partie antérieure est séparée de la commissure grise par une bande de tissu sain, séparée en arrière d
4 mars, une fois par semaine, une injection intra- fessière d'Huile grise , injectant chaque fois G centigrammes de mercure
rdive. Ménorrhagies. Grisonnement yré- 11latul'é de la chevelure. Grises gastriques. Foie douloureux. - Calculs biliai
examen microscopique on rencon- tre des altérations de la substance grise et des altérations des cordons. 1° Lésions de l
ce grise et des altérations des cordons. 1° Lésions de la substance grise . - Il existe des lésions des cellules et des lé
réfléchit, puis pince sévèrement les lèvres. Maigre visage à barbe grise , encadré de boucles argentées descendant sur la
a base ; bronchite. Infiltration tuberculeuse du sommet, tubercules gris , durs, crus. A droite, atélectasie des lobes infé
ülliker ont insisté sur la commissure protoplasmique delà substance grise . Les corps cellulaires des parties médianes de la
issure antérieure pour se ramifier et se terminer dans la substance grise delà moitié opposée delà moelle. Par ces dentri
affections générales qui comportent une altération de la substance grise centrale. Toutefois dans la syringomyélie l'ane
véritable dans la lésion des cordons médullaires et de la substance grise de la moelle. D'après les recherches de Ross (1
rtout par de l'anesthésie tactile ; que les lésions de la substance grise centrale donnent habituellement naissance à des t
a fois la substance blanche des cordons postérieurs et la substance grise centrale. En résumé, les troubles objectifs de
ée de la Haye. L'éba- hissement du médecin, un vieux savant à barbe grise , l'air à la fois con- trit et suppliant de la v
nxieux qui commande la pitié. La bonne figure du médecin à barbiche grise , l'af- fectueuse sollicitude de son regard, la
Fig. 2). Nous verrons plus loin que cette intégrité de la substance grise n'est pas absolue, car il y a un petit foyer hé
che sous-jacente au lobule du pli courbe est détruite. La substance grise n'en est pas touchée. Mais la face inféro-in- t
'atteignait pas la périphérie. En dehors de ce point la subs- tance grise est respectée, celle de l'insula en particulier.
araît à ce niveau au fond de la scissure de Syl- vius, la substance grise est séparée du foyer hémorrhagique par une mince
e blanche. Le pointillé passe seulement en un point de la substance grise qui, dans la réalité, n'est pas à ce niveau eng
niveau englobé par la lésion : ceci pour rappeler que la substance grise est détruite dans un point limité de la première
une lésion médullaire, intéressant plus ou moins profondément l'axe gris . La répartition segmentaire de l'oedème n'irait
poli, incurvé hippocratiquement, strié transversalement, de couleur gris bru- notre ; cet ongle va s'effilant à l'extrém
67 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ant l'apparence d'hémorragies punctiformes ou miliaires sur un fond gris rosé qui est la teinte générale. Les rapports
glosso-laryngée avec lésions strictement limitées à la substance grise d'un certain nombre de noyaux bulbaires sans la m
type Aran-Duchenne. En effet pour Charcot la lésion de la substance grise des cornes antérieures rendant compte de l'atro
alisait principale- ment, mais non exclusivement, dans la substance grise , qui entoure la cavité centrale. Outre cela de
élective du procès morbide (presque exclusivement dans la substance grise ), et 3° à cause du tableau histologique. Aux dé
lle avec toux le matin et expectoration de quelques crachats nacrés gris perle. D'autre part, dispari- tion des creux so
multiple disséminée, sur les cornes antérieures de la subs- tance grise . DU SYSTÈME NERVEUX. 109 On peut rapprocher d
hique chronique des cellules et des fibres des cornes anté- rieures grises de la moelle dans toute sa hauteur, allant en s
à ses deux extrémités seulement une couche très mince de substance grise . La troisième temporale est légèrement ramollie
cialement dans le but de déterminer les altérations de la substance grise de l'encéphale par rapport aux centres différen
née à la surface, la circonvolution est très rétrécie, la substance grise est diminuée et irrégulière, un peu décolorée e
e blanche du lobe préfrontal n'atteignant ni l'écorce ni les noyaux gris . 3° Homme trente-six ans, constipation, torpeur
sitive de la moelle, comprenant les cordons postérieurs, les cornes grises adjacentes, et les ganglions rachidiens. L'étud
évoluent ces lésions, au niveau des cordons postérieurs, des cornes grises adjacentes ou des ganglions rachidiens. Or, ces
prend toutes les fibres qui, parties des cellules de la subs- tance grise médullaire, accomplissent un trajet plus ou moi
la corne, à peu près au niveau du réseau plexiforme de la substance grise , le corps même du croissant constitue une porti
large, à sommet antérieur effilé et terminé derrière la commissure grise . Les travaux récents, faits avec la méthode des
'aspect d'une bandelette antéro-postérieure allant de la commissure grise jusqu'à la périphérie de la moelle, parallèleme
rd interne de la corne et de la partie adjacente de la com- missure grise . B. Topographie DES lésions médullaires tabétiq
eure et son réseau plexiforme ; D, cordons latéraux : E, commissure grise ; F, colonnes de Claire. Zones radiculaires (fa
. des mêmes éléments histologiquçs : substance blanche, substance grise , tubes nerveux, cellules nerveuses, enveloppes sé
ire propres à un ordre déterminé de substance ner- veuse blanche ou grise (sclérose amyotropbiqne ou des cordons latéraux
ellulaires, c'est-à-dire avec alté- ration initiale de la substance grise , reconnaissables au cachet démentiel de la mala
nectives courtes. La plupart des fibres de la substance réticulaire grise ne contient non plus des voies longues, les dég
ans les parties extérieures (latérales) de la substance réticulaire grise se trouvent des fibres longues, qui sont dégéné
situées dans les régions extérieures de la substance réticulaire grise . Ces fibres, d'une dimension assez grosse, se tro
per- plaxie très marquée de ses cellules (surtout dans la substance grise altérée) ; beaucoup de fibres nerveuses ont pér
du quart postérieur de la protu- bérance ; en touchant la-substance grise centrale de la région pos- térieure du bulbe il
sse, le vague et l'accessoire du même côté ont l'aspect de lamelles grises , très fines et plates. Puis M. Minor montre des
(Riv. di patologia nerv. e ment., Il, 1897). 398 REVUE CRITIQUE. grises dans l'intérieur de l'organisme : telles sont les
t descendants dont les directions opposées se croisent. Les écorces grises du cerveau antérieur ou pallium et du^cervelet
urs rapports fonctionnels, L'extension en surface de la substance grise corticale dépend également en premier lieu de l
onge- ments protoplasmiques sont les organes récepteurs par tance grise sur une distance plus ou moins grande de leur tra
duire le degré de supériorité psychique de la quantité de matière grise de l'écorce. A égalité d'intelligence, la masse p
cylindraxes. Voilà donc encore une cause d'augmentation de l'écorce grise qui, croissant en tout sens, s'étend surtout en
t que, grâce au plissement de l'écorce, l'extension de la substance grise a tendu toujours davantage à s'adapter à celle
rugi, qui ont demontré que la plus grande épaisseur de la substance grise est au sommet des plis de l'écorce circonvoluti
ion est toujours la même ; le plus souvent elle occupe la substance grise centrale de la corne anté- rieure et postérieur
nt à plus de deux ans. Le foyer de sang épanché en pleine substance grise , dans la moitié droite de la moelle qui n'était
qui, de proche en proche, a successivement empiété sur la substance grise et sur les divers cordons. Autour de ce kyste d
amyotrophiques très graves et répandues, même lorsque la substance grise antérieure de la moelle épinière présente seule
s de thymolacétate ou de cyanure ; j'emploie habituellement l'huile grise suivant la formule de Gay que j'ai donnée ailleur
68 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
elle orne son chapeau d'une fleur rouge, c'est qu'elle voit « tout gris » hormis cette couleur; si elle mangedes citron
e son fils. Il voit maintenant surtout des animaux féroces, un chat gris qui le mord et avec lequel il lutte. Il assure
aire concomittante. Toutefois la lésion primordiale de la substance grise peut être seulement dynamique, et alors l'examen
ue la droite et est réduite de un tiers de son volume. La substance grise est à cet endroit parsemée de points rougeâtres
fait semblable siégeant dans les cornes antérieures de la substance grise . Les racines antérieures sont minces et grises da
eures de la substance grise. Les racines antérieures sont minces et grises dans ces deux régions. Il n'y a rien au bulbe n
u cylinder-axis et les fibres nerveuses qui traversent la substance grise n'existent plus. Les cellules 1. Sclültze, Ziir
éaires, et des altérations vasculaires au même niveau. La substance grise des cornes posté- rieures et la substance blanc
a région cervicale, il existe des lésions analogues de la substance grise des cornes antérieures plus prononcées à gauche q
cée avec atrophie cellulaire des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière, sclérose plus accusée dans
d'anormal du côté des vaisseaux. Les autres parties de la substance grise de la moelle, de même que les cordons blancs so
oup de cheveux blancs pour son âge (sa mère était, paraît-il, toute grise à 35 ans). La voix a baissé, et est devenue plu
une m. 13 186 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPTTRIÈRE. colonne grise située sur les parois de l'aqueduc de Sylvius et
moteur oculaire commun représente la partie terminale de la colonne grise antérieure de la moelle prolongée dans le bulbe
t représentée par une lésion des cornes antérieures de la substance grise spinale. Déjà, en 1868, de Grade comparait un c
pyramidale qui persiste, on observe de la sclérose de la commissure grise . Dans toutes les parties altérée*, le système v
semé de petits foyers hémorrha- giques. Les commissures blanche et grise sont indemnes. Le faisceau pyramidal est attein
vons affaire à une lésion intéressant systématiquement la substance grise des cornes antérieures de la moelle. Le maximum d
et chroniques de l'adulte liées à des altérations de la sub- stance grise des cornes antérieures de la moelle. Notre observ
aucune altération de couleur ni de volume. A la coupe, la substance grise se dessine très bien et paraît un peu injectée,
e la moelle l'intégrité des fais- ceaux blancs. Dans la substance grise des cornes antérieures, principalement dans la
E DE LA SENSIBILITÉ. °31 cordons antéro-latéraux et de la substance grise , l'insensibilité des membres inférieurs au cont
ssions de douleur et de chaleur étaient transmises par la substance grise et celles de froid et de contact par les cordon
ence de la seconde, comme un effet de la propagation à la substance grise de.la lésion des cordons postérieurs ? C'est là
s communi- cations entre les centres psycho-moteurs et la substance grise (système antérieur de la moelle) se trouvent in
69 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tième jour, exploration : tym- pan gauche opaque, plan, mat, teinte gris sale ; apophyse ex- terne seule visible, sailla
a queue du noyau intra-ventriculaire du corps strié, une tache d'un gris rou- geâtre, qui se perd en mourant en avant, t
de commissure du cerveau, l'existence de deux colonnes de substance grise bien délimitées sur l'hémisphère gauche; dans l
ient situées postérieurement au canal central, dans la com- missure grise , dans les cornes postérieures, entre les cordons
ules sacciformes ; les replis se trouvent plutôt dans la commissure grise et les cornes postérieures, les diver- ticules
e' ne se trouve que dans les cavernes qui siègent dans la substance grise et la commissure, jamais dans les cavernes des
n combinée des cordons DE la moelle AVEC ALTÉRATION DE LA SUBSTANCE GRISE par SIOL1. (lrClc. f. Psych. te. Nervènk ; XI,
novembre 1879 de pneumonie. -L'autopsie décèle une dé- générescence grise des cordons latéraux de la moelle cervicale ; d
cale, jusqu'au bas de la moelle sacrée ; l'ensemble de la substance grise des cornes antérieures est lésé dans la partie
que les lésions des parties nettement différenciées de la substance grise . Il relie la dégénérescence des colonnes de Cla
l relie la dégénérescence des colonnes de Clarke et de la substance grise des cornes antérieures à l'envahissement des co
ossible entre la paralysie saturnine et l'inflam- mation des cornes grises ; mais contrairement au Dr Weber, il loca- lise
zejewski, membres correspondants. Observation de myélite des cornes grises (paralysie spinale), par M. GinEY.Après avoir f
remière enfance, est causé par une lésion des noyaux de substance grise préposés aux mouvements associés binoculaires.
- seaux. lue, tympan gauche, au contraire, mat, gonflé, ballonné, gris sale, opaque en arrière surtout, manche vu de fac
t sou- vent terne, comme granuleuse, de teintes variées allant du gris clair au noir foncé ; elle contient parfois dans
es, de fines gouttelettes ou de poussières myéliniques variant du gris clair au noir brillant et noyées dans un proto-
tait infiltré de granulations colorées, variant du noir jaunâtre au gris clair ou bien au jaune ombré. Dans la paroi d
myéline constituée en cylindre continu est pâle, à peine teintée en gris ; en outre, elles sont formées par des segments
s d'une pneumonie lobaire; au sommet existe un noyau d'hépatisation grise , tandis que les lobes moyen et inférieur sont e
eures du renflement cervical et de la portion inférieure des cornes grises antérieures. P. K. XIV. Note sur un cas DE surd
ie, lésions siégeant à droite et exactement limitées à la substance grise du lobule et à la substance blanche la séparant
que l'infiltration tuberculeuse pénètre profondément la subs- tance grise et un peu la substance blanche, au niveau du lo
. Nous avons soigneusement examine par dissociation' les'substahcës grise et'blanche'des diverses régions- cérébrales au
I.I.ï Iln i Ilill· ' 1,1 et le violet sont vus indistinctement en, gris ;, au contraire, 1 orange, le,jaune ? I%bl 1 U'
nt cons- dérabies'avec atropine de plusieurs racines etjdes. cornes grises , , ., ,t,1 pm, . 11 . j ^.11 u 11) "iJll ' -I»
t cela aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise . 4° Enfin, en présence de l'acide osmique, ils se
cas, ils seraient colorés. L'acide osmique les colore en noir ou en gris et fait apparaître' un double contour ; c'est'là
ons dansl'excitabilité électrique des nerfs tant que la subs- tance grise et les racines antérieures demeurent indemnes . P
-étendue de' quatre a cinq,centimètres. Asymétrie. de la- substance grise sur les,,coupes, du seâment,4lorsalinférieur. L
dhérences, épaississement des méninges, ramollissement de substance grise , induration de substance blanche et des lésions
usqu'à la suppuration ; un changement de coloration de la substance grise due à l'empilement des globules rouges dans les
irrita- tion méningitiquecomme cause de l'injection de la substance grise , comme cause du délire ; après avoir examiné l'
on combinée des cordons de la - avec altéra- tion de la substance grise , par Sioli), 102 ; - (Compression de la par l
yélite centrale, 117, Myélite arsenicale, 117. Myélite des cornes grises , 120. .Myélite centrale iiiiitise chronique (
70 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
ypothèse d'une syringo-encéphalie, d'une gliomatose de la substance grise périépen- dymaire bulbo-protubérantielle. C'est
ow. Le patient, un vieillard au front dé- nudé et aux longs cheveux gris , rappelle singulièrement l'Arracheur de dents de
normale ; la postérieure se réduit à quelques tractus de substance grise , situés de chaque côté d'une grande fente qui la
des cellules épendymaires se continuant jusqu'à la base des cornes grises à droite et à gauche. Là bande névroglique de l
bourgeon cellulaire infiltré tantôt refoule devant lui la substance grise , plus souvent envahit les différentes tuniques.
ndaire; nous envisageons pour le moment un type moyen. La substance grise a subi à peu près sur toute la hauteur une déform
noyaux. Ses vaisseaux satellites comme ceux du reste de la colonne grise paraissent seulement dilatés, sans modifica- ti
t elle en effet qui entraîne les changements de forme de la colonne grise , qui en aucun point n'est en contact direct ave
la substance nerveuse et arrive presque au contact de la substance grise ; l'autre partant également de la surface méning
latéral, les fibres colorées se groupent encore contre la substance grise , mais en moins grande abondance et disparaissen
mpressions et rétractions venues de la péri- phérie. La substance grise subit en général peu de modifications structu-
n avec elle par les septa conjonctifs se montre dans la subs- tance grise , ainsi que de pelites hémorrhagies, des dégénéres
en raison du mode de fixation) l'intégrité relative de la substance grise , l'absence de nodules cellulaires, la dilatatio
eux foyers de ramollissement blanc et on n'y trouve plus de substance grise et de substance blanche saines. Sur la coupe, o
oir d'anormal sauf peut-être un léger élargissement de la substance grise de la moitié droite. La pie-mère est très netteme
apparaît comme un petit orifice irrégulier au milieu de la commissure grise . ' Une coupe en pleine tumeur au niveau de l'in
; on n'y reconnaît , plus la distribution en substances blanche et grise disposées symétriquement de chaque côté de la l
ions centrales de la moelle et aux dépens surtout de la t substance grise . De la substance grise, dont il ne reste aucun ve
elle et aux dépens surtout de la t substance grise. De la substance grise , dont il ne reste aucun vestige apparent sur la
eur, de telle sorte qu'il semble la limiter, pendant que la substance grise de la commissure, de la corne gauche, l'entoure
pas considérablement modifié ; on distingue assez bien la substance grise et sa gaine de substance blanche. La pie-mère se
me. Elle se trouve située immédiatement en arrière de la commissure grise , et comme encadrée en avant par les vaisseaux c
de la moelle se fait d'après le mode déjà analysé. , La substance grise est presque complètement infiltrée par les fibril
arcades bien séparées. Il n'y a pas d'anomalie des yeux, l'iris est gris , les pupilles égales, régulières, d'une largeur
bilité d'une atrophie ou d'une absence de formation de la substance grise consécutivement à une anomalie ou à une maladie
aires postérieures dans le tabes. Pour ce qui concerne la substance grise de la moelle chez les paralytiques géné- raux,
ai on a pu démontrer plusieurs fois des altérations de la substance grise , mais on a pu remarquer, comme un des signes ca
llaire qui semble de la fibrine. Plusieurs cellules de la suhstance grise se présentent atrophiques et dégénérées surtout
FUS DU MÉDIAN 327 irrégulière, ou sont des fibres grêles, à myéline gris clair et moniliforme. Ces libres minces sont on
n protoplasma grenu se colorant en rose tendre par la safranine, en gris jaunâtre par le Pal. Ce proto- plasma est beauc
dans les tubes nerveux normaux. Certains points où il se teinte en gris rosé indiquent des passages entre l'état protop
très nette. Dans les fibres larges, la myéline se colore tantôt en gris , tantôt en noir, tanlôt enfin en brun clair par
que la lésion porte, non pas sur le tronc, mais sur le seul nos au gris d'ori- gine. Trop nombreux pour être cités ici
, il y a passage du protoplasma myélogène noir en protoplasma rose ( gris ). Les tubes nerveux sont ici parfaitement conti
71 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
r : 36°, 6. 31 mars. T. R. 37°, 8. -Soir : 37°, 2. Diarrhée, selles grises , fétides. Étatactuel (13 avril 1887). Face tr
illante ; les paupières sont assez largement tendues, les yeux sont gris , les pupilles inégales, la gauche estplus dilat
ine del'extenseur qui est enflammée. L'abcès dont les parois sont grises et épaissies et qui a environ trois centimètres
e cerise, entourée de par- ties ramollies, et quelques granulations grises . Légère conges- tion dé tout le poumon gauche.
ment, sauf sur cer- tains points où on entraine un peu de substance grise . Rien d'anormal. Protubérance et bulbe, sains.
volutions de la face externe ou interne des hémisphères. Les noyaux gris centraux, le corps calleux paraissent normaux à
petits foyers hémorragiques dans la couche moyenne de la substance grise , apparaissant à l'examen macroscopique, sous la
nt sur les enveloppes, sur la substance blanche et sur la substance grise . La pie-mère et les nerfs rachidiens appliqués
iète même légèrement sur la zone radi- culaire. Dans la substance grise , il y a raréfaction notable des cellules, surto
lle dorsale, les enveloppes n'offrent rien de spécial; la substance grise présente des cor- nes anterieures presque symét
en haut et en dehors; les cils assez longs et nombreux. L'iris est gris perle, les pupilles égales. Il n'y a pas de strab
pic-mère de la base, très fine, s'enlève sans détacher de substance grise ; celle de la convexité, plus épaisse, s'enlève
philis. [Père, vigoureux; quelques excès de boissons; très rarement gris ; mort d'une chute dans l'eau.- Mère, morte à so
t enfoncés dans l'orbite, sont grands, largement fendus. L'iris est gris verdâtre; les pupilles sont égales. Les cils so
aussi dis- tincte que la droite ; elle a une coloration légèrement grise . Les deux olives sont égales. Encéphale : 760
le elle est tendue comme un voile. La pie-mère à ce niveau est d'un gris terne, laissant à peine apercevoir par transpar
t la couche optique. Celte membrane laisse entre elle et les masses grises un petit espace de 1 il 2 milli- mètres. Partou
ble, car on enlève avec la pie-mère de grands lambeaux de substance grise . Hémisphère gauche. Beaucoup plus petit que le
te volumineux, qui s'est creusé une loge aux dépens de la substance grise et blanche de l'hémisphère et qui a détruit la
substance blanche qui la sépare du ventricule latéral et des noyaux gris . Il n'existé aucun orifice de communication ave
72 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
moteur oculaire commence à son origine dans la colonne de substance grise située au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et da
r situé au-dessous de l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les fibres pyramidales du côté gauche, respect
dilatés. Au niveau des lames superficielles, les lames de substance grise étaient amincies, probablement sous l'influence
alcaire, rigidité. Les ramifications termi- nales dans la substance grise sont elles-mêmes gravement modi- fiées dans leu
elles-mêmes gravement modi- fiées dans leur structure. La substance grise des hémisphères ne présente pas de lésions macr
hes de von Lenhossek sur les cellules particulières de la substance grise ' Bouchard. Archives générales de médecine, 186
Pour lui l'origine de ces fibres se trouverait dans la subs- tance grise . Hâtons-nous de dire que cet auteur admet con-
ment dégénéré sauf dans une zone assez large, bordant la commissure grise et se pro- longeant en pointe le long du col de
te abdominale (expérience de Stenson) amène la mort de la substance grise de la moelle lombaire... Ils ont trouvé chez de
érescence au sommet du cordon postérieur tout près de la commissure grise , p , Voyons maintenant comment il faut comprend
ulaires d'autre part, et non deux étages superposés de la substance grise médullaire'. 2° Du deuxième système de fibres
oute adhérence au cerveau, elle s'enlève sans happer à la substance grise dont elle n'entraîne pas la moindre parcelle.
e un aspect spécial : elle est souvent de coloration grisâtre, d'un gris lilas, surtout prononcé à la base des doigts et
- male, sauf une coloration insuffisamment foncée de la substance grise . Au microscope, on constate l'existence d'un gran
ers la huitième racine dorsale, il occupe spécialement la substance grise , mais empiète par place sur les différents cord
rs sont très irré- guliers et il se localise surtout à la substance grise . Dans toute son étendue, les vaisseaux sont gor
égénérescence provoquée par la réaction inflammatoire. La substance grise est particulière- ment désorganisée par les tum
la sensibi- lité tactile, après avoir fait étape dans la substance grise de la colonne postérieure, gagne l'encéphale pa
nsibilités, thermiques et douloureuses ne quittent pas la substance grise . Cette donnée explique la disso- ciation de la
e des lésions lesquelles, on l'a vu, ont désorganisé la subs- tance grise . C : 1NUSET. XXXIII. Syringomyélie avec anesthé
sentir à travers la peau, l'os cranien et les méninges sur l'écorce grise du cerveau ? Naturellement, l'auteur recherche
au est réellement diminuée et même abolie, quand on imbibe l'écorce grise d'une solution de cocaïne. Voici les conclusi
le cerveau, mais l'alcaloïde ne parvient pas directement à l'écorce grise , en traversant la peau, l'os et les mé- ninges
précédente, et en plus, une congestion consfdérable de la substance grise antérieure et postérieure. Quant aux nerfs hype
l'autopsie dès que l'animal a rendu le dernier soupir. La substance grise est particulièrement hypérémiée; 8° Au microsco
REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 393 constate de l'oedème de la substance grise corticale couverte d'une sorte de gelée. On app
res des- cendantes se distribuent dans les éléments de la substance grise au voisinage du raphé, soit du côté opposé soit
nent au niveau de la protubérance dans les cellules de la substance grise du même côté, établissant ainsi une communica-
la zone rolandique cérébrale et l'écorce cérébelleuse; 5° Substance grise réticulaire du toit de la protubérance, formée
cervicale. A ce niveau, la disposition des substances blanche et grise est normale, il existe seulement un peu d'asymétr
pont; nombreux petits foyers de ramol- lissement sous la substance grise , disposés parallèlement à la sur- face de l'éco
es rapports bien déterminés entre les divers foyers de la substance grise et à relier ces derniers au système ner- veux p
à unir. Dans ce but Bechteetf divise la totalité de la subs- tance grise en quatre parties principales : substance grise d
é de la subs- tance grise en quatre parties principales : substance grise de la moelle, celle du tronc cérébral, celle du
-à-dire celles qui mettent en rapport le cervelet avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc cérébral de m
ant l'écorce hémisphérique et les noyaux centraux avec la substance grise médullaire et les noyaux du tronc cérébral (sys
73 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
it péremptoirement. Peu après, sur un fond noir se dessine un point gris , vacillant, animé de vibrations analogues à cel
Enfants-Malades. On lui a ordonné des frictions avec une pom- made grise (onguent mercuriel). « Ces frictions rendaient, d
58, Tùrck notait chez des aliénés la coexistence d'une dégénération grise des cordons pos- térieurs et de lésions de péri
ullaires dans la paralysie géné- rale, entre autres la dégénération grise des cordons postérieurs et latéraux, et les rat
altérées. Sur les coupes on remarque la congestion de la substance grise , mais on ne note pas de dégénérescence grise de
estion de la substance grise, mais on ne note pas de dégénérescence grise des cordons latéraux ou postérieurs, si ce n'est
al direct, les cornes antérieures et posté- rieures de la substance grise ne présentent aucune lésion. Les racines antéri
tance nerveuse sclérosée que dans la coupe précédente. La substance grise est- saine, sauf peut-être l'extrémité de la corn
marqué sur le bord externe de la corne postérieure. La substance grise est le siège d'altérations importantes ; les cell
saine. " Les cordons antéro-latéraux, ainsi que toute la substance grise sont absolument sains. Il en est de même des
est le siège d'une pneumonie fibrineuse à la période d'hépatisation grise . Langue. La moitié gauche de la langue est dist
le carmin, on cons- tate une injection considérable de la substance grise antérieure et posté- rieure etaussi de la subst
inée (1). Sur le pubis se voient quelques poils, dont beaucoup sont gris et disposés comme chez la femme. Taille : 1»,
OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE BILATÉRALE ET HÉMIPLÉGIE DROITE 269 colonne grise , située au-dessous de l'aqueduc de Sylvius et dan
la paroi du troisième ventricule. Ils ont; montré que cette colonne grise se com- pose, en réalité, d'une série de centre
t situé au-dessous de l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les fibres du faisceau pyramidal gauche. Dan
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE on trouva la colonne médullaire grise et les noyaux bulbaires absolument intacts. On
ser croire au patient. ¡ Ce savant homme est vêtu d'une grande robe grise , à collet et à larges manches ; sa tête est env
re. Sur les coupes transversales, dans la même région, la substance grise tranche moins nettement qu'à l'état normal. La
é en bas qu'en haut. La prédilection de la lésion pour la substance grise est évidente, mais au niveau de la tête des corne
le distingue encore fort bien dans tout ce tissu. Dans la substance grise les cellules nerveuses sont encore conservées,
'extension plus considérable de la lésion au niveau de la substance grise , sa tendance manifeste à fuser le long de l'axe d
ition n'est pas en rapport avec la structure intime de la substance grise qui, ainsi qu'on le sait, permet 'facilement le
tion des foyers d'hématomyé- lie qui filent le long de la substance grise à une distance quelquefois considérable de leur
de la 8e dorsale la tache de myélite n'occupe plus que la substance grise , dont elle dessine très bien la forme; elle empiè
dorsale il ne reste plus qu'un très petit point dans la commissure grise et un autre en dedans de l'extrémité de la corne
r rapport l'extrémité supérieure, sa prédilection pour la substance grise , qu'elle abandonne la dernière ses deux extré-
ondie, munie de un ou plusieurs noyaux (I'L. LU). Dans la substance grise les cellules nerveuses ne sont pas détruites, m
74 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
ur cause une lésion matérielle, une hyperexcitabilité de la substance grise et en particulier des cellules motrices des corne
otale. La malade reconnaît bien la forme des objets, mais les voit en gris , comme une photographie non colorée observée au s
onstances du cas et siège vraisemblablement surtout dans la substance grise centrale. Il n'y a aucune raison de croire que le
ux blancs antérieurs ou postérieurs soient envahis. Dans la substance grise , les cornes postérieures ne sont pas affectées pr
nière et plus particulièrement des cornes antérieures de la substance grise . Cependant il y a lieu d'établir, ajoutions-nous,
spinales deutéropathiques, dans lesquelles la lésion de la substance grise est secondaire; 2° Les amyotrophies spinales pr
ies spinales prolopathiqnes dans lesquelles la lésion de la substance grise est le fait unique ou tout au moins le fait primi
Tout d'abord viennent ces cas dans lesquels la lésion de la substance grise est un fait accessoire, accidentel, pour ainsi di
tive mais toujours nécessairement suivie d'une lésion de la substance grise . Ici ce sont les faisceaux pyramidaux qui sont pr
ie musculaire progressive du type Duchenne-Aran. La lésion des noyaux gris moteurs, spinaux ou bulbaires est le fait unique,
miquement par la lésion isolée des cornes antérieures de la substance grise de la moelle et cliniquement par l'amyotrophie. I
localisée dans une certaine étendue en hauteur de la corne antérieure grise , au renflement brachial du côté droit, pourrait,
vrai qu'une lésion concomitante des cornes postérieures de substance grise , dans les régions correspondantes de la moelle, p
sions tout à l'heure, avait envahi les parties médianes de la colonne grise , cette fois l'anesthésie porterait non plus seule
lleurs encore, plus haut dans l'hémisphère, c'est-à-dire dans Fécorce grise ou les parties immédiatement sous-jacentes du cen
où siége-t-elle, quelle est sa nature? C'est, je pense, dans l'écorce grise de l'hémisphère cérébral du côté opposé à la para
a paralysie dépendait d'une lésion dijnamique localisée dans l'écorce grise de la zone motrice brachiale, du côté opposé à la
ut développée à la suite d'une lésion destructive occupant l'écorce grise de l'un des hémisphères cérébraux. Personne ne
u même coup le mécanisme de leur développement ; c'est dans l'é-corce grise des hémisphères cérébraux — je crois pouvoir l'ad
région dorsale et intéressant plus ou moins profondément la substance grise centrale. En pareil cas, l'anesthésie des membres
région dorsale et intéressant plus ou moins profondément la substance grise centrale. Alors, en effet, l'anesthésie des membr
ynamique affectant celles des zones motrices etsensitives de l'écorce grise cérébrale qui, à l'état normal, président au fonc
tre de l'arc diastaltique est représenté par lies régions de l'écorce grise où s'opèrent physiologiquement les phénomènes psy
lleurs peut-être, également, un point de départ psychique, les noyaux gris sous-corticaux et bulbaires, ainsi que les cellul
'une atrophie indépendante de toute lésion matérielle de la substance grise de la moelle et des nerfs périphériques. C'est là
à d'une altération purement dynamique du système nerveux; les centres gris de la moelle et les nerfs périphériques sont norm
75 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
du fait de cette pression, de la substance blanche, de la substance grise , de la névroglie, des vaisseaux et des méninges
rations de l'épen- dyme, des cellules épithéliales, de la substance grise sous-épen- dymaire, des vaisseaux, et de la dég
ance blanche de la circonvolution, la couche moléculaire du manteau gris étant respectée. C'est bien là la lésion la p
tion. 3° ces lésions comportent des modifi- cations de la substance grise et de la substance blanche. 4° les lésions de l
es et anastomotiques intra-spinales. 6° Les lésions de la substance grise semblent à peu près locali- sées dans les corne
sans enlraitier toutefois eude nombreux points un peu de substance grise . Tandis que l'on enlève le cerveau, il s'écoule
sont le siège de nombreuses érosions caractéristiques. La substance grise est légèrement ramollie suit out au niveau de l'e
le lobe frontal droit un foyer étendu de ramollissement, de couleur gris jaunâtre, et il parait évident que ce foyer de
ar une lésion sous-corticale. L'examen histologique de la substance grise d'où provenaient les libres ramollies (partie m
ns histolo- giques qui ont été décrites dans les méninges, l'écorce grise (névroglie, cellules) et même la substance blan
tré l'exis- tence d'une destruction complète bilatérale de la corne grise anté- rieure depuis la moelle cervicale supérie
a moelle qui vont être projetées. Cette destruction de la substance grise est le plus accentuée au niveau du renfle- ment
ofondément altérée. Elles sont le plus accentuées dans la substance grise , diminuent rapidement dans la substance blanche
oyons cependant que, dans notre cas, la destruction de la substance grise doit être attri- buée à des bémorrhagies médull
ur sortie de l'axe nerveux. On pourra ainsi : 1° établir les masses grises en connexion avec les différents nerfs r 2° rés
fibres radiculaires sont directes. Elles proviennent de deux masses grises distinctes : un noyau dorsal ou le noyau classi
salement la moelle jusqu'au niveau de la partie externe de la corne grise postérieure. Là, les fibres se SOCIÉTÉS SAVANTE
pouvant se poursuivre, les supérieurs, jusqu'au centre de la corne grise anté- rieure, les inférieurs, jusque dans la pa
, les inférieurs, jusque dans la partie externe de cette même corne grise . Nerf hypoglosse. Les libres radiculaires provi
reuses fibres radiculaires en dégé- nérescence provenir de la corne grise antérieure du côté corres- pondant. Aucune d'en
êmes terminaisons à bout épaissi existent également dans les noyaux gris à la base du cerveau, dans le cervelet et le bulb
un faisceau de rayons ayant pour centre les confins de la substance grise centrale du canal encéphalomédullaire, envoient
cence descendante. Proviennent-elles des cellules de la substance grise ' ? Voici un fait de tabès dorsal dans lequel l
la préparation dans l'eau distillée. On doit obtenir une coloration gris foncé, ou tirant sur le brun jaune. Tous ou presq
'en sépare plus de flocons colorés, et jusqu'il ce que la substance grise tranche nettement par sa colora- tion rouge sur
cérébrales. Hyperémie très marquée des méninges et de la substance grise de la moelle. Néphrite double. Le pylore est le
itié postérieure de la moelle, et qu'elles épargnaient la substance grise ; plus tard on affirma que cette dernière coura
elle : elles ne permettent aucunement de reconnaître la SUBSL tance grise ou les cordons de la substance blaticlie. 1. ! i.
reconnais- sables malgré un certain degré d'atrophie. La substance grise n'est représentée que par une toute petite port
ée et mal colorée. A une petite distance de ce restant de substance grise , on distingue le sillon médian-antérieur, bien
à la périphérie de la moelle ; conservation d'un peu de subs- tance grise dans la corne antérieure gauche) permettent bien
anche continue à être démyélinisée comme précédemment. La substance grise est représentée simple- ment par quelques grand
ERVEUSE disséminés çà et là ; par contre les cornes de la substance grise ne sont représentées que par quelques éléments
iennes. D. Coupes au niveau de la 8° racine dorsale. La substance grise a repris sa configuration et sa structure habitue
lance, être assez vio- lente. s'exercer profondément, jusqu'à l'axe gris central, car c'est dans la substance griae péri
eos de los segmentos niedulai-es del hombre (Topographie des noyaux gris des segments médul- laires de l'homme), avec 12
sion musculaire, par de Buch et Demoor. 3++. Topographie des - gris et segments médullaires, par Borda, 537. · Oi
76 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nystagmus. La perception des couleurs est éteinte. Ail... voit tout gris ; son champ visuel est réduit presque à un point.
dure-mère avec pachyméningite. Intégrité de la substance blanche et grise de la moelle, même au microscope; cellules nerv
nces généralisées, les cir- convolutions peu marquées; la substance grise est pâle, décolorée, la pulpe cérébrale ramolli
XI. RECHERCHES anatomiques SUR la marche DES FIBRES DE la SUBSTANCE GRISE CENTRALE DES CAVITES CÉRÉBRALES ET LA DISPARU-
ns toute son étendue. Tant et si bien. qu'au niveau de la substance grise du troisième ventricule, on compte quatre trous-
région de l'infundibulum; 2° Les fibres qui occupent la substance grise centrale des cavités, se terminent dans les noy
OLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l'atrophie des fibres de la substance grise des cavités qu'il faut rattacher les troubles s
é; la racine descendante, dans les grosses cellules de la substance grise centrale des ventricules, autour de l'aqueduc de
rganes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophie DES fibres dans la substance grise ET des PRO- CESSUS DE division DES noyaux dans
de la moelle provoque la myélomala- cie transverse de la substance grise et une dégénérescence secon- daire bilatérale.
s cellules con jonctives de la substance blanche et de la substance grise . En multipliant les hémisections chez les lapin
e totale des grandes pyramides ; immédiatement sous l'écorce, zones gris clair, parfois séparées de l'écorce par une cou
gerl, mais le cyano-ferrure de potassium et l'hématoxyline les rend gris obscur et noirs; la solution d'aniline et de fuch
titielle des plus accusées ; intégrité du plexus et de la substance grise . Discussion : M. B1NSZPdNGEIt traite un jeune h
nerf sciatique suivies de lésions des parties centrales (substance grise de la moelle) et pense que dans les expériences
ation consécutivement à une altération des cellules de la substance grise . M. le professeur KAJEWNIKOW. - Les recherches
e faisceau de Flechsig (allant de l'entre-croisement à la substance grise centrale du troi- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES. sièm
communs une lésion nécessaire des cornes antérieures de substance grise , évoluant suivant le mode chronique. A cet égar
t primitivement les faisceaux blancs ou les régions de la substance grise , autres que les cornes antérieures, ne puisse r
antérieures, ne puisse retentir sur cette partie de la substance grise et déterminer secondairement, acci- dentellemen
prédominant dans le renflement cervical et intéressant la substance grise des cornes antérieures de cette région de la mo
diffuses, mais prédominant dans les cornes antérieures de substance grise et dont je vous parlais tout à l'heure ? Je ne
résentent. Ils revêtent tous une couleur jaune clair, tirant sur le gris , tout à fait pâle et se confondant absolu- ment
que des cellules ganglionnaires des cornes antérieures de substance grise de la moelle épinière, centres trophiques.des m
pathologie NERVEUSE. Observation CCLXXVI. 14 mars 1891. (Résumé.) - Mme Gris ..., trente-cinq ans, dit avoir une bonne auditi
its vaisseaux, récentes hémorrhagies punctiformes dans la substance grise ; hypertrophie du lobe moyen de la prostate; hyd
sséminées. Dans ces derniers cas, il dénote l'altération des cornes grises antérieures de la moelle. L'ordre de son appari
stence de la Société. M. Kronthal. De l'hétérotopie de la substance grise de la moelle de l'homme. - L'orateur présente u
fibres de l'écorce du -, 1 par Kaes, 109; fibres de la substance grise des cavités du , par Schuetz, 109; lésions trau
cérébrale, par Vors- tel, 126. 111;'1 h1\OTOPU : de la substance grise de la moelle, par Krontlial, '3US. table DES
la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des fibres de la substance grise de la -, par llinor et Kuo- blauch, 111; - lési
77 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
te maladie que. parce, que les cornes antérieures de la substance grise ont été plus altérées dans ces cas que dans d'a
e uniquement cantonné dans les cor- nes antérieures de la substance grise . Cela n'empêche pas cet auteur d'admettre que,
habituelles et se propager soit aux autres parties de la substance grise , soit même aux faisceaux de la substance blanch
la subs- DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE SPINALE DE DUCHENNE. 27 Î tance grise de la moelle. Quant à la hauteur de ces lésions
e indiquent') des lo- "- . calisations médullaires de la substance, grise ;1 autant les secondes dénotent des altérations
combinaison de lésions systématiques et diffuses de (la. substance grise de la moelle. On est en droit en : effet 'de ci
de circonscrire la lésiollijusqu'à un certain point à -la substance grise seule, en notant l'absence de douleurs, l'aboli
que les cornes antérieures de la moelle et le reste de la substance grise sont largement inté- ressés. C'est, nous croyon
cornes antérieures avec les altérations dif- fuses de la substance grise , ainsi que l'ensemble, la distribution et la sy
objets que je lui suggérais de voir, mais elle les voyait toujours gris ' H. Bourru et P. Burot. Variations de la perso
es lésions sur les noyaux du quatrième ventricule et sur les cornes grises antérieures de la moelle (observations de Goldtla
ort par paralysie de diaphragme. Examen microsco- pique : substance grise : diminution et atrophie des cellules gan- glio
tout à fait superficiel et n'intéresse exactement que la substance grise . A une petite distance, dans la substance blanche
nt la substance blanche sous-jacente. Aucune lésion daus les noyaux gris de la base ni dans les ventricules. 236 ' RECUE
mystérieux de Archives, t. XXIV. 16 242 THÉRAPEUTIQUE. l'écorce grise , points inaccessibles à notre pouvoir d'analyse,
le cerveau peut être traversé et subir une vaste perte en substance grise sans qu'aucun trouble s'en suive dans les sensa-
ndition d'instabilité et d'irritation particulières de la substance grise de l'écorce cérébrale. Chez beaucoup d'animau
yer épileptogène. Tout en considérant l'instabilité de la substance grise de l'écorce comme la cause immédiate de l'accès
moitié. Cela s'interprète ainsi, d'après M. Jelgersma. La substance grise n'avait pas diminué, mais elle s'étendait sur u
ies montrent, au point de vue qui nous occupe. A. Dans la substance grise . - 1° Atrophie du noyau principal de 260 REVUE
1° la, réduplication et l'hétérotopie (congénitales de la substance grise . Voir description et figures) ; 2° les lésions
ile d'oeillet et le baume du Canada. 11 se produit une colo- ration gris bleuté des fibres myéliniques, des cellules nerve
nière, l'existence de cellules nerveuses est limitée à la substance grise et que, les quelques cellules nerveuses isolées,
isolées, qui occupent la substance blanche, avoisinent la substance grise et, morphologiquement, sont identiques aux autr
ndants. Elles n'ont pas les caractères des cellules de la substance grise ; grosses, ovales, par- fois plus grosses que le
e les systèmes de fibres que l'on peut distin- guer de la substance grise du troisième ventricule. Ce sont : immé- diatem
s ganglions lymphatiques. Au microscope, atrophie simple des cornes grises antérieures de la moelle; légère sclérose des f
complète des organes sensoriels. En un mot, lésion de la substance grise du cerveau et de la moelle (cellules des cornes a
ltération primi- tive des grandes cellules motrices de la substance grise des cornes antérieures comme dans la paralysie
la région cervicale dans la corne antérieure gauche de la substance grise , on la rencontrait aussi, quoiqu'à un moindre d
sans aucun doute à la localisation de l'affection dans la substance grise de l'écorce cérébrale. Le plus souvent, le ce
herches de Schuetz, il faut le rattacher aux noyaux de la substance grise centrale. En ce qui concerne le noyau de l'ocul
de maladie de Basedow a trouvé une légère rougeur dans la substance grise , rien de plus. M. GOLDSCIIEIDER a trouvé simple
effet, ce faisceau se compose de substance blanche et de substance grise dont les rapports entre elles sont quantitative
s sont quantitativement très variables; si, d'un côté, la substance grise concomitante est plus développée, la méthode de c
ns systématiques de la moelle. Entre la sclérose, la dégénérescence grise et le tissu granulo-graisseux secondaire, il n'
78 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ervation. Mais ce n'est que tardivement qu'il a envahi la substance grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à cette mê
e grise centrale, quoi qu'il fût sous-jacent à cette même substance grise sur une assez grande étendue. Les phénomènes
e princi- palement du côté de la convexité, et atteint la substance grise périphérique, sans l'intéresser cependant. Cett
une teinte rougeâtre, elle est toujours située contre la substance grise . Du côté interne on voit à côté de la tumeur un
ande par- tie de son étendue elle était sous-jacente à la substance grise , Fig. 3. Sixième coupe passant à 7 à 8 centimèt
ent localiser l'altération, et bien que, d'après Schiff, les cornes grises postérieures soient le territoire par lequel pass
lore la myéline des nerfs périphériques du nouveau-né en vert ou en gris jaunâtre et non en noir; les quelques fibres du
s prennent par l'acide osmique un ton verdâtre et non blanchâtre ou gris blanchâtre, et encore souvent notable quantité
l'insula. Çà et là atteinte de la substance blanche- et des cavités grises centrales jusqu'au début du quatrième ventri- c
ont la périphérie de même coloration. Les contours de la substance grise sont très nets, et sauf quelques fentes qui se
'arachnoïde est légèrement épaissie. Dans les substances blanche et grise on trouve les noyaux de névroglie multipliés. O
ipliés se propagent dans quelques endroits jusque vers la substance grise . La prolifé- ration de la névroglie est surtout
e triangulaire. Au côté gauche du canal central, dans la commissure grise , il y a également un petit groupe de leucocytes
lle où elles peu- vent envahir la substance blanche et la substance grise . On a pu trouver les cellules géantes non seule
s-nous supposer que les lésions, trouvées dans les deux commissures grises , ont existé avant que les cordons posté- rieurs
e de la substance blanche a la couleur blanc grisâtre. La substance grise est pâle. A l'endroit où la pie-mère adhère à la
sclérosée qui est nettement limitée du côté intérieur. La substance grise est normale. Sur quelques coupes, on trouve, da
d'en observer un qui a fait quarante fois le tour de France; il se grise , travaille en passant dans les villes jusqu'au jo
passant dans les villes jusqu'au jour où il touche sa paye, puis se grise de nouveau et repart). Une troisième variété es
a tunique musculaire prend, par l'hématoxyline, une coloration bleu gris un peu trouble; on y distingue encore assez bie
pace qui est compris entre les racines postérieures. Celles-ci sont grises , atrophiées depuis le bas jusqu'en haut. L'atroph
nstate une atrophie considé- rable des cordons postérieurs qui sont gris et s'affaissent. Le plan- cher du quatrième ven
et Joffroy. Dans ce cas, les cavités développées dans la substance grise postérieure et antérieure sont secondaires à la
etentir par compression ou par tout autre mécanisme sur subs- tance grise et sur le canal épendymaire et déterminer des cav
ue reste proportionnelle à l'atrophie, des cellules de la substance grise . Elle respecte les faisceaux avoisinants : pyra
'olfactif dans le travail de Reinhard qui trouva une dégénérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l'atrophie
issant les tuber- cules quadrijumeaux du côté gauche à la substance grise centrale; il y a deslructioll'parlielle du fais
bres à court trajet qui ne tardent pas à pénétrer dans la substance grise . Or, les altérations des cordons postérieurs ch
ns de la réaction élec- trique, et pas d'altération de la substance grise dans les régions inférieures de la moelle. On n
os de la transmission de la douleur, ils considèrent la subs- tance grise comme un organe de summation plutôt que comme un
pinière. Les diverses lésions de substance blanche, de la substance grise et de la névroglie sont indiquées. Les auteurs
gique. a) Etat physique. - Physionomie peu éclairée, les yeux, d'un gris bleu, ne sont pas vifs; les cheveux mal plantés
xes cutanés et tendineux représentés évidemment dans la substance grise spinale par deux systèmes diastaltiques différent
En outre des hémorragies habituellement observée dans la substance grise cen- trale, il existait un foyer de ramollissem
79 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
- tions occipitales, nettement séparés. - Corps calleux et noyaux gris centraux, rien de particulier. - Corne d'Am- mo
e- mière circonvolution temporale droite ; de ce côté, les noyaux gris centraux paraissent plus petits. Ainsi, dans ce
oral. - Ces deux lobes se composent d'une mince couche de substance grise recouvrant la membrane ventri- culaire. Seule l
ons sont notablement effacés. Le pédoncule cérébral et les noyaux gris centraux ont été fortement déprimés et atrophié
oge distincte de la corne frontale et séparée d'elle par les noyaux gris . La membrane qui recouvre le ventricule est épa
ois ne sont pas minces et translucides comme à droite et les noyaux gris centraux, bien que fort déprimés, ont conservé
'hippocampe, et temporo-occipitales, le £ corps calleux, les noyaux gris n'ont rien d'anormal au point de vue morphologi
ue. Il en est de môme du corps calleux, des ventricules, des noyaux gris et du pédoncule cérébral. Sur les deux hémisphè
obe temporo-occipital, de l'hippocampe, des ventricules, des noyaux gris , du pédoncule, etc. Le cuve let, la protubéra
e la circonvolution du corps calleux et de ce der- nier. Les noyaux gris centraux sont aussi déprimés et la cauité ventr
râne, de la dure-mère à la pic-mère, de celle-ci à la subs- tance grise , etc. ; - c) l'hydrocéphalie symptoma- tique de
s des circonvolu- tions frontales ont été privées de leur substance grise super- ficielle lorsqu'on a arraché la pie-mère
iéto-limbique. Rien à noter d'apparent au corps calleux, aux noyaux gris , ni aux tubercules quadrijuineuux et aux pédonc
nt absolument Examen histologique. 195 sains et pour la substance grise de leur écorce et pour la substance blanche de
t. 2° Elle prend également la substance blanche et la subs- tance grise , ensemble ou séparément. 3° Elle n'a pas partou
à son début EXAMEN HIST0L0G1QUE. 197 i partout, dans la substance grise , dans la substance blan- che. môme dans la régi
es points très variés, de la substance blanche ou de la substance grise , mais toujours dans le voisinage d'un vaisscau, a
80 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
n'y a aucune lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres des divers faisceaux sont complèt
illes de la névroglie ; il est tellement abondant dans la substance grise qu'il en cache presque tous les détails sur les
ui,e de"la m'oéll cervicale, on dis- tingue fort bien, à' la teinte grise , une sclérose du cordon de Goll peu étendue,' e
une série de coupes de haut en bas, on voit appa- raître une teinte grise dans le faisceau pyramidal dès le milieu du ren
u noirâtre, fibreux, criant sous le scalpel, crible'de granulations grises . Ce tissu est creusé de bronches' dilatées et'd
diosyncrasie propre à 'la grippotoxine et à son action sur l'écorce grise ; 4° quel est le rôle de la fièvre et de la gripp
onnes de Clarke. Observation V. Atrophie ayant atteint la substance grise pos- térieure et les cordons de Bunduch. Pendan
res, surtout dans le renflement cervical; intégrité de la substance grise , rien dans les racines antérieures et posté- ri
a En profondeur, elleloccupe toute l'épaisseur, de,`la substance' grise , la substance- blanche. sous-jacente. est plus va
écoces chez des hémiplé- giques dépendant d'ulcérations de la corne grise antérieure du côté paralysé. Dans le cas recuei
corticale, mais cependant celle-ci devait s'exer- cer sur la corne grise antérieure et non directement sur les muscles 1
ainsi que le démontre l'expérimentation7proviehnent de la substance grise . En même temps "que' lé1 faisceau1 de'Goll ! rd
le a le volume d'une noix ; sa consistance est ferme,. sa : couleur gris rosé : - L'auteur a,relaté ce cas à cause de so
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXII. UN C.1S.D'HÉTÉROTOPIE DE la SUBSTANCE GRISE dans LES HÉMI- SPHÈRES cérébraux ;' par M. MATE
u beau milieu du centre ovale deVieus- sens,' .existe une substance grise semblable à l'écorce, avec laquelle elle est en
mmunication par des faisceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans' la substance blanche ordinaire a
s embryonnaires indiffé- rentes se^sont transformées en substance'. grise pour remplir la place que laissait vide la subs
lanches qui sont, par -suite, anormalement devenues de la substance grise . P. K. ' . <' .. ? ' . , 11, ..il* ' ' ' &
eux limité à la' substance grise' ou à la moitié de la 'substance1* grise (cas* de Rossolimo,Déjerine et Soltas) ; 2° gli
se atteignant les deux côtés de la moelle cervicale et la substance grise de la`moelle dorsale d'un"côté sur une1 longue
ux supérieur du côté opposé 40 par , l'intermédiaire déjà substance grise protubérantielle, un des hémi- sphères cérébrau
s cornes posté- rieuresrrestent indemnès;i·indemnes,aussiles cornes grises .-A l'inversé de equialieuidansi,le tabès,. dégé
nerveux (conservation de la conductibilité). L'intégrité des cornes grises , postérieures et des racines -postérieures erend
iv 91 ,t &t3S"t xoBam). ^'XL. DE l'hétérotopie detlaI substance GRISE ,DANS la< moelle; lu- , v ? u par P. KIioNTH
acrés'îeL9 celles du ''nerf coccygien. Prédominance de la substance grise : organe très vascu- Jaire ne renfermant pas dë
ostérieure et le, - t , bord I... 1 p-ôstéiê-ù de là -6oni- missure grise ; 3° des fibres'fines^isolées'occupent'la partiean
cupent'la partieanté- rieure du gros ti'ousse.ü' dé la côïninissùré grise .' Lé large trousseau (pôstérô-moyen' dé'Séliàfi
es sous-épendymaires ou des dépressions profondes dans la substance grise du noyau caudé ou de la couche optique, il y au
qui est assez abondante dans quelques artérioles de la subs- tance grise ; les veines sont dilatées 'et pleines de sang ; ç
a lésion vasculaire porte'non-seullem les vaisseaux de la substance grise , niais aussi sur- ceux delà substance blanche, do
ali de 'la' grosseur d'un oeuf de pigeon sous-jacent à la substance grise de l'insula et , , . ',) ? TH'\ .. '' -" i.ipl
es parties des centres, nerveux ^désignées sous le nomade substance grise ,; ou la surface. se,, trouve^en.) contact avec du
réduite avec formation de produits salins dialysables.Lasulosta21ce grise , siège de la.combus- tion, emprunte sa^ couleur
même construction apparente. Il est des régions de cette substance grise dont nous connaissons la-fonction. Ce sont' par
ales, par Dai-h-sclie-witsch, 222. IHÉ1'ÉROTOI'IB de la substance grise , dans les hémisphères cérébraux, par Matett,
81 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
e, sinon exclusive, certains éléments bien déterminés de la substance grise , c'est-à-dire l'appareil des cellules nerveuses d
vous le savez, ont pour siège les cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. Avant d'entrer dans l'ét
s la moelle épinière, un espace relati-vement restreint, la substance grise centrale est cependant, au 4e ANNÉE. 1 point
Qu'il me suffise de vous rappeler que ce cordon central de substance grise est un lieu de passage obligé pour la transmissio
réflexes doivent nécessairement, elles aussi, passer par la substance grise , — de telle sorte que, si cette voie était coupée
il semble aujourd'hui démontré que toutes les parties de la substance grise ne sont pas indistinctement affec-tées à l'exécut
space si limité, je le répète, si circonscrit, qu'occupe la substance grise au centre de la moelle épinière, il y a lieu d'ét
iologi-quement, d'une façon très-nette, ce qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de substance grise. La pre
qu'il appelle la substance grise centrale et les cornes de substance grise . La première aurait seule, avec les cornes postér
érations qui affectent isolément ces diverses régions de la substance grise . C'est là justement le cas des affections que n
es jusqu'ici et qui, comme les premières, ont pour siège la substance grise centrale. Dans ces myélites centrales, la lésio
nctement sur tous les points, sur toutes les régions de la sub-stance grise , d'où il résulte que la sensibilité et le mouveme
nts, indi-quant une participation au moins temporaire de la substance grise centrale? Quelques observations faites par MM. Du
à 17 centimètres, des plaques marron foncé, mar brées de violet et de gris , allongées transversalement, faisant une saillie
ect que dans l'estomac : « Au lieu de petits amas isolés et de godets gris ou jaunes, ce sont, dit M. Parrot, de larges plaq
té l'existence d'une atrophie des cor-dons antérieurs de la substance grise et des cordons blancs antéro-latéraux, dans la ré
certains points exclusivement, les cornes antérieures delà substance grise . Dans loutes les régions de la moelle, les grande
s de la névroglie envahis-sent la plus grande partie de la substance, grise et s'étendent même parfois aux parties adjacentes
ent proportionnées, quant à l'intensité, aux lé-sions de la substance grise . Il nous paraît évident,d'après tout ce qui pré
ifiés ; je n'ai qu'à citer le musc, la civette, le castoréum, l'ambre gris . Le règne végétal semble devoir échapper à toute
e avoir subi une dégénérescence graisseuse ; il prend alors un aspect gris sale qui tranche nettement sur les parties blanch
CULES DES ORGANES GÉNITAUX est recouvert d'un sablé de granulations grises ; les ganglions mé-sentériques sont infiltrés. L
REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX PSEUDARTH ROSE DE LA JAMBE grises se développent dans le testicule; elles y agissen
des lésions siégeant dans certaines régions bien déterminées de l'axe gris spinal. Ce groupe d'affections musculaires, que
re qu'elle occupe aussi bien les cordons posté-rieurs et la substance grise que les cordons antérieurs. Lorsque le malade m
ns par de véritables tourbillons de sclérose, lésions de la substance grise dont les cornes sont atrophiées, refoulées, coupé
82 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
s siégeaient soit à la surface, soit dans l'épaisseur de la substance grise , soit à la réunion de la substance blanche a\Tec
vif ou violacé jusqu'au brun rougeâtre ou noirâtre, quelques-uns même gris ou jaunâtre (Pl. I, fig. 2, A,B). Si l'on examine
e. Quand les anévrysmes sont complètement plongés dans la substance grise des circonvolutions, il arrive souvent qu'on les
tre à la partie antérieure du ventricule droit, une dans la substance grise de l'une des circonvolutions frontales droites; o
par l'atrophie du pédoncule cérébral gauche et l'atrophie avec teinte grise de la pyramide antérieure gauche. On voit sur les
Lyon, 9 février 1868). et ses prolongements à travers la substance grise . Lespetitesartè-res des corps striés sont dures,
, existe un autre anévrysme miliaire dans l'épaisseur de la substance grise . Obs. LXXV. Salpêtrière. — Charcot. Cronier (
face du cerveau, quelques-uns cachés dans l'épaisseur de la substance grise . En outre de ces taches d'un rouge noir, on voit
, on voit à la surface du cerceau et dans l'épaisseur de la substance grise , une foule de petites granulations brunes, brun j
1°. Obs. XIII. Marazin, 71 ans. — Foyer hémorrhagique dans le noyau gris tœniforme droit. Début le 28 octobre 1866. — Hé
à la convexité de l'hémisphère gauche. Cette Fausse membrane est d'un gris rougeàtre et contient, outre des éléments tibrine
agit dans ce cas d'un foyer hemorrhagique développé dans la substance grise du renflement lombaire ; une vaste eschare se pro
Philadelphie. 1864, p. 84. lité, sinon la totalité, de la substance grise du même côté (1 ). Ainsi, consécutivement à une
e deux centimètres environ. Au pourtour de cette plaque, la substance grise de plusieurs circonvolutions est, dans une certai
et est recouverte par une couche ex.trôme-ment mince de la substance grise de la circonvolution. Cette tumeur, qui a le volu
ées aux éléments cellulaires. Au voisinage de la tumeur, la substance grise , comme la substance blanche du cerveau, n'ont off
e le chémosis. Les cartilages diarthrodiaux présentent une coloration grise toute particulière et paraissent comme imbibés de
e à une heure du matin. Autopsie. — Plusieurs noyaux d'hépatisation grise au sommet du poumon droit. De volumineux caillots
as les couleurs avec son œil gauche ; elle voyait tout en blanc ou en gris . De l'œil droit, elle reconnaissait exactement le
ps la perception. Le phénomène commence par l'apparition d'un point gris au centre de la couleur dont le malade va perdre
isque de Newton que nous projetons sur cet écran. Le reste lui paraît gris ou blanc. Plaçons sur sa tempe droite un bandeau
s couleurs et que vous ne puissiez distinguer rien autre chose que du gris ou du blanc. Vous avez tous l'achromatop-sie des
intermédiaire des cellules motrices, est mis en rapport avec l'écorce grise , siège des phénomènes psychiques, à l'aide des fi
83 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
Quelles sont les parties atteintes ? C'est tout d'abord la substance grise des cornes antérieures et aussi les faisceaux lat
uelle, vous le savez, existe une altération organique de la substance grise centrale de la moelle épinière. Remak (2) et Ro
voir, dans le système des cornes postérieures et antérieures de l'âge gris , le trait d'union nécessaire entre l'affection de
M. Blocq. me semble toutefois relever d'une lésion de la substance grise des cornes antérieures de la moelle épinière (1).
systématiquement, par exemple, les cornes antérieures de la substance grise de la moelle dans l'atrophie musculaire progressi
tabès, qu'elle soit bulbaire ou spinale, sur l'altération des noyaux gris quand il s'agit du bulbe, et, quand il s'agit de
a moelle, sur leurs analogues, les cornes antérieures de la substance grise . Il arrive assez souvent, d'ailleurs, ainsi qu'
descendante, mais elle a plutôt envahi plusieurs points de la colonne grise antérieure simultanément, car le bulbe inférieur
e par une lésion inflammatoire des cornes antérieures de la substance grise de la moelle avec destruction des cellules motric
la moelle épinière, c'est-à-dire aux cornes antérieures de substance grise (polioencéphalomyélite). L'altération porte alors
'altération porte alors sur la totalité des parties motrices de l'axe gris bulbo-médullaire, depuis le pédoncule cérébral ju
ans son siège. Elle affecte de se limiter tout d'abord à la substance grise , débutant en général en arrière du canal central,
nalytique admirablement réussie, les diverses régions de la substance grise . Soit dit en passant, la formation d'une cavité n
x ordres : 1° intrinsèques, en tant qu'ils relèveront de la substance grise ; 2° extrinsèques s'ils dépendent de l'extension
la syringomyélie. Mais quel est le département exact de la substance grise qui en est le point de départ anatomique? On peut
ui décrite, une lésion spinale centrale occupant surtout la substance grise de la moelle cervicale. Les névrites constatées p
résidé à la production des phénomènes cliniques : lésions de la corne grise postérieure gauche dans une certaine étendue en h
; lésions enfin des régions encore mal connues qui dans la substance grise centrale président à l'évolution des troubles tro
ment la gliomatose affecte une prédilection marquée pour la substance grise centrale et les parties blanches adjacentes et, d
eure, s'est étendue ultérieurement dans la direction de la commissure grise . La lésion du faisceau pyramidal a produit la con
on et le fonctionnement des muscles ; l'envahissement de la substance grise au voisinage du canal épendymaire et à gauche a d
84 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
divisée entre tous les centres corticaux, entre toute la substance grise du cerveau, qui joue le rôle de centre psychiqu
temps impairs ? Comme tels sont avant tout à considérer les masses grises du corpus fornicis puis les embranchements, for
terminé. Par conséquent nous sommes forcés de considérer les masses grises du corpus fornicis impair, le 5° ventricule com
? Dans cette se- conde manière d'envisager les choses, la substance grise médullaire serait encore la véritable machine m
fibres de ce faisceau qui correspondent aux centres de la substance grise , préposés à la contraction de tel ou tel muscle
l y a dansja théorie de M. Marie deux idées, l'une que la substance grise médullaire est une véritable machine motrice sous
n part de l'encéphale, et va mettre en activité l'ilot de substance grise de la moelle d'où naissent les fibres nerveuses
tout entière d'origine médullaire ; c'est de l'îlot de la substance grise mé- dulU ire, mis en activité par l'incitation
art le stimulus qui va exciter les îlots homologues de la substance grise de l'autre moitié de la moelle... » * Unverri
en virgule de Schultze et une voie diffuse à travers la subs- tance grise . » Jackson, Thorium, Bruns, Rischoff, Crocq, Ma
ibres mêmes au milieu des éléments sains de la substance blanche ou grise . Plus tard, lorsque la myéline est complète- me
par la voûte du ventricule latéral Ve et, en dehors de la substance grise épendymaire, par le pied de la couronne rayonna
e de rares cocci. La phalangette saille sous forme d'un petit point gris noir, vermoulu. L'ongle est blanchâtre, lisse, op
t détruite, que les autres sont repoussées en avant, que les noyaux gris et la capsule interne sont intacts. Dans la moiti
nces de la moelle a presque complètement disparu. Dans la substance grise , les cellules nerveuses sont réduites à quelque
étendue des cordons postérieurs. Les grosses libres de la substance grise (faisceaux verticaux de la corne postérieure de K
ne voit pas se vérifier ce même fait à l'intérieur de la substance grise où les fibres myéliniques qui s'y trouvent, prése
nt très peu de fibres nerveuses teintes en noir ; dans la substance grise il n'y en a que quelques-unes isolées. * Moelle
qu'on a observé dans la moelle cervi- cale et dorsale, la substance grise contient à ce niveau un nombre assez remar- qua
on des fibres myéliniques de la commissure blanche et de la substance grise est d'un violacé encore plus clair. Méthode d
névroglie, aussi bien dans la substance blanche que dans la substance grise , sont plus larges que d'ordinaire et nous offre
alade sont assez prononcées et diffuses aussi bien à la subs- tance grise qu'à la substance blanche : mais ce qu'il y a de
qu'on ne peut la sé- parer sans arracher des lambeaux de substance grise .Notre figure I montre la face convexe de l'hémi
trois ans. Rien de notable également en ce qui concerne les noyaux gris centraux. Le corps calleux existe, mais son épa
isures b et c plus accentuées au con- traire du côté sain. L'écorce grise développée, au niveau de la coupe, mesure à gau
en développant l'écorce du côté droit. L'épaisseur de la substance grise et de la substance blanche est'diminuée à gauch
placer les centres réflexes. Faut-il les localiser dans les masses grises sous-corticales (von Monakow), ou dans la corti-
que cependant en dehors de la papilleune petite semilune de couleur gris pâle, plus manifeste à gauche qu'à droite et qui
à gauche. Comme je l'ai décrit précédemment, l'écorce et les masses grises de la base paraissent avoir peu souffert de la
t plus grandes en sur- face et qu'on y atteint plus vite les masses grises de la base. Lorsqu'on ouvrit les ventricules au
Par l'angle externe du ventricule latéral, traversant la substance grise sous- épend., la tumeur s'est étendue dans le l
le cas qui nous occupe par exemple la tumeur a repoussé les masses grises de la base. Elle en a dé- truit une partie, mai
85 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ans la solution jusqu'à ce qu'à l'oeil nu on distingue la substance grise de la substance blanche. Celles qui ont été fix
ne (1 partie) et d'alcool à 90° (G p.), jusqu'à ce que la substance grise soit complètement décolorée, ce dont on s'assur
munis de parois faci- les à voir qui, sillonnant toute la substance grise du cerveau, s'en vont aux cellules; en se ramif
: racine postérieure, corne postérieure, commissure de la substance grise , cordon anLéro-laLral et finalement péri- phéri
celle du second (nommé également deutonourone) occupe la substance grise de la moitié opposée de la moelle. 7. Toute lés
é opposée de la moelle. 7. Toute lésion unilatérale de la substance grise de la moelle engendre : cc). Une thermo-analgés
thermo analgésie croisée quand cette lésion a détruit la substance grise dans le voisinage de la corne antérieure, par l
atérale quand la lésion a atteint les deux endroits de la substance grise . 8. Toute lésion limitée de la substance grise
oits de la substance grise. 8. Toute lésion limitée de la substance grise ne donne jamais qu'une thermo-analgésie limitée
rmo-analgésie homolaterale, produite par une lésion de la substance grise (ou de la corne postérieure) débute en général
o-analgésie contralatérale, produite par une lésion de la substance grise (ou du voisinage) de la corne antérieure, début
tte décoloration peut aller jusqu'à donner l'aspect de la pupille grise tabétique. 3° Enfin, exceptionnellement, nous a
is et l'amyotrophie, car, sous l'in- fluence des injections d'huile grise et d'énésol, il s'est fait une amélioration non
où ils ont accès. Dans la substance blanche comme dans la substance grise , on les observe avec leurs caractères hislochim
Remarquons aussi que sur toute la hauteur du névraxe, la substance grise est sillonnée par des ramifications fines et dé
il s'agisse d'une même poussée pathologique ayant dans la substance grise centrale af- fecté laforme dcsyringomyélio glio
e et la pic-mère correspondante offre des adhérences à la substance grise . Hémisphère cérébral gauche. La pic-)nére s'enl
s de son, mari. Anxiété par intervalles. Cholémie. Teint bilieux, gris : U ! 'c : lâches de rousseur et grains de beau
quent qu'il veut répondre, mais la parole ne sort pas. Le teint est gris , avec quelques taches pig- mentaircs sur les te
rossières de la moelle : asymétrie manifeste ; déformation de l'axe gris au ni- veau des cornes postérieures surfout. Le
s et de 'e petites cavités qu'ils rencontrèrent dans la substance grise et qu'ils interprètent, ainsi que les lésions de
cas de Schmaus et Scarpatetti qu'il cite. Le fait que la substance grise dans ,la dégénération ischémique est mieux cons
que la blanche s'expli- que, selon Fichier, parce que la substance grise a un ré- ticule capillaire beaucoup plus riche
nt ne permet pas de reconnaître une différenciation de la substance grise d'avec la blanche, car de la partie centrale de
circonférence par une profusion du tissu épidu- ral. La' substance grise se détache assez bien de la blanche ; celle-ci
ngue encore, bien que moins nettement que normalement, la substance grise de la blanche. Au Pal il apparaît déjà il l'a-i
sant des libres tu- méfiées en voie de dégénération. La substance grise semblé être raréfiée : on y rencontre aussi que
cune bande plus ou moins large de tissu sain bordant la substance grise , la zone d'entrée des racines, la pie-mère et la
es libres tuméfiées l'II'pll'il1l' dégénération : dans la substance grise de la moelle on voit aus-i de nombreuses ! ! ranu
- lescent » dont je me suis servi est peut-être impropre ; teinte gris clair serait sans doute plus exact. Le bouil- l
86 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
'extirper les tumeurs intra-médul- laires qui occupent la substance grise ou la substance blanche de la moelle, ou les de
agit d'un processus qui a peu à peu envahi les noyaux de la colonne grise antérieure de la moelle et de la substance gris
yaux de la colonne grise antérieure de la moelle et de la substance grise du deuxième au troisième ventricule; de telle s
noyaux des nerfs crâniens vers les cornes antérieures de la substance grise de la moelle. 11 s'agit donc d'une polioencépha
même, l'affection reprend sa marche progressive et gagne la colonne grise antérieure de la moelle. L'atrophie apparaît al
d'une affection systématique de la plus grande partie de la colonne grise antérieure ? On se rappelle quelle fut la fin de
u, nerfs olfactifs normaux; chiasma des nerfs optiques uniformément gris , mais de consistance très ferme, les bandelettes
nt par places des traînées d'un blanc brillant. Les oculomoteurs sont gris et transparents, contiennent très peu de faisce
s. Les moteurs oculaires externes sont représentés par de fins filets gris composés principalement de tissu conjonctif et
dans les cordons de Goll à la région cervicale. ' Dans la substance grise , dégénération des cornes postérieures, cavités ky
on lombaire. Corpuscules amyloïdes nombreux au sein de la substance grise . Examen de la protubérance et du bulbe : Inté
trent que les noyaux des 3° et 4° paires sont malades; la substance grise du plan- cher du 4° ventricule est parsemée d'é
thalmoplégie et symptômes spinaux, Westphal nota une dégénérescence grise en plaques, vitreuse, d'une grande partie du cerv
grisâtres très grêles. Les nerfs oculomoteurs communs d'une teinte grise étaient également amincis. Les muscles de l'oeil
e avec atrophie. Sur la moelle on découvrait à l'oeil nu une teinte grise des cordons postérieurs qui commençait au segme
taient les traces d'une prolifération interstitielle. Dégénérescence grise des cordons postérieurs allant du segment, cerv
ntacte, de même que le cerveau à la seule exception de la substance grise des parois du troisième ventri- cule, de l'aque
r à la surface des couches optiques. (Dans notre cas, la commissure grise ou n'existait pas du tout ou n'était que très p
se rencontraient qu'immédiatement sous l'épendyme dans la substance grise qui forme le fond du quatrième ventricule : ell
ssement ijiflammajoke avec hémorrhagies capillaires de la substance grise des 3° et à ventricules. « Par leur caractère et
ique dans la névrose. Il est des symp- tômes, tels que l'induration grise du nerf optique, les arthropathies déformantes,
u ne sont pas perçus avec leur valeur normale. Le vert clair semble gris ; le vert foncé est perçu ainsi que les divers ton
marque, visible, extérieure, d'une lésion localisée à la substance grise de la moelle; elle n'est pas, à notre avis, pat
e, lequel peut être reproduit par toute destruction de la substance grise . Eh bien, une lésion purement fonctionnelle, dyna
s, elles présentent uniformément une teinte rosée de leur substance grise . L'examen microscopique fait par M. Chaslin a m
éralisée du système nerveux et des hémorrhagies dans les substances grise et blanche de la moelle épinière. Cependant les
culaire etles hémor- ragies se retrouvent surtout dans la substance grise et qu'elles se ren- contrent moins souvent dans
t dans la substance blanche et dans les méninges. Dans la substance grise on voyait des foyers hémorrhagiques autour du Lui
du Lui canal central, dans le canal lui-même, dans les commissures grises antérieure et postérieure et entre les cellules
foyers hémorrhagiques que presque exclu- sivement dans la substance grise ; dans la substance blanc ! t ils ne se rencontr
87 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
sse- , ment des circonvolutions, sclérose cérébrale, la substance grise semble mobile sur la substance blanche. - Légère
du lobe supérieur présente une hépatisation rouge tendant à devenir grise ; il coule dans l'eau ; emphysème il la partie
ces disséminées sur toute la face convexe; ou entraine la substance grise par petits îlots ; le maximum des lésions siège
isées et ont entraîné en maints endroits presque toute la substance grise des circonvolutions ; quelques-uns des sillons
aux et nerfs de la base sont normaux et symétriques. Les no- yaux gris n'ont rien de particulier <t l'oeil nu. Quan
t celui d'une circonvolution cérébrale, au niveau de la substance grise , les cellules ayant l'aspect et la forme des cell
développée aux dépens des tubercules mamillaires et de la substance grise du troisième ventricule qui ne forment plus qu'
equel on trouva, au milieu du centre ovale, un noyau de substance grise semblable à l'écorce avec laquelle cette substa
substance grise semblable à l'écorce avec laquelle cette substance grise était en communication par des fais- ceaux de s
unication par des fais- ceaux de substance blanche. Cette substance grise incluse dans la substance blanche ordinaire a l
les embryonnaires indifférentes se sont trans- formées en substance grise pour remplir la place que laissait vide la subs
blanches qui sont, par suite, normalement devenues de la substance grise . II. Outre cette anomalie cérébrale, on observe
s palpébrales sont un peu obliques en dehors et en bas; l'iris, est gris ; les pupilles sont rétrécics, la gauche un peu
l'hémis- phère droit. -Lecorps calleux est très mince. Les noyaux gris centraux sont aplatis et déformés. Les nerfs olfa
adhérences assez fortes' pour amener l'arrachement de la substance grise de toute la région; lors de la décortication, a
ire et la face interne sont semblables des deux côtés. Les masses grises centrales sont toutefois plus aplaties et on ne p
horizontales et gran- des. Globes oculaires un peu saillants. Iris gris bruns. Pupil- les égales. Saillies ovalaires ég
dhère fortement partout et, en l'enlevant, on entraîne la substance grise des circonvolutions. Seules FA et PA, surtout d
88 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ntérieures jusque dans leurs filets d'émergence en pleine substance grise , même quelques fibres de la région du faisceau
la substance 48 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. grise de cet organe. Il y a distingué néanmoins : 1. Un
cellules ganglionnaires, au delà desquelles commence la substance grise centrale du canal encéphalomédullaire. Cette répa
a limite tranchée entre le tubercule quadrijumeau et la substance grise cavitaire. Toutes ces couches sont traversées p
par une énorme quantité de fibres radiaires allant de la substance grise centrale à la troi- sième couche de Tartuferi i
sion des excita- tions lumineuses aux cellules nerveuses des masses grises de la protubérance, près du faisceau pyramidal.
d'une affection non encore locali-ée du système nerveux (substance grise de la moelle); pour la variété à évolution supp
e. C'est une fonction psychique dont les centres sont dans l'écorce grise cérébrale et qui doit être cependant soigneusemen
(centre de l'écriture). Ces centres, tous situés dans la substance grise des circonvolu- tions cérébrales sont reliés en
e invinciblement attiré vers les femmes âgées qui ont des che- veux gris . Il prétend n'avoir pas encore cédé à cette passi
et beaux. Ni masochisme, ni fétichisme. Une jeune femme en perruque grise on à cheveux poudrés ne lui dit rien : « c'est
ulaires sont nettement primitives, à l'encéphale; dans la substance grise médullaire, leur nature primitive ou secondaire
A l'ophthalmoscope, les papilles ont une teinte grisâtre ou plutôt gris rosé, mais les bords en sont assez nets et l'état
ison chimique passagère du poison avec les cellules de la substance grise du cerveau » (Ch. Richet : Les poisons de l'int
hie, participent aussi bien la substance blan- che que la substance grise . C'est surtout le cordon latéral et le c'Ordon
atéral et le c'Ordon postérieur qui sont atteints. La' substance' grise est, in loto', le siège d'une- atrophie; cepen;
onnes de Clarke qui étaient lé plus attaquées de toute la substance grise , toujours du côté correspondant à l'amputation.
llules des ganglions rachidiens où elles naissent jusqu'aux centres gris de la moelle et du bulbe où elles se terminent,
e en pleine REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 323 substance réticulée grise ou champ moteur de Meynert ; elle s'éten- dait,
fins de la substance réticulée blanche et de la substance réticulée grise ; dans le sens antéro-postérieur, depuis le tier
is le tiers ou le quart postéro-externe de l'olive jusqu'aux noyaux gris du plancher exclusivement. Dans le ramollisseme
cysticerques adhérant à la pie-mère et enchâssés dans la substance grise . Au niveau de l'aire motrice et particulièremen
du fond de l'oeil. : » atrophies blanches de la pupille, 1 atrophie grise , 1 scléro- ellOrOÏdiLe postérieure sans myopie,
tes dans le cerveau et au niveau des couches de cellules du manteau gris , lésions analogues, mais moins marquées, dans l
du manteau gris, lésions analogues, mais moins marquées, dans l'axe gris de la moelle, se traduisant ici et là par une i
ndes péricellulaires et travées autour des capillaires ; dans l'axe gris medullaire, dissémination diffuse de ces cellul
qui admet- tent l'existence de centres vaso-moteurs dans les noyaux gris cen- traux et de fibres vaso-motrices dans la c
leurs arborisations terminales à la périphérie ou dans la substance grise centrale. Le système nerveux tout entier peut ê
e avec les prolon- gements ramifiés des dendrites dans la substance grise centrale. Tout retard apporté au passage du sti
uvre le pinceau terminal de fibrilles qui pénètre dans la substance grise , car c'est la que l'apport d'oxygène est le plu
89 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
nses. Les circonvolutions ont une couleur blanchâtre à gauche, d'un gris rosé normal, à droite; leur volume est d'enviro
bérance est un peu moins large. La pyramide gauche a une coloration grise . Le quatrième ventricule ne présente rien de pa
droit comprimé pren- nent naissance à la périphérie de la substance grise là où celle-ci confine aux cordons latéraux ou
e ces libres se perdent dans le treillis des libres de la substance grise sans qu'on puisse les suivre davantage. Mais d'
terminal ; ces névromes n'envoient pas de libres dans la substance grise . H Celle description est, d'après 31. Fickler,
bstance des cordons latéraux a projeté des libres dans la substance grise sous-jacente il 1'I'IHll'oil comprimé alin de ré-
les relations topographiques des fibres et des cellules (substance grise et. subs- tance blanche) semblent être exacteme
LOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dans la couche tangentielle de la substance grise sous-épcndy- maire qui forme le toit du ventric
du pied du pédoncule vers ce tubercule. Elles gagnent la suhslance grise superficielle du tubercule quadrijumeau antérie
t là émettent des rameaux latéraux qui se perdent dans la substance grise du canal encé- ptialomédullaire. ' Il existe
partie externe, pour traverser, en se dirigeant en arrière, la zone grise intercalée entre le ruban de Reil supé- rieur (
nche des cordons postérieurs de la moelle dorsale inférieure un peu grise et luisante. C'est tout. Traitement des pièces
ure : on remonte ainsi jusqu'à leurs noyaux bulbaires. La substance grise , celle surtout des cornes antérieures de la moe
ICPSlb 'aO-I1lf){l'UI'S pé- riphériques se trouve dans la substance grise cenfrateperiepen- dymaire qui constitue l'origi
écrire en neuropathulogie médullaire le syndrome de celte substance grise , comme on décrit le syndrome des cornes antérie
t le syndrome des cornes antérieures et le syndrome de la substance grise centro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l'altér
entro-poslé- , Heure. En un mot, c'est l'altération de la substance grise péri- épendymaire qui donne lieu aux troubles v
31. Lovvenleld croit aune lésion simultanée des corncsanterieu- res grises , des conducteurs moteurs périphériques, ainsi que
? nù pour lui t l'ltùpilal du \Iicli har cle· fric- tiousal'ongnenf gris ; et plus lard se sont développées des pla- (me
euvent exister aussi bien dans le cortex que dans les divers noyaux gris de l'en- céphale (lfaUl'c et Laignel-La\astine)
des aponévroses palmaires ou plantaires l'examen de la substance grise du renflement cervical ou lombaire parla méthode
é de sa propre tête, il en avait une seconde, avec une longue barbe grise ; la guérison en 24 heures après un lavage (2).
'mes. En conséquence, on résèque de petits mor- ceaux de substance grise en (rois points de cette région de la fron- tal
s est assurée par 17 religieuses de Sainl-VilH'(,nl-de-Paul ((1)urs grises , ordre dissi- dent, dont la maison mère esl à l
es inférieures, la couche interolivaire et la substance arti- culée grise ; dans leur partie antérieure : les libres arcifu
stives dominent la scène. ramollissement peu étendu de la substance grise (zone postérieure exceptée) surtout au niveau d
la sensibilité permettent de localiser la lésion dans la substance grise médullaire entre G8 et DI. Le Brow n- Séquard e
90 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cousses cloniques. Aucun trouble actuel de la vision : il aurait vu gris (achroma- topsie) pendant un temps. L'état gé
lombairejusqu'à la décussation. Peu d'altérations dans la substance grise des cornes antérieures si ce n'est dans le renf
s de lésions inflammatoires dans les cordons latéraux, la substance grise , les fibres nerveuses. P. K. VII. D'UNE forme
suivante : l'anémie extrême a agi comme excitant soit sur l'écorce grise , soit sur les centres profonds. P. K. XI. UN
e interne; dégénérescence descendante bi-latérale; dégénérescence grise bi-latérale des cordons postérieurs et en particu
les cordons poslé- lieurs sont-ils prédisposés à la dégénérescence grise ? En ce qui concerne cette dernière question, d
érébrales por- tant sur la substance blanche comme sur la substance grise . Observa- tion II. Enfant issu d'une mère nerve
es paralytiques ont été le signal d'une myélite lombaire des cornes grises antérieures; l'absence de troubles de la sensib
les parois des vaisseaux prolifé- rantes. Ainsi, dans la substance grise , dès le second jour, sur le bord de la cavité q
ns l'autre cas, existait un ramollissement étendu de la substance grise .de la pariétale inférieure gauche, ramollissement
rogressive des cornes postérieures et antérieures de la substance grise de la moelle épinière, ayant une symptomato- io
pachyméningite cervicale hypertrophique. Une lésion de la substance grise dans la moitié droite du renflement cervical de
m anatomique, la lésion des bandelettes externes et de la substance grise posté- rieure. Nous ferons toutefois des réserv
s apparences de l'état normal. On ne remarque pas de dégénérescence grise des nerfs crâniens. La moelle épinière est enle
isâtre au niveau des cordons postérieurs. Les substances blanche et grise sont bien distinctes ; elles paraissent inaltér
e trouve nulle part de taches scléreuses. Les cornes dé substance grise et les cordons blancs ont les apparences de l'éta
les symptômes oculaires (diplopie, strabisme, amaurose, induration grise , inégalité des pupilles), les douleurs fulguran
hes brunes ou noires sur la face et le bras, et les cheveux étaient gris par places de ce côté. Ces derniers phé- nomène
t blanche par places, et en certains endroits les cheveux devinrent gris du même côté que la paralysie. Dans le troisièm
almoplégie externe). Le même malade était atteint de dégénérescence grise des cordons postérieurs. M. KOENIG. Deux cas de
and la zone motrice est lésée : 1° l'atteinte seule de la substance grise , sans participation de la substance blanche, est-
es. Ce sont d'a- bord trois exemples d'leétérotopie de la substance grise ; deux ont trait à l'existence de cette substanc
frontal et la frontale ascendante du côte droit de petites saillies grises , ayant le diamètre de demi- lentilles : en ces
us touffues, plus pressées qu'ailleurs; c'est pourquoi la substance grise se montre a l'oeil nu rayée de stries anches.
ieure et dorsale supérieure portant principalement sur la substance grise . M. REMAK a présenté un exemple de ce genre à l
91 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
ragus est rudi- mentaire ; le lobule peu développé. - Les yeux sont gris , sans aucune expression de rudesse; pas de stra
assez haut ; les arcades sourcillières sont assez saillantes ; yeux gris , nez aquilin, face symétrique, bouche moyenne,
ères, température. Autop- sie : séparation complète de la substance grise et de la substance blanche. Pu..., Georges, â
re droit. - La pie-mère est partout très adhé- rente à la substance grise sur tout le lobe occipital, tout le lobe tempor
arrière de la pariétale ascendante, on enlève toute la subs- tance grise , mettant ainsi à découvert le squelette de la s
'izzst.cla sont presque entiè- rement dépouillées de leur substance grise , dont il reste pourtant une mince couche. - Sur
coin et le lobe occipital sont complètement dépouillés de substance grise par l'ablation de la pie- mère. Hémisphère ga
sa partie la plus inférieure et antérieure, est dénué de substance grise . La face supérieure de la première temporale es
urs . des membres. La séparation presque complète de la substance grise , et de la substance blanche des circonvolutions
ésion était à une période relativement moins avancée ; la substance grise se séparait complètement, il est vrai, mais le
92 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
r avec Gowers que l'épi- lepsie est une « maladie » de la substance grise de l'encéphale ; il n'est pas douteux qu'il s'a
ons présenter apprend que les lésions très limitées de la substance grise corticale peuvent produire non seulement l'épil
r en un petit tubercule enkysté : sa localisation dans la substance grise , son isolement, la réaction inflammatoire qui en
es attaques d'épilepsie provoquées par l'irritation de la substance grise de la zone motrice : et nous serions en règle ave
ion la région rolandique, déterminant les décharges de la substance grise de cette région, dont le résultat est la convul
rquer Van Gehucliten,de recon- naître dans la structure de l'écorce grise des différences sensibles d'une région à une au
parés, mais au contraire sillon- neraient en tous sens la substance grise des circonvolutions. La synthèse, -\ le rapproc
inent là autour des cellules d'origine des fibres qui vont aux masses grises du pont et au delà à l'écorce cérébelleuse et a
centrifuges vont à la couche optique correspondante puis aux masses grises inférieures ou à la sphère tactile. Flechsig ex
aractère. Ces trois centres sont absolument indépendants des masses grises infé- rieures, ils n'ont pas de fibres de proje
n'est plus jeune : son crâne se dénude, cependant quelques mè- ches grises passent encore sous le béret déformé qui lui sert
lésion en foyer, ni au niveau de l'écorce, ni au niveau des noyaux gris centraux. On' note en l'enlevant un oedème sous-
e l'épaississement de la pie-mère, de la congestion de la substance grise , des corpuscules amyloïdes, enfin des lésions a
il nu avant tout durcissement : à la région cervi- cale, une teinte grise de sclérose dans les cordons postérieurs surtout
ieurs qui paraissent plus atteints. A la région lombaire, la teinte grise translucide occupe tout le cordon pos- térieur
ébelleux inférieur, et qui va se terminer dans un amas de substance grise , qu'elle divise en deux noyaux : le noyau dit a
YMOND baire du trijumeau ; puis elle va se répandre dans trois amas gris , situés sous le plancher du quatrième ventricul
is là n'est pas sa terminaison définitive; au sortir de cette masse grise , la racine interne se bifurque en deux branches
es à droite et gauche, ou que la destruction a porté sur les noyaux gris situés sur le plancher du quatrième ventricule.
seignera sur la nature-du néoplasme et sur les masses, blanches ou grises , détruites au cours de son évolution. XI 16
là on note sur quelques tubes à myéline de la substance blanche et grise , d'une façon diffuse et sans prédominance, les al
lérose. Les différents groupes de fibres il myéline de la substance grise ne nous ont pas paru modifiés il droite. En o
nt lombaire du côté ankylosé. Il y avait diminution de la substance grise avec atrophie des cellules, et en outre diminut
yor (4). Le plus souvent, il y a à la fois atrophie de la substance grise et de la substance blanche. On se souvient d'ai
l'inflt de la compression, de sorte que l'épaisseur des substances grise et bl; n'atteint plus guère en beaucoup d'endro
existe pas d'anomalie dans la topographie des substances blanche et grise des parties lombaire et dorsale de la moelle cé
de voies pyramidales ; 3° l'absence de fibres unissant la substance grise du pont de Varole avec le cerveau ; 4° l'absenc
dach, s'entrecroisent et se terminent dans la substance réticulaire grise et blanche (PI. XLVI, d). On voit aussi les ner
93 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
ions avec la capsule. D'autre part, l'homogénéité de la substance grise des noyaux lenticulaire et caudé, en bas et en
es faisceaux réunis en grand nombre divisent franchement la masse grise en deux portions, tandis qu'en avant la disso-
cérébrale antérieure, et en est séparé par une couche de substance grise de quelques millimètres d'épaisseur, substance
de substance grise de quelques millimètres d'épaisseur, substance grise servant à unir celles du septum luci- dum et de
oduisirent les manifestations bien connues, tandis que la substance grise des mêmes régions était incapable de réaction.
vers le ganglion géniculé. Enfin le nerf de Wrisberg naît d'un amas gris , mal délimité, situé au voisinage du noyau acou
du noyau acoustique supérieur, sur le pro- longement de la colonne grise des nerfs sensitifs. Ce dernier point a été éta
BEAcn s'il a trouvé chez les idiots l'hypertrophie de la substance grise qu'a signalée Mierze- jewsid. , Répondant à c
delà de laquelle était un espace clair. -3°Il a trouvé la substance grise atrophiée, mais jamais hypertrophiée. Le DJuLIU
bre, on trouve sous le corps bordant une épaisse bande de substance grise présentant des alternatives de saillies et de d
temporo-occipitale), les auteurs sont amenés à décrire la substance grise de la corne d'Ammon, en partie, comme une circo
comme une circonvolution retournée, c'est-à- dire dont la substance grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère (subst
substance grise pénètre dans l'intérieur de l'hémisphère (substance grise de la corne d'Ammon), et en partie comme une fo
t en partie comme une formation nouvelle et sur- ajoutée (substance grise du corps godronné). Les principaux points que l
ine que de l'épi- lepsie, entraîne, lorsqu'il désorganise les zones grises , la perte de l'intelligence consécutive à la ma
lobe occipital, la substance blanche^ du lobe sphénoïdal; l'écorcé grise dû cerveau,' 'là ligné médiane des hémisphères
94 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e inters- titielle au début. Les membranes du cerveau, la substance grise et la substance blanche, les pédoncules, la pro
atrophie musculaire spasmodique ; 6° le syn- drome de la substance grise centro-postérieur : dissociation, dite syringom
; 70 le syndrome associé des cornes antérieures et de la substance grise centro-postérieure (syndrome de l'entière subst
substance grise centro-postérieure (syndrome de l'entière substance grise ) ; atro- phie musculaire, dissociation dite syr
a pie-mère et des vaisseaux... La substance de la tumeur était d'un gris rou- geâtre, translucide, tremblotante. En la d
ntérieures du cerveau n'ont été lésées, plusieurs fois la substance grise des circon- volutions a été atteinte dans le lo
TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMES CONGÉNITAUX 119 de l'écorce grise , altérations cellulaires fines des noyaux d'ori
de la moelle surtout des cordons antéro-latéraux et de la substance grise centrale. Suivent un certain nombre de considér
es centres nerveux, surtout des cornes postérieures de la substance grise , et sont tantôt associés aux trou- bles objecti
oquées en des points différents (périphérie et cornes, postérieures grises ), par des causes distinctes (excitants périphér
eurones inférieurs (ganglions et cornes antérieures de la substance grise ), dans les premiers, neurones de relais (substa
substance grise), dans les premiers, neurones de relais (substance grise bulbo-médullaire), dans les deuxièmes neurones
occupaient la place des boutons. L'une portait un chapeau de feutre gris , d'une forme ultra sim- ple, mais d'un diamètre
rontale ascendante, adhérences profondes qui arrachent la substance grise sous-jacente. De ce centre la lésion va en rayon-
t cinq atrophies papillaires blanches, une seule fois de l'atrophie grise , une sclérochoroïdite postérieure bilatérale sa
e d'un des hémisphères. Deux avaient également détruit la substance grise des circonvolutions, un autre avait envahi et c
s dégénérées, leur coloration 362 SOCIÉTÉS SAVANTES. est n'sée ou gris jaunâtre, leur consistance souvent très diffluent
ments qui avaient bouleversé l'architecture normale de la substance grise . - Ce cas, rapproché des quelques observations
clinique : , épaississement des méninges, adhérences à la substance grise , dilatation des ventricules. Au point de vue mi
dans le premier ganglion dorso-spinal et ainsi affecté la substance grise de la moelle, comme dans une poliomyé- lite bén
s inférieurs, se comprend si on admet que la lésion de la substance grise s'est étendue au cordon latéral. La diminutio
premières à être différenciées, tout le reste du spectre demeurant gris . La vision d'Homère parait avoir eu ce caractèr
laires, et pour lequel le spectre solaire était presque entièrement gris . sauf une teinte rouge à l'une de ses extrémité
lisée aux grandes cellules des cornes antérieures de la substance grise de la moelle épinière. C'est la ptemière observat
nombre et en volume, au niveau des grandes cellules de la substance grise , avec lésions secondaires des racines antérieur
95 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
r- male, pas d'exophthalmie, de paralysies, ni de nystagmus. Iris gris clair. Pupilles régulières égales, à réaction nor
Lobe ten¡p01'o,sphénoïclal d'aspect normal. Le trigone, les noyaux gris centraux et le ventricule latéral semblent sains.
ences des enveloppes qui ont en grande partie entraîné la substance grise corticale. Fs a le volume d'une grosse et affec
n aperçoit le pédoncule cérébral qui est gros et renflé. Les noyaux gris centraux sont dillicilement dif- férenciables d
ait facilement. Le ventricule latéral, la corne d'Ammon, les masses grises , n'offrent t aucune lésion. Les scissures de Ro
e- mère resté adhérent ne s'arrache qu'en laissant à la substance grise un aspect «granité» Les circonvolutions frontales
ni au sujet des circonvolu- tions de la face interne et des noyaux gris . Ilén21spltère gauche. La pie-mère est épaissie
de la face interne, de la face inférieure sont lisses. - Les noyaux gris , le ventricule latéral n'offrent rien à signale
ment saine. - Le ventricule latéral est un peu dilaté. - Les noyaux gris centraux et le pédoncule ont un aspect normal.
ns ont un aspect gélatineux, kystiforme. On dirait que la substance grise est séparée de la substance blanche. Ces circon
la pie-mère très adhérente entraine de grands lambeaux de substance grise . Les circonvolutions frontales sont volumineuse
nsidérablement atrophiée et est remplacée par une petite bandelette grise formant une sorte de fossé; il en résulte que l
ien de particulier au corps calleux, aux ventricules, ni aux noyaux gris centraux. Le cervelet n'offre aucune altération
corps calleux paraissent pas altérés. Il en est de même des noyau»; gris centraux, des tubercules quadrijumeaux et du pé
ntricule laté- ral est beaucoup plus dilaté qu'à droite. Les noyaux gris cen- traux, les pédoncules, etc., paraissent no
xante bouteilles de bière en un jour. Il ajoute qu'il était souvent gris . Depuis 7 ans, il a cessé son commerce et ne bo
es bien mobiles et également tombantes. Cils courts et assez rares, gris et arqués. Musculature de l'oeil saine, pas de
96 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
et dissémination excessive de leuco- cytes envahissant la substance grise ; on en trouve partout, autour des vaisseaux ou
ostérieurs, et les cor- dons antéro-latéraux au pourtour des cornes grises . Hyperplasie par places de la névroglie. Par-ci
llules nerveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la substance grise du cerveau, ce sont les cellules fondes dont le
gré d'inflammation, et consécutivement des troubles de la substance grise , en rapport direct avec la lésion actuelle, ce
iopathique ou secon- daire. Par endroits, surtout dans la substance grise qui est infiltrée d'un exsudat plastique albumi
r les fibres de l'olive infé- rieure, se disperse dans la substance grise du corps dentelé. Systématisation des lésions p
isceau basal, est en tout cas son homo- logue ; il relie les masses grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des nerfs
ours et la terminaison des racines postérieures dans la substance grise de la moelle. Il a reconnu dans les racines pos
neuse de Rolando, et suivent un trajet horizontal dans la substance grise ; quelques-unes de ces fibres entrent en con- n
on- nexion avec les cellules de la région moyenne de la substance grise ; d'autres arrivent à la corne antérieure; enfin q
, soit en dehors de la colonne de Clarke,' traversent la commissure grise et forment le faisceau limitant du cordon antér
urs névralgiques podaliques) : intégrité probable de la substance grise . Bons effets du fer rouge. Pas d'abcès par conges
rvicaux gauches, gliome avec formation de cavités dans la substance grise centrale de la même région. Pas d'autopsie. P. K.
xtrême descellules ner- veuses, avec transformation de la substance grise en un tissu spon- gieux constitué par des cellu
vicale. D'ordinaire, même dans les colonnes de Clarke, la substance grise est normale (pré- paration à l'appui). Analogie
une racine antérieure séparées l'une de l'autre par de la substance grise . La racine antérieure envoie quelques fibrilles
e participe à la genèse d'un feu- trage de fibres dans la substance grise du toit ; de ce feutrage résultent des troussea
, en formant des arcs, le long de la limite interne de la substance grise du toit, et donnent naissance à un système d'asso
tinctes du nerf optique. La formalion réticulaire de la subs- tance grise de la base provient des rameaux de la partie post
r et multiplicateur dans lequel les divers départements de l'écorce grise emplissent tous les mêmes fonctions », p 270. e
e est une inflammation parenchymateuse siégeant dans la substance grise . Les cellules sont granuleuses, opaques, leur for
ux . Les lésions observées sont strictement limitées à la substance grise , ce qui élimine l'idée d'un pro- cessus inflamm
97 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
ellules du noyau bulbo-protubérantiel. Ce dernier forme une colonne grise , étendue en hauteur depuis le tiers supérieur de
Dans chaque lobe cérébral, on doit considérer séparément la substance grise corticale et la substance blanche. Substance gr
ent la substance grise corticale et la substance blanche. Substance grise : écorce cérébrale. — D'après Ramon y Cajal, l'éc
cie qui relie le segment supérieur à la capsule interne et aux noyaux gris centraux. Elle livre passage au pied de la couron
. — Comme pour le cerveau, on doit considérer séparément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la substan
n doit considérer séparément la substance grise corticale, les noyaux gris centraux et la substance blanche. Si l'on prati
ur la planche XVII, on remarque à la périphérie une zone de substance grise macroscopiquement plus importante que celle du ce
lèles. (Ramon y Cajal, Structure du système nerveux, 1 8q5.) Noyaux gris centraux. — Ils sont au nombre de huit, quatre de
et longues ou extra-céré-Ueuses. Les premières unissent chaque noyau gris central à l'écorce de l'hémisphère correspondant,
irectement ou indirectement les parties centrales de l'organe, noyaux gris et gros faisceau pédonculaire (Luciani), on const
98 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ociation qui s'élagent dans les cordons latéraux. Dans la substance grise on note l'atrophie avec, pigmentation des cellule
lument latente : on sait que les connexions de cha- cune des masses grises (corticales et centrales) du cer- velet sont bi
ire du côté op- posé (droit), et le faible développement des noyaux gris de la moitié droite de la protubérance dans la
ence entre les deux côtés du pont est due à l'agénésie des noyaux gris du côté droit intercalés aux fibres trans- vers
ule cérébelleux moyen prend sa principale origine dans la substance grise du pont, du côté opposé à l'hémisphère cérébell
ontient aussi des fibres dont l'origine se trouve dans la substance grise du pont du même côté (l. c., p. 100). » De mê
haque circonvolution paraît beaucoup plus diminuée que la substance grise . Des dilatations périvascu- laires (état criblé
sont très diminuées dans la substance blanche et dans là substance grise des circonvolutions ; les fibres transversales
blanche paraît beaucoup plus considérable que celle de la substance grise : la par- tie périphérique de la substance blan
ce grise : la par- tie périphérique de la substance blanche devient grise par suite delà disparition des gaines de myélin
II. 8 114 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. che grise augmente aux dépens de la couche blanche sous-
ogliques, peuvent être observées dans l'écorce et dans les noyaux gris centraux. 3° Vaisseaux. Les lésions artério-scl
rémité libre des circon- volutions et ne dépasse guère la substance grise . Il re- connaît pour cause la prédominance d'un
tielle dans le rapport entre la substance blan- che et la substance grise ; enfin, une dissémination néoplasique sous-mén
e complète, comprenant de la suh- stance blanche et de la substance grise . Ceci pourrait avoir une explication embryologi
ment pour la moelle épinière, le bulbe, la protubérance, les noyaux gris du cervelet et les ganglions. C, Coloration D
n pouvoir trophique de l'écorce, avec altérations de la substance grise spinale (Dorglierini). IX. Présence de centres tr
ndantes dégéné- rées de la cellule nerveuse, à travers la substance grise spinale, les nerfs et les fibres musculaires. C
chten. Connexions ren- 1 l'ale" du noyau de ])eileI's et des masses grises voisines (Faisceau yestibl1lo-spinal. Faisceau
la dyschromatopsie, le vert est vu normalement à gauche, il paraît gris à droite; le jaune paraît plus pâle à droite, l
raverse la ligne médiane, l'aile blanche inter- ne droite et l'aile grise , sans atteindre en hauteur le sillon bulbo- pro
99 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
est de même pour le pédoncule cérébral gauche, qui a une coloration grise sur son bord interne et à sa partie moyenne; la
la pyramide an- térieure gauche est réduite à une petite bandelette grise tout à fait en retrait. . Cerveau. Ce qui fra
rontal, c'est surtout l'absence, en de nombreux points, de l'écorce grise et d'une partie de la subs- tance blanche, pert
e de la deuxième frontale. Sur une surface d'un centimètre l'écorce grise a été enlevée par des adhé- rences. Le sillon p
s degrés divers, dans toute la hau- teur de la moelle, la substance grise est partout intacte, quant à ses cellules et.à
néoformé occupe surtout -les couches superficielles de la substance grise , tout en poussant des prolongements jusqu'au ni
l une circonvolution très-altérée, dans laquelle toute la substance grise est à peu près détruite ; alors, les fibres bla
onie caséeuse. 93 lève très facilement, sans entraîner de substance grise . Pas de granulations tuberculeuses. Hémisphèr
eloppé que le gauche, qui est d'as- pect normal. Cet oeil droit est gris et terne, sa pupille est con- tractée, il est l
est le siège d'un léger strabisme divergent. L'oeil gauche a l'iris gris foncé et parait sain. La lumière amène la réact
a corne frontale est fort altérée par l'arrachement de la substance grise adhérente à la pie-mère. FI et F2 sont parti- c
100 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lésions inflammatoires de la substance blanche et de la substance grise plus marquées au niveau de la région lombaire et
constata une déformation et une dégénération étendue. La substance grise est plus particulièrement atteinte. Les cornes po
rations : Dans le second cas il y a une destruction de la substance grise , et des faisceaux cérébelleux directs et des fa
conduction du chaud, du froid et de la douleur suivent la substance grise dans les faisceaux de Gowers ; tandis que, la s
cavité dans la moelle, mais le siège des lésions dans la substance grise est en'réalité le même que dans la plupart des
aud, de douleur sont transmises par l'intermédiaire de la substance grise , au moyen d'un second ordre de neurones, dont l
peut bien, dans cet espace de temps, avoir enveloppé la subs- tance grise des deux côtés. Dans la troi-ième édition de so
e partie de fibres provenant des cellules nerveuses de la substance grise du côte opposé, cette conclusion est d'accord a
s du premier cas surtout. Dans le second, la lésion de la substance grise n'est pas suffisamment unilatérale pour autoris
les, mais que ces impressions doivent aussi passer par la substance grise , et attein- dre l'encéphale par les faisceaux c
ostérieurs et surtout l'inten- sité des altérations de la substance grise (corne postérieure, cellules cordonales, colonn
vé et décrit la teinte hortensia de certains points de la substance grise dans différentes régions des hémisphères céré-
ier fumiste, abandonné par sa femme, se livrait à la boisson. Etant gris , il a tiré plusieurs coups de revolver sur le p
s'empare graduellement du nerf optique. La pupille prend une teinte gris verdàtre nettement marquée, parti- culièrement
tations moins importantes du fond de l'oeil, comme une décoloration gris verdâtre du disque optique, des dépressions peu
e des nerfs craniens. Le deuxième étage serait formé par les masses grises du mésocéphale (cervelet, noyau rouge, masses g
par les masses grises du mésocéphale (cervelet, noyau rouge, masses grises du pont, noyaux centraux), dont nous connaisson
Poutre), dix-neuf ans, domestique aux Champs-de-Losques, qui, étant gris , avait, sans aucun motif, logé une balle de rev
rler des fibres très délicates qui se rencontrent dans la substance grise corticale, de la couche tangentielle, et des lé
teur, à des foyers lacunaires siégeant de préférence sur les noyaux gris et très souvent conco- mitants de lésions d'hém
contrent également dans la substance blan- che et dans la substance grise et paraissent aussi nombreuses dans le cerveau
par l'atrophie de l'écorce, des olives bulbaires et de la substance grise du pont, par la dégénérescence totale du pédonc
partielle du corps restiformé, par l'intégrité relative des noyaux gris centraux ; c'est une atrophie primitive dégénérat
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